CH199520A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH199520A
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Description


  Machine comptable.    La présente invention a pour objet une  machine comptable dans laquelle le complé  ment d'un solde     négatif    est transformé en  solde effectif au moyen d'un cycle ininter  rompu de plusieurs opérations et dans la  quelle ce solde effectif est     imprimé    en     une     couleur distinctive. On a déjà proposé, pour  imprimer une somme en original sur deux  documents, d'effectuer la première impression  par une opération de     sous-total    et la deuxième  par une opération de total final. Ce moyen  n'est cependant pas possible quand un solde  négatif se présente et qu'il est nécessaire de  transformer le complément en solde effectif  avec impression en couleur différente.  



  La présente     invention    permet d'effectuer  la deuxième impression avec la même couleur  distinctive que la première et, à cet effet, la  machine conforme à l'invention est caractéri  sée par le fait que le dispositif de renverse  ment du ruban- sur une autre couleur est, pen  dant le cycle de transformation servant à       imprimer    comme sous-total le solde négatif    effectif, amené dans une position telle qu'au  moins une impression du solde effectif puisse  être répétée par une opération de total, et  cela dans la même couleur distinctive que la  première impression.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention.  



  Dans ce dessin:       Fig.    1 est une vue en perspective de la  machine;       Fig.    2 est une vue schématique du clavier  principal et du clavier auxiliaire;       Fig.    3 représente un compte imprimé par  la     machine;          Fig.    4 est une vue latérale d'une coupe  suivant une rangée de montants et son mé  canisme différentiel;       Fig.    5 est une     onze    en perspective des or  ganes différentiels et du     mécanisme    servant  à imprimer plusieurs fois un solde négatif  en couleur distinctive;

         Fig.    6 est une vue latérale de la cQm-      mande de la machine et d'une partie d'un       mécanisme    commandé par une touche     "Sous-          total    solde négatif";       Fig.    7 est un détail d'un dispositif ser  vant à subdiviser le clavier suivant les posi  tions du chariot:       Fig.    8 montre     certa.ina    organes de ver  rouillage pour un dispositif imprimant     1s,     date;     Fig.    9 est une vue en perspective du dis  positif de renversement de ruban;

         Fig.    10 est une vue par l'avant du dis  positif servant à subdiviser les secteurs     im-          primants;          Fig.    11 est une vue perspective des     cli-          quets    de retenue pour les secteurs     imprimant     les montants et la date;       Fig.    12 est une vue latérale d'une partie  du dispositif de     fig.    10;       Fig.    13 est un     détail    d'un     mécanisme     commandant l'inscription d'un symbole;

         Fig.    14 montre un     dispositif    pour ramener  le ruban encreur à la couleur normale;       Fig.    15 est une vue latérale du dispositif  de renversement de ruban;       Fig.    16     représente    le mécanisme d'em  brayage du mécanisme     d'addition-soustrac-          tion;          Fig.    17 est un     détail    d'un dispositif de  réglage de la tension des ressorts pour les  secteurs imprimant les     montants;          Fig.    18 représente un dispositif comman  dant le symbole distinctif pendant une im  pression répétée du solde négatif effectif;

         Fig.    19 est un détail du     mécanisme    de  commande du ruban;       Fig.    20 est un détail du     dispositif    de ren  versement du ruban.  



  La machine     comptable        représentée    est du  type     connu    comportant un clavier principal  et un clavier auxiliaire     (fig.    1 et 2). Le cla  vier principal comprend un     certain    nombre  de rangées de touches de     montants    71, trois  rangées de touches de     compteur    72, une ran  gée de touches de commande 73, une     touch(,     motrice 74 et une touche 77 servant à enclen  cher la machine dans le     cas    où, un solde né  gatif s'étant présenté, on veut imprimer en    sous-total le solde effectif.

   Le clavier auxi  liaire comprend plusieurs groupes de touches  480 à 483, pour la     pose    d'une date, et deux  rangées de touches     imprimeuses    478, 479  pour la pose d'abréviations ou symboles.  



  A chaque rangée de touches de montants  71     (fig.    4)     correspond    un mécanisme diffé  rentiel     constitué    par une crémaillère 166 pré  sentant les épaulements 179 devant     coopérer     avec une butée 149     portée    par la touche 71  enfoncée.

   Ces crémaillères sont munies, d'au  tre part, de dentures avec lesquelles les pi  gnons d'un     totalisateur        addition-soustraction     (no 1) et les     pignons    d'un     totalisateur    sim  ple (no 2) peuvent     être        embrayés.    Normale  ment, chaque     crémaillère    166 est     retenue    à  la position zéro par un     cliquet    d'arrêt 158,  écarté de sa position active par l'intermé  diaire d'une     targette    155, quand on     enfonce     une touche 71.  



  Chaque crémaillère 166     (fig.    4) comporte  une fente verticale 169 en prise avec un  galet 170 porté par un levier 171 à trois  branches, pivotant en 172. Un ressort 173  maintient     normalement    le levier 171 en con  tact avec une traverse 174 d'un étrier 175  fixé sur l'arbre 172.

   Ce dernier     reçoit,    au  cours de l'opération, un mouvement     oscillant     dérivé d'un arbre principal 78     (fig.    5 et 6)  par l'intermédiaire d'un bras 79 dont un  galet 176     coopère        avec    un chemin de     came     177 pratiqué dans un bras 178 fixé sur l'ar  bre 172.

       Le    bras 79 reçoit, par une bielle  80 et une manivelle 51, 52     (fig.    6), un mou  vement     oscillant,    d'abord dans le     sens        senes-          trorsum,    puis dans le sens     contraire,    mouve  ment qui est donc     communiqué        aux    arbres  78 et 172.  



