CH262592A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH262592A
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Description


  Machine comptable.    La présente invention a pour objet une  machine comptable comportant un totalisa  teur, des entraîneurs pour le totalisateur et  des     moyens    pour embrayer le totalisateur  avec les     entraîneurs    et le débrayer de     ceux-ci     à des temps convenant au genre d'opération  à exécuter, caractérisée en ce que les moyens  d'embrayage et de débrayage du totalisateur  comprennent un organe de commande pour  mettre le totalisateur en prise avec et hors de  prise des entraîneurs, un organe d'entraîne  ment qui se déplace sur un chemin défini et       inv:

  >riable    à chaque cycle de la machine, un  organe d'accouplement     inique    fonctionnant       différentiellement,    qui sert à établir une liai  son d'entraînement entre l'organe d'entraîne  ment et l'organe de commande à des temps  appropriés dans le cycle de la machine, et  des moyens de commande     pour    régler le fonc  tionnement de l'organe d'accouplement et  ainsi commander le réglage de     l'.embrayage     du totalisateur avec les entraîneurs     et,de    son  débrayage de ceux-ci.  



       Etant    donné qu'un seul organe d'accou  plement est employé, qui fonctionne     différen-          tiellement    selon le genre d'opération à exécu  ter pour établir une liaison motrice entre l'or  gane d'entraînement et l'organe de com  mande à des moments appropriés dans  le cycle de la machine, la construction  du mécanisme d'embrayage et de débrayage  du totalisateur est grandement simplifiée en  comparaison avec les mécanismes correspon  dants dans les     machines    comptables connues.

      Jusqu'à présent, de tels mécanismes compre  naient un accouplement formé de plusieurs  parties interposées entre l'organe d'entraîne  ment et l'organe de commande, qui pouvaient  adopter différents profils     suivant    le genre  d'opération à exécuter.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine comptable     faisant    l'objet de     l'invention.     



       Fig.    1 est     une        vue    en perspective de la       machine    complète.  



       Fig.    2 est une vue de détail de l'une des  touches de     commande    du chariot et d'une  partie du mécanisme associé.  



       Fig.    3 est une     vue    schématique, en plan.  du clavier de la machine.  



       Fig.    4 et 5 sont des     vues'de    détail d'une  chape sélectrice de colonnes.  



  Fi-. 6 est     une    vue de détail de la touche  de     commande    pour l'ouverture et la ferme  ture de l'entrée pour l'alimentation frontale.  



       Fig.        7g    et 7B représentent conjointement  une élévation latérale de la     machine    vue du  côté droit. '       Fig.    8 est une élévation latérale du côté  droit du mécanisme de déclenchement de la  machine.  



       Fig.    9 est une vue de détail du     mécanisme     de non-répétition pour l'une des touches de  démarrage.  



  Fi-* 10 est une élévation latérale du côté  droit montrant une partie détaillée du méca  nisme de démarrage de la     machine.              Fig.    11 est     un    détail d'une partie du mé  canisme servant à contrôler la     tabulation    du  chariot à l'aide de l'une des touches de dé  marrage.  



       Fig.    12 est une vue de détail du . méca  nisme d'embrayage pour l'ouverture et la fer  meture de l'entrée de l'alimentation frontale  du chariot.   Fil-. 13 est une     \lie    de détail du méca  nisme de remise en position ou de débrayage  du mécanisme d'embrayage représenté     sur    la       fig.    12.  



       Fig.    11 est une élévation latérale dut côté  droit montrant en particulier le mécanisme de  blocage du mécanisme de déclenchement de  la machine.  



       Fig.    15 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme provoquant la fermeture de  l'entrée     d'alimentation    frontale lorsqu'une  touche numérale est abaissée.  



       Fig.    16 est une     vue    en perspective mon  trant le détail du mécanisme de blocage de la  machine lorsqu'une touche numérale est par  tiellement abaissée et du mécanisme de fer  meture de l'entrée d'alimentation frontale  lorsqu'une touche numérale ou une touche  compte-Lise de postes est abaissée.  



       Fig.    17 est une     vue    de détail montrant la  faon dont les touches numérales sont montées  sur le sommier des touches.  



       Fig.    18A et 18B représentent conjointe  ment une coupe longitudinale de la machine  complète prise immédiatement à droite d'un  des groupes     nutméraux    et montrant le méca  nisme moteur, le mécanisme imprimeur et les  rotes correspondantes des six totalisateurs  associés à ce groupe numéral.  



  Fi-. 19 est une     vue    de détail montrant la  façon dont les mouvements principaux sont  reliés aux mouvements     auxiliaires    correspon  dants.  



       Fig.    20 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme de     commande    de mouvement  servant à compter les unités des postes enre  gistrés.  



  Fi-. 21 est une élévation latérale vue du  côté droit d'une partie du mécanisme impri-         meur    montrant les porte-caractères en posi  tion normale ou de repos.  



       Fig.    22 est     tune    vue de détail du méca  nisme d'alignement des     porte-caractères.     



       Fig.    23 est une élévation latérale     vue    du  côté droit, montrant l'un des     porte-caractères     en position d'impression et le mécanisme cor  respondant du marteau imprimeur en posi  tion déclenchée.  



       Fig.    24 est une     v1te    latérale agrandie prise  selon la     ligne        24-21    de     la,        fig.        \'3,    en regar  dant dans la direction des flèches et mon  trant la     construction    des porte-caractères.  



  Fi-. 95 est une vue de détail     d'une    partie  du mécanisme de     commande    du marteau im  primeur.  



       Fig.    26 est une élévation vue du côté  gauche, montrant en     particulier    le mécanisme  de     débloeage    des touches. '       Fig.    27 est une     vue    en plan par en haut       d'une    partie du mécanisme représenté sur la       fig.    26.  



  Fi-. 28 est une     vue    de détail     d'une    partie  du mécanisme servant à bloquer la     machine     lorsque l'une des touches numérales est par  tiellement abaissée et à fermer automatique  ment l'entrée d'alimentation frontale lors  qu'une des touches     ntunérales    est abaissée.  



  Fi-. 29 est une vue détaillée     d'une    partie  du mécanisme de     débloeaye    des touches.       Fig.    30 est     une        vue    détaillée d'une partie  du mécanisme de soustraction pour     detLx    des  totalisateurs.  



       Fig.    31A et 31B représentent conjointe  ment une élévation latérale de la machine vue  du     eôfé    gauche, montrant en particulier le  mécanisme     servant    à contrôler les fonctions  des divers totalisateurs.  



       Fig.    32 est une prolongation de la     fig.    30  et montre le mécanisme supplémentaire pour  contrôler l'opération de soustraction dans l'un  des totalisateurs.  



  Fi".<B>33</B> est une élévation latérale vue (lu  côté droit, d'une partie du mécanisme con  trôlé par le chariot dans ses positions de     ta-          bulation,    de manière à diriger le chariot vers       une    position particulière de colonnes.      . Fia. 34 est une élévation latérale, vue du  côté gauche, montrant le mécanisme d'em  brayage du totalisateur.  



       Fig.    35 est une élévation latérale, vue du  côté gauche, montrant une partie du méca  nisme de commande de soustraction pour les  totalisateurs Nos 1 et 2.  



  MOI. 36 est     une        jute    de détail en perspec  tive, montrant la barre d'embrayage du tota  lisateur et les     leviers    à cames actionnant cette  barre.  



  Fia. 37 est une vue en perspective du mé  canisme servant à empêcher le déblocage ou  l'abaissement des touches pendant l'opération  <B>(le</B> la machine.  



       Fig.    38 est une élévation latérale, vue du  côté gauche, montrant la façon dont les trois  touches de correction déclenchent le fonction  nement de la machine.  



  Fia. 39 est une     vue    en     perspective    d'une  partie du mécanisme d'embrayage du totalisa  teur.  



  Fia. 40 est une élévation latérale vue du  côté gauche, d'une partie du mécanisme d'em  brayage du totalisateur.  



       Fig.    41 est une vue de détail montrant le  mécanisme contrôlé par les touches de     non-          addition    et de     sous-totalisation    pour provo  quer la     non-addition    des totalisateurs Nos 2, 3,       4et6.     



  Fia. 42 est une vue de détail du méca  nisme contrôlé par les touches de correction  pour provoquer la non-addition des totalisa  teurs Nos 1, 5 et 6.  



  Fia. 43 est une élévation frontale     d'une     partie du mécanisme représenté sur la fia. 42.  Fia.     44    est une élévation latérale     vue    du  côté gauche, montrant la rangée des touches  de commande, la coulisse de commande de  sous-totalisation et une partie du mécanisme  associé.  



  Fia. 45 est une vue schématique     montrant     le mouvement de la barre d'embrayage du to  talisateur pour embrayer et débrayer le ou les  totalisateurs sélectionnés des mouvements  dans tous les types d'opération.  



  Fia. 46 est une élévation latérale vue du  côté gauche, du groupe des touches de correc-         tion    et d'une partie du mécanisme de com  mande associé.  



  Fia. 47 est une vue en plan par le haut  des coulisses de commande des totalisateurs  servant à contrôler les fonctions des     divers,     totalisateurs.  



  Fia. 48 représente en plan vu d'en haut  une partie du mécanisme de la fi". 46 pour  contrôler les divers totalisateurs dans les opé  rations de sous-totalisation.  



       Fig.    49 est     une    coupe     transversale    de  l'extrémité gauche du rouleau, prise suivant  la ligne     49--49    de la fia. 118 en regardant  dans la direction indiquée par les flèches.  



  Fia. 50 est une     vue    en perspective déve  loppée montrant en     particulier    les chapes de       commande    de dépassement et certains méca  nismes associés.  



  Fia. 51 est une vue de détail de la barre  d'opération verticale pour l'un des jeux des  pistons d'arrêt.  



  Fia. 52 est une élévation latérale de gau  che d'une partie du mécanisme de commande  du totalisateur de dépassement.  



  Fia. 53 est une élévation latérale de     gau-          -che    montrant en particulier une partie du  mécanisme de commande de dépassement.  



  Fia. 54 est une     vue    de détail d'une partie  du mécanisme servant à contrôler l'embrayage  et le débrayage du totalisateur No 1 ou de  balance dans les opérations de solde du dé  passement.  



  . Fia. 55 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme servant à contrôler l'embrayage  et le débrayage du totalisateur No 1 dans les  opérations de sous-balance du dépassement.  



  Fia. 56 est une vue de l'espacement laté  ral des chapes de commande du     dépassement.          Fig.    57 est une vue en plan par le haut  d'une partie du mécanisme de commande du  totalisateur.  



  Fia. 58 est une élévation frontale d'une  partie du mécanisme de la fi-. 48, montrant  en particulier les barres verticales servant à  contrôler l'embrayage et le débrayage des to  talisateurs dans les opérations de soustrac  tion, de totalisation et de     sous-totalisation.              Fig.    59 est une     vue    de détail de la came,  du     levier    à came et des coulisses commandées  par ceux-ci pour actionner les chapes de com  mande du dépassement.  



       Fig.    60 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme pour le contrôle de la fonction  du rouleau     assurant    l'espacement des lignes.  



       Fig.    61 est     ime    élévation latérale de gau  che du mécanisme servant à débloquer lé mé  canisme automatique de commande de dépas  sement lorsque le totalisateur de solde est dé  passé.  



       Fig.    62 est une élévation latérale,     vue    du  côté gauche, du groupe des touches de correc  tion montrant une partie du mécanisme qui  lui est associé pour la mise en place des     porte-          symboles    correspondants.  



       Fig.    63 est une élévation frontale du mé  canisme représenté sur la fi-. 62.  



       Fig.    61 est une     vue    de détail montrant le  mécanisme d'arrêt associé aux touches de cor  rection Nos 2, 3 et 4 pour empêcher l'abaisse  ment de plus     d'une    de ces touches à la fois.  



       Fig.    65 est une élévation latérale de     au-          ehe    du mécanisme imprimeur de symboles  contrôlé par les touches de correction.  



       Fig.    66 est une     vue    en perspective d'une  partie du mécanisme de commande des porte  symboles.  



       Fig.    67 est. une vue schématique montrant  le mécanisme qui sert à contrôler l'ajustage  d'un des     'porte-symboles.     



       Fig.    68     est    une vue schématique du méca  nisme de contrôle d'in autre     porte-symboles.          Fig.    69 est     une        vue    de détail     d'une    partie  du mécanisme représenté sur la     fig.    71 pour  le contrôle du ruban à encre.  



       Fig.    70     est    une élévation frontale partielle       des     de la machine.  



       Fig.    71 est     -une    élévation latérale de gau  che du mécanisme de contrôle de la hauteur  de soulèvement du ruban à encre pour l'im  pression de certains postes en couleur diffé  rente.  



       Fig.    72 est. une     vue    en plan d'une partie  du mécanisme de contrôle du renversement  du mouvement transversal du chariot.  



       Fig.    73 est une     vue    de détail d'une     partie       du mécanisme représenté sur la     fig.    72 pour  l'embrayage du mécanisme d'accouplement  servant à actionner le mécanisme de renver  sement.  



       Fig.    74 est une vue de détail du méca  nisme de remise en position du mécanisme  d'accouplement représenté sur la     fig.    72.  



       Fig.    75 est une élévation frontale du mé  canisme représenté sur la     fig.    72 avec plus de  détails de la coulisse de renversement et les  deux     accouplements    de renversement associés.  



       Fig.    76 est une vue en perspective du  moyen d'exploration contrôlé par le chariot et  de la came qui actionne ledit moyen d'explo  ration.  



       Fig.    77 est un détail d'une     partie    du mé  canisme pour le contrôle     (l'un    des jeux des  pistons d'arrêt du tabulateur.  



       Fig.    78 est une vue de détail de la came  d'entraînement du moyen d'exploration de la       fig.    76.  



       Fig.    79 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme d'entraînement des pistons  d'arrêt du tabulateur.  



       Fig.    80 est     ime        vue    en plan des pistons  d'arrêt et d'une partie du mécanisme associé.  <U>Fi-.</U> 81 montre le chariot sélecteur de co  lonnes ou la coulisse, ainsi     (lue    le mécanisme  sur le chariot servant à mettre en place ledit  chariot ou ladite coulisse.  



  Fi-. 82 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme de la     fig.    81.  



  Fi-. 83 est     une    vue de détail des bras et  de la chape sélecteurs de colonnes.  



  Fi-. 84 est une     vue    de détail du méca  nisme à brides servant à contrôler la     rni#,e    en  position du chariot.  



       Fig.    85 est une élévation, vue du côté  droit, d'une partie du     mécanisme    pour le con  trôle du mouvement du chariot vers la co  lonne sélectionnée.  



       Fig.    86 est une vue de détail     d'une    partie  du mécanisme d'embrayage     servant    à con  trôler le fonctionnement du mécanisme de     ta-          bulation    représenté sur la     fig.    85.  



       Fig.    87 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme pour faire agir le mécanisme  de renversement (lu     mouvement    du chariot.      Fi-. 88 est une vue de détail d'une par  tie du     mécanisme    pour le contrôle des barres  d'arrêt de     tabulation    ou des pistons.  



  Fi". 89 est une élévation latérale d'une  partie du mécanisme contrôlé par le chariot  dans ses positions de colonnes de     tabulation     et par l'une des barres de déclenchement de  la machine et servant à contrôler le mouve  ment d'espacement des lignes du rouleau.  



  Fi-. 90 est une élévation latérale,     vite    du  côté droit, de l'une des touches sélectrices de  colonnes et du mécanisme qui lui est associé  pour le chariot.  



       Fig.    91 est une vue de détail des cames et  du mécanisme     associé    pour     l'entraînement    du       châssis    de tête et du mécanisme     aligneur    pour  le contrôle de la     mise    en position des mouve  ments d'entraînement.  



       Fig.    92 est     une    élévation latérale de droite  du mécanisme pour le contrôle de la mise en  position du chariot à l'aide d'une des barres  auxiliaires de démarrage.  



       Fig.    93 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme pour le contrôle de la mise en  position du chariot à l'aide     d'iuie    des barres       auxiliaires    de démarrage.  



       Fig.    94 est une vue de détail montrant le  mécanisme de la     fig.    11 dans l'une de ses po  sitions de     man#uvre.     



  Fi-. 95 est une vue en plan du mécanisme  représenté sur la     fig.    92.  



       Fig.    96A et 96p représentent conjointe  ment une vue en plan du     mécanisme    d'entraî  nement du chariot et du mécanisme d'explo  ration contrôlé par des taquets montés sur ce  chariot dans des positions correspondant aux  colonnes et     servant    à contrôler les diverses  fonctions de la machine.  



       Fig.    97 est une vue de     détail    de l'accou  plement et de     l'engrenage    qui lui est associé  pour déplacer le rouleau du chariot de la po  sition d'impression vers la position d'alimen  tation frontale et vice versa.  



       Fig.    98 est une vue de détail d'un jeu de  butées pour arrêter et retenir le chariot dans  l'une de ses positions de colonnes.  



       Fig.    99 est une élévation latérale, vue     dit     côté droit, ou     vite    en bout, du chariot, le    couvercle étant enlevé pour faire apparaître  le mécanisme de déplacement du rouleau de  la position d'impression vers la position  d'avancement frontale et vice versa, ledit mé  canisme étant représenté dans la position  d'impression.  



  Fi-. 100 est une vue latérale, du côté  droit, montrant les positions relatives des  pièces de la     fig.    99 lorsque le rouleau se  trouve dans la position d'avancement frontal.  



  Fi g. 101 est une vue de l'extrémité droite  du chariot, montrant en particulier les rou  leaux de pression supérieur et inférieur pour  la feuille du journal en position active.  



       Fig.    102 montre     une    partie     dit        mécanisme     de la     fig.    101 et la commande de ce méca  nisme par un levier manuel pour dégager les  rouleaux de pression supérieur et inférieur  du rouleau afin de faciliter l'insertion d'une  feuille de journal.  



  File. 103 est une coupe transversale du  chariot, montrant certains détails de ses par  ties importantes.     -          Fig.    104 est une coupe transversale d'un  des blocs de     commande    du chariot, montrant       deus    des taquets de commande et les leviers  explorateurs coopérant avec ces taquets.  



       Fig.    105 est une coupe transversale d'une  partie du mécanisme pour le contrôle de di  verses fonctions de la machine au moyen du  chariot dans ses positions de colonnes sélec  tionnées.  



       Fig.    106 est une coupe d'une partie du  mécanisme d'exploration pour le contrôle de  la sélection des divers totalisateurs à l'aide  du chariot dans ses positions de colonnes sé  lectionnées.  



  Fin.<B>107</B> est une vue de détail du méca  nisme représenté aux fi-. 99 et 100.  



       Fig.    108 est une vue de détail d'une autre  partie du mécanisme représenté aux fi-. 99  et 100.  



       Fig.    109 et 110 montrent les détails du  mécanisme recouvrant les fentes pratiquées  dans les plaques d'extrémité traversées par le  rouleau.           Fig.    111 est -une vue de détail du méca  nisme pour l'espacement automatique ou  l'avancement vertical du rouleau.  



       Fig.    112 est une vue de détail de la roue  à rochet et du cliquet     d'avancement    et du       linguet    d'arrêt pour le     mécanisme    d'espace  ment des     lignes.     



       Fig.    113 est une vue de détail du levier  manuel et du mécanisme associé servant à  contrôler l'importance du mouvement du mé  canisme d'espacement des lignes.  



       Fig.    114 est une vue de détail des cames  et du mécanisme associé pour l'entraînement  du mécanisme d'espacement des lignes ou  d'avancement     vertical.     



       Fig.    115 est une     vue    de détail des cames  et du mécanisme associé pour     l'entraînement     du mécanisme d'ouverture de l'entrée.  



       Fig.    116 est une vue de détail     dit    méca  nisme de démarrage automatique de la ma  chine contrôlé par     certaines    touches de com  mande et par le chariot dans ses positions de  colonnes.  



       Fig.    117 est une reproduction     d'im    frai.  ment d'une feuille portant un état     illustrant     un mode d'utilisation de la machine repré  sentée et décrite.  



       Fig.    118 est une vue partielle du chariot  en plan.  



       Fig.    119 est une     vite    clé détail du méca  nisme pour le contrôle de la     tabulation    du  chariot et pour le contrôle de l'espacement des       lignes    du rouleau au moyen de la barre de  démarrage principale.  



       Fig.    120 est une     vue    de détail du     levier     manuel et du mécanisme sélecteur associé  pour faire varier le contrôle des barres de dé  marrage de la machine par le mécanisme, ta  bulateur et le mécanisme     d'espacement    des       lignes.     



       Fig.    121 est une vue de détail de l'une des  barres de     ciéniarraae    auxiliaires et du méca  nisme associé pour contrôler le     mouvement'     d'espacement des lignes ou     d'avancement    ver  <B>tical du rouleau.</B>  



       Fig.    122 est une     vite    clé détail d'une partie  du mécanisme pour le contrôle (lu mouve  ment de colonne en colonne du     chariot.            Fig.    123 est une élévation latérale, vue du  côté droit, du mécanisme contrôlé par le tota  lisateur de balance et par la touche  Non  Auto  pour rendre     inopérant    le mécanisme  de démarrage automatique de la machine.  



       Fig.    124 est une élévation, vue du côté  droit, d'une partie du mécanisme pour le con  trôle de l'opération de     tabulation    du chariot  et d'espacement des lignes par le rouleau  dans des opérations automatiques de la ma  chine.  



       Fig.    125 est une     vue    de détail de la barre  verticale pour le contrôle d'un jeu de pistons  d'arrêt du tabulateur.  



  Fi-<B>126</B> est une     vite    de détail d'une partie  du mécanisme associé au mécanisme repré  senté sur la     fig.    124 pour le contrôle clé cer  taines fonctions du chariot et du rouleau clans  des opérations automatiques de la machine.  



  Fia. 127 est un tableau de distribution     (les     temps représentant graphiquement les divers  mouvements des mécanismes importants réa  lisés clans la machine représentée et décrite.       Bâti.     



  Le bâti principal de la machine représen  tée comprend un châssis de droite 130       (fig.    7A, 18p et 96B) et un châssis clé gauche  131     (fig.    18A, 57 et 96A) fiés sur une base  132 de la machine; ces châssis droit et gauche  sont fixés l'un par rapport à l'autre par un  châssis transversal 133     (fig.    18B, 76, 96A et       96B)    et par divers autres châssis latéraux,  tiges et arbres.

   Les totalisateurs de la ma  chine sont montés sur un bâti     13-1        (fig.    18B)  comprenant des châssis de droite et clé gau  che et divers châssis latéraux, tiges et     arbres:     ledit bâti est fixé sur la base 132 de la ma  chine     (fig.    1, 7A et 7B).  



  La présente machine est pourvue d'un cha  riot 136 mobile latéralement     (fig.    1, 1S-1 et  18B), supporté dans ses motivent     cnts    par des  rails 137 et 138 (voir aussi fi'. 96:1 et<B>90)</B>  <B>(lui sont</B> à leur tour     fixés   <B>à (les</B>     ehâ511s    139 et       1-10    de support du chariot     montés    sur la     base     132 de la     machine.    Le rail 137 est     é-alenicnt     fixé     aux        châssis    (le droite et de     lauelie    130      et 131 et contribue à supporter convenable  ment lesdits 

  châssis l'un par rapport à l'autre.  



  Le mécanisme de la machine est enfermé       dans    un carter 141     (fig.    1 et     713)    qui est, à  son tour, fixé sur la base 132 de la machine.       Illécanisme        d'opération.     



  Le mécanisme principal de la machine est  entraîné par un moteur électrique du type  usuel (non représenté) monté sur la surface  inférieure de la base de la machine. Le mo  teur électrique entraîne par engrenage un or  gane de commande par accouplement (non re  présenté) supporté de façon à tourner sur  un arbre 14?     (fig.    8) qui est, lui-même, sup  porté par le bâti<B>du moteur.</B> Sur l'arbre 142  est également monté à rotation un organe  143 entraîné par accouplement, une came 144  et une roue dentée 145 solidaires de cet organe.

    L'organe 143 entraîné par accouplement est  pourvu d'un épaulement accentué qui est nor  malement en prise avec le doigt     d'-un,    levier       1-16    de commande d'embrayage fixé à un le  vier associé     1-17,    les     deiLt    leviers étant montés  fous sur un axe 148 fixé sur le bâti du mo  teur. Un ressort 149 relativement puissant  entraîne les leviers 146 et 147 dans le sens  contraire des     aiguilles    d'une montre ou de       débray        age.     



  Un prolongement du levier 147 dirigé vers  le haut est     pourvu    d'une fente qui entoure un  goujon 150 fixé sur l'une des     extrémités    d'une  articulation 151 (font l'autre extrémité pivote  en un     point    152 sur un bras 153 monté libre  ment sur un goujon 154 fixé au châssis de  droite 130. L'extrémité     inférieure    du bras  153 est fendue pour chevaucher un goujon  155 d'une coulisse de démarrage 156 montée  de manière à se déplacer à l'aide de fentes       parallèles    en coopération avec des     goujons     157 et 158 fixés sur le châssis de droite 130.

    La coulisse 156     (fig.    8 et 11.6) a un bec re  plié 159 en contact avec un épaulement d'un  verrou de déblocage<B>160</B> monté librement sur  un goujon 161 fixé sur le châssis de droite  130. Un prolongement dirigé vers le haut du  verrou 160 coopère avec l'une des surfaces  d'un prolongement d'un taquet 162 fixé sur    une articulation 163 dont les extrémités oppo  sées pivotent respectivement sur des bras si  milaires 164 et 165 montés librement sur des  goujons 166 et 167 fixés dans une plaque 16S       (fig.    7A et 10) filée à son tolu' par (les vis  169 au châssis principal 130.  



  L'articulation de démarrage 163     (fig.    8)  est commune et coopère avec trois barres de  démarrage dont la machine est munie,     e5est-          à-dire    une barre principale ou barre de dé  marrage 170, une barre 171 de démarrage  d'alimentation verticale et une barre 17 2 , de  démarrage du tabulateur. Les trois barres de  démarrage sont montées sur la plaque 168       (fig.    7A et 10) de manière à être abaissées à  l'aide des bords latéraux parallèles des barres  en coopération avec quatre douilles à épaule  ment 173 montées sur quatre goujons simi  laires 174 fixés à cette plaque 168.

   Les barres  de démarrage sont     retenues    à l'encontre du  déplacement latéral par des rondelles 175       (fig.    7A) montées folles sur les goujons 174  et retenues à l'encontre du déplacement laté  ral sur les goujons à l'aide d'attaches de  freinage à ressorts qui s'engagent dans  des rainures annulaires prévues dans les       extrémités    de ces goujons.

   Les barres de  démarrage 170, 171 et 172 sont fendues  et entourent des parties plus     minces    de  douilles à épaulement 176 montées folles sur  des goujons 177 fixés sur la plaque 168, ces  barres de démarrage étant retenues sur les       douilles    à épaulement 176 par des rondelles  et attaches de freinage similaires à celles em  ployées sur les goujons 174.  



  Les parties supérieures des barres de dé  marrage 170, 171 et 172 sont reliées aux par  ties inférieures de ces barres de façon amo  vible; ces parties supérieures comprennent des  touches sous forme de blocs qui passent par  des ouvertures correspondantes pratiquées  dans une plaque de protection<B>178</B> des barres  de démarrage     (fig.    7A, 8 et 10) fixée aux  pattes repliées de la plaque 168. La surface  supérieure de la plaque de protection 178 est  au niveau et forme le prolongement de la sur  face supérieure de la plaque supérieure du  clavier numéral comme indiqué sur la fin. 1.

        Dans les extrémités inférieures des barres de  démarrage 170, 171 et 172     (fig.    10) sont fixés  des goujons 179 portant des galets qui, à leur  tour, s'engagent dans des fentes correspon  dantes pratiquées dans la plaque 168 pour       contribuer,    d'autre part, au montage des bar  res de démarrage en vue de leur mouvement  sur cette plaque 168. Les goujons 179 coopè  rent avec des     doigts    de plaques de verrouil  lage 180 et 181 dont les extrémités supé  rieures pivotent sur deux des goujons 174;  ces plaques de verrouillage servent à bloquer  et à empêcher l'abaissement de deux barres  de démarrage de la manière connue, lorsque  l'autre barre de démarrage est abaissée.  



  Chacune des barres de démarrage 170, 171  et 172 coopère avec l'articulation de démar  rage 163     (fig.    8) exactement de la même ma  nière; on     estime    donc qu'il suffira de décrire  la façon dont l'une de ces barres, par exem  ple la barre de démarrage 172, coopère avec  cette articulation.  



  Sur l'articulation de     démarra-e    163 est  fixé un bloc 182 similaire au bloc 162, pourvu  d'un prolongement en équerre qui coopère  avec un goujon 183 d'un levier 184 pivotant  sur le goujon 177 de gauche.     Un    ressort 185  entraîne le levier 184 dans le sens des aiguil  les     d'une    montre     pour    normalement mainte  nir le prolongement supérieur en forme de  crochet du levier en contact avec un goujon  186 de la barre de démarrage du tabulateur  172.  



       L'abaissement    de la barré de démarrage  172 a pour effet de placer le goujon 186     au-          dessous    du prolongement en forme de crochet  du levier 184 pour     abandonner    ledit levier à  l'action du     ressort    185 qui     aussitôt    entraîne  le levier dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, ce qui déplace, du fait du goujon 183 et  du bloc 182, l'articulation 163 en avant, ou  à gauche si on     regarde    la fi-. 8, simultané  ment avec le levier.

   Le mouvement en avant  de l'articulation 163 à l'aide du prolongement  en équerre du bloc 182 entraîne le verrou clé  déblocage 160     (fig.    8 et 116) simultanément  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre de manière à     dégager    l'épaulement de    ce levier du doigt 159 de la coulisse 156 afin  d'abandonner cette coulisse et les pièces asso  ciées à l'action du ressort 119. A l'aide des  leviers 116 et 147, l'articulation 151 et le bras  153, le ressort 119 déplace la coulisse 156       immédiatement    en avant lorsque ces leviers  116 et 147 se déplacent dans le sens contraire  des     aiguilles        d'une    montre.

   Le mouvement du  levier 116 dans ce sens dégage l'extrémité  arrière dudit levier de l'épaulement     d'arrêt     sur l'organe 143 entraîné par accouplement,  de manière à embrayer cet organe entraîné de  la manière habituelle avec l'organe d'accou  plement moteur. Le mouvement de débrayage  du levier 147 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre met -an goujon     (fig.    8)  190 par son extrémité inférieure en contact  avec un     levier    191 d'interrupteur, de manière  à fermer l'interrupteur du moteur; en même  temps l'organe d'accouplement     entraîné    143  est débrayé de manière à faire     entraîner    la,  machine par le moteur principal.

   Le méca  nisme d'interrupteur relié au levier 191       (fig.    8) n'est pas représenté, mais on peut  utiliser n'importe quel mécanisme interrup  teur approprié.  



  Lorsque l'organe entraîné par l'accouple  ment dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre a accompli un tour, la came     1-14     s'engage sur un galet 187 porté par un pro  longement dut levier 117     diri-,é    vers le bas,  lequel, comme on se rappelle, est fixé au le  vier 146, pour placer l'extrémité arrière     du-          dit        levier        sir    le chemin de l'épaulement de  l'organe entraîné 143 par l'accouplement, afin  de     terminer    le mouvement dudit organe en  traîné et de débrayer en même temps le mé  eanisme d'accouplement.

   La forme clé la came  144 est telle que ce     mouvement    de remise eu  position dans le sens des aiguilles d'une mon  tre du levier 147 ramène, par l'articulation  151 et le bras 153, la coulisse en arrière de  façon à placer le doigt 159 au-delà de l'épau  lement du verrou de déblocage 160 et ensuite,  lorsque la came     14-1    est dégagée du galet 187,  le ressort     1-19        ramène    la coulisse à la position  normale oui le doigt 159     s'engage    sur le ver  rou 160 pour retenir ladite coulisse et les      leviers     1.16    et 147 en positions débrayées,  comme indiqué.  



  Une     fois    le mécanisme interrupteur da  moteur comprenant le levier 191 rendu actif,  comme expliqué ci-dessus, il reste actif,       actionne    continuellement le moteur principal  ainsi que le moteur auxiliaire pour l'en  traînement du chariot jusqu'à ce     qu'un    mé  canisme à retardement (non représenté),       actionné    par un train d'engrenages relié au  moteur principal, coupe ou rétablisse ledit  mécanisme interrupteur après que ledit mo  teur a tourné pendant un certain temps sans       que    la machine ait été     manoeuvrée    par dé  brayage du mécanisme d'accouplement,

   comme  expliqué     ci-dessus.    Chaque fois que l'organe       entraîné    143 de l'accouplement fait un tour,  la came 144 ramène, en coopération avec le  mécanisme (non représenté), le mécanisme à  retardement à sa position initiale.  



  Un mécanisme similaire à celui qu'on vient  de décrire pour la barre de démarrage 172       (fig.    8) est     prévu    pour les barres de démar  rage 170 et 171 pour     décleriéher    la machine.  



  Un mécanisme représenté sur les     fig.    8, 9  et 14 a été     prévu    pour bloquer la barre de  démarrage 172 contre toute     manoeuvre,    à  moins que     certaines    conditions ne soient rem  plies.  



  Ce mécanisme comprend un bras 192  monté librement sur le goujon 174 de gauche;  ce bras est fendu     pour    recevoir le goujon  186 qui se trouve, comme on se rappelle, sur  la tige de la barre de démarrage 172. Le bras  7.92 possède un prolongement dirigé vers le  haut qui coopère avec     un    goujon 193 fixé  sur     une    barre de blocage 194 montée de façon  à pouvoir glisser grâce à trois fentes simi  laires en coopération avec trois des goujons  174.

   Le ressort 185     (fig.    8 et 9), tendu entre  le bras 192 et le levier 184,     entraîne    ce bras  192 dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre en     faisant    entraîner, à l'aide de ce  bras coopérant avec le goujon 186, la barre  de démarrage 172 vers le haut. Un ressort 195  entraîne la barre 194 vers l'avant de manière  à     maintenir    le goujon 193 normalement en    prise avec le prolongement dudit bras 192 di  rigé vers le haut.  



  La barre 194     (fig.    14) porte sur son       extrémité    postérieure un bloc 196     pourvu     d'un épaulement qui coopère avec trois     lin-          guets    d'arrêt 197, 198 et 199 pivotant sur un  axe 200 fixé sur la plaque 168.

   Le     linguet     197 est commandé par un mécanisme explo  rateur de la feuille de journal; lorsqu'une  feuille de journal n'est pas convenablement  insérée autour du rouleau, ce     linguet    se place  sur le trajet parcouru par l'épaulement du  bloc 196 pour     interdire    le mouvement en  arrière de la barre 194, de manière à empê  cher le mouvement dans le sens des aiguilles       d'une    montre du bras 192, lequel, à son tour,  empêche l'abaissement de la barre de démar  rage 172.

   Le     linguet    d'arrêt 198 est com  mandé par les touches numérales et     comp-          teuses    de postes et, si une de ces touches est  partiellement abaissée, le     linguet    198 se met  sur le trajet de l'épaulement de la butée 196  pour interdire le mouvement en arrière de la  barre 194 et ainsi empêcher l'opération de  la machine lorsqu'une touche numérale se  trouve dans une position partiellement abais  sée.

   Le     linguet    d'arrêt 199 est commandé par  le chariot et, lorsque ce chariot n'est pas dans  une position correspondant à une colonne, ce       linguet    reste sur le chemin de l'épaulement  du bloc 196 pour interdire le mouvement de  dégagement en arrière de la barre     19-1,    de  manière à empêcher le fonctionnement de la  machine lorsque le chariot ne se trouve pas  dans     une    position de colonne appropriée.  



  On donnera ci-après une description com  plète du fonctionnement des     linguets    d'arrêt  197, 198 et 199 avec la description de leurs  mécanismes de commande respectifs.  



  Lorsque la barre de démarrage 172     (fig.        S     et 9) est enfoncée, l'extrémité supérieure du  levier 184 en forme de crochet verrouille le  goujon 186 pour retenir ladite barre en posi  tion abaissée. La remise en position du levier  184 sous l'action de l'articulation de déblo  cage, ainsi qu'on va l'expliquer, place l'extré  mité supérieure en forme de crochet de ce  levier en dehors du chemin du goujon 186      -pour permettre au ressort 185 de ramener la  barre 172 du moteur vers le haut à la po  sition non abaissée.

   On a prévu un     mécanisme     similaire à celui qu'on vient de décrire     pour     bloquer les barres de     démarrage    170 et 171  contre l'abaissement lorsqu'un des     linguets     197, 198 ou 199 est actif. Les leviers 184 se  posent sur les goujons 186 pour bloquer les  barres motrices 170-172 en positions abais  sées. correspondant à l'abaissement normal des  barres.

   La fonction alternative des barres mo  trices, décrite ci-après de façon plus détaillée,  s'accomplit en les abaissant à un niveau plus  bas et en les maintenant abaissées jusqu'au  moment, dans le cycle de la machine, où le  mécanisme     soumis    aux conditions     d'un    tel       abaissement    complet puisse fonctionner.  



  On a     prévu    un mécanisme actionné par la  coulisse 156     (fig.    8 et 116) pour ramener  l'articulation 163 en arrière de la position  normale, de manière à dégager la barre de  démarrage 172 abaissée.  



  Dans la     coulisse    156 est pratiquée une  fente 201 par laquelle passe un goujon<B>202</B>  fixé sur     l'un    des bras d'un levier coudé 203  monté fou sur l'axe 154. Le levier coudé 203  est fendu pour recevoir un goujon     20-1    d'un  bras 205 de remise en position de l'articula  tion, ce bras étant monté librement sur le  goujon 161.   Le mouvement de la coulisse 156 en avant,  comme expliqué ci-dessus, lorsque la machine  est déclenchée, n'a pas d'effet sur le bras 205  grâce au jeu dans la fente 201.

   Mais le mou  vement de retour de cette coulisse au-delà de  la position normale     sous    l'action de la came       144    fait déplacer par cette fente 201, en co  opération avec le goujon 202, le levier     coadé     203 dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre, de manière à déplacer, à son tour,  le bras 205 de remise en position dans le sens  des aiguilles d'une montre en obligeant     l'exti:3-          mité    supérieure de ce bras 205 en<I>forme</I> de  doigt en coopération avec le prolongement du  bloc 162 à ramener l'articulation 163 en  arrière, on vers la droite en regardant la  fit. 8.

   Le mouvement de remise en position  en arrière de     l'articulation    163 oblige cette    articulation à déplacer le levier 184 en forme  de crochet dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, de façon à mettre     l'extrémité     supérieure de ce levier hors du     chemin    du  goujon 186 pour permettre à la barre de dé  marrage 172 de retourner sous l'action     clu     ressort vers le haut à la position non abaissée  de la manière expliquée ci-dessus. Le mouve  ment de remise en position de la barre de dé  marrage 172     (fig.    8) et du bras 192 permet  au ressort 195 de ramener la barre de blocage  194 en avant à la position normale repré  sentée.  



  Un ressort 206     (fig.    8), tendu entre le  bras 205 et le verrou 160, entraîne ces pièces  respectivement dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre et dans le sens inverse  pour maintenir normalement une partie de ce  bras 205 en contact avec un goujon d'arrêt  207 fixé sur la plaque 168 et pour engager  l'épaulement du verrou 160 sur le doigt 159  lorsque la     coulisse    est ramenée en arrière en  fin d'opération de la machine,     comme    expli  qué ci-dessus, de manière à tenir ladite cou  lisse normalement dans la position inchangée,  comme indiqué.  



  On a prévu un mécanisme pour empêcher  des opérations répétées de la machine au cas  où la barre de démarrage 172 serait par  inattention retenue en position abaissée en fin  d'opération de la machine.  



  Les fil-. 8 et 9 illustrent ce     mécanisme    qui  comprend un épaulement 209 sur le levier  184, épaulement qui coopère avec une dent  d'un verrou 27.0 monté     librement    sur le gou  jon 174 et     entrainé    dans le sens des aiguilles  d'une montre par un ressort<B>211</B> tendu entre  ce verrou 210 et     un    ergot 212 fixé sur le bras  192 de façon à maintenir normalement un  prolongement de ce verrou en contact avec  ledit ergot 212.  



  Lorsque la barre 194 se trouve dans sa po  sition     avant    ou normale, comme représenté,  l'ergot 212 en coopérant avec le prolonge  ment du verrou 210 dirigé vers le haut main  tient la dent dudit verrou hors de prise avec       l'extrémité    supérieure du levier 184. Le mou  vement du goujon 186 vers le bas     (fig.    8 et      9), lorsqu'on abaisse la barre de démarrage  172, déplace le bras 192 dans le sens des  aiguilles d'une montre, ainsi qu'il a été expli  qué précédemment, de manière à dégager le  goujon 212 du verrou 210 pour libérer ce  verrou pour le mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre sous l'action du ressort  211.

   Lorsque la barre de démarrage 172     est     retenue en fin d'opération de la machine dans  la. position     abaissée,    le mouvement de retour  du levier 184 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre sous l'influence de l'ar  ticulation 163, comme il a été expliqué     ci-          dessus,    permet à la dent du verrou 210 de  s'engager sur l'épaulement 209 pour fier le  dit levier dans sa. position rétablie en empo  chant ainsi ce levier de déplacer à nouveau  l'articulation 163 en avant pour déclencher le  fonctionnement de la machine de la manière  décrite précédemment.

   L'absence de     pression     sur la barre de démarrage 172 permet au res  sort 185 de ramener cette barre 172 et le bras  192 vers le haut, de façon à placer le gou  jon 186 sur le chemin du bout en forme de  crochet du levier 184 et à obliger l'ergot 212  à s'engager sur l'épaulement du verrou 210  pour dégager ledit verrou de l'épaulement  209 dudit levier.  



  Les barres de démarrage 170 et 171       (fig.    8) ont exactement le même mécanisme  de non-répétition que* celui décrit pour la  barre de démarrage 172 afin d'empêcher des  opérations répétées si ces barres sont main  tenues par inadvertance en     fin    d'opération  de la     machine,    en position abaissée.  



  La roue dentée 145     (fig.    8), qui fait par  tie de l'organe     entraîné    par l'accouplement,  engrène avec une roue dentée folle 213 mon  tée sur un axe     21.1    fixé dans le bâti du mo  teur; cette roue 213 engrène à son     tour    avec  une roue dentée 215 d'entraînement de l'ar  bre à cames calée sur un arbre principal 216  à cames qui tourne dans le bâti principal de  la machine.

       Ainsi    qu'il a été expliqué précé  demment, l'organe entraîné de l'accouplement,  y compris la roue 145, fait à chaque opération  de la machine un tour dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre et entraîne, par    l'intermédiaire de la roue folle 213, la roue  dentée 215 et l'arbre principal 216 à cames  pendant une révolution dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre, ledit arbre prin  cipal entraînant à son tour le mécanisme prin  cipal de la machine proprement dit pour faire  fonctionner ce mécanisme.  



  Outre le déclenchement du fonctionne  ment de la machine, les barres de démarrage  170, 171 et<B>172</B> contrôlent d'autres fonctions  de la     machine;    les mécanismes servant à con  trôler ces fonctions seront décrits plus tard  en même temps que d'autres mécanismes aux  quels ils sont associés.  



  En dehors des barres de démarrage 170,  171 et 172, l'opération de la machine peut  être déclenchée par certaines touches de com  mande et à l'aide du chariot dans des posi  tions de. colonnes sélectionnées; mais ce méca  nisme de démarrage concerne plutôt le méca  nisme du chariot et sera expliqué ci-après  avec ce mécanisme.  



  <I>Clavier en</I>     général.     



  En se reportant à la     fig.    3,     qui    représente  une vue schématique en plan du clavier, on  voit que la machine représentée comprend  onze rangées de touches numérales 218 et  trois rangées de touches 343     compteuses    de  postes qui sont sous tous rapports similaires  aux touches numérales et sont montées, avec  ces touches numérales, dans un sommier de  touches amovible.

   Immédiatement à gauche  des touches 343     compteuses    de postes se  trouve une rangée de touches de correction  369 à 372     incluse,    employées pour corriger  des erreurs dans     certains    des totalisateurs et  pour contrôler d'autres fonctions de la ma  chine.     g    gauche des touches de correction se  trouve     une    rangée de touches de commande  374 à 380     incluse,    servant à contrôler les di  verses fonctions des totalisateurs;

   en plus de  ces touches de commande, une touche de dé  blocage 381 sert à débloquer toutes les tou  ches du clavier principal, y compris les tou  ches numérales, les touches     comptcuses   <B>de</B>  postes, de correction et de commande.      Immédiatement au-dessus des touches nu  mérales et des touches     compteuses    de postes  se trouve une série de touches de     commande     (lu chariot pour contrôler le dispositif de sé  lection de colonnes et pour contrôler l'ouver  ture et la fermeture de la goulotte d'alimen  tation frontale ainsi que la rotation du rou  leau pour l'espacement des lignes sur le sup  port d'enregistrement.  



  Au-dessous du clavier numéral est situé  un clavier auxiliaire comportant des touches        Mensuelles     383, des touches des dizaines   Journalières  384, des touches des     imités           Journalières     385, des touches  Annuelles   386, des touches de liste 390, une touche Noire  393 pour le contrôle de l'impression du ruban  bicolore et une touche de déblocage 395 pour  débloquer toutes les touches du clavier auxi  liaire. Les claviers, principal et     auxiliaire,     contiennent aussi divers verrous pour le con  trôle de l'abaissement et du déblocage de cer  taines touches.  



       AZLx    barres 170, 171 et 172 de démarrage  de la machine, situées du côté droit sur le  clavier principal, est associé un     mécanisme    à  commande sélective servant à contrôler cer  taines fonctions de la machine et du chariot; le  fonctionnement de ce mécanisme à commande  sélective peut être varié à l'aide     d'une    coulisse  de commande 1808     ajustable    à la main et  montée sur le clavier principal entre la barre  de démarrage 170 et la première rangée des  touches numérales 218.  



       Clavier        niv)eéral.     



  Le clavier numéral comporte une série de  rangées     dénominatrices    de touches 218 et trois  rangées de touches de postes 313     (fig.    1 et 3),  montées sur un sommier de touches compor  tant une plaque supérieure 188 (fi-. 1 et       18A)    et une cloison 189     (fig.    17), pour cha  que rangée     dénominatriee,    ces cloisons étant  fixées à ladite plaque supérieure.

   Dans     cha-          eime    des cloisons 189 est pratiquée une fente  dans laquelle s'engage une barre     245    suppor  tée par une tige 208 qui est fixée dans les  deux châssis     principaux    130 et 131; les fentes  desdites cloisons     s'engagent    également dans    des rainures correspondantes de cette tige  208.     Chacune    des cloisons 189 possède -une  encoche qui s'engage sur une rainure annu  laire correspondante d'une tige frontale 217  supportée par les châssis 130 et 131. La pla  que supérieure 188 du clavier numéral repose  sur des surfaces angulaires ménagées sur les  châssis principaux 130 et 131 et est maintenue  en position par un mécanisme de verrouillage.

    En libérant le mécanisme de verrouillage, on  peut enlever le clavier     niunéral    de la machine  comme un ensemble lorsqu'on le désire.  



  Chacune des cloisons 189 supporte une  rangée     dénominatrice    de touches numérales  218 et, comme le mécanisme est essentielle  ment le même     dans    chaque ordre, la descrip  tion du mécanisme associé à l'ordre dénomi  nateur représenté sur les     fig.    17 et     18A     suffira.  



  Les extrémités supérieures des tiges des  touches numérales 218 pour l'ordre dénomi  nateur représenté aux     fig.    17 et 181 sont sup  portées à glissement dans une fente formée  par des pattes repliées dans le bord supérieur  de la cloison 189, alors que les     extrémités     inférieures desdites tiges sont supportées à  glissement à l'aide de     goujons    carrés 219 fixés  dans ces tiges et qui passent au travers de  fentes correspondantes pratiquées dans ces  cloisons 189. Une barre 220, fixée à la cloison  189, s'étend en travers des extrémités infé  rieures des tiges de toutes les touches numé  rales 218 pour empêcher ces touches de s'écar  ter de cette cloison 189.

   Chacune des touches  numérales 218 porte     un    ergot 221 qui se  trouve au-dessus des enroulements d'un res  sort 222 s'étendant sur toute la longueur (le  la cloison 189 et attaché par les extrémités  opposées à des goujons de cette cloison; en  fait, ledit ressort 222 passe alternativement  sous un ergot 221 et sur -un ergot 223, les  ergots 223 étant fixés sur cette cloison 189. Le  ressort 222, en coopérant avec les ergots 221,  pousse les touches 218 vers le haut en position  non abaissée, comme représenté, et ramène ces  touches immédiatement à la position haute  lorsqu'elles sont libérées après avoir été  abaissées.

        Les ergots 221 des touches 218 passent par  des     ouvertures    correspondantes pratiquées  dans une plaque de verrouillage 224<B>(fin.</B>     18A);     ces ouvertures sont munies de dents qui co  opèrent avec lesdits ergots pour verrouiller  les touches dans la position non abaissée pen  dant le fonctionnement de la machine. Les  ergots 221 passent également par des ouver  tures correspondantes pratiquées dans une  plaque de détente 225; ces ouvertures sont  munies de dents qui coopèrent avec lesdits  ergots pour retenir les touches dans la posi  tion abaissée.

   Les ergots 221 passent égale  ment par des ouvertures correspondantes pra  tiquées dans une plaque de commande 226;  ces ouvertures sont pourvues de surfaces for  mées en cames     angulaires    sur lesquelles ces  ergots agissent pour déplacer ladite plaque en  avant lors de l'abaissement -d'une touche nu  mérale. Les plaques 224, 225 et 226 sont sup  portées de manière à     pouvoir    se déplacer  horizontalement entre des galets montés sur  quatre goujons 227 qui sont fixés sur la cloi  son 189.

   Un ressort 228, tendu entre les pla  ques 225 et 226, entraîne ces plaques respec  tivement en avant et en arrière de manière à  maintenir des bossages sur les bords supé  rieurs desdites plaques en contact respective  ment avec un bras correspondant 229 fixé  dans un arbre à fente 230 et avec un bras cor  respondant 231     filé    dans un arbre à fente  232; ces deux arbres sont montés à oscillation  dans le sommier des touches.  



  Un ressort 233     (fig.    18A)     maintient    une  saillie de la plaque de     verrouillage    224 dirigée  vers le haut en contact avec un bras corres  pondant 234 fixé dans un arbre fendu 235  qui tourne à son tour dans le     sommier    des  touches.  



  L'abaissement d'une touche numérale 218  quelconque     (fig.        18A)    fait passer l'ergot 221  à côté de la dent de l'ouverture correspon  dante dans la détente 225, à la suite de quoi  le ressort 228 ramène cette détente en avant  de façon à la placer au-dessus de l'ergot pour  retenir la touche contre l'action du ressort  222 en position abaissée. Vers la fin des opé  rations d'addition et de soustraction, l'arbre    230 se déplace dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre en faisant déplacer la  détente 225 par le bras 229, en coopération  avec le bossage vers l'arrière contre l'action  du ressort 228 pour libérer la touche numé  rale abaissée, de sorte qu'elle puisse remonter  vers la position non abaissée sous l'action du  ressort 222.

   Vers le commencement de l'opé  ration, l'arbre 235 se déplace dans le sens des  aiguilles d'une montre et ramène, à l'aide du  ressort 233, la plaque de verrouillage 224 en  arrière de manière à placer ses dents     au-des-,     sous des ergots 221 des touches numérales 218  non abaissées pour empêcher l'abaissement  de ces touches pendant l'opération de la ma  chine. Vers la     fin    de l'opération, l'arbre 235  est ramené dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre pour mettre les plaques de  blocage 224 dans des positions inopérantes.  



  L'abaissement d'une touche numérale 218  quelconque déplace la plaque de commande  226 à l'aide de l'ergot 221, en coopération  avec la surface-came angulaire de l'ouverture  correspondante de la plaque, vers l'avant  contre l'action du ressort 228. Le mouvement  de la plaque de commande 226 en avant agit  sur l'extrémité antérieure de celle-ci, en co  opération avec un prolongement dirigé vers  le haut d'un verrou de zéro 236 monté libre  ment sur     im    goujon 237 de la cloison 189  pour déplacer ce verrou dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre contre l'ac  tion d'un ressort 238 tendu entre ledit pro  longement de ce verrou et la plaque de com  mande 226.

   Le mouvement du verrou de zéro  236 dans le sens indiqué dégage une dent du  verrou d'un bloc 239 fixé sur     un    bloc-moteur  240 pour cette rangée     dénominatrice    de tou  ches; ce bloc-moteur est supporté de manière  à se déplacer horizontalement dans une fente  correspondante de la tige 208 et dans une  fente correspondante d'une tige 241 supportée  par les châssis principaux 130 et 131. La  barre 245, fixée à la tige 208, se trouve     au-          dessus    d'une surface     horizontale    formée par  une ouverture dans l'extrémité antérieure du  bloc-moteur 240 pour le retenir dans la fente  correspondante de ladite tige 208.

        Le verrou de zéro 236 évite, comme on  sait, la nécessité de prévoir     une    touche de  zéro et maintient, en coopération avec le bloc  239, le bloc-moteur 240 en position zéro lors  qu'il n'y a pas de touche numérale 218 abais  sée.     L'abaissement    d'une touche numérale 218  quelconque place naturellement le verrou de  zéro dans une position inopérante pour libérer  le bloc-moteur 240 en vue des mouvements  aller et retour, ainsi qu'il sera expliqué     ci-          après.     



       Bloc-nzoteurs        numéraux.     



  Le bloc-moteur 240 est relié par une arti  culation 242 à pivot réglable     (fig.    18A, 18B  et 19) à une crémaillère auxiliaire correspon  dante 243 montée à glissement horizontal à  l'aide de trois fentes parallèles en coopéra  tion avec trois barres à encoches     244        fixées     dans le bâti 134 des totalisateurs. La crémail  lère 243 est pourvue de trois jeux de dents  sur le bord supérieur et de trois jeux de dents  sur le bord inférieur, qui coopèrent respecti  vement avec les roues     dénominatrices    corres  pondantes des totalisateurs Nos 1 à 6 inclus.  



  Dans le bloc-moteur 240 est pratiquée une  fente verticale     2-17    dans laquelle s'engage un  goujon     2-18    d'un bras réducteur 249 monté  fou sur un arbre 250 qui tourne dans les  châssis 130 et 131 et ce bras 249 est relié par  des bras effilés à un segment correspondant  251 également monté fou sur ledit arbre 250.  Un     ressort    252 maintient normalement une  surface 253 du bras 249 en contact avec une  barre 254 de remise en position du bloc-mo  teur     (fig.    18B et 91), barre qui s'étend entre  deux bras similaires 255 fixés     sur    l'arbre 250.  Le ressort 252 est tendu entre une patte re  pliée du bras 249 et une plaque à crochet 256  fixée sur la barre de remise en position 254.  



  Sur l'extrémité gauche de l'arbre 250       (fig.    91) est fixé     un    bras 25ï dans lequel est  pratiquée -une fente 258 qui coopère avec un  galet 259 monté sur un levier à came 260 qui  pivote sur un axe 261 fixé sur le châssis gau  che 131. Le levier 260 porte des galets     26'.    et  263 qui coopèrent respectivement avec les pé  riphéries de cames associées     264    et 265 calées  sur l'arbre principal 216 à cames et qui sont    entraînés par celles-ci pendant un tour dans  le sens des aiguilles     d'une    montre, comme  indiqué sur la fi-. 91, ou pendant un tour  dans le sens contraire, comme indiqué sur la  fi-. 18A.

   La rotation des cames     26-1    et 265  oblige le galet 259 à déplacer, en coopération  avec la fente 258, l'arbre 250 et la barre     25-1     d'abord dans le sens contraire des aiguille  d'une montre et retour à la position normale,  comme indiqué sur la     fig.    18A, conformément  aux temps indiqués sur la     ligne    1 du tableau  de distribution des temps (fi-. 127).  



       L'abaissement    d'une touche numérale 218       (fig.    18A), comme expliqué précédemment,  déplace la plaque de commande 226 en avant  pour dégager le verrou de zéro 236 du bloc  239 de manière à dégager le bloc-moteur     2-10     pour le mouvement en arrière sous l'action de  la barre de remise en position 254 et place  simultanément le goujon carré 219 de cette  touche abaissée sur le chemin du cran corres  pondant d'une série de crans 266 que pré  sente le bord supérieur du bloc-moteur     2-10.     Le mouvement initial de la barre     ?54    dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre       (fig.    18A) à l'aide du ressort 252 porte le  bras     2-19,

      le bloc-moteur 240 et simultanément  la crémaillère correspondante     2-13    en arrière  jusqu'à ce que le cran 266 entre en contact  avec le goujon 219 de la touche 218 abaissée  pour placer ce bloc-moteur, ce bras     2-19    et  cette crémaillère 243 dans une position cor  respondant à la valeur de la touche abaissée.  



  En se reportant à la     fig.    18A, on voit qu'il  n'y a pas sur le bloc-moteur 240 de cran cor  respondant au goujon de la touche du 9;  l'abaissement de cette touche     dé.age    le verrou  de zéro et permet au bloc-moteur 240 de se  déplacer en arrière de toute sa course jusqu'à  ce     qu'in    épaulement 267 s'engage sur la tige  208 de manière à amener ce bloc-moteur et la  crémaillère en position a '  Après que le bloc-moteur     2-10    a été     amené     en position sous l'action -de la touche \_'18  abaissée et que la barre     25-1    a terminé son  mouvement initial dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre     (fig.    18A),

   une barre  d'alignement 268 s'engage dans l'encoche eor-           respondante    d'une série d'encoches d'aligne  ment 269 pratiquées dans une partie en sec  teur du bras 249 de manière à aligner ce  bras, ce bloc-moteur et la crémaillère 243 dans  les positions ajustées. La barre d'alignement  268 s'étend entre des bras de droite et de  gauche 270 (seul le bras gauche est ici repré  senté) pivotant sur des tourillons 271, dia  métralement opposés, dans les châssis 130 et  131.

   Dans le bras gauche 270 est ménagée une  fente<B>272</B> qui coopère avec un galet 273 du  levier 260 dont le mouvement sous l'action  des cames     26-1    et 265 déplace la barre d'ali  gnement 268 vers le haut et en arrière vers  la position normale conformément aux temps  indiqués sur la ligne 2 du tableau de distri  bution des temps     (fig.    127).  



  Le temps du mouvement de la barre d'ali  gnement 268 est réglé de façon à engager       l'entre-dent    269 correspondant à la touche 218  abaissée après que la barre 251 de remise en  position a achevé son mouvement initial dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre.  Pendant que la barre 268 d'alignement est  ainsi engagée dans     l'entre-dent    269, un méca  nisme imprimeur entre en action     pour    faire  enregistrer la valeur de la touche numérale  abaissée.

   Après que l'impression a été effec  tuée de la manière qui sera décrite ci-après  et avant le mouvement de retour du     bloc-          moteur        2-10,    la barre d'alignement 268 est dé  brayée du bras 249 et reste ainsi débrayée en  fin d'opération de la machine.  



  Lorsque le     levier    260     (fig.    91) se trouve  en position de repos, comme indiqué, un gou  jon 274, fixé sur ce levier, s'engage dans une  encoche du bras 257 pour     fixer    ce bras, l'ar  bre 250, la barre 254 de remise en position et  le bras 249 (fia.. 18A) en position de repos.  



  <I>'</I>     Jléeanisine        imprimeur.     



  Le mécanisme imprimeur de la machine  représentée comprend un     porte-caractère        27:ï     pour chaque rangée de touches numérales 218       (fig.    3 et 70), un porte-caractère     344    pour  chaque rangée de touches de postes     3-13,    qua  tre porte-caractères de dates 387 pour les  touches de dates 383 à 386 incluse, un porte-    caractère 391 pour les touches de listes 390  et deux porte-caractères de symboles 914 et  915 qui sont contrôlés, comme décrit ci-après,  par le mécanisme sélecteur des totalisateurs  pour enregistrer des symboles indiquant le  genre de l'opération exécutée.  



  Les porte-caractères, outre qu'ils peuvent  être mis en position sous l'action de leurs  touches correspondantes et des mécanismes de  commande, sont également montés dans -un  châssis qui peut se déplacer d'une position  normale ou de lecture, où ces     porte-caractères     sont situés de manière à ne pas gêner la vue  de la ligne d'impression, vers une position  d'impression où ces porte-caractères se trou  vent en position de travail par rapport au  mécanisme d'impression.  



  Comme tous les porte-caractères sont de  constructions similaires, ils sont mis en posi  tion sous l'action de leurs touches correspon  dantes de la même façon et sont montés dans  un châssis mobile de la même manière; une  description détaillée du porte-caractère 275  associé au     groupe    numéral représenté sur les       fig.    18A et 18B et ci-après décrit comme ca  ractéristique de tous les groupes numéraux  suffira à la compréhension de ce mécanisme.  



  En se reportant aux     fig.    18A, 21, 23 et 70,  on voit qu'un prolongement de droite du seg  ment 251 est relié par une barre d'articula  tion 276 à un bras 277 monté librement sur  une tige d'écartement 278, laquelle conjointe  ment avec une tige d'écartement associée 279,       fixe        iuie    série de plaques de guidage 280, pour  un porte-caractère, et des plaques latérales  de droite et de gauche 281, dans un châssis  mobile servant à supporter tous les     porte-          caractères.    Les plaques latérales 281 sont re  liées par des goujons à vis 282, de manière  à se déplacer, aux plaques principales de  droite et de gauche d'un châssis 283 de l'im  primeur.

   Le châssis 283 est démontable à  l'aide -de goujons fendus 284 coopérant avec  des encoches de verrouillage pratiquées dans  lesdites plaques de droite et de gauche, ces  goujons étant fixés dans un châssis latéral  285 entre les châssis principaux 130 et 131,  et à l'aide de pattes repliées de ces plaques      principales qui sont fiées au rail 137 du cha  riot par des goujons à     vis.     



  Le bras 277     (fig.    18A et 23) porte un  goujon<B>287</B> qui s'engage dans une fente 288       prévue        dans    la partie principale du     porte-          caractère    275, cette partie principale étant  également munie de deux goujons 289 qui  s'engagent dans une fente 290 de la plaque  de guidage 280 à l'aide de laquelle ledit  porte-caractère 275     est    monté en vue d'un  mouvement de mise en place sensiblement  vertical sous l'action du segment 251 et du  bloc-moteur 210, comme expliqué en détail  ci-après.  



  Les côtés de la partie supérieure de la  partie principale du     porte-caractère    275 sont  formés et entaillés de manière à supporter  une série de barres à caractères 291 pour les  mouvements d'impression; ces barres sont  maintenues dans lesdites fentes par un cou  vercle 292     (fig.    18A et     2-1)    fixé au corps de  ce     porte-caraetère   <B>275.</B> La     fig.    24, qui repré  sente une coupe agrandie du porte-caractère  prise suivant la ligne     2-1-24    de la     fig.    23,  montre la manière dont les barres à carac  tères 291 sont montées dans les fentes du  corps de ce porte-caractère.

   Les barres à ca  ractères 291 sont évidées, comme montré sur  la     fig.    21, afin de loger un ressort 293; ce  ressort a la forme     d'un   <B>V</B> renversé dont une  barre est attachée au corps du porte-caractère  275, l'autre barre étant libre et susceptible de  s'engager sur des épaulements formés par les  parties     évidées    de ces barres à caractères, de  manière à entraîner ces barres vers la     gau-          ehe,    en regardant la     fig.    23, en dehors de la  position d'impression. Le ressort 293 est rela  tivement faible et sa tension est facilement  surmontée     lois    de l'impression par le marteau  imprimeur.

   Un prolongement dirigé vers le  haut 291     (fig.    23 et 24) de la plaque de gui  dage 280 coopère avec     clés    épaulements 295  formés sur les extrémités de gauche des  barres à caractères 291 pour s'assurer que  toutes les barres à caractères au-dessous de la  ligne d'impression sont complètement déga  gées et ainsi retenues lorsque le châssis des    porte-caractères se déplace vers ou hors de la  position d'impression.  



  Les plaques 281 de droite et de gauche       (fig.    18A, 21, 22 et 23) portent des goujons  similaires 296 qui coopèrent -avec des fentes  respectives 297 pratiquées dans deux bras  similaires 298, 299 fixés sur     un.    arbre 300 qui  tourne dans le bâti de     l'imprimeur    et dans le  châssis de droite 130.

   Sur l'extrémité de  droite de l'arbre 300     (fig.    21) sont montés  des coudes similaires 301 entre lesquels passe  une tige 302 engagée dans une ente ménagée  dans l'extrémité supérieure d'un     levier-eame     303     qiii    pivote sur un axe 301     fixé        sur    le  châssis de droite 130.     L'extrémité    supérieure  du levier 303 s'adapte exactement entre les  coudes 301 pour empêcher le déplacement la  téral de ce levier. Le     levier    303 porte des  galets 305 et 306     (fig.    21) qui coopèrent res  pectivement avec les périphéries de cames 307  et 308 montées sur l'arbre principal à cames  216.  



  La rotation des cames<B>307</B> et 308 dans le  sens contraire des     aiguilles    d'une montre fait,  par le levier 303, pivoter l'arbre 300 et les  bras 298 et 299 d'abord dans le sens des  aiguilles d'une montre et ensuite dans l'autre  sens jusqu'à la position normale, conformé  ment aux temps donnés sur la ligne 19 du ta  bleau     (fig.    127).

   Le mouvement initial des  bras 298 et 299 dans le sens des aiguilles  d'une montre agit sur les goujons 296 pour  déplacer les plaques 281 et le     porte-caractère     275 dans le même sens des aiguilles d'une  montre, de manière à placer ce     porte-earac-          tère    en position d'impression par rapport à  un rouleau 309 supporté par le chariot 136       (fig.    18A, 18B, 21 et 23) avant le mouvement  initial en arrière du bloc-moteur 210.

   Après  que le porte-caractère 275 a été placé en po  sition d'impression par rapport au rouleau  309, le bloc-moteur 210, clans son     mouvement     initial en arrière, mouvement pendant lequel  ce bloc-moteur est mis en position par la tou  che numérale 218 abaissée     (fil,.    1S A), comme       expliqué    plus haut, déplace simultanément le  bras réducteur     2-19    et le segment 251.

   Ce  mouvement ajuste le     porte-earaetère    275 con-           formément    à la position du     bloc-moteur    210,  de manière à amener la barre à caractère 291  correspondant à la touche numérale 218  abaissée de la position normale ou de lecture  en coïncidence avec la ligne d'impression et  avec le marteau     imprimeur    correspondant.  



  Après que le porte-caractère 275 a été  ainsi ajusté,     un        mécanisme        aligneur,    repré  senté     sur    la     fig.    22, entre en action     pour    fixer  ledit porte-caractère dans la position ajustée.  Le porte-caractère numéral 275     (fig.        18A    et  22) possède des encoches d'alignement 310  destinées à recevoir une barre d'alignement  311 qui s'étend entre     detut    bras similaires 312  supportés à     oscillation    par des tourillons 313  fixés sur le châssis 283 de l'imprimeur.

   Cha  eun des bras 312     (fig.        18A    et 22) porte un  goujon 311 qui coopère avec     une    surface de  commande 315 correspondante prévue sur       chacun    des bras 298 et 299.  



  Après la     mise    en position du     porte-carac-          tère    275 par le bloc-moteur 210 de la ma  nière décrite ci-dessus, la rotation ultérieure  des cames 307 et 308     (fig.    21) communique  aux bras 298 et 299     tri    mouvement supplé  mentaire dans le sens des     aiguilles    d'une  montre pour déplacer les surfaces de com  mande 315     au-delà    des     goujons    314,

   de ma  nière à     abandonner    les bras 312     à@l'action    des  ressorts 316 qui     entraînent    ces bras immédia  tement dans le sens contraire des     aiguilles     d'une montre, conformément aux temps indi  qués sur la     ligne    22 de la     fig.    127 pour enga  ger la barre d'alignement 311 dans les enco  elies d'alignement correspondantes 310, de       manière    à     aligner    le porte-caractère 275 dans  la position ajustée, tandis qu'un marteau im  primeur 317     (fig.    18A, 21 et 23)

   effectue la  frappe d'impression pour assurer l'enregistre  ment convenable de la valeur de la touche nu  mérale 218     abaissée,    sur la pièce comptable  portée par le rouleau 309.  



  Après l'exécution de l'impression, la rota  tion ultérieure des cames 307 et 308 ramène  les bras 298 et 299     (fig.    21 et 22) dans le sens  contraire des aiguilles dune montre en ame  nant les surfaces de commande 315 à s'enga  ger sur les goujons 314 pour     dégager    la barre    d'alignement 311 des encoches d'alignement  310. Pendant le temps où     l'aligneur    311 est  embrayé et débrayé, comme on vient de     l'ex-          pliqtier,    les goujons 296 reposent sur les par  ties concentriques     supérieures    des fentes 297  et     n'exercent    par conséquent à ce moment au  cune action de mouvement supplémentaire sur  le porte-caractère.

   Après le retour du     bloc-          moteur    210     (fig.    18A) en avant à la position  normale (comparer les lignes 1 et 19 du ta  bleau     fig.    127), le mouvement ultérieur de  retour dans le     sens    contraire des aiguilles  d'une montre des bras 298 et 299 oblige les  parties inférieures des fentes     \_'97    à déplacer,  en coopération avec les goujons 296, le     porte-          caractère    275 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre de la position d'im  pression     indiquée    sur la fi-.

   23 vers la posi  tion normale ou de lecture,     indiquée    sur la       fig.    21.  



  Une barre     d'alignement    auxiliaire<B>318</B>       (fig.    22) est supportée entre les bras 312     au-          dessous    de la barre d'alignement principale  311 et sert à aligner le     porte-earactère         men-          suel     387     (fig.    70) qui possède douze barres       porte-caractères    et encoches au lieu des dix  barres et encoches habituellement employées  pour les porte-caractères numéraux 275; l'ex  trémité inférieure de ce porte-caractère  men  suel  doit donc être prolongée vers le bai  pour loger les     deus    encoches d'alignement  supplémentaires.

   Ce     changement    du nombre  et de la position des encoches d'alignement  pour le porte-caractère      mensuel         exige    que  la barre     d'alignement    auxiliaire 318 soit faite  de manière qu'elle     aligne    le     porte-caractère     - mensuel      dans    toutes ses positions.  



  <I>Marteaux</I>     imprimeurs.     



  Après que le porte-caractère 2ï5 (fi-. 18a)  a été déplacé de la position de lecture à la  position d'impression et après que ce     porte-          caractère    a été     mis    en position sous l'action  du bloc-moteur 240, le marteau imprimeur  317 de l'ordre ici représenté est abandonné à  l'action de son ressort qui fait frapper par ce  marteau la barre porte-caractère<B>219</B> corres  pondant à la position du bloc-moteur 240 pour      enregistrer la valeur de la touche numérale  218 abaissée, sur la pièce comptable portée  par le rouleau 309.  



  Le marteau 317     (fig.    18A et 21) est monté  librement     sur    l'arbre 300 de l'imprimeur et  est     entra%né        dans    le sens des aiguilles d'une  montre ou vers la position d'impression par  un     ressort    320 relativement fort. Normale  ment, le marteau 317 est empêché d'effectuer  ce mouvement d'impression par une dent en  saillie 321     (fig.    18A) sur son     extrémité    infé  rieure et coopérant avec un bord supérieur  replié d'une plaque 322 de blocage du mar  teau, plaque qui pivote sur une tige 323 sup  portée dans le châssis 283 de l'imprimeur.

    Les     marteaux    imprimeurs, qui sont     tous    iden  tiques et fonctionnent exactement comme le  marteau 317, possèdent des saillies qu'engage  le bord     supérieur        replié    du verrou 322 exac  tement de la même manière que ledit mar  teau 317.  



  Lorsque le bloc-moteur     2-10    se trouve dans  la position zéro indiquée sur la     fig.        18a,        une     saillie 321 du marteau 317 s'engage dans la  dent d'un     linguet    325 d'élimination du zéro,  pivotant sur une ti<U>g</U>e supportée par le châssis  de     l'imprimeur.    Un     ressort    de tension 327 en  traîne le     linguet        325    dans le sens des aiguilles  d'une montre pour maintenir normalement la  dent de ce     linguet    en prise avec la saillie 321.  



  L'éloignement du bloc-moteur 210, du bras  249 et du segment 251 de la position zéro  oblige un goujon 328 porté par ledit segment  à venir coopérer avec une surface 329 en  forme d'arc d'une queue du     linguet    325, pour  déplacer ce     linguet    dans le sens contraire des       aiguilles    d'une montre contre l'action du res  sort 327, de manière à dégager ledit     linguet     de la saillie<B>321</B>     pour    libérer le marteau 317  en vue du     mouv=ement    d'impression.

       Lorsqu-,,     dans des opérations d'addition et de soustrac  tion, aucune touche 218 n'est abaissée, le     bloc-          moteur    et les pièces auxquelles il est relié res  tent dans la position zéro représentée, et dans  ce cas le     linguet    325 d'élimination du zéro  reste actif, comme représenté sur le dessin,  pour empêcher le mouvement d'impression du  marteau 317 lorsque le verrou 322     est    libéré,    ainsi que l'on va l'expliquer.

   Le     linguet    325  porte sur son extrémité supérieure un goujon  330     qui    se trouve sur le trajet d'un goujon  correspondant porté par le     linguet    d'élimina  tion du zéro du prochain ordre inférieur et le  mouvement de ce     linguet    395     entraine    avec  lui solidairement son voisin de l'ordre infé  rieur, de sorte que tous les zéros des ordres  inférieurs sont imprimés lorsqu'une touche     est     abaissée dans un ordre supérieur.  



  Les     linguets    325 d'élimination des zéros  sont sous la dépendance de commandes di  verses contrôlant l'impression d'un  signal  libre  commandant l'impression d'un signe   moins   lorsqu'on emploie la touche de sous  traction pour déclencher une opération de  soustraction et pour     diviser    le     clavier        nitmé-          ral    en     plusieurs    groupes, souvent appelé mé  canisme      scindé-normal ,    afin     d'utiliser    le  clavier numéral pour l'impression de diverses  données autres que des nombres.  



  Lorsque le     linguet    325 d'élimination du  zéro a été mis en position inopérante, le mou  vement initial des cames 307 et 308 (fi-. 21  et ligne 19 de la     fig.    127) fait osciller l'arbre  300 de     l'imprimeur    dans le sens des aiguilles  d'une montre, comme il a été     expliqué    ci-des  sus, afin de déplacer une tige 331 de remise  en position des     marteaux,    tige qui est située  au-dessous de tous les     marteaux    317 et sup  portée par deux coudes similaires 332     ealés     sur cet arbre 300, solidairement de manière à  dégager cette tige 331 de remise en position  de ces marteaux et ne pas gêner leur mouve  ment d'impression.

   Les bras 298 et 299     (fig.    22  et 23) se déplacent solidairement avec l'arbre  300 en formant     une    saillie 333 dirigée     1-ers     le bas dudit     bras    298 s'engageant     sur    un gou  jon 334 d'une plaque 335 fixée au verrou 322  pour déplacer cette plaque et ce verrou dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre  contre l'action d'un ressort     3t    G, (le manière à  dégager ledit verrou des dents 3'_'1.     (fig.    18-1).

    Ce mouvement     abandonne    le     marteau    317  dans le sens des aiguilles d'une montre on  dans le sens de l'impression, en amenant     tin     bec 337 de son     extrémité    supérieure à     frapper     la barre à caractère 291 sélectionnée et à en-           trainer    cette barre porte-caractère et un ru  ban encreur 338 interposé entre cette barre et  le rouleau 309 en contact avec le support  d'enregistrement porté par ce rouleau, de ma  nière à enregistrer la valeur de la touche 218  abaissée sur ledit support d'enregistrement.  



  Le mouvement de retour des cames 307 et  308     (fig.        2l.)    ramène l'arbre 300, les bras 298  et 299 et la tige 331 de remise en position  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre en     faisant    saisir et ramener à la po  sition normale, par cette tige de remise en po  sition, le marteau 317 actionné. Pendant ce  mouvement de retour, les dents 321 passent à  côté du bord supérieur replié du verrou 322,  verrou qui retient ce marteau en position.  



  Les mouvements d'impression et de retour  du marteau 317 sont représentés     graphique-          nient    sur la ligne 20 du tableau     fig.    127.  



  L'extrémité supérieure du marteau 317  (fi?.     18A    et 23) repose dans une rainure de  guidage d'une barre de guidage 339 suppor  tée par les plaques latérales du châssis 283 de  l'imprimeur.  



  Le mouvement d'impression du marteau  317 est arrêté     instantanément    par une saillie  340 de     l'et-trémité        supérieure    du marteau en  entrant en contact avec la barre de guidage  339, et comme cela a     lieu    avant que la barre  à caractère 291 frappe la pièce comptable, le  rebondissement éventuel du marteau ne sera  pas transmis à la barre porte-caractère 291 et  n'occasionnera pas de flou dans l'impression.  Il en résulte que le mouvement d'impression  du marteau 317 cesse avant que la barre  porte-caractère 291 entre réellement en con  tact avec la pièce comptable et que l'inertie  de cette barre achève la frappe.  



       Jlécanisane        compteur   <I>des postes.</I>  



  En se reportant à la     fig.    3, qui représente  une vue schématique du clavier, et à la     fig.    70,  qui représente une vue schématique des     porte-          caractères    en se plaçant face à la machine, on  rappelle     -qu'il    y a onze groupes numéraux  218 et onze porte-caractères 275 correspon  dants. De même, il y a trois rangées de tou  ches     compteuses    de postes 313 et trois porte-    caractères     3-14    correspondants.

