Machine de comptabilité. L'invention a pour objet une machine de comptabilité présentant un dispositif d'enre gistrement et un dispositif permettant de placer un support d'enregistrement à diffé rentes positions par rapport au dispositif d'enregistrement, afin de permettre d'effec tuer des inscriptions sur les différentes lignes d'un matériel d'enregistrement porté par le dit support.
Cette machine est caractérisée en ce qu'elle est pourvue d'un dispositif de con trôle automatique qui, pour un genre d'opé rations de ,la machine, fait avancer d'une ligne le support d'enregistrement après cha que inscription, de façon que ces inscriptions soient toutes disposées dans la même colonne et sur des lignes différentes, tandis que pour un autre genre d'opérations de la machine, i1 fait avancer d'une ligne le support. d'enregis trement seulement après que plusieurs ins criptions successives ont été faites sur la même ligne, mais dans des colonnes diffé rentes.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution particulière de la machine faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue schématique du clavier de la machine. Fig. 2 est une vue fragmentaire du fac- similé d'une feuille combinant un relevé de compte et un talon, représentant une feuille de grand livre, préparée en utilisant la ma chine représentée. Fig. 3 est le fac-similé d'une autre feuille relevé/talon.
Fig. 4 est une vue en section, prise depuis la droite, de l'une des rangées de touches de montants, représentant le mécanisme associé à ces touches.
Fig. 5 est une coupe, vue depuis .la droite de la rangée de touches des transactions, re présentant le mécanisme différentiel associé avec ces touches.
Fin-. 6 est une vue de détail d'une partie d'une plaque de commande des totaux et d'un mécanisme commandé par cette plaque pour positionner des roues porte-caractères et des disques d'entraînement correspondants.
Fig. 7 est une vue de détail d'une plaque de commande, actionnée par les touches de montants, pour débrayer un compteur auto matique de chèques pendant l'impression d'un total ou d'un sous-total.
Fig. 8 est une vue de -détail d'une plaque de commande, associée aux touches des trans actions, pour la commande du compteur auto matique des chèques.
Fig. 9 est une vue de détail d'une des touches de la, rangée des unités du compteur des chèques et d'une partie du mécanisme associé avec ces touches.
Fig, 10 est une vue en perspective des organes de .commande du mécanisme du comp teur des .chèques.
Fig. 11 est une vue -de détail d'une des touches de .la rangée des dizaines du comp- teur des chèques et d'une partie du méca nisme associé.
Fig. 12 est une vue latérale, prise depuis la droite, représentant le mécanisme d'em brayage du totalisateur et le mécanisme de transfert des .totaux.
Fig. 13, 14 et 15, prises ensemble, montrent des détails d'une partie du dispositif de trans fert des totaux représenté en fig. 12.
Fig. 16 est une vue des mécanismes re présentés aux fig. 13, 14 et 15.
Fig. 17 est une vue schématique d'une came de transposition et d'un ordre dénomi natif des roues du totalisateur de balances N 1 et d'une came de transposition et d'un ordre des roues du totalisateur N 2.
Fig. 18 est un fac-similé d'une partie fragmentaire .d'une bande de vérification, préparée par la machine représentée, sur la quelle chaque article inscrit sur la feuille du relevé de compte .est enregistré en double. Fig. 19 est une vue en plan du mécanisme d'une table prévue pour amener un support d'inscription au mécanisme d'impression.
Fig. 20 est une projection de profil, vue depuis la gauche de la machine, représentant une partie du mécanisme commandant la mise en position de la table.
Fig. 21 est une projection de profil, vue depuis la droite de la machine, d'un dispo sitif prévu pour maintenir la feuille en posi tion sur la table pendant l'opération de la machine.
Fig. 22 est une projection de profil, vue depuis la droite de la machine, de l'un des marteaux des chèques, représentant aussi des organes d'entraînement et de commande y associés.
Fig. 23 est une vue, prise depuis la droite, des dispositifs assurant la mise en position convenable de la table avant l'opération d'im pression.
Fig. 24 est une vue d'une partie du méca nisme représenté en fig. 23.
Les fig. 25A et 25B, prises ensemble, cons tituent une projection de profil, depuis la droite de .la machine, des touches de sélection de ligne des unités et du mécanisme associé de mise en position de la table.
Les fig. 26A et 26p, prises ensemble, cons tituent une projection de profil, depuis la droite de la machine, des touches de sélection de ligne des dizaines et du mécanisme associé de mise en position ,de la table.
Les fig. 27A et 27B, prises ensemble, cons tituent une vue en plan d'une partie du mé canisme de mise en position de la table, repré senté aux fig. 25A, 25B, 26A et 26B.
Fig. 28 est une vue, prise depuis la droite, de la rangée des unités des touches cherche- ligne; le couvercle du bâti des touches est en levé pour montrer la construction des plaques de commande et de la détente associées avec ces touches.
Fig. 29 est une vue en plan de deux ran gées des touches cherche-ligne.
Fig. 30 est une coupe de deux rangées de touches cherche-ligne, vues depuis l'avant de la machine, représentant en particulier le mécanisme de déverrouillage de ces touches.
Fig. 31 est une projection de profil frag mentaire du mécanisme de verrouillage des touches cherche-ligne et des organes de dé clenchement de la machine.
Fig. 32, 33 et 34 sont des vues de détail de parties des organes de commande de la mise en position automatique de la feuille pendant l'opération d'inscription de chèques.
Fig. 35 et 36 sont des vues détaillées des organes commandant la mise en position de la feuille pendant les opérations autres que celle d'inscription de chèques.
Fig. 37 est une vue de détail du dispositif d'alignement des disques d'entraînement. Fig. 38 est une projection de profil, prise depuis la droite, d'un dispositif prévu pour remettre la table à sa position de départ. Les fig. 39 et 40 sont des vues du côté droit du dispositif commandé par le méca nisme explorateur du support d'inscription, pour empêcher l'actionnement des dispositifs de mise en position de la table, et des mar teaux d'impression, en l'absence d'une feuille sur la table.
Fig. 41 est une vue détaillée d'une came et d'un levier de came pour l'actionnement du dispositif d'exploration de la feuille.
Fig. 42 est une projection de profil, vue depuis la droite, d'un dispositif prévu pour empêcher le mouvement excessif de la table quand elle est déplacée à travers plusieurs positions de ligne ou quand la machine est actionnée trop rapidement.
Fig. 43 est une projection de profil, de puis la droite, d'im dispositif automatique de mise en position de la table et d'une partie du mécanisme de commande associé à ce dis positif.
Fig. 44 est une vue fragmentaire de détail du mécanisme de la mise en position automa tique de la table et d'une partie du mécanisme de commande y associé.
Fig. 45 est une vue, partiellement en sec tion, de l'ensemble de cames représenté en fig. 46.
Fig. 46 est une vue en plan du mécanisme de mise en position de la table.
Fig. 47 est un graphique des mouvements des principaux organes de la machine, et fig. 48 est une vue en perspective de la machine complète.
La machine représentée est d'un type bien connu. Elle est munie d'un dispositif, placé à la partie antérieure de la machine, pour l'ins cription simultanée d'articles identiques dans une ou dans plusieurs colonnes d'une fiche ou d'une facture insérée clans la machine, cette inscription étant effectuée pendant un cycle d'opérations du mécanisme d'impression. Des machines de ce genre sont utilisées par les banques, par les compagnies de service public et par les maisons commerciales analogues, pour la préparation de factures ou de relevés de comptes.
Ces factures ou relevés sont di visés en plusieurs colonnes verticales, de sorte que le même article puisse être inscrit clans diverses colonnes, ou bien que des arti cles divers puissent être inscrits dans des co lonnes diverses. Ces relevés ou factures peu vent être divisés en deux parties séparables contenant la même matière, .dont l'une est fournie au client et l'autre est mise en clas seur.
L'exemple spécifique choisi pour illustrer l'application de la machine. représentée est la préparation par une banque de relevés des comptes courants d'un certain nombre - de clients de cette banque.
La machine décrite à titre d'exemple est munie de plusieurs rangées de touches de montant; ces touches effectuent l'enregistre ment des montants .dans les différents totali sateurs de la machine; elles commandent aussi des roues porte-caractères pour l'impression de ce montant sur un support d'inscription. La machine possède aussi une rangée de tou ches de transactions pour porter des articles positifs et négatifs aux totalisateurs, et une rangée de touches de symboles pour l'impres sion de symboles -d'identification à côté des divers articles.
La manivelle de commande des totaux habituelle est remplacéé par suie rangée de touches de commande des totaux contrôlant les opérations de la machine, à sa voir les opérations d'addition, de soustraction, ide lecture et de remise à zéro. Un levier de déverrouillage des touches, placé du côté droit du clavier, sert à la libération d'une touche quelconque enfoncée.
La machine représentée est munie d'un dis positif pour compter un , dans des conditions d'automaticité, à chaque enfoncement d'une cer taine touche - dans le cas présent, la touche des chèques - pendant. une opération de la ma chine. Les roues du compteur de chèques occu pent les deux premières positions de la ligne du totalisateur de balances; cependant, il n'existe aucune connexion entre ces roues et le totalisateur de balance; le .compteur de chè ques compte .automatiquement jusqu'à 99 chè ques. L'une des touches de transactions, dans ce cas la touche de correction de chèques, est prévue pour la correction de chèques ou de débits inscrits par erreur.
L'enfoncement de cette touche effectue la soustraction de 1 aux roues du compteur de chèques par l'addi tion du chiffre complémentaire de 99 à ces roues. A part le compteur automatique de chèques, il y a. deux ranées de touches pré- CI vues à la partie de gauche du clavier, et elles sont utilisées pour composer .le nombre de chèques dans une liasse quand le montant total de ces chèques est inscrit dans un seul article pendant une seule opération de la ma chine. Divers verrouillages contrôlent le compteur automatique de chèques.
La machine comprend deux lignes de tota lisateurs, à savoir mie ligne supérieure, dite N 1, et une ligne arrière, dite N 2. La ligne N 1 des totalisateurs contient le totalisateur des balances, souvent dit balanceur , qui cal cule des montants positifs et négatifs pour établir de nouvelles balances. La ligne N 2 comprend quatre totalisateurs, dont deux sont des totalisateurs addition/soustraction; le troisième est un totalisateur des débits, et le dernier est un totalisateur des crédits.
Il est nécessaire de prévoir des totalisateurs d'addition/soustraction pour totaliser les ehè- ques et les ,dépôts en vue de la nécessité des opérations de soustraction dans la correction de chèques et de dépôts.
L'un des totalisateurs de la .ligne N 2 sert à l'accumulation d'un total définitif de nou velles balances actives, et d'autre à l'accumu lation d'un total définitif de nouvelles ba lances passives. Pendant les opérations .dites nouvelle balance , .ces totaux définitifs sont transférés du totalisateur des balances aux roues d'addition correspondantes de la ligne de totalisateurs N 2.
Les calculs relatifs à la mise à jour de comptes courants particuliers sont inscrits sur une feuille représentée, à titre d'exemple, en fig. 2 et 3; cette feuille est divisée en deux parties, dont l'une est un relevé de compte, et l'autre, la partie talon , constitue une feuille du grand livre de la banque. La par tie relevé est divisée en trois colonnes ver ticales aux en-têtes respectifs: Débits , Cré dits et Balance . La partie talon présente une colonne pour l'inscription en double de la balance.
La partie Débits du relevé est divisée en deux colonnes pour l'inscription des articles passifs, par exemple chèques, frais de service et ainsi de suite. La partie des Cré dits présente une .colonne pour l'inscription de crédits ou de dépôts, tandis que la partie Balance consiste en deux colonnes verti cales pour l'inscription de la date et de la nouvelle balance.
La partie talon de la feuille est divisée en trois colonnes verticales: la première pour la date, la deuxième pour l'inscription du nombre total de chèques dé bités au compte au cours d'une opération quelconque de mise à jour, et la troisième pour l'inscription de la. nouvelle balance.
En -dehors des inscriptions sur la feuille du relevé, une inscription en double de toutes les transactions est faite sur une bande de vé rification représentée en fig. 18. Cette bande de vérification est divisée en quatre colonnes verticales: la première de ces colonnes redoit l'inscription de débits ou de chèques; la deuxième comprend les crédits ou dépôts; la troisième colonne indique le nombre total de chèques débités au compte au cours d'une opération quelconque de mise à jour, et la quatrième sert à l'inscription des nouvelles balances.
On verra que les articles sont ins crits sur cette bande de vérification en sens inverse; c'est-à-dixe, le nombre correspondant au premier article sur la feuille de relevé est imprimé en bas de la bande de vérification, et ainsi de suite.
En se référant aux fig. 2 et 3, on verra que .les deux parties de la feuille combinée sont divisées en 39 lignes horizontales pour les inscriptions d'articles; ces lignes sont in cliquées par des chiffres en marge droite de la partie talon de la feuille. On verra aussi qu'un espace .au-dessus de la première ligne est prévu pour l'inscription du solde à nou veau.
Une table à la partie antérieure de la ma chine, susceptible d'un déplacement horizon tal, est prévue pour amener la feuille .au mé canisme d'impression. Cette table présente 39 positions de ligne correspondant aux 39 lignes de la feuille, et .en plus une position normale ou position de départ correspondant à la po sition de solde à nouveau.
Neuf touches de sé lection de ligne sont prévues pour les unités et trois - celles de 10, 20 et 30 - pour les dizaines: ces touches sélectionnent la ligne du support d'inscription sur laquelle la pre mière inscription est faite, et après cette sé lection initiale, l'avancement consécutif de la table et .de la feuille se poursuit dans des con ditions d'automaticité sous la commande des touches des transactions et des totaux.
Quand il est nécessaire de reporter une balance, l'ancienne balance est relevée d'abord d'une feuille précédente. Vu que la touche de balance à reporter .aura été enfoncée au début de cette opération, la mise en position de la table et de la feuille sous l'influence des tou ches cherche-ligne sera empêchée et le solde à nouveau sera imprimé sur .la feuille à l'en droit convenable .au-dessus de la première ligne. Après cette opération de report de ba lance, la touche cherche-ligne N 1 est enfon cée pour sélectionner la première ligne de la feuille, .après quoi l'opération de mise à jour du compte peut être commencée.
En général, les débits sont inscrits les premiers, et l'on verra que la partie Débits de la feuille est divisée en deux colonnes verticales. Le pre mier article des débits est imprimé dans .la première colonne, celle de gauche, et le deuxième article des débits est imprimé dans la deuxième colonne à la même ligne que le premier. Un troisième article serait imprimé sur la deuxième ligne de la première colonne, et ainsi de suite jusqu'à l'inscription de tous les articles du passif.
Dans l'opération suivante, les crédits ou dépôts sont portés sur la partie convenable de la feuille. S'il y a plus d'un article à ins crire, la table est avancée automatiquement, de sorte que ces articles sont. imprimés en ordre consécutif.
Après l'inscription de tous les débits et crédits, la nouvelle balance est établie; cette nouvelle balance est. imprimée, avec la date, dans la partie convenable des deux sections relevé et talon de la feuille.
Dans les opérations d'inscription subsé quentes, il est nécessaire seulement d'enfon- cer les touches cherche-ligne qui correspon dent à la première ligne disponible de la feuille. Après l'inscription du premier article, l'avancement de la feuille est entièrement automatique, comme on a expliqué ci-dessus. A la fin de l'opération de nouvelle balance, la table est ramenée vers l'avant à sa position normale ou position de départ. La feuille peut être enlevée ainsi de la table et une nou velle feuille mise en position.
En se référant à la fig. 2, on verra que la machine représentée est disposée pour impri mer sur 39 lignes d'une feuille. Immédiate ment après l'impression du premier article sur la 39-e .ligne, la table est renvoyée auto matiquement à sa position de départ pour attirer l'attention de l'opérateur sur le fait que la machine imprime sur la dernière ligne de la feuille. Si l'opérateur veut faire des inscriptions subséquentes sur cette ligne, il sera nécessaire de composer 39 sur les tou ches cherche-ligne avant chaque inscription, étant donné que la table est remise automa tiquement à la position de départ après cha que inscription.
En se référant à la -ligne 37 de la fig. 2, on verra que deux débits, un crédit et une nouvelle balance sont imprimés sur la même ligne horizontale du support d'inscription. Comme déjà expliqué, s'il y a plus de deux débits à inscrire, la feuille est avancée et, de la même façon, la feuille est avancée s'il y a plus d'un crédit à inscrire.
Des touches Relevé-balance , Relevé-dé- couvert , Nouvelle balance et Soüs-total Nouvelle balance provoquent la remise auto matique de la table à la position de dé part (voir fig. 1). Quand la touche Relevé- balance ou Relevé-découvert est utilisée conjointement avec la touche Balance à re porter , le montant de l'ancienne balance est imprimé dans la position Solde à nouveau sur la feuille.
Les touches Relevé-balance et Relevé-découvert provoquent aussi la re mise de la table à sa position de départ, cette position étant la position convenable pour l'inscription de l'ancienne balance.
Quand une des touches Relevé-balance ou Relevé- découvert est utilisée pour relever d'an ciennes balances qui ne doivent pas être im primées sur la nouvelle feuille de relevé de compte, la.
touche Balance à reporter n'est pas enfoncée conjointement avec cette touche, de sorte que l'ancienne balance est portée au totalisateur de balances sans être imprimée sur la feuille. En d'autres termes, la touche Balance à reporter est la touche impri- meuse pour les touches Relevé-balance et Relevé-découvert , et l'enfoncement de cette touche Balance à reporter en conjonction avec ces dernières touches effectue l'impres sion de l'ancienne balance sur la ligne dite Solde à nouveau de la feuille.
Quand un compte est à découvert, la tou che Nouvelle balance se trouve verrouillée pour attirer (.attention de l'opérateur sur le fait que le compte est à_ découvert. Dans ce cas, l'opérateur a. un choix de plusieurs possi bilités. Si on désire débarrasser le totalisateur de balances de ce découvert en imprimant le montant du découvert sur la .feuille, la touche Découvert (fig. 1) est enfoncée .d'abord pour déverrouiller la touche de Nouvelle ba lance , après quoi cette touche peut être en foncée pour effectuer une opération de nou velle balance;
ou, si l'on désire le sous-total du découvert, la touche Découvert est en foncée d'abord pour déverrouiller la touche Sous-total Nouvelle balance , après quoi cette touche peut être enfoncée. Une troi sième possibilité est d'avertir le client que son compte est à découvert, en le priant ,de pas ser à la banque un dépôt d'un montant suffi sant à couvrir ce découvert; ou bien, on peut se servir de la touche Correction chèques pour annuler l'inscription -d'un nombre de chèques déjà inscrits, d'un montant suffisant à couvrir le découvert.
Un dispositif palpeur de la feuille est prévu pour empêcher le mouvement de la ta ble hors de la position normale, ou position de départ, sous l'influence des touches cher che-ligne, à moins qu'un support d'inscrip tion ne soit convenablement mis sur la table. Un mécanisme d'interverrouillage des touches cherche-ligne et des organes de déclenche ment de la machine est prévu pour empêcher l'opération -de la machine quand une touche cherche-ligne est partiellement enfoncée.
<I>Bâti et</I> inécanisnie <I>de commande</I> Le bâti principal de la machine comprend une partie de gauche 60 (fig. 4 et 5) et une partie de droite (non représentée) de cons truction analogue. Ce bâti soutient la plupart des organes de la machine, et les deux parties de ce bâti sont reliées entre elles au moyen d'un certain nombre de cadres, de tiges et de barres transversaux. Lesdites parties du bâti reposent sur une plaque -de base 61; cette pla que de base 61 est fixée à quatre bâtis d'im pression par lesquels elle est soutenue.
Trois clé ces bâtis d'impression 62, 63 et 64 sont représentés aux fig. 4, 5, 19 et 46. Les bâtis d'impression sont fixés relativement les uns aux autres par un tirant antérieur 65 (fig. 20, 26A et 26B), im tirant de milieu 66 et un tirant arrière 67 et par un certain nombre d'aiïtres barres, tiges et .arbres. Les bâtis -d'im pression sont fixés aussi à la surface supé rieure d'une sous-base (non représentée), et les mécanismes,de la machine sont renfermés dans un coffre 68 (fig. 4 et 48).
Normalement, la machine est actionnée électriquement au moyen d'un moteur; il est prévu aussi une manivelle (non représentée) pour la .commande à la main de la machine au cas où cela serait nécessaire. La machine est mise en marche par l'enfoncement de l'une quelconque .d'un certain nombre de touche opératrices , décrites plus loin en détail, de la rangée de commande des totaux et de la rangée des transactions.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches opératrices soumet un arbre 69 de verrouillage .des touches (fig. 4 et 31) à l'ac tion d'un ressort (non représenté) qui fait basculer cet arbre sur une courte distance dans le sens dextrorsum pour actionner le mé canisme d'embrayage qui relie le moteur à un arbre principal 70 (fig. 4 et 5) tourillonné dans le bâti principal 60. L'enfoncement. d'une touche opératrice actionne en même temps le mécanisme -d'un interrupteur pour fermer le circuit du moteur, mettant le mo teur ainsi en marche.
Une fois que la machine a exécuté le nombre de cycles voulus, pour un genre .d'opération déterminé, l'arbre de verrouillage des touches 69 est renvoyé dans le sens senestrorsum, de manière à dégager le mécanisme d'embrayage et à ouvrir simulta nément l'interrupteur du moteur électrique. Quand la machine est actionnée à la main, les touches opératrices provoquent le déclen chement de la machine d'une manière entière ment conforme à l'actionnement par moyens électriques.
Clavier. En se référant à la fig. 1, qui est une vue schématique du clavier, on verra qu'il y a neuf rangées de touches de montants 71 et deux rangées de touches de comptage des chè ques 52 et 72. Ces touches sont similaires sous beaucoup de rapports aux touches de mon tants 71, sauf qu'elles possèdent leurs propres roues d'addition sur la ligne N 1 de totalisa- teurs, pour compter le nombre de chèques inscrits au cours de la mise à jour d'un compte.
La machine est munie d'une plaque de commande des totaux 73 (fig. 6) pour effec tuer l'engagement et le dégagement des deux lignes de totalisateurs pendant. les opérations d'addition, de soustraction, d'impression de totaux et d'impression de sous-totaux. La mise en position de cette plaque de commande des totaux est effectuée par un certain nombre de touches de commande des totaLix (fig. 1) numérotées de 74 à 78 inclusivement et pla cées du côté droit du clavier. Les touches de commande des totaux 74, 75 et 78 sont des touches opératrices et servant à mettre la. ma- machine en marche.
La présente machine est munie de deux lignes -clé totalisateurs qui sont sélectionnés et mis en prise avec les entraîneurs de montants, en utilisant des touches d'une rangée de tou ches des transactions (fi-. 1 et 5) situées près clés touches de commande des totaux et numérotées de 79 à 84 inclusivement; toutes ces touches sont des touches opératrices.
En plus des touches opératrices 79 à 84, la rangée des transactions .comprend aussi une touche Espacement 85 pour effectuer le mouve ment d'avancement clé la table portant le support d'inscription; une touche Décou- vert 86 pour déverrouiller la touche Nou velle balance 74 quand le totalisateur -des balances .contient un découvert, et une tou che Déblocage-déco-Llvert 87 pour d6ver- rouiller les touches Relevé-découvert 79 et Relevé-balance 84 quand le totalisateur con tient un montant quelconque.
Une fois qu'une ancienne balance est relevée et enregistrée par la machine, en enfonçant la touche Re- levé-découvert 79 ou Relevé-balance 84, ces touches sont verrouillées et ne peuvent être enfoncées avant l'inscription d'Line nouvelle balance, ce qui assure qu'une ancienne ba lance n'est relevée qu'une seule fois. La tou che Déblocage-découvert 87 déverrouille ces touches au cas où il serait nécessaire d'uti liser les touches 79 et 84 plus d'une fois. La touche 81 se rapporte aux: Dépôts>>.
Dans le cas normal, les touches Relevé- découvert 79 et 84 ne sont pas des touches imprimeuses; cependant, au cas où il serait avantageux d'imprimer l'an cienne balance, une touche Balance à repor ter 88, dans la rangée de touches des totaux, peut être enfoncée en conjonction avec ces touches pour effectuer l'impression de l'an cienne balance sur .la ligne Balance à repor ter de .la feuille. Une touche Rappel 89 est prévue pour la libération de la touche Balance à reporter qui n'est pas libérée automatiquement à la fin des opérations de la machine.
La touche Espacement 85 est une touche opératrice, comme les touches 7 9 à 84 des transactions.
A gauche des touches des transactions se trouve une rangée ëde touches de symboles comprenant dix touches 90 pour l'impression de symboles d'identification à côté des articles inscrits sous l'influence des touches des trans actions. Normalement, les touches des symboles 90 ne reviennent pas automatiquement à leur position de départ; cependant, une touche Rappel 91 placée en haut de cette rangée de touches est prévue pour la libération de ces touches.
La touche de symbole NC est enfoncée en conjonction avec la touche Chè ques 82 dans des cas où l'on ne désire pas que l'article qui doit être porté au compte soit porté en même temps au compteur automa tique des chèques. Autrement dit, la touche NC , ce qui signifie non-compté , débraye le mécanisme du compteur automatique des chèques, tout en imprimant en même temps le symbole NC à côté du débit, ou @du chèque, qui n'était pas compté.
Les frais mensuels de service sont sous traits au compte d'un client quelconque en composant le montant de ces frais sur les touches de montants 71 et en enfonçant la touche Chèques 82. Quand .les frais de ser vice sont soustraits au compte, une touche de symbole SC 90 est enfoncée en conjonction avec la touche Chèques 82 pour effectuer l'impression, à côté du montant -des frais de service de banque, du symbole SC ( Charge de Service ) et pour débrayer en même temps le compteur automatique des chèques, de façon que cet article ne soit pas compté.
Toutes les touches de symboles 90, l'exception des touches NC et SC , sont simplement des touches imprimeuses pour imprimer des symboles d'identification à côté des articles correspondants. Par exemple, la touche IN (Intérêt) effectue l'impression du symbole IN à côté du montant -de l'inté rêt. La touche LS (Liste Symbole) est en foncée quand -une seule inscription représente le montant total d'iuie liasse de chèques, le symbole LS étant imprimé à côté -de ce montant.
Quand le montant total d'une liasse de chèques est inscrit de cette façon, le nom bre de chèques dans la liasse est composé sur les touches 52 et 72 du compteur des chèques pour enregistrer .ce nombre dans les roues du compteur des chèques. L'enfoncement des touches 52 et 72 pour .composer le nombre de chèques dans une liasse débraye le compteur automatique des chèques.
La position occupée par la touche Rap pel 91 des touches des symboles (fig. 1) est aussi une position automatique servant à im primer automatiquement le symbole EC si gnifiant Correction d'erreur . Cette opéra tion s'effectue en enfonçant la touche Cor rection dépôts 80 ou la touche Correction chèques 83. Un levier Rappel touches 02 (fig. 1), à l'extrême droite du clavier, -déverrouille toutes les touches à l'exception de celles qui ne re viennent pas à leur position de départ après avoir été enfoncées; à savoir les touches des symboles 90 et la touche Balance à reporter 88.
La manière dont les touches de com mande des totaux 74 à 78 inclusivement con trôlent la sélection des différents totalisateurs sera détaillée ci-dessous en connexion avec la description des totalisateurs.
La manière dont les touches de commande des totaux 74 à 78 inclusivement et la plaque de commande des totaux 73 (fig. 6) contrô lent l'engagement et le dégagement des deux lignes de totalisateurs est bien connue. Rangées <I>de touches de</I> montant <I>et</I> leurs mécanismes <I>différentiels.</I>
Les neuf rangées de touches de montant 71 et les dispositifs différentiels associés à ces touches sont identiques sous tous les rapports et sont similaires à des mécanismes bien connus. Vu de la similarité des rangées de touches de montant, la description de l'une de ces rangées et du mécanisme différentiel associé sera suffisante à la compréhension de toutes ces .rangées.
La fig. 4 est une coupe transversale de la machine prise à droite de l'une des ran gées de touches de montant, représentant la rangée .de montant et son mécanisme diffé rentiel. Cette rangée et ce mécanisme seront décrits à titre représentatif de toutes les rangées de touches de montant.
Les touches de montant 71 sont portées par un bâti de touches 93 soutenu par des tiges 94 et 95 qui passent d'un côté à l'autre du bâti principal 60 de la machine. L'enfon cement de l'une quelconque des touches de montant 71 fait basculer un cliquet d'arrêt à zéro 06 de cette dénomination particulière dans le sens senestrorsum, le portant hors du trajet d'un croisillon de remise à zéro 97 fou sur le moyeu d'un entraîneur 98 du méca nisme différentiel .des montants, appuyé sur et tournant dans un palier 99 se prolongeant entre deux plaques similaires 100 (dont une seule est représentée ici),
les plaques étant appuyées à leur tour sur des tiges 101 et 102 s'étendant entre les deux parties du bâti prin cipal 60. Il est prévu une paire de plaques d'appui pour chaque mécanisme différentiel de montant, et un tirant 103 passe à travers des ouvertures aux centres des paliers 99 pour former avec tous les mécanismes différentiels des montants un ensemble compact.
Une encoche dans l'extrémité antérieure du croisillon 97 est engagée avec un goujon 1.04 de l'extension antérieure d'un levier coudé 105 pivoté sur une extension de l'en traîneur 98. Le levier coudé 105 et un autre levier coudé 106, pivotant aussi sur l'exten sion de l'entraîneur 98, servent. ensemble à supporter un verrou différentiel 107 suscep tible d'un déplacement horizontal. Un ressort 108 entraîne les leviers coudés 105 et 106 et le verrou 107 vers l'arrière, -de façon à main tenir normalement une extension 109 en forme de pied de ce verrou en prise avec l'épaule ment 110 d'un segment d'entraînement du mécanisme différentiel 111, appuyé et tour nant sur le moyeu de l'entraîneur 98.
Une bielle 112 relie à pivotement le segment d'en traînement 111 à un levier de came 113 pi votant sur un goujon 114 porté par la pla que de gauche 100; ce levier porte aussi des galets 115 et 116 qui sont en engagement res pectivement avec les périphéries de deux cames 117 et 118 fixées sur l'arbre principal 70. L'enfoncement de l'une quelconque des touches de montant 71 amène l'extrémité infé rieure de la tige de, cette touche sur le trajet d'une surface arrondie 119 .d'une extension du levier coudé 105.
Au cours des opérations d'addition, l'arbre principal 70 et les cames 117 et 118 font un tour clans le sens dextrorsum, obligeant ainsi le levier 113 à faire basculer le segment d'en traînement<B>111</B> d'abord dans le sens dextror- sum et ensuite .de retour à sa position normale selon la distribution indiquée à la ligne 1 du graphique de .la fig. 47.
Le mouvement dans le sens dextrorsum du segment 111 oblige l'épaulement 110 du segment, en prise avec l'extension 109 du verrou 107,à porter le verrou et l'entraîneur 98 dans le sens dextror- sum jusqu'à ce que la surface arrondie 119 vienne en contact avec la tige de la touche de montant 71 enfoncée. Ceci fait basculer les leviers coudés 105 et 106 dans le sens senestrorsum pour dégager l'extension 109 de l'épaulement 110, empêchant ainsi le mouve ment dans le sens dextrorsum de l'entraîneur 98, et positionnant l'entraîneur d'après la touche de montant 71 enfoncée.
Le mouve ment du verrou 107 hors de prise amène une extension arrondie 120 de ce verrou en prise avec l'encoche correspondante d'une série d'encoches 121 dans une plaque 122 montée entre la tige<B>101</B> et un prolongement vers le haut de la plaque d'appui de gauche 100.
