FR2485052A1 - Machine a coudre modulaire - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UNE MACHINE A COUDRE MODULAIRE. LE BATI 10 DE LA MACHINE DE L'INVENTION COMPREND TROIS UNITES DE BASE, NOTAMMENT UNE UNITE PRINCIPALE COMMUNE A TOUTES LES MACHINES ET COMPORTANT UN ORGANE DE BASE 11, UN MONTANT VERTICAL 12 ET UN BRAS HORIZONTAL SUPERIEUR 14. LE BRAS 14 ET L'ORGANE DE BASE 11 COMPORTENT DES SURFACES DE MONTAGE EN VUE DE FIXER SELECTIVEMENT PLUSIEURS UNITES SUPERIEURES DE TETE RENFERMANT LES INSTRUMENTS SUPERIEURS DE PIQUAGE 15 ET LE DISPOSITIF PRESSEUR 16 POUR LA PIECE DE TRAVAIL. L'INVENTION EST UTILISEE POUR TRANSFORMER SELECTIVEMENT UNE MACHINE D'UN TYPE EN UN AUTRE EN VUE DE REALISER PLUSIEURS OPERATIONS DE COUTURE ET FORMER DES POINTS PARTICULIERS POUR CHAQUE OPERATION.

Description

La présente invention concerne uhe machine à coudre modulaire dont le bâti

est conçu pour supporter les différents éléments d:entraînement de la machine, qui sont nécessaires pour actionner les dispositifs de piquage et le mécanisme du transporteur de la pièce de

travail au cours du fonctionnement de la machine.

Comme le sait l homme de métier spécialisé dans la technique de la couture, les machines à coudre sont habituellement identifiées par le type particulier de point pour lequel elles sont conçues, par exemplee des points droits, des points en zigzag et des points

de surjet, etc., ou encore par les differentes opéra-

tions de couture qugelles sont en mesure de réaliser.

En outre, il est de pratique courante d9iden-

tifier les machines à coudre suivant leur type d&unité de base qui peut être du type plan classique ou du type à bras libre, indiquant ainsi, à l'homme de métier spécialisé pour de telles machines, le type particulier

d'opération de couture qu8elles sont en mesure de réa-

liser.

Dans les machines à coudre de type industriel

que l'on utilise pour la fabrication d'articles d'habil-

lement, un problème important se pose concernant lDunis versalité de ces machines car, en règle générale, chaque opération de couture spécifique nécessite une machine d'un type particulier et bien définie En vue de résoudre ce problème, des essais ont été entrepris pour unifier et simplifier un certain

nombre des éléments d entrainement des machines à cou-

dre afin de faciliter leur assemblage dans leur bâti.

A cet effet, les éléments d'entraînement desti-

nés à actionner l'aiguille, de même que ceux faisant avancer une pièce de travail au cours de la couture et ceux assurant le fonctionnement de la machine elle-même,

ont été équipés d'organes supports indépendants cons-

tituant un moyen par lequel les dispositifs séparés peuvent être introduits aisément et retirés en bloc respectivement dans et hors du bâti de la machine. Une autre méthode a été orientée vers la réalisation d'un bâti d'une structure simplifiée pour les machines à coudre; toutefois, cette méthode a eu ses limites, car elle nta pu être efficace que pour des machines ne se

différenciant pas fortement l'une de ltautre.

Dans les machines à coudre dites "à colonne" dans *lesquelles cette dernière définit la surface de travail habituelle et dont l'écartement vis-à-vis du montant de la machine peut être réglé de façon bien connue, on peut réaliser une gorge d'une plus grande

distance pour l'aiguille en introduisant une pièce rap-

portée d'écartement entre celle-ci et le montant, ainsi qu'en déplaçant la colonne à l'écart de ce montant, 1S Une autre méthode bien connue dans la technique concerne le bâti qui est subdivisé en plusieurs parties

interchangeables adaptées l'une à l'autre avant l'as-

semblage complet de la machine.

