Machine comptable. La présente invention a pour objet une machine comptable comportant un totalisa teur, des entraîneurs pour le totalisateur et des moyens pour embrayer le totalisateur avec les entraîneurs et le débrayer de ceux-ci à des temps convenant au genre d'opération à exécuter, caractérisée en ce que les moyens d'embrayage et de débrayage du totalisateur comprennent un organe de commande pour mettre le totalisateur en prise avec et hors de prise des entraîneurs, un organe d'entraîne ment qui se déplace sur un chemin défini et inv:
>riable à chaque cycle de la machine, un organe d'accouplement inique fonctionnant différentiellement, qui sert à établir une liai son d'entraînement entre l'organe d'entraîne ment et l'organe de commande à des temps appropriés dans le cycle de la machine, et des moyens de commande pour régler le fonc tionnement de l'organe d'accouplement et ainsi commander le réglage de l'.embrayage du totalisateur avec les entraîneurs et,de son débrayage de ceux-ci.
Etant donné qu'un seul organe d'accou plement est employé, qui fonctionne différen- tiellement selon le genre d'opération à exécu ter pour établir une liaison motrice entre l'or gane d'entraînement et l'organe de com mande à des moments appropriés dans le cycle de la machine, la construction du mécanisme d'embrayage et de débrayage du totalisateur est grandement simplifiée en comparaison avec les mécanismes correspon dants dans les machines comptables connues.
Jusqu'à présent, de tels mécanismes compre naient un accouplement formé de plusieurs parties interposées entre l'organe d'entraîne ment et l'organe de commande, qui pouvaient adopter différents profils suivant le genre d'opération à exécuter.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue en perspective de la machine complète.
Fig. 2 est une vue de détail de l'une des touches de commande du chariot et d'une partie du mécanisme associé.
Fig. 3 est une vue schématique, en plan. du clavier de la machine.
Fig. 4 et 5 sont des vues'de détail d'une chape sélectrice de colonnes.
Fi-. 6 est une vue de détail de la touche de commande pour l'ouverture et la ferme ture de l'entrée pour l'alimentation frontale.
Fig. 7g et 7B représentent conjointement une élévation latérale de la machine vue du côté droit. ' Fig. 8 est une élévation latérale du côté droit du mécanisme de déclenchement de la machine.
Fig. 9 est une vue de détail du mécanisme de non-répétition pour l'une des touches de démarrage.
Fi-* 10 est une élévation latérale du côté droit montrant une partie détaillée du méca nisme de démarrage de la machine. Fig. 11 est un détail d'une partie du mé canisme servant à contrôler la tabulation du chariot à l'aide de l'une des touches de dé marrage.
Fig. 12 est une vue de détail du . méca nisme d'embrayage pour l'ouverture et la fer meture de l'entrée de l'alimentation frontale du chariot. Fil-. 13 est une \lie de détail du méca nisme de remise en position ou de débrayage du mécanisme d'embrayage représenté sur la fig. 12.
Fig. 11 est une élévation latérale dut côté droit montrant en particulier le mécanisme de blocage du mécanisme de déclenchement de la machine.
Fig. 15 est une vue de détail d'une partie du mécanisme provoquant la fermeture de l'entrée d'alimentation frontale lorsqu'une touche numérale est abaissée.
Fig. 16 est une vue en perspective mon trant le détail du mécanisme de blocage de la machine lorsqu'une touche numérale est par tiellement abaissée et du mécanisme de fer meture de l'entrée d'alimentation frontale lorsqu'une touche numérale ou une touche compte-Lise de postes est abaissée.
Fig. 17 est une vue de détail montrant la faon dont les touches numérales sont montées sur le sommier des touches.
Fig. 18A et 18B représentent conjointe ment une coupe longitudinale de la machine complète prise immédiatement à droite d'un des groupes nutméraux et montrant le méca nisme moteur, le mécanisme imprimeur et les rotes correspondantes des six totalisateurs associés à ce groupe numéral.
Fi-. 19 est une vue de détail montrant la façon dont les mouvements principaux sont reliés aux mouvements auxiliaires correspon dants.
Fig. 20 est une vue de détail d'une partie du mécanisme de commande de mouvement servant à compter les unités des postes enre gistrés.
Fi-. 21 est une élévation latérale vue du côté droit d'une partie du mécanisme impri- meur montrant les porte-caractères en posi tion normale ou de repos.
Fig. 22 est tune vue de détail du méca nisme d'alignement des porte-caractères.
Fig. 23 est une élévation latérale vue du côté droit, montrant l'un des porte-caractères en position d'impression et le mécanisme cor respondant du marteau imprimeur en posi tion déclenchée.
Fig. 24 est une v1te latérale agrandie prise selon la ligne 24-21 de la, fig. \'3, en regar dant dans la direction des flèches et mon trant la construction des porte-caractères.
Fi-. 95 est une vue de détail d'une partie du mécanisme de commande du marteau im primeur.
Fig. 26 est une élévation vue du côté gauche, montrant en particulier le mécanisme de débloeage des touches. ' Fig. 27 est une vue en plan par en haut d'une partie du mécanisme représenté sur la fig. 26.
Fi-. 28 est une vue de détail d'une partie du mécanisme servant à bloquer la machine lorsque l'une des touches numérales est par tiellement abaissée et à fermer automatique ment l'entrée d'alimentation frontale lors qu'une des touches ntunérales est abaissée.
Fi-. 29 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de débloeaye des touches. Fig. 30 est une vue détaillée d'une partie du mécanisme de soustraction pour detLx des totalisateurs.
Fig. 31A et 31B représentent conjointe ment une élévation latérale de la machine vue du eôfé gauche, montrant en particulier le mécanisme servant à contrôler les fonctions des divers totalisateurs.
Fig. 32 est une prolongation de la fig. 30 et montre le mécanisme supplémentaire pour contrôler l'opération de soustraction dans l'un des totalisateurs.
Fi".<B>33</B> est une élévation latérale vue (lu côté droit, d'une partie du mécanisme con trôlé par le chariot dans ses positions de ta- bulation, de manière à diriger le chariot vers une position particulière de colonnes. . Fia. 34 est une élévation latérale, vue du côté gauche, montrant le mécanisme d'em brayage du totalisateur.
Fig. 35 est une élévation latérale, vue du côté gauche, montrant une partie du méca nisme de commande de soustraction pour les totalisateurs Nos 1 et 2.
MOI. 36 est une jute de détail en perspec tive, montrant la barre d'embrayage du tota lisateur et les leviers à cames actionnant cette barre.
Fia. 37 est une vue en perspective du mé canisme servant à empêcher le déblocage ou l'abaissement des touches pendant l'opération <B>(le</B> la machine.
Fig. 38 est une élévation latérale, vue du côté gauche, montrant la façon dont les trois touches de correction déclenchent le fonction nement de la machine.
Fia. 39 est une vue en perspective d'une partie du mécanisme d'embrayage du totalisa teur.
Fia. 40 est une élévation latérale vue du côté gauche, d'une partie du mécanisme d'em brayage du totalisateur.
Fig. 41 est une vue de détail montrant le mécanisme contrôlé par les touches de non- addition et de sous-totalisation pour provo quer la non-addition des totalisateurs Nos 2, 3, 4et6.
Fia. 42 est une vue de détail du méca nisme contrôlé par les touches de correction pour provoquer la non-addition des totalisa teurs Nos 1, 5 et 6.
Fia. 43 est une élévation frontale d'une partie du mécanisme représenté sur la fia. 42. Fia. 44 est une élévation latérale vue du côté gauche, montrant la rangée des touches de commande, la coulisse de commande de sous-totalisation et une partie du mécanisme associé.
Fia. 45 est une vue schématique montrant le mouvement de la barre d'embrayage du to talisateur pour embrayer et débrayer le ou les totalisateurs sélectionnés des mouvements dans tous les types d'opération.
Fia. 46 est une élévation latérale vue du côté gauche, du groupe des touches de correc- tion et d'une partie du mécanisme de com mande associé.
Fia. 47 est une vue en plan par le haut des coulisses de commande des totalisateurs servant à contrôler les fonctions des divers, totalisateurs.
Fia. 48 représente en plan vu d'en haut une partie du mécanisme de la fi". 46 pour contrôler les divers totalisateurs dans les opé rations de sous-totalisation.
Fig. 49 est une coupe transversale de l'extrémité gauche du rouleau, prise suivant la ligne 49--49 de la fia. 118 en regardant dans la direction indiquée par les flèches.
Fia. 50 est une vue en perspective déve loppée montrant en particulier les chapes de commande de dépassement et certains méca nismes associés.
Fia. 51 est une vue de détail de la barre d'opération verticale pour l'un des jeux des pistons d'arrêt.
Fia. 52 est une élévation latérale de gau che d'une partie du mécanisme de commande du totalisateur de dépassement.
Fia. 53 est une élévation latérale de gau- -che montrant en particulier une partie du mécanisme de commande de dépassement.
Fia. 54 est une vue de détail d'une partie du mécanisme servant à contrôler l'embrayage et le débrayage du totalisateur No 1 ou de balance dans les opérations de solde du dé passement.
. Fia. 55 est une vue de détail d'une partie du mécanisme servant à contrôler l'embrayage et le débrayage du totalisateur No 1 dans les opérations de sous-balance du dépassement.
Fia. 56 est une vue de l'espacement laté ral des chapes de commande du dépassement. Fig. 57 est une vue en plan par le haut d'une partie du mécanisme de commande du totalisateur.
Fia. 58 est une élévation frontale d'une partie du mécanisme de la fi-. 48, montrant en particulier les barres verticales servant à contrôler l'embrayage et le débrayage des to talisateurs dans les opérations de soustrac tion, de totalisation et de sous-totalisation. Fig. 59 est une vue de détail de la came, du levier à came et des coulisses commandées par ceux-ci pour actionner les chapes de com mande du dépassement.
Fig. 60 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour le contrôle de la fonction du rouleau assurant l'espacement des lignes.
Fig. 61 est ime élévation latérale de gau che du mécanisme servant à débloquer lé mé canisme automatique de commande de dépas sement lorsque le totalisateur de solde est dé passé.
Fig. 62 est une élévation latérale, vue du côté gauche, du groupe des touches de correc tion montrant une partie du mécanisme qui lui est associé pour la mise en place des porte- symboles correspondants.
Fig. 63 est une élévation frontale du mé canisme représenté sur la fi-. 62.
Fig. 61 est une vue de détail montrant le mécanisme d'arrêt associé aux touches de cor rection Nos 2, 3 et 4 pour empêcher l'abaisse ment de plus d'une de ces touches à la fois.
Fig. 65 est une élévation latérale de au- ehe du mécanisme imprimeur de symboles contrôlé par les touches de correction.
Fig. 66 est une vue en perspective d'une partie du mécanisme de commande des porte symboles.
Fig. 67 est. une vue schématique montrant le mécanisme qui sert à contrôler l'ajustage d'un des 'porte-symboles.
Fig. 68 est une vue schématique du méca nisme de contrôle d'in autre porte-symboles. Fig. 69 est une vue de détail d'une partie du mécanisme représenté sur la fig. 71 pour le contrôle du ruban à encre.
Fig. 70 est une élévation frontale partielle des de la machine.
Fig. 71 est -une élévation latérale de gau che du mécanisme de contrôle de la hauteur de soulèvement du ruban à encre pour l'im pression de certains postes en couleur diffé rente.
Fig. 72 est. une vue en plan d'une partie du mécanisme de contrôle du renversement du mouvement transversal du chariot.
Fig. 73 est une vue de détail d'une partie du mécanisme représenté sur la fig. 72 pour l'embrayage du mécanisme d'accouplement servant à actionner le mécanisme de renver sement.
Fig. 74 est une vue de détail du méca nisme de remise en position du mécanisme d'accouplement représenté sur la fig. 72.
Fig. 75 est une élévation frontale du mé canisme représenté sur la fig. 72 avec plus de détails de la coulisse de renversement et les deux accouplements de renversement associés.
Fig. 76 est une vue en perspective du moyen d'exploration contrôlé par le chariot et de la came qui actionne ledit moyen d'explo ration.
Fig. 77 est un détail d'une partie du mé canisme pour le contrôle (l'un des jeux des pistons d'arrêt du tabulateur.
Fig. 78 est une vue de détail de la came d'entraînement du moyen d'exploration de la fig. 76.
Fig. 79 est une vue de détail d'une partie du mécanisme d'entraînement des pistons d'arrêt du tabulateur.
Fig. 80 est ime vue en plan des pistons d'arrêt et d'une partie du mécanisme associé. <U>Fi-.</U> 81 montre le chariot sélecteur de co lonnes ou la coulisse, ainsi (lue le mécanisme sur le chariot servant à mettre en place ledit chariot ou ladite coulisse.
Fi-. 82 est une vue de détail d'une partie du mécanisme de la fig. 81.
Fi-. 83 est une vue de détail des bras et de la chape sélecteurs de colonnes.
Fi-. 84 est une vue de détail du méca nisme à brides servant à contrôler la rni#,e en position du chariot.
Fig. 85 est une élévation, vue du côté droit, d'une partie du mécanisme pour le con trôle du mouvement du chariot vers la co lonne sélectionnée.
Fig. 86 est une vue de détail d'une partie du mécanisme d'embrayage servant à con trôler le fonctionnement du mécanisme de ta- bulation représenté sur la fig. 85.
Fig. 87 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour faire agir le mécanisme de renversement (lu mouvement du chariot. Fi-. 88 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme pour le contrôle des barres d'arrêt de tabulation ou des pistons.
Fi". 89 est une élévation latérale d'une partie du mécanisme contrôlé par le chariot dans ses positions de colonnes de tabulation et par l'une des barres de déclenchement de la machine et servant à contrôler le mouve ment d'espacement des lignes du rouleau.
Fi-. 90 est une élévation latérale, vite du côté droit, de l'une des touches sélectrices de colonnes et du mécanisme qui lui est associé pour le chariot.
Fig. 91 est une vue de détail des cames et du mécanisme associé pour l'entraînement du châssis de tête et du mécanisme aligneur pour le contrôle de la mise en position des mouve ments d'entraînement.
Fig. 92 est une élévation latérale de droite du mécanisme pour le contrôle de la mise en position du chariot à l'aide d'une des barres auxiliaires de démarrage.
Fig. 93 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour le contrôle de la mise en position du chariot à l'aide d'iuie des barres auxiliaires de démarrage.
Fig. 94 est une vue de détail montrant le mécanisme de la fig. 11 dans l'une de ses po sitions de man#uvre.
Fi-. 95 est une vue en plan du mécanisme représenté sur la fig. 92.
Fig. 96A et 96p représentent conjointe ment une vue en plan du mécanisme d'entraî nement du chariot et du mécanisme d'explo ration contrôlé par des taquets montés sur ce chariot dans des positions correspondant aux colonnes et servant à contrôler les diverses fonctions de la machine.
Fig. 97 est une vue de détail de l'accou plement et de l'engrenage qui lui est associé pour déplacer le rouleau du chariot de la po sition d'impression vers la position d'alimen tation frontale et vice versa.
Fig. 98 est une vue de détail d'un jeu de butées pour arrêter et retenir le chariot dans l'une de ses positions de colonnes.
Fig. 99 est une élévation latérale, vue dit côté droit, ou vite en bout, du chariot, le couvercle étant enlevé pour faire apparaître le mécanisme de déplacement du rouleau de la position d'impression vers la position d'avancement frontale et vice versa, ledit mé canisme étant représenté dans la position d'impression.
Fi-. 100 est une vue latérale, du côté droit, montrant les positions relatives des pièces de la fig. 99 lorsque le rouleau se trouve dans la position d'avancement frontal.
Fi g. 101 est une vue de l'extrémité droite du chariot, montrant en particulier les rou leaux de pression supérieur et inférieur pour la feuille du journal en position active.
Fig. 102 montre une partie dit mécanisme de la fig. 101 et la commande de ce méca nisme par un levier manuel pour dégager les rouleaux de pression supérieur et inférieur du rouleau afin de faciliter l'insertion d'une feuille de journal.
File. 103 est une coupe transversale du chariot, montrant certains détails de ses par ties importantes. - Fig. 104 est une coupe transversale d'un des blocs de commande du chariot, montrant deus des taquets de commande et les leviers explorateurs coopérant avec ces taquets.
Fig. 105 est une coupe transversale d'une partie du mécanisme pour le contrôle de di verses fonctions de la machine au moyen du chariot dans ses positions de colonnes sélec tionnées.
Fig. 106 est une coupe d'une partie du mécanisme d'exploration pour le contrôle de la sélection des divers totalisateurs à l'aide du chariot dans ses positions de colonnes sé lectionnées.
Fin.<B>107</B> est une vue de détail du méca nisme représenté aux fi-. 99 et 100.
Fig. 108 est une vue de détail d'une autre partie du mécanisme représenté aux fi-. 99 et 100.
Fig. 109 et 110 montrent les détails du mécanisme recouvrant les fentes pratiquées dans les plaques d'extrémité traversées par le rouleau. Fig. 111 est -une vue de détail du méca nisme pour l'espacement automatique ou l'avancement vertical du rouleau.
Fig. 112 est une vue de détail de la roue à rochet et du cliquet d'avancement et du linguet d'arrêt pour le mécanisme d'espace ment des lignes.
Fig. 113 est une vue de détail du levier manuel et du mécanisme associé servant à contrôler l'importance du mouvement du mé canisme d'espacement des lignes.
Fig. 114 est une vue de détail des cames et du mécanisme associé pour l'entraînement du mécanisme d'espacement des lignes ou d'avancement vertical.
Fig. 115 est une vue de détail des cames et du mécanisme associé pour l'entraînement du mécanisme d'ouverture de l'entrée.
Fig. 116 est une vue de détail dit méca nisme de démarrage automatique de la ma chine contrôlé par certaines touches de com mande et par le chariot dans ses positions de colonnes.
Fig. 117 est une reproduction d'im frai. ment d'une feuille portant un état illustrant un mode d'utilisation de la machine repré sentée et décrite.
Fig. 118 est une vue partielle du chariot en plan.
Fig. 119 est une vite clé détail du méca nisme pour le contrôle de la tabulation du chariot et pour le contrôle de l'espacement des lignes du rouleau au moyen de la barre de démarrage principale.
Fig. 120 est une vue de détail du levier manuel et du mécanisme sélecteur associé pour faire varier le contrôle des barres de dé marrage de la machine par le mécanisme, ta bulateur et le mécanisme d'espacement des lignes.
Fig. 121 est une vue de détail de l'une des barres de ciéniarraae auxiliaires et du méca nisme associé pour contrôler le mouvement' d'espacement des lignes ou d'avancement ver <B>tical du rouleau.</B>
Fig. 122 est une vite clé détail d'une partie du mécanisme pour le contrôle (lu mouve ment de colonne en colonne du chariot. Fig. 123 est une élévation latérale, vue du côté droit, du mécanisme contrôlé par le tota lisateur de balance et par la touche Non Auto pour rendre inopérant le mécanisme de démarrage automatique de la machine.
Fig. 124 est une élévation, vue du côté droit, d'une partie du mécanisme pour le con trôle de l'opération de tabulation du chariot et d'espacement des lignes par le rouleau dans des opérations automatiques de la ma chine.
Fig. 125 est une vue de détail de la barre verticale pour le contrôle d'un jeu de pistons d'arrêt du tabulateur.
Fi-<B>126</B> est une vite de détail d'une partie du mécanisme associé au mécanisme repré senté sur la fig. 124 pour le contrôle clé cer taines fonctions du chariot et du rouleau clans des opérations automatiques de la machine.
Fia. 127 est un tableau de distribution (les temps représentant graphiquement les divers mouvements des mécanismes importants réa lisés clans la machine représentée et décrite. Bâti.
Le bâti principal de la machine représen tée comprend un châssis de droite 130 (fig. 7A, 18p et 96B) et un châssis clé gauche 131 (fig. 18A, 57 et 96A) fiés sur une base 132 de la machine; ces châssis droit et gauche sont fixés l'un par rapport à l'autre par un châssis transversal 133 (fig. 18B, 76, 96A et 96B) et par divers autres châssis latéraux, tiges et arbres.
Les totalisateurs de la ma chine sont montés sur un bâti 13-1 (fig. 18B) comprenant des châssis de droite et clé gau che et divers châssis latéraux, tiges et arbres: ledit bâti est fixé sur la base 132 de la ma chine (fig. 1, 7A et 7B).
La présente machine est pourvue d'un cha riot 136 mobile latéralement (fig. 1, 1S-1 et 18B), supporté dans ses motivent cnts par des rails 137 et 138 (voir aussi fi'. 96:1 et<B>90)</B> <B>(lui sont</B> à leur tour fixés <B>à (les</B> ehâ511s 139 et 1-10 de support du chariot montés sur la base 132 de la machine. Le rail 137 est é-alenicnt fixé aux châssis (le droite et de lauelie 130 et 131 et contribue à supporter convenable ment lesdits
châssis l'un par rapport à l'autre.
Le mécanisme de la machine est enfermé dans un carter 141 (fig. 1 et 713) qui est, à son tour, fixé sur la base 132 de la machine. Illécanisme d'opération.
Le mécanisme principal de la machine est entraîné par un moteur électrique du type usuel (non représenté) monté sur la surface inférieure de la base de la machine. Le mo teur électrique entraîne par engrenage un or gane de commande par accouplement (non re présenté) supporté de façon à tourner sur un arbre 14? (fig. 8) qui est, lui-même, sup porté par le bâti<B>du moteur.</B> Sur l'arbre 142 est également monté à rotation un organe 143 entraîné par accouplement, une came 144 et une roue dentée 145 solidaires de cet organe.
L'organe 143 entraîné par accouplement est pourvu d'un épaulement accentué qui est nor malement en prise avec le doigt d'-un, levier 1-16 de commande d'embrayage fixé à un le vier associé 1-17, les deiLt leviers étant montés fous sur un axe 148 fixé sur le bâti du mo teur. Un ressort 149 relativement puissant entraîne les leviers 146 et 147 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre ou de débray age.
Un prolongement du levier 147 dirigé vers le haut est pourvu d'une fente qui entoure un goujon 150 fixé sur l'une des extrémités d'une articulation 151 (font l'autre extrémité pivote en un point 152 sur un bras 153 monté libre ment sur un goujon 154 fixé au châssis de droite 130. L'extrémité inférieure du bras 153 est fendue pour chevaucher un goujon 155 d'une coulisse de démarrage 156 montée de manière à se déplacer à l'aide de fentes parallèles en coopération avec des goujons 157 et 158 fixés sur le châssis de droite 130.
La coulisse 156 (fig. 8 et 11.6) a un bec re plié 159 en contact avec un épaulement d'un verrou de déblocage<B>160</B> monté librement sur un goujon 161 fixé sur le châssis de droite 130. Un prolongement dirigé vers le haut du verrou 160 coopère avec l'une des surfaces d'un prolongement d'un taquet 162 fixé sur une articulation 163 dont les extrémités oppo sées pivotent respectivement sur des bras si milaires 164 et 165 montés librement sur des goujons 166 et 167 fixés dans une plaque 16S (fig. 7A et 10) filée à son tolu' par (les vis 169 au châssis principal 130.
L'articulation de démarrage 163 (fig. 8) est commune et coopère avec trois barres de démarrage dont la machine est munie, e5est- à-dire une barre principale ou barre de dé marrage 170, une barre 171 de démarrage d'alimentation verticale et une barre 17 2 , de démarrage du tabulateur. Les trois barres de démarrage sont montées sur la plaque 168 (fig. 7A et 10) de manière à être abaissées à l'aide des bords latéraux parallèles des barres en coopération avec quatre douilles à épaule ment 173 montées sur quatre goujons simi laires 174 fixés à cette plaque 168.
Les barres de démarrage sont retenues à l'encontre du déplacement latéral par des rondelles 175 (fig. 7A) montées folles sur les goujons 174 et retenues à l'encontre du déplacement laté ral sur les goujons à l'aide d'attaches de freinage à ressorts qui s'engagent dans des rainures annulaires prévues dans les extrémités de ces goujons.
Les barres de démarrage 170, 171 et 172 sont fendues et entourent des parties plus minces de douilles à épaulement 176 montées folles sur des goujons 177 fixés sur la plaque 168, ces barres de démarrage étant retenues sur les douilles à épaulement 176 par des rondelles et attaches de freinage similaires à celles em ployées sur les goujons 174.
Les parties supérieures des barres de dé marrage 170, 171 et 172 sont reliées aux par ties inférieures de ces barres de façon amo vible; ces parties supérieures comprennent des touches sous forme de blocs qui passent par des ouvertures correspondantes pratiquées dans une plaque de protection<B>178</B> des barres de démarrage (fig. 7A, 8 et 10) fixée aux pattes repliées de la plaque 168. La surface supérieure de la plaque de protection 178 est au niveau et forme le prolongement de la sur face supérieure de la plaque supérieure du clavier numéral comme indiqué sur la fin. 1.
Dans les extrémités inférieures des barres de démarrage 170, 171 et 172 (fig. 10) sont fixés des goujons 179 portant des galets qui, à leur tour, s'engagent dans des fentes correspon dantes pratiquées dans la plaque 168 pour contribuer, d'autre part, au montage des bar res de démarrage en vue de leur mouvement sur cette plaque 168. Les goujons 179 coopè rent avec des doigts de plaques de verrouil lage 180 et 181 dont les extrémités supé rieures pivotent sur deux des goujons 174; ces plaques de verrouillage servent à bloquer et à empêcher l'abaissement de deux barres de démarrage de la manière connue, lorsque l'autre barre de démarrage est abaissée.
Chacune des barres de démarrage 170, 171 et 172 coopère avec l'articulation de démar rage 163 (fig. 8) exactement de la même ma nière; on estime donc qu'il suffira de décrire la façon dont l'une de ces barres, par exem ple la barre de démarrage 172, coopère avec cette articulation.
Sur l'articulation de démarra-e 163 est fixé un bloc 182 similaire au bloc 162, pourvu d'un prolongement en équerre qui coopère avec un goujon 183 d'un levier 184 pivotant sur le goujon 177 de gauche. Un ressort 185 entraîne le levier 184 dans le sens des aiguil les d'une montre pour normalement mainte nir le prolongement supérieur en forme de crochet du levier en contact avec un goujon 186 de la barre de démarrage du tabulateur 172.
L'abaissement de la barré de démarrage 172 a pour effet de placer le goujon 186 au- dessous du prolongement en forme de crochet du levier 184 pour abandonner ledit levier à l'action du ressort 185 qui aussitôt entraîne le levier dans le sens des aiguilles d'une mon tre, ce qui déplace, du fait du goujon 183 et du bloc 182, l'articulation 163 en avant, ou à gauche si on regarde la fi-. 8, simultané ment avec le levier.
Le mouvement en avant de l'articulation 163 à l'aide du prolongement en équerre du bloc 182 entraîne le verrou clé déblocage 160 (fig. 8 et 116) simultanément dans le sens contraire des aiguilles d'une montre de manière à dégager l'épaulement de ce levier du doigt 159 de la coulisse 156 afin d'abandonner cette coulisse et les pièces asso ciées à l'action du ressort 119. A l'aide des leviers 116 et 147, l'articulation 151 et le bras 153, le ressort 119 déplace la coulisse 156 immédiatement en avant lorsque ces leviers 116 et 147 se déplacent dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du levier 116 dans ce sens dégage l'extrémité arrière dudit levier de l'épaulement d'arrêt sur l'organe 143 entraîné par accouplement, de manière à embrayer cet organe entraîné de la manière habituelle avec l'organe d'accou plement moteur. Le mouvement de débrayage du levier 147 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre met -an goujon (fig. 8) 190 par son extrémité inférieure en contact avec un levier 191 d'interrupteur, de manière à fermer l'interrupteur du moteur; en même temps l'organe d'accouplement entraîné 143 est débrayé de manière à faire entraîner la, machine par le moteur principal.
Le méca nisme d'interrupteur relié au levier 191 (fig. 8) n'est pas représenté, mais on peut utiliser n'importe quel mécanisme interrup teur approprié.
Lorsque l'organe entraîné par l'accouple ment dans le sens contraire des aiguilles d'une montre a accompli un tour, la came 1-14 s'engage sur un galet 187 porté par un pro longement dut levier 117 diri-,é vers le bas, lequel, comme on se rappelle, est fixé au le vier 146, pour placer l'extrémité arrière du- dit levier sir le chemin de l'épaulement de l'organe entraîné 143 par l'accouplement, afin de terminer le mouvement dudit organe en traîné et de débrayer en même temps le mé eanisme d'accouplement.
La forme clé la came 144 est telle que ce mouvement de remise eu position dans le sens des aiguilles d'une mon tre du levier 147 ramène, par l'articulation 151 et le bras 153, la coulisse en arrière de façon à placer le doigt 159 au-delà de l'épau lement du verrou de déblocage 160 et ensuite, lorsque la came 14-1 est dégagée du galet 187, le ressort 1-19 ramène la coulisse à la position normale oui le doigt 159 s'engage sur le ver rou 160 pour retenir ladite coulisse et les leviers 1.16 et 147 en positions débrayées, comme indiqué.
Une fois le mécanisme interrupteur da moteur comprenant le levier 191 rendu actif, comme expliqué ci-dessus, il reste actif, actionne continuellement le moteur principal ainsi que le moteur auxiliaire pour l'en traînement du chariot jusqu'à ce qu'un mé canisme à retardement (non représenté), actionné par un train d'engrenages relié au moteur principal, coupe ou rétablisse ledit mécanisme interrupteur après que ledit mo teur a tourné pendant un certain temps sans que la machine ait été manoeuvrée par dé brayage du mécanisme d'accouplement,
comme expliqué ci-dessus. Chaque fois que l'organe entraîné 143 de l'accouplement fait un tour, la came 144 ramène, en coopération avec le mécanisme (non représenté), le mécanisme à retardement à sa position initiale.
Un mécanisme similaire à celui qu'on vient de décrire pour la barre de démarrage 172 (fig. 8) est prévu pour les barres de démar rage 170 et 171 pour décleriéher la machine.
Un mécanisme représenté sur les fig. 8, 9 et 14 a été prévu pour bloquer la barre de démarrage 172 contre toute manoeuvre, à moins que certaines conditions ne soient rem plies.
Ce mécanisme comprend un bras 192 monté librement sur le goujon 174 de gauche; ce bras est fendu pour recevoir le goujon 186 qui se trouve, comme on se rappelle, sur la tige de la barre de démarrage 172. Le bras 7.92 possède un prolongement dirigé vers le haut qui coopère avec un goujon 193 fixé sur une barre de blocage 194 montée de façon à pouvoir glisser grâce à trois fentes simi laires en coopération avec trois des goujons 174.
Le ressort 185 (fig. 8 et 9), tendu entre le bras 192 et le levier 184, entraîne ce bras 192 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en faisant entraîner, à l'aide de ce bras coopérant avec le goujon 186, la barre de démarrage 172 vers le haut. Un ressort 195 entraîne la barre 194 vers l'avant de manière à maintenir le goujon 193 normalement en prise avec le prolongement dudit bras 192 di rigé vers le haut.
La barre 194 (fig. 14) porte sur son extrémité postérieure un bloc 196 pourvu d'un épaulement qui coopère avec trois lin- guets d'arrêt 197, 198 et 199 pivotant sur un axe 200 fixé sur la plaque 168.
Le linguet 197 est commandé par un mécanisme explo rateur de la feuille de journal; lorsqu'une feuille de journal n'est pas convenablement insérée autour du rouleau, ce linguet se place sur le trajet parcouru par l'épaulement du bloc 196 pour interdire le mouvement en arrière de la barre 194, de manière à empê cher le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 192, lequel, à son tour, empêche l'abaissement de la barre de démar rage 172.
Le linguet d'arrêt 198 est com mandé par les touches numérales et comp- teuses de postes et, si une de ces touches est partiellement abaissée, le linguet 198 se met sur le trajet de l'épaulement de la butée 196 pour interdire le mouvement en arrière de la barre 194 et ainsi empêcher l'opération de la machine lorsqu'une touche numérale se trouve dans une position partiellement abais sée.
Le linguet d'arrêt 199 est commandé par le chariot et, lorsque ce chariot n'est pas dans une position correspondant à une colonne, ce linguet reste sur le chemin de l'épaulement du bloc 196 pour interdire le mouvement de dégagement en arrière de la barre 19-1, de manière à empêcher le fonctionnement de la machine lorsque le chariot ne se trouve pas dans une position de colonne appropriée.
On donnera ci-après une description com plète du fonctionnement des linguets d'arrêt 197, 198 et 199 avec la description de leurs mécanismes de commande respectifs.
Lorsque la barre de démarrage 172 (fig. S et 9) est enfoncée, l'extrémité supérieure du levier 184 en forme de crochet verrouille le goujon 186 pour retenir ladite barre en posi tion abaissée. La remise en position du levier 184 sous l'action de l'articulation de déblo cage, ainsi qu'on va l'expliquer, place l'extré mité supérieure en forme de crochet de ce levier en dehors du chemin du goujon 186 -pour permettre au ressort 185 de ramener la barre 172 du moteur vers le haut à la po sition non abaissée.
On a prévu un mécanisme similaire à celui qu'on vient de décrire pour bloquer les barres de démarrage 170 et 171 contre l'abaissement lorsqu'un des linguets 197, 198 ou 199 est actif. Les leviers 184 se posent sur les goujons 186 pour bloquer les barres motrices 170-172 en positions abais sées. correspondant à l'abaissement normal des barres.
La fonction alternative des barres mo trices, décrite ci-après de façon plus détaillée, s'accomplit en les abaissant à un niveau plus bas et en les maintenant abaissées jusqu'au moment, dans le cycle de la machine, où le mécanisme soumis aux conditions d'un tel abaissement complet puisse fonctionner.
On a prévu un mécanisme actionné par la coulisse 156 (fig. 8 et 116) pour ramener l'articulation 163 en arrière de la position normale, de manière à dégager la barre de démarrage 172 abaissée.
Dans la coulisse 156 est pratiquée une fente 201 par laquelle passe un goujon<B>202</B> fixé sur l'un des bras d'un levier coudé 203 monté fou sur l'axe 154. Le levier coudé 203 est fendu pour recevoir un goujon 20-1 d'un bras 205 de remise en position de l'articula tion, ce bras étant monté librement sur le goujon 161. Le mouvement de la coulisse 156 en avant, comme expliqué ci-dessus, lorsque la machine est déclenchée, n'a pas d'effet sur le bras 205 grâce au jeu dans la fente 201.
Mais le mou vement de retour de cette coulisse au-delà de la position normale sous l'action de la came 144 fait déplacer par cette fente 201, en co opération avec le goujon 202, le levier coadé 203 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer, à son tour, le bras 205 de remise en position dans le sens des aiguilles d'une montre en obligeant l'exti:3- mité supérieure de ce bras 205 en<I>forme</I> de doigt en coopération avec le prolongement du bloc 162 à ramener l'articulation 163 en arrière, on vers la droite en regardant la fit. 8.
Le mouvement de remise en position en arrière de l'articulation 163 oblige cette articulation à déplacer le levier 184 en forme de crochet dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de façon à mettre l'extrémité supérieure de ce levier hors du chemin du goujon 186 pour permettre à la barre de dé marrage 172 de retourner sous l'action clu ressort vers le haut à la position non abaissée de la manière expliquée ci-dessus. Le mouve ment de remise en position de la barre de dé marrage 172 (fig. 8) et du bras 192 permet au ressort 195 de ramener la barre de blocage 194 en avant à la position normale repré sentée.
Un ressort 206 (fig. 8), tendu entre le bras 205 et le verrou 160, entraîne ces pièces respectivement dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse pour maintenir normalement une partie de ce bras 205 en contact avec un goujon d'arrêt 207 fixé sur la plaque 168 et pour engager l'épaulement du verrou 160 sur le doigt 159 lorsque la coulisse est ramenée en arrière en fin d'opération de la machine, comme expli qué ci-dessus, de manière à tenir ladite cou lisse normalement dans la position inchangée, comme indiqué.
On a prévu un mécanisme pour empêcher des opérations répétées de la machine au cas où la barre de démarrage 172 serait par inattention retenue en position abaissée en fin d'opération de la machine.
Les fil-. 8 et 9 illustrent ce mécanisme qui comprend un épaulement 209 sur le levier 184, épaulement qui coopère avec une dent d'un verrou 27.0 monté librement sur le gou jon 174 et entrainé dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort<B>211</B> tendu entre ce verrou 210 et un ergot 212 fixé sur le bras 192 de façon à maintenir normalement un prolongement de ce verrou en contact avec ledit ergot 212.
Lorsque la barre 194 se trouve dans sa po sition avant ou normale, comme représenté, l'ergot 212 en coopérant avec le prolonge ment du verrou 210 dirigé vers le haut main tient la dent dudit verrou hors de prise avec l'extrémité supérieure du levier 184. Le mou vement du goujon 186 vers le bas (fig. 8 et 9), lorsqu'on abaisse la barre de démarrage 172, déplace le bras 192 dans le sens des aiguilles d'une montre, ainsi qu'il a été expli qué précédemment, de manière à dégager le goujon 212 du verrou 210 pour libérer ce verrou pour le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 211.
Lorsque la barre de démarrage 172 est retenue en fin d'opération de la machine dans la. position abaissée, le mouvement de retour du levier 184 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'influence de l'ar ticulation 163, comme il a été expliqué ci- dessus, permet à la dent du verrou 210 de s'engager sur l'épaulement 209 pour fier le dit levier dans sa. position rétablie en empo chant ainsi ce levier de déplacer à nouveau l'articulation 163 en avant pour déclencher le fonctionnement de la machine de la manière décrite précédemment.
L'absence de pression sur la barre de démarrage 172 permet au res sort 185 de ramener cette barre 172 et le bras 192 vers le haut, de façon à placer le gou jon 186 sur le chemin du bout en forme de crochet du levier 184 et à obliger l'ergot 212 à s'engager sur l'épaulement du verrou 210 pour dégager ledit verrou de l'épaulement 209 dudit levier.
Les barres de démarrage 170 et 171 (fig. 8) ont exactement le même mécanisme de non-répétition que* celui décrit pour la barre de démarrage 172 afin d'empêcher des opérations répétées si ces barres sont main tenues par inadvertance en fin d'opération de la machine, en position abaissée.
La roue dentée 145 (fig. 8), qui fait par tie de l'organe entraîné par l'accouplement, engrène avec une roue dentée folle 213 mon tée sur un axe 21.1 fixé dans le bâti du mo teur; cette roue 213 engrène à son tour avec une roue dentée 215 d'entraînement de l'ar bre à cames calée sur un arbre principal 216 à cames qui tourne dans le bâti principal de la machine.
Ainsi qu'il a été expliqué précé demment, l'organe entraîné de l'accouplement, y compris la roue 145, fait à chaque opération de la machine un tour dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et entraîne, par l'intermédiaire de la roue folle 213, la roue dentée 215 et l'arbre principal 216 à cames pendant une révolution dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, ledit arbre prin cipal entraînant à son tour le mécanisme prin cipal de la machine proprement dit pour faire fonctionner ce mécanisme.
Outre le déclenchement du fonctionne ment de la machine, les barres de démarrage 170, 171 et<B>172</B> contrôlent d'autres fonctions de la machine; les mécanismes servant à con trôler ces fonctions seront décrits plus tard en même temps que d'autres mécanismes aux quels ils sont associés.
En dehors des barres de démarrage 170, 171 et 172, l'opération de la machine peut être déclenchée par certaines touches de com mande et à l'aide du chariot dans des posi tions de. colonnes sélectionnées; mais ce méca nisme de démarrage concerne plutôt le méca nisme du chariot et sera expliqué ci-après avec ce mécanisme.
<I>Clavier en</I> général.
En se reportant à la fig. 3, qui représente une vue schématique en plan du clavier, on voit que la machine représentée comprend onze rangées de touches numérales 218 et trois rangées de touches 343 compteuses de postes qui sont sous tous rapports similaires aux touches numérales et sont montées, avec ces touches numérales, dans un sommier de touches amovible.
Immédiatement à gauche des touches 343 compteuses de postes se trouve une rangée de touches de correction 369 à 372 incluse, employées pour corriger des erreurs dans certains des totalisateurs et pour contrôler d'autres fonctions de la ma chine. g gauche des touches de correction se trouve une rangée de touches de commande 374 à 380 incluse, servant à contrôler les di verses fonctions des totalisateurs;
en plus de ces touches de commande, une touche de dé blocage 381 sert à débloquer toutes les tou ches du clavier principal, y compris les tou ches numérales, les touches comptcuses <B>de</B> postes, de correction et de commande. Immédiatement au-dessus des touches nu mérales et des touches compteuses de postes se trouve une série de touches de commande (lu chariot pour contrôler le dispositif de sé lection de colonnes et pour contrôler l'ouver ture et la fermeture de la goulotte d'alimen tation frontale ainsi que la rotation du rou leau pour l'espacement des lignes sur le sup port d'enregistrement.
Au-dessous du clavier numéral est situé un clavier auxiliaire comportant des touches Mensuelles 383, des touches des dizaines Journalières 384, des touches des imités Journalières 385, des touches Annuelles 386, des touches de liste 390, une touche Noire 393 pour le contrôle de l'impression du ruban bicolore et une touche de déblocage 395 pour débloquer toutes les touches du clavier auxi liaire. Les claviers, principal et auxiliaire, contiennent aussi divers verrous pour le con trôle de l'abaissement et du déblocage de cer taines touches.
AZLx barres 170, 171 et 172 de démarrage de la machine, situées du côté droit sur le clavier principal, est associé un mécanisme à commande sélective servant à contrôler cer taines fonctions de la machine et du chariot; le fonctionnement de ce mécanisme à commande sélective peut être varié à l'aide d'une coulisse de commande 1808 ajustable à la main et montée sur le clavier principal entre la barre de démarrage 170 et la première rangée des touches numérales 218.
Clavier niv)eéral.
Le clavier numéral comporte une série de rangées dénominatrices de touches 218 et trois rangées de touches de postes 313 (fig. 1 et 3), montées sur un sommier de touches compor tant une plaque supérieure 188 (fi-. 1 et 18A) et une cloison 189 (fig. 17), pour cha que rangée dénominatriee, ces cloisons étant fixées à ladite plaque supérieure.
Dans cha- eime des cloisons 189 est pratiquée une fente dans laquelle s'engage une barre 245 suppor tée par une tige 208 qui est fixée dans les deux châssis principaux 130 et 131; les fentes desdites cloisons s'engagent également dans des rainures correspondantes de cette tige 208. Chacune des cloisons 189 possède -une encoche qui s'engage sur une rainure annu laire correspondante d'une tige frontale 217 supportée par les châssis 130 et 131. La pla que supérieure 188 du clavier numéral repose sur des surfaces angulaires ménagées sur les châssis principaux 130 et 131 et est maintenue en position par un mécanisme de verrouillage.
En libérant le mécanisme de verrouillage, on peut enlever le clavier niunéral de la machine comme un ensemble lorsqu'on le désire.
Chacune des cloisons 189 supporte une rangée dénominatrice de touches numérales 218 et, comme le mécanisme est essentielle ment le même dans chaque ordre, la descrip tion du mécanisme associé à l'ordre dénomi nateur représenté sur les fig. 17 et 18A suffira.
Les extrémités supérieures des tiges des touches numérales 218 pour l'ordre dénomi nateur représenté aux fig. 17 et 181 sont sup portées à glissement dans une fente formée par des pattes repliées dans le bord supérieur de la cloison 189, alors que les extrémités inférieures desdites tiges sont supportées à glissement à l'aide de goujons carrés 219 fixés dans ces tiges et qui passent au travers de fentes correspondantes pratiquées dans ces cloisons 189. Une barre 220, fixée à la cloison 189, s'étend en travers des extrémités infé rieures des tiges de toutes les touches numé rales 218 pour empêcher ces touches de s'écar ter de cette cloison 189.
Chacune des touches numérales 218 porte un ergot 221 qui se trouve au-dessus des enroulements d'un res sort 222 s'étendant sur toute la longueur (le la cloison 189 et attaché par les extrémités opposées à des goujons de cette cloison; en fait, ledit ressort 222 passe alternativement sous un ergot 221 et sur -un ergot 223, les ergots 223 étant fixés sur cette cloison 189. Le ressort 222, en coopérant avec les ergots 221, pousse les touches 218 vers le haut en position non abaissée, comme représenté, et ramène ces touches immédiatement à la position haute lorsqu'elles sont libérées après avoir été abaissées.
Les ergots 221 des touches 218 passent par des ouvertures correspondantes pratiquées dans une plaque de verrouillage 224<B>(fin.</B> 18A); ces ouvertures sont munies de dents qui co opèrent avec lesdits ergots pour verrouiller les touches dans la position non abaissée pen dant le fonctionnement de la machine. Les ergots 221 passent également par des ouver tures correspondantes pratiquées dans une plaque de détente 225; ces ouvertures sont munies de dents qui coopèrent avec lesdits ergots pour retenir les touches dans la posi tion abaissée.
Les ergots 221 passent égale ment par des ouvertures correspondantes pra tiquées dans une plaque de commande 226; ces ouvertures sont pourvues de surfaces for mées en cames angulaires sur lesquelles ces ergots agissent pour déplacer ladite plaque en avant lors de l'abaissement -d'une touche nu mérale. Les plaques 224, 225 et 226 sont sup portées de manière à pouvoir se déplacer horizontalement entre des galets montés sur quatre goujons 227 qui sont fixés sur la cloi son 189.
Un ressort 228, tendu entre les pla ques 225 et 226, entraîne ces plaques respec tivement en avant et en arrière de manière à maintenir des bossages sur les bords supé rieurs desdites plaques en contact respective ment avec un bras correspondant 229 fixé dans un arbre à fente 230 et avec un bras cor respondant 231 filé dans un arbre à fente 232; ces deux arbres sont montés à oscillation dans le sommier des touches.
Un ressort 233 (fig. 18A) maintient une saillie de la plaque de verrouillage 224 dirigée vers le haut en contact avec un bras corres pondant 234 fixé dans un arbre fendu 235 qui tourne à son tour dans le sommier des touches.
L'abaissement d'une touche numérale 218 quelconque (fig. 18A) fait passer l'ergot 221 à côté de la dent de l'ouverture correspon dante dans la détente 225, à la suite de quoi le ressort 228 ramène cette détente en avant de façon à la placer au-dessus de l'ergot pour retenir la touche contre l'action du ressort 222 en position abaissée. Vers la fin des opé rations d'addition et de soustraction, l'arbre 230 se déplace dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en faisant déplacer la détente 225 par le bras 229, en coopération avec le bossage vers l'arrière contre l'action du ressort 228 pour libérer la touche numé rale abaissée, de sorte qu'elle puisse remonter vers la position non abaissée sous l'action du ressort 222.
Vers le commencement de l'opé ration, l'arbre 235 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre et ramène, à l'aide du ressort 233, la plaque de verrouillage 224 en arrière de manière à placer ses dents au-des-, sous des ergots 221 des touches numérales 218 non abaissées pour empêcher l'abaissement de ces touches pendant l'opération de la ma chine. Vers la fin de l'opération, l'arbre 235 est ramené dans le sens contraire des aiguil les d'une montre pour mettre les plaques de blocage 224 dans des positions inopérantes.
L'abaissement d'une touche numérale 218 quelconque déplace la plaque de commande 226 à l'aide de l'ergot 221, en coopération avec la surface-came angulaire de l'ouverture correspondante de la plaque, vers l'avant contre l'action du ressort 228. Le mouvement de la plaque de commande 226 en avant agit sur l'extrémité antérieure de celle-ci, en co opération avec un prolongement dirigé vers le haut d'un verrou de zéro 236 monté libre ment sur im goujon 237 de la cloison 189 pour déplacer ce verrou dans le sens con traire des aiguilles d'une montre contre l'ac tion d'un ressort 238 tendu entre ledit pro longement de ce verrou et la plaque de com mande 226.
Le mouvement du verrou de zéro 236 dans le sens indiqué dégage une dent du verrou d'un bloc 239 fixé sur un bloc-moteur 240 pour cette rangée dénominatrice de tou ches; ce bloc-moteur est supporté de manière à se déplacer horizontalement dans une fente correspondante de la tige 208 et dans une fente correspondante d'une tige 241 supportée par les châssis principaux 130 et 131. La barre 245, fixée à la tige 208, se trouve au- dessus d'une surface horizontale formée par une ouverture dans l'extrémité antérieure du bloc-moteur 240 pour le retenir dans la fente correspondante de ladite tige 208.
Le verrou de zéro 236 évite, comme on sait, la nécessité de prévoir une touche de zéro et maintient, en coopération avec le bloc 239, le bloc-moteur 240 en position zéro lors qu'il n'y a pas de touche numérale 218 abais sée. L'abaissement d'une touche numérale 218 quelconque place naturellement le verrou de zéro dans une position inopérante pour libérer le bloc-moteur 240 en vue des mouvements aller et retour, ainsi qu'il sera expliqué ci- après.
Bloc-nzoteurs numéraux.
Le bloc-moteur 240 est relié par une arti culation 242 à pivot réglable (fig. 18A, 18B et 19) à une crémaillère auxiliaire correspon dante 243 montée à glissement horizontal à l'aide de trois fentes parallèles en coopéra tion avec trois barres à encoches 244 fixées dans le bâti 134 des totalisateurs. La crémail lère 243 est pourvue de trois jeux de dents sur le bord supérieur et de trois jeux de dents sur le bord inférieur, qui coopèrent respecti vement avec les roues dénominatrices corres pondantes des totalisateurs Nos 1 à 6 inclus.
Dans le bloc-moteur 240 est pratiquée une fente verticale 2-17 dans laquelle s'engage un goujon 2-18 d'un bras réducteur 249 monté fou sur un arbre 250 qui tourne dans les châssis 130 et 131 et ce bras 249 est relié par des bras effilés à un segment correspondant 251 également monté fou sur ledit arbre 250. Un ressort 252 maintient normalement une surface 253 du bras 249 en contact avec une barre 254 de remise en position du bloc-mo teur (fig. 18B et 91), barre qui s'étend entre deux bras similaires 255 fixés sur l'arbre 250. Le ressort 252 est tendu entre une patte re pliée du bras 249 et une plaque à crochet 256 fixée sur la barre de remise en position 254.
Sur l'extrémité gauche de l'arbre 250 (fig. 91) est fixé un bras 25ï dans lequel est pratiquée -une fente 258 qui coopère avec un galet 259 monté sur un levier à came 260 qui pivote sur un axe 261 fixé sur le châssis gau che 131. Le levier 260 porte des galets 26'. et 263 qui coopèrent respectivement avec les pé riphéries de cames associées 264 et 265 calées sur l'arbre principal 216 à cames et qui sont entraînés par celles-ci pendant un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, comme indiqué sur la fi-. 91, ou pendant un tour dans le sens contraire, comme indiqué sur la fi-. 18A.
La rotation des cames 26-1 et 265 oblige le galet 259 à déplacer, en coopération avec la fente 258, l'arbre 250 et la barre 25-1 d'abord dans le sens contraire des aiguille d'une montre et retour à la position normale, comme indiqué sur la fig. 18A, conformément aux temps indiqués sur la ligne 1 du tableau de distribution des temps (fi-. 127).
L'abaissement d'une touche numérale 218 (fig. 18A), comme expliqué précédemment, déplace la plaque de commande 226 en avant pour dégager le verrou de zéro 236 du bloc 239 de manière à dégager le bloc-moteur 2-10 pour le mouvement en arrière sous l'action de la barre de remise en position 254 et place simultanément le goujon carré 219 de cette touche abaissée sur le chemin du cran corres pondant d'une série de crans 266 que pré sente le bord supérieur du bloc-moteur 2-10. Le mouvement initial de la barre ?54 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 18A) à l'aide du ressort 252 porte le bras 2-19,
le bloc-moteur 240 et simultanément la crémaillère correspondante 2-13 en arrière jusqu'à ce que le cran 266 entre en contact avec le goujon 219 de la touche 218 abaissée pour placer ce bloc-moteur, ce bras 2-19 et cette crémaillère 243 dans une position cor respondant à la valeur de la touche abaissée.
En se reportant à la fig. 18A, on voit qu'il n'y a pas sur le bloc-moteur 240 de cran cor respondant au goujon de la touche du 9; l'abaissement de cette touche dé.age le verrou de zéro et permet au bloc-moteur 240 de se déplacer en arrière de toute sa course jusqu'à ce qu'in épaulement 267 s'engage sur la tige 208 de manière à amener ce bloc-moteur et la crémaillère en position a ' Après que le bloc-moteur 2-10 a été amené en position sous l'action -de la touche \_'18 abaissée et que la barre 25-1 a terminé son mouvement initial dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 18A),
une barre d'alignement 268 s'engage dans l'encoche eor- respondante d'une série d'encoches d'aligne ment 269 pratiquées dans une partie en sec teur du bras 249 de manière à aligner ce bras, ce bloc-moteur et la crémaillère 243 dans les positions ajustées. La barre d'alignement 268 s'étend entre des bras de droite et de gauche 270 (seul le bras gauche est ici repré senté) pivotant sur des tourillons 271, dia métralement opposés, dans les châssis 130 et 131.
Dans le bras gauche 270 est ménagée une fente<B>272</B> qui coopère avec un galet 273 du levier 260 dont le mouvement sous l'action des cames 26-1 et 265 déplace la barre d'ali gnement 268 vers le haut et en arrière vers la position normale conformément aux temps indiqués sur la ligne 2 du tableau de distri bution des temps (fig. 127).
Le temps du mouvement de la barre d'ali gnement 268 est réglé de façon à engager l'entre-dent 269 correspondant à la touche 218 abaissée après que la barre 251 de remise en position a achevé son mouvement initial dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Pendant que la barre 268 d'alignement est ainsi engagée dans l'entre-dent 269, un méca nisme imprimeur entre en action pour faire enregistrer la valeur de la touche numérale abaissée.
Après que l'impression a été effec tuée de la manière qui sera décrite ci-après et avant le mouvement de retour du bloc- moteur 2-10, la barre d'alignement 268 est dé brayée du bras 249 et reste ainsi débrayée en fin d'opération de la machine.
Lorsque le levier 260 (fig. 91) se trouve en position de repos, comme indiqué, un gou jon 274, fixé sur ce levier, s'engage dans une encoche du bras 257 pour fixer ce bras, l'ar bre 250, la barre 254 de remise en position et le bras 249 (fia.. 18A) en position de repos.
<I>'</I> Jléeanisine imprimeur.
Le mécanisme imprimeur de la machine représentée comprend un porte-caractère 27:ï pour chaque rangée de touches numérales 218 (fig. 3 et 70), un porte-caractère 344 pour chaque rangée de touches de postes 3-13, qua tre porte-caractères de dates 387 pour les touches de dates 383 à 386 incluse, un porte- caractère 391 pour les touches de listes 390 et deux porte-caractères de symboles 914 et 915 qui sont contrôlés, comme décrit ci-après, par le mécanisme sélecteur des totalisateurs pour enregistrer des symboles indiquant le genre de l'opération exécutée.
Les porte-caractères, outre qu'ils peuvent être mis en position sous l'action de leurs touches correspondantes et des mécanismes de commande, sont également montés dans -un châssis qui peut se déplacer d'une position normale ou de lecture, où ces porte-caractères sont situés de manière à ne pas gêner la vue de la ligne d'impression, vers une position d'impression où ces porte-caractères se trou vent en position de travail par rapport au mécanisme d'impression.
Comme tous les porte-caractères sont de constructions similaires, ils sont mis en posi tion sous l'action de leurs touches correspon dantes de la même façon et sont montés dans un châssis mobile de la même manière; une description détaillée du porte-caractère 275 associé au groupe numéral représenté sur les fig. 18A et 18B et ci-après décrit comme ca ractéristique de tous les groupes numéraux suffira à la compréhension de ce mécanisme.
En se reportant aux fig. 18A, 21, 23 et 70, on voit qu'un prolongement de droite du seg ment 251 est relié par une barre d'articula tion 276 à un bras 277 monté librement sur une tige d'écartement 278, laquelle conjointe ment avec une tige d'écartement associée 279, fixe iuie série de plaques de guidage 280, pour un porte-caractère, et des plaques latérales de droite et de gauche 281, dans un châssis mobile servant à supporter tous les porte- caractères. Les plaques latérales 281 sont re liées par des goujons à vis 282, de manière à se déplacer, aux plaques principales de droite et de gauche d'un châssis 283 de l'im primeur.
Le châssis 283 est démontable à l'aide -de goujons fendus 284 coopérant avec des encoches de verrouillage pratiquées dans lesdites plaques de droite et de gauche, ces goujons étant fixés dans un châssis latéral 285 entre les châssis principaux 130 et 131, et à l'aide de pattes repliées de ces plaques principales qui sont fiées au rail 137 du cha riot par des goujons à vis.
Le bras 277 (fig. 18A et 23) porte un goujon<B>287</B> qui s'engage dans une fente 288 prévue dans la partie principale du porte- caractère 275, cette partie principale étant également munie de deux goujons 289 qui s'engagent dans une fente 290 de la plaque de guidage 280 à l'aide de laquelle ledit porte-caractère 275 est monté en vue d'un mouvement de mise en place sensiblement vertical sous l'action du segment 251 et du bloc-moteur 210, comme expliqué en détail ci-après.
Les côtés de la partie supérieure de la partie principale du porte-caractère 275 sont formés et entaillés de manière à supporter une série de barres à caractères 291 pour les mouvements d'impression; ces barres sont maintenues dans lesdites fentes par un cou vercle 292 (fig. 18A et 2-1) fixé au corps de ce porte-caraetère <B>275.</B> La fig. 24, qui repré sente une coupe agrandie du porte-caractère prise suivant la ligne 2-1-24 de la fig. 23, montre la manière dont les barres à carac tères 291 sont montées dans les fentes du corps de ce porte-caractère.
Les barres à ca ractères 291 sont évidées, comme montré sur la fig. 21, afin de loger un ressort 293; ce ressort a la forme d'un <B>V</B> renversé dont une barre est attachée au corps du porte-caractère 275, l'autre barre étant libre et susceptible de s'engager sur des épaulements formés par les parties évidées de ces barres à caractères, de manière à entraîner ces barres vers la gau- ehe, en regardant la fig. 23, en dehors de la position d'impression. Le ressort 293 est rela tivement faible et sa tension est facilement surmontée lois de l'impression par le marteau imprimeur.
Un prolongement dirigé vers le haut 291 (fig. 23 et 24) de la plaque de gui dage 280 coopère avec clés épaulements 295 formés sur les extrémités de gauche des barres à caractères 291 pour s'assurer que toutes les barres à caractères au-dessous de la ligne d'impression sont complètement déga gées et ainsi retenues lorsque le châssis des porte-caractères se déplace vers ou hors de la position d'impression.
Les plaques 281 de droite et de gauche (fig. 18A, 21, 22 et 23) portent des goujons similaires 296 qui coopèrent -avec des fentes respectives 297 pratiquées dans deux bras similaires 298, 299 fixés sur un. arbre 300 qui tourne dans le bâti de l'imprimeur et dans le châssis de droite 130.
Sur l'extrémité de droite de l'arbre 300 (fig. 21) sont montés des coudes similaires 301 entre lesquels passe une tige 302 engagée dans une ente ménagée dans l'extrémité supérieure d'un levier-eame 303 qiii pivote sur un axe 301 fixé sur le châssis de droite 130. L'extrémité supérieure du levier 303 s'adapte exactement entre les coudes 301 pour empêcher le déplacement la téral de ce levier. Le levier 303 porte des galets 305 et 306 (fig. 21) qui coopèrent res pectivement avec les périphéries de cames 307 et 308 montées sur l'arbre principal à cames 216.
La rotation des cames<B>307</B> et 308 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre fait, par le levier 303, pivoter l'arbre 300 et les bras 298 et 299 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite dans l'autre sens jusqu'à la position normale, conformé ment aux temps donnés sur la ligne 19 du ta bleau (fig. 127).
Le mouvement initial des bras 298 et 299 dans le sens des aiguilles d'une montre agit sur les goujons 296 pour déplacer les plaques 281 et le porte-caractère 275 dans le même sens des aiguilles d'une montre, de manière à placer ce porte-earac- tère en position d'impression par rapport à un rouleau 309 supporté par le chariot 136 (fig. 18A, 18B, 21 et 23) avant le mouvement initial en arrière du bloc-moteur 210.
Après que le porte-caractère 275 a été placé en po sition d'impression par rapport au rouleau 309, le bloc-moteur 210, clans son mouvement initial en arrière, mouvement pendant lequel ce bloc-moteur est mis en position par la tou che numérale 218 abaissée (fil,. 1S A), comme expliqué plus haut, déplace simultanément le bras réducteur 2-19 et le segment 251.
Ce mouvement ajuste le porte-earaetère 275 con- formément à la position du bloc-moteur 210, de manière à amener la barre à caractère 291 correspondant à la touche numérale 218 abaissée de la position normale ou de lecture en coïncidence avec la ligne d'impression et avec le marteau imprimeur correspondant.
Après que le porte-caractère 275 a été ainsi ajusté, un mécanisme aligneur, repré senté sur la fig. 22, entre en action pour fixer ledit porte-caractère dans la position ajustée. Le porte-caractère numéral 275 (fig. 18A et 22) possède des encoches d'alignement 310 destinées à recevoir une barre d'alignement 311 qui s'étend entre detut bras similaires 312 supportés à oscillation par des tourillons 313 fixés sur le châssis 283 de l'imprimeur.
Cha eun des bras 312 (fig. 18A et 22) porte un goujon 311 qui coopère avec une surface de commande 315 correspondante prévue sur chacun des bras 298 et 299.
Après la mise en position du porte-carac- tère 275 par le bloc-moteur 210 de la ma nière décrite ci-dessus, la rotation ultérieure des cames 307 et 308 (fig. 21) communique aux bras 298 et 299 tri mouvement supplé mentaire dans le sens des aiguilles d'une montre pour déplacer les surfaces de com mande 315 au-delà des goujons 314,
de ma nière à abandonner les bras 312 à@l'action des ressorts 316 qui entraînent ces bras immédia tement dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, conformément aux temps indi qués sur la ligne 22 de la fig. 127 pour enga ger la barre d'alignement 311 dans les enco elies d'alignement correspondantes 310, de manière à aligner le porte-caractère 275 dans la position ajustée, tandis qu'un marteau im primeur 317 (fig. 18A, 21 et 23)
effectue la frappe d'impression pour assurer l'enregistre ment convenable de la valeur de la touche nu mérale 218 abaissée, sur la pièce comptable portée par le rouleau 309.
Après l'exécution de l'impression, la rota tion ultérieure des cames 307 et 308 ramène les bras 298 et 299 (fig. 21 et 22) dans le sens contraire des aiguilles dune montre en ame nant les surfaces de commande 315 à s'enga ger sur les goujons 314 pour dégager la barre d'alignement 311 des encoches d'alignement 310. Pendant le temps où l'aligneur 311 est embrayé et débrayé, comme on vient de l'ex- pliqtier, les goujons 296 reposent sur les par ties concentriques supérieures des fentes 297 et n'exercent par conséquent à ce moment au cune action de mouvement supplémentaire sur le porte-caractère.
Après le retour du bloc- moteur 210 (fig. 18A) en avant à la position normale (comparer les lignes 1 et 19 du ta bleau fig. 127), le mouvement ultérieur de retour dans le sens contraire des aiguilles d'une montre des bras 298 et 299 oblige les parties inférieures des fentes \_'97 à déplacer, en coopération avec les goujons 296, le porte- caractère 275 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre de la position d'im pression indiquée sur la fi-.
23 vers la posi tion normale ou de lecture, indiquée sur la fig. 21.
Une barre d'alignement auxiliaire<B>318</B> (fig. 22) est supportée entre les bras 312 au- dessous de la barre d'alignement principale 311 et sert à aligner le porte-earactère men- suel 387 (fig. 70) qui possède douze barres porte-caractères et encoches au lieu des dix barres et encoches habituellement employées pour les porte-caractères numéraux 275; l'ex trémité inférieure de ce porte-caractère men suel doit donc être prolongée vers le bai pour loger les deus encoches d'alignement supplémentaires.
Ce changement du nombre et de la position des encoches d'alignement pour le porte-caractère mensuel exige que la barre d'alignement auxiliaire 318 soit faite de manière qu'elle aligne le porte-caractère - mensuel dans toutes ses positions.
<I>Marteaux</I> imprimeurs.
Après que le porte-caractère 2ï5 (fi-. 18a) a été déplacé de la position de lecture à la position d'impression et après que ce porte- caractère a été mis en position sous l'action du bloc-moteur 240, le marteau imprimeur 317 de l'ordre ici représenté est abandonné à l'action de son ressort qui fait frapper par ce marteau la barre porte-caractère<B>219</B> corres pondant à la position du bloc-moteur 240 pour enregistrer la valeur de la touche numérale 218 abaissée, sur la pièce comptable portée par le rouleau 309.
Le marteau 317 (fig. 18A et 21) est monté librement sur l'arbre 300 de l'imprimeur et est entra%né dans le sens des aiguilles d'une montre ou vers la position d'impression par un ressort 320 relativement fort. Normale ment, le marteau 317 est empêché d'effectuer ce mouvement d'impression par une dent en saillie 321 (fig. 18A) sur son extrémité infé rieure et coopérant avec un bord supérieur replié d'une plaque 322 de blocage du mar teau, plaque qui pivote sur une tige 323 sup portée dans le châssis 283 de l'imprimeur.
Les marteaux imprimeurs, qui sont tous iden tiques et fonctionnent exactement comme le marteau 317, possèdent des saillies qu'engage le bord supérieur replié du verrou 322 exac tement de la même manière que ledit mar teau 317.
Lorsque le bloc-moteur 2-10 se trouve dans la position zéro indiquée sur la fig. 18a, une saillie 321 du marteau 317 s'engage dans la dent d'un linguet 325 d'élimination du zéro, pivotant sur une ti<U>g</U>e supportée par le châssis de l'imprimeur. Un ressort de tension 327 en traîne le linguet 325 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement la dent de ce linguet en prise avec la saillie 321.
L'éloignement du bloc-moteur 210, du bras 249 et du segment 251 de la position zéro oblige un goujon 328 porté par ledit segment à venir coopérer avec une surface 329 en forme d'arc d'une queue du linguet 325, pour déplacer ce linguet dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 327, de manière à dégager ledit linguet de la saillie<B>321</B> pour libérer le marteau 317 en vue du mouv=ement d'impression.
Lorsqu-,, dans des opérations d'addition et de soustrac tion, aucune touche 218 n'est abaissée, le bloc- moteur et les pièces auxquelles il est relié res tent dans la position zéro représentée, et dans ce cas le linguet 325 d'élimination du zéro reste actif, comme représenté sur le dessin, pour empêcher le mouvement d'impression du marteau 317 lorsque le verrou 322 est libéré, ainsi que l'on va l'expliquer.
Le linguet 325 porte sur son extrémité supérieure un goujon 330 qui se trouve sur le trajet d'un goujon correspondant porté par le linguet d'élimina tion du zéro du prochain ordre inférieur et le mouvement de ce linguet 395 entraine avec lui solidairement son voisin de l'ordre infé rieur, de sorte que tous les zéros des ordres inférieurs sont imprimés lorsqu'une touche est abaissée dans un ordre supérieur.
Les linguets 325 d'élimination des zéros sont sous la dépendance de commandes di verses contrôlant l'impression d'un signal libre commandant l'impression d'un signe moins lorsqu'on emploie la touche de sous traction pour déclencher une opération de soustraction et pour diviser le clavier nitmé- ral en plusieurs groupes, souvent appelé mé canisme scindé-normal , afin d'utiliser le clavier numéral pour l'impression de diverses données autres que des nombres.
Lorsque le linguet 325 d'élimination du zéro a été mis en position inopérante, le mou vement initial des cames 307 et 308 (fi-. 21 et ligne 19 de la fig. 127) fait osciller l'arbre 300 de l'imprimeur dans le sens des aiguilles d'une montre, comme il a été expliqué ci-des sus, afin de déplacer une tige 331 de remise en position des marteaux, tige qui est située au-dessous de tous les marteaux 317 et sup portée par deux coudes similaires 332 ealés sur cet arbre 300, solidairement de manière à dégager cette tige 331 de remise en position de ces marteaux et ne pas gêner leur mouve ment d'impression.
Les bras 298 et 299 (fig. 22 et 23) se déplacent solidairement avec l'arbre 300 en formant une saillie 333 dirigée 1-ers le bas dudit bras 298 s'engageant sur un gou jon 334 d'une plaque 335 fixée au verrou 322 pour déplacer cette plaque et ce verrou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort 3t G, (le manière à dégager ledit verrou des dents 3'_'1. (fig. 18-1).
Ce mouvement abandonne le marteau 317 dans le sens des aiguilles d'une montre on dans le sens de l'impression, en amenant tin bec 337 de son extrémité supérieure à frapper la barre à caractère 291 sélectionnée et à en- trainer cette barre porte-caractère et un ru ban encreur 338 interposé entre cette barre et le rouleau 309 en contact avec le support d'enregistrement porté par ce rouleau, de ma nière à enregistrer la valeur de la touche 218 abaissée sur ledit support d'enregistrement.
Le mouvement de retour des cames 307 et 308 (fig. 2l.) ramène l'arbre 300, les bras 298 et 299 et la tige 331 de remise en position dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en faisant saisir et ramener à la po sition normale, par cette tige de remise en po sition, le marteau 317 actionné. Pendant ce mouvement de retour, les dents 321 passent à côté du bord supérieur replié du verrou 322, verrou qui retient ce marteau en position.
Les mouvements d'impression et de retour du marteau 317 sont représentés graphique- nient sur la ligne 20 du tableau fig. 127.