   La construc  tion générale des trois groupes compteurs est  analogue sous tous les rapports à celle des  groupes numéraux expliqués ci-dessus: ces  trois groupes contrôlent la mise en position  des trois roues du totalisateur No 6     (fig.        18A     et 18B). Il n'y a pas de roues sur les autres  cinq lignes de     totalisateurs    correspondant aux  trois roues du totalisateur No 6 ou     ligne    du  totalisateur de postes. Il n'y a pas de roues  non plus sur la ligne du totalisateur No 6  correspondant à une des roues des cinq autres  lignes du     totalisateur.        Il    est donc évident que  le totalisateur No 6 n'est     utilisé    que pour  compter des postes.

    



  *Dans la présente construction, le méca  nisme compteur est prévu pour compter des  postes soustractifs et additifs (débit et cré  dit) un à un à mesure qu'ils sont additionnés  ou soustraits du totalisateur de balance.  



  Il est souvent intéressant de réunir     une     série de postes de débit ou de crédit     similaires     en un seul groupe     pour    ne faire qu'une entrée  de tout le groupe. La pratique habituelle est,  dans ce cas, de faire l'entrée du nombre to  tal des postes d'un tel groupe en se servant  des touches nécessaires 313 des trois groupes  compteurs de postes de la manière habituelle.  Lorsque les touches 313 sont utilisées de cette  façon, le mécanisme compteur automatique  des chèques est rendu inopérant.  



  En se reportant à la fi-.     18A,    on voit que  le verrou de zéro 236 est muni d'une partie  en forme de crochet qui coopère avec une tige  345 supportée par des bras 346 qui sont, à  leur tour, montés sur les goujons 237 des  ordres supérieur et inférieur du clavier nu  méral.

   Un prolongement de la tige     3-15    de  gauche est situé au-dessous     d'une    partie élar  gie d'un verrou de zéro 347     (fig.    20) pour  l'ordre des unités des touches     compteuses    de  postes,

   ledit levier étant libre sur l'un des  goujons     @    237 fixé à la cloison de l'ordre des  unités des touches     compteuses.    Un ressort 318  entraîne<B>le</B> verrou 347 dans le sens des aiguil  les d'une montre pour maintenir un prolon  gement du verrou dirigé vers le haut en con  tact avec     une    plaque de commande 349 pour      l'ordre des unités des touches     compteuses.    Le  ressort 318 maintient également     iuie    dent de  zéro du verrou 317 normalement en contact  avec un bloc 350 fixé sur un bloc-moteur 351  pour l'ordre des unités des touches     comp-          teuses.     



  L'abaissement de l'une quelconque des tou  ches numérales 218     (fig.    184 et 20) déplace  la plaque de commande 226 en avant, comme       expliqué    ci-dessus, pour déplacer le verrou de  zéro 236 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre et le     dégager    du bloc 239.

   Le  mouvement du     verrou    236 clans le sens indi  qué soulève, par la partie en forme de crochet  de celui-ci, la tige 315 solidairement en fai  sant déplacer par cette tige le verrou de zéro       3-17    à son tour solidairement dans le sens con  traire des     aiguilles    d'une montre, afin d'écar  ter la dent de zéro de ce verrou du chemin  du bloc 350 et de placer en même temps une  dent 352 de ce verrou sur le trajet dudit bloc,  à la suite de quoi l'opération de la machine  permet au bloc-moteur 351 de se déplacer  d'un cran, ou de zéro à un, de manière à  ajouter  un  à la roue des unités du totalisa  teur No 6. ou     totalisateur    de postes.  



  Si aucune des touches numérales 218 n'a  été abaissée, le verrou de zéro 317 retient le  bloc-moteur 351 en position zéro, comme indi  qué, et par conséquent aucun article n'est  compté. 11 est donc évident qu'il faut qu'une  touche numérale soit abaissée avant qu'un  poste     puisse    être automatiquement compté.  Dans des opérations d'enregistrement des to  taux et     sous-totaux,    le dispositif compteur ne  fonctionne pas, comme il sera expliqué     plus     tard, étant donné que les segments 1006, 1007       (fig.    65) empêchent le retrait d'un verrou  1010 de la position de     blocage    des entraîneurs  compteurs de postes.  



  L'abaissement (le l'une quelconque (les  touches 313     compteuses    (le postes dans l'ordre  des unités des groupes     compteurs    déplace la  plaque (le     eoinniande    319     (fil,.    3 et 20) en  avant de la manière     habituelle    en obligeant  cette plaque (le     commande    à déplacer le ver  rou 317 dans le     sens    contraire des aiguilles    d'une montre assez loin pour     dégager    la dent  de zéro ainsi que la dent 352 hors du trajet  du bloc 350, de sorte que le bloc-moteur 351  puisse être ajusté de la manière habituelle  sous l'action de la touche de postes abaissée.  



  On a     prévit    un verrou auxiliaire<B>353</B>       (fig.    20) pour agir sur le bloc 350 lorsqu'une  touche dans un des ordres supérieurs du  groupe compteur de postes est     abaissée    et lors  qu'aucune touche n'est abaissée dans l'ordre  inférieur ou ordre des unités de ce     groupe.     Le verrou de zéro auxiliaire 353 est libre sur  le goujon 237 pour les unités du groupe  compteur et ce verrou est muni d'une fente  qui s'engage sur     im    goujon 351 du verrou  principal 317.

   Le verrou 353 porte également  un     goujon    356 qui     s'engage    dans une fente  pratiquée dans     l'extrémité    supérieure     d'une     articulation 357 dont l'extrémité inférieure  pivote sur un goujon 358 porté par un     levier     coudé 359 monté fou sur un arbre 360 qui  tourne dans le prolongement de la cloison 789  <B>pour</B> le groupe numéral de l'ordre     supérieur     et dans des prolongements des cloisons pour  les trois groupes     compteurs    de postes.

   Une  tige 361 relie le levier coudé 359 aux extré  mités inférieures de deux coudes similaire  362, dont un seul est     représenté,    cette tige  étant fiée     auxdits    leviers coudés et aux  extrémités inférieures de ces coudes. Aux       extrémités    supérieures des coudes 362 est  fixée une tige 363 qui     coopère    avec des sail  lies 361 dirigées vers le bas des verrous de  zéro 36:ï pour les ordres     des    dizaines et cen  taines des     groupes    compteurs de postes.

   Des  ressorts 366 entraînent les     verrous    365 dans  le sens des     aiguilles    d'une montre,<B>(le</B> manière  à maintenir des     prolongements        dirigés        vers     le haut de ces     verrous        normalement    en prise  avec les extrémités antérieures (les plaques de       commande    367 pour les ordres (les dizaines  et     centaines    (les     groupes    compteurs de poste,.  



       L'abaissement        (l'une    touche soit     dans    les  dizaines, soit     clans    les centaines     des        groupes     compteurs (le postes, déplace par     conséquent     la plaque (le commande 367 en     avant,   <B>(le</B>     ma-          nièrc    à déplacer le verrou de zéro     365    corres-      pondant dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, amenant la     saillie    361, en co  opération avec la tige 363,

   à déplacer les  coudes 362 et le levier coudé 359 dans le sens  des     aiguilles        d'une    montre. Le mouvement du  levier coudé 359 dans le sens indiqué agit sur  un ressort 368, tendu entre les goujons 356 et  358 pour déplacer le verrou de zéro auxiliaire  353 également dans le sens des aiguilles d'une  montre, de façon à placer sa dent sur le tra  jet du bloc 350 pour retenir le bloc-moteur  351 pour les unités du groupe compteur de  postes en position zéro lorsque des touches  sont abaissées dans l'un des ordres supérieurs  des groupes compteurs d'articles et qu'aucune  touche n'est abaissée dans l'ordre inférieur de  ce groupe.

   Au cas où     -une    touche est égale  ment abaissée dans l'ordre des unités du  groupe compteur, le mouvement de la plaque  de commande 319 en avant     (fig.    20) déplace  le verrou 347 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre de la manière habi  tuelle jusqu'à ce que la dent de zéro     aussi     bien que la dent 352 soient hors du trajet du  taquet 350. Le mouvement du verrou     3.17     dans le sens     indiqué    déplace également, à  l'aide du goujon 351, dans le sens inverse des  aiguilles d'une montre, et contre l'action du       ressort    368, le verrou auxiliaire 353 vers une  position inopérante.

   Dans ce cas, le goujon  356 coopérant avec la fente dans l'extrémité  supérieure de l'articulation     .357    permet     au.     verrou     auxiliaire    353 de se déplacer indé  pendamment du levier coudé 359 lorsque ce  coude a été déplacé vers sa position dans le  sens des aiguilles d'une montre par abaisse  ment     d'Lune    touche dans     l'LLn    des ordres supé  rieurs des groupes compteurs.  



  Il     ressort    de la description ci-dessus que  les postes de débit et de crédit sont comptés  automatiquement, un à un, dans toutes les  opérations d'addition et de soustraction aux  quelles prend part le totalisateur de solde et  que les touches 313     compteuses    de postes  (fin. 3) peuvent être utilisées lorsqu'on désire  inscrire plus d'un article dans une seule opé  ration de la machine.    <I>Touches de correction et de</I>     commande     <I>et clavier auxiliaire.</I>  



  En considérant les     fig.    1 et 3, on voit qu'à  gauche des touches 313     compteuses    se trou  vent -une rangée de touches de correction et  une rangée de touches de commande; la ran  gée de correction comprend trois touches de  correction 369 utilisées pour effectuer des cor  rections dans le totalisateur de solde et dans  les totalisateurs Nos 2, 3 et 4, -une touche de  commande 370, laquelle, lorsqu'elle est     uutili-          sée    conjointement avec l'une des touches de  correction 369, provoque la non-addition des  totalisateurs     l,Tos    1, 5 et 6,     une    touche      Non-          compter     371, laquelle, par son abaissement,

    maintient les trois rangées des touches 313 en  position zéro et -une touche      Non-Auuto     372  qui, abaissée, rend inopérant le dispositif       automatique    de la machine fonctionnant sous  l'action du chariot dans ses positions de co  lonnes. U n levier de verrouillage<B>373,</B> employé  conjointement avec la touche      Non-Auto ,     bloque cette touche en position abaissée, de  sorte que cette touche ne sera pas libérée en  fin de     fonctionnement    de la     machine.     



  La rangée des touches de commande com  prend une touche de non-addition 374, une       touéhe    de sous-totalisation 375, trois touches  de totalisation 376, respectivement pour les  totalisateurs Nos     ?,    3 et 4, une touche de sous  traction 377, une touche de sous-balance 378,       une-    touche de balance<B>379,</B>     une    touche d'addi  tion  Liste  380 et -une touche de déblocage  381. Un levier de verrouillage 382 est prévu  pour bloquer la touche d'addition  Liste  380  en position abaissée, de sorte que cette     touche,     ne sera pas automatiquement libérée en fin  de fonctionnement de la machine.  



  Les touches de correction exercent un con  trôle sur le mécanisme compteur de postes,  de sorte que dans toute opération où l'on se  ,sert des touches 369 et 370, le mécanisme  compteur automatique est rendu inopérant.  De même, les touches de commande exercent  un contrôle sur le mécanisme automatique  compteur de postes, de sorte que dans toutes  les opérations, sauf les opérations où l'on se  sert de la touche de soustraction     3"t7    et de la      touche 380 d'addition  Liste , le mécanisme  compteur est rendu inopérant. La manière  dont la touche 371      < u1Ton-comptage ,    les tou  ches de correction et les autres touches de  commande contrôlent l'opération de     décomp-          tage    des postes sera expliquée ci-après.  



  La présente machine contient, outre le cla  vier principal, un     clavier    auxiliaire compre  nant douze touches mensuelles 383 (file. 1 et  3), trois touches des     dizaines        journalières    354,  neuf touches des unités journalières 385 et six  touches     annuelles    386. Ces touches de date  contrôlent l'ajustage des porte-caractères cor  respondants de date 387 (file. 70) pour l'en  registrement de la date sur le support respec  tif.

   On a     prévu    un verrou de date ayant une  touche 388 pour bloquer les touches de date  en position     abaissée    et également     un    levier  de verrouillage qui empêche le déblocage des  touches de date abaissées,     mais    qui en même  temps n'empêche pas l'abaissement de     ces     touches.  



  Le     clavier    auxiliaire porte également une  série de touches de      Liste     390 qui contrôlent  la mise en position d'un porte-caractère cor  respondant de      Liste     391 (file. 70) pour  l'impression d'un symbole d'identification en  face de certains postes ou de certains comptes  lorsqu'on en établit une liste sur la pièce  comptable. ru levier de verrouillage 392 est  prévu pour bloquer toute touché 390     abaissée     en position abaissée.

   Les signes imprimés sous  le contrôle des touches de  Liste  390 ont     un     sens lorsqu'on les applique aux postes de dé  bit et un autre sens lorsqu'on les     applique     aux postes de crédit; une interprétation de  ces signes est indiquée en tête de l'état re  présenté sur la     file.    117.  



  Le     clavier    auxiliaire porte également une  touche B on noire 393     (fig.1    et 3); lorsqu'on  abaisse cette touche dans des opérations de  soustraction, elle provoque l'impression en  noir des postes soustractifs qui sont normale  ment imprimés en couleur distincte, en rouge  par exemple, cela étant désirable dans cer  tains cas. Un levier de verrouillage     39-1     (file. 3) est     prévu    pour bloquer la touche  noire 393 en position abaissée.    Le clavier     auxiliaire    est muni d'une touche  de déblocage 395 pour débloquer à la main  toutes touches abaissées de ce clavier.  



  Les touches 369 à 372 incluse du groupe  de correction (file. 1, 3, 31B, 46 et 47) sont  montées dans des fentes correspondantes       d'-une    partie repliée     d'une    plaque 398 à tou  ches de commande, alors que les touches de  commande 374 à 381 incluse sont montées  dans des fentes correspondantes pratiquées  dans la partie repliée d'une plaque similaire  gauche 399; ces plaques sont reliées entre  elles par des manchons 400, lesdits manchons  étant, à leur tour, placés sur des tiges de  guidage     fixées    dans le châssis gauche 131 et  maintenus en place par des longues vis 401  (file. 31B)     vissées    dans ces tiges.

   Le châssis  du groupe des touches de commande, qui  comprend les plaques 399 et 398, est de     phis     maintenu en place à l'aide de pieds repliés  des prolongements de la plaque 399 (file. 31B  et 47), lesdits pieds étant fixés à la base 132  de la machine. En plus, le support des tou  ches des groupes de correction et de com  mande par les fentes dans les parties repliées  des plaques 398 et 399 est renforcé par des  barres 402 et 403 (file. 47) fixées à leurs pla  ques respectives 398 et 399, ces barres étant       pourvues    de fentes correspondantes dans les  quelles sont engagées les touches par leurs       extrémités    inférieures.  



  Un ressort à boudin     40-1    (file. 46), passant  alternativement sous des ergots des tiges des  touches de correction et sur des ergots fixés  sur la plaque 398, pousse ces touches vers le  haut vers des positions non abaissées grâce à  quoi les touches de correction abaissées, après  avoir été relâchées, sont ramenées et retenues  en position non abaissée.

   Un ressort à boudin  405 (file. 44), passant     alternativement    sous  des ergots des tiges des touches (lu groupe de  commande et sur des ergots fixés dans la pla  que 399 (file.     44    et 47), est tendu pour ra  mener ces touches aux positions non abais  sées et les y retenir     lorsqu'elles    sont relâchées  automatiquement ou manuellement.     Chacune     des touches de commande<B>376,</B>     Ô78    et 379  (file. 31B et 44) porte un goujon carré 406      passant par une ouverture correspondante  dans la plaque 399; ces goujons coopèrent de  la manière habituelle avec des plaques de  blocage 407 pour empêcher l'abaissement de  plus d'une de ces touches à la fois.

   De     mikne,     sur l'extrémité inférieure de chaque touche  de correction 369 (fi". 63 et 64) est fixé tu  goujon carré 408; ces goujons coopèrent avec  des épaulements d'arrêt de deux plaques de  blocage similaires 409 qui pivotent sur des  axes fixés sur la plaque 398; ces plaques 409  et ces goujons 408 coopèrent pour empêcher  l'abaissement de     plus    d'une des touches 369 à  la fois.  



  Chacune des touches 369 à 372     (fig.    26, 37  et 47) du groupe de correction porte un gou  jon qui passe par une ouverture correspon  dante dans     une    détente 411 et coopère avec       une    dent correspondante 412 formée dans  cette -ouverture. De même, chacune des tou  ches de commande 374 à 380 incluse     (fig.    3,  26 et<B>3113)</B> du groupe de commande porte sur  sa tige un     goujon    413 qui passe par une  ouverture correspondante dans une détente       ;414    et coopère avec une dent correspondante  dans cette ouverture. La détente 414 est sup  portée<B>de</B> manière à se déplacer horizontale  nient sur des galets montés sur quatre axes  fixés sur la plaque 399.

   La détente 411 pour  les touches de correction est montée en vue  de son déplacement horizontal de la même  manière que la détente 414.  



  La détente 414 pour les touches de com  mande     (fig.    26 et     31B)    est pourvue, sur son  bord supérieur, de dents     d'engrenage    qui co  opèrent avec un     pignon    segmentaire 417 fixé  sur l'un des bouts d'un arbre 418     tourillon-          nant    dans les plaques 398 et 399 (fi-. 47).  Sur l'antre bout de l'arbre 418 est monté un  pignon segmentaire similaire 419 qui coopère  avec des dents sur le bord supérieur de la dé  tente 411 pour les touches de correction, afin  de relier ces détentes 414 et 411 et pour ren  dre leurs mouvements solidaires.

   Les goujons  410 pour les touches de correction passent  également par des ouvertures pratiquées dans  une plaque de blocage 420     (fig.        31B,    37 et  47) et coopèrent avec des dents de blocage    correspondantes 421     dans    ces ouvertures. La  plaque de blocage 420 est montée à côté de la  détente 411 (fie. 47) et     supportée    de façon à  pouvoir se déplacer de la même manière que  ladite détente.

   Les goujons 413 pour les tou  ches de     commande        (fig.        31B,    37 et 47) passent       également    par des ouvertures correspon  dantes dans une plaque de blocage 432 et co  opèrent avec des dents correspondantes 423  dans ces     ouvertures;    cette plaque 422 est pion  tée à déplacement horizontal entre des galets  fixés sur les axes 416     (fig.    26) de la même  manière que la détente 414.

   Les plaques de  blocage 420 et 422 sont reliées en vue de leur  déplacement solidaire par des dents sur leurs  bords supérieurs en coopération avec des     pi-          gnons    segmentaires 424 et 425 montés sur les  extrémités opposées d'un arbre 426 tournant  dans les plaques 398 et 399     (fib.    47).  



  Un ressort 427 (fie. 31B et 37), tendu  entre la détente 414 et la plaque de blocage  422, entraîne cette détente et cette plaque de  blocage et leur détente 411 et la plaque de  blocage 420 associées respectivement en avant  et en arrière.  



  L'abaissement de l'une quelconque des  touches du groupe de commande ou du  groupe de correction fait déplacer, à l'aide  de son goujon 413 ou 410 en coopération avec  la dent correspondante 415 ou 412 de la dé  tente correspondante 414 ou 411, cette dé  tente en arrière jusqu'à ce que cet ergot dé  passe ladite dent, à la suite de quoi le ressort  427     ramène    ladite détente en avant, de ma  nière à faire passer la dent par-dessus la sur  face supérieure aplatie du goujon 413 ou 410  de la touche abaissée pour     blôquer    cette tou  che dans la position abaissée.

   Lorsqu'on  abaisse une touche soit dans le groupe de la       commande,    soit dans le groupe de correction,  toute touche abaissée de l'autre groupe est  en même temps débloquée grâce     aii    mouve  ment solidaire en arrière des détentes     41-1    et  411.  



  En se reportant. maintenant à la fie. 37,  on voit que la plaque de blocage 420 pour les  touches du groupe de correction est pourvue  d'un prolongement vers le bas qui porte un      goujon coopérant avec l'extrémité     supérieure     d'un bras 429     fixé    sur un arbre 430 monté  dans les châssis principaux 130 et 131. Sur  l'arbre 430 est également fixé un bras 449  qui porte à son extrémité supérieure un ergot  450 coopérant avec une encoche ménagée  dans l'extrémité antérieure d'une bielle 431  dont l'extrémité arrière est reliée à oscilla  tion à un bras 432 monté sur l'arbre 235 des  verrous des touches.

   Sur     l'extrémité    droite  de l'arbre 430 (fit. 8 et 37) est fixé un bras  433 pourvu     d'une    encoche qui s'engage sur  un ergot     43-1    d'un bras 435 monté librement  sur un axe 436     d'une    plaque 437     (fig.        7A)     qui, elle, est fixée à la plaque 168 portant,  comme mentionné précédemment, le méca  nisme de la barre de déblocage, ledit axe 436  étant en     alignement    axial avec cet arbre 430.

    Le bras 435 a     une    encoche 433 qui coopère  avec un     doigt        d'in    levier coudé 439     monté     fou sur un axe 440 fixé dans la plaque 437.  Un ressort 441 tendu entre un ergot du bras  435 et un ergot     442    du     levier    coudé 439 en  traîne ce bras     -135,    cet arbre 430 et les autres  pièces     auxquelles    ils sont reliés dans le sens  des aiguilles d'une montre,

   mais en est nor  malement empêché par le doigt du levier  coudé 439 entraîné par ce ressort 441 dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre pour  s'engager sur     im    épaulement du bras     -135     immédiatement au-dessus de l'encoche 438.  



  Le bras 435 est relié à oscillation par     une     articulation 443     (fig.    8 et 37) à un bras 444  monté librement sur un axe 445     porté    par la  plaque 437, ce bras étant, à son tour, fixé à  un levier de came associé 446, pourvu d'une       extrémité    courbe, qui coopère avec la péri  phérie d'une came 447 de remise en position,  reliée par un manchon     4-18    à une série de  cames associées décrites ci-après (voir aussi       fig.        7A).    Le manchon     4-15    est monté libre  ment sur l'arbre principal ?16 où il est fixé  à l'encontre d'un déplacement latéral par une  goupille à l'extrémité de cet arbre.

   La came  447 présente un trou clans lequel s'engage un  ergot 491 fixé sur la roue dentée ?15 pour  assurer l'assemblage (les cames associées, y  compris la came 447, en     vue    de leur rotation    simultané avec la roue 215 et l'arbre à cames  principal 216.  



  En se référant à la fit. 8, on se rappellera  que l'abaissement de l'une des barres de dé  marrage 170, 171 ou 172 dégage le verrou  160 de la patte repliée 159, de manière à libé  rer la coulisse 156 pour le mouvement en  avant sous l'action du ressort     1-19,    afin de dé  clencher l'opération. Le mouvement de la cou  lisse 156 en avant amène un     prolong-cinent     454 de celle-ci, dirigé en avant     (fig.    8 \et 37),  à s'engager sur le goujon 442 polir déplacer  le levier coudé 439 dans le sens des aiguilles  d'une montre contre l'action du ressort 441,  de manière à dégager le doigt de ce levier  coudé de l'épaulement du bras 435 et pour  placer en même temps ce doigt en alignement  avec l'encoche 438.

   Ce mouvement libère  immédiatement le bras 435, l'arbre 430 et les  pièces annexes pour le mouvement dans le  sens des aiguilles d'une montre sous l'action  du ressort 441. Le mouvement de l'arbre 430  dans le sens indiqué retire     l'extrémité        supé-          rieure    du bras 429 du goujon     -1\38    pour aban  donner la plaque de blocage 420 et sa plaque  associée 422 à l'action (lu ressort 427 qui en  traîne ces plaques de blocage     immédiatement     en arrière et place les dents 421 et 423 au  dessous des goujons 410 et 413 des touches  non abaissées des groupes de correction et (le  commande, de manière à empêcher l'abaisse  ment de ces touches pendant l'opération.  



  Le mouvement du bras 449 dans le sens  des aiguilles d'une montre fait pivoter l'arbre  235 par la bielle 431 dans le même sens       (fig.        1SA    et 37), en déplaçant, par les bras  234, les ressorts 233 et les prolongements du  haut des plaques de blocage 224, ces plaques  vers l'arrière pour amener les dents de leurs  ouvertures au-dessous des goujons 221 des  touches numérales 218 et des touches     3-13          compteuses    de postes non abaissées pour em  pêcher l'abaissement de ces touches non  abaissées pendant l'opération.  



  Vers la fin d'opération et après que la  coulisse 156 (fit. 8) a été ramenée en arrière  de la manière     décrite        précé(leninient,    une  saillie de la came 447 s'engage sur le bout re-      courbé du bras     4-16    pour déplacer ce bras et  son bras associé 444 dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre. Le mouvement du  bras 414 dans le sens indiqué ramène, par  l'articulation 443, le bras 435 et les pièces  annexes     (fig.    8 et 37) dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre     pour.dégager    l'en  coche 438 du     doigt    du levier coudé 439, de  manière à abandonner ce levier coudé à l'ac  tion du ressort 441.

   Le ressort 441 place le  doigt du levier coudé 439 immédiatement sur  le chemin de l'épaulement d'arrêt du bras  435, à la suite de quoi le mouvement ulté  rieur de la came 447 permet à cet épaulement  d'arrêt de s'arrêter sur le doigt du levier  coudé 439. La remise en position du bras 435  et des pièces associées dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre déplace les pla  ques de verrouillage 224, 420 et 422     (fig.    37)  en avant et dégage leurs dents des goujons  des touches numérales,     compteuses    de postes,  de correction et de commande pour débloquer  ces touches vers la fin de l'opération.  



  Un prolongement 492, replié en avant de  la bielle 431     (fig.    37), coopère avec des mé  canismes similaires de blocage des touches du       clavier    auxiliaire pour empêcher l'abaisse  ment de ces touches pendant l'opération.  



  Le mouvement de blocage et de remise en  position du mécanisme de blocage des touches  est indiqué     sur    la ligne 18 du tableau de dis  tribution des temps     fig.    127.  



       Mécanisme   <I>de</I>     déblocage   <I>des</I>     touches.     



  La détente 411     (fig.    26) du groupe des  touches de correction est     pourvue    d'une sail  lie 455     qui    coopère avec un goujon 456 porté  par un bras     dirigé    vers le haut d'in levier  457 monté fou sur un arbre 458 qui tourne  dans le châssis gauche 131. Un autre bras du  levier 457 a une surface     angulaire    459 qui  coopère avec un galet 460 monté sur un axe  461 d'une came 462 calée sur l'arbre princi  pal à cames 216. La came 462 entre exacte  ment, niais librement, entre le bras et la sur  face 459 et un prolongement 463 du levier  457 pour maintenir ledit levier 457 en posi  tion correcte par rapport à ladite came.

      Vers la fin de l'opération, le galet 460       (fig.    26), en coopérant avec la surface 459  suivant le temps indiqué sur la ligne 15       (fig.    127), déplace le     levier    457 dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre en ame  nant le goujon 456, en coopération avec la  saillie 455, à déplacer la détente 411 et sa  détente associée 414 vers l'arrière contre l'ac  tion du ressort 427, de manière à débloquer  toutes les touches abaissées des groupés de  commande ou de correction.  



  Les touches des groupes de correction et  de     commande    peuvent également être déblo  quées à la main par abaissement de la tou  che de déblocage 381     (fig.    3 et 26). L'abais  sement de cette touche de déblocage oblige  son goujon 452, en coopération avec     -une    sur  face de came angulaire 473 de la détente 414,  à déplacer cette détente et sa détente associée  411 vers l'arrière, de manière à débloquer à  la main toutes touches abaissées des groupes  de correction et de commande.  



  Un mécanisme actionné par le levier 457       (fig.    26, 27 et 29) déplace également les dé  tentes pour les touches numérales et les tou  ches     compteuses    de postes vers l'arrière, de  façon à débloquer toutes celles de ces touches  qui sont abaissées à la fin des opérations  d'addition et de soustraction.  



  Une surface usinée du levier 457 coopère  avec un goujon 464 d'un levier 465 fixé sur  l'arbre 458. Sur l'arbre 458 est également  fixé un bras 466 portant un goujon 467 qui  s'engage dans une encoche d'un bras 468 monté  librement sur un axe 469 du châssis gauche  131. L'extrémité supérieure du bras 468 co  opère avec un goujon 470 fixé sur un levier  coudé 471 monté sur l'extrémité gauche de  l'arbre 232 d'entraînement du vers on de zéro  (voir aussi     fig.    18A). Un épaulement du le  vier coudé 471 est placé au-dessous d'un gou  jon 472 porté par un     levier    coudé 473 fixé  sur l'extrémité gauche de l'arbre 230 clé dé  blocage des touches.  



  Le mouvement du levier 457 dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre sous  l'action du galet 460     (fig.    26, 27 et 29 et  ligne 15 de la     fig.    127) amène la surface fa-           çonnée    de ce levier, en coopération avec le  goujon 464, à déplacer le levier 465, l'arbre  458 et le bras 466 dans le sens contraire des       aiguilles    d'une montre.

   Le mouvement du  bras 466 dans le sens contraire des aiguilles  déplace le bras 468 dans le sens des aiguilles  d'une montre, lequel déplace, à son tour, le  levier coudé 471 et l'arbre 232 dans le sens  contraire en regardant la fie. 29 et dans le  sens des     aigtülles        d'une    montre, comme repré  senté à la     fil-.        18A.    Le levier coudé 471 dé  place, à son tour, le levier coudé 473 et l'ar  bre 230 dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, comme représenté à la fie. 29 et, dans le  sens contraire, comme représenté à la  fie.

       18A,    en faisant déplacer le bras 229 .fixé  dans la rainure dudit arbre 230 en coopéra  tion avec les prolongements du haut des dé  tentes 225, ces détentes étant déplacées en  arrière afin de dégager les crochets dans les       ouvertures    de ces dernières des goujons 221  des touches numérales 218 abaissées et des  touches     eompteuses    343 abaissées (fie. 3), clé  manière à abandonner ces touchés à l'action  de leurs ressorts qui les ramènent immédia  tement vers le haut à la position non abaissée.  



  Un ressort 474 (fie. 26 et 29) contribue à  ramener le bras 468 et ses pièces annexes à  la position normale après que le galet 460  s'est placé     au-dessous    de l'extrémité infé  rieure du     levier    457.  



  Une butée 475 (fie. 26 et 27), fixée sur le  châssis 131, en coopération avec une saillie  du bras 466, place ce bras et ses pièces  annexes dans leur position de repos, comme  indiqué sur le dessin.  



  Le bras 468     (fig.    26, 27 et 29) est relié  par une articulation 476 à un bras coudé 477  monté sur un arbre de déblocage 478 pour  les touches du     clavier    auxiliaire (fie. 3). De  cette façon,     l'action    de déblocage du bras se  communique à l'arbre 478 pour débloquer  toutes les touches enfoncées du clavier auxi  liaire à la fin des opérations d'addition et de  soustraction.  



  On a également prévu un moyen actionné  par la touche de déblocage 381 (fie. 3 et 26)  pour déplacer l'arbre de déblocage 230, afin    de débloquer, en cas de besoin, toutes touches  numérales ou     compteuses    de postes abaissées.  



  L'abaissement de la     touche    de déblocage  381 fait tourner l'arbre 481 dans le sens des       aiguilles    d'une montre à l'aide d'un goujon  479     fixé    sur son extrémité     intérieure    et co  opérant avec un bras 480 monté     sur    l'arbre  481 dont les extrémités opposées sont mon  tées dans une plaque latérale d'un châssis  482 (fie. 27 et 31B) fixé sur la base 132 de  la machine et sur le châssis gauche 131.

   Ce  mouvement de l'arbre 481 et d'un bras 483  fixé sur cet arbre déplace, au moyen d'un  goujon     48-1    dudit bras, en coopération avec  l'extrémité inférieure d'un bras     -185    fixé sur       l'une    des extrémités d'un court arbre 486  monté dans le châssis 131, ce bras 485 et cet  arbre 486 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre. Ce mouvement de l'arbre 486  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre entraîne avec lui un bras 487 fixé  sur l'autre bout de cet arbre. Sur le bras 487  pivote l'une des     extrémités    d'une barre 488  (fie. 26, 27 et 29) dont l'autre extrémité est  fendue pour recevoir un goujon 489 porté  par le châssis gauche 131.

   Le mouvement de  l'arbre 486 et du bras 487 dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre déplace,  par l'abaissement de la touche de déblocage  381, la barre 488 vers l'arrière en amenant  son extrémité arrière en coopération avec un  goujon 490 porté par l'extrémité inférieure  du levier coudé 473, ce qui déplace ce der  nier, l'arbre 230 de déblocage des touches et le  bras 229 de déblocage des touches dans le  sens des aiguilles     d'une    montre, en regardant  la fie.     18A,    de manière à débloquer si on veut  à la main toutes les touches numérales ou       compteuses.     



  En se reportant à la fi-.     \_'6,    on se rappel  lera que l'action du levier 457 déplace le  bras 471 et l'arbre 232 dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre, comme représenté  à la fie. 26, et dans le sens des     aiguilles,     comme représenté à la fie.     18A,    en provo  quant, à l'aide des bras     \?31    en coopération  avec les saillies des plaques de commande  226, le déplacement de ces plaques de coin-      mande en avant pour placer les verrous de  zéro 236 en position     inopérante.    Mais on voit,  en comparant les lignes 1 et 15 du tableau de  distribution des temps     (fig.    127), que ce dé  placement.

   des verrous de zéro vers la posi  tion inopérante se produit lorsque les     bloc-          moteurs    240 sont complètement retournés à  leur position normale ou de repos et qu'il ne  joue par conséquent aucun rôle dans les opé  rations d'addition et de soustraction.  



  Dans les opérations d'enregistrement des  sous-totaux et des totaux, il est     désirable    que  le mécanisme de déblocage des touches pour  les touches numérales et touches     compteuses     de postes soit actionné au commencement de  ces opérations, afin de s'assurer qu'aucune de  ces touches ne soit abaissée par     inadvertance     avant ces opérations.

   La raison en est que  dans les opérations d'enregistrement des  sous-totaux et des totaux, les roues du tota  lisateur sélectionné     servent    à ajuster les     bloc-          moteurs    correspondants et le mécanisme im  primeur de manière à enregistrer le nombre  qui se trouve dans ledit     totalisateur    sélec  tionné.

   Il est désirable également que dans  des opérations     d'enregistrement    des sous  totaux et des totaux, l'arbre 232     (fig.        18a     et 26) soit mis en mouvement vers le com  mencement de ces opérations pour libérer les  verrous de zéro 236, de sorte que les     bloc-          moteurs    240 soient libres de se déplacer vers  l'arrière sous l'action de la barre de remise  en position pour être ajustés     sous    l'action des  roues du totalisateur sélectionné.  



  Le     levier    465     (fig.    26 et 27) porte un axe  493 sur lequel pivote un verrou 494 dont un  épaulement peut s'engager sur une patte re  pliée 495 d'un levier à came 496 monté libre  ment sur l'arbre 458 et portant un galet 497  normalement maintenu en contact avec la  périphérie de la came 462 par un ressort 498       qui        entraîne    ce levier dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   L'extrémité droite du  verrou 494     (fig.    26 et<B>27)</B> se trouve au-des  sus d'un goujon 499 d'un bras 500 fixé sur  un arbre 501 tournant dans les parties laté  rales perpendiculaires du châssis     .182.        Un     ressort 502, tendu entre le verrou 494 et le    bras 500, maintient normalement ce verrou  en contact avec le goujon 499. Sur l'arbre  501 sont     é;alement    calés un levier coudé 503  et un bras 504     (fig.    26, 27 et 48), ce levier  coudé et ce bras supportant entre eux une  tige 505.

   Le levier coudé 503 porte un goujon  506 qui s'engage dans une encoche pratiquée  dans l'une (les extrémités d'une     articulation     507 dont l'autre     extrémité    est reliée à oscilla  tion à l'un des bras d'un levier à came 508       (fig.    44, 46 et 48) monté fou sur un axe     fiïeté     509 qui s'étend entre les deux parties laté  rales du châssis 482. Le levier 508 porte un  galet 510 qui coopère avec la périphérie d'une  came 511 fixée sur l'arbre     principal    216,  cette came étant formée de façon à déplacer  le levier 508 d'abord dans le sens des aiguilles  d'une montre et ensuite retour à la position.

    normale conformément au temps indiqué sur  la ligne 11 du tableau     fig.    127.  



  La tige 505     (fig.    46, 47 et 48) est située  au-dessous et destinée à coopérer avec six  saillies similaires 512 de six coulisses de com  mande de     totalisateurs    513 à 518 incluse  pour les totalisateurs Nos 1 à 6 respective  ment, coulisses montées avec une coulisse de  commande 519 de     sous-totalisation        (fig.        -14    et  47),

   de manière à se déplacer horizontale  ment à l'aide de fentes     parallèles    pratiquées  dans les     deux        extrémités    des coulisses en co  opération avec des rainures annulaires for  mées par des colliers espacés 520 et 521 sup  portés par des axes filetés 522 et 523 s'éten  dant entre les plaques 398 et 399.  



  Dans les opérations d'addition et de sous  traction, les coulisses de commande 513 à 518  incluse     (fig.    46 et 47) sont situées de telle  sorte que les saillies correspondantes 512 ne  se trouvent pas sur le trajet de la tige 505 et  ne gênent pas par conséquent le mouvement  dans le sens des aiguilles d'une montre clé  cette tige, des bras 503 et 504 et de l'arbre  501 lors de la rotation de la came 511 (fi-. 44  et ligne 11,     fig.   <B>127).</B> Le mouvement de l'ar  bre 501 dans le sens des aiguilles d'une mon  tre (fi-.

   26)     entraîne    simultanément le bras  500 qui, par le goujon 499, fait se déplacer  -le verrou 494 dans le sens contraire des      aiguilles     d'une    montre pour dégager son  épaulement de la patte 495, de manière à em  pêcher que le     mouvement    du levier à came  496 sous l'action de la came 462 soit commu  niqué au     levier    465, en permettant ainsi le  mouvement de ce levier par le levier à came  457, qui fonctionne de la manière décrite  précédemment, pour débloquer les touches  numérales et de correction vers la fin des  opérations d'addition et de soustraction.  



  Dans les opérations d'enregistrement des       sous-totaux    et des totaux, la coulisse de com  mande 513 à 518     iiicluse    (fi-. 46 et 47) cor  respondant au totalisateur sélectionné est si  tuée de telle sorte que sa saillie 512 se trouve  directement au-dessus de la tige 505 pour  empêcher le mouvement dans le sens des       aiguilles        d'une    montre de l'arbre 501 sous  l'action du levier à came 50S, la fente dans  l'extrémité supérieure de l'articulation<B>507</B>  permettant à ce     levier    508 et à ses pièces  annexes de se déplacer indépendamment     dit-          dit    arbre 501.

   Le mouvement de l'arbre 501  et du bras 500     (fig.    26) dans le sens indiqué  étant empêché, le verrou 494 reste en prise  avec la patte 495, à la suite de quoi l'opéra  tion de la came 462 déplace le levier à came  496 et son mécanisme associé,     i-    compris le le  vier 465, l'arbre 458 et le bras 466 d'abord  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre et ensuite retour à la position nor  male conformément au temps indiqué sur la  ligne 16 du tableau fi-. 127.

   Le mouvement  initial du bras 466 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre (fi-. 26 et 29) déplace  le bras     -168    dans le sens des aiguilles d'une  montre,     le.bras    471 et l'arbre 232 dans le sens  contraire, et le     levier    coudé 473 et l'arbre  <B>23,0</B> de     débloeaâe    des touches dans le sens  des     aiguilles    en agissant sur les bras 229       (fig.    18A)

   en coopération avec les projections  du haut des détentes 225 afin de déplacer ces  détentes en     arrière    vers le commencement de  l'opération de la machine et avant le mouve  ment initial en arrière des     bloc-moteurs        '?40     pour débloquer toute touche numérale ou tou  elie     compteuse    de postes abaissée par inatten-         tion    au début des opérations d'enregistre  ment des     sous-totaux-et        clés        totaux.     



  Le mouvement de l'arbre 232 dans le sens  contraire des     aiguilles    d'une montre en re  gardant la     fig.    26 et le mouvement de cet  arbre dans le sens des aiguilles en regardant  la<B>f</B>i-.<B>18A</B> amène les bras 231 montés sur cet  arbre et coopérant avec les saillies dirigées  vers le haut des plaques de commande 226 à  déplacer ces plaques en avant pour dégager  les verrous de zéro 236, dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre, des taquets 239,  et libérer les     bloe-moteurs        2-10,    de sorte qu'ils  puissent être ajustés sons l'action des roues  du     totalisateur    sélectionné de la manière  habituelle.

   Un mouvement excessif de retour  dans le sens des aiguilles d'une montre de  l'arbre 232 et du bras 471     (fig.    29) est     em-          p        e   <B>'</B>     c        hé        par        un        prolongement        C        de        ce        bras        vers     le haut en coopération avec la surface infé  rieure de la plaque du haut du clavier (188).

    Dans les opérations d'enregistrement des  sous-totaux et des totaux, l'arbre 478 de dé  blocage des touches     (fig..26)    pour les touches       auxiliaires    est actionné par le bras 468       (fig.    29) au commencement (les opérations de  la machine et débloquerait normalement  toute touche abaissée du clavier auxiliaire.  Toutefois, on a prévu les verrous<B>388,</B> 389 et  392 et 394 (fi & . 3) pour bloquer les touches  correspondantes du clavier auxiliaire contre  le déblocage par le mécanisme de     débloca=ge.     



  On a prévu un mécanisme actionné par  les détentes pour les touches numérales 218  et par les détentes pour les touches 343     comp-          te-Lises    de postes     (fig.    3) pour verrouiller le  mécanisme de démarrage de la machine si       l'une    de ces touches se trouve dans une posi  tion partiellement abaissée.  



  Les parties arrière des détentes 225 pour  les groupes numéral et compteur de postes       (fig.    14, 16, 18A et 28) coopèrent avec une  tige 525 supportée dans les extrémités     supé-          r        ieiir    es d'une série de bras similaires 526 et  d'un bras 527     (fig.    28) montés sur un arbre  528 qui tourne dans les cloisons 189 du     soin-          niier    des touches.

   Un ressort. clé torsion 536  entraîne l'arbre     528,    les bris 526 et 527 et      la tige 525 dans le sens contraire des     aigiul-          les    d'une montre en regardant la fia.     18A     pour maintenir cette tige 525 normalement  en contact souple avec les extrémités arrière  des détentes 225.     L'extrémité    droite de la tige  525     (fig.    14 et 16) s'engage dans     l'et-trémité     supérieure fendue d'un bras 529 monté libre  ment sur un axe 530 fixé sur le châssis droit  130. Le bras 529 porte un goujon 531 qui  coopère avec un épaulement 532 d'un bras  533 fixé à l'aide d'un moyeu 534 sur un bout  d'arbre 535 monté dans le châssis droit 130.

    Un ressort 537 entre un goujon 539 du bras  533 et un bras 538 monté fou sur le moyeu  534     entraîne    ces pièces respectivement dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre  et dans le sens des aiguilles pour que le gou  jon 531 soit maintenu de façon souple entre  l'épaulement 532 et un épaulement du bras  53S. Le ressort maintient également normale  ment un prolongement du goujon 539 du  bras 533 en prise avec un prolongement du  bras 538. Sur l'arbre 535 est également monté  un bras 540 portant un goujon 541 qui s'en  gage dans une encoche du     linguet    d'arrêt 198.  



  L'abaissement partiel d'une des touches  numérales 218     (fig.    16, 18A et 28) agit, par  son ergot 221, en coopération avec le bec an  gulaire de la dent correspondante, sur la dé  tente 225     pour    déplacer cette détente en  arrière contre l'action de son ressort 228 en  amenant cette détente à déplacer la tige 525,  les bras 526 et 527 et l'arbre 528 dans le sens  des aiguilles d'une montre, en regardant le  dessin, contre l'action du ressort 536. La tige  525 déplace également le bras 529 simulta  nément dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre en obligeant le goujon 531, en coopéra  tion avec l'épaulement du bras 538, à dépla  cer ce bras dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre.

   Le mouvement du bras 538  dans le sens     indiqué        entraîne,    par le ressort  537, solidairement avec lui le bras 533, l'ar  bre 535 et le bras 540 dans le même sens. Le  mouvement du bras 540 dans le sens con  traire des aiguilles     d'une    montre déplace, à  l'aide du goujon     5-11,    le     linguet    198 dans le  sens des aiguilles     d'une    montre sur le trajet    de la butée 196     (flg.    14, 16 et     18A)

      pour em  pêcher le mouvement de démarrage en arrière  de la barre 194 et le fonctionnement du mé  canisme de démarrage de la machine alors  qu'une touche numérale 218 est     partiellement     abaissée. L'abaissement complet d'une touche  numérale 218 permet au ressort 228 de ra  mener la détente 225 en avant à la suite de  quoi le ressort 536 déplace la tige 525 soli  dairement en     avant    ou dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre pour placer le     lin-          guet    198 en position inopérante, de sorte que  la machine peut être déclenchée à la     manière     habituelle.  



  Un mécanisme contrôlé par le bras 538       (fig.    14 et 16) déplace le rouleau 309 vers la  position d'impression, ainsi qu'il sera expli  qué ci-après à propos de l'explication du cha  riot et des mécanismes associé.  



  Les détentes pour les touches 343 des  trois groupes compteurs de postes     (fig.    3)  coopèrent avec la tige 525     exactement.    de la  même manière que le font les détentes<B>225</B>  pour les touches numérales 218 (fi-. 16)  pour empêcher le démarrage de la     machine    si  une touche     compteuse    de postes est partielle  ment abaissée.  



  Le mécanisme représenté sur la fi-. 28 est  prévu pour assurer le retour de la tige 525 et  des détentes souples 225 aux positions nor  males vers le commencement de l'opération  de la     machine.    Le bras 527, fixé sur l'extré  mité gauche de l'arbre 528, possède     un    pro  longement dirigé vers le bras 543 qui coopère  avec un goujon     544    porté par     une    bielle 545  dont     l'extrémité    supérieure est fendue pour  s'engager sur un goujon 546 dit châssis gau  che 131.

   Un ressort 547     entraîne    la bielle  549 vers le bas pour maintenir son goujon  548 normalement en contact avec la périphé  rie     d'une    came 549 montée sur l'arbre à  cames principal 216.  



  La rotation de l'arbre 216 et de la came  549 dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme représenté à la     fig.    28, actionne la  bielle 545 conformément au temps     indiqué     sur la ligne 17 du tableau de la     fig.   <B>127;</B> le  mouvement initial de cette bielle 545 vers le      bas sous l'action du ressort 547 amène le gou  jon 544 à s'engager sur le prolongement 543  pour assurer le retour complet de la tige 525  et des détentes 225 pour les touches numé  rales et les détentes similaires pour les tou  ches     eompteuses    à leurs positions normales,  comme représenté.  



  En comparant la     ligne    17 avec les lignes  16 et L du tableau de la<B>fi-.</B> 127, on voit  que le mécanisme de remise en position re  présenté sur la     fig.    28 entre en action après  le fonctionnement des détentes souples 225       dans    les opérations d'enregistrement des       sous-totaux    et des totaux pour débloquer  toutes les touches numérales et     compteuses     d'articles qui se trouvaient abaissées par       inattention    et qu'il entre en action avant le  mouvement initial en arrière des bloc-moteurs  240     (fig.    183) pour s'assurer que la tige 525  et les détentes souples soient entièrement ra  menées à leurs positions normales.  



       .Mécanisme   <I>de</I>     contmande   <I>des</I>     bloc-moteurs.     Le     mécanisme    représenté sur la fi-. 18A  est prévu pour coopérer avec les bloc-moteurs  240 en     vue    d'alléger l'effort de ces     bloc-          moteurs    et des mécanismes de transfert des  divers     totalisateurs    dans les opérations d'en  registrement des     sous-totaux    et de totaux.  



  Le bloc-moteur 240 (fi-.<B>18A),</B> qui est ca  ractéristique de tous les bloc-moteurs, porte       sur    son bord     inférieur    une série de crans 551  qui coopèrent avec la dent d'un cliquet cor  respondant 552 monté librement sur un arbre  554 qui     tourne        dans    les châssis principaux  130 et 131. Le     cliquet    552 est monté dans  deux entailles correspondantes alignées, pra  tiquées dans deux bords repliés d'une pla  que 553 qui possède des pattes repliées par  lesquelles cette plaque est montée de façon  à pivoter sur l'arbre 554.

   Un ressort de tor  sion 555 entraîne le cliquet 552 dans le sens  des aiguilles d'une montre en maintenant  normalement un épaulement de     l'extrémité     arrière de ce cliquet en contact avec le     fond.     de     l'entaille    correspondante dans la plaque  553. A la plaque 553, près de ses     extrémités     opposées, sont fixés deux bras à cames simi-         laires    556 (un seul est représenté) portant  des galets 557 qui coopèrent avec les péri  phéries de     deux    cames associées 558 (une  seule est représentée) fixées sur l'arbre à  cames principal 216.  



  Après que les bloc-moteurs 240     (fig.   <B>18A)</B>  ont achevé leurs mouvements initiaux en  arrière sous l'action de la barre 254 de remise  en position (ligne 1,     fig.    127) dans des opé  rations d'enregistrement des sous-totaux et  totaux pour être ajustés de la manière con  nue par les roues du totalisateur sélectionné,  les cames 558 fonctionnent suivant le temps  indiqué sur la ligne 3 du tableau de la       fig.    127, déplacent la plaque 553 dans le sens  des aiguilles     d'une    montre en engageant le  cliquet 552 dans les dents 551 pour alléger la  charge du mécanisme de transfert provoquée  par la tension du ressort 252.  



  Le mouvement du bloc-moteur 240 de re  tour fait passer les dents 551 par-dessus la  dent du cliquet et, lorsque le bloc-moteur 240  est complètement ramené à sa position nor  male, les cames 558 dégagent les cliquets 552  des dents 551.  



  <I>Les</I>     totalisateurs.     



  On rappelle, en se référant aux     fig.   <B>1S A</B>  et     18B,    que     l'entraîneur    est relié à une cré  maillère 243 supportée à glissement dans le  bâti des totalisateurs par trois tiges     244.    La  crémaillère 243 comporte six jeux de dents  qui coopèrent respectivement avec les roues  correspondantes des totalisateurs Nos 1 à 6  inclus. Les six totalisateurs sont identiques,  étant tous du type addition et     soustraction.     On estime par conséquent qu'une description  générale du     totalisateur    de solde No 1 sera  suffisante.  



  La machine représentée est une machine  appelée     communément    machine du     type      Banque  et qui s'emploie principalement  dans des établissements bancaires pour les  balances de comptes de chèques     individuels.     La disposition des six totalisateurs dans la  présente machine convient donc aux opéra  tions bancaires.

   Dans cette disposition des  totalisateurs, le totalisateur No 1 est un tota-           lisateur    d'addition et     soustraction    ou de solde,  le     totalisateur    No 2 sert à l'accumulation des       nouveaux    soldes, le totalisateur No 3 est un  totalisateur pour l'accumulation des .     dépôts,     le totalisateur No 4 sert à accumuler le total  des chèques et le totalisateur No 5 est utilisé  comme totalisateur de dépassement. Le tota  lisateur de dépassement est toujours complé  mentaire du totalisateur No 1 ou de solde et  est. par conséquent relevé et remis à zéro lors  que le totalisateur de solde se trouve en état  de dépassement afin d'obtenir un enregistre  ment positif du moment de dépassement.

   Les  totalisateurs Nos 1 à 5 inclus comportent cha  cun onze roues     correspondant    aux onze ran  gées de touches     numérales    218. Le totalisa  teur No 6 est un totalisateur compteur de  postes; il sert à compter des postes soustrac  tifs et additifs ou de débit et de crédit, et  contient trois roues qui correspondent aux  trois rangées des touches     3-13        compteuses.     



  Le     totalisateur    No 1 qui servira de modèle       pour    tous les totalisateurs comprend une roue  559     (fig.    18B et 34) pour chaque ordre dé  nominateur; chacune de ces roues a vingt  dents et porte sur l'une de ses faces une came  d'encliquetage 550 pourvue de dents d'encli  quetage et/ou d'arrêt diamétralement oppo  sées qui coopèrent avec les dents d'in cliquet  d'addition 560 et d'un cliquet de soustraction  561. Les roues 559 tournent sur un arbre du  totalisateur No 1 qui s'étend entre les bras  latéraux d'un châssis     déplagable    562 pivotant  au point 563 sur le bâti du     totalisateur    134.  



  Lorsque, dans des opérations d'addition,  les     entraîneurs    240 et la crémaillère 243       (fig.    18A et     18B)    ont achevé leur mouvement  initial en arrière et ont été     mis    en position  de la manière décrite précédemment par les  touches numérales 218 abaissées, la roue du  totalisateur No 1 ou de solde correspondant  à l'ordre dénominateur représenté sur le des  sin est engagée dans les dents correspondan  tes du bord supérieur de cette crémaillère  243 et, en même temps, une barre de trans  fert 566 est ramenée à la position non active  représentée en traits pleins.

   Le mouvement  de retour en avant du bloc-moteur 240 et de    la crémaillère 243 qui lui est associée fait  tourner la roue correspondante 559 dans le  sens de l'addition ou des aiguilles d'une mon  tre pour enregistrer sur cette roue     iii    nom  bre égal à la valeur de la touche numérale  218 enfoncée.

   Si la roue 559, en se déplaçant  dans le sens de l'addition, passe par zéro,       l'une    des dents diamétralement opposées de  la came d'encliquetage 550 s'engage sur la  dent du cliquet d'addition 560 pour déplacer  ce cliquet dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, de manière à abandonner un  levier d'encliquetage 564, monté fou sur un  axe fixe 565 dans le bâti 134, à l'action d'un  ressort 567 qui déplace ledit levier immédia  tement légèrement dans le sens contraire des  . aiguilles d'une montre jusqu'à ce qu'un pro  longement dirigé vers le liait du     levier    entre  en contact avec la barre 566.  



  Le mouvement de la barre de transfert  566 dans les opérations d'addition est indi  qué sur la ligne 6 du tableau de la     fig.    127  et en comparant la ligne 6 avec la ligne 1 on  peut obtenir le rapport entre les opération  de cette barre de transfert et du bloc-moteur       2-10.    Le léger mouvement susmentionné du  levier 564 empêche le cliquet d'addition 560  de réengager ledit levier si la dent de la  came d'encliquetage 550 dépasse ce cliquet.

    Après que le bloc-moteur     2-10    et la crémail  lère 243 ont achevé leur mouvement de re  tour en avant, les dents de la roue 559 sont  dégagées de cette crémaillère et lesdites dents  sont en même temps en prise avec un seg  ment de transfert correspondant, non repré  senté, mais similaire à un segment 568 avec  lequel sont simultanément en prise des dents  de la roue 559 de l'ordre voisin supérieur       (fig.    18B). Le segment de transfert 568 pi  vote sur un axe fixé sur     suie    plaque suppor  tée par le bâti 134. Le segment 568 porte un  goujon 569 qui s'engage dans une encoche  570 en forme d'Y dans le levier de trans  fert 564.  



  Après que la roue 559 du totalisateur de  l'ordre inférieur a été débrayée de la cré  maillère 243, la barre 566 de remise en posi  tion du transfert est libérée de la manière      connue et se déplace sous l'action d'un res  sort vers la position indiquée en traits poin  tillés     (fig.    18B) en permettant ainsi au le  vier de transfert 561 de se déplacer avec elle  simultanément dans le sens contraire des       aiguilles    d'une montre. Pendant le mouve  ment du levier 561 dans le sens indiqué, un  ressort<B>571</B> tendu entre le goujon 569 et la  traverse d'une chape mobile 572 entraîne ce  goujon     dans    la branche droite ou arrière de  l'encoche 570 en forme d'Y.

   Ce mouvement  déplace le segment 568 dans le sens contraire  des aiguilles     d'une    montre pour avancer la  roue 559 de l'ordre voisin supérieur d'une  dent dans le sens d'addition, de manière à  effectuer le report d'un chiffre des dizaines  de l'ordre ici représenté vers l'ordre voisin  supérieur.  



  Tout au début des opérations de soustrac  tion, une barre 573 de déplacement du     cli-          quet    de report     (fig.    18B) se déplace dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre,  comme représenté au dessin,     pour    débrayer  le     cliquet    560 de transfert additif des dents  de la came d'encliquetage 550 et embrayer  simultanément le     cliquet    561 de transfert  soustractif avec les dents de ladite came.

   Si  multanément, la barre<B>573</B> et la bride 572 se  déplacent dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre pour placer     l'extrémité    supé  rieure du ressort 571 dans une position telle  que ce ressort amène le goujon 569 dans la  branche gauche ou avant de l'encoche 570 en  forme d'Y lorsque le levier de report 561  fonctionne dans des opérations de soustrac  tion, comme exposé ci-après.  



  Dans les     opérations    de     soustraction,    avant  le mouvement     initial    en arrière de l'entraî  neur 210 et de la     crémaillère    213     (fig.        18A     et 18B), la roue 559 du totalisateur de ba  lance est en prise avec les dents correspon  dantes du bord     supérieur    de ladite crémail  lère, à la suite de quoi le mouvement en  arrière initial fait tourner cette roue dans le  sens     soustractif    ou contraire des aiguilles  d'une montre pour y faire entrer un nombre  égal à la valeur de la touche numérale 218  abaissée.

   Lorsque la     roùe,    en se déplaçant    dans le sens soustractif, passe par zéro, l'une  des dents diamétralement opposées de la  came d'encliquetage 550 s'engage sur le     cli-          quet    561 et déplace celui-ci dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre pour libé  rer le levier de transfert<B>5641</B> qui a été pré  cédemment remis en position non active au  commencement de l'opération de soustraction  et immédiatement après que la roue 559 a été  débrayée du segment de transfert correspon  dant et embrayée avec la crémaillère 213. Le  mouvement de la barre 566 de     @    remise en po  sition du transfert est indiqué sur la ligne 7  du tableau de la     fig.    127.  



  Après que le bloc-moteur 210 et la cré  maillère correspondante 243<B>(fi-.</B>     JSB)    ont  achevé leur mouvement en arrière initial, la  roue 559 est débrayée de cette crémaillère et  embrayée avec le segment de transfert corres  pondant 568, après quoi la barre 566 est  abandonnée à l'action du ressort     qui    la place       immédiatement    dans la position indiquée en  pointillé pour permettre au levier de trans  fert 561 de se déplacer conjointement avec  elle dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre.

   Pendant le mouvement du levier de  transfert 561 dans le sens indiqué, le ressort  571, qui se trouve maintenant dans sa posi  tion de gauche, amène le goujon 569 dans la  branche gauche de l'encoche 570 en forme  d'Y, de manière à faire déplacer par cette en  coche le segment 56S pour la roue 559 de  l'ordre voisin     supérieur    dans le     sens    des  aiguilles d'une montre, afin de faire tourner  cette roue de l'ordre voisin supérieur d'un  pas dans le sens soustractif pour effectuer  un report des dizaines.  



  Si la prochaine opération est une opéra  tion autre que de soustraction, la barre 573       (fig.    18B) et la bride 572 sont ramenées dans  le sens des aiguilles d'une montre vers les  positions indiquées sur le dessin, de manière  à mettre le cliquet de soustraction 561 en po  sition inopérante, à placer simultanément le  cliquet d'addition 560 en position active et à  placer le ressort 571 de telle sorte qu'il amè  nera le goujon 569 dans la branche droite de  l'encoche 570 en forme d'Y.

        Dans les opérations     d'enregistrement    des       sous-totaux    et des     totaux,    la roue 559 du to  talisateur No 1 ou de solde est en prise avec  la crémaillère 213 avant le     mouvement    vers  l'arrière     initial    de cette crémaillère; ce mou  vement fait tourner ladite roue dans le sens  inverse ou contraire des aiguilles     d'une    mon  tre jusqu'à ce que     l'une    des dents diamétrale  ment opposées de la came d'encliquetage 550       s'enâaâe    sur la surface intérieure de la dent  du cliquet d'addition 560.

   La roue 559- est  ainsi placée en position zéro et cette roue  ajuste, à son tour, la crémaillère 213 et le  bloc-moteur 210     conformément    au nombre  qui se trouve sur cette roue, de sorte que ce  nombre sera enregistré lors de l'opération du  mécanisme imprimeur.  



  Dans des opérations     d'enregistrement    des  totaux, la roue 559 est dégagée de la crémail  lère     2-13    avant le mouvement de retour en  avant de cette dernière et ladite roue reste  par conséquent dans la position zéro. Dans  des opérations d'enregistrement des sous  totaux, la roue 559 reste en prise avec la cré  maillère 243 pendant le mouvement de retour  de celle-ci et est par conséquent ramenée à sa  position originale. .  



  La brève explication précédente du méca  nisme de transfert pour le totalisateur No 1,  ou totalisateur de balance, s'applique égale  ment à tous les autres totalisateurs du fait  qu'ils sont construits de la même     fa@ou    et  fonctionnent exactement de la même manière  que ce totalisateur de balance.  



       -Mécanisme        d'embrayage   <I>et de débrayage</I>  <I>des totalisateurs.</I>  



  Chacun des six totalisateurs est     pourvu     de cames d'embrayage et de débrayage pour  mettre les roues de ces     totalisateurs    en prise  avec et les     dégager    des dents des crémaillères  243 (fis. 34).

   Le jeu des cames d'embrayage  et de débrayage pour     chacun    des six totalisa  teurs est pourvu d'une articulation mobile  correspondante et d'un mécanisme de ver  rouillage servant à relier ces cames à un mé  canisme d'opération     commun    qui comprend       une    barre à action réciproque en prise avec    le mécanisme de     verrouillaje.    La commande       d'embrayage    et de     débrayage    du mécanisme  de     verrouillage    avec la barre relie le totali  sateur sélectionné à la barre aux temps  voulus pour effectuer l'opération désirée, que  ce soit l'addition, la     soustraction,

          sous-totali-          sation    ou totalisation.  



  En se reportant     aux    fis. 31A, 31B, 34 et  36, on voit que les     extrémités    opposées de  l'arbre du totalisateur     No    1 portent des ga  lets 575 tournants qui     s'engagent    respective  ment dans des fentes correspondantes de  cames 576 et 577 fiées sur un arbre d'em  brayage 578, tournant dans le bâti 131 du to  talisateur. Sur l'extrémité gauche de l'arbre  578 est fixé un levier coudé 579, auquel est  fixée à oscillation l'extrémité arrière d'une  articulation 580 dont     l'extrémité    avant est  fendue pour s'adapter à une partie aplatie  d'un collier 581 fixé sur un goujon 582 dont  une extrémité est fiée au châssis 131 et l'au  tre supportée par une plaque fixée sur ce  châssis gauche 131.

   Sur     un    axe 581 porté par  l'articulation 580     (fig.    31, 36,     .10    et 45) pi  vote un verrou 585 d'embrayage du totalisa  teur No 1 qui coopère avec une barre 586  d'embrayage du totalisateur munie à chaque  extrémité de tenons qui s'adaptent aux  fentes alignées parallèlement de la plaque  583 et d'une plaque 587 fixée sur le châssis  gauche 131. Sur les extrémités opposées de  la barre 586 (fis. 36) sont fixées les extré  mités arrière des articulations similaires 588  et 589 dont les extrémités antérieures sont  reliées à oscillation respectivement à un     levier-          came    590 et à un bras 591, tous deux montés  sur un arbre 592 tournant dans le châssis  gauche 131 et dans la' plaque 583.

   Le levier  590 porte des galets 593 et     59.1        (fig.    34) qui  coopèrent respectivement avec les périphéries  de cames associées 595 et 596 montées sur  l'arbre à cames principal 216.  



  L'arbre principal 216 et les cames 595 et  596 font un tour dans le sens des aiguilles  d'une montre, en regardant la     fig.    34, pour  communiquer au levier 590, à l'arbre 592, au  bras 591 et à la barre d'embrayage 586 un  mouvement de va-et-vient conformément aux      temps indiqués sur la ligne 4 du tableau de  la     fig.   <B>127,</B> le     premier    mouvement de ladite  barre étant en avant, ou à droite, comme re  présenté au dessin.

   ,  La<U>fi-.</U> 15 montre schématiquement le  mouvement de la barre 586 d'embrayage du  totalisateur et montre que cette barre a qua  tre mouvements distincts,     deux    dans le sens  de l'embrayage et     deux    dans le sens de re  tour ou de débrayage avec, après chaque  mouvement,     suie    brève période de repos.

   Dans  le premier mouvement de la barre 586, le  totalisateur sélectionné est embrayé avec le  bloc-moteur pendant la soustraction, la     sous-          totalisation    et la totalisation; dans le deuxième  mouvement de cette barre, le totalisateur sé  lectionné est embrayé pendant l'addition;  dans le troisième mouvement, le totalisateur  sélectionné est débrayé pendant la soustrac  tion et la totalisation, et dans le quatrième  mouvement ou mouvement final, le totalisa  teur     sélectionné    est débrayé pendant l'addi  tion et la sous-totalisation.

   C'est la commande  d'embrayage et de débrayage du verrou 585  avec la barre 586 qui provoque l'embrayage       et        le     des totalisateurs par rapport  aux bloc-moteurs dans les temps prévus pour  effectuer l'opération voulue.  



  Une queue 600 du verrou 585     .(fig.    40, 45,  46 et 47) coopère avec un doigt d'un levier  de commande 601 monté fou sur une partie       réduite    d'un collier fixé sur un goujon 602  qui s'étend entre les plaques 398 et 399.  



  Un prolongement du levier 601 dirigé  vers le bas     (fig.    32, 40 et 45) est muni de  dents qui engrènent avec des dents corres  pondantes du bord supérieur de la coulisse  de commande 513 pour le totalisateur No 1  ou de solde pour constituer un moyen de  commande du mouvement d'embrayage et de  débrayage du verrou 585 du totalisateur No 1  par les touches de correction et de     commande,     comme expliqué ci-après.  



  Il y a un levier de commande similaire  au     levier    de commande 601 pour chacun (les  cinq autres totalisateurs montés sur l'axe 602  l'un près de l'autre et espacés l'un de l'autre    par des colliers à épaulement montés sur cet  axe.  



  Une     surfâçe    usinée du doigt saillant du  levier de commande 601     s'engage    sur le fond  d'une. encoche de guidage correspondante  pratiquée dans une partie d'une bride 603       (fig.    45 et 46) montée folle sur l'axe 602 et  pourvue d'une partie segmentaire avec des  dents qui engrènent avec des dents corres  pondantes d'un levier d'opération     60-1    monté  librement sur le goujon 523. Un bras du le  vier 604 dirigé vers le bas porte un galet 605  qui coopère avec la périphérie d'une came  606 montée sur l'arbre à cames principal 216.  



  La came 606     (fig.    46) fonctionne suivant  les temps indiqués sur la ligne 10 du tableau  de la     fig.    127 et déplace la bride 60:3 d'abord  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre et ensuite la ramène à la position nor  male, de façon à retirer la traverse de cette  chape de la surface     usinée    du levier 601 pour  abandonner ce levier et la coulisse de com  mande à l'action d'un ressort     63-1        (fig.    32)  qui entraîne ladite coulisse en avant et le  levier 601 dans le sens contraire des aiguilles       d'une    montre pour ajuster ces pièces de la  manière exposée ci-après.  



  La partie en forme de queue 600 du  verrou 585 coopère également avec un gou  jon 608     (fig.    40, 45 et     -16)    d'une barre 609  de commande du verrou en     -v1ie    d'un dépla  cement sensiblement vertical au moyen d'une  fente dans l'extrémité supérieure de la barre  en coopération avec une tige 610 supportée  par la plaque 583 et le châssis gauche 131       (fig.    31B     gt    36) et à l'aide d'une fente clans       l'extrémité    inférieure de la barre en coopéra  tion avec une tige 611 qui s'étend entre les  extrémités antérieures des bras similaires 61?  et 613     (fig.    40) reliés entre eux d'une ma  nière déterminée sur un manchon 614,

   libre  sur l'arbre 592. Un     ressort    615, tendu entre  une tige supportée par les bras 612 et 613 et  la barre 609 entraîne cette barre vers le hait.  Sur l'extrémité gauche de la tige 611 pivote  une bielle 616 dont     l'extrémité    supérieure est  fendue pour recevoir la tige<B>610;</B> cette bielle  porte des galets 617 et<B>618</B> qui     coopi'@reiit    res-           pectivenient    avec les périphéries de cames  associées 619 et 620 calées sur l'arbre à cames  principal 216. Les cames 619 et 620 action  nent la bielle 616 et la barre 609 conformé  ment     aux    temps indiqués sur la ligne 5 du  tableau de la     fig.    127.  



  Les     quatre    positions du levier de com  mande 601 sont représentées sur les     fiD.    40  et 45. La position en tracé plein du doigt de  ce levier est la position de     soustraction,    la po  sition suivante est celle de la totalisation, la  prochaine la position d'addition et la position  du bas est celle de non-addition, ces trois posi  tions étant indiquées en     lignes        pointillées.    La  mise en position dudit levier 601 peut être con  trôlée à l'aide des goujons des touches de  commande<B>377</B> à 3S0 incluse     (fig.    3)

   en co  opération avec des saillies correspondantes  d'une ouverture pratiquée dans la partie su  périeure de la     coulisse    de commande 513       (fiâ.    32 et 39), à l'aide des touches de cor  rection 369     Nos    3 et 4 en coopération avec  des saillies correspondantes sur le bord supé  rieur de cette coulisse 513 ou à l'aide du cha  riot dans des positions de colonnes de celui-ci,  ce mécanisme de commande du chariot coopé  rant avec des crans sur un prolongement en  forme de crochet de ce levier 601, dirigé vers  le haut pour contrôler la mise en position de  ce dernier, comme exposé ci-après.  



  En se référant en particulier aux fia. 32,  39 et 45, on voit que les touches de com  mande 377 à 380 portent respectivement     dans     leurs extrémités inférieures des goujons  carrés 622, 623, 624 et 625 coopérant avec  des saillies correspondantes 626, 627, 628 et  629 dans une ouverture de la coulisse de com  mande 513. De même, les touches de correc  tion Nos 3 et 4 portent respectivement des  goujons carrés 630 et 631 qui coopèrent avec  des     saillies    correspondantes 632 et 633 sur le  bord supérieur de cette coulisse de com  mande 513.  



       Embrayage   <B><I>du</I></B>     totalisateur   <I>dans les</I>     opérations     <I>de</I>     soustraction.     



  En abaissant la touche de soustraction 377  (fi-. 32, 39, 44 et 45), on place le goujon 622    sur le chemin de la saillie 626 pour empêcher  le mouvement en avant de la coulisse de com  mande 513 sous l'action de la traverse de la  chape 603     (fig.    45) lors de l'opération de la       machine,    de manière à faire rester le doigt  du levier de commande 601 dans la position  indiquée en traits pleins     sur    les     fiD.    40 et  45, de sorte que le verrou 585 reste dans sa  position la plus basse, comme représenté.

   Le  mouvement initial en avant de la barre     d'em-          braYage    586     (fig.    34, 36, 40 et 45) sous l'ac  tion des cames 595 et 596 oblige<B>le</B> bord anté  rieur convexe de cette barre à entrer en con  tact avec une surface concave 2632 sur une  partie en forme de crochet du verrou 585 et  à déplacer en avant ce verrou et l'articula  tion 580     (fig.    34 et 39), de manière à dépla  cer le bras 579, l'arbre 578 et les cames 576  et<B>577</B> dans le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre et à faire entrer en  contact les roues 559 du totalisateur No 1 ou  de balance avec les dents correspondantes des  crémaillères     2.13,    :

  préalablement au mouve  ment initial vers l'arrière de ces crémaillères;  ce mouvement fait tourner ces roues dans le  sens inverse, de manière à en soustraire la  valeur du montant composé par l'enfonce  ment des touches numérales 218     (fig.    3).  



  Après que les     bloc-moteurs        2-10    et les cré  maillères 243 ont achevé leurs mouvements       initiaux    vers l'arrière, la barre 609     (fig.    40,  45 et 46) se déplace vers le bas sous l'action  des cames 619 et 620, le goujon 608, en co  opération avec la queue 600 du verrou 585,  fait déplacer ce verrou dans<B>lé</B> sens des  aiguilles     d'ume    montre vers la position d'ad  dition, comme indiqué en pointillé     (fig.    45),  de manière à soulever l'extrémité antérieure  de la partie en forme de crochet de ce verrou  par-dessus la barre     d'embraYage    586,

   de sorte  que cette barre puisse passer à côté de ce cro  chet lors de son deuxième mouvement en  avant. Après cl-Lie la barre 586 a achevé son       deumème    mouvement en avant et avant que  les bloc-moteurs 240 et les crémaillères 243  aient commencé leurs mouvements de retour  vers l'avant, la barre 609 est ramenée vers le  haut pour permettre à l'encoche formée par           l'extrémité    antérieure en forme de crochet  du verrou     58:

  5,    de verrouiller la barre 58C,  sur quoi le troisième     mouvement    de cette  barre     (fig.    45), qui est le premier mouve  ment dans la direction du retour, l'oblige à  entrer en contact avec une surface concave  2633 à l'intérieur de la partie en forme de  crochet du verrou 585, pour ramener ce ver  rou et l'articulation 580 en arrière, de ma  nière à débrayer les roues du totalisateur  No 1 des     crémaillères    213, préalablement au  retour en avant de ces crémaillères.  



  Après que la barre 586     d'embrayage    du  totalisateur a achevé son troisième mouve  ment et s'est arrêtée avant son quatrième  mouvement, les cames 619 et 620 (fi-. 40 et       ligne    5 de la     fil".        12ï)    impriment à nouveau  un mouvement vers le bas à la barre 609  pour déplacer le verrou 585 clans le sens des       aiguilles        d'une    montre, de manière à placer  son     extrémité    postérieure en forme de crochet  hors du trajet de la barre     d'embrayage    586,

    de sorte que cette barre peut se placer     au-          dessous    dudit verrou sans gêner son qua  trième mouvement ou     mouvement    final.  



  La touche de correction 369 No 3     (fig.    39)       sert    à corriger des erreurs dans l'entrée des  postes de crédit, tels que les dépôts, dans le  totalisateur     No    1, l'abaissement de cette tou  che provoquant la sélection et la préparation  du     totalisateur    N o 1 ou totalisateur de ba  lance pour une opération soustractive, exac  tement de la même façon que celle qui a été  décrite pour la touche de soustraction 377.

    Dans la présente disposition de la machine, la  touche de correction 369 No 3, outre la sélec  tion et la préparation du totalisateur No 1  ou totalisateur de balance pour -une opération  de soustraction, sélectionne et prépare égale  ment le totalisateur     No    5 ou totalisateur de  dépassement, qui est toujours complémen  taire du totalisateur No 1 pour une opération       d'addition    et elle sélectionne et prépare les  totalisateurs Nos 3 et 6 pour (les opérations  de soustraction. ainsi<B>qu'il</B> sera expliqué plus  loin en détail.  



  Un prolos     ement    635, dirigé vers l'ar  rière, de la coulisse de commande 513     (fig.    30,    31A, 31B et 32) est prévu pour venir au con  tact     d'une    patte repliée d'une articulation  636, dans l'extrémité antérieure de laquelle  est pratiquée une encoche qui     engage    un col  lier d'écartement 637, monté     loti    sur l'arbre  à     cames    principal 216. L'extrémité arrière de  l'articulation 636 pivote sur un bras 638       (fig.    30), solidaire d'un bras correspondant  639 par un manchon monté librement sur un       tenon    de la barre 573.

   Le bras 639 porte un  goujon 640 qui coopère avec le bord inférieur  d'un crochet 641 de déplacement soustractif  dont l'extrémité arrière est fendue pour rece  voir un goujon 642 d'un bras     6-13    fixé sur  cette barre 573.  



  Un ressort 648, tendu entre le goujon 642  et un goujon du crochet 641, en coopération  avec l'encoche dans l'extrémité arrière     dudit     crochet, forme une liaison souple entre ce  crochet et ce goujon 642.  



  Le crochet 641 peut venir au contact du  goujon 644 d'un bras 645 fixé sur l'arbre<B>578</B>  de came     d'embrayage.    Un ressort 646       (fig.    32), tendu entre l'articulation 636 et  un goujon fixe 647 de la plaque<B>583,</B> entraîne  cette articulation en arrière pour maintenir  normalement la patte repliée en contact avec  le prolongement 635, comme représenté en       fig.    32.  



  Une butée 649     (fig.    32) du bord supé  rieur de l'articulation 636 coopère avec le       goujon    647 pour empêcher le mouvement  excessif vers l'arrière de l'articulation 636,  mouvement qui peut suffire pour     dégager     l'encoche de cette articulation du collier 637:

    Dans les opérations de soustraction, la  coulisse de commande 513 et l'articulation  636     (fig.    30 et 32) sont retenues dans leur  position arrière, comme représenté et expli  qué plus haut et, par     conséquelqt,    le crochet       6-11    reste sur le trajet du goujon     6-1-1,        sur     quoi le mouvement     d'embrayage    en avant (le  l'articulation 580     (fig.    34) et le mouvement  dans le sens contraire des aiguilles (l'une  montre du bras<B>579,

  </B> de l'arbre<B>578</B> et (lu bras       6-15    oblige le     goujon        64-1    à venir au contact  du     crochet    641 et à déplacer ce crochet en      avant, de manière     â,    déplacer la barre 573       dans    le sens des aiguilles d'une montre, si  l'on regarde les     fig.    30 et 35 et dans le sens  contraire si l'on regarde la     fig.        18p.    Un bras  fixé sur le tenon de la barre 573 (fit.

       18B    et  35) est relié, par une articulation 651, au  bras gauche     d'une    bride 572 et, en consé  quence, le mouvement de cette barre dans le  sens des aiguilles d'une montre, si l'on r     e-          garde    la     fig.    35, et dans le sens contraire si  l'on regarde la     fig.    18B, imprime un mouve  ment     similaire    à ladite bride 572.