Plus précisément, ce bâti comporte une base et

un montant comportant un bras divisé dans le sens lon-

gitudinal en deux parties, la première partie étant con-

çue pour recevoir la tête supportant l'aiguilles tandis

qu'elle peut être assemblée à la base située en dessous.

La deuxième partie du bras formant un couvercle est con-

çue pour être assemblée à la première partie.

D'après la description ci-dessus des disposi-

tifs de la technique antérieure destinés à transformer

les machines à coudre d'un type en un autre, on compren-

dra aisément que ces changements nécessitent l'expérien-

ce des hommes de métier spécialisés dans le montage et la réparation des machines et que, normalement, ces changements ne peuvent être effectués par les opérateurs eux-mêmes. De ce fait, aucune solution n'a encore été

apportée au problème relatif à la possibilité de modi-

fier rapidement et aisément une machine à coudre de telle sorte qu'elle forme un type différent de point ou

qu'elle puisse effectuer une opération de couture dif-

férente. Un objet de la présente invention est de fournir une machine à coudre de type modulaire dans laquelle les dispositifs interchangeables peuvent être remplacés en un minimum de temps sans devoir recourir à l'expérience

d'un technicien spécialisé.

La machine à coudre modulaire suivant la pré-

sente invention comprend un bâti qui est subdivisé en au moins trois unités de base. L'unité principale est formée par un montant s'étendant verticalement, par une

partie en bout de la base à laquelle ce montant est as-

semblé, ainsi que par une partie du bras horizontal

s'étendant à partir de l'extrémité supérieure de ce mon-

tant dont il est solidairee L'unité supérieure définit la tête de la machine dans laquelle sont logées Isais

guille et les barres de presse, tandis que l'unité in-

férieure définit un prolongement de la base dans lequel sont logés les dispositifs inférieurs de piquage et le

mécanisme du transporteur.

Un avantage particulier de la présente inven-

tion réside dans le fait que l'unité principale est

commune à toutes les machines à coudre et qu'elle englo-

be les éléments de transmission et d'entraînement néces-

saires pour assurer le fonctionnement des différentes

unités conçues pour être assemblées avec ces machines.

Ces différentes unités comprennent l'unité supérieure et l'unité inférieure qui ont été décrites ci-dessus et qui ont une configuration spécifique pour renfermer les éléments nécessaires pour un type particulier de couture, les logements de ces unités étant de dimensions

relativement réduites et d'un maniement aisé; par ail-

leurs, on considère qu'il est beaucoup plus économique

de recourir à ces logements qu'à des machines complé-

mentaires pour répondre à chaque besoin spécifique de

couture.

Il est évident que les fabricants de machines

à coudre ne se sont pas sentis concernés par les pro-

blèmes des fabricants d'articles dihabillement, les-

quels se sont vus dans l'obligation d'acheter des ma-

chines à coudre ne pouvant effectuer qu'un nombre limité d'opérations de couture et spécifiques à chaque type de fabrication. Une attention toute particulière doit être accordée à ceux que lion considère comme de petits fabricants d'articles d'habillement, dont la production est habituellement basée sur de petites quantités de différents typesd'articles et auxquels des machines à coudre ayant des possibilités limitées portent, sans

conteste, préjudice. En ce qui concerne ce type d'in-

convénient, la machine à coudre modulaire suivant l'in-

vention offre un net avantage en ce qui concerne le gain de temps réalisé et comparativement aux frais consentis pour des machines complémentaires; en effet,

cette machine suivant ltinvention est conçue pour per-

mettre un remplacement rapide et direct des différentes unités permettant de réaliser un type désiré d'opération

de couture.

Une caractéristique de la machine à coudre modu-

laire de la présente invention réside dans le fait que l'unité principale comporte deux éléments distincts de localisation et de verrouillage définissant des surfaces de montage pour l'unité supérieure et l'unité inférieure; par ailleurs, tout en étant écartés et généralement alignés verticalement, ces éléments sont prévus sur un

côté du bras horizontal et de la base respectivement.

