Machine comptable. La présente invention se rapporte à une machine comptable.
Lorsque, en vue d'une addition, on enre- gistre successivement divers nombres sur le clavier d'une machine et que ces nombres doi vent s'acetunuler dans un ou plusieurs totali sateurs, il est de pratique courante de prévoir que, sur les divers documents destinés à. re cevoir des inscriptions, les zéros s'impriment à droite du chiffre significatif inférieur enre- gistré, tandis que l'impression des zéros doit être éliminée à gauche du phis élevé des chif- fi-es significatifs enregistrés.
Lorsqu'on enregistre des nombres qui ne sont pas destinés à être additionnés, comme, par exemple, des numéros de téléphone au mo ment de l'établissement des relevés téléphoni ques, il est essentiel que les zéros s'impriment à la fois à gauche et à. droite de certains ordres de chiffres significatifs enregistrés, tandis que dans certains ordres inférieurs à celui du phis bas des chiffres significatifs et qui ne sont. pas utilisés pour l'enregistrement de numéros de téléphone, il est. désirable que l'impression des zéros soit toujours supprimée. De tels zéros dans les ordres inférieurs doi vent par contre être imprimés lorsque la ma ehine est utilisée pour des entrées additives, auxquelles il est fait. allusion plus haut.
L'invention a pour objet une machine comptable, comprenant un clavier d'inscrip tion de données additives et non additives, un mécanisme d'impression, des touches de com- mande déterminant le type d'opération à effectuer, et un mécanisme de commande d'im pression de zéros qui devient actif, lors de l'enfoncement de certaines touches de com mande d'inscriptions additives, pour provo quer l'impression de zéros à la droite du chif fre significatif inférieur enregistré et. pour éliminer l'impression des zéros à la gauche du plus élevé des chiffres significatifs enregis trés.
Elle est caractérisée par im mécanisme inverseur qui est actionné, lors de l'enfonce ment d'une touche déterminée de commande, en vue d'inverser l'action du mécanisme de commande d'impression de zéros, de façon telle que l'impression de zéros à la droite du chiffre significatif inférieur soit. éliminée, tandis que des zéros s'impriment à la gauche du plus élevé des chiffres significatifs.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution particulière de la machine faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue en perspective de la ma chine, représentant son clavier et son coffre. Fi-. 2 est -une vue schématique du clavier. Fig. 3 est -un détail du mécanisme diffé rentiel des montants, représenté dans la posi tion dans laquelle il est arrêté par la touche des cinq centimes dans la première partie du fonctionnement de la machine, avec les posi tions correspondantes de mécanismes de posi tion et de répétition de zéros, et d'un méca nisme de position des caractères.
Fig. 4 est un détail du mécanisme repré senté en fig. 3, avec ses pièces en position de repos, aucune touche n'étant enfoncée.
Fig. 5 est un détail du mécanisme repré senté en fig. 4, avec une coulisse des montants dans la position de zéro éliminé et une cou lisse de position de caractères déplacée vers sa position de zéro éliminé.
Fig. 6 est une vue en perspective, avec arrachement partiel, permettant de voir cer tains cliquets de commande de position clé zéro.
Fig. 7 est une vue détaillée représentant le mécanisme de répétition.
Fig. 8 est un détail d'une partie du méca nisme représenté en fig. 7.
Fig. 9 est un détail du mécanisme de com mande de position des zéros, les commandes étant en position normale.
Fig. 10 est une vue :détaillée du méca nisme de commande de position des zéros, re présentant les pièces dans la position où elles sont mises soies l'influence de la touche non- addition, pendant la première partie du fonc tionnement de la machine.
Fig. 11 est un détail du mécanisme repré senté aux fig. 9 et 10, avec les pièces dans les positions qu'elles prennent vers le milieu du cycle opératoire.
Fig. 12 est -une vue détaillée d'un inter- verrouillage prévu entre la touche de non- addition de la seconde rangée des transactions et la touche de Répétition>> de la première rangée des transactions.
Fig. 13 est une vue de détail représentant le mécanisme commandé par la touche de non- addition de la, seconde rangée de trans actions pour commander le mécanisme de mise en position des zéros en vue de fournir des zéros d'ordres inférieurs lorsque des numéros, de téléphone par exemple, sont. imprimés.
Fig. 14 est une vue détaillée représentant une came de commande située à proximité de la rangée de touches des décimes et destinée à commander l'impression de zéros dans les ran gées des centimes et des décimes, lorsque des sommes sont. imprimées. Fig. 15 représente une came de commande située à proximité de. la. rangée de touches des milliers et qui est mise en position sous l'in fluence de la. touche de non-addition pour commander l'impression d'un zéro dans les rangées de chiffres des ordres inférieurs lors que des numéros sont. imprimés.
Fig. 16 est un fac-similé d'une bande de contrôle produite par l'imprimerie de la bande de contrôle.
Fig. 17 est le fac-similé d'une fiche d'avis. Fig. 18 est une vue détaillée représentant un mécanisme actionné par une clé de caissier, en vue de déverrouiller le mécanisme de dé clenchement de machine et, en même temps, de mettre en position des symboles d'identifi cation dans les mécanismes d'impression.
Fig. 19 est une vue en élévation, de face, d'une goulotte destinée à recevoir la clé de caissier.
Fig. 20 est une vue par l'arrière, en éléva tion, de la goulotte destinée à recevoir la clé de caissier et représente une vue en bout. de pignons de transmission destinés à. positionner les roues à caractères.
Fig. 21 est une vue, par la tranche, de la clé de caissier.
Fig. 22 est une vue de face de cette clé. Fig. 23 est une vue en plan, par-dessus, de la goulotte de clé de caissier.
Fig. 24 est une vue détaillée d'une partie de la commande de déclenchement. de la ma chine qui est. actionnée par la clé de caissier.
La machine représentée est destinée à l'établissement des relevés d'abonnements télé phoniques et correspond à un système compta ble suivant lequel. on conserve trace des diffé rentes phases des entrées comptables néces saires pour l'établissement d'un document complet portant les diverses sortes de percep tions.
La machine représentée est pourvue d'un clavier comportant sept, colonnes de touches d'enregistrement de montants et deux co lonnes de touches de numéros qui, en combi naison avec les colonnes de montants des ordres les plus élevés, sont utilisées pour com poser et imprimer des numéros de téléphone sur une bande sortante qui, dans ce qui suit, sera désigné par avis . Ce dernier est uti lisé en relation avec l'inscription des comptes débiteurs ou retardataires, de la manière qui sera décrite ci-après. Deux rangées ou colon nes de touches de transactions permettent de commander les diverses opérations comptables.
Dans les systèmes commerciaux pour les quels la présente machine est adaptée, les opé rations comptables sont classées en deux gran des catégories, à savoir celles qui concernent les comptes réglés à temps et celles qui con- eernent les comptes impayés ou débiteurs. Les opérations dont les paiements sont effectués au moment prescrit ne présentent aucune dif ficulté dans une compagnie assurant un ser vice public, tandis que celles qui concernent les comptes de débiteurs récalcitrants consti tuent un problème spécial.
La raison en est que la compagnie ne cesse d'assurer le service prévu au profit d'un de ses clients qu'à la dernière extrémité. La décision d'interrom pre le service est compliquée du fait que de nombreux abonnés attendent toujours la der nière minute pour payer leur dû. Dans le trai- t:ementdes comptes retardataires, la procédure habituelle consiste, pour le service comptable d'une compagnie de téléphones, .à aviser le service technique lorsqu'un compte demeure débiteur, afin que la ligne soit coupée.
Cepen dant, si le client paie son relevé avant que les services techniques aient effectivement coupé la ligne, il est essentiel que ces services en soient avisés le phis tôt possible, afin d'évi ter que la ligne ne soit coupée alors que le re levé a effectivement été payé; ou encore, si le relevé est payé après que la ligne ait été coupée, que les services techniques puissent la rétablir sans retard.
Une autre question importante consiste à éviter de poster une seconde facture lors qu'un compte approche de la date à laquelle il devient retardataire, si le client présente la première facture pour paiement à la date ou au voisinage de la date à laquelle la seconde facture est habituellement postée. Lorsqu'une telle facture est présentée au caissier, celui-ci note la date voulue.
Si la date de la seconde facture approche, il fait imprimer par la. ma chine un avis au moment où l'opération comptable est effectuée, et cet avis est envoyé au service de la comptabilité, où la fiché comp table du client est retirée de la pile de celles qui sont sur le point de devenir retardataires. Ceci attire sur le paiement de la première fac ture l'attention du service comptable, qui n'enverra pas la seconde facture.
Les avis sont envoyés au service comp table à intervalles réguliers, par exemple tou tes les heures, ou à tout autre moment con venable de la journée et, lorsque l'heure de la clôture approche, des messagers spéciaux sont envoyés pour s'assurer que tous les avis sont parvenus au service comptable le jour où ils ont été émis.
Auparavant, la méthode de traitement des comptes retardataires consistait à établir à la main un bulletin d'avis au guichet de percep tion, lorsqu'un compte retardataire était ré glé, et d'envoyer périodiquement les bulletins d'avis au service comptable. Ces avis manus crits, non seulement provoquaient un retard considérable au guichet de perception, mais provoquaient encore d'autres retards par suite des erreurs et des inscriptions illisibles.
La machine représentée comprend un dis positif pour imprimer une fiche d'avis, à titre d'opération accessoire à celle de paiement de la facture, avis sur lequel sont imprimées toutes les données nécessaires au traitement rapide et exact de l'opération. Les données imprimées sur la fiche d'avis comprennent le numéro ,de l'abonné, la somme payée, la date, le numéro de la machine qui a établit l'avis, un numéro consécutif ou de série et un sym bole d'identification du guichetier qui a effectué l'opération sur la machine.
