CH322073A - Caisse enregistreuse - Google Patents

Caisse enregistreuse

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CH322073A
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      Caisse        enregistreuse       L'invention a pour objet une caisse enre  gistreuse, comprenant plusieurs totalisateurs  montés sur un arbre commun, des entraîneurs  pour les totalisateurs, un mécanisme de dépla  cement pour décaler l'arbre     axialement    par  rapport aux entraîneurs en vue de sélectionner  un totalisateur particulier pour qu'il soit  actionné, des touches de commande pour le  mécanisme de déplacement de totalisateurs,  des touches de totalisation et un mécanisme  de transfert automatique de total qui est  actionné pendant une opération de totalisation  pour transférer un total d'un totalisateur à un  autre totalisateur, caractérisée en ce que, d'une  part,

   le mécanisme de déplacement de totali  sateurs est susceptible d'être entraîné directe  ment par l'enfoncement d'une des touches de  commande, et par le fait, d'autre part, que  le mécanisme de transfert automatique de total  est couplé au mécanisme de déplacement de  totalisateurs par une pièce de couplage qui peut  prendre différentes positions sous     l'influence    de  certaines touches de commande, et que ladite  pièce de couplage est ensuite actionnée dans  des conditions différentes par le mécanisme de  transfert automatique de total selon la position  où elle a été mise, grâce à quoi l'arbre de sup  port de totalisateurs est déplacé de manière à  sélectionner le totalisateur devant recevoir le  total transféré d'un autre totalisateur disposé  normalement en position sélectionnée.

      Le dessin annexé représente, à titre d'exem  ple, une forme d'exécution de la caisse enre  gistreuse faisant l'objet de l'invention, ainsi  qu'un détail d'une variante.    La     fig.    1 est une vue perspective de ladite  forme d'exécution.    La     fig.    2 est une vue latérale de droite,  en élévation, exécutée juste à     l'intérieur    du       coffre,    représentant en particulier un méca  nisme d'impression d'une bande de contrôle  et d'un ticket.  



  La     fig.    3 est un détail représentant une  partie d'un mécanisme destiné à faire     avancer     la bande de contrôle de telle sorte que les  dernières opérations qui ont été imprimées  restent visibles à travers une ouverture d'obser  vation prévue à cet effet sur le devant du  coffre.  



  La     fig.    4 est une élévation latérale à la  droite de l'une des rangées de touches de mon  tants, représentant ladite rangée et un méca  nisme     différentiel    associé en vue de transmettre  lés données composées sur les touches au  mécanisme imprimeur et au mécanisme indi  cateur.  



  La     fig.    5 est un détail en coupe transver  sale de la rangée de touches de. montants de  la     fig.    4, représentant la disposition et l'espa  cement latéral relatif des pièces.      La     fig.    6 est une vue en plan représentant  en particulier le mécanisme différentiel des  montants.  



  La fi-. 7 est un détail d'un mécanisme  d'actionneur des pignons d'embrayage     utilisés     pour embrayer ensemble les pièces     différen-          tielles    primaire et secondaire.  



  La fi-' 8 est une vue détaillée d'un méca  nisme qui actionne une barre     universelle    du  mécanisme différentiel.    La     fig.    9 est une vue détaillée d'une partie  de l'une des rangées de touches, représentant  en particulier le mécanisme de butée de zéro  correspondant.    La     fig.    10 est une vue détaillée d'un méca  nisme destiné à assurer que le groupe de tota  lisateurs soit ramené en position de débrayage.    La fil-. 11 est une vue en plan de l'arbre  à cames principal et de certains mécanismes    connexes.    La     fig.    12 est une vue latérale de droite  en élévation de la rangée de touches de com  mande et du     mécanisme    différentiel associé.

      La     fig.    13 est un détail d'un mécanisme  destiné à bloquer une touche     d'article    unique  et à l'empêcher d'être     enfoncée    pendant une  opération à articles multiples.  



  La     fig.    14 est un détail d'un mécanisme  assurant l'alignement des indicateurs.  



  La     fig.    15 est une vue détaillée d'un méca  nisme destiné à libérer manuellement les tou  ches de montants qui sont enfoncées.  



  La     fig.    16 est une vue détaillée représen  tant le moteur électrique     entrainant    la caisse et  un mécanisme d'embrayage destiné à     relier    le  moteur au mécanisme     d'entraînement    de la  caisse.    La     fig.    17 est une vue détaillée d'un méca  nisme d'interrupteur.    La     fig.    18 est un détail d'un segment de  transmission et d'un arbre de transmission  correspondant, destinés à transmettre au méca  nisme imprimeur, pendant les opérations de  total, la position occupée par les roues du    totalisateur de l'ordre le plus élevé ou de    trop-plein  .  



  La     fig.    19 est un fac-similé d'une partie  de la bande de contrôle établie par la caisse.  La     fig.    20 est un fac-similé d'un ticket à  articles multiples préparé sur la caisse.  



  La     fig.    21 est un fac-similé d'un ticket  à un seul article.  



  La     fig.    22 est une élévation latérale de  droite représentant les touches de commande  et la manière dont ces touches fonctionnent  pour commander la sélection du totalisateur  d'articles et du totalisateur de groupe.  



  La     fig.    23 est une vue détaillée d'un méca  nisme contrôlé par la touche  Total Comp  tant  en vue de sélectionner le totalisateur  d'articles pour l'opération de total et pour  sélectionner le totalisateur général en vue  d'une opération d'addition.  



  La     fig.    24 est un détail d'un levier de  commande de total.  



  La     fig.    25 est un détail d'un     mécanisme     actionnant un     aligneur    qui aligne le bloc mo  bile de     totalisateurs    pour l'empêcher d'exécu  ter un mouvement latéral de déplacement  pendant le     fonctionnement    de la caisse.  



  La fi-. 26 est un détail d'un segment de  contrôle qui est mis en position sous     l'influence     du levier de commande de total, en vue de  bloquer les touches de commande et les em  pêcher d'être enfoncées lorsque ce levier se  trouve dans certaines positions.  



  La     fig.    27 est une élévation latérale de  droite représentant un mécanisme qui fonc  tionne sous le contrôle des touches de com  mande en vue de contrôler le     fonctionnement     de mécanisme libératoire du tiroir-caisse et le  fonctionnement du levier de commande de  total.  



  Les     fig.    28 et 29 sont des vues détaillées  d'un mécanisme de verrouillage de tiroir qui  fonctionne sous     l'influence    du mécanisme re  présenté en     fig.    27 en vue de libérer le tiroir  et d'en permettre l'ouverture.      La     fig.    30 est une vue latérale de droite  en élévation représentant en détail un méca  nisme pour commander les mouvements d'em  brayage et de débrayage du groupe de tota  lisateurs pendant les opérations de totalisation.  



  La     fig.    31 est une vue d'un mécanisme  analogue, mais pour les opérations d'addition.  La     fig.    32 est une élévation latérale de  droite représentant un mécanisme réarmant les  reports.    La     fig.    33 est une vue détaillée d'un méca  nisme destiné à assurer le report d'un ordre  inférieur à un ordre supérieur.    La     fig.    34 est une vue détaillée d'un méca  nisme destiné à empêcher les roues de tota  lisateurs de se déplacer pendant les mouve  ments d'embrayage et de débrayage.  



  La     fig.    35 est un détail d'un mécanisme  destiné à retenir les cliquets de report pendant  les opérations de total.  



  La     fig.    36 est une vue en plan représen  tant le mécanisme de totalisateurs et montrant  un mécanisme destiné à déplacer latéralement  le groupe en vue d'aligner les différentes séries  de roues avec les entraîneurs des montants.    La     fig.    37 est une élévation latérale de  droite représentant le marteau d'impression et  son mécanisme     d'actionnement    pour imprimer  sur la bande de contrôle.    La     fig.    38 est une élévation latérale de  droite représentant le mécanisme destiné à faire  avancer la bande de contrôle par rapport au  mécanisme imprimeur.  



  La     fig.    39 est une vue détaillée d'une partie  du mécanisme destiné à faire avancer les roues  à caractères du numéro d'ordre.  



  La     fig.    40 est une élévation latérale de  droite représentant le mécanisme d'avancement  du numéro d'ordre et le mécanisme comman  dant le fonctionnement du mécanisme d'avan  cement du ticket.    La     fig.    41 est un détail d'une bielle des  tinée à contrôler le fonctionnement du méca  nisme d'avancement du numéro d'ordre.    La     fig.    42 est une élévation latérale de  droite des mécanismes     d'entraînement    et de  commande des -marteaux imprimeurs pour le  ticket.  



  La     fig.    43 est un détail des cames action  nant le mécanisme d'avancement de la bande  et     d'entrainement    du marteau imprimeur cor  respondant.  



  La     fig.    44 représente une partie du méca  nisme d'avancement du ticket.  



  La     fig.    45 est un détail d'un rochet et de  cliquets qui coopèrent avec lui en vue de faire  avancer la bande 6 à tickets.  



  La     fig.    46 est une vue détaillée représen  tant des rouleaux d'avancement et des rouleaux  de pression qui     coopérent    avec eux en vue de  faire avancer cette bande.    La     fig.    47 est un détail d'un mécanisme  destiné à bloquer les rouleaux de pression du  ticket en position inactive.    La     fig.    48 est une vue en élévation de  droite représentant en     particulier    le cliché et  le mécanisme d'impression de la date sur le  ticket.  



  La     fig.    49 est un détail du marteau d'im  pression des montants sur le ticket.  



  La     fig.    50 est une vue en élévation repré  sentant un bâti destiné à supporter le ruban  encreur et un mécanisme de     réencrage    de     celui-          ci,    pour le ticket et la bande de contrôle.  



  La     fig.    51 est un diagramme des temps  de fonctionnement des diverses cames et des  mécanismes associés dans ladite forme d'exé  cution de la caisse.  



  La     fig.    52 représente un mécanisme des  tiné à     effectuer    un transfert de total     sélectif     dans une variante à trois     totalisateurs.     



  Le mécanisme de la caisse enregistreuse  représentée est supporté par des bâtis latéraux  de droite 100 et de gauche 101     (fig.    2, 4 et 6)  et par des bâtis auxiliaires 102 et 103, fixés  à une plaque de base 104. La base 104 est  fixée au sommet d'un     coffre    à tiroir 105       (fig.    1), dans lequel est monté un tiroir-caisse      106. Les bâtis latéraux 100 et<B>101</B> sont main  tenus correctement espacés l'un par rapport à  l'autre par la base 104 et par une plaque  arrière 107     (fig.    4) qui est     fixée    entre     ces     bâtis, ainsi que par diverses barres plates, trin  gles et arbres transversaux qui sont décrits plus  loin.  



  Le mécanisme de la caisse est enfermé dans  un coffre<B>108</B>     (fîg.    1) fixé à la base 104 de       la    caisse.  



  Le clavier de la caisse comprend quatre  rangées de touches de montants 110     (fig.    1),  une rangée de touches de commande<B>111</B> à  115, une touche de rappel 116 pour libérer  manuellement les touches de montants 110 et       certaines    des touches de commande, et un  levier de commande de total 117 qui peut être  amené en diverses- positions afin de contrôler  les diverses fonctions de la caisse.  



  Le clavier de la caisse comprend un comp  teur spécial 119, dont le total augmente d'une  unité chaque fois que le levier de commande  de total 117 est amené à la position de     remise     à zéro en vue de sélectionner et de condition  ner le totalisateur de groupe pour une opéra  tion de remise à zéro.  



  Chacune des rangées de touches de mon  tants 110     comporte    un mécanisme différentiel  qui provoque la transmission du nombre  composé sur les touches au totalisateur sélec  tionné qui, à son tour, met en position des  indicateurs avant et arrière 120     (fig.    1 et 4),  visibles à travers des ouvertures 122 pratiquées  dans le coffre 108, les indicateurs avant étant  seuls représentés ici.  



  Aux touches de commande 111 et 115 est  associé un mécanisme différentiel de trans  actions destiné à mettre en position des indi  cateurs de transactions avant et arrière 121       (fig.    1) selon celle des touches de commande  qui a été enfoncée. Outre qu'ils mettent en  position les indicateurs, les différentiels de  montants et les     différentiels    de transactions  positionnent des roues à caractère correspon  dantes destinées à imprimer les valeurs compo  sées avec les touches, ainsi que des symboles  correspondant aux touches de transactions  choisies, sur une bande comptable de contrôle    123 dont une partie est visible à travers une       ouverture    124 pratiquée dans le coffre 108,  et sur un ticket sortant 125,

   qui     avance    à tra  vers une     ouverture    126 -pratiquée dans la par  tie supérieure du coffre 108. L'ouverture 126  est pourvue d'une lame d'arrachage à dents  fines destinée à séparer le ticket terminé de  la bande dont il provient.  



  La caisse comporte deux jeux de roues de       totaliseurs    montées côte à côte sur un arbre  commun. L'un des jeux sera désigné par tota  lisateur     d'articles,    tandis que l'autre jeu sera  indiqué par     totalisateur    de groupe, lequel accu  mule les nombres recueillis sur le totalisateur       d'articles.    Les roues des totalisateurs sont     dé-          plaçables    latéralement en vue d'être     alignées     avec les entraîneurs des montants et ce sous  l'influence des touches de commande<B>111</B> à  115, lesquelles touches conditionnent égale  ment les totalisateurs en vue du type conve  nable d'opération à effectuer.  



  Le totalisateur d'articles est toujours ra  mené à zéro à la fin des opérations à     articles     multiples et le     montant    qui est recueilli est  simultanément introduit     additivement        dans    les  roues du totalisateur de groupe.     Celui-ci    peut  être     sélectionné    et conditionné en vue des  opérations de lecture et de remise à zéro, par  déplacement du levier de commande de total  117     (fig.    1) qui peut être amené soit à la posi  tion   Lecture  , soit à la position   Remise  à zéro  .

   Normalement le levier 117 se trouve  dans la position   Enregistrement  , représen  tée ici, ce qui amène la machine à fonctionner  selon ce qui aura été déterminé par celle des  touches de commande 111 à 115 qui aura été  enfoncée. Lorsque, pour une raison quel  conque, on désire rendre la caisse inopérante,  on peut amener le levier 117 de commande de  total à la position   Blocage  , le levier de  commande de total étant pourvu d'une ser  rure 118 qui permet de bloquer le levier soit  à la position   Blocage  , soit à la position    Enregistrement  .

   Le levier de commande de  total 117 est aussi bloqué normalement contre  tout mouvement le ramenant à la position    Remise à zéro  , une clé spéciale de remise  à zéro destinée à la serrure 118 étant néces-           saire    pour débloquer le levier de façon qu'il  puisse être amené dans cette position.  



  <I>Mécanisme d'entraînement</I>  Un moteur électrique 129     (fig.    16) est  fixé à la base de la caisse et, par l'intermé  diaire d'un train réducteur d'engrenages, en  traîne un arbre 130 monté dans le bâti du  moteur et sur l'extrémité extérieure duquel est  fixé un pignon 131 qui engrène avec une roue  dentée 132, montée folle sur un pivot 133  fixé sur le bâti latéral de gauche 101. La roue  dentée 132 est solidaire d'un rochet d'entraîne  ment 134 à quatre dents, dont les dents coopè  rent avec un épaulement pratiqué sur un cliquet  d'embrayage 135 monté pivotant sur une roue  dentée 136 qui est montée folle sur le pivot  133.

   La roue dentée 136 est de même dimen  sion que la roue dentée 132 et elle engrène  avec une roue dentée semblable 137 fixée sur  un arbre à cames principal 138 qui pivote  dans le bâti de la caisse et qui est disposé de  manière à pouvoir être entraîné par le moteur  électrique 129 et à exécuter un tour dans le  sens     dextrorsum    à chaque fonctionnement de  la caisse, comme expliqué plus loin.  



  Un ressort 139 sollicite le cliquet d'em  brayage 135 dans le sens     senestrorsum    afin de  maintenir normalement un épaulement 140 de  celui-ci en prise avec le nez d'un bras 141 qui  peut pivoter en 142 sur le bâti latéral de gau  che 101. Un ergot 143 relie d'une manière  permanente le bras 141 à un bras associé 144  qui est fou sur le pivot 142. Le bras 144 com  porte une encoche destinée à recevoir un  ergot 145 fixé à l'extrémité inférieure d'un  bras 146, lequel est     fixé    sur un arbre de déclen  chement 147 pivotant dans le bâti de la caisse.  



  Sur l'arbre de déclenchement 147     (fig.    15)  est fixé un bras 148 portant un ergot 149 sur  lequel s'engage l'extrémité extérieure fourchue  d'un levier 150 monté fou sur un arbre 151  qui pivote dans les bâtis latéraux de droite et  de gauche 100 et 101. Il est également sup  porté vers son centre par une pièce verticale  152 partant de la base 104 et qui supporte  également l'arbre à cames principal 138 près  de son centre. Sur la pièce verticale 152 est    fixée une plaque de support 153 qui s'engage  librement sur l'arbre de déclenchement 147  vers son centre.

   Un ressort 154     (fig.    15), tendu  entre le bras descendant du levier 150 et un  prolongement ascendant d'un support 155 fixé  à la base 104, attire ce levier dans le sens       senestrorsum,    ce qui, par l'intermédiaire du  bras 148,     actionne    l'arbre de déclenchement  147 dans le sens     dextrorsum,    c'est-à-dire dans  le sens du déclenchement.

   L'arbre de déclen  chement 147 est normalement empêché d'exé  cuter ce mouvement     dextrorsum    par un cliquet  de déclenchement 156     (fig.    12) monté libre  ment sur un arbre 157 qui pivote dans les  bâtis latéraux 100 et 101 et dans la     pièce    de  support 152 et ce cliquet comporte un prolon  gement avant qui normalement se trouve sur  le trajet d'un ergot 158 qui le touche d'une  manière provisoire et qui est     fixé    sur une mani  velle 159 disposée à l'extrémité de droite de  l'arbre de déclenchement 147.  



  Le     cliquet    de déclenchement 156 est amé  nagé de manière à être basculé vers le bas et  à se dégager de l'ergot 158 lorsque l'on enfonce  l'une quelconque des touches de commande  111 à 115. Chacune de ces touches porte un  ergot 164     coopérant    avec une fente incurvée  165 correspondante pratiquée dans une plaque  de déclenchement 166 montée folle sur les  extrémités intérieures de bielles 167 articulées  à leurs extrémités extérieures sur des pivots  portés par un bâti des touches 161. A chacune  des touches 111 à 115 est associé un ressort  de compression 168, qui chasse lesdites touches  vers l'extérieur de manière à les maintenir nor  malement dans leur position non enfoncée.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches 111 à 115     (fig.    12)     amène    l'ergot 164,  en coopération avec la fente     incurvée    165,  à déplacer la plaque de déclenchement 166  vers le bas, contre l'action d'un ressort 170,  de façon qu'un ergot 169,     fixé    sur un pro  longement intérieur de la plaque de déclenche  ment 166 et qui coopère avec une fente pra  tiquée dans le     cliquet    de déclenchement 156,  bascule ce dernier dans le sens     senestrorsum,     écartant son extrémité antérieure du trajet de  l'ergot 158.

   De     ce    fait, l'arbre de déclenche-      ment 147 est livré à l'action du ressort 154       (fig.    15) qui fait basculer immédiatement l'ar  bre 147 dans le sens     dextrorsum    jusqu'à ce  qu'une oreille recourbée 171 pratiquée sur le  levier 150 vienne en contact avec un bloc 172  de matériau amortissant fixé sur la face anté  rieure du prolongement ascendant du     support     155.

   Le mouvement     dextrorsum    de l'arbre de  déclenchement 147     (fig.    12) amène l'ergot 158  au-dessus du cliquet de déclenchement 156,  ce qui empêche le mouvement     dextrorsum    de  ce dernier et, par l'intermédiaire de l'ergot 169,  la remontée de la plaque de déclenchement  166, de sorte que la touche de commande 111  à 115, qui a été enfoncée, est maintenue en  position basse jusqu'à ce que l'arbre de déclen  chement 147 soit ramené dans le sens     senes-          trorsum,    comme expliqué plus loin.

   Le mouve  ment     dextrorsum    de l'arbre de déclenchement  147, et du bras 146     (fig.    16), fait basculer  les bras 144 et 141 dans le sens     senestrorsum,     de manière à dégager le nez du bras 141 de  l'épaulement 140, pour livrer le cliquet d'em  brayage 135 à l'action du ressort 139, ce qui  fait     immédiatement    basculer le cliquet 135  dans le sens     senestrorsum,    et l'amène sur le  trajet des dents du rochet d'entraînement 134.  Simultanément, le mouvement de l'arbre de  déclenchement 147 forme un interrupteur de  démarrage prévu pour le moteur électrique 129.  



  Sur l'extrémité de gauche de l'arbre de  déclenchement 147     (fig.    16) se trouve fixé un  segment 173 qui comporte un chemin de  came 174 coopérant avec un ergot 175 fixé sur  l'extrémité antérieure d'un levier 176 qui  pivote en 177 sur le bâti latéral de gauche 101.  Le prolongement arrière du levier 176 com  porte une encoche destinée à recevoir un ergot  178     fixé    sur une coulisse 179, laquelle peut  coulisser grâce à deux fentes verticales en       coopération    avec des galets montés sur des  pivots 180     fixés    au bâti latéral de gauche 101.

    Un     ressort    relativement puissant 181     attire    la       coulisse    179 vers le bas et le levier 176 dans  le sens     dextrorsum,    afin de maintenir l'ergot  175 en contact élastique avec le rebord supé  rieur du chemin de came 174. Une équerre  de la coulisse 179     (fig.    16 et 17) porte un    ergot 182 qui s'engage dans l'extrémité four  chue de l'un des bras d'un levier 183, lequel  porte un pivot 184 qui tourillonne dans un  trou pratiqué dans un     support    185, faisant  saillie vers l'extérieur du bâti latéral de gau  che 101.  



  L'extrémité fourchue du bras descendant  du levier 183 chevauche un ergot 185a, fixé  à un prolongement ascendant d'un levier 186  monté fou sur un pivot à vis 187, lequel est  vissé dans un bloc isolant 193 fixé au bâti  du moteur électrique 129. Le levier<B>186</B> com  porte, sur la face interne de l'un de ses bras,  une bande isolante 188 qui coopère avec un  bras contacteur 189, pivotant en 190 sur le  bloc isolant 193. Le bras contacteur est relié  à la source d'énergie électrique. Un ressort  relativement faible 191     (fig.    17) attire le bras  contacteur 189 dans le sens     dextrorsum,    afin  de le maintenir normalement en contact élas  tique avec la bande isolante 188.

   Lorsque  l'arbre de déclenchement 147 se trouve dans  sa position normale, représentée en     fig.    16, le  ressort fort 181, agissant par l'intermédiaire  de la coulisse 179 et des leviers 183 et 186,  surmonte l'action du ressort faible 191 et  maintient le bras contacteur<B>189</B> en position  ouverte, représentée ici, position dans laquelle  un plot de contact porté par le bras est séparé  d'un plot de contact fixe 192 monté sur le  bloc isolant 193 et à son tour relié au moteur  électrique 129.  



  Le mouvement dans le sens     dextrorsum    de  l'arbre de déclenchement 147 et du segment  173, comme expliqué précédemment, amène le  chemin de came 174 à faire basculer le levier  176 dans le sens     senestrorsum        (fig.    16), de  manière à déplacer la coulisse 179 vers le haut  contre l'action du ressort 181.

   Le mouvement  ascendant de la coulisse 179     (fig.    17) fait bas  culer le levier 183 dans le sens     senestrorsum,     et fait basculer le levier 186 dans le sens  contraire, de manière à livrer le bras contac  teur<B>189</B> à l'action du ressort 191, ce qui  entraîne le bras contacteur 189 dans le sens       dextrorsum,    en même temps que le levier 186,  jusqu'à ce que le plot de contact fixé sur le  bras contacteur 189 vienne en contact avec      le plot de contact 192, pour fermer le circuit  aboutissant au moteur électrique 129, lequel  alors entraîne l'arbre 130     (fig.    16)

   dans le sens       dextrorsum.    Ce mouvement de l'arbre 130 et  du pignon<B>131</B> entraîne la roue dentée 132 et  le rochet d'entraînement 134 dans le sens       senestrorsum,    jusqu'à ce que la dent du rochet  d'entraînement s'engage avec la dent du cliquet  d'embrayage 135. Ce dernier, et l'embrayage  136, tournent alors d'un même mouvement  avec l'embrayage 132 et, par l'intermédiaire  de la roue dentée 137, entraînent l'arbre à  cames principal 138 dans le sens     dextrorsum,     afin de provoquer le fonctionnement de la  caisse.  



  Lorsque l'arbre à cames principal 138  arrive près de la fin d'une révolution dans le  sens     dextrorsum,    un galet 196     (fig.    15), porté  par un disque 195 fixé sur l'arbre à cames prin  cipal, vient en contact avec un nez 197, d'un  bras 198 fixé au levier 150, et actionne le bras  198 et le levier 150 dans le sens     dextrorsum,     contre l'action du ressort 154.

   Ce mouvement  de retour du levier 150 actionne le bras 148,  l'arbre de déclenchement 147 et le bras 146       (fig.    16) dans le sens     senestrorsum,    obligeant  le bras 146 à ramener les bras 144 et 141  dans l'autre sens, de sorte que la surface d'arrêt  prévue sur le bras 141 vient se placer sur le  trajet de l'épaulement 140 du cliquet d'em  brayage 135.

   Le contact de l'épaulement 140  avec le bras 141 fait basculer le cliquet d'em  brayage 135 dans le sens     dextrorsum,    ce qui  le dégage des dents du rochet d'entraînement  134, et déconnecte la roue dentée 136 de la  roue dentée 132, mettant ainsi fin au fonc  tionnement de la caisse après que l'arbre à  cames principal 138 a     effectué    un tour complet  dans le sens     dextrorsum.    Le mouvement de  retour de l'arbre de déclenchement 147 et de  la manivelle 159     (fig.    12) amène l'ergot 158  de celle-ci derrière l'extrémité du cliquet de  déclenchement 156, et le     ressort    170 agit alors  pour ramener le cliquet de déclenchement sur  le trajet de l'ergot 158,

   retenant l'arbre de  déclenchement 147 en position de retour. Les  temps auxquels se produisent les mouvements  de déclenchement et de retour de l'arbre de    déclenchement 147 sont indiqués dans la case  14 du     diagramme    de la     fig.    51.  



  Un mécanisme permet de retenir l'inter  rupteur de moteur fermé après que l'arbre de  déclenchement 147 a été ramené, ceci afin que  le moteur continue à fonctionner, pendant une  durée suffisante pour déconnecter complète  ment le cliquet d'embrayage 135, et pour que  ce dernier, et les     pièces        connexes,    se trouvent  dans la position exacte qui est prévue pour leur  repos     (fig.    16), laquelle position est déterminée  par le fait qu'un épaulement du cliquet d'em  brayage 135 vient en contact avec un ergot  d'arrêt 199,     fixé    dans la roue dentée 136.

   Ce  mécanisme comprend un ergot 200     (fig.    16)  fixé à la roue dentée 137, et qui coopère avec  une arête-came 201 de l'un des bras d'un  levier 202 pivotant sur l'arbre 151, ledit bras       étant    attiré dans le sens     senestrorsum    par un  ressort 203, pour maintenir l'arête-came 201  en contact élastique avec l'ergot 200.  



  Vers le début de la rotation de la roue  dentée 137 dans le sens     dextrorsum,    l'ergot  200 vient se placer derrière le point haut de  l'arête-came 201, ce qui permet au ressort 203  de faire basculer le levier 202 dans le sens       senestrorsum,    afin d'amener une arête de blo  cage 204 en forme d'arc de cercle, que présente  un bras ascendant dudit levier, sur le trajet  d'un ergot 205 fixé au levier 176, lequel,  comme     expliqué        précédemment,    a été basculé  dans le sens     senestrorsum    par le chemin de  came 174, de manière à     fermer    le bras inter  rupteur 189     (fig.    17).