L'unité supérieure et ltunité inférieure qui sont assem-

blées sur ces surfaces de montage, comportent ces élé-

ments de localisation et de verrouillage définissant

des surfaces d'appariement épousant le contour des sur-

faces de montage prévues sur l'unité principale.

Cette caractéristique offre un net avantage du fait que la machine à coudre peut être rapidement transformée d'un type en un autre sans devoir recourir

à l'expérience d'un technicien spécialisé, ce change-

ment pouvant être réalisé en une période relativement courte; en effet, il suffit simplement de libérer 1lélément de verrouillage et, dès lors, de remplacer

simplement l'unité individuelle désirée.

Un haut degré de souplesse est exigé des lignes de fabrication actuelles et, sans que leur activité

générale soit pour autant influencée, on peut actuelle-

ment procéder, dans ces lignes de fabrication, à un

changement radical des machines.

D'autres objets et avantages de linvention

apparaîtront plus clairement à la lecture de la descrip-

tion détaillée et des revendications ci-après en se

référant aux dessins annexés dans lesquels: la figure 1 est une vue en perspective duune machine à coudre, cette vCe montrant un type deunité supérieure et d'unité inférieure assemblées à l'unité principale; la figure 2 est une vue en perspective de

l'unité principale d'une machine à coudre suivant lgin--

vention;

les figures 3, 4 et 5 sont des vues en perspec-

tive illustrant respectivement des unités supérieures interchangeables en vue de former des points en zigzags des points droits et des points de surjet;

les figures 6, 7 et 8 sont des vues en pers-

pective illustrant des unités inférieures interchan-

geables permettant de réaliser des machines à coudre comporz;ant respectivement une base plane, une base pour la formation de points de surjet et une base du type à bras libre; et la figure 9 est une vue éclatée en perspective

montrant les éléments séparés de l'unité principale.

En se référant à présent à la figure 1, le bâti de la machine à coudre est désigné d'une manière

générale par le chiffre de référence 10 etX à 1tinté-

rieur de ce bâti, sont prévus des éléments adéquats

d'appui destinés à supporter les organes de transmis-

sion et d'entralnement nécessaires pour faire fonction-

ner les mécanismes de commande supérieur et inférieur

entre lesquels on fait avancer une pièce de travail.

Parmi ses différents éléments, le bâti 10 com-

prend une unité de base horizontale 11 renfermant les dispositifs inférieurs de piquages de même que le me- canisme transporteur destiné à faire avancer une pièce de travail. Un montant vertical 12 est assemblé sur un organe de base désigné par le chiffre de référence 13 et ce montant renferme l'arbre de commande destiné à faire fonctionner les dispositifs inférieurs de piquage,

de même que le mécanisme transporteur. Ce montant ver-

tical renferme également les éléments de transmission

et d'accouplement des dispositifs supérieurs de la ma-

chine et son extrémité supérieure comporte En bras horizontal solidaire 14 s'étendant dans une direction dans laquelle il vient se placer à l'écart et au-dessus

de la base 11. Ce bras horizontal renferme les méca-

nismes de commande pour les dispositifs supérieurs de

piquage et le dispositif presseur pour la pièce de tra-

vail, ces dispositifs étant désignés d'une manière gêne-

raie par les chiffres de référence 15 et 16 respective-

ment en figure 1.

Les dispositifs supérieurs de piquage et le

dispositif presseur pour la pièce de travail sont sup-

portés par une tête 17 qui est assemblée à l'extrémité libre du bras horizontal 14. Le bâti de la machine comporte également un carter 18 contenant le lubrifiant de la machine et fixé de la manière habituelle à la face inférieure de l'organe de base 13. Le bâti 10 suivant l'invention a été réalisé de façon à pouvoir être subdivisé en au moins trois unités fondamentales,

chaque unité comportant ses dispositifs propres spéci-

fiques à la fonction qui leur est dévolue.

