Machine de comptabilité. L'invention a pour objet une machine de comptabilité comprenant des dispositifs pour imprimer sur un formulaire d'enregistrement inséré dans la machine, plusieurs touches con trôlant le genre d'opération de la machine, des dispositifs de déblocage et de blocage de la machine, et un dispositif capable de perce voir la présence ou l'absence du formulaire d'enregistrement, caractérisée par des dispo sitifs qui maintiennent normalement le dispo sitif de perception en position inefficace, et des liaisons entre les touches de contrôle et les dispositifs de maintien précités,
lesquelles liai sons sont agencées de façon que l'actionnement de certaines des touches libère les dispositifs de maintien pour rendre le dispositif de per ception efficace afin de faire fonctionner les dispositifs de blocage si la présence du formu laire d'enregistrement dans la machine n'est i pas perçue.
La machine représentée au dessin est dé crite expressément à titre d'exemple, comme étant une forme d'exécution particulière de la machine faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue schématique du clavier de la machine.
Fig. 2 est une section de la machine prise à droite de l'une des rangées de touches, mon trant le mécanisme différentiel qui s'y rap porte.
Fig. 3 est une vue schématique d'une partie d'un mécanisme contrôlant le fonctionnement des mécanismes différentiels de certaines ran- gées de touches de transaction par certaines touches de transaction de n'importe laquelle des rangées, et aussi par des touches de la rangée des totaux.
Fig. 4 représente une section de la machine prise à droite de la rangée 1 de touches, en regardant vers la gauche de la machine, la rangée susdite de touches étant brisée à la partie supérieure afin de montrer des cliquets relatifs aux touches supérieures dans la ran gée 3 et une partie des moyens contrôlés par lesdites touches, permettant. de dégager le lo quet différentiel du mécanisme associé à la rangée 1 de touches.
Fig. 5 représente une vue latérale frag mentaire des moyens contrôlés par la rangée d de touches des totaux, permettant de dégager le loquet différentiel du mécanisme associé à la rangée 1 de touches.
Fig. 6 est une vue latérale fragmentaire des moyens contrôlés par les touches de la rangée 3 servant à dégager le loquet différen tiel du mécanisme associé à la rangée 1 de touches.
Fig. 7 est une vue ,latérale détaillée d'un mécanisme contrôlé par la rangée des touches de totaux servant à ajuster, de façon différen- tielle, des moyens propres à contrôler le fonc tionnement de moyens de blocage de la ma chine.
Fig. 8 est une vue latérale -détaillée d'un mécanisme contrôlé par la rangée 1 de touches servant, à ajuster de façon différentielle des moyens permettant de contrôler le fonctionne ment des moyens de blocage de la- machine.
Fig. 9 est une vue en plan de dessus de moyens d'avancement, de moyens de blocage et de moyens de déblocage manuels desdits moyens de blocage.
Fig. 10 est une vue en plan fragmentaire de dessus des moyens de déblocage manuels des moyens de blocage.
Fig. 11 est -un fac-similé d'une partie d'un formulaire de contrôle d'une feuille de paye. Fig.12 est un fac-similé d'une partie d'un formulaire d'enregistrement d'un chèque de paye.
Fig. 13 est une vue en élévation latérale détaillée des moyens de blocage, des moyens sélectifs de contrôle du fonctionnement des moyens de blocage et des moyens servant à débloquer manuellement les moyens de blo cage.
Fig. 14 est une vue latérale détaillée d'un mécanisme- d'avancement pour le formulaire d'enregistrement du chèque de paye et pour le formulaire de contrôle de la feuille de paye.
Fig. 15 est une vue latérale détaillée de moyens sélectifs de contrôle du mécanisme d'avancement permettant de faire parcourir des distances variables aux pièces justifica tives.
Fig. 16 est une vue latérale détaillée de moyens actionnés à la main, permettant de faire fonctionner le mécanisme d'avancement.
Fig. 17 est une vue latérale détaillée d'une partie du mécanisme d'avancement, et fig. 18 est une vue latérale détaillée d'un disque de contrôle, -qui est ajusté de façon différentielle sous le contrôle de certaines des touches des totaux, pour contrôler le méca nisme d'avancement pendant la progression du formulaire de contrôle des feuilles de paye.
La machine représentée est d'un type connu. Elle comprend plusieurs totalisateurs dans lesquels divers montants peuvent être distribués, selon le. système pour lequel la machine est conçue. Dans l'exemple considéré, les totalisateurs sont aptes à recevoir les nom- breiLx et différents postes composant les transactions individuelles dont on a à s'occu- per lorsqu'on remplit des feuilles de paye. La machine comprend ce qu'il a généralement été convenu d'appeler des totalisateurs d'addition et de soustraction ou balanceurs , au moyen desquels un solde peut être im primé à n'importe quel moment.
