CH288478A - Machine de comptabilité. - Google Patents

Machine de comptabilité.

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CH288478A
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Description


  Machine de comptabilité.    La présente invention a pour objet une  machine de comptabilité, notamment utilisa  ble dans les banques pour les opérations de  guichet.  



  Cette machine de comptabilité comprend  au moins un totalisateur, des entraîneurs  pour ce dernier et un dispositif condition  nant la machine pour différents genres d'opé  rations, plusieurs organes oscillants aménagés  <B>(le</B>     manière    à contrôler le temps d'embrayage       du    totalisateur avec les entraîneurs et de       (lébra@-age    d'avec ces derniers, des organes  d'accouplement pouvant coupler     sélective-          iyient    le totalisateur avec un ou plusieurs de       res    organes oscillants,

   et des dispositifs com  mandés     différentiellement    par le dispositif de       conditionnement    pour contrôler la position  des     organes    d'accouplement., de faon que le       totalisateur    soit embrayé ou débrayé par l'un  ou par l'autre des organes oscillants, suivant  le type d'opération à. exécuter.

   Cette machine  est     caractérisée    par un premier organe     d'ac-          tionnement    polir l'un des organes oscillants,       susceptible    d'actionner cet organe oscillant       suivant    un genre de temps d'opération, par  mi deuxième organe     d'aetionnement    pour le       même    organe oscillant.

   et actionnant ce     der-          nier#        suivant    un autre genre de temps d'opéra  tion, par des dispositifs reliant l'un ou l'au  tre des     organes        d'actionnement    à l'organe  oscillant et par un dispositif de contrôle qui,  en fonction du type d'opération, commande  les dispositifs de liaison de     faeon    telle que    ledit organe oscillant soit couplé avec celui  des organes     d'actionnement    qui doit comman  der l'embrayage et le débrayage du totalisa  teur aux temps appropriés au genre d'opéra  tion à exécuter.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention.  



       Fig.    1 en est une vue d'ensemble du côté  du clavier.  



       Fig.    2 est une vue schématique du clavier.       Fig.    3 est une vue en plan du clavier avec  arrachement partiel.  



       Fig.    4 est une coupe suivant la ligne       4--1    de     fig.        _    3.  



       Fig.    5 est une coupe suivant la ligne  5-5 de     fig.    3.  



       Fig.    6 est une coupe suivant la ligne  6-6 de     fig.    5.  



       Fig.    7 est un détail du bâti principal vu  de l'avant.  



       Fig.    8 est une coupe prise à droite d'une  première rangée de touches de     transactions     et montre . un mécanisme différentiel des  transactions ainsi que quelques dispositifs  connexes.  



       Fig.    9 est un détail d'un dispositif d'en  traînement du différentiel des transactions.       Fig.    10 est un autre détail de ce méca  nisme.  



       Fig.    11 montre certaines autres pièces de  ce mécanisme différentiel.           Fig.    12 est une vue en plan d'un groupe  postérieur de     totalisateurs    et représente un  dispositif de déplacement et d'embrayage pour  ces totalisateurs.  



       Fig.    13     montre    un détail d'une     partie    des  ensembles de cames de commande.  



       Fig.    14 est un détail d'un embrayage assu  rant le déclenchement des opérations.  



  Fi-. 15 représente une partie d'un     méca-          nisme        commandant    les cycles     opératoires.          Fig.    16 représente une des     détentes    amé  nagées dans la deuxième rangée des touches  de transactions pour maintenir lesdites tou  ches en position enfoncée pendant. l'opération.  



       Fig.    17 représente une détente de la même  rangée assurant le rappel des touches.  



  Fi"-. 7.8     représente    une détente de com  mande pour maintenir les touches d'addition  en position enfoncée jusqu'au rappel manuel.  



       Fig.    19 est une élévation, vue de la droite,  montrant les mécanismes d'embrayage et de  débrayage des totalisateurs ainsi qu'une par  tie d'un dispositif permettant d'actionner la  machine à la main.  



       Fig.    ?0 est une coupe prise à droite de la  rangée des dizaines.  



       Fig.    21 est un détail des cames     actionnant     les différentiels des montants.  



       Fig.    22 est une     coupe,    vue de l'avant,  montrant les connexions entre le clavier et les  différentiels de montants et de transactions,  ainsi qu'un arbre à cames principal.  



       Fig.    23 est une vue de détail d'un méca  nisme différentiel des montants dans la. posi  tion fixée par l'enfoncement de la touche  5   et ce au début du cycle; la figure montre en  outre la position correspondante des méca  nismes de répétition et de positionnement des  zéros.  



       Fig.        24    montre un détail de     fig.    23 avec  une barre universelle dans sa position de dé  placement complet..  



       Fig.    25 est, une vue analogue représentant  les pièces dans la position active lorsque la  machine est au repos après enregistrement de  cinq unités dans le totalisateur.         Fig.    ?6 est un détail de     fig.    23, les pièce>  étant. en position de repos     lorsque    aucune  touche n'est. enfoncée.  



  Fi-.     \?    7 est une     vue    partielle de     fig.    26,  montrant les pièces dans la position pour la  quelle des     curseurs    différentiels des montants  sont arrêtés par une butée à zéro au début  du     cycle.     



       Fig.        28    est un détail du mécanisme de       fig.    26, montrant les     curseurs    de     montants     dans la position d'élimination des zéros, ainsi  que le     curseur    commandant les     caractères     dans la position d'élimination des zéros.  



       Fig.    29 est une vue perspective de détail  représentant un étrier (le mise en position des  zéros.  



  Fi-. 30 est. un détail. d'un     mécanisme    de  répétition.  



       Fig.    31 est un détail de     fige.    30.  



       Fig.    32 représente     un    détail d'un méca  nisme de positionnement des zéros.  



       Fig.    33 représente une     partie    d'un     niéea-          nisme\assurant    la remise à zéro de compteurs       spéciaux.     



       Fig.    34 est une vue latérale du dispositif  de     fig.    33.  



       Fig.    35 est une,     vue    à     plus        ((I;rande    échelle  du     mécanisme        différentiel    des montants.

         Fig.    36 représente     un    détail du dispositif  de report (les dizaines, v u par en     dessous.          Fig.    37 est une coupe prise à droite de la  deuxième rangée de     transactions,        avec    les       différentiels    correspondants, ainsi que la  chaîne     mécanique    assurant le     déplacement     axial du totalisateur.  



  Fi-. 38 est une     vue    de détail de l'un de.,  disques de sélection     commandé    par la     pre-          inière    rangée de transactions et     commandant     l'embrayage du groupe fixe.  



       Fig.    39 est un détail     d'ttn    deuxième disque  de sélection commandé par la deuxième ran  gée de     transactions    pour assurer l'embrayage  du groupe     arrière    de totalisateurs.  



       Fig.    40     représente    le mécanisme d'em  brayage du groupe     arrière        avec    le disque de  sélection correspondant commandé par la pre  mière rangée de transactions.           Fig.    41 est. une vue en plan d'un disque  (le sélection pour le groupe arrière.  



       Fig.        4?    montre un disque de sélection com  mandé par la première rangée de transactions       pour    le groupe arrière.  



       Fig.    13 est une vue analogue d'un disque  (le sélection     commandé    par la première rangée  de transactions, mais pour l'embrayage du  groupe     avant.     



       Fig-.        4.1    est un détail du mécanisme     d'em-          hra@-a_-e    du groupe avant de totalisateurs  avec le disque de sélection     commandé    par la  deuxième rangée de transactions.  



       Fig.        4a    montre un disque de sélection       coniniandé        par    la première rangée de trans  actions pour     l'embrayage    du     groupe    avant.  



       Fig.    46 représente un mécanisme     coin-          iiiandant    les temps d'embrayage pour des dis  positifs     tâteurs    des groupes avant et arrière  de totalisateurs.  



       Fig.        4-7    montre le mécanisme du groupe  supérieur avec le disque de sélection corres  pondant     commandé    par la première rangée  (le transactions.  



  Fi<U>-</U>. 48 est une vue de détail du     méca-          nisine\d'embrayage    des trois groupes de tota  lisateurs, pour les opérations d'addition et de  total.  



       Fig%        -19    est une vue partielle du mécanisme       d'embrayage    du groupe avant de     totalisateurs.     Fi<U>-</U>.     a0    est un détail de     fig.        49,    les pièces  étant dans la position     d'embrayage    du totali  sateur.  



       Fig.    51 représente une came du     mécanisme          (l'embrayage    pour les opérations de total.       Fig.    52 montre un     mécanisme    de com  mande du mouvement de l'organe assurant  les opérations de total.  



       Fig.    53 est un détail du     même    mécanisme  en position d'addition.  



       Fig.    51 est un détail du mécanisme de     ré-          arniage    des reports.  



  Fi-. 55 est une coupe prise à droite du       flasque    gauche de la machine et montrant des       euil5eni s    de verrouillage, un     mécanisme    du  numéroteur consécutif, un dateur et certains       dispositifs    de rappel.         Fig.    56 montre un détail d'une détente  maintenant les touches de la première rangée  de transactions en position     enfoncée    pendant  l'opération.  



       Fig.    57 montre un détail d'une détente de  déclenchement placée dans la première rangée  de transactions et le mécanisme de déclenche  ment correspondant.  



       Fig.    58 est un détail d'une détente élasti  que de la première rangée de transactions  pour maintenir certaines touches enfoncées.  



       Fig.    59 est un détail d'une détente     d'inter-          verrouillage    de la première rangée pour em  pêcher l'enfoncement de certaines touches une  fois que la touche répétition a été utilisée, et  réciproquement pour empêcher l'utilisation de  la touche répétition lorsque certaines touches  de transactions sont enfoncées.  



       Fig.    60 représente une détente de com  mande de la première rangée et constituant  une partie de     l'interverrouillage    entre les tou  ches de total et les touches de montants.  



       Fig.    61 est un détail d'un dispositif de la  première rangée empêchant, lorsqu'une tou  che total est enfoncée, le déclenchement de la  machine lorsque des touches de montants  sont enfoncées, et pour     commander    le méca  nisme d'arrêt à zéro.  



       Fig.    62 est un détail de la     fig.    61.  



       Fig.    63 représente une détente de la pre  mière rangée de transactions pour maintenir  la touche d'addition en position enfoncée  jusqu'au rappel par l'utilisation de la touche  de solde.  



       Fig.    64 est un détail d'un dispositif ver  rouillant des     cliquets    d'arrêt à. zéro de la  première rangée de montants lorsqu'une tou  che total est enfoncée.  



       Fig.    65 montre un détail d'un mécanisme  d'alignement des pignons commandant les  roues à caractères.  



       Fig.    66 représente l'alignement des roues  à caractères.  



       Fig.    67 est un détail d'un interrupteur du       moteur.     



       Fig.    68 est une vue partielle     ,du    mécanisme  de déclenchement de la machine,           Fig.    69 est un détail du dispositif de com  mande du numéroteur consécutif.  



       Fig.    70 est une vue d'un disque de sélec  tion     commandé    par la deuxième rangée de  transactions et assurant le contrôle du numé  roteur consécutif.  



       Fig.    71 est un détail du dispositif de re  mise à zéro du numéroteur consécutif.  



       Fig.    72 représente le dispositif dateur.       Fig.    73 est un détail de la remise à zéro  du numéroteur consécutif.  



       Fig.    74 est une vue latérale des pignons  entraînant le numéroteur consécutif.  



       Fig.    75 est un détail des indicateurs de  date.  



       Fig.    76A et 76p prises ensemble consti  tuent une vue en plan du mécanisme de trans  mission du mouvement aux roues imprimantes  dans les trois sections d'imprimerie de la ma  chine.  



       Fig.    77A et 77p constituent ensemble une       vue    en plan des connexions prévues entre les  mécanismes différentiels des montants et de  transactions et les pignons imprimants cor  5 r     espondants.     



       Fig.    78A et 78p constituent ensemble une       vue    en plan des trois sections d'imprimerie  avec les arbres à cames et les mécanismes cor  respondants, ainsi que les bandes d'enregis  trement.  



       Fig.    79 est un détail vu en plan de l'une  des extrémités du bâti du ruban encreur.       Fig.    80 est une coupe du mécanisme d'im  pression sur fiches.  



       Fig.    81 est un détail du mécanisme tâteur  de l'imprimerie à fiches.  



  Fil-. 82 est un détail de la commande de  l'imprimerie à fiches.  



       Fig.    83 montre un détail du dispositif       i    tâteur commandant l'impression des fiches et  leur avancement.  



       Fig.        84-    est une vue de détail du méca  nisme tâteur et de ses organes     d'a.ctionne-          ment.     



       Fig.    85 montre un disque de sélection       commandé    par la deuxième rangée de trans  actions pour la commande du marteau impri  meur de l'imprimerie à fiches.         Fig.    86 représente un autre disque de sé  lection commandé par la deuxième rangée  pour la commande dit marteau     imprimeur.     



       Fig.    87 représente le     marteau    imprimeur  avec le disque de sélection commandé par la  première rangée de transactions.  



       Fig.    88 est une vue de détail de     fig.        S7.          Fig.    89 est une vue en plan des disques de  sélection représentés en     fig.    85, 87, 96.  



       Fig.    .90 est une reproduction     selrématique     d'une fiche ou bulletin de dépôt imprimé par  une des sections de l'imprimerie.  



       Fig.    91 est une reproduction de la fiche   caissier  imprimée dans l'imprimerie à  fiches.  



       Fig.    92 représente un des disques de sé  lection commandé par la deuxième rangée de  transactions pour assurer l'avancement du  bulletin de dépôt.  



       Fig.    93 est un autre disque de sélection  commandé par la deuxième rangée pour assu  rer le même avancement.  



       Fig.        94-    est un détail du mécanisme  d'avancement de la fiche avec un disque de  sélection commandé par la première rangée  de transactions.  



       Fig.    95 est un détail d'un verrou du mé  canisme d'avancement de la fiche.  



       Fig.    96 est. une vue en plan montrant les  galets d'avancement de la fiche.  



       Fig.    97 est une vue latérale du dispositif  assurant la tension de l'avancement de la  fiche.  



       Fig.    98 est un détail à plus grande échelle  d'un     embrayage        assurant        l'actionnement    des  galets d'avancement.  



       Fig.    99 est une coupe du mécanisme d'im  pression de la bande de contrôle ou bordereau.       Fig.    100 est une vue en plan du chariot  d'impression de ce bordereau tel qu'il appa  raît lorsqu'il est retiré de la machine, la  bande de papier étant enlevée.  



       Fig.    101 est une coupe du mécanisme (le  déplacement du bordereau.  



       Fig.        10\?    est un détail du dispositif de  fixation de la bobine de papier dans le cha  riot.      Fin. 103 est une vue en plan du chariot       supportant.    le     bordereau    avec les verrous assu  rant le maintien du chariot dans la machine.  



       Fig.    104 est une vue en élévation corres  pondant à.     fig.    103.  



  Fi     I,-.    105 montre un détail des verrous de  retenue du bâti du bordereau en position  inactive.  



       Fi--.    106 est une     reproduction        du        borde-          ileau.     



       Fig.    107 est, un détail représentant la porte       d'accès    au chariot, d'impression du bordereau,  en trait plein pour la position fermée et en  trait pointillé pour la position ouverte.  



       Fig.    108 est une vue en plan de la porte       c#rt        question    et montrant     également    l'ouver  ture permettant de reporter des inscriptions        <  <         ut        o@graphiques.     



       Fig,.    109 est un détail (lu mécanisme       d'avancement    du bordereau.  



       Fig.    110 est une coupe du mécanisme       d'impression    de la bande sortant de la     ma-          elüne.     



  Fi,,-. 111 est un détail d'un disque de sé  lection     commandé    par la deuxième rangée de  transactions pour assurer l'avancement du  bordereau.  



       Fi-.        1l_2    est une vue en plan des disques  (le sélection commandant     l'avancement    du       bordereau.     



       Fig.    113 est une vue en plan     du    chariot       supportant    la. bande de papier sortant, de la.       iriaehine,    tel qu'il apparaît lorsqu'il est re  tiré de la machine, la bande étant     enlevée.     



       Fic.    11.4 est un disque de sélection     eom-          niandé    par la     première    rangée de transactions       pour    contrôler l'amplitude de déplacement de       bi    bande sortant clé la. machine.  



       Fig.    115 est un disque de sélection auxi  liaire     commandant    le déplacement du borde  reau.  



       Fifg.    1.16 est un disque de sélection     com-          niaiiclé    par la deuxième rangée de trans  actions pour commander l'avancement du  bordereau, avec le mécanisme     d'actionnement     correspondant.  



       Fig.    117 est une vue en plan des disques  de sélection de     fi---.    114, 11.5 et 116.         Fig.    118 représente les disques de sélec  tion de     fig.   <B>115</B> dans la. position clé réglage.  



  Fi-. 119 représente ces mêmes disques de       fig.    118 dans une autre position.  



       Fig.    120 est une reproduction de la bande  clé papier sortant de la machine.  



       Fig.    121 est un détail de verrouillage de  la porte d'imprimerie prévue pour la bande  sortante.  



       Fig.    122 est une vue latérale du méca  nisme d'avancement et de renversement du  ruban encreur.  



       Fig.    123 est une vue en élévation, à. plus  grande échelle, de ce mécanisme et montrant;  en plus les verrous de fixation du bâti de  ruban.  



       Fig.        l'24    est un détail des mécanismes  d'avancement dit ruban et de     retenue    du bâti.       Fig.        125        représente    en élévation un dé  tail des rebords mobiles clé la bobine de  ruban.  



       Fig.    126 est un diagramme des temps de  fonctionnement pour différentes pièces et mé  canismes.  



       Fig.   <B>1217</B> est un diagramme des temps de  fonctionnement pour.les cames d'avancement  dans l'imprimerie et les cames de commande.  



       Fig.    128 est un diagramme des temps de  fonctionnement de certains mécanismes pen  dant les opérations de total à deux cycles.  



       Clavier.     Comme le montrent les     fig.    1 et 2, le cla  vier de la machine représentée comprend huit  rangées de touches de montants 100 et deux  rangées de touches de commande ou de trans  actions 101 à 118. Les dernières touches por  tent des inscriptions qui facilitent leur em  ploi. De plus, les touches 101 à 108 et 110,  111 et 113 sont. des touches motrices qui dé  clenchent directement une opération. Par  contre, les touches 1.09, 112 et 114 à 118 ne  déclenchent pas la machine, car elles doivent  être utilisées simultanément avec l'une des  touches motrices. A droite du clavier se  trouve une touche de rappel 119     qui    permet  de relever, avant opération, une ou     plusieurs     des touches déjà enfoncées.

   La touche  Total       117 est. munie d'une serrure 120, ce qui per  met au caissier de verrouiller son totalisateur  pendant. soit absence. Une serrure analogue  121 est prévue pour la touche      Sous-total      118. La touche      Add-Impr.     109 reste en  foncée et peut être rappelée par la manipula  tion d'un petit levier 122 placé à côté de la  touche (voir également     fig.    18).  



  Une serrure de commande 123     (fig.    1 et  55) est disposée à gauche du clavier et per  met de verrouiller la machine, de contrôler la  remise à zéro du numéro consécutif, de chan  ger la date et de déverrouiller la porte du  bordereau de contrôle. Cette serrure 123 est       déplaçable        dans    trois positions. Pour la posi  tion médiane représentée, le numéro     consé-          eutif    et la date ne peuvent être changés, mais  la machine fonctionne pour l'addition de  montants et pour la remise à zéro des totali  sateurs.

   Lorsque la serrure est dans sa posi  tion supérieure, la machine est complètement  bloquée, la date et le numéro consécutif ne  peuvent     pas    être actionnés et la porte du bor  dereau ne peut pas être ouverte. Enfin, lors  ; que la serrure 123 est dans la position infé  rieure, la machine est. bloquée quant à l'opé  ration, mais on peut     changer    le numéro et  la date et également ouvrir la porte cachant  le bordereau de contrôle.  



  Une roue moletée 124 permet de composer  la, date     (fig.    2, 55 et<B>72).</B> Cette roue moletée  émerge du coffre et agit sur des roues impri  mantes de la date ainsi que sur des indica  teurs     risibles    1162, 1163, 1161 et. 1165       (fig.    75). La roue 124 est normalement ver  rouillée et     petit    être débloquée par déplace  ment de la serrure mobile 123 dans sa posi  tion inférieure. Cette roue 124 unique permet  de mettre en position toutes les roues     dateuses          i    qui sont avancées par rotation de la roue mo  letée 124 dans la direction du liant de la ma  chine.

   Une ouverture 125 est. prévue dans le  coffre pour permettre de voir la date qui  apparaît sur les roues dateuses. Un mécanisme  de report est également prévu pour le dateur.  



  Une roue moletée 126     (fig.    2 et 71) est amé  nagée sur le clavier pour la. remise à zéro  dit numéroteur consécutif. Pour cette remise    à zéro, il est nécessaire de déplacer la ser  rure 123 dans sa position inférieure et de  tourner la roue moletée 126 vers le bas jus  qu'à ce qu'elle soit arrêtée, puis de la tourner  vers le haut jusqu'à. ce qu'elle s'arrête contre  une     deuxième    butée.     Lorsque    la     serrure        1\23     est ramenée à. la position médiane, ou à sa  position supérieure, il n'est plus possible de  tourner la roue 126 du     mécanisme    de     iituné-          roteur    consécutif.

   Un     interverrouillage    est  prévu entre la serrure 123 et la roue moletée  126, de manière à empêcher que la machine  ne soit verrouillée avant que la. roue moletée  126 soit ramenée à. sa position normale.  



  Alors que le clavier comprend huit     ran-          I#ées    de touches de montants, on voit en     fig.    2  que le totalisateur visible     l'17    présente dix  fenêtres, ce     qui    indique     qu'il    existe     deux    roues  clé report pour le     totalisateur    de liste. L'en  semble de la machine est enfermé dans un  coffre ou carter 128 dont une ouverture 129  laisse apparaître les touches du clavier.  



       Kii.semble   <B><I>(le</I></B>     clavier.     



  Les touches de montants<B>100</B> et les touches  de transactions 101 à 118 sont montées     dans     un bâti formant un ensemble qui constitue un  moyen économique et efficace de     inontage,    car  le clavier peut ainsi être assemblé séparément  puis monté dans la     machine        comme    un tout.  Cet ensemble est     représenté    dans les fi-. 3, -1,  5 et 6 et comprend une plaque     supérieure    130  fixée à un bâti     arrière   <B>M</B> par de., vis<B>132</B> et  à des plaques d'extrémité 133 ait     niot    en de  vis 134 et 137.

   La plaque supérieure 130 est  également fixée à une plaque frontale 136  par des vis 137.     L'extrémité    de gauche du  bâti 131 est recourbée à angle droit pour for  mer un rebord 138     niitiii    d'une     ouverture    139  laissant passage à un     arbre    sur lequel sont  fixés divers     éléments    clé commande que l'on  décrira plus loin. Onze cloisons 140 sont dis  posées pour former des compartiments dans  lesquels les touches sont montées (voir       fig.    22). La partie arrière des cloisons est.

    munie de languettes 141 pénétrant dans des  ouvertures pratiquées dans le bâti<B>131,</B> tandis  que la partie avant. est munie de languettes      142 en prise avec des ouvertures de la plaque  frontale 136: Après introduction des lan  guettes, celles-ci sont rivetées pour assurer un       ensemble    rigide. Les cloisons 140 présentent  également. une     languette    143 engagée dans la  plaque frontale 136. Les cloisons 140 sont       munies    chacune d'encoches     144        dans    les  quelles on engage des ressorts 145 de rappel  (le touches. Le fonctionnement de ces ressorts  sera indiqué plus loin     ali    sujet des touches de  montants.

   Les cloisons 140 présentent encore  six languettes 146 engagées et rivetées dans       aine    plaque de base 147. De même, des lan  guettes 148     sont    fixées à la plaque supérieure  <B>130.</B> Une cloison intermédiaire 149 s'appuie  sur les cloisons 140 et est maintenue en posi  tion par des tiges 151 passées dans des ouver  tures pratiquées dans les languettes 148. Ces  tiges sont suffisamment     longues    pour     s'éten-          tire    sur toutes les cloisons 140 et sont main  tenues en place par frottement.  



  Les cloisons 140 supportent une série de  tiges qui, elles-mêmes, portent des détentes co  opérant avec les touches de montants, ainsi  qu'on le verra plus loin.  



  La plaque supérieure 130 présente des       ouvertures    arrondies 152 recevant les tiges de  touches 100. Des fentes 153 sont également       z        aménac        -ées        dans        la        plaque        149        pour        le        passage        kD     ,des tiges de touches, et la plaque de base 117  est elle-même percée de fentes 154 pour cette  même fin,

   ces     différentes    fentes constituant       un    moyen de     guidage    pour le mouvement. ver  tical des tiges de touches.  



  Près de la, droite du clavier et de son bâti  sont prévues deux cloisons 159     (fig.    3 et 22)       qui        supportent    les touches de transactions ou  (le commande. Le bord inférieur de la cloison  7:19 présente un prolongement 160 en prise       i    avec une ouverture de la, plaque 147 et     pré-          #:

  ente    également neuf paires de languettes 166  qui forment. un guidage pour les touches de       eomniande.    Quatre tiges 167 s'étendant à gau  che de la. plaque 733 traversent les cloisons  159 pour venir se fixer à l'autre plaque  d'extrémité,     constituant    ainsi un support pour  quatre entretoises 168 qui forment palier    169 pour chacune des tiges 167 maintenues  en place par frottement.  



  Une plaque auxiliaire 171 (voir également       fig.    8) est montée sur chaque cloison 159 au  moyen d'ergots 172, 173 et 174, et ces plaques  auxiliaires sont maintenues contre les lan  guettes 166 par des paliers 169 formant ainsi  guidage pour les touches de transactions ou  de commande. Les têtes de ces touches émer  gent par des ouvertures 152 prévues dans la  plaque supérieure 130.  



  Les huit goujons 172 montés sur chaque cloi  son 159 et traversant la plaque auxiliaire cor  respondante forment support pour un ressort  à, boudin 170     (fig.    6, 8 et 37) accroché entre  les ergots     1"r3    et 174 portés par la plaque  auxiliaire, ces ressorts assurant le rappel des  touches enfoncées. Enfin, une troisième pla  que 175 portée par les cloisons 159 au moyen  de galets 176 assure le guidage des détentes  de commande décrites     plus    loin.  



  Le clavier ainsi constitué forme donc un  ensemble unitaire que l'on peut monter tel  quel dans la machine. Une fois que les touches  et les détentes ont été assemblées dans le cla  vier, le bâti de     clavier    est posé sur des flas  ques latéraux 180 et 181     (fig.    7), à l'avant  de ceux-ci. A cet effet, le rebord 138     (fig.    3,  4 et 5) présente un bloc 183 taraudé pour  recevoir une vis 184     (fig.    20). La plaque  d'extrémité 133 est munie d'un prolongement  auquel est fixé un bloc 185     (fig.    3) également  taraudé pour recevoir une vis 186 et qui  permet de fixer le bâti de clavier au flasque  latéral de droite 180.

   La plaque frontale 136,  repliée à gauche, porte également un bloc 187  taraudé pour recevoir une vis 188     (fig.    20)  fixant l'ensemble au flasque de gauche 181.  A son extrémité inférieure, la plaque 133  présente encore un prolongement permettant  le passage d'une vis 189     (fig.    37) fixant la  partie inférieure du clavier au bâti 180.  



  <I>Bâti principal.</I>  



  La     fig.    7 représente l'ensemble des bâtis  formant la carcasse de la machine. Le bâti  de gauche 181 et le bâti de droite 180 sont  montés sur une base 190 munie de bossages      191. Entre les bâtis latéraux se trouve un  bâti d'imprimerie 192 et 193. Un bâti auxi  liaire 191, muni de deux blocs 195, est dis  posé à gauche du bâti 181. Un autre     bâti    auxi  liaire 196 est disposé à droite du bâti de  droite 180. Les blocs 1955 et 197 sont taraudés  et reçoivent des vis de fixation. Un autre bâti  auxiliaire 199, avec des blocs taraudés 200,  est fixé au bâti arrière 198. Un goujon à  épaulement     \_'02        (fig.    20) est placé de chaque  côté     de's    bâtis d'imprimerie 192 et 193.

   Près  de l'avant de la machine est disposée une  série de six plaques auxiliaires     \?03        (fig.    7,  20 et 37) pour supporter les jeux d'éléments       imprimants.    Chacune des plaques auxiliaires  203 présente, à sa partie inférieure, une fente  pour recevoir la partie de petit. diamètre du  goujon 202, ce qui facilite l'insertion de l'en  semble des éléments     imprimants.    Une entre  , toise 201, munie d'encoches recevant les  plaques 203, relie les bâtis latéraux.

   Les     élé-          nients        imprimants    sont assemblés séparément,  comme on le verra. plus loin, et le tout est  monté dans la machine en plaçant. les plaques  auxiliaires 203 sur les goujons 202, en glis  sant les plaques 203 dans les encoches de  l'entretoise 201 et en insérant un arbre ?04       (fig.    20 et<B>37)</B> qui traverse tous les bâtis. A  l'arrière de la machine, une autre entretoise       i    206 ayant la. forme d'une     gorge        (fig.    7 et 37)  est montée entre les bâtis latéraux.

   Le bâti  auxiliaire 182 présente un méplat auquel est  soudé un bloc taraudé permettant l'introduc  tion d'une vis 207 formant     support    à ce bâti  auxiliaire 182. Un autre support 210     (fig.    8),       maintenu    par quatre vis 211 et muni d'oreil  lettes 212 qui supportent un arbre à     cames     213, c'est-à-dire l'un des arbres principaux  du mécanisme, est fixé au bâti auxiliaire 182.  Le support 210 est muni d'une     ,gorge    214 qui  supporte un arbre 215 d'un moteur électri  que 216. Ce dernier, qui entraîne la machine,  est porté par l'entretoise 206.         Dispositif        d'e-ntraînemC7t.t.     



  La machine représentée peut être entraî  née soit à la main, soit par un moteur élec  trique. L'arbre 215 du moteur     (fig.    8) poste    un engrenage 220 en prise avec un pignon  221     (fig.    8, 13 et 14) monté fou sur l'arbre à  cames 213. Un élément     (l'cmbra,>        age    222 est  fixé au pignon     2'2l.    et est en prise avec un       cliquet    223 lorsque la machine est déclenchée.  Ce cliquet pivote sur     un    autre pignon     22-1     fixé sur l'arbre 213.

   Le     pignon    224     engrène     avec un autre pignon 226 (voir aussi fi,,)-. 22)  fixé à un     nianelion   <B>227</B> pouvant     tourner    sur  un arbre à cames 229. Sur ce     nianelion    sont       é,galenient    montées deux paires de     cames        72'23     destinées à actionner les     différentiels    (les  première et seconde     rangées    de transactions.

    Un autre organe     d'embrayage    228, fixé égale  ment     .sur    le     manchon   <B>2</B>27     (fig.    13 et 1.4) est  aménagé pour actionner     l'arbre    à cames 229  sélectivement suivant le     -genre    d'opération dé  sirée. L'arbre     2:.'9        porte    certaines cames, que  l'on décrira plus loin,     ainsi        qu'un    pignon 330  (fi-. 13).

   Ce pignon est en prise avec un  autre     pignon    231 monté     sur    un     manchon    233  portant     différentes        cames    actionnant cer  tains dispositifs. Ce     manchon    peut tourner  sur un goujon     232    porté par le flasque  droit 180.  



  Un     régulateur    de vitesse à force centri  fuge est prévu pour le moteur. Ce dispositif  est indiqué par la     référence    217 en     fig.      et  comprend une lame (le contact     normalement     en position fermée et lui est ouverte chaque  fois que le     moteur    dépasse une vitesse pré  déterminée.  



  La machine peut également être actionnée  à la main à     l.'ai(le    (l'une     manivelle    24       (fig.    19) pouvant coulisser sur un axe 241  du flasque droit 10. Lorsqu'on veut     enii- < ;î-          ner    la machine à la main, on glisse la mani  velle 240 sur l'axe 211 pour la mettre en prise  avec un moyeu 242     (fig.    13) tournant sur  l'axe 241. Ce     niovcu    porte un pignon 244  (fis. 13 et 19) en prise avec un     pignon        inter-          médiaire        2.15    monté fou sur le bâti 180.

   Ce  pignon 215 est en prise avec un autre pignon  213 tournant en 217 et     lui-ménie        engrenant     avec une roue dentée     2-l8    fixée à l'extrémité  d'un arbre     2-19    monté à rotation dans des pa  liers     \'50    portés par le flasque droit 180.  L'arbre 249 porte également un pignon<B>251</B>           (fig.    8 et 13) en prise avec le pignon 226  mentionné ci-dessus.  



  La rotation de la manivelle 240     entraine     le pignon 226 par le train d'engrenages que  l'on vient de décrire et ce de la même façon  que le ferait le moteur électrique. Toutefois,  pour les opérations à la main, le cliquet 223 se  déplace à vide sur le rochet correspondant  de l'embrayage 222.

           Rangées   <I>de</I>     touches   <I>de montants.</I>  Chaque rangée de touches de montants  comprend neuf touches de montants 100  (fin. 1, 2, 20, ?2 et 23) ainsi que quatre dé  tentes de commande: une détente flexible 260,  une détente     d'arrêt    à zéro 261, une détente  (le verrouillage 262 et une détente     d'inter-          verrouillage    263, cette dernière empêchant le  déclenchement de la machine par le seul en  foncement de certaines touches de commande  après qu'une touche de montants est en  foncée.  



  Au montage du clavier, les quatre dé  tentes 260 à. 263 sont insérées tout d'abord  dans le bâti du     clavier,    au travers     d'ouver-          turcs    aménagées dans la plaque frontale 136  et entre les tiges 259 qui     s'étendent    entre les  cloisons     1.10.    Chaque détente est munie d'une  rampe en regard de la tige de chaque touche.  Après montage des quatre détentes, on insère  les touches 100 à travers les ouvertures 152  (le la plaque 130 et dans les fentes 153 de la  plaque 149. On voit par les     fig.    22 et 23 que  les tiges de touches 100 sont disposées en  quinconce et que les fentes prévues entre les  plaques de bâti de clavier sont aménagées en  conséquence.

   Une fois que les touches 100 ont  été montées, on insère une tige 258 qui les  maintient en place. La partie postérieure de       chaque    touche est munie d'une encoche       (fig.    23) dans laquelle passe un ressort à  boudin 145, comme décrit précédemment. Les  tiges 258 ont pour but de limiter le mouve  ment vers le haut des touches 100.  



  Un arbre de déclenchement 264     (fig.    23)  est. supporté par les bâtis, d'une part, et par  le clavier, d'autre part, et il porte une série  (le paires de     bras    265 et 266, une paire     pour       chaque touche. Les bras 265 sont goupillés  sur l'arbre 261, et l'extrémité libre de chaque  bras émerge dans une ouverture de la détente  de verrouillage 262. L'arbre 264 porte égale  ment un étrier 267 en prise avec deux lan  guettes de chaque bras 266. L'extrémité libre  de ces derniers est engagée dans la détente       d'interverrouillage    263.  



  Vers l'avant du clavier et monté sur les  bossages 143 des plaques 140 est monté un  arbre 270 commandant des cliquets d'arrêt à  zéro 271 dont un est prévu pour chaque ran  gée. L'extrémité supérieure de chacun de ces       cliquets    271 se prolonge par un doigt inséré  dans une fente d'une plaque correspondante  261. L'arbre<B>270</B> porte un autre étrier 272  dont un prolongement est en prise avec la  partie antérieure des cliquets d'arrêt à zéro  271, ce qui permet leur déplacement qui sera  expliqué un peu plus loin. La détente flexible  260     (fig.    20, 22, 23 et 24) est normalement  maintenue dans des fentes de guidage, dans  lesquelles passent les touches, et ce en prise  avec une rampe prévue sur chaque touche,  sous l'action d'un ressort 280.

   Lorsqu'on en  fonce Lille touche de montants 100,     c'est-          à-dire    pour passer de la position normale à la  position de     fig.    23 et 24, la détente flexible  est déplacée d'abord vers la gauche et une fois  que l'épaulement prévu à l'extrémité de la  rampe est dépassé, le     ressort    280 ramène légè  rement la détente 260 vers la. droite     au-dessus     de l'épaulement de la touche qui se trouve  ainsi maintenue dans la position abaissée.  L'abaissement. d'une autre touche dans la  même rangée a pour effet de pousser la dé  tente flexible 260 vers la gauche pour dé  gager la touche précédemment enfoncée qui  se trouve ainsi rappelée par son ressort.

   Si  multanément, la détente flexible vient s'en  gager sur l'épaulement de la deuxième touche  utilisée, laquelle se trouve ainsi maintenue  dans sa position enfoncée.  



  Vers la fin du cycle opératoire, le bras  265 porté par l'arbre 264 reçoit un mouve  ment     dextrorsum    et vient toucher la détente  flexible 260 et la déplacer vers la gauche       (fig.    23), ce qui libère la touche enfoncée.      On verra plus loin comment s'effectue l'oscil  lation de l'arbre 264.  



  La détente de verrouillage 262 est prévue  pour empêcher que l'on     puisse    enfoncer une  touche de montants après que la machine a  été déclenchée et également pour empêcher  un rappel accidentel d'une touche pendant le  fonctionnement. A cet effet, chaque touche de  montants 100 porte un épaulement carré se  trouvant normalement juste au-dessus de la  détente de verrouillage 262. Celle-ci présente  une fente suffisamment large pour permettre  l'enfoncement. d'une touche. Lorsque celle-ci  est abaissée complètement et lorsque la ma  chine est déclenchée, le bras 265 déplace la  détente de verrouillage 262 vers la droite       (fig.    23), entraînant ainsi la détente 262 qui  vient se placer au-dessus de l'épaulement  carré, position représentée en     fig.    23.

   En  même temps, la détente 262 se place au-des  sous des épaulements carrés des autres tou  ches non enfoncées, empêchant ainsi leur en  foncement lorsque la machine est déclenchée.  



  Une fois que     toutes    les touches 100, les  éléments de commande 260 à 263, les arbres  264 et 270 et les cliquets 271 sont assemblés  dans le clavier, celui-ci peut être monté à son  tour dans la machine, ainsi qu'on le verra  plus loin.  



       Différentiels   <I>des</I>     montants.     



  Un     entraineur    différentiel 290     (fig.    22 à  24), sous forme de curseur, est placé     au-          dessous    de chaque rangée de touches 100, à.  peu près à mi-chemin entre les touches pla  cées en quinconce. Ces entraîneurs 290 sont  guidés par des traverses 291 et 292     (fig.    20,  23 à 28) et présentent, à la partie supérieure,  huit équerres ?95 repliées alternativement à  droite et à gauche pour correspondre à la  position des touches. Les équerres 295 co  opèrent avec les touches  1  à  S  respective  ment. L'entraîneur 290 est muni d'une arête  296 disposée vers l'avant et en prise avec la  traverse 291 pour arrêter l'entraîneur à la       i    position  9 .

   Si aucune touche n'est enfoncée,  une partie repliée 297 du cliquet d'arrêt à  zéro 271 vient sur le trajet d'une équerre 298         portée    par l'entraîneur 290 qui est. ainsi  arrêté à la position  0 , laquelle est distante  d'un pas de la position de repos. De cette ma  nière, on obtient des organes qui permettent  d'arrêter     différentiellement    et sélectivement  l'entraîneur 290 sur l'une des dix positions  autres que la position de repos, suivant  qu'une touche est ou non enfoncée. En d'au  tres termes,     l'entraîneur    290 peut occuper  onze positions, la position de repos et dix po  sitions sélectives.  



  L'entraîneur 290 présente, vers l'arrière,       une    portion dentée 300 en prise avec un     sem-          ment    denté 301 tournant sur un arbre 302.  Un, organe de support 303 est fixé an seg  ment 301 (voir aussi     fig.    35 et 36) et trois  parties de crémaillères 304, 305, 306 sont  montées coulissantes sur cet organe de sup  port 303, ces crémaillères pouvant être     elu-          brayées    avec des roues de totalisateur, ainsi  qu'on le verra plus loin.  



  Au moment     clii    fonctionnement de la ma  chine; une touche 100 étant enfoncée, l'entraî  neur 290 se déplace d'une distance propor  tionnelle à la valeur de cette touche et, par  l'intermédiaire des dents 300, fait basculer  d'autant le segment 301 et le support 303.  Ceci a pour effet de positionner les crémail  lères 304, 305, 306 sur une distance repré  sentant également la     valeur    de la touche uti  lisée. Une fois que les entraîneurs sont, ainsi  anis .en position, un ou plusieurs totalisateur  sont. embrayés et. l'entraîneur 290 retourne à  la position de repos. Pour ce retour, le seg  ment 301 et les crémaillères 304 à 306 tour  nent dans le sens inverse d'un nombre de pas  correspondant à la valeur de la touche enfon  cée, enregistrant ainsi ce montant dans un  ou plusieurs totalisateurs.

   Une fois ce mon  tant: enregistré, ces totalisateurs sont dé  brayés.  



  Le temps de déplacement de     l'entrahieur     290 est commandé par une barre universelle  310     (fig.    20, 22, 23 à. 28). Un ressort 307  fixé à l'entraîneur 290 et à une entretoise 308  maintient normalement un épaulement. 309  en contact avec la barre 310 qui est, portée  par quatre bras 311     (fig.    22) fixés à un arbre      31.2. Sur ce dernier sont fixés deux bras 313  munis de galets 314 coopérant avec une dou  ble came 315 fixée sur un arbre 229.

   Pendant  l'opération, la came 315 tourne dans le sens       dextrorsum        (fig.    21) pour faire osciller le  bras 313 et déplacer la barre universelle 310       %--cils    la. droite     (fig.    20) pour revenir en  arrière ensuite vers la gauche.

   Au moment du       déplacement.    vers la droite, le ressort<B>307</B> tire       l'entraîneur    290 également vers la droite     jus-          qu'à    ce qu'il soit arrêté par l'une des touches   1  à  8 , ou par l'arête 296 (position  9 ),  ou encore par le cliquet d'arrêt à zéro 271,  après quoi la barre     -universelle    310 complète  son mouvement vers la droite. Vers la fin de  l'opération, lorsque la barre 310 est ramenée  sa position initiale par la came 315, elle  cueille l'entraîneur 290 au passage et le ra  mène en position de repos     qui    est un pas au  delà de la. position zéro.

   Pendant ce retour,  l'entraîneur 290 fait tourner les crémaillères  304, 305 et 306 vers l'arrière d'un nombre de  pas correspondant à la valeur de la touche  utilisée, enregistrant ainsi le montant sur les  roues du totalisateur sélectionné. Un organe  316     (fig.    20), entraîné     élastiquement,    est.  monté fou sur un arbre 333 pour compenser  l'effort exercé par les ressorts 307, car les       entraineurs,    lorsqu'ils sont libérés, ont ten  dance à. se déplacer trop vite. L'organe 316  retarde cette action par le fait qu'il, coopère  avec un galet 318 porté par le bras 311.  



  L'une des raisons de monter les crémail  lères     30-1,    305 et 306 à coulissement sur le       support    303 est de permettre un     mouvement     relatif de ces crémaillères au moment du re  port des dizaines, s'il y a lieu, ainsi     que    cela  sera décrit plus loin.  



  Une autre     raison    est d'obtenir une compen  sation du mouvement de l'entraîneur 290 lors  qu'il se déplace de sa position de repos à la po  sition zéro. La crémaillère 304     (fig.35)    pré  sente deux goujons 410 en prise avec des fentes  incurvées 409 pratiquées dans le support 303.  Pour la position de repos, ces goujons 410  sont placés à mi-chemin entre les extrémités  des fentes 409. Un ressort 411 tendu entre la  crémaillère 304 et le support 303 tend à dé-    placer la crémaillère 304 vers les extrémités  de droite des fentes 409, mais ce mouvement  est arrêté par un goujon 412 qui vient en  contact avec l'extrémité d'un bras 413.

   Lors  que l'entraîneur 290 commence son déplace  ment vers sa position de repos, le support  303 bascule dans le sens     dextrorsum        (fig.    35),  tandis que la crémaillère 304 est empêchée  de prendre part à ce mouvement initial par  le ressort 411. Lorsque le support 303 passe  d'une position qui correspond à la position   0  de l'entraîneur 290 à la position qui cor  respond à la position de repos, les extrémités  de droite des fentes 409 viennent en contact  avec les goujons 410 et, dès lors, la crémail  lère 304 participe au mouvement du support  303.  



       Mécanisme        d'arrêt   <I>à zéro.</I>  



  Chaque rangée de montants porte un cli  quet d'arrêt à zéro<B>271</B>     (fig.    26) qui a pour fonc  tion de stopper l'entraîneur différentiel 290  à la position du zéro lorsque. aucune touche  n'est enfoncée dans ladite rangée. Ce cliquet  271 est normalement inactif en ce sens que  l'équerre 297 qu'il porte est en dehors du  trajet. de l'équerre 298 de     l'entraîneur.     L'étrier 272 monté sur l'axe 270 retient le       cliquet    271 en position inactive, et cet étrier  est lui-même     maintenu    en sa position normale  par un bras 320     (fig.    32) monté fou sur l'axe  270. Ce bras est muni de deux talons 321 en  tourant l'étrier 272 près de son centre.

    L'extrémité inférieure -du bras 320 porte un  goujon 322 engagé dans une encoche prati  quée dans une bielle 323 en forme de four  chette permettant à ladite bielle de glisser  sur l'entretoise     29I.    La. bielle 323 est arti  culée à l'une des branches 324 d'un levier  coudé pivotant sur l'arbre 333, une autre  branche 325 se terminant par un téton 326 en  prise avec un levier 327. Celui-ci porte un  galet 328 coopérant avec une came 329 (voir  aussi     fig,    22) sous l'action d'un ressort 330.  La came 329 est goupillée sur l'arbre princi  pal 229.  



