CH274897A - Machine de comptabilité. - Google Patents

Machine de comptabilité.

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CH274897A
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Description


  Machine de comptabilité.         L'invention    a pour objet une machine de  comptabilité présentant un     dispositif    d'enre  gistrement et un dispositif permettant de  placer un support d'enregistrement à diffé  rentes positions par rapport au dispositif       d'enregistrement,    afin de permettre d'effec  tuer des inscriptions sur les différentes lignes  d'un matériel     d'enregistrement    porté par le  dit support.

   Cette machine est caractérisée en  ce qu'elle est pourvue d'un dispositif de con  trôle automatique qui, pour un genre d'opé  rations de ,la machine, fait avancer d'une  ligne le support     d'enregistrement        après    cha  que inscription, de façon que ces inscriptions  soient toutes disposées     dans    la même colonne  et sur des lignes différentes, tandis que pour  un autre genre d'opérations de la machine, i1  fait avancer d'une     ligne    le support. d'enregis  trement seulement après que     plusieurs    ins  criptions     successives    ont été faites sur la  même ligne, mais dans des colonnes diffé  rentes.

      Le     dessin    annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution particulière  de la machine faisant l'objet de l'invention.  



       Fig.    1 est une vue schématique du     clavier     de la machine.         Fig.    2 est une vue fragmentaire du     fac-          similé    d'une feuille combinant un relevé de  compte et un talon, représentant une feuille  de grand livre, préparée en utilisant la ma  chine représentée.         Fig.    3 est le fac-similé d'une autre feuille  relevé/talon.  



       Fig.    4 est une vue en section, prise depuis  la droite, de l'une des rangées de touches de  montants, représentant le mécanisme associé  à ces touches.  



       Fig.    5 est une coupe, vue depuis .la droite  de la rangée de touches des     transactions,    re  présentant le mécanisme différentiel associé  avec ces touches.  



  Fin-. 6 est une vue de détail d'une partie  d'une     plaque    de commande des totaux et  d'un mécanisme commandé par cette plaque  pour positionner des roues porte-caractères et  des disques     d'entraînement        correspondants.     



       Fig.    7 est une vue de     détail        d'une    plaque  de commande, actionnée par les touches de  montants, pour débrayer un compteur auto  matique de chèques pendant l'impression d'un  total ou d'un sous-total.  



       Fig.    8 est une vue de -détail d'une plaque  de     commande,        associée    aux touches des trans  actions, pour la commande du compteur auto  matique     des    chèques.  



       Fig.    9 est une vue de détail d'une des       touches    de la, rangée des     unités    du compteur  des chèques et     d'une    partie du     mécanisme     associé avec ces touches.  



       Fig,    10 est une vue en perspective des  organes de .commande du mécanisme du comp  teur des .chèques.  



       Fig.    11 est une vue -de détail d'une     des     touches de .la rangée des dizaines du comp-           teur    des chèques et d'une partie du méca  nisme     associé.     



       Fig.    12 est une     vue    latérale, prise depuis  la droite, représentant le     mécanisme    d'em  brayage du totalisateur et le mécanisme de  transfert des .totaux.  



       Fig.    13, 14 et 15, prises     ensemble,    montrent  des     détails    d'une partie du     dispositif    de trans  fert des totaux représenté en     fig.    12.  



       Fig.    16 est     une    vue des mécanismes re  présentés aux     fig.    13, 14 et 15.  



       Fig.    17     est        une    vue schématique d'une  came de transposition et d'un ordre dénomi  natif des roues du totalisateur de balances  N  1 et d'une came de transposition et d'un  ordre des roues du totalisateur N  2.  



       Fig.    18 est un fac-similé d'une partie  fragmentaire .d'une bande de vérification,  préparée par la machine représentée, sur la  quelle chaque article     inscrit    sur la feuille du  relevé de compte .est enregistré en double.         Fig.    19 est une vue en plan du mécanisme  d'une table prévue pour amener un support  d'inscription au mécanisme d'impression.  



       Fig.    20 est une projection de profil, vue       depuis    la gauche de la machine, représentant  une partie du mécanisme commandant la     mise     en position de la table.  



       Fig.    21     est    une projection de profil,     vue     depuis la droite de la machine, d'un dispo  sitif prévu pour maintenir la feuille en posi  tion sur la table pendant l'opération de la       machine.     



       Fig.    22 est une projection de profil, vue       depuis    la droite de la machine, de     l'un    des  marteaux     des    chèques,     représentant    aussi des  organes     d'entraînement    et de commande y  associés.  



       Fig.    23 est une     vue,    prise depuis la droite,  des dispositifs     assurant    la mise en position  convenable de la table avant l'opération d'im  pression.  



       Fig.    24 est une vue d'une partie du méca  nisme représenté en     fig.    23.  



  Les     fig.        25A    et     25B,    prises     ensemble,    cons  tituent une projection de profil, depuis la  droite de .la machine, des touches de sélection    de ligne des     unités    et du     mécanisme    associé  de mise en position de la table.  



  Les     fig.    26A et 26p, prises ensemble, cons  tituent     une    projection de profil,     depuis    la  droite de la machine, des touches de sélection  de ligne des dizaines et du mécanisme     associé     de mise en position ,de la table.  



  Les     fig.    27A et 27B, prises ensemble, cons  tituent une vue en plan d'une partie du mé  canisme de mise en position de la table, repré  senté aux     fig.    25A, 25B, 26A et 26B.  



       Fig.    28 est une vue, prise depuis la droite,  de la rangée des unités des touches     cherche-          ligne;    le couvercle du bâti des touches est en  levé pour montrer la construction des plaques  de commande et de la détente     associées    avec  ces touches.  



       Fig.    29 est une vue en plan de deux ran  gées des touches cherche-ligne.  



       Fig.    30 est une coupe de deux rangées  de touches cherche-ligne, vues depuis l'avant  de la machine, représentant en particulier le  mécanisme de déverrouillage de ces touches.  



       Fig.    31 est une projection de profil frag  mentaire du mécanisme de verrouillage des  touches     cherche-ligne    et des organes de dé  clenchement de la machine.  



       Fig.    32, 33 et 34 sont des     vues    de détail  de parties     des    organes de commande de la  mise en position automatique de la feuille  pendant l'opération d'inscription de chèques.  



       Fig.    35 et 36 sont des vues détaillées des  organes commandant la mise en position de la  feuille pendant les opérations autres que celle  d'inscription de chèques.  



       Fig.    37 est une vue de détail du dispositif  d'alignement des disques d'entraînement.       Fig.    38 est une projection de profil, prise  depuis la droite, d'un dispositif prévu pour  remettre la table à sa position de départ.  Les     fig.    39 et 40 sont des vues du côté  droit du dispositif commandé par le méca  nisme explorateur du support d'inscription,  pour empêcher     l'actionnement    des dispositifs  de     mise    en position de la table, et des mar  teaux d'impression, en l'absence d'une feuille  sur la table.

             Fig.    41 est une vue détaillée d'une came  et d'un levier de came pour     l'actionnement     du dispositif d'exploration de la feuille.  



       Fig.    42 est une projection de profil, vue  depuis la droite, d'un dispositif prévu pour  empêcher le mouvement excessif de la table  quand elle est déplacée à travers plusieurs  positions de ligne ou quand la machine est  actionnée trop rapidement.  



       Fig.    43 est une projection de profil, de  puis la droite,     d'im    dispositif automatique de  mise en position de la table et d'une partie  du mécanisme de commande associé à ce dis  positif.  



       Fig.        44    est une vue fragmentaire de détail  du mécanisme de la mise en position automa  tique de la table et d'une partie du mécanisme  de commande y associé.  



       Fig.    45 est une vue, partiellement en sec  tion, de     l'ensemble    de cames représenté en       fig.    46.  



       Fig.    46 est une vue en plan du mécanisme  de mise en position de la table.  



       Fig.    47 est un graphique des mouvements  des principaux organes de la machine, et       fig.    48 est une vue en perspective de la  machine complète.  



  La machine représentée est d'un type bien  connu. Elle est munie d'un dispositif, placé à  la partie antérieure de la machine, pour l'ins  cription simultanée d'articles identiques dans  une ou dans plusieurs colonnes d'une fiche ou  d'une facture insérée clans la machine, cette  inscription étant effectuée pendant un cycle  d'opérations du     mécanisme    d'impression. Des  machines de ce genre sont utilisées par les  banques, par les compagnies de service public  et par les maisons commerciales analogues,  pour la préparation de     factures    ou de relevés  de comptes.

   Ces factures ou relevés sont di  visés en     plusieurs    colonnes verticales, de  sorte que le même article puisse être inscrit  clans diverses colonnes, ou bien que des arti  cles divers     puissent    être     inscrits        dans    des co  lonnes     diverses.    Ces relevés ou     factures    peu  vent être     divisés    en     deux    parties séparables  contenant la même matière, .dont l'une est    fournie au     client    et l'autre est mise en clas  seur.  



  L'exemple spécifique choisi pour illustrer  l'application de la machine. représentée est  la préparation par une banque de relevés des  comptes courants d'un certain nombre - de  clients de cette banque.  



  La     machine    décrite à titre d'exemple est  munie de plusieurs rangées de touches de  montant; ces touches effectuent l'enregistre  ment des montants     .dans    les différents totali  sateurs de la machine; elles commandent aussi  des roues porte-caractères pour l'impression  de ce montant sur un support d'inscription.  La machine possède aussi une rangée de tou  ches de transactions pour porter des articles  positifs et négatifs aux totalisateurs, et une  rangée de     touches    de     symboles    pour l'impres  sion de symboles -d'identification à côté des  divers articles.

   La manivelle de commande  des totaux habituelle est     remplacéé    par     suie     rangée de touches de commande des totaux  contrôlant les opérations de la machine, à sa  voir les opérations d'addition, de soustraction,  ide lecture et de remise à zéro. Un levier de  déverrouillage des touches, placé du côté droit  du clavier, sert à la libération     d'une    touche  quelconque enfoncée.  



  La machine représentée     est    munie d'un dis  positif pour compter  un , dans des conditions  d'automaticité, à chaque enfoncement d'une cer  taine touche - dans le cas présent, la touche  des chèques - pendant. une opération de la ma  chine. Les roues du compteur de chèques occu  pent les deux premières positions de la ligne  du totalisateur de balances; cependant, il  n'existe aucune connexion entre ces roues et  le totalisateur de balance; le .compteur de chè  ques compte .automatiquement jusqu'à 99 chè  ques.     L'une        des    touches de transactions, dans  ce cas la touche de correction de chèques, est  prévue pour la correction de chèques ou de  débits     inscrits    par erreur.

   L'enfoncement de  cette touche effectue la soustraction de      1      aux roues du compteur de chèques par l'addi  tion du chiffre complémentaire de  99  à ces  roues. A part le compteur automatique de  chèques, il y a. deux ranées de touches     pré-          CI         vues à la partie de gauche du clavier, et elles  sont utilisées pour composer .le nombre de  chèques dans une liasse quand le montant  total de ces chèques est inscrit dans un seul  article pendant une seule opération de la ma  chine. Divers verrouillages contrôlent le  compteur automatique de chèques.  



  La machine comprend deux lignes de tota  lisateurs, à savoir mie     ligne    supérieure, dite  N  1, et une ligne     arrière,    dite N  2. La ligne  N  1 des totalisateurs contient le totalisateur  des balances, souvent dit      balanceur ,    qui cal  cule des montants positifs et négatifs pour  établir de nouvelles balances. La ligne N  2  comprend quatre totalisateurs, dont deux  sont des     totalisateurs        addition/soustraction;     le troisième est un totalisateur des débits, et  le dernier est un totalisateur des crédits.

   Il  est     nécessaire    de prévoir des totalisateurs  d'addition/soustraction pour totaliser les     ehè-          ques    et les ,dépôts en vue de la nécessité     des     opérations de soustraction dans la correction  de chèques et de dépôts.  



  L'un des totalisateurs de la .ligne N  2 sert  à l'accumulation d'un total définitif de nou  velles balances actives, et d'autre à l'accumu  lation d'un total     définitif    de     nouvelles    ba  lances passives. Pendant     les    opérations .dites   nouvelle balance , .ces totaux définitifs sont  transférés du totalisateur des balances aux  roues d'addition correspondantes de la ligne  de totalisateurs N  2.  



  Les     calculs    relatifs à la mise à jour de  comptes courants particuliers sont inscrits sur  une     feuille    représentée, à titre d'exemple, en       fig.    2 et 3; cette     feuille    est     divisée    en deux  parties, dont l'une est un relevé de compte,  et l'autre, la partie  talon , constitue une  feuille du grand livre de la banque. La par  tie  relevé  est divisée en trois colonnes ver  ticales aux en-têtes respectifs:  Débits ,  Cré  dits  et  Balance . La partie  talon      présente     une colonne pour l'inscription en double de  la balance.

   La partie  Débits  du relevé est  divisée en deux colonnes pour l'inscription des  articles passifs, par exemple chèques, frais de       service    et ainsi de     suite.    La partie des  Cré  dits  présente une .colonne pour     l'inscription       de crédits ou de dépôts, tandis que la partie   Balance  consiste en deux colonnes verti  cales pour l'inscription de la date et de la  nouvelle balance.

   La partie      talon     de la  feuille est divisée en trois colonnes verticales:  la première pour la date, la     deuxième    pour       l'inscription    du nombre total de chèques dé  bités au compte au cours d'une opération  quelconque de mise à jour, et la troisième  pour l'inscription de la. nouvelle balance.  



  En -dehors     des    inscriptions sur la feuille  du relevé, une inscription en double de     toutes     les     transactions    est faite sur une bande de vé  rification représentée en     fig.    18. Cette bande  de vérification est divisée en quatre colonnes  verticales: la première de ces colonnes     redoit     l'inscription de débits ou de chèques; la  deuxième comprend les crédits ou dépôts; la  troisième colonne indique le nombre total de  chèques débités au compte au cours d'une  opération quelconque de mise à jour, et la  quatrième sert à l'inscription des nouvelles  balances.

   On verra que les articles sont ins  crits sur cette bande de vérification en sens  inverse;     c'est-à-dixe,    le nombre correspondant  au premier article sur la feuille de relevé est  imprimé en bas de la bande de vérification, et  ainsi de suite.  



  En se référant aux     fig.    2 et 3, on verra  que .les deux parties de la feuille combinée  sont divisées en 39 lignes horizontales pour  les inscriptions d'articles; ces lignes sont in  cliquées par des chiffres en marge droite de  la partie  talon  de la feuille. On verra     aussi          qu'un    espace .au-dessus de la première ligne  est prévu pour l'inscription du solde à nou  veau.  



  Une table à la partie antérieure de la ma  chine, susceptible d'un déplacement horizon  tal, est prévue pour amener la feuille .au mé  canisme d'impression. Cette table présente 39  positions de ligne correspondant     aux    39     lignes     de la feuille, et .en plus une position normale  ou position de départ correspondant à la po  sition de solde à nouveau.

   Neuf touches de sé  lection de ligne sont     prévues    pour les unités  et trois - celles de 10, 20 et 30 - pour les  dizaines: ces touches sélectionnent la ligne      du support d'inscription sur laquelle la pre  mière inscription est faite, et après cette sé  lection initiale, l'avancement consécutif de la  table et     .de    la feuille se     poursuit    dans des con  ditions d'automaticité sous la commande des  touches des transactions et des totaux.  



  Quand il est     nécessaire    de reporter une  balance, l'ancienne balance est relevée d'abord  d'une feuille précédente. Vu que la touche de  balance à reporter .aura été enfoncée au début  de cette opération, la mise en position de la  table et de la feuille sous l'influence des tou  ches     cherche-ligne    sera empêchée et le solde à  nouveau sera imprimé sur .la feuille à l'en  droit convenable     .au-dessus    de la première  ligne. Après cette opération de report de ba  lance, la touche cherche-ligne N  1 est enfon  cée pour sélectionner la première ligne de la  feuille, .après quoi l'opération de mise à jour  du compte peut être commencée.

   En général,  les débits sont inscrits les premiers, et l'on  verra que la partie  Débits  de la feuille est  divisée en deux colonnes verticales. Le pre  mier article des débits est imprimé dans .la  première colonne, celle de gauche, et le  deuxième article des débits est imprimé dans  la deuxième colonne à la même ligne que le  premier. Un     troisième    article serait imprimé  sur la deuxième ligne de la première colonne,  et ainsi de suite jusqu'à l'inscription de     tous     les articles du passif.  



  Dans l'opération suivante, les crédits ou  dépôts sont portés sur la partie convenable  de la feuille. S'il y a plus d'un article à ins  crire, la table est avancée automatiquement,  de sorte que ces articles sont. imprimés en  ordre consécutif.  



  Après l'inscription de tous les     débits    et  crédits, la nouvelle balance est établie; cette  nouvelle balance est.     imprimée,    avec la date,  dans la partie convenable des deux sections  relevé et talon de la feuille.  



  Dans les opérations d'inscription subsé  quentes, il est nécessaire seulement     d'enfon-          cer    les touches cherche-ligne qui correspon  dent à la première ligne disponible de la  feuille. Après l'inscription du premier article,  l'avancement de la feuille est entièrement    automatique, comme on a expliqué ci-dessus.  A la fin de l'opération de nouvelle balance,  la table est ramenée vers l'avant à sa position  normale ou position de départ. La feuille  peut être enlevée ainsi de la table et une nou  velle feuille mise en position.  



  En se référant à la     fig.    2, on verra que la  machine représentée     est    disposée pour impri  mer sur 39 lignes     d'une    feuille. Immédiate  ment     après    l'impression du premier article  sur la 39-e .ligne, la table est renvoyée auto  matiquement à sa position de départ pour  attirer l'attention de l'opérateur sur le fait  que la machine imprime sur la dernière ligne  de la feuille. Si l'opérateur veut faire des  inscriptions subséquentes sur cette ligne, il  sera nécessaire de composer  39  sur les tou  ches cherche-ligne avant chaque inscription,  étant donné que la table est remise automa  tiquement à la position de départ après cha  que inscription.  



  En se référant à la -ligne 37 de la     fig.    2,  on verra que deux débits, un crédit et une  nouvelle balance sont imprimés sur la même  ligne horizontale du support d'inscription.  Comme déjà expliqué, s'il y a plus de deux  débits à inscrire, la feuille est avancée et, de  la même façon, la feuille est avancée s'il y a  plus d'un     crédit    à inscrire.  



  Des touches      Relevé-balance ,         Relevé-dé-          couvert ,     Nouvelle balance  et      Soüs-total          Nouvelle    balance  provoquent la remise auto  matique de la table à la position de dé  part (voir     fig.    1). Quand la touche      Relevé-          balance     ou      Relevé-découvert     est utilisée  conjointement avec la touche  Balance à re  porter , le montant de l'ancienne balance est  imprimé dans la position  Solde à nouveau   sur la feuille.

   Les touches      Relevé-balance      et      Relevé-découvert         provoquent    aussi la re  mise de la table à sa position de départ, cette  position étant la position convenable pour  l'inscription de l'ancienne balance.

   Quand  une des touches      Relevé-balance     ou      Relevé-          découvert     est utilisée pour relever d'an  ciennes balances qui ne doivent     pas    être im  primées sur la nouvelle feuille de relevé de  compte, la.

   touche  Balance à reporter  n'est      pas     enfoncée    conjointement avec cette touche,  de sorte que l'ancienne balance est portée au       totalisateur    de balances sans être imprimée  sur la     feuille.    En d'autres termes, la touche   Balance à reporter  est la touche     impri-          meuse    pour les     touches         Relevé-balance     et        Relevé-découvert ,    et l'enfoncement de cette  touche  Balance à reporter  en conjonction  avec ces dernières touches effectue l'impres  sion de l'ancienne balance sur la ligne dite   Solde à nouveau  de la feuille.

      Quand un compte est à découvert, la tou  che  Nouvelle balance  se trouve verrouillée  pour attirer     (.attention    de l'opérateur sur le  fait que le compte est à_ découvert. Dans ce  cas, l'opérateur a. un choix de plusieurs possi  bilités. Si on désire     débarrasser    le totalisateur  de     balances    de ce découvert en imprimant le  montant du découvert sur la .feuille, la touche   Découvert      (fig.    1) est enfoncée .d'abord  pour déverrouiller la touche de  Nouvelle ba  lance , après quoi cette touche peut être en  foncée pour effectuer une opération de nou  velle balance;

   ou, si l'on désire le sous-total  du découvert, la touche  Découvert  est en  foncée d'abord pour déverrouiller la touche        Sous-total    Nouvelle balance , après quoi  cette touche peut être enfoncée. Une troi  sième possibilité est d'avertir le client que son  compte est à découvert, en le priant ,de pas  ser à la banque un dépôt d'un montant suffi  sant à couvrir ce découvert; ou bien, on peut  se servir de la touche  Correction chèques   pour annuler l'inscription     -d'un    nombre de  chèques déjà     inscrits,    d'un montant suffisant  à couvrir le découvert.

      Un dispositif palpeur de la feuille est       prévu    pour empêcher le mouvement de la ta  ble hors de la position normale, ou position  de départ, sous l'influence des touches cher  che-ligne, à     moins    qu'un support d'inscrip  tion ne soit convenablement mis sur la table.  Un mécanisme     d'interverrouillage    des touches  cherche-ligne et des organes de déclenche  ment de la machine     est        prévu    pour empêcher  l'opération -de la machine quand une touche  cherche-ligne est partiellement enfoncée.

      <I>Bâti et</I>     inécanisnie   <I>de commande</I>  Le bâti principal de la machine comprend  une partie de gauche 60     (fig.    4 et 5) et     une     partie de droite (non     représentée)    de cons  truction analogue. Ce bâti soutient la     plupart     des organes de la machine, et les deux parties  de ce bâti sont reliées entre elles au moyen       d'un    certain nombre de cadres, de tiges et de  barres transversaux. Lesdites parties du bâti  reposent sur une plaque -de base 61; cette pla  que de base 61 est fixée à quatre bâtis d'im  pression par lesquels elle     est    soutenue.

   Trois  clé ces     bâtis    d'impression 62, 63 et 64 sont  représentés aux     fig.    4, 5, 19 et 46. Les bâtis  d'impression sont     fixés    relativement les uns  aux autres par un tirant antérieur 65     (fig.    20,  26A et 26B),     im    tirant de milieu 66 et un  tirant arrière 67 et par un certain nombre       d'aiïtres    barres, tiges et .arbres. Les bâtis -d'im  pression sont fixés     aussi    à la surface supé  rieure d'une     sous-base    (non représentée), et  les     mécanismes,de    la machine sont renfermés  dans un coffre 68     (fig.    4 et 48).  



       Normalement,    la machine est actionnée  électriquement au moyen d'un moteur; il est  prévu aussi une manivelle (non représentée)  pour la .commande à la main de la machine  au cas où cela serait nécessaire. La machine  est mise en marche par l'enfoncement de l'une  quelconque     .d'un    certain nombre de touche   opératrices , décrites plus loin en détail, de  la rangée de commande des totaux et de la  rangée des     transactions.     



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches opératrices soumet un arbre 69 de  verrouillage     .des    touches     (fig.    4 et 31) à l'ac  tion d'un     ressort    (non représenté) qui fait       basculer    cet arbre sur une courte distance       dans    le sens     dextrorsum    pour actionner le mé  canisme d'embrayage qui relie le moteur à un  arbre principal 70     (fig.    4 et 5)     tourillonné     dans le bâti principal 60. L'enfoncement.  d'une touche opératrice actionne en même  temps le mécanisme     -d'un    interrupteur pour  fermer le circuit du moteur, mettant le mo  teur ainsi en marche.

   Une fois que la machine  a exécuté le nombre de cycles voulus, pour  un genre .d'opération déterminé, l'arbre de      verrouillage des touches 69 est renvoyé     dans     le sens     senestrorsum,    de manière à dégager le  mécanisme d'embrayage et à ouvrir simulta  nément l'interrupteur du moteur électrique.       Quand    la machine est actionnée à la main, les  touches  opératrices  provoquent le déclen  chement de la machine d'une manière entière  ment conforme à     l'actionnement    par moyens  électriques.  



       Clavier.     En se référant à la     fig.    1, qui est une vue  schématique du clavier, on verra qu'il y a       neuf    rangées de touches de montants 71 et  deux rangées de touches de comptage des chè  ques 52 et 72. Ces touches sont similaires sous  beaucoup de rapports aux touches de mon  tants 71, sauf qu'elles possèdent leurs propres  roues d'addition sur la ligne N  1 de     totalisa-          teurs,    pour compter le nombre de chèques  inscrits au cours de la mise à jour d'un  compte.

     La machine est munie d'une plaque de  commande des totaux 73     (fig.    6) pour effec  tuer l'engagement et le dégagement des     deux     lignes de totalisateurs pendant. les opérations  d'addition, de soustraction, d'impression de  totaux et d'impression de sous-totaux. La mise  en position de cette plaque de commande des  totaux est effectuée par un certain nombre  de touches de commande des     totaLix        (fig.    1)  numérotées de 74 à 78 inclusivement et pla  cées du côté droit du clavier. Les touches de  commande des totaux 74, 75 et 78 sont des  touches opératrices et servant à mettre la.     ma-          machine    en marche.  



  La présente machine est munie de deux  lignes     -clé    totalisateurs qui sont sélectionnés et  mis en prise avec les entraîneurs de montants,  en utilisant des touches d'une rangée de tou  ches des     transactions    (fi-. 1 et 5) situées  près clés touches de commande des totaux et  numérotées de 79 à 84 inclusivement; toutes  ces touches sont des touches opératrices.

   En  plus des touches opératrices 79 à 84, la rangée  des transactions .comprend aussi une touche   Espacement  85 pour effectuer le mouve  ment d'avancement clé la table portant le  support d'inscription; une touche  Décou-    vert  86 pour déverrouiller la touche  Nou  velle balance  74 quand le     totalisateur    -des  balances .contient un découvert, et une tou  che      Déblocage-déco-Llvert     87 pour     d6ver-          rouiller    les touches      Relevé-découvert     79 et        Relevé-balance     84 quand le     totalisateur    con  tient un montant quelconque.

   Une fois qu'une  ancienne balance est relevée et enregistrée  par la machine, en enfonçant la touche      Re-          levé-découvert     79 ou      Relevé-balance     84, ces  touches sont verrouillées et ne peuvent être  enfoncées avant l'inscription     d'Line    nouvelle  balance, ce qui assure qu'une ancienne ba  lance n'est relevée qu'une seule fois. La tou  che      Déblocage-découvert     87 déverrouille  ces touches au cas où il serait nécessaire d'uti  liser les touches 79 et 84 plus d'une fois. La  touche 81 se rapporte aux:  Dépôts>>.  



  Dans le cas normal, les touches      Relevé-          découvert         79        et     84 ne sont  pas des touches     imprimeuses;    cependant, au  cas où il serait avantageux d'imprimer l'an  cienne balance, une touche  Balance à repor  ter  88, dans la rangée de touches des totaux,  peut être enfoncée en conjonction avec ces  touches pour effectuer l'impression de l'an  cienne balance sur .la ligne  Balance à repor  ter  de .la feuille. Une touche  Rappel  89  est prévue pour la libération de la touche        Balance    à reporter  qui n'est pas libérée  automatiquement à la fin des opérations de  la machine.

   La touche  Espacement  85 est  une touche opératrice, comme les touches 7 9  à 84 des     transactions.     



  A gauche des touches des     transactions    se  trouve une rangée     ëde    touches de symboles  comprenant dix touches 90 pour l'impression  de symboles d'identification à côté des articles  inscrits sous l'influence des touches des trans  actions. Normalement, les touches des symboles  90 ne reviennent pas automatiquement à leur  position de départ; cependant, une touche   Rappel  91 placée en haut de cette rangée  de touches est     prévue    pour la libération de  ces touches.

   La touche de symbole  NC      est     enfoncée en     conjonction    avec la touche  Chè  ques  82 dans des cas où l'on ne désire pas  que l'article qui doit être porté au compte soit      porté en même temps au compteur automa  tique des chèques. Autrement dit, la touche   NC , ce qui signifie      non-compté ,    débraye  le     mécanisme    du compteur automatique des  chèques, tout en     imprimant    en même temps  le     symbole     NC  à côté du débit, ou     @du     chèque, qui n'était pas compté.  



  Les frais mensuels de service sont sous  traits au compte d'un client quelconque en  composant le montant de ces frais sur les  touches de montants 71 et en enfonçant la  touche  Chèques  82. Quand .les frais de ser  vice sont soustraits au compte, une touche de  symbole  SC  90 est     enfoncée    en conjonction  avec la touche  Chèques  82 pour effectuer  l'impression, à côté du montant -des frais de  service de banque, du symbole  SC  ( Charge  de     Service )    et pour débrayer en même temps  le compteur automatique des chèques, de  façon que cet article ne soit pas compté.  



  Toutes les touches de symboles 90,  l'exception des touches  NC  et  SC , sont  simplement des touches     imprimeuses    pour  imprimer des     symboles    d'identification à côté  des articles     correspondants.    Par exemple, la  touche  IN  (Intérêt) effectue l'impression  du symbole      IN     à côté du montant -de l'inté  rêt. La touche      LS     (Liste Symbole) est en  foncée quand -une seule inscription représente  le montant total     d'iuie    liasse de chèques, le  symbole      LS     étant imprimé à côté -de ce  montant.

   Quand le montant total d'une liasse  de chèques est inscrit de cette façon, le nom  bre de chèques     dans    la liasse est composé sur  les touches 52 et 72 du compteur des chèques  pour enregistrer .ce nombre dans les roues du  compteur des chèques. L'enfoncement des  touches 52 et 72 pour .composer le nombre de  chèques dans une liasse débraye le compteur  automatique des chèques.  



  La position occupée par la touche  Rap  pel  91 des touches des symboles     (fig.    1) est  aussi une position automatique servant à im  primer automatiquement le symbole      EC     si  gnifiant  Correction d'erreur . Cette opéra  tion s'effectue en enfonçant la touche  Cor  rection dépôts  80 ou la touche  Correction  chèques  83.    Un levier  Rappel touches  02     (fig.    1), à  l'extrême droite du clavier,     -déverrouille    toutes  les touches à l'exception de celles qui ne re  viennent pas à leur position de départ après  avoir été enfoncées; à savoir les touches des  symboles 90 et la touche  Balance à reporter   88.

   La manière dont les touches de com  mande des totaux 74 à 78 inclusivement con  trôlent la sélection des différents totalisateurs  sera détaillée ci-dessous en connexion avec la  description des     totalisateurs.     



  La manière dont les touches de commande  des totaux 74 à 78     inclusivement    et la plaque  de commande des totaux 73     (fig.    6) contrô  lent l'engagement et le dégagement des deux  lignes de totalisateurs est bien connue.         Rangées   <I>de touches de</I>     montant   <I>et</I>     leurs          mécanismes   <I>différentiels.</I>  



  Les neuf rangées de touches de montant  71 et les dispositifs     différentiels        associés    à ces  touches sont identiques sous tous les rapports  et sont similaires à des mécanismes bien  connus. Vu de la similarité des rangées de  touches de montant, la description de l'une  de ces rangées et du mécanisme différentiel  associé sera suffisante à la     compréhension    de  toutes ces .rangées.  



  La     fig.    4 est une coupe transversale de  la machine prise à droite de l'une des ran  gées de touches de montant, représentant la  rangée .de montant et son mécanisme diffé  rentiel. Cette rangée et ce mécanisme seront  décrits à titre représentatif de toutes les  rangées de touches de montant.  



  Les touches de montant 71 sont portées  par un bâti de touches 93 soutenu par des  tiges 94 et 95 qui passent d'un côté à l'autre  du bâti principal 60 de la machine. L'enfon  cement de l'une quelconque des touches de       montant    71 fait basculer un cliquet d'arrêt à  zéro 06 de cette dénomination particulière  dans le sens     senestrorsum,    le portant hors du  trajet     d'un    croisillon de remise à zéro 97 fou  sur le moyeu     d'un    entraîneur 98 du méca  nisme différentiel .des montants, appuyé sur  et tournant dans un palier 99 se prolongeant  entre deux plaques similaires 100 (dont une      seule est représentée ici),

   les plaques étant  appuyées à leur tour sur des tiges 101 et 102  s'étendant entre     les    deux parties du bâti prin  cipal 60. Il est prévu une paire de plaques  d'appui pour chaque mécanisme différentiel  de montant, et un tirant 103 passe à travers  des ouvertures aux centres des paliers 99 pour  former avec tous les mécanismes différentiels  des montants un ensemble compact.  



  Une encoche dans l'extrémité antérieure  du croisillon 97 est engagée avec un goujon       1.04    de l'extension antérieure d'un levier  coudé 105 pivoté sur une extension de l'en  traîneur 98. Le levier coudé 105 et un autre  levier coudé 106, pivotant     aussi    sur l'exten  sion de l'entraîneur 98, servent. ensemble à  supporter un verrou différentiel 107 suscep  tible d'un déplacement horizontal. Un ressort  108 entraîne les leviers coudés 105 et 106 et  le verrou 107 vers l'arrière, -de façon à main  tenir normalement une extension 109 en forme  de pied de ce verrou en prise avec l'épaule  ment 110 d'un segment d'entraînement du  mécanisme différentiel 111, appuyé et tour  nant sur le moyeu de l'entraîneur 98.

   Une  bielle 112 relie à pivotement le segment d'en  traînement 111 à un levier de came 113 pi  votant sur un goujon 114 porté par la pla  que de gauche 100; ce levier porte aussi des  galets 115 et 116 qui sont en engagement res  pectivement avec les périphéries de deux  cames 117 et 118 fixées sur l'arbre principal  70. L'enfoncement de l'une quelconque des  touches de montant 71 amène l'extrémité infé  rieure de la tige de, cette touche sur le trajet  d'une surface arrondie 119 .d'une extension  du     levier    coudé 105.  



  Au cours des opérations d'addition, l'arbre  principal 70 et les cames 117 et 118 font un  tour clans le sens     dextrorsum,    obligeant ainsi  le levier 113 à faire basculer le segment d'en  traînement<B>111</B> d'abord dans le sens     dextror-          sum    et     ensuite    .de retour à sa position normale  selon la distribution indiquée à la ligne 1 du  graphique de .la     fig.    47.

   Le mouvement dans  le sens     dextrorsum    du segment 111 oblige  l'épaulement 110 du segment, en prise avec  l'extension 109 du verrou 107,à porter le    verrou et l'entraîneur 98 dans le sens     dextror-          sum    jusqu'à ce que la surface arrondie 119  vienne en contact avec la tige de la touche  de montant 71 enfoncée. Ceci fait basculer  les leviers coudés 105 et 106 dans le sens       senestrorsum    pour dégager l'extension 109 de  l'épaulement 110, empêchant ainsi le mouve  ment dans le sens     dextrorsum    de l'entraîneur  98, et positionnant l'entraîneur d'après la  touche de montant 71 enfoncée.