   Ce mouve  ment de la     barre    573 et de la bride 572 pro  voque, ainsi qu'il a été     expliqué    plus haut,  le déplacement des     cliquets    d'addition 560  vers une     positiôn        inopérante    et le déplace  ment simultané des cliquets 561 de soustrac  tion vers une position active; il provoque  également le déplacement des ressorts<B>571,</B>  de manière à ce qu'ils guident les goujons  569 dans la branche gauche de l'encoche 570  en forme d'Y, pour provoquer le report des       chiffres        soustractifs    des dizaines.  



  Le mouvement du bras 643 dans le sens  des aiguilles d'une montre à l'encontre d'un  ressort 652     (fig.    35) tendu entre ce bras et  un goujon     fixe    653 du bâti des     totalisateurs,     fait passer un goujon carré 654, porté par       ee    bras, à côté d'un     épaulement    d'un verrou  655 pivotant sur l'axe 653, sur quoi     un    res  sort 656, tendu     en'tre    ledit verrou 655 et     un     verrou similaire pour le     totalisateur    No 2,

         entraîne    ce verrou 655 dans le sens des       aiguilles    d'une montre pour faire entrer en  contact un épaulement de ce verrou avec le  goujon 654, de manière à empêcher le mouve  ment de retour dans le sens contraire à celui  des     aiguilles    d'une montre du bras 643 et de  la barre 573, sous l'action du ressort 652,  lorsque le bras 645 d'embrayage du totalisa  teur est ramené dans le sens des aiguilles       d'une    montre.

   Un prolongement antérieur du  verrou 655 coopère avec un goujon 657 d'une  articulation 658 supportée, en     vue    de son dé  placement horizontal, par des fentes parallè  les pratiquées dans cette articulation, en co  opération avec le goujon 653 et d'autres gou  jons     similaires    fixés sur le bâti 134 des to-         talisateurs.    L'extrémité antérieure de l'arti  culation 658 pivote sur un levier-came 659,  monté librement sur un axe 660 fixé sur le  châssis gauche 131, ledit levier étant pourvu  d'une fente 661 qui coopère avec un galet  662 monté sur le levier-came 590. Voir fi-. 34  et 35.  



  Lorsque les pièces sont en position de re  pos, comme sur les     fig.    34 et 35, le goujon  657 maintient l'épaulement du verrou 655  hors du trajet du goujon 654. Le mouvement       initial    du levier 590 dans le sens des aiguil  les d'une montre, sous l'action des cames 595  et 596 (ligne 4,     fig.   <B>127),</B> provoque le dépla  cement du     levier    659 dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre, sous l'action  du galet 662 coopérant avec la fente 661, de  manière à déplacer l'articulation 658 vers  l'arrière, en vue de retirer le goujon<B>657</B> du  verrou 655 et à permettre au ressort 656  d'amener l'épaulement de ce verrou sur le  trajet du goujon 654.

   Le verrou 655 est donc  maintenant à même d'entrer en contact avec  le goujon 654 pour empêcher le bras 643 de  tourner dans la direction des aiguilles d'une  montre après qu'il a été déplacé sous l'action  du bras 645 et du crochet 641. La forme de  la fente 661 est telle que 'seul le mouvement  initial dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et le mouvement final dans le sens con  traire du levier 590 provoquent le déplace  ment du     levier    659, le mouvement intermé  diaire dudit levier n'imprimant aucun mou  vement à ce levier 659.

   En conséquence, le  mouvement final de retour dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre du  levier 590, sous l'action des cames 595 et 596,  ramène le     levier    659 dans le sens des     aiguilles          d'une    montre pour déplacer l'articulation 658  en avant, de manière à ce que le goujon 657  amène l'épaulement du verrou 655 hors de  prise avec le goujon carré 654 pour abandon  ner le     _bras    643 et la barre 573 à l'action du  ressort 652.

   Toutefois, le bras 643 et la barre  573 ne sont pas encore libres de se déplacer  sous l'action dudit ressort 652, car un verrou  (non représenté), en coopération avec cette  barre 573, empêche ce mouvement, ce verrou      étant actionné par le mouvement de remise  en position de la barre de remise 566  (fia. 18B) qui fonctionne, dans les opérations  de soustraction, conformément aux temps  indiqués à la ligne 7 du tableau de la fia. 127  et, dans les opérations d'addition, conformé  ment     aux    temps indiqués à la ligne 6.  



  Dans les opérations autres que celles de  soustraction, la coulisse de commande 513  (fia. 32) se déplace toujours en avant à par  tir de la position de soustraction représentée  ici, vers l'une de ses autres     positions;    le mi  nimum de ce mouvement en avant ayant lieu  dans les opérations de totalisation et de     sous-          totalisation,    mouvement minimum qui suffit  pour permettre à l'articulation 636 de se dé  placer vers l'avant sous l'action du ressort  646, simultanément avec la coulisse, jusqu'à  ce que le fond de l'encoche pratiquée dans  l'extrémité antérieure de cette articulation  entre en contact avec le collier 637.

   Le mou  vement en avant de l'articulation 636 dé  place le bras 638 (fia. 30 et 35). et le bras  639 dans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre, le goujon 640 entrant en  contact et déplaçant le crochet 641 dans le  même sens, à l'encontre d'un ressort 663 re  lativement faible, de manière à placer ledit  crochet hors du trajet du goujon 644, de telle  sorte que le mouvement du bras 645 n'a     au-          ctm.    effet sur ce     crochef    et le mécanisme qui  lui est relié.  



       Embrayage   <I>dit totalisateur dans les opérations</I>  <I>de totalisation.</I>  



  L'abaissement de la touche de balance 379  (fia. 32, 39, 44, 45 et 46) place le goujon  624 sur le trajet de la saillie correspondante  628 de la coulisse de commande 513, sur quoi  le mouvement de la chape 603, sous l'action  de la came 606 au début de l'opération de la  machine, permet à ladite coulisse 513 de se  déplacer en avant sous l'action du ressort  634, jusqu'à ce que cette saillie 628 entre en  contact avec le goujon 624 et amène cette  coulisse à sa position No 1 ou position de to  talisation.

      Cette mise en position de la coulisse de  commande 513 place la saillie 512 aména  gée sur le bord inférieur de la coulisse  (fia. 32 et 46) sur le trajet de la tige 505,  de manière à empêcher le mouvement de  cette tige, ainsi que celui de l'arbre 501 et  du bras 500 (fia. 26) dans le sens des aiguil  les d'une montre, sous l'action de la came 511       (fig.        -1-1),    et à laisser le verrou 494 de déblo  cage de la touche en position opérante, comme  représenté.

   de manière à permettre le fonc  tionnement du mécanisme de déblocage de la  touche au début de ces opérations de totali  sation en vue du déblocage de toute touche  numérale ou touche de comptage de postes  qui aurait été enfoncée par inadvertance  avant le mouvement initial vers l'arrière des  bloc-moteurs 240 et des crémaillères 243,  ainsi qu'il a été expliqué précédemment lors  de la description du mécanisme de déblocage  des touches.  



  Le mouvement de la coulisse de commande  513 vers la position de totalisation déplace le       levier    601 (fia. 32, 40 et 45) vers la position  de totalisation, comme indiqué en pointillé,  position dans laquelle le doigt dudit     levier     dirigé en arrière se trouve encore hors du  trajet de la queue 600 du verrou 585 et n'a,  par conséquent, aucune influence sur ce ver  rou qui fonctionne exactement de la même  façon que dans les opérations de soustraction  pour provoquer l'embrayage et le débrayage  du totalisateur No 1 ou totalisateur de ba  lance pendant l'enregistrement des     totaux.    Le  mouvement de la coulisse de commande 513  (fia.

   30 et 32) vers la position de totalisa  tion fait déplacer l'articulation 636     siûfisain-          ment    pour amener le crochet 641     hors    du  trajet du goujon 644, de manière que les     cli-          quets    de report additif 560 restent en posi  tion opérante,     comme    indiqué sur la     fig.    18B.  



  Ainsi qu'il a été     expliqué    précédemment,  les roues du totalisateur de balance se trou  vent en prise avec les crémaillères 243  (fia.     1SB)    avant leur mouvement initial en  arrière, mouvement qui fait tourner ces     roues     dans le sens inverse jusqu'à ce que l'une des  dents d'encliquetage diamétralement opposées      des cames correspondantes 550 entre en con  tact avec les cliquets de report additif 560  pour mettre ces roues en position zéro et  pour mettre en même temps en position les  crémaillères 243, les     bloc-moteurs    240 et les  porte-caractères associés, conformément au  montant qui se trouve indiqué par les roues  du totalisateur.

   Après que les     bloc-moteurs     240 et les     crémaillères    243 ont achevé leurs  mouvements initiaux en arrière pour mettre  les roues du totalisateur No 1 en position zéro,  ces roues sont débrayées desdites crémaillères,  sur quoi ces crémaillères sont ramenées en  avant à la position normale. En conséquence,  les roues du totalisateur     IVo    1 restent en po  sition zéro.  



  Il faut noter que, dans les opérations de       .soustraction    et de totalisation, après que le  mouvement initial en avant de la barre d'em  brayage 586 a déplacé le verrou 585 et l'ar  ticulation 580 en avant pour embrayer les  roues du totalisateur de balance avec les cré  maillères, les cames 619 et 620 entrent en  action pour faire descendre la barre 609  (fi,.

   40 et 45 et ligne 5 de la     fig.   <B>127)</B> de  manière à placer     l'extrémité    en forme de cro  chet de ce verrou au-dessus de la barre 586  et à ce que cette barre puisse passer au-des  sous de ce verrou dans son     deuxième    mouve  ment,     ainsi        qu'il    a été expliqué à propos des  opérations de     soustraction.     



  Après que la barre d'embrayage 586 a  achevé son second mouvement et reste au re  pos avant son troisième mouvement, la barre  609 est ramenée vers le haut pour faire pla  cer le verrou 585 au-dessus de la barre d'em  brayage 586, sur quoi le troisième mouvement  ou premier mouvement de remise en position  de cette barre déplace l'articulation 580 en  arrière pour débrayer les roues du totalisa  teur de balance des crémaillères, dans les opé  rations de soustraction et de totalisation,  préalablement au mouvement de retour de  ces crémaillères.  



  Dans les opérations de totalisation, tout  comme dans les opérations de soustraction,  après que la barre d'embrayage 586 du tota-         lisateur    a achevé son troisième mouvement et  reste au repos avant son quatrième mouve  ment, les cames 619 et 620     (fig.    40) abais  sent à nouveau la barre 609     pour    déplacer le  verrou 585 dans le sens des aiguilles d'une  montre, de manière à amener     l'extrémité     arrière en forme de crochet de ce verrou hors  du trajet de la barre d'embrayage 586, afin  que cette barre puisse se placer au-dessous  dudit verrou sans le gêner dans son ,qua  trième mouvement ou     mouvement    final dans  le sens de retour.  



       Embrayage   <I>du totalisateur dans les opérations</I>  <I>de</I>     sous-totalisation.     



  Ainsi qu'il a été expliqué plus haut,     une     opération d'enregistrement d'un sous-total est  exactement semblable à une opération d'enre  gistrement d'un total, sauf que les roues chi  totalisateur sélectionné restent en prise avec  les crémaillères 243 pendant leur mouve  ment de retour en avant et que, par consé  quent, ces roues sont ramenées à leurs posi  tions primitives.

   Cela s'effectue sous l'action  de la coulisse de commande de     sous-totalisa-          tion    519     (fig.    44 et 47) qui     commande    un  mécanisme de verrouillage bloquant la barre  609 dans sa position abaissée, de sorte que le  verrou 585 est     maintenu    hors du trajet clé la  barre de démarrage 586 pendant son troi  sième mouvement ou premier mouvement de  retour et que, par conséquent, les roues du  totalisateur de balance restent en     _    prise avec  les crémaillères 243 pendant le mouvement  de retour en avant desdites crémaillères et  sont, par conséquent, ramenées à leurs posi  tions primitives.  



  L'abaissement de la touche 378 de sous  balance     (fig.    32, 44 et 46) amène le goujon  623 sur le trajet de la saillie correspondante  627 de la coulisse de commande 513 pour  mettre cette coulisse et le levier 601 exacte  ment dans les mêmes positions que dans les  opérations de totalisation. La mise en posi  tion de la coulisse de commande 513 place la  saillie 512 au-dessus de la tige 505, de ma  nière à empêcher le mouvement de cette tige  pour rendre opérant le verrou 494     (fig.    26)      et à provoquer le fonctionnement du méca  nisme de déblocage des touches afin de dé  bloquer toutes touches de montants ou de  postes qui auraient pu être enfoncées par  inadvertance.  



  La coulisse de commande de     sous-totalisa-          tion    519     (fig.    44), qui est supportée à glis  sement par les goujons 59<B>2</B> et 523 près de la  coulisse de commande 513, est. pourvue sur  son prolongement arrière de dents qui vien  nent en prise avec les dents correspondantes  d'un segment solidaire d'un     levier    de com  mande de     sous-totalisation    665 (fi-.  monté librement sur le goujon 602. La cou  lisse 519 de commande de     sous-totalisation     possède une saillie 666 qui coopère avec un       doigt    d'un bras 667 d'une chape 668 montée  librement sur le goujon 509.

   Le bras 667  porte     un    goujon 669 qui est situé au-dessous  d'un doigt 670 du levier 508, lequel, comme  il a été expliqué     plus    haut, est     actionné    par  la- came 511 conformément     aux    temps indi  qués à la ligne 11 du tableau de la     fig.    127.  Une surface usinée du bord antérieur du bras  de la chape 668     (fig.    46 et 48) coopère avec  une surface correspondante d'un prolonge  ment dirigé vers le bas d'un levier 671 monté  fou sur le goujon 509 et auquel est articulée  l'une des extrémités d'un verrou 672 dont  l'autre     extrémité    est fendue pour embrasser  un goujon 673 fixé entre les parties latérales  du châssis 482.

   Un ressort 674 pousse le  verrou 672 vers l'arrière pour maintenir le       levier    671 en contact flexible avec le bras de  la chape 668. Le verrou 672 possède un pro  longement 675 disposé pour se déplacer     au-          dessus    d'une partie repliée<B>676</B> de la barre  609 et bloquer cette barre dans sa position  abaissée,     ainsi    qu'il va être     expliqué.    Le le  vier de     commande    665     (fig.    44) est muni  d'un doigt.

   qui s'engage dans     une    encoche  pratiquée     dans    la partie repliée du bras de la  chape 603,     exactement    de la même manière  que le fait le levier de commande 601 pour le       totalisateur        'No    1, ou de balance.  



  Dans les opérations autres que de     sous-          totalisation    ou de     sous-balance,    la coulisse de  commande 519 de sous-totalisation peut se    déplacer en avant de toute sa     course    sous  l'action de son ressort 678, par suite du mou  vement de la chape 603. Le déplacement to  tal de cette coulisse de commande 519 permet  à la saillie 666 de se placer au-dessus du  doigt 667 pour bloquer ou empêcher le mou  vement de la chape dans le sens des aiguilles  d'une montre sous l'action du levier 508, et à  la came 511 de retenir le levier 671 et le ver  rou 672 (fi-. 46) en position inopérante,  comme représenté, de telle sorte que le pro  longement 675 ne bloque pas la partie repliée  676 de la barre de commande 609.

   En con  séquence, cette barre 609 fonctionne de la  manière expliquée à l'occasion des opérations  de soustraction et de totalisation pour com  mander le verrou 585.  



  L'abaissement de la touche de     sous-          balance   <B>378</B>     (fig.        44)    place le goujon 623 sur  le trajet de la saillie 679, prévue dans     une     ouverture de la coulisse de commande de  sous-totalisation 519, de façon à empêcher le  mouvement de cette coulisse en avant et à re  tenir ainsi la saillie 666 hors dut trajet du  doigt 667, sur quoi la chape 668 peut se dé  placer simultanément avec le levier 508.  



  La mise en position de la coulisse de com  mande 513     (fig.    32, 46 et 48), sous l'action  de la touche de     sous-balance    378, met une en  coche pratiquée dans un prolongement arrière  de cette coulisse en ligne avec une patte re  pliée 681 du levier 671, de sorte que ledit le  vier peut se déplacer dans le sens des aiguil  les d'une montre sous l'action de la chape  668, dans les opérations de     sous-balance.     Attendu que la came 511     (fig.    44) actionne  le levier 508 et la chape 668 avant le mouve  ment initial de la barre 609 vers le bas       (fig.    40),

   le prolongement 675 du verrou 672  vient en contact flexible avec la face anté  rieure de la partie repliée 676 jusqu'à ce que  cette partie passe au-delà de ce prolonge  ment, sur quoi ledit verrou 672 se déplace en  arrière vers la position de blocage.  



  Dans les opérations de     sous-totalisation     ou de     sous-balance,    le mouvement initial en  avant de la barre 586 d'embrayage du tota-           lisateur    (fi;. 34, 36 et 45) amène cette barre  au contact de la surface 2632 du verrou 585,  de manière à déplacer ce verrou et l'articula  tion 580 en avant pour mettre en prise les  roues du totalisateur No 1, ou de balance,  avec les crémaillères     2-13    préalablement au  mouvement initial en arrière des crémaillères,       mouvement    qui fait tourner les roues dans     ie     sens inverse vers la position zéro,

   de manière  à ajuster ces crémaillères et leurs     bloc-mo-          teurs    respectifs conformément aux montants  qui se     trouvent        indiqués    sur ces roues du to  talisateur.

   Pendant que la barre d'embrayage  586 reste au repos, après avoir achevé son  premier     mouvement,    les cames 619 et 620  (fi-. 40 et ligne 5 du tableau de la fie. 127)  entrent en action pour faire descendre la  barre 609 de manière à déplacer le verrou  585 dans le sens des aiguilles d'une montre  et à amener la     surface    2632 de la partie en  forme de crochet de ce verrou, hors du trajet  de la barre 586, exactement comme dans les  opérations de totalisation, de sorte que cette  barre 586 Peut, pendant son deuxième mou  vement, se placer au-dessous de la partie en       forme    de crochet.

   Le mouvement de la barre  609 vers le bas     (fig.    46 et 48) place le bord       supérieur    de la partie repliée 676 au-dessous  du prolongement<B>675</B> pour abandonner le  verrou<B>672</B> à l'action du ressort 674 qui dé  place     immédiatement    ledit verrou vers l'ar  rière pour amener ce prolongement 675 au  dessus de la partie-repliée<B>676</B> et bloquer la  barre 609 dans sa position abaissée.  



  En comparant les lignes 4, 5 et 11 du ta  bleau de distribution des temps     (fig.    127), on  voit que le verrou 672     (flg.    46) reste opérant  pendant     que    la barre     d'embrayage    effectue  son troisième mouvement.

   En conséquence, le  verrou 585 est     maintenu    au-dessus de cette  barre     d'embrayage    et il en résulte que les  roues du totalisateur No 1 restent en prise  avec les     crémaillères    pendant leur mouve  ment de retour en avant et que, par consé  quent, elles sont ramenées à leurs positions       primitives.    Pendant que la barre d'em  brayage 586 reste an repos dans sa troisième  position, la came 511     (fig.    44, 45, 46 et 48)    agit de manière à dégager le prolongement  675 du verrou 672 de la partie repliée 676,  de telle sorte que la barre de commande 609  peut se déplacer vers le haut sous l'action  des cames 619 et 620 et ramener le verrou à  la position normale ou de soustraction.

   Le  quatrième et dernier mouvement de la barre  586     d'embrayage    du     totalisateur.        (fig.    34, 40  et 45) fait déplacer l'articulation 580 en  arrière sous l'action de la barre 586 en co  opérant avec une saillie 682 prévue sur Par  ticulation 580, de manière à débrayer     I,es     roues du     totalisateur    No 1 des crémaillères  243 après que lesdites crémaillères ont  achevé leur mouvement de retour en avant  de la manière expliquée     plus    haut.  



  Les touches de totalisation 376 Nos 2, 3 et  4 portent respectivement des goujons carrés  684, 685 et 686     qui    coopèrent avec des saillies  correspondantes de leurs coulisses de com  mande respectives 514, 515 et 516     (fig.    46 et  47), de manière à faire embrayer les roues  des totalisateurs correspondantes ou à les dé  brayer des crémaillères 243 pendant l'enre  gistrement des totaux.

   De même, la touche de       sous-totalisation    375     (fig.    3 et 44) porte un  goujon carré 687 qui coopère avec une saillie  688 du bord supérieur de la coulisse de com  mande 519 de     sous-totalisation,    de manière à  ajuster cette coulisse exactement de la même  façon qu'il a été expliqué pour la touche 378  de sous-balance;

   lorsque cette touche 375 de  sous-totalisation est employée conjointement  avec l'une des touches de totalisation 376  Nos 2, 3 ou 4, elle provoque l'embrayage et  le débrayage du     totalisateur    pendant la     .;ous-          totalisation,    exactement de la même manière  que la touche 378 de sous-balance     provoque     l'embrayage du totalisateur N  1 ou de ba  lance pendant la sous-totalisation.  



       Mécanisme        d'embrayage   <I>des</I>     totalisatews     <I>dans les opérations d'addition.</I>  



  Dans les opérations d'addition, l'abaisse  ment de la touche d'addition 380     (fig.    3, 32,  39 et 44) place son goujon carré 625 sur le  trajet de la saillie 629, sur quoi la manipula  tion de la machine fait mettre le levier de      commande 601 en position     d'addition,    sous  l'action de la coulisse de commande 513, de  manière que son prolongement arrière occupe  la position indiquée en pointillé     sur    les  fi-.

   40 et 45, de façon à obliger ce prolonge  ment arrière à venir en contact avec la queue  600 du verrou 585 et à placer ce verrou en  position d'addition, comme indiqué en poin  tillé     (fig.    45), de sorte que     l'extrémité    infé  rieure de la partie de ce verrou en forme de  crochet soit située hors du trajet de la barre  d'embrayage 586.

   En conséquence, le premier  mouvement de la barre d'embrayage 586  dans le sens de l'embrayage fait passer cette  barre au-dessous de     l'extrémité    arrière de la  partie en forme de crochet du verrou 585,       sans    imprimer     aucun    mouvement d'em  brayage à l'articulation 580     (fig.    34 et 45) ni  au     totalisateur    No 1.  



  Le deuxième mouvement de la barre d'em  brayage 586 amène cette barre au contact  d'une surface 689 du verrou 585 et fait dé  placer vers l'avant ce verrou et l'articula  tion 580     pour    embrayer les roues 559 du tota  lisateur No 1 avec les crémaillères 243, après  que ces crémaillères ont achevé leurs mouve  ments     initiaux    en arrière et ont été mises en  position par l'abaissement des touches numé  rales 218 (fit. 3). Comparer les lignes 1 et 4  (fi-. 127). Le troisième mouvement de la  barre d'embrayage 586 (fia-. 45)     n'imprime          aucun    mouvement à l'articulation 5S0.

   Mais  le quatrième mouvement de cette barre, en  coopération avec la saillie 682, déplace en  arrière l'articulation 580 et le mécanisme qui  lui est relié de façon à débrayer les roues du  totalisateur No 1 des crémaillères 243, après  que ces crémaillères ont achevé leur mouve  ment de retour en avant et à faire entrer  dans ces roues le montant composé par les  touches numérales 218.  



  L'abaissement de la touche de correction  369 No 4     (fig.    32, 39 et 46) place son goujon  631 sur le trajet de la saillie 633 du bord su  périeur de la coulisse de commande 513, de  sorte que, lors de la manipulation de la ma  chine, cette coulisse soit mise en position  d'addition     exactement    de la même manière         qui    a été expliquée pour la touche d'addition  380, pour sélectionner le     totalisateur    No 1,  ou totalisateur de balance, en vue d'une opé  ration d'addition, ce qui est nécessaire pour  les opérations de correction     concernant    des  postes de débit ou chèques.  



  Lorsqu'on se sert soit de la touche d'ad  dition 380, soit de la touche de correction 369  î No 4     pour    sélectionner et préparer le totali  sateur No 1 ou de balance, pour une opéra  tion d'addition,     comme    expliqué plus haut,  leurs goujons 625 et 631, en coopération avec  des saillies correspondantes sur la coulisse de  commande 517     (fig.    47), disposent cette cou  lisse de manière à     sélectionner    et à préparer  le     totalisateur    No 5 ou totalisateur de dépas  sement pour une opération de soustraction,  ce qui est nécessaire pour retenir ledit totali  sateur de dépassement en liaison complémen  taire avec ledit totalisateur No 1 ou de ba  lance.

   De même, lorsqu'on se sert soit de la  touche de soustraction<B>377,</B> soit de la touche  de correction 369 No 3     (fig.    32), pour     sélee-          tionner    et préparer le totalisateur No 1 pour  une opération de soustraction, comme expli  qué plus haut, les goujons 622 et 630 de ces  touches, respectivement en coopération avec  des     saillies    correspondantes sur la coulisse de       conunande    517, sélectionnent et préparent le  totalisateur No 5 ou de dépassement, pour       urne    opération     d'addition,

      ce qui est nécessaire  pour retenir ce totalisateur en liaison com  plémentaire avec ledit     totalisateur    de balance.  



       Etant    donné que des articles de crédit  aussi bien que de débit sont comptés et accu  mulés dans le     totalisateur    No 6, out totalisa  teur des postes, les goujons 625 et 622       (fig.    39, 46 et 47) des touches d'addition et  de soustraction 380 et<B>377,</B> en coopération  avec des saillies correspondantes 690 et 691  sur la coulisse de commande 518, disposent  cette coulisse et son levier de commande cor  respondant 692 dans la position d'addition.

    Le     levier    de commande 692 coopère avec un  verrou 693 qui pivote     sur    une articulation  d'embrayage 694     pour    le totalisateur No 6;  l'extrémité antérieure de cette articulation  est fendue pour embrasser une partie aplatie      d'un collier monté sur l'arbre 581 alors que       l'extrémité        postérieure    de cette articulation  pivote sur un levier 695, monté fou sur un  arbre 696 supporté par le bâti des totalisa  teurs.

   Le levier 695 porte un goujon qui co  opère avec une encoche dans le bord supé  rieur d'un bras 697 fixé sur un arbre d'em  brayage<B>698.</B> Sur l'arbre 698 sont également       filées    des cames     d'embrayage    699 qui co  opèrent avec des galets montés sur l'arbre de  totalisateur No 6, arbre qui supporte à rota  tion les roues du totalisateur No 6 et qui est,  à. son tour, supporté par les bras d'un châssis  oscillant 700, monté de façon     @à        pouvoir    pi  voter sur le bâti 131 des totalisateurs       (fig.    188).

   Le mécanisme d'embrayage décrit  ci-dessus pour le     totalisateur    No 6, ou totali  sateur des postes, fonctionne exactement de  la même manière que le mécanisme pour le  totalisateur No 1 ou de balance, expliqué pré  cédemment, pour provoquer l'embrayage et  le débrayage du totalisateur No 6 ou totali  sateur des postes pour les additions, par la  barre d'embrayage 586, sur quoi le méca  nisme représenté à la     fig.    20 et expliqué plus  haut provoque l'entrée du nombre de postes       dans    ledit     totalisateur    de postes.  



  De même, l'abaissement de la touche de  sous-balance 378 ou de la touche de balance  <B>379</B> amène le goujon 623 ou 624, en coopéra  tion avec des saillies correspondantes 701 et  702 de la coulisse de commande 518 pour le  totalisateur No 6 ou totalisateur d'articles, à  provoquer l'embrayage et le débrayage de ce  totalisateur par les bloc-moteurs, pendant la  sous-totalisation ou la totalisation,     exacte-          ment    de la manière qui a été expliquée pour  le totalisateur No 1 ou de balance, de manière  à obtenir -Lui     enregistrement    du nombre total  de postes.  



  Dans les opérations de balance, dans les  quelles le totalisateur No 1 est en position  positive et le totalisateur No<B>5</B> ou de dépas  sement en position négative,     l'abaissement    de  la touche de balance 379 amène son goujon  624, coopérant avec une saillie correspondante  de la coulisse de commande 517     (fig.    39 et    47), à sélectionner et à préparer le totalisa  teur No 5 ou de dépassement pour les opéra  tions d'addition, afin d'y ajouter le montant  extrait du totalisateur N  1 ou de balance,  et à remettre à zéro ce totalisateur No<B>5</B> ou  de dépassement.  



  Dans les opérations de balance ou de     sous-          balance    du dépassement, dans lesquelles le  totalisateur No 5 ou totalisateur de dépasse  ment se trouve en position positive et le to  talisateur No 1 en position négative, le, méca  nisme de dépassement, qui sera décrit     plias     loin, fonctionne de manière à provoquer la  sélection et la préparation du totalisateur  No 5 pour une opération de     sous-totalisation     ou de totalisation, suivant le cas, afin d'obte  nir     un    enregistrement positif de la balance  négative.

   Dans la balance des opérations de  dépassement, le totalisateur No 1 ou de ba  lance est simultanément sélectionné et pré  paré pour l'addition, de sorte que le montant  extrait du totalisateur No 5 y sera ajouté  pour remettre ledit totalisateur de balance à  zéro.  



  L'abaissement de la touche 374 de     non-          addition        (fig.    3) provoque, par l'intermé  diaire du mécanisme représenté     aux    fi-. 41  et 50, et qui sera     expliqué    plus loin, le dépla  cement du mécanisme sélecteur pour les six       totalisateurs,    commandé par le chariot,     vers     la position de non-addition, et, dans ce cas,  si aucune des touches de     commande    375 à  380     incluse    n'est abaissée, les coulisses de  commande 513 à 518     incluse        (fig.    47)

   peu  vent se déplacer de toute leur course vers la  droite. Ce mouvement vers la droite de la  coulisse de commande 513 pour le totalisa  teur No 1     (fig.    32, 40 et 45) fait déplacer le       levier    de commande 601 de toute sa course  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre vers la position de     non-addi-          tion.    Les mouvements du levier de commande  601 vers la position de non-addition amènent  son prolongement postérieur, en coopération  avec la queue 600 du verrou 5S5, à déplacer  ce verrou vers sa position de non-addition,  ainsi qu'il est indiqué en pointillé à la       fig.    45, position dans laquelle les surfaces      opérantes 2632,

   2633 et 689 sont au-dessus,  ou hors du trajet, de la barre     d'embra@-age     586. En conséquence, cette barre peut se dé  placer en avant et en arrière sans imprimer  aucun mouvement     d'einbra@-age    ou de dé  brayage à l'articulation 580 et au mécanisme  qui lui est relié. Dans les opérations de     non-          addition,    les roues du totalisateur No<B>1</B> ou de  balance ne sont donc pas en prise avec les  crémaillères 243.  



  Les autres totalisateurs de la machine  fonctionnent exactement de la même façon  que le totalisateur     1o    1 ou totalisateur de ba  lance dans les opérations de non-addition. Le  mécanisme commandé par la touche     37-1    de  non-addition     (fig.    41 et 50) sera décrit plus  loin en détail en même temps que la com  mande du mécanisme sélecteur des totalisa  teurs au     mo@-en    du chariot dans les positions  de     tabulation    ou de colonnes de celui-ci.  



  <I>Sélection des</I>     totalisateurs   <I>par le chariot.</I>  On a     prétlz    un mécanisme commandé par  le chariot dans des positions de     tabulation    ou  de colonnes de celui-ci, en vue de sélectionner  et préparer les six totalisateurs pour les di  verses opérations, exactement de la     même    ma  nière que celle     expliquée    pour les touches de  commande.  



  Le levier de commande 601 (fi-. q0) pour  le totalisateur     N    o 1 ou de balance est pourvu  d'un prolongement dirigé vers le haut avec  quatre     gradins    701, 705, 706 et 707, corres  pondant aux     positions    de soustraction, tota  lisation, addition et non-addition des coulis  ses de commande correspondantes 513; ces  gradins peuvent coopérer avec la patte re  pliée 708 d'un bras 109 monté fou sur une  tige 710 supportée par le châssis gauche 131  et la plaque 583     (fig.        31p).    Le bras 709 est  relié à pivotement. par une articulation 711,  à un bras 712 monté fort sur une tige 713  également     supportée    par le châssis gauche  131 et la plaque 583.

   Le bras 712 (fin.     -10)     est relié     élastiquenient    par un ressort 711 à  un bras associé 715, ce ressort tendant les  dits bras dans des directions     opposées,    de ma  nière à     maintenir    une saillie de ce bras 712    normalement en contact avec une butée 716  sur ledit bras 715. Un ressort 717, dont  une     extrémité    est reliée au bras 715, entraîne  ce bras et son bras associé<B>712</B> clans le sens  des aiguilles d'une montre, de     façon    à main  tenir un prolongement avant de ce bras 715.  normalement en contact avec une tige d'arrêt  703, supportée par le châssis 131 et la pla  que 583.

   Un     prolongement    arrière du bras  715 coopère avec     l'extrémité    gauche d'un  levier     tâteur   <B>718</B> monté fou sur<B>une</B> tige 719       (fig.    75 et     96A)    qui s'étend entre le châssis  latéral 133 et la barre 138, laquelle, comme  on se rappelle, aide à supporter le chariot  dans son déplacement latéral.

   Le levier     tà-          teur    718 est pourvu d'une saillie     tâtcuse        7\30,     dirigée vers le haut     (fig.    76, 101 et 106) qui  coopère avec un taquet de     commande    corres  pondant 721, lequel a une partie en queue  d'aronde s'adaptant à une rainure de même  forme pratiquée dans     un    bloc de commande  722 pour commander le fonctionnement de la  machine dans une colonne particulière du  matériel     d'enre-istrement.     



  En plus du levier ta     teur    71S pour le to  talisateur \o 1 ou de balance, il existe un le  vier tâteur similaire 723      < i    727 inclus       (fig.    963 et 106) pour chacun (les totalisa  teurs     Nos    ? à 6 inclus, dont les saillies     tît=          teuses    coopèrent avec des taquets     correspon-          dants    montés dans la rainure en queue  d'aronde du bloc de commande 722 exacte  ment de la même manière que le taquet 721  pour le     levier   <B>718.</B> Le jeu complet (les taquets  de commande, v compris le taquet<B>721</B>       (fig.    101 et 106)

   est assemblé clans l'ordre  nécessaire dans la rainure en queue     d'aronde.     du bloc de     commande   <B>722</B> et est maintenu en  position par une vis 683 passant librement à  travers des trous pratiqués     dans    les     taquets     de commande et vissée     dans    le bloc de com  mande<B>7212.</B>  



  *

  Outre les taquets de     coniman(le    pour la       commande    de la sélection des     divers    totalisa  teurs, le bloc de commande     722    peut égale  ment comporter des taquets de     coiuinande     pour commander l'opération (les     totalisateurs     Nos 1 et 5 dans des     opérations   <B>(le</B> dépasse-      ment, pour commander le mouvement du  porte-caractère des postes et du     porte-carac-          tère    des centimes, pour commander le mou  vement d'impression du porte-caractère des  dates, pour déverrouiller la machine pour  l'opération,

   pour rendre opérant le méca  nisme automatique d'espacement des lignes,  pour commander le mécanisme d'ouverture de  la goulotte, pour ramener le chariot à une  position particulière de colonne et pour  actionner le mécanisme de démarrage de la  machine afin de déclencher une opération  automatique de la machine. Il ressort de ce  qui précède qu'il est possible d'exécuter tous  genres d'opérations différées avec la machine  par un assemblage approprié de taquets de  commande dans les blocs de commande 722  et par l'emploi     d'iui    nombre convenable de  ces blocs 722     espacés    dans des positions de  colonnes sur le chariot.  



  Le bloc de commande 722     (fig.        18B    et  105) est pourvu de mortaises pour recevoir à  glissement les bords saillants d'une barre 729  de bloc de contrôle, pourvue de prolonge  ments similaires repliés vers le haut et  s'adaptant dans des     rainures    parallèles cor  respondantes pratiquées dans une plaque de  fond 730 du chariot 136. Une griffe de fixa  tion 731 à serrage, montée sur le bloc de com  mande 722, coopère avec les entre-dents du  bord saillant antérieur de la barre 729 pour  assurer la position convenable du bloc de  commande 722 sur cette barre 729.

   La barre  729 s'étend sur toute la longueur du chariot  et     n'importe    quel nombre de blocs de     coni     mande 722 nécessaires pour obtenir la com  mande désirée peut être placé sur cette barre  dans des positions conformes aux différentes  colonnes du matériel     d'enregistrement    utilisé  dans le système d'organisation en question.  



       Chacun.    des blocs de commande 722       (fig.    105) a     une    saillie d'arrêt 733 qui co  opère avec des pistons d'arrêt de     tabulation,     d'une manière qui sera décrite     ultérieure-          ment,    pour situer le chariot dans ses diverses  positions de colonnes. La saillie 733 porte un  goujon 732 qui coopère avec une roue indica  trice qui indique le mécanisme     sélecteur    de    colonnes lequel, à son tour, commande la mise  en position du chariot d'une manière qui sera  décrite plus loin.

   La traverse d'une chape  734     (fig.    76, 78 et     96a)    passe au-dessous et  coopère avec . des surfaces     façonnées    infé  rieures du levier sélecteur 718 pour le totali  sateur No 1 et des leviers sélecteurs<B>723</B> à 727  inclus pour les totalisateurs Nos 2 à 6 inclus,  les bras de cette chape étant supportés à ro  tation par la tige<B>719.</B> La surface inférieure  de la traverse de la chape 734 a une partie  pendante qui coopère avec     un    galet 735  monté sur -une manivelle 736 fixée sur un  arbre 737 tournant dans les châssis 130 et  131.

   Sur l'arbre 737, une manivelle 738 est  également fixée, sur laquelle pivote l'extré  mité supérieure d'une bielle 739 dont l'extré  mité inférieure est fendue pour entourer un  collier 740 monté sur l'arbre principal 216.  Sur la bielle 739 est fixée une plaque 741,  munie d'une dent qui coopère avec un goujon  aplati 742 fixé sur la face gauche de la roue  215, laquelle, comme on se rappelle, est calée  sur l'arbre principal 216     (fig.    8) et fait par  tie d'un     train    d'engrenages qui transmet la  puissance du moteur à cet arbre principal.       Ira    bielle 739     (fig.    76 et 78) porte un galet  743 qui coopère avec la périphérie d'une came       744    montée sur l'arbre principal 216.  



  Le mouvement de la bielle 739 et des piè  ces qui lui sont reliées sous l'action du gou  jon 742 et de la came     744    est indiqué graphi  quement sur la ligne 9 du tableau de la       fig.    127, d'après lequel on voit que, immédia  tement après le commencement du     fonction-          nement-de    la machine, le grand diamètre de  la came     744    se place au-delà du galet 713,  après quoi la surface plate du goujon 742 se  déplace au-delà de la dent de la plaque 741  pour abandonner la bielle 739 et les pièces  qui lui sont reliées, y compris la chape 734,  à l'action des ressorts     7-15        (fig.    76),

   lesquels  sont tendus pour     entraîner    les leviers sélec  teurs 718 et 723 à 727 dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre, en regar  dant le dessin, et pour amener les ergots     tâ-          teurs    720 de ces leviers au contact des ta  quets 721 portés par les blocs de commande      722, afin de sélectionner et préparer les dif  férents totalisateurs en vue des opérations  désirées.  



  On voit que chacun des leviers sélecteurs,  y compris le levier sélecteur 718 (fi-. 76 et       96a),    possède un ergot de     guidage    716 pen  dant qui passe au travers d'une fente de gui  dage correspondante pratiquée dans une pla  que 717, fixée entre le châssis latéral 133 et  le banc 138.  



  En se reportant à la fi-. 106, on voit que  le taquet de commande 721 limite le mouve  ment de tâtonnement du levier sélecteur 718  pour le totalisateur     I\To    1 et que ce taquet  peut avoir quatre     longueurs    différentes en  vue de situer ledit levier sélecteur dans     l'une     de ses quatre positions de sélection, ce levier,  à son tour, amenant, par l'intermédiaire des  bras 715 et 712 et de l'articulation 711  (fi-. 10), le bras 709 dans l'une de ses quatre  positions, à savoir: la position de soustraction  représentée en traits pleins sur la     fig.    10 et  les positions de totalisation, d'addition et de       non-addition,    représentées en pointillés.  



  Si, par exemple, on utilise la     quatrième     ou     phis    grande longueur du taquet 721, le le  vier sélecteur 718 est retenu dans la position  représentée en     fig.    10 et, par suite,     aucun     mouvement n'est imprimé     aii    bras 709.

   En  conséquence, le bras 709 reste dans la posi  tion     fign    crée où la patte repliée 708 se trouve  en face du gradin 701 du levier de com  mande 601, de manière à mettre ce levier de  commande et la coulisse de commande 513 en  position de     soustraction    et à provoquer la sé  lection et la préparation du     totalisateur        Ko    1  pour une opération de soustraction, exacte  ment de la même façon que pour la touche  de soustraction 377.

   Si on utilise la troisième  longueur du taquet 721, le     levier    718 et le  bras 709     (fig.    10 et 106) occupent des posi  tions telles que la patte repliée 708 se trouve  en face du -radin 705 de totalisation du le  vier de commande 601, ce levier 601 et la  coulisse de     eonimande    513 sont amenés en po  sition de totalisation pour     provoquer        l'eni-          brayabe    et le     débrayage    du totalisateur     \o    1  pendant la totalisation, de la manière expli-         quée    précédemment.

   L'emploi de la deuxième       longueur    du taquet de commande     7\31    provo  que la mise en place du levier sélecteur 718  et chi bras 709 à la position d'addition où la  patte repliée 708 se trouve en face du gradin  706  plus  et amène ce levier de commande  à commander le verrou 585 de la manière  expliquée     précédemment,    de faon à provo  quer     l'embrayage    et le     débrayage    du totalisa  teur 1 o 1 ou de balance, lors de l'opération  d'addition.  



  L'emploi de la     première    ou     phis    faible  longueur de taquet de commande     7\31        (fig.    10  et 106) permet le mouvement     maximum    du       levier    sélecteur 718 et du bras     sélecteur    709       polir    placer ce bras dans une position telle       chie    la patte repliée 708 se     trouve    en face du  gradin<B>707</B> de     non-addition    du levier 601, de  manière à placer ce levier et la coulisse de  commande<B>513</B> à la position de     non-addition,

       par suite de quoi le levier de commande dé  place le verrou 585 de toute sa course     dans     le sens des aiguilles d'une montre vers     aine     position inopérante,     empêeliant    la barre       d'embrayage        d'imprimer    un mouvement     d'cin-          bravage    ou de     débrayage    à l'articulation 580  et au totalisateur \o 1.

      Les ergots tâteurs 720     (fib.    76 et 106) des       leviers    718 et 723 à 727 passent au travers  de fentes de     guidage        correspondantes    prati  quées dans -une plaque     supérieure        7-18    fixée  entre le châssis latéral 133 et les châssis 139 ,  et 110 de support du chariot.  



  En comparant les lignes 9 et 10 du ta  bleau de la     fig.    127, on verra que la came       711        (fig.    76) ramène la chape î31 et les le  viers     tâteurs,    y compris le levier     tâteur        71S          polir    le totalisateur     NTo    1, dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre vers  la position normale, préalablement au mouve  ment (le retour du levier (le commande 601  (fi;. 16), sous l'action de la came 606.

   Mais,  si ledit levier de commande 601 se trouve  dans une position quelconque sauf pelle de  soustraction,     l'extrémité        supérieure    (le ce le  vier en forme (le crochet se pose par-dessus  la patte 708 pour retenir le     [)ras    709, Parti-           culation    711 et les bras 712 et 715 en position  de tâtonnement, jusqu'à ce que ledit levier  601 ait été ramené à la position normale vers       1a        fin    du     fonctionnement    de la machine par  la came 606. Après que le levier 601 a été ra  mené à la position normale, représentée sur  la fia. 40, le ressort 717 ramène les bras 715,  712 et 709 aux positions normales représen  tées.  



  Dans (les opérations (le     sous-totalisation          commandées    par le chariot. le levier     tâteur     718     pour    le totalisateur N  1 ou totalisateur  de balance, se situe, par un taquet<B>721</B> de  commande de totalisation (fia. 40 et 106), à  la position (le totalisation et ledit levier met,  à son tour, les bras 715, 712 et 709 en posi  tion de totalisation où la patte 708 se trouve  en face du gradin 705 de totalisation sur le  levier de     commande    601, de manière à placer  ce levier et la coulisse de commande 513 en       position    de totalisation, exactement de la  même façon que dans les opérations de tota  lisation.

   Un taquet (le contrôle 751 de     sous-          totalisation    (fia. 57, 76 et 106) coopère avec  la saillie     tâteuse    dirigée vers le haut d'un  levier tâteur de     sous-totalisation        75\3,    sup  porté par la tige 719     exactement    de la même  façon que le levier     tâteur    718, ce levier<B>752</B>  est entraîné dans le sens des aiguilles     d'unie     montre par un des ressorts 715, de manière  maintenir une surface façonnée (lu levier  en contact avec le bras de la chape 731,  exactement de la même manière que pour le  levier 718.

       L'extrémité    gauche du levier  tâteur de sous-totalisation 752 se trouve     au-          dessus    et coopère avec     un    bras 753 monté  fou     sur    la tige 713 et sous tous les rapports       similaire    au bras 715, ce bras 753 étant relié       élastiquement    par un ressort à un bras asso  cié 754 similaire au bras 712.

   Le bras 754 est  relié par une articulation 755 (fia. 44 et 57)  à un bras sélecteur 756 muni d'une patte re  pliée qui coopère avec l'extrémité     supérieure     en forme de crochet du levier de commande  de sous-totalisation 665 pour la commande de  la coulisse de     soas-totalisation    519.  



  Normalement, un ressort (non figuré)  similaire au ressort 717     (fig.    40) retient un         prolongement    du bras 753 (fia.<B>57)</B> en con  tact avec la tige d'arrêt 703 pour mettre le  bras<B>756</B> dans la position montrée sur la  fia.     4l,    de sorte que sa patte repliée se trouve  au-dessus du prolongement en forme de cro  chet du levier de     sous-totalisation    665.

   Dans  les opérations de sous-totalisation, le taquet  de commande de     sous-totalisation    751 permet       suffisamment    de liberté au mouvement de       tâtonnement    du levier     tâteur    de     sous-totali-          sation    752, sous l'action de la chape 731  (fia. 76, 78 et 106),     pour    placer la patte re  pliée du bras 756 (fia.

   41 et<B>57)</B> sur le tra  jet de l'extrémité en forme de crochet du le  vier 665 de     coininande    de     sous-totalisation.     Cela produit exactement le même effet que  l'abaissement de la touche de     sous-totalisa-          tion    375 et interdit le mouvement du levier  de     commande    de sous-totalisation 665 et de la  coulisse de     sous-totalisation    519, sous l'action  de la chape 603, de façon à retenir la saillie  vers le bas 666 hors du trajet du doigt 667,  de sorte que ce doigt peut se déplacer dans le  sens des aiguilles d'une montre sous l'action  du     levier    à came 508 et de la came 511.

   Cela  permet au levier 671 (fia.     -16)    pour le tota  lisateur N  1 ou (le balance, de se déplacer  dans le sens des aiguilles d'une montre sous  l'action de la chape 668     pour    bloquer la barre  609 dans sa position inférieure, de la manière  décrite lors des opérations de     sous-totalisa-          tion    et de     sous-balance    commandées par la  touche 375 de sous-totalisation et la touche  378 de     sous-balance,    (le manière à provoquer  l'embrayage et le débrayage du totalisateur  No 1 avec les crémaillères 213 lors de l'opé  ration de sous-totalisation.  



  Dans les positions de colonnes du chariot  dans lesquelles le totalisateur No 1 ne doit  pas être sélectionné pour     suie    opération d'en  registrement     d'un        sous-total,    on emploie un  taquet (le commande 751 court (fia.

   106)  pour permettre le plein mouvement de tâton  nement du levier 752, de façon à déplacer le  bras 756     (fig.        44)    de toute sa course dans le  sens des aiguilles d'une montre vers une po  sition qui équivaut à celle (le     non-addition,     de sorte que la patte repliée     dudit    bras se      trouve hors du trajet de     l'extrémité    supé  rieure en forme de crochet du levier 665 de  commande de sous-totalisation,

   de manière à  permettre à ce levier et à la coulisse de     sous-          totalisation    519 de se déplacer de toute leur  course respectivement dans le sens contraire  à     celui    des aiguilles d'une montre et vers       l'avant,    mouvements qui sont déterminés par  la fente dans l'extrémité antérieure de cette  coulisse de commande, en coopération avec  le collier 520.

   Cela permet à la saillie 666       (fig.        44)    de la     coulisse    519 de se placer     au-          dessus    du doigt<B>667</B> de la chape 668 pour  empêcher le mouvement de cette chape dans  le sens des aiguilles d'une montre sous l'ac  tion du     levier    508 et de la came 511, de ma  nière à retenir le levier 671     (fig.    46) et le  verrou correspondant 672 en positions inopé  rantes, de     sorte    que la barre 609 ne soit pas  bloquée dans sa position inférieure, comme  cela est nécessaire dans les opérations de  sous-totalisation     et-ou    de     sous-balance.     



  <I>Opération. de non-addition.</I>  L'abaissement de la touche de     non-addi-          tion    374     (fig.    3, 41 et 53) provoque le dépla  cement du bras sélecteur 709 pour le totali  sateur     1\o    1 ou totalisateur de balance, vers  la position de non-addition, quelle que soit la  position vers laquelle le bras se déplacerait       sous    la commande du chariot dans ses posi  tions de     colonnes,    ainsi qu'il a été expliqué       plus    haut.

       L'abaissement    de la touche de     non-          addition    provoque également le déplacement  des bras sélecteurs, similaire à celui du bras  709, pour amener     les    autres totalisateurs vers  la position de non-addition et rendre inopé  rant le mécanisme     sélecteur    commandé par le  chariot, afin de commander la sélection et la  préparation de     n1mporte    lequel des totalisa  teurs pour toute opération autre qu'une opé  ration de non-addition.  



       L'abaissement    de la touche 374 de     non-          addition        (fig.    50 et 52) amène son goujon  -113 en coopération avec une surface angu  laire de came 758 d'une ouverture     pratiquée     dans une plaque de commande 759, montée  de manière à pouvoir se déplacer horizontale-    ment à l'aide de galets fixés sur les goujons  416, polir déplacer cette plaque vers l'arrière  à l'encontre de son ressort 750.

   Une articula  tion 760, reliée à pivotement entre la plaque  759 et un prolongement dirigé vers le bas  d'un     linguet    de     commande    761 monté libre  ment sur     une    tige 762 supportée entre la  plaque 583     (fig.    56 et 57) et le châssis gau  che 131, amène le     mouvement    vers l'arrière  de cette plaque 759 à déplacer le     linguet    761  dans le sens des aiguilles d'une montre, de  manière à placer son prolongement antérieur  hors du trajet d'une patte repliée 763 d'une  articulation 764.

       L'extrémité    postérieure de  l'articulation 764 est reliée à pivotement à un  bras dirigé vers le bas d'une chape 765 mon  tée folle sur la tige 762, tandis que l'extré  mité antérieure de cette articulation est fen  due pour recevoir un galet monté sur un axe  766 supporté entre la plaque 583 et le     châis-          sis    gauche 131.  



  Un bras droit de la chape 765 porte un  goujon 768     (fig.    50,     52    et 59) qui s'engage  dans une encoche d'une coulisse 769 pourvue  de fentes parallèles, dont l'une coopère avec  un galet monté sur le goujon 766 et l'autre  coopère avec un galet similaire monté sur un  goujon 770 supporté par la plaque 587, pour  déplacer cette coulisse vers le haut. La cou  lisse 769 est     pourvue    d'une fente qui coopère  avec un goujon 771 d'un levier<B>772,</B> monté  librement sur la tige 581 et possédant un  prolongement en forme de pied avec une sur  face courbe 773, qui coopère avec le goujon  aplati 461 porté par la came 462.  



       Immédiatement    après le déclenchement de  la machine, le goujon 461 (ligne 12,     fig.   <B>127)</B>  se dégage de la face courbe 773 pour aban  donner le levier 772, la coulisse 769, la chape  î65 et l'articulation 764     (fig.    52) à l'action  d'un ressort 767 et déplacer la chape 765  dans le sens des aiguilles d'une montre. Le  mouvement de la chape 765     (ficg.    52, 54 et  56) dans le sens indiqué amène le bord anté  rieur de sa traverse, en coopération avec une  saillie 774 de l'un des bras     d'une        eliape   <B>77.5</B>  montée librement sur la tige 76?, à     déplacer         cette chape simultanément dans le sens des  aiguilles d'une montre.

    



  Des prolongements postérieurs des bras  de la chape 775 portent des goujons 776, 777  et 778 alignés     a-ialcment;    le goujon 778  (fi-. 50 et 52) est adapté pour coopérer avec  un prolongement antérieur d'un bras 779 ou  de dépassement, relié     élastiquement    par un  ressort 780 à un bras associé 781, les deux  bras étant montés librement sur la tige 713,  de manière à déplacer ces bras dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre  à l'encontre d'un ressort 782.

   Le mouvement  du bras<B>781</B> dans le sens indiqué se trans  met, par une articulation 783,à un bras de  commande 784 monté fou sur la tige 710 et       pourvu    d'une patte repliée qui coopère avec  les crans d'un prolongement postérieur en  forme de crochet     d'un    levier de commande  785     (fig.    47 et 52), relié par des dents d'en  grenage à la coulisse de commande 517 et co  opérant 'avec elle exactement de la même  façon que celle expliquée pour le levier 601  et sa coulisse associée 513     (fig.    32).

   Le mou  Tement du bras 784 dans le sens des aiguil  les d'une montre amène la patte repliée en  position de non-addition, comme indiqué sur  la     fig.    52 en pointillé, pour provoquer la sé  lection et la préparation du totalisateur No 5  pour une opération de non-addition, quelle  que soit la position antérieure du levier     tâ-          teur    726     (fig.    57) occupée     sous    l'action du  chariot.  



  Le mouvement de la chape 775 dans le  sens des     aiguilles        d'unie    montre     (fig.    40, 50 et  56) amène le goujon 777 en coopération avec  le prolongement antérieur du bras 715, pour  déplacer ce dernier et son bras associé 712  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre.

   Le     mouvement    du bras 712  dans ce sens se transmet par l'articulation  711 au bras 709 et place ce bras en position  de non-addition, comme indiqué sur la     fig.    40  en pointillé, pour provoquer la sélection du  totalisateur No 1 ou de balance, en vue d'une  opération de non-addition, lors de l'abaisse  ment de la touche 374 de non-addition, et  cela sans tenir compte de la disposition du    levier tâteur 718 sous l'action des taquets de  commande montés dans les positions de co  lonnes du chariot.

   Le goujon 776     (fig.    50 et  51), en coopération avec le prolongement  antérieur du bras 753     (fig.    44 et 57) et par  l'articulation 755, déplace le bras de com  mande 756 dans le sens des aiguilles d'une  montre vers une position inopérante, de telle  sorte que le levier de commande 665 de     sous-          totalisation    et la     coulisse    519 de     sous-totalisa-          tion    peuvent se déplacer de toute leur course  respectivement dans le sens contraire     à@    celui  des aiguilles d'une montre et en avant,

   de  manière à placer la saillie 666 par-dessus le  doigt 667 et à empêcher le fonctionnement  du mécanisme de sous-totalisation lorsque la  touche 374 de non-addition est abaissée.  



  L'abaissement de la touche 374 de     non-          addition        (fig.    41, 50 et 56) amène une sail  lie de cette touche, en coopération avec une  patte repliée 788 d'un verrou 789 monté  librement sur la tige 710, à déplacer ce  verrou dans le sens des aiguilles d'une mon  tre à l'encontre d'un ressort tendu entre ce  verrou et un levier 791 monté librement sur  la tige 610.

   Le mouvement du verrou 789  dans le sens des aiguilles d'une montre dé  gage une dent dont il est     pourvu    d'une dent  correspondante de l'articulation 792, dont  l'extrémité antérieure est fendue pour rece  voir un collier monté sur la tige 766, tandis  que l'extrémité postérieure de cette articula  tion pivote sur un prolongement dirigé vers  le bas d'un bras 793 monté librement sur la  tige 762. Un prolongement du bras 793 dirigé  vers le haut est     pourvu    d'une encoche qui  embrasse un goujon 794 d'un bras 795 fixé  à     un    bras associé 796 par une douille 797,  montée librement sur la tige 762.

   Un prolon  gement antérieur du bras 796     (fig.    41), en  coopération avec une butée fixe 798, déter  mine la course dans le sens des aiguilles       d'une    montre de ce bras et des bras qui lui  sont reliés 795 et 793. Le dégagement du  verrou 789 abandonne l'articulation 792 et  les bras 793, 795 et 796 à l'action d'un res  sort 799 tendu entre cette articulation et un  doigt fixe;

   ce ressort tend     immédiatement         cette articulation et ces bras dans le sens des  aiguilles d'une montre et vers l'arrière, res  pectivement,     mais    il est empêché de les dé  placer par un goujon 800     (fig.        41,    50, 52 et  56) coopérant avec un doigt saillant 801 du  bras gauche de la chape 765, jusqu'à ce que  ladite chape soit actionnée par la coulisse 769  sous la commande du levier à came<B>772.</B> Il  est également évident que, à     moins    que la  chape 765 soit libérée par le mouvement du       linguet   <B>761</B>     (fig.    52)

   vers une position inopé  rante par l'abaissement     d'une    des touches  appropriées de     commande,    les bras<B>793, 795</B>  et 796 sont empêchés de se déplacer, même si  le     verrou    789     (fig.    41) est     mis    en position  inopérante, comme il a été expliqué     plus    haut.  



  Le bras 793     (fig.    41 et 50) porte un gou  jon 802 qui coopère avec le prolongement  antérieur d'un bras 803 relié     élastiquement    à  un bras associé 804 par un ressort 805, tendu  entre     eux,    et un     ressort    806     entraîne    ce bras       #03    dans le sens des aiguilles d'une montre  au contact de la tige d'arrêt<B>703.</B> Le bras 804  est relié par     suie    articulation 807 (fia.<B>57)</B> à  un bras     808    de     commande    du totalisateur,  bras qui coopère avec un levier de commande  809     (fig.    477)

       pour    le totalisateur No 6. Le     le-          -çier    809 est sous tous les rapports     similaire     au levier 601 pour le totalisateur No 1 et il  possède     lin    prolongement postérieur qui co  opère avec la queue d'un verrou 810 (fi-. 42)  pivotant sur     .une    articulation d'embrayage  811 du     No    6;

   cette articulation est pareille et  fonctionne exactement de la même façon que       l'articulation    5S0 pour le     totalisateur    No 1  ou de balance     (fig.    40), pour embraser et  débrayer les roues du totalisateur No 6 ou to  talisateur des postes, avec les crémaillères 243       (fig.    18B).  



  Le     mouvement    du bras<B>793</B> dans le sens  des     aiguilles    dîme montre     (fig.    41 et 50) sous  l'action de la chape 765 suivant le temps  indiqué sur la ligne 12 (lu tableau de distri  bution des temps     (fig.   <B>127),</B> déplace les bras  803 et 804 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre;

   ce mouvement, par  l'intermédiaire de l'articulation S07, place le  bras 808 en position de non-addition de la    manière expliquée en liaison avec le totalisa  teur No 1 ou de balance, de manière à ame  ner le levier 809     (fig.    47) à déplacer le ver  rou 810 (fi-. 42) pour le totalisateur     No    6  ou     totalisateur    des postes, vers la position de       non-addition,    de sorte qu'aucun mouvement  n'est imprimé à l'articulation 811 par la  barre d'embrayage 586.

   Des     prolongements     dirigés en arrière des bras 795 et 796     (fila.        41,     50 et 57)     supportent    une tige qui est en     ali-          gnement        axial    avec les goujons 776,     îîî    et  778; cette tige coopère avec des prolonge  ments antérieurs des bras des     totalisateurs     Nos 2, 3 et 4, sous tous les rapports     similaires     au bras 803 pour le totalisateur No 6, de ma  nière à provoquer la non-addition des totali  sateurs Nos 2, 3 et 4, exactement de la façon  expliquée pour le     totalisateur    No 6.  



  Il ressort clairement des explications     ci-          dessus    que l'abaissement de la touche     37-1    de  non-addition place les mécanismes de sélec  tion et de préparation de tous les totalisa  teurs en position de non-addition et que dans  ce cas toute commande de ces mécanismes  par le chariot dans les positions de colonnes  de celui-ci devient inopérante.  



  Vers la fin du fonctionnement de la ma  chine, un galet 813 (fia. 59 et     ligne    12,       fig.    127), fixé     sur    l'une des faces de la came  462, ramène, en coopération avec la surface  <B>"173</B> du levier 772, ce levier, la coulisse<B>769</B>  et la chape 765 aux positions normales repré  sentées. La     remise    en position de la chape  <B>765</B> permet, grâce à la saillie     î-ï7    sur le bras  droit de la chape 775, la remise en position  normale de cette chape 775 sous l'action du  ressort 717     (fig.    40).

   De même, la remise en  position de la chape<B>765</B> dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre  amène le doigt 801     (fig.    50), en coopération  avec le goujon 800, à faire occuper     leurs    po  sitions normales aux bras<B>793, 795</B> et<B>796</B> en  suivant également le sens contraire à celui  des aiguilles     d'une    montre, comme     indiqué     sur la fi-.

   41, à l'encontre du     ressort        î99.    Le       mouvement    de retour dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre du bras      793 ramène l'articulation 792 en avant, per  mettant au verrou 789 de se poser sous l'ac  tion du ressort 790 par-dessus la saillie du  haut de cette articulation et de retenir cette  articulation et les pièces annexes en positions  normales représentées.  



  <I>Commande de</I>     non-addition     <I>dans les</I>     opérations   <I>de</I>     soits-totalisation.     Le goujon 413 de la touche 375 de     sous-          totalisation        (fig.    50 et 52) coopère avec une       fente-came    815 de la plaque 759 exactement  de la même manière que la touche 374 de       non-addition    et l'abaissement de cette touche  de sous-totalisation déplace cette plaque de       commande    en arrière à l'encontre du ressort  750 pour placer le     linguet    761 en position  inopérante et libérer la chape 765,

   exacte  ment de la même façon que la touche 374 de  non-addition. De même, la touche 375 de       sous-totalisation        (fig.    41) possède un prolon  gement 817 qui coopère avec la patte repliée  788 du verrou 789, exactement de la même  façon que la touche 374 de     non-addition,     pour déplacer ce verrou dans le sens des  aiguilles d'une montre vers la position inopé  rante, lors de l'abaissement de cette touche  de     sous-totalisation.    Ce mouvement aban  donne     l'articulation    792 à l'action du ressort  799 pour le     mouvement    simultané de fonc  tionnement avec la chape 765, ainsi qu'il a  été expliqué plus haut.  



  On voit d'après ce qui précède que l'abais  sement de la touche 375 de     sous-totalisation     amène les bras de commande     (fig.    57) pour  tous les totalisateurs, y compris les bras 709  et 808 pour les totalisateurs Nos 1 et 6, en  position de non-addition, de façon à empê  cher la commande du mécanisme de sélection  et de ,préparation des totalisateurs par le  chariot dans les positions de colonnes de ce  lui-ci.

   Dans les opérations de     sous-totalisa-          tion,    tout comme dans les opérations de     non-          addition,    le fonctionnement de la chape 775       (fig.    50), sous l'action de la chape 765,  amène le goujon 776     (fig.    44 et 57) à placer  le bras de commande 756 du levier de com  mande 665 de sous-totalisation en position    inopérante, de telle sorte que la     disposition     de ce levier et de la coulisse de commande  519 n'est pas influencée par le mécanisme       tâteur    qui est, à son tour, commandé par le  chariot dans ses positions de colonnes.

   Toute  fois, cela ne gêne pas la mise en position de  la coulisse de commande 519 par le goujon  687 et la saillie     6SS    (fi-. 44) de la manière  décrite précédemment, de sorte que la saillie  666 est retenue hors du trajet du doigt 667  en rendant ainsi opérant le mécanisme repré  senté sur la     fig.    46 et     expliqué    plus haut  pour bloquer la barre 609 dans la position       inférieure,    de sorte que le     totalisateur    sélec  tionné est embrayé et débrayé pendant les  temps de sous-totalisation.  



  Ainsi     qu'il    a été expliqué     précédemment,     la touche 375 de     sous-totalisation    s'emploie  conjointement avec les touches 376 de tota  lisation Nos 2, 3 et 4 pour provoquer l'em  brayage et le débrayage du totalisateur sélec  tionné pendant -les temps de sous-totalisation.

    Tant que les bras de commande pour les cou  lisses de commande 514, 515 et 516     (fig.    4î)  pour les totalisateurs Nos     ?,    3 et 4 ont été  placés dans la position de non-addition, ces  coulisses peuvent se déplacer en avant de  toute leur course et être ajustées par les gou  jons 684, 685 et 686, suivant celle des touches  376 de totalisation qui était abaissée, en vue  de sélectionner le totalisateur correspondant  pour une opération de sous-totalisation.

   Il est  donc clair que, dans les opérations de     sous-          totalisation,        tous    les     totalisateurs,    sauf le to  talisateur sélectionné par l'abaissement d'une  des touches 376 de     totalisation,    sont non  additionnés.  



  Les goujons 41,3     (fig.    52) des touches de  commande 377 à 380 incluse coopèrent avec  des surfaces-cames correspondantes 818, pré  vues dans la plaque 759, lorsque la touche  correspondante est abaissée pour déplacer  Bette plaque 759 et l'articulation 760 en  arrière, de manière à placer le     linguet    761 en  position inopérante et à libérer les chapes  765 et 775 pour leur fonctionnement de la  façon expliquée plus haut, afin d'amener le  bras 756 de     commande    de     sous-totalisation              (fig.    40, 44, 52 et 57),

   le     bras    de     coimnande     709 du No 1 et le bras de commande 784 du       NTo    5 à se déplacer vers la position de     non-          addition,    de telle sorte que les touches de     co_n-          mande    377 à 380     incluse    sont à même de  commander la sélection et la préparation des  totalisateurs No 1 et No 5 à l'aide de leurs  goujons 622 à 625 respectifs     (fig.    46 et 47),  en coopération avec les coulisses de com  mande 513 à 519 incluse.  



  <I>Commande de sélection des</I>     totalisateurs     <I>dans les</I>     opérations   <I>de correction.</I>  Dans les opérations de correction qui im  pliquent l'emploi des touches de correction  369     N         s    2, 3 et 4, il faut rendre inopérant le  mécanisme tâteur en vue de commander la  sélection des divers totalisateurs sous l'action  du chariot dans ses différentes positions de       colonnes.     



  La plaque de commande 759     (fig.    47 et  50) possède sur son bord supérieur des dents  qui engrènent avec les dents d'un secteur  denté 819     fixé    à l'une des     extrémités    d'un  arbre 820 monté dans les plaques 398 et 399;  sur l'autre extrémité de cet arbre est     fixé     également un secteur denté similaire 821 qui       en-rêne    avec les dents du bord supérieur       d'une    plaque de commande     8\?2    pour les tou  ches de correction 369 des Nos 2, 3 et 4       (fig.    52 et 62).

   La plaque de commande     8?2     est     pourvue        d'ouvertures    dont des     surfaces-          cames    823, 824 et     S25    coopèrent respective  ment avec les goujons 410 portés respective  ment par les touches de correction 369 des  Nos 2, 3 et 4.

   Les deux plaques de commande  759 et     82\?    étant reliées pour se déplacer soli  dairement, l'abaissement d'une des touches de  correction 369 des     Nos        \',    3 ou 4 amène son  goujon 410, en coopération avec les     surfaces-          cames    823,     82-1    ou 825, à déplacer vers l'ar  rière ces plaques de commande 822 et 759,  ainsi que l'articulation 760, afin de mettre  le     linguet    761 en     position        inopérante,    à libé  rer la chape 765 et sa chape     associée   <B>775</B>  pour le fonctionnement sous l'action du mé  canisme représenté sur la fi.

   59, à mettre en  position inopérante le bras de commande 756         (fig.    44) pour le levier de commande 665 de       sous-totalisation    et la coulisse 519 et à mettre  les bras 709 et 784 pour les totalisateurs     Nos    1  et 5     (fig.    40, 52 et 57) en position de non  addition de la manière décrite plus haut, de  telle sorte que les goujons 621, 630 et 631       (fig.    46) de ces touches, en coopération avec  des saillies correspondantes du bord supé  rieur des coulisses de commande 513 à 519  incluse     (fig.    47), contrôlent la mise en posi  tion de ces coulisses, lesquelles, à leur tour,  contrôlent la sélection des différents totalisa  teurs dans les opérations de correction.

    



  On se rappelle     que,    dans la présente dis  position, le totalisateur No 2 est un totalisa  teur accumulateur qui sert à accumuler les  totaux des nouvelles balances et que la  touche de correction 369 No 2     (fig.    46) sert  à apporter des corrections dans le totalisa  teur     \To    2. Lorsqu'on abaisse la touche de  correction 369 No 2, son goujon 621, en co  opération avec la saillie correspondante sur  la coulisse de commande     51-1    10 2     (fig.    47),  provoque la sélection et la préparation du to  talisateur No 2 pour une opération de sous  traction, en vue de corriger des entrées erro  nées.

   La touche de correction 370  C  peut,  si on veut, être employée conjointement avec  la touche de correction 369     \o    ' et provoque,  dans ce cas, la     non-addition    des totalisateurs  Nos 1 et 5 et 6. Ceci est toutefois une utilisa  tion facultative de la touche de correction  370  C , car cette touche était. d'abord pré  vue pour n'être employée que conjointement       avec'les    touches de correction 369 Nos 3 et 4.  



  La touche de correction<B>369 \o 3</B> (fi-. 46)  sert à corriger des entrées erronées     clés    dé  pôts on postes de crédit. Les dépôts ou  postes de crédit sont additionnés dans le to  talisateur No 1 ou de balance, soustraits clans  le totalisateur No 5 ou de dépassement et  additionnés dans le totalisateur No 3 qui est  un     totalisateur-accumulateur    pour le total  des postes de dépôt et, à chaque entrée d'un  poste de dépôt, il s'ajoute  1  automatique  ment dans le totalisateur     'K     6 ou totalisa  teur compteur clé postes.

       En        eoliséduence,     l'abaissement de la touche clé correction 369      No 3 renverse le processus décrit plus haut,  de manière à provoquer la sélection et la pré  paration des totalisateurs Nos 1, 3 et 6 pour  la soustraction et     simultanément    la sélection  et la préparation du totalisateur No 5 pour       suie    addition.  



  L'abaissement de la touche de correction  369 No 3 amène le goujon 630, en coopéra  tion avec des saillies sur les bords supérieurs  des     coulisses    de commande 513, 515 et 518  des totalisateurs Nos 1, 3 et 6 respectivement,  à disposer ces coulisses     pour    la sélection et la  préparation desdits totalisateurs pour des opé  rations de soustraction. De même, le goujon  630, en coopération avec la saillie sur le bord  supérieur de la coulisse de commande 517       (fig.    47) pour le     totalisateur    No 5 ou de dé  passement, provoque la sélection et la prépa  ration de ce totalisateur pour une opération  d'addition.

   Lors de l'opération de correction  du totalisateur N  6 ou totalisateur comp  teur de postes,  1  est automatiquement sous  trait.  



  On se rappelle que les chèques ou postes  de débit sont soustraits du totalisateur N o 1,  additionnés dans le     totalisateur    No 5 ou to  talisateur de dépassement, et additionnés  dans le totalisateur No 4 qui est un     totalisa-          teir-accumulateur    du total des chèques et  que, à chaque entrée     d'un    poste de chèques,   1  est automatiquement ajouté dans le tota  lisateur No 6 ou totalisateur     compteur    de  postes.

   La touche de correction 369 No 4 sert       (fig.    46 et 47) à corriger les entrées erro  nées des postes de chèques et l'abaissement  de cette touche amène son goujon 631, en co  opération avec des saillies sur le bord supé  rieur des coulisses de commande 516, 517 et  518 pour les totalisateurs Nos 4, 5 et 6, à  mettre ces coulisses en position de sélection et  de préparation de ces totalisateurs pour des  opérations de soustraction. Le goujon 631, en  coopération avec une saillie     sur    le bord supé  rieur de la coulisse de commande 513 pour le       totalisateur    No 1, met cette coulisse en po  sition de sélection et de préparation du tota  lisateur No 1 ou de balance, pour une opéra  tion d'addition.

   Cela a pour effet de rectifier    un poste erroné de chèque ou de débit en  ajoutant ce poste dans le totalisateur No 1  ou de balance, et de le soustraire simultané  ment du totalisateur N o 5 ou de dépassement  ainsi que du totalisateur     1\T0    4 ou totalisateur  accumulateur des chèques. Dans ce cas, le to  talisateur N  6 ou     totalisateur    des postes  est sélectionné et préparé pour y soustraire   1 , afin de rectifier ainsi le comptage erroné  du poste de débit.  



  On se rappelle que l'emploi de la touche  de correction 370 (fi-. 46) conjointement avec  les touches de correction 369     l@To    2, 3 ou 4  provoque la non-addition des totalisateurs  Nos 1, 5 et 6. Par conséquent, lorsque cette  touche est employée avec la touche de correc  tion 369 No 3, seul le     totalisateur    No 3 est  corrigé et lorsqu'on l'emploie avec la touche  de correction 369     1-To    4, seul le     totalisateur     No 4 est corrigé.  



  L'abaissement de la touche de correction  370     (fig.    42 et 43) amène un goujon 828 qui  y est adapté, en coopération avec     un    bras  829 relié à un bras associé 831 par un moyeu  830, monté librement     sir    la tige 710,à dé  placer ces bras     dans    le sens des     aiguilles     d'une montre. Le mouvement du bras 831  dans le sens     indiqué    déplace une chape 833  par une fente pratiquée dans ce bras, en co  opération avec un goujon 832 fixé sur un  bras de la chape 833 montée     librement    sur  la tige 766, dans le sens contraire à celui des  aiguilles     d'une    montre.

   Le mouvement de la  chape 833 dans ce sens amène un prolonge  ment arrondi de la traverse de cette chape,  en coopération avec des     doigts    dirigés vers le  haut du verrou 810 pour le totalisateur     1\To    6  et un verrou     similaire    834     (fig.    52) pour une  articulation d'embrayage 835 pour le totali  sateur No 5, à déplacer ces verrous dans le  sens des aiguilles d'une montre vers la posi  tion de non-addition, comme indiqué sur la       fig.    42 en lignes     pointillées,    et provoque la  non-addition des     totalisateurs    Nos 5 et 6.

   Le  mouvement de la chape 833 dans le sens con  traire à     celui    des aiguilles d'une montre       (fig.    42 et 43) amène     une    partie découpée  de sa traverse, en coopération avec un gou-      ion 836 situé entre cette partie découpée de  ladite chape et     un    prolongement vers le haut  du verrou 585 pour le totalisateur N o 1 ou  de balance, à déplacer ce verrou dans le sens  des aiguilles d'une montre, comme indiqué à  la     file.    55, vers la position de non-addition,  indiquée en pointillé, et provoque la     non-          addition    du totalisateur No 1 ou de balance.

    Le goujon 836 (file. 43 et 55) est fixé sur  une manivelle 837 reliée par un moyeu monté  librement     sur    la tige 766 à     une    manivelle  associée 839, portant un goujon 840 et qui  coopère avec la coulisse de dépassement re  présentée sur les     file.    53 et 54, d'une manière  qui sera expliquée plus loin pour la com  mande de la sélection du     totalisateur    No 1  ou de balance, dans des opérations de dépas  sement.  



  Il faut noter que la commande des ver  ,     rocs    d'embrayage pour les totalisateurs Nos 1,  5 et 6 par la touche de correction 370, rem  place la commande de ces verrous par le cha  riot dans les positions de colonnes sélection  nées de celui-ci ou par les touches de com  mande et provoque la     non-addition    des tota  lisateurs Nos 5 et 6, sans tenir compte de  l'action de ces autres moyens de sélection.  <I>Le</I>     mécanisme   <I>de dépassement.</I>  



  Si le totalisateur No 1 ou totalisateur de  balance se trouve en condition positive, il  sera toujours sélectionné aux fins d'enregis  trement dans les opérations de     sous-balance     et de balance;     ces    opérations seront aussi  appelées opérations de     sous-totalisation    et de  totalisation lorsqu'il sera question des totali  sateurs autres que le totalisateur No 1 ou de  balance.

   Lorsque ce totalisateur de balance  passe d'une condition positive à une condi  tion négative, le mécanisme entre automati  quement en action pour provoquer la sélec  tion du totalisateur No 5 ou totalisateur de  dépassement, pour les enregistrements dans  les opérations de sous-balance et de balance,  et ce procédé est le même, que les opérations  soient déclenchées par le chariot clans ses  positions de colonnes ou par les touches de  commande.

   Lorsque le totalisateur de balance    passe d'une condition négative à une condi  tion positive, le mécanisme de     conunande    est  rendu inopérant et le totalisateur No 1 ou de  balance est     sélectionné    pour les enregistre  ments     dans    les opérations de     sous-balance    et  de balance, comme auparavant.  



  Les opérations normales de     sous-totalisa-          tion    et de totalisation clans lesquelles le to  talisateur No 1 ou de balance est dans une  condition positive seront désignées ici opéra  tions de      sous-balance     et de  balance . Les  opérations de dépassement dans lesquelles le  totalisateur No 1 est dépassé et le totalisateur  No 5 est sélectionné pour les enregistrements  seront     appelées    respectivement opérations de        sous-balance    du dépassement  et de  ba  lance du dépassement .  