   Un dégagement ménagé  dans le chemin de came 174 permet au levier  176     d'être    retenu dans sa position atteinte par  son mouvement     senestrorsum    par le levier 202,  lorsque le segment 173 et l'arbre de déclen  chement 147 sont ramenés dans le sens     senes-          trorsum    vers la fin d'une opération, comme  expliqué précédemment. Par conséquent, le  moteur 129 continue à fonctionner jusqu'à ce  que l'ergot 200, en coopération avec     l'arête-          came    201, ramène le levier 202 dans le sens       dextrorsum,    contre l'action du ressort 203,  afin d'amener l'arête de blocage 204 hors du  trajet de l'ergot 205.

   Le     ressort    181 ramène  alors immédiatement le levier 176 dans le sens           senestrorsum,    afin     d'ouvrir    le bras interrupteur  189, et mettre ainsi fin au fonctionnement du  moteur électrique 129. Une     portion    angulaire  de l'arête-came 201     (fig.    16), en coopération  avec l'ergot 200, et sous     l'influence    du     ressort     relativement puissant 203, retient     élastiquement     les roues dentées 137 et 136, et le cliquet  d'embrayage 135, dans leur position normale  de repos, représentée dans la fi-. 16.

   Ainsi,  le levier 202 a la double mission de retarder  l'ouverture de l'interrupteur du moteur 129, et  de fonctionner comme dispositif de retour en  position d'origine, afin d'assurer que le cliquet  d'embrayage 135 soit complètement dégagé, et  maintenu dégagé, et que l'arbre à cames prin  cipal 138 soit maintenu en position de repos.    <I>Mécanisme de non-répétition</I>    Un mécanisme relativement simple et effi  cace de non-répétition est prévu pour empêcher  les opérations de répétition de la caisse, dans  le cas où l'une quelconque des touches de  commande 111 à 115 aurait été par inadver  tance maintenue en position enfoncée à la fin  du fonctionnement de la caisse.  



  Sur l'arbre 157     (fig.    12) est monté fou  un cliquet de non-répétition 206, qui     porte    un  ergot 207, maintenu en contact élastique avec  un épaulement du cliquet de déclenchement  156, grâce à un ressort 208, tendu entre le       cliquet    de déclenchement 156 et le cliquet de  non-répétition 206. Lorsque le cliquet 156 est  basculé dans le sens     senestrorsum,    lors de  l'enfoncement de l'une quelconque des touches  de commande 111 à 115, le ressort 208       entraîne    le cliquet de non-répétition 206 vers  le bas, d'un même mouvement avec le cliquet  de déclenchement 156, jusqu'à ce que l'extré  mité extérieure du cliquet 206 vienne reposer  sur l'ergot 158, ce qui met fin au mouvement.

    A ce moment, le ressort 208 est tendu.  



  Si la touche de commande (111 à 115) est  maintenue en position enfoncée à la fin du  fonctionnement de la caisse, le mouvement de  retour dans le sens     dextrorsum    de la plaque de  déclenchement 166 de la caisse, et du cliquet  de déclenchement 156 se trouve empêché.

   Ce  pendant, dans ce cas, l'opération de répétition    de la caisse est empêchée par le cliquet de     non-          répétition    206, qui descend brusquement, sous  l'action du     ressort    208, lorsque l'ergot 158  dépasse son extrémité extérieure, au moment  du mouvement de retour de l'arbre de déclen  chement 147, et qui vient se placer sur le  trajet de l'ergot 158 afin d'empêcher le mou  vement de libération dans le sens     dextrorsum     de l'arbre de déclenchement 147.

   Lorsque l'on  cesse d'appuyer sur la touche enfoncée (111 à  115), le ressort correspondant 168     (fig.    12)  ramène immédiatement ladite touche vers le  haut, ce qui fait que l'ergot 164, en coopéra  tion avec l'encoche incurvée 165, aide le res  sort 170 à ramener la plaque de déclenchement  166 de la caisse, le cliquet de non-répétition  206, et le cliquet de déclenchement 156, dans  le sens     dextrorsum,    jusqu'à leurs positions nor  males.

   Ce mouvement de retour des cliquets  206 et 156 dégage l'extrémité extérieure du  cliquet de non-répétition 206 de l'ergot 158,  et amène l'extrémité du cliquet de déclenche  ment 156 sur son trajet, de manière à repérer  l'arbre de déclenchement 147 en position de  repos et à conditionner le mécanisme de dé  clenchement de la caisse en vue d'une opéra  tion ultérieure. Le mouvement de déclenche  ment de la plaque 166 dans le sens     senestror-          sum,    au moment de l'enfoncement de l'une  quelconque des touches de commande (111 à  115), amène une arête de blocage 210     (fig.    12)  sur le trajet de l'ergot 164 de chacune des tou  ches de commande non enfoncées, afin de blo  quer celles-ci pendant toute la durée du fonc  tionnement.  



  <I>Touches de montants</I>  <I>et mécanismes</I>     différentiels   <I>correspondants</I>  Les touches de montants<B>110</B>     (fig.    1 et 4)  coulissent dans des fentes d'un bâti des touches  212. Chaque touche 110 est attirée vers le  haut et maintenue en position non enfoncée  par un ressort compressible 213, qui entoure  l'extrémité     inférieure    de la tige de chacune  desdites touches. Chacune des touches 110 porte  un ergot 214 qui coopère avec un crochet  ménagé dans une détente de verrouillage 215  montée de manière à pouvoir basculer sur les      extrémités de biellettes 216 et 217 qui, à leur  tour, pivotent en 218 et 219 sur le bâti de  touches 212.

   Un ressort 220 attire la détente  de blocage 215 vers le haut     (fig.    4) afin que  les côtés des crochets de la détente viennent  normalement en contact élastique avec leurs  ergots correspondants 214, fixés sur les touches  de montants 110.  



  Si l'on enfonce l'une quelconque de ces  touches, son ergot 214, en coopération avec  le côté du crochet correspondant, déplace la  détente de verrouillage 215 vers le bas     (fig.    4),  et ce mouvement fait basculer la biellette 217  dans le sens     dextrorsum,    de manière à amener  une arête inférieure d'un prolongement des  cendant 225 de celle-ci sur le trajet d'une  oreille 226 d'un bras 227 fixé sur l'arbre de  déclenchement 147, en vue de bloquer le mou  vement de déclenchement du bras et de l'arbre  147 dans le sens     dextrorsum,    lorsqu'une touche  de montants 110 est enfoncée partiellement.

    L'enfoncement complet d'une touche 110  amène une arête supérieure plate de l'ergot  214 au-delà de l'épaulement du crochet cor  respondant, de manière à libérer la détente  de verrouillage 215, et à la laisser libre de  subir l'action du ressort 220, ce qui fait immé  diatement revenir la détente de verrouillage  vers le haut, en vue de verrouiller le crochet  au-dessus de l'arête plate de l'ergot 214, et  de retenir la touche de montants 110 en posi  tion enfoncée, contre l'action du ressort 213.  En même temps, la biellette 217 revient dans  le sens     senestrorsum,    en vue d'écarter le pro  longement descendant 225 du trajet de l'oreille  226.

   Le mouvement     dextrorsum    de l'arbre de  déclenchement 147 et du bras 227, lors d'un  déclenchement ultérieur de la caisse, oblige  l'oreille 226 à venir se placer sur le trajet d'une  arête en arc de cercle du prolongement des  cendant 225     (fig.    4), afin d'empêcher le mou  vement descendant de la détente de verrouil  lage 215. Ainsi, la touche 110 enfoncée est  verrouillée en position enfoncée et, simultané  ment, les touches non enfoncées ne peuvent  être enfoncées pendant le fonctionnement de la  caisse.

   Le mouvement de retour, dans le sens       senestrorsum,    de l'arbre de déclenchement 147    et du bras 227, vers la fin du fonctionnement,  oblige l'arête externe du bras 227 à venir en  contact avec un ergot 228 de la biellette 217,  et à     faire    basculer     celle-ci    dans le sens     dextror-          sum,    afin de déplacer la détente de verrouillage  <B>215</B> vers le bas, contre l'action du ressort 220,  ce qui dégage le crochet de la détente 215 de  l'arête plate de l'ergot 214 de la touche de  montants 110 qui a été enfoncée. Celle-ci est  libérée et revient, sous l'action de son ressort  213, en position non enfoncée.  



  En cas de besoin, la touche de montants  110 peut être libérée, avant que la caisse ne  fonctionne, par la     manoeuvre    manuelle de la  touche de rappel 116     (fig.    1 et 15) disposée  dans le bâti des touches 230.     L'enfoncement     de la touche de rappel 116     (fig.    15)     oblige     son ergot 231, en coopération avec une arête  supérieure d'un segment 232 pivotant en 233  sur le bâti latéral gauche 101,à basculer le  segment 232 dans le sens     dextrorsum,    ce qui  amène un ergot 234 de celui-ci, en coopération  avec une arête plate d'une     coulisse    235, se  déplaçant dans le bâti de touches 230,

   grâce  à trois fentes coopérant avec trois ergots 236  fixés au bâti, à déplacer la coulisse vers le bas,  contre l'action d'un ressort 237, tendu entre  la coulisse 235 et le bâti des touches 230. Le  mouvement descendant de la coulisse 235 fait  qu'une arête-came 238 coopère avec un galet  239 monté sur l'extrémité supérieure d'un bras  240 fixé sur l'arbre de déclenchement 147,  et bascule le bras 240 et l'arbre de déclen  chement 147, dans le sens     senestrorsum,    de la  position normale à la position correspondant à  la position de retour complet de l'arbre de  déclenchement 147, comme expliqué plus haut  à l'occasion du mécanisme de déclenchement  de la caisse.

   Le mouvement dans le sens       senestrorsum    de l'arbre de déclenchement 147       (fig.    4) et du bras 227 fait que ce dernier vient  en contact avec l'ergot 228, pour faire basculer  la biellette 217 dans le sens     dextrorsum,    mou  vement qui déplace la détente de verrouillage  215 vers le bas contre l'action du ressort 220,  ce qui dégage le crochet de l'ergot 214 de la  touche de montants enfoncée, libérant cette  dernière qui, sous l'action du ressort 213, re-      vient vers le haut en position non enfoncée.

    Le mouvement dans le sens     dextrorsum    de  l'arbre de déclenchement 147 (fi-.<B>15)</B> et du  bras 240, en vue de déclencher la caisse,  oblige le galet 239 à se placer au-dessous  d'une arête en arc de cercle 241, du rebord  de la     coulisse    235, afin de maintenir cette  dernière dans sa position haute, et     ainsi    de  verrouiller la touche de déclenchement 116, et  l'empêcher de fonctionner à ce moment-là.

    L'ergot 231 de la touche de déclenchement  116 s'engage dans une fente 242 d'une plaque  243, fixée au bâti latéral de gauche 101, et  empêche que ladite touche ne soit tordue pen  dant qu'elle est enfoncée, et qu'en conséquence  le frottement de cette touche contre son sup  port ne soit augmenté, ce qui risquerait de  rendre difficile la     manoeuvre    de ladite touche.  



  Les extrémités     inférieures    des tiges de  touches 110     (fig.    4) sont disposées pour coopé  rer avec une saillie 246 d'une pièce différen  tielle primaire 247, montée folle sur un arbre  248 qui tourillonne dans les bâtis principaux  de la caisse. A la pièce     différentielle        primaire     247 est associée une pièce     différentielle    secon  daire 249, également montée folle sur l'arbre  248.

   Les pièces différentielles primaire et  secondaire 247 et 249 sont actionnées par une  barre universelle 250 supportée entre deux bras  analogues 251 (voir aussi     fig.    6), calés sur  l'arbre 248, la barre universelle passant à tra  vers et coopérant avec une ouverture 252 de  la pièce primaire 247, et avec une ouverture  correspondante 253 de la pièce secondaire 249.

    Les pièces     différentielles    primaire et secon  daire 247 et 249 sont espacées l'une de l'autre  par une plaque d'écartement 254     (fig.    6), mon  tée folle sur     l'arbe    248, et possédant un alé  sage qui s'emmanche à frottement doux sur  la barre universelle 250, de sorte que la plaque  d'écartement 254 se déplace d'un même mou  vement avec la barre universelle, lorsque     celle-          ci    oscille en arrière et en avant, pour mettre  en position les pièces     différentielles    primaire  et secondaire 247 et 249, comme expliqué  plus loin.

   Sur l'arbre 248, à côté du bras  gauche 251     (fig.    6 et 8), se trouve une roue  dentée 255, dont les dents engrènent avec des    dents d'un prolongement d'un segment 256,  monté fou sur l'arbre 151, et comportant des  galets 257 et 258 qui coopèrent avec les péri  phéries de cames jumelées 259 et 260 fixées  sur l'arbre à cames principal 138. La rotation  de cet arbre et des cames 259 et 260 oblige  le segment 256 à faire osciller l'arbre 248 et  la barre universelle 250 d'abord dans le sens       dextrorsum        (fig.    8), puis en arrière jusqu'à la  position normale, décrivant un angle d'environ  90  à chaque fonctionnement de la caisse, selon  ce qui est indiqué dans la case 7 du diagramme  des temps de la     fig.    51.

   La pièce     différentielle     secondaire 249     (fig.    4) comporte, à sa péri  phérie, des dents qui engrènent avec les dents  d'un pignon 261, monté fou sur un arbre 262  supporté dans les bâtis principaux latéraux 100  et 101, pignon qui engrène avec les dents  d'un secteur denté 263, comportant des dents  internes qui portent sur le pourtour d'un disque  264 supporté par un arbre 265, lequel à son  tour est supporté par les bâtis principaux laté  raux 100 et 101. Les dents internes du secteur  denté 263     (fig.    4) engrènent avec un pignon  266 qu'elles entraînent, et le pignon<B>-266,</B> à  son tour, entraîne un arbre carré 267 supporté  par des disques semblables au disque 264.

    D'autres pignons calés sur l'arbre carré 267  engrènent avec des secteurs dentés semblables  au secteur denté 263     (fig.    4) et les entraînent,  et ces secteurs, à leur tour, entraînent des  roues à caractères correspondantes, destinées à  imprimer des marques sur un matériau à ticket,  sortant de la caisse, et - sur une bande de  contrôle à la manière connue.  



  Des dents 268 dé la périphérie supérieure  du secteur denté 263 engrènent avec un pignon  correspondant 269, solidaire de l'indicateur  antérieur 120, monté fou sur un     arbe    270  supporté par les bâtis auxiliaires 102 et 103       (fig.    6). Un indicateur postérieur (non repré  senté) est mis simultanément en position grâce  au pignon 266 calé sur l'arbre carré 267 et  à des secteurs dentés correspondants, sem  blables au secteur denté 263, de la manière    connue.

    Une fois que la pièce différentielle pri  maire 247     (fig.    4) a été mise en position, sous      l'influence de la touche de montants<B>110</B>  enfoncée, et que la pièce secondaire 249 a été  ramenée à la position de zéro, comme expliqué  plus loin, les deux pièces sont embrayées en  semble par un pignon d'embrayage 272     (fig.    4  et 7) monté fou sur une tringle 273 supportée  par trois bras parallèles 274 calés sur l'arbre  157. Les pignons d'embrayage 272 demeurent  en prise à la fin du fonctionnement de la caisse.

    Sur le bras central 274     (fig.    7) est articulée  l'extrémité supérieure d'une bielle 275, dont  l'extrémité inférieure est articulée à un     levier-          came    276, monté fou sur l'arbre 151, et por  tant des galets 277 et 278 qui coopèrent avec  le pourtour de cames jumelées 279 et 280,  calées sur l'arbre à cames principal 138.  



  L'enfoncement de l'une des touches de  montants 110     (fig.    4) amène l'extrémité infé  rieure de cette touche sur le trajet de la saillie  246 de la pièce différentielle primaire 247,  de sorte que la caisse est déclenchée, lors de  l'enfoncement d'une des touches de commande  111 à 115     (fig.    12), de la manière qui a été  expliquée précédemment.

   Au début du fonc  tionnement de la caisse, les cames 279 et 280,  fonctionnant aux moments indiqués dans la  case 5 du diagramme de la     fig.    51, obligent le  levier-came 276 et la bielle 275 à faire bas  culer les bras 274, l'arbre 157, et la tringle  273 dans le sens     dextrorsum,    afin de dégager  les dents du pignon d'embrayage 272 des dents  correspondantes des pièces     différentielles    pri  maire et secondaire 247 et 249.

   Au moment  même où le pignon 272 se trouve dégagé des  pièces différentielles, ses dents viennent en  prise avec une dent d'alignement 282     (fig.    4  et 7) d'un bras 283 calé sur un arbre 284  supporté par le bâti de la caisse, afin de main  tenir le pignon en question à l'alignement des  dents correspondantes des pièces différentielles.

    Immédiatement après que le pignon d'em  brayage 272 a été dégagé, la barre universelle  250     (fig.    4 et 8), fonctionnant sous     l'influence     des cames 259 et 260 et aux moments indiqués  dans la case 7 du diagramme de la     fig.    51,  commence son mouvement initial dans le sens       dextrorsum.    Un ressort 285     (fig.    4), relative  ment puissant, tendu entre la pièce différen-    belle     primaire    247 et une tringle fixe supportée  dans le bâti de la caisse, attire la pièce pri  maire 247 dans le sens     dextrorsum,    afin de  maintenir l'extrémité arrière de la fente 252  en contact élastique avec la barre universelle  250.

   En conséquence, la pièce     primaire    247  est lâchée dans le sens     dextrorsum    par la barre  universelle 250, jusqu'à ce que la     saillie    246  vienne en contact avec l'extrémité de la touche  de montants 110 enfoncée, afin de     donner    à  la pièce primaire 247 une position correspon  dant à la valeur de ladite touche.

   La barre  universelle 250 continue son mouvement dans  le sens     dextrorsum,    mouvement pendant lequel  elle vient en prise avec l'extrémité antérieure  de la fente 253 ménagée     dans    la pièce     diffé-          rentielle    249, et entraîne celle-ci, ainsi que  le mécanisme connexe y compris     l'indicateur     correspondant 120 et les roues à caractères, de  la position acquise précédemment à leur posi  tion normale de repos.  



  Le pignon d'embrayage 272     (fig.    4) se  trouve     maintenant    remis en prise avec les dents  des pièces primaire et secondaire 247 et 249  afin de coupler celles-ci en vue d'un mouve  ment commun. Le mouvement de retour, dans  le sens     senestrorsum,    de la barre universelle  250     (fig.    4 et 8), fait que cette dernière vient  en contact avec l'extrémité arrière de la fente  252 de la pièce primaire     différentielle    247, et  entraîne cette dernière et, par     l'intermédiaire     du pignon 272, la pièce     différentielle    secon  daire 249, dans le sens     senestrorsum    d'un  même mouvement,

       afin    de ramener la pièce  primaire 247 à la position de zéro, représentée  à la     fig.    4, et de mettre la pièce secondaire  249, et le mécanisme associé, dans une posi  tion correspondant à la valeur de la touche  de montants 110 enfoncée.  



  Lorsque la caisse est actionnée, sans qu'au  cune des touches de montants n'ait été enfoncée  dans la rangée considérée, une barre 286     d7ar-          rêt    à zéro     (fig.    4 et 9) est automatiquement  amenée sur le trajet de la     saillie    246, au  commencement de l'opération, et maintient la  pièce différentielle primaire 247 en position de  zéro, cette     dernière    à son tour mettant la pièce       différentielle    secondaire 249,     l'indicateur    cor=           respondant    et les roues à caractères en position  de zéro.

   L'enfoncement d'une touche de mon  tants 110 oblige la barre d'arrêt à zéro 286 à  être verrouillée en position inactive, de telle  sorte qu'elle ne puisse pas être amenée sur le  trajet de la saillie 246.  



  L'extrémité intérieure de la barre d'arrêt  à zéro     (fig.    4 et 9) est guidée dans une fente  du bâti de touches 212, tandis que son extré  mité extérieure comporte une fente qui che  vauche un ergot 219     fixé    à ce bâti de touches.  Un ressort 290     attire    la barre d'arrêt à zéro  286 vers l'intérieur afin de maintenir normale  ment un ergot 287 porté par ladite barre 286,  en contact     élastique    avec un prolongement su  périeur d'un bras 288 de contrôle de barre  d'arrêt à zéro, monté fou sur un arbre 284, et  comportant une fente 289 qui s'engage sur  un ergot 291 du bras 227.

   Le mouvement  de libération, dans le sens     dextrorsum,    du bras  227, amène l'ergot 291 à descendre dans un  dégagement de la fente 289, afin de libérer  le bras de contrôle 288 et la barre d'arrêt à  zéro 286, et les livrer à l'action du ressort 290  qui, immédiatement, déplace la barre d'arrêt  à zéro 286 vers l'intérieur, jusqu'à la position  représentée en pointillé en     fig.    9, position dans  laquelle elle est sur le trajet de la saillie 246       (fig.    4 et 8), afin de retenir la pièce différen  tielle primaire 247 en position de zéro lors  qu'aucune touche de montants 110 n'est en  foncée.  



  Le mouvement de retour dans le sens       senestrorsum    du bras 227, du fait que l'ergot  291 coopère "avec la fente 289, oblige le bras  de contrôle 288 à ramener la barre d'arrêt à  zéro 286 vers l'extérieur, contre l'action du  ressort 290, jusqu'à la position normale repré  sentée en traits pleins.  



  L'enfoncement d'une touche de montants  <B>110</B>     (fig.    4 et 9)     fait    que l'ergot 214 coopère  avec une languette fixée à une plaque de com  mande 221, laquelle est montée pivotante sur  des bielles 222 et 223, articulées en 218 et  219, et déplace la plaque de commande 221  vers le bas contre l'action d'un ressort 224.  Le mouvement descendant de la plaque de  commande 221 déplace la bielle 223 vers le    bas elle aussi, de sorte qu'une fente incurvée  293, ménagée dans un prolongement arrière en  forme de crochet de celle-ci, vient se verrouiller  sur un ergot 294 fixé à la barre d'arrêt à zéro  286, de manière à retenir cette dernière dans  sa position inefficace.  



  Dans les opérations de total et de     sous-          total,    un mécanisme commandé par le levier de  total 117     (fig.    1), décrit plus loin, retient toutes  les barres d'arrêt à zéro 286 dans leur position  extérieure     inefficace,    de telle sorte que les  pièces différentielles primaires 247 soient libres  d'être mises en position, sous l'influence des  roues correspondantes du totalisateur choisi,  lorsque lesdites roues tournent en     sens    rétro  grade, pour revenir à la position de zéro sous  l'influence des pièces différentielles primaires  247.

      <I>Totalisateurs</I>    La caisse représentée est pourvue de deux  groupes de roues de totalisateurs, un groupe  constituant un totalisateur d'articles destiné à  accumuler le montant total des divers articles  d'une opération à articles multiples, et l'autre  constituant un totalisateur général, destiné à  recevoir les sommes recueillies sur le totalisa  teur d'articles à la fin d'une opération à articles  multiples, et à recevoir directement le montant  des articles dans les opérations à un seul  article.  



  Le totalisateur d'articles comprend une  série de roues 296 correspondant aux unités  des divers ordres     (fig.    4 et 32 à 36), et le tota  lisateur général comprend une série de roues  semblables 297, disposées à une légère dis  tance des roues correspondantes du totalisateur  d'articles 296, les deux séries de roues pouvant  tourner sur un manchon 298. Les roues 296  et 297 des divers ordres sont écartées les unes  des autres par des colliers d'espacement 295,  et par un collier de déplacement 307, monté  fou sur le manchon 298, de manière à être  correctement alignées avec les pièces différen  tielles primaires 247, lorsqu'elles sont sélection  nées.

   Le manchon 298 peut coulisser sur un  arbre 299, monté dans un bâti     coulissable    de  totalisateur 300, comprenant des plaques ter-           minales    semblables 301 et 302, maintenues  écartées l'une de l'autre par l'arbre 299 et par  un arbre 303. Le bâti de totalisateur     dépla-          çable    300 est supporté, en vue de pouvoir se  déplacer, grâce aux arbres 299 et 303 qui tra  versent des fentes parallèles pratiquées dans  les bâtis de support de totalisateur de droite  et de gauche 304 et 305     (fig.    36), à leur tour  fixés respectivement au bâti latéral de droite  <B>100</B> et au bâti latéral de gauche 101.

      <I>Mécanisme de déplacement de totalisateur</I>    Un mécanisme est à même de provoquer le  déplacement du manchon 298     (fig.    4, 22, 33  et 36) latéralement sur l'arbre 299, en vue  d'aligner l'une ou l'autre série de roues de tota  lisateurs 296 ou 297 avec les pièces primaires  différentielles 247, de telle sorte qu'elles puis  sent être en prise avec ces pièces ou en être  dégagées au moment voulu, selon le type d'opé  ration que la caisse doit exécuter.  



  Un     collier    de déplacement 307     (fig.    22 et  36) comporte une gorge annulaire dans  laquelle s'engagent les deux branches d'une  fourchette 308 de déplacement de totalisateur,  fixée à un moyeu 309 monté fou sur un arbre  311, lequel peut se déplacer latéralement dans  les bâtis de support de totalisateur 304 et 305.  Le moyeu 309 et la fourchette 308 s'ajustent  exactement entre des colliers 310 fixés sur la  tringle 311, de telle sorte qu'ils se déplacent  latéralement à l'unisson.

   Sur l'extrémité de  droite de l'arbre 311 est fixé un bloc de dépla  cement 312, comportant un prolongement des  cendant muni d'une encoche qui s'engage libre  ment sur une portion réduite d'un ergot 313  fixé au cadre de support de totalisation 304       (fig.    36) de manière à maintenir le bloc et la  tringle 311 et les empêcher de tourner. Le bloc  312 comporte un galet 314 monté sur une  surface supérieure plate de celui-ci, et en prise  avec une gorge de déplacement hélicoïdale 315,  creusée dans un tambour-came 316 monté fou  sur un pivot 317 fixé au bâti de support de  totalisateur 304. Solidaire du tambour-came  316, un pignon 318 engrène avec un secteur  denté 319     (fig.    22), monté fou sur un pivot  320 du bâti latéral de droite 100.

   Le secteur    319 porte un ergot 321 qui est maintenu en  contact élastique avec un épaulement d'un  bras de déplacement de totalisateur 322, monté  fou sur le pivot 320, grâce à un ressort 323  tendu entre le segment 319 et le bras 322. Un  prolongement supérieur du bras 322 porte  un ergot 1323 en prise avec une fente d'un  prolongement arrière d'un secteur de déplace  ment de totalisateur 324, solidaire d'un moyeu  monté fou sur l'arbre 248. Dans le pourtour  du secteur 324 sont ménagées des encoches  de déplacement 325 à 329, qui coopèrent avec  les ergots 164 des touches de commande 111  à 115, respectivement, en vue de déplacer  sélectivement l'un ou l'autre des deux totali  sateurs et de les amener à l'alignement avec  les pièces primaires     différentielles    247.

   Les  ergots 164 des touches 111, 112 et 113, coopé  rant avec les encoches 325, 326 et 327, mettent  en position le secteur 324 par un mouvement       senestrorsum,    qui l'amène à la position repré  sentée à la     fig.    22, ce qui, par l'intermédiaire  du bras 322 et du segment 319, met en posi  tion le tambour-came 316 d'une manière cor  respondante, et fait que la gorge 315 du tam  bour, en coopération avec le galet 314, déplace  le bloc 312     (fig.    36), la tringle 311 et la  fourchette de déplacement 308 vers la gauche,  de manière à aligner les roues 296 du totalisa  teur d'articles avec les pièces     différentielles    pri  maires 247, en vue d'être actionnées par  celles-ci.  



  Par l'enfoncement de la touche 114    Article Unique       (fig.    22), son ergot 164,  en coopération avec l'encoche de déplacement  328, déplace le secteur 324 dans le sens       dextrorsum    ce qui, par l'intermédiaire du bras  322 et du secteur 319, fait tourner le tambour  316 dont la gorge 315, en coopération avec le  galet 314, déplace le bloc 312, la tringle 311,  la fourchette 308 et le manchon 298 vers la       droiie        (fig.    36) afin d'aligner les roues 297  du totalisateur de groupe ou général avec les  pièces différentielles primaires 247, en vue  d'être actionnées par ces dernières.

   L'enfon  cement de la touche   Total Comptant   115       (fig.    22) fait que son ergot 164, en coopération  avec l'encoche de déplacement 329, met      d'abord en position le secteur 324, en vue  d'aligner les roues 296 du totalisateur d'articles  avec les roues différentielles primaires, pour  être actionnées par ces dernières.