  Quand l'étrier 174     (fig.    4) se     déplace     dans le     sens        seneetrorsum,    le     ressort    173     en-          traine    le levier à trois branches 171 et la cré  maillère correspondante 166 (au     cas    bien en  tendu où le cliquet     correspondant    158 est  débrayé), jusqu'à     ce    qu'un     épaulement    179  rencontre la butée 149 de la     touche    71 en  foncée. A partir de ce moment, l'étrier 174,  175 continue sa course dont l'amplitude est      constante à chaque opération.

   La position  de la crémaillère 166 arrêtée est transmise,  par le levier 171 et une bielle 180, à des  secteurs imprimants 68 articulés sur un bras  181 monté fou sur un arbre transversal 128.  Un couteau d'alignement 160,     porté    par des  bras 161 fixés sur un arbre 162, s'engage au  moment voulu dans une denture du levier  171, dans le but de maintenir le levier et les  pièces connexes dans la position acquise. Im  médiatement après, un étrier 182 bascule  dans le sens     senestrorsum    et se dégage d'un  épaulement 183 prévu sur une     plaquette    184  reliée de façon appropriée au bras d'impres  sion correspondant 181.

   Les     différents    bras  181 peuvent dès lors basculer dans le sens       dextrorsum    sous l'action d'un ressort<B>185</B> et  frapper les secteurs     imprimants    68 contre le  papier passé autour du cylindre 67 du cha  riot 66.  



  Chaque ressort 185 est attaché par une  extrémité à un cliquet 210 monté sur le bras  181 et en prise par un talon avec la pla  quette 184. L'autre extrémité du ressort 185  est fixée à un curseur 211     (fig.    4 et 17)  monté réglable sur un étrier 212. Les bras  213 de cet étrier sont reliés à des bras 214  fixés sur l'arbre 128 précité et peuvent se  déplacer sur des goujons fixes grâce à des  lumières appropriées.

   La     position    du curseur  <B>2</B>     11        par        rapport    à     l'étrier        212        peut        être        ré-          glée    au moyen d'un excentrique,     ce    qui per  met de faire varier à volonté la     tension    du  ressort 185 et de régler la frappe.

   Par la       rotation,    dans le sens     dextrorsum,    de l'arbre  <B>128</B> et des bras 214, l'étrier 212 est déplacé  vers la droite     (fig.    4), de sorte que les res  sorts 185 sont bandés pour l'impression.  



  Lorsqu'aucune touche de montant n'est  enfoncée, un crochet 186, appartenant à un  cliquet 187 monté sur un arbre 188, retient  le bras d'impression 181 et le secteur 68 cor  respondant. Au contraire, quand une touche  est enfoncée, la crémaillère 166 et le bras<B>171</B>  sont éloignés de la. position zéro et un goujon  189 porté par une des branches du levier 171  vient agir sur une queue arquée 190 du     cli-          quet    187, ce qui écarte sa     partie    crochue de    la plaquette 184. te     secteur    68 correspon  dant est donc relaxé pour l'impression.  



       Fonctionnement   <I>de la machine avec cla-</I>  <I>vier</I>     normal   <I>et clavier subdivisé.</I> Le groupe  imprimant     fonctionne    normalement de façon  telle que, lorsqu'une touche de montant est  enfoncée dans une rangée donnée,     tous    les  secteurs des rangées     inférieures    dans lesquel  les une touche n'est pas enfoncée sont libérés  automatiquement et viennent imprimer un  zéro. Par contre, l'impression des zéros est  empêchée dans toutes les rangées supérieures  à la rangée considérée.  



  On peut, à la manière connue, subdiviser  (ou     "splitter"    comme on dit     couramment     dans     cette    branche de l'industrie) le clavier  en plusieurs sections, de façon que plusieurs  montants ou des nombres puissent être com  posés sur le clavier et être imprimés simul  tanément. Lorsqu'on     utilise    le     clavier    des  montants de     cette    façon, les différentes sec  tions sont séparées en ce sens que la trans  mission     décrite    ci-dessus pour l'impression  des zéros est     interrompue    entre les sections.

    Si, par exemple, une touche d'une section de  gauche est enfoncée dans une rangée, les  zéros sont     automatiquement    imprimés dans  les rangées inférieures de cette     section,    mais  pas dans la ou les     sections    se trouvant     à,     droite. Dans la machine décrite, à titre  d'exemple, le dispositif d'impression des  zéros est commandé par le chariot qui, pour       certaines        positions,        "splitte"    le groupe impri  mant en sections. Lorsqu'on     utilise    ainsi le  clavier     splitté,    les totalisateurs restent dé  brayés.  



  Le chariot 66 porte une réglette 193     (fig.     4 et 10) sur laquelle sont disposés un     certain     nombre de taquets 450, dont au moins un  bossage 451 coopère avec un bec 452 d'un  plongeur 453 pivotant en 195. Le levier  plongeur 453, en basculant, rencontre par son  prolongement 454, un talon 455 (voir égale  ment     fig.    7) solidaire d'un étrier 456 monté  fou sur une     tige    transversale 457 du bâti  d'impression.

   L'étrier 456 pivote alors dans  le sens     senestrorsum.    Les deux bras de cet  étrier supportent une barre 458 en prise avec      deux     biellettes    459 et 460 dont l'extrémité  inférieure est articulée à des curseurs 461 et  462.     Le    curseur 461 est guidé sur un cliquet  d'arrêt 463 correspondant au bras 181 de la  rangée des centaines et l'autre, 462, sur un  cliquet d'arrêt 464     (fig.    10) pour le bras 181  de la rangée des milliers. Les cliquets d'ar  rêts 463 et 464 sont. semblables et fonction  nent d'ailleurs     comme    les cliquets 187     (fig.    4)  spécifiés plus haut.