L'extrémité supérieure du marteau 317 (fi?. 18A et 23) repose dans une rainure de guidage d'une barre de guidage 339 suppor tée par les plaques latérales du châssis 283 de l'imprimeur.
Le mouvement d'impression du marteau 317 est arrêté instantanément par une saillie 340 de l'et-trémité supérieure du marteau en entrant en contact avec la barre de guidage 339, et comme cela a lieu avant que la barre à caractère 291 frappe la pièce comptable, le rebondissement éventuel du marteau ne sera pas transmis à la barre porte-caractère 291 et n'occasionnera pas de flou dans l'impression. Il en résulte que le mouvement d'impression du marteau 317 cesse avant que la barre porte-caractère 291 entre réellement en con tact avec la pièce comptable et que l'inertie de cette barre achève la frappe.
Jlécanisane compteur <I>des postes.</I>
En se reportant à la fig. 3, qui représente une vue schématique du clavier, et à la fig. 70, qui représente une vue schématique des porte- caractères en se plaçant face à la machine, on rappelle -qu'il y a onze groupes numéraux 218 et onze porte-caractères 275 correspon dants. De même, il y a trois rangées de tou ches compteuses de postes 313 et trois porte- caractères 3-14 correspondants.
La construc tion générale des trois groupes compteurs est analogue sous tous les rapports à celle des groupes numéraux expliqués ci-dessus: ces trois groupes contrôlent la mise en position des trois roues du totalisateur No 6 (fig. 18A et 18B). Il n'y a pas de roues sur les autres cinq lignes de totalisateurs correspondant aux trois roues du totalisateur No 6 ou ligne du totalisateur de postes. Il n'y a pas de roues non plus sur la ligne du totalisateur No 6 correspondant à une des roues des cinq autres lignes du totalisateur. Il est donc évident que le totalisateur No 6 n'est utilisé que pour compter des postes.
*Dans la présente construction, le méca nisme compteur est prévu pour compter des postes soustractifs et additifs (débit et cré dit) un à un à mesure qu'ils sont additionnés ou soustraits du totalisateur de balance.
Il est souvent intéressant de réunir une série de postes de débit ou de crédit similaires en un seul groupe pour ne faire qu'une entrée de tout le groupe. La pratique habituelle est, dans ce cas, de faire l'entrée du nombre to tal des postes d'un tel groupe en se servant des touches nécessaires 313 des trois groupes compteurs de postes de la manière habituelle. Lorsque les touches 313 sont utilisées de cette façon, le mécanisme compteur automatique des chèques est rendu inopérant.
En se reportant à la fi-. 18A, on voit que le verrou de zéro 236 est muni d'une partie en forme de crochet qui coopère avec une tige 345 supportée par des bras 346 qui sont, à leur tour, montés sur les goujons 237 des ordres supérieur et inférieur du clavier nu méral.
Un prolongement de la tige 3-15 de gauche est situé au-dessous d'une partie élar gie d'un verrou de zéro 347 (fig. 20) pour l'ordre des unités des touches compteuses de postes,
ledit levier étant libre sur l'un des goujons @ 237 fixé à la cloison de l'ordre des unités des touches compteuses. Un ressort 318 entraîne<B>le</B> verrou 347 dans le sens des aiguil les d'une montre pour maintenir un prolon gement du verrou dirigé vers le haut en con tact avec une plaque de commande 349 pour l'ordre des unités des touches compteuses. Le ressort 318 maintient également iuie dent de zéro du verrou 317 normalement en contact avec un bloc 350 fixé sur un bloc-moteur 351 pour l'ordre des unités des touches comp- teuses.
L'abaissement de l'une quelconque des tou ches numérales 218 (fig. 184 et 20) déplace la plaque de commande 226 en avant, comme expliqué ci-dessus, pour déplacer le verrou de zéro 236 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et le dégager du bloc 239.
Le mouvement du verrou 236 clans le sens indi qué soulève, par la partie en forme de crochet de celui-ci, la tige 315 solidairement en fai sant déplacer par cette tige le verrou de zéro 3-17 à son tour solidairement dans le sens con traire des aiguilles d'une montre, afin d'écar ter la dent de zéro de ce verrou du chemin du bloc 350 et de placer en même temps une dent 352 de ce verrou sur le trajet dudit bloc, à la suite de quoi l'opération de la machine permet au bloc-moteur 351 de se déplacer d'un cran, ou de zéro à un, de manière à ajouter un à la roue des unités du totalisa teur No 6. ou totalisateur de postes.
Si aucune des touches numérales 218 n'a été abaissée, le verrou de zéro 317 retient le bloc-moteur 351 en position zéro, comme indi qué, et par conséquent aucun article n'est compté. 11 est donc évident qu'il faut qu'une touche numérale soit abaissée avant qu'un poste puisse être automatiquement compté. Dans des opérations d'enregistrement des to taux et sous-totaux, le dispositif compteur ne fonctionne pas, comme il sera expliqué plus tard, étant donné que les segments 1006, 1007 (fig. 65) empêchent le retrait d'un verrou 1010 de la position de blocage des entraîneurs compteurs de postes.
L'abaissement (le l'une quelconque (les touches 313 compteuses (le postes dans l'ordre des unités des groupes compteurs déplace la plaque (le eoinniande 319 (fil,. 3 et 20) en avant de la manière habituelle en obligeant cette plaque (le commande à déplacer le ver rou 317 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre assez loin pour dégager la dent de zéro ainsi que la dent 352 hors du trajet du bloc 350, de sorte que le bloc-moteur 351 puisse être ajusté de la manière habituelle sous l'action de la touche de postes abaissée.
On a prévit un verrou auxiliaire<B>353</B> (fig. 20) pour agir sur le bloc 350 lorsqu'une touche dans un des ordres supérieurs du groupe compteur de postes est abaissée et lors qu'aucune touche n'est abaissée dans l'ordre inférieur ou ordre des unités de ce groupe. Le verrou de zéro auxiliaire 353 est libre sur le goujon 237 pour les unités du groupe compteur et ce verrou est muni d'une fente qui s'engage sur im goujon 351 du verrou principal 317.
Le verrou 353 porte également un goujon 356 qui s'engage dans une fente pratiquée dans l'extrémité supérieure d'une articulation 357 dont l'extrémité inférieure pivote sur un goujon 358 porté par un levier coudé 359 monté fou sur un arbre 360 qui tourne dans le prolongement de la cloison 789 <B>pour</B> le groupe numéral de l'ordre supérieur et dans des prolongements des cloisons pour les trois groupes compteurs de postes.
Une tige 361 relie le levier coudé 359 aux extré mités inférieures de deux coudes similaire 362, dont un seul est représenté, cette tige étant fiée auxdits leviers coudés et aux extrémités inférieures de ces coudes. Aux extrémités supérieures des coudes 362 est fixée une tige 363 qui coopère avec des sail lies 361 dirigées vers le bas des verrous de zéro 36:ï pour les ordres des dizaines et cen taines des groupes compteurs de postes.
Des ressorts 366 entraînent les verrous 365 dans le sens des aiguilles d'une montre,<B>(le</B> manière à maintenir des prolongements dirigés vers le haut de ces verrous normalement en prise avec les extrémités antérieures (les plaques de commande 367 pour les ordres (les dizaines et centaines (les groupes compteurs de poste,.
L'abaissement (l'une touche soit dans les dizaines, soit clans les centaines des groupes compteurs (le postes, déplace par conséquent la plaque (le commande 367 en avant, <B>(le</B> ma- nièrc à déplacer le verrou de zéro 365 corres- pondant dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, amenant la saillie 361, en co opération avec la tige 363,
à déplacer les coudes 362 et le levier coudé 359 dans le sens des aiguilles d'une montre. Le mouvement du levier coudé 359 dans le sens indiqué agit sur un ressort 368, tendu entre les goujons 356 et 358 pour déplacer le verrou de zéro auxiliaire 353 également dans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à placer sa dent sur le tra jet du bloc 350 pour retenir le bloc-moteur 351 pour les unités du groupe compteur de postes en position zéro lorsque des touches sont abaissées dans l'un des ordres supérieurs des groupes compteurs d'articles et qu'aucune touche n'est abaissée dans l'ordre inférieur de ce groupe.
Au cas où -une touche est égale ment abaissée dans l'ordre des unités du groupe compteur, le mouvement de la plaque de commande 319 en avant (fig. 20) déplace le verrou 347 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre de la manière habi tuelle jusqu'à ce que la dent de zéro aussi bien que la dent 352 soient hors du trajet du taquet 350. Le mouvement du verrou 3.17 dans le sens indiqué déplace également, à l'aide du goujon 351, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, et contre l'action du ressort 368, le verrou auxiliaire 353 vers une position inopérante.
Dans ce cas, le goujon 356 coopérant avec la fente dans l'extrémité supérieure de l'articulation .357 permet au. verrou auxiliaire 353 de se déplacer indé pendamment du levier coudé 359 lorsque ce coude a été déplacé vers sa position dans le sens des aiguilles d'une montre par abaisse ment d'Lune touche dans l'LLn des ordres supé rieurs des groupes compteurs.
Il ressort de la description ci-dessus que les postes de débit et de crédit sont comptés automatiquement, un à un, dans toutes les opérations d'addition et de soustraction aux quelles prend part le totalisateur de solde et que les touches 313 compteuses de postes (fin. 3) peuvent être utilisées lorsqu'on désire inscrire plus d'un article dans une seule opé ration de la machine. <I>Touches de correction et de</I> commande <I>et clavier auxiliaire.</I>
En considérant les fig. 1 et 3, on voit qu'à gauche des touches 313 compteuses se trou vent -une rangée de touches de correction et une rangée de touches de commande; la ran gée de correction comprend trois touches de correction 369 utilisées pour effectuer des cor rections dans le totalisateur de solde et dans les totalisateurs Nos 2, 3 et 4, -une touche de commande 370, laquelle, lorsqu'elle est uutili- sée conjointement avec l'une des touches de correction 369, provoque la non-addition des totalisateurs l,Tos 1, 5 et 6, une touche Non- compter 371, laquelle, par son abaissement,
maintient les trois rangées des touches 313 en position zéro et -une touche Non-Auuto 372 qui, abaissée, rend inopérant le dispositif automatique de la machine fonctionnant sous l'action du chariot dans ses positions de co lonnes. U n levier de verrouillage<B>373,</B> employé conjointement avec la touche Non-Auto , bloque cette touche en position abaissée, de sorte que cette touche ne sera pas libérée en fin de fonctionnement de la machine.
La rangée des touches de commande com prend une touche de non-addition 374, une touéhe de sous-totalisation 375, trois touches de totalisation 376, respectivement pour les totalisateurs Nos ?, 3 et 4, une touche de sous traction 377, une touche de sous-balance 378, une- touche de balance<B>379,</B> une touche d'addi tion Liste 380 et -une touche de déblocage 381. Un levier de verrouillage 382 est prévu pour bloquer la touche d'addition Liste 380 en position abaissée, de sorte que cette touche, ne sera pas automatiquement libérée en fin de fonctionnement de la machine.
Les touches de correction exercent un con trôle sur le mécanisme compteur de postes, de sorte que dans toute opération où l'on se ,sert des touches 369 et 370, le mécanisme compteur automatique est rendu inopérant. De même, les touches de commande exercent un contrôle sur le mécanisme automatique compteur de postes, de sorte que dans toutes les opérations, sauf les opérations où l'on se sert de la touche de soustraction 3"t7 et de la touche 380 d'addition Liste , le mécanisme compteur est rendu inopérant. La manière dont la touche 371 < u1Ton-comptage , les tou ches de correction et les autres touches de commande contrôlent l'opération de décomp- tage des postes sera expliquée ci-après.
La présente machine contient, outre le cla vier principal, un clavier auxiliaire compre nant douze touches mensuelles 383 (file. 1 et 3), trois touches des dizaines journalières 354, neuf touches des unités journalières 385 et six touches annuelles 386. Ces touches de date contrôlent l'ajustage des porte-caractères cor respondants de date 387 (file. 70) pour l'en registrement de la date sur le support respec tif.
On a prévu un verrou de date ayant une touche 388 pour bloquer les touches de date en position abaissée et également un levier de verrouillage qui empêche le déblocage des touches de date abaissées, mais qui en même temps n'empêche pas l'abaissement de ces touches.
Le clavier auxiliaire porte également une série de touches de Liste 390 qui contrôlent la mise en position d'un porte-caractère cor respondant de Liste 391 (file. 70) pour l'impression d'un symbole d'identification en face de certains postes ou de certains comptes lorsqu'on en établit une liste sur la pièce comptable. ru levier de verrouillage 392 est prévu pour bloquer toute touché 390 abaissée en position abaissée.
Les signes imprimés sous le contrôle des touches de Liste 390 ont un sens lorsqu'on les applique aux postes de dé bit et un autre sens lorsqu'on les applique aux postes de crédit; une interprétation de ces signes est indiquée en tête de l'état re présenté sur la file. 117.
Le clavier auxiliaire porte également une touche B on noire 393 (fig.1 et 3); lorsqu'on abaisse cette touche dans des opérations de soustraction, elle provoque l'impression en noir des postes soustractifs qui sont normale ment imprimés en couleur distincte, en rouge par exemple, cela étant désirable dans cer tains cas. Un levier de verrouillage 39-1 (file. 3) est prévu pour bloquer la touche noire 393 en position abaissée. Le clavier auxiliaire est muni d'une touche de déblocage 395 pour débloquer à la main toutes touches abaissées de ce clavier.
Les touches 369 à 372 incluse du groupe de correction (file. 1, 3, 31B, 46 et 47) sont montées dans des fentes correspondantes d'-une partie repliée d'une plaque 398 à tou ches de commande, alors que les touches de commande 374 à 381 incluse sont montées dans des fentes correspondantes pratiquées dans la partie repliée d'une plaque similaire gauche 399; ces plaques sont reliées entre elles par des manchons 400, lesdits manchons étant, à leur tour, placés sur des tiges de guidage fixées dans le châssis gauche 131 et maintenus en place par des longues vis 401 (file. 31B) vissées dans ces tiges.
Le châssis du groupe des touches de commande, qui comprend les plaques 399 et 398, est de phis maintenu en place à l'aide de pieds repliés des prolongements de la plaque 399 (file. 31B et 47), lesdits pieds étant fixés à la base 132 de la machine. En plus, le support des tou ches des groupes de correction et de com mande par les fentes dans les parties repliées des plaques 398 et 399 est renforcé par des barres 402 et 403 (file. 47) fixées à leurs pla ques respectives 398 et 399, ces barres étant pourvues de fentes correspondantes dans les quelles sont engagées les touches par leurs extrémités inférieures.
Un ressort à boudin 40-1 (file. 46), passant alternativement sous des ergots des tiges des touches de correction et sur des ergots fixés sur la plaque 398, pousse ces touches vers le haut vers des positions non abaissées grâce à quoi les touches de correction abaissées, après avoir été relâchées, sont ramenées et retenues en position non abaissée.
Un ressort à boudin 405 (file. 44), passant alternativement sous des ergots des tiges des touches (lu groupe de commande et sur des ergots fixés dans la pla que 399 (file. 44 et 47), est tendu pour ra mener ces touches aux positions non abais sées et les y retenir lorsqu'elles sont relâchées automatiquement ou manuellement. Chacune des touches de commande<B>376,</B> Ô78 et 379 (file. 31B et 44) porte un goujon carré 406 passant par une ouverture correspondante dans la plaque 399; ces goujons coopèrent de la manière habituelle avec des plaques de blocage 407 pour empêcher l'abaissement de plus d'une de ces touches à la fois.
De mikne, sur l'extrémité inférieure de chaque touche de correction 369 (fi". 63 et 64) est fixé tu goujon carré 408; ces goujons coopèrent avec des épaulements d'arrêt de deux plaques de blocage similaires 409 qui pivotent sur des axes fixés sur la plaque 398; ces plaques 409 et ces goujons 408 coopèrent pour empêcher l'abaissement de plus d'une des touches 369 à la fois.
Chacune des touches 369 à 372 (fig. 26, 37 et 47) du groupe de correction porte un gou jon qui passe par une ouverture correspon dante dans une détente 411 et coopère avec une dent correspondante 412 formée dans cette -ouverture. De même, chacune des tou ches de commande 374 à 380 incluse (fig. 3, 26 et<B>3113)</B> du groupe de commande porte sur sa tige un goujon 413 qui passe par une ouverture correspondante dans une détente ;414 et coopère avec une dent correspondante dans cette ouverture. La détente 414 est sup portée<B>de</B> manière à se déplacer horizontale nient sur des galets montés sur quatre axes fixés sur la plaque 399.
La détente 411 pour les touches de correction est montée en vue de son déplacement horizontal de la même manière que la détente 414.
La détente 414 pour les touches de com mande (fig. 26 et 31B) est pourvue, sur son bord supérieur, de dents d'engrenage qui co opèrent avec un pignon segmentaire 417 fixé sur l'un des bouts d'un arbre 418 tourillon- nant dans les plaques 398 et 399 (fi-. 47). Sur l'antre bout de l'arbre 418 est monté un pignon segmentaire similaire 419 qui coopère avec des dents sur le bord supérieur de la dé tente 411 pour les touches de correction, afin de relier ces détentes 414 et 411 et pour ren dre leurs mouvements solidaires.
Les goujons 410 pour les touches de correction passent également par des ouvertures pratiquées dans une plaque de blocage 420 (fig. 31B, 37 et 47) et coopèrent avec des dents de blocage correspondantes 421 dans ces ouvertures. La plaque de blocage 420 est montée à côté de la détente 411 (fie. 47) et supportée de façon à pouvoir se déplacer de la même manière que ladite détente.
Les goujons 413 pour les tou ches de commande (fig. 31B, 37 et 47) passent également par des ouvertures correspon dantes dans une plaque de blocage 432 et co opèrent avec des dents correspondantes 423 dans ces ouvertures; cette plaque 422 est pion tée à déplacement horizontal entre des galets fixés sur les axes 416 (fig. 26) de la même manière que la détente 414.
Les plaques de blocage 420 et 422 sont reliées en vue de leur déplacement solidaire par des dents sur leurs bords supérieurs en coopération avec des pi- gnons segmentaires 424 et 425 montés sur les extrémités opposées d'un arbre 426 tournant dans les plaques 398 et 399 (fib. 47).
Un ressort 427 (fie. 31B et 37), tendu entre la détente 414 et la plaque de blocage 422, entraîne cette détente et cette plaque de blocage et leur détente 411 et la plaque de blocage 420 associées respectivement en avant et en arrière.
L'abaissement de l'une quelconque des touches du groupe de commande ou du groupe de correction fait déplacer, à l'aide de son goujon 413 ou 410 en coopération avec la dent correspondante 415 ou 412 de la dé tente correspondante 414 ou 411, cette dé tente en arrière jusqu'à ce que cet ergot dé passe ladite dent, à la suite de quoi le ressort 427 ramène ladite détente en avant, de ma nière à faire passer la dent par-dessus la sur face supérieure aplatie du goujon 413 ou 410 de la touche abaissée pour blôquer cette tou che dans la position abaissée.
Lorsqu'on abaisse une touche soit dans le groupe de la commande, soit dans le groupe de correction, toute touche abaissée de l'autre groupe est en même temps débloquée grâce aii mouve ment solidaire en arrière des détentes 41-1 et 411.
En se reportant. maintenant à la fie. 37, on voit que la plaque de blocage 420 pour les touches du groupe de correction est pourvue d'un prolongement vers le bas qui porte un goujon coopérant avec l'extrémité supérieure d'un bras 429 fixé sur un arbre 430 monté dans les châssis principaux 130 et 131. Sur l'arbre 430 est également fixé un bras 449 qui porte à son extrémité supérieure un ergot 450 coopérant avec une encoche ménagée dans l'extrémité antérieure d'une bielle 431 dont l'extrémité arrière est reliée à oscilla tion à un bras 432 monté sur l'arbre 235 des verrous des touches.
Sur l'extrémité droite de l'arbre 430 (fit. 8 et 37) est fixé un bras 433 pourvu d'une encoche qui s'engage sur un ergot 43-1 d'un bras 435 monté librement sur un axe 436 d'une plaque 437 (fig. 7A) qui, elle, est fixée à la plaque 168 portant, comme mentionné précédemment, le méca nisme de la barre de déblocage, ledit axe 436 étant en alignement axial avec cet arbre 430.
Le bras 435 a une encoche 433 qui coopère avec un doigt d'in levier coudé 439 monté fou sur un axe 440 fixé dans la plaque 437. Un ressort 441 tendu entre un ergot du bras 435 et un ergot 442 du levier coudé 439 en traîne ce bras -135, cet arbre 430 et les autres pièces auxquelles ils sont reliés dans le sens des aiguilles d'une montre,
mais en est nor malement empêché par le doigt du levier coudé 439 entraîné par ce ressort 441 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour s'engager sur im épaulement du bras -135 immédiatement au-dessus de l'encoche 438.
Le bras 435 est relié à oscillation par une articulation 443 (fig. 8 et 37) à un bras 444 monté librement sur un axe 445 porté par la plaque 437, ce bras étant, à son tour, fixé à un levier de came associé 446, pourvu d'une extrémité courbe, qui coopère avec la péri phérie d'une came 447 de remise en position, reliée par un manchon 4-18 à une série de cames associées décrites ci-après (voir aussi fig. 7A). Le manchon 4-15 est monté libre ment sur l'arbre principal ?16 où il est fixé à l'encontre d'un déplacement latéral par une goupille à l'extrémité de cet arbre.
La came 447 présente un trou clans lequel s'engage un ergot 491 fixé sur la roue dentée ?15 pour assurer l'assemblage (les cames associées, y compris la came 447, en vue de leur rotation simultané avec la roue 215 et l'arbre à cames principal 216.
En se référant à la fit. 8, on se rappellera que l'abaissement de l'une des barres de dé marrage 170, 171 ou 172 dégage le verrou 160 de la patte repliée 159, de manière à libé rer la coulisse 156 pour le mouvement en avant sous l'action du ressort 1-19, afin de dé clencher l'opération. Le mouvement de la cou lisse 156 en avant amène un prolong-cinent 454 de celle-ci, dirigé en avant (fig. 8 \et 37), à s'engager sur le goujon 442 polir déplacer le levier coudé 439 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 441, de manière à dégager le doigt de ce levier coudé de l'épaulement du bras 435 et pour placer en même temps ce doigt en alignement avec l'encoche 438.
Ce mouvement libère immédiatement le bras 435, l'arbre 430 et les pièces annexes pour le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 441. Le mouvement de l'arbre 430 dans le sens indiqué retire l'extrémité supé- rieure du bras 429 du goujon -1\38 pour aban donner la plaque de blocage 420 et sa plaque associée 422 à l'action (lu ressort 427 qui en traîne ces plaques de blocage immédiatement en arrière et place les dents 421 et 423 au dessous des goujons 410 et 413 des touches non abaissées des groupes de correction et (le commande, de manière à empêcher l'abaisse ment de ces touches pendant l'opération.
Le mouvement du bras 449 dans le sens des aiguilles d'une montre fait pivoter l'arbre 235 par la bielle 431 dans le même sens (fig. 1SA et 37), en déplaçant, par les bras 234, les ressorts 233 et les prolongements du haut des plaques de blocage 224, ces plaques vers l'arrière pour amener les dents de leurs ouvertures au-dessous des goujons 221 des touches numérales 218 et des touches 3-13 compteuses de postes non abaissées pour em pêcher l'abaissement de ces touches non abaissées pendant l'opération.
Vers la fin d'opération et après que la coulisse 156 (fit. 8) a été ramenée en arrière de la manière décrite précé(leninient, une saillie de la came 447 s'engage sur le bout re- courbé du bras 4-16 pour déplacer ce bras et son bras associé 444 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Le mouvement du bras 414 dans le sens indiqué ramène, par l'articulation 443, le bras 435 et les pièces annexes (fig. 8 et 37) dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour.dégager l'en coche 438 du doigt du levier coudé 439, de manière à abandonner ce levier coudé à l'ac tion du ressort 441.
Le ressort 441 place le doigt du levier coudé 439 immédiatement sur le chemin de l'épaulement d'arrêt du bras 435, à la suite de quoi le mouvement ulté rieur de la came 447 permet à cet épaulement d'arrêt de s'arrêter sur le doigt du levier coudé 439. La remise en position du bras 435 et des pièces associées dans le sens contraire des aiguilles d'une montre déplace les pla ques de verrouillage 224, 420 et 422 (fig. 37) en avant et dégage leurs dents des goujons des touches numérales, compteuses de postes, de correction et de commande pour débloquer ces touches vers la fin de l'opération.
Un prolongement 492, replié en avant de la bielle 431 (fig. 37), coopère avec des mé canismes similaires de blocage des touches du clavier auxiliaire pour empêcher l'abaisse ment de ces touches pendant l'opération.
Le mouvement de blocage et de remise en position du mécanisme de blocage des touches est indiqué sur la ligne 18 du tableau de dis tribution des temps fig. 127.
Mécanisme <I>de</I> déblocage <I>des</I> touches.
La détente 411 (fig. 26) du groupe des touches de correction est pourvue d'une sail lie 455 qui coopère avec un goujon 456 porté par un bras dirigé vers le haut d'in levier 457 monté fou sur un arbre 458 qui tourne dans le châssis gauche 131. Un autre bras du levier 457 a une surface angulaire 459 qui coopère avec un galet 460 monté sur un axe 461 d'une came 462 calée sur l'arbre princi pal à cames 216. La came 462 entre exacte ment, niais librement, entre le bras et la sur face 459 et un prolongement 463 du levier 457 pour maintenir ledit levier 457 en posi tion correcte par rapport à ladite came.
Vers la fin de l'opération, le galet 460 (fig. 26), en coopérant avec la surface 459 suivant le temps indiqué sur la ligne 15 (fig. 127), déplace le levier 457 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en ame nant le goujon 456, en coopération avec la saillie 455, à déplacer la détente 411 et sa détente associée 414 vers l'arrière contre l'ac tion du ressort 427, de manière à débloquer toutes les touches abaissées des groupés de commande ou de correction.
Les touches des groupes de correction et de commande peuvent également être déblo quées à la main par abaissement de la tou che de déblocage 381 (fig. 3 et 26). L'abais sement de cette touche de déblocage oblige son goujon 452, en coopération avec -une sur face de came angulaire 473 de la détente 414, à déplacer cette détente et sa détente associée 411 vers l'arrière, de manière à débloquer à la main toutes touches abaissées des groupes de correction et de commande.
Un mécanisme actionné par le levier 457 (fig. 26, 27 et 29) déplace également les dé tentes pour les touches numérales et les tou ches compteuses de postes vers l'arrière, de façon à débloquer toutes celles de ces touches qui sont abaissées à la fin des opérations d'addition et de soustraction.
Une surface usinée du levier 457 coopère avec un goujon 464 d'un levier 465 fixé sur l'arbre 458. Sur l'arbre 458 est également fixé un bras 466 portant un goujon 467 qui s'engage dans une encoche d'un bras 468 monté librement sur un axe 469 du châssis gauche 131. L'extrémité supérieure du bras 468 co opère avec un goujon 470 fixé sur un levier coudé 471 monté sur l'extrémité gauche de l'arbre 232 d'entraînement du vers on de zéro (voir aussi fig. 18A). Un épaulement du le vier coudé 471 est placé au-dessous d'un gou jon 472 porté par un levier coudé 473 fixé sur l'extrémité gauche de l'arbre 230 clé dé blocage des touches.
Le mouvement du levier 457 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action du galet 460 (fig. 26, 27 et 29 et ligne 15 de la fig. 127) amène la surface fa- çonnée de ce levier, en coopération avec le goujon 464, à déplacer le levier 465, l'arbre 458 et le bras 466 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 466 dans le sens contraire des aiguilles déplace le bras 468 dans le sens des aiguilles d'une montre, lequel déplace, à son tour, le levier coudé 471 et l'arbre 232 dans le sens contraire en regardant la fie. 29 et dans le sens des aigtülles d'une montre, comme repré senté à la fil-. 18A. Le levier coudé 471 dé place, à son tour, le levier coudé 473 et l'ar bre 230 dans le sens des aiguilles d'une mon tre, comme représenté à la fie. 29 et, dans le sens contraire, comme représenté à la fie.
18A, en faisant déplacer le bras 229 .fixé dans la rainure dudit arbre 230 en coopéra tion avec les prolongements du haut des dé tentes 225, ces détentes étant déplacées en arrière afin de dégager les crochets dans les ouvertures de ces dernières des goujons 221 des touches numérales 218 abaissées et des touches eompteuses 343 abaissées (fie. 3), clé manière à abandonner ces touchés à l'action de leurs ressorts qui les ramènent immédia tement vers le haut à la position non abaissée.
Un ressort 474 (fie. 26 et 29) contribue à ramener le bras 468 et ses pièces annexes à la position normale après que le galet 460 s'est placé au-dessous de l'extrémité infé rieure du levier 457.
Une butée 475 (fie. 26 et 27), fixée sur le châssis 131, en coopération avec une saillie du bras 466, place ce bras et ses pièces annexes dans leur position de repos, comme indiqué sur le dessin.
Le bras 468 (fig. 26, 27 et 29) est relié par une articulation 476 à un bras coudé 477 monté sur un arbre de déblocage 478 pour les touches du clavier auxiliaire (fie. 3). De cette façon, l'action de déblocage du bras se communique à l'arbre 478 pour débloquer toutes les touches enfoncées du clavier auxi liaire à la fin des opérations d'addition et de soustraction.
On a également prévu un moyen actionné par la touche de déblocage 381 (fie. 3 et 26) pour déplacer l'arbre de déblocage 230, afin de débloquer, en cas de besoin, toutes touches numérales ou compteuses de postes abaissées.
L'abaissement de la touche de déblocage 381 fait tourner l'arbre 481 dans le sens des aiguilles d'une montre à l'aide d'un goujon 479 fixé sur son extrémité intérieure et co opérant avec un bras 480 monté sur l'arbre 481 dont les extrémités opposées sont mon tées dans une plaque latérale d'un châssis 482 (fie. 27 et 31B) fixé sur la base 132 de la machine et sur le châssis gauche 131.
Ce mouvement de l'arbre 481 et d'un bras 483 fixé sur cet arbre déplace, au moyen d'un goujon 48-1 dudit bras, en coopération avec l'extrémité inférieure d'un bras -185 fixé sur l'une des extrémités d'un court arbre 486 monté dans le châssis 131, ce bras 485 et cet arbre 486 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Ce mouvement de l'arbre 486 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre entraîne avec lui un bras 487 fixé sur l'autre bout de cet arbre. Sur le bras 487 pivote l'une des extrémités d'une barre 488 (fie. 26, 27 et 29) dont l'autre extrémité est fendue pour recevoir un goujon 489 porté par le châssis gauche 131.
Le mouvement de l'arbre 486 et du bras 487 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre déplace, par l'abaissement de la touche de déblocage 381, la barre 488 vers l'arrière en amenant son extrémité arrière en coopération avec un goujon 490 porté par l'extrémité inférieure du levier coudé 473, ce qui déplace ce der nier, l'arbre 230 de déblocage des touches et le bras 229 de déblocage des touches dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant la fie. 18A, de manière à débloquer si on veut à la main toutes les touches numérales ou compteuses.
En se reportant à la fi-. \_'6, on se rappel lera que l'action du levier 457 déplace le bras 471 et l'arbre 232 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fie. 26, et dans le sens des aiguilles, comme représenté à la fie. 18A, en provo quant, à l'aide des bras \?31 en coopération avec les saillies des plaques de commande 226, le déplacement de ces plaques de coin- mande en avant pour placer les verrous de zéro 236 en position inopérante. Mais on voit, en comparant les lignes 1 et 15 du tableau de distribution des temps (fig. 127), que ce dé placement.
des verrous de zéro vers la posi tion inopérante se produit lorsque les bloc- moteurs 240 sont complètement retournés à leur position normale ou de repos et qu'il ne joue par conséquent aucun rôle dans les opé rations d'addition et de soustraction.
Dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux, il est désirable que le mécanisme de déblocage des touches pour les touches numérales et touches compteuses de postes soit actionné au commencement de ces opérations, afin de s'assurer qu'aucune de ces touches ne soit abaissée par inadvertance avant ces opérations.
La raison en est que dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux, les roues du tota lisateur sélectionné servent à ajuster les bloc- moteurs correspondants et le mécanisme im primeur de manière à enregistrer le nombre qui se trouve dans ledit totalisateur sélec tionné.
Il est désirable également que dans des opérations d'enregistrement des sous totaux et des totaux, l'arbre 232 (fig. 18a et 26) soit mis en mouvement vers le com mencement de ces opérations pour libérer les verrous de zéro 236, de sorte que les bloc- moteurs 240 soient libres de se déplacer vers l'arrière sous l'action de la barre de remise en position pour être ajustés sous l'action des roues du totalisateur sélectionné.
Le levier 465 (fig. 26 et 27) porte un axe 493 sur lequel pivote un verrou 494 dont un épaulement peut s'engager sur une patte re pliée 495 d'un levier à came 496 monté libre ment sur l'arbre 458 et portant un galet 497 normalement maintenu en contact avec la périphérie de la came 462 par un ressort 498 qui entraîne ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre.
L'extrémité droite du verrou 494 (fig. 26 et<B>27)</B> se trouve au-des sus d'un goujon 499 d'un bras 500 fixé sur un arbre 501 tournant dans les parties laté rales perpendiculaires du châssis .182. Un ressort 502, tendu entre le verrou 494 et le bras 500, maintient normalement ce verrou en contact avec le goujon 499. Sur l'arbre 501 sont é;alement calés un levier coudé 503 et un bras 504 (fig. 26, 27 et 48), ce levier coudé et ce bras supportant entre eux une tige 505.
Le levier coudé 503 porte un goujon 506 qui s'engage dans une encoche pratiquée dans l'une (les extrémités d'une articulation 507 dont l'autre extrémité est reliée à oscilla tion à l'un des bras d'un levier à came 508 (fig. 44, 46 et 48) monté fou sur un axe fiïeté 509 qui s'étend entre les deux parties laté rales du châssis 482. Le levier 508 porte un galet 510 qui coopère avec la périphérie d'une came 511 fixée sur l'arbre principal 216, cette came étant formée de façon à déplacer le levier 508 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position.
normale conformément au temps indiqué sur la ligne 11 du tableau fig. 127.
La tige 505 (fig. 46, 47 et 48) est située au-dessous et destinée à coopérer avec six saillies similaires 512 de six coulisses de com mande de totalisateurs 513 à 518 incluse pour les totalisateurs Nos 1 à 6 respective ment, coulisses montées avec une coulisse de commande 519 de sous-totalisation (fig. -14 et 47),
de manière à se déplacer horizontale ment à l'aide de fentes parallèles pratiquées dans les deux extrémités des coulisses en co opération avec des rainures annulaires for mées par des colliers espacés 520 et 521 sup portés par des axes filetés 522 et 523 s'éten dant entre les plaques 398 et 399.
Dans les opérations d'addition et de sous traction, les coulisses de commande 513 à 518 incluse (fig. 46 et 47) sont situées de telle sorte que les saillies correspondantes 512 ne se trouvent pas sur le trajet de la tige 505 et ne gênent pas par conséquent le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre clé cette tige, des bras 503 et 504 et de l'arbre 501 lors de la rotation de la came 511 (fi-. 44 et ligne 11, fig. <B>127).</B> Le mouvement de l'ar bre 501 dans le sens des aiguilles d'une mon tre (fi-.
26) entraîne simultanément le bras 500 qui, par le goujon 499, fait se déplacer -le verrou 494 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour dégager son épaulement de la patte 495, de manière à em pêcher que le mouvement du levier à came 496 sous l'action de la came 462 soit commu niqué au levier 465, en permettant ainsi le mouvement de ce levier par le levier à came 457, qui fonctionne de la manière décrite précédemment, pour débloquer les touches numérales et de correction vers la fin des opérations d'addition et de soustraction.
Dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux, la coulisse de com mande 513 à 518 iiicluse (fi-. 46 et 47) cor respondant au totalisateur sélectionné est si tuée de telle sorte que sa saillie 512 se trouve directement au-dessus de la tige 505 pour empêcher le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 501 sous l'action du levier à came 50S, la fente dans l'extrémité supérieure de l'articulation<B>507</B> permettant à ce levier 508 et à ses pièces annexes de se déplacer indépendamment dit- dit arbre 501.
Le mouvement de l'arbre 501 et du bras 500 (fig. 26) dans le sens indiqué étant empêché, le verrou 494 reste en prise avec la patte 495, à la suite de quoi l'opéra tion de la came 462 déplace le levier à came 496 et son mécanisme associé, i- compris le le vier 465, l'arbre 458 et le bras 466 d'abord dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position nor male conformément au temps indiqué sur la ligne 16 du tableau fi-. 127.
Le mouvement initial du bras 466 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fi-. 26 et 29) déplace le bras -168 dans le sens des aiguilles d'une montre, le.bras 471 et l'arbre 232 dans le sens contraire, et le levier coudé 473 et l'arbre <B>23,0</B> de débloeaâe des touches dans le sens des aiguilles en agissant sur les bras 229 (fig. 18A)
en coopération avec les projections du haut des détentes 225 afin de déplacer ces détentes en arrière vers le commencement de l'opération de la machine et avant le mouve ment initial en arrière des bloc-moteurs '?40 pour débloquer toute touche numérale ou tou elie compteuse de postes abaissée par inatten- tion au début des opérations d'enregistre ment des sous-totaux-et clés totaux.
Le mouvement de l'arbre 232 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en re gardant la fig. 26 et le mouvement de cet arbre dans le sens des aiguilles en regardant la<B>f</B>i-.<B>18A</B> amène les bras 231 montés sur cet arbre et coopérant avec les saillies dirigées vers le haut des plaques de commande 226 à déplacer ces plaques en avant pour dégager les verrous de zéro 236, dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, des taquets 239, et libérer les bloe-moteurs 2-10, de sorte qu'ils puissent être ajustés sons l'action des roues du totalisateur sélectionné de la manière habituelle.
Un mouvement excessif de retour dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 232 et du bras 471 (fig. 29) est em- p e <B>'</B> c hé par un prolongement C de ce bras vers le haut en coopération avec la surface infé rieure de la plaque du haut du clavier (188).
Dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux, l'arbre 478 de dé blocage des touches (fig..26) pour les touches auxiliaires est actionné par le bras 468 (fig. 29) au commencement (les opérations de la machine et débloquerait normalement toute touche abaissée du clavier auxiliaire. Toutefois, on a prévu les verrous<B>388,</B> 389 et 392 et 394 (fi & . 3) pour bloquer les touches correspondantes du clavier auxiliaire contre le déblocage par le mécanisme de débloca=ge.
On a prévu un mécanisme actionné par les détentes pour les touches numérales 218 et par les détentes pour les touches 343 comp- te-Lises de postes (fig. 3) pour verrouiller le mécanisme de démarrage de la machine si l'une de ces touches se trouve dans une posi tion partiellement abaissée.
Les parties arrière des détentes 225 pour les groupes numéral et compteur de postes (fig. 14, 16, 18A et 28) coopèrent avec une tige 525 supportée dans les extrémités supé- r ieiir es d'une série de bras similaires 526 et d'un bras 527 (fig. 28) montés sur un arbre 528 qui tourne dans les cloisons 189 du soin- niier des touches.
Un ressort. clé torsion 536 entraîne l'arbre 528, les bris 526 et 527 et la tige 525 dans le sens contraire des aigiul- les d'une montre en regardant la fia. 18A pour maintenir cette tige 525 normalement en contact souple avec les extrémités arrière des détentes 225. L'extrémité droite de la tige 525 (fig. 14 et 16) s'engage dans l'et-trémité supérieure fendue d'un bras 529 monté libre ment sur un axe 530 fixé sur le châssis droit 130. Le bras 529 porte un goujon 531 qui coopère avec un épaulement 532 d'un bras 533 fixé à l'aide d'un moyeu 534 sur un bout d'arbre 535 monté dans le châssis droit 130.
Un ressort 537 entre un goujon 539 du bras 533 et un bras 538 monté fou sur le moyeu 534 entraîne ces pièces respectivement dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et dans le sens des aiguilles pour que le gou jon 531 soit maintenu de façon souple entre l'épaulement 532 et un épaulement du bras 53S. Le ressort maintient également normale ment un prolongement du goujon 539 du bras 533 en prise avec un prolongement du bras 538. Sur l'arbre 535 est également monté un bras 540 portant un goujon 541 qui s'en gage dans une encoche du linguet d'arrêt 198.
L'abaissement partiel d'une des touches numérales 218 (fig. 16, 18A et 28) agit, par son ergot 221, en coopération avec le bec an gulaire de la dent correspondante, sur la dé tente 225 pour déplacer cette détente en arrière contre l'action de son ressort 228 en amenant cette détente à déplacer la tige 525, les bras 526 et 527 et l'arbre 528 dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant le dessin, contre l'action du ressort 536. La tige 525 déplace également le bras 529 simulta nément dans le sens des aiguilles d'une mon tre en obligeant le goujon 531, en coopéra tion avec l'épaulement du bras 538, à dépla cer ce bras dans le sens contraire des aiguil les d'une montre.
Le mouvement du bras 538 dans le sens indiqué entraîne, par le ressort 537, solidairement avec lui le bras 533, l'ar bre 535 et le bras 540 dans le même sens. Le mouvement du bras 540 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre déplace, à l'aide du goujon 5-11, le linguet 198 dans le sens des aiguilles d'une montre sur le trajet de la butée 196 (flg. 14, 16 et 18A)
pour em pêcher le mouvement de démarrage en arrière de la barre 194 et le fonctionnement du mé canisme de démarrage de la machine alors qu'une touche numérale 218 est partiellement abaissée. L'abaissement complet d'une touche numérale 218 permet au ressort 228 de ra mener la détente 225 en avant à la suite de quoi le ressort 536 déplace la tige 525 soli dairement en avant ou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour placer le lin- guet 198 en position inopérante, de sorte que la machine peut être déclenchée à la manière habituelle.
Un mécanisme contrôlé par le bras 538 (fig. 14 et 16) déplace le rouleau 309 vers la position d'impression, ainsi qu'il sera expli qué ci-après à propos de l'explication du cha riot et des mécanismes associé.
Les détentes pour les touches 343 des trois groupes compteurs de postes (fig. 3) coopèrent avec la tige 525 exactement. de la même manière que le font les détentes<B>225</B> pour les touches numérales 218 (fi-. 16) pour empêcher le démarrage de la machine si une touche compteuse de postes est partielle ment abaissée.
Le mécanisme représenté sur la fi-. 28 est prévu pour assurer le retour de la tige 525 et des détentes souples 225 aux positions nor males vers le commencement de l'opération de la machine. Le bras 527, fixé sur l'extré mité gauche de l'arbre 528, possède un pro longement dirigé vers le bras 543 qui coopère avec un goujon 544 porté par une bielle 545 dont l'extrémité supérieure est fendue pour s'engager sur un goujon 546 dit châssis gau che 131.
Un ressort 547 entraîne la bielle 549 vers le bas pour maintenir son goujon 548 normalement en contact avec la périphé rie d'une came 549 montée sur l'arbre à cames principal 216.
La rotation de l'arbre 216 et de la came 549 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 28, actionne la bielle 545 conformément au temps indiqué sur la ligne 17 du tableau de la fig. <B>127;</B> le mouvement initial de cette bielle 545 vers le bas sous l'action du ressort 547 amène le gou jon 544 à s'engager sur le prolongement 543 pour assurer le retour complet de la tige 525 et des détentes 225 pour les touches numé rales et les détentes similaires pour les tou ches eompteuses à leurs positions normales, comme représenté.
En comparant la ligne 17 avec les lignes 16 et L du tableau de la<B>fi-.</B> 127, on voit que le mécanisme de remise en position re présenté sur la fig. 28 entre en action après le fonctionnement des détentes souples 225 dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux pour débloquer toutes les touches numérales et compteuses d'articles qui se trouvaient abaissées par inattention et qu'il entre en action avant le mouvement initial en arrière des bloc-moteurs 240 (fig. 183) pour s'assurer que la tige 525 et les détentes souples soient entièrement ra menées à leurs positions normales.
.Mécanisme <I>de</I> contmande <I>des</I> bloc-moteurs. Le mécanisme représenté sur la fi-. 18A est prévu pour coopérer avec les bloc-moteurs 240 en vue d'alléger l'effort de ces bloc- moteurs et des mécanismes de transfert des divers totalisateurs dans les opérations d'en registrement des sous-totaux et de totaux.
Le bloc-moteur 240 (fi-.<B>18A),</B> qui est ca ractéristique de tous les bloc-moteurs, porte sur son bord inférieur une série de crans 551 qui coopèrent avec la dent d'un cliquet cor respondant 552 monté librement sur un arbre 554 qui tourne dans les châssis principaux 130 et 131. Le cliquet 552 est monté dans deux entailles correspondantes alignées, pra tiquées dans deux bords repliés d'une pla que 553 qui possède des pattes repliées par lesquelles cette plaque est montée de façon à pivoter sur l'arbre 554.
Un ressort de tor sion 555 entraîne le cliquet 552 dans le sens des aiguilles d'une montre en maintenant normalement un épaulement de l'extrémité arrière de ce cliquet en contact avec le fond. de l'entaille correspondante dans la plaque 553. A la plaque 553, près de ses extrémités opposées, sont fixés deux bras à cames simi- laires 556 (un seul est représenté) portant des galets 557 qui coopèrent avec les péri phéries de deux cames associées 558 (une seule est représentée) fixées sur l'arbre à cames principal 216.
Après que les bloc-moteurs 240 (fig. <B>18A)</B> ont achevé leurs mouvements initiaux en arrière sous l'action de la barre 254 de remise en position (ligne 1, fig. 127) dans des opé rations d'enregistrement des sous-totaux et totaux pour être ajustés de la manière con nue par les roues du totalisateur sélectionné, les cames 558 fonctionnent suivant le temps indiqué sur la ligne 3 du tableau de la fig. 127, déplacent la plaque 553 dans le sens des aiguilles d'une montre en engageant le cliquet 552 dans les dents 551 pour alléger la charge du mécanisme de transfert provoquée par la tension du ressort 252.
Le mouvement du bloc-moteur 240 de re tour fait passer les dents 551 par-dessus la dent du cliquet et, lorsque le bloc-moteur 240 est complètement ramené à sa position nor male, les cames 558 dégagent les cliquets 552 des dents 551.
<I>Les</I> totalisateurs.
On rappelle, en se référant aux fig. <B>1S A</B> et 18B, que l'entraîneur est relié à une cré maillère 243 supportée à glissement dans le bâti des totalisateurs par trois tiges 244. La crémaillère 243 comporte six jeux de dents qui coopèrent respectivement avec les roues correspondantes des totalisateurs Nos 1 à 6 inclus. Les six totalisateurs sont identiques, étant tous du type addition et soustraction. On estime par conséquent qu'une description générale du totalisateur de solde No 1 sera suffisante.
La machine représentée est une machine appelée communément machine du type Banque et qui s'emploie principalement dans des établissements bancaires pour les balances de comptes de chèques individuels. La disposition des six totalisateurs dans la présente machine convient donc aux opéra tions bancaires.
Dans cette disposition des totalisateurs, le totalisateur No 1 est un tota- lisateur d'addition et soustraction ou de solde, le totalisateur No 2 sert à l'accumulation des nouveaux soldes, le totalisateur No 3 est un totalisateur pour l'accumulation des . dépôts, le totalisateur No 4 sert à accumuler le total des chèques et le totalisateur No 5 est utilisé comme totalisateur de dépassement. Le tota lisateur de dépassement est toujours complé mentaire du totalisateur No 1 ou de solde et est. par conséquent relevé et remis à zéro lors que le totalisateur de solde se trouve en état de dépassement afin d'obtenir un enregistre ment positif du moment de dépassement.
Les totalisateurs Nos 1 à 5 inclus comportent cha cun onze roues correspondant aux onze ran gées de touches numérales 218. Le totalisa teur No 6 est un totalisateur compteur de postes; il sert à compter des postes soustrac tifs et additifs ou de débit et de crédit, et contient trois roues qui correspondent aux trois rangées des touches 3-13 compteuses.
Le totalisateur No 1 qui servira de modèle pour tous les totalisateurs comprend une roue 559 (fig. 18B et 34) pour chaque ordre dé nominateur; chacune de ces roues a vingt dents et porte sur l'une de ses faces une came d'encliquetage 550 pourvue de dents d'encli quetage et/ou d'arrêt diamétralement oppo sées qui coopèrent avec les dents d'in cliquet d'addition 560 et d'un cliquet de soustraction 561. Les roues 559 tournent sur un arbre du totalisateur No 1 qui s'étend entre les bras latéraux d'un châssis déplagable 562 pivotant au point 563 sur le bâti du totalisateur 134.
Lorsque, dans des opérations d'addition, les entraîneurs 240 et la crémaillère 243 (fig. 18A et 18B) ont achevé leur mouvement initial en arrière et ont été mis en position de la manière décrite précédemment par les touches numérales 218 abaissées, la roue du totalisateur No 1 ou de solde correspondant à l'ordre dénominateur représenté sur le des sin est engagée dans les dents correspondan tes du bord supérieur de cette crémaillère 243 et, en même temps, une barre de trans fert 566 est ramenée à la position non active représentée en traits pleins.
Le mouvement de retour en avant du bloc-moteur 240 et de la crémaillère 243 qui lui est associée fait tourner la roue correspondante 559 dans le sens de l'addition ou des aiguilles d'une mon tre pour enregistrer sur cette roue iii nom bre égal à la valeur de la touche numérale 218 enfoncée.
Si la roue 559, en se déplaçant dans le sens de l'addition, passe par zéro, l'une des dents diamétralement opposées de la came d'encliquetage 550 s'engage sur la dent du cliquet d'addition 560 pour déplacer ce cliquet dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à abandonner un levier d'encliquetage 564, monté fou sur un axe fixe 565 dans le bâti 134, à l'action d'un ressort 567 qui déplace ledit levier immédia tement légèrement dans le sens contraire des . aiguilles d'une montre jusqu'à ce qu'un pro longement dirigé vers le liait du levier entre en contact avec la barre 566.
Le mouvement de la barre de transfert 566 dans les opérations d'addition est indi qué sur la ligne 6 du tableau de la fig. 127 et en comparant la ligne 6 avec la ligne 1 on peut obtenir le rapport entre les opération de cette barre de transfert et du bloc-moteur 2-10. Le léger mouvement susmentionné du levier 564 empêche le cliquet d'addition 560 de réengager ledit levier si la dent de la came d'encliquetage 550 dépasse ce cliquet.
Après que le bloc-moteur 2-10 et la crémail lère 243 ont achevé leur mouvement de re tour en avant, les dents de la roue 559 sont dégagées de cette crémaillère et lesdites dents sont en même temps en prise avec un seg ment de transfert correspondant, non repré senté, mais similaire à un segment 568 avec lequel sont simultanément en prise des dents de la roue 559 de l'ordre voisin supérieur (fig. 18B). Le segment de transfert 568 pi vote sur un axe fixé sur suie plaque suppor tée par le bâti 134. Le segment 568 porte un goujon 569 qui s'engage dans une encoche 570 en forme d'Y dans le levier de trans fert 564.
Après que la roue 559 du totalisateur de l'ordre inférieur a été débrayée de la cré maillère 243, la barre 566 de remise en posi tion du transfert est libérée de la manière connue et se déplace sous l'action d'un res sort vers la position indiquée en traits poin tillés (fig. 18B) en permettant ainsi au le vier de transfert 561 de se déplacer avec elle simultanément dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Pendant le mouve ment du levier 561 dans le sens indiqué, un ressort<B>571</B> tendu entre le goujon 569 et la traverse d'une chape mobile 572 entraîne ce goujon dans la branche droite ou arrière de l'encoche 570 en forme d'Y.
Ce mouvement déplace le segment 568 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour avancer la roue 559 de l'ordre voisin supérieur d'une dent dans le sens d'addition, de manière à effectuer le report d'un chiffre des dizaines de l'ordre ici représenté vers l'ordre voisin supérieur.
Tout au début des opérations de soustrac tion, une barre 573 de déplacement du cli- quet de report (fig. 18B) se déplace dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté au dessin, pour débrayer le cliquet 560 de transfert additif des dents de la came d'encliquetage 550 et embrayer simultanément le cliquet 561 de transfert soustractif avec les dents de ladite came.
Si multanément, la barre<B>573</B> et la bride 572 se déplacent dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour placer l'extrémité supé rieure du ressort 571 dans une position telle que ce ressort amène le goujon 569 dans la branche gauche ou avant de l'encoche 570 en forme d'Y lorsque le levier de report 561 fonctionne dans des opérations de soustrac tion, comme exposé ci-après.
Dans les opérations de soustraction, avant le mouvement initial en arrière de l'entraî neur 210 et de la crémaillère 213 (fig. 18A et 18B), la roue 559 du totalisateur de ba lance est en prise avec les dents correspon dantes du bord supérieur de ladite crémail lère, à la suite de quoi le mouvement en arrière initial fait tourner cette roue dans le sens soustractif ou contraire des aiguilles d'une montre pour y faire entrer un nombre égal à la valeur de la touche numérale 218 abaissée.
Lorsque la roùe, en se déplaçant dans le sens soustractif, passe par zéro, l'une des dents diamétralement opposées de la came d'encliquetage 550 s'engage sur le cli- quet 561 et déplace celui-ci dans le sens con traire des aiguilles d'une montre pour libé rer le levier de transfert<B>5641</B> qui a été pré cédemment remis en position non active au commencement de l'opération de soustraction et immédiatement après que la roue 559 a été débrayée du segment de transfert correspon dant et embrayée avec la crémaillère 213. Le mouvement de la barre 566 de @ remise en po sition du transfert est indiqué sur la ligne 7 du tableau de la fig. 127.
Après que le bloc-moteur 210 et la cré maillère correspondante 243<B>(fi-.</B> JSB) ont achevé leur mouvement en arrière initial, la roue 559 est débrayée de cette crémaillère et embrayée avec le segment de transfert corres pondant 568, après quoi la barre 566 est abandonnée à l'action du ressort qui la place immédiatement dans la position indiquée en pointillé pour permettre au levier de trans fert 561 de se déplacer conjointement avec elle dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Pendant le mouvement du levier de transfert 561 dans le sens indiqué, le ressort 571, qui se trouve maintenant dans sa posi tion de gauche, amène le goujon 569 dans la branche gauche de l'encoche 570 en forme d'Y, de manière à faire déplacer par cette en coche le segment 56S pour la roue 559 de l'ordre voisin supérieur dans le sens des aiguilles d'une montre, afin de faire tourner cette roue de l'ordre voisin supérieur d'un pas dans le sens soustractif pour effectuer un report des dizaines.
Si la prochaine opération est une opéra tion autre que de soustraction, la barre 573 (fig. 18B) et la bride 572 sont ramenées dans le sens des aiguilles d'une montre vers les positions indiquées sur le dessin, de manière à mettre le cliquet de soustraction 561 en po sition inopérante, à placer simultanément le cliquet d'addition 560 en position active et à placer le ressort 571 de telle sorte qu'il amè nera le goujon 569 dans la branche droite de l'encoche 570 en forme d'Y.
Dans les opérations d'enregistrement des sous-totaux et des totaux, la roue 559 du to talisateur No 1 ou de solde est en prise avec la crémaillère 213 avant le mouvement vers l'arrière initial de cette crémaillère; ce mou vement fait tourner ladite roue dans le sens inverse ou contraire des aiguilles d'une mon tre jusqu'à ce que l'une des dents diamétrale ment opposées de la came d'encliquetage 550 s'enâaâe sur la surface intérieure de la dent du cliquet d'addition 560.
La roue 559- est ainsi placée en position zéro et cette roue ajuste, à son tour, la crémaillère 213 et le bloc-moteur 210 conformément au nombre qui se trouve sur cette roue, de sorte que ce nombre sera enregistré lors de l'opération du mécanisme imprimeur.
Dans des opérations d'enregistrement des totaux, la roue 559 est dégagée de la crémail lère 2-13 avant le mouvement de retour en avant de cette dernière et ladite roue reste par conséquent dans la position zéro. Dans des opérations d'enregistrement des sous totaux, la roue 559 reste en prise avec la cré maillère 243 pendant le mouvement de retour de celle-ci et est par conséquent ramenée à sa position originale. .
La brève explication précédente du méca nisme de transfert pour le totalisateur No 1, ou totalisateur de balance, s'applique égale ment à tous les autres totalisateurs du fait qu'ils sont construits de la même fa@ou et fonctionnent exactement de la même manière que ce totalisateur de balance.
-Mécanisme d'embrayage <I>et de débrayage</I> <I>des totalisateurs.</I>
Chacun des six totalisateurs est pourvu de cames d'embrayage et de débrayage pour mettre les roues de ces totalisateurs en prise avec et les dégager des dents des crémaillères 243 (fis. 34).
Le jeu des cames d'embrayage et de débrayage pour chacun des six totalisa teurs est pourvu d'une articulation mobile correspondante et d'un mécanisme de ver rouillage servant à relier ces cames à un mé canisme d'opération commun qui comprend une barre à action réciproque en prise avec le mécanisme de verrouillaje. La commande d'embrayage et de débrayage du mécanisme de verrouillage avec la barre relie le totali sateur sélectionné à la barre aux temps voulus pour effectuer l'opération désirée, que ce soit l'addition, la soustraction,
sous-totali- sation ou totalisation.
En se reportant aux fis. 31A, 31B, 34 et 36, on voit que les extrémités opposées de l'arbre du totalisateur No 1 portent des ga lets 575 tournants qui s'engagent respective ment dans des fentes correspondantes de cames 576 et 577 fiées sur un arbre d'em brayage 578, tournant dans le bâti 131 du to talisateur. Sur l'extrémité gauche de l'arbre 578 est fixé un levier coudé 579, auquel est fixée à oscillation l'extrémité arrière d'une articulation 580 dont l'extrémité avant est fendue pour s'adapter à une partie aplatie d'un collier 581 fixé sur un goujon 582 dont une extrémité est fiée au châssis 131 et l'au tre supportée par une plaque fixée sur ce châssis gauche 131.
Sur un axe 581 porté par l'articulation 580 (fig. 31, 36, .10 et 45) pi vote un verrou 585 d'embrayage du totalisa teur No 1 qui coopère avec une barre 586 d'embrayage du totalisateur munie à chaque extrémité de tenons qui s'adaptent aux fentes alignées parallèlement de la plaque 583 et d'une plaque 587 fixée sur le châssis gauche 131. Sur les extrémités opposées de la barre 586 (fis. 36) sont fixées les extré mités arrière des articulations similaires 588 et 589 dont les extrémités antérieures sont reliées à oscillation respectivement à un levier- came 590 et à un bras 591, tous deux montés sur un arbre 592 tournant dans le châssis gauche 131 et dans la' plaque 583.
Le levier 590 porte des galets 593 et 59.1 (fig. 34) qui coopèrent respectivement avec les périphéries de cames associées 595 et 596 montées sur l'arbre à cames principal 216.
L'arbre principal 216 et les cames 595 et 596 font un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant la fig. 34, pour communiquer au levier 590, à l'arbre 592, au bras 591 et à la barre d'embrayage 586 un mouvement de va-et-vient conformément aux temps indiqués sur la ligne 4 du tableau de la fig. <B>127,</B> le premier mouvement de ladite barre étant en avant, ou à droite, comme re présenté au dessin.
, La<U>fi-.</U> 15 montre schématiquement le mouvement de la barre 586 d'embrayage du totalisateur et montre que cette barre a qua tre mouvements distincts, deux dans le sens de l'embrayage et deux dans le sens de re tour ou de débrayage avec, après chaque mouvement, suie brève période de repos.
Dans le premier mouvement de la barre 586, le totalisateur sélectionné est embrayé avec le bloc-moteur pendant la soustraction, la sous- totalisation et la totalisation; dans le deuxième mouvement de cette barre, le totalisateur sé lectionné est embrayé pendant l'addition; dans le troisième mouvement, le totalisateur sélectionné est débrayé pendant la soustrac tion et la totalisation, et dans le quatrième mouvement ou mouvement final, le totalisa teur sélectionné est débrayé pendant l'addi tion et la sous-totalisation.
C'est la commande d'embrayage et de débrayage du verrou 585 avec la barre 586 qui provoque l'embrayage et le des totalisateurs par rapport aux bloc-moteurs dans les temps prévus pour effectuer l'opération voulue.
Une queue 600 du verrou 585 .(fig. 40, 45, 46 et 47) coopère avec un doigt d'un levier de commande 601 monté fou sur une partie réduite d'un collier fixé sur un goujon 602 qui s'étend entre les plaques 398 et 399.
Un prolongement du levier 601 dirigé vers le bas (fig. 32, 40 et 45) est muni de dents qui engrènent avec des dents corres pondantes du bord supérieur de la coulisse de commande 513 pour le totalisateur No 1 ou de solde pour constituer un moyen de commande du mouvement d'embrayage et de débrayage du verrou 585 du totalisateur No 1 par les touches de correction et de commande, comme expliqué ci-après.
Il y a un levier de commande similaire au levier de commande 601 pour chacun (les cinq autres totalisateurs montés sur l'axe 602 l'un près de l'autre et espacés l'un de l'autre par des colliers à épaulement montés sur cet axe.
Une surfâçe usinée du doigt saillant du levier de commande 601 s'engage sur le fond d'une. encoche de guidage correspondante pratiquée dans une partie d'une bride 603 (fig. 45 et 46) montée folle sur l'axe 602 et pourvue d'une partie segmentaire avec des dents qui engrènent avec des dents corres pondantes d'un levier d'opération 60-1 monté librement sur le goujon 523. Un bras du le vier 604 dirigé vers le bas porte un galet 605 qui coopère avec la périphérie d'une came 606 montée sur l'arbre à cames principal 216.
La came 606 (fig. 46) fonctionne suivant les temps indiqués sur la ligne 10 du tableau de la fig. 127 et déplace la bride 60:3 d'abord dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et ensuite la ramène à la position nor male, de façon à retirer la traverse de cette chape de la surface usinée du levier 601 pour abandonner ce levier et la coulisse de com mande à l'action d'un ressort 63-1 (fig. 32) qui entraîne ladite coulisse en avant et le levier 601 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour ajuster ces pièces de la manière exposée ci-après.
La partie en forme de queue 600 du verrou 585 coopère également avec un gou jon 608 (fig. 40, 45 et -16) d'une barre 609 de commande du verrou en -v1ie d'un dépla cement sensiblement vertical au moyen d'une fente dans l'extrémité supérieure de la barre en coopération avec une tige 610 supportée par la plaque 583 et le châssis gauche 131 (fig. 31B gt 36) et à l'aide d'une fente clans l'extrémité inférieure de la barre en coopéra tion avec une tige 611 qui s'étend entre les extrémités antérieures des bras similaires 61? et 613 (fig. 40) reliés entre eux d'une ma nière déterminée sur un manchon 614,
libre sur l'arbre 592. Un ressort 615, tendu entre une tige supportée par les bras 612 et 613 et la barre 609 entraîne cette barre vers le hait. Sur l'extrémité gauche de la tige 611 pivote une bielle 616 dont l'extrémité supérieure est fendue pour recevoir la tige<B>610;</B> cette bielle porte des galets 617 et<B>618</B> qui coopi'@reiit res- pectivenient avec les périphéries de cames associées 619 et 620 calées sur l'arbre à cames principal 216. Les cames 619 et 620 action nent la bielle 616 et la barre 609 conformé ment aux temps indiqués sur la ligne 5 du tableau de la fig. 127.
Les quatre positions du levier de com mande 601 sont représentées sur les fiD. 40 et 45. La position en tracé plein du doigt de ce levier est la position de soustraction, la po sition suivante est celle de la totalisation, la prochaine la position d'addition et la position du bas est celle de non-addition, ces trois posi tions étant indiquées en lignes pointillées. La mise en position dudit levier 601 peut être con trôlée à l'aide des goujons des touches de commande<B>377</B> à 3S0 incluse (fig. 3)
en co opération avec des saillies correspondantes d'une ouverture pratiquée dans la partie su périeure de la coulisse de commande 513 (fiâ. 32 et 39), à l'aide des touches de cor rection 369 Nos 3 et 4 en coopération avec des saillies correspondantes sur le bord supé rieur de cette coulisse 513 ou à l'aide du cha riot dans des positions de colonnes de celui-ci, ce mécanisme de commande du chariot coopé rant avec des crans sur un prolongement en forme de crochet de ce levier 601, dirigé vers le haut pour contrôler la mise en position de ce dernier, comme exposé ci-après.
En se référant en particulier aux fia. 32, 39 et 45, on voit que les touches de com mande 377 à 380 portent respectivement dans leurs extrémités inférieures des goujons carrés 622, 623, 624 et 625 coopérant avec des saillies correspondantes 626, 627, 628 et 629 dans une ouverture de la coulisse de com mande 513. De même, les touches de correc tion Nos 3 et 4 portent respectivement des goujons carrés 630 et 631 qui coopèrent avec des saillies correspondantes 632 et 633 sur le bord supérieur de cette coulisse de com mande 513.
Embrayage <B><I>du</I></B> totalisateur <I>dans les</I> opérations <I>de</I> soustraction.
En abaissant la touche de soustraction 377 (fi-. 32, 39, 44 et 45), on place le goujon 622 sur le chemin de la saillie 626 pour empêcher le mouvement en avant de la coulisse de com mande 513 sous l'action de la traverse de la chape 603 (fig. 45) lors de l'opération de la machine, de manière à faire rester le doigt du levier de commande 601 dans la position indiquée en traits pleins sur les fiD. 40 et 45, de sorte que le verrou 585 reste dans sa position la plus basse, comme représenté.
Le mouvement initial en avant de la barre d'em- braYage 586 (fig. 34, 36, 40 et 45) sous l'ac tion des cames 595 et 596 oblige<B>le</B> bord anté rieur convexe de cette barre à entrer en con tact avec une surface concave 2632 sur une partie en forme de crochet du verrou 585 et à déplacer en avant ce verrou et l'articula tion 580 (fig. 34 et 39), de manière à dépla cer le bras 579, l'arbre 578 et les cames 576 et<B>577</B> dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et à faire entrer en contact les roues 559 du totalisateur No 1 ou de balance avec les dents correspondantes des crémaillères 2.13, :
préalablement au mouve ment initial vers l'arrière de ces crémaillères; ce mouvement fait tourner ces roues dans le sens inverse, de manière à en soustraire la valeur du montant composé par l'enfonce ment des touches numérales 218 (fig. 3).
Après que les bloc-moteurs 2-10 et les cré maillères 243 ont achevé leurs mouvements initiaux vers l'arrière, la barre 609 (fig. 40, 45 et 46) se déplace vers le bas sous l'action des cames 619 et 620, le goujon 608, en co opération avec la queue 600 du verrou 585, fait déplacer ce verrou dans<B>lé</B> sens des aiguilles d'ume montre vers la position d'ad dition, comme indiqué en pointillé (fig. 45), de manière à soulever l'extrémité antérieure de la partie en forme de crochet de ce verrou par-dessus la barre d'embraYage 586,
de sorte que cette barre puisse passer à côté de ce cro chet lors de son deuxième mouvement en avant. Après cl-Lie la barre 586 a achevé son deumème mouvement en avant et avant que les bloc-moteurs 240 et les crémaillères 243 aient commencé leurs mouvements de retour vers l'avant, la barre 609 est ramenée vers le haut pour permettre à l'encoche formée par l'extrémité antérieure en forme de crochet du verrou 58:
5, de verrouiller la barre 58C, sur quoi le troisième mouvement de cette barre (fig. 45), qui est le premier mouve ment dans la direction du retour, l'oblige à entrer en contact avec une surface concave 2633 à l'intérieur de la partie en forme de crochet du verrou 585, pour ramener ce ver rou et l'articulation 580 en arrière, de ma nière à débrayer les roues du totalisateur No 1 des crémaillères 213, préalablement au retour en avant de ces crémaillères.
Après que la barre 586 d'embrayage du totalisateur a achevé son troisième mouve ment et s'est arrêtée avant son quatrième mouvement, les cames 619 et 620 (fi-. 40 et ligne 5 de la fil". 12ï) impriment à nouveau un mouvement vers le bas à la barre 609 pour déplacer le verrou 585 clans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à placer son extrémité postérieure en forme de crochet hors du trajet de la barre d'embrayage 586,
de sorte que cette barre peut se placer au- dessous dudit verrou sans gêner son qua trième mouvement ou mouvement final.
La touche de correction 369 No 3 (fig. 39) sert à corriger des erreurs dans l'entrée des postes de crédit, tels que les dépôts, dans le totalisateur No 1, l'abaissement de cette tou che provoquant la sélection et la préparation du totalisateur N o 1 ou totalisateur de ba lance pour une opération soustractive, exac tement de la même façon que celle qui a été décrite pour la touche de soustraction 377.
Dans la présente disposition de la machine, la touche de correction 369 No 3, outre la sélec tion et la préparation du totalisateur No 1 ou totalisateur de balance pour -une opération de soustraction, sélectionne et prépare égale ment le totalisateur No 5 ou totalisateur de dépassement, qui est toujours complémen taire du totalisateur No 1 pour une opération d'addition et elle sélectionne et prépare les totalisateurs Nos 3 et 6 pour (les opérations de soustraction. ainsi<B>qu'il</B> sera expliqué plus loin en détail.
