Machine de comptabilité. La présente invention a pour objet une machine de comptabilité, notamment utilisa ble dans les banques pour les opérations de guichet.
Cette machine de comptabilité comprend au moins un totalisateur, des entraîneurs pour ce dernier et un dispositif condition nant la machine pour différents genres d'opé rations, plusieurs organes oscillants aménagés <B>(le</B> manière à contrôler le temps d'embrayage du totalisateur avec les entraîneurs et de (lébra@-age d'avec ces derniers, des organes d'accouplement pouvant coupler sélective- iyient le totalisateur avec un ou plusieurs de res organes oscillants,
et des dispositifs com mandés différentiellement par le dispositif de conditionnement pour contrôler la position des organes d'accouplement., de faon que le totalisateur soit embrayé ou débrayé par l'un ou par l'autre des organes oscillants, suivant le type d'opération à. exécuter.
Cette machine est caractérisée par un premier organe d'ac- tionnement polir l'un des organes oscillants, susceptible d'actionner cet organe oscillant suivant un genre de temps d'opération, par mi deuxième organe d'aetionnement pour le même organe oscillant.
et actionnant ce der- nier# suivant un autre genre de temps d'opéra tion, par des dispositifs reliant l'un ou l'au tre des organes d'actionnement à l'organe oscillant et par un dispositif de contrôle qui, en fonction du type d'opération, commande les dispositifs de liaison de faeon telle que ledit organe oscillant soit couplé avec celui des organes d'actionnement qui doit comman der l'embrayage et le débrayage du totalisa teur aux temps appropriés au genre d'opéra tion à exécuter.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 en est une vue d'ensemble du côté du clavier.
Fig. 2 est une vue schématique du clavier. Fig. 3 est une vue en plan du clavier avec arrachement partiel.
Fig. 4 est une coupe suivant la ligne 4--1 de fig. _ 3.
Fig. 5 est une coupe suivant la ligne 5-5 de fig. 3.
Fig. 6 est une coupe suivant la ligne 6-6 de fig. 5.
Fig. 7 est un détail du bâti principal vu de l'avant.
Fig. 8 est une coupe prise à droite d'une première rangée de touches de transactions et montre . un mécanisme différentiel des transactions ainsi que quelques dispositifs connexes.
Fig. 9 est un détail d'un dispositif d'en traînement du différentiel des transactions. Fig. 10 est un autre détail de ce méca nisme.
Fig. 11 montre certaines autres pièces de ce mécanisme différentiel. Fig. 12 est une vue en plan d'un groupe postérieur de totalisateurs et représente un dispositif de déplacement et d'embrayage pour ces totalisateurs.
Fig. 13 montre un détail d'une partie des ensembles de cames de commande.
Fig. 14 est un détail d'un embrayage assu rant le déclenchement des opérations.
Fi-. 15 représente une partie d'un méca- nisme commandant les cycles opératoires. Fig. 16 représente une des détentes amé nagées dans la deuxième rangée des touches de transactions pour maintenir lesdites tou ches en position enfoncée pendant. l'opération.
Fig. 17 représente une détente de la même rangée assurant le rappel des touches.
Fi"-. 7.8 représente une détente de com mande pour maintenir les touches d'addition en position enfoncée jusqu'au rappel manuel.
Fig. 19 est une élévation, vue de la droite, montrant les mécanismes d'embrayage et de débrayage des totalisateurs ainsi qu'une par tie d'un dispositif permettant d'actionner la machine à la main.
Fig. ?0 est une coupe prise à droite de la rangée des dizaines.
Fig. 21 est un détail des cames actionnant les différentiels des montants.
Fig. 22 est une coupe, vue de l'avant, montrant les connexions entre le clavier et les différentiels de montants et de transactions, ainsi qu'un arbre à cames principal.
Fig. 23 est une vue de détail d'un méca nisme différentiel des montants dans la. posi tion fixée par l'enfoncement de la touche 5 et ce au début du cycle; la figure montre en outre la position correspondante des méca nismes de répétition et de positionnement des zéros.
Fig. 24 montre un détail de fig. 23 avec une barre universelle dans sa position de dé placement complet..
Fig. 25 est, une vue analogue représentant les pièces dans la position active lorsque la machine est au repos après enregistrement de cinq unités dans le totalisateur. Fig. ?6 est un détail de fig. 23, les pièce> étant. en position de repos lorsque aucune touche n'est. enfoncée.
Fi-. \? 7 est une vue partielle de fig. 26, montrant les pièces dans la position pour la quelle des curseurs différentiels des montants sont arrêtés par une butée à zéro au début du cycle.
Fig. 28 est un détail du mécanisme de fig. 26, montrant les curseurs de montants dans la position d'élimination des zéros, ainsi que le curseur commandant les caractères dans la position d'élimination des zéros.
Fig. 29 est une vue perspective de détail représentant un étrier (le mise en position des zéros.
Fi-. 30 est. un détail. d'un mécanisme de répétition.
Fig. 31 est un détail de fige. 30.
Fig. 32 représente un détail d'un méca nisme de positionnement des zéros.
Fig. 33 représente une partie d'un niéea- nisme\assurant la remise à zéro de compteurs spéciaux.
Fig. 34 est une vue latérale du dispositif de fig. 33.
Fig. 35 est une, vue à plus ((I;rande échelle du mécanisme différentiel des montants.
Fig. 36 représente un détail du dispositif de report (les dizaines, v u par en dessous. Fig. 37 est une coupe prise à droite de la deuxième rangée de transactions, avec les différentiels correspondants, ainsi que la chaîne mécanique assurant le déplacement axial du totalisateur.
Fi-. 38 est une vue de détail de l'un de., disques de sélection commandé par la pre- inière rangée de transactions et commandant l'embrayage du groupe fixe.
Fig. 39 est un détail d'ttn deuxième disque de sélection commandé par la deuxième ran gée de transactions pour assurer l'embrayage du groupe arrière de totalisateurs.
Fig. 40 représente le mécanisme d'em brayage du groupe arrière avec le disque de sélection correspondant commandé par la pre mière rangée de transactions. Fig. 41 est. une vue en plan d'un disque (le sélection pour le groupe arrière.
Fig. 4? montre un disque de sélection com mandé par la première rangée de transactions pour le groupe arrière.
Fig. 13 est une vue analogue d'un disque (le sélection commandé par la première rangée de transactions, mais pour l'embrayage du groupe avant.
Fig-. 4.1 est un détail du mécanisme d'em- hra@-a_-e du groupe avant de totalisateurs avec le disque de sélection commandé par la deuxième rangée de transactions.
Fig. 4a montre un disque de sélection coniniandé par la première rangée de trans actions pour l'embrayage du groupe avant.
Fig. 46 représente un mécanisme coin- iiiandant les temps d'embrayage pour des dis positifs tâteurs des groupes avant et arrière de totalisateurs.
Fig. 4-7 montre le mécanisme du groupe supérieur avec le disque de sélection corres pondant commandé par la première rangée (le transactions.
Fi<U>-</U>. 48 est une vue de détail du méca- nisine\d'embrayage des trois groupes de tota lisateurs, pour les opérations d'addition et de total.
Fig% -19 est une vue partielle du mécanisme d'embrayage du groupe avant de totalisateurs. Fi<U>-</U>. a0 est un détail de fig. 49, les pièces étant dans la position d'embrayage du totali sateur.
Fig. 51 représente une came du mécanisme (l'embrayage pour les opérations de total. Fig. 52 montre un mécanisme de com mande du mouvement de l'organe assurant les opérations de total.
Fig. 53 est un détail du même mécanisme en position d'addition.
Fig. 51 est un détail du mécanisme de ré- arniage des reports.
Fi-. 55 est une coupe prise à droite du flasque gauche de la machine et montrant des euil5eni s de verrouillage, un mécanisme du numéroteur consécutif, un dateur et certains dispositifs de rappel. Fig. 56 montre un détail d'une détente maintenant les touches de la première rangée de transactions en position enfoncée pendant l'opération.
Fig. 57 montre un détail d'une détente de déclenchement placée dans la première rangée de transactions et le mécanisme de déclenche ment correspondant.
Fig. 58 est un détail d'une détente élasti que de la première rangée de transactions pour maintenir certaines touches enfoncées.
Fig. 59 est un détail d'une détente d'inter- verrouillage de la première rangée pour em pêcher l'enfoncement de certaines touches une fois que la touche répétition a été utilisée, et réciproquement pour empêcher l'utilisation de la touche répétition lorsque certaines touches de transactions sont enfoncées.
Fig. 60 représente une détente de com mande de la première rangée et constituant une partie de l'interverrouillage entre les tou ches de total et les touches de montants.
Fig. 61 est un détail d'un dispositif de la première rangée empêchant, lorsqu'une tou che total est enfoncée, le déclenchement de la machine lorsque des touches de montants sont enfoncées, et pour commander le méca nisme d'arrêt à zéro.
Fig. 62 est un détail de la fig. 61.
Fig. 63 représente une détente de la pre mière rangée de transactions pour maintenir la touche d'addition en position enfoncée jusqu'au rappel par l'utilisation de la touche de solde.
Fig. 64 est un détail d'un dispositif ver rouillant des cliquets d'arrêt à. zéro de la première rangée de montants lorsqu'une tou che total est enfoncée.
Fig. 65 montre un détail d'un mécanisme d'alignement des pignons commandant les roues à caractères.
Fig. 66 représente l'alignement des roues à caractères.
Fig. 67 est un détail d'un interrupteur du moteur.
Fig. 68 est une vue partielle ,du mécanisme de déclenchement de la machine, Fig. 69 est un détail du dispositif de com mande du numéroteur consécutif.
Fig. 70 est une vue d'un disque de sélec tion commandé par la deuxième rangée de transactions et assurant le contrôle du numé roteur consécutif.
Fig. 71 est un détail du dispositif de re mise à zéro du numéroteur consécutif.
Fig. 72 représente le dispositif dateur. Fig. 73 est un détail de la remise à zéro du numéroteur consécutif.
Fig. 74 est une vue latérale des pignons entraînant le numéroteur consécutif.
Fig. 75 est un détail des indicateurs de date.
Fig. 76A et 76p prises ensemble consti tuent une vue en plan du mécanisme de trans mission du mouvement aux roues imprimantes dans les trois sections d'imprimerie de la ma chine.
Fig. 77A et 77p constituent ensemble une vue en plan des connexions prévues entre les mécanismes différentiels des montants et de transactions et les pignons imprimants cor 5 r espondants.
Fig. 78A et 78p constituent ensemble une vue en plan des trois sections d'imprimerie avec les arbres à cames et les mécanismes cor respondants, ainsi que les bandes d'enregis trement.
Fig. 79 est un détail vu en plan de l'une des extrémités du bâti du ruban encreur. Fig. 80 est une coupe du mécanisme d'im pression sur fiches.
Fig. 81 est un détail du mécanisme tâteur de l'imprimerie à fiches.
Fil-. 82 est un détail de la commande de l'imprimerie à fiches.
Fig. 83 montre un détail du dispositif i tâteur commandant l'impression des fiches et leur avancement.
Fig. 84- est une vue de détail du méca nisme tâteur et de ses organes d'a.ctionne- ment.
Fig. 85 montre un disque de sélection commandé par la deuxième rangée de trans actions pour la commande du marteau impri meur de l'imprimerie à fiches. Fig. 86 représente un autre disque de sé lection commandé par la deuxième rangée pour la commande dit marteau imprimeur.
Fig. 87 représente le marteau imprimeur avec le disque de sélection commandé par la première rangée de transactions.
Fig. 88 est une vue de détail de fig. S7. Fig. 89 est une vue en plan des disques de sélection représentés en fig. 85, 87, 96.
Fig. .90 est une reproduction selrématique d'une fiche ou bulletin de dépôt imprimé par une des sections de l'imprimerie.
Fig. 91 est une reproduction de la fiche caissier imprimée dans l'imprimerie à fiches.
Fig. 92 représente un des disques de sé lection commandé par la deuxième rangée de transactions pour assurer l'avancement du bulletin de dépôt.
Fig. 93 est un autre disque de sélection commandé par la deuxième rangée pour assu rer le même avancement.
Fig. 94- est un détail du mécanisme d'avancement de la fiche avec un disque de sélection commandé par la première rangée de transactions.
Fig. 95 est un détail d'un verrou du mé canisme d'avancement de la fiche.
Fig. 96 est. une vue en plan montrant les galets d'avancement de la fiche.
Fig. 97 est une vue latérale du dispositif assurant la tension de l'avancement de la fiche.
Fig. 98 est un détail à plus grande échelle d'un embrayage assurant l'actionnement des galets d'avancement.
Fig. 99 est une coupe du mécanisme d'im pression de la bande de contrôle ou bordereau. Fig. 100 est une vue en plan du chariot d'impression de ce bordereau tel qu'il appa raît lorsqu'il est retiré de la machine, la bande de papier étant enlevée.
Fig. 101 est une coupe du mécanisme (le déplacement du bordereau.
Fig. 10\? est un détail du dispositif de fixation de la bobine de papier dans le cha riot. Fin. 103 est une vue en plan du chariot supportant. le bordereau avec les verrous assu rant le maintien du chariot dans la machine.
Fig. 104 est une vue en élévation corres pondant à. fig. 103.
Fi I,-. 105 montre un détail des verrous de retenue du bâti du bordereau en position inactive.
Fi--. 106 est une reproduction du borde- ileau.
Fig. 107 est, un détail représentant la porte d'accès au chariot, d'impression du bordereau, en trait plein pour la position fermée et en trait pointillé pour la position ouverte.
Fig. 108 est une vue en plan de la porte c#rt question et montrant également l'ouver ture permettant de reporter des inscriptions < < ut o@graphiques.
Fig,. 109 est un détail (lu mécanisme d'avancement du bordereau.
Fig. 110 est une coupe du mécanisme d'impression de la bande sortant de la ma- elüne.
Fi,,-. 111 est un détail d'un disque de sé lection commandé par la deuxième rangée de transactions pour assurer l'avancement du bordereau.
Fi-. 1l_2 est une vue en plan des disques (le sélection commandant l'avancement du bordereau.
Fig. 113 est une vue en plan du chariot supportant la. bande de papier sortant, de la. iriaehine, tel qu'il apparaît lorsqu'il est re tiré de la machine, la bande étant enlevée.
Fic. 11.4 est un disque de sélection eom- niandé par la première rangée de transactions pour contrôler l'amplitude de déplacement de bi bande sortant clé la. machine.
Fig. 115 est un disque de sélection auxi liaire commandant le déplacement du borde reau.
Fifg. 1.16 est un disque de sélection com- niaiiclé par la deuxième rangée de trans actions pour commander l'avancement du bordereau, avec le mécanisme d'actionnement correspondant.
Fig. 117 est une vue en plan des disques de sélection de fi---. 114, 11.5 et 116. Fig. 118 représente les disques de sélec tion de fig. <B>115</B> dans la. position clé réglage.
Fi-. 119 représente ces mêmes disques de fig. 118 dans une autre position.
Fig. 120 est une reproduction de la bande clé papier sortant de la machine.
Fig. 121 est un détail de verrouillage de la porte d'imprimerie prévue pour la bande sortante.
Fig. 122 est une vue latérale du méca nisme d'avancement et de renversement du ruban encreur.
Fig. 123 est une vue en élévation, à. plus grande échelle, de ce mécanisme et montrant; en plus les verrous de fixation du bâti de ruban.
Fig. l'24 est un détail des mécanismes d'avancement dit ruban et de retenue du bâti. Fig. 125 représente en élévation un dé tail des rebords mobiles clé la bobine de ruban.
Fig. 126 est un diagramme des temps de fonctionnement pour différentes pièces et mé canismes.
Fig. <B>1217</B> est un diagramme des temps de fonctionnement pour.les cames d'avancement dans l'imprimerie et les cames de commande.
Fig. 128 est un diagramme des temps de fonctionnement de certains mécanismes pen dant les opérations de total à deux cycles.
Clavier. Comme le montrent les fig. 1 et 2, le cla vier de la machine représentée comprend huit rangées de touches de montants 100 et deux rangées de touches de commande ou de trans actions 101 à 118. Les dernières touches por tent des inscriptions qui facilitent leur em ploi. De plus, les touches 101 à 108 et 110, 111 et 113 sont. des touches motrices qui dé clenchent directement une opération. Par contre, les touches 1.09, 112 et 114 à 118 ne déclenchent pas la machine, car elles doivent être utilisées simultanément avec l'une des touches motrices. A droite du clavier se trouve une touche de rappel 119 qui permet de relever, avant opération, une ou plusieurs des touches déjà enfoncées.
La touche Total 117 est. munie d'une serrure 120, ce qui per met au caissier de verrouiller son totalisateur pendant. soit absence. Une serrure analogue 121 est prévue pour la touche Sous-total 118. La touche Add-Impr. 109 reste en foncée et peut être rappelée par la manipula tion d'un petit levier 122 placé à côté de la touche (voir également fig. 18).
Une serrure de commande 123 (fig. 1 et 55) est disposée à gauche du clavier et per met de verrouiller la machine, de contrôler la remise à zéro du numéro consécutif, de chan ger la date et de déverrouiller la porte du bordereau de contrôle. Cette serrure 123 est déplaçable dans trois positions. Pour la posi tion médiane représentée, le numéro consé- eutif et la date ne peuvent être changés, mais la machine fonctionne pour l'addition de montants et pour la remise à zéro des totali sateurs.
Lorsque la serrure est dans sa posi tion supérieure, la machine est complètement bloquée, la date et le numéro consécutif ne peuvent pas être actionnés et la porte du bor dereau ne peut pas être ouverte. Enfin, lors ; que la serrure 123 est dans la position infé rieure, la machine est. bloquée quant à l'opé ration, mais on peut changer le numéro et la date et également ouvrir la porte cachant le bordereau de contrôle.
Une roue moletée 124 permet de composer la, date (fig. 2, 55 et<B>72).</B> Cette roue moletée émerge du coffre et agit sur des roues impri mantes de la date ainsi que sur des indica teurs risibles 1162, 1163, 1161 et. 1165 (fig. 75). La roue 124 est normalement ver rouillée et petit être débloquée par déplace ment de la serrure mobile 123 dans sa posi tion inférieure. Cette roue 124 unique permet de mettre en position toutes les roues dateuses i qui sont avancées par rotation de la roue mo letée 124 dans la direction du liant de la ma chine.
Une ouverture 125 est. prévue dans le coffre pour permettre de voir la date qui apparaît sur les roues dateuses. Un mécanisme de report est également prévu pour le dateur.
Une roue moletée 126 (fig. 2 et 71) est amé nagée sur le clavier pour la. remise à zéro dit numéroteur consécutif. Pour cette remise à zéro, il est nécessaire de déplacer la ser rure 123 dans sa position inférieure et de tourner la roue moletée 126 vers le bas jus qu'à ce qu'elle soit arrêtée, puis de la tourner vers le haut jusqu'à. ce qu'elle s'arrête contre une deuxième butée. Lorsque la serrure 1\23 est ramenée à. la position médiane, ou à sa position supérieure, il n'est plus possible de tourner la roue 126 du mécanisme de iituné- roteur consécutif.
Un interverrouillage est prévu entre la serrure 123 et la roue moletée 126, de manière à empêcher que la machine ne soit verrouillée avant que la. roue moletée 126 soit ramenée à. sa position normale.
Alors que le clavier comprend huit ran- I#ées de touches de montants, on voit en fig. 2 que le totalisateur visible l'17 présente dix fenêtres, ce qui indique qu'il existe deux roues clé report pour le totalisateur de liste. L'en semble de la machine est enfermé dans un coffre ou carter 128 dont une ouverture 129 laisse apparaître les touches du clavier.
Kii.semble <B><I>(le</I></B> clavier.
Les touches de montants<B>100</B> et les touches de transactions 101 à 118 sont montées dans un bâti formant un ensemble qui constitue un moyen économique et efficace de inontage, car le clavier peut ainsi être assemblé séparément puis monté dans la machine comme un tout. Cet ensemble est représenté dans les fi-. 3, -1, 5 et 6 et comprend une plaque supérieure 130 fixée à un bâti arrière <B>M</B> par de., vis<B>132</B> et à des plaques d'extrémité 133 ait niot en de vis 134 et 137.
La plaque supérieure 130 est également fixée à une plaque frontale 136 par des vis 137. L'extrémité de gauche du bâti 131 est recourbée à angle droit pour for mer un rebord 138 niitiii d'une ouverture 139 laissant passage à un arbre sur lequel sont fixés divers éléments clé commande que l'on décrira plus loin. Onze cloisons 140 sont dis posées pour former des compartiments dans lesquels les touches sont montées (voir fig. 22). La partie arrière des cloisons est.
munie de languettes 141 pénétrant dans des ouvertures pratiquées dans le bâti<B>131,</B> tandis que la partie avant. est munie de languettes 142 en prise avec des ouvertures de la plaque frontale 136: Après introduction des lan guettes, celles-ci sont rivetées pour assurer un ensemble rigide. Les cloisons 140 présentent également. une languette 143 engagée dans la plaque frontale 136. Les cloisons 140 sont munies chacune d'encoches 144 dans les quelles on engage des ressorts 145 de rappel (le touches. Le fonctionnement de ces ressorts sera indiqué plus loin ali sujet des touches de montants.
Les cloisons 140 présentent encore six languettes 146 engagées et rivetées dans aine plaque de base 147. De même, des lan guettes 148 sont fixées à la plaque supérieure <B>130.</B> Une cloison intermédiaire 149 s'appuie sur les cloisons 140 et est maintenue en posi tion par des tiges 151 passées dans des ouver tures pratiquées dans les languettes 148. Ces tiges sont suffisamment longues pour s'éten- tire sur toutes les cloisons 140 et sont main tenues en place par frottement.
Les cloisons 140 supportent une série de tiges qui, elles-mêmes, portent des détentes co opérant avec les touches de montants, ainsi qu'on le verra plus loin.
La plaque supérieure 130 présente des ouvertures arrondies 152 recevant les tiges de touches 100. Des fentes 153 sont également z aménac -ées dans la plaque 149 pour le passage kD ,des tiges de touches, et la plaque de base 117 est elle-même percée de fentes 154 pour cette même fin,
ces différentes fentes constituant un moyen de guidage pour le mouvement. ver tical des tiges de touches.
Près de la, droite du clavier et de son bâti sont prévues deux cloisons 159 (fig. 3 et 22) qui supportent les touches de transactions ou (le commande. Le bord inférieur de la cloison 7:19 présente un prolongement 160 en prise i avec une ouverture de la, plaque 147 et pré- #:
ente également neuf paires de languettes 166 qui forment. un guidage pour les touches de eomniande. Quatre tiges 167 s'étendant à gau che de la. plaque 733 traversent les cloisons 159 pour venir se fixer à l'autre plaque d'extrémité, constituant ainsi un support pour quatre entretoises 168 qui forment palier 169 pour chacune des tiges 167 maintenues en place par frottement.
Une plaque auxiliaire 171 (voir également fig. 8) est montée sur chaque cloison 159 au moyen d'ergots 172, 173 et 174, et ces plaques auxiliaires sont maintenues contre les lan guettes 166 par des paliers 169 formant ainsi guidage pour les touches de transactions ou de commande. Les têtes de ces touches émer gent par des ouvertures 152 prévues dans la plaque supérieure 130.
Les huit goujons 172 montés sur chaque cloi son 159 et traversant la plaque auxiliaire cor respondante forment support pour un ressort à, boudin 170 (fig. 6, 8 et 37) accroché entre les ergots 1"r3 et 174 portés par la plaque auxiliaire, ces ressorts assurant le rappel des touches enfoncées. Enfin, une troisième pla que 175 portée par les cloisons 159 au moyen de galets 176 assure le guidage des détentes de commande décrites plus loin.
Le clavier ainsi constitué forme donc un ensemble unitaire que l'on peut monter tel quel dans la machine. Une fois que les touches et les détentes ont été assemblées dans le cla vier, le bâti de clavier est posé sur des flas ques latéraux 180 et 181 (fig. 7), à l'avant de ceux-ci. A cet effet, le rebord 138 (fig. 3, 4 et 5) présente un bloc 183 taraudé pour recevoir une vis 184 (fig. 20). La plaque d'extrémité 133 est munie d'un prolongement auquel est fixé un bloc 185 (fig. 3) également taraudé pour recevoir une vis 186 et qui permet de fixer le bâti de clavier au flasque latéral de droite 180.
La plaque frontale 136, repliée à gauche, porte également un bloc 187 taraudé pour recevoir une vis 188 (fig. 20) fixant l'ensemble au flasque de gauche 181. A son extrémité inférieure, la plaque 133 présente encore un prolongement permettant le passage d'une vis 189 (fig. 37) fixant la partie inférieure du clavier au bâti 180.
<I>Bâti principal.</I>
La fig. 7 représente l'ensemble des bâtis formant la carcasse de la machine. Le bâti de gauche 181 et le bâti de droite 180 sont montés sur une base 190 munie de bossages 191. Entre les bâtis latéraux se trouve un bâti d'imprimerie 192 et 193. Un bâti auxi liaire 191, muni de deux blocs 195, est dis posé à gauche du bâti 181. Un autre bâti auxi liaire 196 est disposé à droite du bâti de droite 180. Les blocs 1955 et 197 sont taraudés et reçoivent des vis de fixation. Un autre bâti auxiliaire 199, avec des blocs taraudés 200, est fixé au bâti arrière 198. Un goujon à épaulement \_'02 (fig. 20) est placé de chaque côté de's bâtis d'imprimerie 192 et 193.
Près de l'avant de la machine est disposée une série de six plaques auxiliaires \?03 (fig. 7, 20 et 37) pour supporter les jeux d'éléments imprimants. Chacune des plaques auxiliaires 203 présente, à sa partie inférieure, une fente pour recevoir la partie de petit. diamètre du goujon 202, ce qui facilite l'insertion de l'en semble des éléments imprimants. Une entre , toise 201, munie d'encoches recevant les plaques 203, relie les bâtis latéraux.
Les élé- nients imprimants sont assemblés séparément, comme on le verra. plus loin, et le tout est monté dans la machine en plaçant. les plaques auxiliaires 203 sur les goujons 202, en glis sant les plaques 203 dans les encoches de l'entretoise 201 et en insérant un arbre ?04 (fig. 20 et<B>37)</B> qui traverse tous les bâtis. A l'arrière de la machine, une autre entretoise i 206 ayant la. forme d'une gorge (fig. 7 et 37) est montée entre les bâtis latéraux.
Le bâti auxiliaire 182 présente un méplat auquel est soudé un bloc taraudé permettant l'introduc tion d'une vis 207 formant support à ce bâti auxiliaire 182. Un autre support 210 (fig. 8), maintenu par quatre vis 211 et muni d'oreil lettes 212 qui supportent un arbre à cames 213, c'est-à-dire l'un des arbres principaux du mécanisme, est fixé au bâti auxiliaire 182. Le support 210 est muni d'une ,gorge 214 qui supporte un arbre 215 d'un moteur électri que 216. Ce dernier, qui entraîne la machine, est porté par l'entretoise 206. Dispositif d'e-ntraînemC7t.t.
La machine représentée peut être entraî née soit à la main, soit par un moteur élec trique. L'arbre 215 du moteur (fig. 8) poste un engrenage 220 en prise avec un pignon 221 (fig. 8, 13 et 14) monté fou sur l'arbre à cames 213. Un élément (l'cmbra,> age 222 est fixé au pignon 2'2l. et est en prise avec un cliquet 223 lorsque la machine est déclenchée. Ce cliquet pivote sur un autre pignon 22-1 fixé sur l'arbre 213.
Le pignon 224 engrène avec un autre pignon 226 (voir aussi fi,,)-. 22) fixé à un nianelion <B>227</B> pouvant tourner sur un arbre à cames 229. Sur ce nianelion sont é,galenient montées deux paires de cames 72'23 destinées à actionner les différentiels (les première et seconde rangées de transactions.
Un autre organe d'embrayage 228, fixé égale ment .sur le manchon <B>2</B>27 (fig. 13 et 1.4) est aménagé pour actionner l'arbre à cames 229 sélectivement suivant le -genre d'opération dé sirée. L'arbre 2:.'9 porte certaines cames, que l'on décrira plus loin, ainsi qu'un pignon 330 (fi-. 13).
Ce pignon est en prise avec un autre pignon 231 monté sur un manchon 233 portant différentes cames actionnant cer tains dispositifs. Ce manchon peut tourner sur un goujon 232 porté par le flasque droit 180.
Un régulateur de vitesse à force centri fuge est prévu pour le moteur. Ce dispositif est indiqué par la référence 217 en fig. et comprend une lame (le contact normalement en position fermée et lui est ouverte chaque fois que le moteur dépasse une vitesse pré déterminée.
La machine peut également être actionnée à la main à l.'ai(le (l'une manivelle 24 (fig. 19) pouvant coulisser sur un axe 241 du flasque droit 10. Lorsqu'on veut enii- < ;î- ner la machine à la main, on glisse la mani velle 240 sur l'axe 211 pour la mettre en prise avec un moyeu 242 (fig. 13) tournant sur l'axe 241. Ce niovcu porte un pignon 244 (fis. 13 et 19) en prise avec un pignon inter- médiaire 2.15 monté fou sur le bâti 180.
Ce pignon 215 est en prise avec un autre pignon 213 tournant en 217 et lui-ménie engrenant avec une roue dentée 2-l8 fixée à l'extrémité d'un arbre 2-19 monté à rotation dans des pa liers \'50 portés par le flasque droit 180. L'arbre 249 porte également un pignon<B>251</B> (fig. 8 et 13) en prise avec le pignon 226 mentionné ci-dessus.
La rotation de la manivelle 240 entraine le pignon 226 par le train d'engrenages que l'on vient de décrire et ce de la même façon que le ferait le moteur électrique. Toutefois, pour les opérations à la main, le cliquet 223 se déplace à vide sur le rochet correspondant de l'embrayage 222.
Rangées <I>de</I> touches <I>de montants.</I> Chaque rangée de touches de montants comprend neuf touches de montants 100 (fin. 1, 2, 20, ?2 et 23) ainsi que quatre dé tentes de commande: une détente flexible 260, une détente d'arrêt à zéro 261, une détente (le verrouillage 262 et une détente d'inter- verrouillage 263, cette dernière empêchant le déclenchement de la machine par le seul en foncement de certaines touches de commande après qu'une touche de montants est en foncée.
Au montage du clavier, les quatre dé tentes 260 à. 263 sont insérées tout d'abord dans le bâti du clavier, au travers d'ouver- turcs aménagées dans la plaque frontale 136 et entre les tiges 259 qui s'étendent entre les cloisons 1.10. Chaque détente est munie d'une rampe en regard de la tige de chaque touche. Après montage des quatre détentes, on insère les touches 100 à travers les ouvertures 152 (le la plaque 130 et dans les fentes 153 de la plaque 149. On voit par les fig. 22 et 23 que les tiges de touches 100 sont disposées en quinconce et que les fentes prévues entre les plaques de bâti de clavier sont aménagées en conséquence.
Une fois que les touches 100 ont été montées, on insère une tige 258 qui les maintient en place. La partie postérieure de chaque touche est munie d'une encoche (fig. 23) dans laquelle passe un ressort à boudin 145, comme décrit précédemment. Les tiges 258 ont pour but de limiter le mouve ment vers le haut des touches 100.
Un arbre de déclenchement 264 (fig. 23) est. supporté par les bâtis, d'une part, et par le clavier, d'autre part, et il porte une série (le paires de bras 265 et 266, une paire pour chaque touche. Les bras 265 sont goupillés sur l'arbre 261, et l'extrémité libre de chaque bras émerge dans une ouverture de la détente de verrouillage 262. L'arbre 264 porte égale ment un étrier 267 en prise avec deux lan guettes de chaque bras 266. L'extrémité libre de ces derniers est engagée dans la détente d'interverrouillage 263.
Vers l'avant du clavier et monté sur les bossages 143 des plaques 140 est monté un arbre 270 commandant des cliquets d'arrêt à zéro 271 dont un est prévu pour chaque ran gée. L'extrémité supérieure de chacun de ces cliquets 271 se prolonge par un doigt inséré dans une fente d'une plaque correspondante 261. L'arbre<B>270</B> porte un autre étrier 272 dont un prolongement est en prise avec la partie antérieure des cliquets d'arrêt à zéro 271, ce qui permet leur déplacement qui sera expliqué un peu plus loin. La détente flexible 260 (fig. 20, 22, 23 et 24) est normalement maintenue dans des fentes de guidage, dans lesquelles passent les touches, et ce en prise avec une rampe prévue sur chaque touche, sous l'action d'un ressort 280.
Lorsqu'on en fonce Lille touche de montants 100, c'est- à-dire pour passer de la position normale à la position de fig. 23 et 24, la détente flexible est déplacée d'abord vers la gauche et une fois que l'épaulement prévu à l'extrémité de la rampe est dépassé, le ressort 280 ramène légè rement la détente 260 vers la. droite au-dessus de l'épaulement de la touche qui se trouve ainsi maintenue dans la position abaissée. L'abaissement. d'une autre touche dans la même rangée a pour effet de pousser la dé tente flexible 260 vers la gauche pour dé gager la touche précédemment enfoncée qui se trouve ainsi rappelée par son ressort.
Si multanément, la détente flexible vient s'en gager sur l'épaulement de la deuxième touche utilisée, laquelle se trouve ainsi maintenue dans sa position enfoncée.
Vers la fin du cycle opératoire, le bras 265 porté par l'arbre 264 reçoit un mouve ment dextrorsum et vient toucher la détente flexible 260 et la déplacer vers la gauche (fig. 23), ce qui libère la touche enfoncée. On verra plus loin comment s'effectue l'oscil lation de l'arbre 264.
La détente de verrouillage 262 est prévue pour empêcher que l'on puisse enfoncer une touche de montants après que la machine a été déclenchée et également pour empêcher un rappel accidentel d'une touche pendant le fonctionnement. A cet effet, chaque touche de montants 100 porte un épaulement carré se trouvant normalement juste au-dessus de la détente de verrouillage 262. Celle-ci présente une fente suffisamment large pour permettre l'enfoncement. d'une touche. Lorsque celle-ci est abaissée complètement et lorsque la ma chine est déclenchée, le bras 265 déplace la détente de verrouillage 262 vers la droite (fig. 23), entraînant ainsi la détente 262 qui vient se placer au-dessus de l'épaulement carré, position représentée en fig. 23.
En même temps, la détente 262 se place au-des sous des épaulements carrés des autres tou ches non enfoncées, empêchant ainsi leur en foncement lorsque la machine est déclenchée.
Une fois que toutes les touches 100, les éléments de commande 260 à 263, les arbres 264 et 270 et les cliquets 271 sont assemblés dans le clavier, celui-ci peut être monté à son tour dans la machine, ainsi qu'on le verra plus loin.
Différentiels <I>des</I> montants.
Un entraineur différentiel 290 (fig. 22 à 24), sous forme de curseur, est placé au- dessous de chaque rangée de touches 100, à. peu près à mi-chemin entre les touches pla cées en quinconce. Ces entraîneurs 290 sont guidés par des traverses 291 et 292 (fig. 20, 23 à 28) et présentent, à la partie supérieure, huit équerres ?95 repliées alternativement à droite et à gauche pour correspondre à la position des touches. Les équerres 295 co opèrent avec les touches 1 à S respective ment. L'entraîneur 290 est muni d'une arête 296 disposée vers l'avant et en prise avec la traverse 291 pour arrêter l'entraîneur à la i position 9 .
Si aucune touche n'est enfoncée, une partie repliée 297 du cliquet d'arrêt à zéro 271 vient sur le trajet d'une équerre 298 portée par l'entraîneur 290 qui est. ainsi arrêté à la position 0 , laquelle est distante d'un pas de la position de repos. De cette ma nière, on obtient des organes qui permettent d'arrêter différentiellement et sélectivement l'entraîneur 290 sur l'une des dix positions autres que la position de repos, suivant qu'une touche est ou non enfoncée. En d'au tres termes, l'entraîneur 290 peut occuper onze positions, la position de repos et dix po sitions sélectives.
L'entraîneur 290 présente, vers l'arrière, une portion dentée 300 en prise avec un sem- ment denté 301 tournant sur un arbre 302. Un, organe de support 303 est fixé an seg ment 301 (voir aussi fig. 35 et 36) et trois parties de crémaillères 304, 305, 306 sont montées coulissantes sur cet organe de sup port 303, ces crémaillères pouvant être elu- brayées avec des roues de totalisateur, ainsi qu'on le verra plus loin.
Au moment clii fonctionnement de la ma chine; une touche 100 étant enfoncée, l'entraî neur 290 se déplace d'une distance propor tionnelle à la valeur de cette touche et, par l'intermédiaire des dents 300, fait basculer d'autant le segment 301 et le support 303. Ceci a pour effet de positionner les crémail lères 304, 305, 306 sur une distance repré sentant également la valeur de la touche uti lisée. Une fois que les entraîneurs sont, ainsi anis .en position, un ou plusieurs totalisateur sont. embrayés et. l'entraîneur 290 retourne à la position de repos. Pour ce retour, le seg ment 301 et les crémaillères 304 à 306 tour nent dans le sens inverse d'un nombre de pas correspondant à la valeur de la touche enfon cée, enregistrant ainsi ce montant dans un ou plusieurs totalisateurs.
Une fois ce mon tant: enregistré, ces totalisateurs sont dé brayés.
Le temps de déplacement de l'entrahieur 290 est commandé par une barre universelle 310 (fig. 20, 22, 23 à. 28). Un ressort 307 fixé à l'entraîneur 290 et à une entretoise 308 maintient normalement un épaulement. 309 en contact avec la barre 310 qui est, portée par quatre bras 311 (fig. 22) fixés à un arbre 31.2. Sur ce dernier sont fixés deux bras 313 munis de galets 314 coopérant avec une dou ble came 315 fixée sur un arbre 229.
Pendant l'opération, la came 315 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 21) pour faire osciller le bras 313 et déplacer la barre universelle 310 %--cils la. droite (fig. 20) pour revenir en arrière ensuite vers la gauche.
Au moment du déplacement. vers la droite, le ressort<B>307</B> tire l'entraîneur 290 également vers la droite jus- qu'à ce qu'il soit arrêté par l'une des touches 1 à 8 , ou par l'arête 296 (position 9 ), ou encore par le cliquet d'arrêt à zéro 271, après quoi la barre -universelle 310 complète son mouvement vers la droite. Vers la fin de l'opération, lorsque la barre 310 est ramenée sa position initiale par la came 315, elle cueille l'entraîneur 290 au passage et le ra mène en position de repos qui est un pas au delà de la. position zéro.
Pendant ce retour, l'entraîneur 290 fait tourner les crémaillères 304, 305 et 306 vers l'arrière d'un nombre de pas correspondant à la valeur de la touche utilisée, enregistrant ainsi le montant sur les roues du totalisateur sélectionné. Un organe 316 (fig. 20), entraîné élastiquement, est. monté fou sur un arbre 333 pour compenser l'effort exercé par les ressorts 307, car les entraineurs, lorsqu'ils sont libérés, ont ten dance à. se déplacer trop vite. L'organe 316 retarde cette action par le fait qu'il, coopère avec un galet 318 porté par le bras 311.
L'une des raisons de monter les crémail lères 30-1, 305 et 306 à coulissement sur le support 303 est de permettre un mouvement relatif de ces crémaillères au moment du re port des dizaines, s'il y a lieu, ainsi que cela sera décrit plus loin.
Une autre raison est d'obtenir une compen sation du mouvement de l'entraîneur 290 lors qu'il se déplace de sa position de repos à la po sition zéro. La crémaillère 304 (fig.35) pré sente deux goujons 410 en prise avec des fentes incurvées 409 pratiquées dans le support 303. Pour la position de repos, ces goujons 410 sont placés à mi-chemin entre les extrémités des fentes 409. Un ressort 411 tendu entre la crémaillère 304 et le support 303 tend à dé- placer la crémaillère 304 vers les extrémités de droite des fentes 409, mais ce mouvement est arrêté par un goujon 412 qui vient en contact avec l'extrémité d'un bras 413.
Lors que l'entraîneur 290 commence son déplace ment vers sa position de repos, le support 303 bascule dans le sens dextrorsum (fig. 35), tandis que la crémaillère 304 est empêchée de prendre part à ce mouvement initial par le ressort 411. Lorsque le support 303 passe d'une position qui correspond à la position 0 de l'entraîneur 290 à la position qui cor respond à la position de repos, les extrémités de droite des fentes 409 viennent en contact avec les goujons 410 et, dès lors, la crémail lère 304 participe au mouvement du support 303.
Mécanisme d'arrêt <I>à zéro.</I>
Chaque rangée de montants porte un cli quet d'arrêt à zéro<B>271</B> (fig. 26) qui a pour fonc tion de stopper l'entraîneur différentiel 290 à la position du zéro lorsque. aucune touche n'est enfoncée dans ladite rangée. Ce cliquet 271 est normalement inactif en ce sens que l'équerre 297 qu'il porte est en dehors du trajet. de l'équerre 298 de l'entraîneur. L'étrier 272 monté sur l'axe 270 retient le cliquet 271 en position inactive, et cet étrier est lui-même maintenu en sa position normale par un bras 320 (fig. 32) monté fou sur l'axe 270. Ce bras est muni de deux talons 321 en tourant l'étrier 272 près de son centre.
L'extrémité inférieure -du bras 320 porte un goujon 322 engagé dans une encoche prati quée dans une bielle 323 en forme de four chette permettant à ladite bielle de glisser sur l'entretoise 29I. La. bielle 323 est arti culée à l'une des branches 324 d'un levier coudé pivotant sur l'arbre 333, une autre branche 325 se terminant par un téton 326 en prise avec un levier 327. Celui-ci porte un galet 328 coopérant avec une came 329 (voir aussi fig, 22) sous l'action d'un ressort 330. La came 329 est goupillée sur l'arbre princi pal 229.