  Au début de l'opération     (fig.    126), lors  que l'arbre principal 229 tourne dans le sens       dextrorsum        (fig.    32), le ressort 330 fait      osciller le levier 327, mouvement qui se com  munique à la bielle 323, laquelle se déplace  vers la. gauche pour faire basculer le bras 320  et l'étrier 272 dans le sens     dextrorsum.    Ceci  entraîne le cliquet d'arrêt à zéro 271 sous  l'action d'un ressort 331     (fig.    26) amenant  l'équerre 297 sur le trajet de l'équerre 298 de  l'entraîneur 290. Lorsque aucune touche n'est  enfoncée, la plaque d'arrêt 261 peut se dé  placer librement d'une façon qui sera exposée  plus loin.

   L'entraîneur 290 étant libéré par le  mouvement de la barre universelle 310,  l'équerre 297 arrête l'entraîneur 290 à la po  sition zéro. Le diagramme des temps de       fig.    126 montre que la came 315 commence à  déplacer l'entraîneur 290 immédiatement  après que le cliquet. 271 est amené en position  d'arrêt.  



  Lorsque la machine fonctionne avec une  touche enfoncée dans la rangée considérée, la  plaque 261, agissant avec la touche enfoncée,  empêche le cliquet 271 de venir en position  d'arrêt au moment où l'étrier 272 est, actionné.  Comme on le voit d'après la     fig.    26, la fente  pratiquée dans la plaque 261 est suffisam  ment longue pour permettre un mouvement       libre    de la touche 100 sans affecter le dépla  cement. de la plaque en question. Toutefois,  lorsqu'une touche de     montants    100 est en  foncée     (fig.    23), l'épaulement supérieur de  cette touche vient en prise avec. l'extrémité de  gauche de la fente et empêche le déplacement  de la plaque 261.

   L'extrémité supérieure du  cliquet d'arrêt 271 présente un talon engagé  dans une     ouverture    pratiquée dans ladite  plaque 261, de sorte que ce cliquet ne  peut pas être entraîné par l'étrier<U>2792</U>  lorsqu'une touche 100 a été utilisée dans la  rangée, verrouillant ainsi la plaque 261. Le  cliquet est ainsi maintenu en position inactive  pendant le mouvement de l'étrier 272 sous  l'action de la came 329     (fig.    32). Dans ces  conditions, l'étrier oseille à vide dans l'espace  compris entre le talon du cliquet 271 et le  bras supérieur du cliquet     (fig.    21).  



  Lorsque aucune touche n'est enfoncée, la  plaque d'arrêt 261, n'étant verrouillée par  aucune touche, peut être déplacée vers la    droite     (fig.        '35)        lorsque    l'étrier 272 oscille. Ce  dernier mouvement fait que la plaque 261  peut être tirée par le     ressort    331, de sorte que  le     cliquet    d'arrêt à zéro 271 bascule au début  de l'opération pour     amener    l'équerre 297 sur  le trajet de l'équerre     '?98    de l'entraîneur 290.

    On voit par ce qui précède que le cliquet  d'arrêt à zéro est normalement dans sa posi  tion supérieure ou inactive et n'est. abaissé  en position d'arrêt que     lorsque    aucune     touche     n'est utilisée. Au contraire, lorsqu'on emploie  une louche, la plaque 261 est retenue et le  cliquet 271 ne peut pas venir en position  d'arrêt.

   La     caractéristique    nouvelle de ce dis  positif consiste en ce que la charge des tou  ches est     réduite    au     minimum,    ce qui     allège    le  toucher du clavier puisque le déplacement du  cliquet d'arrêt à. zéro est effectué par l'éner  gie du     moteur    et non     pas    par une pression  exercée par l'opérateur.         Tolalisateurs.     L a machine représentée comprend onze to  talisateurs, mais ii est     entendu    que     ee    nombre  peut varier suivant le système comptable  auquel s'applique la machine.

   Un totalisa  teur de liste, qui est le totalisateur supérieur,  comprend     -Lui    seul jeu de roues totalisatrices  qui sont visibles à     travers    des fenêtres 127.       (fig.    2). Le groupe arrière de totalisateurs,  qui porte les totalisateurs de     transactions,     forme un ensemble dans lequel les roues tota  lisatrices sont intercalées et accumulent les  crédits à passer aux comptes représentés par  les légendes portées par les touches 101 à 108.  Le groupe avant de ces     totalisateurs    porte ce  qu'on appelle les totalisateurs de liasses, au  nombre de deux par exemple, l'un pour le  caissier  A , l'autre pour le caissier  B .

    Alors que le totalisateur de liste est fixe, les       detLx    autres     --groupes    sont, pour la sélection,       déplacables        axialement.     



       Fuisqtte    aucun déplacement n'est néces  saire pour le totalisateur supérieur, le total  peut en être extrait dans une     opération    à -Lin  seul cycle, ce qui se distingue d'opérations de  total à deux cycles,     eoinme    dans certaines ma  chines connues. Au contraire, pour les grou-           pes    avant et arrière, qui exigent une sélection  et par conséquent un     déplaeenient    axial pour  l'addition     oa    le total, on applique une opéra  tion à deux cycles pour la remise à zéro.

   On  décrira dans ce qui suit le     mécanisme    qui       commande    automatiquement le nombre de     cy-          eles        dans    une opération de total.         Toseylisaseur   <I>avant ou de liasse.</I>  



       ('e    groupe comprend deux totalisateurs  dont les roues sont intercalées, roues indi  quées par la référence 350     (fig.    20, 35, 49 et  50). Ces roues tournent sur un arbre 351. qui  est     déplaeable        axialement    dans des paliers  portés par des bras d'embrayage 352 disposés  près des flasques 194 et.     l.99    (voir aussi     fig.    7  et 12). Les bras 35\ sont montés sur un  arbre 353 et présentent chacun un chemin de  came 354 dans lequel est. engagé un galet. 355  porté par un bras 356 monté sur un goujon  357 des flasques.

   Chaque bras 356 présente  un téton 358     engagé    dans une fente ouverte  pratiquée dans un bras 359 fixé sur l'arbre  353.     Celili-ei    est actionné à chaque opération  (addition ou total) à des temps qui seront       s        expliqués    un peu plus loin. L'arbre 351 ainsi       que    les roues totalisatrices     3:i0    sont. déplacés       axialement    pour ramener les roues sélection  nées en alignement avec les crémaillères 304  (fi-. 35). On     verra    plus loin comment     l'ali-          a        rnement    est assuré.  



  <I>Dispositif</I>     d'alignem,erit        pour   <I>le groupe</I>     avant.          Lorsque    les roues     totalisatrices    350 sont  en position débrayée     (fig.    49), un     aligneur     360 vient s'engager entre les dents des roues  c pour empêcher les roues de tourner. Cet     ali-          gneur,    en forme de couteau, est suffisamment  long et s'étend sur toute la largeur du groupe  de totalisateurs entre les deux flasques.

   Il a  la     forme    d'un étrier dont les bras 366 portent       i    un goujon 362 en prise avec un chemin de  came 361 du bras d'embrayage 359. Lorsque  l'arbre 353 tourne dans le     sens        senestrorsum,     le     chemin    de came 361 agit sur le bras 366  pour dégager     l'aligneur    360 des dents des       s    roues 350, une fois que ces roues ont été em  brayées avec les crémaillères 304.    <I>Groupe arrière de</I>     totalisateurs     <I>ou de transactions.</I>  



  Ce groupe arrière porte huit jeux de  roues 370     (fig.    12) intercalées. On peut pré  voir d'ailleurs un neuvième totalisateur, si be  soin est. Dans le cas particulier, ce dernier  est représenté dans la position qui corres  pond à la touche      Add.-Impr.     qui, dans  l'exemple, empêche précisément le groupe  arrière d'être embrayé avec les entraîneurs.  Par conséquent, aucune somme- n'est norma  lement enregistrée dans ce neuvième totalisa  teur utilisé seulement pour des additions di  rectes.  



  Le mécanisme d'embrayage pour le groupe  arrière est analogue à celui qui est décrit pour  le groupe avant. Les roues     totalisatrices    370  sont montées sur un arbre<B>371</B> coulissant       axialement    dans des paliers portés par     aine     paire de bras 372 montés fous sur un arbre  oscillant 373. Chaque bras de cette paire pré  sente un chemin de came (analogue au chemin  de came 354 des     fig.    49 et 50) en prise avec  des galets 375     (fig.    12) portés par des bras  376. Ceux-ci portent des goujons 378, sem  blables aux goujons 358, et pénétrant dans  des fentes des bras oscillants 379     fixés    sur  l'arbre 373.

   Lorsque ce dernier oscille, les  bras 379 font basculer le bras 372 pour pro  voquer l'embrayage des roues totalisatrices  370 avec les crémaillères 305. Un couteau       d'alignement    380,     analogue    au couteau 360,  est prévu dans le même but. Pendant l'opéra  tion, l'arbre 371 est déplacé     axialement    dans  les paliers des bras 379, sous la commande de  touches de transactions, et vient s'aligner de  façon à présenter les roues correspondantes  aux crémaillères 305. Ensuite, l'arbre 373 re  çoit un mouvement oscillant par un méca  nisme décrit plus loin, pour embrayer le jeu       sélectionné    des roues 370 avec les crémaillères,  à des temps correspondant aux additions ou  aux opérations de total.  



       Chaciui    des arbres de totalisateurs 351 et  371 comprend des organes assurant le ré  glage des roues totalisatrices par rapport aux  crémaillères 304 et 305 pour assurer un ali  gnement précis. Ces organes sont les mêmes      pour chaque groupe de totalisateurs, et la       fig.    12 représente les organes de l'un d'eux,  c'est-à-dire du groupe arrière.  



  L'extrémité de gauche de l'arbre 371       (fig.    12) est filetée pour recevoir un organe  d'alignement réglable 381 qui consiste en un  écrou crénelé     portant    des disques d'aligne  ment 382 susceptibles de :Tenir en prise avec       une    denture 383 prévue dans un bloc 384 soli  daire du flasque de gauche 94. L'extrémité de  droite de l'arbre 371 est également filetée en  385 pour recevoir un écrou de réglage 386.

    Un étrier 387 entoure cet. écrou, et l'étrier  peut recevoir     im    mouvement latéral sous  l'action d'un     tambour-came    388 qui, lui, fonc  tionne sous la commande des touches de trans  actions, ce qui permet de sélectionner les  roues 370 du     totalisateur    correspondant à la  touche employée. Lorsque l'arbre de totalisa  teur 371 et les roues 370 sont assemblés dans  la. machine, l'arbre est réglé par la rotation  de l'écrou 386 jusqu'à ce que l'alignement  parfait soit obtenu, après quoi on insère une  goupille 377 qui rend l'écrou     indesserrable    et  les pièces visées en alignement correct par  rapport au tambour-came 388.

   Une fois ce ré  glage préliminaire effectué, on exécute le ré  glage de l'alignement au moyen de l'écrou  crénelé 381 en utilisant, dans ce cas encore,  une goupille 3901. Cet aménagement de ré  glage, comprenant les écrous 381 et 386, donne  lieu à un réglage très précis de l'alignement  des totalisateurs avec les crémaillères corres  pondantes. Un système analogue est.     prévu     pour l'arbre 351 du groupe avant.         Groupe        supé-rieztr   <I>de</I>     totalisateur     <I>ou</I>     totalisateur   <I>de liste.</I>  



  Comme on l'a vu, il s'agit ici d'un totali  sateur visible ne comprenant qu'un seul jeu  de roues. L'arbre est donc fixé et commandé  pour son embrayage avec les crémaillères 306,  pour l'addition sous la commande de la touche   Liste  112 ou de la touche  Addition  113,       tandis    que pour les opérations de total, l'em  brayage est commandé par la. touche      Sous-          Total     111 ou la touche  Solde  110. Le  groupe comprend     plusieurs    roues totalisa-         trices    390 portant des inscriptions 391     (fig.    2,  20 et 35). Ces roues tournent sur un arbre  392 sur lequel sont également disposées des  rondelles d'espacement.

   L'arbre 392 est porté  par un bras 396 et l'ensemble peut osciller  pour produire l'embrayage des roues 390 avec  les crémaillères 306 grâce à. un mécanisme  analogue à     celui    qui est. représenté aux fi-. 49  et 50 pour les autres groupes.  



  Un dispositif d'alignement. comprenant un  bras 393     (fig.    35) est prévu pour chaque roue,  bras qui est goupillé sur un axe 395 supporté  par les bras oscillants 396. Les bras 393  d'extrémité, dont l'un est représenté en     fig.    20,  sont munis de galets 397 en prise avec un  chemin de came 399 pratiqué dans des bras  d'embrayage 400 fixés sur un arbre oscillant  398. Les bras 400 sont. exactement semblables  aux bras 359 de     fig.    49 et 50.

   Au temps  voulu du cycle, l'arbre 398 oseille, grâce à     un,     mécanisme décrit. plus loin, pour actionner les  bras 400 et faire basculer les bras 396, ce qui  produit l'embrayage des roues totalisatrices  avec les crémaillères 306, en même temps que       l'aligneur    393 est débrayé. Lorsque le tota  lisateur est débrayé, les     aligneurs    sont remis  en prise avec les roues 390 pour les maintenir  en place.  



  <I>Mécanisme de report. (le</I>     dizaines.     Chaque groupe de totalisateurs comprend  un mécanisme de     report    de dizaines permet  tant de reporter une  unité  à la rangée  d'ordre immédiatement supérieur, lorsqu'une  roue totalisatrice passe de  9>  à  0 . Comme  le mécanisme utilisé ici est identique pour les  trois groupes, il suffira de décrire celui qui  est prévu pour le     -groupe    avant.     (fig.    20, :35  et 36).  



  Le report d'une unité     dans    la rangée su  périeure s'effectue en faisant en sorte que la  crémaillère 304 montée sur le support. diffé  rentiel 303     recoive    un     mouvement    supplémen  taire d'un pas en plus de l'amplitude de  mouvement de cette     crémaillère    sous l'action  des touches. Ce pas supplémentaire se fait par       rapport    au support différentiel 303. En effet,  la crémaillère présente deux goujons 410 en      prise avec deux fentes 409 du support 303, et  un ressort 411 tend à déplacer la crémaillère  304 dans le sens     senestrorsum        (fig.    35).

   Lors  que le support différentiel 303 est dans sa po  sition normale, c'est-à-dire de repos, à la fin  de l'opération, un téton 412 porté par la cré  maillère 304 est. en contact avec un bras 413,  ce qui correspond à la position de repos,     c'est-          à-dire    sans report. Lorsqu'une dizaine doit  être reportée, le bras 413 oseille dans le sens       dextrorsum    pour écarter son extrémité du  téton 412, permettant ainsi à la. crémaillère  304 de se déplacer d'un pas sous l'action du  ressort. En     fig.    35, le mécanisme de report  du groupe arrière (crémaillère 305) est re  présenté dans la position de report.  



  Le groupe avant et son mécanisme de re  port est représenté en plan en     fig.    36, mais vu  de dessous, l'ordre décimal inférieur étant re  présenté en haut. de la figure. Les bras 413  pivotent sur une tige 415 portée par plusieurs  bâtis 425; on, prévoit un bras 413 et un bâti  425 pour chaque rangée décimale. Un ressort  416 maintient normalement une équerre 417,  constituant un étrier entre le bras 413 et le  bras 418, en contact avec un étrier 419. Ce  lui-ci pivote en 420 sur les bâtis 425. L'extré  mité     antérieure    du bras 413 se trouve sur le  trajet du goujon 412 porté par la crémaillère  304 lorsque l'équerre 417 est en contact avec  l'étrier 419. L'un des bras de cet étrier pré  sente une équerre 421 sur le trajet d'une lon  gue dent. prévue sur les roues totalisatrices  350.

   L'étrier 419 est sollicité par un, ressort  422 dans le sens     dextrorsum,    ce qui maintient  un bec 423 de l'étrier 419 en contact avec la  tige 415.     Lorsque    la roue totalisatrice 350 est  embrayée avec la crémaillère 304 et que  celle-ci tourne dans le sens     dextrorsum    et  lorsque enfin la roue 350 passe de la position   S)  à  0 , la longue dent de la roue totalisa  trice vient. toucher l'équerre 421 pour faire  basculer l'étrier 419 dans le sens     senestrorsum     contre l'action du ressort 422, ce qui a pour  effet d'écarter l'équerre 417 et de laisser le  ressort. 416 agir sur le bras 413 qui se trouve  ainsi écarté du trajet. du téton 412 porté par  la crémaillère de l'ordre décimal immédiate-    ment supérieur.

   Ensuite, lorsque le sup  port différentiel 303 de l'ordre supérieur  tourne à sa position initiale, la crémail  lère 304 se déplace     d'un    pas supplémen  taire, ce qui enregistre une unité dans la  rangée immédiatement supérieure. Si cette  crémaillère 304 de la rangée     immédiatement     supérieure     est    en position de report,     c'est-          à-dire    avec le téton 412 en contact avec le  bras 413 lorsque la roue décimale passe de   9  à  0 , au moment où l'étrier 419 est en  contact.

   avec l'équerre 417, alors le bras 413  de la rangée immédiatement supérieure est  écarté du téton 412, après quoi le ressort 411  déplace la crémaillère 304 d'un pas, enregis  trant ainsi     1-me    unité dans cette rangée     humé-          diatement    supérieure. Le déplacement supplé  mentaire de la crémaillère 304 est limité par  le fait que le téton 412 vient en contact avec  un rebord 424 du bâti 425.  



  Le mécanisme de report pour chaque  groupe est porté par plusieurs de ces bâtis  425, ce qui permet de constituer un ensem  ble qui peut être assemblé séparément et  monté     dans    la machine. Chaque bâti 425 pré  sente un pied incurvé 428 en contact avec  un. manchon supporté par l'arbre 302. Aux  extrémités extérieures, les bâtis 425 sont       supportés    par des tiges 426 et 427. Avant de  monter les bâtis 425 sur les tiges. 426 et 427,  on insère des barres d'espacement 429 et 430  munies d'encoches pour permettre l'insertion  des bâtis 425.

   En montant les barres d'espa  cement 429 et 430, celles-ci sont passées dans  des ouvertures prévues pour les tiges 426 et  427 et sont glissées dans leur position par  dessus les bâtis, après quoi on passe les tiges  426 et 427 dans lesdites ouvertures, ce qui  retient l'ensemble en position. Les extrémités  des tiges 426 et 427 sont taraudées pour re  cevoir des vis qui émergent dans des trous  pratiqués dans les flasques 194 et 199, ce qui  permet de visser l'ensemble du mécanisme de  report.  



  Les bâtis de report 425 comprennent une  barre     d'alignement    433 qui maintient la roue  totalisatrice 350 qui n'est pas en prise avec la  crémaillère. Une encoche est pratiquée dans      cette barre d'alignement à l'endroit. où se fait  l'embrayage avec la crémaillère, pour permet  tre la libre rotation de la roue 350 qui est  embrayée.  



       Péarîttage   <I>des reports.</I>  Immédiatement après l'enregistrement des  montants et le report des dizaines, les roues  de totalisateurs sont     écartées        cles    crémaillères  et. ensuite tous les bras de report.     -113    et les  crémaillères 304 sont     ramenés    en position nor  male ou de     réarmage        (fig.    20, 35, 54). La       fig.    35 représente les pièces au moment où lés  dizaines sont reportées.

   Le     réarmage    du mé  canisme (le     report    est constitué par plusieurs  plaques     -150,    une pour chaque ordre décimal.  Chacune des plaques présente     plusieurs    bran  ches et est goupillée sur l'arbre 302 avec un  autre bras 451 relié par une biellette 452 à  un bras 453 tournant sur un     goujon    454. Le  bras est muni de deux galets 455 coopérant  avec une double carne 456 fixée sur l'arbre à  cames 229, près du flasque gauche 181.

   Au  début de l'opération, la came 456 effectue  une révolution dans le sens     dextrorsum,    ce  qui a pour effet de faire osciller légèrement  le bras 453 dans le sens contraire, ainsi que  la plaque 450 qui est amenée à la position  de     fig.    35. Pour cette position, les reports de  dizaine peuvent être enregistrés librement.  Une fois que les     montants    ont été     additionnés     clans les totalisateurs et que les dizaines ont.  été reportées, on a vu que le totalisateur est  débrayé.

   Immédiatement après ce mouve  ment, la came 456 ramène le bras     -153    à sa  position initiale, ce qui fait tourner la plaque  450 de Tacon telle que l'un des bras 457  vienne agir sur le téton     -112    pour     ramener    la.  crémaillère 304 à. la position de repos. Une  autre branche 458 de la plaque 450 vient en  contact avec un goujon 459 porté par le bras  de     report    413, ce qui ramène ce dernier en  position initiale réarmée, après quoi l'étrier  419 est rappelé à la position initiale par le  ressort 422, ce qui maintient le bras de report  413 également en position normale.

   Après ce       réarmage,    et après la fin du cycle, la came  456 fait osciller à nouveau le bras 453 dans  le sens     senestrorsum,    ce qui fait tourner 1.'ar-         bre    802 de manière à amener la plaque     -150     dans la position représentée en     fig.    20.  



  La plaque 450 présente deux bras analo  gues aux bras 457 et 458, mais pour les grou  pes supérieur et arrière des totalisateurs,  pour     assurer    le     réarma-e    des crémaillères  305 et 306 et les pièces de report correspon  dantes.  



  Le mécanisme de report en question est  réglé de façon que les bras de report 413  soient toujours en position armée lorsque la  machine vient au repos, de sorte qu'ils sont  prêts à     fonctionner    à la prochaine opération.  Le     réarmage    a lieu à la fin du cycle dans le  quel les bras de report 413 sont basculés.

   A  cet     égard.,    le mécanisme décrit diffère des  systèmes de rappel de report déjà connus, dans  lesquels le     réarmage        s'effectue    au début  < le  l'opération suivante. [je     mécanisme    décrit  présente une importance lorsqu'il     s'agit,    d'opé  rations de total à     Lui        seLti        e@-cle,    comme on le  verra. plus loin.  



       Impression        des        montants.     



  Pour assurer l'impression     des    montants à  enregistrer dans les totalisateurs, sur une  fiche, sur un bordereau (le contrôle et. sur  une bande sortante, il est prévu trois grou  pes de roues     imprimantes    montées sur des  arbres     -163        (fig.        769_    et 76p). Un des arbres  463 est supporté par des paliers portés     eux-          mêmes    par des plaques auxiliaires 203, de  manière à. constituer un groupe séparé de  roues imprimantes pour chaque section.

   Cha  que roue imprimante (la figure     '?0    représente  une roue imprimante     -165,    des dizaines) est  positionnée en proportion du montant enre  gistré par     1-'intermédiaire    du dispositif diffé  rentiel. Celui-ci commande en effet une glis  sière 466 (fi-. 20, 23 à 28) guidée par les  traverses 291 et     292.A    chaque opération, la  glissière 466 prend une position qui repré  sente le chiffre enregistré et reste dans cette  position jusqu'à l'opération suivante.

   A cha  que cycle, lorsque la barre universelle 310  oseille dans le sens     dextrorsum    autour de l'ar  bre 312 pour libérer l'entraîneur 290, cette  barre 310 vient en contact avec une arête 467      (le la glissière 466 et déplace cette dernière  vers la droite     (fig.    28) dans une position que  l'on désignera dans ce qui suit par position   d'élimination , appelée ainsi parce qu'elle       correspond    à l'élimination du zéro de ladite  roue -165 ou autrement dit une position sans  caractère imprimant.

   Une fois que l'entraî  neur a été ajusté     différentiellement    sous la  commande des touches de montants 100 ou  du cliquet d'arrêt à zéro 271, et une fois que  la glissière 466 a été amenée en position d'éli  mination, l'entraîneur 290 et la glissière 466       sont    couplés par un bras 468 pivotant en 469  sur la glissière 466. Ce bras 468 est muni de       (leur    dents     d'aceouplement    470     (fig.    31) qui  peuvent     s'engager    avec des dents     eorrespon-          dante8        pratiquées    sur l'entraîneur 290.

   Nor  malement, les dents 470 sont en prise avec  cette denture, mais avant. que la     barre    uni  ,     verselle    310 se déplace, elles soit écartées de  façon que l'entraîneur 290 et la glissière 466       puissent    être positionnés indépendamment  l'un de l'autre. Après quoi, le bras d'accou  plement 468 est ramené dans sa position  d'accouplement. A ce moment, la barre uni  verselle<B>310</B> oscille dans le sens     senestrorsum     et     vient    cueillir l'entraîneur 290 de la posi  tion précédente pour le ramener à la posi  tion initiale, comme décrit précédemment.

    Pendant ce mouvement, la glissière 466 est  entraînée de la position d'élimination à celle  (lui correspond au chiffre enregistré.     L'ein-          brayage    et le débrayage du bras     d'accouple-          iiient    468 sont effectués à l'aide d'un bras de       eaine        471.    (fi-. 31) monté sur l'arbre 333. Ce       liras    471 est muni d'un chemin de came 472  en prise avec une tige 473 s'étendant sur la       largeur    de la machine, de façon à agir     sur     tous les bras     -171    de chaque rangée différen  tielle.

   Cette tige 473 est portée par trois bras       -474    pivotant sur l'arbre 332. Près du centre  de la machine et du bras 474 du milieu     est          disposé    un bras 475 (voir également     fig.    30)  fourchu à son extrémité supérieure pour être  en prise avec la tige universelle 473. Un cli  quet 476 pivotant sur le bras 475 en 477 pré  sente un bec 478 qui se trouve normalement       sui-    le trajet d'un épaulement 479     (fig.    31)    d'un bras 480 relié par un     manchon    à un le  vier coudé 481.

   Celui-ci porte deux     galets    482  coopérant avec une double came 483 fixée sur  l'arbre principal 229 (voir aussi     fig.    22).  



  Pendant l'opération de la machine, l'arbre  principal 229 tourne dans le sens     dextrorsuni          (fig.    31) et la double came 483 fait basculer  le levier 481 dans le sens     senestrorsum,    puis  dans le sens contraire. Pendant le premier  mouvement, l'épaulement 479 vient en prise  avec le bec 478 du cliquet 476 et fait pivoter  le bras 475     (fig.    30), l'arbre 332 ainsi que la  tige universelle 473 dans le sens     senestror-          sum,    d'où il résulte que le bras d'accouple  ment 471 bascule dans le sens contraire, ce  quia pour effet. d'amener un doigt 484 sur  le trajet d'un téton 485 porté par le bras  d'accouplement 468, lequel est dégagé des  dents de l'entraîneur 290.

   Une fois que ce  dernier a été amené à la position voulue     sous     la commande des touches de montants ou du  cliquet d'arrêt à zéro et que la glissière 466 a  été amenée à sa position d'élimination, la  came 483 fait osciller le levier     487_    et le bras  480 qui, par un doigt 486, agit sur la tige  universelle 473 et ramène celle-ci à la position  de     fig.    31. Ce mouvement se répercute par le  chemin de came 472 pour soulever le bras  471 de façon que, par l'intermédiaire du téton  485, les dents 470 engrènent à nouveau avec  la. denture de l'entraîneur 290.  



  Une fois que le bras d'accouplement 468  est engagé à nouveau avec l'entraîneur 290,  la barre universelle 310 rappelle l'entraîneur  à sa position de repos et, comme la glissière  466 est. couplée avec l'entraîneur, elle est  amenée à une position correspondant au chif  fre enregistré dans le totalisateur.  



  Chaque bras     473-    est. muni d'un prolonge  ment     -487    venant normalement, en contact avec  une tige 488 dont le but. est de maintenir ces  bras 474 et la tige 473 en position de repos.  



  Si l'on se réfère à la     fig.    26, on voit que  l'arête 490 du bras     -171,    laquelle supporte  normalement le téton 485, se trouve dans un  plan parallèle au trajet. de ce téton qui peut  ainsi se déplacer librement. Lorsque le bras      471 est basculé     (fig.    27), l'arête inférieure  489 du doigt 484 se trouve dans un plan qui  permet. le libre mouvement du téton 485.  Donc, pour chaque position du bras 471, les  arêtes 489 et 490 maintiennent le bras en po  sition soit embrayée, soit débrayée, sur l'am  plitude     complète;de    leur mouvement. Ces arêtes  constituent une sorte de verrouillage pour le  bras d'accouplement 468 dans ses deux posi  tions.

   En se référant aux     fig.    20, 26, 27 et 28,  on aura une meilleure idée de la     faeon    dont  s'effectue la mise en position de la glissière  466 d'ajustage des éléments     imprimants.    Ces  figures montrent les pièces dans des posi  tions successives. La position normale du mé  canisme différentiel est représentée en     fig.    \?0  et 26. Lorsque la machine fonctionne sans  touche de montants enfoncée dans la rangée  considérée, c'est le     cliquet    271 qui commande  la position de l'entraîneur 290.

   Au début du  cycle     (fig.    126), la tige universelle     .173    oseille  dans le sens     senestrorsum    pour dégager le  bras d'accouplement 468 de     l'entraîneur    290  et le cliquet d'arrêt à zéro 271 est abaissé  sur le trajet de l'équerre 298     (fig.    27). Après  le mouvement de la, barre universelle 310,  l'entraîneur 290 est livré à l'action du ressort  307 et déplacé jusqu'à. ce que     ].'équerre    298  vienne en contact avec     l'équerre    297 du     eli-          quet    d'arrêt. à zéro, ce qui stoppe l'entraîneur       (fig.    27).

   La barre universelle 310 continue  son mouvement et vient frapper l'arête 467 de  la glissière d'impression 466 qui se trouve  ainsi déplacée jusqu'à. la position d'élimina  tion     (fig.    28), après quoi le     bras    d'accouple  ment 468 est à nouveau basculé pour s'enga  ger avec les dents de l'entraîneur, ce qui est  représenté en     fig.    28. Pendant. le mouvement  de retour de la barre 310, la majeure partie  de son amplitude de mouvement se fait à vide  et lorsqu'elle arrive en contact avec l'épaule  ment 309 de l'entraîneur, celui-ci est entraîné  en retour à la position de repos.

   Pendant ce       mouvement,    la glissière d'impression 466 est  déplacée d'autant hors de sa position de re  pos puisque les deux glissières sont accou  plées. Dans l'exemple d'opération que l'on dé  crit,     l'entraîneur    est déplacé d'un pas hors de    la position de repos     jusqu'à    sa position zéro,  alors que la glissière 466, elle, est déplacée de  la. position d'élimination à la position zéro.  



  La mise en position de la glissière 466, par  exemple pour le chiffre  5 , est représentée  aux<U>fi-.</U> 23, 24 et 25. Dans ce cas, une fois  que le bras     d'accouplement.        .168    a été     déragé     de l'entraîneur 290, celui-ci se déplace vers la  droite jusqu'à ce qu'il soit arrêté par la tou  che  5  .enfoncée     (fig.    23). La barre univer  selle 310 continuant son     mouvement,    elle  vient toucher l'arête 467 de la glissière 466  et déplace celle-ci à, la position représentée à  la     fig.    24, qui est la position d'élimination,  alors que l'entraîneur différentiel est dans la  position  5 .

   Après cette mise en position, le  bras d'accouplement 468 est soulevé par la  tige universelle 473     (fig.    24) et le bras 468  accouple la glissière 466 avec l'entraîneur 290.  Lorsque la barre universelle 310 revient à sa  position de repos, l'entraîneur 290 est égale  ment ramené à sa position initiale et,     pendant     ce mouvement, la glissière 466, qui est accou  plée, se déplace de six pas, c'est-à-dire de la  position d'élimination à la position  5  re  présentée en     fig.    25.  



  A la fin de l'opération, le bras d'accou  plement 468 reste en prise avec les dents de       l'entraîneur    290 dont il est séparé au début  de l'opération suivante,     caractéristique    qui a  son importance pour permettre les opérations  de répétition, ainsi qu'on le verra plus loir,.  



  La roue imprimante 465 pour les dizaines  (fi-. 20) dans chaque section représentée en       fig.        76A    et 76p est mise en position de la  façon suivante: La glissière 466 présente des  dents 496 (fis. 20 et 23 à 28) en prise avec  un pignon     -197        tournant.    sur un axe 498 (voir  aussi     fig.    77B). Le     pignon    497 est relié par  un manchon 499 à un segment 500 engrenant  avec une     couronne    dentée 501     (fig.    20) com  prenant une denture interne 502, laquelle en  grène elle-même avec un petit pignon 503  porté par un axe carré 504.

   Ce     dernier     s'étend sur la largeur de toutes les sections  d'imprimerie. En alignement avec chaque  roue imprimante 465 des trois     groupes    sont      disposées des couronnes 505, 506 et 507. L'ar  bre carré 504 porte, en regard de chacune de  ces couronnes, un pignon semblable au     pi-          rnon    503 et qui engrène avec les pignons  internes des couronnes 505, 506, 507. Ces der  nières sont munies de dents 508 en prise avec  des encoches prévues dans les roues     impri-          in < intes    465, de telle sorte que ces roues peu  vent prendre une position proportionnelle à  celle des couronnes     correspondantes.     



  On voit,     d'après    ce qui précède, que le     ré-          rIage    de la glissière 166 est transmis au pi  gnon     49"r,    au segment 500, à la couronne 501,  au pignon 503, à.

   l'arbre     50-1    et aux cou  ronnes     505,        506    et .507 et, de là, aux roues     im-          primantes.    Un mécanisme analogie est     prévis     pour la rangée, par exemple, des  dix mil  lions , celle représentée aux     fig.    20, 76A, 76B,  <B>77A</B> et     77$.    Pour cette rangée particulière,  on n'a pas prévu de roue imprimante dans la       section    d'impression de la fiche.  



  *Dans la rangée des dix millions, un     pi-          -nori    515 (fur. 77A) est en prise avec un pi  gnon analogue au pignon 497 et solidaire  d'un segment 517 grâce à un moyeu 516. Ce       serinent    engrène avec une couronne     dentAe          518    tournant sur un disque 631 fixé sur un  arbre 632. La couronne 518 présente une den  ture interne en prise avec un pignon     51.9          (fig,.    20) monté sur un arbre carré 520 qui  s'étend entre les deux bâtis latéraux. L'arbre  porte deux autres pignons,     chacun    placé à.

    l'intérieur de chaque couronne dentée 521 et       :)22    respectivement, pour     entraîner    ces cou  ronnes proportionnellement au mouvement de  la couronne 518. Les couronnes 521 et 522  sont en prise avec un pignon fou 523     (fig.    20)  porté par un arbre 524 et engrenant     respecti-          vetnent    avec des couronnes 525     (fig.    76A) et  526     (fig.    76B), elles-mêmes en prise avec des  roues imprimantes 527 de la. rangée des dix  vrillions.  



  Les deux groupes de couronnes, l'un com  prenant les couronnes 501 et les disques 509       inoirtés    sur un arbre 510, et l'autre compre  nant les couronnes 521 et les disques 631  montés sur l'arbre 632, constituent un méca  nisme flexible pour aménager la machine et    l'adapter à différents systèmes comptables.  En effet, les roues     imprimeuses    peuvent être  assemblées sur les arbres à. n'importe quelle  position prise en     largeur    de la machine. On  peut, si on le désire, adjoindre une ligne d'im  pression supplémentaire au-dessous des cou  ronnes 521 pour le cas où un système re  quiert deux lignes d'impression, et cela sans  modifier totalement le mécanisme.         Illise   <I>en place des zéros.</I>  



  Les     glissières    466 sont commandées de fa  çon que les zéros ne soient pas imprimés à  gauche du premier chiffre significatif. On a  vu plus haut que ces glissières sont amenées  dans une position d'élimination à chaque opé  ration avant d'être mises en position par la  barre universelle 310. Pour éliminer l'impres  sion des zéros à gauche du chiffre significa  tif, il suffit d'empêcher la glissière 466 d'être  écartée de sa position d'élimination au mo  ment où la. barre     universelle    310 la ramène en  position normale. On a déjà expliqué que l'en  traîneur différentiel 290 passe d'une position  normale à une position zéro lorsque aucune  touche de     montants    n'est enfoncée dans la  rangée considérée, mouvement qui correspond  à un pas.

   Pour empêcher la glissière 466 de  s'écarter de la position d'élimination, on main  tient donc l'entraîneur     différentiel    290 à sa  position normale avant l'accouplement par le  bras 468. Lorsque l'entraîneur est ramené à  sa position normale, avant accouplement avec  la glissière, il se produit, au moment du rap  pel par la barre universelle 310, que la glis  sière 466 reste en place, laissant une position  vierge en face du marteau d'impression.  



  Pour déplacer l'entraîneur 290 de sa po  sition zéro à sa position de repos     (fig.    26,<B>2</B>7  et 28) avant l'accouplement avec la     glissière     466, on a prévu un cliquet 531, en forme  d'étrier et tournant sur une tige 532 portée  par des bras de came 533, lesquels pivotent  en 534.     1\    n ressort 535, disposé entre le     cli-          quet    531 et un autre bras 536 pivotant égale  ment sur l'arbre 534, maintient un bec 537  du cliquet 531 en contact avec une tige 538  portée par trois des quatre bras 311 (voir      aussi     fig.    22).

   Un cliquet 531 est monté pivo  tant sur la tige     5;32    pour chaque rangée de  montants supérieure à la rangée des décimes.  Un bras 536 aménagé dans chacune de ces  rangées présente un doigt muni d'un méplat  539 normalement en contact avec un goujon  540 porté par l'entraîneur différentiel 290,  sous l'action du ressort. 535. Chacun des trois  bras 311 porte un galet 541     (fig.    26, 27 et  28) en prise dans un chemin de came 542 des  bras 533.

   Lorsque la machine est au repos, les  galets 541 se trouvent dans la partie de gau  che des chemins de came 542     (fig.    26) et lors  que les bras 311 se déplacent     dans    le sens       dextrorsum        pour    entraîner la barre univer  selle 310, les galets 541 se déplacent dans les  chemins de came 542 et font osciller les bras  533 dans le     sens        senestrorsum.    La tige 538  est écartée de dessous les becs 537 des     cliquets     531,

   laissant les ressorts 535 agir sur les     cli-          quets    531 qui basculent dans le sens     dextror-          sum..    Comme on le voit en     fig.    27, l'entraîneur  290 est arrêté à sa position zéro par le     cli-          quet    271, et le     cliquet    531, une fois libéré,       vient    se placer derrière l'épaulement 543  prévu sur l'entraîneur     (fig.   <B>27).</B> A ce mo  ment, la barre universelle 310 continue son  mouvement en déplaçant la glissière 466 à sa  position d'élimination et, ce faisant, les galets  541 continuant leur déplacement,

   dans les che  mins de came 542, font basculer les bras 533  dans le     sens        senestrorsum,    ce qui ramène l'en  traîneur vers la gauche sous l'action du cli  quet 531, c'est-à-dire à la position de repos       (fig.    28). Après ce mouvement, le bras  d'accouplement 468     vient    en position active et  lorsque la barre     -universelle    310 est ramenée à  la position initiale, elle ne change rien à la  position de l'entraîneur si celui-ci a été amené  en position de repos par le cliquet 531, de  sorte que pour ce cas particulier, la glissière  d'impression 466 n'est pas déplacée non plus  et reste à la position d'élimination.  



  Ce qui précède met en évidence la façon  dont un mécanisme différentiel est entraîné  pour empêcher l'impression d'un zéro. Si, au  contraire, un montant est composé dans une  rangée d'ordre décimal supérieure à celle dans    laquelle aucune touche n'est enfoncée, il faut  qu'un zéro soit imprimé dans cette rangée  inférieure. Pour ce faire, il suffit d'empêcher  le     cliquet    531 de cette rangée-là. de venir en  position de contact avec l'épaulement 543 de  l'entraîneur correspondant. A cet effet, il est  prévu une équerre 544     (fig.    29) sur chaque  cliquet 531 et se trouvant     au-dessous    d'un  épaulement 545 du cliquet 531 de la. rangée  immédiatement supérieure.

   Si l'un des     cli-          quets    531 est empêché de venir sur le trajet  de l'épaulement 543, alors les équerres     5-14    de  toutes les rangées inférieures restent en posi  tion abaissée, de sorte que, bien     qu'une    touche  ne soit pas enfoncée dans une     ran-ée    infé  rieure, les cliquets 531     restent    dans leur posi  tion basse, permettant l'impression     d'un    zéro.  



  Si les cliquets<B>531</B> sont ainsi     maintenus     dans leur position basse et lorsque la barre  universelle 310 et les bras 311 passent dans  leurs     positions    médianes représentées en     fig.    27,  les cliquets restent inactifs, laissant les en  traîneurs 290 dans la position zéro. Une fois  que le bras     cl'accouplenienl    468 est rendu  actif, la barre universelle<B>310</B> est. ramenée à  la position de repos et, pendant ce     mouve-          ment,    amène l'entraîneur à sa position ini  tiale, ce qui déplace la, glissière d'impression  466 d'un pas, de la position     d'élimination    à  celle qui correspond au zéro.  



  Les     fig.    23, 24 et 25 montrent les organes       -utilisés    pour empêcher les     cliquets    531 de  venir sur le trajet des épaulements 543 dans  celles des rangées dans lesquelles un montant  est composé. Pour le cas des     fig.        '?3    et     \?4,     c'est. la touche  5  qui est     enfoncée    et l'en  traîneur 290 est dans la position correspon  dante.

   En venant ainsi à la. position  5 , le  goujon 540 est. écarté de l'épaulement 539 du  bras 536, de sorte que le ressort 535 peut faire  osciller le bras 536 dans le sens     dextrorsum     jusqu'à ce qu'une encoche 546 vienne agrafer  le cliquet 531 pour le retenir dans sa position  abaissée sous l'action du ressort 535.  



  On voit, d'après ce qui précède, que tous  les     cliquets    531 des rangées dans lesquelles  l'entraîneur 290 passe au-delà de la position  zéro sont verrouillés par les bras 536 et que      les cliquets 531 des rangées inférieures à celle  dans laquelle l'entraîneur 290 passe au-delà  de zéro sont maintenus en position abaissée  par l'action réciproque des épaulements 545  et des équerres 544, ce qui correspond à l'im  pression des zéros dans les ordres décimaux  inférieurs.         Mécanisme   <I>de</I>     répétition.          L'entraîneur    différentiel des montants  290 peut être commandé de manière à effec  tuer une répétition du nombre enregistré pré  cédemment.

   A la fin d'une opération, les glis  sières 466, pour les éléments imprimants, res  tent à la. position acquise, et le bras d'accou  plement 468 reste clans sa position active pour  laquelle     ].'entraîneur    390 et la glissière 466  sont accouplés. Pour les opérations de répéti  tion, le bras 468 est 'maintenu dans sa posi  tion. d'accouplement pendant     l'opération    en  tière, et comme aucune touche de     montants     100 ne peut être enfoncée pour ce genre d'opé  ration, c'est la. glissière 466 qui commande le       mouvement    de l'entraîneur 290.

   Lorsque la       machine    est. déclenchée pour une opération  s de répétition et quand la barre universelle 310        < scille    dans le     sens        dextrorsunr,    cette barre  vient en contact avec l'arête 467 de la. glis  sière 466 qui se trouve être déplacée avec l'en  traîneur 290     vers    la droite, jusqu'à. ce qu'elle  bute contre une     arète    561     (fig.    23) de l'en  tretoise 291.

   Ce mouvement est d'une     ampli-          tiide    telle que     l'entraîneur    différentiel est dé  placé proportionnellement au montant précé  demment enregistré.     Lorsque    la barre uni  s     @-ersel1e    310 revient pour rappeler.     l'entrai-          rierir#    290 et la glissière 466 en, position     nor-          inale,    le montant fixé sur cette     o1issière    est       alors    enregistré clans le totalisateur.  



  Le mécanisme     qui    vient d'être décrit peut       i    égaiement être utilisé pour transférer un total  d'un totalisateur à un antre. Une telle opéra  tion est effectuée en remettant tout d'abord  à zéro un totalisateur de la manière décrite  plus loin et, à la fin de l'opération, la glissière  s 466 occupe une position représentant le total       extrait    du totalisateur. Si l'on utilise une     tou-          chc    sélectionnant un autre totalisateur simul-         tanément    avec la touche  Répétition  114, le  total porté par les glissières 466 est alors enre  gistré par le totalisateur nouvellement sélec  tionné.  



  Un système     d'interverrouillage,    décrit plus  loin, empêche d'abaisser la touche  Répéti  tion  tant qu'une touche de montants est en  foncée et réciproquement. Un organe, que l'on  décrira plus loin également, empêche le     cli-          quet    d'arrêt à zéro 271 de devenir actif pen  dant une opération de répétition.  



  Le mécanisme qui maintient le bras d'ac  couplement 468 en position active pendant  une opération de répétition est représenté aux       fig.    30 et 31. Il consiste en des organes qui se  trouvent sous le contrôle     de-la    touche de   Répétition  114 et qui font osciller le cliquet  d'accouplement 476 hors du trajet de l'épau  lement 479 du bras 480. Une came 562       (fig.    22 et 30), fixée sur l'arbre principal  229, commande le mouvement de ce cliquet  476. La came 562 coopère avec un galet 563  porté par un bras 564 monté fou sur     l'arbre     312. Ce bras 564 présente une encoche pou  vant venir en prise avec un goujon 565 porté  par un bras 566     d'iur    levier à. trois branches  567.

   Un ressort 568 maintient normalement le  galet 563 en contact. avec la périphérie de la  came 562. Le levier 567 porte un téton 569  qui se troue sur le trajet du cliquet d'accou  plement 476. Une autre branche de ce levier  est reliée, par une bielle<B>570,</B> à un disque<B>571</B>  porté par un ensemble de     couronnes    dentées,  comme celui qui a été décrit plus haut. La       fig.        77-A    montre la place du disque 571, le  quel est muni d'une denture interne 572 en  prise avec un pignon 573 porté par un axe  carré 574 qui s'étend sur la largeur de la ma  chine.

   Cet. axe porte un autre pignon 573 en  grenant avec les dents     internes        d'im        disque     575     (fig.    77B). Ce     dernier    est. relié, par une  bielle 576     (fig.    30),à un levier coudé 577  pivotant en 578 sur la plaque fixe 133 du  clavier, près de la "première rangée de tou  ches de transactions. C'est dans cette pre  mière rangée que se trouve la touche  Répé  tition  114 munie d'un téton carré 579.