   Quand l'étrier 456 bas  cule dans le sens     senestrorsum        (fig.    7), les  biellettes 459, 460 soulèvent les curseurs 461.  462, de façon que leurs équerres 465, 466  soient dégagées du trajet du cliquet d'arrêt  187 de la rangée immédiatement supérieure.  



  Chaque cliquet. 187 des rangées supérieu  res porte un goujon     (fig.    10) en prise der  rière un goujon analogue du cliquet de la  rangée immédiatement inférieure de façon  que, lorsqu'on     enfonce    une touche dans une  rangée quelconque et que le cliquet corres  pondant 187     (fig.    4) est     écarté    de sa posi  tion de retenue, les secteurs     imprimants    aux  rangées inférieures soient également relâchés.  Les équerres 465, 466     (fig.    10)     remplacent,     pour les rangées correspondantes, les goujons  précités.

   Si donc     ces    équerres sont déplacées  vers le haut,     comme    on vient de le décrire,  pour être écartées du trajet des cliquets de  la rangée immédiatement supérieure, le cla  vier peut être considéré comme divisé en trois  sections.  



  Lin étrier 441     (fig.    10) permet de retenir  un ou plusieurs groupes de bras d'impression  181 en position de repos et la partie trans  versale de cet étrier peut être découpée plus  ou moins profondément (voir sections 467.  486, 469) permettant de débrayer différents  groupes de secteurs, suivant que l'étrier 441  est déplacé plus ou moins loin.

   Un taquet 192       (fig.    6), monté sur la réglette 193, comporte  un prolongement 438 dirigé vers l'arrière et  venant, pour     certaines    positions du chariot,  rencontrer un bec 439; la portion 467     (fig.     10) de l'étrier 441 est amenée sur le trajet  des crans pratiqués dans des bras d'impres  sion 288 correspondant au     compteur    et ces  secteurs sont. retenus en     position    de repos.

   Si    le chariot est amené dans une position dans  laquelle le taquet 450 produit la division du  groupe imprimant, un prolongement 470 du  taquet 450 de     cette        position    (voir également       fig.    4) vient agir sur le bec 439 qui bascule  un peu plus que dans le     cas    précédent, de  façon que l'arête 469     (découpée    un peu plus  profondément que l'arête 467) soit en posi  tion active pour retenir les secteurs 68 des       centimes    et des décimes, ainsi que le secteur  imprimant les symboles.

   L'arête 467, dans       ce    cas, retient encore les secteurs 288 du  compteur, tandis que     l'arête    468, découpée  encore plus profondément, n'empêche pas  l'impression des     autres    secteurs imprimant  les chiffres.  



  La machine peut naturellement     compor-          ter    un taquet analogue aux taquets 192 et  qui fasse basculer l'étrier 441 de façon que  l'arête 468 vienne arrêter tous les secteurs       imprimants.    Comme, dans ce     cas,    les arêtes  467 et 469 sont également actives, ni les sec  teurs de     montants,    ni le secteur de symbole,  ni ceux du     compteur    ne fonctionnent.  



  Comme on le voit en     fig.    8, les secteurs  594, 596, 598     (fig.    10),     commandés    par les  touches de la date 480 à 483     (fig.    1), sont  montés sur des bras 599     (fig.    8) pivotant sur  l'arbre 128. Chaque bras 599 est muni d'un  talon 600 en prise avec une fente 601 prati  quée dans un étrier 602 (voir aussi     fig.    1).  Les bras de     ce    dernier     pivotent    sur le même  support que les bras 440 de l'étrier 441 et la.  fente de l'étrier 602 empêche     normalement    un  mouvement des     secteurs    de la date.

   Toute  fois, lorsque le chariot est dans une     colonne     du compte 410     (fig.    3) dans laquelle la date  doit être     imprimée,    un prolongement 603  (fie. 1, 6) du     taquet        correspondant    192 ou  444 coopère avec un bec 604     (fig.    10) de  l'étrier 602 pour     écarter    du trajet     des        becs     600 la fente de     cet        étrier    et libérer les sec  teurs imprimant la date.  



  L'impression de la date dépend non seu  lement de la position du chariot, mais égale  ment du mouvement des     crémaillères    de mon  tant 166     (fig.    4) dont une au moins doit être      éloignée de la position zéro, aussi bien dans  les opérations d'addition que dans les extrac  tions de     totaux.    Le support du secteur des  mois coopère avec un cliquet 605     (fig.    10 et  <B>11),</B> le support du secteur imprimant les di  zaines de jours avec un cliquet 606, le sup  port du secteur des unités de jours avec un  cliquet 607 et enfin celui des années avec un  cliquet 608 et tous ces     cliquets    sont analo  gues au cliquet     l.87    prévu pour les montants.

    Chacun d'eux peut s'accrocher à un talon     6013     de la plaquette 610 reliée au bras 599 cor  respondant.  



  Le cliquet d'arrêt 607 pour le secteur im  primant les unités de jours     (fig.    10 et 11)  comporte une équerre 611 disposée au-dessus  du cliquet 606 du secteur imprimant les di  zaines de jours, de sorte que, si une touche  481 pour les dizaines de jours est enfoncée,  le cliquet 607 pour les unités de jours est  également entraîné pour qu'un zéro soit auto  matiquement imprimé. A part les cliquets  normaux prévus pour les secteurs imprimant  la date, on a prévu encore, pour chacun d'eux,  un cliquet 612 monté fou sur une barre  transversale 188 et en prise avec un talon  609 de la     plaquette    610 correspondante.