Après le dégagement du verrou 107 de l'épaulement 110, -une surface arquée 125 du segment 111 se déplace pour se mettre vis- à-vis de l'extension 109 pour retenir le verrou en position.
Quand le levier 113 a atteint la limite de son mouvement dans le sens dextrorsum, un galet 126 porté par ce levier entre en contact avec -une surface arquée 127 d'im balancier 128 pivoté sur lui goujon 129 prévu dans l'entraîneur 98, et amène une surface concave de l'arête supérieure de ce balancier en con tact avec le moyeu de l'entraîneur 98 pour positionner le balancier ,d'après la touche de montant enfoncée.
Le balancier 128 (fig. 4) possède une en coche 130 engagée avec un goujon 131 .d'une bielle 132; l'extrémité supérieure de cette bielle pivote sur un segment d'alignement 134 monté sur un tube d'une série de tubes té lescopiques 135, montés sur un arbre 136 tou- rillonnédans le bâti principal 60. L'extrémité inférieure de la bielle 132 est articulée à un segment 137 fou sur un arbre 138 tourillonné dans le bâti 60. Le segment 137 porte un gou jon 139 engagé dans une encoche-came dune plaque de came 140 du mécanisme d'élimina tion de l'impression des zéros.
Cette plaque pivote sur un goujon 141 d'ion segment denté 142 monté fou sur un arbre 143 tourillonnant dans le bâti principal 60. Les dents du segment 142 sont en prise avec les dents externes d'un engrenage exté- rieur-intérieur 144 (fig. 4, 6 et 22).
Les dents internes de cet engrenage sont en prise avec la périphérie d'un disque 145 fixé sur un arbre 146 porté par des supports 147 fixés à une barre transversale 148 et au bâti de la machine, formant un appui rotatif pour cet engrenage 144. fia barre 148 (fig. 6) est fixée au bâti principal 60 de la machine. Les dents internes de l'engrenage extérieur-intérieur 144 (fig. 4) sont en prise avec lui pignon 149 tournant dans une ouverture pratiquée dan;. le disque 145, et fixé à un arbre carré 150.
Le pignon 149 et l'arbre carré entraînent à leur tour des pignons 151 (fig. 22) similaires au pignon 149, qui entraînent des engrenages extérieur-intérieur 152 correspondant à cette dénomination. Les dents externes de ces en grenages entraînent .des roues porte-caractères 153, folles sur 1m arbre 154 soutenu par les supports 147 (fig. 6). Il est prévu -une roue porte-caractères et un dispositif de commande pour chacune des colonnes de la feuille dans laquelle un montant devra être imprimé.
La commande des roues porte-caractères par le moyen d'engrenages extérieur-inté- rieur est bien -connue. La plaque 140 (fig. 4) possède un gou jon 155 engagé dans une encoche prévue dans l'extrémité d'un coulisseau d'entraînement 156 pour la suppression des zéros. Ce coulisseau. présente deux encoches parallèles s'engageant respectivement avec un arbre 157 tourillonné dans des pièces de support 158 fixées à la plaque de base 61, et avec une tige 159 sou tenue par des bras 160 (un seul représenté) fixés à l'arbre 157.
Un ressort 161, tendu entre le segment 137 et la plaque 140, tient normalement l'extrémité inférieure de l'en- coche-came de la plaque en prise avec le gou jon 139 de la manière représentée en fig. 4.
Le dispositif de suppression des zéros re présenté ici est similaire en construction et en fonction à des mécanismes de suppression clés zéros bien connus. Une description abrégée de ce dispositif, tel qu'il est représenté en fig. 4, suffira donc à la compréhension du fonctionnement de ce dispositif.
Le coulisseau 156 porte un galet 162 qui s'engage avec la surface arquée 163 d'un bras de commande 164 fou sur un arbre 165 tou- rillonné dans les supports 158. Le bras 164 est attaché à un moyeu fou sur l'arbre 165, qui le relie à un bras 167 en prise avec un goujon 168 du bras 164 pour la dénomination inférieure. De la même manière, le bras 164 pour la dénomination décrite ici porte un goujon 168 qui s'engage avec le bras 167 de la dénomination supérieure, et ainsi de suite.
Le goujon 168 du bras 164 pour la plus haute dénomination s'engage avec -un bras simi laire au bras 167 fixé à l'arbre 165, de façon que cet arbre soit basculé d'abord dans le sens dextrorsum au commencement de l'opé ration de .la machine, et puis en retour à la position normale.
Le mouvement dans le sens dextrorsum de l'arbre 165 et du bras 167 de la plus haute dénomination est communiqué par le goujon 168 au bras 164 de cette plus haute dénomination, et ainsi de suite à tra vers toute la série de dénominations, pour faire basculer enfin le bras 164 représenté ici .d'abord dans le sens dextrorsum pour dépla cer le coulisseau 156 vers l'arrière, ce qui dé gage l'encoche de ce coulisseau du goujon 155 porté par la came 140.
Supposons qu'une .des touches de la rangée de montants représentée en fig. 4 est enfon cée, ce qui provoque un déplacement vers l'arrière du coulisseau 156 pour .dégager le coulisseau du goujon 155. L'entraîneur 98 est positionné sous l'influence de la touche 71 enfoncée. Le galet 126 s'engage avec la sur face arquée 127 pour positionner le balancier 128, la bielle 132 et les segments 134 et 137 en correspondance avec la touche de montants enfoncée.
Avant la mise en position du seg ment 134 de la manière décrite ci-dessus, un dispositif d'alignement 169 (fig. 4), fixé à lm arbre 170 tourillonné dans le bâti priii- cipal 60, est basculé dans le sens dextrorsuni pour l'amener hors de prise avec les dents 171 du segment 134; après la mise en position de ce segment sous l'influence du balancier 128, le dispositif d'alignement 169 est amené en prise avec les dents 171 pour maintenir les segments 134 et 137 contre tout déplacement.
La mise en position du segment 137 amène une surface arquée 172 de ce segment sur le trajet d'un galet 173 porté par le bras 164 pour la dénomination en question. Il en ré sulte que le mouvement de retour en avant du coulisseau 156 sous l'influence d'un ressort 174 est empêché, et le coulisseau est retenu dans sa position arrière. Le goujon 168 du bras 164 pour la dénomination représentée en fig. 4 empêche le mouvement de retour en sens senestrorsum du bras 164 pour la déno mination inférieure, et ainsi de suite sur toute la ligne, pour retenir les coulisseaux 156 pour 1-outes les dénominations inférieures dans leurs positions arrière.
Il en résulte que les encoches dans .ces coulisseaux sont retenues hors de prise avec les goujons 155, de sorte qu'aucun mouvement ne soit communiqué à la plaque-came 140 quand l'arbre 157 et les bras 160 sont basculés dans le sens senestrorsum et ramenés à la position normale après la mise en position, de la manière expliquée ci-,dessus, des segments 137 sous l'influence des touches de montant enfoncées.
Quand aucune touche 71 n'est enfoncée, de la rangée de touches de montant repré sentée en fig. 4 ou d'une rangée d'une déno mination supérieure, le segment 137 est posi tionné à zéro, comme il est représenté ici. Dans cette position, une partie dégagée de ce segment se trouve vis-à-vis du galet 173, -de façon que le ressort 174 puisse ramener le bras 164 et le coulisseau 156 vers l'avant, l'encoche dans l'extrémité du coulisseau se remettant en prise avec le goujon 155, après quoi l'arbre 157 reçoit un mouvement dans le sens senestrorsum, ainsi que les bras 160 et le coulisseau 156.
Le mouvement dans le sens senestrorsum du coulisseau 156 fait bas culer la plaque-came 140 du dispositif d'éli mination de l'impression des zéros dans le sens dextrorsum, de sorte que l'encoche de cette plaque s'engage avec le goujon 139, re tenu immobile pendant ce temps, pour faire basculer le segment 172 dans le sens senes- trorsum à l'encontre de la tension du ressort 1.61, entraînant l'engrenage 144 dans le sens dextrorsum hors de la position de zéro jusque dans la position suivante, qui est dans ce cas une position de non-impression.
Le mouve ment dans le sens dextrorsum de l'engre nage 144 (fig. 4 et 22) entraîne un mouve ment analogue des engrenages 152 correspon dant à cette dénomination, par le moyen des pignons 149, de l'arbre 150 et des pignons 151. Les roues porte-caractères sont entraînées dans le sens senestrorsum hors de la position de zéro représentée en fig. 22 jusqu'à une po sition de non-impression, de sorte que les zéros de la rangée des touches de montant re présentées en fig. 4 ne sont pas imprimés. Il est évident que l'impression des zéros sera supprimée de manière analogue dans toutes les dénominations supérieures.
En d'autres termes, le mécanisme d'élimination de l'im pression des zéros est actionné quand une touche 71 est enfoncée dans la rangée 5 des touches de montant (fig. 1) pour effectuer l'impression des zéros dans les quatre déno minations inférieures et la suppression des zéros dans les quatre dénominations supé rieures.
Lorsque l'entraîneur différentiel 98 des montants a été mis en position sous l'influence de la touche de montant 71 enfoncée, de la manière expliquée ci-dessus, les roues du to talisateur sélectionné s'engagent avec l'engre nage correspondant des deux engrenages 175 et 176 de l'entraîneur, après quoi le mouve ment en retour du levier de -came 113 et du segment 111 amène la surface arquée 125 du segment au-delà du pied de l'extension 109 du verrou 107 pour permettre au verrou, sous l'influence du ressort 108, de tomber derrière l'épaulement 110 pour dégager l'extension arrondie 120 du verrou de l'encoche 121 de la plaque 122.
En même temps, une surface plus large du segment 111 s'engage avec nui goujon 179 de l'entraîneur 98, pour ramener l'entraîneur en sens senestrorsum, en même temps que<B>le</B> segment, vers la position de zéro. Ce mouvement darvs le sens senestrorsum de l'entraîneur 98 fait tourner les roues du totalisateur ou des totalisateurs engagés, en proportion de la valeur de la touche de mon tant 71 enfoncée, pour faire l'addition ou la soustraction dans le totalisateur ou les tota- lisateurs, du montant représenté par la touche de montant 71 enfoncée.
Si aucune des touches de montant 71 n'est enfoncée, le cliquet d'arrêt à zéro 96 reste dans le trajet du croisillon 97; le mou vement initial du croisillon et de l'entraîneur 98 oblige le cliquet à s'engager .avec un pro longement du croisillon, ce qui fait sortir le verrou 107 de la position de zéro, après quoi le galet 126 s'engage avec le balancier 128 pour positionner les segments 134 et 137, tan dis qu'in mécanisme associé proportionnel re met à zéro les roues porte-caractères 153 (fig. 22) de cette rangée de touches de mon tant.
A la fin d'une opération quelconque, l'en- traineur 98 (fig. 4) est remis à, la position de départ de la manière indiquée ici; cependant, la bielle 132, les segments 134 et 137 et le mé canisme d'impression commandé par ces or ganes ne sont pas remis à. leur position de départ; ils passent directement à leur nou velle position pour l'opération suivante de la machine.
Le mécanisme conventionnel de transfert est prévu pour transférer les chif fres des dizaines -des dénominations infé rieures aux dénominations supérieures dans les opérations d'addition et de soustraction. <I>Totalisateurs.</I>
Comme on 1'a déjà expliqué, la machine représentée possède deux lignes de totalisa teurs; à savoir une ligne supérieure dite N 1, et une ligne arrière dite N 2. Le tota lisateur N 1 est un totalisateur de balances, souvent dit balanceur ; il comprend deux séries de roues plus 180 (fig. 4 et 17) et moins 181 pour les différentes dénomina tions. Les roues plus et moins pour chaque dénomination engrènent les unes avec les autres, de sorte qu'elles tournent dans des sens opposés. Le totalisateur de balances est monté sur un bâti 183 (fig. 4) susceptible d'être déplacé, ce bâti étant monté dans le bâti principal 60.
Le bâti 183 .du totalisateur de balances porte un arbre 184 (fig. 4 et 12) aux extrémités duquel sont fixés des galets 185 qui s'engagent avec des fentes de guidage si milaires pratiquées dans deux plaques-cames mobiles 186 (une seule représentée ici) (fig. 12) fixées respectivement aux deux par ties de droite et de gauche du bâti principal 60. Des manivelles similaires 187 sont fixées aux extrémités opposées de l'arbre 184; ces manivelles portent des galets 188 engagés res pectivement dans des encoches similaires 189 pratiquées dans les deux plaques-cames 186.
La manivelle de droite est articulée à l'une des extrémités d'une bielle d'engagement 190 dont l'autre extrémité porte uri goujon 191 qui s'engage avec un crochet correspondant d'un croisillon d'engagement 192 tournant sur un goujon fixe 193.
Un mouvement est communiqué au croi sillon d'engagement 192 par une coulisse d'en gagement de totalisateur 194; une encoche dans une extension antérieure de la coulisse s'engage avec un goujon 195 d'une plaque- came 196 folle sur un goujon fixe 197. La plaque 196 possède une encoche 198 reliée par un goujon 199 à une encoche à peu près verticale 200 prévale dans l'un des bras d'un étrier 201 pivotant également sur le goujon 797. Le goujon 199 est monté sur l'extrémité supérieure d'une bielle 202 dont l'extrémité inférieure est articulée à une manivelle 203 fixée à un arbre de désaccouplement des zéros 204 (fig. 5).
Un autre bras de l'étrier porte un goujon 205 qui s'engage avec une encoche- came de la plaque de commande des totaux 73 (fig. 6); cette encoche n'est pas représen tée ici.
La manière dont la plaque de commande des totaux 73 .commande les mouvements de l'étrier 201, et la manière dont l'arbre de désaccouplement des zéros .204 commande la. manivelle 203 qui amène la coulisse 194 en prise avec le eroisillon 192 sont bien connues. Par conséquent, on ne donnera ici qu'une des cription générale de ce mécanisme.
Une extension vers l'arrière de la cou lisse 194 est articulée à l'extrémité supé- rieure d'un .levier de came 206 fou sur un goujon fixe 207. Le levier 206 (fig. 12) porte un galet 208 engagé dans une rainure-came 209 prévue dans l'une des faces d'une came 210 fixée à l'arbre 70.
Le déplacement de la bielle 190 pour effectuer l'engagement du goujon 191 avec le crochet du croisillon 192 est effectué dans les opérations d'addition par des disques de com mande mutilés déjà bien connus; ces dis ques sont commandés à leur tour par les tou ches des transactions, tandis que le mouve ment d'engagement de la bielle est effectué, en ce qui concerne les opérations d'impres sion des totaux et des sous-totaux, par une en coche pratiquée dans la plaque de commande des totaux 73 (fig. 6) de la manière habi tuelle.
Quand la plaque de commande des totaux 73 est dans la position d'addition, une enco che 211 de la coulisse 194 se met en prise avec un goujon 212 du croisillon 192 de la manière représentée en fig. 12; quand le gou jon 191 est en prise avec le crochet du croi sillon 192, le levier 206 est entraîné par la rainure-came 209 pour déplacer la coulisse vers l'arrière ou vers la droite, selon la dis tribution indiquée sur la ligne 4 du graphi clue de la fig. 47,
ce qui fait tourner le croi- sillon 19'2 dans le sens dextrorsum. Ce mou vement du croisillon fait basculer la mani velle 187 et l'arbre 184 aussi dans le sens dextrorsum sous l'influence de la bielle 190, de sorte que les galets 188, engagés avec les encoches 189, déplacent l'arbre 184 et le bâti 183 du totalisateur (fig. 4) pour amener la série 180 ou 181 des roues du totalisateur des balances, selon ila série sélectionnée, en prise avec .les entraîneurs 98.
Comme on l'a déjà expliqué, l'engagement (le la série de roues avec les entraîneurs, dans les opérations d'addition et de soustraction, ne s'effectue pas avant que ces entraîneurs n'aient été mis en position par suite de l'en foncement d'une touche de montant 71. Le mouvement de retour dans le sens senestror- sum des entraîneurs fait tourner les roues sé- lectionnées en rapport avec les touches de montant enfoncées, de faon que le montant composé sur le clavier soit enregistré par ces roues.
Après le mouvement en retour dans le sens senestrorsum des entraîneurs 98, la came 210 (fig. 12) ramène la coulisse 194 en avant pour renvoyer le croisillon<B>1.92</B> dans le sens senestrorsum, ce qui amène les roues du tota lisateur des balances hors de prise avec les entraîneurs 98.
Dans l'opération d'impression des sous- totaux, la plaque de commande des totaux 73 (fig. 6 et 12) passe de la position d'addition à celle de sous-total selon la distribution indiquée à la ligne 3 du graphique de la fig. 47.
Ce mouvement de la plaque commu nique à l'arbre de désaccouplement des zéros 204 (fig. 5) un mouvement initial dans le sens dextrorsum, préétablissant ainsi une con dition dans laquelle un mouvement supplé mentaire dans le sens dextrorsum sera com muniqué à cet arbre au cours de l'opération du sous-total. Le mouvement initial dans le sens dextrorsum de l'arbre 204 amène le gou jon 199 vers le bas relativement aux encoches 198 et 200;
cependant, ce mouvement vers le bas du goujon est :limité par la partie courbée de l'encoche 198, de sorte que l'encoche 211 de la coulisse 194 reste en prise avec le gou jon 212 de la manière indiquée ici.
Comme il a été expliqué déjà, l'arbre principal 70 et les cames fixées à cet arbre reçoivent deux tours dans le sens dextrorsum au cours des opérations d'impression de to taux et de sous-totaux, et un tour dans les opérations d'addition et de soustraction.
Pen dant le premier tour de la came 210, la rai nure 209 fait basculer le levier 206 dans le sens dextrorsum. pour déplacer la coulisse 194 vers l'arrière, mettant ainsi les roues du to talisateur sélectionné en prise avec les en traîneurs de montant avant leur mouvement initial dextrorsum; les entraîneurs sont re tenus à la position de zéro pendant le pre mier cycle de l'opération d'impression d'un total ou d'un sous-total. Ce premier cycle d'impression est utilisé pour effectuer le dé placement latéral des lignes de totalisateurs, afin de sélectionner la série de roues néces saire pour les opérations de lecture ou de re mise à zéro, selon le cas.
Pendant le second cycle d'impression, les entraîneurs 98, au cours de leur mouvement initial dans le sens dextrorsum, entraînent les roues du totali sateur sélectionné vers l'arrière jusqu'à ce que les longues dents de ces roues fixent les roues dans la position zéro pour positionner les entraîneurs de montant 98 selon le mon tant enregistré par ces roues.
Quand les en- traîneurs 98 sont en position correspondant au montant enregistré par le totalisateur, le galet 126 (fig. 4) s'engage avec le balancier 128 pour amener le segment 137 et le méca nisme d'impression dans la position corres pondant au montant accumulé dans les roues du totalisateur.
Dans l'opération d'impression d'un sous- total, quand la coulisse 194 a achevé son mou vement initial vers l'arrière pour mettre les roues du totalisateur sélectionné en prise avec les entraîneurs de montant, un mouve ment supplémentaire est communiqué à l'ar bre 204, de façon que le goujon 199, en con jonction avec les encoches-cames 198 et 200, communique à la plaque 196 un mouvement dans le sens dextrorsum pour dégager l'en coche 211 du goujon 212,
de façon que les roues du totalisateur sélectionné ne soient pas dégagées des entraîneurs 98 au bout du pre mier cycle d'opérations. Au cours de l'opéra tion d'impression d'un sous-total, l'encoche 211 reste ainsi dégagée du goujon 212 jusque presque à la fin du deuxième .cycle d'opéra tions.
Par conséquent, les roues du totalisa teur sélectionné restent en prise avec les en traîneurs pendant leur mouvement de retour dans le sens senestrorsum pour remettre ces roues à leurs positions primitives. Après la remise en position primitive des roues du to talisateur, c'est-à-dire vers la fin du second cycle d'opérations, l'arbre 204 est renvoyé dans le sens senestrorsum pour mettre l'en coche 211 en prise avec le goujon 212, de sorte que le mouvement de retour vers l'avant de la coulisse 194, qui se produit vers la fin du second cycle d'opérations,
comm-unique un mouvement de retour dans le sens senestrar- siun au croisillon 192 pour mettre les roues du totalisateur sélectionné hors de prise avec les entraîneurs 98.
Dans les opérations d'impression des to taux, ou de remise à zéro -des totalisateurs, le déplacement de la plaque de commande des totaux de sa position d'addition vers sa posi tion de remise à zéro communique à l'arbre 204 un mouvement initial dans le sens dex- trorsum de manière entièrement analogue aux opérations d'impression de sous-totaux. La plaque de commande des totaux s'engage avec le goujon 205 pour faire basculer dans le sens dextrorsum l'étrier 201 et la plaque 196.
La coulisse 194 est basculée aussi dans le sens senestrorsum: par le goujon 195, de sorte que l'encoche 211 de la plaque est mise hors de prise avec le goujon 212. Vers la fin du pre mier cycle de l'opération d'impression des to taux, et après le déplacement vers L'arrière de la coulisse 19-1 sous l'influence de la came 210, un mouvement supplémentaire dans le sens dextrorsiun -de l'arbre 204 oblige le gou jon 199, en prise avec les encoches-cames 198 et 200, à faire basculer la plaque 196 encore sur une distance dans le sens dextrorsum,
pour engager une encoche 213 de la coulisse 1.94 avec un goujon 214 porté par le croisillon 192. Lorsque l'encoche 213 est en prise avec le goujon 214, le mouvement de retour du levier 206 déplace la coulisse 194 vers l'avant pour donner au croisillon d'engagement 7.9'_' un mouvement dans le sens dextrorsum, de sorte que les roues du totalisateur sélectionné se mettent en prise avec les entraîneurs 98 à la fin du premier cycle. Dans le second cycle, les entraîneurs remettent ces roues à zéro exactement de la manière indiquée pour les opérations de sous-totalisation ou de lecture.
Pendant que les roues du totalisateur sont à zéro, et avant le mouvement de retour dans le sens senestrorsuin des entraîneurs 98 (fig. 4 et 12), un mouvement initial de la came 210 dans le second .cycle d'opérations déplace la coulisse 194 vers l'arrière pour communiquer un mouvement de dégagement dans le sens senestrorsum au croisillon 192, ce qui met les roues du totalisateur sélectionné hors de prise avec les entraîneurs et remet les roues à zéro.
Après la remise en position normale du croisillon 192 par suite d'un tour dans le sens senestrorsum, et avant le mouvement de re tour vers l'avant de la coulisse 194, l'arbre 204 est ramené partiellement en arrière dans le sens senestrorsum pour obliger le goujon 199 à renvoyer la plaque 196 sur une distance suffisante dans le sens dextrorsum pour mettre l'encoche 213 hors de prise avec le goujon 214.
Lorsque la coulisse 194 est dé gagée ainsi du croisillon d'engagement 192, la came 210 remet la coulisse vers l'avant à sa position normale, après quoi le mouvement de retour de l'étrier 201 et de la plaque 196 clans le sens senestrorsum met l'encoche 211 en prise avec le goujon 212 de la manière re présentée en fig. 12.
Un cliquet 215 (fig, 12), commandé par une encoche-came 216 de la plaque 196, s'en gage avec des encoches 177 et 178 du croisil lon 192 pendant les opérations d'impression des totaux et des sous-totaux, de sorte que le croisillon est tenu immobile pendant que la coulisse 194 est amenée hors de prise avec les goujons 212 et 214. Les roses 180 et 181 du totalisateur de balances (fig. 4) sont main tenues contre tout déplacement dans leur po sition de dégagement par un dispositif d'ali gnement 236 entraîné par des cames 237 (une seule représentée), fixées à l'arbre 184.
La ligne arrière N 2 de totalisateurs (fig. 4 et 17) possède deux totalisateurs addition/soustraction, l'un pour l'accumula tion clé chèques et l'autre pour l'accumulation de dépôts. Il est nécessaire de prévoir des totalisateurs addition/soustraction dans ces deux cas, vu la nécessité clé prévoir un moyen clé correction de chèques et de dépôts. Le to talisateur addition/soustraction pour l'accu mulation de chèques comprend des roues d'ad dition 217 et de soustraction 218 engrenées pour tourner mutuellement dans des sens opposés :de manière analogue aux roues du totalisateur de balances N 1 décrit ci-dessus.
Le totalisateur de dépôts comprend des roues d'addition 219 et de soustraction 220 engre- nées de la même faon. En dehors des totali sateurs addition et soustraction, la ligne N 2 . de totalisateurs comprend -une série de roues d'addition 221 pour l'accumulation de ba lances nouvelles définitives plus et une sé rie de roues d'addition 222 pour l'accumula tion de nouvelles balances définitives moins .
Dans les opérations de nouvelle balance, et si le totalisateur . de balances contient un montant plus , le côté plus de ce totalisa teur est remis à zéro et le montant transféré en même temps aux roues 221; si le totalisa teur de balances contient un montant négatif, les roues moins 181 sont remises à zéro et le montant porté par ces roues est transféré en même temps aux roues 222 de la ligne de totalisateurs N 2. Cette ligne de totalisateurs N 2 est montée dans un bâti mobile 223 (fig. 4, 12 et 14) similaire sous tous les rap ports au bâti 183 du totalisateur de balances ce bâti porte un arbre 224 similaire à l'arbre 184 du totalisateur de balances.
Les deux extrémités de cet arbre 224 portent des galets 225 (Lui seul représenté) qui s'engagent dans des encoches de guidage pratiquées dans des plaques-cames 226, commandant l'engagement (lu totalisateur, montées sur le côté intérieur du bâti principal 60, comme représenté en fig. 16. Des manivelles d'engagement 227 (une seule représentée) sont fixées aux deux extrémités de l'arbre 224; chaque manivelle porte um galet 228 engagé dans une encoche- came 229 de la plaque 226 correspondante. Mécanisme <I>de transfert de totaux.</I>
Vu qu'il est avantageux de transférer des montants du totalisateur de balances aux deux totalisateurs d'addition de la ligne N 2 pendant les opérations de nouvelle balance, il est nécessaire de prévoir un moyen autre que le dispositif d'engagement normal des totali sateurs, pour contrôler les mouvements d'en gagement et de dégagement de la ligne N 2 de totalisateurs. Ce mécanisme est représenté aux fi-. 12 à 16 inclusivement.
La manivelle d'engagement 227, montée à l'extrémité de gauche de l'arbre 224 vu dans le sens de la fig. 16, est reliée par un moyeu 230 à un bras 231 présentant â son extrémité inférieure une entaille 232 (fig. 14), dans laquelle un coussinet 233 est fixé à un goujon 234, ce goujon .étant fixé dans une plaque mobile 235 dont une partie fourchue est en gagée avec -Lin moyeu 238 fou sur l'arbre 224 (fig. 13).
Le goujon 234 passe à. travers la plaque 235, et son extrémité supérieure porte un galet 239 qui. est tenu normalement en prise avec une entaille d'une plaque 240 soli daire du moyeu 238, par un ressort 1241 maintenu sous tension entre la plaque 235 et un goujon du bras 231. L'une des extrémités d'une bielle d'engagement 241 pivote sur la plaque 240; l'antre extrémité de cette bielle porte un goujon aplati 242 en prise avec une encoche prévue dans une projection en forme de crochet 243 du croisillon 192 (fig. 12 et 13).
La bielle 241 pour la ligne de totalisateurs N02 est contrôlée de manière analogue à la bielle 190 pour la ligne de totalisateurs N 1 dans les opérations d'addition et de soustrac tion, par des disques de sélection, commandés à leur tour par les touches de transactions. Dans les opérations d'impression de totaux et de sous-totaux, cette bielle est commandée par la plaque de commande des totaux 73, de façon à assurer l'engagement du goujon 242 avec l'encoche dans le crochet 243 du croi sillon d'engagement 192.
Dans les conditions normales, le galet 239 reste en prise avec l'en coche de la plaque 240 pour relier cette pla que au bras 231, qui est relié à son tour à la manivelle 227 et à l'arbre 224; dans ces con ditions, la ligne N 2 de totalisateurs reçoit ses mouvements d'engagement et de dégage ment .par l'intermédiaire du croisillon d'en gagement 192 de manière analogue au mode d'engagement de la: ligne de totalisateurs N 1.
Cependant, dans les opérations de nou- velle balance, il est que le total accumulé dans le totalisateur de balances soit transféré à l'uui des totalisateurs d'addition 221 ou 222 (fig. 17.) de la ligne N 2 de tota lisateurs pendant l'opération de nouvelle ba lance. Pour transférer ces totaux, on a prévu un moyen de passer :la commande du mouve- ment d'engagement et de dégagement de la ligne N 2 de totalisateurs, du croisillon 192 à la .came 210.
Il en résulte que cette ligne de totalisateurs est engagée et .dégagée dans la période d'addition, c'est-à-dire, comme on le verra en se référant à la ligne 4 du gra phique de la fig. 47, dans la période repré sentée par le calage de la came 210.
Le coussinet 233 (fig. 14 et 16) est engagé avec une entaille en V 244 de l'un des bras d'un étrier 245 fou sur un goujon 246 fixé dans la partie de droite du bâti 60. L'autre bras de l'étrier 245 porte l'extrémité infé rieure :d'une bielle 247 (fig. 12, 14 et 16) pi votée sur ce bras. L'extrémité supérieure de cette bielle pivote sur l'un des bras d'un le vier coudé 248 fou sur un arbre 249 fixé au bâti principal 60.
Un ressort 250 entraîne le levier coudé dans le sens senestrorsum pour mettre -un galet 251 fixé à l'autre bras du levier coudé en prise avec une surface-came 252 de la périphérie de la plaque de com mande des totaux 73 (voir aussi la fig. 6).
Quand,la plaque de commande des totaux 73 est dans toute autre position que celle de nouvelle balance, le galet 251 est en prise avec une partie concentrique de la surface 252 (voir la fig. 12) et maintient la plaque 235 dans sa position normale (fig. 13) d'en haut, dans laquelle position le galet 239 est en prise avec l'entaille de la plaque 240; cette plaque est commandée par le croisillon 192, comme on l'a déjà expliqué.
Quand la plaque de commande des totaux se déplace de la po sition de nouvelle balance, une saillie 253 (fig. 12 et 14) formée sur la surface-came 252 s'engage avec le galet 251 pour faire bascu ler .le levier 248 et l'étrier 245 dans le sens dextrorsum. Le mouvement dextrorsum de l'étrier 245 déplace le goujon 234 et la plaque 235 vers le bas pour amener le galet 239 hors de prise avec l'entaille dans la plaque 240, et pour engager ce galet 239 avec une entaille en<B>U</B> 290 (fig. 15 et 16) prévue :dans -un bloc en demi-cercle 254 fixé à l'une des faces d'un bras d'engagement 255 fou sur l'arbre 224.
Le bras 255 est relié par une bielle 256 à une manivelle 257 folle sur la tige 102; cette manivelle 257 possède une entaille qui s'en gage avec un goujon 258 d'une autre mani velle 259 fixée à un moyeu 261 fou sur un goujon. 260 du bâti 60. Fixé également au moyeu 261 est un bras 262 présentant une encoche 263 engagée avec un goujon 264 fixé dans un prolongement du levier de came 206 (fig. 12) ; on se rappellera que ce levier de came est basculé dans le sens dextrorsum et ramené à la position normale, pendant le temps d'addition, par la came 210.
Quand le levier 206 est dans la position de .départ re présentée en fig. 12, une extension 265 du bras 255 est maintenue en prise avec le gou jon 246 pour aligner l'encoche en<B>U</B> 290 avec le galet 239.