   Le le  vier coudé 577 présente une équerre 580 qui,      lorsque ce levier pivote dans le     sens        senes-          trorsum,    vient, en contact avec le téton carré  579 si la touche 114 n'est pas enfoncée. Quand  on abaisse celle-ci, le téton 579 est écarté de  l'équerre 580. Pendant l'opération de la ma  chine, lorsque la came 562 tourne, le ressort  568 fait basculer le bras 564 dans le sens       dextrorsum,    de faon que le goujon 565 fasse  osciller le levier à trois     branches    567, mouve  ment qui est permis pour ce genre d'opération  puisque l'équerre 580 n'est pas retenue par le  téton 579 de la touche  Répétition .

   Il résulte  de ces mouvements que le goujon 569 fait  tourner le     cliquet    d'accouplement 476 dans le  sens     senestrorsum    pour écarter le bec 478 du  trajet de l'épaulement 479. Simultanément, le  goujon 569 pénètre dans une encoche 581 du  bras 475 qui se trouve ainsi verrouillé. Lors  que la came 483 fait osciller le bras 480, ce  mouvement se fait à vide, de sorte que les  bras 474 restent stationnaires. Il en est de  même pour la tige 473 passant dans le che  min de came 472, de sorte que le bras d'accou  plement 468 est maintenu dans sa position  accouplant l'entraîneur différentiel 290 et la  glissière 466 pour le mouvement d'aller et re  tour.  



  Avant que la barre universelle 310 re  vienne en position initiale, la came 483 fait  osciller le bras 480 dans sa position normale  représentée en     fig.    31, après quoi la came 562  touchant. le galet. 563 fait basculer le bras 564  à sa position normale de     fig.    30, ce qui a pour  effet d'écarter le goujon 569 de l'encoche 581,  tandis que, simultanément, l'équerre 580 est  ramenée à sa position normale de     fig.    30.  



  Pendant le fonctionnement de la machine,  sans répétition, le cliquet d'accouplement 476  est amené dans sa position active sur le trajet  de l'épaulement. 479 par l'équerre 580 du le  vier coudé 577, équerre qui vient en contact  avec le téton carré 579 de la touche 114 non  enfoncée. Pendant, une telle opération, seul  un léger mouvement sous l'action du ressort  568 se produit, lequel n'est pas suffisant pour  amener le goujon 569 dans l'encoche 581. Par  conséquent, le cliquet 476 reste en position  active et la came 483 actionne le bras 475,    comme décrit plus haut, pour écarter le bras  d'accouplement 468 avant le mouvement ini  tial de l'entraîneur différentiel 290.

   Au dé  but d'une opération de répétition, les glis  sières 466 commandant l'imprimerie sont  toutes dans la position précédemment acquise,  ce qui inclut également celles qui sont com  mandées par le mécanisme d'impression des  zéros. Il est nécessaire que les glissières 466  commandent l'entraîneur différentiel 290  pour répéter le montant précédent, de faon  que cette commande ait priorité sur celle qui  provient chi mécanisme des zéros.  



  On a prévu un dispositif spécial pour dé  brayer le mécanisme de commande des zéros  pendant les opérations de répétition et, à cet  effet, le bras de came 471     (fig.    30), situé  dans la rangée décimale la plus élevée, porte  un bras 585     muni    d'un goujon 586 en contact.  sous l'action d'un ressort 588, avec     Lui    levier  coudé 587 (voir aussi     fig.    22) pivotant en  534. Ce levier coudé est normalement en con  tact avec le cliquet 531 de la. rangée décimale  supérieure pour empêcher son mouvement.  



       Etant    donné que,     pendant.    les opérations  de répétition, le bras de came 471 n'est pas  écarté de sa position normale, le cliquet 531  de la rangée supérieure reste verrouillé pen  dant la répétition et, grâce aux équerres     5-44          (fig.    29), retient tous les cliquets 531 des  rangées inférieures en position abaissée, ce  qui correspond au     débrai-ao-e    du mécanisme  (les zéros.

   Pendant une opération normale,  c'est-à-dire sans utilisation de la     touche     Ré  pétition , lorsque la tige universelle 473  oscille dans le sens     dextrorsain    pour dégager  le bras d'accouplement 468 et permettre à  l'entraîneur différentiel 290 de se déplacer  proportionnellement à la valeur de la     touelie     enfoncée, le bras 585 de la rangée la plus  élevée, agissant par le goujon     586,    fait, bascu  ler le levier coudé 587 pour libérer le cliquet.  531 de cette rangée la plus élevée, ce qui a  pour résultat de libérer tous les cliquets 531  qui peuvent ainsi remplir leurs fonctions nor  males.  



  Lorsque le levier coudé 587 est ramené à  sa position initiale, à la fin d'une opération      sans répétition, les cliquets 531 sont à nou  veau verrouillés par le levier coudé 587.  



       Touches   <I>de transactions.</I>  



  Ces touches commandent les diverses  fonctions de la machine et sont disposées en  deux rangées représentées en     fig.    2. Les tou  ches 101 à 108 commandent la sélection des to  talisateurs dans lesquels des montants doivent  être additionnés ainsi que d'autres opérations  de     l'imprimerie    de la machine. Ces touches<B>1.01</B>  à 108 constituent la rangée que l'on appellera la  deuxième rangée. Les touches 110 à. 118 com  mandent le temps et le genre d'opération pour       l'embrayage    et le débrayage des totalisateurs,  ainsi que     certaines    fonctions clé     l'imprimerie.     Cette rangée constitue la première rangée.  



  1  Les touches 110, 111 et 113 et les touches<B>101</B>  à 108 ont également pour effet de déclencher  la machine.         Première        rangée   <I>de</I>     transactions:     <I>Détentes de</I>     commande.     



  Le déclenchement de la machine et cer  tains     interverrouillages    sont commandés par  plusieurs détentes placées dans la première  rangée, détentes représentées en     fig.    56 à 60  et 63.  



  L'une de ces détentes 595 est supportée  par     quatre    galets 176 et sert à. maintenir en  foncées certaines des touches de transactions  de la     première    rangée. Un     ressort.    596 main  tient normalement des rampes 598 de la dé  tente en contact avec des goujons 597 portés  par chacune des touches 112, 114, 115, 116,  117 et 118.

   Lorsqu'on enfonce l'une de ces  touches, la coopération du goujon 597 avec la  rampe 598 déplace la détente vers la gauche       (fil,.    :58) jusqu'à. ce que le goujon passe     au-          dessous    de la rampe, après quoi le ressort 596  ramène la détente légèrement vers la droite,  le goujon 597 étant ainsi en prise avec     tan     bée de la rampe. Vers la fin de l'opération,  cette détente 595 est déplacée vers la gauche  et permet 'a la touche enfoncée de remonter.  



  Les touches 112, 114, 115, 116, 117 et 118  rie sont pas des touches motrices, c'est-à-dire  qu'elles ne déclenchent pas la. machine, et la    détente 595 est prévue pour maintenir ces  touches en position enfoncée jusqu'à ce qu'une  touche motrice puisse être enfoncée.  



       Première        rangée:   <I>Détente de</I>     déclenchement.     Une fois que     l'une    des touches 112, 114 à  118 est enfoncée et maintenue dans cette po  sition par la détente 595, on utilise l'une des  touches motrices 110, 111 ou<B>113</B>     (fig.    56).  L'enfoncement de l'une de ces trois touches  fait que le goujon 597, agissant sur une rampe  600     d'une    détente 601     (fig.    57), déplace  celle-ci vers la gauche, contre     l'action    d'un  ressort. 602.

   L'extrémité de droite de la dé  tente 601 porte un goujon 603 en prise avec  un bras fourchu 604 goupillé sur un arbre  605 qui porte, d'autre part, un verrou 606  qui vient normalement en prise avec un. téton  carré 607 porté par un bras 608 fixé sur  l'arbre de déclenchement 264 de la machine.  Quand on enfonce     l'une    des touches,<B>110, 111</B> ou  113, le mouvement des pièces décrites a pour  effet de libérer le bras 608, permettant à  l'arbre de déclenchement 264 de tourner dans  le sens     senestrorsum,    comme décrit plus loin.

      <I>Première</I>     rangée:   <I>Détente de</I>     verrouillage.       L'arbre de déclenchement 264 porte égale  ment un bras 615     (fig.    56) muni d'in goujon  611 en prise avec une partie fourchue     d'une     détente de     verrouillage    612. Lorsque le bras  615 oscille dans le sens     senestrorsimi,    la dé  tente 612 est déplacée vers la droite, de ma  nière à amener un bec 613 au-dessus des gou  jons 597 des touches enfoncées de la pre  mière rangée, bloquant ainsi celles-ci dans  leur position abaissée.

   Vers la fin de l'opéra  tion, l'arbre 264 revient. dans le sens     dextror-          sum,    déplaçant à nouveau la détente 612 vers  la gauche pour libérer les goujons<B>597,</B> de       façon    que les touches puissent être rappelées  par leur ressort 170. Pendant le déplacement  vers la gauche de la détente 612, celle-ci vient  toucher un goujon 614 porté par la détente  595     (fig.    58), de sorte que cette dernière  libère également les touches qui ont pu être  enfoncées.           Première        rangée:        Interverrouillage   <I>entre</I>       let   <I>touche  Répétition.

    et les</I>     touches   <I>de total.</I>  



  Lorsque la, touche de  Répétition  114 est  utilisée, il est préférable d'empêcher l'opéra  teur d'enfoncer les touches  Solde  110,        Sous-total    <B>111</B> ainsi que les touches 115,  <B>116,</B> 117 et 118, de façon à empêcher l'extrac  tion d'un total. A cet effet, il est prévu une  plaquette     d'interverrouillage    620     (fig.    59)  adjacente à la détente 595 et qu'un ressort  621 tend à tirer vers la gauche pour main  tenir une rampe 622 en contact avec le gou  jon 597 de la touche  Répétition  114. Lors  que celle-ci est enfoncée, la plaquette 620 est  donc déplacée vers la droite     (fig.    59).

   Les  goujons<B>597</B> des touches 110, 111, 115 à 117  et 118 sont, elles, engagées dans des     fentes    en  forme de L pratiquées dans les plaques 620,  de sorte que lors du mouvement vers la droite  de cette dernière, c'est la branche horizontale  de     l'ouverture    623 qui s'engage avec le goujon  597,     empêchant    ainsi     l'abaissement    des tou  ches correspondantes. En position normale, la  branche verticale de     l'ouverture    en forme de  <B>L</B> se trouve sur le trajet des goujons 597 des  touches de total, de sorte que celles-ci peuvent  être enfoncées avant la touche  Répétition .

    Si l'une des touches de total est enfoncée  avant la touche  Répétition , le goujon 597  correspondant s'engage dans la branche ver  ticale de l'ouverture en forme de<B>L,</B> de sorte  que la plaquette 620 est bloquée,     empêchant     ainsi l'utilisation de la touche  Répétition .  



  Les goujons 597 des touches 112  Liste   et 113  Addition  sont engagés dans des  ouvertures rectangulaires de la plaquette 620,  de sorte que celle-ci peut. être déplacée avant  ou après l'enfoncement. de ces touches.  



  <I>Première rangée:</I>     Interverroitillage   <I>entre</I>  <I>les touches de total et les touches de</I>     montants.     Il est nécessaire d'empêcher l'utilisation  des touches de total 110,<B>111,</B> 115 à 118 de la  première rangée, lorsque les touches de mon  tants sont enfoncées et réciproquement. Ceci  empêche les erreurs de manipulation au mo  ment de la prise des totaux, car pendant ce  genre d'opération, les crémaillères 304 doivent    être libérées pour venir prendre la position  fixée par les totalisateurs.  



  Lorsqu'on enfonce une touche de montants  100     (fig.    60), un prolongement 635 de cette  touche est amené sur le trajet de la plaque  263 mentionnée     plus    haut. Celle-ci est. reliée,       par    le bras 266, à l'étrier<B>267</B> dont. une bran  che 636     (fig.    62) est articulée à une biellette  637     portant    un goujon 638 (voir aussi       fig.    61). Celui-ci est, engagé dans une baïon  nette 639 pratiquée dans un bras 640 fixé  sur l'arbre de déclenchement 264. Ce goujon  638 pénètre également dans une ouverture  641 d'un levier coudé 642 pivotant en 643.

   Le  levier coudé 642 est relié, par une bielle 645,  à un bras 644 fixé sur un axe 630 dûment  supporté par les plaques de clavier 133 et 136.  L'axe 630     (fig.    60) porte un autre bras 629  dont un goujon     6-1-6    est maintenu en contact  avec l'extrémité d'une détente de     commande     647 sous l'action d'un ressort 648     (fig.    61).  Grâce à cette action, des arêtes 649 de la dé  tente de     commande    647 sont     maintenues    en  contact avec les goujons 597 des touches de  total 110,<B>111,</B> 115 à. 118 et avec le goujon 597  de la touche  Répétition  114.  



  Lorsqu'on enfonce l'une des touches 110,  <B>11.1</B> ou 114 à 118, le goujon     correspondant     597 agit sur la rampe 649 pour déplacer la  détente de     commande    647 vers la gauche       (fig.    60). L'extrémité de la détente 647     poisse     le goujon 646, de sorte qu'avec la chaîne mé  canique décrite, le levier coudé 642 oscille pour       amener    le goujon 638 dans la partie verticale  inférieure de la baïonnette 639 pratiquée dans  le bras 640 fixé sur l'arbre de déclenchement  264.

   Celui-ci oseille par l'enfoncement     d'une     touche motrice, de sorte que le bras 640, agis  sant par la. baïonnette 639, déplace le goujon  638, la. bielle 637, le bras 636 et, l'étrier 267  dans le sens     senestrorsum.    Toutefois, si au mo  ment de la, rotation de l'arbre de déclenche  ment 264 une touche de montants 100 est en  foncée, l'étrier 267, le bras 266 et la plaque  263 ne peuvent se déplacer. Par contre, si  aucune touche 100 n'est enfoncée, la plaque  263 peut glisser, ce qui permet à l'arbre 264  d'effectuer sa rotation normale.

             Prendère        rangée:   <I>Commande des cliquets</I>       d'arrêt        éc   <I>zéro</I>     potcr   <I>les</I>     opérations   <I>de total.</I>  



  II est nécessaire de retenir les     eliquets     d'arrêt à zéro<B>271</B>     hoirs    de leur position active       pendant    les opérations de total, ce qui est       obtenu    au moyen d'un bras de butée 650  (     fil;.    61 et 64) fixé sur l'arbre 630. Lorsque  cet arbre oscille au moment où l'on enfonce  mie touche de total, le bras de butée 650 est  amené sur le trajet d'un goujon 651 porté par       uni        curseur    652.

   Ce dernier, fourchu à son       extrémité    supérieure, glisse sur l'arbre 630,  alors que son extrémité inférieure est     a.rti-          etzlée    à un levier 653 fixé à.     un    moyeu de  l'étrier<B>272.</B> Un rivet 654 maintient ensemble  l'étrier 272 et le levier 653 pour assurer une  plus grande rigidité.  



  Si, lorsque l'étrier 272 (voir aussi     fig.    20  et.     3'?)    est livré, de la. manière     déerite    plus       fiant,    à l'action du     ressort    330, et si une tou  che de total a. été enfoncée et que le bras 650  touche le goujon 651, il va de soi que l'étrier       '?72    ne peut suivre le mouvement puisqu'il  est arrêté par la butée 650. Par conséquent,  les     eliquets    d'arrêt à, zéro 271 ne peuvent ve  nir en position d'arrêt bien qu'aucune touche  <B>(le</B> montants ne soit enfoncée.  



       Prenzière   <I>rangée: Détente de la</I>     touche   <I> Liste .</I>  Lorsqu'on enfonce la touche 112  Liste ,  il est préférable que celle-ci reste enfoncée       ,itisqu'à    l'impression     d'un    total     ait        moyen    de       lai    touche      Solde>.    110.

   II est.     prévu    dans la       preir-iière        rangée    une détente 655     (fig.    63)       ilu'un    ressort.<B>656</B> maintient en contact, par       uiie    rampe     6:57,    avec     le'goujon    597 de la     toit-          clie    112 et par une rampe 658 en contact avec  le goujon 597 de la touche  Solde  110.  



       Lorsqu'on    enfonce la touche  Liste      11'3,     la détente 65.5 est. déplacée vers la gauche  pour être retenue par le bras de la rampe  657. Ce n'est que par l'enfoncement (le la  touche  Solde  110 en coopération avec la  rampe 658 que la détente 655     petit    être dé  placée suffisamment à gauche pour libérer la  touche  Liste  qui est. rappelée par l'action  de son ressort 170     (fig.    8).         Première   <I>rangée:</I>     Détente   <I>de</I> commande  <I>des cycles.</I>  



  Pour commander les opérations de total à  deux cycles, il est prévu une détente 634       (fig.    15) qui coulisse également sur les quatre  galets 176. On expliquera plus loin le fonc  tionnement de cette détente.    <I>Détentes de la seconde rangée de transactions.</I>  Les touches 101 à 108     (fig.    2, 16 et 37) de  la deuxième rangée de transactions sont mo  trices, c'est-à-dire qu'elles déclenchent la ma  ehine. Chaque touche porte également un  goujon 597 qui coopère avec une rampe de  certaines détentes. Pour déclencher la. ma  chine, une détente 665     (fig.    17) est aménagée  dans la deuxième rangée, détente qui présente  huit rampes 666 coopérant avec les goujons  597.

   Un ressort 667 assure le contact des ram  pes 666 et des goujons 597, et chaque fois que  l'on enfonce une touche 101 à 108, la détente.  est déplacée vers la gauche. La détente 665  porte un     goujoir    668 en prise avec une partie       fourchue    d'un bras 669 fixé sur l'arbre 605  qui porte, d'autre part, le bras 604     (fig.    57).  Lorsque la détente 665 se déplace vers la gau  che, l'arbre 605 et les bras 604 et 669 tour  nent dans le sens     senestrorsuni    et libèrent le  bras 608 fixé sur l'arbre de déclenchement  264 qui peut donc effectuer la fonction de dé  clenchement de la machine.

   En effet, la ro  tation de cet arbre 264 dans le sens     senestror-          sum    est communiquée à un bras 670     (fig.    16)  muni d'un goujon<B>671</B> articulé à une glissière  672 qui se trouve ainsi déplacée vers la droite,  bloquant les touches de la deuxième rangée  contre tout enfoncement, alors que la touche  enfoncée est elle-même verrouillée par l'en  coche 673. Cette glissière 672 sert donc à ver  rouiller les touches de la deuxième rangée,  enfoncées ou non, jusqu'à ce que l'arbre de  déclenchement soit ramené à sa position ini  tiale, après quoi le ressort 170     (fig.    37) rap  pelle la touche qui a pu être enfoncée.  



  La touche      Add.-Impr.     109     (fig.    2, 16 et  37) reste enfoncée jusqu'à ce qu'elle soit. rap  pelée manuellement et, pour ce faire, il est       prévu    une détente 680     (fig.    18) munie     d'une         rampe<B>681</B> coopérant avec, le     goujon   <B>597</B> de la  touche       Add.-Impr.     109. Cette détente est  tirée     normalement.    vers la droite par un res  sort 682. Lorsqu'on enfonce cette touche 109,  la. détente est déplacée vers la gauche jusqu'à  ce qu'elle retienne la touche par une encoche  683.

   Cette détente n'a aucune     connexion    avec       l'arbre    de     décleilchenient    261,     niais    elle est.  munie d'une manette     1:2'?    (voir également       fig.    2) qui émerge du coffre pour permettre  son     actionneinent    à la main.  



  Pour empêcher     l'enfoncement    (les touches  101 à<B>108</B> une fois que la touche      Add.-Impr.      a été utilisée, la détente 680 présente des  ouvertures en forme de     L    en regard des gou  jons     :i97    des touches 101 à 108.     Pour    la posi  tion normale représentée en     fig.    18, ces     tou-          elles    101 à 108 peuvent être enfoncées.

   Par  contre, lorsque la touche 109 a été abaissée et  par conséquent la glissière 680 déplacée à  gauche, la partie horizontale de     l'ouverture     en forme de     L    empêche     l'abaissement    (les     toit-          elles    101 à 108.  



       JIécareismes        dif        féreldiels   <I>(les</I>     rangées     <I>de</I>     transactions.     



  Les touches des première et     deuxième     rangées commandent, lorsqu'elles sont en     fon-          eées,    le mouvement différentiel des entraî  neurs, lesquels contrôlent, à leur tour, les dif  férentes fonctions de la machine et la sélec  tion des totalisateurs. Les     deus(        mécanismes,     pour les     première    et deuxième rangées, sont  semblables, de sorte     qu'il    suffira de décrire  celui de la première rangée     (fig.    8 à. 11 et 22).  



  Les touches 11.0 à 118 de la première rail  gée coopèrent avec un coulisseau 689     (fig.        F,     11, 22) par leurs goujons 579. Ceux-ci émer  gent alternativement à gauche et à droite       (fig.    22) sur le trajet d'oreillettes 690     dispo-          1    Bées sur le     coulisseau    689 alternativement 'a  gauche et à droite. La connexion entre les  goujons 579 et les oreillettes 690 est telle que,  lors du fonctionnement de la machine avec       uné        touche    de cette rangée enfoncée, le cou  ;     lisseau    est stoppé dans une position propor  tionnelle à la valeur de la touche enfoncée.

    Ce coulisseau 689 est fendu à ses extrémités    pour assurer son     guidage    sur des bagues 691  et 692 portées par (les ales 693 et     69-1.          Ceux-ci    sont fiés au bâti 182 et sont munis  (le tenons     permettant    de les fixer au     moyen    de  vis     69:,.     



  Le     coulisseau    689 est muni d'une     denture     696     (fig.    11) engrenant avec un segment 697  faisant. partie d'un bras 698     fendu    en 699  pour permettre le passage d'un goujon 700  porté par un verrou<B>701</B>     (fig.    9 et 10). lie  bras 698 peut tourner en 702     sur    le bâti 182.  Le verrou 701 pivote sur un goujon 703 porté  par un bras     70.1    également pivotant en 702.

    Un bras volant 705 est articulé     ait    bras 701  grâce à un rivet 706, et l'extrémité libre de  ce bras volant 705 porte un goujon<B>707,</B> en  gagé dans une fente 708     pratiquée    dans     -Lui     bras 709 susceptible de     tourner    sur l'axe 702.

    Le bras 709 présente une     partie    dentée 710 en       prise    avec les dents 711     (fig.    8)     d'une    glis  sière 712     commandant    les     segments        impri-          mants.    Cette glissière coulisse sur les     banues     691 et 692 et sur un goujon 688 porté par les  bâtis 196 et 199 (fi-. 7).

   Le verrou 701       (fig.    9 et 1.0) présente un talon 713 pouvant  coopérer avec un épaulement 715 d'un     entrai-          neur    716.     Celui-ci    fonctionne     différentielle-          ment    et pivote sur l'axe 702. Il est muni d'une  encoche 717 en prise avec un goujon 718  porté par un levier 719     monté    fou sur     titi     goujon 720 fixé aux bâtis. Le levier 719 est  solidaire d'un bras 733     (fig.    8) par un man  chon 721.

   Ce bras porte une paire de galets  722 coopérant. avec une double came 723       (fig.    8 et 22) fixée     aii        manchon    227 mentionné  précédemment (fi g. 1.3, 11. 15 et 22). Le le  vier 719     (fig.    9 et. 10) est     iliuiii    d'un galet       72-1    qui     peut    être amené en     eontaet    avec une  arête 725 du bras volant 705.  



       Lorsque    la double came 723     tourne    par la  rotation du     manchon    227, le bras 733 oseille  dans le sens     dextror:suni        (fig.    8) pour entraî  ner le levier 719. Par l'intermédiaire du gou  jon 718,     l'entraîneur    716 oseille dans le même  sens, entraînant le verrou 701 et, par consé  quent, par le     goujon    700, le bras     G98        (fig.    11).

    La rotation de ce bras a pour effet, grâce au  segment 697, de déplacer le coulisseau 689           vers    la droite     (fig.    8) jusqu'à ce qu'une  oreillette 690 bute contre le goujon 579 de la  touche qui a été enfoncée. Le     coulisseau    689  est alors     arrêté    à une position proportionnelle  à la valeur de cette touche et met en position  le bras 698, lequel, grâce à la fente 699, agis  sant sur le goujon 700, fait pivoter le verront  701 dans le sens     senestrorsuni    autour de son  axe 703, de telle sorte que le talon 713 soit  écarté eue l'épaulement.

   715, arrêtant ainsi tout       mouvement        subséquent    du bras     70-1:.    Lorsque  le     verrou    701 oscille ainsi dans le sens     senes-          tror:

  suni        (fil-.    10),     Lui    bec 726 pénètre     dans          111e        eiieoelre   <B>727</B> (fi-. 8) pratiquée dans une  plaque de verrouillage<B>728</B> portée par les gou  jons 693 et 7<B>2</B>0.     L'entraîneur    716 continue  son     mouvement    et une arête concentrique 729       (firi.    9) reste en contact au-dessous du talon  713 du verrou 701, de sorte que le verrou  ainsi que le bras 704 sont maintenus positi  vement dans la position acquise. Le goujon.  706 du bras volant 705 est donc lui-même       verrouillé    dans la position correspondant à la.  touche enfoncée.  



  Pendant le     mouvement,    dans le sens     dex-          tror:sum,    du levier 719, le galet 724 vient en  contact avec l'arête 725 du     bras    volant 705 et  le fait osciller autour du téton. 706, de sorte  que, grâce au goujon 707, le bras denté 709,  710     est    lui-même amené dans une position  correspondante. Cette position du segment  710 est. communiquée par les dents 711 à la  glissière 712.  



       1-1e    fois     qcte    cette glissière 71'_' a été ainsi  positionnée, la carne 723 ramène le levier 71.9       dans    le sens     senestrorsuni    pour rappeler l'en  traîneur différentiel 716 à la position initiale.       Pendant    ce mouvement,     l'épaulement    715 re  vient au-dessous du talon 713 qui tombe ainsi       derrière    cet épaulement. Lors du mouvement  (le l'entraîneur, agissant sur le galet 714.     ce-          liti-ci    viens en prise avec le bras 704 qui se       trouve    ainsi ramené avec le verrou 701 à la  position de repos.

   Pendant ce mouvement, le  segment 710 et la glissière 712 sont. maintenus  en position par des organes décrits plus loin,  de sorte que le bras volant 705 pivote autour    de son goujon 707. Le segment 710 reste     ainsi     en position jusqu'à la prochaine opération.  



  Une plaque de compensation 730     (fig.    11)  est montée libre sur l'axe 702 à côté du bras  698 et présente une ouverture<B>731</B> dans la  quelle pénètre le goujon 700 du verrou 701.  Un ressort 732 est relié à la. plaque 730 et au  bras 698 pour les maintenir dans la position  représentée en     fig.    11. Si, pendant. l'opération,  le verrou 701 a tendance à     s'écarter    prématu  rément de l'épaulement 715, par exemple par  suite de force centrifuge, la plaque 730 agit  par compensation et empêche ce mouvement.

    Lorsque le bras 698 est arrêté, le goujon 700  situé dans la fente 699 fait basculer le verrou  701 dans le sens     senestrorsiun,    ainsi qu'on l'a  vu     plus    haut, mouvement qui déplace le gou  jon 700 dans la fente 731 de la plaque de  compensation 730, laquelle oscille dans le sens       dextrorsum    contre l'action du ressort 732.  



  Le mécanisme différentiel pour la deuxième  rangée de transactions est absolument identi  que à celui que l'on vient de décrire. Ce mé  canisme est représenté à la     fig.    37 et les pièces  portent les mêmes références. .  



       Impression   <I>des symboles</I>     (première        rangée).     On a     prévu    deux roues imprimantes 735       (fig.    8, 76A et 76B) pour l'impression des  symboles sur le bordereau de contrôle et sur  la. bande qui sort de la machine. Ces symboles  indiquent le genre d'opération. La glissière  71'? commande la mise en position de ces  roues imprimantes 735 qui sont montées sur  les arbres 463. Les roues 735 sont donc: pré  vues dans les sections d'impression du borde  reau et de la bande sortante. Par contre, il  n'y a pas de roues de symboles 735 dans la  section imprimant la fiche.  



  La glissière 712 présente des dents 736       (fig.    8) engrenant avec -un segment 737  tournant sur L'arbre 498 (voir aussi     fig.    77B).  Le segment 737 est rendu solidaire, par un  manchon 738, d'un segment 739 engrenant  avec une couronne dentée 740 portée par un  disque 741 tournant sur l'arbre 632. Un pi  gnon 742, en prise avec la denture interne de  la couronne 740, est monté sur un axe carré.      743 s'étendant sur la largeur de l'imprimerie.  A l'intérieur d'une couronne dentée 744 et  porté par l'arbre 743 se trouve un. autre pi  gnon analogue à 742, mais en prise avec un  pignon intermédiaire 745 supporté par l'arbre  524. Ce pignon 745 engrène avec une cou  ronne dentée 746 portée par     un    disque<B>747</B>  monté sur l'arbre 510.

   La couronne 746 en  grène avec la roue imprimante 735     (fig.    76B)  dans la section d'impression prévue pour la  bande     sortante.    La roue 735 se trouve adja  cente à la roue qui imprime les unités de mon  tants.  



  L'arbre carré 743 porte un autre pignon  analogue an pignon 742, mais dans le plan       d'une    couronne 750     (fig.        77A),    laquelle est  montée sur un disque 748     porté    par l'arbre  632. La couronne 750 engrène avec un pignon  similaire au pignon 745 et qui, à son tour,  engrène avec une couronne 749     (fig.        76A)    en       prise    avec la roue imprimante 735 adjacente  à la roue des unités, mais dans la. section im  primant le bordereau de contrôle.  



  Le     dispositif    comprend également une  série de disques de commande également re  liés à l'arbre carré 743, donc commandés par  la     première    rangée de transactions pour  assurer l'embrayage et le débrayage des tota  lisateurs et diverses autres fonctions décrites  plus loin.  



       Impression   <I>des</I>     symboles        (deuxième        rangée).     La glissière 712     (fig.    37) de la deuxième  rangée     commande    la position des éléments  imprimants 755     dans    chacune des trois sec  ; tuons de l'imprimerie     (fig.        76A    et 76B). Ces  éléments imprimants     servent    à l'impression  des symboles et se trouvent adjacents à la dé  cimale la plus élevée du groupe des montants.  



  La glissière 712 présente une série de  dents 756 en prise avec un pignon 757 (voir  également     fig.    77B) relié, par un manchon  759,à un segment. 758,     lui-même    engrenant.  avec     une    couronne dentée 760 portée par un  disque 761 monté sur l'arbre 632. La cou  ;     ronne    760 présente des dents internes en prise  avec un pignon 762 porté par un arbre  carré 763 qui, d'autre part, porte d'autres pi-    gnons analogues     dans    le plan de trois cou  ronnes     prévues    pour chaque section respecti  vement.

   Les couronnes 764 sort en prise avec  un pignon intermédiaire 765 porté par     l'arbre     524, et les pignons 765 sont     eux-mêmes    en  prise avec des couronnes 766 qui commandent       des    roues imprimantes<B>755.</B> On voit que,  grâce à la chaîne mécanique décrite, la posi  tion des glissières 712 est transmise aux élé  ments imprimants 755 qui impriment     un          symbole    correspondant à. celle des touches  101 à 108 qui a été enfoncée.  



       Mécanisme   <I>de</I>     sélectiow   <I>(les</I>     totalisateies.     Les groupes avant et     arrière    de totalisa  teurs 351. et 371     (fig.    20)     portent.        plusieurs    to  talisateurs intercalés. Ces groupes sont décalés       axialement    sous la commande des touches 101  à 108 de la deuxième, rangée par     l'intermé-          diaire    de la glissière 712.

   L'extrémité de droite       (fig.    37) de cette     glissière    présente une série  de dents 767 en prise avec un segment 768  tournant sur l'arbre 302. Le segment 768 est  relié, par un manchon 769, à, une roue dentée  770 (voir aussi     fig.    12) en prise avec des  pignons 771 fixés à des     tambours-cames    388  prévus pour les groupes avant et     arrière    de  totalisateurs. On a vu que ces     tambours-ca.mes     388 sont montés rotatifs sur des arbres 389 et  que chaque tambour est muni d'un chemin  772, dans lequel est engagé un galet 773 porté  par l'étrier 387.  



  Lorsque la glissière de commande     71'2    est  amenée à une position     correspondant    à celle  des touches 101 à, 109 qui est     enfoncée,    le  tambour 388 tourne d'un     ari._#le    proportionnel  à. la. valeur de cette touche.

   Le     cbemiri    de  came 772 coopérant avec le galet<B>773</B> fait  donc coulisser l'étrier 387 sur une paire d'ar  bres 774 et 775 sur une distance qui     corres-          pond    à la sélection convenable des totalisa  teurs, c'est-à-dire pour amener les     roues        tota-          lisatrices    350 et 370 dans le plan des crémail  lères 304 et 305 respectivement.  



       (.tne    fois que la glissière de commande 712       (fig.    37) a été amenée à la position convena  ble, un dispositif     d'a.li-nement    778, monté sur  un arbre 776, vient en prise avec une partie      dentée 777     é-alement    solidaire du manchon  769, de     fac,on        crue    le     lambour-came    388 soit       maintenu    en position acquise pendant le       temps        (l'embraya#@e    avec les     crémaillères    304  et 30.1.  



  Le dispositif d'alignement 778 est actionné  par une double came 779     (fig.    8) montée sur  l'arbre 213. Cette came coopère avec des galets  782 portés par une pièce 780 dont un bras  orienté     vers    le haut est     fourehu    pour être en  prise avec un goujon 783 porté par une bielle  781 articulée à     l'aligneur    778, d'une part, et à  un bras 785, d'autre part, lequel bras est fixé       sur    un     arbre    786 porté par le bâti.  



       Lire    fois que la glissière 712 et les     tam-          bocrrs-c#ames    :388 sont convenablement posi  tionnés par les touches de la deuxième rangée  (le transactions, la came 779 fait osciller la  pièce 780 dans le sens     dextrorsum        (fig.    8),       mouvement    qui est communiqué par les pièces  décrites au dispositif     d'alig#rrernent    778.

   A la       fin    de l'opération, la came 779 ramène     l'ali-          -rlreur    778 à sa position initiale, laissant ainsi  la glissière 712 et les     tambours-cames    388  libres de se déplacer     pour    l'opération     sui-          valrte.     



  Un autre dispositif d'alignement 800       (Fig.    37), sous forme d'un étrier fixé à. l'ar  bre 786, est prévu pour fixer la position des  couronnes dentées     74-l:    et 761-.         F zbr#aya.ge   <I>(les</I>     totalisateurs.     



  On a vu que les trois groupes de     totalisa-          tettrs        peuvent    osciller pour être     embrayés          avec    les     crémaillères    304, 305 et 306, pais en  être     débrayés,    sous     l'action    des     arbres    353,  373, 395 respectivement     (fig.    35, 49 et :r0).

    ('es     trois    arbres oscillent dans les opérations       d'addition    et     de        toi-al    et, dans ce dernier cas,  les     totalisateurs    peuvent soit. être remis à zéro,  soit rester en     leur    état     (sous-total).    Le     mou-          veillent    d'oscillation est,     obtenu    sous la     com-          iuallde    d'une série de disques de sélection à  encoches,<U>réglés</U>     par    les première et     deuxième     rangées de transactions.

   La mise en position  (le ces disques détermine celui des groupes  crue (toit être embrayé, ainsi que le genre       d'opération    (addition,     sous-total    ou     total).    La,    commande proprement dite s'effectue par une  série de     tâteurs    coopérant avec les disques à  encoches afin de déterminer la     connexion     appropriée et obtenir les différents temps       d'embrayage.    Une plaque de commande est  également prévue pour     déterminer    les temps  d'embrayage des tâteurs pendant l'opération.

         L'ensemble    consiste en plusieurs     disques    à  encoches 801, 802, 803, 804, 805, 806     (fig.    41)  disposés juste à l'extérieur du flasque droit  180     (fig.    77B).  



  Les disques 801, 803, 804 et 806 (voir  aussi     fig.    38, 40, 42, 43, 45, 47 et 52) sont  tous sous la commande de la première rangée  de transactions au moment où la glissière 712  est elle-même positionnée par les     touches    110  à 118. On a vu que lorsque la glissière 712 est  déplacée, l'arbre carré 743 est mis en rotation  par le segment 737     (fig.    8), par le segment  739 et la couronne 740.     Chaque    disque 801,  803, 804 et 806 présente     lui-même    une den  ture interne en prise avec un     pignon    787  porté par l'arbre carré 743, de sorte que ces  disques peuvent. prendre une position corres  pondant à celle de la glissière 712.  



  Le disque à encoches 802     (fig.    39, 41 et       77B)    dépend de la deuxième rangée de trans  actions lorsque la glissière 712 de cette der  nière rangée est elle-même déplacée suivant  les touches 101 à 109. Lors du déplacement  de cette glissière, l'arbre carré 763 est mis en  rotation par le pignon 757     (fig.    37), par le  segment 758 et la couronne 760 qui fixe la  position des roues imprimantes. Le disque 802       (fig.    39) présente une denture interne en  prise avec un pignon 788 monté sur l'arbre  carré 763, de sorte que le disque en question  prend une position proportionnelle à celle de  la glissière 712.  



  Le disque 805     (fig.    46) maintient normale  ment tous les tâteurs écartés des disques jus  qu'à ce qu'au temps voulu, la rotation de ce  disque 805 libère les     tâteurs.     



  Lorsqu'on désire produire l'embrayage  d'un totalisateur avec les crémaillères 304.,  305 ou 306 pour une addition, les arbres de  sélection correspondants 353, 373 ou 398 sont  accouplés avec un levier à. trois branches 81.0           (fig.    48 et. 53) monté fou sur l'arbre 302, ce  levier étant actionné aux temps d'addition.  Pour les     opérations    de total, les arbres 353,  373 ou 398 sont accouplés avec un autre le  vier à. trois branches 811     (fig.    48 et 52) d'une  forme différente du premier et qui est  actionné aux temps voulus correspondant soit  au     sous-total,    soit au total.  



  Les organes d'accouplement entre les le  viers 810 et 811, d'une part, et l'arbre 353  pour le groupe avant des totalisateurs, com  prennent un goujon 813     (fig.    48) porté par  une bielle 814 articulée à un bras 815 fixé  sur l'arbre 353. Ce goujon 813 reste normale  ; ment dans une position intermédiaire, hors  de portée des deux leviers<B>810</B> et 811. Lorsque  la bielle 814 oscille dans le sens     dextrorsum     autour de son articulation avec le bras 815,  le goujon 813 est amené dans une encoche  816 du levier     d'addition    810, et -lorsque ce  dernier oscille, l'arbre 353 et, par conséquent,  le groupe avant de totalisateurs sont em  brayés avec les crémaillères 304 aux temps  correspondant au mouvement de la. glissière.

    Si la bielle 814 oscille dans le sens     senestror-          sum,    le goujon 813 est amené dans une     en-          eoche    817 du levier de total 811 et aux temps  appropriés du cycle. L'embrayage de l'arbre  353 et.     dü    groupe avant se fait aux temps cor  ,     respondant    à une opération de     totar    ou de       sous-total.            Embrayage        dit        groupe        avant   <I>de</I>     totalisateurs          (addition).     



  On a indiqué plus haut que le groupe  avant, portait des totalisateurs qui accumulent  les  Versements . Par conséquent, ce groupe  est embrayé seulement si l'une des touches  de  Versement  est enfoncée soit seule, soit  en combinaison avec la touche de  Liste  ou  la touche de  Répétition  situées dans la pre  mière rangée.  



  Le levier à trois branches 810 pour l'addi  tion     (fig.        48    et 53) est basculé aux temps cor  respondant à l'addition par une double came  820 (voir aussi     fig.    13) fixée sur l'arbre prin  cipal 229 et avec laquelle coopèrent des galets  821 portés par (in levier coudé 822 pivotant    en 833 sur le flasque droit 180. Une bielle 824  relie ce levier 822 au levier à trois branches  810. Lorsque le goujon 813     correspondant    au  groupe avant     s'en-age    dans l'encoche 816, la  double came 820 fait basculer le levier 822  d'abord dans le sens     dextrorsum        puis    dans  le sens contraire, entraînant ainsi le levier  à trois branches 810.

   Ce mouvement est trans  mis à la bielle 814, au bras 815 et à l'arbre  353 qui oscille (fi-. 48) dans le sens     senes-          trorsum    puis dans le     sens    contraire. Par l'in  termédiaire du bras 356 et du chemin de came  354     (fig.    50), les roues totalisa,,     rices        3:ï0    sont  embrayées avec les     crémaillères        30.1.    Le     temps     de fonctionnement de la double came 820     est     tel que le levier à trois branches 810 oscille  une fois que la. crémaillère 304 a été mise en  position par les touches.

   Après     l'embrayage,     les crémaillères retournent. à. la position     iior-          niale    et, pendant ce     iïiottvenient,    1e montant  composé     sur    le clavier est     enregi#>t.ré- < lan    s le  totalisateur, après quoi la came     8'0        ramène     le levier à. trois     bra.rielies    810 à la position ini  tiale, produisant ainsi le débrayage du totali  sateur.  



  Le mouvement du goujon 813 dans     l'en-          eoche    816 (Addition) se fait sous la com  mande des disques 803, 803 et     80-1    (fi-. 43,  44 et 45). En plus de son déplacement. clans  l'encoche 816, le     goujon    813 pénètre égale  ment dans une ouverture 825     (fig.    44) pra  tiquée     clans    art levier coudé     826    pivotant en  <B>827.</B> C e levier porte un     goujon    828 en prise  avec deux     cliquets        8\19    et 830 reliés par un  ressort 831.

   Ces deux     eliquets    entourent égale  ment un téton 832 porté par un levier à  trois branches 833 tournant sur l'arbre 302 et  relié à un levier 834     (fig.    40) par une bielle  835. Le levier 834 est monté sur le goujon  323 mentionné plus haut- et présente une  paire de galets<B>837</B>     eool#érant    avec une double  came 836 fixée sur l'arbre principal 229.  



  La rotation de la came 836 produit, par  l'intermédiaire (les     pièces    décrites, la position  du goujon 832. Lorsque ce dernier est en po  sition de repos, il commande la mise en posi  tion des cliquets<B>829</B> et. 830     (fig.    44) pour  maintenir le levier coudé<B>826</B> et, par consé-           quent,    le goujon 813, dans leur position nor  male ou inactive, dans     laquelle    le goujon n'est  en prise ni avec le levier 810,     iii    avec le levier  811.  



  Le temps de fonctionnement de la came  836 est tel     que    le levier à trois branches 833  oseille dans le sens     dextrorsum    au début de  l'opération pour revenir à sa position initiale  une fois que les crémaillères 304 ont été     mises     en position. Le levier 833 revient même     au-          delà    de sa position de repos, puis, vers la fin  (le l'opération, la came 836 agit à nouveau  pour ramener le levier 833, dans le sens     dex-          trorsuin,    à sa position normale.

   Si, pendant  l'oscillation du levier à trois branches 833 et       du    goujon 832, le levier 826 est libre de fonc  tionner, le     goujon    828 fait basculer le cliquet  8,30 dans le sens     dextrorsum    ainsi que le cli  quet 829     grâce    au ressort 831, pour amener  le goujon 828 et le levier 826 à déplacer le       ouujon    813 dans l'encoche 816 du levier d'ad  dition<B>810.</B>  



  Ce sont les disques à encoches 802, 803 et       80-1    qui déterminent le mouvement d'engage  ment du     -oujoii    813 dans l'encoche 816, que  le levier coudé 8'26 soit ou non libre de se dé  placer. Le     mécanisme        qui        commande    le     mou-          veinent        de    ce levier 826 par les disques     com-          prend    une bielle     8-10    (fi-. 44) dont. l'une des  extrémités est. articulée au levier 826 et l'au  tre à une paire de tâteurs     8-11,    842.

   Ces     tâ-          teurs    sont relié, de     faeon    à se déplacer en  semble et     pivotent    en     8-13    (voir aussi fia. 19).  L'extrémité libre du     tâteur    841 présente un  goujon     811    qui coopère avec la périphérie du  disque 804     (tig.    45). Le tâteur     8-12    présente  un goujon 845 coopérant avec la périphérie  des disques 802 et 803     (fig.    43 et 44).  



  Si, pendant la rotation     senestrorsum    du  levier à trois branches 833, lorsque le goujon  832 agit sur les cliquets 829 et 830, le levier  coudé 826 est libre de se déplacer, alors le       Ioujon    813 peut pénétrer dans l'encoche 816       du    levier d'addition 810. Ceci se passe lors  ; que des encoches des disques 802 et 803 se  trouvent en face du goujon 845     (fig.    43).  Comme représenté en     fig.    44, des encoches 849  et 850 sont prévues sur le disque 802, et ces    encoches se trouvent en face du goujon 845  lorsqu'on utilise les touches de  Retrait  102  ou 106 de la deuxième rangée de transactions.

    De même, lorsqu'on emploie la touche  Liste   112, la touche  Répétition  114 ou aucune  touche dans la première rangée, on peut de  voir désirer embrayer le totalisateur avant,  de manière à enregistrer un montant dans le  totalisateur du premier groupe. Si la. machine  fonctionne avec l'utilisation de la touche de   Liste , l'encoche 846     (fig.    43) est amenée  sur le trajet du goujon 845. Si la     machine     fonctionne avec la touche de  Répétition   114, c'est l'encoche 847 qui est amenée sur le  trajet de ce goujon.     Enfin,    si aucune touche  n'est utilisée dans la première rangée, c'est  l'encoche 848 qui se trouve en face du goujon  845.  