   Le mouve  ment du verrou 107 hors de prise amène une  extension arrondie 120 de ce verrou en prise  avec l'encoche correspondante d'une série  d'encoches 121 dans une plaque 122 montée  entre la tige<B>101</B> et un prolongement vers le  haut de la plaque d'appui de gauche 100.  



  Après le dégagement du verrou 107 de  l'épaulement 110, -une surface arquée 125 du  segment 111 se déplace pour se mettre     vis-          à-vis    de l'extension 109 pour retenir le verrou  en position.  



  Quand le levier 113 a atteint la limite de  son mouvement dans le sens     dextrorsum,    un  galet 126     porté    par ce levier entre en contact  avec     -une    surface arquée 127     d'im    balancier  128 pivoté sur     lui    goujon 129 prévu dans  l'entraîneur 98, et amène une surface concave  de l'arête supérieure de ce balancier en con  tact avec le moyeu de l'entraîneur 98 pour  positionner le balancier ,d'après la touche de  montant enfoncée.  



  Le balancier 128     (fig.    4) possède une en  coche 130 engagée avec un goujon 131 .d'une  bielle 132;     l'extrémité        supérieure    de cette  bielle pivote sur un segment     d'alignement    134  monté sur un tube d'une série de tubes té  lescopiques 135, montés sur un arbre 136     tou-          rillonnédans    le bâti principal 60.     L'extrémité     inférieure de la bielle 132 est articulée à un  segment 137 fou sur un arbre 138 tourillonné  dans le bâti 60. Le     segment    137 porte un gou  jon 139 engagé dans une encoche-came dune  plaque de came 140 du mécanisme d'élimina  tion de l'impression des zéros.

   Cette plaque  pivote sur un goujon 141     d'ion    segment denté  142 monté fou sur un arbre 143 tourillonnant  dans le bâti principal 60.      Les dents du segment 142 sont en prise  avec les     dents    externes d'un engrenage     exté-          rieur-intérieur    144     (fig.    4, 6 et 22).

   Les     dents     internes de cet engrenage sont en prise avec  la périphérie d'un disque 145     fixé    sur un  arbre 146 porté par des supports 147 fixés à  une barre transversale 148 et au bâti de la       machine,    formant un appui     rotatif        pour    cet  engrenage 144. fia barre 148     (fig.    6) est fixée  au bâti principal 60 de la machine.     Les    dents  internes de l'engrenage extérieur-intérieur  144     (fig.    4) sont en prise avec     lui    pignon 149  tournant dans une ouverture pratiquée     dan;.     le disque 145, et fixé à un arbre carré 150.

    Le pignon 149 et l'arbre carré entraînent à  leur tour des pignons 151     (fig.    22) similaires  au pignon 149, qui entraînent des engrenages       extérieur-intérieur    152 correspondant à cette  dénomination. Les     dents    externes de ces en  grenages entraînent .des roues porte-caractères  153, folles sur     1m    arbre 154 soutenu par les  supports 147     (fig.    6). Il est prévu     -une    roue  porte-caractères et un dispositif de commande  pour chacune des colonnes de la feuille dans  laquelle un montant devra être imprimé.  



  La commande des roues porte-caractères  par le moyen d'engrenages     extérieur-inté-          rieur    est bien -connue.    La plaque 140     (fig.    4) possède un gou  jon 155 engagé dans une encoche prévue dans  l'extrémité d'un coulisseau d'entraînement 156  pour la suppression des zéros. Ce     coulisseau.     présente deux encoches parallèles s'engageant  respectivement avec un arbre 157 tourillonné  dans des pièces de support 158 fixées à la  plaque de base 61, et avec une tige 159 sou  tenue par des bras 160 (un seul représenté)  fixés à l'arbre 157.

   Un ressort 161, tendu  entre le segment 137 et la plaque 140, tient  normalement l'extrémité inférieure de     l'en-          coche-came    de la plaque en prise avec le gou  jon 139 de la manière représentée en     fig.    4.  



  Le dispositif de suppression des zéros re  présenté ici est similaire en construction et  en fonction à des mécanismes de suppression  clés zéros bien connus. Une description abrégée  de ce dispositif, tel qu'il est représenté en         fig.    4, suffira donc à la     compréhension    du       fonctionnement    de ce dispositif.  



  Le coulisseau 156 porte un galet 162 qui  s'engage avec la surface arquée 163 d'un bras  de commande 164 fou sur un arbre 165     tou-          rillonné    dans les     supports    158. Le bras 164  est attaché à un moyeu fou sur l'arbre 165,  qui le relie à un bras 167 en prise avec un  goujon 168 du bras 164 pour la dénomination  inférieure. De la même manière, le bras 164  pour la     dénomination    décrite ici porte un  goujon 168 qui s'engage avec le bras 167 de  la dénomination supérieure, et ainsi de suite.

    Le goujon 168 du bras 164 pour la plus haute  dénomination s'engage avec -un bras simi  laire au bras 167 fixé à l'arbre 165, de façon  que cet arbre soit basculé d'abord dans le  sens     dextrorsum    au commencement de l'opé  ration de .la machine, et puis en retour à la  position normale.

   Le mouvement dans le sens       dextrorsum    de l'arbre 165 et du bras 167 de  la     plus    haute dénomination est communiqué  par le goujon 168 au bras 164 de cette plus  haute dénomination, et ainsi de suite à tra  vers toute la série de dénominations, pour  faire basculer enfin le bras 164 représenté ici       .d'abord    dans le     sens        dextrorsum    pour dépla  cer le coulisseau 156 vers l'arrière, ce qui dé  gage l'encoche de ce     coulisseau    du goujon 155  porté par la came 140.  



  Supposons qu'une .des touches de la rangée  de     montants    représentée en     fig.    4 est enfon  cée, ce qui provoque un déplacement vers  l'arrière du coulisseau 156 pour .dégager le  coulisseau du goujon 155. L'entraîneur 98 est  positionné sous l'influence de la touche 71  enfoncée. Le galet 126 s'engage avec la sur  face arquée 127 pour positionner le balancier  128, la bielle 132 et les     segments    134 et 137  en correspondance avec la touche de montants  enfoncée.

   Avant la mise en position du seg  ment 134 de la manière décrite ci-dessus, un  dispositif d'alignement 169     (fig.    4), fixé à       lm    arbre 170     tourillonné    dans le bâti     priii-          cipal    60, est basculé dans le sens     dextrorsuni     pour l'amener hors de prise avec les dents 171  du segment 134; après la     mise    en position de  ce segment sous l'influence du balancier 128,      le dispositif     d'alignement    169 est amené en  prise avec les     dents    171 pour maintenir les  segments 134 et 137 contre tout déplacement.  



  La mise en position du segment 137 amène  une surface arquée 172 de ce segment sur le  trajet d'un galet 173 porté par le bras 164  pour la dénomination en question. Il en ré  sulte que le mouvement de retour en avant  du coulisseau 156 sous l'influence d'un ressort  174 est empêché, et le coulisseau est retenu  dans sa position arrière. Le goujon 168 du  bras 164 pour la dénomination représentée en       fig.    4 empêche le mouvement de retour en  sens     senestrorsum    du bras 164 pour la déno  mination inférieure, et ainsi de suite sur toute  la ligne, pour retenir les coulisseaux 156 pour       1-outes    les dénominations inférieures dans  leurs positions arrière.

   Il en résulte que les  encoches dans .ces coulisseaux sont retenues  hors de     prise    avec les     goujons    155, de sorte  qu'aucun mouvement ne soit communiqué à la  plaque-came 140 quand l'arbre 157 et les bras  160 sont basculés dans le sens     senestrorsum    et  ramenés à la position normale après la mise  en position, de la manière expliquée     ci-,dessus,     des segments 137 sous l'influence des touches  de montant enfoncées.  



  Quand aucune touche 71 n'est enfoncée,  de la rangée de touches de montant repré  sentée en     fig.    4 ou d'une rangée d'une déno  mination supérieure, le segment 137 est posi  tionné à zéro, comme il est représenté ici.  Dans cette position, une partie dégagée de ce  segment se trouve vis-à-vis du galet 173, -de  façon que le ressort 174 puisse ramener le  bras 164 et le     coulisseau    156 vers l'avant,  l'encoche dans l'extrémité du     coulisseau    se  remettant en prise avec le goujon 155, après  quoi l'arbre 157 reçoit un mouvement dans  le sens     senestrorsum,    ainsi que les bras 160  et le     coulisseau    156.

   Le mouvement dans le  sens     senestrorsum    du coulisseau 156 fait bas  culer la     plaque-came    140 du dispositif d'éli  mination de     l'impression    des zéros dans le  sens     dextrorsum,    de sorte que l'encoche de  cette plaque s'engage avec le goujon 139, re  tenu immobile pendant ce temps, pour faire  basculer le segment 172 dans le sens senes-         trorsum    à l'encontre de la tension du ressort  1.61, entraînant l'engrenage 144 dans le sens       dextrorsum    hors de la position de zéro jusque  dans la position suivante, qui est dans ce cas  une position de non-impression.

   Le mouve  ment dans le sens     dextrorsum    de l'engre  nage 144     (fig.    4 et 22) entraîne un mouve  ment analogue des engrenages 152 correspon  dant à cette dénomination, par le moyen des  pignons 149, de l'arbre 150 et des     pignons     151. Les roues porte-caractères sont entraînées  dans le sens     senestrorsum    hors de la position  de zéro représentée en     fig.    22 jusqu'à une po  sition de non-impression, de sorte que les  zéros de la rangée des touches de montant re  présentées en     fig.    4 ne sont pas imprimés. Il  est évident que l'impression des zéros sera  supprimée de manière analogue dans toutes  les dénominations supérieures.

   En d'autres  termes, le mécanisme     d'élimination    de l'im  pression des zéros est actionné quand une  touche 71 est enfoncée dans la rangée 5 des  touches de montant     (fig.    1) pour effectuer  l'impression des zéros dans les quatre déno  minations inférieures et la suppression des  zéros dans les quatre dénominations supé  rieures.  



  Lorsque     l'entraîneur    différentiel 98 des  montants a été mis en position sous l'influence  de la touche de montant 71 enfoncée, de la  manière expliquée ci-dessus, les roues du to  talisateur sélectionné s'engagent avec l'engre  nage     correspondant    des deux engrenages 175  et 176 de l'entraîneur, après quoi le mouve  ment en retour du levier de -came 113 et du       segment    111 amène la surface arquée 125 du  segment au-delà du pied de l'extension 109 du  verrou 107     pour    permettre au verrou,     sous     l'influence du ressort 108, de tomber derrière  l'épaulement 110 pour dégager l'extension  arrondie 120 du verrou de l'encoche 121 de la  plaque 122.

   En même temps, une surface  plus large du segment 111 s'engage avec     nui     goujon 179 de l'entraîneur 98, pour ramener  l'entraîneur en sens     senestrorsum,    en même  temps que<B>le</B> segment, vers la position de  zéro. Ce mouvement     darvs    le sens     senestrorsum     de     l'entraîneur    98 fait tourner les roues du      totalisateur ou     des    totalisateurs engagés, en  proportion de la valeur de la touche de mon  tant 71 enfoncée, pour faire l'addition ou la  soustraction dans le totalisateur ou les     tota-          lisateurs,    du montant représenté par la touche  de montant 71 enfoncée.  



  Si aucune des touches de montant 71  n'est enfoncée, le cliquet d'arrêt à zéro 96  reste dans le trajet du croisillon 97; le mou  vement initial du croisillon et de l'entraîneur  98 oblige le cliquet à s'engager .avec un pro  longement du croisillon, ce qui fait sortir le  verrou 107 de la position de zéro, après quoi  le galet 126 s'engage avec le balancier 128  pour positionner les segments 134 et 137, tan  dis     qu'in    mécanisme associé proportionnel re  met à zéro les roues porte-caractères 153       (fig.    22) de cette rangée de touches de mon  tant.  



  A la fin d'une opération quelconque,     l'en-          traineur    98     (fig.    4) est remis à, la position de  départ de la     manière    indiquée ici; cependant,  la bielle 132, les segments 134 et 137 et le mé  canisme d'impression commandé par ces or  ganes ne sont pas remis à. leur position de  départ;     ils    passent directement à leur nou  velle position pour l'opération suivante de la  machine.

   Le mécanisme conventionnel de  transfert est     prévu    pour transférer les chif  fres des dizaines -des dénominations infé  rieures aux     dénominations    supérieures dans  les opérations d'addition et de     soustraction.     <I>Totalisateurs.</I>  



  Comme on 1'a déjà     expliqué,    la machine  représentée possède deux lignes de totalisa  teurs; à savoir une ligne supérieure dite  N  1, et une ligne arrière dite N  2. Le tota  lisateur N  1 est un totalisateur de balances,  souvent dit      balanceur ;    il comprend deux  séries de roues      plus     180     (fig.    4 et 17) et   moins  181 pour les différentes dénomina  tions. Les roues plus et moins pour chaque  dénomination engrènent les unes avec les       autres,    de sorte qu'elles tournent dans des  sens opposés. Le totalisateur de balances est  monté sur un bâti 183     (fig.    4) susceptible  d'être déplacé, ce bâti étant monté dans le    bâti principal 60.

   Le bâti 183 .du totalisateur  de balances porte un arbre 184     (fig.    4 et 12)  aux extrémités duquel sont fixés des galets 185  qui s'engagent avec des fentes de guidage si  milaires pratiquées dans deux plaques-cames  mobiles 186 (une seule représentée ici)       (fig.    12) fixées respectivement aux deux par  ties de droite et de gauche du bâti principal  60. Des manivelles similaires 187 sont fixées  aux extrémités     opposées    de l'arbre 184; ces  manivelles portent des galets 188 engagés res  pectivement     dans    des encoches similaires 189  pratiquées dans les deux plaques-cames 186.

    La manivelle de droite est articulée à l'une  des extrémités d'une bielle d'engagement 190  dont l'autre extrémité porte     uri    goujon 191  qui s'engage avec un crochet correspondant  d'un croisillon d'engagement 192 tournant sur  un goujon fixe 193.  



  Un mouvement est communiqué au croi  sillon d'engagement 192 par une coulisse d'en  gagement de totalisateur 194; une encoche       dans    une extension antérieure de la coulisse  s'engage avec un goujon 195 d'une     plaque-          came    196 folle sur un goujon fixe 197. La  plaque 196 possède une encoche 198 reliée  par un goujon 199 à une encoche à peu près  verticale 200     prévale    dans l'un des bras d'un  étrier 201 pivotant également sur le goujon  797. Le goujon 199 est monté sur l'extrémité  supérieure d'une bielle 202 dont l'extrémité  inférieure est articulée à une manivelle 203  fixée à un arbre de     désaccouplement    des zéros  204     (fig.    5).

   Un autre bras de l'étrier porte  un goujon 205 qui s'engage avec une     encoche-          came    de la plaque de commande des totaux  73     (fig.    6); cette encoche n'est pas représen  tée ici.  



  La manière dont la plaque de commande  des totaux 73 .commande les     mouvements    de  l'étrier 201, et la manière dont l'arbre de       désaccouplement    des zéros .204 commande la.  manivelle 203 qui amène la coulisse 194 en  prise avec le     eroisillon    192 sont bien connues.  Par conséquent, on ne donnera ici qu'une des  cription générale de ce mécanisme.  



  Une extension vers l'arrière de la cou  lisse 194 est articulée à l'extrémité supé-           rieure    d'un .levier de came 206 fou sur un  goujon fixe 207. Le levier 206     (fig.    12) porte  un galet 208 engagé dans une     rainure-came     209 prévue dans l'une des     faces    d'une came  210 fixée à l'arbre 70.  



  Le déplacement de la bielle 190 pour  effectuer l'engagement du goujon 191 avec le  crochet du croisillon 192 est effectué dans     les     opérations d'addition par des disques de com  mande  mutilés  déjà bien connus; ces dis  ques sont commandés à leur tour par les tou  ches des transactions, tandis que le mouve  ment d'engagement de la bielle est effectué,  en ce qui concerne les opérations d'impres  sion des totaux et des     sous-totaux,    par une en  coche pratiquée dans la plaque de     commande     des totaux 73     (fig.    6) de la manière habi  tuelle.  



  Quand la plaque de commande des totaux  73 est dans la position d'addition, une enco  che 211 de la coulisse 194 se met en prise  avec un goujon 212 du croisillon 192 de la  manière représentée en     fig.    12; quand le gou  jon 191 est en prise avec le crochet du croi  sillon 192, le     levier    206 est entraîné par la  rainure-came 209 pour déplacer la coulisse  vers l'arrière ou vers la droite, selon la dis  tribution indiquée sur la ligne 4 du graphi  clue de la     fig.    47,

   ce qui fait tourner le     croi-          sillon        19'2    dans le sens     dextrorsum.    Ce mou  vement du croisillon fait basculer la mani  velle 187 et l'arbre 184 aussi dans le sens       dextrorsum    sous l'influence de la bielle 190,  de sorte que les galets 188, engagés avec les  encoches 189, déplacent l'arbre 184 et le bâti  183 du totalisateur     (fig.    4) pour amener la  série 180 ou 181 des roues du totalisateur  des balances, selon     ila    série sélectionnée, en  prise avec .les entraîneurs 98.  



  Comme on l'a déjà expliqué, l'engagement  (le la série de roues avec les entraîneurs, dans  les opérations d'addition et de soustraction,  ne s'effectue pas avant que ces entraîneurs  n'aient été mis en position par suite de l'en  foncement d'une touche de montant 71. Le  mouvement de retour dans le sens     senestror-          sum    des entraîneurs fait tourner les roues sé-         lectionnées    en rapport avec les touches de  montant enfoncées, de faon que le montant  composé sur le clavier soit enregistré par ces  roues.

   Après le mouvement en     retour    dans le  sens     senestrorsum    des entraîneurs 98, la came  210     (fig.    12) ramène la coulisse 194 en avant  pour renvoyer le croisillon<B>1.92</B> dans le sens       senestrorsum,    ce qui amène les roues du tota  lisateur des balances hors de prise avec les  entraîneurs 98.  



  Dans l'opération d'impression des     sous-          totaux,    la plaque de commande des totaux 73       (fig.    6 et 12) passe de la position d'addition  à celle de      sous-total     selon la distribution  indiquée à la ligne 3 du graphique de la       fig.    47.

   Ce mouvement de la plaque commu  nique à l'arbre de     désaccouplement    des zéros  204     (fig.    5) un mouvement initial dans le  sens     dextrorsum,    préétablissant ainsi une con  dition dans laquelle     un    mouvement supplé  mentaire dans le sens     dextrorsum        sera    com  muniqué à cet arbre au cours de l'opération  du     sous-total.    Le mouvement initial dans le  sens     dextrorsum    de l'arbre 204 amène le gou  jon 199 vers le bas relativement aux encoches  198 et 200;

   cependant, ce mouvement vers le  bas du goujon est :limité par la partie courbée  de l'encoche 198, de sorte que l'encoche 211  de la coulisse 194 reste en     prise    avec le gou  jon 212 de la manière indiquée ici.  



  Comme il a été expliqué déjà, l'arbre  principal 70 et les cames fixées à cet arbre  reçoivent deux tours     dans    le sens     dextrorsum     au cours des opérations d'impression de to  taux et de     sous-totaux,    et un tour     dans    les  opérations d'addition et de soustraction.

   Pen  dant le premier tour de la came 210, la rai  nure 209 fait basculer le levier 206 dans le  sens     dextrorsum.    pour déplacer la coulisse 194  vers l'arrière, mettant ainsi les roues du to  talisateur sélectionné en prise avec les en  traîneurs de montant avant leur mouvement  initial     dextrorsum;    les entraîneurs sont re  tenus à la position de zéro pendant le pre  mier cycle de l'opération     d'impression    d'un  total ou d'un sous-total. Ce premier cycle       d'impression    est utilisé pour effectuer le dé  placement latéral des lignes de totalisateurs,      afin de sélectionner la série de roues néces  saire pour les opérations de lecture ou de re  mise à zéro, selon le cas.

   Pendant le second  cycle     d'impression,    les     entraîneurs    98, au  cours de leur mouvement initial dans le sens       dextrorsum,    entraînent les roues du totali  sateur sélectionné vers l'arrière jusqu'à ce  que les longues dents de ces roues     fixent    les  roues dans la position zéro pour positionner  les entraîneurs de montant 98 selon le mon  tant enregistré par ces roues.

   Quand les     en-          traîneurs    98 sont en position correspondant  au montant enregistré par le     totalisateur,    le  galet 126     (fig.    4) s'engage avec le balancier  128     pour    amener le segment 137 et le méca  nisme     d'impression    dans la position corres  pondant au montant     accumulé    dans les roues  du totalisateur.  



  Dans l'opération d'impression d'un     sous-          total,    quand la     coulisse    194 a achevé son mou  vement initial vers l'arrière pour mettre les  roues du     totalisateur    sélectionné en prise  avec les entraîneurs de montant, un mouve  ment supplémentaire est communiqué à l'ar  bre 204, de façon que le goujon 199, en con  jonction avec les encoches-cames 198 et 200,       communique    à la plaque 196 un mouvement  dans le sens     dextrorsum    pour dégager l'en  coche 211 du goujon 212,

   de façon que les       roues    du totalisateur sélectionné ne soient pas  dégagées des     entraîneurs    98 au bout du pre  mier cycle     d'opérations.    Au cours de l'opéra  tion     d'impression        d'un    sous-total, l'encoche  211 reste ainsi dégagée du goujon 212 jusque  presque à la     fin    du deuxième .cycle d'opéra  tions.

   Par conséquent, les roues du totalisa  teur sélectionné restent en prise avec les en  traîneurs pendant leur mouvement de retour  dans le sens     senestrorsum    pour remettre ces  roues à leurs positions     primitives.    Après la  remise en position primitive des roues du to  talisateur, c'est-à-dire vers la fin du second  cycle d'opérations, l'arbre 204 est renvoyé  dans le sens     senestrorsum    pour mettre l'en  coche 211 en prise avec le goujon 212, de  sorte que le mouvement de retour vers l'avant  de la coulisse 194, qui se produit vers la fin  du second cycle d'opérations,

       comm-unique    un    mouvement de retour dans le sens     senestrar-          siun    au croisillon 192 pour mettre les roues  du totalisateur sélectionné hors de prise avec  les     entraîneurs    98.  



  Dans les opérations d'impression des to  taux, ou de remise à zéro -des     totalisateurs,    le  déplacement de la plaque de commande des  totaux de sa position d'addition vers sa posi  tion de remise à zéro communique à l'arbre  204 un mouvement initial dans le sens     dex-          trorsum    de manière entièrement analogue aux  opérations d'impression de     sous-totaux.    La  plaque de commande des totaux s'engage avec  le goujon 205 pour faire basculer dans le sens       dextrorsum    l'étrier 201 et la plaque 196.

   La       coulisse    194 est basculée aussi dans le sens       senestrorsum:    par le goujon 195, de sorte que  l'encoche 211 de la plaque est mise hors de  prise avec le goujon 212. Vers la fin du pre  mier cycle de l'opération d'impression des to  taux, et après le déplacement vers L'arrière  de la     coulisse        19-1    sous l'influence de la came  210, un mouvement supplémentaire dans le       sens        dextrorsiun    -de l'arbre 204 oblige le gou  jon 199, en prise avec les     encoches-cames    198  et 200, à faire     basculer    la plaque 196 encore  sur une distance dans le sens     dextrorsum,

       pour engager une encoche 213 de la coulisse  1.94 avec un goujon 214 porté par le croisillon  192. Lorsque l'encoche 213 est en prise avec  le goujon 214, le mouvement de retour du  levier 206 déplace la coulisse 194 vers l'avant  pour donner au croisillon d'engagement     7.9'_'     un mouvement dans le sens     dextrorsum,    de  sorte que les roues du     totalisateur    sélectionné  se mettent en prise avec les entraîneurs 98 à  la fin du premier cycle. Dans le second cycle,  les entraîneurs remettent ces roues à zéro  exactement de la manière indiquée pour les       opérations    de     sous-totalisation    ou de lecture.

    Pendant que les roues du totalisateur sont à  zéro, et avant le mouvement de retour dans  le sens     senestrorsuin    des entraîneurs 98     (fig.    4  et 12), un mouvement initial de la came 210  dans le second .cycle d'opérations déplace la  coulisse 194 vers l'arrière pour communiquer  un mouvement de dégagement dans le sens       senestrorsum    au croisillon 192, ce qui met les      roues du totalisateur sélectionné hors de prise  avec les     entraîneurs    et remet les roues à zéro.  



  Après la remise en position normale du  croisillon 192 par suite d'un tour dans le sens       senestrorsum,    et avant le mouvement de re  tour vers l'avant de la coulisse 194, l'arbre  204 est ramené partiellement en arrière dans  le sens     senestrorsum    pour obliger le goujon  199 à renvoyer la plaque 196 sur une distance       suffisante    dans le     sens        dextrorsum    pour  mettre l'encoche 213 hors de prise avec le  goujon 214.

   Lorsque la     coulisse    194 est dé  gagée ainsi du croisillon d'engagement 192,  la came 210 remet la coulisse vers l'avant à  sa position normale, après quoi le mouvement  de retour de l'étrier 201 et de la plaque 196  clans le sens     senestrorsum    met l'encoche 211  en prise avec le goujon 212 de la manière re  présentée en     fig.    12.  



  Un     cliquet    215     (fig,    12), commandé par  une encoche-came 216 de la plaque 196, s'en  gage avec des encoches 177 et 178 du croisil  lon 192 pendant les opérations d'impression  des totaux et des     sous-totaux,    de sorte que le  croisillon est tenu immobile pendant que la  coulisse 194 est amenée hors de prise avec les  goujons 212 et 214.     Les    roses 180 et 181 du       totalisateur    de balances     (fig.    4) sont main  tenues contre tout déplacement dans leur po  sition de dégagement par un dispositif d'ali  gnement 236 entraîné par des cames 237 (une  seule représentée), fixées à l'arbre 184.  



  La ligne arrière N  2 de totalisateurs       (fig.    4 et 17) possède deux totalisateurs  addition/soustraction, l'un pour l'accumula  tion clé chèques et l'autre pour l'accumulation  de dépôts. Il est nécessaire de prévoir des       totalisateurs    addition/soustraction dans ces  deux cas, vu la nécessité clé prévoir un moyen  clé correction de chèques et de dépôts. Le to  talisateur addition/soustraction pour l'accu  mulation de chèques comprend des roues d'ad  dition 217 et de soustraction 218 engrenées  pour tourner mutuellement dans des sens  opposés :de manière analogue aux roues du  totalisateur de balances N  1 décrit ci-dessus.

    Le totalisateur de     dépôts    comprend des roues       d'addition    219 et de soustraction 220 engre-    nées de la même faon. En dehors des totali  sateurs addition et soustraction, la ligne N  2 .  de totalisateurs comprend     -une    série de roues  d'addition 221 pour l'accumulation de ba  lances     nouvelles    définitives  plus  et une sé  rie de roues d'addition 222 pour l'accumula  tion de nouvelles balances définitives  moins .  



  Dans les opérations de nouvelle balance,  et si le totalisateur . de balances contient un  montant  plus , le côté plus de ce totalisa  teur est remis à zéro et le montant transféré  en même temps aux roues 221; si le totalisa  teur de balances contient un montant négatif,  les roues      moins     181 sont     remises    à zéro et  le montant porté par ces roues est transféré  en même temps aux roues 222 de la ligne de  totalisateurs N  2. Cette ligne de totalisateurs  N  2 est montée dans un bâti mobile 223       (fig.    4, 12 et 14) similaire sous tous les rap  ports au bâti 183 du totalisateur de balances  ce bâti porte un arbre 224 similaire à l'arbre  184 du totalisateur de balances.

   Les deux       extrémités    de cet arbre 224 portent des galets  225     (Lui    seul représenté) qui s'engagent dans  des encoches de guidage pratiquées     dans    des       plaques-cames    226, commandant l'engagement  (lu totalisateur, montées sur le côté intérieur  du bâti principal 60, comme représenté en       fig.    16. Des manivelles d'engagement 227  (une seule représentée) sont fixées aux deux  extrémités de l'arbre 224; chaque manivelle  porte     um    galet 228 engagé dans une     encoche-          came    229 de la plaque 226 correspondante.         Mécanisme   <I>de transfert de totaux.</I>  



  Vu qu'il est avantageux de transférer des  montants du totalisateur de balances aux  deux totalisateurs d'addition de la ligne N  2  pendant les opérations de nouvelle balance, il  est nécessaire de prévoir un moyen autre que  le dispositif d'engagement normal des totali  sateurs, pour contrôler les mouvements d'en  gagement et de dégagement de la ligne N  2  de totalisateurs. Ce mécanisme est représenté  aux fi-. 12 à 16 inclusivement.  



  La manivelle d'engagement 227, montée à  l'extrémité de gauche de l'arbre 224 vu dans  le sens de la     fig.    16, est reliée par un moyeu      230 à un bras 231 présentant â son extrémité  inférieure une entaille 232     (fig.    14), dans  laquelle     un    coussinet 233 est fixé à un goujon  234, ce goujon .étant     fixé    dans     une    plaque  mobile 235 dont une partie fourchue est en  gagée avec     -Lin    moyeu 238 fou sur l'arbre 224       (fig.    13).

   Le goujon 234 passe à. travers la  plaque 235, et son extrémité supérieure porte  un galet 239     qui.    est tenu normalement en  prise avec une entaille     d'une    plaque 240 soli  daire du moyeu 238, par un ressort 1241  maintenu sous tension entre la plaque 235 et  un goujon du bras 231.     L'une    des extrémités  d'une bielle d'engagement 241 pivote sur la  plaque 240;     l'antre    extrémité de cette bielle  porte un goujon aplati 242 en prise avec une  encoche prévue dans une projection en forme  de crochet 243 du croisillon 192     (fig.    12  et 13).  



  La bielle 241 pour la ligne de totalisateurs       N02        est    contrôlée de manière analogue à la  bielle 190 pour la ligne de totalisateurs N  1  dans les opérations d'addition et de soustrac  tion, par des     disques    de sélection, commandés  à leur tour par les touches de transactions.  Dans les opérations d'impression de totaux  et de     sous-totaux,    cette bielle est commandée  par la plaque de commande des totaux 73, de  façon à assurer l'engagement du goujon 242  avec l'encoche dans le crochet 243 du croi  sillon d'engagement 192.

   Dans les conditions  normales, le galet 239 reste en prise avec l'en  coche de la plaque 240 pour relier cette pla  que au bras 231, qui est relié à son tour à la  manivelle 227 et à l'arbre 224; dans ces con  ditions, la ligne N  2 de totalisateurs reçoit  ses mouvements d'engagement et de dégage  ment .par l'intermédiaire du     croisillon    d'en  gagement 192 de manière analogue au mode  d'engagement de     la:    ligne de totalisateurs  N  1.

   Cependant,     dans    les opérations de     nou-          velle        balance,        il        est     que le total  accumulé dans le totalisateur de balances soit  transféré à     l'uui    des totalisateurs d'addition  221 ou 222     (fig.    17.) de la ligne N  2 de tota  lisateurs pendant l'opération de nouvelle ba  lance. Pour transférer ces totaux, on a prévu  un moyen de passer :la commande du mouve-    ment     d'engagement    et de dégagement de la  ligne N  2 de totalisateurs, du croisillon 192  à la .came 210.

   Il en résulte que cette ligne  de totalisateurs est engagée et .dégagée dans  la période d'addition, c'est-à-dire, comme on  le verra en se référant à la ligne 4 du gra  phique de la     fig.    47, dans la période repré  sentée par le calage de la came 210.  



  Le coussinet 233     (fig.    14 et 16) est engagé  avec une entaille en V 244 de l'un des bras  d'un étrier 245 fou sur un goujon 246 fixé  dans la partie de droite du bâti 60. L'autre  bras de l'étrier 245 porte l'extrémité infé  rieure :d'une bielle 247     (fig.    12, 14 et 16) pi  votée sur ce bras. L'extrémité supérieure de  cette bielle pivote sur     l'un    des bras d'un le  vier coudé 248 fou sur un arbre 249 fixé au  bâti principal 60.

   Un ressort 250 entraîne le  levier coudé dans le sens     senestrorsum    pour  mettre -un galet 251 fixé à l'autre bras du  levier coudé en     prise    avec une surface-came  252 de la périphérie de la plaque de com  mande des totaux 73 (voir     aussi    la     fig.    6).  



       Quand,la    plaque de commande des totaux  73 est     dans    toute autre position que celle de  nouvelle balance, le galet 251 est en prise  avec une partie concentrique de la surface  252 (voir la     fig.    12) et maintient la plaque  235 dans sa position normale     (fig.    13) d'en  haut, dans laquelle position le galet 239 est en  prise avec l'entaille de la plaque 240; cette  plaque est commandée par le croisillon 192,  comme on l'a déjà expliqué.

   Quand la     plaque     de commande des totaux se déplace de la po  sition de nouvelle balance, une saillie 253       (fig.    12 et 14) formée sur la     surface-came    252  s'engage avec le galet 251 pour faire bascu  ler .le levier 248 et l'étrier 245 dans le sens       dextrorsum.    Le mouvement     dextrorsum    de  l'étrier 245 déplace le goujon 234 et la plaque  235 vers le bas pour amener le galet 239 hors  de prise avec l'entaille dans la plaque 240, et  pour engager ce galet 239 avec une entaille  en<B>U</B> 290     (fig.    15 et 16) prévue :dans -un bloc  en demi-cercle 254 fixé à l'une des faces d'un  bras d'engagement 255 fou sur l'arbre 224.  



  Le bras 255 est relié par une bielle 256  à une manivelle 257 folle sur la tige 102; cette      manivelle 257 possède une entaille qui s'en  gage avec un goujon 258 d'une autre mani  velle 259 fixée à un moyeu 261 fou sur un  goujon. 260 du bâti 60. Fixé également au  moyeu 261 est un bras 262 présentant une  encoche 263 engagée avec     un    goujon 264 fixé  dans un prolongement du levier de came 206       (fig.    12) ; on se rappellera que ce levier de  came est basculé dans le sens     dextrorsum    et  ramené à la position normale, pendant le  temps d'addition, par la came 210.

   Quand le  levier 206 est dans la position de .départ re  présentée en     fig.    12, une extension 265 du       bras    255 est maintenue en prise avec le gou  jon 246 pour aligner l'encoche en<B>U</B> 290 avec  le galet 239.  



  Le mouvement de la plaque de commande  des totaux 73 à la position de nouvelle ba  lance amène le galet 239 en prise avec l'en  coche 290, après quoi la rotation de la came  210 fait basculer ale levier 206 d'abord dans  le sens     dextrorsum,    pour communiquer un  mouvement dans le sens     senestrorsum    à la.  plaque 255 par le moyen des organes de liai  son représentés aux     fig.    15 et 16.