Il faut, pour établir un avis , deux opé rations de la machine: l'une pour imprimer le numéro de téléphone et l'autre pour imprimer la somme. La machine permet d'utiliser cer taines colonnes de. touches de montants pen dant l'une et l'autre de ces deux opérations. Ceci nécessite .des dispositifs d'élimination des zéros, l'un pour supprimer l'impression des zéros dans les ordres décimaux placés à droite du chiffre le plus bas du numéro de téléphone, l'autre pour supprimer l'impression des zéros à: gauche de l'ordre le plus élevé, lors de l'im pression du montant de la facture.
Deux rangées de touches sont disposées sur le côté gauche du clavier, ces touches portant des lettres de l'alphabet correspondant aux indications portées sur le cadran du téléphone. Cependant, les caractères imprimeurs position nés sous l'influence de ces touches peuvent être des chiffres conventionnels. Cependant, il est possible de composer n'importe quel nom de central téléphonique de tout le pays. Par exemple, si la désignation du central est Péreire , on enfoncera successivement. les touches P et E dans chacune des colonnes de touches intéressées, mais c'est le nombre 73 qui sera imprimé sur l'avis.
Ce numéro représente le nom du central convenable de 1^ zone dans laquelle la machine est aitilisée. l@oi sque l'on .compose Littré , ce sont les tou ches L et I qui sont enfoncées et. c'est. le numéro 54 qui est imprimé. Ainsi, tout indi catif de central inscrit dans la. zone où la ma chine est utilisée peut être mis en un code aisément identifiable par les services compta ble ou technique, étant donné qu'il n'y a qu'un petit nombre de centraux utilisés dans une zone donnée.
La machine représentée comprend égale ment tune imprimerie à fiche en dessous du clavier, sur le côté gauche de celui-ci, avec une tablette sur laquelle les fiches sont pla cées.
Un mécanisme de bande de contrôle est. t -,ménagé sous le clavier, près du centre de la machine, juste à la droite de l'imprimerie à fiche. La bande sur laquelle les données sont imprimées est du type autographique. Les données imprimées sur la bande dans les opé rations autres que la délivrance d'un avis comprennent le numéro de la machine, tin numéro d'ordre, un indicatif d'employé, le montant de l'opération et un symbole d'iden tification du type d'opération effectué. Lors qu'un avis est délivré, l'inscription sur la bande de contrôle comprend le numéro de la machine, le numéro d'ordre et le numéro de l'abonné.
Enfin, tune imprimerie pour bande sor tante est disposée à la. droite de l'imprimerie de la bande de contrôle, en dessous du clavier. Elle est utilisée pour préparer et délivrer un bulletin ou fiche d'avis destiné au service des comptes retardataires.
Dans l'établissement de la fiche d'avis, le numéro de téléphone est composé sur le cla vier, puis on enfonce la touche Avis et l'on déclenche la machine en appuyant sur la tou che d'employé appropriée. l'les données impri mées durant. cette opération comprennent. la date, le numéro (le la machine, le numéro d'or dre de la. transaction et le numéro de l'abonné. Pendant cette opération, la bande avance d'environ 8 eni en vue d'assurer l'espacement linéaire entre la ligne de données qui vient d'être imprimée et la ligne suivante.
Au cours de l'opération suivante, ces données, compre nant la date, le numéro de la machine, le même numéro d'ordre que dans l'opération précédente, le symbole de l'employé qui a effectué l'opération et le montant., sont impri mées. Après que ces données ont été impri mées, le bord avant. de la bande sort. de la machine et l'employé peut la saisir et l'arra cher, après quoi il l'envoie au service des comptes retardataires.
La machine comporte huit totalisateurs individuels, un totalisateur de groupe et un totalisateur de Liste ou totalisateur visible. Les totalisateurs sont sélectionnés par les di verses touches de commande.
Les commandes automatiques effectuées par certaines touches des deux rangées de touches de commandes sont brièvement énu inérées ci-après <I>Touches</I> d <I>à 11 -</I> Derixième rangée.
Ces touches déclenchent. le fonctionnement de la machine et peuvent être employées seules ou en conjonction avec les touches Avis , Liste , Répétition> ou Tot. (re mise à zéro) de. la rangée 1.
Quand elles sont utilisées seules ou avec la touche Répétition , les touches A à M provoquent la sélection des totalisateurs afin que l'opération soit enregistrée dans celui des totalisateurs qui est affecté à la touche cor respondante, ainsi que dans le totalisateur de groupe. Les données enregistrées sont impri mées sur la bande de contrôle et une fois ou deux fois sur une fiche . insérée, selon l'im primé qui se trouve sur la tablette. Pendant le fonctionnement de la machine, un numéro d'ordre avance d'une unité.
Touche ?Vo. <I>Tél. </I> (nztniéi-o <I>de</I> téléphone) <I>de la</I> rangée <I>2.</I>
Cette touche déclenche le fonctionnement de la machine et est utilisée pour provoquer l'inscription des numéros de téléphone sur r,ne fiche, ci-après désignée par avis, destiné au service des comptes retardataires. Cette touche ne sélectionne aucun totalisateur et est, par conséquent, utilisée comme dispositif de commande d'impression et d'élimination des zéros à la droite du chiffre de l'ordre le plus élevé clu numéro de téléphone. La tou che commande le mécanisme imprimeur de telle manière que celui-ci imprime des don nées sur la bande comptable et sur -une bande sortante. Dans la machine représentée, la bande sortante avance d'environ 15 mm.
La touche commande aussi l'avance du numéro d'ordre.
<I>Touche</I> Répétition, <I>de la</I> rangée <I>1.</I> Cette touche ne déclenche pas le fonction nement de la machine et est, utilisée en com binaison avec l'une des huit touches supé rieures de la rangée 2 ou avec la touche Add (addition) de la rangée 1, pour répéter la dernière opération précédente sans enfon cement d'une touche de montant.. Les com mandes d'imprimeries sont réglées par les commandes de touches en combinaison avec la touche Répétition . <I>Touche Avis - Rangée 1.</I>
Cette touche ne déclenche pas le fonction nement de la machine et est utilisée en con nexion avec les touches A à M de la ran gée 2. Pendant ces opérations, les touches A à M provoquent les mêmes opérations que ci-dessus indiqué, mais, en phis, le méca@ nisme d'impression de la bande sortante qui imprime une fois et fait sortir la bande de la machine. Dans l'exemple choisi ici, l'éten due de l'avance est de 8 ou 9 cm. Le numéro d'ordre ne change pas.
<I>Clavier.</I> Comme on peut. le voir aux fig. 1 et fi-. 2, le clavier de la machine représentée est pourvu de deux rangées 99 de numéros de téléphone, de sept rangées de touches de mon tants 100 et -de deux rangées de touches de transactions 101 à 118. Les touches 101 à 118 sont munies. d'inscriptions destinées à. en faciliter la reçonnaissance en vue de comman der les diverses opérations de la machine.
Outre les opérations provoquées conformé ment aux indications qu'elles portent, les touches 101 à 110, 113, 115 et 116 sont ce que l'on nomme généralement des touches motrices, ce qui signifie que ces touches ont également pour effet de déclencher le fonc tionnement de la machine. Les touches 111, 112, 114, 117 et 118 ne provoquent pas le dé clenchement de la machine et, en conséquence, doivent être enfoncées en combinaison avec l'une,des touches motrices.
Le clavier comprend une fente 89 destinée à recevoir ruse clé de caissier, comme expliqué plus loin.
La machine peut être actionnée soit par un moteur électrique, soit à l'aide d'une mani velle et, :dans l'un ou l'autre cas, un arbre à cames 229 (fig. 7, 8 et 13) entraîne les dif férentiels de montants et d'autres mécanismes. <I>Rangées de</I> touches <I>de</I> montants. Chaque rangée de touches de montants comprend une série complète de neuf touches 100 (fig. 1, \_', 3 et 4).
Avec chaque rangée coopèrent quatre pièces de commande com prenant une détente flexible 260, une plaque de butée de zéro 261, une détente de verrouil lage 262 et une plaque d'interverrouzllage 263 qui constitue un moyen d'empêcher le dé clenchement de la machine par l'enfoncement de certaines touches de commande après qu'une touche de montants a été enfoncée.
Un arbre .de déclenchement de la machine 264 (fig. 3) porte une paire de bras 267 et 266 pour chaque rangée de touches 100. Les bras 265 sont goupillés sur l'arbre 264 et l'ex trémité libre de chacun d'eux fait saillie dans une fente pratiquée dans la détente de ver rouillage 262. Sur l'arbre 264 est également monté un étrier 267, en contact avec deux oreilles de chaque bras 266. L'extrémité libre de chaque bras 266 fait saillie dans une fente de la plaque d'interverrouillage 263.
Des cliquets d'arrêt à zéro 271, un par rangée de chiffres, pivotent sur un arbre 270. L'extrémité supérieure de chaque cliquet d'arrêt à zéro 271 comporte un doigt qui pé nètre dans une ouverture de la plaque de butée de zéro correspondante 261. Sur l'arbre 270 pivote aussi un étrier 272 qui, normale- nient, est en prise avec des prolongements avant des cliquets d'arrêt à zéro 271, par les quels les cliquets d'arrêt. à zéro sont comman dés de la manière qui est exposée ci-après.