La machine présente également un méca nisme d'entraînement à engrenage interne- externe du type bien connu, qui sert à indi quer simultanément sur des groupes de dis- positifs d'impression les montants et les don- nées sous .le contrôle des touches, afin que l'impression puisse immédiatement avoir lieu sui plusieurs formulaires à la fois.
Le clavier de la machine est disposé de façon à pouvoir être adapté à des systèmes employés par des organisations qui désirent émettre des chèques de paye et qui veulent garder des pièces justificatives très complètes concernant toutes les transactions qui se rap portent à l'émission de certains chèques de paye. La machine comprend par conséquent des touches de capacité suffisante pour effec tuer un tel genre de travail. Elle comprend aussi trois rangées de ce qu'il est convenu d'appeler touches de contrôle destinées :3. choisir divers totalisateurs pour la distribu tion des transactions entrées dans la machine.
De plus, il y a aussi une rangée de touches de totaux qui contrôlent la machine dans le but de prendre les totaux des postes néces saires lorsque le chèque de paye est imprimé et dans le but de vider les divers totalisa teurs à la fin de la journée lorsqu'il est jugé opportun de vider la machine, afin de la préparer pour le travail du lendemain ou de n'importe quelle autre période subséquente.
Les rangées .de touches de contrôle men tionnées ci-dessus seront appelées dans la suite touches de transactions et ces rangées sont désignées en fig. 1 par les chiffres 1, 2 et 3, afin de permettre de mieux comprendra les contrôles effectués par ces touches sur le mécanisme d'avancement et le mécanisme de blocage de la machine. La rangée de touches apparaissant à l'extrême droite de la fig. 1 sera appelée rangée des totaux dans la des cription suivante.
<I>Châssis et mécanisme</I> d'actionnement. Le châssis de la partie principale de la machine comprend une paire de cadres laté raux 60 et 61 (fig. 2, 4 et 10) qui supportent la majeure partie des mécanismes de la ma chine et qui, à leur tour, sont fixés à une base 62 (fig. 2) et sont, de plus, supportés les uns par rapport aux autres par divers cadres transversaux, tiges et barres. La base 62 re pose et est fixée sur quatre cadres latéraux imprimeurs, seul le cadre 63 de gauche (fig. 2) et les deux cadres 64 et 65 de droite (fig. 9 et 10) étant .représentés sur le dessin.
Les cadres imprimeurs sont à leur tour mon tés sur une sous-base et sont maintenus en relation latérale appropriée les uns par rap port aux autres par différentes tiges et barres, l'une -de ces dernières (66) étant visible à la fig. 2.
Les mécanismes de la machine, en parti culier le mécanisme imprimeur, sont renfer més dans un carter 67 (fig. 2 et 4) présen tant des parties articulées nécessaires à l'opé rateur pour lui permettre d'accéder à cer taines parties de la machine quand cela est nécessaire. Les parties articulées sont munies de verrous afin d'empêcher les personnes non autorisées d'avoir accès aux parties internes de la. machine.
Normalement, la machine est actionnée à l'électricité au moyen d'un moteur; de plus, une manivelle est prévue afin de pouvoir faire fonctionner la machine à la main en cas de besoin. Un levier de démarrage servant à, mettre la machine en marche n'a pas été in troduit dans cette machine-ci. Au lieu d'em ployer un levier de démarrage, on abaisse, pour la mise en marche de la machine repré sentée, l'une quelconque des touches appelées touches d'actionnement se trouvant dans les rangées de touches de transactions 1, 2 et 3 et également dans la moitié inférieure de la rangée des totaux. Ces touches seront dé crites de façon plus détaillée plus loin.
L'abaissement de l'une quelconque des touches d'actionnement débloque un arbre 75 de blocage des touches (fig. 2, 4, 10 et 13) sous l'action d'un ressort, lequel ressort dé- place quelque peu l'arbre 75 dans le sens des aiguilles d'une montre, afin de faire fonc tionner un mécanisme d'embrayage, qui relie le moteur d'entraînement à un arbre princi pal 76 (fig. 2 et 3) tourillonnant dans le cadres latéraux 60 et 61.
Le déplacement de l'arbre 75 fait également fonctionner simulta nément un mécanisme de commutation qui ferme le circuit du moteur, en sorte que cc dernier entraîne l'arbre principal 76.
La machine est apte à exécuter deux type différents d'opérations, dont l'une est une opération d'addition et consiste en un cycle de fonctionnement- et dont l'autre est une opération de totalisation et consiste en deux cycles de fonctionnement.
Une fois que la machine a exécuté le nombre de cycles nécessaires pour parachever le type d'opération qu'on est en train d'effec tuer, l'arbre 75 de blocage des touches est ra mené dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre,. de manière à se déga ger du mécanisme d'embrayage et à ouvrir en même temps le commutateur du circuit du moteur électrique. Lorsque la machine est ac tionnée à la main au moyen de la manivelle, les touches d'actionnement sont employées pour débloquer la machine exactement de la même façon que si la machine fonctionnait à l'électricité.