Un prolos ement 635, dirigé vers l'ar rière, de la coulisse de commande 513 (fig. 30, 31A, 31B et 32) est prévu pour venir au con tact d'une patte repliée d'une articulation 636, dans l'extrémité antérieure de laquelle est pratiquée une encoche qui engage un col lier d'écartement 637, monté loti sur l'arbre à cames principal 216. L'extrémité arrière de l'articulation 636 pivote sur un bras 638 (fig. 30), solidaire d'un bras correspondant 639 par un manchon monté librement sur un tenon de la barre 573.
Le bras 639 porte un goujon 640 qui coopère avec le bord inférieur d'un crochet 641 de déplacement soustractif dont l'extrémité arrière est fendue pour rece voir un goujon 642 d'un bras 6-13 fixé sur cette barre 573.
Un ressort 648, tendu entre le goujon 642 et un goujon du crochet 641, en coopération avec l'encoche dans l'extrémité arrière dudit crochet, forme une liaison souple entre ce crochet et ce goujon 642.
Le crochet 641 peut venir au contact du goujon 644 d'un bras 645 fixé sur l'arbre<B>578</B> de came d'embrayage. Un ressort 646 (fig. 32), tendu entre l'articulation 636 et un goujon fixe 647 de la plaque<B>583,</B> entraîne cette articulation en arrière pour maintenir normalement la patte repliée en contact avec le prolongement 635, comme représenté en fig. 32.
Une butée 649 (fig. 32) du bord supé rieur de l'articulation 636 coopère avec le goujon 647 pour empêcher le mouvement excessif vers l'arrière de l'articulation 636, mouvement qui peut suffire pour dégager l'encoche de cette articulation du collier 637:
Dans les opérations de soustraction, la coulisse de commande 513 et l'articulation 636 (fig. 30 et 32) sont retenues dans leur position arrière, comme représenté et expli qué plus haut et, par conséquelqt, le crochet 6-11 reste sur le trajet du goujon 6-1-1, sur quoi le mouvement d'embrayage en avant (le l'articulation 580 (fig. 34) et le mouvement dans le sens contraire des aiguilles (l'une montre du bras<B>579,
</B> de l'arbre<B>578</B> et (lu bras 6-15 oblige le goujon 64-1 à venir au contact du crochet 641 et à déplacer ce crochet en avant, de manière â, déplacer la barre 573 dans le sens des aiguilles d'une montre, si l'on regarde les fig. 30 et 35 et dans le sens contraire si l'on regarde la fig. 18p. Un bras fixé sur le tenon de la barre 573 (fit.
18B et 35) est relié, par une articulation 651, au bras gauche d'une bride 572 et, en consé quence, le mouvement de cette barre dans le sens des aiguilles d'une montre, si l'on r e- garde la fig. 35, et dans le sens contraire si l'on regarde la fig. 18B, imprime un mouve ment similaire à ladite bride 572.
Ce mouve ment de la barre 573 et de la bride 572 pro voque, ainsi qu'il a été expliqué plus haut, le déplacement des cliquets d'addition 560 vers une positiôn inopérante et le déplace ment simultané des cliquets 561 de soustrac tion vers une position active; il provoque également le déplacement des ressorts<B>571,</B> de manière à ce qu'ils guident les goujons 569 dans la branche gauche de l'encoche 570 en forme d'Y, pour provoquer le report des chiffres soustractifs des dizaines.
Le mouvement du bras 643 dans le sens des aiguilles d'une montre à l'encontre d'un ressort 652 (fig. 35) tendu entre ce bras et un goujon fixe 653 du bâti des totalisateurs, fait passer un goujon carré 654, porté par ee bras, à côté d'un épaulement d'un verrou 655 pivotant sur l'axe 653, sur quoi un res sort 656, tendu en'tre ledit verrou 655 et un verrou similaire pour le totalisateur No 2,
entraîne ce verrou 655 dans le sens des aiguilles d'une montre pour faire entrer en contact un épaulement de ce verrou avec le goujon 654, de manière à empêcher le mouve ment de retour dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre du bras 643 et de la barre 573, sous l'action du ressort 652, lorsque le bras 645 d'embrayage du totalisa teur est ramené dans le sens des aiguilles d'une montre.
Un prolongement antérieur du verrou 655 coopère avec un goujon 657 d'une articulation 658 supportée, en vue de son dé placement horizontal, par des fentes parallè les pratiquées dans cette articulation, en co opération avec le goujon 653 et d'autres gou jons similaires fixés sur le bâti 134 des to- talisateurs. L'extrémité antérieure de l'arti culation 658 pivote sur un levier-came 659, monté librement sur un axe 660 fixé sur le châssis gauche 131, ledit levier étant pourvu d'une fente 661 qui coopère avec un galet 662 monté sur le levier-came 590. Voir fi-. 34 et 35.
Lorsque les pièces sont en position de re pos, comme sur les fig. 34 et 35, le goujon 657 maintient l'épaulement du verrou 655 hors du trajet du goujon 654. Le mouvement initial du levier 590 dans le sens des aiguil les d'une montre, sous l'action des cames 595 et 596 (ligne 4, fig. <B>127),</B> provoque le dépla cement du levier 659 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, sous l'action du galet 662 coopérant avec la fente 661, de manière à déplacer l'articulation 658 vers l'arrière, en vue de retirer le goujon<B>657</B> du verrou 655 et à permettre au ressort 656 d'amener l'épaulement de ce verrou sur le trajet du goujon 654.
Le verrou 655 est donc maintenant à même d'entrer en contact avec le goujon 654 pour empêcher le bras 643 de tourner dans la direction des aiguilles d'une montre après qu'il a été déplacé sous l'action du bras 645 et du crochet 641. La forme de la fente 661 est telle que 'seul le mouvement initial dans le sens des aiguilles d'une mon tre et le mouvement final dans le sens con traire du levier 590 provoquent le déplace ment du levier 659, le mouvement intermé diaire dudit levier n'imprimant aucun mou vement à ce levier 659.
En conséquence, le mouvement final de retour dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre du levier 590, sous l'action des cames 595 et 596, ramène le levier 659 dans le sens des aiguilles d'une montre pour déplacer l'articulation 658 en avant, de manière à ce que le goujon 657 amène l'épaulement du verrou 655 hors de prise avec le goujon carré 654 pour abandon ner le _bras 643 et la barre 573 à l'action du ressort 652.
Toutefois, le bras 643 et la barre 573 ne sont pas encore libres de se déplacer sous l'action dudit ressort 652, car un verrou (non représenté), en coopération avec cette barre 573, empêche ce mouvement, ce verrou étant actionné par le mouvement de remise en position de la barre de remise 566 (fia. 18B) qui fonctionne, dans les opérations de soustraction, conformément aux temps indiqués à la ligne 7 du tableau de la fia. 127 et, dans les opérations d'addition, conformé ment aux temps indiqués à la ligne 6.
Dans les opérations autres que celles de soustraction, la coulisse de commande 513 (fia. 32) se déplace toujours en avant à par tir de la position de soustraction représentée ici, vers l'une de ses autres positions; le mi nimum de ce mouvement en avant ayant lieu dans les opérations de totalisation et de sous- totalisation, mouvement minimum qui suffit pour permettre à l'articulation 636 de se dé placer vers l'avant sous l'action du ressort 646, simultanément avec la coulisse, jusqu'à ce que le fond de l'encoche pratiquée dans l'extrémité antérieure de cette articulation entre en contact avec le collier 637.
Le mou vement en avant de l'articulation 636 dé place le bras 638 (fia. 30 et 35). et le bras 639 dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre, le goujon 640 entrant en contact et déplaçant le crochet 641 dans le même sens, à l'encontre d'un ressort 663 re lativement faible, de manière à placer ledit crochet hors du trajet du goujon 644, de telle sorte que le mouvement du bras 645 n'a au- ctm. effet sur ce crochef et le mécanisme qui lui est relié.
Embrayage <I>dit totalisateur dans les opérations</I> <I>de totalisation.</I>
L'abaissement de la touche de balance 379 (fia. 32, 39, 44, 45 et 46) place le goujon 624 sur le trajet de la saillie correspondante 628 de la coulisse de commande 513, sur quoi le mouvement de la chape 603, sous l'action de la came 606 au début de l'opération de la machine, permet à ladite coulisse 513 de se déplacer en avant sous l'action du ressort 634, jusqu'à ce que cette saillie 628 entre en contact avec le goujon 624 et amène cette coulisse à sa position No 1 ou position de to talisation.
Cette mise en position de la coulisse de commande 513 place la saillie 512 aména gée sur le bord inférieur de la coulisse (fia. 32 et 46) sur le trajet de la tige 505, de manière à empêcher le mouvement de cette tige, ainsi que celui de l'arbre 501 et du bras 500 (fia. 26) dans le sens des aiguil les d'une montre, sous l'action de la came 511 (fig. -1-1), et à laisser le verrou 494 de déblo cage de la touche en position opérante, comme représenté.
de manière à permettre le fonc tionnement du mécanisme de déblocage de la touche au début de ces opérations de totali sation en vue du déblocage de toute touche numérale ou touche de comptage de postes qui aurait été enfoncée par inadvertance avant le mouvement initial vers l'arrière des bloc-moteurs 240 et des crémaillères 243, ainsi qu'il a été expliqué précédemment lors de la description du mécanisme de déblocage des touches.
Le mouvement de la coulisse de commande 513 vers la position de totalisation déplace le levier 601 (fia. 32, 40 et 45) vers la position de totalisation, comme indiqué en pointillé, position dans laquelle le doigt dudit levier dirigé en arrière se trouve encore hors du trajet de la queue 600 du verrou 585 et n'a, par conséquent, aucune influence sur ce ver rou qui fonctionne exactement de la même façon que dans les opérations de soustraction pour provoquer l'embrayage et le débrayage du totalisateur No 1 ou totalisateur de ba lance pendant l'enregistrement des totaux. Le mouvement de la coulisse de commande 513 (fia.
30 et 32) vers la position de totalisa tion fait déplacer l'articulation 636 siûfisain- ment pour amener le crochet 641 hors du trajet du goujon 644, de manière que les cli- quets de report additif 560 restent en posi tion opérante, comme indiqué sur la fig. 18B.
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, les roues du totalisateur de balance se trou vent en prise avec les crémaillères 243 (fia. 1SB) avant leur mouvement initial en arrière, mouvement qui fait tourner ces roues dans le sens inverse jusqu'à ce que l'une des dents d'encliquetage diamétralement opposées des cames correspondantes 550 entre en con tact avec les cliquets de report additif 560 pour mettre ces roues en position zéro et pour mettre en même temps en position les crémaillères 243, les bloc-moteurs 240 et les porte-caractères associés, conformément au montant qui se trouve indiqué par les roues du totalisateur.
Après que les bloc-moteurs 240 et les crémaillères 243 ont achevé leurs mouvements initiaux en arrière pour mettre les roues du totalisateur No 1 en position zéro, ces roues sont débrayées desdites crémaillères, sur quoi ces crémaillères sont ramenées en avant à la position normale. En conséquence, les roues du totalisateur IVo 1 restent en po sition zéro.
Il faut noter que, dans les opérations de .soustraction et de totalisation, après que le mouvement initial en avant de la barre d'em brayage 586 a déplacé le verrou 585 et l'ar ticulation 580 en avant pour embrayer les roues du totalisateur de balance avec les cré maillères, les cames 619 et 620 entrent en action pour faire descendre la barre 609 (fi,.
40 et 45 et ligne 5 de la fig. <B>127)</B> de manière à placer l'extrémité en forme de cro chet de ce verrou au-dessus de la barre 586 et à ce que cette barre puisse passer au-des sous de ce verrou dans son deuxième mouve ment, ainsi qu'il a été expliqué à propos des opérations de soustraction.
Après que la barre d'embrayage 586 a achevé son second mouvement et reste au re pos avant son troisième mouvement, la barre 609 est ramenée vers le haut pour faire pla cer le verrou 585 au-dessus de la barre d'em brayage 586, sur quoi le troisième mouvement ou premier mouvement de remise en position de cette barre déplace l'articulation 580 en arrière pour débrayer les roues du totalisa teur de balance des crémaillères, dans les opé rations de soustraction et de totalisation, préalablement au mouvement de retour de ces crémaillères.
Dans les opérations de totalisation, tout comme dans les opérations de soustraction, après que la barre d'embrayage 586 du tota- lisateur a achevé son troisième mouvement et reste au repos avant son quatrième mouve ment, les cames 619 et 620 (fig. 40) abais sent à nouveau la barre 609 pour déplacer le verrou 585 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à amener l'extrémité arrière en forme de crochet de ce verrou hors du trajet de la barre d'embrayage 586, afin que cette barre puisse se placer au-dessous dudit verrou sans le gêner dans son ,qua trième mouvement ou mouvement final dans le sens de retour.
Embrayage <I>du totalisateur dans les opérations</I> <I>de</I> sous-totalisation.
Ainsi qu'il a été expliqué plus haut, une opération d'enregistrement d'un sous-total est exactement semblable à une opération d'enre gistrement d'un total, sauf que les roues chi totalisateur sélectionné restent en prise avec les crémaillères 243 pendant leur mouve ment de retour en avant et que, par consé quent, ces roues sont ramenées à leurs posi tions primitives.
Cela s'effectue sous l'action de la coulisse de commande de sous-totalisa- tion 519 (fig. 44 et 47) qui commande un mécanisme de verrouillage bloquant la barre 609 dans sa position abaissée, de sorte que le verrou 585 est maintenu hors du trajet clé la barre de démarrage 586 pendant son troi sième mouvement ou premier mouvement de retour et que, par conséquent, les roues du totalisateur de balance restent en _ prise avec les crémaillères 243 pendant le mouvement de retour en avant desdites crémaillères et sont, par conséquent, ramenées à leurs posi tions primitives.
L'abaissement de la touche 378 de sous balance (fig. 32, 44 et 46) amène le goujon 623 sur le trajet de la saillie correspondante 627 de la coulisse de commande 513 pour mettre cette coulisse et le levier 601 exacte ment dans les mêmes positions que dans les opérations de totalisation. La mise en posi tion de la coulisse de commande 513 place la saillie 512 au-dessus de la tige 505, de ma nière à empêcher le mouvement de cette tige pour rendre opérant le verrou 494 (fig. 26) et à provoquer le fonctionnement du méca nisme de déblocage des touches afin de dé bloquer toutes touches de montants ou de postes qui auraient pu être enfoncées par inadvertance.
La coulisse de commande de sous-totalisa- tion 519 (fig. 44), qui est supportée à glis sement par les goujons 59<B>2</B> et 523 près de la coulisse de commande 513, est. pourvue sur son prolongement arrière de dents qui vien nent en prise avec les dents correspondantes d'un segment solidaire d'un levier de com mande de sous-totalisation 665 (fi-. monté librement sur le goujon 602. La cou lisse 519 de commande de sous-totalisation possède une saillie 666 qui coopère avec un doigt d'un bras 667 d'une chape 668 montée librement sur le goujon 509.
Le bras 667 porte un goujon 669 qui est situé au-dessous d'un doigt 670 du levier 508, lequel, comme il a été expliqué plus haut, est actionné par la- came 511 conformément aux temps indi qués à la ligne 11 du tableau de la fig. 127. Une surface usinée du bord antérieur du bras de la chape 668 (fig. 46 et 48) coopère avec une surface correspondante d'un prolonge ment dirigé vers le bas d'un levier 671 monté fou sur le goujon 509 et auquel est articulée l'une des extrémités d'un verrou 672 dont l'autre extrémité est fendue pour embrasser un goujon 673 fixé entre les parties latérales du châssis 482.
Un ressort 674 pousse le verrou 672 vers l'arrière pour maintenir le levier 671 en contact flexible avec le bras de la chape 668. Le verrou 672 possède un pro longement 675 disposé pour se déplacer au- dessus d'une partie repliée<B>676</B> de la barre 609 et bloquer cette barre dans sa position abaissée, ainsi qu'il va être expliqué. Le le vier de commande 665 (fig. 44) est muni d'un doigt.
qui s'engage dans une encoche pratiquée dans la partie repliée du bras de la chape 603, exactement de la même manière que le fait le levier de commande 601 pour le totalisateur 'No 1, ou de balance.
Dans les opérations autres que de sous- totalisation ou de sous-balance, la coulisse de commande 519 de sous-totalisation peut se déplacer en avant de toute sa course sous l'action de son ressort 678, par suite du mou vement de la chape 603. Le déplacement to tal de cette coulisse de commande 519 permet à la saillie 666 de se placer au-dessus du doigt 667 pour bloquer ou empêcher le mou vement de la chape dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du levier 508, et à la came 511 de retenir le levier 671 et le ver rou 672 (fi-. 46) en position inopérante, comme représenté, de telle sorte que le pro longement 675 ne bloque pas la partie repliée 676 de la barre de commande 609.
En con séquence, cette barre 609 fonctionne de la manière expliquée à l'occasion des opérations de soustraction et de totalisation pour com mander le verrou 585.
L'abaissement de la touche de sous- balance <B>378</B> (fig. 44) place le goujon 623 sur le trajet de la saillie 679, prévue dans une ouverture de la coulisse de commande de sous-totalisation 519, de façon à empêcher le mouvement de cette coulisse en avant et à re tenir ainsi la saillie 666 hors dut trajet du doigt 667, sur quoi la chape 668 peut se dé placer simultanément avec le levier 508.
La mise en position de la coulisse de com mande 513 (fig. 32, 46 et 48), sous l'action de la touche de sous-balance 378, met une en coche pratiquée dans un prolongement arrière de cette coulisse en ligne avec une patte re pliée 681 du levier 671, de sorte que ledit le vier peut se déplacer dans le sens des aiguil les d'une montre sous l'action de la chape 668, dans les opérations de sous-balance. Attendu que la came 511 (fig. 44) actionne le levier 508 et la chape 668 avant le mouve ment initial de la barre 609 vers le bas (fig. 40),
le prolongement 675 du verrou 672 vient en contact flexible avec la face anté rieure de la partie repliée 676 jusqu'à ce que cette partie passe au-delà de ce prolonge ment, sur quoi ledit verrou 672 se déplace en arrière vers la position de blocage.
Dans les opérations de sous-totalisation ou de sous-balance, le mouvement initial en avant de la barre 586 d'embrayage du tota- lisateur (fi;. 34, 36 et 45) amène cette barre au contact de la surface 2632 du verrou 585, de manière à déplacer ce verrou et l'articula tion 580 en avant pour mettre en prise les roues du totalisateur No 1, ou de balance, avec les crémaillères 2-13 préalablement au mouvement initial en arrière des crémaillères, mouvement qui fait tourner les roues dans ie sens inverse vers la position zéro,
de manière à ajuster ces crémaillères et leurs bloc-mo- teurs respectifs conformément aux montants qui se trouvent indiqués sur ces roues du to talisateur.
Pendant que la barre d'embrayage 586 reste au repos, après avoir achevé son premier mouvement, les cames 619 et 620 (fi-. 40 et ligne 5 du tableau de la fie. 127) entrent en action pour faire descendre la barre 609 de manière à déplacer le verrou 585 dans le sens des aiguilles d'une montre et à amener la surface 2632 de la partie en forme de crochet de ce verrou, hors du trajet de la barre 586, exactement comme dans les opérations de totalisation, de sorte que cette barre 586 Peut, pendant son deuxième mou vement, se placer au-dessous de la partie en forme de crochet.
Le mouvement de la barre 609 vers le bas (fig. 46 et 48) place le bord supérieur de la partie repliée 676 au-dessous du prolongement<B>675</B> pour abandonner le verrou<B>672</B> à l'action du ressort 674 qui dé place immédiatement ledit verrou vers l'ar rière pour amener ce prolongement 675 au dessus de la partie-repliée<B>676</B> et bloquer la barre 609 dans sa position abaissée.
En comparant les lignes 4, 5 et 11 du ta bleau de distribution des temps (fig. 127), on voit que le verrou 672 (flg. 46) reste opérant pendant que la barre d'embrayage effectue son troisième mouvement.
En conséquence, le verrou 585 est maintenu au-dessus de cette barre d'embrayage et il en résulte que les roues du totalisateur No 1 restent en prise avec les crémaillères pendant leur mouve ment de retour en avant et que, par consé quent, elles sont ramenées à leurs positions primitives. Pendant que la barre d'em brayage 586 reste an repos dans sa troisième position, la came 511 (fig. 44, 45, 46 et 48) agit de manière à dégager le prolongement 675 du verrou 672 de la partie repliée 676, de telle sorte que la barre de commande 609 peut se déplacer vers le haut sous l'action des cames 619 et 620 et ramener le verrou à la position normale ou de soustraction.
Le quatrième et dernier mouvement de la barre 586 d'embrayage du totalisateur. (fig. 34, 40 et 45) fait déplacer l'articulation 580 en arrière sous l'action de la barre 586 en co opérant avec une saillie 682 prévue sur Par ticulation 580, de manière à débrayer I,es roues du totalisateur No 1 des crémaillères 243 après que lesdites crémaillères ont achevé leur mouvement de retour en avant de la manière expliquée plus haut.
Les touches de totalisation 376 Nos 2, 3 et 4 portent respectivement des goujons carrés 684, 685 et 686 qui coopèrent avec des saillies correspondantes de leurs coulisses de com mande respectives 514, 515 et 516 (fig. 46 et 47), de manière à faire embrayer les roues des totalisateurs correspondantes ou à les dé brayer des crémaillères 243 pendant l'enre gistrement des totaux.
De même, la touche de sous-totalisation 375 (fig. 3 et 44) porte un goujon carré 687 qui coopère avec une saillie 688 du bord supérieur de la coulisse de com mande 519 de sous-totalisation, de manière à ajuster cette coulisse exactement de la même façon qu'il a été expliqué pour la touche 378 de sous-balance;
lorsque cette touche 375 de sous-totalisation est employée conjointement avec l'une des touches de totalisation 376 Nos 2, 3 ou 4, elle provoque l'embrayage et le débrayage du totalisateur pendant la .;ous- totalisation, exactement de la même manière que la touche 378 de sous-balance provoque l'embrayage du totalisateur N 1 ou de ba lance pendant la sous-totalisation.
Mécanisme d'embrayage <I>des</I> totalisatews <I>dans les opérations d'addition.</I>
Dans les opérations d'addition, l'abaisse ment de la touche d'addition 380 (fig. 3, 32, 39 et 44) place son goujon carré 625 sur le trajet de la saillie 629, sur quoi la manipula tion de la machine fait mettre le levier de commande 601 en position d'addition, sous l'action de la coulisse de commande 513, de manière que son prolongement arrière occupe la position indiquée en pointillé sur les fi-.
40 et 45, de façon à obliger ce prolonge ment arrière à venir en contact avec la queue 600 du verrou 585 et à placer ce verrou en position d'addition, comme indiqué en poin tillé (fig. 45), de sorte que l'extrémité infé rieure de la partie de ce verrou en forme de crochet soit située hors du trajet de la barre d'embrayage 586.
En conséquence, le premier mouvement de la barre d'embrayage 586 dans le sens de l'embrayage fait passer cette barre au-dessous de l'extrémité arrière de la partie en forme de crochet du verrou 585, sans imprimer aucun mouvement d'em brayage à l'articulation 580 (fig. 34 et 45) ni au totalisateur No 1.
Le deuxième mouvement de la barre d'em brayage 586 amène cette barre au contact d'une surface 689 du verrou 585 et fait dé placer vers l'avant ce verrou et l'articula tion 580 pour embrayer les roues 559 du tota lisateur No 1 avec les crémaillères 243, après que ces crémaillères ont achevé leurs mouve ments initiaux en arrière et ont été mises en position par l'abaissement des touches numé rales 218 (fit. 3). Comparer les lignes 1 et 4 (fi-. 127). Le troisième mouvement de la barre d'embrayage 586 (fia-. 45) n'imprime aucun mouvement à l'articulation 5S0.
Mais le quatrième mouvement de cette barre, en coopération avec la saillie 682, déplace en arrière l'articulation 580 et le mécanisme qui lui est relié de façon à débrayer les roues du totalisateur No 1 des crémaillères 243, après que ces crémaillères ont achevé leur mouve ment de retour en avant et à faire entrer dans ces roues le montant composé par les touches numérales 218.
L'abaissement de la touche de correction 369 No 4 (fig. 32, 39 et 46) place son goujon 631 sur le trajet de la saillie 633 du bord su périeur de la coulisse de commande 513, de sorte que, lors de la manipulation de la ma chine, cette coulisse soit mise en position d'addition exactement de la même manière qui a été expliquée pour la touche d'addition 380, pour sélectionner le totalisateur No 1, ou totalisateur de balance, en vue d'une opé ration d'addition, ce qui est nécessaire pour les opérations de correction concernant des postes de débit ou chèques.
Lorsqu'on se sert soit de la touche d'ad dition 380, soit de la touche de correction 369 î No 4 pour sélectionner et préparer le totali sateur No 1 ou de balance, pour une opéra tion d'addition, comme expliqué plus haut, leurs goujons 625 et 631, en coopération avec des saillies correspondantes sur la coulisse de commande 517 (fig. 47), disposent cette cou lisse de manière à sélectionner et à préparer le totalisateur No 5 ou totalisateur de dépas sement pour une opération de soustraction, ce qui est nécessaire pour retenir ledit totali sateur de dépassement en liaison complémen taire avec ledit totalisateur No 1 ou de ba lance.
De même, lorsqu'on se sert soit de la touche de soustraction<B>377,</B> soit de la touche de correction 369 No 3 (fig. 32), pour sélee- tionner et préparer le totalisateur No 1 pour une opération de soustraction, comme expli qué plus haut, les goujons 622 et 630 de ces touches, respectivement en coopération avec des saillies correspondantes sur la coulisse de conunande 517, sélectionnent et préparent le totalisateur No 5 ou de dépassement, pour urne opération d'addition,
ce qui est nécessaire pour retenir ce totalisateur en liaison com plémentaire avec ledit totalisateur de balance.
Etant donné que des articles de crédit aussi bien que de débit sont comptés et accu mulés dans le totalisateur No 6, out totalisa teur des postes, les goujons 625 et 622 (fig. 39, 46 et 47) des touches d'addition et de soustraction 380 et<B>377,</B> en coopération avec des saillies correspondantes 690 et 691 sur la coulisse de commande 518, disposent cette coulisse et son levier de commande cor respondant 692 dans la position d'addition.
Le levier de commande 692 coopère avec un verrou 693 qui pivote sur une articulation d'embrayage 694 pour le totalisateur No 6; l'extrémité antérieure de cette articulation est fendue pour embrasser une partie aplatie d'un collier monté sur l'arbre 581 alors que l'extrémité postérieure de cette articulation pivote sur un levier 695, monté fou sur un arbre 696 supporté par le bâti des totalisa teurs.
Le levier 695 porte un goujon qui co opère avec une encoche dans le bord supé rieur d'un bras 697 fixé sur un arbre d'em brayage<B>698.</B> Sur l'arbre 698 sont également filées des cames d'embrayage 699 qui co opèrent avec des galets montés sur l'arbre de totalisateur No 6, arbre qui supporte à rota tion les roues du totalisateur No 6 et qui est, à. son tour, supporté par les bras d'un châssis oscillant 700, monté de façon @à pouvoir pi voter sur le bâti 131 des totalisateurs (fig. 188).
Le mécanisme d'embrayage décrit ci-dessus pour le totalisateur No 6, ou totali sateur des postes, fonctionne exactement de la même manière que le mécanisme pour le totalisateur No 1 ou de balance, expliqué pré cédemment, pour provoquer l'embrayage et le débrayage du totalisateur No 6 ou totali sateur des postes pour les additions, par la barre d'embrayage 586, sur quoi le méca nisme représenté à la fig. 20 et expliqué plus haut provoque l'entrée du nombre de postes dans ledit totalisateur de postes.
De même, l'abaissement de la touche de sous-balance 378 ou de la touche de balance <B>379</B> amène le goujon 623 ou 624, en coopéra tion avec des saillies correspondantes 701 et 702 de la coulisse de commande 518 pour le totalisateur No 6 ou totalisateur d'articles, à provoquer l'embrayage et le débrayage de ce totalisateur par les bloc-moteurs, pendant la sous-totalisation ou la totalisation, exacte- ment de la manière qui a été expliquée pour le totalisateur No 1 ou de balance, de manière à obtenir -Lui enregistrement du nombre total de postes.
Dans les opérations de balance, dans les quelles le totalisateur No 1 est en position positive et le totalisateur No<B>5</B> ou de dépas sement en position négative, l'abaissement de la touche de balance 379 amène son goujon 624, coopérant avec une saillie correspondante de la coulisse de commande 517 (fig. 39 et 47), à sélectionner et à préparer le totalisa teur No 5 ou de dépassement pour les opéra tions d'addition, afin d'y ajouter le montant extrait du totalisateur N 1 ou de balance, et à remettre à zéro ce totalisateur No<B>5</B> ou de dépassement.
Dans les opérations de balance ou de sous- balance du dépassement, dans lesquelles le totalisateur No 5 ou totalisateur de dépasse ment se trouve en position positive et le to talisateur No 1 en position négative, le, méca nisme de dépassement, qui sera décrit plias loin, fonctionne de manière à provoquer la sélection et la préparation du totalisateur No 5 pour une opération de sous-totalisation ou de totalisation, suivant le cas, afin d'obte nir un enregistrement positif de la balance négative.
Dans la balance des opérations de dépassement, le totalisateur No 1 ou de ba lance est simultanément sélectionné et pré paré pour l'addition, de sorte que le montant extrait du totalisateur No 5 y sera ajouté pour remettre ledit totalisateur de balance à zéro.
L'abaissement de la touche 374 de non- addition (fig. 3) provoque, par l'intermé diaire du mécanisme représenté aux fi-. 41 et 50, et qui sera expliqué plus loin, le dépla cement du mécanisme sélecteur pour les six totalisateurs, commandé par le chariot, vers la position de non-addition, et, dans ce cas, si aucune des touches de commande 375 à 380 incluse n'est abaissée, les coulisses de commande 513 à 518 incluse (fig. 47)
peu vent se déplacer de toute leur course vers la droite. Ce mouvement vers la droite de la coulisse de commande 513 pour le totalisa teur No 1 (fig. 32, 40 et 45) fait déplacer le levier de commande 601 de toute sa course dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre vers la position de non-addi- tion. Les mouvements du levier de commande 601 vers la position de non-addition amènent son prolongement postérieur, en coopération avec la queue 600 du verrou 5S5, à déplacer ce verrou vers sa position de non-addition, ainsi qu'il est indiqué en pointillé à la fig. 45, position dans laquelle les surfaces opérantes 2632,
2633 et 689 sont au-dessus, ou hors du trajet, de la barre d'embra@-age 586. En conséquence, cette barre peut se dé placer en avant et en arrière sans imprimer aucun mouvement d'einbra@-age ou de dé brayage à l'articulation 580 et au mécanisme qui lui est relié. Dans les opérations de non- addition, les roues du totalisateur No<B>1</B> ou de balance ne sont donc pas en prise avec les crémaillères 243.
Les autres totalisateurs de la machine fonctionnent exactement de la même façon que le totalisateur 1o 1 ou totalisateur de ba lance dans les opérations de non-addition. Le mécanisme commandé par la touche 37-1 de non-addition (fig. 41 et 50) sera décrit plus loin en détail en même temps que la com mande du mécanisme sélecteur des totalisa teurs au mo@-en du chariot dans les positions de tabulation ou de colonnes de celui-ci.
<I>Sélection des</I> totalisateurs <I>par le chariot.</I> On a prétlz un mécanisme commandé par le chariot dans des positions de tabulation ou de colonnes de celui-ci, en vue de sélectionner et préparer les six totalisateurs pour les di verses opérations, exactement de la même ma nière que celle expliquée pour les touches de commande.
Le levier de commande 601 (fi-. q0) pour le totalisateur N o 1 ou de balance est pourvu d'un prolongement dirigé vers le haut avec quatre gradins 701, 705, 706 et 707, corres pondant aux positions de soustraction, tota lisation, addition et non-addition des coulis ses de commande correspondantes 513; ces gradins peuvent coopérer avec la patte re pliée 708 d'un bras 109 monté fou sur une tige 710 supportée par le châssis gauche 131 et la plaque 583 (fig. 31p). Le bras 709 est relié à pivotement. par une articulation 711, à un bras 712 monté fort sur une tige 713 également supportée par le châssis gauche 131 et la plaque 583.
Le bras 712 (fin. -10) est relié élastiquenient par un ressort 711 à un bras associé 715, ce ressort tendant les dits bras dans des directions opposées, de ma nière à maintenir une saillie de ce bras 712 normalement en contact avec une butée 716 sur ledit bras 715. Un ressort 717, dont une extrémité est reliée au bras 715, entraîne ce bras et son bras associé<B>712</B> clans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à main tenir un prolongement avant de ce bras 715. normalement en contact avec une tige d'arrêt 703, supportée par le châssis 131 et la pla que 583.
Un prolongement arrière du bras 715 coopère avec l'extrémité gauche d'un levier tâteur <B>718</B> monté fou sur<B>une</B> tige 719 (fig. 75 et 96A) qui s'étend entre le châssis latéral 133 et la barre 138, laquelle, comme on se rappelle, aide à supporter le chariot dans son déplacement latéral.
Le levier tà- teur 718 est pourvu d'une saillie tâtcuse 7\30, dirigée vers le haut (fig. 76, 101 et 106) qui coopère avec un taquet de commande corres pondant 721, lequel a une partie en queue d'aronde s'adaptant à une rainure de même forme pratiquée dans un bloc de commande 722 pour commander le fonctionnement de la machine dans une colonne particulière du matériel d'enre-istrement.
En plus du levier ta teur 71S pour le to talisateur \o 1 ou de balance, il existe un le vier tâteur similaire 723 < i 727 inclus (fig. 963 et 106) pour chacun (les totalisa teurs Nos ? à 6 inclus, dont les saillies tît= teuses coopèrent avec des taquets correspon- dants montés dans la rainure en queue d'aronde du bloc de commande 722 exacte ment de la même manière que le taquet 721 pour le levier <B>718.</B> Le jeu complet (les taquets de commande, v compris le taquet<B>721</B> (fig. 101 et 106)
est assemblé clans l'ordre nécessaire dans la rainure en queue d'aronde. du bloc de commande <B>722</B> et est maintenu en position par une vis 683 passant librement à travers des trous pratiqués dans les taquets de commande et vissée dans le bloc de com mande<B>7212.</B>
*
Outre les taquets de coniman(le pour la commande de la sélection des divers totalisa teurs, le bloc de commande 722 peut égale ment comporter des taquets de coiuinande pour commander l'opération (les totalisateurs Nos 1 et 5 dans des opérations <B>(le</B> dépasse- ment, pour commander le mouvement du porte-caractère des postes et du porte-carac- tère des centimes, pour commander le mou vement d'impression du porte-caractère des dates, pour déverrouiller la machine pour l'opération,
pour rendre opérant le méca nisme automatique d'espacement des lignes, pour commander le mécanisme d'ouverture de la goulotte, pour ramener le chariot à une position particulière de colonne et pour actionner le mécanisme de démarrage de la machine afin de déclencher une opération automatique de la machine. Il ressort de ce qui précède qu'il est possible d'exécuter tous genres d'opérations différées avec la machine par un assemblage approprié de taquets de commande dans les blocs de commande 722 et par l'emploi d'iui nombre convenable de ces blocs 722 espacés dans des positions de colonnes sur le chariot.
Le bloc de commande 722 (fig. 18B et 105) est pourvu de mortaises pour recevoir à glissement les bords saillants d'une barre 729 de bloc de contrôle, pourvue de prolonge ments similaires repliés vers le haut et s'adaptant dans des rainures parallèles cor respondantes pratiquées dans une plaque de fond 730 du chariot 136. Une griffe de fixa tion 731 à serrage, montée sur le bloc de com mande 722, coopère avec les entre-dents du bord saillant antérieur de la barre 729 pour assurer la position convenable du bloc de commande 722 sur cette barre 729.
La barre 729 s'étend sur toute la longueur du chariot et n'importe quel nombre de blocs de coni mande 722 nécessaires pour obtenir la com mande désirée peut être placé sur cette barre dans des positions conformes aux différentes colonnes du matériel d'enregistrement utilisé dans le système d'organisation en question.
Chacun. des blocs de commande 722 (fig. 105) a une saillie d'arrêt 733 qui co opère avec des pistons d'arrêt de tabulation, d'une manière qui sera décrite ultérieure- ment, pour situer le chariot dans ses diverses positions de colonnes. La saillie 733 porte un goujon 732 qui coopère avec une roue indica trice qui indique le mécanisme sélecteur de colonnes lequel, à son tour, commande la mise en position du chariot d'une manière qui sera décrite plus loin.
La traverse d'une chape 734 (fig. 76, 78 et 96a) passe au-dessous et coopère avec . des surfaces façonnées infé rieures du levier sélecteur 718 pour le totali sateur No 1 et des leviers sélecteurs<B>723</B> à 727 inclus pour les totalisateurs Nos 2 à 6 inclus, les bras de cette chape étant supportés à ro tation par la tige<B>719.</B> La surface inférieure de la traverse de la chape 734 a une partie pendante qui coopère avec un galet 735 monté sur -une manivelle 736 fixée sur un arbre 737 tournant dans les châssis 130 et 131.
Sur l'arbre 737, une manivelle 738 est également fixée, sur laquelle pivote l'extré mité supérieure d'une bielle 739 dont l'extré mité inférieure est fendue pour entourer un collier 740 monté sur l'arbre principal 216. Sur la bielle 739 est fixée une plaque 741, munie d'une dent qui coopère avec un goujon aplati 742 fixé sur la face gauche de la roue 215, laquelle, comme on se rappelle, est calée sur l'arbre principal 216 (fig. 8) et fait par tie d'un train d'engrenages qui transmet la puissance du moteur à cet arbre principal. Ira bielle 739 (fig. 76 et 78) porte un galet 743 qui coopère avec la périphérie d'une came 744 montée sur l'arbre principal 216.
Le mouvement de la bielle 739 et des piè ces qui lui sont reliées sous l'action du gou jon 742 et de la came 744 est indiqué graphi quement sur la ligne 9 du tableau de la fig. 127, d'après lequel on voit que, immédia tement après le commencement du fonction- nement-de la machine, le grand diamètre de la came 744 se place au-delà du galet 713, après quoi la surface plate du goujon 742 se déplace au-delà de la dent de la plaque 741 pour abandonner la bielle 739 et les pièces qui lui sont reliées, y compris la chape 734, à l'action des ressorts 7-15 (fig. 76),
lesquels sont tendus pour entraîner les leviers sélec teurs 718 et 723 à 727 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, en regar dant le dessin, et pour amener les ergots tâ- teurs 720 de ces leviers au contact des ta quets 721 portés par les blocs de commande 722, afin de sélectionner et préparer les dif férents totalisateurs en vue des opérations désirées.
On voit que chacun des leviers sélecteurs, y compris le levier sélecteur 718 (fi-. 76 et 96a), possède un ergot de guidage 716 pen dant qui passe au travers d'une fente de gui dage correspondante pratiquée dans une pla que 717, fixée entre le châssis latéral 133 et le banc 138.
En se reportant à la fi-. 106, on voit que le taquet de commande 721 limite le mouve ment de tâtonnement du levier sélecteur 718 pour le totalisateur I\To 1 et que ce taquet peut avoir quatre longueurs différentes en vue de situer ledit levier sélecteur dans l'une de ses quatre positions de sélection, ce levier, à son tour, amenant, par l'intermédiaire des bras 715 et 712 et de l'articulation 711 (fi-. 10), le bras 709 dans l'une de ses quatre positions, à savoir: la position de soustraction représentée en traits pleins sur la fig. 10 et les positions de totalisation, d'addition et de non-addition, représentées en pointillés.
Si, par exemple, on utilise la quatrième ou phis grande longueur du taquet 721, le le vier sélecteur 718 est retenu dans la position représentée en fig. 10 et, par suite, aucun mouvement n'est imprimé aii bras 709.
En conséquence, le bras 709 reste dans la posi tion fign crée où la patte repliée 708 se trouve en face du gradin 701 du levier de com mande 601, de manière à mettre ce levier de commande et la coulisse de commande 513 en position de soustraction et à provoquer la sé lection et la préparation du totalisateur Ko 1 pour une opération de soustraction, exacte ment de la même façon que pour la touche de soustraction 377.
Si on utilise la troisième longueur du taquet 721, le levier 718 et le bras 709 (fig. 10 et 106) occupent des posi tions telles que la patte repliée 708 se trouve en face du -radin 705 de totalisation du le vier de commande 601, ce levier 601 et la coulisse de eonimande 513 sont amenés en po sition de totalisation pour provoquer l'eni- brayabe et le débrayage du totalisateur \o 1 pendant la totalisation, de la manière expli- quée précédemment.
L'emploi de la deuxième longueur du taquet de commande 7\31 provo que la mise en place du levier sélecteur 718 et chi bras 709 à la position d'addition où la patte repliée 708 se trouve en face du gradin 706 plus et amène ce levier de commande à commander le verrou 585 de la manière expliquée précédemment, de faon à provo quer l'embrayage et le débrayage du totalisa teur 1 o 1 ou de balance, lors de l'opération d'addition.
L'emploi de la première ou phis faible longueur de taquet de commande 7\31 (fig. 10 et 106) permet le mouvement maximum du levier sélecteur 718 et du bras sélecteur 709 polir placer ce bras dans une position telle chie la patte repliée 708 se trouve en face du gradin<B>707</B> de non-addition du levier 601, de manière à placer ce levier et la coulisse de commande<B>513</B> à la position de non-addition,
par suite de quoi le levier de commande dé place le verrou 585 de toute sa course dans le sens des aiguilles d'une montre vers aine position inopérante, empêeliant la barre d'embrayage d'imprimer un mouvement d'cin- bravage ou de débrayage à l'articulation 580 et au totalisateur \o 1.
Les ergots tâteurs 720 (fib. 76 et 106) des leviers 718 et 723 à 727 passent au travers de fentes de guidage correspondantes prati quées dans -une plaque supérieure 7-18 fixée entre le châssis latéral 133 et les châssis 139 , et 110 de support du chariot.
En comparant les lignes 9 et 10 du ta bleau de la fig. 127, on verra que la came 711 (fig. 76) ramène la chape î31 et les le viers tâteurs, y compris le levier tâteur 71S polir le totalisateur NTo 1, dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre vers la position normale, préalablement au mouve ment (le retour du levier (le commande 601 (fi;. 16), sous l'action de la came 606.
Mais, si ledit levier de commande 601 se trouve dans une position quelconque sauf pelle de soustraction, l'extrémité supérieure (le ce le vier en forme (le crochet se pose par-dessus la patte 708 pour retenir le [)ras 709, Parti- culation 711 et les bras 712 et 715 en position de tâtonnement, jusqu'à ce que ledit levier 601 ait été ramené à la position normale vers 1a fin du fonctionnement de la machine par la came 606. Après que le levier 601 a été ra mené à la position normale, représentée sur la fia. 40, le ressort 717 ramène les bras 715, 712 et 709 aux positions normales représen tées.
Dans (les opérations (le sous-totalisation commandées par le chariot. le levier tâteur 718 pour le totalisateur N 1 ou totalisateur de balance, se situe, par un taquet<B>721</B> de commande de totalisation (fia. 40 et 106), à la position (le totalisation et ledit levier met, à son tour, les bras 715, 712 et 709 en posi tion de totalisation où la patte 708 se trouve en face du gradin 705 de totalisation sur le levier de commande 601, de manière à placer ce levier et la coulisse de commande 513 en position de totalisation, exactement de la même façon que dans les opérations de tota lisation.
Un taquet (le contrôle 751 de sous- totalisation (fia. 57, 76 et 106) coopère avec la saillie tâteuse dirigée vers le haut d'un levier tâteur de sous-totalisation 75\3, sup porté par la tige 719 exactement de la même façon que le levier tâteur 718, ce levier<B>752</B> est entraîné dans le sens des aiguilles d'unie montre par un des ressorts 715, de manière maintenir une surface façonnée (lu levier en contact avec le bras de la chape 731, exactement de la même manière que pour le levier 718.
L'extrémité gauche du levier tâteur de sous-totalisation 752 se trouve au- dessus et coopère avec un bras 753 monté fou sur la tige 713 et sous tous les rapports similaire au bras 715, ce bras 753 étant relié élastiquement par un ressort à un bras asso cié 754 similaire au bras 712.
Le bras 754 est relié par une articulation 755 (fia. 44 et 57) à un bras sélecteur 756 muni d'une patte re pliée qui coopère avec l'extrémité supérieure en forme de crochet du levier de commande de sous-totalisation 665 pour la commande de la coulisse de soas-totalisation 519.
Normalement, un ressort (non figuré) similaire au ressort 717 (fig. 40) retient un prolongement du bras 753 (fia.<B>57)</B> en con tact avec la tige d'arrêt 703 pour mettre le bras<B>756</B> dans la position montrée sur la fia. 4l, de sorte que sa patte repliée se trouve au-dessus du prolongement en forme de cro chet du levier de sous-totalisation 665.
Dans les opérations de sous-totalisation, le taquet de commande de sous-totalisation 751 permet suffisamment de liberté au mouvement de tâtonnement du levier tâteur de sous-totali- sation 752, sous l'action de la chape 731 (fia. 76, 78 et 106), pour placer la patte re pliée du bras 756 (fia.
41 et<B>57)</B> sur le tra jet de l'extrémité en forme de crochet du le vier 665 de coininande de sous-totalisation. Cela produit exactement le même effet que l'abaissement de la touche de sous-totalisa- tion 375 et interdit le mouvement du levier de commande de sous-totalisation 665 et de la coulisse de sous-totalisation 519, sous l'action de la chape 603, de façon à retenir la saillie vers le bas 666 hors du trajet du doigt 667, de sorte que ce doigt peut se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du levier à came 508 et de la came 511.
Cela permet au levier 671 (fia. -16) pour le tota lisateur N 1 ou (le balance, de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action de la chape 668 pour bloquer la barre 609 dans sa position inférieure, de la manière décrite lors des opérations de sous-totalisa- tion et de sous-balance commandées par la touche 375 de sous-totalisation et la touche 378 de sous-balance, (le manière à provoquer l'embrayage et le débrayage du totalisateur No 1 avec les crémaillères 213 lors de l'opé ration de sous-totalisation.
Dans les positions de colonnes du chariot dans lesquelles le totalisateur No 1 ne doit pas être sélectionné pour suie opération d'en registrement d'un sous-total, on emploie un taquet (le commande 751 court (fia.
106) pour permettre le plein mouvement de tâton nement du levier 752, de façon à déplacer le bras 756 (fig. 44) de toute sa course dans le sens des aiguilles d'une montre vers une po sition qui équivaut à celle (le non-addition, de sorte que la patte repliée dudit bras se trouve hors du trajet de l'extrémité supé rieure en forme de crochet du levier 665 de commande de sous-totalisation,
de manière à permettre à ce levier et à la coulisse de sous- totalisation 519 de se déplacer de toute leur course respectivement dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et vers l'avant, mouvements qui sont déterminés par la fente dans l'extrémité antérieure de cette coulisse de commande, en coopération avec le collier 520.
Cela permet à la saillie 666 (fig. 44) de la coulisse 519 de se placer au- dessus du doigt<B>667</B> de la chape 668 pour empêcher le mouvement de cette chape dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'ac tion du levier 508 et de la came 511, de ma nière à retenir le levier 671 (fig. 46) et le verrou correspondant 672 en positions inopé rantes, de sorte que la barre 609 ne soit pas bloquée dans sa position inférieure, comme cela est nécessaire dans les opérations de sous-totalisation et-ou de sous-balance.
<I>Opération. de non-addition.</I> L'abaissement de la touche de non-addi- tion 374 (fig. 3, 41 et 53) provoque le dépla cement du bras sélecteur 709 pour le totali sateur 1\o 1 ou totalisateur de balance, vers la position de non-addition, quelle que soit la position vers laquelle le bras se déplacerait sous la commande du chariot dans ses posi tions de colonnes, ainsi qu'il a été expliqué plus haut.
L'abaissement de la touche de non- addition provoque également le déplacement des bras sélecteurs, similaire à celui du bras 709, pour amener les autres totalisateurs vers la position de non-addition et rendre inopé rant le mécanisme sélecteur commandé par le chariot, afin de commander la sélection et la préparation de n1mporte lequel des totalisa teurs pour toute opération autre qu'une opé ration de non-addition.
L'abaissement de la touche 374 de non- addition (fig. 50 et 52) amène son goujon -113 en coopération avec une surface angu laire de came 758 d'une ouverture pratiquée dans une plaque de commande 759, montée de manière à pouvoir se déplacer horizontale- ment à l'aide de galets fixés sur les goujons 416, polir déplacer cette plaque vers l'arrière à l'encontre de son ressort 750.
Une articula tion 760, reliée à pivotement entre la plaque 759 et un prolongement dirigé vers le bas d'un linguet de commande 761 monté libre ment sur une tige 762 supportée entre la plaque 583 (fig. 56 et 57) et le châssis gau che 131, amène le mouvement vers l'arrière de cette plaque 759 à déplacer le linguet 761 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à placer son prolongement antérieur hors du trajet d'une patte repliée 763 d'une articulation 764.
L'extrémité postérieure de l'articulation 764 est reliée à pivotement à un bras dirigé vers le bas d'une chape 765 mon tée folle sur la tige 762, tandis que l'extré mité antérieure de cette articulation est fen due pour recevoir un galet monté sur un axe 766 supporté entre la plaque 583 et le châis- sis gauche 131.
Un bras droit de la chape 765 porte un goujon 768 (fig. 50, 52 et 59) qui s'engage dans une encoche d'une coulisse 769 pourvue de fentes parallèles, dont l'une coopère avec un galet monté sur le goujon 766 et l'autre coopère avec un galet similaire monté sur un goujon 770 supporté par la plaque 587, pour déplacer cette coulisse vers le haut. La cou lisse 769 est pourvue d'une fente qui coopère avec un goujon 771 d'un levier<B>772,</B> monté librement sur la tige 581 et possédant un prolongement en forme de pied avec une sur face courbe 773, qui coopère avec le goujon aplati 461 porté par la came 462.
Immédiatement après le déclenchement de la machine, le goujon 461 (ligne 12, fig. <B>127)</B> se dégage de la face courbe 773 pour aban donner le levier 772, la coulisse 769, la chape î65 et l'articulation 764 (fig. 52) à l'action d'un ressort 767 et déplacer la chape 765 dans le sens des aiguilles d'une montre. Le mouvement de la chape 765 (ficg. 52, 54 et 56) dans le sens indiqué amène le bord anté rieur de sa traverse, en coopération avec une saillie 774 de l'un des bras d'une eliape <B>77.5</B> montée librement sur la tige 76?, à déplacer cette chape simultanément dans le sens des aiguilles d'une montre.
Des prolongements postérieurs des bras de la chape 775 portent des goujons 776, 777 et 778 alignés a-ialcment; le goujon 778 (fi-. 50 et 52) est adapté pour coopérer avec un prolongement antérieur d'un bras 779 ou de dépassement, relié élastiquement par un ressort 780 à un bras associé 781, les deux bras étant montés librement sur la tige 713, de manière à déplacer ces bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à l'encontre d'un ressort 782.
Le mouvement du bras<B>781</B> dans le sens indiqué se trans met, par une articulation 783,à un bras de commande 784 monté fou sur la tige 710 et pourvu d'une patte repliée qui coopère avec les crans d'un prolongement postérieur en forme de crochet d'un levier de commande 785 (fig. 47 et 52), relié par des dents d'en grenage à la coulisse de commande 517 et co opérant 'avec elle exactement de la même façon que celle expliquée pour le levier 601 et sa coulisse associée 513 (fig. 32).
Le mou Tement du bras 784 dans le sens des aiguil les d'une montre amène la patte repliée en position de non-addition, comme indiqué sur la fig. 52 en pointillé, pour provoquer la sé lection et la préparation du totalisateur No 5 pour une opération de non-addition, quelle que soit la position antérieure du levier tâ- teur 726 (fig. 57) occupée sous l'action du chariot.
Le mouvement de la chape 775 dans le sens des aiguilles d'unie montre (fig. 40, 50 et 56) amène le goujon 777 en coopération avec le prolongement antérieur du bras 715, pour déplacer ce dernier et son bras associé 712 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 712 dans ce sens se transmet par l'articulation 711 au bras 709 et place ce bras en position de non-addition, comme indiqué sur la fig. 40 en pointillé, pour provoquer la sélection du totalisateur No 1 ou de balance, en vue d'une opération de non-addition, lors de l'abaisse ment de la touche 374 de non-addition, et cela sans tenir compte de la disposition du levier tâteur 718 sous l'action des taquets de commande montés dans les positions de co lonnes du chariot.
Le goujon 776 (fig. 50 et 51), en coopération avec le prolongement antérieur du bras 753 (fig. 44 et 57) et par l'articulation 755, déplace le bras de com mande 756 dans le sens des aiguilles d'une montre vers une position inopérante, de telle sorte que le levier de commande 665 de sous- totalisation et la coulisse 519 de sous-totalisa- tion peuvent se déplacer de toute leur course respectivement dans le sens contraire à@ celui des aiguilles d'une montre et en avant,
de manière à placer la saillie 666 par-dessus le doigt 667 et à empêcher le fonctionnement du mécanisme de sous-totalisation lorsque la touche 374 de non-addition est abaissée.
L'abaissement de la touche 374 de non- addition (fig. 41, 50 et 56) amène une sail lie de cette touche, en coopération avec une patte repliée 788 d'un verrou 789 monté librement sur la tige 710, à déplacer ce verrou dans le sens des aiguilles d'une mon tre à l'encontre d'un ressort tendu entre ce verrou et un levier 791 monté librement sur la tige 610.
Le mouvement du verrou 789 dans le sens des aiguilles d'une montre dé gage une dent dont il est pourvu d'une dent correspondante de l'articulation 792, dont l'extrémité antérieure est fendue pour rece voir un collier monté sur la tige 766, tandis que l'extrémité postérieure de cette articula tion pivote sur un prolongement dirigé vers le bas d'un bras 793 monté librement sur la tige 762. Un prolongement du bras 793 dirigé vers le haut est pourvu d'une encoche qui embrasse un goujon 794 d'un bras 795 fixé à un bras associé 796 par une douille 797, montée librement sur la tige 762.
Un prolon gement antérieur du bras 796 (fig. 41), en coopération avec une butée fixe 798, déter mine la course dans le sens des aiguilles d'une montre de ce bras et des bras qui lui sont reliés 795 et 793. Le dégagement du verrou 789 abandonne l'articulation 792 et les bras 793, 795 et 796 à l'action d'un res sort 799 tendu entre cette articulation et un doigt fixe;
ce ressort tend immédiatement cette articulation et ces bras dans le sens des aiguilles d'une montre et vers l'arrière, res pectivement, mais il est empêché de les dé placer par un goujon 800 (fig. 41, 50, 52 et 56) coopérant avec un doigt saillant 801 du bras gauche de la chape 765, jusqu'à ce que ladite chape soit actionnée par la coulisse 769 sous la commande du levier à came<B>772.</B> Il est également évident que, à moins que la chape 765 soit libérée par le mouvement du linguet <B>761</B> (fig. 52)
vers une position inopé rante par l'abaissement d'une des touches appropriées de commande, les bras<B>793, 795</B> et 796 sont empêchés de se déplacer, même si le verrou 789 (fig. 41) est mis en position inopérante, comme il a été expliqué plus haut.
Le bras 793 (fig. 41 et 50) porte un gou jon 802 qui coopère avec le prolongement antérieur d'un bras 803 relié élastiquement à un bras associé 804 par un ressort 805, tendu entre eux, et un ressort 806 entraîne ce bras #03 dans le sens des aiguilles d'une montre au contact de la tige d'arrêt<B>703.</B> Le bras 804 est relié par suie articulation 807 (fia.<B>57)</B> à un bras 808 de commande du totalisateur, bras qui coopère avec un levier de commande 809 (fig. 477)
pour le totalisateur No 6. Le le- -çier 809 est sous tous les rapports similaire au levier 601 pour le totalisateur No 1 et il possède lin prolongement postérieur qui co opère avec la queue d'un verrou 810 (fi-. 42) pivotant sur .une articulation d'embrayage 811 du No 6;
cette articulation est pareille et fonctionne exactement de la même façon que l'articulation 5S0 pour le totalisateur No 1 ou de balance (fig. 40), pour embraser et débrayer les roues du totalisateur No 6 ou to talisateur des postes, avec les crémaillères 243 (fig. 18B).
Le mouvement du bras<B>793</B> dans le sens des aiguilles dîme montre (fig. 41 et 50) sous l'action de la chape 765 suivant le temps indiqué sur la ligne 12 (lu tableau de distri bution des temps (fig. <B>127),</B> déplace les bras 803 et 804 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre;
ce mouvement, par l'intermédiaire de l'articulation S07, place le bras 808 en position de non-addition de la manière expliquée en liaison avec le totalisa teur No 1 ou de balance, de manière à ame ner le levier 809 (fig. 47) à déplacer le ver rou 810 (fi-. 42) pour le totalisateur No 6 ou totalisateur des postes, vers la position de non-addition, de sorte qu'aucun mouvement n'est imprimé à l'articulation 811 par la barre d'embrayage 586.
Des prolongements dirigés en arrière des bras 795 et 796 (fila. 41, 50 et 57) supportent une tige qui est en ali- gnement axial avec les goujons 776, îîî et 778; cette tige coopère avec des prolonge ments antérieurs des bras des totalisateurs Nos 2, 3 et 4, sous tous les rapports similaires au bras 803 pour le totalisateur No 6, de ma nière à provoquer la non-addition des totali sateurs Nos 2, 3 et 4, exactement de la façon expliquée pour le totalisateur No 6.
Il ressort clairement des explications ci- dessus que l'abaissement de la touche 37-1 de non-addition place les mécanismes de sélec tion et de préparation de tous les totalisa teurs en position de non-addition et que dans ce cas toute commande de ces mécanismes par le chariot dans les positions de colonnes de celui-ci devient inopérante.
Vers la fin du fonctionnement de la ma chine, un galet 813 (fia. 59 et ligne 12, fig. 127), fixé sur l'une des faces de la came 462, ramène, en coopération avec la surface <B>"173</B> du levier 772, ce levier, la coulisse<B>769</B> et la chape 765 aux positions normales repré sentées. La remise en position de la chape <B>765</B> permet, grâce à la saillie î-ï7 sur le bras droit de la chape 775, la remise en position normale de cette chape 775 sous l'action du ressort 717 (fig. 40).
De même, la remise en position de la chape<B>765</B> dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre amène le doigt 801 (fig. 50), en coopération avec le goujon 800, à faire occuper leurs po sitions normales aux bras<B>793, 795</B> et<B>796</B> en suivant également le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme indiqué sur la fi-.
41, à l'encontre du ressort î99. Le mouvement de retour dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre du bras 793 ramène l'articulation 792 en avant, per mettant au verrou 789 de se poser sous l'ac tion du ressort 790 par-dessus la saillie du haut de cette articulation et de retenir cette articulation et les pièces annexes en positions normales représentées.
<I>Commande de</I> non-addition <I>dans les</I> opérations <I>de</I> soits-totalisation. Le goujon 413 de la touche 375 de sous- totalisation (fig. 50 et 52) coopère avec une fente-came 815 de la plaque 759 exactement de la même manière que la touche 374 de non-addition et l'abaissement de cette touche de sous-totalisation déplace cette plaque de commande en arrière à l'encontre du ressort 750 pour placer le linguet 761 en position inopérante et libérer la chape 765,
exacte ment de la même façon que la touche 374 de non-addition. De même, la touche 375 de sous-totalisation (fig. 41) possède un prolon gement 817 qui coopère avec la patte repliée 788 du verrou 789, exactement de la même façon que la touche 374 de non-addition, pour déplacer ce verrou dans le sens des aiguilles d'une montre vers la position inopé rante, lors de l'abaissement de cette touche de sous-totalisation. Ce mouvement aban donne l'articulation 792 à l'action du ressort 799 pour le mouvement simultané de fonc tionnement avec la chape 765, ainsi qu'il a été expliqué plus haut.
On voit d'après ce qui précède que l'abais sement de la touche 375 de sous-totalisation amène les bras de commande (fig. 57) pour tous les totalisateurs, y compris les bras 709 et 808 pour les totalisateurs Nos 1 et 6, en position de non-addition, de façon à empê cher la commande du mécanisme de sélection et de ,préparation des totalisateurs par le chariot dans les positions de colonnes de ce lui-ci.
Dans les opérations de sous-totalisa- tion, tout comme dans les opérations de non- addition, le fonctionnement de la chape 775 (fig. 50), sous l'action de la chape 765, amène le goujon 776 (fig. 44 et 57) à placer le bras de commande 756 du levier de com mande 665 de sous-totalisation en position inopérante, de telle sorte que la disposition de ce levier et de la coulisse de commande 519 n'est pas influencée par le mécanisme tâteur qui est, à son tour, commandé par le chariot dans ses positions de colonnes.
Toute fois, cela ne gêne pas la mise en position de la coulisse de commande 519 par le goujon 687 et la saillie 6SS (fi-. 44) de la manière décrite précédemment, de sorte que la saillie 666 est retenue hors du trajet du doigt 667 en rendant ainsi opérant le mécanisme repré senté sur la fig. 46 et expliqué plus haut pour bloquer la barre 609 dans la position inférieure, de sorte que le totalisateur sélec tionné est embrayé et débrayé pendant les temps de sous-totalisation.
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, la touche 375 de sous-totalisation s'emploie conjointement avec les touches 376 de tota lisation Nos 2, 3 et 4 pour provoquer l'em brayage et le débrayage du totalisateur sélec tionné pendant -les temps de sous-totalisation.
Tant que les bras de commande pour les cou lisses de commande 514, 515 et 516 (fig. 4î) pour les totalisateurs Nos ?, 3 et 4 ont été placés dans la position de non-addition, ces coulisses peuvent se déplacer en avant de toute leur course et être ajustées par les gou jons 684, 685 et 686, suivant celle des touches 376 de totalisation qui était abaissée, en vue de sélectionner le totalisateur correspondant pour une opération de sous-totalisation.
Il est donc clair que, dans les opérations de sous- totalisation, tous les totalisateurs, sauf le to talisateur sélectionné par l'abaissement d'une des touches 376 de totalisation, sont non additionnés.
Les goujons 41,3 (fig. 52) des touches de commande 377 à 380 incluse coopèrent avec des surfaces-cames correspondantes 818, pré vues dans la plaque 759, lorsque la touche correspondante est abaissée pour déplacer Bette plaque 759 et l'articulation 760 en arrière, de manière à placer le linguet 761 en position inopérante et à libérer les chapes 765 et 775 pour leur fonctionnement de la façon expliquée plus haut, afin d'amener le bras 756 de commande de sous-totalisation (fig. 40, 44, 52 et 57),
le bras de coimnande 709 du No 1 et le bras de commande 784 du NTo 5 à se déplacer vers la position de non- addition, de telle sorte que les touches de co_n- mande 377 à 380 incluse sont à même de commander la sélection et la préparation des totalisateurs No 1 et No 5 à l'aide de leurs goujons 622 à 625 respectifs (fig. 46 et 47), en coopération avec les coulisses de com mande 513 à 519 incluse.
<I>Commande de sélection des</I> totalisateurs <I>dans les</I> opérations <I>de correction.</I> Dans les opérations de correction qui im pliquent l'emploi des touches de correction 369 N s 2, 3 et 4, il faut rendre inopérant le mécanisme tâteur en vue de commander la sélection des divers totalisateurs sous l'action du chariot dans ses différentes positions de colonnes.
La plaque de commande 759 (fig. 47 et 50) possède sur son bord supérieur des dents qui engrènent avec les dents d'un secteur denté 819 fixé à l'une des extrémités d'un arbre 820 monté dans les plaques 398 et 399; sur l'autre extrémité de cet arbre est fixé également un secteur denté similaire 821 qui en-rêne avec les dents du bord supérieur d'une plaque de commande 8\?2 pour les tou ches de correction 369 des Nos 2, 3 et 4 (fig. 52 et 62).
La plaque de commande 8?2 est pourvue d'ouvertures dont des surfaces- cames 823, 824 et S25 coopèrent respective ment avec les goujons 410 portés respective ment par les touches de correction 369 des Nos 2, 3 et 4.
Les deux plaques de commande 759 et 82\? étant reliées pour se déplacer soli dairement, l'abaissement d'une des touches de correction 369 des Nos \', 3 ou 4 amène son goujon 410, en coopération avec les surfaces- cames 823, 82-1 ou 825, à déplacer vers l'ar rière ces plaques de commande 822 et 759, ainsi que l'articulation 760, afin de mettre le linguet 761 en position inopérante, à libé rer la chape 765 et sa chape associée <B>775</B> pour le fonctionnement sous l'action du mé canisme représenté sur la fi.
59, à mettre en position inopérante le bras de commande 756 (fig. 44) pour le levier de commande 665 de sous-totalisation et la coulisse 519 et à mettre les bras 709 et 784 pour les totalisateurs Nos 1 et 5 (fig. 40, 52 et 57) en position de non addition de la manière décrite plus haut, de telle sorte que les goujons 621, 630 et 631 (fig. 46) de ces touches, en coopération avec des saillies correspondantes du bord supé rieur des coulisses de commande 513 à 519 incluse (fig. 47), contrôlent la mise en posi tion de ces coulisses, lesquelles, à leur tour, contrôlent la sélection des différents totalisa teurs dans les opérations de correction.
On se rappelle que, dans la présente dis position, le totalisateur No 2 est un totalisa teur accumulateur qui sert à accumuler les totaux des nouvelles balances et que la touche de correction 369 No 2 (fig. 46) sert à apporter des corrections dans le totalisa teur \To 2. Lorsqu'on abaisse la touche de correction 369 No 2, son goujon 621, en co opération avec la saillie correspondante sur la coulisse de commande 51-1 10 2 (fig. 47), provoque la sélection et la préparation du to talisateur No 2 pour une opération de sous traction, en vue de corriger des entrées erro nées.
La touche de correction 370 C peut, si on veut, être employée conjointement avec la touche de correction 369 \o ' et provoque, dans ce cas, la non-addition des totalisateurs Nos 1 et 5 et 6. Ceci est toutefois une utilisa tion facultative de la touche de correction 370 C , car cette touche était. d'abord pré vue pour n'être employée que conjointement avec'les touches de correction 369 Nos 3 et 4.
La touche de correction<B>369 \o 3</B> (fi-. 46) sert à corriger des entrées erronées clés dé pôts on postes de crédit. Les dépôts ou postes de crédit sont additionnés dans le to talisateur No 1 ou de balance, soustraits clans le totalisateur No 5 ou de dépassement et additionnés dans le totalisateur No 3 qui est un totalisateur-accumulateur pour le total des postes de dépôt et, à chaque entrée d'un poste de dépôt, il s'ajoute 1 automatique ment dans le totalisateur 'K 6 ou totalisa teur compteur clé postes.
En eoliséduence, l'abaissement de la touche clé correction 369 No 3 renverse le processus décrit plus haut, de manière à provoquer la sélection et la pré paration des totalisateurs Nos 1, 3 et 6 pour la soustraction et simultanément la sélection et la préparation du totalisateur No 5 pour suie addition.
L'abaissement de la touche de correction 369 No 3 amène le goujon 630, en coopéra tion avec des saillies sur les bords supérieurs des coulisses de commande 513, 515 et 518 des totalisateurs Nos 1, 3 et 6 respectivement, à disposer ces coulisses pour la sélection et la préparation desdits totalisateurs pour des opé rations de soustraction. De même, le goujon 630, en coopération avec la saillie sur le bord supérieur de la coulisse de commande 517 (fig. 47) pour le totalisateur No 5 ou de dé passement, provoque la sélection et la prépa ration de ce totalisateur pour une opération d'addition.
Lors de l'opération de correction du totalisateur N 6 ou totalisateur comp teur de postes, 1 est automatiquement sous trait.
On se rappelle que les chèques ou postes de débit sont soustraits du totalisateur N o 1, additionnés dans le totalisateur No 5 ou to talisateur de dépassement, et additionnés dans le totalisateur No 4 qui est un totalisa- teir-accumulateur du total des chèques et que, à chaque entrée d'un poste de chèques, 1 est automatiquement ajouté dans le tota lisateur No 6 ou totalisateur compteur de postes.
La touche de correction 369 No 4 sert (fig. 46 et 47) à corriger les entrées erro nées des postes de chèques et l'abaissement de cette touche amène son goujon 631, en co opération avec des saillies sur le bord supé rieur des coulisses de commande 516, 517 et 518 pour les totalisateurs Nos 4, 5 et 6, à mettre ces coulisses en position de sélection et de préparation de ces totalisateurs pour des opérations de soustraction. Le goujon 631, en coopération avec une saillie sur le bord supé rieur de la coulisse de commande 513 pour le totalisateur No 1, met cette coulisse en po sition de sélection et de préparation du tota lisateur No 1 ou de balance, pour une opéra tion d'addition.
Cela a pour effet de rectifier un poste erroné de chèque ou de débit en ajoutant ce poste dans le totalisateur No 1 ou de balance, et de le soustraire simultané ment du totalisateur N o 5 ou de dépassement ainsi que du totalisateur 1\T0 4 ou totalisateur accumulateur des chèques. Dans ce cas, le to talisateur N 6 ou totalisateur des postes est sélectionné et préparé pour y soustraire 1 , afin de rectifier ainsi le comptage erroné du poste de débit.
On se rappelle que l'emploi de la touche de correction 370 (fi-. 46) conjointement avec les touches de correction 369 l@To 2, 3 ou 4 provoque la non-addition des totalisateurs Nos 1, 5 et 6. Par conséquent, lorsque cette touche est employée avec la touche de correc tion 369 No 3, seul le totalisateur No 3 est corrigé et lorsqu'on l'emploie avec la touche de correction 369 1-To 4, seul le totalisateur No 4 est corrigé.