La détente flexible 260 (fi-. 3) est nor malement maintenue avec ses fentes, à, tra vers lesquelles les touches de montants 100 font saillie, en prise avec une arête-came for mée sur chaque touche, par un ressort 280. Lorsqu'une touche de montants 100 est enfon cée jusqu'à la position représentée pour la touche 5 à la fig. 3, la détente flexible 260 est d'abord poussée vers la gauche et, après que l'épaulement situé à l'extrémité de l'arête- came de la touche a franchi la. fente pratiquée dans la détente flexible 260, le.
ressort 280 tire la détente flexible 260 vers la droite, laquelle se place au-dessus du sommet de l'épaulement de la touche qui est ainsi main tenue en position enfoncée.
Vers la fin de l'opération, le bras 265 monté sur l'arbre 264 reçoit un mouvement dans le sens dextrorsiun, d'une manière con venable, en ie de prendre contact avec l'ex trémité de la détente flexible 260 et de la dé placer vers la gauche (fig. 3), libérant la touche enfoncée 100.
<I>Mécanisme</I> différentiel <I>des</I> montants. Au-dessous de chaque rangée de montants 100, dans une position située à mi-chemin entre les touches, dont. les tiges sont alterna tivement décalées sur le côté, se trouve fuie coulisse des montants 290 qui peut glisser sur deux barres transversales 291, 292\(fig. 3, 4 et 5) supportées par le bâti de la machine. La coulisse 290 comporte, le long de son re bord supérieur, liait saillies comportant. cha cune une joue 295 recourbée à angle droit, tantôt à droite, tantôt à gauche, alternative ment, à l'alignement des tiges des touches 100.
Les joues 295 sont, disposées sur la cou lisse de telle manière qu'elles sont comman dées par les touches de montants de 1 à 8 , respectivement. La. coulisse 290 est pour vue d'une arête 296 vers son extrémité avant, arête qui entre en contact avec la barre trans versale 291 en vue d'arrêter la coulisse des montants 290 dans la position de 9 . Lors que aucune touche n'est enfoncée, un rebord 297 du cliquet .d'arrêt à zéro 271 vient se pla cer sur le trajet d'un ergot carré 298 de la coulisse 290 qui est arrêtée en position de zéro, c'est-à-dire éloignée d'un cran par rap port à sa position de repos.
La coulisse des montants 290 comporte, près de son extrémité arrière, des dents 300, qui engrènent. avec un segment différentiel 301, lequel est porté par un arbre 302 monté dans le bâti de la machine. Sur le segment 301 est fixée une pièce support. 303 sur la quelle sont montées coulissantes trois crémail lères d'entraînement 304, disposées chacune de manière à pouvoir venir en prise avec des roues de totalisateur 350, lesquelles peuvent, par basculement, être embrayées sélective ment avec les crémaillères, sous l'influence de l'une des touches d'employés 10-1 à 109 (fig. 2).
Une fois que les crémaillères 304 ont été mises en position, un ou plusieurs totalisa teurs sont embrayés et. la coulisse des mon tants 290 est ensuite ramenée à sa poqition d'origine, de manière à introduire le montant correspondant dans les roues de totalisateur. Le réglage dans le temps .du mouvement de la. coulisse ,des montants 290 est déterminé par un cadre directeur comprenant une trin gle universelle 310 (fig. 3, 4 et 5) portée par des bras 311.
Un ressort. 307, fixé par l'une de ses extrémités à la. coulisse des montants 290 et par L'autre extrémité à une plaque transversale de la machine, maintient norma lement un épaulement 309 de la, coulisse des montants 290 contre la tringle universelle 310. Celle-ci est. portée par les bras 311 calés sur un arbre 312 qui, gràce à des cames appro priées situées sur L'arbre à cames 229, est bas- eulé d'abord dans le sens dextrorsum, puis dans le sens inverse.
Lorsque la tringle universelle 310 se dé place dans le sens dextrorsurn, le ressort 307 déplace la coulisse -des montants 290 vers la droite jusqu'à ce qu'elle soit. arrêtée, du fait qu'un rebord 295 entre en contact avec une touche enfoncée de 1 à 8 , ou jusqu'à ce que l'arête 296 entre en contact avec la barre transversale 291 dans la position de 9 , ou jusqu'à. ce que le cliquet d'arrêt à zéro 271 arrête la coulisse des montants 290 en posi tion de zéro.
La tringle universelle 310 achève î aloi- <B>,</B> son mouvement vers l'arrière. Vers la fin du fonctionnement de la machine, lorsque la tringle universelle 310 est ramenée à sa position d'origine, elle accroche la coulisse des montants 290 et la ramène à sa position d'ori gine, à un cran au-delà de la position de zéro, introduisant le montant dans les roues (le totalisateur 350. Rangées <I>de</I> touches <I>de</I> numéros.
Deux rangées de touches 99 sont disposées (fig. 2) près du bord de gauche du clavier, pour composer les symboles désignant le cen tral téléphonique correspondant à la note à payer. Toutes les fois que l'on désire enregis trer un numéro de central, on déclenche la machine en vue de son fonctionnement en en- fonc#ant la touche @To. Tél. 101, ce qui em pêche la mise en prise des divers totalisateurs avec les crémaillères en mettant en position un disque de contrôle (non représenté) de la manière habituelle.
La construction de ces rangées de touches est sensiblement la. même que celle des touches de montants et n'est, par conséquent, pas décrite.
<I>Mécanisme</I> d'arrêt <I>à zéro.</I>
Chaque cliquet d'arrêt. à zéro 271 (fig. 4) est normalement dans une position inefficace dans laquelle le rebord 297 est .écarté du tra jet de l'ergot carré 298 de la coulisse des mon tants 290. L'étrier 272 maintient normale ment le cliquet d'arrêt à zéro 271 en position inactive en venant en prise avec le talon di rigé vers l'avant du cliquet d'arrêt à zéro 271. L'étrier 272 bascule dans le sens dextrorsum vers le début du fonctionnement de la machine.
Ce mouvement de l'étrier 272 permet au cliquet d'arrêt à zéro 271 d'être basculé par un ressort 331 lorsque aucune des touches <B>1.00</B> n'est enfoncée, ce qui met son rebord 297 sur le trajet de l'ergot carré 298 de la coulisse des montants 290, de manière à arrêter cette dernière en position de zéro.
Pendant un fonctionnement de la machine avec une touche de montant enfoncée, la pla que de butée de zéro 261, coopérant avec la touche enfoncée, empêche le cliquet d'arrêt à zéro 271 de gagner sa position efficace au mo ment où l'étrier 272 est basculé dans le sens dextr orsum.
Lorsqu'une touche 100 est enfoncée, comme on le voit à la. fig. 3, l'épaulement su périeur de la touche enfoncée 100 se met dans une position telle qu'il est en contact avec la paroi gauche de la fente pratiquée dans 'la plaque de butée de zéro 261 pour en empêcher tout mouvement. L'extrémité supérieure du cliquet d'arrêt à zéro 271 comporte un talon qui fait saillie dans une encoche de la plaque de butée de zéro 261, et, par conséquent, le cliquet d'arrêt à zéro ne peut pas se mouvoir quand il est libéré par l'étrier 272, toutes les fois qu'une touche 100 est enfoncée et bloque le mouvement de la plaque de butée de zéro 261.
Mécanisme contrôlant <I>des caractères</I> <I>de</I> montants <I>et de</I> numéros.
Pour assurer l'impression des sommes introduites dans les totalisateurs sur le bul- letin de dépôt, la bande de contrôle et la bande sortante et pour imprimer les numéros de téléphone sur l'avis, trois groupes d'élé- ments-caractères sont montés sur -des arbres 463 (fig. 3), chaque roue à caractères de somme 465 étant réglée en fonction de la somme introduite dans le totalisateur pair le mécanisme différentiel de montants,
lequel commande la mise en position d'une coulisse de commande de caractères 466 (fig. 3, 4 et 5) qui peut coulisser sur les barres transversales 291, 292. La coulisse 466 demeure dans la po sition qui lui a été donnée jusqu'à ce qu'elle soit remise en place au cours ,de l'opération qui suit immédiatement.
Pendant chaque opé ration, quand la tringle universelle 310 est basculée dans le sens dextrorsum par l'arbre 312 en vue de libérer la coulisse des montants 290, la tringle universelle 310 vient en con tact avec une arête 467 de la coulisse de com mande de caractères 466 et la déplace vers la droite jusqu'à une position qui dorénavant sera désignée du nom de position d'élimina tion , dans laquelle c'est une portion sans caractères de la roue à caractères 465 (fig. 3) clui se trouve en position d'impression.
Une fois que la coulisse des montants 290 a été réglée sous l'influence d'une touche de mon tants 100, ou du cliquet d'arrêt à zéro 2 î 1, comme déjà expliqué, et après que la coulisse de commande de caractères 466 a été amenée à sa position d'élimination, les deux coulisses sont couplées ensemble par un bras de cou plage 468 pivotant sur la coulisse de com- mande de caractères 466 grâce à un pivot 469.
Le bras de couplage 468 comporte deux dents de couplage 470 (voir aussi fig. 7 et 8), lesquelles dents sont destinées à venir en prise avec des dents situées sur le rebord inférieur de la coulisse différentielle 290. Normalement, les dents de couplage 470 ne sont pas en prise avec la coulisse des montants 290, mais, avant que la tringle universelle 310 ne se déplace, les dents 470 sont écartées de la coulisse clés montants 290, de sorte que les coulisses 290 et 466 peuvent se régler indépendamment l'une de l'autre.