<I>Clavier.</I> Le clavier de la machine est montré sous forme schématique à la fig. 1, et on remar quera que ce clavier présente six rangées de touches 77 de montant, qui sont employées pour indiquer les montants qui doivent être additionnés dans la machine. Le clavier pré sente aussi trois rangées de touches de transactions, celles de la rangée 1 étant dési gnées par 78, celles de la rangée 2 étant dé signées par 79 et celles de la rangée 3 étant désignées par 80.
Il y a également une ran gée de touches de totaux qui comprend deux touches de totaux 81, qui servent à choisir les totalisateurs des diverses lignes correspon dant aux rangées 2 et 3 des touches de trans actions, au moment où l'on prend les totaux -des totalisateurs individuels correspondant à ces deux rangées.
Dans la rangée des totaux, il y a également quatre touches 82, qui ser vent à choisir les totalisateurs imprimant les différents totaux nécessaires pour compléter la transaction correspondant à \n'importe quel employé quand son chèque de paye est imprimé dans la machine.
Les totalisateurs et leurs différents acces soires, y compris leur mécanisme appelé ba- lanceur , seront expliqués plus tard dans le chapitre intitulé Totalisateurs . La façon dont les touches de transaction 78, 79 et 80 et les touches de totaux 81 et 82 contrôlent le choix des différents totalisateurs, ainsi que la façon dont les touches 81 et 82 contrôlent le mouvement d'engagement et de dégagement des différentes .lignes de totalisateurs sont bien connues.
Par conséquent, on donnera seulement une description générale des totalisateurs.
La machine permet d'imprimer un certain nombre de formulaires à la fois, par exemple les pièces justificatives comprenant les salaires détaillés des employés, un chèque de paye et un extrait détaillé des salaires bruts, rem boursements, déductions et salaires nets sur un talon du chèque de paye. De plus, la ma chine permet d'imprimer n'importe lequel de deux formulaires, notamment le formulaire d'enregistrement du chèque et le formulaire de contrôle -de la feuille de paye.
Certaines des touches des rangées 1, 2 et 3, ainsi que de la rangée des totaux, per mettent de contrôler de façon sélective le fonctionnement des moyens de blocage de la machine contre tout fonctionnement subsé quent, quand l'impression a lieu dans l'avant- dernier espace du formulaire d'enregistrement du chèque ou dans le dernier espace du for mulaire de contrôle de la feuille de paye, selon que l'un ou l'autre de ces deux formu laires est .utilisé.
De même, les mêmes touches contrôleront le fonctionnement de ces moyens afin de bloquer la machine contre tout fonc tionnement subséquent quand la machine fonctionne sans qu'in formulaire d'enregistre ment de chèque ou un formulaire de contrôle de la feuille de paye y ait été introduit. C'est à cette fonction particulière des touches sus- mentionnées que l'invention est relative et la.
description détaillée concernant ces touches se limitera à définir surtout les moyens propres à accomplir les résultats mentionnés ci-dessus.
<I>Rangées des touches de montants et leurs</I> <I>mécanismes différentiels</I> correspondants. Ainsi qu'il a été dit précédemment, la ma chine a six rangées de touches de montants qui servent à imprimer les sommes qui doivent être entrées dans la machine. Cependant, comme toutes les rangées de touches 77 et leurs mécanismes différentiels correspondants sont similaires à, tous points de vue, une des cription d'une de ces rangées de touches et de son mécanisme différentiel sera suffisante.
La fig. 2 est une coupe transversale de la machine prise exactement à droite de l'une des rangées des touches de montants, cette vue montrant ladite rangée et son mécanisme différentiel correspondant, qui sera considéré comme servant d'exemple à toutes les ran gées de touches de montants.
Les touches 77 de montants sont montées dans un châssis 90 supporté par des tiges 91 et 92 s'étendant entre les cadres latéraux 60 et 61 de la machine. L'abaissement d'une des touches 77 fait osciller un cliquet d'arrêt à zéro 93 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de manière à le dégager du chemin parcouru par un croisillon 94 monté librement sur un moyeu 'un dispositif d'ac- tionnement différentiel 95 pour les montants,
lequel dispositif peut tourner sur un moyeu 96 s'étendant entre deux plaques de support 97 similaires (une seule de ces plaques étant représentée). A leur tour, ces plaques de sup port 97 sont supportées par des tiges 98 et 99 s'étendant entre les cadres latéraux 60 et 61. Il y a une paire de plaques de support 97 pour chaque mécanisme différentiel et une tige 100 passant dans les trous centraux des moyeux 96 pour assurer que tous les méca nismes différentiels pour les montants for ment un ensemble compact.
Une fente ménagée dans l'extrémité avant du croisillon 94 peut recevoir im goujon d'un bras de déverrouillage 101 pivotait sur un prolongement .du dispositif d'actionnement 95. Le bras 101, de même qu'un autre bras 102 y associé, supportent ensemble un verrou diffé rentiel 103, de manière à permettre à celui-ci un déplacement horizontal.