       Lorsqu'une    encoche 849 ou 850 est, en  combinaison avec une encoche 846, 847 ou  848, amenée sur le trajet du goujon 845, lors  que le levier à trois branches 833 oscille dans  le sens     senestrorsum,    le goujon 828 est libre  de se déplacer, puisque à ce moment le goujon  845 peut pénétrer dans les encoches. Par con  séquent, le goujon 813 pénètre dans l'encoche  816 du levier à trois branches 810     (fig.    53)  et, pendant l'opération, le groupe avant de  totalisateurs est. embrayé, pour une addition,  avec les crémaillères 305.  



  Si, d'autre part, on     utilise    l'une des tou  ches 101, 103 à 105 ou 107 à 109 de la  deuxième rangée de transactions, ou encore  une touche 110, 111, 113 ou 115 à 118 de la  première rangée, une     partie    pleine des dis  ques se présente sur le trajet du goujon 845.  Pendant une opération de ce genre, lorsque le  levier à trois branches 833 oseille dans le sens       senestrorsum,    ainsi que le cliquet 830, le gou  jon 828 se trouve être maintenu, car le levier  826, la bielle 840 et le tâteur 842 sont stoppés  par le disque 803. Pour une telle opération, le  goujon 813 ne peut pénétrer dans l'encoche  816 et le groupe avant de totalisateurs n'est  pas embrayé.  



  Pour les opérations pendant lesquelles le  disque 803 empêche l'embrayage, le cliquet  830 tend le ressort 831, et lorsque le goujon      832 retourne en position normale, ce ressort  rappelle le cliquet 830 à sa position initiale.  



  Le goujon 813 est maintenu dans sa posi  tion     intermédiaire,    entre les encoches 816 et  817     (fig.    48) grâce au levier coudé 826       (fig.    44) et, dans sa position latérale, il est  maintenu par un épaulement 851 prévu sur  le levier d'addition 810. De même,     1le    bras 815       est    retenu par un manchon 852 porté par le  goujon 827.  



       i;nzbragage   <I>dit groupe</I>     avant   <I>de</I>     totalisateurs     <I>.</I>     (total   <I>et</I>     sous-total).     



  Le levier à trois branches 811, pour les  opérations de total, est actionné dans les opé  rations de remise à zéro, par une double came  855     (fig.    13 et 51) montée sur le manchon  233. Des galets 856 portés par un bras 857 co  opèrent avec cette came, et le bras 857 pré  sente une partie fourchue 858 en prise avec  un galet. 859 porté par une bielle 860 décrite  plus loin. Le galet 859 est porté par un gou  jon 861 auquel est articulée une bielle 862  dont l'extrémité supérieure est reliée au- levier  de total 811. Lorsque la came 855 tourne, le  bras 857 oscille     dans    le sens     senestrorsum     pour soulever la. bielle 862 et faire osciller  ainsi le levier 811 dans le même sens.

   Si, à  ce moment-là, le goujon 813 se trouve dans  l'encoche 817 du levier 811, le groupe avant.  de totalisateurs est embrayé avec les crémail  lères 304, avant que celles-ci soient. actionnées  pour remettre les roues totalisatrices à zéro.  Une fois que ces roues sont à. zéro, le levier  811 est ramené dans le sens     dextrorsum    par  la came 855, ce qui produit. le débrayage du  totalisateur. Ensuite, les crémaillères 304 sont.  ramenées à. leur position normale, de sorte  qu'à la fin de l'opération, les roues totalisa  trices restent. à zéro. Le galet. 859 est main  tenu normalement dans l'encoche 858 du bras  857 par un train de bielles et leviers actionné  par une came 863     (fig.    52). Cette came co  opère avec un galet 864 porté par un levier  865 pivotant en 866.

   Ce levier 865 est relié,  par une bielle 868, à un autre levier 867, et  un ressort 869 tend à maintenir le galet 864  en contact. avec le pourtour de la came 863.    Le levier 867 est relié. à sa partie supérieure,  à la bielle 860     mentionnée        ci-dessus.    Pendant  le fonctionnement de     ia        machine,    lorsque la  came 863 tourne dans le sens de la flèche       (fig.    52), le     ressort        8(i9    agit sur le     le-ier    86>,

    déplaçant ainsi la bielle<B>868</B>     vers    la gauche  pour amener un tuteur<B>873</B> en contact avec  la périphérie du disque à     encoches    806. Si ce  tâteur 873 rencontre une partie pleine     du    dis  que, le galet 859 reste engagé dans     l'encoche     858 et le levier de     totai        8l.1        petit    osciller aux  temps correspondant au total.

   Le disque 806  est réglé sous le contrôle de la première  rangée de touches et, par conséquent, lors  qu'on utilise la touche 115,     unie    partie pleine  du disque 806     vient    se placer sur le trajet du       tâteur    873, de sorte que le galet 859, restant  dans l'encoche 858, peut produire l'oscillation,  aux temps voulus, du levier total<B>811.</B> Le to  talisateur de liasses approprié est donc em  brayé pour une opération de total, c'est,   à-dire de remise à zéro.  



  Pour les opérations de     sous-total,    le levier  811 est actionné par la double came 855 en  combinaison avec une double came , 878       (fig.52).    Le levier<B>811,</B> pour ce genre d'opé  ration, est basculé dans le sens     senestrorsum     par la came 855 et dans le sens     dextrorsum     par la came 878. La     commande    de ces mou  vements se fait. comme suit:     Lorsqu'on    en  fonce la. touche 116 (Lecture     Liasse),    le diffé  rentiel de la première rangée règle la posi  tion du disque 806 afin de présenter une en  coche sur le trajet du     tâteur    873.

   Une fois  que le totalisateur est embrayé et qu'il a été  remis à zéro, la came 863 libère le levier coudé  865, de sorte que le     tâteur    873 peut pénétrer  dans l'encoche du     disque    806. Par ce     rnouve-          nient,    le ressort 869 fait osciller le levier<B>867</B>  dans le sens     dextrorsuni,    ce qui déplace la  bielle 860 vers la droite pour écarter le galet  859 de l'encoche 858 pour pénétrer dans une  encoche 874 pratiquée dans un bras 875 pivo  tant sur le goujon 823. Le bras 875 est soli  daire d'un bras 876 muni de galets 877 co  opérant avec la double came 878.  



  La came 863 est solidaire d'une roue  dentée 879 engrenant     avec,    le pignon 231 men-           tiotiné    plus haut. Les temps de mouvement  des cames 855, 863 et 878 sont tels que le pre  mier mouvement des cames 855 et 878 fait       osciller    les bras respectifs 857 et 875 dans le       sens        senestrorsum.    Si, après ce mouvement, la  came 863 libère le tâteur 873 qui peut venir  en contact avec une     partie    pleine da disque  806, le galet. 859 reste dans l'encoche 858.

   La  came 855 fait basculer alors le bras 857 dans  le sens     dextrorsum    dans sa position initiale,,  en     entraînant    la bielle 862 pour débrayer le  totalisateur aux temps de remise à. zéro.     Ltant     donné que le bras 857 est déplacé avant le  bras 875, on a dît prévoir pour ce dernier un       certain    jeu pour le galet 859.  



  Si, pendant. l'opération de la machine, le       tâteur        873    pénètre dans une encoche du     dis-          due    806, une fois que les bras<B>857</B> et 875 ont  été déplacés dans le sens     senestrorsum,    le ga  let 859 est amené     dans    l'encoche 874 du bras  875. Ensuite, le bras 857 est rappelé à sa po  sition inférieure et,     comme    le galet 859 a été  écarté de l'encoche 858, la bielle 862 reste  dans sa. position supérieure.

   Un peu plus tard,  au cours du cycle, lorsque le bras 875 est  rappelé à sa position de repos, l'encoche 874  entraîne la. bielle 862 vers le bas pour dépla  cer le levier total 811 et, par conséquent,     pro-          (luire    le débrayage du totalisateur une fois  que le montant extrait a été     réadditionné.     



  On voit d'après ce qui précède que les bras  857 et. 875 sont déplacés simultanément dans  le sens     senestrorsum    et que,     pendant    ce temps,  le bras 857 produit. l'embrayage du totalisa  teur. Si, une     fois    que les bras sont ainsi dé  placés, le     tâteur    873 se meut de façon que le  galet 859 soit écarté de l'encoche 858 pour  être amené dans l'encoche 874, le bras 857 est  rappelé à vide et c'est le bras 875 qui ramène  le levier 811 aux temps correspondants au       sotis-total.       A la fin de chaque opération, la came 863  rappelle le levier coudé 865 et le     tâteur    873 à  leur position de repos représenté en     fig.    52.

    A ce temps-là, le galet 859 est ramené dans  l'encoche 858 et ce à. la fin de chaque opéra  tion.         F,ni,bî@ti-yage   <I>des</I>     totalisateurs   <I>du</I>     groupe     <I>arrière.</I>  



  L'embrayage du totalisateur sélectionné du  groupe arrière avec les crémaillères 305       (fig.    35) s'effectue sous la commande de qua  tre disques à encoches 801 à 804     (fig.    3.8 à  42). Comme on l'a vu, les disques 801, 803 et  804 sont commandés par la première rangée  de transactions et le disque 802 par la  deuxième, par     l'intermédiaire    des arbres  carrés 743 et 763.

   L'arbre 373 portant le  groupe arrière     (fig.    19) est relié à un bras  881 (voir aussi     fig.    48) articulé à une bielle  882 qui peut osciller soit dans le sens     dextror-          sum    pour amener un goujon 883 en prise  avec le levier d'addition 810, soit dans le sens       senestrorsum    pour amener ce goujon en prise  avec le levier total 811, exactement comme  pour le cas du groupe avant. Cette oscilla  tion de la bielle 882 est commandée par des  tâteurs qui coopèrent avec les disques 801 à  804. Le goujon 883     (fig.    40) est engagé dans  une ouverture prévue dans un bras 884 pivo  tant en 885 sur le bâti.

   Le pivot 885 porte  également deux cliquets élastiques 886 et<B>887</B>  reliés par un ressort 888. Le bras 884 porte  un goujon 8891 serré entre les deux cliquets  886 et 887. Le levier à trois branches 833  porte un goujon 890 qui est en contact égale  ment., par des arêtes opposées, avec les     cli-          quets    élastiques 886 et<B>887.</B>  



  Quand le levier à trois branches 833  oscille dans le sens     dextrorsum,    comme expli  qué plus haut, le goujon 890 fait basculer le  cliquet 886 dans le sens contraire contre  l'action du ressort 888. Si, à ce moment-là, le  bras 884 et le goujon 8891 sont libres de se  déplacer à gauche, le goujon 883 vient s'enga  ger dans une encoche 880 du levier de total  811, ce mouvement étant commandé par le  disque 804     (fig.    42). En effet, le bras 884  est articulé à une bielle 891 dont l'extrémité  inférieure est reliée à un bras tâteur 898 por  tant un goujon 889 pouvant coopérer avec la  périphérie du disque     80#r.     



  Lorsque le levier à trois branches 833       tourne        dans    le sens     dextrorsum    pour tendre  le     ressort    888 et tirer     ainsi    le cliquet 887      contre le goujon 8891, le bras 884 tend à bas  culer dans le sens     senestrorsum    et. à déplacer  la bielle 891 vers la droite, ce qui a pour  effet. d'amener le goujon 889     Pu        contact.    avec  la périphérie du disque 804     (fig.    42).

   Si le  goujon rencontre une partie pleine du disque,  le mouvement de la     bielle    891 est arrêté et le  bras 884 ne peut osciller dans le sens     senes-          trorsum        pour    amener le goujon 883 dans L'en  coche 880 du levier 811. Si, par contre, le  goujon 889 pénètre dans une encoche du dis  que de sélection 804, le     ressort    888 agissant  sur le     cliquet    887 fait osciller le bras 884  dans le sens     senestrorsum    pour     amener    le gou  jon 883 clans l'encoche 880. Le disque 804 est  conçu de façon telle que seules les touches   Total  117 et      Sous-total     118 correspondent.

    à des encoches du disque 804. Toutefois, ce  disque présente     également        ime        encoche    pour  la position     (lui    correspond à     aucune    touche  enfoncée clans la première rangée.  



  L'extrémité inférieure de la bielle 891       (fig.    40) est également articulée à un levier  892 supportant un cliquet muni d'un doigt  894 susceptible de coopérer avec le pourtour  du disque de sélection 803     (fig.    38) et d'un  autre doigt 895 coopérant avec le disque 802       (fig.    39). Ces doigts 894 et 895 forment une  sorte de cliquet 893 grâce à un goujon 853       auquel    est accroché un ressort 897 fixé, d'au  tre part, au levier 892. Le ressort 897 main  tient normalement le cliquet 893     dans    sa po  sition centrale. Un troisième doigt 896 formé  sur le levier 892 coopère avec le disque de  sélection 801.  



  Lorsque le     levier    à, trois branches 833  oscille dans le sens     senestrorsum    au-delà. de  sa position normale, le goujon 890 fait tour  ner le cliquet 887 dans le sens     dextrorsum,     entraînant le cliquet 886 dans le     même        sens.     Si le bras 884 est libre de se déplacer sons  l'action du ressort 888, dans le cas où nue ou  des encoches se trouvent en face des doigts  894, 895 et 896, le bras 884 déplace alors, par  l'intermédiaire de la bielle 882, le goujon 883  qui pénètre dans une encoche 904     (fig.    48 et  53) du levier d'addition 810.

   Si le doigt 896  ou les deux doigts 894 et 895 rencontrent une    partie pleine du disque     respectif    501, 802 ou  803, la bielle 891 est arrêtée et le goujon 883  ne peut venir en prise avec le levier d'addi  tion 810.  



  On a indiqué plus haut que le disque de  sélection 801 est commandé par la     première     rangée de transactions et que le     doigt    896 co  opère avec ce disque. Comme représenté à la       fig.    40, ce disque présente des encoches en  face du doigt 896 lorsque la     machine    fonc  tionne avec la touche  Liste  ou la touche        Répétition     on lorsque aucune touche     n'est     enfoncée.  



  Le disque de sélection     80:;    est commandé  par la première rangée et présente des enco  ches au doigt     89.1    lorsque la touche  Liste   est enfoncée ou lorsque aucune touche n'est  utilisée dans cette rangée.  



  Le disque de sélection 802 est     commandé     par la deuxième rangée de transactions et. pré  sente une ou des encoches au doigt 895 lors  qu'on utilise la touche 101  Divers B , la  touche 102  Retrait B , la touche 1.03  Ver  sement B , la touche 105  Divers A , la tou  che 106  Retrait. A  ou la touche 107  Verse  ment A .  



  On indiquera dans ce qui suit un exemple  montrant comment. se fait     l'engagement    du  goujon 883 dans l'encoche 904 du levier d'ad  dition 810, lorsque le levier 884 peut libre  ment osciller; lorsque la touche de  Liste  est.  utilisée, une encoche du disque 801 est amenée  en face du tâteur 896 du levier 892 et une en  coche du disque 803 en face du doigt tâteur  894. Pour ce genre d'opération, l'une quelcon  que des touches 101 à 103, 105 à 107 de la  deuxième rangée peut être utilisée, par exem  ple la touche 106  Retrait A . L'utilisation de  cette touche a pour effet. d'amener une enco  che du disque 802 sur le trajet du doigt.     tâ-          teur    895.

   Ensuite, pendant l'opération,     alois     que le levier à trois branches 833 oseille dans  le sens     senestrorsum,    le cliquet<B>887</B> tend le  ressort 888 et fait basculer le bras     88-1    clans le  sens     dextrorsum    pour abaisser la bielle 891 et  engager le doigts 895, 894 et 896 dans leurs  encoches respectives, de sorte que le goujon  883     petit    pénétrer dan.> l'encoche 904 du levier      (l'addition 810. Par conséquent, pour cette  opération, le groupe arrière de totalisateurs  est embrayé pour une addition.

   La sélection       clic    totalisateur dépend de la touche utilisée,  par     exemple    la touche  Retrait     A .     



  Le groupe arrière est embrayé,     polir    les  opérations de total ou de sous-total, de la       niênie    manière que     polir    le groupe avant. Le       mécanisme    correspondant est représenté aux       fi,.    51 et     ;52    et est commandé par le disque  de sélection 806 coopérant avec le tâteur 873.  Le temps d'opération des tâteurs     81-2,    841 et  898 est déterminé par le disque de sélection       SO5        (fig.    46 et     77B).    Une bielle 900 relie le       disque    de sélection 805 à un levier 901 pré  sentant une rampe 902.

   Un     ressort    903 main  tient la partie inférieure du levier 901 en       contact.    avec un téton 908 porté par le     bati,     et ce ressort tend normalement à faire tourner  le disque 805 dans le sens     dextror8nni.    Un  téton 906 porté par une des cames 723 prévue  pour le différentiel de la première     rangée    de  transactions a pour objet d'actionner le levier  901, et ce téton 906     est    disposé sur la came  723 de     faeon    qu'une fois que les     disques    801  à 804 ont été positionnés,

   le téton 906 vient  en contact avec la rampe 902 et fasse basculer  le levier 901 dans le     sens        senestrorsum    et,  par     conséquent,    le disque 805 dans le même  sens, libérant, ainsi les bras 841 et 898 à. l'ac  tion de leur ressort.  



       Jlécanisrri.e        d'embrayage   <I>des</I>     totalisateurs          (groupe        supérieu.r).     



  Le mécanisme d'embrayage pour le groupe       supérieur,    pour les opérations     d'addition    et  de total, est représenté à la     fig.    47. Le levier  à trois branches 833 porte un ergot 911 qui       commande    le mouvement d'un autre ergot  912 qui, on l'a. vu, peut venir en prise soit  avec le levier d'addition 810, soit avec le le  vier total 811. Le goujon 911 est entouré par  deux pièces     9=t3    et 914 reliées     élastiquenient          par    un ressort 915. Un bras 916 pivotant en       S)17    est muni d'un goujon 918 également  inséré     entre    les pièces 913 et 914.

   Le goujon  912 est.     porté    par une bielle 919 (voir égale  ment     fi@g.    48) pivotant. sur un bras 920 fixé         .sur    l'arbre 398. Ce bras 920 oscille à des  temps correspondant à l'addition ou à, la re  mise à zéro, suivant que le goujon 912 est en  prise avec une encoche 923 du levier d'addi  tion 810 ou avec une encoche 924     chi    levier  total 811.  



  La rotation du levier 833     entraîne    celle de,  la pièce 913 dans le sens     senestrorsum    et le  ressort 915 tend à entraîner la pièce 914. Mais  celle-ci ne peut suivre que si le bras 916 por  tant le goujon 918 est libre de se mouvoir  dans le sens     senestrorsum,    mouvement qui est  commandé par     lin    doigt 925 restant normale  ment sur le trajet d'un goujon 9201 porté par  un tâteur 921     (fig.    47).         Totalisateur   <I>de solde</I>     (total   <I>et</I>     soics-total).     Le groupe supérieur est, pour les opéra  tions de total et sous-total, commandé par la  touche 110 ou la touche 111.

   Pour produire  l'embrayage du groupe supérieur avec le le  vier total 811, il faut que le tâteur 921       (fig.    47) puisse osciller dans le     sens        senes-          trorsum,    mais ce mouvement est normalement  empêché par le doigt 925 qui se trouve sur le  trajet du goujon 9201. Le doigt. 925 est gou  pillé sur un arbre 926 portant, d'autre part,  un levier coudé 927 se trouvant sur le trajet  des goujons 579 portés par les touches 110 et  111. Le levier 927 présente un doigt 929 en  contact, sous l'action d'un ressort 928, avec  une bague 930, ce qui détermine la position  exacte du doigt 925 contre le goujon 9201.

    Quand on enfonce l'une des touches 110 ou  111, le levier coudé 927 oscille dans le sens       dextrorsum    contre l'action du ressort 928 et  le doigt se trouve écarté du goujon 9201. En  suite, pendant l'opération de la machine, au  moment où le levier 833 oscille, une bielle 922  articulée entre le bras 916 et le tâteur 921 en  traîne ce dernier dans le sens     senestrorsum.     Par conséquent, le bras 916 oseille dans le  même sens     polir    amener le goujon 912 dans  l'encoche 924 du levier total 811.  



  L'enfoncement de la touche de  Solde   1.1.0 commande également la mise en position  du disque à encoches 806 et ce par l'intermé  diaire du différentiel de la première rangée      de transactions. Pour cette position, c'est une  partie pleine du disque 806 qui se trouve sur  le trajet du doigt 873     (fig.    52) commandant  ainsi la position du galet 859 pour les opéra  tions de total, comme expliqué plus haut.  L'enfoncement de la touche      Sous-total     111  positionne le disque 806 de façon qu'une en  coche se présente sur le trajet du doigt 873 et  que le galet 859 soit en position correspon  dant à une opération de sous-total.  



  Par contre, l'utilisation des touches 110  et 111 amène une partie pleine du disque 806  en face du goujon 9201     (fig.    47), de sorte  que, pour les opérations de solde et     sous-total     solde, le bras 921 est retenu et le goujon 912  ne peut pas pénétrer dans L'encoche du levier  d'addition 810.         Totalisateur   <I>balance (addition).</I>  Lorsque le levier à trois branches 833       (fig.    47) oscille dans le sens     senestrorsum     au-delà de sa. position de report, le ressort  91.5 tend à déplacer le bras 916 dans le sens       dextr        orsum,    ce mouvement étant commandé  par le disque 806.

   Quand le levier 833 oseille,  une encoche du disque 806 se trouve en face  du goujon 9201 et la bielle 922 fait osciller  le bras 916 pour amener le goujon 912 en  prise avec l'encoche 923 du levier d'addition  810.  



  Le disque 806 présente des encoches pour  les positions d'embrayage en addition du tota  lisateur supérieur, lorsque la touche  Liste   112 ou la touche  Addition  113 est enfoncée.  Par conséquent, lorsque l'une de ces deux tou  ches est utilisée, le fait qu'une encoche se  trouve en face du goujon 9201 fait que le  groupe supérieur est embrayé pour     tune    addi  tion.  



       Mécanisme   <I>de</I>     déclenchement   <I>et</I>     commande     <I>des cycles.</I>  



  Lorsque la machine est déclenchée, un cy  cle est effectué ou, pour certains cas, deux  cycles successifs, suivant le genre de touche  qui est utilisé dans les rangées de trans  actions. Pour une addition, la machine ne fait  qu'un cycle     ainsi    que pour un total extrait du    groupe supérieur, cette dernière opération  étant déclenchée par la touche 110 ou la tou  che 111. Pour un total extrait des     deux    autres  groupes de totalisateurs, la, machine effectue  deux cycles successifs, opération qui est dé  clenchée par l'emploi des touches      R.    à zéro  Liasse  115,  Lecture liasse  116,  Total  117  ou      Sous-total     118.

   Pendant le premier de  ces deux cycles, l'arbre principal 229     (fig.    13)  est arrêté quelque peu avant qu'il commence  sa rotation, et les cames 723 et 779, en com  binaison avec une came 936 de commande des  cycles, effectuent deux révolutions complètes.  Dans ce qui suit, on appelle  cycle  une révo  lution entière des cames 723, 779 et 936.  



  Pendant la première rotation des cames  723, le totalisateur sélectionné est amené dans  la position voulue pour que le total en soit  extrait, tandis que pendant la deuxième rota  tion l'arbre 229 est entraîné pour compléter  sa rotation. Le mécanisme de commande des  cycles est prévu pour simplifier les opéra  tions de total     lorsqu'un    seul cycle suffit, par  exemple pour extraire un total du groupe  fixe, de sorte que les opérations à deux     cycles     ne sont nécessaires que dans les cas où il est  nécessaire de sélectionner un totalisateur  avant l'extraction du total.  



       Mécanisme   <I>de</I>     déclenchement.     Comme on l'a décrit plus haut, l'emploi  d'une touche motrice 101 à 108 de la deuxième  rangée de     transactions    ou d'une touche 110,  111 ou 113     (fig.    17 et 57) a pour effet de dé  placer les détentes 665 et 601 respectivement,  pour faire osciller l'arbre 605 et le bras 606  et libérer le bras 608 et l'arbre 264 qui dé  clenche l'opération de la machine     (fig.    68).  Sur l'arbre 264 est goupillé un bras 937 relié,  par une bielle 939, à une plaquette 938 pivo  tant en 940.

   Un ressort. 941 tend à faire oscil  ler normalement la plaquette 938 dans le sens       dextrorsum,    c'est-à-dire le bras 937 et l'arbre  de déclenchement 264 dans le sens contraire.  Cette rotation de l'arbre 264 est normalement  arrêtée par un téton 607 en prise avec un  épaulement du bras 606. Lorsqu'on enfonce  une touche motrice, comme on 1'a     vu    plus      haut,     déplaçant    ainsi le bras 606 pour écar  ter l'épaulement du téton 607, le ressort 941  agit par les     pièces    décrites et la plaquette 938  vient en contact. avec un goujon fixe 933.  



  Cette oscillation de la plaquette 938 a pour  effet d'écarter une arête     94-1    d'un téton carré  945 porté par un levier coudé 946 fixé sur l'ar  bre 947. Un     ressort    948 tend à faire     tourner    le  levier 946 dans le sens     senestrorsuni,    ce     qui     maintient. normalement le carré 945 en con  tact avec l'arête     9-14.    Mais, lorsque la pla  quette 938 oseille, c'est une encoche 949 qui  vient. se placer en face du carré     9-15,    permet  tant. ainsi an ressort 948 de faire basculer le  levier coudé 946 et, par conséquent, l'arbre  947 (voir également     fig.    67).

   Ce dernier mou  vement est transmis à un bras 950 se termi  nant par un accroche-ressort 95\? pour un  ressort. 951 fixé, d'autre part, à un goujon 953  d'un levier 954 agissant sur un interrupteur  électrique. Le ressort 951 maintient normale  ment une arête 955 du levier 954 en contact  avec le goujon 952 et, lorsque le bras 950  oseille dans le sens     senestrorsum,    il entraîne  le levier d'interrupteur 954 dans le sens con  traire. Une biellette 956 relie le levier     954-    à  un levier coudé 957     pivotant    en 935 et se ter  niinant par un bloc isolant. 958 qui maintient  une lame de contact. 959 en position ouverte.

    Cette laine pivote en 934 et, lorsque le levier  d'interrupteur 954 oscille dans le sens     dex-          tror:sum,    la. bielle 956 et le levier 957 amènent  la laine 959 contre une autre lame 961 pour  fermer le circuit du moteur électrique 216. Le  levier coudé 946     (fig.    68) est fourchu à son       extrémité    et reçoit un ergot. 962 porté par un  bras 963 monté fou sur l'arbre 940. Lorsque  la plaquette 938 oscille après l'enfoncement.

         d'une    touche motrice, pour amener l'encoche       S1-19    sur le trajet du goujon carré 945, le res  sort     9.18    entraîne le bras 963 de façon     qu'une     rampe 964 soit sur le trajet d'un galet 965       disposé    entre un disque 966 et une     eanie    975       (fig.    69) goupillée sur l'arbre principal     '?29.     1)e     même,    une arête 967 de la plaquette 938       vient    sur le trajet du galet 965.  



  A peu près au milieu de la révolution de  l'arbre principal (voir diagramme des temps    de     fig.    126), le galet 965     -,,-fient    en contact. avec  la rampe 964 et fait basculer le bras 963     dans     le sens     senestrorsum,    tandis que le levier  coudé 946 pivote dans le sens contraire pour  écarter le carré 945 de l'encoche 949. L'arbre  947 tourne également en entraînant le bras  950 qui tend le ressort 951. A ce moment, le  levier d'interrupteur 954 ne peut pas suivre  le mouvement, car un galet 968     (fig.    67) est  en contact avec la périphérie d'une came 969  fixée sur l'arbre à cames 229.

   Le disque 966  continuant à tourner, le galet 965 vient tou  cher l'arête 967 de la plaquette 938 qui bas  cule dans le sens     senestrorsum    à sa position  initiale, mouvement qui est transmis par la  bielle 939 au bras 937 et enfin à l'arbre de  déclenchement 264 qui est amené au-delà de  sa position normale, pour laquelle le bras 606  est à nouveau amené sur le trajet du carré  607. Les     ressorts    602 et 667 font tourner  l'arbre 605 et le bras 606 de faon que ce  dernier     s'engage    avec le carré 607 lorsque ce  dernier est déplacé au-delà, des épaulements  du bras 606.

      Lorsque le bras 950 pivote dans le sens       senestrorsum    lors de l'utilisation d'une touche  motrice et que le levier d'interrupteur 954       ferme    le contact 959-961, le galet. 968 est.  soulevé hors de la came 969. Vers la fin de  l'opération, une partie de grand diamètre de  cette came vient effleurer le galet 968. A ce  moment-là, le levier d'interrupteur 954 est  sous la     tension    du ressort. 951, de sorte que  lorsque le contour de la came 969 s'écarte du  galet 968, le ressort 951 agit brusquement     sur     le levier 954, lequel ouvre les lames de cou  tact et interrompt le circuit du moteur 216.

      La machine s'arrête alors en position ini  tiale fixée par un épaulement<B>9701</B>     (fig.    14)  porté par le cliquet 223 qui vient, s'insérer  entre un     goujon.    9711 du pignon d'entraîne  ment 224 et un bras d'arrêt 972 fixé sur  l'arbre 947. Lorsque celui-ci oseille dans le  sens     senestrorsum,    lorsqu'une touche motrice  est enfoncée, le bras d'arrêt 972 est écarté de  l'épaulement 9701 et un ressort 973 fait bas  culer le cliquet 223 dans le sens     senestrorsum         pour l'engager avec l'embrayage 222, lequel  entraîne l'arbre principal 229.

   Lorsque le bras  950     (fig.    67) est ramené à sa position de re  pos par le galet 965, le bras d'arrêt 972 est  lui-même ramené     sur    le trajet de l'épaulement  9701, ce qui écarte le cliquet 223 de l'em  brayage 222 et arrête le mouvement de l'arbre  229 à sa position normale de repos.         Jlécanisnae   <I>de</I>     non-répétition.     



  Pour     empêciïer    qu'une seconde opération  s'effectue si l'opérateur laisse sa main sur  une touche motrice, on a prévu un dispositif  qui empêche     précisément    une telle deuxième  opération.     Lorsque    le bras 606     (fig.    6S)  oscille pour libérer l'arbre 264, un     cliquet    de       non-répétition    971 vient normalement en prise  avec la partie inférieure du carré 607. Ce  cliquet est     normalement    tenu en prise avec  un goujon 97q porté par le bras 606, sous       i    l'action d'un ressort 970.

   Si l'opérateur main  tient une touche dans sa position enfoncée  jusqu'à la fin de l'opération, les pièces que  l'on vient de décrire maintiennent le bras  606 dans sa     position    déplacée et lorsque     l'ar-          s        bre    de     déclenchement    revient au-delà de la  position de repos, le bras 606 ne vient pas en  contact avec le carré 607. Il     s'ensuit    que l'ar  bre 261 peut à nouveau être déclenché, mais  grâce au     cliquet    de     non-répétition    971 qui  3 vient, sous l'action du ressort 970; se placer  derrière le carré 607, une nouvelle opération  est ainsi empêchée.

   Lorsque     l'opérateur    relâ  che la touche qu'il tient abaissée, le bras<B>606</B>  est rappelé, par les ressorts 602 et 667, à la.  



  5 position de     fig.    68 et, pendant ce déplacement,  le goujon 971 ramène le     cliquet    971 à sa. po  sition normale, hors du trajet du carré 607.         Opérations   <I>à. un</I>     cycle   <I>(addition.).</I>  Comme on l'a vu plus haut, l'embrayage  228     (fig.    11 et 22), la came 936     (fig.    15), les  deux cames d'entraînement différentiel 723 et  l'engrenage 226 sont tous montés sur un man  chon 227 formant ainsi un ensemble qui peut  tourner sur l'arbre 229 indépendamment de  celui-ci.

   Cet ensemble de cames et d'engre  nages est relié à l'arbre principal 229 par un    embrayage qui est le suivant: l'arbre 229  porte un disque 981     (fig.    15 et 22) sur lequel  pivote un cliquet 982 maintenu normalement  en position active, c'est-à-dire en prise avec la  pièce 228, par un ressort 983. Ce ressort relie  le cliquet 982 à un     cliquet    de retenue 981  également en prise normalement avec la pièce  d'embrayage 228. Lorsque le moteur entraîne  l'embrayage 228 dans le sens de la flèche et  que le cliquet 982 est en prise avec la pièce  228, celle-ci fait tourner le disque 981 ainsi  que l'arbre principal. 229.

   Pendant une opé  ration d'addition à un cycle, le cliquet d'em  brayage 982 reste en prise avec la pièce 228  pendant la. révolution entière, de sorte que  l'ensemble de cames     (comprenant    la came  936 et les doubles cames 723) tourne avec  l'arbre 229. A la fin de l'opération,     lorsque     l'épaulement 9701     (fig.    11) du cliquet     22.\3     vient toucher le bras de butée<B>972,</B> on a v u  que la machine s'arrêtait.

   Pendant ce genre  d'opération à un cycle, les différentiels de  montants sont actionnés et le mécanisme d'em  brayage des totalisateurs est     commandé    pour  que ces totalisateurs embrayent avec les en  traîneurs aux temps correspondant à l'addi  tion, temps     commandés    par les touches de  transactions.

           Opérations   <I>à,</I>     un.        cycle   <I>(total).</I>  Lorsque la machine est déclenchée par une  opération par la touche  Solde <B>110</B> ou par  la touche      Sous-total    <B>111,</B> le     cliquet        d'eni-          brayage    982 reste en prise avec la pièce 228  et, pendant ce genre d'opération, l'ensemble  de cames tourne avec l'arbre principal 229.

    Les touches 110 et 111     commandent.    l'em  brayage et le débrayage du totalisateur avant,  comme décrit, ci-dessus,     polir    une opération  de total ou de     sous-total        respectivement.            Opérations   <I>à</I>     éleu,x   <I>cycles</I>     (total.).     Comme on l'a     expliqué    plus haut, les  groupes avant et arrière de totalisateurs sont.

    multiples et il est nécessaire d'effectuer une  opération préliminaire pour     laisser    le temps  de déplacer le     totalisateur    sélectionné et l'ali  gner avec les entraîneurs différentiels, avant      d'extraire le total proprement dit. Toutefois,  il n'est pas nécessaire d'actionner ces entraî  neurs pendant le premier cycle d'une opéra  tion à deux cycles et, pour éviter cette fonc  tion, ].'arbre à cames principal. 229 est dé  brayé de l'ensemble comprenant la came 936  et. les deux paires de cames 723. Cet ensemble       l'o ictionne    pendant. le premier cycle     indépen-          daniment    de l'arbre 229.

   Le débrayage de  l'arbre pendant le premier cycle est effectué  au moyen du cliquet 982     (fig.    15) que l'on       (lé#)-age    de l'embrayage 228     (fig.    14), au début  de l'opération, sous la commande de la touche       11-1    (R. à zéro liasse) ou de la touche 116       (Lecture    liasse), de la touche 117 (Total) ou  enfin de la touche 118 (Sous-total),     (fig.    2  et 15).  



  Quand on enfonce l'une de ces touches 115  à 11.8, la. glissière 634     (fig.    15) est déplacée  par le goujon 597 qui vient agir sur une  rampe 991 de la glissière qui, par ailleurs,       présente    un goujon 992 en prise avec un bras  993 pivotant sur l'arbre 605. Le bras 993 est  muni d'un doigt 994 dont l'extrémité libre est  en contact avec un goujon 995 porté par un        < -urseur    996 guidé verticalement. Un ressort  998 tend à maintenir le curseur 996 dans la       position    de     fig.    15, c'est-à-dire vers le haut.  lie     curseur   <B>996</B> présente une équerre 999 et  un doigt 1000.

   Un bras 1001 monté fou sur  un goujon 1002 peut coopérer, par sa partie  supérieure, avec l'équerre 999 au moment où  la machine est déclenchée. Quant au doigt  1000, il sert de guidage latéral pour le bras  1001.     Celui-ci    est relié à un levier 1003 avec  lequel il pivote     solidairement.    Un ressort  1004 est tendu entre un goujon 1005 du bras  1003 et un goujon 1006 d'un cliquet 1007  monté     sur    l'arbre     91-7,    et ce ressort maintient  normalement le goujon 1006 en contact avec  un. talon 1008     d'une    butée 1009 fixée sur  l'arbre 947.

   Le bras 1003 présente une équerre  101.0,     normalement    en contact, avec l'extrémité  libre de la butée 1009, sous L'action du res  sort 1004.  



       Quand    on enfonce L'une des     touches    115 à.  <B>118,</B> le déplacement de la     glissière    634 abaisse  le curseur 996 pour écarter l'équerre 999 du    trajet du bras<B>1001</B> et l'amener en face d'une  encoche du bras 1001 qui peut ainsi se dé  placer librement. Si, ensuite, l'opérateur en  fonce une touche motrice, l'arbre 947 oscille  dans le sens     seiiestrorsuin    et la butée 1009  est écartée du trajet de l'équerre 1010, de  sorte que le ressort 1004 entraîne l'ensemble  constitué par les bras 1001 et 1003 dans le  sens     senestrorsum.    Le mouvement du bras  1001 est cependant arrêté par un bec 1011 qui  vient buter contre un goujon fixe 1012.

   Une  arête 1013 du bras 1001 se trouve alors être  sur le trajet d'un bossage 1014 du     cliquet     d'embrayage 982. Au début de l'opération,  lorsque l'arête 1013 est sur le trajet du bos  sage 1014, celui-ci vient en contact avec cette  arête un peu après le début du cycle. Le dis  que 981 portant le cliquet 982 continue à  tourner, de sorte que le cliquet     est    basculé  dans le sens     senestrorsiun    pour dégager l'em  brayage 228. Celui-ci et les cames 723     d'ac-          tionnement    des différentiels     continuent    à  tourner, tandis que le disque 981 et l'arbre  principal 229 restent stationnaires.

   La rota  tion partielle de l'arbre 229 n'est pas suffi  sante pour commencer l'entraînement des  mécanismes différentiels. La came 723 con  tinue à tourner et entraîne le différentiel de  la deuxième rangée de transactions et, par  conséquent, le tambour 388 qui vient sélec  tionner le totalisateur approprié pour l'ali  gner avec les entraîneurs. Une fois que le     cli-          quet    d'embrayage 982 a été dégagé de l'em  brayage<B>228,</B> il glisse sur la périphérie de  l'embrayage. Pendant le premier cycle opéra  toire, la came 936 tournant en même temps  que les cames 723 vient en contact avec un  galet 1015 porté par le bras 1003 qu'il fait  pivoter en même temps que le bras 1001, de  manière à ramener ces deux bras dans leur  position initiale.  



  Lorsque la butée 1009 oseille dans le     sens          senestrorsum    pour dégager le bras 1003,  l'équerre 1010 se déplace entre la butée 1009  et le cliquet 1007 et, quand le bras 1003 est  rappelé à sa position de repos par la came  936, la butée 1009     reste    dans sa position dé  placée et., par conséquent, lorsque l'équerre      1010     arrive        eitre    la butée 1009 et le cliquet  1007, le     ressort    1004 tire ce     cliquet    contre  l'équerre<B>1010</B> pour maintenir l'ensemble des  deux bras<B>1001</B> et. 1003 dans une position  légèrement écartée (le la position de repos,  pour laquelle l'arête 11113 est hors du trajet.

    du bossage 1014 que comporte le cliquet<B>982.</B>  Pendant le     deuxième    c<B>y</B>cle opératoire, lorsque       L'épaulement    de     l@embrayage        2'28    passe     au-          dessous    du     cliquet    982, le ressort 983 fait.  basculer le cliquet 982 qui s'embraye, de sorte  que, pendant. le deuxième cycle     d'une    opéra  tion à deux cycles, l'arbre 229 tourne avec  l'ensemble des cames. Vers la fin du     deaxièmë     cycle, l'arbre. 947 est rappelé à sa. position de  repos, ce qui ramène la butée 1009 sur le  trajet de l'équerre 1010.

   Le doigt 1008 vient  alors toucher le goujon 1006, ce qui écarte le  cliquet 1007 de l'équerre 1010.     11u    moment  du rappel des     touches    115 à<B>118,</B> le ressort  988 tire le curseur 996 vers le haut pour rap  peler les pièces à leur position initiale. On  voit     d'après    ce qui précède que le mécanisme  de     commande    des cycles a pour effet de con  trôler le fonctionnement de l'arbre princi  pal 229 qui, ainsi, ne     fonctionne    que pour  certaines opérations de total. Dans les opéra  tions de total qui ne requièrent     aucune    sélec  tion préalable, le total     s'effectue    en un seul  cycle.  



  Le galet 965     (fig.    68 et 69) est disposé  entre le disque 966 et la came 975 et, comme  l'arbre 229 ne tourne pas pendant le premier  cycle, l'arbre     9-17        oseille    pour rappeler l'arbre  de rappel 264 et arrêter la machine seulement  vers la fin du second cycle.  



  Le disque 966 présente deux     crans    1016  et 1017     (fig.    68) et, lorsque le cran 1016 est  en position de repos, il est en prise avec un       cliquet    1018 pivotant en 1019. Lorsque l'arbre  229 commence son mouvement, ait cours du  premier cycle d'une opération à deux cycles,  le     cliquet   <B>1018</B> tombe dans le cran 1017 qui  est     éloigné    du cran 1016 d'un angle corres  pondant à. la rotation nécessaire de l'arbre  229 pour dégager le     cliquet    982 de     l'em-          brayage    228.

   Un ressort 1020 agit, sur le cli  quet<B>1018</B> et le maintient en contact perma-         nerit    avec le     disque    966 qui se trouve ainsi  cranté pour chacune de ses deux positions.  



  <I>Rappel (les touches.</I>  



  La touche 119 (f     ig.    1, 2 et     7.9)    est prévue  pour rappeler L'une quelconque des     touches     enfoncées (sauf     bien        entendu    les touches     ino-          t.rices)    au cas où une touche a été enfoncée  par erreur avant l'opération. La tige 1023 de  la touche 119 présente un clip 1025 en prise  avec un goujon 1026 porté par un levier  coudé 1.027 pivotant. en 1028 sur le bâti.       L'extrémité    inférieure de la tige 1023 est con  venablement guidée sur un téton 1024. Le  montage que l'on vient. de décrire permet de  retirer la touche 119 sans déranger quoi que  ce soit au mécanisme.  



  Le levier coudé 1027 est relié. par un  moyeu 1029, à un bras 1030     articulé    à une  bielle 1031 munie à sa partie     supérieure        dune     fente pour son     guidage        sur    un     goujon    1032.  Celui-ci est porté par un bras 1033 fixé sur  l'arbre de rappel '61.

   Un ressort 1031 tend à  tirer la bielle 1031 vers la droite     (fig.    19)  pour maintenir un doigt<B>1035</B> du levier     coudé     1027     cri    contact. avec un     f--oujon        fixe    1036 qui  fixe ainsi la     pcsition    des pièces décrites de  façon que     1e    goujon<B>1,032</B> soit à peu près à  mi-chemin par rapport à la fente de la bielle  1031.

   De cette     faeon,    le bras 1033 peut oscil  ler librement dans les deux sens     sans    déplacer  la bielle 1.031., laquelle, par     conséquent,    n'in  terfère pas dans le mouvement normal de  l'arbre de rappel     264.     



  S'il désire rappeler une touche quelcon  que, l'opérateur enfonce la touche de rappel  119, ce qui, par les pièces décrites, déplace la  bielle 1031 vers la gauche en entraînant le  bras 1033 et l'arbre de rappel     264        (fig.    16,  23 et 56). L'oscillation de cet. arbre fait. pi  voter les bras 670, 265 et 615 dans le sens     dex-          trorsuin    pour déplacer les détentes des tou  ches de montants et des rangées de trans  actions, libérant, ainsi les touches qui auraient  pu être enfoncées.

   Le déplacement de la bielle       1031_    sous l'action de la touche de rappel<B>111)</B>  est suffisant pour rattraper     tout    d'abord le  jeu de la fente de la bielle par rapport au      goujon 1032 et ensuite pour faire basculer le  bras 1033 et effectuer le rappel des touches.  Quand l'opérateur relâche la touche 119, le       ressort    7.034 ramène la bielle 1031 à sa posi  tion primitive, tandis que le ressort 941       (fig.    68) ramène l'arbre 264 à la position de  repos.  



       Compteur   <I>de</I>     remise   <I>à zéro.</I>  



  Dans l'application comptable envisagée à  titre d'exemple, les totalisateurs du groupe  arrière sont généralement     renais    à zéro à la  fin d'une journée, en une série d'opérations.  Pour remettre ces     totalisateurs    à zéro, on uti  lise la touche  Total  117,     d'une    part, et si  multanément une des touches 101 à 108 qui  sélectionne le totalisateur voulu. Par consé  quent, on effectue huit opérations successives  de remises à. zéro et afin de vérifier le nom  bre de ces opérations et contrôler s'il n'y a  pas eu une remise à zéro frauduleuse, on a  prévu un compteur spécial 1041     (fig.    2, 33  et. 31), dans lequel une unité est ajoutée au  cours de la première opération d'une série de  remises à zéro.

   Pendant les opérations sui  vantes de cette série, le     fonctionnement    du  compteur spécial est débrayé.  



  Le compteur spécial comprend trois mo  lette,     1041.    tournant sur un arbre 1042 et  munies     chacune    d'un rochet 1043 coopérant  avec un cliquet 1044 porté par un étrier 1045,  lequel pivote également sur l'axe 1042. Un  ressort 1046, tendu entre     -un    goujon fixe du  clavier et un goujon 1047 porté pair l'étrier  1045, maintient normalement ce dernier en  contact avec un goujon 1048 porté par la  touche de  Total  117. Quand on enfonce  cette dernière, l'étrier 1045 est basculé dans  le sens     dextrorsum        (fig.    33) et le cliquet 1044  agissant sur le rochet 1043 enregistre une  unité sur la roue des unités 1041.  



  Le cliquet 1044 est constitué par une pièce  à trois doits, dont. l'un s'étend sur le trajet  d'une roue à. rochet de chacune des molettes  1041 du compteur. Chacune de ces molettes       est        également    munie d'un disque à encoche  pour la position  9 , ce qui assure, à la ma  nière connue,     ïe    report des dizaines     lorsque     l'une des molettes     passe    de  9  à  0 .