L'abaissement de la touche de correction 370 (fig. 42 et 43) amène un goujon 828 qui y est adapté, en coopération avec un bras 829 relié à un bras associé 831 par un moyeu 830, monté librement sir la tige 710,à dé placer ces bras dans le sens des aiguilles d'une montre. Le mouvement du bras 831 dans le sens indiqué déplace une chape 833 par une fente pratiquée dans ce bras, en co opération avec un goujon 832 fixé sur un bras de la chape 833 montée librement sur la tige 766, dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
Le mouvement de la chape 833 dans ce sens amène un prolonge ment arrondi de la traverse de cette chape, en coopération avec des doigts dirigés vers le haut du verrou 810 pour le totalisateur 1\To 6 et un verrou similaire 834 (fig. 52) pour une articulation d'embrayage 835 pour le totali sateur No 5, à déplacer ces verrous dans le sens des aiguilles d'une montre vers la posi tion de non-addition, comme indiqué sur la fig. 42 en lignes pointillées, et provoque la non-addition des totalisateurs Nos 5 et 6.
Le mouvement de la chape 833 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 42 et 43) amène une partie découpée de sa traverse, en coopération avec un gou- ion 836 situé entre cette partie découpée de ladite chape et un prolongement vers le haut du verrou 585 pour le totalisateur N o 1 ou de balance, à déplacer ce verrou dans le sens des aiguilles d'une montre, comme indiqué à la file. 55, vers la position de non-addition, indiquée en pointillé, et provoque la non- addition du totalisateur No 1 ou de balance.
Le goujon 836 (file. 43 et 55) est fixé sur une manivelle 837 reliée par un moyeu monté librement sur la tige 766 à une manivelle associée 839, portant un goujon 840 et qui coopère avec la coulisse de dépassement re présentée sur les file. 53 et 54, d'une manière qui sera expliquée plus loin pour la com mande de la sélection du totalisateur No 1 ou de balance, dans des opérations de dépas sement.
Il faut noter que la commande des ver , rocs d'embrayage pour les totalisateurs Nos 1, 5 et 6 par la touche de correction 370, rem place la commande de ces verrous par le cha riot dans les positions de colonnes sélection nées de celui-ci ou par les touches de com mande et provoque la non-addition des tota lisateurs Nos 5 et 6, sans tenir compte de l'action de ces autres moyens de sélection. <I>Le</I> mécanisme <I>de dépassement.</I>
Si le totalisateur No 1 ou totalisateur de balance se trouve en condition positive, il sera toujours sélectionné aux fins d'enregis trement dans les opérations de sous-balance et de balance; ces opérations seront aussi appelées opérations de sous-totalisation et de totalisation lorsqu'il sera question des totali sateurs autres que le totalisateur No 1 ou de balance.
Lorsque ce totalisateur de balance passe d'une condition positive à une condi tion négative, le mécanisme entre automati quement en action pour provoquer la sélec tion du totalisateur No 5 ou totalisateur de dépassement, pour les enregistrements dans les opérations de sous-balance et de balance, et ce procédé est le même, que les opérations soient déclenchées par le chariot clans ses positions de colonnes ou par les touches de commande.
Lorsque le totalisateur de balance passe d'une condition négative à une condi tion positive, le mécanisme de conunande est rendu inopérant et le totalisateur No 1 ou de balance est sélectionné pour les enregistre ments dans les opérations de sous-balance et de balance, comme auparavant.
Les opérations normales de sous-totalisa- tion et de totalisation clans lesquelles le to talisateur No 1 ou de balance est dans une condition positive seront désignées ici opéra tions de sous-balance et de balance . Les opérations de dépassement dans lesquelles le totalisateur No 1 est dépassé et le totalisateur No 5 est sélectionné pour les enregistrements seront appelées respectivement opérations de sous-balance du dépassement et de ba lance du dépassement .
Il est entendu que dans les opérations de balance dans lesquelles le totalisateur No 1 ou de balance est remis à zéro, le montant qui en est extrait s'ajoute simultanément dans le totalisateur No 5 ou de dépassement, pour remettre en même temps ce totalisateur à zéro. De même, dans les opérations de ba lance du dépassement dans lesquelles le tota lisateur No 5 est remis à zéro, le montant qui en est extrait est simultanément ajouté dans le totalisateur No 1 pour remettre ce totalisa teur à zéro. Dans les opérations de sous-ba- lance, le totalisateur N 5 reste inactif ou non additionné, et dans les opérations de sous-balance du dépassement le totalisateur @T 1 reste inactif ou non additionné.
En se reportant aux fia. 18B et 61, on se rappellera que, au début des opérations de soustraction dans le totalisateur \@o 1 ou de balance, la barre 573 de commande du lin- guet de report se déplace dans le sens con traire à celui des aiguilles d#ime montre, comme indiqué à la file. 18B, et clans le sens des aiguilles, comme indiqué à la file. 61, pour remettre les cliquets 560 de report d'addi tion hors du trajet des dents de la came d'en cliquetage 550 et simftanément les cliquets 561 de report de soustraction sur le trajet de ces dents.
Lorsque la roue 559 de l'ordre le plus élevé (file. 61) passe par zéro en tournant dans le sens soustractif - c'est- à-dire que ce totalisateur est dépassé - l'une des dents d'encliquetage diamétralement opposées de la came 550 déplace le cliquet 561 de report de soustraction de l'ordre le plus élevé dans le sens des aiguilles d'une montre<B>pour</B> dégager la patte 841 d'un pro longement postérieur de ce cliquet d'une sail lie d'un bloc-moteur 842 de l'arbre de dépas sement, monté librement sur une tige 843 supportée par le bâti des totalisateurs.
Ce mouvement abandonne le bloc-moteur de dé passement 842 à l'action d'un ressort 844 qui déplace immédiatement ce bloc-moteur d'une petite distance jusqu'à ce que son prolonge ment diri-é vers le haut entre en contact avec le bord postérieur de la barre 566 de re mise en position; cette barre fonctionne dans les opérations de soustraction suivant le temps indiqué sur la ligne 7 du tableau de la fil-- 127; elle a reçu à ce moment un mou vement de remise en position et est retenue en position normale par les crochets de la manière connue représentée en pointillé sur la fig. 61.
Après que les crémaillères 243 ont achevé leur mouvement initial en arrière et que les roues du totalisateur de balance en ont été débrayées, la barre 566 est abandonnée à l'action de son ressort qui l'entraîne immédia tement dans le sens des aiguilles d'une mon tre (fin. 61), pour effectuer le mouvement de report de tous les linguets de report action nés et pour effectuer en même temps un mou vement dans le sens des aiguilles d'une mon tre du bloc-moteur de dépassement S42, sous l'action de son ressort 844.
Le mouvement du bloc-môteur 842 dans le sens des aiguilles d'une montre amène un épaulement saillant de celui-ci, en coopérant avec une patte re pliée 845 d'tui bras 846, fixé sur un arbre de dépassement 847 qui tourne dans le bâti des .totalisateurs, à déplacer ce bras 846 et cet arbre 847 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Sur l'arbre 847 est fixée une manivelle 848 qui se déplace simultanément avec lui dans le sens contraire à celui des <B>,</B> aiz'u <B>-</B> illes d'une montre et déplace, à l'aide d'une articulation 849 qui relie cette mani- velle à. un levier coudé 850 monté librement sur la tige 713, ce levier coudé dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du levier coudé 850 dans le sens indiqué (fig. 50 et 61) déplace, à l'aide d'une encoche dans un prolongement antérieur de ce levier en co opération avec un goujon 851 fixé sur un prolongement postérieur d'un bras 852 monté librement sur la tige 762, ce bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Le bras 852 possède un prolongement anté rieur courbe qui est maintenu en contact s6u- ple avec lin goujon 853 prévu sur le prolon gement d'un bras d'une chape 854 montée librement sur la tige 762, par un ressort 855, tendu entre ce bras 852 et ce goujon 853.
Le ressort 855 forme une liaison élastique entre le bras 852 et la chape 854. En conséquence, ce bras et cette chape se déplacent simultané ment dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre pour déplacer vers le haut les linguets 856 et 857, formés par des pro longements avant de cette chape 854, hors du trajet des pattes repliées correspondantes 858 et 859 des coulisses de dépassement 860 et 861, montées à l'aide de fentes parallèles sur des colliers montés sur les tijes 766 et 770.
Cela libère les coulisses 860 et 861 de commande de dépassement pour la commande des totalisateurs Nos 1 à 5 dans les opérations de dépassement, ainsi qu'il va maintenant être expliqué. Si le totalisateur No 1 passait d'une condition négative à une condition po sitive par l'addition d'un montant suffisam ment grand pour surbalancer le montant du dépassement, les linguets 856 et<B>857</B> (fig. 50 et 61) seraient ramenés à leurs positions actives, représentées sur le dessin.
Dans les opérations d'addition, la barre 573 de commande de report est ramënée dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre de la position indiquée sur la fig. 61 vers la position normale ou d'addition, et étant remise dans cette position, place les lin guets de soustraction 561 hors du trajet des dents. d'encliquetage des cames 550 et place en même temps les linguets d'addition 560 sur le trajet de ces dents.
Simultanément avec la remise en position de la barre 573, la barre 566 de remise du report déplace le bloc- moteur de dépassement 812 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre vers la position inopérante ou normale à l'encon tre du ressort 844, sur quoi une arête 862 su périeure de cette barre 573 se place au-des sous d'un épaulement saillant de ce bloc-mo teur 842 pour maintenir ce bloc-moteur dans sa position représentée.
En même temps, l'arête 862 se retire de dessous une saillie di rigée vers le bas d'un bras 863 de remise en position de l'arbre de dépassement, bras qui est monté librement sur la tige 843, pour per mettre à son prolongement du bas de repo ser sir une patte repliée 826 du cliquet 560 du report d'addition de l'ordre le plus élevé.
Lorsque la roue 559 de l'ordre le plus élevé passe par zéro en tournant dans le sens additif, l'une des dents diamétralement oppo sées de la came d'encliquetage 550 entre en contact avec le cliquet 560 de report d'ad dition de l'ordre le plus élevé et déplace ce cliquet dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 61) pour dégager la patte 826 du prolongement du bas du bras 863 de remise en position, de manière à aban donner ce bras à l'action de son ressort (non figuré), similaire au ressort 844,
qui entraine ce bras immédiatement dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que son prolongement dirigé vers le haut entre en contact avec la barre 566 de remise du re port qui se trouve dans la position montrée ici en pointillé.
Dans les opérations d'addition, la barre 566 de remise du report fonctionne confor mément au temps indiqué sur la ligne 6 clu tableau de la fig. <B>127</B> et, après due les cré maillères 243 <B>(fi-</B>. 18B) ont achevé leur mouvement de retour en avant et que le tota lisateur NTo 1 ou de balance en a été débrayé, la barre 566 est abandonnée à l'action du ressort qui déplace immédiatement cette barre dans le sens des aiguilles d'une montre (fi-. 61) pour effectuer le report des chiffres des dizaines de la dénomination inférieure vers la dénomination supérieure de la ma- nière habituelle.
Le mouvement de la barre 566 dans le sens des aiguilles d'une montre permet au bras 863 de remise en position de se déplacer simultanément avec lui, sur quoi son prolongement du bas entre en contact avec une patte repliée 827 de l'extrémité infé rieure du bras 846, de manière à déplacer ce bras et l'arbre de dépassement 847 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 61) vers la position normale pour ramener les cliquets 856 et 857 à la position active représentée.
Malgré le déplacement des cliquets 856 et 857 vers des positions inopérantes, comme expliqué plus haut, les coulisses de commande 860 et 861 (fi-. 55 et 54) sont empêchées de revenir en arrière, à moins - que le chariot ne soit situé dans la position de la colonne cor respondante ou à moins que la touche de ba lance ou de sous-balance ne soit abaissée. Si le chariot se trouve dans la colonne ou posi tion de balance, la coulisse 860 de commande de balance est libérée par le mouv eurent en arrière et lorsque ledit chariot est situé dans la position de la colonne de sous-balance, la coulisse 861 de commande de sous-balance est libérée pour le mouvement en arrière.
La patte repliée 858 (fig. 50 et 54) co opère avec un linguet 864 formé par un pro longement antérieur du bras droit d'une chape 865 montée librement sur la tige 762. Un prolongement postérieur du bras droit de la chape 865 porte un goujon 866 qui est si tué au-dessous et coopère avec un bras 867, monté librement sur la tige 713 et ayant un goujon 868 maintenu en contact élastique avec un épaulement d'un bras associé 869, par un ressort<B>870</B> tendu entre ces bras.
Le bras 869 est fendu pour recevoir l'extrémité gauche d'un levier 871 sélecteur (le balance de dépassement (fig. 57, 76,<B>96A</B> et 106) pi votant sur la tige 719 et amené dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre par l'un des ressorts correspondants 7-15,
au contact d'une butée 87\3 fixée sur une partie repliée vers le haut de la plaque 7-17. Le le vier sélecteur 871 n'est pas un levier tâteur et il ne coopère par conséquent pas avec la traverse de la chape 734 comme le font les leviers tâteurs 718 à 723 inclus pour les sit totalisateurs et le levier tâteur de sous-tota- lisation 752.
Mais il possède à la place un prolongement replié vers le haut disposé pour être actionné par un taquet correspondant 873 (fig. 76 et 106), monté sur le bloc de commande 722 situé dans la colonne, ou posi tion, de balance du chariot (fig. 117).
Lorsque le chariot se déplace vers la co lonne ou position de balance, le taquet 873 entre en contact avec le prolongement du haut du levier 871 et déplace ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'ac tion du ressort 745, ce levier déplaçant, à son tour, les bras 869 et 867 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 54), comme re présenté, sur quoi ledit bras 867, en coopéra tion avec le goujon 866, déplace la chape 865 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre,
de manière à placer le linguet 864 hors du trajet de la patte repliée 858 et à libérer la coulisse 860 de commande de ba lance de dépassement pour le mouvement en arrière, dans le cas où le totalisateur de ba lance se trouverait en condition de déplace ment et où les linguets 856 et 857 (fig. 61) auraient été mis en position inopérante, comme il a été expliqué précédemment.
Le levier 871 (fig. 76) possède un bec 874 dirigé vers le bas qui coopère avec une fente cor respondante de la plaque 747 pour éviter un trop grand jeu latéral de ce levier.
Un prolongement vers le bas du bras gauche de la, chape 865 est relié, de façon à pouvoir pivoter, par une articulation 875 (fig. 50 et 55) à une plaque de commande 876, montée à glissement entre des galets fixés sur les axes 416 (fig. 53).
Le mouve ment de la chape 865 dans le sens contraire ., celui des aiguilles d'une montre, lorsque le chariot se déplace vers la colonne de balance, déplace la plaque de commande 876 en avant à l'encontre de son ressort 877, de manière à placer des épaulements de blocage 878 prévus dans des ouvertures de cette plaque, au-des sous des surfaces aplaties des goujons 413 des touches 375, 376 et 378, de façon à em pêcher ces touches d'être abaissées lors des opérations de balance du dépassement.
Le mouvement en avant de la plaque de com mande 876 met des surfaces-cames 879, pra tiquées dans des ouvertures de cette plaque, en rapport de coopération avec les goujons 413 de la touche de soustraction 377 et de la touche d'addition 380, de telle sorte que l'abaissement d'une de ces touches ramène cette plaque de commande 876 en arrière, de façon à mettre le linguet 864 sur le trajet de la patte 858 (fi-. 54), afin d'empêcher l'exécution d'une opération de balance dû dé passement lorsque le chariot se trouve à la colonne de balance et que l'une de ces tou ches est abaissée.
Le mouvement en avant de la plaque de commande 876 amène une partie plus large d'une fente 880 de cette plaque coopérant avec le goujon 413 de la touche de balance 379, en face de cet ergot, de telle sorte que l'abaissement de la touche de balance n'a aucun effet sur cette plaque. Une encoche est prévue dans la plaque de commande 876 pour le goujon 413 de la touche de non-addi- tion 374 (fig. 53), de telle sorte que le mou vement de cette plaque n'a aucun effet sur cette touche, et que l'abaissement de cette touche n'a aucun effet également sur le mou vement de ladite plaque.
Il faut noter que le mouvement en avant de la plaque de com mande 876, dans les opérations de balance du dépassement, bloque dans leurs positions non abaissées toutes les touches de commande qui sont intéressées par la sélection des totalisa teurs autres que le totalisateur N 1 ou de ba lance. Il faut de même noter que, si l'une quelconque de ces touches de commande est abaissée, son goujon 413, en coopération avec un prolongement vertical de l'épaulement correspondant 878, interdit le mouvement en avant de la plaque de commande<B>876</B> pour re tenir cette plaque et le linguet 864 dans la position représentée, de manière à empêcher le mouvement en arrière de la coulisse 860.
La coulisse 860 est pourvue d'une fente 881 (fig. 54 et 59) qui coopère avec le gou jon 771 porté par le levier 772 et, lorsque le goujon 461 s'écarte de la surface 773 de ce levier, suivant le temps indiqué sur la ligne 12 du tableau de la fig. 127, la coulisse 860 est abandonnée à l'action d'un ressort 882, le quel, au cas où il y a dépassement, déplace immédiatement cette coulisse en arrière.
Le mouvement de la coulisse 860 en arrière amène son extrémité postérieure, en coopéra tion avec un prolongement dirigé vers le bas 883 d'un bras 881 monté librement sur la tige 762 et présentant à son extrémité supérieure une encoche qui coopère avec un ergot 885 de la chape<B>775,</B> à déplacer cette chape dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 50 et 54) pour amener les goujons 776, 777 et 778, por tés par les bras de cette chape 775, à déplacer les bras de commande pour le mécanisme de commande de sous-totalisation et à amener les mécanismes sélecteurs des totalisateurs Nos 1 et 5 respectivement aux positions inopérante et de non-addition,
ainsi qu'il a été expliqué précédemment.
Le mouvement de la coulisse 860 en arrière, de la position indiquée sur la fi-. 54 en traits pleins à la position indiquée en pointillé, amène une fente 886 pratiquée dans cette coulisse et coopérant avec le goujon 810 du bras 839,à déplacer ce bras et son bras asso cié 837 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à l'encontre d'un res sort 887 tendu entre ce bras 839 et un verrou 888 monté librement sur la tige 610.
Le mou vement des bras 839 et 837 dans le sens indi qué amène le goujon 836, en coopération avec le doigt dirigé vers le ha-Lit du verrou 585 pour le totalisateur No 1, à déplacer ce ver rou dans le sens des aibuilles d'une montre de la position de soustraction indiquée ici en traits pleins à la position d'addition indiquée ici en lignes pointillées.
Cela provoque l'em- bray age et le débrayage chi totalisateur N o 1 ou de balance, pendant la, période d'addition;
pendant ce temps, comme on se le rappellera en se reportant aux fij. -15 et 5-1, la barre d'embrayage <B>586,</B> dans son second mouve ment, vient en contact avec la surface 689 pour déplacer le verrou 585 et l'articulation 5S0 en avant, conforméincnt au temps donné sur la li-ne 4 du tableau<B>de</B> la fiZDg. <B>127,
de</B> manière à embrayer les roues du totalisateur de balance avec les crémaillères \?-13 après que ces crémaillères ont achevé leurs mouve ments initiaux et restent au repos dans la po sition manoeuvrée (voir aussi ligne 1 du ta bleau de la fi,(,. 127).
Etant donné que la coulisse 860 (fig. 51) reste en position manoeuv rée jusque vers la fin du fonctionnement de la machine, le mou- vement d'embrayage du verrou 585 et de l'ar ticulation 580 retirerait le doigt du haut de ce verrou du goujon<B>836</B> et cela permettrait audit verrou de se poser sur la barre d'em brayage 586. Cependant, le verrou 585 en est empêché et est retenu en position d'addi tion grâce au verrou 888 (fi-. 5-1) rendu opérant par le mouvement en arrière de la coulisse 860.
Le mouvement en arrière de la coulisse 860 retire un bec 889 du verrou SSS, de façon à abandonner ce verrou à l'action du ressort 887. Le ressort S87 entraîne le verrou 888 dans le sens contraire à celui deï aiguilles d'une montre, de manière à amener un épaulement de ce verrou à engager un prolongement droit du goujon<B>608, lorsque</B> la barre 609 est déplacée vers le bas par les cames 619 et 620 (fig. 10 et ligne 5 du ta bleau de la fig. 127) et à bloquer cette<B>barre</B> dans sa position abaissée.
Cela amène 16 gou jon 608, coopérant avec la surface supérieure de la queue 600, à retenir le verrou 585 en position d'addition lorsque son prolongement du haut est retiré du goujon 836. Le mouve ment de retour de la coulisse 860, vers la fin du fonctionnement de la machine, amène le bloc 889, ainsi qu'on v a l'expliquer mainte nant, à engaber et à déplacer le verrou çSS clans le sens des aiguilles d'une niontrc (fig. 5-1),
de façon à dégager l'épaulement S90 du goujon 608 et à abandonner la barre 609 à l'action du ressort 615 (fig. 10 et 46); ie ressort ramène immédiatement cette barre vers le haut et ramène en inêine temps le verrou d'embrayage <B>585</B> à la position nor male, ou de soustraction, eoninie indiqué en traits lignes sur la fier. 5-l.
Le mouvement en arrière de la coulisse <B>860</B> lors des opérations de balance du dépaï- sement oblige -un goujon 891 (fi-. 52 et 54) de cette coulisse, en coopération avec une saillie dirigée vers le haut 892 clé l'articula tion 783 pour le mécanisme de sélection et de préparation du totalisateur No 5, à mettre cette articulation et le bras 784 en position de totalisation, pour extraire le totalisateur No 5 et additionner simultanément son mon tant dans le totalisateur No 1 ou de balance, et remettre en même temps ce totalisateur de balance à zéro.
L'emploi de la touche de balance 379 ,(fig. 53 et 54) pour le déclenchement d'une opération de balance du dépassement amène le goujon 413, lors de l'abaissement de cette touche, en coopération avec la surface-came 880, à déplacer la plaque de commande<B>876</B> en avant, ce qui, par l'intermédiaire de l'arti culation 875, déplace la chape 865 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, de manière à placer le linguet 864 hors du trajet de la patte repliée 858 de la cou lisse 860 et à libérer cette coulisse pour le fonctionnement, exactement de la même façon qu'il a été expliqué plus haut.
De même, l'abaissement de la touche de balance 379 amène le goujon 413 (fig. 50 et 52), en coopération avec la surface-came 818, à déplacer la plaque de commande 759 en arrière, de manière à mettre le linguet 761 hors du trajet de l'articulation 764 et à libé rer la chape 765 pour le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du levier 772, comme il a été expliqué précé demment.
Le mouvement clé la chape 765 dans le sens des aiguilles d'une montre amène sa traverse, en coopération avec la projection .774, à déplacer la chape 775 simultanément. Cela n'a cependant aucun effet sur les opé rations de balance du dépassement, car le mouvement de la coulisse 860 en arrière (fig. 54) amène cette coulisse à engager le prolongement 883 du bras 884 pour déplacer la chape 775 dans le sens des aiguilles d'une montre,
de manière à provoquer le déplace ment des bras de commande pour les totali sateurs Nos 1 et 5 vers la position de non- addition et à provoquer le déplacement du bras de commande pour la coulisse de com mande 519 de sous-totalisation (fig. 44) et du levier de commande associé 665, hors du trajet de l'extrémité supérieure en forme clé crochet de ce levier, de telle sorte que ladite coulisse 519 peut se déplacer en avant de toute sa course jusqu'à ce que la saillie 666 se place au-dessus du doigt 667,
de manière à rendre le mécanisme de verrouillage<B>polir</B> les barres 609 (fig. 46) inopérant dans les opé rations de balance du dépassement.
Le goujon 891 (fi-. 52 et 57), en coopéra tion avec une saillie d'une articulation pour le totalisateur No 2 (similaire à l'articula tion 783 pour le totalisateur No 5), retient un bras de commande 881 (fig. 57) pour ce totalisateur en position de soustraction, et provoque la soustraction du montant du dé passement du totalisateur No 2 en vue de corriger le total des nouvelles balances qui y sont accumulées.
Dans les opérations de balance du dépas sement déclenchées soit par le chariot, soit par l'abaissement de la touche de balance 379, le totalisateur No 6 ou totalisateur compteur des postes et les totalisateurs Nos 3 et 4 ne sont pas additionnés.
On conçoit d'après la description ci-des sus que la présente machine est construite de telle façon qu'on peut obtenir une lecture po sitive du dépassement en un seul cycle d'opé ration de la machine par l'emploi d'un tota lisateur de dépassement qui est toujours com plémentaire du totalisateur de balance et que, lorsque le totalisateur de balance est dépassé, le mécanisme entre automatiquement en action pour commander les totalisateurs de balance et de dépassement, de manière à sé lectionner le totalisateur de dépassement, qui contient maintenant un enregistrement posi tif du dépassement, pour une opération de totalisation ou d'extraction et à sélectionner simultanément le totalisateur No 1 ou de ba lance, pour une opération d'addition,
de sorte que le montant extrait du totalisateur de dé passement soit additionné dans le totalisateur de balance pour mettre en même temps ce to talisateur de balance à zéro. Opérations <I>de</I> sous-balance <I>de dépassement.</I> Lorsque le chariot 136 se déplace vers la position de colonne de sous-balance, un taquet de sous-balance 893 (fig. 106) vient en con tact avec un prolongement du haut d'un le vier sélecteur de sous-balance 894 et déplace ce levier dans le sens des aiguilles d'une mon tre (fiô. 76);
ce levier est sous tous les rap ports similaire au levier sélecteur<B>dé</B> balance <B>871.</B> Le levier 894 a sur son extrémité gauche une partie arrondie qui s'engage dans la fente d'un bras 895 (fig. 55, 57 et 76) relié élastiquement à un bras associé 896 par un ressort<B>897.</B> Le mouvement du levier 894 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace les bras 895 et 896 dans le sens des aiguilles d'nnne montre (fig. 55) et ce mouvement du bras 896 amène un prolongement avant de ce bras,
en coopération avec un goujon 898 prévue. sur le prolongement arrière d'une chape 899 montée librement sur la tige 762, à déplacer cette chape dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, pour mettre un linguet 900 du bras droit de la chape hors du trajet de la patte repliée 859 de la cou- li@se 861 et pour permettre le mouvement de cette coulisse en arrière dans des opérations de sous-balance du dépassement, après que les lina sets de dépassement 856 et 857 (fig. 61)
ont été placés dans des positions inopérantes sous l'action du mécanisme représenté sur le dessin et expliqué précédemment.
Le mouvement de la chape 899 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre (fig. 50 et 53), par l'intermédiaire d'une articulation 901 qui relie à pivotement tin prolongement du bas de cette chape à un prolongement du haut d'une plaque de blo cage 902 pareille à la plaque 876, déplace cette plaque 902 en avant à l'encontre de son ressort, de manière à amener des épaulements de blocage formés dans des ouvertures de cette plaque, coopérant avec des goujons 413 des touches de commande<B>Ô75,</B> â76 et<B>379,
</B> à bloquer ces touches contre l'abaissement pen dant les opérations de sous-balance du dépas sement déclenchées par le chariot 136 lors qu'il se trouve à la colonne (le sous-balance. Il faut noter que la touche de sous-balance 378 n'est, dans ce cas, pas bloquée contre l'abaissement et que des surfaces-cames sont prévues, similaires à la surface-came 879, pour les goujons de la touche de soustraction 377 et la touche d'addition<B>380,</B> cames qui, lors de l'abaissement d'une de ces touches, dé placent la plaque 902 en arrière pour rame ner le linguet 900 sur le trajet de la patte <B>859,
</B> de manière à annuler une opération de sous-balance de dépassement et à provoquer la sélection du totalisateur No 1 ou de ba lance, pour l'opération représentée par la tou che de commande abaissée 377 ou 380 de pré férence à cette opération de sous-balance de dépassement.
Un ressort 905 entraîne la coulisse 861 (fig. 53, 55 et 59) en arrière pour maintenir le bord antérieur d'une fente 904 pratiquée dans cette coulisse normalement en contact élastique avec le goujon 771 du levier 772. En conséquence, le mouvement du linguet 900 vers la position inopérante abandonne la cou lisse .861 à la commande de ce levier<B>772</B> et de la came 462 pour provoquer le fonction- nenient de cette coulisse, conformément au temps donné sur la ligne 12 du tableau de la fig. 127,
exactement de la manière qui a été expliquée pour la coulisse 860 de balance du dépassement (fig. 54).
Le mouvement initial de la coulisse S61 (fig. 55) de la position indiquée en traits pleins vers la position marquée en pointillé, amène son extrémité postérieure, en coopéra tion avec le prolongement du bas du bras 8S4, à déplacer la chape 775 dans le sens < les aiguilles d'une montre, de manière à provo quer le déplacement des bras de commande 709 et 784 (fig. 52 et 53) pour les totalisa teurs Nos 1 et 5 vers les positions de non- addition et à retirer le bras 756 de commande de sous-totalisation hors dit trajet de l'extré mité supérieure en forme de crochet du levier 665 (fig. 44)
de commande (le sous-totalisa- tion. Le mouvement vers l'arrière<B>(le</B> la cou lisse de sous-balance <B>861</B> (fig. 55), sous l'ac tion du ressort 905, amène une fente 906 (le cette coulisse, en coopération avec le goujon 840,à déplacer les bras 837 et 839 vers la position indiquée en pointillé.
Le mouvement du bras 837 amène son goujon 836, en coopé ration avec le prolongement du haut du ver rou 585 d'embrayage No 1, à placer ce verrou dans la position de non-addition, comme indi qué en pointillé en fim. 55, provoquant la non- addition du totalisateur No 1 ou de balance, dans les opérations de sous-balance du dépas sement.
Le mouvement en arrière de la cou lisse (fig. 52 et 53) amène un goujon 907, porté par cette coulisse et coopérant avec une saillie 908 de l'articulation 783, à intercepter le mouvement de cette articulation et du bras 784 à la position de non-addition et à placer cette articulation et ce bras dans la position de totalisation.
De même, le mouvement en arrière de la coulisse 861 amène le goujon 907, coopérant avec la saillie du bras 754 (fie. 57) pour le bras 756 de sous-totalisation, à intercepter le mouvement de cette articula tion et il amène ce bras vers la position ino pérante et le situe dans la position où il em pêchera le mouvement du levier 665 de com mande de sous-totalisation et de la coulisse 519 de commande de sous-totalisation, afin de retenir la saillie 666 hors du trajet du doigt 667, et à faire entrer en action le mécanisme représenté sur la fig. 46 et expliqué précé demment,
en vue de bloquer la barre 609 de commande de sous-totalisation (fig. 48 et 58) pour le totalisateur No 5 dans la position du bas, et à provoquer la sous-totalisation du to talisateur No 5 de la manière expliquée pour le totalisateur No 1 ou de balance.
Il ressort de ce<B>qui</B> précède que, dans des opérations de sous-balance du dépassement déclenchées par le chariot lorsqu'il est placé à la colonne de sous-balance, le totalisateur No 5 ou totalisateur de dépassement est sous- totalisé, le totalisateur No 1 ou de balance est non additionné et que, dans la disposition présente de la machine, les totalisateurs Nos 2, 3, 4 et 6 sont également non additionnés.
Le déclenchement d'une opération de sous- balance du dépassement par abaissement de la touche de sous-balance 378 (fi-.<B>3</B> et<B>53)</B> amène son goujon 413, coopérant avec une surface -came 909 pratiquée dans une ouver- ture de la plaque de commande 902 (fi-.
50), à déplacer cette plaque en avant, de manière à placer le linguet 900 (fig. 53 et 55) hors du trajet de la patte 859 de la coulisse 861 et à libérer cette coulisse pour le mouvement vers l'arrière sous l'action du ressort 905 et du goujon 771, lorsque les linguets 856 et 857 (fig. 61) ont été placés dans une position inopérante par l'inscription dépassement dans le totalisateur No 1 ou de balance.
Le mouvement en arrière de la côulisse 561 agit exactement de la même manière que celle expliquée plus haut pour provoquer la non-addition du totalisateur No 1 ou de ba lance et la sous-totalisation du totalisateur No 5 ou de dépassement et, en outre, le gou jon carré 623 (fig. 39) de la touche de sous- balance 378, coopérant avec la saillie 701 de la coulisse de, commande 518, provoque la sous-totalisation du totalisateur No 6 ou tota lisateur compteur des postes.
Dans les opé rations de sous-balance du dépassement dé clenchées par l'abaissement de la touche de sous-balance 378, les totalisateurs Nos 2, 3 et 4 sont, comme auparavant, non additionnés.
En se reportant à la fi-. 61, on constatera qu'en plus du bras 863 de remise en position de dépassement et du bras associé 846 pour ramener les linguets 856 et 857 à la position active ou de blocage, comme représenté lors que le totalisateur de balance passe d'une condition de dépassement à une position plus ou positive, on a prévu un mécanisme pour la remise en position de ces linguets dans les opérations de balance du dépasse ment. Le mouvement en arrière de la coulisse 860 dans les opérations de balance du dé passement amène son goujon 910, coopérant avec un prolongement vers le bas du bras 852, à déplacer ce bras dans le sens des aiguilles d'une montre vers la position normale.
Le ressort 855, entre ce bras et les linguets 856 et 857, permet à ce linguet 856 de demeurer sur la patte 859 de la coulisse 860 jusqu'au retour vers l'avant de cette coulisse, sur quoi ce ressort 855 ramène ce lingnet et son lin- guet associé 857 à la position active repré sentée.
Vers la fin d'une opération de sous- balance du dépassement, le galet 813 (fig. 59), coopérant avec la surface<B>773,</B> ramène en avant le levier <B>772</B> et les coulisses 860 et 861 vers leurs positions normales représentées, et lorsque ce galet passe au-delà de la surface 773, le goujon 461 vient au contact de cette surface pour retenir le levier et ces coulisses en positions normales.
Impression <I>des</I> symboles.
On a prévu des mécanismes fonctionnant sous la commande des touches de correction 369, 370 et 371 (fig. 3) et des touches de commande 374 à 380 incluse pour l'impres sion des caractères à droite des montants aux fins d'identification du genre -d'opération effectuée.
Les coulisses de commande 513 à 519 incluse (fig. 47) portent des saillies qui coopèrent avec deux chapes tâteuses qui sont, à leur tour, reliées à des porte-caraetères cor respondants pour disposer ces porte-carac- tères conformément à la position desdites cou lisses de commande et pour provoquer l'im pression sur le matériel d'enregistrement des symboles d'identification caractéristiques . du genre d'opération exécutée.
Les deux porte-symboles 914 et 915 (fig. 65 et 70) pour les touches de correction et de commande sont situés l'un près de l'au tre à l'extrémité droite du mécanisme impri meur et ces porte-symboles sont montés et fonctionnent exactement de la manière expli quée précédemment pour les porte-caractères numéraux 275 (fil. 18A).
Le porte-symboles 914 porte deux goujons 916 qui coopèrent avec une fente de guidage 917 pratiquée dans une plaque 918 montée à l'aide des tiges 278 et 279 dans le châssis mo bile 281 (fia. 21), en vue (le déplacer ces porte-symboles vers la ou de la position d'im pression de la manière expliquée plus haut. Le porte-symboles 91-1 est pourvu d'une fente 919 à travers laquelle passe un goujon 920 d'un bras 921, monté librement sur la tige 278.
Le bras 921 est relié par une articulation 922 à un goujon 923 fixé sur le bras réduc teur d'un segment 924, monté librement sur l'arbre 250, et possédant un prolongement 925 dirigé vers le bas et pourvu de dents d'alignement qui coopèrent avec la barre d'alignement 268 (fig. 184), de manière à aligner en position le porte-symboles 91-1, de façon semblable à celle expliquée pour le porte-caractère numéral<B>275.</B> Une articulation à pivot 926 relie le goujon 923 au prolonge ment antérieur d'une chape 927,
qui est mon tée librement sur un axe<B>928</B> supporté par tune console 929 fixée sur le socle 132 de la machine. Un prolongement vers le liant de la chape 927 porte un goujon 930 qui s'engage dans une fente 931 pratiquée dans l'extré mité postérieure dune articulation 932 dont l'extrémité antérieure pivote sur une mani velle 933, montée librement sur un arbre 93-1 tourillonnant dans le châssis de droite 130 et dans un prolongement du haut du châssis 482 (fig. 31B).
Un boulon 935 relie de façon réglable la manivelle 933 au bras d'une chape 936 (fig. 65 et 66) montée librement sur l'ar bre 934 et munie d'un moyeu 9ô7 fixé sur son bras gauche; ce moyeu passe au travers d'un trou du châssis gauche 131 et a une entaille d'accouplement qui reçoit des tenons corres pondants d'un moyeu 938, filé au bras droit d'une grande chape de commande 939, mon tée librement sur l'arbre 93-1. La chape 939 a sur sa traverse tin bord arrondi 9-10 (fig. 46, 65, 66 et 67) qui coopère avec des prolonge ments 941 et 9-12 dirigés vers le bas de la cou lisse de commande 513 et avec des prolonge ments 943,
944, 945 et 9.16 des coulisses de commande 514, 515, 516 et 517 pour les to talisateurs Nos 2 à 5 inclus. Le bras droit de la chape 939 (fig. 65 et 66) est pourvu d'une fente courbe 9-17 qui coopère avec tut goujon 9.18 fixé sur l'une (les extrémités d'une arti culation 9-19 dont l'autre extrémité est fendue pour recevoir un goujon 950 d'un levier 951. monté librement sur l'arbre 208.
Le levier<B>951</B> porte un goujon 952 qui s'en@,a@,e clans une fente prévue à l'extrémité -.intérieure (l'uït levier 953, monté librement sur un axe 954 fixé sur le chfissis gauche l31; ce levier porte un galet 955 qui coopère avec la péri phérie d'une came plate 956, calée sur l'ar bre principal 216 et fonctionnant, conformé ment au temps indiqué à la ligne 13 du ta bleau dé la fig. 127, pour actionner les leviers 953 et 951.
Un ressort 957 entraîne le bras 933 et les chapes 936 et 939 dans le sens des aiguilles d'une montre ce qui, grue à l'arti culation 949 et au levier 951, entraîne le levier 953 clans le sens contraire à celui des aiguilles d'iuie montre pour maintenir nor- nialement le galet 955 en contact avec la péri phérie de la came 956. Un ressort 958 (fig. 65) tendu entre un bras de la chape 927 dirigé vers le bas et l'articulation 932 et coopérant avec la fente 931, forme une liaison élastique entre cette chape et cette articulation.
Le porte-symboles 915 (fig. 65 et 66), monté dans le châssis mobile de l'imprimeur de manière analoâue au porte-symboles 914, est relié par un mécanisme semblable à une articulation 959, semblable à l'articulation 932;
l'extrémité antérieure de cette articula tion 959 est reliée à une manivelle 960, mon tée librement sir l'arbre 934 et reliée de fa çon réglable par un boulon 961 à une mani velle 962 fixée sur l'arbre 934. - Sur l'arbre 934 est fixée également, à l'intérieur des bras de la chape 939, une petite chape de corn- mande 963 ayant sur sa traverse un bord arrondi 96-1 qui coopère avec trois saillies analogues dirigées vers le bas 965, 966 et 967 (fig. 46 et 68) des coulisses de commande 514, 515 et 516 pour les totalisateurs Nos 2, 3 et 4;
ce bord arrondi 964 coopère également avec une saillie 968, dirigée vers le bas de la coulisse de commande de sous-totalisation 519. Le bras droit de la chape 963 (fig. 65 et 66) est pourvu d'une fente courbe 969, analogue à la fente 947, et qui reçoit le goujon 948 de façon à réaliser une liaison de fonctionne ment entre la came 956 et cette chape 963, tout comme entre cette came et la chape 939.
Le porte-symboles 914 (fig. 65 et 66) a six barres à caractères 972, lesquelles, en partant de la barre à caractère du haut, portent les caractéristiques D pour dépassement, un astérisque (*) pour désigner des opérations de balance et de sous-balance, 2 , 8,,,> et 4 pour désigner les totalisateurs correspondants dans les opérations d'enregistrement des sous- totaux et des totaux et dans les opérations de correction et NC pour la touche Non-Dé- compte 371.
Le porte-symboles 915 supporte également six barres à caractères 973, lesquel les, en partant de la barre à caractère du hart, portent les désignations suivantes: un symbole de numéro (#) pour désigner 'les opérations de non-addition, un symbole de sous-total (S), un signe plus f pour dé signer une opération d'addition dans le tota lisateur No 1, un symbole de totalisation (T), un C pour désigner la touche de correction 370 (fig. 3) et im signe de multiplication (j < ) pour désigner les Nos 2, 3 et 4 des touches de correction 369,
lorsque ces touches de correc tion ne sont pas employées conjointement avec la touche de correction 370.
Indépendamment de ce que la position de la petite chape 963 (fig. 65 et 68) est com mandée par des saillies du bas de coulisses de commande, sa position est commandée égale ment par un bras de commande 974 (fig. 62) pourvu des quatre crans correspondant, ainsi qu'il a été indiqué: au symbole de non-addi- tion (#), au symbole (;-), au symbole C et au symbole de signe de multiplication (X) du porte-symboles 915, ces crans coopérant avec le bord supérieur arrondi 964 de cette chape 963.
Le bras 974 est fixé sur un arbre 975 qui tourillonne dans les plaques 398 (fig. 3113, 47 et 63); ledit bras porte un gou jon 976 qui s'engage dans une fente prati quée dans l'extrémité antérieure d'une cou lisse 977, pourvue de fentes parallèles qui re çoivent des goujons 978 et 979 fixés à la pla que 398 en vue de supporter cette coulisse <B>977</B> dans son déplacement horizontal. La coulisse 977 porte à son extrémité postérieure -une saillie en forme de crochet avec une surface verticale 980 coopérant avec un galet 981 sup porté par un bras de la chape 603 dirigé vers le bas (fig. 44).
La coulisse 977 est pourvue d'une encoche verticale 982 qui coïncide normalement avec une encoche semblable dans une coulisse asso- ciée, ou auxiliaire, 9$3 <B>(fi,.</B> 62 et 63) montée pour déplacement horizontal à l'aide des fentes horizontales dont elle est pourvue, co opérant avec les goujons 978 et 979, exacte ment de la même manière que la coulisse 977. Les encoches verticales 982 dans les coulisses 977 et 983 coopèrent avec un goujon 984 fixé sur l'extrémité inférieure d'une articulation 985 dont l'extrémité supérieure pivote sur un bras 986 fixé à la touche de correction 370.
Une partie verticale de guidage de l'extré mité antérieure du bras 986 coopère avec une rainure annulaire d'un goujon 987 fixé sur la plaque 398 (fig. 31B et 62) pour empêcher un jeu latéral excessif de ce bras 986.
Sur l'extrémité gauche de l'arbre 975 (fig. 31B) est fixé un bras 988 dont le pro longement antérieur coopère avec uni tenon 989 du goujon 625 (fig. 44) de la touche d'addition 380.
Une partie dirigée vers le bas du bras 988 pivote sur l'extrémité antérieure d'une bielle 990 dont l'extrémité postérieure est fendue pour recevoir un goujon 991 fixé sur la plaque 399; cette bielle possède un pro longement dirigé vers le haut avec une sur face verticale 992 qui coopère avec un goujon 993 fixé à l'extrémité inférieure de la touche de non-addition 37-1. Un ressort 994, tendu entre le prolongement vers le bas du bras 988 et un goujon de la plaque 399, entraîne ce bras, l'arbre 975 et le bras à crans 974 (fig. 62) dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre;
ce bras, grâce au gou jon 976, entraîne la coulisse 977 en avant de façon à maintenir la surface 980 en contact souple avec le galet 981. Les touches de cor rection 369 Nos 2, 3 et 4 (fig. 62) portent respectivement des goujons 995, 996 et 997 qui' coopèrent avec des surfaces verticales cor respondantes 998, 999 et 1000 formées sur la coulisse<B>977</B> et avec des surfaces verticales correspondantes 1001, 100? et 1003 de la cou lisse auxiliaire 983.
L'abaissement d'une des touches de cor rection 369 (fig. 46 et 6?) amène leurs gou jons 995, 996 ou 997, coopérant avec les sur faces correspondantes 998, 999 ou 1000<B>de</B> la coulisse<B>977,</B> sous l'action de la bride 603 (ligne 10, fig. 127) à donner au bras 974 une position telle que le cran correspondant au symbole de multiplication (X) se trouve en face du bord 964 de la chape 963.
La came 956 (fig. 62, 65 et 66) actionne les leviers 953 et 951 suivant le temps indiqué à la ligne 13 du tableau de la fi-. 127, de manière à dépla cer les chapes 939 et 963 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, de telle sorte que les bords supérieurs arrondis 940 et 96-1 des traverses de ces chapes tâtent les saillies des coulisses de commande et que ce bord 964 tâte également le cran du bras 974.
Lorsque le bord 964 de la chape 963 entre en contact élastique avec le cran du levier 974 corres pondant au signe de multiplication, le mouve ment ultérieur de cette chape est interrompu et place, par le mécanisme représenté sur les fig. 65 et 66, le porte-symboles 915 dans tune position telle que la barre à caractère<B>97â</B> se trouve en face de la ligne d'impression où, sous l'action des marteaux d'impression, le symbole de multiplication (X) s'imprime en face du montant pour désigner ce montant comme poste de correction.
On se rappelle, en se reportant à la fig. 42, que la touche de correction 370 s'emploie con jointement avec les touches de correction 369 Nos 2, 3 et 4 lorsqu'on désire la non-addition des totalisateurs Nos 1, 5 et 6, de telle sorte que seul le totalisateur correspondant à la touche de correction soit sélectionné pour la correction.
En se référant à la fig. 63, il faut noter que le goujon 984 de l'extrémité inférieure de l'articulation 985 se trouve dans sa position normale du haut lorsque la touche (le correc tion<B>370</B> n'est pas abaissée et que, lorsqu'il se trouve dans cette position, il est en face d'une partie ouverte de l'encoche verticale 982 de la coulisse 983 et que, par conséquent, le mouvement de la coulisse<B>977</B> vers l'arrière n'a aucun effet sur la coulisse auxiliaire 983.
L'abaissement de la touche de correction 370 fait descendre le goujon 98-1 dans une partie formée (le l'encoche et de la coulisse 983, (le manière à relier cette coulisse à la coulisse principale<B>977</B> en vue (le leur mouvement si- multané sous l'action de la chape 603.
Lors que deux coulisses sont ainsi reliées, les sur faces verticales 1001, 1002 et 1003 de la cou lisse auxiliaire 983 (ces surfaces sont légère ment en avant des surfaces correspondantes de la coulisse principale 977) entrent en con tact avec les goujons 995, 996 et 997 de la touche de correction 369 abaissée, par suite du mouvement vers l'avant de ces coulisses c77, en plaçant le bras 974 de telle sorte que le cran correspondant au symbole C se trouve sur le trajet du bord arrondi 964 de la chape 963.
L'actionnement de la chape 963 par le mécanisme représenté sur les fig. 65 et 66 fait entrer le bord 964 en contact avec le cran du bras 974 qui correspond au sym bole C , pour placer le porte-symboles 915 de telle sorte que la barre à caractère 973 cor respondant au symbole C se trouve en face de la ligne d'impression et que ce symbole soit imprimé en face du montant pour dési gner ce genre d'opération de correction.
L'abaissement de la touche d'addition 380 (fig. 31B) amène le goujon 989, coopérant avec le prolongement avant du bras 988, â placer le bras 974 (fig. 62) de telle sorte que le cran correspondant au symbole plus f se trouve en face du bord 964, sur quoi la chape 963 place, pendant l'opération de la machine, le porte-symboles 915 (fig. 65, 66 et 68) dans une position telle que la barre à ca ractère 973 portant le symbole plus se trouve en face de la ligne d'impression et que le fonctionnement des marteaux d'impression fasse enregistrer le signe d'addition (-(-)
en face du montant pour désigner une opération d'addition du totalisateur No 1 ou de balance.
L'abaissement de la touche de non-addi- tion 374 (fig. 31B) amène le goujon 993, co opérant avec la surface verticale 992 du pro longement de la bielle 990, à empêcher le mouvement en avant de cette bielle 990 ainsi que le mouvement dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre du bras 988 sous l'action du ressort 994, de manière à maintenir le cran le phis élevé du bras 974 sur le trajet du bord 964, comme montré sur la fig. 62, et à placer le porte-symboles 915 (fig. 65 et 68)
de telle sorte que la barre à caractère 973 du haut se trouve en face de la ligne d'impression et que le symbole de non- addition (#) soit enregistré pour désigner les opérations de non-addition.
Si aucune des touches de correction 369 et 370, d'addition 380 et de non-addition 374 n'est abaissée, la coulisse 977 (fit. 62) peut se déplacer en avant de toute sa course sous l'action du ressort 994 de façon à placer tous les crans d'ajustage du bras 974 au-delà du bord 964 de la chape 963, de telle sorte 'que ces crans n'ont, dans ce cas, aucun effet sur la mise en position de la chape 963.
Tandis qu'il doit être entendu que la tou che de correction<B>370</B> (fig. 62) est supposée n'être employée que conjointement avec les touches de correction 369, il faut entendre également que l'abaissement de cette touche 370 seule, tout en amenant le goujon 984 à coupler les coulisses 977 et 983, n'a cependant aucun effet sur la mise en position de cette coulisse 977 et du bras 974 qui, dans ce cas, peuvent encore se déplacer en avant de toute leur course ou dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de sorte que tous les crans se trouvent au-delà du bord 964 de la chape 963.
La touche Non-Décompte 371 (fig. 62) porte sur son extrémité inférieure un goujon 1004 qui s'engage dans une encoche d'un lin- guet 1005, monté librement sur le goujon 978 et qui, sur abaissement de cette touche, amène l'extrémité inférieure de ce linguet sur le tra jet du bord 940 de la grande chape 939.
Pen dant le fonctionnement de la machine, le lin- guet 1005, en coopération avec le bord arrondi 940, intercepte le mouvement de la chape 939 dans le sens des aiguilles d'une montre pour placer le porte-symboles 914 (fig. 67) de telle sorte que la barre à carac tère 972 du bas se trouve en face de la ligne d'impression pour provoquer l'impression du symbole Non-Décompte <I>(NC)</I> sur le maté riel d'enregistrement. La façon dont l'abais sement de la touche IN'on-Décompte 371 met hors d'action le comptage automatique des postes sera expliquée phis loin.
Lorsque le totalisateur 1 o 1 ou de balance est sélectionné et préparé soit pour une opé ration de totalisation, soit pour une opération de sous-totalisation par disposition de la cou lisse de commande 513 (fig. 46, 65, 66 et 67), de la manière expliquée <B>plus</B> haut, le prolon gement 911 de cette coulisse est situé en face du bord arrondi 910 de la grande chape 939 et termine, pendant le fonctionnemenï, de la machine, le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, ou de tâtonnement de cette chape,
en vue de placer le porte-symboles 91.1 de telle sorte que la barre à caractère 972 portant l'astérisque (e), ou symbole de balance et de sous-balance, soit en position d'impression. Dans les opérations de sous balance, la coulisse 519 de sous-totalisation (fig. 44 et 68) est placée de telle façon que sa saillie 968 se trouve sur le trajet du bord 961 de la chape 963 et termine le mouvement de cette chape dans le sens des aiguilles d'une montre pour mettre le porte-symboles 915 dans une position telle que la barre à carac tère qui porte le symbole de sous-totalisation (S) se trouve en face de la ligne d'impres sion.
On se rappelle que, dans les opérations de balance et de sous-balanee du dépassement, c'est le totalisateur 17o 5 ou de dépassement qui est totalisé et/ou sous-totalisé au lieu du totalisateur \o 1 et que, dans ce cas, la cou lisse de commande 517 (fi-.
67) est disposée de telle façon que sa saillie 916 se trouve en face du bord 910 de la chape 939 pour ter miner le mouvement de cette chape dans le sens des ai-uilles d'une montre, et placer le porte-symboles 91-1 de telle sorte que la barre à caractère<B>972</B> du haut se trouve en face de la ligne d'impression pour enregistrer le symbole de dépassement 0D immédiate ment à droite de l'enregistrement du montant.
Dans les opérations de sous-balance ou dépas sement, tout comme dans celle d'une sous- balance ordinaire, la coulisse 519 de com mande de sous-totalisation est placée de telle ,sorte que la saillie 968 se trouve sur le trajet du bord 964 de la chape<B>96'</B> pour placer le porte-symboles 915 dans une position où le symbole de sous-totalisation (.S') soit enregis tré immédiatement à droite du montant.
Lorsque le totalisateur \o 1 ou de ba lance est sélectionné pour une opération d'ad dition au moyen de la touche d'addition<B>380,</B> le bras 974 (fig. 62 et 68) est placé, comme il a été expliqué plus haut, de façon à terminer le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de la chape 963 lorsque le symbole d'addition (-f-) du porte-symboles 915 se trouve en face de la ligne d'impression et à enregistrer ce symbole en face du montant.
De même, lorsque le totalisateur 11o 1 est sé lectionné pour une opération de non-addition à l'aide de la touche de non-addition 374 (fig. 31B), le bras 971 (fig. 62) est retenu dans la position représentée pour amener la chape 963 à placer le porte-symboles 915 de telle sorte que la barre à caractère 973 du haut se trouve en face de la li;ne d'impres sion et provoque l'impression du symbole de non-addition (#) sur le matériel d'enregis trement.
On se rappelle que les touches de correc tion 369 Nos 2, 3 et 4 sélectionnent les totali sateurs correspondants pour -une opération de soustraction et que les goujons de ces touches, en coopération avec des saillies correspondan tes sur les coulisses de commande 51-1, 515 et 516 (fi-.
46 et<B>67),</B> situent la coulisse corres pondante dans la position de soustraction, de telle sorte que la saillie correspondante 913, 911 ou 915 se trouve sur le trajet du bord 940 de la chape 939 et termine le mou vement de cette chape dans le sens des aiguil les d'une montre, de manière à déterminer la position du porte-symboles 914 pour que la barre à caractère 972 correspondante pour le totalisateur N 2, 3 ou 4, selon le totalisateur sélectionné, soit située en face de la ligue d'impression et réalise l'impression du sym- bole d'identification correspondant à côté du montant.
De même, lorsque le totalisateur No 2, 3 ou 4 est. sélectionné pour une opéra tion d'enregistrement du total, par les tou- elies correspondantes de totalisation 3î6 \ 3 out 4 (fi-. 3), la coulisse correspondante 51-1, <B>515</B> olt 516 (fi-. 67) est située de tell:
sorte que la saillie correspondante 943, 9-1-1 ou 945 se trouve sur le trajet du bord 940 de la chape 939, de façon à terminer le mou vement dans le sens des aiguilles d'une mon tre de cette chape et à déterminer la posi tion du porte-sy mboles 91-1, <B>de</B> sorte que le symbole d'identification approprié 2, 3 ou 4 soit imprimé sur le matériel d'enregistrement. Il est évident, d'après ce qui précède, que les saillies 943, 944 et<B>9-15</B> (fig. 46 et<B>-17)</B> sur les coulisses 514,
515 et 516 sont assez larges pour coopérer avec le bord 940 de la chape 939 si le totalisateur correspondant est sélec tionné soit pour une opération de soustrac tion, soit pour une opération de totalisation.
On se rappelle que, dans les opérations de sous-totalisation, la coulisse 514, 515 ou 516 (fig. 67), correspondant au totalisateur sé lectionné N 2, 3 ou 4, est également située exactement comme dans les opérations de to talisation, la seule différence consistant en ce que la coulisse de sous-totalisation 519 est dis posée de manière à réaliser l'embrayage et le débrayage du totalisateur sélectionné avec les crémaillères, lors du temps de sous-totalisa- tion, au lieu du temps de totalisation.
Lors que la coulisse de sous-totalisation 519 est mise en position par l'abaissement de la tou che 375 de sous-totalisation, la saillie 968 (fig. 44 et 68) sur cette coulisse se trouve sur le trajet du bord 964 de la petite chape 963, de manière à amener cette chape à disposer <B>le</B> porte-symboles 915 de telle sorte que le sym bole de sous-totalisation (S) soit en position d'impression, exactement comme il a été expli qué pour les opérations de sous-balance.
<I>Commande</I> dit comptage <I>des postes.</I> Outre la connnande de la mise en position des porte-symboles 914 et 915 pour l'impres sion des symboles, les chapes 939 et 963 (fig. 65, 66, 67 et 68) possèdent respective ment des prolongements en forme de segments 1006 et 1007, ayant des surfaces de com mande irrégulières et qui coopèrent avec un prolongement .replié de tâtonnement 1008 star le levier 951; ce levier est actionné par la came 956 de la façon expliquée plus haut et suivant les temps indiqués à la ligne 13 du tableau de la fis. 127.
Lorsque le prolos -gement tâteur 1008 se trouve en face des parties basses des surfaces de commande des se-ntents 1006 et 1007, le levier 951 peut se déplacer de toute sa course dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action de la came 956, en amenant ainsi son prolongement 1009 (fia.
65) à venir au con tact d'une plaque de blocage 1010, possédant une paire de bras repliés qui tournent libre ment sur l'arbre 208, et à déplacer cette pla que de blocage simultanément avec lui dans le sens des aiguilles d'une montre, à l'encon tre d'an ressort 1011 tendu entre ce levier 951 et cette plaque 1010 -et à placer le bord antérieur de cette plaque hors du trajet des épaulements dont est pourvu chacun des trois bloc-moteurs 351 de comptage de postes (fi-. 65), ceci afin de libérer ces bloc-moteurs pour les mouvements d'opération, de telle sorte que les roues de comptage de postes puissent être actionnées.
Il est évident que toute partie élevée sur l'une des surfaces irré gulières des segments 1006 et<B>1007,</B> coopérant avec le prolongement tâteur 1008, empêchera le mouvement du levier 951 dans le sens des aiguilles d'une montre sur tolite sa course, eu permettant ainsi à la plaque de blocage 1010 de rester en position active, comme indiqué sur la fi-. 65, et de bloquer les trois bloc-mo- teurs 351 de comptage de postes contre le mouvement d'opération, en empêchant ainsi l'accumulation des postes dans le totalisateur No 6 ou totalisateur compteur de postes.
En se reportant aux fi-.<B>67</B> et<B>68,</B> on verra que la surface de commande du prolon gement 1006 de la chape 963 possède des par ties élevées en face des positions de cette chape qui correspondent à la touche de non- addition 374 et aux touches de correction 370 et 369, et que la surface de commande du prolongement 1007 de la chape 939 possède des parties élevées en face des positions de cette chape qui correspondent aux touches de totalisation 376 Nos 2, 3 et 4 ainsi qu'une partie élevée correspondant à la position de non-addition de cette chape 939.
En consé quence, la plaque de blocage 1010 (fig. 65 et 66) est opérante, comme représenté ici, dans toutes les positions de non-addition, qu'elles aient été déclenchées par l'abaissement de la touche de non-addition 374 ou par le chariot dans ses positions de colonnes, ainsi que dans toutes les opérations de correction.
On voit également que, lorsque la chape 939 est dis posée par le linguet 1005 (fig. 62, 65 et 67) sous l'action de la touche Non-Décoruipte:> 371,'une partie élevée de la surface de com mande du prolongement 1007 est située en face de la saillie tâteuse 1008, de manière à interrompre le mouvement du levier 951 sur toute sa course dans le sens des aiguilles d'une montre et à maintenir en action la plaque de blocage 1010 pour bloquer le mouvement d'opération des bloc-moteurs 351 pour le tota lisateur compteur de postes.
Lorsque les deux chapes 939 et 963 sont situées de telle sorte que les parties basses des surfaces de commande des prolongements 1006 et 1007 se trouvent en face du prolon gement 1008 du levier 951 (fig. 65), ce levi-r peut se déplacer sur toute sa course sous l'action de la came<B>956,</B> sur<B>quoi</B> le prolonge ment vers le bas 1009 amène la plaque 1010 au-dessous des épaulements 1012 des bloc moteurs 351 pour le totalisateur compteur de postes et libère ces bloc-moteurs pour le mouvement d'opération.
Les surfaces de commande des prolonge ments 1006 et 1007 (fig. 66, 67 et 68) .tant ainsi disposées, les parties basses de ces sur faces de commande sont situées en face du prolongement tâteur 1008 (fi-.<B>65, 67</B> et<B>68)</B> pour toutes les opérations auxquelles parti cipe le totalisateur No 1 ou de balance, y cornpris l'addition, la soustraction, la ba lance et la sous-balance, la balance du dépas sement et la sous-balance du dépassement.
En d'autres termes, en cas d'opérations d'addition et de soustraction du totalisateur 1\7o 1 ou de balance, il est désirable que les blôc-moteurs pour le totalisateur N 6 ou to talisateur des postes soient libres de se dé placer afin que les postes puissent être dé- comptés pendant ces opérations;
dans toutes. les opérations de balance et de sous-balance, il est également désirable que ces bloc-moteurs soient libres de se déplacer pour que le tota lisateur No 6 ou totalisateur compteur des postes puisse être sous-totalisé ou totalisé, le totalisateur de. balance étant en même temps sous-totalisé ou totalisé lorsque le montant de ce totalisateur est positif, et en même temps le totalisateur No<B>5 ou</B> totalisateur de dépas sement étant sous-totalisé ou totalisé lorsque le montant dans ce totalisateur No 1 ou de balance est négatif.
En liaison avec la description ci-dessus, il faut se rappeler que toute partie élevée des surfaces de commande, soit du prolongement 1006, soit du prolongement 1007, empêche le mouvement du levier 951 dans le sens des aiguilles d'une montre sur toute sa course (fig. 65) en amenant ainsi la plaque de blo cage 1010 à rester en action, comme repré senté, et qu'il faut qu'une partie basse des surfaces de commande des deux prolonge ments 1006 et 1007 ,à, la fois soit située en face du prolongement tâteur 1008 pour que le levier 951 puisse se- déplacer de toute sa course dans le sens des aiguilles d'une mon tre,
afin de placer la plaque 1010 au-dessous des épaulements 1019 des bloc-moteurs 351 et de libérer ces bloc-moteurs pour le mouve ment d'opération.
<I>.Mécanisme</I> élévateur dit. ruban <I>et</I> commande <I>des</I> couleurs.
Le mécanisme représenté sur la fig. 71 est prévu pour soulever le ruban encreur 338 à la position d'impression en rouge en cas de sélection du totalisateur No 1 ou de balance pour une opération de soustraction, ou en cas de sélection du totalisateur No 5 ou totalisa teur du dépassement, pour une opération de totalisation ou de sous-totalisation, lorsque le totalisateur de balance est dépassé. Il est parfois désirable d'imprimer des postes sous tractifs, tels que des chèques, en noir au lieu du rouge.
Cela s'obtient en abaissant la tou che Noire 393 dans les opérations de soustrac tion, pour rendre automatiquement inopérant le mécanisme imprimeur en rouge et réaliser ainsi l'impression en noir des postes.
Le ruban encreur 338 (fi-.<B>1,</B> 18-à- et<B>71)</B> se déroule dune des bobines à ruban encreur (iion représentée) et s'enfile dans les deux ceillets supportés respectivement par les barres élévatrices de droite et de gauche 1013 (une seule est représentée) montées pour mouvement vertical dans des fentes prati- auées dans des pattes repliées des plaques de droite et de gauche du bâti 283 de l'impri- nieur. Les barres élévatrices 1013 sont espa cées de telle façon qu'elles se trouvent à che val sur les porte-caractères et guident le ru ban encreur 338 à travers la ligne d'impres sion.
Chacune des barres 1013 porte un gou jon 1014 qui s'engage dans une fente d'un bras correspondant 1015 (un seul est repré senté) fixé sur un arbre 1016 tourillonnant dans les châssis de droite et de gauche<B>130</B> et 731. Sur l'arbre 1016 est fixé également un bras 1017 portant un goujon qui s'engage dans la fente d'une manivelle 1018, montée librement sur un axe 1019 fixé dans le châs sis de droite 130. La manivelle 1018 a un épaulement qui repose sur un goujon 1020 d'un bras 1021 fixé sur l'arbre 300 de l'im primeur.
La mise en action de l'arbre de l'impri meur, conformément au temps indiqué à la ligne 19 du tableau de la fig. 127, déplace d'abord l'arbre 300 et le bras 1021 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre et retire le goujon 1020 de l'épaulement de la manivelle<B>1018,</B> de manière à permet tre à un ressort 1022, tendu entre ladite ma nivelle et un goujon du châssis 130, de dé placer cette manuelle dans le sens des aiguil les d'une montre.
Le mouvement dans le sens des aiguilles de cette manivelle déplace, grâce au bras 1017, l'arbre 1016 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'iuie montre et soulève les barres 1013 et le ruban encreur 338 d'une position normale, ou de lecture, qui se trouve au-dessous de la ligne d'impres sion, vers la position d'impression où ce ru ban encreur 338 s'interpose entre la ligne d'impression et les porte-caractères.
Le ruban encreur 338 est du type bicolore - c'est- à-dire que sa moitié supérieure est noire et que sa moitié inférieure est rouge et l'angle dont l'arbre 1016 peut se déplacer dans le sens inverse à celui des aiguilles d'une montre détermine laquelle des parties noire ou rouge de ce ruban encreur sera sou levée vers la position d'impression. Le mouve ment de retour de l'arbre 300 et du bras 1021 clans le sens des aiguilles d'une montre, vers la fin d'opération de la machine, ramène le ruban encreur 338 à la position de lecture représentée.
*Un bras 1023 est également fixé sur l'ar bre 1016 (fig. 71) et relié de façon réglable par deux vis à un bras de commande 1024 monté librement sur cet arbre 1016 et auquel est reliée à pivotement l'extrémité supérieure d'une articulation 1025. L'extrémité infé rieure de l'articulation 1025 est pourvue d'une fente dans laquelle s'engage librement un arbre 1026 qui tourillonne dans le châssis gauche 131; ladite articulation porte un gou jon 1027 qui coopère avec l'extrémité supé rieure en forme de crochet d'un bras 1028 filé sur l'arbre 1026.
Sur l'arbre 1026 est fixé également un bras 1029 portant un goujon 1030 qui s'engage dans une fente pratiquée dans l'extrémité postérieure d'une bielle de commande 1031 dont l'extrémité antérieure a une fente pouvant recevoir un goujon 1032 fixé sur le châssis de gauche 131. Un ressort 1.033, tendu entre le goujon 1030 et un gou jon de la bielle 1031, forme une liaison élasti que entre l'arbre 1026 et ladite bielle 1031.
La bielle 1031 possède (fig. 69 et 71) un pro longement dirigé vers le haut 1034, qui co opère avec un goujon 1035 du levier 951, per mettant ainsi à cette bielle de se déplacer en a@ ant et eu arrière sous l'action d'un ressort <B>1036,</B> conformément au temps indiqué à la ligne 13 du tableau de la fig. 127.
Normalement, le mouvement vers l'arrière de la bielle 1031 sous l'action du ressort 1036 est empêché et il en résulte que l'extrémité supérieure en forme de crochet du bras 1028 reste sur le trajet du goujon 1027 pour dé- terminer le mouvement vers le haut de l'arti culation 1025 et le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 1016, faisant ainsi se placer dans la position d'im pression la partie supérieure, ou noire, du ru ban encreur 338.
Si le mouvement en arrière de la bielle 1031 (fig. 71), sous l'action du ressort 1036, n'est pas empêché, ce mouve ment déplace l'arbre 1026 et le bras 1028 dans le sens des aiguilles d'une montre et place l'extrémité supérieure en forme de crochet de ce bras hors du trajet du goujon 1027, de ma nière à permettre le mouvement complet vers le haut de l'articulation 1025 et le mouve ment complet de l'arbre 1016 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, en soulevant au maximum les barres 1013, et en amenant la partie inférieure ou rouge du ruban encreur 338 en face de la ligne d'im pression.
La bielle 1031 (fig. 69 et i 1<B>)</B> possède un prolongement postérieur avec une patte re pliée 1037 qui coopère avec un goujon 1038 d'un levier 1039, monté par un moyeu libre ment sur un arbre 1040 tourillonnant dans le châssis 482 (fig. 31B), et fixé à une manivelle 1041.
L'un des bras<B>de</B> la manivelle 1041 pi vote sur l'extrémité inférieure d'une articula tion 1042 dont l'extrémité supérieure est fen due pour recevoir un goujon 1043 fixé sur le châssis de gauche 131. L'articulation 1042 porte un goujon 1044 qui coopère avec un bras 1045 fixé sur un arbre 1046 tourillonnant dans les plaques 398 et 399 (fig. 47).
Sur l'arbre 1046 sont montés également des bras associés 1047 qui supportent une tige 1048 coopérant avec une saillie 1049 de l'extrémité supérieure du levier de commande 601 et avec une saillie 1050 de l'extrémité supérieure du levier de commande 785.
La tige 1048 coopère aussi avec une surface-came 1051 d'un pro longement vers le haut du bras droit de la chape 603; lorsque la machine est au repos et que cette chape se trouve en position nor male, comme représenté, une partie concen trique et correspondante au repos de ladite surface-came 1051 retient, en coopération avec la tige 10-18, l'arbre 1046 et le bras 1045 dans leurs positions dans le sens des aiguil les d'une montre, représentées ici.