Un ressort 104 sol licite les bras 101 et 102 et le verrou diffé rentiel 103 vers l'arrière, de façon â maintenir une saillie 105 en forme de pied dudit verrou en prise avec un épaulement 106 prévu sur un segment d'entraînement différentiel <B>107</B> pouvant tourner sur le moyeu du dispositif d'actionnement 95.
Une bielle 108 est articulée au segment 107 et à un levier de came 109 pivotant sur un goujon 110 à gauche d'une des plaques 97, le levier 109 portant des ga lets 111 et 112 qui coopèrent respectivement ï avec les périphéries de cames 113 et 114 calées sur l'arbre principal 76. Quand on abaisse une des touches 77, la partie infé rieure de cette touche vient se placer sur le trajet d'une surface arrondie 115 d'une sail lie du bras 101.
Lorsqu'on effectue des additions, l'arbre principal 76 et les cames 113 et. 114 font lui tour dans le sens des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi le levier 109 fait tourner le segment 107 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite dans le sens inverse pour revenir à sa position nor male.
Pendant ce mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, le segment 107 entraîne, au moyen de l'épaulement 106 et en coopération avec la saillie 105 du verrou 103, ledit verrou et le dispositif d'actionnement 95 dans le sens des aiguilles d'une montre jus qu'à ce que la surface arrondie 115 touche la partie inférieure de la touche 77 de montants.
Lorsque ce contacta lieu, le bras 101 et le bras y associé 102 pivotent en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, afin de libérer la saillie 105 de l'épaulement 106, de façon à interrompre le mouvement dans de sens des aiguilles d'une montre du dispositif d'actionnement 95 et à le placer sous la commande de la touche 77 de montants. Le fait de libérer le verrou 103 amène une saillie arrondie 116 de ce dernier en contact avec -une saillie correspondante d'une série d'entailles 117 formées dans une plaque 118 fixée entre la tige 98 et une
saillie supérieure de la plaque de support de gauche 97.
Une fois que le verrou 103 est libéré de l'épaulement 106 du segment 107, ce segment continue sans interruption à se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre et provo que, par la partie inférieure de .la saillie 105, le blocage de la saillie 116 du verrou 103 dans l'entaille 117 au moyen d'une surface arquée 119 du segment en question; cette entaille 117 correspond à la touche 77 de montants abaissée.
Lorsque le levier 109 et le segment 107 atteignent la fin de leur mouvement ini tial dans le sens des aiguilles d'une montre, un galet 120 porté par le levier 109 vient en prise avec une surface arquée 121 d'un balan cier 122 -des montantes, pivotant en 123 par rapport au dispositif d'actionnement 95, et force une surface arquée du bord supérieur dudit balancier à venir en .contact avec le moyeu dudit dispositif d'actionnement 95, de façon à placer le balancier 122 dans une po sition correspondant à.
la touche de montants 77 abaissée. Le balancier 122 présente une fente 124 dans laquelle est engagé un goujon 125 d'une bielle 126, dont la partie supérieure est reliée par articulation à un segment 7.27 de placement des indicateurs et de sélection des totalisateurs, monté sur un tube d'une série de tubes 128 supportés par un arbre 129 tourillonnant dans les cadres latéraux 60 et 61.
L'extrémité inférieure de la bielle 126 est reliée par articulation à un segment 137 monté librement sur un arbre 138 tourillon- nant dans les cadres 60 et 61.
Le segment 137 porte un goujon 139 engagé dans une rainure faisant office de came d'une plaque- came d'élimination des zéros 140 montée à pivotement sur -m goujon 141 d'un segment denté 142 monté librement sur un arbre 143 tourillonnant également dans les cadres laté raux 60 et 61.
Les dents du segment denté 142 engrè nent avec les dents. extérieures d'une roue 144 dentée intérieurement et extérieurement, dont les dents intérieures engrènent avec un pignon 145 qui entraîne un arbre carré 146. L'arbre 146,à son tour, entraîne des pignons semblables, engrenant avec les dents inté rieures de roues dentées similaires à la roue dentée 144,
les dents extérieures desdites roues dentées étant agencées de faon à engrener et à entraîner des roues porte-caractères cor respondantes 147 dans .chacune des rangées du mécanisme imprimant les colonnes, lequel mécanisme sert, dans le cas présent, à impri mer des inscriptions soit sur un formulaire d'enregistrement de chèque, soit sur Lm for mulaire de contrôle d'une feuille de paye, ainsi que sur des formulaires de salaires des employés,
des chèques de paye et un talon du chèque de paye.
Cette méthode d'entraînement des roues du mécanisme imprimant les colonnes est bien connue.
Pour aligner de façon -appropriée le méca nisme différèntiel ainsi que les roues porte- caractères précitées, on a prévu sur chaque segment 127 une série d'entailles 148 en prise avec im aligneur 149 fixé à un arbre 150.