   Ce mouve  ment dans le sens     senestrorsum    est commu  niqué par le goujon 234 au bras 231., à la ma  nivelle 227 et à l'arbre 224, de sorte que la  série de roues d'addition sélectionnée, sur la  ligne N  2 de totalisateurs, soit amenée en  prise avec les entraîneurs 98 de montant dans  le temps d'addition, pendant que le totalisa  teur de balances est en train d'être mis en  prise avec ces entraîneurs dans le temps de  remise à zéro.

   Lorsque .le montant contenu  dans le totalisateur de balances a été trans  féré à la série de roues 221 ou 222     (fig.    17)  d'addition sélectionnée selon le caractère, po  sitif ou négatif, du montant en question, la  came 210 continue à tourner pour renvoyer  le levier 206 dans le sens     senestrorsum    pour  dégager la ligne N  2 de     totalisateurs.     



  Attendu que l'arbre principal 70     (fig.    12)  et la came 210 reçoivent deux tours au cours  des opérations de nouvelle balance; il est évi  dent que la ligne N  2 de totalisateurs sera  soumise à un mouvement d'engagement et de  dégagement pendant chaque tour de la came    210. Cependant, cela n'empêche en rien l'opé  ration convenable de la machine, parce que  les     entraîneurs    98 restent dans la position  zéro pendant le premier tour de cet arbre 70  et de la came 210.  



  Quand la plaque de commande des totaux  73 quitte la position de nouvelle balance pour  prendre une autre position quelconque, sous  l'influence des touches de commande des to  taux, la saillie 253 sur la     surface-came    252  de cette plaque dégage le galet 251, permet  tant ainsi au ressort 250 de rappeler le le  vier coudé 248 et l'étrier 245     (fig.    12 et 14)  dans le sens     senestrorsum    pour entraîner la  plaque 235 et le goujon 234 vers le haut, dé  gageant ainsi le galet 239 de l'entaille 290,  après quoi le galet se remet en prise avec  l'entaille dans la périphérie de la plaque 240.

    Quand la plaque 235     (fig.    13 et 14) reçoit  un mouvement dans le sens     senestrorsum    sous  l'influence soit de la plaque 240, soit du bras  255     (fig.    15), le goujon 234 et le     coussinet     233 se dégagent de l'entaille en<B>V</B> 244 du bras  de l'étrier     \.345.    Le ressort 1241 empêche la  plaque 235 et le goujon 234 .de se déplacer  quand le goujon est dégagé de l'entaille 244  de l'étrier 245, et ce ressort tient le galet 239  en prise avec l'entaille dans da plaque 240.

    Quand le galet 239 est en prise avec     l'en.-          taille    en<B>U</B> 290 du bras 255, une     surface     arquée 266 de la plaque 240 empêche le galet  de se mettre hors de prise avec l'entaille 290  quand le coussinet 233 est dégagé de l'entaille  en<B>V</B> 244 de l'étrier 245. Un goujon 267       (fig.    13) du bras 231 s'engage avec un épau  lement de la plaque 240 et aide la plaque à  communiquer un mouvement d'engagement à  l'arbre 224 et au bâti de la ligne de totalisa  teurs N  2, et aide également à. retenir la pla  que 240 dans sa position de départ, ou posi  tion normale, représentée ici.  



  Le déplacement latéral -du     totalisateur     N  1, celui des balances, pour mettre le côté  plus ou moins de ce totalisateur en prise avec       les    entraîneurs ide montant, se produit sous l'in  fluence d'une came de transposition 268, repré  sentée     schématiquement    en     fig.    17.     Ledéplace-          ment    latéral de la ligne N  2 de totalisateurs      pour sélectionner le côté plus ou le côté moins  des deux totalisateurs addition/soustraction et  des deux totalisateurs d'addition de cette  ligné N  2 se produit sous la commande d'une  came de transposition 269, représentée sché  matiquement en     fig.    17.

   Les .deux cames 268  et 269 sont maintenues dans un rapport fixe  l'une avec l'autre, et     @la        mise    en position de  ces deux cames est commandée par les touches  de transactions 79 à 84 inclusivement.    <I>Touches de transactions et</I>     mécanisme          différentiel-   <I>associé à ces touches.</I>  



  La manière dont les cames 268 et 269       (fig.    17) sont mises en position par le méca  nisme différentiel     associé    aux touches de.       transactions    est bien     connue.    Une courte  description sera donnée ici de ce mécanisme,  en se référant à la     fig.    5.  



  Toutes les touches de transactions, à  l'exception -des touches  Découvert  86       (fig.    1) et      Déblocage--découvert     87, com  mandent la mise en position du différentiel  de     transactions    représenté en     fig.    5. Toute  fois,     seules    les touches  Dépôts  81,  Correc  tion dépôts  80,  Chèques  82 et  Correction  chèques  83 sont effectives, pendant les opé  rations d'inscription de chèques, pour sélec  tionner leurs côtés correspondants des     deux          totalisateurs        addition/soustraction    de la ligne  de totalisateurs N  2.

   Comme il a été déjà  expliqué, les deux totalisateurs d'addition, de  la ligne N  2, pour     l'accumiÉation    de nou  velles balances positives et négatives, ne vien  nent pas en prise avec les entraîneurs de mon  tant pendant les opérations d'inscription de  chèques, mais seulement pendant les opéra  tions de nouvelle balance pour effectuer  l'accumulation du montant de la nouvelle ba  lance. Le mécanisme différentiel des trans  actions commandé par les touches de trans  actions     sélectionne    les totalisateurs de la ligne  N  2 correspondant aux touches enfoncées, et  sélectionne aussi le côté du totalisateur de  balances à mettre en prise avec les entraî  neurs.

   Ce     mécanisme    différentiel commande  aussi la. mise en position des roues     porte-          caractères    pour imprimer, à côté du montant    inscrit, des caractères indicatifs du genre  d'opération dont il s'agit.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches de transactions, à l'exception des tou  ches 86 et 87     (fig.    5), fait basculer un     cli-          quet    d'arrêt à zéro 271     hors    du trajet de  l'extrémité antérieure d'un croisillon 272 tour  nant sur un moyeu 273 porté par un bras  274 du mécanisme différentiel des trans  actions; ce moyeu 273 tourne sur un goujon  275 qui s'étend entre deux plaques .d'appui  identiques 276 (une seule représentée ici),  montées sur les tiges 101 et 102.  



  L'extrémité antérieure du croisillon 272  possède une encoche à travers laquelle passe  un goujon 277 d'un bras de commande<B>278</B>  d'un verrou pivoté sur le bras 274 du méca  nisme différentiel. Ce bras, en coopération  avec un bras 279 articulé de même manière  au bras 274, permet le mouvement de dépla  cement horizontal d'un verrou 280 du diffé  rentiel des     transactions.    Le verrou 280 pos  sède une projection en forme de pied 281,  cette projection étant maintenue normalement  en prise, par un ressort, avec un épaulement  d'un segment     d'entraînement    282 du diffé  rentiel des transactions, fou sur le goujon  275. Le segment 282 est relié par -une bielle  283 à un levier de came 284 fou sur un gou  jon 285 supporté -par la plaque 276.

   Le le  vier 284 porte des galets 286 et 287 coopérant  respectivement avec     les    périphéries de plaques  cames 288 et 289 fixées à l'arbre principal 70.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches de transactions, à l'exception des tou  ches 86 et 87, porte l'extrémité inférieure de  cette touche sur le trajet     -d'un    prolongement  arrondi 292 du bras-verrou 278; en même  temps, le     cliquet    d'arrêt à zéro 271 est écarté  du     trajet,du    -croisillon 272. L'opération de la       machine    oblige     les    cames 288 et 289 à faire  basculer le levier 284 et le segment d'entraî  nement du différentiel 282 d'abord dans le  sens     .dextrorsum    selon la distribution indi  quée à la ligne 2     (fig.    47).

   L'épaulement du  segment 282, en prise avec la projection 281,  porte le verrou 280 dans le sens     dextrorsum     solidairement avec l'épaulement jusqu'à ce      que le prolongement arrondi 292 s'engage  avec la tige de la touche enfoncée pour faire  basculer le bras 278 dans le sens     senestror-          sum,    dégageant la projection<B>281</B> de l'épau  lement du segment 282 et mettant une exten  sion arrondie 293 de la partie antérieure de  ce verrou 280 en prise avec une entaille cor  respondante 294 d'une plaque d'alignement  295 soutenue par la tige 101 et par les plaques  276. Ces organes déterminent la position du  bras différentiel 274 en correspondance avec  la touche de transactions qui a été enfoncée.

    Continuant son mouvement dans le sens     dex-          trorsum,    le segment 282 oblige     une    surface  arquée, formée sur ce segment, à venir en  prise avec la projection en forme de pied 281  pour verrouiller le verrou 280.  



  Quand le levier 284     (fig.    5) s'approche de  la limite de son mouvement initial     dextror-          sum,    un galet 297 porté parce levier vient en  prise avec une surface arrondie 298 d'un ba  lancier différentiel 299 articulé au bras 274,  pour amener une surface arquée de l'arête  supérieure de ce balancier en contact avec  une partie découpée du moyeu<B>273,</B> de faon  que le balancier soit positionné en rapport  avec la touche de transaction enfoncée.

   Le  balancier 299 porte une fourche en prise avec  un goujon 301 porté par une bielle 302 dont  l'extrémité supérieure est articulée à. un seg  ment 303 fixé à l'un des tubes 135 de .l'arbre  136.     L'extrémité    inférieure de cette bielle est  articulée à un segment 304 fou sur l'arbre  138 et relié par une bielle 305 à un engrenage  306 fixé sur l'arbre 143. L'engrenage 306     est     en prise avec les dents externes d'un engre  nage extérieur/intérieur 307 monté de façon  à pouvoir tourner sur un disque soutenu à  son tour par l'arbre 146. Cet engrenage 307  est fixé à un engrenage annulaire 308 en prise  avec un pignon 309 fixé à un arbre 310     tou-          rillonné    dans les supports 147.

   D'autres pi  gnons 309     (fig.    6) attachés à l'arbre 310 en  traînent d'autres engrenages externes/internes  similaires à     .l'engrenage    307; ces engrenages  positionnent -des     roues    porte-caractères de  transactions; ces roues sont placées de ma  nière à correspondre aux     différentes    colonnes    du support d'inscription sur lequel elles impri  ment des symboles indicatifs de la transaction  dont il s'agit. Un     secteur    denté 311, en prise  avec un engrenage 312 fou sur un goujon 313  fixé dans la base 61, est fixé aussi à l'arbre  143     (fig.    5).

   L'engrenage 312 est en prise  avec un engrenage 314 fixé à un arbre 315  tourillonné dans le bâti d'impression; 'cet  arbre 315 positionne des disques de sélection  qui contrôlent l'opération des marteaux d'im  pression et le déplacement de la table du sup  port d'inscription. Le     mécansime    de ces dis  ques sera décrit     plus    en détail     ci-dessous    à  propos du mécanisme de mise en position de  la table.  



  Le tube 135     (fig.    5), tout en étant en  traîné par le segment 303, est relié à un autre  segment (non représenté)     relié    par une bielle  aux cames 268 et 269     (fig.17)    de mise eu posi  tion des totalisateurs pour effectuer la     mise     en position de ces cames en rapport avec la  touche de transaction     enfoncée.     



  Les chiffres de 0 à 9 inclusivement placés  à côté des lignes horizontales dans les vues  schématiques des     cames    de sélection des tota  lisateurs 268 et 269     (fig.    1 et 17) correspon  dent aux .différentes touches de transactions  et aux positions du différentiel des trans  actions. Par exemple, la position zéro corres  pond à la position automatique indiquée à  zéro.

   Cette position est sélectionnée automati  quement quand le totalisateur des balances  contient un montant négatif, et la touche  Dé  couvert  86 . est utilisée en conjonction avec  la touche  Nouvelle balance  74 pour vider  les totalisateurs de balances, pour imprimer  la nouvelle balance négative et pour transfé  rer cette nouvelle balance négative au totali  sateur de nouvelle balance négative 222       (TNB-).    La neuvième position des cames  268 et 269 est également une position auto  matique, sélectionnée quand le     totalisateur     de balances contient un montant positif;

   dans  ce cas, la touche  Nouvelle balance  74 est  utilisée seule pour vider le totalisateur de ba  lances et pour transférer ce montant positif  en même temps au totalisateur de     nouvelles     balances totales  plus  221     (TNB+)        (fig.17)         dans la     ligne    de totalisateurs N  2. La touche        Relevé-découvert     79 sélectionne aussi la  première position des cames 268 et 269, mais  attendu que cette touche ne communique au  cun mouvement d'embrayage et de débrayage  à la ligne N  2 de totalisateurs, les roues 222  de la nouvelle balance totale  moins  ne sont  pas engagées avec les     entraîneurs    de mon  tants.

   Il en est de même avec la touche      Re-          levé-baïlance     84, qui     sélectionne    la     neuvième     position des cames 268 et 269, mais vu que la  touche      Relevé-balance     ne     communique        pas     de mouvement d'embrayage et de débrayage  à la ligne N  2 de totalisateurs, les roues de la  nouvelle balance totale  plus  ne sont pas  engagées avec les entraîneurs     dfi    montant  quand cette touche est enfoncée.  



  En d'autres termes, il est nécessaire de se       servir    de la touche  Nouvelle balance  74  pour sélectionner l'un ou l'autre des totalisa  teurs de nouvelle balance et pour effectuer  l'engagement et le     _    dégagement de ces totali  sateurs relativement aux entraîneurs de  montant.  



  Lorsque la. touche  Nouvelle balance  74  est enfoncée seule, elle choisit les roues de  nouvelle balance totale  plus  221; quand la  touche  Nouvelle balance  est utilisée en con  jonction avec la touche  Découvert  86, par  exemple quand le totalisateur de     balances    con  tient un découvert, l'action combinée de ces       deux    touches effectue la sélection automati  que des roues -de nouvelle balance totale   moins  222, et ces roues sont soumises à un  mouvement d'engagement et de dégagement  relativement aux     entraîneurs    de montant.  



  Autrement dit, quand le totalisateur de la  nouvelle balance totale      phis     est     sélectionné     par suite de l'enfoncement -de la touche  Nou  velle balance  74, les cames d'engagement 268  et 269 sont mises automatiquement en neu  vième position, c'est-à-dire la position où le  côté  plus  .du totalisateur N  1, ou totalisa  teur de balances, est     vidé;    cette neuvième po  sition sélectionne aussi le totalisateur de nou  velle balance totale  plus  221 pour l'opéra  tion d'addition nécessaire à transférer le mon  tant  plus  du totalisateur de balances au to-         talisateur    de nouvelles balances totales  plus .

    De la même façon,     quand    le totalisateur de  nouvelle balance totale  moins  est sélectionné  en enfonçant la touche  Nouvelle balance   74 et la touche  Découvert  86, les cames de.  sélection 268 et 269 sont remises à zéro; le  côté  moins  du totalisateur de balances est  sélectionné, ce côté est vidé, et en même temps  le totalisateur de nouvelle     balance    totale   moins  est sélectionné pour les opérations  d'addition nécessaires pour transférer le total   moins  du totalisateur de balance au totali  sateur -de nouvelle balance totale  moins .    La touche  Dépôts  81     (fig.    1 et 17) cor  respond à la quatrième position des cames 268  et 269.

   L'enfoncement de cette touche oblige  la came 269 à choisir     @le    côté  plus  du tota  lisateur N  3, ou totalisateur de dépôts       (+3D)    sur la .ligne<B>NI'</B> 2 de totalisateurs.  L'enfoncement de cette touche oblige     aussi    la  came 268 à sélectionner le côté  .plus  du to  talisateur N  1 ou totalisateur de balance, afin  que le montant -du dépôt soit ajouté au mon  tant contenu     dans,ce    totalisateur.  



  Quand la touche  Correction dépôts  80       (fig.    1) est utilisée pour la correction d'une  erreur, .le mécanisme différentiel des trans  actions met les cames 268 et 269 à leur  deuxième position; dans cette position, la  came 269 choisit les roues  moins  du totali  sateur N  3 des dépôts (-3D); ces roues sont  amenées en prise avec les entraîneurs de  montant, et en même temps, la came 268 sé  lectionne les roues  moins  du     totalisateur    de  balance, de façon que le montant du dépôt  soit soustrait des deux totalisateurs.  



  Quand la touche  Chèques  82     (fig.    1)  est utilisée au cours des     opérations        d'inscrip-          tion    de chèques, l'enfoncement de     -cette    touche  met les cames 268 et 269 en sixième position       (fig.    17); dans cette position, la came 269  choisit les roues  plus  du totalisateur de  chèques N  2 (-2C) de la     ligne    N  2 pour  l'accumulation des montants     totauz    des chè  ques; en même temps, la came 268 sélectionne  le côté  moins  du totalisateur de balance  pour y soustraire le montant du chèque.

        Quand il est     nécessaire    de faire une cor  rection dans l'inscription d'un chèque, la  touche.  Correction     chèques     83     (fig.    1) est  employée. Cette touche effectue la mise en  huitième position des cames 268 et 269       (fig.    17). Dans cette position, la came 269 sé  lectionne le côté  moins  218 du totalisateur  de chèques N  2 (-2C) et oblige la came 268  à sélectionner le côté positif du totalisateur  de balances, de façon que le montant du chè  que annulé, qui représente un crédit, soit  porté au totalisateur de chèques<B>N</B>  2 et aussi  au totalisateur de balances.  



  La touche  Espacement  85     (fig.    1) pro  voque la mise en troisième position du méca  nisme différentiel des transactions et des  cames 268 et 269; toutefois, on verra, en se  référant à la     fig.    17, que cette position est une  position     nulle    pour les cames 268 et 269.

   Ce  pendant, ce mouvement du différentiel des  transactions est utilisé pour contrôler     l'espa-          cerrient    de la table du support d'inscription  d'une manière qui sera décrite plus en détail       ci-dessous.    Comme on l'a déjà expliqué, les  touches  Découvert  86 et      Déblocage-décou-          vert     87 sont des touches courtes;     elles    ne po  sitionnent pas le différentiel des trans  actions et ne libèrent pas le cliquet d'arrêt à  zéro pour ce différentiel, de sorte que ce dif  férentiel reste dans la position zéro quand  l'une de ces touches est enfoncée.

           Mécanisme   <I>de la</I>     plaque   <I>de</I> commande  <I>des</I>     totaux.     



  En se référant à la     fig.    6, on se rappellera  que la position normale de     @la    plaque de com  mande des totaux 73 est la position d'addi  tion, c'est-à-dire la position convenable aux  opérations d'addition et de soustraction.  Dans ces opérations, les touches de trans  actions commandent des disques de sélection,  pour amener les différents totalisateurs des       lignes        N 9    1 et 2 en prise avec les entraî  neurs de montants.

   Cependant, dans les opé  rations     .d'impression    de totaux et de     sous-          totaux,    il est     nécessaire    d'utiliser les touches  des totaux 74 à 78 pour sélectionner les diffé  rentes lignes de totalisateurs pour les mouve-         ments    d'engagement et de dégagement. L'em  ploi de la touche  Nouvelle balance,> a été  expliqué en .détail     ci-dessus    à propos des tou  ches de transactions.  



  La touche      Sous-total        Nouvelle    balance>>  75 (fion-. 1) met la plaque de     çommande    des  totaux 73 dans une position de lecture ou de  sous-totalisation du totalisateur des balances.  La     touche         Sous-total    transactions  76 est une  touche non opératrice;

   elle est employée en  conjonction avec k touche  Chèques  82 et  la touche  Dépôts  81 pour sélectionner les  totalisateurs     addition/soustraction    2C et 3D  de la ligne N  2 des totalisateurs     (fig.        1,7),     pour les opérations de lecture ou de     sous-tota-          lisation.    Ladite touche 76 est employée aussi  en conjonction avec les touches      Relevé-ba-          lance     84 et      Relevé-découvert     79     pour    sé  lectionner les totalisateurs .de nouvelle ba  lance totale  plus  et nouvelle balance totale   moins  de la ligne N  2 des     totalisateurs,

       quand il est     avantageux    de lire lesdits totali  sateurs.  



  La touche  Total transactions  77 est  aussi une touche non opératrice; elle est em  ployée en conjonction avec les touches  Chè  ques  82 et  Dépôts  81 pour remettre à  zéro les totalisateurs d'addition/soustraction  2C et 3D, et aussi, en conjonction avec les  touches      Relevé-bajlance     84 et      Relevé-dé-          couvert     79, pour remettre à zéro les totalisa  teurs de la nouvelle balance totale.  plus  et  .de la nouvelle balance totale  moins  de la  ligne N  2 des totalisateurs.

   La touche  Total  ancien solde  78 est une touche opératrice  servant à remettre à zéro le totalisateur N  1,  celui des balances, à la fin d'une série d'opé  rations de report de     balances.    Sous ce rap  port, ladite touche fonctionne d'une manière  analogue à la touche  Nouvelle balance  74,  sauf que ladite touche 78 ne provoque pas la  sélection des     totalisateurs    de la nouvelle ba  lance      plus /nouvelle    balance  moins  pour  les opérations de     transfert    de     totaux,    comme  le fait la touche  Nouvelle balance  74.  



  On se rappellera que la touche  Balance  à reporter  88     (fig.    1) n'est point une touche  opératrice et ne commande pas la mise en po-           sition    de la plaque -de     commande    des totaux  73 (fi-. 6). Elle est employée en conjonction  avec les touches      Relevé-balance     84 et      Re-          levé-découvert     79     pour        effectuer    l'impres  sion     sous    l'en-tête  Solde à     nouveau ,    du       montant    de l'ancienne balance.  



  On se rappellera que da manière dont. la  touche  Nouvelle balance  74 oblige le tota  lisateur de nouvelles balances. totales positives  221     (TNB+)        (fig.    17) ou le totalisateur  des     nouvelles    balances totales négatives 222       (TNB-)    à se mettre en prise avec les     entraî-          nelirs    de montant pendant le temps -d'addi  tion au .cours des opérations de nouvelle ba  lance a. été     expliquée    précédemment par       rapport    au mécanisme des     fig.    12 à 17 inclu  sivement.  



  En dehors de la sélection des totalisateurs  pour les opérations d'addition, de lecture et  de remise à zéro, la     mise    en position de la  plaque de commande -des totaux 73, sous l'in  fluence des touches des totaux 74 à 78 inclu  sivement, moyennant le mécanisme repré  senté en     fig.    6, commande la mise en position  des roues porte-caractères des totaux corres  pondant à ces touches, pour l'impression des  symboles d'identification à côté des totaux et  des sous-totaux.  



  La plaque de commande des totaux 73       (fig.    6) est reliée par une bielle 316 à un  levier coudé 317     fixé    sur l'arbre 138; ce levier  coudé 317 est relié aussi par une bielle 318 à  un engrenage 319 fou sur l'arbre 143. L'en  grenage 319 est en prise avec     1u    engrenage       extérieur/intérieur    320 soutenu, de manière à  pouvoir tourner, par un disque sur l'arbre  146, d'une manière entièrement conforme à  l'engrenage 144 pour la rangée des montants  représentés à la.     fig.    4.

   Un engrenage annu  laire 321, solidaire de l'engrenage 320, se met  en prise avec     un.    pignon 322     fixé    à     um    arbre  323     tourillonné    dans les supports 7.47. Les  dents externes de l'engrenage 320 entrent en       prise    avec une roue porte-caractères des     to-          taux_    et     sous-totaux    324, faisant     tourner    cette  roue     qai    est folle sur l'arbre 154.

   L'arbre  323, en coopération avec des pignons simi  laires     atï    pignon 322, et avec des engrenages    similaires aux engrenages 321 et 320, met des  autres roues porte-caractères des totaux et.       sous-totaux    en position, en rapport avec la  position de la plaque de commande des totaux  73, pour effectuer l'impression de caractères       d'identification    dans les diverses colonnes de  la     feuille.     



  Fixé sur l'arbre 138     (fig.    6) est un secteur  denté 325 en prise avec un engrenage 326 fou  sur le goujon 313; cet engrenage 326 s'engage  à son tour avec un engrenage 327 fou sui  l'arbre 315. L'engrenage 327 est     fixé    à un  engrenage 328 en prise avec un engrenage  329 fixé sur un arbre 330     (fig.    4) tourillonné  dans le bâti d'impression.

   Le mécanisme qu'on  vient de décrire communique la     mise    en posi  tion de la plaque de commande des     totaux    73  à l'arbre 330 et met les disques de sélection,  fous sur l'arbre 315, en position .conformé  ment à la position de la plaque de commande  des totaux, de façon que les     disques        puissent     contrôler les organes d'impression et d'avan  cement de la feuille 'une manière     quii    sera  décrite en détail ci-après.  



  Les engrenages externes/internes fixés à  l'arbre 146     (fig.    4, 5 et 6) et les roues     porte-          caractères    positionnées par ces engrenages  sont maintenus contre tout déplacement par  un dispositif d'alignement 331 fixé à un arbre  332 tourillonné dans les supports 147, et le  dispositif habituel est prévu pour mettre  hors de prise ce     dispositif    d'alignement 331  pendant la mise en position de ces engre  nages     externes/internes.     



       Mécanisme   <I>de la table du</I>     support          d'inscription,.     Une table mobile 335     (fig.    19 et 48) est  prévue à la partie antérieure de la machine  pour porter le support d'inscription 343 ou  344     (fig.    2 et 3) aux organes d'impression.  La table est susceptible d'être positionnée à  fume quelconque de 39 positions .de ligne,  c'est-à-dire au nombre de lignes de la feuille  relevé talon 343 et 344.

   La ligne appropriée à  l'impression du premier     article    au cours d'une  opération     -d'inscription    est sélectionnée tou  jours en enfonçant     tune    des touches cherche-      ligne convenables, après quoi la     mise    en po  sition de la table est entièrement automatique  et n'exige pas l'intervention de l'opérateur.  Dans le cas de l'inscription d'un compte,  l'opération finale     est    toujours une opération  (Je nouvelle     balance,    au cours de laquelle la  table est libérée automatiquement pour re  venir à sa position primitive, où la feuille  peut être enlevée de la machine.

           Quand.    la première inscription est faite à  la trente-neuvième et dernière ligne, la table  est libérée automatiquement et remise à sa po  sition originale. S'il est nécessaire de faire  des inscriptions subséquentes à cette ligne, il  faut abaisser les touches     cherche-ligne     39   pour effectuer la sélection de ladite ligne  pour chaque article ainsi inscrit, vu que la  table se met automatiquement à la position  primitive après     d'inscription    de chaque article.  



  Quand il est question d'une  opération  d'inscription , il s'entend que ladite opéra  tion comprend plusieurs opérations de la ma  chine, au cours desquelles l'ancienne balance  est relevée, les     débits    sont soustraits à ladite  balance, les crédits y sont ajoutés, et une opé  ration de remise à zéro est faite pour établir  une nouvelle balance.    On fera maintenant une description de  détail du mécanisme de la table de support  de la feuille et des     .mécanismes    associés.    La table 335 est placée convenablement à  l'avant de la machine     (fig.    1.9, 20 et 48).

   La  dite table est portée par des rails 336 et 337,  de façon qu'elle puisse se déplacer latérale  ment sur les     rails    et entre des galets supé  rieurs 338 et inférieurs 339 montés sur les  bâtis d'impression 62 et 63. Les arêtes oppo  sées des rails 336 et 337 s'engagent sans jeu  dans les bâtis 62 et 63 pour empêcher tout  mouvement latéral excessif de la table 335.  La table 335 possède trois ouvertures 340, 341  et 342     (fig.    19 et 22), de sorte que les mar  teaux d'impression, au cours de leur mouve  ment d'impression, puissent porter la feuille  et le ruban encreur en contact avec les roues  porte-caractères pour effectuer l'impression  des divers articles sur la feuille.    <I>Dispositif de mise en position et de</I>     retenue     <I>de la feuille.</I>  



  Les feuilles 343 et 344, représentées res  pectivement aux     fig.    2 et 3, sont placées sur  la table 335 entre des barres de guidage 345  et 346 aux     deux    côtés de la table     (fig.    19 et  48); les feuilles sont poussées vers l'arrière  ou vers le haut,     comme    montré à la     fig.    19,  jusqu'à ce qu'elles viennent en prise avec un  certain nombre de butées d'arrêt 347 fixées  à la table 335.  



  Au cours du mouvement du bord supé  rieur .de la feuille en prise avec les butées  d'arrêt 347     (fig.    19, 20 et 21), ce bord supé  rieur passe entre deux blocs de pression 348  et 349 portés par des bras de     pression    350 et  351, dont chacun possède     -deux    bras coudés  fixés lâchement à un arbre<B>352</B> tournant dans  deux supports 353 et 354 fixés à la face  supérieure de la table 335. Deux bras d'en  traînement 357 et 358 des blocs de pression,  fixés aux extrémités opposées de l'arbre 352,  sont reliés     élastiquement    à leurs -bras de pres  sion respectifs 350 et 351 par des ressorts de  torsion 359 et 360 maintenus sous tension entre  des goujons des bras 357 et 358 et les bras  350 et 351.

   En se référant aux     fig.    20 et 21.,  la première étant une projection de profil  vue du côté gauche de la machine et l'autre  mie projection de profil vue du côté droit de  la machine, on verra que les ressorts 359 et  360 obligent leurs bras respectifs 350 et 351 à  se mettre en prise avec la surface supérieure  des bras     d'entrainement    357 et 358. Des fentes  sont pratiquées dans la table 335 pour admet  tre les bras 350, 351, 357 et 358.  



  Un bras 361, attaché de même à l'arbre  352     (fig.    19 et 21), se prolonge à travers     tune     ouverture 362 de la table 335. Ce bras est en  traîné dans le sens     .dextrorsum    par un res  sort de torsion 363 maintenu sous tension  entre le bras et la table, de façon qu'un galet  364 porté par le bras soit maintenu normale  ment en contact avec l'une des     extrémités     d'un levier 365.

   Le levier 365 est     pivoté    sur  un goujon 366 d'une plaque 367 formant une  partie du bâti d'impression, et ce levier est           entrainé        dans    le     sens        senestrorsum    par un       ressort    368, pour maintenir normalement un  galet 369 porté par le     levier    en prise avec  la périphérie d'une plaque-came 370 fixée sur  un arbre 371 tourillonné dans le bâti d'im  pression. L'arbre 371 est     entraîné    sur un tour  dans le sens     dextrorsum    par un cycle d'opé  ration de la machine, .d'une manière qui sera  décrite en détail ci-après.

   On verra que,  quand la table 335 est dans la position de dé  part, représentée en     fig.    21, le galet 364 est  en contact avec un épaulement formé sur la  plaque 367, et qui sert à verrouiller la table  dans sa position de départ. Le mouvement  initial de la came 370 fait basculer le levier  365 dans le sens     dextrorsiun        pour    faire bas  culer le bras 361 et l'arbre 352 dans le     sens          senestrorsum    à l'encontre de l'action du res  sort 363,

   et ce mouvement dans le sens se  nestrorsum est communiqué par les bras 357  et 358 et par     les    ressorts 359 et 3606 aux bras  de pression 350 et 351 pour obliger les blocs  de pression 348 et 349 à presser     élastiquement     la     feuille    de relevé de     compte-343    en contact  avec la surface supérieure de la table 335, de  manière à maintenir la feuille contre tout  déplacement de sa position convenable.  



  Comme il a été expliqué ci-dessus, la po  sition de départ de la table est la position  convenable pour     l'impression    du solde à nou  veau     (fig.    2 et 3) sur la ligne prévue à cette  fin immédiatement au-dessus de la première  ligne de la     feuille.    Pour cette raison, les       blocs    de pression 348 et 349, commandés par  la came 370 et le levier 365, retiennent cette       feuille    pendant l'inscription du solde à nou  veau.

   Un mouvement dans le sens     senestror-          sum    du bras 361     (fig.    21) sous la commande  du levier-came 365, porte le galet 364 hors de  prise avec .l'épaulement de la plaque 367 pour  l'aligner à la surface horizontale 372 de la  partie supérieure de ladite plaque 367. Quand  ladite table 335 est déplacée vers l'arrière de  la position de départ, sous l'influence du dis  positif de mise en place de la table, décrit  en détail ci-après, le galet 364 est porté sur  la surface horizontale 372 pour retenir les  blocs de pression 348 et 349 en prise avec la         feuille    quand ladite table 335 est déplacée à  l'une quelconque de ses 39 différentes posi  tions de ligne.

   A la fin de l'opération de  nouvelle balance et de certaines autres opé  rations, la table est ramenée vers l'avant à la  position de départ, pendant que le ressort  363     (fig.    19 et 21) entraîne le bras 361 et  l'arbre 352 dans le sens     dextrorsum,    ce qui  oblige le galet 364 à revenir en contact avec  l'épaulement contigu à la surface 372 pour  dégager les blocs de pression 348 et 349 et  pour verrouiller la table 335 à la position de  départ.         Mécanisme   <I>de</I>     commande   <I>de la table.</I>  En se référant aux     fig.    19 et 20, l'on cons  tatera une série d'orifices     rectangulaires    373  et 374 pratiqués près de chacun des bords de  la table 335.

   Lesdits orifices sont de gran  deur et d'espacement égaux, de sorte que les  pleins entre les orifices forment, pour ainsi  dire, des dents de crémaillère qui sont enga  gées respectivement avec des engrenages simi  laires 375 et 376 montés sur un arbre 377       tourillonné    dans le bâti d'impression. De la  même manière, les dents de crémaillère for  mées par les orifices 373 et 374 sont engagées  respectivement avec des engrenages similaires  378 et 379 montés respectivement sur l'une  des extrémités de manchons 380 et 382, sup  portés de façon à pouvoir tourner par des  goujons 383 et 384 fixés respectivement dans  les bâtis 62 et 63.

   L'engrenage 378     (fig.    19)  porte un goujon 385, qui est engagé par l'une  des     extrémités    d'un ressort à boudin 386 en  roulé de manière lâche autour de la circon  férence du manchon 380, l'autre extrémité  .dudit     ressort    étant aménagée de telle sorte  qu'elle s'engage avec un goujon d'une pla  que 388 folle sur le manchon 380. La pla  que 388 forme le pivot d'un cliquet 389,  entraîné     dans    le     sens        senestrorsum    pour  venir en prise avec     les    dents d'un rochet 391  fixé sur le goujon 383.

   Des organes analo  gues, à savoir un ressort 392, une plaque 393,  un cliquet 394 et un rochet 395 sont prévus  pour .l'engrenage 379     (fig.    19 et 20).      Les mécanismes dont on vient de donner  la description constituent un dispositif à com  mande par ressort pour entraîner la table 335  constamment vers l'avant, ledit dispositif ser  vant aussi à ramener ladite table à la posi  tion de départ de l'une     quelconque    de ses 39  positions de ligne.