Au début de l'opération (fig. 126), lors que l'arbre principal 229 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 32), le ressort 330 fait osciller le levier 327, mouvement qui se com munique à la bielle 323, laquelle se déplace vers la. gauche pour faire basculer le bras 320 et l'étrier 272 dans le sens dextrorsum. Ceci entraîne le cliquet d'arrêt à zéro 271 sous l'action d'un ressort 331 (fig. 26) amenant l'équerre 297 sur le trajet de l'équerre 298 de l'entraîneur 290. Lorsque aucune touche n'est enfoncée, la plaque d'arrêt 261 peut se dé placer librement d'une façon qui sera exposée plus loin.
L'entraîneur 290 étant libéré par le mouvement de la barre universelle 310, l'équerre 297 arrête l'entraîneur 290 à la po sition zéro. Le diagramme des temps de fig. 126 montre que la came 315 commence à déplacer l'entraîneur 290 immédiatement après que le cliquet. 271 est amené en position d'arrêt.
Lorsque la machine fonctionne avec une touche enfoncée dans la rangée considérée, la plaque 261, agissant avec la touche enfoncée, empêche le cliquet 271 de venir en position d'arrêt au moment où l'étrier 272 est, actionné. Comme on le voit d'après la fig. 26, la fente pratiquée dans la plaque 261 est suffisam ment longue pour permettre un mouvement libre de la touche 100 sans affecter le dépla cement. de la plaque en question. Toutefois, lorsqu'une touche de montants 100 est en foncée (fig. 23), l'épaulement supérieur de cette touche vient en prise avec. l'extrémité de gauche de la fente et empêche le déplacement de la plaque 261.
L'extrémité supérieure du cliquet d'arrêt 271 présente un talon engagé dans une ouverture pratiquée dans ladite plaque 261, de sorte que ce cliquet ne peut pas être entraîné par l'étrier<U>2792</U> lorsqu'une touche 100 a été utilisée dans la rangée, verrouillant ainsi la plaque 261. Le cliquet est ainsi maintenu en position inactive pendant le mouvement de l'étrier 272 sous l'action de la came 329 (fig. 32). Dans ces conditions, l'étrier oseille à vide dans l'espace compris entre le talon du cliquet 271 et le bras supérieur du cliquet (fig. 21).
Lorsque aucune touche n'est enfoncée, la plaque d'arrêt 261, n'étant verrouillée par aucune touche, peut être déplacée vers la droite (fig. '35) lorsque l'étrier 272 oscille. Ce dernier mouvement fait que la plaque 261 peut être tirée par le ressort 331, de sorte que le cliquet d'arrêt à zéro 271 bascule au début de l'opération pour amener l'équerre 297 sur le trajet de l'équerre '?98 de l'entraîneur 290.
On voit par ce qui précède que le cliquet d'arrêt à zéro est normalement dans sa posi tion supérieure ou inactive et n'est. abaissé en position d'arrêt que lorsque aucune touche n'est utilisée. Au contraire, lorsqu'on emploie une louche, la plaque 261 est retenue et le cliquet 271 ne peut pas venir en position d'arrêt.
La caractéristique nouvelle de ce dis positif consiste en ce que la charge des tou ches est réduite au minimum, ce qui allège le toucher du clavier puisque le déplacement du cliquet d'arrêt à. zéro est effectué par l'éner gie du moteur et non pas par une pression exercée par l'opérateur. Tolalisateurs. L a machine représentée comprend onze to talisateurs, mais ii est entendu que ee nombre peut varier suivant le système comptable auquel s'applique la machine.
Un totalisa teur de liste, qui est le totalisateur supérieur, comprend -Lui seul jeu de roues totalisatrices qui sont visibles à travers des fenêtres 127. (fig. 2). Le groupe arrière de totalisateurs, qui porte les totalisateurs de transactions, forme un ensemble dans lequel les roues tota lisatrices sont intercalées et accumulent les crédits à passer aux comptes représentés par les légendes portées par les touches 101 à 108. Le groupe avant de ces totalisateurs porte ce qu'on appelle les totalisateurs de liasses, au nombre de deux par exemple, l'un pour le caissier A , l'autre pour le caissier B .
Alors que le totalisateur de liste est fixe, les detLx autres --groupes sont, pour la sélection, déplacables axialement.
Fuisqtte aucun déplacement n'est néces saire pour le totalisateur supérieur, le total peut en être extrait dans une opération à -Lin seul cycle, ce qui se distingue d'opérations de total à deux cycles, eoinme dans certaines ma chines connues. Au contraire, pour les grou- pes avant et arrière, qui exigent une sélection et par conséquent un déplaeenient axial pour l'addition oa le total, on applique une opéra tion à deux cycles pour la remise à zéro.
On décrira dans ce qui suit le mécanisme qui commande automatiquement le nombre de cy- eles dans une opération de total. Toseylisaseur <I>avant ou de liasse.</I>
('e groupe comprend deux totalisateurs dont les roues sont intercalées, roues indi quées par la référence 350 (fig. 20, 35, 49 et 50). Ces roues tournent sur un arbre 351. qui est déplaeable axialement dans des paliers portés par des bras d'embrayage 352 disposés près des flasques 194 et. l.99 (voir aussi fig. 7 et 12). Les bras 35\ sont montés sur un arbre 353 et présentent chacun un chemin de came 354 dans lequel est. engagé un galet. 355 porté par un bras 356 monté sur un goujon 357 des flasques.
Chaque bras 356 présente un téton 358 engagé dans une fente ouverte pratiquée dans un bras 359 fixé sur l'arbre 353. Celili-ei est actionné à chaque opération (addition ou total) à des temps qui seront s expliqués un peu plus loin. L'arbre 351 ainsi que les roues totalisatrices 3:i0 sont. déplacés axialement pour ramener les roues sélection nées en alignement avec les crémaillères 304 (fi-. 35). On verra plus loin comment l'ali- a rnement est assuré.
<I>Dispositif</I> d'alignem,erit pour <I>le groupe</I> avant. Lorsque les roues totalisatrices 350 sont en position débrayée (fig. 49), un aligneur 360 vient s'engager entre les dents des roues c pour empêcher les roues de tourner. Cet ali- gneur, en forme de couteau, est suffisamment long et s'étend sur toute la largeur du groupe de totalisateurs entre les deux flasques.
Il a la forme d'un étrier dont les bras 366 portent i un goujon 362 en prise avec un chemin de came 361 du bras d'embrayage 359. Lorsque l'arbre 353 tourne dans le sens senestrorsum, le chemin de came 361 agit sur le bras 366 pour dégager l'aligneur 360 des dents des s roues 350, une fois que ces roues ont été em brayées avec les crémaillères 304. <I>Groupe arrière de</I> totalisateurs <I>ou de transactions.</I>
Ce groupe arrière porte huit jeux de roues 370 (fig. 12) intercalées. On peut pré voir d'ailleurs un neuvième totalisateur, si be soin est. Dans le cas particulier, ce dernier est représenté dans la position qui corres pond à la touche Add.-Impr. qui, dans l'exemple, empêche précisément le groupe arrière d'être embrayé avec les entraîneurs. Par conséquent, aucune somme- n'est norma lement enregistrée dans ce neuvième totalisa teur utilisé seulement pour des additions di rectes.
Le mécanisme d'embrayage pour le groupe arrière est analogue à celui qui est décrit pour le groupe avant. Les roues totalisatrices 370 sont montées sur un arbre<B>371</B> coulissant axialement dans des paliers portés par aine paire de bras 372 montés fous sur un arbre oscillant 373. Chaque bras de cette paire pré sente un chemin de came (analogue au chemin de came 354 des fig. 49 et 50) en prise avec des galets 375 (fig. 12) portés par des bras 376. Ceux-ci portent des goujons 378, sem blables aux goujons 358, et pénétrant dans des fentes des bras oscillants 379 fixés sur l'arbre 373.
Lorsque ce dernier oscille, les bras 379 font basculer le bras 372 pour pro voquer l'embrayage des roues totalisatrices 370 avec les crémaillères 305. Un couteau d'alignement 380, analogue au couteau 360, est prévu dans le même but. Pendant l'opéra tion, l'arbre 371 est déplacé axialement dans les paliers des bras 379, sous la commande de touches de transactions, et vient s'aligner de façon à présenter les roues correspondantes aux crémaillères 305. Ensuite, l'arbre 373 re çoit un mouvement oscillant par un méca nisme décrit plus loin, pour embrayer le jeu sélectionné des roues 370 avec les crémaillères, à des temps correspondant aux additions ou aux opérations de total.
Chaciui des arbres de totalisateurs 351 et 371 comprend des organes assurant le ré glage des roues totalisatrices par rapport aux crémaillères 304 et 305 pour assurer un ali gnement précis. Ces organes sont les mêmes pour chaque groupe de totalisateurs, et la fig. 12 représente les organes de l'un d'eux, c'est-à-dire du groupe arrière.
L'extrémité de gauche de l'arbre 371 (fig. 12) est filetée pour recevoir un organe d'alignement réglable 381 qui consiste en un écrou crénelé portant des disques d'aligne ment 382 susceptibles de :Tenir en prise avec une denture 383 prévue dans un bloc 384 soli daire du flasque de gauche 94. L'extrémité de droite de l'arbre 371 est également filetée en 385 pour recevoir un écrou de réglage 386.
Un étrier 387 entoure cet. écrou, et l'étrier peut recevoir im mouvement latéral sous l'action d'un tambour-came 388 qui, lui, fonc tionne sous la commande des touches de trans actions, ce qui permet de sélectionner les roues 370 du totalisateur correspondant à la touche employée. Lorsque l'arbre de totalisa teur 371 et les roues 370 sont assemblés dans la. machine, l'arbre est réglé par la rotation de l'écrou 386 jusqu'à ce que l'alignement parfait soit obtenu, après quoi on insère une goupille 377 qui rend l'écrou indesserrable et les pièces visées en alignement correct par rapport au tambour-came 388.
Une fois ce ré glage préliminaire effectué, on exécute le ré glage de l'alignement au moyen de l'écrou crénelé 381 en utilisant, dans ce cas encore, une goupille 3901. Cet aménagement de ré glage, comprenant les écrous 381 et 386, donne lieu à un réglage très précis de l'alignement des totalisateurs avec les crémaillères corres pondantes. Un système analogue est. prévu pour l'arbre 351 du groupe avant. Groupe supé-rieztr <I>de</I> totalisateur <I>ou</I> totalisateur <I>de liste.</I>
Comme on l'a vu, il s'agit ici d'un totali sateur visible ne comprenant qu'un seul jeu de roues. L'arbre est donc fixé et commandé pour son embrayage avec les crémaillères 306, pour l'addition sous la commande de la touche Liste 112 ou de la touche Addition 113, tandis que pour les opérations de total, l'em brayage est commandé par la. touche Sous- Total 111 ou la touche Solde 110. Le groupe comprend plusieurs roues totalisa- trices 390 portant des inscriptions 391 (fig. 2, 20 et 35). Ces roues tournent sur un arbre 392 sur lequel sont également disposées des rondelles d'espacement.
L'arbre 392 est porté par un bras 396 et l'ensemble peut osciller pour produire l'embrayage des roues 390 avec les crémaillères 306 grâce à. un mécanisme analogue à celui qui est. représenté aux fi-. 49 et 50 pour les autres groupes.
Un dispositif d'alignement. comprenant un bras 393 (fig. 35) est prévu pour chaque roue, bras qui est goupillé sur un axe 395 supporté par les bras oscillants 396. Les bras 393 d'extrémité, dont l'un est représenté en fig. 20, sont munis de galets 397 en prise avec un chemin de came 399 pratiqué dans des bras d'embrayage 400 fixés sur un arbre oscillant 398. Les bras 400 sont. exactement semblables aux bras 359 de fig. 49 et 50.
Au temps voulu du cycle, l'arbre 398 oseille, grâce à un, mécanisme décrit. plus loin, pour actionner les bras 400 et faire basculer les bras 396, ce qui produit l'embrayage des roues totalisatrices avec les crémaillères 306, en même temps que l'aligneur 393 est débrayé. Lorsque le tota lisateur est débrayé, les aligneurs sont remis en prise avec les roues 390 pour les maintenir en place.
<I>Mécanisme de report. (le</I> dizaines. Chaque groupe de totalisateurs comprend un mécanisme de report de dizaines permet tant de reporter une unité à la rangée d'ordre immédiatement supérieur, lorsqu'une roue totalisatrice passe de 9> à 0 . Comme le mécanisme utilisé ici est identique pour les trois groupes, il suffira de décrire celui qui est prévu pour le -groupe avant. (fig. 20, :35 et 36).
Le report d'une unité dans la rangée su périeure s'effectue en faisant en sorte que la crémaillère 304 montée sur le support. diffé rentiel 303 recoive un mouvement supplémen taire d'un pas en plus de l'amplitude de mouvement de cette crémaillère sous l'action des touches. Ce pas supplémentaire se fait par rapport au support différentiel 303. En effet, la crémaillère présente deux goujons 410 en prise avec deux fentes 409 du support 303, et un ressort 411 tend à déplacer la crémaillère 304 dans le sens senestrorsum (fig. 35).
Lors que le support différentiel 303 est dans sa po sition normale, c'est-à-dire de repos, à la fin de l'opération, un téton 412 porté par la cré maillère 304 est. en contact avec un bras 413, ce qui correspond à la position de repos, c'est- à-dire sans report. Lorsqu'une dizaine doit être reportée, le bras 413 oseille dans le sens dextrorsum pour écarter son extrémité du téton 412, permettant ainsi à la. crémaillère 304 de se déplacer d'un pas sous l'action du ressort. En fig. 35, le mécanisme de report du groupe arrière (crémaillère 305) est re présenté dans la position de report.
Le groupe avant et son mécanisme de re port est représenté en plan en fig. 36, mais vu de dessous, l'ordre décimal inférieur étant re présenté en haut. de la figure. Les bras 413 pivotent sur une tige 415 portée par plusieurs bâtis 425; on, prévoit un bras 413 et un bâti 425 pour chaque rangée décimale. Un ressort 416 maintient normalement une équerre 417, constituant un étrier entre le bras 413 et le bras 418, en contact avec un étrier 419. Ce lui-ci pivote en 420 sur les bâtis 425. L'extré mité antérieure du bras 413 se trouve sur le trajet du goujon 412 porté par la crémaillère 304 lorsque l'équerre 417 est en contact avec l'étrier 419. L'un des bras de cet étrier pré sente une équerre 421 sur le trajet d'une lon gue dent. prévue sur les roues totalisatrices 350.
L'étrier 419 est sollicité par un, ressort 422 dans le sens dextrorsum, ce qui maintient un bec 423 de l'étrier 419 en contact avec la tige 415. Lorsque la roue totalisatrice 350 est embrayée avec la crémaillère 304 et que celle-ci tourne dans le sens dextrorsum et lorsque enfin la roue 350 passe de la position S) à 0 , la longue dent de la roue totalisa trice vient. toucher l'équerre 421 pour faire basculer l'étrier 419 dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 422, ce qui a pour effet d'écarter l'équerre 417 et de laisser le ressort. 416 agir sur le bras 413 qui se trouve ainsi écarté du trajet. du téton 412 porté par la crémaillère de l'ordre décimal immédiate- ment supérieur.
Ensuite, lorsque le sup port différentiel 303 de l'ordre supérieur tourne à sa position initiale, la crémail lère 304 se déplace d'un pas supplémen taire, ce qui enregistre une unité dans la rangée immédiatement supérieure. Si cette crémaillère 304 de la rangée immédiatement supérieure est en position de report, c'est- à-dire avec le téton 412 en contact avec le bras 413 lorsque la roue décimale passe de 9 à 0 , au moment où l'étrier 419 est en contact.
avec l'équerre 417, alors le bras 413 de la rangée immédiatement supérieure est écarté du téton 412, après quoi le ressort 411 déplace la crémaillère 304 d'un pas, enregis trant ainsi 1-me unité dans cette rangée humé- diatement supérieure. Le déplacement supplé mentaire de la crémaillère 304 est limité par le fait que le téton 412 vient en contact avec un rebord 424 du bâti 425.
Le mécanisme de report pour chaque groupe est porté par plusieurs de ces bâtis 425, ce qui permet de constituer un ensem ble qui peut être assemblé séparément et monté dans la machine. Chaque bâti 425 pré sente un pied incurvé 428 en contact avec un. manchon supporté par l'arbre 302. Aux extrémités extérieures, les bâtis 425 sont supportés par des tiges 426 et 427. Avant de monter les bâtis 425 sur les tiges. 426 et 427, on insère des barres d'espacement 429 et 430 munies d'encoches pour permettre l'insertion des bâtis 425.
En montant les barres d'espa cement 429 et 430, celles-ci sont passées dans des ouvertures prévues pour les tiges 426 et 427 et sont glissées dans leur position par dessus les bâtis, après quoi on passe les tiges 426 et 427 dans lesdites ouvertures, ce qui retient l'ensemble en position. Les extrémités des tiges 426 et 427 sont taraudées pour re cevoir des vis qui émergent dans des trous pratiqués dans les flasques 194 et 199, ce qui permet de visser l'ensemble du mécanisme de report.
Les bâtis de report 425 comprennent une barre d'alignement 433 qui maintient la roue totalisatrice 350 qui n'est pas en prise avec la crémaillère. Une encoche est pratiquée dans cette barre d'alignement à l'endroit. où se fait l'embrayage avec la crémaillère, pour permet tre la libre rotation de la roue 350 qui est embrayée.
Péarîttage <I>des reports.</I> Immédiatement après l'enregistrement des montants et le report des dizaines, les roues de totalisateurs sont écartées cles crémaillères et. ensuite tous les bras de report. -113 et les crémaillères 304 sont ramenés en position nor male ou de réarmage (fig. 20, 35, 54). La fig. 35 représente les pièces au moment où lés dizaines sont reportées.
Le réarmage du mé canisme (le report est constitué par plusieurs plaques -150, une pour chaque ordre décimal. Chacune des plaques présente plusieurs bran ches et est goupillée sur l'arbre 302 avec un autre bras 451 relié par une biellette 452 à un bras 453 tournant sur un goujon 454. Le bras est muni de deux galets 455 coopérant avec une double carne 456 fixée sur l'arbre à cames 229, près du flasque gauche 181.
Au début de l'opération, la came 456 effectue une révolution dans le sens dextrorsum, ce qui a pour effet de faire osciller légèrement le bras 453 dans le sens contraire, ainsi que la plaque 450 qui est amenée à la position de fig. 35. Pour cette position, les reports de dizaine peuvent être enregistrés librement. Une fois que les montants ont été additionnés clans les totalisateurs et que les dizaines ont. été reportées, on a vu que le totalisateur est débrayé.
Immédiatement après ce mouve ment, la came 456 ramène le bras -153 à sa position initiale, ce qui fait tourner la plaque 450 de Tacon telle que l'un des bras 457 vienne agir sur le téton -112 pour ramener la. crémaillère 304 à. la position de repos. Une autre branche 458 de la plaque 450 vient en contact avec un goujon 459 porté par le bras de report 413, ce qui ramène ce dernier en position initiale réarmée, après quoi l'étrier 419 est rappelé à la position initiale par le ressort 422, ce qui maintient le bras de report 413 également en position normale.
Après ce réarmage, et après la fin du cycle, la came 456 fait osciller à nouveau le bras 453 dans le sens senestrorsum, ce qui fait tourner 1.'ar- bre 802 de manière à amener la plaque -150 dans la position représentée en fig. 20.
La plaque 450 présente deux bras analo gues aux bras 457 et 458, mais pour les grou pes supérieur et arrière des totalisateurs, pour assurer le réarma-e des crémaillères 305 et 306 et les pièces de report correspon dantes.
Le mécanisme de report en question est réglé de façon que les bras de report 413 soient toujours en position armée lorsque la machine vient au repos, de sorte qu'ils sont prêts à fonctionner à la prochaine opération. Le réarmage a lieu à la fin du cycle dans le quel les bras de report 413 sont basculés.
A cet égard., le mécanisme décrit diffère des systèmes de rappel de report déjà connus, dans lesquels le réarmage s'effectue au début < le l'opération suivante. [je mécanisme décrit présente une importance lorsqu'il s'agit, d'opé rations de total à Lui seLti e@-cle, comme on le verra. plus loin.
Impression des montants.
Pour assurer l'impression des montants à enregistrer dans les totalisateurs, sur une fiche, sur un bordereau (le contrôle et. sur une bande sortante, il est prévu trois grou pes de roues imprimantes montées sur des arbres -163 (fig. 769_ et 76p). Un des arbres 463 est supporté par des paliers portés eux- mêmes par des plaques auxiliaires 203, de manière à. constituer un groupe séparé de roues imprimantes pour chaque section.
Cha que roue imprimante (la figure '?0 représente une roue imprimante -165, des dizaines) est positionnée en proportion du montant enre gistré par 1-'intermédiaire du dispositif diffé rentiel. Celui-ci commande en effet une glis sière 466 (fi-. 20, 23 à 28) guidée par les traverses 291 et 292.A chaque opération, la glissière 466 prend une position qui repré sente le chiffre enregistré et reste dans cette position jusqu'à l'opération suivante.
A cha que cycle, lorsque la barre universelle 310 oseille dans le sens dextrorsum autour de l'ar bre 312 pour libérer l'entraîneur 290, cette barre 310 vient en contact avec une arête 467 (le la glissière 466 et déplace cette dernière vers la droite (fig. 28) dans une position que l'on désignera dans ce qui suit par position d'élimination , appelée ainsi parce qu'elle correspond à l'élimination du zéro de ladite roue -165 ou autrement dit une position sans caractère imprimant.
Une fois que l'entraî neur a été ajusté différentiellement sous la commande des touches de montants 100 ou du cliquet d'arrêt à zéro 271, et une fois que la glissière 466 a été amenée en position d'éli mination, l'entraîneur 290 et la glissière 466 sont couplés par un bras 468 pivotant en 469 sur la glissière 466. Ce bras 468 est muni de (leur dents d'aceouplement 470 (fig. 31) qui peuvent s'engager avec des dents eorrespon- dante8 pratiquées sur l'entraîneur 290.
Nor malement, les dents 470 sont en prise avec cette denture, mais avant. que la barre uni , verselle 310 se déplace, elles soit écartées de façon que l'entraîneur 290 et la glissière 466 puissent être positionnés indépendamment l'un de l'autre. Après quoi, le bras d'accou plement 468 est ramené dans sa position d'accouplement. A ce moment, la barre uni verselle<B>310</B> oscille dans le sens senestrorsum et vient cueillir l'entraîneur 290 de la posi tion précédente pour le ramener à la posi tion initiale, comme décrit précédemment.
Pendant ce mouvement, la glissière 466 est entraînée de la position d'élimination à celle (lui correspond au chiffre enregistré. L'ein- brayage et le débrayage du bras d'accouple- iiient 468 sont effectués à l'aide d'un bras de eaine 471. (fi-. 31) monté sur l'arbre 333. Ce liras 471 est muni d'un chemin de came 472 en prise avec une tige 473 s'étendant sur la largeur de la machine, de façon à agir sur tous les bras -171 de chaque rangée différen tielle.
Cette tige 473 est portée par trois bras -474 pivotant sur l'arbre 332. Près du centre de la machine et du bras 474 du milieu est disposé un bras 475 (voir également fig. 30) fourchu à son extrémité supérieure pour être en prise avec la tige universelle 473. Un cli quet 476 pivotant sur le bras 475 en 477 pré sente un bec 478 qui se trouve normalement sui- le trajet d'un épaulement 479 (fig. 31) d'un bras 480 relié par un manchon à un le vier coudé 481.
Celui-ci porte deux galets 482 coopérant avec une double came 483 fixée sur l'arbre principal 229 (voir aussi fig. 22).
Pendant l'opération de la machine, l'arbre principal 229 tourne dans le sens dextrorsuni (fig. 31) et la double came 483 fait basculer le levier 481 dans le sens senestrorsum, puis dans le sens contraire. Pendant le premier mouvement, l'épaulement 479 vient en prise avec le bec 478 du cliquet 476 et fait pivoter le bras 475 (fig. 30), l'arbre 332 ainsi que la tige universelle 473 dans le sens senestror- sum, d'où il résulte que le bras d'accouple ment 471 bascule dans le sens contraire, ce quia pour effet. d'amener un doigt 484 sur le trajet d'un téton 485 porté par le bras d'accouplement 468, lequel est dégagé des dents de l'entraîneur 290.
Une fois que ce dernier a été amené à la position voulue sous la commande des touches de montants ou du cliquet d'arrêt à zéro et que la glissière 466 a été amenée à sa position d'élimination, la came 483 fait osciller le levier 487_ et le bras 480 qui, par un doigt 486, agit sur la tige universelle 473 et ramène celle-ci à la position de fig. 31. Ce mouvement se répercute par le chemin de came 472 pour soulever le bras 471 de façon que, par l'intermédiaire du téton 485, les dents 470 engrènent à nouveau avec la. denture de l'entraîneur 290.
Une fois que le bras d'accouplement 468 est engagé à nouveau avec l'entraîneur 290, la barre universelle 310 rappelle l'entraîneur à sa position de repos et, comme la glissière 466 est. couplée avec l'entraîneur, elle est amenée à une position correspondant au chif fre enregistré dans le totalisateur.
Chaque bras 473- est. muni d'un prolonge ment -487 venant normalement, en contact avec une tige 488 dont le but. est de maintenir ces bras 474 et la tige 473 en position de repos.
Si l'on se réfère à la fig. 26, on voit que l'arête 490 du bras -171, laquelle supporte normalement le téton 485, se trouve dans un plan parallèle au trajet. de ce téton qui peut ainsi se déplacer librement. Lorsque le bras 471 est basculé (fig. 27), l'arête inférieure 489 du doigt 484 se trouve dans un plan qui permet. le libre mouvement du téton 485. Donc, pour chaque position du bras 471, les arêtes 489 et 490 maintiennent le bras en po sition soit embrayée, soit débrayée, sur l'am plitude complète;de leur mouvement. Ces arêtes constituent une sorte de verrouillage pour le bras d'accouplement 468 dans ses deux posi tions.
En se référant aux fig. 20, 26, 27 et 28, on aura une meilleure idée de la faeon dont s'effectue la mise en position de la glissière 466 d'ajustage des éléments imprimants. Ces figures montrent les pièces dans des posi tions successives. La position normale du mé canisme différentiel est représentée en fig. \?0 et 26. Lorsque la machine fonctionne sans touche de montants enfoncée dans la rangée considérée, c'est le cliquet 271 qui commande la position de l'entraîneur 290.
Au début du cycle (fig. 126), la tige universelle .173 oseille dans le sens senestrorsum pour dégager le bras d'accouplement 468 de l'entraîneur 290 et le cliquet d'arrêt à zéro 271 est abaissé sur le trajet de l'équerre 298 (fig. 27). Après le mouvement de la, barre universelle 310, l'entraîneur 290 est livré à l'action du ressort 307 et déplacé jusqu'à. ce que ].'équerre 298 vienne en contact avec l'équerre 297 du eli- quet d'arrêt. à zéro, ce qui stoppe l'entraîneur (fig. 27).
La barre universelle 310 continue son mouvement et vient frapper l'arête 467 de la glissière d'impression 466 qui se trouve ainsi déplacée jusqu'à. la position d'élimina tion (fig. 28), après quoi le bras d'accouple ment 468 est à nouveau basculé pour s'enga ger avec les dents de l'entraîneur, ce qui est représenté en fig. 28. Pendant. le mouvement de retour de la barre 310, la majeure partie de son amplitude de mouvement se fait à vide et lorsqu'elle arrive en contact avec l'épaule ment 309 de l'entraîneur, celui-ci est entraîné en retour à la position de repos.
Pendant ce mouvement, la glissière d'impression 466 est déplacée d'autant hors de sa position de re pos puisque les deux glissières sont accou plées. Dans l'exemple d'opération que l'on dé crit, l'entraîneur est déplacé d'un pas hors de la position de repos jusqu'à sa position zéro, alors que la glissière 466, elle, est déplacée de la. position d'élimination à la position zéro.
La mise en position de la glissière 466, par exemple pour le chiffre 5 , est représentée aux<U>fi-.</U> 23, 24 et 25. Dans ce cas, une fois que le bras d'accouplement. .168 a été déragé de l'entraîneur 290, celui-ci se déplace vers la droite jusqu'à ce qu'il soit arrêté par la tou che 5 .enfoncée (fig. 23). La barre univer selle 310 continuant son mouvement, elle vient toucher l'arête 467 de la glissière 466 et déplace celle-ci à, la position représentée à la fig. 24, qui est la position d'élimination, alors que l'entraîneur différentiel est dans la position 5 .
Après cette mise en position, le bras d'accouplement 468 est soulevé par la tige universelle 473 (fig. 24) et le bras 468 accouple la glissière 466 avec l'entraîneur 290. Lorsque la barre universelle 310 revient à sa position de repos, l'entraîneur 290 est égale ment ramené à sa position initiale et, pendant ce mouvement, la glissière 466, qui est accou plée, se déplace de six pas, c'est-à-dire de la position d'élimination à la position 5 re présentée en fig. 25.
A la fin de l'opération, le bras d'accou plement 468 reste en prise avec les dents de l'entraîneur 290 dont il est séparé au début de l'opération suivante, caractéristique qui a son importance pour permettre les opérations de répétition, ainsi qu'on le verra plus loir,.
La roue imprimante 465 pour les dizaines (fi-. 20) dans chaque section représentée en fig. 76A et 76p est mise en position de la façon suivante: La glissière 466 présente des dents 496 (fis. 20 et 23 à 28) en prise avec un pignon -197 tournant. sur un axe 498 (voir aussi fig. 77B). Le pignon 497 est relié par un manchon 499 à un segment 500 engrenant avec une couronne dentée 501 (fig. 20) com prenant une denture interne 502, laquelle en grène elle-même avec un petit pignon 503 porté par un axe carré 504.
Ce dernier s'étend sur la largeur de toutes les sections d'imprimerie. En alignement avec chaque roue imprimante 465 des trois groupes sont disposées des couronnes 505, 506 et 507. L'ar bre carré 504 porte, en regard de chacune de ces couronnes, un pignon semblable au pi- rnon 503 et qui engrène avec les pignons internes des couronnes 505, 506, 507. Ces der nières sont munies de dents 508 en prise avec des encoches prévues dans les roues impri- in < intes 465, de telle sorte que ces roues peu vent prendre une position proportionnelle à celle des couronnes correspondantes.
On voit, d'après ce qui précède, que le ré- rIage de la glissière 166 est transmis au pi gnon 49"r, au segment 500, à la couronne 501, au pignon 503, à.
l'arbre 50-1 et aux cou ronnes 505, 506 et .507 et, de là, aux roues im- primantes. Un mécanisme analogie est prévis pour la rangée, par exemple, des dix mil lions , celle représentée aux fig. 20, 76A, 76B, <B>77A</B> et 77$. Pour cette rangée particulière, on n'a pas prévu de roue imprimante dans la section d'impression de la fiche.
*Dans la rangée des dix millions, un pi- -nori 515 (fur. 77A) est en prise avec un pi gnon analogue au pignon 497 et solidaire d'un segment 517 grâce à un moyeu 516. Ce serinent engrène avec une couronne dentAe 518 tournant sur un disque 631 fixé sur un arbre 632. La couronne 518 présente une den ture interne en prise avec un pignon 51.9 (fig,. 20) monté sur un arbre carré 520 qui s'étend entre les deux bâtis latéraux. L'arbre porte deux autres pignons, chacun placé à.
l'intérieur de chaque couronne dentée 521 et :)22 respectivement, pour entraîner ces cou ronnes proportionnellement au mouvement de la couronne 518. Les couronnes 521 et 522 sont en prise avec un pignon fou 523 (fig. 20) porté par un arbre 524 et engrenant respecti- vetnent avec des couronnes 525 (fig. 76A) et 526 (fig. 76B), elles-mêmes en prise avec des roues imprimantes 527 de la. rangée des dix vrillions.
Les deux groupes de couronnes, l'un com prenant les couronnes 501 et les disques 509 inoirtés sur un arbre 510, et l'autre compre nant les couronnes 521 et les disques 631 montés sur l'arbre 632, constituent un méca nisme flexible pour aménager la machine et l'adapter à différents systèmes comptables. En effet, les roues imprimeuses peuvent être assemblées sur les arbres à. n'importe quelle position prise en largeur de la machine. On peut, si on le désire, adjoindre une ligne d'im pression supplémentaire au-dessous des cou ronnes 521 pour le cas où un système re quiert deux lignes d'impression, et cela sans modifier totalement le mécanisme. Illise <I>en place des zéros.</I>
Les glissières 466 sont commandées de fa çon que les zéros ne soient pas imprimés à gauche du premier chiffre significatif. On a vu plus haut que ces glissières sont amenées dans une position d'élimination à chaque opé ration avant d'être mises en position par la barre universelle 310. Pour éliminer l'impres sion des zéros à gauche du chiffre significa tif, il suffit d'empêcher la glissière 466 d'être écartée de sa position d'élimination au mo ment où la. barre universelle 310 la ramène en position normale. On a déjà expliqué que l'en traîneur différentiel 290 passe d'une position normale à une position zéro lorsque aucune touche de montants n'est enfoncée dans la rangée considérée, mouvement qui correspond à un pas.
Pour empêcher la glissière 466 de s'écarter de la position d'élimination, on main tient donc l'entraîneur différentiel 290 à sa position normale avant l'accouplement par le bras 468. Lorsque l'entraîneur est ramené à sa position normale, avant accouplement avec la glissière, il se produit, au moment du rap pel par la barre universelle 310, que la glis sière 466 reste en place, laissant une position vierge en face du marteau d'impression.
Pour déplacer l'entraîneur 290 de sa po sition zéro à sa position de repos (fig. 26,<B>2</B>7 et 28) avant l'accouplement avec la glissière 466, on a prévu un cliquet 531, en forme d'étrier et tournant sur une tige 532 portée par des bras de came 533, lesquels pivotent en 534. 1\ n ressort 535, disposé entre le cli- quet 531 et un autre bras 536 pivotant égale ment sur l'arbre 534, maintient un bec 537 du cliquet 531 en contact avec une tige 538 portée par trois des quatre bras 311 (voir aussi fig. 22).
Un cliquet 531 est monté pivo tant sur la tige 5;32 pour chaque rangée de montants supérieure à la rangée des décimes. Un bras 536 aménagé dans chacune de ces rangées présente un doigt muni d'un méplat 539 normalement en contact avec un goujon 540 porté par l'entraîneur différentiel 290, sous l'action du ressort. 535. Chacun des trois bras 311 porte un galet 541 (fig. 26, 27 et 28) en prise dans un chemin de came 542 des bras 533.
Lorsque la machine est au repos, les galets 541 se trouvent dans la partie de gau che des chemins de came 542 (fig. 26) et lors que les bras 311 se déplacent dans le sens dextrorsum pour entraîner la barre univer selle 310, les galets 541 se déplacent dans les chemins de came 542 et font osciller les bras 533 dans le sens senestrorsum. La tige 538 est écartée de dessous les becs 537 des cliquets 531,
laissant les ressorts 535 agir sur les cli- quets 531 qui basculent dans le sens dextror- sum.. Comme on le voit en fig. 27, l'entraîneur 290 est arrêté à sa position zéro par le cli- quet 271, et le cliquet 531, une fois libéré, vient se placer derrière l'épaulement 543 prévu sur l'entraîneur (fig. <B>27).</B> A ce mo ment, la barre universelle 310 continue son mouvement en déplaçant la glissière 466 à sa position d'élimination et, ce faisant, les galets 541 continuant leur déplacement,
dans les che mins de came 542, font basculer les bras 533 dans le sens senestrorsum, ce qui ramène l'en traîneur vers la gauche sous l'action du cli quet 531, c'est-à-dire à la position de repos (fig. 28). Après ce mouvement, le bras d'accouplement 468 vient en position active et lorsque la barre -universelle 310 est ramenée à la position initiale, elle ne change rien à la position de l'entraîneur si celui-ci a été amené en position de repos par le cliquet 531, de sorte que pour ce cas particulier, la glissière d'impression 466 n'est pas déplacée non plus et reste à la position d'élimination.
Ce qui précède met en évidence la façon dont un mécanisme différentiel est entraîné pour empêcher l'impression d'un zéro. Si, au contraire, un montant est composé dans une rangée d'ordre décimal supérieure à celle dans laquelle aucune touche n'est enfoncée, il faut qu'un zéro soit imprimé dans cette rangée inférieure. Pour ce faire, il suffit d'empêcher le cliquet 531 de cette rangée-là. de venir en position de contact avec l'épaulement 543 de l'entraîneur correspondant. A cet effet, il est prévu une équerre 544 (fig. 29) sur chaque cliquet 531 et se trouvant au-dessous d'un épaulement 545 du cliquet 531 de la. rangée immédiatement supérieure.
Si l'un des cli- quets 531 est empêché de venir sur le trajet de l'épaulement 543, alors les équerres 5-14 de toutes les rangées inférieures restent en posi tion abaissée, de sorte que, bien qu'une touche ne soit pas enfoncée dans une ran-ée infé rieure, les cliquets 531 restent dans leur posi tion basse, permettant l'impression d'un zéro.
Si les cliquets<B>531</B> sont ainsi maintenus dans leur position basse et lorsque la barre universelle 310 et les bras 311 passent dans leurs positions médianes représentées en fig. 27, les cliquets restent inactifs, laissant les en traîneurs 290 dans la position zéro. Une fois que le bras cl'accouplenienl 468 est rendu actif, la barre universelle<B>310</B> est. ramenée à la position de repos et, pendant ce mouve- ment, amène l'entraîneur à sa position ini tiale, ce qui déplace la, glissière d'impression 466 d'un pas, de la position d'élimination à celle qui correspond au zéro.
Les fig. 23, 24 et 25 montrent les organes -utilisés pour empêcher les cliquets 531 de venir sur le trajet des épaulements 543 dans celles des rangées dans lesquelles un montant est composé. Pour le cas des fig. '?3 et \?4, c'est. la touche 5 qui est enfoncée et l'en traîneur 290 est dans la position correspon dante.
En venant ainsi à la. position 5 , le goujon 540 est. écarté de l'épaulement 539 du bras 536, de sorte que le ressort 535 peut faire osciller le bras 536 dans le sens dextrorsum jusqu'à ce qu'une encoche 546 vienne agrafer le cliquet 531 pour le retenir dans sa position abaissée sous l'action du ressort 535.
On voit, d'après ce qui précède, que tous les cliquets 531 des rangées dans lesquelles l'entraîneur 290 passe au-delà de la position zéro sont verrouillés par les bras 536 et que les cliquets 531 des rangées inférieures à celle dans laquelle l'entraîneur 290 passe au-delà de zéro sont maintenus en position abaissée par l'action réciproque des épaulements 545 et des équerres 544, ce qui correspond à l'im pression des zéros dans les ordres décimaux inférieurs. Mécanisme <I>de</I> répétition. L'entraîneur différentiel des montants 290 peut être commandé de manière à effec tuer une répétition du nombre enregistré pré cédemment.
A la fin d'une opération, les glis sières 466, pour les éléments imprimants, res tent à la. position acquise, et le bras d'accou plement 468 reste clans sa position active pour laquelle ].'entraîneur 390 et la glissière 466 sont accouplés. Pour les opérations de répéti tion, le bras 468 est 'maintenu dans sa posi tion. d'accouplement pendant l'opération en tière, et comme aucune touche de montants 100 ne peut être enfoncée pour ce genre d'opé ration, c'est la. glissière 466 qui commande le mouvement de l'entraîneur 290.
Lorsque la machine est. déclenchée pour une opération s de répétition et quand la barre universelle 310 < scille dans le sens dextrorsunr, cette barre vient en contact avec l'arête 467 de la. glis sière 466 qui se trouve être déplacée avec l'en traîneur 290 vers la droite, jusqu'à. ce qu'elle bute contre une arète 561 (fig. 23) de l'en tretoise 291.
Ce mouvement est d'une ampli- tiide telle que l'entraîneur différentiel est dé placé proportionnellement au montant précé demment enregistré. Lorsque la barre uni s @-ersel1e 310 revient pour rappeler. l'entrai- rierir# 290 et la glissière 466 en, position nor- inale, le montant fixé sur cette o1issière est alors enregistré clans le totalisateur.
Le mécanisme qui vient d'être décrit peut i égaiement être utilisé pour transférer un total d'un totalisateur à un antre. Une telle opéra tion est effectuée en remettant tout d'abord à zéro un totalisateur de la manière décrite plus loin et, à la fin de l'opération, la glissière s 466 occupe une position représentant le total extrait du totalisateur. Si l'on utilise une tou- chc sélectionnant un autre totalisateur simul- tanément avec la touche Répétition 114, le total porté par les glissières 466 est alors enre gistré par le totalisateur nouvellement sélec tionné.
Un système d'interverrouillage, décrit plus loin, empêche d'abaisser la touche Répéti tion tant qu'une touche de montants est en foncée et réciproquement. Un organe, que l'on décrira plus loin également, empêche le cli- quet d'arrêt à zéro 271 de devenir actif pen dant une opération de répétition.
Le mécanisme qui maintient le bras d'ac couplement 468 en position active pendant une opération de répétition est représenté aux fig. 30 et 31. Il consiste en des organes qui se trouvent sous le contrôle de-la touche de Répétition 114 et qui font osciller le cliquet d'accouplement 476 hors du trajet de l'épau lement 479 du bras 480. Une came 562 (fig. 22 et 30), fixée sur l'arbre principal 229, commande le mouvement de ce cliquet 476. La came 562 coopère avec un galet 563 porté par un bras 564 monté fou sur l'arbre 312. Ce bras 564 présente une encoche pou vant venir en prise avec un goujon 565 porté par un bras 566 d'iur levier à. trois branches 567.
Un ressort 568 maintient normalement le galet 563 en contact. avec la périphérie de la came 562. Le levier 567 porte un téton 569 qui se troue sur le trajet du cliquet d'accou plement 476. Une autre branche de ce levier est reliée, par une bielle<B>570,</B> à un disque<B>571</B> porté par un ensemble de couronnes dentées, comme celui qui a été décrit plus haut. La fig. 77-A montre la place du disque 571, le quel est muni d'une denture interne 572 en prise avec un pignon 573 porté par un axe carré 574 qui s'étend sur la largeur de la ma chine.