   Cependant,  les touches 115 contrôlent, de la même ma  nière, un mécanisme qui fonctionne automati  quement pendant l'opération de la caisse, en       vue        d'aligner    les roues 297 du     totalisateur    de       groupe    avec les pièces     différentielles    primaires  247, vers la fin du     fonctionnement,    de sorte  que les nombres recueillis sur le totalisateur  d'articles pendant la première partie des opé  rations de total au comptant, sont additionnés  dans le totalisateur général, ou de groupe,  pendant la dernière partie de l'opération.

    L'ergot 164 de la touche 115     (fig.    23) coopère  avec une encoche-came 331 d'un secteur 332  monté fou sur l'arbre 248 et attiré dans le  sens     senestrorsum    par un ressort 333, en vue  de maintenir normalement un doigt adjacent à  l'encoche-came 331 en contact élastique avec  l'ergot 164. Un prolongement arrière du sec  teur 332 est articulé, par une bielle 334, à  un bras de déplacement 335, pivotant vers  son extrémité inférieure en 336 sur le secteur  319.

   Une ouverture ménagée près de l'extré  mité supérieure du bras de déplacement 335  comporte des décrochements 337, 338 et 339,  qui coopèrent avec un ergot 340, lequel s'étend  entre des portions en forme de secteurs, espa  cées et de même contour, d'un bras 341 et  d'une plaque 342, reliés à un moyeu qui     lui-          même    est supporté de manière à pouvoir tour  ner sur un pivot 343 fixé au bâti latéral de  droite 100. La portion en forme de secteur du  bras 341, et de la plaque 342, entoure étroi  tement l'extrémité supérieure du bras de dépla  cement 335, pour empêcher son déplacement  latéral, de telle sorte que les décrochements  337, 338 et 339 coopèrent correctement avec  l'ergot 340.

   Un prolongement arrière du bras  341 (fi-. 22) est     relié    à l'extrémité supérieure  d'une bielle 344, dont l'extrémité inférieure est  articulée à un prolongement arrière d'un  levier-came 345, monté fou sur l'arbre 151,  et portant des galets 346 et 347 qui coopèrent,  respectivement, avec les pourtours de cames  jumelées 348 et 349 calées sur l'arbre à cames    principal 138. Ces cames 348 et 349 agissent  aux temps indiqués à la case 6 du diagramme  de la     fig.    51, afin de faire osciller le bras 341,  et aligner l'une ou l'autre des deux séries de  roues de totalisateur avec les pièces différen  tielles primaires, comme expliqué plus loin.  



  Dans les opérations de   Total Comptant  ,  qui sont déclenchées par l'enfoncement de la  touche de même nom 115     (fig.    1 et 22), il est  désirable que le totalisateur d'articles soit vidé  d'abord du montant des articles qui y ont été  préalablement introduits sous     l'influence    de la  touche 113   Articles Multiples<B> ,</B> et que le  total de ces articles soit introduit dans le tota  lisateur de groupe.

   Pour effectuer ce     type     d'opération, l'enfoncement de la touche   Total  Comptant   115 oblige l'ergot 164, en coopé  ration avec l'encoche de déplacement 329, à  déplacer le secteur 324 dans le sens     senestror-          sum,    pour entraîner le bras de déplacement  de totalisateur 322 et le segment 319 dans le  même sens et à l'unisson, afin d'aligner les  roues 296     (fig.    36) du totalisateur d'articles  avec les pièces différentielles primaires 247  (voir aussi     fig.    4). Ainsi, le mouvement initial  des pièces primaires fait tourner les roues 296  en sens inverse, jusqu'à zéro, mettant les pre  mières dans une position correspondant au  montant figurant dans les roues du totalisateur  d'articles.  



  L'enfoncement de la touche 115   Total  Comptant       (fig.    23) oblige également l'ergot  164, en coopération avec l'encoche-came 331,  à déplacer le secteur 332 dans le sens     dextror-          sum    ce qui, par l'intermédiaire de la bielle 334,  entraîne le bras de déplacement 335 d'un  même mouvement afin d'amener 1e décroche  ment 338 en alignement fonctionnel avec l'er  got 340.

   Cependant, étant donné que l'ergot  340 demeure dans sa position neutre centrale,  représentée en fi-. 23, pendant la première  partie d'une opération de total au comptant  (comparer les cases 2 et 6 du diagramme de  la     fig.    51), la mise en position du bras de  déplacement 335 n'interfère pas avec la sélec  tion du totalisateur d'articles, en vue de son  entraînement de la manière qui a été décrite  plus haut. Après que les roues du totalisateur      d'articles ont été remises à zéro, et avant le  mouvement de retour des pièces primaires dif  férentielles 247, l'ergot 340     (fig.    22 et 23)  est basculé vers le bas sous l'influence des  cames 348 et 349, de sa position neutre à sa  position inférieure, représentée en trait mixte.

    Pendant son mouvement de descente, l'ergot  340 entre en contact avec le décrochement 338  et déplace le bras 335 et le secteur 319 vers  le bas, pour aligner les roues 297     (fig.    4 et 36)  du totalisateur de groupe avec les pièces diffé  rentielles primaires 247, avant le mouvement  de retour des pièces différentielles primaires  247, lequel mouvement fait tourner les roues  du totalisateur     afin    d'y additionner le montant  recueilli sur le totalisateur d'articles pendant  la première partie d'un fonctionnement de la  caisse.  



  La partie inférieure élargie de l'encoche de  déplacement 329 dans le secteur 324     (fig.    22)  permet au secteur de se déplacer dans le sens       dextrorsum,    pendant la dernière partie du  fonctionnement de la caisse, sous l'influence de  l'ergot 340, comme     expliqué    plus haut, pour  aligner les roues 297 du totalisateur de groupe  avec les pièces différentielles primaires 247,  tandis que la touche 115   Total Comptant    demeure enfoncée.

   Vers la fin d'une opération  de total au comptant, le mouvement de retour,  dans le sens     dextrorsum    du bras 341 et de  l'ergot 340, fait que l'ergot 340 vient en  contact avec la partie supérieure de l'ouverture  dans le bras 335, et ramène le bras, le secteur  319, le bras 322 et le secteur 324, en sens  inverse jusqu'à la position normale, dans la  quelle les roues du totalisateur d'articles sont  à nouveau à l'alignement des pièces différen  tielles primaires 247, et dans laquelle position  l'ergot 164 de la touche 115 est à l'alignement  de la partie ouverte de l'encoche 329. De la  sorte, lorsque la touche 115 est automatique  ment libérée, vers la fin des opérations de total  au comptant, elle remonte par son ressort jus  qu'à la position non enfoncée.

   Après que le  bras 335 et le secteur 324 ont été ramenés,  les cames jumelées 348 et 349 ramènent le  bras 341 et l'ergot 340 à sa position normale  neutre (case 6,     fig.    51), position dans laquelle    l'ergot 340 ne s'oppose pas au mouvement  sélecteur du bras 335, lors de l'enfoncement  de l'une des touches de commande 111 à 115.  Le retour de la touche 115   Total Comptant    à la position non enfoncée     (fig.    23)     libère    le  secteur 332 à l'action du ressort 333, qui ra  mène le secteur 332 et le bras 335, dans le  sens     senestrorsum,    jusqu'à la position normale,  afin d'amener le décrochement 337 de total  d'articles de l'ouverture du bras 335 en ali  gnement fonctionnel avec l'ergot 340.  



  La liaison élastique, réalisée entre le sec  teur 319 et le bras 322     (fig.    22) par le ressort  323, permet au bras 335 et audit secteur 319  d'être ramenés dans le sens     senestrorsum,    vers  la fin d'un fonctionnement, par l'ergot 340,  ainsi que cela est expliqué plus haut, même  si le secteur 324 et le bras 322 se trouvent  retenus dans leur position     dextrorsum    par le  fait que l'on a retenu, par inadvertance, la  touche de commande 114   Article Unique    en position enfoncée à la fin du fonctionnement  de la caisse, sans aucun danger d'endommager  le mécanisme sélecteur de     totalisateur.     



  La     fig.    52 se rapporte à une variante dans  laquelle un troisième     totalisateur    est incorporé,  pour être     utilisé    comme totalisateur pour les  articles déboursés ou   Dépenses  . Une touche  1111 marquée   Dépenses   remplace alors la  touche 111   Taxe   de la première forme  d'exécution.  



  Le secteur 332     (fig.    52)     diffère    de la forme  représentée en     fig.    23 en ce qu'il est allongé  de manière à présenter une arête-came 1331,  avec laquelle un ergot 1164 fixé à la tige de  la touche<B>1111</B>   Dépenses<B> </B> peut coopérer,  d'une manière semblable à celle qui a été déjà  décrite pour la touche 115   Total Comptant  .  



  Lorsque l'on établit la liste des articles dé  boursés, ceux-ci sont enregistrés au moyen de  la touche 113   Articles Multiples       (fig.    1  et 22), sélectionnant ainsi les roues de totali  sateur à articles multiples 296     (fig.    36), de la  manière déjà décrite, en faisant basculer le  secteur 324     (fig.    22) dans le sens     senestror-          sum.     



  Pour imprimer le total des articles débour  sés, et pour transmettre ce total au troisième           totalisateur,    on     enfonce    la touche 1111    Dépenses       (fig.    52), grâce à quoi la coopé  ration de son ergot 1164 avec     l'arête-came     <B>1331</B> du secteur 332, fait basculer     ce    dernier       suffisamment    dans le sens     dextrorsum    pour  placer le décrochement 339 du bras 335 sur  le trajet de l'ergot 340.

   Lorsque ce dernier  descend, sous l'influence des cames 348 et 349,  comme     expliqué    précédemment, le bras 335  et le secteur 319 sont basculés dans le sens       dextrorsum    d'une façon     suffisante    pour sélec  tionner le troisième totalisateur, dont les roues  se trouveraient à la gauche des roues de tota  lisateur de groupe 297     (fig.    36), pour recevoir  le total     recueilli    dans les roues du     totalisateur     d'articles multiples 296.  



  Dans cette variante, l'encoche 325 du sec  teur 324     (fig.    22) serait entaillée d'une façon  semblable à celle de l'encoche 329, de manière  à permettre la continuation d'un mouvement  automatique, dans le sens     dextrorsum,    du  secteur 324,     tandis    que la touche 1111    Dépenses       (fig.    52) est encore en position  enfoncée.  



  Un prolongement antérieur, en forme de  crochet, du bras 335     (fig.    22 et 23), comporte  une arête de commande 351 qui coopère avec  un ergot 352 fixé au bâti latéral de droite 100,  pour empêcher tout déraillement du bras 335  lorsque celui-ci est déplacé vers le bas sous  l'influence de l'ergot 340, en coopération avec  l'un ou l'autre des décrochements 338 et 339,  comme expliqué plus haut.  



  Pour empêcher l'enfoncement des deux  touches 111 et 113     (fig.    22) en même temps,  un dispositif comprend une coulisse incurvée  353 pouvant se déplacer sur le secteur 324  grâce à deux fentes concentriques en coopéra  tion avec des ergots 354 et 355     fixés    au sec  teur 324.

   Des prolongements ascendants de  la coulisse 353 comportent des arêtes de com  mande 356 et 357 qui coopèrent, respective  ment, avec les ergots 164 de la touche 111    Taxe   et de la touche 113   Articles Mul  tiples      ,    de sorte que lorsque l'une quelconque  de ces deux touches est enfoncée, la     coulisse     est déplacée jusqu'à une position dans laquelle    l'arête de contrôle, coopérant avec l'ergot 164,  bloque     l'enfoncement    de l'autre touche.  



  <I>Mécanisme différentiel des</I>     transactions     Les touches de commande 111 à 115  (fi-. 1 et 12) sont pourvues d'un mécanisme  différentiel, analogue à tous points de vue au       mécanisme    différentiel des montants, repré  senté en     fig.    4 et décrit ci-dessus. Ce méca  nisme différentiel a pour but de mettre en  position des     indicateurs    et des roues à carac  tères correspondants selon la touche de com  mande qui a été enfoncée, afin d'indiquer et  d'inscrire un symbole destiné à identifier le  type d'opération à exécuter.  



  L'enfoncement de l'une des touches de  commande 111 à 115     (fig.    12) déplace l'extré  mité inférieure de la touche et l'amène sur le  trajet d'une saillie 359 d'une pièce différentielle  primaire 360 de transaction montée folle sur  l'arbre 248, et attirée dans le sens     dextrorsum     par un ressort 361 de manière à se tenir en  contact élastique avec la barre universelle 250.

    Sur l'arbre 248 tourne, à côté de la pièce dif  férentielle primaire 360, une pièce différen  tielle     secondaire    correspondante 362, compre  nant des dents d'engrenage qui engrènent avec  un pignon 363 monté fou sur l'arbre 262, et  solidaire d'un autre pignon 364 (voir aussi       fig.    6), qui engrène avec un secteur 365, sem  blable au secteur denté 263     (fig.    4) pour la  rangée des montants, et relié par un train d'en  grenages analogue à l'indicateur des     trans-          actions    121     (fig.    1) et à des roues de carac  tère de transaction correspondantes.  



  Le mouvement initial, dans le sens     dextror-          sum,    de la barre universelle 250     (fig.    12 et  case 7 de la     fig.    51) permet au ressort 361  d'entraîner la pièce différentielle primaire 360  d'un même mouvement, jusqu'à ce que la  saillie 359 entre en contact avec la tige de la  touche de commande<B>111</B> à<B>115</B> enfoncée.  



  La continuation de mouvement de la barre  universelle 250 ramène la pièce différentielle  secondaire 362,     l'indicateur    et les roues à  caractères associées, jusqu'à leur position nor  male, de la manière expliquée à propos des  rangées de montants     (fig.    4). Avant le mou-           vement    de retour, dans le sens     senestrorsum,    de  la barre universelle 250, un pignon d'em  brayage des transactions 366, semblable aux  pignons 272     (fig.    7) est engagé par des dents  correspondantes des pourtours de la pièce dif  férentielle primaire 360 et de la pièce diffé  rentielle secondaire 362, afin de bloquer  celles-ci ensemble en vue d'un même mouve  ment, de la manière qui a été expliquée pré  cédemment.

   Le pignon d'embrayage 366 est  supporté de manière à pouvoir tourner sur un  pivot 367     (fig.    13) fixé à un bras 368 calé sur  l'arbre 157, en vue de se déplacer solidairement  avec les pignons d'embrayage des montants 272       (fig.    7), sous l'influence des carnes 279 et 280  (case 5 de la     fig.    51), comme expliqué à propos  du mécanisme différentiel des montants.

   Une  fois que le pignon 366 d'embrayage a été  engagé, comme expliqué ci-dessus     (fig.    12), le  mouvement de retour de la barre universelle  250 recueille la pièce différentielle de trans  action primaire 360, à la position où elle avait  été mise, et la ramène à sa position de repos  et, ce faisant, met proportionnellement en posi  tion la pièce secondaire 362 qui, à son tour,  met en position l'indicateur et les roues à  caractère correspondants.  



  Le pignon d'embrayage 366     (fig.    12) de  meure en prise avec les dents des pièces 360  et 362 à la fin d'un fonctionnement, et en est  dégagé tout au début de l'opération qui suit  immédiatement.  



  Dans les opérations à articles multiples et  de taxe, il est nécessaire de bloquer la touche  114   Article Unique       (fig.    1 et 12) contre  tout enfoncement, jusqu'à ce qu'une opération  de   Total Comptant   ait été effectuée sous       l'influence    de la touche 115  Total Comptant<B> ,</B>  en vue de recueillir le total de la vente dans le  totalisateur d'articles, et de l'additionner dans  le totalisateur général.  



  Sur la plaque de déclenchement 166 de la  rangée des transactions est montée de manière       coulissable    une plaque 370     (fig.    12 et 13) com  portant des saillies-cames 371 et 372 qui  coopèrent, respectivement, avec les ergots 164  de la touche 113   Articles Multiples  , et de  la touche 111   Taxe  . Ces saillies sont main-    tenues en contact élastique avec les ergots 164  par le ressort 170, qui est tendu entre la  plaque de déclenchement 166 et la plaque 370.

    L'enfoncement de l'une ou l'autre des touches  111 ou 113 oblige son ergot. 164, coopérant  avec la saillie-came correspondante, à déplacer  la plaque 370 contre l'action du ressort 170,  pour amener un doigt 373 de la plaque 370  au-dessous de l'ergot 164 de la touche 114        Article    Unique  , afin d'empêcher l'enfonce  ment de cette dernière. Le mouvement     dans    le  sens     dextrorsum    de la plaque 370 déplace une  encoche 374 ménagée dans sa partie inférieure,  et l'amène en face d'une dent d'un     cliquet    de  retenue 375, monté fou sur un pivot 376     calé     sur une plaque 377 en arc de cercle fixée au  bâti 161 des touches de commande.

   Un ressort  de torsion 378 actionne immédiatement le     cli-          quet    375 de retenue dans le sens     senestrorsum,     pour amener sa dent en prise avec l'encoche  374, afin de retenir la plaque 370 dans sa  position de verrouillage, jusqu'à ce que la libé  ration du cliquet 375 de retenue soit effectuée  par enfoncement de la touche 115       Total     Comptant  , pour une opération de total au  comptant.  



  Le cliquet 375 de retenue comprend un  prolongement 379     (fig.    13) en forme de cro  chet, qui coopère avec un prolongement ana  logue 380 pratiqué sur une coulisse 381 qui  présente, dans son     extrémité        inférieure,    une  fente qui s'engage librement sur un ressaut  382 de l'arbre 348, et qui comporte une autre  encoche s'engageant     librement    sur un ergot  383 du secteur 332.

   L'enfoncement de la tou  che   Total Comptant   à la fin d'une opéra  tion d'articles, fait que son ergot 164     (fig.    13),  en coopération avec l'encoche-came 331, bas  cule le secteur 332 dans le sens     dextrorsum    ce  qui, grâce à l'ergot 383,     entraîne    la coulisse  381 d'un même mouvement, et amène le pro  longement 380 au-dessus du prolongement 379  du cliquet de retenue 375.

   Au commencement  d'une opération de total au comptant, le mou  vement de dégagement, dans le sens     dextror-          sum,    du bras 368 et du pignon 366 d'em  brayage des transactions (case 5,     fig.    51),  oblige une encoche 384 ménagée dans un pro-           longement    ascendant du bras 368, en coopé  ration avec un ergot 385 de la coulisse 381,  à déplacer la coulisse vers     l'intérieur.    Ceci  amène le prolongement 380 à venir en contact  avec le prolongement 379, et à entraîner le       cliquet    375 de retenue d'un même mouvement  avec la coulisse 381, ce qui dégage la .dent du       cliquet    de retenue de l'encoche 374, et libère  la plaque 370,

   qui subit l'action du ressort 170       (fig.    12), lequel ramène immédiatement la pla  que dans le sens     senestrorsum    à sa position  normale représentée en     fig.    12.         Aligneurs   <I>pouf les mécanismes différentiels</I>  <I>et d'indication</I>    Selon les     fig.    4 et 12, il est prévu des  mécanismes     d'alignement    pour les pièces dif  férentielles     primaires    247 et 360, pour les sec  teurs dentés correspondants 263 et 365, et pour  les indicateurs 120 et 121.

   Ces mécanismes  sont destinés à     aligner    les pièces en question  dans les positions acquises, après qu'elles ont  été mises en position sous l'influence des tou  ches correspondantes dans les opérations d'ad  dition, ou sous l'influence des roues de totali  sateurs correspondantes dans les opérations de  totalisation.  



  La barre universelle 250     (fig.    4, 6 et 8)  traverse des trous exactement ajustés dans les  plaques d'écartement 254 des pièces différen  tielles primaire et secondaire, d'où il résulte  que cette barre 250 entraîne les plaques 254 en  arrière et en avant en même temps qu'elle.  Dans des trous alignés correspondants des pla  ques d'espacement 254 et par le bras de gauche  251 est soutenue une tringle 387, qui se dé  place en même temps que la barre universelle  250 et les plaques 254 d'espacement.

   Lorsque  la tringle 387 arrive près de la fin de son mou  vement initial dans le sens     dextrorsum,    elle  vient en contact avec une arête 388 en arc de  cercle d'un cliquet 389 de retenue, prévu pour  chacune des pièces     différentielles    primaires 247  de montants     (fig.    4 et 6), monté fou sur l'arbre  262, et fait basculer les cliquets 389 de retenue  dans le sens     dextrorsum,    contre l'action des  ressorts 390, afin de faire venir en contact  une dent 391 de chacun des cliquets 389 de    retenue avec un     entredent    correspondant des  pièces différentielles primaires 247.  



  L'engagement des dents des     cliquets    389  de retenue avec les pièces primaires différen  tielles 247, tel qu'on vient de le décrire, a  pour but de maintenir ces dernières et les  empêcher de subir l'action de leurs ressorts  285, dans les opérations de totalisation, au  cours desquelles les pièces différentielles pri  maires sont mises en position sous     l'influence     des roues correspondantes du totalisateur choisi       (fig.    4). On évite ainsi le risque que les pièces  différentielles primaires 247 ne se déplacent  légèrement, et ne quittent leur position, lorsque  les roues de totalisateurs correspondantes sont  dégagées juste avant le fonctionnement du  mécanisme     aligneur    des secteurs dentés 263.

   Le  mouvement de retour, dans le sens     senestror-          sum,    de la tringle 387 retire celle-ci des arêtes  388, afin de libérer les cliquets 389 de retenue,  et leur laisser subir l'action des ressorts 390,  qui ramènent les cliquets 389 de retenue dans  le sens     senestrorsum,    jusqu'à ce qu'un doigt  d'arrêt 392 de chacun des cliquets vienne en  contact élastique avec un arbre 393 supporté  par le bâti de la caisse, afin de dégager les  dents 391 des dents des pièces différentielles  primaires 247.

      Les secteurs dentés 263 du mécanisme  différentiel des montants, représenté à la     fig.    4,  et utilisés ici comme représentatifs de tous les  différentiels de montants, présentent des dents  394 d'alignement disposées de manière à être  engagées par une barre 395 d'alignement sup  portée sur trois bras semblables 396 fixés sur  un arbre 397 qui tourillonne dans le bâti de la  caisse. Sur l'arbre 397 est fixée une manivelle  398 articulée, grâce à une bielle 399, à l'un  des bras d'un levier 400 monté fou sur une  tringle 401 supportée par le bâti de la caisse.

    L'autre bras du levier 400 est relié, par une       biellette    403,à un bras descendant d'un levier  403, monté fou sur l'arbre 151, et portant des  galets 404 et 405 qui coopèrent, respective  ment, avec les pourtours de cames jumelées  406 et 407 fixées sur l'arbre à cames princi  pal 138.      Le fonctionnement des cames 406 et 407  se produisant, au moment indiqué à la case 8  du diagramme des temps de la     fig.    51, amène  la barre 395 d'alignement en contact avec les  dents 394 du secteur denté 263, après que  celui-ci a été mis en position sous l'influence  du mécanisme différentiel, et     avant    que ne  fonctionne le mécanisme imprimeur, ceci afin  d'être certain que lesdites pièces soient main  tenues dans la position acquise.

   Une fois que  le mécanisme imprimeur a fonctionné, et après  que la série choisie de roues de totalisateur a  été dégagée des pièces différentielles primaires  247, la barre 395 d'alignement est dégagée des  roues 394, tout en étant aidée dans son déga  gement par un ressort 408, tendu entre la  biellette 399 et un ergot fixé à la plaque arrière  107, lequel ressort maintient provisoirement  la barre d'alignement en position dégagée à la  fin du fonctionnement.  



  Le pignon 269 de l'indicateur 120 du mé  canisme différentiel des montants, représenté à  la     fig.    4, et décrit ici comme représentatif de  tous les différentiels de montants, est normale  ment engagé par une dent d'un cliquet 41<B>0</B>  d'alignement d'indicateur, fixé sur un arbre  411, arbre actionné dans le sens     senestrorsum     par un ressort 412, tendu entre un ergot fixe  (non représenté) et un bras 413 calé sur  l'arbre 411. Sur l'arbre 411 est également fixée  une manivelle 414 reliée, par une biellette 415,  à un bras arrière d'un levier 416     (fig.    4 et 14)  monté fou sur la tringle 401.

   Un bras descen  dant du levier 416 est articulé, par une     biellette     417,à un levier 418 monté fou sur l'arbre 151,  levier portant un galet 419 qui coopère avec le  pourtour d'une came 420 calée sur l'arbre à  cames principal 138. Pendant le fonctionne  ment de la caisse, la came 420 oblige le cliquet  410 d'alignement à.

   fonctionner, au moment  indiqué dans la case 12 du     diagramme    des  temps de la     fig.    51, ceci afin, d'abord, de faire  basculer le cliquet 410 d'alignement dans le  sens     dextrorsum,    contre l'action du ressort  412, et l'écarter du pignon 269, au début du  fonctionnement de la caisse, de telle sorte que  l'indicateur 120 soit libre d'être mis en posi  tion sous     l'influence    du mécanisme différentiel,    de la     manière    qui a été expliquée précédem  ment.

   Après que l'indicateur 120 a été conve  nablement mis en position, la came 420 permet  au     ressort    412     (fig.    4) de remettre la dent du  cliquet 410     d'alignement    en engagement avec  le pignon 269, afin d'aligner et de retenir l'in  dicateur 120 dans la position qui lui a été  donnée pendant le reste de l'opération.

      <I>Alignement des totalisateurs</I>    Un mécanisme aligne celui des groupes de  roues de     totalisateur    qui a été sélectionné, avec  les pièces     différentielles    primaires 247 de mon  tants     (fig.    4) pendant un fonctionnement de la  caisse, et ce mécanisme comprend trois disques  421 d'alignement semblables     (fig.    25 et 36),  fixés à un écartement convenable, les uns par  rapport aux autres, sur la tringle de déplace  ment de totalisateur 311. Avec les disques 421       d'alignement    coopère une série de dents d'ali  gnement également espacées, prévues sur un  bloc 422 fixé à l'extrémité supérieure-d'un bras  423 tournant en 424 sur le bâti 305 de support  de totalisateurs.

   Le bras 423 est relié, par une  biellette 425,à un levier 426 monté fou sur  l'arbre 151, et portant des galets 427 et 428  qui coopèrent, respectivement, avec les pour  tours de cames jumelées 429 et 430     fixées    à  l'arbre à cames principal 136.  



  Lorsque la caisse est au repos, les dents du  bloc 422     d'alignement    sont dégagées des dis  ques 421 d'alignement (voir     fig.    25). Cepen  dant, pendant le fonctionnement, les cames 429  et 430 fonctionnent au moment     indiqué    dans  la case 11 de la     fig.    51, afin de mettre les  dents d'alignement du bloc 422 en prise avec  les disques 421, au début de l'opération, pour       aligner    la série de roues de totalisateurs sélec  tionnés à l'origine avec les pièces     différentielles     primaires 247.

   Lorsqu'il s'est écoulé un temps  suffisant pour permettre la     remise    à zéro des  roues de totalisateurs, et qui sont habituelle  ment les roues du totalisateur d'article 296, le  bloc     d'alignement    422 est dégagé, pour per  mettre le déplacement automatique du groupe  de     totalisateurs,    comme expliqué ci-dessus, en  référence, à la fia.

   22 (voir aussi case 6, de la       fig.    51), en vue d'aligner les roues 297 du tota-           lisateur    de groupe avec les pièces différentielles  primaires 247, de sorte que le     ndmbre        recueilli     sur le totalisateur d'articles est transféré dans  ces dernières pendant la dernière partie de  l'opération.

   Une fois que le groupe de totali  sateurs a été déplacé, le bloc d'alignement 422       (fig.    25) est mis de nouveau en prise avec les  disques 421, en vue d'aligner les roues 297 du  totalisateur de groupe avec les pièces différen  tielles primaires, et le bloc d'alignement de  meure ainsi en prise jusque vers la fin de  l'opération, moment auquel il est dégagé de  nouveau (voir case 11,     fig.    51).