Le bras 1045, en coopération avec l'articulation 1042, retient la manivelle 1041 et le levier 1039 dans leurs positions contraires au mouvement des aiguilles d'une montre, représentées sûr la fig. 71, de façon à retenir le goujon 1038 au-dessous et hors du trajet de la patte re pliée 1037 de la bielle<B>1031.</B>
La chape 603, fonctionnant sous l'action de la came 606 (fig. 46 et 71 et ligne 10. fig. 127), se déplace d'abord dans le sens con traire des aiguilles d'une montre en amenant la surface-came 1051, coopérant avec la tige 1048, à permettre le mouvement des bras 1047, de l'arbre 1046 et du bras 1045 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, lorsque l'articulation se déplace vers le haut sous l'action d'un ressort 1052, tendu entre un goujon fixe et l'un des bras de la manivelle 1041.
Le ressort 1052 déplace si multanément la manivelle 1041 et le levier 1039 dans le sens des aiguilles d'une montre simultanément avec le mouvement vers le haut de cette articulation 1042, de façon à placer le goujon 1038 sur le trajet de la patte 1037 et à interdire le mouvement de la bielle 1031 en arrière sous l'action du ressort 1036.
Il est entendu<B>que</B> le mouvement<B>de</B> la tige 1048 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 71) et le mou vement simultané des pièces associées ne sont possibles que si les parties élevées 1049 et 1050 des leviers 601 et Î85 ne co:
ncident pas avec cette tige 10-18. La bielle 103l étant em pêchée de se déplacer en arrière, oblige l'extrémité supérieure en forme de crochet<B>du</B> bras 1028 à rester sur le trajet du goujon 1027, sur quoi l'actionnement de l'arbre 300 de l'imprimeur par les cames montrées sur la fig. 21, conformément au temps indiqué à la ligne 19 du tableau 127, permet à la mani velle 1018, sous l'action du ressort 1022, de faire monter la barre<B>1013</B> d'une distance minimum pour déplacer le ruban encreur 338 de la position de lecture représentée, à la po sition d'impression en noir où, comme il a été expliqué plus haut,
la partie supérieure ou noire du ruban encreur s'interpose entre les porte-caractères et la ligne d'impression.
Lorsque le totalisateur No 1 ou de balance est sélectionné pour une opération de sous traction de la manière expliquée précédem ment, le levier de commande 601 (fig. 40, 46, 69 et 71) est situé comme représenté, de telle sorte que la saillie 1049 reste sur le trajet de la tige 104S.
De même, dans les opérations de balance et de sous-balance du dépassement, le levier sélecteur 785 pour le totalisateur No 5 ou totalisateur de dépassement est situé de telle façon que la saillie 1050 se trouve sur le trajet de la tige 1048 et que, dans ces deux cas, le mouvement de cette tige et des bras 1047, de l'arbre 1046 et du bras 1045 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, est empêché. Cela empêche, à son tour, le mouvement vers le haut de l'articulation 1042 et le mouvement de la manivelle 1041 et du levier 1039 dans le sens des aiguilles d'une montre, sous l'action du ressort 1052. En con séquence, le goujon 1038 est retenu au-des sous de la patte repliée 1037 et dans ce cas ne gêne pas le mouvement en arrière de la bielle 1031.
Le mouvement de la bielle 1031 en arrière, sous l'action de la came 956 et dit ressort 1036, déplace le bras 1029, l'arbre 1026 et le bras 1028 dans le sens des aiguil les d'une montre, de manière à mettre l'extré mité supérieure en forme de crochet de ce bras 1028 hors du trajet du goujon<B>1027.</B> Le mouvement de l'extrémité supérieure du bras 1028 hors du trajet du goujon 1027 libère l'articulation 1025 et les pièces annexes pour le mouvement maximum sous l'action de la manivelle 1021 et de l'arbre 300 pour impri mer un mouvement maximum vers le haut aux barres 1013 et au ruban encreur<B>338,
</B> de manière à placer la partie inférieure ou rouge de ce ruban entre les porte-caractères et la ligne d'impression et à réaliser l'impression en rouge des postes soustractifs et des postes de balance et de sous-balance du dépassement.
Commande <I>du</I> ruban par<I>la touche</I> noire. Dans certains cas, il est désirable d'avoir des postes soustractifs imprimés en noir au lieu de rouge; dans la machine représentée, cela s'obtient par l'abaissement de la touche I\Toire 393 (fig. 3 et 71) préalablement aux opérations de soustraction. L'abaissement de la touche Noire 393 amène son extrémité inférieure, coopérant avec un goujon 1053 d'un bras 1054 fixé sur un arbre 1055 tou- rillonnant dans le sommier des touches auxi liaires, à déplacer ce bras et cet arbre clans le sens contraire à celui des aiguilles 'd'une montre.
Un bras 1056, filé également sur l'arbre 1055, se déplace simultanément avec lui dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre; ce bras 1056 est relié, par une arti culation 1057, à une manivelle 1058 montée librement sur l'arbre 1040, de façon à dépla cer dans le même sens cette manivelle et les pièces qui lui sont reliées, à l'encontre d'un ressort 1059 tendu entre ladite articulation 1057 et un goujon fixe.
Le mouvement de la manivelle 1058 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 69 et 71) re tire un goujon 1060, fixé sur l'un de ses bras, de la surface supérieure d'un levier 1061 monté librement sur l'arbre 1040, sur quoi un ressort 1062, tendu entre ce levier et un gOu- jon, fait déplacer ce levier 1061 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, simultanément avec ladite manivelle coudée 1058.
Le mouvement du levier 1061 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre place un prolongement replié 1063 de l'extrémité arrière de ce levier en face de la patte 1037, de façon à empêcher le mouve ment en arrière de la bielle 1031, et à retenir le bras 1028 dans la position indiquée et à réaliser l'impression en noir des postes sous tractifs lorsqu'on abaisse la touche Noire 393.
Lorsque le levier 1039 se trouve en posi tion d'action, comme indiqué sur la fi,-. 69, de façon à empêcher le mouvement de la bielle 1031 en arrière, un goujon 1064, fixé sur le prolongement antérieur de ce levier, coopérant avec un épaulement 1065 du levier 1061, retient ce levier en position inopérante lorsqu'on abaisse la touche < < Noire 393. <I>Commande</I> d'impression <I>dit signe</I> <I>de</I> soustraction.
L'abaissement de la touche de soustraction 377 (fig. 3, 31p et 71) pour la sélection du totalisateur iNo 1 ou totalisateur de balance en vue d'une opération de soustraction, amène un goujon 1067, fixé sur l'extrémité inférieure de cette touche, et coopérant avec une surface angulaire de l'extrémité supé rieure d'un bras 1068 fixé sur l'arbre 1040, à déplacer ce bras et cet arbre dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, de manière à relier le linguet d'élimina tion du zéro pour les porte-caractères 391 (fi-.
18A et 70) des touches à symboles 390 au liüguet d'élimination du zéro 325 pour le porte-caractères 275 des unités des centimes; étant donné que ce linguet d'élimination du zéro pour les unités des centimes est, dans les opérations de soustraction, toujours situé en position inopérante, le linguet d'élimination du zéro pour le porte-caractères 391 est égale ment placé en position inopérante,
sur quoi l'actionnement des marteaux d'impression 317 amène une barre à caractère 1069 de ce porte- caractères 391, situé en position zéro, à enre- ffi Cr strer un signe de soustraction en face du montant, pour identifier l'opération comme opération de soustraction.
De même, l'abais sement de la touche foire 393 déplace, au moyen des liaisons représentées sur la fi-. 71, l'arbre 1040 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, exactement de la même façon que lorsqu'on abaisse la touche de soustraction 377 pour réaliser l'impression du<U>signe</U> de soustraction en face de l'enregis trement du poste soustractif. <I>Chariot.</I> On se rappelle, en se reportant aux fig. 1, 18A et 188, que la présente machine est pour vue d'un chariot baladeur 136 qui supporte un rouleau 309 pour présenter le matériel d'enregistrement, tel qu'une feuille de relevé de compte, dont un fragment est représenté à la fi;. 117, au mécanisme imprimeur.
Le rouleau 309 peut être déplacé clé la position d'impression à une position plus accessible, souvent dénommée position à goulotte ou verte, en vue de l'enlèvement et de l'insertion faciles du matériel d'enregistrement en avant du rouleau 309, au lieu du procédé habituel qui consiste à insérer le matériel d'enre gistrement en arrière du rouleau et à l'enrouler autour du rouleau.
Ur, tel cha riot est souvent dit du type à alimentation frontale; lorsque le rouleau 309 se déplace de la position d'impression à la position d'ali- nientation frontale, les galets presseurs sont relâchés et la goulotte servant à guider le ma tériel d'enregistrement autour de ce rouleau est ouverte, de sorte qu'une feuille de relevé de compte -utilisée peut facilement être retirée de la machine et qu'une nouvelle feuille peut être insérée dans la goulotte et poussée direc tement en position. à l'aide d'un dispositif de repérage des lignes qui fait partie de la gou- lotte d'alimentation frontale.
En plus du matériel d'enregistrement, tel qu'une feuille de relevé analogue à celle mon trée sur la fig. 117, qui s'introduit en avant de la machine, comme expliqué plus haut, on établit un duplicata de toutes les entrées pen dant une certaine période, un jour par exem ple, sur aine feuille livre de journal qui s'en roule autour du rouleau 309, de la manière habituelle et qui est tenue en place par des galets presseurs prévus à cet effet, lorsque le chariot se déplace de la position d'impression à la position correspondant à l'ouverture de la goulotte et vice versa.
Le chariot 136 peut être déplacé dans le sens de tabulation et dans le sens inverse; le mécanisme servant à déplacer le chariot dans les deux directions est relié par un dispositif d'accouplement hydraulique à un moteur à marche semi-continue qui fonctionne simulta nément, mais indépendamment du moteur principal de la machine et qui sert principa lement à actionner le mécanisme baladeur du chariot.
Les fonctions du chariot sont commandées par une rangée de touches (le commande si tuées directement au-dessus du clavier numé ral (fig. 1 et 3); cette rangée de touches<B>coin-</B> prend une touche 1066 de la 'large Gauche, dit touches<B>1070</B> Sélectrices de Colonnes, une touche<B>1071</B> Tabulatrice pour tabuler la ma- ehine de colonne à colonne, une touche 1072 du Chariot pour l'ouverture et la fermeture de la goulotte d'alimentation frontale du rou leau 309 et une touche 1073 d'Avancement du Papier pour faire tourner le rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur le matériel d'enregistrement supporté par le rouleau.
Les touches 1070 sélectrices de colonnes opèrent grâce à un dispositif indicateur relié au chariot par des taquets 732 de chacun des blocs de commande 722 (fig. 18A, 18B, 81 et 106) et actionné pas à pas par ces taquets chaque fois que le chariot se déplace d'une position de colonne à la suivante. De cette fa çon, le dispositif indicateur tâte la position du chariot et détermine si ce chariot doit se déplacer dans le sens du retour ou dans le sens de tabulation, suivant l'emplacement de la position de colonne correspondant à la tou che sélectrice de colonne abaissée.
Cela. fait fonctionner en effet les dix touches sélectrices de colonnes 1070 soit comme touches tabula trices, soit comme touches de retour du cha riot, de manière à faire déplacer le chariot soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour d'une position de colonne pré- sélectionnée à la position de colonne corres pondant à la touche 1070 abaissée.
Le moteur à marche semi-continue pour le chariot, outre l'entraînement du chariot dans le sens de retour et de tabulation, est directe ment relié et actionne un arbre à cames pour entraîner plusieurs cames qui peuvent, à leur tour, être reliées à cet arbre par leurs dispo sitifs respectifs d'accouplement, lesquels sont eommandés à leur tour par les touches de com mande 1070, 1071, 1072 et<B>1073</B> du chariot en vue d'actionner les différents mécanisme associés air chariot.
Les cames dont on vient de parler actionnent respectivement: le mé- eanisme faisant descendre les pistons d'arrêt chi chariot, le mécanisme pour le renverse ment du mouvement du chariot, le mécanisme pour l'ouverture de la goulotte servant à dé placer le rouleau de la position d'impression à la position correspondant à l'ouverture de la goulotte et vice versa, le mécanisme pour la rotation du rouleau servant à espacer les lignes sur le matériel d'enregistrement et le mécanisme pour le démarrage automatique de la machine.
Le mécanisme pour le démarrage automatique de la machine n'est pas com mandé par les touches de commande du cha riot, mais par les touches de correction 369 (fig. 3) et par les touches de commande 376 à 380 incluse et il peut, en plus, être com mandé par le chariot dans des positions de colonnes prédéterminées de celui-ci. Il faut de même se rappeler que le mécanisme d'espa cement des lignes peut être rendu actif par le chariot dans ses positions de colonnes; beaucoup d'autres commandes effectuées par le chariot seront révélées au cours de la des cription.
On a prévu un mécanisme à l'aide duquel quatre positions de colonnes quelconques du chariot peuvent être sélectionnées par l'inter médiaire des barres de démarrage 170, 171 et 172 (fig. 1 et 3); ces barres peuvent égale ment être utilisées pour commander le méca nisme d'espacement des lignes, le mécanisme de tabulation de colonne à colonne et le mé canisme servant à déplacer le rouleau de la position d'impression à la position d'alimenta tion frontale et vice versa.
Le bâti du chariot 136 comprend (fig.18À, 1813 et 118) des plaques extérieures de droite et de gauche 1074 et 1075 et des plaques inté rieures de droite et de gauche 1076 et 1077 reliées l'une à l'autre à écartement fixe par la plaque de base 730 et par une barre angu laire 1078, laquelle supporte des galets supé rieurs et inférieurs 1079 et 10S0 coopérant res pectivement avec la surface supérieure de la came 137 et avec la surface inférieure d'une flasque de cette barre pour supporter l'extré mité antérieure du chariot 136 dans ses mou vements.
A la surface inférieure de la plaque 730 (fi-. 18B et 118) est fiée une barre angulaire 1081 qui supporte une série<B>(le</B> ga lets supérieurs et inférieurs 108\_' et 1083; les dits galets supérieurs 1082 ont des rainures annulaires en forme de<B>Y</B> qui coopèrent avec les surfaces supérieures arrondies de la barre 138 pour supporter le chariot dans son mou vement latéral et pour empêcher en même temps les mouvements de côté du chariot lors de ce déplacement. Les galets<B>1083</B> coopèrent avec la surface inférieure d'une flasque de la barre 138 et, en coopération avec les galets 1080, empêchent le déplacement du chariot 136 vers le haut.
Le bord postérieur de la plaque inférieure 730 (fig. 18B, 99 et 118) est pourvu de dents qui engrènent avec une roue dentée<B>1085</B> fixée sur l'extrémité supérieure d'un arbre 1086 monté verticalement à rotation dans un châs sis 1087 supporté par les châssis extrêmes l39 et 140 (fig. 1) lesquels, comme expliqué pré cédemment, supportent les barres 137 et 138 de guidage du chariot.
L'arbre 1086 (fig. 7? et 75) porte sur son extrémité inférieure un pignon conique 1088 qui engrène avec des pignons coniques semblables de renversement 1089 et 1090, montés fous sur un arbre 1091 tourillonnant dans le châssis<B>1087.</B> Les roues de renversement 1089 et 1090 ont des par ties cylindriques comportant des dents d'ac couplement qui engrènent avec des dents d'ac couplement semblables des organes de renver sement d'accouplement 1092 et 1093, pouvant coulisser sur l'arbre 1091, mais reliés à lui à rotation à l'aide de rainures à clavettes pra tiquées dans ces organes d'accouplement et coopérant avec des clavettes correspondantes fixées aux éléments entraîneurs 1091 et 1095 calés sur cet arbre 1091.
Sur l'extrémité droite de l'arbre 1091 (fi-. 7B et 96B) est fixée une roue conique 1096 qui engrène avec une roue conique correspondante 1097, fixée sur l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 1098 tournant dans le châssis 1087 et relié par un accouplement élastique 1099 à un arbre vertical 1100 d'un mécanisme hydrau lique; cet arbre tourillonne dans un bâti<B>1101</B> d'un dispositif hydraulique, bâti fixé sur le socle 132 de la machine.
L'arbre 1100 a une liaison hydraulique non positive avec un dispositif d'entraînement hydraulique 1102 qui ne sera décrit que briè vement. L'organe hydraulique cylindrique 1102 (fi-. 7B) a sur son ectréinité inférieure un tenon qui tourillonne dans un coussinet d'une pièce en fonte en forme de châssis 1101;
cet organe porte également sur son extrémité inférieure une roue dentée 1103 qui engrène avec une roue 1101 fixée sur l'extrémité infé rieure d'un arbre 1105 monté à rotation verti cale sur la pièce en fonte<B>1101.</B> Sur l'extré mité supérieure de l'arbre 1105 est fixée une roue à vis sans fin 1106 qui engrène avec une vis sans fin conjuguée 1107, fixée sur un arbre court tourillonnant dans la pièce en fonte 1101, en alignement axial avec l'arbre d'armature d'un moteur 1109,
monté sur le socle 132 et relié à cet arbre d'armature par un accouplement élastique<B>1108 qui assure lin</B> entraînement élastique entre ce moteur 1109 et le dispositif hydraulique. L'organe hydrau lique 1102 baigne dans l'huile contenue dans la pièce en fonte 1101, cette dernière servant de réservoir pour remplir constamment dluile ledit organe hydraulique 110?.
Le moteur 1109 (fig. 7B) entraine, ,=race à. l'engrenage et aux liaisons décrits ci-dessus, l'organe hydraulique 1102 dans le sens indi qué par la flèche et, étant donné que cet or gane est relié hydrauliquement à l'arbre 1100, cet arbre est entraîné de façon non positive dans le même sens;
ce mouvement se commu nique par l'accouplement élastique 1099 à l'ar bre 1098 et à la roue conique 1097 qui, à son tour, entraîne la roue 1096 et l'arbre 1091 dans le sens contraire à celui clés aiguilles d'une montre, comme représenté à la fie. 7B, et dans la direction indiquée par les flèches sur les<U>fi-.</U> 75 et 96B.
Les organes d'accouple- ment 109? et 1093 sont entraînés simultané ment avec l'arbre 1091 et, lorscluc l'or < ,aiic d'accouplement 1092 est relié à la roue coni que 10S9, l'arbre 1086 et la roue 10,S5 sont en traînés dans le sens des aiguille, d'une mon tre, comice représenté à la fi;.. 1_', clé inanièrc à déplacer le chariot 136 (fi'. 1, 96A et 96B) vers la direction de tabulation ou clé gauche.
D'un autre cüté, si l'organe d'accouplement 1093 est eti prise avec la roue conique 1090, 1'II1-1)re <B>1086</B> et la roue 1085 sont entraînés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 72, <B>de</B> façon à déplacer le chariot 136 dans la di rection du retour ou de droite, comme repré senté à la fi-. 1.
Les organes d'accouplement 1092 et 1093 (fig. 72 et 75) sont pourvus d'entailles annu laires pouvant recevoir des goujons d'entrai- nement 1111 et 1112 fixés sur des plaques 1113 et 1114 montées élastiquement sur la traverse d'une chape 1115 à l'aide de goujons fixés sur ces plaques et coopérant avec des fentes parallèles correspondantes prévues clans cette traverse, lesdites plaques 1113 et 111-1 étant entraînées l'une vers l'autre par un ressort 1110 qui assure une liaison élasti que entre elles.
La chape 1115 a, sur ses bras dirigés vers le haut, des douilles qui coulissent librement sur l'arbre 1091; la traverse de cette chape porte des bras 111.6 et 1117 diri gés vers le haut et pourvus de fentes paral lèles qui, en coopération avec des ergots vissés dans le châssis 1087, guident cette chape dans son mouvement latéral.
Un ressort 1118 (fig. 72 et 75) entraîne la chape 1115 vers la droite en regardant le dessin, de façon à maintenir un épaulement de l'extrémité droite de cette chape normalement en contact avec la dent d'un linguet 1119 qui retient norma lement cette chape à l'encontre dudit ressort 1118, de façon à maintenir l'organe d'accou plement 1092 en prise avec la roue d'entraîne ment 1089 et à.
entraîner le chariot dans la direction de tabulation. Le linguet 1119 pi vote sur un axe 1120 fixé sur le châssis 1087 et un ressort 1121 entraîne ce lino, et dans le sent contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, comme représenté à la fig. 72, pour main tenir sa dent en prise avec l'épaulement de la chape 1115. Une surface angulaire 1122 du linguet 1119 coopère avec un prolongement replié vers le haut d'une bielle 1123 dont l'ex trémité droite a une fente pour recevoir un goujon fixé sur le châssis 1087 et dont l'extré mité gauche pivote sur un levier 1124 qui pi- vote, lui-même, sur un axe 1125 fixé sur le châssis 1087.
Lorsque le chariot, en se déplaçant dans la direction de tabulation, arrive à la fin de sa course, une saillie de renversement 1127 (fi-. 72 et 99), fixée sur la barre 1081, s'en gage dans une partie entaillée de l'extrémité antérieure du levier 1121 pour déplacer ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 72, à l'encontre d'un ressort de tension 1126 qui sert à main tenir ce levier dans une position équilibrée ou centrale, comme représenté.
Le mouvement du levier 1124 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace la bielle 1123 vers la droite (fig. 72 et 75) en amenant son prolongement, en coopération avec le bec angulaire du linguet 1119,à déplacer ce lin- guet dans le sens des aiguilles d'une montre à l'encontre du ressort 1121 et à dégager la dent de ce linguet de l'épaulement de la chape 1115, de manière à abandonner cette chape à l'action du ressort 1118, lequel déplace la dite chape immédiatement vers la droite, comme représenté.
Le déplacement de la chape 1115 vers la droite (fig. 75) dégage l'organe d'accouple ment 1092 des dents de la roue 1089 et met en prise en même temps les dents de l'organe d'accouplement 1093 avec les dents de la roue 1090 de façon à faire tourner l'arbre 1086 et la roue 1085 (fig. 72) dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et à entraîner le chariot dans le sens de retour.
Lorsque la saillie 1127 passe au-delà de l'extrémité du levier 1124, le corps de cette saillie rencontre une butée fixe 1128 (fig. 18B et 99) de façon à terminer de toute façon le mouvement du chariot au cas où le mécanisme de renversement, expliqué plus haut, n'aurait pas fonctionné assez tôt pour terminer ce mouvement auparavant. Lors du mouvement de retour du chariot, la saillie 1127 (fig. 72) passe à côté de l'extrémité inférieure du levier 1124, grâce à l'action du ressort 1126, lequel; comme il a été expliqué plus haut, maintient ce linguet clans une position neutre repré sentée.
Lorsque le chariot 136 arrive à la fin de sa course en se déplaçant dans le sens de re tour, une saillie 1129 dirigée vers le bas d'une butée de marge gauche (fig. 18B et 72) i.@ient ait contact de l'extrémité inférieure d'un lin- guet 1130 monté librement sur un axe 1131 fixé sur le châssis 1087 et déplace ce linguet dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à l'encontre d'un ressort de ten sion 1132 qui sert à maintenir ce lingiiet dans une position intermédiaire, ou centrale, re présentée ici.
Le mouvement du linguet 1130 dans le sens inverse des aiguilles d'une mon tre amène son prolongement arrière, coopé rant avec un goujon 1133 d'un bras 1134 fixé sur un arbre 1135 supporté verticalement à rotation par le châssis 1087 et une plaque su périetue 1136 (fig. 96A- et 96B) fixée à ce châssis 1087, à déplacer ce bras et cet arbre 1135 dans le sens des aiguilles d'mie montre, comme représenté à la fig. 72.
L'arbre 1135 tourne dans le sens des aiguilles d'une mon tre, comme expliqué plus haut, à l'encontre d'un ressort<B>1137</B> tendu entre la plaque supé rieure 1136 et un bras 1138 fixé sur cet arbre 1135.
Sur l'arbre 1135 (fig. 72 et 73) est fixé également un bras 1139 ayant sur son extré mité une surface à gradins qui coopère avec la patte repliée 1140 d'un bras de déblocage 1141, monté de façon à pouvoir pivoter et se déplacer grâce à un goujon 1142 porté par ce bras et qui s'engage dans une fente prati quée dans le bras inférieur d'une chape 1143 montée librement sur un axe 1144, supporté par le châssis 1037 et par la plaque supé rieure 1136.
Un ressort 1145, tendu entre la chape 1143 et un verrou 1146 de la chape, monté.librement sur l'arbre 11.35, entraîne ce verrou dans le sens des aiguilles d'une mon tre, comme représenté, de façon à maintenir la dent de ce verrou normalement en prise avec une saillie 1147 sur le bras inférieur de la chape 1143 et à empêcher normalement cette chape de se déplacer dans le sens des ai;uilles d'une montre sous l'action dudit res sort 1145.
La patte repliée 11-10 du bras 1141 (fig. 73) passe à travers une fente 1148 en forme de<B>L</B> pratiquée dans le verrou; cette patte est normalement maintenue par le cran extérieur du bras 1139 et retenue en avant dans la partie élargie de cette fente 1148 en forme de L, à l'encontre d'un ressort 1149 tendu entre ce bras et le bras inférieur de la chape 1143, l'action de ce ressort étant sur montée par le ressort 1137.
Le mouvement de l'arbre 1135 et du bras 1139 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 72 et 73) sous l'action de la butée 1129 de la marge gauche permet, comme il a été expliqué plus haut, au bras 1141 de se dépla cer en arrière sous l'action du ressort 1149 jusqu'à ce que la patte repliée 1140 rencontre le bord de la fente 1148 en forme de<B>L,</B> sur quoi le cran extérieur de ce bras 1139 se dé gage de ladite patte 1140 pour permettre au ressort 1149 de déplacer ce bras 1141 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre et à placer la patte 1140 dans la branche droite ou étroite de la fente 1148.
Lorsque la saillie 1129 passe au-delà du linguet 1130, l'arbre 1135 et le bras 1139 sont immédiate ment soumis à l'action du ressort 1137 qui ramène cet arbre et ce bras dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre en amenant le cran antérieur de ce bras 1139 co opérant avec la patte 1140,à déplacer le bras 1141 en<B>.</B> avant à l'encontre du ressort 1149.
Le mouvement du bras 1141 en avant amène la patte 1140 à venir au contact du bord antérieur de la branche étroite de la fente 1148 et à déplacer le verrou 1146 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, à l'encontre du ressort 1145, de manière à dégager la dent dudit verrou de la saillie 11-17 et à abandonner la chape 1143à l'action de ce ressort 1145.
Les bras de la chape 1143 (fig. 72 et 73) portent des goujons 1150 en alignement axial qui s'engagent dans une rainure annulaire d'un organe d'accouplement 1151 pourvu de tenons qui s'engagent dans des entailles d'ac- couplement d'un organe entraincur 115\3 fixé sur un arbre 1153 tourillonnant dans le cli:iis- sis 1087.
De cette façon, l'ornane d'accouple mént 1151 peut tourner simultanément avec l'arbre 1153, niais il peut aussi se déplacer horizontalement sur cet arbre. Sur l'extrémité droite de l'arbre 1153 (fig. 7B) est fixée une roue conique 1154 qui engrène avec une roue conjuguée 1155 montée sur l'extrémité supé rieure d'un arbre vertical 1156 tourillonnant clans le châssis 1087, en alignement axial avec l'arbre 1105 et relié à lui par un accouple ment élastique 1157.
Le train des méca- rismes décrit ci-dessus relie l'arbre 1153 au moteur 1109 à marche continue et cet arbre 1153 est continuellement entraîné par le mo teur dans le sens des aiguilles d'une montre, comme indiqué à la fig. 7B.
Le mouvement de la chape 11-13 (fig. 72, 73 et 74) dans le sens des aiguilles d'une mon tre, après quë le verrou 1146 a été dégagé de la saillie 1147, amène le goujon 1150, coopé rant avec la rainure annulaire de l'organe d'accouplement 1151,à repousser cet organe à gauche, de manière à mettre en prise ses dents d'accouplement avec les dents corres pondantes d'un tambour 1160, solidaire d'une came de remise en position 1161 et d'une came hélicoïdale 1162, tous ces organes étant montés librement sur l'arbre 1153.
Ce mou vement amène le tambour 1160, la came 1161 et la came hélicoïdale 1162, à tourner simul tanément avec l'arbre 1153, sur quoi la came hélicoïdale déplace, en coopération avec un goujon 1159 fixé sur la plaque 1117 (fi-. 72 et 75), ladite plaque et la chape 1115 vers la gauche, de manière à débrayer les dents de l'organe d'accouplement 1093 de la roue 1090 et à embrayer en même temps les dents de l'organe d'accouplement 1092 avec les dents de la roue 1089 pour renverser le sens de mouvement du chariot et déplacer ainsi le chariot dans le sens de tabulation. Après que la chape 1115 a été ramenée dans sa po sition de gauche, le linguet 1119 (fia.
72 et 75) entre en action pour bloquer cette chape dans sa position de gauche.
Les pièces 1160, 1161 et 1162 (fia. 72 et 74) sont retenues normalement dans la posi tion de repos à l'aide d'une encoche dans la came 1161 en coopération avec un galet 1163 fixé sur un bras 1164 monté librement sur une tige 1165 qui est supportée par les châs sis 1087 et entraînée par un ressort 1166 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir un prolonge ment postérieur de ce bras en contact avec une surface usinée du châssis 1087.
Lorsque l'organe d'accouplement 1151 est en prise avec les dents du tambour 1160, comme il a été expliqué plus haut, la rotation de ce tam bour et des pièces annexes dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 74, éloigne l'encoche pratiquée à<B>là</B> péri phérie de la came 1161 du galet 1163, de ma nière à déplacer le bras 1164 dans le sens des aiguilles d'une montre et à tendre le ressort 1166.
Quand les pièces, y compris les cames 1161 et 1162, ont presque accompli un tour, l'encoche angulaire pratiquée à la périphérie de la came 1161, en coopération avec le ga let 1163 et sous l'action du bras 1164 soumis à la tension du ressort, accélère le mouvement final de ces pièces, de manière à les faire tourner plus vite que l'arbre 1153, sur quoi les surfaces angulaires des bords postérieurs des dents du tambour 1160, en coopération avec les surfaces similaires de l'organe d'ac couplement 1151, déplacent ce dernier vers la droite, comme représenté à la fig. 72.
Le mouvement expliqué plus haut de la chape 11-.13 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 72 et 73), lorsque le verrou 1146 est dégagé de la saillie 1147 de cette chape, amène une patte 1167 dirigée vers le bas de la chape à venir au contact du bras 1141 et à l'entraîner simultanément dans le sens des aiguilles d'une montre, de faon à retirer sa patte repliée 1140 de la branche étroite de la fente 1148 en forme de L et à la placer dans la partie large de cette fente,
de ma nière à permettre au ressort 1145 de ramener la dent du verrou 1146 sur le trajet de la saillie 1147 et à permettre au cran extérieur du bras 1139 de venir à nouveau au contact de ladite patte 1140 pour retenir le bras 1141 dans la position normale, comme représenté aux fig. 72 et 73.
Comme l'organe d'accouple ment 1151 (fig. 72) est déplacé vers la droite par le mouvement accéléré du tambour 1160 sous l'action du bras 1161 et du ressort 1166 (fig. 74), cet organe d'accouplement 1151 en traîne la chape 1113 simultanément avec liai. dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une. montre pour amener la saillie 1117 (fi-. 73) à passer à côté de la dent du verrou 1146, sur quoi ce verrou se pose sur cette saillie pour retenir ladite chape et l'organe d'accouplement en position débrayée, connue indiqué sur la fig. 72.
Le galet 1163 (fig. 72 et 74), en coopération avec l'encoche de la came 1161, retient cette came, le tambour 1160 et la came hélicoïdale 1162 dans les po sitions représentées. Lorsque la butée 1l?9 de la marge gau che (fig. 18B et 72) se déplace au-delà du lin- guet 1130, cette butée coopère avec la butée fixe 1128 exactement de la façon qui a été expliquée pour la butée 1127 de la mare droite, de façon à empêcher un mouvement excessif de retour du chariot,
dans le cas où le mécanisme de renversement ne fonctionne- rait pas assez vite pour arrêter ce mouvement au préalable. Gr ace à l'action du ressort 113.'3 (fig. 72), la saillie 11 _9 de la butée de la marge gauche passe à côté de l'extrémité infé rieure du linguet 1130 durant le mouvement de tabulation du chariot, lorsque cette saillie se trouve au-delà dudit linguet, ainsi qu'il a été expliqué plus haut.
Il est entendu que le linguet 1130 de la marge gauche (fia. 7'') entre en action lors que le chariot a été ramené au-delà de la zone des touches 1070 sélectrices de colonnes (fi-. 3) ou lorsque la touche 1066 de la marge gauche a été abaissée et maintenue abaissée pour retenir les pistons d'arrêt hors du tra jet des butées de colonnes. De même,
le lin guet 1124 de la marge droite entre en action lorsque le chariot a été tabuïé au-delà de la commande des touches<B>1070</B> sélectrices de co lonnes ou lorsque la touche tabulatrice 1071 a été abaissée et maintenue abaissée pour re tenir les pistons d'arrêt hors du trajet des butées de colonnes et provoquer le déplace ment du chariot à la position extrême de fa bulation. llfécaizisme <I>d'arrêt dit</I> tabulateur.
En se reportant aulx fig. 80, 81, 96 et 18B, on voit que l'on trouve un des blocs de com mande 722, pour chaque position correspon dant à une colonne du chariot; chacun de ces blocs possède un taquet d'arrêt 733 dirigé vers le bas et coopérant avec deux jeux de pistons d'arrêt 1170 et 117l., 1179- et 1173 montés à glissement vertical dans les fentes pratiquées dans des plaques plates 1174; ces plaques sont montées sur deux goujons 1175 fixés sur une plaque 1176 qui porte trois gou jons d'écartement 1177, fixés par des vis à la barre postérieure 138 de guidage du chariot.
En se référant à la fig. 98, on voit que les bords extérieurs des pistons d'arrêt 1170 à 1173 inclus sont coniques, de façon à permettre aux bords arrondis des taquets d'arrêt 733 de passer par-dessus ces pistons lorsque le cha riot se déplace soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour.
Le jeu antérieur des pistons d'arrêt 1170 et 117l possède à ses extrémités inférieures des encoches dans les quelles sont engagés respectivement les doigts des extrémités gauche de leviers<B>1178</B> et<B>1179;</B> le jeu postérieur des pistons 117 et 1173 (fig. 80 et 98) a des encoches analogues dans lesquelles s'engagent les doigts de leviers ana logues 1180 et 1181, tous ces leviers pivotant sur le goujon central<B>1177.</B> Des ressorts 1182 (fig. 98), tendus entre des crochets des le viers 1178 à 1181 inclus et les doigts d'un prolongement vers le bas de la plaque 1176,
entraînent lesdits leviers dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir nor malement les pistons qui leur sont associés dans leurs positions du haut et pour mainte nir normalement les extrémités de droite de ces leviers 1178 et 1179 en contact avec le bord supérieur d'une barre 11S3 de com mande de tabulation. De même, les ressorts 1182 (fig. 80 et 98) pour les leviers<B>1180</B> et 1181 maintiennent les extrémités de droite de ces leviers en contact avec la surface su périeure d'une barre 1184 de commande de tabulation.
Sur la barre 1183 (fig. 85) est montée à glissement une coulisse 1185, pourvue <B>d'une</B> fente sur l'extrémité du haut, par laquelle passent les extrémités de droite des leviers 1178 et 1179. Sur la barre 1184 (fig. 51, 77 et 80) est montée à glissement une coulisse 1186, pourvue sur l'extrémité supérieure d'une fente par laquelle passent les extrémités de droite des leviers 1180 et 1181.
La coulisse 1185 (fi-. 85) glisse sur la barre 1183 à l'aide de fentes parallèles en coopération avec des goujons 1187 et 1188 fixés sur cette barre; la coulisse possède une fente qui em brasse un goujon 1189, lequel, conjointement avec un goujon associé 1190, s'engage dans des fentes parallèles de la barre 1183, pour supporter cette dernière dans son mouvement vertical. Les goujons 1189 et 1190 (fig. 7B) sont montés entre une plaque 1191 et le châs sis droit 130, cette plaque 1191 étant fixée sur ce châssis au moyen de goujons reliant lesdits éléments et au moyen des prolonge ments dirigés vers le haut du socle 132 sur lequel cette plaque 1191 est fixée.
Les gou jons 1189 et 1190 (fig. 77) supportent égale ment la barre 1184 de commande de tabula- tion dans son mouvement vertical, exactement de la manière dont ils supportent la barre 1183.
Les barres 1183 et 1184 (fig. 79, 85 et <B>125)</B> ont respectivement des prolongements postérieurs 1192 et 1193 qui coopèrent avec un goujon 1194 d'un bras 1195 monté sur le goujon 1189. Le bras 1195 possède tune sur face usinée qui coopère avec un goujon 1196 d'un bras 1197 fixé sur un arbre 1198 '(fig. 96A et 96B) tourillonnant dans le châs sis 1087.
Sur l'extrémité gauche de l'arbre 1198 est fixé un levier 1199 à came (fig. 85), portant des galets 1201 et 1202 qui coopè rent respectivement avec les périphéries de cames, associées 1203 et 1204, montées folles sur l'arbre 1153 et solidaires d'un tambour 1205 (fig. 86) pourvu de dents d'accouple ment qui coopèrent avec les dents d'accouple ment correspondantes d'in organe d'accouple ment 1206, monté à glissement sur l'arlore 1153, mais tournant simultanément avec lui.
L'organe d'accouplement 1206 est actionné par une chape déplaçable 1207 et ce méca- nisme d'accouplement servant â soulever les pistons d'arrêt du tabulateur est analogue sous tous les rapports et fonctionne exacte ment de la même faon que le mécanisme d'accouplement représenté sur la fig. 72 et servant à remettre en position la chape de renversement 1115. Il y a cependant une lé gère différence dans la manière dont ces deux mécanismes sont embrayés et débrayés et cette différence sera expliquée en se rapportant aux fig. 86 et 96A.
La chape 1207 servant à. actionner l'or 'gane d'accouplement 1206 est supportée à rotation par un axe vertical 1200 qui est, à son tour, supporté par le châssis 1087 et la plaque su périeure 1136. L'un des bras de la chape 1207 a une saillie antérieure 1208 qui vient au con tact de la dent d'un verrou 1209 monté libre ment sur un arbre 1210 tourillonnant dans le châssis 1087 et dans la plaque supérieure 1136. Un ressort 1211, tendu entre l'un des bras de la chape 1207 et le verrou 1209, en traîne ces pièces dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir norma lement le verrou en prise avec la saillie 1208.
Le verrou 1209 possède une fente 1212, en forme de L au travers de laquelle passe une saillie 1213, dirigée vers le haut, d'un bras 1214 de dégagement du verrou, bras qui est monté sur l'un des bras de la chape 1207, de façon à _ pouvoir pivoter et à se déplacer à l'aide d'un goujon de ce bras qui s'engage dans une fente pratiquée dans ledit bras de ladite chape. Un ressort 1215, tendu entre le bras 1214 et l'un des bras de la chape 1207, entraîne ce bras 1214 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et il en traîne en même temps ce bras en arrière, de manière à maintenir normalement ledit bras comme il est indiqué sur la fi-. 86.
La sail lie 1213 (fig. 86, 96A et 96B) du bras 1214 coopère avec un linguet 1216 de dégagement du verrou, fixé sur l'arbre 1210. Sur l'extré mité supérieure de l'arbre 1210 est fixé éga lement un bras 1217 relié par une articula tion 1218 (fig. 96A) à un bras 1219 fixé sur un arbre 1220 tourillonnant dans le châssis 1087. Un ressort 1221, tendu entre le bras 1217 et la plaque 11à6, entraîne ce bras, cet arbre 1210 et le lina et 1216 dans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à mainte nir normalement ces pièces en position nor male, comme indiqué sur le dessin.
Lorsque l'arbre 1220 est actionné de la manière qui va être maintenant décrite, l'ar bre 1210 (fig. 86 et 96A) et le linguet 1216 se déplacent dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à l'encontre du ressort 1221, en amenant ce linguet, en eo- opération avec la saillie 1213, à déplacer le bras 121-1 vers l'avant à l'encontre du ressort 1215 et, étant donné que la saillie repliée vers le haut 1\313 se trouve dans la partie étroite de la fente 1\_'12 en forme de L,
le verrou 1209 se déplace avec elle dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à dégager la dent dudit verrou de la saillie 1208 de la chape<B>1207.</B> Cela a pour effet d'abandonner la chape<B>1207</B> à l'action du ressort 1211 qui déplace immédiatement cette chape dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à mettre en prise les dents de l'organe d'accouplement 1206 avec les dents correspondantes du tambour 1205 et à faire tourner ce tambour et les cames 1203 et 1201 d'un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 85.
Du fait de la rotation des cames 1203 et 1201, le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras <B>1197</B> se déplacent d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre puis font retour à la position normale, mouvement qui, grâce au g <B>0</B> Ujon 1196 (fig. 79), déplace le bras 1195 d'abord dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, en amenant le gou jon 1191,
coopérant avec les proionbements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1181,à dépla cer ces barres vers le haut. Le mouvement des barres 1183 et 1181 vers le haut abaisse, grâce aux leviers correspondants 1178 à 1181 inclus (fia. 80 et 98), les pistons d'arrêt 1170 à 1173 inclus hors de prise avec le taquet 733 du bloc 722, de façon à permettre au chariot (le se déplacer soit clans le sens de tabulation, soit dans le sens (le retour.
Le mouvement de la chape 1207 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 86), expliqué ci-dessus et engageant le mécanisme d'accouplement lorsque le verrou 1209 est li béré, amène une saillie vers le bas 12\32 du bras inférieur de ladite chape, à venir au contact du bras 1211 et à le déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre à l'encontre du ressort 1215, de manière à dégager la sail lie 1213 de la branche étroite de la fente 1212 et à l'introduire dans la branche élar gie de cette fente,
de façon à permettre au ressort 1211 de ramener immédiatement ce verrou 1209 dans le sens des aiguilles d'une montre vers une position où sa dent se trouve sur le trajet de la saillie 1208. Lorsque les cames 1203 et 1201 et le tambour 1\Z05 (fig. 85 et 86) approchent de la fin de leur révolution dans le sens des aiguilles d'une montre, une saillie-came 1223 à la périphérie de ce tam.- bour vient au contact d'un goujon aplati 122-1 fixé sur le bras supérieur de la chape 1207 et déplace cette chape dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à l'encontre du ressort 1211,
de manière à amener la sail lie 1208 à passer à côté de la dent du ver rou 1\_'09, sur quoi ledit verrou entre en action pour retenir cette chape et l'orap ne d'accouplement 1206 (fig. 96A) en position débrayée.
Les cames 1203 et 120-1 et le tambour 1205 sont aidés à regagner leur position de reps et à y être retenus par une encoche prati quée dans un disque de repérage 1225 (fig. 96A), solidaire de ces cames et de ce tambour, en coopération avec un galet fixe> sur un levier de repérage 1226 et entraîné par un ressort; ce levier est analogue au le vier 1161 représenté à la fig. 71 et expli- clué ci-dessus et fonctionne exactement comme lui.
Le levier de repérage 1226 (fiâ. 86 et 96A) situe le tambour 1205 de telle sorte que sa saillie-came 1223 se trouve au-delà de la surface plate du goujon 122-1, (le manière à ne pas gêner le mouvement d'embrayage de la chape 1207 dans le sens des aiguilles d'une montre lorsque le verrou 1209 est à nouveau débrayé de la manière expliquée plus haut.
Après que le chariot s'est déplacé vers une position correspondant à une colonne sé lectionnée, le linguet 1216 et l'arbre 1210 sont ramenés dans le sens des aiguilles d'une mon tre vers la position normale, d'une manière qui v a être décrite maintenant, en permettant ainsi au ressort 1215 de ramener le bras 1214 vers l'arrière et dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et à introduire la saillie 1213 de ce bras dans la branche étroite de la fente 1212, de telle sorte que l'opération ci-dessus expliquée de cet arbre 1210 et de ce linguet . 1216 débloque à nouveau le verrou 1209 pour dégager les pistons d'arrêt.
Sur la barre 1184 de tabulation (fig. 51, 7 7 et 85) pivote un linguet 12\39 présentant une surface angulaire 1230 normalement maintenue en contact avec la tige 1189 par un ressort 1231 qui entraîne ce linguet dans le sens des aiguilles d'une montre.
Un prolongement di rigé vers le bas du linguet 1229 est disposé pour coopérer avec un goujon carré 1232 fixé sur l'extrémité antérieure d'un bras 1233 monté librement sur la tige 1189 et entraîné dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre par un ressort 1234, de façon à.
maintenir normalement im prolongement vers le bas 1235 de ce bras en contact avec le bord supérieur d'tm prolongement hori zontal ,d'un bras 1236 de commande de tabu- lation. Un autre prolongement 1237 (fig. 77) chi bras 1233 est disposé pour coopérer avec le bord supérieur arrondi de la traverse d'une chape<B>1238,</B> laquelle, conjointement avec un bras 1239 de commande du retour, qui est un bras droit conjugué du bras 1236, coopère avec les barres 1183 et 1184, d'une manière qui sera décrite ultérieurement, pour com mander les mouvements de tabulation et de retour du chariot.
Sur les bras conjugués 1236 et 1239 (fig. 80, 81, 83, 84 et 88) sont filés des moyeux correspondants, montés libre ment sur une tige 1240 entre une plaque 1241, d'une part, fixée à son tour au châssis droit 134 des totalisateurs et au socle de la machine et à une console 12-12, d'autre part, fixée à son tour sur la plaque 1191 (fig. 7B). Les moyeux pour les bras 1236 et 1239 (fig. 80, 81 et 83) s'adaptent. entre les bras parallèles de la chape 1238, bras qui, à leur tour, pivotent sur la tige 1240.
Une vis d'ajustage 1243, qui s'étend entre les bras parallèles de la chape 1238, passe librement dans le bras droit et est filetée dans le bras gauche, de faon à former une trin gle entre lesdits bras parallèles et à procurer un dispositif servant à régler ces bras latéra lement, de telle sorte que les moyeux pour les bras 1236 et 1239 soient ajustés entre les bras de la chape, de façon à former un châssis 1248 de trois éléments 1236, 1238 et 1239, châssis qui peut se déplacer latéralement sur la tige 1240.
Un écrou de blocage coopère avec la partie filetée de la vis 1243 qui passe à travers le bras droit de la chape 1238, de façon à fixer cette vis dans sa position de réglage.
Sur les surfaces intérieures des bras pa rallèles de la chape 1238 sont fixés des gou jons 1244 et 1245 (fig. 80, 81 et 83) qui s'engagent dans des fentes des bras de droite et de gauche semblables fixés sur les extré mités opposées d'un manchon 1246 et espacés par lui de telle sorte qu'ils s'ajustent entre les surfaces intérieures desdits bras parallèles de ladite chape 1238. Le manchon 1246 est monté librement sur une tige 1247 supportée par la plaque 12-11 et la console 1242 et for mant avec cette chape 1238 et les bras 1236 et 1239 un châssis mobile qui peut être disposé latéralement sous l'action du chariot lorsque celui-ci se déplace vers ses diverses positions de colonnes, ainsi qu'il va être expliqué main tenant.
Des dents annulaires 1249 sont entaillées dans le manchon 1246 (fig. 80 et 81) et co opèrent avec les dents d'un segment 1250 calé sur l'une des extrémités d'un arbre court 1251 tourillonnant dans un coussinet 1252 fixé dans la plaque 1176. Sur l'autre extré mité de l'arbre 1251 est calé un autre segment d'engrenage 1253 qui engrène avec des dents de crémaillère entaillées dans le bord infé rieur d'une barre 1254 supportée pour mou vement horizontal par des fentes parallèles 1255 et 1256, coopérant avec des goujons cor- respondants fixés sur la plaque 1176.
L'extré mité gauche de la barre 1254 (fig. 80 et 81) porte des dents de crémaillère qui engrènent avec un pignon<B>1257,</B> solidaire d'une roue d'index 1258 fixée sur un tronçon d'arbre 1259 dont les extrémités opposées tourillon- nent dans la plaque 1176 et dans la plaque laminée antérieure 117-1 en vue de supporter les pistons d'arrêt de fabulation. En consi dérant la fi. 80, on voit que le pignon 1257, la roue 12?8 et l'arbre 1259 sont situés au milieu de l'espace entre les pistons d'arrêt de droite et de gauche 1170 à 1173 inclus, espace prévu pour les taquets d'arrêt 733 (fia.
81) des blocs de commande 722, de fa çon à situer le chariot dans ses diverses posi tions de colonnes.
Les dents de la roue 1258 sont disposées de façon telle qu'elles puissent venir au con tact d'in goujon aplati 732 de chacun des blocs de commande<B>722</B> et que, lorsque le cha riot se déplace d'une position de colonne à la suivante, le goujon sortant 732 fasse pivo ter la roue 1258 de la moitié de l'entre-dent et que le goujon entrant 732 achève ce mouve ment d'ajustage en faisant pivoter cette roue de l'autre moitié de l'entre-dent; on com prendra mieux ceci en comparant les fia. 81 et 82.
Lorsque le chariot est placé dans une position de colonne par le taquet 733 en co opération avec les pistons d'arrêt 1170 à<B>1173,</B> le goujon correspondant 732 est en prise avec les dents de la roue 1258, comme indiqué à la fig. 82, pour placer et retenir en position re tirée cette roue et les pièces qui lui sont re liées.
Une barre retenue 1260 (fig. 81 et 82), montée à glissement sur la face intérieure de la plaque<B>1176,</B> est entraînée vers la gauche par un ressort 1?61. de façon à maintenir une partie dentée de cette barre en prise flexible avec les dents de la roue 1258 et à retenir en position convenable cette roue et les pièces qui lui sont. reliées lorsque le cha riot se déplace d'une position de colonne à une autre et que les goujons 732 sont hors de prise avec les dents de ladite roue, comme on le voit à la fia. 81.
Lorsque le chariot se déplace d'une position de colonne à la pro- chaine soit dans le sens de la tabulation, soit dans le sens du retour, les goujons 732, en coopération avec les dents de la roue 1258 (fig. 81 et 82), déplacent l'ensemble 1248 comprenant les bras 1236 et 1239 de com mande de tabulation et de retour et la chape 1238 d'un pas pour chaque position de co lonne par laquelle passe le chariot et le dé placent dans le sens de déplacement du cha riot, de sorte que ledit ensemble 1248 est toujours ajusté en rapport avec la position de colonne du chariot.
Dans la machine représentée, la capacité maximum du chariot est de dix positions de colonnes. Toutefois, l'augmentation de la capa cité du chariot quant au nombre de colonnes n'est qu'une question d'habileté mécanique ne sortant pas du cadre de cette invention.
Les bras de droite et<B>de</B> gauche de la chape 1238 (fi-. 84) vers l'arrière de la ma chine passent par des ouvertures 1262 et 1263 pratiquées dans les parties repliées des bras l236 et 1239 et le bras 1239 porte un goujon 126-1 (fi-. 83, 85) qui passe par une fente 1265 du bras 1236 (fi-. 81). L'ouverture 1263 permet le mouvement de la chape 1238, alors que le bras 1239 reste immobile. 'Mais l'ouver ture 1262 est aménagée pour entrer en con tact avec le bord supérieur du bras droit da la chape 1238, lorsque cette dernière est sou levée à la position active, comme on va l'ex pliquer.
En conséquence, la chape 1238, qui est toujours déplacée vers le haut lorsque le chariot passe d'une position de colonne à une autre, entraîne toujours le bras 1236 avec lui vers le haut. Lorsque le bras 1236 de tabu- lation se déplace vers le haut, sa fente 1265 (fi-. 88) donne du jeu au ;oujon 1264 et, par conséquent, le bras 1239@de retour reste immobile.
Mais, lorsque le bras 1239 se dé place vers le<B>haut,</B> son goujon 1261, en coopé ration avec le bord supérieur de la fente <B>1265,</B> comme expliqué ci-après, soulève avec lui le bras 1236 de tabulation. Le but de ces liaisons entre les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 ressortira du cours de l'exposé.
En se reportant aux fig. 84 et 85, on voit que les bords inférieurs du bras l239 et de la traverse de la chape 1238 coopèrent avec un levier 1266 de soulèvement pour la Marge Gauche et que les bords inférieurs du bras 1236 et de la traverse de la chape 1238 co opèrent avec les leviers 1267 sélecteurs de colonnes reliés aux touches correspondantes 1070 sélectrices de colonnes (fig. 3 et 90) et montés à oscillation solidairement avec le le vier 1266 de la Marge Gauche, sur un goujon 1268 qui s'étend entre la plaque 1191 (f ig. 7B) et le châssis de droite 130.
Le levier 1266 porte sur son extrémité inférieure un goujon 1269 (fig. 85) qui s'engage dans une fente verticale dans l'extrémité postérieure d'une articulation<B>1270</B> dont l'extrémité anté rieure pivote sur un bras 1271 monté libre ment sur une tige 1272 qui s'étend entre la plaque 1191 et le châssis droit 130. Une arti culation<B>1273</B> relie le bras oscillant 1'271 <B>à</B> un levier 1274 monté sur une tige 1275 qui est également supportée par la plaque 1191 et le châssis de droite 130.
Un fil métallique 1276 relie le levier 1274 à l'extrémité droite du le vier 1066 de la touche de Marge (rauche, et ce levier 1066 pivote sur un axe 1277 porté par une plaque 1278 (fig. 7A) qui est fixée entre le châssis de droite 130 et le châssis de gauche 131. Un ressort<B>1279</B> (fig. 85) en traîne le bras 1271 et les leviers 1266 et 1274 dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre, afin de maintenir ces pièces dans leurs positions normales, ou de repos, indiquées sur le dessin.
Les leviers 1267 (fig. 88 et 99) sont reliés à leurs touches respectives 1070 sélectrices de colonnes par des éléments similaires à ceux représentés sur la fi-. 85 pour la touche 1066 de lIarge Gauche et les éléments de liaison entre le levier correspondant 1267 et la tou che de Dépôts 1070 sont représentés sur la fig. 90.
Le levier 1267 pour la touche de Dé pôts 1070 porte sur son extrémité inférieure un goujon qui s'engage dans une fente verti cale d'une articulation 1280 dont l'extrémité antérieure pivote sur un bras 1281 monté li brement sur la tige 1272. Un goujon du bras 1281 s'engage dans une fente prévue dans l'extrémité inférieure d'une articulation 1282 dont l'extrémité supérieure pivote sur un le vier 1283 monté librement sur la tige 1275.
Le levier 1283 est relié par un fil métallique 1284 sur l'extrémité droite de la partie de le vier de la touche des Dépôts<B>1070</B> montée librement sur l'axe 1277. Une série de barres d'arrêt 1\2'8ô (fig. 90) coopère avec les extré- mités postérieures des leviers 1283 en vue d'empêeher le mouvement de plus d'un de ces leviers à la fois dans le sens des aiguilles d'une montre et pour interdire ainsi l'abâisse- ment de plus d'une touche<B>1070</B> sélectrices de colonnes à la fois.
Un ressort 1286 entraîne le bras 1281, les leviers 1267 et 1283 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, afin de maintenir normalement ces pièces dans leurs positions normales indiquées sur le des sin. La fente dans l'extrémité postérieure de l'articulation 1280 (fig. 90) permet à cette articulation d'être facilement reliée ou déta chée du goujon de l'extrémité inférieure du bras 1267 et la boucle dans l'extrémité infé rieure du fil 1284 permet à ce fil d'être faci lement détaché ou relié au goujon du levier 1283 pour faciliter l'assemblage et le démon tage de ces pièces.
L'abaissement de la touche de Dépôts 1070 (fig. 3, 77, 88 et 90) déplace le levier 1283 dans le sens des aiguilles d'une montre et ce mouvement se transmet, par l'articula tion 1282, le bras 1281 et l'articulation 1280, au levier 1267 pour déplacer ce levier égale ment dans le sens des aiguilles d'une montre. Le mouvement du levier<B>1267</B> dans le sens indiqué amène une came 1287 de l'extrémité supérieure de ce levier, en coopération avec les extrémités inférieures en forme de dents 1288 et 12S9 respectivement de la partie re pliée du bras 1236 et de la traverse de la chape 123S, à déplacer ce bras et cette chape dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Lorsque la came 12S7 passe au-delà du bord inférieur du bras 1236, ce bord tombe derrière un épaulement du bord supérieur dudit levier<B>1267,</B> de manière à bloquer ce le vier et les pièces annexes, 3- compris la touche des Dépôts<B>1070,</B> dans leurs positions de ma- neeuvre. Le mouvement du bras 1236 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre amène le bord supérieur de sa partie repliée, en coopération avec le prolongement 1235 du bras 1233, à déplacer ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort 1231.
Le mouvement du bras 1233 dans le sens des aiguilles (fig. 88) amène son goujon carré 1232, en coopération av ec le pro longement avant du bras 1290, à entraîner ce bras avec lui dans le même sens.
Sur le bras 1290 pivote l'extrémité supé rieure d'une barre 1291 portant un goujon aplati 1292 qui s'engage dans une fente pra tiquée dans l'extrémité supérieure d'un bras 1293 monté librement sur la tige 1268 et relié par une tige 1291 à un bras associé 1295 (fig. 85) également monté librement sur la tige 1268.
Un ressort 1300, tendu entre le bras 1290 et la barre 1291, entraîne ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement son extrémité antérieure en contact avec le goujon 1232 et entraîne le bras 1293 également. dans le même sens pour maintenir normalement la tige 1\'9.1 en contact. avec les leviers 1267 des touches sélectrices de colonnes et avec le levier 1266 de la touche de -Marge Gauche.
Le mouvement expliqué ci-dessus des bras 1233 et 1290 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 77 et 88) sous l'action du bras 1236 fait descendre le goujon 1292 sur le trajet d'un prolongement vers le haut 1296 d'un bras<B>1297</B> monté librement sur la tige <B>1268</B> et relié par une articulation 1298 à un bras 1299 fixé sur l'arbre 1220. Ce mouve ment du goujon 1292 sur le trajet du prolon gement vers le haut 1296 se produit avant. que la tige 1294 (fig. 88) ait subi un mouve ment appréciable par le mouvement du levier <B>1267</B> dans le sens des aiguilles d'une montre.
Mgis le mouvement ultérieur de ce levier<B>1267</B> dans le sens indiqué, après que le goujon 1292 a été placé sur le trajet du prolonge ment 1296, déplace le bras<B>1297</B> dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui déplace, par l'articulation 1298, le bras 1\_'99 et l'arbre 1220 simultanément avec lui dans le même sens.
La rotation de l'arbre 1=20 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace, par l'ar ticulation 1218 (fig. 96A), le bras 1217 et l'ar bre 1210 dans le sens contraire des aiguilles, comme représenté au dessin à la fig. 86, de manière à amener le lin;uet 1216, en coopéra tion avec le prolongement replié 1213 du bras 1214, à dégager le verrou 1209 de la saillie 1208 de la chape 1207 et à faire entrer en action le mécanisme d'accouplement pour les cames 1203 et 1201 (fig. 85).
La rotation des cames 1203 et 1201 (fig. 79 et 85) déplace le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras 1197 d'abord dans le sens des aiguilles d'une mon tre en amenant le goujon 1196 à déplacer le bras 1195 dans le sens contraire des aiguilles. Le mouvement du bras 1195 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre amène le goujon 119-1, en coopération avec les prolon gements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1181, a.
déplacer ces barres vers le haut de la ma nière expliquée ci-dessus. Le mouvement de la barre 1181 vers le haut (fig. 77) retire la surface angulaire 1230 prévue sur le linguet 1229 du goujon 1189 pour permettre au pro longement vers le bas de ce linguet de se po ser sur le goujon carré 1232 lorsque la barre 1184 atteint la fin de son mouvement vers le haut, de manière à bloquer cette barre dans sa position haute.
Le mouvement de la barre 1183 vers le liant (fig. 125) retire une surface angulaire 1303 formée dans une ouverture clans un lin- guet 1301,<B>qui</B> pivote sur cette barre, du gou jon 1189, de façon à abandonner ce linguet à l'action d'un ressort de tension 1305 servant à entraîner ce linguet dans le sens des aiguilles d'une montre. Lorsque cette barre 1183 atteint la fin de sa course vers le haut, une surface 1306 du linguet 1301 se place sur le bord supérieur de la traverse de la chape 1238 pour verrouiller cette barre 1183 dans sa position haute.
Le mouvement des barres 1183 et 118-I (fi-. 80 et 98) vers le haut, expliqué précé demment, amène les pistons d'arrêt correspon dants 1170, 1171, 1172 et 1173 à descendre et à se dégager des taquets d'arrêt 733 pour per mettre le mouvement du chariot sous l'action du mécanisme hydraulique d'entraînement.
On se rappelle, en se reportant aux fi-.<B>88</B> et 90, que la traverse de la chape 1''38 se dé place vers le haut du fait du mouvement (lu levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une montre et que le bras 1236 se déplace en même temps vers le haut et est retenu dans cette position lorsque le bord inférieur 1288 dudit bras<B>1236</B> tombe derrière l'épaulement de la came 1287, de manière à retenir ce le vier<B>1267</B> dans sa position atteinte en tour nant dans le sens des aiguilles d'une montre, ou position de inanceuvre.
Lorsque les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 sont ajustés latéralement, connue indiqué sur la fig. 81 par le chariot quand il se dé place vers sa position extrême de tabulation, position qui correspond à la colonne Pick- <B>up </B> de la pièce comptable représentée sur la fig. 117, une ouverture 1307 formée par les bords intérieurs des bras 1236 et 1239 et par une encoche 1308 dans le bord inférieur de la chape 1238 coïncide avec l'extrémité supé rieure -du levier<B>1267</B> pour la touche<B>1070</B> Pick-up et, lorsque le chariot se trouve dans cette position, l'abaissement de la touche Pick-up ne provoque pas de soulèvement des bras 1.236 et 1239 et de la chape 1238,
et le chariot restera. par conséquent immobile.
Normalement, le mécanisme d'entraîne ment du chariot (fig. 72 et 75) agit de ma nière à entraîner le chariot dans le sens de tabulation et, lorsque ce chariot se trouve dans la position de la colonne Pick-up et les pièces 1236, 1238 et 1239 dans les posi tions indiquées sur la fig. 84, la libération des pistons d'arrêt par l'abaissement de la tou che des Dépôts 1070, comme expliqué ci-des sus, déplacera le chariot dans le sens de tabu- lation, ou à droite, comme représenté au des sin.
Lorsque l'encoche 1308 dans le bord infé rieur de la chape 1238 passe au-delà de l'ex trémité supérieure du levier 1267 pour la tou che des Dépôts, cette chape tombe en permet tant à la barre 1183 (fi-. 125) de se dépla cer simultanément avec elle vers le bas et en permettant ainsi aux pistons d'arrêt 1170 et 1171 (fig. 80 et 81) de se déplacer vers le haut sur le chemin des taquets d'arrêt 733 du bloc de commande 722 situé dans la position de la colonne des Dépôts du chariot;
immédia tement après, le bord intérieur de l'extré- mité inférieure du bras 1236 passe au-delà du levier 1 _67 et ce bras et la barre 1181 (fig. 77) descendent simultanément pour ramener les pistons d'arrêt 1172 et 1173 sur le trajet de ee taquet 733 pour la colonne des Dépôts.
Les barres 1183 et 118-1 sont ramenées vers le bas avant que le chariot arrive à la position de la colonise sélectionnée. Par consé quent, le bord inférieur arrondi du taquet (fi-. 81 et 82) se pose sur les bords supé rieurs inclinés des pistons 1170 et 1172 pour les abaisser. Le mouvement des pistons 1170 et 1172 vers le bas (fig. 80 et 98) déplace les leviers correspondants 1178 et 1180 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1182, de manière à déplacer les coulisses correspondantes 1185 et 1186 (fig. 51, 79 et 85) vers le haut contre l'action de leurs ressorts correspondants 1301 et 1302 pendant que les barres correspon dantes 1183 et 1181 restent dans leurs posi tions basses.
Le mouvement de la coulisse 1186 (fig. 51) vers le haut retire un prolon gement avant d'un bras 1309 pivotant sur la coulisse d'Lui goujon fixé sur la barre 1.81, de façon à abandonner ce bras à l'action d'un ressort 1310 qui déplace ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de ma nière à placer un goujon carré fixé sur l'ex trémité inférieure de ce bras sous un prolon gement 1312 de la traverse d'une chape 1313 montée librement sur un arbre 1311 (fig. 711 et 85) qui tourne dans la pièce en fonte 1101 du mécanisme hydraulique. Le mouvement ultérieur de la coulisse 1186 et du bras 1309 vers le haut amène le goujon carré 1311,
en coopération avec le prolongement 1312, à dé placer la chape 1313 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Comme un bras gauche de la chape 1313 (fig. 711, 72, 85, 96A et 96B) est relié à oscil lation par une articulation 1315 à un bras 1316 fixé sur l'extrémité droite d'un arbre 1317 de renversement d11 mouvement du clia- riot, arbre tournant dans les bras du châssis 1087 dirigés en arrière, le mouvement de cette chape dans le sens des aiguilles d'une montre fait pivoter cet arbre dans le sens contraire des aiguilles, en regardant la fig. 85.
Sur l'arbre 1317 est également fixé (fig. 72, 73 et 96A) un bras 1318 relié à oscillation par une articulation 1319 au bras 1138, lequel, comme il a été expliqué ci-dessus, est fixé sur l'extré mité supérieure de l'arbre vertical 1135 et, par conséquent, le mouvement de cet arbre 1317 clans le sens des aiguilles d'une montre déplace l'articulation 1319 en avant, de ma nière à déplacer le bras 1138 et l'arbre 1135 d'abord dans le sens des aiguilles d'une mon tre, comme représenté au dessin.
Le mouve ment de l'arbre 1135 et du bras 1139 qui est, comme on se rappelle, calé sur cet arbre, retire ledit bras du nez replié 1110 du bras 1111 pour permettre à ce bras de se placer dans la partie étroite 1118 de la fente en forme de-L dans le verrou, comme il a été expliqué précédemment.
Lorsque le taquet 733 (fig. 80, 96B et 98) du bloc de commande 72\? pour la colonne des Dépôts arrive dans l'espace entre les pistons d'arrêt, les pitons 1170 et 1172 sont ramenés vers le haut par leurs ressorts 1182 en rame nant ainsi les coulisses 1185 et 1186 vers le bas de la position normale, de manière à re mettre le bras 1309 (fig. 51) dans le sens des aiguilles d'une montre également à la posi tion normale représentée.
Le mouvement de remise en position vers le bas de la coulisse 11S6 et le mouvement du bras 1309 dans le sens des aiguilles d'une montre abandonnent la chape 1313 et le mécanisme annexe à l'ac tion du ressort 1137 (fig. 72 et 96A) qui; immédiatement, ramène le bras 1138, l'arbre 1135 et le bras 1139 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre à la position nor male.
Le mouvement du bras 1139 dans le sens indiqué amène ce bras, en coopération avec le nez 11-10. à déaaer le verrou 1116 de la saillie 11-17 de la chape 1143 (fig. 73) pour faire entrer en action le mécanisme d'accou plement représenté sur la fi-. 72, de manière à amener la came 1162 à faire un tour pour ramener la chape 1115 à sa position de gau che, ou de tabulation, pour le cas où ladite coulisse serait pour une raison quelconque en position d'entraînement du chariot dans la direction de retour.
C'est là une meure de précaution prise pour tous les cas où le cha riot se déplace d'une position de colonise à une autre soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour pour s'assurer que le mécanisme représenté sur les fig. 7 2 et 75 est normalement en état d'entraîner le cha riot dans le sens de tabulation en vue d'effec- t.uer ce mouvement du chariot en un mini mum de temps. .
Sur la coulisse 1185 (fig. 7B et 85) est monté in bras 1320, similaire à tous égards au bras 1309 (fig. 51) pour la coulisse 1186; ce bras porte un goujon carré 1321 qui co opère avec un prolongement 1322 prévu sur la traverse de la chape 1313 pour déplacer cette chape exactement de la lagon déjà expli quée pour ce bras 1309.
Il est évident que, lorsque le levier<B>1267</B> (fig: 81 et 90) de la touche 1070 des Dépôts se place dans l'ouverture entre les bords infé rieurs des bras 1236 et 1239, le bord inférieur 1288 de ce bras 1236 passe au-delà de l'épau lement de l'extrémité supérieure dudit levier 1267 de manière à abandonner ce levier et les pièces annexes à l'action du ressort 1286 qui ramène ces pièces, y compris la touche<B>1070</B> des Dépôts, immédiatement aux positions nor males présentées. Tant que le chariot se trouve dans la colonne des Dépôts, l'abaisse ment de la touche 1070 des Dépôts déplacera le levier 1267 simplement en avant et en arrière sans imprimer aucun mouvement au bras 1236 ni à la chape 1238.
En consé quence, le chariot restera dans la colonne des Dépôts.
Le bras droit de la chape 1313 (fig. 7B) porte sur son extrémité supérieure un goujon 1323 maintenu en contact avec une surface usinée d'un bras 132-1 fixé sur l'arbre 131-1. par un ressort tendu entre ledit bras et ce prolongement vers le haut.
Sur l'arbre 1314 sont également fixés des doigts identiques dont les extrémités coopèrent avec des pistons correspondants 1397 diamétralement opposés, montés librement dans des trous de la pièce en fonte 1101 et qui s'étendent entre les extré mités des doigts et la surface supérieure d'un organe d'accouplement 1328 fixé à rotation sur l'arbre 1100, mais pouvant se déplacer sur cet arbre dans le sens axial.