Après que les coulisses 290 et 466 ont pris leurs nouvelles positions, le bras de couplage 468 est basculé dans le sens senest.rorsum en suie d'accoupler de nouveau les deux coulisses. Lorsque les deux coulisses ont été accouplées, la tringle universelle 310 est basculée dans le sens senestrorsum, après quoi elle accroche la coulisse des montants 290 dans la position où cette dernière avait été mise sous l'influence de la touche enfon cée ou du cliquet d'arrêt à zéro et la ramène à sa position normale de la manière décrite plus haut.
Pendant ce mouvement, la coulisse décommande de caractères 466, étant couplée à la coulisse des montants 290, est amenée de sa position d'élimination à une position cor respondant à la somme introduite dans les to talisateurs par la coulisse des montants 290.
Le dégagement et le réengagement du bras de couplage 468 est effectué par un bras-came 471 (fig. 8) monté sur un arbre 333 et pourvu d'une fente-came 472, dans laquelle pénètre une tringle universelle 473 qui tra verse tous les bras-cames 471. La tringle uni verselle 473 est, portée par des bras 474 qui peuvent pivoter sur un arbre 332. Sur l'arbre 332 est fixé un bas 475 (fig. 7) terminé en fourche à son extrémité supérieure pour s'en gager sur la tringle universelle 473. Un cli- quet de couplage 476 pivote sur le bras 475 grâce à un ergot 477 (fig. 7).
Ce cliquet pré sente un nez 478 qui se trouve sur le trajet d'un épaulement 479 (fig. 8) d'un bras -480 relié, par un manchon, à un levier 481. Ce lui-ci comporte deux galets 482 qui sont en contact avec une paire de cames 483 montées sur l'arbre à cames 229.
Lorsque, pendant le fonctionnement de la machine, l'arbre à cames 229 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 8), les cames 483, co opérant avec les galets 482, font basculer le levier 481, d'abord dans le sens senestrorsum, puis dans le sens contraire.
Pendant. son pre mier mouvement, le levier 481 et le bras 480 font que l'épaulement 479 entre en contact avec le nez 478 :du cliquet de couplage 476, ce qui fait basculer le bras 475, l'arbre 332 et la tringle universelle 473 dans le sens senestror- siun, ce qui, agissant.
sur la fente-came 472, fait basculer le bras 471 dans le sens dextrorsum. Le mouvement dextrorsum du bras 471 amène un doigt 484 de celui-ci à coopérer avec un ergot -185 situé sur le bras de couplage 468 et fait basculer ce dernier dans le sens dextror- sum, dégageant les dents de couplage .170 des dents correspondantes (le la coulisse des mon tants 290.
Une fois que cette coulisse des mon tants 290 a été réglée sous l'influence des tou ches de montants ou du cliquet d'arrêt à zéro, et que la coulisse de commande de caractères -166 a été poussée à sa position d'élimination, les cames 483 font, basculer le levier 481 et le bras 480 dans le sens dextrorsum. Un doigt 486 du bras 480 vient en contact avec la tringle universelle 473 et la ramène, dans le sens dextrorsum, à la position représentée à la fil-. 8.
Ce mouvement de la. tringle univer selle 473, agissant sur la fente-came 472; sou lève le bras-came 471 et, par l'intermédiaire de l'ergot 485, remet en prise les dents de couplage 470 avec les dents situées sous la face inférieure de la coulisse des montants 290.
:près que le bras de couplage 468 est à nouveau en prise avec la. coulisse des mon tants 290, la tringle universelle 310 ramène la coulisse des montants 290 à sa position d'origine. Etant donné que les deux coulisses 290 et 466 sont couplées ensemble par le bras de couplage 468 au moment où la coulisse des montants 290 est ramenée à sa position d'ori- l-ine, la coulisse de commande de caractères 466 est amenée dans une position correspon dant à. la somme introduite dans le totalisa teur.
Pour effectuer des opérations de Répéti tion , la. touche 114 (fig. 2 et 7) est. enfoncée, ce qui fait pivoter un levier 566 (fig. 7) dans le sens senestrorsum, et, un ergot 569 coopère avec la queue du cliquet de couplage 476, désaccouplant le bras 475 des cames 483.
Ainsi, le bras de couplage 468 demeure en position de couplage, de sorte que lorsque la tringle universelle 310 déplace la coulisse de commande de caractères 466 vers la. droite jusqu'à ce qu'une arête 561 de celle-ci entre en contact avec la barre transversale \391, la coulisse des montants 290 est déplacée d'une distance correspondante par rapport à sa position d'origine. Lorsque les coulisses 290 et 466 sont, ensuite, ramenées par la tringle universelle 310, la somme voulue se trouve additionnée dans la roue de totalisateur em brayée.
La roue à. caractères de somme 465 de l'ordre des dizaines (fig. 3) de chaque groupe de roues à caractères de somme est réglée par la coulisse de commande de caractères 466 de la manière suivante. La coulisse de commande de caractères 466 comporte des dents 496 (fig. 3, 4 et 5) qui sont en prise avec un pi gnon 497 monté rotatif sur un arbre 498. Sur le pignon 497 est fixé, grâce à un moyeu 499, un segment 500 (fig. 3) qui engrène avec une couronne 501. La couronne 501 est pourvue de dents intérieures 502 qui engrènent avec un pignon 503 calé sur un arbre carré 504.
D'une manière connue, d'autres pignons fixés sur l'arbre carré 504 mettent en position des engrenages correspondants engrenant avec les roues à caractères de somme 465 -des divers groupes.
La roue à caractères de somme de chaque rangée ae touches et la roue de symboles de centraux téléphoniques de droite sont réglées par des trains d'engrenages semblables.
<I>Impression des numéros de</I> coîtraux téléphoniques. Comme on peut le voir à la fig. 2, chaque rangée de touches de montants de centraux téléphoniques 99 est pourvue de symboles adoptés par les compagnies de téléphones sur les cadrans des appareils téléphoniques.
Ainsi, dans chaque rangée, la première tou che porte le chiffre 1 , la seconde touche porte les lettres ABC , la troisième les let tres DEF , etc., jusqu'à la neuvième touche, qui porte les lettres WXY . Les chiffres d'un numéro d'abonné sont composés sur cinq rangées de touches de montants. Les roues à caractères de somme 465, qui sont réglées sous l'influence des touches 99, sont gravées de chiffres de 1 à 9 , et chaque chiffre représente trois lettres de l'alphabet.
Par exemple, comme déjà eh-posé, si le central téléphonique est désigné par le nom de Littré , on enfonce les touches des lettres L et I des colonnes 99 respectives. La, touche L étant dans la cinquième position, va déterminer la roue porte-caractères à se mettre dans la. position où un 5 sera sur la ligne d'impression, tandis que la touche de I étant clans la quatrième position, va met tre la roue à caractères correspondante dans la position pour laquelle son 4 se trouve sur la ligne d'impression. Lorsqu'on emploie quatre chiffres pour le numéro, ce sont les quatre rangées des francs, à droite, qui ser vent, et lorsque le numéro comporte cinq chiffres, on emploie les cinq rangées de francs.
Certaines des roues à caractères ajustées sous l'influence de la ou des rangées d'accii- rriulation et des rangées de montants sont gravées différemment, dans l'imprimerie de bandes de contrôle et dans celle de la bande sortante. Dans la section d'impression de bande de contrôle, la roue à caractères corres pondant à la rangée des surplus porte un - dans la position d'élimination. La roue à caractères de la rangée de touches de mon tants de l'ordre le plus élevé ne porte aucun signe dans la position d'élimination.
La roue à caractères de la seconde des rangées de tou ches de montants, en partant de l'ordre le plus élevé, porte une , à l'arrière de cha que chiffre. Ainsi, si le numéro LI 81231 est. composé sur le clavier, la mention impri- mée sur la bande comptable sera: 51-81,231.
Les roues à caractères de la rangée d'accu mulation, dans la section d'impression de bande sortante, portent un - dans la posi tion d'élimination et la roue à caractères de l'ordre le plus élevé des francs porte un tiret. clans cette position, ainsi qu'un tiret. der rière chaque chiffre de 1 à 9 . Le niunéro de téléphone LI 81231 est donc enregistré, sur l'avis, comme suit: 54-8-1234.
Lorsque des sommes sont. portées sur la fiche sortante, deux tirets sont imprimés dans les rangées correspondant à l'accumula tion et de l'ordre le plus élevé, comme on peut le voir à la fig. 17. S'il n'y a. que quatre chiffres dans le nu méro de téléphone à. inscrire, les chiffres sont. posés sur les rangées de touches de francs des ordres inférieurs. Par exemple, si le numéro de téléphone LITTR.É 9200 est à. composer sur le clavier, l'inscription faite sur le bulle tin .d'avis est 51-9200, tandis que sur la bande comptable on lira 51-9,200.
Normalement, c'est-à-dire lorsque ce sont des montants qui sont. posés sur le clavier, tous les zéros à la gauche du chiffre de l'or dre le plus élevé sont éliminés, sauf clans les colonnes des décimes et des centimes. Ainsi, pour obtenir que les données soient correcte ment posées dans les deux sortes d'opérations, il est nécessaire d'exercer une action discri minatoire sur le mécanisme de mise en place des zéros. On .décrira en premier lieu la mise en place normale des zéros, c'est-à-dire le cas où ce sont des montants de valeurs qui sont portés sur le clavier.