Le mouvement de la plaque de commande des totaux 73 à la position de nouvelle ba lance amène le galet 239 en prise avec l'en coche 290, après quoi la rotation de la came 210 fait basculer ale levier 206 d'abord dans le sens dextrorsum, pour communiquer un mouvement dans le sens senestrorsum à la. plaque 255 par le moyen des organes de liai son représentés aux fig. 15 et 16.
Ce mouve ment dans le sens senestrorsum est commu niqué par le goujon 234 au bras 231., à la ma nivelle 227 et à l'arbre 224, de sorte que la série de roues d'addition sélectionnée, sur la ligne N 2 de totalisateurs, soit amenée en prise avec les entraîneurs 98 de montant dans le temps d'addition, pendant que le totalisa teur de balances est en train d'être mis en prise avec ces entraîneurs dans le temps de remise à zéro.
Lorsque .le montant contenu dans le totalisateur de balances a été trans féré à la série de roues 221 ou 222 (fig. 17) d'addition sélectionnée selon le caractère, po sitif ou négatif, du montant en question, la came 210 continue à tourner pour renvoyer le levier 206 dans le sens senestrorsum pour dégager la ligne N 2 de totalisateurs.
Attendu que l'arbre principal 70 (fig. 12) et la came 210 reçoivent deux tours au cours des opérations de nouvelle balance; il est évi dent que la ligne N 2 de totalisateurs sera soumise à un mouvement d'engagement et de dégagement pendant chaque tour de la came 210. Cependant, cela n'empêche en rien l'opé ration convenable de la machine, parce que les entraîneurs 98 restent dans la position zéro pendant le premier tour de cet arbre 70 et de la came 210.
Quand la plaque de commande des totaux 73 quitte la position de nouvelle balance pour prendre une autre position quelconque, sous l'influence des touches de commande des to taux, la saillie 253 sur la surface-came 252 de cette plaque dégage le galet 251, permet tant ainsi au ressort 250 de rappeler le le vier coudé 248 et l'étrier 245 (fig. 12 et 14) dans le sens senestrorsum pour entraîner la plaque 235 et le goujon 234 vers le haut, dé gageant ainsi le galet 239 de l'entaille 290, après quoi le galet se remet en prise avec l'entaille dans la périphérie de la plaque 240.
Quand la plaque 235 (fig. 13 et 14) reçoit un mouvement dans le sens senestrorsum sous l'influence soit de la plaque 240, soit du bras 255 (fig. 15), le goujon 234 et le coussinet 233 se dégagent de l'entaille en<B>V</B> 244 du bras de l'étrier \.345. Le ressort 1241 empêche la plaque 235 et le goujon 234 .de se déplacer quand le goujon est dégagé de l'entaille 244 de l'étrier 245, et ce ressort tient le galet 239 en prise avec l'entaille dans da plaque 240.
Quand le galet 239 est en prise avec l'en.- taille en<B>U</B> 290 du bras 255, une surface arquée 266 de la plaque 240 empêche le galet de se mettre hors de prise avec l'entaille 290 quand le coussinet 233 est dégagé de l'entaille en<B>V</B> 244 de l'étrier 245. Un goujon 267 (fig. 13) du bras 231 s'engage avec un épau lement de la plaque 240 et aide la plaque à communiquer un mouvement d'engagement à l'arbre 224 et au bâti de la ligne de totalisa teurs N 2, et aide également à. retenir la pla que 240 dans sa position de départ, ou posi tion normale, représentée ici.
Le déplacement latéral -du totalisateur N 1, celui des balances, pour mettre le côté plus ou moins de ce totalisateur en prise avec les entraîneurs ide montant, se produit sous l'in fluence d'une came de transposition 268, repré sentée schématiquement en fig. 17. Ledéplace- ment latéral de la ligne N 2 de totalisateurs pour sélectionner le côté plus ou le côté moins des deux totalisateurs addition/soustraction et des deux totalisateurs d'addition de cette ligné N 2 se produit sous la commande d'une came de transposition 269, représentée sché matiquement en fig. 17.
Les .deux cames 268 et 269 sont maintenues dans un rapport fixe l'une avec l'autre, et @la mise en position de ces deux cames est commandée par les touches de transactions 79 à 84 inclusivement. <I>Touches de transactions et</I> mécanisme différentiel- <I>associé à ces touches.</I>
La manière dont les cames 268 et 269 (fig. 17) sont mises en position par le méca nisme différentiel associé aux touches de. transactions est bien connue. Une courte description sera donnée ici de ce mécanisme, en se référant à la fig. 5.
Toutes les touches de transactions, à l'exception -des touches Découvert 86 (fig. 1) et Déblocage--découvert 87, com mandent la mise en position du différentiel de transactions représenté en fig. 5. Toute fois, seules les touches Dépôts 81, Correc tion dépôts 80, Chèques 82 et Correction chèques 83 sont effectives, pendant les opé rations d'inscription de chèques, pour sélec tionner leurs côtés correspondants des deux totalisateurs addition/soustraction de la ligne de totalisateurs N 2.
Comme il a été déjà expliqué, les deux totalisateurs d'addition, de la ligne N 2, pour l'accumiÉation de nou velles balances positives et négatives, ne vien nent pas en prise avec les entraîneurs de mon tant pendant les opérations d'inscription de chèques, mais seulement pendant les opéra tions de nouvelle balance pour effectuer l'accumulation du montant de la nouvelle ba lance. Le mécanisme différentiel des trans actions commandé par les touches de trans actions sélectionne les totalisateurs de la ligne N 2 correspondant aux touches enfoncées, et sélectionne aussi le côté du totalisateur de balances à mettre en prise avec les entraî neurs.
Ce mécanisme différentiel commande aussi la. mise en position des roues porte- caractères pour imprimer, à côté du montant inscrit, des caractères indicatifs du genre d'opération dont il s'agit.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de transactions, à l'exception des tou ches 86 et 87 (fig. 5), fait basculer un cli- quet d'arrêt à zéro 271 hors du trajet de l'extrémité antérieure d'un croisillon 272 tour nant sur un moyeu 273 porté par un bras 274 du mécanisme différentiel des trans actions; ce moyeu 273 tourne sur un goujon 275 qui s'étend entre deux plaques .d'appui identiques 276 (une seule représentée ici), montées sur les tiges 101 et 102.
L'extrémité antérieure du croisillon 272 possède une encoche à travers laquelle passe un goujon 277 d'un bras de commande<B>278</B> d'un verrou pivoté sur le bras 274 du méca nisme différentiel. Ce bras, en coopération avec un bras 279 articulé de même manière au bras 274, permet le mouvement de dépla cement horizontal d'un verrou 280 du diffé rentiel des transactions. Le verrou 280 pos sède une projection en forme de pied 281, cette projection étant maintenue normalement en prise, par un ressort, avec un épaulement d'un segment d'entraînement 282 du diffé rentiel des transactions, fou sur le goujon 275. Le segment 282 est relié par -une bielle 283 à un levier de came 284 fou sur un gou jon 285 supporté -par la plaque 276.
Le le vier 284 porte des galets 286 et 287 coopérant respectivement avec les périphéries de plaques cames 288 et 289 fixées à l'arbre principal 70.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de transactions, à l'exception des tou ches 86 et 87, porte l'extrémité inférieure de cette touche sur le trajet -d'un prolongement arrondi 292 du bras-verrou 278; en même temps, le cliquet d'arrêt à zéro 271 est écarté du trajet,du -croisillon 272. L'opération de la machine oblige les cames 288 et 289 à faire basculer le levier 284 et le segment d'entraî nement du différentiel 282 d'abord dans le sens .dextrorsum selon la distribution indi quée à la ligne 2 (fig. 47).
L'épaulement du segment 282, en prise avec la projection 281, porte le verrou 280 dans le sens dextrorsum solidairement avec l'épaulement jusqu'à ce que le prolongement arrondi 292 s'engage avec la tige de la touche enfoncée pour faire basculer le bras 278 dans le sens senestror- sum, dégageant la projection<B>281</B> de l'épau lement du segment 282 et mettant une exten sion arrondie 293 de la partie antérieure de ce verrou 280 en prise avec une entaille cor respondante 294 d'une plaque d'alignement 295 soutenue par la tige 101 et par les plaques 276. Ces organes déterminent la position du bras différentiel 274 en correspondance avec la touche de transactions qui a été enfoncée.
Continuant son mouvement dans le sens dex- trorsum, le segment 282 oblige une surface arquée, formée sur ce segment, à venir en prise avec la projection en forme de pied 281 pour verrouiller le verrou 280.
Quand le levier 284 (fig. 5) s'approche de la limite de son mouvement initial dextror- sum, un galet 297 porté parce levier vient en prise avec une surface arrondie 298 d'un ba lancier différentiel 299 articulé au bras 274, pour amener une surface arquée de l'arête supérieure de ce balancier en contact avec une partie découpée du moyeu<B>273,</B> de faon que le balancier soit positionné en rapport avec la touche de transaction enfoncée.
Le balancier 299 porte une fourche en prise avec un goujon 301 porté par une bielle 302 dont l'extrémité supérieure est articulée à. un seg ment 303 fixé à l'un des tubes 135 de .l'arbre 136. L'extrémité inférieure de cette bielle est articulée à un segment 304 fou sur l'arbre 138 et relié par une bielle 305 à un engrenage 306 fixé sur l'arbre 143. L'engrenage 306 est en prise avec les dents externes d'un engre nage extérieur/intérieur 307 monté de façon à pouvoir tourner sur un disque soutenu à son tour par l'arbre 146. Cet engrenage 307 est fixé à un engrenage annulaire 308 en prise avec un pignon 309 fixé à un arbre 310 tou- rillonné dans les supports 147.
D'autres pi gnons 309 (fig. 6) attachés à l'arbre 310 en traînent d'autres engrenages externes/internes similaires à .l'engrenage 307; ces engrenages positionnent -des roues porte-caractères de transactions; ces roues sont placées de ma nière à correspondre aux différentes colonnes du support d'inscription sur lequel elles impri ment des symboles indicatifs de la transaction dont il s'agit. Un secteur denté 311, en prise avec un engrenage 312 fou sur un goujon 313 fixé dans la base 61, est fixé aussi à l'arbre 143 (fig. 5).
L'engrenage 312 est en prise avec un engrenage 314 fixé à un arbre 315 tourillonné dans le bâti d'impression; 'cet arbre 315 positionne des disques de sélection qui contrôlent l'opération des marteaux d'im pression et le déplacement de la table du sup port d'inscription. Le mécansime de ces dis ques sera décrit plus en détail ci-dessous à propos du mécanisme de mise en position de la table.
Le tube 135 (fig. 5), tout en étant en traîné par le segment 303, est relié à un autre segment (non représenté) relié par une bielle aux cames 268 et 269 (fig.17) de mise eu posi tion des totalisateurs pour effectuer la mise en position de ces cames en rapport avec la touche de transaction enfoncée.
Les chiffres de 0 à 9 inclusivement placés à côté des lignes horizontales dans les vues schématiques des cames de sélection des tota lisateurs 268 et 269 (fig. 1 et 17) correspon dent aux .différentes touches de transactions et aux positions du différentiel des trans actions. Par exemple, la position zéro corres pond à la position automatique indiquée à zéro.
Cette position est sélectionnée automati quement quand le totalisateur des balances contient un montant négatif, et la touche Dé couvert 86 . est utilisée en conjonction avec la touche Nouvelle balance 74 pour vider les totalisateurs de balances, pour imprimer la nouvelle balance négative et pour transfé rer cette nouvelle balance négative au totali sateur de nouvelle balance négative 222 (TNB-). La neuvième position des cames 268 et 269 est également une position auto matique, sélectionnée quand le totalisateur de balances contient un montant positif;
dans ce cas, la touche Nouvelle balance 74 est utilisée seule pour vider le totalisateur de ba lances et pour transférer ce montant positif en même temps au totalisateur de nouvelles balances totales plus 221 (TNB+) (fig.17) dans la ligne de totalisateurs N 2. La touche Relevé-découvert 79 sélectionne aussi la première position des cames 268 et 269, mais attendu que cette touche ne communique au cun mouvement d'embrayage et de débrayage à la ligne N 2 de totalisateurs, les roues 222 de la nouvelle balance totale moins ne sont pas engagées avec les entraîneurs de mon tants.
Il en est de même avec la touche Re- levé-baïlance 84, qui sélectionne la neuvième position des cames 268 et 269, mais vu que la touche Relevé-balance ne communique pas de mouvement d'embrayage et de débrayage à la ligne N 2 de totalisateurs, les roues de la nouvelle balance totale plus ne sont pas engagées avec les entraîneurs dfi montant quand cette touche est enfoncée.
En d'autres termes, il est nécessaire de se servir de la touche Nouvelle balance 74 pour sélectionner l'un ou l'autre des totalisa teurs de nouvelle balance et pour effectuer l'engagement et le _ dégagement de ces totali sateurs relativement aux entraîneurs de montant.
Lorsque la. touche Nouvelle balance 74 est enfoncée seule, elle choisit les roues de nouvelle balance totale plus 221; quand la touche Nouvelle balance est utilisée en con jonction avec la touche Découvert 86, par exemple quand le totalisateur de balances con tient un découvert, l'action combinée de ces deux touches effectue la sélection automati que des roues -de nouvelle balance totale moins 222, et ces roues sont soumises à un mouvement d'engagement et de dégagement relativement aux entraîneurs de montant.
Autrement dit, quand le totalisateur de la nouvelle balance totale phis est sélectionné par suite de l'enfoncement -de la touche Nou velle balance 74, les cames d'engagement 268 et 269 sont mises automatiquement en neu vième position, c'est-à-dire la position où le côté plus .du totalisateur N 1, ou totalisa teur de balances, est vidé; cette neuvième po sition sélectionne aussi le totalisateur de nou velle balance totale plus 221 pour l'opéra tion d'addition nécessaire à transférer le mon tant plus du totalisateur de balances au to- talisateur de nouvelles balances totales plus .
De la même façon, quand le totalisateur de nouvelle balance totale moins est sélectionné en enfonçant la touche Nouvelle balance 74 et la touche Découvert 86, les cames de. sélection 268 et 269 sont remises à zéro; le côté moins du totalisateur de balances est sélectionné, ce côté est vidé, et en même temps le totalisateur de nouvelle balance totale moins est sélectionné pour les opérations d'addition nécessaires pour transférer le total moins du totalisateur de balance au totali sateur -de nouvelle balance totale moins . La touche Dépôts 81 (fig. 1 et 17) cor respond à la quatrième position des cames 268 et 269.
L'enfoncement de cette touche oblige la came 269 à choisir @le côté plus du tota lisateur N 3, ou totalisateur de dépôts (+3D) sur la .ligne<B>NI'</B> 2 de totalisateurs. L'enfoncement de cette touche oblige aussi la came 268 à sélectionner le côté .plus du to talisateur N 1 ou totalisateur de balance, afin que le montant -du dépôt soit ajouté au mon tant contenu dans,ce totalisateur.
Quand la touche Correction dépôts 80 (fig. 1) est utilisée pour la correction d'une erreur, .le mécanisme différentiel des trans actions met les cames 268 et 269 à leur deuxième position; dans cette position, la came 269 choisit les roues moins du totali sateur N 3 des dépôts (-3D); ces roues sont amenées en prise avec les entraîneurs de montant, et en même temps, la came 268 sé lectionne les roues moins du totalisateur de balance, de façon que le montant du dépôt soit soustrait des deux totalisateurs.
Quand la touche Chèques 82 (fig. 1) est utilisée au cours des opérations d'inscrip- tion de chèques, l'enfoncement de -cette touche met les cames 268 et 269 en sixième position (fig. 17); dans cette position, la came 269 choisit les roues plus du totalisateur de chèques N 2 (-2C) de la ligne N 2 pour l'accumulation des montants totauz des chè ques; en même temps, la came 268 sélectionne le côté moins du totalisateur de balance pour y soustraire le montant du chèque.
Quand il est nécessaire de faire une cor rection dans l'inscription d'un chèque, la touche. Correction chèques 83 (fig. 1) est employée. Cette touche effectue la mise en huitième position des cames 268 et 269 (fig. 17). Dans cette position, la came 269 sé lectionne le côté moins 218 du totalisateur de chèques N 2 (-2C) et oblige la came 268 à sélectionner le côté positif du totalisateur de balances, de façon que le montant du chè que annulé, qui représente un crédit, soit porté au totalisateur de chèques<B>N</B> 2 et aussi au totalisateur de balances.
La touche Espacement 85 (fig. 1) pro voque la mise en troisième position du méca nisme différentiel des transactions et des cames 268 et 269; toutefois, on verra, en se référant à la fig. 17, que cette position est une position nulle pour les cames 268 et 269.
Ce pendant, ce mouvement du différentiel des transactions est utilisé pour contrôler l'espa- cerrient de la table du support d'inscription d'une manière qui sera décrite plus en détail ci-dessous. Comme on l'a déjà expliqué, les touches Découvert 86 et Déblocage-décou- vert 87 sont des touches courtes; elles ne po sitionnent pas le différentiel des trans actions et ne libèrent pas le cliquet d'arrêt à zéro pour ce différentiel, de sorte que ce dif férentiel reste dans la position zéro quand l'une de ces touches est enfoncée.
Mécanisme <I>de la</I> plaque <I>de</I> commande <I>des</I> totaux.
En se référant à la fig. 6, on se rappellera que la position normale de @la plaque de com mande des totaux 73 est la position d'addi tion, c'est-à-dire la position convenable aux opérations d'addition et de soustraction. Dans ces opérations, les touches de trans actions commandent des disques de sélection, pour amener les différents totalisateurs des lignes N 9 1 et 2 en prise avec les entraî neurs de montants.
Cependant, dans les opé rations .d'impression de totaux et de sous- totaux, il est nécessaire d'utiliser les touches des totaux 74 à 78 pour sélectionner les diffé rentes lignes de totalisateurs pour les mouve- ments d'engagement et de dégagement. L'em ploi de la touche Nouvelle balance,> a été expliqué en .détail ci-dessus à propos des tou ches de transactions.
La touche Sous-total Nouvelle balance>> 75 (fion-. 1) met la plaque de çommande des totaux 73 dans une position de lecture ou de sous-totalisation du totalisateur des balances. La touche Sous-total transactions 76 est une touche non opératrice;
elle est employée en conjonction avec k touche Chèques 82 et la touche Dépôts 81 pour sélectionner les totalisateurs addition/soustraction 2C et 3D de la ligne N 2 des totalisateurs (fig. 1,7), pour les opérations de lecture ou de sous-tota- lisation. Ladite touche 76 est employée aussi en conjonction avec les touches Relevé-ba- lance 84 et Relevé-découvert 79 pour sé lectionner les totalisateurs .de nouvelle ba lance totale plus et nouvelle balance totale moins de la ligne N 2 des totalisateurs,
quand il est avantageux de lire lesdits totali sateurs.
La touche Total transactions 77 est aussi une touche non opératrice; elle est em ployée en conjonction avec les touches Chè ques 82 et Dépôts 81 pour remettre à zéro les totalisateurs d'addition/soustraction 2C et 3D, et aussi, en conjonction avec les touches Relevé-bajlance 84 et Relevé-dé- couvert 79, pour remettre à zéro les totalisa teurs de la nouvelle balance totale. plus et .de la nouvelle balance totale moins de la ligne N 2 des totalisateurs.
La touche Total ancien solde 78 est une touche opératrice servant à remettre à zéro le totalisateur N 1, celui des balances, à la fin d'une série d'opé rations de report de balances. Sous ce rap port, ladite touche fonctionne d'une manière analogue à la touche Nouvelle balance 74, sauf que ladite touche 78 ne provoque pas la sélection des totalisateurs de la nouvelle ba lance plus /nouvelle balance moins pour les opérations de transfert de totaux, comme le fait la touche Nouvelle balance 74.
On se rappellera que la touche Balance à reporter 88 (fig. 1) n'est point une touche opératrice et ne commande pas la mise en po- sition de la plaque -de commande des totaux 73 (fi-. 6). Elle est employée en conjonction avec les touches Relevé-balance 84 et Re- levé-découvert 79 pour effectuer l'impres sion sous l'en-tête Solde à nouveau , du montant de l'ancienne balance.
On se rappellera que da manière dont. la touche Nouvelle balance 74 oblige le tota lisateur de nouvelles balances. totales positives 221 (TNB+) (fig. 17) ou le totalisateur des nouvelles balances totales négatives 222 (TNB-) à se mettre en prise avec les entraî- nelirs de montant pendant le temps -d'addi tion au .cours des opérations de nouvelle ba lance a. été expliquée précédemment par rapport au mécanisme des fig. 12 à 17 inclu sivement.
En dehors de la sélection des totalisateurs pour les opérations d'addition, de lecture et de remise à zéro, la mise en position de la plaque de commande -des totaux 73, sous l'in fluence des touches des totaux 74 à 78 inclu sivement, moyennant le mécanisme repré senté en fig. 6, commande la mise en position des roues porte-caractères des totaux corres pondant à ces touches, pour l'impression des symboles d'identification à côté des totaux et des sous-totaux.
La plaque de commande des totaux 73 (fig. 6) est reliée par une bielle 316 à un levier coudé 317 fixé sur l'arbre 138; ce levier coudé 317 est relié aussi par une bielle 318 à un engrenage 319 fou sur l'arbre 143. L'en grenage 319 est en prise avec 1u engrenage extérieur/intérieur 320 soutenu, de manière à pouvoir tourner, par un disque sur l'arbre 146, d'une manière entièrement conforme à l'engrenage 144 pour la rangée des montants représentés à la. fig. 4.
Un engrenage annu laire 321, solidaire de l'engrenage 320, se met en prise avec un. pignon 322 fixé à um arbre 323 tourillonné dans les supports 7.47. Les dents externes de l'engrenage 320 entrent en prise avec une roue porte-caractères des to- taux_ et sous-totaux 324, faisant tourner cette roue qai est folle sur l'arbre 154.
L'arbre 323, en coopération avec des pignons simi laires atï pignon 322, et avec des engrenages similaires aux engrenages 321 et 320, met des autres roues porte-caractères des totaux et. sous-totaux en position, en rapport avec la position de la plaque de commande des totaux 73, pour effectuer l'impression de caractères d'identification dans les diverses colonnes de la feuille.
Fixé sur l'arbre 138 (fig. 6) est un secteur denté 325 en prise avec un engrenage 326 fou sur le goujon 313; cet engrenage 326 s'engage à son tour avec un engrenage 327 fou sui l'arbre 315. L'engrenage 327 est fixé à un engrenage 328 en prise avec un engrenage 329 fixé sur un arbre 330 (fig. 4) tourillonné dans le bâti d'impression.
Le mécanisme qu'on vient de décrire communique la mise en posi tion de la plaque de commande des totaux 73 à l'arbre 330 et met les disques de sélection, fous sur l'arbre 315, en position .conformé ment à la position de la plaque de commande des totaux, de façon que les disques puissent contrôler les organes d'impression et d'avan cement de la feuille 'une manière quii sera décrite en détail ci-après.
Les engrenages externes/internes fixés à l'arbre 146 (fig. 4, 5 et 6) et les roues porte- caractères positionnées par ces engrenages sont maintenus contre tout déplacement par un dispositif d'alignement 331 fixé à un arbre 332 tourillonné dans les supports 147, et le dispositif habituel est prévu pour mettre hors de prise ce dispositif d'alignement 331 pendant la mise en position de ces engre nages externes/internes.
Mécanisme <I>de la table du</I> support d'inscription,. Une table mobile 335 (fig. 19 et 48) est prévue à la partie antérieure de la machine pour porter le support d'inscription 343 ou 344 (fig. 2 et 3) aux organes d'impression. La table est susceptible d'être positionnée à fume quelconque de 39 positions .de ligne, c'est-à-dire au nombre de lignes de la feuille relevé talon 343 et 344.
La ligne appropriée à l'impression du premier article au cours d'une opération -d'inscription est sélectionnée tou jours en enfonçant tune des touches cherche- ligne convenables, après quoi la mise en po sition de la table est entièrement automatique et n'exige pas l'intervention de l'opérateur. Dans le cas de l'inscription d'un compte, l'opération finale est toujours une opération (Je nouvelle balance, au cours de laquelle la table est libérée automatiquement pour re venir à sa position primitive, où la feuille peut être enlevée de la machine.
Quand. la première inscription est faite à la trente-neuvième et dernière ligne, la table est libérée automatiquement et remise à sa po sition originale. S'il est nécessaire de faire des inscriptions subséquentes à cette ligne, il faut abaisser les touches cherche-ligne 39 pour effectuer la sélection de ladite ligne pour chaque article ainsi inscrit, vu que la table se met automatiquement à la position primitive après d'inscription de chaque article.
Quand il est question d'une opération d'inscription , il s'entend que ladite opéra tion comprend plusieurs opérations de la ma chine, au cours desquelles l'ancienne balance est relevée, les débits sont soustraits à ladite balance, les crédits y sont ajoutés, et une opé ration de remise à zéro est faite pour établir une nouvelle balance. On fera maintenant une description de détail du mécanisme de la table de support de la feuille et des .mécanismes associés. La table 335 est placée convenablement à l'avant de la machine (fig. 1.9, 20 et 48).
La dite table est portée par des rails 336 et 337, de façon qu'elle puisse se déplacer latérale ment sur les rails et entre des galets supé rieurs 338 et inférieurs 339 montés sur les bâtis d'impression 62 et 63. Les arêtes oppo sées des rails 336 et 337 s'engagent sans jeu dans les bâtis 62 et 63 pour empêcher tout mouvement latéral excessif de la table 335. La table 335 possède trois ouvertures 340, 341 et 342 (fig. 19 et 22), de sorte que les mar teaux d'impression, au cours de leur mouve ment d'impression, puissent porter la feuille et le ruban encreur en contact avec les roues porte-caractères pour effectuer l'impression des divers articles sur la feuille. <I>Dispositif de mise en position et de</I> retenue <I>de la feuille.</I>
Les feuilles 343 et 344, représentées res pectivement aux fig. 2 et 3, sont placées sur la table 335 entre des barres de guidage 345 et 346 aux deux côtés de la table (fig. 19 et 48); les feuilles sont poussées vers l'arrière ou vers le haut, comme montré à la fig. 19, jusqu'à ce qu'elles viennent en prise avec un certain nombre de butées d'arrêt 347 fixées à la table 335.
Au cours du mouvement du bord supé rieur .de la feuille en prise avec les butées d'arrêt 347 (fig. 19, 20 et 21), ce bord supé rieur passe entre deux blocs de pression 348 et 349 portés par des bras de pression 350 et 351, dont chacun possède -deux bras coudés fixés lâchement à un arbre<B>352</B> tournant dans deux supports 353 et 354 fixés à la face supérieure de la table 335. Deux bras d'en traînement 357 et 358 des blocs de pression, fixés aux extrémités opposées de l'arbre 352, sont reliés élastiquement à leurs -bras de pres sion respectifs 350 et 351 par des ressorts de torsion 359 et 360 maintenus sous tension entre des goujons des bras 357 et 358 et les bras 350 et 351.
En se référant aux fig. 20 et 21., la première étant une projection de profil vue du côté gauche de la machine et l'autre mie projection de profil vue du côté droit de la machine, on verra que les ressorts 359 et 360 obligent leurs bras respectifs 350 et 351 à se mettre en prise avec la surface supérieure des bras d'entrainement 357 et 358. Des fentes sont pratiquées dans la table 335 pour admet tre les bras 350, 351, 357 et 358.
Un bras 361, attaché de même à l'arbre 352 (fig. 19 et 21), se prolonge à travers tune ouverture 362 de la table 335. Ce bras est en traîné dans le sens .dextrorsum par un res sort de torsion 363 maintenu sous tension entre le bras et la table, de façon qu'un galet 364 porté par le bras soit maintenu normale ment en contact avec l'une des extrémités d'un levier 365.
Le levier 365 est pivoté sur un goujon 366 d'une plaque 367 formant une partie du bâti d'impression, et ce levier est entrainé dans le sens senestrorsum par un ressort 368, pour maintenir normalement un galet 369 porté par le levier en prise avec la périphérie d'une plaque-came 370 fixée sur un arbre 371 tourillonné dans le bâti d'im pression. L'arbre 371 est entraîné sur un tour dans le sens dextrorsum par un cycle d'opé ration de la machine, .d'une manière qui sera décrite en détail ci-après.
On verra que, quand la table 335 est dans la position de dé part, représentée en fig. 21, le galet 364 est en contact avec un épaulement formé sur la plaque 367, et qui sert à verrouiller la table dans sa position de départ. Le mouvement initial de la came 370 fait basculer le levier 365 dans le sens dextrorsiun pour faire bas culer le bras 361 et l'arbre 352 dans le sens senestrorsum à l'encontre de l'action du res sort 363,
et ce mouvement dans le sens se nestrorsum est communiqué par les bras 357 et 358 et par les ressorts 359 et 3606 aux bras de pression 350 et 351 pour obliger les blocs de pression 348 et 349 à presser élastiquement la feuille de relevé de compte-343 en contact avec la surface supérieure de la table 335, de manière à maintenir la feuille contre tout déplacement de sa position convenable.
Comme il a été expliqué ci-dessus, la po sition de départ de la table est la position convenable pour l'impression du solde à nou veau (fig. 2 et 3) sur la ligne prévue à cette fin immédiatement au-dessus de la première ligne de la feuille. Pour cette raison, les blocs de pression 348 et 349, commandés par la came 370 et le levier 365, retiennent cette feuille pendant l'inscription du solde à nou veau.
Un mouvement dans le sens senestror- sum du bras 361 (fig. 21) sous la commande du levier-came 365, porte le galet 364 hors de prise avec .l'épaulement de la plaque 367 pour l'aligner à la surface horizontale 372 de la partie supérieure de ladite plaque 367. Quand ladite table 335 est déplacée vers l'arrière de la position de départ, sous l'influence du dis positif de mise en place de la table, décrit en détail ci-après, le galet 364 est porté sur la surface horizontale 372 pour retenir les blocs de pression 348 et 349 en prise avec la feuille quand ladite table 335 est déplacée à l'une quelconque de ses 39 différentes posi tions de ligne.
A la fin de l'opération de nouvelle balance et de certaines autres opé rations, la table est ramenée vers l'avant à la position de départ, pendant que le ressort 363 (fig. 19 et 21) entraîne le bras 361 et l'arbre 352 dans le sens dextrorsum, ce qui oblige le galet 364 à revenir en contact avec l'épaulement contigu à la surface 372 pour dégager les blocs de pression 348 et 349 et pour verrouiller la table 335 à la position de départ. Mécanisme <I>de</I> commande <I>de la table.</I> En se référant aux fig. 19 et 20, l'on cons tatera une série d'orifices rectangulaires 373 et 374 pratiqués près de chacun des bords de la table 335.
Lesdits orifices sont de gran deur et d'espacement égaux, de sorte que les pleins entre les orifices forment, pour ainsi dire, des dents de crémaillère qui sont enga gées respectivement avec des engrenages simi laires 375 et 376 montés sur un arbre 377 tourillonné dans le bâti d'impression. De la même manière, les dents de crémaillère for mées par les orifices 373 et 374 sont engagées respectivement avec des engrenages similaires 378 et 379 montés respectivement sur l'une des extrémités de manchons 380 et 382, sup portés de façon à pouvoir tourner par des goujons 383 et 384 fixés respectivement dans les bâtis 62 et 63.