L'aligneur 149 est libéré des entailles 148 pendant le déplacement différentiel des roues porte-caractères et, une fois que ces roues ont été placées sous le contrôle des touches au moyen du mécanisme différentiel, l'aligneur 149 est à nouveau amené dans les entailles 148, de façon à aligner les roues porte-carac- tères pendant l'impression.
La machine comprend -un mécanisme d'éli mination ,des zéros qui sert à contrôler l'im pression des zéros et qui est contrôlé par la plaque-came d'élimination des zéros 140 sLLs- mentionnée, ce mécanisme étant bien connu. <I>Totalisateurs.</I>
La machine possède les trois lignes Coutu- mières de totalisateurs N 5 1, 2 et 3, repré sentées à la fig. 2. La ligne N 1 ne porte qu'un totalisateur de soldes, connu sous le nom de balanceur . Les lignes N 9 2 et 3 compren nent chacune dix des types de totalisateurs d'addition bien connus.
Les roues du balançeur de la ligne supé rieure N 1 sont indiquées par 151, alors que les roues des totalisateurs d'addition des lignes N g 2 et 3 sont indiquées par 152 et 153 res pectivement.
Des totalisateurs de ce genre sont connus depuis longtemps et une description de la construction de ces totalisateurs n'est, dès lors, pas nécessaire.
Ainsi que cela se présente habituellement avec des machines de ce genre, chacun des dispositifs -d'actionnement 95 est divisé en trois sections dentées 160, 161 et 162; les sec tions 160 actionnent le balancenr de la ligne N 1, les sections 161 actionnent les totalisa teurs de la ligne N 2 et les sections 162 actionnent les totalisateurs de la ligne N 3.
Lors d'opérations d'addition, les roues du totalisateur ou des totalisateurs choisis, sui vant le cas, viennent en prise avec leurs jeux respectifs de sections dentées 160, 161 et 162 des dispositifs d'actionnement 95, après que lesdits dispositifs ont terminé leur déplace ment dans le sens des aiguilles d'une montre sous la commande des touches de montants 77.
Le mouvement de retour, en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, des dispo sitifs d'actionnement 95, fait tourner les roues du totalisateur ou des totalisateurs choisis proportionnellement à la valeur des touches de montants 77 abaissées, afin d'inscrire dans lesdits totalisateurs le montant correspondant aux touches abaissées. Dans le cas d'opéra tions de soustraction, les roues correspon dantes 151 de soustraction du balanceur viennent en prise avec la section dentée 160 du dispositif d'actionnement 95 exactement.
comme dans les opérations d'addition, et le mouvement de retour du dispositif d'actionne ment fait tourner les roues d'addition du ba- lanceur dans le sens inverse de celui des aiguilles,d'une montre par l'intermédiaire d'un engrenage de renversement habituel, qui est bien connu dans la technique.
Si aucune touche 77 (fig. 2) de montants n'est abaissée, le cliquet d'arrêt de zéro 93 reste sur le parcours du croisillon 94, lors du déplacement initial dans le sens des aiguilles d'une montre du dispositif d'actionnement 95, et vient en prise avec ledit croisillon, tout en dégageant le verrou 103 afin de placer ledit. dispositif d'actionnement dans la position zéro.
Une fois que le dispositif d'actionnement 95 est placé à zéro, le galet 120 met le balan cier 122 en place, la bielle 126, de même que les segments 127 et 137 étant positionnés, par rapport au dispositif susdit, ainsi qu'il est montré à la fig. 2.
A la fin de n'importe quelle opération, le dispositif d'actionnement 95 retourne toujours i à sa position initiale, ainsi qu'il est montré à la fig. 2. Cependant, la bielle 126 et le méca nisme d'impression contrôlé par cette dernière restent dans leur position à la fin des opéra tions de la machine et sont directement dépla cés de ces positions dans de nouvelles positions pendant les opérations successives de la ma chine, au moyen du même mécanisme à balan cier, qui est également bien connu dans la technique, et auquel on se réfère souvent en l'appelant dispositif à mouvement minimum .
Le mécanisme de transfert habituel sert à transférer des montants positifs et négatifs de dénominations plus basses à des dénominations plus hautes. <I>Touches de</I> transactions <I>et</I> mécanismes dif <I>f</I> érentiels <I>y</I> associés.
Comme mentionné ci-dessus, la machine est munie de trois rangées de touches de trans actions 78, 79 et 80 (fig. 1). Toutes les tou ches de transactions sont munies de petits numéros à leur base, allant de 1 à 9 dans la rangée 1, de 10 à 18 dans la rangée 2 et de 19 à 27 dans la rangée 3, numéros qui indi quent les diverses positions de ces touches et les totaux dans la machine.
En plus de leur fonction de sélection et de contrôle du fonctionnement du mécanisme d'impression, ces touches contrôlent la sélec tion des totalisateurs afin d'enregistrer leurs différents postes; cette fonction sera décrite ci-après en relation avec chacune des touches.