   Les rochets 391 et 395, en  coopération avec leurs cliquets 389 et 394 et  leurs plaques respectives 388 et 393, forment  un moyen d'enroulement ou de     tension    des  ressorts 386 et 392 pour assurer que la table       Q35    soit ramenée convenablement à sa posi  tion de départ après avoir été libérée de l'une  quelconque de ses positions de     ligne.    Il est  évident que les ressorts 386 et 392 sont aussi  utiles pour maintenir la table à la position de  départ.  



  *<I>Indicateur de</I>     la   <I>table.</I>  



  Uri indicateur est prévu pour donner une  indication visuelle du numéro de la ligne à  laquelle la table 335 a été positionnée. Ce  mécanisme comprend un engrenage 396       (fig.    20 et 46) en prise avec et entraîné par  l'engrenage 379, ledit engrenage 396 étant  fixé à l'une des extrémités d'un arbre court  397 tourillonné dans un coussinet 398 fixé  dans le bâti 63. Fixé à l'autre extrémité de  l'arbre 397 est un disque 399 fixé à son tour  à la face d'un tambour 400 formant -un indi  cateur. La partie bridée du tambour 400  porte, gravées à sa circonférence, les lettres        BF     et     les    numéros de 1 à 39 correspondant  aux différentes positions de ligne de la, table  335 et de la feuille.

   Les lettres      BF     et les  numéros sont visibles à travers une ouverture  d'un couvercle     (fig.    48) fixé au bâti d'im  pression. Quand la table 335 est dans la posi  tion de départ, comme elle est représentée en       fig.    46, les lettres      BF     signifiant  Balance  à reporter  sont visibles à travers l'ouverture  du couvercle.  



  Un arbre de commande auxiliaire 402 de  la table est aligné avec l'axe de l'arbre 377       (fig.    19 et 46) nommé ci-après l'arbre de com  mande principal de la table 335. Ledit arbre  auxiliaire 402 est     tourïllonné    dans     les    bâtis 63  et 64, et la mise en position de cet. arbre       auxiliaire    est commandée par les touches         cherche-ligne,    d'une manière qui sera décrite  ci-après.

   Fixé à l'engrenage 376, lequel est  fixé à l'arbre 377, comme on l'a expliqué pré  cédemment, est un engrenage 403 et un engre  nage conique 404, ce dernier étant relié par  deux pignons 405 à un engrenage conique 406  attaché à son tour à un disque de     mise    en  position 407 pivotant avec l'engrenage 406  sur l'arbre 402. Les pignons 405     tournent    sur  un goujon 408 monté     dans    l'arbre de com  mande auxiliaire 402. Les engrenages iden  tiques 404 et 406 et leurs pignons d'accouple  ment 405 forment un engrenage planétaire ou  différentiel     pour    l'accouplement de l'arbre de  commande auxiliaire 402 avec l'arbre prin  cipal<B>377.</B>  



  Un engrenage 409 solidaire d'un engre  nage conique 410 est monté fou sur l'arbre  402     (fig.    25B, 26B, 27B et 46). Ledit engre  nage conique 410 est relié, au moyen d'un  pignon conique 411 fou sur un goujon 412  fixé dans l'arbre 402,à un engrenage conique  413 fixé à un engrenage 414 fou sur l'arbre  402.

   Le mécanisme .différentiel comprenant  les engrenages coniques identiques 410 et 413  et leur pignon d'accouplement 411 forme un  dispositif .de transmission de la valeur des  touches     cherche-ligne        enfoncées    à l'arbre       auxiliaire    402, et la     mise    en position     dudit     arbre auxiliaire est     communiquée    par le mé  canisme     différentiel,    à savoir les     engrenages     404, 405 et 406, à l'arbre principal 377, pour  la. mise en place de la. table 335 proportion  nellement à la     valeur    des touches cherche  ligne enfoncées.  



       Coulisseaux        complémentaires        pour   <I>les touches</I>       cherche-ligne.     L'engrenage 414     (fig.        25A,    25B,     27A    et  27B) engrène avec les dents d'une crémail  lère prévue sur le bord supérieur d'un     cou-          lisseau    principal 417 glissant horizontalement  au moyen d'une surface plate 418 à sa partie  inférieure en coopération avec une tige 419  appuyée sur les bâtis 63 et 64 et au moyen  d'une entaille horizontale 420 prévue dans la  partie antérieure dudit coulisseau,

   coopérant  avec     une    tige 421 appuyée de même aux bâtis      63 -et 64. Une plaque 422 portant des dents  de crémaillère- est fixée au coulisseau 417; les  dites dents de crémaillère sont engagées avec  un     pignon    423 qui engrène aussi avec des  dents d'une plaque similaire 424 fixée à un  coulisseau     auxiliaire    425 monté à côté du     cou-          lisseau    principal 417 et susceptible d'un glis  sement latéral au moyen     d'une    surface plate  de sa partie inférieure en coopération avec la  tige 419 et au moyen     d'une    entaille similaire à  l'entaille 420 coopérant avec la tige 421.

   Le  pignon 423 est monté sur un goujon 426 qui  se prolonge à travers des encoches parallèles  427 dans les coulisseaux 417 et 425, et les  extrémités opposées dudit     goujon    426 s'enga  gent avec des encoches similaires dans des  bras similaires 428 et 429 qui enfourchent les  coulisseaux 417 et 425, lesdits bras étant liés  ensemble par un moyeu 430 fou sur une tige  431 appuyée sur les bâtis 63 et 64.  



  Une manivelle 432 est fixée au moyeu 430       (fig.        25A,    25B,     27A    et     27B).    Ladite manivelle  est     fixée    avec les bras 428 et 429 et, en co  opération avec ledit bras 429, elle soutient mi  goujon 433 fou sur     un        coulisseau    434 glissant  dans une fente 435 d'une bielle 436 articulée  à     im    levier-came 437 fou sur une tige 438  appuyée sur le bâti d'impression. Des galets  439 et 440, montés sur le levier-came 437,  s'engagent respectivement avec les périphéries  de plateaux-cames 441 et 442 fixés à l'arbre  à cames 371 du mécanisme d'impression.

   Des  ressorts de compression 443 et 444 tendus  entre le coulisseau 434 et les extrémités de la  fente 435 forment une connexion d'amortis  sement entre le goujon 433 et la bielle 436.  Les coulisseaux 417 et 425 respectivement  possèdent des plaques     amovibles    445 et 4.46  avec des gradins 447 et 44.8, qui s'engagent  avec les parties     inférieures    des tiges de neuf  touches cherche-ligne des unités 449     (fig.        25A,     28, 29 et 30) montées .dans un cadre     450-sou-          tenu    par des tiges 451 et 479 appuyées sur  le bâti d'impression.  



  Quand l'une quelconque des touches cher  che-ligne 449 des unités est enfoncée, le mou  vement dans le sens     dextrorsum    - de l'arbre  371 et des cames 441 et 442 au cours des    opérations de la machine oblige le     levier    437  à déplacer la bielle 436, la manivelle 432 et  les bras 428 et 429 vers l'avant ou dans le  sens     dextrorsum    selon la distribution indiquée  sur la ligne 12 du graphique     (fig.    47).

   Le pi  gnon d'accouplement 423 des     coulisseaux    417  et 425 se déplace vers l'avant solidairement  avec les bras 428 et 429, tout en emportant  lesdits coulisseaux 417 et 425 jusqu'à. ce que  les gradins 447 ou 448, correspondant à la  touche     des    unités enfoncée 449, viennent en  contact avec l'extrémité de la touche enfoncée.  L'autre coulisseau se déplace indépendam  ment du coulisseau qui a été déjà mis en po  sition jusqu'à ce que les deux     coulisseaux     soient mis en position proportionnellement à  la touche cherche-ligne enfoncée. Ce mouve  ment des coulisseaux 417 et 425, sous l'in  fluence des bras 428 et 429 et du pignon 423,  constitue ce qu'on appelle  l'action des coulis  seaux complémentaires .

      Le mouvement complémentaire de deux  organes accouplés de cette façon est bien  connu. Tandis que le mouvement combiné des  organes accouplés est le même, le mouvement  de l'un     .desdits    membres est susceptible de  varier par rapport an mouvement de l'autre;  c'est cette variation dont on se sert pour com  muniquer la valeur des touches cherche-ligne  enfoncées à la table 335.

      Le mouvement du coulisseau 417 au  moyen des dents de crémaillère portées par  ledit     coulisseau    en prise avec l'engrenage 414       (fig.    25B et 46), par le mécanisme différen  tiel qui comprend les engrenages coniques 410  et 413 et -leur     pignon    d'accouplement 411, et  en coopération avec les     coulisseaux    complé  mentaires des touches cherche-ligne des di  zaines, provoque la     mise    en position de l'arbre  402 proportionnellement aux touches     cherche-          ligne    enfoncées.  



  Pour expliquer convenablement le fonc  tionnement des     coulisseaux        complémentaires     pour la mise en position de la table 335 pro  portionnellement aux touches     cherche-ligne     enfoncées, il est nécessaire de passer à une  description des coulisseaux complémentaires      pour les touches des     dizaines,    représentées au  mieux aux fin.<B>26-11,</B> 26B,     27A    et 27B.  



  Le     mécanisme    des touches cherche-ligne  des dizaines comprend un coulisseau princi  pal 452 et un coulisseau auxiliaire 453 montés  de manière à permettre un mouvement hori  zontal, exactement de la. même manière que  les     coulisseaux    417 et 425 pour les touches  des unités, au moyen de surfaces plates à la  partie inférieure     desdits        coulisseaux    452 et  453 en coopération avec la tige 419 et au  moyen de fentes horizontales 454 aux extré  mités antérieures     desdits        coulisseaux    en co  opération avec la tige 421.

   Les     coulisseaux     452 et 453, respectivement, portent des pla  ques 455 et 456     munies    de dents de     crémail-          ière    opposées engagées avec un pignon 457  formant un moyen d'accouplement desdits       coulisseaux    452 et 453. Le pignon 457 est  monté sur un goujon 458 qui se prolonge à  travers des fentes 459 des     coulisseaux    452 et  9.53, et ledit goujon se prolonge également à  travers des fentes similaires de bras 460 et  461, reliés par un moyeu 462 fou sur la tige  431. Une manivelle 463 est     fixée    au moyeu  462 en     rapport    fixe avec les bras 460 et 461.

    Ladite manivelle, en coopération avec le bras  461, soutient un goujon 464 en prise lâche  avec un bloc 465 libre     dans    une fente 466 à  l'extrémité antérieure d'une bielle 467 dont  l'extrémité arrière est articulée à un     levier     de came 468 fou sur la tige 438. Le levier de  came 468 porte des galets 469 et 470 qui s'en  gagent respectivement avec les périphéries de  cames 471 et 472 fixées à l'arbre à cames 371  du mécanisme d'impression.    Des     ressorts    de compression 4721 et 4731,  comprimés entre le bloc 465 et les extrémités  de la fente 466, établissent une connexion  d'amortissement entre ce bloc et la bielle 467.

    Les     coulisseaux    452 et 453     (fig.        26A    et 26B)  portent des plaques amovibles 473 et 474 mu  nies respectivement de gradins 475 et 476 qui  s'engagent avec les extrémités inférieures de  trois touches     cherche-ligne    477 des dizaines,  montées dans un bâti 478 soutenu par les  tiges 451 et 479.         L'enfoncement    d'une touche     cherche-ligne     des dizaines 477 déplace     l'extrémité    inférieure  de la tige de cette touche, qui vient sur le  trajet des     gradins    correspondants 475 et 4'76  des     coulisseaux    452 et 453.

   La rotation de  l'arbre 371 et des     cames    471 et 472 pendant  l'opération de la. machine fait basculer le le  vier de came 468 dans le sens     senestrorsum     pour     entraîner    vers l'avant la. bielle 467, la       manivelle    463, les bras 461 et 460 et le pignon  457.

   Ce mouvement vers     :l'avant    du pignon  457 entraîne les     coulisseau    452 et 453 soli  daires du pignon, exactement de la manière  que l'on a déjà décrite pour les     coulisseaux     des     unités    417 et 425, jusqu'à ce que les gra  dins de ces     coulisseaux        viennent.    en .contact  avec la touche enfoncée, ce qui met les cou  lisseaux     dans    des positions     proportionnelles.     



  La mise en position     différentielle    du     cou-          lisseau    principal 452 sous     l'influence    des tou  ches cherche-ligne des dizaines 477 est trans  mise, par les dents de crémaillère prévues à  l'arête supérieure de ce     coulisseau,    à l'engre  nage 409     (fig.        26A,    26B et 46) et à l'arbre       auxiliaire    402;

   il en résulte que cet arbre est  positionné en proportion de la touche cher  che-ligne des     dizaines    477 qui a été     enfoncée.     Après     l'impression    et vers la fin de l'opéra  tion de la. machine, les     coulisseaux    des     unités     417 et 425 et des dizaines 452 et 453 sont ra  menés à zéro, position à laquelle     ils    sont re  présentés aux     fig.    25<B>-A</B>, 25B,     26A    et<B>2613.</B>  



  Au cas où aucune des touches     cherche-          ligne    des unités 449     (fig.        25A    et     25B)    ne se  rait enfoncée, un cliquet d'arrêt à zéro 481.,  fou sur la tige 421, coopérant avec un goujon  482 sur le coulisseau principal 417, retient ce  coulisseau à la position zéro. Il en résulte que  l'opération de la bielle 436 communique un  mouvement complet au coulisseau auxiliaire  425 pendant que le     coulisseau    principal 417  reste stationnaire, de sorte qu'aucun mouve  ment n'est communiqué à l'engrenage 414 ni  à l'arbre 402.

   Si aucune touche     cherche-ligne     des dizaines 477 n'est enfoncée     (fig.        26A    et       26B),    un cliquet d'arrêt à zéro 483 pour ces  touches, en coopération avec un goujon 484  dans le     coulisseau    principal 452, retient ce      coulisseau à la position zéro;

   il en résulte que  le mouvement complet vers l'avant de la bielle  467 provoqué par l'opération de la machine  est     communiqué    au     coulisseau        auxiliaire    453,  tandis que le     coulisseau    principal 452 reste  stationnaire, de sorte qu'aucun mouvement  n'est     communiqué    à l'engrenage 409 ni à l'ar  bre     auxiliaire        d'entraînement    402.

   L'enfonce  ment de l'une quelconque des touches des  unités 449 fait basculer le cliquet d'arrêt à zéro  481 hors de prise avec le goujon 482, tandis  que l'enfoncement de l'une quelconque des  trois touches des dizaines 477 fait basculer  le cliquet d'arrêt à zéro 483 hors de prise  avec le goujon 484 d'une manière qui sera Bé  er     ite    en détail ci-après.  



  Mettons, à titre d'exemple, que l'une des  touches cherche-ligne des     unités    449 a été en  foncée et qu'aucune des touches des dizaines  477 n'a été     enfoncée.    Dans ce cas, le     coulis-          seau    principal 452 et l'engrenage 409 pour  ces touches     des    dizaines restent stationnaires,  et le mouvement du     coulisseau    des unités 417  en contact avec l'extrémité     inférieure    de la  tige de la touche des     imités    qui a été enfon  cée     entraîne    l'engrenage 414, obligeant ainsi  l'engrenage conique 413     (fig.    46)

   à     entraîner     le pignon d'accouplement 411; mais, comme  l'engrenage conique 410 est tenu stationnaire,  le pignon 411 chemine autour     dudit    engrenage  conique pour faire tourner le goujon 412 et  l'arbre 402 dans le sens     dextrorswn,        comme     montré aux     fig.        25A,        25B,        26A    et     26B,

      pro  portionnellement à la valeur de la touche des       unités    449     enfoncée.    Si une touche     cherche-          ligne    des     dizaines        447    a été     enfoncée    sans en  foncer une des touches des unités 449, l'en  grenage 414 reste stationnaire.

   Dans ce cas,  le coulisseau des     dizaines    452 et l'engrenage  409     entraînent    l'arbre 402 dans le     sens        dex-          trorsum    proportionnellement à la valeur de la  touche des dizaines     enfoncée.    Quand une tou  che cherche-ligne des unités 4.49 et une touche  des dizaines 477 sont     enfoncées    dans une seule  opération -- mettons à titre d'exemple la tou  che 5     des    unités 449 et la touche 20 des di  zaines 477 - pour mettre la table 335 à la  ligne 25,

   les mouvements combinés des coulis-    seaux principaux 417 et 452 sont communi  qués par les engrenages 414 et 409 (voir aussi       fig.    46), par l'engrenage différentiel compre  nant les engrenages coniques 410 et 413, le  pignon 411 et par le goujon 412 à. l'arbre 402  pour faire tourner ledit arbre dans le sens       dextrorsum    proportionnellement à la valeur  des touches des unités et des dizaines en  foncées.  



  La mise en position .différentielle de  l'arbre auxiliaire 402 sous l'influence des  touches cherche-ligne est communiquée à  l'arbre principal 377 au moyen de l'engrenage  différentiel     (fig.    46) comprenant les engre  nages coniques 404 et 406 et les pignons 405.  Pour transmettre ce mouvement audit arbre,  il est nécessaire -de fixer le disque 407 et  l'engrenage conique 406     (fig.    39 et 46) sta  tionnaires, d'une manière qui sera décrite     ci-          après,    de sorte que ledit engrenage conique  forme un dispositif     d'entraînement    des pi  gnons 405, qui sont tournés autour de l'axe  de l'arbre 402 par le goujon 408 qui est fixé,  comme on se le rappellera, dans l'arbre 402.

    Du fait que l'engrenage conique 406 est re  tenu en position fixe à ce moment, le mouve  ment de l'arbre auxiliaire 402 peut être com  muniqué par les pignons 405 à l'engrenage  conique 404, aux engrenages 403 et 376 et à  l'arbre de commande principal 377 de la table  335, transmettant ainsi à cet arbre un mou  vement dans le     sens        senestrorsum,    .comme  montré à la     fig.    20, et dans le sens     dextror-          sum,    comme montré aux     fig.        25A,    25B,     26A    et       26B,    proportionnellement à la valeur des tou  ches cherche-ligne enfoncées.

   Le mouvement  dans le sens     senestrorsum    de l'arbre 377       (fig.    20) et des engrenages 376 et 375 déplace  la table 335 vers l'arrière à la position de  ligne correspondant aux touches     cherche-ligne     enfoncées, de faon que le montant composé  sur les touches de montant soit inscrit sur la  ligne voulue de la feuille.    <I>Rochet de verrouillage de la table.</I>  



  Un rochet relié à l'arbre principal 377 re  tient la table dans la, position à laquelle elle  a été placée sous l'influence des touches cher-      elle-ligne. Comme on l'a déjà expliqué, après  la sélection     d'une    ligne de la feuille par     1e     moyen d'une touche cherche-ligne, le déplace  ment de la table devient entièrement automa  tique pendant les opérations d'inscription  subséquentes, d'une manière qui sera expli  quée ci-après.  



  En se référant aux     fig.    43, 45 et 46, on  verra que l'engrenage 403 engrène avec un  engrenage 485 fixé à l'une des extrémités  d'un arbre 486 tourillonné dans les bâtis 63  et 64. Fixé aussi à l'arbre 486 est un engre  nage 487 en prise avec un engrenage 488 soli  daire d'un rochet 489 de verrouillage de la  table, d'un rochet d'avancement 490 de la ta  ble et de rochets .clé contre-suralimentation  491 et 492 de la table; tous ces organes sont  fixés à un moyeu 493 fou sur l'arbre 402. Un  cliquet de retenue 494     (fig.    38, 43 et 46), fou  sur l'arbre 486, est entraîné dans le sens       dextrorsum    par un ressort 495 pour se mettre  en prise avec le rochet de verrouillage 489.  



  Quand l'arbre principal 377 est positionné  par les touches     eherche-ligne,    de la manière  expliquée ci-dessus, l'engrenage 403 entraîne  l'engrenage 485, l'arbre 486 et l'engrenage  487 solidairement dans le sens     senestrorsum;     ce mouvement est communiqué, par l'engre  nage 487, à l'engrenage 488 et aux autres or  ganes, y compris le rochet de verrouillage  489, solidaires de l'engrenage 488, .de façon  que cet engrenage et ces organes soient  obligés de tourner dans le sens     dextrorsum     lorsqu'on considère la     fig.    43.

   Les     dents    du  rochet 489, coopérant avec le cliquet 494,  empêchent tout mouvement rétrograde ou de  retour de la table 335     (fig.    19) sous l'in  fluence des ressorts 386 et 392, retenant ainsi  la table à la position dans laquelle elle a été  placée par les touches     cherche-ligne.     



  Il est nécessaire maintenant de passer à  la, description du dispositif prévu pour re  tenir le disque 407     (fig.    39 et 46) et l'engre  nage conique 406     stationnaires,    de sorte que  la rotation de l'arbre auxiliaire 402, sous la  commande des touches     cherche-ligne,    soit  communiquée à l'arbre principal 377 et, par  conséquent, à la table 335.    Le disque 407     (fig.    39) présente une en  coche 496 en     V    en prise avec un ergot de ver  rouillage 497 fou sur une tige 498 soutenue  par le bâti d'impression.

   L'ergot 497 est relié  par un moyeu 499 à -une     saillie    500 qui est  entraînée dans le sens     dextrorsum    par un  ressort 501 fixé au tirant 66, de façon que  l'ergot 497 soit maintenu normalement hors de  prise avec l'encoche 496. La saillie 500 pos  sède un crochet 502 coopérant avec un goujon  503 prévu dans l'extrémité antérieure d'une  biellette 504 dont l'extrémité arrière est arti  culée à un levier en V 505 fou sur la tige 438.  Lé levier 505 porte des galets 506 et 507 co  opérant respectivement avec les périphéries  de plateaux-cames 508 et 509 fixés à l'arbre  à cames 371 du mécanisme d'impression.  



  L'extrémité antérieure de la biellette 504  est reliée par une bielle 510 au levier     de@sélec-          tion    d'un disque 511 fou sur un arbre 512  tourillonné dans le bâti d'impression. Un res  sort 513 entraîne le levier 511 dans le sens       senestrorsum    pour maintenir une surface  élevée de l'arête inférieure dudit levier en  prise avec     un    goujon 514     d'un    bras 515 fou  sur l'arbre 512.

   Le levier 511 possède -un  doigt arrondi 516 apte à coopérer avec la     pé-          r        ip        ï        hérie        d'un        segment        de        commande        517        du          mécanisme    palpeur de la feuille, monté fou  sur l'arbre 315.  



  Le bras 515     (fig.    39) porte un bras 897  relié par une bielle 898 à un levier de came  899 fou sur la tige 438. Un ressort 900 en  traîne .les     taras    515 et 897 dans le     sens        senes-          trorsum    et la bielle 898 et le levier 899 vers  l'arrière, de façon qu'un galet 901. porté par  le levier 899 soit normalement en prise avec  la périphérie d'une came 902     fixée    à l'arbre à  cames 371 du mécanisme d'impression.

   Le dia  gramme des temps de la came 902 est     donné     sur la ligne 9 du graphique     (fig.    47); on  verra que, immédiatement après le commence  ment des opérations de la machine, la partie  saillante de ladite came descend du galet 901  et du point 903 du levier 899, livrant ainsi le  levier 899 et les organes associés à l'action du  ressort 900, de façon que lesdits organes  soient entraînés immédiatement vers l'arrière:      Le -bras 515 emporte le levier 511 par le  moyen du ressort 513 pour obliger le doigt  516 à venir en prise avec la périphérie du  segment 517.  



  La biellette 504 porte un goujon 518  agencé pour être en prise avec la dent d'un  loquet 519 fou sur l'arbre 512, ledit loquet  étant     entramé    dans le sens     dextrorsum    par  un ressort 520, de faon que dans le cas nor  mal une extension vers le haut dudit loquet  est maintenue en prise avec une butée 521  fixée à la surface inférieure de la table 335.  



  Tant que la table 335 est dans la position  de départ représentée en     fig.        39,1a    butée 521  retient la dent du loquet 519 hors de prise  avec le goujon 518. Cependant, quand ladite  table 335 est déplacée de la position de dé  part, la dent dû loquet n'entrave plus le mou  vement du levier 511;

   il en résulte que le  goujon 503 vient en prise avec le crochet 502,  après quoi l'opération des cames 508 et 509,  selon la distribution indiquée sur la ligne 10  du graphique     (fig.    47), provoque l'engage  ment de l'ergot 497 avec l'encoche 496 en  forme de<B>V du</B> disque 407, de façon que l'ar  bre auxiliaire 402 soit accouplé à l'arbre prin  cipal 377     pour    effectuer la mise en position  de la table 335 sous l'influence des     touches          cherche-ligne    enfoncées.

   Si la feuille n'est pas  mise convenablement sur la table, ou dans le  cas où aucune feuille ne serait mise sur la ta  ble, un dispositif d'exploration de la feuille  décrit ci-après oblige la périphérie du seg  ment 517 à venir dans le trajet du doigt pal  peur 516 pour empêcher l'engagement du  goujon 503 dans le crochet 502. Par consé  quent, l'ergot 497 reste .dégagé de l'encoche  en forme de<B>V</B> 496 du :disque 407, ce qui em  pêche la mise en position de la table 335 sous  l'influence des touches cherche-ligne, la table  restant ainsi à la position de départ.  



  Quand la biellette 504 se déplace vers le  bas pour mettre le goujon 503 en prise avec  le crochet 502, le goujon 518 porté par ladite  biellette tombe et se place devant une surface  angulaire 522 du loquet 519 avant le mouve  ment de la table 335 vers la .droite, lorsqu'on    considère la     fig.    39, c'est-à-dire hors de la po  sition de départ. Le mouvement de la table  335 commandé par les touches     cherche-ligne     dégage la butée 521 de     l'extension    vers le  haut du loquet 519, permettant     ainsi    à la sur  face 522 .d'engager     élastiquement    le goujon  518 sous     l'influence    du ressort 520.

   Après la  mise en position de la table 335 sous l'in  fluence .des touches     cherche-ligne,    la came  902 renvoie les bras 897 et 515 et le levier 511  dans le sens     dextrorsum    pour dégager le gou  jon 503 du crochet 502 de la saillie 500 et  pour pousser le goujon 518 au-dessus de la  surface de verrouillage du loquet 519, de  faon que ledit loquet, sous l'influence du  ressort 520, passe au-dessous dudit goujon 518  pour entraver tout mouvement     .d'engagement     de la biellette 504 et du goujon 503. Il en  résulte que l'ergot 497 est empêché de se re  mettre en prise avec l'encoche en forme de V  496 du disque 407 pendant le reste de l'opé  ration d'enregistrement dont il s'agit.

   Par  conséquent, si, au cours de cette opération  d'inscription, les touches     cherche-ligne    sont  enfoncées par mégarde ou par accident, le  mouvement de l'arbre auxiliaire 402 provoqué  par l'enfoncement desdites touches sera amorti  au moyen de la rotation à vide de l'engrenage  conique 406 et du disque 407, et ne sera pas  communiqué à l'arbre principal 377.  



       11'lécanisme        palpeur   <I>de</I>     da   <I>feuille.</I>  



  Un mécanisme palpeur de la feuille de re  levé de compte, représenté aux     fig.    40 et 41,  est prévu pour la commande du segment<B>517</B>       (fig.    39) pour empêcher la mise en position  de la table 335 sous l'influence des touches  cherche-ligne .dans le cas où aucune fiche 343  n'aurait été posée sur ladite table. Ce     m6ca-          nisme    comprend un dispositif palpeur 525 se  déplaçant verticalement par le fait que des  entailles parallèles sont engagées librement  sur l'arbre 377 et la tige 498. Des collets fixés  à l'arbre 377 et à la tige 9:98 déterminent. la  position latérale du dispositif palpeur 525 sur  ledit arbre et sur ladite tige.

   Le     dispositif     palpeur 525 présente un goujon 526 engagé  dans une encoche de     l'une    des extrémités d'un      levier 527 fou sur une tige 52$ supportée par  le bâti d'impression. Une encoche de l'extré  mité opposée du levier 527     est    engagée avec  une tige 529 reliant le segment 517     (fig.    39),  un segment de commande des marteaux 530       (fig.    40) et d'autres segments 531     (fig.    22)  de commande des marteaux ou du mécanisme       d'impression,    lesdits organes étant tous mon  tés librement sur l'arbre 315.

   Le segment 530       (fig.    40) est relié par une bielle 532 à l'un  des bras d'un levier de came 533 (voir aussi       fig.    41) fou sur la tige 438. Un autre bras du  levier de came 533 soutient un galet 534 co  opérant avec la périphérie d'une came de  commande 535 du dispositif palpeur, fixée à  l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impres  sion. Quand la came 535 s'approche de sa po  sition de départ, à laquelle elle est représen  tée en     fig.    41, le galet 534 descend d'un épau  lement abrupt formé à la périphérie de la  dite came, permettant ainsi à un point 536  de se mettre en prise avec ledit épaulement  pour obtenir une action d'exploration plus ra  pide par le dispositif palpeur 525 qu'il ne se  rait possible avec le galet 534.

   Un ressort 523       (fig.    40 et 41) entraîne le levier de came 533  dans le sens     senestrorsum,    -de sorte que le ga  let 534 et le point 536 sont tenus normale  ment en prise avec la périphérie de la came  535.  



  En se référant à la ligne 18 du graphique  de distribution     (fig.    47), on verra qu'immé  diatement après le démarrage de la machine,  le mouvement dans le sens     dextror        sum    de l'ar  bre 371 et de la came 535     (fig.    40 et 41) dé  place l'épaulement abrupt de ladite came jus  qu'au-delà du point 536, livrant ainsi le levier  533 à l'action du ressort 523.

   Au moyen des  organes de couplage représentés en     fig.    40 et  décrits ci-dessus, le dispositif palpeur 525 est  déplacé immédiatement vers le haut, de     façon     qu'une extension vers le haut     dudit    dispositif  palpeur passe à travers une ouverture prati  quée dans la table 335 pour .chercher une  fiche 343. Si une fiche 343 est convenable  ment placée sur la table 335, le mouvement       eomplet    du dispositif palpeur est empêché par  ladite fiche, ce qui empêche le mouvement    dans le sens     senestrorsum    du segment 517  sous l'influence du ressort 523.  



       Quand    le mouvement vers le haut du dis  positif d'exploration     est    empêché par une  fiche 343, un moyen est     prévu    pour le renvoi  immédiat dudit dispositif 525 et des organes  associés à leur position .de départ. La tension  dudit dispositif contre la fiche 343 est relâ  chée immédiatement, ce qui     assure    le renvoi  à la position normale, représentée ici, du seg  ment 517     (fig.    39), de façon que la surface  arquée dudit segment ne vienne pas en prise  avec le doigt palpeur 516.  



  Le mécanisme de renvoi du dispositif pal  peur comprend un levier coudé 537     (fig.    40)  fou sur l'arbre 315. L'un des bras du     levier     coudé s'engage librement avec la tige 529.  L'autre bras du levier coudé 537 est relié par  une bielle 538à un disque de renvoi 539 fou  sur la tige 438. Le disque de renvoi 539 pré  sente un épaulement 540 coopérant avec un  cliquet de renvoi 541 articulé à l'un des bras  d'un     levier-came    542 et     entraîné    dans le sens       senestrorsum    par un ressort 543.

   Une exten  sion recourbée 544 du cliquet 541 s'engage       élastiquement    avec un goujon 545 d'un sup  port 546 supporté par la tige 438 et par l'ar  bre 371, de façon que ledit     cliquet    541 soit  retenu écarté du trajet de l'épaulement 540  quand le levier 542 est dans la position de dé  part tel qu'il     est    représenté à la     Eig.    40. Un  ressort 547     (fig.    40) entraîne le levier 542  dans le sens     dextrorsum    pour maintenir un  contact élastique entre un galet 548 porté par  ledit     levier    et la périphérie     d'une    came 549  fixée à l'arbre à cames 371.

   Quand ladite  came 549 est dans la position -de départ re  présentée ici, la tension du     ressort    547 est  suffisante pour surmonter l'action du ressort  543 et, par conséquent, pour retenir le     cliquet     541 hors du trajet de l'épaulement 540.  



  Dans le cas où le     mouvement    complet vers  le haut du dispositif palpeur 525 et des or  ganes associés serait empêché par la fiche 343,  la rotation de la came 549 fait basculer le le  vier 542 et le     cliquet    541 d'abord dans le sens       senestrorsum    et ensuite vers la position nor  male, selon la distribution indiquée sur la      ligne 19 du     graphique        (fig.    47).

   Quand le le  vier 542     commence    son mouvement initial  dans le sens     senestrorsum,        l'extension    544 du  cliquet 541 est retirée du goujon     fixe    545  pour permettre au ressort 543 de porter ledit  cliquet sur le trajet de l'épaulement 540. En  tournant davantage dans le sens     senestr    or  sum, le levier 542 oblige le cliquet 541 à s'en  gager avec     l'épaulement    540 et, par consé  quent, à remettre le levier coudé 537, la tige       529,    le segment 517     (fig.    39) et le dispositif  palpeur 525 aux positions normales ou de dé  part, représentées ici.  



       Quand    aucune fiche 343 n'est sur la table  335, le mouvement complet du dispositif pal  peur 525 sous l'influence de la came 535     n'est     pas empêché; par     conséquent,    ce mouvement  vers le haut fait basculer, par le moyen du  levier 527, la tige 529, le segment 517 et le  levier coudé 537 sur tout leur trajet dans le  sens     senestrorsum    pour entraîner la surface  arquée du segment 517 sur le trajet du doigt  516     (fig.    39). Il en résulte que le mouvement       dans    le     sens        senestrorsum    du levier 511 est em  pêché, ce qui empêche l'engagement du goujon  503 .avec le crochet 502 de la saillie 500.

   De  cette faon, l'ergot 497 est empêché de s'enga  ger avec l'encoche en forme de<B>V</B> 496 du dis  que 407. Par conséquent, ledit disque et l'en  grenage conique 406 sont libres de tourner,  avec le résultat que la mise en position de  l'arbre 402     sois        l'influence    des touches cher  che-ligne ne sera pas transmise à l'arbre  d'avancement 377 de la table, qui restera par  conséquent dans la position de départ.  



  Quand le mouvement vers le haut du dis  positif palpeur 525 n'est pas entravé par une  fiche, le mouvement dans le sens     senestrorsum     du levier coudé 537, communiqué par la bielle  538, fait     basculer    le disque de renvoi 539 dans  le sens     dextrorsum    pour déplacer l'épaule  ment 540 formé sur ledit disque au-delà du  cliquet 541. Le     cliquet    541 se trouve ainsi em  pêché de s'engager avec ledit épaulement 540  pendant l'opération de la came 549 et, par       conséquent,    les     organes    palpeurs ne seront  pas     remis    à la position normale au commence  ment de l'opération de la machine.