Cet. axe porte un autre pignon 573 en grenant avec les dents internes d'im disque 575 (fig. 77B). Ce dernier est. relié, par une bielle 576 (fig. 30),à un levier coudé 577 pivotant en 578 sur la plaque fixe 133 du clavier, près de la "première rangée de tou ches de transactions. C'est dans cette pre mière rangée que se trouve la touche Répé tition 114 munie d'un téton carré 579.
Le le vier coudé 577 présente une équerre 580 qui, lorsque ce levier pivote dans le sens senes- trorsum, vient, en contact avec le téton carré 579 si la touche 114 n'est pas enfoncée. Quand on abaisse celle-ci, le téton 579 est écarté de l'équerre 580. Pendant l'opération de la ma chine, lorsque la came 562 tourne, le ressort 568 fait basculer le bras 564 dans le sens dextrorsum, de faon que le goujon 565 fasse osciller le levier à trois branches 567, mouve ment qui est permis pour ce genre d'opération puisque l'équerre 580 n'est pas retenue par le téton 579 de la touche Répétition .
Il résulte de ces mouvements que le goujon 569 fait tourner le cliquet d'accouplement 476 dans le sens senestrorsum pour écarter le bec 478 du trajet de l'épaulement 479. Simultanément, le goujon 569 pénètre dans une encoche 581 du bras 475 qui se trouve ainsi verrouillé. Lors que la came 483 fait osciller le bras 480, ce mouvement se fait à vide, de sorte que les bras 474 restent stationnaires. Il en est de même pour la tige 473 passant dans le che min de came 472, de sorte que le bras d'accou plement 468 est maintenu dans sa position accouplant l'entraîneur différentiel 290 et la glissière 466 pour le mouvement d'aller et re tour.
Avant que la barre universelle 310 re vienne en position initiale, la came 483 fait osciller le bras 480 dans sa position normale représentée en fig. 31, après quoi la came 562 touchant. le galet. 563 fait basculer le bras 564 à sa position normale de fig. 30, ce qui a pour effet d'écarter le goujon 569 de l'encoche 581, tandis que, simultanément, l'équerre 580 est ramenée à sa position normale de fig. 30.
Pendant le fonctionnement de la machine, sans répétition, le cliquet d'accouplement 476 est amené dans sa position active sur le trajet de l'épaulement. 479 par l'équerre 580 du le vier coudé 577, équerre qui vient en contact avec le téton carré 579 de la touche 114 non enfoncée. Pendant, une telle opération, seul un léger mouvement sous l'action du ressort 568 se produit, lequel n'est pas suffisant pour amener le goujon 569 dans l'encoche 581. Par conséquent, le cliquet 476 reste en position active et la came 483 actionne le bras 475, comme décrit plus haut, pour écarter le bras d'accouplement 468 avant le mouvement ini tial de l'entraîneur différentiel 290.
Au dé but d'une opération de répétition, les glis sières 466 commandant l'imprimerie sont toutes dans la position précédemment acquise, ce qui inclut également celles qui sont com mandées par le mécanisme d'impression des zéros. Il est nécessaire que les glissières 466 commandent l'entraîneur différentiel 290 pour répéter le montant précédent, de faon que cette commande ait priorité sur celle qui provient chi mécanisme des zéros.
On a prévu un dispositif spécial pour dé brayer le mécanisme de commande des zéros pendant les opérations de répétition et, à cet effet, le bras de came 471 (fig. 30), situé dans la rangée décimale la plus élevée, porte un bras 585 muni d'un goujon 586 en contact. sous l'action d'un ressort 588, avec Lui levier coudé 587 (voir aussi fig. 22) pivotant en 534. Ce levier coudé est normalement en con tact avec le cliquet 531 de la. rangée décimale supérieure pour empêcher son mouvement.
Etant donné que, pendant. les opérations de répétition, le bras de came 471 n'est pas écarté de sa position normale, le cliquet 531 de la rangée supérieure reste verrouillé pen dant la répétition et, grâce aux équerres 5-44 (fig. 29), retient tous les cliquets 531 des rangées inférieures en position abaissée, ce qui correspond au débrai-ao-e du mécanisme (les zéros.
Pendant une opération normale, c'est-à-dire sans utilisation de la touche Ré pétition , lorsque la tige universelle 473 oscille dans le sens dextrorsain pour dégager le bras d'accouplement 468 et permettre à l'entraîneur différentiel 290 de se déplacer proportionnellement à la valeur de la touelie enfoncée, le bras 585 de la rangée la plus élevée, agissant par le goujon 586, fait, bascu ler le levier coudé 587 pour libérer le cliquet. 531 de cette rangée la plus élevée, ce qui a pour résultat de libérer tous les cliquets 531 qui peuvent ainsi remplir leurs fonctions nor males.
Lorsque le levier coudé 587 est ramené à sa position initiale, à la fin d'une opération sans répétition, les cliquets 531 sont à nou veau verrouillés par le levier coudé 587.
Touches <I>de transactions.</I>
Ces touches commandent les diverses fonctions de la machine et sont disposées en deux rangées représentées en fig. 2. Les tou ches 101 à 108 commandent la sélection des to talisateurs dans lesquels des montants doivent être additionnés ainsi que d'autres opérations de l'imprimerie de la machine. Ces touches<B>1.01</B> à 108 constituent la rangée que l'on appellera la deuxième rangée. Les touches 110 à. 118 com mandent le temps et le genre d'opération pour l'embrayage et le débrayage des totalisateurs, ainsi que certaines fonctions clé l'imprimerie. Cette rangée constitue la première rangée.
1 Les touches 110, 111 et 113 et les touches<B>101</B> à 108 ont également pour effet de déclencher la machine. Première rangée <I>de</I> transactions: <I>Détentes de</I> commande.
Le déclenchement de la machine et cer tains interverrouillages sont commandés par plusieurs détentes placées dans la première rangée, détentes représentées en fig. 56 à 60 et 63.
L'une de ces détentes 595 est supportée par quatre galets 176 et sert à. maintenir en foncées certaines des touches de transactions de la première rangée. Un ressort. 596 main tient normalement des rampes 598 de la dé tente en contact avec des goujons 597 portés par chacune des touches 112, 114, 115, 116, 117 et 118.
Lorsqu'on enfonce l'une de ces touches, la coopération du goujon 597 avec la rampe 598 déplace la détente vers la gauche (fil,. :58) jusqu'à. ce que le goujon passe au- dessous de la rampe, après quoi le ressort 596 ramène la détente légèrement vers la droite, le goujon 597 étant ainsi en prise avec tan bée de la rampe. Vers la fin de l'opération, cette détente 595 est déplacée vers la gauche et permet 'a la touche enfoncée de remonter.
Les touches 112, 114, 115, 116, 117 et 118 rie sont pas des touches motrices, c'est-à-dire qu'elles ne déclenchent pas la. machine, et la détente 595 est prévue pour maintenir ces touches en position enfoncée jusqu'à ce qu'une touche motrice puisse être enfoncée.
Première rangée: <I>Détente de</I> déclenchement. Une fois que l'une des touches 112, 114 à 118 est enfoncée et maintenue dans cette po sition par la détente 595, on utilise l'une des touches motrices 110, 111 ou<B>113</B> (fig. 56). L'enfoncement de l'une de ces trois touches fait que le goujon 597, agissant sur une rampe 600 d'une détente 601 (fig. 57), déplace celle-ci vers la gauche, contre l'action d'un ressort. 602.
L'extrémité de droite de la dé tente 601 porte un goujon 603 en prise avec un bras fourchu 604 goupillé sur un arbre 605 qui porte, d'autre part, un verrou 606 qui vient normalement en prise avec un. téton carré 607 porté par un bras 608 fixé sur l'arbre de déclenchement 264 de la machine. Quand on enfonce l'une des touches,<B>110, 111</B> ou 113, le mouvement des pièces décrites a pour effet de libérer le bras 608, permettant à l'arbre de déclenchement 264 de tourner dans le sens senestrorsum, comme décrit plus loin.
<I>Première</I> rangée: <I>Détente de</I> verrouillage. L'arbre de déclenchement 264 porte égale ment un bras 615 (fig. 56) muni d'in goujon 611 en prise avec une partie fourchue d'une détente de verrouillage 612. Lorsque le bras 615 oscille dans le sens senestrorsimi, la dé tente 612 est déplacée vers la droite, de ma nière à amener un bec 613 au-dessus des gou jons 597 des touches enfoncées de la pre mière rangée, bloquant ainsi celles-ci dans leur position abaissée.
Vers la fin de l'opéra tion, l'arbre 264 revient. dans le sens dextror- sum, déplaçant à nouveau la détente 612 vers la gauche pour libérer les goujons<B>597,</B> de façon que les touches puissent être rappelées par leur ressort 170. Pendant le déplacement vers la gauche de la détente 612, celle-ci vient toucher un goujon 614 porté par la détente 595 (fig. 58), de sorte que cette dernière libère également les touches qui ont pu être enfoncées. Première rangée: Interverrouillage <I>entre</I> let <I>touche Répétition.
et les</I> touches <I>de total.</I>
Lorsque la, touche de Répétition 114 est utilisée, il est préférable d'empêcher l'opéra teur d'enfoncer les touches Solde 110, Sous-total <B>111</B> ainsi que les touches 115, <B>116,</B> 117 et 118, de façon à empêcher l'extrac tion d'un total. A cet effet, il est prévu une plaquette d'interverrouillage 620 (fig. 59) adjacente à la détente 595 et qu'un ressort 621 tend à tirer vers la gauche pour main tenir une rampe 622 en contact avec le gou jon 597 de la touche Répétition 114. Lors que celle-ci est enfoncée, la plaquette 620 est donc déplacée vers la droite (fig. 59).
Les goujons<B>597</B> des touches 110, 111, 115 à 117 et 118 sont, elles, engagées dans des fentes en forme de L pratiquées dans les plaques 620, de sorte que lors du mouvement vers la droite de cette dernière, c'est la branche horizontale de l'ouverture 623 qui s'engage avec le goujon 597, empêchant ainsi l'abaissement des tou ches correspondantes. En position normale, la branche verticale de l'ouverture en forme de <B>L</B> se trouve sur le trajet des goujons 597 des touches de total, de sorte que celles-ci peuvent être enfoncées avant la touche Répétition .
Si l'une des touches de total est enfoncée avant la touche Répétition , le goujon 597 correspondant s'engage dans la branche ver ticale de l'ouverture en forme de<B>L,</B> de sorte que la plaquette 620 est bloquée, empêchant ainsi l'utilisation de la touche Répétition .
Les goujons 597 des touches 112 Liste et 113 Addition sont engagés dans des ouvertures rectangulaires de la plaquette 620, de sorte que celle-ci peut. être déplacée avant ou après l'enfoncement. de ces touches.
<I>Première rangée:</I> Interverroitillage <I>entre</I> <I>les touches de total et les touches de</I> montants. Il est nécessaire d'empêcher l'utilisation des touches de total 110,<B>111,</B> 115 à 118 de la première rangée, lorsque les touches de mon tants sont enfoncées et réciproquement. Ceci empêche les erreurs de manipulation au mo ment de la prise des totaux, car pendant ce genre d'opération, les crémaillères 304 doivent être libérées pour venir prendre la position fixée par les totalisateurs.
Lorsqu'on enfonce une touche de montants 100 (fig. 60), un prolongement 635 de cette touche est amené sur le trajet de la plaque 263 mentionnée plus haut. Celle-ci est. reliée, par le bras 266, à l'étrier<B>267</B> dont. une bran che 636 (fig. 62) est articulée à une biellette 637 portant un goujon 638 (voir aussi fig. 61). Celui-ci est, engagé dans une baïon nette 639 pratiquée dans un bras 640 fixé sur l'arbre de déclenchement 264. Ce goujon 638 pénètre également dans une ouverture 641 d'un levier coudé 642 pivotant en 643.
Le levier coudé 642 est relié, par une bielle 645, à un bras 644 fixé sur un axe 630 dûment supporté par les plaques de clavier 133 et 136. L'axe 630 (fig. 60) porte un autre bras 629 dont un goujon 6-1-6 est maintenu en contact avec l'extrémité d'une détente de commande 647 sous l'action d'un ressort 648 (fig. 61). Grâce à cette action, des arêtes 649 de la dé tente de commande 647 sont maintenues en contact avec les goujons 597 des touches de total 110,<B>111,</B> 115 à. 118 et avec le goujon 597 de la touche Répétition 114.
Lorsqu'on enfonce l'une des touches 110, <B>11.1</B> ou 114 à 118, le goujon correspondant 597 agit sur la rampe 649 pour déplacer la détente de commande 647 vers la gauche (fig. 60). L'extrémité de la détente 647 poisse le goujon 646, de sorte qu'avec la chaîne mé canique décrite, le levier coudé 642 oscille pour amener le goujon 638 dans la partie verticale inférieure de la baïonnette 639 pratiquée dans le bras 640 fixé sur l'arbre de déclenchement 264.
Celui-ci oseille par l'enfoncement d'une touche motrice, de sorte que le bras 640, agis sant par la. baïonnette 639, déplace le goujon 638, la. bielle 637, le bras 636 et, l'étrier 267 dans le sens senestrorsum. Toutefois, si au mo ment de la, rotation de l'arbre de déclenche ment 264 une touche de montants 100 est en foncée, l'étrier 267, le bras 266 et la plaque 263 ne peuvent se déplacer. Par contre, si aucune touche 100 n'est enfoncée, la plaque 263 peut glisser, ce qui permet à l'arbre 264 d'effectuer sa rotation normale.
Prendère rangée: <I>Commande des cliquets</I> d'arrêt éc <I>zéro</I> potcr <I>les</I> opérations <I>de total.</I>
II est nécessaire de retenir les eliquets d'arrêt à zéro<B>271</B> hoirs de leur position active pendant les opérations de total, ce qui est obtenu au moyen d'un bras de butée 650 ( fil;. 61 et 64) fixé sur l'arbre 630. Lorsque cet arbre oscille au moment où l'on enfonce mie touche de total, le bras de butée 650 est amené sur le trajet d'un goujon 651 porté par uni curseur 652.
Ce dernier, fourchu à son extrémité supérieure, glisse sur l'arbre 630, alors que son extrémité inférieure est a.rti- etzlée à un levier 653 fixé à. un moyeu de l'étrier<B>272.</B> Un rivet 654 maintient ensemble l'étrier 272 et le levier 653 pour assurer une plus grande rigidité.
Si, lorsque l'étrier 272 (voir aussi fig. 20 et. 3'?) est livré, de la. manière déerite plus fiant, à l'action du ressort 330, et si une tou che de total a. été enfoncée et que le bras 650 touche le goujon 651, il va de soi que l'étrier '?72 ne peut suivre le mouvement puisqu'il est arrêté par la butée 650. Par conséquent, les eliquets d'arrêt à, zéro 271 ne peuvent ve nir en position d'arrêt bien qu'aucune touche <B>(le</B> montants ne soit enfoncée.
Prenzière <I>rangée: Détente de la</I> touche <I> Liste .</I> Lorsqu'on enfonce la touche 112 Liste , il est préférable que celle-ci reste enfoncée ,itisqu'à l'impression d'un total ait moyen de lai touche Solde>. 110.
II est. prévu dans la preir-iière rangée une détente 655 (fig. 63) ilu'un ressort.<B>656</B> maintient en contact, par uiie rampe 6:57, avec le'goujon 597 de la toit- clie 112 et par une rampe 658 en contact avec le goujon 597 de la touche Solde 110.
Lorsqu'on enfonce la touche Liste 11'3, la détente 65.5 est. déplacée vers la gauche pour être retenue par le bras de la rampe 657. Ce n'est que par l'enfoncement (le la touche Solde 110 en coopération avec la rampe 658 que la détente 655 petit être dé placée suffisamment à gauche pour libérer la touche Liste qui est. rappelée par l'action de son ressort 170 (fig. 8). Première <I>rangée:</I> Détente <I>de</I> commande <I>des cycles.</I>
Pour commander les opérations de total à deux cycles, il est prévu une détente 634 (fig. 15) qui coulisse également sur les quatre galets 176. On expliquera plus loin le fonc tionnement de cette détente. <I>Détentes de la seconde rangée de transactions.</I> Les touches 101 à 108 (fig. 2, 16 et 37) de la deuxième rangée de transactions sont mo trices, c'est-à-dire qu'elles déclenchent la ma ehine. Chaque touche porte également un goujon 597 qui coopère avec une rampe de certaines détentes. Pour déclencher la. ma chine, une détente 665 (fig. 17) est aménagée dans la deuxième rangée, détente qui présente huit rampes 666 coopérant avec les goujons 597.
Un ressort 667 assure le contact des ram pes 666 et des goujons 597, et chaque fois que l'on enfonce une touche 101 à 108, la détente. est déplacée vers la gauche. La détente 665 porte un goujoir 668 en prise avec une partie fourchue d'un bras 669 fixé sur l'arbre 605 qui porte, d'autre part, le bras 604 (fig. 57). Lorsque la détente 665 se déplace vers la gau che, l'arbre 605 et les bras 604 et 669 tour nent dans le sens senestrorsuni et libèrent le bras 608 fixé sur l'arbre de déclenchement 264 qui peut donc effectuer la fonction de dé clenchement de la machine.
En effet, la ro tation de cet arbre 264 dans le sens senestror- sum est communiquée à un bras 670 (fig. 16) muni d'un goujon<B>671</B> articulé à une glissière 672 qui se trouve ainsi déplacée vers la droite, bloquant les touches de la deuxième rangée contre tout enfoncement, alors que la touche enfoncée est elle-même verrouillée par l'en coche 673. Cette glissière 672 sert donc à ver rouiller les touches de la deuxième rangée, enfoncées ou non, jusqu'à ce que l'arbre de déclenchement soit ramené à sa position ini tiale, après quoi le ressort 170 (fig. 37) rap pelle la touche qui a pu être enfoncée.
La touche Add.-Impr. 109 (fig. 2, 16 et 37) reste enfoncée jusqu'à ce qu'elle soit. rap pelée manuellement et, pour ce faire, il est prévu une détente 680 (fig. 18) munie d'une rampe<B>681</B> coopérant avec, le goujon <B>597</B> de la touche Add.-Impr. 109. Cette détente est tirée normalement. vers la droite par un res sort 682. Lorsqu'on enfonce cette touche 109, la. détente est déplacée vers la gauche jusqu'à ce qu'elle retienne la touche par une encoche 683.
Cette détente n'a aucune connexion avec l'arbre de décleilchenient 261, niais elle est. munie d'une manette 1:2'? (voir également fig. 2) qui émerge du coffre pour permettre son actionneinent à la main.
Pour empêcher l'enfoncement (les touches 101 à<B>108</B> une fois que la touche Add.-Impr. a été utilisée, la détente 680 présente des ouvertures en forme de L en regard des gou jons :i97 des touches 101 à 108. Pour la posi tion normale représentée en fig. 18, ces tou- elles 101 à 108 peuvent être enfoncées.
Par contre, lorsque la touche 109 a été abaissée et par conséquent la glissière 680 déplacée à gauche, la partie horizontale de l'ouverture en forme de L empêche l'abaissement (les toit- elles 101 à 108.
JIécareismes dif féreldiels <I>(les</I> rangées <I>de</I> transactions.
Les touches des première et deuxième rangées commandent, lorsqu'elles sont en fon- eées, le mouvement différentiel des entraî neurs, lesquels contrôlent, à leur tour, les dif férentes fonctions de la machine et la sélec tion des totalisateurs. Les deus( mécanismes, pour les première et deuxième rangées, sont semblables, de sorte qu'il suffira de décrire celui de la première rangée (fig. 8 à. 11 et 22).
Les touches 11.0 à 118 de la première rail gée coopèrent avec un coulisseau 689 (fig. F, 11, 22) par leurs goujons 579. Ceux-ci émer gent alternativement à gauche et à droite (fig. 22) sur le trajet d'oreillettes 690 dispo- 1 Bées sur le coulisseau 689 alternativement 'a gauche et à droite. La connexion entre les goujons 579 et les oreillettes 690 est telle que, lors du fonctionnement de la machine avec uné touche de cette rangée enfoncée, le cou ; lisseau est stoppé dans une position propor tionnelle à la valeur de la touche enfoncée.
Ce coulisseau 689 est fendu à ses extrémités pour assurer son guidage sur des bagues 691 et 692 portées par (les ales 693 et 69-1. Ceux-ci sont fiés au bâti 182 et sont munis (le tenons permettant de les fixer au moyen de vis 69:,.
Le coulisseau 689 est muni d'une denture 696 (fig. 11) engrenant avec un segment 697 faisant. partie d'un bras 698 fendu en 699 pour permettre le passage d'un goujon 700 porté par un verrou<B>701</B> (fig. 9 et 10). lie bras 698 peut tourner en 702 sur le bâti 182. Le verrou 701 pivote sur un goujon 703 porté par un bras 70.1 également pivotant en 702.
Un bras volant 705 est articulé ait bras 701 grâce à un rivet 706, et l'extrémité libre de ce bras volant 705 porte un goujon<B>707,</B> en gagé dans une fente 708 pratiquée dans -Lui bras 709 susceptible de tourner sur l'axe 702.
Le bras 709 présente une partie dentée 710 en prise avec les dents 711 (fig. 8) d'une glis sière 712 commandant les segments impri- mants. Cette glissière coulisse sur les banues 691 et 692 et sur un goujon 688 porté par les bâtis 196 et 199 (fi-. 7).
Le verrou 701 (fig. 9 et 1.0) présente un talon 713 pouvant coopérer avec un épaulement 715 d'un entrai- neur 716. Celui-ci fonctionne différentielle- ment et pivote sur l'axe 702. Il est muni d'une encoche 717 en prise avec un goujon 718 porté par un levier 719 monté fou sur titi goujon 720 fixé aux bâtis. Le levier 719 est solidaire d'un bras 733 (fig. 8) par un man chon 721.
Ce bras porte une paire de galets 722 coopérant. avec une double came 723 (fig. 8 et 22) fixée aii manchon 227 mentionné précédemment (fi g. 1.3, 11. 15 et 22). Le le vier 719 (fig. 9 et. 10) est iliuiii d'un galet 72-1 qui peut être amené en eontaet avec une arête 725 du bras volant 705.
Lorsque la double came 723 tourne par la rotation du manchon 227, le bras 733 oseille dans le sens dextror:suni (fig. 8) pour entraî ner le levier 719. Par l'intermédiaire du gou jon 718, l'entraîneur 716 oseille dans le même sens, entraînant le verrou 701 et, par consé quent, par le goujon 700, le bras G98 (fig. 11).
La rotation de ce bras a pour effet, grâce au segment 697, de déplacer le coulisseau 689 vers la droite (fig. 8) jusqu'à ce qu'une oreillette 690 bute contre le goujon 579 de la touche qui a été enfoncée. Le coulisseau 689 est alors arrêté à une position proportionnelle à la valeur de cette touche et met en position le bras 698, lequel, grâce à la fente 699, agis sant sur le goujon 700, fait pivoter le verront 701 dans le sens senestrorsuni autour de son axe 703, de telle sorte que le talon 713 soit écarté eue l'épaulement.
715, arrêtant ainsi tout mouvement subséquent du bras 70-1:. Lorsque le verrou 701 oscille ainsi dans le sens senes- tror:
suni (fil-. 10), Lui bec 726 pénètre dans 111e eiieoelre <B>727</B> (fi-. 8) pratiquée dans une plaque de verrouillage<B>728</B> portée par les gou jons 693 et 7<B>2</B>0. L'entraîneur 716 continue son mouvement et une arête concentrique 729 (firi. 9) reste en contact au-dessous du talon 713 du verrou 701, de sorte que le verrou ainsi que le bras 704 sont maintenus positi vement dans la position acquise. Le goujon. 706 du bras volant 705 est donc lui-même verrouillé dans la position correspondant à la. touche enfoncée.
Pendant le mouvement, dans le sens dex- tror:sum, du levier 719, le galet 724 vient en contact avec l'arête 725 du bras volant 705 et le fait osciller autour du téton. 706, de sorte que, grâce au goujon 707, le bras denté 709, 710 est lui-même amené dans une position correspondante. Cette position du segment 710 est. communiquée par les dents 711 à la glissière 712.
1-1e fois qcte cette glissière 71'_' a été ainsi positionnée, la carne 723 ramène le levier 71.9 dans le sens senestrorsuni pour rappeler l'en traîneur différentiel 716 à la position initiale. Pendant ce mouvement, l'épaulement 715 re vient au-dessous du talon 713 qui tombe ainsi derrière cet épaulement. Lors du mouvement (le l'entraîneur, agissant sur le galet 714. ce- liti-ci viens en prise avec le bras 704 qui se trouve ainsi ramené avec le verrou 701 à la position de repos.
Pendant ce mouvement, le segment 710 et la glissière 712 sont. maintenus en position par des organes décrits plus loin, de sorte que le bras volant 705 pivote autour de son goujon 707. Le segment 710 reste ainsi en position jusqu'à la prochaine opération.
Une plaque de compensation 730 (fig. 11) est montée libre sur l'axe 702 à côté du bras 698 et présente une ouverture<B>731</B> dans la quelle pénètre le goujon 700 du verrou 701. Un ressort 732 est relié à la. plaque 730 et au bras 698 pour les maintenir dans la position représentée en fig. 11. Si, pendant. l'opération, le verrou 701 a tendance à s'écarter prématu rément de l'épaulement 715, par exemple par suite de force centrifuge, la plaque 730 agit par compensation et empêche ce mouvement.
Lorsque le bras 698 est arrêté, le goujon 700 situé dans la fente 699 fait basculer le verrou 701 dans le sens senestrorsiun, ainsi qu'on l'a vu plus haut, mouvement qui déplace le gou jon 700 dans la fente 731 de la plaque de compensation 730, laquelle oscille dans le sens dextrorsum contre l'action du ressort 732.
Le mécanisme différentiel pour la deuxième rangée de transactions est absolument identi que à celui que l'on vient de décrire. Ce mé canisme est représenté à la fig. 37 et les pièces portent les mêmes références. .
Impression <I>des symboles</I> (première rangée). On a prévu deux roues imprimantes 735 (fig. 8, 76A et 76B) pour l'impression des symboles sur le bordereau de contrôle et sur la. bande qui sort de la machine. Ces symboles indiquent le genre d'opération. La glissière 71'? commande la mise en position de ces roues imprimantes 735 qui sont montées sur les arbres 463. Les roues 735 sont donc: pré vues dans les sections d'impression du borde reau et de la bande sortante. Par contre, il n'y a pas de roues de symboles 735 dans la section imprimant la fiche.
La glissière 712 présente des dents 736 (fig. 8) engrenant avec -un segment 737 tournant sur L'arbre 498 (voir aussi fig. 77B). Le segment 737 est rendu solidaire, par un manchon 738, d'un segment 739 engrenant avec une couronne dentée 740 portée par un disque 741 tournant sur l'arbre 632. Un pi gnon 742, en prise avec la denture interne de la couronne 740, est monté sur un axe carré. 743 s'étendant sur la largeur de l'imprimerie. A l'intérieur d'une couronne dentée 744 et porté par l'arbre 743 se trouve un. autre pi gnon analogue à 742, mais en prise avec un pignon intermédiaire 745 supporté par l'arbre 524. Ce pignon 745 engrène avec une cou ronne dentée 746 portée par un disque<B>747</B> monté sur l'arbre 510.
La couronne 746 en grène avec la roue imprimante 735 (fig. 76B) dans la section d'impression prévue pour la bande sortante. La roue 735 se trouve adja cente à la roue qui imprime les unités de mon tants.
L'arbre carré 743 porte un autre pignon analogue an pignon 742, mais dans le plan d'une couronne 750 (fig. 77A), laquelle est montée sur un disque 748 porté par l'arbre 632. La couronne 750 engrène avec un pignon similaire au pignon 745 et qui, à son tour, engrène avec une couronne 749 (fig. 76A) en prise avec la roue imprimante 735 adjacente à la roue des unités, mais dans la. section im primant le bordereau de contrôle.
Le dispositif comprend également une série de disques de commande également re liés à l'arbre carré 743, donc commandés par la première rangée de transactions pour assurer l'embrayage et le débrayage des tota lisateurs et diverses autres fonctions décrites plus loin.
Impression <I>des</I> symboles (deuxième rangée). La glissière 712 (fig. 37) de la deuxième rangée commande la position des éléments imprimants 755 dans chacune des trois sec ; tuons de l'imprimerie (fig. 76A et 76B). Ces éléments imprimants servent à l'impression des symboles et se trouvent adjacents à la dé cimale la plus élevée du groupe des montants.
La glissière 712 présente une série de dents 756 en prise avec un pignon 757 (voir également fig. 77B) relié, par un manchon 759,à un segment. 758, lui-même engrenant. avec une couronne dentée 760 portée par un disque 761 monté sur l'arbre 632. La cou ; ronne 760 présente des dents internes en prise avec un pignon 762 porté par un arbre carré 763 qui, d'autre part, porte d'autres pi- gnons analogues dans le plan de trois cou ronnes prévues pour chaque section respecti vement.
Les couronnes 764 sort en prise avec un pignon intermédiaire 765 porté par l'arbre 524, et les pignons 765 sont eux-mêmes en prise avec des couronnes 766 qui commandent des roues imprimantes<B>755.</B> On voit que, grâce à la chaîne mécanique décrite, la posi tion des glissières 712 est transmise aux élé ments imprimants 755 qui impriment un symbole correspondant à. celle des touches 101 à 108 qui a été enfoncée.
Mécanisme <I>de</I> sélectiow <I>(les</I> totalisateies. Les groupes avant et arrière de totalisa teurs 351. et 371 (fig. 20) portent. plusieurs to talisateurs intercalés. Ces groupes sont décalés axialement sous la commande des touches 101 à 108 de la deuxième, rangée par l'intermé- diaire de la glissière 712.
L'extrémité de droite (fig. 37) de cette glissière présente une série de dents 767 en prise avec un segment 768 tournant sur l'arbre 302. Le segment 768 est relié, par un manchon 769, à, une roue dentée 770 (voir aussi fig. 12) en prise avec des pignons 771 fixés à des tambours-cames 388 prévus pour les groupes avant et arrière de totalisateurs. On a vu que ces tambours-ca.mes 388 sont montés rotatifs sur des arbres 389 et que chaque tambour est muni d'un chemin 772, dans lequel est engagé un galet 773 porté par l'étrier 387.
Lorsque la glissière de commande 71'2 est amenée à une position correspondant à celle des touches 101 à, 109 qui est enfoncée, le tambour 388 tourne d'un ari._#le proportionnel à. la. valeur de cette touche.
Le cbemiri de came 772 coopérant avec le galet<B>773</B> fait donc coulisser l'étrier 387 sur une paire d'ar bres 774 et 775 sur une distance qui corres- pond à la sélection convenable des totalisa teurs, c'est-à-dire pour amener les roues tota- lisatrices 350 et 370 dans le plan des crémail lères 304 et 305 respectivement.
(.tne fois que la glissière de commande 712 (fig. 37) a été amenée à la position convena ble, un dispositif d'a.li-nement 778, monté sur un arbre 776, vient en prise avec une partie dentée 777 é-alement solidaire du manchon 769, de fac,on crue le lambour-came 388 soit maintenu en position acquise pendant le temps (l'embraya#@e avec les crémaillères 304 et 30.1.
Le dispositif d'alignement 778 est actionné par une double came 779 (fig. 8) montée sur l'arbre 213. Cette came coopère avec des galets 782 portés par une pièce 780 dont un bras orienté vers le haut est fourehu pour être en prise avec un goujon 783 porté par une bielle 781 articulée à l'aligneur 778, d'une part, et à un bras 785, d'autre part, lequel bras est fixé sur un arbre 786 porté par le bâti.
Lire fois que la glissière 712 et les tam- bocrrs-c#ames :388 sont convenablement posi tionnés par les touches de la deuxième rangée (le transactions, la came 779 fait osciller la pièce 780 dans le sens dextrorsum (fig. 8), mouvement qui est communiqué par les pièces décrites au dispositif d'alig#rrernent 778.
A la fin de l'opération, la came 779 ramène l'ali- -rlreur 778 à sa position initiale, laissant ainsi la glissière 712 et les tambours-cames 388 libres de se déplacer pour l'opération sui- valrte.
Un autre dispositif d'alignement 800 (Fig. 37), sous forme d'un étrier fixé à. l'ar bre 786, est prévu pour fixer la position des couronnes dentées 74-l: et 761-. F zbr#aya.ge <I>(les</I> totalisateurs.
On a vu que les trois groupes de totalisa- tettrs peuvent osciller pour être embrayés avec les crémaillères 304, 305 et 306, pais en être débrayés, sous l'action des arbres 353, 373, 395 respectivement (fig. 35, 49 et :r0).
('es trois arbres oscillent dans les opérations d'addition et de toi-al et, dans ce dernier cas, les totalisateurs peuvent soit. être remis à zéro, soit rester en leur état (sous-total). Le mou- veillent d'oscillation est, obtenu sous la com- iuallde d'une série de disques de sélection à encoches,<U>réglés</U> par les première et deuxième rangées de transactions.
La mise en position (le ces disques détermine celui des groupes crue (toit être embrayé, ainsi que le genre d'opération (addition, sous-total ou total). La, commande proprement dite s'effectue par une série de tâteurs coopérant avec les disques à encoches afin de déterminer la connexion appropriée et obtenir les différents temps d'embrayage. Une plaque de commande est également prévue pour déterminer les temps d'embrayage des tâteurs pendant l'opération.
L'ensemble consiste en plusieurs disques à encoches 801, 802, 803, 804, 805, 806 (fig. 41) disposés juste à l'extérieur du flasque droit 180 (fig. 77B).
Les disques 801, 803, 804 et 806 (voir aussi fig. 38, 40, 42, 43, 45, 47 et 52) sont tous sous la commande de la première rangée de transactions au moment où la glissière 712 est elle-même positionnée par les touches 110 à 118. On a vu que lorsque la glissière 712 est déplacée, l'arbre carré 743 est mis en rotation par le segment 737 (fig. 8), par le segment 739 et la couronne 740. Chaque disque 801, 803, 804 et 806 présente lui-même une den ture interne en prise avec un pignon 787 porté par l'arbre carré 743, de sorte que ces disques peuvent. prendre une position corres pondant à celle de la glissière 712.
Le disque à encoches 802 (fig. 39, 41 et 77B) dépend de la deuxième rangée de trans actions lorsque la glissière 712 de cette der nière rangée est elle-même déplacée suivant les touches 101 à 109. Lors du déplacement de cette glissière, l'arbre carré 763 est mis en rotation par le pignon 757 (fig. 37), par le segment 758 et la couronne 760 qui fixe la position des roues imprimantes. Le disque 802 (fig. 39) présente une denture interne en prise avec un pignon 788 monté sur l'arbre carré 763, de sorte que le disque en question prend une position proportionnelle à celle de la glissière 712.
Le disque 805 (fig. 46) maintient normale ment tous les tâteurs écartés des disques jus qu'à ce qu'au temps voulu, la rotation de ce disque 805 libère les tâteurs.
Lorsqu'on désire produire l'embrayage d'un totalisateur avec les crémaillères 304., 305 ou 306 pour une addition, les arbres de sélection correspondants 353, 373 ou 398 sont accouplés avec un levier à. trois branches 81.0 (fig. 48 et. 53) monté fou sur l'arbre 302, ce levier étant actionné aux temps d'addition. Pour les opérations de total, les arbres 353, 373 ou 398 sont accouplés avec un autre le vier à. trois branches 811 (fig. 48 et 52) d'une forme différente du premier et qui est actionné aux temps voulus correspondant soit au sous-total, soit au total.
Les organes d'accouplement entre les le viers 810 et 811, d'une part, et l'arbre 353 pour le groupe avant des totalisateurs, com prennent un goujon 813 (fig. 48) porté par une bielle 814 articulée à un bras 815 fixé sur l'arbre 353. Ce goujon 813 reste normale ; ment dans une position intermédiaire, hors de portée des deux leviers<B>810</B> et 811. Lorsque la bielle 814 oscille dans le sens dextrorsum autour de son articulation avec le bras 815, le goujon 813 est amené dans une encoche 816 du levier d'addition 810, et -lorsque ce dernier oscille, l'arbre 353 et, par conséquent, le groupe avant de totalisateurs sont em brayés avec les crémaillères 304 aux temps correspondant au mouvement de la. glissière.
Si la bielle 814 oscille dans le sens senestror- sum, le goujon 813 est amené dans une en- eoche 817 du levier de total 811 et aux temps appropriés du cycle. L'embrayage de l'arbre 353 et. dü groupe avant se fait aux temps cor , respondant à une opération de totar ou de sous-total. Embrayage dit groupe avant <I>de</I> totalisateurs (addition).
On a indiqué plus haut que le groupe avant, portait des totalisateurs qui accumulent les Versements . Par conséquent, ce groupe est embrayé seulement si l'une des touches de Versement est enfoncée soit seule, soit en combinaison avec la touche de Liste ou la touche de Répétition situées dans la pre mière rangée.
Le levier à trois branches 810 pour l'addi tion (fig. 48 et 53) est basculé aux temps cor respondant à l'addition par une double came 820 (voir aussi fig. 13) fixée sur l'arbre prin cipal 229 et avec laquelle coopèrent des galets 821 portés par (in levier coudé 822 pivotant en 833 sur le flasque droit 180. Une bielle 824 relie ce levier 822 au levier à trois branches 810. Lorsque le goujon 813 correspondant au groupe avant s'en-age dans l'encoche 816, la double came 820 fait basculer le levier 822 d'abord dans le sens dextrorsum puis dans le sens contraire, entraînant ainsi le levier à trois branches 810.
Ce mouvement est trans mis à la bielle 814, au bras 815 et à l'arbre 353 qui oscille (fi-. 48) dans le sens senes- trorsum puis dans le sens contraire. Par l'in termédiaire du bras 356 et du chemin de came 354 (fig. 50), les roues totalisa,, rices 3:ï0 sont embrayées avec les crémaillères 30.1. Le temps de fonctionnement de la double came 820 est tel que le levier à trois branches 810 oscille une fois que la. crémaillère 304 a été mise en position par les touches.
Après l'embrayage, les crémaillères retournent. à. la position iior- niale et, pendant ce iïiottvenient, 1e montant composé sur le clavier est enregi#>t.ré- < lan s le totalisateur, après quoi la came 8'0 ramène le levier à. trois bra.rielies 810 à la position ini tiale, produisant ainsi le débrayage du totali sateur.
Le mouvement du goujon 813 dans l'en- eoche 816 (Addition) se fait sous la com mande des disques 803, 803 et 80-1 (fi-. 43, 44 et 45). En plus de son déplacement. clans l'encoche 816, le goujon 813 pénètre égale ment dans une ouverture 825 (fig. 44) pra tiquée clans art levier coudé 826 pivotant en <B>827.</B> C e levier porte un goujon 828 en prise avec deux cliquets 8\19 et 830 reliés par un ressort 831.
Ces deux eliquets entourent égale ment un téton 832 porté par un levier à trois branches 833 tournant sur l'arbre 302 et relié à un levier 834 (fig. 40) par une bielle 835. Le levier 834 est monté sur le goujon 323 mentionné plus haut- et présente une paire de galets<B>837</B> eool#érant avec une double came 836 fixée sur l'arbre principal 229.
La rotation de la came 836 produit, par l'intermédiaire (les pièces décrites, la position du goujon 832. Lorsque ce dernier est en po sition de repos, il commande la mise en posi tion des cliquets<B>829</B> et. 830 (fig. 44) pour maintenir le levier coudé<B>826</B> et, par consé- quent, le goujon 813, dans leur position nor male ou inactive, dans laquelle le goujon n'est en prise ni avec le levier 810, iii avec le levier 811.
Le temps de fonctionnement de la came 836 est tel que le levier à trois branches 833 oseille dans le sens dextrorsum au début de l'opération pour revenir à sa position initiale une fois que les crémaillères 304 ont été mises en position. Le levier 833 revient même au- delà de sa position de repos, puis, vers la fin (le l'opération, la came 836 agit à nouveau pour ramener le levier 833, dans le sens dex- trorsuin, à sa position normale.
Si, pendant l'oscillation du levier à trois branches 833 et du goujon 832, le levier 826 est libre de fonc tionner, le goujon 828 fait basculer le cliquet 8,30 dans le sens dextrorsum ainsi que le cli quet 829 grâce au ressort 831, pour amener le goujon 828 et le levier 826 à déplacer le ouujon 813 dans l'encoche 816 du levier d'ad dition<B>810.</B>
Ce sont les disques à encoches 802, 803 et 80-1 qui déterminent le mouvement d'engage ment du -oujoii 813 dans l'encoche 816, que le levier coudé 8'26 soit ou non libre de se dé placer. Le mécanisme qui commande le mou- veinent de ce levier 826 par les disques com- prend une bielle 8-10 (fi-. 44) dont. l'une des extrémités est. articulée au levier 826 et l'au tre à une paire de tâteurs 8-11, 842.
Ces tâ- teurs sont relié, de faeon à se déplacer en semble et pivotent en 8-13 (voir aussi fia. 19). L'extrémité libre du tâteur 841 présente un goujon 811 qui coopère avec la périphérie du disque 804 (tig. 45). Le tâteur 8-12 présente un goujon 845 coopérant avec la périphérie des disques 802 et 803 (fig. 43 et 44).
Si, pendant la rotation senestrorsum du levier à trois branches 833, lorsque le goujon 832 agit sur les cliquets 829 et 830, le levier coudé 826 est libre de se déplacer, alors le Ioujon 813 peut pénétrer dans l'encoche 816 du levier d'addition 810. Ceci se passe lors ; que des encoches des disques 802 et 803 se trouvent en face du goujon 845 (fig. 43). Comme représenté en fig. 44, des encoches 849 et 850 sont prévues sur le disque 802, et ces encoches se trouvent en face du goujon 845 lorsqu'on utilise les touches de Retrait 102 ou 106 de la deuxième rangée de transactions.
De même, lorsqu'on emploie la touche Liste 112, la touche Répétition 114 ou aucune touche dans la première rangée, on peut de voir désirer embrayer le totalisateur avant, de manière à enregistrer un montant dans le totalisateur du premier groupe. Si la. machine fonctionne avec l'utilisation de la touche de Liste , l'encoche 846 (fig. 43) est amenée sur le trajet du goujon 845. Si la machine fonctionne avec la touche de Répétition 114, c'est l'encoche 847 qui est amenée sur le trajet de ce goujon. Enfin, si aucune touche n'est utilisée dans la première rangée, c'est l'encoche 848 qui se trouve en face du goujon 845.