  Il est entendu que dans les opérations de  balance dans lesquelles le totalisateur No 1  ou de balance est remis à zéro, le montant  qui en est extrait s'ajoute simultanément  dans le totalisateur No 5 ou de     dépassement,     pour remettre en même temps ce totalisateur  à zéro. De même, dans les opérations de ba  lance du dépassement dans lesquelles le tota  lisateur No 5 est remis à zéro, le montant qui  en est extrait est simultanément ajouté dans  le totalisateur No 1 pour remettre ce totalisa  teur à zéro. Dans les opérations de     sous-ba-          lance,    le totalisateur N  5 reste inactif ou  non additionné, et dans les opérations de  sous-balance du dépassement le totalisateur       @T     1 reste inactif ou non additionné.  



  En se reportant aux fia.     18B    et 61, on se  rappellera que, au début des opérations de  soustraction dans le totalisateur     \@o    1 ou de  balance, la barre 573 de commande du     lin-          guet    de report se déplace dans le sens con  traire à celui des aiguilles     d#ime    montre,  comme indiqué à la file.     18B,    et clans le sens  des aiguilles, comme indiqué à la     file.    61, pour  remettre les     cliquets    560 de report d'addi  tion hors du trajet des dents de la came d'en  cliquetage 550 et     simftanément    les cliquets  561 de report de soustraction sur le trajet  de ces dents.

   Lorsque la roue 559 de l'ordre  le plus élevé (file. 61) passe par zéro en  tournant dans le sens soustractif - c'est-      à-dire que ce totalisateur est dépassé - l'une  des dents d'encliquetage diamétralement  opposées de la came 550 déplace le cliquet  561 de report de soustraction de l'ordre le  plus élevé dans le sens des aiguilles d'une  montre<B>pour</B>     dégager    la patte 841 d'un pro  longement postérieur de ce     cliquet    d'une sail  lie d'un bloc-moteur 842 de l'arbre de dépas  sement, monté librement sur une tige 843  supportée par le bâti des totalisateurs.

   Ce  mouvement abandonne le bloc-moteur de dé  passement 842 à l'action d'un ressort     844    qui  déplace     immédiatement    ce bloc-moteur d'une  petite distance jusqu'à ce que son prolonge  ment     diri-é    vers le haut entre en contact  avec le bord postérieur de la barre 566 de re  mise en position; cette barre fonctionne dans  les opérations de soustraction suivant le       temps    indiqué sur la ligne 7 du tableau de  la fil-- 127; elle a reçu à ce moment un mou  vement de remise en position et est retenue       en    position normale par les crochets de la  manière connue représentée en pointillé sur  la     fig.    61.  



  Après que les crémaillères 243 ont achevé  leur mouvement initial en arrière et que les       roues    du totalisateur de balance en ont été  débrayées, la barre 566 est abandonnée à  l'action de son ressort qui l'entraîne immédia  tement dans le sens des aiguilles     d'une    mon  tre (fin. 61), pour effectuer le mouvement de  report de tous les     linguets    de report action  nés et pour effectuer en même temps un mou  vement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre du bloc-moteur de dépassement     S42,    sous  l'action de son ressort 844.

   Le mouvement du       bloc-môteur    842 dans le sens des aiguilles  d'une montre amène un épaulement saillant  de celui-ci, en coopérant avec une patte re  pliée 845     d'tui    bras 846, fixé sur un arbre de  dépassement 847 qui tourne dans le bâti des  .totalisateurs, à déplacer ce bras 846 et cet  arbre 847 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre.

   Sur l'arbre 847 est     fixée    une  manivelle 848 qui se déplace simultanément  avec lui dans le sens contraire à     celui    des  <B>,</B>     aiz'u   <B>-</B>     illes        d'une        montre        et        déplace,    à     l'aide     d'une articulation 849 qui relie cette mani-         velle    à. un levier coudé 850 monté librement  sur la tige 713, ce levier coudé dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   Le mouvement du  levier coudé 850 dans le sens indiqué     (fig.    50  et 61) déplace, à l'aide d'une encoche dans  un     prolongement    antérieur de ce levier en co  opération avec un goujon 851 fixé sur un  prolongement postérieur d'un bras 852 monté       librement    sur la tige 762, ce bras dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre.  Le bras 852 possède un prolongement anté  rieur courbe qui est maintenu en contact     s6u-          ple    avec     lin    goujon 853 prévu sur le prolon  gement d'un bras d'une chape 854 montée  librement sur la tige 762, par un ressort 855,  tendu entre ce bras 852 et ce goujon 853.

   Le  ressort 855 forme une liaison élastique entre  le bras 852 et la chape 854. En conséquence,  ce bras et cette chape se déplacent simultané  ment dans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre pour déplacer vers le haut  les     linguets    856 et 857, formés par des pro  longements avant de cette chape 854, hors du  trajet des pattes repliées correspondantes  858 et 859 des coulisses de dépassement 860  et 861, montées à l'aide de fentes parallèles  sur des colliers montés sur les     tijes    766 et  770.

   Cela libère les coulisses 860 et 861 de  commande de dépassement pour la commande  des totalisateurs Nos 1 à 5 dans les opérations  de     dépassement,    ainsi qu'il va maintenant  être     expliqué.    Si le totalisateur No 1 passait       d'une    condition négative à une condition po  sitive par l'addition d'un montant suffisam  ment grand pour     surbalancer    le montant du  dépassement, les     linguets    856 et<B>857</B>     (fig.    50  et 61) seraient ramenés à leurs positions  actives, représentées     sur    le dessin.  



  Dans les opérations d'addition, la barre  573 de commande de report est     ramënée    dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre de la position indiquée sur la     fig.    61  vers la position normale ou d'addition, et  étant remise dans cette position, place les lin  guets de soustraction 561 hors du trajet des       dents.    d'encliquetage des cames 550 et place  en même temps les     linguets    d'addition 560  sur le trajet de ces dents.

   Simultanément      avec la     remise    en position de la barre 573, la  barre 566 de remise du report déplace le     bloc-          moteur    de dépassement 812 dans le     sens    con  traire à celui des aiguilles d'une montre vers  la position inopérante ou normale à l'encon  tre du ressort     844,    sur quoi une arête 862 su  périeure de cette barre 573 se place au-des  sous d'un épaulement saillant de ce bloc-mo  teur     842    pour maintenir ce     bloc-moteur    dans  sa position représentée.

   En même temps,  l'arête 862 se retire de dessous une saillie di  rigée vers le bas d'un bras 863 de remise en  position de l'arbre de dépassement, bras qui  est monté     librement    sur la tige 843, pour per  mettre à son prolongement du bas de repo  ser sir une patte repliée 826 du     cliquet    560  du     report    d'addition de l'ordre le plus élevé.  



  Lorsque la roue 559 de l'ordre le plus  élevé passe par zéro en tournant dans le sens  additif, l'une des dents diamétralement oppo  sées de la came d'encliquetage 550 entre en  contact avec le cliquet 560 de report d'ad  dition de l'ordre le plus élevé et déplace ce       cliquet    dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre     (fig.    61) pour     dégager     la patte 826 du prolongement du bas du bras  863 de remise en position, de manière à aban  donner ce bras à l'action de son ressort (non  figuré), similaire au ressort     844,

      qui     entraine     ce bras immédiatement dans le sens des       aiguilles    d'une montre     jusqu'à    ce que son  prolongement dirigé vers le haut entre en  contact avec la barre 566 de remise du re  port qui se trouve dans la position montrée  ici en pointillé.  



  Dans les opérations d'addition, la barre  566 de remise du report fonctionne confor  mément au temps indiqué sur la ligne 6     clu     tableau de la     fig.   <B>127</B> et, après due les cré  maillères     243   <B>(fi-</B>.     18B)    ont achevé leur  mouvement de retour en avant et que le tota  lisateur     NTo    1 ou de balance en a été débrayé,  la barre 566 est abandonnée à l'action du  ressort qui déplace immédiatement cette barre  dans le sens des aiguilles d'une montre  (fi-. 61) pour effectuer le report des chiffres  des dizaines de la dénomination inférieure  vers la dénomination supérieure de la ma-         nière    habituelle.

   Le mouvement de la barre  566 dans le sens des aiguilles d'une montre  permet au bras 863 de remise en position de  se déplacer simultanément avec lui, sur quoi  son prolongement du bas entre en contact  avec une patte repliée 827 de l'extrémité infé  rieure du bras 846, de manière à déplacer ce  bras et l'arbre de dépassement 847 dans le  sens des aiguilles d'une montre     (fig.    61) vers  la position normale pour ramener les cliquets  856 et 857 à la position active représentée.  



       Malgré    le déplacement des     cliquets    856 et  857 vers des positions inopérantes, comme  expliqué plus haut, les coulisses de commande  860 et 861 (fi-. 55 et 54) sont empêchées de  revenir en arrière, à moins - que le chariot ne  soit situé dans la position de la colonne cor  respondante ou à moins que la touche de ba  lance ou de     sous-balance    ne soit abaissée. Si  le chariot se trouve dans la colonne ou posi  tion de balance, la coulisse 860 de commande  de balance est libérée par le     mouv    eurent en  arrière et lorsque ledit chariot est situé dans  la position de la colonne de sous-balance, la  coulisse 861 de commande de sous-balance est  libérée pour le mouvement en arrière.  



  La patte repliée 858     (fig.    50 et 54) co  opère avec un     linguet    864 formé par un pro  longement antérieur du bras droit d'une  chape 865 montée librement sur la tige 762.  Un prolongement postérieur du bras droit de  la chape 865 porte un goujon 866 qui est si  tué au-dessous et coopère avec un bras 867,  monté librement sur la tige 713 et ayant un  goujon 868 maintenu en contact élastique  avec un épaulement d'un bras associé 869,  par un ressort<B>870</B> tendu entre ces bras.

   Le  bras 869 est fendu pour recevoir l'extrémité  gauche d'un levier 871 sélecteur (le balance  de dépassement     (fig.    57, 76,<B>96A</B> et 106) pi  votant sur la tige 719 et amené dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'une    montre  par l'un des ressorts correspondants     7-15,

      au  contact d'une butée     87\3    fixée sur une partie  repliée vers le haut de la plaque     7-17.    Le le  vier sélecteur 871 n'est pas un levier tâteur  et il ne coopère par conséquent pas avec la  traverse de la chape     734    comme le font les      leviers tâteurs 718 à 723     inclus    pour les     sit     totalisateurs et le levier     tâteur    de     sous-tota-          lisation    752.

   Mais il possède à la place un  prolongement replié vers le haut disposé pour  être actionné par un taquet correspondant  873     (fig.    76 et 106), monté sur le bloc de  commande 722 situé dans la colonne, ou posi  tion, de balance du chariot     (fig.    117).  



  Lorsque le chariot se déplace vers la co  lonne ou position de balance, le taquet 873  entre en contact avec le prolongement du  haut du     levier    871 et déplace ce levier dans  le sens des aiguilles d'une montre contre l'ac  tion du     ressort    745, ce levier déplaçant, à son  tour, les bras 869 et 867 dans le sens des  aiguilles d'une montre     (fig.    54), comme re  présenté, sur quoi ledit bras 867, en coopéra  tion avec le goujon 866, déplace la chape 865  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre,

   de manière à placer le     linguet     864 hors du trajet de la patte     repliée    858 et  à libérer la     coulisse    860 de commande de ba  lance de dépassement pour le mouvement en  arrière, dans le cas où le totalisateur de ba  lance se trouverait en condition de déplace  ment et où les     linguets    856 et 857     (fig.    61)  auraient été     mis    en position inopérante,  comme il a été expliqué précédemment.

   Le  levier 871     (fig.    76) possède     un    bec 874 dirigé  vers le bas     qui    coopère avec une fente cor  respondante de la plaque 747 pour éviter un  trop grand jeu latéral de ce levier.  



  Un prolongement vers le bas du bras  gauche de     la,    chape 865 est relié, de façon à  pouvoir pivoter, par une articulation 875       (fig.    50 et 55) à une plaque de commande  876, montée à     glissement    entre des galets       fixés    sur les axes 416     (fig.    53).

   Le mouve  ment de la chape 865 dans le sens contraire     .,     celui des     aiguilles    d'une montre, lorsque le  chariot se déplace vers la colonne de balance,  déplace la plaque de commande 876 en avant  à l'encontre de son ressort 877, de manière à  placer des épaulements de blocage 878 prévus  dans des     ouvertures    de cette plaque, au-des  sous des surfaces aplaties des goujons 413  des touches 375, 376 et 378, de façon à em  pêcher ces touches d'être abaissées lors des    opérations de balance du dépassement.

   Le  mouvement en avant de la plaque de com  mande 876 met des surfaces-cames 879, pra  tiquées dans des ouvertures de cette plaque,  en rapport de coopération avec les goujons  413 de la touche de soustraction 377 et de la  touche d'addition 380, de telle sorte que  l'abaissement d'une de ces touches ramène  cette plaque de commande 876 en arrière, de  façon à mettre le     linguet    864 sur le trajet de  la patte 858 (fi-. 54), afin d'empêcher  l'exécution d'une opération de balance dû dé  passement lorsque le chariot se trouve à la  colonne de balance et que     l'une    de ces tou  ches est abaissée.  



  Le mouvement en avant de la plaque de  commande 876 amène     une    partie     plus    large  d'une fente 880 de cette plaque coopérant  avec le goujon 413 de la touche de balance  379, en face de cet ergot, de telle sorte que  l'abaissement de la touche de balance n'a       aucun    effet sur cette plaque. Une encoche est  prévue dans la plaque de commande 876  pour le goujon 413 de la touche de     non-addi-          tion    374     (fig.    53), de telle sorte que le mou  vement de cette plaque n'a aucun effet sur  cette touche, et que l'abaissement de cette  touche n'a aucun effet également sur le mou  vement de ladite plaque.

   Il faut noter que le  mouvement en avant de la plaque de com  mande 876, dans les opérations de balance du  dépassement, bloque dans leurs positions non  abaissées toutes les touches de commande qui  sont intéressées par la sélection des totalisa  teurs autres que le totalisateur     N     1 ou de ba  lance. Il faut de même noter que, si l'une  quelconque de ces touches de commande est  abaissée, son goujon 413, en coopération avec  un prolongement vertical de l'épaulement  correspondant 878, interdit le mouvement en  avant de la plaque de commande<B>876</B> pour re  tenir cette plaque et le     linguet    864 dans la  position représentée, de manière à empêcher  le mouvement en arrière de la coulisse 860.  



  La coulisse 860 est pourvue     d'une    fente  881     (fig.    54 et 59) qui coopère avec le gou  jon 771 porté par le levier 772 et, lorsque le  goujon 461 s'écarte de la surface 773 de ce      levier, suivant le temps indiqué sur la ligne  12 du tableau de la     fig.    127, la coulisse 860  est abandonnée à l'action d'un ressort 882, le  quel, au cas où il y a     dépassement,    déplace  immédiatement cette     coulisse    en arrière.

   Le  mouvement de la coulisse 860 en arrière  amène son extrémité postérieure, en coopéra  tion avec un prolongement dirigé vers le bas  883     d'un    bras 881 monté librement sur la tige  762 et présentant à son extrémité supérieure  une encoche qui coopère avec un ergot 885 de  la chape<B>775,</B> à déplacer cette chape dans le  sens des     aiguilles    d'une montre     (fig.    50 et 54)  pour amener les     goujons    776, 777 et 778, por  tés par les bras de cette chape 775, à déplacer  les bras de     commande    pour le mécanisme de  commande de sous-totalisation et à amener les  mécanismes sélecteurs des totalisateurs Nos 1  et 5 respectivement aux positions inopérante  et de non-addition,

   ainsi qu'il a été     expliqué          précédemment.     



  Le mouvement de la coulisse 860 en arrière,  de la position indiquée sur la fi-. 54 en traits  pleins à la position indiquée en pointillé,  amène une fente 886 pratiquée dans cette  coulisse et coopérant avec le goujon 810 du  bras 839,à déplacer ce bras et son bras asso  cié 837 dans le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre, à l'encontre d'un res  sort 887 tendu entre ce bras 839 et un verrou  888 monté librement sur la tige 610.

   Le mou  vement des bras 839 et 837     dans    le sens indi  qué amène le goujon 836, en coopération avec  le     doigt        dirigé    vers le ha-Lit du verrou 585  pour le totalisateur No 1, à déplacer ce ver  rou dans le sens des     aibuilles        d'une    montre  de la position de soustraction     indiquée    ici en  traits pleins à la position     d'addition    indiquée  ici en lignes pointillées.

   Cela provoque     l'em-          bray        age    et le     débrayage        chi    totalisateur N o 1  ou de balance, pendant     la,    période d'addition;

    pendant ce temps,     comme    on se le rappellera  en se reportant aux     fij.        -15    et     5-1,    la barre       d'embrayage   <B>586,</B> dans son second mouve  ment, vient en contact avec la surface 689  pour déplacer le verrou 585 et l'articulation  5S0 en avant,     conforméincnt    au temps donné  sur la     li-ne    4 du tableau<B>de</B> la     fiZDg.   <B>127,

   de</B>    manière à embrayer les roues du totalisateur  de balance avec les crémaillères     \?-13    après  que ces crémaillères ont achevé leurs mouve  ments     initiaux    et restent au repos dans la po  sition     manoeuvrée    (voir aussi ligne 1 du ta  bleau de la fi,(,. 127).  



       Etant    donné que la coulisse 860     (fig.    51)  reste en position     manoeuv    rée jusque vers la  fin du fonctionnement de la machine, le     mou-          vement    d'embrayage du verrou 585 et de l'ar  ticulation 580 retirerait le doigt du haut de  ce verrou du goujon<B>836</B> et cela     permettrait     audit verrou de se poser sur la barre d'em  brayage 586. Cependant, le verrou 585 en  est empêché et est retenu en position d'addi  tion     grâce    au verrou 888 (fi-.     5-1)    rendu  opérant par le mouvement en arrière de la       coulisse    860.

   Le mouvement en arrière de la  coulisse 860 retire un bec 889 du verrou     SSS,     de façon à abandonner ce verrou à l'action  du ressort 887. Le ressort     S87    entraîne le  verrou 888 dans le     sens    contraire à celui     deï          aiguilles    d'une montre, de manière à amener  un épaulement de ce verrou à     engager    un  prolongement droit du goujon<B>608, lorsque</B>  la barre 609 est déplacée vers le bas par les  cames 619 et 620     (fig.    10 et ligne 5 du ta  bleau de la     fig.    127) et à bloquer cette<B>barre</B>  dans sa position abaissée.

   Cela amène 16 gou  jon 608, coopérant avec la surface supérieure  de la queue 600, à retenir le verrou 585 en  position d'addition lorsque son prolongement  du haut est retiré du goujon 836. Le mouve  ment de retour de la coulisse 860, vers la fin  du fonctionnement de la machine, amène le  bloc 889, ainsi qu'on v a     l'expliquer    mainte  nant, à     engaber    et à déplacer le verrou     çSS     clans le sens des aiguilles d'une     niontrc          (fig.        5-1),

      de façon à     dégager    l'épaulement     S90     du goujon 608 et à abandonner la barre 609  à l'action du ressort 615     (fig.    10 et     46);        ie     ressort ramène immédiatement cette     barre     vers le haut et ramène en     inêine    temps le  verrou     d'embrayage   <B>585</B> à la     position    nor  male, ou de soustraction,     eoninie    indiqué en  traits lignes sur la     fier.        5-l.     



  Le mouvement en arrière de la     coulisse     <B>860</B> lors des opérations de balance du dépaï-           sement    oblige -un goujon 891 (fi-. 52 et 54)  de cette coulisse, en coopération avec une  saillie dirigée vers le haut 892 clé l'articula  tion 783 pour le mécanisme de sélection et de  préparation du totalisateur No 5, à mettre  cette articulation et le bras 784 en position  de totalisation, pour extraire le totalisateur  No 5 et additionner simultanément son mon  tant dans le totalisateur No 1 ou de balance,  et remettre en même temps ce totalisateur de  balance à zéro.  



  L'emploi de la touche de balance 379       ,(fig.    53 et 54) pour le déclenchement d'une  opération de balance du     dépassement    amène  le goujon 413, lors de l'abaissement de cette  touche, en coopération avec la surface-came  880, à déplacer la plaque de commande<B>876</B>  en avant, ce qui, par l'intermédiaire de l'arti  culation 875, déplace la chape 865 dans le  sens contraire à celui des     aiguilles    d'une mon  tre, de manière à placer le     linguet    864 hors  du trajet de la patte repliée 858 de la cou  lisse 860 et à     libérer    cette coulisse pour le  fonctionnement, exactement de la même façon       qu'il    a été expliqué plus haut.  



  De même, l'abaissement de la touche de  balance 379 amène le goujon 413     (fig.    50 et  52), en coopération avec la     surface-came    818,  à déplacer la plaque de commande 759 en  arrière, de manière à mettre le     linguet    761  hors du trajet de l'articulation 764 et à libé  rer la chape 765 pour le mouvement dans le  sens des     aiguilles        d'une    montre sous l'action  du levier 772, comme il a été     expliqué    précé  demment.

   Le mouvement clé la chape 765  dans le sens des     aiguilles    d'une montre amène  sa traverse, en coopération avec la projection  .774, à déplacer la chape 775     simultanément.     Cela n'a cependant aucun effet sur les opé  rations de balance du dépassement, car le  mouvement de la coulisse 860 en arrière       (fig.    54) amène cette coulisse à engager le  prolongement 883 du bras 884 pour déplacer  la chape 775 dans le sens des aiguilles d'une  montre,

   de manière à provoquer le déplace  ment des bras de commande pour les totali  sateurs Nos 1 et 5 vers la position de     non-          addition    et à provoquer le     déplacement        du       bras de commande pour la coulisse de com  mande 519 de     sous-totalisation        (fig.    44) et  du levier de commande associé 665, hors du  trajet de l'extrémité supérieure en forme clé  crochet de ce levier, de telle sorte que ladite  coulisse 519 peut se déplacer en avant de  toute sa course jusqu'à ce     que    la saillie 666  se place au-dessus du doigt 667,

   de manière à  rendre le mécanisme de verrouillage<B>polir</B> les  barres 609     (fig.    46) inopérant dans les opé  rations de balance du dépassement.  



  Le goujon 891 (fi-. 52 et 57), en coopéra  tion avec une saillie d'une articulation pour  le totalisateur No 2 (similaire à l'articula  tion 783 pour le totalisateur No 5), retient       un    bras de commande 881     (fig.    57) pour ce  totalisateur en position de soustraction, et  provoque la soustraction du montant du dé  passement du totalisateur No 2 en     vue    de  corriger le total des nouvelles balances qui y  sont accumulées.  



  Dans les opérations de balance du dépas  sement déclenchées soit par le chariot, soit  par l'abaissement de la touche de balance  379, le totalisateur No 6 ou totalisateur  compteur des postes et les totalisateurs  Nos 3 et 4 ne sont pas additionnés.  



  On conçoit d'après la description ci-des  sus que la présente machine est construite de  telle façon qu'on peut obtenir une lecture po  sitive du dépassement en un seul cycle d'opé  ration de la machine par l'emploi d'un tota  lisateur de dépassement qui est toujours com  plémentaire du totalisateur de balance et que,  lorsque le totalisateur de balance est dépassé,  le mécanisme entre automatiquement en  action pour commander les totalisateurs de  balance et de dépassement, de manière à sé  lectionner le totalisateur de dépassement, qui  contient maintenant un enregistrement posi  tif du dépassement, pour une opération de  totalisation ou d'extraction et à sélectionner       simultanément    le totalisateur No 1 ou de ba  lance, pour une opération d'addition,

   de sorte  que le montant extrait du totalisateur de dé  passement soit additionné dans le     totalisateur     de balance pour mettre en même temps ce to  talisateur de balance à zéro.           Opérations   <I>de</I>     sous-balance   <I>de dépassement.</I>  Lorsque le chariot 136 se déplace vers la  position de colonne de     sous-balance,    un taquet  de sous-balance 893     (fig.    106) vient en con  tact avec un prolongement du haut d'un le  vier sélecteur de     sous-balance    894 et déplace  ce levier dans le     sens    des aiguilles     d'une    mon  tre     (fiô.    76);

   ce levier est sous tous les rap  ports similaire au     levier    sélecteur<B>dé</B> balance  <B>871.</B> Le     levier    894 a sur son extrémité gauche  une partie arrondie qui s'engage     dans    la  fente d'un bras 895     (fig.    55, 57 et 76) relié       élastiquement    à un bras associé 896 par     un     ressort<B>897.</B> Le mouvement du     levier    894 dans  le sens des aiguilles d'une montre déplace les  bras 895 et 896 dans le sens des aiguilles       d'nnne    montre     (fig.    55) et ce mouvement du  bras 896 amène un prolongement avant de ce  bras,

   en coopération avec un goujon 898       prévue.    sur le prolongement arrière     d'une     chape 899 montée     librement    sur la tige 762, à  déplacer cette chape dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre, pour mettre       un        linguet    900 du bras droit de la chape hors  du trajet de la patte repliée 859 de la     cou-          li@se    861 et pour permettre le     mouvement    de  cette coulisse en arrière dans des opérations  de sous-balance du dépassement, après que les       lina    sets de dépassement 856 et 857     (fig.    61)

    ont été placés dans des positions inopérantes  sous l'action du mécanisme représenté sur le  dessin et expliqué     précédemment.     



  Le mouvement de la chape 899 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre     (fig.    50 et 53), par l'intermédiaire d'une  articulation 901 qui relie à pivotement     tin     prolongement du bas de cette chape à un  prolongement du haut d'une plaque de blo  cage 902 pareille à la plaque 876, déplace  cette plaque 902 en avant à l'encontre de son  ressort, de manière à amener des épaulements  de blocage formés dans des ouvertures de  cette plaque, coopérant avec des goujons 413  des touches de commande<B>Ô75,</B>     â76    et<B>379,

  </B> à  bloquer ces touches contre l'abaissement pen  dant les opérations de     sous-balance    du dépas  sement déclenchées par le     chariot    136 lors  qu'il se trouve à la     colonne    (le     sous-balance.       Il faut noter que la touche de sous-balance  378 n'est, dans ce cas, pas bloquée contre  l'abaissement et que des surfaces-cames sont  prévues, similaires à la surface-came 879,  pour les goujons de la touche de soustraction  377 et la touche d'addition<B>380,</B> cames qui,  lors de l'abaissement d'une de ces touches, dé  placent la plaque 902 en arrière pour rame  ner le     linguet    900 sur le trajet de la patte  <B>859,

  </B> de manière à annuler une opération de       sous-balance    de dépassement et à provoquer  la sélection du totalisateur No 1 ou de ba  lance, pour l'opération représentée par la tou  che de commande abaissée 377 ou 380 de pré  férence à cette opération de sous-balance de  dépassement.  



  Un ressort 905     entraîne    la coulisse 861       (fig.    53, 55 et 59) en arrière pour maintenir  le bord antérieur d'une fente 904 pratiquée  dans cette coulisse normalement en contact  élastique avec le goujon 771 du levier 772.  En conséquence, le mouvement du     linguet    900  vers la position inopérante abandonne la cou  lisse .861 à la commande de ce levier<B>772</B> et  de la came 462 pour provoquer le     fonction-          nenient    de cette coulisse, conformément au  temps donné sur la ligne 12 du tableau de la       fig.    127,

   exactement de la manière qui a été  expliquée pour la coulisse 860 de balance du       dépassement        (fig.    54).  



  Le mouvement initial de la coulisse S61       (fig.    55) de la position indiquée en traits  pleins vers la position marquée en pointillé,  amène son extrémité postérieure, en coopéra  tion avec le prolongement du bas du bras     8S4,     à déplacer la chape 775 dans le sens  < les  aiguilles d'une montre, de manière à provo  quer le déplacement des bras de commande  709 et 784     (fig.    52 et 53) pour les totalisa  teurs Nos 1 et 5 vers les positions de     non-          addition    et à retirer le bras 756 de commande  de sous-totalisation hors     dit    trajet de l'extré  mité supérieure en forme de crochet du levier  665     (fig.    44)

   de commande (le     sous-totalisa-          tion.    Le     mouvement    vers l'arrière<B>(le</B> la cou  lisse de     sous-balance   <B>861</B>     (fig.    55), sous l'ac  tion du ressort 905, amène une fente 906 (le  cette coulisse, en coopération     avec    le goujon      840,à déplacer les bras 837 et 839 vers la  position indiquée en pointillé.

   Le mouvement  du bras 837 amène son goujon 836, en coopé  ration avec le prolongement du haut du ver  rou 585     d'embrayage    No 1, à placer ce verrou  dans la position de non-addition, comme indi  qué en pointillé en     fim.    55, provoquant la     non-          addition    du totalisateur No 1 ou de balance,  dans les opérations de sous-balance du dépas  sement.

   Le mouvement en arrière de la cou  lisse     (fig.    52 et 53) amène un goujon 907,  porté par cette     coulisse    et coopérant avec une  saillie 908 de l'articulation 783, à intercepter  le mouvement de cette articulation et du bras  784 à la position de     non-addition    et à placer  cette articulation et ce bras dans la position  de totalisation.

   De même, le mouvement en  arrière de la coulisse 861 amène le goujon  907, coopérant avec la saillie du bras 754  (fie. 57) pour le bras 756 de     sous-totalisation,     à intercepter le     mouvement    de cette articula  tion et     il    amène ce bras vers la position ino  pérante et le situe dans la position où il em  pêchera le     mouvement    du levier 665 de com  mande de     sous-totalisation    et de la coulisse  519 de commande de sous-totalisation, afin de  retenir la saillie 666 hors du trajet du doigt  667, et à faire entrer en action le mécanisme  représenté sur la     fig.    46 et expliqué précé  demment,

   en vue de bloquer la barre 609 de  commande de sous-totalisation     (fig.    48 et 58)  pour le totalisateur No 5 dans la position du  bas, et à provoquer la sous-totalisation du to  talisateur No 5 de la manière expliquée pour  le     totalisateur    No 1 ou de balance.

      Il ressort de ce<B>qui</B> précède que, dans des  opérations de sous-balance du dépassement  déclenchées par le chariot lorsqu'il est placé  à la     colonne    de     sous-balance,    le     totalisateur     No 5 ou totalisateur de dépassement est     sous-          totalisé,    le totalisateur No 1 ou de balance est  non additionné et que, dans la disposition  présente de la machine, les     totalisateurs    Nos 2,  3, 4 et 6 sont également non additionnés.  



  Le déclenchement d'une opération de     sous-          balance    du dépassement par abaissement de  la touche de     sous-balance    378 (fi-.<B>3</B> et<B>53)</B>    amène son goujon 413, coopérant avec une       surface        -came        909        pratiquée        dans        une        ouver-          ture    de la plaque de commande 902 (fi-.

   50),  à déplacer cette plaque en avant, de manière  à placer le     linguet    900     (fig.    53 et 55) hors du  trajet de la patte 859 de la coulisse 861 et à  libérer cette coulisse pour le mouvement vers  l'arrière sous l'action du ressort 905 et du  goujon 771, lorsque les     linguets    856 et 857       (fig.    61) ont été placés dans une position  inopérante par l'inscription dépassement dans  le totalisateur No 1 ou de balance.  



  Le mouvement en arrière de la     côulisse     561 agit exactement de la même manière que  celle expliquée plus haut pour provoquer la  non-addition du totalisateur     No    1 ou de ba  lance et la     sous-totalisation    du totalisateur       No    5 ou de dépassement et, en outre, le gou  jon carré 623     (fig.    39) de la touche de     sous-          balance    378, coopérant avec la saillie 701 de  la coulisse de, commande 518,     provoque    la  sous-totalisation du totalisateur No 6 ou tota  lisateur compteur des postes.

   Dans les opé  rations de     sous-balance    du dépassement dé  clenchées par l'abaissement de la touche de  sous-balance 378, les totalisateurs Nos 2, 3 et  4 sont, comme auparavant, non additionnés.  



  En se reportant à la fi-. 61, on constatera  qu'en     plus    du bras 863 de remise en position  de dépassement et du bras associé 846 pour  ramener les     linguets    856 et 857 à la position  active ou de blocage, comme représenté lors  que le totalisateur de balance passe d'une  condition de dépassement à une position   plus  ou positive, on a     prévu    un mécanisme  pour la remise en position de ces     linguets     dans les opérations de balance du dépasse  ment. Le mouvement en arrière de la coulisse  860 dans les opérations de balance du dé  passement amène son goujon 910, coopérant  avec un prolongement vers le bas du bras 852,  à déplacer ce bras dans le sens des aiguilles  d'une montre vers la position normale.

   Le  ressort 855, entre ce bras et les     linguets    856  et 857, permet à ce     linguet    856 de demeurer  sur la patte 859 de la coulisse 860 jusqu'au  retour vers l'avant de cette coulisse, sur quoi  ce ressort 855 ramène ce     lingnet    et son lin-      guet associé 857 à la position active repré  sentée.  



  Vers la fin     d'une    opération de     sous-          balance    du dépassement, le galet 813     (fig.    59),  coopérant avec la surface<B>773,</B> ramène en  avant le     levier   <B>772</B> et les coulisses 860 et 861  vers leurs positions normales représentées, et  lorsque ce galet passe au-delà de la surface  773, le goujon 461 vient au contact de cette  surface pour retenir le levier et ces coulisses  en positions normales.  



       Impression   <I>des</I>     symboles.     



  On a     prévu    des mécanismes fonctionnant       sous    la commande des touches de correction  369, 370 et 371     (fig.    3) et des touches de  commande 374 à 380 incluse pour l'impres  sion des caractères à droite des montants     aux     fins d'identification du genre -d'opération  effectuée.

   Les coulisses de commande 513 à  519     incluse        (fig.    47) portent des saillies qui  coopèrent avec deux chapes     tâteuses    qui sont,  à leur tour, reliées à des     porte-caraetères    cor  respondants pour disposer ces     porte-carac-          tères    conformément à la position desdites cou  lisses de commande et pour provoquer l'im  pression sur le matériel d'enregistrement des       symboles    d'identification caractéristiques . du  genre d'opération     exécutée.     



  Les deux     porte-symboles    914 et 915       (fig.    65 et 70) pour les touches de correction  et de commande sont situés l'un près de l'au  tre à     l'extrémité    droite du mécanisme impri  meur et ces porte-symboles sont montés et       fonctionnent    exactement de la manière expli  quée     précédemment    pour les porte-caractères       numéraux    275 (fil.     18A).     



  Le     porte-symboles    914 porte deux goujons  916 qui coopèrent avec une fente de     guidage     917 pratiquée dans une plaque 918 montée à  l'aide des tiges 278 et 279 dans le châssis mo  bile 281 (fia. 21), en     vue    (le déplacer ces       porte-symboles    vers la ou de la position d'im  pression de la manière expliquée plus haut.  Le     porte-symboles        91-1    est pourvu d'une fente  919 à travers laquelle passe un goujon 920  d'un bras 921, monté librement sur la tige  278.

   Le bras 921 est relié par une articulation    922 à un goujon 923 fixé sur le bras réduc  teur d'un segment 924, monté librement sur  l'arbre 250, et possédant un prolongement  925 dirigé vers le bas et     pourvu    de dents       d'alignement    qui coopèrent avec la barre  d'alignement 268     (fig.    184), de manière à  aligner en position le     porte-symboles        91-1,    de  façon semblable à celle expliquée pour le  porte-caractère numéral<B>275.</B> Une articulation  à pivot 926 relie le goujon 923 au prolonge  ment antérieur     d'une    chape 927,

   qui est mon  tée librement sur un axe<B>928</B> supporté par       tune    console 929 fixée sur le socle 132 de la  machine. Un prolongement vers le liant de la  chape 927 porte un goujon 930 qui s'engage  dans une fente 931 pratiquée dans l'extré  mité     postérieure    dune articulation 932 dont  l'extrémité antérieure pivote sur une mani  velle 933, montée librement sur un arbre     93-1          tourillonnant    dans le châssis de droite 130  et dans un prolongement du haut du châssis  482     (fig.    31B).

   Un boulon 935 relie de façon  réglable la manivelle 933 au bras d'une chape  936     (fig.    65 et 66) montée librement sur l'ar  bre 934 et munie d'un moyeu     9ô7    fixé sur son  bras gauche; ce moyeu passe au travers d'un  trou du châssis gauche 131 et a une entaille  d'accouplement qui reçoit des tenons corres  pondants d'un moyeu 938, filé au bras droit  d'une grande chape de commande 939, mon  tée librement sur l'arbre     93-1.    La chape 939  a sur sa traverse     tin    bord arrondi     9-10        (fig.    46,  65, 66 et 67) qui coopère avec des prolonge  ments 941 et     9-12    dirigés vers le bas de la cou  lisse de commande 513 et avec des prolonge  ments 943,

   944, 945 et     9.16    des coulisses de  commande 514, 515, 516 et 517 pour les to  talisateurs     Nos    2 à 5 inclus. Le bras droit de  la chape 939     (fig.    65 et 66) est pourvu d'une  fente courbe     9-17    qui coopère avec tut     goujon          9.18    fixé sur l'une (les     extrémités    d'une arti  culation     9-19    dont l'autre     extrémité    est fendue  pour recevoir un     goujon    950 d'un levier 951.  monté librement sur l'arbre 208.

   Le levier<B>951</B>  porte un goujon 952 qui     s'en@,a@,e        clans    une  fente prévue à     l'extrémité        -.intérieure        (l'uït     levier 953, monté librement sur un axe 954  fixé sur le     chfissis    gauche l31; ce levier      porte un galet 955 qui coopère avec la péri  phérie d'une came plate 956, calée sur l'ar  bre principal 216 et fonctionnant, conformé  ment au temps indiqué à la ligne 13 du ta  bleau dé la     fig.    127, pour actionner les leviers  953 et 951.

   Un ressort 957 entraîne le bras  933 et les chapes 936 et 939 dans le sens des  aiguilles d'une montre ce qui, grue à l'arti  culation 949 et au     levier    951,     entraîne    le  levier 953 clans le sens contraire à celui des       aiguilles        d'iuie    montre pour maintenir     nor-          nialement    le galet 955 en contact avec la péri  phérie de la came 956. Un ressort 958     (fig.    65)  tendu entre un bras de la chape 927 dirigé  vers le bas et l'articulation 932 et coopérant  avec la fente 931, forme une liaison élastique  entre cette chape et cette articulation.  



  Le     porte-symboles    915     (fig.    65 et 66),  monté dans le châssis mobile de     l'imprimeur     de manière     analoâue    au porte-symboles 914,  est relié par un mécanisme semblable à une  articulation 959, semblable à l'articulation  932;

   l'extrémité antérieure de cette articula  tion 959 est reliée à une manivelle 960, mon  tée librement sir l'arbre 934 et reliée de fa  çon réglable par     un    boulon 961 à une mani  velle 962 fixée sur l'arbre 934. - Sur l'arbre  934 est fixée également, à l'intérieur des bras  de la chape 939, une petite chape de     corn-          mande    963 ayant sur sa traverse un bord  arrondi     96-1    qui coopère avec trois saillies  analogues dirigées vers le bas 965, 966 et 967       (fig.    46 et 68) des coulisses de     commande     514, 515 et 516 pour les totalisateurs Nos 2,  3 et 4;

   ce bord arrondi 964 coopère également  avec une saillie 968, dirigée vers le bas de la  coulisse de commande de     sous-totalisation    519.  Le bras droit de la chape 963     (fig.    65 et 66)  est     pourvu    d'une fente courbe 969, analogue  à la fente 947, et qui reçoit le goujon 948 de  façon à     réaliser        une        liaison    de fonctionne  ment entre la came 956 et cette chape 963,  tout comme entre cette came et la chape 939.  



  Le porte-symboles 914     (fig.    65 et 66) a six  barres à caractères 972, lesquelles, en partant  de la barre à caractère du haut, portent les  caractéristiques      D     pour dépassement, un  astérisque     (*)    pour désigner des opérations    de balance et de sous-balance,  2 ,      8,,,>    et  4   pour désigner les totalisateurs correspondants  dans les opérations d'enregistrement des     sous-          totaux    et des totaux et dans les opérations de  correction et      NC     pour la touche      Non-Dé-          compte     371.

   Le porte-symboles 915 supporte  également six barres à caractères 973, lesquel  les, en partant de la barre à caractère du  hart, portent les     désignations    suivantes: un       symbole    de numéro (#) pour désigner 'les       opérations    de non-addition, un symbole de       sous-total    (S), un signe  plus      f    pour dé  signer une opération d'addition dans le tota  lisateur No 1, un symbole de totalisation (T),  un  C  pour désigner la touche de correction  370     (fig.    3) et     im    signe de multiplication     (j < )     pour désigner les Nos 2, 3 et 4 des touches de  correction 369,

   lorsque ces touches de correc  tion ne sont pas employées conjointement  avec la touche de correction 370.  



  Indépendamment de ce que la position de  la petite chape 963     (fig.    65 et 68) est com  mandée par des saillies du bas de coulisses de  commande, sa position est commandée égale  ment par un bras de commande 974     (fig.    62)  pourvu des quatre crans correspondant, ainsi  qu'il a été indiqué: au symbole de     non-addi-          tion    (#), au symbole     (;-),    au symbole  C   et au symbole de signe de multiplication (X)  du porte-symboles 915, ces crans coopérant  avec le bord supérieur arrondi 964 de cette  chape 963.

   Le bras 974 est fixé sur un arbre  975 qui tourillonne dans les plaques 398       (fig.        3113,    47 et 63); ledit bras porte un gou  jon 976 qui s'engage dans une fente prati  quée dans l'extrémité antérieure d'une cou  lisse 977,     pourvue    de fentes parallèles qui re  çoivent des goujons 978 et 979 fixés à la pla  que 398 en vue de supporter cette     coulisse   <B>977</B>  dans son déplacement horizontal. La coulisse  977 porte à son extrémité     postérieure    -une       saillie    en forme de crochet avec une surface  verticale 980 coopérant avec un galet 981 sup  porté par un bras de la chape 603 dirigé vers  le bas     (fig.    44).  



  La coulisse 977 est     pourvue    d'une encoche  verticale 982 qui coïncide normalement avec  une encoche semblable dans une coulisse asso-           ciée,    ou auxiliaire,     9$3   <B>(fi,.</B> 62 et 63) montée  pour déplacement horizontal à l'aide des  fentes horizontales dont elle est pourvue, co  opérant avec les goujons 978 et 979, exacte  ment de la même manière que la coulisse 977.  Les encoches verticales 982 dans les coulisses  977 et 983 coopèrent avec un goujon 984 fixé  sur     l'extrémité    inférieure d'une articulation  985 dont l'extrémité supérieure pivote sur un  bras 986 fixé à la touche de correction 370.

    Une partie verticale de guidage de l'extré  mité antérieure du bras 986 coopère avec une  rainure annulaire d'un goujon 987 fixé sur la  plaque 398     (fig.    31B et 62) pour empêcher  un jeu latéral excessif de ce bras 986.  



       Sur        l'extrémité    gauche de l'arbre 975       (fig.    31B) est fixé un bras 988 dont le pro  longement antérieur coopère avec     uni    tenon  989 du goujon 625     (fig.    44) de la touche  d'addition 380.

   Une partie dirigée vers le bas  du bras 988 pivote sur l'extrémité antérieure  d'une bielle 990 dont     l'extrémité    postérieure  est fendue pour recevoir un goujon 991 fixé  sur la plaque 399; cette bielle possède un pro  longement dirigé vers le haut avec une sur  face verticale 992 qui coopère avec un goujon  993 fixé à l'extrémité inférieure de la touche  de non-addition     37-1.    Un ressort 994, tendu  entre le prolongement vers le bas du bras 988  et un goujon de la plaque 399, entraîne ce  bras, l'arbre 975 et le bras à crans 974       (fig.    62) dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre;

   ce bras, grâce au gou  jon 976,     entraîne    la coulisse 977 en avant de  façon à maintenir la surface 980 en contact  souple avec le galet 981. Les touches de cor  rection 369 Nos 2, 3 et 4     (fig.    62) portent  respectivement des goujons 995, 996 et 997  qui' coopèrent avec des surfaces verticales cor  respondantes 998, 999 et 1000 formées sur la  coulisse<B>977</B> et avec des surfaces verticales  correspondantes 1001, 100? et 1003 de la cou  lisse auxiliaire 983.  



  L'abaissement d'une des touches de cor  rection 369     (fig.    46 et 6?)     amène    leurs gou  jons 995, 996 ou 997, coopérant avec les sur  faces correspondantes 998, 999 ou 1000<B>de</B> la  coulisse<B>977,</B> sous l'action de la bride 603    (ligne 10,     fig.    127) à donner au bras 974 une  position telle que le cran correspondant au       symbole    de multiplication     (X)    se trouve en  face du bord 964 de la chape 963.

   La came  956     (fig.    62, 65 et 66) actionne les leviers 953  et 951 suivant le temps indiqué à la     ligne    13  du tableau de la fi-. 127, de manière à dépla  cer les chapes 939 et 963 d'abord dans le sens  des aiguilles d'une montre, de telle sorte que  les bords supérieurs arrondis 940 et     96-1    des  traverses de ces chapes tâtent les saillies des  coulisses de commande et que ce bord 964  tâte également le cran du bras 974.

   Lorsque  le     bord    964 de la chape 963 entre en contact  élastique avec le cran du levier 974 corres  pondant au signe de multiplication, le mouve  ment ultérieur de cette chape est interrompu  et place, par le mécanisme représenté sur les       fig.    65 et 66, le     porte-symboles    915 dans     tune     position telle que la barre à caractère<B>97â</B> se  trouve en face de la ligne d'impression où,  sous l'action des marteaux d'impression, le  symbole de multiplication     (X)    s'imprime en  face du montant pour désigner ce montant  comme poste de correction.  



  On se rappelle, en se reportant à la     fig.    42,  que la touche de correction 370 s'emploie con  jointement avec les touches de correction 369  Nos 2, 3 et 4 lorsqu'on désire la non-addition  des totalisateurs Nos 1, 5 et 6, de telle sorte  que seul le totalisateur correspondant à la  touche de correction soit sélectionné pour la  correction.  



  En se référant à la     fig.    63, il faut noter  que le goujon 984 de l'extrémité inférieure de  l'articulation 985 se trouve dans sa position  normale du haut lorsque la touche (le correc  tion<B>370</B> n'est pas abaissée et que, lorsqu'il  se trouve dans cette position, il est en face  d'une partie ouverte de l'encoche verticale 982  de la coulisse 983 et que, par conséquent, le  mouvement de la coulisse<B>977</B> vers l'arrière  n'a     aucun    effet sur la coulisse auxiliaire 983.

    L'abaissement de la touche de correction 370  fait descendre le     goujon        98-1    dans une partie  formée (le l'encoche et de la coulisse 983, (le  manière à relier cette coulisse à la coulisse  principale<B>977</B> en vue (le     leur        mouvement    si-           multané    sous l'action de la chape 603.

   Lors  que deux coulisses sont     ainsi    reliées, les sur  faces verticales 1001, 1002 et 1003 de la cou  lisse auxiliaire 983 (ces surfaces sont légère  ment en avant des surfaces correspondantes  de la coulisse principale 977) entrent en con  tact avec les goujons 995, 996 et 997 de la  touche de correction 369     abaissée,    par suite  du mouvement vers l'avant de ces coulisses       c77,    en plaçant le bras 974 de telle sorte que  le cran correspondant au symbole  C  se  trouve sur le trajet du bord arrondi 964 de  la chape 963.

       L'actionnement    de la chape 963  par le mécanisme représenté sur les     fig.    65  et 66 fait entrer le bord 964 en contact avec  le cran du bras 974 qui correspond au sym  bole  C , pour placer le porte-symboles 915 de  telle sorte que la barre à caractère 973 cor  respondant au symbole  C  se trouve en face  de la ligne d'impression et que ce symbole  soit imprimé en face du montant pour dési  gner ce genre d'opération de correction.  



  L'abaissement de la touche d'addition 380       (fig.    31B) amène le goujon 989, coopérant  avec le prolongement avant du bras 988, â  placer le bras 974     (fig.    62) de telle sorte que  le cran correspondant au symbole  plus      f     se trouve en face du bord 964, sur quoi la  chape 963 place, pendant l'opération de la  machine, le porte-symboles 915     (fig.    65, 66 et  68) dans une position telle que la barre à ca  ractère 973 portant le symbole  plus  se  trouve en face de la ligne d'impression et que  le fonctionnement des marteaux     d'impression     fasse enregistrer le signe     d'addition        (-(-)

      en  face du montant pour désigner une opération  d'addition du     totalisateur    No 1 ou de balance.  



  L'abaissement de la touche de     non-addi-          tion    374     (fig.    31B) amène le goujon 993, co  opérant avec la surface verticale 992 du pro  longement de la bielle 990, à empêcher le  mouvement en avant de cette bielle 990 ainsi  que le mouvement dans le sens contraire à       celui    des aiguilles d'une montre du bras 988  sous l'action du ressort 994, de     manière    à  maintenir le cran le     phis    élevé du bras 974  sur le trajet du bord 964, comme montré sur  la     fig.    62, et à placer le porte-symboles 915         (fig.    65 et 68)

   de telle sorte que la barre à  caractère 973 du haut se trouve en face de la  ligne d'impression et que le symbole de     non-          addition    (#) soit enregistré pour désigner les  opérations de non-addition.  



  Si aucune des touches de correction 369  et 370, d'addition 380 et de non-addition 374  n'est abaissée, la coulisse 977 (fit. 62) peut  se déplacer en avant de toute sa course sous  l'action du ressort 994 de façon à placer tous  les crans d'ajustage du bras 974 au-delà du  bord 964 de la chape 963, de telle sorte 'que  ces crans n'ont, dans ce cas, aucun effet sur  la mise en position de la chape 963.  



  Tandis qu'il doit être entendu que la tou  che de correction<B>370</B>     (fig.    62) est supposée  n'être employée que conjointement avec les  touches de correction 369, il faut entendre  également que l'abaissement de cette touche  370 seule, tout en amenant le goujon 984 à  coupler les coulisses 977 et 983, n'a cependant  aucun effet sur la mise en position de cette  coulisse 977 et du bras 974 qui, dans ce cas,  peuvent encore se déplacer en avant de toute  leur course ou dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre, de sorte que tous  les crans se trouvent au-delà du bord 964 de  la chape 963.  



  La touche      Non-Décompte     371     (fig.    62)  porte sur son extrémité inférieure un goujon  1004 qui s'engage dans une encoche d'un     lin-          guet    1005, monté librement sur le goujon 978  et qui, sur abaissement de cette touche, amène  l'extrémité     inférieure    de ce     linguet    sur le tra  jet du bord 940 de la grande chape 939.

   Pen  dant le fonctionnement de la     machine,    le     lin-          guet    1005, en coopération avec le bord  arrondi 940, intercepte le mouvement de la  chape 939 dans le sens des aiguilles d'une  montre pour placer le porte-symboles 914       (fig.    67) de telle sorte que la barre à carac  tère 972 du bas se trouve en face de la ligne  d'impression pour provoquer l'impression du  symbole      Non-Décompte    <I>(NC)</I> sur le maté  riel d'enregistrement. La façon dont l'abais  sement de la touche      IN'on-Décompte     371 met  hors d'action le comptage automatique des  postes sera expliquée     phis    loin.

        Lorsque le totalisateur 1 o 1 ou de balance  est sélectionné et préparé soit pour     une    opé  ration de totalisation, soit pour une opération  de     sous-totalisation    par disposition de la cou  lisse de commande 513     (fig.    46, 65, 66 et 67),  de la manière     expliquée   <B>plus</B> haut, le prolon  gement 911 de cette coulisse est situé en face  du bord arrondi 910 de la grande chape 939  et termine, pendant le     fonctionnemenï,    de la  machine, le mouvement dans le sens des       aiguilles    d'une montre, ou de tâtonnement de  cette chape,

   en vue de placer le     porte-symboles          91.1    de telle sorte que la barre à caractère  972 portant l'astérisque     (e),    ou symbole de  balance et de     sous-balance,    soit en position  d'impression. Dans les opérations de sous  balance, la coulisse 519 de     sous-totalisation          (fig.    44 et 68) est placée de telle façon que  sa saillie 968 se trouve sur le trajet du bord  961 de la chape 963 et termine le mouvement  de cette chape dans le sens des aiguilles d'une  montre pour mettre le porte-symboles 915  dans une position telle que la barre à carac  tère qui porte le symbole de sous-totalisation  (S) se trouve en face de la ligne d'impres  sion.  



  On se rappelle que, dans les opérations de  balance et de     sous-balanee    du dépassement,  c'est le totalisateur     17o    5 ou de dépassement  qui est     totalisé        et/ou        sous-totalisé    au lieu du  totalisateur \o 1 et que, dans ce cas, la cou  lisse de commande 517 (fi-.

   67) est disposée  de telle façon que sa saillie 916 se trouve en  face du bord 910 de la chape 939 pour ter  miner le mouvement de cette chape dans le  sens des     ai-uilles    d'une montre, et placer le       porte-symboles        91-1    de telle sorte que la barre  à caractère<B>972</B> du haut se trouve en face  de la ligne d'impression pour enregistrer le       symbole    de dépassement      0D     immédiate  ment à droite de l'enregistrement du montant.

    Dans les opérations de     sous-balance    ou dépas  sement, tout comme dans celle     d'une        sous-          balance    ordinaire, la coulisse 519 de com  mande de sous-totalisation est placée de telle  ,sorte que la saillie 968 se trouve sur le trajet  du bord 964 de la chape<B>96'</B> pour placer le       porte-symboles    915 dans une position où le    symbole de     sous-totalisation        (.S')    soit enregis  tré immédiatement à droite du montant.

      Lorsque le totalisateur \o 1 ou de ba  lance est     sélectionné    pour une opération d'ad  dition au moyen de la touche d'addition<B>380,</B>  le bras 974     (fig.    62 et 68) est placé, comme il  a été expliqué     plus    haut, de façon à terminer  le mouvement dans le sens des aiguilles d'une  montre de la chape 963 lorsque le     symbole     d'addition     (-f-)    du     porte-symboles    915 se  trouve en face de la ligne d'impression et à  enregistrer ce symbole en face du montant.

    De même, lorsque le totalisateur     11o    1 est sé  lectionné pour une opération de     non-addition     à l'aide de la touche de non-addition 374       (fig.    31B), le bras 971     (fig.    62) est retenu  dans la position représentée pour amener la  chape 963 à placer le     porte-symboles    915 de  telle sorte que la barre à caractère 973 du  haut se trouve en face de la     li;ne    d'impres  sion et provoque l'impression du symbole de  non-addition (#) sur le matériel d'enregis  trement.

      On se rappelle que les touches de correc  tion 369 Nos 2, 3 et 4 sélectionnent les totali  sateurs correspondants pour -une opération de  soustraction et que les goujons de ces touches,  en coopération avec des saillies correspondan  tes sur les coulisses de     commande        51-1,    515 et  516 (fi-.

   46 et<B>67),</B> situent la coulisse corres  pondante dans la position de soustraction,  de telle sorte que la saillie correspondante  913, 911 ou 915 se trouve sur le trajet du  bord 940 de la chape 939 et termine le mou  vement de cette chape dans le sens des aiguil  les d'une montre, de manière à déterminer la  position du     porte-symboles    914 pour que la  barre à caractère 972 correspondante pour le  totalisateur     N     2, 3 ou 4, selon le totalisateur  sélectionné, soit située en face de la ligue  d'impression et réalise l'impression du     sym-          bole    d'identification     correspondant    à côté du  montant.

   De même, lorsque le totalisateur  No 2, 3 ou 4 est. sélectionné pour une opéra  tion     d'enregistrement    du total, par les     tou-          elies    correspondantes de totalisation     3î6    \   3     out    4 (fi-. 3), la coulisse correspondante           51-1,   <B>515</B>     olt    516 (fi-. 67) est située de tell:

    sorte que la saillie correspondante 943,     9-1-1     ou 945 se trouve sur le trajet du bord 940  de la chape 939, de façon à terminer le mou  vement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre de cette chape et à déterminer la posi  tion du     porte-sy        mboles        91-1,   <B>de</B> sorte que le  symbole d'identification approprié 2, 3 ou 4  soit imprimé sur le matériel     d'enregistrement.     Il est évident, d'après ce qui précède,     que    les  saillies 943, 944 et<B>9-15</B>     (fig.    46 et<B>-17)</B> sur les  coulisses 514,

   515 et 516 sont assez larges  pour coopérer avec le bord 940 de la chape  939 si le totalisateur correspondant est sélec  tionné soit pour une opération de soustrac  tion, soit pour une opération de totalisation.  



  On se rappelle que, dans les opérations de  sous-totalisation, la coulisse 514, 515 ou 516       (fig.    67), correspondant au totalisateur sé  lectionné N  2, 3 ou 4, est également située  exactement comme dans les opérations de to  talisation, la seule différence consistant en ce  que la coulisse de sous-totalisation 519 est dis  posée de manière à réaliser l'embrayage et le       débrayage    du totalisateur sélectionné avec les  crémaillères, lors du temps de     sous-totalisa-          tion,    au lieu du temps de totalisation.

   Lors  que la coulisse de sous-totalisation 519 est  mise en position par l'abaissement de la tou  che 375 de sous-totalisation, la saillie 968       (fig.    44 et 68) sur cette coulisse se trouve sur  le trajet du bord 964 de la petite chape 963,  de manière à amener cette chape à disposer  <B>le</B>     porte-symboles    915 de telle sorte que le sym  bole de sous-totalisation (S) soit en position  d'impression, exactement comme il a été expli  qué pour les     opérations    de sous-balance.

      <I>Commande</I> dit     comptage   <I>des postes.</I>  Outre la     connnande    de la mise en position  des     porte-symboles    914 et 915 pour l'impres  sion des symboles, les chapes 939 et 963       (fig.    65, 66, 67 et 68) possèdent respective  ment des prolongements en forme de segments  1006 et 1007, ayant des surfaces de com  mande irrégulières et qui coopèrent avec un  prolongement .replié de tâtonnement 1008     star     le levier 951; ce     levier    est actionné par la    came 956 de la façon expliquée plus haut et  suivant les temps indiqués à la ligne 13 du  tableau de la fis. 127.  



  Lorsque le prolos     -gement        tâteur    1008 se  trouve en face des parties basses des surfaces  de commande des     se-ntents    1006 et 1007, le  levier 951 peut se déplacer de toute sa course  dans le sens des     aiguilles    d'une montre sous  l'action de la came 956, en amenant ainsi son  prolongement 1009 (fia.

   65) à venir au con  tact d'une     plaque    de blocage 1010, possédant  une paire de bras repliés qui     tournent    libre  ment sur l'arbre 208, et à déplacer cette pla  que de blocage simultanément avec lui dans  le sens des aiguilles d'une montre, à l'encon  tre     d'an    ressort 1011 tendu entre ce levier  951 et cette plaque 1010 -et à placer le bord  antérieur de cette plaque hors du trajet des  épaulements dont est pourvu chacun des trois  bloc-moteurs 351 de comptage de postes  (fi-. 65), ceci afin de libérer ces     bloc-moteurs     pour les mouvements d'opération, de telle  sorte que les roues de comptage de postes  puissent être actionnées.

   Il est évident que  toute partie élevée sur l'une des surfaces irré  gulières des segments 1006 et<B>1007,</B> coopérant  avec le prolongement     tâteur    1008, empêchera  le mouvement du levier 951 dans le sens des  aiguilles d'une montre sur     tolite    sa course, eu  permettant ainsi à la plaque de blocage 1010  de rester en position active, comme indiqué  sur la fi-. 65, et de bloquer les trois     bloc-mo-          teurs    351 de comptage de postes contre le  mouvement d'opération, en empêchant ainsi       l'accumulation    des postes dans le totalisateur  No 6 ou totalisateur compteur de postes.  



  En se reportant aux fi-.<B>67</B> et<B>68,</B> on  verra que la surface de     commande    du prolon  gement 1006 de la chape 963 possède des par  ties élevées en face des positions de cette  chape qui correspondent à la touche de     non-          addition    374 et aux touches de correction 370  et 369, et que la     surface    de commande du  prolongement 1007 de la chape 939 possède  des parties élevées en face des positions de  cette chape qui correspondent     aux    touches de       totalisation    376 Nos 2, 3 et 4 ainsi qu'une  partie élevée correspondant à la position de      non-addition de cette chape 939.

   En consé  quence, la plaque de blocage 1010     (fig.    65 et  66) est opérante, comme représenté ici, dans  toutes les positions de     non-addition,    qu'elles  aient été déclenchées par l'abaissement de la  touche de non-addition 374 ou par le chariot  dans ses positions de colonnes, ainsi que dans  toutes les opérations de correction.

   On voit  également que, lorsque la chape 939 est dis  posée par le     linguet    1005     (fig.    62, 65 et 67)  sous l'action de la touche      Non-Décoruipte:>          371,'une    partie élevée de la surface de com  mande du prolongement 1007 est située en  face de la saillie     tâteuse    1008, de manière à  interrompre le mouvement du     levier    951 sur  toute sa course dans le sens des aiguilles d'une  montre et à maintenir en action la plaque de  blocage 1010 pour bloquer le mouvement  d'opération des bloc-moteurs 351 pour le tota  lisateur compteur de postes.  



  Lorsque les deux chapes 939 et 963 sont  situées de telle     sorte    que les parties basses des  surfaces de commande des prolongements  1006 et 1007 se trouvent en face du prolon  gement 1008 du     levier    951     (fig.    65), ce     levi-r     peut se déplacer sur toute sa course sous  l'action de la came<B>956,</B> sur<B>quoi</B> le prolonge  ment vers le bas 1009 amène la plaque 1010  au-dessous des épaulements 1012 des bloc  moteurs 351 pour le totalisateur compteur  de postes et libère ces     bloc-moteurs    pour le  mouvement d'opération.  



  Les surfaces de commande des prolonge  ments 1006 et 1007     (fig.    66, 67 et 68) .tant  ainsi disposées, les     parties    basses de ces sur  faces de commande sont situées en face du  prolongement     tâteur    1008 (fi-.<B>65, 67</B> et<B>68)</B>  pour toutes les opérations auxquelles parti  cipe le totalisateur No 1 ou de balance, y       cornpris    l'addition, la soustraction, la ba  lance et la sous-balance, la balance du dépas  sement et la sous-balance du dépassement.  



  En d'autres termes, en cas d'opérations  d'addition et de     soustraction    du totalisateur       1\7o    1 ou de balance, il est désirable que les       blôc-moteurs    pour le totalisateur N  6 ou to  talisateur des postes soient libres de se dé  placer afin que les postes puissent être dé-    comptés pendant ces opérations;

   dans     toutes.     les opérations de balance et de     sous-balance,     il est également désirable que ces bloc-moteurs  soient libres de se déplacer pour que le tota  lisateur No 6 ou     totalisateur    compteur des  postes puisse être sous-totalisé ou totalisé, le  totalisateur de. balance étant en même temps  sous-totalisé ou totalisé lorsque le montant de  ce     totalisateur    est positif, et en même temps  le totalisateur No<B>5 ou</B> totalisateur de dépas  sement étant sous-totalisé ou totalisé lorsque  le montant dans ce totalisateur No 1 ou de  balance est négatif.  



  En liaison avec la description ci-dessus,  il faut se rappeler que toute partie élevée des  surfaces de commande, soit du prolongement  1006, soit du prolongement 1007, empêche le  mouvement du levier 951 dans le sens des  aiguilles d'une montre sur toute sa course       (fig.    65) en amenant ainsi la plaque de blo  cage 1010 à rester en action, comme repré  senté, et qu'il faut qu'une partie basse des  surfaces de commande des deux prolonge  ments 1006 et 1007     ,à,    la fois soit située en  face du prolongement tâteur 1008 pour que le       levier    951 puisse se- déplacer de toute sa       course    dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre,

   afin de placer la plaque 1010 au-dessous  des épaulements 1019 des     bloc-moteurs    351 et  de libérer ces bloc-moteurs pour le mouve  ment d'opération.  



  <I>.Mécanisme</I>     élévateur    dit.     ruban   <I>et</I>     commande     <I>des</I>     couleurs.     



  Le mécanisme représenté sur la     fig.    71 est  prévu pour soulever le ruban encreur 338 à  la position d'impression en rouge en cas de  sélection du totalisateur No 1 ou de balance  pour une opération de soustraction, ou en cas  de sélection du totalisateur     No    5 ou totalisa  teur du dépassement, pour une opération de  totalisation ou de sous-totalisation, lorsque le       totalisateur    de balance est dépassé. Il est  parfois désirable d'imprimer des postes sous  tractifs, tels que des chèques, en noir au lieu  du rouge.

   Cela s'obtient en abaissant la tou  che  Noire  393 dans les opérations de soustrac  tion, pour     rendre        automatiquement    inopérant      le mécanisme imprimeur en rouge et réaliser  ainsi l'impression en noir des postes.  



  Le ruban encreur 338 (fi-.<B>1,</B>     18-à-    et<B>71)</B>  se déroule dune des bobines à ruban encreur       (iion    représentée) et s'enfile dans les deux       ceillets    supportés respectivement par les  barres élévatrices de droite et de gauche 1013  (une seule est représentée) montées pour  mouvement vertical dans des fentes     prati-          auées    dans des pattes repliées des plaques de  droite et de gauche du bâti 283 de     l'impri-          nieur.    Les barres élévatrices 1013 sont espa  cées de telle façon qu'elles se trouvent à che  val sur les porte-caractères et guident le ru  ban encreur 338 à travers la ligne d'impres  sion.

   Chacune des barres 1013 porte un gou  jon 1014 qui s'engage dans une fente     d'un     bras correspondant 1015 (un seul est repré  senté) fixé sur un arbre 1016     tourillonnant     dans les châssis de droite et de gauche<B>130</B> et  731. Sur l'arbre 1016 est fixé également un  bras 1017 portant     un    goujon qui s'engage  dans la fente d'une manivelle 1018, montée  librement sur un axe 1019 fixé dans le châs  sis de droite 130. La manivelle 1018 a un  épaulement qui repose sur un goujon 1020  d'un bras 1021 fixé sur l'arbre 300 de l'im  primeur.  



  La mise en action de l'arbre de l'impri  meur, conformément au temps indiqué à la       ligne    19 du tableau de la     fig.    127, déplace  d'abord l'arbre 300 et le bras 1021 dans le  sens contraire à celui des aiguilles     d'une    mon  tre et retire le goujon 1020 de l'épaulement  de la manivelle<B>1018,</B> de manière à permet  tre à un ressort 1022, tendu entre ladite ma  nivelle et un goujon du châssis 130, de dé  placer cette manuelle dans le sens des aiguil  les d'une montre.

   Le mouvement dans le sens  des     aiguilles    de cette manivelle déplace, grâce  au bras 1017, l'arbre 1016 dans le sens con  traire à     celui    des aiguilles     d'iuie    montre et  soulève les barres 1013 et le ruban encreur  338     d'une    position normale, ou de lecture,  qui se trouve au-dessous de la ligne d'impres  sion, vers la position d'impression où ce ru  ban encreur 338 s'interpose entre la ligne    d'impression et les porte-caractères.

   Le ruban  encreur 338 est du type bicolore -     c'est-          à-dire    que sa moitié supérieure est noire  et que sa moitié inférieure est rouge   et l'angle dont l'arbre 1016 peut se déplacer  dans le sens inverse à celui des aiguilles  d'une montre détermine laquelle des parties  noire ou rouge de ce ruban encreur sera sou  levée vers la position d'impression. Le mouve  ment de retour de l'arbre 300 et du bras 1021  clans le sens des aiguilles d'une montre, vers  la fin d'opération de la machine, ramène le  ruban encreur 338 à la position de lecture  représentée.  



  *Un bras 1023 est également fixé sur l'ar  bre 1016     (fig.    71) et relié de façon réglable  par deux vis à un bras de commande 1024  monté librement sur cet arbre 1016 et auquel  est reliée à pivotement l'extrémité supérieure  d'une articulation 1025. L'extrémité infé  rieure de l'articulation 1025 est     pourvue     d'une fente dans laquelle s'engage librement  un arbre 1026 qui tourillonne dans le châssis  gauche 131; ladite articulation porte un gou  jon 1027 qui coopère avec l'extrémité supé  rieure en forme de crochet     d'un    bras 1028  filé sur l'arbre 1026.

   Sur l'arbre 1026 est fixé  également un bras 1029 portant un goujon  1030 qui s'engage dans une fente pratiquée  dans     l'extrémité    postérieure     d'une    bielle de  commande 1031 dont l'extrémité antérieure a  une fente pouvant recevoir un goujon 1032  fixé sur le châssis de gauche 131. Un ressort  1.033, tendu entre le goujon 1030 et un gou  jon de la bielle 1031, forme une liaison élasti  que entre l'arbre 1026 et ladite bielle 1031.

    La bielle 1031 possède     (fig.    69 et 71) un pro  longement dirigé vers le haut 1034, qui co  opère avec un goujon 1035 du levier 951, per  mettant ainsi à cette bielle de se déplacer en       a@        ant    et eu arrière sous l'action d'un ressort  <B>1036,</B> conformément au temps indiqué à la       ligne    13 du tableau de la     fig.    127.  



  Normalement, le mouvement vers l'arrière  de la bielle 1031 sous l'action du ressort 1036  est empêché et il en résulte que l'extrémité  supérieure en forme de crochet du bras 1028  reste sur le trajet du goujon 1027 pour dé-      terminer le mouvement vers le haut de l'arti  culation 1025 et le mouvement dans le sens  des aiguilles d'une montre de l'arbre 1016,  faisant     ainsi    se placer dans la position d'im  pression la partie supérieure, ou noire, du ru  ban encreur 338.

   Si le mouvement en arrière  de la bielle 1031     (fig.    71), sous l'action du       ressort    1036, n'est pas empêché, ce mouve  ment déplace l'arbre 1026 et le bras 1028 dans  le sens des     aiguilles    d'une     montre    et place  l'extrémité supérieure en forme de crochet de  ce bras hors du trajet du goujon 1027, de ma  nière à permettre le mouvement complet vers  le haut de l'articulation 1025 et le mouve  ment complet de l'arbre 1016 dans le sens  contraire à celui des     aiguilles    d'une montre,  en soulevant au maximum les barres 1013, et  en amenant la partie inférieure ou rouge du  ruban encreur 338 en face de la     ligne    d'im  pression.  



  La     bielle    1031     (fig.    69 et i 1<B>)</B> possède un  prolongement postérieur avec une patte re  pliée 1037     qui    coopère avec un goujon 1038  d'un levier 1039, monté par un moyeu libre  ment sur un arbre 1040 tourillonnant dans le  châssis 482     (fig.    31B), et fixé à une manivelle  1041.

   L'un des bras<B>de</B> la manivelle 1041 pi  vote sur     l'extrémité    inférieure d'une articula  tion 1042 dont l'extrémité supérieure est fen  due pour recevoir un goujon 1043 fixé sur le  châssis de gauche 131.     L'articulation    1042  porte     un    goujon 1044 qui coopère avec un bras  1045 fixé sur un arbre 1046 tourillonnant  dans les plaques 398 et 399     (fig.    47).

   Sur  l'arbre 1046 sont montés également des bras  associés 1047 qui supportent une tige 1048  coopérant avec une saillie 1049 de l'extrémité       supérieure    du levier de commande 601 et avec       une        saillie    1050 de l'extrémité supérieure du  levier de     commande    785.

   La tige 1048 coopère  aussi avec une surface-came 1051 d'un pro  longement vers le haut du bras droit de la  chape 603;     lorsque    la machine est au repos et  que cette chape se trouve en position nor  male, comme représenté, une partie concen  trique et correspondante au repos de ladite  surface-came 1051 retient, en coopération  avec la tige     10-18,    l'arbre 1046 et le bras 1045    dans leurs positions dans le sens des aiguil  les d'une montre, représentées ici.

   Le bras  1045, en coopération avec l'articulation 1042,  retient la manivelle 1041 et le levier 1039  dans leurs positions contraires au     mouvement     des aiguilles d'une montre, représentées sûr  la     fig.    71, de façon à retenir le goujon 1038  au-dessous et hors du trajet de la patte re  pliée 1037 de la bielle<B>1031.</B>  



  La chape 603,     fonctionnant    sous l'action  de la came 606     (fig.    46 et 71 et ligne 10.       fig.    127), se déplace d'abord dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre en amenant  la surface-came 1051, coopérant avec la tige  1048, à permettre le mouvement des bras  1047, de l'arbre 1046 et du bras 1045 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre, lorsque l'articulation se déplace vers  le haut sous l'action d'un ressort 1052, tendu  entre un goujon fixe et     l'un    des bras de la  manivelle 1041.

   Le ressort 1052 déplace si  multanément la manivelle 1041 et le levier  1039 dans le sens des aiguilles d'une montre  simultanément avec le mouvement vers le  haut de cette articulation 1042, de façon à  placer le goujon 1038 sur le trajet de la  patte 1037 et à interdire le mouvement de la  bielle 1031 en arrière sous l'action du ressort  1036.

   Il est entendu<B>que</B> le mouvement<B>de</B> la  tige 1048 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre     (fig.    71) et le mou  vement simultané des pièces associées ne sont  possibles que si les parties élevées 1049 et  1050 des leviers 601 et     Î85    ne     co:

  ncident    pas  avec cette tige     10-18.    La bielle 103l étant em  pêchée de se déplacer en arrière, oblige       l'extrémité    supérieure en forme de crochet<B>du</B>  bras 1028 à rester sur le trajet du goujon  1027, sur quoi     l'actionnement    de l'arbre 300  de l'imprimeur par les cames montrées sur la       fig.    21, conformément au temps indiqué à la  ligne 19 du tableau 127, permet à la mani  velle 1018, sous l'action du ressort 1022, de  faire monter la barre<B>1013</B> d'une distance  minimum pour déplacer le ruban encreur 338  de la position de lecture représentée, à la po  sition d'impression en noir où, comme il a été  expliqué plus haut,

   la partie supérieure ou      noire du ruban encreur s'interpose entre les       porte-caractères    et la ligne d'impression.  



  Lorsque le totalisateur No 1 ou de balance  est sélectionné pour une opération de sous  traction de la manière expliquée précédem  ment, le     levier    de commande 601     (fig.    40, 46,  69 et 71) est     situé        comme    représenté, de telle  sorte que la saillie 1049 reste sur le trajet de  la tige 104S.

   De même, dans les opérations  de balance et de sous-balance du dépassement,  le levier sélecteur 785 pour le totalisateur  No 5 ou totalisateur de dépassement est situé  de telle façon que la saillie 1050 se trouve sur  le trajet de la tige 1048 et que, dans ces deux  cas, le mouvement de cette tige et des bras  1047, de l'arbre 1046 et du bras 1045 dans le  sens contraire à celui des     aiguilles    d'une mon  tre, est empêché. Cela empêche, à son tour,  le mouvement vers le haut de l'articulation  1042 et le mouvement de la manivelle 1041 et  du levier 1039 dans le sens des aiguilles d'une  montre, sous l'action du ressort 1052. En con  séquence, le goujon 1038 est retenu au-des  sous de la patte     repliée    1037 et dans ce cas  ne gêne pas le mouvement en arrière de la  bielle 1031.

   Le mouvement de la bielle 1031  en arrière, sous l'action de la came 956 et     dit     ressort 1036, déplace le bras 1029, l'arbre  1026 et le bras 1028 dans le sens des aiguil  les d'une montre, de manière à mettre l'extré  mité     supérieure    en forme de crochet de ce  bras 1028 hors du trajet du goujon<B>1027.</B> Le  mouvement de     l'extrémité    supérieure du bras  1028 hors du trajet du goujon 1027 libère  l'articulation 1025 et les pièces annexes pour  le mouvement maximum sous l'action de la  manivelle 1021 et de l'arbre 300 pour impri  mer un mouvement maximum vers le haut  aux barres 1013 et au ruban encreur<B>338,

  </B> de  manière à placer la partie inférieure ou rouge  de ce ruban entre les porte-caractères et la  ligne d'impression et à réaliser l'impression  en rouge des postes soustractifs et des postes  de balance et de     sous-balance    du dépassement.  



       Commande   <I>du</I>     ruban    par<I>la touche</I>     noire.     Dans certains cas, il est désirable d'avoir  des postes soustractifs imprimés en noir au    lieu de rouge; dans la machine représentée,  cela s'obtient par l'abaissement de la touche        I\Toire     393     (fig.    3 et 71) préalablement aux  opérations de soustraction. L'abaissement de  la touche  Noire  393 amène son extrémité  inférieure, coopérant avec un goujon 1053  d'un bras 1054 fixé sur un arbre 1055     tou-          rillonnant    dans le sommier des touches auxi  liaires, à déplacer ce bras et cet arbre clans le  sens contraire à celui des aiguilles 'd'une  montre.  



  Un bras 1056, filé également sur l'arbre  1055, se déplace simultanément avec lui dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre; ce bras 1056 est relié, par une arti  culation 1057, à une manivelle 1058 montée  librement sur l'arbre 1040, de façon à dépla  cer dans le même sens cette manivelle et les  pièces qui lui sont reliées, à l'encontre     d'un     ressort 1059 tendu entre ladite articulation  1057 et un goujon fixe.

   Le mouvement de la  manivelle 1058 dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre     (fig.    69 et 71) re  tire un goujon 1060, fixé sur l'un de ses bras,  de la surface supérieure d'un     levier    1061  monté librement sur l'arbre 1040, sur quoi un  ressort 1062, tendu entre ce levier et un     gOu-          jon,    fait déplacer ce levier 1061 dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre,  simultanément avec ladite manivelle coudée  1058.

   Le mouvement du levier 1061 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre place     un    prolongement replié 1063 de  l'extrémité arrière de ce levier en face de la  patte 1037, de façon à empêcher le mouve  ment en arrière de la bielle 1031, et à retenir  le bras 1028 dans la position indiquée et à  réaliser l'impression en noir des postes sous  tractifs lorsqu'on abaisse la touche  Noire   393.  