Un piston 1335, actionné par lui ressort, est monté dans un perçage de l'organe d'accouplement 1398 où il est tenu en place par une vis qui coopère avec une encoche de l'arbre 1100 pour main tenir normalement les dents de la face infé rieure de cet organe 1328 hors contact avec les dents correspondantes de la face supé rieure d'un organe (l'accouplement correspon dant 1399. L'organe d'accouplement 1329 est solidaire d'une roue dentée 1330 montée folle sur l'arbre 1100 et engrenant avec lui pignon 1331 solidaire d'une roue dentée 1332 montée folle sur un tronçon d'arbre 1333 supporté par la pièce en fonte 1101.
La roue 1332 (fig. 7B) enbrèile avec une roue 1331 fixée sur le corps du dispositif d'accouplement hy draulique 1102 et tournant solidairement avec ce corps et la roue 1103.
Par le train d'engrenage réducteur, l'or gane d'accouplement 1329 est entraîné sensi blement plus lentement que l'accouplement hydraulique 1109 et, par suite du mouvement de la chape 1313 dans le sens des aiguilles d'une montre, lorsque les pistons sont abaissés par le taquet du bloc de eoinniande quand le chariot s'approche des positions des colonnes sélectionnées, emporte par le ressort 1325 si multanément avec lui le bras 1324, l'arbre 1311 et les doigts 1326 dans le sens des aiguil les d'une montre.
Le mouvement des doigts clans le'sens des aiguilles d'une montre abaisse les pistons 1327, de manière à faire descendre l'organe d'accouplement 1328 pour engrener les dents avec les dents de l'autre organe d'accouplement 1329, afin de ralentir le mou vement de rotation de l'arbre 1100 qui fonc tionne sous l'action de l'organe d'accouple ment hydraulique 1109.
Le ralentissement du mouvement de l'arbre 1100 ralentit à son tour le mouvement de tabulation et/ou de retour du chariot pour amortir le choc entre les ta quets d'arrêt 733 (fig. 80 et 98) et les pistons d'arrêt 1170 à 1173 inclus, de manière à ré duire le bruit et éviter des dommages aux élé ments chi mécanisme d'arrêt.
Lorsque le taquet d'arrêt 733 du bloc de commande du chariot place ce dernier dans la position de colonne sélectionnée, le mouve ment de l'arbre 1100 (fig. 7B) et de l'organe d'accouplement 1328 est interrompu et, le mouvement ultérieur de l'orbatie d'accouple ment 1329 amène les surfaces angulaires des dents de cet organe, en coopération avec des surfaces angulaires similaires des dents de l'organe 1328, à repousser ce dernier vers le haut, de manière à débrayer ses dents des dents dudit organe 1329.
Le piston 1335 poussé par un ressort retient, en coopération avec l'encoche dans l'arbre 1100, cet organe d'aceouplement 1328 dans sa position haute et dégagée de l'orane d'accouplement 1329.
Le dispositif de freinage décrit plus haut fonctionne automatiquement lorsque les ta quets d'arrêt 733 (fi;-. 80) abaissent les pis tons d'arrêt de droite 1170 et 1172 pendant le mouvement du chariot dans -le sens de ta bulation ou lorsque les taquets d'arrêt abais sent les pistons de gauche 1171 et 1173 pen dant le mouvement du châriot dans le sens de retour pour contrôler le mouvement dudit chariot, afin d'amortir le choc entre lesdits taquets d'arrêt 733 et le jeu de pistons d'en face. <I>Sélection des colonies pendant le</I> mouvement <I>de retour</I> dit<I>chariot.</I>
En supposant que le chariot 136 (fi-. 18-à- et 18B) se trouve dans la position de la co lonne des Dépôts et que l'ensemble 1248 (fi-. 81, 83 et 84) est placé de telle sorte que le bord inférieur du bras 1239 se trouve au- dessus du levier sélecteur<B>1267</B> à gauche du levier sélecteur des Dépôts et surplombe aussi le levier sélecteur 1266 pour la touche 1066 de la Marge Gauche et en supposant, en outre, qu'on désire sélectionner la colonne Pick-up>> qui se trouve à l'extrême de la pièce compta ble, l'abaissement de la touche 1070 Piek-up déplace alors,
à l'aide de liaisons similaires à celles représentées sur la fig. 90 pour la touche des Dépôts, le levier 1 67 de la touche Pick-up dans le sens des aiguilles d'une montre en amenant la came de l'extrémité su périeure de ce levier, en coopération avec le bord inférieur de la partie repliée du bras 1239, à déplacer ce bras vers le haut. De même, la came du bord supérieur du levier 1267, en coopération avec la partie gauche du bord inférieur de la traverse de la chape 1238 (fia. 81), déplace cette chape vers le haut ou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. comme représenté aux fia. 85 et 87. Le goujon 1261 du bras 1239, en co opération avec la fente 1265 du bras 1236.
entraîne également ce bras vers le haut ou dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre. simultanément avec ledit bras 1239. Le mouvement du bras 1239 vers le haut ou dans le sens contraire des aiguilles d'iuie montre (fia. 7B et 87) amène le bord supérieur de la partie repliée de ce bras, en coopération avec un prolongement d'un bras 1336 monté librement sur la tige 1189,à dé placer ce bras dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1336 dans le sens indiqué déplace, à l'aide d'une articula tion<B>1337</B> qui relie ce bras oscillant à un bras associé 1338 monté librement sur un axe 1339 fixé sur le châssis 1087, ce bras 1338 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre con tre l'action d'un ressort 1310 tendu entre un prolongement dirigé vers le bas de ce bras et l'articulation<B>1337.</B> Le mouvement du bras 1338 dans le sens contraire des aiguilles (fig. 72 et<B>87)</B> amène un linguet by-pass 1311.
entraîné par un ressort et pivotant sur l'ex- trémité supérieure de ce bras, en coopération avec un prolongement du linguet 1119, à dé placer ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre. comme représenté à la fia. 72.
de manière à dégager sa dent de l'épaulement de la chape 1115 et à abandonner cette chape à l'action du ressort 1118 qui la déplace immédiatement à droite, comme représenté au dessin, pour débrayer l'organe d'accouple ment 1092 en vue de l'entraînement du cha- riot dans la direction de tabulation et en même temps embrayer l'organe d'accouple ment 1093 en vue de l'entraînement du cha riot dans la direction de retour (fig. 75).
Lorsque le chariot 136 se déplace dans le sens de retour, ou vers la droite en regardant les fig. 80 et 81, le mécanisme d'indices repré senté ici et expliqué précédemment déplace l'ensemble 1218, y compris les bras 1236 et 1239 et la chape 1238, simultanément avec lui vers la gauche.
Lorsque l'encoche 1308 (fia. 81) dans le bord inférieur de la chape 7.238 coïncide avec le levier <B>1267</B> pour la tou che 1070 Pick-up , ladite chape et sa barre correspondante 1183 (fia.
125) descendent pour ramener les pistons d'arrêt 1170 et 1171 (fig. 80) sur le chemin du taquet d'arrêt 733 du bloc de commande pour la colonne Pick-up . Immédiatement après, le bord inférieur du bras .1239 s'éloigne du levier i267 pour permettre à ce levier de retourner dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre à la position normale et pour permettre à ce bras 1239 et à son bras associé 1236 de se déplacer vers le bas, mouvement du bras 1236 (fia.
51 et 77) qui ramène la barre 118-1 vers le bas en vue de ramener les<B>pistons</B> 1172 et 1173 (fig. 80) vers le haut sur le chemin des taquets d'arrêt 733 du bloc (le commande <B>722</B> pour la colonne Pick-up .
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, les pistons d'arrêt sont remis en position cor recte avant l'arrivée du chariot 136 à la posi tion de colonne sélectionnée; par conséquent, ces pistons se trouvent sur le trajet du taquet 7'à3 et ce taquet monte sur les extrémités incli nées des pistons 1171 et 1173.
de manière à les abaisser, ce qui déplace les leviers corres pondants 1179 et 1181 (fig. 80 et 98) dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour soulever les coulisses 1185 et 1786, ce qui fait pivoter l'arbre 1317 en arrière et en avant par le mécanisme représenté sur la fig. 85 et expliqué ci-dessus, de manière à actionner le mécanisme d'accouplement montré sur la fig. 72 pour amener la came<B>1162</B> à faire un tour et à ramener la chape 1115 vers la -au elle, de façon à débrayer l'organe d'accouple- ment 1093 (fig. 75)
et en même temps ciii- braver l'organe d'accouplement 1092 pour renverser le mouvement de la roue 1085, de sorte que le chariot sera entraîné clans le sens de tabulation. La remise en position vers le bas du bras 1239 (fig. 87) permet au ressort 1310 de ramener les bras 1336 et 1338 respec tivement dans le sens des aiguilles d'une mon tre et dans le sens contraire des aiguilles à la position normale; pendant ce mouvement (le retour dudit bras 1338, le linguet 1311 passe à. côté du bout droit du linguet 1119 et rega gne sa position normale, représentée sur le dessin.
Il ressort clairement de ce qui précède que chaque fois que le chariot se trouve dans une telle position que les bords inférieurs du bras 1236 et de la chape 1238 (fig: 81, 85 et 90) sont au-dessus des bouts supérieurs des le viers 1267, l'abaissement de l'une quelconque des touches<B>1070</B> sélectrices de colonnes pro voquera le déplacement du chariot dans la direction de tabulation vers la position de la colonne sélectionnée.
On conçoit également que, lorsque le chariot se trouve dans une po sition telle que les bords inférieurs du bras 1239 et de la chape 1238 sont au-dessus des leviers 1267, l'abaissement d'une des touches 1070 sélectrices de colonnes provoquera le dé placement du chariot dans la direction de re tour de la position actuelle à la position de la colonne sélectionnée.
Autrement dit, l'en semble 1218 (fig. 80) comprenant les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 est toujours en correspondance exacte avec la position du chariot et le rapport entre ces bras 1236 et 1239 et les leviers 1267 pour les touches 1070 conditionne le déplacement du chariot dans le sens de tabulation ou dans le sens de retour de la position actuelle à la position de la co lonne sélectionnée.
Tabzdation <I>dit</I> chariot <I>de</I> colombe <I>ex colonne.</I> Lorsqu'on abaisse la touche tabulatrice 1071 (fi-. 2 et 3) et qu'on la lâche immédia tement, le chariot 136 est tabtdé d'une co lonne à la prochaine; lorsqu'on retient cette touche tabulatrice dans la position abaissée, elle devient en fait une touche de la Marge Droite et amène le chariot à se déplacer de toute sa course dans le sens de la tabulation jusqu'à ce que la butée de la marge de droite arrête ce mouvement.
La touche tabulatrice 1071 (fig. 2 et 3) est supportée de façon mobile par un goujon <B>1277;</B> un prolongement de la partie de levier du côté droit est relié par un fil métallique 1313 à l'aune des extrémités d'un levier 1311 monté fou sur la tige 1275.
Le levier 1311 est relié, par tune articulation 1315, à tut ' bras 1316 monté fou sur la tige 1272;à ce bras est reliée à oscillation l'extrémité avant d'une articulation 1317 dont l'extrémité postérieure porte une fente verticale qui s'engage sur un goujon 1318 fixé sur un bras dirigé vers le haut d'une chape 1319 montée librement sur les tourillons 1350 axialement alignés dont l'un est fixé sur la plaque 1191 (fig. 80) et l'autre sur la plaque 1211.
Un ressort 1351, tendu entre le bras 1316 et un goujon fixe, entraîne ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à mainte nir normalement les pièces reliées ci-dessus en position de repos, coinine représenté sur la fig. 2. Les liaisons entre la touche tabula trice 1071 et la chape 1319 sont similaires sous tous les rapports et fonctionnent exacte- ment de la même façon que les liaisons entre la touche sélectrice de colonnes 1070 (fig. 90) et les leviers correspondants 1267.
L'abaissement de la touche tabulatrice 1071 (fig. 2) déplace le levier 1311 dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui dé place, par l'articulation 1315, le bras 1316 également dans le sens des aiguilles contre l'action du ressort 1351 et déplace l'articula tion 1317 en avant pour faire pivoter la chape 1319 dans le sens contraire des aiguil les d'une montre. Le mouvement de la chape 1319 dans le sens indiqué (fig. 2 et 88) dé place, à l'aide d'un goujon 1352 d'un bras de la chape dirigé vers le haut, en coopération avec une surface usinée d'un prolongement du bras<B>1297,</B> ce bras dans le sens des aiguil les, comme représenté au dessin.
Le mouve ment du bras 1297 dans le sens des aiguilles d'une montre amène, par l'articulation 1298 et le bras 1299, l'arbre 1220 à pivoter égale ment dans le sens des aiguilles pour faire entrer en action le mécanisme d'accouplement représenté aux fi-.
86, 96A et 96B pour actionner les cames 1203 et 120-1, de manière à soulever les barres 1183 et 1184 (fig. 80) et à abaisser les pistons d'arrêt 1170 à 1173 in clus, de manière à libérer le chariot pour le ïnouvement de tabulation. Le mouvement de la chape 1349 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 77, 85 et 125)
place le bord supérieur 1353 de la traverse de cette chape sur le trajet de l'extrémité inférieure d'un linguet 1354 pivotant sur la barre 1183 et entraîné dans le sens des aiguil les d'une montre par un ressort 1355, de ma nière à maintenir normalement une surface angulaire <B>1356</B> de ce lingiet en contact avec le goujon 1190 lorsque la barre 1183 se trouve dans sa position basse.
De même, le mouve ment de la chape 1349 clans le sens contraire des aiguilles d'une montre place le bord supé rieur 1353 de sa traverse sur le trajet de l'extrémité inférieure d'un linguet 1357 (fig. 77) pivotant sur la barre 1184 et en traîné dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort 1358, de manière à maintenir normalement une surface angulaire 1359 du linguet en contact avec le goujon 1190 lors que cette barre 1184 se trouve dans sa posi tion basse.
Le mouvement des barres 1.183 et 1184 (fig. 77, 85 et 125) vers le haut sous l'action des cames 1203 et 1204 soulève les surfaces angulaires 1356 et 1359 des linguets 1354 et <B>1357</B> du goujon 1190, de manière à permettre auLZ ressorts 1355 et 135S de mettre les extré mités inférieures de ces linguets en contact avec la surface arrière de la traverse de la chape 1349, à la suite de quoi les barres 1183 et 1184 s'approchent de la fin de leur course vers le haut et ces linguets passent à côté de la surface 1353,
de manière à retenir ces barres dans leurs positions hautes aussi long temps que la touche clé tabulation <B>1071</B> (fil-. 2) est maintenue abaissée. Au moment. où la pression sur la touche tabulatrice 1071 cesse, le ressort 1351 ramène cette touche et les pièces annexes, y compris la chape 1319, aux positions normales pour faire descendre le bord supérieur 1353 de la traverse de la dite chape, de sorte que les barres tabulatrices 1183 et 1184 ne seront pas retenues dans leurs positions hautes et permettent ainsi aux pistons d'arrêt de retourner sur le trajet du taquet d'arrêt situé dans les positions sui vantes de colonnes de façon à effectuer la ta bulation du chariot de colonne en colonne tant que la touche tabulatrice 1071 est abais sée et immédiatement relâchée.
Comme expliqué ci-dessus, aussi longtemps que la touche tabulatrice 1071 (fig. 2) est maintenue abaissée, le bord supérieur 1353 de la chape 1349, en coopération avec les lin- guets 1354 et 1357 (fig. 77 et 125), retient les barres tabulatrices 1183 et 1184 dans leur position haute, le résultat étant que le chariot continuera son mouvement dans le sens de fa bulation sans interruption jusqu'à ce que cette touche tabulatrice 1071 soit relâchée ou jusqu'à ce que la butée de la marge droite termine le mouvement du chariot, comme expliqué ci-après.
Si la touche tabulatrice 1071 est mainte nue en position abaissée jusqu'à ce que le cha riot 136 atteigne la fin de sa course de tabu- lation, la saillie 1127 (fie. 72 et 75) de la butée de la marge de droite entre en contact avec le levier 1124, comme expliqué ci-dessus, et déplace ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre pour dégager le linguet 1119 et permettre à la chape 1115 de se déplacer vers la droite, de manière à renverser le mouve ment du chariot.
Le mouvement du levier 1124 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace, à l'aide d'une articulation 1360 re liant à oscillation ce levier à un bras 1361 (fig. 72 et 73) monté librement sur l'arbre 1135, ce bras simultanément avec lui dans le sens des aiguilles d'une montre. Le moue e ment du bras 1361 dans le sens indiqué amène un goujon 1362 fixé sur ce bras à s'engager sur un prolongement 1363 du bras 1131 et à déplacer ce bras et l'arbre 1135 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1137.
Le mouvement de l'arbre 1135 dans le sens indiqué déplace, par le bras 1138 (fib. 72), l'articulation 1319 et le bras 1318, l'arbre 1317 dans le sens contraire des aiguil les d'une montre, comme représenté à la fib. 85.
Le mouvement de l'arbre 1317 dans le sens contraire des aiguilles déplace, à l'aide du bras 1316 et de l'articulation 1315, la chape 1313 (fig. 77 et 85) dans le sens des aiguilles d'une montre en amenant un goujon 1361 du bras gauche de la chape, en coopération avec un prolongement en forme de crochet 1365 du linguet 1229,à déplacer ce linbuet dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour dégager son prolongement dirigé vers le bas du goujon carré 1232,
de façon à assurer que la barre 1181 soit libre de descendre au cas où le bras 1233 serait retenu en haut "par le bras 1236 on par la chape 1238. La libération de la barre 1181 est importante lorsqu'on se sert de la touche de la Marge (rauche 1066 (fi-. 3) pour ramener le chariot à sa position extrême de droite, ainsi qu'il sera expliqué ultérieurement, mais elle est sans importance par rapport à la touche tabulatrice 1071.
Le mouvement de la chape 1313 dans le sens des aiguilles d'une montre (fi-. 77) amène une surface frontale 1366 de sa traverse à s5enga- ger sur un prolongement arrondi dirigé vers le haut<B>1367 du</B> linguet <B>1357 pour</B> déplacer ce linbuet dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1358, de manière à dégager l'extrémité inférieure de ce linbuet du bord supérieur 1353 de la traverse de la chape 1319,
afin de permettre le retour de la barre 1181 vers le bas pour ramener les pistons d'arrêt 1172 et 1173 (fib. 80 et 88) vers le haut sur le trajet. des taquets 733 des blocs de commande 722.
Ltant donné que le sens de mouvement du chariot a été renversé, comme il a été expli qué ci-dessus, ce chariot se déplacera dans le sens de retour jusqu'à ce que le taquet 733 du bloc de comïnande 722 situé dans la posi tion de colonne d'extrême droite de ce chariot se pose sur la surface angulaire de l'extrémité supérieure du piston<B>11713</B> et abaisse ce pis ton, ce qui déplace, à l'aide du levier 1181, la coulisse 1186 (fi-.
51, 77 et 80) vers le haut en amenant le goujon 1311, en coopération avec le prolongement 1312, à déplacer la chape en arrière et en avant de la manière expliquée ci-dessus, de manière à faire pivo ter l'arbre 1317 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position normale (fi-.
85), mouvement qui actionne, par le mécanisme représenté sur les <B>fi-.</B> 72 et 73, le mécanisme d'accouplement pour la came 1162 en amenant cette came à déplacer la chape 1115 à gauche à la position normale, de manière à renverser à nouveau le mouvement du chariot et à faire entraîner le Chariot dans le sens de tabulation par le mé canisme hydraulique d'entraînement.
Lorsque le bras 1361, comme il a été expli qué phis haut (fig. 72 et 73), se déplace dans le sens des aibiûlles d'une montre sous l'action de la saillie 1127 de la butée de la marge droite, une surface 1369 de ce bras se déplace sur le trajet du nez supérieur 1110 du bras 11-11 pour retenir ce bras dans la partie élar gie de la. fente 1118 en forme de L et empê cher cette fois le dégagement du verrou et l'opération du mécanisme d'accouplement.
Ce pendant, le mécanisme d'accouplement est actionné comme indiqué ci-dessus lorsque le piston est. abaissé (fib. 80) par le taquet d'ar- rét <B>733.</B>
To94che, <I>de la</I> Marge Gaztclte. L'abaissement de la touche 1066 de la Marge Gauche (fib. 3, 81 et 85) déplace, à l'aide du fil métallique <B>1276,</B> du levier 1271, de l'articulation 1273, du bras 1271 et de l'ar ticulation<B>1270,</B> le levier 1266 dans le sens des aiguilles d'une montre en amenant la sur face-came de son bord supérieur, en coopéra tion avec les bords inférieurs du bras 1239 et de la chape 1238, à déplacer ce bras et cette chape vers le haut pour abaisser les pistons d'arrêt de tabulation,
comme expliqué Ci-des sus et pour amener le bord supérieur du bras 1239, en coopération avec le mécanisme repré senté sur les fib. 72 et 87,à dégager le lin- g@.let 1119 et à libérer la chape 1115, de ma- nière à ce que le mécanisme hydraulique en traîne le chariot 136 dans le sens de retour ou à droite. Chaque fois que la pression sur la touche 1066 de la Marge Gauche cesse, le ressort 1279 ramène le levier 1266 et les pièces annexes aux positions normales du fait que ce levier 1266 ne pôssède pas, comme les leviers 1267, d'épaulement de blocage.
Dans ce cas, le bras l239 et la chape 1238 (fig. 80 et 85) sont ramenés vers le bas, les pistons d'arrêt sont ramenés sur le trajet dés taquets d'arrêt 733 et la chape 1115 est remise en po sition (fig. 72), afin que le mécanisme hy draulique entraîne le chariot dans le sens de fabulation.
Tant que la touche 1066 de la lIarge Gau che est tenue abaissée, le levier 1266 (fig. 85) maintiendra le bras 1239 et la chape 1238 clans leurs positions hautes, afin que le cha riot continue son mouvement dans le sens de retour jusqu'à ce que la saillie de renver sement 1129 (fig. 18B et 72) sur la butée de la -Marge Gauche s'engage sur le linguet 1130 et déplace le bras 1134,
l'arbre 1135 et le bras 1138 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort<B>1137.</B> Le motive- ment du bras 113S dans le sens des aiguilles d'une montre déplace, par l'articulation 1319 et le bras<B>1318,</B> l'arbre 1317 et le bras 1316 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 85;
le mou vement du bras 1316 dans le sens indiqué dé place la chape<B>1313</B> par l'articulation 1315 dans le sens des aiguilles (fig. 77 et 85) en amenant le goujon 136-1 de la chape en co opération avec le prolongement 1365 en forme de crochet du lingnet 1229 à dégager ce lin guet du goujon carré 1232 fixé sur le bras 1233, bras qui est retenti clans sa position haute par le bord supérieur de la chape 1238 et le bord supérieur du bras l236 aussi long temps que la touche 1066 de la -large Gau che est abaissée.
Le dégagement du linguet 1229 permet à la barre d'être ramenée vers le bas en soulevant ainsi les pistons d'arrêt 1172 et 1173 (fin. 80 et 98) sur le trajet des taquets 733 du bloc 722. Lorsque la saillie de renversement 1129 (fig. 72 et 73) passe au- delà du linguet 1130, le ressort 1137 remet l'arbre 1135 en position dans le sens contraire des aiguilles d'une montre en dégageant, à l'aide du bras 1139, en coopération avec le bord supérieur 1140 du bras 1141 le verrou 11q6, de manière à faire entrer en action le mécanisme d'accouplement en vue de l'entraî nement de la came 1162, afin de remettre la chape 1115 en position.
La remise en position de la chape 1115 vers la gauche renverse le mécanisme d'entraî nement du chariot pour entraîner ce chariot dans le sens de tabulation et, pendant ce mou vement, le taquet d'arrêt 733 (fi-.<B>80</B> et<B>98)</B> du bloc de commande 722 situé clans la posi tion de colonne de l'extrême gauche de ce cha riot se pose sur l'extrémité supérieure du pis ton 1172 pour l'abaisser, ce qui soulève, à l'aide du levier 1181 (fig. 80), la coulisse 1186 (voir aussi fig. 51 et 77), de façon à actionner à nouveau la came 1162 (fig. 72), mais dans ce cas c'est une opération sans effet,
parce que la coulisse 1115 a été auparavant remise en position par la saillie 1129 sur la butée de la Marge Gauche en coopération avec le linguet 1130 et le mécanisme associé. <I>Sélection des colonnes</I> par <I>les</I> barres <I>de</I> démarrage <I>de lu</I> machine.
On a prévu un mécanisme pour la sélec tion automatique de quatre positions de co lonnes quelconques à l'aide des trois barres de démarrage 170, 171, 172 de la machine (fig. 92). Ainsi, par exemple, la barre de dé marrage 170 peut être disposée de façon à sé lectionner l'une quelconque des positions de colonnes du chariot, de même que la barre 171 de démarrage d'avancement vertical. La barre 172 de démarrage par sauts (Skip) peut être prévue de façon à sélectionner l'une quel conque des positions de colonnes du chariot lorsqu'elle est manipulée d'une certaine ma nière et peut être disposée de façon à sélec tionner l'une quelconque des<B>positions (le</B> co lonnes du chariot lorsqu'elle est manipulée d'une autre manière.
On décrira le mécanisme pour la sélection automatique (les positions de colonnes à l'aide des barres de démarrage. En se référant aux fig. 85 et 90, on voit (lue chacune des articulations 1\380 pour les touches 1070 sélectriccs de colonnes est pour vue de quatre bossages 1370 dirigés vers le haut et que l'articulation<B>1270</B> pour la touche 1066 de la Marge Gauche est pourvue de quatre bossages<B>1371</B> dirigés vers le haut;
toits ces bossages coopèrent avec des saillies sur des blocs d'opération 1372 dont un est monté de façon réglable dans chacune des chapes correspondantes 1373 à 1376 incluse; les bras verticaux parallèles de chacune d2 ces chapes pivotent sur des tiges correspon dantes 1377 qui tournent entre la plaque 1191 (fig. 7B et 95) et une plaque associée 1388 en relation fixe avec elle.
Les blocs 1372 pour les chapes 1373 (fig. 4, 5 et 92) sont montés entre les bras parallèles de ces chapes, de façon réglable à l'aide de trous taraudés dans ces blocs, perçages dans lesquels s'engage une vis de réglage corres pondante 1378 dont les extrémités opposées peuvent tourner dans les bras parallèles des chapes correspondantes. Chacune des vis de réglage présente un bouton 1379 à l'aide du quel cette vis peut être tournée de manière à placer le bloc correspondant<B>1372</B> clans toute position voulue;
de cette façon, le doigt pen dant de ce bloc (fig. 90) peut coopérer avec le bossage correspondant<B>1370</B> des articula tions 1280 pour les touches 1070 sélectrices clé colonnes ou avec les bossages<B>1371</B> de l'arti culation 1270 pour la touche 1066 de la Marge Gauche.
Les saillies des blocs<B>1372</B> (fig. 4 et 5) passent par des fentes parallèles corres pondantes pratiquées dans les traverses des chapes 1373 et à chacune des extrémités supé rieures de ces blocs est prévu im trou pour recevoir un ressort de pression et une bille 1380; cette bille, en coopération avec un quel conque d'une série de trous 1381 percés dans une barre transversale 1382 fixée entre les bras de chacune des chapes 1373 à. 1376, place et retient ces blocs 1372 dans chacune de ses diverses positions.
Chacune des traverses des chapes 1373 à 1376 incluse (fig. 92 et 95) a un bord replié 1383 entrant en contact avec un prolongement dirigé vers le haut des barres d'opération correspondantes 138-1 à <B>1387</B> incluse, dont les extrémités postérieures sont. supportées dans des rainures correspon dantes pratiquées dans une partie 1389 re pliée vers le haut. d'une plaque de liaison qui s'étend entre les plaques 1191 et 1388.
Les extrémités antérieures des barres 13S4 à 1387 incluse sont reliées respectivement aux leviers 1390 à 1393 inclus, les leviers 1390 et 1391 pivotant sur un goujon à vis 139-1 fixé dans la plaque 437 (fig. 92), et le levier 1302 est supporté à rotation par un goujon 1395 éga lement filé sur la plaque 437, tandis que le levier 1393 est monté librement sur le goujon 154 qui s'étend entre la plaque -137 et -une plaque auxiliaire 1396 (fie. 7A) fixée sur le socle 132 de la machine et espacée de cette plaque 437 à l'aide de divers goujons, arbres et vis.
Les leviers 1390 à 1393 inclus portent respectivement des crochets 1397 à 1-100 in clus; les crochets 1397 et 1398 coopèrent avec un goujon 1401, tandis que les crochets 1399 et 1400 coopèrent respectivement avec des goujons 1402 et 1403; tous ces goujons sont fixés dans une barre 1404 supportée de façon mobile par les extrémités inférieures des bras similaires 1405 et 1406 (fig. 92), dont les extrémités supérieures sont montées librement <B>sur</B> les goujons 166 et 167.
Des ressorts 1-107 et 1-108 (fig. 92) retiennent les crochets 1399 et 1400 dans la position normale indiquée au dessin en dehors du trajet de leurs goujons correspondants 1402 et.1403. Un ressort (non représenté), similaire atLY ressorts 1407 et 1-108, coopère avec le crochet 139 î (fie. 92, 93 et 94) pour maintenir normalement ce cro chet dans la position haute ici représentée en dehors du trajet du goujon 1401.
Le crochet 1398 (fig. 92 et 93) porte sur un prolonge ment un goujon 1409 qui s'engage dans une fente de l'extrémité antérieure d'une articula tion 1410 dont l'extrémité arrière pivote sur un bras 1412 monté librement sur un axe 1-113 fixé sur la plaque 168 (fie. 7A) et dont l'extrémité extérieure est supportée par la plaque 1396. Un ressort 1411, tendu entre le goujon 1409 et un goujon (le l'articulation 1410, maintient normalement ledit goujon 1409 dans l'extrémité postérieure de la fente de cette articulation 1410, tandis que le res sort 1436 tendu entre le crochet 1398 et un goujon du levier 1391 maintient ledit crochet 1398 normalement en position dégagée comme représenté.
Le bras de support 1405 (fig. 92 et 93) pour l'extrémité antérieure de la barre 1404 est fixé par un moyeu 1435 monté librement sur le goujon <B>167</B> à un bras associé 1414 relié oscillation par iuie articulation 1415 à un bras 1417 (voir aussi fig. 122) fixé par un moyeu 1418, monté librement sur le goujon 161, à tm levier coudé associé 1419.
Un pro longement du levier coudé 1-119 est pourvu d'une fente dans laquelle s'engage -Lui goujon 1420 d'un bloc-moteur 1421 de la barre de fa bulation, monté librement sur -Lin axe 1422 dont une extrémité est fixée dans la plaque 168 (fig. 7A) et dont l'autre est supportée par la plaque auxiliaire 1396.
Un ressort de tension 14''3 entraîne le bloc-moteur 14?1 dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre (fie. 9?) pour maintenir normalement une patte repliée 1-194 du bloc-moteur en contact avec un épaulement d'un verrou 1425 du bloc-moteur. verrou monté librement sur un goujon 14?6 supporté entre les plaques 168 et 1396. rn ressort 1427 entraîne le verrou 1425 clans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir l'épaulement clé ce verrou normalement en contact avec la patte 1424.
Le verrou 1425 possède une pointe 1498 qui peut s'engager sur -Lui doigt 1429 d'une came 1430 de déblocage du verrou, came fixée sur l'arbre principal à cames 216, de manière à libérer la barre 1404, comme expliqué ci-après.
La came 1-130 porte égale- nient un galet 1431 qui, en coopération avec une saillie arrondie 1-132 (lu bloc-moteur 1491, r amené ê ce bloc-moteur en position vers la fin cTu fonctionnement de la machine.
L'abaissement normal de la barre 172 ta bulatrice par sauts (Skip) (fie. 92 et 93), c'est-à-dire abaissement (le cette barre et sa libération immédiate, amène un goujon 1-133 fixé dans cette barre 17'3, en coopération avec un prolongement 1434 du bras 1412, à dépla cer ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, mouvement qui, par Partieu- lation 1410 et le ressort 1411, met le crochet 1398 en contact avec le goujon 1401 de la barre 1404.
Pendant le fonctionnement clé la machine et avant l'exécution clé l'impression, le doigt 1429 s'engage sur la pointe 142S, de manière à dégager le verrou 1-125 de la saillie 1424 pour abandonner le bloc-moteur 14=1 à l'action du ressort 1423 qui entraîne ce bloc dans le sens contraire des aiguilles demie mon tre. Le mouvement du bloc-moteur 1491 clans le sens indiqué déplace, à l'aide du goujon 1420, du levier coudé 1-119, du bras 1417, de l'articulation 1415, du bras 141.1 et du bras 1405, la barre 1404 vers l'arrière.
Le mouve ment de la barre 1404 vers l'arrière amène le goujon 1401, en coopération avec le crochet l398, à déplacer le levier 1391 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à dé placer la barre 1385 vers l'avant, à la suite de quoi sa saillie supérieure déplace la chape 137-1 (fie. 85, 90, 92 et 95) également dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouve ment de la chape 1374 clans le sens indiqué amène la saillie inférieure du bloc correspon dant 1379, en coopération avec les bossages <B>1370</B> ou 1371 des articulations 1\370 ou 1'_'S0 (fie. 85 et 90), à déplacer ces articulations vers l'avant, de manière à faire pivoter le levier correspondant 1266 ou 1267 dans .le sens des aiguilles d'une montre pour provo quer le mouvement du chariot dans le sens de la tabulation ou dans le sens de retour selon sa position et à sélectionner la position de co lonne désirée dudit chariot, comme expliqué précédemment.
Dans la machine représentée, le bloc 1379 pour la chape 1374 a été réglé de telle sorte (lue sa saillie coopère avec le bossage 1370 de l'articulation 1980 pour la touche de Dépôts 1070 représentée sur la fie. 90. En consé- quence, lors de l'abaissement normal (le la touche 172 tabulatrice (Skip), le chariot 136 est amené en position, comme expliqué ci- dessus pour la touche 1070 des Dépôts en vue (le la sélection de la colonne (les Dépôts de la pièce comptable (fig. 117) pour l'aligne ment avec le mécanisme imprimeur.
L'enfoncement complet de la barre 172 ta bulatrice (Skip) (fib. 92, 93 et 95) et le main tien de cette barre dans la position d'abaisse- ment complet amène un goujon 1437 de cette barre à s'engager sur la face supérieure du crochet 1397 et à déplacer ce crochet dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort en le plaçant sur le trajet du goujon 1401, alors<B>qu'un</B> goujon 1-13S porté par ce crochet 1397 s'engage sur la surface supérieure du crochet 1398, de,
manière à dé placer ce crochet également dans le sens des aiguilles d'une montre en dehors du trajet du- dit goujon 1-101, la liaison fente-ressort entre ce crochet 1398 et l'articulation 1410 permet tant le mouvement relatif de ces pièces.
En conséquence, lorsque la barre 172 est retenue complètement abaissée, le déblocage du verrou 1q25 (fib. 92) par la came 1430 expliqué ci- dessus et le mouvement consécutif vers l'ar rière de la barre tabulatrice 1q04 sous l'action du ressort 1423 amène le goujon 1401, en co opération avec le crochet 1397,à déplacer le levier 1390 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer la barre 1384 vers l'avant.
Le mouvement de la barre 1384 vers l'avant amène la saillie supérieure sur l'extrémité de cette barre (fig. 85. 90, 92 et 95) à déplacer la chape 1373 dans le sens des aiguilles d'une montre en amenant la projec tion 1372 de la chape 1373, en coopération avec les bossages 1370 ou 1371 des articula tions 1280 ou 1270,
à déplacer ces articula tions vers l'avant exactement de la même ma nière que lors de l'abaissement des touches sé- lectrices de colonnes correspondantes 1070 ou 1066 en jute de provoquer le mouvement du chariot @ vers la position de colonne sélection née, comme expliqué précédemment.
Dans la machine représentée, la saillie du bloc 1372 portée par la chape 1373 a été ajustée en vue de coopérer avec le bossage 1370 de l'arti culation 12S0 (fig. 90) pour la touche 1070 de Sous-Balance. En conséquence, le maintien de la barre 172 tabulatrice (Skip) dans sa po sition complètement abaissée place le chariot de telle sorte que la colonne de Sous-Balance du support d'enregistrement (fig. 117) se trouve en face du mécanisme imprimeur.
*La barre de démarrage 170 et la barre 171 d'avancement vertical (fig. 92) portent res pectivement des goujons 1-139 et 1q-10 qui co opèrent exactement de la façon qui a été expliquée polir le goujon 1-137 avec les cro chets correspondants 1399 et 1400, lorsque ces barres sont abaissées et retenues abaissées, de manière à placer ces crochets sur les trajets de leurs goujons correspondants 1402 et 1403, à la suite de quoi le mouvement de la barre 1.404 en arrière sous l'action de la came 1430 amène,
après l'exécution de l'impression, les chapes correspondantes 1375 et 1376 (fia-.<B>85,</B> 90, 92 et 95) à se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre pour sélectionner la position de colonne désirée de la pièce comp table.
Dans la machine représentée, la saillie du bloc 1372 pour la chape 1375 a été ajustée en vue de coopérer avec le bossage 1370 de l'ar ticulation 1280 (fig. 90) pour la touche 1070 des chèques No 2 (fig. 3) et la saillie du bloc 1372 pour la chape 1376 a été ajustée en vue de coopérer avec le bossage correspondant 1370 de l'articulation 1280 pour la touche 1070 des chèques No 3.
En conséquence, si la barre de démarrage 170 est complètement abaissée et maintenue abaissée, la colonne des chèques No 2 sera sélectionnée pour l'impres sion et si la barre 171 d'avancement vertical est abaissée et maintenue abaissée, la colonne des chèques sera sélectionnée pour l'impres sion.
Il est bien entendu que les saillies des blocs 1372 peuvent être ajustées pour coopé rer avec les bossages correspondants 1370 ou 1371 des articulations 1280 ou 1270, de ma nière à sélectionner toute position de colonne désirée correspondant aux touches 1070 et 1.066.
Vers la fin du fonctionnement de la ma chine, le galet 1431 (fig. 92), en coopération avec le nez 1432 du bloc-moteur 1421, ramène ce bloc-moteur dans le sens des aiguilles d'une montre ainsi que la barre tabulatrice 1404 en avant aux positions normales, ou de repos, à la suite de quoi le verrou 1425 se déplace pour se mettre en contact avec le nez 1424 et fixer ledit bloc-moteur et ladite barre dans les positions de repos.
Jlécaiiisnie d'ouverture <I>de</I> l'entrée <I>dit</I> chariot. On se rappelle, en se reportant aux fis. 18A, 1sB et 118, que le rouleau 309 est monté clans un bâti du chariot,
bâti eompre- nant des plaques extérieures de droite et de gauche 1074 et 1075 et des plaques intérieu res de droite et de gauche <B>1076</B> et<B>1077</B> mon tées en liaison fixe l'une par rapport à l'autre à l'aide de la plaque inférieure et de la barre auggilaire 1078 et que ce chariot porte des rouleaux qui coopèrent avec la barre avant 137 et la barre arrière 138 pour le mouve ment horizontal dudit chariot.
Le mécanisme de déplacement du rouleau 309 (fis. 118) vers ou de la position d'im pression est monté entre les plaques 1074 et <B>1076</B> et<B>1075</B> et<B>1077;</B> étant. donné que ce mé- eanisme se répète sur les deux côtés du cha riot, on se contentera d'exposer le mécanisme du côté droit supporté par les plaques 1074 et<B>1076.</B>
En se référant aux fis. 49, 99, 100 et 118, on voit que le rouleau 309 a un noyau en bois 1441 avec un alésa;e central recevant des broches droite et gauche dans des douilles J.442 pourvues de flasques fixées au noyau 1441 par des vis.
Les douilles 1442 passent par des ouver tures irrégulières des plaques<B>1076</B> et<B>1077</B> et leurs diamètres extérieurs s'engagent libre ment dans des trous prédis dans les extré- inités supérieures de bras similaires 1443 sur les extrémités desquels sont fixés des moyeux qui s'emmanehent librement sur des axes 1444 qui s'étendent respectivement entre les pla ques<B>1075</B> et<B>1077</B> et 1074 et<B>1076.</B> Des res sorts de torsion 1445, librement enroulés au tour des axes 1444,
entraînent les bras 1443 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fit,. 99), afin d'aider le rouleau 309 à ouvrir l'entrée ou à occuper la position d'alimentation frontale, et en vue d'équilibrer ainsi en partie le poids dudit rouleau, de sorte qu'il puisse se déplacer facilement vers la position d'impression ou s'en écarter.
Sur ; les douilles 1442 de droite et de gauche sont également montés librement des bras simi laires 1446 pourvus sur leurs extrémités infé rieures de fentes en contact avec des goujons 1447 portés par les extrémités de bras 14-t5 ; fixés sur un arbre 1449 tournant dans les pla ques 1074 à 1077 incluse.
Sur les extrémités opposées de l'arbre 1449 sont éfYalement fixés des bras similaires 1450 reliés -par des artieu- lations 1451 aux prolongements vers le haut, de bras similaires 1452 montés librement sur leurs ales respectifs 1453 supportés respecti vement par les plaques 1074 et<B>1076</B> et<B>1075</B> et 1077.
Entre les bras 1452 et fixée sur ces bras s'étend une barre 1454 pourvue d'une , rainure horizontale 1455 qui coopère avec un prolongement 1456 dirigé vers le haut d'une coulisse de manceuvre 1457 montée de manière à pouvoir se déplacer horizontalement à l'aide de fentes parallèles dans la coulisse (fis. S)6-1, ; 96B, 97, 114 et 115) en coopération avec des goujons à vis 1458 fixés clans le châssis<B>1087.</B> Une partie pendante 1459 de la coulisse<B>145î</B> est maintenue entre des goujons 1460 et 1461 portés par des bras similaires 1.t6\3 et 1463 ;
pivotant par leurs extrémités inférieures res pectivement sur la tige 1165 et sur un axe 1464, ce dernier étant supporté par une con sole 1465 qui est, à son tour, supportée par la titre 1165 et est munie d'iui prolongement t fixé au châssis 1087. Une articulation 1466 (fis. 115), qui s'étend entre les goujons 1460 et 1461, donne à ces goujons un écartement fixe par rapport à la partie pendante 1-159.
Les bras 1462 et 1463 portent respective-, ment des galets 1467 et 1465 qui eoopèrent avec la périphérie d'une came 1469, reliée par un moyeu 1470 (fis. 12, 13, 96B, 97 et 115) monté librement sur l'arbre 1153,à un organe d'accouplement 1471.
L'organe d'as- souplement 1471 entraîné est pourvu de (lents qui coopèrent avec (les dents correspondantes d'un or,!-ane entraîneur 1472 d'aecoupicriient, organe relié par une liaison rainure et lan guette à un manelion 1-1î3 monté librement sur l'arbre 1153 et sur lequel est fixée une roue 1474 engrenant avec un pignon 1-175 solidaire d'une roue 1476 montée librement sur un axe 1477 fixé dans le châssis 1087.
La roue 1476 engrène avec un pignon 1-178 calé sur l'arbre 1153, cet engrenage formant un engrenage réducteur entre cet arbre 1153 et le manchon 1473 qui entraîne l'organe entraî neur 1472 d'accouplement.
L'organe entraîneur d'accouplement 1472 est pourvu d'une rainure annulaire dans la quelle s'engagent deux goujons opposés 1179 fixés sur les bras parallèles d'une chape de décalage 1480 montée librement sur un axe 1-181 supporté par le châssis 1087 et par la plaque supérieure droite 1136 (fia. 15, 96B et 97).
Un prolongement 1483 (fig. 12) du bras inférieur de la chape 1480 s'engage sur la dent d'un verrou 1-184 monté librement sur un arbre 1485 qui tourne dans le châssis<B>1087;</B> entre ce verrou et ladite chape 1480 est tendu un ressort 1487 qui entraîne ces pièces dans le sens des aiguilles d'une montre pour main tenir ledit prolongement 1483 normalement en contact avec la dent du verrou 1484. Dans le verrou 1484 (fig. 12) est pratiquée une fente en forme de L par laquelle passe une saillie dirigée vers le haut d'un bras 1488 qui pivote et peut se déplacer sur le bras infé rieur de la chape 1480 grâce à un goujon du bras 1488 en coopération avec une fente dans ce bras inférieur.
La saillie vers le haut du bras 1488 s'étend sur le trajet d'un doigt 1489 fixé sur l'arbre 1485; sur cet arbre est également filé un bras 1490 (voir aussi fig. 7B et 96B) portant sur son extrémité inférieure un goujon 1491 qui s'engage dans une fente de l'extrémité d'une articulation 1492, l'extrémité postérieure de l'articulation 1492 étant reliée à un bras 1493 qui est lui- même relié de façon réglable à. un arbre 1491 tournant dans le châssis<B>1087</B> à l'aide d'un assemblage boulon-éerou avec un bras filé sur cet arbre.
Sur l'arbre 1494 est également fixé un bras suspendu 1495 relié à oscillation par une articulation 1496 à un levier 1497 monté librement sur un axe 1498 (fig. 7A et 7B) qui est fixé sur la plaque 1191. L'extrémité inférieure du levier 1497 possède une fente qui s'engage sur un goujon 1499 porté par l'extrémité supérieure d'un levier associé 1500 monté librement sur un axe 1501 fixé dans la plaque 1191.
Sur l'extrémité inférieure du le vier 1500 pivote l'extrémité postérieure d'une articulation 1502 dont l'extrémité antérieure est pourvue d'une fente recevant un goujon 1503 de l'extrémité inférieure d'un levier 1â0-1 monté librement sur l'axe 1422. L'articulation 1502 a une saillie 1505 dirigée vers lé haut. (fig. 6 et 7A) qui coopère avec un goujon 1506 d'une plaque 1507 monté librement sur un axe 1508 fixé dans la plaque 1191.
Une articulation 1510 relie à oscillation la plaque 1507 à un bras 1511 fixé sur l'extrémité droite d'un arbre 1512 qui tourne dans un alésage du goujon 304; sur cet arbre est éga lement fixé un bras 1513 qui pivote sur l'extrémité inférieure de la tige 1514 de la touche<B>1072</B> du chariot. Un ressort 1509, tendu entre la plaque 1507 et un goujon fixe, entraîne cette plaque dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fi-. 7A) pour maintenir la touche 1072 du chariot norma lement dans la position non abaissée.
L'abaissement de la touche 1072 (fi-.<B>6</B> et 7A) déplace la plaque 1507 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1509 en amenant le goujon 1506, en co opération avec la projection 1505, à déplacer l'articulation 1502 vers l'avant. Le mouve ment de l'articulation 1502 vers l'avant dé place, par les leviers 1500 et 1497, l'articula tion 1496 également vers l'avant (fig. 7B et 96B), afin de faire pivoter l'arbre 1494 et le bras 1493 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort 1515.
Le mouvement du bras 1493 dans le sens des aiguilles déplace l'articulation 1492 (fi-. 12 et 96B) vers l'arrière en amenant la fente dans son extrémité antérieure, en coopération avec le goujon 1491, à déplacer le bras 1490, l'arbre 1485 et le doigt 1489 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre, comme re présenté au dessin; contre l'action d'un res sort 1516 tendu entre ledit bras 1490 et un goujon du châssis 1087.
Le mouvement du doigt 1489 dans le sens contraire des aiguilles, en coopération avec la saillie vers le haut du bras 1488 et avec la partie étroite de la fente dans le verrou 1484, déplace ce dernier dan-3 le sens contraire des aiguilles d'une montre et dégage le prolongement 1483 de manière à abandonner la chape 1480 à l'action du res sort 1487 qui entraîne cette chape immédia tement dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 12, 96B et<B>97)</B> en amenant cette chape à,
mettre l'organe entraîneur 1472 d'accouple ment en contact avec les dents de l'organe entraîné 1471 d'accouplement, afin d'entraî ner cet organe entraîné avec l'accouplement et la came 1469 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté aux fig. 97 et 115.
Sur les fig. 99 et 115, la coulisse 1457 est représentée dans la position qu'elle occupe lorsque le rouleau 309 se trouve dans la po sition d'impression. Le mouvement de la came 1469 dans le sens des aiguilles d'une montre, en coopération avec le galet 1468, déplace les bras 1463 et 1462 vers l'avant ou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, en ame nant les goujons 1460 et 1461 de ces bras, en coopération avec la partie suspendue 1459, à déplacer la coulisse 1457 vers l'avant dans la position indiquée en traits pleins sur la fi-. 100 et en pointillé sur la fig. 115.
Pour effectuer le déplacement ci-dessus expliqué de la coulisse, il faut un demi-tour de la came 1469 (fig. 115) et après que cette came a fait un demi-tour, le mécanisme d'accouplement est débrayé, comme exposé ci-après et reste ainsi débrayé jusqu'à ce que la touche du chariot soit à nouveau abaissée.
Le mouvement de la coulisse 1457 vers 1-'avant amène la saillie haute 1456, en coopé ration avec la rainure horizontale 1455 dans la barre 1454, à déplacer cette barre et les bras 1452 dans le sens des aiguilles d'une montre de la position montrée fi-.<B>99 à</B> la position de la fi-. 100. Le mouvement des bras 1452 dans le sens indiqué imprime, à l'aide des articulations 1451, un mouvement similaire aux bras 1-150, à l'arbre 14-19 et aux bras 1448, de manière à déplacer ces pièces de la position montrée sur la fig. 99 à la- po sition de la fig. 100.
Le mouvement des bras 1.448 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace, à l'aide des goujons 1447 en coopé ration avec les fentes dans les bras 1-146, le rouleau qui pivote par les bras 1443 sur les goujons 1444 dans le sens contraire des aiguil les d'une montre de la position d'impression indiquée sur la fig. 99 à la position d'entrée ouverte indiquée à la fig. 100.
Le mouvement d'embrayage de la chape 1480 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 12) amène un prolongement replié de cette chape à s'engager sur le bras 1488.et à le déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort, de ma nière à placer la projection repliée vers le haut de ce bras dans la partie large de la fente dans le verrou 1484 pour permettre au ressort 1487 de replacer la dent de ce verrou immédiatement sur le trajet du prolongement 1483.
Après que l'organe d'accouplement 1-171 et la came 1469 (fig. 12 et 97) ont fait un demi-tour, une surface angulaire d'une saillie 1518 sur le bord de cet organe d'aceouplenient 1471 s'engage sur un prolongement aplati 1519 du goujon 1479 du bras inférieur de la chape 1480 pour déplacer cette chape dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à dégager les dents de l'oraiie en traîneur 1472 de l'accouplement des dents de l'organe entraîné 1471 et à permettre à la dent du verrou 1484 de se poser sur le pro longement 1483 pour empêcher toute action ultérieure à retenir le rouleau dans la posi tion de l'entrée ouverte.
Lorsqu'on relâche la touche<B>1072</B> du cha riot (fig. 6, 7A et 7B), les ressorts 1509, 1515 et 1516 (fi<B>>g.</B> 12) ramènent les pièces corres pondantes à la position normale en dégageant ainsi l'épaulement sur le bout du doigt 1489 de la saillie repliée vers le haut du bras 1458, afin d'abandonner ce bras à l'action de son ressort qui déplace immédiatement ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à plagier ladite saillie haute dans la partie étroite de la fente dans le verrou 1484 en préparation d'une autre opération du mécanisme d'ouverture et de fermeture de l'entrée.
En abaissant à nouveau la touche 1072 du chariot (fi,-. 6, 74 et 7R), le mécanisme d'ac couplement représenté sur la fig. 12 entre à nouveau en action pour amener l'organe en traîné 1471 d'accouplement et la came 1469 (fig. 115) à faire un demi-tour supplémen taire dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce second demi-tour de la came 1469, en co opération avec le galet 1467 (fig. 115), dé place les bras 1462 et 1463 dans le sens des aiguilles en amenant les goujons 1460 et 1461, en coopération avec la partie 1459, à déplacer la coulisse 1457 vers l'arrière à la position normale ou d'impression, montrée sur la fig. 115 en vue de déplacer le rouleau 309 de la position d'entrée ouverte représentée à la fig. 100 à la position d'impression représen tée sur la fig. 99.
Après que la came 1469 a achevé son second demi-tour, comme expliqué ci-dessus, la saillie 151.8 (fur. 12 et 97) de l'organc d'accouplement 1471, en coopération avec un prolongement aplati du goujon 1479 porté par le bras supérieur de la chape 1480, ramène cette chape dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, exactement de la même façon qu'il est dit ci-dessus.
Le mécanisme d'accouplement représenté sur la fi-. 12 pour le mécanisme du mouve ment du rouleau, ou d'ouverture de l'entrée, est exactement le même et fonctionne de la même façon que le mécanisme à'accouplement expliqué précédemment et représenté à la fig. 86 pour le contrôle de l'opération des pistons d'arrêt du tabulateur.
Un disque de repérage 1521 (fig. 13 et 97), monté en position fixe par rapport à la came 1469 et à l'organe d'accouplement 1471 à l'aide d'un manchon 1470, possède des en coches de repérage 1522 diamétralement oppo sées qui coopèrent avec un galet<B>1523</B> porté par un levier 1524 monté librement sur la tige 1165 et entraîné dans le sens contraire des aiguilles d'iuie montre par :
m fort res sort 1525 pour aider et retenir cette came 1469 et l'organe d'accouplement 1471 dans chacune de leurs positions de manoeuvre. Un prolongement 1526 de l'extrémité inférieure du levier 1524, en coopération avec une sur face façonnée du châssis 1087, détermine la distance du mouvement de ce levier sous l'ac tion du ressort 1525.
<I>Ouverture</I> automatiqice <I>de l'entrée vers la fin</I> <I>du</I> fonctionnement<I>de la</I> machine.
On a prévu un mécanisme pour actionner automatiquement le mécanisme d'accouple ment pour le dispositif d'ouverture de l'entrée vers la fin des opérations, afin de faire tour ner le rouleau de la position d'impression à la position d'entrée ouverte.
Un ressort de torsion 2521 (fig. 7A) en traîne le levier 1504 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir une patte re pliée 2522 normalement en contact avec un épaulement d'un verrou 2523 qui est entraîné par un ressort dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Vers la fin d'une opé ration de la machine et après fonctionnement du mécanisme imprimeur, une , saillie 2524 d'une plaque 2525 fixée sur le manchon 448 rencontre un doigt dudit verrou 2523 pour déplacer ce verrou dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort, de manière à libérer le levier 1504 et le faire tourner dans le sens des aiguilles sous l'action du ressort 2521.
Le mouvement du levier 1501- dans le sens des aiguilles d'une montre amène le goujon 1503 qu'il porte à son extrémité inférieure, en coopération avec la fente dans l'articulation 1502, à déplacer cette articulation vers l'avant afin d'actionner le mécanisme d'accouplement montré sur la fig. 12 exactement de la même façon qu'il a été expliqué pour l'abaissement de la touche 1072 du chariot, de manière à provoquer le déplacement du rouleau 309 de la position d'impression à la position d'entrée ouverte vers la fin de l'opération et préparer le retrait de la pièce comptable montrée sur la fig. 117 et l'insertion d'une autre pièce.
Après le fonctionnement ci-dessus décrit du mécanisme automatique d'ouv enture de l'entrée, un goujon 2526 fixé sur la plaque 2525 s'engage sur un prolongement vers le haut du levier 1504 pour remettre en position ce levier dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 2521. de manière à permettre à l'épaulement du verrou 2523 de rencontrer à nouveau la patte repliée 2522.
On a prévu un verrou pour bloquer la plaque 1507 (fio. 7A) contre le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre pen dant l'action de la machine, de sorte qu'on ne puisse pas cette fois abaisser la touche 1072 du chariot.
Le mouvement initial de l'arbre principal 216 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 73) amène un goujon 1527 porté par une plaque 1528 fixée sur le manchon 448 à se placer au-delà de l'extrémité avant d'une coulisse 1529 montée de façon à pouvoir se déplacer à l'aide de fentes parallèles coopé rant avec les goujons 1501 et 1508.
La cou lisse 1529 est ainsi abandonnée à l'action d'un ressort 1530 qui entraîne cette coulisse immé diatement vers l'avant en vue de placer un goujon carré 1531, fixé sur cette coulisse, sous un épaulement prévu sur la plaque 1507 pour empêcher le mouvement de cette plaque dans le sens des aiguilles d'une montre et bloquer ainsi la touche 1072 du chariot (fig. 3 et 6) contre l'abaissement pendant l'action de la machine.
Ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, il faut un tour de l'arbre principal à cames 216 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 7A, pour effectuer une opération de la machine et, vers la fin de ce tour, le goujon 1527, en coopérant avec l'extrémité antérieure de la coulisse 1529, déplace cette coulisse vers l'ar rière contre l'action du ressort 1530 pour écarter le goujon carré 1531 du trajet de l'épaulement de la plaque 1507 et débloquer la touche<B>1072</B> du chariot pour l'abaissement.
On a également prévu un mécanisme fonc tionnant sous le contrôle du chariot dans ses positions de colonnes pour bloquer le méca nisme d'ouverture de l'entrée pendant l'opé ration de la machine. Ce mécanisme sera expliqué ultérieurement en même temps qu'un autre mécanisme contrôlé par le chariot. Fermeture automatique <I>de</I> l'entrée <I>par les</I> touches numérales <I>et</I> par <I>les</I> touches compteuses <I>de postes.</I>
La machine représentée est pourvue d'un mécanisme grâce auquel l'abaissement de l'une quelconque des touches numérales 218 (fig. 1 et 3) ou de l'une quelconque des touches 343 compteuses de postes provoque le déplace ment du rouleau 309 de la position d'alimen tation frontale à la position d'impression pour assurer que ce rouleau se trouve en position d'impression avant le déclenchement d'une opération.
Le goujon 1491 (fig. 12) du bras 1490 s'engage dans une fente 1532 d'une articula tion 1533 dont l'extrémité postérieure pivote sur un levier 1534 portant un goujon 1535 tournant dans un moyeu fixé dans la plaque droite 1136 (fig. 15). Un ressort de tension <B>1536</B> entraîne le levier 1534 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir un goujon 1537 porté par ce levier normalement en contact avec une came 1538 sur l'une des extrémités de la coulisse 1457.
Le levier 1534 a un épaulement 1539 qui coopère avec un doigt 1540 fixé sur l'ex trémité d'un arbre 1541 qui tourne dans les prolongements repliés d'une console 15-12 fixée sur un prolongement du bas de la pla que 1136. Sur l'extrémité de l'arbre 1541 est fixé un bras 1543 relié à oscillation par une articulation 1544 à une articulation associée 1545 (fig. 14) dont l'extrémité postérieure est supportée par un bras 1546 monté fou sur l'arbre 1016 et dont l'extrémité antérieure est pourvue d'une fente qui s'engage sur un gou jon 15-17 porté par l'extrémité supérieure du bras 538.
En se reportant aux fi,-. 14 et<B>15,</B> on se rappellera que le bras 538 est libre sur l'ar bre 535 et qu'il a un épaulement. (lui est nor malement maintenu en contact avec le goujon 531 par un ressort 537 (fig. 16). On se rap pellera également que le goujon est fixé sur le bras 529 et que ce bras subit tw mouve- ment de va-et-vient sous l'action de la tige 525 qui est, à son tour, actionnée par l'une des détentes 225 des touches numérales 218 ou des touches 343 eompteuses de postes (fig. 3) à l'abaissement de l'une quelconque de ces touches.
En se référant aux fig. 12 et 99, on voit, que, lorsque le rouleau 309 se trouve dans la position d'impression, la coulisse est dans sa position postérieure, comme indiqué, une par tie surélevée de la surface-came 1538 ayant fait tourner, en coopération avec le<B>goujon</B> <B>1537,</B> le levier 1534 dans la direction des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1536, pour atteindre une position où l'épaulement<B>1539</B> se trouvé au-delà du doigt J.540. On voit de même que lorsque la coulisse se trouve dans sa position postérieure,
un pro longement 1548 de cette coulisse s'engage sur l'extrémité supérieure du doigt 1540 pour re tenir l'arbre 1541 et les pièces annexes dans le sens des aiguilles d'une montre, contre l'ac tion d'in ressort de torsion 1549 (fig. 96B), pour maintenir ce doigt 1540 éloigné du tra jet de l'épaulement 1539.
Lorsque la coulisse 1457 se déplace en avant pour déplacer le rouleau 309 de la po sition d'impression à la position d'entrée ou verte, le prolongement 1548 (fig. 12) se retire du doigt 1540 pour permettre à ce doigt de se placer, sous l'action du ressort 1549, sur le trajet de l'épaulement 1539 avant que la par tie surélevée de la came 1538 se place au-delà du goujon 1537, de sorte que ledit doigt em pêchera le levier 1534 de se déplacer dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 1536 lorsque cette partie surélevée de la came<B>1538</B> passe au-delà de ce goufon 1537.
Il ressort de la description ci- dessus que lorsque le rouleau 309 se trouve dans la position d'entrée ouverte et la cou lisse 1457 dans sa position antérieure, la par tie basse de la came 1538 est en face du gou- jon.1537 et le levier 1534 est empêché d'effec tuer un mouvement dans le sens contraire des aiguilles d'une montre par le doigt 1540 en coopération avec l'épaulement 1539.
L'abaissement de l'une quelconque des tou ches 218 ou 343 (fig. 3, 4 et 16) déplace la détente correspondante 225 en arrière et en avant pour déplacer la tige 525 et le bras 529 d'abord vers l'arrière, ou dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position normale de la manière expliquée ci- dessus. Le mouvement du bras 529 dans le sens des aiguilles d'une montre amène le gou jon 531, en coopération avec l'épaulement du bras 538, à déplacer ce bras clans le sens con traire des aiguilles, mouvement qui, à l'aide du goujon 1547, déplace les articulations 1545 et 1544 vers l'avant (fig. 12, 14, 15 et 96B), de manière à déplacer le bras 1543,
l'arbre 1541 et le doigt 1540 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position normale. Le mouvement du doigt dans le sens des aiguilles dégage son extré mité supérieure de l'épaulement 1539 pour libérer le levier 1534 et l'articulation 1533 en vue du mouvement dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action du res sort 1536 qui est plus fort et surmonte l'ac tion des ressorts 1516 et 14:
87. L'articulation 1533 déplace, par la fente 1532 coopérant avec le goujon 1491, le bras 1490, l'arbre 1485 et le doigt 1489 ainsi que le verrou 1484 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action des ressorts<B>1516</B> et 1487 pour dégager ce verrou 1484 du prolongement 1483, de manière à faire entrer en action le mécanisme d'accouplement représenté à la fig. 97 pour provoquer le déplacement de la coulisse 1457 vers l'arrière et faire passer le rouleau 309 de la position d'entrée ouverte à la position d'impression chaque fois qu'on abaisse l'une quelconque des touches 218 ou 343, afin d'assurer que le rouleau se trouve en position d'impression avant l'opération.
Lorsque le doigt 1540 et le mécanisme annexe sont ramenés par le ressort 1549 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 12 et 96B) immédiatement après libéra tion du levier 1534, comme il a été expliqué ci-dessus,
ce doigt s'arrête sur une surface courbe de ce levier 1534 voisine de l'épaule ment 1539 et reste ainsi jusqu'à ce que le pro- longement 15ï8 rencontre â nouveau ledit doigt immédiatement après que la partie sur élevée de la surface-came 1538 a ramené ce levier 1534 dans le sens des aiguilles d'une montre lors du mouvement vers l'arrière de la coulisse 1157 pour assurer que ce méca- izisme est en position active quand le rouleau 309 se trouve en position d'impression.
Les fentes dans les extrémités antérieure des articulations 1192 et 1533 (fig. 12) per mettent le mouvement de dégagement du gou jon 1-191 et du bras 1190 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre sous l'action d'une de ces articulations sans gêner l'autre articulation.
Le mécanisme ci-dessus décrit pour mettre le rouleau 309 automatiquement en position d'impression par suite de l'abaissement de l'une des touches 218 ou 3-13 est également actionné par l'abaissement de l'une quelcon que des touches de commande dites motorisées <B>(fi-.</B> 3), y compris la touche de correction 369, la touche de totalisation 376 et les tou ches<B>377, 378</B> et<B>379.</B> La manière dont ces tou ches actionnent ce mécanisme sera expliquée ultérieurement à l'occasion de la description du mécanisme de démarrage automatique de la machine.
Jlécaizisme <I>de</I> freinage dit rouleau.
On a prévu -un mécanisme pour retenir le rouleau dans chacune de ses positions de ma- noeu vre; ce mécanisme est également agencé pour retenir la pièce comptable en contact avec le rouleau pendant le mouvement de ce lui-ci d'une position à une autre.
La pièce comptable 1550 (fig. 101, 10\3, 103; 107 et 117) est guidée autour du rouleau 309 par une plaque de guidage 1551 fixée à une table 1552 avant à chaque extrémité des parties repliées vers le haut fixées à des bras latéraux identiques 1553 dont les extrémités antérieures sont pourvues de fentes 1554 qui s'engagent librement dans le diamètre exté rieur des douilles correspondantes 1112;
les extrémités postérieures de ces bras sont fen dues pour recevoir des goujons correspon dants 1555 fixés dans les plaques 1076 et 1.077 (voir aussi fig. 99 et 118). Des ressorts de tension 1556 (fig. <B>101)</B> entraînent la table 1552 de guidage de la pièce comptable vers barrière et vers le haut pour appuyer le bord avant recourbé de cette plaque de guidage 1551 élastiquement contre la surface du rou leau 309 lorsque celui-ci passe d'une position à. une autre, comme expliqué ci-après.
Etant donné que le mécanisme servant à retenir le rouleau dans chacune de ses posi tions de manoeuvre se répète pour chacune des extrémités de ce rouleau, seul le méca nisme du côté droit est représenté et la des cription de ce mécanisme suffira pour bien comprendre le fonctionnement de ce méca nisme de freinage.
Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi tion d'impression représentée à la fis. 99, un goujon 1557, fixé sur le bras droit 1553, est retenu par l'extrémité antérieure d'un bras de freinage 1558 pivotant sur un axe 1559 porté par une plaque 1560 qui est, à son<B>tour,</B> espacée de sa plaque de support correspon dante 1076 par des goujons à épaulement <B>1561</B> et fixée sur ces goujons par des vis. Un prolongement vers le bas chi bras<B>1558</B> porte un goujon 1566 qui coopère avec un prolongement 1567 en forme de crochet du bras correspondant 1-118. Un ressort 1568 en traîne le bras 1558 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement son prolongement sur le trajet du goujon 1557.
Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi tion de repos (ficr. 99 et 100), les douilles de droite et de gauche 1442 reposent respective ment sur les surfaces courbes des prolonge ments de plaques 1569 de droite et de gauche supportées de façon réglable par les plaques correspondantes<B>1076</B> et<B>1077,</B> ces dernières plaques, en coopération avec le goujon 1557 et le bras 1558, servant à placer ledit rouleau 309 exactement en position d'impression. Les fentes 1554 dans les extrémités antérieures des bras 1553 (fi-.
101, 103 et<B>107)</B> permet tent au bras<B>1558,</B> en coopération avec le gou jon<B>1557,</B> de maintenir la table 1ï)52 et la plaque de guidage 1551 abaissée. contre l'ac tion du ressort 1556 pour créer du jeu entre cette plaque de guidage 1551 et la surface du rouleau 309, afin de libérer la pièce comptable pour l'espacement des lignes, comme expliqué ci-après.
Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi tion d'impression, comme indiqué aux fin. 101 et 103, une série de rouleaux de pression 1563, montés dans des chapes 1J6-1 qui sont supportées par des consoles fixées sur la sur face supérieure de la barre angulaire <B>1078,</B> sont entraînés dans le sens des aiguilles d'une montre par des ressorts 1565 pour maintenir la pièce comptable 1550 en contact souple avec la surface du rouleau 309.
Les rouleaux de pression 1563 entrent en action immédiate- nient avant que la plaque de guidage 1551 soit mise hors de contact avec la feuille 1550 pour assurer que cette pièce comptable reste cil aligliement exact avec le mécanisme impri- nieur et pour faciliter l'espacement de ses lignes.
Le - mouvement initial du bras 1-118 dans le sens des aiguilles d'une montré (fin. 99 et 100) pour déplacer le rouleau 309 de la posi tion d'i1npression à la position d'entrée ou verte, ou d'alimentation frontale, amène le prolongement 1567 en forme de crochet, cil coopération avec le goujon 1566,à déplacer le bras 1558 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1568,
de manière à placer le prolongement alité- rieur de ce bras hors du trajet du goujon 7557 pendant que le goujon 1117 se déplace sans effet dans la fente du bras 1116.
Le dé- aanement du bras 1558 du goujon<B>1557</B> aban donne le bras 1553 (fig. 101 et 103), la table 1552 et la plaquë de guidage 1551 à l'action des ressorts 1556 qui déplacent.
immédiate ment ces pièces dans le sens des aiguilles d'tule montre, de manière à amener le bord avant recourbé de cette plaque de guidage 1551 à encager et à appuyer la feuille 1550 contre la surface du rouleau avant que ce lui-ci soit dégagé des rouleaux de pression 1563.
Lorsque le bras 1-118 continue son mou- -v eurent dans le sens des aiguilles d'une mon tre pour déplacer le rouleau de la position d'impression à la position d'alimentation frontale, le goujon 1566 du bras 1558 repose sur une surface courbe du bord supérieur du prolongement <B>1567</B> en forme de crochet.
Pen dant que le rouleau 309 se déplace de la po sition d'impression à la position d'alimenta tion frontale, les fentes sensiblement horizon tales dans les extrémités postérieures des bras 1553 permettent à la plaque de guidage 1551 de maintenir sa position vis-à-vis du rou leau 309.