   L'extrémité  supérieure du bras 423     (fig.    25) s'engage exac  tement dans une fente de guidage dans un  support 431     fixé    au bâti de totalisateur 305,  pour empêcher tout déplacement latéral du  bras 423, et ainsi pour maintenir un alignement  précis de la série sélectionnée de roues de  totalisateur avec les pièces différentielles pri  maires.

      <I>Mécanisme d'embrayage et de débrayage</I>  <I>des totalisateurs</I>    Un mécanisme fonctionne sous le contrôle  des touches de commande 111 à 115     (fig.    1),  et sous le contrôle du levier de     commande    de  total 117, en vue de déplacer le bâti des tota  lisateurs 300     (fig.    32, 33 et 36) vers l'intérieur  et vers l'extérieur pour embrayer ou débrayer  la série sélectionnée de roues du     totalisateur     avec les pièces différentielles primaires au mo  ment voulu, selon le type d'opération, soit  addition, soit total, à exécuter.  



  Les extrémités opposées de l'arbre 303  supportent des galets 434 (fi-.<B>30</B> et<B>36)</B> qui  viennent en contact, respectivement, avec les       extrémités    supérieures fourchues de bras 435  et 436 calés sur un arbre 437 supporté dans  les bâtis de support de totalisateur 304 et 305.  Le bras 435 comprend un chemin de came 438  dans lequel s'engage un galet 439 porté par  un bras 440, monté fou sur un pivot 441 sup  porté entre les bâtis 100 et 304. Un pivot 432,  supporté par un prolongement du bras 440 et  par une manivelle 442 pivotant en 441, sup  porte de manière pivotante l'extrémité arrière  d'une bielle de déplacement 443     (fig.    31 et 36).

      L'extrémité antérieure élargie de la bielle  443     (fig.    31) comprend une ouverture 444,       muni;,    d'arêtes de commande graduées qui  coopèrent avec un ergot 445 fixé à un     levier-          came    446, monté fou sur l'arbre 151, et por  tant un galet 447 qui coopère avec le pourtour  d'une came d'addition 448, fixée sur l'arbre à  cames principal 138. Un ressort 449 attire le  levier-came 446 dans le sens     senestrorsum,    afin  que le galet 447 vienne normalement en contact  élastique avec le pourtour de la came d'addi  tion 448.

   Convenablement espacée par     rapport     à la bielle 443     (fig.    30), et pouvant se déplacer  d'un même mouvement avec elle, se trouve une  bielle de remise à zéro 450, comprenant une  extrémité antérieure élargie, dans laquelle est  pratiquée une ouverture 451 munie d'arêtes de  commande qui coopèrent avec un ergot 452  fixé à un prolongement descendant d'un levier  453 monté fou sur l'arbre 151, et portant un  galet 454 qui coopère avec le pourtour d'une  came de remise à zéro 455, fixée à l'arbre à  cames principal 138. Un ressort 456 attire le  levier 453 dans le sens     senestrorsum    afin que  le galet 454 vienne normalement en contact  élastique avec le pourtour de la came 455.  



  Les arêtes de commande des ouvertures  des extrémités antérieures des bielles 443 et  450     (fig.    30 et 31) sont mises en position par  rapport à leurs ergots 452 et 445 par l'inter  médiaire d'une biellette 457, dont l'extrémité  inférieure est reliée auxdites bielles, et dont  l'extrémité supérieure comprend une fente 458,  en prise avec un ergot 459 fixé sur un prolon  gement arrière d'un secteur 460, monté fou  sur l'arbre 248, et comprenant des prolonge  ments 461 et 462 formant came et coopérant,  respectivement, avec les ergots 164 des touches  112 de       Sous-Total      et 115 de   Total  Comptant       (fig.    1 et 12).

   Ces prolongements  461, 462 viennent en contact élastique avec  les ergots 164 sous l'action d'un ressort 463,  tendu entre l'extrémité inférieure de la biellette  457 et un ergot fixe.  



  Les bielles 443 et 450     (fig.    30 et 31) peu  vent être aussi mises en position sous l'in  fluence du levier de commande de total 117       (fig.    1 et 24).      Le levier de commande de total 117 est  retenu     élastiquement    dans l'une quelconque de  ses quatre positions, au moyen d'encoches de  retenue 465     (fig.    24 et 27) convenablement  écartées, ménagées dans une ouverture de ce  levier, en coopération avec un ergot 500 fixé  à un bras 501 de retenue pivotant en 502 sur  le bâti latéral de gauche 101.

   Le bras de rete  nue 501 est attiré dans le sens     senestrorsum     par un ressort 503, afin que l'ergot 500 vienne  en contact élastique avec l'une des encoches  de retenue 465, et passe de l'une à l'autre lors  que le levier de commande de total<B>117</B> est  déplacé d'une position à l'autre. Le levier de  commande de total 117 comprend une encoche  466     (fig.    24) qui s'engage sur un ergot 467  fixé à l'extrémité inférieure d'une manivelle  468 calée sur l'arbre 393.

   Sur l'arbre 393       (fig.    30) est également calée une. manivelle 469  comportant un ergot 470 qui s'engage dans  une fente pratiquée dans un prolongement  ascendant d'un secteur 471, monté fou sur  l'arbre 248, et comprenant un     chemin    de came  472 qui coopère avec un ergot 473 fixé à un  levier 474 tournant en 475 sur le bâti 100.  Un prolongement arrière du levier 474 com  prend une fente qui est en prise avec un ergot  464 fixé à la biellette 457 (voir aussi     fig.    31).  



  Lorsque le levier de commande de total  117 est dans la position   Enregistrement         (fig.    24), le secteur 471 est mis dans une posi  tion correspondante, par les bielles 468 et 469  et par l'arbre 393, et fait que le chemin de  came 472, en coopération avec l'ergot 473,  déplace les bielles 443 et 450 en position d'ad  dition     (fig.    30 et 31) de sorte que la série sélec  tionnée de roues totalisateur 296 ou 297       (fig.    36) sont embrayées ou débrayées avec les  pièces différentielles primaires correspondantes,  pour une opération d'addition.  



  Dans les opérations d'addition, un prolon  gement de déplacement 476     (fig.    31) de l'ou  verture 444 de la bielle 443, se trouve en face  de l'ergot 445, et une partie dégagée de l'ou  verture 451 de la bielle de remise à zéro 450,  se trouve en face de l'ergot 452.

   Dans ce cas,  le mouvement de la came d'addition 448 et du  levier-came 446, survenant au moment indiqué    à la case 1 de la     fig.    51, oblige l'ergot 445,  en coopération avec le prolongement 476, à  déplacer la bielle 443 vers l'avant, afin de faire  basculer le bras 440 dans le sens     dextrorsum,     obligeant le galet 439, en coopération avec la  fente-came 438, à basculer le bras 435, l'arbre  437, et le bras     d'accompagnement    436, dans  le sens     senestrorsum,    afin de déplacer l'arbre  303 et le bâti de totalisateur 300     (fig.    31, 32  et 33) vers l'intérieur.

   De ce fait, la série sélec  tionnée de roues de totalisateur vient en prise  avec les pièces     différentielles    primaires pour  une opération d'addition. Du fait qu'une por  tion dégagée de l'ouverture 451     (fig.    30) se  trouve en face de l'ergot 452, le mouvement de  la came de remise à zéro 455, et le basculement  qui s'ensuit pour le levier 453, n'ont aucun       effet    sur la bielle de remise à zéro 450.  



  Les opérations d'addition sont exécutées  lorsque le levier de     commande    de total 117 se  trouve dans la position   Enregistrement      ,    et  lorsque. l'une des touches de commande 111,  113, ou 114     (fig.    1 et 12) est enfoncée pour  déclencher le     fonctionnement    de la caisse.  



  En examinant les cases 1, 2 et 4 du dia  gramme des temps de la     fig.    51, on voit que  la came d'addition 448, et la came de     remise     à zéro 455, ne commandent que le mouvement  d'embrayage du bâti de totalisateur, et que le  mouvement de débrayage de ce bâti est com  mandé par une came de débrayage 477       (fig.    10) fixée sur l'arbre à cames princi  pal 138. La périphérie de cette came 477  coopère avec un galet 478 porté par un     levier-          came    479, monté fou sur l'arbre 151.

   Le     levier-          came    479 est articulé, à l'extrémité antérieure,  d'une biellette 480, comprenant à son extré  mité arrière une fente coopérant avec l'ergot  432 porté par la manivelle 442. Un ressort  483 attire le levier-came 479 dans le sens       dextrorsum,    afin de maintenir normalement le  galet 478 en contact élastique avec le pourtour  de la came de débrayage 477.  



  Selon la     fig.    10 et la case 4 du diagramme  des temps de la     fig.    51, on voit que, lorsque  la caisse est au repos, la came de débrayage  477 maintient le bâti de totalisateur 300 en  position dégagée et,     immédiatement    après que      la caisse commence à fonctionner, la came 477  permet au ressort 483 de déplacer la biellette  480 vers l'avant afin de libérer la manivelle  442 et l'ergot 441, pour leur permettre d'exé  cuter un mouvement de mise en prise sous  l'influence des cames 448 et 455     (fig.    30 et 31)  d'addition et de remise à zéro.

   Ceci libère le  bâti de totalisateur, en vue d'un mouvement  de mise en prise, au début des opérations de  sous-total et de total, de sorte que le mouve  ment initial des pièces différentielles primaires  va faire tourner les roues du totalisateur sélec  tionné jusqu'à zéro, afin de mettre les pièces       différentielles    primaires dans une position cor  respondante.

   Après que les roues ont ainsi  tourné en sens inverse jusqu'à la position de  zéro, une saillie 482 de la came de débrayage  477     (fig.    10) déplace la biellette 480 vers  l'arrière, afin de basculer l'ergot 441 et le  bras 440 dans le sens     senestrorsum,    ce qui, à  son tour, bascule le bras 435 dans le sens       dextrorsum    pour déplacer le bâti de totalisateur  vers l'arrière de façon que les roues du tota  lisateur sélectionné soient dégagées par rapport  aux pièces différentielles primaires.  



  Lorsque la saillie 482 a franchi le galet  478, le ressort 483 ramène la biellette 480  vers l'avant afin de libérer la manivelle 442,  l'ergot 441 et le bras 440, en vue d'un mouve  ment d'embrayage, au moment de l'addition,  sous l'influence de la came d'addition 448. Une  fois que les pièces différentielles primaires ont  achevé leur mouvement de retour à la position  d'origine, une seconde saillie 484 de la came  de débrayage 477, en coopération avec le     galet     478, communique au bâti de     totalisateur    un  mouvement de débrayage pour dégager les  roues des pièces différentielles primaires, et  pour retenir ces roues ainsi dégagées à la fin  du fonctionnement de la caisse.  



  Lorsque le levier de commande de total  117     (fig.    24) est dans la position   Enregistre  ment      ,    l'enfoncement des touches 111, 113  et 114 ne communique aucun mouvement au  secteur 460     (fig..    30) et, en conséquence, le  mécanisme d'embrayage de totalisateur fonc  tionne comme expliqué ci-dessus, pour engager  et dégager les roues du totalisateur sélectionné    avec les pièces différentielles primaires pour  une opération d'addition.  



  L'enfoncement de la touche 112       Sous-          Total      a pour effet que les roues 296 du tota  lisateur d'articles sont alignées avec les     pièces     différentielles primaires, comme expliqué plus  haut. L'enfoncement de cette touche 112 a  pour effet que l'ergot 164, en coopération avec  le prolongement 461, déplace le secteur 460  dans le sens     senestrorsum    ce qui, par l'inter  médiaire de la biellette 457, déplace les bielles  443 et 450 vers le haut, contre l'action du res  sort 463.

   De ce fait, la partie dégagée de l'ex  trémité supérieure de l'ouverture 451 se place  au-delà de l'ergot 452, et un prolongement de  déplacement 486 de cette ouverture est amené  sur le trajet de l'ergot, de sorte que le mouve  ment d'embrayage du totalisateur est com  mandé par la came 455 de remise à zéro au  moment indiqué dans la case 2 de la     fig.    51,  faisant tourner les roues du totalisateur jusqu'à  zéro. Lorsque les pièces différentielles primai  res ont achevé leur mouvement initial, la came  de débrayage 477     (fig.    10)     fonctionne    pour  dégager les roues du totalisateur d'articles par  rapport aux pièces différentielles primaires,  avant le mouvement de retour de ces dernières  à la position d'origine.

   Le mouvement ascen  dant de la bielle 443 de     déplacement,    lors de  l'enfoncement de la touche   Sous-Total   112  n'étant pas suffisant pour écarter son prolon  gement de déplacement 476     (fig.    31) du trajet  de l'ergot 445, la came d'addition 448 fait que  le levier de la came 446 déplace la bielle 443  vers l'avant pour une opération d'addition,  afin de remettre les roues du totalisateur d'ar  ticles 296 en prise avec les pièces différentielles  primaires, avant le mouvement de retour de ces  dernières à la position d'origine et, par consé  quent, le montant préalablement recueilli est  réintroduit sur lesdites roues.  



  L'enfoncement de la touche   Total Comp  tant   115, pour déclencher une opération de  total au comptant, en coopération avec le mé  canisme représenté aux     fig.    22 et 23, et décrit  plus haut, oblige les roues 296 du totalisateur  d'articles à s'aligner avec les pièces différen  tielles primaires au début de l'opération. Dès      l'enfoncement de cette touche 115     (fig.    30),  son ergot 164, en coopération avec le     têton-          came    462, déplace le segment 460, afin d'ame  ner les bielles 443 et 450 exactement dans la  même position que par la touche de       Sous-          Total      112.

   Ainsi les roues du totalisateur  d'articles 296 viennent en prise avec les pièces  différentielles primaires avant le mouvement  initial de ces dernières, lequel mouvement fait  tourner lesdites roues jusqu'à zéro, en sens  inverse, et met lés pièces différentielles pri  maires dans une position correspondante. Ce  pendant, après que les roues 296 ont été remi  ses à zéro, le mécanisme représenté aux     fig.    22  et 23 fonctionne sous le contrôle de la touche  115   Total Comptant   pour déplacer ces  roues et les retirer     d'alignement    avec les pièces  différentielles primaires et, simultanément, les  roues 297 du totalisateur de groupe sont dépla  cées pour aligner ces dernières avec les pièces  différentielles primaires.

   Ultérieurement, le  mouvement vers l'avant de la bielle de déplace  ment 443     (fig.    31), sous l'influence de la came  d'addition 448, oblige lesdites roues 297 à  venir en prise avec les pièces différentielles pri  maires avant le mouvement de retour de ces  dernières, lequel mouvement fait tourner ces  roues dans le sens de l'addition, afin d'y intro  duire le nombre recueilli sur les roues 296 du  totalisateur d'articles, au début de l'opération  de total au comptant. Ainsi le mécanisme     ci-          dessus    décrit est capable de transférer un total  d'une série de roues à une autre série de roues  de totalisateur, les deux séries étant sur un  axe commun, ce transfert de totaux ayant lieu  en un seul cycle de fonctionnement de la caisse.  



  L'arbre 393 (fi-. 24 et 26), qui est     actionné     par le mouvement du levier de commande de  total 117, comprend une manivelle 487 dont  un ergot 488 s'engage dans une fente d'un seg  ment 489, monté fou sur l'arbre 248. Le pour  tour du segment 489 comprend des fentes des  tinées à recevoir les ergots 164 des touches  de commande 111 à 115.

   Lorsque le levier de  commande de total 117 est dans la position    Enregistrement       (fig.    24), le segment 489  est mis dans la position représentée à la     fig.    26,  de façon que les fentes sont à l'alignement des    ergots 164, de sorte que l'une quelconque des  touches de commande peut être enfoncée, à       moins    qu'elle n'en soit empêchée par quelques  autres dispositifs différents du secteur 4.89.  



  Si le levier de total 117 est déplacé d'un  cran vers le bas, jusqu'à la position   Lecture  ,  ce mouvement, par l'intermédiaire de la mani  velle 469     (fig.    30), fait légèrement tourner  l'arbre 393 dans le sens     dextrorsum    et, par l'in  termédiaire de la manivelle 487 et de l'ergot  488, fait basculer le secteur 489 dans le sens       senestrorsum,    de manière à amener des arêtes  d'obstruction du pourtour du secteur 489 en  face des ergots 164 de toutes les touches de  commande, à l'exception de la touche de com  mande 114   Article Unique  .

   Par consé  quent, lorsque le levier de commande de total  se trouve dans la position   Lecture  , la seule  touche de commande qui puisse être enfoncée  est la touche   Article Unique   114, laquelle  sélectionne les roues 297 du     totalisateur    de  groupe     (fig.    36), en vue de sa mise en prise  avec les pièces différentielles primaires.

   Le  mouvement     dextrorsum    de l'arbre 393 et de  la manivelle 469     (fig.    30), lorsque le levier de  commande de total 117 est amené de la posi  tion   Enregistrement   à la position   Lec  ture  , fait que la manivelle 469 fait basculer  le secteur 471 dans le sens     senestrorsum    d'une  légère distance, et ce mouvement, par l'inter  médiaire de la fente-came 472, fait pivoter  le levier 474     dans    le même sens,     afin    de sou  lever la biellette 457 contre l'action du ressort  463, et d'amener les bielles 443 et 450     (fig.    30  et 31) vers le haut d'un cran, jusqu'à la posi  tion   Lecture  ,

   qui est exactement la position  dans laquelle les bielles sont amenées sous  l'influence du secteur 460, lorsque la touche  112 de   Sous-Total  , ou la touche 115    Total Comptant   sont enfoncées. Avec le  levier de commande 117     (fig.    24 et 26) dans  la position   Lecture  , l'enfoncement de la  touche 114       Article    Unique<B> </B> a pour effet  que les roues 297 du totalisateur de groupe  sont amenées en prise avec les pièces     diffé-          rentielles        primaires    247, et s'en     écartent    au  moment de l'opération de sous-total, afin d'in-           diquer    et d'apprécier un total partiel du mon  tant qui s'y trouve accumulé.  



  Si le levier de commande de total 117       (fig.    24) est déplacé d'un autre     cran    vers le  bas, jusqu'à la position  Remise à zéro ,  l'arbre 393 pivote encore d'un cran dans le  sens     dextrorsum    et, pendant ce mouvement, la  manivelle 487     entraîne    le secteur 489     (fig.    26)  d'un même mouvement.

   Cependant, le pourtour  du secteur empêche encore l'enfoncement de  l'une quelconque des touches de commande, à       l'exception    de la touche 114   Article Unique    qui, comme expliqué précédemment, sélec  tionne les roues 297 du totalisateur de groupe  en vue de leur embrayage avec les pièces     diffé-          rentielles    primaires.

   Le mouvement du levier  de total à la position de remise à zéro entraîne,  par l'intermédiaire de la manivelle 469       (fig.    30), le segment 471 d'un cran supplé  mentaire dans le sens     senestrorsum,    de telle  sorte que le chemin de came 472, en coopé  ration avec l'ergot 473, fait basculer le levier  474 d'un autre cran dans le sens     senestrorsum,     et soulève la biellette 457 contre l'action du  ressort 463, ce qui à son tour a pour effet de  soulever les bielles 443 et 450 d'un second  cran vers le haut, jusqu'à la position de remise  à zéro. Dans cette position, le prolongement  486 de l'ouverture 451 est encore en face de  l'ergot 452, et une portion dégagée de l'ouver  ture 444 se trouve en face de l'ergot 445.

   L'en  foncement de la touche 114   Article Unique  ,  pour déclencher le fonctionnement de la caisse,       oblige    les roues 297 du totalisateur de groupe  à s'aligner avec les pièces différentielles pri  maires 247     (fig.    32 et 36), de la manière pré  cédemment expliquée et, pendant ce fonction  nement, le mouvement d'embrayage et de  débrayage du totalisateur de groupe est com  mandé par la came 455 de remise à zéro, qui  fonctionne au moment indiqué dans la case 2  de la     fig.    51.  



  Le fonctionnement de la came 455     (fig.    30  et case 2 de la     fig.    51) de remise à zéro, tout  au début de l'opération, fait basculer le levier  453 dans le sens     dextrorsum,    obligeant l'ergot  452, en coopération avec le prolongement 486,  à déplacer la bielle de remise à zéro 450 vers    l'avant, pour déplacer l'ergot 441 et le bras 440  dans le sens     dextrorsum,    et ce mouvement, par  l'intermédiaire du galet 439, en coopération  avec le chemin de came 438, fait basculer le  bras 435 dans le sens     senestrorsum,    afin de  déplacer le bâti du totalisateur vers l'intérieur,

    pour mettre les roues de totalisateur de groupe  en prise avec les pièces différentielles primaires  247     (fig.    4 et 32) avant le mouvement initial de  ces dernières. Le mouvement initial, dans le  sens     dextrorsum,    des pièces différentielles pri  maires 247, fait tourner les roues de totalisa  teur de groupe en sens inverse jusqu'à ce que  lesdites roues arrivent à zéro, position qui est  déterminée par le fait que les longues dents  de ces roues viennent en contact avec les     cli-          quets    de report correspondants, d'une manière  qui sera décrite plus loin, afin de donner aux  pièces différentielles primaires des positions  correspondant aux valeurs qui se trouvent  dans les roues de totalisateur de groupe.  



  Une fois que les pièces différentielles pri  maires ont été mises en position, et que les  roues de totalisateur de groupe sont à zéro,  et avant le mouvement de retour des pièces  différentielles primaires, la came de débrayage  477     (fig.    10) fonctionne au moment indiqué à  la case 4 de la     fig.    51, pour dégager les roues  297 des totalisateurs de groupe par rapport aux  pièces différentielles primaires, de sorte que  les roues vont demeurer en position de zéro.

    Une partie dégagée de l'ouverture 444 de la  bielle 443     (fig.    31) se trouvant en face de  l'ergot 445, le fonctionnement de la came d'ad  dition 448 et le mouvement ultérieur dans le  sens     dextrorsum    du levier-came 446 n'a aucun  effet sur la bielle 443 de telle sorte que les  roues du totalisateur de groupe demeurent dé  gagées des pièces différentielles primaires pen  dant le mouvement de retour de ces dernières  de la position acquise à la position de zéro.

      <I>Compteur de remise à zéro</I>    Le fait d'amener le levier de commande  117     (fig.    24) à la position   Remise à zéro     p     a pour effet, par un chemin de came 490, en  coopération avec un ergot 491 fixé à un pro  longement ascendant d'un levier 492, monté      fou sur un arbre 163, de faire basculer le  levier dans le sens     dextrorsum.    Pendant ce  mouvement, une fente que présente un pro  longement arrière du levier 492, en coopération  avec un ergot 493 d'un bras 494 monté fou sur  l'arbre 284, fait basculer le bras 494 dans le  sens     senestrorsum.    De ce fait, une fente de  l'extrémité avant du bras 494, en coopération  avec un ergot 495 fixé à un prolongement d'un  étrier 496,

   articulé sur un support des roues  du compteur de remise à zéro 119, fait bascu  ler ledit étrier dans le sens     dextrorsum,    de telle  sorte qu'un cliquet d'avancement 497, en  coopération avec les dents de rochets corres  pondants 481, solidaires des roues de compteur  de remise à zéro, fait avancer la roue de comp  teur de remise à zéro d'une unité chaque fois  que le levier de commande 117 est amené à  la position de remise à zéro, tout ceci     afin    de  permettre de tenir un compte exact des opéra  tions de remise à zéro.

   Le     cliquet    d'avancement  497 comprend les dents habituelles, destinées  à coopérer avec les dents de rochets 481,  prévues sur chacune des roues du     compteur     de remise à zéro, chacun des rochets étant  pourvu d'une encoche profonde correspondant  à sa position de zéro, et qui permet au cliquet  497 de faire avancer la roue de l'ordre immé  diatement supérieur d'un cran, chaque fois que  la roue de l'ordre inférieur passe par zéro. Des  cliquets de retenue (non représentés) coopèrent  avec les dents des rochets 481, pour empêcher  le mouvement rétrograde des roues de comp  teur de remise à zéro.  



  L'extrémité antérieure du bras 494     (fig.    24)  et un doigt 498 de ce bras, orienté vers l'avant,  coopèrent avec la tringle 163, pour limiter le  mouvement du bras 494 soit dans le sens de  l'avance, soit dans le sens du rattrapage. Lors  que le levier de commande de total 117 est  écarté de sa position   Remise à zéro      ,    par  l'intermédiaire du levier 492 et du bras 494,  un mouvement de rattrapage a lieu, dans le  sens     senestrorsum,    pour l'étrier 496 et le     cli-          quet    d'avancement 497.

   Un prolongement inté  rieur d'un bras de retenue 501     (fig.    27), monté  sur le levier de commande de total 117, com  prend un bec 504 qui coopère avec une arête    en arc de cercle 505 d'un prolongement ascen  dant du bras 146, lequel est     fixé    à l'arbre de  déclenchement 147 de la caisse, et est basculé  dans le sens     dextrorsum    lorsque le fonctionne  ment de la caisse est déclenché     (fig.    16 et 26).  Ce mouvement du bras 146 amène l'arête 505  sur le trajet d'un bec 504, pour empêcher le  mouvement du bras de retenue 501 et pour  bloquer le levier de commande de total 117  dans la position acquise.

   Lorsque le levier 117  est déplacé d'une position à l'autre, le bec 504  vient se placer sur le trajet du bras 146, et  empêche le mouvement de déclenchement dans  le sens     dextrorsum    de celui-ci, lorsque le levier  de commande de total n'est pas convenable  ment placé dans l'une des positions prévues, ou  est en train d'être déplacé d'une position à l'au  tre, empêchant une fausse     manoeuvre    de la  caisse.

           Interverrouillage   <I>entre le levier de commande</I>  <I>de</I>     total,   <I>les touches de commande, et les</I>  <I>touches des rangées de montants</I>    Un mécanisme de blocage est prévu entre  le levier de commande de total 117     (fig.    24),  le secteur 460     (fig.    30) et les touches des ran  gées de montants, pour empêcher l'enfonce  ment de l'une quelconque des touches de mon  tants lorsque le levier de total est dans l'une  quelconque de ses positions, à l'exception de  la position   Enregistrement  , et inversement  pour bloquer le levier de total dans la position    Enregistrement   lorsque l'on enfonce l'une  quelconque des touches de montants.  



  Le levier de commande de total 117       (fig.    24) comprend une fente 506, dans laquelle  s'engage un ergot 507, fixé sur l'extrémité  supérieure d'un bras 509 pivotant en 508 sur  le bâti latéral de gauche 101. Un doigt orienté  vers le bas, du bras 509, coopère avec un  ergot 510 d'un bras 511 susceptible de tourner  sur l'extrémité de gauche de l'arbre de déclen  chement 147 et relié à un bras jumeau 512       (fig.    30), lequel peut tourner sur     l'extrémité    de  droite de l'arbre de déclenchement 147, par  des tringles parallèles 513. Sur l'arbre de  déclenchement 147 peuvent également tourner,  fixée aux tringles 513, une série de bras 514, .

        un pour chaque rangée de touches de mon  tants, bras dont les extrémités supérieures sont  disposées de manière à coopérer avec des pro  longements descendants 515 des plaques de  commande correspondantes 221. Il y a une  plaque de commande 221 pour chaque rangée  de touches de montants, comme indiqué précé  demment à propos de la rangée de montants  représentée à la     fig.    4. Un ressort 516 attire  les bras 511, 512 et  514, pour amener l'ergot  510     (fig.    24), en coopération avec le bras 509,  à maintenir l'ergot 507 en contact élastique  avec le rebord avant de la fente 506.

      Lorsque le levier de commande de total  <B>117</B> est dans la position       Enregistrement            (fig.    1 et 24), une portion     entaillée    de la fente  506 se trouve en face de l'ergot 507, et permet  au ressort 516     (fig.    30) de maintenir les pièces  dans les positions représentées, dans lesquelles  les extrémités supérieures des bras 514 sont  tirées dans le sens     dextrorsum,    hors du trajet  des prolongements 515 et, en conséquence, ne  s'opposent pas à l'enfoncement des touches de  montants 110.

   Lorsqu'on écarte le levier de  commande de total 117 de la position   Enre  gistrement      ,    la fente 506     (fig.    24), en coopé  ration avec l'ergot 507, fait basculer le bras  509 dans le sers     dextrorsum    ce qui, à son tour,  fait tourner les bras 511, 512 et 514 dans le  sens     senestrorsum,    afin d'amener les extrémités  supérieures des bras 514 sous les prolonge  ments 515, et d'empêcher     l'enfoncement    des  touches de montants 110.