   Dans ce    cas, la came 525     (fig.    41), en .coopération  avec le galet 534, renvoie le     levier    533 et les  organes associés, à savoir le segment 530, le  levier coudé 537, le disque de renvoi 539 et  le     dispositif    palpeur 525, aux positions nor  males représentées à la     fig.    40. La manière  dont les segments 531     (fig.    22) entravent l'ac  tion des marteaux d'impression quand aucune  fiche n'a été placée sur la table 335 sera  expliquée ci-dessous par rapport au méca  nisme d'impression des chèques.  



  <I>Construction des</I>     rangées   <I>de touches</I>       cherche-ligne.     On verra, en se référant aux     fig.    25A et  25B, que     les    touches cherche-ligne des     imités     449 sont supportées dans le cadre 450, monté  sur des tiges 451 et 479 dans le bâti d'impres  sion. Chacune des touches des unités 449 pré  sente une     projection    551 coopérant avec un  coin 552, ces coins étant montés librement sur  un support 553 supporté par des     goujons    554  et 555 fixés au cadre 450. Le mode d'emploi  des coins serrés 552 afin d'empêcher l'enfon  cement de     plus    d'une touche à la fois est bien  connu.

   Quand l'une quelconque des touches  des unités 449 est enfoncée, la projection 551  serre les coins les uns contre les mitres afin  d'empêcher l'enfoncement d'une seconde tou  che dans la même rangée en même temps. 11.  n'est pas nécessaire de décrire plus en détail  cette méthode bien connue de verrouillage des  touches.  



  En se référant à la     fig.    29, on verra que  les touches cherche-ligne des unités 449 sont  arrangées en     deiLx    groupes, dont le groupe de  droite comprend les touches paires et le  groupe -de gauche les touches impaires. On  verra aussi, en se référant à la     fig.    30, que  les touches     cherche-ligne    des unités     possèdent     des projections 556 à leur côté gauche, ana  logues sous tous les rapports aux projections  551 du côté droit. On verra encore que les  projections de droite 551 des touches paires  et les     projections    de gauche 556 des touches  impaires sont plus longues que les projections  correspondantes des touches du groupe opposé.

    Les longues projections 551 des touches paires      et les longues projections 556 des touches  impaires, en coopération avec des ressorts de       compression    557 montés sur des     doigts    four  chus des organes de retenue 558 qui sont  montés sur le cadre 450, maintiennent nor  malement les touches 449 dans la position     non.     enfoncée. Les projections 556 des touches des  unités 449 coopèrent avec des crochets 559  d'une détente 560     (fig.    28 et 31) susceptible  de glisser au moyen -de fentes en coopération  avec des goujons 554 et 555.

   Un ressort 561  entraîne la détente 560 vers l'arrière ou vers  la droite, lorsqu'on considère la     fig.    28, de  façon qu'une arête angulaire en forme de  came des crochets 559 soit normalement en  contact avec les projections 556.         L'enfoncement,de    l'une .quelconque des tou  ches     -des    unités 449     (fig.    25A, 28, 29, 30 et 31)  oblige la projection 556 -de ladite touche, en  coopération avec la surface angulaire du cro  chet correspondant 559,à déplacer la détente  560 vers l'avant ou à gauche, contre l'action  du ressort 561.

   Quand la projection 556 passe       au-delà    du crochet 559, le ressort 561 retire  la détente 560 vers l'arrière pour obliger le  crochet à passer sur la projection, verrouil  lant ainsi la touche dans la position enfoncée.       J1    est à remarquer que ces touches ne sont  pas des touches  élastiques , c'est-à-dire  qu'une enfoncée ne peut pas être libérée en  enfonçant une autre touche et ainsi de suite,  parce que les coins 552 empêchent l'enfonce  ment de plus d'une touche 449 à la fois. Au  bout de l'opération de la machine, la détente  560     (fig.    28 et 31) est déplacée automatique  ment vers l'avant pour déverrouiller la touche       cherche-ligne    des unités qui a été enfoncée.

   Un  moyen manuel est prévu aussi pour déplacer  la détente 560 vers l'avant pour déverrouiller  la touche enfoncée 449 avant -de faire démar  rer la machine, dans le cas où une mauvaise  touche aurait été enfoncée. Ce moyen manuel  sera expliqué ci-après.    Les courtes projections 551 des touches  impaires 449     (fig.    28 et 30) coopèrent avec  des surfaces angulaires des     projections    562  d'une barre de commande 563 se déplaçant    horizontalement au moyen de fentes horizon  tales coopérant avec les goujons 554 et 555,

         tandis    que les courtes projections 556 des  touches paires 449 coopèrent avec des surfaces  analogues de projections analogues 564 dune  barre de commande analogue 565 qui se dé  place aussi horizontalement au moyen de  fentes portées par la barre et s'engageant avec  les goujons 554 et 555. Des     ressorts    analogues  566     (fig.    28) entraînent les     barres    de com  mande 563 et 565 vers l'avant pour maintenir  les extrémités arrière ou extrémités de droite  des fentes horizontales des barres en contact  avec les goujons 554 et 555.

   Les barres de  commande analogues 563 et 565     (fig.    28 et  25A) présentent des     extensions    inférieures  567 et 568 coopérant avec un goujon 569 du  cliquet d'arrêt à zéro des unités 481. Ce     cli-          quet    est entraîné     dans    le sens     senestrorsum     par un ressort 570 jusqu'à ce qu'il vienne  s'engager avec une butée d'arrêt 571, position  dans laquelle le crochet dudit cliquet d'arrêt  481 est normalement sur le trajet du goujon  carré 482 du     coulisseau    principal des unités  417.  



       L'enfoncement    de l'une des touches 449       (fig.    25A et 28) oblige la projection 551 ou  556 de ladite touche, en coopération avec la  surface angulaire de la projection 562 ou 564  de la barre correspondante 563 ou 565,à dé  placer ledit coulisseau vers l'arrière contre  l'action du ressort 566, ce qui amène l'exten  sion 567 ou 568 du     coulisseau,    en coopération  avec le goujon 569, à faire basculer le     cliquet     d'arrêt à zéro 481 dans le sens     dextrorsum     contre la     tension    du ressort 570.

   I1 en ré  sulte que le crochet du     cliquet    d'arrêt à zéro  est écarté du trajet du goujon carré 482, de  sorte que le coulisseau principal est libéré en  ce qui concerne son mouvement vers l'avant  et peut être mis en     position    par l'enfoncement  de la touche 449. Quand la touche enfoncée  449; est libérée vers la fin de l'opération de la  machine, la barre de commande 563 ou 565 est  renvoyée vers l'avant par l'action du ressort  566, libérant     ainsi    le cliquet d'arrêt à zéro  481 qui     vient    s'engager avec le goujon 482  pour remettre le coulisseau principal 417 à      zéro pendant les opérations subséquentes de  la machine.  



  La détente 560 présente un doigt pendant  573     (fig.        25g,    25B,     27g,    27B, 28 et 30) coopé  rant avec un goujon 574 d'une barre de dé  clenchement 575     glissant    au moyen de fentes  parallèles 576 et 577 pratiquées dans ladite  barre en coopération avec les tiges 1420 et  421.

   Une bielle 578 relie la barre 575 à un  bras de came 579 fou sur la tige 438; ledit  bras porte un galet 580 coopérant avec la  périphérie d'une came 581 de déverrouillage  des touches, montée sur l'arbre à cames 371  de     l'impression.    Un ressort 582     entraîne    le  bras de came 579 dans le sens     dextrorsum     pour maintenir dans le cas normal le galet  580 en contact avec la périphérie de la came  581 et, par conséquent, pour tenir la barre  575 à sa position arrière, représentée ici.

   La  rotation de l'arbre à cames 371 dans le sens       dextrorsum    au cours de l'opération de la ma  chine oblige une saillie 583 formée sur la  came 581, en coopération avec le galet 580, à  faire basculer le bras 579 dans le sens     senes-          trorsum    selon la distribution indiquée sur la  ligne 17 du graphique     (fig.    47).

   Le mouve  ment dans le sens     senestrorsum    du bras de  came 579 entraîne la barre de déclenchement  575 vers l'avant; pendant ce mouvement, le  goujon 574 s'engage avec le doigt 573 pour  déplacer la détente 560 vers l'avant, ou vers  la gauche en     fig.    28 et 31, de façon que le  crochet 559 soit dégagé de la projection de la  touche enfoncée 449, livrant     ainsi    ladite tou  che à l'action du ressort 557, qui remet immé  diatement la touche à la position normale.  



  Un     dispositif    à commande manuelle est  prévu aussi pour déplacer la barre 575 et  pour libérer la touche des unités enfoncée 449.  



  En se référant aux     fig.        25g    et     27g,    on  verra qu'une fente dans l'extrémité antérieure  de la barre de déclenchement 575 est en prise  avec un goujon 584 d'un bras 585 fou sur un  goujon 586     fixé    au bâti 64, le     bras    585 étant  relié     élastiquement    par un ressort 588 à un       bras    587 fou aussi sur le goujon 586.

   Une  projection 589 du bras 587 est engagée avec       une        extension    vers le bas 590 d'un     coulisseau       591 se déplaçant verticalement au moyen de  fentes verticales coopérant avec des goujons  592 fixés dans une plaque 593 fixée aux bâtis  63 et 64. La surface supérieure du coulisseau  591 porte une barre de déclenchement 594  montée sous la main de l'opérateur devant les  touches 449 et 477. Un ressort 595 retient la;  barre et le coulisseau 591 .dans la position de  départ représentée ici.

   L'enfoncement de la  barre de déclenchement 594 contre l'action du  ressort 595 déplace la barre et le coulisseau  vers le bas, obligeant ainsi l'extension 590 à  s'engager avec la projection 589, ce qui fait  basculer les bras 587 et 585 dans le sens     se-          nestrorsum    pour déplacer la barre de déclen  chement 575 vers l'avant. Le goujon 574 se  met en prise avec le doigt 573, ramenant ainsi  la, détente 560 vers l'avant pour libérer la  touche des unités 449 enfoncée. Le ressort 588  constitue un dispositif amortisseur protégeant  la barre 575 et la détente 560 contre tout  dommage en conséquence d'un coup trop vio  lent sur la barre de déclenchement 594.  



  Il est prévu aussi un dispositif commandé  par la détente 560     (fig.        25g,    28 et 31) pour  le verrouillage de la     machine    si l'une quel  conque des touches cherche-ligne des unités       449    est partiellement enfoncée. Comme il a.  été déjà expliqué, l'enfoncement partiel de  l'une des touches 449 oblige la projection 556  de     ladite    touche, en coopération avec la sur  face angulaire du crochet correspondant     559,j     à déplacer la détente 560 vers l'avant à l'en  contre de l'action du ressort 561.

   Ce mouve  ment vers l'avant de la détente 560 engage  un cran vertical, formant la partie anté  rieure d'une entaille pratiquée dans la dé  tente, avec un goujon 596 d'une manivelle  597 montée sur un arbre 598 tourillonné dans  le bâti     d'impression.    Ceci provoque un     bascu-          lement    dans le     sens        dextrorsum    de la mani  velle et de l'arbre.

   Une seconde manivelle 599     i     est fixée aussi à l'arbre 598; cette manivelle  tourne dans le sens     dextrorsum    solidairement  avec l'arbre pour faire basculer un levier  coudé 601, auquel elle est reliée par une  bielle 600, dans le     sens        dextrorsum,    ledit.  levier coudé étant pivoté en un point     d'appui         fixe 602. Le levier coudé 601 présente aussi  un goujon 603 qui s'engage avec un prolonge  ment en forme de pied d'une bielle 604; une  fente dans ladite bielle est en prise avec un  goujon fixe 605, tandis que l'extrémité supé  rieure de la bielle est articulée à une mani  velle 606 fixée à un arbre 607 tourillonné  dans le bâti gauche 60.

   L'arbre 607 porte  aussi une manivelle 608 reliée par une bielle  60,9 à un loquet 610 fou sur un goujon 611  fixé dans le bâti gauche 60. Un ressort 612  entraîne la bielle 604 vers le bas, ce qui re  tient normalement un cran 613 du loquet 610  hors du trajet d'un goujon 614 d'un levier de  déclenchement de la machine 615 fixé à, l'ar  bre de verrouillage des touches 69.  



  Le mouvement dans le sens     dextrorsum    du  levier coudé 601 déplace la bielle 604 vers le  haut, basculant la manivelle 606, l'arbre 607  et la. manivelle 608; ce basculement     dextror-          sum    est communiqué au loquet 610 au moyen  de la bielle 609, de façon que le cran 613       dudit    loquet     vienne    sur le trajet du goujon  614 pour empêcher le mouvement de déclen  chement dans le sens     dextrorsum    du levier  615 et de l'arbre de verrouillage     des    touches  69, empêchant par conséquent le fonctionne  ment de la machine quand l'une des touches  449 est partiellement enfoncée.

   L'enfonce  ment sur son trajet entier de l'une quelcon  que     des    touches     cherche-ligne    des unités 449  permet le mouvement de retour vers l'arrière  de la détente 560 sous l'influence .du ressort  561. Le ressort 612 fait basculer le loquet  610 dans le sens     senestrorsum    pour écarter  la surface 613 du trajet-du goujon 614 pour  permettre le déclenchement de la machine.    <I>Dispositif</I>     empêchant   <I>un</I>     niouveme7at     <I>excessif de la</I>     table.     



  Un dispositif de retenue sous la com  mande des touches cherche-ligne est prévu  pour empêcher le déplacement excessif de la  table 335 quand elle est déplacée à la pre  mière position d'impression par les organes  représentés aux     fig.    25A, 25B,     26A    et 26p.  La barre de commande 563, actionnée par les  touches impaires 449     (fig.    28), possède une    fente dans son extrémité arrière; la fente en  fourche un goujon 617 d'un prolongement  d'un étrier 618 fou sur l'arbre 598.

   Une par  tie recourbée 619 de l'étrier 618 se place     au-          dessous    d'un prolongement d'un cliquet de re  tenue 620     (fig.    42), fou sur l'arbre 486,  quand la barre 563 est dans sa position anté  rieure telle qu'elle est représentée en     fig.    28.  L'enfoncement .de l'une des touches impaires  9-49 déplace la barre de commande 563 vers  l'arrière     (fig.    28), basculant l'étrier 618 dans  le sens     senestrorsum    pour écarter le prolonge  ment recourbé 619 du trajet du cliquet 620  et pour l'entraîner dans le trajet d'un cliquet  de retenue 621 fou sur l'arbre 486.  



  Le     éliquet    620 s'engage avec le rochet de  retenue 491     (fig.    42 et 46) qui comprend un  nombre de dents correspondant aux lignes  impaires de la table 335 et de .la fiche     3-13          (fig.    2 et 19), tandis que le cliquet 621 s'en  gage avec le rochet 492 qui possède des dents  correspondant aux lignes paires de la table  335 et de la fiche 343. Des     prolongements     vers le bas des cliquets 620 et 621 possèdent  des fentes     similaires    622 coopérant avec un  goujon 623 prévu dans l'extrémité antérieure  d'une     bielle    624 dont l'extrémité arrière est  articulée à un bras de came 625 fou sur la  tige 438.

   Un ressort 626 entraîne le bras .de  came 625 dans le sens     dextrorsum,    de sorte  qu'un galet 627 porté par ledit bras de came  soit normalement en contact avec la périphé  rie d'une plaque-came 628 en connexion ré  glable avec un disque d'entraînement 629  monté sur l'arbre 371. Des ressorts 630       (fig.    42) entraînent les cliquets 620 et 621  dans île sens     senestrorsum    pour tenir les extré  mités antérieures des fentes 622 en contact  avec le goujon 623.  



  Le diagramme des temps de la came 628  est indiqué sur la ligne 11 .du graphique       (fig.    47) et, en comparant ce diagramme avec  celui des cames 441 et 442     (fig.    25A et     25$)     commandant les     coulisseaux    417 et 425 qui  déplacent la table 335 à la.

   position de ligne  correspondant à la touche     449    enfoncée, on  verra qu'immédiatement avant que la table  arrive à la position de ligne choisie, un point      du bras de came 625 tombe d'un épaulement  abrupt de la came 628 pour permettre au  bras 625 de déplacer la bielle 624 vers l'ar  rière, livrant les cliquets 620 et 621 à l'action  de leurs ressorts 630, qui entraînent immé  diatement le cliquet dont le trajet n'est pas  obstrué par le prolongement recourbé 619 de  l'étrier 618.

   Le     cliquet    s'engage avec les dents  du rochet correspondant 491 ou 492, arrêtant  ainsi la rotation dudit rochet, qui tourne dans  le     sens        dextrorsum    par le moyen des engre  nages représentés en     fig.    46, à savoir les en  grenages 488 et 487, l'arbre 486 et les engre  nages 485 et 403 qui sont entraînés, comme  on se le rappellera, par l'arbre 377 qui posi  tionne la table 335 de     façon:    à arrêter la table  à la position de ligne choisie.  



  Ce dispositif de retenue est particulièrement  essentiel et effectif quand la table est déplacée  aux lignes des numéros les plus élevés, par  exemple à la position 39. Le mouvement acquis  par la table pendant un mouvement d'avan  cement aussi prolongé pourrait très bien en  traîner la table dans une position supérieure  à la position     choisie.    Quand aucune des tou  ches impaires 449     (fig.    28) n'est enfoncée,  l'étrier 618 reste dans la position représentée  en     fig.    42 pour empêcher le mouvement     chi     cliquet 620. Par conséquent, le cliquet 621  est effectif dans ce cas et coopère avec le  rochet 492 correspondant aux lignes paires,  comme on l'a déjà expliqué, pour empêcher  un déplacement excessif de la table 335.

    Quand l'une des touches impaires 449 est en  foncée, l'étrier 618 est basculé     dans    le sens       senestrorsum    pour porter le prolongement 619  sur le trajet du cliquet 621 et pour libérer  le cliquet 620. Par     conséquent,    ledit cliquet  620 devient effectif après le démarrage de la  machine, pour empêcher un déplacement       excessif    .de la table 335 en coopération avec  les dents du rochet 491 correspondant aux  lignes impaires de la table 335.  



  <I>Touches</I>     cherche-ligne   <I>des dizaines.</I>  



  En se référant aux     fig.    26A,     26B    et 29, on  se rappellera que les touches 477 sont em  ployées en conjonction avec les touches des    unités 449 pour positionner la table 335 à des  lignes supérieures à la neuvième. Dans le cas  où l'on voudrait     choisir    la dixième ligne, la  touche  10  est enfoncée seule, et il en est  ainsi pour les touches  20  et  30 . Les tou  ches des dizaines 477 sont montées de façon  à pouvoir glisser dans le bâti des touches 478  à, côté de la rangée des touches des unités,  ledit bâti étant supporté par les tiges 451 et  479.

   La construction de la rangée des dizaines  477 est similaire à celle des unités 449; par  conséquent, la description suivante de la ran  gée des touches des dizaines est moins dé  taillée que celle qui a été donnée déjà des  touches des unités.  



  Chacune des touches des dizaines 477       (fig.    26A, 29 et 30)     possède    un prolongement  633 coopérant avec un ressort de compression  634 attaché à des extensions fourchues d'une       plaque    de retenue 635 fixée au bâti 478, ,les  dits organes servant à retenir les touches dans  leur position relevée représentée ici. L'enfon  cement de l'une des touches 477 oblige le pro  longement 633 à entraîner une détente 637  vers l'avant contre l'action d'un ressort 640.

    Le déplacement de la détente est effectué par  le prolongement 633 en coopération avec une  arête d'un crochet correspondant 636 monté  sur ladite détente qui est susceptible de     glis-          ser-au    moyen de fentes horizontales en prise  avec des goujons 638 et 639 dans .le bâti 478.  Quand le prolongement 633 passe au-delà du  crochet 636, le ressort 640 retire la détente  637 vers l'arrière, ce qui porte ledit crochet  sur le prolongement 633 pour verrouiller la  touche 477 à la position enfoncée. La came  581     (fig.    25A et 25B) entraîne le coulisseau  de déverrouillage des touches vers l'avant un  peu avant la fin de l'opération de la machine.

    Le goujon 574 est engagé avec     un    prolonge  ment 641 de la détente 637 pour déplacer la  dite détente vers l'avant à l'encontre de l'ac  tion du ressort 640. Ceci dégage le crochet  636 de la projection 633 de la touche des  dizaines enfoncée 477, et la touche est remise  immédiatement à sa position de départ par  l'action .du ressort 634     (fig.    30). Le mouve  ment vers l'avant du     coulisseau    575, provo-           qué    par la barre de déverrouillage manuel  594 oblige aussi le goujon 574 à déplacer la  détente 637 vers l'avant pour déverrouiller la  touche des dizaines 477 enfoncée.  



  L'enfoncement de la touche  10  477       (fig.    26A et 29) met la     projection    633 en  prise avec une arête d'un prolongement vers  le haut 642 d'une barre de commande 643  glissant dans le bâti 478 au moyen de fentes  engagées avec les goujons 638 et 639; par  conséquent, la barre de commande 643 est dé  placée vers l'arrière. Ce mouvement vers l'ar  rière de la barre de commande 643 amène un  prolongement vers le bas 644 de ladite barre  en contact avec un goujon 645 monté sur le  cliquet d'arrêt à zéro 483 pour la touche  10   477. Ledit cliquet est basculé dans le sens       dextrorsum    contre l'action d'un ressort 646  pour écarter un cran porté par ledit cliquet  du trajet du goujon carré 484 prévu sur le  coulisseau principal 452 pour les touches des  dizaines.

   L'enfoncement de la touche  30  477       (fig.    26A) amène la projection 633 en prise  avec une arête d'un prolongement vers le  haut 647 de la barre de commande 643, ce  qui déplace ladite barre de commande vers  l'arrière pour libérer le     cliquet    d'arrêt à zéro  483 de la manière indiquée ci-dessus. L'enfon  cement soit de la touche  20 , soit de la tou  che  30  477 amène la projection 633 de la  touche en contact avec des arêtes des prolon  gements vers le haut 648 et 649 dune barre  décommande 650, montée dans le bâti     4î8    de  manière à pouvoir glisser grâce à des fentes  coopérant avec les     goujons    638 et 639.

   Ceci  provoque un mouvement vers l'arrière de la  barre de commande 650, au cours duquel un  prolongement vers le bas 651 de la barre de  commande, en coopération avec le goujon 645,  écarte le cliquet d'arrêt à zéro 483 du trajet  du goujon 484 pour permettre la mise en po  sition du coulisseau principal 452 de la     ma-          ziière    indiquée ci-dessus.  



  L'enfoncement de la touche  10  477  amène le prolongement 633 sur le trajet d'une  projection 655 de la barre de commande  650. Le mouvement vers l'arrière de la barre  de commande étant empêché de cette façon,    les prolongements 648 et 649 empêchent l'en  foncement des touches  20  et  30  477. De  la même manière,     l'enfoncement    de la touche   20  477 .amène de prolongement 633 de cette  touche sur le trajet d'une projection 652 de  la barre de commande 643 pour empêcher le  mouvement vers l'arrière de cette barre, de  sorte que les prolongements 642 et 647 de la  barre de     commande,    en coopération avec les  prolongements 633 des touches  10  et  30   477, empêchent l'enfoncement de ces touches.

    L'enfoncement de la touche  30  477 oblige  le prolongement 633 de cette touche, en co  opération avec les surfaces-cames des prolon  gements 647 et 649,à entraîner les barres de  commande 643 et 650 vers l'arrière, de façon  que la projection 652 de la barre de com  mande 643 passe au-dessous du prolongement  633 de la touche  20  477, pour empêcher  l'enfoncement de cette touche. La projection  655 passe de manière analogue au-dessous du  prolongement 633 de la touche  10  477, pour  empêcher l'enfoncement de cette touche.  



  Quand la détente 637     (fig.    26A) est déplacée  vers l'avant sous l'influence d'une touche 477  partiellement     enfoncée,    une encoche d'un  prolongement vers l'arrière de la détente s'en  gage avec un goujon 653 d'une manivelle 654  fixée     sur    l'arbre 598. IL en résulte que cette  manivelle et cet arbre sont basculés dans le  sens     dextrorsum    pour porter ,le loquet 610       (fig.    31) sur le trajet d'un goujon 614 pour  empêcher le mouvement de déverrouillage de  l'arbre de déverrouillage des touches 69.

    Quand la touche 477 est enfoncée sur tout  son trajet, la détente 637 est renvoyée vers  l'arrière par le ressort 640, permettant ainsi  au ressort 612 de faire basculer le loquet 610  hors du trajet du goujon 614, de façon que  la machine puisse être libérée.  



  Les trois touches des dizaines 477     (fig.    29)  sélectionnent les lignes paires et, par consé  quent, l'enfoncement de ces touches n'a  aucune influence sur l'étrier 618     (fig.    42).  Quand l'une quelconque des touches 477 est  employée seule pour sélectionner les     .lignes      10 ,  20  ou  30 , le cliquet 621 entre en      action et, en coopérant avec le rochet 492 des  lignes paires, ce     cliquet    empêche le déplace  ment     excessif    de la table de la manière indi  quée ci-dessus. Il -en est de même quand les  touches 477 sont utilisées en conjonction avec  les touches -des unités 449 pour les lignes  paires.

   Quand les touches des dizaines 477  sont utilisées en conjonction avec les touches  impaires 449, l'enfoncement de lime des tou  ches- impaires fait basculer l'étrier 618 dans  le sens     senestrorsum    pour rendre     ineffectif    le  cliquet 621. En même temps, le cliquet 620,  devenu effectif, s'engage avec le rochet des  lignes impaires 491 pour empêcher le dépla  cement excessif de la table 335 de la manière  indiquée ci-dessus.  



  <I>Dispositif</I>     automatique   <I>de mise en position</I>  <I>de la</I>     table.     



  En se référant à la     fig.    39, on verra qu'il  est nécessaire que l'ergot 497 soit en prise  avec l'encoche 496 du disque 407 pour tenir  ce disque et     l'.engrenage    conique 406 station  naires, de façon que la mise en position de  l'arbre auxiliaire 402 sous l'influence des       touches        cherche-ligne    soit communiquée à  l'arbre principal 377 qui     positionne    à son tour  la table 335     (fig.    19 et 46).

   On se rappellera  aussi que le mouvement de la table 335 hors  de sa position normale, provoqué par les tou  ches     eherche-ligne,    oblige le loquet 519 à se  placer au-dessous du goujon 518 pour empê  cher que l'ergot 497 tienne le     disque    407 et  l'engrenage 406     stationnaires,    ce qui empêche  rait la transmission à l'arbre 377 des mouve  ments de mise en position de l'arbre 402.

    L'action subséquente des touches     cherche-          ligne    de mise en place de la table 335 est, par  conséquent, empêchée, et la commande de la  table passe à un dispositif automatique, com  mandé par les touches de transactions et des  totaux, d'une manière qui sera décrite     ci-          après.     



  L'avancement automatique ou consécutif  de la table 335 est effectué par le rochet  d'avancement 490     (fig.    43, 44, 45 et 46). En  se référant à la     fig.    45, on verra que le ro  chet fait partie d'un assemblage comprenant    le rochet de retenue 489, l'engrenage 488 et  les rochets de retenue 491 et 492, montés dans  un rapport fixe les uns avec les autres sur le  moyeu 493 qui tourne sur l'arbre 402, Un     cli-          quet        d'entraînement    656 est engagé par un  ressort 658, avec les dents du rochet d'entraî  nement 490, le cliquet pivotant sur un levier  coudé 657 fou sur l'arbre 402.

   Le ressort 658  entraîne le     cliquet    656 dans le sens     dextror-          sum    pour le mettre en prise normale avec les  dents du rochet 490. Le levier coudé 657 est  relié par une bielle 659 à -un bras de came  660 fou sur la tige 438 et entraîné dans le  sens     dextrorsum    par un     ressort    661, de faon  qu'un point dudit bras soit normalement en  contact avec la périphérie d'une came d'avan  cement de la table 662 fixée à l'arbre 371.

         Quand    le mouvement vers l'arrière de la  bielle 659 n'est pas empêché, la rotation de  l'arbre 371 et de la came 662 oblige le point  du bras 660 à être entraîné par le ressort 661  au- bas d'un épaulement abrupt 663 formé  clans un évidement de la came 662. Ces der  niers mouvements se produisent selon la dis  tribution indiquée sur la ligne 13 du graphi  que     (fig.    47). Le mouvement     dans    le sens       dextrorsum    du bras 660 déplace la bielle 659  vers l'arrière pour faire basculer le levier  coudé 657 dans le sens     senestrorsum,    ce qui  provoque le déplacement du cliquet .d'avance  ment 656 vers l'arrière sur une distance d'une  dent du rochet 490.

   Il est à remarquer que le  cliquet de retenue 494     (fig.    43) coopère avec  les dents du rochet de retenue 489, solidaire  du rochet d'avancement 490, pour empêcher  tout mouvement vers l'arrière du rochet  d'avancement 490 pendant que le cliquet  d'avancement 656 est déplacé vers l'arrière  de la manière décrite ci-dessus.  



  En continuant sa rotation, la came 662  oblige une surface de l'évidement 663 à s'en  gager avec ,le point du bras 660 pour faire  basculer ledit bras dans le sens     senestrorsum     à l'encontre de la tension du ressort 661. La  bielle 659 est ainsi renvoyée vers l'avant, de  façon que le     cliquet    d'avancement 656 avance  le rochet d'avancement 490 d'une dent dans  le sens     dextrorsum.    L'engrenage 488     (fig.    43,      45 et 46) est fixé au rochet     49d    et tourne so  lidairement avec ce rochet pour     entrainer     l'engrenage 487 et l'arbre 486 dans le sens       senestrorsum,    obligeant ainsi l'engrenage 485,  fixé à l'arbre 486,

   à entraîner l'engrenage  403, l'arbre 377 et ,les engrenages d'entraîne  ment 375 et 376 de la table     (fig.    19) dans le  sens     dextrorsum,    de façon que la table 335  soit avancée sur un interligne.  



  Le mouvement vers l'arrière de la bielle  659     (fig.    43) est contrôlé par divers dispo  sitifs pour assurer l'interlignage convenable  de la table 335. Par exemple, il est nécessaire  que la plaque de commande des totaux 73 soit  en position d'addition avant que la bielle  659 puisse se déplacer vers l'arrière pour  actionner le cliquet     d'entraînement    656, ce       qui    signifie que le cliquet d'entraînement ne  fonctionne jamais quand la plaque de com  mande des totaux 73 n'est pas dans la posi  tion d'addition.

   De la même manière, l'en  foncement de certaines touches des trans  actions empêche le fonctionnement de la  bielle 659 et du cliquet 656, et un moyen est  prévu aussi pour empêcher l'opération de la  bielle 659 quand la table 335 est en train de  se déplacer vers la ligne sélectionnée, sous  l'influence des touches cherche-ligne et des  organes associés.  



  En se référant à la     fig.    43, on verra qu'un  prolongement angulaire de la bielle 659 porte  un goujon 664 coopérant avec une encoche  665 prévue dans un disque de commande des  totaux 666 fou sur l'arbre 315. Le disque de  commande 666 porte un engrenage 667 en  prise avec un engrenage 668 fixé à l'arbre,  330. En se référant à la     fig.    6, on se rappel  lera que l'arbre 330 est     entrainé,    au moyen du  train d'engrenages représenté ici, par la pla  que de commande des totaux 73 en propor  tion des touches de totaux 74 à 78 inclusive  ment, enfoncées     (fig.    1).  



  Quand la plaque de commande des totaux  73 est en position d'addition, le disque de  commande 666 est positionné, comme il est re  présenté à la     fig.    43, de façon que l'encoche  665 du disque se trouve vis-à-vis du goujon  664. Il en résulte que la bielle 659 possède    un     inôttvement    libre de va-et-vient, sous l'in  fluence de la came 662, pour actionner le ro  chet 490 de mise eu place de la table.

   Quand  la plaque de commande des totaux 73 quitte  la position d'addition,     sous    l'influence d'une  des touches de totaux, pendant les opérations  d'impression des totaux et des     sous-totaux,    la  périphérie du disque 666 vient coopérer avec  le goujon 664 pour empêcher le mouvement  vers l'arrière de la bielle 659 et, par consé  quent, pour empêcher l'opération du     cliquet     656 et du rochet 490. La bielle 659     (fig,    43  et 44) possède un prolongement recourbé 669  qui peut venir en prise avec un cliquet 670  fou sur un goujon 671 fixé à un support 672  fixé au bâti de la machine.

   Le cliquet 670 est  fixé à un bras de came 673 entraîné dans le  sens     senestrorsum    par un ressort 674 pour  tenir normalement     tm    galet 675 porté par le  dit bras de came en contact avec la périphérie  d'une came 676 fixée à l'arbre 315. Une  équerre 677 formée sur le bras 673 est dis  posée pour être engagée par un loquet 678  fixé à un moyeu 679 fou sur l'arbre 330. Un  levier de came 680, fixé aussi au moyeu 679,  possède une surface en forme de V disposée  pour s'engager avec un goujon 681 fixé sur  la came 662.  



  En se référant à la     fig.    5, on verra que  l'arbre 315, qui porte la came 676, est relié  au moyen des engrenages représentés ici au  mécanisme différentiel de la rangée des  transactions<B>270</B> et que, par conséquent, ledit  arbre 315 est positionné en proportion des  touches de transactions enfoncées. On remar  quera aussi que la :came 676 est divisée en dix  parties numérotées de  0  à  9  inclusive  ment, ces espacements correspondant aux dix  positions du mécanisme différentiel des trans  actions.  



  Mettons, à titre d'exemple, que le loquet  678     (fig.    44) est dégagé de l'équerre 677. On  verra que les parties     saillantes    de la came  676, correspondant aux positions 0, 1, 5 et 9  du mécanisme différentiel, s'engagent avec le  galet 675 pour retenir le cliquet 670 dans le  trajet du prolongement recourbé 669, pour  empêcher tout mouvement     d'actionnement    de      la bielle 659.

   Quand le     mécanisme    différentiel  des     transactions    est à zéro     (fig.    1 et 5) - par  exemple, quand aucune touche de la rangée  des transactions n'est enfoncée, ou quand la  touche      Relevé=découvert     79 qui prend la  position  1  est enfoncée, ou quand la touche   Découvert  86     dans    la position  5  est en  foncée, ou quand la touche      Relevé-balance      84 qui prend la position  9  est enfoncée   une partie     saillante    de la périphérie de la  came 676 se trouvera     vis-à-vis    du galet 675,

    tenant le     cliquet    670     dans    le trajet du pro  longement recourbé 669 pour empêcher l'opé  ration du     mécanisme    automatique d'avance  ment. Quand l'une des touches  Correction  dépôts  80,  Espacement  85,  Dépôts  81,   Chèques  82,      Déblocage-déconvert     87 ou   Correction chèques  83, en d'autres termes,  les touches correspondant respectivement aux  positions 2, 3, 4, 6, 7 et 8 de la came 676,  est     enfoncée,    cette came 676 est positionnée  par le mécanisme différentiel des transactions,  de façon que la partie basse de la périphérie  de ladite came soit     vis-à-vis    du galet 675,

   per  mettant ainsi au ressort 674 de faire basculer  le .cliquet 670 hors du trajet du prolongement  669 pour permettre le mouvement vers la  droite de la bielle 659.  