  Lorsque le levier 1039 se trouve en posi  tion d'action, comme     indiqué    sur la fi,-. 69,  de façon à empêcher le mouvement de la  bielle 1031 en arrière, un goujon 1064, fixé  sur le prolongement antérieur de ce levier,  coopérant avec un épaulement 1065 du     levier     1061, retient ce levier en position inopérante  lorsqu'on abaisse la touche  <  < Noire  393.      <I>Commande</I>     d'impression   <I>dit signe</I>  <I>de</I>     soustraction.     



  L'abaissement de la touche de soustraction  377     (fig.    3, 31p et 71) pour la sélection du  totalisateur     iNo    1 ou totalisateur de balance  en vue d'une opération de soustraction,  amène un goujon 1067, fixé sur     l'extrémité     inférieure de cette touche, et coopérant avec  une surface angulaire de l'extrémité supé  rieure d'un bras 1068 fixé sur l'arbre 1040,  à déplacer ce bras et cet arbre dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre, de manière à relier le     linguet    d'élimina  tion du zéro pour les porte-caractères 391  (fi-.

       18A    et 70) des touches à     symboles    390  au     liüguet    d'élimination du zéro 325 pour le  porte-caractères 275 des unités des centimes;  étant donné que ce     linguet    d'élimination du  zéro pour les unités des centimes est, dans les  opérations de soustraction, toujours situé en  position inopérante, le     linguet    d'élimination  du zéro pour le porte-caractères 391 est égale  ment placé en position inopérante,

   sur quoi       l'actionnement    des     marteaux    d'impression 317  amène     une    barre à caractère 1069 de ce     porte-          caractères    391, situé en position zéro, à     enre-          ffi    Cr     strer    un signe de soustraction en face du  montant, pour identifier l'opération comme  opération de soustraction.

   De même, l'abais  sement de la touche  foire  393 déplace, au  moyen des liaisons représentées sur la fi-. 71,  l'arbre 1040 dans le sens contraire à celui des  aiguilles     d'une    montre, exactement de la  même façon que lorsqu'on abaisse la touche  de soustraction 377 pour réaliser l'impression  du<U>signe</U> de soustraction en face de l'enregis  trement du poste soustractif.    <I>Chariot.</I>  On se rappelle, en se reportant aux     fig.    1,       18A    et 188, que la présente machine est pour  vue d'un chariot baladeur 136 qui supporte  un rouleau 309 pour présenter le matériel  d'enregistrement, tel qu'une feuille de relevé  de compte, dont un fragment est représenté à  la fi;. 117, au     mécanisme    imprimeur.

   Le  rouleau 309 peut être déplacé clé la position  d'impression à une position plus accessible,    souvent dénommée position à goulotte ou  verte, en vue de l'enlèvement et de l'insertion  faciles du matériel d'enregistrement en avant  du rouleau 309, au lieu du procédé habituel  qui consiste à     insérer    le matériel d'enre  gistrement en arrière du rouleau et à  l'enrouler autour du rouleau.

   Ur, tel cha  riot est souvent dit du type à alimentation  frontale; lorsque le rouleau 309 se déplace de  la position d'impression à la position     d'ali-          nientation    frontale, les galets presseurs sont  relâchés et la     goulotte    servant à guider le ma  tériel d'enregistrement autour de ce rouleau  est ouverte, de sorte     qu'une    feuille de relevé  de compte     -utilisée    peut facilement être retirée  de la machine et qu'une nouvelle feuille peut  être insérée dans la goulotte et poussée direc  tement en position. à l'aide d'un dispositif de  repérage des lignes qui fait partie de la     gou-          lotte    d'alimentation frontale.  



  En plus du matériel d'enregistrement, tel  qu'une feuille de relevé analogue à celle mon  trée sur la     fig.    117, qui s'introduit en avant  de la machine, comme expliqué plus haut, on  établit un duplicata de toutes les entrées pen  dant une certaine période, un jour par exem  ple,     sur        aine    feuille     livre    de journal qui s'en  roule autour du rouleau 309, de la manière  habituelle et qui est tenue en place par des  galets presseurs     prévus    à cet effet, lorsque le  chariot se déplace de la position d'impression  à la position correspondant à l'ouverture de  la goulotte et vice versa.

      Le chariot 136 peut être déplacé dans le  sens de     tabulation    et dans le sens inverse; le  mécanisme servant à déplacer le chariot dans  les     deux    directions est relié par un dispositif  d'accouplement hydraulique à un moteur à  marche     semi-continue    qui fonctionne simulta  nément, mais indépendamment du moteur  principal de la machine et qui     sert    principa  lement à actionner le mécanisme baladeur du  chariot.

      Les fonctions du chariot sont commandées  par une rangée de touches (le commande si  tuées directement au-dessus du clavier numé  ral     (fig.    1 et 3); cette rangée de touches<B>coin-</B>      prend une touche 1066 de la 'large Gauche,  dit touches<B>1070</B> Sélectrices de Colonnes, une  touche<B>1071</B> Tabulatrice pour     tabuler    la     ma-          ehine    de colonne à colonne, une touche 1072  du Chariot pour l'ouverture et la fermeture  de la goulotte d'alimentation frontale du rou  leau 309 et une touche 1073     d'Avancement    du  Papier pour faire tourner le rouleau 309 en  vue de l'espacement des     lignes    sur le matériel  d'enregistrement supporté par le rouleau.  



  Les touches 1070 sélectrices de colonnes  opèrent grâce à un dispositif indicateur relié  au chariot par des taquets 732 de chacun des  blocs de commande 722     (fig.    18A, 18B, 81 et  106) et actionné pas à pas par ces taquets  chaque fois que le chariot se déplace d'une  position de colonne à la suivante. De cette fa  çon, le dispositif     indicateur    tâte la position  du chariot et détermine si ce chariot doit se  déplacer dans le sens du retour ou dans le       sens    de     tabulation,    suivant l'emplacement de  la position de colonne correspondant à la tou  che sélectrice de colonne abaissée.

   Cela. fait  fonctionner en effet les dix touches sélectrices  de colonnes 1070 soit comme touches tabula  trices, soit comme touches de retour du cha  riot, de manière à faire déplacer le chariot  soit dans le sens de     tabulation,    soit dans le  sens de retour d'une position de colonne     pré-          sélectionnée    à la position de colonne corres  pondant à la touche 1070 abaissée.  



  Le moteur à marche     semi-continue    pour le  chariot, outre     l'entraînement    du chariot dans  le sens de retour et de     tabulation,    est directe  ment relié et actionne un arbre à cames pour       entraîner    plusieurs cames qui peuvent, à leur  tour, être     reliées    à cet arbre par leurs dispo  sitifs respectifs d'accouplement, lesquels sont       eommandés    à leur     tour    par les touches de com  mande 1070, 1071, 1072 et<B>1073</B> du chariot en  vue d'actionner les différents mécanisme  associés     air    chariot.

   Les cames dont on vient  de parler actionnent respectivement: le     mé-          eanisme    faisant descendre les pistons d'arrêt       chi    chariot, le mécanisme pour le renverse  ment du mouvement du chariot, le mécanisme  pour l'ouverture de la goulotte servant à dé  placer le rouleau de la position d'impression    à la position correspondant à l'ouverture de  la goulotte et vice versa, le mécanisme pour la  rotation du rouleau servant à espacer les  lignes sur le matériel d'enregistrement et le  mécanisme pour le démarrage automatique de  la machine.

   Le mécanisme pour le démarrage  automatique de la machine n'est pas com  mandé par les touches de commande du cha  riot, mais par les touches de correction 369       (fig.    3) et par les touches de commande 376  à 380 incluse et il peut, en plus, être com  mandé par le chariot dans des positions de  colonnes prédéterminées de celui-ci. Il faut  de même se rappeler que le mécanisme d'espa  cement des lignes peut être rendu actif par  le chariot dans ses positions de colonnes;  beaucoup d'autres commandes effectuées par  le chariot seront révélées au cours de la des  cription.  



  On a prévu un     mécanisme    à l'aide duquel  quatre positions de colonnes quelconques du  chariot peuvent être sélectionnées par l'inter  médiaire des barres de démarrage 170, 171 et  172     (fig.    1 et 3); ces barres peuvent égale  ment être utilisées pour commander le méca  nisme d'espacement des lignes, le mécanisme  de     tabulation    de colonne à colonne et le mé  canisme servant à déplacer le rouleau de la  position d'impression à la position d'alimenta  tion frontale et vice     versa.     



  Le bâti du chariot 136 comprend     (fig.18À,          1813    et 118) des plaques extérieures de droite  et de gauche 1074 et 1075 et des plaques inté  rieures de droite et de gauche 1076 et 1077  reliées l'une à l'autre à écartement fixe par  la plaque de base 730 et par une barre angu  laire 1078, laquelle supporte des galets supé  rieurs et inférieurs 1079 et 10S0 coopérant res  pectivement avec la surface supérieure de la  came 137 et avec la surface inférieure d'une  flasque de cette barre pour supporter l'extré  mité antérieure du chariot 136 dans ses mou  vements.

   A la surface     inférieure    de la plaque  730 (fi-. 18B et 118) est fiée une barre  angulaire 1081 qui supporte une série<B>(le</B> ga  lets supérieurs et inférieurs     108\_'    et 1083; les  dits galets supérieurs 1082 ont des rainures      annulaires en forme de<B>Y</B> qui coopèrent avec  les surfaces supérieures arrondies de la barre  138 pour supporter le chariot dans son mou  vement latéral et pour empêcher en même  temps les mouvements de côté du chariot lors  de ce déplacement. Les galets<B>1083</B> coopèrent  avec la surface inférieure d'une flasque de la  barre 138 et, en coopération avec les galets  1080, empêchent le déplacement du chariot  136 vers le haut.  



  Le bord postérieur de la plaque inférieure  730     (fig.    18B, 99 et 118) est     pourvu    de dents  qui     engrènent    avec une roue dentée<B>1085</B> fixée  sur l'extrémité supérieure     d'un    arbre 1086  monté verticalement à rotation dans     un    châs  sis 1087 supporté par les châssis extrêmes l39  et 140     (fig.    1) lesquels, comme     expliqué    pré  cédemment, supportent les barres 137 et 138  de     guidage    du chariot.

   L'arbre 1086     (fig.    7?  et 75) porte sur son     extrémité    inférieure un  pignon conique 1088 qui engrène avec des  pignons coniques semblables de renversement  1089 et 1090, montés fous sur un arbre 1091  tourillonnant dans le châssis<B>1087.</B> Les roues  de renversement 1089 et 1090 ont des par  ties cylindriques comportant des dents d'ac  couplement qui engrènent avec des dents d'ac  couplement semblables des organes de renver  sement d'accouplement 1092 et 1093, pouvant  coulisser sur l'arbre 1091, mais reliés à lui à  rotation à l'aide de rainures à clavettes pra  tiquées dans ces organes d'accouplement et  coopérant avec des clavettes correspondantes  fixées     aux    éléments entraîneurs 1091 et 1095  calés sur cet arbre 1091.

   Sur     l'extrémité     droite de l'arbre 1091 (fi-. 7B et 96B) est  fixée une roue conique 1096 qui engrène avec  une roue conique correspondante 1097, fixée  sur     l'extrémité    supérieure d'un arbre vertical  1098 tournant dans le châssis 1087 et relié  par un accouplement élastique 1099 à un  arbre vertical 1100 d'un mécanisme hydrau  lique; cet arbre tourillonne dans un bâti<B>1101</B>  d'un dispositif     hydraulique,    bâti fixé sur le  socle 132 de la machine.  



  L'arbre 1100 a une liaison hydraulique  non positive avec un dispositif     d'entraînement            hydraulique    1102 qui ne sera décrit que briè  vement.    L'organe     hydraulique    cylindrique 1102  (fi-. 7B) a sur son     ectréinité    inférieure un  tenon qui tourillonne dans un coussinet d'une  pièce en fonte en forme de châssis 1101;

   cet  organe porte également sur son     extrémité     inférieure une roue dentée 1103 qui engrène  avec une roue 1101     fixée    sur l'extrémité infé  rieure d'un arbre 1105 monté à rotation verti  cale sur la pièce en fonte<B>1101.</B> Sur l'extré  mité supérieure de l'arbre 1105 est fixée une  roue à     vis    sans fin 1106 qui engrène avec une  vis sans fin     conjuguée    1107, fixée sur un  arbre court     tourillonnant    dans la pièce en  fonte 1101, en alignement axial avec l'arbre  d'armature d'un moteur 1109,

   monté sur le  socle 132 et relié à cet arbre d'armature par  un accouplement élastique<B>1108 qui assure lin</B>       entraînement    élastique entre ce moteur 1109  et le dispositif hydraulique. L'organe hydrau  lique 1102 baigne dans l'huile     contenue    dans  la pièce en fonte 1101, cette dernière servant  de réservoir pour remplir constamment       dluile    ledit organe     hydraulique    110?.  



  Le moteur 1109     (fig.    7B)     entraine,        ,=race     à.     l'engrenage    et aux liaisons décrits ci-dessus,  l'organe hydraulique 1102 dans le sens indi  qué par la flèche et, étant donné que cet or  gane est relié     hydrauliquement    à l'arbre 1100,  cet arbre est     entraîné    de façon non positive  dans le même sens;

   ce     mouvement    se commu  nique par l'accouplement élastique 1099 à l'ar  bre 1098 et à la roue conique 1097 qui, à son  tour, entraîne la roue 1096 et l'arbre 1091  dans le sens contraire à celui     clés    aiguilles  d'une montre, comme représenté à la fie. 7B,  et dans la direction indiquée par les flèches  sur les<U>fi-.</U> 75 et 96B.

   Les organes     d'accouple-          ment    109? et 1093 sont entraînés simultané  ment avec l'arbre 1091 et,     lorscluc        l'or < ,aiic     d'accouplement 1092 est relié à la roue coni  que 10S9, l'arbre 1086 et la roue     10,S5    sont en  traînés dans le sens des     aiguille,    d'une mon  tre,     comice    représenté à la     fi;..        1_',    clé     inanièrc     à déplacer le chariot 136 (fi'. 1,     96A    et 96B)  vers la direction de     tabulation    ou clé gauche.

        D'un autre     cüté,    si l'organe     d'accouplement     1093 est     eti    prise avec la roue     conique    1090,       1'II1-1)re   <B>1086</B> et la roue 1085 sont entraînés       dans    le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, comme représenté à la     fig.    72,  <B>de</B> façon à déplacer le chariot 136 dans la di  rection du retour ou de droite, comme repré  senté à la fi-. 1.  



  Les organes d'accouplement 1092 et 1093       (fig.    72 et 75) sont pourvus d'entailles annu  laires pouvant recevoir des goujons     d'entrai-          nement    1111 et 1112     fixés    sur des plaques  1113 et 1114 montées     élastiquement    sur la       traverse    d'une chape 1115 à l'aide de goujons  fixés sur ces plaques et coopérant avec des  fentes parallèles correspondantes     prévues     clans cette traverse, lesdites plaques 1113 et       111-1    étant     entraînées    l'une vers l'autre par  un ressort 1110 qui assure une liaison élasti  que entre elles.

   La chape 1115 a, sur ses bras  dirigés vers le haut, des douilles     qui    coulissent  librement sur l'arbre 1091; la traverse de  cette chape porte des bras 111.6 et 1117 diri  gés vers le haut et pourvus de fentes paral  lèles qui, en coopération avec des ergots vissés  dans le châssis 1087, guident cette chape dans  son     mouvement    latéral.

   Un ressort 1118       (fig.    72 et 75)     entraîne    la chape 1115 vers la  droite en regardant le dessin, de façon à  maintenir un épaulement de l'extrémité droite  de cette chape normalement en contact avec  la dent d'un     linguet    1119 qui retient norma  lement cette chape à l'encontre dudit ressort  1118, de façon à     maintenir        l'organe    d'accou  plement 1092 en prise avec la roue d'entraîne  ment 1089 et à.

   entraîner le chariot dans la  direction de     tabulation.    Le     linguet    1119 pi  vote sur un axe 1120 fixé     sur    le châssis 1087  et un ressort 1121 entraîne ce lino, et dans le  sent contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre, comme représenté à la     fig.    72, pour main  tenir sa dent en prise avec l'épaulement de la  chape 1115. Une surface angulaire 1122 du       linguet    1119 coopère avec un prolongement  replié vers le haut d'une bielle 1123 dont l'ex  trémité droite a une fente pour recevoir un  goujon fixé sur le châssis 1087 et dont l'extré  mité gauche pivote sur un levier 1124 qui pi-    vote,     lui-même,    sur un axe 1125 fixé sur le  châssis 1087.  



  Lorsque le chariot, en se déplaçant dans la  direction de     tabulation,    arrive à la fin de sa  course, une saillie de renversement 1127  (fi-. 72 et 99), fixée sur la barre 1081, s'en  gage dans une partie entaillée de l'extrémité  antérieure du levier 1121 pour déplacer ce       levier    dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme représenté à la     fig.    72, à l'encontre  d'un ressort de tension 1126 qui sert à main  tenir ce levier dans une position équilibrée  ou centrale, comme représenté.  



  Le mouvement du levier 1124 dans le sens  des aiguilles d'une montre déplace la bielle  1123 vers la droite     (fig.    72 et 75) en amenant  son prolongement, en coopération avec le bec  angulaire du     linguet    1119,à déplacer ce     lin-          guet    dans le sens des aiguilles d'une montre à  l'encontre du ressort 1121 et à dégager la  dent de ce     linguet    de l'épaulement de la chape  1115, de manière à abandonner cette chape à  l'action du ressort 1118, lequel déplace la  dite chape immédiatement vers la droite,  comme représenté.  



  Le déplacement de la chape 1115 vers la  droite     (fig.    75) dégage l'organe d'accouple  ment 1092 des dents de la roue 1089 et met  en prise en même temps les dents de l'organe  d'accouplement 1093 avec les dents de la  roue 1090 de façon à faire     tourner    l'arbre  1086 et la roue 1085     (fig.    72) dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre et  à entraîner le chariot dans le sens de     retour.     



  Lorsque la saillie 1127 passe au-delà de  l'extrémité du     levier    1124, le corps de cette       saillie    rencontre une butée fixe 1128     (fig.        18B     et 99) de façon à terminer de toute façon le  mouvement du chariot au cas où le mécanisme  de renversement, expliqué plus haut, n'aurait  pas fonctionné assez tôt pour     terminer    ce  mouvement auparavant. Lors du mouvement  de retour du chariot, la saillie 1127     (fig.    72)  passe à côté de l'extrémité inférieure du levier  1124, grâce à l'action du ressort 1126, lequel;  comme il a été expliqué plus haut, maintient  ce     linguet    clans une position neutre repré  sentée.

        Lorsque le chariot 136 arrive à la fin de  sa course en se déplaçant dans le sens de re  tour, une saillie 1129 dirigée vers le bas d'une  butée de marge gauche     (fig.    18B et 72)     i.@ient          ait    contact de l'extrémité inférieure d'un     lin-          guet    1130 monté librement sur un axe 1131  fixé sur le châssis 1087 et déplace ce     linguet     dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre à l'encontre d'un ressort de ten  sion 1132 qui sert à maintenir ce     lingiiet    dans  une position intermédiaire, ou centrale, re  présentée ici.

   Le mouvement du     linguet    1130  dans le sens inverse des aiguilles d'une mon  tre amène son prolongement arrière, coopé  rant avec un goujon 1133 d'un bras 1134 fixé  sur un arbre 1135 supporté verticalement à  rotation par le châssis 1087 et une plaque su  périetue 1136     (fig.        96A-    et 96B) fixée à ce  châssis 1087, à déplacer ce bras et cet arbre  1135 dans le sens des     aiguilles        d'mie    montre,  comme représenté à la     fig.    72.

   L'arbre 1135  tourne dans le     sens    des aiguilles d'une mon  tre, comme expliqué     plus    haut, à l'encontre  d'un ressort<B>1137</B> tendu entre la plaque supé  rieure 1136 et un bras 1138 fixé sur cet  arbre 1135.  



  Sur l'arbre 1135     (fig.    72 et 73) est fixé  également un bras 1139     ayant    sur son extré  mité une surface à gradins qui coopère avec  la patte repliée 1140 d'un bras de déblocage  1141, monté de façon à pouvoir pivoter et se  déplacer grâce à un goujon 1142 porté par ce  bras et qui s'engage dans une fente prati  quée dans le bras inférieur d'une chape 1143  montée librement sur     un    axe 1144, supporté  par le châssis 1037 et par la     plaque    supé  rieure 1136.

   Un ressort 1145, tendu entre la  chape     1143    et un verrou 1146 de la chape,       monté.librement    sur l'arbre 11.35, entraîne ce  verrou dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, comme représenté, de façon à maintenir  la dent de ce verrou normalement en prise  avec une saillie 1147 sur le bras inférieur de  la chape 1143 et à empêcher normalement  cette chape de se déplacer dans le sens des       ai;uilles    d'une montre sous l'action     dudit    res  sort 1145.

   La patte repliée     11-10    du bras 1141       (fig.    73) passe à travers une fente 1148 en    forme de<B>L</B> pratiquée dans le verrou; cette  patte est normalement maintenue par le cran  extérieur du bras 1139 et retenue en avant  dans la partie élargie de cette fente 1148 en  forme de L, à l'encontre d'un ressort 1149  tendu entre ce bras et le bras inférieur de la  chape 1143, l'action de ce ressort étant sur  montée par le ressort 1137.  



  Le mouvement de l'arbre 1135 et du bras  1139 dans le sens des aiguilles     d'une    montre       (fig.    72 et 73) sous l'action de la butée 1129  de la marge gauche permet, comme il a été  expliqué plus haut, au bras 1141 de se dépla  cer en arrière sous l'action du ressort 1149  jusqu'à ce que la patte repliée 1140 rencontre  le bord de la fente 1148 en forme de<B>L,</B> sur  quoi le cran extérieur de ce bras 1139 se dé  gage de ladite patte 1140 pour permettre au  ressort 1149 de déplacer ce bras 1141 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre et à placer la patte 1140 dans la branche  droite ou étroite de la fente 1148.

   Lorsque  la saillie 1129 passe au-delà du     linguet    1130,  l'arbre 1135 et le     bras    1139 sont immédiate  ment soumis à l'action du ressort 1137 qui  ramène cet arbre et ce bras dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre en  amenant le cran antérieur de ce bras 1139 co  opérant avec la patte 1140,à déplacer le bras  1141 en<B>.</B> avant à l'encontre du ressort 1149.

    Le mouvement du bras 1141 en avant amène  la patte 1140 à venir au contact du bord       antérieur    de la branche étroite de la fente  1148 et à déplacer le verrou 1146 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre, à l'encontre du ressort 1145, de manière  à dégager la dent dudit verrou de la saillie       11-17    et à abandonner la chape 1143à l'action  de ce ressort 1145.  



  Les bras de la chape 1143     (fig.    72 et 73)  portent des goujons 1150 en alignement axial  qui s'engagent dans une rainure annulaire       d'un    organe d'accouplement 1151     pourvu    de  tenons qui s'engagent dans des entailles     d'ac-          couplement    d'un organe     entraincur        115\3    fixé  sur un arbre 1153 tourillonnant dans le     cli:iis-          sis    1087.

   De cette façon,     l'ornane    d'accouple  mént     1151    peut tourner     simultanément    avec      l'arbre 1153, niais il peut aussi se déplacer  horizontalement sur cet arbre. Sur l'extrémité  droite de l'arbre 1153     (fig.        7B)    est fixée une  roue conique 1154 qui engrène avec une roue  conjuguée 1155 montée sur l'extrémité supé  rieure d'un arbre vertical 1156 tourillonnant  clans le châssis 1087, en     alignement    axial avec  l'arbre 1105 et relié à lui par un accouple  ment élastique 1157.

   Le train des     méca-          rismes    décrit ci-dessus     relie    l'arbre 1153 au  moteur 1109 à marche continue et cet arbre  1153 est     continuellement    entraîné par le mo  teur dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme indiqué à la     fig.        7B.     



  Le mouvement de la chape     11-13        (fig.    72,  73 et 74) dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, après     quë    le verrou 1146 a été dégagé de  la saillie 1147, amène le goujon 1150, coopé  rant avec la rainure     annulaire    de l'organe  d'accouplement 1151,à repousser cet organe  à gauche, de manière à mettre en prise ses  dents d'accouplement avec les dents corres  pondantes d'un tambour 1160, solidaire d'une  came de     remise    en position 1161 et d'une came  hélicoïdale 1162, tous ces organes étant  montés librement sur l'arbre 1153.

   Ce mou  vement amène le tambour 1160, la came 1161  et la came hélicoïdale 1162, à tourner simul  tanément avec l'arbre 1153, sur quoi la came       hélicoïdale    déplace, en coopération avec un  goujon 1159 fixé sur la plaque 1117 (fi-. 72  et 75), ladite plaque et la chape 1115 vers la  gauche, de manière à débrayer les dents de  l'organe d'accouplement 1093 de la roue  1090 et à embrayer en même temps les     dents     de l'organe d'accouplement 1092 avec les  dents de la roue 1089 pour     renverser    le sens  de mouvement du chariot et déplacer ainsi  le chariot dans le sens de     tabulation.    Après  que la chape 1115 a été ramenée dans sa po  sition de gauche, le     linguet    1119 (fia.

   72 et  75) entre en action     pour    bloquer cette chape  dans sa position de gauche.  



  Les pièces 1160, 1161 et 1162 (fia. 72 et  74) sont retenues normalement dans la posi  tion de repos à l'aide     d'une    encoche dans la  came 1161 en coopération avec un galet 1163  fixé sur un bras 1164 monté librement sur    une tige 1165 qui est supportée par les châs  sis 1087 et entraînée par un ressort 1166 dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre, de manière à maintenir un prolonge  ment postérieur de ce bras en contact avec  une surface usinée du châssis 1087.

   Lorsque  l'organe d'accouplement 1151 est en prise  avec les dents du tambour 1160, comme il a  été expliqué plus haut, la rotation de ce tam  bour et des pièces annexes dans le sens des       aiguilles        d'une    montre, comme représenté à la       fig.    74, éloigne l'encoche pratiquée à<B>là</B> péri  phérie de la came 1161 du galet 1163, de ma  nière à déplacer le bras 1164 dans le sens des       aiguilles        d'une    montre et à tendre le ressort  1166.

   Quand les pièces, y compris les cames  1161 et 1162, ont presque accompli un tour,  l'encoche angulaire pratiquée à la périphérie  de la came 1161, en coopération avec le ga  let 1163 et sous l'action du bras 1164 soumis  à la tension du ressort, accélère le mouvement  final de ces pièces, de manière à les faire  tourner plus vite que l'arbre 1153, sur quoi  les surfaces angulaires des bords postérieurs  des dents du tambour 1160, en coopération  avec les surfaces similaires de l'organe d'ac  couplement 1151, déplacent ce dernier vers  la droite, comme représenté à la     fig.    72.  



  Le mouvement expliqué plus haut de la  chape     11-.13    dans le sens des aiguilles     d'une     montre     (fig.    72 et 73), lorsque le verrou 1146  est dégagé de la saillie 1147 de cette chape,  amène une patte 1167 dirigée vers le bas de  la chape à venir au contact du bras 1141 et  à l'entraîner simultanément dans le sens des       aiguilles    d'une montre, de faon à retirer sa  patte repliée 1140 de la branche étroite de  la fente 1148 en forme de L et à la placer       dans    la partie large de cette fente,

   de ma  nière à permettre au ressort 1145 de ramener  la dent du verrou 1146 sur le trajet de la  saillie 1147 et à permettre au cran extérieur  du bras 1139 de venir à nouveau au contact  de ladite patte 1140 pour retenir le bras 1141  dans la position normale, comme représenté  aux     fig.    72 et 73.

   Comme l'organe d'accouple  ment 1151     (fig.    72) est déplacé vers la droite  par le mouvement accéléré du tambour 1160      sous l'action du bras 1161 et du ressort 1166       (fig.    74), cet organe d'accouplement 1151 en  traîne la chape 1113 simultanément avec     liai.     dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une. montre pour amener la     saillie    1117  (fi-. 73) à passer à côté de la dent du verrou  1146, sur quoi ce verrou se pose sur     cette     saillie pour retenir ladite chape et l'organe  d'accouplement en position débrayée,     connue     indiqué sur la     fig.    72.

   Le galet 1163     (fig.    72  et 74), en coopération avec l'encoche de la  came 1161, retient cette came, le tambour  1160 et la came hélicoïdale 1162 dans les po  sitions représentées.    Lorsque la butée     1l?9    de la marge gau  che     (fig.        18B    et 72) se déplace au-delà du     lin-          guet    1130, cette butée coopère avec la butée  fixe 1128 exactement de la façon qui a été  expliquée pour la butée 1127 de la mare  droite, de façon à empêcher un mouvement  excessif de retour du chariot,

   dans le cas où  le mécanisme de renversement ne     fonctionne-          rait    pas assez vite pour arrêter ce mouvement  au préalable.     Gr        ace    à l'action du ressort     113.'3          (fig.    72), la saillie 11 _9 de la butée de la  marge gauche passe à côté de     l'extrémité    infé  rieure du     linguet    1130 durant le mouvement  de     tabulation    du chariot, lorsque cette saillie  se trouve au-delà dudit     linguet,    ainsi qu'il a  été expliqué plus haut.

      Il est entendu que le     linguet    1130 de la  marge gauche (fia.     7'')    entre en action lors  que le chariot a été ramené au-delà de la  zone des touches 1070 sélectrices de colonnes  (fi-. 3) ou lorsque la touche 1066 de la marge  gauche a été abaissée et maintenue abaissée  pour retenir les     pistons    d'arrêt hors du tra  jet des butées de     colonnes.    De même,

   le lin  guet 1124 de la marge     droite    entre en action  lorsque le chariot a été     tabuïé    au-delà de la  commande des touches<B>1070</B> sélectrices de co  lonnes ou lorsque la touche tabulatrice 1071  a été abaissée et     maintenue    abaissée pour re  tenir les     pistons    d'arrêt hors du trajet des  butées de colonnes et provoquer le déplace  ment du chariot à la position extrême de fa  bulation.         llfécaizisme   <I>d'arrêt dit</I>     tabulateur.     



  En se reportant     aulx        fig.    80, 81, 96 et     18B,     on voit que l'on trouve un des blocs de com  mande 722, pour chaque position correspon  dant à une colonne du chariot; chacun de ces  blocs possède un taquet d'arrêt 733 dirigé  vers le bas et coopérant avec deux jeux de  pistons d'arrêt 1170 et     117l.,        1179-    et 1173  montés à glissement vertical dans les fentes  pratiquées dans des plaques plates 1174; ces  plaques sont montées sur deux goujons 1175  fixés sur une plaque 1176 qui porte trois gou  jons d'écartement 1177, fixés par des vis à la  barre postérieure 138 de     guidage    du chariot.

    En se référant à la     fig.    98, on voit que     les     bords     extérieurs    des pistons d'arrêt 1170 à  1173     inclus    sont coniques, de façon à permettre  aux bords     arrondis    des taquets d'arrêt 733 de  passer par-dessus ces pistons lorsque le cha  riot se déplace soit dans le sens de     tabulation,     soit dans le sens de retour.

   Le jeu antérieur  des pistons d'arrêt 1170 et 117l possède à ses  extrémités     inférieures    des encoches dans les  quelles sont engagés respectivement les doigts  des extrémités gauche de leviers<B>1178</B> et<B>1179;</B>  le jeu postérieur des pistons 117 et 1173       (fig.    80 et 98) a des encoches analogues dans  lesquelles s'engagent les doigts de leviers ana  logues 1180 et 1181, tous ces leviers pivotant  sur le goujon central<B>1177.</B> Des ressorts 1182       (fig.    98), tendus entre des crochets des le  viers 1178 à 1181 inclus et les doigts d'un  prolongement vers le bas de la plaque 1176,

    entraînent lesdits leviers dans le sens des       aiguilles    d'une montre pour maintenir nor  malement les pistons qui leur sont associés  dans leurs positions du haut et pour mainte  nir normalement les extrémités de droite de  ces leviers 1178 et 1179 en contact avec le  bord supérieur d'une barre 11S3 de com  mande de     tabulation.    De même, les ressorts  1182     (fig.    80 et 98) pour les leviers<B>1180</B> et  1181 maintiennent les     extrémités    de droite  de ces     leviers    en contact avec la surface su  périeure d'une barre 1184 de     commande    de       tabulation.     



  Sur la barre 1183     (fig.    85) est montée à  glissement une coulisse 1185,     pourvue   <B>d'une</B>      fente sur l'extrémité du haut, par     laquelle     passent les extrémités de droite des leviers  1178 et 1179. Sur la barre 1184     (fig.    51, 77  et 80) est montée à glissement une coulisse  1186, pourvue sur     l'extrémité    supérieure  d'une fente par laquelle passent les extrémités  de droite des leviers 1180 et 1181.

   La coulisse  1185 (fi-. 85) glisse sur la barre 1183 à  l'aide de fentes parallèles en coopération avec  des goujons 1187 et 1188 fixés sur cette  barre; la coulisse possède une fente qui em  brasse un goujon 1189, lequel, conjointement  avec un goujon associé 1190, s'engage dans  des fentes parallèles de la barre 1183, pour  supporter cette dernière dans son mouvement  vertical. Les goujons 1189 et 1190     (fig.    7B)  sont montés entre une plaque 1191 et le châs  sis droit 130, cette plaque 1191     étant    fixée  sur ce châssis au moyen de goujons reliant  lesdits éléments et au moyen des prolonge  ments dirigés vers le haut du socle 132     sur     lequel cette plaque 1191 est fixée.

   Les gou  jons 1189 et 1190     (fig.    77) supportent égale  ment la barre 1184 de commande de     tabula-          tion    dans son mouvement vertical,     exactement     de la manière dont ils supportent la barre  1183.  



  Les barres 1183 et 1184     (fig.    79, 85 et  <B>125)</B> ont respectivement des prolongements  postérieurs 1192 et 1193 qui coopèrent avec  un goujon 1194 d'un bras 1195 monté sur le  goujon 1189. Le bras 1195 possède     tune    sur  face usinée qui coopère avec un goujon 1196  d'un bras 1197 fixé     sur        un    arbre 1198       '(fig.    96A et 96B) tourillonnant dans le châs  sis 1087.

   Sur     l'extrémité    gauche de l'arbre  1198 est     fixé    un levier 1199 à came     (fig.    85),  portant des galets 1201 et 1202 qui coopè  rent respectivement avec les périphéries de  cames, associées 1203 et 1204, montées folles  sur l'arbre 1153 et solidaires d'un tambour  1205     (fig.    86)     pourvu    de dents d'accouple  ment     qui    coopèrent avec les dents d'accouple  ment correspondantes     d'in    organe d'accouple  ment 1206, monté à glissement sur     l'arlore     1153, mais tournant     simultanément    avec lui.

    L'organe d'accouplement 1206 est     actionné     par une chape     déplaçable    1207 et ce méca-         nisme        d'accouplement    servant â soulever les  pistons d'arrêt du tabulateur est analogue  sous tous les rapports et fonctionne exacte  ment de la même faon que le mécanisme  d'accouplement représenté sur la     fig.    72 et  servant à remettre en position la chape de  renversement 1115. Il y a cependant une lé  gère différence dans la manière dont ces deux  mécanismes sont embrayés et débrayés et cette  différence sera expliquée en se rapportant  aux     fig.    86 et 96A.  



  La chape 1207 servant à.     actionner    l'or     'gane     d'accouplement 1206 est supportée à rotation  par un axe vertical 1200 qui est, à son tour,  supporté par le châssis 1087 et la plaque su  périeure 1136. L'un des bras de la chape 1207  a une saillie antérieure 1208 qui vient au con  tact de la dent d'un verrou 1209 monté libre  ment sur un arbre 1210 tourillonnant dans  le châssis 1087 et dans la plaque supérieure  1136. Un ressort 1211, tendu entre l'un des  bras de la chape 1207 et le verrou 1209, en  traîne ces pièces dans le sens des aiguilles  d'une montre, de manière à maintenir norma  lement le verrou en prise avec la saillie 1208.

    Le verrou 1209 possède une fente 1212, en  forme de L au travers de laquelle passe une  saillie 1213, dirigée vers le haut, d'un bras  1214 de     dégagement    du verrou, bras qui est  monté sur l'un des bras de la chape 1207, de  façon à     _    pouvoir pivoter et à se déplacer à  l'aide d'un goujon de ce bras qui s'engage  dans une fente pratiquée dans ledit bras de  ladite chape. Un ressort 1215, tendu entre le  bras 1214 et     l'un    des bras de la chape 1207,  entraîne ce bras 1214 dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre et il en  traîne en même temps ce bras en arrière, de  manière à maintenir normalement ledit bras  comme il est indiqué sur la fi-. 86.

   La sail  lie 1213     (fig.    86, 96A et 96B) du bras 1214  coopère avec un     linguet    1216 de dégagement  du verrou,     fixé    sur l'arbre 1210. Sur l'extré  mité supérieure de l'arbre 1210 est fixé éga  lement un bras 1217 relié par une articula  tion 1218     (fig.    96A) à un bras 1219 fixé sur  un arbre 1220 tourillonnant dans le châssis  1087. Un ressort 1221, tendu entre le bras      1217 et la plaque     11à6,    entraîne ce bras, cet  arbre 1210 et le     lina    et 1216 dans le sens des  aiguilles d'une montre, de façon à mainte  nir normalement ces pièces en position nor  male, comme indiqué sur le dessin.

      Lorsque l'arbre 1220 est actionné de la  manière qui va être maintenant décrite, l'ar  bre 1210     (fig.    86 et     96A)    et le     linguet    1216  se déplacent dans le sens contraire à     celui     des aiguilles d'une montre à l'encontre du  ressort 1221, en amenant ce     linguet,    en     eo-          opération    avec la saillie 1213, à déplacer le  bras     121-1    vers l'avant à l'encontre du ressort  1215 et, étant donné que la saillie repliée vers  le haut     1\313    se trouve dans la partie étroite  de la fente     1\_'12    en forme de L,

   le verrou  1209 se déplace avec elle dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre, de  manière à     dégager    la dent     dudit    verrou de la  saillie 1208 de la chape<B>1207.</B> Cela a pour  effet d'abandonner la chape<B>1207</B> à l'action  du ressort 1211 qui déplace immédiatement  cette chape dans le sens des aiguilles     d'une     montre, de manière à mettre en prise les  dents de l'organe d'accouplement 1206 avec  les dents correspondantes du tambour 1205 et  à faire tourner ce tambour et les cames 1203  et 1201 d'un tour dans le sens des aiguilles  d'une montre, comme représenté à la     fig.    85.

      Du fait de la rotation des cames 1203 et  1201, le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras  <B>1197</B> se déplacent d'abord dans le sens des       aiguilles        d'une    montre puis font retour à la  position normale, mouvement qui,     grâce    au       g   <B>0</B>     Ujon        1196        (fig.        79),        déplace        le        bras        1195     d'abord dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, en     amenant    le gou  jon 1191,

   coopérant avec les     proionbements     1192 et 1193 des barres 1183 et 1181,à dépla  cer ces barres vers le haut. Le mouvement des  barres 1183 et 1181 vers le haut abaisse, grâce  aux leviers correspondants     1178    à 1181 inclus  (fia. 80 et 98), les pistons d'arrêt 1170 à 1173       inclus    hors de prise avec le taquet 733 du  bloc 722, de façon à permettre au chariot (le  se déplacer soit clans le sens de     tabulation,     soit dans le sens (le retour.

      Le mouvement de la chape 1207 dans le  sens des aiguilles d'une montre     (fig.    86),  expliqué ci-dessus et     engageant    le mécanisme  d'accouplement lorsque le verrou 1209     est    li  béré, amène une saillie vers le bas     12\32    du  bras inférieur de ladite chape, à venir au  contact du bras 1211 et à le déplacer dans le  sens des aiguilles d'une montre à l'encontre  du ressort 1215, de manière à     dégager    la sail  lie 1213 de la branche étroite de la fente  1212 et à l'introduire dans la branche élar  gie de cette fente,

   de façon à permettre au  ressort 1211 de ramener immédiatement ce  verrou 1209 dans le sens des aiguilles d'une  montre vers une position où sa dent se trouve  sur le trajet de la saillie 1208. Lorsque les  cames 1203 et 1201 et le tambour     1\Z05        (fig.    85  et 86) approchent de la fin de leur révolution  dans le sens des aiguilles d'une montre, une       saillie-came    1223 à la périphérie de ce     tam.-          bour    vient au contact d'un goujon aplati     122-1     fixé sur le bras supérieur de la chape 1207 et  déplace cette chape dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre, à l'encontre  du ressort 1211,

   de manière à amener la sail  lie 1208 à passer à côté de la dent du ver  rou     1\_'09,    sur quoi ledit verrou entre en  action pour retenir cette chape et     l'orap    ne  d'accouplement 1206     (fig.    96A) en position  débrayée.  



  Les cames 1203 et     120-1    et le tambour 1205  sont aidés à     regagner    leur position de reps  et à y être retenus par une encoche prati  quée dans     un    disque de repérage 1225       (fig.        96A),    solidaire de ces cames et de ce  tambour, en coopération avec un galet     fixe>     sur un levier de repérage 1226 et entraîné  par un ressort; ce levier est analogue au le  vier 1161 représenté à la     fig.    71 et     expli-          clué    ci-dessus et fonctionne     exactement    comme  lui.

   Le levier de repérage 1226     (fiâ.    86 et       96A)    situe le tambour 1205 de telle sorte que  sa saillie-came 1223 se trouve au-delà de la  surface plate du goujon     122-1,    (le manière à  ne pas gêner le mouvement     d'embrayage    de  la chape 1207 dans le sens des aiguilles d'une  montre lorsque le verrou 1209 est à     nouveau          débrayé    de la manière     expliquée    plus haut.

        Après que le chariot s'est déplacé vers  une position correspondant à une colonne sé  lectionnée, le     linguet    1216 et l'arbre 1210 sont  ramenés dans le sens des aiguilles d'une mon  tre vers la position normale, d'une manière  qui v a être décrite maintenant, en permettant  ainsi au ressort 1215 de ramener le bras 1214  vers l'arrière et dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre et à introduire la  saillie 1213 de ce bras dans la branche étroite  de la fente 1212, de telle sorte que l'opération  ci-dessus expliquée de cet arbre 1210 et de ce       linguet    . 1216 débloque à nouveau le verrou  1209 pour dégager les pistons d'arrêt.

   Sur la  barre 1184 de     tabulation        (fig.    51, 7 7 et 85)  pivote un     linguet        12\39    présentant une surface  angulaire 1230 normalement maintenue en  contact avec la tige 1189 par un ressort 1231  qui entraîne ce     linguet    dans le sens des       aiguilles    d'une montre.

   Un prolongement di  rigé vers le bas du     linguet    1229 est disposé  pour coopérer avec     un    goujon carré 1232 fixé  sur l'extrémité antérieure d'un bras 1233  monté librement sur la tige 1189 et entraîné  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre par un ressort 1234, de façon  à.

   maintenir normalement     im    prolongement  vers le bas 1235 de ce bras en contact avec  le bord supérieur     d'tm    prolongement hori  zontal ,d'un bras 1236 de commande de     tabu-          lation.    Un autre prolongement 1237     (fig.    77)       chi    bras 1233 est disposé pour coopérer avec  le bord supérieur arrondi de la traverse d'une  chape<B>1238,</B> laquelle, conjointement avec un  bras 1239 de     commande    du retour, qui est un  bras droit conjugué du bras 1236, coopère  avec les barres 1183 et 1184, d'une manière  qui sera décrite ultérieurement, pour com  mander les mouvements de     tabulation    et de  retour du chariot.

   Sur les bras conjugués 1236  et 1239     (fig.    80, 81, 83, 84 et 88) sont filés  des moyeux correspondants, montés libre  ment sur une tige 1240 entre une plaque  1241, d'une part, fixée à son tour au châssis  droit 134 des totalisateurs et au socle de la  machine et à une console     12-12,    d'autre part,  fixée à son tour sur la plaque 1191     (fig.    7B).  Les moyeux pour les bras 1236 et 1239         (fig.    80, 81 et 83) s'adaptent. entre les bras  parallèles de la chape 1238, bras qui, à leur  tour, pivotent sur la tige 1240.  



  Une vis     d'ajustage    1243, qui s'étend entre  les bras parallèles de la chape 1238, passe  librement dans le bras     droit    et est filetée dans  le bras gauche, de faon à former une trin  gle entre lesdits bras parallèles et à procurer  un dispositif servant à régler ces bras latéra  lement, de telle sorte que les     moyeux    pour les  bras 1236 et 1239 soient ajustés entre les bras  de la chape, de façon à former un châssis  1248 de trois éléments 1236, 1238 et 1239,  châssis qui peut se déplacer latéralement     sur     la tige 1240.

   Un écrou de blocage coopère avec  la     partie    filetée de la vis 1243 qui passe à  travers le bras droit de la chape 1238, de  façon à fixer cette vis dans sa position de  réglage.  



  Sur les surfaces intérieures des bras pa  rallèles de la chape 1238 sont fixés des gou  jons 1244 et 1245     (fig.    80, 81 et 83) qui  s'engagent dans des fentes des bras de droite  et de gauche semblables fixés sur les extré  mités opposées d'un manchon 1246 et espacés  par lui de telle sorte qu'ils s'ajustent entre  les surfaces intérieures desdits bras parallèles  de ladite chape 1238. Le manchon 1246 est  monté librement sur une tige 1247 supportée  par la plaque     12-11    et la console 1242 et for  mant avec cette chape 1238 et les bras 1236 et  1239 un châssis mobile qui peut être disposé  latéralement sous l'action du chariot lorsque  celui-ci se déplace vers ses diverses positions  de colonnes, ainsi qu'il va être expliqué main  tenant.  



  Des dents annulaires 1249 sont entaillées  dans le manchon 1246     (fig.    80 et 81) et co  opèrent avec les dents d'un segment 1250 calé  sur l'une des extrémités d'un arbre court  1251 tourillonnant dans un coussinet 1252  fixé dans la plaque 1176. Sur l'autre extré  mité de l'arbre 1251 est calé un autre segment  d'engrenage 1253 qui engrène avec des dents  de crémaillère entaillées dans le bord infé  rieur d'une barre 1254 supportée pour mou  vement horizontal par des fentes parallèles  1255 et 1256, coopérant avec des goujons cor-           respondants    fixés sur la plaque 1176.

   L'extré  mité gauche de la barre 1254     (fig.    80 et 81)  porte des dents de crémaillère qui engrènent  avec un pignon<B>1257,</B> solidaire d'une roue  d'index 1258 fixée sur un tronçon d'arbre  1259 dont les extrémités opposées     tourillon-          nent    dans la plaque 1176 et dans la plaque  laminée antérieure     117-1    en vue de supporter  les pistons d'arrêt de     fabulation.    En consi  dérant la fi. 80, on voit que le pignon 1257,  la roue     12?8    et l'arbre 1259 sont situés au  milieu de l'espace entre les pistons d'arrêt de  droite et de gauche 1170 à 1173 inclus,  espace     prévu    pour les taquets d'arrêt 733  (fia.

   81) des blocs de commande 722, de fa  çon à situer le chariot dans ses diverses posi  tions de colonnes.  



  Les dents de la roue 1258 sont disposées  de façon telle qu'elles puissent venir au con  tact     d'in    goujon aplati 732 de chacun des  blocs de commande<B>722</B> et que, lorsque le cha  riot se déplace d'une position de colonne à  la suivante, le goujon sortant 732 fasse pivo  ter la roue 1258 de la moitié de l'entre-dent et  que le goujon entrant 732 achève ce mouve  ment d'ajustage en faisant pivoter cette  roue de l'autre moitié de l'entre-dent; on com  prendra mieux ceci en comparant les fia. 81  et 82.

   Lorsque le chariot est placé dans une  position de colonne par le taquet 733 en co  opération avec les pistons d'arrêt 1170 à<B>1173,</B>  le goujon correspondant 732 est en prise avec  les dents de la roue 1258,     comme    indiqué à la       fig.    82, pour placer et retenir en position re  tirée cette roue et les pièces qui lui sont re  liées.

   Une barre retenue 1260     (fig.    81 et 82),  montée à     glissement    sur la face intérieure de  la plaque<B>1176,</B> est     entraînée    vers la gauche  par un     ressort        1?61.    de façon à maintenir  une partie dentée de cette barre en prise  flexible avec les dents de la roue 1258 et à  retenir en position convenable cette roue et  les pièces qui lui sont. reliées lorsque le cha  riot se déplace d'une position de colonne à  une autre et que les goujons 732 sont hors  de prise     avec    les dents de ladite roue, comme  on le voit à la fia. 81.

   Lorsque le chariot se  déplace     d'une    position de colonne à la pro-         chaine    soit dans le sens de la     tabulation,    soit  dans le sens du retour, les goujons 732, en  coopération avec les dents de la roue 1258       (fig.    81 et 82), déplacent l'ensemble 1248  comprenant les bras 1236 et 1239 de com  mande de     tabulation    et de retour et la chape  1238 d'un pas pour chaque position de co  lonne par laquelle passe le chariot et le dé  placent dans le sens de déplacement du cha  riot, de sorte que ledit ensemble 1248 est  toujours ajusté en rapport avec la position  de colonne du chariot.  



  Dans la machine représentée, la capacité  maximum du chariot est de dix positions de  colonnes. Toutefois, l'augmentation de la capa  cité du chariot quant au nombre de colonnes  n'est qu'une question d'habileté mécanique ne  sortant pas du cadre de cette invention.  



  Les bras de droite et<B>de</B> gauche de la  chape 1238 (fi-. 84) vers l'arrière de la ma  chine passent par des ouvertures 1262 et 1263  pratiquées dans les parties repliées des bras  l236 et 1239 et le bras 1239 porte un goujon       126-1    (fi-. 83, 85) qui passe par une fente  1265 du bras 1236 (fi-. 81). L'ouverture 1263  permet le mouvement de la chape 1238, alors  que le bras 1239 reste immobile.     'Mais    l'ouver  ture 1262 est aménagée pour entrer en con  tact avec le bord supérieur du bras droit da  la chape 1238, lorsque cette dernière est sou  levée à la position active, comme on va l'ex  pliquer.

   En conséquence, la chape 1238, qui  est toujours déplacée vers le haut lorsque le  chariot passe     d'une    position de colonne à une  autre, entraîne toujours le bras 1236 avec lui  vers le haut. Lorsque le bras 1236 de     tabu-          lation    se déplace vers le haut, sa fente 1265  (fi-. 88) donne du jeu au     ;oujon    1264 et,  par conséquent, le bras     1239@de    retour reste  immobile.

   Mais, lorsque le bras 1239 se dé  place vers le<B>haut,</B> son     goujon    1261, en coopé  ration avec le bord supérieur de la fente  <B>1265,</B> comme expliqué ci-après, soulève     avec     lui le bras 1236 de     tabulation.    Le but de ces  liaisons entre les bras 1236 et 1239 et la chape  1238     ressortira    du cours de l'exposé.  



  En se reportant aux     fig.    84 et 85, on voit  que les bords inférieurs du bras l239 et de la      traverse de la chape 1238 coopèrent avec un  levier 1266 de soulèvement pour la Marge  Gauche et que les bords inférieurs du bras  1236 et de la traverse de la chape 1238 co  opèrent avec les leviers 1267 sélecteurs de  colonnes reliés aux touches correspondantes  1070 sélectrices de colonnes     (fig.    3 et 90) et  montés à oscillation solidairement avec le le  vier 1266 de la Marge Gauche, sur     un    goujon  1268 qui s'étend entre la plaque 1191       (f        ig.    7B) et le châssis de droite 130.

   Le levier  1266 porte sur son     extrémité    inférieure un  goujon 1269     (fig.    85)     qui    s'engage dans une  fente verticale dans l'extrémité postérieure       d'une    articulation<B>1270</B> dont l'extrémité anté  rieure pivote sur un bras 1271 monté libre  ment sur une tige 1272 qui s'étend entre la  plaque 1191 et le châssis droit 130. Une arti  culation<B>1273</B> relie le bras oscillant     1'271   <B>à</B> un  levier 1274 monté sur une tige 1275 qui est  également supportée par la plaque 1191 et le  châssis de droite 130.

   Un fil métallique 1276  relie le levier 1274 à l'extrémité droite du le  vier 1066 de la touche de Marge     (rauche,    et  ce levier 1066 pivote sur un axe 1277 porté  par une plaque 1278     (fig.        7A)    qui est fixée  entre le châssis de droite 130 et le     châssis    de  gauche 131. Un ressort<B>1279</B>     (fig.    85) en  traîne le bras 1271 et les     leviers    1266 et 1274  dans le sens contraire à. celui des aiguilles  d'une montre,     afin    de maintenir ces pièces  dans leurs positions     normales,    ou de repos,       indiquées    sur le dessin.  



  Les leviers 1267     (fig.    88 et     99)    sont reliés  à leurs touches respectives 1070 sélectrices de       colonnes    par des éléments similaires à     ceux     représentés sur la fi-. 85 pour la touche 1066  de     lIarge    Gauche et les éléments de liaison  entre le levier correspondant 1267 et la tou  che de Dépôts 1070 sont représentés sur la       fig.    90.

   Le levier 1267 pour la touche de Dé  pôts 1070 porte sur son     extrémité        inférieure     un goujon qui s'engage dans une fente verti  cale d'une articulation 1280 dont     l'extrémité     antérieure pivote sur un bras 1281 monté li  brement sur la tige 1272. Un goujon du bras  1281 s'engage dans une fente     prévue    dans  l'extrémité     inférieure        d'une        articulation    1282    dont l'extrémité supérieure pivote sur un le  vier 1283 monté librement sur la tige 1275.

    Le levier 1283 est relié par     un    fil métallique  1284 sur l'extrémité droite de la partie de le  vier de la touche des Dépôts<B>1070</B> montée  librement sur l'axe 1277. Une série de barres  d'arrêt     1\2'8ô        (fig.    90) coopère avec les     extré-          mités    postérieures des leviers 1283 en     vue          d'empêeher    le mouvement de plus d'un de ces  leviers à la fois dans le sens des aiguilles  d'une montre et pour interdire ainsi     l'abâisse-          ment    de plus d'une touche<B>1070</B> sélectrices de  colonnes à la fois.

   Un ressort 1286     entraîne    le  bras 1281, les leviers 1267 et 1283 dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre, afin  de maintenir normalement ces pièces dans  leurs positions normales indiquées sur le des  sin. La fente dans l'extrémité postérieure de  l'articulation 1280     (fig.    90) permet à cette  articulation d'être facilement reliée ou déta  chée du goujon de l'extrémité inférieure du  bras 1267 et la boucle dans l'extrémité infé  rieure du fil 1284 permet à ce fil d'être faci  lement détaché ou relié au goujon du levier  1283 pour faciliter l'assemblage et le démon  tage de ces pièces.  



  L'abaissement de la touche de Dépôts  1070     (fig.    3, 77, 88 et 90) déplace le levier  1283 dans le sens des aiguilles d'une montre  et ce mouvement se transmet, par l'articula  tion 1282, le bras 1281 et l'articulation 1280,  au levier 1267 pour déplacer ce levier égale  ment dans le sens des     aiguilles    d'une montre.  Le mouvement du levier<B>1267</B> dans le sens  indiqué amène une came 1287 de     l'extrémité     supérieure de ce levier, en coopération avec  les extrémités inférieures en forme de dents  1288 et     12S9    respectivement de la partie re  pliée du bras 1236 et de la traverse de la  chape 123S, à déplacer ce bras et cette chape  dans le sens contraire des aiguilles     d'une     montre.

   Lorsque la came     12S7        passe    au-delà  du bord inférieur du bras 1236, ce bord tombe  derrière un épaulement du bord supérieur  dudit levier<B>1267,</B> de manière à bloquer ce le  vier et les pièces annexes,     3-    compris la touche  des Dépôts<B>1070,</B> dans leurs positions de     ma-          neeuvre.    Le mouvement du bras 1236 dans le      sens contraire des aiguilles d'une montre  amène le bord supérieur de sa partie repliée,  en coopération avec le prolongement 1235 du  bras 1233, à déplacer ce dernier dans le sens  des aiguilles d'une montre contre l'action de  son ressort 1231.

   Le mouvement du bras 1233  dans le sens des aiguilles     (fig.    88) amène son  goujon carré 1232, en coopération     av        ec    le pro  longement avant du bras 1290, à entraîner  ce bras avec lui dans le même sens.  



  Sur le bras 1290 pivote     l'extrémité    supé  rieure d'une barre 1291 portant un goujon  aplati 1292 qui s'engage dans une fente pra  tiquée dans l'extrémité supérieure d'un bras  1293 monté librement sur la tige 1268 et relié  par une tige 1291 à un bras associé 1295       (fig.    85) également monté librement sur la  tige 1268.

   Un ressort 1300, tendu entre le bras  1290 et la barre 1291, entraîne ce bras dans  le sens contraire des     aiguilles        d'une    montre  pour maintenir normalement son extrémité  antérieure en contact avec le goujon 1232 et  entraîne le bras 1293 également. dans le même  sens pour maintenir normalement la tige     1\'9.1     en contact. avec les leviers 1267 des touches  sélectrices de colonnes et avec le levier 1266  de la touche de     -Marge    Gauche.  



  Le mouvement     expliqué    ci-dessus des bras  1233 et 1290 dans le sens des aiguilles d'une  montre     (fig.    77 et 88) sous l'action du bras  1236 fait descendre le goujon 1292 sur le  trajet d'un prolongement vers le haut 1296  d'un bras<B>1297</B> monté librement sur la tige  <B>1268</B> et relié par une articulation 1298 à un  bras 1299 fixé sur l'arbre 1220. Ce mouve  ment du goujon 1292 sur le trajet du prolon  gement vers le haut 1296 se produit avant.  que la tige 1294     (fig.    88) ait     subi    un mouve  ment appréciable par le mouvement du levier  <B>1267</B> dans le sens des aiguilles d'une montre.

         Mgis    le mouvement ultérieur de ce levier<B>1267</B>  dans le sens indiqué, après que le goujon  1292 a été placé sur le trajet du prolonge  ment 1296, déplace le bras<B>1297</B> dans le sens  des     aiguilles    d'une montre, ce qui déplace,  par l'articulation 1298, le bras     1\_'99    et l'arbre  1220 simultanément avec lui dans le même  sens.

   La rotation de l'arbre     1=20    dans le sens    des aiguilles d'une montre déplace, par l'ar  ticulation 1218     (fig.        96A),    le bras 1217 et l'ar  bre 1210 dans le sens contraire des aiguilles,  comme représenté au dessin à la     fig.    86, de  manière à amener le     lin;uet    1216, en coopéra  tion avec le prolongement replié 1213 du bras  1214, à dégager le verrou 1209 de la saillie  1208 de la chape 1207 et à faire entrer en  action le mécanisme d'accouplement pour les  cames 1203 et 1201     (fig.    85).

   La rotation des  cames 1203 et 1201     (fig.    79 et 85) déplace le  levier 1199, l'arbre 1198 et le bras 1197  d'abord dans le sens des aiguilles d'une mon  tre en amenant le goujon 1196 à déplacer le  bras 1195 dans le sens contraire des aiguilles.  Le mouvement du bras 1195 dans le sens con  traire des     aiguilles    d'une montre amène le  goujon     119-1,    en coopération avec les prolon  gements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1181,  a.

   déplacer ces barres vers le haut de la ma  nière expliquée     ci-dessus.    Le mouvement de la  barre 1181 vers le haut     (fig.    77) retire la  surface angulaire 1230     prévue    sur le     linguet     1229 du goujon 1189 pour permettre au pro  longement vers le bas de ce     linguet    de se po  ser sur le goujon carré 1232 lorsque la barre  1184 atteint la fin de son mouvement vers le  haut, de manière à bloquer cette barre dans  sa position haute.  



  Le mouvement de la barre 1183 vers le  liant     (fig.    125) retire une surface angulaire  1303 formée dans une ouverture clans un     lin-          guet    1301,<B>qui</B> pivote sur cette barre, du gou  jon 1189, de façon à abandonner ce     linguet    à  l'action d'un ressort de tension 1305 servant à       entraîner    ce     linguet    dans le sens des     aiguilles     d'une montre. Lorsque cette barre 1183  atteint la fin de sa course vers le haut, une  surface 1306 du     linguet    1301 se place sur le  bord supérieur de la traverse de la chape  1238 pour verrouiller cette barre 1183 dans  sa position haute.  



  Le mouvement des barres 1183 et     118-I     (fi-. 80 et 98) vers le haut,     expliqué    précé  demment, amène les pistons d'arrêt correspon  dants 1170, 1171, 1172 et 1173 à descendre et  à se dégager des taquets d'arrêt 733 pour per  mettre le mouvement du chariot sous l'action      du mécanisme hydraulique d'entraînement.

    On se rappelle, en se reportant aux fi-.<B>88</B> et  90, que la traverse de la chape 1''38 se dé  place vers le haut du fait du mouvement (lu  levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une  montre et que le bras 1236 se déplace en  même temps vers le haut et est retenu dans  cette position lorsque le bord inférieur 1288  dudit bras<B>1236</B> tombe derrière l'épaulement  de la came 1287, de manière à retenir ce le  vier<B>1267</B> dans sa position atteinte en tour  nant dans le sens des     aiguilles    d'une montre,  ou position de     inanceuvre.     



  Lorsque les bras 1236 et 1239 et la chape  1238 sont ajustés latéralement,     connue    indiqué  sur la     fig.    81 par le chariot quand il se dé  place vers sa position extrême de     tabulation,     position qui correspond à la colonne  Pick-  <B>up </B> de la pièce comptable représentée sur la       fig.    117, une ouverture 1307 formée par les  bords intérieurs des bras 1236 et 1239 et par  une encoche 1308 dans le bord inférieur de la  chape 1238 coïncide avec     l'extrémité    supé  rieure -du levier<B>1267</B> pour la touche<B>1070</B>   Pick-up  et, lorsque le chariot se trouve  dans cette position, l'abaissement de la touche   Pick-up  ne provoque pas de soulèvement  des bras 1.236 et 1239 et de la chape 1238,

   et  le chariot restera. par conséquent immobile.  



  Normalement, le mécanisme d'entraîne  ment du chariot     (fig.    72 et 75) agit de ma  nière à     entraîner    le chariot dans le sens de       tabulation    et, lorsque ce chariot se trouve  dans la position de la colonne  Pick-up  et  les pièces 1236, 1238 et 1239 dans les posi  tions indiquées sur la     fig.    84, la libération des  pistons d'arrêt par l'abaissement de la tou  che des Dépôts 1070, comme expliqué ci-des  sus, déplacera le chariot dans le sens de     tabu-          lation,    ou à droite, comme représenté au des  sin.

   Lorsque l'encoche 1308 dans le bord infé  rieur de la chape 1238 passe au-delà de l'ex  trémité supérieure du levier 1267 pour la tou  che des Dépôts, cette chape tombe en permet  tant à la barre 1183 (fi-. 125) de se dépla  cer simultanément avec elle vers le bas et en  permettant ainsi aux pistons d'arrêt 1170 et  1171     (fig.    80 et 81) de se déplacer vers le    haut sur le chemin des taquets d'arrêt 733 du  bloc de commande 722 situé dans la position  de la colonne des Dépôts du chariot;

   immédia  tement après, le bord intérieur de     l'extré-          mité    inférieure du bras 1236 passe au-delà du  levier 1 _67 et ce bras et la barre 1181     (fig.    77)  descendent     simultanément        pour    ramener les  pistons d'arrêt 1172 et 1173 sur le trajet de       ee    taquet 733 pour la colonne des Dépôts.  



  Les barres 1183 et     118-1    sont ramenées  vers le bas avant que le chariot arrive à la  position de la     colonise    sélectionnée. Par consé  quent, le bord inférieur arrondi du taquet  (fi-. 81 et 82) se pose sur les bords supé  rieurs inclinés des pistons 1170 et 1172 pour  les abaisser. Le mouvement des pistons 1170  et 1172 vers le bas     (fig.    80 et 98) déplace  les leviers correspondants 1178 et 1180 dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre  contre l'action du ressort 1182, de manière à  déplacer les coulisses correspondantes 1185  et 1186     (fig.    51, 79 et 85) vers le haut contre  l'action de leurs ressorts correspondants 1301  et 1302 pendant que les barres correspon  dantes 1183 et 1181 restent dans leurs posi  tions basses.

   Le mouvement de la coulisse  1186     (fig.    51) vers le haut retire un prolon  gement avant d'un bras 1309 pivotant sur la  coulisse     d'Lui    goujon fixé sur la barre 1.81,  de façon à abandonner ce bras à l'action d'un  ressort 1310 qui déplace ce bras dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre, de ma  nière à placer un goujon carré fixé sur l'ex  trémité inférieure de ce bras sous un prolon  gement 1312 de la traverse d'une chape 1313  montée librement sur un arbre 1311     (fig.        711     et 85) qui tourne dans la pièce en fonte 1101  du     mécanisme        hydraulique.    Le mouvement  ultérieur de la coulisse 1186 et du bras 1309  vers le haut amène le goujon carré 1311,

   en  coopération avec le prolongement 1312, à dé  placer la chape 1313 dans le sens des aiguilles  d'une montre.  



  Comme un bras gauche de la chape 1313       (fig.        711,    72, 85, 96A et     96B)    est relié à oscil  lation par une articulation 1315 à un bras  1316 fixé sur l'extrémité droite d'un     arbre     1317 de renversement     d11    mouvement du clia-           riot,    arbre tournant dans les bras du     châssis     1087 dirigés en arrière, le mouvement de cette  chape dans le sens des aiguilles     d'une    montre  fait pivoter cet arbre dans le sens contraire  des aiguilles, en regardant la     fig.    85.

   Sur  l'arbre 1317 est également fixé     (fig.    72, 73 et       96A)    un bras 1318 relié à oscillation par une  articulation 1319 au bras 1138, lequel, comme  il a été expliqué     ci-dessus,    est fixé sur l'extré  mité supérieure de l'arbre vertical 1135 et,  par conséquent, le mouvement de cet arbre  1317 clans le sens des aiguilles d'une montre  déplace l'articulation 1319 en avant, de ma  nière à déplacer le bras 1138 et l'arbre 1135  d'abord dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, comme représenté     au    dessin.

   Le mouve  ment de l'arbre 1135 et du bras 1139 qui est,  comme on se rappelle, calé sur cet arbre,  retire ledit bras du nez replié 1110 du bras  1111 pour permettre à ce bras de se placer  dans la partie étroite 1118 de la fente en  forme     de-L    dans le verrou, comme il a été       expliqué    précédemment.  



  Lorsque le taquet 733     (fig.    80,     96B    et 98)  du bloc de commande     72\?    pour la colonne des  Dépôts arrive dans l'espace entre les pistons  d'arrêt, les pitons 1170 et 1172 sont ramenés  vers le haut par leurs ressorts 1182 en rame  nant ainsi les coulisses 1185 et 1186 vers le  bas de la position normale, de manière à re  mettre le bras 1309     (fig.    51) dans le sens des  aiguilles d'une montre également à la posi  tion normale représentée.

   Le mouvement de  remise en position vers le bas de la coulisse  11S6 et le mouvement du bras 1309 dans le  sens des aiguilles d'une montre abandonnent  la chape 1313 et le mécanisme annexe à l'ac  tion du     ressort    1137     (fig.    72 et     96A)    qui;  immédiatement, ramène le bras 1138, l'arbre  1135 et le bras 1139     dans    le sens contraire  des aiguilles d'une montre à la position nor  male.  



  Le     mouvement    du bras 1139 dans le sens  indiqué     amène    ce bras, en coopération avec  le nez     11-10.    à     déaaer    le verrou 1116 de la  saillie     11-17    de la chape     1143        (fig.    73) pour  faire entrer en action le mécanisme d'accou  plement représenté sur la fi-. 72, de manière    à amener la came 1162 à faire un tour pour  ramener la chape 1115 à sa position de gau  che, ou de     tabulation,    pour le cas où ladite  coulisse serait pour une raison quelconque en  position d'entraînement du chariot dans la  direction de retour.

   C'est là une meure de  précaution prise pour tous les cas où le cha  riot se déplace d'une position de     colonise    à  une autre soit dans le sens de     tabulation,    soit  dans le sens de retour pour s'assurer que le  mécanisme représenté sur les     fig.    7 2 et 75  est normalement en état d'entraîner le cha  riot dans le sens de     tabulation    en vue     d'effec-          t.uer    ce mouvement du chariot en un mini  mum de temps. .  



  Sur la coulisse 1185     (fig.    7B et 85) est  monté     in    bras 1320, similaire à tous     égards     au bras 1309     (fig.    51) pour la     coulisse    1186;  ce bras porte un goujon carré 1321 qui co  opère avec un prolongement 1322 prévu sur  la traverse de la chape 1313 pour déplacer  cette chape exactement de la     lagon    déjà expli  quée     pour    ce bras 1309.  



  Il est évident que, lorsque le levier<B>1267</B>       (fig:    81 et 90) de la touche 1070 des Dépôts  se place dans l'ouverture entre les bords infé  rieurs des bras 1236 et 1239, le bord inférieur  1288 de ce bras 1236 passe au-delà de l'épau  lement de l'extrémité supérieure dudit levier  1267 de manière à abandonner ce levier et les  pièces annexes à l'action du ressort 1286 qui  ramène ces pièces, y compris la touche<B>1070</B>  des Dépôts, immédiatement aux positions nor  males présentées. Tant que le chariot se  trouve dans la colonne des Dépôts, l'abaisse  ment de la touche 1070 des Dépôts déplacera  le levier 1267 simplement en avant et en  arrière sans imprimer aucun     mouvement    au  bras 1236 ni à la chape 1238.

   En consé  quence, le chariot restera dans la     colonne        des     Dépôts.  



  Le bras droit de la chape 1313     (fig.        7B)     porte sur son extrémité supérieure un goujon  1323 maintenu en contact avec une surface  usinée d'un bras     132-1    fixé sur l'arbre     131-1.     par un ressort tendu entre ledit bras et ce  prolongement vers le haut.

   Sur l'arbre 1314  sont également fixés des doigts     identiques         dont les extrémités coopèrent avec des pistons  correspondants 1397     diamétralement    opposés,  montés librement dans des trous de la pièce  en fonte 1101 et qui s'étendent entre les extré  mités des doigts et la surface supérieure d'un  organe d'accouplement 1328 fixé à rotation  sur l'arbre 1100, mais     pouvant    se déplacer sur  cet arbre dans le sens axial.

   Un piston 1335,  actionné par lui ressort, est monté dans un  perçage de l'organe     d'accouplement    1398 où  il est tenu en place par une vis qui coopère  avec une encoche de l'arbre 1100 pour main  tenir normalement les dents de la face infé  rieure de cet     organe    1328 hors contact avec  les dents correspondantes de la face supé  rieure d'un organe     (l'accouplement    correspon  dant 1399. L'organe     d'accouplement    1329 est  solidaire d'une roue dentée 1330 montée folle       sur    l'arbre 1100 et engrenant avec lui pignon  1331 solidaire d'une roue dentée 1332 montée  folle sur un     tronçon    d'arbre 1333 supporté  par la pièce en fonte 1101.

   La roue 1332       (fig.    7B)     enbrèile    avec une roue 1331 fixée  sur le corps du dispositif d'accouplement hy  draulique 1102 et tournant solidairement avec  ce corps et la roue 1103.  



  Par le train d'engrenage réducteur, l'or  gane d'accouplement 1329 est     entraîné    sensi  blement plus lentement que l'accouplement  hydraulique 1109 et, par suite du mouvement  de la chape 1313 dans le sens des aiguilles       d'une    montre, lorsque les pistons sont abaissés  par le taquet du bloc de     eoinniande    quand le  chariot s'approche des positions des colonnes  sélectionnées, emporte par le ressort 1325 si  multanément avec lui le bras 1324, l'arbre  1311 et les     doigts    1326 dans le sens des aiguil  les d'une montre.

   Le mouvement des doigts  clans     le'sens    des aiguilles d'une montre abaisse  les pistons 1327, de manière à faire descendre  l'organe d'accouplement 1328 pour engrener  les dents avec les dents de l'autre organe  d'accouplement 1329, afin de ralentir le mou  vement de rotation de l'arbre 1100 qui fonc  tionne sous l'action de l'organe d'accouple  ment hydraulique 1109.

   Le ralentissement du  mouvement de l'arbre 1100 ralentit à son tour  le mouvement de     tabulation        et/ou    de retour    du chariot pour amortir le choc entre les ta  quets d'arrêt 733     (fig.    80 et 98) et les pistons  d'arrêt 1170 à 1173 inclus, de manière à ré  duire le bruit et éviter des     dommages        aux    élé  ments     chi    mécanisme d'arrêt.  



  Lorsque le taquet d'arrêt 733 du bloc de  commande du chariot place ce dernier     dans    la  position de colonne sélectionnée, le mouve  ment de l'arbre 1100     (fig.    7B) et de l'organe  d'accouplement 1328 est interrompu     et,    le  mouvement ultérieur de     l'orbatie    d'accouple  ment 1329 amène les surfaces     angulaires    des  dents de cet organe, en coopération avec des  surfaces     angulaires    similaires des dents de  l'organe 1328, à repousser ce dernier vers le  haut, de manière à débrayer ses dents des  dents     dudit        organe    1329.

   Le piston 1335  poussé par un ressort retient, en coopération  avec l'encoche dans l'arbre 1100, cet organe       d'aceouplement    1328 dans sa position haute  et     dégagée    de     l'orane    d'accouplement 1329.  



  Le dispositif de freinage décrit plus haut  fonctionne automatiquement lorsque les ta  quets d'arrêt 733 (fi;-. 80) abaissent les pis  tons d'arrêt de droite 1170 et 1172 pendant  le mouvement du chariot dans -le sens de ta  bulation ou lorsque les taquets d'arrêt abais  sent les pistons de gauche 1171 et 1173 pen  dant le     mouvement    du     châriot    dans le sens  de retour pour contrôler le mouvement dudit  chariot, afin d'amortir le choc entre lesdits  taquets d'arrêt 733 et le jeu de pistons d'en  face.    <I>Sélection des colonies pendant le</I>     mouvement     <I>de retour</I> dit<I>chariot.</I>  



  En supposant que le chariot 136 (fi-.     18-à-          et    18B) se trouve dans la position de la co  lonne des Dépôts et que l'ensemble 1248  (fi-. 81, 83 et 84) est placé de telle sorte que  le bord inférieur du bras 1239 se trouve     au-          dessus    du levier sélecteur<B>1267</B> à gauche du       levier    sélecteur des Dépôts et surplombe aussi  le levier sélecteur 1266 pour la touche 1066  de la     Marge    Gauche et en supposant, en outre,  qu'on désire sélectionner la colonne  Pick-up>>  qui se trouve à l'extrême de la pièce compta  ble, l'abaissement de la touche 1070      Piek-up          déplace alors,

   à l'aide de liaisons similaires  à celles représentées sur la     fig.    90 pour la  touche des Dépôts, le levier     1 67    de la touche   Pick-up  dans le sens des aiguilles d'une  montre en amenant la came de l'extrémité su  périeure de ce levier, en coopération avec le  bord inférieur de la partie repliée du bras  1239, à déplacer ce bras     vers    le haut. De  même, la came du bord supérieur du levier  1267, en coopération avec la partie gauche du  bord inférieur de la traverse de la chape  1238 (fia. 81), déplace cette chape vers le  haut ou dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre. comme représenté aux fia. 85  et 87. Le goujon 1261 du bras 1239, en co  opération avec la fente 1265 du bras 1236.

    entraîne également ce bras vers le haut ou  dans le sens contraire à. celui des aiguilles  d'une montre. simultanément avec ledit bras  1239. Le mouvement du bras 1239 vers le  haut ou dans le sens contraire des aiguilles       d'iuie    montre (fia. 7B et 87) amène le bord       supérieur    de la partie repliée de ce bras, en  coopération avec un prolongement d'un bras  1336 monté librement sur la tige 1189,à dé  placer ce bras dans le sens des aiguilles d'une  montre.

   Le mouvement du bras 1336 dans le  sens indiqué déplace, à l'aide d'une articula  tion<B>1337</B> qui relie ce bras oscillant à un bras  associé 1338 monté librement sur un axe 1339  fixé sur le châssis 1087, ce bras 1338 dans le  sens contraire des     aiguilles    d'une montre con  tre l'action     d'un    ressort 1310 tendu entre un  prolongement dirigé vers le bas de ce bras et  l'articulation<B>1337.</B> Le mouvement du bras  1338 dans le sens contraire des aiguilles       (fig.    72 et<B>87)</B> amène un     linguet    by-pass 1311.

    entraîné par un ressort et pivotant sur     l'ex-          trémité    supérieure de ce bras, en coopération  avec un prolongement du     linguet    1119, à dé  placer ce dernier dans le sens des aiguilles  d'une montre. comme représenté à la fia. 72.

    de manière à     dégager    sa dent de l'épaulement  de la chape 1115 et à abandonner cette chape  à l'action du ressort 1118 qui la déplace  immédiatement à droite,     comme    représenté au  dessin, pour     débrayer    l'organe d'accouple  ment 1092 en vue de l'entraînement du cha-         riot    dans la direction de     tabulation    et en  même temps     embrayer    l'organe d'accouple  ment 1093 en vue de l'entraînement du cha  riot dans la direction de retour     (fig.    75).  



  Lorsque le chariot 136 se déplace dans le  sens de retour, ou vers la droite en regardant  les     fig.    80 et 81, le mécanisme d'indices repré  senté ici et expliqué précédemment déplace  l'ensemble 1218, y compris les     bras    1236 et  1239 et la chape 1238, simultanément avec lui  vers la gauche.

   Lorsque l'encoche 1308  (fia. 81) dans le bord inférieur de la chape       7.238    coïncide avec le     levier   <B>1267</B>     pour    la tou  che 1070  Pick-up , ladite chape et sa barre  correspondante 1183 (fia.