L'engrenage 378 (fig. 19) porte un goujon 385, qui est engagé par l'une des extrémités d'un ressort à boudin 386 en roulé de manière lâche autour de la circon férence du manchon 380, l'autre extrémité .dudit ressort étant aménagée de telle sorte qu'elle s'engage avec un goujon d'une pla que 388 folle sur le manchon 380. La pla que 388 forme le pivot d'un cliquet 389, entraîné dans le sens senestrorsum pour venir en prise avec les dents d'un rochet 391 fixé sur le goujon 383.
Des organes analo gues, à savoir un ressort 392, une plaque 393, un cliquet 394 et un rochet 395 sont prévus pour .l'engrenage 379 (fig. 19 et 20). Les mécanismes dont on vient de donner la description constituent un dispositif à com mande par ressort pour entraîner la table 335 constamment vers l'avant, ledit dispositif ser vant aussi à ramener ladite table à la posi tion de départ de l'une quelconque de ses 39 positions de ligne.
Les rochets 391 et 395, en coopération avec leurs cliquets 389 et 394 et leurs plaques respectives 388 et 393, forment un moyen d'enroulement ou de tension des ressorts 386 et 392 pour assurer que la table Q35 soit ramenée convenablement à sa posi tion de départ après avoir été libérée de l'une quelconque de ses positions de ligne. Il est évident que les ressorts 386 et 392 sont aussi utiles pour maintenir la table à la position de départ.
*<I>Indicateur de</I> la <I>table.</I>
Uri indicateur est prévu pour donner une indication visuelle du numéro de la ligne à laquelle la table 335 a été positionnée. Ce mécanisme comprend un engrenage 396 (fig. 20 et 46) en prise avec et entraîné par l'engrenage 379, ledit engrenage 396 étant fixé à l'une des extrémités d'un arbre court 397 tourillonné dans un coussinet 398 fixé dans le bâti 63. Fixé à l'autre extrémité de l'arbre 397 est un disque 399 fixé à son tour à la face d'un tambour 400 formant -un indi cateur. La partie bridée du tambour 400 porte, gravées à sa circonférence, les lettres BF et les numéros de 1 à 39 correspondant aux différentes positions de ligne de la, table 335 et de la feuille.
Les lettres BF et les numéros sont visibles à travers une ouverture d'un couvercle (fig. 48) fixé au bâti d'im pression. Quand la table 335 est dans la posi tion de départ, comme elle est représentée en fig. 46, les lettres BF signifiant Balance à reporter sont visibles à travers l'ouverture du couvercle.
Un arbre de commande auxiliaire 402 de la table est aligné avec l'axe de l'arbre 377 (fig. 19 et 46) nommé ci-après l'arbre de com mande principal de la table 335. Ledit arbre auxiliaire 402 est tourïllonné dans les bâtis 63 et 64, et la mise en position de cet. arbre auxiliaire est commandée par les touches cherche-ligne, d'une manière qui sera décrite ci-après.
Fixé à l'engrenage 376, lequel est fixé à l'arbre 377, comme on l'a expliqué pré cédemment, est un engrenage 403 et un engre nage conique 404, ce dernier étant relié par deux pignons 405 à un engrenage conique 406 attaché à son tour à un disque de mise en position 407 pivotant avec l'engrenage 406 sur l'arbre 402. Les pignons 405 tournent sur un goujon 408 monté dans l'arbre de com mande auxiliaire 402. Les engrenages iden tiques 404 et 406 et leurs pignons d'accouple ment 405 forment un engrenage planétaire ou différentiel pour l'accouplement de l'arbre de commande auxiliaire 402 avec l'arbre prin cipal<B>377.</B>
Un engrenage 409 solidaire d'un engre nage conique 410 est monté fou sur l'arbre 402 (fig. 25B, 26B, 27B et 46). Ledit engre nage conique 410 est relié, au moyen d'un pignon conique 411 fou sur un goujon 412 fixé dans l'arbre 402,à un engrenage conique 413 fixé à un engrenage 414 fou sur l'arbre 402.
Le mécanisme .différentiel comprenant les engrenages coniques identiques 410 et 413 et leur pignon d'accouplement 411 forme un dispositif .de transmission de la valeur des touches cherche-ligne enfoncées à l'arbre auxiliaire 402, et la mise en position dudit arbre auxiliaire est communiquée par le mé canisme différentiel, à savoir les engrenages 404, 405 et 406, à l'arbre principal 377, pour la. mise en place de la. table 335 proportion nellement à la valeur des touches cherche ligne enfoncées.
Coulisseaux complémentaires pour <I>les touches</I> cherche-ligne. L'engrenage 414 (fig. 25A, 25B, 27A et 27B) engrène avec les dents d'une crémail lère prévue sur le bord supérieur d'un cou- lisseau principal 417 glissant horizontalement au moyen d'une surface plate 418 à sa partie inférieure en coopération avec une tige 419 appuyée sur les bâtis 63 et 64 et au moyen d'une entaille horizontale 420 prévue dans la partie antérieure dudit coulisseau,
coopérant avec une tige 421 appuyée de même aux bâtis 63 -et 64. Une plaque 422 portant des dents de crémaillère- est fixée au coulisseau 417; les dites dents de crémaillère sont engagées avec un pignon 423 qui engrène aussi avec des dents d'une plaque similaire 424 fixée à un coulisseau auxiliaire 425 monté à côté du cou- lisseau principal 417 et susceptible d'un glis sement latéral au moyen d'une surface plate de sa partie inférieure en coopération avec la tige 419 et au moyen d'une entaille similaire à l'entaille 420 coopérant avec la tige 421.
Le pignon 423 est monté sur un goujon 426 qui se prolonge à travers des encoches parallèles 427 dans les coulisseaux 417 et 425, et les extrémités opposées dudit goujon 426 s'enga gent avec des encoches similaires dans des bras similaires 428 et 429 qui enfourchent les coulisseaux 417 et 425, lesdits bras étant liés ensemble par un moyeu 430 fou sur une tige 431 appuyée sur les bâtis 63 et 64.
Une manivelle 432 est fixée au moyeu 430 (fig. 25A, 25B, 27A et 27B). Ladite manivelle est fixée avec les bras 428 et 429 et, en co opération avec ledit bras 429, elle soutient mi goujon 433 fou sur un coulisseau 434 glissant dans une fente 435 d'une bielle 436 articulée à im levier-came 437 fou sur une tige 438 appuyée sur le bâti d'impression. Des galets 439 et 440, montés sur le levier-came 437, s'engagent respectivement avec les périphéries de plateaux-cames 441 et 442 fixés à l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impression.
Des ressorts de compression 443 et 444 tendus entre le coulisseau 434 et les extrémités de la fente 435 forment une connexion d'amortis sement entre le goujon 433 et la bielle 436. Les coulisseaux 417 et 425 respectivement possèdent des plaques amovibles 445 et 4.46 avec des gradins 447 et 44.8, qui s'engagent avec les parties inférieures des tiges de neuf touches cherche-ligne des unités 449 (fig. 25A, 28, 29 et 30) montées .dans un cadre 450-sou- tenu par des tiges 451 et 479 appuyées sur le bâti d'impression.
Quand l'une quelconque des touches cher che-ligne 449 des unités est enfoncée, le mou vement dans le sens dextrorsum - de l'arbre 371 et des cames 441 et 442 au cours des opérations de la machine oblige le levier 437 à déplacer la bielle 436, la manivelle 432 et les bras 428 et 429 vers l'avant ou dans le sens dextrorsum selon la distribution indiquée sur la ligne 12 du graphique (fig. 47).
Le pi gnon d'accouplement 423 des coulisseaux 417 et 425 se déplace vers l'avant solidairement avec les bras 428 et 429, tout en emportant lesdits coulisseaux 417 et 425 jusqu'à. ce que les gradins 447 ou 448, correspondant à la touche des unités enfoncée 449, viennent en contact avec l'extrémité de la touche enfoncée. L'autre coulisseau se déplace indépendam ment du coulisseau qui a été déjà mis en po sition jusqu'à ce que les deux coulisseaux soient mis en position proportionnellement à la touche cherche-ligne enfoncée. Ce mouve ment des coulisseaux 417 et 425, sous l'in fluence des bras 428 et 429 et du pignon 423, constitue ce qu'on appelle l'action des coulis seaux complémentaires .
Le mouvement complémentaire de deux organes accouplés de cette façon est bien connu. Tandis que le mouvement combiné des organes accouplés est le même, le mouvement de l'un .desdits membres est susceptible de varier par rapport an mouvement de l'autre; c'est cette variation dont on se sert pour com muniquer la valeur des touches cherche-ligne enfoncées à la table 335.
Le mouvement du coulisseau 417 au moyen des dents de crémaillère portées par ledit coulisseau en prise avec l'engrenage 414 (fig. 25B et 46), par le mécanisme différen tiel qui comprend les engrenages coniques 410 et 413 et -leur pignon d'accouplement 411, et en coopération avec les coulisseaux complé mentaires des touches cherche-ligne des di zaines, provoque la mise en position de l'arbre 402 proportionnellement aux touches cherche- ligne enfoncées.
Pour expliquer convenablement le fonc tionnement des coulisseaux complémentaires pour la mise en position de la table 335 pro portionnellement aux touches cherche-ligne enfoncées, il est nécessaire de passer à une description des coulisseaux complémentaires pour les touches des dizaines, représentées au mieux aux fin.<B>26-11,</B> 26B, 27A et 27B.
Le mécanisme des touches cherche-ligne des dizaines comprend un coulisseau princi pal 452 et un coulisseau auxiliaire 453 montés de manière à permettre un mouvement hori zontal, exactement de la. même manière que les coulisseaux 417 et 425 pour les touches des unités, au moyen de surfaces plates à la partie inférieure desdits coulisseaux 452 et 453 en coopération avec la tige 419 et au moyen de fentes horizontales 454 aux extré mités antérieures desdits coulisseaux en co opération avec la tige 421.
Les coulisseaux 452 et 453, respectivement, portent des pla ques 455 et 456 munies de dents de crémail- ière opposées engagées avec un pignon 457 formant un moyen d'accouplement desdits coulisseaux 452 et 453. Le pignon 457 est monté sur un goujon 458 qui se prolonge à travers des fentes 459 des coulisseaux 452 et 9.53, et ledit goujon se prolonge également à travers des fentes similaires de bras 460 et 461, reliés par un moyeu 462 fou sur la tige 431. Une manivelle 463 est fixée au moyeu 462 en rapport fixe avec les bras 460 et 461.
Ladite manivelle, en coopération avec le bras 461, soutient un goujon 464 en prise lâche avec un bloc 465 libre dans une fente 466 à l'extrémité antérieure d'une bielle 467 dont l'extrémité arrière est articulée à un levier de came 468 fou sur la tige 438. Le levier de came 468 porte des galets 469 et 470 qui s'en gagent respectivement avec les périphéries de cames 471 et 472 fixées à l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impression. Des ressorts de compression 4721 et 4731, comprimés entre le bloc 465 et les extrémités de la fente 466, établissent une connexion d'amortissement entre ce bloc et la bielle 467.
Les coulisseaux 452 et 453 (fig. 26A et 26B) portent des plaques amovibles 473 et 474 mu nies respectivement de gradins 475 et 476 qui s'engagent avec les extrémités inférieures de trois touches cherche-ligne 477 des dizaines, montées dans un bâti 478 soutenu par les tiges 451 et 479. L'enfoncement d'une touche cherche-ligne des dizaines 477 déplace l'extrémité inférieure de la tige de cette touche, qui vient sur le trajet des gradins correspondants 475 et 4'76 des coulisseaux 452 et 453.
La rotation de l'arbre 371 et des cames 471 et 472 pendant l'opération de la. machine fait basculer le le vier de came 468 dans le sens senestrorsum pour entraîner vers l'avant la. bielle 467, la manivelle 463, les bras 461 et 460 et le pignon 457.
Ce mouvement vers :l'avant du pignon 457 entraîne les coulisseau 452 et 453 soli daires du pignon, exactement de la manière que l'on a déjà décrite pour les coulisseaux des unités 417 et 425, jusqu'à ce que les gra dins de ces coulisseaux viennent. en .contact avec la touche enfoncée, ce qui met les cou lisseaux dans des positions proportionnelles.
La mise en position différentielle du cou- lisseau principal 452 sous l'influence des tou ches cherche-ligne des dizaines 477 est trans mise, par les dents de crémaillère prévues à l'arête supérieure de ce coulisseau, à l'engre nage 409 (fig. 26A, 26B et 46) et à l'arbre auxiliaire 402;
il en résulte que cet arbre est positionné en proportion de la touche cher che-ligne des dizaines 477 qui a été enfoncée. Après l'impression et vers la fin de l'opéra tion de la. machine, les coulisseaux des unités 417 et 425 et des dizaines 452 et 453 sont ra menés à zéro, position à laquelle ils sont re présentés aux fig. 25<B>-A</B>, 25B, 26A et<B>2613.</B>
Au cas où aucune des touches cherche- ligne des unités 449 (fig. 25A et 25B) ne se rait enfoncée, un cliquet d'arrêt à zéro 481., fou sur la tige 421, coopérant avec un goujon 482 sur le coulisseau principal 417, retient ce coulisseau à la position zéro. Il en résulte que l'opération de la bielle 436 communique un mouvement complet au coulisseau auxiliaire 425 pendant que le coulisseau principal 417 reste stationnaire, de sorte qu'aucun mouve ment n'est communiqué à l'engrenage 414 ni à l'arbre 402.
Si aucune touche cherche-ligne des dizaines 477 n'est enfoncée (fig. 26A et 26B), un cliquet d'arrêt à zéro 483 pour ces touches, en coopération avec un goujon 484 dans le coulisseau principal 452, retient ce coulisseau à la position zéro;
il en résulte que le mouvement complet vers l'avant de la bielle 467 provoqué par l'opération de la machine est communiqué au coulisseau auxiliaire 453, tandis que le coulisseau principal 452 reste stationnaire, de sorte qu'aucun mouvement n'est communiqué à l'engrenage 409 ni à l'ar bre auxiliaire d'entraînement 402.
L'enfonce ment de l'une quelconque des touches des unités 449 fait basculer le cliquet d'arrêt à zéro 481 hors de prise avec le goujon 482, tandis que l'enfoncement de l'une quelconque des trois touches des dizaines 477 fait basculer le cliquet d'arrêt à zéro 483 hors de prise avec le goujon 484 d'une manière qui sera Bé er ite en détail ci-après.
Mettons, à titre d'exemple, que l'une des touches cherche-ligne des unités 449 a été en foncée et qu'aucune des touches des dizaines 477 n'a été enfoncée. Dans ce cas, le coulis- seau principal 452 et l'engrenage 409 pour ces touches des dizaines restent stationnaires, et le mouvement du coulisseau des unités 417 en contact avec l'extrémité inférieure de la tige de la touche des imités qui a été enfon cée entraîne l'engrenage 414, obligeant ainsi l'engrenage conique 413 (fig. 46)
à entraîner le pignon d'accouplement 411; mais, comme l'engrenage conique 410 est tenu stationnaire, le pignon 411 chemine autour dudit engrenage conique pour faire tourner le goujon 412 et l'arbre 402 dans le sens dextrorswn, comme montré aux fig. 25A, 25B, 26A et 26B,
pro portionnellement à la valeur de la touche des unités 449 enfoncée. Si une touche cherche- ligne des dizaines 447 a été enfoncée sans en foncer une des touches des unités 449, l'en grenage 414 reste stationnaire.
Dans ce cas, le coulisseau des dizaines 452 et l'engrenage 409 entraînent l'arbre 402 dans le sens dex- trorsum proportionnellement à la valeur de la touche des dizaines enfoncée. Quand une tou che cherche-ligne des unités 4.49 et une touche des dizaines 477 sont enfoncées dans une seule opération -- mettons à titre d'exemple la tou che 5 des unités 449 et la touche 20 des di zaines 477 - pour mettre la table 335 à la ligne 25,
les mouvements combinés des coulis- seaux principaux 417 et 452 sont communi qués par les engrenages 414 et 409 (voir aussi fig. 46), par l'engrenage différentiel compre nant les engrenages coniques 410 et 413, le pignon 411 et par le goujon 412 à. l'arbre 402 pour faire tourner ledit arbre dans le sens dextrorsum proportionnellement à la valeur des touches des unités et des dizaines en foncées.
La mise en position .différentielle de l'arbre auxiliaire 402 sous l'influence des touches cherche-ligne est communiquée à l'arbre principal 377 au moyen de l'engrenage différentiel (fig. 46) comprenant les engre nages coniques 404 et 406 et les pignons 405. Pour transmettre ce mouvement audit arbre, il est nécessaire -de fixer le disque 407 et l'engrenage conique 406 (fig. 39 et 46) sta tionnaires, d'une manière qui sera décrite ci- après, de sorte que ledit engrenage conique forme un dispositif d'entraînement des pi gnons 405, qui sont tournés autour de l'axe de l'arbre 402 par le goujon 408 qui est fixé, comme on se le rappellera, dans l'arbre 402.
Du fait que l'engrenage conique 406 est re tenu en position fixe à ce moment, le mouve ment de l'arbre auxiliaire 402 peut être com muniqué par les pignons 405 à l'engrenage conique 404, aux engrenages 403 et 376 et à l'arbre de commande principal 377 de la table 335, transmettant ainsi à cet arbre un mou vement dans le sens senestrorsum, .comme montré à la fig. 20, et dans le sens dextror- sum, comme montré aux fig. 25A, 25B, 26A et 26B, proportionnellement à la valeur des tou ches cherche-ligne enfoncées.
Le mouvement dans le sens senestrorsum de l'arbre 377 (fig. 20) et des engrenages 376 et 375 déplace la table 335 vers l'arrière à la position de ligne correspondant aux touches cherche-ligne enfoncées, de faon que le montant composé sur les touches de montant soit inscrit sur la ligne voulue de la feuille. <I>Rochet de verrouillage de la table.</I>
Un rochet relié à l'arbre principal 377 re tient la table dans la, position à laquelle elle a été placée sous l'influence des touches cher- elle-ligne. Comme on l'a déjà expliqué, après la sélection d'une ligne de la feuille par 1e moyen d'une touche cherche-ligne, le déplace ment de la table devient entièrement automa tique pendant les opérations d'inscription subséquentes, d'une manière qui sera expli quée ci-après.
En se référant aux fig. 43, 45 et 46, on verra que l'engrenage 403 engrène avec un engrenage 485 fixé à l'une des extrémités d'un arbre 486 tourillonné dans les bâtis 63 et 64. Fixé aussi à l'arbre 486 est un engre nage 487 en prise avec un engrenage 488 soli daire d'un rochet 489 de verrouillage de la table, d'un rochet d'avancement 490 de la ta ble et de rochets .clé contre-suralimentation 491 et 492 de la table; tous ces organes sont fixés à un moyeu 493 fou sur l'arbre 402. Un cliquet de retenue 494 (fig. 38, 43 et 46), fou sur l'arbre 486, est entraîné dans le sens dextrorsum par un ressort 495 pour se mettre en prise avec le rochet de verrouillage 489.
Quand l'arbre principal 377 est positionné par les touches eherche-ligne, de la manière expliquée ci-dessus, l'engrenage 403 entraîne l'engrenage 485, l'arbre 486 et l'engrenage 487 solidairement dans le sens senestrorsum; ce mouvement est communiqué, par l'engre nage 487, à l'engrenage 488 et aux autres or ganes, y compris le rochet de verrouillage 489, solidaires de l'engrenage 488, .de façon que cet engrenage et ces organes soient obligés de tourner dans le sens dextrorsum lorsqu'on considère la fig. 43.
Les dents du rochet 489, coopérant avec le cliquet 494, empêchent tout mouvement rétrograde ou de retour de la table 335 (fig. 19) sous l'in fluence des ressorts 386 et 392, retenant ainsi la table à la position dans laquelle elle a été placée par les touches cherche-ligne.
Il est nécessaire maintenant de passer à la, description du dispositif prévu pour re tenir le disque 407 (fig. 39 et 46) et l'engre nage conique 406 stationnaires, de sorte que la rotation de l'arbre auxiliaire 402, sous la commande des touches cherche-ligne, soit communiquée à l'arbre principal 377 et, par conséquent, à la table 335. Le disque 407 (fig. 39) présente une en coche 496 en V en prise avec un ergot de ver rouillage 497 fou sur une tige 498 soutenue par le bâti d'impression.
L'ergot 497 est relié par un moyeu 499 à -une saillie 500 qui est entraînée dans le sens dextrorsum par un ressort 501 fixé au tirant 66, de façon que l'ergot 497 soit maintenu normalement hors de prise avec l'encoche 496. La saillie 500 pos sède un crochet 502 coopérant avec un goujon 503 prévu dans l'extrémité antérieure d'une biellette 504 dont l'extrémité arrière est arti culée à un levier en V 505 fou sur la tige 438. Lé levier 505 porte des galets 506 et 507 co opérant respectivement avec les périphéries de plateaux-cames 508 et 509 fixés à l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impression.
L'extrémité antérieure de la biellette 504 est reliée par une bielle 510 au levier de@sélec- tion d'un disque 511 fou sur un arbre 512 tourillonné dans le bâti d'impression. Un res sort 513 entraîne le levier 511 dans le sens senestrorsum pour maintenir une surface élevée de l'arête inférieure dudit levier en prise avec un goujon 514 d'un bras 515 fou sur l'arbre 512.
Le levier 511 possède -un doigt arrondi 516 apte à coopérer avec la pé- r ip ï hérie d'un segment de commande 517 du mécanisme palpeur de la feuille, monté fou sur l'arbre 315.
Le bras 515 (fig. 39) porte un bras 897 relié par une bielle 898 à un levier de came 899 fou sur la tige 438. Un ressort 900 en traîne .les taras 515 et 897 dans le sens senes- trorsum et la bielle 898 et le levier 899 vers l'arrière, de façon qu'un galet 901. porté par le levier 899 soit normalement en prise avec la périphérie d'une came 902 fixée à l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impression.
Le dia gramme des temps de la came 902 est donné sur la ligne 9 du graphique (fig. 47); on verra que, immédiatement après le commence ment des opérations de la machine, la partie saillante de ladite came descend du galet 901 et du point 903 du levier 899, livrant ainsi le levier 899 et les organes associés à l'action du ressort 900, de façon que lesdits organes soient entraînés immédiatement vers l'arrière: Le -bras 515 emporte le levier 511 par le moyen du ressort 513 pour obliger le doigt 516 à venir en prise avec la périphérie du segment 517.
La biellette 504 porte un goujon 518 agencé pour être en prise avec la dent d'un loquet 519 fou sur l'arbre 512, ledit loquet étant entramé dans le sens dextrorsum par un ressort 520, de faon que dans le cas nor mal une extension vers le haut dudit loquet est maintenue en prise avec une butée 521 fixée à la surface inférieure de la table 335.
Tant que la table 335 est dans la position de départ représentée en fig. 39,1a butée 521 retient la dent du loquet 519 hors de prise avec le goujon 518. Cependant, quand ladite table 335 est déplacée de la position de dé part, la dent dû loquet n'entrave plus le mou vement du levier 511;
il en résulte que le goujon 503 vient en prise avec le crochet 502, après quoi l'opération des cames 508 et 509, selon la distribution indiquée sur la ligne 10 du graphique (fig. 47), provoque l'engage ment de l'ergot 497 avec l'encoche 496 en forme de<B>V du</B> disque 407, de façon que l'ar bre auxiliaire 402 soit accouplé à l'arbre prin cipal 377 pour effectuer la mise en position de la table 335 sous l'influence des touches cherche-ligne enfoncées.
Si la feuille n'est pas mise convenablement sur la table, ou dans le cas où aucune feuille ne serait mise sur la ta ble, un dispositif d'exploration de la feuille décrit ci-après oblige la périphérie du seg ment 517 à venir dans le trajet du doigt pal peur 516 pour empêcher l'engagement du goujon 503 dans le crochet 502. Par consé quent, l'ergot 497 reste .dégagé de l'encoche en forme de<B>V</B> 496 du :disque 407, ce qui em pêche la mise en position de la table 335 sous l'influence des touches cherche-ligne, la table restant ainsi à la position de départ.
Quand la biellette 504 se déplace vers le bas pour mettre le goujon 503 en prise avec le crochet 502, le goujon 518 porté par ladite biellette tombe et se place devant une surface angulaire 522 du loquet 519 avant le mouve ment de la table 335 vers la .droite, lorsqu'on considère la fig. 39, c'est-à-dire hors de la po sition de départ. Le mouvement de la table 335 commandé par les touches cherche-ligne dégage la butée 521 de l'extension vers le haut du loquet 519, permettant ainsi à la sur face 522 .d'engager élastiquement le goujon 518 sous l'influence du ressort 520.
Après la mise en position de la table 335 sous l'in fluence .des touches cherche-ligne, la came 902 renvoie les bras 897 et 515 et le levier 511 dans le sens dextrorsum pour dégager le gou jon 503 du crochet 502 de la saillie 500 et pour pousser le goujon 518 au-dessus de la surface de verrouillage du loquet 519, de faon que ledit loquet, sous l'influence du ressort 520, passe au-dessous dudit goujon 518 pour entraver tout mouvement .d'engagement de la biellette 504 et du goujon 503. Il en résulte que l'ergot 497 est empêché de se re mettre en prise avec l'encoche en forme de V 496 du disque 407 pendant le reste de l'opé ration d'enregistrement dont il s'agit.
Par conséquent, si, au cours de cette opération d'inscription, les touches cherche-ligne sont enfoncées par mégarde ou par accident, le mouvement de l'arbre auxiliaire 402 provoqué par l'enfoncement desdites touches sera amorti au moyen de la rotation à vide de l'engrenage conique 406 et du disque 407, et ne sera pas communiqué à l'arbre principal 377.
11'lécanisme palpeur <I>de</I> da <I>feuille.</I>
Un mécanisme palpeur de la feuille de re levé de compte, représenté aux fig. 40 et 41, est prévu pour la commande du segment<B>517</B> (fig. 39) pour empêcher la mise en position de la table 335 sous l'influence des touches cherche-ligne .dans le cas où aucune fiche 343 n'aurait été posée sur ladite table. Ce m6ca- nisme comprend un dispositif palpeur 525 se déplaçant verticalement par le fait que des entailles parallèles sont engagées librement sur l'arbre 377 et la tige 498. Des collets fixés à l'arbre 377 et à la tige 9:98 déterminent. la position latérale du dispositif palpeur 525 sur ledit arbre et sur ladite tige.
Le dispositif palpeur 525 présente un goujon 526 engagé dans une encoche de l'une des extrémités d'un levier 527 fou sur une tige 52$ supportée par le bâti d'impression. Une encoche de l'extré mité opposée du levier 527 est engagée avec une tige 529 reliant le segment 517 (fig. 39), un segment de commande des marteaux 530 (fig. 40) et d'autres segments 531 (fig. 22) de commande des marteaux ou du mécanisme d'impression, lesdits organes étant tous mon tés librement sur l'arbre 315.
Le segment 530 (fig. 40) est relié par une bielle 532 à l'un des bras d'un levier de came 533 (voir aussi fig. 41) fou sur la tige 438. Un autre bras du levier de came 533 soutient un galet 534 co opérant avec la périphérie d'une came de commande 535 du dispositif palpeur, fixée à l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impres sion. Quand la came 535 s'approche de sa po sition de départ, à laquelle elle est représen tée en fig. 41, le galet 534 descend d'un épau lement abrupt formé à la périphérie de la dite came, permettant ainsi à un point 536 de se mettre en prise avec ledit épaulement pour obtenir une action d'exploration plus ra pide par le dispositif palpeur 525 qu'il ne se rait possible avec le galet 534.
Un ressort 523 (fig. 40 et 41) entraîne le levier de came 533 dans le sens senestrorsum, -de sorte que le ga let 534 et le point 536 sont tenus normale ment en prise avec la périphérie de la came 535.
En se référant à la ligne 18 du graphique de distribution (fig. 47), on verra qu'immé diatement après le démarrage de la machine, le mouvement dans le sens dextror sum de l'ar bre 371 et de la came 535 (fig. 40 et 41) dé place l'épaulement abrupt de ladite came jus qu'au-delà du point 536, livrant ainsi le levier 533 à l'action du ressort 523.
Au moyen des organes de couplage représentés en fig. 40 et décrits ci-dessus, le dispositif palpeur 525 est déplacé immédiatement vers le haut, de façon qu'une extension vers le haut dudit dispositif palpeur passe à travers une ouverture prati quée dans la table 335 pour .chercher une fiche 343. Si une fiche 343 est convenable ment placée sur la table 335, le mouvement eomplet du dispositif palpeur est empêché par ladite fiche, ce qui empêche le mouvement dans le sens senestrorsum du segment 517 sous l'influence du ressort 523.
Quand le mouvement vers le haut du dis positif d'exploration est empêché par une fiche 343, un moyen est prévu pour le renvoi immédiat dudit dispositif 525 et des organes associés à leur position .de départ. La tension dudit dispositif contre la fiche 343 est relâ chée immédiatement, ce qui assure le renvoi à la position normale, représentée ici, du seg ment 517 (fig. 39), de façon que la surface arquée dudit segment ne vienne pas en prise avec le doigt palpeur 516.
Le mécanisme de renvoi du dispositif pal peur comprend un levier coudé 537 (fig. 40) fou sur l'arbre 315. L'un des bras du levier coudé s'engage librement avec la tige 529. L'autre bras du levier coudé 537 est relié par une bielle 538à un disque de renvoi 539 fou sur la tige 438. Le disque de renvoi 539 pré sente un épaulement 540 coopérant avec un cliquet de renvoi 541 articulé à l'un des bras d'un levier-came 542 et entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 543.
Une exten sion recourbée 544 du cliquet 541 s'engage élastiquement avec un goujon 545 d'un sup port 546 supporté par la tige 438 et par l'ar bre 371, de façon que ledit cliquet 541 soit retenu écarté du trajet de l'épaulement 540 quand le levier 542 est dans la position de dé part tel qu'il est représenté à la Eig. 40. Un ressort 547 (fig. 40) entraîne le levier 542 dans le sens dextrorsum pour maintenir un contact élastique entre un galet 548 porté par ledit levier et la périphérie d'une came 549 fixée à l'arbre à cames 371.
Quand ladite came 549 est dans la position -de départ re présentée ici, la tension du ressort 547 est suffisante pour surmonter l'action du ressort 543 et, par conséquent, pour retenir le cliquet 541 hors du trajet de l'épaulement 540.
Dans le cas où le mouvement complet vers le haut du dispositif palpeur 525 et des or ganes associés serait empêché par la fiche 343, la rotation de la came 549 fait basculer le le vier 542 et le cliquet 541 d'abord dans le sens senestrorsum et ensuite vers la position nor male, selon la distribution indiquée sur la ligne 19 du graphique (fig. 47).
Quand le le vier 542 commence son mouvement initial dans le sens senestrorsum, l'extension 544 du cliquet 541 est retirée du goujon fixe 545 pour permettre au ressort 543 de porter ledit cliquet sur le trajet de l'épaulement 540. En tournant davantage dans le sens senestr or sum, le levier 542 oblige le cliquet 541 à s'en gager avec l'épaulement 540 et, par consé quent, à remettre le levier coudé 537, la tige 529, le segment 517 (fig. 39) et le dispositif palpeur 525 aux positions normales ou de dé part, représentées ici.
Quand aucune fiche 343 n'est sur la table 335, le mouvement complet du dispositif pal peur 525 sous l'influence de la came 535 n'est pas empêché; par conséquent, ce mouvement vers le haut fait basculer, par le moyen du levier 527, la tige 529, le segment 517 et le levier coudé 537 sur tout leur trajet dans le sens senestrorsum pour entraîner la surface arquée du segment 517 sur le trajet du doigt 516 (fig. 39). Il en résulte que le mouvement dans le sens senestrorsum du levier 511 est em pêché, ce qui empêche l'engagement du goujon 503 .avec le crochet 502 de la saillie 500.