      L'enfoncement de l'une quelconque des  touches 110 (fi-. 4 et 30) a pour résultat que  l'ergot 214, en coopération avec le prolonge  ment de la plaque 221 de commande corres  pondant,     déplace    cette dernière vers le bas et  amène le prolongement 515 sur le trajet de  l'extrémité supérieure du bras correspondant  514, pour empêcher son mouvement     senestror-          sum.    De ce fait, le bras 509 est fixé contre  tout mouvement     dextrorsum,    et oblige l'ergot  507, en coopération avec l'encoche pratiquée  dans la fente 506, à     fixer    à son tour le levier  de commande de     total    117 dans la position    Enregistrement      .       L'enfoncement,

   soit de la touche       Sous-          Total      112     (fig.    1 et 30), soit de la touche    Total Comptant   115,a pour effet, grâce  aux ergots 164, en coopération avec les prolon  gements correspondants 461 ou 462, de faire  basculer le secteur 460 vers le bas, de la ma  nière expliquée précédemment, obligeant un  prolongement 517, de son extrémité antérieure,  en coopération avec un ergot 518 du bras 512,  à déplacer les extrémités supérieures desdits  bras 514 et à les amener sur les trajets des  prolongements correspondants 515,     ceci    pour  verrouiller les touches de montants contre tout  enfoncement.

   Réciproquement, l'enfoncement  d'une touche de montants déplace la plaque de  commande 221 correspondante     (fig.    4 et 30)  vers le bas, afin d'amener le prolongement 515  sur le trajet de l'extrémité supérieure du bras  correspondant 514, et d'empêcher le mouve  ment     senestrorsum    des bras 514 et 512, ce  dernier, par l'intermédiaire de l'ergot 518,  empêchant le mouvement descendant     senestror-          sum    du secteur 460, bloquant ainsi l'enfonce  ment de l'une ou l'autre des touches de com  mande 112 ou 115.  



  Lorsqu'on amène le levier 117 de com  mande de total, soit à la position   Lecture      ,     soit à la position   Remise à zéro      ,    respecti  vement, la fente 506, en coopération avec l'er  got 507 du bras 509, fait que ce dernier  bascule dans le sens     dextrorsum,    pour faire  basculer, par l'intermédiaire de l'ergot 510, le  bras 511 et les tringles 513 dans le sens     senes-          trorsum.     



  De ce fait, la tringle 513 arrière est amenée  sur le trajet d'un épaulement de chaque bras  288     (fig.    9), pour bloquer le mouvement de  ces derniers dans le sens     dextrorsum.    De ce  fait, les barres 286 d'arrêt à zéro sont main  tenues en positions     inefficaces,    de manière que  les mécanismes différentiels sont libres pour  être positionnés sous     l'influence    des roues du  totalisateur sélectionné, lorsque lesdites roues  sont ramenées à zéro dans des opérations de  lecture, et de remise à zéro, respectivement.  



  Lorsque la touche 112, ou la touche<B>115,</B>  est enfoncée, les ergots 164, coopérant avec  l'un ou l'autre des prolongements 461 et 462,      fait basculer le secteur 460 dans le sens     senes-          trorsum.    De ce fait, le prolongement 517  coopère avec l'ergot 518 du bras 512, pour  basculer ce dernier et les tringles 513, dans  le sens     senestrorsum,    de façon que les     barres     286 d'arrêt à zéro soient retenues dans leur  position inefficace pendant une opération de  lecture, ou de     remise    à zéro, comme     expliqué     ci-dessus.

      <I>Mécanisme libératoire</I>  <I>et mécanisme de commande de tiroir</I>    Le panneau arrière du tiroir-caisse 106       (fig.    1 et 29) comprend une plaque d'accro  chage 520, munie d'un prolongement supérieur,  dans lequel s'engage normalement un verrou  521 monté fou sur un arbre 522 qui tourillonne  dans un bâti arrière (non représenté) pour le  coffre de tiroir 105 de la caisse. Un prolon  gement supérieur du verrou 521 coopère avec  un ergot 523 d'une manivelle 524 fixée à  l'arbre 522. Un ressort 525 sollicite le verrou  521 dans le sens     senestrorsum,    afin de le main  tenir normalement en prise avec la plaque  d'accrochage 520 et en contact élastique avec  l'ergot 523.

   Un doigt 526, orienté vers le haut  du verrou 521, est disposé de manière à coopé  rer avec un organe connu d'ouverture manuelle  du tiroir (non représenté), de manière à bas  culer le verrou 521 dans le sens     dextrorsum,     contre l'action du ressort 525, lorsque le dis  positif manuel est actionné. Ceci a pour effet  de dégager le verrou du prolongement supé  rieur de la plaque d'accrochage 520, et de  libérer le tiroir-caisse 106 à l'action d'un res  sort (non représenté) qui, immédiatement,  repousse le tiroir, et provoque le fonctionne  ment d'une cloche d'avertissement.  



  Sur l'arbre 522 est fixé un doigt 527       (fig.    28), maintenu en contact élastique avec  un ergot 528 d'un bras 529 pivotant sur un  pivot 530 fixé à la base de la caisse, par le  ressort 525     (fig.    29) qui, par l'intermédiaire  du verrou 521 et de la manivelle 524, attire  l'arbre 522 et le doigt 527 dans le sens     senes-          trorsum.    Le bras 529 est relié par une biellette  531 au bras arrière d'un levier 532     (fig.    27),  pivotant en 533 sur le bâti latéral de gauche    101.

   Sur le bras ascendant du levier 532 est  articulée l'extrémité arrière d'une bielle 534  présentant une fente 535, en forme de   L  ,  dans son extrémité     antérieure    élargie, laquelle  fente coopère avec un ergot 536 porté par un  levier 537 monté fou sur l'arbre 151. Le levier  537 porte des galets 538 et 539 qui coopèrent  avec les pourtours de cames jumelées 540 et  541, calées sur l'arbre à cames principal 138.  Ces cames fonctionnent au moment indiqué  dans la case 13 de la     fig.    51, pour faire bas  culer le levier 537 dans le sens     sénestrorsum     vers la fin du fonctionnement, puis le ramener  à la position normale exactement à la fin de  ce fonctionnement.

   La bielle 534     (fig.    27) est  articulée par une biellette 542 à un prolonge  ment arrière d'un levier 543 pivotant en 544  sur le bâti latéral de gauche 101. Le levier  543 porte un ergot 545 qui coopère avec un  chemin de came 546 d'un secteur 547 suscep  tible de tourner sur l'un des     disques    264 (voir  aussi     fig.    4) et comprenant des dents d'engre  nage intérieures qui engrènent avec l'un des  pignons 266. Le pignon 266, à son tour, est  relié par l'un des arbres carrés 267 à un pignon  266     (fig.    12) qui, à son tour, engrène avec  les dents intérieures d'un secteur denté 365       (fig.    6 et 12).

   Celui-ci,     comme    expliqué pré  cédemment, est mis en position par la seconde  pièce     différentielle    362 des touches de com  mande 111 à 115. Le chemin de came 546  comporte deux parties     circonférentielles    de di  mensions radiales différentes, dont la plus  grande coopère avec l'ergot 545 lorsque le  secteur 547 est mis en position sous l'in  fluence des touches       Article    Unique   114 ou    Total Comptant<B> </B> 115 (voir aussi     fig.    1),  pour obliger la bielle 534 à être mise en posi  tion par rapport à l'ergot 536     (fig    24), de telle  sorte que l'ergot s'engage dans la branche ver  ticale étroite de la fente 535.

   Le mouvement  des cames 540 et 541 se produit au moment  indiqué dans la case 13 de la     fig.    51, et le     bas-          culement    qui en résulte pour le levier 537,  comme expliqué précédemment, fait que la  bielle 534 se déplace vers l'arrière près de la  fin du fonctionnement de la caisse.  



  *Le mouvement de la bielle 534     (fig.    27, 28      et 29) fait basculer le levier 532 dans le sens       dextrorsum    ce qui, par l'intermédiaire de la  biellette 531, fait basculer le bras 529 dans le  sens     senestrorsum    et, par l'intermédiaire de  l'ergot 528, bascule le doigt 527, l'arbre 522,  et le verrou 521 dans le sens     dextrorsum,     contre l'action du ressort 525, pour dégager  le verrou dé la plaque d'accrochage 520. Le  tiroir-caisse 106 est ainsi livré à l'action d'un  dispositif actionné par un ressort, qui produit  son ouverture.

   La continuation du fonctionne  ment des cames 540 et 541 permet au ressort  525 de ramener le verrou 521, et les pièces  associées, dans le sens     senestrorsum        (fig.    29),  jusqu'à la position normale, dans laquelle le  verrou se trouve en position de franchir libre  ment, et de se mettre en prise avec la plaque  d'accrochage 520, lorsque le tiroir-caisse 106  est fermé à la main, et de le retenir dans sa  position fermée à l'encontre de l'action du  dispositif d'ouverture sollicité par un ressort.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches de commande 111, 112 ou 113     (fig.    1  et 12) fait que le secteur 547     (fig.    27) est mis  dans une position telle que la partie     circonfé-          rentielle    de plus petit rayon du chemin de  came 546 coopère avec l'ergot 545, pour bas  culer le levier 543 dans le sens     senestrorsum     à     partir    de la position représentée en     fig.    27.  Ce mouvement, par l'intermédiaire de la biel  lette 542, soulève la bielle 534 dans le sens       dextrorsum,    déplaçant la branche horizontale,  en forme de   L  , de la fente 535, et l'ame  nant en face de l'ergot 536.

   Le mouvement  du levier 537, lorsque la bielle est dans cette  position, amène l'ergot 536 à fonctionner libre  ment en avant et en arrière de la branche hori  zontale de la fente 535, sans déplacer la bielle  534, et, en conséquence, le tiroir-caisse 106  demeure fermé pendant l'opération de la caisse.  



  Le mouvement     senestrorsum    du levier 543       (fig.    27), lorsque le secteur 547 est     mis    en  position sous     l'influence    des touches<B>111,</B> 112  ou 113, fait que la biellette 552, articulée au  levier 543 et à un bras 548 pivotant en 549  sur le bâti latéral de gauche de la caisse 101,  bascule le bras 548 dans le sens     dextrorsum.     Ce mouvement du bras 548 amène un ergot    550 sur le trajet d'un nez 551, orienté vers  l'arrière, du bras 501, pour empêcher le mou  vement     dextrorsum    de ce dernier, et ainsi em  pêcher le levier de commande de total 117  d'être déplacé lorsque l'une quelconque des  touches de commande 111, 112,

   ou 113 est  utilisée pour déclencher le fonctionnement de  la caisse. Lorsque l'une ou l'autre des touches  de commande 114 ou 115 est utilisée pour  déclencher un tel fonctionnement, le bras 548       (fig.    27) est mis dans la position représentée  en     fig.    27, position dans laquelle l'ergot 550  se trouve au-dessous du nez 551, et hors de  son trajet et, par conséquent, ne gêne pas la  mise en position du levier de commande de  total 117.    <I>Mécanisme de report</I>    Les deux séries de roues de totalisateurs  sont pourvues d'un mécanisme de report com  mun, qui coopère avec celle des séries de roues  de totalisateur qui a été sélectionnée, en vue  de reporter les retenues d'un ordre inférieur à  un ordre supérieur.

   Le mécanisme de report  est sensiblement le même dans chaque ordre  d'unité, et il suffit de le décrire pour l'ordre  d'unité représenté à la     fig.    4, considéré comme  représentatif de tous les autres ordres.  



  Chacune des deux séries de roues de tota  lisateur 296 ou 297, pour l'ordre d'unités  représenté, comprend une longue dent qui  coopère avec une barrette de déclenchement  553     (fig.    33) d'un étrier de déclenchement 554  monté fou sur une tringle 555 supportée dans  le     bâti    de totalisateur 300. Un doigt 556  orienté vers l'arrière de l'étrier 554 coopère  avec une oreille 557 incurvée, formée par     re-          courbement    d'un bras de déclenchement de  report 558, supporté rotatif sur l'arbre 303,  lequel pivote dans le bâti de totalisateur 300.

    Un ressort 560 actionne le bras de déclenche  ment 558 dans le sens     senestrorsum,    et le bras  de déclenchement 558, à son tour, actionne  l'étrier 554 dans le sens     dextrorsum,    de ma  nière à maintenir normalement le doigt 556 en  contact élastique avec une tringle 561, suppor  tée dans le bâti de totalisateur 300. La tringle  561 sert à donner un repérage exact à l'étrier,      par rapport aux longues dents des roues de  totalisateurs correspondantes 296 et 297.

   Un  épaulement du bras de déclenchement 558  coopère avec un épaulement 562     similaire          (fig.    33) d'une coulisse de report 563, pouvant  se déplacer dans le bâti de     totalisateur    300 au  moyen d'une tringle 564, supportée elle-même  dans ledit bâti 300, et grâce à un doigt 565,  orienté vers l'extérieur sur la coulisse de report.  L'arête supérieure de cette coulisse coopère  avec une tringle 566 de     réarmage    de report,  supportée afin de pouvoir s'y déplacer     angu-          lairement    dans le bâti de totalisateur 300,  grâce à des fentes alignées pratiquées dans les  plaques terminales 301 et 302     (fig.    36) du  bâti.

   La coulisse de report 563     (fig.    33) porte  un ergot 567 qui supporte un cliquet de report  568, comprenant une dent 569 coopérant avec  les dents de la roue 296 ou 297 de l'ordre  immédiatement supérieur et adjacent du tota  lisateur sélectionné. Un ressort 570 attire le  cliquet de report 568 dans le sens     dextrorsum,     afin de maintenir normalement un ergot 571  en contact élastique avec le doigt 565.

   Les  extrémités opposées de la tringle de     réarmage     566     (fig.    32 et 36) s'engagent dans les extré  mités supérieures fourchues de bras jumelés  572 et 573, fixés à écartement convenable l'un  par rapport à l'autre sur un arbre 574 qui     tou-          rillonne    dans les bâtis de support de totalisateur  304 et 305. Sur l'arbre 574 est également fixé  un bras 575 qui porte un galet 576 s'engageant  dans une fente-came 577 d'une came 578 fixée  sur un arbre 579 qui tourillonne dans les bâtis  de support de totalisateur 304 et 305. Sur  l'arbre 579 est fixée une manivelle 580 reliée  par une biellette 581 à un prolongement des  cendant d'un levier 582, monté fou sur l'arbre  <B>151,</B> et portant des galets 583 et 584.

   Ceux-ci  coopèrent, respectivement, avec les pourtours  de cames jumelées 585 et 586 fixées sur  l'arbre à cames principal 138.  



  Le fonctionnement des cames 585 et 586  a pour effet de déplacer la tringle de     réarmage     566 vers l'arrière et l'avant, au moment indi  qué dans la case 10 de la     fig.    51. A la fin de  l'opération, et pendant la plus grande partie de  celle-ci, la tringle de     réarmage    566 est retenue    dans la position représentée aux     fig.    32 et 33,  position dans laquelle elle sert à     limiter    le mou  vement des cliquets de report déclenchés 568,  tant que les roues de totalisateur de la série  sélectionnée n'ont pas été dégagées des pièces  primaires     différentielles    et ne sont pas libres  pour un mouvement de report.  



  Dans les opérations d'addition, le fonction  nement de la came d'addition 448     (fig.    31 et  case 1,     fig.    51) oblige le bâti de totalisateur 300       (fig.    32 et 33) à se déplacer vers l'intérieur,  après que les pièces     différentielles    primaires  247 ont été mises en position sous l'influence  des touches de montants enfoncées,     afin    de  mettre en prise la série sélectionnée de roues  296 ou 297 de     totalisateurs    avec les pièces  différentielles primaires.

   Ce mouvement d'em  brayage du bâti de totalisateur 300 déplace  la coulisse de report 563 vers l'intérieur d'un  même mouvement jusqu'à la position représen  tée en trait     mixte    à la     fig.    33, position     dans     laquelle le bas de l'ouverture pratiquée dans  le doigt 565 présente un léger jeu par rapport  à la tringle de     réarmage    566.

   Comme expliqué  précédemment, le mouvement de retour, dans  le sens     dextrorsum,    de la pièce différentielle  primaire 247, fait tourner la roue 296 ou 297  du totalisateur sélectionné dans le sens de  l'addition, c'est-à-dire dans le sens     dextrorsum     et, si ladite roue passe par le zéro, pendant  qu'elle tourne dans ce sens, sa longue dent  vient en contact avec la barrette de déclen  chement 553, et fait basculer l'étrier 554 dans  le sens     senestrorsum,    mouvement qui, par l'in  termédiaire du doigt 556, en coopération avec  l'oreille 557, fait basculer le bras 558 de dé  clenchement de report dans le sens     dextrorsum     contre l'action du ressort 560,

   pour dégager  l'épaulement du bras 558 de déclenchement de  report de l'épaulement 562 de la coulisse de  report 563. Celle-ci et le cliquet de report 568  sont ainsi livrés à l'action du ressort 570, lequel       entraîne    immédiatement lesdites pièces vers  l'extérieur, c'est-à-dire vers la gauche     (fig.    33),  jusqu'à ce que la coulisse de report 563 entre  en contact avec la tringle de     réarmage    566.

   Ce  léger mouvement n'est pas suffisant pour impri  mer au cliquet 568 un mouvement de report,      mais il     suffit    pour faire déplacer l'épaulement  562 de la     coulisse    de report 563 et l'entraîner  au-delà et en dehors du trajet de l'épaulement       correspondant    du bras 558 de déclenchement  de report, de sorte que ce dernier n'empêche  pas le mouvement complet de report, que la  coulisse 563     effectuera    ultérieurement, en se  dirigeant vers l'extérieur.

      Une fois que la roue 296 ou 297 de tota  lisateur a été actionnée par la pièce différen  tielle primaire 247, le bâti de     totalisateur    300  est basculé vers l'extérieur, pour dégager ladite  roue par rapport à la pièce différentielle pri  maire et, pendant ce mouvement de dégage  ment, la tringle 566 de     réarmage    de report  reçoit son premier mouvement qui la déplace  vers l'avant, c'est-à-dire vers la gauche du  point de vue des     fig.    32 et 33, afin de per  mettre au ressort 570 de communiquer un  mouvement complémentaire, vers la gauche, au  cliquet 568 et à la coulisse 563, de manière  à obliger la dent 569 du cliquet de report à  entrer en contact avec les dents des roues 296  ou 297 de l'ordre supérieur adjacent,

   et à faire  avancer celles-ci d'un cran dans le sens de l'ad  dition. Ainsi est reportée la retenue de l'ordre  inférieur     dans    la roue de l'ordre immédiate  ment supérieur.    Une fois le report exécuté, la tringle 566  de     réarmage    reçoit son second mouvement  (voir cases 1 et 10,     fig.    51), mouvement qui  la déplace complètement vers la droite en       fig.    33, et, pendant ce mouvement, elle entraîne  la coulisse de report 563 et le cliquet 568 de  report d'un même mouvement, en tendant le  ressort 570.

   Pendant ce mouvement de retour  de la coulisse 563 de report, son épaule  ment 562 franchit l'épaulement du bras 558 de  déclenchement de report, et le ressort 560  ramène alors cet épaulement sur le trajet de  l'épaulement 562, afin de retenir la coulisse  563 de report et le cliquet 568 de report en  position d'origine représentée en     fig.    33. Juste  avant la fin du fonctionnement, la tringle 566  de     réarmage    est ramenée vers l'avant jusqu'à  sa position neutre représentée, position dans  laquelle elle demeure à la fin de l'opération et    pendant la première partie de l'opération ulté  rieure, comme     expliqué.     



  Dans les opérations de total, de sous-total,  les roues 296 ou 297 du totalisateur sélec  tionné sont en prise avec les pièces différen  tielles primaires correspondantes 247 avant le  mouvement     initial    de ces dernières, qui fait  tourner ces roues dans le sens     senestrorsum          (fig.    33), jusqu'à ce que les longues dents des  roues viennent en contact avec le rebord infé  rieur de la barrette de déclenchement 553 de  l'étrier 554 afin de fixer les roues en position  de zéro et de donner aux pièces différentielles  primaires 247 une position correspondante.

    Pendant le temps que les roues du totalisateur  sélectionné ont tourné en sens     senestrorsum,    il  est nécessaire que les dents 569 des cliquets  568 de report soient maintenues hors du trajet  des dents de roues, de façon que ces dernières  roues soient libres d'être ramenées à zéro. Ceci  est réalisé par une saillie descendante 588     (fig.     33 et 35) de chacun des cliquets 568 de report,  qui coopère avec une fente correspondante 589  d'une barrette 590, portée par des bras de  droite et de gauche 591 et 592 qui, à leur tour,  peuvent tourner sur des tourillons 593 disposés  en alignement axial dans les bâtis de support  de totalisateur 304 et 305     (fig.    36).

   Au bras  591 est articulée l'extrémité arrière d'une     biel-          lette    594, dont l'extrémité antérieure comporte  une fente qui s'engage avec un ergot 595     (fig.     35) fixé à un prolongement descendant du  levier 453. Un ressort 596 réalise une liaison  élastique entre le levier 453 et la biellette 594  et, en coopération avec la fente de cette     biel-          lette,    permet la limitation du mouvement des  bras 591 et 592 et de la barre 590, au moyen  de doigts orientés vers le bas 597 des bras 591  et 592. Ces doigts viennent en contact avec  l'arbre 437 sans empêcher le mouvement com  plet, dans le sens     dextrorsum,    du levier 453.  



  Le mouvement initial du levier 453 provo  qué par la came 455 de remise à zéro     (fig.    30  et 35, case 2,     fig.    51), grâce à la biellette 594,  bascule les bras 591 et 592 et la barre 590  dans le sens     dextrorsum,    et d'un même mouve  ment, de manière à amener la fente 589 sur le  trajet des saillies 588 des cliquets 568 de report           (fig.    33). Ce mouvement de la barre 590 se  produit exactement au commencement du  fonctionnement de la caisse, avant le mouve  ment d'embrayage du bâti de     totalisateur    300.

    Par ce mouvement, les saillies 588 viennent en  contact avec le rebord antérieur de la fente  589, et font basculer les cliquets 568 de     report     dans le sens     senestrorsum,    pour amener leurs  dents 569 hors du trajet des dents des roues  296 ou 297 de     totalisateur    correspondantes.  De ce fait, les     cliquets    568 de report ne vien  nent pas empêcher le mouvement de retour à  zéro des roues 296 ou 297 de totalisateur.  



  Le mouvement de retour, dans le sens       senestrorsum,    du levier 453     (fig.    33 et 35), fait  basculer la barre 590 dans le sens     senestror-          sum,    de manière à éloigner les fentes 589 de  toute relation de coopération avec les saillies  588, en même temps que le bâti 300 est en  train d'être déplacé vers l'arrière pour dégager  la série sélectionnée de roues de totalisateur  par rapport aux pièces différentielles primaires.  



  Une barre 598 d'alignement, supportée en  tre les plaques<B>301</B> et 302     (fig.    33, 34 et 36)  du bâti 300, présente, le long de son rebord  supérieur, une forme propre à coopérer avec  les dents des roues 296 et 297 des deux tota  lisateurs, afin de les retenir en     alignement    lors  qu'elles se déplacent latéralement afin de les  mettre à l'alignement des pièces différentielles  primaires ou de les en enlever. La barre 598  d'alignement présente des fentes 599 disposées  à l'opposé de chacune des pièces différentielles  primaires 247, afin d'assurer le jeu convenable  à la série de roues de totalisateur sélectionnées,  de façon que celles-ci soient libres de recevoir  des pièces primaires leur mouvement de rota  tion.  



  Un cliquet 600 de retenue     (fig.    34) est  prévu pour chaque ordre     d'unité.    et coopère  avec les dents de la série sélectionnée de roues  de totalisateur, afin de les retenir et de les  empêcher d'être déplacées lorsqu'elles sont- à  l'alignement des fentes 599 dans la barre 598  d'alignement, et préalablement à leur mise en  prise avec les dents des pièces différentielles  primaires 247.

   Les cliquets 600 de retenue sont  montés fous sur une tringle 555, et chaque cli-         quet    600 de retenue est pourvu d'un ressort  601 qui     l'attire    dans le     sens        dextrorsum        afin     de maintenir un de ses doigts 602, orienté vers       l'arrière,    en contact     élastique    avec une tringle  603 qui passe à travers des trous du bâti 300.  Cette tringle est aussi supportée par des bras de  droite et de gauche 604 et 605, à leur tour  montés rotatifs sur une tringle 606     supportée     dans le bâti 300.  



  Lorsque ce bâti 300 est en position dégagée       (fig.    34), les ressorts 601     maintiennent        élasti-          quement    les     cliquets    600 de retenue en contact  avec les dents de la série correspondante de  roues 296 ou 297 de totalisateur, qui sont ali  gnées avec les pièces     différentielles    primaires  247.

   Pendant le mouvement d'embrayage vers  l'avant du bâti 300, les     cliquets    600 demeurent  en prise avec les dents de la série     sélectionnée     de roues, tant qu'ils n'ont pas engrené avec  les pièces différentielles primaires 247, après  quoi des doigts 607, orientés vers le haut des  bras 604 et 605, viennent en contact avec une  tringle 608 fixe, portée dans les bâtis 304 et  305, et la continuation du mouvement d'em  brayage amène les bras et la tringle 603 à être  basculés dans le sens     dextrorsum.    Ce mouve  ment de .

   la tringle 603, en coopération avec  les doigts 602, fait basculer les cliquets 600  dans le sens     senestrorsum,    de manière à les  dégager des dents des roues correspondantes du       totalisateur    sélectionné, afin de libérer les roues  et leur permettre d'être actionnées par les  pièces différentielles primaires.

   Le mouvement  de     débrayàge    vers la droite, du bâti 300     (fig.    33  et 34), écarte les doigts 607 de la tringle 608,  et permet aux     ressorts    601 d'amener à nouveau  les     cliquets    600 en prise avec les dents des  roues de     totalisateur    correspondantes, au mo  ment où ces roues sont dégagées des     pièces    dif  férentielles primaires, pour empêcher leur dé  placement après leur dégagement.

      <I>Mécanisme</I>     d'avancement   <I>et d'impression</I>  <I>de la bande de contrôle</I>    En plus de la bande de contrôle 123     (fig.    1  et 19), et du ticket-accolade 125     (fig.    1 et 20),  qui est délivré     pendant    les opérations de total  au comptant, la caisse est pourvue d'un dispo-           sitif    pour délivrer un ticket     d'article    unique  609     (fig.    21) pour les opérations à article  unique.  



  Le bâti     d'imprimerie    (fi-. 1, 2 et 6) com  prend un cadre arrière 611 de bande de  contrôle, cadre     fixé    au bâti latéral de     droite     100     par    divers ergots et vis ; un cadre avant  612 assujetti au bâti arrière 611 par divers  ergots, tringles et vis ; un bâti avant 613 de  roues à caractère qui est fixé au cadre auxi  liaire 102 ;

   un bâti     auxiliaire    614 de roues à  caractère,     fixé    au bâti avant 613 de roues à  caractère, et un bâti avant 615 de ticket qui  est     fixé    à la partie supérieure du     cadre        auxi-          liaire    102 par divers     tringles,    ergots et vis.  



  Les secteurs dentés 263     (fig.    4) sont reliés  mécaniquement au moyen des pignons 266 et  des arbres carrés correspondants 267,à des  secteurs dentés 616 correspondants     (fig.    2),  munis de dents internes, qui coopèrent avec les  pourtours de disques correspondants 621, calés  sur l'arbre 265, afin de monter lesdits secteurs  dentés 616 d'une manière pivotante. Les sec  teurs dentés 616 comprennent des dents qui  coopèrent avec des dents de roues à caractère  617 de     chiffres,        destinées    à imprimer des nom  bres sur la bande 123 de contrôle.