   125) descendent  pour ramener les pistons d'arrêt 1170 et 1171       (fig.    80) sur le chemin du taquet d'arrêt 733  du bloc de     commande    pour la colonne        Pick-up .    Immédiatement après, le bord  inférieur du bras .1239 s'éloigne du levier  i267 pour permettre à ce levier de retourner  dans le sens contraire des aiguilles d'une mon  tre à la position normale et pour permettre  à ce bras 1239 et à son bras associé 1236 de  se déplacer vers le bas, mouvement du bras  1236 (fia.

   51 et 77) qui ramène la barre     118-1     vers le bas en vue de ramener les<B>pistons</B>  1172 et 1173     (fig.    80) vers le haut sur le       chemin    des taquets d'arrêt 733 du bloc (le       commande   <B>722</B> pour la colonne  Pick-up .  



  Ainsi qu'il a été expliqué précédemment,  les pistons d'arrêt sont remis en position cor  recte avant l'arrivée du chariot 136 à la posi  tion de colonne sélectionnée; par conséquent,  ces pistons se trouvent sur le trajet du taquet       7'à3    et ce taquet monte sur les extrémités incli  nées des pistons 1171 et 1173.

   de manière à  les abaisser, ce qui déplace les leviers corres  pondants 1179 et 1181     (fig.    80 et 98) dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre pour  soulever les coulisses 1185 et 1786, ce qui fait  pivoter l'arbre 1317 en arrière et en     avant     par le mécanisme représenté sur la     fig.    85 et  expliqué ci-dessus, de manière à actionner le  mécanisme d'accouplement montré     sur    la       fig.    72 pour amener la came<B>1162</B> à faire un  tour et à ramener la chape     1115        vers    la -au  elle, de façon à débrayer l'organe d'accouple-      ment 1093     (fig.    75)

   et en même     temps        ciii-          braver    l'organe d'accouplement 1092 pour  renverser le mouvement de la roue 1085, de  sorte que le chariot sera entraîné clans le sens  de     tabulation.    La remise en position vers le  bas du bras 1239     (fig.    87) permet au ressort  1310 de ramener les bras 1336 et 1338 respec  tivement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et dans le sens contraire des aiguilles à la  position normale; pendant ce mouvement (le  retour     dudit    bras 1338, le     linguet    1311 passe  à. côté du bout droit du     linguet    1119 et rega  gne sa position normale, représentée sur le  dessin.  



  Il ressort clairement de ce qui précède que  chaque fois que le chariot se trouve dans une  telle position que les bords inférieurs du bras  1236 et de la chape 1238     (fig:    81, 85 et 90)  sont au-dessus des bouts supérieurs des le  viers 1267, l'abaissement de l'une quelconque  des touches<B>1070</B> sélectrices de colonnes pro  voquera le déplacement du chariot dans la  direction de     tabulation    vers la position de la  colonne sélectionnée.

   On conçoit également  que, lorsque le chariot se trouve dans une po  sition telle que les bords inférieurs du bras  1239 et de la chape 1238 sont au-dessus des       leviers    1267, l'abaissement d'une des touches  1070 sélectrices de colonnes provoquera le dé  placement du chariot     dans    la direction de re  tour de la position actuelle à la position de  la     colonne    sélectionnée.

   Autrement dit, l'en  semble 1218     (fig.    80) comprenant les bras  1236 et 1239 et la chape 1238 est toujours en  correspondance exacte avec la position du  chariot et le rapport entre ces bras 1236 et  1239 et les leviers 1267 pour les touches 1070  conditionne le déplacement du chariot dans le  sens de     tabulation    ou dans le sens de retour  de la position actuelle à la position de la co  lonne sélectionnée.  



       Tabzdation   <I>dit</I>     chariot   <I>de</I>     colombe   <I>ex colonne.</I>  Lorsqu'on abaisse la touche     tabulatrice     1071 (fi-. 2 et 3) et qu'on la lâche immédia  tement, le chariot 136 est     tabtdé    d'une co  lonne à la prochaine; lorsqu'on retient cette  touche tabulatrice dans la position abaissée,    elle devient en fait une touche de la Marge       Droite    et amène le chariot à se déplacer de  toute sa course dans le sens de la     tabulation     jusqu'à ce que la butée de la marge de droite  arrête ce mouvement.  



  La touche tabulatrice 1071     (fig.    2 et 3) est  supportée de façon mobile par un goujon  <B>1277;</B> un prolongement de la partie de levier  du côté droit est relié par un fil métallique  1313 à     l'aune    des     extrémités    d'un levier     1311     monté fou sur la tige 1275.

   Le levier     1311    est  relié, par     tune    articulation 1315, à     tut    ' bras  1316 monté fou sur la tige 1272;à ce bras est  reliée à oscillation l'extrémité avant d'une  articulation 1317 dont l'extrémité postérieure  porte une fente verticale qui s'engage sur un  goujon 1318 fixé sur un bras dirigé vers le  haut d'une chape 1319 montée librement sur  les tourillons 1350     axialement    alignés dont  l'un est fixé sur la plaque 1191     (fig.    80) et  l'autre sur la plaque 1211.

   Un ressort 1351,  tendu entre le bras 1316 et un goujon fixe,  entraîne ce bras dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre, de manière à mainte  nir normalement les pièces reliées ci-dessus  en     position    de repos,     coinine    représenté sur  la     fig.    2. Les liaisons entre la touche tabula  trice 1071 et la chape 1319 sont similaires  sous tous les rapports et fonctionnent     exacte-          ment    de la même façon que les liaisons entre  la touche sélectrice de colonnes 1070     (fig.    90)  et les leviers correspondants 1267.  



  L'abaissement de la touche tabulatrice  1071     (fig.    2) déplace le levier 1311 dans le  sens des aiguilles d'une montre, ce qui dé  place, par l'articulation 1315, le bras 1316  également dans le sens des aiguilles contre  l'action du ressort 1351 et déplace l'articula  tion 1317 en avant pour faire pivoter la  chape 1319 dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre. Le mouvement de la chape  1319 dans le sens indiqué     (fig.    2 et 88) dé  place, à l'aide d'un goujon 1352 d'un bras de  la chape dirigé vers le haut, en coopération  avec une surface usinée d'un prolongement  du bras<B>1297,</B> ce bras dans le sens des aiguil  les, comme représenté au dessin.

   Le mouve  ment du bras 1297 dans le sens des aiguilles           d'une    montre amène, par l'articulation 1298  et le bras 1299, l'arbre 1220 à pivoter égale  ment dans le sens des aiguilles pour faire  entrer en action le mécanisme d'accouplement  représenté aux fi-.

   86, 96A et     96B    pour  actionner les cames 1203 et     120-1,    de manière  à soulever les barres 1183 et 1184     (fig.    80) et  à abaisser les pistons d'arrêt 1170 à 1173 in  clus, de manière à libérer le chariot pour le       ïnouvement    de     tabulation.    Le mouvement de  la chape 1349 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre     (fig.    77, 85 et 125)

    place le bord supérieur 1353 de la traverse  de cette chape sur le trajet de l'extrémité  inférieure     d'un        linguet    1354 pivotant sur la  barre 1183 et     entraîné    dans le sens des aiguil  les     d'une    montre par un ressort 1355, de ma  nière à maintenir normalement une surface       angulaire   <B>1356</B> de ce     lingiet    en contact avec  le goujon 1190 lorsque la barre 1183 se trouve  dans sa position basse.

   De même, le mouve  ment de la chape 1349 clans le sens contraire  des aiguilles d'une montre place le bord supé  rieur 1353 de sa traverse sur le trajet de  l'extrémité inférieure d'un     linguet    1357       (fig.    77) pivotant sur la barre 1184 et en  traîné dans le sens des aiguilles d'une montre  par un ressort 1358, de manière à maintenir  normalement une surface angulaire 1359 du       linguet    en contact avec le goujon 1190 lors  que cette barre 1184 se trouve dans sa posi  tion basse.  



  Le mouvement des barres 1.183 et 1184       (fig.    77, 85 et 125) vers le haut sous l'action  des cames 1203 et 1204 soulève les surfaces       angulaires    1356 et     1359    des     linguets    1354 et  <B>1357</B> du goujon 1190, de manière à permettre       auLZ    ressorts 1355 et     135S    de mettre les extré  mités inférieures de ces     linguets    en contact  avec la surface arrière de la traverse de la  chape 1349, à la suite de     quoi    les barres 1183  et 1184 s'approchent de la fin de leur course  vers le haut et ces     linguets    passent à côté de  la surface 1353,

   de manière à retenir ces  barres dans leurs positions hautes aussi long  temps que la touche clé     tabulation   <B>1071</B>  (fil-. 2) est maintenue abaissée. Au moment.  où la pression sur la touche tabulatrice 1071    cesse, le ressort 1351 ramène cette touche et  les pièces annexes, y compris la chape 1319,  aux positions normales pour faire descendre  le bord supérieur 1353 de la traverse de la  dite chape, de sorte que les barres tabulatrices  1183 et 1184 ne seront pas retenues dans  leurs positions hautes et permettent ainsi     aux     pistons d'arrêt de retourner sur le trajet du  taquet d'arrêt situé dans les positions sui  vantes de colonnes de façon à effectuer la ta  bulation du chariot de colonne en colonne  tant que la touche tabulatrice 1071 est abais  sée et immédiatement relâchée.  



  Comme expliqué ci-dessus, aussi longtemps  que la touche tabulatrice 1071     (fig.    2) est  maintenue abaissée, le bord supérieur 1353 de  la chape 1349, en coopération avec les     lin-          guets    1354 et 1357     (fig.    77 et 125), retient  les barres tabulatrices 1183 et 1184 dans leur  position haute, le résultat étant que le chariot  continuera son mouvement dans le sens de fa  bulation sans     interruption    jusqu'à ce que  cette touche tabulatrice 1071 soit relâchée ou  jusqu'à ce que la butée de la marge droite  termine le mouvement du chariot,     comme          expliqué    ci-après.  



  Si la touche tabulatrice 1071 est mainte  nue en position abaissée jusqu'à ce que le cha  riot 136 atteigne la fin de sa course de     tabu-          lation,    la saillie 1127 (fie. 72 et 75) de la  butée de la marge de droite entre en contact  avec le levier 1124, comme     expliqué        ci-dessus,     et déplace ce levier dans le sens des aiguilles  d'une montre pour dégager le     linguet    1119 et  permettre à la chape 1115 de se déplacer vers  la droite, de manière à renverser le mouve  ment du chariot.

   Le mouvement du levier  1124 dans le sens des     aiguilles    d'une montre  déplace, à l'aide d'une articulation 1360 re  liant à oscillation ce levier à un bras 1361       (fig.    72 et 73) monté librement sur l'arbre  1135, ce bras simultanément avec lui dans le  sens des aiguilles d'une montre. Le moue e  ment du bras 1361 dans le sens     indiqué    amène  un goujon 1362 fixé sur ce bras à s'engager  sur un prolongement 1363 du bras 1131 et à  déplacer ce bras et l'arbre 1135 dans le sens      des aiguilles d'une montre contre l'action du  ressort 1137.

   Le mouvement de l'arbre 1135  dans le sens indiqué déplace, par le bras 1138       (fib.    72), l'articulation 1319 et le bras 1318,  l'arbre 1317 dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre, comme représenté à la       fib.    85.  



  Le mouvement de l'arbre 1317 dans le sens  contraire des     aiguilles    déplace, à l'aide du  bras 1316 et de l'articulation 1315, la chape  1313     (fig.    77 et 85) dans le sens des aiguilles  d'une montre en amenant un     goujon    1361 du  bras     gauche    de la chape, en coopération avec  un prolongement en forme de crochet 1365 du       linguet    1229,à déplacer ce     linbuet    dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre pour       dégager    son     prolongement    dirigé vers le bas  du goujon carré 1232,

   de façon à assurer que  la barre 1181 soit libre de descendre au cas  où le bras 1233 serait retenu en haut "par le  bras 1236 on par la chape 1238. La libération  de la barre 1181 est importante lorsqu'on se  sert de la touche de la Marge     (rauche    1066  (fi-. 3) pour ramener le chariot à sa position  extrême de droite, ainsi qu'il sera     expliqué     ultérieurement, mais elle est sans importance  par rapport à la touche tabulatrice 1071.

   Le  mouvement de la chape 1313 dans le sens des  aiguilles d'une montre (fi-. 77) amène une  surface frontale 1366 de sa traverse à     s5enga-          ger    sur un     prolongement    arrondi dirigé vers  le haut<B>1367 du</B>     linguet   <B>1357 pour</B> déplacer ce       linbuet    dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre contre l'action du ressort 1358,  de manière à     dégager        l'extrémité    inférieure  de ce     linbuet    du bord supérieur 1353 de la  traverse de la chape 1319,

   afin de permettre  le retour de la barre 1181 vers le bas pour  ramener les pistons d'arrêt 1172 et 1173       (fib.    80 et 88) vers le haut sur le trajet. des  taquets 733 des blocs de commande 722.  



       Ltant    donné que le sens de mouvement du  chariot a été renversé, comme il a été expli  qué ci-dessus, ce chariot se déplacera dans le  sens de retour jusqu'à ce que le taquet 733  du bloc de     comïnande    722 situé dans la posi  tion de colonne     d'extrême    droite de ce chariot  se pose sur la surface angulaire de l'extrémité         supérieure    du piston<B>11713</B> et abaisse ce pis  ton, ce qui déplace, à l'aide du levier 1181, la  coulisse 1186 (fi-.

   51, 77 et 80) vers le haut  en amenant le goujon 1311, en coopération  avec le prolongement 1312, à déplacer la  chape en arrière et en avant de la manière       expliquée    ci-dessus, de     manière    à     faire    pivo  ter l'arbre 1317 d'abord dans le sens des  aiguilles d'une montre et ensuite retour à la  position normale (fi-.

   85), mouvement qui  actionne, par le mécanisme représenté sur les  <B>fi-.</B> 72 et 73, le     mécanisme    d'accouplement  pour la came 1162 en amenant cette came à  déplacer la chape     1115    à gauche à la position  normale, de manière à renverser à nouveau le  mouvement du chariot et à faire     entraîner    le  Chariot dans le sens de     tabulation    par le mé  canisme hydraulique d'entraînement.  



  Lorsque le bras 1361, comme il a été expli  qué     phis    haut     (fig.    72 et 73), se déplace dans le  sens des     aibiûlles    d'une montre     sous    l'action  de la saillie 1127 de la butée de la marge  droite, une surface 1369 de ce bras se déplace  sur le trajet du nez supérieur 1110 du bras       11-11    pour retenir ce bras dans la partie élar  gie de la. fente 1118 en forme de L et empê  cher cette fois le     dégagement    du verrou et  l'opération du mécanisme d'accouplement.

   Ce  pendant, le mécanisme d'accouplement est       actionné    comme indiqué ci-dessus lorsque le  piston est. abaissé     (fib.    80) par le taquet     d'ar-          rét   <B>733.</B>  



       To94che,   <I>de la</I>     Marge        Gaztclte.     L'abaissement de la touche 1066 de la  Marge Gauche     (fib.    3, 81 et 85) déplace, à  l'aide du fil     métallique   <B>1276,</B> du levier 1271,  de l'articulation 1273, du bras 1271 et de l'ar  ticulation<B>1270,</B> le     levier    1266 dans le sens  des     aiguilles    d'une montre en amenant la sur  face-came de son bord supérieur, en coopéra  tion avec les bords     inférieurs    du bras 1239 et  de la chape 1238, à déplacer ce bras et cette  chape vers le haut pour abaisser les pistons  d'arrêt de     tabulation,

      comme expliqué Ci-des  sus et pour amener le bord supérieur du bras  1239, en coopération avec le mécanisme repré  senté sur les     fib.    72 et 87,à     dégager    le     lin-          g@.let    1119 et à libérer la chape 1115, de ma-           nière    à ce que le mécanisme hydraulique en  traîne le chariot 136 dans le sens de retour  ou à droite. Chaque fois que la pression sur  la touche 1066 de la Marge Gauche cesse, le  ressort 1279 ramène le levier 1266 et les  pièces annexes     aux    positions normales du fait  que ce levier 1266 ne     pôssède    pas, comme les       leviers    1267, d'épaulement de blocage.

   Dans  ce cas, le bras     l239    et la chape 1238     (fig.    80  et 85) sont ramenés vers le bas, les pistons  d'arrêt sont ramenés sur le trajet dés taquets  d'arrêt 733 et la chape 1115 est remise en po  sition     (fig.    72), afin que le mécanisme hy  draulique entraîne le     chariot    dans le sens de  fabulation.  



  Tant que la touche 1066 de la     lIarge    Gau  che est tenue abaissée, le     levier    1266     (fig.    85)  maintiendra le bras 1239 et la chape 1238  clans leurs positions hautes, afin que le cha  riot continue son mouvement dans le sens  de retour jusqu'à ce que la saillie de renver  sement 1129     (fig.    18B et 72) sur la butée de  la     -Marge    Gauche s'engage sur le     linguet    1130  et déplace le bras 1134,

   l'arbre 1135 et le bras  1138 dans le sens des aiguilles d'une montre  contre l'action du ressort<B>1137.</B> Le     motive-          ment    du bras 113S dans le sens des     aiguilles     d'une montre déplace, par l'articulation 1319  et le bras<B>1318,</B> l'arbre 1317 et le bras 1316  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre, comme représenté à la     fig.    85;

   le mou  vement du bras 1316 dans le sens indiqué dé  place la chape<B>1313</B> par l'articulation 1315  dans le sens des     aiguilles        (fig.    77 et 85) en  amenant le goujon     136-1    de la chape en co  opération avec le prolongement 1365 en forme  de crochet du     lingnet    1229 à dégager ce lin  guet du goujon     carré    1232 fixé sur le bras  1233, bras qui est     retenti    clans sa position  haute par le bord supérieur de la chape 1238  et le bord supérieur du bras l236 aussi long  temps que la touche 1066 de la -large Gau  che est abaissée.

   Le     dégagement    du     linguet     1229 permet à la barre d'être ramenée vers  le bas en soulevant ainsi les pistons d'arrêt  1172 et 1173 (fin. 80 et 98) sur le trajet des  taquets 733 du bloc 722. Lorsque la saillie de  renversement 1129     (fig.    72 et 73) passe au-    delà du     linguet    1130, le ressort 1137 remet  l'arbre 1135 en position dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre en dégageant, à  l'aide du bras 1139, en coopération avec le  bord supérieur 1140 du bras 1141 le verrou       11q6,    de manière à faire entrer en action le  mécanisme d'accouplement en     vue    de l'entraî  nement de la came 1162, afin de remettre la  chape 1115 en position.  



  La remise en position de la chape 1115  vers la     gauche    renverse le mécanisme d'entraî  nement du chariot pour entraîner ce chariot  dans le sens de     tabulation    et, pendant ce mou  vement, le taquet d'arrêt 733 (fi-.<B>80</B> et<B>98)</B>  du bloc de commande 722 situé clans la posi  tion de colonne de l'extrême gauche de ce cha  riot se pose sur l'extrémité supérieure du pis  ton 1172 pour l'abaisser, ce qui soulève, à l'aide  du levier 1181     (fig.    80), la coulisse 1186 (voir  aussi     fig.    51 et 77), de façon à actionner à  nouveau la came 1162     (fig.    72), mais dans ce  cas c'est une opération sans effet,

   parce que  la coulisse 1115 a été auparavant remise en  position par la saillie 1129 sur la butée de la  Marge Gauche en coopération avec le     linguet     1130 et le mécanisme associé.    <I>Sélection des colonnes</I>     par   <I>les</I>     barres     <I>de</I>     démarrage   <I>de lu</I>     machine.     



  On a prévu un mécanisme pour la sélec  tion     automatique    de quatre positions de co  lonnes quelconques à l'aide des trois barres  de démarrage 170, 171, 172 de la machine       (fig.    92). Ainsi, par exemple, la barre de dé  marrage 170 peut être disposée de façon à sé  lectionner l'une quelconque des positions de  colonnes du chariot, de même que la barre 171  de démarrage d'avancement vertical. La barre  172 de démarrage par sauts (Skip) peut être  prévue de façon à sélectionner l'une quel  conque des positions de colonnes du chariot  lorsqu'elle est manipulée d'une certaine ma  nière et peut être disposée de façon à sélec  tionner l'une quelconque des<B>positions (le</B> co  lonnes du chariot lorsqu'elle est manipulée  d'une autre manière.

   On décrira le mécanisme  pour la sélection automatique (les positions  de colonnes à l'aide des barres de démarrage.      En se référant aux     fig.    85 et 90, on voit       (lue    chacune des articulations     1\380    pour les  touches 1070     sélectriccs    de colonnes est pour  vue de quatre bossages 1370 dirigés vers le  haut et que l'articulation<B>1270</B> pour la     touche     1066 de la Marge Gauche est     pourvue    de  quatre bossages<B>1371</B> dirigés vers le haut;

         toits    ces bossages coopèrent avec des saillies  sur des blocs     d'opération    1372 dont un est  monté de façon réglable     dans    chacune des  chapes     correspondantes    1373 à 1376 incluse;  les bras verticaux parallèles de chacune     d2     ces chapes pivotent sur des tiges correspon  dantes 1377 qui tournent entre la plaque  1191     (fig.    7B et 95) et une plaque associée  1388 en relation fixe avec elle.  



  Les blocs 1372 pour les chapes 1373     (fig.    4,  5 et 92) sont montés entre les bras parallèles  de ces chapes, de façon     réglable    à l'aide de  trous taraudés dans ces blocs, perçages dans  lesquels s'engage une vis de réglage corres  pondante 1378 dont les     extrémités    opposées  peuvent     tourner    dans les bras parallèles des  chapes correspondantes.     Chacune    des vis de       réglage    présente un bouton 1379 à l'aide du  quel cette vis peut être tournée de manière  à placer le bloc correspondant<B>1372</B> clans toute  position voulue;

   de cette façon, le doigt pen  dant de ce bloc     (fig.    90) peut coopérer avec  le bossage correspondant<B>1370</B>     des    articula  tions 1280 pour les touches 1070 sélectrices clé  colonnes ou avec les bossages<B>1371</B> de l'arti  culation 1270 pour la touche 1066 de la     Marge     Gauche.

   Les saillies des blocs<B>1372</B>     (fig.    4 et  5) passent par des fentes parallèles corres  pondantes pratiquées dans les traverses des  chapes 1373 et à chacune des     extrémités    supé  rieures de ces blocs est prévu     im    trou pour  recevoir un ressort de pression et une bille  1380; cette bille, en coopération avec un quel  conque d'une série de trous 1381 percés dans  une barre transversale 1382 fixée entre les  bras de chacune des chapes 1373 à. 1376, place  et retient ces blocs 1372 dans chacune de ses  diverses positions.

   Chacune des traverses des  chapes 1373 à 1376 incluse     (fig.    92 et 95) a  un bord replié 1383 entrant en contact avec  un prolongement dirigé vers le haut des    barres d'opération correspondantes     138-1    à  <B>1387</B> incluse, dont les     extrémités    postérieures  sont. supportées dans des rainures correspon  dantes pratiquées dans une partie 1389 re  pliée vers le haut. d'une plaque de liaison qui       s'étend    entre les plaques 1191 et 1388.

   Les  extrémités     antérieures    des barres 13S4 à 1387  incluse sont reliées respectivement aux leviers  1390 à 1393 inclus, les leviers 1390 et 1391  pivotant sur un goujon à vis     139-1    fixé dans  la plaque 437     (fig.    92), et le levier 1302 est  supporté à rotation par un goujon 1395 éga  lement filé sur la plaque 437, tandis que le  levier 1393 est monté librement sur le goujon  154     qui    s'étend entre la plaque     -137    et     -une     plaque     auxiliaire    1396 (fie.     7A)    fixée sur le  socle 132 de la machine et espacée de cette  plaque 437 à l'aide de divers goujons, arbres  et vis.  



  Les leviers 1390 à 1393 inclus portent  respectivement des crochets 1397 à     1-100    in  clus; les crochets 1397 et 1398 coopèrent avec  un goujon 1401, tandis que les crochets 1399  et 1400 coopèrent respectivement avec des  goujons 1402 et 1403; tous ces goujons sont  fixés dans une barre 1404 supportée de façon  mobile par les extrémités inférieures des bras  similaires 1405 et 1406     (fig.    92), dont les  extrémités supérieures sont montées     librement     <B>sur</B> les goujons 166 et 167.

   Des ressorts     1-107     et     1-108        (fig.    92) retiennent les crochets 1399  et 1400 dans la position normale indiquée au  dessin en dehors du trajet de leurs goujons  correspondants 1402     et.1403.    Un ressort (non  représenté), similaire     atLY    ressorts 1407 et       1-108,    coopère avec le crochet 139 î (fie. 92, 93  et 94) pour maintenir normalement ce cro  chet dans la position haute ici représentée en  dehors du trajet du     goujon    1401.

   Le crochet  1398     (fig.    92 et 93) porte sur un prolonge  ment un goujon 1409 qui s'engage dans une  fente de l'extrémité antérieure d'une articula  tion 1410 dont l'extrémité arrière pivote sur  un bras 1412 monté librement sur un axe       1-113    fixé sur la plaque 168 (fie. 7A) et dont  l'extrémité extérieure est supportée par la  plaque 1396. Un ressort 1411, tendu entre le  goujon 1409 et un goujon (le l'articulation      1410, maintient normalement ledit goujon  1409 dans l'extrémité postérieure de la fente  de cette articulation 1410, tandis que le res  sort 1436 tendu entre le crochet 1398 et un       goujon    du     levier    1391 maintient ledit crochet  1398 normalement en position dégagée comme  représenté.  



  Le bras de support 1405     (fig.    92 et 93)  pour l'extrémité antérieure de la barre 1404  est fixé par un moyeu 1435 monté librement  sur le     goujon   <B>167</B> à un bras associé 1414 relié  oscillation par     iuie    articulation 1415 à un  bras 1417 (voir aussi     fig.    122) fixé par un       moyeu    1418, monté librement sur le goujon  161, à     tm        levier    coudé associé 1419.

   Un pro  longement du     levier    coudé     1-119    est     pourvu          d'une    fente dans laquelle s'engage -Lui goujon  1420 d'un bloc-moteur 1421 de la barre de fa  bulation, monté librement sur -Lin axe 1422  dont une extrémité est fixée dans la plaque  168     (fig.        7A)    et dont l'autre est supportée  par la plaque auxiliaire 1396.

   Un ressort de  tension     14''3    entraîne le bloc-moteur     14?1     dans le sens contraire des aiguilles d'une mon  tre (fie. 9?) pour maintenir normalement une  patte repliée     1-194    du bloc-moteur en contact  avec un épaulement d'un verrou 1425 du  bloc-moteur. verrou monté librement sur un  goujon     14?6    supporté entre les plaques 168  et 1396.     rn    ressort 1427 entraîne le verrou  1425     clans    le sens contraire des aiguilles d'une  montre, de manière à maintenir l'épaulement  clé ce verrou normalement en contact avec la  patte 1424.

   Le verrou 1425 possède une pointe  1498 qui peut s'engager sur -Lui     doigt    1429  d'une came 1430 de déblocage du verrou,  came fixée     sur    l'arbre principal à cames 216,  de     manière    à libérer la barre 1404, comme       expliqué    ci-après.

   La came     1-130    porte     égale-          nient    un galet 1431 qui, en coopération avec  une saillie arrondie     1-132    (lu bloc-moteur 1491,       r        amené        ê        ce        bloc-moteur        en        position        vers        la        fin          cTu    fonctionnement de la machine.

         L'abaissement    normal de la barre 172 ta  bulatrice par     sauts        (Skip)    (fie. 92 et 93),  c'est-à-dire abaissement (le cette barre et sa  libération immédiate, amène un goujon     1-133     fixé dans cette barre     17'3,    en coopération avec    un prolongement 1434 du bras 1412, à dépla  cer ce bras dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, mouvement qui, par     Partieu-          lation    1410 et le ressort 1411, met le crochet  1398 en contact avec le goujon 1401 de la  barre 1404.

   Pendant le fonctionnement clé la  machine et avant l'exécution clé     l'impression,     le doigt 1429 s'engage sur la pointe     142S,    de  manière à dégager le verrou     1-125    de la saillie  1424 pour abandonner le bloc-moteur     14=1    à  l'action du ressort 1423 qui entraîne ce bloc  dans le sens contraire des aiguilles     demie    mon  tre. Le mouvement du bloc-moteur 1491 clans  le sens indiqué déplace, à l'aide du goujon  1420, du levier coudé     1-119,    du bras 1417, de  l'articulation 1415, du bras     141.1    et du bras  1405, la barre 1404 vers l'arrière.

   Le mouve  ment de la barre 1404 vers l'arrière amène le  goujon 1401, en coopération avec le crochet  l398, à déplacer le levier 1391 dans le sens  des aiguilles     d'une    montre, de manière à dé  placer la barre 1385 vers l'avant, à la suite de  quoi sa saillie supérieure déplace la chape       137-1    (fie. 85, 90, 92 et 95) également dans le  sens des aiguilles d'une montre.

   Le mouve  ment de la chape 1374 clans le sens indiqué  amène la saillie inférieure du bloc correspon  dant 1379, en coopération avec les bossages  <B>1370</B> ou 1371 des articulations     1\370    ou     1'_'S0     (fie. 85 et 90), à déplacer ces articulations  vers l'avant, de     manière    à faire pivoter le  levier correspondant 1266 ou 1267 dans .le  sens des aiguilles d'une montre pour provo  quer le mouvement du chariot dans le sens de  la     tabulation    ou dans le sens de retour selon  sa position et à sélectionner la position de co  lonne désirée dudit chariot, comme     expliqué     précédemment.  



  Dans la machine représentée, le bloc 1379  pour la chape 1374 a été réglé de telle sorte  (lue sa saillie coopère avec le bossage 1370 de       l'articulation    1980 pour la touche de Dépôts  1070 représentée sur la fie. 90. En     consé-          quence,    lors de l'abaissement normal (le la  touche 172 tabulatrice     (Skip),    le chariot 136  est     amené    en position, comme     expliqué        ci-          dessus    pour la touche 1070 des Dépôts en vue  (le la sélection de la colonne (les Dépôts de la      pièce comptable     (fig.    117) pour l'aligne  ment avec le mécanisme imprimeur.  



  L'enfoncement complet de la barre 172 ta  bulatrice (Skip)     (fib.    92, 93 et 95) et le main  tien de cette barre dans la position     d'abaisse-          ment    complet amène     un    goujon     1437    de cette  barre à     s'engager    sur la face supérieure du  crochet 1397 et à déplacer ce crochet dans le  sens des aiguilles d'une montre contre l'action  de son ressort en le plaçant sur le trajet du  goujon 1401, alors<B>qu'un</B> goujon     1-13S    porté  par ce crochet 1397     s'engage    sur la surface       supérieure    du crochet 1398, de,

   manière à dé  placer ce crochet     également    dans le sens des  aiguilles d'une montre en dehors du trajet     du-          dit        goujon        1-101,    la liaison     fente-ressort    entre  ce crochet 1398 et l'articulation 1410 permet  tant le mouvement relatif de ces pièces.

   En  conséquence, lorsque la barre 172 est retenue  complètement abaissée, le déblocage du verrou  1q25     (fib.    92) par la came 1430 expliqué     ci-          dessus    et le mouvement consécutif vers l'ar  rière de la barre tabulatrice 1q04 sous l'action  du ressort 1423 amène le goujon 1401, en co  opération avec le crochet 1397,à déplacer le  levier 1390 dans le sens des aiguilles d'une  montre, de manière à déplacer la barre 1384  vers l'avant.

   Le mouvement de la barre 1384  vers l'avant     amène    la saillie     supérieure    sur  l'extrémité de cette barre     (fig.    85. 90, 92 et  95) à déplacer la chape 1373 dans le sens des       aiguilles    d'une montre en amenant la projec  tion 1372 de la chape 1373, en coopération  avec les     bossages    1370 ou 1371 des articula  tions 1280 ou 1270,

  à déplacer ces articula  tions vers l'avant exactement de la même ma  nière que lors de l'abaissement des touches     sé-          lectrices    de colonnes correspondantes 1070 ou  1066 en     jute    de provoquer le     mouvement    du  chariot     @    vers la position de     colonne    sélection  née, comme expliqué précédemment.

   Dans la  machine représentée, la saillie du bloc 1372  portée par la chape 1373 a été ajustée en vue  de coopérer avec le bossage 1370 de l'arti  culation 12S0     (fig.    90) pour la touche 1070  de     Sous-Balance.    En conséquence, le maintien  de la barre 172 tabulatrice (Skip) dans sa po  sition complètement abaissée place le chariot    de telle sorte que la colonne de     Sous-Balance     du support     d'enregistrement        (fig.    117) se  trouve en face du mécanisme imprimeur.  



  *La barre de     démarrage    170 et la barre 171  d'avancement vertical     (fig.    92) portent res  pectivement des     goujons        1-139    et     1q-10    qui co  opèrent     exactement    de la façon qui a été  expliquée polir le     goujon        1-137    avec les cro  chets     correspondants    1399 et 1400, lorsque ces  barres sont abaissées et retenues abaissées, de  manière à placer ces crochets sur les trajets  de leurs goujons correspondants 1402 et 1403,  à la suite de quoi le     mouvement    de la barre  1.404 en arrière sous l'action de la came 1430  amène,

   après l'exécution de l'impression, les  chapes correspondantes 1375 et 1376 (fia-.<B>85,</B>  90, 92 et 95) à se déplacer dans le sens des  aiguilles d'une montre pour sélectionner la  position de colonne désirée de la pièce comp  table.  



  Dans la machine représentée, la saillie du  bloc 1372 pour la chape 1375 a été ajustée en  vue de coopérer avec le bossage 1370 de l'ar  ticulation 1280     (fig.    90) pour la touche 1070  des chèques No 2     (fig.    3) et la saillie du bloc  1372 pour la chape 1376 a été ajustée en     vue     de coopérer avec le bossage     correspondant     1370 de l'articulation 1280 pour la touche  1070 des chèques No 3.

   En conséquence, si la  barre de     démarrage    170 est complètement  abaissée et maintenue abaissée, la colonne des  chèques     No    2 sera sélectionnée pour l'impres  sion et si la barre 171 d'avancement vertical  est     abaissée    et     maintenue    abaissée, la colonne  des chèques sera sélectionnée pour l'impres  sion.  



  Il est bien entendu que les saillies des  blocs 1372 peuvent être ajustées pour coopé  rer avec les bossages correspondants 1370 ou  1371 des articulations 1280 ou 1270, de ma  nière à sélectionner toute position de colonne       désirée    correspondant aux touches 1070 et  1.066.  



  Vers la fin du fonctionnement de la ma  chine, le galet 1431     (fig.    92), en coopération  avec le nez 1432 du bloc-moteur 1421, ramène  ce bloc-moteur dans le sens des aiguilles d'une  montre ainsi que la barre tabulatrice     1404         en avant aux positions normales, ou de repos,  à la suite de quoi le verrou 1425 se déplace  pour se mettre en contact     avec    le nez 1424 et       fixer    ledit bloc-moteur et ladite barre dans les  positions de repos.

           Jlécaiiisnie        d'ouverture   <I>de</I>     l'entrée   <I>dit</I>     chariot.     On se rappelle, en se reportant aux  fis.     18A,        1sB    et 118, que le rouleau 309 est  monté clans un bâti du chariot,

   bâti     eompre-          nant    des plaques     extérieures    de droite et de  gauche 1074 et 1075 et des plaques intérieu  res de droite et de     gauche   <B>1076</B> et<B>1077</B> mon  tées en liaison fixe l'une par rapport à l'autre  à l'aide de la plaque inférieure et de la barre       auggilaire    1078 et que ce chariot porte des  rouleaux qui coopèrent avec la barre avant  137 et la barre arrière 138 pour le mouve  ment horizontal dudit chariot.  



  Le mécanisme de déplacement du rouleau  309 (fis. 118) vers ou de la position d'im  pression est monté entre les plaques 1074 et  <B>1076</B> et<B>1075</B> et<B>1077;</B> étant. donné que ce     mé-          eanisme    se répète sur les deux côtés du cha  riot, on se contentera d'exposer le mécanisme  du côté droit supporté par les plaques 1074  et<B>1076.</B>  



  En se référant     aux    fis. 49, 99, 100 et 118,  on voit que le rouleau 309 a un noyau en  bois 1441 avec un     alésa;e    central recevant des  broches droite et     gauche    dans des douilles       J.442        pourvues    de flasques fixées au noyau  1441 par des vis.  



  Les douilles     1442    passent par des ouver  tures irrégulières des plaques<B>1076</B> et<B>1077</B> et  leurs diamètres extérieurs     s'engagent    libre  ment dans des trous     prédis    dans les     extré-          inités        supérieures    de bras similaires 1443 sur  les extrémités desquels sont fixés des     moyeux     qui     s'emmanehent    librement sur des axes 1444  qui s'étendent respectivement entre les pla  ques<B>1075</B> et<B>1077</B> et 1074 et<B>1076.</B> Des res  sorts de torsion 1445, librement     enroulés    au  tour des axes 1444,

   entraînent les bras 1443  dans le sens contraire des aiguilles d'une       montre        (fit,.    99), afin d'aider le rouleau 309  à ouvrir l'entrée ou à occuper la position  d'alimentation frontale, et en vue d'équilibrer    ainsi en partie le poids     dudit    rouleau, de  sorte qu'il puisse se déplacer facilement vers  la position d'impression ou s'en écarter.

   Sur ;  les douilles 1442 de droite et de gauche sont  également montés librement des bras simi  laires 1446     pourvus    sur leurs     extrémités    infé  rieures de fentes en contact avec des     goujons     1447 portés par les extrémités de bras     14-t5    ;  fixés sur un arbre 1449 tournant dans les pla  ques 1074 à 1077 incluse.

   Sur les extrémités  opposées de l'arbre 1449 sont     éfYalement        fixés     des bras similaires 1450 reliés -par des     artieu-          lations    1451 aux     prolongements    vers le haut,  de bras similaires 1452 montés librement sur  leurs ales respectifs 1453 supportés respecti  vement par les plaques 1074 et<B>1076</B> et<B>1075</B>  et 1077.

   Entre les bras 1452 et fixée sur ces  bras s'étend une barre 1454     pourvue    d'une ,       rainure    horizontale 1455 qui coopère avec un  prolongement 1456 dirigé vers le haut d'une       coulisse    de     manceuvre    1457 montée de manière  à pouvoir se déplacer horizontalement à l'aide  de fentes parallèles dans la coulisse (fis.     S)6-1,    ;       96B,    97, 114 et 115) en coopération avec des  goujons à vis 1458 fixés clans le châssis<B>1087.</B>  Une partie pendante 1459 de la coulisse<B>145î</B>  est maintenue entre des     goujons    1460 et 1461  portés par des bras similaires     1.t6\3    et 1463 ;

    pivotant par leurs extrémités inférieures res  pectivement sur la tige 1165 et sur un axe  1464, ce dernier étant supporté par une con  sole 1465 qui est, à son tour, supportée par  la     titre    1165 et est munie     d'iui    prolongement     t     fixé au châssis 1087. Une articulation 1466  (fis. 115), qui s'étend entre les     goujons    1460  et 1461, donne à ces goujons un écartement       fixe    par rapport à la partie pendante     1-159.     



  Les bras 1462 et 1463 portent     respective-,     ment des galets 1467 et 1465 qui     eoopèrent     avec la périphérie d'une came 1469, reliée  par un moyeu 1470 (fis. 12, 13,     96B,    97 et  115) monté librement sur l'arbre     1153,à    un  organe d'accouplement 1471.

       L'organe        d'as-          souplement    1471 entraîné est pourvu de (lents  qui coopèrent avec (les dents correspondantes       d'un        or,!-ane    entraîneur 1472     d'aecoupicriient,     organe relié par une liaison rainure et lan  guette à un     manelion        1-1î3    monté librement      sur l'arbre 1153 et sur lequel est fixée une  roue 1474 engrenant avec un pignon     1-175     solidaire d'une roue 1476 montée librement  sur un axe 1477 fixé dans le châssis 1087.

   La  roue 1476 engrène avec un pignon     1-178    calé  sur l'arbre 1153, cet engrenage formant un  engrenage réducteur entre cet arbre 1153 et  le manchon 1473 qui entraîne l'organe entraî  neur 1472 d'accouplement.  



  L'organe entraîneur d'accouplement 1472  est     pourvu    d'une rainure annulaire dans la  quelle s'engagent deux goujons     opposés    1179  fixés sur les bras parallèles d'une chape de  décalage 1480 montée librement sur un axe       1-181    supporté par le châssis 1087 et par la  plaque     supérieure    droite 1136 (fia. 15, 96B  et 97).

   Un prolongement 1483     (fig.    12) du  bras inférieur de la chape 1480 s'engage sur  la dent d'un verrou     1-184    monté librement sur  un arbre 1485 qui tourne dans le châssis<B>1087;</B>  entre ce verrou et ladite chape 1480 est tendu  un ressort 1487 qui entraîne ces pièces dans  le sens des aiguilles d'une montre pour main  tenir ledit prolongement 1483 normalement  en contact avec la dent du verrou 1484. Dans  le verrou 1484     (fig.    12) est pratiquée une  fente en forme de     L    par laquelle passe une  saillie dirigée vers le haut d'un bras 1488 qui  pivote et peut se déplacer sur le bras infé  rieur de la chape 1480 grâce à un goujon du  bras 1488 en coopération avec une fente dans  ce bras inférieur.

   La saillie vers le haut du  bras 1488 s'étend sur le trajet d'un doigt  1489 fixé sur l'arbre 1485; sur cet arbre est  également filé un bras 1490 (voir aussi       fig.    7B et 96B) portant sur son extrémité  inférieure un goujon 1491 qui s'engage dans  une fente de     l'extrémité    d'une articulation  1492,     l'extrémité        postérieure    de l'articulation  1492 étant     reliée    à un bras 1493 qui est     lui-          même    relié de façon réglable à. un arbre 1491  tournant dans le châssis<B>1087</B> à l'aide d'un  assemblage     boulon-éerou    avec un bras filé  sur cet arbre.  



  Sur l'arbre 1494 est également fixé un  bras suspendu 1495 relié à oscillation par une  articulation 1496 à un     levier    1497 monté  librement sur un axe 1498     (fig.    7A et 7B)    qui est fixé sur la     plaque    1191. L'extrémité  inférieure du levier 1497 possède une fente       qui    s'engage sur un goujon 1499 porté par  l'extrémité     supérieure    d'un levier associé 1500  monté librement sur un axe 1501 fixé dans la       plaque    1191.

   Sur     l'extrémité    inférieure du le  vier 1500 pivote l'extrémité postérieure d'une  articulation 1502 dont     l'extrémité    antérieure  est     pourvue    d'une fente recevant un goujon  1503 de     l'extrémité    inférieure d'un levier     1â0-1     monté librement sur l'axe 1422. L'articulation  1502 a une saillie 1505 dirigée vers lé haut.       (fig.    6 et 7A) qui coopère avec un     goujon     1506 d'une plaque 1507 monté librement sur  un axe 1508 fixé dans la plaque 1191.

   Une  articulation 1510 relie à oscillation la plaque  1507 à un bras 1511 fixé sur l'extrémité  droite d'un arbre 1512 qui tourne dans un  alésage du goujon 304; sur cet arbre est éga  lement fixé un bras 1513 qui     pivote    sur  l'extrémité inférieure de la tige 1514 de la  touche<B>1072</B> du chariot. Un ressort 1509,  tendu entre la plaque 1507 et un goujon fixe,  entraîne cette plaque dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre (fi-. 7A) pour  maintenir la touche 1072 du chariot norma  lement dans la position non abaissée.  



  L'abaissement de la touche 1072 (fi-.<B>6</B> et  7A) déplace la plaque 1507 dans le sens des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1509 en amenant le goujon 1506, en co  opération avec la projection 1505, à déplacer  l'articulation 1502 vers l'avant. Le mouve  ment de l'articulation 1502 vers l'avant dé  place, par les leviers 1500 et 1497, l'articula  tion 1496 également vers l'avant     (fig.    7B et  96B), afin de faire pivoter l'arbre 1494 et le  bras 1493     dans    le sens des aiguilles d'une  montre contre l'action d'un ressort 1515.

   Le  mouvement du bras 1493 dans le sens des  aiguilles déplace l'articulation 1492 (fi-. 12  et 96B) vers l'arrière en amenant la fente  dans son     extrémité    antérieure, en coopération  avec le goujon 1491, à déplacer le bras 1490,  l'arbre 1485 et le doigt 1489 dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre,     comme    re  présenté au dessin; contre l'action d'un res  sort 1516 tendu entre ledit bras 1490 et un      goujon du châssis 1087.

   Le mouvement du  doigt 1489 dans le sens contraire des     aiguilles,     en coopération avec la saillie vers le haut du  bras 1488 et avec la partie étroite de la     fente     dans le verrou 1484, déplace ce dernier     dan-3     le sens contraire des aiguilles d'une montre et  dégage le     prolongement    1483 de manière à  abandonner la chape 1480 à l'action du res  sort 1487 qui entraîne cette chape immédia  tement dans le sens des aiguilles     d'une    montre       (fig.    12, 96B et<B>97)</B> en amenant cette chape     à,

            mettre    l'organe entraîneur 1472 d'accouple  ment en contact avec les dents de l'organe  entraîné 1471 d'accouplement, afin d'entraî  ner cet organe entraîné avec l'accouplement et  la came 1469 dans le sens des aiguilles d'une  montre, comme représenté aux     fig.    97 et 115.  



  Sur les     fig.    99 et 115, la coulisse 1457 est  représentée dans la position qu'elle occupe  lorsque le rouleau 309 se trouve dans la po  sition d'impression. Le mouvement de la came  1469 dans le sens des aiguilles d'une montre,  en coopération avec le galet 1468, déplace les  bras 1463 et 1462 vers l'avant ou dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre, en ame  nant les goujons 1460 et 1461 de ces bras, en  coopération avec la partie suspendue 1459, à  déplacer la coulisse 1457 vers l'avant dans la  position indiquée en traits pleins sur la  fi-. 100 et en pointillé sur la     fig.    115.

   Pour  effectuer le déplacement ci-dessus expliqué de  la coulisse, il faut un demi-tour de la came  1469     (fig.    115) et après que cette came a fait  un demi-tour, le mécanisme d'accouplement  est débrayé,     comme        exposé    ci-après et reste  ainsi débrayé jusqu'à ce que la touche du  chariot soit à nouveau abaissée.  



  Le mouvement de la coulisse 1457 vers       1-'avant    amène la saillie haute 1456, en coopé  ration avec la rainure horizontale 1455 dans  la barre 1454, à déplacer cette barre et les  bras 1452 dans le sens des aiguilles d'une  montre de la position montrée fi-.<B>99 à</B> la  position de la fi-. 100. Le mouvement des  bras 1452 dans le sens indiqué imprime, à  l'aide des     articulations    1451, un mouvement  similaire aux bras     1-150,    à l'arbre     14-19    et aux  bras 1448, de manière à déplacer ces pièces    de la position montrée sur la     fig.    99 à la- po  sition de la     fig.    100.

   Le mouvement des bras  1.448 dans le sens des aiguilles d'une montre  déplace, à l'aide des goujons 1447 en coopé  ration avec les fentes dans les bras     1-146,    le  rouleau qui pivote par les bras 1443 sur les  goujons 1444 dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre de la position     d'impression     indiquée sur la     fig.    99 à la position d'entrée  ouverte indiquée à la     fig.    100.  



  Le mouvement     d'embrayage    de la chape  1480 dans le sens des aiguilles d'une montre       (fig.    12) amène un prolongement replié de  cette chape à s'engager sur le bras     1488.et    à  le déplacer dans le sens des aiguilles     d'une     montre contre l'action d'un ressort, de ma  nière à placer la projection repliée vers le  haut de ce bras dans la partie large de la  fente dans le verrou 1484 pour permettre au  ressort 1487 de replacer la dent de ce verrou  immédiatement sur le trajet du prolongement  1483.

   Après que l'organe d'accouplement     1-171     et la came 1469     (fig.    12 et 97) ont fait un  demi-tour, une surface angulaire d'une saillie  1518 sur le bord de cet organe     d'aceouplenient     1471 s'engage sur un prolongement aplati  1519 du goujon 1479 du bras inférieur de la  chape 1480 pour déplacer cette     chape    dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre, de  manière à dégager les dents de     l'oraiie    en  traîneur 1472 de l'accouplement des dents de  l'organe entraîné 1471 et à permettre à la  dent du verrou 1484 de se poser sur le pro  longement 1483 pour empêcher toute action  ultérieure à retenir le rouleau dans la posi  tion de l'entrée ouverte.  



  Lorsqu'on relâche la touche<B>1072</B> du cha  riot     (fig.    6, 7A et 7B), les ressorts 1509, 1515  et 1516 (fi<B>>g.</B> 12) ramènent les pièces corres  pondantes à la position normale en dégageant  ainsi l'épaulement sur le bout du doigt 1489  de la saillie repliée vers le haut     du    bras 1458,  afin d'abandonner ce bras à l'action de son  ressort qui déplace     immédiatement    ce bras  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre, de manière à     plagier    ladite saillie  haute dans la partie étroite de la fente dans      le verrou 1484 en préparation     d'une    autre  opération du mécanisme d'ouverture et de  fermeture de l'entrée.  



  En abaissant à nouveau la touche 1072 du  chariot (fi,-. 6, 74 et     7R),    le mécanisme d'ac  couplement représenté sur la     fig.    12 entre à  nouveau en action pour amener l'organe en  traîné 1471 d'accouplement et la came 1469       (fig.    115) à     faire    un demi-tour supplémen  taire dans le sens des aiguilles d'une montre.

    Ce second     demi-tour    de la came 1469, en co  opération avec le galet 1467     (fig.    115), dé  place les bras 1462 et 1463 dans le sens des       aiguilles    en amenant les goujons 1460 et 1461,  en coopération avec la partie 1459, à déplacer  la coulisse 1457 vers l'arrière à la position  normale ou d'impression, montrée sur la       fig.    115 en vue de déplacer le rouleau 309 de  la position d'entrée ouverte représentée à la       fig.    100 à la position d'impression représen  tée     sur    la     fig.    99.

   Après que la came 1469 a  achevé son second demi-tour, comme expliqué  ci-dessus, la saillie 151.8 (fur. 12 et 97) de       l'organc        d'accouplement    1471, en coopération  avec un prolongement aplati du goujon 1479  porté par le bras supérieur de la chape 1480,  ramène cette chape dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre, exactement de la  même façon qu'il est dit ci-dessus.  



  Le mécanisme d'accouplement représenté       sur    la fi-. 12 pour le mécanisme du mouve  ment du rouleau, ou d'ouverture de l'entrée,  est exactement le même et fonctionne de la  même façon que le     mécanisme        à'accouplement     expliqué précédemment et représenté à la       fig.    86 pour le contrôle de l'opération des  pistons d'arrêt du tabulateur.  



  Un disque de repérage 1521     (fig.    13 et  97), monté en position fixe par rapport à la  came 1469 et à l'organe d'accouplement 1471  à l'aide d'un manchon 1470, possède des en  coches de repérage 1522 diamétralement oppo  sées qui coopèrent avec un galet<B>1523</B> porté  par un levier 1524 monté librement sur la  tige 1165 et entraîné dans le sens contraire  des aiguilles     d'iuie    montre par     :

  m    fort res  sort 1525 pour aider et retenir cette came  1469 et l'organe d'accouplement 1471 dans    chacune de leurs positions de     manoeuvre.    Un  prolongement 1526 de     l'extrémité    inférieure  du levier 1524, en coopération avec une sur  face façonnée du châssis 1087, détermine la  distance du mouvement de ce levier sous l'ac  tion du ressort 1525.  



  <I>Ouverture</I>     automatiqice   <I>de l'entrée vers la fin</I>  <I>du</I> fonctionnement<I>de la</I>     machine.     



  On a     prévu    un mécanisme pour actionner  automatiquement le mécanisme d'accouple  ment pour le dispositif d'ouverture de l'entrée  vers la fin des opérations, afin de faire tour  ner le rouleau de la position d'impression à  la position d'entrée ouverte.  



  Un ressort de torsion 2521     (fig.        7A)    en  traîne le levier 1504 dans le sens des aiguilles  d'une montre pour maintenir une patte re  pliée 2522 normalement en contact avec un  épaulement d'un verrou 2523 qui est     entraîné     par un ressort dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre. Vers la fin d'une opé  ration de la machine et après fonctionnement  du mécanisme imprimeur, une , saillie 2524  d'une plaque 2525 fixée sur le manchon 448  rencontre un doigt     dudit    verrou 2523 pour  déplacer ce verrou dans le sens des aiguilles  d'une montre contre l'action de son ressort, de  manière à libérer le levier 1504 et le faire  tourner dans le sens des aiguilles sous l'action  du ressort 2521.  



  Le mouvement du levier     1501-    dans le sens  des aiguilles     d'une    montre amène le goujon  1503 qu'il porte à son     extrémité    inférieure, en  coopération avec la fente dans l'articulation  1502, à déplacer cette articulation vers l'avant  afin d'actionner le mécanisme d'accouplement  montré sur la     fig.    12 exactement de la même  façon qu'il a été expliqué pour l'abaissement  de la touche 1072 du chariot, de manière à  provoquer le déplacement du rouleau 309 de  la position d'impression à la position d'entrée  ouverte vers la fin de l'opération et préparer  le retrait de la pièce comptable montrée sur  la     fig.    117 et l'insertion d'une autre pièce.  



  Après le fonctionnement     ci-dessus    décrit  du mécanisme automatique     d'ouv        enture    de  l'entrée, un goujon 2526 fixé sur la plaque      2525 s'engage sur un prolongement vers le  haut du     levier    1504 pour remettre en position  ce levier dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre contre l'action du ressort 2521.  de manière à permettre à l'épaulement du  verrou 2523 de rencontrer à nouveau la patte  repliée 2522.  



  On a     prévu    un verrou pour bloquer la  plaque 1507     (fio.    7A) contre le mouvement  dans le sens des     aiguilles    d'une montre pen  dant l'action de la machine, de sorte qu'on ne  puisse pas cette fois abaisser la touche 1072  du chariot.  



  Le mouvement initial de l'arbre principal  216 dans le sens contraire des     aiguilles    d'une  montre     (fig.    73) amène un goujon 1527 porté  par une plaque 1528 fixée sur le manchon 448  à se placer au-delà de l'extrémité avant d'une  coulisse 1529 montée de façon à pouvoir se  déplacer à l'aide de fentes parallèles coopé  rant avec les goujons 1501 et 1508.

   La cou  lisse 1529 est ainsi abandonnée à l'action d'un  ressort 1530 qui     entraîne    cette     coulisse    immé  diatement vers l'avant en vue de placer un  goujon carré 1531,     fixé    sur cette coulisse, sous  un épaulement prévu sur la plaque 1507 pour  empêcher le mouvement de cette plaque dans  le sens des aiguilles d'une montre et bloquer  ainsi la touche 1072 du chariot     (fig.    3 et 6)  contre     l'abaissement    pendant l'action de la  machine.  



  Ainsi qu'il a été expliqué     ci-dessus,     il faut un tour de l'arbre principal à cames  216 dans le sens inverse de celui des aiguilles       d'une    montre, comme représenté à la     fig.    7A,  pour effectuer une opération de la machine  et, vers la fin de ce tour, le goujon 1527, en  coopérant avec     l'extrémité    antérieure de la  coulisse 1529, déplace cette coulisse vers l'ar  rière contre l'action du ressort 1530 pour  écarter le goujon carré 1531 du trajet de  l'épaulement de la plaque 1507 et débloquer  la touche<B>1072</B> du chariot pour l'abaissement.  



  On a également prévu un mécanisme fonc  tionnant sous le contrôle du chariot dans ses  positions de colonnes pour bloquer le méca  nisme d'ouverture de l'entrée pendant l'opé  ration de la     machine.    Ce mécanisme sera    expliqué ultérieurement en même temps qu'un  autre mécanisme contrôlé par le chariot.       Fermeture        automatique   <I>de</I>     l'entrée   <I>par les</I>       touches        numérales   <I>et</I>     par   <I>les</I>     touches          compteuses   <I>de postes.</I>  



  La machine représentée est     pourvue    d'un  mécanisme grâce auquel l'abaissement de l'une  quelconque des touches numérales 218     (fig.    1  et 3) ou de l'une quelconque des touches 343       compteuses    de postes provoque le déplace  ment du rouleau 309 de la position d'alimen  tation frontale à la position d'impression pour  assurer que ce rouleau se trouve en position  d'impression avant le déclenchement d'une  opération.  



  Le goujon 1491     (fig.    12) du bras 1490  s'engage dans une fente 1532 d'une articula  tion 1533 dont l'extrémité postérieure pivote  sur un levier 1534 portant un goujon 1535  tournant dans un moyeu fixé dans la plaque  droite 1136     (fig.    15). Un ressort de tension  <B>1536</B>     entraîne    le     levier    1534 dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre, de manière  à maintenir     un    goujon 1537 porté par ce  levier normalement en contact avec     une    came  1538 sur l'une des extrémités de la coulisse  1457.

   Le levier 1534 a un épaulement 1539  qui coopère avec un doigt 1540 fixé sur l'ex  trémité d'un arbre 1541 qui tourne dans les  prolongements repliés d'une console     15-12     fixée sur un prolongement du bas de la pla  que 1136. Sur l'extrémité de l'arbre 1541 est  fixé un bras 1543 relié à oscillation par une  articulation 1544 à une articulation associée  1545     (fig.    14) dont l'extrémité     postérieure    est  supportée par un bras 1546 monté fou sur  l'arbre 1016 et dont l'extrémité antérieure est  pourvue d'une fente qui s'engage sur un gou  jon     15-17    porté par l'extrémité supérieure du  bras 538.  



  En se reportant aux fi,-. 14 et<B>15,</B> on se  rappellera que le bras 538 est libre sur l'ar  bre 535 et qu'il a un épaulement. (lui est nor  malement maintenu en contact avec le goujon  531 par un ressort 537     (fig.    16). On se rap  pellera également que le goujon est fixé sur  le bras 529 et que ce bras subit     tw    mouve-      ment de va-et-vient sous l'action de la tige  525 qui est, à son tour,     actionnée    par l'une  des détentes 225 des touches numérales 218  ou des touches 343     eompteuses    de postes       (fig.    3) à     l'abaissement    de l'une quelconque de  ces touches.  



  En se référant aux     fig.    12 et 99, on     voit,     que, lorsque le rouleau 309 se trouve dans la  position d'impression, la coulisse est dans sa  position postérieure, comme indiqué, une par  tie surélevée de la     surface-came    1538 ayant  fait tourner, en coopération avec le<B>goujon</B>  <B>1537,</B> le levier 1534 dans la direction des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1536, pour atteindre une position où  l'épaulement<B>1539</B> se trouvé au-delà du doigt       J.540.    On voit de même que lorsque la coulisse  se trouve dans sa position postérieure,

   un pro  longement 1548 de cette coulisse s'engage sur  l'extrémité supérieure du doigt 1540 pour re  tenir l'arbre 1541 et les pièces annexes dans  le sens des aiguilles d'une montre, contre l'ac  tion d'in ressort de torsion 1549     (fig.    96B),  pour maintenir ce doigt 1540 éloigné du tra  jet de l'épaulement 1539.  



  Lorsque la coulisse 1457 se déplace en  avant pour déplacer le rouleau 309 de la po  sition d'impression à la position d'entrée ou  verte, le prolongement 1548     (fig.    12) se retire  du doigt 1540 pour permettre à ce doigt de se  placer, sous l'action du ressort 1549, sur le  trajet de l'épaulement 1539 avant que la par  tie surélevée de la came 1538 se place au-delà  du goujon 1537, de sorte que ledit doigt em  pêchera le levier 1534 de se déplacer dans le  sens contraire des aiguilles     d'une    montre sous  l'action du ressort 1536 lorsque cette partie       surélevée    de la came<B>1538</B> passe au-delà de ce       goufon    1537.

   Il ressort de la description     ci-          dessus    que lorsque le rouleau 309 se trouve  dans la position d'entrée ouverte et la cou  lisse 1457 dans sa position antérieure, la par  tie basse de la came 1538 est en face du     gou-          jon.1537    et le levier 1534 est empêché d'effec  tuer un mouvement dans le sens contraire des  aiguilles     d'une    montre par le doigt 1540 en  coopération avec l'épaulement 1539.

      L'abaissement de l'une quelconque des tou  ches 218 ou 343     (fig.    3, 4 et 16) déplace la  détente correspondante 225 en arrière et en  avant pour déplacer la tige 525 et le bras 529  d'abord vers l'arrière, ou dans le sens des  aiguilles d'une montre et ensuite retour à la  position normale de la manière expliquée     ci-          dessus.    Le mouvement du bras 529 dans le  sens des aiguilles d'une montre amène le gou  jon 531, en coopération avec l'épaulement du  bras 538, à déplacer ce bras clans le sens con  traire des aiguilles,     mouvement    qui, à l'aide  du goujon 1547, déplace les articulations 1545  et 1544 vers l'avant     (fig.    12, 14, 15 et 96B),  de manière à déplacer le bras 1543,

   l'arbre  1541 et le doigt 1540 d'abord dans le sens des  aiguilles d'une montre et ensuite retour à la  position normale. Le mouvement du doigt  dans le sens des aiguilles dégage son extré  mité supérieure de l'épaulement 1539 pour  libérer le levier 1534 et l'articulation 1533 en  vue du mouvement dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre sous l'action du res  sort 1536 qui est plus fort et surmonte l'ac  tion des ressorts 1516 et     14:

  87.    L'articulation  1533 déplace, par la fente 1532 coopérant  avec le goujon 1491, le bras 1490, l'arbre 1485  et le doigt 1489 ainsi que le verrou 1484 dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre  contre l'action des ressorts<B>1516</B> et 1487 pour  dégager ce verrou 1484 du prolongement  1483, de manière à faire entrer en action le  mécanisme d'accouplement représenté à la       fig.    97 pour provoquer le déplacement de la  coulisse 1457     vers    l'arrière et faire passer le  rouleau 309 de la position d'entrée ouverte  à la position d'impression chaque fois qu'on  abaisse l'une quelconque des touches 218 ou  343, afin d'assurer que le rouleau se trouve  en position d'impression avant l'opération.  



  Lorsque le doigt 1540 et le mécanisme  annexe sont ramenés par le ressort 1549 dans  le sens contraire des aiguilles d'une montre       (fig.    12 et 96B) immédiatement après libéra  tion du levier 1534,     comme    il a été expliqué  ci-dessus,

   ce doigt s'arrête sur une surface  courbe de ce     levier    1534 voisine de l'épaule  ment 1539 et reste ainsi jusqu'à ce que le pro-           longement        15ï8    rencontre â nouveau ledit       doigt    immédiatement après que la partie sur  élevée de la     surface-came    1538 a ramené ce       levier    1534 dans le sens des aiguilles d'une  montre lors du mouvement vers l'arrière de  la coulisse 1157 pour assurer que ce     méca-          izisme    est en position active quand le rouleau  309 se trouve en position d'impression.  



  Les fentes dans les     extrémités    antérieure  des articulations 1192 et 1533     (fig.    12) per  mettent le mouvement de     dégagement    du gou  jon     1-191    et du bras 1190 dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre sous l'action  d'une de ces articulations sans gêner l'autre  articulation.  



  Le mécanisme ci-dessus décrit pour mettre  le rouleau 309 automatiquement en position  d'impression par suite de l'abaissement de       l'une    des touches 218 ou     3-13    est également  actionné par l'abaissement de l'une quelcon  que des touches de commande dites motorisées  <B>(fi-.</B> 3), y compris la touche de correction  369, la touche de totalisation 376 et les tou  ches<B>377, 378</B> et<B>379.</B> La manière dont ces tou  ches actionnent ce mécanisme sera     expliquée     ultérieurement à l'occasion de la description  du mécanisme de démarrage automatique de  la machine.  



       Jlécaizisme   <I>de</I>     freinage        dit        rouleau.     



  On a     prévu    -un mécanisme pour retenir le  rouleau dans     chacune    de ses positions de     ma-          noeu        vre;    ce mécanisme est également agencé  pour retenir la pièce comptable en contact  avec le rouleau pendant le mouvement de ce  lui-ci     d'une    position à une autre.  



  La pièce comptable 1550     (fig.    101,     10\3,     103; 107 et 117) est guidée autour du rouleau  309 par une plaque de     guidage    1551 fixée à  une table 1552 avant à chaque     extrémité    des  parties repliées     vers    le haut fixées à des bras  latéraux     identiques    1553 dont les     extrémités     antérieures sont pourvues de fentes 1554 qui       s'engagent    librement dans le diamètre exté  rieur des douilles correspondantes 1112;

   les  extrémités postérieures de ces bras sont fen  dues pour recevoir des goujons correspon  dants 1555 fixés dans les plaques 1076 et    1.077 (voir aussi     fig.    99 et 118). Des ressorts  de tension 1556     (fig.   <B>101)</B> entraînent la table  1552 de guidage de la pièce comptable vers  barrière et vers le haut pour appuyer le bord  avant recourbé de cette plaque de     guidage     1551     élastiquement    contre la surface du rou  leau 309 lorsque celui-ci passe d'une position  à. une autre, comme expliqué ci-après.  



       Etant        donné    que le mécanisme     servant    à  retenir le rouleau dans chacune de ses posi  tions de     manoeuvre    se répète pour chacune  des extrémités de ce rouleau, seul le méca  nisme du côté droit est représenté et la des  cription de ce mécanisme suffira pour bien  comprendre le fonctionnement de ce méca  nisme de freinage.  



  Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi  tion d'impression représentée à la fis. 99, un  goujon 1557, fixé sur le bras droit 1553, est  retenu par l'extrémité antérieure d'un bras  de freinage 1558 pivotant sur un axe 1559  porté par une plaque 1560 qui est, à son<B>tour,</B>  espacée de sa plaque de support correspon  dante 1076 par des goujons à épaulement  <B>1561</B> et     fixée    sur ces     goujons    par des vis.  Un prolongement vers le bas chi bras<B>1558</B>  porte un goujon 1566 qui coopère avec un  prolongement 1567 en forme de crochet du  bras correspondant     1-118.    Un ressort 1568 en  traîne le bras 1558 dans le sens des aiguilles  d'une montre pour maintenir normalement  son prolongement sur le trajet du goujon 1557.  



  Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi  tion de repos     (ficr.    99 et 100), les douilles de  droite et de gauche     1442    reposent respective  ment sur les surfaces courbes des prolonge  ments de plaques 1569 de droite et de gauche  supportées de façon réglable par les plaques  correspondantes<B>1076</B> et<B>1077,</B> ces dernières  plaques, en coopération avec le goujon 1557  et le bras 1558, servant à placer ledit rouleau  309 exactement en position     d'impression.    Les  fentes 1554 dans les     extrémités    antérieures  des bras 1553 (fi-.

   101, 103 et<B>107)</B> permet  tent au bras<B>1558,</B> en coopération avec le gou  jon<B>1557,</B> de     maintenir    la table     1ï)52    et la       plaque    de     guidage    1551     abaissée.        contre    l'ac  tion du ressort 1556 pour créer du jeu entre      cette plaque de     guidage    1551 et la surface du  rouleau 309, afin de libérer la pièce comptable  pour l'espacement des     lignes,    comme     expliqué     ci-après.  



  Lorsque le rouleau 309 se trouve en posi  tion d'impression, comme indiqué     aux    fin. 101  et 103, une série de rouleaux de pression  1563, montés dans des chapes     1J6-1    qui sont  supportées par des consoles fixées sur la sur  face supérieure de la barre     angulaire   <B>1078,</B>  sont entraînés dans le sens des aiguilles d'une  montre par des ressorts 1565 pour maintenir  la pièce comptable 1550 en contact souple       avec    la surface du rouleau 309.

   Les rouleaux  de pression 1563 entrent en action     immédiate-          nient    avant que la plaque de     guidage    1551  soit mise hors de contact avec la feuille 1550  pour assurer que cette pièce comptable reste  cil     aligliement    exact avec le mécanisme     impri-          nieur    et pour faciliter l'espacement de ses  lignes.  



  Le - mouvement initial du bras     1-118    dans  le sens des aiguilles d'une     montré    (fin. 99 et  100) pour déplacer le rouleau 309 de la posi  tion     d'i1npression    à la position d'entrée ou  verte, ou d'alimentation frontale, amène le       prolongement    1567 en forme de crochet, cil  coopération avec le goujon 1566,à déplacer le  bras 1558 dans le sens contraire des     aiguilles     d'une montre     contre    l'action du ressort 1568,

    de manière à placer le     prolongement        alité-          rieur    de ce     bras    hors du trajet du goujon  7557 pendant que le goujon     1117    se déplace  sans effet dans la fente du bras 1116.

   Le     dé-          aanement    du bras 1558 du goujon<B>1557</B> aban  donne le bras 1553     (fig.    101 et 103), la table  1552 et la     plaquë    de     guidage    1551 à l'action  des ressorts 1556 qui déplacent.

   immédiate  ment ces pièces     dans    le sens des aiguilles       d'tule    montre, de manière à amener le bord  avant     recourbé    de cette plaque de     guidage     1551 à     encager    et à appuyer la feuille 1550  contre la surface du rouleau avant que ce  lui-ci soit     dégagé        des        rouleaux    de pression  1563.

   Lorsque le bras     1-118    continue son     mou-          -v    eurent dans le sens des aiguilles d'une mon  tre pour déplacer le rouleau de la position  d'impression à la position d'alimentation    frontale, le goujon 1566 du bras 1558 repose  sur une surface courbe du bord supérieur du       prolongement   <B>1567</B> en forme de crochet.

   Pen  dant que le rouleau 309 se déplace de la po  sition d'impression à la position d'alimenta  tion frontale, les fentes     sensiblement    horizon  tales     dans    les     extrémités    postérieures des bras  1553 permettent à la plaque de     guidage    1551  de maintenir sa position vis-à-vis du rou  leau 309.  



  Lorsque le     rouleau   <B>309</B> s'approche de la  position d'entrée ouverte et que le bras 118  s'approche du terme de son     mouvement    dans  le sens des aiguilles d'une montre, une sur  face disposée du côté postérieur d'une saillie  <B>1570</B> dudit bras     s'engage    sur un goujon 1571  (fia. 99, 100, 107 et 108) porté par un pro  longement vers le bas     d'ln    bras 1572 monté  fou sur un axe 1573 qui,     lui-même,    est sup  porté par la plaque de droite 1560, de ma  nière à déplacer ce bras 157\? dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre contre  l'action de son ressort 1574.

   Ce mouvement  du bras     157'3        dans    le sens contraire des aiguil  les amène soli     prolonaenicnt    antérieur, en co  opération avec le     goujon    1557 du bras droit  1553, à déplacer ce bras, la table 1552 et la  plaque de     guidage    1551 dans le sens con  traire des     aiguilles        d'une    montre contre l'ac  tion des ressorts 1556 pour séparer cette pla  que de     guidage    1551 de la pièce comptable  <B>1550,</B>     conune        indiqué    à la fin.<B>107,

  </B> de sorte  que ladite pièce -peut être facilement     enlevée     de la machine. Le mouvement du bras     157--l     dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre sous l'action des saillies 1570 permet  à une     languette   <B>1575</B>     entraînée    par un ressort  et portée par ce bras de se poser sur un gou  jon fixe 1576 de la plaque 1560.  



  Le mouvement du bras<B>1572</B> dans le sens  contraire des aiguilles     d'tule    montre (fia. 99,  100, 107 et 108) retire     un        goujon    1577, porté  par ce bras et sur lequel pivote la languette  <B>1575,</B> d'un     prolongement    d'un bras<B>1578</B> pivo  tant sur l'axe 1573, de manière à abandonner  ledit liras à l'action d'un ressort 1579 tendu  entre ce bras et le bras     157?.    Cela amène le  bras 1578, supportant un goujon 1580, à se      déplacer simultanément avec le bras 157'3  pour retirer ce goujon d'un     prolongement     1581 d'un bras 1582 qui est monté librement  sur l'axe 1573,

   de manière à     abandonner    ce  bras à l'action d'un ressort 1571 tendu entre  ce bras et le bras 1572. Le     mouvement    du  bras 1582 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre sous l'action du ressort     157-1     place un prolongement 1583 en forme de  natte de ce bras sur le trajet d'une douille  correspondante     158-1    montée librement sur la  douille à tourillon de droite 1412     (fig.    100 et  108) pour amener ce     prolongement    à     s'engager          #lastiquement    dans ladite douille     15S-1    lorsque  le rouleau 309 se trouve en position d'entrée  ouverte,

   de manière à maintenir cette douille       14-12    en contact avec les surfaces courbes for  iaées par les parties repliées de la plaque  <B>1569</B>     (fig.    99), afin de placer et de retenir ce  rouleau 309 exactement dans la position d'ali  mentation frontale. Le mouvement du bras  1582 dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre     (fig.    108) est limité par un prolonge  ment 1585 de ce bras en coopération avec     l'ira          des    goujons 1561.  



  Lorsque le rouleau 309 est en position  d'alimentation frontale, indiquée sur les       fig.    102 et 107, le bord antérieur     recourbé    de  la plaque de     ;uidaae   <B>1551</B> est en     alignement     avec une arête     angulaire    1589 sur la surface  intérieure d'une lame transparente 1590 et les  surfaces intérieures de cette plaque et de cette  lame forment une     goulotte    1591 d'alimenta  tion frontale servant à retirer et à introduire  facilement les pièces comptables 1550.

   La  lame de     guidage        transparente    1590     (fig.    103)  est fixée sur une barre du support 1592     qui     est, à son     tour,    fixée     aux    surfaces intérieures  des plaques<B>1076</B> et<B>1077</B> (f     iâ.    118). Les piè  ces comptables 1550 sont insérées dans la gou  lotte     ouverte    1591 et poussées directement à  la position nécessaire, les surfaces supérieures  de la plaque de     guidage    1551 et de la table  1552     guidant    cette feuille convenablement  autour du rouleau 309.

   La ligne de la pièce  comptable 1550 sur laquelle on désire     impri-          nier    est alignée au bord supérieur de la lame  transparente 1590 qui sert de     dispositif    de re-         pérage    des lignes pour mettre la ligne voulue  en position convenable par rapport au     méca-          nisine    imprimeur.  



  Après l'insertion convenable (le la feuille  <B>1550</B> dans la     goulotte    1591, l'abaissement de  la touche 1072 du chariot     (fig.    3, 6,     7A    et       7-B)    ou l'abaissement de l'une quelconque des  touches numérales 218 ou de l'une quelconque  des touches 313     compteuses    (le postes fait en  trer en action le mécanisme de     déplacement     du rouleau, de manière à faire passer le rou  leau de la position d'entrée ouverte à la posi  tion d'impression, comme il a été     expliqué     précédemment.  



  Le mouvement initial du bras 1448     dans     le sens contraire des aiguilles d'une montre  (fi-. 99, 1.00, 10î et 108) pour déplacer le  rouleau 309 de la position d'entrée ouverte à  la position d'impression amène une surface  avant d'une projection de ce bras, en coopé  ration avec un     goujon    1586 d'un prolonge  ment vers le bas du bras<B>1578,</B> à déplacer ce  bras dans le sens des aiguilles d'une     montre     contre l'action du ressort<B>1579,

  </B> de manière  à     amener    un goujon<B>1587</B> porté par ce bras à  rencontrer et à     dégager    la     lan-uette    15ï5 du  goujon<B>1576.</B> Le bras<B>157-1</B> est ainsi aban  donné à l'action des ressorts 1574 et<B>1579</B> qui  déplacent     immédiatement    ledit bras<B>1572</B>     dans     le sens des aiguilles d'une montre, de     inanièt-e     à retirer ses     prolongements    antérieurs du     go.i-          jon    1557 pour abandonner les bras 1553,

   la  table 1552 et la plaque de     guidage    1551 à  l'action des ressorts 1556 qui déplacent immé  diatement ces pièces dans le sens des aiguille  d'une montre pour mettre le bord antérieur  recourbé de cette plaque de guidage     1551    en  contact souple avec la pièce comptable     15â0     et avec la surface du rouleau 309, de manière  à tenir cette feuille de sorte qu'elle ne puise  pas se déplacer quand le rouleau 309 passe (le  la position d'entrée ouverte à     1:i    position d'im  pression, afin que la ligne désire<B>(le</B> la feuille  soit alignée sur le mécanisme imprimeur.  



  Le mouvement     ei-de'ssus        décrit    clé la pla  que de     guidage    1551, destiné à tenir la  feuille, se produit avant que le rouleau     30:)     subisse un mouvement de retour et pendant      que les goujons 1447 se déplacent sans effet  dans les fentes des bras     1-116.     



  Le mouvement continu du bras 1578 dans  le sens des aiguilles d'une montre     (fig.    108)  sous l'influence de la saillie<B>1570</B> et du gou  jon 1586 amène le goujon 1580 à s'engager  sur le prolongement 1581 pour déplacer le  bras 1582 dans le sens des aiguilles contre  l'action du ressort 1574. Le mouvement du  bras 1582 dans le sens indiqué dégage son  prolongement 1583 en forme de patte de la  douille 1584 pour libérer le rouleau 309 pour  permettre son mouvement de la position d'en  trée ouverte à la position d'impression.  



  Lorsque le bras droit 1448 s'approche du  terme de son mouvement dans le sens con  traire des aiguilles     d'une    montre, la surface  courbe du prolongement 1567     (fig.    100) passe  au-delà du goujon 1566 pour abandonner le  bras 1558 à l'action du ressort 1568 qui dé  place ce bras dans le sens des aiguilles d'une  montre pour l'amener en contact souple avec  le goujon 1557.