Lorsqu'une encoche 849 ou 850 est, en combinaison avec une encoche 846, 847 ou 848, amenée sur le trajet du goujon 845, lors que le levier à trois branches 833 oscille dans le sens senestrorsum, le goujon 828 est libre de se déplacer, puisque à ce moment le goujon 845 peut pénétrer dans les encoches. Par con séquent, le goujon 813 pénètre dans l'encoche 816 du levier à trois branches 810 (fig. 53) et, pendant l'opération, le groupe avant de totalisateurs est. embrayé, pour une addition, avec les crémaillères 305.
Si, d'autre part, on utilise l'une des tou ches 101, 103 à 105 ou 107 à 109 de la deuxième rangée de transactions, ou encore une touche 110, 111, 113 ou 115 à 118 de la première rangée, une partie pleine des dis ques se présente sur le trajet du goujon 845. Pendant une opération de ce genre, lorsque le levier à trois branches 833 oseille dans le sens senestrorsum, ainsi que le cliquet 830, le gou jon 828 se trouve être maintenu, car le levier 826, la bielle 840 et le tâteur 842 sont stoppés par le disque 803. Pour une telle opération, le goujon 813 ne peut pénétrer dans l'encoche 816 et le groupe avant de totalisateurs n'est pas embrayé.
Pour les opérations pendant lesquelles le disque 803 empêche l'embrayage, le cliquet 830 tend le ressort 831, et lorsque le goujon 832 retourne en position normale, ce ressort rappelle le cliquet 830 à sa position initiale.
Le goujon 813 est maintenu dans sa posi tion intermédiaire, entre les encoches 816 et 817 (fig. 48) grâce au levier coudé 826 (fig. 44) et, dans sa position latérale, il est maintenu par un épaulement 851 prévu sur le levier d'addition 810. De même, 1le bras 815 est retenu par un manchon 852 porté par le goujon 827.
i;nzbragage <I>dit groupe</I> avant <I>de</I> totalisateurs <I>.</I> (total <I>et</I> sous-total).
Le levier à trois branches 811, pour les opérations de total, est actionné dans les opé rations de remise à zéro, par une double came 855 (fig. 13 et 51) montée sur le manchon 233. Des galets 856 portés par un bras 857 co opèrent avec cette came, et le bras 857 pré sente une partie fourchue 858 en prise avec un galet. 859 porté par une bielle 860 décrite plus loin. Le galet 859 est porté par un gou jon 861 auquel est articulée une bielle 862 dont l'extrémité supérieure est reliée au- levier de total 811. Lorsque la came 855 tourne, le bras 857 oscille dans le sens senestrorsum pour soulever la. bielle 862 et faire osciller ainsi le levier 811 dans le même sens.
Si, à ce moment-là, le goujon 813 se trouve dans l'encoche 817 du levier 811, le groupe avant. de totalisateurs est embrayé avec les crémail lères 304, avant que celles-ci soient. actionnées pour remettre les roues totalisatrices à zéro. Une fois que ces roues sont à. zéro, le levier 811 est ramené dans le sens dextrorsum par la came 855, ce qui produit. le débrayage du totalisateur. Ensuite, les crémaillères 304 sont. ramenées à. leur position normale, de sorte qu'à la fin de l'opération, les roues totalisa trices restent. à zéro. Le galet. 859 est main tenu normalement dans l'encoche 858 du bras 857 par un train de bielles et leviers actionné par une came 863 (fig. 52). Cette came co opère avec un galet 864 porté par un levier 865 pivotant en 866.
Ce levier 865 est relié, par une bielle 868, à un autre levier 867, et un ressort 869 tend à maintenir le galet 864 en contact. avec le pourtour de la came 863. Le levier 867 est relié. à sa partie supérieure, à la bielle 860 mentionnée ci-dessus. Pendant le fonctionnement de ia machine, lorsque la came 863 tourne dans le sens de la flèche (fig. 52), le ressort 8(i9 agit sur le le-ier 86>,
déplaçant ainsi la bielle<B>868</B> vers la gauche pour amener un tuteur<B>873</B> en contact avec la périphérie du disque à encoches 806. Si ce tâteur 873 rencontre une partie pleine du dis que, le galet 859 reste engagé dans l'encoche 858 et le levier de totai 8l.1 petit osciller aux temps correspondant au total.
Le disque 806 est réglé sous le contrôle de la première rangée de touches et, par conséquent, lors qu'on utilise la touche 115, unie partie pleine du disque 806 vient se placer sur le trajet du tâteur 873, de sorte que le galet 859, restant dans l'encoche 858, peut produire l'oscillation, aux temps voulus, du levier total<B>811.</B> Le to talisateur de liasses approprié est donc em brayé pour une opération de total, c'est, à-dire de remise à zéro.
Pour les opérations de sous-total, le levier 811 est actionné par la double came 855 en combinaison avec une double came , 878 (fig.52). Le levier<B>811,</B> pour ce genre d'opé ration, est basculé dans le sens senestrorsum par la came 855 et dans le sens dextrorsum par la came 878. La commande de ces mou vements se fait. comme suit: Lorsqu'on en fonce la. touche 116 (Lecture Liasse), le diffé rentiel de la première rangée règle la posi tion du disque 806 afin de présenter une en coche sur le trajet du tâteur 873.
Une fois que le totalisateur est embrayé et qu'il a été remis à zéro, la came 863 libère le levier coudé 865, de sorte que le tâteur 873 peut pénétrer dans l'encoche du disque 806. Par ce rnouve- nient, le ressort 869 fait osciller le levier<B>867</B> dans le sens dextrorsuni, ce qui déplace la bielle 860 vers la droite pour écarter le galet 859 de l'encoche 858 pour pénétrer dans une encoche 874 pratiquée dans un bras 875 pivo tant sur le goujon 823. Le bras 875 est soli daire d'un bras 876 muni de galets 877 co opérant avec la double came 878.
La came 863 est solidaire d'une roue dentée 879 engrenant avec, le pignon 231 men- tiotiné plus haut. Les temps de mouvement des cames 855, 863 et 878 sont tels que le pre mier mouvement des cames 855 et 878 fait osciller les bras respectifs 857 et 875 dans le sens senestrorsum. Si, après ce mouvement, la came 863 libère le tâteur 873 qui peut venir en contact avec une partie pleine da disque 806, le galet. 859 reste dans l'encoche 858.
La came 855 fait basculer alors le bras 857 dans le sens dextrorsum dans sa position initiale,, en entraînant la bielle 862 pour débrayer le totalisateur aux temps de remise à. zéro. Ltant donné que le bras 857 est déplacé avant le bras 875, on a dît prévoir pour ce dernier un certain jeu pour le galet 859.
Si, pendant. l'opération de la machine, le tâteur 873 pénètre dans une encoche du dis- due 806, une fois que les bras<B>857</B> et 875 ont été déplacés dans le sens senestrorsum, le ga let 859 est amené dans l'encoche 874 du bras 875. Ensuite, le bras 857 est rappelé à sa po sition inférieure et, comme le galet 859 a été écarté de l'encoche 858, la bielle 862 reste dans sa. position supérieure.
Un peu plus tard, au cours du cycle, lorsque le bras 875 est rappelé à sa position de repos, l'encoche 874 entraîne la. bielle 862 vers le bas pour dépla cer le levier total 811 et, par conséquent, pro- (luire le débrayage du totalisateur une fois que le montant extrait a été réadditionné.
On voit d'après ce qui précède que les bras 857 et. 875 sont déplacés simultanément dans le sens senestrorsum et que, pendant ce temps, le bras 857 produit. l'embrayage du totalisa teur. Si, une fois que les bras sont ainsi dé placés, le tâteur 873 se meut de façon que le galet 859 soit écarté de l'encoche 858 pour être amené dans l'encoche 874, le bras 857 est rappelé à vide et c'est le bras 875 qui ramène le levier 811 aux temps correspondants au sotis-total. A la fin de chaque opération, la came 863 rappelle le levier coudé 865 et le tâteur 873 à leur position de repos représenté en fig. 52.
A ce temps-là, le galet 859 est ramené dans l'encoche 858 et ce à. la fin de chaque opéra tion. F,ni,bî@ti-yage <I>des</I> totalisateurs <I>du</I> groupe <I>arrière.</I>
L'embrayage du totalisateur sélectionné du groupe arrière avec les crémaillères 305 (fig. 35) s'effectue sous la commande de qua tre disques à encoches 801 à 804 (fig. 3.8 à 42). Comme on l'a vu, les disques 801, 803 et 804 sont commandés par la première rangée de transactions et le disque 802 par la deuxième, par l'intermédiaire des arbres carrés 743 et 763.
L'arbre 373 portant le groupe arrière (fig. 19) est relié à un bras 881 (voir aussi fig. 48) articulé à une bielle 882 qui peut osciller soit dans le sens dextror- sum pour amener un goujon 883 en prise avec le levier d'addition 810, soit dans le sens senestrorsum pour amener ce goujon en prise avec le levier total 811, exactement comme pour le cas du groupe avant. Cette oscilla tion de la bielle 882 est commandée par des tâteurs qui coopèrent avec les disques 801 à 804. Le goujon 883 (fig. 40) est engagé dans une ouverture prévue dans un bras 884 pivo tant en 885 sur le bâti.
Le pivot 885 porte également deux cliquets élastiques 886 et<B>887</B> reliés par un ressort 888. Le bras 884 porte un goujon 8891 serré entre les deux cliquets 886 et 887. Le levier à trois branches 833 porte un goujon 890 qui est en contact égale ment., par des arêtes opposées, avec les cli- quets élastiques 886 et<B>887.</B>
Quand le levier à trois branches 833 oscille dans le sens dextrorsum, comme expli qué plus haut, le goujon 890 fait basculer le cliquet 886 dans le sens contraire contre l'action du ressort 888. Si, à ce moment-là, le bras 884 et le goujon 8891 sont libres de se déplacer à gauche, le goujon 883 vient s'enga ger dans une encoche 880 du levier de total 811, ce mouvement étant commandé par le disque 804 (fig. 42). En effet, le bras 884 est articulé à une bielle 891 dont l'extrémité inférieure est reliée à un bras tâteur 898 por tant un goujon 889 pouvant coopérer avec la périphérie du disque 80#r.
Lorsque le levier à trois branches 833 tourne dans le sens dextrorsum pour tendre le ressort 888 et tirer ainsi le cliquet 887 contre le goujon 8891, le bras 884 tend à bas culer dans le sens senestrorsum et. à déplacer la bielle 891 vers la droite, ce qui a pour effet. d'amener le goujon 889 Pu contact. avec la périphérie du disque 804 (fig. 42).
Si le goujon rencontre une partie pleine du disque, le mouvement de la bielle 891 est arrêté et le bras 884 ne peut osciller dans le sens senes- trorsum pour amener le goujon 883 dans L'en coche 880 du levier 811. Si, par contre, le goujon 889 pénètre dans une encoche du dis que de sélection 804, le ressort 888 agissant sur le cliquet 887 fait osciller le bras 884 dans le sens senestrorsum pour amener le gou jon 883 clans l'encoche 880. Le disque 804 est conçu de façon telle que seules les touches Total 117 et Sous-total 118 correspondent.
à des encoches du disque 804. Toutefois, ce disque présente également ime encoche pour la position (lui correspond à aucune touche enfoncée clans la première rangée.
L'extrémité inférieure de la bielle 891 (fig. 40) est également articulée à un levier 892 supportant un cliquet muni d'un doigt 894 susceptible de coopérer avec le pourtour du disque de sélection 803 (fig. 38) et d'un autre doigt 895 coopérant avec le disque 802 (fig. 39). Ces doigts 894 et 895 forment une sorte de cliquet 893 grâce à un goujon 853 auquel est accroché un ressort 897 fixé, d'au tre part, au levier 892. Le ressort 897 main tient normalement le cliquet 893 dans sa po sition centrale. Un troisième doigt 896 formé sur le levier 892 coopère avec le disque de sélection 801.
Lorsque le levier à, trois branches 833 oscille dans le sens senestrorsum au-delà. de sa position normale, le goujon 890 fait tour ner le cliquet 887 dans le sens dextrorsum, entraînant le cliquet 886 dans le même sens. Si le bras 884 est libre de se déplacer sons l'action du ressort 888, dans le cas où nue ou des encoches se trouvent en face des doigts 894, 895 et 896, le bras 884 déplace alors, par l'intermédiaire de la bielle 882, le goujon 883 qui pénètre dans une encoche 904 (fig. 48 et 53) du levier d'addition 810.
Si le doigt 896 ou les deux doigts 894 et 895 rencontrent une partie pleine du disque respectif 501, 802 ou 803, la bielle 891 est arrêtée et le goujon 883 ne peut venir en prise avec le levier d'addi tion 810.
On a indiqué plus haut que le disque de sélection 801 est commandé par la première rangée de transactions et que le doigt 896 co opère avec ce disque. Comme représenté à la fig. 40, ce disque présente des encoches en face du doigt 896 lorsque la machine fonc tionne avec la touche Liste ou la touche Répétition on lorsque aucune touche n'est enfoncée.
Le disque de sélection 80:; est commandé par la première rangée et présente des enco ches au doigt 89.1 lorsque la touche Liste est enfoncée ou lorsque aucune touche n'est utilisée dans cette rangée.
Le disque de sélection 802 est commandé par la deuxième rangée de transactions et. pré sente une ou des encoches au doigt 895 lors qu'on utilise la touche 101 Divers B , la touche 102 Retrait B , la touche 1.03 Ver sement B , la touche 105 Divers A , la tou che 106 Retrait. A ou la touche 107 Verse ment A .
On indiquera dans ce qui suit un exemple montrant comment. se fait l'engagement du goujon 883 dans l'encoche 904 du levier d'ad dition 810, lorsque le levier 884 peut libre ment osciller; lorsque la touche de Liste est. utilisée, une encoche du disque 801 est amenée en face du tâteur 896 du levier 892 et une en coche du disque 803 en face du doigt tâteur 894. Pour ce genre d'opération, l'une quelcon que des touches 101 à 103, 105 à 107 de la deuxième rangée peut être utilisée, par exem ple la touche 106 Retrait A . L'utilisation de cette touche a pour effet. d'amener une enco che du disque 802 sur le trajet du doigt. tâ- teur 895.
Ensuite, pendant l'opération, alois que le levier à trois branches 833 oseille dans le sens senestrorsum, le cliquet<B>887</B> tend le ressort 888 et fait basculer le bras 88-1 clans le sens dextrorsum pour abaisser la bielle 891 et engager le doigts 895, 894 et 896 dans leurs encoches respectives, de sorte que le goujon 883 petit pénétrer dan.> l'encoche 904 du levier (l'addition 810. Par conséquent, pour cette opération, le groupe arrière de totalisateurs est embrayé pour une addition.
La sélection clic totalisateur dépend de la touche utilisée, par exemple la touche Retrait A .
Le groupe arrière est embrayé, polir les opérations de total ou de sous-total, de la niênie manière que polir le groupe avant. Le mécanisme correspondant est représenté aux fi,. 51 et ;52 et est commandé par le disque de sélection 806 coopérant avec le tâteur 873. Le temps d'opération des tâteurs 81-2, 841 et 898 est déterminé par le disque de sélection SO5 (fig. 46 et 77B). Une bielle 900 relie le disque de sélection 805 à un levier 901 pré sentant une rampe 902.
Un ressort 903 main tient la partie inférieure du levier 901 en contact. avec un téton 908 porté par le bati, et ce ressort tend normalement à faire tourner le disque 805 dans le sens dextror8nni. Un téton 906 porté par une des cames 723 prévue pour le différentiel de la première rangée de transactions a pour objet d'actionner le levier 901, et ce téton 906 est disposé sur la came 723 de faeon qu'une fois que les disques 801 à 804 ont été positionnés,
le téton 906 vient en contact avec la rampe 902 et fasse basculer le levier 901 dans le sens senestrorsum et, par conséquent, le disque 805 dans le même sens, libérant, ainsi les bras 841 et 898 à. l'ac tion de leur ressort.
Jlécanisrri.e d'embrayage <I>des</I> totalisateurs (groupe supérieu.r).
Le mécanisme d'embrayage pour le groupe supérieur, pour les opérations d'addition et de total, est représenté à la fig. 47. Le levier à trois branches 833 porte un ergot 911 qui commande le mouvement d'un autre ergot 912 qui, on l'a. vu, peut venir en prise soit avec le levier d'addition 810, soit avec le le vier total 811. Le goujon 911 est entouré par deux pièces 9=t3 et 914 reliées élastiquenient par un ressort 915. Un bras 916 pivotant en S)17 est muni d'un goujon 918 également inséré entre les pièces 913 et 914.
Le goujon 912 est. porté par une bielle 919 (voir égale ment fi@g. 48) pivotant. sur un bras 920 fixé .sur l'arbre 398. Ce bras 920 oscille à des temps correspondant à l'addition ou à, la re mise à zéro, suivant que le goujon 912 est en prise avec une encoche 923 du levier d'addi tion 810 ou avec une encoche 924 chi levier total 811.
La rotation du levier 833 entraîne celle de, la pièce 913 dans le sens senestrorsum et le ressort 915 tend à entraîner la pièce 914. Mais celle-ci ne peut suivre que si le bras 916 por tant le goujon 918 est libre de se mouvoir dans le sens senestrorsum, mouvement qui est commandé par lin doigt 925 restant normale ment sur le trajet d'un goujon 9201 porté par un tâteur 921 (fig. 47). Totalisateur <I>de solde</I> (total <I>et</I> soics-total). Le groupe supérieur est, pour les opéra tions de total et sous-total, commandé par la touche 110 ou la touche 111.
Pour produire l'embrayage du groupe supérieur avec le le vier total 811, il faut que le tâteur 921 (fig. 47) puisse osciller dans le sens senes- trorsum, mais ce mouvement est normalement empêché par le doigt 925 qui se trouve sur le trajet du goujon 9201. Le doigt. 925 est gou pillé sur un arbre 926 portant, d'autre part, un levier coudé 927 se trouvant sur le trajet des goujons 579 portés par les touches 110 et 111. Le levier 927 présente un doigt 929 en contact, sous l'action d'un ressort 928, avec une bague 930, ce qui détermine la position exacte du doigt 925 contre le goujon 9201.
Quand on enfonce l'une des touches 110 ou 111, le levier coudé 927 oscille dans le sens dextrorsum contre l'action du ressort 928 et le doigt se trouve écarté du goujon 9201. En suite, pendant l'opération de la machine, au moment où le levier 833 oscille, une bielle 922 articulée entre le bras 916 et le tâteur 921 en traîne ce dernier dans le sens senestrorsum. Par conséquent, le bras 916 oseille dans le même sens polir amener le goujon 912 dans l'encoche 924 du levier total 811.
L'enfoncement de la touche de Solde 1.1.0 commande également la mise en position du disque à encoches 806 et ce par l'intermé diaire du différentiel de la première rangée de transactions. Pour cette position, c'est une partie pleine du disque 806 qui se trouve sur le trajet du doigt 873 (fig. 52) commandant ainsi la position du galet 859 pour les opéra tions de total, comme expliqué plus haut. L'enfoncement de la touche Sous-total 111 positionne le disque 806 de façon qu'une en coche se présente sur le trajet du doigt 873 et que le galet 859 soit en position correspon dant à une opération de sous-total.
Par contre, l'utilisation des touches 110 et 111 amène une partie pleine du disque 806 en face du goujon 9201 (fig. 47), de sorte que, pour les opérations de solde et sous-total solde, le bras 921 est retenu et le goujon 912 ne peut pas pénétrer dans L'encoche du levier d'addition 810. Totalisateur <I>balance (addition).</I> Lorsque le levier à trois branches 833 (fig. 47) oscille dans le sens senestrorsum au-delà de sa. position de report, le ressort 91.5 tend à déplacer le bras 916 dans le sens dextr orsum, ce mouvement étant commandé par le disque 806.
Quand le levier 833 oseille, une encoche du disque 806 se trouve en face du goujon 9201 et la bielle 922 fait osciller le bras 916 pour amener le goujon 912 en prise avec l'encoche 923 du levier d'addition 810.
Le disque 806 présente des encoches pour les positions d'embrayage en addition du tota lisateur supérieur, lorsque la touche Liste 112 ou la touche Addition 113 est enfoncée. Par conséquent, lorsque l'une de ces deux tou ches est utilisée, le fait qu'une encoche se trouve en face du goujon 9201 fait que le groupe supérieur est embrayé pour tune addi tion.
Mécanisme <I>de</I> déclenchement <I>et</I> commande <I>des cycles.</I>
Lorsque la machine est déclenchée, un cy cle est effectué ou, pour certains cas, deux cycles successifs, suivant le genre de touche qui est utilisé dans les rangées de trans actions. Pour une addition, la machine ne fait qu'un cycle ainsi que pour un total extrait du groupe supérieur, cette dernière opération étant déclenchée par la touche 110 ou la tou che 111. Pour un total extrait des deux autres groupes de totalisateurs, la, machine effectue deux cycles successifs, opération qui est dé clenchée par l'emploi des touches R. à zéro Liasse 115, Lecture liasse 116, Total 117 ou Sous-total 118.
Pendant le premier de ces deux cycles, l'arbre principal 229 (fig. 13) est arrêté quelque peu avant qu'il commence sa rotation, et les cames 723 et 779, en com binaison avec une came 936 de commande des cycles, effectuent deux révolutions complètes. Dans ce qui suit, on appelle cycle une révo lution entière des cames 723, 779 et 936.
Pendant la première rotation des cames 723, le totalisateur sélectionné est amené dans la position voulue pour que le total en soit extrait, tandis que pendant la deuxième rota tion l'arbre 229 est entraîné pour compléter sa rotation. Le mécanisme de commande des cycles est prévu pour simplifier les opéra tions de total lorsqu'un seul cycle suffit, par exemple pour extraire un total du groupe fixe, de sorte que les opérations à deux cycles ne sont nécessaires que dans les cas où il est nécessaire de sélectionner un totalisateur avant l'extraction du total.
Mécanisme <I>de</I> déclenchement. Comme on l'a décrit plus haut, l'emploi d'une touche motrice 101 à 108 de la deuxième rangée de transactions ou d'une touche 110, 111 ou 113 (fig. 17 et 57) a pour effet de dé placer les détentes 665 et 601 respectivement, pour faire osciller l'arbre 605 et le bras 606 et libérer le bras 608 et l'arbre 264 qui dé clenche l'opération de la machine (fig. 68). Sur l'arbre 264 est goupillé un bras 937 relié, par une bielle 939, à une plaquette 938 pivo tant en 940.
Un ressort. 941 tend à faire oscil ler normalement la plaquette 938 dans le sens dextrorsum, c'est-à-dire le bras 937 et l'arbre de déclenchement 264 dans le sens contraire. Cette rotation de l'arbre 264 est normalement arrêtée par un téton 607 en prise avec un épaulement du bras 606. Lorsqu'on enfonce une touche motrice, comme on 1'a vu plus haut, déplaçant ainsi le bras 606 pour écar ter l'épaulement du téton 607, le ressort 941 agit par les pièces décrites et la plaquette 938 vient en contact. avec un goujon fixe 933.
Cette oscillation de la plaquette 938 a pour effet d'écarter une arête 94-1 d'un téton carré 945 porté par un levier coudé 946 fixé sur l'ar bre 947. Un ressort 948 tend à faire tourner le levier 946 dans le sens senestrorsuni, ce qui maintient. normalement le carré 945 en con tact avec l'arête 9-14. Mais, lorsque la pla quette 938 oseille, c'est une encoche 949 qui vient. se placer en face du carré 9-15, permet tant. ainsi an ressort 948 de faire basculer le levier coudé 946 et, par conséquent, l'arbre 947 (voir également fig. 67).
Ce dernier mou vement est transmis à un bras 950 se termi nant par un accroche-ressort 95\? pour un ressort. 951 fixé, d'autre part, à un goujon 953 d'un levier 954 agissant sur un interrupteur électrique. Le ressort 951 maintient normale ment une arête 955 du levier 954 en contact avec le goujon 952 et, lorsque le bras 950 oseille dans le sens senestrorsum, il entraîne le levier d'interrupteur 954 dans le sens con traire. Une biellette 956 relie le levier 954- à un levier coudé 957 pivotant en 935 et se ter niinant par un bloc isolant. 958 qui maintient une lame de contact. 959 en position ouverte.
Cette laine pivote en 934 et, lorsque le levier d'interrupteur 954 oscille dans le sens dex- tror:sum, la. bielle 956 et le levier 957 amènent la laine 959 contre une autre lame 961 pour fermer le circuit du moteur électrique 216. Le levier coudé 946 (fig. 68) est fourchu à son extrémité et reçoit un ergot. 962 porté par un bras 963 monté fou sur l'arbre 940. Lorsque la plaquette 938 oscille après l'enfoncement.
d'une touche motrice, pour amener l'encoche S1-19 sur le trajet du goujon carré 945, le res sort 9.18 entraîne le bras 963 de façon qu'une rampe 964 soit sur le trajet d'un galet 965 disposé entre un disque 966 et une eanie 975 (fig. 69) goupillée sur l'arbre principal '?29. 1)e même, une arête 967 de la plaquette 938 vient sur le trajet du galet 965.
A peu près au milieu de la révolution de l'arbre principal (voir diagramme des temps de fig. 126), le galet 965 -,,-fient en contact. avec la rampe 964 et fait basculer le bras 963 dans le sens senestrorsum, tandis que le levier coudé 946 pivote dans le sens contraire pour écarter le carré 945 de l'encoche 949. L'arbre 947 tourne également en entraînant le bras 950 qui tend le ressort 951. A ce moment, le levier d'interrupteur 954 ne peut pas suivre le mouvement, car un galet 968 (fig. 67) est en contact avec la périphérie d'une came 969 fixée sur l'arbre à cames 229.
Le disque 966 continuant à tourner, le galet 965 vient tou cher l'arête 967 de la plaquette 938 qui bas cule dans le sens senestrorsum à sa position initiale, mouvement qui est transmis par la bielle 939 au bras 937 et enfin à l'arbre de déclenchement 264 qui est amené au-delà de sa position normale, pour laquelle le bras 606 est à nouveau amené sur le trajet du carré 607. Les ressorts 602 et 667 font tourner l'arbre 605 et le bras 606 de faon que ce dernier s'engage avec le carré 607 lorsque ce dernier est déplacé au-delà, des épaulements du bras 606.
Lorsque le bras 950 pivote dans le sens senestrorsum lors de l'utilisation d'une touche motrice et que le levier d'interrupteur 954 ferme le contact 959-961, le galet. 968 est. soulevé hors de la came 969. Vers la fin de l'opération, une partie de grand diamètre de cette came vient effleurer le galet 968. A ce moment-là, le levier d'interrupteur 954 est sous la tension du ressort. 951, de sorte que lorsque le contour de la came 969 s'écarte du galet 968, le ressort 951 agit brusquement sur le levier 954, lequel ouvre les lames de cou tact et interrompt le circuit du moteur 216.
La machine s'arrête alors en position ini tiale fixée par un épaulement<B>9701</B> (fig. 14) porté par le cliquet 223 qui vient, s'insérer entre un goujon. 9711 du pignon d'entraîne ment 224 et un bras d'arrêt 972 fixé sur l'arbre 947. Lorsque celui-ci oseille dans le sens senestrorsum, lorsqu'une touche motrice est enfoncée, le bras d'arrêt 972 est écarté de l'épaulement 9701 et un ressort 973 fait bas culer le cliquet 223 dans le sens senestrorsum pour l'engager avec l'embrayage 222, lequel entraîne l'arbre principal 229.
Lorsque le bras 950 (fig. 67) est ramené à sa position de re pos par le galet 965, le bras d'arrêt 972 est lui-même ramené sur le trajet de l'épaulement 9701, ce qui écarte le cliquet 223 de l'em brayage 222 et arrête le mouvement de l'arbre 229 à sa position normale de repos. Jlécanisnae <I>de</I> non-répétition.
Pour empêciïer qu'une seconde opération s'effectue si l'opérateur laisse sa main sur une touche motrice, on a prévu un dispositif qui empêche précisément une telle deuxième opération. Lorsque le bras 606 (fig. 6S) oscille pour libérer l'arbre 264, un cliquet de non-répétition 971 vient normalement en prise avec la partie inférieure du carré 607. Ce cliquet est normalement tenu en prise avec un goujon 97q porté par le bras 606, sous i l'action d'un ressort 970.
Si l'opérateur main tient une touche dans sa position enfoncée jusqu'à la fin de l'opération, les pièces que l'on vient de décrire maintiennent le bras 606 dans sa position déplacée et lorsque l'ar- s bre de déclenchement revient au-delà de la position de repos, le bras 606 ne vient pas en contact avec le carré 607. Il s'ensuit que l'ar bre 261 peut à nouveau être déclenché, mais grâce au cliquet de non-répétition 971 qui 3 vient, sous l'action du ressort 970; se placer derrière le carré 607, une nouvelle opération est ainsi empêchée.
Lorsque l'opérateur relâ che la touche qu'il tient abaissée, le bras<B>606</B> est rappelé, par les ressorts 602 et 667, à la.
5 position de fig. 68 et, pendant ce déplacement, le goujon 971 ramène le cliquet 971 à sa. po sition normale, hors du trajet du carré 607. Opérations <I>à. un</I> cycle <I>(addition.).</I> Comme on l'a vu plus haut, l'embrayage 228 (fig. 11 et 22), la came 936 (fig. 15), les deux cames d'entraînement différentiel 723 et l'engrenage 226 sont tous montés sur un man chon 227 formant ainsi un ensemble qui peut tourner sur l'arbre 229 indépendamment de celui-ci.
Cet ensemble de cames et d'engre nages est relié à l'arbre principal 229 par un embrayage qui est le suivant: l'arbre 229 porte un disque 981 (fig. 15 et 22) sur lequel pivote un cliquet 982 maintenu normalement en position active, c'est-à-dire en prise avec la pièce 228, par un ressort 983. Ce ressort relie le cliquet 982 à un cliquet de retenue 981 également en prise normalement avec la pièce d'embrayage 228. Lorsque le moteur entraîne l'embrayage 228 dans le sens de la flèche et que le cliquet 982 est en prise avec la pièce 228, celle-ci fait tourner le disque 981 ainsi que l'arbre principal. 229.
Pendant une opé ration d'addition à un cycle, le cliquet d'em brayage 982 reste en prise avec la pièce 228 pendant la. révolution entière, de sorte que l'ensemble de cames (comprenant la came 936 et les doubles cames 723) tourne avec l'arbre 229. A la fin de l'opération, lorsque l'épaulement 9701 (fig. 11) du cliquet 22.\3 vient toucher le bras de butée<B>972,</B> on a v u que la machine s'arrêtait.
Pendant ce genre d'opération à un cycle, les différentiels de montants sont actionnés et le mécanisme d'em brayage des totalisateurs est commandé pour que ces totalisateurs embrayent avec les en traîneurs aux temps correspondant à l'addi tion, temps commandés par les touches de transactions.
Opérations <I>à,</I> un. cycle <I>(total).</I> Lorsque la machine est déclenchée par une opération par la touche Solde <B>110</B> ou par la touche Sous-total <B>111,</B> le cliquet d'eni- brayage 982 reste en prise avec la pièce 228 et, pendant ce genre d'opération, l'ensemble de cames tourne avec l'arbre principal 229.
Les touches 110 et 111 commandent. l'em brayage et le débrayage du totalisateur avant, comme décrit, ci-dessus, polir une opération de total ou de sous-total respectivement. Opérations <I>à</I> éleu,x <I>cycles</I> (total.). Comme on l'a expliqué plus haut, les groupes avant et arrière de totalisateurs sont.
multiples et il est nécessaire d'effectuer une opération préliminaire pour laisser le temps de déplacer le totalisateur sélectionné et l'ali gner avec les entraîneurs différentiels, avant d'extraire le total proprement dit. Toutefois, il n'est pas nécessaire d'actionner ces entraî neurs pendant le premier cycle d'une opéra tion à deux cycles et, pour éviter cette fonc tion, ].'arbre à cames principal. 229 est dé brayé de l'ensemble comprenant la came 936 et. les deux paires de cames 723. Cet ensemble l'o ictionne pendant. le premier cycle indépen- daniment de l'arbre 229.
Le débrayage de l'arbre pendant le premier cycle est effectué au moyen du cliquet 982 (fig. 15) que l'on (lé#)-age de l'embrayage 228 (fig. 14), au début de l'opération, sous la commande de la touche 11-1 (R. à zéro liasse) ou de la touche 116 (Lecture liasse), de la touche 117 (Total) ou enfin de la touche 118 (Sous-total), (fig. 2 et 15).
Quand on enfonce l'une de ces touches 115 à 11.8, la. glissière 634 (fig. 15) est déplacée par le goujon 597 qui vient agir sur une rampe 991 de la glissière qui, par ailleurs, présente un goujon 992 en prise avec un bras 993 pivotant sur l'arbre 605. Le bras 993 est muni d'un doigt 994 dont l'extrémité libre est en contact avec un goujon 995 porté par un < -urseur 996 guidé verticalement. Un ressort 998 tend à maintenir le curseur 996 dans la position de fig. 15, c'est-à-dire vers le haut. lie curseur <B>996</B> présente une équerre 999 et un doigt 1000.
Un bras 1001 monté fou sur un goujon 1002 peut coopérer, par sa partie supérieure, avec l'équerre 999 au moment où la machine est déclenchée. Quant au doigt 1000, il sert de guidage latéral pour le bras 1001. Celui-ci est relié à un levier 1003 avec lequel il pivote solidairement. Un ressort 1004 est tendu entre un goujon 1005 du bras 1003 et un goujon 1006 d'un cliquet 1007 monté sur l'arbre 91-7, et ce ressort maintient normalement le goujon 1006 en contact avec un. talon 1008 d'une butée 1009 fixée sur l'arbre 947.
Le bras 1003 présente une équerre 101.0, normalement en contact, avec l'extrémité libre de la butée 1009, sous L'action du res sort 1004.
Quand on enfonce L'une des touches 115 à. <B>118,</B> le déplacement de la glissière 634 abaisse le curseur 996 pour écarter l'équerre 999 du trajet du bras<B>1001</B> et l'amener en face d'une encoche du bras 1001 qui peut ainsi se dé placer librement. Si, ensuite, l'opérateur en fonce une touche motrice, l'arbre 947 oscille dans le sens seiiestrorsuin et la butée 1009 est écartée du trajet de l'équerre 1010, de sorte que le ressort 1004 entraîne l'ensemble constitué par les bras 1001 et 1003 dans le sens senestrorsum. Le mouvement du bras 1001 est cependant arrêté par un bec 1011 qui vient buter contre un goujon fixe 1012.
Une arête 1013 du bras 1001 se trouve alors être sur le trajet d'un bossage 1014 du cliquet d'embrayage 982. Au début de l'opération, lorsque l'arête 1013 est sur le trajet du bos sage 1014, celui-ci vient en contact avec cette arête un peu après le début du cycle. Le dis que 981 portant le cliquet 982 continue à tourner, de sorte que le cliquet est basculé dans le sens senestrorsiun pour dégager l'em brayage 228. Celui-ci et les cames 723 d'ac- tionnement des différentiels continuent à tourner, tandis que le disque 981 et l'arbre principal 229 restent stationnaires.
La rota tion partielle de l'arbre 229 n'est pas suffi sante pour commencer l'entraînement des mécanismes différentiels. La came 723 con tinue à tourner et entraîne le différentiel de la deuxième rangée de transactions et, par conséquent, le tambour 388 qui vient sélec tionner le totalisateur approprié pour l'ali gner avec les entraîneurs. Une fois que le cli- quet d'embrayage 982 a été dégagé de l'em brayage<B>228,</B> il glisse sur la périphérie de l'embrayage. Pendant le premier cycle opéra toire, la came 936 tournant en même temps que les cames 723 vient en contact avec un galet 1015 porté par le bras 1003 qu'il fait pivoter en même temps que le bras 1001, de manière à ramener ces deux bras dans leur position initiale.
Lorsque la butée 1009 oseille dans le sens senestrorsum pour dégager le bras 1003, l'équerre 1010 se déplace entre la butée 1009 et le cliquet 1007 et, quand le bras 1003 est rappelé à sa position de repos par la came 936, la butée 1009 reste dans sa position dé placée et., par conséquent, lorsque l'équerre 1010 arrive eitre la butée 1009 et le cliquet 1007, le ressort 1004 tire ce cliquet contre l'équerre<B>1010</B> pour maintenir l'ensemble des deux bras<B>1001</B> et. 1003 dans une position légèrement écartée (le la position de repos, pour laquelle l'arête 11113 est hors du trajet.
du bossage 1014 que comporte le cliquet<B>982.</B> Pendant le deuxième c<B>y</B>cle opératoire, lorsque L'épaulement de l@embrayage 2'28 passe au- dessous du cliquet 982, le ressort 983 fait. basculer le cliquet 982 qui s'embraye, de sorte que, pendant. le deuxième cycle d'une opéra tion à deux cycles, l'arbre 229 tourne avec l'ensemble des cames. Vers la fin du deaxièmë cycle, l'arbre. 947 est rappelé à sa. position de repos, ce qui ramène la butée 1009 sur le trajet de l'équerre 1010.
Le doigt 1008 vient alors toucher le goujon 1006, ce qui écarte le cliquet 1007 de l'équerre 1010. 11u moment du rappel des touches 115 à<B>118,</B> le ressort 988 tire le curseur 996 vers le haut pour rap peler les pièces à leur position initiale. On voit d'après ce qui précède que le mécanisme de commande des cycles a pour effet de con trôler le fonctionnement de l'arbre princi pal 229 qui, ainsi, ne fonctionne que pour certaines opérations de total. Dans les opéra tions de total qui ne requièrent aucune sélec tion préalable, le total s'effectue en un seul cycle.
Le galet 965 (fig. 68 et 69) est disposé entre le disque 966 et la came 975 et, comme l'arbre 229 ne tourne pas pendant le premier cycle, l'arbre 9-17 oseille pour rappeler l'arbre de rappel 264 et arrêter la machine seulement vers la fin du second cycle.
Le disque 966 présente deux crans 1016 et 1017 (fig. 68) et, lorsque le cran 1016 est en position de repos, il est en prise avec un cliquet 1018 pivotant en 1019. Lorsque l'arbre 229 commence son mouvement, ait cours du premier cycle d'une opération à deux cycles, le cliquet <B>1018</B> tombe dans le cran 1017 qui est éloigné du cran 1016 d'un angle corres pondant à. la rotation nécessaire de l'arbre 229 pour dégager le cliquet 982 de l'em- brayage 228.
Un ressort 1020 agit, sur le cli quet<B>1018</B> et le maintient en contact perma- nerit avec le disque 966 qui se trouve ainsi cranté pour chacune de ses deux positions.
<I>Rappel (les touches.</I>
La touche 119 (f ig. 1, 2 et 7.9) est prévue pour rappeler L'une quelconque des touches enfoncées (sauf bien entendu les touches ino- t.rices) au cas où une touche a été enfoncée par erreur avant l'opération. La tige 1023 de la touche 119 présente un clip 1025 en prise avec un goujon 1026 porté par un levier coudé 1.027 pivotant. en 1028 sur le bâti. L'extrémité inférieure de la tige 1023 est con venablement guidée sur un téton 1024. Le montage que l'on vient. de décrire permet de retirer la touche 119 sans déranger quoi que ce soit au mécanisme.
Le levier coudé 1027 est relié. par un moyeu 1029, à un bras 1030 articulé à une bielle 1031 munie à sa partie supérieure dune fente pour son guidage sur un goujon 1032. Celui-ci est porté par un bras 1033 fixé sur l'arbre de rappel '61.
Un ressort 1031 tend à tirer la bielle 1031 vers la droite (fig. 19) pour maintenir un doigt<B>1035</B> du levier coudé 1027 cri contact. avec un f--oujon fixe 1036 qui fixe ainsi la pcsition des pièces décrites de façon que 1e goujon<B>1,032</B> soit à peu près à mi-chemin par rapport à la fente de la bielle 1031.
De cette faeon, le bras 1033 peut oscil ler librement dans les deux sens sans déplacer la bielle 1.031., laquelle, par conséquent, n'in terfère pas dans le mouvement normal de l'arbre de rappel 264.
S'il désire rappeler une touche quelcon que, l'opérateur enfonce la touche de rappel 119, ce qui, par les pièces décrites, déplace la bielle 1031 vers la gauche en entraînant le bras 1033 et l'arbre de rappel 264 (fig. 16, 23 et 56). L'oscillation de cet. arbre fait. pi voter les bras 670, 265 et 615 dans le sens dex- trorsuin pour déplacer les détentes des tou ches de montants et des rangées de trans actions, libérant, ainsi les touches qui auraient pu être enfoncées.
Le déplacement de la bielle 1031_ sous l'action de la touche de rappel<B>111)</B> est suffisant pour rattraper tout d'abord le jeu de la fente de la bielle par rapport au goujon 1032 et ensuite pour faire basculer le bras 1033 et effectuer le rappel des touches. Quand l'opérateur relâche la touche 119, le ressort 7.034 ramène la bielle 1031 à sa posi tion primitive, tandis que le ressort 941 (fig. 68) ramène l'arbre 264 à la position de repos.
Compteur <I>de</I> remise <I>à zéro.</I>
Dans l'application comptable envisagée à titre d'exemple, les totalisateurs du groupe arrière sont généralement renais à zéro à la fin d'une journée, en une série d'opérations. Pour remettre ces totalisateurs à zéro, on uti lise la touche Total 117, d'une part, et si multanément une des touches 101 à 108 qui sélectionne le totalisateur voulu. Par consé quent, on effectue huit opérations successives de remises à. zéro et afin de vérifier le nom bre de ces opérations et contrôler s'il n'y a pas eu une remise à zéro frauduleuse, on a prévu un compteur spécial 1041 (fig. 2, 33 et. 31), dans lequel une unité est ajoutée au cours de la première opération d'une série de remises à zéro.