   Les dents  de ces secteurs dentés 616 sont également dis  posées de manière à engrener avec des dents  de roues 619 à caractères destinées à imprimer  les nombres en question sur les tickets émis  125 et 609 (fi-. 20 et 21). Les roues à carac  tères 617 de montants peuvent tourner sur un  arbre 618, pivotant     dans    les bâtis 102 et 613,  et les roues 619 à caractères sont montées sur  un pivot 620 fixé au bâti auxiliaire 614, l'extré  mité extérieure     dudit    pivot étant supportée par  le bâti 613. Sur l'arbre 618 sont également  montées folles une série de roues à caractères  624     (fig.    39) pour imprimer le numéro d'ordre  sur la bande de contrôle.

   La manière dont les  roues 624 du numéro d'ordre avancent cran  par cran pendant certaines opérations de la  caisse sera expliquée plus loin.  



  La caisse est également pourvue de roues  à caractères 625 (fi-. 2) destinées à     imprimer     la date sur le ticket sortant 125. Ces roues 625  sont montées pivotantes en 626 sur les bâtis    613 et 614. Les roues 625 des caractères de  mois, de dizaines de jours et d'unités de jours  sont réglables, respectivement, au moyen de  boutons de réglage 627, 628 et 629 portant  des tenons, qui sont supportés de manière pivo  tante dans le disque 621. Ces tenons sont  reliés à des petits pignons 266     (fig.    4) qui en  grènent avec les dents internes des engrenages  630, montés pivotants sur les disques corres  pondants 621.

   Les engrenages 630, par l'inter  médiaire de pignons et d'arbres carrés corres  pondants,     entraînent    des pignons 631, dont les  dents extérieures engrènent avec les roues à  caractères 625 de la date, de telle sorte que  celle-ci peut être composée à la main     grâce    aux  boutons 627, 628 et 629. Sur le pivot 626       (fig.    2 et 39), en même temps que les roues  à caractères 625 de date, est également montée  une série de roues à caractères 623 pour le  numéro d'ordre, roues actionnées par le méca  nisme même qui actionne les roues à carac  tères 624, afin d'imprimer un numéro d'ordre  sur le ticket sortant 125.  



  En plus des roues de montants et des roues  de numéro d'ordre, l'arbre 618     (fig.    2) de la  bande de contrôle 123 porte une roue à carac  tères (non représentée) qui est mise en position  sous l'influence du levier de commande 117       (fig.    24), afin d'imprimer sur la bande un sym  bole indicatif du type d'opération en cours  d'exécution. L'arbre 618 porte encore une roue  à caractères (non représentée) mise en position  sous l'influence des touches de commande 111  à 115     (fig.    12); et destinée à imprimer sur la  bande un symbole correspondant aux touches  de commande.

   De même, le pivot 620     (fig.    2)  pour les roues à caractères du ticket, porte une  roue à caractères qui est mise en position sous  l'influence des touches de commande 111 à  115, pour imprimer des symboles sur le ticket  sortant 125, caractères correspondant aux tou  ches de commande.  



  Les dents extérieures des pignons 630       (fig.    2), destinées à mettre en position les roues  de la date, sont en contact élastique avec la  dent d'un cliquet de retenue 632, sollicité par  un ressort, et monté fou sur un pivot 633 porté  entre les bâtis 102 et 613. Le cliquet 632 re-      tient les     pignons    630 et les roues 625 de la  date correspondantes dans la position qui leur  a été donnée.

   En plus de la barre d'alignement  395, représentée à la     fig.    4, barre qui coopère  avec les dents des secteurs dentés 263 pour  aligner ceux-ci et leurs mécanismes indicateur  et différentiel, les roues à caractères du numéro  d'ordre et de la date sont en outre alignées en  position d'impression au moyen d'un     aligneur     636     (fig.    39) qui s'engage dans les dents des  pignons correspondants<B>616</B> et 631     (fig.    2)  pour lesdites roues à caractères.     L'aligneur    636  est en forme d'étrier dont les bras sont montés  fous sur un pivot 633.

   Sur le bras gauche de  l'étrier est fixée une manivelle 637 portant  un ergot 638 qui s'engage dans une fente de  l'extrémité avant d'une biellette 639, dont la  partie arrière comporte une fente semblable  dans laquelle s'engage un ergot 640 fixé sur  un secteur 641 d'entraînement de ruban en  creur, fixé sur l'extrémité de droite de l'arbre  397. Le mécanisme représenté à la     fig.    4, et  comprenant les cames 406 et 407, fait osciller  l'arbre 397 d'abord dans le sens     senestrorsum,     puis le ramène en arrière à sa position normale  vers la fin du fonctionnement de la caisse, au  moment indiqué dans la case 8 du diagramme  des temps de la     fig.    51.

   Le mouvement     senes-          trorsum    de l'arbre 397     (fig.    39 et 40) et du  secteur d'entraînement 641, par l'intermédiaire  de la biellette 639 et d'un ressort 642, tendu  entre l'ergot 640 et un ergot fixé à la biellette  639, fait basculer     l'aligneur    636 lui aussi dans  le sens     senestrorsum,    jusqu'à ce qu'il vienne en  prise avec les dents des pignons 616 et 631       (fig.    2), pour aligner ceux-ci et les roues à  caractères correspondantes dans les positions  qui leur ont été données pendant le fonctionne  ment du mécanisme imprimeur.

   Le mouvement  de retour, dans le sens     dextrorsum,    du secteur  d'entraînement 641, fait basculer     l'aligneur    636  dans le même sens, afin de le dégager des dents  des pignons 616 et 631. Les fentes ménagées  dans la biellette 639, et le ressort 642, consti  tuent une liaison élastique entre le secteur d'en  traînement 641 et     l'aligneur    636, afin de  compenser l'excédent de mouvement du secteur  d'entraînement 641, qui actionne aussi le méca-         nisme    d'entraînement de ruban,     comme    expli  qué plus loin.  



  La réserve de matériau pour la bande de  contrôle 123     (fig.    1 et 2) est constituée par un  rouleau d'alimentation 643 monté sur un noyau  en bois, et au centre duquel est percée une  ouverture qui s'adapte sur des dents diamétra  lement opposées d'un manchon de rouleau  d'alimentation 644 monté fou sur un pivot 645  fixé au bâti arrière 611.

   En partant du rouleau       d'alimentation    643, la bande 123 est guidée  entre un marteau d'impression 646 et les roues  à caractères 617 et 624 (voir aussi     fig.    39), par  un manchon 647 monté fou sur un pivot 648  de support de marteau, et par des ergots 649       fixés    au bâti arrière 611, et de là elle passe  sur le noyau d'un rouleau récepteur 651,     qui     peut     tourner    sur un pivot 652     fixé    au bâti  latéral 100 de droite.  



  Un disque 654     (fig.    2 et 38) est     solidaire     du rouleau récepteur 651, et sert d'appui à la  surface intérieure du rouleau récepteur et à un  rochet d'avance 655 comprenant sur son pour  tour, des dents relativement fines qui sont en  prise avec trois cliquets 656 de retenue     attirés     par ressorts, montés     pivotants    sur le bâti latéral  de droite 100, et avec trois cliquets d'alimenta  tion 657, actionnés par ressorts, montés sur  une plaque     basculable    658, folle, sur le pivot  652.

   La plaque 658 porte un ergot 659 en  prise dans une fente d'une manivelle 660,     fixée     à l'une des faces d'un moyeu monté fou sur  l'arbre à cames principal 138, tandis que sur  l'autre face du moyeu est     fixée    une manivelle  661     articulée    par une biellette 662 à un levier  663 pivotant en 664 sur le bâti latéral de droite  100. Le levier 663 porte un galet 665 qui  coopère avec le pourtour d'une came 666, dis  posée en relation fixe par rapport à une came  de commande de marteau 667     (fig.    37 et 43) et  une plaque d'embrayage 668, lesdites pièces  étant montées folles sur un pivot 669     fixé    au  bâti latéral 100 de droite.

   Sur la plaque 668  d'embrayage peut pivoter un chien 670     d7em-          brayage        (fig.    42), attiré dans le sens     senestror-          sum    par un ressort 675, afin de     maintenir    nor  malement sa dent sur le trajet d'un épaulement  d'une pièce d'entraînement 671, solidaire d'une           came    de     contrôle    de marteau 672 et d'un  engrenage 673, lesdites pièces étant montées  folles sur le pivot 669.

   L'engrenage 673 en  grène avec un engrenage semblable 674,     fixé     à l'extrémité de droite de l'arbre à cames prin  cipal 138     (voir    aussi     fig.    2).  



       Dans    les conditions normales, lorsque le       mécanisme    de bande de contrôle est en ordre  de marche, la rotation, dans le sens     dextror-          sum,    de l'arbre à cames principal 138 et de  l'engrenage 674     (fig.    42 et 43)     entraîne    l'engre  nage 573, la pièce 671, et, par     l'intermédiaire     du chien 670 d'embrayage, la plaque 668 d'em  brayage et les cames 667 et 666, d'un même  mouvement dans le sens     senestrorsum,    et sur  une même distance, étant donné que les engre  nages 673 et 674 ont le même pas et les mêmes  dimensions.

   Le mouvement     senestrorsum    de la  came 666     (fig.    38) fait, par l'intermédiaire du  galet 665, basculer le levier 663 contre l'action  d'un ressort 676, tendu entre la plaque 658 et  un ergot" fixe, grâce à quoi ledit levier, par  l'intermédiaire de la biellette 662, de la mani  velle<B>661,</B> et de la manivelle 660, fait basculer  la plaque 658 dans le sens de l'avance, ce qui  amène les cliquets 657 d'avance, en coopéra  tion avec le rochet 655 d'avance, à faire tour  ner le rouleau récepteur 651 de la bande, donc  à faire avancer la bande 123     (fig.    2) d'un cran  par rapport aux roues à caractères et au mar  teau 646, et ceci au moment indiqué dans la  case 18 de la     fig.    51.

   La rotation de la came  666 se poursuivant, le ressort 676 ramène la  plaque 658 dans le sens     dextrorsum,    qui est  le sens de rattrapage, jusqu'à ce que l'ergot  659 vienne en contact avec une arête de  contrôle d'une     came    677 de compensation, qui       contrôle    le mouvement de rattrapage de la  plaque 658. La came 677 de compensation est       reliée,    en relation     fixe,    à un bras palpeur 678  par un moyeu monté fou sur un pivot 679     fixé     au bâti     latéral    100 de droite.

   Un     ressort    680       (fig.    2 et 38) actionne la came 677 de     com-          pensation    et le bras palpeur 678 dans le sens       dextrorsum,        afin    de     maintenir    normalement  une     partie        palpeuse    et incurvée de ce dernier  en     contact    élastique avec la périphérie du rou  leau     récepteur    651, pour explorer le diamètre    du rouleau de la bande qui s'y trouve enroulée.

    A mesure que le diamètre du rouleau     récepteur     augmente, le bras palpeur 678 et la came 677  de compensation avancent     régulièrement    dans  le sens     senestrorsum,    en     tendant    le     ressort    680,  et l'arête de la came de compensation 677, en  coopération avec l'ergot 659, réduit alors pro  gressivement le mouvement de rattrapage de  la plaque 658, afin de maintenir un espacement       uniforme    entre les inscriptions exécutées sur la  bande de contrôle 123.  



  <I>Marteau imprimeur pour la bande de contrôle</I>  Le marteau imprimeur 646 pour la bande  de contrôle 123     (fig.    2 et 37) a la forme d'un  étrier, dont les bras latéraux parallèles sont  montés à rotation sur un pivot 648. Les bras  de l'étrier de marteau 646 supportent un ergot  683, qui porte lui-même un cône réglable 684,  dont le pourtour coopère avec une came 685  fixée en relation invariable par rapport à un  bras de     manoeuvre    686, grâce à un manchon  monté fou sur un pivot 687 fixé au bâti arrière  611. Une biellette 681 est articulée entre le  bras 686 et un levier-came 688 monté fou sur  le pivot 664, et portant un galet 689 qui  coopère avec le pourtour de la came 667 de  marteau.

   Un ressort 690 attire le marteau 646  dans le sens     senestrorsum,    afin de maintenir  normalement le cône 684 en contact élastique  avec la came 685. Un     ressort    691 attire le bras  de     manoeuvre    686 dans le sens     dextrorsum,          afin    de maintenir normalement un crochet de  son extrémité     intérieure    en contact élastique  avec l'ergot 683, et afin de maintenir norma  lement le galet 689 en contact élastique avec  le pourtour de la came 667 de marteau.

   Le  bras 686, en coopération avec l'ergot 683,  constitue un dispositif de verrou qui empêche  le mouvement accidentel du marteau 646 dans  le sens de l'impression, lorsque la caisse est  au repos, ce qui empêche le     salissement    acci  dentel du matériau à inscription.  



  Le levier-came 688 porte un ergot 692 qui  coopère avec une came de rappel 693,     soli-          daire    d'un manchon 694, monté fou en 695  sur le bâti latéral 100 de droite     (fig.    2). Sur le  manchon 694     (fig.    42) est     également    monté,      d'une manière solidaire, un pignon 696 qui  engrène avec l'engrenage 673, et qui est en  traîné par lui, de manière à exécuter deux  tours dans le sens     dextrorsum    à chaque fonc  tionnement de la caisse.

   A chaque fonctionne  ment, la came de rappel 693 exécute environ  un tour et demi, avant que ne se produise le  mouvement d'impression dans le sens     senes-          trorsum    du levier-came 688, et, en consé  quence, ne s'oppose pas à ce mouvement, étant  donné que la saillie de la came de rappel 693  ne se     trouve    pas sur le trajet de l'ergot 692  au moment où le mouvement d'impression est  communiqué au levier-came 688.

   Vers la fin  du fonctionnement, la saillie de la came de  rappel 693 coopère avec l'ergot 692 pour obte  nir que le     levier-came    688, et les pièces  connexes, y compris le bras 686, soient rame  nés entièrement dans la position qu'ils attei  gnent par mouvement dans le sens     dextrorsum,     position normale dans laquelle ils sont mainte  nus lorsque la caisse est au repos.  



  Le fonctionnement de la came de marteau  667     (fig.    37) intervenant au moment indiqué  dans la case 19 du diagramme des temps de  la     fig.    51, fait basculer le levier-came 688 et,  par l'intermédiaire de la biellette 681, le bras  de     manoeuvre    686, et la came 685, d'abord  dans le sens     senestrorsum,    obligeant ladite  came, en coopération avec le cône 684,à bas  culer le marteau 646 dans le sens     dextrorsum     contre l'action du ressort 690. Ce mouvement  du marteau 646 oblige sa platine à venir  d'abord en contact avec la bande de contrôle  123, puis à entraîner celle-ci, et le ruban en  creur 697, au contact des roues à caractères  617, afin d'imprimer des données sur ladite  bande 123.

   La rotation de la came 667, en  se poursuivant, permet aux ressorts 690 et 691  de ramener le marteau 646, le bras 686, et'  les     pièces    connexes, à leur position normale  d'origine, telle qu'elle est représentée, position  dans laquelle l'extrémité en forme de crochet  du bras 686 vient se verrouiller au-dessus de  l'ergot 683 et, en coopération avec le ressort  691 et la came de rappel 693, retient le mar  teau 646, et l'empêche d'exécuter tout mouve  ment accidentel dans le sens de l'impression,    afin d'éviter que la bande de     détail    123 ne soit  salie accidentellement.  



  Le manchon 694     (fig.    2 et 42) comprend,  sur sa face extérieure, des encoches d'em  brayage 698, qui peuvent s'engager sur des  tétons correspondants d'une manivelle de ma  noeuvre (non représentée), destinée à actionner  la caisse à la main en cas de besoin.  



  Les fonctions du     marteau    imprimeur de  la bande, et des mécanismes d'avance de cette  dernière, sont commandées par un disque tron  qué de commande 700     (fig.    42), qui peut être  mis en position sous l'influence des touches de  commande 111 à 115. La périphérie tronquée  du disque 700 est explorée par un levier qui,  à son tour, commande l'efficacité du chien 670  d'embrayage, afin de rendre les     mécanismes     d'impression et d'avance de la bande inopé  rants ou opérants, selon le cas, et selon celle  des touches de     commande    qui a été enfoncée.  



  Le disque de commande 700 est monté  rotatif sur un pivot 701 du bâti latéral 100 de  droite, pivot en alignement axial avec l'arbre  248     (fig.    12). Le disque 700     (fig.    42) porte  une jambe 702 orientée vers le haut, présentant  une arête 703 disposée pour explorer, et pour  prendre contact avec l'ergot 164 de celle des  touches 111 à 115 qui aura été enfoncée. Le  disque de commande 700 comprend une fente  dans laquelle s'engage un ergot 704,     fixé    à  l'extrémité supérieure d'un levier 705 monté  fou sur un pivot 706 fixé au bâti latéral de  droite 100.

   Un ressort 707 attire le levier 705  dans le sens     dextrorsum,    afin de maintenir nor  malement un galet 699 qu'il porte, en contact  élastique avec le pourtour d'une came 708,  solidaire d'une came jumelle 709 et d'un en  grenage 710, lesdites pièces étant supportées  de manière rotative sur un pivot 711 fixé au  bâti latéral 100 de droite. L'engrenage 710  engrène avec l'engrenage 674, et est     entraîné     par lui de manière à exécuter un tour dans le  sens     senestrorsum        (fig.    42) à chaque fonction  nement de la caisse.  



  Le fonctionnement de la came 70.8 se pro  duisant au moment     indiqué    à la case 15 de la       fig.    51, permet au ressort 707 de faire basculer  le levier 705 dans le sens     dextrorsum,    ce qui      à son tour fait basculer le disque de commande  700, et la jambe 702, dans le sens     senestror-          sum,    amenant l'arête 703 de la jambe à explo  rer l'ergot 164 de celle des touches de com  mande 111 à 115 qui a été     enfoncée.    Le  contact de l'arête 703 avec     Fergot    164 de la  touche de commande enfoncée, donne au dis  que de commande 700 une position corres  pondante, après quoi la came 672,

   fonction  nant au moment indiqué à la case 17 de la       fig.    51, et en coopération avec un galet 712  porté par un levier 713 pivotant en 714 sur  le bâti latéral 100 de droite, permet au levier  713 de se déplacer dans le sens     senestrorsum     de     palpage,    sous l'influence d'un ressort 715,  de telle sorte qu'une patte recourbée 716 de  son extrémité intérieure palpe le pourtour du  disque de commande 700.  



  La touche 112 de   Sous-Total   et la  touche- 113   Articles Multiples   donnent au  disque de commande 700 des positions telles  qu'une partie creusée 718 de son pourtour se  trouve en face de la patte 716, et il en résulte  que le levier 713 est libre de se déplacer dans  le sens     senestrorsum    sous     l'influence    du res  sort 715, de manière à amener une     patte-          oreille    recourbée 717, disposée près de son  centre, sur le trajet d'un épaulement 719 du  chien 670 d'embrayage.

   La rotation     senestror-          sum    de la plaque d'embrayage 668     (fig.    43) et  des cames 666 et 667, comme expliqué précé  demment, oblige l'épaulement 719 à venir en  contact avec l'oreille 717, et à dégager la dent  du chien 670 d'embrayage de l'épaulement de  la pièce 671, afin de rendre inopérants les  mécanismes de commande du marteau et  d'avance de la bande lorsque la touche de  sous-total 112 ou la touche d'articles multiples  113 sont utilisées pour déclencher un fonction  nement de la caisse.  



  Toutes les autres touches de commande  donnent au disque de     commande    700 une posi  tion telle que la     partie    haute de son pourtour  se trouve en face de la     partie    716. En consé  quence, le mouvement     senestrorsum    du levier  713 se trouve empêché, et l'oreille 717 est  retenue hors du trajet de l'épaulement 719 du  chien 670 d'embrayage.     Il    en résulte que le    chien 670 d'embrayage conserve son efficacité  pour relier les cames 666 et 667 à leur pièce  de commande 671, ce qui provoque le fonc  tionnement des mécanismes d'impression et  d'avance de la bande, ainsi qu'il a été ex  pliqué plus haut,     imprimant    une trace sur la  bande 123.  



  Un bras de retenue 720     (fig.    43), monté  fou en 721 sur le bâti latéral 100 de droite,  porte un galet 722 qui coopère avec le pour  tour de la came de marteau 667, et le bras 720  est actionné dans le sens     senestrorsum    par un  ressort 723, afin de maintenir une surface  proéminente de ce bras en contact avec un  ergot d'arrêt 724     fixé    au bâti latéral 100 de  droite, lequel ergot d'arrêt maintient normale  ment le galet 722 écarté de la portion basse  de la came 667.A peu près vers le moment  où l'épaulement 719 du chien 670 d'embrayage  vient en contact avec l'oreille 717 du levier  713, la saillie de la came 667 vient en contact  avec le galet 722, et fait basculer le bras 720  dans le sens     dextrorsum,

      contre l'action du  ressort 723.  



  L'effort supplémentaire ainsi imposé au  chien 670 d'embrayage par le ressort 723, au  moment précis où le levier 713 a commencé  son mouvement de dégagement, facilite le       désaccouplement    du chien 670 d'embrayage et  de l'épaulement de la pièce 671. Le     bascule-          ment,    dans le sens     dextrorsum,    du bras 720,  retient les cames 666 et 667, et s'oppose à  toute tendance de leur part de glisser de la  position dégagée, pendant le reste du fonction  nement de la caisse.

   Le fonctionnement du bras  de retenue 720 a également pour effet d'assu  rer que l'épaulement 719 du chien 670 d'em  brayage ne passe pas au-delà de l'oreille 717,  de sorte que ladite oreille est libre de venir se  placer sur le trajet de l'épaulement au cours de  l'opération ultérieure de la caisse, si c'est néces  saire. Si, dans l'opération ultérieure de la caisse,  le levier 713     (fig.    42) est empêché d'exécuter  un mouvement dans le sens     senestrorsum,     l'épaulement de la pièce 671 est libre de venir  en contact avec la dent du chien 670 d'em  brayage, et de l'entraîner, ainsi que la plaque  d'embrayage 668 et les cames 666 et 667, d'un      même mouvement, afin de rendre inopérants  les mécanismes d'impression et d'avance de la  bande de contrôle 123.  



  <I>Mécanisme de ruban encreur</I>  Le ruban encreur sans fin 697     (fig.    50) est  supporté sur un bâti comprenant une plaque  principale 727, qui est fixée de manière démon  table à la caisse au moyen de manchons 728,  en coopération avec des ergots de guidage 729,  et au moyen de divers goujons de guidage 730  dont les extrémités s'engagent dans des trous  correspondants du bâti de la caisse afin d'ali  gner et de retenir le bâti en position correcte  sur la caisse, et aussi afin de fournir des guides  sur lesquels le ruban 697 passe entre les roues  à caractères du ticket, les roues de la bande, et  leurs mécanismes correspondants de     marteau.     La plaque 727 porte un écran 731, destiné à  séparer le ruban encreur 697 du papier de la  bande 123,

   et un écran 732 destiné à séparer le  ruban encreur du papier à tickets 125. L'écran  732 sert aussi de guide pour le matériau à  tickets 125     (fig.    2).  



  Le ruban encreur sans fin 697     (fig.    50) est  guidé autour de la périphérie d'un galet  d'avance et d'encrage 733, composé d'un maté  riau convenable, galet monté sur un pivot fixé  à la plaque 727. Un galet de pression 734 est  supporté entre les bras latéraux d'un étrier 735,  monté fou sur un pivot 736 fixé à la plaque  727, l'étrier étant actionné par un ressort, afin  de maintenir normalement le galet de pression  734 en contact élastique avec le rouleau  d'avance 733, pour assurer que le ruban 697  avance correctement. La bande du ruban  encreur 697 est tendue au moyen d'un galet  tendeur 737, porté entre les bras latéraux d'un  étrier 738 qui, à son tour, est supporté par le  pivot 736, entre les bras de l'étrier 735.  



  L'encre est fournie au     ruban    697 par l'inter  médiaire d'un galet 739 de report, supporté  entre les bras latéraux d'un étrier 740 qui, à  son tour, peut tourner sur le pivot 736, entre  les bras de l'étrier 738. Le galet 739 de report  est normalement maintenu en contact élastique  avec le pourtour du galet d'avance 733 par .un  ressort de torsion. Le pourtour du galet 739    de report est en contact élastique avec l'extré  mité supérieure d'une mèche 741, mèche qui  plonge dans un réservoir d'encre 742     fixé    à la  plaque 727. La mèche 741 est munie d'un res  sort relativement     faible,    et compressible, qui la  maintient en contact élastique avec le galet de  report 739.

   Le réservoir d'encre 742 est pourvu  d'une ouverture de remplissage, qui est acces  sible en dévissant un bouchon à vis 743.  



  Le galet d'avance 733     (fig.    2, 40 et 50)  comprend, sur ses extrémités, des encoches  diamétralement opposées, qui sont disposées de  manière à coopérer avec des tétons en saillie  sur un disque 744 monté fou sur un pivot 745  fixé au bâti latéral 100 de droite, lorsque la  plaque principale 727 est convenablement  montée sur la caisse. Un rochet d'avance 746  est solidaire du disque 744 ; les dents de ce  rochet coopèrent avec un cliquet d'avance 747  actionné par ressort et monté sur une plaque  748, qui peut pivoter sur le pivot 745 et com  portant, sur son rebord supérieur, des dents  d'engrènement en prise avec les dents     d7engre-          nage    correspondantes du secteur 641 d'entraî  nement     (fig.    40).

   Le secteur 641 oscille d'abord  dans le sens     senestrorsum,    puis il revient à sa  position normale, comme expliqué précédem  ment     (fig.    4 et case 8 de la     fig.    51), afin de  communiquer un mouvement     d'avance    à la pla  que 748 et au     cliquet    747. Un     cliquet    749 de  retenue, actionné par ressort, coopère avec les  dents du rochet d'avance 746, pour empêcher  tout mouvement rétrograde de celui-ci     pendant     le mouvement de rattrapage de la plaque 748  et du cliquet d'avance 747.  



  Il peut parfois être souhaitable d'interrom  pre le flot de l'encre, qui est transféré par le  galet de report 739     (fig.    50) au galet     d7alimen-          tation    733, et ceci peut être     réalisé    au moyen  d'un levier 750 qui peut pivoter sur le support  du galet     d'alimentation    733, et qui comprend  une pièce en forme de doigt recourbé, traver  sant une ouverture de la plaque 727,     afin    d'en  permettre une facile manipulation. Le levier  750 porte un galet 725 qui coopère avec une  arête-came du bras extérieur de l'étrier 740.

    Lorsque le levier 750 est déplacé, l'étrier 738  et le galet 739 de report se trouvent déplacés      dans le sens     dextrorsum    et sont écartés de tout  contact avec le galet d'alimentation 733, de  sorte que le     transfert    d'encre ne lui     parvientplus.     



  <I>Mécanisme d'avance de matériau à tickets</I>  \Le matériau à tickets 125     (fig.    2) se pré  sente sous la forme d'une bande enroulée sur  un gros rouleau d'alimentation 751, comportant  un mandrin en bois, qui vient s'adapter sur un  manchon 752 de rouleau d'alimentation, monté  fou sur un pivot porté par une plaque de sup  port 753 de rouleau d'alimentation, représentée  en pointillé, et convenablement fixée au bâti  latéral 100 de droite.  



  Le manchon 752 comprend des dents dia  métralement opposées sur son pourtour, et qui  pénètrent à force dans le mandrin en bois du  rouleau d'alimentation 751 lorsque ce rouleau  est monté, de sorte que les pièces tournent  ensemble, et que le rouleau d'alimentation est       élastiquement    maintenu sur le manchon.  



  La bande à tickets 125 se déroule du rou  leau d'alimentation 751, et est conduite à tra  vers une fente de guidage d'un support 754,  fixé à la plaque de support de ruban 727     (fig.     2 et 50), passe par-dessus l'écran de ruban 732,  entre des galets 755 d'avance et des galets 756  de pression, et l'extrémité de la bande 125  passe enfin à travers une ouverture 126     (fig.    1),  dont le bord est muni d'une lame d'arrachage,  destinée à séparer les tickets terminés 609 et  610     (fig.    20 et 21) de la bande.  



  Les deux galets d'avance de tickets 755       (fig.    2 et 46), sont espacés, l'un par rapport à  l'autre, d'une     distance    à peu près égale à la lar  geur de la bande, et les deux galets de pression  756 coopèrent avec les deux galets d'avance.  Tous ces galets sont en position fixe les uns par  rapport aux autres. Un engrenage 758 est soli  daire des galets d'avance 755, le tout étant  monté fou sur un pivot 757 qui s'étend entre le  bâti auxiliaire 102 et le bâti 615     (fig.    2).