  Le loquet 678 et les organes associés sont  prévus pour tenir le     cliquet    670 dans le tra  jet du prolongement 669     (fig.    43 et 44) pen  dant la première d'une série d'opérations  d'enregistrement au cours de laquelle la table  335 est avancée à .la position choisie par l'ac  tion des touches cherche-ligne.  



  On se rappellera que la première opéra  tion dans une série d'opérations relative à  l'inscription des chèques consiste à relever soit  un solde, soit     11n    découvert     (fig.    1, 2 et 3).  Au cours de cette opération, l'ancienne ba  lance est relevée et enregistrée dans le totali  sateur des balances, mais normalement., cette  ancienne balance n'est pas     imprimée    sur la  feuille de relevé à moins qu'il ne s'agisse d'un  report de cette ancienne balance à une nou  velle feuille.

       Dans    ce cas, la touche  Balance  à reporter  88 est utilisée en conjonction avec  les touches      Relevé-balance     84 ou  Relevé-    découvert  79 pour     effectuer    l'impression de  cette balance à l'endroit     prévu    à cette fin,  juste au-dessus de la première     ligne    de la  feuille de relevé.

   Après l'opération pour re  lever l'ancienne balance, les touches     cherche-          ligne    convenables sont enfoncées pour sélec  tionner la première ligne disponible de la  feuille; le montant est composé sur les tou  ches de montants 71, et la touche de trans  actions correspondant à l'article à     inscrire    sur  la feuille est enfoncée.  



  La touche      Transaction     utilisée dans  cette dernière opération est invariablement  une de celles qui sélectionnent une partie  basse de la périphérie de la came 676, de fa  çon que, sans le loquet 678, le cliquet 670  s'écarterait du trajet du prolongement 669  pour permettre à la bielle 659 de faire fonc  tionner le dispositif d'avancement automati  que. Mais, puisque le loquet 678 est effectif  pendant cette seconde opération d'inscription,  il empêche le dégagement du cliquet 670, et  la bielle 659 ne fonctionne pas.

   Vers la fin  de l'opération de la machine, le     goujon    681,  en coopération avec la     projeetion-came    en  forme de<B>V</B> à l'extrémité du levier 680, fait  basculer ledit levier, et avec lui le moyeu<B>679</B>  et le loquet 678 dans le sens     senestrorsum    à  l'encontre de la tension du ressort 674 pour  dégager ledit loquet de l'équerre 677. Ceci  permet au ressort 674 de faire basculer immé  diatement le bras 673 et le cliquet 670 dans  le sens     senestrorsum    hors du trajet du prolon  gement 669 pour les porter en contact avec la  partie basse de la périphérie de la came 676.  



  Quand la     partie    en saillie vis-à-vis de la  cinquième position de la came 676     (fig.    44)       dépasse    le galet 675 - à savoir, au     ,cours          d'1-m.e    opération d'inscription ide dépôts (où la  position 4 de la came est sélectionnée), après  une opération     d'inscription    de chèques (où la  position 6 de la came est choisie), ou quand le       cliquet    670 et le bras 673 sont remis par cette  partie saillante vis-à-vis de la cinquième po  sition -, le loquet 678 engage de nouveau  l'équerre 677 pour     empêcher    le mouvement  d'alimentation de la bielle pendant l'opéra  tion suivante.

   Cependant, cela ne gêne en rien      l'opération de     @la    machine, puisque les articles        Chèques     et  Dépôts  sont inscrits toujours  à la même ligne de la feuille de relevé quand  il     est.    nécessaire de     passer    ainsi d'un article  à un autre. Il en est de même pour les posi  tions 2 et 8 de la came 676, ces positions cor  respondant respectivement à  Correction dé  pôts  et  Correction     chèques .   <B>Il</B> a été expli  qué déjà     qu'une    opération de nouvelle ba  lance est exécutée invariablement à la fin de  chaque série d'opérations d'inscription.

   L'en  foncement de la touche  Nouvelle balance  74  sélectionne automatiquement les positions  0   ou  9  de la came 676, et puisque ces posi  tions sont     vis-à-vis    d'une partie saillante de  la périphérie de ladite came, le cliquet 670  est renvoyé à sa position effective, indiquée  ici, pour empêcher l'opération de la bielle 659  et pour remettre le loquet 678 et le levier 680  à leurs positions effectives, indiquées ici.  



  En se référant à la     fig.    43, on verra que  la came 662 présente à sa périphérie une  partie légèrement relevée 685, qui communi  que au rochet 490     un        faible    déplacement excé  dentaire, après quoi le cliquet 656 est partiel  lement dégagé de la dent dudit rochet. Ceci  assure que les rochets 490 et 489 sont avancés  sur une distance suffisante pour permettre au  cliquet de retenue 494 de se mettre bien en  prise avec     ila    dent correspondante du     ro-          chét    489.  



  Un dispositif qui fonctionne immédiate  ment après le déplacement excessif des ro  chets 489 et 490, indiqué ci-dessus, est prévu  pour entraîner     élastiquement    lesdits rochets  clans une direction rétrograde ou dans le sens       senestrorsum,    lorsqu'on considère la     fig.    43,  pour assurer l'engagement des dents des ro  chets 489 et 490 avec leurs cliquets respectifs  494 et 656, de sorte que la table 335 soit con  venablement mise à .la position .choisie de  ligne avant l'opération du mécanisme d'im  pression.

   Le dispositif prévu pour remettre  les rochets 489 et 490 en prise avec leurs cli  quets respectifs 494 et 656 comprend un ro  chet 683     (fig.    23 et 24) relié, de manière à  être     ajustable,    à un croisillon 684 fixé à une  extension de l'arbre<B>377</B> qui se prolonge au-    delà du bâti de gauche 62. Un bras opéra  teur 686 du rochet 683 est susceptible de  tourner sur un goujon 687 aligné sur l'axe de  l'arbre 377 et monté sur un support 688  appuyé sur un certain nombre de goupilles  689 fixées dans le bâti 62. Le bras 686 porte       izn    cliquet de rochet 690 entraîné dans le sens       senestrorsum    par un ressort 691.

   Le bras 686  porte     aussi    un goujon 692 qui est engagé avec  une entaille 693 prévue dans l'extrémité anté  rieure d'une bielle 694 dont l'extrémité arrière  est articulée à l'un des bras d'un levier de  came 695 fou sur la tige 438. Le levier de  came 695 porte des galets 696 et 697, coopé  rant respectivement avec les périphéries de  plaques-cames 698 et 699 montées sur l'arbre  à cames 371 de l'impression. Un     ressort    700,  maintenu sous tension entre le goujon 692 et  un goujon de la bielle 694, forme une con  nexion élastique entre le bras 686 et la bielle  694.

   Quand le     mécanisme    est dans la position  de départ indiquée ici, un prolongement 701  du     cliquet    690, en coopération avec un gou  jon 702 fixé dans le bâti 62, retient ledit     cli-          quet    hors de prise des dents du rochet 683.  



  Après que le cliquet d'avancement 656       (fig.    43) a effectué son mouvement d'avan  cement et de retour, sous l'influence de la  came 662, les plaques-cames 698 et 699       (fig.    23) basculent le levier 695 dans le sens       dextrorsum    selon la distribution indiquée à  la ligne 6 du graphique     (fig.    47).

   Ce     bascule-          ment    du levier 695 provoque un déplacement  vers la droite de la bielle 694     (fig.    23), bas  culant le bras 686 dans le sens     senestrorsum     pour porter le cliquet 690 en prise avec les  dents du rochet 683, et.

   'le mouvement subsé  quent du levier de came 695 et de la bielle  694 oblige -le ressort 700 à entraîner     élasti-          quement    le bras 686, le     cliquet    690 et le ro  chet 683 dans le sens     senestrorsum    pour met  tre les dents des     rochets    489 et 490     (fig.    43)  en prise avec leurs cliquets     respectifs    494 et  656 pour assurer que la table 335 soit mise  exactement à la position de ligne qui a été  sélectionnée.  



  L'arbre de commande 371 de l'impression       (fig.    23 et 46) fait.     Lin    tour dans le sens dex-           trorsum    pendant chaque opération de la ma  chine, comme il a été'-expliqué déjà. Cet arbre  de commande de l'impression est relié à l'ar  bre de commande principal 70 par un train  d'engrenages. Pendant     les    opérations d'addi  tion, l'arbre de commande de l'impression 371  tourne en     synchronisme    avec l'arbre principal  70. Cependant, l'on se rappellera que pen  dant     les    opérations de l'impression de totaux  et de sous-totaux, l'arbre principal 70 fait  deux tours.

   Vu la nécessité que l'arbre 371 de  commande du mécanisme d'impression ne  fasse qu'un tour pendant ces opérations, un  dispositif d'embrayage est prévu entre l'ar  bre principal 70 et les engrenages de liaison  reliant cet arbre à l'arbre 371 de commande  de l'impression. Ce dispositif d'embrayage est  débrayé automatiquement au     commencement     du     premier    cycle des opérations d'impression  de totaux et de sous-totaux, de façon que le  mouvement de l'arbre principal 70 ne soit pas  communiqué à l'arbre 371 de commande du  mécanisme     d'impression    pendant ce premier  cycle.

   Au commencement du second cycle  d'opérations, ledit     dispositif    est embrayé pour       rolier    l'arbre de commande principal à l'ar  bre de     commande    du mécanisme d'impression,  de façon que ledit arbre de commande de  l'impression fasse un tour solidairement de  l'arbre principal pendant ce second cycle de  l'opération     d'impression    des totaux et des       sous-totaux.            111écanisme   <I>de</I>     déblocage   <I>de la</I>     table.     



  Des organes .représentés en     fig.    38 sont  prévus pour dégager les     cliquets    d'avance  ment et de retenue 656 et 494 de la table de  leurs rochets respectifs 490 et 489, de façon  que les     ressorts    386 et 392     (fig.    19) puissent  renvoyer la table 335 à sa position de départ.  Ce dispositif de .dégagement des     :cliquets    com  prend une came de déclenchement 703       (fig.    38, 45 et 46) folle sur le moyeu 493 et  située entre     les    deux     .cliquets    489 et 490.

   La  came 703 porte     des        saillies    de déclenchement  704 et 705 coopérant     respectivement    avec les  dents des cliquets 656 et 494. La came 703  présente des dents d'engrenage qui se met-         tent    en prise avec des dents analogues d'un  segment 706 fixé à un arbre 707 tourillonné  dans les bâtis 63 et 64.

   Une manivelle 708 est  fixée également à l'arbre 707; cette manivelle  est articulée à l'une des extrémités d'une  biellette 709 de commande de la came de dé  clenchement, cette biellette étant munie  d'une fente en forme de<B>L</B> 710 qui coopère  avec un goujon 711 prévu sur l'un des bras  d'un levier à deux bras 712 fou sur la tige  438.     Chacuu    des bras du levier 712 porte un  galet 713 et 714 coopérant avec les périphé  ries de     plaques-cames    715 et 716 montées sur  l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impres  sion.  



  La biellette 709 porte un goujon carré 717  disposé pour être engagé par     un    loquet 718  fixé à un arbre 719 tourillonné dans les bâtis  63 et 64. Un bras 720 est aussi fixé à l'arbre  719, ledit bras étant disposé pour coopérer  avec un goujon 721 faisant saillie sous la.  table 335. Un ressort 722     (fig.    38) entraîne  le loquet 718 dans le sens     senestrorsum    pour  tenir normalement un goujon 724 porté par  ce loquet en contact avec la périphérie d'une  came 723 d'entraînement du loquet, fixée à  l'arbre 315; on se rappellera que cet arbre  est positionné par le     mécanisme    différentiel  des rangées .de touches des transactions en  proportion des touches de cette rangée en  foncées.

   La came 723 est divisée en dix par  ties correspondant aux dix positions du dif  férentiel -des transactions, et les espacements  sont numérotés de  0  à  9  inclusivement.  La came 723 possède une partie     basse    qui cor  respond aux positions 2 à 8 inclusivement de  la rangée des transactions, et ladite came pos  sède aussi une partie en saillie correspondant  aux positions 0, 1 et 9 de ladite rangée de  touches de transactions.

   En se référant. à la       fig.    1, on verra que les positions 2 à 8 inclu  sivement correspondent aux touches 80, 85,  81, 86, 82, 87 et 83, et que les positions 0, 1  et 9     .correspondent    à la position automatique  et aux touches      Relevé-découvert     79 et      Re-          levé-balance     84.  



  Quand la partie basse de la came 723 se  trouve     vis-à-vis    du goujon 724, le ressort 722      maintient la surface d'engagement du loquet  718     au-dessous    du goujon carré 717, de façon  que la branche horizontale de la fente en  forme de<B>L</B> 710 soit en alignement avec le  goujon<B>711.</B> Quand la fente est dans cette po  sition, le bras de came 712a un mouvement à  vide -de va-et-vient pendant la rotation des  cames 715 et 716, de faon qu'aucun mouve  ment ne soit communiqué à la biellette 709.

    Quand la partie en saillie de la came 723,  correspondant aux positions 0, 1 et 9  vient en regard     @du    goujon 724, le loquet  718 est     basculé    dans le     sens        dextrorsiun     pour dégager sa     surface    d'engagement du  goujon carré 717, ce qui     livre    la biellette  709 à l'action d'un ressort 725 qui entraîne  ladite     biellette    vers le bas.

   On verra d'après  la distribution indiquée à la ligne 15 du gra  phique     (fig.    47) que le mouvement initial  vers l'avant du levier de came 712, quand les  cames 715 et 716 se mettent à     tourner,    aligne  le goujon<B>711</B> avec le bras vertical de la  fente en forme de L 710, de façon que le res  sort 725     puisse    immédiatement entraîner la  biellette 709 vers le bas pour engager le bras  vertical de la fente avec le goujon 711.

   Le  mouvement de retour dans le sens     dextror-          sum    du levier de came 712 oblige le goujon  711 à coopérer avec la partie verticale de la  fente 710 pour déplacer la biellette 709 vers  l'arrière, faisant basculer dans le sens     dex-          trorsum    la manivelle 708, l'arbre 707 et le  segment 706, de façon que le segment 706  fasse basculer dans le sens     senestrorsum    la  came de déclenchement 703.

   Ce mouvement  dans le sens     senestrorsum    .de la came 703 en  gage les saillies 704 et 705 avec les dents des  cliquets 656 et 494 pour basculer lesdits     cli-          quets    hors de prise avec leurs rochets respec  tifs 490 et 489. La     table    335 est immédiate  ment livrée à l'action :des ressorts 386 et 392  qui remettent la table à la position de départ.  



  Au     cours    de l'opération suivante, après le  déplacement dans le sens     senéstrorsum    du le  vier 712 par les cames 715 et 716, un     goujon     726     (fig.    38) porté par la came 715 s'engage  avec une surface plate 727 de la biellette 709  et relève cette biellette pour mettre la partie    horizontale de la fente 710 vis-à-vis du goujon  711.

   Si, au cours de cette opération, le loquet  718 est retenu à la position indiquée en     fig.    38  par la partie saillante de la came 723, la     biel-          lette    709 est     entraînée    vers le bas par la ten  sion du ressort 725 quand le goujon 726  descend de la surface plate 727 pour remettre  la partie verticale de 'la fente 710 en     prise     avec le goujon 711 et, dans ce cas, la came  703 remet les     cliquets    656 et 494 hors de prise  pour renvoyer la table 335 à la position de  départ.

   Mais si, au cours de la seconde opéra  tion de la. machine, la came 723 est position  née de façon que (la partie     basse    soit     vis-à-vis     du goujon 724, le ressort. 722 agit immédiate  ment pour ramener le loquet 718 dans le sens       senestrorsum    pour     faire    passer la surface  d'engagement dudit loquet.     au-dessous    du gou  jon carré 717 et, dans ce cas, la. branche hori  zontale de la fente 710 reste en     alignement     avec le goujon 711 quand le goujon 726 passe  au-delà de la. surface plate 727.

   Dans ce cas,  le mouvement de retour dans le     sens        dextror-          sum    du levier 712 ne     communique        aucun    mou  vement à la biellette 709 et, par conséquent,  les     cliquets    656 et 494 restent en prise avec  leurs rochets correspondants.

   Si le loquet 718  se déplace de sa position dégagée, représentée  en     fig.    38, pour se mettre à la position d'en  gagement sous l'influence de la came 723 et  du ressort 722 quand la biellette     709-est    dans  sa position     c'en    bas, un méplat formé sur le  bec du loquet 718 s'arrête au côté gauche du  goujon 717, et la surface d'engagement du  loquet 718 s'enclenche avec le goujon 717  quand la biellette 709 est renvoyée vers le  haut par le goujon 726, de la manière indi  quée ci-dessus.  



  Il     est    à remarquer que le goujon 726 ren  voie toujours la biellette 709 vers le haut  immédiatement après que le levier 712 a reçu  son mouvement     initial    dans le     sens        senestror-          süm.    Cependant, si le loquet 718 se trouve       dans    sa position dégagée, la biellette 709 se  déplace vers le bas quand le goujon 726 des  cend de la surface plate 727 pour remettre la  branche verticale de la fente 710 en     prise     avec le goujon 711.

   Un dispositif est prévu      également pour assurer le fonctionnement des       organes    de remise de la table     quand    la pre  mière inscription est faite à la     39m0    ligne,     afin     que la table 335 soit immédiatement remise à  sa position de départ après cette opération  d'inscription. Ce dispositif comprend le gou  jon 721, placé de façon à pouvoir entrer en  prise avec le bras 720 pour le faire basculer,  avec l'arbre 719 et le loquet 718, dans le     sens          dextrorsum,    quand la table 335 est déplacée  à la     39-e    position de ligne par le cliquet  d'avancement 656.

   La surface d'engagement  du loquet 718 est retirée de dessous le goujon  717 pour permettre que la partie verticale de  la fente en forme de     [.    710 s'engage avec le  goujon 711, sous l'influence du ressort 725, à  la fin du mouvement initial dans le sens     se-          nestrorsum    du bras 712.

   Il est à remarquer  due les cames 715 et 716 ont un profil légère  ment relevé, de façon qu'il se produise pour  ainsi dire une période d'arrêt au cours de la  quelle le levier 712 reste stationnaire à la li  mite de son trajet dans le sens     senestrorsum     et au cours de laquelle, aussi, le mécanisme  d'impression fonctionne pour faire l'impres  sion du premier article à la     39m0    ligne (voir  la     ligne        8-du    graphique     fig.    47).

   Cette opéra  tion d'impression terminée, les cames 715 et  716 renvoient le levier 712 dans le sens     dex-          trorsum    et la biellette 709 vers l'arrière, obli  geant les oreilles 704 et 705 à dégager les  cliquets 656 et 494 de leurs rochets respectifs  489 et 490 pour permettre aux ressorts 386 et  392     (fig.    19) de renvoyer la table 335 à la po  sition de     départ.     



  Dans le cas où il serait nécessaire d'impri  mer     iul.    article subséquent à la     39-e    ligne, il       faudrait    enfoncer les touches     cherche-ligne      39  -     c'est-à-dire    la touche  30  des di  zaines et la touche  9  des unités.- pour re  mettre la table 335 à la     39m0    position sous  l'influence de ces touches cherche-ligne.

   Le  mécanisme représenté en     fig.    38 et décrit ci  dessus     fonctionne    chaque fois que la table 335  est déplacée à sa     39m0    ou dernière position,  de façon que la table 335 soit renvoyée à la  position de départ chaque fois     qu'un    article  est porté à la feuille de relevé.

           Espacement        intermittent   <I>de la table</I>     pendant     <I>les opérations d'inscription de chèques.</I>  En se référant aux     fig.    2 et 3, on verra  que la partie  Débits  de la feuille combinant  un relevé de compte et     une        feuille    de livre de  banque comprend deux colonnes pour l'ins  cription de deux     articles    l'un à. côté de l'au  tre,     inscription    après laquelle la table est  espacée automatiquement s'il y a encore des  chèques à inscrire.

   On verra également que la,  partie  Crédits  de la feuille ne comprend  qu'une seule colonne, de sorte qu'un article  seulement des crédits ou des dépôts peut être  inscrit à chaque ligne de la feuille. Par con  séquent, quand il y a plus d'un article des  crédits à inscrire, il est nécessaire que la  table avance la feuille après l'inscription de  chacun de ces articles des crédits. Le méca  nisme     automatique    pour la commande de cet  avancement automatique de la table 335 est  commandé par les touches  Chèques  82,  Dé  pôts  81,  Correction chèques  83 et  Correc  tion dépôts  80. Ce mécanisme sera décrit en  détail ci-après.  



  En se référant aux     fig.    32, 34, 35, 43 et  46, on verra que le goujon 664 de la bielle  659 coopère avec le disque de commande 666       (fig.    43) qui est commandé par la plaque de  commande des totaux 73 de la manière expli  quée ci-dessus. On verra aussi que le goujon  664 coopère aussi avec un disque de com  mande 728     (fig.    32) qui contrôle l'avance  ment     intermittent    de la table 335 au cours  des     opérations    d'inscription de chèques. Le  disque de commande 728 est solidaire d'un  engrenage 729 et d'un rochet 730,     lesdits          organes    étant tous fous sur l'arbre 315.

   L'en  grenage 729 est engagé avec un engrenage 731  fixé sur un arbre d'avancement     intermittent     732 tourillonné dans les bâtis 63 et 64. L'ar  bre 732 porte aussi un engrenage 733     (fig.    35)  en prise avec un engrenage 734 solidaire d'un  rochet 735 fou sur l'arbre 315. Un cliquet  d'avancement 763     (fig.    32, 34 et 46) s'engage  avec les dents du rochet 730; ce cliquet pivote  sur -un goujon 764 d'un bras 736 fou sur l'ar  bre 315. Un ressort 737 entraîne le cliquet  763 dans le sens     seneStrorsum    en prise élasti-      que avec les dents du rochet 730. Le goujon  764 est en prise avec une entaille prévue dans  l'un des bras d'un levier 738 fou sur l'arbre  330.

   L'autre bras de ce levier possède une en  taille en prise avec un goujon 739 d'un le  vier de came 740 fou sur la tige 438. Le levier  de came 740 porte un galet 741 qui est en  prise élastique avec la périphérie d'une came  742 fixée à l'arbre 371, le galet étant main  tenu en prise avec la périphérie de la came  par un     ressort    743.    Le levier 738 porte un goujon 744     (fig.    33)  coopérant avec un disque de commande 745  fixé à l'arbre 315; on se rappellera que ledit  arbre est positionné sous l'influence des tou  ches de transactions. Le disque de sélection  745 présente des encoches 746 et 747 corres  pondant respectivement aux positions  6  et   8  du mécanisme différentiel des trans  actions.

   Il s'ensuit que l'enfoncement soit de  la touche  Chèques  82, en sixième position,  soit de la touche  Correction chèques  83 en  huitième position, positionne les encoches 746  et 747 respectivement de ces touches vis-à-vis  du goujon 744 pour permettre l'opération du  levier 738 et du cliquet d'avancement 763 par  la came 742. Un cliquet de retenue 748, fou  sur l'arbre 330, est entraîné dans le sens       senestrorsum    par un ressort 749 pour venir  en prise avec les dents du rochet 730. Le dis  que de commande présente six encoches d'es  pacement égal. 750, et le rochet d'avancement  730 possède douze dents.

   Ce rochet est tourné  dent. par dent dans le sens     senestrorsum    par  la came 742 selon la distribution indiquée à  la ligne 14 du graphique     (fig.    47), de façon  qu'une encoche 750 et une partie pleine du  disque 728 entre deux encoches soient ame  nées tour à tour vis-à-vis du goujon 664.    Le rochet 735     (fig.    35), qui est relié avec  le rochet 730, comprend un dispositif pour le  faire avancer dent par dent, ce dispositif  étant similaire sous tous les rapports au     di.ç-          positif    d'avancement du rochet 730 décrit ci  dessus.

   Ce mécanisme comprend un bras 751  fou sur l'arbre 315 et qui porte un goujon  752 formant le pivot d'un cliquet d'avance-    ment 753     entraîné    dans le     sens        senestrorsum     par un ressort 754 pour l'engager avec les  dents du rochet 735. Le goujon 752 est en  prise avec une entaille pratiquée dans l'une  des extrémités d'un levier 755 fou sur l'arbre  330. Ce levier 755     possède    une seconde en  taille qui est en prise avec un goujon 756  d'un des bras d'un levier 757 fou sur la tige  438.

   Un ressort 758 entraîne le levier 757  dans le sens     senestrorsum,    de faon qu'un  galet 759 porté par ledit levier soit normale  ment en prise avec la périphérie d'une came  760 similaire sous tous les rapports à la came  742     (fig.    32). Cette came 760 fait fonction  ner le mécanisme d'avancement, y compris le  levier 755, en synchronisme avec le mécanisme  d'avancement pour le rochet 730. Le levier  755     (fig.    36) porte un goujon 761 placé de  manière à pouvoir coopérer avec un     disque     -de commande 762 fixé sur l'arbre 315, qui est.  positionné, comme on l'a déjà expliqué, sous  l'influence des touches de transactions.

   Le  disque de commande 762 présente des parties  basses correspondant aux positions 0, 1, 2, 3,  4 et 9 du différentiel des transactions; ce  disque présente aussi     des    parties en saillie de  sa périphérie correspondant aux     positions    5,  6, 7 et 8 du mécanisme différentiel des trans  actions.  



  En se référant à la     fig.    35, on verra que  le rochet 735     possède    six dents correspondant  aux six     encoches    750 du disque de     commande     728. Ce rochet et ce disque sont disposés re  lativement     -l'un    à l'autre de telle façon que  chaque mouvement d'avancement sur une dis  tance d'une dent, communiqué au rochet 735  par le     mécanisme    indiqué en     fig.    35, amène  une encoche 750     vis-à-vis    du goujon 664 de la  bielle de commande du rochet d'avancement  659.

   En se référant à la     fig.    1, on verra que  les parties     basses    du disque de commande 762       (fig.    36) correspondent aux touches de trans  actions 79, 80, 85, 81 et 84; on verra aussi  que lorsque ledit disque 762 fonctionne pour  faire avancer le rochet 735 par le levier 755,  le disque de commande 745 est positionné de  telle façon que sa périphérie bloque le goujon  744, ce qui empêche le mouvement d'avance-      ment du     levier    738 pour entraîner le rochet  730     (fig.    32).  



  Quand l'opération du rochet 735 est com  mandée par le disque 762     (fig.    36), l'une des  encoches 750 du disque 728     (fig.    32) est  amenée invariablement vis-à-vis du goujon  664. Il en résulte que, quand le     disque    762  fonctionne, la bielle 659 n'est pas empêchée  dans son mouvement de va-et-vient qu'elle re  çoit -des organes représentés en     fig.    43 et dé  crits ci-dessus. Ce mouvement de va-et-vient       oblige    le cliquet 656 à faire avancer le rochet  490 sur une     distance    d'une dent pour chaque  opération de la machine, pour espacer la ta  ble 335 et la feuille de relevé de compte.

   Il  est évident que lorsque le -disque de com  mande 745     (fig.    33) commande l'opération du  rochet 730, les parties en saillie et les enco  ches 750 .du disque de commande 728 seront  amenées     successivement    vis-à-vis du goujon  664, de façon que la bielle 659 fonctionne une  fois toutes les deux opérations de la machine  pour faire avancer le rochet 490 d'une dent  et, par conséquent, pour avancer la table 335  et la feuille.  



  On se rappellera, en se référant à la     fig.    1,  qu'au cours de l'inscription d'un compte, la  touche      Relevé-balance     84 est utilisée en pre  mier lieu pour relever. l'ancienne balance.  Cette touche oblige le mécanisme différentiel  des transactions à positionner les disques de  commande 745 et 762 de façon     qu'iuie    partie  en saillie du disque 745 soit vis-à-vis du gou  jon 744 et     qu'une    partie basse, ou encoche, du  disque 762 soit     vis-à-vis    du goujon 761. Dans  ce cas, le rochet 730, qui possède douze dents,  ne fonctionne pas; mais le rochet 735 à six  dents fonctionne de manière à obliger l'une  des encoches 750 du disque de commande 728  à être amenée vis-à-vis du goujon 664.

   Dans  ce cas, cependant, la bielle 659 est empêchée  par la came 676     (fig.    44), cette came étant  arrivée à sa position  9 , position dans la  quelle une partie en saillie de la came est  amenée     vis-à-vis    du galet 675 pour retenir le  cliquet 670 sur le trajet du prolongement re  courbé 669, empêchant ainsi le mouvement  opérateur de la bielle 659.

      L'opération de relevé de la balance peut  être suivie d'une opération     d'inscription    de  débits, par exemple     chèques.    Dans ce cas, le  montant du premier article des débits est  composé sur les touches de montants     (fig.    1) ;  la touche cherche-ligne convenable est enfon  cée pour sélectionner la première ligne dispo  nible de la feuille de relevé, après quoi la tou  che  Chèques  82 est enfoncée pour amorcer  les     opérations    de la machine. La touche  Chè  ques  82 correspond à la position  6  de la  came 676 et des disques 745 et 762     (fig.    33, ,  36 et 44) et, par conséquent, lesdits organes  sont amenés à cette position  6 .

   Dans cette  position, une partie basse de la came 676 se  trouve     vis-à-vis    du galet 675, l'encoche 746 du  disque 745 est vis-à-vis du goujon 744 pour ,  libérer le mécanisme d'avancement du rochet  730, et une partie en saillie du disque 762 est  vis-à-vis du goujon 761 pour empêcher le mé  canisme d'avancement du rochet 735. D'ordi  naire, la partie basse de la came 676 permet  trait le mouvement du cliquet 670 hors du  trajet du prolongement 669. Cependant, dans  cette opération, des touches cherche-ligne ont  été utilisées pour faire la sélection de la pre  mière ligne .d'impression; par conséquent, le  loquet 678 empêche le mouvement de dégage  ment dudit cliquet 670 de la manière expli  quée ci-dessus.

   Pendant. les opérations anté  rieures de relèvement de balance, on se rap  pellera que le disque 728 était positionné de     i     telle manière que l'une des encoches 750 se  trouvait     vis-à-vis    du goujon 664. Puisque la.  came 742     (fig.    32) fonctionne après la came  662     (fig.    43) de commande du rochet d'avan  cement 490, la bielle 659 serait libre de fonc-     j     tionner pendant cette opération d'inscription  de chèques, et la table serait espacée si le lo  quet 678 n'était pas     (fig.    43) en position pour  empêcher tout déplacement de la table.  



  Vers la fin de la première opération     d1iis-          cription    de chèques, la came 742 attaque le  levier 738 de façon que le rochet 730 soit  avancé d'une dent pour amener une partie  pleine du disque 728     vis-à-vis    :du goujon 664.  S'il y a encore     des    chèques à porter au compte,  l'enfoncement de la touche  Chèques  82 au      commencement de cette seconde opération  d'inscription oblige la came 676 et les disques  745 et 762 à rester dans leurs positions de la  première opération, ce qui veut dire qu'une  partie en saillie du disque 728 se trouve en  face du goujon 664.

   Le mouvement de la  bielle 659 étant ainsi empêché, aucun mouve  ment n'est communiqué au rochet d'avance  ment 490 et la table reste à sa position de  ligne primitive.  



  On se rappellera, en se référant aux     fig.    2  et 3, que la partie de la feuille réservée aux  débits ou aux chèques est divisée en deux co  lonnes, de façon que deux articles     puissent     être inscrits à la même ligne. Les     deux    mar  teaux d'impression qui     impriment    ces articles  des débits alternativement clans les deux co  lonnes sont commandés par -des disques de  sélection entraînés par les rochets 730 et 735,  de manière entièrement analogue au disque  728. Ces marteaux impriment le premier arti  cle des chèques dans la colonne de gauche, le  deuxième     dans    la colonne de droite, et ainsi  de suite. Le mécanisme de commande de ces  marteaux d'impression sera expliqué ci-après.  



  Après le mouvement d'impression, la came  742 déplace le levier 738     pour    obliger le     cli-          quet    763 à faire avancer le rochet 730 pour  faire tourner le disque 728, de façon que l'une       clés    encoches 750 soit vis-à-vis du goujon     66-k.     S'il y a un autre article à inscrire parmi les  chèques pendant une opération subséquente,  la bielle 659 est libre de déplacer le     cliquet     656 pour faire avancer le rochet 490 d'une  dent pour amener la ligne suivante de la  feuille à la position d'impression, de façon  que le troisième article soit inscrit dans la co  lonne de gauche de la partie des débits       (fig.    2)

   immédiatement au-dessous du premier  article. Cet avancement intermittent de la  feuille se reproduit tant que l'on voudra en  utilisant la touche  Chèques  82.  



  En se référant au     dessin,    on verra que la  touche  Correction chèques  83 fonctionne de  manière entièrement analogue à la touche   Chèques  82 pour positionner la came 676,  de façon qu'une partie basse de cette came soit  vis-à-vis du galet 675, pour positionner le    disque 745, de façon que l'encoche 747 de ce  disque soit vis-à-vis du goujon 744, et finale  ment pour positionner le disque 762, de ma  nière qu'une partie en     saillie    de ce disque soit  vis-à-vis du goujon 761. Il en résulte que le  mécanisme     d':avancement    intermittent fonc  tionne exactement de la manière expliquée  par     rapport    à la touche  Chèques  82.  



  Mettons, à titre d'exemple, que la mise à  jour d'un compte exige     l'inscription    d'une  série de     dépôts    en dehors des chèques. L'en  foncement de la touche  Dépôts  81 au com  mencement     d'une    opération relative aux dé  pôts déplace la came 676     (fig.    44) de la  sixième position, en passant par la     cinquième     position, jusqu'à la quatrième position.

   Quand  la. came est à la cinquième position, la partie  saillante de la came dans cette cinquième po  sition, en coopération avec le galet 675, amène  le cliquet 670 dans le trajet du prolongement  669; le loquet 678 se remet en prise avec  l'équerre 677 et retient le cliquet 670 dans le  trajet dudit prolongement 669 quand la came  se déplace à la quatrième position, laquelle  est une position basse.  



  La mise en position du mécanisme diffé  rentiel des transactions sous l'influence de la  touche  Dépôts  déplace aussi les disques 745  et<B>762,</B> de façon que les     quatrièmes    positions  de ces disques soient vis-à-vis clés goujons 744  e 1t 761, pour débrayer le mécanisme de com  mande du rochet 730 et pour embrayer le mé  canisme de commande du rochet 735. Vu que  les articles des dépôts     s'impriment    sur une  partie de la     feuille    toute autre que celle des  chèques, il est avantageux d'inscrire le pre  mier de ces articles à la. même ligne que le  dernier des articles des chèques.