Suivra ensuite la des cription de la mise en place des zéros lors de l'inscription des numéros de téléphone. <I>Mécanismes</I> posiliomiant lcs zéros. Lorsque l'on inscrit. des sommes, par oppo sition à des numéros de téléphone, les cou lisses de commande de caractères 166 sont déterminées dans leur mouvement, de telle sorte qu'il ne soit. pas imprimé de zéro à gau che du chiffre significatif de l'ordre le plus élevé, mais qu'il en soit imprimé à. droite du chiffre significatif ;de l'ordre le plus bas.
Afin d'éliminer l'impression des zéros, il suf fit d'empêcher que la coulisse 466 de coin- mande de caractères soit retenue dans sa po sition d'élimination lorsque la tringle univer selle 310 est ramenée à sa position normale. Pour ce faire, il suffit d'amener la coulisse des montants 290 à sa. position normale avant que le bras de couplage 468 n'ait été amené à sa position de couplage, de sorte que, lors du mouvement ultérieur de retour à sa posi tion normale de la tringle universelle 310, aucun mouvement de la coulisse de coin- mande de caractères 466 ne se produise.
Les roues à caractères restent alors avec un espace blanc ou avec un tiret en position d'im pression.
Pour amener la coulisse des montants 290 (fi-. 4 et 5) de sa position de zéro à sa posi tion normale avant que le bras de couplage .168 ne soit engagé avec les coulisses 290 et 466, un cliquet 531 (fig. 3, 4, 5, 10 et 11) pi vote sur une tringle 532 portée par cinq bras 533 montés fous sur un arbre 534 et reliés chacun de manière réglable à un bras de came 5331, de manière à se déplacer en. bloc.
Un ressort 535, tendu entre le cliquet 531 et un bras 536, articulé lui aussi sur l'arbre 534, maintient normalement une querr.e 537 du cli- quet <B>531</B> en prise avec une tringle 538 por tée par les cinq bras 311, .comme on peut le voir à la fig. 4. Un cliquet 531 est articulé sur la. tringle 532 en face de chaque rangée de chiffres ou de numéros de centraux.
Un bras 536 est prévu pour chaque rangée de touches de montants et de nrunéros de télé phone. et chacun comporte un doigt ascen dant doté d'une arête plate 539 qui porte normalement sur un ergot 540 de la coulisse des montants 290, sous l'influence du ressort 535.
Sir les cinq bras 311 sont montés des ga lets 541. (fig. 3, 4 et 5) qui pénètrent dans des fentes-cames 542 des bras de cames 5331. Lorsque les pièces sont en position de repos, les galets 541 sont dans les extrémités de gauche de fentes-cames 542 (fig. 4) et, lors que les bras 311 sont déplacés dans le sens dextrorsuni en vue de déplacer la tringle uni verselle 310 dans le même sens, pour déclen cher les coulisses des montants 290, les galets 541 se déplacent dans les fentes-cames 542 et font basculer les bras de cames 5331 et les bras 533 .dans le sens senestrorsum. Pendant ce mouvement des bras 311, la tringle 538 est écartée des queues 537 des cliquets 531,
ce qui permet aux ressorts 535 de faire basculer les cliquets 531 .dans le sens dextrorsum jus qu'à la position représentée à la fi-. 5. Si, comme on le voit. au dessin, la coulisse des montants 290 est arrêtée dans sa position de zéro par le cliquet d'arrêt à zéro 271, le cli- quet 531, lorsqu'il est libéré par le mouvement de la tringle 538 qui s'écarte de la queue 537, vient se placer derrière un épaulement formé sur le rebord inférieur de la coulisse des montants 290. A ce moment, les galets 541 sont à peu près au milieu des fentes-cames 542.
En continuant, le mouvement de la trin gle universelle 310 déplace la coulisse de commande de caractères 466 jusqu'à sa posi tion d'élimination, et les galets 541 des bras 311, se déplaçant dans les fentes-cames 542, font basculer les bras de cames 5331 et les bras 533 dans le sens senestrorsum, grâce à quoi la coulisse des montants 290 se trouve déplacée vers la gauche, par le cliquet 531, d'un cran vers sa position de repos, comme on peut le voir à la fig. 5.
Une fois que la coulisse des montants 290 a été amenée à sa position de repos, le bras de couplage 468 vient en prise avec les dents ménagées sur le -rebord inférieur de la coulisse des montants 290 (fig. 5). Lorsque la tringle universelle 310 est ensuite ramenée à sa position d'ori gine, elle ne modifie pas la position donnée à la coulisse des montants 290, étant donné que celle-ci a déjà été ramenée à sa position d'ori gine par le cliquet 531, et ainsi la coulisse de commande de caractères 466 demeure dans sa position d'élimination.
Lorsqu'elle est amenée dans cette position, la coulisse 466, par l'in termédiaire des connexions déjà décrites, amène la partie vierge de chaque roue à ca ractères en face de la ligne d'impression, sauf pour la rangée des francs de l'ordre le phis élevé et pour la rangée d'accumulation située entre la rangée des francs de l'ordre le plus élevé et la rangée de droite des numéros de centraux téléphoniques. La roue à caractères de somme 465 de ces rangées est gravée avec - dans la position d'élimination, pour les raisons exposées précédemment.
Les explications ci-dessus décrivent com ment un groupe différentiel est conunandé en vue d'empêcher l'impression d'un zéro. Si, toutefois, un nombre est composé dans la ran gée de touches immédiatement supérieure, il est nécessaire qu'un zéro soit imprimé dans l'ordre en dessous. A cette fin, il suffit d'em pêcher que le cliquet 531 de cet. ordre infé- rieur ne vienne prendre la. position dans la quelle il est en contact avec l'épaulement 513 de sa coulisse de montants 290.
Lorsque cette coulisse de montants 290 s'éloigne de sa position de zéro, l'ergot 540 est écarté :du méplat 539 du bras 536, ce qui per met au ressort 535 de faire basculer le bras 536 dans le sens dextrorsum jusqu'à ce qu'une encoche 546 vienne se placer au-dessus du re bord du cliquet 531, en vue de verrouiller le cliquet 531 et de l'empêcher de se soulever sous l'action du ressort 535. Un rebord 54.1 (fig. 6) est ménagé sur chaque eliquet 531, rebord qui se trouve placé sous un épaulement 5-15 du cliquet 531 de l'ordre immédiatement supérieur.
Si un cliquet 531 d'an ordre supé rieur est empêché de se déplacer et de venir sur le trajet, de l'épaulement. 543, les rebords 544 de tous les ordres inférieurs à celui dudit cliquet vont, eux aussi, être maintenus abais sés. Par conséquent, même si aucun nombre n'est composé sur les coulisses des montant 290 des ordres inférieurs, les cliquets 531 de ces ordres inférieurs sont néanmoins main tenus en position abaissée.
Lorsque les cliquets 531 des ordre-, irrfé. rieurs sont maintenus dans leurs positions en foncées et que la tringle universelle 310 et les bras 311 passent par leur position intermé diaire (représentée à la fig. 3) pour faire basculer les bras de cames 533 dans le sens senestrorsum, les cliquets 531 n'ont plus pour effet d'amener les coulisses des montants 290 clés ordres inférieurs de leur position de zéro à. leur position de repos.
Après que le bras de couplage 468 a été mis en prise avec la cou lisse des montants 290, la tringle universelle 310 est amenée à sa position d'origine. Pen dant que la. tringle universelle 310 se rend à sa position d'origine, elle remet la coulisse des montants 290 à sa position d'origine, dé plaçant ainsi la coulisse de commande des caractères 466 d'un cran, de sa position d'éli mination à sa position de zéro, de Tacon que des zéros apparaissent dans les ordres infé rieurs.
Selon ce qui précède, on comprend que la totalité des cliquets 531 de ceux des ordres dans lesquels la coulisse des montants 290 passe au-delà. de sa position de zéro sont main tenus verrouillés abaissés par les bras 536. et que, par conséquent, la totalité des cliquets 531 des ordres inférieurs à celui clans lequel une coulisse des montants 290 passe au-delà de sa position de zéro sont maintenus abais sés par l'action réciproque entre l'épaule ment 545 et le rebord 5-14 des cliquets 531.
Le rebord 544 du cliquet 531 de la rangée des décimes ne s'étend pas sous le cliquet. 531 de la colonne des unités de francs, mais le cli- quet de la rangée des décimes est maintenu abaissé par un autre procédé pour des rai sons qui vont être exposées dans ce qui suit.
<I>Mise en place des zéros pour les</I> azzcazzér-os <I>de</I> téléphone.
Les numéros de téléphone sont composés glu le clavier de la machine par enfoncement des touches 99 et 100. Le fonctionnement de la machine est provoqué par l'enfoncement de la touche 101 No. Tél. qui commande le mécanisme d'embrayage des totalisateurs pour empêcher la totalité des trois totalisateurs de prendre contact avec les crémaillères 304. Elle commande aussi le mécanisme de posi tion de zéro, de telle manière qu'aucun zéro ne soit posé et imprimé à la droite du plus bas ries chiffres significatifs.
La position des chiffres numériques du numéro de téléphone sur le clavier est. déter minée par le type de numéro de téléphone à imprimer. Pour mieux illustrer ces faits, on indiquera, à titre d'exemple, les quatre types de numéros suivants: 1 ST 9200.
2 WA 8-1234. 3 hE 0034.
4 FL 2343--S. <I>Exemple 1:</I> On enfonce les touches convenables 99 des colonnes d'indicatifs de centraux et les tou ches des rangées de chiffres 100 de la cin quième et :de la sixième rangée à. partir de la droite. Le mécanisme poseur de zéros fixe automatiquement les zéros des deux ordres inférieurs du nombre, et les zéros des trois ordres restants sont éliminés. Dans l'impri merie de la bande sortante, le tiret de gauche, entre les lettres caractéristiques du central et les chiffres du numéro, est fourni par la roue à caractères du mécanisme différentiel de l'ordre le plus élevé, qui pointe un tiret gravé dans sa position d'élimination.