   Les  quatre cliquets d'arrêt 612, ainsi que le     cli-          quet    614 pour la rangée des décimes, sont  reliés ensemble par une tige transversale  613. Le cliquet 614 correspond exactement  au cliquet 187 de la rangée des centimes et  est relié à ce dernier par un goujon 615. Cette  connexion a pour effet de produire l'impres  sion d'un zéro dans cette rangée lorsqu'une  touche est enfoncée dans une autre rangée.  Les goujons et les équerres 465 et 466 pré  vus entre les différents cliquets     d'arrêt        (fig.     10) ont, en outre, pour effet d'amener en  position inactive le cliquet 614 et le cliquet  187 lorsqu'une touche est enfoncée dans une  rangée supérieure.

   Ainsi, chaque fois qu'une  touche :de montant est enfoncée dans une ran  gée, ou bien lorsque la crémaillère correspon  dante est écartée de sa position zéro dans les  opérations de total, le cliquet 614 est amené  en position inactive et, grâce à la tige 613,  également les cliquets<B>612</B> du     dateur.       <I>Mécanisme</I>     du        ruban        encreur.    Le     rubaù     encreur 50     (fig.    1) comprend une zone impri  mant en noir et une zone imprimant en  rouge. Il se déroule à la manière connue en  tre des bobines 627 et passe dans une four  chette 628     (fig.    5) guidée dans un support  629     (fig.    15).

   La     fourchette    628 comporte  à sa partie inférieure deux parties 631 re  pliées et fourchues en prise avec un goujon  632 porté par un levier 633 pivotant en 634.  L'autre     dxtrémité    du levier 633 est reliée,  par une biellette 635, à l'un des     bras    636  d'un étrier 637 monté fou sur un pivot 638.  L'autre bras de     l'étrier    est en prise, par un  goujon 640, avec une fente longitudinale  d'une bielle 641 articulée sur un bras 639  goupillé sur l'arbre d'impression 128. Un  ressort 642, disposé entre le goujon 640 et  la bielle 641, maintient normalement le gou  jon 640 en contact avec l'extrémité de gauche  de ladite fente longitudinale.

   L'arbre 128 et  le bras 639 effectuent à chaque opération un  mouvement oscillant, d'abord dans le sens       dextrorsum,    pour être ramenés     ensuite    à la  position normale. Ce mouvement est trans  mis par la bielle 641     (fig.    15) à     l'étrier    637,  au levier 633 et à la fourchette 628 qui porte  le ruban. Le bras 636 porte un goujon 643  coopérant avec un crochet 644 qu'un ressort  648 tend à faire tourner dans le sens     dex-          trorsum    de façon que sa partie 649 soit en  contact avec un goujon 650 porté par un bras  651 fixé sur un arbre 647.

   L'arbre 647 sert  au renversement de couleur du ruban; quand  il se trouve dans la position représentée en       fig.    15, le crochet 644 est sur le trajet du  goujon 643 et empêche l'étrier 637 d'effec  tuer sa course complète dans le sens     dextror-          sum.    De ce fait, la fourchette 628 n'est sou  levée que partiellement et amène la zone su  périeure (noire) du ruban 50 sur le trajet  des caractères imprimants.  



  Si, pour une opération donnée, l'impres  sion doit se faire en rouge, l'arbre 647 tourne  dans le sens     dextrarsum    de façon que le gou  jon 650 fasse pivoter le crochet 644 dans le  sens     senestrorsum,    hors du trajet du goujon  643. Dans     ce        cas,    l'étrier     peut    pivoter sur      toute sa course et le ruban 50 est     soulevé     suffisamment pour amener la zone inférieure  (rouge) sur le trajet des     caractères        impri-          mants.    La rotation de l'étrier 637 est alors  limitée par le contact du goujon 643 avec un  support fixe 668.  



  Dans     les    conditions normales, l'arbre de       renversement    du ruban 647     est,    par     l'opération     de la machine, ramené à la position corres  pondant à la couleur noire, position représen  tée en     fig.    14.

   Sur cet arbre est fixé, d'autre  part     (fig.    14), un     bras    669 en prise avec un  goujon 670 d'une bielle 671     comportant    un  goujon<B>672</B> sur lequel peut coulisser un     cli-          quet   <B>673</B> dont une équerre     675    est maintenue  en contact, par un ressort 674, avec une en  coche de la bielle<B>671.</B> Quand l'arbre 647  tourne dans le sens     dextrorsum    pour renver  ser le ruban sur le rouge, le bras 669 déplace  la bielle 671 vers la     droite    jusqu'à ce que le  cliquet<B>673</B> vienne à la position représentée  en traits mixtes en     fig.    14.

   Lorsque l'arbre  d'impression 128 et le bras 639 tournent dans  le sens     dextrorsum,    un galet 676 porté par ce  dernier entraîne un levier 678 qui pivote  également dans le sens     dextrorsum    jusqu'à ce  que son extrémité supérieure efface le     cli-          quet   <B>673</B> et vienne se placer à la droite de  ce dernier. Lors du retour du bras 639 dans  le sens     senestrorsum,    le levier 6-18 rencontre  le cliquet 673 depuis la droite et entraîne  ainsi la bielle 671 vers la gauche, pour ra  mener l'arbre de renversement 647 à la posi  tion correspondant au noir.

   Une fois que la  bielle<B>671</B> est complètement revenue en     place.     le levier<B>678</B> relâche le cliquet<B>673</B> qui re  prend sa position représentée en     fig.    14 et  n'empêche plus le déplacement vers la droite  de la. bielle 671 pour le     cas    où l'arbre de ren  versement doit être amené à nouveau à la  position     correspondant    au rouge.  