   En même temps, une surface  usinée de l'extrémité antérieure d'un bras  droit 1591 fixé au bras droit 1152     (fig.    99 et  101) rencontre le goujon 1557 de manière à  déplacer le bras 1553, la table 1552 et la pla  que de guidage 1551 dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre pour dégager le  bord avant recourbé de cette plaque de gui  dage de la feuille d'état 1550 et de la surface  du rouleau 309 après que les     rouleaux    de  pression 1563 actionnés par des ressorts sont  entrés en contact avec cette feuille.

   Lorsque  le goujon 1557 passe, sous l'action du bras  1594,à côté du prolongement avant du bras  1558, ce prolongement est     entraîné    par un  ressort sur le trajet de ce goujon pour blo  quer le rouleau 309 dans la. position d'im       pression-          Si    le bras 1558 ne bloque pas le rouleau  309 'dans la position d'impression, il peut  arriver, lorsque la périphérie de la came     1-169          (fig.    115) passe au-delà du galet     1-167,    que la  coulisse 1457 et les pièces     annexes    s'écartent  de leurs positions sous l'action du ressort  1556     (fig.    99 et 101)

       suffisamment    pour per  mettre à la plaque de guidage 1551 de ren-    contrer la feuille 1550 et pour permettre au  rouleau 309 de se déplacer de la position  d'impression.     'Mais    ledit bras 1558, coopérant  avec le goujon 1557, exclut cette éventualité.    <I>Feuille</I>     dc        journal.     



  La machine représentée est construite à  l'usage des établissements bancaires pour  arrêter des comptes de chèques individuels et,  dans un tel système, il y a un     bordereau    1550       (fig.    117) pour chaque compte individuel. Gé  néralement, chaque compte actif est journelle  ment vérifié et le résultat de cette vérifica  tion enregistré sur des états individuels 1550  (fi-. 117).

   Dans un système de ce genre, on  désire habituellement garder un duplicata de  toutes les entrées d'une certaine période   d'une journée     ouvrable    par     exemple    - sur  une feuille de journal 1595     (fig.    103) qui  s'enroule     autour    du rouleau 309 et qui reste  en place pendant toute la période, quel que  soit le nombre d'états 1550 vérifiés pendant  cette période.  



  La feuille de journal 1595 peut prendre  la forme     d'un    rouleau et est dirigée d'une  source d'alimentation en passant par le bord  postérieur recourbé d'une table 1596, par une  fente formée par une surface inférieure d'une  barre angulaire 1598 de     guidage    espacée de  la surface supérieure de la table 1596 à l'aide  de pattes repliées de cette barre, pattes qui  sont fixées à ladite table. A partir de la fente,  la feuille de journal 1595 est dirigée entre  des rouleaux de pression 1599 à ressorts et  la surface du rouleau 309, autour de ce rou  leau et au-dessous de     rouleaux    supérieurs  <B>1600</B> à ressorts, après quoi la     feuille    de jour  nal est ramenée en arrière dans un récipient  approprié.  



  La feuille de journal 1595 est habituelle  ment insérée dans la machine au début d'une  journée ouvrable et y demeure pendant toute  la journée; elle est maintenue en place par  les     rouleaux    de pression 1599 et 1600 pen  dant que le rouleau 309 se déplace de la posi  tion d'impression à la position. d'alimentation  frontale et vice versa;

   lesdits rouleaux de  pression     tiennent    également la feuille de jour-           nal    en contact     sûr    avec le rouleau 309, de  sorte que l'espacement des     lignes    sur la feuille  peut s'effectuer convenablement.     Etant    donné  que les feuilles 1550 s'introduisent entre la  feuille de journal et les     porte-caractères    d'im  pression, il faut interposer entre la pièce  comptable et la     feuille    de journal 1595 un  moyen duplicateur, du papier carbone par  exemple; en conséquence, toutes les entrées  faites sur les feuilles d'état pendant     une    jour  née seront simultanément reproduites sur la  feuille de journal.

    



  En se reportant aux     fig.    101. 102, 103 et  118, on voit qu'une plaque de support 1601  s'étend sur toute la longueur de cette table  et porte sur chacune de ses extrémités une  oreille repliée qui s'engage librement dans un  arbre 1602 tournant dans des moyeux fixés  dans des bras identiques 1603 de droite et de  gauche     (fig.    99 et 100)

   dont les     extrémités     antérieures sont montées librement sur les       douilles    à tourillon du rouleau 309 et dont  les     extrémités    postérieures sont     pourvues    de  fentes qui s'engagent sur les goujons 1555  pour amener ces bras et la table 1596 à feuille  de journal à se déplacer simultanément avec  le rouleau 309 lorsque celui-ci passe de la  position d'impression à la position d'alimen  tation frontale et vice versa.

   Il y a cinq rou  leaux de pression<B>1599</B> (fi-. 101, 102 et 103)  dont chacun est supporté entre les bras pa  rallèles d'une chape correspondante     160-1;          chacune    de ces chapes s'adapte entre des  paires correspondantes d'oreilles repliées vers  le bas de la plaque 1601 et chaque chape est  montée à rotation     sir    un axe correspondant  1605 supporté entre la paire correspondante  d'oreilles.

   Des ressorts à boudin 1606     coin-          primés    entre la surface inférieure de la pla  que 1601 et la traverse des chapes 1604, en  traînent ces chapes dans le sens des aiguilles  d'une montre, comme représenté au dessin,  pour maintenir les     rouleaiLZ    de pression 1599  normalement en contact élastique avec la sur  face du rouleau 309.

      Des ressorts<B>1607,</B> tendus entre des gou  jons des oreilles repliées de chacune des extré-    mités de la plaque 1601 et des goujons fiés  sur les bras 1603, entraînent cette plaque et  la table 1596 dans le sens des aiguilles d'une  montre pour maintenir les extrémités opposées  d'un arbre 1608, tournant dans des oreilles  repliées dirigées vers le bas de la plaque 1601,  normalement en contact avec des cames 1609  sur des bras 1610; ces ressorts<B>1607</B> étant suf  fisamment forts pour surmonter l'action du  ressort 1606, les rouleaux de pression 1599  sont maintenus en prise élastique avec la sur  face du rouleau 309,     comme    il a été expliqué  ci-dessus.

   Des bras 1611 (fi-. 101 et 118),  fixés sur les     extrémités    opposées de l'arbre       1449,    coopèrent avec les     extrémités    de l'arbre  1608 pour maintenir cet arbre en contact avec  les cames 1609 pour assurer que la table 1596  soit maintenue en position convenable lorsque  le rouleau 309 se trouve en position d'im  pression.  



  Les rouleaux de pression supérieurs 1600       (fig.    101, 102 et 103) sont montés à friction  sur un arbre de support 1612 qui est, à son  tour, supporté par des bras 1613 de droite et  de gauche montés librement sur l'arbre 1602.  Chacun des bras 1613 a un épaulement cor  respondant 1614 qui coopère avec un goujon  correspondant 1615 fixé sur des bras 1616 qui  sont montés librement sur des axes<B>1617</B>  portés par les bras 1603     (fig.    99 et 100).

   Des  ressorts 1618 entraînent     _les    bras 1.616 dans le  sens des aiguilles d'une montre en amenant  les goujons 1615, en coopération avec les  épaulements correspondants     161-1,    à entraîner  les bras 1613 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre, de manière à mainte  nir les rouleaux de pression 1600 en prise  élastique avec la surface du rouleau 309 et,  comme la partie supérieure de la feuille du  journal 1595     (fig.    103) est enfilée entre     ces     rouleaux de pression 1600 et le rouleau 309,  ces rouleaux de pression supérieurs     aident     les     rouleaux    de pression inférieurs 1599  maintenir la feuille de journal en contact  convenable avec le rouleau 309,

   (le sorte due  cette feuille de journal ne gêne pas l'inser  tion et l'enlèvement de la pièce comptable  1550 et que les lignes sur la feuille de jour-      gal sont convenablement espacées par rota  tion du rouleau 309     d'une    manière décrite  ci-après.  



  Sur l'extrémité gauche du rouleau 309  (fi-. 101, 102 et 103) est fixée une roue den  tée 1620 qui engrène avec un pignon 1621  monté fou sur l'extrémité -arche de l'arbre  1612; ce pignon engrène avec tri pignon     16"2     solidaire d'une roue dentée 1623, les deux  montés librement sur un axe 1624 supporté  par le bras gauche 1613. La roue 1623 en  grène avec un pignon 1625 fixé sur l'extré  mité gauche de l'arbre 1612.

   L'engrenage     ci-          dessus    décrit constitue une     commande    entre le  rouleau 309 et l'arbre 1612, lequel, par la  friction avec les rouleaux de pression supé  rieurs 1600, tend à entraîner ces rouleaux clé  pression en     synchronisme    avec lui, de sorte  que leur vitesse périphérique est supérieure à  la vitesse périphérique du rouleau 309 en  amenant ainsi ces rouleaux de pression supé  rieurs à effectuer un mouvement de reprise.  non positif, de façon à     assurer    la tension de  la feuille de journal et du papier carbone  superposé autour du rouleau 309 et que ce  papier carbone et cette feuille de journal ne  gênent pas l'insertion, ni le retrait de la pièce  comptable 1550.  



  On a prévu un carter 1626     (fig.    103) pour  enfermer les roues qui constituent la com  mande des rouleaux de pression supérieurs  1600, afin -d'empêcher l'accès accidentel, de  corps étrangers dans les dents de ces roues.  



  Les rouleaux de pression 1600     (fig.    101,  102 et 103) sont maintenus     avee    la surface  du rouleau 309 et le<B>pignon</B> 1621 est main  tenu en prise avec la roue 1620 à l'aide de  prolongements 1627 en forme de crochets des  bras<B>1613,</B> en     coopération    avec des goujons  1628 fixés     aux    bras 1610. Les     extrémités    anté  rieures des bras 1610 sont en forme de four  che pour recevoir les douilles     correspondantes     1112, alors que les extrémités postérieures de  ces bras pivotent sur des leviers coudés cor  respondants fixés sur l'arbre 1602.

   Sur l'ex  trémité droite de l'arbre 1602 est fixé un levier  manuel 1630     pourvu    d'un doigt 1637 qui  passe par     -une        ouverture        d'une        plaque    de cou-         --enture    1631 seulement lorsque le rouleau  309 est dans la position d'entrée     ouverte     (fi-. 100).

   Le carter 1631 (fi-. 99 et 118) est  fixé sur la     surface    extérieure de la plaque  <B>1.076,</B> tandis qu'une plaque de protection asso  ciée 1632 est fixée sur la surface extérieure  de la plaque<B>107-1;</B> ces plaques sont de con  tours     symétriques    et enferment le     mécanisme     contenu entre ces plaques     107-1    et<B>1076.</B> Des  plaques de protection 1633 et 1631     (fig.    118),  correspondant aux plaques 1631 et 1632 et  fixées, à leur tour,     aux    plaques 1077 et 1075,  recouvrent le mécanisme supporté entre ces  plaques.  



  En se référant à la fia. 102, on verra que  le levier 1630 a trois positions: Lorsque ce le  vier est dans sa position antérieure représen  tée en pointillé, les goujons 1628 sont en con  tact avec les prolongements 1627, comme re  présenté aux     fig.    101 et 103, de manière à  bloquer les bras 1613 dans leur position infé  rieure, afin de maintenir les rouleaux de pres  sion supérieurs 1600 en contact avec la sur  face du rouleau 309.

   Le mouvement du levier  1630 de sa position antérieure vers sa posi  tion intermédiaire indiquée sur la     fig.    102 en  traits pleins fait tourner l'arbre 1602 et le  levier coudé 1629 dans le sens des aiguilles       d'une    montre en     vue    de déplacer les bras 1610  vers l'arrière et de dégager les goujons 1628  des crochets 1627 de manière à amener ces  goujons, en coopération avec des cames sur  les     extrémités    inférieures des bras 1613,à dé  placer ces bras vers le haut, ou dans le sens  (les aiguilles     d'une    montre, contre l'action des  ressorts 1618, afin de dégager les rouleaux  presseurs supérieurs 1600 du rouleau 309,

    comme     indiqué    à la     fig.    102.  



  Le mouvement supplémentaire du levier  1630 de la position intermédiaire à la position  extrême postérieure indiquée à la     fig.    102 en  pointillé, outre qu'il maintient les     rouleaux     de pression supérieurs 1600 dans la position  indiquée, imprime un mouvement supplémen  taire vers l'arrière     aux    bras 1610 en amenant  leurs cames, en coopération avec l'arbre 1608,  à déplacer la table 1696 à feuilles de journal      dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre contre l'action des ressorts 1607 en  vue de dégager les rouleaux de pression infé  rieurs 1599 du rouleau 309, comme indiqué  à la     fig.    102 en pointillé, de sorte qu'on puisse  insérer convenablement la feuille de journal  7595 autour du rouleau 309.  



  Lorsque le rouleau 309 passe de la posi  tion d'entrée ouverte à la position d'impres  sion, le mouvement des bras de droite et de  gauche 1578     (fig.    108) dans le sens des aiguil  les d'une montre, mouvement effectué lors  que la saillie 1570 des bras 1118 s'engage sur  les goujons 1586, amène des doigts 1635 di  rigés en arrière de ces bras 1578, en coopéra  tion avec des goujons 1636 fixés sur les le  viers coudés 1629     (fig.    102),à déplacer ces  leviers coudés, l'arbre 1602 et le     levier    1630 à  leurs positions normales ou extrêmes dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre;

   ce  mouvement desdits leviers coudés déplace les  bras 1610 vers l'avant vers la position nor  male indiquée sur les     fig.    101 et 103, de ma  nière à remettre en contact les rouleaux de  pression supérieurs et inférieurs avec la sur  face du rouleau 309 et à amener les goujons  1698 à s'engager sur les prolongements<B>1627</B>  pour retenir ces rouleaux presseurs supérieurs  en position de contact. Un ressort 1638       (fig.    101 et 102), tendu entre le levier 1630  et un goujon du bras de droite 1603 (fi-. 99),  aide à ramener et maintenir le levier 1630 et  les pièces annexes en position normale.  



  On peut donner à volonté aux rouleaux de  pression 1600 et à leurs bras de support 1613  une position plus ouverte, comme indiqué en  pointillé à la fi-. 102, simplement en saisis  sant ces pièces à la main et en les plaçant  dans cette position. Dans ce cas, les goujons  1615 s'écartent des épaulements 1611 et se  posent sur les surfaces courbes adjacentes,  comme indiqué à la     fig.    102 en pointillé. La  course de ce mouvement manuel est limitée  par un épaulement 1639 sur chacun des bras  1613, en coopération avec des goujons corres  pondants 1640 fixés dans des oreilles dirigées  vers le bas de la plaque 1601.

      <B><U>1</U></B>     lécanisme        tâteur        de        la        feuille        de        journal.     



  On a     prévu    un mécanisme     tâteur    ou con  tacteur pour bloquer la machine lorsque la  feuille de journal approche de sa fin.  



  En se reportant aux     fig.    14 et 103, on  voit que l'arbre 1608 qui, comme on se rap  pelle, est supporté à rotation par des oreilles  repliées dirigées vers le bas de la plaque infé  rieure 1601, est pourvu d'une série de doigts  tâteurs 1611 qui passent par des fentes 1612       (fig.    118) pratiquées dans la table 1596 où se  trouve la feuille de journal et dans des ouver  tures correspondantes dans la barre<B>1598.</B> Sur  les extrémités opposées de l'arbre 1608 sont  également fixés un bras 1613 et un levier  1.641 dont chacun porte -un goujon 1615 qui  coopère respectivement avec les bords supé  rieurs des bras de droite et de gauche 1616  montés librement sur l'arbre 1119, ces gou  jons 1615 se trouvant en alignement axial  l'un avec l'autre.

   Les bras 1616 sont pourvus  de parties rectangulaires auxquelles est fixée  une barre à rainure 1617 qui s'étend sur toute  la longueur du chariot et qui coopère avec un  goujon 1618 fixé sur l'extrémité supérieure  d'une barre 1619. L'extrémité inférieure de  la barre 1619     (fig.    14) pivote sur une tige  1651 qui s'étend entre les bras latéraux d'une  chape 1652 fixée sur un arbre 1653 tournant  dans -une console qui est, à son tour, fixée à  la traverse 138; cette barre 1619 passe par  une ouverture dans une plaque de couverture  1650 fixée sur les châssis 139 et 110.

   Sur l'ar  bre 1653 est également fixé un bras 1654 por  tant sur son     extrémité    supérieure un goujon  1661 qui s'engage dans une fente de l'extré  mité arrière d'une articulation 1655 dont  l'extrémité     antérieure    pivote sur le     linguet     197, lequel, comme il a été expliqué précé  demment, coopère avec les blocs 196 fixés sur  la barre de verrouillage 191.  



  Ainsi qu'il a été expliqué précédemment,  la feuille de journal 1595 (fi. 103), passe  par une fente entre la barre de guidage 1598  et la face supérieure de la table 1596; en ce  faisant, elle recouvre les ouvertures     prévues     dans la barre 1598 pour les doigts 1611 et  empêche le mouvement dans le sens des      aiguilles d'une montre. de ces doigts et de  l'arbre 1608 sous l'action d'un ressort 1656  tendu entre le levier     1644    et un verrou 1657.

    L'empêchement du mouvement dans le sens  des aiguilles d'une montre de l'arbre 1608, du  levier     1644    et du bras     16-13    amène le goujon  1615, en coopération avec le bras 1616, à re  tenir la barre à rainure 1647 dans sa position  inférieure indiquée sur la fi-. 14; ceci     retient,     par le goujon 1618, la barre 1649, la chape  1652, l'arbre 1653 et l'articulation 1655, ledit       linguet    197 dans sa position représentée con  tre l'action d'un ressort 1658, de manière à  tenir ce     linguet    éloigné du trajet du bloc 196,  de sorte que le mouvement de démarrage en  arrière de la coulisse de démarrage ne sera  pas empêché.  



  Lorsque la fin de la feuille de journal  1595 passe au-delà des extrémités antérieures  des     doigts    1641 et des ouvertures correspon  dantes dans la barre de guidage 1598, les  dits doigts passent dans ces ouvertures en  permettant au ressort 1656 de faire pivoter  l'arbre 1608, le bras 1643 et le levier     16z4     clans le sens des     aiguilles    d'une montre, de  manière à retirer les goujons 1645 des bords  supérieurs des bras 1646 et à permettre au  ressort 1658 de déplacer l'articulation<B>1655</B>  vers l'avant pour faire tourner le     linguet    197  dans le sens contraire des aiguilles d'une mon  tre sur le trajet des blocs angulaires 196,

   de  manière à empêcher le mouvement de démar  rage en arrière de la coulisse de démarrage  194 en empêchant ainsi le fonctionnement de  la machine.  



  Au cas 'où il serait nécessaire ou désirable  de     manipuler    la machine après que la fin de  la feuille de journal 1595 (fi-. 14) a dépassé  les extrémités des doigts 1641, le déplacement  du levier     1644    dans le     sens    contraire des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1656 à l'aide d'un     doigt    de l'extrémité  supérieure de ce levier qui passe par une  ouverture dans la table 1596 de la feuille de  journal     (fig.    103)

   déplace le     linguet    197 dans  le sens des aiguilles d'une montre vers une  position inopérante et place un goujon 1660    de ce levier     1644    en face d'une     encoche    du  verrou 1657, à la suite de quoi le ressort 1656  déplace ce verrou dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre sur son pivot 1659 filé  sur une patte repliée de la plaque 1601 pour  bloquer le levier 1644 et, par le mécanisme de  liaison, le     linguet   <B>197</B> respectivement dans  des positions inférieure et inopérante.  



  Après que le     mécanisme        tâteur    a été rendu  inopérant à la main par le     mouvement    du le  vier     16-14,    comme on vient de le décrire, le  mouvement du rouleau 309 de la position  d'impression vers la position d'alimentation  frontale amène     un.    goujon<B>1663</B>     (fig.    14)  porté par un prolongement vers le haut du  verrou 1657 à s'engager sur une saillie de la  plaque 1076     (fig.    118)     pour    déplacer ce ver  rou dans le sens des aiguilles d'une montre  et dégager son encoche du goujon 1660.

   Une  saillie du verrou 1657 coopère avec un goujon  1664 du levier     1644    et limite, conjointement  avec le goujon 1660, le mouvement de ce le  vier     1644    et de ce verrou<B>1657,</B> l'un par rap  port à l'autre.  



  Il ressort de ce qui précède que le méca  nisme tâteur de la feuille de journal bloque  la, machine lorsque la fin de la feuille de  journal dépasse un point déterminé et que ce  mécanisme tâteur peut être rendu inopérant  par la     manceuvre    manuelle du levier     1644          (fig.    14), de sorte que la machine peut, en  suite, être     manceuvrée,    mais le premier mou  vement. du rouleau 309 de la position d'im  pression à la position d'entrée ouverte fait  entrer en action le mécanisme     tuteur    pour  empêcher le fonctionnement ultérieur de la  machine.

      <I>Mécanisme de rotation</I> (lit rouleau  <I>ou d'espacement des</I>     lignes.       En se référant aux fi-. 49 et 118, on se  rappellera que le rouleau 309 a un noyau de  bois     1441    avec un alésage central pour rece  voir des broches dans les douilles     1442,    ces  douilles étant pourvues de flasques fixées aux  extrémités du noyau de bois par des vis. La  circonférence extérieure des douilles     1442         Supporte le rouleau 309 à rotation, pour  effectuer l'espacement des lignes, et égale  ment en     vue    d'assurer son mouvement d'al  ler et retour à la position d'impression.

   Elle  supporte également certains des mécanismes  représentés aux fi-. 99 et 100 et     expliqués        ci-          dessus,    destinés au contrôle des mouvements  du rouleau aller et retour à la position d'im  pression.

   Les alésages     centraux    des douilles       1442    sont en alignement axial et supportent  une tige 1665 qui est maintenue à l'encontre  (lu déplacement par une vis de fixation 1666       (fig.    118) qui fixe également un     bouton    1667  du côté droit pour la rotation manuelle du  rouleau sur la douille     1-142.    Il y a un     bouton     du côté gauche 1668     (fig.    49 et 118), simi  laire au bouton clé droite, pour la rotation  manuelle du rouleau 309;

   ce bouton 1668 est  fixé à un manchon<B>1669</B> supporté à glisse  ment par la tige 1665 et relié à la douille de  gauche     1-142    à l'aide de tenons qui coopèrent  avec l'encoche d'accouplement dans cette  douille     1442.    Une vis de fixation 1670  (fin. 49), vissée dans un     taraudage    du bouton  1668, est pourvue d'un tenon qui s'engage  dans une rainure annulaire de la tige 1665.

    Un ressort à boudin 1671, comprimé entre une  tête de l'extrémité gauche de la tige 1665 et       l'extrémité    du manchon 1669, pousse ce man  chon et le bouton 1668 vers la droite, comme  représenté au dessin, pour faire embrayer  normalement un mécanisme d'accouplement à  l'aide d'une roue à rochet 1672 d'avancement  du rouleau avec le manchon 1669 pour le  faire     tourner    solidairement, de manière à  faire entrer en action le moyen assurant       1e'espacement    automatique des     lignes    du rou  leau 309.

   La roue à rochet<B>1672</B> est montée  folle, sur la circonférence extérieure du man  chon 1669 et est solidaire d'une partie 1673  en forme de tambour ayant une circonférence  intérieure moletée qui coopère avec une mo  lette 1674 montée clans     iuie    fente d'un disque  1675 relié au manchon 1669 pour tourner so  lidairement, à l'aide d'une partie angulaire  plate de ce     nianclion    en coopération avec un  coin 1676, ce coin s'engageant     librement    dans  une fente     dudit    disque 1675.

           hTormalement,    le ressort 1671 pousse le  bouton 1668 et le manchon 1669 vers la droite  en amenant la partie plate de ce manchon, en  coopération avec le coin 1676,à déplacer la  molette 1674 vers le haut pour embrayer sa  partie moletée avec la partie correspondante  de la circonférence intérieure du tambour  1673, de manière à accoupler ce tambour 1673  et la roue à rochet 1672 au manchon 1669,  lequel, comme on se rappelle, est relié à la  douille 1442.  



  Si l'on désire débrayer le rouleau 309 de  la roue à rochet 1672 pour ajuster la pièce  comptable à la ligne d'impression, on retire       1c    bouton 1668 vers l'extérieur contre l'action  du ressort 1671, ce qui retire la surface angu  laire plate prévue sur le manchon 1669 du  coin 1676 pour permettre audit coin et à la  molette de descendre, de manière à débrayer  la denture de cette molette de la denture de  la circonférence intérieure du tambour 1673  et à dégager la roue à rochet 1672 du rou  leau 309, de sorte que ce rouleau puisse tour  ner indépendamment, afin d'ajuster la pièce  comptable par rapport à la ligne d'impres  sion et au mécanisme d'espacement des lignes  du rouleau.  



  On a     prévu    un mécanisme coopérant avec  la roue à rochet 1672 et représenté aux       fig.    111, 112 et 113 pour la rotation automa  tique du rouleau 309 en vue de l'espacement  des lignes sur la pièce comptable portée par  le rouleau.    Un cliquet d'arrêt 1677 pivote sur un. axe  1678 fixé sur le bras gauche 1603     (fig.    49 et  118) et     un    ressort<B>1679</B> entraîne ce cliquet  d'arrêt dans le sens des aiguilles d'une mon  tre pour maintenir un goujon 1680 fixé sur  le cliquet normalement en contact avec les  dents de la roue à rochet<B>1672,</B> de manière à  retenir cette roue et le rouleau 309 en posi  tion alignée. Le goujon 1680 permet la rota  tion de la roue à rochet 1672 dans les deux  sens.

   Un     eliquet    d'avance 1681 pivote sur un  axe 1682 fixé sur un bras 1683 de     manaeuvre     de cliquet d'avancement, bras     pourvu        d'un     moyeu qui est monté librement sur la douille      gauche     1442.    Un ressort     168-1,    tendu entre le       cliquet    1681 et le bras 1683,

       entraîne    ce     eli-          quet    dans le sens des     aiguilles    d'une     montre     pour amener sa dent 1685 à engrener avec les   < lents de la roue<B>1672</B> lorsqu'on "imprime au  bras 1683     lui    mouvement de va-et-vient,  comme exposé ci-après.

   L'aie 1682 supporte à  oscillation     l'extrémité    antérieure d'une articu  lation 1686 dont l'extrémité postérieure pivote  sur un     goujon    1687 d'un bras 1688 relié par       -nu    moyeu 1689 à un bras associé 1690, ce       moyeu    étant monté à oscillation sur un gou  jon 1691 fixé sur la plaque 1075.

       L'extrémité          inférieure    du bras 1690 est fendue pour re  cevoir un     goujon    1692 fixé sur     im    bras 1693  <B>(le</B>     gauche    qui est monté librement sur un       goujon        169.1    de gauche     qui-    s'étend entre les  plaques 1075 et<B>1077</B>     (fig.    118) et qui est re  lié par une chape 1695 à un bras associé 1693  de droite supporté à rotation par un goujon  1691 de droite qui s'étend entre les plaques       107-1    et 1076.

   Un ressort 1696 entraîne le bras  1693 et la chape 1695 dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre pour maintenir le  bras 1693 de     âauche    normalement en contact  avec un doigt replié 1697 d'une plaque 1698       fixée    à la plaque<B>1075.</B>  



  Le bord arrière de la chape 1695     (fig.111     et 114) est recourbé, de manière à former une  surface extérieure arrondie qui coopère avec  un prolongement 1700 replié vers le haut       d'une    coulisse<B>1701</B>     de'espacement    des lignes  montée à glissement à l'aide de fentes paral  lèles     (fig.    96A et<B>9613)</B> en coopération avec  les goujons à vis 1158; cette coulisse 1701 est  montée immédiatement au-dessus de la cou  lisse 1457 dont elle est séparée par des ron  delles placées sur les goujons 1458.

   La cou  lisse 1701 a un prolongement vers le bas avec  une encoche 1702 qui s'engage sur un goujon  1703 de l'extrémité supérieure d'un bras 1704       fixé    sur un axe 1705 qui tourne dans un     alé-          sa--e    du châssis 1087. Un     prolongement    du  bras 1704 est fendu pour recevoir un goujon  <B>1706</B> d'un bras<B>1707</B> fixé sur l'une des extré  mités d'un manchon 1708 monté librement sur  la     ti.-e    1165.

   Sur l'autre extrémité du man  chon 1708 est fixé un levier 1709 en forme de    <B>V</B> portant des galets 171Ô et 1711 qui     eoopé-          rent    respectivement avec les périphéries de  cames associées     171\_'    et 1713 qui sont calées  ensemble avec un disque de repérage, dans un       rapport    mutuel fixe, sur un manchon     171-1     tournant librement sur l'arbre 1153.

   Sur le       manchon    1714 est également fixé (fi-. 96B)  un organe commandé par accouplement 1715  pourvu de dents, qui coopère avec     un    organe  de commande par accouplement 1716 relié  par des tenons et mortaises à un manchon  filé sur l'arbre 1153, de sorte que cet organe  de commande tourne     solidairement    avec cet  arbre, tandis qu'il est libre de se déplacer sur  l'arbre latéralement.

   L'organe de     commande     1716 'est actionné par     fuie    chape 1717 qui est,  à son tour, commandée par un organe de blo  cage fixé sur un arbre 1718 qui tourne dans  le châssis 1087 et dans la plaque supérieure  droite 1136; cet arbre porte également un  bras 1719 entraîné par un ressort dans le sens  des aiguilles d'une montre pour maintenir le  verrou normalement en prise avec la chape  1.717. Le bras 1719 est relié, par une articu  lation 1720,à un bras 1721 fixé sur un arbre  1722 qui tourne dans des prolongements du  châssis 1087.

   Sur l'extrémité droite -de l'ar  bre 1722 est fixé un bras 1723 relié par une  articulation 1724     (flg.    7A, 7B et GO) à un       levier    1725 monté librement sur le goujon  1q98.     L'extrémité    inférieure du levier 1725  est fendue pour recevoir un goujon fixé sur  l'extrémité supérieure     d'in    levier 1726 monté  librement sur le goujon 1501, ce levier 1726  étant relié à oscillation par     suie        articulation     1727 à l'extrémité inférieure d'un levier 1728  monté librement sur le goujon<B>161.</B> L'articu  lation 1727     (fig.    7A et 60)

   a un prolonge  ment vers le haut 1729 qui coopère avec un  goujon 1730 d'une plaque 1731 montée libre  ment sur le goujon 1508 et reliée à oscillation  par -une articulation 1732 à un levier 1733  monté librement sur l'arbre 1512. L'extrémité  avant du levier 1733 pivote sur une partie  repliée de la tige de la touche<B>1073</B> d'Avance  du Papier (voir aussi     fig.    1 et 3). Un ressort  1734 entraîne la plaque 1731 dans le sens con  traire des     aiguilles    d'une montre, ce qui main-      tient, par l'articulation     173\Z    et le levier 1733,  la touche 1073 normalement en position non  abaissée.  



  L'abaissement de la touche<B>1073</B> Avance  du Papier (fie. 1, 3, 74,     7B,    60 et 96B) dé  place la plaque 1731 clans le sens des aiguilles  d'une montre contre l'action du ressort 1734  en amenant le goujon 1730, en coopération  avec le prolongement 1729,à déplacer l'arti  culation     17\_'7    en avant.

   Le     mouvement    de  l'articulation<B>1727</B> vers     l'avant    déplace, par  les leviers 1726 et 1725,     l'articulation        172-1     également vers l'avant, de manière à déplacer  le bras 1723 (fie.     7B    et     96B),    l'arbre 1722 et  le bras 1721     dans    le sens des aiguilles d'une  montre, le mouvement du bras 1721 dans le  sens indiqué déplace, par l'articulation 1720,  le bras 1719 et l'arbre 1718 clans le sens con  traire des     aiguilles    d'une montre, comme re  présenté à la fie.

       96B,    de manière à     dégager     le verrou de la chape 1717 et à amener cette  chape à relier l'organe de commande 1716 à  l'accouplement avec l'organe commandé 1715  pour faire accomplir aux cames 1712 et 1713  (fie. 114)     un    tour dans le sens des aiguilles  d'une montre, à la suite (le quoi le mécanisme  d'accouplement est     automatiquement    débrayé.  



  Le mécanisme d'accouplement     comman-          clant    le mécanisme d'espacement des     lignes    est  le même et fonctionne exactement de la même  façon que le mécanisme     d'accouplement    pour  l'abaissement des     pistons    d'arrêt du tabula  teur, représenté     sur    les fi-.<B>86</B> et<B>96A</B> et  expliqué précédemment.  



  La rotation des cames 1712 et 1713  (fie. 114) par le mécanisme représenté dé  place la coulisse 1701 d'abord vers l'avant et  ensuite vers l'arrière à la position normale.  Le mouvement de la coulisse 1701 (fie. 964,       96B,    111 et     11-1    déplace, par le     prolongement     vers le haut 1700 de la coulisse, en coopéra  tion avec la partie arrondie de la traverse  1695, cette traverse et le bras 1693 d'abord  dans le sens des aiguilles d'une montre, mou  vement qui, par le     goujon    1692, le bras 1690,  le bras 1688 et l'articulation 1686, déplace le  bras 16S3     é;alement    clans le sens des     aiguilles     d'une montre.

   Le     mouvement    du bras 1683    clans le sens indiqué amène la dent 1655 du  cliquet 1681 à     engrener,    sous l'action du res  sort 1684, avec les dents de la roue à rochet  1672 pour faire tourner le rouleau 300 dans  le sens des aiguilles d'une montre, de     manière     à espacer les lignes sur la feuille de journal  1595 enroulée autour du rouleau.  



  Outre la touche<B>107â</B> de l'Avance du Pa  pier, on a prévu un autre mécanisme con  trôlé par le chariot dans des positions de co  lonnes déterminées de celui-ci et par les barres  de démarrage de la machine pour provoquer  le fonctionnement du mécanisme     d'avance    du  papier; ce mécanisme sera expliqué ultérieu  rement.  



  Le mouvement de la coulisse 1701 en  arrière (fie. 111) permet au ressort 1696 de  ramener les bras 1693, la chape 1695 et les  pièces annexes, y compris le bras 1683 et le  cliquet 1681, dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre ou dans la direction de re  prise pour préparer.la prochaine opération  d'avance du papier.    <I>Commande de</I>     l'espacement   <I>des</I>     lignes.     On a prévu un mécanisme à came pour le  contrôle de l'engrènement (le la dent 1685       (fig.    111) du cliquet 1681 avec les dents de  la roue à rochet     167 ,    afin de déterminer si  le rouleau 309 et le support     d'enregistrement     qu'il porte seront     avancés    d'une, de deux ou  de trois lignes.

    



  En se reportant aux fie. 111, 112 et 113,  on voit que le cliquet 16S1     d'avance    porte un  goujon qui coopère avec une surface courbe  <B>1737</B> d'une plaque<B>1738</B>     pourvue    d'un moyeu  monté librement sur le     moyeu    pour le bras  1683;

   cette plaque présente, sur un prolon  gement, trois encoches de position 1739 qui  coopèrent avec un     goujon        17-10    d'un cliquet  d'arrêt 1741 monté fou sur un axe 1742 fixé  sur le bras 1603 de gauche     (fi;Y.    99 et 118) et  entraîné par un ressort     17-13    dans le sens     (les          aiguilles    d'une montre, de     manière    à mainte  nir ce goujon normalement en contact     souple     avec lesdites encoches de position.

   Une arti  culation     17-1-1    relie la plaque 1735 à oscilla  tion à un levier 1745 monté     librement    sur le      goujon gauche 1691 et     pourvu        d'in    doigt  1716 qui passe par une ouverture de la plaque  de couverture gauche 1633.  



  Lorsque le bras<B>1683</B> et le cliquet 16S1 se  trouvent dans leurs positions de prise en  charge, comme représenté, la surface courbe  1737, en     coopération    avec le goujon 1736,  maintient la dent     16S:3    de ce cliquet en dehors  des dents de la roue à. rochet 167?.

   Lorsque  le levier     17-15    et la plaque 1738 se trouvent  dans la position indiquée sur la     fig.    113 en  traits pleins, le     mouvement    d'avance du     cli-          quet    16S1 dans le sens des aiguilles     d'une     montre     amène    le goujon 1736 à quitter la sur  face     courbe    1737 aussitôt que possible et, ce  faisant, amène la dent.

   1685 à engrener avec  les dents de la roue à rochet 1672 suffisam  ment tôt, de sorte que le mouvement continu  de ce cliquet 1681 dans le sens des     aiguilles     d'une montre fait avancer la roue<B>1672</B> et le       rouleau    309     d'une    distance     é-ale    à trois dents  de la roue à rochet, de manière à espacer la  pièce comptable de     trois    lignes.

   Le déplace  ment du levier 1715 et de la plaque 1738 d'un  cran dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme indiqué à la fi.. 113 en     pointillé,     amène la surface courbe<B>1737</B> de cette plaque  à retarder l'engagement entre la dent du     cli-          quet    1681 et la roue 1672     suffisamment    pour  que le mouvement de ce cliquet dans le sens  des aiguilles d'une montre fasse avancer cette  roue et le rouleau 309 d'une distance égale  à deux dents de la roue à rochet,

   de manière  à espacer la pièce comptable de     deux        lignes.     Le mouvement du levier     171â    et de la plaque  1738 dans le sens des     aiguilles    d'une montre  d'un cran supplémentaire, comme indiqué à  la     fig..    113 en pointillé, amène la     surface     courbe 1737 en coopération avec le goujon  1.736 à retarder encore l'engrènement de la  dent du cliquet 1681, de manière que le mou  vement complet de ce cliquet dans le sens des  aiguilles fera avancer la roue 1672 et le rou  leau 309     d'une    distance correspondant à une  dent de la roue à rochet,

   de manière à espacer  la pièce comptable     d-'iuie        seule    ligne.  



  Lorsque le cliquet d'avance 1681 arrive à  la fin de son mouvement d'avancement dans    le sens des aiguilles d'une montre, comme in  diqué à la     fig.    112, le     goujon    l736, en coopé  ration avec un doigt en saillie 1717 du cliquet  d'arrêt 1677, bloque ce cliquet et le goujon  1680 contre le mouvement d'encliquetage, de  manière à amener ce goujon à bloquer, à son  tour, la roue à rochet 1672 et. le rouleau 309  pour assurer l'espacement précis de cette roue  et pour éviter le dépassement. en cas de mou  vements rapides du mécanisme d'avancement  du papier.  



  Chaque douille     1112        (fig.    109. 110 et 118)  et le manchon 1669 passent par des ouver  tures correspondantes     17-18    dans les plaques  de droite et de gauche 1071 et<B>1075</B> et par des  fentes courbes 1719 dans les plaques de cou  verture de droite et de gauche 1632 et 1631,  ces fentes     permettant    au rouleau 309 de pas  ser de la position d'impression à la position  d'alimentation frontale et     vice    versa.  



  On a prévu des volets mobiles pour fer  mer les fentes 1749 lorsque le rouleau 309 se  trouve dans une de ses positions de     manaeu-          vre,    afin d'empêcher l'introduction de corps  étrangers dans les fentes et ainsi éviter les  dangers pour les personnes ou pour le méca  nisme du chariot.  



  Comme le mécanisme se répète pour cha  que côté du chariot, on ne décrira le méca  nisme pour la fermeture de la fente que pour  le côté droit du chariot.  



  La fente de droite 1719 peut être fermée  par des volets segmentaires 1750 et 1751 re  liés à friction à l'extrémité supérieure d'un       levier    coudé 1752 monté librement sur un  goujon 1753 fixé à la plaque de droite 1071.  Un ressort 1751 entraîne le levier coudé 1752  dans le sens contraire des aiguilles d'une mon  tre en     vue    de maintenir une surface avant  concave du segment 1751 normalement en  contact avec une surface similaire convexe du  bord antérieur de la fente 1749.  



  Lorsque le rouleau 309 est en position  d'impression comme indiqué sur la     fig.    109,  l'extrémité supérieure du segment 1750 ferme  l'extrémité supérieure de l'ouverture 1748 et  le segment 1751 ferme la partie centrale de      cette ouverture en fermant ainsi virtuelle  ment toute la fente contre l'introduction d'ob  jets étrangers, sauf la partie de la fente par  laquelle passe la douille 1442. Lorsque le rou  leau 309 passe de la position d'impression à  la position d'alimentation frontale, comme  indiqué sur la film. 110, la douille 1442 re  pousse simplement les segments 1751 et 1750  du volet, en déplaçant le levier coudé 1752       i    dans le     sens    des aiguilles d'une montre contre  l'action du ressort 1754.

   De même, lorsque le  rouleau 309 passe de la position d'impression  à la position d'alimentation frontale, la       douille    1442 entre en contact avec l'extrémité  supérieure du volet segmentaire 1750 et le dé  place dans le sens des aiguilles d'une montre,  de sorte que son     extrémité    inférieure recou  vre la partie inférieure de la fente 1749 non  recouverte du volet 1751.         Hécanisine   <I>pour le</I>     déclenchement        automatique     <I>de la machine.</I>  



  On a prévu un mécanisme contrôlé par  certaines touches de commande et par cer  taines touches de correction ainsi que par le  chariot dans des positions     tabulées    de celui-ci  pour provoquer le déclenchement automatique  de la machine, en simplifiant ainsi la mani  pulation de la machine et     évitant,    dans cer  tains genres d'opérations, l'abaissement d'une  des barres de démarrage. On décrira ci-après  le mécanisme pour le déclenchement automa  tique de la machine.

      En se reportant aux film. 3, 31B et 124, on  voit que les     goujons    413 des touches de com  mande 376, 377, 378 et 379 coopèrent avec  des cames     angulaires    pratiquées dans des  ouvertures d'une plaque de commande 1756  supportée à glissement horizontal par les gou  jons 416. Le bord supérieur de la plaque de  commande 1756 est     pourvu    de dents qui en  grènent avec les dents d'un pignon segmen  taire<B>1757 fixé sur</B> l'extrémité gauche d'un  arbre 1758 qui tourne dans les     plaques    398  et 399 (film. 47).

   Sur l'extrémité de droite de  l'arbre 175S est fixé un pi-non segmentaire  similaire 1759 qui     engrène    avec les dents du    bord supérieur d'une plaque de commande  1760 (film. 124) supportée de manière à se dé  placer horizontalement sur la plaque 398  exactement de la même façon que la détente  411 et la plaque de commande 822. La plaque  de commande 1760 a des cames angulaires  1755 (film. 38) pratiquées dans des ouvertures  de cette plaque, qui coopèrent avec des gou  jons 410 portés par les touches de correc  tion 369.  



  La plaque de commande 1760 (film. 38)  porte un goujon 1761 qui coopère avec un  prolongement dirigé vers le haut 1762 d'une  bielle 1763 montée à glissement à l'aide de  fentes parallèles pratiquées dans cette bielle,  en coopération avec des goujons fixés sur le  châssis gauche 131. La bielle 1763 a dans son  extrémité arrière une fente 1764 en contact  avec un crochet formé sur l'extrémité anté  rieure d'une tige 1765 dont l'extrémité posté  rieure présente un     oeillet    dans lequel s'en  gage un goujon 1766 porté par l'extrémité  inférieure d'un bras<B>1767</B> fixé près de l'extré  mité gauche d'un arbre 1768 de démarrage de  la machine, arbre qui tourne dans des prolon  gements postérieurs du châssis 1087     (film.    7 A,  96A et     96B)

  .    Sur l'extrémité de droite de  l'arbre 1768 (film.     7B,    96A et     96B)    est fixé  un bras 1769 dirigé vers le haut et relié par  une articulation 1770 à oscillation à     un    bras  1771 fixé sur un arbre 1772 dont les extré  mités opposées tournent dans le châssis 1087  et dans la plaque de protection de droite  1136.

   Un ressort 1773 (film.     96B)    entraîne le  bras 1771 et l'arbre 1772 dans le     sens    des  aiguilles d'une montre, de manière à mainte  nir un verrou porté par cet arbre en prise  avec un prolongement d'une chape 1774 de       manoeuvre    d'un accouplement, chape qui con  trôle     l'embrayage    et le     débrayage    d'un organe  de commande 1775 à accouplement monté<B>(le</B>  manière à tourner solidairement avec l'arbre  1153 et à se déplacer     axialement    par rapport  à cet arbre à l'aide de     nervures    et     cl'eneoches     d'accouplement.

   L'organe de commande     1î    75  est pourvu de dents qui coopèrent avec des  dents correspondantes d'un organe     cl'aecou-          plement    entraîné<B>1776</B> solidaire     d'ttii    manchon      1777 monté librement sur l'arbre 1153; de ce  manchon sont également solidaires des cames  associées 1778 et 1779     (fig.    116). Les péri  phéries des cames 1778 et 1779 entrent en  contact respectivement avec des galets 1780 et  1781 fixés sur un levier 1782 en forme de<B>V</B>  qui, lui, est monté sur un arbre 1783 tournant  dans le châssis 1087 en alignement axial avec  la tige 1165.

   Sur l'arbre 1783     (fig.    7B et 116)  est     également    fixé un bras 1784, relié par une  articulation 1785 à l'extrémité supérieure  d'un levier 1786 monté librement sur un axe  1787 de la plaque 1191. L'extrémité infé  rieure du levier 1786 comporte une fente  pour recevoir un goujon 1788 fixé sur l'extré  mité supérieure d'un bras 1789 qui est, à son  tour, fixé par un moyeu 1790 à un bras associé  1791, ce moyeu étant monté librement sur un  arbre 1792 tournant dans les plaques 1191 et  1388     (fig.    95).

   L'extrémité postérieure d'une  articulation 1793 pivote sur le bras 1791,  tandis que     l'extrémité    antérieure de cette  articulation est fendue pour recevoir un gou  jon 1794 de     l'extrémité    inférieure d'un bras  1795 relié par un moyeu 1796 à un bras 1797,  ce moyeu étant librement monté sur un arbre  1798 qui tourne dans les châssis principaux  130 et 131. Le bras 1797 est relié par une  articulation 1799 à un levier 1800 monté  librement sur le goujon 161 et pourvu d'un  prolongement 1801 susceptible de s'engager  sur un goujon 1802 du levier 160.  



  L'abaissement de l'une quelconque des tou  ches de commande 376, 377, 378 ou 379       (fig.    31B) ou de l'une quelconque des tou  ches de correction 369     (fig.    38) déplace la  plaque de commande vers l'avant, ce qui dé  place, à l'aide de la bielle 1763 et la tige       1.765,    le bras<B>1767</B> et l'arbre 1768 dans le sens  contraire des aiguilles     d'une    montre.

   Le mou  vement de l'arbre 1768 dans le sens indiqué,  comme représenté à la     fig.    38, et le mouve  ment de cet arbre dans le sens des aiguilles  d'une montre,     comme    représenté aux     fig.        7A     et     7B,    actionne, par le bras 1769 et l'articu  lation 1770, le mécanisme d'accouplement  pour les cames 1778 et 1779, de manière à  faire effectuer à ces cames     um    tour dans le    sens des aiguilles     d'une    montre,     connne    re  présenté à la fi-. 116.

   La rotation des cames  <B>1778</B> et 1779 fait pivoter le levier<B>1782,</B> l'ar  bre 1783 et le bras 1784 d'abord dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre et ensuite  retour à la position normale. Le mouvement  du bras 1784 dans le sens contraire des aiguil  les déplace, par l'articulation 1785 et le levier  1786, les bras 1789 et 1791 d'abord dans le  sens contraire des     aiguilles    d'une montre, de  manière à déplacer l'articulation<B>1793</B> en  arrière. Le mouvement de l'articulation 1793  en arrière déplace, à l'aide     d'iui    ressort re  liant cette articulation au bras 1795, ce bras  et son bras associé 1797 dans le- sens contraire  des aiguilles d'une montre, mouvement qui  déplace, par l'articulation 1799, le levier  1800 également dans le sons contraire des  aiguilles.

   Le mouvement du levier 1800 dans  le sens indiqué amène son prolongement 1801  à s'engager sur le goujon 1802 du levier de  démarrage 160 pour déplacer ce levier égale  ment dans le sens contraire des     aiguilles        d'unie     montre, de manière à dégager     l'épaulement     sur le prolongement de ce     levier    de la patte  repliée 159 et à libérer la coulisse 156 (fi-. 6  et 116) qui, à son tour, déclenche la machine  comme expliqué précédemment.

   Après que  les cames 1778 et 1779     (fig.    116) ont fait un  tour, un mécanisme de remise en position,  fonctionnant exactement comme le mécanisme  représenté     sur    _ la     fig.    47, aide à débrayer le  mécanisme d'accouplement pour ces cames et  les place dans les positions normales, comme  indiqué.  



  Le levier 1800     (fig.    116) porte un goujon  1804 qui coopère avec un prolongement vers  le bas d'un levier 1805 monté librement sur  le goujon 177. Le levier 1805 possède un pro  longement dirigé vers le haut qui coopère  avec le bloc 196 sur la barre de blocage 194  et, lorsque l'un des cliquets 197, 198 ou 199  représentés à la     fig.    14 empêche le mouve  ment de la barre 194 en arrière, le     levier    1805  empêche également le mouvement de démar  rage de ce levier 1800 dans le sens contraire  des aiguilles     d'une    montre pour interdire le  fonctionnement automatique de la machine.

        <I>Contrôle de</I>     l'espacement    (les<I>lignes et de la</I>       tabirlation   <I>par les barres de</I>     démarrage.     La barre principale de démarrage 170 et  la barre 171 d'Avance Verticale, ou d'espace  ment des lignes     (fig.    1 et 3), outre le     déclen-          ehement    du fonctionnement de la machine,  sont     prévues    pour contrôler le mouvement     dii     rouleau 309 pour l'espacement des     lignes    et  pour le     mouv    eurent de     tabulation    de     colonne     en colonne du chariot.

   Le contrôle du mou  vement du rouleau 309 pour l'espacement des  lignes et du mouvement de     tabulation    de co  lonne en colonne du chariot sous l'action des  barres 170 et 171 peut varier à l'aide     d'iui.     mécanisme tâteur qui coopère avec des seg  ments de commande irréguliers ajustés à leur       tour    par rapport à ce mécanisme     tâteur    par       une    coulisse manuelle     1808        (fig.    1, 3 et 120).  



  La coulisse 1808 est montée à glissement  sur la plaque supérieure<B>188</B> du clavier nu  méral à l'aide d'une plaque     inférieure    1810  espacée de la surface inférieure de cette cou  lisse<B>1808</B> d'une distance légèrement supé  rieure à l'épaisseur de ladite plaque supé  rieure<B>188</B> au moyen d'une entretoise 1811,  cette plaque 1810 et cette entretoise étant  filées à la coulisse 1808 par des vis. La cou  lisse peut être ajustée à quatre positions de  contrôle et maintenue par un organe d'ajus  tage 1512 à ressorts, fixé sur la face infé  rieure de la plaque 188; cet organe d'ajustage  est     pourvu    d'un bossage supérieur en relief  qui s'engage dans l'un quelconque de quatre  trous fraisés correspondant aux quatre posi  tions de la coulisse.

   Un prolongement vers le  bas 1809 de la plaque inférieure 1810 est  pourvu d'une entaille dans laquelle     s'engage     un goujon     1b13    d'un levier 1811 fixé sur  l'extrémité     ;anche    d'un arbre court 1815 qui  tourne dans un alésage central du goujon 177  au centre (voir également fi;. 8 et 10).

   Sur       l'extrémité    de droite clé l'arbre 1815     (fig.120)     est fixé un secteur denté<B>1816</B> qui     engrène     avec un secteur associé 117 monté fou sur  le goujon 161 et portant des bras<B>1818</B> et  <B>1819</B> qui sont     eonv        enableuient    espacés de ce  secteur 1817 par deux entretoises et fiés à  ce secteur par     deux    goujons à vis 1820 qui    supportent également les entretoises. Sur les  extrémités supérieures des bras<B>1818</B> et 1510  sont .fiés des     segments    de commande 1821 et  7.822.

   Les segments 1821 et 1822 sont fixés à  leurs bras respectifs 1818 et<B>1819</B> par des       vis,    de sorte que ces segments     peuvent    être  enlevés si l'on veut et remplacés par des  segments avant des surfaces de commande dif  férentes. .  



  La périphérie découpée du segment 1821  coopère avec des goujons     tâteurs    1823 et     1S'-1          (fig.    121 et 122) filés dans des prolonge  ments symétriques d'un organe tâteur     1825     et la périphérie découpée du segment de com  mande 1822 coopère avec dés goujons tâ  teurs 1826 et 1827 fixés dans des prolon  gements symétriques d'un organe tâteur 182S       (fig.    119).

   L'organe 1825     (fig.    121 et 122) pi  vote sur -un axe 1829 porté par un bras 1S30  monté     sur    un goujon 1831 qui s'étend entre  les plaques 168 et 1396     (fig.7A).    Le bras  1830 est relié par     une    articulation 1832 à un  bras 1833 monté fou sur le     goujon    166  (fi-. 121); ce bras a un     prolongement    vers le  haut qui est normalement maintenu en con  tact avec un goujon     1834    d'un bras 1835, éga  lement libre sur le goujon 166, par un ressort  de torsion 1836 tendu entre ces bras.

   Le bras  1835 a une encoche<B>1837</B> qui     coopère    avec un  goujon     1S38    dans la partie inférieure de la  tige de la barre 171 de démarrage d'avance  ment vertical.  



  L'abaissement normal de la barre 171  d'avance verticale amène le goujon<B>1838</B> à se  déplacer vers le bas dans l'encoche<B>1837</B> pour  permettre au ressort 1836 (le faire pivoter les  bras 1835 et 1833 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre, mouvement qui se  transmet par     l'articulation    1S32 au bras     1,'0.     Lors de l'abaissement de la barre 171, le ou  jon 1410 ne se déplace pas suffisamment vers  le bas pour empêcher un tel mouvement du  bras 1S30 dans le sens inverse des     aiguilles     d'une montre.

   Le mouvement du bras     1S,30     dans le sens contraire des     aiguilles        d'une    mon  tre amène l'organe     tâteur        152_5    à repérer les  pleins et les     creux    de la périphérie (lu se  <B>1</B>-      ment de commande 1821 et si ce segment  est ajusté par la coulisse 1808 de telle sorte       (fig.    120) qu'une partie     creuse    de sa périphé  rie se trouve en face du goujon 1823 et une  partie pleine de cette périphérie se trouve en  face du goujon 1824, comme indiqué aux       fig.    120 et 121,

   le mouvement du bras 1830  dans le sens contraire des aiguilles d'une  montre fait descendre le goujon 1823 dans la  partie creuse de la périphérie de ce segment  1821. Comme le goujon 1824 est retenu contre  le mouvement par la partie pleine de la péri  phérie du segment 1821, l'organe 1825 se dé  place dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre en amenant le prolongement     symétrique     de droite du bord supérieur de cet organe à  s'engager sur le goujon 1839 d'un bras 1840  monté librement sur l'axe 1831 et à déplacer  ce bras dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre contre l'action d'un ressort 1806.  



  Sur le bras 1840     (fig.    119 et 121) pivote  l'extrémité supérieure d'une barre 1841 por  tant sur son     extrémité    inférieure un goujon  1842 qui s'engage dans une encoche 1843 du  levier 1728, lequel, comme on se rappelle en  se reportant aux     fig.    7A, 7B, 60 et     96B,    est  relié au mécanisme d'accouplement en -nie de       l'entraînement    des cames 1712 et 1713       (fig.    114), afin d'imprimer au rouleau 309 un  mouvement d'espacement des lignes.

   L'enco  che 1843 coïncide avec une encoche similaire       d'un    bras 1844 relié par un moyeu 1845  monté librement sur le goujon 161 à     um    bras  associé 1846, fendu pour recevoir un goujon  1847 d'un bloc-moteur 1848 d'avancement ver  tical, monté fou sur le goujon 1422 et     entraîné     par un ressort 1849 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre, de manière à mainte  nir     uné    patte repliée 1850 de ce bloc-moteur  normalement en prise avec l'épaulement d'un  verrou 1851 monté librement sur le goujon  1426 et     entraîné    dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre par un ressort 1852  en prise avec cette patte 1850.

   Le mouvement  du bras 1840 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre     (fig.    119 et 121) fait  descendre la barre 1841 et le goujon 1842 de  manière à mettre ce goujon en prise avec l'en-    coche du bras 1844 et à relier ce bras au le  vier 1728 en vue     d'un    mouvement solidaire.  



  Les pièces se<B>trouvant</B> dans les positions  ci-dessus décrites, le fonctionnement de la  machine et la rotation qui en résulte pour  l'arbre à cames principal 216     (flg.        7A    et 119)  amène un doigt 1854     d'une        came    1855 fixée  sur le manchon 448, sur lequel, comme on se  rappelle, sont également fixées les cames 1430,  et 447 et les plaques 1528 et 1525 (fil-: 7A  et 92), à dégager le verrou 1851 de la patte  1850     immédiatement    après l'exécution de l'im  pression.

   Le dégagement du verrou 1851  abandonne le bloc-moteur 1848 à l'action du  ressort 1849 qui déplace     immédiatement    ce  bloc-moteur dans le sens contraire des aiguil  les d'une montre, ce qui fait pivoter, par le  goujon 1847, les bras 1846 et 1844 et, à l'aide  du goujon 1842, le     levier    1728 dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   Le mouvement du  levier 1728 dans le sens indiqué (fi-. 7A, 7B,  60, 96B et 119) fait tourner, à l'aide de l'arti  culation 1727, des leviers 1726 et 1725, de  l'articulation 1724 et du bras 1723, l'arbre  1722 pour faire entrer en action le méca  nisme d'accouplement pour le mécanisme  d'espacement des lignes, de manière à faire  tourner le rouleau 309 pour l'espacement des  lignes sur la pièce comptable qu'il porte  exactement de la manière expliquée pour la  touche 1073 d'Avance du Papier (fi-. 3 et 60).  



  Vers la fin de l'opération, le galet 1431       (fig.    92 et 121) s'engage sur     une    patte arron  die 1856 du bloc-moteur 1848 et ramène ce  bloc-moteur dans le sens des aiguilles d'une  montre jusqu'à ce que l'épaulement du verrou  1851 se pose sur la patte 1850 pour retenir  ce levier et les pièces annexes en positions  normales. La position normale du levier 1728       (fig.    7A) et des pièces annexes est     déterminée     par un prolongement vers le bas de ce     levier     en coopération avec un goujon 1857     fixé    sur  la plaque 437.  



  L'abaissement complet de la barre 171 de  déclenchement de l'avance verticale     (fig.    121)  et le maintien de cette barre en position com  plètement abaissée amène le goujon 1440 à  s'engager sur un prolongement 1858 du bras      1830 et à déplacer ce dernier dans le sens des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1836, de manière à ramener l'organe  tâteur<B>1825</B> vers le haut à la position normale,  ce qui ramène la barre 1841     (fig.    119 et 121)       vers    le haut pour dégager le levier 1728 du  bras     1844    et empêcher le fonctionnement du  mécanisme d'espacement des lignes sous l'ac  tion de la barre 171 d'Avance Verticale.  



  En se référant aux     fig.    118 et 121, on  verra que la périphérie du segment de com  mande 1821 est découpée par rapport au gou  jon tâteur 1S23 suivant les positions 1, 2 et 3  de la coulisse de commande 1808     (fig.    120).  En conséquence, lorsque la coulisse de com  mande se trouve dans l'une des positions 1,  2 ou 3 et que la barre 171 est abaissée nor  malement, l'espacement des lignes du rouleau  309 s'effectuera automatiquement. Lorsque la       coulisse    1808 se trouve à la position 4, une  partie haute de la périphérie du segment 1821  se trouve en face du goujon 1823, de manière  à empêcher le mouvement vers le bas de l'or  gane 1825 et de la barre 1841 et il en résulte  que le rouleau 309 ne se déplace pas en vue  de l'espacement des lignes.

   En se reportant à  la fi-. 121, on voit que le goujon 1839 du  bras 1840 passe par un trou, ou ouverture,  dans le bras 1830. Une butée 1859     (fig.        7A    et  121), fixée     sir    la plaque auxiliaire 1860 qui  est, à son tour, filée à la plaque frontale  1396, est en contact avec une surface plate  du milieu de l'organe tâteur 1825 sous l'action  du ressort 1S06 pour déterminer les positions  normales de cet organe, des bras 1830 et 1840  et de la barre 1841.  



  L'organe     tâteur    1828 (fi-. 11, 119 et<B>126)</B>  pivote sur -Lui aie 1861 d'un bras 1862 monté  librement sur le goujon 1413 et relié par un       go@ijon    1863 à un bras 1864 également fixé  librement sur ce goujon 1413. Le bras 1864       (fig.    11) est     élastiquement    relié par un res  sort de torsion 1865à un bras associé 1866,  libre sur le goujon 1413; ce ressort de torsion  retient un prolongement du haut de ce bras  1866 normalement en prise avec un prolon  gement gauche du goujon<B>1863.</B> Le bras 1S66  a une entaille<B>1867</B> qui est à cheval sur le    goujon 1439 fixé dans la tige de la barre de  démarrage principale 170.

   Un prolongement  vers le bas du bras     186-1    est relié, par une  articulation 1869, à un bras 1870 monté libre  ment sur le goujon 1831 et pourvu     d'un    pro  longement 1871 qui coopère avec un goujon  1872 fixé dans la tige de la barre de démar  rage 170.  



  Lorsque la coulisse de commande<B>1808</B>       (fig.    120) est dans la position 3, une partie  découpée de la     périphérie    du     segment    de  commande 1822 se trouve en face du goujon  1826     (fig.    119) et, à l'abaissement normal de  la barre de démarrage 170     (fig.    11), le     goujon     1.439, descendant dans l'encoche 1867, permet  au ressort 1865 de basculer le bras 1866 et le  bras 1864     (fig.    119 et 126) dans le sens des  aiguilles d'une montre, en regardant le des  sin.

   Le bras 1864 déplace, par le goujon 1863,  le bras 1862 solidairement et par l'articula  tion<B>1869</B> bascule le bras<B>1870</B>     dans    le     sens     des aiguilles d'une montre. L'abaissement nor  mal de la barre 170 ne fait pas descendre le  goujon 1872 suffisamment pour empêcher une  rotation du bras 1870 dans le sens des aiguil  les d'une montre.  



       Etant    donné que la partie pleine de la pé  riphérie du segment 1822 est en face du     grou-          jon    1827 et une partie découpée de cette péri  phérie en face du goujon 1826, le mouvement  du bras 1862 dans le sens des     ai-uilles    d'une  montre amène l'organe     tâteur    1828 à pivoter  dans le sens des aiguilles ou vers le bas et,       comme    un prolongement droit de cet organe  est au-dessus du goujon 1839, le bras 1840 est  simultanément déplacé dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre contre l'action     du     ressort 1806,

   de manière à mettre le goujon  1842 en prise avec l'encoche du bras     1S4-1     pour relier ce bras au levier<B>1728</B> de la     iiia-          nière    décrite précédemment et provoquer la  rotation automatique<B>du rouleau</B> 309 pour  l'espacement des lignes sur le support d'enre  gistrement enroulé autour du rouleau.  



  Lorsque la coulisse de commande     1SOS    est  dans la position 1, comme indiqué sur la     fig.120,       une partie découpée de la périphérie du     se#_,     ment<B>(le</B>     commande        1S22    se trouve en face du      goujon 1827 de l'organe de commande 1828 et  la partie haute de cette périphérie se trouve en  lace du goujon 1826     (fig.   <B>119</B> et     1\32)    et i1  s'ensuit que le mouvement du bras 1862 dans  le sens des aiguilles d'une montre, à l'abaisse  ment normal de la barre de     démarrage    170,

         déplace        l'organe    de     eoiliniande        18\'8    vers le  bas, ou dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, en     amenant   <B>lin</B> prolongement  gauche, ou patte, symétrique à la patte droite  de cet organe, en coopération avec un goujon  1874 d'un bras<B>1875,</B> libre sur le goujon 1113,  à déplacer ce bras dans le sens des aiguilles       d'une        montre,    ou vers le bas, contre l'action  de soli ressort<B>1878.</B>  



  Sur le bras     187.5        (fig.122)    pivote l'extré  mité     supérieure    d'une barre     1s76    portant sur  soli extrémité inférieure un goujon 1877  pourvu     d'un    prolongement du côté gauche  qui     s'engage    dans une encoche de l'extrémité       supérieure    d'un levier 1879 monté librement  sur le goujon 161.  



  Le mouvement du bras 1875 dans le sens  des aiguilles d'une montre entraîne la barre  <B>1876</B> solidairement vers le bas en amenant lui  prolongement du côté droit du goujon 1877 à       s'engager    dans     lute    encoche 18S0 du prolonge  ment du haut du levier coudé 1119, de     ma-          nière    à relier ce levier coudé au levier 1879  en vue d'un mouvement solidaire.

   Le levier  <B>1879</B> (file. 122) est relié, par une articulation  1881,à un bras 1882 fixé sur     l'extrémité    de  droite de l'arbre<B>1792.</B> Sur     l'eltr        émité    de     -au-          elle    de cet arbre 1792 est fixé un bras 1883  relié à oscillation par     une    articulation 1581  (fia. 88 et 122) au bras 1297.  



  En se reportant à la fia. 92, on se rappel  lera que le levier coudé 1119 se déplace dans  le sens des     aijuilles        d'une    montre à l'aide du  bloc-moteur 1121 lorsque la came 1130     dégage     le verrou     1-125    du nez 1121     dudit    entraîneur,  avant l'opération du mécanisme imprimeur,  de manière à déplacer la barre tabulatrice  1101 en arrière pour contrôler le mouvement  de     tabulation    du chariot 136 de la manière       expliquée    précédemment     @    en liaison avec le  mécanisme représenté sur ce dessin.

   Le mou  vement du levier coudé 1419 (fia. 88 et 122)    dans le sens des     aiguilles    d'une montre en  traÎne,     grâce    au goujon 1877, le     levier    1879  dans le même sens conjointement     avec    lui et  ce mouvement déplace le levier     1'_'96    (fia.     SS)          simultanément    dans le sens des     aiguilles    d'une  montre à l'aide de l'articulation 1881, des  bras 1882 et 1883 et de l'articulation 1884.

   Le  mouvement du levier 1296 dans le sens des       aig2lilles    fait tourner, à l'aide de l'articula  tion 1298 et du bras 1299, l'arbre tabulateur  1220 dans le même sens, de manière à faire  entrer en action le mécanisme d'accouple  ment représenté sur les fia. 86 et     96A        pôur     amener les cames 1203 et     1?Ol    (fia. 85) à  abaisser les pistons d'arrêt 1170 et 1175     inclus          (fig.    80) et libérer le chariot 136 pour son  mouvement de     tabulation.    Dans ce cas, le mé  canisme représenté sur les fie.

   85 et 125 et  expliqué précédemment,     pour    maintenir les  pistons d'arrêt du tabulateur dans leurs posi  tions abaissées, est inopérant. En conséquence,  ces pistons sont     immédiatement    ramenés vers  le haut pour effectuer la     tabulation    du cha  riot de colonne en colonne sous l'action du  mécanisme tâteur actionné par la barre de<B>dé-</B>  marrage.  



  En se reportant à la fia. 92, on se rappel  lera que l'enfoncement complet (le la barre  principale de démarrage et son maintien dans  la position abaissée fait que le goujon 1139  vient se poser sur le crochet<B>1399</B> qui     s'en-          gage    sur le     goujon    1102, de     manière    à ajuster  le chariot 136 automatiquement, de sorte que  la colonne des chèques No 2 de la feuille  d'état 1550 (fia. 117) se trouve en lace du  mécanisme imprimeur.

   Dans ce cas, il n'est  pas désirable que le mécanisme de     tabulation     de colonne en colonne fonctionne sous l'action  de l'organe 1828 (fie.     119);    par conséquent,  l'enfoncement complet de la barre de démar  rage 170 amène le goujon 1872, en coopéra  tion avec le prolongement 1871 (fia. 11), à  déplacer le bras 1870 et, par l'articulation  1869, le bras 1861 dans le sens contraire des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1865.

   Le mouvement du bras     186-1    dans  le sens contraire des aiguilles entraîne, par le  goujon 1863, le bras 1862 (fie. 126) solidai-           rement    avec lui pour ramener l'organe     tâteur     3828 vers le haut à une position inopérante,  de sorte que le mécanisme de     tabulation    de  colonne en colonne ne fonctionnera pas lors  de l'enfoncement complet de la barre de dé  marrage et son maintien dans la position  abaissée     durant    le fonctionnement de la ma  chine.  



  En fin de fonctionnement, le galet     1-131     (fi-. 92 et 122) ramène les     bloc-moteurs        1-121          dans    le sens des aiguilles d'une montre, de  manière à mettre leur patte en contact avec  le verrou     1125,    et ce bloc-moteur ramène, à  son tour, 'tes pièces associées vers les posi  tions normales, comme représenté au dessin.

    Le mouvement de remise en position vers le  haut de la barre de     démarrage    170 à la     .fin     de l'opération permet au bras 1875 et aux  pièces annexes de se déplacer vers le haut       sous    l'action du ressort<B>1878</B>     jusqu'à    ce     qu'une     partie centrale plate de l'organe tâteur 1828  entre en contact avec le goujon 1859 pour  placer ces pièces dans la position normale,  comme indiqué sur la fis. 126.  



  *Lorsque le fonctionnement de la machine  est déclenché par l'une des touches motorisées  369, 376, 377. 378 ou 379 (fia. 31p et 124),  l'organe tâteur 1828 entre en action et, selon  la position de la coulisse 1808, soit fait tour  ner le rouleau 309 en vue de l'espacement des  lignes, soit déplace le chariot 136 de colonne  en colonne. De même, lorsque l'opération est  déclenchée par le chariot 136 dans ses posi  tions de colonnes, le mécanisme fonctionne  de manière à déplacer le bras 1875     (fig.122)     vers le bas et à provoquer la     tabulation    du  chariot d'une colonne à la prochaine, comme  il a été expliqué précédemment.  



  On se rappellera, en se référant à la  fi--. 31B, que l'abaissement de l'une     quelcon-          clue    des     touches    de commande<B>Ô76,</B> 377,<B>378</B>  ou 379 déplace la plaque de commande 1756  vers l'avant contre l'action de son ressort et  cette plaque de commande transmet, à son  tour, à l'aide du pignon 1757, de l'arbre 1758  et du pignon 1759 (fis.     1\3-1),    ce mouvement  à la plaque de commande 1760, de manière à  déplacer cette dernière     plaque    solidairement.

      De même, l'abaissement de l'une quelconque  des touches de commande 369 déplace les pla  ques de commande 1760 et 1756 également  vers l'avant de la même     faeon.    La plaque de  commande 1760 (fis. 121) porte sur soli       extrémité    antérieure un goujon 1885 qui s'en  gage clans une fente de     l'extrémité        supérieure     d'un levier 1886 monté librement sur lui axe  1887 fixé dans la plaque 398 (fis.

       -17).    L'ex  trémité inférieure du levier 1886 est fendue  pour recevoir un     goujon    1888 fixé sur l'extré  mité supérieure d'un bras 1889 fixé, à son  tour, sur     l'extrémité    de     gauche        d'un    arbre  <B>1.890</B> dont les deux extrémités tournent dans  un prolongement de la plaque 398 et dans un  prolongement du châssis droit 130 (fis.<B>7-1).</B>  Sur l'extrémité de droite de l'arbre 1890 est  calé     lm    bras 1891 portant un goujon 1892 en  gagé dans -une encoche de la partie inférieure  d'un     levier    1893,

   libre sur un axe     189-1    fixé  dans un prolongement     antérieur    de la plaque  1396 (fis.     7A).    L'extrémité supérieure chi le  vier 1893 (fis. 122,     12-1    et 126) porte un     ;rou-          jon    1895 qui     s'engage    dans des fentes     eourhes     similaires 1896 et 1897     pratiquées        dans    de,  bras 1898 et 1899 dont les extrémités     infé-          rieures    sont fendues pour recevoir le     goujoil     1413.  



  Lorsqu'aucune des touches de commande ou  de correction motorisées n'est abaissée et que la  plaque de commande 1760     (fig.124)    se     trouve     dans sa position postérieure     ycomme    indiqué  sur le dessin, une encoche 1900 (fis.     l'6)     dans le bras 1898     s'engage    normalement sur  un goujon 1901 du bras 1862 et une encoche  1902 (fia. 122) du bras 1899     s'engage    norma  lement sur un goujon 1903 fixé sur l'extré  mité supérieure d'un bras 1904 (fin.

       1?4)     monté librement sur le     goujon        1-113.    Un     pro-          longement    du bras     190-1    vers le bas porte un  goujon 1905 en contact avec le     prolongement     du hart du bras<B>1795.</B>  



  Les pièces étant dans les positions ci-des  sus décrites et indiquées sur les     fis.        12 ,        1 _-1     et 126,     l'entraînement    de l'arbre 176  (fis. 123) par le chariot dans des position  de colonnes déterminées     provoque,    comme  expliqué ci-après, l'entrée en action chi niéca-           nisme    d'accouplement pour les     cames   <B>1778</B> et  <B>1779</B>     (fig.    116), à la suite de quoi la rotation  de ces cames amène, à l'aide     chi    jeu des mé  canismes représentés,

   le bras     17115    à pivoter       d'abord    dans le sens contraire (les aiguilles  d'une montre et ensuite à retourner à la po  sition normale comme expliqué     précédemment.     Le mouvement (lu bras<B>1795</B> clans le sens con  traire des     aimilles    amine son extrémité supé  rieure, en coopération avec le     goujon    1905,

   à  déplacer le bras     190-1    dans le sens des aiguil  les d'une     montre    jusqu'à ce qu'un goujon  carré 1906 (l'unie plaque 1912 reliée à ce bras  1904 passe à côté d'un épaulement     d'iui    cli  quet (l'arrêt<B>1907</B> monté fou sur un axe 1908  de la plaque 1396     (fig.        7A).    Lorsque le gou  jon carré 1906 passe à côté de l'épaulement  du cliquet 1907,     un    ressort 1909 tendu entre  ce cliquet et la plaque 1912 amène l'épaule  ment dudit cliquet à s'engager sur le gou  jon pour retenir le bras 1904 dans sa position  atteinte en tournant dans le sens des aiguilles,  de sorte que le mécanisme qu'il commande  aura le temps nécessaire pour fonctionner.

   Le  mouvement du bras 1904 dans le sens des       aiguilles    d'une montre amène, à l'aide du gou  jon 1903 en coopération avec l'encoche 1902,  le bras 1899 à pivoter solidairement dans le  sens des aiguilles     (fig.    122 et 124). Le  mouvement du bras 1899 dans le sens indiqué  amène une surface usinée de son bord arrière  à s'engager sur un goujon 1910     d'iui    prolon  gement du bras<B>1875,</B> de manière à déplacer  ce bras simultanément pour mettre le goujon  1877 en contact avec la fente 1880 et faire  entrer en action le mécanisme tabulateur de  sorte que le chariot 136 se déplacera d'une  colonne vers la     prochaine,    comme il a été  expliqué précédemment.  



  Il ressort de la description ci-dessus que,  lorsque le fonctionnement de la machine est  déclenché par le chariot 136 dans ses posi  tions sélectionnées, le mécanisme     qu'on    vient  de décrire provoque la     tabulation    dudit cha  riot pendant ses opérations automatiques  dîme colonne à la prochaine.  



  Après contact du goujon 1877     (fig.    122)  avec l'encoche 1880, la came 1430 (fi-. 92    dégage le verrou 1425 pour abandonner le  bloc-moteur 1421, le levier coudé 1419, le bras       l.-117    et le levier<B>1879</B> à l'action du ressort       1423   <B>qui</B> déplace ledit levier dans le sens des  aiguilles d'une montre, de manière à faire  entrer en action le mécanisme (l'accouplement  pour l'abaissement des pistons d'arrêt et pro  voquer la     tabulation    du chariot 136 d'une co  lonne à la prochaine.  



  On se rappellera, en se reportant aux       fig.    92 et 124, que le mouvement du bras 141 î  dans le sens des aiguilles     d'une    montre dé  place l'articulation 1415 vers l'arrière en vue  d'actionner la barre     1404    de commande de       tabulation.    Le mouvement de l'articulation  1415 vers l'arrière amène un goujon 1911 de  celle-ci à s'engager sur une surface élargie  du cliquet d'arrêt 1907 et à déplacer ce     cli-          quet    dans le sens des aiguilles d'une montre  contre l'action du ressort 1809, de manière à  dégager son épaulement d'arrêt du goujon  1906 pour permettre aux bras 1898 et 1899 et  aux pièces associées, y compris le bras 1875,

    d'être     ramenés    sous l'action du ressort dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre à. la  position normale. Le     mouvement    de retour du  bras 1899 dans le sens contraire des     aiguilles          (fig.    122) retire sa surface usinée du goujon       1.910    pour permettre au ressort 1878 de ra  mener le bras<B>1875</B> et la barre<B>1876</B> à la posi  tion normale et dégager le goujon 1877 de  l'encoche 1880. Vers la fin de l'opération, le  galet 1431 (fi-. 92) ramène le bloc-moteur  1421 et les bras 1419 et 1417 aux     positions     normales, comme expliqué précédemment.  



  Si l'on se sert de l'une des touches de com  mande motorisées 376, 377, 378 ou<B>379</B>       (fig.    31B) pour déclencher l'opération ou si  l'on se sert de l'une des touches de correction  369     (fig.    38) pour déclencher le fonctionne  ment de la machine, le mouvement vers  l'avant de la plaque de commande<B>1760</B> à       l'abaissement    d'une quelconque de ces touches       (fig.    38 et 124) fait, par le train des méca  nismes ici représenté, y compris le levier 1886,  les bras 1889 et 1891 et le levier 1893, déplacer  les bras 1898 et 1899     (fig.    122 et 126)

   vers le  haut pour dégager l'encoche 1902     dudit    bras      1899 du goujon 1903 et pour engager simul  tanément l'encoche 1900 dudit bras<B>3.898</B> sur  ce goujon 1903. Ceci provoque l'accouplement  du bras 1862 pour l'organe     tâteur        18\38    avec  le bras 1901 et, lors du fonctionnement de la  machine, le mouvement du bras 1795 dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre sous  l'action du mécanisme représenté sur la       fig.    116 et expliqué ci-dessus déplace le bras  1901 dans le sens des aiguilles d'une montre  jusqu'au contact du goujon carré 1906 avec  l'épaulement du     cliquet    1907,

   afin de retenir  ce bras dans sa position de     manmuvre    suffi  samment longtemps pour que le mécanisme  tâteur puisse fonctionner correctement.  