Le se cond tiret est gravé à côté du chiffre posé. Dans l'imprimerie de la bande de contrôle, la virgule est gravée après le caractère numéri que clé la. roue à caractères des milliers de francs. Les impressions réalisées respective ment sur la bande sortante et sur la bande de contrôle sont: 78--9200 (bande sortante) 78--9,200 (bande de contrôle). <I>Exemple</I> Les touches appropriées 99 des colonnes d'indicatifs de centraux sont enfoncées, puis on enfonce les touches de chiffres des colon nes 3, 4, 5, 6 et 7. Dans cette opération, les impressions réalisées sur les bandes seront, respectivement: 92-8-1234 (bande sortante) 92-81,234 (bande de contrôle).
<I>Exemple 3:</I> Les touches voulues 99 des colonnes d'in dicatifs de centraux sont enfoncées, puis on enfonce les touches de chiffres des colonnes 3 et 4. Dans cette opération, les impressions réalisées sur les bandes seront respectivement: 53--0034 (bande sortante) 53--0,034 (bande de contrôle). <I>Exemple 4:</I> On enfonce les touches convenables 99 des colonnes d'indicatifs de centraux, puis celles des montants des rangées 1, 3, 4, 5 et 6. Dans cette opération, le zéro de la rangée 2 est auto matiquement supprimé et c'est. un tiret qui apparaît sur la bande sortante. Dans cette opération, les impressions faites sur les deux bandes sont respectivement: 38--2343-8 (bande sortante) 38--2,343-8 (bande de contrôle).
Comme on le sait, il est habituellement souhaitable d'imprimer des zéros dans les ran gées des décimes et des centimes, même si aucune touche de chiffre n'est enfoncée dans aucune des rangées des ordres plus élevés. La raison est qu'il est courant d'imprimer un zéro dans ces deux colonnes en vue d'indiquer qu'aucune somme n'a été enregistrée et, aussi, qu'ici zéro soit imprimé dans la colonne des décimes lorsqu'un chiffre significatif a été posé dans la colonne des centimes. Par exem ple, si l'on pose cinq centimes, l'inscription réalisée doit être .05, au lieu de 5.
D'où il résulte que seuls les zéros au-dessus de la co lonne des décimes sont éliminés lorsque des sommes sont enregistrées. Dans la machine décrite, les zéros des rangées des décimes et des centimes sont libres et susceptibles d'être imprimés lorsque des sommes sont composées, et sont éliminés lorsque ce sont des niunéros de téléphone qui sont imprimés.
Le dispositif de commande en vue d'ob tenir ces résultats est représenté aux fig. 13, 14 et 15, -et son fonctionnement est commandé par la touche No. Tél. 101. .
Lorsque cette touche est dans sa position non enfoncée, un verrou 2150 (fig. 14) est dans une position telle qu'il arrête le cliquet 531 de la rangée des décimes lorsque le cli- quet est libéré pendant un fonctionnement de la machine. Le verrou 2150 pivote sur l'arbre 534, et un ressort 2151 maintient normale ment son extrémité supérieure en prise avec le .cliquet 531, afin qu'un galet 2152 porté par l'extrémité inférieure du verrou soit dans une encoche 2153 pratiquée à la périphérie d'un disque 2154.
Le disque 2154 comporte des dents internes 2155 qui engrènent avec un pignon 2156 calé sur un arbre carré 2157, semblable à l'arbre 504 (fig. 3) et porté comme lui. Un pignon 2158 (fig. 13) est situé à. proximité de l'extrémité de droite de l'arbre carré 2157, en face de la .deuxième rangée de touches, et ce pignon 2158 engrène avec les dents internes 2159 d'une couronne 2160. Le disque 2154 et la couronne 2160 sont sup portés, de manière à pouvoir tourner, par des disques<B>2161</B> et 2162, respectivement, tous deux étant portés sur un arbre 632.
La cou ronne 2160 est pourvue dé dents externes 2163 engrenant avec les dents 2164 d'un seg ment 2165 qui pivote sur l'arbre 498. Le bras supérieur du segment 2165 est pourvu d'un ergot 2166 adjacent à l'extrémité d'un cliquet d'arrêt<B>2167</B> pivotant sur une tringle 2168. Un ressort. 2169 maintient normalement l'extrémité du cliquet d'arrêt 2167 sur le tra jet de l'ergot 2166. Le cliquet est maintenu clans cette position précise du fait que son doigt 2170 est en contact avec un collier 2171 enfilé sur -Lui arbre 694. Le cliquet d'arrêt 2167 est relié à un bras<B>2172</B> par un moyeu 2173. La touche 127o. Tél.
101 est pourvue d'un ergot 2174 qui est disposé au-dessus du bras 2172 et, quand on enfonce la touche 101, le bras 2172 et le cliquet d'arrêt 2167 sont basculés de manière à éloigner l'extrémité du cliquet d'arrêt 2167 du trajet de l'ergot 2166, permettant au segment 2165 de tourner, comme expliqué phis loin, pendant les opéra tions dans lesquelles la. touche 101 est enfon cée. La rotation du segment 2165 est détermi née par une came 562 (fig. 7 et 13).
Une cou ronne 2175 (fig. 13) est montée sur un disque semblable au disque 2162, porté sur l'arbre 632, et elle comporte des dents internes en grenant avec un pignon calé sur l'arbre carré 2157, semblable au pignon 2158. La couronne 2175 comporte aussi un ergot 2176 auquel est reliée l'une des extrémités d'une bielle 2177 dont l'autre extrémité est articulée à un bras <B>2178</B> actionné par ressort 2179 et monté fou sur l'arbre à cames 229 à côté de la came 562.
Le ressort 2179 sollicite le bras 2178 dans le sens senestrorsum en vue de maintenir un doigt 2180 en contact avec un ergot 2181 porté entre deux bras 2182 et 2183 reliés de manière à se déplacer d'un seul tenant. par un moyeu 2184 (voir aussi fig. 7). Le bras 2182 porte un galet<B>2185</B> qui est en contact. avec la came 562, commandant ainsi l'enseiu- blé formé par l'ergot 2181, ley bras 2182 et 2183 et le moyeu 2181.
Lorsque des nombres sont. enregistrés dans les totalisateurs, la touche 101 No. Tél. n'est pas enfoncée et, par conséquent, le cliquet d'arrêt 2167 (fig. 13) demeure sur le trajet de l'ergot 2166. Pendant un fonctionnement de la machine dans lequel la touche \o. Tél. n'est. pas enfoncée, lorsque la. came 562 com mence à tourner pour libérer les bras 2182 et 2183, le bras 2178, la bielle 2177, les cou ronnes 2175 et 2160 et le disque 2154 sont arrêtés par le contact. de l'ergot 2166 avec l'extrémité du cliquet, d'arrêt. 2167. Il en ré sulte que le galet 2152 demeure dans l'enco che 2153 du disque 215.1 et. que le verrou 2150 empêche le cliquet 531 de la rangée des décimes de se soulever.
Comme dans les autres rangées, un rebord 544 (fig. 6) du cli- quet 531 des centimes se trouve en dessous du cliquet 531 des .décimes et, par conséquent, même si les coulisses des montants 290 des rangées des décimes et des centimes sont arrê tées en position zéro, les cliquets 531 de ces deux rangées ne peuvent pas venir se mettre en position pour ramener la coulisse des mon tants 290 et empêcher les zéros d'être posés sur la ligne d'impression.
Par conséquent, dans les opérations d'inscription de sommes, les cliquets 531 des rangées des décimes et des centimes sont rendus inopérants, et leurs coulisses de commande de caractères -166 (fig. 3) sont mises en position zéro.
Lorsque l'on désire imprimer des numéros de téléphone, on se sert. des rangées de tou ches de montants pour poser les chiffres du numéro, la, colonne d'accumulation sert à im primer un tiret et les deux rangées d'indica tifs -de centraux 99 servent à poser les sym boles représentatifs de centraux. Dans ce genre d'opérations, il est nécessaire d'empê cher l'apparition de zéros dans les colonnes des décimes et des centimes. Ce résultat est atteint. en retirant le verrou 2150 pour per mettre aux cliquets 531 des rangées des dé cimes et des centimes de fonctionner, empê chant les zéros d'apparaître dans ces deux rangées.
Le mécanisme de commande des zéros des quatre ordres inférieurs des francs, c'est- à-dire des rangées 3, 4, 5 et 6, doit aussi être nïodifié dans son fonctionnement, de manière à permettre l'impression des zéros à la fois à la gauche et à la droite de tout chiffre si gnificatif, comme, par exemple, dans le nu méro de téléphone KE 0034 ou ST 9200, dont il est question plus haut.
A cette fin, il est. nécessaire de prendre des dispositions pour que, lorsque la touche de numéros de téléphone 101 est enfoncée, le cliquet 531 de la sixième rangée soit toujours maintenu en position inopérante, qu'il 5 ait ou non une touche enfoncée dans cette ran- @rée. Etant donné que les rebords 54-1 (fig. 6) < les étriers 531 de ces ordres sont chacun en dessous du cliquet 531 de l'ordre supérieur correspondant, il suffit de maintenir le cli quet 531 de la,
sixième rangée .en position inopérante pour que les cliquets 531 des trois autres rangées soient automatiquement main tenus, eux aussi, en position inopérante. La rangée 100 des francs de l'ordre le plus élevé et la rangée d'accumulation sont utilisées pour imprimer deux - quand on compose un numéro à quatre chiffres. Les tirets sont gravés dans la position :d'élimination des roues porte-earaetères de ces deux rangées.