   Le cli-         quet        y0-14    est constitué par une lame-ressort  et les     doigts    du cliquet pour l'ordre     décimal     le plus élevé du compteur sont normalement  écartés du rochet jusqu'à ce que l'encoche du  disque apparaisse sous le doigt qui peut ainsi  tomber dans l'encoche en entraînant le doigt  de l'ordre décimal immédiatement supérieur  clans lequel une unité est alors ajoutée.  



  Un cliquet de retenue 1049 est prévu, le  quel présente trois     doigts,    dont l'un vient. en  prise avec. les roues à. rochet 1043 et     empê-          ehe    ainsi tout mouvement de retour des mo  lettes 1041 lorsque le     cliquet        1044    revient à  sa position normale.    Le compteur spécial avance d'une unité  seulement pour une première opération d'une  série, comme on vient de l'indiquer, et, à cet  effet, il faut faire en sorte que l'étrier 1045  ne revienne pas à sa position normale avant  la fin de l'opération de ladite série.

   Pour ce  faire, une butée élastique<B>1051</B> munie d'un  bossage 1052 est amenée sur le trajet de re  tour d'un -bras 1053 de l'étrier 1045 lorsque  la touche  Total  est enfoncée. Cette pièce  <B>1051.</B> pivote sur un petit axe 1054 porté par  deux supports 1055 eux-mêmes montés sur la  plaque de clavier 7.47. Un ressort 1056 tend à  taire tourner la. pièce 7.051 dans le sens     dex-          trorsum        (fig.    34). Quand on enfonce la tou  che  Total  117 et que l'étrier 1045     (fig.    33)  oscille en écartant le -bras 1053 de la pièce  1052, le ressort 1056 amène cette pièce     au-          dessous    du bras 1053 et dans une ouverture  <B>1057</B> de la cloison 133 du clavier.

   La pièce       10â\?    reste dans cette position à la fin de  l'opération de remise à zéro et empêche l'étrier  1045 de revenir en position de repos lorsque  la touche  Total  est rappelée. Quand cette  touche est à nouveau enfoncée, pour l'opéra  tion suivante, il n'y a donc pas d'avancement  du compteur spécial     aussi        longtemps    que  l'étrier 1045 est bloqué par la butée 1051, 1052.    Il faut naturellement prévoir un dispositif  pour écarter le doigt 1052 au cours de la pre  mière opération qui suit la dernière remise à  zéro de la série ou qui suit celle pour laquelle  la. touche 117 n'est pas utilisée.

   Ce dispositif      comprend une biellette 1060     (fig.    33 et 34)  coulissant sur un goujon 1061 du bâti et arti  culée a un bras 1062 monté fou sur le goujon  720 mentionné plus haut     (fig.        2121).    Ce bras  1062 présente un talon<B>1063</B> normalement. en  contact avec un téton 1064 porté par le levier  coudé 901.

   Au cours de l'opération pendant  laquelle la touche  Total  117 n'est pas uti  lisée, lorsque le     goujon    906 vient toucher le  levier coudé 901 pour le faire basculer dans  le     sens        senestrorsum,    le téton 1064 soulève le  bras 1062 ainsi que la biellette 1060, dont. une  équerre 1065 vient     buter    contre     un    prolonge  ment 1066 de 1a pièce 1051 qui se trouve ainsi       ramenée    dans le sens     senestrorsum,    écartant  le doigt 1052 du trajet de l'étrier 1045. Ce  dernier est livré à. l'action de son ressort  1046 qui le rappelle à sa position initiale en  contact avec le goujon 1.048 de la touche   Total  117.

   Lorsque la, biellette 1060 est. re  lâchée par le goujon 906, le ressort 1056 fait  osciller la pièce<B>1051</B> dans le sens     dextrorsum     et, à ce moment, le iras 1053 est à nouveau  sur le trajet de cette pièce, comme représenté  en     fig.    34.  



  Le goujon 906     (fig.    33), porté par     l'une     des cames 723 actionnant le différentiel de la  première rangée de     transactions,    est disposé  de façon que la bielle 1060 soit soulevée puis  abaissée deux fois à chaque opération de re  mise à zéro. Quand la biellette 1060 est. sou  levée et que la touche  Total  117 est enfon  cée, le goujon 1048 retient l'étrier 1.045 dans  sa     position    déplacée. Pour ce genre d'opéra  tion, le soulèvement de la biellette 1060 a sim  plement pour effet d'écarter le bossage     10)2     de dessous l'étrier 1045 et, lorsque la biellette  1060 est à nouveau abaissée, le bossage pénè  tre à nouveau dans l'ouverture 1057 de la  cloison 133.

   L'oscillation de la pièce de butée  1051 se fait donc à vide pour ce genre d'opé  ration. Toutefois, lorsque la machine fonc  tionne     sans    l'emploi de la touche  Total  117,  la bielle 1060 est alors soulevée pour écarter  la pièce de butée 1051 de sa. position active et  l'étrier 1045 peut revenir à sa position nor  male.         Nmnérotcitr        corisécrdif.     



  Il est prévu, dans la machine représentée,  un dispositif assurant le     numérotage        consé-          cuti@    des opérations et. plus spécialement des  opérations de versements faits par les clients.  Les trois sections d'imprimerie de la machine  comprennent un groupe de     roues    impri  mantes qui permettent d'imprimer le numéro  sur la fiche, sur le     bordereau    de contrôle et  sur la bande sortante. Comme le numéro con  sécutif avance d'une unité seulement pour  les versements, le même     numéro    est imprimé  sur les     documents    à     chaque    opération autre  qu'un versement.

   L'avancement d'une unité  du numéroteur pour les opérations de verse  ment ou de dépôt est commandé par deux  disques de sélection à encoches, dont un est  aménagé dans la première rangée de trans  actions et l'autre dans la. seconde. Le disque  positionné par le     différentiel    clé la première  rangée est conformé de façon telle que pour  l'une quelconque de ces touches de. la pre  mière rangée, le     numéroteur        consécutif    soit  débrayé.     Quant    au disque réglé par le diffé  rentiel de la seconde rangée, il est conformé  de façon telle que le numéro consécutif avance  seulement lorsqu'on enfonce les touches 104  ou 108 correspondant aux versements.

   Toute  fois, si l'on utilise la touche  Total  117 ou  la touche      Sous-total     118 de la première  rangée avant d'enfoncer la touche 104 ou 108,  le disque de sélection réglé par la. première  rangée a la priorité sur le disque de la se  conde rangée et débraye le numéroteur consé  cutif. De cette manière, le numéro n'avance  pas dune unité pour les opérations de total.  De même, si l'on effectue une opération de  versements répétés, c'est-à-dire avec l'emploi  de la touche  Répétition  114, le disque de  sélection commandé par la première rangée a  priorité et débraye le numéroteur consécutif.  



  Dans chaque section d'imprimerie sont  prévues quatre roues imprimantes 1071       (fig.    71, 76A et     76B)    montées sur les arbres       -163.    Ces     roues    sont. en prise avec une cou  ronne dentée 107\? comprenant une denture  interne 1073 engrenant avec un     pifltion    1074,  par exemple pour les unités.

   Ce pignon 1074           est        monté    sur     nn    arbre 1075 portant, d'autre  part,     deÇ    pignons     analogues    au pignon     107-1,          niais        aménagés    clans les autres sections. Le       piglion    qui se trouve près de     l'extrémité        ga.u-          clie    de l'arbre carré 1075 engrène     avec    la den  ture     interne    d'une couronne 1076.

   Les roues  imprimantes pour les dizaines, centaines et       millien5    sont reliées de la même manière avec  des couronnes correspondantes 1077, 1078 et  <B>1079.</B> Chacune de ces couronnes est en prise  avec un pignon 1080     (fig.    73) tournant sur  un arbre 1081.     (fig.    73 et 74), et chaque     pi-          'Ynoti    est solidaire d'une roue à rochet 1082  coopérant avec un cliquet. 1083 monté sur un  arbre 1084 porté par un étrier 1085. Les     cli-          quets    1083 successifs sont décalés les uns  par rapport aux autres.

   Un ressort 1086 main  tient normalement ces cliquets en contact avec  les rochets 1082 munis, à la manière connue,  d'une encoche plus profonde 1087 pour assu  rer le report des dizaines. L'étrier 1085 tourne  sur l'arbre 1081 et reçoit un mouvement  d'oscillation     dans    le sens     dextrorsum    pendant  le fonctionnement de la machine, de sorte que  les cliquets 1083 agissant sur les rochets 1082  font avancer le     pignon    1080 de l'espace d'une  (lent, mouvement qui est transmis par la  chaîne mécanique décrite à la roue impri  mante 1071.  



  L'étrier 1085 pivotant sur l'arbre 1081 est  actionné par la came 975     (fig.    69) coopérant  avec un galet 1088 porté par un levier 1089  pivotant en 1090. Un ressort 1091 tend à  maintenir le galet 1088 en contact avec. la  came et est relié, d'autre part, à un bras 1092       pontant    un goujon 1094 en prise     avec    une  partie fourchue du levier 1089. L'extrémité  de gauche du bras 1092 est elle-même en prise  avec l'arbre 1084.  



  Un disque de sélection 1095     (fig.    69 et  77A) est réglé     différentiellement    par la     pre-          inière    rangée de transactions et est muni d'en  coches 1096 en regard d'un galet 1100 porté  par le bras 1092 lorsque la machine fonc  tionne sans touche enfoncée dans la première  rangée. Un second disque de sélection 1097       (fig.    70) est réglé par la deuxième rangée de       transactions    et présente des encoches 1099,    1098 qui se trouvent en face du galet 1100  lorsque la machine fonctionne soit avec la  touche 108  Dépôt A , soit avec la touche 104   Dépôt B .  



  Pendant. le fonctionnement., la came 975  tourne dans le     sens        dextrorsum    et le ressort  <B>1091</B> a pour effet d'appuyer le galet 1088 sur  la came si aucune encoche ne se présente en  face du galet 1100.     Dans    ce cas, le levier 1089  ne peut suivre le contour de la came 975.  Dans le cas contraire, le galet pénètre dans  une des encoches et le bras 1092 oscille sous  l'action du ressort. 1091, ce qui fait pivoter  l'étrier 1085, entraînant le cliquet 1083       (fig.    73), lequel pénètre derrière la dent sui  vante de la roue à rochet 1082.

   Lorsque la  came 975 revient à sa position initiale, le le  vier 1089 pivote, ainsi que le bras 1092, et ce  dernier fait. basculer l'étrier 1085 de façon  telle que le cliquet 1083 fasse avancer d'un  pas la roue à rochet 1082 et, par conséquent,  le pignon 1080. Ce mouvement est transmis à  la roue imprimante par la couronne dentée  1076, l'arbre carré 1075, la couronne 1072 et  la roue dentée 1071.  



  Lorsqu'une des roues d'ordre décimal infé  rieur passe de neuf à zéro, le cliquet tombe  dans l'encoche profonde 1087, ce qui provo  que le report, d'une unité dans la rangée  immédiatement supérieure. Un cliquet de re  tenue 1101 est disposé sur un goujon 1102  pour empêcher le mouvement de retour du  rochet 1082. Un ressort 1103 maintient ce     cli-          quet    1101 en contact permanent avec le  rochet.  



  On voit par ce qui précède que le seul  mouvement où le numéroteur consécutif peut  avancer d'une unité est lorsque aucune tou  che n'est enfoncée dans la première rangée de  transactions amenant l'encoche 1096 en face  du galet 1100 ou quand soit la touche  Dé  pôt A , soit la touche  Dépôt B  est enfon  cée dans la deuxième rangée, amenant l'en  coche 1098 ou 1099 sur le trajet du galet  1100. Quand une touche est enfoncée dans la  première rangée, une partie pleine des dis  ques se présente au galet. 1100, de sorte que'  lorsqu'une     touche     Total  est enfoncée pour      l'un des totalisateurs de  dépôt , le numéro  teur consécutif n'avance pas.  



  *Le numéro consécutif est imprimé dans  chacune des sections de l'imprimerie. Pour  ;une opération autre qu'un dépôt, le numéro  consécutif précédent est imprimé, c'est pour  quoi les documents peuvent présenter une  série du même numéro. Par contre, si l'on en  registre un dépôt, le numéro consécutif  avance d'une unité et c'est le numéro suivant  qui s'imprime.    <I>Remise à. zéro du</I>     numéroteur        consécutif.     Une     personne    autorisée peut remettre à  zéro le numéroteur consécutif, ce qui s'effec  tue sous la commande de la serrure 123     (fig.    1  et 55).

   Pour la position représentée de cette       serrure,    la remise à zéro n'est pas possible,       mais    si l'opérateur autorisé déplace la ser  rure, le     mécanisme    de remise à zéro du numé  roteur est libéré et la roue 126 peut être  actionnée à la main.    La roue 126     (fig.    2 et 71) émerge du cla  vier vers la gauche, comme on le voit en     fig.    1  et ?, et est montée sur un axe 1112 porté par  ; des bâtis auxiliaires 1128.

   La roue 126 est  solidaire d'un pignon<B>11.13</B> en prise avec un       pignon    intermédiaire 1114 porté par un     man-          ehon    1115 tournant sur     iui    axe 1116. Le pi  gnon intermédiaire 1114 engrène avec un  pignon 1111 (voir     fig.    74) fixé sur l'arbre  1081 cité un peu     phis    haut. Cet arbre de re  mise à zéro présente une gorge 1110     (fig.    73)  s'étendant entre les quatre pignons 1080. A  l'intérieur de chacun d'eux se trouve un     eli-          c    guet 1117 en contact élastique avec l'arbre  1081.

   Lorsque le pignon 1080 est actionné       différentiellement    par le cliquet 1083 pour  avancer d'une unité le numéroteur consécutif,  le cliquet 1117 se déplace dans le     sens        dextror-          >        sum    autour de l'arbre 1081 et vient s'engager  dans la gorge 1110. Pour remettre à zéro les  roues 1071 du numéroteur, on tourne la  roue 126 dans le sens     dextrorsum,    ce qui en  traîne le pignon intermédiaire 1114, le pignon  5 1111 et l'arbre 1081.

   Au cours de cette rota  tion, la gorge 1110 cueille les cliquets 1117    dans la position qu'ils peuvent occuper et ra  mène à zéro les pignons 1080 et les roues     iDi-          primantes        ,correspondantes    du numéroteur.  



  On a prévu un cliquet. 1119 formant butée,  qui vient en contact avec un bras 1120 porté  par l'arbre 1081, l'effet de butée se produi  sant lorsque toutes les roues sont à zéro. lie  cliquet 1119 est monté sur un goujon 1121 et  un ressort 1122 tend à le faire tourner dans  le sens     dextrorsum.    Le bras de butée 1120  présente un épaulement pouvant coopérer  avec le cliquet 1119 qui le retient. à la posi  tion de     fig.    71 lorsque l'arbre 1081 a atteint  la position zéro. Par conséquent, avant que la  -roue 126     puisse    être tournée dans le sens       dextrorsum,    il est nécessaire de ramener cette  roue quelque peu en arrière pour livrer le  cliquet 1119 à l'action de son     ressort    1122.

    Ce mouvement de retour de l'arbre 1081 est  cependant limité par un     contre-cliquet    1123  qui appuie normalement sur la came 1124  sous l'action d'un ressort 1125. Quand on ra  mène l'arbre 1081 un peu en arrière, la came  1124 tourne dans le sens     senestrorsum    Jus  qu'à ce qu'elle soit. arrêtée par le     contre-          cliquet    1123. A ce moment, le ressort 1122  fait basculer le cliquet de butée 1119 qui  s'écarte sur une distance déterminée, grâce  à un téton 1127 porté par le cliquet. 1123 et  dont la position est telle que,     lorsque    le cli  quet 1119 est engagé contre le téton 1127, la  partie opposée du cliquet soit écartée du tra  jet du bras 1120 porté par l'arbre de remise  à zéro 1081.

   Une fois que cet. arbre est     libéré     par un léger     mouvement    en arrière de la roue  126, celle-ci peut être     tournée    librement dans  le     sens        dextrorsum    et, pendant. ce mouvement,  la came 1124 fait tourner les     cliquets    1123  dans le     sens        senestrorsum,    rotation qui, par  le téton 1127, agit sur le cliquet de butée  1119 qui est ramené à la. position active, de  sorte que le bras 1120 peut venir en prise avec  l'extrémité libre du cliquet 1119 et arrêter  au moment     voulu    la rotation de l'arbre 1081,  lorsque la position zéro est atteinte.

      Le mécanisme numéroteur avec les     organes     de remise â zéro inclus sont. portés par les      bâtis auxiliaires 1128     (fig.    55 et<B>71)</B> et il     coni-          prend    encore l'axe 1112, l'arbre 1116, l'arbre  1081 et le goujon 1121. Cet ensemble peut  être monté séparément et     assemblé    comme un  tout. dans l'appareil.  



  Les     batis    auxiliaires 1128 constituent un  bâti rigide grâce au manchon 1115 et à deux  autres manchons 1131 et     1l.32        supportés    par       des    arbres 1129, 1130 et 1116. Après montage  de cet ensemble, on fixe     des    vis 1133     (fig.        :5:>    )       aux    extrémités des arbres 'pour maintenir le  tout en position.  



  Le pignon 11.11     (fig.    55 et 74) est soli  daire d'un disque 1134 muni d'une encoche       s    1135 coopérant avec un cliquet élastique 1136.  Lorsque l'arbre de remise à zéro 1081 est en  position zéro, ce cliquet 1136 reste sur la péri  phérie du disque 1134 et, au moment où l'on  commence la rotation de remise à zéro de  l'arbre 1081, il est nécessaire de compléter  cette rotation, car peu     après    le début de la  rotation, le cliquet     l-136    tombe dans une en  coche 1-135 et empêche tout mouvement en  arrière. Le cliquet 1136 et le disque 1134       s    constituent donc un ensemble obligeant une  rotation à pleine course.  



  Le disque 1134 présente une autre encoche  1137     normalement    en prise avec un cliquet de  verrouillage 1138 qui pivote sur le goujon  1102 en empêchant normalement la remise à  zéro du numéroteur. Avant de pouvoir re  mettre ce numéroteur à zéro, il est nécessaire  d'écarter ce cliquet 1138     dit    disque 1134, ce  que l'on peut. effectuer, comme on va le voir,       s    au moyen de la     glissière-serrure    123.         Glissière   <I>de verrouillage.</I>  



  La     machine    comprend une glissière de  commande 1139     (fig.    55) coulissant sur deux  goujons 1140 et; 1141 du bâti. Cette glissière       petit    occuper trois positions différentes: l'une  pour laquelle la machine est complètement  bloquée, une deuxième position permettant le  fonctionnement e1: une troisième position pour  laquelle le numéro consécutif     petit    être remis  à zéro et la. date être modifiée.  



  lia     glissière    1139 supporte la glissière  serrure 123 mentionnée plus haut qui émerge    du coffre à travers     fine        ouverture    114.  Celle-ci présente un index 1143     (fig.    2) qui  permet à l'opérateur de déterminer plus  exactement. la position.     Lorsque    la     glissière     1139 est dans sa position intermédiaire mar  quée  Opération  en     fig.    2 en face de l'index  1143, la- machine peut fonctionner, mais le  numéro consécutif ne peut. pas être remis à  zéro, ni la date être modifiée.

   Lorsque la glis  sière 1139 est déplacée vers le haut, de ma  nière à amener l'indication  Blocage  en face  de l'index 1143, la machine est verrouillée.  Enfin, lorsque la glissière 1139 est tirée vers  le bas pour amener la mention  Numéro con  sécutif  en face de l'index 1143, l'opérateur  peut remettre à zéro le numéroteur et modi  fier les roues dateuses.  



  La glissière-serrure 123 est munie d'un  axe 1144 qui peut être amené en contact de  blocage avec une pièce 1145 portée par les  goujons 1140 et 1141. Si l'on veut déplacer la  glissière 1139 depuis sa position normale jus  que dans les deux autres positions, il faut  d'abord dégager l'axe 1144 de la pièce 1145.  



  La glissière de commande 1139 porte un  chemin de came 1146     (fig.    55) en     prise    avec  un téton 1147 porté par un levier à trois  branches 1148 pivotant en 1149. La branche  orientée vers le bas de ce levier 1148 est en  prise avec un goujon 1150 porté par le     cli-          quet    de verrouillage 1138 expliqué plus haut.

    Lorsqu'on déplace la glissière 1139 vers le  bas     (fig.    2) (remise en zéro du numéroteur),  le chemin 1146 soulève le goujon 1147, ce qui  fait pivoter le levier 1148 dans le sens     senes-          trorsum;    lequel, par le goujon 1150, fait bas  culer le cliquet 1138 qui s'écarte ainsi de l'en  coche 1137 du disque de verrouillage 1134. La  molette 126 est ainsi libérée. Lorsque la glis  sière 1139 est déplacée vers le haut, le goujon  1147 reste dans une partie     sensiblement    hori  zontale du chemin de came 1146 et le cliquet  1138 reste par     conséquent    en position de ver  rouillage.  



  Un cliquet de retenue 1151, pivotant en  1140, est sollicité- dans le     sens        senestrorsum     par un ressort<B>1152,</B> ce qui amène un goujon      1153 porté par le cliquet 1151 dans     une    en  coche pratiquée à la partie inférieure de la  glissière 1139 qui se trouve ainsi crantée  dans chacune de ses trois positions.  



  Le levier à trois branches     11-18    présente  un bras     orienté    vers la gauche et en prise  avec un ergot 1154 porté par un cliquet de  verrouillage 1155, lui-même en prise avec une  roue de blocage 1156 portée par les     roues     124 servant à composer la date. Lorsque le  levier     11-18    est basculé dans le sens     senestror-          sum    par le déplacement de la glissière 1139  vers le bas, ce levier 1148 fait. basculer le     cli-          quet    1155 pour     l'écarter    de la. roue de     blocage     1156.

   Par conséquent, la roue dateuse     12=     peut. être librement utilisée, mais seulement  lorsque la glissière 1139 se trouve dans la  position pour laquelle la légende      Numéro     consécutif  est vis-à-vis de l'index 1143.  



  Lorsque la glissière 1139 est précisément  amenée     dans    cette position inférieure, l'arbre  de rappel 264 est. bloqué et, à cet. effet, la  glissière présente une arête 1157     (fig.    55)  amenée sur le trajet d'un goujon 1158 lorsque  la     glissière    1139 vient. dans la position de re  mise à zéro, empêchant ainsi tout mouvement  de l'arbre 264.

   Cet arbre est également ver  rouillé lorsque la glissière 1139 est amenée  dans sa position supérieure     (fig.    2) corres  pondant au blocage complet. et, pour cette  position, une arête 1159 de la glissière vient  en contact avec le goujon 1158 et fait bascu  ler la bielle 939 vers le haut, faisant tourner  l'arbre de rappel 264 dans le sens     dextrorsum     et     libérant    ainsi toutes les touches qui  auraient pu être enfoncées sur le clavier.  Pour cette position clé l'arbre 264, il est pos  sible d'enfoncer n'importe quelle touche, mais  aucune ne reste dans la position enfoncée. Ce  qui précède constitue donc un moyen efficace  empêchant d'actionner la machine lorsque la  glissière 1139 se trouve dans la position de  verrouillage.

   L'effet sur l'arbre de rappel 264,  par l'arête 1159, est exactement le même que  celui qui résulte de l'action de la touche de   Rappel  119. On peut donc, si on le désire,  utiliser d'abord la touche de  Rappel  pour  soulever le goujon 1158 et déplacer ensuite    la     glissière    1139, ceci uniquement pour alléger  le mouvement de la glissière.  



       lléca-rzisine        dateur,.     



  Des     roues        imprimeuses    1161.     (fig.    7'_',     76#i     et 76p) sont prévues pour l'impression d'une  date sur la fiche de versement et, sur la bande  sortante, la machine représentée ne compor  tant pas de roues     imprimeuses    pour l'impres  sion de la date sur le bordereau de contrôle.  L'ensemble comprend quatre roues impri  mantes 1161 dans la section     d'impression    de  la fiche, pour le     jour,    le mois et l'année. Par  contre, dans la section     d'impression    de la  bande sortante, il n'est.     prévu    que trois roues  pour imprimer seulement. le jour et le mois.  



  Les roues imprimantes 1161 sont réglées  par la molette 124 (fi-. 2 et 72) qui d'ailleurs  règle également des tambours     indicateurs     <B>1162</B>     (fig.    75) pour les unités de jours, 1163  pour les dizaines de jours, 1164 pour les  mois et 1165 pour les années. Ces tambours  sont visibles à travers la     fenêtre    125 du  coffre.  



  La molette 124 est solidaire d'un pignon  latéral 1166     (fig.    55 et 72) engrenant avec  une roue dentée 1160 tournant. sur le man  chon 1115 et. en prise elle-même     avec.    un pi  gnon 1168 qui engrène avec un autre pignon  1169. Celui-ci est fixé au tambour indicateur  1162 en même temps qu'une croix de Malte  1170 et un disque de verrouillage 1171. La ro  tation de la molette     12-1    règle donc la position  du tambour indicateur des unités de jour par  le train d'engrenages que l'on vient de dé  crire. Le pignon 1160 engrène également avec  une couronne dentée 1172 montée sur un  disque 1173 lui-même porté par l'arbre 510.

    Cette couronne présente une denture interne  en     prise    avec un petit pignon     117-1    porté par  un arbre carré 117.5 qui s'étend sur la lar  geur de l'imprimerie et porte d'autres pignons  analogues au pignon 1174 pour     assurer    la  transmission aux roues dateuses des autres  sections d'imprimerie.  



  On voit donc que, lorsqu'on tourne la mo  lette 124 jusqu'à l'apparition du chiffre con  venable, sur le tambour indicateur, la roue      imprimante 1161     vizrit    prendre une position       d'impression    correspondante. Lorsque la roue  des unités de jour passe de neuf à zéro, la  croix de Malte 1170     vient.    en prise avec un       entre-dent    d'une croix de Malte de report  <B>1177</B> pivotant sur le goujon 1149.

   Un     disque     de verrouillage 1178 coopère avec le disque       1171    et empêche la rotation de la croix de  Malte de report, sauf lorsqu'une dent. de re  port du disque 1170 fait     tourner    la. croix de  Malte 1177 à la manière bien connue d'ail  leurs. Un     moyeu    1179 solidaire de l'ensem  ble     comprenant    le pignon 1168, la croix de  Malte 1177 et le disque 1178 est également  relié à une roue dentée 1180 engrenant avec  un     pignon    1181 fixé à l'indicateur des di  zaines de jours (voir     fig.    75).

   Grâce à cet en  semble de report, les dizaines avancent d'une  (lent chaque fois que l'indicateur des unités  passe de neuf à zéro.     -Un    mécanisme de report       analogue    est prévu entre la roue des dizaines  (le     jouis    et l'indicateur des mois, et ce méca  nisme comprend une croix de Malte 1182 en  prise avec une roue dentée 1183 solidaire     d'iui     pignon 1184, en prise avec un autre pignon  <B>1185</B> fixé à l'indicateur des mois 1164. Le mé  canisme de report entre les dizaines de jours  et les mois est. construit de façon telle que  chaque fois que le premier dépasse la position   3 , l'indicateur des mois avance d'une posi  tion.

   Le tambour indicateur 1164 pour les       mois    est. également muni d'un mécanisme  de report constitué par une croix de Malte  1187 et un disque 1188 qui coopère avec un  disque de verrouillage 1189 solidaire de  la croix de     Malte   <B>1187.</B> Ce dernier et le  disque 1189 sont fixés sur le goujon 1149  qui porte, d'autre part, une roue dentée 1190       ciigrenant    avec un pignon 1191 fixé à l'indi  cateur 1165 des années. Le mécanisme de re  port est. aménagé de faon telle que la roue  (les années avance automatiquement d'un pas       eliaque    fois que l'indicateur des mois passe  de décembre à     janvier.     



  Les roues dentées 1180, 1183 et 1190 sont  reliées     û    un pignon 1160 similaire à celui qui  a été décrit. plus haut et servant à régler la  position d'une couronne dentée 1172 et des    rotes     imprimetses    en proportion de celles  des tambours-indicateurs.  



  Un dispositif d'alignement,     constitué    par  un cliquet 1192 (fi-. 72), maintient les pièces  en position. Ce cliquet pivote en 1193 sur le  bâti auxiliaire 1128. Un ressort. 1194 tend à.  maintenir constamment le cliquet. 1192 en  contact avec la roue dentée 1156. Le     sS-stème     de report par croix de Malte permet la mise  en place des indicateurs de date et. des roues       imprimeuses    correspondantes dans un sens ou  dans l'autre.  



       .Alignement   <I>des roues</I>     imprimantes.     Une fois que les roues imprimantes ont  été mises en position par les mécanismes dif  férentiels et les couronnes dentées, leur po  sition est fixée par des     aligneurs        1201.          (fig.    8, 20, 37, 65, 76A et     76B),    un     aligneur     étant prévu dans chacune des     trois    sections  d'imprimerie.

   Les trois     aligneurs    sont gou  pillés sur un arbre 1202 s'étendant entre les  bâtis 203 et portent un bras 1203     (fig.    65 et       76B)        relié    à un bras 1204 par nue bielle 1200.  Le bras 1204 pivote sur l'arbre 786 et se ter  mine par     deux    galets 1205 coopérant avec mie  double came 1206 (voir     fig.    22) fixée sur  l'arbre principal 229.  



  La forme de la came 1206 est. telle qu'im  médiatement après la mise en position des     cou-          ronnes    dentées, la came fait basculer le bras  1204 dans le     sens        senestrorsum    pour pousser  la bielle 1200 vers la gauche     (fig.    65), mouve  ment qui est transmis .au bras 1203 et à     l'ali-          gneur    1201, qui vient ainsi compenser le  jeu qui aurait pu se produire entre les cou  ronnes dentées et les     différentiels.     



  Un peu avant l'impression, de la manière  décrite plus loin, un deuxième     aligneur    vient  en prise avec les roues imprimantes elles  mêmes, afin d'assurer un alignement parfait  des caractères     imprimants,    ce     deuxième        ali-          gneur    consistant en une barre 1207     (fig.    66,  763 et     76B)    pour chaque section d'impri  merie. Chaque barre 1207 est portée par deux       biellettes    1208 articulées à un bras - 1209  grâce à une tige 1210.

   L'extrémité de gauche  de chaque biellette 1208 est munie     d'un    galet      1211 en prise avec une ouverture 1212 prati  quée dans les plaques 203.  



  Les bras 1209 sont fixés sur un arbre  1213 portant, d'autre part, un bras 1214 relié,  par une biellette 1216,à un levier 1215 tour  nant sur l'arbre 786. Le levier 1215 se ter  mine par un galet 1217 coopérant avec une  came 1218 sous l'action d'un ressort 1219. La  came 1218 est fixée sur l'arbre principal 229.  Le levier<B>1215</B> se termine par un bec 1221  pouvant coopérer avec un bloc 1220 rivé sur  le côté de la came 1218.  



  La forme de la came 1218 est telle qu'une  fois les roues imprimantes mises en position  et     l'aligneur    1201 en prise avec les couronnes  dentées, la barre 1207 est brusquement dé  placée dans la position d'alignement grâce à  la chaîne mécanique décrite. La came 1218  tourne dans le sens     dextrorsum,    et lorsque  le bloc 1220 agit sur le bec 1221, le     ressort     1219 tire la bielle 1216 vers la gauche, ce qui  fait tourner l'arbre 1213 et les bras 1209 dans  le sens     senestrorsum    et déplace, par consé  quent, la barre 1207 en prise avec les dents  du support à caractères.  



       Certains    des éléments     imprimants    com  prennent. dix entre-dents et d'autres douze,  comme les roues dateuses par exemple. Pour  obtenir un alignement correct, la barre 1207  est quelque peu éloignée, de manière à s'en  gager entre les dents des éléments imprimants  et aligner correctement. les caractères.  



  <I>Roues</I>     imprimantes        pour   <I>les</I>     numéros     <I>de référence</I>     (alignement).     



  Une roue imprimante 1225 et deux autres  roues 1226 (fia. 76A) sont prévues pour l'im  pression d'un numéro identifiant par exemple  le numéro d'agence de la banque et le nu  méro de la machine qui effectue les trans  actions. Cette impression est effectuée généra  lement sur la fiche de dépôt. Ces roues sont  fixées à. la position voulue au moment du  montage de la machine et restent fixes.

   Un       aligneur    1227 monté sur l'arbre 1202 pénètre  entre les dents de     couronnes    dentées<B>1228</B> qui,  elles, engrènent avec les roues imprimantes  1225 et 1226.     L'aligneur    est maintenu en po-         sition    par     ttné    vis     1@$9    qui traverse une  équerre de     l'aligneur    et qui est fixée,     d'autre     part, à l'entretoise 201. Pour modifier les  numéros sur les roues 1225 et 1226, on en  lève la vis 1229 et bascule manuellement l'ar  bre 1202 pour libérer les couronnes 1228,  après quoi les roues imprimantes peuvent être  déplacées à la main.

   On remet ensuite     l.'ali-          gneur    et la vis 1229 en place. Les numéros  imprimés par ces roues 1225 et 1226 sont re  présentés dans le fac-similé de fia. 90 et 91  entre la date et les numéros consécutifs.         Imprimerie   <I>à. fiches.</I>  



  Pour l'application décrite à titre d'exem  ple, c'est-à-dire les transactions de guichet.  d'une banque, la. machine est aménagée de  façon qu'elle puisse imprimer     sur    une fiche  introduite dans la machine, par exemple une  fiche de dépôt. (fia. 90) et une pièce de     caisse     (fia. 91). Les données imprimées compren  nent: la date, le numéro de l'agence, le nu  méro de la machine, un numéro consécutif, le  symbole du caissier, le     symbole    du genre de  transactions et enfin le montant. Le méca  nisme imprimant sur la fiche introduite est.  disposé à la partie inférieure gauche de la  machine (table 1243, fia. 1).  



  Les versements effectués par les clients  d'une banque peuvent consister en chèques, en  espèces ou en des versements mixtes chèques  et espèces. Pour faciliter le travail, de la  comptabilité dans le contrôle de la caisse du  guichet, il est d'usage que le caissier rem  plisse un bulletin ou pièce de caisse indiquant  le montant des espèces     déposées,    qu'il     s'agisse          d'espèces    pures ou d'un versement     combiné     chèque et espèces. Quand un dépôt est mixte,  la machine représentée imprime le total du  versement sur la fiche de dépôt et le montant  des espèces sur la pièce de caisse. Une copie  de la fiche de dépôt et de la pièce de caisse  sont envoyées à la comptabilité avec les chè  ques.

   Au pointage des diverses transactions,  le comptable enregistre le montant total du  dépôt au moyen d'une machine comptable de  contrôle et soustrait le montant indiqué par  la pièce de caisse et ensuite le montant indi-           qué    par chaque chèque du dépôt envisagé.  Lorsque la transaction est terminée, la     ma-          eliine    comptable en question indique le solde       du    compte.  



  La. fiche de dépôt. est, préparée en dupli  cata, de sorte que le caissier peut remettre  une copie au client et envoyer l'autre à la  comptabilité. Cette fiche constitue simultané  nient L'avis de crédit remis au client, une fois  que l'opération a été terminée à la compta  bilité.  



  Pour avoir la preuve de la correction des  écritures sur la fiche de dépôt, la pièce de  caisse peut. également. constituer un moyen de       solder    les espèces au guichet. même. A la fin  (le la journée, les totaux de toutes les pièces  (le caisse, pour     lin    caissier donné, sont tirés,  ce qui donne le montant de la recette corres  pondante faite par ce caissier. La bande de  contrôle donne le total des sommes .que le  caissier paye aux clients. La. différence entre  les sommes encaissées et versées donne le solde  que le caissier doit avoir dans sa caisse.  



  Comme représenté, les différentes touches  de la deuxième rangée de transactions     coin-          mandent    également. une impression sur fiche,  de     faeon    à. obtenir une impression sur un     do-          cument    inséré dans la machine. Le formulaire  dépend naturellement de l'application parti  culière utilisée dans la banque considérée.  



       Mécanisme        d'impression,        sicr   <I>fiche.</I>  



  La fiche de dépôt 1241     (fig.    90) ou la       pièce    (le caisse 1242     (fig.    91) sont placées       sur    la table à fiche 1243     (fig.    1 et 80),     sup-          portée    par les bâtis 181 et 192     (fig.    78A et       78B).    Des lignes de repère 1244 sont gravées  sur la table pour indiquer la position à la  quelle la fiche doit être placée sur la table  par rapport     aux    caractères imprimants.

   Le  mécanisme d'impression sur fiche est placé  entre les bâtis 181 et 192 et la table 1243  présente une ouverture 1245 au travers de  laquelle passe un marteau imprimant 124.6       (fig.        RO)    qui vient frapper la fiche 1247. ou  la pièce de caisse 1242 et enfin un ruban en  creur 1247 contre les caractères imprimants.  Le marteau imprimeur 1246 est porté par un    support. 1218     (fig.   <B>87)</B> guidé sur     im    axe 1249  porté par le bâti 192 et également par un axe  analogue porté par le bâti 181. Le support.

    1248 présente deux goujons 1250 et 1252 en  gagés     dans    une encoche 1251     pratiquée    sur  les côtés des bâtis 181 et 192 (voir aussi       fig.    78A); ces goujons constituant un système  de guidage pour le marteau imprimeur dans  ses mouvements verticaux d'impression.  



  Les goujons 1252 sont en prise avec des  parties fourchues des leviers coudés 1253  fixés sur un arbre 1254 supporté par les bâtis  et articulé à. une bielle 1255 guidée à son  autre extrémité sur un goujon 1256. Un res  sort.<B>1257</B> tend à tirer la bielle 1255 normale  ment vers la droite pour maintenir le marteau  dans sa position inférieure, le goujon 1256  constituant la butée fixant la position nor  male de     fig.    87.  



  L'extrémité de droite 1258 de la bielle  1255 se trouve dans le plan d'un autre gou  jon 1259 qui constitue un pivot entre un bras  1260 et une genouillère 1261. Le goujon 1259  est muni d'un épaulement qui assure l'espace  ment voulu entre la genouillère 1261 et le  bras 1260, espacement qui permet le passage  de l'extrémité 1258 de la bielle. Le bras 1260  est monté sur un axe 1262     -et.-une    butée fixe  1263 limite son mouvement. Une seconde ge  nouillère 1264 est. reliée à. la. première par un  téton 1265, et son autre     extrémité,    est articulée  à un bras 1266 pivotant sur, un arbre 1267.  Une butée fixe 1268 limite le mouvement du  bras 1266 dans sa position de repos.

   Le téton  1265 se prolonge     latéralement.    dans l'extré  mité fourchue d'un bras de came 1269 -pivo  tant sur un arbre 1325 porté par les bâtis       (fig.        78B).    Le bras 1269 se termine par deux  galets 1271 coopérant avec une double came  1272 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273.  



  Cet, arbre 1273 est. animé d'un     mouvement     de rotation dérivé de celui de l'arbre princi  pal 229, par le train d'engrenages     compre-          liant    les pignons 230, 237. et 879. Le pignon  879 engrène avec un autre pignon 1274       (fig.        78B)    fixé sur l'arbre d'imprimerie 1273.  Le module<B>du</B> train d'engrenages est tel      qu'une révolution complète de l'arbre princi  pal 229 se traduise également. par une révolu  tion entière de l'arbre d'imprimerie 1273.  



  La came 1272, en tournant dans le sens       senestrorsum,    bascule le bras 1269 d'abord  dans le sens     dextrorsum,    puis dans le sens  contraire jusqu'à la position de repos. Ce  mouvement. se transmet an goujon 1265, ce  qui tend les genouillères 1261 et 1264. Si le  bras 1266 ne peut tourner dans le sens     dextror-          sum,    la genouillère est tendue et le bras 1260  oseille dans le sens     senestrorsum    en     entrai-          nant    la. bielle 1255 vers la gauche     (fig.    87)  pour basculer le levier 1253, lequel. soulève le  marteau imprimeur 1246 pour assurer l'im  pression sur la fiche.  



  L'amplitude de mouvement du bras 1269  est. telle que les genouillères 1261 et 1264 sont  amenées dans une position horizontale et     au-          delà    pour briser le joint. de genouillère. Par  conséquent, lorsque le bras 1269 est ramené à  sa position initiale, les genouillères 1.261 et  1264 sont     armées    à nouveau avant d'être bri  sées au moment du retour en position normale.  Ce principe de déplacement permet de com  mander le marteau imprimant pour une ou  deux impressions successives. La première  impression se fait lorsque la genouillère est  tendue pendant le mouvement     dextrorsum    du  bras de came 1269, et la deuxième impres  sion     lorsque    ce bras 1269 revient à la position  de repos.  



       C'est    la position du bras 1266, suivant  qu'il est bloqué ou non dans son mouvement  dans le sens     dextrorsum,    qui détermine si l e  marteau d'impression doit effectuer une im  pression, deux impressions ou pas d'impres  sion du tout. Ce blocage du bras 1266 est  obtenu par un segment 1275 pivotant en 1276  sur les bâtis     (fig.    78B, 80 et 87). Si ce seg  ment 1275 tourne dans le     sens        senestrorsum     avant. que le bras 1269 bascule dans le sens       dextrorsum,    il vient se placer sous un goujon  1240 porté par le bras 1266.

   Si le segment  1275 est maintenu sous ce goujon 1240 pen  dant les deux phases d'oscillation du bras       1269,.    il se produit     deux    impressions. Pour  obtenir une seule impression, le segment 1275    est. écarté du goujon 1240 avant. le retour  dans le sens     senestrorsum    du bras de came  1269. Si, enfin, on désire qu'aucune impres  sion ne se fasse, le segment 1275 est     maintenu     par des moyens appropriés dans la. position  de     fig.    87.  



  La sélection des positions de ce segment  1275 est commandée par des disques à en  coches 1277     (fig.    85) et 1278     (fig.    87). Le  disque 1.277 est réglé sous la commande de la  deuxième rangée de     transactions    par l'inter  médiaire de l'arbre carré 763, comme décrit  plus haut en ce qui concerne d'autres     disques     de sélection. Ce disque 1277 est. monté sur un  autre disque 1279 et présente une denture  interne engrenant avec un pignon porté par  l'arbre carré 763, et le disque 1279 est monté  sur l'arbre 632.

      Le disque à. encoches 1278 présente égale  ment une denture interne sur un disque 1280  porté par l'arbre 632, et. cette denture en  grène avec un pignon porté par l'arbre carré  743 commandé par la première rangée de     tou-          elies    de transactions.    Les disques 1277 et 1278 présentent des  encoches plus ou moins profondes et la péri  phérie coopère avec un doigt tâteur 1281 dis  posé dans le plan du disque 1277 et porté par  un bloc réglable 1285 monté sur un goujon  128<B>2</B> porté par un     tâteur    1283. Celui-ci pré  sente un doigt 1284 disposé dans le plan du  disque de sélection 1278. Le bloc 1285 est  orientable, ce qui permet de faire varier la  commande des marteaux imprimeurs de la  manière décrite plus loin.

   Un     ressort    à lame  1286 agit sur le tâteur 1283 et maintient en       position    le bloc 1285 dans la position qui     111i     est affectée.  



  Le     tâteur        1?83,    sous forme d'une biellette,  coulisse sur un goujon 1288 et est articulé à  un bras 1289 qui pivote sur un arbre 1290.  Ce bras présente un prolongement 1291 relié,  par une bielle 1299, au segment. 1275. Un res  sort. 1293.     tendu    entre le goujon 1288, d'une  part, et le bras 1289, d'autre part, maintient  ce dernier ainsi que la bielle 1292 et le seg  ment 1275 en position inactive qui est la posi-      t ion normale. Pour cette opération,     tin    téton  1294 porté par le bras 1291 se trouve contre  un épaulement d'un bras 1295 goupillé sur  l'arbre 1290.

   Ce dernier porte, d'autre part,  un     bras    de came 1296 (voir également       fig.    78p et 94) muni d'un galet 1297 coopé  rant avec une came 1298 fixée sur l'arbre  principal 229. Un ressort 1299 agissant par  l'intermédiaire d'un étrier 1423 et d'un gou  jon     1-125    maintient le galet 1297 en contact  avec la came 1298.  



       Lorsque,    pendant. la rotation de l'arbre  principal 229, le bossage de la     came    1298  échappe     au    galet 1297, le ressort 1299 fait       basculer    le bras 1296 dans le sens     dextrorsurn     pour entraîner l'arbre 1290 et abaisser le bras  1295     (fig.    87) de sorte que le ressort 1293 peut  déplacer le bras 1291, la bielle 1292 et le seg  ment 1275 pour amener ce dernier au-dessous  du     goujon    1240, mais seulement si les     enco-          clies    des disques 1277 et 1278 le     permettent.     



       -'i,    au moment où le bras 1291 commence  son mouvement dans le sens     dextrorsum,    les       tâteurs    1281 et 1284     rencontrent    la périphé  rie des disques 1277 et 1278, le tâteur est       immédiatement.    arrêté et le bras 1291 ne peut  effectuer son mouvement dans le sens     dextror-          suni,    de sorte que le segment 1275 reste à sa  position inopérante. Dans ce cas, il ne se pro  duit aucune impression lorsque le bras 1269       entraîne,    un peu plus tard, le goujon 1265.

         1.a    résistance rencontrée par le goujon 1259,  due ait ressort 1257 et à l'inertie des pièces,  empêche le bras 1260 de basculer dans le sens       seiiestrorsum.    Il en résulte due le bras 1266  petit osciller dans le sens     dextrorsum    et que  la bielle 1255 n'entraîne pas le marteau     d'im-          pression.     



  Si,     ati    contraire, lorsque le bras 1291 est.       laissé    à la commande de la came 1298, les  deux     tuteurs    1281 et 1284 pénètrent dans des       encoches    des disques 1277 et 1278, 1_e bras  1291 peut basculer dans le sens     dextrorsum,     ce qui amène le     segment    1275 au-dessous du       goujon    1240.