Pendant les opérations sui vantes de cette série, le fonctionnement du compteur spécial est débrayé.
Le compteur spécial comprend trois mo lette, 1041. tournant sur un arbre 1042 et munies chacune d'un rochet 1043 coopérant avec un cliquet 1044 porté par un étrier 1045, lequel pivote également sur l'axe 1042. Un ressort 1046, tendu entre -un goujon fixe du clavier et un goujon 1047 porté pair l'étrier 1045, maintient normalement ce dernier en contact avec un goujon 1048 porté par la touche de Total 117. Quand on enfonce cette dernière, l'étrier 1045 est basculé dans le sens dextrorsum (fig. 33) et le cliquet 1044 agissant sur le rochet 1043 enregistre une unité sur la roue des unités 1041.
Le cliquet 1044 est constitué par une pièce à trois doits, dont. l'un s'étend sur le trajet d'une roue à. rochet de chacune des molettes 1041 du compteur. Chacune de ces molettes est également munie d'un disque à encoche pour la position 9 , ce qui assure, à la ma nière connue, ïe report des dizaines lorsque l'une des molettes passe de 9 à 0 .
Le cli- quet y0-14 est constitué par une lame-ressort et les doigts du cliquet pour l'ordre décimal le plus élevé du compteur sont normalement écartés du rochet jusqu'à ce que l'encoche du disque apparaisse sous le doigt qui peut ainsi tomber dans l'encoche en entraînant le doigt de l'ordre décimal immédiatement supérieur clans lequel une unité est alors ajoutée.
Un cliquet de retenue 1049 est prévu, le quel présente trois doigts, dont l'un vient. en prise avec. les roues à. rochet 1043 et empê- ehe ainsi tout mouvement de retour des mo lettes 1041 lorsque le cliquet 1044 revient à sa position normale. Le compteur spécial avance d'une unité seulement pour une première opération d'une série, comme on vient de l'indiquer, et, à cet effet, il faut faire en sorte que l'étrier 1045 ne revienne pas à sa position normale avant la fin de l'opération de ladite série.
Pour ce faire, une butée élastique<B>1051</B> munie d'un bossage 1052 est amenée sur le trajet de re tour d'un -bras 1053 de l'étrier 1045 lorsque la touche Total est enfoncée. Cette pièce <B>1051.</B> pivote sur un petit axe 1054 porté par deux supports 1055 eux-mêmes montés sur la plaque de clavier 7.47. Un ressort 1056 tend à taire tourner la. pièce 7.051 dans le sens dex- trorsum (fig. 34). Quand on enfonce la tou che Total 117 et que l'étrier 1045 (fig. 33) oscille en écartant le -bras 1053 de la pièce 1052, le ressort 1056 amène cette pièce au- dessous du bras 1053 et dans une ouverture <B>1057</B> de la cloison 133 du clavier.
La pièce 10â\? reste dans cette position à la fin de l'opération de remise à zéro et empêche l'étrier 1045 de revenir en position de repos lorsque la touche Total est rappelée. Quand cette touche est à nouveau enfoncée, pour l'opéra tion suivante, il n'y a donc pas d'avancement du compteur spécial aussi longtemps que l'étrier 1045 est bloqué par la butée 1051, 1052. Il faut naturellement prévoir un dispositif pour écarter le doigt 1052 au cours de la pre mière opération qui suit la dernière remise à zéro de la série ou qui suit celle pour laquelle la. touche 117 n'est pas utilisée.
Ce dispositif comprend une biellette 1060 (fig. 33 et 34) coulissant sur un goujon 1061 du bâti et arti culée a un bras 1062 monté fou sur le goujon 720 mentionné plus haut (fig. 2121). Ce bras 1062 présente un talon<B>1063</B> normalement. en contact avec un téton 1064 porté par le levier coudé 901.
Au cours de l'opération pendant laquelle la touche Total 117 n'est pas uti lisée, lorsque le goujon 906 vient toucher le levier coudé 901 pour le faire basculer dans le sens senestrorsum, le téton 1064 soulève le bras 1062 ainsi que la biellette 1060, dont. une équerre 1065 vient buter contre un prolonge ment 1066 de 1a pièce 1051 qui se trouve ainsi ramenée dans le sens senestrorsum, écartant le doigt 1052 du trajet de l'étrier 1045. Ce dernier est livré à. l'action de son ressort 1046 qui le rappelle à sa position initiale en contact avec le goujon 1.048 de la touche Total 117.
Lorsque la, biellette 1060 est. re lâchée par le goujon 906, le ressort 1056 fait osciller la pièce<B>1051</B> dans le sens dextrorsum et, à ce moment, le iras 1053 est à nouveau sur le trajet de cette pièce, comme représenté en fig. 34.
Le goujon 906 (fig. 33), porté par l'une des cames 723 actionnant le différentiel de la première rangée de transactions, est disposé de façon que la bielle 1060 soit soulevée puis abaissée deux fois à chaque opération de re mise à zéro. Quand la biellette 1060 est. sou levée et que la touche Total 117 est enfon cée, le goujon 1048 retient l'étrier 1.045 dans sa position déplacée. Pour ce genre d'opéra tion, le soulèvement de la biellette 1060 a sim plement pour effet d'écarter le bossage 10)2 de dessous l'étrier 1045 et, lorsque la biellette 1060 est à nouveau abaissée, le bossage pénè tre à nouveau dans l'ouverture 1057 de la cloison 133.
L'oscillation de la pièce de butée 1051 se fait donc à vide pour ce genre d'opé ration. Toutefois, lorsque la machine fonc tionne sans l'emploi de la touche Total 117, la bielle 1060 est alors soulevée pour écarter la pièce de butée 1051 de sa. position active et l'étrier 1045 peut revenir à sa position nor male. Nmnérotcitr corisécrdif.
Il est prévu, dans la machine représentée, un dispositif assurant le numérotage consé- cuti@ des opérations et. plus spécialement des opérations de versements faits par les clients. Les trois sections d'imprimerie de la machine comprennent un groupe de roues impri mantes qui permettent d'imprimer le numéro sur la fiche, sur le bordereau de contrôle et sur la bande sortante. Comme le numéro con sécutif avance d'une unité seulement pour les versements, le même numéro est imprimé sur les documents à chaque opération autre qu'un versement.
L'avancement d'une unité du numéroteur pour les opérations de verse ment ou de dépôt est commandé par deux disques de sélection à encoches, dont un est aménagé dans la première rangée de trans actions et l'autre dans la. seconde. Le disque positionné par le différentiel clé la première rangée est conformé de façon telle que pour l'une quelconque de ces touches de. la pre mière rangée, le numéroteur consécutif soit débrayé. Quant au disque réglé par le diffé rentiel de la seconde rangée, il est conformé de façon telle que le numéro consécutif avance seulement lorsqu'on enfonce les touches 104 ou 108 correspondant aux versements.
Toute fois, si l'on utilise la touche Total 117 ou la touche Sous-total 118 de la première rangée avant d'enfoncer la touche 104 ou 108, le disque de sélection réglé par la. première rangée a la priorité sur le disque de la se conde rangée et débraye le numéroteur consé cutif. De cette manière, le numéro n'avance pas dune unité pour les opérations de total. De même, si l'on effectue une opération de versements répétés, c'est-à-dire avec l'emploi de la touche Répétition 114, le disque de sélection commandé par la première rangée a priorité et débraye le numéroteur consécutif.
Dans chaque section d'imprimerie sont prévues quatre roues imprimantes 1071 (fig. 71, 76A et 76B) montées sur les arbres -163. Ces roues sont. en prise avec une cou ronne dentée 107\? comprenant une denture interne 1073 engrenant avec un pifltion 1074, par exemple pour les unités.
Ce pignon 1074 est monté sur nn arbre 1075 portant, d'autre part, deÇ pignons analogues au pignon 107-1, niais aménagés clans les autres sections. Le piglion qui se trouve près de l'extrémité ga.u- clie de l'arbre carré 1075 engrène avec la den ture interne d'une couronne 1076.
Les roues imprimantes pour les dizaines, centaines et millien5 sont reliées de la même manière avec des couronnes correspondantes 1077, 1078 et <B>1079.</B> Chacune de ces couronnes est en prise avec un pignon 1080 (fig. 73) tournant sur un arbre 1081. (fig. 73 et 74), et chaque pi- 'Ynoti est solidaire d'une roue à rochet 1082 coopérant avec un cliquet. 1083 monté sur un arbre 1084 porté par un étrier 1085. Les cli- quets 1083 successifs sont décalés les uns par rapport aux autres.
Un ressort 1086 main tient normalement ces cliquets en contact avec les rochets 1082 munis, à la manière connue, d'une encoche plus profonde 1087 pour assu rer le report des dizaines. L'étrier 1085 tourne sur l'arbre 1081 et reçoit un mouvement d'oscillation dans le sens dextrorsum pendant le fonctionnement de la machine, de sorte que les cliquets 1083 agissant sur les rochets 1082 font avancer le pignon 1080 de l'espace d'une (lent, mouvement qui est transmis par la chaîne mécanique décrite à la roue impri mante 1071.
L'étrier 1085 pivotant sur l'arbre 1081 est actionné par la came 975 (fig. 69) coopérant avec un galet 1088 porté par un levier 1089 pivotant en 1090. Un ressort 1091 tend à maintenir le galet 1088 en contact avec. la came et est relié, d'autre part, à un bras 1092 pontant un goujon 1094 en prise avec une partie fourchue du levier 1089. L'extrémité de gauche du bras 1092 est elle-même en prise avec l'arbre 1084.
Un disque de sélection 1095 (fig. 69 et 77A) est réglé différentiellement par la pre- inière rangée de transactions et est muni d'en coches 1096 en regard d'un galet 1100 porté par le bras 1092 lorsque la machine fonc tionne sans touche enfoncée dans la première rangée. Un second disque de sélection 1097 (fig. 70) est réglé par la deuxième rangée de transactions et présente des encoches 1099, 1098 qui se trouvent en face du galet 1100 lorsque la machine fonctionne soit avec la touche 108 Dépôt A , soit avec la touche 104 Dépôt B .
Pendant. le fonctionnement., la came 975 tourne dans le sens dextrorsum et le ressort <B>1091</B> a pour effet d'appuyer le galet 1088 sur la came si aucune encoche ne se présente en face du galet 1100. Dans ce cas, le levier 1089 ne peut suivre le contour de la came 975. Dans le cas contraire, le galet pénètre dans une des encoches et le bras 1092 oscille sous l'action du ressort. 1091, ce qui fait pivoter l'étrier 1085, entraînant le cliquet 1083 (fig. 73), lequel pénètre derrière la dent sui vante de la roue à rochet 1082.
Lorsque la came 975 revient à sa position initiale, le le vier 1089 pivote, ainsi que le bras 1092, et ce dernier fait. basculer l'étrier 1085 de façon telle que le cliquet 1083 fasse avancer d'un pas la roue à rochet 1082 et, par conséquent, le pignon 1080. Ce mouvement est transmis à la roue imprimante par la couronne dentée 1076, l'arbre carré 1075, la couronne 1072 et la roue dentée 1071.
Lorsqu'une des roues d'ordre décimal infé rieur passe de neuf à zéro, le cliquet tombe dans l'encoche profonde 1087, ce qui provo que le report, d'une unité dans la rangée immédiatement supérieure. Un cliquet de re tenue 1101 est disposé sur un goujon 1102 pour empêcher le mouvement de retour du rochet 1082. Un ressort 1103 maintient ce cli- quet 1101 en contact permanent avec le rochet.
On voit par ce qui précède que le seul mouvement où le numéroteur consécutif peut avancer d'une unité est lorsque aucune tou che n'est enfoncée dans la première rangée de transactions amenant l'encoche 1096 en face du galet 1100 ou quand soit la touche Dé pôt A , soit la touche Dépôt B est enfon cée dans la deuxième rangée, amenant l'en coche 1098 ou 1099 sur le trajet du galet 1100. Quand une touche est enfoncée dans la première rangée, une partie pleine des dis ques se présente au galet. 1100, de sorte que' lorsqu'une touche Total est enfoncée pour l'un des totalisateurs de dépôt , le numéro teur consécutif n'avance pas.
*Le numéro consécutif est imprimé dans chacune des sections de l'imprimerie. Pour ;une opération autre qu'un dépôt, le numéro consécutif précédent est imprimé, c'est pour quoi les documents peuvent présenter une série du même numéro. Par contre, si l'on en registre un dépôt, le numéro consécutif avance d'une unité et c'est le numéro suivant qui s'imprime. <I>Remise à. zéro du</I> numéroteur consécutif. Une personne autorisée peut remettre à zéro le numéroteur consécutif, ce qui s'effec tue sous la commande de la serrure 123 (fig. 1 et 55).
Pour la position représentée de cette serrure, la remise à zéro n'est pas possible, mais si l'opérateur autorisé déplace la ser rure, le mécanisme de remise à zéro du numé roteur est libéré et la roue 126 peut être actionnée à la main. La roue 126 (fig. 2 et 71) émerge du cla vier vers la gauche, comme on le voit en fig. 1 et ?, et est montée sur un axe 1112 porté par ; des bâtis auxiliaires 1128.
La roue 126 est solidaire d'un pignon<B>11.13</B> en prise avec un pignon intermédiaire 1114 porté par un man- ehon 1115 tournant sur iui axe 1116. Le pi gnon intermédiaire 1114 engrène avec un pignon 1111 (voir fig. 74) fixé sur l'arbre 1081 cité un peu phis haut. Cet arbre de re mise à zéro présente une gorge 1110 (fig. 73) s'étendant entre les quatre pignons 1080. A l'intérieur de chacun d'eux se trouve un eli- c guet 1117 en contact élastique avec l'arbre 1081.
Lorsque le pignon 1080 est actionné différentiellement par le cliquet 1083 pour avancer d'une unité le numéroteur consécutif, le cliquet 1117 se déplace dans le sens dextror- > sum autour de l'arbre 1081 et vient s'engager dans la gorge 1110. Pour remettre à zéro les roues 1071 du numéroteur, on tourne la roue 126 dans le sens dextrorsum, ce qui en traîne le pignon intermédiaire 1114, le pignon 5 1111 et l'arbre 1081.
Au cours de cette rota tion, la gorge 1110 cueille les cliquets 1117 dans la position qu'ils peuvent occuper et ra mène à zéro les pignons 1080 et les roues iDi- primantes ,correspondantes du numéroteur.
On a prévu un cliquet. 1119 formant butée, qui vient en contact avec un bras 1120 porté par l'arbre 1081, l'effet de butée se produi sant lorsque toutes les roues sont à zéro. lie cliquet 1119 est monté sur un goujon 1121 et un ressort 1122 tend à le faire tourner dans le sens dextrorsum. Le bras de butée 1120 présente un épaulement pouvant coopérer avec le cliquet 1119 qui le retient. à la posi tion de fig. 71 lorsque l'arbre 1081 a atteint la position zéro. Par conséquent, avant que la -roue 126 puisse être tournée dans le sens dextrorsum, il est nécessaire de ramener cette roue quelque peu en arrière pour livrer le cliquet 1119 à l'action de son ressort 1122.
Ce mouvement de retour de l'arbre 1081 est cependant limité par un contre-cliquet 1123 qui appuie normalement sur la came 1124 sous l'action d'un ressort 1125. Quand on ra mène l'arbre 1081 un peu en arrière, la came 1124 tourne dans le sens senestrorsum Jus qu'à ce qu'elle soit. arrêtée par le contre- cliquet 1123. A ce moment, le ressort 1122 fait basculer le cliquet de butée 1119 qui s'écarte sur une distance déterminée, grâce à un téton 1127 porté par le cliquet. 1123 et dont la position est telle que, lorsque le cli quet 1119 est engagé contre le téton 1127, la partie opposée du cliquet soit écartée du tra jet du bras 1120 porté par l'arbre de remise à zéro 1081.
Une fois que cet. arbre est libéré par un léger mouvement en arrière de la roue 126, celle-ci peut être tournée librement dans le sens dextrorsum et, pendant. ce mouvement, la came 1124 fait tourner les cliquets 1123 dans le sens senestrorsum, rotation qui, par le téton 1127, agit sur le cliquet de butée 1119 qui est ramené à la. position active, de sorte que le bras 1120 peut venir en prise avec l'extrémité libre du cliquet 1119 et arrêter au moment voulu la rotation de l'arbre 1081, lorsque la position zéro est atteinte.
Le mécanisme numéroteur avec les organes de remise â zéro inclus sont. portés par les bâtis auxiliaires 1128 (fig. 55 et<B>71)</B> et il coni- prend encore l'axe 1112, l'arbre 1116, l'arbre 1081 et le goujon 1121. Cet ensemble peut être monté séparément et assemblé comme un tout. dans l'appareil.
Les batis auxiliaires 1128 constituent un bâti rigide grâce au manchon 1115 et à deux autres manchons 1131 et 1l.32 supportés par des arbres 1129, 1130 et 1116. Après montage de cet ensemble, on fixe des vis 1133 (fig. :5:> ) aux extrémités des arbres 'pour maintenir le tout en position.
Le pignon 11.11 (fig. 55 et 74) est soli daire d'un disque 1134 muni d'une encoche s 1135 coopérant avec un cliquet élastique 1136. Lorsque l'arbre de remise à zéro 1081 est en position zéro, ce cliquet 1136 reste sur la péri phérie du disque 1134 et, au moment où l'on commence la rotation de remise à zéro de l'arbre 1081, il est nécessaire de compléter cette rotation, car peu après le début de la rotation, le cliquet l-136 tombe dans une en coche 1-135 et empêche tout mouvement en arrière. Le cliquet 1136 et le disque 1134 s constituent donc un ensemble obligeant une rotation à pleine course.
Le disque 1134 présente une autre encoche 1137 normalement en prise avec un cliquet de verrouillage 1138 qui pivote sur le goujon 1102 en empêchant normalement la remise à zéro du numéroteur. Avant de pouvoir re mettre ce numéroteur à zéro, il est nécessaire d'écarter ce cliquet 1138 dit disque 1134, ce que l'on peut. effectuer, comme on va le voir, s au moyen de la glissière-serrure 123. Glissière <I>de verrouillage.</I>
La machine comprend une glissière de commande 1139 (fig. 55) coulissant sur deux goujons 1140 et; 1141 du bâti. Cette glissière petit occuper trois positions différentes: l'une pour laquelle la machine est complètement bloquée, une deuxième position permettant le fonctionnement e1: une troisième position pour laquelle le numéro consécutif petit être remis à zéro et la. date être modifiée.
lia glissière 1139 supporte la glissière serrure 123 mentionnée plus haut qui émerge du coffre à travers fine ouverture 114. Celle-ci présente un index 1143 (fig. 2) qui permet à l'opérateur de déterminer plus exactement. la position. Lorsque la glissière 1139 est dans sa position intermédiaire mar quée Opération en fig. 2 en face de l'index 1143, la- machine peut fonctionner, mais le numéro consécutif ne peut. pas être remis à zéro, ni la date être modifiée.
Lorsque la glis sière 1139 est déplacée vers le haut, de ma nière à amener l'indication Blocage en face de l'index 1143, la machine est verrouillée. Enfin, lorsque la glissière 1139 est tirée vers le bas pour amener la mention Numéro con sécutif en face de l'index 1143, l'opérateur peut remettre à zéro le numéroteur et modi fier les roues dateuses.
La glissière-serrure 123 est munie d'un axe 1144 qui peut être amené en contact de blocage avec une pièce 1145 portée par les goujons 1140 et 1141. Si l'on veut déplacer la glissière 1139 depuis sa position normale jus que dans les deux autres positions, il faut d'abord dégager l'axe 1144 de la pièce 1145.
La glissière de commande 1139 porte un chemin de came 1146 (fig. 55) en prise avec un téton 1147 porté par un levier à trois branches 1148 pivotant en 1149. La branche orientée vers le bas de ce levier 1148 est en prise avec un goujon 1150 porté par le cli- quet de verrouillage 1138 expliqué plus haut.
Lorsqu'on déplace la glissière 1139 vers le bas (fig. 2) (remise en zéro du numéroteur), le chemin 1146 soulève le goujon 1147, ce qui fait pivoter le levier 1148 dans le sens senes- trorsum; lequel, par le goujon 1150, fait bas culer le cliquet 1138 qui s'écarte ainsi de l'en coche 1137 du disque de verrouillage 1134. La molette 126 est ainsi libérée. Lorsque la glis sière 1139 est déplacée vers le haut, le goujon 1147 reste dans une partie sensiblement hori zontale du chemin de came 1146 et le cliquet 1138 reste par conséquent en position de ver rouillage.
Un cliquet de retenue 1151, pivotant en 1140, est sollicité- dans le sens senestrorsum par un ressort<B>1152,</B> ce qui amène un goujon 1153 porté par le cliquet 1151 dans une en coche pratiquée à la partie inférieure de la glissière 1139 qui se trouve ainsi crantée dans chacune de ses trois positions.
Le levier à trois branches 11-18 présente un bras orienté vers la gauche et en prise avec un ergot 1154 porté par un cliquet de verrouillage 1155, lui-même en prise avec une roue de blocage 1156 portée par les roues 124 servant à composer la date. Lorsque le levier 11-18 est basculé dans le sens senestror- sum par le déplacement de la glissière 1139 vers le bas, ce levier 1148 fait. basculer le cli- quet 1155 pour l'écarter de la. roue de blocage 1156.
Par conséquent, la roue dateuse 12= peut. être librement utilisée, mais seulement lorsque la glissière 1139 se trouve dans la position pour laquelle la légende Numéro consécutif est vis-à-vis de l'index 1143.
Lorsque la glissière 1139 est précisément amenée dans cette position inférieure, l'arbre de rappel 264 est. bloqué et, à cet. effet, la glissière présente une arête 1157 (fig. 55) amenée sur le trajet d'un goujon 1158 lorsque la glissière 1139 vient. dans la position de re mise à zéro, empêchant ainsi tout mouvement de l'arbre 264.
Cet arbre est également ver rouillé lorsque la glissière 1139 est amenée dans sa position supérieure (fig. 2) corres pondant au blocage complet. et, pour cette position, une arête 1159 de la glissière vient en contact avec le goujon 1158 et fait bascu ler la bielle 939 vers le haut, faisant tourner l'arbre de rappel 264 dans le sens dextrorsum et libérant ainsi toutes les touches qui auraient pu être enfoncées sur le clavier. Pour cette position clé l'arbre 264, il est pos sible d'enfoncer n'importe quelle touche, mais aucune ne reste dans la position enfoncée. Ce qui précède constitue donc un moyen efficace empêchant d'actionner la machine lorsque la glissière 1139 se trouve dans la position de verrouillage.
L'effet sur l'arbre de rappel 264, par l'arête 1159, est exactement le même que celui qui résulte de l'action de la touche de Rappel 119. On peut donc, si on le désire, utiliser d'abord la touche de Rappel pour soulever le goujon 1158 et déplacer ensuite la glissière 1139, ceci uniquement pour alléger le mouvement de la glissière.
lléca-rzisine dateur,.
Des roues imprimeuses 1161. (fig. 7'_', 76#i et 76p) sont prévues pour l'impression d'une date sur la fiche de versement et, sur la bande sortante, la machine représentée ne compor tant pas de roues imprimeuses pour l'impres sion de la date sur le bordereau de contrôle. L'ensemble comprend quatre roues impri mantes 1161 dans la section d'impression de la fiche, pour le jour, le mois et l'année. Par contre, dans la section d'impression de la bande sortante, il n'est. prévu que trois roues pour imprimer seulement. le jour et le mois.
Les roues imprimantes 1161 sont réglées par la molette 124 (fi-. 2 et 72) qui d'ailleurs règle également des tambours indicateurs <B>1162</B> (fig. 75) pour les unités de jours, 1163 pour les dizaines de jours, 1164 pour les mois et 1165 pour les années. Ces tambours sont visibles à travers la fenêtre 125 du coffre.
La molette 124 est solidaire d'un pignon latéral 1166 (fig. 55 et 72) engrenant avec une roue dentée 1160 tournant. sur le man chon 1115 et. en prise elle-même avec. un pi gnon 1168 qui engrène avec un autre pignon 1169. Celui-ci est fixé au tambour indicateur 1162 en même temps qu'une croix de Malte 1170 et un disque de verrouillage 1171. La ro tation de la molette 12-1 règle donc la position du tambour indicateur des unités de jour par le train d'engrenages que l'on vient de dé crire. Le pignon 1160 engrène également avec une couronne dentée 1172 montée sur un disque 1173 lui-même porté par l'arbre 510.
Cette couronne présente une denture interne en prise avec un petit pignon 117-1 porté par un arbre carré 117.5 qui s'étend sur la lar geur de l'imprimerie et porte d'autres pignons analogues au pignon 1174 pour assurer la transmission aux roues dateuses des autres sections d'imprimerie.
On voit donc que, lorsqu'on tourne la mo lette 124 jusqu'à l'apparition du chiffre con venable, sur le tambour indicateur, la roue imprimante 1161 vizrit prendre une position d'impression correspondante. Lorsque la roue des unités de jour passe de neuf à zéro, la croix de Malte 1170 vient. en prise avec un entre-dent d'une croix de Malte de report <B>1177</B> pivotant sur le goujon 1149.
Un disque de verrouillage 1178 coopère avec le disque 1171 et empêche la rotation de la croix de Malte de report, sauf lorsqu'une dent. de re port du disque 1170 fait tourner la. croix de Malte 1177 à la manière bien connue d'ail leurs. Un moyeu 1179 solidaire de l'ensem ble comprenant le pignon 1168, la croix de Malte 1177 et le disque 1178 est également relié à une roue dentée 1180 engrenant avec un pignon 1181 fixé à l'indicateur des di zaines de jours (voir fig. 75).
Grâce à cet en semble de report, les dizaines avancent d'une (lent chaque fois que l'indicateur des unités passe de neuf à zéro. -Un mécanisme de report analogue est prévu entre la roue des dizaines (le jouis et l'indicateur des mois, et ce méca nisme comprend une croix de Malte 1182 en prise avec une roue dentée 1183 solidaire d'iui pignon 1184, en prise avec un autre pignon <B>1185</B> fixé à l'indicateur des mois 1164. Le mé canisme de report entre les dizaines de jours et les mois est. construit de façon telle que chaque fois que le premier dépasse la position 3 , l'indicateur des mois avance d'une posi tion.
Le tambour indicateur 1164 pour les mois est. également muni d'un mécanisme de report constitué par une croix de Malte 1187 et un disque 1188 qui coopère avec un disque de verrouillage 1189 solidaire de la croix de Malte <B>1187.</B> Ce dernier et le disque 1189 sont fixés sur le goujon 1149 qui porte, d'autre part, une roue dentée 1190 ciigrenant avec un pignon 1191 fixé à l'indi cateur 1165 des années. Le mécanisme de re port est. aménagé de faon telle que la roue (les années avance automatiquement d'un pas eliaque fois que l'indicateur des mois passe de décembre à janvier.
Les roues dentées 1180, 1183 et 1190 sont reliées û un pignon 1160 similaire à celui qui a été décrit. plus haut et servant à régler la position d'une couronne dentée 1172 et des rotes imprimetses en proportion de celles des tambours-indicateurs.
Un dispositif d'alignement, constitué par un cliquet 1192 (fi-. 72), maintient les pièces en position. Ce cliquet pivote en 1193 sur le bâti auxiliaire 1128. Un ressort. 1194 tend à. maintenir constamment le cliquet. 1192 en contact avec la roue dentée 1156. Le sS-stème de report par croix de Malte permet la mise en place des indicateurs de date et. des roues imprimeuses correspondantes dans un sens ou dans l'autre.
.Alignement <I>des roues</I> imprimantes. Une fois que les roues imprimantes ont été mises en position par les mécanismes dif férentiels et les couronnes dentées, leur po sition est fixée par des aligneurs 1201. (fig. 8, 20, 37, 65, 76A et 76B), un aligneur étant prévu dans chacune des trois sections d'imprimerie.
Les trois aligneurs sont gou pillés sur un arbre 1202 s'étendant entre les bâtis 203 et portent un bras 1203 (fig. 65 et 76B) relié à un bras 1204 par nue bielle 1200. Le bras 1204 pivote sur l'arbre 786 et se ter mine par deux galets 1205 coopérant avec mie double came 1206 (voir fig. 22) fixée sur l'arbre principal 229.
La forme de la came 1206 est. telle qu'im médiatement après la mise en position des cou- ronnes dentées, la came fait basculer le bras 1204 dans le sens senestrorsum pour pousser la bielle 1200 vers la gauche (fig. 65), mouve ment qui est transmis .au bras 1203 et à l'ali- gneur 1201, qui vient ainsi compenser le jeu qui aurait pu se produire entre les cou ronnes dentées et les différentiels.
Un peu avant l'impression, de la manière décrite plus loin, un deuxième aligneur vient en prise avec les roues imprimantes elles mêmes, afin d'assurer un alignement parfait des caractères imprimants, ce deuxième ali- gneur consistant en une barre 1207 (fig. 66, 763 et 76B) pour chaque section d'impri merie. Chaque barre 1207 est portée par deux biellettes 1208 articulées à un bras - 1209 grâce à une tige 1210.
L'extrémité de gauche de chaque biellette 1208 est munie d'un galet 1211 en prise avec une ouverture 1212 prati quée dans les plaques 203.
Les bras 1209 sont fixés sur un arbre 1213 portant, d'autre part, un bras 1214 relié, par une biellette 1216,à un levier 1215 tour nant sur l'arbre 786. Le levier 1215 se ter mine par un galet 1217 coopérant avec une came 1218 sous l'action d'un ressort 1219. La came 1218 est fixée sur l'arbre principal 229. Le levier<B>1215</B> se termine par un bec 1221 pouvant coopérer avec un bloc 1220 rivé sur le côté de la came 1218.
La forme de la came 1218 est telle qu'une fois les roues imprimantes mises en position et l'aligneur 1201 en prise avec les couronnes dentées, la barre 1207 est brusquement dé placée dans la position d'alignement grâce à la chaîne mécanique décrite. La came 1218 tourne dans le sens dextrorsum, et lorsque le bloc 1220 agit sur le bec 1221, le ressort 1219 tire la bielle 1216 vers la gauche, ce qui fait tourner l'arbre 1213 et les bras 1209 dans le sens senestrorsum et déplace, par consé quent, la barre 1207 en prise avec les dents du support à caractères.
Certains des éléments imprimants com prennent. dix entre-dents et d'autres douze, comme les roues dateuses par exemple. Pour obtenir un alignement correct, la barre 1207 est quelque peu éloignée, de manière à s'en gager entre les dents des éléments imprimants et aligner correctement. les caractères.
<I>Roues</I> imprimantes pour <I>les</I> numéros <I>de référence</I> (alignement).
Une roue imprimante 1225 et deux autres roues 1226 (fia. 76A) sont prévues pour l'im pression d'un numéro identifiant par exemple le numéro d'agence de la banque et le nu méro de la machine qui effectue les trans actions. Cette impression est effectuée généra lement sur la fiche de dépôt. Ces roues sont fixées à. la position voulue au moment du montage de la machine et restent fixes.
Un aligneur 1227 monté sur l'arbre 1202 pénètre entre les dents de couronnes dentées<B>1228</B> qui, elles, engrènent avec les roues imprimantes 1225 et 1226. L'aligneur est maintenu en po- sition par ttné vis 1@$9 qui traverse une équerre de l'aligneur et qui est fixée, d'autre part, à l'entretoise 201. Pour modifier les numéros sur les roues 1225 et 1226, on en lève la vis 1229 et bascule manuellement l'ar bre 1202 pour libérer les couronnes 1228, après quoi les roues imprimantes peuvent être déplacées à la main.
On remet ensuite l.'ali- gneur et la vis 1229 en place. Les numéros imprimés par ces roues 1225 et 1226 sont re présentés dans le fac-similé de fia. 90 et 91 entre la date et les numéros consécutifs. Imprimerie <I>à. fiches.</I>
Pour l'application décrite à titre d'exem ple, c'est-à-dire les transactions de guichet. d'une banque, la. machine est aménagée de façon qu'elle puisse imprimer sur une fiche introduite dans la machine, par exemple une fiche de dépôt. (fia. 90) et une pièce de caisse (fia. 91). Les données imprimées compren nent: la date, le numéro de l'agence, le nu méro de la machine, un numéro consécutif, le symbole du caissier, le symbole du genre de transactions et enfin le montant. Le méca nisme imprimant sur la fiche introduite est. disposé à la partie inférieure gauche de la machine (table 1243, fia. 1).
Les versements effectués par les clients d'une banque peuvent consister en chèques, en espèces ou en des versements mixtes chèques et espèces. Pour faciliter le travail, de la comptabilité dans le contrôle de la caisse du guichet, il est d'usage que le caissier rem plisse un bulletin ou pièce de caisse indiquant le montant des espèces déposées, qu'il s'agisse d'espèces pures ou d'un versement combiné chèque et espèces. Quand un dépôt est mixte, la machine représentée imprime le total du versement sur la fiche de dépôt et le montant des espèces sur la pièce de caisse. Une copie de la fiche de dépôt et de la pièce de caisse sont envoyées à la comptabilité avec les chè ques.
Au pointage des diverses transactions, le comptable enregistre le montant total du dépôt au moyen d'une machine comptable de contrôle et soustrait le montant indiqué par la pièce de caisse et ensuite le montant indi- qué par chaque chèque du dépôt envisagé. Lorsque la transaction est terminée, la ma- eliine comptable en question indique le solde du compte.
La. fiche de dépôt. est, préparée en dupli cata, de sorte que le caissier peut remettre une copie au client et envoyer l'autre à la comptabilité. Cette fiche constitue simultané nient L'avis de crédit remis au client, une fois que l'opération a été terminée à la compta bilité.
Pour avoir la preuve de la correction des écritures sur la fiche de dépôt, la pièce de caisse peut. également. constituer un moyen de solder les espèces au guichet. même. A la fin (le la journée, les totaux de toutes les pièces (le caisse, pour lin caissier donné, sont tirés, ce qui donne le montant de la recette corres pondante faite par ce caissier. La bande de contrôle donne le total des sommes .que le caissier paye aux clients. La. différence entre les sommes encaissées et versées donne le solde que le caissier doit avoir dans sa caisse.
Comme représenté, les différentes touches de la deuxième rangée de transactions coin- mandent également. une impression sur fiche, de faeon à. obtenir une impression sur un do- cument inséré dans la machine. Le formulaire dépend naturellement de l'application parti culière utilisée dans la banque considérée.
Mécanisme d'impression, sicr <I>fiche.</I>
La fiche de dépôt 1241 (fig. 90) ou la pièce (le caisse 1242 (fig. 91) sont placées sur la table à fiche 1243 (fig. 1 et 80), sup- portée par les bâtis 181 et 192 (fig. 78A et 78B). Des lignes de repère 1244 sont gravées sur la table pour indiquer la position à la quelle la fiche doit être placée sur la table par rapport aux caractères imprimants.
Le mécanisme d'impression sur fiche est placé entre les bâtis 181 et 192 et la table 1243 présente une ouverture 1245 au travers de laquelle passe un marteau imprimant 124.6 (fig. RO) qui vient frapper la fiche 1247. ou la pièce de caisse 1242 et enfin un ruban en creur 1247 contre les caractères imprimants. Le marteau imprimeur 1246 est porté par un support. 1218 (fig. <B>87)</B> guidé sur im axe 1249 porté par le bâti 192 et également par un axe analogue porté par le bâti 181. Le support.
1248 présente deux goujons 1250 et 1252 en gagés dans une encoche 1251 pratiquée sur les côtés des bâtis 181 et 192 (voir aussi fig. 78A); ces goujons constituant un système de guidage pour le marteau imprimeur dans ses mouvements verticaux d'impression.
Les goujons 1252 sont en prise avec des parties fourchues des leviers coudés 1253 fixés sur un arbre 1254 supporté par les bâtis et articulé à. une bielle 1255 guidée à son autre extrémité sur un goujon 1256. Un res sort.<B>1257</B> tend à tirer la bielle 1255 normale ment vers la droite pour maintenir le marteau dans sa position inférieure, le goujon 1256 constituant la butée fixant la position nor male de fig. 87.
L'extrémité de droite 1258 de la bielle 1255 se trouve dans le plan d'un autre gou jon 1259 qui constitue un pivot entre un bras 1260 et une genouillère 1261. Le goujon 1259 est muni d'un épaulement qui assure l'espace ment voulu entre la genouillère 1261 et le bras 1260, espacement qui permet le passage de l'extrémité 1258 de la bielle. Le bras 1260 est monté sur un axe 1262 -et.-une butée fixe 1263 limite son mouvement. Une seconde ge nouillère 1264 est. reliée à. la. première par un téton 1265, et son autre extrémité, est articulée à un bras 1266 pivotant sur, un arbre 1267. Une butée fixe 1268 limite le mouvement du bras 1266 dans sa position de repos.
Le téton 1265 se prolonge latéralement. dans l'extré mité fourchue d'un bras de came 1269 -pivo tant sur un arbre 1325 porté par les bâtis (fig. 78B). Le bras 1269 se termine par deux galets 1271 coopérant avec une double came 1272 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273.
Cet, arbre 1273 est. animé d'un mouvement de rotation dérivé de celui de l'arbre princi pal 229, par le train d'engrenages compre- liant les pignons 230, 237. et 879. Le pignon 879 engrène avec un autre pignon 1274 (fig. 78B) fixé sur l'arbre d'imprimerie 1273. Le module<B>du</B> train d'engrenages est tel qu'une révolution complète de l'arbre princi pal 229 se traduise également. par une révolu tion entière de l'arbre d'imprimerie 1273.
La came 1272, en tournant dans le sens senestrorsum, bascule le bras 1269 d'abord dans le sens dextrorsum, puis dans le sens contraire jusqu'à la position de repos. Ce mouvement. se transmet an goujon 1265, ce qui tend les genouillères 1261 et 1264. Si le bras 1266 ne peut tourner dans le sens dextror- sum, la genouillère est tendue et le bras 1260 oseille dans le sens senestrorsum en entrai- nant la. bielle 1255 vers la gauche (fig. 87) pour basculer le levier 1253, lequel. soulève le marteau imprimeur 1246 pour assurer l'im pression sur la fiche.
L'amplitude de mouvement du bras 1269 est. telle que les genouillères 1261 et 1264 sont amenées dans une position horizontale et au- delà pour briser le joint. de genouillère. Par conséquent, lorsque le bras 1269 est ramené à sa position initiale, les genouillères 1.261 et 1264 sont armées à nouveau avant d'être bri sées au moment du retour en position normale. Ce principe de déplacement permet de com mander le marteau imprimant pour une ou deux impressions successives. La première impression se fait lorsque la genouillère est tendue pendant le mouvement dextrorsum du bras de came 1269, et la deuxième impres sion lorsque ce bras 1269 revient à la position de repos.
C'est la position du bras 1266, suivant qu'il est bloqué ou non dans son mouvement dans le sens dextrorsum, qui détermine si l e marteau d'impression doit effectuer une im pression, deux impressions ou pas d'impres sion du tout. Ce blocage du bras 1266 est obtenu par un segment 1275 pivotant en 1276 sur les bâtis (fig. 78B, 80 et 87). Si ce seg ment 1275 tourne dans le sens senestrorsum avant. que le bras 1269 bascule dans le sens dextrorsum, il vient se placer sous un goujon 1240 porté par le bras 1266.
Si le segment 1275 est maintenu sous ce goujon 1240 pen dant les deux phases d'oscillation du bras 1269,. il se produit deux impressions. Pour obtenir une seule impression, le segment 1275 est. écarté du goujon 1240 avant. le retour dans le sens senestrorsum du bras de came 1269. Si, enfin, on désire qu'aucune impres sion ne se fasse, le segment 1275 est maintenu par des moyens appropriés dans la. position de fig. 87.
La sélection des positions de ce segment 1275 est commandée par des disques à en coches 1277 (fig. 85) et 1278 (fig. 87). Le disque 1.277 est réglé sous la commande de la deuxième rangée de transactions par l'inter médiaire de l'arbre carré 763, comme décrit plus haut en ce qui concerne d'autres disques de sélection. Ce disque 1277 est. monté sur un autre disque 1279 et présente une denture interne engrenant avec un pignon porté par l'arbre carré 763, et le disque 1279 est monté sur l'arbre 632.
Le disque à. encoches 1278 présente égale ment une denture interne sur un disque 1280 porté par l'arbre 632, et. cette denture en grène avec un pignon porté par l'arbre carré 743 commandé par la première rangée de tou- elies de transactions. Les disques 1277 et 1278 présentent des encoches plus ou moins profondes et la péri phérie coopère avec un doigt tâteur 1281 dis posé dans le plan du disque 1277 et porté par un bloc réglable 1285 monté sur un goujon 128<B>2</B> porté par un tâteur 1283. Celui-ci pré sente un doigt 1284 disposé dans le plan du disque de sélection 1278. Le bloc 1285 est orientable, ce qui permet de faire varier la commande des marteaux imprimeurs de la manière décrite plus loin.
Un ressort à lame 1286 agit sur le tâteur 1283 et maintient en position le bloc 1285 dans la position qui 111i est affectée.
Le tâteur 1?83, sous forme d'une biellette, coulisse sur un goujon 1288 et est articulé à un bras 1289 qui pivote sur un arbre 1290. Ce bras présente un prolongement 1291 relié, par une bielle 1299, au segment. 1275. Un res sort. 1293. tendu entre le goujon 1288, d'une part, et le bras 1289, d'autre part, maintient ce dernier ainsi que la bielle 1292 et le seg ment 1275 en position inactive qui est la posi- t ion normale. Pour cette opération, tin téton 1294 porté par le bras 1291 se trouve contre un épaulement d'un bras 1295 goupillé sur l'arbre 1290.
Ce dernier porte, d'autre part, un bras de came 1296 (voir également fig. 78p et 94) muni d'un galet 1297 coopé rant avec une came 1298 fixée sur l'arbre principal 229. Un ressort 1299 agissant par l'intermédiaire d'un étrier 1423 et d'un gou jon 1-125 maintient le galet 1297 en contact avec la came 1298.