Lorsque le rouleau <B>309</B> s'approche de la position d'entrée ouverte et que le bras 118 s'approche du terme de son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, une sur face disposée du côté postérieur d'une saillie <B>1570</B> dudit bras s'engage sur un goujon 1571 (fia. 99, 100, 107 et 108) porté par un pro longement vers le bas d'ln bras 1572 monté fou sur un axe 1573 qui, lui-même, est sup porté par la plaque de droite 1560, de ma nière à déplacer ce bras 157\? dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort 1574.
Ce mouvement du bras 157'3 dans le sens contraire des aiguil les amène soli prolonaenicnt antérieur, en co opération avec le goujon 1557 du bras droit 1553, à déplacer ce bras, la table 1552 et la plaque de guidage 1551 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre contre l'ac tion des ressorts 1556 pour séparer cette pla que de guidage 1551 de la pièce comptable <B>1550,</B> conune indiqué à la fin.<B>107,
</B> de sorte que ladite pièce -peut être facilement enlevée de la machine. Le mouvement du bras 157--l dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action des saillies 1570 permet à une languette <B>1575</B> entraînée par un ressort et portée par ce bras de se poser sur un gou jon fixe 1576 de la plaque 1560.
Le mouvement du bras<B>1572</B> dans le sens contraire des aiguilles d'tule montre (fia. 99, 100, 107 et 108) retire un goujon 1577, porté par ce bras et sur lequel pivote la languette <B>1575,</B> d'un prolongement d'un bras<B>1578</B> pivo tant sur l'axe 1573, de manière à abandonner ledit liras à l'action d'un ressort 1579 tendu entre ce bras et le bras 157?. Cela amène le bras 1578, supportant un goujon 1580, à se déplacer simultanément avec le bras 157'3 pour retirer ce goujon d'un prolongement 1581 d'un bras 1582 qui est monté librement sur l'axe 1573,
de manière à abandonner ce bras à l'action d'un ressort 1571 tendu entre ce bras et le bras 1572. Le mouvement du bras 1582 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 157-1 place un prolongement 1583 en forme de natte de ce bras sur le trajet d'une douille correspondante 158-1 montée librement sur la douille à tourillon de droite 1412 (fig. 100 et 108) pour amener ce prolongement à s'engager #lastiquement dans ladite douille 15S-1 lorsque le rouleau 309 se trouve en position d'entrée ouverte,
de manière à maintenir cette douille 14-12 en contact avec les surfaces courbes for iaées par les parties repliées de la plaque <B>1569</B> (fig. 99), afin de placer et de retenir ce rouleau 309 exactement dans la position d'ali mentation frontale. Le mouvement du bras 1582 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 108) est limité par un prolonge ment 1585 de ce bras en coopération avec l'ira des goujons 1561.
Lorsque le rouleau 309 est en position d'alimentation frontale, indiquée sur les fig. 102 et 107, le bord antérieur recourbé de la plaque de ;uidaae <B>1551</B> est en alignement avec une arête angulaire 1589 sur la surface intérieure d'une lame transparente 1590 et les surfaces intérieures de cette plaque et de cette lame forment une goulotte 1591 d'alimenta tion frontale servant à retirer et à introduire facilement les pièces comptables 1550.
La lame de guidage transparente 1590 (fig. 103) est fixée sur une barre du support 1592 qui est, à son tour, fixée aux surfaces intérieures des plaques<B>1076</B> et<B>1077</B> (f iâ. 118). Les piè ces comptables 1550 sont insérées dans la gou lotte ouverte 1591 et poussées directement à la position nécessaire, les surfaces supérieures de la plaque de guidage 1551 et de la table 1552 guidant cette feuille convenablement autour du rouleau 309.
La ligne de la pièce comptable 1550 sur laquelle on désire impri- nier est alignée au bord supérieur de la lame transparente 1590 qui sert de dispositif de re- pérage des lignes pour mettre la ligne voulue en position convenable par rapport au méca- nisine imprimeur.
Après l'insertion convenable (le la feuille <B>1550</B> dans la goulotte 1591, l'abaissement de la touche 1072 du chariot (fig. 3, 6, 7A et 7-B) ou l'abaissement de l'une quelconque des touches numérales 218 ou de l'une quelconque des touches 313 compteuses (le postes fait en trer en action le mécanisme de déplacement du rouleau, de manière à faire passer le rou leau de la position d'entrée ouverte à la posi tion d'impression, comme il a été expliqué précédemment.
Le mouvement initial du bras 1448 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fi-. 99, 1.00, 10î et 108) pour déplacer le rouleau 309 de la position d'entrée ouverte à la position d'impression amène une surface avant d'une projection de ce bras, en coopé ration avec un goujon 1586 d'un prolonge ment vers le bas du bras<B>1578,</B> à déplacer ce bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort<B>1579,
</B> de manière à amener un goujon<B>1587</B> porté par ce bras à rencontrer et à dégager la lan-uette 15ï5 du goujon<B>1576.</B> Le bras<B>157-1</B> est ainsi aban donné à l'action des ressorts 1574 et<B>1579</B> qui déplacent immédiatement ledit bras<B>1572</B> dans le sens des aiguilles d'une montre, de inanièt-e à retirer ses prolongements antérieurs du go.i- jon 1557 pour abandonner les bras 1553,
la table 1552 et la plaque de guidage 1551 à l'action des ressorts 1556 qui déplacent immé diatement ces pièces dans le sens des aiguille d'une montre pour mettre le bord antérieur recourbé de cette plaque de guidage 1551 en contact souple avec la pièce comptable 15â0 et avec la surface du rouleau 309, de manière à tenir cette feuille de sorte qu'elle ne puise pas se déplacer quand le rouleau 309 passe (le la position d'entrée ouverte à 1:i position d'im pression, afin que la ligne désire<B>(le</B> la feuille soit alignée sur le mécanisme imprimeur.
Le mouvement ei-de'ssus décrit clé la pla que de guidage 1551, destiné à tenir la feuille, se produit avant que le rouleau 30:) subisse un mouvement de retour et pendant que les goujons 1447 se déplacent sans effet dans les fentes des bras 1-116.
Le mouvement continu du bras 1578 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 108) sous l'influence de la saillie<B>1570</B> et du gou jon 1586 amène le goujon 1580 à s'engager sur le prolongement 1581 pour déplacer le bras 1582 dans le sens des aiguilles contre l'action du ressort 1574. Le mouvement du bras 1582 dans le sens indiqué dégage son prolongement 1583 en forme de patte de la douille 1584 pour libérer le rouleau 309 pour permettre son mouvement de la position d'en trée ouverte à la position d'impression.
Lorsque le bras droit 1448 s'approche du terme de son mouvement dans le sens con traire des aiguilles d'une montre, la surface courbe du prolongement 1567 (fig. 100) passe au-delà du goujon 1566 pour abandonner le bras 1558 à l'action du ressort 1568 qui dé place ce bras dans le sens des aiguilles d'une montre pour l'amener en contact souple avec le goujon 1557.
En même temps, une surface usinée de l'extrémité antérieure d'un bras droit 1591 fixé au bras droit 1152 (fig. 99 et 101) rencontre le goujon 1557 de manière à déplacer le bras 1553, la table 1552 et la pla que de guidage 1551 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour dégager le bord avant recourbé de cette plaque de gui dage de la feuille d'état 1550 et de la surface du rouleau 309 après que les rouleaux de pression 1563 actionnés par des ressorts sont entrés en contact avec cette feuille.
Lorsque le goujon 1557 passe, sous l'action du bras 1594,à côté du prolongement avant du bras 1558, ce prolongement est entraîné par un ressort sur le trajet de ce goujon pour blo quer le rouleau 309 dans la. position d'im pression- Si le bras 1558 ne bloque pas le rouleau 309 'dans la position d'impression, il peut arriver, lorsque la périphérie de la came 1-169 (fig. 115) passe au-delà du galet 1-167, que la coulisse 1457 et les pièces annexes s'écartent de leurs positions sous l'action du ressort 1556 (fig. 99 et 101)
suffisamment pour per mettre à la plaque de guidage 1551 de ren- contrer la feuille 1550 et pour permettre au rouleau 309 de se déplacer de la position d'impression. 'Mais ledit bras 1558, coopérant avec le goujon 1557, exclut cette éventualité. <I>Feuille</I> dc journal.
La machine représentée est construite à l'usage des établissements bancaires pour arrêter des comptes de chèques individuels et, dans un tel système, il y a un bordereau 1550 (fig. 117) pour chaque compte individuel. Gé néralement, chaque compte actif est journelle ment vérifié et le résultat de cette vérifica tion enregistré sur des états individuels 1550 (fi-. 117).
Dans un système de ce genre, on désire habituellement garder un duplicata de toutes les entrées d'une certaine période d'une journée ouvrable par exemple - sur une feuille de journal 1595 (fig. 103) qui s'enroule autour du rouleau 309 et qui reste en place pendant toute la période, quel que soit le nombre d'états 1550 vérifiés pendant cette période.
La feuille de journal 1595 peut prendre la forme d'un rouleau et est dirigée d'une source d'alimentation en passant par le bord postérieur recourbé d'une table 1596, par une fente formée par une surface inférieure d'une barre angulaire 1598 de guidage espacée de la surface supérieure de la table 1596 à l'aide de pattes repliées de cette barre, pattes qui sont fixées à ladite table. A partir de la fente, la feuille de journal 1595 est dirigée entre des rouleaux de pression 1599 à ressorts et la surface du rouleau 309, autour de ce rou leau et au-dessous de rouleaux supérieurs <B>1600</B> à ressorts, après quoi la feuille de jour nal est ramenée en arrière dans un récipient approprié.
La feuille de journal 1595 est habituelle ment insérée dans la machine au début d'une journée ouvrable et y demeure pendant toute la journée; elle est maintenue en place par les rouleaux de pression 1599 et 1600 pen dant que le rouleau 309 se déplace de la posi tion d'impression à la position. d'alimentation frontale et vice versa;
lesdits rouleaux de pression tiennent également la feuille de jour- nal en contact sûr avec le rouleau 309, de sorte que l'espacement des lignes sur la feuille peut s'effectuer convenablement. Etant donné que les feuilles 1550 s'introduisent entre la feuille de journal et les porte-caractères d'im pression, il faut interposer entre la pièce comptable et la feuille de journal 1595 un moyen duplicateur, du papier carbone par exemple; en conséquence, toutes les entrées faites sur les feuilles d'état pendant une jour née seront simultanément reproduites sur la feuille de journal.
En se reportant aux fig. 101. 102, 103 et 118, on voit qu'une plaque de support 1601 s'étend sur toute la longueur de cette table et porte sur chacune de ses extrémités une oreille repliée qui s'engage librement dans un arbre 1602 tournant dans des moyeux fixés dans des bras identiques 1603 de droite et de gauche (fig. 99 et 100)
dont les extrémités antérieures sont montées librement sur les douilles à tourillon du rouleau 309 et dont les extrémités postérieures sont pourvues de fentes qui s'engagent sur les goujons 1555 pour amener ces bras et la table 1596 à feuille de journal à se déplacer simultanément avec le rouleau 309 lorsque celui-ci passe de la position d'impression à la position d'alimen tation frontale et vice versa.
Il y a cinq rou leaux de pression<B>1599</B> (fi-. 101, 102 et 103) dont chacun est supporté entre les bras pa rallèles d'une chape correspondante 160-1; chacune de ces chapes s'adapte entre des paires correspondantes d'oreilles repliées vers le bas de la plaque 1601 et chaque chape est montée à rotation sir un axe correspondant 1605 supporté entre la paire correspondante d'oreilles.
Des ressorts à boudin 1606 coin- primés entre la surface inférieure de la pla que 1601 et la traverse des chapes 1604, en traînent ces chapes dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté au dessin, pour maintenir les rouleaiLZ de pression 1599 normalement en contact élastique avec la sur face du rouleau 309.
Des ressorts<B>1607,</B> tendus entre des gou jons des oreilles repliées de chacune des extré- mités de la plaque 1601 et des goujons fiés sur les bras 1603, entraînent cette plaque et la table 1596 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir les extrémités opposées d'un arbre 1608, tournant dans des oreilles repliées dirigées vers le bas de la plaque 1601, normalement en contact avec des cames 1609 sur des bras 1610; ces ressorts<B>1607</B> étant suf fisamment forts pour surmonter l'action du ressort 1606, les rouleaux de pression 1599 sont maintenus en prise élastique avec la sur face du rouleau 309, comme il a été expliqué ci-dessus.
Des bras 1611 (fi-. 101 et 118), fixés sur les extrémités opposées de l'arbre 1449, coopèrent avec les extrémités de l'arbre 1608 pour maintenir cet arbre en contact avec les cames 1609 pour assurer que la table 1596 soit maintenue en position convenable lorsque le rouleau 309 se trouve en position d'im pression.
Les rouleaux de pression supérieurs 1600 (fig. 101, 102 et 103) sont montés à friction sur un arbre de support 1612 qui est, à son tour, supporté par des bras 1613 de droite et de gauche montés librement sur l'arbre 1602. Chacun des bras 1613 a un épaulement cor respondant 1614 qui coopère avec un goujon correspondant 1615 fixé sur des bras 1616 qui sont montés librement sur des axes<B>1617</B> portés par les bras 1603 (fig. 99 et 100).
Des ressorts 1618 entraînent _les bras 1.616 dans le sens des aiguilles d'une montre en amenant les goujons 1615, en coopération avec les épaulements correspondants 161-1, à entraîner les bras 1613 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à mainte nir les rouleaux de pression 1600 en prise élastique avec la surface du rouleau 309 et, comme la partie supérieure de la feuille du journal 1595 (fig. 103) est enfilée entre ces rouleaux de pression 1600 et le rouleau 309, ces rouleaux de pression supérieurs aident les rouleaux de pression inférieurs 1599 maintenir la feuille de journal en contact convenable avec le rouleau 309,
(le sorte due cette feuille de journal ne gêne pas l'inser tion et l'enlèvement de la pièce comptable 1550 et que les lignes sur la feuille de jour- gal sont convenablement espacées par rota tion du rouleau 309 d'une manière décrite ci-après.
Sur l'extrémité gauche du rouleau 309 (fi-. 101, 102 et 103) est fixée une roue den tée 1620 qui engrène avec un pignon 1621 monté fou sur l'extrémité -arche de l'arbre 1612; ce pignon engrène avec tri pignon 16"2 solidaire d'une roue dentée 1623, les deux montés librement sur un axe 1624 supporté par le bras gauche 1613. La roue 1623 en grène avec un pignon 1625 fixé sur l'extré mité gauche de l'arbre 1612.
L'engrenage ci- dessus décrit constitue une commande entre le rouleau 309 et l'arbre 1612, lequel, par la friction avec les rouleaux de pression supé rieurs 1600, tend à entraîner ces rouleaux clé pression en synchronisme avec lui, de sorte que leur vitesse périphérique est supérieure à la vitesse périphérique du rouleau 309 en amenant ainsi ces rouleaux de pression supé rieurs à effectuer un mouvement de reprise. non positif, de façon à assurer la tension de la feuille de journal et du papier carbone superposé autour du rouleau 309 et que ce papier carbone et cette feuille de journal ne gênent pas l'insertion, ni le retrait de la pièce comptable 1550.
On a prévu un carter 1626 (fig. 103) pour enfermer les roues qui constituent la com mande des rouleaux de pression supérieurs 1600, afin -d'empêcher l'accès accidentel, de corps étrangers dans les dents de ces roues.
Les rouleaux de pression 1600 (fig. 101, 102 et 103) sont maintenus avee la surface du rouleau 309 et le<B>pignon</B> 1621 est main tenu en prise avec la roue 1620 à l'aide de prolongements 1627 en forme de crochets des bras<B>1613,</B> en coopération avec des goujons 1628 fixés aux bras 1610. Les extrémités anté rieures des bras 1610 sont en forme de four che pour recevoir les douilles correspondantes 1112, alors que les extrémités postérieures de ces bras pivotent sur des leviers coudés cor respondants fixés sur l'arbre 1602.
Sur l'ex trémité droite de l'arbre 1602 est fixé un levier manuel 1630 pourvu d'un doigt 1637 qui passe par -une ouverture d'une plaque de cou- --enture 1631 seulement lorsque le rouleau 309 est dans la position d'entrée ouverte (fi-. 100).
Le carter 1631 (fi-. 99 et 118) est fixé sur la surface extérieure de la plaque <B>1.076,</B> tandis qu'une plaque de protection asso ciée 1632 est fixée sur la surface extérieure de la plaque<B>107-1;</B> ces plaques sont de con tours symétriques et enferment le mécanisme contenu entre ces plaques 107-1 et<B>1076.</B> Des plaques de protection 1633 et 1631 (fig. 118), correspondant aux plaques 1631 et 1632 et fixées, à leur tour, aux plaques 1077 et 1075, recouvrent le mécanisme supporté entre ces plaques.
En se référant à la fia. 102, on verra que le levier 1630 a trois positions: Lorsque ce le vier est dans sa position antérieure représen tée en pointillé, les goujons 1628 sont en con tact avec les prolongements 1627, comme re présenté aux fig. 101 et 103, de manière à bloquer les bras 1613 dans leur position infé rieure, afin de maintenir les rouleaux de pres sion supérieurs 1600 en contact avec la sur face du rouleau 309.
Le mouvement du levier 1630 de sa position antérieure vers sa posi tion intermédiaire indiquée sur la fig. 102 en traits pleins fait tourner l'arbre 1602 et le levier coudé 1629 dans le sens des aiguilles d'une montre en vue de déplacer les bras 1610 vers l'arrière et de dégager les goujons 1628 des crochets 1627 de manière à amener ces goujons, en coopération avec des cames sur les extrémités inférieures des bras 1613,à dé placer ces bras vers le haut, ou dans le sens (les aiguilles d'une montre, contre l'action des ressorts 1618, afin de dégager les rouleaux presseurs supérieurs 1600 du rouleau 309,
comme indiqué à la fig. 102.
Le mouvement supplémentaire du levier 1630 de la position intermédiaire à la position extrême postérieure indiquée à la fig. 102 en pointillé, outre qu'il maintient les rouleaux de pression supérieurs 1600 dans la position indiquée, imprime un mouvement supplémen taire vers l'arrière aux bras 1610 en amenant leurs cames, en coopération avec l'arbre 1608, à déplacer la table 1696 à feuilles de journal dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action des ressorts 1607 en vue de dégager les rouleaux de pression infé rieurs 1599 du rouleau 309, comme indiqué à la fig. 102 en pointillé, de sorte qu'on puisse insérer convenablement la feuille de journal 7595 autour du rouleau 309.
Lorsque le rouleau 309 passe de la posi tion d'entrée ouverte à la position d'impres sion, le mouvement des bras de droite et de gauche 1578 (fig. 108) dans le sens des aiguil les d'une montre, mouvement effectué lors que la saillie 1570 des bras 1118 s'engage sur les goujons 1586, amène des doigts 1635 di rigés en arrière de ces bras 1578, en coopéra tion avec des goujons 1636 fixés sur les le viers coudés 1629 (fig. 102),à déplacer ces leviers coudés, l'arbre 1602 et le levier 1630 à leurs positions normales ou extrêmes dans le sens contraire des aiguilles d'une montre;
ce mouvement desdits leviers coudés déplace les bras 1610 vers l'avant vers la position nor male indiquée sur les fig. 101 et 103, de ma nière à remettre en contact les rouleaux de pression supérieurs et inférieurs avec la sur face du rouleau 309 et à amener les goujons 1698 à s'engager sur les prolongements<B>1627</B> pour retenir ces rouleaux presseurs supérieurs en position de contact. Un ressort 1638 (fig. 101 et 102), tendu entre le levier 1630 et un goujon du bras de droite 1603 (fi-. 99), aide à ramener et maintenir le levier 1630 et les pièces annexes en position normale.
On peut donner à volonté aux rouleaux de pression 1600 et à leurs bras de support 1613 une position plus ouverte, comme indiqué en pointillé à la fi-. 102, simplement en saisis sant ces pièces à la main et en les plaçant dans cette position. Dans ce cas, les goujons 1615 s'écartent des épaulements 1611 et se posent sur les surfaces courbes adjacentes, comme indiqué à la fig. 102 en pointillé. La course de ce mouvement manuel est limitée par un épaulement 1639 sur chacun des bras 1613, en coopération avec des goujons corres pondants 1640 fixés dans des oreilles dirigées vers le bas de la plaque 1601.
<B><U>1</U></B> lécanisme tâteur de la feuille de journal.
On a prévu un mécanisme tâteur ou con tacteur pour bloquer la machine lorsque la feuille de journal approche de sa fin.
En se reportant aux fig. 14 et 103, on voit que l'arbre 1608 qui, comme on se rap pelle, est supporté à rotation par des oreilles repliées dirigées vers le bas de la plaque infé rieure 1601, est pourvu d'une série de doigts tâteurs 1611 qui passent par des fentes 1612 (fig. 118) pratiquées dans la table 1596 où se trouve la feuille de journal et dans des ouver tures correspondantes dans la barre<B>1598.</B> Sur les extrémités opposées de l'arbre 1608 sont également fixés un bras 1613 et un levier 1.641 dont chacun porte -un goujon 1615 qui coopère respectivement avec les bords supé rieurs des bras de droite et de gauche 1616 montés librement sur l'arbre 1119, ces gou jons 1615 se trouvant en alignement axial l'un avec l'autre.
Les bras 1616 sont pourvus de parties rectangulaires auxquelles est fixée une barre à rainure 1617 qui s'étend sur toute la longueur du chariot et qui coopère avec un goujon 1618 fixé sur l'extrémité supérieure d'une barre 1619. L'extrémité inférieure de la barre 1619 (fig. 14) pivote sur une tige 1651 qui s'étend entre les bras latéraux d'une chape 1652 fixée sur un arbre 1653 tournant dans -une console qui est, à son tour, fixée à la traverse 138; cette barre 1619 passe par une ouverture dans une plaque de couverture 1650 fixée sur les châssis 139 et 110.
Sur l'ar bre 1653 est également fixé un bras 1654 por tant sur son extrémité supérieure un goujon 1661 qui s'engage dans une fente de l'extré mité arrière d'une articulation 1655 dont l'extrémité antérieure pivote sur le linguet 197, lequel, comme il a été expliqué précé demment, coopère avec les blocs 196 fixés sur la barre de verrouillage 191.
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, la feuille de journal 1595 (fi. 103), passe par une fente entre la barre de guidage 1598 et la face supérieure de la table 1596; en ce faisant, elle recouvre les ouvertures prévues dans la barre 1598 pour les doigts 1611 et empêche le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre. de ces doigts et de l'arbre 1608 sous l'action d'un ressort 1656 tendu entre le levier 1644 et un verrou 1657.
L'empêchement du mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 1608, du levier 1644 et du bras 16-13 amène le goujon 1615, en coopération avec le bras 1616, à re tenir la barre à rainure 1647 dans sa position inférieure indiquée sur la fi-. 14; ceci retient, par le goujon 1618, la barre 1649, la chape 1652, l'arbre 1653 et l'articulation 1655, ledit linguet 197 dans sa position représentée con tre l'action d'un ressort 1658, de manière à tenir ce linguet éloigné du trajet du bloc 196, de sorte que le mouvement de démarrage en arrière de la coulisse de démarrage ne sera pas empêché.
Lorsque la fin de la feuille de journal 1595 passe au-delà des extrémités antérieures des doigts 1641 et des ouvertures correspon dantes dans la barre de guidage 1598, les dits doigts passent dans ces ouvertures en permettant au ressort 1656 de faire pivoter l'arbre 1608, le bras 1643 et le levier 16z4 clans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à retirer les goujons 1645 des bords supérieurs des bras 1646 et à permettre au ressort 1658 de déplacer l'articulation<B>1655</B> vers l'avant pour faire tourner le linguet 197 dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre sur le trajet des blocs angulaires 196,
de manière à empêcher le mouvement de démar rage en arrière de la coulisse de démarrage 194 en empêchant ainsi le fonctionnement de la machine.
Au cas 'où il serait nécessaire ou désirable de manipuler la machine après que la fin de la feuille de journal 1595 (fi-. 14) a dépassé les extrémités des doigts 1641, le déplacement du levier 1644 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1656 à l'aide d'un doigt de l'extrémité supérieure de ce levier qui passe par une ouverture dans la table 1596 de la feuille de journal (fig. 103)
déplace le linguet 197 dans le sens des aiguilles d'une montre vers une position inopérante et place un goujon 1660 de ce levier 1644 en face d'une encoche du verrou 1657, à la suite de quoi le ressort 1656 déplace ce verrou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sur son pivot 1659 filé sur une patte repliée de la plaque 1601 pour bloquer le levier 1644 et, par le mécanisme de liaison, le linguet <B>197</B> respectivement dans des positions inférieure et inopérante.
Après que le mécanisme tâteur a été rendu inopérant à la main par le mouvement du le vier 16-14, comme on vient de le décrire, le mouvement du rouleau 309 de la position d'impression vers la position d'alimentation frontale amène un. goujon<B>1663</B> (fig. 14) porté par un prolongement vers le haut du verrou 1657 à s'engager sur une saillie de la plaque 1076 (fig. 118) pour déplacer ce ver rou dans le sens des aiguilles d'une montre et dégager son encoche du goujon 1660.
Une saillie du verrou 1657 coopère avec un goujon 1664 du levier 1644 et limite, conjointement avec le goujon 1660, le mouvement de ce le vier 1644 et de ce verrou<B>1657,</B> l'un par rap port à l'autre.
Il ressort de ce qui précède que le méca nisme tâteur de la feuille de journal bloque la, machine lorsque la fin de la feuille de journal dépasse un point déterminé et que ce mécanisme tâteur peut être rendu inopérant par la manceuvre manuelle du levier 1644 (fig. 14), de sorte que la machine peut, en suite, être manceuvrée, mais le premier mou vement. du rouleau 309 de la position d'im pression à la position d'entrée ouverte fait entrer en action le mécanisme tuteur pour empêcher le fonctionnement ultérieur de la machine.
<I>Mécanisme de rotation</I> (lit rouleau <I>ou d'espacement des</I> lignes. En se référant aux fi-. 49 et 118, on se rappellera que le rouleau 309 a un noyau de bois 1441 avec un alésage central pour rece voir des broches dans les douilles 1442, ces douilles étant pourvues de flasques fixées aux extrémités du noyau de bois par des vis. La circonférence extérieure des douilles 1442 Supporte le rouleau 309 à rotation, pour effectuer l'espacement des lignes, et égale ment en vue d'assurer son mouvement d'al ler et retour à la position d'impression.
Elle supporte également certains des mécanismes représentés aux fi-. 99 et 100 et expliqués ci- dessus, destinés au contrôle des mouvements du rouleau aller et retour à la position d'im pression.
Les alésages centraux des douilles 1442 sont en alignement axial et supportent une tige 1665 qui est maintenue à l'encontre (lu déplacement par une vis de fixation 1666 (fig. 118) qui fixe également un bouton 1667 du côté droit pour la rotation manuelle du rouleau sur la douille 1-142. Il y a un bouton du côté gauche 1668 (fig. 49 et 118), simi laire au bouton clé droite, pour la rotation manuelle du rouleau 309;
ce bouton 1668 est fixé à un manchon<B>1669</B> supporté à glisse ment par la tige 1665 et relié à la douille de gauche 1-142 à l'aide de tenons qui coopèrent avec l'encoche d'accouplement dans cette douille 1442. Une vis de fixation 1670 (fin. 49), vissée dans un taraudage du bouton 1668, est pourvue d'un tenon qui s'engage dans une rainure annulaire de la tige 1665.
Un ressort à boudin 1671, comprimé entre une tête de l'extrémité gauche de la tige 1665 et l'extrémité du manchon 1669, pousse ce man chon et le bouton 1668 vers la droite, comme représenté au dessin, pour faire embrayer normalement un mécanisme d'accouplement à l'aide d'une roue à rochet 1672 d'avancement du rouleau avec le manchon 1669 pour le faire tourner solidairement, de manière à faire entrer en action le moyen assurant 1e'espacement automatique des lignes du rou leau 309.
La roue à rochet<B>1672</B> est montée folle, sur la circonférence extérieure du man chon 1669 et est solidaire d'une partie 1673 en forme de tambour ayant une circonférence intérieure moletée qui coopère avec une mo lette 1674 montée clans iuie fente d'un disque 1675 relié au manchon 1669 pour tourner so lidairement, à l'aide d'une partie angulaire plate de ce nianclion en coopération avec un coin 1676, ce coin s'engageant librement dans une fente dudit disque 1675.
hTormalement, le ressort 1671 pousse le bouton 1668 et le manchon 1669 vers la droite en amenant la partie plate de ce manchon, en coopération avec le coin 1676,à déplacer la molette 1674 vers le haut pour embrayer sa partie moletée avec la partie correspondante de la circonférence intérieure du tambour 1673, de manière à accoupler ce tambour 1673 et la roue à rochet 1672 au manchon 1669, lequel, comme on se rappelle, est relié à la douille 1442.
Si l'on désire débrayer le rouleau 309 de la roue à rochet 1672 pour ajuster la pièce comptable à la ligne d'impression, on retire 1c bouton 1668 vers l'extérieur contre l'action du ressort 1671, ce qui retire la surface angu laire plate prévue sur le manchon 1669 du coin 1676 pour permettre audit coin et à la molette de descendre, de manière à débrayer la denture de cette molette de la denture de la circonférence intérieure du tambour 1673 et à dégager la roue à rochet 1672 du rou leau 309, de sorte que ce rouleau puisse tour ner indépendamment, afin d'ajuster la pièce comptable par rapport à la ligne d'impres sion et au mécanisme d'espacement des lignes du rouleau.
On a prévu un mécanisme coopérant avec la roue à rochet 1672 et représenté aux fig. 111, 112 et 113 pour la rotation automa tique du rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur la pièce comptable portée par le rouleau. Un cliquet d'arrêt 1677 pivote sur un. axe 1678 fixé sur le bras gauche 1603 (fig. 49 et 118) et un ressort<B>1679</B> entraîne ce cliquet d'arrêt dans le sens des aiguilles d'une mon tre pour maintenir un goujon 1680 fixé sur le cliquet normalement en contact avec les dents de la roue à rochet<B>1672,</B> de manière à retenir cette roue et le rouleau 309 en posi tion alignée. Le goujon 1680 permet la rota tion de la roue à rochet 1672 dans les deux sens.
Un eliquet d'avance 1681 pivote sur un axe 1682 fixé sur un bras 1683 de manaeuvre de cliquet d'avancement, bras pourvu d'un moyeu qui est monté librement sur la douille gauche 1442. Un ressort 168-1, tendu entre le cliquet 1681 et le bras 1683,
entraîne ce eli- quet dans le sens des aiguilles d'une montre pour amener sa dent 1685 à engrener avec les < lents de la roue<B>1672</B> lorsqu'on "imprime au bras 1683 lui mouvement de va-et-vient, comme exposé ci-après.
L'aie 1682 supporte à oscillation l'extrémité antérieure d'une articu lation 1686 dont l'extrémité postérieure pivote sur un goujon 1687 d'un bras 1688 relié par -nu moyeu 1689 à un bras associé 1690, ce moyeu étant monté à oscillation sur un gou jon 1691 fixé sur la plaque 1075.
L'extrémité inférieure du bras 1690 est fendue pour re cevoir un goujon 1692 fixé sur im bras 1693 <B>(le</B> gauche qui est monté librement sur un goujon 169.1 de gauche qui- s'étend entre les plaques 1075 et<B>1077</B> (fig. 118) et qui est re lié par une chape 1695 à un bras associé 1693 de droite supporté à rotation par un goujon 1691 de droite qui s'étend entre les plaques 107-1 et 1076.
Un ressort 1696 entraîne le bras 1693 et la chape 1695 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour maintenir le bras 1693 de âauche normalement en contact avec un doigt replié 1697 d'une plaque 1698 fixée à la plaque<B>1075.</B>
Le bord arrière de la chape 1695 (fig.111 et 114) est recourbé, de manière à former une surface extérieure arrondie qui coopère avec un prolongement 1700 replié vers le haut d'une coulisse<B>1701</B> de'espacement des lignes montée à glissement à l'aide de fentes paral lèles (fig. 96A et<B>9613)</B> en coopération avec les goujons à vis 1158; cette coulisse 1701 est montée immédiatement au-dessus de la cou lisse 1457 dont elle est séparée par des ron delles placées sur les goujons 1458.
La cou lisse 1701 a un prolongement vers le bas avec une encoche 1702 qui s'engage sur un goujon 1703 de l'extrémité supérieure d'un bras 1704 fixé sur un axe 1705 qui tourne dans un alé- sa--e du châssis 1087. Un prolongement du bras 1704 est fendu pour recevoir un goujon <B>1706</B> d'un bras<B>1707</B> fixé sur l'une des extré mités d'un manchon 1708 monté librement sur la ti.-e 1165.
Sur l'autre extrémité du man chon 1708 est fixé un levier 1709 en forme de <B>V</B> portant des galets 171Ô et 1711 qui eoopé- rent respectivement avec les périphéries de cames associées 171\_' et 1713 qui sont calées ensemble avec un disque de repérage, dans un rapport mutuel fixe, sur un manchon 171-1 tournant librement sur l'arbre 1153.
Sur le manchon 1714 est également fixé (fi-. 96B) un organe commandé par accouplement 1715 pourvu de dents, qui coopère avec un organe de commande par accouplement 1716 relié par des tenons et mortaises à un manchon filé sur l'arbre 1153, de sorte que cet organe de commande tourne solidairement avec cet arbre, tandis qu'il est libre de se déplacer sur l'arbre latéralement.
L'organe de commande 1716 'est actionné par fuie chape 1717 qui est, à son tour, commandée par un organe de blo cage fixé sur un arbre 1718 qui tourne dans le châssis 1087 et dans la plaque supérieure droite 1136; cet arbre porte également un bras 1719 entraîné par un ressort dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir le verrou normalement en prise avec la chape 1.717. Le bras 1719 est relié, par une articu lation 1720,à un bras 1721 fixé sur un arbre 1722 qui tourne dans des prolongements du châssis 1087.
Sur l'extrémité droite -de l'ar bre 1722 est fixé un bras 1723 relié par une articulation 1724 (flg. 7A, 7B et GO) à un levier 1725 monté librement sur le goujon 1q98. L'extrémité inférieure du levier 1725 est fendue pour recevoir un goujon fixé sur l'extrémité supérieure d'in levier 1726 monté librement sur le goujon 1501, ce levier 1726 étant relié à oscillation par suie articulation 1727 à l'extrémité inférieure d'un levier 1728 monté librement sur le goujon<B>161.</B> L'articu lation 1727 (fig. 7A et 60)
a un prolonge ment vers le haut 1729 qui coopère avec un goujon 1730 d'une plaque 1731 montée libre ment sur le goujon 1508 et reliée à oscillation par -une articulation 1732 à un levier 1733 monté librement sur l'arbre 1512. L'extrémité avant du levier 1733 pivote sur une partie repliée de la tige de la touche<B>1073</B> d'Avance du Papier (voir aussi fig. 1 et 3). Un ressort 1734 entraîne la plaque 1731 dans le sens con traire des aiguilles d'une montre, ce qui main- tient, par l'articulation 173\Z et le levier 1733, la touche 1073 normalement en position non abaissée.
L'abaissement de la touche<B>1073</B> Avance du Papier (fie. 1, 3, 74, 7B, 60 et 96B) dé place la plaque 1731 clans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1734 en amenant le goujon 1730, en coopération avec le prolongement 1729,à déplacer l'arti culation 17\_'7 en avant.
Le mouvement de l'articulation<B>1727</B> vers l'avant déplace, par les leviers 1726 et 1725, l'articulation 172-1 également vers l'avant, de manière à déplacer le bras 1723 (fie. 7B et 96B), l'arbre 1722 et le bras 1721 dans le sens des aiguilles d'une montre, le mouvement du bras 1721 dans le sens indiqué déplace, par l'articulation 1720, le bras 1719 et l'arbre 1718 clans le sens con traire des aiguilles d'une montre, comme re présenté à la fie.
96B, de manière à dégager le verrou de la chape 1717 et à amener cette chape à relier l'organe de commande 1716 à l'accouplement avec l'organe commandé 1715 pour faire accomplir aux cames 1712 et 1713 (fie. 114) un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, à la suite (le quoi le mécanisme d'accouplement est automatiquement débrayé.
Le mécanisme d'accouplement comman- clant le mécanisme d'espacement des lignes est le même et fonctionne exactement de la même façon que le mécanisme d'accouplement pour l'abaissement des pistons d'arrêt du tabula teur, représenté sur les fi-.<B>86</B> et<B>96A</B> et expliqué précédemment.
La rotation des cames 1712 et 1713 (fie. 114) par le mécanisme représenté dé place la coulisse 1701 d'abord vers l'avant et ensuite vers l'arrière à la position normale. Le mouvement de la coulisse 1701 (fie. 964, 96B, 111 et 11-1 déplace, par le prolongement vers le haut 1700 de la coulisse, en coopéra tion avec la partie arrondie de la traverse 1695, cette traverse et le bras 1693 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, mou vement qui, par le goujon 1692, le bras 1690, le bras 1688 et l'articulation 1686, déplace le bras 16S3 é;alement clans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1683 clans le sens indiqué amène la dent 1655 du cliquet 1681 à engrener, sous l'action du res sort 1684, avec les dents de la roue à rochet 1672 pour faire tourner le rouleau 300 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à espacer les lignes sur la feuille de journal 1595 enroulée autour du rouleau.
Outre la touche<B>107â</B> de l'Avance du Pa pier, on a prévu un autre mécanisme con trôlé par le chariot dans des positions de co lonnes déterminées de celui-ci et par les barres de démarrage de la machine pour provoquer le fonctionnement du mécanisme d'avance du papier; ce mécanisme sera expliqué ultérieu rement.
Le mouvement de la coulisse 1701 en arrière (fie. 111) permet au ressort 1696 de ramener les bras 1693, la chape 1695 et les pièces annexes, y compris le bras 1683 et le cliquet 1681, dans le sens contraire des aiguil les d'une montre ou dans la direction de re prise pour préparer.la prochaine opération d'avance du papier. <I>Commande de</I> l'espacement <I>des</I> lignes. On a prévu un mécanisme à came pour le contrôle de l'engrènement (le la dent 1685 (fig. 111) du cliquet 1681 avec les dents de la roue à rochet 167 , afin de déterminer si le rouleau 309 et le support d'enregistrement qu'il porte seront avancés d'une, de deux ou de trois lignes.
En se reportant aux fie. 111, 112 et 113, on voit que le cliquet 16S1 d'avance porte un goujon qui coopère avec une surface courbe <B>1737</B> d'une plaque<B>1738</B> pourvue d'un moyeu monté librement sur le moyeu pour le bras 1683;
cette plaque présente, sur un prolon gement, trois encoches de position 1739 qui coopèrent avec un goujon 17-10 d'un cliquet d'arrêt 1741 monté fou sur un axe 1742 fixé sur le bras 1603 de gauche (fi;Y. 99 et 118) et entraîné par un ressort 17-13 dans le sens (les aiguilles d'une montre, de manière à mainte nir ce goujon normalement en contact souple avec lesdites encoches de position.
Une arti culation 17-1-1 relie la plaque 1735 à oscilla tion à un levier 1745 monté librement sur le goujon gauche 1691 et pourvu d'in doigt 1716 qui passe par une ouverture de la plaque de couverture gauche 1633.
Lorsque le bras<B>1683</B> et le cliquet 16S1 se trouvent dans leurs positions de prise en charge, comme représenté, la surface courbe 1737, en coopération avec le goujon 1736, maintient la dent 16S:3 de ce cliquet en dehors des dents de la roue à. rochet 167?.
Lorsque le levier 17-15 et la plaque 1738 se trouvent dans la position indiquée sur la fig. 113 en traits pleins, le mouvement d'avance du cli- quet 16S1 dans le sens des aiguilles d'une montre amène le goujon 1736 à quitter la sur face courbe 1737 aussitôt que possible et, ce faisant, amène la dent.
1685 à engrener avec les dents de la roue à rochet 1672 suffisam ment tôt, de sorte que le mouvement continu de ce cliquet 1681 dans le sens des aiguilles d'une montre fait avancer la roue<B>1672</B> et le rouleau 309 d'une distance é-ale à trois dents de la roue à rochet, de manière à espacer la pièce comptable de trois lignes.
Le déplace ment du levier 1715 et de la plaque 1738 d'un cran dans le sens des aiguilles d'une montre, comme indiqué à la fi.. 113 en pointillé, amène la surface courbe<B>1737</B> de cette plaque à retarder l'engagement entre la dent du cli- quet 1681 et la roue 1672 suffisamment pour que le mouvement de ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre fasse avancer cette roue et le rouleau 309 d'une distance égale à deux dents de la roue à rochet,
de manière à espacer la pièce comptable de deux lignes. Le mouvement du levier 171â et de la plaque 1738 dans le sens des aiguilles d'une montre d'un cran supplémentaire, comme indiqué à la fig.. 113 en pointillé, amène la surface courbe 1737 en coopération avec le goujon 1.736 à retarder encore l'engrènement de la dent du cliquet 1681, de manière que le mou vement complet de ce cliquet dans le sens des aiguilles fera avancer la roue 1672 et le rou leau 309 d'une distance correspondant à une dent de la roue à rochet,
de manière à espacer la pièce comptable d-'iuie seule ligne.
Lorsque le cliquet d'avance 1681 arrive à la fin de son mouvement d'avancement dans le sens des aiguilles d'une montre, comme in diqué à la fig. 112, le goujon l736, en coopé ration avec un doigt en saillie 1717 du cliquet d'arrêt 1677, bloque ce cliquet et le goujon 1680 contre le mouvement d'encliquetage, de manière à amener ce goujon à bloquer, à son tour, la roue à rochet 1672 et. le rouleau 309 pour assurer l'espacement précis de cette roue et pour éviter le dépassement. en cas de mou vements rapides du mécanisme d'avancement du papier.
Chaque douille 1112 (fig. 109. 110 et 118) et le manchon 1669 passent par des ouver tures correspondantes 17-18 dans les plaques de droite et de gauche 1071 et<B>1075</B> et par des fentes courbes 1719 dans les plaques de cou verture de droite et de gauche 1632 et 1631, ces fentes permettant au rouleau 309 de pas ser de la position d'impression à la position d'alimentation frontale et vice versa.
On a prévu des volets mobiles pour fer mer les fentes 1749 lorsque le rouleau 309 se trouve dans une de ses positions de manaeu- vre, afin d'empêcher l'introduction de corps étrangers dans les fentes et ainsi éviter les dangers pour les personnes ou pour le méca nisme du chariot.
Comme le mécanisme se répète pour cha que côté du chariot, on ne décrira le méca nisme pour la fermeture de la fente que pour le côté droit du chariot.
La fente de droite 1719 peut être fermée par des volets segmentaires 1750 et 1751 re liés à friction à l'extrémité supérieure d'un levier coudé 1752 monté librement sur un goujon 1753 fixé à la plaque de droite 1071. Un ressort 1751 entraîne le levier coudé 1752 dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre en vue de maintenir une surface avant concave du segment 1751 normalement en contact avec une surface similaire convexe du bord antérieur de la fente 1749.
Lorsque le rouleau 309 est en position d'impression comme indiqué sur la fig. 109, l'extrémité supérieure du segment 1750 ferme l'extrémité supérieure de l'ouverture 1748 et le segment 1751 ferme la partie centrale de cette ouverture en fermant ainsi virtuelle ment toute la fente contre l'introduction d'ob jets étrangers, sauf la partie de la fente par laquelle passe la douille 1442. Lorsque le rou leau 309 passe de la position d'impression à la position d'alimentation frontale, comme indiqué sur la film. 110, la douille 1442 re pousse simplement les segments 1751 et 1750 du volet, en déplaçant le levier coudé 1752 i dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1754.
De même, lorsque le rouleau 309 passe de la position d'impression à la position d'alimentation frontale, la douille 1442 entre en contact avec l'extrémité supérieure du volet segmentaire 1750 et le dé place dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte que son extrémité inférieure recou vre la partie inférieure de la fente 1749 non recouverte du volet 1751. Hécanisine <I>pour le</I> déclenchement automatique <I>de la machine.</I>
On a prévu un mécanisme contrôlé par certaines touches de commande et par cer taines touches de correction ainsi que par le chariot dans des positions tabulées de celui-ci pour provoquer le déclenchement automatique de la machine, en simplifiant ainsi la mani pulation de la machine et évitant, dans cer tains genres d'opérations, l'abaissement d'une des barres de démarrage. On décrira ci-après le mécanisme pour le déclenchement automa tique de la machine.
En se reportant aux film. 3, 31B et 124, on voit que les goujons 413 des touches de com mande 376, 377, 378 et 379 coopèrent avec des cames angulaires pratiquées dans des ouvertures d'une plaque de commande 1756 supportée à glissement horizontal par les gou jons 416. Le bord supérieur de la plaque de commande 1756 est pourvu de dents qui en grènent avec les dents d'un pignon segmen taire<B>1757 fixé sur</B> l'extrémité gauche d'un arbre 1758 qui tourne dans les plaques 398 et 399 (film. 47).
Sur l'extrémité de droite de l'arbre 175S est fixé un pi-non segmentaire similaire 1759 qui engrène avec les dents du bord supérieur d'une plaque de commande 1760 (film. 124) supportée de manière à se dé placer horizontalement sur la plaque 398 exactement de la même façon que la détente 411 et la plaque de commande 822. La plaque de commande 1760 a des cames angulaires 1755 (film. 38) pratiquées dans des ouvertures de cette plaque, qui coopèrent avec des gou jons 410 portés par les touches de correc tion 369.
La plaque de commande 1760 (film. 38) porte un goujon 1761 qui coopère avec un prolongement dirigé vers le haut 1762 d'une bielle 1763 montée à glissement à l'aide de fentes parallèles pratiquées dans cette bielle, en coopération avec des goujons fixés sur le châssis gauche 131. La bielle 1763 a dans son extrémité arrière une fente 1764 en contact avec un crochet formé sur l'extrémité anté rieure d'une tige 1765 dont l'extrémité posté rieure présente un oeillet dans lequel s'en gage un goujon 1766 porté par l'extrémité inférieure d'un bras<B>1767</B> fixé près de l'extré mité gauche d'un arbre 1768 de démarrage de la machine, arbre qui tourne dans des prolon gements postérieurs du châssis 1087 (film. 7 A, 96A et 96B)
. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 1768 (film. 7B, 96A et 96B) est fixé un bras 1769 dirigé vers le haut et relié par une articulation 1770 à oscillation à un bras 1771 fixé sur un arbre 1772 dont les extré mités opposées tournent dans le châssis 1087 et dans la plaque de protection de droite 1136.
Un ressort 1773 (film. 96B) entraîne le bras 1771 et l'arbre 1772 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à mainte nir un verrou porté par cet arbre en prise avec un prolongement d'une chape 1774 de manoeuvre d'un accouplement, chape qui con trôle l'embrayage et le débrayage d'un organe de commande 1775 à accouplement monté<B>(le</B> manière à tourner solidairement avec l'arbre 1153 et à se déplacer axialement par rapport à cet arbre à l'aide de nervures et cl'eneoches d'accouplement.
L'organe de commande 1î 75 est pourvu de dents qui coopèrent avec des dents correspondantes d'un organe cl'aecou- plement entraîné<B>1776</B> solidaire d'ttii manchon 1777 monté librement sur l'arbre 1153; de ce manchon sont également solidaires des cames associées 1778 et 1779 (fig. 116). Les péri phéries des cames 1778 et 1779 entrent en contact respectivement avec des galets 1780 et 1781 fixés sur un levier 1782 en forme de<B>V</B> qui, lui, est monté sur un arbre 1783 tournant dans le châssis 1087 en alignement axial avec la tige 1165.
Sur l'arbre 1783 (fig. 7B et 116) est également fixé un bras 1784, relié par une articulation 1785 à l'extrémité supérieure d'un levier 1786 monté librement sur un axe 1787 de la plaque 1191. L'extrémité infé rieure du levier 1786 comporte une fente pour recevoir un goujon 1788 fixé sur l'extré mité supérieure d'un bras 1789 qui est, à son tour, fixé par un moyeu 1790 à un bras associé 1791, ce moyeu étant monté librement sur un arbre 1792 tournant dans les plaques 1191 et 1388 (fig. 95).
L'extrémité postérieure d'une articulation 1793 pivote sur le bras 1791, tandis que l'extrémité antérieure de cette articulation est fendue pour recevoir un gou jon 1794 de l'extrémité inférieure d'un bras 1795 relié par un moyeu 1796 à un bras 1797, ce moyeu étant librement monté sur un arbre 1798 qui tourne dans les châssis principaux 130 et 131. Le bras 1797 est relié par une articulation 1799 à un levier 1800 monté librement sur le goujon 161 et pourvu d'un prolongement 1801 susceptible de s'engager sur un goujon 1802 du levier 160.
L'abaissement de l'une quelconque des tou ches de commande 376, 377, 378 ou 379 (fig. 31B) ou de l'une quelconque des tou ches de correction 369 (fig. 38) déplace la plaque de commande vers l'avant, ce qui dé place, à l'aide de la bielle 1763 et la tige 1.765, le bras<B>1767</B> et l'arbre 1768 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Le mou vement de l'arbre 1768 dans le sens indiqué, comme représenté à la fig. 38, et le mouve ment de cet arbre dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté aux fig. 7A et 7B, actionne, par le bras 1769 et l'articu lation 1770, le mécanisme d'accouplement pour les cames 1778 et 1779, de manière à faire effectuer à ces cames um tour dans le sens des aiguilles d'une montre, connne re présenté à la fi-. 116.
La rotation des cames <B>1778</B> et 1779 fait pivoter le levier<B>1782,</B> l'ar bre 1783 et le bras 1784 d'abord dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et ensuite retour à la position normale. Le mouvement du bras 1784 dans le sens contraire des aiguil les déplace, par l'articulation 1785 et le levier 1786, les bras 1789 et 1791 d'abord dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer l'articulation<B>1793</B> en arrière. Le mouvement de l'articulation 1793 en arrière déplace, à l'aide d'iui ressort re liant cette articulation au bras 1795, ce bras et son bras associé 1797 dans le- sens contraire des aiguilles d'une montre, mouvement qui déplace, par l'articulation 1799, le levier 1800 également dans le sons contraire des aiguilles.
Le mouvement du levier 1800 dans le sens indiqué amène son prolongement 1801 à s'engager sur le goujon 1802 du levier de démarrage 160 pour déplacer ce levier égale ment dans le sens contraire des aiguilles d'unie montre, de manière à dégager l'épaulement sur le prolongement de ce levier de la patte repliée 159 et à libérer la coulisse 156 (fi-. 6 et 116) qui, à son tour, déclenche la machine comme expliqué précédemment.
Après que les cames 1778 et 1779 (fig. 116) ont fait un tour, un mécanisme de remise en position, fonctionnant exactement comme le mécanisme représenté sur _ la fig. 47, aide à débrayer le mécanisme d'accouplement pour ces cames et les place dans les positions normales, comme indiqué.
Le levier 1800 (fig. 116) porte un goujon 1804 qui coopère avec un prolongement vers le bas d'un levier 1805 monté librement sur le goujon 177. Le levier 1805 possède un pro longement dirigé vers le haut qui coopère avec le bloc 196 sur la barre de blocage 194 et, lorsque l'un des cliquets 197, 198 ou 199 représentés à la fig. 14 empêche le mouve ment de la barre 194 en arrière, le levier 1805 empêche également le mouvement de démar rage de ce levier 1800 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour interdire le fonctionnement automatique de la machine.
<I>Contrôle de</I> l'espacement (les<I>lignes et de la</I> tabirlation <I>par les barres de</I> démarrage. La barre principale de démarrage 170 et la barre 171 d'Avance Verticale, ou d'espace ment des lignes (fig. 1 et 3), outre le déclen- ehement du fonctionnement de la machine, sont prévues pour contrôler le mouvement dii rouleau 309 pour l'espacement des lignes et pour le mouv eurent de tabulation de colonne en colonne du chariot.
Le contrôle du mou vement du rouleau 309 pour l'espacement des lignes et du mouvement de tabulation de co lonne en colonne du chariot sous l'action des barres 170 et 171 peut varier à l'aide d'iui. mécanisme tâteur qui coopère avec des seg ments de commande irréguliers ajustés à leur tour par rapport à ce mécanisme tâteur par une coulisse manuelle 1808 (fig. 1, 3 et 120).
La coulisse 1808 est montée à glissement sur la plaque supérieure<B>188</B> du clavier nu méral à l'aide d'une plaque inférieure 1810 espacée de la surface inférieure de cette cou lisse<B>1808</B> d'une distance légèrement supé rieure à l'épaisseur de ladite plaque supé rieure<B>188</B> au moyen d'une entretoise 1811, cette plaque 1810 et cette entretoise étant filées à la coulisse 1808 par des vis. La cou lisse peut être ajustée à quatre positions de contrôle et maintenue par un organe d'ajus tage 1512 à ressorts, fixé sur la face infé rieure de la plaque 188; cet organe d'ajustage est pourvu d'un bossage supérieur en relief qui s'engage dans l'un quelconque de quatre trous fraisés correspondant aux quatre posi tions de la coulisse.
Un prolongement vers le bas 1809 de la plaque inférieure 1810 est pourvu d'une entaille dans laquelle s'engage un goujon 1b13 d'un levier 1811 fixé sur l'extrémité ;anche d'un arbre court 1815 qui tourne dans un alésage central du goujon 177 au centre (voir également fi;. 8 et 10).
Sur l'extrémité de droite clé l'arbre 1815 (fig.120) est fixé un secteur denté<B>1816</B> qui engrène avec un secteur associé 117 monté fou sur le goujon 161 et portant des bras<B>1818</B> et <B>1819</B> qui sont eonv enableuient espacés de ce secteur 1817 par deux entretoises et fiés à ce secteur par deux goujons à vis 1820 qui supportent également les entretoises. Sur les extrémités supérieures des bras<B>1818</B> et 1510 sont .fiés des segments de commande 1821 et 7.822.
Les segments 1821 et 1822 sont fixés à leurs bras respectifs 1818 et<B>1819</B> par des vis, de sorte que ces segments peuvent être enlevés si l'on veut et remplacés par des segments avant des surfaces de commande dif férentes. .
La périphérie découpée du segment 1821 coopère avec des goujons tâteurs 1823 et 1S'-1 (fig. 121 et 122) filés dans des prolonge ments symétriques d'un organe tâteur 1825 et la périphérie découpée du segment de com mande 1822 coopère avec dés goujons tâ teurs 1826 et 1827 fixés dans des prolon gements symétriques d'un organe tâteur 182S (fig. 119).
L'organe 1825 (fig. 121 et 122) pi vote sur -un axe 1829 porté par un bras 1S30 monté sur un goujon 1831 qui s'étend entre les plaques 168 et 1396 (fig.7A). Le bras 1830 est relié par une articulation 1832 à un bras 1833 monté fou sur le goujon 166 (fi-. 121); ce bras a un prolongement vers le haut qui est normalement maintenu en con tact avec un goujon 1834 d'un bras 1835, éga lement libre sur le goujon 166, par un ressort de torsion 1836 tendu entre ces bras.
Le bras 1835 a une encoche<B>1837</B> qui coopère avec un goujon 1S38 dans la partie inférieure de la tige de la barre 171 de démarrage d'avance ment vertical.
L'abaissement normal de la barre 171 d'avance verticale amène le goujon<B>1838</B> à se déplacer vers le bas dans l'encoche<B>1837</B> pour permettre au ressort 1836 (le faire pivoter les bras 1835 et 1833 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, mouvement qui se transmet par l'articulation 1S32 au bras 1,'0. Lors de l'abaissement de la barre 171, le ou jon 1410 ne se déplace pas suffisamment vers le bas pour empêcher un tel mouvement du bras 1S30 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1S,30 dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre amène l'organe tâteur 152_5 à repérer les pleins et les creux de la périphérie (lu se <B>1</B>- ment de commande 1821 et si ce segment est ajusté par la coulisse 1808 de telle sorte (fig. 120) qu'une partie creuse de sa périphé rie se trouve en face du goujon 1823 et une partie pleine de cette périphérie se trouve en face du goujon 1824, comme indiqué aux fig. 120 et 121,
le mouvement du bras 1830 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre fait descendre le goujon 1823 dans la partie creuse de la périphérie de ce segment 1821. Comme le goujon 1824 est retenu contre le mouvement par la partie pleine de la péri phérie du segment 1821, l'organe 1825 se dé place dans le sens des aiguilles d'une mon tre en amenant le prolongement symétrique de droite du bord supérieur de cet organe à s'engager sur le goujon 1839 d'un bras 1840 monté librement sur l'axe 1831 et à déplacer ce bras dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort 1806.
Sur le bras 1840 (fig. 119 et 121) pivote l'extrémité supérieure d'une barre 1841 por tant sur son extrémité inférieure un goujon 1842 qui s'engage dans une encoche 1843 du levier 1728, lequel, comme on se rappelle en se reportant aux fig. 7A, 7B, 60 et 96B, est relié au mécanisme d'accouplement en -nie de l'entraînement des cames 1712 et 1713 (fig. 114), afin d'imprimer au rouleau 309 un mouvement d'espacement des lignes.
L'enco che 1843 coïncide avec une encoche similaire d'un bras 1844 relié par un moyeu 1845 monté librement sur le goujon 161 à um bras associé 1846, fendu pour recevoir un goujon 1847 d'un bloc-moteur 1848 d'avancement ver tical, monté fou sur le goujon 1422 et entraîné par un ressort 1849 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de manière à mainte nir uné patte repliée 1850 de ce bloc-moteur normalement en prise avec l'épaulement d'un verrou 1851 monté librement sur le goujon 1426 et entraîné dans le sens contraire des aiguilles d'une montre par un ressort 1852 en prise avec cette patte 1850.
Le mouvement du bras 1840 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (fig. 119 et 121) fait descendre la barre 1841 et le goujon 1842 de manière à mettre ce goujon en prise avec l'en- coche du bras 1844 et à relier ce bras au le vier 1728 en vue d'un mouvement solidaire.
Les pièces se<B>trouvant</B> dans les positions ci-dessus décrites, le fonctionnement de la machine et la rotation qui en résulte pour l'arbre à cames principal 216 (flg. 7A et 119) amène un doigt 1854 d'une came 1855 fixée sur le manchon 448, sur lequel, comme on se rappelle, sont également fixées les cames 1430, et 447 et les plaques 1528 et 1525 (fil-: 7A et 92), à dégager le verrou 1851 de la patte 1850 immédiatement après l'exécution de l'im pression.
Le dégagement du verrou 1851 abandonne le bloc-moteur 1848 à l'action du ressort 1849 qui déplace immédiatement ce bloc-moteur dans le sens contraire des aiguil les d'une montre, ce qui fait pivoter, par le goujon 1847, les bras 1846 et 1844 et, à l'aide du goujon 1842, le levier 1728 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du levier 1728 dans le sens indiqué (fi-. 7A, 7B, 60, 96B et 119) fait tourner, à l'aide de l'arti culation 1727, des leviers 1726 et 1725, de l'articulation 1724 et du bras 1723, l'arbre 1722 pour faire entrer en action le méca nisme d'accouplement pour le mécanisme d'espacement des lignes, de manière à faire tourner le rouleau 309 pour l'espacement des lignes sur la pièce comptable qu'il porte exactement de la manière expliquée pour la touche 1073 d'Avance du Papier (fi-. 3 et 60).
Vers la fin de l'opération, le galet 1431 (fig. 92 et 121) s'engage sur une patte arron die 1856 du bloc-moteur 1848 et ramène ce bloc-moteur dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'épaulement du verrou 1851 se pose sur la patte 1850 pour retenir ce levier et les pièces annexes en positions normales. La position normale du levier 1728 (fig. 7A) et des pièces annexes est déterminée par un prolongement vers le bas de ce levier en coopération avec un goujon 1857 fixé sur la plaque 437.
L'abaissement complet de la barre 171 de déclenchement de l'avance verticale (fig. 121) et le maintien de cette barre en position com plètement abaissée amène le goujon 1440 à s'engager sur un prolongement 1858 du bras 1830 et à déplacer ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1836, de manière à ramener l'organe tâteur<B>1825</B> vers le haut à la position normale, ce qui ramène la barre 1841 (fig. 119 et 121) vers le haut pour dégager le levier 1728 du bras 1844 et empêcher le fonctionnement du mécanisme d'espacement des lignes sous l'ac tion de la barre 171 d'Avance Verticale.
En se référant aux fig. 118 et 121, on verra que la périphérie du segment de com mande 1821 est découpée par rapport au gou jon tâteur 1S23 suivant les positions 1, 2 et 3 de la coulisse de commande 1808 (fig. 120). En conséquence, lorsque la coulisse de com mande se trouve dans l'une des positions 1, 2 ou 3 et que la barre 171 est abaissée nor malement, l'espacement des lignes du rouleau 309 s'effectuera automatiquement. Lorsque la coulisse 1808 se trouve à la position 4, une partie haute de la périphérie du segment 1821 se trouve en face du goujon 1823, de manière à empêcher le mouvement vers le bas de l'or gane 1825 et de la barre 1841 et il en résulte que le rouleau 309 ne se déplace pas en vue de l'espacement des lignes.
En se reportant à la fi-. 121, on voit que le goujon 1839 du bras 1840 passe par un trou, ou ouverture, dans le bras 1830. Une butée 1859 (fig. 7A et 121), fixée sir la plaque auxiliaire 1860 qui est, à son tour, filée à la plaque frontale 1396, est en contact avec une surface plate du milieu de l'organe tâteur 1825 sous l'action du ressort 1S06 pour déterminer les positions normales de cet organe, des bras 1830 et 1840 et de la barre 1841.
L'organe tâteur 1828 (fi-. 11, 119 et<B>126)</B> pivote sur -Lui aie 1861 d'un bras 1862 monté librement sur le goujon 1413 et relié par un go@ijon 1863 à un bras 1864 également fixé librement sur ce goujon 1413. Le bras 1864 (fig. 11) est élastiquement relié par un res sort de torsion 1865à un bras associé 1866, libre sur le goujon 1413; ce ressort de torsion retient un prolongement du haut de ce bras 1866 normalement en prise avec un prolon gement gauche du goujon<B>1863.</B> Le bras 1S66 a une entaille<B>1867</B> qui est à cheval sur le goujon 1439 fixé dans la tige de la barre de démarrage principale 170.
Un prolongement vers le bas du bras 186-1 est relié, par une articulation 1869, à un bras 1870 monté libre ment sur le goujon 1831 et pourvu d'un pro longement 1871 qui coopère avec un goujon 1872 fixé dans la tige de la barre de démar rage 170.
Lorsque la coulisse de commande<B>1808</B> (fig. 120) est dans la position 3, une partie découpée de la périphérie du segment de commande 1822 se trouve en face du goujon 1826 (fig. 119) et, à l'abaissement normal de la barre de démarrage 170 (fig. 11), le goujon 1.439, descendant dans l'encoche 1867, permet au ressort 1865 de basculer le bras 1866 et le bras 1864 (fig. 119 et 126) dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant le des sin.
Le bras 1864 déplace, par le goujon 1863, le bras 1862 solidairement et par l'articula tion<B>1869</B> bascule le bras<B>1870</B> dans le sens des aiguilles d'une montre. L'abaissement nor mal de la barre 170 ne fait pas descendre le goujon 1872 suffisamment pour empêcher une rotation du bras 1870 dans le sens des aiguil les d'une montre.
Etant donné que la partie pleine de la pé riphérie du segment 1822 est en face du grou- jon 1827 et une partie découpée de cette péri phérie en face du goujon 1826, le mouvement du bras 1862 dans le sens des ai-uilles d'une montre amène l'organe tâteur 1828 à pivoter dans le sens des aiguilles ou vers le bas et, comme un prolongement droit de cet organe est au-dessus du goujon 1839, le bras 1840 est simultanément déplacé dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1806,
de manière à mettre le goujon 1842 en prise avec l'encoche du bras 1S4-1 pour relier ce bras au levier<B>1728</B> de la iiia- nière décrite précédemment et provoquer la rotation automatique<B>du rouleau</B> 309 pour l'espacement des lignes sur le support d'enre gistrement enroulé autour du rouleau.
Lorsque la coulisse de commande 1SOS est dans la position 1, comme indiqué sur la fig.120, une partie découpée de la périphérie du se#_, ment<B>(le</B> commande 1S22 se trouve en face du goujon 1827 de l'organe de commande 1828 et la partie haute de cette périphérie se trouve en lace du goujon 1826 (fig. <B>119</B> et 1\32) et i1 s'ensuit que le mouvement du bras 1862 dans le sens des aiguilles d'une montre, à l'abaisse ment normal de la barre de démarrage 170,
déplace l'organe de eoiliniande 18\'8 vers le bas, ou dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, en amenant <B>lin</B> prolongement gauche, ou patte, symétrique à la patte droite de cet organe, en coopération avec un goujon 1874 d'un bras<B>1875,</B> libre sur le goujon 1113, à déplacer ce bras dans le sens des aiguilles d'une montre, ou vers le bas, contre l'action de soli ressort<B>1878.</B>
Sur le bras 187.5 (fig.122) pivote l'extré mité supérieure d'une barre 1s76 portant sur soli extrémité inférieure un goujon 1877 pourvu d'un prolongement du côté gauche qui s'engage dans une encoche de l'extrémité supérieure d'un levier 1879 monté librement sur le goujon 161.
Le mouvement du bras 1875 dans le sens des aiguilles d'une montre entraîne la barre <B>1876</B> solidairement vers le bas en amenant lui prolongement du côté droit du goujon 1877 à s'engager dans lute encoche 18S0 du prolonge ment du haut du levier coudé 1119, de ma- nière à relier ce levier coudé au levier 1879 en vue d'un mouvement solidaire.
Le levier <B>1879</B> (file. 122) est relié, par une articulation 1881,à un bras 1882 fixé sur l'extrémité de droite de l'arbre<B>1792.</B> Sur l'eltr émité de -au- elle de cet arbre 1792 est fixé un bras 1883 relié à oscillation par une articulation 1581 (fia. 88 et 122) au bras 1297.
En se reportant à la fia. 92, on se rappel lera que le levier coudé 1119 se déplace dans le sens des aijuilles d'une montre à l'aide du bloc-moteur 1121 lorsque la came 1130 dégage le verrou 1-125 du nez 1121 dudit entraîneur, avant l'opération du mécanisme imprimeur, de manière à déplacer la barre tabulatrice 1101 en arrière pour contrôler le mouvement de tabulation du chariot 136 de la manière expliquée précédemment @ en liaison avec le mécanisme représenté sur ce dessin.
Le mou vement du levier coudé 1419 (fia. 88 et 122) dans le sens des aiguilles d'une montre en traÎne, grâce au goujon 1877, le levier 1879 dans le même sens conjointement avec lui et ce mouvement déplace le levier 1'_'96 (fia. SS) simultanément dans le sens des aiguilles d'une montre à l'aide de l'articulation 1881, des bras 1882 et 1883 et de l'articulation 1884.
Le mouvement du levier 1296 dans le sens des aig2lilles fait tourner, à l'aide de l'articula tion 1298 et du bras 1299, l'arbre tabulateur 1220 dans le même sens, de manière à faire entrer en action le mécanisme d'accouple ment représenté sur les fia. 86 et 96A pôur amener les cames 1203 et 1?Ol (fia. 85) à abaisser les pistons d'arrêt 1170 et 1175 inclus (fig. 80) et libérer le chariot 136 pour son mouvement de tabulation. Dans ce cas, le mé canisme représenté sur les fie.
85 et 125 et expliqué précédemment, pour maintenir les pistons d'arrêt du tabulateur dans leurs posi tions abaissées, est inopérant. En conséquence, ces pistons sont immédiatement ramenés vers le haut pour effectuer la tabulation du cha riot de colonne en colonne sous l'action du mécanisme tâteur actionné par la barre de<B>dé-</B> marrage.
En se reportant à la fia. 92, on se rappel lera que l'enfoncement complet (le la barre principale de démarrage et son maintien dans la position abaissée fait que le goujon 1139 vient se poser sur le crochet<B>1399</B> qui s'en- gage sur le goujon 1102, de manière à ajuster le chariot 136 automatiquement, de sorte que la colonne des chèques No 2 de la feuille d'état 1550 (fia. 117) se trouve en lace du mécanisme imprimeur.
Dans ce cas, il n'est pas désirable que le mécanisme de tabulation de colonne en colonne fonctionne sous l'action de l'organe 1828 (fie. 119); par conséquent, l'enfoncement complet de la barre de démar rage 170 amène le goujon 1872, en coopéra tion avec le prolongement 1871 (fia. 11), à déplacer le bras 1870 et, par l'articulation 1869, le bras 1861 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1865.
Le mouvement du bras 186-1 dans le sens contraire des aiguilles entraîne, par le goujon 1863, le bras 1862 (fie. 126) solidai- rement avec lui pour ramener l'organe tâteur 3828 vers le haut à une position inopérante, de sorte que le mécanisme de tabulation de colonne en colonne ne fonctionnera pas lors de l'enfoncement complet de la barre de dé marrage et son maintien dans la position abaissée durant le fonctionnement de la ma chine.
En fin de fonctionnement, le galet 1-131 (fi-. 92 et 122) ramène les bloc-moteurs 1-121 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à mettre leur patte en contact avec le verrou 1125, et ce bloc-moteur ramène, à son tour, 'tes pièces associées vers les posi tions normales, comme représenté au dessin.
Le mouvement de remise en position vers le haut de la barre de démarrage 170 à la .fin de l'opération permet au bras 1875 et aux pièces annexes de se déplacer vers le haut sous l'action du ressort<B>1878</B> jusqu'à ce qu'une partie centrale plate de l'organe tâteur 1828 entre en contact avec le goujon 1859 pour placer ces pièces dans la position normale, comme indiqué sur la fis. 126.