En se référant à présent à la figure 2, l'uni-

té principale est désignée d'une manière générale par le chiffre de référence 19 et elle comporte le montant 12, l'organe de base 13 et le bras horizontal 14 se terminant par une surface de montage sur laquelle vient se placer la tête 17 qui sera identifiée et décrite

amplement ci-après.

Il est entendu que l'unité principale 19 pour-

rait être réalisée sous forme d'un élément coulé d8une seule pièce, tandis qu'elle peut comporter des portes ou des panneaux d'accès (non représentés) permettant d assembler et d'accéder aux différents éléments mobiles

d'entraînement qui y sont renfermés.

A son extrémité supérieure, l'unité principale est fermée au moyen d'un couvercle classique 14a et, à son extrémité inférieure, le carter 18 constitue une fermeture appropriée pour le montant vertical 12 et

l'organe de base 13 y associé, lequel comporte les pat-

tes latérales habituelles 20 constituant les éléments

supports bien connus pour la machine.

En se référant à nouveau à la figure 2, sur le côté de l'unité principale 19, qui est désigné par le

chiffre de référence 21, sont prévus des éléments supé-

rieur et inférieur de localisation et de verrouillage

définissant des surfaces de montage pour l'unité supé-

rieure constituant la tête et l'unité inférieure cons-

tituant la base, ces unités formant le bâti complet

conjointement avec l'unité principale. Ces deux sur-

faces de montage sont espacées et généralement alignées

dans le sens vertical.

La surface supérieure de montage est formée sur l'extrémité libre du bras horizontal 14 et elle

comporte une surface plane périphérique et relative-

ment étroite 22 constituant un siège pour un joint d'étanchéité de type classique (non représenté). Cette surface 22 s'étend dans un plan perpendiculaire aux axes de l'arbre de commande et des éléments d'entralm nement supportés à l'intérieur du bras horizontal 140 En outre, dans cette surface 22, sont pratiqués des trous taraudés équidistants 23 conçus pour recevoir

des vis à tête (non représentées) constituant les élé-

ments de verrouillage pour l'assemblage, à cette sur-

face, de l'unité supérieure constituant la tête de la machine. A ltintérieur de et en communication avec les

bords intérieurs de la surface 22, est prévue une sur-

face plane en retrait 24 servant à enfermer liextrémité

du bras horizontal 14 et de laquelle ressort un assem-

blage 25 comprenant la bielle de commande et un contre-

poids. Cet assemblage est relié activement au bras de commande supérieur (non représenté) et il comprend un

élément d'accouplement servant à transmettre le mouve-

ment nécessaire pour actionner les dispositifs supe-

rieurs de piquage et le dispositif presseur. Cette surface plane 24 comporte également une ouverture 26 (figure 2) à travers laquelle s'étendent les éléments - de commande nécessaires pour former des points en zigzag. La surface inférieure de montage est formée

sur la partie de l'organe de base 13 qui est en aligne-

ment vertical avec la surface supérieure de montage,

et elle comporte une surface plane périphérique rlati-

vement étroite 27 s'étendant dans un plan pelrpendicu-

laire aux axes de l'arbre de commande et des éléments

d'entraînement montés à l'intérieur de l'nité, rinci-

pale. Cette surface 27 forme également un siège pour un joint d'étanchéité (non représenté) et elle comporte des trous taraudés espacés 28 conçus pour recevoir des vis à tête (non représentées) constituant les éléments de verrouillage pour l'assemblage, à cette surface,

de l'unité inférieure constituant la base de la machine.