Lorsque, pendant. la rotation de l'arbre principal 229, le bossage de la came 1298 échappe au galet 1297, le ressort 1299 fait basculer le bras 1296 dans le sens dextrorsurn pour entraîner l'arbre 1290 et abaisser le bras 1295 (fig. 87) de sorte que le ressort 1293 peut déplacer le bras 1291, la bielle 1292 et le seg ment 1275 pour amener ce dernier au-dessous du goujon 1240, mais seulement si les enco- clies des disques 1277 et 1278 le permettent.
-'i, au moment où le bras 1291 commence son mouvement dans le sens dextrorsum, les tâteurs 1281 et 1284 rencontrent la périphé rie des disques 1277 et 1278, le tâteur est immédiatement. arrêté et le bras 1291 ne peut effectuer son mouvement dans le sens dextror- suni, de sorte que le segment 1275 reste à sa position inopérante. Dans ce cas, il ne se pro duit aucune impression lorsque le bras 1269 entraîne, un peu plus tard, le goujon 1265.
1.a résistance rencontrée par le goujon 1259, due ait ressort 1257 et à l'inertie des pièces, empêche le bras 1260 de basculer dans le sens seiiestrorsum. Il en résulte due le bras 1266 petit osciller dans le sens dextrorsum et que la bielle 1255 n'entraîne pas le marteau d'im- pression.
Si, ati contraire, lorsque le bras 1291 est. laissé à la commande de la came 1298, les deux tuteurs 1281 et 1284 pénètrent dans des encoches des disques 1277 et 1278, 1_e bras 1291 peut basculer dans le sens dextrorsum, ce qui amène le segment 1275 au-dessous du goujon 1240.
Par conséquent, lors de la rota tion du bras 1269, le bras 1266 est bloqué et la genouillère 1261, 1264 est tendue, ce qui fait osciller le bras 1260 et déplace la. bielle 1255. avec le levier 1253 et, par conséquent., se traduit par Lin mouvement d'impression du marteau 1246.
Lorsque les tâteurs 1281 et 1284 pénètrent dans des encoches plus profondes, comme indiqué pour les positions 4 et 8 du disque 1277 et pour la position 10 du disque 1278, le segment. 1275 reste sous le goujon 1240 pendant les deux phases d'oscillation du bras 1269 et, dans ce cas, il se produit deux im pressions successives.
Une foi que ces deux impressions sont effectuées, la came 1298 rappelle le bras 1296, l'arbre 1290 et le bras 1295 à leur position de repos et, pendant ce mouvement, le bras 1295 ramène, grâce au goujon 1294, le bras 1291, la bielle 1292 et le segment 1275 également à la. position initiale.
Dans les opérations de machine pour les quelles les tâteurs 1281 et 1284 pénètrent dans les encoches moins profondes des disques 1277 et 1278 ou si l'un des deux tâteurs 1281 ou 1284 pénètre dans une encoche profonde et l'autre dans une encoche moins profonde, le tâteur 1283 et, par conséquent., le bras 1291, ne sont. pas déplacés sur une amplitude aussi grande que lorsque les deux tâteurs pé nètrent dans des encoches profondes. Dans ce cas, le déplacement du bras 1291 et du seg ment 1275 est moindre et, lors de la conti nuation du mouvement du bras 1295, lorsque la bielle 1292 est stoppée, une arête 1300 du bras 1295 (fig. 88) est déplacée au-delà d'un goujon 1301 porté par un cliquet 1302 pivo tant en 1303 qui est, d'autre part, le pivot.
entre le bras 1291 et la bielle 1292. Un ressort 1304, tendu entre les goujons 1301 et 1294, tend normalement à faire tourner le cliquet 1302 dans le sens dextrorstmi. Par conséquent, si l'arête 1300 se trouve au-delà du trajet du goujon 1301, le cliquet 1302 bascule dans le sens dextrorsum pour suivre une rampe 1305 du bras 1295. L'oscillation du cliquet 1302 amène son extrémité 1306 sur le trajet d'un doigt 1351 d'un bras de came 1350 pivotant sur l'arbre 1290, lequel bras porte un galet 1349 coopérant avec une came 1348 fixée sur l'arbre principal 229.
La came 1348 produit le basculement du bras 1350 dans le sens dex- trorsum sous l'action d'un ressort 1352, puis dans le sens contraire. Pendant ce dernier mouvement, le doigt 1351 vient en contact. avec l'extrémité 1306 du cliquet 1302 qui se trouve ainsi soulevé avec la bielle 1292. Ce mouvement a lieu avant que le bras de came 1269 ne reçoive son mouvement senestrorsum, de sorte que lorsque la bielle 1292 est sou levée, le segment 1275 est écarté du goujon 1240. Il en résulte que la deuxième impression n'est pas effectuée.
Lorsque les tâteurs 1281 et 1284 pénètrent dans des encoches profondes, la bielle 1292 partage le mouvement entier du bras 1295, de sorte que l'arête 1300 n'est jamais écartée du goujon 1301 et que l'extrémité 1306 reste écartée du trajet du doigt<B>1351.</B> Pendant le mouvement de retour du bras<B>1350,</B> le bras 1351 ne vient pas en contact avec l'extrémité 1306 du cliquet 1302 et la bielle 1292 se trouve ainsi être rappelée à sa position de repos une fois que la seconde impression a été effectuée.
Comme le montrent les fig. 85 et 87, les disques de sélection 1277 et 1278 présentent des encoches aux tâteurs lorsqu'on enfonce une touche clé Dépôt de la seconde rangée de transactions, alors qu'aucune touche n'est utilisée dans la première rangée. Pour cette position, une encoche profonde se trouve en regard du tâteur 1281, comme l'indiquent les positions 4 et 8 de fig. 85 et la position 10 de fig. 87. Cela signifie que, pour tous les en registrements de dépôt, la machine effecïue deux impressions sur l'original et le duplicata de la fiche de dépôt.
Si l'on utilise l'une des touches Divers ou l'une des touches Dé pôt dans la deuxième rangée et si aucune touche n'est utilisée dans la première, c'est une encoche moins profonde (position 1, 3, 5 et 7) qui se trouve sur le trajet du tâteur 1281 et une encoche moins profonde sur le trajet du tâteur 1284. Dans ce cas, une seule impression a lieu. Si l'on utilise la touche Répétition , position 5 de la première ran gée, une encoche moins profonde (position 5, fig. 87) est présentée ait tâteur 1284, alors que pour le tâteur 1281 une encoche quelcon que correspondant à la touche utilisée dans la deuxième rangée se présente.
Dans ce cas, l'encoche moins profonde clé position :5 du disque 1278 commande une seule impression, de sorte que, pour toutes les opérations de ré pétition, le marteau imprimeur n'effectue qu'une course, même si une encoche profonde est présentée au tâteur 1281, car une encoche moins profonde a. toujours priorité de com mande sur une encoche profonde présentée au tâteur 1284 ou 1281.
Le bloc 1285 est réglable et l'on peut mo difier le système d'application si l'on désire une autre séquence d'impression. Il suffit de tourner le bloc 1285 pour écarter le tâteur 1281 de sa position active par rapport au disque<B>1277</B> et d'amener un doigt. 1308 (fig. 80) en position active, dans le plan d'un troisième disque de sélection 1309 (fig. 86) qui, on le voit, présente uniquement des en coches profondes. Cela signifie que les enco ches profondes sont prévues pour chacune des positions 1, 3, 4, 5, 7 et 8.
Pour ce cas, le doigt, 1308 pénètre toujours dans une encoche profonde, provoquant ainsi deux impressions à chaque opération pour laquelle aucune touche n'est utilisée dans la. première rangée et lorsqu'une encoche profonde est présentée au tâteur 1284. Lorsque le bloc 7.285 est tourné de façon que ce soit le disque 1.309 qui commande l'opération et si l'on utilise la tou che Répétition de la. première rangée, une encoche moins profonde de position 5 est amenée sur le trajet du tâteur 1284, et dans ce cas tune seule impression a. lieu.
Ce qui précède constitue un aménagement grâce auquel les organes tâteurs peuvent être réglés à. la main et comme on le désire pour modifier de façon simple et rapide, le genre d'impression. Il va de soi que la façon de dé couper les encoches clés disques de fig. 85, 86 et 87 ne donne qu'un exemple de la commande d'impression et s'adapte aux transactions bancaires indiquées à titre d'exemple seule ment. Il est très facile de découper les disques de toute autre façon pour obtenir un autre système de commande.
.i1écanisnae d'exploration <I>de la</I> fiche.
Un a prévu un mécanisme destiné à explorer la fiche introduite dans la machine, de manière à obtenir automatiquement le dé brayage du marteau imprimant au cas où aucune fiche n'est placée sur la table 1243 (fig. 84), c'est-à-dire pour empêcher que le marteau vienne frapper le ruban encreur contre la platine et maculer cette dernière.
Le mécanisme d'exploration comprend des organes tâteurs 1315 (fig. 80 et 84) aménagés (le manière à pouvoir traverser une ouverture 1316 pratiquée dans la table 1243, aux fins d'explorer si une feuille de papier se trouve sur ladite table. Si aucune feuille n'est dis posée sur la table, le tâteur 1315 peut se sou lever sur toute sa course et vient. agir sur la course de la bielle 1292 (fig. 83 et 87) pour empêcher le segment 1275 de venir au-des sous du goujon l'240. On a vu que, pour cette position, le marteau 1246 ne fonctionne pas.
Le tâteur 1315 (fig. 84) est guidé dans son mouvement vertical par l'arbre 1254 et un autre arbre 1317 porté par les bâtis. Il est articulé, d'autre part, à sa partie inférieure à un levier coudé 1318 fixé sur un arbre<B>1319</B> porté par les bâtis 181 et 192. Une branche du levier coudé 1318 est sollicitée par un res sort 1320 attaché, d'autre part, en 1321 sur le bâti 192. L'arbre 1319 porte encore un bras 1322 auquel est. articulée une bielle 1323 re liée, d'autre part, à un bras 1324 tournant sur un arbre 1325 porté par les différents bâtis.
Le bras 1324 se termine par un doigt 1326 qui se trouve normalement en contact avec une équerre 1327 (fig. 84) d'un cliquet 1328 pivotant en 1329 sur un bras de came 1330. L'équerre 1327 procure donc un moyen de fixer la position du tâteur 1315 par rap port à la l:able 1243. Le bras de came 1.330 pivote également sur l'arbre 1325, et un galet. <B>1331.</B> est. maintenu, sous l'action d'un ressort <B>1333,</B> cri contact avec une carne 1332 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273.
L'arbre 1276 porte, d'autre part, un seg ment 1335 (fig. 83) qui peut être placé sur le trajet d'une équerre 1336 de la bielle<B>1292,</B> < le sorte que, lorsque le segment 1335 est bas- culé dans le sens senestrorsltrn, le sëgment vient se placer sous l'équerre et empêche l'abaissement de la bielle 1292. L'arbre 1276 supporte encore un autre segment 1334 (fig.- 84) qui est solidaire d'un bras 1337 (fig. 82) muni d'un goujon 1338 en prise avec un bras 1339 pivotant sur l'arbre 1325.
Le bras 1339 comprend une partie 1340 en forme de segment dont -unie arête 1341 se trouve être légèrement au-dessous de l'arête 1342 du bras 1324 (fig. 81). Lorsque l'arbre d'imprimerie 1273 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 84), le ressort 1333 fait basculer le bras 1330 dans le même sens pour amener le cli- quet 1328 et son équerre 1327 hors du trajet du doigt 1326, ce qui a pour effet. de livrer le bras 1324 et la bielle 1323 à l'action du ressort. 1320 qui, agissant sur cette bielle, fait tourner le levier coudé 1318 pour sou lever le tâteur 1315.
Si âucune fiche n'est disposée sur la table 1243, le tâteur 1315 est soulevé et le ressort 1320 déplace la bielle 1323 vers la droite pour amener le doigt 1326 à suivre l'équerre 1327. Le bras de came 1330 pivote donc de son amplitude complète, de sorte que l'équerre 1327 est amenée au-delà d'une arête 1343 (fig. 82), après quoi l'équerre 1327 tombe derrière cette arête, dans une encoche 1344 pratiquée dans le bras 1324, sous l'action d'un ressort 1345 tendu entre le cliquet 1328 et le bras de came 1330.
Lorsque l'équerre 1327 se trouve dans l'en coche 1344, derrière l'arête 1343 du segment 1340 et lorsque le bras de came 1330 est ra mené à sa position par la came 1332, le cliquet 1328 fait basculer le segment 1340 dans le sens dextrorsum, entraînant le bras 1337 et l'arbre 1276 dans le sens contraire, ce qui a pour résultat de placer le segment 1335 (fig. 83) au-dessous de l'équerre 1336 pour empêcher l'abaissement de la bielle 1292 et, par conséquent, le fonctionnement du mar teau imprimant.
Si, au contraire, une fiche est disposée sur la table 1243, le tâteur 1315 est arrêté dans sa course ascendante par la fiche et le levier coudé 1318, la bielle 1323 et le bras 1324 sont eux-mêmes arrêtés dans leur mouvement. Par conséquent, lorsque le bras de came 1330 tourne dans le sens senes- trorsum, l'équerre 1327 du cliquet 1328 se dé place le long de l'arête 1342 du segment 1324 et ne peut pas tomber sur le trajet de l'arête 1343 du segment 1340.
L'équerre 1327 est, par suite, maintenue hoirs du trajet de l'arête 1343, et lors du mouvement de retour du bras de came 1330, l'équerre 1327 du cliquet 1328 ne peut pas basculer le segment. 1340. L'arbre 1276 reste donc stationnaire ainsi que le seg ment 1335. De ce fait, la bielle 7.292 (fi-. 83 peut fonctionner librement et. le marteau imprimant. effectuer sa fonction.
Avanceincnt <I>de la</I> fiche. <I>- Galets</I> de tension. Il est nécessaire d'obtenir un déplacement. de la fiche et de son duplicata, de faq.on que deux impressions puissent être .faites au cours de la même opération sur l'original et sur la copie. Cet avancement se fait. au moyen de galets d'avancemént qui sont normalement éloignés l'un de l'autre, de façon que la. fiche ou la. pièce de caisse puisse être insérée facile ment.
Dès le début du fonctionnement, ces galets sont amenés en contact avec le papier non seulement pendant l'avancement de la fiche, mais également pendant l'impression, de manière à maintenir la fiche dans la posi tion convenable pendant la frappe.
Le mécanisme de commande des galets de tension est. représenté à la fig. 97. Deux galets supérieurs 1355 sont montés rotatifs sur l'ar bre fixe 204 et deux galets inférieurs 1356 (fig. 96 et 97) sont mobiles et peuvent venir en contact avec les galets fixes 1355. Les deux galets 1356 sont couplés par un manchon 1357 et sont montés fous sur un arbre<B>1358</B> porté par deux bras 1359 fixés sur l'arbre 1317 mentionné plus haut. Cet arbre porte, d'autre part, un bras 1360 relié, par une bielle 1362, à. un bras de came 1361 dont un galet 7.363 est maintenu en contact, sous l'action d'un ressort 1365, avec une came 1364 fixée sur l'arbre 1273.
Lorsque la came 1364 est en position de repos (fig. 97), les galets de tension 1356 sont dans leur position infé rieure, écartés des galets fixes 1355.
Dès que la machine a. commencé son opé ration, la came 1364, tournant. clans le sens senestrorsuni, fait basculer le levier 1361, et ce mouvement est transmis par les pièces dé crites à l'arbre 1317 qui soulève les galets 1356, lesquels viennent serrer le papier contre les galets 1355.
Vers la fin du cycle, après que toutes les opérations d'impression ont été effectuées, les pièces sont ramenées à la position initiale (le fig. 97. 3Iécariis n.e d'a.i :iiicE-iiicïet <I>(le la</I> fiche. Une fois que les galets de tension 1356 sont amenés dans leur position supérieure et.
une fois que la. première impression a été faite sur la. fiche, ces galets l356 reçoivent un mouvement de rotation dans le sens senes- trorsum pour produire un déplacement de la fiche sur une distance suffisante pour pré parer l'impression suivante à la. position voulue. Des organes sont. prévus pour que l'on puisse, le cas échéant, faire varier à la main la distance de déplacement. de la fiche et adapter ainsi la machine aux formulaires utilisés par la banque ou autre institution.
Le mécanisme d'avancement de la fiche est normalement en position inactive et la ro tation des galets 1356 est commandée par les touches de la première et de la deuxième rangée de transactions, de sorte que le méca nisme d'avancement devient actif pour cer taines opérations d'impression. Si le méca nisme d'impression est débrayé, de la. manière décrite un peu plus haut, le. mécanisme d'avan cement de la fiche l'est aussi automatique ment. Si, par contre, le mécanisme d'impres sion est opérant pour une impression, le mé canisme d'avancement est également embrayé et la fiche est déplacée suffisamment pour permettre l'impression (le deux documents.
L'arbre 1358 (fig. 94 et 96) porte un pi gnon 1370 en prise avec une crémaillère 1371 reliée, par une biellette 1373, à Lui levier 1372. Ce dernier pivote en 1374 sur le bâti et présente un goujon 1.375 maintenu normale ment en contact avec un curseur 1376 sous l'action d'un ressort 1377. Le curseur 1376 est. guidé par des goujons 1:;7h et il est arti- culé â sa partie postérieure à. un bras de came 1379 pivotant sur l'arbre 1325 et muni d'un galet 1380 coopérant avec une came 1381 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273.
Le curseur 1376 porte un goujon 1382 nor- irialement en contact avec un prolongement <B>1383</B> d'une coulisse 138.1 susceptible de se<B>dé-</B> placer verticalement. Ce mouvement vertical est commandé par des disques de sélection po sitionnés par les touches de transactions, de telle façon que lorsque la. fiche doit rester ,4a1 ionrraire, le prolongement 1383 reste sur le trajet du goujon 1382, tandis que lorsque la fiche doit être déplacée pour deux impres- sic rs, le prolongement 1383 est.
abaissé au- dessous du goujon 138'2. Dans ce cas, et lors que l'arbre d'imprimerie tourne dans le sens senestrorsum, le ressort<B>1377</B> agit sur le le- vier 1372 qui pousse le curseur 1.376 vers la droite (fig. 94) pour amener le galet 1380 en contact avec la périphérie de la came 1381, laquelle fait basculer le bras 1379 dans le sens ,
errestrorsum. Ce mouvement a pour but de déplacer les curseurs 1376 vers la droite et le ressort 7377 tire au contraire la bielle 1373 cl la crémaillère 1371 vers la gauche pour l'aire tourner le pignon 1370 dans le sens dextrorsum. , Il s'ensuit que l'arbre 1358 tourne dans le même sens, mais, comme à ce iiroment L'arbre 1358 est déconnecté des galets d'avancement 1356, ces derniers ne sont animés d'aucuin mouvement de rotation.
La came 1381 continue à tourner et la Tonne de son pourtour fait basculer le bras 1379 dans le sens dextrorsum, déplaçant le curseur 1376 vers la gauche, ce qui, par la bielle 1373 et la crémaillère<B>1371,</B> fait tourner le pignon 1370 et l'arbre 1358 dans le sens senestrorsum. Pendant ce mouvement de rotation de l'arbre 1358, fur embrayage prévu entre cet arbre et les galets 1356 vient en position active, comme on v a le décrire phis loin,
et les galets en question produisent le déplacement de la riche pour que la deuxième impression puisse s'effectuer. L'amplitude de ce déplacement de fiche est déterminée par une plaquette 1385 montée rotative sur l'arbre 1276 et présen tant plusieurs épaulements 1386 qui permet- tent, de faire varier leur distance au point de pivotement. Chacun de ces, épaulements 1386 peut être amené sur le trajet du goujon 1382 en retirant, par exemple, une vis 138 7 . qui est fixée dans le bâti de la machine et en faisant tourner la plaquette 1385 à l'angle voulu. On remet ensuite la vis 1387 pour fixer la pla quette.
Lorsque le curseur 1376 se déplace vers la droite, le goujon 1382 rencontre l'un des épaulements 1386, et l'amplitude de dé placement est déterminée par l'espace qui se trouve entre le goujon 1382 et l'épaulement choisi. Dans la machine représentée, les épau lements 1386 sont aménagés de Tacon que la distance entre deux impressions sur la fiche puisse varier de 15 à. 50 mm par lignes de 5 mm. Bien entendu, ces chiffres ne sont. qu'un exemple.
Le mécanisme d'embrayage entre l'arbre 1358 et les galets 1356 est représenté à plus grande échelle en fig. 98. Sur l'arbre 1358 est fixé un disque 1390 (voir également fig. 96) présentant -une partie cylindrique 1391 qui pénètre à l'intérieur d'une couronne à rochet <B>1392.</B> Coulissant dans une gorge de cette portion cylindrique 1391 se trouve une paire de cliquets 1393 à sens unique et qui sont en prise avec les dents du rochet sous l'action d'un ressort 1394 inséré dans une ouverture percée dans l'arbre 1358. La couronne à ro chet 1392 est fixée à l'un des galets 1356 au moyen de rivets 1395.
Lorsque l'arbre 1358 reçoit sa rotation dans le sens dextrorsum au début de l'opération d'avancement, les cli- quets 1393 glissent sur les dents du rochet. et sont poussés vers l'intérieur, de manière à dé connecter l'arbre 1358 du galet 1356. Un frein 1396 (fig. 94), que l'on décrira plus loin, empêche la rotation accidentelle des galets 1356 pendant cette opération.
Lorsque l'arbre 1358 tourne dans le sens senestrorsum, les cli- quets 1393 s'embrayent avec les dents et en traînent les galets d'avancement 1356 dans le même sens pour assurer le déplacement de la fiche d'une position de déplacement à l'autre. L'embrayage représenté en fig. 98 n'est prévu que pour l'un des galets 1356 puisque l'autre est rendu solidaire du premier. Le mécanisme de frein pour le galet. 1356 comprend un sa bot 1396 (fil-. 94) maintenu en prise avec l'un des galets 1356 sous l'action d'un ressort <B>1397.</B> Le frein 1396 pivote en 1398 sur l'un des bras 1359.
8i, lorsque l'arbre 1358 reçoit son premier mouvement dans le sens dextrorsum, le galet d'avancement 1356 a. tendance à tourner dans le sens dextror;sum par l'intermédiaire des cliquets d'embrayage 1393, la coopération du frein 1396 avec le galet 1356 est telle que ce dernier est coincé contre le frein 1396 et rie peut. tourner. La raison de ce coincement. est. que le point de contact de l'extrémité du frein 1396 se trouve au-dessous du centre de la ligne passant. par le pivot du frein et de l'arbre 1358.
La rotation dans le sens dextror- suin du galet 1356 a, par conséquent, pour tendance de faire basculer le frein 1396 dans le sens contraire, ce qui Se traduit. par un effet de coinçage du ;-alet 1356.
Comme le représente la fig. 96, chacun (les galets 1356 est recouvert d'une matière élastique, par exemple du caoutchouc, pour augmenter l'effet d'adhérence du papier entre les deti_@ galets. On a également. prévit un dis positif pour empêcher une rotation excessive (les galets 1356 à la fin de l'opération d'avan cement. Ce verrouillage comprend une came 1400 (fig. 95) fixée à l'extrémité de l'arbre 1358. Normalement, lorsque la machine est. au repos, la carne 1400 se trouve sur le trajet. d'un cliquet 1401 relié à un deuxième cliquet 1402 par un rivet 1403, et ce dernier est main tenu en contact, avec une roue à rochet 1404 fixée au galet de droite 1356.
Tant que la came 1400 bloque le mouvement du cliquet. 1401, l'autre cliquet 1402 ne peut être écarté des dents du rochet. 1404, empêchant ainsi la rotation du galet 1356. Par contre, lorsque L'arbre 1358 tourne dans le sens dextrorsum, au début de l'opération après que les galets ont. été soulevés en position active, la came 7400 s'écarte du cliquet 1401, laissant un res sort 7.405 agir sur le cliquet 1402, lequel s'écarte du rochet 1404, libérant ainsi les galets 1356 à l'action du mouvement d'avan eeurent. (\oî)i.7rza.7i.clc <I>automatique de</I> !'av .ncem(.id <I>de la</I> fiche.
La position de la coulisse 1384 et de son prolongement 1383 est commandée par deux disques de sélection. 1410 et 1411 (fig. 92, 94). lie disque 1410 est muni de dent internes et est monté sur un disque 1.412 porté par l'arbre 632. Ces dents sont en prise avec un pignon 1413 monté sur l'arbre carré 763 qui, on l'a vu, est commandé par la. deuxième rangée<B>dé</B> transactions. Le disque 1411 (fig. 94) présente également une denture sur un disque 1414 pivotant sur l'arbre 632. ('elle denture engrène avec un pignon 1415 porté par l'arbre carré 743 commandé par la pre mière rangée de transactions.
Un organe tâteur 1416 coopère avec la périphérie du disque 1410 et un organe tâteur 1417 avec celle da disque 1411. Le tâteur 1416 fait partie d'un bloc réglable 141.8 pivotant en 1419 et porté par une bielle 1420. Un res sort à. la.nies 1421 maintient le bloc réglable 1418 dans la position acquise. La bielle 1420 est articulée à un étrier 1423 monté rotatif sur l'arbre 1290, et un bras 1424 de l'étrier porte un goujon 142.1 (fig. 94) normalement, maintenu en contact avec le bras 1296 sous l'action du ressort 1299.
L'étrier 1423 pré sente un second bras 1.426 auquel est articulée la coulisse 1384.
Lorsque la came 1298 tourne dans le sens dextrorsuin pour agir sur le bras 1296, le goujon 1425 et l'étrier 1423 sont livrés à l'action du ressort 1.299, de sorte que la bielle 1420 tend à. se déplacer vers la gauche pour amener le tâteur 1416 et le tâteur 1.417 en contact. avec la périphérie des disques 1410 et 1411.
Si une touche de Dépôt a été en toncée dans la deuxième rangée, l'arbre carré 763 est réglé en proportion, de façon que le disque 1410 présente une encoche aux posi tions 4 ou 8 ait trajet du tâteur 7.416. Pour une opération de Dépôt , aucune touche n'est utilisée dans la première rangée, c'est pourquoi une encoche se trouve à la position 10 du disque 1411.
Pour ce genre d'opération, les (feux tâteurs 1416 et 1417 peuvent, péné trer dans les encoches, de sorte que l'étrier 142') bascule dans le sens dextrorsum pour abaisser la coulisse 1384 et écarter le prolon gement 1383 du trajet du goujon 1382, d'où avancement des galets 1356.
Si l'une des touches de la deuxième rangée de transactions autre que les touches de dépôt est enfoncée, c'est une partie pleine du disque 1410 qui se présente au tâteur 1416. En ce cas, l'étrier 1423 est. arrêté et la coulisse 1384 reste à la position de fig. 94 sur le trajet du goujon 7.382. Dans ce cas, le curseur 1376 est stoppé et il ne se produit aucun avancement de la fiche.
b#i l'on désire modifier la commande du mécanisme d'avancement de la fiche, il suffit de régler le bloc réglable 1418 sur son pivot 1419 pour amener un tâteur 1427 en position de coopération avec un disque de sélection 1428 (fig. 93) et de retirer simultanément le tâteur 1416 du disque 1410. Le disque de sé lection 1428 présente des encoches à d'autres positions qui correspondent à un autre sys tème comptable. Le disque 1428 est positionné par la deuxième rangée de transactions, comme le disque 1309.
<I>Impression dit</I> bordere#u.
Un bordereau de contrôle est imprimé, comme on l'a indiqué plus haut, et l'impres sion comprend le numéro de la machine, le numéro consécutif, un symbole de trans action, le montant et un symbole du genre d'opération (voir fig. 106). L'imprimerie du bordereau forme la section centrale de l'im primerie (fig. 1.), entre les bâtis 181 et. 192 (fig. 7, 78A et 78B). Le mécanisme est monté dans une sorte de chariot amovible qui peut être retiré clé la machine à volonté. Le mé canisme glisse sur des rails fixés à la base.
Ce chariot est toutefois normalement verrouillé sous la commande de la serrure 1.23 (fig. 1, 2 et 55). Lorsqu'on déplace cette serrure vers l'avant, un verrou de porte est libéré, de sorte que la porte d'imprimerie peut pivoter sur ses gonds intérieurs, ce qui découvre des verrous manoeuvrables à. la main, permettant. de retirer le chariot d'impression. Si ce cha- riot est retiré simplement pour remplacer la réserve de papier, on glisse ce chariot vers l'avant jusqu'à ce qu'on rencontre une butée.
Pour cette position, tous les galets de gntidage et d'avancement du bordereau sont accessi bles facilement, ce qui permet d'enlever l'an cienne bande de papier et. de remettre un nouveau rouleau. Le retrait. du chariot porte- papier constitue un perfectionnement par rapport aux machines usuelles dans lesquelles les galets d'avancement et de guidage restent dans la machine, rendant plus difficile le remplacement de la réserve de papier.
Un autre perfectionnement de ce méca nisme d'impression du bordereau consiste. en ce que le chariot peut être complètement en levé de la machine en soulevant l'extrémité antérieure de chariot, lorsque celui-ci est arrêté par la butée susvisée. Par ce retrait complet hors de la machine, on obtient, entre autres, trois résultats nouveaux: 1 Le chariot, portant le bordereau de contrôle avec les transactions de la journée, peut être retiré et conservé par exemple dans un coffre-fort.
2 Si une application établie par l'usager de la machine est telle que l'on désire avoir un bordereau séparé pour chaque caissier, ou si la machine peut être utilisée pour une autre application avec un bordereau séparé pour chaque employé, chacun de ceux-ci possède son propre chariot de bordereau qui peut être inséré dans la machine lorsque le caissier prend son service.
3 Si, pour une raison quelconque, on dé sire avoir la signature d'un client, sur le bor dereau de contrôle, le chariot petit être retiré de la machine et on le porte au client qui peut signer sur le bordereau au travers d'une ouverture appropriée, après quoi le cha riot est remis dans la machine.
Bien entendu, ces trois possibilités ne sont. pas restrictives, et. l'amovibilité du chariot peut. encore présenter beaucoup d'autres avantages suivant les applications envisagées. La serrure 123 empêche en tout cas toute personne non autorisée de retirer le chariot. Chariot porte-bordereau.
Le bâti du chariot porte-bordereau est re présenté aux fig. 103 et 104 et comprend deux flasques 1231 et une plaque de base <B>1232</B> sur laquelle pivote une porte l233, au moyen de charnières 1234 (voir aussi fig. 99 et 107). La porte 1233 est. constituée par une partie verticale et une partie horizontale, cette dernière présentant une ouverture 1235 normalement fermée par une fenêtre compre nant une partie fixe 1237 et une partie mo bile 1236 en verre, pour empêcher tout accès non autorisé au bordereau.
L'ensemble constitué par les flasques 1231, la base 1232 et la. porte<B>1233</B> peut cou lisser dans la machine sur une paire de rails 1238 supportés par six bossages 1239. Des vis 12401 permettent de fixer les rails aux bos sages (fig. 103). Sur chaque flasque 1231, vers l'arrière de ceux-ci, se trouve un goujon 12411 en prise avec les faces inférieures des rails, lorsque le chariot est dans la machine.
Deux blocs 12421 montés à l'avant de chaque flasque 1231 se prolongent vers l'intérieur pour être en prise avec les rails 1238 lorsque le chariot est dans la machine, et chaque rail 1238 est muni d'une encoche 12431. Lorsqn'en déplace le chariot vers l'arrière de la machine, les goujons 12411 étant. placés sous les rails 1238, les encoches des blocs 12421 viennent en prise avec les encoches 12-131 des rails, ce qui fixe le chariot dans la position voulue.
Les rails 1238 présentent, sur les faces internes, des encoches 12441 en prise avec une paire de verrons 12451 pivotant sur un gou jon 12461 de la base 1232. Un ressort 121-71 sollicite les verrous 12451, de façon que ces derniers s'engagent dans les encoches 1243-1. Un téton 12481, monté sous la base 1232, s'en gage dans une fente 12491 des verrous 12451, de manière à limiter leur mouvement lorsque le chariot est retiré de la machine.
Les encoches 12441 ont une forme telle que lorsque les verrous 12451 sont en prise avec elles, le chariot reste solidement ver rouillé dans sa position. Pour retirer le cha riot, l'opérateur saisit les poignées<B>12501</B> des verrous et les presse l'une contre l'autre, ce qui dégage les verrous 12451, permettant de retirer le chariot. Des équerres 12511, soli daires de la base 1.232, viennent en contact avec une traverse 125'1 (voir également fig. 78A) et arrêtent le chariot lorsque celui-ci est retiré suffisamment pour donner accès au bordereau de contrôle. S'il désire retirer com plètement le chariot, l'opérateur bascule ce dernier vers le haut pour soulever les équerres 12511 au-dessus de la traverse, ce qui libère le chariot.
Les goujons 12411 cons tituent Lin moyen de maintenir le chariot en position horizontale lorsqu'on retire partielle ment le chariot vers l'avant sans l'enlever complètement et grâce à. l'engagement, de ces goujons avec la face inférieure des rails 1238, lorsque le chariot est tiré vers l'avant suffi- samment pour être basculé vers le bas par le propre poids.
Certains mécanismes pour entraîner la platine d'impression et les dispositifs d'avan cement du papier ou encore pour commander leur fonctionnement sont actionnés par l'ar bre à cames principal. Ces mécanismes restent naturellement dans la machine, lorsque le chariot porte-bordereau est enlevé. Les dispo sitifs qui restent sur le chariot doivent s'ali gner avec ceux qui restent dans la machine et, pour obtenir leur alignement convenable, les flasques 1231 présentent des fentes de guidage l2531 (fig. 107) coopérant. avec des goujons 12541 portés par les bâtis 1.92 et 193, au moment où le chariot atteint sa position limite dans la machine.
Ces goujons 12541 comportent des gorges annulaires avec parois coniques, de manière à guider convenable ment les flasques dans la. position pour la quelle le mécanisme d'entraînement de la pla tine, de déplacement. du papier porté par le chariot s'adaptent exactement. avec les organes d'actionnement. La gorge annulaire prévue dans les goujons 12541 est visible à la fi-. 78B qui représente la machine sans le chariot porte bordereau. Z erro-ttillage <I>de</I> la <I>porte (lit</I> bordereaie.
On a indiqué plus haut que l'ouverture de la porte donnant accès normalement au bor- dereau de contrôle est sous la commande de la serrure-glissière 123 (fig. 55). Le goujon 1147 qui pénètre dans le chemin de came 1.146 de la glissière<B>1139</B> est articulé à une bielle 1-160 (fig. 55, 78B et 99). La partie inférieure de la bielle 1460 est articulée à un bras 1461. d'un étrier 1462 pivotant sur l'arbre 1;390 et disposé entre les bâtis latéraux de la machine.
L'étrier 1462 présente un deuxième bras 1463 près du bâti 192 et est articulé à, une bielle 7-161- munie d'une fente de guidage sur un goujon 1465. La partie antérieure de la bielle 1464 est munie d'une équerre 1466 se trouvant dans le plan d'un téton 1467 porté par un verrou de porte 1468. Ce dernier est fixé sur un arbre 1469 monté dans les flasques<B>1231.</B> (lit chariot. L'arbre 1469 porte un autre ver rou 1470 identique au verrou 1468, mais qui ne porte pas de téton 1467.
Lorsque le chariot est verrouillé dans la machine, les verrous 1468 et 1470 viennent en prise avec des en- eocl(e.s 1471 prévues sur des supports 1472 et 1473 respectivement (fig. 107 et 108), sup ports qui sont montés sur la porte 1233 au moyen clé vis 1474 et 1475.
Lorsque les ver rous 1468 et 1470 sont à la position- de fig. 99, ils sont en prise avec les supports 1472 et 1473, de sorte que la porte 1233 est maintenue dans sa position de fermeture. Lorsqu'on dé place la serrure 123 vers l'avant, le chemin de came 1146 soulève la bielle 1460 et fait pi- i-oter l'étrier 1462 dans le sens dextrorsum, mouvement qui est transmis à la bielle 1.-164, laquelle coulisse vers la gauche (fig. 99) pour amener l'équerre 1466 à coopérer avec le gou jon 1467.
Il en résulte que le verrou 1468 pi vote en entraînant l'arbre 1469 et l'autre ver rou 1470, ce qui dégage les verrous des en coches 1471. De ce fait, l'opérateur peut ouvrir la porte 1233 (fig. 107) pour avoir accès aux poignées 12501 (fig. 103) qui lui permettent de libérer le chariot porte-borde- reau des rails 1238.
Le chariot peut être tiré vers l'avant jusqu'à ce que les équerres 12511 butent contre la traverse 12521 et, dans cette position, les goujons 12-111 sont en contact avec la partie inférieure des rails 1238, main- tenant ainsi le chariot dans une position hori zontale donnant cependant accès au borde reau. Pour cette position, la partie imprimée du bordereau peut être extraite et l'extrémité de la bande de papier peut être passée autour de la bobine de réception.
Avant que le chariot soit. inséré dans la machine ou après que ce dernier y soit ver rouillé, l'opérateur peut amener la serrure- glissière 123 dans la position active, ce qui abaisse la bielle 1460 et fait pivoter l'étrier 146\3 et le bras 1463 dans le sens senestror- sum. Il en résulte (fia. 99) que les verrous 1468 et 1460 basculent dans une position pour laquelle ils viennent en prise avec les enco ches 1471 des supports 1.472 et 1473 de la porte.
Pour obtenir ce mouvement de bascule- ment des verrous, un ressort 1476 est. placé sur le moyeu du verrou 1468, une extrémité de ce ressort étant fixée au verrou alors que l'autre extrémité appuie sur un goujon 1477 porté par le flasque gauche 1231 du chariot. La tension de ce ressort 1476 est telle que lors que l'équerre 1466 est dégagée du goujon 1467, ce ressort fasse osciller les verrous et l'arbre 1469 dans le sens senestrorsum dans une position qui correspond à l'engagement. avec les encoches 1471.
Pour limiter le mouvement d'ouverture de la porte 1233 et éviter que les charnières 1234 soient endommagées, il est prévu une paire de bielles à genouillère 1481 et 1482 (fig. 107) reliées par un petit axe 1483. L'extrémité su périeure de la bielle 1482 pivote sur un arbre 1484 porté par les flasques du chariot. L'extrémité supérieure de la bielle 1481 pré sente un goujon 1485 pouvant coulisser dans une fente 1486 pratiquée dans le support de gauche 1473. Lorsque la porte 1233 est ouverte, la genouillère constituée par les bielles 1481 et 1482 est tendue et l'ouverture de la porte se trouve ainsi limitée par le gou jon 1485 qui vient buter contre l'extrémité de la fente 1486.
Pour cette position, la porte est à peu près horizontale (fig. 107), ce qui donne un accès suffisant au mécanisme de bordereau. Support <I>de</I> bordereau <I>et</I> organes <I>de</I> gr4idage. Le bordereau de contrôle est une bande enroulée en une bobine 1491 (fig. 100 et 101) et munie d'un noyau creux ou manchon 1492 supporté à son extrémité de droite (quand on regarde la machine de face) par un goujon 1493 (fig. 101) supporté par le flasque de droite 1231.
Le flasque de gauche du chariot présente un goujon coulissant 1494 (fig. 102) sur l'extrémité duquel pivote le manchon 1492. Le goujon 1494 présente une gorge annulaire 1495 dans laquelle pénètre un plon geur élastique 1-196 lorsque la bobine est en position. Ce plongeur peut coulisser dans un logement 1497 à l'intérieur duquel se trouve un ressort 1498 qui pousse le plongeur 1496 vers l'extérieur. Une nervure 1490 est prévue sur le logement 1497 pour limiter le mouve ment vers le bas du plongeur 1496. Lors qu'on désire retirer le manchon 1492 de la machine, il suffit de saisir un bouton moleté 1500 et de forcer le goujon 1494 vers la gau che (fig. 102) jusqu'à, ce qu'une autre gorge annulaire 1501 vienne en prise avec le plon geur 1496.
Les parois des gorges 1495 et 1501 sont légèrement coniques pour faciliter le mouvement qu'on vient de décrire. Par con tre, l'arête de droite de la gorge 1501 est ver ticale pour empêcher que le goujon 1494 puisse être retiré complètement. Lorsque ce goujon est dans sa. position de gauche, le man chon 1492 peut être retiré et l'on peut placer une nouvelle bobine sur le goujon 1493, après quoi -l'on presse à nouveau le goujon 149-1 vers la droite.
La bande de papier 1502 (fig. 105) est guidée par un galet 1503 et par un autre galet 1499 porté par le bâti de chariot. Ce bâti est pivoté en 1506 sur les flasques 1231 du bâti du chariot. Du galet 1499, la bande passe autour d'un rouleau 1505 porté par les flasques 1231 du chariot et de là sur un galet 1507, puis une table 1509 (fig. 101) portée par les flasques 1231. La bande est passée autour d'un galet 1510, d'un autre galet 1512 porté par un axe 1541 lui-même supporté par le bâti basculant 1517 et enfin sur un galet 1513 pour arriver à une bobine de réception 1515 (voir aussi fia. 105 et. 109) où elle est fixée de toute manière appropriée.
Pendant le fonctionnement de la machine, la bobine 1515 redoit un mouvement. de rota tion pas à. pas, pour faire avancer la bande de contrôle sur les galets de guidage décrits ci-dessus.
.;l ra.iieemrrrt <I>dit</I> bordercair.
Lorsque la machine est au repos, les six dernières lignes d'impression sont visibles à travers la glace<B>1.237</B> (fig::. 99 et 108) et, pen dant le fonctionnement, la bande de papier 1502 est déplacée pour amener la dernière impression d'une position de lecture L (fig. 101) à. une position d'impression I , alors que, simultanément, la bande est, espacée d'une ligne, ainsi qu'on va le voir. L'impres sion sur la. bande se fait lorsque celle-ci se trouve à. la, position d'impression et. ensuite la bande est ramenée vers l'arrière pour qtie la dernière ligne soit. visible à travers la fe nêtre.