De cette faon, l'ergot 497 est empêché de s'enga ger avec l'encoche en forme de<B>V</B> 496 du dis que 407. Par conséquent, ledit disque et l'en grenage conique 406 sont libres de tourner, avec le résultat que la mise en position de l'arbre 402 sois l'influence des touches cher che-ligne ne sera pas transmise à l'arbre d'avancement 377 de la table, qui restera par conséquent dans la position de départ.
Quand le mouvement vers le haut du dis positif palpeur 525 n'est pas entravé par une fiche, le mouvement dans le sens senestrorsum du levier coudé 537, communiqué par la bielle 538, fait basculer le disque de renvoi 539 dans le sens dextrorsum pour déplacer l'épaule ment 540 formé sur ledit disque au-delà du cliquet 541. Le cliquet 541 se trouve ainsi em pêché de s'engager avec ledit épaulement 540 pendant l'opération de la came 549 et, par conséquent, les organes palpeurs ne seront pas remis à la position normale au commence ment de l'opération de la machine.
Dans ce cas, la came 525 (fig. 41), en .coopération avec le galet 534, renvoie le levier 533 et les organes associés, à savoir le segment 530, le levier coudé 537, le disque de renvoi 539 et le dispositif palpeur 525, aux positions nor males représentées à la fig. 40. La manière dont les segments 531 (fig. 22) entravent l'ac tion des marteaux d'impression quand aucune fiche n'a été placée sur la table 335 sera expliquée ci-dessous par rapport au méca nisme d'impression des chèques.
<I>Construction des</I> rangées <I>de touches</I> cherche-ligne. On verra, en se référant aux fig. 25A et 25B, que les touches cherche-ligne des imités 449 sont supportées dans le cadre 450, monté sur des tiges 451 et 479 dans le bâti d'impres sion. Chacune des touches des unités 449 pré sente une projection 551 coopérant avec un coin 552, ces coins étant montés librement sur un support 553 supporté par des goujons 554 et 555 fixés au cadre 450. Le mode d'emploi des coins serrés 552 afin d'empêcher l'enfon cement de plus d'une touche à la fois est bien connu.
Quand l'une quelconque des touches des unités 449 est enfoncée, la projection 551 serre les coins les uns contre les mitres afin d'empêcher l'enfoncement d'une seconde tou che dans la même rangée en même temps. 11. n'est pas nécessaire de décrire plus en détail cette méthode bien connue de verrouillage des touches.
En se référant à la fig. 29, on verra que les touches cherche-ligne des unités 449 sont arrangées en deiLx groupes, dont le groupe de droite comprend les touches paires et le groupe -de gauche les touches impaires. On verra aussi, en se référant à la fig. 30, que les touches cherche-ligne des unités possèdent des projections 556 à leur côté gauche, ana logues sous tous les rapports aux projections 551 du côté droit. On verra encore que les projections de droite 551 des touches paires et les projections de gauche 556 des touches impaires sont plus longues que les projections correspondantes des touches du groupe opposé.
Les longues projections 551 des touches paires et les longues projections 556 des touches impaires, en coopération avec des ressorts de compression 557 montés sur des doigts four chus des organes de retenue 558 qui sont montés sur le cadre 450, maintiennent nor malement les touches 449 dans la position non. enfoncée. Les projections 556 des touches des unités 449 coopèrent avec des crochets 559 d'une détente 560 (fig. 28 et 31) susceptible de glisser au moyen -de fentes en coopération avec des goujons 554 et 555.
Un ressort 561 entraîne la détente 560 vers l'arrière ou vers la droite, lorsqu'on considère la fig. 28, de façon qu'une arête angulaire en forme de came des crochets 559 soit normalement en contact avec les projections 556. L'enfoncement,de l'une .quelconque des tou ches -des unités 449 (fig. 25A, 28, 29, 30 et 31) oblige la projection 556 -de ladite touche, en coopération avec la surface angulaire du cro chet correspondant 559,à déplacer la détente 560 vers l'avant ou à gauche, contre l'action du ressort 561.
Quand la projection 556 passe au-delà du crochet 559, le ressort 561 retire la détente 560 vers l'arrière pour obliger le crochet à passer sur la projection, verrouil lant ainsi la touche dans la position enfoncée. J1 est à remarquer que ces touches ne sont pas des touches élastiques , c'est-à-dire qu'une enfoncée ne peut pas être libérée en enfonçant une autre touche et ainsi de suite, parce que les coins 552 empêchent l'enfonce ment de plus d'une touche 449 à la fois. Au bout de l'opération de la machine, la détente 560 (fig. 28 et 31) est déplacée automatique ment vers l'avant pour déverrouiller la touche cherche-ligne des unités qui a été enfoncée.
Un moyen manuel est prévu aussi pour déplacer la détente 560 vers l'avant pour déverrouiller la touche enfoncée 449 avant -de faire démar rer la machine, dans le cas où une mauvaise touche aurait été enfoncée. Ce moyen manuel sera expliqué ci-après. Les courtes projections 551 des touches impaires 449 (fig. 28 et 30) coopèrent avec des surfaces angulaires des projections 562 d'une barre de commande 563 se déplaçant horizontalement au moyen de fentes horizon tales coopérant avec les goujons 554 et 555,
tandis que les courtes projections 556 des touches paires 449 coopèrent avec des surfaces analogues de projections analogues 564 dune barre de commande analogue 565 qui se dé place aussi horizontalement au moyen de fentes portées par la barre et s'engageant avec les goujons 554 et 555. Des ressorts analogues 566 (fig. 28) entraînent les barres de com mande 563 et 565 vers l'avant pour maintenir les extrémités arrière ou extrémités de droite des fentes horizontales des barres en contact avec les goujons 554 et 555.
Les barres de commande analogues 563 et 565 (fig. 28 et 25A) présentent des extensions inférieures 567 et 568 coopérant avec un goujon 569 du cliquet d'arrêt à zéro des unités 481. Ce cli- quet est entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 570 jusqu'à ce qu'il vienne s'engager avec une butée d'arrêt 571, position dans laquelle le crochet dudit cliquet d'arrêt 481 est normalement sur le trajet du goujon carré 482 du coulisseau principal des unités 417.
L'enfoncement de l'une des touches 449 (fig. 25A et 28) oblige la projection 551 ou 556 de ladite touche, en coopération avec la surface angulaire de la projection 562 ou 564 de la barre correspondante 563 ou 565,à dé placer ledit coulisseau vers l'arrière contre l'action du ressort 566, ce qui amène l'exten sion 567 ou 568 du coulisseau, en coopération avec le goujon 569, à faire basculer le cliquet d'arrêt à zéro 481 dans le sens dextrorsum contre la tension du ressort 570.
I1 en ré sulte que le crochet du cliquet d'arrêt à zéro est écarté du trajet du goujon carré 482, de sorte que le coulisseau principal est libéré en ce qui concerne son mouvement vers l'avant et peut être mis en position par l'enfoncement de la touche 449. Quand la touche enfoncée 449; est libérée vers la fin de l'opération de la machine, la barre de commande 563 ou 565 est renvoyée vers l'avant par l'action du ressort 566, libérant ainsi le cliquet d'arrêt à zéro 481 qui vient s'engager avec le goujon 482 pour remettre le coulisseau principal 417 à zéro pendant les opérations subséquentes de la machine.
La détente 560 présente un doigt pendant 573 (fig. 25g, 25B, 27g, 27B, 28 et 30) coopé rant avec un goujon 574 d'une barre de dé clenchement 575 glissant au moyen de fentes parallèles 576 et 577 pratiquées dans ladite barre en coopération avec les tiges 1420 et 421.
Une bielle 578 relie la barre 575 à un bras de came 579 fou sur la tige 438; ledit bras porte un galet 580 coopérant avec la périphérie d'une came 581 de déverrouillage des touches, montée sur l'arbre à cames 371 de l'impression. Un ressort 582 entraîne le bras de came 579 dans le sens dextrorsum pour maintenir dans le cas normal le galet 580 en contact avec la périphérie de la came 581 et, par conséquent, pour tenir la barre 575 à sa position arrière, représentée ici.
La rotation de l'arbre à cames 371 dans le sens dextrorsum au cours de l'opération de la ma chine oblige une saillie 583 formée sur la came 581, en coopération avec le galet 580, à faire basculer le bras 579 dans le sens senes- trorsum selon la distribution indiquée sur la ligne 17 du graphique (fig. 47).
Le mouve ment dans le sens senestrorsum du bras de came 579 entraîne la barre de déclenchement 575 vers l'avant; pendant ce mouvement, le goujon 574 s'engage avec le doigt 573 pour déplacer la détente 560 vers l'avant, ou vers la gauche en fig. 28 et 31, de façon que le crochet 559 soit dégagé de la projection de la touche enfoncée 449, livrant ainsi ladite tou che à l'action du ressort 557, qui remet immé diatement la touche à la position normale.
Un dispositif à commande manuelle est prévu aussi pour déplacer la barre 575 et pour libérer la touche des unités enfoncée 449.
En se référant aux fig. 25g et 27g, on verra qu'une fente dans l'extrémité antérieure de la barre de déclenchement 575 est en prise avec un goujon 584 d'un bras 585 fou sur un goujon 586 fixé au bâti 64, le bras 585 étant relié élastiquement par un ressort 588 à un bras 587 fou aussi sur le goujon 586.
Une projection 589 du bras 587 est engagée avec une extension vers le bas 590 d'un coulisseau 591 se déplaçant verticalement au moyen de fentes verticales coopérant avec des goujons 592 fixés dans une plaque 593 fixée aux bâtis 63 et 64. La surface supérieure du coulisseau 591 porte une barre de déclenchement 594 montée sous la main de l'opérateur devant les touches 449 et 477. Un ressort 595 retient la; barre et le coulisseau 591 .dans la position de départ représentée ici.
L'enfoncement de la barre de déclenchement 594 contre l'action du ressort 595 déplace la barre et le coulisseau vers le bas, obligeant ainsi l'extension 590 à s'engager avec la projection 589, ce qui fait basculer les bras 587 et 585 dans le sens se- nestrorsum pour déplacer la barre de déclen chement 575 vers l'avant. Le goujon 574 se met en prise avec le doigt 573, ramenant ainsi la, détente 560 vers l'avant pour libérer la touche des unités 449 enfoncée. Le ressort 588 constitue un dispositif amortisseur protégeant la barre 575 et la détente 560 contre tout dommage en conséquence d'un coup trop vio lent sur la barre de déclenchement 594.
Il est prévu aussi un dispositif commandé par la détente 560 (fig. 25g, 28 et 31) pour le verrouillage de la machine si l'une quel conque des touches cherche-ligne des unités 449 est partiellement enfoncée. Comme il a. été déjà expliqué, l'enfoncement partiel de l'une des touches 449 oblige la projection 556 de ladite touche, en coopération avec la sur face angulaire du crochet correspondant 559,j à déplacer la détente 560 vers l'avant à l'en contre de l'action du ressort 561.
Ce mouve ment vers l'avant de la détente 560 engage un cran vertical, formant la partie anté rieure d'une entaille pratiquée dans la dé tente, avec un goujon 596 d'une manivelle 597 montée sur un arbre 598 tourillonné dans le bâti d'impression. Ceci provoque un bascu- lement dans le sens dextrorsum de la mani velle et de l'arbre.
Une seconde manivelle 599 i est fixée aussi à l'arbre 598; cette manivelle tourne dans le sens dextrorsum solidairement avec l'arbre pour faire basculer un levier coudé 601, auquel elle est reliée par une bielle 600, dans le sens dextrorsum, ledit. levier coudé étant pivoté en un point d'appui fixe 602. Le levier coudé 601 présente aussi un goujon 603 qui s'engage avec un prolonge ment en forme de pied d'une bielle 604; une fente dans ladite bielle est en prise avec un goujon fixe 605, tandis que l'extrémité supé rieure de la bielle est articulée à une mani velle 606 fixée à un arbre 607 tourillonné dans le bâti gauche 60.
L'arbre 607 porte aussi une manivelle 608 reliée par une bielle 60,9 à un loquet 610 fou sur un goujon 611 fixé dans le bâti gauche 60. Un ressort 612 entraîne la bielle 604 vers le bas, ce qui re tient normalement un cran 613 du loquet 610 hors du trajet d'un goujon 614 d'un levier de déclenchement de la machine 615 fixé à, l'ar bre de verrouillage des touches 69.
Le mouvement dans le sens dextrorsum du levier coudé 601 déplace la bielle 604 vers le haut, basculant la manivelle 606, l'arbre 607 et la. manivelle 608; ce basculement dextror- sum est communiqué au loquet 610 au moyen de la bielle 609, de façon que le cran 613 dudit loquet vienne sur le trajet du goujon 614 pour empêcher le mouvement de déclen chement dans le sens dextrorsum du levier 615 et de l'arbre de verrouillage des touches 69, empêchant par conséquent le fonctionne ment de la machine quand l'une des touches 449 est partiellement enfoncée.
L'enfonce ment sur son trajet entier de l'une quelcon que des touches cherche-ligne des unités 449 permet le mouvement de retour vers l'arrière de la détente 560 sous l'influence .du ressort 561. Le ressort 612 fait basculer le loquet 610 dans le sens senestrorsum pour écarter la surface 613 du trajet-du goujon 614 pour permettre le déclenchement de la machine. <I>Dispositif</I> empêchant <I>un</I> niouveme7at <I>excessif de la</I> table.
Un dispositif de retenue sous la com mande des touches cherche-ligne est prévu pour empêcher le déplacement excessif de la table 335 quand elle est déplacée à la pre mière position d'impression par les organes représentés aux fig. 25A, 25B, 26A et 26p. La barre de commande 563, actionnée par les touches impaires 449 (fig. 28), possède une fente dans son extrémité arrière; la fente en fourche un goujon 617 d'un prolongement d'un étrier 618 fou sur l'arbre 598.
Une par tie recourbée 619 de l'étrier 618 se place au- dessous d'un prolongement d'un cliquet de re tenue 620 (fig. 42), fou sur l'arbre 486, quand la barre 563 est dans sa position anté rieure telle qu'elle est représentée en fig. 28. L'enfoncement .de l'une des touches impaires 9-49 déplace la barre de commande 563 vers l'arrière (fig. 28), basculant l'étrier 618 dans le sens senestrorsum pour écarter le prolonge ment recourbé 619 du trajet du cliquet 620 et pour l'entraîner dans le trajet d'un cliquet de retenue 621 fou sur l'arbre 486.
Le éliquet 620 s'engage avec le rochet de retenue 491 (fig. 42 et 46) qui comprend un nombre de dents correspondant aux lignes impaires de la table 335 et de .la fiche 3-13 (fig. 2 et 19), tandis que le cliquet 621 s'en gage avec le rochet 492 qui possède des dents correspondant aux lignes paires de la table 335 et de la fiche 343. Des prolongements vers le bas des cliquets 620 et 621 possèdent des fentes similaires 622 coopérant avec un goujon 623 prévu dans l'extrémité antérieure d'une bielle 624 dont l'extrémité arrière est articulée à un bras de came 625 fou sur la tige 438.
Un ressort 626 entraîne le bras .de came 625 dans le sens dextrorsum, de sorte qu'un galet 627 porté par ledit bras de came soit normalement en contact avec la périphé rie d'une plaque-came 628 en connexion ré glable avec un disque d'entraînement 629 monté sur l'arbre 371. Des ressorts 630 (fig. 42) entraînent les cliquets 620 et 621 dans île sens senestrorsum pour tenir les extré mités antérieures des fentes 622 en contact avec le goujon 623.
Le diagramme des temps de la came 628 est indiqué sur la ligne 11 .du graphique (fig. 47) et, en comparant ce diagramme avec celui des cames 441 et 442 (fig. 25A et 25$) commandant les coulisseaux 417 et 425 qui déplacent la table 335 à la.
position de ligne correspondant à la touche 449 enfoncée, on verra qu'immédiatement avant que la table arrive à la position de ligne choisie, un point du bras de came 625 tombe d'un épaulement abrupt de la came 628 pour permettre au bras 625 de déplacer la bielle 624 vers l'ar rière, livrant les cliquets 620 et 621 à l'action de leurs ressorts 630, qui entraînent immé diatement le cliquet dont le trajet n'est pas obstrué par le prolongement recourbé 619 de l'étrier 618.
Le cliquet s'engage avec les dents du rochet correspondant 491 ou 492, arrêtant ainsi la rotation dudit rochet, qui tourne dans le sens dextrorsum par le moyen des engre nages représentés en fig. 46, à savoir les en grenages 488 et 487, l'arbre 486 et les engre nages 485 et 403 qui sont entraînés, comme on se le rappellera, par l'arbre 377 qui posi tionne la table 335 de façon: à arrêter la table à la position de ligne choisie.
Ce dispositif de retenue est particulièrement essentiel et effectif quand la table est déplacée aux lignes des numéros les plus élevés, par exemple à la position 39. Le mouvement acquis par la table pendant un mouvement d'avan cement aussi prolongé pourrait très bien en traîner la table dans une position supérieure à la position choisie. Quand aucune des tou ches impaires 449 (fig. 28) n'est enfoncée, l'étrier 618 reste dans la position représentée en fig. 42 pour empêcher le mouvement chi cliquet 620. Par conséquent, le cliquet 621 est effectif dans ce cas et coopère avec le rochet 492 correspondant aux lignes paires, comme on l'a déjà expliqué, pour empêcher un déplacement excessif de la table 335.
Quand l'une des touches impaires 449 est en foncée, l'étrier 618 est basculé dans le sens senestrorsum pour porter le prolongement 619 sur le trajet du cliquet 621 et pour libérer le cliquet 620. Par conséquent, ledit cliquet 620 devient effectif après le démarrage de la machine, pour empêcher un déplacement excessif .de la table 335 en coopération avec les dents du rochet 491 correspondant aux lignes impaires de la table 335.
<I>Touches</I> cherche-ligne <I>des dizaines.</I>
En se référant aux fig. 26A, 26B et 29, on se rappellera que les touches 477 sont em ployées en conjonction avec les touches des unités 449 pour positionner la table 335 à des lignes supérieures à la neuvième. Dans le cas où l'on voudrait choisir la dixième ligne, la touche 10 est enfoncée seule, et il en est ainsi pour les touches 20 et 30 . Les tou ches des dizaines 477 sont montées de façon à pouvoir glisser dans le bâti des touches 478 à, côté de la rangée des touches des unités, ledit bâti étant supporté par les tiges 451 et 479.
La construction de la rangée des dizaines 477 est similaire à celle des unités 449; par conséquent, la description suivante de la ran gée des touches des dizaines est moins dé taillée que celle qui a été donnée déjà des touches des unités.
Chacune des touches des dizaines 477 (fig. 26A, 29 et 30) possède un prolongement 633 coopérant avec un ressort de compression 634 attaché à des extensions fourchues d'une plaque de retenue 635 fixée au bâti 478, ,les dits organes servant à retenir les touches dans leur position relevée représentée ici. L'enfon cement de l'une des touches 477 oblige le pro longement 633 à entraîner une détente 637 vers l'avant contre l'action d'un ressort 640.
Le déplacement de la détente est effectué par le prolongement 633 en coopération avec une arête d'un crochet correspondant 636 monté sur ladite détente qui est susceptible de glis- ser-au moyen de fentes horizontales en prise avec des goujons 638 et 639 dans .le bâti 478. Quand le prolongement 633 passe au-delà du crochet 636, le ressort 640 retire la détente 637 vers l'arrière, ce qui porte ledit crochet sur le prolongement 633 pour verrouiller la touche 477 à la position enfoncée. La came 581 (fig. 25A et 25B) entraîne le coulisseau de déverrouillage des touches vers l'avant un peu avant la fin de l'opération de la machine.
Le goujon 574 est engagé avec un prolonge ment 641 de la détente 637 pour déplacer la dite détente vers l'avant à l'encontre de l'ac tion du ressort 640. Ceci dégage le crochet 636 de la projection 633 de la touche des dizaines enfoncée 477, et la touche est remise immédiatement à sa position de départ par l'action .du ressort 634 (fig. 30). Le mouve ment vers l'avant du coulisseau 575, provo- qué par la barre de déverrouillage manuel 594 oblige aussi le goujon 574 à déplacer la détente 637 vers l'avant pour déverrouiller la touche des dizaines 477 enfoncée.
L'enfoncement de la touche 10 477 (fig. 26A et 29) met la projection 633 en prise avec une arête d'un prolongement vers le haut 642 d'une barre de commande 643 glissant dans le bâti 478 au moyen de fentes engagées avec les goujons 638 et 639; par conséquent, la barre de commande 643 est dé placée vers l'arrière. Ce mouvement vers l'ar rière de la barre de commande 643 amène un prolongement vers le bas 644 de ladite barre en contact avec un goujon 645 monté sur le cliquet d'arrêt à zéro 483 pour la touche 10 477. Ledit cliquet est basculé dans le sens dextrorsum contre l'action d'un ressort 646 pour écarter un cran porté par ledit cliquet du trajet du goujon carré 484 prévu sur le coulisseau principal 452 pour les touches des dizaines.
L'enfoncement de la touche 30 477 (fig. 26A) amène la projection 633 en prise avec une arête d'un prolongement vers le haut 647 de la barre de commande 643, ce qui déplace ladite barre de commande vers l'arrière pour libérer le cliquet d'arrêt à zéro 483 de la manière indiquée ci-dessus. L'enfon cement soit de la touche 20 , soit de la tou che 30 477 amène la projection 633 de la touche en contact avec des arêtes des prolon gements vers le haut 648 et 649 dune barre décommande 650, montée dans le bâti 4î8 de manière à pouvoir glisser grâce à des fentes coopérant avec les goujons 638 et 639.
Ceci provoque un mouvement vers l'arrière de la barre de commande 650, au cours duquel un prolongement vers le bas 651 de la barre de commande, en coopération avec le goujon 645, écarte le cliquet d'arrêt à zéro 483 du trajet du goujon 484 pour permettre la mise en po sition du coulisseau principal 452 de la ma- ziière indiquée ci-dessus.
L'enfoncement de la touche 10 477 amène le prolongement 633 sur le trajet d'une projection 655 de la barre de commande 650. Le mouvement vers l'arrière de la barre de commande étant empêché de cette façon, les prolongements 648 et 649 empêchent l'en foncement des touches 20 et 30 477. De la même manière, l'enfoncement de la touche 20 477 .amène de prolongement 633 de cette touche sur le trajet d'une projection 652 de la barre de commande 643 pour empêcher le mouvement vers l'arrière de cette barre, de sorte que les prolongements 642 et 647 de la barre de commande, en coopération avec les prolongements 633 des touches 10 et 30 477, empêchent l'enfoncement de ces touches.
L'enfoncement de la touche 30 477 oblige le prolongement 633 de cette touche, en co opération avec les surfaces-cames des prolon gements 647 et 649,à entraîner les barres de commande 643 et 650 vers l'arrière, de façon que la projection 652 de la barre de com mande 643 passe au-dessous du prolongement 633 de la touche 20 477, pour empêcher l'enfoncement de cette touche. La projection 655 passe de manière analogue au-dessous du prolongement 633 de la touche 10 477, pour empêcher l'enfoncement de cette touche.
Quand la détente 637 (fig. 26A) est déplacée vers l'avant sous l'influence d'une touche 477 partiellement enfoncée, une encoche d'un prolongement vers l'arrière de la détente s'en gage avec un goujon 653 d'une manivelle 654 fixée sur l'arbre 598. IL en résulte que cette manivelle et cet arbre sont basculés dans le sens dextrorsum pour porter ,le loquet 610 (fig. 31) sur le trajet d'un goujon 614 pour empêcher le mouvement de déverrouillage de l'arbre de déverrouillage des touches 69.
Quand la touche 477 est enfoncée sur tout son trajet, la détente 637 est renvoyée vers l'arrière par le ressort 640, permettant ainsi au ressort 612 de faire basculer le loquet 610 hors du trajet du goujon 614, de façon que la machine puisse être libérée.
Les trois touches des dizaines 477 (fig. 29) sélectionnent les lignes paires et, par consé quent, l'enfoncement de ces touches n'a aucune influence sur l'étrier 618 (fig. 42). Quand l'une quelconque des touches 477 est employée seule pour sélectionner les .lignes 10 , 20 ou 30 , le cliquet 621 entre en action et, en coopérant avec le rochet 492 des lignes paires, ce cliquet empêche le déplace ment excessif de la table de la manière indi quée ci-dessus. Il -en est de même quand les touches 477 sont utilisées en conjonction avec les touches -des unités 449 pour les lignes paires.
Quand les touches des dizaines 477 sont utilisées en conjonction avec les touches impaires 449, l'enfoncement de lime des tou ches- impaires fait basculer l'étrier 618 dans le sens senestrorsum pour rendre ineffectif le cliquet 621. En même temps, le cliquet 620, devenu effectif, s'engage avec le rochet des lignes impaires 491 pour empêcher le dépla cement excessif de la table 335 de la manière indiquée ci-dessus.
<I>Dispositif</I> automatique <I>de mise en position</I> <I>de la</I> table.
En se référant à la fig. 39, on verra qu'il est nécessaire que l'ergot 497 soit en prise avec l'encoche 496 du disque 407 pour tenir ce disque et l'.engrenage conique 406 station naires, de façon que la mise en position de l'arbre auxiliaire 402 sous l'influence des touches cherche-ligne soit communiquée à l'arbre principal 377 qui positionne à son tour la table 335 (fig. 19 et 46).
On se rappellera aussi que le mouvement de la table 335 hors de sa position normale, provoqué par les tou ches eherche-ligne, oblige le loquet 519 à se placer au-dessous du goujon 518 pour empê cher que l'ergot 497 tienne le disque 407 et l'engrenage 406 stationnaires, ce qui empêche rait la transmission à l'arbre 377 des mouve ments de mise en position de l'arbre 402.
L'action subséquente des touches cherche- ligne de mise en place de la table 335 est, par conséquent, empêchée, et la commande de la table passe à un dispositif automatique, com mandé par les touches de transactions et des totaux, d'une manière qui sera décrite ci- après.
L'avancement automatique ou consécutif de la table 335 est effectué par le rochet d'avancement 490 (fig. 43, 44, 45 et 46). En se référant à la fig. 45, on verra que le ro chet fait partie d'un assemblage comprenant le rochet de retenue 489, l'engrenage 488 et les rochets de retenue 491 et 492, montés dans un rapport fixe les uns avec les autres sur le moyeu 493 qui tourne sur l'arbre 402, Un cli- quet d'entraînement 656 est engagé par un ressort 658, avec les dents du rochet d'entraî nement 490, le cliquet pivotant sur un levier coudé 657 fou sur l'arbre 402.
Le ressort 658 entraîne le cliquet 656 dans le sens dextror- sum pour le mettre en prise normale avec les dents du rochet 490. Le levier coudé 657 est relié par une bielle 659 à -un bras de came 660 fou sur la tige 438 et entraîné dans le sens dextrorsum par un ressort 661, de faon qu'un point dudit bras soit normalement en contact avec la périphérie d'une came d'avan cement de la table 662 fixée à l'arbre 371.
Quand le mouvement vers l'arrière de la bielle 659 n'est pas empêché, la rotation de l'arbre 371 et de la came 662 oblige le point du bras 660 à être entraîné par le ressort 661 au- bas d'un épaulement abrupt 663 formé clans un évidement de la came 662. Ces der niers mouvements se produisent selon la dis tribution indiquée sur la ligne 13 du graphi que (fig. 47). Le mouvement dans le sens dextrorsum du bras 660 déplace la bielle 659 vers l'arrière pour faire basculer le levier coudé 657 dans le sens senestrorsum, ce qui provoque le déplacement du cliquet .d'avance ment 656 vers l'arrière sur une distance d'une dent du rochet 490.
Il est à remarquer que le cliquet de retenue 494 (fig. 43) coopère avec les dents du rochet de retenue 489, solidaire du rochet d'avancement 490, pour empêcher tout mouvement vers l'arrière du rochet d'avancement 490 pendant que le cliquet d'avancement 656 est déplacé vers l'arrière de la manière décrite ci-dessus.
En continuant sa rotation, la came 662 oblige une surface de l'évidement 663 à s'en gager avec ,le point du bras 660 pour faire basculer ledit bras dans le sens senestrorsum à l'encontre de la tension du ressort 661. La bielle 659 est ainsi renvoyée vers l'avant, de façon que le cliquet d'avancement 656 avance le rochet d'avancement 490 d'une dent dans le sens dextrorsum. L'engrenage 488 (fig. 43, 45 et 46) est fixé au rochet 49d et tourne so lidairement avec ce rochet pour entrainer l'engrenage 487 et l'arbre 486 dans le sens senestrorsum, obligeant ainsi l'engrenage 485, fixé à l'arbre 486,
à entraîner l'engrenage 403, l'arbre 377 et ,les engrenages d'entraîne ment 375 et 376 de la table (fig. 19) dans le sens dextrorsum, de façon que la table 335 soit avancée sur un interligne.
Le mouvement vers l'arrière de la bielle 659 (fig. 43) est contrôlé par divers dispo sitifs pour assurer l'interlignage convenable de la table 335. Par exemple, il est nécessaire que la plaque de commande des totaux 73 soit en position d'addition avant que la bielle 659 puisse se déplacer vers l'arrière pour actionner le cliquet d'entraînement 656, ce qui signifie que le cliquet d'entraînement ne fonctionne jamais quand la plaque de com mande des totaux 73 n'est pas dans la posi tion d'addition.
De la même manière, l'en foncement de certaines touches des trans actions empêche le fonctionnement de la bielle 659 et du cliquet 656, et un moyen est prévu aussi pour empêcher l'opération de la bielle 659 quand la table 335 est en train de se déplacer vers la ligne sélectionnée, sous l'influence des touches cherche-ligne et des organes associés.
En se référant à la fig. 43, on verra qu'un prolongement angulaire de la bielle 659 porte un goujon 664 coopérant avec une encoche 665 prévue dans un disque de commande des totaux 666 fou sur l'arbre 315. Le disque de commande 666 porte un engrenage 667 en prise avec un engrenage 668 fixé à l'arbre, 330. En se référant à la fig. 6, on se rappel lera que l'arbre 330 est entrainé, au moyen du train d'engrenages représenté ici, par la pla que de commande des totaux 73 en propor tion des touches de totaux 74 à 78 inclusive ment, enfoncées (fig. 1).
Quand la plaque de commande des totaux 73 est en position d'addition, le disque de commande 666 est positionné, comme il est re présenté à la fig. 43, de façon que l'encoche 665 du disque se trouve vis-à-vis du goujon 664. Il en résulte que la bielle 659 possède un inôttvement libre de va-et-vient, sous l'in fluence de la came 662, pour actionner le ro chet 490 de mise eu place de la table.
Quand la plaque de commande des totaux 73 quitte la position d'addition, sous l'influence d'une des touches de totaux, pendant les opérations d'impression des totaux et des sous-totaux, la périphérie du disque 666 vient coopérer avec le goujon 664 pour empêcher le mouvement vers l'arrière de la bielle 659 et, par consé quent, pour empêcher l'opération du cliquet 656 et du rochet 490. La bielle 659 (fig, 43 et 44) possède un prolongement recourbé 669 qui peut venir en prise avec un cliquet 670 fou sur un goujon 671 fixé à un support 672 fixé au bâti de la machine.