*Lorsque le fonctionnement de la machine est déclenché par l'une des touches motorisées 369, 376, 377. 378 ou 379 (fia. 31p et 124), l'organe tâteur 1828 entre en action et, selon la position de la coulisse 1808, soit fait tour ner le rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes, soit déplace le chariot 136 de colonne en colonne. De même, lorsque l'opération est déclenchée par le chariot 136 dans ses posi tions de colonnes, le mécanisme fonctionne de manière à déplacer le bras 1875 (fig.122) vers le bas et à provoquer la tabulation du chariot d'une colonne à la prochaine, comme il a été expliqué précédemment.
On se rappellera, en se référant à la fi--. 31B, que l'abaissement de l'une quelcon- clue des touches de commande<B>Ô76,</B> 377,<B>378</B> ou 379 déplace la plaque de commande 1756 vers l'avant contre l'action de son ressort et cette plaque de commande transmet, à son tour, à l'aide du pignon 1757, de l'arbre 1758 et du pignon 1759 (fis. 1\3-1), ce mouvement à la plaque de commande 1760, de manière à déplacer cette dernière plaque solidairement.
De même, l'abaissement de l'une quelconque des touches de commande 369 déplace les pla ques de commande 1760 et 1756 également vers l'avant de la même faeon. La plaque de commande 1760 (fis. 121) porte sur soli extrémité antérieure un goujon 1885 qui s'en gage clans une fente de l'extrémité supérieure d'un levier 1886 monté librement sur lui axe 1887 fixé dans la plaque 398 (fis.
-17). L'ex trémité inférieure du levier 1886 est fendue pour recevoir un goujon 1888 fixé sur l'extré mité supérieure d'un bras 1889 fixé, à son tour, sur l'extrémité de gauche d'un arbre <B>1.890</B> dont les deux extrémités tournent dans un prolongement de la plaque 398 et dans un prolongement du châssis droit 130 (fis.<B>7-1).</B> Sur l'extrémité de droite de l'arbre 1890 est calé lm bras 1891 portant un goujon 1892 en gagé dans -une encoche de la partie inférieure d'un levier 1893,
libre sur un axe 189-1 fixé dans un prolongement antérieur de la plaque 1396 (fis. 7A). L'extrémité supérieure chi le vier 1893 (fis. 122, 12-1 et 126) porte un ;rou- jon 1895 qui s'engage dans des fentes eourhes similaires 1896 et 1897 pratiquées dans de, bras 1898 et 1899 dont les extrémités infé- rieures sont fendues pour recevoir le goujoil 1413.
Lorsqu'aucune des touches de commande ou de correction motorisées n'est abaissée et que la plaque de commande 1760 (fig.124) se trouve dans sa position postérieure ycomme indiqué sur le dessin, une encoche 1900 (fis. l'6) dans le bras 1898 s'engage normalement sur un goujon 1901 du bras 1862 et une encoche 1902 (fia. 122) du bras 1899 s'engage norma lement sur un goujon 1903 fixé sur l'extré mité supérieure d'un bras 1904 (fin.
1?4) monté librement sur le goujon 1-113. Un pro- longement du bras 190-1 vers le bas porte un goujon 1905 en contact avec le prolongement du hart du bras<B>1795.</B>
Les pièces étant dans les positions ci-des sus décrites et indiquées sur les fis. 12 , 1 _-1 et 126, l'entraînement de l'arbre 176 (fis. 123) par le chariot dans des position de colonnes déterminées provoque, comme expliqué ci-après, l'entrée en action chi niéca- nisme d'accouplement pour les cames <B>1778</B> et <B>1779</B> (fig. 116), à la suite de quoi la rotation de ces cames amène, à l'aide chi jeu des mé canismes représentés,
le bras 17115 à pivoter d'abord dans le sens contraire (les aiguilles d'une montre et ensuite à retourner à la po sition normale comme expliqué précédemment. Le mouvement (lu bras<B>1795</B> clans le sens con traire des aimilles amine son extrémité supé rieure, en coopération avec le goujon 1905,
à déplacer le bras 190-1 dans le sens des aiguil les d'une montre jusqu'à ce qu'un goujon carré 1906 (l'unie plaque 1912 reliée à ce bras 1904 passe à côté d'un épaulement d'iui cli quet (l'arrêt<B>1907</B> monté fou sur un axe 1908 de la plaque 1396 (fig. 7A). Lorsque le gou jon carré 1906 passe à côté de l'épaulement du cliquet 1907, un ressort 1909 tendu entre ce cliquet et la plaque 1912 amène l'épaule ment dudit cliquet à s'engager sur le gou jon pour retenir le bras 1904 dans sa position atteinte en tournant dans le sens des aiguilles, de sorte que le mécanisme qu'il commande aura le temps nécessaire pour fonctionner.
Le mouvement du bras 1904 dans le sens des aiguilles d'une montre amène, à l'aide du gou jon 1903 en coopération avec l'encoche 1902, le bras 1899 à pivoter solidairement dans le sens des aiguilles (fig. 122 et 124). Le mouvement du bras 1899 dans le sens indiqué amène une surface usinée de son bord arrière à s'engager sur un goujon 1910 d'iui prolon gement du bras<B>1875,</B> de manière à déplacer ce bras simultanément pour mettre le goujon 1877 en contact avec la fente 1880 et faire entrer en action le mécanisme tabulateur de sorte que le chariot 136 se déplacera d'une colonne vers la prochaine, comme il a été expliqué précédemment.
Il ressort de la description ci-dessus que, lorsque le fonctionnement de la machine est déclenché par le chariot 136 dans ses posi tions sélectionnées, le mécanisme qu'on vient de décrire provoque la tabulation dudit cha riot pendant ses opérations automatiques dîme colonne à la prochaine.
Après contact du goujon 1877 (fig. 122) avec l'encoche 1880, la came 1430 (fi-. 92 dégage le verrou 1425 pour abandonner le bloc-moteur 1421, le levier coudé 1419, le bras l.-117 et le levier<B>1879</B> à l'action du ressort 1423 <B>qui</B> déplace ledit levier dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à faire entrer en action le mécanisme (l'accouplement pour l'abaissement des pistons d'arrêt et pro voquer la tabulation du chariot 136 d'une co lonne à la prochaine.
On se rappellera, en se reportant aux fig. 92 et 124, que le mouvement du bras 141 î dans le sens des aiguilles d'une montre dé place l'articulation 1415 vers l'arrière en vue d'actionner la barre 1404 de commande de tabulation. Le mouvement de l'articulation 1415 vers l'arrière amène un goujon 1911 de celle-ci à s'engager sur une surface élargie du cliquet d'arrêt 1907 et à déplacer ce cli- quet dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1809, de manière à dégager son épaulement d'arrêt du goujon 1906 pour permettre aux bras 1898 et 1899 et aux pièces associées, y compris le bras 1875,
d'être ramenés sous l'action du ressort dans le sens contraire des aiguilles d'une montre à. la position normale. Le mouvement de retour du bras 1899 dans le sens contraire des aiguilles (fig. 122) retire sa surface usinée du goujon 1.910 pour permettre au ressort 1878 de ra mener le bras<B>1875</B> et la barre<B>1876</B> à la posi tion normale et dégager le goujon 1877 de l'encoche 1880. Vers la fin de l'opération, le galet 1431 (fi-. 92) ramène le bloc-moteur 1421 et les bras 1419 et 1417 aux positions normales, comme expliqué précédemment.
Si l'on se sert de l'une des touches de com mande motorisées 376, 377, 378 ou<B>379</B> (fig. 31B) pour déclencher l'opération ou si l'on se sert de l'une des touches de correction 369 (fig. 38) pour déclencher le fonctionne ment de la machine, le mouvement vers l'avant de la plaque de commande<B>1760</B> à l'abaissement d'une quelconque de ces touches (fig. 38 et 124) fait, par le train des méca nismes ici représenté, y compris le levier 1886, les bras 1889 et 1891 et le levier 1893, déplacer les bras 1898 et 1899 (fig. 122 et 126)
vers le haut pour dégager l'encoche 1902 dudit bras 1899 du goujon 1903 et pour engager simul tanément l'encoche 1900 dudit bras<B>3.898</B> sur ce goujon 1903. Ceci provoque l'accouplement du bras 1862 pour l'organe tâteur 18\38 avec le bras 1901 et, lors du fonctionnement de la machine, le mouvement du bras 1795 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sous l'action du mécanisme représenté sur la fig. 116 et expliqué ci-dessus déplace le bras 1901 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'au contact du goujon carré 1906 avec l'épaulement du cliquet 1907,
afin de retenir ce bras dans sa position de manmuvre suffi samment longtemps pour que le mécanisme tâteur puisse fonctionner correctement.
Etant donné que le bras 1898 est relié au goujon 1903 et que le bras 1862 est, à son tour, relié audit bras 1898, ces pièces se dé placent dans le sens des aiguilles d'une mon tre solidairement avec le bras 1901 pour abais ser l'organe tâteur 1828 et amener ies goujons 1896 et<B>1827</B> (fig. 119) à sonder la surface de commande du segment 1822 de la manière expliquée précédemment.
Si la coulisse 1808 est dans la position Q03, le segment 18?? se trouve dans une po sition telle qu'une partie découpée, ou infé rieure, de sa périphérie est en face du goujon 1826 et une partie supérieure de cette péri phérie est en face du goujon 1827;
en consé quence, la patte droite de l'organe tâteur 1828 s'engagera sur le goujon 1839 pour déplacer le bras 1810 (fig. 119 et 121) vers le bas, ou dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre, pour amener le goujon 181\? à s'engager dans l'encoche du bras 18-11, de manière à faire tourner le rouleau 309 pour l'espace ment des lignes, ainsi qu'ïl a été expliqué pré eédemment.
Dans ce cas, si l'on se sert des touches motorisées de commande et de correc tion pour déclencher le fonctionnement de la machine, l'encoche 190 (fig. 122 et 12-1) est dégagée du goujon 1903; par conséquent, le bras 1899 n'est pas déplacé par le goujon <B>1903</B> dans le sens des aiguilles d'une montre et n'imprime par conséquent pas de mouve ment au bras 1875, comme cela était le cas dans les opérations déclenchées par le chariot 136 dans ses positions de colonnes prédéter minées, comme il a été expliqué ci-dessus. Contrôle <I>des fonctions de la</I> machine <I>par le chariot.</I>
On se rappellera, en se reportant aux fig. 76, 96B et 105, que le mécanisme tâteur coopérant avec des taquets montés dans les blocs de commande 722 qui sont., à leur tour, montés sur le chariot selon ses diverses posi tions de colonnes, contrôle la sélection et le fonctionnement des différents totalisateurs.
Un mécanisme tâteur similaire, avec des ta quets montés sur les mêmes blocs de com mande, contrôle en outre diverses autres fonc tions de la machine; ces fonctions compren nent le déclenchement automatique de la ma chine, le retour automatique du chariot à la colonne Pick-up , un verrou pour le con trôle du mouvement du rouleau 309 aller et retour à la position d'impression, le contrôle du mouvement du rouleau 309 pour l'espace ment des lignes, moyen de contrôle du méca nisme d'élimination des zéros pour diviser le clavier en plusieurs sections pour l'emploi dans certains systèmes de comptabilité, un verrou pour empêcher le fonctionnement de la machine si le chariot ne se trouve pas dans l'une de ses positions de colonnes,
contrôle du mécanisme imprimeur des dates et contrôle des porte-caractères pour l'impression des postes et des centimes. On décrira ci-après en détail les mécanismes de contrôle ci-dessus.
En se reportant aux fig. 18B, 96A, 96B et 105, on voit que chacun des blocs de com mande 722 peut porter une série de taquets de commande 1911 à 1921 inclus qui coopè rent avec leurs leviers tâteurs respectifs 19?? à 1929 inclus; lesdits taquets sont fixés dans les blocs de commande 722 (fig. 101) à l'aide des extrémités supérieures en queue d'aronde qui s'engagent dans des rainures de même forme pratiquées dans lesdits blocs et y sont filées par des vis exactement de la façon déjà expliquée pour les taquets de commande (fig. 106) pour la sélection des différents to talisateurs.
Les leviers tâteurs 1922 à 1929 inclus sont montés à rotation sur un axe 1930 fixé dans le châssis 133 et tous les leviers tâteurs, à l'exception des leviers tâteurs 1922 et 1927, sont. pourvus de saillies 1931 (fig. 76) dirigées vers le haut, prévues pour tâter les taquets de commande correspondants.
Chacun des leviers tâteurs 1922 à 1929 inclus (fia. 76 et 96I;) comporte une pointe de guidage 1958 dirigée vers le bas, qui co opère avec une fente correspondante 1959 dans une plaque 1960 fixée entre la plaque 1176 et le châssis 133 pour maintenir les extrémités de droite de ces leviers à une dis tance latérale convenable. Coviiiiande <I>dit</I> démarrage <I>automatique</I> <I>de la</I> machine <I>par le</I> chariot.
Sur l'extrémité de gauche du levier tuteur 1922 (fia.<B>123)</B> est monté un doigt tâteur flexible 1932 qui est maintenu dans sa posi tion verticale par un ressort de torsion; ce doigt est rigide lorsqu'il est en contact avec le taquet 1914 lors du mouvement du chariot dans le sens de tabulation, de manière â abaisser le levier tâteur 1922, et ce doigt est flexible lorsqu'il est en contact avec le taquet 1.914 lors du mouvement de retour du chariot, de manière à passer à côté dudit taquet sans imprimer aucun mouvement au levier tâteur 1922.
Lorsque le chariot<B>136</B> (fia. 18A, 18B, 105 et 123), en se déplaçant dans la direction de fabulation, arrive à une position de colonne pour laquelle est prévu un taquet 1914 monté sur le bloc de commande 722, ce taquet, en coopération avec le doigt 1932, déplace le le vier 1922 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, en regardant la fia. 76, en ame nant une saillie sur l'extrémité droite de ce levier, en coopération avec une fente 1913 dans une articulation 1933 dont l'extrémité postérieure pivote sur un bras 1935 fixé sur l'arbre 84"i de dépassement, à déplacer cette articulation 7.933 dans le sens des aiguilles d'une montre ou vers le haut.
Le mouvement de l'articulation 1933 vers le haut (fia. 123) amène son goujon 1936, en coopération avec l'extrémité supérieure en forme de crochet d'un bras 1937, monté librement sur un axe 1938 d'un levier 1939, à déplacer ce levier dans le sens contraire des aiguilles d'une montre sur son pivot 1940 qui est fixé dans le châssis droit 130.
Le mouvement du levier 1939 dans le sens indiqué déplace, par une articulation 1941 dont l'extrémité antérieure pivote sur ledit levier et dont l'extrémité postérieure est fendue pour recevoir -Lui gou jon porté par l'extrémité inférieure d'un bras 1943 qui est fixé sur l'arbre 1768 de démar rage de la machine, ce bras 1943 et l'arbre 1768 dans le sens des aiguilles d'iuie montre (fi-. 7B et 96B).
Le mouvement de l'arbre 1768 dans le sens des aiguilles fait éntrer en action le mécanisme d'accouplement pour le mécanisme de démarrage automatique de la machine, de manière à amener les cames 1778 et<B>1779</B> (fia. <B>116)</B> à faire un tour dans le sens des aiguilles d'une montre et à déclencher la machine exactement de la manière déjà expli quée pour les touches motorisées de commande et de correction.
Lorsque la machine est automatiquement déclenchée à l'aide du chariot dans ses posi tions de colonnes tabulées, comme ci-dessus décrit, le mouvement du bras 1943 dans le sens des aiguilles d'une montre (fia. 12, 15 et 96B) amène un prolongement replié 1954 de ce bras, en coopération avec un prolonge ment du haut du bras 1543, à déplacer ce bras, l'arbre 1541 et le doigt 1540 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à dé gager ce doigt de l'épaulement 1539 sur le levier 1534 pour provoquer le retour du rou leau 309 de la positüon d'entrée ouverte à la. position d'impression, de la manière expliquée précédemment en liaison avec les touches nu mérales 218 et les touches 343 compteuses de postes.
lllise <I>hors service</I> du démarrage <I>automatique</I> <I>de la</I> machine.
Dans les opérations de dépassement, il est désirable de mettre le mécanisme pour le dé marrage automatique de la machine hors ser vice; ceci est obtenu de la manière suivante: En se reportant aux fi;. 61 et 123, on se rappelle que lorsque la capacité du totalisa- teur No 1 est dépassée, 1-'arbre de dépassement 847 se déplace dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 61, ou dans le sens des aiguilles, comme représenté à la fig. 123.
Le mouvement de l'arbre 847 et du bras 1935 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 123) déplace l'articulation<B>1933</B> en arrière pour dégager le goujon 1936 de l'extrémité supérieure en forme de crochet du bras<B>1937,</B> de sorte que le mouvement de cette articulation vers le haut ne produise aucun effet sur le levier 1939 et le mécanisme annexe et rende le dé clenchement automatique de la machine par le chariot inopérant.
L'articulation 1933 est retenue contre le déplacement latéral par une partie repliée 1934 du levier 1939, lequel supporte l'extré mité antérieure de cette articulation 1933, de manière amovible en commun avec la face gauche dudit levier 1939. Dès que le totalisa teur de balance devient positif, l'arbre de dé passement 817 est ramené dans le sens con traire des aiguilles d'une montre (fig. 123) à sa position originale, afin de placer le goujon 1936 au-dessous de l'extrémité supérieure en forme de crochet du bras 1937.
L'abaissement de la touche<B>372</B> Non- -luto (fi-. 1. 3 et 123) détache l'extrémité supérieure en iorme de crochet du bras<B>1937</B> du goujon 1936 et rend impossible le déclen chement du mécanisme pour le démarrage automatique de la machine par le chariot dans ses positions de colonnes tabulées.
L'abaissement de la touche 372 Non Auto amène un prolongement du côté droit de son goujon -110, en coopération avec un . prolongement antérieur d'un levier 1956, libre sur un axe 191-j fixé dans le châssis de gau- clie 131, à déplacer ce levier dans le sens con traire (les aiguilles d'une montre.
Un prolon gement du levier 1956 vers le bas est pourvu d'une fente qui s'engage sur un goujon 1915 de l'extrémité supérieure d'un bras 1916 fixé sur l'extrémité de gauche (le l'arbre 1798, le- que, comme on se rappelle, tourne clans les châssis principaux 130 et 131. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 1798 est fixé un bras 1947 relié à oscillation, par une articulation 1918, à un bras 1919 monté sur un arbre court 1950 qui tourne entre les plaques 1191 (fi-.<B>7A</B> et 7B) et la plaque 1388.
Le mouvement du levier 1956 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre à l'abais sement de la touche<B>372</B> Non-Auto déplace, à l'aide des articulations décrites ci-dessus, les arbres 1798 et 1950 dans le sens des aiguilles d'une montre; ce mouvement déplace, à l'aide d'un bras 1951 fixé sur cet arbre 1950 et d'une articulation 1952 reliant ce bras au bras 1937, ce dernier bras dans le sens con traire des aiguilles d'une montre contre l'ac tion d'un ressort 1953, de façon à dégager l'extrémité supérieure en forme de crochet de ce bras du goujon 1936 et à rendre le moyen de démarrage automatique de la ma chine inopérant.
Commande dit mécanisme <I>de blocage</I> <I>de la machine par le chariot.</I>
En plus du levier 1922 décrit plus haut, il y a -Lui autre levier 1927 du type poussoir ourvu d'un doigt 1961 replié vers le haut i C (fi-. 14, 76, 96B et<B>105)</B> qui s'étend au-dessus des saillies 1931 pour les leviers 1923 à 19\36 inclus et pour les leviers 19?8 et 1929, les quels, comme expliqué ci-dessus, sont (les le viers de tâtonnement et se déplacent vers 1c: haut pour repérer leurs taquets correspon dants au début de l'opération, comme expliqué ci-après.
Lorsque le chariot 136 arrive à l'une de ses positions de colonnes, le taquet 1919 clans le bloc de commande 722<B>pour</B> la position (le colonne particulière touche le doigt 1961 du levier 1927 et déplace ce dernier dans le sen, contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 76, contre l'action du res- sort 745 correspondant.
Le mouvement du le vier 1927 dans le sens contraire (les ai < ,uillc-; amène une partie arrondie 1962 (le son extrê- mité droite, en coopération avec une fente d'un bras d'un levier coudé 1963 monté libre- ment sur un axe 1961 (lui s'étend entre le châssis 130 et la plaque 1191 (fi. 96B), à déplacer ce levier coudé 1963 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 14.
Un bras du levier coudé 1963 dirigé vers le bas est relié par une articulation 1965 au cliquet d'arrêt 199; en conséquence, le mouvement de ce levier coudé dans le sens contraire des aiguilles d'une montre déplace ledit cliquet 199 égale ment dans le sens contraire des aiguilles hors du trajet de la saillie du bloc 196, de sorte que la coulisse de démarrage 19-1 peut se dé placer en arrière pour déclencher le fonction nement de la machine.
Si le chariot 136 se trouve en dehors de la position de colonne, le ressort 745 corres pondant (fig. 76) ramène le levier 1927 et les pièces associées aux . positions normales dans lesquelles le cliquet 199 se trouve sur le trajet du bloc 196, de manière à empêcher le mouve ment de démarrage vers l'arrière de la cou lisse 194.
Les leviers de commande 1923 à 1926 in clus, 1928 et 1929 sont des leviers de tâton nement et leurs saillies vers le haut 1931 (fi-. 104 et 105) tâtent les taquets corres pondants dans les blocs 722 lorsque lesdits leviers sont abandonnés à l'action de leurs ressorts correspondants 745 (fig. 76 et 78) par le retrait du bôrd supérieur parallèle d'un bras 1966 de remise en position (fig. 18B et 76) des surfaces élargies sur les bords inférieurs de ces leviers.
Le bras 1966 est fixé sur l'arbre 737 (fi-. 78) et fonc tionne solidairement sous l'action du goujon 742 de la came 74-1 de la manière expliquée ci-dessus pour les leviers tâteurs 718 et 723 à 727 inclus pour le contrôle de la sélection des divers totalisateurs.
Retour automatique dit <I>chariot à la'</I> colonne Pick-up. Le levier tâteur 1923 (fig. 76 et 96B) comporte du côté droit un prolongement si tué au-dessus d'un prolongement postérieur du levier 1967 monté librement sur le goujon 1964 et sur lequel pivote l'extrémité supé rieure d'une articulation 1968 (fil. 33) dont l'extrémité inférieure est pounme d'une fente destinée à recevoir un goujon 1969 d'un bras <B>1970</B> monté fou sur la tige<B>1272;
</B> ce bras<B>1970</B> est entraîné par un ressort<B>1971</B> dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Sur le bras 1970 pivote l'extrémité antérieure d'une articulation<B>1972</B> qui relie ce bras au levier 1267 sélecteur de colonnes (fig. 90) pour la touche 1070 Picl@-up , ces pièces étant pa reilles et fonctionnant exactement de la fa çon expliquée pour la touche 1070 des Dépôts représentée au dessin, pour placer le chariot 136 de telle sorte que la colonne Pick-up se trouve en face du mécanisme imprimeur.
Sur un prolongement vers le bas de l'extrémité antérieure de l'articulation 1972 (fig. 33) pi vote l'extrémité postérieure d'une articula tion 1973 dont l'extrémité antérieure possède une fente qui s'engage sur un goujon de l'extrémité inférieure d'un bloc-moteur 1975 monté librement sur le goujon 1-122. Un res sort de torsion 1976 entraîne le bloc-moteur 1975 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir une patte repliée<B>19771</B> de ce bloc-moteur normalement en prise avec un épaulement d'in
verrou 1978 monté librement sur le goujon 1426, ce verrou étant entraîné, par un ressort<B>1979,</B> dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, en prise avec la patte 1977. Le mouvement de l'arbre à cames princi pal 216 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pendant l'opération amène un doigt déclencheur 1980 d'une came 1981 fixée sur le manchon 448 à s'engager sur l'extré mité postérieure du verrou 1978 et à dépla cer ce verrou dans le sens des aiguilles d'une montre pour dégager la patte 1977 afin d'abandonner le bloc-moteur<B>1975</B> à l'action du ressort 1976 immédiatement avant le fonc tionnement du mécanisme imprimeur.
Le res sort 1976 déplace,le bloc-moteur 1975 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer les articulations 1973 et 1972 vers l'avant et à provoquer le mouvement du cha riot vers la colonne Pick-up de la manière expliquée pour la touche 1070 des Dépôts (fig. 90).
Fers la fin du fonctionnement de la ma chine, le goujon 2526 (11g. 7=1 et 33), qui s'étend entre la came 1981 et la came 2524, s'engage sur l'extrémité supérieure du bloc- moteur 1975 et ramène ce dernier dans le sens contraire des aiguilles d'une montre à la position normale pour permettre à l'épau lement du verrou 1978 de s'engager à nou veau sur la patte 1977, de manière à retenir ledit bloc-moteur dans la position rétablie.
Lorsqu'un taquet de commande 1915 (fig. 76 et 105) se trouve en face de la sail lie 1931 du levier tâteur 1923, le mouvement de ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort. 745 se trouve empêché si le bras 1966 (fig. 18B) est déplacé vers le bas.
En conséquence, le levier 1967 (fig. 33) et l'articulation 1968 sont retenus dans la position indiquée dans laquelle la fente dans le bout inférieur de cette articu lation donne au goujon 1969 du jeu pour per mettre le mouvement du bras<B>1970</B> dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action de l'entraîneur<B>1975</B> et, dans ce cas, le méca nisme entrera en action, comme expliqué (:i- dessus, pour placer le chariot 136 dans la position de la colonne Piel:-up .
S'il ne se trouve en face de la saillie 19 l du levier tâteur 1923 aucun taquet 1915, le levier est libre (le se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du res sort 745 correspondant lorsque le bras<B>1966</B> se déplace vers le bas et ledit levier 1923 se déplace simultanément pour faire pivoter le levier 1967 (fig. 33) également dans le sens des aiguilles, afin de déplacer l'articulation 1968 vers le haut,
de sorte due le fond de la fente dans son extrémité inférieure empêche le mouvement du goujon 1969 et du bras 1970 dans le sens (les aiguilles d'une montre. Le levier 1967 est retenu en place par un ali- gneur 1982 qui se met en prise avec l'encoche correspondante d'une série d'encoches d'a li- nnement 1983 dans une partie segmentaire dudit levier<B>1967.</B> Après que l'articulation 1968 (fig. 33) est déplacée vers le haut et que l'ali\;
neur 1982 a pris contact avec l'entre- dent correspondant 1983 du levier 1967, le bloc-moteur 1975 est libéré de la manière expliquée ci-dessus et, comme la fente dans l'extrémité inférieure de cette articulation 1968 est en contact avec le goujon 1969, le mouvement du goujon 1969 et du bras 1970 dans le sens des aiguilles d'une montre est empêché, les pièces restent dans la position représentée et, par suite, il n'3# a pas de re tour automatique du chariot à la position de la. colonne Pick-up .
La fente dans l'extré mité inférieure de l'articulation 1968 laisse assez de jeu pour permettre l'abaissement clé la touche 1070 Piclz-up (fig. 1 et 3) de même que la fente dans l'extrémité antérieure de l'articulation 1873.; par conséquent, le mé canisme représenté sur la fig. 33 ne gêne aucunement l'emploi de la touche 1070 Pick-up .
llécanisme <I>pour</I> empêcher <I>l'ouverture</I> automatique <I>de la</I> goulotte d'alimentation <I>frontale.</I> On a prévu un mécanisme pour empêcher l'ouverture automatique de la, goulotte pour l'alimentation frontale vers la fin (lu fonc tionnement de la machine par la saillie 25'_'-1 clé la plaque 2525 (fig. 7A et 7B),
en coopé- ration avec le levier d'entraînement 1504 et le mécanisme annexe expliqué précédemment. L'extrémité de droite du levier de commande 1924 (fiâ. 7A, 7B, 76, 96B et 105) est située au-dessus d'un. prolongement vers l'arrière d'un levier 1984 monté fou sur le goujon 1964 et relié, par une articulation 1985,
à un bras 1986 qui est fixé sur l'extrémité gauche d'un arbre court 1987 tournant dans une douille de la plaque 1191.<B>Sur</B> l'extrémité droite de l'arbre 1987 est fixé un bras 198S possédant un prolongement vers le haut (]tri peut se placer sur le trajet d'un prolonge ment çl'un goujon 1989 fixé sur l'extrémité supérieure du levier 1-197, ce goujon servant également de pivot pour l'extrémité anté rieure de l'articulation 1496.
Lorsque le chariot 136 se trouve dans une position correspondant à<B>une</B> colonne pour la quelle le bloc de commande correspondant 722 contient un des taquets 1916, ce taquet, en coopération avec la projection 1931 du le vier 1924, empêche le mouvement de ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 76) sous l'action du ressort 7q5 lors da mouvement vers le bas du bras 1966. Dans ce cas, le bras 1988 est retenu dans la position indiquée sur la fil. 7A en dehors du trajet du goujon 1989 et, par conséquent, le mé canisme fonctionne<B>pour ouvrir</B> l'entrée du chariot.
S'il n'y a pas de taquet 1916 pour empêcher le mouvement du levier 1921 dans le sens des aiguilles d'une montre, un tel mouvement de ce levier déplace le levier 198:1 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté aux fi-.
7A et 7B, ce qui déplace, à l'aide de l'articulation 1985, le bras 1986 et le bras 1988 également dans le sens des aiguil les, de manière à placer l'extrémité supérieure en forme de crochet dudit bras 1988 sur le trajet du goujon 1989 pour empêcher le mou vement du levier 1197 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et empêcher le fonctionnement du mécanisme d'ouverture de l'entrée sous l'action du bloc-moteur 1501 mû par le ressort.
Il est donc, selon la description ci-dessus, évident qu'il est possible de contrôler de la gon sélective dans quelle position de colonne du chariot 136 le rouleau 309 sera déplacé, vers la fin du fonctionnement de la machine, de la position d'impression vers la position d'alimentation frontale.
L'aligneur 1982 (fig. 7A et 33) coopère avec des dents dans une partie segmentaire antérieure du levier 1981 exactement comme avec les dents 1983 du levier 1967 et retient ce levier pendant le fonctionnement de la machine en position.
On voit que chacun des leviers 1967 et 1981 possède quatre entre-dents d'alignement, mais, dans la présente réalisation, deux espaces d'alignement seulement sont utilisés - c'est-à-dire les espaces extrêmes dans les deux sens - car lesdits leviers n'ont que deux positions, une position normale ou de repos et une position mobile. <I>Contrôle de l'espacement des</I> lignes <I>par le chariot.</I>
Le levier tâteur 1925 (fig. 105), en coopé ration avec les taquets correspondants 1917 portés par les blocs de commande 722, est susceptible de contrôler le mouvement auto matique du rouleau 309 pour l'espacement des lignes d'après la position de colonne du chariot.
L'extrémité de droite du levier tâteur 1925 est située au-dessus (fig. 89 et -105) d'un prolongement vers l'arrière d'un levier 1991 tournant librement sur l'axe 1961 et re lié à oscillation, par une articulation 1992, à l'un des bras d'un levier coudé 1993 monté librement sur un axe 1994 fixé dans la pla que 1191 (fig. 7A et 960).
Sir un bras du levier- coudé 1993 dirigé vers le bas est fixée l'extrémité postérieure dune articulation 1995 dont l'extrémité antérieure est. fendue pour recevoir tri goujon 1996 d'un levier 1997 monté fou sur le goujon 1122. Un prolonge ment avant du levier 1997 possède une fente qui s'engage sur un goujon 1998 d'un bras :.'000 pourvu d'une fente qui s'engage libre ment sur tri moyeu qui est monté librement .sur le goujon 161. Le goujon 1998 passe é;alement par une fente incurvée 1999 du le vier 17M.
Lorsque le chariot 136 se trouve dans une position où il n'y a pas de taquet 1917 en face de la saillie de tâtonnement du levier <B>1925,</B> ce dernier est libre de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 76) sous l'action du ressort 715 lorsque le bras 1966 est écarté des leviers tâteurs. Ce mou vement du levier 1925 amène son prolonge ment de droite à déplacer le levier 1991 dans le sens des aiguilles d'une montre et ce mou vement, à l'aide de l'articulation 1992 et du levier coudé 1993, déplace l'articulation 1995 vers l'avant en amenant la fente de son extré mité antérieure, en coopération avec le gou jon 1996 à se déplacer, le levier 1997 égale ment, dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du levier 1997 dans le sens indiqué amène la fente dans son prolonge ment antérieur, coopérant avec le goujon 1998, à déplacer ce goujon et le bras \?000 vers le haut pour engager ce goujon dans -une encoche d'iui prolongement vers le bas du bras 1816 (flg. 60.
119 et 121), de manière à relier le levier 1728 audit bras 1816, de sorte que la libération du bloc-moteur 1848 par la came 1855, comme expliqué ci-dessus, immé diatement après exécution de l'impression, fera entrer en action le mécanisme d'alimen tation verticale, ou mécanisme d'espacement des lignes, pour faire tourner le rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur le sup port d'enregistrement enroulé autour du rou leau.
Si le chariot l36 se trouve dans une posi tion où l'un des taquets 1917 (fig. 105) est situé en face de la saillie de tâtonnement 1931 du levier 1925, le mouvement de ce le- -#ier dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 76) sera, comme expliqué ci-dessus, em pêché;
en conséquence, le levier 1991 (fig. 89) sera retenu dans la position repré sentée, aucun mouvement ne sera donc im primé au levier 1997, le goujon 1998 restera dégagé de l'encoche du bras 1916 (fig. 60) et le mécanisme d'espacement des lignes ne fonctionnera pas.
L'alignement 19S2 coopère avec les dents (lu (fig. levier 33 et 1991 89) dans pour taie aligner partie et segmentaire retenir ce levier dans chacune de ses positions, comme expliqué à la fig. 33.
On se rappelle, en se référant à la fig. 92, que, lorsque la barre de démarrage principale 170 est complètement abaissée et retenue dans cette position, le goujon 1139 place le crochet 1399 sur le trajet du goujon 1102, à la suite de quoi le mouvement de la barre tabulatrice 1101 vers l'arrière déplace la barre 1386 vers l'avant pour faire pivoter la chape<B>1375</B> dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à provoquer le mouvement du chariot vers la colonne des chèques lKo 2.
La barre 1386 (fi-. 89, 92 et 95) possède un prolongement \_2001 replié qui coopère avec un prolongement vers le haut 2002 d'une barre 2003 montée à mouvement indépendant sur l'articulation 1995, à l'aide d'un trou dans l'extrémité anté rieure de cette articulation qui s'engage libre ment sur le goujon 1996 et, à l'aide d'une fente, dans l'extrémité postérieure de la barre qui reçoit -Lui goujon 2001 de cette articula tion 1995. Un ressort 2005, tendu entre les goujons 2001 et 1996, entraîne le levier 1997 dans le sens contraire des aiguilles d'une mon tre et la barre 2003 en arrière.
Le mouvement de la barre 1386 vers l'avant déplace, à l'aide des prolongements 2001 et 200'.'., la barre 2003 également vers l'avant contre l'action du res sort 2005 en amenant cette barre à déplacer le levier 1997 dans le sens des aiguilles d'une montre, de la manière expliquée ci-dessus, pour engager le goujon 1998 (fig. 60) dans une encoche du bras 1816 et provoquer la ro tation du rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur la pièce comptable enroulée autour du rouleau, comme expliqué ci-dessus.
Les leviers 1967, 1981 et 1991 sont entraî nés dans le sens contraire des aiuilles d'une montre par- des ressorts 2007 (fin. 713), clé manière à maintenir leurs prolon=gements pos térieurs normalement en contact avec leurs leviers tuteurs respectifs 1923, 1921 et 1925. <I>Division</I> duc <I>clavier.</I>
Il est souvent désirable de diviser le cla vier numéral en plusieurs sections en déta chant les linguets d'élimination clés zéros aux points où l'on désire diviser ce clavier. La di vision dite séparation du clavier est utile lorsqu'on désire imprimer plusieurs genres de données en une seule opération de la machine et où de telles données ne sont généralement pas enregistrées dans les totalisateurs.
Le mé canisme servant à obtenir ce résultat est sou vent appelé split and normal (scindé et normal) et, dans la machine représentée, ce dispositif s'emploie pour imprimer une ana lyse chi Float (postes flottants) dans la co lonne Float de la feuille (l'état 1550 (fig. <B>117).</B> La séparation du clavier est con trôlée par le chariot 136 dans les positions de colonnes de celui-ci sous l'action des taquets 1918 (fig. 105) en coopération avec le levier tâteur correspondant 1926.
L'extrémité de droite du levier tâteur 1926 (fin. 7A, 7B, 76, 96B et 105) est. située au- dessus d'un prolongement postérieur d'un le vier 2009, similaire sous tous les rapports au levier 1981; ce levier possède un prolonge- ment vers le haut avec un goujon qui s'en gage dans une fente pratiquée dans l'un des bras d'un levier coudé 2010 monté fou sur un axe 2011 fixé dans le châssis 130. Le levier 2010 est relié, par une articulation 2012, à un bras à came 2013 qui tourne sur un axe 2011 fixé dans le châssis 130.
Le bras 2013 possède une fente-came 2015 dans laquelle est engagé un goujon d'un bras 2016 qui est filé sur un arbre 2017 tournant dans la pla que du côté droit du bâti 283 de l'imprimeur. L'arbre 2017 est relié à une chape 2018 (fin. 7 A et 181) par un bras et un goujon (non représentés) et cette chape pivote sur la tige qui supporte l'une des extrémités du ressort 327. Les prolongements vers l'arrière de la chape 2018 supportent une tige 2019 qui est reliée, par des articulations 2020, aux lin- guets d'élimination des zéros aux endroits où l'on désire diviser le clavier ou les porte- caractères en vue de l'impression.
Pour le cas où l'on désire rendre le mé canisme seiludé (split and normal) inopé rant dans certaines positions de colonnes, le bloc de commande 722 (fia. 105) pour ces po sitions comprend, parmi les taquets 1918, un taquet qui, en coopération avec la saillie de tâtonnement 193l du levier 1926, empêche le mouvement de ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre (fia. 76) lorsqu'on en retire le bras 1966. Ceci retient le levier tâ teur 1926 dans sa position normale et, par conséquent, la chape 2018 ne subit aucun mouvement (ficy. 18A).
Dans les colonnes. où l'on veut faire entrer en action le mécanisme escindé , le taquet 1918 est supprimé en per mettant ainsi le déplacement du levier 1926 clans le sens des aiguilles d'une montre au dé but de l'opération, comme expliqué ci-dessus; ce mouvement déplace le levier 2009 égale ment dans le sens des aiguilles, et ce morve- ment est transmis, par le levier coudé 2010 et l'articulation 2012, au bras à came 2013 dont la fente 2015, en coopération avec le goujon du bras _016, déplace ce bras et l'ar bre 2017 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre.
Le mouvement. de l'arbre 2017 dans le sens indiqué fait également pivoter la chape 2078 (fig. 18A) dans le sens con traire des aiguilles pour déplacer les articu lations 2020, de manière à détacher les ver rous d'élimination des zéros 325 dans les po sitions où on désire diviser le clavier et le mé canisme imprimeur. <I>Contrôle</I> d'impression <I>des dates.</I>
On a prévu un mécanisme contrôlé par le chariot 136 pour rendre inopérant le mouve ment d'impression des marteaux 317 (fig. 21 et 70) pour les quatre porte-caractères de dates 387 suivant la position dudit chariot.
En se reportant aux fia. 7A, 7 B, 21, 25, 96B et 105, on voit que l'extrémité de droite du levier tâteur 1928 pour la date est située au-dessus d'un prolongement vers l'arrière d'un levier 2021 monté fou sur le goujon 1961 et portant sur un prolongement vers le haut un goujon qui s'engage dans une fente de l'un des bras d'un levier coudé 2022 monté librement sur le goujon 2011.
Un autre bras du levier coudé 2022 est relié à oscillation, par une articulation 2023, à l'extrémité infé rieure d'un bras 202-1 fixé sur l'extrémité de droite d'un arbre 2025 qui tourne dans une console 2026 fixée sur le châssis de droite 130 (fia. 25) et dans le bâti 283 de l'imprimeur (fia. 18A). Sur l'arbre 2025 sont également fixés quatre crochets 2027 qui entrent en con tact avec quatre blocs d'arrêt correspondants 2028 fixés sur les marteaux correspondants 317 pour les quatre porte-caractères 387 des dates (fia. 70).
Si le chariot 136 est placé dans une posi tion de colonne dans laquelle le bloc 722 pour cette colonne comporte un taquet 1920 pour le levier 1928, le mouvement de ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre est empê ché, à la suite de quoi le levier 2021 ne subit aucun mouvement (fia. 76) et, par consé quent, les crochets 2027 restent écartés du trajet des blocs d'arrêt 2028, connue indiqué sur la file. 21; dans ce cas, les marteaux 317 pour les porte-caractères 387 des dates (file. 70) peuvent être en action pour impri mer la date dans la colonne particulière de la pièce comptable 1550 (file. 117).
Si le chariot 136 se trouve dans une posi tion de colonne où le bloc de commande cor respondant 722 (file. 105) ne présente pas de taquet 1920 pour empêcher le mouvement du levier tâteur 1928 sous l'action du mécanisme représenté sur la file. 76, le mouvement dudit levier dans le sens des aiguilles d'-une montre déplace le levier 2021 également dans le sens des aiguilles (file. 25), ce qui déplace, à l'aide du levier coudé 2022, l'articulation 2023 et le bras 2021, l'arbre 2025 et les crochets 2027 dans le sens des aiguilles, de manière à ame ner les crochets à se poser au-dessus des blocs 2028 (file.
21) avant le fonctionnement des marteaux 317, de manière à mettre hors service ces marteaux pour les porte-caractères 387 des dates (file. 70) et à empêcher l'im pression de la date dans la colonne particu lière.
Il est bien entendu que sur les file. 101, 105 et 106, la position des leviers tâteurs par rapport aux taquets de commande n'est pas représentée dans leurs rapports réels, mais qu'ils sont plus écartés pour mieux expliquer et montrer le mécanisme.
En réalité, les le viers poussoirs 871, 891, 1922 et 1927 ont normalement leurs doigts tâteurs sur les tra jets des taquets correspondants 873, 893, 1911 et 1919, de sorte que ces leviers poussoirs sont actionnés par ces taquets lorsque le cha riot arrive à une position de colonne pour laquelle les blocs de commande 722 com portent des taquets.
1 Le levier tâteur 1929 (file. 105) coopérant avec les taquets correspondants 1921 portés par les bloc. de commande 722 contrôle l'im pression des trois porte-earactères des postes et les porte-caractères numéraux pour les unités et dizaines de centimes, de manière si milaire à celle décrite pour les porte-carac- tères des dates.
Le prolongement de droite du levier tâteur 1929 (file. 21, 25, 76 et 96B) est placé au- dessus d'un prolongement vers l'arrière d'un levier 2030 monté librement sur le goujon 1961 et pourvu d'un goujon qui s'engage dans une fente d'un levier coudé 2031 monté libre ment sur le goujon 2011; ce levier coudé est relié, par une articulation 2032, à un bras 2033 fixé sur l'e.-drémité de droite d'un arbre 2031 qui tourne dans la console 2026 et dans le bâti 283 de l'imprimeur. Sur l'arbre 2031 sont également fixés deux crochets 2035 qui peuvent se placer sur des blocs correspon dants 2036 fixés sur les marteaux 317 pour les porte-caractères 275 des unités et dizaines de centimes (file. 21, 25 et 70).
Sur l'arbre 2031 sont fixés en outre trois crochets 2037 susceptibles de coopérer avec des blocs cor respondants (non représentés) similaires aux blocs 2036, ces blocs étant fixés sur les mar teaux 317 pour les porte-caractères 331 de postes (file. 70).
Le taquet 1921 pour le contrôle d'impres sion des porte-caractères d'articles et des porte-caractères des unités et dizaines de cen times peut être de trois longueurs, comme in diqué sur la file. 105; si ce taquet est de grande longueur, il empêche le mouvement du levier tâteur 1929 dans le sens des aiguil les d'une montre (file. 76) pour retenir les crochets 2035 et 2037 (file. 21 et 25) en po sitions inopérantes, comme représenté, de sorte qu'ils ne gênent pas le mouvement d'im pression des marteaux 317 pour les porte caractères des unités et dizaines de centimes.
Lorsque le taquet 1921 est de longueur moyenne, il permet au levier tâteur 1929 de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre suffisamment pour amener les cro chets 2037 pour les marteaux 317 de postes, crochets qui, comme on le verra en se reportant aux file.
21 et 25, sont légèrement plus longs que les crochets 2035 pour les porte-caractères des centimes, à se placer sur le trajet des blocs de ces marteaux, de manière à empêcher le mouvement d'impression de ces marteaux et à provoquer la non-impression de la part des pofte-caractères de postes lorsque le cha riot 136 est placé dans une position de co lonne dans laquelle son bloc de commande 722 porte un taquet de longueur moyenne pour coopérer avec le levier tâteur 1929.
Lorsque le taquet utilisé 1921 (fig. 105) est de la plus faible longueur, le levier t < àteur 1929 peut effectuer son mouvement entier dans le sens des aiguilles d'une montre,
de manière à agir sur les crochets 2037 des marteaux 317 de postes ainsi que sur les cro chets 2035 pour des marteaux des centimes en vue de les placer sur les trajets des blocs correspondants pour empêcher les mouve ments d'impression de ces marteau et pour provoquer la non-impression de la part des porte-caractères des postes et des unités et dizaines de centimes dans des positions de colonnes où le taquet de blocage respectif porte un taquet 1921 de la plus faible Lon gueur.
En se reportant aux fig. 25 et 76, on cons tatera que les leviers 2021 et 2030 sont pourvus de dents d'alignement qui coopèrent avec l'aligneur <B>1982,</B> de façon à aligner et re tenir ces leviers dans les positions ajustées pendant l'opération. Jlode <I>de</I> fonctionnement.
La machine représentée et décrite a été construite à l'usage des établissements ban caires pour l'établissement des comptes indi viduels de chèques. Ce n'est cependant qu'un usage de la machine choisi à titre d'exemple, car grâce à sa souplesse et à ses caractéris tiques diverses, elle peut être facilement adap tée à de nombreuses organisations commer ciales; on n-'entend donc pas limiter l'emploi de la machine à un système ou à un usage particulier. La pièce comptable 1550 (fig. 117) sen-ira de base pour l'explication du mode de fonc tionnement de la machine.
Cette pièce comp table a trait au compte de chèques individuels et est établie au nom de 11. Jean Dupont en compte avec la Banque de Crédit à Paris. On voit que la feuille est divisée en tme partie principale et un talon, ces deux parties étant reliées l'une à l'autre par des perforations pour pouvoir facilement les séparer. La par tie principale de la feuille<B>1550</B> est divisée en colonnes: tme colonne Pick-up , trois colon nes de Chèques, une colonne de Dépôts et une colonne de bilan partiel.
La partie principale de la feuille comprend en outre deux colonnes de Dates, l'une entre la. colonne Pick-up et la première colonne des Chèques et l'autre entre la colonne des Dépôts et la colonne de bilan partiel; les dates s'impriment lors de l'enregistrement du premier poste de chèques et l'enregistrement du bilan partiel.
Le talon de la. feuille 1550 contient, une colonne Float dans laquelle s'enregistre l'analyse du courant, une colonne de Dates, une colonne des Totaux de postes, et une co lonne de Bilans. Du côté droit de la marge supérieure de la partie principale de la feuille sont inscrites les définitions des tou ches symboliques 390 (fig. 3) suivant leur utilisation pour les postes de débit et/ou de crédit.
Dans la plupart des établissements ban caires, on arrête généralement les comptes de chèques actifs chaque jour et les feuilles uti lisées pour de tels comptes actifs sont habi tuellement de longueur suffisante pour per mettre toutes les entrées pendant une certaine période, en général un mois, à la fin de la quelle le talon de la feuille est détaché de la partie principale; la partie principale est en voyée au déposant et le talon est conservé par la banque.
Avant le commencement des inscriptions journalières sur les comptes de chèques, l'opé rateur introduit correctement une feuille de journal en superposant un papier carbone autour du rouleau 309, cette feuille de jour nal ayant toute la. largeur de la partie princi pale aussi bien que du talon de la feuille 1550, afin d'obtenir im double de l'enregistrement de chaque entrée faite sur les feuilles dans la journée.
Avant l'inscription des comptes de chè ques individuels, on retire toutes les feuilles actives 1550 du fichier et on les place dans une pile dans l'ordre alphabétique. Le cha riot 136 (fig. 1) se trouvant dans sa position à. l'extrême droite, ou à la colonne Pick-up et le rouleau 309 à la position d'entrée ouverte, l'opérateur prélève sur la pile' la feuille 1550 pour J. Dupont, l'introduit dans l'entrée ouverte du chariot, ajuste la ligne voulue de la feuille au mécanisme imprimeur à l'aide du dispositif de repérage des lignes et actionne ensuite l'interrupteur électrique aux met le moteur en marche pour démarrer le chariot et la machine proprement dite.
S'il s'agit de la première entrée sur la feuille de Jean Dupont, l'opérateur vérifie le compte d'après la dernière entrée sur le talon de sa feuille précédente et compose l'ancien solde de Fr. 400.00 à l'aide des touches numé rales 218 (fig. 3); l'abaissement de ces tou ches numérales provoque, à l'aide du méca nisme représenté sur la fig. 14, le déplace ment du rouleau 309 de la position d'entrée ouverte vers la position d'impression.
Après la composition de l'ancien solde de Fr. 400.00 par les touches numérales, on dé clenche le fonctionnement de la machine par l'abaissement normal de la barre de démar rage principale 170, opération pendant la quelle le solde précédent, ou ancien, est enre- Oistré dans la colonne Pick-up de la feuille et en même temps additionné dans le totali sateur No-1, auparavant remis à zéro. L'abais sement normal de la barre de démarrage 170 provoque la tabulation du chariot de la co lonne Pick-up à la prochaine position de colonne, c'est-à-dire à la première colonne de chèques en fin d'opération.
Ensuite, l'opéra teur compose le montant du premier chèque de Fr. 50.00 par les touches numérales et pour indiquer <B>qu'il</B> s'agit d'un Débit mémo il abaisse la touche symbolique 390 DJI après quoi la machine se déclenche par l'abaissement normal de la barre de démar rage 170. Pendant l'opération, le montant du premier chèque de Fr. 50.00 est enregistré en rouge dans la première colonne des .chèques et le symbole D31 est enregistré simultané ment immédiatement à droite de ce montant et, en même temps, le montant du chèque est soustrait du solde de Fr. -100.00 dans le tota lisateur de solde.
Pendant l'inscription de tous les postes de débit, c'est-à-dire de tous les postes à sous- traire du compte du déposant, le mécanisme représenté sur la fig. 71 contrôle le ruban encreur, de manière que tous ces postes soient imprimés en couleur distincte, en rouge par exemple.
A la fin de l'opération de 11nseription du premier chèque, le chariot 136 est tubulé à la seconde colonne de chèques, le montant du deuxième chèque de Fr. 25.00 est composé par les touches numérales et la machine est à nouveau déclenchée par l'abaissement nor mal de la barre de démarra---c 170. Pendant cette opération du deuxième chèque, le mon tant du chèque de Fr. 25.00 est soustrait du totalisateur de solde et simultanément enre gistré en rouge dans la deuxième colonne des chèques; à la fin de cette opération, le cha riot est à nouveau tubulé d'une position de colonne à la troisième colonne des chèques.
Le chariot se trouvant dans la position correspondant à la troisième colonne des chè ques, on compose le montant du troisième chèque de Fr. 75.00 par les touches numérales et comme il y a encore un poste de débit, ou de chèque, à inscrire, l'opérateur déclenche une opération par l'abaissement normal de la barre 171 d Av aneement Z ertical. Pendant cette opération de la machine, le troisième chèque de Fr.
75.00 est enregistré en rouge dans la troisième colonne des chèques et si multanément soustrait du totalisateur \o 1, et à la fin de l'opération le rouleau<B>309</B> tourne en vue de l'espacement des lignes sur la pièce comptable pour préparer l'entrée d'un quatrième poste de chèques.
Ensuite on compose avec les touches nu mérales le montant du quatrième chèque de Fr. 50.00 et on déclenche la machine par l'abaissement normal de la barre (le démar- rage 170. Pendant cette opération, le mon tant du quatrième chèque de Fr. 50.00 est enregistré en rouge dans la troisième colonne des chèques directement au-dessous du troi- sième chèque et simultanément soustrait du totalisateur de solde. Vers la fin de l'opéra tion, le chariot 136 est tubulé vers la pro chaine colonne, ou colonne des Dépôts.
Le chariot 136 se trouve maintenant à la colonne des Dépôts; on compose avec les tou ches numérales le montant du dépôt de Fr. 100.00 et on déclenche la machine par 1#abaissement normal de la barre de démar rage 170. Pendant l'opération, le montant du dépôt de h'r. 100.00 est enregistré en noir dans la colonne des Dépôts de la feuille 1550 et simultanément additionné dans le totalisa teur de solde.
Vers la fin de l'opération de dépôt, le cha riot 136 est tabulé à la prochaine colonne, ou colonne de solde partiel, où ce chariot dé clenche une opération automatique. Dans cette opération automatique, le totalisateur de solde est sous-totalisé et le solde partiel de Fr. 300.00 est enregistré dans la colonne de solde partiel. Le solde partiel est identifié comme tel par symbole (+ S) qui s'imprime automatiquement en même temps que le solde partiel.
A la fin de l'opération de solde par tiel, le chariot 136 est automatiquement tabulé sous l'action du mécanisme représenté sur la fia. 122 à la position de la colonne Float .
Lorsque le chariot arrive à la colonne < < Float , le mécanisme représenté sur les fig. 21 et 25 détache le mécanisme d'élimina- tion des zéros pour les porte-caractères numé- raiLx en deux endroits pour diviser le clavier en trois sections en vue d'une analyse du courant . Le chariot se trouvant à la co lonne Float , l'opérateur abaisse les touches numérales nécessaires et déclenche le fonc tionnement de la machine par l'abaissement normal de la barre de démarrage 170.
Lors du fonctionnement de la machine, une analyse du courant est enregistrée dans la colonne Float et, pendant cette opération, tous les totalisateurs sont bloqués, de sorte que la ma chine fonctionne cette fois uniquement comme machine d'impression.
A la fin de l'opération courant , le cha riot est tabulé à la colonne de solde et, lors qu'il arrive à cette position, le mécanisme tâteur déclenche une opération automatique pendant laquelle le totalisateur de solde est totalisé et le montant respectif de Fr. 300.00 enregistré dans la colonne de solde de la feuille 1550; simultanément avec l'enregistre ment., un symbole d'identification (-j-) s'im prime en face de ce montant pour l'identifier comme solde positif.
Pendant l'entrée des divers postes de chè ques et dépôts, le mécanisme automatique de comptage de postes est en action pour addi tionner 1 dans le totalisateur de postes à chaque enregistrement de ehaque poste; toute fois, lorsque le chariot se trouve dans une po sition autre que celle de la colonne de solde, le mécanisme représenté sur les fig. 21 et 25 entre en action pour bloquer les marteaux pour les porte-caractères de comptage de pos tes contre le mouvement d'impression, de sorte que les postes ne seront pas enregistrés -à me sure qu'ils entrent dans le totalisateur de postes.
Lorsque le chariot 136 se trouve dans la position de la colonne de solde, les mar teaux imprimeurs pour les porte-caractères de comptage de postes sont débloqués et, pen dant l'opération de solde, le totalisateur des postes est totalisé de manière à enregistrer le nombre total des postes, cinq dans le cas pré sent, dans la colonne Total des Postes immédiatement à gauche de la balance.
On voit que, pendant chaque opération d'inscription, la date est imprimée trois fois: deux fois sur la partie principale de la feuille 1550 (fig. 117) et une fois sur le talon de cette feuille. Lorsque le chariot 136 se trouve dans la première colonne de chèques, les marteaux imprimeurs pour les porte-ca- ractères des dates sont débloqués, de sorte que la date, Avril 12, 43, s'imprime dans la colonne Date immédiatement à gauche de cette première colonne de chèques en même temps que s'inscrit le premier chèque. De la même façon, la date, Avril 12, 43, s'imprime simultanément avec l'enregistrement du solde partiel et une fois encore avec l'enregistre ment du solde.
Vers la fin de l'opération, le chariot 136 est tabulé à nouveau à une position où l'un des blocs de commande 722, en coopération avec le mécanisme tâteur représenté à la fia. 33, provoque le déplacement du chariot dans le sens de retour à la colonne Pick-up et, en même temps, à l'aide dit mécanisme re présenté aux fig. 7A et 7B, fait passer le rou leau 309 de la position d'impression à la po sition d'entrée ouverte, de sorte que la feuille 1550 peut facilement être retirée de la ma chine pour y insérer une autre feuille.
Dans toutes les autres positions du chariot, le mé canisme représenté aux fig. 7A et 7B arrête le mécanisme automatique d'ouverture de l'entrée pour éviter l'ouverture et la ferme ture inutiles de l'entrée d'alimentation fron tale.
Il est bien entendu que dans les opéra tions de solde des comptes de chèques indivi duels comme celle décrite ci-dessus, la coulisse de commande 1808 (fig. 1 et 3) pour le con trôle des fonctions des barres de démarrage 170 et 171 se trouve dans la position No 1.
Pour l'inscription ou le solde du compte de chèques de M. Jean Dupont pour le 13 avril 19-13, l'opérateur prend le solde pré cédent ou ancien solde (Fr. 300.00) de la dernière inscription dans la colonne de solde, compose son montant sur les touches numé rales et déclenche le fonctionnement de la machine par l'abaissement de la barre de dé marrage 170 de la manière expliquée pour 1e'aneien solde de Fr. 400.00. Les deux chèques suivants de Fr. 10.00 et Fr. 20.00 s'inscrivent exactement de la façon expliquée ci-dessus et, pendant. l'impression du poste du premier chèque de Fr. 10.00, la date du 13 avril 43 s'imprime simultanément à gauche de la pre mière colonne de chèques.
Après l'entrée du deuxième chèque de Fr. 20.00 et après que le chariot 136 est. passé à la troisième colonne de chèques, l'opérateur compose sur les<B>tou-</B> ches numérales le montant du troisième chè que de Fr. 30.00 et comme il s'ait d'un poste Non à compter - c'est-à-dire qu'il ne doit pas être accumulé dans le totalisateur de pos- .tes - il abaisse aussi la touche 371 Non à compter (fig. 3).
Comme il n'v a pas, dans cette inscription particulière, de dépôt à comptabiliser, il est désirable que le chariot 136 saute (skip tabu- late) de la troisième colonne de chèques à la colonne de solde partiel; pour l'obtenir, on déclenche une opération de la machine en enfonçant complètement la barre 172 Skip et en la maintenant abaissée. Pendant l'opé ration, le montant du troisième chèque (Fr. 30.-) s'inscrit dans la troisième co lonne de chèques et le symbole <I> NC </I> pour la touche 371 Non à compter s'enregistre si multanément immédiatement à droite de ce montant.
A la fin de l'opération, le chariot saute de la troisième colonne de chèques à la colonne de solde partiel et à l'aide d'une opé ration automatique on enre,,-istre le montant du solde, Fr. 2-10.00, et la date, Avril<B>13,</B> 43, après quoi le chariot passe à la colonne Float .
Les chiffres de l'analyse courant se com posent sur le clavier et la machine est déclen chée pour une opération, comme expliqué ci dessus; après l'enregistrement de l'analyse, la chariot est tabulé à la colonne de solde et, par une opération automatique de la ma chine, le totalisateur N o 1 est vidé et le mon tant du nouveau solde qui s'y trouve (Fr. 210.00) s'inscrit dans cette colonne du solde. En même temps que l'enregistrement du nouveau solde, le nombre total (les postes (2) est enregistré dans la colonne Total des Postes , et la date, Avril 13, 43, est enregis trée dans la partie réservée à la date de la co lonne de solde.
Comme dans l'inscription pré cédente, le chariot passe à nouveau automati quement vers la gauche pour faire entrer en action le mécanisme servant à faire passer le rouleau 309 de la position d'impression à la position d'alimentation frontale et pour pro voquer le retour de ce chariot à la colonne ,Pick-up . Lors de l'iiiseription sur le compte<B>(le</B> l1. Jean Dupont du 13 avril 1913, le montant de l'ancien solde (Fr. \_'-10.00) tiré de la der nière entrée dans la colonne (le solde s'inscrit dans la colonne Pick-up comme aupara vant, après quoi le chariot 136 est tabulé à la première colonne (le Chèques, le premier chèque clé F r.
30.00 est. enregistré (le la même façon due précédemment et la date également enreâistrée dans la première colonne clé Cliè- ques. Comme il n'y a, pendant cette inscrip tion particulière, que deux articles de débit, ou de chèques, à inscrire, il est préférable que le chariot passe de la première colonne de Chè ques directement à la troisième colonne de Chèques. Ceci s'obtient en déclenchant une opération où le premier chèque de Fr.
30.00 s'enregistre par l'abaissement complet de la barre de démarrage 171 d'Avancement Verti cal et en retenant cette barre en position abaissée, ce<B>qui</B> fait sauter le chariot, grâce au mécanisme représenté à la fi-.<B>92,</B> de la première colonne de Chèques à la troisième colonne de Chèques après l'enregistrement dit premier chèque.
Ensuite on compose sur le clavier fui deuxième poste de débit (Fr. 270.00) repré senté dans ce cas par un ensemble de vingt- cinq chèques d'une certaine série et, comme il s'anit d'une liste de débit , on abaisse en même temps la touche symbolique 390 LS (fig. 3) et on compose le nombre de chèques (25) de ce cas particulier sur les touches 313 compteuses de postes. Comme il n'y a pas, dans cette opération d'inscription, de dépôt, il est préférable que le chariot saute de la troisième colonne de Chèques à la colonne de solde partiel.
On procède, comme auparavant, par abaissement complet de la touche 172 et son maintien dans la position abaissée. Pen dant l'opération, le montant de l'article de dé bit de Fr. 2"r0.00 est enregistré dans la trois sième colonne de Chèques, le symbole LS s'inscrit immédiatement à droite de ce mon tant et le nombre total de postes (25) s'addi tionne simultanément dans le totalisateur de , postes.
La soustraction de poste de débit de Fr. 210.00 du totalisateur de solde crée un dépassement dans ce totalisateur et. une con dition qui fait que le totalisateur No 5, ou de dépassement, lequel, comme on se rappelle, est toujours complémentaire du totalisateur de soldé, est, grâce au mécanisme représenté à -la fig. 61, sous-totalisé ou totalisé pour obte nir un enregistrement positif du montant du dépassement. De même, le fait du dépassement dans le totalisateur de balance crée, par le mécanisme représenté à la fig. 71, une con dition pour l'impression du montant du dé passement en rouge.
Vers la fin de l'opération de l'inscription du poste de débit de Fr. 270.00, le chariot saute de la troisième colonne de Chèques di rectement à la colonne de solde partiel et dé clenche une opération automatique de la ma chine pendant laquelle le totalisateur de dé passement est sous-totalisé et le montant,po- sitif du dépassement (Fr. 60.00) enregistré dans la colonne de solde partiel.
Le fait d'un dépassement dans le totalisateur de solde crée également une condition qui provoque lins= cription du symbole d'identification D 'immédiatement à droite du solde partiel et, comme dans d'autres opérations de solde par tiel, du symbole S . En même temps que l'enreg-istrement du solde partiel du dépasse ment, la date s'inscrit dans la partie réservée à la date de la colonne de solde partiel.
Vers la fin de l'opération de solde partiel, <B>16</B> chariot 136 passe à la colonne Float (courant) et l'analyse courant est composée et enregistrée comme auparavant, après quoi le chariot passe à la colonne de solde et, par une opération automatique, le totalisateur <B><I>Nu</I></B> 5 ou de dépassement est vidé et le mon tant du dépassement (Fr. 60.00) enregistré en rouge clans la colonne de solde avec le sym bole d'identification D immédiatement à droite de ce montant. En même temps que l'enregistrement du solde de dépassement, le totalisateur de postes est remis à zéro et le nombre total de postes (26) en est extrait et enregistré dans la colonne Total de postes .
A la fin de l'opération de solde, le chariot 136 est ramené à la colonne Piclï-up et en même temps le rouleau 309 passe de la position d'impression à la position d'entrée ouverte en vue de la préparation des prochaines opéra tions.
Pour l'inscription de compte de chèques de 1I. Jean Dupont au 15 avril 1913, on com pose le solde précédent, qui représente un dépassement de Fr. 60.00, sur les touches nu- niérales 218 et on déclenche une opération de la machine en abaissant la touche de Sous- traction 1, ou touche 377 Dépassement Pick- up (fi;. 3). Pendant cette opération, le mon tant du dépassement (Fr. 60.00) est soustrait du totalisateur No 1, ou de solde, et simulta nément enregistré en rouge dans la colonne Pick-up .
L'utilisation de la touche 377 pour le déclenchement du fonctionnement de la machine provoque l'impression du signe de soustraction (-) immédiatement à droite du montant du dépassement pour l'identifier à nouveau comme montant négatif. A la fin de l'opération, le chariot passe à la première co lonne de Chèques et, dans les opérations sui vantes d'üiscription, les trois chèques de Fr. 10.00, Fr. 5.00 et Fr. 15.00 s'inscrivent en rouge et sont simultanément soustraits du to talisateur de solde.
Avant de déclencher l'opération pour l'entrée du troisième chèque, l'opérateur s'assure qu'il n'y a pas de qua trième poste de débit et se sert dans ce cas de la touche 171 d -4v ancement Vertical pour déclencher une telle opération. L'abaissement normal de la barre verticale 171 provoque la rotation du rouleau 309, vers la fin de l'opération, en vue de l'espacement des lignes sur la pièce comptable pour préparer l'ins- eription du quatrième poste de débit.
Le quatrième article de débit, qui est un débit de frais, ou de comptabilité, de cin quante centimes, se compose avec les touches numérales et on abaisse en même temps la touche symbolique 390 CS en déclenchant une opération par l'abaissement normal de la barre de démarrage 170.
Dans cette opération, le montant des frais de service, de cinquante centimes, est enregistré dans la troisième co lonne de Chèques directement au-dessous du troisième chèque et le symbole CS est si multanément enregistré immédiatement à droite de ce montant pour identifier ce poste comme frais de service. Vers la fin de l'opé ration, le chariot passe à la colonne de Dépôts, après quoi le montant du dépôt (Fr.
200.00) se compose sur le clavier numéral et, comme il s'agit d'un article de crédit-mémo , on abaisse en même temps la touche symbolique 390 CJI et ensuite la barre de démarrage 170 pour déclencher une opération. Pendant cette opération, le montant du dépôt, ou poste de crédit-mémo, est enregistré dans la colonne de Dépôts et simultanément additionné dans le totalisateur No 1, ou de solde, en même temps que le symbole CJI s'inscrit immédiatement à droite de ce montant.
Vers la fin de l'opération de dépôt, le chariot passe à la colonne de solde partiel et, par une opération automatique, le totalisateur de solde est sous-totalisé et le montant respec tif (Fr.109.50) est enregistré dans la colonne de solde partiel avec le symbole S identi fiant ce poste comme poste de solde partiel positif enregistré simultanément immédiate ment à droite de ce montant.
A la fin de l'opération de solde partiel, le chariot 136 passe à la colonne Float comme auparavant et l'analyse courant est enregistrée de la manière expliquée précédemment, après quoi le chariot passe à la colonne de solde; par une opération automatique, le totalisateur de solde est vidé et le montant qui s'y trouve (Fr. 109.50) enregistré dans la colonne de solde en même temps que le symbole de solde positif immédiatement à droite. En même temps que l'enregistrement du solde, le totali sateur No 6, ou totalisateur de postes, est vidé et le nombre de postes qui s'y trouve, cinq dans le cas présent, est simultanément enre gistré dans la colonne Total de Postes .
Pen dant l'enregistrement du solde, la date est aussi inscrite simultanément dans la partie réservée à la date de la colonne de solde.
La description donnée du fonctionnement, en liaison avec un système particulier de comptabilité, suffira pour les besoins de cet exposé. Toutefois, les caractéristiques nom breuses et la diversité de la machine repré sentée et décrite permettent de l'adapter à presque tous les types de comptabilité ein- ploy és dans les établissements commerciaux et industriels modernes.
Il est par exemple facile de changer la disposition simplement en enle vant la barre 729 des blocs de commande (fi-. 1s3 et 18B) et en lui substituant une autre barre sur laquelle les blocs de com mande 722 sont arrangés de facon à satisfaire aux conditions d'un autre système, ou encore, on peut disposer les blocs de commande "r2\3 sur la barre 729, de manière à adapter la ma chine à une organisation différente.
L'adaptation de la machine aux diverses organisations est, en plus, facilitée par les touches de commande 374 à 380 incluse (fig. 3), les touches de correction 369 à 372 incluse, les touches sélectrices de colonnes 1066 et 1070 et par les touches de commande de chariot<B>1071, 1072</B> et 1073. Les possibilités d'adaptation de la machine aux diverses orga nisations commerciales sont augmentées égale ment par les trois barres de démarrage 170, 171 et 172 et par leur mécanisme de com mande, y compris la coulisse 1808, laquelle, comme on se rappelle, peut être ajustée à quatre positions pour varier le fonctionne ment de ces barres de démarrage.