  <I>Répétition de</I>     l'impression   <I>du solde néga-</I>  <I>tif.</I> Il est souvent désirable, en comptabilité,  de pouvoir imprimer plusieurs fois un solde.  Dans le cas d'un solde négatif, si l'on en  fonce la touche 77 marquée     "Sous-total    solde  négatif"     (fig.    2), la machine décrite à titre  d'exemple effectue, à la manière     connue,    un    cycle de trois opérations     sueeessives    destinées  à     transformer    le complément du solde en va  leur effective.

   Pendant la dernière opération  du cycle, le solde effectif est extrait, en     sous-          total,    du totalisateur addition-soustraction,  de     sorte    que, dans une opération subséquente  de total, ce solde peut être imprimé encore  une fois. Cette double impression du solde  négatif est particulièrement importante lors  que le solde négatif effectif doit être im  primé en original, aussi bien sur la partie  principale du compte que sur le talon de ce  dernier.  



  Pendant les deux premières opérations du  cycle d'un sous-total     (cas    d'un solde négatif).  le groupe imprimant est débrayé et     ce    n'est  qu'au début de la troisième opération que le  groupe est en position active pour l'impres  sion du solde effectif. Or, dans la machine       considérée,    le débrayage de l'imprimerie a  pour effet, ainsi qu'on le verra plus loin,  d'amener en position active, pendant la troi  sième opération, la zone     rouge    du ruban 50.

    Vers la fin d'une opération de     sous-total,     l'arbre de     renversement    du ruban 647 est       ramené    à la     position        correspondant    au noir,  de sorte que le montant suivant est normale  ment imprimé en noir.  



  L'extraction d'un sous-total a     toutefois     pour effet de préparer le     mécanisme    du ru  ban de façon qu'à l'opération de     total    sui  vante, l'arbre 647 revienne â la     position    cor  respondant au rouge. Après la deuxième im  pression, le ruban est alors ramené à la cou  leur noire.  



       Ainsi    qu'on le voit à la     fig.    6, un bras  127, fixé sur l'arbre d'imprimerie 128, porte  un goujon 713 en prise dans une lumière  d'une bielle 714     articulée    à un bras<B>715</B> fixé  sur l'arbre de renversement du ruban 647  (voir également     fig.    9). Un prolongement 716  de la bielle 714 se trouve normalement sur  le trajet     d'un    goujon 717 porté par un bras  164 muni d'un chemin de came 163 et com  mandé par le galet 176 du bras 79.

   Quand,  au cours de l'opération, l'arbre 128 tourne  dans le sens     dextrorsum,    le prolongement 716  est     déplacé    vers le bas et est     écarté    du gou-      ion 717 avant que le bras 164 tourne dans  le sens     degtrorsum.    Dans ce cas, le goujon  717 ne transmet aucun mouvement à la bielle  714.

   Par contre, dans les opérations de     sous-          total    solde négatif, l'enfoncement de la tou  che 7 7 a pour effet d'éloigner d'un galet     133     porté par un levier 131, la partie de grand  diamètre d'une came 184, de sorte que sous  l'action d'un ressort 136, le levier 131 peut       tourner    dans le sens     dextrorsum    en entraî  nant une bielle 129, ainsi qu'une autre bielle  125 qui se dégage d'un goujon 124 porté par  le bras 79. C'est ainsi que l'imprimerie est  débrayée pendant les deux premières opéra  tions du cycle.

   Simultanément, le prolonge  ment 716 reste sur le trajet du goujon 717,  de sorte que le mouvement du bras 164 a  pour effet de déplacer vers la droite la bielle  714, ce qui fait tourner l'arbre de renverse  ment 647 dans le sens     dextrorsum.    De ce  fait, le crochet 644     (fig.    15) est éloigné du  goujon 643 et la zone rouge du ruban est  amenée sur le trajet des caractères     impri-          mants    pendant la troisième opération. Avant  la fin de la troisième opération du cycle de       sous-total,    le mécanisme représenté en     fig.    14  ramène l'arbre de renversement du ruban à  la position correspondant au noir.  



  Vers la fin d'une opération de sous-total  solde négatif, un bossage 122     (fig.    6) de la  came 134 déplace un levier 118 dans le sens       senestrorsum,    de façon qu'une bielle<B>117</B> dé  gage le talon 108 d'un     cliquet    107 de la tou  che 77 enfoncée, ainsi d'ailleurs qu'un bras  718 solidaire du cliquet 109. Le bras<B>718</B>  est articulé à une bielle 719 dont l'autre  extrémité est pourvue d'une fente     Iongitudi-          nale    en prise avec un goujon 720 porté par  un étrier 721 tournant sur l'arbre de renver  sement 647 (voir également     fig.    9).

   Quand  le bras 718 tourne dans le sens     senestrorsum,     la bielle 719 fait tourner l'étrier 721 dans le  sens contraire, ce qui amène l'arête supérieure  722 de l'étrier au-dessous d'un crochet dont  est muni un bras 723 fixé sur un arbre 724.  Cet arbre est mobile dans les bras d'un étrier  725 monté fou, entre les bras de l'étrier 721  sur l'arbre 647. Un ressort disposé entre    l'étrier 725 et le crochet 723     maintient    nor  malement ce dernier en prise avec l'arête 722  de     l'étrier    721. Une     biellette    726 relie l'étrier  725 à une came 727 figée sur un arbre 432       (fig.    6) qui sert à l'embrayage du totalisa  teur addition-soustraction.

   Le bras gauche       (fig.    9) de l'étrier 721 est solidaire d'un bras  728 réglable dont le prolongement supérieur  730     (fig.    18) peut coopérer avec un goujon  731 porté par un curseur 732 guidé par une  partie fourchue sur un galet 733.  