Le cliquet 670 est fixé à un bras de came 673 entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 674 pour tenir normalement tm galet 675 porté par le dit bras de came en contact avec la périphérie d'une came 676 fixée à l'arbre 315. Une équerre 677 formée sur le bras 673 est dis posée pour être engagée par un loquet 678 fixé à un moyeu 679 fou sur l'arbre 330. Un levier de came 680, fixé aussi au moyeu 679, possède une surface en forme de V disposée pour s'engager avec un goujon 681 fixé sur la came 662.
En se référant à la fig. 5, on verra que l'arbre 315, qui porte la came 676, est relié au moyen des engrenages représentés ici au mécanisme différentiel de la rangée des transactions<B>270</B> et que, par conséquent, ledit arbre 315 est positionné en proportion des touches de transactions enfoncées. On remar quera aussi que la :came 676 est divisée en dix parties numérotées de 0 à 9 inclusive ment, ces espacements correspondant aux dix positions du mécanisme différentiel des trans actions.
Mettons, à titre d'exemple, que le loquet 678 (fig. 44) est dégagé de l'équerre 677. On verra que les parties saillantes de la came 676, correspondant aux positions 0, 1, 5 et 9 du mécanisme différentiel, s'engagent avec le galet 675 pour retenir le cliquet 670 dans le trajet du prolongement recourbé 669, pour empêcher tout mouvement d'actionnement de la bielle 659.
Quand le mécanisme différentiel des transactions est à zéro (fig. 1 et 5) - par exemple, quand aucune touche de la rangée des transactions n'est enfoncée, ou quand la touche Relevé=découvert 79 qui prend la position 1 est enfoncée, ou quand la touche Découvert 86 dans la position 5 est en foncée, ou quand la touche Relevé-balance 84 qui prend la position 9 est enfoncée une partie saillante de la périphérie de la came 676 se trouvera vis-à-vis du galet 675,
tenant le cliquet 670 dans le trajet du pro longement recourbé 669 pour empêcher l'opé ration du mécanisme automatique d'avance ment. Quand l'une des touches Correction dépôts 80, Espacement 85, Dépôts 81, Chèques 82, Déblocage-déconvert 87 ou Correction chèques 83, en d'autres termes, les touches correspondant respectivement aux positions 2, 3, 4, 6, 7 et 8 de la came 676, est enfoncée, cette came 676 est positionnée par le mécanisme différentiel des transactions, de façon que la partie basse de la périphérie de ladite came soit vis-à-vis du galet 675,
per mettant ainsi au ressort 674 de faire basculer le .cliquet 670 hors du trajet du prolongement 669 pour permettre le mouvement vers la droite de la bielle 659.
Le loquet 678 et les organes associés sont prévus pour tenir le cliquet 670 dans le tra jet du prolongement 669 (fig. 43 et 44) pen dant la première d'une série d'opérations d'enregistrement au cours de laquelle la table 335 est avancée à .la position choisie par l'ac tion des touches cherche-ligne.
On se rappellera que la première opéra tion dans une série d'opérations relative à l'inscription des chèques consiste à relever soit un solde, soit 11n découvert (fig. 1, 2 et 3). Au cours de cette opération, l'ancienne ba lance est relevée et enregistrée dans le totali sateur des balances, mais normalement., cette ancienne balance n'est pas imprimée sur la feuille de relevé à moins qu'il ne s'agisse d'un report de cette ancienne balance à une nou velle feuille.
Dans ce cas, la touche Balance à reporter 88 est utilisée en conjonction avec les touches Relevé-balance 84 ou Relevé- découvert 79 pour effectuer l'impression de cette balance à l'endroit prévu à cette fin, juste au-dessus de la première ligne de la feuille de relevé.
Après l'opération pour re lever l'ancienne balance, les touches cherche- ligne convenables sont enfoncées pour sélec tionner la première ligne disponible de la feuille; le montant est composé sur les tou ches de montants 71, et la touche de trans actions correspondant à l'article à inscrire sur la feuille est enfoncée.
La touche Transaction utilisée dans cette dernière opération est invariablement une de celles qui sélectionnent une partie basse de la périphérie de la came 676, de fa çon que, sans le loquet 678, le cliquet 670 s'écarterait du trajet du prolongement 669 pour permettre à la bielle 659 de faire fonc tionner le dispositif d'avancement automati que. Mais, puisque le loquet 678 est effectif pendant cette seconde opération d'inscription, il empêche le dégagement du cliquet 670, et la bielle 659 ne fonctionne pas.
Vers la fin de l'opération de la machine, le goujon 681, en coopération avec la projeetion-came en forme de<B>V</B> à l'extrémité du levier 680, fait basculer ledit levier, et avec lui le moyeu<B>679</B> et le loquet 678 dans le sens senestrorsum à l'encontre de la tension du ressort 674 pour dégager ledit loquet de l'équerre 677. Ceci permet au ressort 674 de faire basculer immé diatement le bras 673 et le cliquet 670 dans le sens senestrorsum hors du trajet du prolon gement 669 pour les porter en contact avec la partie basse de la périphérie de la came 676.
Quand la partie en saillie vis-à-vis de la cinquième position de la came 676 (fig. 44) dépasse le galet 675 - à savoir, au ,cours d'1-m.e opération d'inscription ide dépôts (où la position 4 de la came est sélectionnée), après une opération d'inscription de chèques (où la position 6 de la came est choisie), ou quand le cliquet 670 et le bras 673 sont remis par cette partie saillante vis-à-vis de la cinquième po sition -, le loquet 678 engage de nouveau l'équerre 677 pour empêcher le mouvement d'alimentation de la bielle pendant l'opéra tion suivante.
Cependant, cela ne gêne en rien l'opération de @la machine, puisque les articles Chèques et Dépôts sont inscrits toujours à la même ligne de la feuille de relevé quand il est. nécessaire de passer ainsi d'un article à un autre. Il en est de même pour les posi tions 2 et 8 de la came 676, ces positions cor respondant respectivement à Correction dé pôts et Correction chèques . <B>Il</B> a été expli qué déjà qu'une opération de nouvelle ba lance est exécutée invariablement à la fin de chaque série d'opérations d'inscription.
L'en foncement de la touche Nouvelle balance 74 sélectionne automatiquement les positions 0 ou 9 de la came 676, et puisque ces posi tions sont vis-à-vis d'une partie saillante de la périphérie de ladite came, le cliquet 670 est renvoyé à sa position effective, indiquée ici, pour empêcher l'opération de la bielle 659 et pour remettre le loquet 678 et le levier 680 à leurs positions effectives, indiquées ici.
En se référant à la fig. 43, on verra que la came 662 présente à sa périphérie une partie légèrement relevée 685, qui communi que au rochet 490 un faible déplacement excé dentaire, après quoi le cliquet 656 est partiel lement dégagé de la dent dudit rochet. Ceci assure que les rochets 490 et 489 sont avancés sur une distance suffisante pour permettre au cliquet de retenue 494 de se mettre bien en prise avec ila dent correspondante du ro- chét 489.
Un dispositif qui fonctionne immédiate ment après le déplacement excessif des ro chets 489 et 490, indiqué ci-dessus, est prévu pour entraîner élastiquement lesdits rochets clans une direction rétrograde ou dans le sens senestrorsum, lorsqu'on considère la fig. 43, pour assurer l'engagement des dents des ro chets 489 et 490 avec leurs cliquets respectifs 494 et 656, de sorte que la table 335 soit con venablement mise à .la position .choisie de ligne avant l'opération du mécanisme d'im pression.
Le dispositif prévu pour remettre les rochets 489 et 490 en prise avec leurs cli quets respectifs 494 et 656 comprend un ro chet 683 (fig. 23 et 24) relié, de manière à être ajustable, à un croisillon 684 fixé à une extension de l'arbre<B>377</B> qui se prolonge au- delà du bâti de gauche 62. Un bras opéra teur 686 du rochet 683 est susceptible de tourner sur un goujon 687 aligné sur l'axe de l'arbre 377 et monté sur un support 688 appuyé sur un certain nombre de goupilles 689 fixées dans le bâti 62. Le bras 686 porte izn cliquet de rochet 690 entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 691.
Le bras 686 porte aussi un goujon 692 qui est engagé avec une entaille 693 prévue dans l'extrémité anté rieure d'une bielle 694 dont l'extrémité arrière est articulée à l'un des bras d'un levier de came 695 fou sur la tige 438. Le levier de came 695 porte des galets 696 et 697, coopé rant respectivement avec les périphéries de plaques-cames 698 et 699 montées sur l'arbre à cames 371 de l'impression. Un ressort 700, maintenu sous tension entre le goujon 692 et un goujon de la bielle 694, forme une con nexion élastique entre le bras 686 et la bielle 694.
Quand le mécanisme est dans la position de départ indiquée ici, un prolongement 701 du cliquet 690, en coopération avec un gou jon 702 fixé dans le bâti 62, retient ledit cli- quet hors de prise des dents du rochet 683.
Après que le cliquet d'avancement 656 (fig. 43) a effectué son mouvement d'avan cement et de retour, sous l'influence de la came 662, les plaques-cames 698 et 699 (fig. 23) basculent le levier 695 dans le sens dextrorsum selon la distribution indiquée à la ligne 6 du graphique (fig. 47).
Ce bascule- ment du levier 695 provoque un déplacement vers la droite de la bielle 694 (fig. 23), bas culant le bras 686 dans le sens senestrorsum pour porter le cliquet 690 en prise avec les dents du rochet 683, et.
'le mouvement subsé quent du levier de came 695 et de la bielle 694 oblige -le ressort 700 à entraîner élasti- quement le bras 686, le cliquet 690 et le ro chet 683 dans le sens senestrorsum pour met tre les dents des rochets 489 et 490 (fig. 43) en prise avec leurs cliquets respectifs 494 et 656 pour assurer que la table 335 soit mise exactement à la position de ligne qui a été sélectionnée.
L'arbre de commande 371 de l'impression (fig. 23 et 46) fait. Lin tour dans le sens dex- trorsum pendant chaque opération de la ma chine, comme il a été'-expliqué déjà. Cet arbre de commande de l'impression est relié à l'ar bre de commande principal 70 par un train d'engrenages. Pendant les opérations d'addi tion, l'arbre de commande de l'impression 371 tourne en synchronisme avec l'arbre principal 70. Cependant, l'on se rappellera que pen dant les opérations de l'impression de totaux et de sous-totaux, l'arbre principal 70 fait deux tours.
Vu la nécessité que l'arbre 371 de commande du mécanisme d'impression ne fasse qu'un tour pendant ces opérations, un dispositif d'embrayage est prévu entre l'ar bre principal 70 et les engrenages de liaison reliant cet arbre à l'arbre 371 de commande de l'impression. Ce dispositif d'embrayage est débrayé automatiquement au commencement du premier cycle des opérations d'impression de totaux et de sous-totaux, de façon que le mouvement de l'arbre principal 70 ne soit pas communiqué à l'arbre 371 de commande du mécanisme d'impression pendant ce premier cycle.
Au commencement du second cycle d'opérations, ledit dispositif est embrayé pour rolier l'arbre de commande principal à l'ar bre de commande du mécanisme d'impression, de façon que ledit arbre de commande de l'impression fasse un tour solidairement de l'arbre principal pendant ce second cycle de l'opération d'impression des totaux et des sous-totaux. 111écanisme <I>de</I> déblocage <I>de la</I> table.
Des organes .représentés en fig. 38 sont prévus pour dégager les cliquets d'avance ment et de retenue 656 et 494 de la table de leurs rochets respectifs 490 et 489, de façon que les ressorts 386 et 392 (fig. 19) puissent renvoyer la table 335 à sa position de départ. Ce dispositif de .dégagement des :cliquets com prend une came de déclenchement 703 (fig. 38, 45 et 46) folle sur le moyeu 493 et située entre les deux .cliquets 489 et 490.
La came 703 porte des saillies de déclenchement 704 et 705 coopérant respectivement avec les dents des cliquets 656 et 494. La came 703 présente des dents d'engrenage qui se met- tent en prise avec des dents analogues d'un segment 706 fixé à un arbre 707 tourillonné dans les bâtis 63 et 64.
Une manivelle 708 est fixée également à l'arbre 707; cette manivelle est articulée à l'une des extrémités d'une biellette 709 de commande de la came de dé clenchement, cette biellette étant munie d'une fente en forme de<B>L</B> 710 qui coopère avec un goujon 711 prévu sur l'un des bras d'un levier à deux bras 712 fou sur la tige 438. Chacuu des bras du levier 712 porte un galet 713 et 714 coopérant avec les périphé ries de plaques-cames 715 et 716 montées sur l'arbre à cames 371 du mécanisme d'impres sion.
La biellette 709 porte un goujon carré 717 disposé pour être engagé par un loquet 718 fixé à un arbre 719 tourillonné dans les bâtis 63 et 64. Un bras 720 est aussi fixé à l'arbre 719, ledit bras étant disposé pour coopérer avec un goujon 721 faisant saillie sous la. table 335. Un ressort 722 (fig. 38) entraîne le loquet 718 dans le sens senestrorsum pour tenir normalement un goujon 724 porté par ce loquet en contact avec la périphérie d'une came 723 d'entraînement du loquet, fixée à l'arbre 315; on se rappellera que cet arbre est positionné par le mécanisme différentiel des rangées .de touches des transactions en proportion des touches de cette rangée en foncées.
La came 723 est divisée en dix par ties correspondant aux dix positions du dif férentiel -des transactions, et les espacements sont numérotés de 0 à 9 inclusivement. La came 723 possède une partie basse qui cor respond aux positions 2 à 8 inclusivement de la rangée des transactions, et ladite came pos sède aussi une partie en saillie correspondant aux positions 0, 1 et 9 de ladite rangée de touches de transactions.
En se référant. à la fig. 1, on verra que les positions 2 à 8 inclu sivement correspondent aux touches 80, 85, 81, 86, 82, 87 et 83, et que les positions 0, 1 et 9 .correspondent à la position automatique et aux touches Relevé-découvert 79 et Re- levé-balance 84.
Quand la partie basse de la came 723 se trouve vis-à-vis du goujon 724, le ressort 722 maintient la surface d'engagement du loquet 718 au-dessous du goujon carré 717, de façon que la branche horizontale de la fente en forme de<B>L</B> 710 soit en alignement avec le goujon<B>711.</B> Quand la fente est dans cette po sition, le bras de came 712a un mouvement à vide -de va-et-vient pendant la rotation des cames 715 et 716, de faon qu'aucun mouve ment ne soit communiqué à la biellette 709.
Quand la partie en saillie de la came 723, correspondant aux positions 0, 1 et 9 vient en regard @du goujon 724, le loquet 718 est basculé dans le sens dextrorsiun pour dégager sa surface d'engagement du goujon carré 717, ce qui livre la biellette 709 à l'action d'un ressort 725 qui entraîne ladite biellette vers le bas.
On verra d'après la distribution indiquée à la ligne 15 du gra phique (fig. 47) que le mouvement initial vers l'avant du levier de came 712, quand les cames 715 et 716 se mettent à tourner, aligne le goujon<B>711</B> avec le bras vertical de la fente en forme de L 710, de façon que le res sort 725 puisse immédiatement entraîner la biellette 709 vers le bas pour engager le bras vertical de la fente avec le goujon 711.
Le mouvement de retour dans le sens dextror- sum du levier de came 712 oblige le goujon 711 à coopérer avec la partie verticale de la fente 710 pour déplacer la biellette 709 vers l'arrière, faisant basculer dans le sens dex- trorsum la manivelle 708, l'arbre 707 et le segment 706, de façon que le segment 706 fasse basculer dans le sens senestrorsum la came de déclenchement 703.
Ce mouvement dans le sens senestrorsum .de la came 703 en gage les saillies 704 et 705 avec les dents des cliquets 656 et 494 pour basculer lesdits cli- quets hors de prise avec leurs rochets respec tifs 490 et 489. La table 335 est immédiate ment livrée à l'action :des ressorts 386 et 392 qui remettent la table à la position de départ.
Au cours de l'opération suivante, après le déplacement dans le sens senéstrorsum du le vier 712 par les cames 715 et 716, un goujon 726 (fig. 38) porté par la came 715 s'engage avec une surface plate 727 de la biellette 709 et relève cette biellette pour mettre la partie horizontale de la fente 710 vis-à-vis du goujon 711.
Si, au cours de cette opération, le loquet 718 est retenu à la position indiquée en fig. 38 par la partie saillante de la came 723, la biel- lette 709 est entraînée vers le bas par la ten sion du ressort 725 quand le goujon 726 descend de la surface plate 727 pour remettre la partie verticale de 'la fente 710 en prise avec le goujon 711 et, dans ce cas, la came 703 remet les cliquets 656 et 494 hors de prise pour renvoyer la table 335 à la position de départ.
Mais si, au cours de la seconde opéra tion de la. machine, la came 723 est position née de façon que (la partie basse soit vis-à-vis du goujon 724, le ressort. 722 agit immédiate ment pour ramener le loquet 718 dans le sens senestrorsum pour faire passer la surface d'engagement dudit loquet. au-dessous du gou jon carré 717 et, dans ce cas, la. branche hori zontale de la fente 710 reste en alignement avec le goujon 711 quand le goujon 726 passe au-delà de la. surface plate 727.
Dans ce cas, le mouvement de retour dans le sens dextror- sum du levier 712 ne communique aucun mou vement à la biellette 709 et, par conséquent, les cliquets 656 et 494 restent en prise avec leurs rochets correspondants.
Si le loquet 718 se déplace de sa position dégagée, représentée en fig. 38, pour se mettre à la position d'en gagement sous l'influence de la came 723 et du ressort 722 quand la biellette 709-est dans sa position c'en bas, un méplat formé sur le bec du loquet 718 s'arrête au côté gauche du goujon 717, et la surface d'engagement du loquet 718 s'enclenche avec le goujon 717 quand la biellette 709 est renvoyée vers le haut par le goujon 726, de la manière indi quée ci-dessus.
Il est à remarquer que le goujon 726 ren voie toujours la biellette 709 vers le haut immédiatement après que le levier 712 a reçu son mouvement initial dans le sens senestror- süm. Cependant, si le loquet 718 se trouve dans sa position dégagée, la biellette 709 se déplace vers le bas quand le goujon 726 des cend de la surface plate 727 pour remettre la branche verticale de la fente 710 en prise avec le goujon 711.
Un dispositif est prévu également pour assurer le fonctionnement des organes de remise de la table quand la pre mière inscription est faite à la 39m0 ligne, afin que la table 335 soit immédiatement remise à sa position de départ après cette opération d'inscription. Ce dispositif comprend le gou jon 721, placé de façon à pouvoir entrer en prise avec le bras 720 pour le faire basculer, avec l'arbre 719 et le loquet 718, dans le sens dextrorsum, quand la table 335 est déplacée à la 39-e position de ligne par le cliquet d'avancement 656.
La surface d'engagement du loquet 718 est retirée de dessous le goujon 717 pour permettre que la partie verticale de la fente en forme de [. 710 s'engage avec le goujon 711, sous l'influence du ressort 725, à la fin du mouvement initial dans le sens se- nestrorsum du bras 712.
Il est à remarquer due les cames 715 et 716 ont un profil légère ment relevé, de façon qu'il se produise pour ainsi dire une période d'arrêt au cours de la quelle le levier 712 reste stationnaire à la li mite de son trajet dans le sens senestrorsum et au cours de laquelle, aussi, le mécanisme d'impression fonctionne pour faire l'impres sion du premier article à la 39m0 ligne (voir la ligne 8-du graphique fig. 47).
Cette opéra tion d'impression terminée, les cames 715 et 716 renvoient le levier 712 dans le sens dex- trorsum et la biellette 709 vers l'arrière, obli geant les oreilles 704 et 705 à dégager les cliquets 656 et 494 de leurs rochets respectifs 489 et 490 pour permettre aux ressorts 386 et 392 (fig. 19) de renvoyer la table 335 à la po sition de départ.
Dans le cas où il serait nécessaire d'impri mer iul. article subséquent à la 39-e ligne, il faudrait enfoncer les touches cherche-ligne 39 - c'est-à-dire la touche 30 des di zaines et la touche 9 des unités.- pour re mettre la table 335 à la 39m0 position sous l'influence de ces touches cherche-ligne.
Le mécanisme représenté en fig. 38 et décrit ci dessus fonctionne chaque fois que la table 335 est déplacée à sa 39m0 ou dernière position, de façon que la table 335 soit renvoyée à la position de départ chaque fois qu'un article est porté à la feuille de relevé.
Espacement intermittent <I>de la table</I> pendant <I>les opérations d'inscription de chèques.</I> En se référant aux fig. 2 et 3, on verra que la partie Débits de la feuille combinant un relevé de compte et une feuille de livre de banque comprend deux colonnes pour l'ins cription de deux articles l'un à. côté de l'au tre, inscription après laquelle la table est espacée automatiquement s'il y a encore des chèques à inscrire.
On verra également que la, partie Crédits de la feuille ne comprend qu'une seule colonne, de sorte qu'un article seulement des crédits ou des dépôts peut être inscrit à chaque ligne de la feuille. Par con séquent, quand il y a plus d'un article des crédits à inscrire, il est nécessaire que la table avance la feuille après l'inscription de chacun de ces articles des crédits. Le méca nisme automatique pour la commande de cet avancement automatique de la table 335 est commandé par les touches Chèques 82, Dé pôts 81, Correction chèques 83 et Correc tion dépôts 80. Ce mécanisme sera décrit en détail ci-après.
En se référant aux fig. 32, 34, 35, 43 et 46, on verra que le goujon 664 de la bielle 659 coopère avec le disque de commande 666 (fig. 43) qui est commandé par la plaque de commande des totaux 73 de la manière expli quée ci-dessus. On verra aussi que le goujon 664 coopère aussi avec un disque de com mande 728 (fig. 32) qui contrôle l'avance ment intermittent de la table 335 au cours des opérations d'inscription de chèques. Le disque de commande 728 est solidaire d'un engrenage 729 et d'un rochet 730, lesdits organes étant tous fous sur l'arbre 315.
L'en grenage 729 est engagé avec un engrenage 731 fixé sur un arbre d'avancement intermittent 732 tourillonné dans les bâtis 63 et 64. L'ar bre 732 porte aussi un engrenage 733 (fig. 35) en prise avec un engrenage 734 solidaire d'un rochet 735 fou sur l'arbre 315. Un cliquet d'avancement 763 (fig. 32, 34 et 46) s'engage avec les dents du rochet 730; ce cliquet pivote sur -un goujon 764 d'un bras 736 fou sur l'ar bre 315. Un ressort 737 entraîne le cliquet 763 dans le sens seneStrorsum en prise élasti- que avec les dents du rochet 730. Le goujon 764 est en prise avec une entaille prévue dans l'un des bras d'un levier 738 fou sur l'arbre 330.
L'autre bras de ce levier possède une en taille en prise avec un goujon 739 d'un le vier de came 740 fou sur la tige 438. Le levier de came 740 porte un galet 741 qui est en prise élastique avec la périphérie d'une came 742 fixée à l'arbre 371, le galet étant main tenu en prise avec la périphérie de la came par un ressort 743. Le levier 738 porte un goujon 744 (fig. 33) coopérant avec un disque de commande 745 fixé à l'arbre 315; on se rappellera que ledit arbre est positionné sous l'influence des tou ches de transactions. Le disque de sélection 745 présente des encoches 746 et 747 corres pondant respectivement aux positions 6 et 8 du mécanisme différentiel des trans actions.
Il s'ensuit que l'enfoncement soit de la touche Chèques 82, en sixième position, soit de la touche Correction chèques 83 en huitième position, positionne les encoches 746 et 747 respectivement de ces touches vis-à-vis du goujon 744 pour permettre l'opération du levier 738 et du cliquet d'avancement 763 par la came 742. Un cliquet de retenue 748, fou sur l'arbre 330, est entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 749 pour venir en prise avec les dents du rochet 730. Le dis que de commande présente six encoches d'es pacement égal. 750, et le rochet d'avancement 730 possède douze dents.
Ce rochet est tourné dent. par dent dans le sens senestrorsum par la came 742 selon la distribution indiquée à la ligne 14 du graphique (fig. 47), de façon qu'une encoche 750 et une partie pleine du disque 728 entre deux encoches soient ame nées tour à tour vis-à-vis du goujon 664. Le rochet 735 (fig. 35), qui est relié avec le rochet 730, comprend un dispositif pour le faire avancer dent par dent, ce dispositif étant similaire sous tous les rapports au di.ç- positif d'avancement du rochet 730 décrit ci dessus.
Ce mécanisme comprend un bras 751 fou sur l'arbre 315 et qui porte un goujon 752 formant le pivot d'un cliquet d'avance- ment 753 entraîné dans le sens senestrorsum par un ressort 754 pour l'engager avec les dents du rochet 735. Le goujon 752 est en prise avec une entaille pratiquée dans l'une des extrémités d'un levier 755 fou sur l'arbre 330. Ce levier 755 possède une seconde en taille qui est en prise avec un goujon 756 d'un des bras d'un levier 757 fou sur la tige 438.
Un ressort 758 entraîne le levier 757 dans le sens senestrorsum, de faon qu'un galet 759 porté par ledit levier soit normale ment en prise avec la périphérie d'une came 760 similaire sous tous les rapports à la came 742 (fig. 32). Cette came 760 fait fonction ner le mécanisme d'avancement, y compris le levier 755, en synchronisme avec le mécanisme d'avancement pour le rochet 730. Le levier 755 (fig. 36) porte un goujon 761 placé de manière à pouvoir coopérer avec un disque -de commande 762 fixé sur l'arbre 315, qui est. positionné, comme on l'a déjà expliqué, sous l'influence des touches de transactions.
Le disque de commande 762 présente des parties basses correspondant aux positions 0, 1, 2, 3, 4 et 9 du différentiel des transactions; ce disque présente aussi des parties en saillie de sa périphérie correspondant aux positions 5, 6, 7 et 8 du mécanisme différentiel des trans actions.
En se référant à la fig. 35, on verra que le rochet 735 possède six dents correspondant aux six encoches 750 du disque de commande 728. Ce rochet et ce disque sont disposés re lativement -l'un à l'autre de telle façon que chaque mouvement d'avancement sur une dis tance d'une dent, communiqué au rochet 735 par le mécanisme indiqué en fig. 35, amène une encoche 750 vis-à-vis du goujon 664 de la bielle de commande du rochet d'avancement 659.
En se référant à la fig. 1, on verra que les parties basses du disque de commande 762 (fig. 36) correspondent aux touches de trans actions 79, 80, 85, 81 et 84; on verra aussi que lorsque ledit disque 762 fonctionne pour faire avancer le rochet 735 par le levier 755, le disque de commande 745 est positionné de telle façon que sa périphérie bloque le goujon 744, ce qui empêche le mouvement d'avance- ment du levier 738 pour entraîner le rochet 730 (fig. 32).
Quand l'opération du rochet 735 est com mandée par le disque 762 (fig. 36), l'une des encoches 750 du disque 728 (fig. 32) est amenée invariablement vis-à-vis du goujon 664. Il en résulte que, quand le disque 762 fonctionne, la bielle 659 n'est pas empêchée dans son mouvement de va-et-vient qu'elle re çoit -des organes représentés en fig. 43 et dé crits ci-dessus. Ce mouvement de va-et-vient oblige le cliquet 656 à faire avancer le rochet 490 sur une distance d'une dent pour chaque opération de la machine, pour espacer la ta ble 335 et la feuille de relevé de compte.
Il est évident que lorsque le -disque de com mande 745 (fig. 33) commande l'opération du rochet 730, les parties en saillie et les enco ches 750 .du disque de commande 728 seront amenées successivement vis-à-vis du goujon 664, de façon que la bielle 659 fonctionne une fois toutes les deux opérations de la machine pour faire avancer le rochet 490 d'une dent et, par conséquent, pour avancer la table 335 et la feuille.
On se rappellera, en se référant à la fig. 1, qu'au cours de l'inscription d'un compte, la touche Relevé-balance 84 est utilisée en pre mier lieu pour relever. l'ancienne balance. Cette touche oblige le mécanisme différentiel des transactions à positionner les disques de commande 745 et 762 de façon qu'iuie partie en saillie du disque 745 soit vis-à-vis du gou jon 744 et qu'une partie basse, ou encoche, du disque 762 soit vis-à-vis du goujon 761. Dans ce cas, le rochet 730, qui possède douze dents, ne fonctionne pas; mais le rochet 735 à six dents fonctionne de manière à obliger l'une des encoches 750 du disque de commande 728 à être amenée vis-à-vis du goujon 664.
Dans ce cas, cependant, la bielle 659 est empêchée par la came 676 (fig. 44), cette came étant arrivée à sa position 9 , position dans la quelle une partie en saillie de la came est amenée vis-à-vis du galet 675 pour retenir le cliquet 670 sur le trajet du prolongement re courbé 669, empêchant ainsi le mouvement opérateur de la bielle 659.
L'opération de relevé de la balance peut être suivie d'une opération d'inscription de débits, par exemple chèques. Dans ce cas, le montant du premier article des débits est composé sur les touches de montants (fig. 1) ; la touche cherche-ligne convenable est enfon cée pour sélectionner la première ligne dispo nible de la feuille de relevé, après quoi la tou che Chèques 82 est enfoncée pour amorcer les opérations de la machine. La touche Chè ques 82 correspond à la position 6 de la came 676 et des disques 745 et 762 (fig. 33, , 36 et 44) et, par conséquent, lesdits organes sont amenés à cette position 6 .
Dans cette position, une partie basse de la came 676 se trouve vis-à-vis du galet 675, l'encoche 746 du disque 745 est vis-à-vis du goujon 744 pour , libérer le mécanisme d'avancement du rochet 730, et une partie en saillie du disque 762 est vis-à-vis du goujon 761 pour empêcher le mé canisme d'avancement du rochet 735. D'ordi naire, la partie basse de la came 676 permet trait le mouvement du cliquet 670 hors du trajet du prolongement 669. Cependant, dans cette opération, des touches cherche-ligne ont été utilisées pour faire la sélection de la pre mière ligne .d'impression; par conséquent, le loquet 678 empêche le mouvement de dégage ment dudit cliquet 670 de la manière expli quée ci-dessus.
Pendant. les opérations anté rieures de relèvement de balance, on se rap pellera que le disque 728 était positionné de i telle manière que l'une des encoches 750 se trouvait vis-à-vis du goujon 664. Puisque la. came 742 (fig. 32) fonctionne après la came 662 (fig. 43) de commande du rochet d'avan cement 490, la bielle 659 serait libre de fonc- j tionner pendant cette opération d'inscription de chèques, et la table serait espacée si le lo quet 678 n'était pas (fig. 43) en position pour empêcher tout déplacement de la table.
Vers la fin de la première opération d1iis- cription de chèques, la came 742 attaque le levier 738 de façon que le rochet 730 soit avancé d'une dent pour amener une partie pleine du disque 728 vis-à-vis :du goujon 664. S'il y a encore des chèques à porter au compte, l'enfoncement de la touche Chèques 82 au commencement de cette seconde opération d'inscription oblige la came 676 et les disques 745 et 762 à rester dans leurs positions de la première opération, ce qui veut dire qu'une partie en saillie du disque 728 se trouve en face du goujon 664.
Le mouvement de la bielle 659 étant ainsi empêché, aucun mouve ment n'est communiqué au rochet d'avance ment 490 et la table reste à sa position de ligne primitive.