A l'intérieur de et en communication avec les bords in-

térieurs de cette surface 27, est prévue une surface plane enretrait 29 servant à enfermer l'extrémité de

cette partie de l'organe de base et de laquelle ressor-

tent des parties des arbres 30 et 31. Chacunm de ces arbres est pourvu d'ul élément d'accouplement destiné à les relier activement à 11unité inférieure de base afin de faire fonctionner les dispositifs inférieurs de piquage et le dispositif transporteurs Les figures 3, 4 et 5 représentent trois unités supérieures de têtesinterchangeables et différentes qui sont les têtes utilisées le plus couramment pour les dispositifs supérieurs de piquage 15 et le dispositif presseur 16 et qui sont également conçues pour former trois types différents de points. LMunité désignée par le chiffre de référence 32 en figure 3 formera des points en zigzag; dans l'unité 33 illustrée en figure 4, on utilise une seule aiguille pour former des points droits, tandis que l'unité 34 illustrée en figure 5 renferme les éléments nécessaires pour former des points de surjet. Dans chacune des unités supérieures de têts, on utilise des éléments différents pour la fonction

spécifique qui leur est dévolue; toutefois, les loge-

ments ou les têtes de chacune de ces unités comportent tous des surfaces ayant une configuration épousant le contour de la surface 22 de l'unité principale 19 de ou à laquelle elles peuvent être aisément enlevées ou

fermement fixées.

Les éléments logés à l'intérieur des unités supérieures de tête comportent des organes de commande (non représentés) ayant des éléments d'accouplement complémentaires à et conçus pour être reliés activement

à l'assemblage ressortant de la surface plane 24.

Comme représenté en figure 3, l'unité supé-

rieure 32 comporte un arbre de commande 35 imprimant, aux dispositifs supérieurs de piquage, les mouvements latéraux alternés classiques nécessaires pour réaliser

des points en zigzag, cet arbre de commande 35 s'éten-

dant dans le bras horizontal 14 via louverture 26, tandis qu'il est relié activement aux organes d'entrain

nement qui y sont renfermés. Le minme concept qui dis-

tingue une unité supérieure de tête dfune autre, stape plique également aux unités inférieures de base et les figures 6, 7 et 8 représentent trois unités différentes

du type habituellement employé, ces unités étant dési-

gnées par les chiffres de référence 36, 37 et 38 respec-

tivement. Ces unités inférieures de base sont utilisées pour réaliser des machines à coudre ayant une base plane, une machine formant des points de surjet et des machines comportant des bases de type cylindrique ou à bras libre; par ailleurs, elles sont formées par les parties de la

base qui ressortent du montant du bâti. L'unité 36 com-

porte-une surface de travail 39 qui est relativement large et qui recouvre les dispositifs inférieurs de piquage, de même que le dispositif transporteur. Sur

cette unité 36, est également montée une plaque classi-

que à aiguille 40 ayant des caractéristiques appro-

priées pour pouvoir l'utiliser avec l'unité supérieure

choisie 32 ou 33 que l'on assemble sur l'unité princi-

pale 19.

L'unité 37 comporte une surface de travail 41 conçue pour réaliser des points de surjet et cette unité comporte également une plaque appropriée à aiguille 42 pour réaliser ces points, cette plaque étant montée de façon à pouvoir utiliser une lame classique de rognage

43. L'unité inférieure 38 comporte une surface de tra-

vail 44 qui est relativement étroite et de courte lon-

gueur, tandis qu'elle comporte une plaque à aiguille 45 également appropriée pour être utilisée avec les unités supérieures 32 et 33. Tout comme les unités supérieures,

les unités inférieures de base interchangeables compor-

tent toutes des éléments de bcalisation et de verrouil-

lage définissant des surfaces ayant une configuration épousant celle de la surface 29 de l'unité principale 19, tandis qu'elles peuvent en être aisément enlevées

ou y être fermement fixées. En outre, les unités in-

férieures de base comportent également des éléments d'entraînement (non représentés) pourvus d'éléments

d'accouplement servant à les relier activement aux ar-

bres 30 et 31 ressortant vers l'extérieur hors de la

surface planeen retrait 29, l'unité inférieure 38 (fi-

gure 8) ayant une surface de travail relativement h étroite 44 avec une bride de montage 46 dans laquelle sont pratiqués des trous espacés 47 en alignement avec les trous taraudés 28 pratiqués dans la surface plane 27. La figure 9 illustre une modification de l'unité principale qui est désignée d'une manière générale par le chiffre de référence 19a et qui comporte deux sections distinctes 12a et 13a conçues pour renfermer les mêmes