  Si, à la suite     d'une    opération de sous-total  solde négatif, la machine effectue une opé  ration normale de solde, déclenchée par l'u  tilisation de la touche solde 73     (fig.    16), une  encoche de la tige de cette touche vient sur  le trajet d'une équerre 734 d'un levier 735  pivotant en 404 et, sous l'action d'un ressort,  ce     levier    bascule dans le sens     senestrorsum     de façon qu'un goujon disposé à la partie  inférieure fasse tourner un levier 737 pré  sentant les     cliquets    425 et 426 qui sont ame  nés sur le trajet d'un levier volant 427 pivo  tant en 428 sur une plaque de commande  429.

   Celle-ci est fixée sur l'arbre principal  78 et     effectue    avec lui, d'abord un mouve  ment de rotation dans le sens     senestrorsum          (fig.    16) en     entraînant    le levier 427. Comme  le cliquet 425 empêche ce dernier de tourner,  une connexion rigide est ainsi constituée, qui  a pour effet de tirer une bielle 430 vers la  gauche et de faire tourner un bras 431 et     un     arbre d'embrayage 432 dans le sens     dextror-          sum.    Cette rotation, dans la machine consi  dérée, embraye les pignons du totalisateur       addition-soustraction    avec les crémaillères.

    Lorsque l'arbre 432 tourne dans le sens     dex-          trorsum,    la came 727     (fig.    6) est entraînée et,  grâce à la biellette 726, l'étrier 725 pivote  dans le sens     dextrorsum.    Celui-ci entraîne,  par l'intermédiaire du crochet 7 23 agissant sur  l'arête 722, l'étrier 721 ce qui, grâce au doigt       î30        (fig.    18), déplace le curseur 732 vers la  droite.

   Un épaulement 744 de ce curseur ren  contre un goujon 745 porté par la bielle 671  (fi-. 14), entraîne celle-ci vers la droite et  fait tourner l'arbre de renversement 647 dans  le sens     degtrorsum.    Par     cette        rotation,    le cro-           chet    644     (fig.    15) est éloigné du goujon 643,  de sorte que la fourchette qui porte le ruban  est amenée à la position     correspondant    au  rouge. La deuxième impression ainsi opérée  au     cours    d'une opération de     total    est donc  effectuée en rouge.

   Lorsque le curseur 732       (fig.    18) se déplace vers la droite,     un    gou  jon 746 vient agir sur un bec 747 d'un le  vier 748 basculant sur le goujon 733 et,     grâce     à une bielle 749, un secteur 750 est amené  dans une position déterminée dans laquelle  un signe conventionnel, par exemple     "0D",     est imprimé dans la colonne solde du compte  410     (fig.    3), pour indiquer qu'il s'agit d'un  solde négatif.

   Une fois que le secteur 750 a  été amené à sa     position,    la rotation de l'arbre  d'impression 128 écarte le galet 676 d'un  levier de verrouillage 753, de sorte que ce  dernier peut, sous l'action d'un ressort, venir  s'engager par sa denture avec un goujon 754  du levier 748 et fixer ainsi le secteur en  position.  



  Un autre cliquet 755     (fig.    6 et 19), solli  cité par un     ressort    et pivotant en 756 sur un  support 757 fixé au bâti 191, comporte deux  talons     coopérant    avec un carré 758 porté par  un prolongement dirigé vers le haut de l'é  trier 721, de manière à maintenir     ce    dernier  dans chacune de ces deux positions de     fig.    6  et de     fig.    19.

   Lorsque l'étrier 721 a basculé  dans le sens     dextrorsum    pour renverser l'ar  bre 647 sur le rouge, le bras 164     (fig.    6) dé  place vers la droite une bielle 759 articulée  au goujon 717 mentionné plus haut et dont  l'extrémité de droite est guidée par un gou  jon 760 du cliquet 755.

   Par     ce        déplacement     vers la droite,     l'arête    761 de la bielle 759       rencontre    un goujon 762 porté par un bras  <B>763</B> fixé sur l'arbre 724 pour l'amener dans la  position     représentée    en traits mixtes en       fig.    19, c'est-à-dire dans une position pour  laquelle le crochet 723 est écarté de l'arête  722 de l'étrier 721. Simultanément, la bielle  759, grâce au goujon 760, dégage le cliquet  <B>755</B> du     carré    758, de sorte qu'un ressort 764       (fig.    18) peut ramener l'étrier 721 dans la  position normale représentée en     fig.    6.

   Au  moment où la bielle 759 est ramenée vers    la gauche, le cliquet 755 revient en     prise     avec le     carré    758 et le crochet 723 se trouve  être simplement en     contact    avec la traverse  de l'étrier 721 sur laquelle il glisse sans ac  tion au moment. où, au     cours    de l'opération  suivante, la     came    727 est actionnée.  



  Entre un sous-total solde     négatif    et le  total solde suivant, la machine peut effectuer  autant d'opérations qu'on veut avec un totali  sateur quelconque. Seul le totalisateur     addi-          tion-soustraction    ne doit pas être utilisé entre  ces deux genres d'opération. Pendant une  opération ainsi     efectuée    entre un     sous-total     solde négatif et le total solde, le ruban peut  être positionné au choix, sur le rouge ou sur  le noir.

   Une fois que l'étrier 721     (fig.    6) a  été ramené en position normale, le dispositif  représenté en     fig.    14 ramène en effet l'arbre  647 dans la position     correspondant    au noir.  



  A la fin de la dernière opération du cy  cle d'un     sous-total    solde négatif, le montant  de ce solde reste     dans    le     totalisateur        addition-          soustraction    et en est extrait au     cours    d'une  opération de total, pour     être    imprimé dans la  colonne voulue du compte. Il est bien entendu  qu'il serait possible de répéter, autant de fois  qu'on veut, l'opération de sous-total solde  négatif. Il suffit     d'enfoncer    la touche 73.  Pratiquement, du point de vue comptable,  une seule répétition d'impression est générale  ment suffisante.  