   Les  dents de l'engrenage 758 sont en prise avec les  dents d'un engrenage     d'entraînement    759, dont  est solidaire un rochet 760 de retenue et un  rochet 761 d'avance à dents fines, lesdites piè  ces étant folles sur un pivot 762 qui s'étend  entre les bâtis 102 et<B>615.</B> Les dents du rochet    761 d'avance     (fig.    45) sont en prise avec les  dents de deux cliquets 763 d'avance, montés  rotatifs sur un disque 764, fou sur le pivot 762,  et avec les dents de deux cliquets 765 de rete  nue, montés sur des pivots     fixés    au bâti     auxi-          liaire    102. Les cliquets 763 et 765 sont main  tenus par des ressorts en contact élastique avec  les dents du rochet d'avance 761.  



  Le disque 764 comprend une encoche dans  laquelle s'engage un ergot 766     (fig.    44 et 45),  fixé à une manivelle 767 fixée à un engrenage  768 monté fou sur le pivot 762. L'engrenage  768 engrène avec des dents d'un secteur 769       (fig.    40 et 44), monté fou sur un pivot 770 fixé  à la face interne du bâti auxiliaire 102. Un pro  longement descendant du secteur 769 com  prend une fente destinée à recevoir un ergot  772 fixé à une manivelle 773 montée folle sur  un pivot 774 fixé au bâti auxiliaire 102.

   L'ex  trémité supérieure d'une bielle 775 est articulée  à la manivelle 773, tandis que l'extrémité infé  rieure de ladite bielle comprend une ouverture  776, dotée de plusieurs arêtes actives qui coo  pèrent avec un galet 777 monté fou sur un  pivot 778 porté par un levier-came 779, pivo  tant en 780 sur le bâti latéral 100 de droite.  Le levier-came 779 porte des galets 781 et 782  qui coopèrent, respectivement, avec les pour  tours de cames jumelées 783 et 784, lesquelles,  en même temps qu'une came 785     d'actionne-          ment    d'un marteau (fi-. 42) et qu'un engrenage  786, constituent une unité supportée de ma  nière pivotante en 787 sur le bâti latéral 100 de  droite.

   L'engrenage 786 est en prise avec l'en  grenage 710 et exécute un tour dans le sens       dextrorsum    à chaque fonctionnement de la  caisse.  



  La bielle 775     (fig.    40) est reliée par une  biellette 790 (voir aussi les     fig.    2 et 42) à un  ergot 726, fixé à un levier 791 de commande,  monté fou sur le pivot 706, et le levier 791 de  commande est attiré dans le sens     senestrorsum     par un ressort 793, afin qu'un galet 792 qu'il  porte soit normalement maintenu en contact  élastique avec le pourtour de la came 709 qui  fonctionne au moment indiqué dans la case 16  de la     fig.    51, pour basculer le levier 791 de  commande d'abord dans le sens     senestrorsum,         puis le ramener à sa position normale.

   Le levier  de commande 791 comprend, à son extrémité  supérieure, une oreille recourbée 794 qui coo  père avec le pourtour du disque de commande  700     (fig.    42), lequel disque est mis en position  sous     l'influence    des touches 111 à 115, comme  expliqué. L'oreille 794 coopère aussi avec le  pourtour d'un secteur 795 de commande     (fig.     40), monté fou sur le pivot 701, et comprenant,  sur son pourtour en forme d'arc de cercle, des  dents qui engrènent avec un pignon 796 fixé à  un engrenage jumeau 797, fou sur un arbre 798  de remise à zéro du numéro d'ordre, arbre  pivotant entre les bâtis 102 et 613     (fig.    2).

    L'engrenage 797 engrène avec les dents exté  rieures d'un engrenage 799, lequel comprend  aussi des dents intérieures qui portent sur le  pourtour d'un disque correspondant 800, sup  porté par l'arbre 265. Les dents intérieures de  l'engrenage 799 engrènent avec un pignon fou  266 qui, à son tour, engrène avec un pignon  correspondant 266 monté sur l'un correspon  dant des arbres carrés 267.  



  L'arbre carré 267 de l'engrenage 799     (fig.     24 et 40) est relié par deux pignons 266 au  secteur denté 263 pour le levier de commande  de total 117, les dents extérieures du secteur  denté 263 engrenant avec les dents d'un sec  teur 801, monté fou sur l'arbre 262, et com  prenant d'autres dents qui engrènent avec des  dents correspondantes d'un bord en arc de cer  cle du levier de commande de total 117. Ainsi,  lorsque ce levier 117 est déplacé, il agit sur le  secteur de commande 795 et, en fonction du  mouvement imparti, donne une position à une  fente de commande 802 du secteur 795 par  rapport à l'oreille 794.

   Lorsque le levier 117  de commande de total est dans la position    Enregistrement       (fig.    24) la fente 802     (fig.     40) est alignée avec l'oreille 794, de sorte que  la     manoeuvre    du levier 791 de commande, sous  l'influence de la came 709, n'est pas gênée, et  que ledit levier est libre de commander le fonc  tionnement et la mise en position de la bielle  775, ainsi qu'on va l'expliquer. Lorsque le  levier 117 de commande de total est écarté de  ladite position, la fente 802 se trouve écartée  aussi de son alignement avec l'oreille 794, et    une partie pleine en forme d'arc de     cercle    dudit  secteur se trouve amenée sur le trajet de  l'oreille 794, pour empêcher le mouvement du  levier 791 de commande, sous l'influence de la  came 709.

   En conséquence, la bielle 775 est  retenue dans sa position extrême dans -le sens       senestrorsum        (fig.    40), dans laquelle une partie  de l'ouverture 776 en forme de dégagement se  trouve à     l'alignement    du galet 777, de telle  sorte qu'aucun mouvement d'avance n'est com  muniqué au     mécanisme    d'avance de ticket.  



  Un dispositif commandé par un bouton    Marche-arrêt   803     (fig.    48) peut rendre le  mécanisme d'avance du ticket     opérant    ou non  opérant, selon les besoins. Ce bouton 803 est  fixé à l'extrémité extérieure de l'arbre 618, où  il est accessible pour manipulation à travers une  ouverture de la plaque de support de ruban  727     (fig.    50). Sur l'extrémité intérieure de l'ar  bre 618 est fixée une manivelle .804     (fig.    40 et  48), à laquelle est articulée l'extrémité supé  rieure d'une biellette 805, dont l'extrémité infé  rieure est articulée à un bras de blocage 806.

    Lorsque le bouton 803 est dans la position de  marche représentée, le bras 806 se trouve  écarté du trajet de l'oreille 794 du levier 791  de commande et, en conséquence, ne s'oppose  pas au mouvement fonctionnel de celui-ci.  Lorsque le bouton 803 est déplacé de la posi  tion de marche à la position d'arrêt, grâce à  l'intermédiaire de l'arbre 618, la manivelle 804  et la biellette 805 déplacent le bras de blocage  806 vers le bas, et l'amènent sur le trajet de  l'oreille 794, ce qui empêche le mouvement du  levier 791 de commande. Il en résulte que la  bielle 775 est maintenue en position inefficace,  position dans laquelle aucun mouvement  d'avance ne lui est     communiqué    par le     levier-          came    779.

   Un cliquet de retenue,     actionné    par  ressort (non représenté), coopère avec une  saillie de retenue (non représentée) prévue sur  la manivelle 804     (fig.    48) pour retenir ledit  arbre 618 et les pièces connexes     dans    l'une ou  l'autre de leurs deux positions.  



  Un dispositif peut bloquer le bouton 803 de    Marche-arrêt   dans l'une ou l'autre de ses  deux positions, lorsque le levier 117 de com  mande de total     (fig.    24) se trouve soit dans la      position   Enregistrement  , soit dans la posi  tion   Blocage  .  



  La bielle 805 (fi-. 40 et 48) porte un ergot  807 aménagé de manière à être saisi par l'une  ou l'autre de deux encoches de verrouillage  ménagées dans un bras 808 orienté vers le haut,  d'un étrier 809 monté fou sur l'arbre 798 de  remise à zéro du numéro d'ordre. Ces encoches  correspondent aux positions de marche et d'ar  rêt de la bielle 805 et du bouton 803. Le bras  808 de l'étrier     porte    un ergot 810 qui s'engage  dans une fente d'une plaque 811     (fig.    40),  laquelle pivote en 812 sur le bâti latéral 100 de  droite.

   La plaque 811 porte un galet 813 qui  s'engage dans une fente-came 814 du secteur  795 de commande qui, comme expliqué précé  demment, est mis en position sous     l'influence     du levier 117 de commande de total     (fig.    24).  



  Lorsque le levier 117 de commande de  total est soit dans sa position   Enregistre  ment  , soit dans sa position   Blocage  , une  partie extérieure de la fente-came 814 engage  le galet 813 (fi-. 40), afin d'obliger l'une des  encoches de verrouillage du bras 808     (fig.    48)  à engager l'ergot 807, et à verrouiller le bouton  803 de marche-arrêt avec les pièces connexes,  soit dans la position de marche, soit dans la  position d'arrêt, selon la position dudit bouton  803.

   Lorsque le levier 117 de commande de  total est amené à une position autre que les  deux positions susvisées, la partie intérieure de  la fente-came 814, en coopération avec le galet  813, fait basculer la plaque 811 dans le sens       dextrorsum    ce qui, par l'intermédiaire de l'ergot  810, fait basculer l'étrier 809 dans le sens     dex-          trorsum,    et dégage les encoches du bras 808  des ergots 807, afin de     libérer    le bouton 803 de  marche-arrêt, et lui permettre de se rendre à  l'une ou l'autre de ses positions.

   Un organe 898  d'impression est solidaire de la manivelle 804       (fig.    48), et est amené en position d'impression  lorsque le bouton 803 est dans la position d'ar  rêt, afin d'imprimer une série de tirets 899 sur  la bande de contrôle 123     (fig.    19), dans les  opérations au cours desquelles aucun ticket  n'est délivré.  



  L'emploi de la touche 111   Taxe   ou de  la touche 113   Articles multiples       (fig.    42)    pour déclencher un fonctionnement de la caisse,  amène le disque 700 dans une position telle  que les arêtes intermédiaires 788 ou 789 de  celui-ci sont en face de l'oreille 794 du levier  791 de commande. Le mouvement de la came  709     (fig.    40 et 42) permet le mouvement dans  le sens     senestrorsum    du levier 791 sous l'in  fluence du ressort 793, jusqu'à ce que l'oreille  794 vienne en contact avec l'une des arêtes  intermédiaires 788 ou 789. Ceci, par l'intermé  diaire de la bielle 790, met en position la  bielle 775, de telle sorte qu'une arête active  836 de l'ouverture 776 vient se trouver à portée  du galet 777.

   Le mouvement de     mise    en posi  tion, dans le sens     dextrorsum,    de la bielle 775,  dégage de même une marche 815 de sa surface  arrière d'un ergot 816, fixé à une plaque 817  montée pivotante en 818, et s'enfonçant dans  un trou-palier correspondant du bâti latéral 100  de droite     (fig.    2). Lorsque l'extrémité inférieure  de la bielle 775 tourne dans le sens     dextrorsum,     un ressort 819 entraîne la plaque 817 dans le  même sens, jusqu'à ce qu'une arête d'arrêt 820,  formée dans une ouverture de la plaque 817,  vienne en contact avec un ergot fixe 821 pour  dégager l'ergot 816 de la marche 815, et simul  tanément pour l'amener en alignement avec une  arête 822 formée sur la bielle 775,à proximité  de la marche 815.

   La     manoeuvre    du levier 779  par les cames 783 et 784, survenant au moment  indiqué dans la case 20 de la     fig.    51, permet  au galet 777 de venir en contact avec l'arête  836, et d'entraîner la bielle 775 vers le haut  d'une légère distance, jusqu'à ce que ce mou  vement soit arrêté par l'ergot 816 qui vient en  contact avec l'arête 822     (fig.    40).  



  Ce mouvement minimum de la     bielle    775,  grâce à la manivelle 773, fait basculer le seg  ment 769 d'une petite quantité dans le sens       senestrorsum,    et ce mouvement, par l'intermé  diaire de l'engrenage 768     (fig.    44, 45 et 46)  fait tourner le disque 764 dans le sens     dextror-          sum,    et pendant ce temps les cliquets d'avance  763     cliquètent    librement sur les dents du  rochet 761 d'avance.

   Le mouvement de retour  dans le sens     dextrorsum    du levier 779 met le  galet 777 en contact avec la surface inférieure  de l'ouverture 776, et ramène la bielle 775 vers      le bas, mouvement qui oblige le disque 764 à  tourner dans le sens     senestrorsum,    pour faire  avancer le rochet 761 d'avance, les engrenages  759 et 758     (fig.    46), et le galet 755 d'avance  dans le sens de l'alimentation, afin de faire  avancer la bande à tickets 125     (fig.    23) d'une  quantité égale à un espacement linéaire, pour  pouvoir y imprimer des données.

   Le mouve  ment de retour, qui est un mouvement descen  dant de la bielle 775, oblige l'ergot 816     (fig.     40) à venir de nouveau en contact avec la mar  che 815 du rebord arrière de ladite bielle, en  préparation pour l'opération à articles multi  ples suivante.  



  Chaque série     d'opérations    de taxe, ou  d'opérations à articles multiples, sous l'in  fluence des touches de commande 111 ou 113,  ou sous celle des deux à la fois, est suivie par  une opération de total au comptant, exécutée à  l'aide de la touche de commande 115   Total  Comptant      .    Pendant cette opération, le totali  sateur d'articles est vidé, et le montant total  qui s'y trouvait est simultanément transféré  dans le totalisateur de groupe. La touche 115       (fig.    42) met en position la jambe 702 et le dis  que 100 de contrôle de telle façon qu'une arête  inférieure 823 de son pourtour se trouve en  face de l'oreille 794.

   Ceci permet un mouve  ment complet, dans le sens     senestrorsum,    du  levier 791 de commande sous     l'influence    de la  came 709 et du ressort 793 (voir aussi la     fig.     40). Ce mouvement du levier 791 de com  mande, par l'intermédiaire de la biellette 790,  déplace la bielle 775 d'un mouvement complet  dans le sens     dextrorsum,    afin d'amener une  arête active 824, prévue à l'extrémité arrière de  l'ouverture 776, au-dessus du galet 777, et  d'écarter l'arête 822 du trajet de l'ergot 816.

    Après que la bielle 775 a ainsi été mise en posi  tion par rapport au galet 777, la     manoeuvre    du  levier 779 sous     l'influence    des cames 783 et  784, se produisant au moment indiqué dans la  case 20 de la     fig.    51, oblige la bielle 775 à se  déplacer de toute sa distance vers le haut, dans  le sens du rattrapage, afin de communiquer le  maximum de mouvement de rattrapage au seg  ment 769     (fig.    44), au disque 764, et aux     cli-          quets    763 d'avance     (fig.    45 et 46).

   Le mouve-    ment de retour du levier 779     (fig.    40) ramène  la bielle 775 vers le bas et ce mouvement, par  l'intermédiaire du secteur 769     (fig.    44), fait  tourner le disque 764, les     cliquets    763  d'avance, le rochet 761, et les     galets    755 d'ali  mentation     (fig.    46), dans le sens de l'alimenta  tion, afin de faire avancer la bande à tickets  125     (fig.    2) de toute sa distance dans les opé  rations de total au comptant.

   Cela est néces  saire pour ménager la place     nécessaire    à l'im  pression du total des articles multiples, du  numéro d'ordre, de la date et des données figu  rant sur le cliché, comme expliqué plus loin, à  propos du mécanisme de marteau à ticket.  



  L'enfoncement de la touche 114   Article       Unique          (fig.    1, 12 et 42), en vue de déclen  cher une opération à un seul     article,    met le dis  que 700 dans une position telle que l'arête infé  rieure 823 soit en face de     l'oreille    794 et, en  conséquence, le levier 791 est libre de se dépla  cer de toute sa distance dans le sens     senestror-          sum,    afin d'amener la bielle 775     (fig.    40)  exactement dans la même position et de la  même manière expliquée plus haut à propos  des opérations de total au comptant, pour       entraîner    un mouvement complet et d'avance  longue de la bande à tickets 125,

   en vue de  l'impression de toutes les données voulues.  



  L'enfoncement de la touche 112 de       Sous-          Total          (fig.    1, 12 et 42) fait que le disque  700 se met dans une position telle qu'une  portion élevée 825 de son     pourtour    se trouve  en face de l'oreille 794 et, en conséquence, le  mouvement dans le sens     senestrorsum    du levier  791 se trouve empêché. L'extrémité inférieure  de la bielle 775 est retenue alors dans la posi  tion représentée à la     fig.    40, position dans  laquelle la portion la plus large de l'ouverture  776 se trouve à l'alignement du galet 777.

    Pour une telle position, la     manoeuvre    du levier  779 ne communique aucun mouvement à la  bielle 775 et, en conséquence, la bande 125  n'avance pas. Dans les opérations de sous-total,  comme expliqué plus loin, le mécanisme de  marteau à ticket est rendu inopérant, et aucune  impression n'est, par la suite,     effectuée    sur le  ticket.  



  Les galets 756 de pression     (fig.    2 et 46)      maintiennent le matériau à tickets 125 en  contact élastique avec les galets 755 d'avance,  afin de réaliser l'avancement dudit matériau.  Les galets 756 de pression peuvent     tourner    sur  un axe 829 fixé dans un bras 826, monté fou  en 827 sur le bâti     auxiliaire    102. Un ressort  828 attire le bras 826 et les galets de pression  756 dans le sens     dextrorsum,    afin de les main  tenir normalement en contact élastique avec  les galets d'avance 755.

   Un mécanisme de ver  rouillage est prévu pour bloquer les galets 756  de pression en position     ouverte,    contre l'action  du ressort 828, toutes les fois que cela est  nécessaire, par exemple lorsque le matériau à  tickets 125 est introduit dans la caisse. L'extré  mité extérieure de l'axe 829 est entaillée de  manière à pouvoir     tourner    librement dans une  fente en arc de cercle 830     (fig.    47 et 50) d'un  prolongement supérieur de la plaque de support  de ruban 727 et, avec l'extrémité extérieure de  l'axe, coopère un verrou 831, pivotant en 832  sur la plaque 727.

   Un ressort 833, tendu entre  un pivot 834 fixé à l'extrémité inférieure du  verrou 831 et un ergot fixé à la plaque 727,  attire le verrou 831 dans le sens     senestrorsum,     afin de maintenir normalement l'ergot 834 en  contact élastique avec une arête de butée pra  tiquée sur la plaque 727. Le verrou 831 est  pourvu d'un doigt 835, destiné à permettre de  le déplacer dans le sens     dextrorsum,    contre  l'action du     ressort    833, jusqu'à ce qu'un cro  chet de verrouillage de son extrémité supérieure  soit éloigné du trajet de l'axe 829.

   L'axe et le  bras 826 peuvent alors être déplacés dans le  sens     senestrorsum,    afin de dégager les galets  756 de pression des galets 755 d'avance, après  quoi le verrou 831 peut être libéré, afin de  permettre au ressort 833 de ramener son extré  mité supérieure crochue au-dessus de l'axe 829,  afin de fixer ce dernier et les galets 756 de  pression en position dégagée, malgré le ressort  828.

   Lorsque les galets 756 de pression sont  en position efficace     (fig.    46 et 47), l'extrémité  supérieure en arc de cercle du verrou 831 vient  se placer derrière     l'axe    829, pour empêcher  tout mouvement accidentel des galets 756 de  pression, jusqu'à la position dégagée et la libé  ration ultérieure du matériau à tickets 125,    afin qu'il puisse subir l'action d'un     dispositif     de rattrapage automatique actionné par ressort  (non représenté), qui     rebobine    immédiatement  ledit matériau.

   Ce dispositif empêche que l'on  agisse frauduleusement sur la bande à tickets  à travers     l'ouverture    126     (fig.    1), car aussitôt  que les galets 756 de pression sont écartés des  galets 755 d'avance, le dispositif de rattrapage  automatique     rebobine    le matériau dans une  position telle qu'il ne peut pas être atteint,  étant donné qu'il est protégé par un capot  fermé à clé.  



  Les galets 755 d'avancement du ticket       (fig.    2 et 46) sont empêchés d'exécuter leur  mouvement d'avance lorsque la caisse est au  repos, grâce à un cliquet 939 qui s'engage dans  les dents du rochet 760 de retenue, le cliquet  939 pouvant pivoter sur un pivot 940 fixé  au bâti auxiliaire 102. Un ressort 941 attire  le cliquet 939 dans le sens     dextrorsum,    afin  de maintenir normalement une oreille recour  bée 942 de celui-ci en contact élastique avec  un ergot 943 du secteur 769.

   Lorsque le sec  teur 769 est en position de repos, comme  indiqué sur le dessin, l'ergot 943 maintient le  cliquet 939 en prise avec les dents du rochet  760, contre l'action du ressort 941, afin de  fixer ledit rochet 760 et, par l'intermédiaire de  l'engrenage 759, les galets 755 d'alimentation,  et les empêcher d'exécuter un mouvement  d'avance lorsque la caisse est au repos. Les  cliquets 765 de retenue     (fig.    45) coopèrent avec  les dents du rochet 761, retiennent les galets  d'avance 755, et les empêchent de se mouvoir  en sens rétrograde.

   Le mouvement initial, dans  le sens     senestrorsum,    des secteurs 769, pour  faire tourner le disque 764 et les cliquets 763  d'avance dans le sens du rattrapage, écarte  l'ergot 943     (fig.    46) de l'oreille 942, et livre  le cliquet 939 à l'action du ressort 941 qui,  immédiatement, dégage les cliquets 765 des  dents du rochet 760, pour libérer le rochet 760  et les pièces connexes, en vue d'un mouvement  d'avance. Lorsque le secteur 769 arrive vers  la fin de son mouvement de retour, l'ergot 943  vient en contact avec les oreilles 942 pour  basculer le cliquet 939, et le mettre en prise  avec les dents du rochet 760, pour bloquer ce      dernier et les galets 755 d'avance contre tout  mouvement d'avance, lorsque la caisse est au  repos.  



  <I>Mécanisme d'impression du ticket</I>  Les roues à caractères 619 pour imprimer  les montants sur le ticket     (fig.    2 et 49) coopè  rent avec la platine 838 d'un marteau 839 en  forme d'étrier, dont les bras latéraux pivotent  en 774. Un ressort 840 attire le marteau 839  dans le sens     dextrorsum,    afin de maintenir  normalement un cône réglable 841, porté par  ledit marteau 839, en contact élastique avec  l'arête d'une came 842 de marteau, montée  folle sur un pivot 843 fixé au bâti auxiliaire  102.

   Un bras 844 est solidaire de la came 842  et porte un ergot 845 qui s'engage dans une  fente de l'un des bras d'un étrier 846, monté  fou sur un pivot 774, tandis que l'autre bras  de l'étrier 846     porte    un axe 847 sur lequel  pivote l'extrémité supérieure d'une bielle 848,  dans laquelle est ménagée une fente 849       (fig.    42) dans laquelle s'engage un ergot 850  fixé à l'extrémité arrière d'une bielle 851, dont  l'extrémité avant pivote en 726 sur le levier  791. La bielle 851 comporte une fente 852  dans laquelle s'engage un ergot fixe 853 assu  jetti au bâti latéral 100 de droite, pour guider  la bielle lorsque celle-ci est déplacée en arrière  et en avant par le levier 791.

   L'extrémité infé  rieure de la bielle 848 comprend une ouver  ture 854, à travers laquelle passe un galet 855  porté par un levier 856, pivotant en 780, et  attiré dans le sens     senestrorsum    par un ressort  857, en vue de maintenir normalement un galet  858, porté par lui, en contact élastique avec  le pourtour de la came 785 de marteau, qui  fonctionne au moment indiqué dans la case 21  de la     fig.    51, pour faire basculer le levier 856,  d'abord dans le sens     senestrorsum,    puis dans le  sens inverse jusqu'à sa position normale.  



  En plus des roues à caractères de numéro  d'ordre, de date et de montants, la caisse est  pourvue d'un cliché 859     (fig.    48) destiné à  imprimer des données, par exemple de nature  publicitaire, sur les tickets. Le cliché 859 est  logé entre les roues à caractères 619 de mon  tants     (fig.    2) et les roues 625 de la date, et    est supporté par les bâtis 613 et 614. Avec le  cliché 859, les roues dateuses 625, et les roues  623 de numéro d'ordre pour le ticket 125       (fig.    39 et 48), coopère une platine .860 d'un  marteau imprimeur 861, lequel pivote en 862  entre des bras parallèles et latéraux d'un étrier  863, pivotant fou sur le pivot 762.

   Un ressort  864 attire-l'étrier 863 dans le sens     senestror-          sum,    afin de maintenir normalement un galet  865, porté par le pivot 862, en contact élas  tique avec l'arête active d'un bras de came 866,  monté fou sur le pivot 843, et relié par une  barrette à un bras 867 d'accompagnement. Le  bras 867 porte un ergot 868 qui s'engage dans  une fente de l'extrémité supérieure d'un bras  869, monté fou sur le pivot 774, et     fixé    à un  bras jumeau 870, auquel est reliée, d'une façon  pivotante, l'extrémité supérieure d'une bielle  871 de     manoeuvre.     



  La bielle 871     (fig.    42)     porte    une fente 872  qui coopère avec l'ergot 850 de la bielle 851.  L'extrémité inférieure de la bielle 871 porte  une ouverture 873, à travers laquelle passe le  galet 855, qui coopère aussi avec l'ouverture  correspondante 854 de la bielle 848, pour  actionner le marteau     imprimeur    839 des mon  tants.

   Un ressort 874     (fig.    48) maintient le  marteau 861 du cliché et des roues à carac  tères du numéro d'ordre et de la date sensible  ment à l'alignement avec ces pièces et forme  une liaison élastique qui permet au     marteau     861 de se régler lui-même pendant le fonction  nement, afin d'appliquer correctement le maté  riau à tickets contre le cliché et les roues à  caractères.  



  L'enfoncement de la touche 111   Taxe    ou de la touche 113       Articles    Multiples         (fig.    42), pour commander le     fonctionnement     de la caisse, amène le disque 700     dans    une  position telle que les arêtes intermédiaires 788  ou 789 de ce disque soient en face de l'oreille  794 du levier 791.

   En conséquence, pendant  les opérations de taxe et     d'articles    multiples,  le mouvement, dans le sens     senestrorsum,    du  levier 791, est commandé par les arêtes 788  ou 789, ce qui oblige le levier 791, par l'inter  médiaire de la bielle 851,à mettre les bielles  871 et 848 dans leur position intermédiaire,      dans laquelle une arête 875 dans l'ouverture  854 de la bielle 848, se trouve au-dessous du  galet 855 du levier 856.

   Le déplacement du  levier 856, par la came 785, se produisant au  moment indiqué dans la case 21 de la     fig.    51,  oblige ledit levier 856, en coopération avec  l'arête 875,à déplacer la bielle 848 vers le  bas, contre l'action du ressort 876     (fig.    42), ce  qui fait basculer l'étrier 846     (fig.    49) dans le  sens     senestrorsum.    Ce mouvement de l'étrier  846, par l'intermédiaire de l'ergot 845, fait  basculer le bras 844 et la came 842 dans le       sens        dextrorsum,    de telle sorte que la came  842, en coopération avec le cône 841, fait bas  culer le marteau 839 dans le sens     senestrorsum,     contre l'action du ressort 840,

   obligeant le mar  teau 839 à amener le matériau à tickets 125       (fig.    2) et le ruban encreur 697 au contact des  roues à caractères 619 de montants. De ce fait,  la valeur composée sur les roues à caractères  619 de montants est imprimée sur le ticket.  Dans les opérations commandées par les tou  ches 111 et 113, une partie dégagée de l'ou  verture 873 de la bielle 871     (fig.    42) se trouve  à l'alignement du galet 855 et, en conséquence,  aucun     mouvement    n'est imparti à la bielle 871  et au marteau imprimeur 861     (fig.    2 et 48) de  cliché et de date     correspondante,    dans de telles  opérations.  