   Par conséquent, lors de la rota  tion du bras 1269, le bras 1266 est bloqué et  la     genouillère    1261, 1264 est tendue, ce qui  fait     osciller    le bras 1260 et déplace la. bielle    1255. avec le levier 1253 et, par conséquent., se  traduit par     Lin    mouvement d'impression du  marteau 1246.  



  Lorsque les tâteurs 1281 et 1284 pénètrent  dans des encoches plus profondes, comme  indiqué pour les positions 4 et 8 du disque  1277 et pour la position 10 du disque 1278,  le segment. 1275 reste sous le goujon 1240  pendant les deux phases d'oscillation du bras  1269 et, dans ce cas, il se produit deux im  pressions successives.  



  Une foi que ces deux impressions sont  effectuées, la came 1298 rappelle le bras 1296,  l'arbre 1290 et le bras 1295 à leur position de  repos et, pendant ce mouvement, le bras 1295  ramène, grâce au goujon 1294, le bras 1291,  la bielle 1292 et le segment 1275 également à  la. position initiale.  



  Dans les opérations de machine pour les  quelles les     tâteurs    1281 et 1284 pénètrent  dans les encoches moins profondes des disques  1277 et 1278 ou si l'un des deux tâteurs 1281  ou 1284 pénètre dans     une    encoche profonde  et l'autre dans une encoche moins profonde,  le tâteur 1283 et, par conséquent., le bras  1291, ne sont. pas déplacés sur une amplitude  aussi grande que lorsque les deux tâteurs pé  nètrent dans des encoches profondes. Dans ce  cas, le déplacement du bras 1291 et du seg  ment 1275 est moindre et, lors de la conti  nuation du mouvement du bras 1295, lorsque  la bielle 1292 est stoppée, une arête 1300 du  bras 1295     (fig.    88) est déplacée au-delà d'un  goujon 1301 porté par un cliquet 1302 pivo  tant en 1303 qui est, d'autre part, le pivot.

    entre le bras 1291 et la bielle 1292. Un ressort  1304, tendu entre les goujons 1301 et 1294,  tend normalement à faire tourner le cliquet  1302 dans le sens     dextrorstmi.    Par conséquent,  si     l'arête    1300 se trouve au-delà du trajet du  goujon 1301, le cliquet 1302 bascule dans le  sens     dextrorsum    pour suivre une rampe 1305  du bras 1295. L'oscillation du     cliquet    1302  amène son extrémité 1306 sur le trajet d'un  doigt 1351 d'un bras de came 1350 pivotant  sur l'arbre 1290, lequel bras porte un galet  1349 coopérant avec une     came    1348 fixée sur  l'arbre principal 229.

   La came 1348 produit      le basculement du     bras    1350 dans le sens     dex-          trorsum    sous l'action d'un ressort 1352, puis  dans le     sens    contraire. Pendant ce dernier  mouvement, le doigt 1351 vient en contact.  avec l'extrémité 1306 du cliquet 1302 qui se  trouve ainsi soulevé avec la bielle 1292. Ce  mouvement a lieu avant que le bras de came  1269 ne reçoive son mouvement     senestrorsum,     de sorte que lorsque la bielle 1292 est sou  levée, le segment 1275 est écarté du goujon  1240. Il en résulte que la deuxième impression  n'est pas effectuée.  



  Lorsque les tâteurs 1281 et 1284 pénètrent       dans    des encoches profondes, la bielle 1292       partage    le mouvement entier du bras 1295,  de sorte que l'arête 1300 n'est jamais écartée  du goujon 1301 et que l'extrémité 1306 reste  écartée du trajet du doigt<B>1351.</B> Pendant le  mouvement de retour du bras<B>1350,</B> le bras  1351 ne vient pas en contact avec l'extrémité  1306 du cliquet 1302 et la bielle 1292 se  trouve ainsi être rappelée à sa position de  repos une fois que la     seconde    impression a été  effectuée.  



  Comme le montrent les     fig.    85 et 87, les  disques de sélection 1277 et 1278 présentent  des encoches aux     tâteurs    lorsqu'on     enfonce          une    touche clé  Dépôt  de la seconde rangée  de transactions, alors qu'aucune touche n'est  utilisée dans la première rangée. Pour cette  position, une encoche profonde se trouve en  regard du tâteur 1281, comme l'indiquent les  positions 4 et 8 de     fig.    85 et la position 10  de     fig.    87. Cela signifie que, pour tous les en  registrements de     dépôt,    la machine     effecïue     deux impressions sur l'original et le duplicata  de la fiche de dépôt.

   Si l'on utilise l'une des  touches  Divers  ou l'une des touches  Dé  pôt  dans la deuxième rangée et si aucune  touche n'est utilisée dans la première, c'est  une encoche moins profonde (position 1, 3, 5  et 7) qui se trouve sur le trajet du     tâteur     1281 et une encoche moins profonde sur le  trajet du tâteur 1284. Dans ce cas, une seule  impression a lieu. Si l'on utilise la touche   Répétition , position 5 de la première ran  gée, une encoche moins profonde (position 5,       fig.    87) est présentée     ait        tâteur    1284, alors    que pour le tâteur 1281 une encoche quelcon  que correspondant à la touche utilisée dans  la deuxième rangée se présente.

   Dans ce cas,  l'encoche moins profonde clé position     :5    du  disque 1278 commande une seule     impression,     de sorte que, pour toutes les opérations de ré  pétition, le marteau     imprimeur        n'effectue     qu'une course, même si une encoche profonde  est présentée au tâteur 1281, car une encoche  moins profonde a.     toujours    priorité de com  mande sur une encoche profonde présentée  au tâteur 1284 ou 1281.  



  Le bloc 1285 est réglable et l'on peut mo  difier le système d'application si l'on désire  une autre séquence     d'impression.    Il suffit de  tourner le bloc 1285 pour écarter le tâteur  1281 de sa position active par rapport au  disque<B>1277</B> et d'amener un doigt. 1308       (fig.    80) en position active, dans le plan d'un  troisième disque de sélection 1309     (fig.    86)  qui, on le voit, présente uniquement des en  coches profondes. Cela     signifie    que les enco  ches profondes sont prévues pour chacune des  positions 1, 3, 4, 5, 7 et 8.

   Pour ce cas, le  doigt, 1308 pénètre toujours dans une encoche  profonde, provoquant ainsi deux impressions  à chaque opération pour laquelle aucune  touche n'est utilisée dans la. première     rangée     et lorsqu'une encoche profonde est présentée  au     tâteur    1284. Lorsque le bloc     7.285    est  tourné de façon que ce soit le disque 1.309 qui       commande    l'opération et si l'on utilise la tou  che  Répétition  de la. première rangée, une  encoche moins profonde de position 5     est     amenée sur le trajet du     tâteur    1284, et dans  ce cas     tune    seule impression a. lieu.  



  Ce qui précède constitue un     aménagement     grâce auquel les organes     tâteurs    peuvent être  réglés à. la main et comme on le désire pour  modifier de façon simple et rapide, le genre  d'impression. Il va de soi que la façon de dé  couper les encoches clés disques de     fig.    85, 86  et 87 ne donne qu'un exemple de la     commande     d'impression et s'adapte aux transactions  bancaires indiquées à titre     d'exemple    seule  ment. Il est très facile de     découper    les disques  de toute autre     façon    pour obtenir un autre  système de commande.

             .i1écanisnae        d'exploration   <I>de la</I>     fiche.     



  Un a prévu un mécanisme destiné à  explorer la fiche introduite dans la machine,  de manière à obtenir automatiquement le dé  brayage du marteau imprimant au cas où  aucune fiche n'est placée sur la table 1243       (fig.    84), c'est-à-dire pour empêcher que le  marteau vienne frapper le ruban encreur  contre la platine et maculer cette dernière.  



  Le mécanisme d'exploration comprend des  organes     tâteurs    1315     (fig.    80 et 84) aménagés  (le manière à pouvoir traverser une ouverture  1316 pratiquée dans la table 1243, aux fins  d'explorer si une feuille de papier se trouve  sur ladite table. Si aucune feuille n'est dis  posée sur la table, le tâteur 1315 peut se sou  lever sur toute sa course et vient. agir sur la  course de la bielle 1292     (fig.    83 et 87) pour  empêcher le segment 1275 de venir au-des  sous du goujon     l'240.    On a vu que, pour cette       position,    le marteau 1246 ne fonctionne pas.  



  Le     tâteur    1315     (fig.    84) est guidé dans  son mouvement vertical par l'arbre 1254 et  un autre arbre 1317 porté par les bâtis. Il est  articulé, d'autre part, à sa partie inférieure  à un levier coudé 1318 fixé sur un arbre<B>1319</B>  porté par les bâtis 181 et 192. Une branche  du levier coudé 1318 est sollicitée par un res  sort 1320 attaché, d'autre part, en 1321 sur le       bâti    192. L'arbre 1319 porte encore un bras  1322 auquel est. articulée une bielle 1323 re  liée, d'autre part, à un bras 1324 tournant  sur un arbre 1325 porté par les différents  bâtis.

   Le bras 1324 se termine par un doigt  1326 qui se trouve normalement en contact  avec une équerre 1327     (fig.    84) d'un cliquet  1328 pivotant en 1329 sur un bras de came  1330. L'équerre 1327 procure donc un moyen  de fixer la position du tâteur 1315 par rap  port à la     l:able    1243. Le bras de came 1.330  pivote également sur l'arbre 1325, et un galet.  <B>1331.</B> est. maintenu, sous l'action d'un ressort  <B>1333,</B> cri contact avec une carne 1332 fixée sur  l'arbre d'imprimerie 1273.  



  L'arbre 1276 porte, d'autre part, un seg  ment 1335     (fig.    83) qui peut être placé sur le  trajet d'une équerre 1336 de la bielle<B>1292,</B>   < le sorte que, lorsque le segment 1335 est bas-         culé    dans le sens     senestrorsltrn,    le     sëgment     vient se placer sous l'équerre et empêche  l'abaissement de la bielle 1292. L'arbre 1276  supporte encore un autre segment 1334       (fig.-    84) qui est solidaire d'un bras 1337       (fig.    82) muni d'un goujon 1338 en prise avec  un bras 1339 pivotant sur l'arbre 1325.

   Le  bras 1339 comprend une partie 1340 en forme  de segment dont -unie arête 1341 se trouve être  légèrement au-dessous de l'arête 1342 du bras  1324     (fig.    81). Lorsque l'arbre d'imprimerie  1273 tourne dans le     sens        senestrorsum          (fig.    84), le ressort 1333 fait basculer le bras  1330 dans le même sens pour amener le     cli-          quet    1328 et son équerre 1327 hors du trajet  du doigt 1326, ce qui a pour effet. de livrer  le bras 1324 et la bielle 1323 à l'action du  ressort. 1320 qui,     agissant    sur cette bielle,  fait tourner le levier coudé 1318 pour sou  lever le tâteur 1315.

   Si     âucune    fiche n'est  disposée sur la table 1243, le tâteur 1315 est  soulevé et le ressort 1320 déplace la bielle  1323 vers la droite pour amener le doigt 1326  à suivre l'équerre 1327. Le bras de came 1330  pivote donc de son amplitude complète, de  sorte que l'équerre 1327 est amenée au-delà  d'une arête 1343     (fig.    82), après quoi  l'équerre 1327 tombe derrière cette arête,  dans une encoche 1344 pratiquée dans le bras  1324, sous l'action d'un ressort 1345 tendu  entre le cliquet 1328 et le bras de came 1330.

    Lorsque l'équerre 1327 se trouve dans l'en  coche 1344, derrière l'arête 1343 du segment  1340 et lorsque le bras de came 1330 est ra  mené à sa position par la came 1332, le     cliquet     1328 fait basculer le segment 1340 dans le  sens     dextrorsum,    entraînant le bras 1337 et  l'arbre 1276 dans le     sens    contraire, ce qui a  pour résultat de placer le segment 1335       (fig.    83) au-dessous de l'équerre 1336 pour  empêcher l'abaissement de la bielle 1292 et,  par conséquent, le fonctionnement du mar  teau imprimant.

   Si, au contraire, une fiche  est disposée sur la table 1243, le tâteur 1315  est arrêté dans sa course ascendante par la  fiche et le levier coudé 1318, la bielle 1323 et  le bras 1324 sont eux-mêmes arrêtés dans  leur mouvement. Par conséquent, lorsque le      bras de came 1330 tourne dans le     sens        senes-          trorsum,    l'équerre 1327 du     cliquet    1328 se dé  place le long de l'arête 1342 du segment 1324  et ne peut pas tomber sur le trajet de l'arête  1343 du segment 1340.

   L'équerre 1327 est, par  suite, maintenue     hoirs    du trajet de l'arête  1343, et lors du mouvement de retour du bras  de came 1330, l'équerre 1327 du     cliquet    1328  ne peut pas basculer le     segment.    1340. L'arbre  1276 reste donc stationnaire ainsi que le seg  ment 1335. De ce fait, la bielle     7.292    (fi-. 83  peut fonctionner librement et. le     marteau     imprimant. effectuer sa fonction.  



       Avanceincnt   <I>de la</I>     fiche.   <I>- Galets</I>     de        tension.     Il est nécessaire d'obtenir un     déplacement.     de la fiche et de son duplicata, de     faq.on    que  deux impressions puissent être .faites au     cours     de la même opération sur     l'original    et sur la  copie. Cet avancement se fait. au moyen de  galets     d'avancemént    qui sont     normalement     éloignés     l'un    de l'autre, de façon que la. fiche  ou la. pièce de caisse puisse être insérée facile  ment.

   Dès le début du fonctionnement, ces  galets sont amenés en contact avec le papier  non seulement pendant l'avancement de la  fiche, mais également pendant l'impression,  de manière à maintenir la fiche dans la posi  tion convenable pendant la frappe.  



  Le mécanisme de commande des galets de  tension est. représenté à la     fig.    97. Deux galets  supérieurs 1355 sont montés rotatifs sur l'ar  bre fixe 204 et deux galets inférieurs 1356       (fig.    96 et 97) sont mobiles et peuvent venir  en contact avec les galets fixes 1355. Les deux  galets 1356 sont couplés par un manchon  1357 et sont montés fous sur un arbre<B>1358</B>  porté par deux bras 1359 fixés sur l'arbre  1317 mentionné plus haut. Cet arbre porte,  d'autre part, un bras 1360 relié, par une  bielle 1362, à. un bras de came 1361 dont un  galet 7.363 est maintenu en contact, sous  l'action d'un ressort 1365, avec une came 1364  fixée sur l'arbre 1273.

   Lorsque la came 1364  est en position de repos       (fig.    97), les galets  de tension 1356 sont dans leur position infé  rieure, écartés des galets fixes 1355.  



  Dès que la machine a. commencé son opé  ration, la came 1364, tournant. clans le sens         senestrorsuni,    fait basculer le levier 1361, et  ce mouvement est transmis par les pièces dé  crites à l'arbre 1317 qui soulève les galets  1356, lesquels viennent serrer le papier contre  les galets 1355.  



  Vers la fin du cycle, après que toutes les  opérations d'impression ont été effectuées, les  pièces sont ramenées à la position initiale (le       fig.    97.         3Iécariis        n.e        d'a.i :iiicE-iiicïet   <I>(le la</I>     fiche.     Une fois que les galets de     tension    1356  sont amenés dans leur position supérieure et.

    une fois que la.     première        impression    a été  faite sur la. fiche, ces galets l356 reçoivent un       mouvement    de rotation dans le sens     senes-          trorsum    pour produire un déplacement de la  fiche sur une distance suffisante pour pré  parer l'impression suivante à la. position       voulue.    Des organes sont. prévus pour que  l'on puisse, le cas échéant, faire varier à la  main la distance de déplacement. de la fiche  et     adapter    ainsi la machine aux formulaires  utilisés par la banque ou     autre    institution.  



  Le mécanisme d'avancement de la fiche  est normalement en position inactive et la ro  tation des galets 1356 est commandée par les  touches de la première et de la deuxième  rangée de transactions, de sorte que le méca  nisme d'avancement devient actif pour cer  taines opérations d'impression. Si le méca  nisme d'impression est débrayé, de la. manière  décrite un peu plus haut, le. mécanisme d'avan  cement de la fiche l'est aussi automatique  ment. Si, par contre, le mécanisme d'impres  sion est opérant pour une impression, le mé  canisme d'avancement est également embrayé  et la fiche est déplacée suffisamment pour  permettre l'impression (le deux documents.  



  L'arbre 1358     (fig.    94 et 96) porte un pi  gnon 1370 en prise avec une crémaillère 1371  reliée, par une biellette 1373, à     Lui    levier  1372. Ce dernier pivote en 1374 sur le     bâti    et  présente un goujon 1.375     maintenu    normale  ment en contact avec un     curseur    1376 sous  l'action d'un ressort 1377. Le curseur 1376  est.     guidé    par des goujons     1:;7h    et il est arti-      culé â sa partie postérieure à. un bras de came  1379 pivotant     sur    l'arbre 1325 et muni d'un  galet 1380 coopérant avec une came 1381  fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273.  



  Le curseur 1376 porte un goujon 1382     nor-          irialement    en contact avec un prolongement  <B>1383</B> d'une coulisse     138.1    susceptible de se<B>dé-</B>  placer verticalement. Ce mouvement vertical  est commandé par des disques de sélection po  sitionnés par les touches de transactions, de  telle façon que lorsque la. fiche doit rester       ,4a1        ionrraire,    le     prolongement    1383 reste sur  le trajet du goujon 1382, tandis que lorsque  la fiche doit être déplacée pour deux     impres-          sic         rs,    le     prolongement    1383 est.

   abaissé     au-          dessous    du goujon     138'2.    Dans ce cas, et lors  que l'arbre d'imprimerie tourne dans le sens       senestrorsum,    le ressort<B>1377</B> agit sur le     le-          vier    1372 qui pousse le curseur     1.376    vers la  droite     (fig.    94) pour amener le galet 1380 en  contact avec la périphérie de la came 1381,       laquelle    fait basculer le bras 1379 dans le sens       ,

  errestrorsum.    Ce     mouvement    a pour but de  déplacer les curseurs 1376 vers la droite et  le ressort 7377 tire au contraire la bielle 1373       cl    la crémaillère 1371 vers la gauche pour  l'aire tourner le     pignon    1370 dans le sens       dextrorsum.    , Il s'ensuit que l'arbre 1358  tourne dans le même sens, mais, comme à ce       iiroment    L'arbre 1358 est déconnecté des galets  d'avancement 1356, ces derniers ne sont  animés     d'aucuin    mouvement de rotation.

   La  came 1381 continue à tourner et la     Tonne    de  son pourtour fait basculer le bras 1379 dans  le sens     dextrorsum,    déplaçant le curseur 1376       vers    la gauche, ce qui, par la bielle 1373 et la  crémaillère<B>1371,</B> fait tourner le pignon 1370  et l'arbre 1358 dans le sens     senestrorsum.     Pendant ce mouvement de rotation de l'arbre  1358,     fur    embrayage prévu entre cet arbre et  les     galets    1356 vient en position active,       comme    on v a le décrire     phis    loin,

   et les galets       en    question produisent le déplacement de la  riche pour que la deuxième impression puisse  s'effectuer. L'amplitude de ce déplacement de  fiche est déterminée par une plaquette 1385  montée rotative sur l'arbre 1276 et présen  tant     plusieurs    épaulements 1386 qui permet-         tent,    de faire varier leur     distance    au point de  pivotement.     Chacun    de ces, épaulements 1386  peut être amené sur le trajet du goujon 1382  en retirant, par exemple, une vis 138 7 . qui est  fixée dans le bâti de la machine et en faisant  tourner la plaquette 1385 à l'angle voulu. On  remet ensuite la vis 1387 pour fixer la pla  quette.

   Lorsque le curseur 1376 se déplace  vers la droite, le goujon 1382 rencontre l'un  des épaulements 1386, et l'amplitude de dé  placement est déterminée par l'espace qui se  trouve entre le goujon 1382 et l'épaulement  choisi. Dans la machine représentée, les épau  lements 1386 sont aménagés de Tacon que la  distance entre deux impressions sur la fiche  puisse varier de 15 à. 50 mm par lignes de  5 mm. Bien entendu, ces chiffres ne sont.  qu'un exemple.  



  Le mécanisme d'embrayage entre l'arbre  1358 et les galets 1356 est représenté à plus  grande échelle en     fig.    98. Sur l'arbre 1358 est  fixé un disque 1390 (voir également     fig.    96)  présentant     -une    partie cylindrique 1391 qui  pénètre à l'intérieur d'une     couronne    à rochet  <B>1392.</B> Coulissant dans une gorge de cette       portion    cylindrique 1391 se trouve     une    paire  de     cliquets    1393 à sens unique et qui sont en  prise avec les dents du rochet sous l'action  d'un ressort 1394 inséré dans une ouverture  percée dans l'arbre 1358. La couronne à ro  chet 1392 est fixée à l'un des galets 1356 au  moyen de rivets 1395.

   Lorsque l'arbre 1358  reçoit sa rotation dans le sens     dextrorsum    au  début de l'opération d'avancement, les     cli-          quets    1393 glissent     sur        les    dents du rochet. et  sont poussés vers l'intérieur, de manière à dé  connecter l'arbre 1358 du galet 1356. Un frein  1396     (fig.    94), que l'on décrira plus loin,  empêche la rotation accidentelle des galets  1356 pendant cette opération.

   Lorsque l'arbre  1358 tourne dans le sens     senestrorsum,    les     cli-          quets    1393 s'embrayent avec les dents et en  traînent les galets d'avancement 1356 dans le  même     sens    pour assurer le déplacement de la  fiche d'une position de déplacement à l'autre.  L'embrayage représenté en     fig.    98     n'est    prévu  que pour l'un des galets 1356 puisque l'autre  est rendu solidaire du     premier.    Le mécanisme      de frein pour le galet. 1356 comprend un sa  bot 1396 (fil-. 94) maintenu en prise avec  l'un des galets 1356 sous l'action d'un ressort  <B>1397.</B> Le frein 1396 pivote en 1398 sur l'un  des bras 1359.  



  8i, lorsque l'arbre 1358 reçoit son premier  mouvement dans le     sens        dextrorsum,    le galet  d'avancement 1356 a. tendance à tourner dans  le sens     dextror;sum    par l'intermédiaire des       cliquets    d'embrayage 1393, la coopération du  frein 1396 avec le galet 1356 est telle que ce  dernier est coincé contre le frein 1396 et rie  peut. tourner. La raison de ce coincement. est.  que le point de contact de l'extrémité du frein  1396 se trouve au-dessous du centre de la  ligne passant. par le     pivot    du frein et de  l'arbre 1358.

   La rotation dans le sens     dextror-          suin    du galet 1356 a, par conséquent, pour  tendance de faire basculer le frein 1396 dans  le sens contraire, ce qui Se traduit. par un  effet de coinçage du     ;-alet    1356.  



       Comme    le représente la     fig.    96, chacun  (les galets 1356 est     recouvert    d'une matière  élastique, par exemple du caoutchouc, pour  augmenter l'effet d'adhérence du papier entre  les     deti_@    galets. On a également. prévit un dis  positif pour empêcher une rotation excessive  (les galets 1356 à la fin de l'opération d'avan  cement. Ce verrouillage comprend une came  1400     (fig.    95) fixée à l'extrémité de l'arbre  1358. Normalement, lorsque la machine est. au  repos, la carne 1400 se trouve sur le trajet.  d'un cliquet 1401 relié à un deuxième cliquet  1402 par un rivet 1403, et ce dernier est main  tenu en contact, avec une roue à rochet 1404  fixée au galet de droite 1356.

   Tant que la  came 1400 bloque le mouvement du cliquet.  1401, l'autre cliquet 1402 ne peut être écarté  des dents du rochet. 1404, empêchant ainsi la  rotation du galet 1356. Par contre, lorsque  L'arbre 1358 tourne dans le sens     dextrorsum,     au début de l'opération après que les galets  ont. été soulevés en position active, la came  7400 s'écarte du cliquet 1401, laissant un res  sort 7.405 agir sur le cliquet 1402, lequel  s'écarte du rochet 1404, libérant ainsi les  galets 1356 à l'action du mouvement d'avan  eeurent.         (\oî)i.7rza.7i.clc   <I>automatique de</I>     !'av .ncem(.id     <I>de la</I>     fiche.     



  La position de la coulisse 1384 et de son  prolongement 1383 est     commandée    par deux  disques de sélection. 1410 et 1411     (fig.    92,  94). lie disque 1410 est muni de dent  internes et est monté sur un     disque    1.412 porté  par     l'arbre    632. Ces dents sont en prise avec  un pignon 1413 monté sur l'arbre carré 763  qui, on l'a vu, est commandé par la. deuxième  rangée<B>dé</B> transactions. Le disque 1411       (fig.    94) présente également une denture sur  un disque 1414 pivotant sur l'arbre 632.     ('elle     denture engrène avec un pignon 1415 porté  par l'arbre carré 743 commandé par la pre  mière rangée de transactions.  



  Un organe     tâteur    1416 coopère avec la  périphérie du disque 1410 et un organe     tâteur     1417 avec celle da disque 1411. Le tâteur 1416  fait partie d'un bloc réglable 141.8 pivotant  en 1419 et porté par une bielle 1420. Un res  sort à.     la.nies    1421 maintient le bloc réglable  1418     dans    la position acquise. La bielle 1420  est articulée à un étrier 1423 monté rotatif  sur l'arbre 1290, et un     bras    1424 de l'étrier  porte un goujon     142.1        (fig.    94) normalement,  maintenu en contact avec le bras 1296 sous  l'action du ressort 1299.

   L'étrier 1423 pré  sente un     second        bras    1.426     auquel    est articulée  la coulisse 1384.  



  Lorsque la came 1298 tourne dans le sens       dextrorsuin    pour agir sur le bras 1296, le  goujon 1425 et l'étrier 1423 sont livrés à  l'action du ressort 1.299, de sorte que la bielle  1420 tend à. se déplacer vers la gauche pour  amener le     tâteur    1416 et le tâteur 1.417 en  contact. avec la périphérie des disques 1410  et 1411.

   Si une touche de  Dépôt  a été en  toncée dans la deuxième rangée, l'arbre carré  763 est réglé en proportion, de façon que le  disque 1410 présente une encoche aux posi  tions 4 ou 8     ait    trajet du tâteur     7.416.    Pour  une opération de  Dépôt , aucune touche  n'est utilisée dans la     première    rangée,     c'est          pourquoi    une encoche se trouve à la position  10 du disque 1411.

   Pour ce genre d'opération,  les (feux tâteurs 1416 et 1417 peuvent, péné  trer dans les encoches, de sorte que l'étrier           142')    bascule dans le sens     dextrorsum    pour  abaisser la coulisse 1384 et écarter le prolon  gement 1383 du trajet du goujon 1382, d'où  avancement des galets 1356.  



  Si l'une des touches de la deuxième     rangée     de transactions autre que les touches de dépôt  est enfoncée, c'est une     partie    pleine du disque  1410 qui se     présente    au tâteur 1416. En ce  cas, l'étrier 1423 est. arrêté et la coulisse 1384  reste à la position de     fig.    94 sur le trajet du  goujon 7.382. Dans ce cas, le curseur 1376 est  stoppé et il ne se produit aucun avancement  de la fiche.

           b#i    l'on désire modifier la     commande    du  mécanisme d'avancement de la fiche, il suffit  de régler le bloc réglable 1418 sur son pivot  1419 pour amener un tâteur 1427 en position  de coopération avec un disque de sélection  1428     (fig.    93) et de retirer simultanément le       tâteur    1416 du disque 1410. Le disque de sé  lection 1428     présente    des encoches à d'autres  positions qui correspondent à un autre sys  tème comptable. Le disque 1428 est positionné  par la deuxième rangée de     transactions,     comme le disque 1309.  



  <I>Impression dit</I>     bordere#u.     



  Un bordereau de contrôle est imprimé,  comme on l'a indiqué plus haut, et l'impres  sion comprend le numéro de la machine, le  numéro consécutif, un symbole de trans  action, le montant et un symbole du genre  d'opération (voir     fig.    106). L'imprimerie du  bordereau forme la section centrale de l'im  primerie     (fig.    1.), entre les bâtis 181 et. 192       (fig.    7, 78A et     78B).    Le mécanisme est monté  dans une sorte de chariot amovible qui peut  être retiré clé la machine à volonté. Le mé  canisme glisse sur des rails fixés à la base.

   Ce  chariot est toutefois normalement verrouillé  sous la commande de la serrure 1.23     (fig.    1, 2  et 55).     Lorsqu'on    déplace cette serrure     vers     l'avant, un verrou de porte est libéré, de sorte  que la porte d'imprimerie peut pivoter sur  ses gonds intérieurs, ce qui découvre des  verrous     manoeuvrables    à. la main, permettant.  de retirer le chariot d'impression. Si ce cha-         riot    est retiré simplement pour remplacer la  réserve de papier, on glisse ce chariot vers  l'avant jusqu'à ce qu'on rencontre une butée.

    Pour cette position, tous les galets de     gntidage     et d'avancement du bordereau sont accessi  bles facilement, ce qui permet d'enlever l'an  cienne bande de papier et. de remettre un  nouveau rouleau. Le retrait. du chariot     porte-          papier    constitue un perfectionnement par  rapport aux machines usuelles dans lesquelles  les galets d'avancement et de guidage restent  dans la machine, rendant plus difficile le  remplacement de la réserve de papier.  



       Un    autre perfectionnement de ce méca  nisme d'impression du bordereau consiste. en  ce que le chariot peut être complètement en  levé de la machine en soulevant l'extrémité  antérieure de chariot, lorsque celui-ci est  arrêté par la butée     susvisée.    Par ce retrait  complet hors de la machine, on obtient, entre  autres, trois résultats nouveaux:  1  Le chariot, portant le bordereau de  contrôle avec les transactions de la journée,  peut être retiré et conservé par exemple dans  un coffre-fort.  



  2  Si une application établie par l'usager  de la machine est telle que l'on désire avoir  un bordereau séparé pour chaque caissier, ou  si la machine peut être utilisée pour une autre  application avec un bordereau séparé pour  chaque employé, chacun de ceux-ci possède  son propre chariot de bordereau qui peut être  inséré dans la machine lorsque le caissier  prend son service.  



  3  Si, pour une raison quelconque, on dé  sire avoir la signature d'un client, sur le bor  dereau de contrôle, le chariot     petit    être retiré  de la machine et on le porte au client qui  peut signer sur le bordereau au travers  d'une ouverture appropriée, après quoi le cha  riot est remis dans la machine.  



  Bien entendu, ces trois possibilités ne sont.  pas restrictives, et. l'amovibilité du chariot  peut. encore présenter beaucoup d'autres  avantages suivant les applications envisagées.  La serrure 123 empêche en tout cas toute  personne non autorisée de retirer le chariot.           Chariot        porte-bordereau.     



  Le bâti du chariot porte-bordereau est re  présenté aux     fig.    103 et 104 et comprend  deux flasques 1231 et une plaque de base  <B>1232</B> sur laquelle pivote une porte l233, au  moyen de charnières 1234 (voir aussi     fig.    99  et 107). La porte 1233 est. constituée par une  partie verticale et une partie horizontale,  cette dernière présentant une ouverture 1235  normalement fermée par une fenêtre compre  nant une partie fixe 1237 et une partie mo  bile 1236 en verre, pour empêcher tout accès  non autorisé au bordereau.  



  L'ensemble constitué par les flasques  1231, la base 1232 et la. porte<B>1233</B> peut cou  lisser dans la machine sur une paire de rails  1238 supportés par six bossages 1239. Des vis  12401 permettent de fixer les rails aux bos  sages     (fig.    103). Sur chaque flasque 1231,  vers l'arrière de ceux-ci, se trouve un goujon  12411 en prise avec les faces inférieures des  rails, lorsque le chariot est dans la machine.

    Deux blocs 12421 montés à l'avant de chaque  flasque 1231 se prolongent vers     l'intérieur     pour être en prise avec les rails 1238 lorsque  le chariot est dans la machine, et chaque rail  1238 est muni d'une encoche 12431.     Lorsqn'en     déplace le chariot     vers    l'arrière de la machine,  les goujons 12411 étant. placés sous les rails  1238, les encoches des blocs 12421 viennent en  prise avec les encoches     12-131    des rails, ce qui  fixe le chariot dans la position     voulue.     



       Les    rails 1238 présentent, sur les     faces     internes, des encoches 12441 en prise avec une  paire de verrons 12451 pivotant sur un gou  jon 12461 de la base 1232. Un ressort     121-71     sollicite les verrous 12451, de façon que ces  derniers s'engagent dans les encoches     1243-1.     Un téton 12481, monté sous la base 1232, s'en  gage dans une fente 12491 des verrous 12451,  de manière à limiter leur mouvement lorsque  le chariot est retiré de la machine.  



  Les encoches 12441 ont une forme telle  que lorsque les verrous 12451 sont en prise  avec elles, le chariot reste solidement ver  rouillé dans sa position. Pour retirer le cha  riot, l'opérateur saisit les poignées<B>12501</B> des  verrous et les presse l'une contre l'autre, ce    qui dégage les verrous 12451, permettant de  retirer le chariot. Des équerres 12511, soli  daires de la base     1.232,    viennent en contact  avec une traverse 125'1 (voir également       fig.    78A) et arrêtent le chariot lorsque celui-ci  est retiré suffisamment pour donner accès au  bordereau de contrôle. S'il désire retirer com  plètement le chariot, l'opérateur bascule ce  dernier vers le haut pour soulever les  équerres 12511 au-dessus de la traverse, ce  qui libère le chariot.

   Les goujons 12411 cons  tituent     Lin    moyen de maintenir le chariot en  position horizontale lorsqu'on retire partielle  ment le chariot vers l'avant sans l'enlever  complètement et grâce à. l'engagement, de ces  goujons avec la face inférieure des rails 1238,  lorsque le chariot est tiré vers l'avant     suffi-          samment    pour être basculé vers le bas par le  propre poids.  



       Certains    mécanismes pour entraîner la  platine     d'impression    et les dispositifs d'avan  cement du papier ou encore pour commander  leur fonctionnement sont actionnés par l'ar  bre à cames principal. Ces mécanismes restent  naturellement dans la machine, lorsque le  chariot     porte-bordereau    est enlevé. Les dispo  sitifs qui restent sur le chariot doivent s'ali  gner avec ceux qui restent dans la machine  et, pour obtenir leur alignement convenable,  les flasques 1231 présentent des fentes de       guidage    l2531     (fig.    107) coopérant. avec des  goujons 12541 portés par les     bâtis    1.92 et 193,  au moment où le chariot atteint sa position  limite dans la machine.

   Ces goujons 12541  comportent des gorges annulaires avec parois  coniques, de manière à guider convenable  ment les flasques dans la. position pour la  quelle le mécanisme d'entraînement de la pla  tine, de déplacement. du papier porté par  le chariot s'adaptent exactement. avec les  organes     d'actionnement.    La gorge annulaire  prévue dans les goujons 12541 est visible à la  fi-. 78B qui représente la machine sans le  chariot porte bordereau.         Z        erro-ttillage   <I>de</I>     la   <I>porte (lit</I>     bordereaie.     



  On a indiqué plus haut que l'ouverture de  la porte donnant accès     normalement    au bor-           dereau    de contrôle est sous la commande de  la     serrure-glissière    123     (fig.    55). Le goujon  1147 qui pénètre dans le chemin de came 1.146  de la glissière<B>1139</B>     est    articulé à une bielle       1-160        (fig.    55,     78B    et 99). La partie inférieure  de la bielle 1460 est articulée à un bras 1461.  d'un étrier 1462 pivotant sur l'arbre     1;390    et       disposé    entre les bâtis latéraux de la machine.

    L'étrier 1462 présente un deuxième bras 1463       près    du bâti 192 et est articulé à, une bielle       7-161-    munie d'une fente de guidage sur un  goujon 1465. La partie antérieure de la bielle  1464 est munie d'une équerre 1466 se trouvant  dans le plan d'un téton 1467 porté par un  verrou de porte 1468. Ce dernier est fixé sur  un arbre 1469 monté dans les flasques<B>1231.</B>       (lit    chariot. L'arbre 1469 porte un autre ver  rou 1470     identique    au verrou 1468, mais qui  ne porte pas de téton 1467.

   Lorsque le chariot  est verrouillé dans la machine, les verrous  1468 et 1470 viennent en prise avec des     en-          eocl(e.s    1471 prévues sur des supports 1472 et  1473 respectivement     (fig.    107 et 108), sup  ports qui sont montés sur la porte 1233 au       moyen    clé vis 1474 et 1475.

   Lorsque les ver  rous 1468 et 1470 sont à la     position-    de     fig.    99,  ils sont en prise avec les supports 1472 et  1473, de sorte que la porte 1233 est maintenue  dans sa position de fermeture.     Lorsqu'on    dé  place la serrure 123 vers l'avant, le chemin  de came 1146 soulève la bielle 1460 et fait     pi-          i-oter    l'étrier 1462 dans le sens     dextrorsum,     mouvement qui est transmis à la bielle     1.-164,     laquelle coulisse vers la gauche     (fig.    99) pour  amener l'équerre 1466 à coopérer avec le gou  jon 1467.

   Il en résulte que le verrou 1468 pi  vote en entraînant l'arbre 1469 et l'autre ver  rou 1470, ce qui dégage les verrous des en  coches 1471. De ce fait, l'opérateur peut  ouvrir la porte 1233     (fig.    107) pour avoir       accès    aux poignées 12501     (fig.    103) qui lui  permettent de libérer le chariot     porte-borde-          reau    des rails 1238.

   Le chariot peut être tiré       vers    l'avant jusqu'à ce que les équerres 12511  butent contre la traverse 12521 et, dans cette       position,    les goujons     12-111    sont en contact  avec la partie inférieure des rails 1238, main-    tenant ainsi le chariot dans une position hori  zontale donnant cependant accès au borde  reau. Pour cette position, la partie imprimée  du bordereau peut être extraite et l'extrémité  de la bande de papier peut être passée autour  de la bobine de réception.

      Avant que le chariot soit. inséré dans la  machine ou après que ce dernier y soit ver  rouillé, l'opérateur peut amener la     serrure-          glissière    123 dans la position active, ce qui  abaisse la bielle 1460 et fait pivoter     l'étrier     146\3 et le bras 1463 dans le sens     senestror-          sum.    Il en résulte (fia. 99) que les verrous  1468 et 1460 basculent dans une position pour  laquelle ils viennent en prise avec les enco  ches 1471 des supports 1.472 et 1473 de la  porte.

   Pour obtenir ce mouvement de     bascule-          ment    des     verrous,    un ressort 1476     est.    placé  sur le moyeu du verrou 1468, une extrémité  de ce ressort étant fixée au verrou alors que  l'autre extrémité appuie sur un goujon 1477  porté par le flasque gauche 1231 du chariot.  La tension de ce ressort 1476 est telle que lors  que l'équerre 1466 est dégagée du goujon  1467, ce ressort fasse osciller les verrous et  l'arbre 1469 dans le sens     senestrorsum    dans  une position qui correspond à l'engagement.  avec les encoches 1471.  



  Pour limiter le mouvement d'ouverture de  la porte 1233 et éviter que les charnières 1234  soient endommagées, il est prévu une paire  de bielles à genouillère 1481 et 1482     (fig.    107)  reliées par un petit axe 1483. L'extrémité su  périeure de la bielle 1482 pivote     sur    un arbre  1484 porté par les flasques du chariot.  L'extrémité supérieure de la bielle 1481 pré  sente un goujon 1485 pouvant coulisser dans  une fente 1486 pratiquée dans le support de  gauche 1473. Lorsque la porte 1233 est  ouverte, la genouillère constituée par les  bielles 1481 et 1482 est tendue et l'ouverture  de la porte se trouve ainsi limitée par le gou  jon 1485 qui vient buter contre l'extrémité  de la fente 1486.

   Pour cette position, la porte  est à peu près horizontale     (fig.    107), ce qui  donne un accès suffisant au mécanisme de  bordereau.           Support   <I>de</I>     bordereau   <I>et</I>     organes   <I>de</I>     gr4idage.     Le bordereau de contrôle est une bande  enroulée en une bobine 1491     (fig.    100 et 101)  et munie d'un noyau creux ou manchon 1492  supporté à son extrémité de droite (quand on  regarde la machine de face) par un goujon  1493     (fig.    101)     supporté    par le flasque de  droite 1231.

   Le flasque de gauche du chariot  présente un goujon coulissant 1494     (fig.    102)  sur l'extrémité duquel pivote le manchon  1492. Le goujon 1494 présente une gorge  annulaire 1495 dans laquelle pénètre un plon  geur élastique     1-196    lorsque la bobine est en  position. Ce plongeur peut coulisser dans un  logement 1497 à l'intérieur duquel se trouve  un ressort 1498 qui pousse le plongeur 1496  vers l'extérieur. Une nervure 1490 est prévue  sur le logement 1497 pour limiter le mouve  ment vers le bas du plongeur 1496. Lors  qu'on désire retirer le manchon 1492 de la  machine, il suffit de saisir un bouton moleté  1500 et de forcer le goujon 1494 vers la gau  che     (fig.    102) jusqu'à, ce qu'une autre gorge  annulaire 1501 vienne en prise avec le plon  geur 1496.

   Les parois des gorges 1495 et 1501  sont légèrement coniques pour faciliter le  mouvement qu'on vient de décrire. Par con  tre, l'arête de droite de la gorge 1501 est ver  ticale pour empêcher que le goujon 1494  puisse être retiré complètement. Lorsque ce  goujon est dans sa. position de gauche, le man  chon 1492 peut être retiré et l'on peut placer  une nouvelle bobine sur le goujon 1493, après  quoi -l'on presse à nouveau le goujon     149-1     vers la droite.  



  La bande de papier 1502     (fig.    105) est  guidée par un galet 1503 et par un autre  galet 1499 porté par le bâti de chariot. Ce  bâti est pivoté en 1506 sur les flasques 1231  du bâti du chariot. Du galet 1499, la bande  passe autour d'un rouleau 1505 porté par les  flasques 1231 du chariot et de là sur un galet  1507, puis une table 1509     (fig.    101) portée  par les flasques 1231. La bande est passée  autour d'un galet 1510, d'un autre galet 1512  porté par un axe 1541 lui-même supporté par  le bâti basculant 1517 et enfin sur un galet  1513 pour arriver à une bobine de réception    1515 (voir aussi fia. 105 et. 109) où elle est  fixée de toute manière appropriée.  



  Pendant le fonctionnement de la machine,  la bobine 1515     redoit    un mouvement. de rota  tion pas à. pas, pour faire avancer la bande  de contrôle sur les galets de guidage décrits  ci-dessus.  



       .;l        ra.iieemrrrt   <I>dit</I>     bordercair.     



  Lorsque la machine est au repos, les six  dernières lignes d'impression sont     visibles    à  travers la glace<B>1.237</B>     (fig::.    99 et 108) et, pen  dant le fonctionnement, la bande de papier  1502 est déplacée pour amener la dernière  impression d'une position de lecture  L        (fig.    101) à. une position d'impression  I ,  alors que, simultanément, la bande est, espacée  d'une ligne, ainsi qu'on va le voir. L'impres  sion sur la. bande se fait lorsque celle-ci se  trouve à. la, position d'impression et. ensuite  la bande est ramenée vers l'arrière pour     qtie     la dernière ligne soit. visible à travers la fe  nêtre.

   Pour amener le papier de la position  de lecture à la position     d'impression,    le     bàti     1517     (fig.    101) est basculé dans le sens     det-          trorsum    pour soulever le galet. de     guidane     1.499 et former une boucle de la bande     15,12     et simultanément abaisser le galet, 1512 qui,  lui, rattrape cette boucle. Ce     déplacem nt     avec l'espacement simultané est suffisant pour  amener le bordereau à une position d'impres  sion.  



  Le mouvement de     baseulement    du bâti  1517 est obtenu au moyen d'une bielle 1520       (fig.    10l.)     articulée    sur un goujon 1521 du  bâti 1517. L'autre extrémité de la bielle 1520  est articulée à un levier coudé 1533 monté  sur un goujon     7.523    du flasque gauche 1231  du chariot. Le levier coudé, la bielle 1520 et  le bâti basculant 1517 sont supportés par les  flasques<B>1231.</B> et, lorsque le chariot est retiré  de la. machine, ces éléments le sont également.

    Pour faire basculer le     bâti    1517 pendant le  cycle, ce mécanisme est relié     automatiquement     à un dispositif dérivant, son mouvement de  l'arbre d'imprimerie     1273.A    cet effet, le le  vier 1533 présente une encoche 1524 qui  forme un guidage pour un goujon 1525 porté  par un levier 1526 pivotant. sur le goujon      12541     mentionné    plus haut et qui est porté  par le bâti 192 de la machine (fi,-. 78B). Le  levier 1526 est articulé à une bielle 1527  dont. l'autre extrémité présente une encoche  1528 qui peut être abaissée en prise avec un       goujon    1529 porté par un bras de came 1530.

    Ce dernier pivote sur l'arbre 1325 et est. muni  de deux galets<B>1531</B> coopérant avec une dou  ble came 1532 fixée sur l'arbre d'imprimerie  1273. L'encoche 1528 est. normalement éloignée  du goujon 1529, mais elle est abaissée automa  tiquement à chaque opération pour laquelle  une impression est. nécessaire sur le bordereau  de contrôle. On a déjà indiqué que, dans  l'exemple comptable décrit, la seule opération  pour laquelle une     impression    n'est pas néces  saire sur le bordereau est celle qui fait appel  à la touche      Add.     de la rangée 1 et à la  touche      Add.-Impr.     (le la rangée 2. Pour  toutes les autres opérations, la bielle 1527 est.

    abaissée automatiquement, pour relier     fotie-          tionnellement    l'avancement de la, bande au  mécanisme de commande de la machine.  



       Ilorsque    cette dernière fonctionne avec la  bielle     1527    dans sa position abaissée, la. came       1532    fait basculer le bras<B>1.530</B> dans le sens       senestrorsuru    pour déplacer la bielle 1527 .-ers  la droite     (fig.    101) et osciller ainsi le levier  1526 dans le même sens, mouvement qui se       traduit    - grâce à la bielle 1720 - en un       basculement    du bâti 1517 dans le sens     dex-          trorsum    pour déplacer la bande de papier de  la position de lecture à la position d'impres  sion.