On se rappellera, en se référant aux fig. 2 et 3, que la partie de la feuille réservée aux débits ou aux chèques est divisée en deux co lonnes, de façon que deux articles puissent être inscrits à la même ligne. Les deux mar teaux d'impression qui impriment ces articles des débits alternativement clans les deux co lonnes sont commandés par -des disques de sélection entraînés par les rochets 730 et 735, de manière entièrement analogue au disque 728. Ces marteaux impriment le premier arti cle des chèques dans la colonne de gauche, le deuxième dans la colonne de droite, et ainsi de suite. Le mécanisme de commande de ces marteaux d'impression sera expliqué ci-après.
Après le mouvement d'impression, la came 742 déplace le levier 738 pour obliger le cli- quet 763 à faire avancer le rochet 730 pour faire tourner le disque 728, de façon que l'une clés encoches 750 soit vis-à-vis du goujon 66-k. S'il y a un autre article à inscrire parmi les chèques pendant une opération subséquente, la bielle 659 est libre de déplacer le cliquet 656 pour faire avancer le rochet 490 d'une dent pour amener la ligne suivante de la feuille à la position d'impression, de façon que le troisième article soit inscrit dans la co lonne de gauche de la partie des débits (fig. 2)
immédiatement au-dessous du premier article. Cet avancement intermittent de la feuille se reproduit tant que l'on voudra en utilisant la touche Chèques 82.
En se référant au dessin, on verra que la touche Correction chèques 83 fonctionne de manière entièrement analogue à la touche Chèques 82 pour positionner la came 676, de façon qu'une partie basse de cette came soit vis-à-vis du galet 675, pour positionner le disque 745, de façon que l'encoche 747 de ce disque soit vis-à-vis du goujon 744, et finale ment pour positionner le disque 762, de ma nière qu'une partie en saillie de ce disque soit vis-à-vis du goujon 761. Il en résulte que le mécanisme d':avancement intermittent fonc tionne exactement de la manière expliquée par rapport à la touche Chèques 82.
Mettons, à titre d'exemple, que la mise à jour d'un compte exige l'inscription d'une série de dépôts en dehors des chèques. L'en foncement de la touche Dépôts 81 au com mencement d'une opération relative aux dé pôts déplace la came 676 (fig. 44) de la sixième position, en passant par la cinquième position, jusqu'à la quatrième position.
Quand la. came est à la cinquième position, la partie saillante de la came dans cette cinquième po sition, en coopération avec le galet 675, amène le cliquet 670 dans le trajet du prolongement 669; le loquet 678 se remet en prise avec l'équerre 677 et retient le cliquet 670 dans le trajet dudit prolongement 669 quand la came se déplace à la quatrième position, laquelle est une position basse.
La mise en position du mécanisme diffé rentiel des transactions sous l'influence de la touche Dépôts déplace aussi les disques 745 et<B>762,</B> de façon que les quatrièmes positions de ces disques soient vis-à-vis clés goujons 744 e 1t 761, pour débrayer le mécanisme de com mande du rochet 730 et pour embrayer le mé canisme de commande du rochet 735. Vu que les articles des dépôts s'impriment sur une partie de la feuille toute autre que celle des chèques, il est avantageux d'inscrire le pre mier de ces articles à la. même ligne que le dernier des articles des chèques.
Pendant cette première opération d'inscription de dépôts, le loquet 678 (fig. 44) fonctionne pour empê cher l'avancement de la table, et cela égale ment quand une encoche 750 ou une partie solide du disque 728 se trouve vis-à-vis du goujon 664. Au cours de cette première opé ration de l'inscription des dépôts, la came 760 (fig. 35) fait fonctionner le cliquet 753 pour faire avancer le rochet 735.
Il ne fait aucune différence si, au cours de l'opération sui- vante, l'une des encoches 750 ou l'une des parties solides du disque 728 se trouvait vis- à-vis du goujon 664;
le mouvement du rochet 735 amène l'une des encoches 750 vis-à-vis du goujon 664 pendant la dernière partie de la première opération d'inscription -des dépôts. Vers la fin de .cette première opération d'ins cription des dépôts, le dispositif représenté en fig. 43 et expliqué ci-dessus dégage le lo quet 678, de sorte que le -cliquet 670 peut s'écarter du trajet du prolongement 669.
S'il est nécessaire de porter un deuxième article des dépôts au compte, l'enfoncement de la touche Dépôts 81 au commencement de cette deuxième opération oblige la came 676 et les disques 745 et 762 à rester dans les positions où ils étaient mis pendant la pre mière opération. Vers la fin de cette seconde opération, le mécanisme représenté en fig. 35 fait avancer le disque 728 pour amener l'en coche suivante du disque vis-à-vis du goujon 664.
Toutefois, le mécanisme représenté à la fig. 43 fonctionne avant le déplacement du disque 728, de la manière. qu'on vient d'indi quer. Etant donné qu'une encoche 750 se trouve vis-à-vis du goujon 664, et que le cli quet 670 (fig. 44) n'empêche plus la bielle 659, cette bielle fonctionne pour déplacer la table 335 et, avec elle, la feuille, d'une ligne avant l'opération du mécanisme d'impression. Il en résulte que l'article suivant des .dépôts s'imprime immédiatement au-dessous du pre mier article, et que la table et la feuille se dé placent de la manière indiquée pour chacun des articles suivants.
En se référant au dessin, on verra que la touche Correction dépôts 80 (fig. 1) fonc tionne d'une manière analogue à la touche Dépôts 81 pour effectuer l'avancement de la feuille après chaque inscription de ce genre. Il serait nécessaire d'expliquer que les frais de banque et les autres articles des débits sont portés à la partie Débits de la feuille, exactement de la manière indiquée ci-dessus par rapport aux chèques, en utilisant la tou che Chèques 82.
En ce qui concerne les cré dits autres que les dépôts, l'inscription de ces articles se fait exactement de la même ma- nière que l'inscription de dépôts en utilisant les touches des symboles 90 (fig. 1) pour in diquer les différents articles.
Après l'inscription de tous les débits et de tous les crédits, l'opération suivante, au cours de la mise à jour d'un compte, est une opéra tion de nouvelle balance. Un se rappellera que l'enfoncement de la touche Nouvelle ba lance 74 positionne le mécanisme différentiel des touches de transactions à la neuvième po sition. Si le totalisateur des balances est. à dé couvert, la touche Nouvelle balance est ver rouillée et ne peut être déverrouillée qu'en en fonçant d'abord la touche Découverts 86, ce qui remet le mécanisme différentiel des tou ches de transactions à zéro.
Au cours des opé rations dites nouvelle balance, la came 676 (fig. 44) est positionnée à 9 ou à 0; ces deux positions amènent une saillie de la came vis- à-vis du galet 675 pour amener le cliquet 670 sur le trajet du prolongement 669, empêchant. ainsi l'action de la bielle 659 et du mécanisme d'avancement de la table. L'impression de la nouvelle balance est .effectuée, par conséquent, à la même ligne que le dernier des articles des dépôts, mais dans une autre colonne; cette ba lance est aussi imprimée en même temps sur la partie de la feuille qui représente une feuille de grand livre.
Si les opérations nécessaires à mettre à jouir un compte courant particulier compren nent deux inscriptions de débits ou de chè ques, une inscription de crédits ou de dépôts et une nouvelle balance, toutes ces inscrip tions sont faites à la même ligne de la ma nière indiquée à la ligne 37 de la feuille 343 (fig. 2).
Les deux débits ou chèques sont ins crits exactement de la manière indiquée ci- dessus. Le mouvement de la came 676 (fig. 44) de la position Chèques;> à la position Dé pôts avant l'inscription du dépôt oblige la partie saillante vis-à-vis de 5 de ladite came à. remettre le cliquet<B>670.</B> Au cours de ce mou vement de remise, le loquet 678 maintient ce cliquet dans une position effective quand la partie en saillie de la came 676 quitte le galet 675, de façon que l'article des crédits ou des dépôts soit inscrit à la même ligne que les deux articles des débits.
L'enfoncement de la touche Nouvelle ba lance au commencement de l'opération sui vante fait tourner la came 676 jusqu'à la neu vième position, où une partie saillante de la périphérie de cette came remet le cliquet 670 sur le trajet du prolongement 669 pour contre carrer le mouvement d'avancement de la bielle 659, de façon que la nouvelle balance soit imprimée à, la même ligne que les deux débits et le crédit.
Il est nécessaire de souligner que la touche Rolevé-découvert 79 (fig. 1) fait tourner la came 676 jusqu'à la position 1 ; dans cette position, le cliquet 670 empêche le mou vement d'avancement de la bielle 659. La tou che Relevé-balance 84 cause le déplacement de la came 676 vers la position 9 . Dans cette position aussi, le cliquet 670 empêche l'avancement de la table et de la feuille.
<I>Dispositif</I> d'alignement <I>des disques</I> <I>de</I> commande <I>et du mécanisme associé</I> à ces disques.
Un dispositif représenté en fig. 37, et qu'on va décrue ci-après, est prévu pour main tenir les arbres 315, 330 et 732 et les disques de commande positionnés par ces arbres en alignement et pour les garantir contre tout déplacement au cours des opérations de la machine. Ce dispositif comprend trois disques, ou roues en étoile identiques<B>765,</B> 766 et 767, dont chacun possède douze encoches en V cor respondant aux douze dents du rochet 730 et, naturellement, chaque deuxième dent de ces disques correspond aux dents du rochet 735. Le disque 765 est fixé sur l'arbre 315 com mandé par les touches de transactions. Le disque 766 est fou sur l'arbre 315; un engre nage 768, fixé au disque 766, est engagé avec un engrenage 769 fixé à l'arbre 330 com mandé par la plaque de commande des totaux 73.
Le disque 767 est également fou sur l'ar bre 315; un engrenage 770, solidaire du dis que 767, est engagé avec un engrenage<B>771</B> fixé à l'arbre 732 commandé par le système de rochets représenté aux fig. 32 et 35. Les encoches en V d'alignement pratiquées dans les disques 765, 766 et 767 sont disposées pour être engagées par une barre en V d'ali gnement 772 fixée à une partie recourbée de l'un des bras d'un levier 773 fou sur un gou jon fixe 774 et entraîné dans le sens .dextror- sum par un ressort 775, clé façon qu'un galet 776 porté par ledit levier vienne en contact avec la périphérie d'une came 777.
Lorsque les arbres 315, 330 et 732 (fig. 37) et les dis ques associés à ces arbres ont été mis en posi tion, la came 777 permet au ressort 775 de faire basculer le levier 773 selon la distribu tion indiquée à la ligne 5 du graphique (fig. 47), de façon que la barre d'alignement 772 soit amenée en prise avec les dents des disques 765, 766 et 767 pour maintenir les arbres et les disques de commande associés à ces arbres contre tout déplacement.
Après le mouvement d'impression, la came 777 dégage la barre d'alignement 772 des disques 765, 766 et 767. ' Mécanisme <I>de</I> comptage <I>des</I> chèques. Un dispositif à commande automatique et manuelle est prévu pour compter les chèques. Ce dispositif consiste en une rangée de tou ches des unités 72 et une rangée de touches des dizaines 52. Ces rangées, situées à l'extrême gauche du clavier (fig. 1), sont similaires sous beaucoup de rapports aux rangées des touches des montants 71, quoiqu'il n'y ait aucune liaison entre les touches du compteur des chèques et celles des montants.
Ce comp teur automatique des chèques est commandé par la touche Chèques 82. L'enfoncement de cette touche commande le cliquet d'arrêt à zéro pour la rangée des unités du compteur des chèques. Ce cliquet d'arrêt à zéro porte, en dehors .de la butée de zéro habituelle, une butée située à la position 1 de la rangée des unités 72. L'enfoncement de la touche Chèques 82 porte cette deuxième butée sur le trajet du .croisillon différentiel pour la ran gée .des unités du compteur des chèques, pour effectuer l'addition de 1 aux roues de tota lisation des chèques.
La touche Correction chèques .83 est uti- lisée pour retirer ou pour annuler un chèque inscrit par erreur. Cette touche aussi com mande les rangées 72 et 52 du compteur auto matique des chèques pour effectuer la sous traction de 1 aux roues du compteur des chèques en compensation de l'annulation d'un chèque. Cette soustraction de 1 aux roues du compteur des chèques est effectuée par l'addition du chiffre complémentaire 99 à ces roues.
L'enfoncement de la touche Cor rection chèques libère les cliquets d'arrêt à zéro des unités et des dizaines, de façon que le mécanisme différentiel des rangées de tou ches du compteur de chèques est libre de se déplacer jusqu'à la neuvième position pour effectuer cette soustraction.
Il est de pratique courante de mettre tous les chèques d'une certaine sorte ou désigna tion dans une liasse; le montant des chèques est composé sur les touches des montants et enregistré comme un seul article en utilisant la touche Chèques 82. Dans ce cas, les tou ches 72 et 52 des deux rangées du compteur des chèques sont utilisées pour composer le nombre total des chèques dans une liasse. L'enfoncement de ces touches débraye le mé canisme automatique du compteur des chè ques et enregistre le nombre total des chèques dans une liasse aux roues du compteur des chèques. Ce mécanisme du compteur des chè ques va être expliqué plus amplement ci-après.
Les rangées de touches du compteur des chèques 72 et 52 (fig. 1) sont de construction analogue aux rangées de touches de montants 71 (fig. 4). Chaque rangée comprend un mé canisme différentiel avec un croisillon 778 (fig. 9) pour les touches des unités 72 et im croisillon 779 (fig. 11) pour les touches des dizaines 52. Ces croisillons sont analogues, en construction et en fonction, au croisillon<B>97,</B> pour la rangée de touches de montants, repré senté en fig. 4.
Le croisillon 778 pour la ran gée des unités possède un goujon 780 avec un méplat coopérant avec une surface d'arrêt à zéro 781 et avec une surface 782 correspon dant à la position 1 du mécanisme différen tiel des unités. Ces surfaces forment partie d'un cliquet d'arrêt à zéro 783 fou sur un arbre 784 tourillonné dans le bâti de la ma chine. Un ressort de torsion 785 est enroulé autour de l'arbre 784; les extrémités opposées de ce ressort s'engagent respectivement avec. un goujon 786 du cliquet d'arrêt 783 et avec un coussinet monté sur la tige 101.
Ce ressort entraîne les cliquets d'arrêt dans le sens dex- trorsum, de manière qu'une queue 787' des cli- quets soit normalement au contact du coussi net sur la tige 101.
Le croisillon différentiel 779 pour les tou ches des dizaines 52 porte un goujon 788 avec un méplat coopérant avec une surface d'arrêt à zéro 789 d'un cliquet d'arrêt à zéro 790 fou sur l'arbre 784. Ce cliquet. est entraîné dans le sens dextrorsum par un ressort de torsion 791 enroulé autour de l'arbre 784. Les extré mités opposées de ce ressort s'engagent respec tivement avec un goujon 792 du cliquet 790 et avec le coussinet sur la tige 101, de fanon qu'une queue 793 formée sur ledit cliquet 790 soit en contact avec le coussinet sur la tige 101. Le goujon 786 porté par le cliquet d'ar rêt à zéro 783 de la rangée de touches des unités coopère avec un levier 795 auquel il est superposé.
Ce levier 795 est fixé dans un rap port constant avec un doigt 796 (fig. 9<B>)</B> par un moyeu 797 fou sur la tige 101: Le doigt 796 (fig. 9) coopère avec un goujon 798 prévu dans un prolongement vers le haut d'un bras 799 fou sur un goujon 800 monté dans le cadre des rangées de touches. Le bras 799 possède un doigt d'extension 801 coopérant avec une tige 802 supportée par un certain nombre de manivelles 803 fixées à l'arbre 204 de désaccouplement du cliquet d'arrêt à zéro (voir aussi fig. 4).
Des organes analogues à ceux qu'on vient de décrire sont prévus également pour les tou ches des dizaines 52 (fig. 11) du compteur des chèques. Le goujon 792 du cliquet d'arrêt à zéro 790 est superposé à un bras 804 avec lequel ledit goujon coopère. Le bras 804 est relié par un moyeu 805, fou sur la tige<B>101,</B> à iln doigt 806 qui coopère avec un goujon 807 prévu dans l'extension supérieure d'un bras 808 fou sur un goujon 809 monté dans le cadre des touches des dizaines. Un doigt d'extension 810 du bras 808 coopère avec la tige 802 exactement de la même manière que le doigt 801 du bras 799 (fig. 9).
Les goujons 798 et 807 (fig. 9 et 11) des bras 799 et 808 coopèrent aussi avec des surfaces-cames simi laires formées sur des leviers correspondants 811 et 812 pivotant respectivement. sur des goujons 813 et 814, ces goujons étant montés respectivement. dans les cadres des touches des unités et des dizaines. Une barre 815 de com mande du levier est reliée librement au levier 811; l'extrémité supérieure de cette barre est reliée lâchement au cadre des touches, .de façon que la barre peut être déplacée. Cette barre 815 possède un certain nombre de surfaces-cames 817 qui coopèrent avec des goujons 818 dans chacune des touches des unités 72.
L'enfoncement de l'une des touches des unités 72 oblige le goujon 818, en coopération avec la surface-came 817,à déplacer la barre 815 vers le bas pour faire basculer le levier 811 dans le sens dextrorsum. Ce mouvement dans le sens dextrorsum du levier 811 oblige la surface-came de ce levier, en coopération avec le goujon 798, à faire basculer le doigt 796, le moyeu 797 et le levier 795 dans le sens senestrorsum. Ce mouvement dans le sens senestrorsum du levier 795 est communiqué par le goujon 786 au cliquet d'arrêt à zéro 783.
Il en résulte que ledit cliquet est basculé à la deuxième position, représentée par une ligne en traits mixtes; dans cette position, la surface 0 781, aussi bien que la surface 1 . 782, sont écartées du trajet du goujon 780, de façon que le croisillon 778 et son mécanisme différentiel associé soient positionnés sous l'influence de la touche 72 enfoncée.
Le levier 812 pour la rangée des dizaines du compteur des chèques 52 est relié lâche ment à l'extrémité inférieure d'une barre de commande 816, similaire sous tous les rap ports à la barre de commande 815; cette barre possède un certain nombre de surfaces-cames 819 qui coopèrent avec des goujons 820 dans chacune des touches des dizaines 52 du comp teur des chèques.
L'enfoncement de l'une quel conque des touches 52 fait basculer le levier 812, ce qui provoque un basculement du cli- quet d'arrêt à zéro 790 pour la rangée des di zaines; ce cliquet d'arrêt est basculé dans le sens senestrorsum à l'encontre de la tension du ressort 791 vers la position représentée en traits mixtes en fig. 11. La surface d'arrêt à zéro 789 de ce cliquet est écartée ainsi du trajet du goujon 788, de façon que le croisil lon 779 et son mécanisme différentiel associé sont positionnés sous l'influence de la touche des dizaines 52 du compteur des chèques qui a été enfoncée.
Dans les opérations d'impression des to taux et des sous-totaux, l'arbre 204 (fig. 9) est basculé dans le sens dextrorsum. Ce mou vement est communiqué aux manivelles 803 et à la tige 802, obligeant ladite tige à s'engager avec les doigts 801 et 810 des bras 799 et 808 (fig. 9 et 11),
de manière à faire_basculer les dits bras dans le sens senestrorsum. Ce mou vement dans le sens senestrorsum des bras 799 et 808 et transmis par les goujons 7 98 et 807 pour faire basculer les doigts 796 et 806 et les leviers 795 et 804 également dans le sens senestrorsiun solidairement avec les bras 799 et 808.
Le mouvement dans le sens senes- trorsum .des leviers 795 et 804 est transmis par les goujons 786 et 792 aux cliquets d'arrêt à zéro respectifs 783 et 790 pour faire basculer ces cliquets à la position de non-fonctionne- ment expliquée ci-dessus. Les croisillons 778 et 779 sont libres, par conséquent, d'être mis en position par les roues du compteur des chèques en vue de l'enregistrement du nom bre total des chèques, de la manière décrite ci-après.
*Le levier 795 (fig. 9) pour les touches des unités du compteur clés chèques possède une fente en<B>L</B> 821; un goujon 822 qui passe à. travers cette fente est engagé avec une pro jection 823 du cliquet d'arrêt à zéro 783. Le goujon 822 (fig. 9 et 10) est fixé dans une manivelle 824 fixée à l'arbre 784. Le levier 804 (fig. 10 et 11) possède une fente en L 825; un goujon 826 qui passe à travers cette fente coopère avec une projection 827 du cli- quet d'arrêt à zéro 790 pour les touches des dizaines 52.
Ce goujon 826 est fixé dans une manivelle 828 fixée à l'arbre 784. On se rap pellera que l'arbre 784 s'étend sur toute la longueur de la machine. Une manivelle 829 est fixée à cet arbre près de son extrémité de droite; cette manivelle est reliée par une bielle 830 à un segment de commande 831 pour les touches de transactions; ce segment est appuyé et tourne sur un coussinet 832 aligné sur l'axe du coussinet 99 (fia. 4) pour la rangée de montants représentée.
Un ressort 833 entraîne le segment 831 dans le sens dextrorsum pour maintenir une surface-came 834 de ce segment (fia. 8 et 1.0) en contact avec un goujon 835 prévu dans l'un des bras d'un étrier 836 fou sur une tige 837 appuyée sur les plaques de support des ran gées de touches. L'étrier 836 est. relié par une bielle 838 avec une manivelle 839 fixée à l'ar bre de verrouillage des touches 69.
Quand la machine est déclenchée de la manière indiquée en connexion avec la fia. 4, le mouvement dans le sens dextrorsum de l'arbre de verrouillage des touches 69 est com- muniqué par la bielle 838 à l'étrier 836 (fia. 8) qui bascule dans le sens senestrorsum pour écarter le goujon 835 de la partie re levée de la. surface-came 834.
Ceci permet au ressort 833 d'entraîner le segment 831. élasti- quement dans le sens dextrorsum. Chaciuie des touches de transactions 79, 80, 85, 81 et 87 porte un goujon (fia. 1 et 8);
quand l'une quelconque de ces touches est enfoncée, le goujon qu'elle porte s'engage dans une enco che correspondante 841 pratiquée dans la pé riphérie du segment 831, de manière à empê cher l'entraînement dans le sens dextrorsum dudit segment par le ressort 833 quand l'ar bre de verrouillage des touches 69 est basculé dans le sens dextrorsum par l'opération de déclenchement de la machine.
La touche de transaction 84 présente un goujon qui se déplace sur le trajet d'un épaulement 842 formé à l'extrémité de droite. de la périphérie du segment 831,. pour empê cher le mouvement dans le sens dextrorsum du segment 831. Par conséquent, quand l'ale quelconque des touches qu'on vent de nom- mer est enfoncée, le segment 831 ne fonc tionne pas. La touche Chèques 82 présente un goujon agencé pour coopérer avec une en coche 843 dans la périphérie du segment 831.
Cette encoche 843 est sensiblement plus grande que les encoches 841, de façon qu'il existe entre le côté gauche de l'encoche 843 et le goujon de la touche Chèques 82 un décalage suffisant pour permettre le déplace ment partiel du segment 831 par le ressort 833 quand l'arbre de verrouillage des touches 69 est basculé au commencement de l'opéra tion de la machine. Ce déplacement partiel dans le sens dextrorsum du segment. 831 est transmis par la bielle 830 pour faire basculer dans le sens senestrorsum la manivelle 829, l'arbre 784 (fia. 8, 9 et 10), la manivelle 824, et le goujon 822. Tous ces organes basculent.
dans le sens senestrorsum sur une distance suffisante pour permettre au goujon 822, en coopération avec la projection 823 du cliquet d'arrêt à zéro 783, de faire basculer ce cli- quet dans le sens senestrorsum à l'encontre de l'action du ressort 785, de façon que la surface d'arrêt 0 781 de ce cliquet est écartée du trajet du goujon 780, tandis que la surface d'arrêt 1 782 est amenée sur le trajet dudit goujon.
Il en résulte que lorsque la. touche Chèques est enfoncée au cours de l'opération de la machine, le mécanisme diffé rentiel des touches du compteur des chèques 72, avec le croisillon 778, seront amenés dans la position 1 sous l'influence de la surface 782, au lieu d'être arrêtés à zéro; de cette ma nière, 1 est ajouté automatiquement aux roues du compteur des chèques.
Il existe un mécanisme de transfert des roues des unités aux roues des dizaines du compteur des chèques; ce dispositif effectue le transfert du chiffre des dizaines quand la roue des unités traverse la position 0 . Les roues du compteur des chèques sont montées sur la ligne N 1 des totalisateurs, ou ligne des totalisateurs des balances (fia. 4). Le compteur des chèques est un totalisateur d'ad- dition/soustraction susceptible d'être déplacé latéralement, de manière à amener le côté plus ou le côté moins en prise avec les entraî- peurs des montants. Il est donc nécessaire de prévoir deux roues dans chaque série des rangées du compteur des chèques.
Ces deux roues ne sont pas engrenées de manière à tourner mutuellement en sens opposés, comme les roues du totalisateur de balances; au con traire, elles sont fixées dans un rapport constant l'une à l'autre et elles fonctionnent en effet comme une seule roue d'addition. Il est ainsi possible d'ajouter des chèques aux roues du compteur des chèques quand le to talisateur de balances est dans la position de soustraction sous l'influence de la touche Chèques 82; il est possible aussi, de cette manière, de relever le total ou le sous-total des roues du compteur des chèques en même temps que l'on relève le total ou le sous-total du côté plus ou du côté moins du totalisa teur de balances.
Le mouvement de l'arbre 784 sur une distance partielle, provoqué par l'enfoncement de la touche Chèques 82 de la manière expliquée ci-dessus, entraîne aussi la mani velle 828 (fig. 10 et 11) et le goujon 826 pour les touches des dizaines du compteur des chèques 52; cette manivelle et ce goujon se déplacent solidairement avec l'arbre 784.
On verra cependant, en se référant à la fig. 11, qu'il existe un jeu suffisant entre ce goujon 826 et l'extension 827 du cliquet d'arrêt à zéro 790 des touches des dizaines; ainsi, aucun mouvement n'est communiqué à ce cliquet d'arrêt à zéro 790; la surface d'arrêt 789 reste dans le trajet du goujon 788 pour position ner le mécanisme différentiel de la rangée des dizaines du compteur des chèques à zéro.
La touche Correction chèques 83 est uti lisée de la manière expliquée ci-dessus pour la correction d'un article des chèques ou des débits inscrit par erreur au cours d'une opé ration antérieure; puisque ce chèque, inscrit par erreur et qu'il est nécessaire d'annuler, était compté automatiquement par le méca nisme du compteur des chèques, il est donc nécessaire de soustraire 1 aux roues du compteur des chèques au cours d'une opéra tion de correction des chèques. En se référant à la fig. 10, on verra. que la touche Correction chèques 83 ne possède pas de goujon comme les autres touches de transactions, et aucune encoche n'est prévue pour cette touche dans la périphérie du seg ment 831.
Par conséquent, l'enfoncement de la touche Correction chèques permet un mouvement complet dans le sens dextrorsum du segment 831 quand la machine est déclen chée. Ce mouvement complet est communiqué à l'arbre 784, à la manivelle 824 et au gou jon 822 (fig. 9, 10 et 11) pour faire basculer le cliquet d'arrêt à zéro 783 des touches .des unités 72 du compteur des chèques sur une distance suffisante pour amener les surfaces 781 et 782 hors du trajet du goujon 780.
Le mouvement .de l'arbre 784, de la manivelle 828 et du goujon 826 oblige ledit goujon 826, en coopération avec la. projection 827, à dé placer le cliquet d'arrêt à zéro 790 sur la dis tance complète de son trajet dans le sens senes- trorsum, pour écarter la surface 789 d'arrêt à zéro de ce cliquet du trajet du goujon 788. Ceci libère le mécanisme différentiel de la rangée des unités et des dizaines du compteur des chèques; ce mécanisme se déplace jusqu'en neuvième position pour effectuer l'addition du chiffre complémentaire 99 aux roues du compteur des chèques, ce qui revient au même que d'y soustraire 1 .
Il est parfois nécessaire d'utiliser la tou che Chèques 82 (fig. 1) en conjonction avec les touches de montants 71 pour l'ins cription d'articles autres que des chèques; dans ce cas, il devient nécessaire de débrayer le mécanisme automatique du compteur des chèques.
En ce qui concerne les comptes cou rants, l'article le plus commun de ce genre représente frais de banque; quand cet article est enregistré, le mécanisme automatique du compteur des chèques est débrayé par l'en foncement de la touche SC des touches des symboles 90, ce symbole indiquant toujours un article de frais de banque. Il est parfois nécessaire de débrayer le compteur des chè ques en connexion avec l'inscription de chè ques ou d'autres débits. L'enfoncement de la touche<B> NC </B> 90 débraye le compteur de chè- ques automatique, de façon que ces articles ne sont pas comptés.
Une manivelle 844 est fixée à l'arbre 784 (fig. 10); cette manivelle est reliée par une bielle 845 à un segment de commande 846 des touches des symboles 90; ce segment, adjacent au segment de commande 831, pivote sur le coussinet 832. Un ressort 847 entraîne le seg ment 846 dans le sens dextrorsum, de manière qu'une surface-came 848 d'une extension de ce segment vienne en prise avec le goujon 835 exactement de la manière indiquée pour le segment 831.
La touche de symbole SC 90 (fig. 1 et 10), indiquant Frais de ban que , et la touche NC , signifiant Non compté , portent chacune un goujon agencé pour coopérer avec des projections corres pondantes 849 et 850 formées à la périphérie du segment 846.
La manière dont le segment 846 est relié à l'arbre 784 provoque le mouvement - de ce segment solidairement avec<B>-</B>le segment 831 quand l'arbre de verrouillage .des touches 69 (fig. 8) est entraîné dans le sens dextrorsum au commencement de l'opération de la ma chine. L'enfoncement de la touche SC ou également de. la touche NC des touches des symboles 90 entraîne le goujon porté par la touche enfoncée sur le trajet de la, projection correspondante 849 ou 850.
Le mouvement dans le sens dextrorsum des segments 846 et 831 est empêché, ce qui empêche l'opération du mécanisme automatique du compteur des chèques, même quand la touche Chèques 82 est enfoncée. L'enfoncement de l'une ou de l'autre de ces touches provoque aussi l'impres sion d'un symbole à côté du montant corres pondant sur la feuille.
Vu que la touche Chèques 82 (fig. 1) est employée en conjonction avec les touches Sous-total transactions 76 et Total trans actions 77 pour la lecture ou la remise à zéro du totalisateur des chèques sur la ligne N 2 ;des totalisateurs, il est nécessaire de pré voir un moyen commandé par les touches 76 et 77 et par les autres touches des totaux pour empêcher le fonctionnement du méca nisme automatique du compteur des chèques pendant ces opérations de lecture et de re mise à zéro.
En se référant aux fig. 1, 7 et 10, une barre de commande des rangées de totalisa tion 857 est montée sur deux goujons 858 clans le cadre des touches des totaux. Ces goujons sont engagés dans des rainures de la barre de commande, de façon que la barre soit susceptible d'un mouvement. circulaire. La barre 857 possède im certain nombre de pro jections-cames 851 coopérant respectivement avec des goujons de chacune des touches de commande 74 à 78 inclusivement et de la tou che Balance à reporter 88.
L'extrémité infé rieure de la barre 857 présente une encoche qui est en prise avec un goujon 852 d'un loquet 853 fou sur la tige 101; une fente en <B>L</B> 854 est formée dans un prolongement. vers la droite de ce loquet; un goujon 855 d'une manivelle 856 fixée à l'arbre 784 passe à tra vers cette fente en<B>L.</B>
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de commande 74 à 78 inclusivement, ou de la touche Balance à reporter 88, en gage le goujon porté par la touche avec la projection correspondante 851, de manière à déplacer vers le bas la barre .de commande 857, faisant basculer le loquet 853 dans le sens senestrorsum. La partie verticale de la fente en<B>L</B> 854 s'engage avec le goujon 855 pour maintenir la manivelle 856 et l'arbre 784 contre tout déplacement, ce qui empêche le fonctionnement du mécanisme automatique du compteur des chèques.