Pour amener le papier de la position de lecture à la position d'impression, le bàti 1517 (fig. 101) est basculé dans le sens det- trorsum pour soulever le galet. de guidane 1.499 et former une boucle de la bande 15,12 et simultanément abaisser le galet, 1512 qui, lui, rattrape cette boucle. Ce déplacem nt avec l'espacement simultané est suffisant pour amener le bordereau à une position d'impres sion.
Le mouvement de baseulement du bâti 1517 est obtenu au moyen d'une bielle 1520 (fig. 10l.) articulée sur un goujon 1521 du bâti 1517. L'autre extrémité de la bielle 1520 est articulée à un levier coudé 1533 monté sur un goujon 7.523 du flasque gauche 1231 du chariot. Le levier coudé, la bielle 1520 et le bâti basculant 1517 sont supportés par les flasques<B>1231.</B> et, lorsque le chariot est retiré de la. machine, ces éléments le sont également.
Pour faire basculer le bâti 1517 pendant le cycle, ce mécanisme est relié automatiquement à un dispositif dérivant, son mouvement de l'arbre d'imprimerie 1273.A cet effet, le le vier 1533 présente une encoche 1524 qui forme un guidage pour un goujon 1525 porté par un levier 1526 pivotant. sur le goujon 12541 mentionné plus haut et qui est porté par le bâti 192 de la machine (fi,-. 78B). Le levier 1526 est articulé à une bielle 1527 dont. l'autre extrémité présente une encoche 1528 qui peut être abaissée en prise avec un goujon 1529 porté par un bras de came 1530.
Ce dernier pivote sur l'arbre 1325 et est. muni de deux galets<B>1531</B> coopérant avec une dou ble came 1532 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273. L'encoche 1528 est. normalement éloignée du goujon 1529, mais elle est abaissée automa tiquement à chaque opération pour laquelle une impression est. nécessaire sur le bordereau de contrôle. On a déjà indiqué que, dans l'exemple comptable décrit, la seule opération pour laquelle une impression n'est pas néces saire sur le bordereau est celle qui fait appel à la touche Add. de la rangée 1 et à la touche Add.-Impr. (le la rangée 2. Pour toutes les autres opérations, la bielle 1527 est.
abaissée automatiquement, pour relier fotie- tionnellement l'avancement de la, bande au mécanisme de commande de la machine.
Ilorsque cette dernière fonctionne avec la bielle 1527 dans sa position abaissée, la. came 1532 fait basculer le bras<B>1.530</B> dans le sens senestrorsuru pour déplacer la bielle 1527 .-ers la droite (fig. 101) et osciller ainsi le levier 1526 dans le même sens, mouvement qui se traduit - grâce à la bielle 1720 - en un basculement du bâti 1517 dans le sens dex- trorsum pour déplacer la bande de papier de la position de lecture à la position d'impres sion.
Après l'impression, la came 1532 conti nuant à tourner, les pièces sont ramenées vers la position initiale et, pendant. ce mouvement, la bande de papier est. déplacée de façon telle que la dernière ligne d'impression vienne se placer à la position de lecture. La. bobine de réception 1515 est montée exactement comme la bobine de réserve 1.491 et est commandée par un bouton moleté analogue au bouton <B>1500</B> de fin. 102.
Fspacem,en.t <I>des</I> liqnes.
On a indiqué que, lors du déplacement de la bande de papier à la position d'impres sion et vice versa, il se produisait un espace- ment de ligne. L'arbre 1541 qui supporte le galet 1512 du bâti oscillant 1517 s'étend sur le trajet d'un doigt 1542 prévu sur un bras 1543 (fig. 101) pivotant en 1544, c'est-à-dire sur le même axe que la bobine de réception 1515. Un ressort 15.45 maintient normalement le doigt 1542 en contact avec le prolongement de l'axe 1541. Le bras 1543 présente un talon 1546 sur le trajet. d'un goujon 1547 porté par une plaquette 1548 (voir aussi fig. 109).
Un ressort de torsion 1549 tend normalement à maintenir le goujon 1547 en contact avec le talon 1546, de façon que le bras 1543, lors qu'il tourne dans le sens senestrorsiun, en traîne la plaquette 1548. Cette dernière porte un cliquet d'avancement 1551 dont une dent est, sous l'action d'un ressort 1553, en prise avec une roue à rochet. 1552. La roue à rochet est. solidaire de la bobine de réception 1515, de sorte que par la rotation de la roue à ro chet, la bande de papier 1502 s'enroule sur la, bobine.
La plaquette 1548 est à cet effet basculée dans le sens senestrorsum par le ressort 1545 (fig. 101) au moment où le bâti basculant 1517 oscille dans le sens dextrorsum, mouve ment qui a pour effet de livrer le bras 1543 à l'action du ressort 1545, et le talon 1546 vient toucher le goujon 1547 pour faire bascu ler la plaquette 1548 dans le sens senestror- sum, de façon que le cliquet d'avancement 1551 fasse tourner le rochet 1552 d'une dent.
Au moment. où le cliquet 1551 fait avan- eer la roue à rochet, la bande de papier est lâche par suite des mouvements, décrits plus haut, des galets 1499 et. 1512. Pendant ce mouvement, le cliquet d'avancement 1551 dé place la bande suffisamment pour qu'il se produise un interlignage. Lorsque la bande arrive à la position d'impression, le cliquet 1551 a tendu cette dernière qui présente une partie vierge à la ligne @ d'impression.
Pendant le mouvement de retour du bâti oscillant 1517, le galet 1512 relâche à nou veau la bande de papier qui se trouve être ramenée à la position de lecture. A ce mo ment, le bras 1543 oscille dans le sens dex- trorsum à sa position normale, sous l'action de l'arbre 1541 qui vient en contact avec, le doigt 1542. Le ressort 1549 ramène la pla quette 1548 dans le sens dextrorsum pour réarmer le cliquet 1551 pour la prochaine opération.
Le mouvement rétrograde de la roue à rochet. 1552 est empêché par deux cli- quets élastiques 1554 qui sont en prise avec la denture de la roue à rochet. 1552, empê chant celle-ci de tourner dans le sens dext.ror- sum. Ces cliquets pivotent sur des goujons 1555 du flasque 1231 chi chariot, sous l'action d'un ressort 1556.
Au fur et à mesure que la bande de pa pier s'enroule sur la. bobine, le diamètre exté rieur de cette dernière augmente, et il faut, par conséquent, que l'avancement. angulaire de la bobine diminue en conséquence pour que l'interlignage soit régulier. La différence, de cet. avancement angulaire est compensée automatiquement par le mécanisme suivant: Le galet 1512 porté par le bâti basculant 1517 se trouve plus près du point de pivote ment de ce bâti que ne l'est le galet de gui dage 1499. Lorsque le bâti oseille dans le sens dextrorsum, le galet 1499 donne à la bande suffisamment de jeu pour amener la dernière ligne d'impression une ligne plus loin que la position d'impression.
Pendant ce mou vement dextrorsum du bâti oscillant 1517, le bras élastique 1543 agissant par le talon 1546 et le goujon 1547 fait basculer la plaquette 1548 dans le sens senestrorsum pour repren dre l'excès de jeu sur la bobine de réception 1515. L'amplitude de rotation de la bobine dépend du diamètre de cette dernière et, au fur et à mesure que le diamètre augmente, le mouvement angulaire du bras 1543 et de la plaquette 1548 est proportionnellement plus petit. La variation du déplacement angulaire est obtenue grâce à l'actionnement du bras 1543 par le ressort 1545 qui est suffisamment. fort pour tendre la bande 1502, mais toutefois pas suffisamment fort pour tirer la bande clé papier de la bobine de réserve 1491.
Le doigt. 1542 du bras 1543 suit le prolongement de l'axe 1541 suffisamment loin pour tendre la bande. Pendant le mouvement de retour chi bâti oscillant 1517 dans le sens senestror- sum, le galet 1499 se déplace sur une plus grande distance que le galet 1512 et, comme à ce moment-là, la bobine de réception ne peut tourner en arrière, par suite des cliquets 1554, le galet 1499 tire de la bobine de ré serve une portion de bande suffisante pour faire un espacement d'une ligne.
Frein <I>pour lu</I> bobine <I>(le</I> réserve.
Pour éviter l'emballement de la bobine de réserve, lorsque la bande de papier en est tirée, au moment. du basculement chi bâti oscillant<I>151'ï,</I> ii est. prévu un système de frein 1560 (fig. 101 et. 105). Ce dispositif comprend - une plaque pivotant en 1561 et qu'un ressort 1562 maintient normalement en contact avec la périphérie de la bobine. Ce ressort peut être réglé, pour assurer la ten sion convenable, au moyen d'une vis 1a64 en prise avec une encoche 1565. Il est prévu quatre de ces encoches dans un disque<B>1563.</B> La vis 1564 est fixée au flasque de gauche 1231 du chariot.
En tournant l'arbre<B>1561</B> dans le sens senestrorsum, on peut tendre le ressort, tandis qu'une rotation contraire di minue la pression. Ce réglage permet de dé charger le bâti oscillant et d'empêcher la bo bine 1491 de tourner dans le sens dextrorsum une fois que le papier a été déplacé en posi tion d'impression.
Quand on remplace la bobine, il est pré férable que le frein 1560 soit maintenu hors de portée de l'opérateur et, à cet. effet, ce dernier pousse le frein 1560 dans le sens dextrorsum (ïig. 101) jusqu'à ce qu'un goujon 1566 vienne sur le trajet d'une encoche 1.567 prévue dans un verrou 1568. Ce dernier pi vote en 1569 sur le bâti de chariot et un res sort<B>1570</B> tend à. le faire tourner dans le sens dextrorsum. Lorsqu'on déplace le frein 1560 comme indiqué, le ressort 1570 a pour effet d'amener brusquement l'encoche 1567 en prise avec le goujon 1566, ce qui maintient le frein en position inactive.
Pour faciliter le passage de la bande de papier sur les différents galets de guidage et plus particulièrement le, galet 1499, l'opéra teur fait basculer le bâti 1517 dans le sens dextrorsum pour amener le galet. 1499 dans sa position supérieure.
Ce mouvement doit être effectué avant de placer la nouvelle bo bine de papier, de sorte que, lorsque l'opéra teur déplace le i.'rein 1560 dans le sens dex- trorsuni pour le verrouiller en position inac tive, l'extrémité supérieure du verrou 1568 vient sur le trajet du galet 1.199. Une fois que la bande est passée autour de ce dernier et autour des autres guides 1505 et 1507 et enfin sur le galet 1510, l'opérateur ramène le bâti 75l 7 dans le sens senestrorsum pour abaisser le galet 1499 et soulever le galet 1512 dans une position plus accessible.
Pendant ce mou , veinent., le galet 1499 vient en contact avec le cliquet 1568 et le fait basculer dans le sens senestrorsum pour dégager l'encoche 1567 du ronjon 1566 et. ramener ainsi le frein 1560 à. six position active.
Pour faciliter également le guidage de la bande 7502 sur les galets 1505 et 1512 au ion lent où l'on place une nouvelle bobine, il est prévu des plaques de guidage <B>1572</B> et 1:i73 disposées sur le bâti oscillant 1517.
.1 ranceint ii.t inaizuel <I>du</I> bordereau <I>de</I> contrôle. Lorsqu'on fait une inscription manuscrite sur le bordereau, il faut que ce dernier puisse î4re espacé jusqu'à. la ligne suivante pour éviter que l'impression subséquente coïncide avec l'inscription manuscrite. Dans la ma chine représentée, l'ouverture qui permet de l'aire ces inscriptions est normalement fermée par la glace 1236 (fig. 99 et 108) et doit être ouverte pour donner accès au bordereau.
Un levier 1575 permet à. la fois d'ouvrir la. glace 1236 vers l'avant de la machine et d'inter- li-ner le bordereau.
(fie levier 1575 pivote en 7..184 (fig. 107) siir le bâti 1e31 et il comprend un doigt 1576 orienté vers le haut, qui peut venir en prise avec un goujon 1577 porté par un coulisseau <B>17</B> )78 dépla < ,able sur les supports 1472 et 1-173 de la porte<B>1.233</B> (voir aussi fig. 108). Le coulisseau 1578 supporte le porte-glace 1236 et est normalement maintenu en position fermée par des ressorts 1574.
Lorsque le levier 7575 est basculé dans le sens senestrorsum, le coulisseau 1578 et déplacé vers l'avant (la gauche), ce qui donne accès au bordereau. Si multanément, lorsqu'on fait basculer le levier 1575, une encoche 1579 de ce dernier vient en prise avec un téton 1580 (fig. 99) porté par un bras 1581 fixé à un arbre 1582, lequel, par -conséquent, oscille dans le sens dextror- sum. Près de l'extrémité de droite du chariot se trouve un deuxième bras 1581 muni d'un goujon 1580 en prise avec une encoche d'un bras 1583 pivotant. en 1484 sur le flasque de droite 1231.
Une biellette 1585 relie le bras 1583 à un levier coudé 1586 pivotant en 1587. Une bielle 1588 relie ce levier à un cliquet d'avancement l.589 pivotant en 1.590 sur le bâti 1231. Un ressort 1592 agissant sur le le vier coudé 1586 maintient normalement ce dernier dans la position qui correspond à la position supérieure du levier<B>1575.</B>
Lorsqu'on abaisse celui-ci, la chaîne méca nique décrite produit le basculement dans le sens dextrorsum du cliquet 1589 qui vient en contact avec un goujon 1591 porté par la pla quette 1548, laquelle, par conséquent, bascule dans le sens senestrorsum, ce qui, on l'a vu, produit, grâce au cliquet 1551, l'avancement du bordereau. La table 1509 (fig. 101) qui sert à faire les inscriptions manuscrites se trouve au-dessous d'une ouverture pratiquée dans la glace 1236 et facilite ainsi les inscrip tions que l'opérateur peut avoir à faire au crayon ou à. la plume.
Verrouillage <I>du bâti du bordereau.</I>
Il est nécessaire de verrouiller le méca nisme de déplacement ou de pivotement. du bordereau dans sa position normale, lorsque le chariot. est retiré de la machine et lorsque l'encoche 1524 du levier 1533 (fig. 101) est dégagée du goujon 1.525. Le mécanisme qu'il y a lieu de verrouiller comprend le levier coudé 1533, la bielle 1520, le bâti oscillant 1517 et le bras 1543. Un verrou 1600 est prévu pour maintenir le mécanisme ci-dessus décrit dans la position de fig. 101, jusqu'à ce que l'opérateur désire faire basculer le bâti 1517 dans le sens senestrorsum pour insérer une nouvelle bande de papier.
Le verrou 1600 (fig. 100, 101 et 105) pi vote sur un goujon 1601 du bâti 1231 du chariot, et un ressort. de torsion 1602 le solli cite dans le sens senestrorsum. In prolonge ment 1604 du verrou 1600 est en contact. avec un goujon 1605 du bâti fixe 192 lorsque le chariot est inséré dans la machine, comme re présenté en fig. 101. Pour cette position, le verrou 1600 est maintenu par son épaulement. 1606 en prise avec le goujon 1521 porté par le bâti oscillant<B>1517,</B> constituant. ainsi un pivot pour la bielle 1520.
Lorsque le chariot, est. déplacé vers l'avant, le doigt 1604 est écarté du goujon 1605, de sorte que le ressort 1.602 peut. faire pivoter le verrou 1600 dans le sens senestrorsum jusqu'à. ce que l'épaule ment 1606 vienne en contact avec le goujon <B>1521,</B> comme représenté en fig. 105. Le temps auquel s'effectue ce mouvement du verrou 1600 est tel que l'épaulement 1606 est en posi tion active, c'est-à-dire en contact avec le gou jon 1521, avant que l'encoche 1.52-1 soit com- plètement dégagée du goujon 1525 porté par le levier coudé 1526.
Par conséquent, lorsque le chariot est retiré de la machine, le bâti oscillant 1.517 est verrouillé dans la position de fig. 101 et 105. Lorsque le chariot est. dans la machine, le verrou 1600 occupe la position représentée en traits pointillés en fig. 105.
Lorsqu'on désire changer le bordereau, il suffit. de faire basculer le verrou 1600 dans le sens dextrorsum dans la position repré sentée à. la fig. 105, ce qui livre le bâti oscil lant 1517 à l'action du ressort. 1545 pour per mettre de faire pivoter le bâti 1517 dans le sens dextrorsum. Une fois que la, bande de papier est passée convenablement entre les différents guidages et notamment le galet <B>1505,</B> l'opérateur bascule manuellement le bâti <B>1517</B> dans le sens senestrorsum jusqu'à.
ce que le verrou 1600 vienne en prise avec le goujon 1521 pour maintenir le bâti oscillant dans sa position normale représentée en fig. 101 et 105.
(\ovi.rriaiide <I>automatique clic</I> irzéc(iidsuie <I>(1e</I> (Zépla.cenar,rt.t du bordereau.
On a indiqué plus haut. que le mécanisme déplaçant le bordereau se trouve normale- ment. en position inopérante, c'est-à-dire que l'encoche 1528 (fig. 101) de la bielle 1527 est normalement écartée du goujon 1529. Lors qu'on désire déplacer le bordereau et l'inter ligner, par conséquent, il faut que l'extrémité de droite de la bielle 1527 soit abaissée pour que l'encoche 1528 vienne en prise avec le goujon<B>1529.</B> Ce mouvement d'abaissement est commandé automatiquement par deux disques de sélection 1620 et 1621 (fig. 99 et 101).
Le disque<B>1620,</B> eomitie ceux décrits pré cédemment, présente une denture interne 1622 en prise avec un pignon 1623 monté sur l'arbre carré 763 positionné, on l'a vu, par la deuxième rangée de touches de transactions. Le disque 1621 présente également unie den ture interne en prise avec un goujon 1624 porté par l'arbre carré 713 qui est positionné par la première rangée de transactions.
Une bielle 1625 relie la bielle<B>1527</B> à un bras 1626 d'un étrier<B>1627</B> (,voir aussi fig. 7810, dont. l'autre bras<B>1.628</B> porte un goujon 1629 normalement en contact. avec un bras 1630 fixé sur l'arbre 1290. Le bras 1626 présente un prolongement 1631 auquel est articulé un organe tâteur 1632, sous forme d'une bielle guidée par une fente 1633 coulis sant. sur un goujon ïixe 1634.
L'autre extré mité de la bielle 1632 présente un goujon 1635 qui est. suffisamment long pour chevaucher les deux disques à encoches 1620 et 1621. Un ressort 1636 tend à déplacer la. bielle 1632 vers la gauche pour que le goujon 1635 soit en contact avec les disques. La position nor male de cette bielle<B>1.632</B> et, par conséquent, de l'étrier<B>1627,</B> est déterminée par la posi tion du bras 1630.
Lorsque la came 1298 (fig. 94) tourne dans le sens dextrorsum pour libérer le bras 1296 et permettre à l'arbre 1290 d'osciller dans le sens dextrorsum, le bras 1630 (fig. 101) tourne dans le même sens en libérant l'étrier 1627 qui peut tourner dans le même sens sous l'action du ressort 1636. Si, pendant cette rotation, une encoche (les deus disques est présentée au goujon <B>1635,</B> le tâteur 1632 peut se déplacer vers la -au- .
ehe, mouvement qui est suivi par l'étrier 16i27. lequel abaisse la- bielle 1625 pour embrayer l'encoche l528 avec le goujon 1529. Le résul tat de cet embrayage est l'avancement auto- ntatique du bordereau de contrôle.
Si, ait contraire, dans le mouvement pré cédemment décrit, le goujon 1635 rencontre une partie pleine des disques 16\Z0 et 1621, l'étrier 1627 est arrêté immédiatement et n'abaisse pas la bielle 1625. L'avancement du bordereau est clone supprimé. Le pourtour des disques :L620 et 1621. n'est indiqué qu'à titre d'exemple pour l'applica tion décrite.
Pour le système en question, la seule opération pour laquelle il n 'v a pas d'impression sur le bordereau et, par consé quent, aucun avancement de ce dernier est celle qui est déclenchée par l'emploi de la touche Add. ou de la touche Add.-Inipr. . C'est pourquoi une partie pleine du disque 16.'20 se trouve à la position 4- et une partie pleine à la position 9 du disque 1621, ces positions correspondant à celles des deux touches en question, respectivement.
Il est bien entendit que l'on peut faire varier le dé coupage des disques pour l'adapter à n'im porte quelle autre application. Impression <I>.sur de</I> bordereau..
Une fois que le bordereau a été déplacé de la position de lecture (fig. 101) à la posi tion d'impression et qu'il a été interligné, une platine d'impression 1650 (fig. 99) est sou levée pour presser la bande contre les carac tères. Cette platine 1650 est portée par iin marteau 1651 et est munie de deus: goujons 165\_' en prise avec les côtés d'encoches 16:ï3 pratiquées (laits les bâtis 1231 du chariot pour constituer un guidage.
Le marteau imprimeur présente deux parties fourchues, l'une près de chacun des bâtis 1231, pour chevatteher des goujons 1654 portés par ces bâtis. A chaque extrémité du marteau se trouve un excentri que 1655 en prise avec des bras 16.56 goupillés sur un arbre 1657. L'un des bras 1656 (fig. 99) présente un prolongement vers le bas 1658 articulé à une bielle 1659 dont. l'au tre extrémité est guidée sur un goujon 1660 porté par le bâti 1231. de chariot.
Un ressort 1661 maintient normalement l'extrémité de gauche d'une fente prévue clans la bielle -1659 en contact avec le goujon 1660 de façon que l'extrémité libre 1662 de la bielle 1659 soit sur le trajet d'un goujon 1663 porté par un bras 1664 pivotant sur l'un des deux goujons 1254 mentionnés plus haut (fig. 78B). L'extré mité inférieure du bras 1664 présente un doigt 1665 maintenu normalement en contact avec un goujon 1666 du bâti fixe.
Une biellette 1667 relie le goujon 1663 à une bielle 1668 formant avec la première une sorte de ge nouillère. L'extrémité libre de la bielle 1668 est articulée en 1669 à un levier coudé 1670 porté par tin goujon 1671 du bâti fixe 193. Ce levier est muni d'un bec 1672 normalement en contact<I>avec</I> un goujon fixe 1673. Les bielles<B>1667</B> et 1668 sont reliées entre elles par un axe 1674 qui est en prise avec l'extré mité fourchue d'un bras de carne 1675 fixé sur l'arbre 1325. Ce bras de came 1675 est muni de deux galets 1676 coopérant. avec une double came 1.677 fixée sur l'arbre d'impri merie 1273.
Lorsque ce dernier tourne dans le sens se nestrorsum, le bras<B>1675</B> oscille d'abord dans le sens dextrorsum, puis retourne à la posi tion initiale, et pendant ces deux mouvements les bielles 1667 et 1668 forment; une ' genouil lère qui est. tout. d'abord tendue pour faire basculer soit le bras 1664, soit le levier coudé 1.670, c'est-à-dire celui qui est libre de fonc tionner à ce moment-là. Le bras 1675 conti nuant à se mouvoir, la genouillère est brisée et pendant le mouvement de retour la. même opération est répétée. Si le levier coudé<B>1670</B> est libre de pivoter dans le sens dextrorsum, lorsque la genouillère est tendue, le bras 1664 n'est pas déplacé et le marteau n'effectue aucune opération.
Si, au contraire, le levier 1670 est empêché de tourner dans le sens dex- trorsum, au moment où la genouillère est tendue, le bras 1664 est pivoté dans le sens senestrorsuiri, de telle sorte que le goujon 1663 peut déplacer la bielle 1659 vers la gau- ehe (fia. 99) et faire pivoter les bras 1656 et l'arbre<B>1657</B> pour soulever le marteau 1651 qui effectue -une impression sur le bordereau. Normalement, le levier coudé 1670 est libre de tourner dans le sens dextrorsum et, pour cette position du mécanisme, il n'y a pas d'im pression.
Mais si l'on désire que le bordereau soit imprimé, un segment 1680 (fig. 99) pivo tant sur un arbre 1681 est tourné dans le sens senestrorsum pour amener sa partie 1682 au-dessous d'un goujon<B>1.683</B> porté par le le vier coudé<B>1670.</B> Par conséquent, lorsque le bras de came<B>1675</B> tend la genouillère 1667 et 1668, le levier 1670 est bloqué contre toute rotation et le bras 1664 tourne alors dans le sens senestrorsum, ce qui, on vient de le voir, a pour effet ultime de provoquer un mouve ment d'impression du marteau.
Le déplacement, dans le sens senestrorsum, du segment 1680, se fait à un temps tel qu'il est amené sur le trajet du goujon 1683 juste avant que le bras de came 1675 retourne à la position initiale, de sorte que l'impression proprement dite a lieu pendant le mouvement de retour du bras de came. Le mouvement du segment 1680 est. commandé par les disques de sélection 1620 et.<B>1.621.</B> et par l'étrier 1627. Le bras droit 1628 de l'étrier 1627 est arti culé à une bielle 1684 reliée, d'autre part, au segment 1680.
Par conséquent, lorsque l'or gane tâteur 1632 est déplacé vers la gauche pour venir en contact avec les disques et si le goujon 1635 pénètre dans une encoche de chacun des disques 1620 et 1621, l'étrier 1627 bascule dans le sens dextrorsum, abaissant la bielle 1684 qui amène le segment 1680 sur le trajet du goujon 1683.
hmprinierie <I>de la</I> bande sortante. Dans le système comptable exposé à titre d'exemple, le caissier remet à la comptabilité une bande de papier donnant la liste des mon tants de chaque liasse de chèques payés, avec le total correspondant. Cette liste ne com prend que les chèques payés, de sorte qu'aussi bien le caissier que le comptable ont une trace complète des sommes payées. Les chèques pré ; sentés à. titre de dépôt ne sont pas portés sur la bande sortante puisqu'ils n'affectent. pas les sorties d'argent.
A n'importe quel moment de la. journée, lorsque le garçon de courses de mande au caissier les chèques payés, il reçoit également une portion de la bande qui se trouve prête à, chaque instant. Il suffit au caissier d'inïprim.er le total correspondant au total. des chèques et de déchirer la bande qu'il remet avec ceux-ci au garçon de courses. On voit qu'avec ce système, la comptabilité est au courant rapidement des opérations de caisse pour tenir à jour les comptes des clients. La bande sortante est constituée par un paquet de papier entassé, au lieu de la bobine habituelle.
Lorsque le caissier effectue des opérations d'encaissements ou de dépôts faits par les clients, l'opération correspoïi- dante n'est pas enregistrée sur la bande sor tante. Par contre, s'il extrait un total de l'un quelconque des totalisateurs de versements ou d'encaissements, le total correspondant est imprimé sur la. bande sortante; à ce moment- là, eelle-ci est déplacée sur une plies longue distance, donnant ainsi au caissier un docu ment imprimé des totaux des transactions en question, ce qui lui permet de faire sa balance.
L'imprimerie de la bande sortante est dis posée à droite de la machine, entre le bâti d'imprimerie 193 et le flasque 180 (fib. 7, 70A et 70B). Ce mécanisme d'imprimerie est porté par un chariot amovible qui peut être, si besoin est, retiré de la machine. Ce chariot glisse sur des rails prévus sur la base.
Une porte masque normalement l'impri merie de la bande sortante et cette porte peut être libérée manuellement en abaissant une table qui se trouve à la partie inférieure de l'imprimerie, ce qui permet clé foire basculer une porte sur ses charnières. L'ouverture de cette porte donne accès à des verrous qui, s'ils sont manuellement actionnés, libèrent le cha riot amovible qui peut être tiré vers l'avant. Si l'on retire le chariot partiellement seule ment, pour remplacer la réserve de papier, le ehariot est retiré jusqu'à ce qu'il rencontre une certaine butée.
Pour cette position, les galets de guidage et d'avancement de la bande sortante sont. facilement. accessibles ainsi que la boîte où se trouve la réserve de papier. Si désiré, le chariot portant l'imprimerie de la lande sortante peut être retiré complètement. en faisant basculer l'extrémité antérieure vers le haut et en tirant ensuite le chariot vers l'avant.
La construction de ce chariot avec les verrous correspondants est identique à. celle qui a él;é décrite pour. le bordereau de con trôle et, dans ce qui suit, on se référera par fois à certains détails constructifs des verrous de l'imprimerie du bordereau.
Chariot <I>pour la</I> bandé sortante.
Le bâti de ce chariot. est représenté aux 110, 113 et 121 et comprend deux flasques 1690 et une base 1691. Une entretoise 1692 relie les extrémités postérieure; des flasques et prie trémie 1693, filée au bâti par des vis 16S).1, coopère avec les ,équerres servant à assurer la rigidité du chariot. Une porte 1695 pivote sur des charnières 1696. Une barre transversale<B>1697</B> disposée entre les charnières et la base sert de support pour maintenir les charnières en position. Le chariot -peut coulis ser sur une paire de rails 1698.
Des verrous 1699 servent au verrouillage du chariot dans la machine sur les rails 1698. Des goujons 1700 portés par le chariot sont. en prise au dessous des rails pour maintenir le chariot en position horizontale, lors de son mouve ment hors de la machine. <I>Porte de</I> l'i@npri@i@erie pour <I>la</I> bande sortante. La porte 1695 (fig. 121) est fermée par un verrou 1701 pivotant en 1702 sur les bâtis 1690.
Un ressort<B>1703</B> tend normalement à basculer le verrou dans le sens senestrorsum pour maintenir en prise celui-ci avec un gou jon 1701- porté par une cornière 1.705 fixée à la porte. Le verrou 1701 présente un doigt 1706 maintenu en contact avec un téton 1707 d'une pièce 1708 pivotant sous l'action du i essort 1703. Cette pièce 1708 pivote sur une tigge 1709 portée par le bâti 1690 et un doigt 1710 appuie normalement contre la face interne de la porte 1695.
Lorsqu'on désire ouvrir la porte, il suffit de presser sur la pièce pivotante 1708 pour la faire basculer dans le sens dextrorsum, ce qui fait pivoter le verrou 1701 dans le même sens contre l'action du ressort 1703 et soulève le verrou du goujon 1704.
Simultanément, la porte commence à s'ouvrir dans le sens senes- trorsum, après quoi l'opérateur la saisit pour l'ouvrir complètement. Le mouvement d'ou verture de la porte est limité par une paire de bielles 1711 et 1712 reliées par un axe 1713 et formant genouillère. La bielle 1711 est arti culée à la. cornière 1705, alors que l'autre bielle 1712 pivote en 171-1 sur le bâti de cha riot. Ce dispositif de retenue de la porte est tout à fait semblable à celui qui a été décrit au sujet de la porte fermant l'imprimerie du bordereau.
Guidage <I>de la</I> bande sortante.
Cette bande est sous forme d'un paquet entassé dans une boîte 1720 (fig. <B>113)</B> placée à la partie inférieure du chariot. Un rebord 1721 de la base 1691 détermine la position de cette boîte. La bande en zigzag est. guidée autour de galets tournant sur des goujons portés par le bâti. D'un galet 1722, la bande de papier passe entre un galet 1724 et un galet d'avancement 1725. Le premier tourne sur l'arbre 204, tandis que le galet d'avance ment est monté sur un arbre 1726. La bande passe ensuite dans une ouverture 1727 et sous une lame file 1728 placée à l'avant du coffre. Ensuite, la bande est: passée entre deux re bords 1729 de la trémie 1693.
Un bâti contrepoids - comprenant deux doigts 1790 (fig. 110) reliés par un arbre 1791 en prise avec. une fente 1792 des bâtis fixes 180 et 193 - agit avec un galet 1793 pour iliaintenir la bande de papier 1723 en contact avec le galet de guidage 1722, lorsque le chariot est introduit dans la machine. Lorsqu'on retire ce dernier pour remplacer la bande de papier, le galet 1722 se déplace avec le chariot et se sépare du galet 1793.
Par con séquent, lorsque le chariot est hors de la ma chine, la bande 1723 peut avancer librement autour du galet 1722 et lorsque le chariot est remis à l'intérieur de la machine, le galet 1793 et l'arbre 1791 maintiennent. la bande en contact avec le galet<B>1722.</B> Cette disposition est rendue nécessaire quand la bande est avancée à partir de la réserve, à droite de celle-ci (fig. 110). Le galet<B>1793</B> guide la bande jusqu'au galet 1722 et assure la tension voulue. Avancement <I>de la</I> bande <I>sortante.</I> Le mécanisme d'avancement est semblable à celui de l'avancement de la fiche et, pour une description de détails, on peut se repor ter à, celle de ce mécanisme.
L'arbre 1726 est monté entre une paire de bras de tension 1736 et 1735 (fia. 1I3). Un ressort 1719 maintient les galets d'avancement 1725 en contact avec les galets 1721. Une extrémité de cet arbre 1726 porte un pignon 1737 en prise avec une crémaillère 1738 (voir aussi fig. 110) guidée par un axe 1739 porté par le bâti de chariot 1,690. A son extrémité postérieure, la cré maillère 1738 est articulée à une bielle 1740 fixée à. un levier 1741 pivotant en 1742 sur le bâti de chariot.
lin ressort 1743, tendu entre le levier 1741 et un point fixe du bâti de chariot, maintient un goujon 1744 de ce levier en contact avec un curseur 1745 pou vant coulisser sur un goujon 1746. L'autre extrémité du curseur 1745 est articulée à un bras de came<B>1747</B> monté sur l'arbre 1325 et muni de galets 1748 coopérant, sous l'action du ressort 1743, avec une double came 17=19 fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273. Le sys tème d'avancement est exactement semblable à celui clé la fiche et représenté en fis. 94.
Si, pendant. l'opération, le curseur 17-15 peut se déplacer vers la droite, lorsque la came 1749 tourne, le goujon 1744 peut suivre le mouvement. Un système de commande auto matique est prévis pour déterminer quand et sur quelle amplitude le curseur 1715 peut se déplacer vers la droite (fig. 110) lorsqu'il est libéré par la came.
A ce moment, si le cur seur est libéré, le levier 1741 bascule dans le sens senestrorsum, mouvement qui est trans mis par la bielle 1740 à la crémaillère 1738 qui, elle, en se déplaçant vers la gauche, fait tourner le pignon 1737 et l'arbre 1726 dans le sens dextrorsum. Un dispositif à rochet est disposé entre l'arbre 1726 et le galet 1725 d'avancement et, lorsque l'arbre 1726 tourne ainsi, le pignon se déplace à vide sans faire tourner le galet 1725.
La came 1749 conti nuant à, tourner, ramène le bras de came 17-17 dans le sens contraire qui ramène ainsi le curseur 1.745 vers la gauche pour faire pivo ter le levier 1741. dans le sens dextrorsuni et tirer la crémaillère 1738 vers la droite. II s'en suit que le pignon 1737 tourne dans le sens senestrorsum et, à. ce moment, le rochet agit et entraîne le galet. d'a.vaiieenient 1725 qui transporte la bande de papier vers la gauche, c'est-à-dire vers la lame d'arrachement 1728.
Un dispositif de frein 1750, en prise avec le galet d'avancement 1725, empêche l'embal lement de ce dernier, et ce dispositif est sem blable exactement au frein 1396 représenté en fig. 94. Commande avtomotique <I>dit</I> déplucenzvnt de-la bande <I>sortante.</I>
La bande sortante, on l'a vu, est prévue surtout pour enregistrer les écritures corres pondant aux sommes pavées par le caissier, ainsi que leur total, et également pour faire des additions et pour additionner les totaux des dépôts. Dans les deux premiers cas, la bande sortante est espacée d'une ligne à elia- que opération, mais lorsqu'on emploie la bande pour la somme des totaux, cette bande avance automatiquement sur une plus grande distance, suffisante pour amener le total im primé au-delà. de la lame d'arrachement.
On a. indiqué plus haut. que le totalisateur supérieur (ou visible) est utilisé pour des additions et que les différents montants peu vent ou non être imprimés sur la bande sor tante. Quand on utilise simultanément la toit- elle Add.-Irnpr. et la touche Add>, les montants sont imprimés et la, bande avance d'un interligne, mais quand on enfonce !a touche Add. seulement, les montants coi,- respondants ne sont pas imprimés.
Par consé quent, c'est l'enfoncement (le la touche Add.-Impr.,> qui détermine l'interlignage de la bande sortante. Lorsqu'on utilise la touche Sous-total Solde;
> en combinaison avec la tottc1ie < < Add.-Inipr. , la bande sortante est transportée sur une courte distance à l'en droit voulu pour l'impression du sous-total. Lorsqu'on utilise la touche Solde>> en combi naison avec la touche Add.-Impr. , la bande sortante est transportée sur une longue dis tance, de ïacon que le solde apparaisse au delà (le la lame d'arrachement.
Quand on uti lise la machine avec la touche Total ou lit touche Sous-total>;> pour enregistrer sur le papier les totaijx des versements ou dépôts, < e,, totaux sont imprimés sur la bande sor- lante qui est transportée sur une longue dis tance. La commande automatique de ce méca- ni:;ine d'avancement est réalisée au moyen de disques de sélection à encoches 1.760 (6g.114) et 1761 (fia. 116). Le disque 7.760 est posi tionné par la première rangée de transactions et le disque 1761 par la deuxième.
Il v a deux sortes de commandes de la, bande sortante avec la touche Solde , l'une étant acquise lorsqu'on utilise la touche Add.-Impr. (transport sur une longue distance? et l'autre avec la touche Add.-Impr. non utilisée (pas d'avancement de la bande).
Il existe également deux genres de commandes par la touche Add. , l'une quand celle-ci est. utilisée avec la touche < Add.-Iiiipr. (transport sur une courte distance) et l'autre quand. la tou che Add. est utilisée seule (aucun avance- nient (le la bande). Ces différents effets sont.
obtenus par les disques 1760 et 1761 qui, en lait, ne commandent pas le transport directe- nient, mais il existe un disque auxiliaire 1762 (fig. 11:i, 118 et 119<B>)</B> qui est positionné sous la commande conjointe des disques 1760 et <B>1761,</B> ainsi qu'on va le voir.
*Le disque 1760 (fia. 114) présente une denture interne 1763 engrenant avec un pi- glion 1764 monté sur l'arbre carré 743 com- inandé par la première rangée. Les dents 1763 sont montées rotatives sur un disque 176a porté par l'arbre 632.
Le disque 1.761 présente une denture interne 1766 engrenant avec un pignon 1767 porté par l'arbre carré 763 commandé par la deuxième rangée de touches, et cette couronne 1766 tourne sur un disque 1768 porté par le même arbre 632.
Le disque 1760 présente un goujon<B>1769</B> (fia. 111 et 115) normalement en contact avec un talon 1770 du disque 1762. Un res sort 1772 maintient normalement le contact de ces deux pièces. Les disques 1760, 1761 et 1762 sont réglés différentiellement par la pre mière et la deuxième rangées de trans actions, de manière à présenter une partie pleine ou une encoche en face d'un goujon <B>1775</B> porté par l'extrémité antérieure d'un tâteur 1776 articulé à un levier coudé 1777, lequel est monté sur l'arbre 1290. Un ressort 1789 tend normalement à tirer le tâteur 1776 vers la gauche, mouvement qui est guidé par un goujon<B>1778</B> fixe.
Un levier 1779 porte un goujon 1780 en contact avec un bras 1781 fixé sur l'arbre 1290 et il est, d'autre part, relié par une bielle<B>1782</B> à un segment<B>1783</B> tournant sur l'arbre 16Sl. Le segment.<B>1783</B> comporte une arête 1781 de plus grand dia mètre et une arête 1785 de petit diamètre, les quelles peuvent être amenées différentielle- ment en coopération avec un goujon 1786 porté par le curseur 1715, sous la commande des disques 1760,<B>1761</B> et<B>1762.</B>
Lorsqu'une partie pleine de ces trois dis ques est présentée sur le trajet du goujon 1775, le tâteur 1.776 ne peut se déplacer vers la gauche, ce qui se passe lorsqu'on utilise les touches 115 R. à zéro liasse , 116 Lec ture liasse>>; 117 eTotal ou 1:1.8 Sous-total (et indiqué par une partie pleine du disque 1760 aux sixième, septième, huitième et neu vième positions). De même, le disque auxi liaire 1762 est positionné sous la commande des disques 1760 et 1761 pour amener une partie pleine 1787 sur le trajet du goujon 1775 (fia. 118), de sorte que le tâteur 1776 ne peut pas non plus se déplacer vers la gau che.
Lorsque l'une quelconque des touches 110 Solde , 111 Sous-total>>, 112 Liste , 113 Add. ou 11.4 Répétition est actionnée, le disque 1760 présente une encoche au goujon 1775, c'est-à-dire, pour les positions L, 2, 3, 4 et 5 (fia. 114). " Le disque<B>1761</B> ne présente pas de bos sages, mais comporte des gradins intermé diaires pour les positions 2, 6 et 9 (fig. 116). Ces positions sont eonimandées par les touches Retrait B , Retrait A ou la touche Add.- Impr.>>, de sorte que le tâteur<B>1776</B> peut se déplacer, mais seulement sur une distance limitée.
Pour une encoche plus profonde, ee sont les positions 1, 3, 4, 5, 7, 8 et 10 (fig. <B>116)</B> ou les positions 1, 2, 3, 1, 5 ou 10 (fig. 111) qui sont amenées simultanément sur le trajet du goujon 1'775 et le tâteur 1776 peut se déplacer de toute son amplitude.
Dans ce cas, au moment, où l'arbre 1290 tourne, le levier 1.777 abaisse la bielle 1782 suffisamment pour amener l'arête 1781 du segment 1783 sur le trajet du goujon 1756. Lorsque la carne 1719 tourne pour libérer le curseur 1715, ce dernier sera donc retenu par l'arête 178-1.
Ait contraire, si un gradin intermédiaire du disque 1.761 vient sur le trajet du goujon 1775 du tâteur 1776, ce dernier ne se déplace que partiellement, ce qui, par la bielle 178'?, amène seulement l'arête 1785 du segment sur le trajet du goujon 1786, permettant au cur seur 1715 de se déplacer sur une courte dis tance qui correspond à l'avancement d'une ligne de la bande sortante.
Si, d'autre part., une partie pleine re présentée par les positions 6, 7, 8 et 9 du dis que<B>1760</B> ou la partie pleine 1787 du disque auxiliaire 1762 se présente en face du tâteur 1776, celui-ci ne peut se déplacer et le seg ment 1783 reste dans la position de fig. 116, laissant le curseur 1715 se déplacer de toute son amplitude. Il en résulte que la bande sor tante est déplacée sur la distance suffisante pour que la dernière impression soit au-delà. de la lame d'arrachement 1728.