Si on considère tout d'abord les touches de la rangée 1, la. touche N 3 Ajustement de débit et la touche N 6 Ajustement de crédit sont -utilisées afin de faire entrer soit dans le côté moins , soit dans le côté plus du balanceur , le montant correspondant selon qu'in employé a touché phis ou moins que son salaire réel.
Par exemple, en suppo sant que la feuille de paye ait été préparée pour la semaine se terminant le-vendredi et que le chèque de paye de l'employé soit établi de façon qu'il couvre le travail qu'il effectue le samedi, et si pour une raison ou une autre, l'employé en question ne travaille pas le samedi, il sera tout de même payé pour ce jour. Par conséquent, lorsque le chèque de paye de la semaine suivante sera établi, un débit ajusté sera fait sur le salaire de l'em ployé, égal au montant du salaire du dernier samedi, et pour lequel il avait été payé précé demment.
D'autre part, au cas où l'employé ferait des heures supplémentaires une fois que le chèque de paye a été établi, il ne recevra pas de salaire pour le travail supplémentaire sur le chèque:de paye de :cette semaine, mais rece vra un crédit ajusté pour le montant en ques- tionsur 1e chèque de paye delasemaine suivante.
La touche N 7 Déduction annulée est employée lorsque les déductions effectuées du salaire de l'employé dépassent le montant net gagné, auquel cas la machine est bloquée lorsque la. touche 82 Chèque net est abaissée. L'opérateur doit alors abaisser la touche 82 Excédent de déduction de la rangée des totaux, en sorte que la machine n'indiquera que le montant de l'excédent du balanceur . L'opérateur choisit alors une des déductions correspondant à l'une des touches 10 à 18 et indique le montant d'une telle déduction sur les touches 77 de montants, abaisse la touche 7 Déduction annulée (qui est une touche n'imprimant pas),
et abaisse celle des touches 10 à 18 qui correspond à la déduction parti culière. Ceci aura comme résultat de placer un solde positif sur le balanceur .
La touche N 9 Chèque net total est uti lisée avec la. touche 81 Vider rangée 3 de la rangée des totaux en vue de vider les totaux des groupes sur la. rangée 3.
Considérant maintenant les touches de transactions 79 de la rangée 2, les touches nu mérotées 10 à 18 inclusivement sont utilisées en relation avec les touches 77 de montants, afin d'additionner les montants des diffé- rentes déductions dans leurs totalisateurs res pectifs dans la ligne N 2 et en même temps afin d'indiquer le même montant sur le côté moins du balanceur associé à la rangée 1 et figurant sur la ligne N 1 des totalisateurs.
Considérant les touches de transactions 80 de la rangée 3, la touche N 19 Taxe d'assu rance- sociale est utilisée avec les touches 77 de montants afin d'additionner le montant de la taxe d'assurance sociale dans le totalisateur approprié sur la ligne N 3 correspondant à cette touche, et en même temps afin d'indi quer le même montant sur le côté moins du balanceur correspondant aux touches de la rangée 1.
La touche N 20 Billet de chemin de fer est utilisée avec les touches 77 de montants afin d'additionner le montant des billets de chemin de fer dans de totalisateur correspon dant de la ligne N 3 et en même temps afin d'additionner ledit montant sur le côté plus du balanceur associé à la rangée 1.
La touche N 21 Différentiel non taxable.> est. employée avec les touches 77 de montants afin d'additionner sur le totalisateur corres pondant de la ligne N 3 en additionnant en même temps le même montant sur le côté plus du balanceur de la ligne N 1. Ce montant représente la différence entre le montant ré gulier et le montant du travail supplémen taire payé à un employé.
La touche N 22 Salaires non taxables est employée avec les touches 77 de montants afin d'additionner sur le totalisateur corres pondant de la ligne N 3 et en même temps afin d'additionner le montant dont il s'agit sur le côté plus du balanceur de la ligne N 1. Ce montant représente les gages de l'em ployé qui ne sont pas taxables, comme par exemple lorsque les gages ont dépassé la limite d'imposition.
La touche N 23 Repas B -L est utili sée avec les touches 77 de montants afin d'ad ditionner le montant sur le totalisateur corres pondant de la ligne N 3 et, en même temps, afin d'additionner un tel montant dans le totalisateur de groupe associé à la rangée 2 et se trouvant sur la ligne N 2.<B>-</B>Ce montant représente l'avance eonsentie à un employé pour l'achat de repas.
La touche N 24 Différentiel taxable est utilisée avec les touches 77 de montants pour additionner des montants sur le totalisateur correspondant de la ligne N 3, pour addition ner le même montant dans le totalisateur de groupe de la ligne N 2 et pour additionner ces montants sur le côté plus du balanceur de la ligne N 1. Ce montant représente la différence entre le salaire normal et le salaire supplémentaire du travail supplémentaire d'un employé, ce montant étant imposable.