   Après l'impression, la came 1532 conti  nuant à tourner, les pièces sont ramenées vers  la position initiale et, pendant. ce mouvement,  la bande de papier est. déplacée de façon telle  que la     dernière    ligne d'impression vienne se  placer à la position de lecture. La. bobine de  réception 1515 est montée exactement comme  la bobine de réserve 1.491 et est commandée  par un bouton moleté analogue au bouton  <B>1500</B> de fin. 102.  



       Fspacem,en.t   <I>des</I>     liqnes.     



  On a indiqué que, lors du déplacement  de la bande de papier à la position d'impres  sion et vice     versa,    il se produisait un espace-    ment de ligne. L'arbre 1541 qui supporte le  galet 1512 du bâti oscillant 1517 s'étend sur  le trajet d'un doigt 1542 prévu sur un bras  1543     (fig.    101) pivotant en 1544, c'est-à-dire  sur le même axe que la bobine de réception  1515. Un ressort 15.45 maintient normalement  le doigt 1542 en contact avec le prolongement  de l'axe 1541. Le bras 1543 présente un talon  1546 sur le trajet. d'un goujon 1547 porté par  une plaquette 1548 (voir aussi     fig.    109).

   Un  ressort de torsion 1549 tend normalement à  maintenir le goujon 1547 en contact avec le  talon 1546, de façon que le bras 1543, lors  qu'il tourne dans le sens     senestrorsiun,    en  traîne la plaquette 1548. Cette dernière porte  un cliquet d'avancement 1551 dont une dent  est, sous l'action d'un     ressort    1553, en     prise     avec une roue à rochet. 1552. La roue à rochet  est. solidaire de la bobine de réception 1515,  de sorte que par la rotation de la roue à ro  chet, la bande de papier 1502 s'enroule sur la,  bobine.  



  La plaquette 1548 est à cet effet basculée  dans le sens     senestrorsum    par le ressort 1545       (fig.    101) au moment où le bâti basculant  1517 oscille dans le sens     dextrorsum,    mouve  ment qui a pour effet de livrer le bras 1543  à l'action du ressort 1545, et le talon 1546  vient toucher le goujon 1547 pour faire bascu  ler la plaquette 1548 dans le     sens        senestror-          sum,    de façon que le cliquet d'avancement  1551 fasse tourner le rochet 1552 d'une dent.  



  Au moment. où le cliquet 1551 fait     avan-          eer    la roue à rochet, la bande de papier est  lâche par suite des mouvements, décrits plus  haut, des galets 1499 et. 1512. Pendant ce  mouvement, le cliquet d'avancement 1551 dé  place la bande suffisamment pour qu'il se  produise un interlignage. Lorsque la bande  arrive à la position d'impression, le cliquet  1551 a tendu cette dernière qui présente une  partie vierge à la ligne     @    d'impression.  



  Pendant le mouvement de retour du bâti  oscillant 1517, le galet 1512 relâche à nou  veau la bande de papier qui se trouve être  ramenée à la position de lecture. A ce mo  ment, le bras 1543 oscille dans le sens     dex-          trorsum    à sa position normale, sous l'action      de l'arbre 1541 qui vient en contact avec, le  doigt 1542. Le ressort 1549 ramène la pla  quette 1548 dans le sens     dextrorsum    pour  réarmer le cliquet 1551 pour la prochaine  opération.

   Le mouvement rétrograde de la  roue à rochet. 1552 est empêché par deux     cli-          quets    élastiques 1554 qui sont en prise avec  la denture de la roue à rochet. 1552, empê  chant celle-ci de tourner dans le sens     dext.ror-          sum.    Ces     cliquets    pivotent sur des goujons  1555 du flasque 1231 chi chariot, sous l'action  d'un ressort 1556.  



  Au fur et à mesure que la bande de pa  pier s'enroule sur la. bobine, le diamètre exté  rieur de cette dernière augmente, et il faut,  par conséquent, que l'avancement. angulaire  de la bobine diminue en conséquence pour  que l'interlignage soit régulier. La différence,  de cet.     avancement    angulaire est compensée  automatiquement par le mécanisme suivant:  Le galet 1512 porté par le bâti basculant  1517 se trouve plus près du point de pivote  ment de ce bâti que ne l'est le galet de gui  dage 1499. Lorsque le bâti oseille dans le  sens     dextrorsum,    le galet 1499 donne à la  bande suffisamment de jeu pour amener la  dernière ligne d'impression une ligne plus loin  que la position d'impression.

   Pendant ce mou  vement     dextrorsum    du bâti oscillant 1517, le  bras élastique 1543 agissant par le talon 1546  et le goujon 1547 fait basculer la plaquette  1548 dans le     sens        senestrorsum    pour repren  dre l'excès de jeu sur la bobine de réception  1515. L'amplitude de rotation de la bobine  dépend du diamètre de cette dernière et, au  fur et à mesure que le diamètre augmente, le  mouvement angulaire du bras 1543 et de la  plaquette 1548 est proportionnellement plus  petit. La variation du déplacement angulaire  est obtenue grâce à     l'actionnement    du bras  1543 par le ressort 1545 qui est suffisamment.  fort pour tendre la bande 1502, mais toutefois  pas suffisamment fort pour tirer la bande clé  papier de la bobine de réserve 1491.

   Le  doigt. 1542 du bras 1543 suit le prolongement  de l'axe 1541 suffisamment loin pour tendre  la bande. Pendant le mouvement de retour       chi    bâti oscillant 1517 dans le sens senestror-         sum,    le galet 1499 se déplace sur une plus  grande distance que le galet 1512 et, comme  à ce moment-là, la bobine de     réception    ne  peut tourner en arrière, par suite des cliquets  1554, le galet 1499 tire de la bobine de ré  serve une portion de bande suffisante pour  faire un espacement d'une     ligne.     



       Frein   <I>pour lu</I>     bobine   <I>(le</I>     réserve.     



  Pour éviter l'emballement de la bobine de  réserve, lorsque la bande de papier en est  tirée, au moment. du     basculement        chi    bâti  oscillant<I>151'ï,</I> ii est.     prévu    un     système    de  frein 1560     (fig.    101 et. 105). Ce dispositif  comprend - une plaque pivotant en 1561 et  qu'un ressort 1562 maintient normalement en  contact avec la périphérie de la bobine. Ce  ressort peut être réglé, pour assurer la ten  sion convenable, au moyen d'une vis     1a64    en  prise avec une encoche 1565. Il est prévu  quatre de ces encoches dans un disque<B>1563.</B>  La vis 1564 est fixée au flasque de gauche  1231 du chariot.

   En tournant l'arbre<B>1561</B>  dans le sens     senestrorsum,    on peut tendre le  ressort, tandis qu'une rotation contraire di  minue la pression. Ce réglage permet de dé  charger le bâti oscillant et d'empêcher la bo  bine 1491 de tourner dans le sens     dextrorsum     une fois que le papier a été déplacé en posi  tion d'impression.  



  Quand on remplace la bobine, il est pré  férable que le frein 1560 soit maintenu hors  de portée de l'opérateur et, à cet.     effet,    ce  dernier pousse le frein 1560 dans le sens       dextrorsum        (ïig.    101) jusqu'à ce qu'un goujon  1566 vienne sur le trajet d'une encoche 1.567  prévue dans un verrou 1568. Ce dernier pi  vote en 1569 sur le bâti de chariot et un res  sort<B>1570</B> tend à. le faire tourner dans le sens       dextrorsum.    Lorsqu'on déplace le frein 1560  comme indiqué, le ressort 1570 a pour effet  d'amener     brusquement    l'encoche 1567 en prise  avec le goujon 1566, ce qui     maintient    le     frein     en position inactive.  



  Pour faciliter le passage de la bande de  papier sur les différents galets de guidage et  plus     particulièrement    le, galet 1499, l'opéra  teur fait basculer le     bâti    1517 dans le     sens              dextrorsum    pour amener le galet. 1499 dans  sa position supérieure.

   Ce     mouvement    doit  être effectué     avant    de placer la nouvelle bo  bine de papier, de sorte que, lorsque l'opéra  teur déplace le     i.'rein    1560 dans le sens     dex-          trorsuni    pour le verrouiller en position inac  tive, l'extrémité supérieure du verrou 1568       vient    sur le trajet du galet     1.199.    Une fois que  la bande est passée autour de ce dernier et  autour des autres guides 1505 et 1507 et enfin  sur le galet 1510, l'opérateur ramène le bâti  75l 7 dans le sens     senestrorsum    pour abaisser  le galet 1499 et soulever le galet 1512 dans  une position plus accessible.

   Pendant ce mou  ,     veinent.,    le galet 1499 vient en contact avec  le     cliquet    1568 et le fait basculer dans le sens       senestrorsum    pour dégager l'encoche 1567 du       ronjon    1566 et. ramener ainsi le frein 1560 à.       six    position active.  



  Pour     faciliter    également le guidage de la  bande 7502 sur les galets 1505 et 1512 au        ion        lent    où l'on place une nouvelle bobine, il  est prévu des plaques de     guidage   <B>1572</B> et  1:i73 disposées sur le bâti oscillant 1517.  



       .1        ranceint        ii.t        inaizuel   <I>du</I>     bordereau   <I>de</I>     contrôle.     Lorsqu'on fait une inscription manuscrite  sur le bordereau, il faut que ce dernier puisse       î4re    espacé jusqu'à. la ligne suivante pour  éviter que l'impression subséquente coïncide  avec l'inscription manuscrite. Dans la ma  chine représentée, l'ouverture qui permet de  l'aire ces inscriptions est normalement fermée       par    la glace 1236     (fig.    99 et 108) et doit être  ouverte pour donner accès au bordereau.

   Un  levier 1575 permet à. la fois d'ouvrir la. glace  1236 vers l'avant de la machine et     d'inter-          li-ner    le bordereau.  



       (fie    levier 1575 pivote en     7..184        (fig.    107)       siir    le bâti     1e31    et il comprend un doigt 1576  orienté vers le haut, qui peut venir en prise  avec un goujon 1577 porté par un coulisseau  <B>17</B>     )78        dépla < ,able    sur les supports 1472 et     1-173     de la porte<B>1.233</B> (voir aussi     fig.    108). Le       coulisseau    1578 supporte le porte-glace 1236  et est normalement     maintenu    en position  fermée par des ressorts 1574.

   Lorsque le levier       7575    est basculé dans le sens     senestrorsum,    le         coulisseau    1578 et déplacé vers l'avant (la  gauche), ce qui donne accès au bordereau. Si  multanément, lorsqu'on fait basculer le levier  1575, une encoche 1579 de ce dernier vient  en prise avec un téton 1580     (fig.    99) porté  par un bras 1581 fixé à un arbre 1582, lequel,  par     -conséquent,    oscille     dans    le sens     dextror-          sum.    Près de l'extrémité de droite du chariot  se trouve un deuxième bras 1581 muni d'un  goujon 1580 en prise avec une encoche d'un  bras 1583 pivotant. en 1484 sur le flasque de  droite 1231.

   Une biellette 1585 relie le bras  1583 à     un    levier coudé 1586 pivotant en 1587.  Une bielle 1588 relie ce levier à un cliquet  d'avancement     l.589    pivotant en 1.590 sur le  bâti 1231. Un ressort 1592 agissant sur le le  vier coudé 1586 maintient normalement ce  dernier dans la position qui correspond à la  position supérieure du levier<B>1575.</B>  



  Lorsqu'on abaisse celui-ci, la chaîne méca  nique décrite produit le     basculement    dans le  sens     dextrorsum    du cliquet 1589 qui vient en  contact avec un goujon 1591 porté par la pla  quette 1548, laquelle, par conséquent, bascule  dans le sens     senestrorsum,    ce qui, on l'a vu,  produit, grâce au cliquet 1551, l'avancement  du bordereau. La table 1509     (fig.    101) qui  sert à faire les inscriptions manuscrites se  trouve     au-dessous    d'une ouverture pratiquée  dans la glace 1236 et facilite ainsi les inscrip  tions que l'opérateur peut avoir à faire au  crayon ou à. la plume.  



       Verrouillage   <I>du bâti du bordereau.</I>  



  Il est nécessaire de verrouiller le méca  nisme de déplacement ou de pivotement. du  bordereau dans sa position normale, lorsque  le chariot. est retiré de la machine et lorsque  l'encoche 1524 du levier 1533     (fig.    101) est  dégagée du goujon     1.525.    Le mécanisme qu'il  y a lieu de verrouiller comprend le levier  coudé 1533, la bielle 1520, le bâti oscillant  1517 et le bras 1543. Un verrou 1600 est       prévu    pour maintenir le mécanisme ci-dessus  décrit dans la position de     fig.    101, jusqu'à ce  que l'opérateur désire faire basculer le     bâti     1517 dans le sens     senestrorsum        pour    insérer  une nouvelle bande de papier.

        Le verrou 1600     (fig.    100, 101 et 105) pi  vote sur un goujon 1601 du bâti 1231 du  chariot, et un ressort. de torsion 1602 le solli  cite dans le sens     senestrorsum.        In    prolonge  ment 1604 du verrou 1600 est en contact. avec  un goujon 1605 du bâti fixe 192 lorsque le  chariot est inséré dans la machine, comme re  présenté en     fig.    101. Pour cette position, le  verrou 1600 est maintenu par son épaulement.  1606 en     prise    avec le goujon 1521 porté par  le bâti oscillant<B>1517,</B>     constituant.    ainsi un  pivot pour la bielle 1520.

   Lorsque le chariot,       est.    déplacé vers l'avant, le doigt 1604 est  écarté du goujon 1605, de sorte que le ressort  1.602 peut. faire pivoter le verrou 1600 dans  le sens     senestrorsum    jusqu'à. ce que l'épaule  ment 1606 vienne en contact avec le goujon  <B>1521,</B> comme représenté en     fig.    105. Le temps  auquel s'effectue ce mouvement du verrou  1600 est tel que l'épaulement 1606 est en posi  tion active, c'est-à-dire en contact avec le gou  jon 1521, avant que l'encoche     1.52-1    soit     com-          plètement    dégagée du goujon 1525 porté par  le levier coudé 1526.

   Par conséquent, lorsque  le chariot est retiré de la machine, le bâti  oscillant 1.517 est verrouillé dans la position  de     fig.    101 et 105. Lorsque le chariot est. dans  la machine, le verrou 1600 occupe la position  représentée en traits pointillés en     fig.    105.  



  Lorsqu'on désire changer le bordereau, il       suffit.    de faire basculer le verrou 1600 dans  le sens     dextrorsum    dans la position repré  sentée à. la     fig.    105, ce qui livre le bâti oscil  lant 1517 à l'action du ressort. 1545 pour per  mettre de faire pivoter le bâti 1517 dans le  sens     dextrorsum.    Une fois que la, bande de  papier est passée convenablement entre     les     différents     guidages    et notamment le galet  <B>1505,</B> l'opérateur bascule manuellement le bâti  <B>1517</B> dans le sens     senestrorsum    jusqu'à.

   ce que  le verrou 1600     vienne    en prise avec le goujon  1521 pour maintenir le bâti oscillant dans sa  position normale     représentée    en     fig.    101 et  105.  



       (\ovi.rriaiide   <I>automatique clic</I>     irzéc(iidsuie     <I>(1e</I>     (Zépla.cenar,rt.t        du        bordereau.     



  On a indiqué plus haut. que le mécanisme       déplaçant    le bordereau se trouve normale-    ment. en position inopérante, c'est-à-dire que  l'encoche 1528     (fig.    101) de la bielle 1527 est  normalement écartée du goujon 1529. Lors  qu'on désire déplacer le     bordereau    et l'inter  ligner, par conséquent, il faut que     l'extrémité     de droite de la bielle 1527 soit abaissée pour  que     l'encoche    1528 vienne en prise avec le  goujon<B>1529.</B> Ce mouvement d'abaissement est  commandé automatiquement par deux disques  de sélection 1620 et 1621     (fig.    99 et 101).  



  Le disque<B>1620,</B>     eomitie    ceux décrits pré  cédemment, présente une denture interne  1622 en prise avec un pignon 1623 monté sur  l'arbre carré 763 positionné, on l'a vu, par la  deuxième rangée de touches de transactions.  Le disque 1621 présente également     unie    den  ture interne en     prise    avec un goujon 1624  porté     par        l'arbre    carré 713 qui est positionné  par la première rangée de transactions.

      Une bielle 1625 relie la bielle<B>1527</B> à un  bras 1626 d'un étrier<B>1627</B> (,voir     aussi          fig.        7810,    dont. l'autre bras<B>1.628</B> porte un  goujon 1629     normalement    en contact. avec un  bras 1630 fixé sur     l'arbre    1290. Le bras 1626  présente un prolongement 1631 auquel est       articulé    un organe tâteur 1632, sous forme  d'une bielle guidée par une fente 1633 coulis  sant. sur un     goujon        ïixe    1634.

   L'autre extré  mité de la bielle 1632 présente un goujon 1635  qui est.     suffisamment    long pour chevaucher  les     deux    disques à encoches 1620 et 1621. Un  ressort 1636 tend à déplacer la. bielle 1632  vers la gauche pour que le goujon 1635 soit  en contact avec les disques. La position nor  male de cette bielle<B>1.632</B> et, par conséquent,  de l'étrier<B>1627,</B> est déterminée par la posi  tion du bras 1630.

   Lorsque la came 1298       (fig.    94) tourne dans le sens     dextrorsum    pour  libérer le bras 1296 et permettre à l'arbre  1290 d'osciller     dans    le sens     dextrorsum,    le  bras 1630     (fig.    101) tourne dans le même sens  en libérant l'étrier 1627 qui peut     tourner    dans  le même sens sous l'action du ressort 1636.  Si, pendant cette rotation, une encoche (les  deus disques est présentée au     goujon   <B>1635,</B>  le tâteur 1632 peut se     déplacer    vers la -au- .

         ehe,        mouvement    qui est suivi par l'étrier     16i27.         lequel abaisse la- bielle 1625 pour     embrayer     l'encoche l528 avec le goujon 1529. Le résul  tat de cet embrayage est l'avancement     auto-          ntatique    du bordereau de contrôle.  



  Si,     ait    contraire, dans le     mouvement    pré  cédemment décrit, le     goujon    1635 rencontre  une partie pleine des disques     16\Z0    et 1621,  l'étrier 1627 est arrêté immédiatement et  n'abaisse pas la bielle 1625. L'avancement du  bordereau est     clone    supprimé.    Le pourtour des     disques    :L620 et 1621. n'est  indiqué qu'à titre d'exemple pour l'applica  tion décrite.

   Pour le     système    en question, la  seule opération pour laquelle il n 'v a pas       d'impression    sur le bordereau et, par consé  quent, aucun avancement de ce dernier est  celle qui est déclenchée par l'emploi de la  touche      Add.     ou de la touche      Add.-Inipr. .     C'est pourquoi une partie pleine du     disque          16.'20    se trouve à la position      4-     et une partie  pleine à la position  9  du     disque    1621, ces  positions     correspondant    à celles des deux  touches en question, respectivement.

   Il est  bien     entendit    que l'on peut faire varier le dé  coupage des     disques    pour l'adapter à n'im  porte quelle autre application.         Impression   <I>.sur de</I>     bordereau..     



  Une fois que le     bordereau    a été déplacé  de la position de lecture     (fig.    101) à la posi  tion d'impression et qu'il a été interligné, une  platine d'impression 1650     (fig.    99) est sou  levée pour presser la bande contre les carac  tères. Cette platine 1650 est portée par     iin     marteau 1651 et est munie de     deus:    goujons       165\_'    en prise avec les côtés d'encoches     16:ï3          pratiquées        (laits    les bâtis 1231 du     chariot    pour       constituer        un    guidage.

   Le marteau imprimeur  présente deux parties fourchues, l'une près de  chacun des bâtis 1231, pour     chevatteher    des  goujons 1654 portés par ces bâtis. A chaque  extrémité du marteau se trouve un excentri  que 1655 en prise avec des bras 16.56 goupillés  sur un arbre 1657. L'un des bras 1656       (fig.    99) présente un prolongement vers le  bas 1658 articulé à une bielle 1659 dont. l'au  tre extrémité est guidée sur un goujon 1660    porté par le bâti 1231. de chariot.

   Un ressort  1661 maintient normalement l'extrémité de  gauche d'une fente     prévue    clans la bielle -1659  en contact avec le goujon 1660 de façon que  l'extrémité libre 1662 de la bielle 1659 soit  sur le trajet d'un goujon 1663 porté par un  bras 1664 pivotant sur l'un des deux goujons  1254 mentionnés plus haut     (fig.    78B). L'extré  mité inférieure du bras 1664 présente     un     doigt     1665    maintenu normalement en contact  avec un goujon 1666 du bâti fixe.

   Une biellette  1667 relie le goujon 1663 à une bielle 1668  formant avec la première une sorte de ge  nouillère.     L'extrémité    libre de la bielle 1668  est articulée en 1669 à un levier coudé 1670  porté par     tin    goujon 1671 du bâti fixe 193.  Ce levier est muni d'un bec 1672 normalement  en contact<I>avec</I> un goujon fixe 1673. Les  bielles<B>1667</B> et 1668 sont reliées entre elles  par un axe 1674 qui est en prise avec l'extré  mité fourchue d'un bras de carne 1675 fixé  sur l'arbre 1325. Ce bras de came 1675 est  muni de deux galets 1676 coopérant. avec une  double came 1.677 fixée sur l'arbre d'impri  merie 1273.  



  Lorsque ce dernier tourne dans le sens se  nestrorsum, le bras<B>1675</B> oscille d'abord dans  le sens     dextrorsum,    puis retourne à la posi  tion initiale, et pendant ces deux mouvements  les bielles 1667 et 1668 forment; une ' genouil  lère qui est. tout. d'abord tendue pour faire  basculer soit le bras 1664, soit le levier coudé  1.670, c'est-à-dire celui qui est libre de fonc  tionner à ce moment-là. Le bras 1675 conti  nuant à se mouvoir, la genouillère est brisée  et pendant le mouvement de retour la. même  opération est répétée. Si le levier coudé<B>1670</B>  est libre de pivoter dans le sens     dextrorsum,     lorsque la     genouillère    est tendue, le bras 1664  n'est pas déplacé et le marteau n'effectue  aucune opération.

   Si, au contraire, le levier  1670 est empêché de tourner dans le     sens        dex-          trorsum,    au moment où la     genouillère    est  tendue, le bras 1664 est pivoté dans le sens       senestrorsuiri,    de telle sorte que le goujon  1663 peut déplacer la bielle 1659 vers la     gau-          ehe    (fia. 99) et faire pivoter les bras 1656 et  l'arbre<B>1657</B> pour soulever le marteau 1651           qui    effectue -une impression sur le bordereau.  Normalement, le levier coudé 1670 est libre  de tourner dans le sens     dextrorsum    et, pour  cette position du mécanisme, il n'y a pas d'im  pression.

   Mais si l'on désire que le     bordereau     soit     imprimé,    un segment 1680     (fig.    99) pivo  tant sur un arbre 1681 est tourné dans le  sens     senestrorsum    pour amener sa partie 1682  au-dessous d'un goujon<B>1.683</B> porté par le le  vier coudé<B>1670.</B> Par conséquent, lorsque le  bras de came<B>1675</B> tend la     genouillère    1667 et  1668, le     levier    1670 est bloqué contre toute  rotation et le bras 1664 tourne alors dans le  sens     senestrorsum,    ce qui, on vient de le voir,  a pour effet ultime de provoquer un mouve  ment d'impression du marteau.  



  Le déplacement, dans le sens     senestrorsum,     du segment 1680, se fait à un temps tel qu'il  est amené sur le trajet du goujon 1683 juste  avant que le bras de came 1675 retourne à la  position initiale, de sorte que l'impression  proprement dite a lieu pendant le mouvement  de retour du bras de came. Le     mouvement    du  segment 1680 est. commandé par les disques  de sélection 1620 et.<B>1.621.</B> et par l'étrier 1627.  Le bras droit 1628 de l'étrier 1627 est arti  culé à une bielle 1684 reliée, d'autre part, au  segment 1680.

   Par conséquent, lorsque l'or  gane     tâteur    1632 est déplacé vers la gauche  pour venir en contact avec les disques et si le  goujon 1635 pénètre dans une encoche de  chacun des disques 1620 et 1621, l'étrier 1627  bascule dans le sens     dextrorsum,    abaissant la  bielle 1684 qui amène le segment 1680 sur le  trajet du goujon 1683.  



       hmprinierie   <I>de la</I>     bande        sortante.     Dans le     système    comptable     exposé    à titre  d'exemple, le caissier remet à la comptabilité  une bande de papier donnant la liste des mon  tants de chaque liasse de chèques payés, avec  le total correspondant. Cette liste ne com  prend que les chèques payés, de sorte qu'aussi  bien le caissier que le comptable ont une trace  complète des sommes payées. Les chèques pré  ;     sentés    à. titre de dépôt ne sont pas portés sur  la bande sortante puisqu'ils n'affectent. pas  les sorties d'argent.

   A n'importe quel     moment       de la. journée, lorsque le     garçon    de courses de  mande au caissier les chèques payés, il reçoit       également    une portion de la bande qui se  trouve prête à, chaque instant. Il suffit au  caissier     d'inïprim.er    le total correspondant au  total. des chèques et de déchirer la bande  qu'il remet avec ceux-ci au garçon de courses.  On voit qu'avec ce système, la comptabilité  est au courant rapidement des opérations de  caisse pour tenir à jour les comptes des  clients. La bande sortante est constituée par  un paquet de papier entassé, au lieu de la  bobine habituelle.

   Lorsque le caissier effectue  des opérations d'encaissements ou de dépôts  faits par les clients, l'opération     correspoïi-          dante    n'est pas     enregistrée    sur la bande sor  tante. Par contre, s'il extrait un total de l'un  quelconque des totalisateurs de versements ou  d'encaissements, le total correspondant est  imprimé sur la. bande sortante; à ce     moment-          là,        eelle-ci    est déplacée sur une     plies        longue     distance, donnant ainsi au caissier un docu  ment imprimé des totaux des transactions en       question,    ce qui lui permet de faire sa balance.  



  L'imprimerie de la bande sortante est dis  posée à droite de la machine, entre le bâti  d'imprimerie 193 et le flasque 180     (fib.    7,       70A    et     70B).    Ce mécanisme     d'imprimerie    est  porté par un chariot amovible qui peut être,  si besoin est, retiré de la machine. Ce chariot  glisse sur des rails prévus sur la base.  



  Une porte masque     normalement    l'impri  merie de     la    bande sortante et cette porte peut  être libérée manuellement en     abaissant    une  table qui se trouve à la partie inférieure de  l'imprimerie, ce qui     permet    clé foire basculer  une porte sur ses charnières. L'ouverture de  cette porte donne accès à des verrous qui, s'ils  sont manuellement actionnés, libèrent le cha  riot amovible qui peut être tiré vers l'avant.  Si l'on     retire    le chariot partiellement seule  ment, pour remplacer la réserve de papier, le       ehariot    est retiré     jusqu'à    ce qu'il rencontre  une certaine butée.

   Pour cette position, les  galets de guidage et d'avancement de la bande  sortante sont. facilement. accessibles ainsi que  la boîte où se trouve la réserve de papier. Si  désiré, le chariot portant l'imprimerie de la      lande sortante peut être retiré complètement.  en faisant basculer l'extrémité antérieure vers  le haut et en tirant ensuite le chariot vers  l'avant.  



  La     construction    de ce     chariot    avec les       verrous    correspondants est identique à. celle  qui a     él;é    décrite pour. le bordereau de con  trôle et,     dans    ce qui suit, on se référera par  fois à certains détails constructifs des verrous  de l'imprimerie du bordereau.  



       Chariot   <I>pour la</I>     bandé        sortante.     



  Le     bâti    de ce chariot. est représenté aux  110, 113 et 121 et comprend deux flasques  1690 et une base 1691. Une entretoise 1692  relie les extrémités postérieure; des flasques  et     prie    trémie 1693, filée au bâti par des vis       16S).1,    coopère avec les     ,équerres    servant à  assurer la rigidité du chariot. Une porte 1695  pivote sur des charnières 1696. Une barre  transversale<B>1697</B> disposée entre les charnières  et la base sert de support pour maintenir les       charnières    en position. Le chariot     -peut    coulis  ser sur une paire de rails 1698.

   Des     verrous     1699 servent au verrouillage du chariot dans  la     machine    sur les rails 1698. Des     goujons     1700 portés par le chariot sont. en prise au  dessous     des    rails pour maintenir le chariot  en position horizontale, lors de son mouve  ment     hors    de la machine.    <I>Porte de</I>     l'i@npri@i@erie        pour   <I>la</I>     bande        sortante.     La porte 1695     (fig.    121) est fermée par  un verrou 1701 pivotant en 1702 sur les bâtis  1690.

   Un ressort<B>1703</B> tend normalement à       basculer    le verrou dans le sens     senestrorsum          pour    maintenir en prise celui-ci avec un gou  jon     1701-    porté par une cornière 1.705 fixée à  la porte. Le verrou 1701 présente un doigt  1706 maintenu en contact avec un téton 1707  d'une pièce 1708 pivotant sous     l'action    du       i        essort    1703. Cette pièce 1708 pivote sur une       tigge    1709 portée par le bâti 1690 et un doigt  1710 appuie normalement contre la face  interne de la porte 1695.  



       Lorsqu'on    désire ouvrir la porte, il suffit  de presser     sur    la pièce pivotante 1708 pour  la     faire    basculer dans le sens     dextrorsum,    ce    qui fait pivoter le verrou 1701 dans le même  sens contre     l'action    du ressort 1703 et soulève  le verrou du goujon 1704.

   Simultanément, la  porte commence à s'ouvrir dans le sens     senes-          trorsum,    après quoi l'opérateur la saisit pour  l'ouvrir     complètement.    Le mouvement d'ou  verture de la porte     est    limité par une paire  de     bielles    1711 et 1712 reliées par un axe 1713  et formant genouillère. La bielle 1711 est arti  culée à la. cornière 1705, alors que l'autre  bielle 1712 pivote en 171-1 sur le bâti de cha  riot. Ce dispositif de retenue de la porte est  tout à fait semblable à     celui    qui a été décrit  au sujet de la porte fermant l'imprimerie du  bordereau.

           Guidage   <I>de la</I>     bande        sortante.     



  Cette bande est     sous    forme d'un paquet  entassé dans une boîte 1720     (fig.   <B>113)</B> placée  à la partie inférieure du chariot. Un rebord  1721 de la base 1691 détermine la position  de cette boîte. La bande en     zigzag    est. guidée  autour de galets tournant sur des goujons  portés par le bâti. D'un galet 1722, la bande  de papier passe entre un galet 1724 et un  galet d'avancement 1725. Le premier tourne  sur l'arbre 204, tandis que le galet d'avance  ment est monté sur un arbre 1726. La bande  passe ensuite dans une     ouverture    1727 et sous  une lame file 1728 placée à l'avant du coffre.       Ensuite,    la bande est: passée entre deux re  bords 1729 de la trémie 1693.  



  Un bâti contrepoids - comprenant deux  doigts 1790     (fig.    110) reliés par un arbre  1791 en prise avec. une fente 1792 des bâtis  fixes 180 et 193 - agit avec un galet 1793  pour     iliaintenir    la bande de papier 1723 en  contact avec le galet de guidage 1722, lorsque  le chariot est introduit dans la machine.  Lorsqu'on retire ce dernier pour remplacer la  bande de papier, le galet 1722 se déplace avec  le chariot et se sépare du galet 1793.

   Par con  séquent, lorsque le chariot est hors de la ma  chine, la bande 1723 peut avancer librement  autour du galet 1722 et lorsque le chariot est  remis à l'intérieur de la machine, le galet  1793 et l'arbre 1791 maintiennent. la bande en  contact avec le galet<B>1722.</B> Cette disposition      est rendue nécessaire quand la bande est  avancée à partir de la réserve, à droite de  celle-ci     (fig.    110). Le galet<B>1793</B> guide la  bande jusqu'au galet 1722 et assure la tension  voulue.         Avancement   <I>de la</I>     bande   <I>sortante.</I>    Le mécanisme     d'avancement    est semblable  à celui de l'avancement de la fiche et, pour  une description de détails, on peut se repor  ter à, celle de ce mécanisme.

   L'arbre 1726 est  monté entre une paire de bras de tension 1736  et 1735 (fia. 1I3). Un ressort 1719 maintient  les galets d'avancement 1725 en contact avec  les galets 1721. Une extrémité de cet arbre  1726 porte un pignon 1737 en prise avec une  crémaillère 1738 (voir aussi     fig.    110)     guidée     par     un    axe 1739 porté par le bâti de chariot       1,690.    A son extrémité postérieure, la cré  maillère 1738 est articulée à une bielle 1740  fixée à.     un    levier 1741 pivotant en 1742 sur le  bâti de chariot.

   lin ressort 1743, tendu entre  le levier 1741 et un point fixe du bâti de  chariot, maintient un goujon 1744 de ce  levier en contact avec un curseur 1745 pou  vant     coulisser    sur un goujon 1746. L'autre  extrémité du curseur 1745 est articulée à un  bras de came<B>1747</B> monté sur l'arbre 1325 et       muni    de galets 1748 coopérant, sous l'action  du ressort 1743, avec une double came     17=19     fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273. Le sys  tème     d'avancement    est     exactement    semblable  à celui clé la fiche et représenté en fis. 94.  



  Si, pendant. l'opération, le curseur     17-15     peut se     déplacer    vers la droite, lorsque la  came 1749 tourne, le goujon 1744 peut suivre  le mouvement. Un système de commande auto  matique est prévis pour déterminer quand et  sur quelle amplitude le curseur 1715 peut se  déplacer vers la droite     (fig.    110) lorsqu'il est  libéré par la came.

   A ce moment, si le cur  seur est libéré, le levier 1741 bascule dans le  sens     senestrorsum,    mouvement qui est trans  mis par la bielle 1740 à la crémaillère 1738  qui, elle, en se déplaçant vers la gauche, fait       tourner    le pignon 1737 et l'arbre 1726 dans  le sens     dextrorsum.    Un dispositif à rochet est       disposé    entre     l'arbre    1726 et le galet 1725    d'avancement et, lorsque l'arbre 1726 tourne  ainsi, le pignon se déplace à vide sans faire  tourner le galet 1725.

   La came 1749 conti  nuant à, tourner, ramène le bras de came     17-17     dans le sens contraire qui ramène ainsi le  curseur 1.745 vers la gauche pour faire pivo  ter le levier 1741. dans le sens     dextrorsuni    et  tirer la crémaillère 1738 vers la droite. II s'en  suit que le pignon 1737 tourne dans le sens       senestrorsum    et, à. ce moment, le rochet agit  et entraîne le galet.     d'a.vaiieenient    1725 qui  transporte la bande de     papier    vers la gauche,  c'est-à-dire vers la lame d'arrachement 1728.  



  Un dispositif de frein 1750, en prise avec  le galet d'avancement 1725, empêche l'embal  lement de ce dernier, et ce dispositif est sem  blable exactement au frein 1396 représenté  en     fig.    94.         Commande        avtomotique   <I>dit</I>     déplucenzvnt          de-la        bande   <I>sortante.</I>  



  La bande sortante, on l'a vu, est prévue  surtout pour enregistrer les écritures corres  pondant aux sommes pavées par le caissier,  ainsi que leur total, et également pour faire  des additions et pour additionner les totaux  des dépôts. Dans les deux premiers cas, la  bande sortante est espacée d'une ligne à     elia-          que    opération, mais lorsqu'on emploie la  bande pour la somme des totaux, cette bande       avance    automatiquement sur une plus grande  distance, suffisante pour amener le total im  primé au-delà. de la lame d'arrachement.  



  On a. indiqué plus haut. que le totalisateur  supérieur (ou visible) est utilisé pour     des     additions et que les différents montants peu  vent ou non être imprimés sur la bande sor  tante.     Quand    on utilise     simultanément    la     toit-          elle         Add.-Irnpr.     et la touche      Add>,        les     montants sont imprimés et la, bande avance  d'un interligne, mais quand on enfonce !a  touche      Add.     seulement, les montants     coi,-          respondants    ne sont pas imprimés.

   Par consé  quent, c'est l'enfoncement (le la touche        Add.-Impr.,>        qui    détermine l'interlignage de  la bande sortante.     Lorsqu'on        utilise    la touche        Sous-total    Solde;

  > en     combinaison    avec la           tottc1ie     <  <      Add.-Inipr. ,    la bande sortante est  transportée sur une courte distance à l'en  droit voulu pour l'impression du     sous-total.     Lorsqu'on utilise la touche  Solde>> en combi  naison avec la touche      Add.-Impr. ,    la bande  sortante est transportée sur une longue dis  tance, de     ïacon    que le solde apparaisse au  delà (le la lame d'arrachement.

   Quand on uti  lise la machine avec la touche  Total  ou  lit touche      Sous-total>;>    pour enregistrer sur le  papier les     totaijx    des versements ou dépôts,        < e,,    totaux sont imprimés sur la bande     sor-          lante    qui est     transportée    sur une longue dis  tance.    La commande automatique de ce     méca-          ni:;ine    d'avancement est réalisée au     moyen    de  disques de sélection à encoches 1.760     (6g.114)     et 1761 (fia. 116). Le disque 7.760 est posi  tionné par la première rangée de transactions  et le disque 1761 par la deuxième.

   Il v a deux  sortes de commandes de la, bande sortante       avec    la touche      Solde ,    l'une étant acquise  lorsqu'on utilise la touche      Add.-Impr.      (transport sur une longue distance? et l'autre  avec la touche      Add.-Impr.     non utilisée       (pas    d'avancement de la bande).

   Il existe       également    deux genres de     commandes    par la  touche       Add. ,    l'une quand celle-ci est. utilisée  avec la touche  <      Add.-Iiiipr.     (transport sur  une courte distance) et l'autre quand. la tou  che      Add.     est utilisée seule (aucun     avance-          nient    (le la bande). Ces différents     effets    sont.

    obtenus par les disques 1760 et 1761 qui, en  lait, ne commandent pas le transport     directe-          nient,    mais il existe un disque auxiliaire 1762       (fig.        11:i,    118 et 119<B>)</B> qui est positionné sous  la     commande    conjointe des disques 1760 et  <B>1761,</B> ainsi qu'on va le voir.  



  *Le disque 1760 (fia. 114) présente une       denture    interne 1763 engrenant avec un     pi-          glion    1764 monté sur l'arbre carré 743     com-          inandé    par la première rangée. Les dents 1763  sont montées rotatives sur un disque     176a     porté par l'arbre 632.  



  Le disque 1.761 présente une denture  interne 1766 engrenant avec un pignon 1767       porté    par l'arbre carré 763     commandé        par    la    deuxième rangée de touches, et cette     couronne     1766 tourne sur un disque 1768 porté par le       même    arbre 632.  



  Le disque 1760 présente un goujon<B>1769</B>  (fia. 111 et 115) normalement en contact  avec un talon 1770 du disque 1762. Un res  sort 1772 maintient     normalement    le contact  de ces deux pièces. Les disques 1760, 1761 et  1762 sont réglés     différentiellement    par la pre  mière et la deuxième rangées de trans  actions, de manière à présenter une partie  pleine ou une encoche en face d'un goujon  <B>1775</B> porté par l'extrémité antérieure d'un  tâteur 1776 articulé à un levier coudé 1777,  lequel est monté sur l'arbre 1290. Un ressort  1789 tend normalement à tirer le     tâteur    1776  vers la gauche,     mouvement    qui est guidé par  un goujon<B>1778</B> fixe.

   Un     levier    1779 porte un  goujon 1780 en contact avec un bras 1781  fixé sur l'arbre 1290 et il est, d'autre part,  relié par une bielle<B>1782</B> à un segment<B>1783</B>       tournant    sur l'arbre     16Sl.    Le segment.<B>1783</B>  comporte une arête 1781 de plus grand dia  mètre et une arête 1785 de petit diamètre, les  quelles peuvent être amenées     différentielle-          ment    en coopération avec un goujon 1786  porté par le curseur     1715,    sous la commande  des disques 1760,<B>1761</B> et<B>1762.</B>  



  Lorsqu'une partie pleine de ces trois dis  ques est présentée sur le trajet du goujon  1775, le tâteur 1.776 ne peut se déplacer vers  la gauche, ce qui se passe lorsqu'on utilise  les touches 115  R. à zéro liasse , 116  Lec  ture liasse>>; 117     eTotal     ou 1:1.8      Sous-total      (et indiqué par une partie pleine du disque  1760 aux sixième, septième, huitième et neu  vième positions). De même, le disque auxi  liaire 1762 est positionné sous la commande  des     disques    1760 et 1761 pour amener une  partie pleine 1787 sur le trajet du goujon  1775 (fia. 118), de sorte que le     tâteur    1776  ne peut pas non plus se déplacer vers la gau  che.

   Lorsque l'une quelconque des touches 110   Solde , 111      Sous-total>>,    112  Liste , 113        Add.     ou 11.4  Répétition  est actionnée, le  disque 1760 présente une encoche au goujon  1775, c'est-à-dire, pour les positions L, 2, 3, 4  et 5 (fia. 114).      " Le disque<B>1761</B> ne présente pas de bos  sages, mais comporte des gradins intermé  diaires pour les positions 2, 6 et 9     (fig.    116).  Ces positions sont     eonimandées    par les touches   Retrait B ,  Retrait A  ou la touche      Add.-          Impr.>>,    de sorte que le tâteur<B>1776</B> peut se  déplacer, mais seulement sur une distance  limitée.

   Pour une encoche plus profonde,     ee     sont les positions 1, 3, 4, 5, 7, 8 et 10       (fig.   <B>116)</B> ou les positions 1, 2, 3, 1, 5 ou 10       (fig.    111) qui sont amenées simultanément  sur le trajet du goujon 1'775 et le     tâteur    1776  peut se déplacer de toute son amplitude.  



  Dans ce cas, au moment, où l'arbre 1290  tourne, le levier     1.777        abaisse    la bielle 1782       suffisamment    pour amener l'arête 1781 du  segment 1783 sur le trajet du goujon 1756.  Lorsque la carne 1719 tourne pour libérer le  curseur 1715, ce dernier sera donc retenu par  l'arête     178-1.     



  Ait contraire, si un gradin intermédiaire  du disque     1.761    vient sur le trajet du goujon  1775 du tâteur 1776, ce dernier ne se déplace  que partiellement, ce qui, par la bielle 178'?,  amène seulement l'arête 1785 du segment sur  le trajet du goujon 1786, permettant au cur  seur 1715 de se déplacer sur une courte dis  tance qui correspond à l'avancement d'une  ligne de la bande sortante.  



  Si, d'autre part., une partie pleine re  présentée par les positions 6, 7, 8 et 9 du dis  que<B>1760</B> ou la partie pleine 1787 du disque  auxiliaire 1762 se présente en face du     tâteur     1776, celui-ci ne peut se déplacer et le seg  ment 1783 reste dans la position de     fig.    116,       laissant    le curseur 1715 se déplacer de toute  son amplitude. Il en résulte que la bande sor  tante est déplacée sur la distance suffisante  pour que la dernière     impression    soit au-delà.  de la lame d'arrachement 1728.

           I3npi        essioiz   <I>de</I><B>la</B>     occfade        sortante.          Touche   <I>de</I>     retrait.     



  La. bande représentée à la     fig.    120 enre  gistre par exemple les transactions de paie  ments faites par le caissier et permet. à la  comptabilité de faire la balance de la caisse.  Par conséquent,     chaque    fois     qu'un    paiement.    fuit par le     caissier    est.     enregist.ré,    une     impres-          sion    est.     automatiquement    faite sur la bande  sortante et celle-ci est. avancée d'un interligne.

    Les transactions de paiement     s'ef        lectuent     quand on utilise la touche      Retrait    B  102  clans la deuxième position oit la touche  Re  trait A  106 à la sixième position de la  deuxième rangée, ce qui amène un gradin  intermédiaire en face du tâteur 1776       (fig.    116). On a vu précédemment que, pour  ces positions, la bande sortante pouvait     avait-.          eer        d'tirre    distance représentant     un        interligne.          Avancement   <I>(le la</I>     bande        sortante.     



       Touches   <I> R.</I>     ii.   <I>zéro</I> liasse <I>oit</I>      Lechsre        basse .          Lorsqu'un    total doit. être imprimé sur la  bande sortante de     fig.    120, on utilise l'une  des touches 115 ou 116 qui amène     un    bossage  des positions 6 ou 7     (fig.    111) du disque 1760  sur le trajet du     tâteur    1776.

   Le     tâteur    n'est  pas déplacé et le segment 1783 reste à la po  sition de     fig.   <B>116,</B> de sorte que le curseur     17-1.ï     et. la crémaillère 1738 peuvent se déplacer sut  leur amplitude entière et produire le trans  port, sur une longue distance, de la. bande  sortante.  



       Avancentcrat   <I>de la</I>     bande        sortante.          Touches         ildd.    <I>et</I>      =ldd.-hrri.hr. .     



  Une série de montants peut être enregis  trée sur la bande sortante par l'utilisation de  la touche      Add.     113 de la première rangée  et de la touche      Add.-Impr.     109 de la  deuxième rangée. Pour imprimer le total de  cette série, on enfonce la touche<B>110</B>  Solde   ou la touche 111      Sous-total .        L'enfoneeinent     simultané des touches 109 et 113 a pour effet  d'amener un gradin intermédiaire (position 9  du disque 1761) et une encoche profonde (po  sition 1 du disque 1760) sur le trajet du tâ  teur 1776. Le gradin intermédiaire com  mande la position du segment 1783, de ma  nière à produire l'espace d'un interligne.

           .#1vaneenierat        de   <I>la</I>     bande   <I>sortante.</I>       Touches   <I> </I>     add.-Impi,.    <I>et</I>      Solde .     Lorsqu'on désire     iiriprimer    le total de plu  sieurs écritures     enregistrées        clins    le totalisa-           teur        supérieur    visible, on enfonce à la fois la  touche 109      Add.-Impr.     et la touche 110   Solde .