Quand aucune des touches de commande des totaux n'est enfon cée, la partie horizontale de la fente en L 854 se trouve en regard du goujon 855, de la ma nière représentée en fig. 7, pour permettre le mouvement libre de l'arbre 784.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches des unités 72 du compteur des chè ques (fig. 9) oblige le goujon 818 de cette touche, en coopération avec la surface-came 817 de la barre de commande 815, à faire basculer le levier 811 dans le sens dextror- sum, ce qui oblige la surface-came .de ce le vier, en coopération avec le goujon 798 et le doigt 796,
à faire basculer le levier 795 dans le sens senestrorsum. Ce dernier mouvement amène la partie verticale de la fente en L 821 dudit levier en prise avec le goujon 822 pour verrouiller l'arbre 784 et pour débrayer le compteur automatique des chèques quand une touche des unités 72 du compteur .des chèques est enfoncée. Un dispositif similaire repré senté en fig. 11 et décrit ci-dessus est prévu pour les touches des dizaines du compteur des chèques 52.
L'enfoncement de l'une quel conque de ces touches provoque un bascule- ment dans le sens senestrorsum du bras 804 pour cette touche, de faon que la partie ver ticale de la fente en<B>L</B> 825 soit amenée en prise avec le goujon 826 pour verrouiller l'arbre 784, ce qui rend le mécanisme du compteur automatique des chèques non opé- ratif quand l'une quelconque des touches des dizaines est enfoncée, même si la touche Chè ques 82 (fig. 1) est utilisée pour mettre la machine en marche.
Le mécanisme de verrouillage que l'on vient de décrire est essentiel pour empêcher l'opération de l'arbre 784 quand les touches du compteur des chèques 72 et 52 sont enfon cées. Mettons, à titre d'exemple, qu'il est né cessaire de composer le chiffre 20 sur les touches du compteur des chèques. Dans ce cas, la touche 2 de la rangée des dizaines est enfoncée, et aucune touche n'est enfoncée dans la rangée des unités.
Vu que la touche Chèques 82 est employée pour commencer une opération de ce genre, la surface 1 782 du cliquet d'arrêt à zéro 783 de la rangée des unités serait amenée sur le trajet du goujon 780 pour effectuer l'addition automatique de 1 à la rangée des unités des roues du comp teur des chèques; mais cette addition est em pêchée par le mécanisme de verrouillage re présenté en fig. 11. Ce mécanisme verrouille l'arbre 784, de façon que la surface 0 781 du cliquet d'arrêt à zéro 783 reste sur le tra jet du goujon 780 pour positionner le diffé rentiel de la rangée des unités du compteur des chèques à zéro.
Dans les opérations d'impression des to taux et des sous-totaux, le fonctionnement de l'arbre de désaccouplement 204 et de la tige 802 provoque l'enclenchement des fentes 821 et 825 avec les goujons 822 et 826.
Cet en clenchement est fortuit et relève de la cons truction de la machine; il est évident qu'un verrouillage de ce genre n'est pas de pre mière importance, vu que l'enfoncement de l'une quelconque des touches de commande des totaux, 74 à 78 inclusivement, ou bien de la touche Balance à reporter 88 aura déjà verrouillé l'arbre 784, et cela avant que l'arbre 204 n'ait reçu un mouvement dans le sens dextr orsum suffisant à verrouiller l'ar bre 784. <I>Mécanisme de commande</I> alternative <I>de l'imprimeur des</I> chèques.
En se référant aux fig. 2 et 3, on se rap pellera que les articles passifs et les chèques sont imprimés en deux colonnes dans la partie des débits de la feuille combinée. Il est né cessaire en vue -de cela d'aménager les deux marteaux d'impression de telle façon que l'un fonctionne pendant la première opération d'impression et l'autre pendant l'opération suivante d'impression et ainsi de suite. La fig. 22 représente le mécanisme de commande alternatif du marteau qui imprime dans la colonne de gauche de la partie des débits de la feuille.
Vu que ce mécanisme est en grande partie identique au mécanisme d'impression pour la colonne de droite, une description du mécanisme représenté en fig. 22 suffit à la compréhension du mécanisme.
L'arbre de commande de l'avancement intermittent 732 est entraîné par les rochets représentés aux fig. 32, 34 et 35 de la manière indiquée ci-dessus. Un engrenage<B>859</B> (fig. 22), fixé à cet arbre 732, est engagé avec un autre engrenage 860 fixé à un disque de commande intermittente<B>861</B> fou sur ).'arbre 315. Le dis que 861 possède six encoches 862 espacées à distance égale les unes des autres exactement de la même manière que les encoches 750 du disque de commande 728 (fig. 32).
L'arbre de commande des totaux 330, qui est com mandé par les touches de commande des to taux de la manière expliquée ci-dessus, porte un engrenage 863 en prise avec un engrenage similaire (non représenté) fixé â, un disque de commande des totaux 864 fou sur l'arbre 315. Le disque 864 possède une encoche 865 correspondant à la position d'addition de la plaque de commande des totaux 73. Ce disque 864 est similaire sous tous les rapports au disque 666 (fig. 43) du fait que l'encoche 865 correspond à la position d'addition de la pla que de commande des totaux 73.
Fixé à l'ar bre 315 - cet arbre étant mis en position, on se le rappellera, par les touches des trans actions - est un disque de commande 866 qui possède deux encoches (non représentées) correspondant respectivement aux positions 6 et 8 du différentiel des transactions. On se rappellera que ces positions 6 et 8 sont respectivement les positions Chèques et Correction chèques .
Les trois .disques de commande 861, 864 et 866 (fig. 22) sont en coopération avec trois de quatre doigts palpeurs supérieurs 867 et, en outre, le disque de commande des totaux 864 est en :coopération avec un doigt palpeur inférieur 868.
Ces doigts palpeurs sont assem blés dans une unité et pivotent sur un goujon 869 porté par une manivelle<B>870</B> reliée par un moyeu fou sur l'arbre 512 à un bras 871. 'Un ressort 872 entraîne le bras 871 en prise avec un goujon 873 d'un bras d'entraînement 874 fou sur l'arbre 512 et relié à un bras d'entraî nement 875 commandé par une came de la manière indiquée à la ligne 7 (fig. 47). Une bielle 876 relie le bras 871 à une biellette 877; un goujon 878 dans l'extrémité antérieure de cette biellette 877 peut venir en prise avec une encoche 879 prévue dans -un levier de commande de marteau 880 fou sur la tige 498.
Le levier 880 porte à son extrémité supé rieure un goujon 881 fou dans l'une des extrémités d'un levier articulé 882. L'extré mité supérieure de ce levier est articulée à -un marteau d'impression des chèques 883 fou sur l'arbre 528. Le marteau d'impression 883 porte un bloc d'impression 884. L'opération du marteau déplace le bloc 884 vers le haut à travers l'une des ouvertures 340 de la table 335 pour amener la feuille 343 et un ruban encreur 885 superposé à la feuille au contact des roues porte-caractéres des montants 153 correspondant à la première colonne, celle de gauche, de la partie Débits de la feuille.
Un réglage au moyen d'un excentrique 886 est prévu entre le levier 880 et le .levier articulé 882 pour régler la position du bloc d'impres sion 884 par rapport aux roues porte-carac- tères des montants 153, pour assurer une im pression convenable. L'autre extrémité de la biellette d'entraînement 877 est articulée à un bras 887 relié par un moyeu 888, fou sur la tige 438,à un bras 889.
Les bras 887 et 889 portent respectivement des galets 890 et 891 qui coopèrent avec les périphéries de plaques- cames 892 et 893 fixées à l'arbre d'impression 371, ces cames. opérant selon la distribution indiquée 'à la ligne 8 du graphique (fig. 47).
Le mouvement dans le sens senestrorsum des bras 875 et 874, sous l'influence de leurs cames et du ressort 872, porte le bras 871 so lidairement avec ces bras pour obliger les ,doigts palpeurs 867 et 868 à palper les dis ques de commande 861, 864 et 866.
Vu que la périphérie du disque de commande 864 est toujours vis-à-vis du doigt palpeur 868, ce doigt ne s'engage jamais avec une encoche, de façon qu'il fonctionne toujours pour em pêcher l'opération des marteaux d'impression à moins que trois encoches des disques 861, 864 et 866 ne soient vis-à-vis des trois doigts correspondants 867, ce qui permet au bras 871 de recevoir un mouvement suffisant pour amener le goujon 878 en prise avec l'encoche 879, après quoi l'opération des cames 892 et 893 oblige le mécanisme des marteaux à fonc tionner.
Le quatrième doigt palpeur 867 coopère avec une surface incurvée du segment 531 (fig. 22). On se rappellera que ce segment est commandé par le mécanisme palpeur de la feuille représenté en fig. 40 et décrit ci-des sus. Par conséquent, en l'absence d'une feuille sur la table 335, la surface incurvée du seg ment 531 se place devant le doigt palpeur correspondant 867 pour empêcher l'engage ment du goujon 878 avec l'encoche 879, de façon que le marteau d'impression ne fonc tionne pas.
Comme les encoches du disque de commande des transactions 866 correspondent aux touches Chèques et Correction chè ques , il est nécessaire d'enfoncer l'une ou l'autre de ces touches pour amener l'encoche correspondante vis-à-vis du doigt palpeur cor respondant 867 avant que le goujon 878 ne puisse s'engager avec l'encoche 879. Il est éga lement nécessaire que la plaque de commande des totaux 73 soit en position d'addition pour amener l'encoche du disque de commande des totaux 864 vis-à-vis du doigt correspondant 867 avant que le goujon 878 ne puisse s'en gager avec l'encoche 879.
Vu que le mouvement vers l'intérieur du doigt 868 est toujours empêché par le disque de commande des totaux 864, il est nécessaire que tous les quatre doigts 867 soient libres avant que le goujon 878 puisse venir en prise avec l'encoche 879 pour faire fonctionner le marteau 883.
Le disque de commande 861 (fig. 22) est engrené avec l'arbre de com mande intermittente, de telle façon qu'à cha que opération faite dans le but de relever une balance ou un découvert, le rochet 735 (fig. 35), qui est efficace pendant ces opéra tions, amène l'une des encoches 862 du disque 861 vis-à.-vis du doigt palpeur 867 correspon dant. - Au cours de l'opération suivante d'ins cription de chèques, cette encoche reste de vant le doigt palpeur correspondant pendant un temps assez long pour permettre le fonc tionnement -du bras 871. Vu que les doigts palpeurs 867 sont tous libres de se déplacer vers l'intérieur, le goujon 878 viendra s'en gager avec l'encoche 879.
Par conséquent, le marteau d'impression 883 sera poussé par les cames 892 et 893, de manière à effectuer l'im pression du montant du premier débit ou chè que dans la première colonne, celle de gauche, de la section des débits de la feuille.
Après l'impression, le rochet 730 (fig. 32), rendu efficace par suite de l'enfoncement .de la touche Chèques 82, est avancé d'une dent pour écarter l'encoche 862 du trajet du doigt palpeur correspondant 867 et pour amener la partie pleine de la périphérie du disque de commande 861 sur le trajet de ce doigt pal peur. Par conséquent, le mécanisme des mar- teaux représenté en fig. 22-est rendu inopé rant pendant l'opération d'inscription de chè ques suivante, parce que le mouvement vers l'intérieur des doigts palpeurs supérieurs est empêché, de façon que le goujon 878 ne s'en gage pas dans l'encoche 879.
Il est à remar quer que le goujon 878 est en prise avec une surface-came 894 du levier 880 pour faire basculer ce levier dans le sens dextrorsum quand la biellette 877 est déplacée vers le haut. Ceci amène une surface que présente l'arête antérieure de ce levier en prise avec le tirant 66 pour faire basculer le marteau 883 jusque dans la position d'en bas, représentée ici, ce qui amène le bloc d'impression 884 au- dessous de la table 335.
Il devient évident, en comparant les lignes 7, 8 et 14 du graphique (fig. 47), que les cames, selon la ligne 7, commandent le mou vement d'avancement du bras 871 pour enga ger le goujon 878 avec l'encoche 879; que les cames, selon la ligne 8, commandent le mouve ment de la biellette 877 pour actionner le mai: teau d'impression 883; tandis que la ligne 14 indique le calage de la came 742 (fig. 32) d'entraînement du rochet 730.
Il ressort de cette comparaison que les cames: (lignes 7 et 8) qui commandent l'action de palpation du bras 871 (fig. 22) et l'opération du marteau 883 fonctionnent avant la came 742 (ligne 14) qui commande le mécanisme d'entraînement du rochet 730.
II s'ensuit que l'encoche 862 du disque de commande 861 (fig. 22), qui a été amenée vis-à-vis du doigt palpeur corres pondant 867 par le mécanisme de rochet re présenté en fig. 35, au cours de l'opération de relevé-balance ou relevé-découvert anté rieure à la première opération d'inscription de chèques, reste vis-à-vis du- doigt<B>867</B> jus qu'après le fonctionnement du mécanisme d'impression.
Le mécanisme d'impression pour la. se conde colonne, celle de droite, de la partie Débits de la feuille (fig: 2), est entièrement conforme au mécanisme qu'on vient de décrire pour la première série de débits, à cette exception près que le disque de commande de l'avancement alternatif pour le marteau de droite, quoique entièrement conforme au dis que 861 et présentant six encoches, est placé dans un rapport avec l'arbre d'avancement intermittent 732- tel que lorsqu'une des en coches 862 du disque 861 est vis-à-vis du doigt palpeur correspondant 867,
une partie pleine du disque de commande du marteau de droite se trouve vis-à-vis du doigt palpeur correspon dant pour le mécanisme d'impression de droite. Cet échelonnement -des disques com mandés par l'arbre d'avancement intermittent 732 pour les marteaux imprimeurs de droite et de gauche assure le fonctionnement alter nant de ces marteaux tant que les touches Chèques 82 ou Correction chèques 83 sont utilisées pour l'inscription de débits ou de corrections de débits. Vu que la différence qu'on vient d'indi quer est la seule différence sensible qu'il y ait entre les mécanismes imprimeurs pour les colonnes
de droite et de gauche de la section des débits, et vu qu'il est évident que l'éche lonnement des disques -des deux marteaux pour ces colonnes doit provoquer le fonction nement alternant de ces marteaux, une des cription plus étendue du mécanisme des mar teaux des chèques n'est pas nécessaire. Fonctionnement. On va maintenant indiquer, sous forme abrégée, le fonctionnement de la machine en se référant à la vue schématique du clavier représentée en fig. 1, et aux feuilles combinées représentées aux fig. 2 et 3.
Il est d'usage, dans la plupart des ban ques, de balancer les comptes courants au moins une fois par jour. Cette opération se fait sur la feuille combinée représentée aux fig. 2 et 3; à la fin du mois, le talon de la feuille est détaché de la partie qui donne un. relevé du compte;
le talon est retenu par la banque, tandis que la partie du relevé est passée au client intéressé. Cette opération de mise à jour de comptes courants comprend les opérations consistant à relever les anciens soldes, soustraire les débits, par exemple chè ques, frais de banque, etc., ajouter les crédits, tels que dépôts, intérêt, etc. et relever la nou velle balance.
Mettons, à titre d'exemple, que le compte de Jean Blanc vient d'être balancé pour le mois précédent de décembre 1939. Il est né cessaire, dans ce cas, de reporter la balance de cette ancienne feuille à la nouvelle feuille représentée en fig. 2 pour le mois de janvier 1940. L'opérateur met la nouvelle feuille 343 sur la table 335 (fig. 19) entre les barres de guidage 345 et 346, tout en poussant la partie supérieure de la feuille en .contact avec les butées 347, de manière à mettre la feuille en position appropriée vis-à-vis du mécanisme d'impression.
Ensuite, le montant de l'an cienne balance est relevé de l'ancienne feuille et composé sur les touches de montant 71 (fig. 1) et la touche Balance à reporter 88 est enfoncée. S'il s'agit d'une balance active, la touche Relevé-balance 84 -est enfoncée; dans le cas d'une balance négative, la touche Relevé-découvert 79 est enfoncée. Ces deux touches 79 et 84 sont des touches opératrices et servant à mettre la machine en marche.
L'enfoncement de la touche Balance à re porter 88, en conjonction avec une des tou ches 79 ou 84, embraye le mécanisme d'im pression, de faon que la balance - mettons Fr. 5000.00 - est reportée à la ligne conve nable des deux parties de la feuille 343. En même temps que la balance à reporter est im primée, la date - le 1e'' janvier 1940 - est imprimée dans la colonne Balance des deux parties de la feuille 343. L'enfoncement de la touche Balance à reporter 88 effectue -'impression du symbole F - signifiant ba lance reportée - à la droite du mentant de l'ancienne balance. On verra que la balance reportée est imprimée dans un compartiment prévu juste au-dessus de la première ligne de la feuille.
On verra également que la, feuille n'est pas avancée pendant cette opé ration de balance reportée.
Au cours de l'opération suivante, l'opéra teur compose sur les touches des montants 71 le montant du premier débit. - Fr. 25.00 - et la. touche 1 des touches cherche-ligne 449 (fig. 29) est enfoncée, après quoi la. touche Chèques 82 est enfoncée pour mettre la machine en marche. Au cours de cette opé ration de la machine, le mécanisme com mandé par les touches cherche-ligne, et repré senté aux fig. 25A, 25B, 26A et 26B, oblige la table 335 à positionner la feuille 343, de façon que la première ligne de la feuille soit en position voulue vis-à-vis du mécanisme d'impression.
Après cela, le mécanisme d'im pression fait imprimer le montant du chèque, Fr. 25.00, à la ligne 1 de la colonne de gau che, c'est-à-dire la première colonne, de la partie de -la feuille réservée aux débits. Au cours de cette opération aussi, le montant du chèque, Fr. 25.00, est enregistré au totalisa teur de chèques de la ligne N 2 en même temps qu'il est soustrait à l'ancienne balance de Fr. 5000.00 qui était enregistré au côté positif du totalisateur N 1, ou totalisateur de balances, pendant l'opération de report de la balance.
Le deuxième des articles chèques - Fr. 25.00 - est composé sur les touches des montants 71 et la. touche Chèques 82 est enfoncée pour mettre la machine en marche. Pendant cette opération, le montant du chè que est soustrait au montant accumulé dans le totalisateur de balances, tout en étant ins crit en même temps sur la première ligne de la colonne de droite, ou seconde colonne, de la partie Débits de la feuille.
Le mécanisme de commande intermittent représenté en fig. 22 effectue .l'opération tour à tour des marteaux de droite et de gauche pour impri mer les eux chèques de Fr. 25.00, l'un dans la colonne de droite et l'autre dans la colonne de gauche de la partie des débits de la feuille. Le mécanisme de commande intermittent pour l'avancement de la table, représenté aux fig. 32, 35 et 43, contrôle le mécanisme d'avancement automatique de la table, de ma nière que les deux articles en question soient imprimés à la ligne 1 de la feuille.
Au cours de l'opération suivante, le mon tant du troisième chèque - Fr. 50.00 - est composé sur les touches des montants 71 et la touche Chèques est enfoncée au commen cement de l'opération de la machine. Pendant cette opération, le mécanisme intermittent d'avancement de la. table effectue le déplace ment de la table 335 et de la feuille 3-13 jus qu'à la deuxième ligne, après quoi le marteau de gauche fonctionne pour imprimer le mon tant du chèque, Fr. 50.00, sur @la deuxième ligne de la colonne de gauche de la partie des débits de la feuille, tandis que le montant du chèque, Fr. 50.00, est soustrait à la balance dans le totalisateur de balances.
Mettons que l'article suivant est un dépôt de Fr. 100.00; .l'opérateur compose ce montant sur les touches des montants 71, après quoi il enfonce la touche Dépôts 81 pour mettre en route l'opération de la machine. Au cours de cette opération, le montant du dépôt, Fr. 100.00, est imprimé à la ligne 2 de la partie des crédits de la feuille, tout en étant ajouté en même temps au montant dans le totalisateur des balances, et enregistré dans le totalisateur des balances sur Ja ligne N 2.
Le dispositif d'avancement intermittent. amène l'impression du crédit ou du dépôt à la. même ligne (ligne 2) sur laquelle le dernier des chèques (,celui de Fr. 50.00) a été inscrit, de la manière décrite par rapport aux fig. 32 à 36 inclusivement, et aux fig. 43 et 44.
Les trois chèques et ce dépôt représentent toutes les inscriptions faites dans ce compte pour le jour en question. L'opération de mise à jour du compte se termine ainsi par l'en foncement de la touche 74 Nouvelle balance (fig. 1). Au cours de l'opération de nouvelle balance, le totalisateur N 1 des balances est remis à zéro, et le montant enregistré dans le totalisateur, dans ce cas Fr. 5000.00, est im primé sur la ligne 2 de la partie Balance de la feuille et du talon de la feuille. Pen dant l'impression de cette nouvelle balance de Fr. 5000.00, la date, le 2 janvier 1940, com posée préalablement à la main sur le dispositif dateur, est imprimée en même temps.
Vu que l'enfoncement de la touche Nouvelle ba lance 74 provoque automatiquement la mise du mécanisme différentiel de la rangée des transactions à la neuvième position, la. came 676 (fig. 44) empêche l'opération du méca nisme d'avancement. Par conséquent, la nou- velle balance est imprimée sur la même ligne (ligne 2) que le dernier des chèques et .des dépôts. Un symbole d'identification est im primé à droite de la nouvelle balance sur les deux parties, relevé et talon, de la feuille.
Lé compteur automatique des chèques, représenté au mieux en fig. 9, 10 et 11, effectue l'addition de 1 aux roues du compteur de chèques pour chaque inscription d'un article aux débits. Pendant l'opération de nouvelle balance, les roues du compteur des chèques, qui se trouvent sur la ligne N 1, sont remises à zéro, et le nombre total de chèques enregistrés par ces roues - dans le cas présent trois - est imprimé entre la date et la nouvelle balance sur le talon de la feuille.
A la fin de l'opération de nouvelle balance, le mécanisme représenté en fig. 38 abandonne la table 335 à l'action des ressorts, de telle sorte que la table est remise immé diatement à la position de départ, position où elle est représentée en fig. 19.
La prochaine mise à jour du compte de Jean Blanc est effectuée le 3 janvier; la feuille 343 pour ce compte est posée sur la table 335, et le montant de l'ancien solde, Fr. 5000.00, est composé sur les touches de montants. 71 (fig. 1); puisqu'il s'agit ici d'une balance positive, l'opération de la ma chine est obtenue en enfonçant la touche 84 Relevé-balance . Au cours de cette opéra tion, le montant de la balance; Fr. 5000.00, est enregistré au totalisateur des balances qui a été remis à zéro antérieurement.
Vu que la touche 88 Balance à reporter n'était pas utilisée en conjonction avec la touche Relevé- balance , l'ancienne balance de Fr. 5000.00 n'est pas imprimée sur la feuille.
Le premier article, -Lui dépôt de Fr. 100.00, est composé ensuite sur les touches de mon tants 71, et la touche Dépôts 81 est enfon cée, de façon que le montant de cet article soit ajouté aux totalisateurs de balances et de dépôts tout en étant imprimé en même temps dans la colonne des -crédits de la feuille. Après avoir inscrit le premier dépôt de Fr. 100.00, l'opérateur se rend compte d'une erreur et décide que l'article n'aurait pas dû être inscrit.
Pour corriger cette erreur, le montant du dépôt inscrit par erreur, Fr. 100.00, est composé de nouveau sur les touches de montants 71, après quoi la touche Correction .dépôts 80 est enfoncée pour com mencer l'opération suivante de la machine, pendant laquelle le montant du dépôt inscrit par erreur, Fr. 100.00, est soustrait au mon tant dans le totalisateur des balances et dans le totalisateur des balances de la ligne N 2. L'enfoncement :de la touche Correction dé pôts 80 produit aussi l'impression dans la partie des crédits de la feuille du montant inscrit par erreur, mais avec le symbole EC , signifiant Correction d'erreur , imprimé à gauche du montant.
Le montant d'un deuxième dépôt, Fr. 300.00, est composé ensuite sur les touches de mon tants, et la touche Dépôts 81 est. enfoncée pour commencer les opérations de la machine a.u cours desquelles ce dépôt est porté aux totalisateurs des balances et des dépôts tout en étant inscrit en même temps dans la co lonne des crédits sur la feuille.
Puisque ce crédit est le dernier article à être porté -à ce compte pendant cette journée, le 3 janvier, l'opérateur enfonce la touche Nouvelle ba lance 74 pour entamer l'opération de nou velle balance au cours de laquelle le totalisa teur des balances est remis à zéro et- le mon tant accumulé dans ce totalisateur est im primé, avec la date, le 3 janvier, dans la co lonne des balances des deux parties, talon et relevé, de la feuille.
Une correction d'un débit, ou chèque, ins crit par erreur, est .représentée à titre d'exem ple à la ligne 6 (fig. 2). Dans ce :cas, le mon tant du chèque inscrit par erreur est com posé sur les touches de montant et la touche Correction chèques 83 est enfoncée pour commencer l'opération de la machine au cours de laquelle le montant du chèque inscrit par erreur, soit Fr. 35.00, est porté an totalisateur des balances et soustrait du totalisateur .des chèques dans la deuxième rangée.
On se rappellera qu'il 5 a deux totalisa teurs addition/soustraction dans la ligne N 2 des totalisateurs, 1'1,1n pour l'accumulation d'un total de chèques et l'autre pour l'accu mulation d'un total de dépôts. Les débits sont inscrits sur la feuille et soustraits dans le to talisateur des balances, tout en étant addi tionnés en même temps dans le totalisateur de chèques. De .la même façon, les crédits et les dépôts sont additionnés dans le totalisateur des balances et dans le totalisateur de dépôts. Dans une opération de correction d'un dépôt, le montant de l'article à corriger est sous trait dans le totalisateur des dépôts de la ligne Ne 2 au même instant où il est sous trait dans le totalisateur des balances.
Dans le cas des corrections de chèques, le montant du chèque à corriger est soustrait dans le totalisateur de chèques dans la ligne N 2 au même instant où il est porté au totalisateur clés balances. Il est possible d'imprimer sur une ligne de la feuille deux débits, Lin dépôt et une nouvelle balance, dans le cas où ces inscrip tions seraient les seules nécessaires pour la mise à jour d'un compte. Cette condition est représentée, à titre d'exemple, sur la ligne 37 de la feuille 343 (fig. 2).
On se rappellera, en se référant à la fig. 38, que lorsque la table 335 arrive à sa 39'11e ou dernière position, le goujon 721 fait basculer le loquet 718 hors de prise avec le goujon 717 pour effectuer le dégagement des cliquets. Après l'inscription du premier arti cle sur la 39"1e ligne, le mécanisme de déga gement des cliquets fonctionne pour livrer la table 335 à l'action des, ressorts de remise, qui la remettent immédiatement à la position de départ. Cette condition est représentée à la ligne 39 de la feuille 343.
Au cours de la mise à jour du 27 janvier du compte de Jean Blanc, l'opérateur relève de la manière habi tuelle l'ancienne balance, mettons Fr. 5000.00; pais il compose le montant du premier dé bit, Fr. 100.00, sur les touches de montants, enfonce la touche cherche-ligne convenable à la sélection de la 39-e ligne de la feuille et met. la machine en marche en enfonçant la touche Chèques 82. En se déplaçant vers la 391"e position de 'ligne, la table 335 oblige le goujon 721 à faire basculer le loquet 718 vers la position de non-fonctionnement, de la ma nière expliquée ci-dessus.
A la fin du cycle d'opérations de la machine, et après l'impres sion du débit de Fr. 100.00, le mécanisme re présenté en fig. 38 dégage les cliquets 656 et 494 pour permettre la remise de la table et de la feuille à la position de départ. Avant de préparer une nouvelle feuille relative à ce compte de Jean Blanc, l'opéra teur enfonce dans ce cas la touche de sélec tion de la 39me ligne et enfonce en même temps la touche 75 commandant la sous-tota- lisation de la nouvelle balance (fig. 1).
Il en résulte une opération de sous-totalisation, dans laquelle le sous-total de la. balance, Fr. 4400.00, enregistré dans le totalisateur des balances, est imprimé dans la section des balances sur la 39 'e ligne des deux parties, relevé et talon, de la feuille. L'enfoncement de la touche Sous-total nouvelle balance 75 provoque la mise à zéro du mécanisme diffé rentiel de la rangée des transactions. En se référant à la fig. 38, on verra que dans cette position, la partie relevée de la came 723 fonctionne pour dégager le loquet 718, de façon que la table 335 soit libérée et remise à la position de départ à la fin de cette opé ration de sous-totalisation.
Au cours de. l'im pression du sous-total à la 39me ligne, le gou jon 721 fonctionne comme auparavant pour dégager le loquet 718. Dans l'opération de sous-totalisation expli quée ci-dessus, le symbole S est imprimé à droite du montant du sous-total dans les deux parties, relevé et talon, de la 'feuille.
Après la remise à la position de départ de la table et de la feuille 343, à la fin de l'opération de sous-totalisation expliquée ci-dessus, l'opéra teur enlève de la table la feuille qui vient d'être complétée et, après y avoir mis une nou velle feuille 344 (fig. 3), il enfonce de nouveau la touche Soiis-total Nouvelle balance 75 pour effectuer l'impression du sous-total de l'ancienne balance, Fr. 4400.00, en un point au-dessus de la première ligne de la partie Balance des deux parties de la feuille. Les inscriptions aux lignes 1 et 2 de la feuille 344 représentent le mode d'inscription d'un dé couvert.
Les inscriptions à la ligne 38 de la feuille 343 représentent, à titre d'exemple, l'inscrip tion d'une liasse de chèques. Dans le cas re présenté, la liasse comprend 36 chèques d'un montant total -de Fr. 544.00. Ce montant est composé sur les touches de montants 71 (fig. 1), et la touche LS des touches des symboles 90 est enfoncée pour procurer l'im pression d'un symbole indiquant que cette opération est relative à une liste de chèques. Le nombre de chèques dans la liasse, à savoir 36, est composé sur les touches du compteur de chèques 52 et 72, après quoi l'enfoncement de la touche Chèques 82 sert à mettre la machine en marche.
Pendant l'opération sui vante, le montant total de la .liste de chèques, Fr. 544.00, est soustrait à la balance et le nombre total de chèques dans la liasse, 36, est enregistré en même temps par les roues du compteur des chèques. Dans l'opération sui vante de nouvelle balance, le totalisateur des balances est vidé, et le montant qui s'est accumulé dans ce totalisateur est imprimé sur la ligne relevé de la feuille et du talon, tan dis que le nombre de chèques 36 est imprimé à la partie relevante du talon.
On se rappel lera que l'enfoncement des touches 52 et 72 du compteur des chèques, en composant le nombre de chèques dans une liasse, débraye le mécanisme automatique du compteur des chèques; il est évident que le fonctionnement du compteur pendant une opération de ce genre donnerait im faux total de chèques.
Toutes les inscriptions sur la feuille et sur le talon, y compris les balances reportées, les débits, les crédits, la numérotation des débits et les nouvelles balances, sont impri mées en double sur une bande de vérification 906 dont une partie fragmentaire est repré sentée en fig. 18. Cette inscription en double est utile non seulement .comme référence, mais aussi comme un moyen de vérification de to taux à la fin d'une période quelconque.