Pour atteindre ce résultat, on fait appel au mécanisme suivant: Un bras de verrou 2190 (fig. 15) permet de verrouiller les cli- quets 531 des quatre ordres inférieurs de francs en position inopérante lorsque aucune touche n'est enfoncée clans ces ordres au mo ment. de 1-'inscription de nombres.
Un ressort '?191 sollicite normalement le verrou 2190 %-ers le cliquet 531, associé à. la sixième ran gée de touches 100, et est empêché d'entrer en contact avec ce cliquet parce qu'un galet 2192 fixé sur l'extrémité inférieure du ver rou est en prise avec un disque de commande 2194. Ce disque comporte des dents internes 2195 qui engrènent avec un pignon 2.196 calé sur l'arbre carré 2157 précédemment men tionné. Le disque de commande 2194 peut tour ner sur un disque 1201 monté sur l'arbre 632.
Les deux disques de commande 2154 et 2194 sont actionnés ensemble par l'arbre carré 2157 et, par conséquent, lorsqu'on enfonce la touche 101 No. Tél. et que l'on fait fonc tionner la machine, la came 562 libère le bras 2182, le ressort. 2179 fait tourner le bras 2178 pour déplacer la bielle 2177 et les couronnes 2175 et, par l'intermédiaire de l'arbre carré 2157, fait tourner les disques de commande 2154 et 2194 pour dégager le cliquet 2150 du cliquet 531 de l'ordre des décimes et pour verrouiller le cliquet 531 du sixième ordre ou ordre des milliers.
Ainsi, pendant un fonctionnement de la machine, les cliquets des décimes et des cen times sont libres d'opérer pour éliminer les zéros, tandis que les cliquets 531 des quatre colonnes de francs des ordres inférieurs sont verrouillés, permettant l'impression des zéros.
Les cliquets 531 de la rangée de chiffres de l'ordre le plus élevé, de la colonne d'accu mulation et des deux rangées 99 des centraux ne sont pas déterminés par le verrou 2190 et, par conséquent, fonctionnent pour provoquer l'élimination du zéro quand une touche n'est pas enfoncée dans une de ces trois rangées.
Au début d'un enregistrement à répétition d'une somme, les coulisses 466 de commande clé caractères sont toutes dans la position qui leur a été donnée précédemment. Ceci est vrai aussi pour celles dont la position avait été déterminée par le mécanisme déterminant d'impression de zéros. Etant donné qu'il est nécessaire que les coulisses de commande de caractères 466 déterminent le mouvement des coulisses des montants 290 de telle manière que celles-ci répètent le nombre précédem ment inscrit, il est souhaitable d'empêcher que, pendant les opérations .de répétition, le mécanisme de mise en place de zéros puisse exercer une influence quelconque sur la posi tion donnée aux coulisses 290 et 466.
Pour rendre inopérants les mécanismes de commande des zéros pendant les opérations de répétition, iiu verrou 2200 (fig. 7, 9 et 10) est amené sur le trajet du cliquet 531 de la rangée de touches 100, de niunéros de télé- phone et de montants d'extrême gauche, pour maintenir inopérants tous les cliquets 531 si tués à sa droite, à l'exception des rangées des décimes et des centimes, lorsque la touche Répétition 114 est. enfoncée (fig. 7).
Ce résultat est atteint par les rebords 544 qui sont engagés par les cliquets des ordres supé rieurs. Etant donné que le rebord 54-1 de la rangée des décimes ne fait pas saillie sur le trajet du cliquet 531 de la rangée des unités, ce dernier ne commande pas le cliquet 531 de la rangée des décimes. Cependant, comme souligné plus haut, le verrou 2150 rend inopé rant le cliquet 531 de la rangée des décimes toutes les fois que la machine fonctionne avec la touche 101 No. Tél. non enfoncée. Pour empêcher toute fausse manoeuvre de la machine par enfoncement simultané de la touche No. Tél. et de la touche Répéti tion , il est prévu mi blocage réciproque, qui sera décrit. plus loin.
Le verrou 2200 pivote en 2201 sur un bras 2202 porté par l'arbre 534. La tringle 532 est aussi portée par la partie supérieure du bras 2202. Un ressort 2203 maintient normalement un talon 2204 du bras-loquet 2200 en contact avec Lui manchon enfilé sur l'arbre 534 en vue de maintenir le verrou 2200 hors de po- s "tion de contact avec le cliquet <B>5'l.</B> Un -alet I<B>a CI</B> 2205, monté sur une couronne 2206, se trouve dans le plan du verrou 2200.
Cette couronne est pourvue de dents internes<B>2207</B> engrenant avec les .dents d'nn pignon 2208 monté lui aussi sur un arbre carré 574, commandé par le mécanisme différentiel connu de la pre mière rangée des touches de transactions. Lorsque, pendant des opérations de répé tition, l'arbre 574 est réglé sous l'influence de la touche 114 Répétition enfoncée, le pi gnon 2208 fait tourner la. couronne 2206 de la position représentée à la fig. 9 à la position représentée aux fig. 10 et 11.
Pendant ce mouvement de la couronne 2206, le galet 2205 entre en contact avec le verrou 2200 et l'amène dans une position où il maintient le cliquet 531 de gauche (fig. 7) et l'empêche de gagner sa position active. <I>Touches de</I> transactions.
Les touches de transactions destinées à déterminer les diverses fonctions de la ma chine sont disposées en deiLx rangées, comme on petit le voir aux fig. 1 et 2. Par l'interiné- diaire du mécanisme différentiel des trans actions, les touches 102 à 109 provoquent la sélection des totalisateurs dans lesquels les sommes doivent être additionnées, et la tou che 101 commande le mécanisme d'embrayage de telle manière qu'aucun des totalisateurs ne soit embrayé avec les crémaillères.
Les touches 110, 115, 113 et. 116 de la pre mière rangée de transactions et. les touches 101 à 109 de la seconde rangée, outre qu'elles déterminent la sélection des totalisateurs, ont aussi pour rôle de provoquer le fonctionne ment de la machine. Par contre, les touches 111, 112, 114,<B>117</B> et 118 ne libèrent pas la machine en vue de son fonctionnement.
Interverrouillage eii,tre <I>les</I> toicches :Vo. <I>Tél. </I> <I>et Répétition .</I>
Comme indiqué précédemment, un blocage réciproque empêche l'enfoncement simLùtané de la touche 101 et de la touche 114. Ce dis positif est représenté à la fig. 12.
Sur un pivot 3210 est. articulé un levier d'interverrouillage 3211. L'extrémité dedroite 3212 de ce levier se trouve au-dessous d'un ergot 3213 de la touche de Répétition 114, et son extrémité de gauche 3214 se trouve au- dessous d'un ergot. 3215 de la touche No. Tél. 101.
L'enfoncement de la touche 114 de Répé tition soulève l'extrémité de gauche du levier d'interverrouillage 3211 et l'amène au contact de l'ergot 3215, bloquant la touche No. Tél. 101 aussi longtemps que la touche Répéti tion 114 est, enfoncée. L'enfoncement de la touche 101 soulève l'extrémité de droite 3212 du levier dInterverrouillage 3211 et l'amène au contact de l'ergot 3213 de la. touche de Répétition 114, la bloquant contre tout en foncement tant que la, touche No. Tél. 101 demeure en position enfoncée.
Le mécanisme différentiel pour la pre mière et la seconde rangée des transactions met en position des roues à caractères de la manière habituelle, afin d'imprimer des sym boles sur les bandes en fonction du type d'opération effectuée. Il n'est prévu aucune roue à caractères dans l'imprimerie de l'avis.
La machine représentée, destinée à une compagnie ou administration de téléphones, est prévue pour imprimer sur des fiches insé rables telles que notes de téléphone, chèques bancaires, reçus-quittances pour les clients, bulletins du service comptable ou notes de téléphone dont. le talon et le bulletin ont été détachés. Les données à imprimer compren nent la date, un symbole identifiant la com pagnie, avec le mot payé , le numéro de la machine ou du caissier, un numéro d'ordre, un symbole représentant la transaction, Lin symbole représentant la nature de l'entrée comptable et le montant du paiement.
Le mé canisme imprimeur destiné à imprimer sur la fiche insérable est. disposé à la partie infé rieure gauche de la machine, comme on peut le voir à la fi-. 1.
L'impression et l'avance des différents do- cuments auxquels il a été fait allusion ci-des sus sont. commandées depuis le clavier de la machine, d'une manière connue en soi, de sorte que les mécanismes utilisés ne sont pas décrits.
Un mécanisme permet d'imprimer une bande de contrôle destinée à recevoir des don nées comprenant un numéro de caissier ou le numéro de la machine, le numéro d'ordre de la transaction, un symbole d'identification du type de transaction, le montant de la trans action et un symbole indiquant la nature de l'opération effectuée lorsque ce sont des som mes qui sont introduites dans la machine. Lorsque c'est Lin numéro de téléphone qui est enregistré, le mécanisme imprimeur de bande de contrôle inscrit le numéro du caissier ou le numéro de la machine, un numéro d'ordre el le numéro de téléphone.
Les données im primées sur la bande de contrôle sont repré sentées à la fig. 16.