La touche N 25 Gages imposables est utilisée afin d'additionner les gages qui sont imposables dans le totalisateur approprié de la ligne N 3, afin d'additionner le même mon tant dans le totalisateur de groupe de la ligne N 2 et d'additionner ce montant dans le côté plus du balanceur de la ligne N 1. Ce mon tant représente des gages réguliers payés à l'employé et qui. sont imposables.
La touche N 26 Gages antérieurs est utilisée afin d'additionner le montant des gages antérieurs d'un employé dans le totali sateur approprié de la ligne N 3 et en même temps afin d'additionner ce montant dans le totalisateur de groupe de la ligne N 2.
La touche N 27 Total accumulé est uti lisée pour sélectionner le totalisateur appro prié pour une totalisation, en conjonction avec la touche 81 Vider rangée 3 dans la rangée des totaux. Ce totalisateur est choisi automati quement chaque fois que la touche 82 Sa laires jusqu'à ce jour dans la rangée des totaux est abaissée, pour accumuler un total de tous les gages des employés à cette date.
Il est entendu que les inscriptions figurant sur les différentes touches de transactions 78, 79 et 80, ainsi que les touches de totaux 81 et 82, sont prévues pour faire face aux exi gences particulières de toute organisation em ployant la machine.
Les mécanismes différentiels correspondant aux trois rangées de touches de transactions 78, 79 et 80 sont les mêmes en substance et, par conséquent, une description de la ran gée de touches 78 et du mécanisme différen- tiel correspondant sera amplement suffisante. Comme ce mécanisme différentiel est similaire au mécanisme différentiel de montants décrit ci-dessus, seule une brève description est jugée nécessaire.
Ainsi qu'il a été mentionné ci-des sus, les touches 78 contrôlent le mécanisme différentiel de transactions qui choisit soit le côté plus , soit le côté moins du balan- ceur de la ligne N 1, afin de faire entrer divers montants, et met les roues d'impression en position pour les symboles à impression correspondant aux touches abaissées. Cette rangée de touches contrôle également dans une certaine mesure l'avancement du formulaire d'enregistrement du chèque et le formulaire de contrôle de la feuille de paye, et contrôle également le fonctionnement des marteaux en relation avec l'impression desdits formulaires.
Ce mécanisme d'avancement spécial est égale ment contrôlé par la rangée de touches de totaux, qui sera décrite phis tard, et égale ment. par certaines positions spéciales des tou ches de transactions de la rangée 3.
Le mécanisme différentiel associé à la ran gée 1, qui est contrôlé par les touches 78 et certaines des touches 80 de la rangée 3 et des touches 82 de la rangée des totaux, est illus tré aux fig. 3 et 4 et sera brièvement décrit.
L'arbre principal 76 porte une paire de cames 170 afin de faire fonctionner un levier 171 relié par une bielle 172 à un segment d'en traînement 173. Ce dernier et d'autres parties du mécanisme différentiel sont portés par une tige 174.
Le segment 173, par un loquet 175 porté par un bras 176 différentiellement ajustable supporté par la tige 174, fait osciller le bras 176 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'extrémité avant du loquet 1 î 5 soit en contact avec celle des touches 78 qui est abaissée, auquel moment le loquet est sé paré du segment, permettant ainsi au bras 176 de rester dans la position dans laquelle il a été placé sous le contrôle de la touche 78 abaissée.
Le bras différentiel 176 porte un balancier à mouvement minimum 177, connecté à une bielle 178 fixée à un bras de segment 179 monté librement sur l'arbre 138, supporté par les cadres latéraux 60 et 61. LTne bielle 180 connecte le bras 179 à un segment 181 atta ché à l'arbre 143, porté par les cadres 60 et 61. L'extrémité supérieure de la bielle 178 pivote par rapport à un segment aligneur 182, avec lequel coopère l'aligneur 149 mentionné pré cédemment, qui s'étend sur tous les différen tiels.
Le segment 181, par un moyen analogue en substance à celui décrit précédemment pour les touches de montants 77, met en action une roue porte-caractères 183 afin d'imprimer des symboles d'identité sur les formulaires.
Un cliquet 184 d'arrêt à zéro, porté par un cadre 185 dans lequel les touches de trans actions 78 sont montées de manière à pouvoir coulisser, est agencé pour coopérer avec un bras 186 porté par la tige 174. Le' bras 186 présente une fente coopérant avec une broche 187 du loquet 175 pour cette rangée de tou ches 78. Le cliquet d'arrêt 184 est normale ment placé dans une position non effective dans un but qui sera décrit plus tard.
Dans certaines conditions, il est nécessaire de contrôler le mécanisme différentiel (fig. 4) associé aux touches 78 de transactions de la rangée 1, 'au moyen de certaines des touches 79 et 80 des rangées 2 et 3.