   Pendant cette  première opération d'inscription de dépôts, le  loquet 678     (fig.    44) fonctionne pour empê  cher l'avancement de la table, et cela égale  ment quand une encoche 750 ou une partie  solide du disque 728 se trouve vis-à-vis du  goujon 664. Au cours de cette première opé  ration de     l'inscription    des dépôts, la came 760       (fig.    35) fait fonctionner le     cliquet    753 pour  faire avancer le rochet 735.

   Il ne fait     aucune     différence si, au cours de l'opération sui-      vante,     l'une    des encoches 750 ou l'une des  parties solides du disque 728 se trouvait     vis-          à-vis    du goujon 664;

   le mouvement du rochet  735 amène l'une des encoches 750     vis-à-vis    du  goujon 664 pendant la dernière partie de la  première opération     d'inscription    -des     dépôts.     Vers la fin de .cette première opération d'ins  cription des dépôts, le dispositif représenté  en     fig.    43 et expliqué ci-dessus dégage le lo  quet 678, de sorte que le     -cliquet    670 peut  s'écarter du trajet du prolongement 669.  



  S'il est nécessaire de porter un deuxième  article des dépôts au compte, l'enfoncement  de la touche  Dépôts  81 au commencement  de cette     deuxième    opération oblige la came  676 et les disques 745 et 762 à rester dans les  positions où     ils    étaient mis pendant la pre  mière opération. Vers la fin de cette seconde  opération, le mécanisme représenté en     fig.    35  fait avancer le     disque    728 pour amener l'en  coche suivante du disque vis-à-vis du goujon  664.

   Toutefois, le mécanisme représenté à la       fig.    43     fonctionne    avant le déplacement du       disque    728, de la manière. qu'on vient d'indi  quer.     Etant    donné     qu'une    encoche 750 se  trouve vis-à-vis du goujon 664, et que le cli  quet 670     (fig.    44) n'empêche plus la bielle  659, cette bielle fonctionne pour déplacer la  table 335 et, avec elle, la feuille, d'une ligne  avant l'opération du mécanisme d'impression.  Il en résulte que l'article suivant des .dépôts  s'imprime immédiatement au-dessous du pre  mier article, et que la table et la feuille se dé  placent de la manière indiquée pour chacun  des articles suivants.  



  En se référant au dessin, on verra que la  touche  Correction dépôts  80     (fig.    1) fonc  tionne d'une manière analogue à la touche        Dépôts     81 pour effectuer l'avancement de  la feuille après chaque inscription de ce genre.  Il serait nécessaire d'expliquer que les frais  de banque et les autres articles des débits sont  portés à la partie  Débits  de la feuille,  exactement de la manière indiquée ci-dessus  par rapport aux chèques, en     utilisant    la tou  che  Chèques  82.

   En ce qui concerne les cré  dits autres que les dépôts,     l'inscription    de ces  articles se fait exactement de la même ma-         nière    que l'inscription de dépôts en     utilisant     les touches des symboles 90     (fig.    1) pour in  diquer les     différents    articles.  



  Après l'inscription de tous les débits et de  tous les crédits, l'opération suivante, au cours  de la mise à jour d'un compte, est une opéra  tion de nouvelle balance. Un se rappellera que  l'enfoncement de la touche  Nouvelle ba  lance  74 positionne le mécanisme différentiel  des touches de transactions à la neuvième po  sition. Si le totalisateur des balances est. à dé  couvert, la touche  Nouvelle balance  est ver  rouillée et ne peut être déverrouillée qu'en en  fonçant d'abord la touche  Découverts  86, ce  qui remet le mécanisme différentiel des tou  ches de transactions à zéro.

   Au cours des opé  rations dites nouvelle balance, la came 676       (fig.    44) est positionnée à 9 ou à 0; ces deux  positions amènent une saillie de la came     vis-          à-vis    du galet 675 pour amener le cliquet 670  sur le trajet du prolongement 669, empêchant.       ainsi    l'action de la bielle 659 et du mécanisme  d'avancement de la table. L'impression de la  nouvelle balance est .effectuée, par     conséquent,     à la même ligne que le dernier des articles des  dépôts, mais dans une autre colonne; cette ba  lance est aussi imprimée en même temps sur  la partie de la feuille qui représente une  feuille de grand livre.  



  Si les opérations nécessaires à mettre à       jouir    un compte courant particulier compren  nent deux inscriptions de débits ou de chè  ques, une inscription de crédits ou de dépôts  et une nouvelle balance, toutes ces inscrip  tions sont faites à la même ligne de la ma  nière indiquée à la ligne 37 de la feuille 343       (fig.    2).

   Les deux débits ou chèques sont ins  crits exactement de la manière indiquée     ci-          dessus.    Le mouvement de la came 676     (fig.    44)  de la position  Chèques;> à la position  Dé  pôts  avant l'inscription du dépôt oblige la  partie saillante vis-à-vis de  5  de ladite came  à. remettre le cliquet<B>670.</B> Au cours de ce mou  vement de remise, le loquet 678 maintient ce       cliquet    dans une position effective quand la  partie en saillie de la came 676 quitte le galet  675, de     façon    que l'article des crédits ou des      dépôts soit inscrit à la même ligne que les  deux articles des débits.  



  L'enfoncement de la touche  Nouvelle ba  lance  au commencement de l'opération sui  vante fait tourner la came 676 jusqu'à la neu  vième position, où une partie saillante de la  périphérie de cette came remet le cliquet 670  sur le trajet du prolongement 669 pour contre  carrer le mouvement d'avancement de la  bielle 659, de façon que la nouvelle balance  soit imprimée     à,    la même ligne que les deux       débits    et le crédit.  



  Il est nécessaire de souligner que la touche        Rolevé-découvert     79     (fig.    1) fait tourner  la came 676 jusqu'à la position  1 ; dans  cette position, le cliquet 670 empêche le mou  vement d'avancement de la bielle 659. La tou  che      Relevé-balance     84 cause le déplacement  de la came 676 vers la     position     9 . Dans  cette position aussi, le cliquet 670 empêche  l'avancement de la table et de la feuille.  



  <I>Dispositif</I>     d'alignement   <I>des disques</I>  <I>de</I>     commande   <I>et du mécanisme associé</I>  à ces     disques.     



  Un dispositif représenté en     fig.    37, et  qu'on va décrue ci-après, est prévu pour main  tenir les arbres 315, 330 et 732 et les disques  de commande positionnés par ces arbres en  alignement et pour les garantir contre tout  déplacement au cours des opérations de la  machine. Ce dispositif comprend trois disques,  ou roues en étoile identiques<B>765,</B> 766 et 767,  dont chacun possède douze encoches en V cor  respondant aux douze dents du rochet 730 et,  naturellement, chaque deuxième dent de ces  disques correspond aux dents du rochet 735.  Le disque 765 est fixé sur l'arbre 315 com  mandé par les touches de transactions. Le  disque 766 est fou sur l'arbre 315; un engre  nage 768, fixé au disque 766, est engagé avec  un engrenage 769 fixé à l'arbre 330 com  mandé par la plaque de commande des totaux  73.

   Le disque 767 est également fou sur l'ar  bre 315; un engrenage 770, solidaire du dis  que 767, est engagé avec un engrenage<B>771</B>  fixé à l'arbre 732 commandé par le système  de rochets représenté aux     fig.    32 et 35.    Les encoches en V d'alignement pratiquées  dans les disques 765, 766 et 767 sont disposées  pour être engagées par une barre en V d'ali  gnement 772 fixée à une partie recourbée de  l'un des bras d'un levier 773 fou sur un gou  jon fixe 774 et     entraîné    dans le sens     .dextror-          sum    par un ressort 775, clé façon qu'un galet  776 porté par ledit levier vienne en contact  avec la périphérie     d'une    came 777.

   Lorsque  les arbres 315, 330 et 732     (fig.    37) et les dis  ques associés à ces arbres ont été mis en posi  tion, la came 777 permet au     ressort    775 de  faire basculer le levier 773 selon la distribu  tion indiquée à la ligne 5 du graphique       (fig.    47), de façon que la barre d'alignement  772 soit amenée en prise avec les dents des  disques 765, 766 et 767 pour maintenir les  arbres et les disques de commande associés à  ces     arbres    contre tout déplacement.

   Après le  mouvement d'impression, la came 777 dégage  la barre d'alignement 772 des disques 765, 766  et 767. '         Mécanisme   <I>de</I>     comptage   <I>des</I>     chèques.     Un dispositif à commande automatique et  manuelle est prévu pour compter les chèques.  Ce dispositif consiste en une rangée de tou  ches des unités 72 et     une    rangée de touches  des dizaines 52. Ces     rangées,    situées à l'extrême  gauche du clavier     (fig.    1), sont similaires  sous beaucoup de rapports aux rangées des  touches des montants 71, quoiqu'il n'y ait  aucune liaison entre les     touches    du compteur  des chèques et celles des montants.

   Ce comp  teur automatique des chèques est commandé  par la touche  Chèques  82. L'enfoncement  de cette touche commande le cliquet d'arrêt  à zéro pour la rangée des unités du compteur  des     chèques.    Ce cliquet d'arrêt à zéro porte,  en dehors .de la butée de zéro habituelle, une  butée située à la position  1  de la rangée  des unités 72. L'enfoncement de la touche   Chèques  82 porte cette deuxième butée sur  le trajet du .croisillon différentiel pour la ran  gée .des unités du compteur des chèques, pour  effectuer l'addition de  1  aux roues de tota  lisation des chèques.  



  La touche  Correction     chèques .83        est    uti-           lisée    pour retirer ou pour     annuler    un chèque  inscrit par erreur. Cette touche aussi com  mande les rangées 72 et 52 du compteur auto  matique des chèques pour effectuer la sous  traction de  1  aux roues du compteur des  chèques en compensation de l'annulation d'un  chèque. Cette soustraction de  1  aux roues  du compteur des chèques est effectuée par  l'addition du chiffre complémentaire  99  à  ces roues.

   L'enfoncement de la touche  Cor  rection chèques  libère les     cliquets    d'arrêt  à zéro des unités et des dizaines, de façon que  le mécanisme différentiel des rangées de tou  ches du compteur de chèques est libre de se  déplacer jusqu'à la neuvième position pour  effectuer cette soustraction.  



  Il est de pratique courante de mettre tous  les chèques d'une certaine sorte ou désigna  tion dans une     liasse;    le montant des chèques  est composé sur les     touches    des montants et  enregistré comme un seul article en utilisant  la touche      Chèques     82. Dans ce     cas,    les tou  ches 72 et 52 des deux rangées du compteur  des chèques sont utilisées pour composer le  nombre total des chèques dans une liasse.  L'enfoncement de ces touches débraye le mé  canisme automatique du compteur des chè  ques et enregistre le nombre total des chèques  dans une     liasse    aux roues du compteur des  chèques. Ce mécanisme du compteur des chè  ques va être expliqué plus amplement ci-après.  



  Les rangées de     touches    du compteur des  chèques 72 et 52     (fig.    1) sont de construction  analogue aux rangées de touches de montants  71     (fig.    4). Chaque rangée comprend un mé  canisme différentiel avec un croisillon 778       (fig.    9) pour les touches des unités 72 et     im     croisillon 779     (fig.    11) pour les touches des  dizaines 52. Ces croisillons sont analogues, en       construction    et en fonction, au croisillon<B>97,</B>  pour la rangée de touches de montants, repré  senté en     fig.    4.

   Le     croisillon    778 pour la ran  gée des     unités    possède un goujon 780 avec un  méplat     coopérant    avec une surface d'arrêt à  zéro 781 et avec une surface 782 correspon  dant à la position  1  du mécanisme différen  tiel des     unités.    Ces surfaces forment partie  d'un cliquet d'arrêt à zéro 783 fou sur un    arbre 784 tourillonné dans le bâti de la ma  chine. Un ressort de torsion 785 est enroulé  autour de l'arbre 784; les extrémités opposées  de ce ressort s'engagent respectivement avec.  un goujon 786 du cliquet d'arrêt 783 et avec  un coussinet monté sur la tige 101.

   Ce ressort       entraîne    les     cliquets    d'arrêt dans le sens     dex-          trorsum,    de manière qu'une queue 787' des     cli-          quets    soit normalement au contact du coussi  net sur la tige 101.  



  Le croisillon différentiel 779 pour les tou  ches des dizaines 52 porte un goujon 788 avec  un méplat coopérant avec une surface d'arrêt  à zéro 789 d'un cliquet d'arrêt à zéro 790 fou  sur l'arbre 784. Ce cliquet. est entraîné dans  le sens     dextrorsum    par un ressort de torsion  791 enroulé autour de l'arbre 784. Les extré  mités opposées de ce ressort s'engagent respec  tivement avec un goujon 792 du cliquet 790  et avec le coussinet sur la tige 101, de fanon  qu'une queue 793 formée sur ledit cliquet 790  soit en contact avec le coussinet sur la tige  101. Le goujon 786 porté par le cliquet d'ar  rêt à zéro 783 de la rangée de touches des       unités    coopère avec un levier 795 auquel il est  superposé.

   Ce levier 795 est fixé dans un rap  port constant avec un doigt 796     (fig.    9<B>)</B> par  un moyeu 797 fou sur la tige 101: Le doigt  796     (fig.    9) coopère avec un goujon 798  prévu dans un prolongement vers le haut d'un  bras 799 fou sur un goujon 800 monté dans  le cadre des rangées de touches. Le bras 799  possède un doigt     d'extension    801 coopérant  avec une tige 802 supportée par un certain  nombre de manivelles 803 fixées à l'arbre 204  de     désaccouplement    du cliquet d'arrêt à zéro  (voir aussi     fig.    4).  



  Des organes analogues à ceux qu'on vient  de décrire sont prévus également pour les tou  ches des dizaines 52     (fig.    11) du compteur  des chèques. Le goujon 792 du     cliquet    d'arrêt  à zéro 790 est superposé à un bras 804 avec  lequel ledit goujon coopère. Le bras 804 est  relié par un moyeu 805, fou sur la tige<B>101,</B>  à     iln    doigt 806 qui coopère avec un goujon  807 prévu dans l'extension supérieure d'un  bras 808 fou sur un goujon 809 monté dans le  cadre des touches des dizaines. Un doigt      d'extension 810 du bras 808 coopère avec la  tige 802 exactement de la même manière que le  doigt 801 du bras 799     (fig.    9).

   Les goujons  798 et 807     (fig.    9 et 11) des bras 799 et 808  coopèrent aussi avec des     surfaces-cames    simi  laires formées sur des leviers correspondants  811 et 812 pivotant respectivement. sur des  goujons 813 et 814, ces goujons étant montés  respectivement. dans les cadres des touches des  unités et des dizaines. Une barre 815 de com  mande du levier est reliée librement au levier  811; l'extrémité supérieure de cette barre est  reliée lâchement au cadre des touches, .de  façon que la barre peut être déplacée. Cette  barre 815 possède un certain nombre de  surfaces-cames 817 qui coopèrent avec des  goujons 818 dans chacune des touches des  unités 72.  



  L'enfoncement de l'une des touches des  unités 72 oblige le goujon 818, en coopération  avec la surface-came 817,à déplacer la barre  815 vers le bas pour faire basculer le     levier     811 dans le     sens        dextrorsum.    Ce mouvement  dans le sens     dextrorsum    du levier 811 oblige  la surface-came de ce levier, en coopération  avec le goujon 798, à faire basculer le     doigt     796, le moyeu 797 et le levier 795 dans le  sens     senestrorsum.    Ce mouvement dans le sens       senestrorsum    du levier 795 est communiqué  par le goujon 786 au cliquet d'arrêt à zéro  783.

   Il en résulte que ledit     cliquet    est basculé  à la deuxième position, représentée par une  ligne en     traits    mixtes; dans cette position, la  surface  0  781, aussi bien que la surface  1 .  782, sont écartées du trajet du goujon 780, de  façon que le croisillon 778 et son mécanisme  différentiel associé soient positionnés sous  l'influence de la touche 72 enfoncée.  



  Le levier 812 pour la rangée des dizaines  du compteur des chèques 52 est relié lâche  ment à l'extrémité     inférieure    d'une barre de  commande 816, similaire sous tous les rap  ports à la barre de commande 815; cette barre  possède un certain nombre de surfaces-cames  819 qui coopèrent avec des goujons 820 dans  chacune des touches des dizaines 52 du comp  teur des chèques.

   L'enfoncement de l'une quel  conque des touches 52 fait basculer le levier    812, ce qui provoque un     basculement    du     cli-          quet    d'arrêt à zéro 790 pour la rangée des di  zaines; ce cliquet d'arrêt est basculé dans le  sens     senestrorsum    à l'encontre de la tension  du ressort 791 vers la position représentée en  traits mixtes en     fig.    11. La surface d'arrêt à  zéro 789 de ce cliquet est écartée ainsi du  trajet du goujon 788, de façon que le croisil  lon 779 et son mécanisme différentiel     associé     sont positionnés sous     l'influence    de la touche  des dizaines 52 du compteur des chèques qui  a été enfoncée.  



  Dans les opérations d'impression des to  taux et des sous-totaux, l'arbre 204     (fig.    9)  est basculé dans le sens     dextrorsum.    Ce mou  vement est communiqué aux manivelles 803 et  à la tige 802, obligeant ladite tige à s'engager  avec les doigts 801 et 810 des bras 799 et 808       (fig.    9 et 11),

   de manière à     faire_basculer    les  dits bras     dans    le sens     senestrorsum.    Ce mou  vement dans le sens     senestrorsum    des bras  799 et 808 et     transmis    par les goujons 7 98 et  807 pour faire basculer les doigts 796 et 806  et les leviers 795 et 804 également dans le  sens     senestrorsiun    solidairement avec les bras  799 et 808.

   Le mouvement dans le sens     senes-          trorsum    .des leviers 795 et 804 est transmis par  les goujons 786 et 792 aux cliquets d'arrêt à  zéro respectifs 783 et 790 pour faire basculer  ces cliquets à la position de     non-fonctionne-          ment    expliquée ci-dessus. Les croisillons 778  et 779 sont libres, par conséquent, d'être mis  en position par les roues du compteur des  chèques en     vue    de l'enregistrement du nom  bre total des chèques, de la manière décrite  ci-après.  



  *Le levier 795     (fig.    9) pour les touches des       unités    du compteur clés chèques possède une  fente en<B>L</B> 821; un goujon 822 qui passe     à.     travers cette fente est engagé avec une pro  jection 823 du     cliquet    d'arrêt à zéro 783. Le  goujon 822     (fig.    9 et 10) est fixé dans une  manivelle 824 fixée à l'arbre 784. Le levier  804     (fig.    10 et 11) possède une fente en     L     825; un goujon 826 qui passe à travers cette  fente coopère avec une projection 827 du     cli-          quet    d'arrêt à zéro 790 pour les touches des      dizaines 52.

   Ce goujon 826 est fixé dans une  manivelle 828 fixée à l'arbre 784. On se rap  pellera que l'arbre 784 s'étend sur toute la  longueur de la machine. Une manivelle 829  est     fixée    à cet arbre près de son extrémité de       droite;    cette manivelle est reliée par une  bielle 830 à un segment     de    commande 831  pour les touches de transactions; ce segment  est appuyé et tourne sur un coussinet 832  aligné sur l'axe du coussinet 99 (fia. 4) pour  la rangée de montants représentée.

   Un ressort  833     entraîne    le segment 831 dans le sens       dextrorsum    pour maintenir     une        surface-came     834 de ce segment (fia. 8 et 1.0) en contact  avec un goujon 835 prévu dans l'un des  bras d'un étrier 836 fou sur une tige 837  appuyée sur les plaques de support des ran  gées de touches. L'étrier 836 est. relié par une  bielle 838 avec une manivelle 839 fixée à l'ar  bre de verrouillage des touches 69.  



  Quand la machine est déclenchée de la  manière indiquée en connexion avec la fia. 4,  le mouvement dans le sens     dextrorsum    de  l'arbre de verrouillage des touches 69 est     com-          muniqué    par la bielle 838 à l'étrier 836  (fia. 8) qui bascule dans le sens     senestrorsum     pour     écarter    le goujon 835 de la partie re  levée de la. surface-came 834.

   Ceci permet au  ressort 833     d'entraîner    le segment 831.     élasti-          quement    dans le sens     dextrorsum.        Chaciuie     des touches de     transactions    79, 80, 85, 81 et  87 porte un goujon (fia. 1 et 8);

   quand     l'une     quelconque de ces touches est     enfoncée,    le  goujon qu'elle porte s'engage dans une enco  che correspondante 841 pratiquée dans la pé  riphérie du segment 831, de manière à empê  cher l'entraînement dans le sens     dextrorsum     dudit segment par le ressort 833 quand l'ar  bre de verrouillage des touches 69 est basculé       dans    le sens     dextrorsum    par l'opération de  déclenchement de la machine.  



  La touche de transaction 84 présente un  goujon qui se déplace sur le trajet d'un  épaulement 842 formé à l'extrémité de droite.  de la périphérie du segment 831,. pour empê  cher le mouvement     dans    le sens     dextrorsum     du segment 831. Par conséquent, quand l'ale  quelconque des touches qu'on vent de nom-    mer est enfoncée, le segment 831 ne fonc  tionne pas. La touche  Chèques  82 présente  un goujon agencé pour coopérer avec une en  coche 843 dans la périphérie du segment 831.

    Cette encoche 843 est sensiblement plus  grande que les encoches 841, de façon qu'il  existe entre le côté gauche de l'encoche 843  et le goujon de la touche  Chèques  82 un  décalage     suffisant    pour permettre le déplace  ment partiel du segment 831 par le ressort  833 quand l'arbre de verrouillage des touches  69 est basculé au commencement de l'opéra  tion de la machine. Ce déplacement partiel  dans le sens     dextrorsum    du segment. 831 est  transmis par la bielle 830 pour faire basculer  dans le sens     senestrorsum    la manivelle 829,  l'arbre 784 (fia. 8, 9 et 10), la manivelle     824,     et le goujon 822. Tous ces organes basculent.

    dans le sens     senestrorsum    sur une distance  suffisante pour permettre au goujon 822, en  coopération avec la projection 823 du cliquet  d'arrêt à zéro 783, de faire basculer ce     cli-          quet    dans le sens     senestrorsum    à l'encontre  de l'action du     ressort    785, de façon que la  surface d'arrêt  0  781 de ce     cliquet    est  écartée du trajet du goujon 780, tandis que  la surface d'arrêt  1  782 est amenée sur le  trajet dudit goujon.

   Il en résulte que lorsque  la. touche  Chèques  est enfoncée au cours de  l'opération de la machine, le mécanisme diffé  rentiel des touches du compteur des chèques  72, avec le     croisillon    778, seront amenés dans  la position  1  sous l'influence de la surface  782, au lieu d'être arrêtés à zéro; de cette ma  nière,  1  est ajouté automatiquement aux  roues du compteur des chèques.  



  Il existe un mécanisme de transfert des  roues des     unités    aux roues des dizaines du  compteur des chèques; ce dispositif effectue  le     transfert    du chiffre des dizaines quand la  roue des unités traverse la position  0 . Les  roues du compteur des chèques sont montées  sur la ligne N  1 des totalisateurs, ou ligne  des totalisateurs des balances (fia. 4). Le  compteur des chèques est un totalisateur     d'ad-          dition/soustraction    susceptible d'être déplacé  latéralement, de manière à amener le côté  plus ou le côté moins en prise avec les entraî-      peurs des montants. Il est donc nécessaire de  prévoir deux roues dans chaque série des  rangées du compteur des chèques.

   Ces deux  roues ne sont pas engrenées de manière à       tourner        mutuellement    en sens opposés, comme  les roues du totalisateur de balances; au con  traire, elles sont fixées dans un rapport  constant l'une à l'autre et elles fonctionnent  en effet comme une seule roue d'addition. Il  est ainsi possible d'ajouter des chèques aux  roues du compteur des chèques quand le to  talisateur de balances est dans la position de  soustraction sous l'influence de la touche   Chèques  82; il est possible aussi, de cette  manière, de relever le total ou le sous-total  des roues du compteur des chèques en même  temps que l'on relève le total ou le     sous-total     du côté plus ou du côté moins du totalisa  teur de balances.  



  Le mouvement de l'arbre 784 sur une  distance partielle, provoqué par l'enfoncement  de la touche  Chèques  82 de la manière  expliquée ci-dessus, entraîne aussi la mani  velle 828     (fig.    10 et 11) et le goujon 826  pour les touches des dizaines du compteur     des     chèques 52; cette manivelle et ce goujon se  déplacent solidairement avec l'arbre 784.

   On  verra cependant, en se référant à la     fig.    11,  qu'il existe un jeu suffisant entre ce goujon  826 et l'extension 827 du cliquet d'arrêt à  zéro 790 des touches des dizaines; ainsi, aucun  mouvement n'est communiqué à ce     cliquet     d'arrêt à zéro 790; la surface d'arrêt 789 reste  dans le trajet du goujon 788 pour position  ner le mécanisme différentiel de la rangée des  dizaines du compteur des chèques à zéro.  



  La touche  Correction chèques  83 est uti  lisée de la manière expliquée ci-dessus pour  la correction d'un article des chèques ou des  débits inscrit par erreur au cours d'une opé  ration antérieure; puisque ce chèque, inscrit  par erreur et qu'il est nécessaire d'annuler,  était compté automatiquement par le méca  nisme du compteur     des    chèques, il est donc  nécessaire de soustraire  1  aux roues du  compteur des     chèques    au cours d'une opéra  tion de correction des chèques.    En se référant à la     fig.    10, on verra. que  la touche  Correction chèques  83 ne possède  pas de goujon comme les autres touches de  transactions, et aucune encoche n'est prévue  pour cette touche dans la périphérie du seg  ment 831.

   Par conséquent, l'enfoncement de  la touche  Correction chèques  permet un  mouvement complet     dans    le     sens        dextrorsum     du segment 831 quand la machine est déclen  chée. Ce mouvement complet est communiqué  à l'arbre 784, à la manivelle 824 et au gou  jon 822     (fig.    9, 10 et 11) pour faire basculer  le cliquet d'arrêt à zéro 783 des touches .des  unités 72 du compteur des chèques sur une  distance suffisante pour amener les surfaces  781 et 782 hors du trajet du goujon 780.

   Le  mouvement .de l'arbre 784, de la manivelle  828 et du goujon 826 oblige ledit goujon 826,  en coopération avec la.     projection    827, à dé  placer le cliquet d'arrêt à zéro 790 sur la dis  tance complète de son trajet dans le sens     senes-          trorsum,    pour écarter la surface 789 d'arrêt  à zéro de ce     cliquet    du trajet du goujon 788.  Ceci libère le     mécanisme        différentiel    de la  rangée des unités et des dizaines du compteur  des chèques; ce mécanisme se déplace jusqu'en  neuvième position pour effectuer l'addition  du chiffre complémentaire  99  aux roues du  compteur des chèques, ce qui revient au même  que d'y soustraire  1 .  



  Il est parfois nécessaire d'utiliser la tou  che  Chèques  82     (fig.    1) en conjonction  avec les touches de montants 71 pour l'ins  cription d'articles autres que des chèques;       dans    ce cas, il devient nécessaire de débrayer  le mécanisme automatique du compteur des  chèques.

   En ce qui concerne les comptes cou  rants, l'article le plus commun de ce genre  représente frais de banque; quand cet article  est enregistré, le mécanisme automatique du  compteur des chèques est débrayé par l'en  foncement de la touche  SC  des touches des  symboles 90, ce symbole indiquant toujours  un article de frais de banque.     Il    est parfois       nécessaire    de débrayer le compteur des chè  ques en connexion avec     l'inscription    de chè  ques ou d'autres débits. L'enfoncement de la  touche<B> NC </B> 90 débraye le     compteur    de chè-           ques    automatique, de façon que ces articles ne  sont pas comptés.  



  Une manivelle 844 est fixée à l'arbre 784       (fig.    10); cette manivelle est reliée par une  bielle 845 à un segment de commande 846 des  touches des symboles 90; ce segment, adjacent  au segment de commande 831, pivote sur le  coussinet 832. Un ressort 847     entraîne    le seg  ment 846 dans le     sens        dextrorsum,    de manière  qu'une     surface-came    848 d'une extension de  ce segment     vienne    en prise avec le goujon  835 exactement de la manière indiquée pour  le segment 831.

   La touche de symbole  SC   90     (fig.    1 et 10), indiquant      Frais    de ban  que , et la touche  NC , signifiant  Non  compté , portent chacune un goujon agencé  pour coopérer     avec    des projections corres  pondantes 849 et 850 formées à la périphérie  du segment 846.  



  La manière dont le segment 846 est     relié     à l'arbre 784 provoque le mouvement - de ce  segment solidairement avec<B>-</B>le segment 831  quand l'arbre de     verrouillage    .des touches 69       (fig.    8) est     entraîné    dans le sens     dextrorsum     au commencement de l'opération de la ma  chine.     L'enfoncement    de la touche  SC  ou  également de. la touche  NC  des touches des  symboles 90 entraîne le goujon porté par la  touche     enfoncée    sur le trajet de la, projection  correspondante 849 ou 850.

   Le mouvement  dans le sens     dextrorsum    des segments 846 et  831 est empêché, ce qui empêche l'opération  du mécanisme automatique du compteur des  chèques, même quand la touche  Chèques  82  est enfoncée. L'enfoncement de l'une ou de  l'autre de ces touches provoque aussi l'impres  sion d'un symbole à côté du montant corres  pondant sur la feuille.  



  Vu que la touche      Chèques     82     (fig.    1)  est employée en conjonction avec les touches        Sous-total        transactions     76 et  Total trans  actions  77 pour la lecture ou la remise à  zéro du     totalisateur    des chèques     sur    la ligne  N  2 ;des totalisateurs, il est nécessaire de pré  voir un moyen commandé par les touches 76  et 77 et par les autres touches des totaux  pour empêcher le fonctionnement du méca  nisme automatique du compteur des chèques    pendant ces opérations de lecture et de re  mise à zéro.  



  En se référant aux     fig.    1, 7 et 10, une  barre de commande des rangées de totalisa  tion 857     est    montée sur deux goujons 858  clans le cadre des touches des totaux. Ces  goujons sont engagés dans des rainures de la  barre de commande, de façon que la barre soit  susceptible d'un mouvement. circulaire. La  barre 857 possède     im    certain nombre de pro  jections-cames 851 coopérant respectivement  avec des goujons de chacune des touches de  commande 74 à 78 inclusivement et de la tou  che  Balance à reporter  88.

   L'extrémité infé  rieure de la barre 857 présente une encoche  qui est en prise avec un goujon 852 d'un  loquet 853 fou sur la tige 101; une fente en  <B>L</B> 854 est formée dans un prolongement. vers  la droite de ce loquet; un goujon 855 d'une  manivelle 856 fixée à l'arbre 784     passe    à tra  vers cette fente en<B>L.</B>  



  L'enfoncement de     l'une    quelconque des  touches de commande 74 à 78 inclusivement,  ou de la touche  Balance à reporter  88, en  gage le goujon porté par la touche avec la  projection correspondante 851, de manière à  déplacer vers le bas la barre .de commande  857, faisant basculer le loquet 853 dans le  sens     senestrorsum.    La partie verticale de la  fente en<B>L</B> 854 s'engage avec le goujon 855  pour maintenir la manivelle 856 et l'arbre  784 contre tout déplacement, ce qui empêche  le fonctionnement du mécanisme automatique  du compteur des chèques.

   Quand aucune des  touches de commande des totaux n'est enfon  cée, la partie horizontale de la fente en L 854  se trouve en regard du goujon 855, de la ma  nière représentée en     fig.    7, pour permettre le  mouvement libre de l'arbre 784.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches des unités 72 du compteur des chè  ques     (fig.    9) oblige le goujon 818 de cette  touche, en coopération avec la     surface-came     817 de la barre de commande 815, à faire  basculer le levier 811 dans le sens     dextror-          sum,    ce qui oblige la surface-came .de ce le  vier, en coopération avec le goujon 798 et le       doigt    796,

   à faire basculer le     levier    795 dans      le     sens        senestrorsum.    Ce dernier mouvement  amène la partie verticale de la fente en     L    821  dudit levier en prise avec le goujon 822 pour  verrouiller l'arbre 784 et pour débrayer le  compteur automatique des chèques quand une  touche des unités 72 du compteur .des chèques  est enfoncée. Un dispositif similaire repré  senté en     fig.    11 et décrit ci-dessus est prévu  pour les touches des dizaines du compteur  des chèques 52.

   L'enfoncement de l'une quel  conque de ces touches provoque un     bascule-          ment    dans le sens     senestrorsum    du bras 804  pour cette touche, de faon que la partie ver  ticale de la fente en<B>L</B> 825 soit amenée en  prise avec le goujon 826 pour verrouiller  l'arbre 784, ce qui rend le mécanisme du  compteur automatique des chèques non     opé-          ratif    quand l'une quelconque des touches des  dizaines est enfoncée, même si la touche  Chè  ques  82     (fig.    1) est utilisée pour mettre la  machine en marche.  



  Le mécanisme de verrouillage que l'on  vient de décrire est essentiel pour empêcher  l'opération de l'arbre 784 quand les touches  du compteur des chèques 72 et 52 sont enfon  cées. Mettons, à titre d'exemple, qu'il est né  cessaire de composer le chiffre  20  sur les  touches du compteur des chèques. Dans ce  cas, la touche  2  de la rangée des dizaines  est enfoncée, et aucune touche     n'est    enfoncée  dans la rangée des unités.

   Vu que la touche   Chèques  82 est employée pour     commencer     une opération de ce genre, la surface  1  782  du cliquet d'arrêt à zéro 783 de la rangée des  unités serait amenée sur le trajet du goujon  780 pour effectuer l'addition automatique de   1  à la rangée des unités des roues du comp  teur des chèques; mais cette addition est em  pêchée par le mécanisme de verrouillage re  présenté en     fig.    11. Ce mécanisme verrouille  l'arbre 784, de façon que la surface  0  781  du cliquet d'arrêt à zéro 783 reste sur le tra  jet du goujon 780 pour     positionner    le diffé  rentiel de la rangée des unités du compteur  des chèques à zéro.  



  Dans les opérations d'impression des to  taux et des     sous-totaux,    le fonctionnement de  l'arbre de     désaccouplement    204 et de la tige    802 provoque l'enclenchement des fentes 821  et 825 avec     les    goujons 822 et 826.