  <I>Impression d'un symbole</I>     distinctif.    Un  signe distinctif est imprimé lorsqu'on remet  à zéro des totalisateurs de la machine en uti  lisant une touche     total.    Ce signe est. par  exemple     composé    de deux zéros et d'un signe  "moins", c'est-à-dire "00-".

   Dans la machine       considérée,    ce signe n'intervient que pour les  touches 73 "Total nouveaux soldes" et "Total  chèques", mais il est entendu que le signe       pourrait    aussi facilement être imprimé lors  qu'on remet à zéro un autre     totalisateur.    Si  l'on enfonce une de     ces    deux touches 7 3       (fig.    2) pour tirer le total correspondant, un  goujon 765 ou 766     (fig.    12 et 13) porté par       ces    touches vient agir sur une arête inclinée  767 ou 768 d'un curseur 769 et déplace celui-      ci vers la droite.

   Un ce faisant, le curseur  rencontre un galet 7 7 0 porté par un levier  771 monté fou sur l'arbre     principal    78 -et  fait basculer ce levier dans le sens     senestror-          sum    contre l'action d'un ressort 772. Comme  la branche supérieure du levier 771 est en  prise avec un étrier 774, celui-ci bascule dans  le sens     dextrorsum    en écartant deux doigts  775, 776     (fig.    5 et 10) qui, à leur tour, au       moyenUeprolongements    777, 778 agissent sur  le cliquet d'arrêt 562     (fig.    12) correspondant  au secteur des symboles et sur le cliquet<B>187</B>  correspondant à la rangée des centimes.

   Ces  deux cliquets sont ainsi écartés de leur posi  tion active. Ainsi qu'on le voit en     fig.    11, le  cliquet 187 des centimes est relié au     cliquet     correspondant de la rangée des décimes, de  sorte que     tous    deux sont basculés en position  inactive. Ces secteurs     impriment    donc en  semble le signe "00-" qui attire l'attention  de l'opérateur sur le fait que le totalisateur  "Total chèques" ou le totalisateur "Total  nouveaux soldes" a été vidé. Afin de diffé  rencier entre eux, sur le compte, la remise  à zéro de ces deux totalisateurs, il existe en  core un autre secteur commandé directement  par les touches 7 3 et qui met en position un  symbole particulier.

   Ce secteur 750     (fig.    6)  est commandé par le curseur 350     (fig.    12).  



       Fonctionnement.    Pour bien faire com  prendre le fonctionnement de la machine       décrite    ci-dessus, on décrira un exemple numé  rique en se référant à l'exemple de compte  représenté en     fig.    3. Quand on commence  une nouvelle     carte    de compte, on fait un re  port dans la colonne     "Solde",    aussi bien sur  la partie principale de la carte de compte  que sur son talon (1000     frs.    dans le cas par  ticulier), en utilisant par exemple la touche       "Add    1" qui     sélectionne    le totalisateur     addi-          tion-soustraction    pour une addition.

   Pendant  l'opération correspondante, cette somme de  1000 francs est additionnée dans ce     totalisa-          teur    et imprimée au haut de la colonne  "Solde" comme indiqué. Le chariot passe en  suite dans la colonne "Solde" du talon et par  une opération de total     (remise    à zéro) du  totalisateur     addition-soustraction,    la somme    de 1000 francs est imprimée dans la colonne  "Solde" du talon. Ces reports se font indé  pendamment de la passation normale des  écritures.  



  Pour l'opération comptable proprement  dite, on reprend tout d'abord l'ancien solde  de 1000 francs     additivement    dans le totalisa  teur     addition-soustraction    et cela générale  ment, non pas sur le compte, mais dans une  colonne du journal 780     (fig.    1) un peu plus  large que le compte. Après     cette    opération,  le chariot passe dans la première     partie    de  la     colonne    "Chèques"     (fig.    3). Le 14 février  1935, on a enregistré trois chèques de<B>100</B>  francs chacun et un versement de 250 francs.

    Comme la colonne     "Chèques"    est ici divisée  en trois parties, les trois chèques peuvent  être passés sur la même ligne sans mouve  ment de retour du chariot et sans montée du  papier. Une fois les chèques et le versement  enregistrés et imprimés, on déclenche une  opération de sous-total     "Solde"    qui imprime  la somme de 950 francs     dans    la colonne       "Solde"    de la partie principale du compte.  Comme il s'agit d'un sous-total, le signe "S"  est imprimé à côté du montant.

   Le talon  ou partie détachable du compte 410 compor  tant, à gauche,     une    colonne spéciale     divisée     en trois parties qui sert à l'impression de  données particulières, le chariot est amené  dans cette colonne et le taquet 450     (fig.    10)       divise,    comme on l'a vu plus haut, le clavier  et le groupe imprimant en trois sections, de  façon que l'impression des zéros soit indé  pendante dans chacune de ces trois sections.  Dans le     cas    particulier, on a imprimé le chif  fre "4"     dans    la     première    partie et le montant  de 150 dans la troisième partie de cette co  lonne.

   Le chariot     tabule    ensuite automati  quement dans la colonne "Solde" du talon  et par une opération de total du mécanisme       addition-soustraction,    la somme de 950 francs  est extraite de ce     mécanisme    et imprimée  dans la colonne en question avec un signe  particulier, une étoile par exemple. Simulta  nément, au moyen du mécanisme     compteur     que comporte la. machine, le nombre de chè-           ques        ("3"    dans     ce        cas)    est imprimé dans la  colonne     "Nombre".     