Etant donné que les renseignements im primés sur cette bande sont, à l'exception de la date, sensiblement les mêmes que ce qui est représenté sur le bulletin d'avis représenté à la fig. 17, il n'a pas été jugé nécessaire de dé crire les mécanismes d'impression et d'avance de la bande de contrôle, qui peuvent être de n'importe quel modèle approprié.
Dans le système comptable pour lequel on utilise la machine représentée, le caissier fournit au service comptable des avis qui comprennent un ticket destiné à être utilisé dans ce service en vue de, vérifier les comptes en retard. Le ticket porte deux inscriptions, l'unc comprenant le numéro de l'abonné, l'au tre comprenant la somme payée. Ce ticket, appelé avis, est représenté en fig. 17.
L'impression de la bande sortante est essentiellement de type connu et n'est pas dé- crite ici en détail.
Avanceraient <I>de</I> la <I>bande sortante - Avis.</I> La bande sortante est représentée en fig. 17, telle qu'elle apparaît dans les trans actions d'émission d'avis, et elle est prévue pour permettre au service comptable de sui vre les comptes retardataires. Toutes les fois qu'un caissier redoit un versement correspon dant à un compte retardataire, il compose tout d'abord le numéro d'abonné sur le cla vier et enfonce la touche 101 No. Tél. . Le numéro une fois imprimé, la bande avance d'environ<B>15</B> mm.
Pendant l'opération qui suit immédiatement, la somme payée est com posée et la machine est déclenchée par enfon cement de la touche Avis 111 et la touche désirée .de classification (104 à 109). L'en foncement de la touche 111 provoque, après l'inscription des données représentes à la se conde ligne de la fig. 17, une longue avance de la bande, suffisante pour faire porter la bande sortante au-delà d'un couteau de s6pa- ration.
Clé. <I>de</I> caissier.
La machine représentée peut être munie d'une clé de caissier 2210 (fig. 21 et 22) qui peut être introduite dans une fente 89 située près de l'angle inférieur gauche de la machine (fig. 1 et 2). Quand on l'introduit dans la fente 89, la clé de caissier 2\310 donne à des roues à caractères (non représentées) une po sition faisant apparaître un nombre de deux chiffres, ou tout antre symbole approprié, sur la ligne d'impression des trois sections d'imprimerie, ceci afin d'identifier l'employé qui a effectué l'opération sur la machine.
En même temps, un interverrouillage empêche normalement le déclenchement de la machine.
La fente 89 -est pratiquée dans uti bâti 2211 (fig.18, 19, 20 et 24). Deux crémaillères 2212 coulissent dans dies rainures-guides pra tiquées dans le bâti 2211, et chacune des eré- ma.illères engrène avec un pignon 2213 sus ceptible de tourner sur un manchon porté par Fan des pivots 2214. Chaque pignon 2213 est fixé à un engrenage 2215 qui, à. son tour, en grène avec uns couronne 2216, cette dernière comportant aussi des dents internes 2217.
Chaque couronne 2216 est supportée par un disque 2218 porté sur un arbre 510. Les dents internes 2217 de chaque ,couronne engrènent avec un pignon 2219 engrenant avec un pi gnon 2221 monté sur un arbre carré 2222. Ce lui-ci s'étend au travers des trois sections d'imprimerie et comporte des pignons sem blables aux pigaions 2221, disposés de manière à engrener avec les pignons 2219. Ceux-ci en grènent avec les couronnes (non représentées) destinées à mettre en position les roues à ca ractères de numéro .de machine.
Lorsqu'il est prévu une clé de caissier, l'aligneur fixe Habi tuel (non représenté) est omis pour permet tre le réglage des roues à caractères par une clé de caissier, auquel cas aucun numéro de machine n'est. composé et imprimé.
Les roues à caractères sont réglées par la clé de caissier par l'intermédiaire des con nexions ci-dessus lorsque la clé de caissier 2210 est, introduite dans la fente 89 et en foncée.
L'extrémité supérieure de chaque crémail lère est pourvue d'un doigt se terminant au bord de la fente 89. Un chemin de came 2223 est pratiqué à l'extrémité supérieure de cha que crémaillère 2212 et entoure une tringle 2224. La clé de caissier comporte un ergot 2225 fixé sur l'un de ses côtés et., quand la clé est introduite dans la. fente 89 et enfoncée, cet ergot vient en prise avec le sommet des crémaillères 29212 et les pousse vers le bas. De ce fait, les chemins de cames 2223, agissant.
sur la tringle fixe, basculent les extrémités supérieures des crémaillères vers la clé et forcent les doigts à pénétrer dans les fentes 2226 pratiquées clans la clé de caissier 2'_'10. La pression continuant de s'exercer sur la clé de caissier, les crémaillères sont poussées vers le bas et règlent les roues à. caractères de telle. sorte que sur la ligne d'impression appa raissent des caractères correspondant aux po sitions occupées sur la clé par l'ergot 2225 et les fentes 2226.
L'ergot '2225 est disposé et conformé de manière à obliger un certain chiffre de la roue à apparaitre, ce qui cons titue un moyen d'identifier le caissier qui a fait fonctionner la machine, chaque caissier étant muni d'une clé différente.
Une plaque à ressort 2227 maintient nor malement les crémaillères 2 _1.2 dans leur po sition haute, clans laquelle elles sont ramenées lorsque la clé de eaissier est retirée. Les ten tes 2226 étant en prise avec les doigts des cré maillères, soulèvent les coulisses et, le chemin de came 2223 entre en contact avec la tringle 2224 vers la fin de leur mouvement ascen dant., de sorte que les doigts sortent des fen tes, et les crémaillères entrent en contact avec la plaque à. ressort.<B>2227.</B>
Un arbre de déclenchement Habituel (non, représenté) est verrouillé contre tout morve ment de déclenchement lorsque aucune clé de caissier 2\_'10 n'est en position de réglage des roues à caractères. y1 cet. effet, une bielle de déclenchement 939 (fi-. 18) porte un ergot carré 2230 qui est. disposé au-dessus d'un rebord 2231 d'une bielle 2232, laquelle com porte une fente lui permettant d'être suppor tée par un pivot 1019.
L'extrémité de gauche (fig. 18) de la. bielle 2232 est portée sur l'ex- trémit6 d'une autre bielle 2234 qui pivote en 2235 sur le bâti 2211. La bielle 2232 est re pliée à. angle droit, de façon qu'un doigt pal peur 2236 soit. à l'alignement d'une fente 2237 (fig. 22) de la clé de caissier 2210, lors- que celle-ci est mise en position dans la fente 89.
Un ressort. 2238 appuie l'extrémité de droite de la fente de la bielle 2231 contre le pivot. 1019, comme on petit le voir â la fil-. 18, de manière à placer le doigt palpeur 2236 sous la fente 89.
Lorsqu'une clé de caissier 2210 est. insérée dans la fente 89, son extrémité inférieure entre en contact avec une arête-came prévue sur le doigt. palpeur 2236 et, de ce fait, dé place la bielle 2232 vers la droite (fig. 18), de sorte que le rebord 2231 se trouve écarté de l'ergot carré 2230. Lorsque la clé pousse la bielle 2232 de toute sa longueur, un épaule ment 2239 vient se placer sous l'ergot carré 2230 pour empêcher que la machine ne soit déclenchée avant que la clé ne soit complète ment enfoncée.
Lorsque la clé de caissier 2210 a atteint le fond de sa course d'enfoncement, le nez du doigt palpeur 2236 pénètre dans la fente 2237 pour permettre au ressort 2238 de ramener la bielle partiellement vers sa posi tion d'origine, dans laquelle le rebord 2231 et l'épaulement 2239 sont tous deux hors du trajet de l'ergot. carré 2230, ce qui permet à celui-ci de se déplacer entre le rebord 2\331 et l'épaulement 2239 lorsque la machine est, dé clenchée. Ceci empêche également que la clé de caissier 2210 ne soit retirée pendant le fonctionnement de la machine, étant donné que toute tentative de le faire serait contre carrée par l'ergot carré 2230.
Il existe une position du doigt. palpeur 2236, pendant le mouvement d'enfoncement, pour laquelle le rebord 2231 et l'épaulement 2239 sont à la fois tous deux hors du trajet de l'ergot. carré 2230. Un opérateur malhon nête pourrait à. ce moment déclencher la ma- elline en enfoliccant partiellement la clé de caissier 2210 assez loin pour que le rebord se trouve éloigné du trajet de l'ergot carré 2230 et déclencher la machine, falsifiant ainsi le document imprimé en y faisant imprimer un symbole de Baissier autre que celui qui est représenté par la clé.
Pour empêcher cette rnanoeuvre malintentionnée, une seconde bielle 2210 (fig. 24) comporte une fente, de manière à pouvoir coulisser sur l'ergot 1019 et est munie, de plus, sur son extrémité de gauche, d'un ergot 2241 (fig. 24) qui fait saillie dans une fente pratiquée dans le bâti 221.1. Un ressort 2242 maintient normalement l'extré- mité de droite de la fente de la bielle 2240 contre l'ergot 1019. Lorsque la bielle est dans cette position, un téton 12243 se trouve placé sous l'ergot carré 2230 et empêche le mouve ment de la bielle de déclenchement 939.
Sur le côté de la bielle 2240 est fixé un doigt palpeur 2243 comportant une arête- came 2244 qui se trouve normalement sur le trajet de la. clé de caissier 2210. L'emplace ment du doigt palpeur 2243 par rapport. à la clé de caissier 2210 est tel que la bielle 2 Z40 n'est pas déplaeée assez loin pour écarter le téton 12243 de l'ergot 2230 tant que l'épaule ment 2239 de la bielle 2232 n'a. pas été re tiré de l'argot 2230.