   La première commande la position  du disque<B>1761</B> pour amener un gradin inter  niédiaire de la position  9      (fig.    116) sur le  trajet du goujon 1775, tandis que la. touche   Solde      eonimande    la position du disque 1760       (fig.    1.14) pour amener une encoche profonde  <B>(le</B> la position  1  sur le trajet de ce goujon.  Dans ces conditions, le gradin intermédiaire,  position  9 , du disque 1761 commande le mé  canisme d'avancement pour produire un sim  ple interligne. Toutefois, ce résultat n'est pas  celui qui est. désiré lorsqu'on imprime le solde  et pour obtenir un transport de la bande sur  une plus longue distance,, le disque auxi  liaire 1762 est amené à une position présen  tant son bossage 1787 sur le trajet du goujon  177.5.

   Ce disque auxiliaire est. nécessaire pour       obtenir    ce     n@enre    de commande, car si la     tou-          elie         Add.-Impr.>@        n'est    pas enfoncée, la tou  che      Soïde     doit commander le disque 1760  pour empêcher le déplacement de la bande.

    Par conséquent, pour     empêelier    un tel dépla  cement, une encoche profonde doit être pré  vue à la position  1>> du disque<B>1760.</B>    Le bossage<B>1787</B> du disque auxiliaire<B>1762</B>  est amené sur le trajet du goujon 1775 dans  une opération pour laquelle les touches 109  et 110 sont utilisées simultanément et cette  condition est réalisée de la façon suivante:

    Si la     touelie    109      Add.-Impr.         (fig.    2) est  enfoncée, le disque 1761     (fig.    116) amène un       gradin    intermédiaire (position  9 ) sur le tra  jet (lu goujon<B>1.775</B> et, pendant ce mouvement       du    disque<B>1761,</B> un téton<B>1795</B> porté par ce  même     disque    est déplacé d'un pas dans le sens       dextrorsum    à partir de la position représentée  en     fig.    116 pour arriver à la position de       fis,-.    118.

   Si la machine fonctionne avec la tou  che  Solde  enfoncée, la position  1  de     dis-          rIne    1760 est amenée sur le trajet du goujon  1775     (fig.    l18). Le mouvement. du     disque    1761  pour amener le goujon 1795 à la position de       fig.    118 a pour effet, grâce au ressort 1772,  d'entraîner le disque auxiliaire 1762 qui pré  sente     alois    le bossage 1787 sur le trajet. du    goujon     17'"i5.        II    en résulte que la bande sor  tante est déplacée sur une longue distance.  



       Avancement   <I>de la</I> bande     sortante.     <I>Touches</I>      ,Idd.-Itibl)i,.    <I>et</I>      Sous-total .     Lorsqu'on désire tirer un sous-total de  plusieurs montants enregistrés dans le totali  sateur supérieur visible, on abaisse à la fois  la touche      Add.-Impr.     109 et la touche        Sous-total     111. Dans     ces    conditions, la  touche 109 commande la position  9  du dis  que 1761     (fig.    116) sur le trajet du goujon  1775, tandis que la touche 111. amène une en  coche     profonde,    position  2 , du disque 1760       (fig.    114).

   Pour ce genre d'opération, le gou  jon 1769 porté par le disque 1760 coopère  avec le talon 1770 et empêche que le bossage  1787 du disque     auxiliaire    vienne sur le trajet  du goujon 1775. Par conséquent, le gradin  intermédiaire de     position     9  du disque 1761  commande l'avancement de façon que la bande  n'avance que d'un simple interligne.  



       Avancement   <I>de la</I>     bande        sortante.          Touche   <I> Addition .</I>  



  Lorsqu'on utilise- la machine     comme    sim  ple machine à additionner, c'est-à-dire sans  l'emploi de la touche      Add.-Impr. ,    la bande  sortante n'est pas déplacée. Dans ces condi  tions, le disque 1761 amène la position  10        (fig.    116) sur le trajet du goujon 1775, puis  que aucune touche     n'est    enfoncée dans la  deuxième rangée de touches. Si l'on enfonce  au contraire la touche 113      Add. ,    le disque  1760 présente la position  4  où se trouve  une encoche profonde.

   Par conséquent, les  deux disques 1760 et 1761 amènent une en  coche profonde sur le trajet du goujon 1775,  déplacent     ainsi    le segment<B>1783</B> de toute son  amplitude, ce qui bloque le curseur     17-I5    et  empêche le déplacement de la bande sortante.       Avancement   <I>de</I> la     bande        sortante.     



  <I>Touche  Solde .</I>  



  On utilise la touche 110  Solde  quand  on désire tirer le total du totalisateur supé  rieur, après une série     d'enregistrement    faits  sans utiliser la touche      Add.-Impr. .    Dans ce  cas, le disque 1760 amène la position  1  sur  le trajet du goujon<B>1775,</B> et comme aucune      touche ,\est enfoncée dans la deuxième ran  gée, le disque<B>1761</B> amène la position  10 ,  comme représenté en     fig.    116 et 119. Le     tâ-          teur    1776 peut alors se déplacer sur toute son  amplitude, empêchant ainsi l'avancement (le  la bande sortante.  



  Pour ce genre d'opération, le goujon 176!)  porté par le disque 1760 se déplace suffisam  ment. pour que le bossage 1787 vienne sur le  trajet du goujon 1775, mais ce déplacement  est toutefois empêché par le goujon 1795     dit          disque    1761. En effet, le goujon 1796 porté  par le disque auxiliaire 1762     est    sur le trajet.  du goujon 1795, de sorte que, lorsque ce der  nier vient vers la position  10  sous la com  mande de la deuxième rangée de transactions,  le déplacement du disque auxiliaire est limité  par le goujon 1796 qui vient en contact avec  le goujon 1795.

   A ce moment, le goujon 1769  se déplace après que le disque auxiliaire 1762  soit arrêté en position de     fig.    119, et le bos  sage 1787 du disque auxiliaire ne peut, par  conséquent, venir en position active. Pour  l'opération en question, le segment 1783 se  déplace sur toute son amplitude, empêchant  un avancement quelconque de la bande sor  tante.  



       Avancement   <I>de</I>     la   <I>bande</I>     sortante.     <I>Touches  Dépôt </I>     oie         Vei-semei?,t    <I>ou  Divers .</I>  Lorsque la machine est utilisée avec les  touches de  Dépôt  ou de  Versement , il n'y  a aucune impression sur la bande sortante  qui, par suite, ne doit pas avancer. Il en est  de même pour la touche  Divers . Ces diffé  rentes touches amènent le disque 1761 à pré  senter des encoches profondes des positions  1, 3, 4, 7 ou 8 sur le trajet du goujon 1775,  et     puisque    aucune touche n'est. enfoncée dans  la première rangée, le     disque    1760 présente  une encoche profonde de la position  10 .

   Le       tâteur   <B>1776</B> entraîne donc le segment. 178  sur toute son amplitude, ce qui correspond à  aucun avancement.         Avance   <I>de la.</I>     bande        sortante.     <I>Touches  Total  et</I>      Sous-total .     Lorsqu'on tire le total ou le sous-total des  totalisateurs de dépôt on de versement ou de    divers, on emploie l'une des touches 117 ou  <B>118</B> en combinaison avec la touche du totali  sateur à sélectionner. Dans ce cas, on désire  qu'un ticket soit imprimé par la machine  pour être remis à. la comptabilité.

   Un ticket  de ce genre est fourni par     l'impression        des     totaux sur la. bande sortante qui avance en  suite à un endroit qui montre le total au-delà  de la. lame     d'arraeliement,    ce qui permet: à  l'opérateur de déchirer ce ticket.  



  Pour obtenir ce     transport    sur une longue  distance, le disque 1760 présente des     bossa!,es     aux positions  8  et  9  commandées par les  touches 117 et 118 respectivement. Bien que  le disque 1761 présente des encoches ait gou  jon 1775, le disque 1760 a la prépondérance  et le tâteur est arrêté de faon que le segment  1783 soit bloqué et commande ainsi le     méea-          nisrne        d'avancement    pour obtenir     uii        long,     transport de la bande sortante.

           llécanis         ze        el'iinpressioia   <I>de la</I>     bolide        sortaiife.          En    principe, le     i!iécaiiisme    d'impression  est     analogue    à celui qui a été décrit pour iiii  primer le bordereau de contrôle de     fi;%    99 et  il comprend une platine d'impression<B>1800</B>       (fig.    1.10 et<B>1113)</B> munie d'un. goujon<B>1801</B> à  chacune de ses extrémités pour     assurer    le gui  dage dans des encoches pratiquées dans des  bras 1802 fixés sur un arbre 1803.

   L'un de  ces deux bras présente une équerre à laquelle  est articulée une bielle 1801 dont l'autre extré  mité est guidée par une fente sur un     goujon     1805. Un ressort 1799 maintient normalement  l'extrémité de gauche de la fente en contact  avec le goujon 1805. L'extrémité de la. bielle  1801 se trouve sur le trajet d'un     --goujon    1806  porté par un bras 1807 qui pivote en     1808     sur le bâti fixe.

   Le bras 1807 présente un  talon en prise     avec    un goujon 1809 porté par  ce même bâti fixe, de manière à limiter la ro  tation     dextrorsum    de ce bras 1807.     Sur    l'axe  1806 pivote également une bielle 1810 for  mant, avec une autre bielle 1811, une genouil  lère reliée par un goujon 1812. La bielle<B>1811</B>  est articulée, d'autre part, en<B>1813</B> à un levier  coudé 1814 tournant sur un axe 1815 et muni  d'un talon coopérant avec un goujon     1S16         porté par le bâti fixe.

   Le goujon d'articula  tion<B>1812</B> de la     genouillère    se prolonge dans  l'extrémité fourchue d'un bras de came 1817  monté fou sur L'arbre 1325 et. terminé par des  galets 1818 coopérant avec une double cane  1819 portée par l'arbre d'imprimerie 1273.  



  Le     levier    coudé 1814 porte un goujon  1820 sur le trajet d'un segment 1821 tournant  sur l'arbre 1681. Pour commander le fonc  tionnement de la platine d'impression 1800,  le segment: 1821     peut    tourner dans le sens       senestror:sum    au-dessous du goujon 1820 pour  empêcher la. rotation du levier coudé 1814, au       moment,    où la double came 1819 fait. basculer  le bras 1817.     Quand    ce dernier bascule dans  le sens     dextrorsum,    son autre extrémité     sou-          lève    le goujon 1812 pour tendre la genouillère  constituée par les bielles 1810 et 1811.

   Si le  segment 1821 se trouve au-dessous du goujon  1820, le levier coudé 1814 ne peut pas     tour-          ner    et la genouillère est tendue pour provo  quer le pivotement. du bras 1807 dans le sens       senestrorsurn.    Cette rotation amène le goujon  1806     ci)    prise avec l'extrémité de la bielle  1804 qui se trouve ainsi être déplacée vers la  gauche     (fig.    110), pour faire tourner l'arbre  1803 et les bras d'impression 1802 dans le       sens        dextrorsurn.    La platine 1800 se trouve  ainsi soulevée et produit l'impression contre  les caractères portés par l'arbre 463.

   Si le       segment    1821 n'est pas amené au-dessous du       goujon    1820, le levier coudé 1814 n'est, pas       arrèté    et peut tourner librement au moment  oit la. genouillère est tendue. Dans ce cas, le  bras 1807 ne bascule pas et la platine reste  en position inactive. La position du segment.  1821 est commandée par des disques à enco  ches 1830     (flg.    111) et 1831     (fig.    110).

   Le  disque<B>1831</B> est commandé     différentiellement          par    la première rangée de transactions par  l'intermédiaire de l'axe carré 743 portant un       pignon    1832 en prise avec une couronne  interne du disque 1831 monté sur un disque  1.833 porté par l'arbre 632.  



  Le disque 1.830 est positionné par la  deuxième     ra.rrgée    de transactions par l'inter  médiaire de l'arbre carré 763 portant un pi  gnon 1834 en prise avec une denture interne    du disque 1830, lequel est monté sur un dis  que 1835 porté également par l'arbre 632.  



  lie segment<B>1.821</B> est relié à un levier  coudé 1840 par une bielle 1839. Ce levier, pi  votant sur l'arbre 1290, porte un goujon 1845  normalement en contact avec un bras 1842  fixé sur cet arbre 1290. Une branche du levier  1840 est articulée à une bielle 1841 consti  tuant Lin organe tâteur guidé sur un goujon  fixe 1.837. Un ressort 1843 maintient normale  ment le goujon 1845 en contact avec le bras  1842. L'extrémité antérieure du tâteur 1841  est munie de doigts 1846 et 1847 portés par  un bloc. réglable 1844. Le doigt.     tâteur    1846  coopère avec le disque à encoches 1831 et le  doigt 1847 avec le disque 1830.  



  Si chacun des     tâteurs    1846 et 1847 pénètre  dans une     encoche    profonde des disques 1830  et 1831, la bielle 1841 peut se déplacer vers  la gauche sous l'action du     ressort    1843, en  traînant le levier coudé 1840, la bielle 1839  et le segment. 1821 qui vient se placer sur le  trajet du goujon 1820. Dans ce cas, la ge  nouillère 1810, 1811 est tendue et l'impres  sion par la platine 1800 se produit, comme  expliqué plus haut. Par contre, si les deux  tâteurs 1846 et 1847 rencontrent des bossages  ou une partie pleine des disques 1830 et 1831,  la bielle 1841 reste stationnaire ainsi que le  segment 1821. Dans ce cas, il n'y a pas d'im  pression de la platine 1800.

   Le disque 1830,  commandé par la deuxième rangée de trans  actions, présente des encoches aux positions 2,  6 et 9 qui correspondent respectivement à la  touche 102, à la touche 106 et à la touche  109     (fig.    2). Par conséquent, si la machine  fonctionne avec l'une de ces trois touches, le  segment 1821 est amené sur le trajet du gou  jon 1820 et l'impression se produit. Si l'on  utilise une autre touche de la deuxième ran  gée, c'est. une partie pleine du disque 1830  qui se présente au     tâteur    1847 et la bielle 1841  est arrêtée ainsi que le segment 1821. Aucune  impression n'est effectuée dans ce cas.  



  Lorsqu'on désire imprimer le total d'une  liasse de chèques pavés par le caissier, ce  dernier enfonce la touche 116  Lecture liasse   ou la touche 11.5  R. à zéro     liasse     avec, si-           multanément,    la touche du caissier 106 ou  102. On     viént    de voir que l'enfoncement d'une  touche de caissier présente une encoche au  tâteur 1847. L'enfoncement. des touches 116  ou 115 présente au contraire une partie  pleine (positions 6 et 7 du disque 1831) sur  le trajet du tâteur 1846. Pendant ce genre  d'opération, le tâteur 1847 pénètre dans une       encoche    profonde du disque 1830, tandis     que     le tâteur 1846 vient en contact avec une par  tie pleine du disque 1831.

   Pour que cette po  sition soit possible, le bloc 1844 pivote sur la  bielle 1841, de sorte que, même si le disque  1831 présente une partie pleine, le marteau  d'impression est néanmoins actionné pour  ce genre d'opération.  



  Lorsque la machine est utilisée comme sim  ple machine à additionner pour faire des       additions    quelconques, on a vu qu'on peut  utiliser la touche      Add.-Impr.     et la touche  d'addition 113. Dans ce cas, le disque 1830  amène l'encoche de la position  9      (fig.    111)  à l'organe tâteur 1.847.

   Lorsque les     différents     montants sont additionnés et que l'on désire  imprimer le total de la. série en enfonçant la  touche      Sous-total     111 ou la touche  Solde:>  110, le disque 1831 présente une partie pleine  (positions 1 et 2) à. l'organe tâteur     18-16.     Toutefois, étant. donné que le disque 1830  présente une encoche en position  9 , l'im  pression s'effectue quand même sur la bande  sortante.  



  Lorsque les totalisateurs individuels sont  totalisés ou     sous-totalisés,    il est désirable       qu'une    impression soit faite sur la bande sor  tante, et c'est pourquoi des encoches sont pré  vues sur le disque 1831 aux positions 8 et 9.  L'enfoncement de la touche      Sous-total     118  ou de la touche  Total  117 amène une enco  che sur le trajet du tâteur 1846, de sorte que  la bielle 1841 peut, déplacer le segment. 1821  sur le trajet du goujon 1820. Par conséquent,  lorsqu'un total est extrait de l'un des totali  sateurs de dépôt ou de versement, par l'em  ploi des touches 117 et 118, l'impression est  effectuée sur la bande sortante.  



  Le découpage des disques de commande  1830 et 1831 est indiqué à, titre d'exemple    seulement, mais il va de soi que pour un autre  travail il est facile de découper les disques de  toute autre manière     appropriée.      <I>Ruban encreur.</I>  



  Le ruban encreur 1247 (fia. 123) est porté  par un bâti amovible qui peut être introduit  dans la machine par le côté droit. Ce bâti  est suffisamment long pour que le ruban       puisse    chevaucher les trois groupes de  caractères, de sorte qu'un seul ruban suffit  pour l'impression de la fiche, du bordereau  de contrôle et de la bande sortante.  



  Le bâti     porte-ruban    comprend une plaque       sensiblement    horizontale 2000     (fig.        78A,    79 et  123) fixée à une plaque d'extrémité 2001 au  moyen de rivets 2002. Le raban est guidé par  une pièce 2003 munie de rebords     200-1    qui  s'introduit dans une pièce 2005 (fia. 122) à  extrémités repliées et supportée par le bâti  d'imprimerie 203 au moyen de vis 2006. La  pièce 2005 s'étend le long des trois sections  d'imprimerie, au-dessous des six bâtis 203.

    Une fois que le porte-ruban a été introduit  dans la machine, il est verrouillé par un     cli-          quet    comprenant deux bras 2007 qui viennent  en prise, par des gorges, avec deux goujons  2008 portés par le bâti fixe 180, sous l'action  d'un ressort 2009,     tendu    entre l'un des bras  2007 et un goujon 2010 de la plaque 2001.  



  Lorsqu'on désire retirer le bâti de ruban,  on fait basculer les bras 2007 dans le sens       senestrorsum    au moyen d'un bouton 2011 pi  votant sur un petit axe 2012. Un goujon 2013  porté par la plaque 2001 est en prise avec  une fente du bras 2007 et limite le mouve  ment des bras 2007 dans le sens     senestrorsuin     lorsque le bâti est retiré de la machine.  



  Les extrémités du ruban sont. fixées à des  bobines qui peuvent tourner dans     les    deux  directions opposées, pour faire avancer le ru  ban d'un pas à chaque opération et lorsque  l'extrémité est. atteinte, un mécanisme de ren  versement change le     sens    de déplacement.  L'une des bobines 2015 tourne sur un axe  2016 porté par la plaque '_'001 et le ruban  passe ensuite sur un galet de guidage 2017  pivotant. en 2018.

   L'extrémité de la, plaque      horizontale 2000 est coupée suivant un angle  <B>2019</B> (fi-.     78!i)    et le ruban est guidé sur la  plaque jusqu'à l'extrémité supérieure droite  (fi-.     7J),    puis passe par l'angle sous la pla  que, puis rait à nouveau un angle pour re  venir     au-dessus    de la plaque 2000 et sous une  partie oblique 2020 pour     passer    par un galet  de guidage     \?021    tournant sur un axe 2022.  Du galet 2021, le ruban est guidé à     nue          deuxième    bobine 2023 sur laquelle le ruban  est enroulé.

   Lorsque le mécanisme d'avance  ment du ruban est renversé, ainsi     qu'on    le  verra plus loin, le ruban avance de la bobine  2023 à la bobine 2015.  



  La bobine 2023 est. solidaire d'une roue à.  rochet     \?024    coopérant avec un     cliquet        20'25          (fig.    124) pivotant. en 2026 sur un bras     20'37.     (.'e dernier est monté     pivotant.    sur un     goujon     2028 porté par la. plaque d'extrémité 2001.

         ('n    ressort 202J tend à maintenir un     goujon     2031 en contact avec le rochet. 2024.     Lorsque     le bras d'avancement<B>2027</B> tourne dans le sens       dextrorsum,    il entraîne le rochet 2024 dans  le     même    sens et ce, suffisamment, pour faire  avancer le ruban d'un pas. Simultanément, la  bobine 2023 tourne dans le sens     dextrorsum     pour tirer une portion du ruban de la bobine       2015    qui, à ce moment-là, tourne librement.  Pour empêcher une rotation trop rapide de  la bobine 2015, au moment du déroulement,  un bras de frein 2033 est prévu qui pivote en  2034 sur la plaque 2001. Un frein analogue  2035 est. aménagé pour la bobine 2023.

   Un       ressort    2037 fixé aux     extrémités    des freins  2033 et 2035 maintient des parties concaves  de ces     rreins    en contact avec les bobines, et  ce ressort est suffisamment fort pour assurer  une action de freinage.  



  La bobine 2015 est solidaire d'un rochet  2040 coopérant avec un cliquet 2041 porté par  un bras d'avancement 2043 pivotant en 2016.  Un ressort 2044 maintient un goujon 2045 du       cliquet    en contact avec un épaulement 2016  de la plaque 2001 pour maintenir le cliquet  écarté du rochet lorsque le ruban est. déroulé  de la. bobine 2015. Lorsque le bras d'avance  ment 2043 bascule     dans    le sens     senestrorsum     (on indiquera comment un peu plus loin), le    goujon 2045 est. écarte de l'épaulement 2046,  ce qui permet au cliquet 2041 de venir en  prise avec le rochet, de façon telle que, lors  que le bras 2043 continue son pivotement, le  cliquet 2041 entraîne la roue à rochet 2040  et fait tourner la bobine 2015 pour enrouler  le ruban.

   En même temps, le ruban est dé  roulé de la bobine 2023 et le goujon 2031       (fig.    124) est en prise avec un épaulement  2032, de sorte que le cliquet 2025 est rendu  inopérant,     laissant.    la bobine 2023 dérouler le  ruban.  



  Un cliquet de retenue 2050 est monté sur  le goujon 2036 et tend à tourner dans le sens       dextrorsum    sous l'action d'un ressort 2051  pour venir en prise avec le rochet 2024 et em  pêcher le retour de ce dernier. Lorsque le  ruban s'enroule sur la bobine 2015, une arête  2053 est amenée au-dessous d'un goujon 2052  du cliquet 2050 pour maintenir celui-ci écarté  du rochet 2024.  



  Les bras d'avancement 2027 et 2043 sont  actionnés sélectivement par une double came  2060     (fig.    122) fixée sur l'arbre d'imprimerie  1273. Cette came coopère avec des     galets    2061  portés par un bras 2062 porté par l'axe 1325  et ce bras est relié à une bielle 2063 guidée  sur un goujon 2064. Cette bielle parte un  téton 2066 sur lequel est monté un cliquet  d'accouplement 2065 qu'un ressort 2067 tend  à faire tourner     dans    le sens     dextrorsum    pour  maintenir un goujon 2070 dans des crans  2071 ou 2072, pratiqués dans un curseur  2073 coulissant sur des goujons 2064 et  2074.

   Le curseur 2073 présente une autre  encoche 2075, dans laquelle peut pénétrer un       gojon    2038 du bras 2027 et également une  encoche 2076 dans laquelle     passe    un goujon  2077 porté par le bras d'avancement 2043.  Ces goujons 2038 et 2077 peuvent être nor  malement en contact, soit avec la paroi de  droite, soit. avec la paroi de gauche des enco  ches 2075 et 2076 respectivement. On voit en       fig.    122 que le goujon 2038 est en contact  avec l'arête de droite de l'encoche 2075 et le  goujon 2077 en contact avec l'arête de gauche  de l'encoche 2076.

   Pour ces positions, le     cli-          quet    d'accouplement 2065 est en prise, par      son goujon '?070, avec le cran 2071 et quand  la machine fonctionne, la came 2060, par l'in  termédiaire du bras 2062, tend à déplacer la  bielle 2063 vers la gauche. Le goujon 2070,  étant en prise avec le cran 2071, entraîne  également le curseur 2073, de sorte que le  bras d'avancement<I>2027</I> est basculé dans le  sens     dextrorsuin    pour assurer un mouvement  d'avancement de ruban du rochet 2024. Une  lois que le ruban a été ainsi déplacé, la came       2060    ramène le curseur 2073 et la bielle     306:3     vers la droite, en position de     fig.    122.

   Pen  dant ce mouvement de retour du     curseur     2073,     lorsque    l'encoche 2075 s'éloigne du gou  jon 2038, un ressort. 2080     (fig.    123) tendu  entre les bras 2027 et 2043 ramène le bras  2027 à la position de     fig.    123. Un     mécanisme     de renversement est également prévu pour le  bras 2043 qui devient opérant lorsque le ru  ban doit. se dérouler en sens contraire.     La,     bobine 2015     (fig.    125) comporte un flanc  constitué par deux parties 2081 et 2082, cette  dernière pivotant. sur le flanc 2081 grâce à  un goujon 2083.

   Le flanc 2082 présenta une  équerre 2084 disposée sur une partie plate de  la bobine 2015, et le ruban est enroulé au  dessus de cette équerre 2084. Aussi longtemps  que le ruban est dans cette position, le flan>  2082 coïncide, par sa périphérie, avec     celle     du flanc 2081, constituant ainsi un cercle  parfait. Par contre, lorsque l'extrémité du  ruban est atteinte et que ce dernier passe       au-delà.    de l'équerre 2084, le flanc 2082 pi  vote sur le goujon 2083, ce qui déclenche un  organe de renversement de déplacement. dit  ruban. Cette commande de renversement est  effectuée au moyen d'un cliquet<B>2085</B>       (fig.    122) pivotant, sur le goujon 2064 et  muni d'une équerre 2086 portant. contre la  périphérie du flanc constitué par les parties  2081 et 2082.

   Tant que les parties de flancs  <B>2081</B> et 2082 coïncident, le cliquet. 2085 est  maintenu dans la position de     fig.    122, mais  lorsque l'extrémité du ruban est atteinte, la  partie 2082 pivote, comme on vient de le  voir, et le cliquet 2085 bascule dans le sens       senestrorsum    sous l'action d'un ressort<B>2087</B>  fixé à. l'extrémité d'un cliquet de renverse.-    ment     g088    qui vient.     =    en contact avec une  équerre du cliquet 2085. Le cliquet 2088 pré  sente un épaulement 2089 en prise     avec    un  bec 2090 du curseur '_'073.

   Le cliquet (le     ren-          versement    2088 pivote sur un goujon du bâti  fixe 180 et n'est pas déplacé, par     conséquent,     avec le curseur 2073. Il en résulte que, lors  que l'extrémité du ruban     esi    atteinte     da::s    la  bobine 2015 et lorsque la section de flanc  2082 pivote autour du goujon     20R:>,    le     cliquet     2088 bascule dans le sens     senestroi;sutu        polir     retenir le curseur<B>2073</B> dans son déplacement  vers la gauche.

   Dans ces conditions,     lorsciue     la came 2060 déplace la bielle 206:3 vers la  gauche, le curseur 2073 n'est pas entraîné.  Par suite, le goujon 2070 reste en contact  avec un bossage situé entre les     deux    crans  2071 et 2072, ce qui fait. basculer le goujon  2070 dans le cran 2072.

   Lorsque la bielle 2063  est ramenée vers la droite     (fig.    122), de façon  que l'encoche 2076 cueille le goujon 2077, le  bras 2043 est basculé dans le sens     senestror-          suin    pour entraîner le cliquet d'avancement  2041 qui se trouve dégagé de l'arête 2046 et  peut ainsi faire     avancer    la. roue à rochet 2040  dans le sens     senestrorsunt    pour enrouler le  ruban sur la bobine 2015 et le dérouler de la  bobine 2023.  



  La bobine 2023 présente des flancs com  pressibles analogues au flanc 2082 ainsi que  des cliquets     analogues    à ceux qui     viennvtti     d'être décrits pour la. bobine 2015.     Lorsque     l'extrémité du ruban est atteinte à la bobine  2023, un     cliquet    2100 tombe sur le trajet     d'un     bec 2101 du curseur 2073, arrêtant, ce dernier  dans son mouvement vers la droite, de sorte  que, pour cette opération, le curseur est arrêté  et le goujon 2070 passe du cran 2072 au cran  <B>2071.</B> De ce fait, le ruban est à nouveau en  roulé sur la bobine 2023.  



  Lorsqu'on retire le bâti     porte-ruban    de la  machine, il est désirable que les goujons 2038  et 2077, portés par les rochets, soient ra  menés vers le centre des encoches 2075 et 2077  pour faciliter l'engagement de ces goujons au  moment où le bâti est réintroduit dans la  machine.

   Les bras de verrou 2007 compor-           tent    des prolongements qui font basculer les  bras d'avancement 2027 et 2043 très légère  ment, mais suffisamment pour     amener    les       goujons    2038 et 2077 au milieu des encoches  en     question.    Ce léger mouvement de rotation  est obtenu au ' moyen d'un doigt 2015       (tig.    123) qui vient en prise avec un prolon  gement 2102 du bras d'avancement 2027 lors  que le bras de verrou est basculé à la main  dans le sens     senestrorsum,    pour libérer le bâti       porte-ruban    de ses     goujons    2008.

   On peut ver  rouiller      < i    nouveau le bâti lorsqu'il est remis       dans    la machine, en déplaçant les bras de  verrou<B><U>'</U></B>007 dans le sens     dextrorsum    pour  écarter le doigt 2105 de l'arête 2102 et. per  mettre ainsi au ressort 2080 de rappeler les  bras 2027 et 2043 en leur position normale clé       fig.    123.  



       Fonctionnement.     t     ïn    donnera ci-après un bref     résumé    des       genres    d'opérations les plus représentatives  que l'on peut     effectuer    avec la, machine re  présentée, par exemple au     guichet    d'une  banque.  



       Transactions   <I>mixtes de</I>     dépôt.     



  On suppose une transaction telle que re  présentée aux     fig.    90 et 91 et dans laquelle  un client dépose un chèque de Fr. 100.50 et  clés espèces pour Fr.     25.-    La transaction se       déroule    comme suit:  1  Une fiche de dépôt est imprimée en  double avec la somme de Pr. 125.50. Une copie       est    remise au client et l'autre va à la compta  bilité.  



  2 " Un ticket ou bulletin de caisse d'un  montant de Fr.     25.-est    émis pour emploi lors  de la balance de la caisse.  



  3      Enregistrement    du total du dépôt, soit       Fi-.        12Î3..50,    clans le totalisateur de dépôt, ce  qui permet à. la comptabilité de balancer les       comptes        d'encaissement    du caissier.  



  4      Enregistrement    de la somme de  Fr. 25.--- clans le totalisateur  Versement , ce  qui permet au caissier de balancer sa caisse.  



  5  Les deux montants, d'abord le total  Fr.     125.50    et ensuite le montant d'espèces    Fr.<B>2M.-,</B> sont imprimés sur le bordereau de  contrôle, pour la comptabilité.  



  Pour effectuer cette     transaction,    le cais  sier insère tout d'abord la fiche sur la table  1243 (fis. 1) en posant la ligne d'impression  sur les repères 1244. Ensuite, il compose le  montant  125.50  sur le clavier des mon  tants et enfonce la touche<B>108</B>  Dépôt  qui  est une touche motrice déclenchant immédia  tement la machine. Pendant, cette opération,  le montant est additionné dans le totalisateur   Dépôt A  et est imprimé sur les deux exem  plaires de la fiche, avec la date, le numéro de  l'agence, le     numéro    de la machine, l'initiale   A  et enfin le symbole  D  identifiant un  dépôt. Entre les deux impressions sur la fiche  et sa copie, l'ensemble a été déplacé auto  matiquement.

   Pendant l'opération, le montant  total, soit Fr. 125.50, le numéro de la ma  chine, le numéro consécutif, l'initiale  A  et  le symbole  D  sont également imprimés sur  le bordereau de contrôle (voir     fig.    106). Au  cune inscription n'est faite sur la bande sor  tante pour les dépôts.     Etant    donné que  l'exemple comporte un versement en espèces  de Fr. 25.-, le caissier place ensuite un ticket  ou bulletin (fis. 91) sur la table 1243, com  pose le montant de Fr. 25.- et enfonce la  touche  Versement A  107 qui déclenche la  machine pour une opération additionnant 25  francs dans le totalisateur  Versement A .

    Le ticket de caisse reçoit l'impression de la  date, du numéro d'agence, du numéro de ma  chine, du numéro consécutif, du symbole  A   et du symbole  I      (fig.    91). Comme l'impres  sion de ce bulletin ne nécessite qu'une seule  impression, la touche 107 débraye automati  quement la deuxième impression. Les mêmes  inscriptions, sauf la date, sont imprimées sur  le bordereau de contrôle     (fig.    106). Il n'y a  toujours pas d'inscriptions sur la bande sor  tante.

   La fiche de dépôt, le ticket. et les chè  ques déposés sont envoyés à la comptabilité,  qui reçoit ainsi des documents complets de  tous les dépôts ou versements     faits    par les  clients dont ils peuvent immédiatement cré  diter les comptes et faire la balance du compte  espèces du     caissier.         <I>Dépôts en, espèces.</I>  



  On suppose qu'un client dépose la. somme  de 75     fr.    en espèces et qu'il désire deux copies  de la fiche de crédit, comme représenté par  les trois premières lignes de     fig.    106. Les opé  rations à effectuer sont les suivantes:  1  Trois copies de la fiche montrant 75  francs sont imprimées, deux copies pour le  client et une pour la. comptabilité.  



  2  Un ticket de caisse de 75     fr.    est im  primé pour la balance de la caisse.  



  3  Le montant de 75     fr.    est enregistré  dans le totalisateur de dépôt, ce qui permet à.  la. comptabilité de balancer les encaissements.  



  4  Le montant total en espèces est enregis  tré dans le totalisateur de versement.  A ,  qui permet. au caissier  A  de balancer sa  caisse.  



  5  Le bordereau de contrôle reçoit les  mêmes impressions pour la comptabilité.  Pour réaliser cette série d'opérations, le  caissier  A  place d'abord la fiche double sur  la table 1243, compose le montant de Fr.     75.-          sur    le clavier et enfonce la touche  Dépôt A   <B>1,08</B> qui déclenche la machine. Cette dernière  imprime sur les deux documents (double im  pression) le montant et les     inscriptions    rap  pelés plus haut, ainsi que sur le bordereau  de contrôle (première ligne de     fig.    106).  Comme le client désire une deuxième copie de  la fiche, le caissier insère une fiche simple  clans la. machine et enfonce la touche  Répé  tition  114, puis la touche 108.

   L'emploi de  la. touche  Répétition  empêche le montant  d'être additionné à nouveau dans le totalisa  teur de dépôt, mais elle commande l'impres  sion de 75     fr.    sur la fiche simple et sur le  bordereau de contrôle (deuxième ligne de  fil. 106). On voit qu'un tiret. est     imprimé     après le montant, ce qui indique qu'il s'agit  d'une répétition. Comme il s'agit ici d'une  transaction d'espèces, le caissier, après avoir  placé le bulletin de caisse sur la table 1213,  enfonce à nouveau la touche  Répétition   114 et la touche  Versement. A  107. Pendant.  cette opération, le montant est additionné  dans le totalisateur  Versement A  et est  imprimé sur le bulletin de caisse et sur le bor-         dereau    de contrôle.

   Sur ce dernier (troisième  ligne de     fig.    106) un tiret indique qu'il s'agit  d'une opération de     répétition.    Dans cet exem  ple, il faut noter que toutes les écritures de  dépôt, sont dit même genre, c'est-à-dire soit  par chèque, soit par espèces, et. il n'est pas  nécessaire de répéter le montant sur le clavier,       si    l'on prend soin     d'enfoneer    la.

   touche  Répé  tition  avec la touche appropriée (le     elassifi-          cation.            Transaeiions   <I>de</I>     retraits   <I>ou</I>     paierncats.       On suppose, dans l'exemple qui suit, que  le client, présente un chèque à l'encaissement,  ce qui correspond à un paiement fait par le  caissier. La. séquence est la suivante:  1  Enregistrement du montant payé sur  la bande sortante, pour permettre     -i    1a. comp  tabilité de balancer la caisse.  



  2  Enregistrement. du montant dans le to  talisateur de retrait, pour permettre au cais  sier de vérifier sa. caisse.  



  3  Enregistrement du montant sur le bor  dereau de contrôle, pour la. comptabilité.  



  4  Addition du montant dans le totalisa  teur de liasse, pour permettre au caissier d'en  voyer à la comptabilité le total d'une liasse  de chèques.  



  Pour pouvoir balancer convenablement la  caisse, il est nécessaire d'avoir un document  séparé des opérations de versement, ce qui  est fourni par la bande sortante de     fig.    120.  Pour ce genre de transactions, le montant à  payer est composé sur le clavier, et le caissier  enfonce la touche 106  Retrait . Pendant  l'opération, le montant est additionné dans le  totalisateur de retrait et dans le totalisateur  clé liasse simultanément. L'enregistrement       comprend    la date, le numéro de machine, le  numéro consécutif du dernier dépôt, l'initiale   A  du caissier et un symbole  0  identifiant  par exemple une transaction de retrait et  enfin le montant     (fig.    120).

   Simultanément,  un document analogue, à l'exception de la  date, est obtenu avec le bordereau de contrôle.  On peut comparer, par exemple, la première  ligne de     fig.    120 et la quatrième ligne clé           fig.    106. Le chèque est. ensuite placé séparé  ment des chèques déposés, de sorte que les  chèques de dépôt. ne sont pas mélangés avec  les chèques payés.     Etant    donné qu'en temps       normal,    les     transactions    de paiement, sont en  registrées sur la bande sortante, cette der  nière fournit donc la liste complète de tous  les chèques payés par le caissier, et ce dernier  possède ainsi tous les chèques correspondants  dans un classeur séparé.

   De cette manière, à  n'importe quel moment de la journée, lorsque  le     garé#on    de     courses    de la comptabilité se pré  sente au caissier pour prendre tous les chè  ques payés, le caissier enfonce la touche 115        R.         <  < .    zéro liasse  et. simultanément la. touche  <B>106</B>  Retrait. , pour effectuer avec la. machine  deux     cycles    successifs d'impression du total       des    chèques payés. Un symbole constitué par  une étoile à. cinq branches s'imprime sur la  bande sortante et sur le bordereau de con  trôle.

   Pendant la remise à zéro du     tota:lisa-          t,errr     < le     liasse,    la bande sortante avance sur  une grande distance pour amener le total  imprimé au-delà de la lame d'arrachement,  après quoi le caissier arrache la bande et la  remet, avec la     liasse,    au garçon de courses.  La comptabilité est. ainsi avisée rapidement  <B>(le</B> la liste des chèques payés.         Transactions        multiples   <I>de</I>     -retrait.     



  Si l'on suppose qu'une transaction consiste  à payer plusieurs chèques, comme représenté  par les lignes S à 12 de     fig.    120, le montant  de chaque chèque est enregistré séparément  dans le totalisateur de retrait et les documents  imprimés sont la bande de contrôle et la  bande sortante. Pour imprimer le total de la  liste de ces chèques, le caissier utilise la     t.ou-          clie    11'? après avoir composé le montant du       premier    chèque.  



  L'opération effectuée avec la touche de re  trait et la touche de liste fait que le montant       ec         -respondant    est, additionné à la fois dans  trois     totalisateurs,    le totalisateur de retrait,  le totalisateur de liasse et le totalisateur vi  sible. La touche  Liste  reste enfoncée à la  fin de la première opération, de sorte que les  montants suivants sont toujours enregistrés    dans ces trois totalisateurs. Un     symbole     L   est imprimé     (fig.    106 et 120). Après le dernier  montant de la     liste,    le caissier lit le total aux  voyants du totalisateur visible, pour déter  miner le montant qu'il, doit payer au client.

    Après ce paiement, le caissier enfonce la tou  che 110  Solde  et pendant l'opération qui       suit,    le totalisateur est remis à zéro et la tou  che de liste rappelée. Pendant cette opération,  le total payé est imprimé sur le bordereau de  contrôle, mais pas sur la bande sortante. Un  astérisque identifie le total d'une liste.  



       Opérations        d'addition.     



  La machine peut être     utilisée    pour addi  tionner une colonne de nombres, sans enre  gistrement correspondant dans les totalisa  teurs. A cet effet, les montants individuels  sont additionnés au totalisateur visible seule  ment, et la machine est déclenchée par l'em  ploi de la touche      Add.     113, une fois que le  montant a été composé sur le clavier. Le to  tal est lu aux voyants du totalisateur visible.  Si cependant on désire un document imprimé  avec les montants individuels et leur total,  on utilise la touche 109      Add.-Impr.     avant  d'enfoncer la touche  Solde <B>110.</B> La touche        Add.-Impr.     est maintenue enfoncée par un  verrou spécial qui peut être dégagé à la main.  <I>Transfert de totaux.</I>  



  Si l'on désire transférer dans un autre to  talisateur un total. extrait d'un totalisateur  donné, on remet à zéro ce dernier, puis on en  fonce la touche  Répétition  simultanément  avec. la touche du totalisateur dans lequel on  veut faire le     transfert.    Par exemple, si l'on veut.  déterminer le montant. total des sommes versées  au guichet par le caissier<B> A </B> et le caissier   B , on remet à zéro le totalisateur  A  et,  avec la touche  Répétition  et la touche  Re  trait B , on fait une opération au cours de  laquelle le total extrait du totalisateur  A   est transféré dans le totalisateur  B . On  peut, de cette façon, transférer n'importe quel  total de l'un à l'autre des totalisateurs.

   Autre  exemple: Si l'on désire que les     montants    accu  mulés aux     totalisateurs    de retrait représen-      tant les sommes versées par les caissiers  A   et  B  ne soient pas modifiés, le totalisateur   A  peut d'abord être sous-totalisé et ensuite  le     montant    correspondant transféré dans le  totalisateur visible. Ensuite, le totalisateur  retrait  B  peut être     sous-totalisé    et, le     inon-          ta.nt    correspondant transféré au totalisateur  visible, lequel montre ainsi la somme des mon  tants payés par les deux caissiers  A  et  B ,  sans que l'on ait modifié quoi que ce soit aux  totalisateurs de retrait  A  ou  B .

   Il est évi  dent, que les exemples de transferts ne sont.  donnés ici que comme une illustration<B>(le</B>  l'emploi de la machine, mais il est. possible  d'effectuer toutes sortes d'autres transferts.  



  D'une manière générale également, les  exemples que l'on vient de donner dans le  chapitre  Fonctionnement  ne sont.     qu'une     partie     deus    opérations qu'il est possible d'effec  tuer avec la machine représentée qui peut  s'adapter à tous autres systèmes comptables,  sans pour cela que sa structure en soit modi  fiée.

Claims (1)

  1. <B>REVENDICATION:</B> Machine de comptabilité comprenant au moins un totalisateur, des entraîneurs pour ce dernier et un dispositif conditionnant. la machine pour différents genres d'opérations, plusieurs organes oscillants aménagés de ma nière à contrôler le temps d'embrayage dit to talisateur avec les entraîneurs et de débrayage d'avec ces derniers, des organes d'accouple ment pouvant coupler sélectivement le tota lisateur avec un ou plusieurs de ces organes oscillants, et des dispositifs commandés dif- férentiellement par le dispositif de condition nement pour contrôler la position des organes d'accouplement,
    de façon que le totalisateur soit embrayé ou débrayé par l'un ou par l'au tre des organes oscillants, suivant le type d'opération à exécuter, caractérisée par un premier organe d'actionnement (855) pour l'un (811) des organes oscillants, susceptible d'actionner cet organe oscillant suivant un genre de temps d'opération, par lin deuxiènne organe d'actionneinent (878) pour le même organe oscillant et actionnant ce dernier sui vant un autre genre de temps d'opération, par des dispositifs (8:
    58, 859) reliant l'un otl l'autre des organes d'actionnement à l'organe oscillant et par un dispositif de contrôle (806) qui, en fonction du type d'opération, commande les dispositifs de liaison de façon telle que ledit organe oscillant soit couplé avec celui des organes d'actionnement qui doit commander l'embrayage et le débrayage du totalisateur aux temps appropriés au genre d'opération à exécuter. 50L S-REVEN DICATIONS l .
    Machine selon la revendication, carac térisée cri ce que les organes oscillants (8l0, <B>811)</B> sont montés<B>sur</B> un support commun (30Z) et. qu'un organe de liaison (81-1) est aménagé de manière à pouvoir basculer dans un sens pour coupler l'un des organes oscil lants et dans l'autre sens pour coupler l'autre organe oscillant.
    Z. Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par un dis positif d'entraînement (833) positif pour l'organe de liaison, par une liaison élastique (820-83l) entre le dispositif d'entraînement et ledit. organe de liaison, et par un dispositif de verrouillage (891, 8891) mis en position différentielle pour bloquer le mouvement de l'organe de liaison (81-1) dans l'un ou l'autre sens de déplacement, une partie (829 ou 830) de la liaison élastique se prêtant à ce mouve ment, tandis que l'autre partie (829 ou 830) devient.
    opérante pour basculer l'organe d'ac couplement suivant la position différentielle du dispositif de verrouillage. 3. Machine selon la revendication et les sous-revendieations 1 et ?, caractérisée par une série de disques de sélection (802 à 806) mis en position différentielle sous la com mande du dispositif de conditionnement (l01 à 108,<B>110</B> à 118) et par des organes tâteurs (8-I1, 842, 867, 893, 921) coopérant avec ces disques et reliés à l'organe de liaison (814), l'aménagement étant tel que la coopération des tâteurs avec des encoches de la périphérie des disques permet.
    1e basculement dudit organe, tandis que la coopération des tâteurs avec des parties pleines de ces disques empê che ce basculement. 4. 1laehine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée par un doigi (927) relié à un bras (925) et. se trouvant sur le trajet d'organes manuels (110, 111), ce bras étant déplacé par ces derniers lorsqu'ils sont actionnés pour écarter le doigt du trajet d'un (921) des tâteurs pour empêeher son mouvement.
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