  Le     1à    février 1935, on a eu à     passer    un  chèque de 350 francs et deux chèques de  <B>100</B> francs chacun, qui viennent donc en dé  duction de l'ancien solde de 950 francs. On  voit que le troisième chèque de 100     francs    a  été imprimé avec un signe spécial "NC" qui  fait remarquer que, pour des raisons comp  tables, le chèque en question n'a pas été  compté. De nouveau, par une     opération    de  sous-total, le nouveau solde de 400 francs  est imprimé dans la colonne "Solde" de la  partie principale du compte et ensuite le cha  riot     tabule    dans la colonne des signes parti  culiers pour     tabuler    enfin dans la colonne  "Solde" du talon.

   Par l'enfoncement de la  touche "Solde" 7:3, le     mécanisme        addition-          soustraction    est. remis à zéro et le nouveau  solde de 400 francs est imprimé ainsi que le  nombre de chèques ("2" dans ce cas, puisque  l'un des trois chèques n'a pas été compté).  



  Le 16 février 1935, un montant de 500  francs     correspondant    à 25 chèques a     été    sous  trait de l'ancien solde de 400     francs.    Le  montant. de     500    est     composé    avec les tou  ches 71 et le chiffre 25 avec les touches 72  ainsi qu'une abréviation     (LS)        composée    au  moyen d'une des touches 479     (fig.    2). Après  l'enregistrement de cette somme de 500 francs.

    le chariot     tabule    dans la colonne "Solde"  mais, comme dans ce     cas    la machine présente  un solde négatif de 100 francs, la touche       "Sous-total"    73 est bloquée et l'opérateur doit  utiliser la touche     "Sous-total    solde négatif"  77, afin de transformer le     complément    en  solde négatif effectif. Ce dernier est imprimé  en rouge. Dans l'exemple, il n'y a, pour     cette     ligne, aucune indication particulière à impri  mer dans la première colonne du talon, de  sorte que le chariot     tabule    dans la colonne       "Solde"    du talon.

   Par une opération déclen  chée par l'enfoncement de la touche "Solde"  le     mécanisme    addition-soustraction est remis       ù    zéro et le solde     négatif    effectif de 10(l  francs est     imprimé    en rouge dans cette co  lonne.

   Le nombre de chèques ("25") est éga  lement imprimé dans la     colonne        "Nombre".            Le    18 février 1935,     on    a eu à enregistrer  quatre chèques de 50, 150, 60 et 40     francs          respectivement.    En outre, la banque a dé  bité son client de 67     centimes    pour frais di  vers.     Cette    dernière somme est     imprimée    en  même temps qu'une     abréviation    (CM) com  mandée par une touche 478.

   Ce jour-là, on  a également     enregistré    un versement de 400  francs et un crédit de 600     francs.    Par une  opération de sous-total, le solde de 599,33  est imprimé dans la colonne "Solde" de la  partie     principale    du     compte    et le chariot       tabule    ensuite dans la première et la troi  sième partie de la     colonne        d'indications    du  talon pour imprimer les     indications    8 et 500.

    Enfin, par l'utilisation de la touche     "Solde",          l'impression    du solde     francs    599,33 est im  primé dans la     colonne        "Solde"    du talon et le       mécanisme        addition-soustraction    est remis à  zéro.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine comptable dans laquelle le com plément d'un solde négatif est transformé en solde effectif au moyen d'un cycle ininter rompu de plusieurs opérations et dans la quelle ce solde négatif est imprimé en une couleur distinctive, caractérisée par le fait que le dispositif de renversement du ruban encreur est, pendant le cycle de transforma tion servant à imprimer comme sous-total le solde négatif, amené dans une position telle qu'au moins une impression du solde négatif effectif puisse être répétée par une opération de total, et cela. dans la même couleur dis tinctive que la première impression.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le solde négatif effectif est retenu dans le mécanisme addition- soustraction à la fin de l'opération de transformation et que l'opération de sous- total solde négatif peut être répétée à volonté.
    2 Machine selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisée par une tou che de sous-total solde négatif (77) dont le rappel a pour effet de déplacer un or- gane de commande (721) pour l'arbre de renversement du ruban (647) et de le coupler avec un organe mobile (727) dont le mouvement est commandé par l'em brayage du mécanisme addition-soustrac- tion. 3 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2,
    caractérisée en ce que l'accouplement entre l'organe de commande (721) et ledit organe mobile (727) est réalisé au moyen d'un organe crochu<B>(723).</B> 4 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2 et 3, caractérisée en ce qu'après réarmage dudit organe cro chu (723) entre l'organe de commande (721) et l'organe mobile (727), le ruban encreur peut être amené sur l'une ou l'au tre des couleurs.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce que l'organe de commande (721) com mandant le renversement n'agit sur l'ar bre de renversement de ruban (647) que dans un sens du mouvement. 6 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée en ce qu'un prolongement (730) de l'organe de commande (721) agit d'un seul côté sur l'arbre de renversement (647).
    7 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2 et 3, caractérisée en ce que l'organe crochu (723) ne peut être amené en position inactive par l'opé ration de la machine que si le mécanisme d'addition-soustraction (no 1) est dans la position d'embrayage. 8 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 3 et 7, caracté risée en ce que l'organe crochu (728) est amené en position inactive par une bielle (759) animée d'un mouvement à chaque opération.
    9 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 8, caractérisée en ce que l'arbre de renversement du ruban (647) est rappelé sur la couleur normale à la fin d'une opération de transformation, indépendamment du réarmage de l'or gane crochu (723).
    10 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce que l'organe de commande du renver sement (721) met en position, lors de l'embrayage du mécanisme addition- soustraction, un secteur (750) imprimant un signe distinctif. 11 Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4 et 10, caractéri sée en ce que le secteur imprimant est amené, pendant l'opération de solde, sur la même position que pendant le sous- total précédent.
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