   Cet en  clenchement est fortuit et relève de la cons  truction de la     machine;    il est évident qu'un  verrouillage de ce genre n'est pas de pre  mière importance, vu que l'enfoncement de  l'une quelconque des touches de commande  des totaux, 74 à 78 inclusivement, ou bien  de la touche  Balance à reporter  88 aura  déjà verrouillé l'arbre 784, et cela avant que  l'arbre 204 n'ait reçu un mouvement dans le  sens     dextr        orsum    suffisant à verrouiller l'ar  bre 784.    <I>Mécanisme de commande</I>     alternative     <I>de l'imprimeur des</I>     chèques.     



  En se référant aux     fig.    2 et 3, on se rap  pellera que les articles passifs et les chèques  sont imprimés en deux colonnes dans la partie  des débits de la feuille combinée. Il est né  cessaire en vue -de cela d'aménager les deux  marteaux d'impression de telle façon que l'un  fonctionne pendant la première opération  d'impression et l'autre pendant l'opération  suivante d'impression et ainsi de suite. La       fig.    22 représente le mécanisme de commande  alternatif du marteau qui imprime dans la  colonne de gauche de la partie des     débits    de  la feuille.

   Vu que ce mécanisme est en grande  partie identique au mécanisme d'impression  pour la colonne de droite, une description du  mécanisme représenté en     fig.    22 suffit à la  compréhension du mécanisme.  



  L'arbre de commande de l'avancement  intermittent 732 est entraîné par les rochets  représentés aux     fig.    32, 34 et 35 de la manière  indiquée     ci-dessus.    Un engrenage<B>859</B>     (fig.    22),  fixé à cet arbre 732, est engagé avec un autre  engrenage 860 fixé à un disque de commande  intermittente<B>861</B> fou sur ).'arbre 315. Le dis  que 861 possède six encoches 862 espacées à  distance égale les unes des autres exactement  de la même manière que les encoches 750 du  disque de commande 728     (fig.    32).

   L'arbre  de commande des totaux 330, qui est com  mandé par les touches de commande des to  taux de la manière expliquée ci-dessus, porte  un engrenage 863 en prise avec un engrenage      similaire (non représenté) fixé     â,    un disque  de commande des totaux 864 fou sur l'arbre  315. Le disque 864 possède une encoche 865  correspondant à la position d'addition de la  plaque de     commande    des totaux 73. Ce disque  864 est similaire sous tous les rapports au  disque 666     (fig.    43) du fait que l'encoche 865  correspond à la position d'addition de la pla  que de commande des totaux 73.

   Fixé à l'ar  bre 315 - cet arbre étant mis en position, on  se le rappellera, par les touches des trans  actions - est un disque de commande 866  qui possède deux encoches (non représentées)  correspondant     respectivement    aux positions   6  et  8  du différentiel des transactions.  On se rappellera que ces positions  6  et  8   sont respectivement les positions  Chèques  et   Correction chèques .  



  Les trois .disques de commande 861, 864 et  866     (fig.    22) sont en coopération avec trois  de quatre doigts palpeurs supérieurs 867 et,  en outre, le disque de commande     des    totaux  864 est en     :coopération    avec un doigt palpeur  inférieur 868.

   Ces doigts     palpeurs    sont assem  blés dans une unité et pivotent sur un goujon  869 porté par une manivelle<B>870</B> reliée par un  moyeu fou sur l'arbre 512 à un bras 871. 'Un  ressort 872     entraîne    le bras 871 en prise avec  un goujon 873 d'un bras d'entraînement 874  fou sur l'arbre 512 et relié à un bras d'entraî  nement 875 commandé par     une    came de la  manière indiquée à la     ligne    7     (fig.    47). Une  bielle 876 relie le bras 871 à une biellette 877;  un goujon 878 dans l'extrémité antérieure de  cette biellette 877 peut venir en prise avec  une encoche 879 prévue     dans    -un levier de  commande de marteau 880 fou sur la tige 498.

    Le     levier    880 porte à son extrémité supé  rieure un goujon 881 fou dans l'une des  extrémités d'un levier articulé 882. L'extré  mité supérieure de ce levier est articulée à -un  marteau d'impression des chèques 883 fou sur  l'arbre 528. Le marteau d'impression 883  porte un bloc d'impression 884. L'opération  du marteau déplace le bloc 884 vers le     haut     à travers l'une des ouvertures 340 de la table  335 pour amener la feuille 343 et un ruban  encreur 885 superposé à la feuille au contact    des roues     porte-caractéres    des montants 153  correspondant à la     première    colonne, celle de  gauche, de la partie  Débits  de la feuille.

   Un  réglage au moyen d'un excentrique 886     est     prévu entre le levier 880 et le .levier articulé  882 pour régler la position du bloc d'impres  sion 884 par rapport aux roues     porte-carac-          tères    des montants 153, pour assurer une im  pression convenable. L'autre extrémité de la  biellette d'entraînement 877 est articulée à un  bras 887 relié par un moyeu 888, fou sur la  tige 438,à un bras 889.

   Les bras 887 et 889  portent respectivement des galets 890 et 891  qui coopèrent avec les périphéries de     plaques-          cames    892 et 893 fixées à l'arbre d'impression  371, ces cames. opérant selon la     distribution     indiquée 'à la ligne 8 du graphique     (fig.    47).  



  Le mouvement dans le sens     senestrorsum     des bras 875 et 874, sous l'influence de leurs  cames et du ressort 872, porte le bras 871 so  lidairement avec ces bras pour obliger les       ,doigts    palpeurs 867 et 868 à palper les dis  ques de commande 861, 864 et 866.

   Vu que la  périphérie du disque de commande 864 est  toujours     vis-à-vis    du doigt palpeur 868, ce  doigt ne s'engage jamais avec une encoche,  de façon qu'il fonctionne toujours pour em  pêcher l'opération     des    marteaux d'impression  à moins que trois encoches des disques 861,  864 et 866 ne soient     vis-à-vis    des trois doigts  correspondants 867, ce qui permet au bras  871 de recevoir un mouvement suffisant pour  amener le goujon 878 en prise avec l'encoche  879, après quoi l'opération des cames 892 et  893 oblige le mécanisme des marteaux à fonc  tionner.  



  Le quatrième doigt palpeur 867 coopère  avec une surface incurvée du segment 531       (fig.    22). On se rappellera que ce segment     est          commandé    par le mécanisme palpeur de la  feuille représenté en     fig.    40 et décrit ci-des  sus. Par conséquent, en l'absence     d'une    feuille  sur la table 335, la surface incurvée du seg  ment 531 se place devant le doigt palpeur  correspondant 867 pour empêcher l'engage  ment du goujon 878 avec l'encoche 879, de  façon que le marteau d'impression ne fonc  tionne pas.

   Comme les encoches du disque de      commande des transactions 866 correspondent  aux touches  Chèques  et  Correction chè  ques , il est nécessaire d'enfoncer l'une ou  l'autre de ces touches pour amener l'encoche  correspondante vis-à-vis du doigt palpeur cor  respondant 867 avant que le goujon 878 ne  puisse s'engager avec l'encoche 879. Il est éga  lement nécessaire que la plaque de commande       des    totaux 73 soit en position d'addition pour  amener l'encoche du disque de commande des  totaux 864 vis-à-vis du doigt correspondant  867 avant que le goujon 878 ne puisse s'en  gager avec l'encoche 879.  



  Vu que le mouvement vers l'intérieur du  doigt 868 est toujours empêché par le disque  de commande des totaux 864, il est     nécessaire     que tous les quatre     doigts    867 soient libres  avant que le goujon 878 puisse venir en prise  avec l'encoche 879 pour faire fonctionner le  marteau 883.

   Le disque de commande 861       (fig.    22) est engrené avec l'arbre de com  mande intermittente, de telle façon qu'à cha  que opération faite dans le but de relever une  balance ou un découvert, le rochet 735       (fig.    35), qui est efficace pendant ces opéra  tions, amène l'une des encoches 862 du disque  861     vis-à.-vis    du doigt palpeur 867 correspon  dant. - Au cours de l'opération suivante d'ins  cription de chèques, cette encoche reste de  vant le doigt palpeur correspondant pendant  un temps assez long pour permettre le fonc  tionnement -du bras 871. Vu que les doigts  palpeurs 867 sont tous libres de se déplacer  vers l'intérieur, le goujon 878 viendra s'en  gager avec l'encoche 879.

   Par conséquent, le  marteau d'impression 883 sera poussé par les  cames 892 et 893, de manière à effectuer l'im  pression du montant du premier débit ou chè  que dans la première colonne, celle de gauche,  de la section des débits de la feuille.  



  Après l'impression, le rochet 730     (fig.    32),  rendu efficace par suite de l'enfoncement .de  la touche      Chèques     82, est avancé d'une dent  pour écarter l'encoche 862 du trajet du doigt  palpeur correspondant 867 et pour amener la  partie pleine de la périphérie du disque de  commande 861 sur le trajet de ce doigt pal  peur. Par conséquent, le mécanisme des mar-         teaux    représenté en     fig.        22-est    rendu inopé  rant pendant l'opération d'inscription de chè  ques suivante, parce que le mouvement vers  l'intérieur des doigts palpeurs supérieurs est  empêché, de façon que le goujon 878 ne s'en  gage pas dans l'encoche 879.

   Il est à remar  quer que le goujon 878 est en prise avec une       surface-came    894 du levier 880 pour faire  basculer ce levier dans le sens     dextrorsum     quand la biellette 877 est déplacée vers le  haut. Ceci amène une surface que présente  l'arête antérieure de ce levier en prise avec le  tirant 66 pour faire basculer le marteau 883       jusque    dans la position d'en bas, représentée  ici, ce qui amène le bloc d'impression 884     au-          dessous    de la table 335.  



  Il devient évident, en comparant les lignes  7, 8 et 14 du graphique     (fig.    47), que les  cames, selon la ligne 7, commandent le mou  vement d'avancement du bras 871 pour enga  ger le goujon 878 avec l'encoche 879; que les  cames, selon la ligne 8, commandent le mouve  ment de la biellette 877 pour actionner le     mai:          teau        d'impression    883; tandis     que    la ligne 14  indique le calage de la came 742     (fig.    32)  d'entraînement du rochet 730.

   Il ressort de  cette comparaison que les cames: (lignes 7 et  8)     qui    commandent l'action de palpation du  bras 871     (fig.    22) et l'opération du marteau  883 fonctionnent avant la came 742 (ligne 14)  qui commande le     mécanisme    d'entraînement  du rochet 730.

   II s'ensuit que l'encoche 862  du disque de commande 861     (fig.    22), qui a  été amenée     vis-à-vis    du doigt palpeur corres  pondant 867 par le mécanisme de rochet re  présenté en     fig.    35, au cours de l'opération  de relevé-balance ou relevé-découvert anté  rieure à la première opération d'inscription  de chèques, reste vis-à-vis du- doigt<B>867</B> jus  qu'après le fonctionnement du     mécanisme     d'impression.  



  Le mécanisme d'impression pour la. se  conde colonne, celle de droite, de la partie   Débits  de la feuille     (fig:    2), est entièrement  conforme au mécanisme qu'on vient de décrire  pour la première série de débits, à cette  exception près que le disque de commande de  l'avancement alternatif pour le marteau de      droite, quoique entièrement conforme au dis  que 861 et présentant six encoches, est placé  dans     un    rapport avec l'arbre d'avancement       intermittent    732- tel que lorsqu'une des en  coches 862 du disque 861 est     vis-à-vis    du     doigt     palpeur correspondant 867,

   une     partie    pleine  du disque de     commande    du marteau de droite  se trouve vis-à-vis du doigt palpeur correspon  dant pour le     mécanisme    d'impression de  droite. Cet échelonnement -des disques com  mandés par l'arbre d'avancement intermittent  732 pour les marteaux imprimeurs de droite  et de gauche assure le fonctionnement alter  nant de ces marteaux tant que les touches   Chèques  82 ou  Correction     chèques     83 sont  utilisées pour l'inscription de débits ou de       corrections    de     débits.       Vu que la     différence    qu'on vient d'indi  quer est la seule différence sensible qu'il y  ait entre les mécanismes imprimeurs pour les  colonnes 

  de droite et de gauche de la section  des débits, et vu qu'il est évident que l'éche  lonnement des disques -des deux marteaux  pour ces colonnes doit provoquer le fonction  nement alternant de ces marteaux, une des  cription plus étendue du mécanisme des mar  teaux des chèques n'est pas nécessaire.         Fonctionnement.       On va maintenant indiquer, sous forme  abrégée, le fonctionnement de la machine en  se référant à la vue schématique du clavier  représentée en     fig.    1, et aux     feuilles    combinées  représentées     aux        fig.    2 et 3.

      Il est d'usage, dans la plupart des ban  ques, de balancer     les    comptes courants au       moins    une fois par     jour.    Cette opération se  fait sur la feuille     combinée    représentée aux       fig.    2 et 3; à la     fin    du mois, le talon de la       feuille    est détaché de la partie qui donne     un.     relevé du compte;

   le talon est     retenu    par la  banque,     tandis        que    la partie du relevé est  passée au client     intéressé.    Cette opération de       mise    à jour de comptes     courants    comprend     les          opérations        consistant    à relever les anciens  soldes,     soustraire    les débits, par exemple chè  ques, frais de     banque,        etc.,    ajouter les crédits,    tels que dépôts, intérêt, etc. et relever la nou  velle balance.  



  Mettons, à titre d'exemple, que le compte  de Jean Blanc vient d'être balancé pour le  mois précédent de décembre 1939. Il est né  cessaire, dans ce cas, de     reporter    la balance  de cette     ancienne        feuille    à la nouvelle feuille  représentée en     fig.    2 pour le mois de janvier  1940.     L'opérateur    met la nouvelle feuille 343  sur la table 335     (fig.    19) entre les barres de  guidage 345 et 346, tout en poussant la partie  supérieure de la feuille en .contact avec les  butées 347, de manière à mettre la feuille en  position appropriée vis-à-vis du     mécanisme     d'impression.

   Ensuite, le montant de l'an  cienne balance est relevé de l'ancienne feuille  et composé sur les touches de montant 71       (fig.    1) et la touche  Balance à reporter  88  est enfoncée. S'il s'agit d'une balance active,  la touche      Relevé-balance     84     -est        enfoncée;     dans le cas d'une balance négative, la touche        Relevé-découvert     79 est enfoncée. Ces deux  touches 79 et 84 sont des touches opératrices  et servant à mettre la machine en marche.  



  L'enfoncement de la touche  Balance à re  porter  88, en conjonction avec une des tou  ches 79 ou 84, embraye le mécanisme d'im  pression, de faon que la balance - mettons  Fr. 5000.00 - est reportée à la ligne conve  nable des deux parties de la feuille 343. En  même temps que la balance à reporter est im  primée, la date - le     1e''    janvier 1940 - est  imprimée dans la colonne  Balance  des deux  parties de la feuille 343. L'enfoncement de  la touche  Balance à reporter  88 effectue  -'impression du symbole  F  -     signifiant    ba  lance reportée - à la droite du mentant de  l'ancienne balance. On verra que la balance  reportée est imprimée dans     un    compartiment  prévu     juste    au-dessus de la première ligne  de la feuille.

   On     verra    également que la,  feuille n'est pas avancée pendant cette opé  ration de balance reportée.  



  Au cours de l'opération suivante, l'opéra  teur compose sur les touches des montants 71  le montant du premier débit. - Fr. 25.00 -  et la. touche  1  des touches     cherche-ligne        449          (fig.    29) est enfoncée, après quoi la. touche       Chèques  82 est enfoncée pour mettre la  machine en marche. Au cours de cette opé  ration de la machine, le mécanisme com  mandé par les touches     cherche-ligne,    et repré  senté aux     fig.    25A, 25B, 26A et 26B, oblige  la table 335 à positionner la feuille 343, de  façon que la première ligne de la feuille soit  en position voulue     vis-à-vis    du mécanisme  d'impression.

   Après cela, le mécanisme d'im  pression fait imprimer le montant du chèque,  Fr. 25.00, à la ligne  1  de la colonne de gau  che, c'est-à-dire la première colonne, de la  partie de -la feuille réservée aux débits. Au  cours de cette opération aussi, le montant du  chèque, Fr. 25.00, est enregistré au totalisa  teur de chèques de la ligne N  2 en même  temps qu'il est soustrait à l'ancienne balance  de Fr. 5000.00 qui était enregistré au côté  positif du totalisateur N  1, ou     totalisateur    de  balances, pendant l'opération de report de la  balance.  



  Le deuxième des articles  chèques      -          Fr.    25.00 - est composé sur les touches des  montants 71 et la. touche      Chèques     82 est  enfoncée pour mettre la machine en marche.  Pendant cette     opération,    le montant du chè  que est soustrait au montant accumulé dans  le     totalisateur    de balances, tout en étant ins  crit en même temps sur la première ligne de  la colonne de droite, ou seconde colonne, de la  partie  Débits  de la feuille.

   Le mécanisme  de commande intermittent représenté en       fig.    22 effectue .l'opération tour à tour des  marteaux de droite et de gauche pour impri  mer les eux chèques de Fr. 25.00, l'un dans  la colonne de droite et l'autre dans la colonne  de gauche de la partie des débits de la feuille.  Le mécanisme de commande intermittent pour  l'avancement de la table, représenté aux       fig.    32, 35 et 43, contrôle le mécanisme  d'avancement automatique de la table, de ma  nière que les deux articles en question soient  imprimés à la ligne  1  de la feuille.  



  Au cours de l'opération suivante, le mon  tant du troisième chèque - Fr. 50.00 - est  composé sur les touches des montants 71 et  la touche  Chèques  est enfoncée au commen  cement de l'opération de la machine. Pendant    cette opération, le     mécanisme    intermittent  d'avancement de la. table effectue le déplace  ment de la table 335 et de la feuille     3-13    jus  qu'à la     deuxième    ligne, après quoi le marteau  de gauche fonctionne pour imprimer le mon  tant du chèque, Fr. 50.00, sur     @la    deuxième  ligne de la colonne de gauche de la partie des  débits de la feuille, tandis que le montant du  chèque, Fr. 50.00, est soustrait à la balance  dans le totalisateur de balances.  



  Mettons que l'article suivant est un dépôt  de Fr. 100.00; .l'opérateur compose ce montant  sur les touches des     montants    71, après quoi il  enfonce la touche  Dépôts  81 pour mettre en  route l'opération de la machine. Au cours  de cette opération, le montant du dépôt,  Fr. 100.00, est     imprimé    à la ligne 2 de la  partie des crédits de la feuille, tout en étant  ajouté en même temps au montant dans le       totalisateur    des balances, et enregistré dans le       totalisateur    des balances sur     Ja        ligne    N  2.

   Le  dispositif d'avancement intermittent. amène  l'impression du     crédit    ou du dépôt à la. même       ligne        (ligne    2) sur laquelle le dernier des       chèques    (,celui de Fr. 50.00) a été inscrit, de  la manière décrite par rapport aux     fig.    32 à  36     inclusivement,    et     aux        fig.    43 et 44.  



  Les     trois    chèques et ce dépôt représentent  toutes les     inscriptions    faites dans ce compte  pour le jour en question. L'opération de mise  à jour du compte se termine     ainsi    par l'en  foncement de la touche 74  Nouvelle balance        (fig.    1). Au cours de l'opération de nouvelle  balance, le totalisateur N  1 des balances est  remis à zéro, et le montant enregistré dans le  totalisateur, dans ce cas Fr. 5000.00, est im  primé sur la ligne 2 de la partie  Balance   de la feuille et du talon de la feuille. Pen  dant     l'impression    de cette nouvelle balance de  Fr. 5000.00, la date, le 2 janvier 1940, com  posée préalablement à la main sur le dispositif  dateur, est imprimée en même temps.

   Vu que  l'enfoncement de la touche  Nouvelle ba  lance  74 provoque automatiquement la     mise     du     mécanisme    différentiel de la rangée des       transactions    à la neuvième position, la. came  676     (fig.    44) empêche l'opération du méca  nisme d'avancement. Par conséquent, la nou-           velle    balance est imprimée sur la même ligne  (ligne 2) que le dernier des chèques et .des  dépôts. Un symbole d'identification est im  primé à droite de la nouvelle balance sur les  deux parties, relevé et talon, de la feuille.  



  Lé compteur automatique des chèques,  représenté au mieux en     fig.    9, 10 et 11,  effectue l'addition de  1  aux roues du  compteur de chèques pour chaque inscription  d'un article aux débits. Pendant l'opération  de nouvelle balance, les roues du compteur  des chèques, qui se trouvent sur la ligne N  1,  sont remises à zéro, et le     nombre    total de  chèques enregistrés par ces roues - dans le  cas présent trois - est imprimé entre la date  et la nouvelle balance sur le talon de la  feuille.

   A la fin de l'opération de nouvelle  balance, le mécanisme représenté en     fig.    38  abandonne la table 335 à l'action des     ressorts,     de telle sorte que la table est remise immé  diatement à la position de départ, position où  elle est représentée en     fig.    19.  



  La prochaine mise à jour du compte de  Jean Blanc     est    effectuée le 3 janvier; la  feuille 343 pour ce compte est posée sur la  table 335, et le montant de l'ancien solde,  Fr. 5000.00, est composé sur les touches de  montants. 71     (fig.    1); puisqu'il s'agit ici       d'une    balance positive, l'opération de la ma  chine est obtenue en enfonçant la touche 84        Relevé-balance .    Au cours de cette opéra  tion, le montant de la balance; Fr. 5000.00,  est     enregistré    au totalisateur des balances qui  a été remis à zéro antérieurement.

   Vu que la  touche 88  Balance à reporter  n'était pas  utilisée en conjonction avec la touche      Relevé-          balance ,    l'ancienne balance de Fr. 5000.00  n'est pas imprimée sur la feuille.  



  Le premier article, -Lui dépôt de Fr. 100.00,  est composé ensuite sur les touches de mon  tants 71, et la touche  Dépôts  81 est enfon  cée, de façon que le montant de cet article  soit ajouté aux totalisateurs de balances et de  dépôts tout en étant imprimé en même temps       dans    la colonne des -crédits de la feuille.  Après avoir     inscrit    le premier dépôt de  Fr. 100.00,     l'opérateur    se rend compte d'une    erreur et décide que l'article     n'aurait    pas dû  être inscrit.

   Pour corriger cette erreur, le  montant du dépôt inscrit par erreur,  Fr. 100.00, est composé de nouveau sur les  touches de montants 71, après quoi la touche   Correction .dépôts  80 est enfoncée pour com  mencer l'opération suivante de la machine,  pendant laquelle le montant du dépôt inscrit  par erreur, Fr. 100.00, est soustrait au mon  tant dans le totalisateur des balances et dans  le totalisateur des balances de la ligne N  2.  L'enfoncement :de la touche  Correction dé  pôts  80 produit aussi l'impression dans la  partie des crédits de la feuille du     montant     inscrit par erreur, mais avec le     symbole         EC ,          signifiant     Correction d'erreur , imprimé à  gauche du montant.  



  Le montant d'un deuxième dépôt, Fr. 300.00,  est composé ensuite sur les touches de mon  tants, et la touche  Dépôts  81 est. enfoncée  pour commencer les opérations de la machine       a.u    cours     desquelles    ce dépôt est porté aux  totalisateurs des balances et des dépôts tout  en étant inscrit en même temps dans la co  lonne des crédits sur la feuille.

   Puisque ce  crédit est le dernier article à être porté -à ce  compte pendant cette journée, le 3 janvier,  l'opérateur enfonce la touche  Nouvelle ba  lance  74 pour entamer l'opération de nou  velle balance au cours de laquelle le totalisa  teur des balances est remis à zéro et- le mon  tant accumulé dans ce totalisateur est im  primé, avec la date, le 3 janvier, dans la co  lonne des balances des deux parties, talon et  relevé, de la feuille.  



  Une correction d'un débit, ou chèque, ins  crit par erreur, est .représentée à titre d'exem  ple à la ligne 6     (fig.    2). Dans ce :cas, le mon  tant du chèque inscrit par erreur est com  posé sur les touches de montant et la touche   Correction chèques  83 est enfoncée pour  commencer l'opération de la machine au cours  de laquelle le montant du chèque inscrit par  erreur, soit Fr. 35.00, est porté an totalisateur  des balances et soustrait du totalisateur .des  chèques dans la deuxième rangée.  



  On se rappellera qu'il 5 a deux totalisa  teurs addition/soustraction dans la ligne N  2      des totalisateurs,     1'1,1n    pour l'accumulation  d'un total de chèques et l'autre pour l'accu  mulation d'un total de dépôts. Les débits sont       inscrits    sur la feuille et soustraits dans le to  talisateur des balances, tout en étant addi  tionnés en même temps dans le totalisateur de  chèques. De .la même façon, les crédits et les  dépôts sont additionnés dans le totalisateur  des balances et dans le totalisateur de dépôts.  Dans une opération de correction d'un dépôt,  le montant de l'article à corriger est sous  trait dans le     totalisateur    des dépôts de la  ligne Ne 2 au même instant où il est sous  trait dans le totalisateur des balances.

   Dans  le cas des corrections de chèques, le montant  du chèque à corriger est soustrait dans le  totalisateur de chèques dans la ligne N  2 au  même instant où il est porté au totalisateur  clés balances.    Il est possible d'imprimer sur une ligne  de la feuille deux débits,     Lin    dépôt et une  nouvelle balance, dans le cas où ces inscrip  tions seraient les seules nécessaires pour la  mise à jour d'un compte. Cette condition est  représentée, à titre d'exemple, sur la ligne  37 de la feuille 343     (fig.    2).

      On se rappellera, en se référant à la       fig.    38, que lorsque la table 335 arrive à sa       39'11e    ou dernière position, le goujon 721 fait       basculer    le loquet 718 hors de prise avec le  goujon 717 pour effectuer le dégagement des  cliquets. Après l'inscription du premier arti  cle sur la     39"1e    ligne, le mécanisme de déga  gement des cliquets fonctionne pour livrer la  table 335 à l'action des, ressorts de remise,  qui la remettent immédiatement à la position  de départ. Cette condition est représentée à  la ligne 39 de la feuille 343.

   Au cours de la  mise à jour du 27 janvier du compte de Jean  Blanc, l'opérateur relève de la manière habi  tuelle l'ancienne balance, mettons Fr. 5000.00;  pais il compose le montant du premier dé  bit, Fr. 100.00, sur les touches de montants,  enfonce la touche     cherche-ligne    convenable à  la sélection de la     39-e    ligne de la feuille et  met. la machine en marche en     enfonçant    la  touche  Chèques  82. En se déplaçant vers la         391"e    position de     'ligne,    la table 335 oblige le  goujon 721 à faire     basculer    le loquet 718 vers  la position de non-fonctionnement, de la ma  nière expliquée ci-dessus.

   A la fin du cycle  d'opérations de la     machine,    et après l'impres  sion du débit de Fr. 100.00, le mécanisme re  présenté en     fig.    38 dégage les cliquets 656 et  494 pour permettre la remise de la table et  de la feuille à la position de     départ.       Avant de préparer une nouvelle feuille  relative à ce compte de Jean Blanc, l'opéra  teur enfonce dans ce cas la touche de sélec  tion de la     39me    ligne et enfonce en même  temps la touche 75 commandant la     sous-tota-          lisation    de la nouvelle balance     (fig.    1).

   Il en  résulte une opération de sous-totalisation,  dans laquelle le sous-total de la. balance,  Fr. 4400.00, enregistré dans le totalisateur  des balances, est     imprimé    dans la section des  balances sur la     39 'e    ligne des deux parties,  relevé et talon, de la feuille. L'enfoncement  de la touche      Sous-total    nouvelle balance  75  provoque la mise à zéro du mécanisme diffé  rentiel de la rangée des transactions. En se  référant à la     fig.    38, on verra que dans cette  position, la partie relevée de la came 723  fonctionne pour dégager le loquet 718, de  façon que la table 335 soit libérée et remise  à la position de départ à la fin de cette opé  ration de sous-totalisation.

   Au cours de. l'im  pression du sous-total à la     39me    ligne, le gou  jon 721 fonctionne comme auparavant pour  dégager le loquet 718.    Dans l'opération de     sous-totalisation    expli  quée ci-dessus, le symbole  S  est imprimé à  droite du montant du     sous-total    dans les deux  parties, relevé et talon, de la 'feuille.

   Après  la remise à la position de départ de la table  et de la feuille 343, à la fin de l'opération de       sous-totalisation    expliquée ci-dessus, l'opéra  teur enlève de la table la feuille qui vient  d'être complétée et, après y avoir     mis    une nou  velle feuille 344     (fig.    3), il enfonce de nouveau  la touche       Soiis-total        Nouvelle    balance  75  pour effectuer l'impression du sous-total de  l'ancienne balance, Fr. 4400.00, en un point  au-dessus de la première ligne de la partie       Balance  des deux parties de la feuille. Les  inscriptions aux lignes 1 et 2 de la feuille 344  représentent le mode d'inscription d'un dé  couvert.  



  Les inscriptions à la ligne 38 de la feuille  343 représentent, à titre d'exemple, l'inscrip  tion d'une liasse de chèques. Dans le cas re  présenté, la liasse comprend 36 chèques d'un  montant total     -de    Fr. 544.00. Ce montant est  composé sur les touches de montants 71       (fig.    1), et la touche      LS     des touches des  symboles 90 est enfoncée pour procurer l'im  pression d'un     symbole    indiquant que cette  opération est relative à une liste de chèques.  Le nombre de chèques dans la liasse, à savoir  36, est composé sur les touches du compteur  de chèques 52 et 72, après quoi l'enfoncement  de la touche  Chèques  82 sert à mettre la  machine en marche.

   Pendant l'opération sui  vante, le montant total de la     .liste    de chèques,  Fr. 544.00, est     soustrait    à la balance et le  nombre total de chèques dans la liasse, 36,  est enregistré en même temps par les roues du  compteur des chèques. Dans l'opération sui  vante de nouvelle balance, le totalisateur des  balances est vidé, et le montant qui s'est  accumulé dans ce totalisateur est imprimé sur  la ligne relevé de la feuille et du talon, tan  dis que le nombre de chèques 36 est imprimé  à la partie relevante du talon.

   On se rappel  lera que l'enfoncement des touches 52 et 72  du compteur des chèques, en composant le  nombre de chèques dans une liasse, débraye le  mécanisme automatique du compteur des  chèques; il est évident que le fonctionnement  du compteur pendant une opération de ce  genre donnerait     im    faux total de chèques.  



  Toutes les     inscriptions    sur la feuille et  sur le talon, y compris les balances reportées,  les débits, les crédits, la numérotation des  débits et les nouvelles balances, sont impri  mées en double sur une bande de vérification  906 dont une     partie    fragmentaire est repré  sentée en     fig.    18. Cette inscription en double  est utile non seulement .comme référence, mais  aussi comme un moyen de vérification de to  taux à la fin d'une période quelconque.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine de comptabilité présentant un dispositif d'enregistrement et un dispositif permettant de placer un support d'enregis trement à différentes positions par rapport au dispositif d'enregistrement, afin de per mettre d'effectuer des inscriptions sur les dif férentes lignes d'un matériel d'enregistrement porté par ledit support, caractérisée en ee qu'elle est pourvue d'un dispositif de contrôle automatique qui, pour un genre d'opérations de la machine, fait avancer d'une ligne le support d'enregistrement après chaque ins cription, de faon que ces inscriptions soient toutes disposées dans la même colonne et sur des lignes différentes,
    tandis que polir un autre genre d'opérations de la machine, il fait avancer d'une ligne le support d'enregistre ment seulement après que plusieurs inscrip tions successives ont été faites sur la même ligne, mais dans des colonnes différentes. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine suivant la revendication, ca ractérisée en ce que le dispositif de contrôle est commandé automatiquement pour faire avancer d'une ligne le support d'enregistre ment sous le contrôle d'une certaine touche, à chaque opération de la machine pour laquelle cette touche est .abaissée, et est disposé de telle faon qu'il fait avancer normalement d'une ligne ledit support à toutes les deux opérations de la machine. 2.
    Machine suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par une ta ble qui porte le support d'enregistrement et par lin dispositif à commande manuelle pour amener la table à la première ligne sur la quelle doit être portée une inscription. 3.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée par un arbre principal de contrôle de la position de la table, un arbre auxiliaire et un dispositif pour l'accouplement des deux arbres précités, l'agencement étant tel que le fonctionnement du dispositif à commande manuelle provoque l'accouplement de l'arbre auxiliaire à l'arbre principal, de façon que la table soit placée à la première .ligne devant porter une inscrip tion et provoque ensuite le désaccouplement des arbres, ce qui remet l'arbre principal sous la commande du dispositif automatique pour le positionnement de la table aux lignes de vant porter des inscriptions suivantes. 4.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée par une paire de .coulisseaux complémentaires mobiles agencés pour être mis en place par le fonc tionnement du dispositif à commande ma nuelle, par un mécanisme différentiel agencé pour transmettre le soin de cette mise en place des coulisseaux à l'arbre auxiliaire et par un dispositif mettant le mécanisme diffé rentiel hors d'action lorsque la table a été mise en place sous la commande du disposi tif à commande manuelle. 5.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce que ledit dispositif de contrôle automatique comprend un encliquetage et en ce qu'un dis positif est prévu pour mettre cet encliquetage hors d'action, afin de permettre à la table de revenir en position normale lorsqu'une ins cription finale a été portée sur le matériel d'enregistrement. 6. Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée par des touches destinées à commander les différentes opérations de la machine, par un disque pré sentant des encoches dont la position est sous le contrôle des touches et par un dispositif coopérant avec le disque, suivant la position de celui-ci, pour déterminer le mode de fonc tionnement de l'encliquetage. 7.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 6, caractérisée en ce que l'encliquetage comprend une paire de rochets, im des rochets présentant des dents correspondant aux positions des lignes paires du matériel d'enregistrement porté par le support, l'autre rochet présentant des dents correspondant aux positions des lignes im paires, et en -ce qu'un dispositif est associé à chaque rochet, lequel dispositif entre en jeu lorsque la table arrive à la position voulue, ;de* façon à Vempêcher de dépasser cette position. 8.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 7, caractérisée en ce que le dispositif associé aux rochets comprend une paire de cliquets, et en ce qu'tm dispo sitif placé soins la commande de touches de sélectionnement des lignes impaires est prévu pour dégager un cliquet des dents du rochet correspondant aux positions des lignes paires et pour mettre, en même temps, l'autre cli- quet en prise avec les dents du rochet cor respondant aux positions des lignes impaires. 9.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 8, caractérisée par un dispositif qui a pour effet, lors de l'inscrip tion de débits, d'accélérer le mouvement du disque précité, de façon à provoquer le Tonc- tionnement du dispositif d'espacement des lignes, chaque fois que les détails de deux débits sont inscrits, et par un dispositif qui a pour effet, lors de l'inscription de crédits, d'accélérer le mouvement chi disque, de façon à provoquer le fonctionnement des dispositifs d'espacement des lignes chaque fois que les détails d'un crédit sont inscrits.
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