I3npi essioiz <I>de</I><B>la</B> occfade sortante. Touche <I>de</I> retrait.
La. bande représentée à la fig. 120 enre gistre par exemple les transactions de paie ments faites par le caissier et permet. à la comptabilité de faire la balance de la caisse. Par conséquent, chaque fois qu'un paiement. fuit par le caissier est. enregist.ré, une impres- sion est. automatiquement faite sur la bande sortante et celle-ci est. avancée d'un interligne.
Les transactions de paiement s'ef lectuent quand on utilise la touche Retrait B 102 clans la deuxième position oit la touche Re trait A 106 à la sixième position de la deuxième rangée, ce qui amène un gradin intermédiaire en face du tâteur 1776 (fig. 116). On a vu précédemment que, pour ces positions, la bande sortante pouvait avait-. eer d'tirre distance représentant un interligne. Avancement <I>(le la</I> bande sortante.
Touches <I> R.</I> ii. <I>zéro</I> liasse <I>oit</I> Lechsre basse . Lorsqu'un total doit. être imprimé sur la bande sortante de fig. 120, on utilise l'une des touches 115 ou 116 qui amène un bossage des positions 6 ou 7 (fig. 111) du disque 1760 sur le trajet du tâteur 1776.
Le tâteur n'est pas déplacé et le segment 1783 reste à la po sition de fig. <B>116,</B> de sorte que le curseur 17-1.ï et. la crémaillère 1738 peuvent se déplacer sut leur amplitude entière et produire le trans port, sur une longue distance, de la. bande sortante.
Avancentcrat <I>de la</I> bande sortante. Touches ildd. <I>et</I> =ldd.-hrri.hr. .
Une série de montants peut être enregis trée sur la bande sortante par l'utilisation de la touche Add. 113 de la première rangée et de la touche Add.-Impr. 109 de la deuxième rangée. Pour imprimer le total de cette série, on enfonce la touche<B>110</B> Solde ou la touche 111 Sous-total . L'enfoneeinent simultané des touches 109 et 113 a pour effet d'amener un gradin intermédiaire (position 9 du disque 1761) et une encoche profonde (po sition 1 du disque 1760) sur le trajet du tâ teur 1776. Le gradin intermédiaire com mande la position du segment 1783, de ma nière à produire l'espace d'un interligne.
.#1vaneenierat de <I>la</I> bande <I>sortante.</I> Touches <I> </I> add.-Impi,. <I>et</I> Solde . Lorsqu'on désire iiriprimer le total de plu sieurs écritures enregistrées clins le totalisa- teur supérieur visible, on enfonce à la fois la touche 109 Add.-Impr. et la touche 110 Solde .
La première commande la position du disque<B>1761</B> pour amener un gradin inter niédiaire de la position 9 (fig. 116) sur le trajet du goujon 1775, tandis que la. touche Solde eonimande la position du disque 1760 (fig. 1.14) pour amener une encoche profonde <B>(le</B> la position 1 sur le trajet de ce goujon. Dans ces conditions, le gradin intermédiaire, position 9 , du disque 1761 commande le mé canisme d'avancement pour produire un sim ple interligne. Toutefois, ce résultat n'est pas celui qui est. désiré lorsqu'on imprime le solde et pour obtenir un transport de la bande sur une plus longue distance,, le disque auxi liaire 1762 est amené à une position présen tant son bossage 1787 sur le trajet du goujon 177.5.
Ce disque auxiliaire est. nécessaire pour obtenir ce n@enre de commande, car si la tou- elie Add.-Impr.>@ n'est pas enfoncée, la tou che Soïde doit commander le disque 1760 pour empêcher le déplacement de la bande.
Par conséquent, pour empêelier un tel dépla cement, une encoche profonde doit être pré vue à la position 1>> du disque<B>1760.</B> Le bossage<B>1787</B> du disque auxiliaire<B>1762</B> est amené sur le trajet du goujon 1775 dans une opération pour laquelle les touches 109 et 110 sont utilisées simultanément et cette condition est réalisée de la façon suivante:
Si la touelie 109 Add.-Impr. (fig. 2) est enfoncée, le disque 1761 (fig. 116) amène un gradin intermédiaire (position 9 ) sur le tra jet (lu goujon<B>1.775</B> et, pendant ce mouvement du disque<B>1761,</B> un téton<B>1795</B> porté par ce même disque est déplacé d'un pas dans le sens dextrorsum à partir de la position représentée en fig. 116 pour arriver à la position de fis,-. 118.
Si la machine fonctionne avec la tou che Solde enfoncée, la position 1 de dis- rIne 1760 est amenée sur le trajet du goujon 1775 (fig. l18). Le mouvement. du disque 1761 pour amener le goujon 1795 à la position de fig. 118 a pour effet, grâce au ressort 1772, d'entraîner le disque auxiliaire 1762 qui pré sente alois le bossage 1787 sur le trajet. du goujon 17'"i5. II en résulte que la bande sor tante est déplacée sur une longue distance.
Avancement <I>de la</I> bande sortante. <I>Touches</I> ,Idd.-Itibl)i,. <I>et</I> Sous-total . Lorsqu'on désire tirer un sous-total de plusieurs montants enregistrés dans le totali sateur supérieur visible, on abaisse à la fois la touche Add.-Impr. 109 et la touche Sous-total 111. Dans ces conditions, la touche 109 commande la position 9 du dis que 1761 (fig. 116) sur le trajet du goujon 1775, tandis que la touche 111. amène une en coche profonde, position 2 , du disque 1760 (fig. 114).
Pour ce genre d'opération, le gou jon 1769 porté par le disque 1760 coopère avec le talon 1770 et empêche que le bossage 1787 du disque auxiliaire vienne sur le trajet du goujon 1775. Par conséquent, le gradin intermédiaire de position 9 du disque 1761 commande l'avancement de façon que la bande n'avance que d'un simple interligne.
Avancement <I>de la</I> bande sortante. Touche <I> Addition .</I>
Lorsqu'on utilise- la machine comme sim ple machine à additionner, c'est-à-dire sans l'emploi de la touche Add.-Impr. , la bande sortante n'est pas déplacée. Dans ces condi tions, le disque 1761 amène la position 10 (fig. 116) sur le trajet du goujon 1775, puis que aucune touche n'est enfoncée dans la deuxième rangée de touches. Si l'on enfonce au contraire la touche 113 Add. , le disque 1760 présente la position 4 où se trouve une encoche profonde.
Par conséquent, les deux disques 1760 et 1761 amènent une en coche profonde sur le trajet du goujon 1775, déplacent ainsi le segment<B>1783</B> de toute son amplitude, ce qui bloque le curseur 17-I5 et empêche le déplacement de la bande sortante. Avancement <I>de</I> la bande sortante.
<I>Touche Solde .</I>
On utilise la touche 110 Solde quand on désire tirer le total du totalisateur supé rieur, après une série d'enregistrement faits sans utiliser la touche Add.-Impr. . Dans ce cas, le disque 1760 amène la position 1 sur le trajet du goujon<B>1775,</B> et comme aucune touche ,\est enfoncée dans la deuxième ran gée, le disque<B>1761</B> amène la position 10 , comme représenté en fig. 116 et 119. Le tâ- teur 1776 peut alors se déplacer sur toute son amplitude, empêchant ainsi l'avancement (le la bande sortante.
Pour ce genre d'opération, le goujon 176!) porté par le disque 1760 se déplace suffisam ment. pour que le bossage 1787 vienne sur le trajet du goujon 1775, mais ce déplacement est toutefois empêché par le goujon 1795 dit disque 1761. En effet, le goujon 1796 porté par le disque auxiliaire 1762 est sur le trajet. du goujon 1795, de sorte que, lorsque ce der nier vient vers la position 10 sous la com mande de la deuxième rangée de transactions, le déplacement du disque auxiliaire est limité par le goujon 1796 qui vient en contact avec le goujon 1795.
A ce moment, le goujon 1769 se déplace après que le disque auxiliaire 1762 soit arrêté en position de fig. 119, et le bos sage 1787 du disque auxiliaire ne peut, par conséquent, venir en position active. Pour l'opération en question, le segment 1783 se déplace sur toute son amplitude, empêchant un avancement quelconque de la bande sor tante.
Avancement <I>de</I> la <I>bande</I> sortante. <I>Touches Dépôt </I> oie Vei-semei?,t <I>ou Divers .</I> Lorsque la machine est utilisée avec les touches de Dépôt ou de Versement , il n'y a aucune impression sur la bande sortante qui, par suite, ne doit pas avancer. Il en est de même pour la touche Divers . Ces diffé rentes touches amènent le disque 1761 à pré senter des encoches profondes des positions 1, 3, 4, 7 ou 8 sur le trajet du goujon 1775, et puisque aucune touche n'est. enfoncée dans la première rangée, le disque 1760 présente une encoche profonde de la position 10 .
Le tâteur <B>1776</B> entraîne donc le segment. 178 sur toute son amplitude, ce qui correspond à aucun avancement. Avance <I>de la.</I> bande sortante. <I>Touches Total et</I> Sous-total . Lorsqu'on tire le total ou le sous-total des totalisateurs de dépôt on de versement ou de divers, on emploie l'une des touches 117 ou <B>118</B> en combinaison avec la touche du totali sateur à sélectionner. Dans ce cas, on désire qu'un ticket soit imprimé par la machine pour être remis à. la comptabilité.
Un ticket de ce genre est fourni par l'impression des totaux sur la. bande sortante qui avance en suite à un endroit qui montre le total au-delà de la. lame d'arraeliement, ce qui permet: à l'opérateur de déchirer ce ticket.
Pour obtenir ce transport sur une longue distance, le disque 1760 présente des bossa!,es aux positions 8 et 9 commandées par les touches 117 et 118 respectivement. Bien que le disque 1761 présente des encoches ait gou jon 1775, le disque 1760 a la prépondérance et le tâteur est arrêté de faon que le segment 1783 soit bloqué et commande ainsi le méea- nisrne d'avancement pour obtenir uii long, transport de la bande sortante.
llécanis ze el'iinpressioia <I>de la</I> bolide sortaiife. En principe, le i!iécaiiisme d'impression est analogue à celui qui a été décrit pour iiii primer le bordereau de contrôle de fi;% 99 et il comprend une platine d'impression<B>1800</B> (fig. 1.10 et<B>1113)</B> munie d'un. goujon<B>1801</B> à chacune de ses extrémités pour assurer le gui dage dans des encoches pratiquées dans des bras 1802 fixés sur un arbre 1803.
L'un de ces deux bras présente une équerre à laquelle est articulée une bielle 1801 dont l'autre extré mité est guidée par une fente sur un goujon 1805. Un ressort 1799 maintient normalement l'extrémité de gauche de la fente en contact avec le goujon 1805. L'extrémité de la. bielle 1801 se trouve sur le trajet d'un --goujon 1806 porté par un bras 1807 qui pivote en 1808 sur le bâti fixe.
Le bras 1807 présente un talon en prise avec un goujon 1809 porté par ce même bâti fixe, de manière à limiter la ro tation dextrorsum de ce bras 1807. Sur l'axe 1806 pivote également une bielle 1810 for mant, avec une autre bielle 1811, une genouil lère reliée par un goujon 1812. La bielle<B>1811</B> est articulée, d'autre part, en<B>1813</B> à un levier coudé 1814 tournant sur un axe 1815 et muni d'un talon coopérant avec un goujon 1S16 porté par le bâti fixe.
Le goujon d'articula tion<B>1812</B> de la genouillère se prolonge dans l'extrémité fourchue d'un bras de came 1817 monté fou sur L'arbre 1325 et. terminé par des galets 1818 coopérant avec une double cane 1819 portée par l'arbre d'imprimerie 1273.
Le levier coudé 1814 porte un goujon 1820 sur le trajet d'un segment 1821 tournant sur l'arbre 1681. Pour commander le fonc tionnement de la platine d'impression 1800, le segment: 1821 peut tourner dans le sens senestror:sum au-dessous du goujon 1820 pour empêcher la. rotation du levier coudé 1814, au moment, où la double came 1819 fait. basculer le bras 1817. Quand ce dernier bascule dans le sens dextrorsum, son autre extrémité sou- lève le goujon 1812 pour tendre la genouillère constituée par les bielles 1810 et 1811.
Si le segment 1821 se trouve au-dessous du goujon 1820, le levier coudé 1814 ne peut pas tour- ner et la genouillère est tendue pour provo quer le pivotement. du bras 1807 dans le sens senestrorsurn. Cette rotation amène le goujon 1806 ci) prise avec l'extrémité de la bielle 1804 qui se trouve ainsi être déplacée vers la gauche (fig. 110), pour faire tourner l'arbre 1803 et les bras d'impression 1802 dans le sens dextrorsurn. La platine 1800 se trouve ainsi soulevée et produit l'impression contre les caractères portés par l'arbre 463.
Si le segment 1821 n'est pas amené au-dessous du goujon 1820, le levier coudé 1814 n'est, pas arrèté et peut tourner librement au moment oit la. genouillère est tendue. Dans ce cas, le bras 1807 ne bascule pas et la platine reste en position inactive. La position du segment. 1821 est commandée par des disques à enco ches 1830 (flg. 111) et 1831 (fig. 110).
Le disque<B>1831</B> est commandé différentiellement par la première rangée de transactions par l'intermédiaire de l'axe carré 743 portant un pignon 1832 en prise avec une couronne interne du disque 1831 monté sur un disque 1.833 porté par l'arbre 632.
Le disque 1.830 est positionné par la deuxième ra.rrgée de transactions par l'inter médiaire de l'arbre carré 763 portant un pi gnon 1834 en prise avec une denture interne du disque 1830, lequel est monté sur un dis que 1835 porté également par l'arbre 632.
lie segment<B>1.821</B> est relié à un levier coudé 1840 par une bielle 1839. Ce levier, pi votant sur l'arbre 1290, porte un goujon 1845 normalement en contact avec un bras 1842 fixé sur cet arbre 1290. Une branche du levier 1840 est articulée à une bielle 1841 consti tuant Lin organe tâteur guidé sur un goujon fixe 1.837. Un ressort 1843 maintient normale ment le goujon 1845 en contact avec le bras 1842. L'extrémité antérieure du tâteur 1841 est munie de doigts 1846 et 1847 portés par un bloc. réglable 1844. Le doigt. tâteur 1846 coopère avec le disque à encoches 1831 et le doigt 1847 avec le disque 1830.
Si chacun des tâteurs 1846 et 1847 pénètre dans une encoche profonde des disques 1830 et 1831, la bielle 1841 peut se déplacer vers la gauche sous l'action du ressort 1843, en traînant le levier coudé 1840, la bielle 1839 et le segment. 1821 qui vient se placer sur le trajet du goujon 1820. Dans ce cas, la ge nouillère 1810, 1811 est tendue et l'impres sion par la platine 1800 se produit, comme expliqué plus haut. Par contre, si les deux tâteurs 1846 et 1847 rencontrent des bossages ou une partie pleine des disques 1830 et 1831, la bielle 1841 reste stationnaire ainsi que le segment 1821. Dans ce cas, il n'y a pas d'im pression de la platine 1800.
Le disque 1830, commandé par la deuxième rangée de trans actions, présente des encoches aux positions 2, 6 et 9 qui correspondent respectivement à la touche 102, à la touche 106 et à la touche 109 (fig. 2). Par conséquent, si la machine fonctionne avec l'une de ces trois touches, le segment 1821 est amené sur le trajet du gou jon 1820 et l'impression se produit. Si l'on utilise une autre touche de la deuxième ran gée, c'est. une partie pleine du disque 1830 qui se présente au tâteur 1847 et la bielle 1841 est arrêtée ainsi que le segment 1821. Aucune impression n'est effectuée dans ce cas.
Lorsqu'on désire imprimer le total d'une liasse de chèques pavés par le caissier, ce dernier enfonce la touche 116 Lecture liasse ou la touche 11.5 R. à zéro liasse avec, si- multanément, la touche du caissier 106 ou 102. On viént de voir que l'enfoncement d'une touche de caissier présente une encoche au tâteur 1847. L'enfoncement. des touches 116 ou 115 présente au contraire une partie pleine (positions 6 et 7 du disque 1831) sur le trajet du tâteur 1846. Pendant ce genre d'opération, le tâteur 1847 pénètre dans une encoche profonde du disque 1830, tandis que le tâteur 1846 vient en contact avec une par tie pleine du disque 1831.
Pour que cette po sition soit possible, le bloc 1844 pivote sur la bielle 1841, de sorte que, même si le disque 1831 présente une partie pleine, le marteau d'impression est néanmoins actionné pour ce genre d'opération.
Lorsque la machine est utilisée comme sim ple machine à additionner pour faire des additions quelconques, on a vu qu'on peut utiliser la touche Add.-Impr. et la touche d'addition 113. Dans ce cas, le disque 1830 amène l'encoche de la position 9 (fig. 111) à l'organe tâteur 1.847.
Lorsque les différents montants sont additionnés et que l'on désire imprimer le total de la. série en enfonçant la touche Sous-total 111 ou la touche Solde:> 110, le disque 1831 présente une partie pleine (positions 1 et 2) à. l'organe tâteur 18-16. Toutefois, étant. donné que le disque 1830 présente une encoche en position 9 , l'im pression s'effectue quand même sur la bande sortante.
Lorsque les totalisateurs individuels sont totalisés ou sous-totalisés, il est désirable qu'une impression soit faite sur la bande sor tante, et c'est pourquoi des encoches sont pré vues sur le disque 1831 aux positions 8 et 9. L'enfoncement de la touche Sous-total 118 ou de la touche Total 117 amène une enco che sur le trajet du tâteur 1846, de sorte que la bielle 1841 peut, déplacer le segment. 1821 sur le trajet du goujon 1820. Par conséquent, lorsqu'un total est extrait de l'un des totali sateurs de dépôt ou de versement, par l'em ploi des touches 117 et 118, l'impression est effectuée sur la bande sortante.
Le découpage des disques de commande 1830 et 1831 est indiqué à, titre d'exemple seulement, mais il va de soi que pour un autre travail il est facile de découper les disques de toute autre manière appropriée. <I>Ruban encreur.</I>
Le ruban encreur 1247 (fia. 123) est porté par un bâti amovible qui peut être introduit dans la machine par le côté droit. Ce bâti est suffisamment long pour que le ruban puisse chevaucher les trois groupes de caractères, de sorte qu'un seul ruban suffit pour l'impression de la fiche, du bordereau de contrôle et de la bande sortante.
Le bâti porte-ruban comprend une plaque sensiblement horizontale 2000 (fig. 78A, 79 et 123) fixée à une plaque d'extrémité 2001 au moyen de rivets 2002. Le raban est guidé par une pièce 2003 munie de rebords 200-1 qui s'introduit dans une pièce 2005 (fia. 122) à extrémités repliées et supportée par le bâti d'imprimerie 203 au moyen de vis 2006. La pièce 2005 s'étend le long des trois sections d'imprimerie, au-dessous des six bâtis 203.
Une fois que le porte-ruban a été introduit dans la machine, il est verrouillé par un cli- quet comprenant deux bras 2007 qui viennent en prise, par des gorges, avec deux goujons 2008 portés par le bâti fixe 180, sous l'action d'un ressort 2009, tendu entre l'un des bras 2007 et un goujon 2010 de la plaque 2001.
Lorsqu'on désire retirer le bâti de ruban, on fait basculer les bras 2007 dans le sens senestrorsum au moyen d'un bouton 2011 pi votant sur un petit axe 2012. Un goujon 2013 porté par la plaque 2001 est en prise avec une fente du bras 2007 et limite le mouve ment des bras 2007 dans le sens senestrorsuin lorsque le bâti est retiré de la machine.
Les extrémités du ruban sont. fixées à des bobines qui peuvent tourner dans les deux directions opposées, pour faire avancer le ru ban d'un pas à chaque opération et lorsque l'extrémité est. atteinte, un mécanisme de ren versement change le sens de déplacement. L'une des bobines 2015 tourne sur un axe 2016 porté par la plaque '_'001 et le ruban passe ensuite sur un galet de guidage 2017 pivotant. en 2018.
L'extrémité de la, plaque horizontale 2000 est coupée suivant un angle <B>2019</B> (fi-. 78!i) et le ruban est guidé sur la plaque jusqu'à l'extrémité supérieure droite (fi-. 7J), puis passe par l'angle sous la pla que, puis rait à nouveau un angle pour re venir au-dessus de la plaque 2000 et sous une partie oblique 2020 pour passer par un galet de guidage \?021 tournant sur un axe 2022. Du galet 2021, le ruban est guidé à nue deuxième bobine 2023 sur laquelle le ruban est enroulé.
Lorsque le mécanisme d'avance ment du ruban est renversé, ainsi qu'on le verra plus loin, le ruban avance de la bobine 2023 à la bobine 2015.
La bobine 2023 est. solidaire d'une roue à. rochet \?024 coopérant avec un cliquet 20'25 (fig. 124) pivotant. en 2026 sur un bras 20'37. (.'e dernier est monté pivotant. sur un goujon 2028 porté par la. plaque d'extrémité 2001.
('n ressort 202J tend à maintenir un goujon 2031 en contact avec le rochet. 2024. Lorsque le bras d'avancement<B>2027</B> tourne dans le sens dextrorsum, il entraîne le rochet 2024 dans le même sens et ce, suffisamment, pour faire avancer le ruban d'un pas. Simultanément, la bobine 2023 tourne dans le sens dextrorsum pour tirer une portion du ruban de la bobine 2015 qui, à ce moment-là, tourne librement. Pour empêcher une rotation trop rapide de la bobine 2015, au moment du déroulement, un bras de frein 2033 est prévu qui pivote en 2034 sur la plaque 2001. Un frein analogue 2035 est. aménagé pour la bobine 2023.
Un ressort 2037 fixé aux extrémités des freins 2033 et 2035 maintient des parties concaves de ces rreins en contact avec les bobines, et ce ressort est suffisamment fort pour assurer une action de freinage.
La bobine 2015 est solidaire d'un rochet 2040 coopérant avec un cliquet 2041 porté par un bras d'avancement 2043 pivotant en 2016. Un ressort 2044 maintient un goujon 2045 du cliquet en contact avec un épaulement 2016 de la plaque 2001 pour maintenir le cliquet écarté du rochet lorsque le ruban est. déroulé de la. bobine 2015. Lorsque le bras d'avance ment 2043 bascule dans le sens senestrorsum (on indiquera comment un peu plus loin), le goujon 2045 est. écarte de l'épaulement 2046, ce qui permet au cliquet 2041 de venir en prise avec le rochet, de façon telle que, lors que le bras 2043 continue son pivotement, le cliquet 2041 entraîne la roue à rochet 2040 et fait tourner la bobine 2015 pour enrouler le ruban.
En même temps, le ruban est dé roulé de la bobine 2023 et le goujon 2031 (fig. 124) est en prise avec un épaulement 2032, de sorte que le cliquet 2025 est rendu inopérant, laissant. la bobine 2023 dérouler le ruban.
Un cliquet de retenue 2050 est monté sur le goujon 2036 et tend à tourner dans le sens dextrorsum sous l'action d'un ressort 2051 pour venir en prise avec le rochet 2024 et em pêcher le retour de ce dernier. Lorsque le ruban s'enroule sur la bobine 2015, une arête 2053 est amenée au-dessous d'un goujon 2052 du cliquet 2050 pour maintenir celui-ci écarté du rochet 2024.
Les bras d'avancement 2027 et 2043 sont actionnés sélectivement par une double came 2060 (fig. 122) fixée sur l'arbre d'imprimerie 1273. Cette came coopère avec des galets 2061 portés par un bras 2062 porté par l'axe 1325 et ce bras est relié à une bielle 2063 guidée sur un goujon 2064. Cette bielle parte un téton 2066 sur lequel est monté un cliquet d'accouplement 2065 qu'un ressort 2067 tend à faire tourner dans le sens dextrorsum pour maintenir un goujon 2070 dans des crans 2071 ou 2072, pratiqués dans un curseur 2073 coulissant sur des goujons 2064 et 2074.
Le curseur 2073 présente une autre encoche 2075, dans laquelle peut pénétrer un gojon 2038 du bras 2027 et également une encoche 2076 dans laquelle passe un goujon 2077 porté par le bras d'avancement 2043. Ces goujons 2038 et 2077 peuvent être nor malement en contact, soit avec la paroi de droite, soit. avec la paroi de gauche des enco ches 2075 et 2076 respectivement. On voit en fig. 122 que le goujon 2038 est en contact avec l'arête de droite de l'encoche 2075 et le goujon 2077 en contact avec l'arête de gauche de l'encoche 2076.
Pour ces positions, le cli- quet d'accouplement 2065 est en prise, par son goujon '?070, avec le cran 2071 et quand la machine fonctionne, la came 2060, par l'in termédiaire du bras 2062, tend à déplacer la bielle 2063 vers la gauche. Le goujon 2070, étant en prise avec le cran 2071, entraîne également le curseur 2073, de sorte que le bras d'avancement<I>2027</I> est basculé dans le sens dextrorsuin pour assurer un mouvement d'avancement de ruban du rochet 2024. Une lois que le ruban a été ainsi déplacé, la came 2060 ramène le curseur 2073 et la bielle 306:3 vers la droite, en position de fig. 122.
Pen dant ce mouvement de retour du curseur 2073, lorsque l'encoche 2075 s'éloigne du gou jon 2038, un ressort. 2080 (fig. 123) tendu entre les bras 2027 et 2043 ramène le bras 2027 à la position de fig. 123. Un mécanisme de renversement est également prévu pour le bras 2043 qui devient opérant lorsque le ru ban doit. se dérouler en sens contraire. La, bobine 2015 (fig. 125) comporte un flanc constitué par deux parties 2081 et 2082, cette dernière pivotant. sur le flanc 2081 grâce à un goujon 2083.
Le flanc 2082 présenta une équerre 2084 disposée sur une partie plate de la bobine 2015, et le ruban est enroulé au dessus de cette équerre 2084. Aussi longtemps que le ruban est dans cette position, le flan> 2082 coïncide, par sa périphérie, avec celle du flanc 2081, constituant ainsi un cercle parfait. Par contre, lorsque l'extrémité du ruban est atteinte et que ce dernier passe au-delà. de l'équerre 2084, le flanc 2082 pi vote sur le goujon 2083, ce qui déclenche un organe de renversement de déplacement. dit ruban. Cette commande de renversement est effectuée au moyen d'un cliquet<B>2085</B> (fig. 122) pivotant, sur le goujon 2064 et muni d'une équerre 2086 portant. contre la périphérie du flanc constitué par les parties 2081 et 2082.
Tant que les parties de flancs <B>2081</B> et 2082 coïncident, le cliquet. 2085 est maintenu dans la position de fig. 122, mais lorsque l'extrémité du ruban est atteinte, la partie 2082 pivote, comme on vient de le voir, et le cliquet 2085 bascule dans le sens senestrorsum sous l'action d'un ressort<B>2087</B> fixé à. l'extrémité d'un cliquet de renverse.- ment g088 qui vient. = en contact avec une équerre du cliquet 2085. Le cliquet 2088 pré sente un épaulement 2089 en prise avec un bec 2090 du curseur '_'073.
Le cliquet (le ren- versement 2088 pivote sur un goujon du bâti fixe 180 et n'est pas déplacé, par conséquent, avec le curseur 2073. Il en résulte que, lors que l'extrémité du ruban esi atteinte da::s la bobine 2015 et lorsque la section de flanc 2082 pivote autour du goujon 20R:>, le cliquet 2088 bascule dans le sens senestroi;sutu polir retenir le curseur<B>2073</B> dans son déplacement vers la gauche.
Dans ces conditions, lorsciue la came 2060 déplace la bielle 206:3 vers la gauche, le curseur 2073 n'est pas entraîné. Par suite, le goujon 2070 reste en contact avec un bossage situé entre les deux crans 2071 et 2072, ce qui fait. basculer le goujon 2070 dans le cran 2072.
Lorsque la bielle 2063 est ramenée vers la droite (fig. 122), de façon que l'encoche 2076 cueille le goujon 2077, le bras 2043 est basculé dans le sens senestror- suin pour entraîner le cliquet d'avancement 2041 qui se trouve dégagé de l'arête 2046 et peut ainsi faire avancer la. roue à rochet 2040 dans le sens senestrorsunt pour enrouler le ruban sur la bobine 2015 et le dérouler de la bobine 2023.
La bobine 2023 présente des flancs com pressibles analogues au flanc 2082 ainsi que des cliquets analogues à ceux qui viennvtti d'être décrits pour la. bobine 2015. Lorsque l'extrémité du ruban est atteinte à la bobine 2023, un cliquet 2100 tombe sur le trajet d'un bec 2101 du curseur 2073, arrêtant, ce dernier dans son mouvement vers la droite, de sorte que, pour cette opération, le curseur est arrêté et le goujon 2070 passe du cran 2072 au cran <B>2071.</B> De ce fait, le ruban est à nouveau en roulé sur la bobine 2023.
Lorsqu'on retire le bâti porte-ruban de la machine, il est désirable que les goujons 2038 et 2077, portés par les rochets, soient ra menés vers le centre des encoches 2075 et 2077 pour faciliter l'engagement de ces goujons au moment où le bâti est réintroduit dans la machine.
Les bras de verrou 2007 compor- tent des prolongements qui font basculer les bras d'avancement 2027 et 2043 très légère ment, mais suffisamment pour amener les goujons 2038 et 2077 au milieu des encoches en question. Ce léger mouvement de rotation est obtenu au ' moyen d'un doigt 2015 (tig. 123) qui vient en prise avec un prolon gement 2102 du bras d'avancement 2027 lors que le bras de verrou est basculé à la main dans le sens senestrorsum, pour libérer le bâti porte-ruban de ses goujons 2008.
On peut ver rouiller < i nouveau le bâti lorsqu'il est remis dans la machine, en déplaçant les bras de verrou<B><U>'</U></B>007 dans le sens dextrorsum pour écarter le doigt 2105 de l'arête 2102 et. per mettre ainsi au ressort 2080 de rappeler les bras 2027 et 2043 en leur position normale clé fig. 123.
Fonctionnement. t ïn donnera ci-après un bref résumé des genres d'opérations les plus représentatives que l'on peut effectuer avec la, machine re présentée, par exemple au guichet d'une banque.
Transactions <I>mixtes de</I> dépôt.
On suppose une transaction telle que re présentée aux fig. 90 et 91 et dans laquelle un client dépose un chèque de Fr. 100.50 et clés espèces pour Fr. 25.- La transaction se déroule comme suit: 1 Une fiche de dépôt est imprimée en double avec la somme de Pr. 125.50. Une copie est remise au client et l'autre va à la compta bilité.
2 " Un ticket ou bulletin de caisse d'un montant de Fr. 25.-est émis pour emploi lors de la balance de la caisse.
3 Enregistrement du total du dépôt, soit Fi-. 12Î3..50, clans le totalisateur de dépôt, ce qui permet à. la comptabilité de balancer les comptes d'encaissement du caissier.
4 Enregistrement de la somme de Fr. 25.--- clans le totalisateur Versement , ce qui permet au caissier de balancer sa caisse.
5 Les deux montants, d'abord le total Fr. 125.50 et ensuite le montant d'espèces Fr.<B>2M.-,</B> sont imprimés sur le bordereau de contrôle, pour la comptabilité.
Pour effectuer cette transaction, le cais sier insère tout d'abord la fiche sur la table 1243 (fis. 1) en posant la ligne d'impression sur les repères 1244. Ensuite, il compose le montant 125.50 sur le clavier des mon tants et enfonce la touche<B>108</B> Dépôt qui est une touche motrice déclenchant immédia tement la machine. Pendant, cette opération, le montant est additionné dans le totalisateur Dépôt A et est imprimé sur les deux exem plaires de la fiche, avec la date, le numéro de l'agence, le numéro de la machine, l'initiale A et enfin le symbole D identifiant un dépôt. Entre les deux impressions sur la fiche et sa copie, l'ensemble a été déplacé auto matiquement.
Pendant l'opération, le montant total, soit Fr. 125.50, le numéro de la ma chine, le numéro consécutif, l'initiale A et le symbole D sont également imprimés sur le bordereau de contrôle (voir fig. 106). Au cune inscription n'est faite sur la bande sor tante pour les dépôts. Etant donné que l'exemple comporte un versement en espèces de Fr. 25.-, le caissier place ensuite un ticket ou bulletin (fis. 91) sur la table 1243, com pose le montant de Fr. 25.- et enfonce la touche Versement A 107 qui déclenche la machine pour une opération additionnant 25 francs dans le totalisateur Versement A .
Le ticket de caisse reçoit l'impression de la date, du numéro d'agence, du numéro de ma chine, du numéro consécutif, du symbole A et du symbole I (fig. 91). Comme l'impres sion de ce bulletin ne nécessite qu'une seule impression, la touche 107 débraye automati quement la deuxième impression. Les mêmes inscriptions, sauf la date, sont imprimées sur le bordereau de contrôle (fig. 106). Il n'y a toujours pas d'inscriptions sur la bande sor tante.
La fiche de dépôt, le ticket. et les chè ques déposés sont envoyés à la comptabilité, qui reçoit ainsi des documents complets de tous les dépôts ou versements faits par les clients dont ils peuvent immédiatement cré diter les comptes et faire la balance du compte espèces du caissier. <I>Dépôts en, espèces.</I>
On suppose qu'un client dépose la. somme de 75 fr. en espèces et qu'il désire deux copies de la fiche de crédit, comme représenté par les trois premières lignes de fig. 106. Les opé rations à effectuer sont les suivantes: 1 Trois copies de la fiche montrant 75 francs sont imprimées, deux copies pour le client et une pour la. comptabilité.
2 Un ticket de caisse de 75 fr. est im primé pour la balance de la caisse.
3 Le montant de 75 fr. est enregistré dans le totalisateur de dépôt, ce qui permet à. la. comptabilité de balancer les encaissements.
4 Le montant total en espèces est enregis tré dans le totalisateur de versement. A , qui permet. au caissier A de balancer sa caisse.
5 Le bordereau de contrôle reçoit les mêmes impressions pour la comptabilité. Pour réaliser cette série d'opérations, le caissier A place d'abord la fiche double sur la table 1243, compose le montant de Fr. 75.- sur le clavier et enfonce la touche Dépôt A <B>1,08</B> qui déclenche la machine. Cette dernière imprime sur les deux documents (double im pression) le montant et les inscriptions rap pelés plus haut, ainsi que sur le bordereau de contrôle (première ligne de fig. 106). Comme le client désire une deuxième copie de la fiche, le caissier insère une fiche simple clans la. machine et enfonce la touche Répé tition 114, puis la touche 108.
L'emploi de la. touche Répétition empêche le montant d'être additionné à nouveau dans le totalisa teur de dépôt, mais elle commande l'impres sion de 75 fr. sur la fiche simple et sur le bordereau de contrôle (deuxième ligne de fil. 106). On voit qu'un tiret. est imprimé après le montant, ce qui indique qu'il s'agit d'une répétition. Comme il s'agit ici d'une transaction d'espèces, le caissier, après avoir placé le bulletin de caisse sur la table 1213, enfonce à nouveau la touche Répétition 114 et la touche Versement. A 107. Pendant. cette opération, le montant est additionné dans le totalisateur Versement A et est imprimé sur le bulletin de caisse et sur le bor- dereau de contrôle.
Sur ce dernier (troisième ligne de fig. 106) un tiret indique qu'il s'agit d'une opération de répétition. Dans cet exem ple, il faut noter que toutes les écritures de dépôt, sont dit même genre, c'est-à-dire soit par chèque, soit par espèces, et. il n'est pas nécessaire de répéter le montant sur le clavier, si l'on prend soin d'enfoneer la.
touche Répé tition avec la touche appropriée (le elassifi- cation. Transaeiions <I>de</I> retraits <I>ou</I> paierncats. On suppose, dans l'exemple qui suit, que le client, présente un chèque à l'encaissement, ce qui correspond à un paiement fait par le caissier. La. séquence est la suivante: 1 Enregistrement du montant payé sur la bande sortante, pour permettre -i 1a. comp tabilité de balancer la caisse.
2 Enregistrement. du montant dans le to talisateur de retrait, pour permettre au cais sier de vérifier sa. caisse.
3 Enregistrement du montant sur le bor dereau de contrôle, pour la. comptabilité.
4 Addition du montant dans le totalisa teur de liasse, pour permettre au caissier d'en voyer à la comptabilité le total d'une liasse de chèques.
Pour pouvoir balancer convenablement la caisse, il est nécessaire d'avoir un document séparé des opérations de versement, ce qui est fourni par la bande sortante de fig. 120. Pour ce genre de transactions, le montant à payer est composé sur le clavier, et le caissier enfonce la touche 106 Retrait . Pendant l'opération, le montant est additionné dans le totalisateur de retrait et dans le totalisateur clé liasse simultanément. L'enregistrement comprend la date, le numéro de machine, le numéro consécutif du dernier dépôt, l'initiale A du caissier et un symbole 0 identifiant par exemple une transaction de retrait et enfin le montant (fig. 120).
Simultanément, un document analogue, à l'exception de la date, est obtenu avec le bordereau de contrôle. On peut comparer, par exemple, la première ligne de fig. 120 et la quatrième ligne clé fig. 106. Le chèque est. ensuite placé séparé ment des chèques déposés, de sorte que les chèques de dépôt. ne sont pas mélangés avec les chèques payés. Etant donné qu'en temps normal, les transactions de paiement, sont en registrées sur la bande sortante, cette der nière fournit donc la liste complète de tous les chèques payés par le caissier, et ce dernier possède ainsi tous les chèques correspondants dans un classeur séparé.
De cette manière, à n'importe quel moment de la journée, lorsque le garé#on de courses de la comptabilité se pré sente au caissier pour prendre tous les chè ques payés, le caissier enfonce la touche 115 R. < < . zéro liasse et. simultanément la. touche <B>106</B> Retrait. , pour effectuer avec la. machine deux cycles successifs d'impression du total des chèques payés. Un symbole constitué par une étoile à. cinq branches s'imprime sur la bande sortante et sur le bordereau de con trôle.
Pendant la remise à zéro du tota:lisa- t,errr < le liasse, la bande sortante avance sur une grande distance pour amener le total imprimé au-delà de la lame d'arrachement, après quoi le caissier arrache la bande et la remet, avec la liasse, au garçon de courses. La comptabilité est. ainsi avisée rapidement <B>(le</B> la liste des chèques payés. Transactions multiples <I>de</I> -retrait.
Si l'on suppose qu'une transaction consiste à payer plusieurs chèques, comme représenté par les lignes S à 12 de fig. 120, le montant de chaque chèque est enregistré séparément dans le totalisateur de retrait et les documents imprimés sont la bande de contrôle et la bande sortante. Pour imprimer le total de la liste de ces chèques, le caissier utilise la t.ou- clie 11'? après avoir composé le montant du premier chèque.
L'opération effectuée avec la touche de re trait et la touche de liste fait que le montant ec -respondant est, additionné à la fois dans trois totalisateurs, le totalisateur de retrait, le totalisateur de liasse et le totalisateur vi sible. La touche Liste reste enfoncée à la fin de la première opération, de sorte que les montants suivants sont toujours enregistrés dans ces trois totalisateurs. Un symbole L est imprimé (fig. 106 et 120). Après le dernier montant de la liste, le caissier lit le total aux voyants du totalisateur visible, pour déter miner le montant qu'il, doit payer au client.
Après ce paiement, le caissier enfonce la tou che 110 Solde et pendant l'opération qui suit, le totalisateur est remis à zéro et la tou che de liste rappelée. Pendant cette opération, le total payé est imprimé sur le bordereau de contrôle, mais pas sur la bande sortante. Un astérisque identifie le total d'une liste.
Opérations d'addition.
La machine peut être utilisée pour addi tionner une colonne de nombres, sans enre gistrement correspondant dans les totalisa teurs. A cet effet, les montants individuels sont additionnés au totalisateur visible seule ment, et la machine est déclenchée par l'em ploi de la touche Add. 113, une fois que le montant a été composé sur le clavier. Le to tal est lu aux voyants du totalisateur visible. Si cependant on désire un document imprimé avec les montants individuels et leur total, on utilise la touche 109 Add.-Impr. avant d'enfoncer la touche Solde <B>110.</B> La touche Add.-Impr. est maintenue enfoncée par un verrou spécial qui peut être dégagé à la main. <I>Transfert de totaux.</I>
Si l'on désire transférer dans un autre to talisateur un total. extrait d'un totalisateur donné, on remet à zéro ce dernier, puis on en fonce la touche Répétition simultanément avec. la touche du totalisateur dans lequel on veut faire le transfert. Par exemple, si l'on veut. déterminer le montant. total des sommes versées au guichet par le caissier<B> A </B> et le caissier B , on remet à zéro le totalisateur A et, avec la touche Répétition et la touche Re trait B , on fait une opération au cours de laquelle le total extrait du totalisateur A est transféré dans le totalisateur B . On peut, de cette façon, transférer n'importe quel total de l'un à l'autre des totalisateurs.
Autre exemple: Si l'on désire que les montants accu mulés aux totalisateurs de retrait représen- tant les sommes versées par les caissiers A et B ne soient pas modifiés, le totalisateur A peut d'abord être sous-totalisé et ensuite le montant correspondant transféré dans le totalisateur visible. Ensuite, le totalisateur retrait B peut être sous-totalisé et, le inon- ta.nt correspondant transféré au totalisateur visible, lequel montre ainsi la somme des mon tants payés par les deux caissiers A et B , sans que l'on ait modifié quoi que ce soit aux totalisateurs de retrait A ou B .
Il est évi dent, que les exemples de transferts ne sont. donnés ici que comme une illustration<B>(le</B> l'emploi de la machine, mais il est. possible d'effectuer toutes sortes d'autres transferts.
D'une manière générale également, les exemples que l'on vient de donner dans le chapitre Fonctionnement ne sont. qu'une partie deus opérations qu'il est possible d'effec tuer avec la machine représentée qui peut s'adapter à tous autres systèmes comptables, sans pour cela que sa structure en soit modi fiée.