       Etant    donné que le bras 1898 est relié au  goujon 1903 et que le bras 1862 est, à son  tour, relié audit bras 1898, ces pièces se dé  placent dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre     solidairement    avec le bras 1901 pour abais  ser l'organe tâteur 1828 et amener     ies    goujons  1896 et<B>1827</B>     (fig.    119) à sonder la surface de  commande du segment 1822 de la manière  expliquée précédemment.  



  Si la coulisse 1808 est dans la position       Q03,    le segment 18?? se trouve dans     une    po  sition telle     qu'une    partie découpée, ou infé  rieure, de sa périphérie est en face du     goujon     1826 et une partie supérieure de cette péri  phérie est en face du goujon 1827;

   en consé  quence, la patte droite de l'organe tâteur 1828  s'engagera sur le goujon 1839 pour déplacer  le bras 1810     (fig.    119 et 121) vers le bas, ou  dans le sens contraire des aiguilles d'une mon  tre, pour amener le goujon 181\? à s'engager  dans l'encoche du bras     18-11,    de manière à  faire tourner le rouleau 309 pour l'espace  ment des lignes, ainsi     qu'ïl    a été expliqué pré  eédemment.

   Dans ce cas, si l'on se sert des  touches motorisées de commande et de correc  tion pour déclencher le fonctionnement de la  machine, l'encoche     190         (fig.    122 et     12-1)    est  dégagée du goujon 1903; par conséquent, le  bras 1899 n'est pas déplacé par le goujon  <B>1903</B> dans le sens des aiguilles d'une montre  et n'imprime par conséquent pas de mouve  ment au bras 1875, comme cela était le cas  dans les     opérations    déclenchées par le     chariot       136 dans ses positions de colonnes prédéter  minées, comme il a été expliqué ci-dessus.         Contrôle   <I>des fonctions de la</I>     machine     <I>par le chariot.</I>  



  On se rappellera, en se reportant     aux          fig.    76,     96B    et 105, que le mécanisme tâteur  coopérant avec des taquets montés dans les  blocs de commande 722 qui sont., à leur tour,  montés sur le chariot selon ses diverses posi  tions de colonnes, contrôle la sélection et le  fonctionnement des différents totalisateurs.

    Un mécanisme     tâteur    similaire, avec des ta  quets montés sur les mêmes blocs de com  mande, contrôle en outre diverses autres fonc  tions de la machine; ces fonctions compren  nent le déclenchement automatique de la ma  chine, le retour automatique du chariot à la  colonne  Pick-up , un verrou pour le con  trôle du mouvement du rouleau 309 aller et  retour à la position d'impression, le contrôle  du mouvement du rouleau 309 pour l'espace  ment des lignes, moyen de contrôle du méca  nisme d'élimination des zéros pour diviser le  clavier en plusieurs sections pour l'emploi  dans certains systèmes de comptabilité, un  verrou pour empêcher le fonctionnement de  la machine si le chariot ne se trouve pas dans  l'une de ses positions de colonnes,

   contrôle du  mécanisme imprimeur des dates et contrôle  des porte-caractères pour l'impression des  postes et des centimes. On décrira ci-après en  détail les mécanismes de contrôle ci-dessus.  



  En se reportant aux     fig.        18B,    96A, 96B et  105, on voit que chacun des blocs de com  mande 722 peut porter une série de     taquets     de commande 1911 à 1921 inclus qui coopè  rent avec leurs leviers tâteurs respectifs     19??     à 1929 inclus; lesdits taquets sont fixés dans  les blocs de commande 722     (fig.    101) à l'aide  des extrémités supérieures en queue d'aronde  qui s'engagent dans des rainures de même  forme pratiquées dans lesdits blocs et y sont  filées par des vis     exactement    de la façon déjà  expliquée pour les taquets de commande       (fig.    106) pour la sélection des différents to  talisateurs.

   Les leviers tâteurs 1922 à 1929  inclus sont montés à rotation sur un axe 1930      fixé dans le châssis 133 et tous les leviers       tâteurs,    à     l'exception    des leviers     tâteurs    1922  et 1927, sont. pourvus de saillies 1931     (fig.    76)  dirigées vers le haut, prévues     pour    tâter les  taquets de     commande        correspondants.     



  Chacun des leviers     tâteurs    1922 à 1929  inclus (fia. 76 et     96I;)    comporte une pointe  de     guidage    1958 dirigée vers le bas, qui co  opère avec une fente correspondante 1959  dans une plaque 1960 fixée entre la plaque  1176 et le châssis 133     pour    maintenir les  extrémités de droite de ces leviers à une dis  tance latérale convenable.         Coviiiiande   <I>dit</I>     démarrage   <I>automatique</I>  <I>de la</I>     machine   <I>par le</I>     chariot.     



  Sur l'extrémité de gauche du levier tuteur  1922 (fia.<B>123)</B> est monté un doigt tâteur  flexible 1932 qui est maintenu dans sa posi  tion verticale par un ressort de torsion; ce  doigt est rigide lorsqu'il est en contact avec  le taquet 1914 lors du     mouvement    du chariot  dans le sens de     tabulation,    de manière â  abaisser le levier tâteur 1922, et ce     doigt    est  flexible lorsqu'il est en contact avec le taquet  1.914 lors du mouvement de retour du chariot,  de manière à passer à côté dudit taquet sans  imprimer     aucun    mouvement au levier tâteur  1922.  



  Lorsque le chariot<B>136</B> (fia. 18A, 18B, 105  et 123), en se déplaçant dans la direction de  fabulation, arrive à une     position    de colonne  pour laquelle est prévu un taquet 1914 monté  sur le bloc de commande 722, ce taquet, en  coopération avec le doigt 1932, déplace le le  vier 1922 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre, en regardant la fia. 76, en ame  nant une saillie sur l'extrémité droite de ce  levier, en coopération avec une fente 1913  dans une articulation 1933 dont l'extrémité       postérieure    pivote sur un bras 1935 fixé sur  l'arbre     84"i    de dépassement, à déplacer cette  articulation 7.933 dans le sens des aiguilles       d'une    montre ou vers le haut.

   Le mouvement  de l'articulation 1933 vers le haut (fia. 123)  amène son goujon 1936, en coopération avec  l'extrémité     supérieure    en forme de crochet  d'un bras 1937, monté librement sur un axe    1938 d'un levier 1939, à déplacer ce levier  dans le sens contraire des     aiguilles    d'une  montre sur son pivot 1940 qui est fixé dans  le châssis droit 130.

   Le mouvement du levier  1939 dans le sens indiqué déplace, par une  articulation 1941 dont l'extrémité antérieure  pivote sur ledit levier et dont     l'extrémité     postérieure est fendue pour recevoir -Lui gou  jon porté par l'extrémité inférieure d'un bras  1943 qui est fixé sur l'arbre 1768 de démar  rage de la machine, ce bras 1943 et l'arbre  1768 dans le sens des aiguilles     d'iuie    montre  (fi-. 7B et 96B).

   Le mouvement de l'arbre  1768 dans le sens des aiguilles fait     éntrer     en action le mécanisme d'accouplement pour  le mécanisme de démarrage automatique de la  machine, de manière à amener les cames 1778  et<B>1779</B>     (fia.   <B>116)</B> à faire un tour dans le sens  des     aiguilles        d'une    montre et à déclencher la  machine exactement de la manière déjà expli  quée pour les touches motorisées de commande  et de correction.  



  Lorsque la machine est automatiquement  déclenchée à l'aide du chariot dans ses posi  tions de colonnes     tabulées,    comme ci-dessus  décrit, le mouvement du bras 1943 dans le  sens des aiguilles d'une montre (fia. 12, 15  et 96B) amène un prolongement replié 1954  de ce bras, en coopération avec un prolonge  ment du haut du bras 1543, à déplacer ce  bras, l'arbre 1541 et le doigt 1540 dans le sens  des aiguilles d'une montre, de manière à dé  gager ce doigt de l'épaulement 1539 sur le  levier 1534 pour provoquer le retour du rou  leau 309 de la     positüon    d'entrée ouverte à la.  position d'impression, de la manière expliquée  précédemment en liaison avec les touches nu  mérales 218 et les touches 343     compteuses    de  postes.

           lllise   <I>hors service</I> du     démarrage   <I>automatique</I>  <I>de la</I>     machine.     



  Dans les opérations de dépassement, il est  désirable de mettre le mécanisme pour le dé  marrage automatique de la machine hors ser  vice; ceci est obtenu de la manière suivante:  En se reportant aux fi;. 61 et 123, on se  rappelle que lorsque la capacité du totalisa-           teur    No 1 est dépassée,     1-'arbre    de dépassement  847 se déplace dans le sens     contraire    des  aiguilles d'une montre, comme représenté à la       fig.    61, ou dans le sens des aiguilles, comme  représenté à la     fig.    123.

   Le mouvement de  l'arbre 847 et du bras 1935 dans le sens des  aiguilles     d'une    montre     (fig.    123) déplace  l'articulation<B>1933</B> en arrière pour dégager le  goujon 1936 de l'extrémité     supérieure    en  forme de crochet du bras<B>1937,</B> de sorte que  le mouvement de cette articulation vers le  haut ne     produise    aucun effet sur le levier  1939 et le mécanisme annexe et rende le dé  clenchement automatique de la machine par  le chariot inopérant.  



  L'articulation 1933 est retenue contre le  déplacement latéral par une partie repliée  1934 du     levier    1939, lequel supporte l'extré  mité antérieure de cette articulation 1933, de  manière     amovible    en commun avec la face  gauche dudit     levier    1939. Dès que le totalisa  teur de balance     devient    positif, l'arbre de dé  passement 817 est ramené dans le sens con  traire des     aiguilles    d'une montre     (fig.    123) à  sa position originale, afin de placer le goujon  1936 au-dessous de l'extrémité supérieure en  forme de crochet du bras 1937.  



  L'abaissement de la touche<B>372</B>      Non-          -luto     (fi-. 1. 3 et 123) détache l'extrémité  supérieure en     iorme    de crochet du bras<B>1937</B>  du goujon 1936 et rend impossible le déclen  chement du mécanisme pour le démarrage  automatique de la machine par le chariot  dans ses positions de colonnes     tabulées.     



  L'abaissement de la touche 372  Non  Auto  amène un prolongement du côté droit  de son goujon     -110,    en     coopération    avec un  . prolongement antérieur d'un levier 1956, libre  sur un axe     191-j    fixé dans le châssis de     gau-          clie    131, à déplacer ce levier dans le sens con  traire (les     aiguilles    d'une montre.

   Un prolon  gement du     levier    1956 vers le bas est pourvu  d'une fente qui s'engage sur un goujon 1915  de l'extrémité     supérieure    d'un bras 1916 fixé  sur     l'extrémité    de gauche (le     l'arbre    1798,     le-          que,    comme on se rappelle,     tourne    clans les  châssis     principaux    130 et 131.     Sur    l'extrémité  de droite de l'arbre 1798 est     fixé    un bras 1947    relié à oscillation, par une articulation 1918,  à un bras 1919 monté sur un arbre court 1950  qui tourne entre les plaques 1191 (fi-.<B>7A</B> et  7B) et la plaque 1388.  



  Le mouvement du levier 1956 dans le sens  contraire des aiguilles     d'une    montre à l'abais  sement de la touche<B>372</B>      Non-Auto     déplace,  à l'aide des articulations décrites ci-dessus,  les arbres 1798 et 1950 dans le sens des  aiguilles d'une montre; ce mouvement     déplace,     à l'aide d'un bras 1951 fixé sur cet arbre 1950  et d'une articulation 1952 reliant ce bras au  bras 1937, ce dernier bras dans le sens con  traire des aiguilles d'une montre contre l'ac  tion d'un ressort 1953, de façon à dégager  l'extrémité supérieure en forme de crochet  de ce bras du goujon 1936 et à rendre le  moyen de démarrage automatique de la ma  chine inopérant.  



       Commande    dit     mécanisme   <I>de blocage</I>  <I>de la machine par le chariot.</I>  



  En plus du levier 1922 décrit plus haut,  il y a     -Lui    autre levier 1927 du type poussoir       ourvu        d'un    doigt 1961 replié vers le haut  i C  (fi-. 14, 76, 96B et<B>105)</B> qui s'étend au-dessus  des saillies 1931 pour les leviers 1923 à     19\36     inclus et pour les     leviers        19?8    et 1929, les  quels, comme expliqué ci-dessus, sont (les le  viers de tâtonnement et se déplacent vers     1c:     haut pour repérer leurs taquets correspon  dants au début de l'opération, comme expliqué  ci-après.  



  Lorsque le chariot 136 arrive à l'une de  ses positions de colonnes, le taquet 1919 clans  le bloc de commande 722<B>pour</B> la position     (le     colonne particulière touche le doigt 1961     du     levier 1927 et déplace ce dernier dans le     sen,     contraire des aiguilles     d'une    montre, comme  représenté à la     fig.    76, contre l'action du     res-          sort    745 correspondant.

   Le mouvement du le  vier 1927 dans le sens contraire (les     ai < ,uillc-;     amène une partie arrondie 1962 (le son     extrê-          mité    droite, en coopération     avec    une fente  d'un bras d'un levier coudé 1963 monté     libre-          ment    sur un axe 1961     (lui        s'étend    entre le  châssis 130 et la plaque 1191 (fi. 96B), à  déplacer ce levier coudé 1963     dans    le sens      contraire des aiguilles d'une montre, comme  représenté à la     fig.    14.

   Un bras du levier  coudé 1963 dirigé     vers    le bas est relié par  une articulation 1965 au cliquet d'arrêt 199;  en conséquence, le     mouvement    de ce levier  coudé dans le sens contraire des aiguilles       d'une    montre déplace ledit cliquet 199 égale  ment dans le sens contraire des aiguilles hors  du trajet de la saillie du bloc 196, de sorte  que la coulisse de     démarrage        19-1    peut se dé  placer en arrière pour déclencher le fonction  nement de la machine.  



  Si le chariot 136 se trouve en dehors de  la position de colonne, le ressort 745 corres  pondant     (fig.    76) ramène le levier 1927 et les  pièces associées aux . positions normales dans  lesquelles le cliquet 199 se trouve sur le trajet  du bloc 196, de manière à empêcher le mouve  ment de démarrage vers l'arrière de la cou  lisse 194.  



  Les leviers de commande 1923 à 1926 in  clus, 1928 et 1929 sont des leviers de tâton  nement et leurs saillies vers le haut 1931  (fi-. 104 et 105) tâtent les taquets corres  pondants dans les blocs 722 lorsque lesdits  leviers sont abandonnés à l'action de leurs  ressorts correspondants 745     (fig.    76 et 78)  par le retrait du     bôrd    supérieur parallèle  d'un bras 1966 de remise en position       (fig.    18B et 76) des     surfaces    élargies sur les  bords inférieurs de ces leviers.

   Le bras 1966  est fixé sur l'arbre 737 (fi-. 78) et fonc  tionne solidairement     sous    l'action du goujon  742 de la came     74-1    de la manière expliquée  ci-dessus pour les     leviers    tâteurs 718 et 723  à 727 inclus pour le contrôle de la sélection  des divers totalisateurs.  



       Retour        automatique        dit   <I>chariot à la'</I>     colonne          Pick-up.     Le levier tâteur 1923     (fig.    76 et 96B)  comporte du côté droit un prolongement si  tué au-dessus d'un prolongement postérieur  du levier 1967 monté librement sur le goujon  1964 et sur lequel pivote l'extrémité supé  rieure     d'une    articulation 1968 (fil. 33) dont       l'extrémité    inférieure est     pounme        d'une    fente    destinée à recevoir un goujon 1969 d'un bras  <B>1970</B> monté fou sur la tige<B>1272;

  </B> ce bras<B>1970</B>  est     entraîné    par un ressort<B>1971</B> dans le sens  contraire des aiguilles d'une montre. Sur le  bras 1970 pivote     l'extrémité    antérieure     d'une     articulation<B>1972</B> qui relie ce bras au levier  1267 sélecteur de colonnes     (fig.    90) pour la  touche 1070      Picl@-up ,    ces pièces étant pa  reilles et     fonctionnant    exactement de la fa  çon expliquée pour la touche 1070 des Dépôts  représentée au dessin, pour placer le chariot  136 de telle sorte que la colonne  Pick-up  se  trouve en face du mécanisme imprimeur.

   Sur  un prolongement vers le bas de     l'extrémité     antérieure de l'articulation 1972     (fig.    33) pi  vote l'extrémité postérieure     d'une    articula  tion 1973 dont     l'extrémité    antérieure possède  une fente qui s'engage sur un goujon de  l'extrémité     inférieure        d'un    bloc-moteur 1975  monté librement sur le goujon     1-122.    Un res  sort de torsion 1976     entraîne    le bloc-moteur  1975 dans le sens des     aiguilles    d'une montre  pour maintenir une patte repliée<B>19771</B> de ce  bloc-moteur normalement en prise avec un  épaulement     d'in    

  verrou 1978 monté librement  sur le goujon 1426, ce verrou étant     entraîné,     par un ressort<B>1979,</B> dans le sens contraire  des aiguilles d'une montre, en prise avec la  patte 1977.    Le mouvement de l'arbre à cames princi  pal 216 dans le sens contraire des aiguilles  d'une montre pendant l'opération amène un  doigt déclencheur 1980 d'une came 1981 fixée  sur le     manchon    448 à s'engager sur l'extré  mité postérieure du verrou 1978 et à dépla  cer ce verrou dans le sens des aiguilles     d'une     montre pour dégager la patte 1977 afin  d'abandonner le bloc-moteur<B>1975</B> à l'action  du ressort 1976 immédiatement avant le fonc  tionnement du mécanisme imprimeur.

   Le res  sort 1976     déplace,le    bloc-moteur 1975 dans le  sens des aiguilles d'une montre, de manière à  déplacer les articulations 1973 et 1972     vers     l'avant et à provoquer le mouvement du cha  riot vers la     colonne         Pick-up     de la manière  expliquée     pour    la touche 1070 des Dépôts       (fig.    90).

        Fers la fin du fonctionnement de la ma  chine, le goujon 2526     (11g.        7=1    et 33), qui  s'étend entre la came 1981 et la came 2524,  s'engage sur     l'extrémité    supérieure du     bloc-          moteur    1975 et ramène ce dernier dans le  sens contraire des aiguilles d'une montre à  la position normale pour permettre à l'épau  lement du verrou 1978 de s'engager à nou  veau sur la patte 1977, de manière à retenir  ledit bloc-moteur dans la position rétablie.  



       Lorsqu'un    taquet de commande 1915       (fig.    76 et 105) se trouve en face de la sail  lie 1931 du     levier        tâteur    1923, le mouvement  de ce     levier    dans le sens des aiguilles d'une  montre sous l'action du ressort. 745 se trouve  empêché si le bras 1966     (fig.        18B)    est déplacé  vers le bas.

   En conséquence, le levier 1967       (fig.    33) et l'articulation 1968 sont retenus  dans la position indiquée dans laquelle la  fente dans le bout inférieur de cette articu  lation donne au goujon 1969 du jeu pour per  mettre le mouvement du bras<B>1970</B> dans le  sens des aiguilles d'une montre sous l'action  de l'entraîneur<B>1975</B> et, dans ce cas, le méca  nisme entrera en action, comme expliqué     (:i-          dessus,    pour placer le chariot 136 dans la  position de la colonne      Piel:-up .     



  S'il ne se trouve en face de la saillie 19 l  du     levier    tâteur 1923 aucun taquet 1915, le  levier est libre (le se déplacer dans le sens des  aiguilles d'une montre sous l'action du res  sort 745 correspondant lorsque le bras<B>1966</B>  se déplace     vers    le bas et ledit levier 1923 se  déplace simultanément     pour    faire pivoter le       levier    1967     (fig.    33) également dans le sens  des aiguilles, afin de     déplacer    l'articulation  1968 vers le haut,

   de sorte due le fond de la  fente dans son     extrémité    inférieure empêche  le mouvement     du        goujon    1969 et du bras 1970  dans le sens (les aiguilles d'une montre. Le  levier 1967 est retenu en place par un     ali-          gneur    1982 qui se met en prise avec l'encoche  correspondante d'une série d'encoches d'a     li-          nnement    1983 dans une partie segmentaire       dudit    levier<B>1967.</B> Après que l'articulation  1968     (fig.    33) est déplacée vers le haut et que       l'ali\;

  neur    1982 a pris contact avec     l'entre-          dent    correspondant 1983     du    levier 1967, le    bloc-moteur 1975 est libéré de la manière  expliquée ci-dessus et, comme la fente dans  l'extrémité inférieure de cette articulation  1968 est en contact avec le goujon 1969, le  mouvement du goujon 1969 et du bras 1970  dans le sens des aiguilles d'une montre est  empêché, les pièces restent dans la position  représentée et, par suite, il     n'3#    a pas de re  tour     automatique    du chariot à la position de  la. colonne  Pick-up .

   La fente dans l'extré  mité inférieure de l'articulation 1968 laisse  assez de jeu pour permettre l'abaissement clé  la touche 1070      Piclz-up         (fig.    1 et 3) de  même que la fente dans     l'extrémité    antérieure  de l'articulation 1873.; par conséquent, le mé  canisme représenté sur la     fig.    33 ne gêne  aucunement l'emploi de la touche 1070   Pick-up .

           llécanisme   <I>pour</I>     empêcher   <I>l'ouverture</I>       automatique   <I>de la</I>     goulotte        d'alimentation     <I>frontale.</I>  On a prévu un mécanisme pour     empêcher     l'ouverture automatique de     la,    goulotte     pour     l'alimentation frontale vers la fin (lu fonc  tionnement de la machine par la saillie     25'_'-1     clé la plaque 2525     (fig.        7A    et     7B),

      en     coopé-          ration    avec le levier     d'entraînement    1504 et le  mécanisme annexe expliqué précédemment.  L'extrémité de droite du levier de     commande          1924        (fiâ.    7A,     7B,    76, 96B et 105) est située  au-dessus     d'un.    prolongement vers l'arrière  d'un     levier    1984 monté fou sur le goujon  1964 et relié, par une articulation 1985,

   à     un     bras 1986 qui est fixé sur l'extrémité gauche  d'un arbre court 1987 tournant dans une  douille de la plaque 1191.<B>Sur</B> l'extrémité  droite de l'arbre 1987 est fixé un bras     198S          possédant    un prolongement vers le haut     (]tri     peut se placer sur le trajet d'un prolonge  ment     çl'un    goujon 1989 fixé sur     l'extrémité     supérieure du levier     1-197,    ce     goujon        servant     également de pivot pour l'extrémité anté  rieure de l'articulation 1496.  



  Lorsque le chariot 136 se trouve dans une       position    correspondant à<B>une</B>     colonne        pour    la  quelle le bloc de commande     correspondant         722 contient un des taquets 1916, ce     taquet,     en coopération avec la projection 1931 du le  vier 1924, empêche le mouvement de ce levier  dans le sens des aiguilles d'une montre       (fig.    76) sous l'action du ressort 7q5 lors da  mouvement vers le bas du bras 1966. Dans ce  cas, le bras 1988 est retenu dans la position  indiquée sur la fil. 7A en dehors du trajet  du goujon 1989 et, par conséquent, le mé  canisme fonctionne<B>pour ouvrir</B> l'entrée du  chariot.

   S'il n'y a pas de taquet 1916     pour     empêcher le mouvement du levier 1921 dans  le sens des aiguilles d'une montre,     un    tel  mouvement de ce levier déplace le levier 198:1  dans le sens des     aiguilles    d'une montre,     comme     représenté     aux    fi-.

   7A et 7B, ce     qui    déplace,  à l'aide de l'articulation 1985, le bras 1986 et  le bras 1988 également dans le sens des aiguil  les, de manière à placer     l'extrémité    supérieure  en forme de crochet dudit bras 1988 sur le  trajet du goujon 1989 pour empêcher le mou  vement du     levier    1197 dans le     sens        contraire     des aiguilles d'une montre et empêcher le       fonctionnement    du mécanisme     d'ouverture    de  l'entrée sous l'action du     bloc-moteur    1501 mû  par le ressort.  



  Il est donc, selon la description ci-dessus,  évident qu'il est possible de contrôler de la  gon sélective dans quelle position de colonne  du chariot 136 le rouleau 309 sera déplacé,  vers la fin du fonctionnement de la machine,  de la position d'impression vers la position  d'alimentation frontale.  



       L'aligneur    1982     (fig.    7A et 33) coopère  avec des dents dans une partie segmentaire  antérieure du levier 1981     exactement    comme  avec les dents 1983 du     levier    1967 et retient  ce levier pendant le fonctionnement de la  machine en position.  



  On voit que chacun des leviers 1967 et  1981 possède quatre entre-dents d'alignement,  mais, dans la présente réalisation, deux  espaces d'alignement seulement sont utilisés  - c'est-à-dire les espaces extrêmes dans les  deux sens - car lesdits leviers n'ont que       deux    positions, une position normale ou de  repos et une position mobile.    <I>Contrôle de l'espacement des</I>     lignes     <I>par le chariot.</I>  



  Le levier     tâteur    1925     (fig.    105), en coopé  ration avec les taquets correspondants 1917  portés par les blocs de commande 722, est  susceptible de contrôler le mouvement auto  matique du rouleau 309 pour l'espacement  des lignes d'après la position de colonne du  chariot.  



       L'extrémité    de droite du levier     tâteur     1925 est située au-dessus     (fig.    89 et -105)  d'un prolongement vers l'arrière d'un levier  1991 tournant     librement    sur l'axe 1961 et re  lié à oscillation, par une articulation 1992, à       l'un    des bras d'un levier coudé 1993 monté  librement sur un axe 1994 fixé dans la pla  que 1191     (fig.    7A et 960).

   Sir un bras du  levier- coudé 1993 dirigé vers le bas est     fixée          l'extrémité    postérieure dune articulation 1995  dont l'extrémité antérieure est. fendue pour  recevoir     tri    goujon 1996 d'un levier 1997  monté fou sur le goujon 1122. Un prolonge  ment avant du levier 1997 possède une fente  qui s'engage sur un goujon 1998 d'un bras       :.'000    pourvu d'une fente qui s'engage libre  ment sur     tri    moyeu     qui    est monté librement       .sur    le goujon 161. Le goujon 1998 passe       é;alement    par une fente     incurvée    1999 du le  vier     17M.     



  Lorsque le chariot 136 se trouve dans     une     position où il n'y a pas de taquet 1917 en  face de la saillie de tâtonnement du levier  <B>1925,</B> ce dernier est libre de se déplacer dans  le sens des aiguilles     d'une    montre     (fig.    76)  sous l'action du ressort 715 lorsque le bras  1966 est écarté des leviers tâteurs. Ce mou  vement du levier 1925 amène son prolonge  ment de droite à déplacer le levier 1991 dans  le sens des aiguilles d'une montre et ce mou  vement, à l'aide de l'articulation 1992 et du  levier coudé 1993, déplace l'articulation 1995  vers l'avant en amenant la fente de son extré  mité antérieure, en coopération avec le gou  jon 1996 à se déplacer, le levier 1997 égale  ment, dans le sens des aiguilles d'une montre.

    Le mouvement du levier 1997 dans le sens  indiqué amène la fente dans son prolonge  ment antérieur, coopérant avec le goujon      1998, à déplacer ce goujon et le bras     \?000     vers le haut pour engager ce goujon dans     -une     encoche     d'iui    prolongement vers le bas du  bras 1816     (flg.    60.

   119 et 121), de manière à  relier le levier 1728 audit bras 1816, de sorte  que la libération du bloc-moteur 1848 par la  came 1855, comme     expliqué        ci-dessus,    immé  diatement après exécution de l'impression,  fera entrer en action le mécanisme d'alimen  tation verticale, ou mécanisme d'espacement  des     lignes,    pour faire tourner le rouleau 309  en vue de l'espacement des     lignes        sur    le sup  port d'enregistrement enroulé autour du rou  leau.  



  Si le chariot l36 se trouve dans une posi  tion où l'un des taquets 1917     (fig.    105) est  situé en face de la saillie de     tâtonnement     1931 du     levier    1925, le mouvement de ce     le-          -#ier    dans le sens des aiguilles d'une montre       (fig.    76) sera, comme     expliqué    ci-dessus, em  pêché;

   en conséquence, le     levier    1991       (fig.    89) sera retenu dans la position repré  sentée, aucun mouvement ne sera donc im  primé au levier 1997, le goujon 1998 restera  dégagé de l'encoche du bras 1916     (fig.    60)  et le mécanisme d'espacement des lignes ne  fonctionnera pas.  



  L'alignement     19S2    coopère avec les dents       (lu        (fig.        levier        33        et        1991        89)        dans        pour        taie        aligner        partie        et        segmentaire        retenir        ce          levier    dans chacune de ses positions, comme  expliqué à la     fig.    33.  



  On se rappelle, en se référant à la     fig.    92,  que, lorsque la     barre    de     démarrage    principale  170 est complètement abaissée et     retenue    dans  cette position, le goujon 1139 place le crochet  1399 sur le trajet du goujon 1102, à la suite  de quoi le mouvement de la barre tabulatrice  1101     vers    l'arrière déplace la barre 1386 vers  l'avant pour faire pivoter la chape<B>1375</B> dans  le sens des aiguilles d'une montre, de manière  à     provoquer    le mouvement du chariot vers la  colonne des chèques     lKo    2.

   La barre 1386  (fi-. 89, 92 et 95) possède un prolongement       \_2001    replié qui coopère avec un prolongement  vers le haut 2002 d'une barre 2003 montée à  mouvement indépendant sur l'articulation    1995, à l'aide d'un trou dans     l'extrémité    anté  rieure de cette articulation qui s'engage libre  ment sur le goujon 1996 et, à l'aide d'une  fente, dans l'extrémité postérieure de la barre  qui reçoit -Lui goujon 2001 de cette articula  tion 1995. Un ressort 2005, tendu entre les  goujons 2001 et 1996, entraîne le levier 1997  dans le sens contraire des     aiguilles    d'une mon  tre et la barre 2003 en arrière.

   Le mouvement  de la barre 1386 vers l'avant déplace, à l'aide  des prolongements 2001 et     200'.'.,    la barre 2003  également vers l'avant contre l'action du res  sort 2005 en amenant cette barre à déplacer  le levier 1997 dans le sens des aiguilles d'une  montre, de la manière     expliquée    ci-dessus,  pour engager le goujon 1998     (fig.    60) dans       une    encoche du bras 1816 et provoquer la ro  tation du rouleau 309 en vue de l'espacement  des lignes sur la pièce comptable enroulée  autour du rouleau, comme expliqué ci-dessus.  



  Les leviers 1967, 1981 et 1991 sont entraî  nés dans le sens contraire des     aiuilles    d'une  montre par- des ressorts 2007 (fin.     713),    clé  manière à maintenir leurs     prolon=gements    pos  térieurs     normalement    en contact avec leurs  leviers     tuteurs    respectifs 1923, 1921 et 1925.  <I>Division</I>     duc   <I>clavier.</I>  



  Il est souvent désirable de diviser le cla  vier numéral en plusieurs sections en déta  chant les     linguets    d'élimination     clés    zéros aux  points où l'on désire     diviser    ce clavier. La di  vision dite  séparation  du clavier est utile  lorsqu'on désire imprimer plusieurs genres de  données en une seule opération de la     machine     et où de telles données ne sont généralement  pas enregistrées dans les totalisateurs.

   Le mé  canisme servant à obtenir ce résultat est sou  vent appelé      split    and normal      (scindé    et  normal) et, dans la machine représentée, ce  dispositif s'emploie pour imprimer une ana  lyse     chi         Float     (postes flottants)     dans    la co  lonne      Float     de la feuille (l'état 1550       (fig.   <B>117).</B> La séparation du clavier est con  trôlée par le chariot 136 dans les positions de  colonnes de celui-ci sous l'action des taquets  1918     (fig.    105) en coopération avec le levier       tâteur    correspondant 1926.

             L'extrémité    de droite du levier tâteur 1926  (fin.     7A,    7B, 76, 96B et 105) est. située     au-          dessus        d'un    prolongement postérieur d'un le  vier 2009, similaire sous tous les rapports au  levier 1981; ce levier possède un     prolonge-          ment    vers le haut avec un goujon qui s'en  gage dans une fente pratiquée dans l'un des  bras d'un levier coudé 2010 monté fou sur un  axe 2011 fixé dans le châssis 130. Le levier  2010 est relié, par une articulation 2012, à  un bras à came 2013 qui tourne sur un axe  2011 fixé dans le châssis 130.

   Le bras 2013  possède une     fente-came    2015 dans laquelle  est engagé un goujon d'un bras 2016 qui est  filé sur un arbre 2017 tournant dans la pla  que du côté droit du bâti 283 de l'imprimeur.  L'arbre 2017 est relié à une chape 2018  (fin. 7 A et 181) par un bras et un goujon  (non représentés) et cette chape pivote sur  la tige qui supporte l'une des extrémités du  ressort 327. Les prolongements vers l'arrière  de la chape 2018 supportent une tige 2019 qui  est reliée, par des articulations 2020, aux     lin-          guets    d'élimination des zéros aux endroits où  l'on désire diviser le     clavier    ou les     porte-          caractères    en vue de l'impression.  



  Pour le cas où l'on     désire    rendre le mé  canisme      seiludé         (split    and normal) inopé  rant dans     certaines    positions de     colonnes,    le  bloc de commande 722 (fia. 105) pour ces po  sitions comprend, parmi les taquets 1918, un  taquet qui, en coopération avec la saillie de       tâtonnement    193l du levier 1926, empêche le  mouvement de ce levier dans le     sens    des  aiguilles d'une montre (fia. 76) lorsqu'on en  retire le bras 1966. Ceci retient le levier tâ  teur 1926 dans sa position normale et, par  conséquent, la chape 2018 ne subit aucun  mouvement     (ficy.    18A).

   Dans les colonnes. où  l'on veut faire entrer en action le mécanisme       escindé ,    le taquet 1918 est supprimé en per  mettant ainsi le déplacement du levier 1926  clans le sens des aiguilles d'une montre au dé  but de l'opération, comme expliqué ci-dessus;  ce mouvement déplace le levier 2009 égale  ment dans le sens des     aiguilles,    et ce     morve-          ment    est     transmis,    par le     levier    coudé 2010  et l'articulation 2012, au bras à came 2013    dont la fente 2015, en coopération avec le       goujon    du bras  _016, déplace ce bras et l'ar  bre 2017 dans le sens contraire des aiguilles       d'une    montre.

   Le mouvement. de l'arbre 2017  dans le sens indiqué fait également pivoter  la chape 2078     (fig.        18A)    dans le sens con  traire des aiguilles     pour    déplacer les articu  lations 2020, de manière à détacher les ver  rous d'élimination des zéros 325 dans les po  sitions où on désire diviser le clavier et le mé  canisme     imprimeur.       <I>Contrôle</I>     d'impression   <I>des dates.</I>  



  On a prévu un mécanisme contrôlé par le  chariot 136 pour rendre inopérant le mouve  ment d'impression des marteaux 317     (fig.    21  et 70) pour les quatre porte-caractères de  dates 387 suivant la position dudit chariot.  



  En se reportant aux fia.     7A,    7 B, 21, 25,       96B    et 105, on voit que l'extrémité de droite  du levier tâteur 1928 pour la date est située  au-dessus d'un prolongement vers l'arrière  d'un levier 2021 monté fou sur le goujon 1961  et portant sur un prolongement vers le haut  un goujon qui s'engage dans une fente de       l'un    des bras d'un levier coudé 2022 monté  librement     sur    le goujon 2011.

       Un    autre bras  du     levier    coudé 2022 est relié à oscillation,  par une articulation 2023, à l'extrémité infé  rieure d'un bras     202-1        fixé    sur     l'extrémité    de  droite d'un arbre 2025     qui    tourne dans une  console 2026 fixée sur le châssis de droite 130  (fia. 25) et dans le bâti 283 de l'imprimeur  (fia.     18A).    Sur l'arbre 2025 sont également  fixés quatre crochets 2027 qui entrent en con  tact avec quatre blocs d'arrêt correspondants  2028 fixés sur les marteaux correspondants  317 pour les quatre porte-caractères 387 des  dates (fia. 70).  



  Si le chariot 136 est placé dans une posi  tion de colonne dans laquelle le bloc 722 pour  cette colonne comporte un taquet 1920 pour  le levier 1928, le mouvement de ce levier dans  le sens des aiguilles d'une montre est empê  ché, à la suite de quoi le levier 2021 ne subit  aucun mouvement (fia. 76) et, par consé  quent, les crochets 2027 restent écartés du  trajet des blocs d'arrêt 2028,     connue    indiqué      sur la file. 21; dans ce cas, les marteaux 317       pour    les porte-caractères 387 des dates  (file. 70) peuvent être en action pour impri  mer la date dans la colonne     particulière    de la  pièce comptable 1550 (file. 117).  



  Si le chariot 136 se trouve dans une posi  tion de     colonne    où le bloc de commande cor  respondant 722 (file. 105) ne présente pas de  taquet 1920 pour empêcher le mouvement du       levier    tâteur 1928 sous l'action du mécanisme  représenté sur la file. 76, le mouvement     dudit     levier dans le sens des aiguilles     d'-une    montre  déplace le levier 2021 également dans le     sens     des aiguilles (file. 25), ce qui déplace, à l'aide  du levier coudé 2022, l'articulation 2023 et le  bras 2021, l'arbre 2025 et les crochets 2027  dans le sens des aiguilles, de manière à ame  ner les crochets à se poser     au-dessus    des blocs  2028 (file.

   21) avant le     fonctionnement    des       marteaux    317, de manière à mettre hors  service ces marteaux pour les porte-caractères  387 des dates (file. 70) et à empêcher l'im  pression de la date dans la colonne particu  lière.  



       Il    est bien entendu que     sur    les     file.    101,  105 et 106, la position des leviers tâteurs par  rapport     aux    taquets de commande n'est pas  représentée dans leurs rapports réels, mais       qu'ils    sont plus écartés pour mieux expliquer  et montrer le mécanisme.

   En réalité, les le  viers poussoirs 871, 891, 1922 et 1927 ont  normalement leurs doigts     tâteurs    sur les tra  jets des taquets correspondants 873, 893, 1911  et 1919, de sorte que ces     leviers    poussoirs  sont actionnés par ces taquets lorsque le cha  riot arrive à     une    position de colonne pour  laquelle les blocs de commande 722 com  portent des taquets.  



  1 Le levier tâteur 1929 (file. 105) coopérant  avec les taquets correspondants 1921 portés  par les     bloc.    de commande 722 contrôle l'im  pression des trois     porte-earactères    des postes  et les     porte-caractères    numéraux pour les  unités et dizaines de centimes, de manière si  milaire à celle décrite pour les     porte-carac-          tères    des dates.  



  Le prolongement de droite du     levier    tâteur  1929 (file. 21, 25, 76 et     96B)    est placé au-    dessus d'un prolongement vers l'arrière d'un  levier 2030 monté librement sur le goujon  1961 et pourvu d'un goujon qui s'engage dans  une fente d'un levier coudé 2031 monté libre  ment sur le goujon 2011; ce levier coudé est  relié, par une articulation 2032, à un bras  2033 fixé sur     l'e.-drémité    de droite d'un arbre  2031 qui tourne dans la console 2026 et dans  le bâti 283 de l'imprimeur. Sur l'arbre 2031  sont également fixés deux crochets 2035 qui  peuvent se placer sur des blocs correspon  dants 2036 fixés sur les marteaux 317 pour  les porte-caractères 275 des unités et dizaines  de centimes (file. 21, 25 et 70).

   Sur l'arbre  2031 sont fixés en outre trois crochets 2037  susceptibles de coopérer avec des blocs cor  respondants (non représentés) similaires aux  blocs 2036, ces blocs étant fixés sur les mar  teaux 317 pour les porte-caractères 331 de  postes (file. 70).  



  Le taquet 1921 pour le contrôle d'impres  sion des porte-caractères d'articles et des  porte-caractères des unités et dizaines de cen  times peut être de trois longueurs, comme in  diqué     sur    la file. 105; si ce taquet est de  grande longueur, il empêche le mouvement  du     levier    tâteur 1929 dans le sens des aiguil  les d'une montre (file. 76) pour retenir les  crochets 2035 et 2037 (file. 21 et 25) en po  sitions     inopérantes,    comme représenté, de  sorte qu'ils ne gênent pas le mouvement d'im  pression des     marteaux    317 pour les porte  caractères des unités et dizaines de centimes.  



  Lorsque le     taquet    1921 est de     longueur     moyenne, il permet au     levier    tâteur 1929 de  se déplacer dans le sens des aiguilles d'une  montre suffisamment pour amener les cro  chets 2037 pour les marteaux 317 de postes,  crochets qui, comme on le verra en se reportant  aux file.

   21 et 25, sont légèrement plus longs  que les crochets 2035 pour les     porte-caractères     des centimes, à se placer sur le trajet des  blocs de ces marteaux, de manière à empêcher  le mouvement d'impression de ces marteaux  et à provoquer la non-impression de la part  des     pofte-caractères    de postes lorsque le cha  riot 136 est placé dans une position de co  lonne dans laquelle son bloc de commande 722      porte     un    taquet de     longueur    moyenne pour  coopérer avec le     levier    tâteur 1929.  



  Lorsque le taquet utilisé 1921     (fig.    105)  est de la plus faible longueur, le levier     t < àteur     1929 peut effectuer son     mouvement    entier  dans le sens des aiguilles     d'une    montre,

   de  manière à agir sur les crochets 2037 des  marteaux 317 de postes ainsi que sur les cro  chets 2035 pour des marteaux des centimes  en vue de les placer     sur    les trajets des blocs  correspondants pour empêcher les mouve  ments     d'impression    de ces marteau et pour  provoquer la non-impression de la part des       porte-caractères    des postes et des unités et  dizaines de centimes dans des positions de  colonnes où le taquet de blocage respectif  porte un taquet 1921 de la plus faible Lon  gueur.  



  En se reportant aux     fig.    25 et 76, on cons  tatera que les leviers 2021 et 2030 sont  pourvus de dents d'alignement qui coopèrent  avec     l'aligneur   <B>1982,</B> de façon à aligner et re  tenir ces leviers dans les positions ajustées  pendant     l'opération.            Jlode   <I>de</I>     fonctionnement.     



  La machine représentée et décrite a été  construite à l'usage des établissements ban  caires pour l'établissement des comptes indi  viduels de chèques. Ce n'est cependant qu'un  usage de la machine choisi à titre d'exemple,  car     grâce    à sa souplesse et à ses caractéris  tiques diverses, elle peut être facilement adap  tée à de     nombreuses    organisations commer  ciales; on     n-'entend    donc pas     limiter    l'emploi  de la machine à un     système    ou à un usage  particulier.   La pièce comptable 1550     (fig.    117)     sen-ira     de base pour     l'explication    du mode de fonc  tionnement de la machine.

   Cette pièce comp  table a trait au compte de chèques individuels  et est établie au nom de 11. Jean Dupont en  compte avec la Banque de     Crédit    à Paris. On  voit que la feuille est divisée en     tme    partie  principale et un talon, ces deux parties étant  reliées l'une à l'autre par des perforations  pour pouvoir facilement les séparer. La par  tie principale de la feuille<B>1550</B> est divisée en    colonnes:     tme    colonne  Pick-up , trois colon  nes de Chèques, une colonne de Dépôts et une  colonne de bilan partiel.

   La partie principale  de la feuille comprend en outre deux colonnes  de Dates, l'une entre la. colonne  Pick-up  et  la première colonne des Chèques et l'autre  entre la colonne des Dépôts et la     colonne    de  bilan partiel; les dates s'impriment lors de  l'enregistrement du     premier    poste de chèques  et l'enregistrement du bilan partiel.  



  Le talon de la. feuille 1550 contient, une  colonne      Float     dans laquelle s'enregistre  l'analyse du courant, une colonne de Dates,  une colonne des Totaux de postes, et une co  lonne de Bilans. Du côté droit de la marge  supérieure de la partie principale de la  feuille sont inscrites les définitions des tou  ches     symboliques    390     (fig.    3) suivant leur  utilisation pour les postes de débit et/ou de  crédit.  



  Dans la plupart des établissements ban  caires, on arrête généralement les comptes de  chèques actifs chaque jour et les feuilles uti  lisées pour de     tels    comptes actifs sont habi  tuellement de longueur suffisante pour per  mettre toutes les entrées pendant     une    certaine  période, en général un mois, à la fin de la  quelle le talon de la feuille est détaché de la  partie principale; la partie principale est en  voyée au déposant et le talon est conservé par  la banque.  



  Avant le commencement des     inscriptions     journalières     sur    les comptes de chèques, l'opé  rateur introduit correctement une feuille de  journal en superposant un papier carbone  autour du rouleau 309, cette feuille de jour  nal ayant toute la. largeur de la partie princi  pale aussi bien que du talon de la feuille 1550,  afin d'obtenir     im    double de l'enregistrement  de chaque entrée faite sur les     feuilles    dans la  journée.  



  Avant l'inscription des comptes de chè  ques individuels, on retire toutes les feuilles  actives 1550 du fichier et on les place dans  une pile dans l'ordre alphabétique. Le cha  riot 136     (fig.    1) se trouvant dans sa position  à. l'extrême droite, ou à la colonne  Pick-up   et le rouleau 309 à la position d'entrée      ouverte, l'opérateur prélève sur la pile' la  feuille 1550 pour J. Dupont, l'introduit dans  l'entrée ouverte du chariot, ajuste la ligne       voulue    de la feuille au mécanisme     imprimeur     à l'aide du dispositif de repérage des lignes  et actionne ensuite l'interrupteur électrique  aux met le moteur en marche pour démarrer  le chariot et la machine proprement dite.  



  S'il s'agit de la première entrée sur la  feuille de Jean Dupont, l'opérateur vérifie le  compte d'après la dernière entrée sur le talon  de sa feuille précédente et compose l'ancien  solde de Fr. 400.00 à l'aide des touches numé  rales 218     (fig.    3); l'abaissement de ces tou  ches numérales provoque, à l'aide du méca  nisme représenté sur la     fig.    14, le déplace  ment du rouleau 309 de la position d'entrée  ouverte vers la position d'impression.  



  Après la composition de l'ancien solde de  Fr. 400.00 par les touches numérales, on dé  clenche le fonctionnement de la machine par  l'abaissement normal de la barre de démar  rage principale 170, opération pendant la  quelle le solde précédent, ou ancien, est     enre-          Oistré    dans la colonne  Pick-up  de la feuille  et en même temps additionné dans le totali  sateur     No-1,    auparavant remis à zéro. L'abais  sement normal de la barre de démarrage 170  provoque la     tabulation    du chariot de la co  lonne  Pick-up  à la prochaine position de  colonne, c'est-à-dire à la première colonne de  chèques en fin d'opération.

   Ensuite, l'opéra  teur compose le montant du premier chèque  de Fr. 50.00 par les touches numérales et  pour     indiquer   <B>qu'il</B> s'agit d'un  Débit mémo   il abaisse la touche     symbolique    390      DJI      après quoi la machine se déclenche par       l'abaissement    normal de la barre de démar  rage 170. Pendant l'opération, le montant du  premier chèque de Fr. 50.00 est enregistré en  rouge dans la première colonne des .chèques  et le symbole      D31     est enregistré simultané  ment immédiatement à droite de ce montant  et, en même temps, le montant du chèque est  soustrait du solde de Fr.     -100.00    dans le tota  lisateur de solde.  



  Pendant     l'inscription    de tous les postes  de débit, c'est-à-dire de tous les postes à sous-    traire du compte du déposant, le mécanisme  représenté sur la     fig.    71 contrôle le ruban  encreur, de manière que tous ces postes soient       imprimés    en couleur distincte, en rouge par       exemple.     



  A la fin de l'opération de     11nseription    du  premier chèque, le chariot 136 est tubulé à la  seconde colonne de chèques, le montant du  deuxième chèque de Fr. 25.00 est composé  par les touches numérales et la machine est  à nouveau déclenchée par l'abaissement   nor  mal de la barre de     démarra---c    170. Pendant  cette opération du     deuxième    chèque, le mon  tant du chèque de Fr. 25.00 est soustrait du  totalisateur de solde et simultanément enre  gistré en rouge dans la     deuxième    colonne des  chèques; à la fin de cette opération, le cha  riot est à     nouveau    tubulé d'une position de  colonne à la troisième colonne des chèques.  



  Le chariot se trouvant dans la position  correspondant à la troisième colonne des chè  ques, on compose le montant du     troisième     chèque de Fr. 75.00 par les touches numérales  et comme il y a encore un poste de débit, ou  de chèque, à inscrire, l'opérateur déclenche  une opération par l'abaissement normal de la  barre 171 d     Av        aneement        Z        ertical.    Pendant  cette opération de la machine, le     troisième     chèque de Fr.

   75.00 est enregistré en rouge  dans la troisième colonne des chèques et si  multanément soustrait du totalisateur     \o    1,  et à la fin de l'opération le rouleau<B>309</B>  tourne en vue de l'espacement des lignes sur  la pièce comptable pour préparer l'entrée  d'un quatrième poste de chèques.  



       Ensuite    on compose avec les touches nu  mérales le montant du quatrième chèque de  Fr. 50.00 et on déclenche la machine par  l'abaissement normal de la barre (le     démar-          rage    170. Pendant cette opération, le mon  tant du quatrième chèque de Fr. 50.00 est  enregistré en rouge dans la troisième colonne  des chèques directement     au-dessous    du     troi-          sième    chèque et simultanément     soustrait    du  totalisateur de solde. Vers la fin de l'opéra  tion, le chariot 136 est tubulé vers la pro  chaine colonne, ou colonne des Dépôts.

        Le chariot 136 se trouve maintenant à la  colonne des Dépôts; on compose avec les tou  ches numérales le montant du dépôt de  Fr. 100.00 et on déclenche la machine par       1#abaissement    normal de la barre de démar  rage 170. Pendant l'opération, le montant du  dépôt de     h'r.    100.00 est enregistré en noir  dans la colonne des Dépôts de la feuille 1550  et simultanément additionné dans le totalisa  teur de solde.  



  Vers la fin de l'opération de dépôt, le cha  riot 136 est     tabulé    à la prochaine colonne, ou  colonne de solde partiel, où ce chariot dé  clenche une opération automatique. Dans cette  opération automatique, le totalisateur de solde  est sous-totalisé et le solde partiel de  Fr. 300.00 est enregistré dans la colonne de  solde partiel. Le solde partiel est identifié  comme tel par symbole     (+        S)    qui     s'imprime     automatiquement en même temps que le solde  partiel.

   A la     fin    de l'opération de solde par  tiel, le chariot 136 est automatiquement     tabulé     sous l'action du mécanisme représenté sur la  fia. 122 à la position de la colonne      Float .     



  Lorsque le chariot arrive à la colonne        <  < Float ,    le mécanisme représenté sur les       fig.    21 et 25 détache le mécanisme     d'élimina-          tion    des zéros pour les porte-caractères     numé-          raiLx    en deux endroits pour diviser le clavier  en trois sections en vue     d'une    analyse du   courant . Le chariot se trouvant à la co  lonne      Float ,    l'opérateur abaisse les touches  numérales nécessaires et déclenche le fonc  tionnement de la machine par l'abaissement  normal de la barre de démarrage 170.

   Lors  du fonctionnement de la machine, une analyse  du  courant  est enregistrée dans la colonne        Float     et, pendant cette opération, tous les       totalisateurs    sont bloqués, de sorte que la ma  chine fonctionne cette fois uniquement     comme     machine d'impression.  



  A la fin de l'opération  courant , le cha  riot est     tabulé    à la colonne de solde et, lors  qu'il arrive à cette position, le mécanisme  tâteur déclenche une opération automatique  pendant laquelle le totalisateur de solde     est     totalisé et le montant respectif de Fr. 300.00  enregistré dans la colonne de solde de la    feuille 1550; simultanément avec l'enregistre  ment., un     symbole    d'identification     (-j-)    s'im  prime en face de ce montant pour l'identifier  comme solde positif.  



  Pendant l'entrée des divers postes de chè  ques et dépôts, le mécanisme automatique de  comptage de postes est en action pour addi  tionner  1      dans    le totalisateur de postes à  chaque enregistrement de     ehaque    poste; toute  fois, lorsque le chariot se trouve dans une po  sition autre que celle de la colonne de solde,  le mécanisme représenté     sur    les     fig.    21 et 25  entre en action pour bloquer les marteaux  pour les     porte-caractères    de comptage de pos  tes contre le mouvement d'impression, de sorte  que les postes ne seront pas enregistrés -à me  sure     qu'ils    entrent dans le totalisateur de  postes.

   Lorsque le chariot 136 se trouve dans  la position de la     colonne    de solde, les mar  teaux imprimeurs pour les porte-caractères de  comptage de postes sont débloqués et, pen  dant l'opération de solde, le     totalisateur    des  postes est totalisé de manière à enregistrer le  nombre total des postes, cinq dans le cas pré  sent, dans la colonne  Total des Postes   immédiatement à gauche de la balance.  



  On voit que, pendant chaque opération  d'inscription, la date est imprimée trois fois:  deux fois sur la partie principale de la  feuille 1550     (fig.    117) et une fois sur le talon  de cette feuille. Lorsque le chariot 136 se  trouve dans la première colonne de chèques,  les marteaux imprimeurs pour les     porte-ca-          ractères    des dates sont débloqués, de sorte  que la date, Avril 12, 43, s'imprime dans la  colonne  Date  immédiatement à gauche de  cette première colonne de chèques en même  temps que s'inscrit le premier chèque. De la  même façon, la date, Avril 12, 43, s'imprime  simultanément avec l'enregistrement du solde  partiel et une fois encore avec l'enregistre  ment du solde.  



  Vers la fin de l'opération, le chariot 136  est     tabulé    à nouveau à une position où l'un  des blocs de commande 722, en coopération  avec le mécanisme tâteur représenté à la  fia. 33, provoque le déplacement du chariot  dans le sens de retour à la colonne  Pick-up       et, en même temps, à l'aide     dit    mécanisme re  présenté aux     fig.        7A    et     7B,    fait passer le rou  leau 309 de la position d'impression à la po  sition d'entrée ouverte, de sorte que la feuille  1550 peut facilement être retirée de la ma  chine pour y insérer une autre feuille.

   Dans  toutes les autres positions du chariot, le mé  canisme représenté aux     fig.    7A et     7B    arrête  le mécanisme automatique d'ouverture de  l'entrée pour éviter     l'ouverture    et la ferme  ture inutiles de l'entrée d'alimentation fron  tale.  



  Il est bien entendu que dans les opéra  tions de solde des comptes de chèques indivi  duels comme celle décrite ci-dessus, la coulisse  de commande 1808     (fig.    1 et 3)     pour    le con  trôle des fonctions des barres de démarrage  170 et 171 se trouve dans la position No 1.  



  Pour l'inscription ou le solde du compte  de chèques de M. Jean Dupont pour le  13 avril 19-13, l'opérateur prend le solde pré  cédent ou ancien solde (Fr. 300.00) de la  dernière inscription dans la colonne de solde,  compose son     montant    sur les touches numé  rales et déclenche le fonctionnement de la  machine par l'abaissement de la barre de dé  marrage 170 de la manière expliquée pour       1e'aneien    solde de Fr. 400.00. Les deux chèques  suivants de Fr. 10.00 et Fr. 20.00 s'inscrivent  exactement de la façon expliquée ci-dessus et,  pendant. l'impression du poste du premier  chèque de Fr. 10.00, la date du 13 avril 43  s'imprime simultanément à gauche de la pre  mière colonne de chèques.

   Après l'entrée du  deuxième chèque de Fr. 20.00 et après que  le chariot 136 est. passé à la troisième colonne  de chèques, l'opérateur compose sur les<B>tou-</B>  ches     numérales    le montant du troisième chè  que de Fr. 30.00 et comme il s'ait d'un poste   Non à compter  - c'est-à-dire qu'il ne doit  pas être accumulé dans le totalisateur de     pos-          .tes    - il abaisse aussi la touche 371  Non à  compter      (fig.    3).  



  Comme il     n'v    a pas, dans cette inscription  particulière, de dépôt à comptabiliser, il est  désirable que le chariot 136 saute     (skip        tabu-          late)    de la troisième colonne de chèques à la  colonne de solde partiel; pour l'obtenir, on    déclenche     une    opération de la machine en  enfonçant complètement la barre 172      Skip      et en la maintenant abaissée. Pendant l'opé  ration, le montant du troisième chèque  (Fr. 30.-) s'inscrit dans la troisième co  lonne de chèques et le     symbole   <I> NC </I> pour la  touche 371  Non à compter  s'enregistre si  multanément immédiatement à droite de ce  montant.

   A la fin de l'opération, le chariot  saute de la troisième colonne de chèques à la  colonne de solde partiel et à l'aide d'une opé  ration automatique on     enre,,-istre    le montant  du solde, Fr.     2-10.00,    et la date, Avril<B>13,</B> 43,  après quoi le chariot passe à la colonne        Float .     



  Les chiffres de l'analyse  courant  se com  posent sur le clavier et la machine est déclen  chée pour une opération, comme expliqué ci  dessus; après     l'enregistrement    de l'analyse, la  chariot est     tabulé    à la colonne de solde et,  par une opération automatique de la ma  chine, le     totalisateur    N o 1 est vidé et le mon  tant du nouveau solde qui s'y trouve  (Fr. 210.00) s'inscrit dans cette colonne du  solde. En     même    temps que l'enregistrement  du nouveau solde, le nombre total (les postes  (2) est enregistré dans la colonne  Total des  Postes , et la date,     Avril    13, 43, est enregis  trée dans la partie réservée à la date de la co  lonne de solde.

   Comme dans l'inscription pré  cédente, le chariot passe à nouveau automati  quement vers la gauche pour faire entrer en  action le mécanisme servant à faire passer le  rouleau 309 de la position d'impression à la  position d'alimentation frontale et pour pro  voquer le retour de ce chariot à la colonne       ,Pick-up .       Lors de     l'iiiseription    sur le compte<B>(le</B>       l1.    Jean Dupont du 13     avril    1913, le montant  de l'ancien solde (Fr.     \_'-10.00)    tiré de la der  nière entrée dans la colonne (le solde s'inscrit  dans la colonne  Pick-up  comme aupara  vant, après quoi le chariot 136 est     tabulé    à  la première colonne (le Chèques, le premier  chèque clé F r.

   30.00 est.     enregistré    (le la même  façon due     précédemment    et la date également       enreâistrée        dans    la première colonne clé Cliè-           ques.    Comme il n'y a, pendant cette inscrip  tion particulière, que deux articles de débit,  ou de chèques, à inscrire, il est préférable que  le chariot passe de la première colonne de Chè  ques directement à la troisième     colonne    de       Chèques.    Ceci s'obtient en déclenchant une  opération où le premier chèque de Fr.

   30.00  s'enregistre par l'abaissement complet de la  barre de démarrage 171     d'Avancement    Verti  cal et en retenant cette barre en position  abaissée, ce<B>qui</B> fait sauter le chariot, grâce  au mécanisme représenté à la fi-.<B>92,</B> de la  première colonne de Chèques à la troisième  colonne de Chèques après l'enregistrement  dit premier chèque.  



  Ensuite on compose sur le clavier     fui     deuxième poste de débit (Fr. 270.00) repré  senté     dans    ce     cas    par un ensemble de     vingt-          cinq    chèques d'une certaine série et, comme il       s'anit    d'une  liste de débit , on abaisse en  même temps la touche symbolique 390      LS           (fig.    3) et on compose le nombre de chèques  (25) de ce cas particulier sur les touches 313       compteuses    de postes. Comme il n'y a pas,  dans cette opération d'inscription, de dépôt,  il est préférable que le chariot saute de la  troisième colonne de Chèques à la colonne de  solde partiel.

   On procède, comme auparavant,  par abaissement complet de la touche 172 et  son maintien dans la position abaissée. Pen  dant l'opération, le montant de l'article de dé  bit de Fr. 2"r0.00 est     enregistré    dans la trois       sième    colonne de Chèques, le     symbole         LS      s'inscrit immédiatement à droite de ce mon  tant et le nombre total de postes (25) s'addi  tionne simultanément dans le totalisateur de ,  postes.  



  La soustraction de poste de débit de  Fr. 210.00 du totalisateur de solde crée     un     dépassement dans ce totalisateur et. une con  dition qui fait que le totalisateur No 5, ou  de dépassement, lequel, comme on se rappelle,  est toujours complémentaire du totalisateur  de soldé, est,     grâce    au mécanisme représenté  à -la     fig.    61, sous-totalisé ou totalisé pour obte  nir un     enregistrement    positif du montant du  dépassement. De même, le fait du dépassement  dans le totalisateur de balance crée, par le    mécanisme représenté à la     fig.    71,     une    con  dition pour l'impression du montant du dé  passement en rouge.  



  Vers la fin de l'opération de l'inscription  du poste de débit de Fr.     270.00,    le chariot  saute de la troisième colonne de Chèques di  rectement à la colonne de solde partiel et dé  clenche une     opération    automatique de la ma  chine     pendant    laquelle le totalisateur de dé  passement est sous-totalisé et le     montant,po-          sitif    du dépassement (Fr. 60.00) enregistré  dans la     colonne    de solde partiel.

   Le fait d'un       dépassement    dans le totalisateur de solde crée  également une condition qui provoque lins=       cription    du     symbole    d'identification  D   'immédiatement à droite du solde partiel et,  comme dans d'autres opérations de solde par  tiel, du     symbole     S . En même temps que       l'enreg-istrement    du solde partiel du dépasse  ment, la date s'inscrit dans la partie réservée  à la date de la colonne de solde partiel.  



  Vers la fin de l'opération de solde partiel,  <B>16</B> chariot 136 passe à la colonne      Float      (courant) et l'analyse  courant  est composée  et enregistrée comme auparavant, après quoi  le chariot passe à la colonne de solde et, par  une opération automatique, le     totalisateur     <B><I>Nu</I></B> 5 ou de dépassement est vidé et le mon  tant du dépassement (Fr. 60.00) enregistré  en     rouge    clans la colonne de solde avec le sym  bole     d'identification     D  immédiatement à  droite de ce montant. En même temps que  l'enregistrement du solde de dépassement, le  totalisateur de postes est remis à zéro et le  nombre total de postes (26) en est     extrait    et  enregistré dans la colonne  Total de postes .

    A la fin de l'opération de solde, le chariot 136  est ramené à la colonne      Piclï-up     et en même  temps le rouleau 309 passe de la position  d'impression à la position d'entrée ouverte en  vue de la préparation des prochaines opéra  tions.  



  Pour l'inscription de compte de chèques  de     1I.    Jean Dupont au 15 avril 1913, on com  pose le solde précédent, qui représente un  dépassement de Fr. 60.00, sur les touches     nu-          niérales    218 et on déclenche une opération de  la machine en abaissant la touche de Sous-      traction 1, ou touche 377 Dépassement      Pick-          up     (fi;. 3). Pendant cette opération, le mon  tant du     dépassement    (Fr. 60.00) est soustrait  du totalisateur No 1, ou de solde, et simulta  nément     enregistré    en rouge dans la colonne   Pick-up .

   L'utilisation de la touche 377  pour le déclenchement du fonctionnement de  la machine provoque l'impression du signe de  soustraction (-) immédiatement à droite du  montant du     dépassement    pour l'identifier à  nouveau comme montant négatif. A la fin de  l'opération, le chariot passe à la première co  lonne de Chèques et, dans les opérations sui  vantes     d'üiscription,    les trois chèques de  Fr. 10.00, Fr. 5.00 et Fr. 15.00 s'inscrivent en  rouge et sont simultanément soustraits du to  talisateur de solde.

   Avant de déclencher  l'opération pour l'entrée du troisième chèque,  l'opérateur s'assure qu'il n'y a pas de qua  trième poste de débit et se sert dans ce cas  de la touche 171 d     -4v        ancement    Vertical pour  déclencher une telle opération. L'abaissement  normal de la barre verticale 171 provoque  la rotation du rouleau 309, vers la fin de  l'opération, en vue de l'espacement des     lignes     sur la pièce comptable pour préparer     l'ins-          eription    du quatrième poste de débit.  



  Le quatrième article de débit, qui est un  débit de frais, ou de     comptabilité,    de cin  quante centimes, se compose avec les touches  numérales et on abaisse en même temps la  touche symbolique 390      CS     en déclenchant  une opération par l'abaissement normal de la  barre de démarrage 170.

   Dans cette opération,  le montant des frais de     service,    de cinquante  centimes, est enregistré dans la troisième co  lonne de     Chèques    directement au-dessous du  troisième chèque et le symbole      CS     est si  multanément enregistré     immédiatement    à  droite de ce montant pour identifier ce poste  comme frais de     service.    Vers la fin de l'opé  ration, le chariot passe à la colonne de Dépôts,  après quoi le montant du dépôt (Fr.

   200.00)  se compose sur le clavier numéral et, comme  il s'agit d'un article de      crédit-mémo ,    on  abaisse en même temps la touche     symbolique     390      CJI     et ensuite la barre de     démarrage     170 pour déclencher une opération. Pendant    cette opération, le montant du dépôt, ou  poste de     crédit-mémo,    est enregistré dans la  colonne de Dépôts et simultanément additionné  dans le totalisateur No 1, ou de solde, en  même temps que le     symbole         CJI     s'inscrit  immédiatement à droite de ce montant.  



  Vers la fin de l'opération de dépôt, le  chariot passe à la colonne de solde partiel et,  par une opération automatique, le totalisateur  de solde est sous-totalisé et le montant respec  tif     (Fr.109.50)    est enregistré dans la colonne  de solde partiel avec le symbole  S  identi  fiant ce poste comme poste de solde partiel  positif enregistré simultanément immédiate  ment à droite de ce montant.

   A la fin de  l'opération de solde partiel, le chariot 136  passe à la colonne      Float     comme auparavant  et l'analyse  courant  est enregistrée de la  manière expliquée     précédemment,    après quoi  le chariot passe à la colonne de solde; par une  opération automatique, le totalisateur de solde  est vidé et le montant qui s'y trouve  (Fr. 109.50) enregistré dans la colonne de  solde en même temps que le symbole de solde  positif immédiatement à droite. En même  temps que l'enregistrement du solde, le totali  sateur No 6, ou totalisateur de postes, est vidé  et le nombre de postes qui s'y trouve, cinq  dans le cas présent, est simultanément enre  gistré dans la colonne  Total de Postes .

   Pen  dant l'enregistrement du solde, la date est  aussi inscrite simultanément dans la partie  réservée à la date de la colonne de solde.  



  La description donnée du fonctionnement,  en     liaison    avec un système particulier de  comptabilité, suffira pour les besoins de cet  exposé. Toutefois, les caractéristiques nom  breuses et la diversité de la machine repré  sentée et décrite permettent de l'adapter à  presque tous les types de comptabilité     ein-          ploy        és    dans les établissements     commerciaux    et  industriels modernes.

   Il est par exemple facile  de changer la disposition simplement en enle  vant la barre 729 des blocs de commande  (fi-.     1s3    et 18B) et en lui substituant une  autre barre sur laquelle les blocs de com  mande 722 sont arrangés de     facon    à satisfaire  aux conditions d'un autre     système,    ou encore,      on peut disposer les blocs de commande     "r2\3     sur la barre 729, de manière à adapter la ma  chine à une organisation différente.  



  L'adaptation de la machine aux diverses  organisations est, en plus, facilitée par les  touches de commande 374 à 380 incluse       (fig.    3), les touches de correction 369 à 372  incluse, les touches sélectrices de     colonnes     1066 et 1070 et par les touches de commande  de chariot<B>1071, 1072</B> et 1073. Les possibilités  d'adaptation de la machine aux diverses orga  nisations commerciales sont augmentées égale  ment par les trois barres de démarrage 170,  171 et 172 et par leur mécanisme de com  mande, y compris la coulisse 1808, laquelle,  comme on se rappelle, peut être ajustée à  quatre positions pour varier le fonctionne  ment de ces barres de démarrage.

Claims (1)

  1. REVE\DIOATIO-N Machine comptable comportant un tota lisateur, des entraîneurs pour le totalisateur, et des moyens pour embrayer le totalisateur avec les entraîneurs et le débrayer de ceux-ci à des temps convenant au genre d'opération à exécuter, caractérisée en ce que les moyens d'embrayage et de débrayage du totalisateur comprennent un organe de commande (580) pour déplacer le totalisateur en prise avec et hors de prise des entraîneurs, -un organe d'en traînement (586) qui se déplace sur un che min défini et invariable à chaque cycle de la machine, un organe d'accouplement unique (585), fonctionnant différentiellement,
    qui sert à établir une liaison d'entraînement entre l'organe d'entraînement (586) et l'organe de commande (580) à des temps appropriés dans le cycle de la machine, et des moyens de com mande ' (601, 609) pour régler le fonctionne ment de l'organe d'accouplement et ainsi com mander le réglage de l'embray ace du totalisa- teur avec les entraîneurs et de son débrayage de ceux-ci.
    SOUS-RE VER DILATIONS 1. 1Uachine comptable suivant la reven dication, caractérisée en ce que l'organe d'en traînement (586) est disposé pour effectuer un mouvement de va-et-vient, et que l'organe de commande (580) est également disposé pour effectuer un mouvement de va-et-vient lorsqu'il est accouplé à l'organe d'entraîne ment au moyen de l'organe d'accouplement (585). 2.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 1, caractérisée en ce que l'organe d'entraînement (586) reçoit un mouvement de va-et-vient par l'intermédiaire d'iui méca nisme à cames (595, 596). 3.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 2, caractérisée en ce que l'organe d'accouplement (585) est constitué par un verrou pivotant sur l'organe de commande (580) et pouvant s'engager avec l'organe d'entraînement (586),à des moments diffé rents du cycle de la machine déterminés par le mouvement imprimé au verrou par les moyens de commande, afin de transmettre un mouvement d'entraînement à l'organe de commande. 4.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 3, caractérisée en ce que l'organe d'entraînement (586) est une barre et que le verrou (585) est pourvu d'une encoche et d'épaulements (689, 2632, 2633) qui coopè= rent alternativement avec l'organe d'entraîne ment pour établir une liaison d'entraînement avec l'organe de commande suivant l'ajuste ment donné au verrou par les moyens de com mande. 5.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendieation 4, comportant un chariot bala deur et des éléments de commande pour dé terminer le genre d'opération à exécuter, ca ractérisée en ce que les moyens pour comman der le fonctionnement de l'organe d'accouple ment (585) comprennent un organe (601) de mise en position différentielle dont la posi tion peut être réglée tant par les éléments de commande que par le chariot dans certaines positions de colonnes déterminées d'avance de celui-ci.
    6. )Machine comptable suivant la sous-re- vendication 5, caractérisée en ce que l'organe d'accouplement (585) agit normalement pour embrayer le totalisateur avec les entraîneurs dans un temps de soustraction et de totalisa tion, et en ce que l'organe de mise en position différentielle (601) est réglable tant par les éléments de commande que par le chariot pour faire agir l'organe d'accouplement, afin que le totalisateur soit embrayé avec les en traîneurs aux temps d'addition. 7.
    Machine comptable suivant la sotis-re- vendication 6, caractérisée en ce que les moyens de commande du mouvement de l'or gane d'accouplement (585) comprennent tut organe à mouvement alternatif (609) qui exécute normalement une course constante, des moyens (519, 675) étant susceptibles d'être actionnés soit par les éléments de com mande, soit par le chariot dans des positions de colonnes déterminées d'avance de celui-ci, pour modifier l'influence de l'organe à mou vement alternatif (609) sur l'organe d'accou plement,
    afin d'amener le totalisateur à entrer en prise avec les entraîneurs aux temps de sous-totalisation. 8. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 7, comportant un dispositü tâ- teur (718) actionné par des taquets de com mande ajustés d'avance, mais interchangea bles sur le chariot et situés dans des positions de colonnes déterminées d'avance de celui-ci, afin de contrôler l'embrayage et le débrayage du totalisateur, caractérisée par des moyens (70S)
    pouvant être déplacés dans différentes positions par le dispositif tâteur, suivant l'am plitude du mouvement transmis à celui-ci par les taquets de commande, afin de régler la position prise par l'organe de mise en posi tion différentielle (601), de sorte que le ré glage de l'embrayage et du débrayage du to talisateur puisse être déterminé par la lon gueur du taquet de commande sur le chariot.
    <B>'9.</B> 1lachine comptable suivant la sous-re- vendication 8, caractérisée en ce que l'organe de mise en position différentielle (601) peut être amené dans différentes positions pour commander de ce fait le fonctionnement de la machine, par la coopération de gradins (701 à 706) de cet organe de mise en posi tion différentielle (60l), avec les moyens (708) déplacés par le dispositif tâteur (718) suivant la longueur du taquet de commande, lesdits gradins permettant tut mouvement va riable de l'organe de mise en position diffé rentielle (601)
    suivant la longueur du taquet sélectionné. 10. -Machine comptable suivant la sous-re- vendication 5, dans laquelle les éléments de commande sont constitués par un groupe de touches de commande (37q, 377 à 380), ca ractérisée par une coulisse (513) qui coopère avec l'organe de mise en position différen tielle (601) et sert à transmettre à celui-ci- un mouvement déterminé en amplitude par celle des touches de commande qui a été actionnée.
    11. -Machine comptable suivant la sous-re- vendication 5, caractérisée par des moyens (765,<B>775)</B> fonctionnant lorsque l'un quel conque des éléments de commande a été actionné, pour rendre le chariot inopérant pour commander la position de l'organe de mise en position différentielle (601).
    12. -Machine comptable suivant la sous-re- vendication 6, caractérisée en ce que l'or gane de mise en position différentielle (601) peut' être déplacé, depuis une position de soustraction normale, sous la commande des éléments de commande et du chariot, vers des positions successives correspondant aux opé rations de totalisation et d'addition, un organe à mouvement alternatif (609) fonctionnant normalement pour déplacer l'organe d'accou plement (585) pour qu'il embraye le totalisa teur avec les entraîneurs aux temps de sous traction et de totalisation, le mouvement de l'organe de mise en position différentielle (601)
    à la position de totalisation n'agissant pas sur le mécanisme d'embrayage du totali sateur, mais servant à rendre inopérant un mécanisme (611) qui, avant une opération de soustraction, déplace des cliquets de trans fert dans le totalisateur de la position d'addi tion à la position de soustraction, le mouve ment de l'organe de mise en position diffé rentielle (601) à la position d'addition ser vant à influencer le mouvement clé l'organe d'accouplement (585), afin<B>(le</B> provoquer l'embrayage du totalisateur avec les entraî neurs aux temps d'addition. 13.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 12, caractérisée en ce que l'organe de mise en position différentielle (601) peut se déplacer, sous la commande tant des élé ments de commande que du chariot dans des positions de colonnes déterminées d'avance de celui-ci, vers une position de non-addition dans laquelle il coopère avec l'organe d'accou plement pour empêcher celui-ci d'accoupler l'organe de commande (580) à l'organe d'en traînement (586).
    14. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 3, caractérisée en ce que l'organe d'entraînement (586) peut effectuer un mou vement de va-et-vient faisant deux pas, avec une période d'arrêt intermédiaire, pendant ses courses vers l'avant et de retour, en ce que le verrou (585) a une partie en forme, de queue (600) s'engageant normalement avec un organe à mouvement alternatif (609) pour actionner le verrou de façon qu'il accouple l'organe de commande (580) à l'organe d'en traînement (586), de sorte que le totalisateur sera engagé aux temps de soustraction et de totalisation,
    et en ce qu'un organe de mise en position différentielle (601) peut se mettre en position pour engager la queue (600) du verrou et ainsi modifier son fonctionnement, afin d'amener le totalisateur à entrer en prise aux temps d'addition. 15.
    Machine comptable suivant la reven dication, comportant un totalisateur de dé passement et un. totalisateur de balance, ca ractérisée en ce que des organes de commande séparés (580), des organes d'accouplement (585) et des moyens de commande (601, 785, 609) des organes d'accouplement sont prévus pour les deux totalisateurs, lesdits organes de commande séparés servant à transmettre, de puis ira. organe d'entraînement (586) com mun aux deux totalisateurs, un mouvement d'embrayage et de débrayage des deus tota lisateurs,
    de sorte que les montants addi tionnés dans le totalisateur de balance sont soustraits du totalisateur de dépassement et vice versa. 16. Machine comptable suivant les souk- revendications 5 et 15, caractérisée en ce que les éléments de commande comprennent une touche d'addition et une touche de soustrac tion disposées pour coopérer chacune avec une paire de coulisses (513, 517) pour transmet tre un mouvement aux organes de mise en position différentielle (601, 785) associés aux deux totalisateurs, afin que lors du fonction nement de la touche d'addition.,
    le totalisateur de balance sera sélectionné pour l'addition et le totalisateur de dépassement pour la sous traction, tandis que lors du fonctionnement de la touche de soustraction, le totalisateur de balance sera sélectionné pour la soustraction et le totalisateur de dépassement pour l'addi tion. 17.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 16, caractérisée par un dispositif tâteur commandé par des taquets de- com mande ajustés d'avance, mais interchangea- bles et de différentes longueurs, sur le cha riot dans des positions de colonnes détermi nées d'avance de celui-ci, pour effectuer un ajustement différentiel des organes de mise en position différentielle (601, 785), afin de sélectionner un des totalisateurs pour la sous traction et l'autre pour l'addition.
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