  Comme expliqué précédemment, à la suite  de toutes les opérations à articles multiples ou  de taxe, une opération de total au comptant est  effectuée sous le contrôle de la touche   Total  Comptant   115     (fig.    1 et 12), pour imprimer  un total de la taxe, et les autres données, sur  le ticket. L'enfoncement de la touche 115     (fig.     42) oblige le disque 700 à venir dans une po  sition telle, comme expliqué précédemment, que  son arête inférieure 823 se trouve amenée en  face de l'oreille 794, permettant     ainsi    le plein  mouvement, dans le sens     senestrorsum    du le  vier 791 sous l'influence de sa came.

   Ce mou  vement complet du levier 791 a pour effet, par       l'intermédiaire    de la bielle 851 et de l'ergot  850, de déplacer les bielles 848 et 871 de  toute leur distance vers l'avant, amenant une  arête active 877 de l'ouverture 873 de la bielle  871, au-dessous du galet 855 du levier 856.    Par conséquent, dans les opérations de total au  comptant, le levier 856 déplace les bielles 848  et 871 toutes les deux en même temps, d'abord  vers le bas, contre l'action de leurs ressorts  876 et 878 respectifs, afin d'impartir un mou  vement d'impression à leurs marteaux 839 et  861 correspondants.  



  Le mouvement de descente de la bielle 871       (fig.    42 et 48) fait basculer les bras 870 et  869 dans le sens     senestrorsum,    obligeant le bras  869, en coopération avec l'ergot 868,à bascu  ler le bras 867, et le bras-came 866, dans le  sens     dextrorsum.    De ce fait, le bras-came 866,  en coopération avec le galet 865, déplace le  marteau 861 dans le sens     dextrorsum,    contre  l'action du ressort 864, obligeant le marteau  861 à entraîner le matériau à tickets et le ru  ban encreur jusqu'au contact élastique avec le  cliché 859 et les roues à caractères 623, 625  du numéro d'ordre et de la date, pour impri  mer les données correspondantes sur le ticket.

    Le mouvement de retour, dans le sens     senes-          trorsum    du levier 856 ramène les bielles 848  et 871 vers le haut, jusqu'à leur position nor  male représentée, ce qui permet aussi aux mar  teaux imprimeurs correspondants d'être rame  nés en position non efficace.  



  Les opérations à un seul article, exécutées  sous le contrôle de la touche 114   Article  Unique       (fig.    1 et 42), mettent le disque 700  dans une position telle que l'arête inférieure  823 se trouve en face de l'oreille 794 et, en  conséquence, dans de telles opérations, les biel  les 848 et 871 sont actionnées toutes les deux  par le levier 856, comme expliqué à propos de  la touche 115, pour obliger les marteaux 839  et 861 à fonctionner tous deux en même temps,  et imprimer des données correspondantes sur  le matériau à tickets 125.  



  Dans les opérations de sous-total, qui sont  commandées par l'enfoncement de la touche  112, le disque 700 est mis dans une position  telle que la partie haute 825 se trouve en face  de l'oreille 794 (fia. 42) et, en conséquence, le  mouvement dans le sens     senestrorsum    du le  vier 791 est empêché, et les bielles 848 et  871 sont retenues dans leur position arrière re  présentée, de sorte que des parties de dégage-      ment des ouvertures 854 et 873 sont à l'aligne  ment du galet 855. Il en résulte que la ma  noeuvre du levier 856 ne communique aucun  mouvement aux billets et que,     dans    les opéra  tions de sous-total, les     marteaux    à tickets de  meurent inefficaces.  



  Le bras     antérieur    de l'étrier 846 et le bras  870     (fig.    42, 48 et 49) présentent chacun une  fente incurvée 879, qui     fournit    le jeu nécessaire  pour la bague qui reçoit l'un des goujons 730  de la plaque 727 de     support    de bobine de ru  ban     (fig.    50).    <I>Mécanisme</I>     d'actionnement     <I>du numéro d'ordre</I>    Quatre roues à caractères 624 servent pour  le numéro d'ordre     (fig.    2 et 39), pour impri  mer un tel numéro sur la bande de contrôle  123, et quatre roues 623 servent pour l'impri  mer sur le ticket 125.

   Ces deux séries de roues  sont     entrainées    ensemble par le même méca  nisme     d'actionnement,    et sont remises à zéro  ensemble, au moyen d'un bouton 896, de re  mise à zéro,     manoauvrable    à la main, qui est  fixé sur l'extrémité extérieure de l'arbre 798  de remise à zéro.  



  Chacune des quatre roues 624 de numéro       (fig.    39) pour la bande est solidaire d'un en  grenage 881 en prise avec des engrenages cor  respondants 897, dont les dents intérieures  portent sur des disques supportés par l'arbre  265. Les engrenages 897 engrènent aussi avec  quatre engrenages correspondants 882, soli  daires de rochets 883 d'avance, montés fous  sur l'arbre 798 de remise à zéro. Les rochets  883 sont chevauchés par les bras latéraux d'un  étrier 884, lesquels bras peuvent tourner sur  l'arbre 798 de remise à zéro, et supportant     eux-          mêmes    un axe 885, sur lequel peut tourner un  cliquet 886 d'avance, comprenant des dents  d'avance graduées, destinées à coopérer avec  les dents des quatre rochets 883.

   Un prolonge  ment de l'un des bras de l'étrier 884 porte un  ergot 887 qui s'engage dans une fente de l'ex  trémité supérieure d'un bras 888     (fig.    39 et  40), fixé de manière réglable sur une plaque  opératoire 889 pivotant en 890 sur le bâti la  téral 100 de droite.    La plaque 889 comporte une lumière 891  dans laquelle s'engage un galet 892, monté sur  un bras 893 pivotant en 894 sur le bâti 100.  Un ressort 895 actionne le bras 893 dans le  sens     senestrorsum,    afin de maintenir normale  ment le galet 892 en contact élastique avec le  fond de la lumière 891.

   Le bras 893     (fig.    40  et 41) porte un pivot 900 sur lequel est arti  culée l'extrémité supérieure d'une bielle 901  dont l'extrémité inférieure élargie présente une  ouverture 902, par laquelle passe un ergot de       man#uvre    903, fixé sur un bras 904 pivotant  en 905 sur le bâti latéral 100. Le bras 904  comporte une fente à son extrémité antérieure  pour     recevoir    une partie     retaillée    de l'ergot 778  du levier 779, qui est actionné     par    les cames  783 et 784, au moment indiqué à la case 20  de la     fig.    51.

   La bielle 901     (fig.    40, 41 et 42)  porte un ergot 906 qui s'engage dans une fente  907 d'un prolongement ascendant d'un     collier     908 mobile, grâce à des fentes horizontales, en  coopération avec un ergot 902 fixé au bâti la  téral 100 de droite, et au moyen d'un ergot  910, fixé à l'extrémité supérieure d'un bras 911,  solidaire du levier 705. Le bras 911 et le le  vier 705 se déplacent à l'unisson par la came  708, et dans la mesure permise par le disque  700 et la jambe 702 qui, comme expliqué pré  cédemment, sont mis en position par les tou  ches de commande 111 à 115. Un ressort 912       (fig.    42), tendu entre l'ergot 910 et la coulisse  908, forme une liaison qui peut céder en cas  de besoin, lorsque les pièces sont ramenées à  leur position normale.

      Lorsque l'une des touches 111   Taxe<B> </B>       (fig.    1, 12, 40 et 42), 112   Sous-Total      ,    ou  113       Articles    Multiples      ,    est utilisée pour       commander    et déclencher le     fonctionnement    de  la caisse, le disque 700, le levier 705, le bras  911 et la     coulisse    908 mettent la bielle 901  dans une position telle que la partie la plus  longue de l'ouverture 902 de son extrémité in  férieure se trouve à l'alignement de l'ergot 903.

    Par conséquent, le mouvement du bras 904 et  du levier 779 fait que l'ergot 903 fonctionne  librement dans la partie large de l'ouverture  902,     sans    communiquer aucun mouvement à la      bielle 901 ni au     mécanisme    associé. Il est,  par conséquent, évident que, dans les opéra  tions de taxe, de sous-total et d'articles multi  ples, les roues du numéro d'ordre n'avancent  pas.  



  Si soit la touche 114   Article Unique       (fig.     42), soit la touche 115   Total Comptant    sont enfoncées, le disque 700 et la coulisse 908  mettent la bielle 901 dans une position telle  que la branche étroite et antérieure de l'ouver  ture 902 se trouve en prise avec l'ergot 903.  Le mouvement du levier 779     (fig.    40 et case  20 de     fig.    51) et du bras 904 fait que l'ergot  903 soulève la bielle 901, pour faire basculer  le bras 893 dans le sens     dextrorsum,    contre  l'action du ressort 895.

   Ce mouvement du bras  893 a pour effet, par le galet 892, en coopé  ration avec la fente 891, de faire basculer la  plaque 889 et le bras 888 dans le sens     dex-          trorsum.    Ce mouvement, par l'intermédiaire de  l'ergot 887     (fig.    39), fait basculer l'étrier 884  et le cliquet 886 d'avance, dans le sens     senes-          trorsum,    d'une distance équivalant à un espace  intermédiaire du rochet d'avance 883.

   Le mou  vement     senestrorsum    et de retour du bras 893,  lorsque la bielle 901 est tirée vers le bas par  le bras 904, et le levier 779 ramène la plaque  889 et le bras 888 dans le sens     senestrorsum,     et ce mouvement fait basculer l'étrier 884 et le  cliquet 886 d'avance, dans le sens contraire,  pour faire avancer d'un pas les roues à carac  tères 624 et 623 des unités du numéro d'ordre,  afin de compter   un   pour chacune des opé  rations, de la manière commandée par la tou  che 114 d'article unique et la touche 115 de  total au comptant.

   Les rochets 883 d'avance       (fig.    39) sont munis d'encoches à la position  de zéro, ce qui permet aux dents graduées du  cliquet 886 d'avance de venir en prise avec  le rochet de l'ordre immédiatement supérieur,  lorsque la roue de l'ordre inférieur franchit le  neuf, ce qui reporte une retenue de dizaines  dans l'ordre immédiatement supérieur, d'une  manière bien connue.  



  Un prolongement de l'étrier 884 (non repré  senté) porte une série d'engrenages 882 et de  rochets 883 correspondants avec lesquels co  opère un cliquet 886     d'avance,    lesdits engre-    nages étant, à leur tour, reliés par des pignons  fous (non représentés) à leurs engrenages cor  respondants 913     (fig.    39). Les engrenages 913,  à leur tour, engrènent avec des roues à carac  tères 623 correspondantes, pour le ticket sor  tant. Ces pièces fonctionnent d'un même mou  vement avec les pièces correspondantes pour  les roues 624 de numéro, afin de faire avan  cer les roues 623 exactement de la manière qui  vient d'être expliquée.  



  Chacun des rochets 883 des roues de nu  méro est pourvu d'un cliquet 914 de remise  à zéro, qui est actionné par un ressort et main  tenu en prise avec une gorge de remise à zéro  découpée dans l'arbre 798, de remise à zéro.  La rotation du bouton 896     (fig.    2) et de l'ar  bre 798     (fig.    39) de remise à zéro, fait que la  gorge qui y est pratiquée est reliée avec les  cliquets 914 et entraîne les rochets 883 d'un  même mouvement, afin de constituer un moyen  manuel de remise à zéro des roues à caractè  res toutes les fois qu'on le désire. Les rochets  pour les roues à caractères 623 sont aussi  pourvus de cliquets 914, pour coopérer avec  la gorge de l'arbre 79.8 de remise à zéro, et  pour remettre les roues 623 d'un même mou  vement avec les roues 624.  



  Un dispositif maintient l'arbre 798 de remise  à zéro en position de zéro, lorsque le levier  117 de commande de total     (fig.    1, 24 et 48)  est dans sa position   Enregistrement  , ou dans  la position   Blocage      .    Sur l'arbre 798 de re  mise à zéro se trouve un disque 915 compre  nant une encoche 916 correspondant à la po  sition zéro de cet arbre, et qui est disposée de  manière à pouvoir être saisie par la dent d'un  cliquet 917 d'arrêt solidaire d'une     manivelle     918, montée folle sur un pivot 919 fixé au  bâti 613     (fig.    2).

   La manivelle 918 comprend  une fente dans laquelle s'engage un ergot 920,  fixé au bras de droite de l'étrier 809 du mar  teau à ticket, lequel étrier est basculé dans le  sens     senestrorsum    par l'ergot 810, en coopé  ration avec la plaque 811     (fig.    40) et le sec  teur 795, chaque fois que le levier 117 de com  mande de total est écarté soit de la position    Enregistrement  , soit de la position   Blo  cage  , afin de déverrouiller le bouton 803 de      marche-arrêt du ticket.

   Le mouvement     senes-          trorsum    de l'étrier 809, par l'intermédiaire de  l'ergot 920, fait basculer la manivelle 918 et le  cliquet d'arrêt 917 dans le sens     dextrorsum,     pour dégager     ce        dernier    de l'encoche 916, et  libérer le disque 915, l'arbre 798 et le bouton  896 de remise à zéro, et     permettre        qu'il    soit       manoeuvré    de telle façon que les roues à carac  tères de numéros d'ordre puissent être remises  à zéro.

   Il est     égalemeent    évident qu'il serait im  possible de ramener le levier<B>117</B> de commande  de total aux deux positions susvisées, tant que  l'encoche 916 n'a pas été convenablement ame  née en position de zéro, et que les roues à ca  ractères du numéro n'ont pas été convenable  ment ramenées à la position de zéro, de telle  façon que ladite encoche soit dans une position  propre à être saisie par la dent du cliquet d'ar  rêt<B>917.</B> L'extrémité supérieure du bras de  droite de l'étrier de marteau à ticket (809)       (fig.    48) comporte une dent<B>921</B> d'alignement  recourbée, qui coopère avec les dents des en  grenages de réglage de date 630, lesdits     ali-          gneurs    étant en prise avec les engrenages,

   pour  les empêcher de tourner, et de même pour blo  quer les boutons de réglage de la date 627, 628  et 629 contre toute manipulation lorsque le  levier 117 de commande de total est dans l'une  des deux positions en question. Lorsque le le  vier<B>117</B> de     commande    est éloigné de l'une  de     ces    deux positions     l'aligneur    921 bascule et  s'éloigne des dents des engrenages 630, de sorte  que les roues à caractères peuvent alors être  réglées.

      De ce qui précède, on doit bien compren  dre que la     manoeuvre    des boutons 621, 628 et  629     (fig.    2 et 48) de réglage de la date du  bouton 803 marche-arrêt de ticket et du bou  ton 896 de remise à zéro du numéro d'ordre,  est contrôlée par le levier 117 de commande  de total     (fig.    1 et 25), et que ces boutons sont  bloqués contre toute manipulation lorsque ce  levier est dans une des deux positions   Enre  gistrement   ou   Blocage  , et qu'ils sont dé  bloqués et peuvent être manipulés lorsque le  levier 117 de commande est dans une des po  sitions   Lecture   ou   Remise à zéro  .

      <I>Mécanisme d'avancement auxiliaire</I>  <I>pour la bande de contrôle</I>  Dans la caisse représentée, le rebord supé  rieur de l'ouverture 124     (fig.    1 et 2) ména  gée dans le coffre 108 n'est pas     suffisamment     prolongé vers le haut pour laisser apercevoir  les quelques     dernières    opérations     imprimées    sur  la bande 123. Un dispositif     auxiliaire    permet  de faire avancer ladite bande à la main, tou  tes les fois que cela est désirable,     afin    de pou  voir lire par l'ouverture les dernières opérations  qui ont été inscrites.  



  Le dispositif de rattrapage 653     (fig.    2) de  la bande 123 de contrôle qui, comme décrit  précédemment, aide à maintenir la bande de  détail tendue, comprend un galet 923 monté  sur une plaque 924 qui pivote en 925 sur le  bâti 611, et un galet jumelé 926, monté sur un  pivot qui s'étend entre la plaque 924 et une  plaque frontale associée 927. Cet ensemble de  pièces est actionné, dans le sens     dextrorsum,     par un ressort 928, afin de maintenir normale  ment le rebord arrière de la plaque 924 en  contact élastique avec un ergot d'arrêt 929  fixé au bâti 611.

   La plaque frontale 927 com  prend un épaulement 930, disposé de manière  à coopérer avec un ergot 931     (fig.    2 et 3) porté  par une plaque 932     fixée    à l'extrémité inté  rieure d'un tenon 933 d'un bouton 934  d'avance, ce tenon pouvant tourillonner dans  une bague     fixée    au coffre 108, à     l'alignement     axial du pivot 925. Le bouton 934 porte un  ergot 935, qui traverse une fente 936 du cof  fre 108,     cette    fente     étant    concentrique au te  non 933.

   Un ressort 937     (fig.    3) attire la pla  que 932 et le bouton 934 dans le sens     dextror-          sum,    afin de maintenir normalement l'ergot 935  en contact élastique avec l'extrémité inférieure  de la fente 936, et de maintenir normalement  l'ergot 931 à l'alignement de l'étrier 930.  



  Lorsque l'on désire faire avancer tempo  rairement la bande 123 de contrôle afin de  pouvoir y lire à travers l'ouverture 124     (fig.     1) les dernières inscriptions, il suffit de tourner  le bouton 934 dans le sens     senestrorsum    ce  qui amène la plaque 932, d'un même mouve  ment, contre l'action du ressort 937.

   Le mou-           vement    de la plaque 932 et de l'ergot 931 fait  que ce dernier, en coopération avec l'épaule  ment 930, entraîne l'ensemble comprenant les  plaques 924 et 927 et les galets 923 et 926  dans le sens     senestrorsum,    d'un même mouve  ment contre l'action du ressort 928.     Etant     donné que la bande 123 est enfilée entre les  galets 923 et 926, et que le rouleau récepteur  650 de la bande ne peut fonctionner en sens  inverse, le mouvement     senestrorsum    des galets  déroule la partie supérieure de la bande de dé  tail 123 suffisamment pour amener les der  nières inscriptions au droit de l'ouverture 124       (fig.    1).

   L'étendue du mouvement auxiliaire  d'avance de la bande 123, sous l'influence du  bouton 934, est réglée par l'ergot 935, en co  opération avec la fente 936. Après une opé  ration auxiliaire     d'avance,    le bouton 934 est  ramené dans le sens     dextrorsum,    à sa position  normale,     (fig.    3) par le ressort 937 et les galets  923 et 926 sont ramenés à leur position nor  male     (fig.    2) par le     ressort    928.

   Lorsque les  galets 923 et 926 sont ramenés à la position  normale, comme expliqué plus haut,     1Q    dispo  sitif de rattrapage du ressort du manchon 644  du rouleau d'alimentation 643 intervient pour       rebobiner    la bande 123 de contrôle de nou  veau sur le rouleau d'alimentation, et ramène  ainsi les dernières inscriptions exécutées sur la  dite bande 123 à     l'emplacement    correct par       rapport    aux roues d'impression, de sorte que  les inscriptions ultérieures seront correctement  espacées par     rapport    à elles.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Caisse enregistreuse, comprenant plusieurs totalisateurs montés sur un arbre commun, des entraîneurs pour les totalisateurs, un méca nisme de déplacement pour décaler l'arbre axia- lement par rapport aux entraîneurs en vue de sélectionner un totalisateur particulier pour qu'il soit actionné, des touches de commande pour le mécanisme de déplacement de totali sateurs,
    des touches de totalisation et un mé canisme de transfert automatique de total qui est actionné pendant une opération de totali- sation pour transférer un total d'un totalisateur à un autre totalisateur, caractérisée en ce que, d'une part, le mécanisme de déplacement de totalisateurs (308-324) est susceptible :
    d'être entraîné directement par l'enfoncement d'une des touches de commande (114), et par le fait d'autre part, que le mécanisme de transfert automatique de total (340-349) est couplé au mécanisme de déplacement de totalisateurs (308-324) par une pièce de couplage (335) qui peut prendre différentes positions sous l'in- fluence de certaines touches de commande, et que ladite pièce de couplage (335) est ensuite actionnée dans des conditions différentes par le mécanisme de transfert automatique de to tal (340-349) selon la position où elle a été mise, grâce à quoi l'arbre de support de to talisateurs (298)
    est déplacé de manière à sé lectionner le totalisateur devant recevoir le to tal transféré d'un autre totalisateur disposé nor malement en position sélectionnée. SOUS-REVENDICATIONS 1. Caisse enregistreuse conforme à la reven dication, caractérisée par le fait que la pièce de couplage (335) comprend une série de mar ches dégradées (337, 338, 339) qui, sous l'in fluence de certaines touches de commande (115), sont sélectivement placées sur le trajet d'un ergot (340) faisant partie du mécanisme de transfert automatique de total (340-349). 2.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication, caractérisée par le fait que le méca nisme de déplacement (308-324) est ramené à la position normale, à la fin de chaque fonc tionnement de la caisse, par le mécanisme de transfert automatique de total (340-349), et qu'un totalisateur donné (296) est de ce fait placé chaque fois en face des entraîneurs. 3.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication, comprenant un secteur actionné lors de l'enfoncement de l'une quelconque des tou ches de commande, caractérisée par le fait que, pour la sélection non automatique des totali sateurs, une pièce de déplacement (319), faisant partie du mécanisme de déplacement (308 324), est actionnée par ledit secteur (324) par l'intermédiaire d'une liaison élastique (322, 323). 4.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication, caractérisée par le fait que la pièce de couplage (335) est amenée dans certaines de ses positions opératoires par la coopération d'un prolongement (351) de cette pièce avec un ergot de repérage (352). 5.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication et à la sous-revendication 4, compre nant un secteur actionné lors de l'enfoncement d'une touche de commande, caractérisée par le fait que la pièce de couplage (335) est montée de manière basculable sur la pièce de déplace ment de totalisateurs (319), et est basculée par ledit secteur (332) par l'intermédiaire d'une biellette (334) reliant ce dernier à ladite pièce de couplage (335). 6.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication, caractérisée par le fait que le tota lisateur sélectionné (296, 297) est amené en prise avec les entraîneurs au moyen de l'une ou l'autre de deux pièces d'embrayage (443, 450), reliées ensemble en vue d'un mouvement com mun et qui, sous l'influence des touches de commande (111-115) sont, grâce à une pièce commune de positionnement (457) reliée à l'une (443) desdites pièces d'embrayage (443, 450), mises, par rapport à leurs pièces d'en traînement individuelles (448, 455), dans une position telle que seule soit entraînée celle des pièces d'embrayage (443, 450) qui correspond au type d'opération à effectuer. 7.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication et à la sous-revendication 6, caracté risée par le fait que les pièces d'embrayage (443, 450) ne commandent que la mise en prise du totalisateur sélectionné (296, 297), le dégagement de ce dernier étant réalisé par l'in termédiaire d'un mécanisme séparé de dé brayage (477-484). 8.
    Caisse enregistreuse conforme à la reven dication et à la sous-revendication 6, caracté risée par le fait que la pièce commune de posi tionnement (457) a la forme d'une bielle, qui est reliée à l'une (443) des pièces d'embrayage (443, 450) et à un secteur (460) mis en posi tion par les touches de commande (111-115), et que ladite bielle (457) est aussi commandée, dans ses mouvements de mise en position, par le moyen d'un secteur (471) réglable sous l'in- fluence d'une coulisse (117) de commande de fonctions, et comprenant une fente-came (472) coopérant avec un ergot (473) fixé sur un levier pivotant (474)
    qui lui même coopère avec un ergot (464) de ladite bielle (457). 9. Caisse enregistreuse conforme à la reven dication et aux sous-revendications 6 et 8, caractérisée par le fait que toutes les touches de commande (111-115), à l'exception de l'une d'entre elles (115), sont bloquées contre tout enfoncement par une pièce de blocage (489) amenée en position de blocage lorsque ladite coulisse (117) de commande de fonctions est amenée aux positions de total ou de sous-total, respectivement. 10.
    Caisse enregistreuse conforme à la re vendication et à<B>là</B> sous-revendication 6, carac térisée par le fait que les pièces d'embrayage (443, 450) sont reliées par une extrémité à un bras d'embrayage (442), et que chacune com prend, à son autre extrémité, une ouverture profilée agrandie (444, 451) avec des contours sélectionnés, ouverture coopérant avec l'un des ergots d'une paire d'ergots (445, 452) fixés sur un levier associé (446, 453) et actionné par une came (448, 455) fonctionnant selon la position donnée à la pièce commune de posi tionnement (457). 11.
    Caisse enregistreuse conforme à la re vendication, comprenant un mécanisme impri meur pour tickets et un mécanisme d'avance- ment de tickets, caractérisée par une pièce (775) d'avancement actionnée à la fois dans le sens du rattrapage et dans le sens de l'avance, de manière à actionner un dispositif (761, 763) d'avance à rochet, ladite pièce d'avancement (775) comprenant une arête d'avance courte (836) et une arête d'avance longue (824), par une pièce entraîneuse (779)
    exécutant un mouvement invariable et adaptée pour coopérer avec les arêtes d'avance courte et longue (836, 824), afin de contrôler le mou vement de rattrapage de la pièce d'avancement (775), et de coopérer avec une arête (776) d'avance de celle-ci, en vue d'impartir l'avance correspondante au ticket (125) par un secteur de commande profilé (700) réglé différentielle- ment sous l'influence des touches de com- mands (111-115), et par une pièce palpeuse (791)
    qui explore le profil du secteur de commande (700) et donne à la pièce d'avance (775) une position correspondante, de manière à placer soit l'arête d'avance courte (836), soit l'arête d'avance longue (824), sur le trajet de la pièce entraîneuse (779), grâce à quoi le ticket (125) reçoit une avance longue ou une avance courte, selon celle des touches de com mande (111-115) qui aura été enfoncée. 12.
    Caisse enregistreuse conforme à la re vendication et à la sous-revendication 11, comprenant des marteaux imprimeurs destinés à imprimer sur le ticket à l'aide de roues à caractères associées, et une pièce entraineuse séparée pour chaque marteau, caractérisée par des surfaces d'entrainement et neutralisantes (854, 873, 875, 877) ménagées sur les pièces entraîneuses (848, 871) par un entraineur sus ceptible d'exécuter un mouvement invariable (856)
    pour actionner les pièces entraîneuses de marteaux (848, 871), et par une pièce de cou plage (851) reliant les pièces entraîneuses de marteaux (848, 871) à la pièce palpeuse (791), grâce à quoi ce sont tantôt les surfaces d'en traînement (875, 877), tantôt les surfaces neu tralisantes (854, 873), qui sont amenées sur le trajet de l'entraîneur invariable de marteau (856), selon celle des touches de commande (111-115) qui aura été enfoncée. 13.
    Caisse enregistreuse conforme à la re vendication et à la sous-revendication 11, com- prenant un levier de commande de total et un secteur de commande de total susceptible d'être mis dans des positions différentes selon la position donnée audit levier de commande de total, caractérisée par le fait qu'un secteur (795) de commande de total coopère avec la pièce palpeuse (791), de manière à permettre, ou à empêcher, son positionnement par le sec teur (700)
    de commande mentionné en premier lieu, en dépendance de la position dans laquelle le levier (117) de commande de total aura été réglé. 14. Caisse enregistreuse conforme à la re vendication et aux sous-revendications 11 et 13, comprenant un bouton de commande de Marche-Arrêt manoeuvrable à la main et destiné à agir sur les mécanismes d'avance et d'impression du ticket, caractérisée par une plaque de commande (806) aménagée de ma nière à être mise en position sur le trajet de la pièce palpeuse (791), lorsque le bouton de commande (803) est mis sur une position Arrêt ,
    neutralisant ainsi les mécanismes (838, 860, 761, 763, 775) d'impression et d'avance du ticket en dépit de la mise en position des secteurs (700, 795) de commande. 15. Caisse enregistreuse conforme à la re vendication et aux sous-revendications 11, 13 et 14, caractérisée par le fait que le bouton (803) de Marche-Arrêt manoeuvrable à la main est pourvu d'une pièce d'impression (898), destinée à imprimer un signe distinctif sur un matériau. pour inscriptions (123), lors que ledit bouton (803) est mis dans la position d'arrêt.
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