éléments et présenter les mêmes caractéristiques de fonc-

tionnement que l'unité principale 19 illustrée en figu-

re 2. Bien que la présente invention ait été décrite

en se référant à une de ses formes de réalisation pré-

férées,lhomme de métier comprendra aisément que des modifications et variantes peuvent y être apportées sans se départir de l'esprit et du cadre de l'invention. Il est entendu que ces modifications et variantes rentrent

dans le cadre et l'esprit de l'invention et des reven-

dications ci-après.

e

Claims (3)

REVENDICATIONS

1. Bâti d'une machine à coudre modulaire en vue de passer d'un type de machine à coudre à l'autre afin de réaliser des opérations spécifiques de couture et former des points diun type approprié à cet effet, ce bâti comprenant: (a) une unité principale (19) comportant:

(i) un montant vertical (12) dont l'extre-

mité supérieure est formée par un bras horizontal et solidaire (14) s'étendant latéralement;

(ii) un organe de base (13) formant l'ex-

trémité inférieure de ce montant -vertical

et sur la face inférieure duquel est as-

semblé un carter à lubrifiant (183 (b) une unité supérieure de tête (32e 33, 34) renfermant les dispositifs supérieurs de piquage et le dispositif presseur; (c) un élément supérieur de localisation et de verrouillage en vue de relier activement cette unité supérieure de tête au bras horizontal; (d) une unité inférieure de base (36, 37, 38) renfermant les dispositifs inférieurs de piquage et le dispositif transporteur; et (e) un élément inférieur de localisation et de verrouillage en vue de relier activement ulianité

inférieure de base à l'organe de base.

2. Bâti de machine à coudre modulaire suivant

la revendication 1, caractérisé en ce que l'unité prin-

cipale (19) renferme les éléments d'entraîLnement des-

tinés à actionner les dispositifs de piquage et autres

logés dans l'unité supérieure de tête et l'unité infé-

rieure de base.

- 3. Bâti de machine à-coudre modulaire suivant

la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément su-

périeur de localisation et de verrouillage définit une surface de montage comportant: (a) une surface plane périphérique (22) ô et

(b) une surface plane en retrait(24) comnunui-

quant avec les bords intérieurs de cette surface plane

périphérique (22) afin de définir un siège pour y as-

sembler l'unité supérieure de tête (32> 33e 34), 4. Bâti de machine à coudre modulaire suivant la revendication 3, caractérisé en ce que la surface

plane en retrait (24) supporte un assemblage (25) définis-

sant une bielle de commande et un contrepoids avec un élément dtaccouplerenten en vue de relier activement cette unité supérieure de tate au bras horizontal (14) , , Bâti d'une machine à coudre modulaire sui-

vant la revendication 1, caractérisé en ce que lélét-

ment inférieur de localisation et de verrouillage défi-

nit une surface de montage comportant: (a) une surface plane périphérique (27);et

(b) une surface plane en retrait (29) communi-

quant avec les bords intérieurs de cette surface plane

périphérique (27) afin de définir un_ siège pour y assem-

bler l'unité inférieure de base (36, 37o 38),

6. Bâti d'une machine à coudre modulaire sui-

vant la revendication 5, caractérisé en ce que la sur-

face plane en retrait (29) comporte des arbres (30 31) ressortant de cette surfacedpour relier activement

l'unité inférieure de base à l'organe de base (13).

7? Bâti d8une machine à coudre modulaire suivant la revendication 1 caractérisé en ce que

l'unité principale est constituée de deus sections dis-

tinctes comprenant un montant vertical (12a) et un

organe de base (13a).