En d'autres mots, les touches numérotées de 20 à 25 et 27 de la rangée 3 sont adaptées de faon à faire arrêter dans la huitième po sition le mécanisme différentiel associé à la rangée 1; la touche N 19 fera arrêter le même mécanisme différentiel dans la première posi tion et la touche N 26 fera arrêter ledit mécanisme différentiel dans la seconde posi tion. Les moyens par lesquels les touches accomplissent ce résultat seront décrits plus tard.
<I>Rangée de touches des totaux.</I>
Ainsi que le montre la fig. 1, il y a six touches dans la rangée des totaux, dont eux touches 81 et quatre touches 82. Les touches 81 sont utilisées pour choisir les lignes de totalisateurs qui doivent fonctionner avec les dispositifs d'actionnement des montants 95 lorsque la machine est libérée des totaux dans les totalisateurs portés par de telles lignes. Ce contrôle par les touches est bien connu dans la technique.
La touche 82 Chèque net est utilisée pour libérer le balanceur de la ligne N 1 des totalisateurs pour transférer le montant appa raissant sur cette ligne, qui représente le mon tant net pour lequel le chèque de paye doit être préparé, dans le totalisateur de groupe sur la ligne des totalisateurs N 3.
La touche 82 Salaires jusqu'à ce jour est utilisée pour libérer le totalisateur de groupe de la ligne N 2, afin d'obtenir les salaires jusqu'à ce jour et de transférer ce montant dans le totalisateur de la ligne N 3 corres pondant à la touche N 27 Total accumulé de la rangée 3.
La touche 82 Enregistrement du chèque est utilisée pour obtenir un sous-total du ba- lanceur , montant qui est imprimé sur le for mulaire d'enregistrement du chèque.
La touche 81 Vider rangée 2 est abais sée en relation avec n'importe laquelle des tou ches 79 de la rangée 2, afin de vider les tota lisateurs correspondant à ces touches.
La touche 81 Vider rangée 3 est abaissée en relation avec n'importe laquelle des touches 80 de transactions de la rangée 3, afin de vider n'importe quel totalisateur correspon dant à ces touches susmentionnées, cette tou che étant également utilisée avec la touche 78 Chèque net total pour libérer le total de groupe de la ligne N 3.
La touche 82 Excédent de déduction de la rangée des totaux est agencée pour arrêter le mécanisme différentiel associé aux touches de transactions 78 de la rangée 1 dans la se conde position dans le but de lire le balan- ceur . Les moyens par lesquels ce résultat est obtenu seront décrits ci-après.
<I>Contrôle différentiel</I> automatique <I>par</I> <I>les touches de transactions des rangées 1 et 3</I> <I>et par</I> la <I>rangée de touches des totaux.</I> Ainsi qu'il a été mentionné précédemment, dans certaines conditions, il est nécessaire de contrôler le mécanisme différentiel associé à la rangée de touches de transactions 78 de la rangée 1 avec certaines des touches de la ran- gée 3 et de la rangée des totaux, ainsi que de la rangée 1, dans le but de remplacer le con trôle exercé par certaines des touches de la ; rangée 3.
La touche 82 Excédent de déduction dans la rangée des totaux et la touche 80 Gages antérieurs de la rangée 3 sont. cha cune agencées pour arrêter le mécanisme diffé rentiel associé aux touches de transactions 78 de la rangée 1 dans sa seconde position. Les moyens par lesquels ce résultat est obtenu se ront décrits ci-après.
A la rangée de touches 81-82 des totaux , (fig. 3 et 5) est associé un bras 200 monté librement sur la tige 174 et portant une saillie 201 susceptible de coopérer avec une broche 202 portée par la touche 82 Excédent de dé duction . Le bras 200 est relié par une bielle , 203 à un bras 204 d'un étrier 205 monté libre ment sur une tige 206 supportée de façon appropriée dans les plaques de suspension. Le bras 204 porte près de son extrémité libre un arrêt 207 susceptible d'être amené sur le par-, cours d'une oreille 208 fixée sur une plaque inférieure 209 faisant partie intégrante du bras 186. Lorsque l'arrêt. 207 est amené sur le parcours de l'oreille 208, il arrêtera le dé placement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras différentiel 186 dans sa se conde position.
Ceci est obtenu par le relâche ment et le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 75 de blo cage des touches, par. des moyens qui seront, décrits plus tard. Si la touche 82 Excédent. de déduction est abaissée, la saillie 201 entrera en contact avec la broche 202, arrê tant ainsi le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 200 et de , l'étrier 205 et mettant l'arrêt 207 sur le par cours de l'oreille 208. Après le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras différentiel 186 associé aux touches 78 de la rangée 1, ce bras sera arrêté dans sa seconde position.
Si la touche 82 Excédent de déduction n'était pas abaissée, le bras 200 et l'étrier 205 se déplaceraient simplement dans le sens des aiguilles d'une montre sur une distance suffisante pour placer l'arrêt 207 en dehors du parcours de l'oreille 208, sans exercer aucun contrôle sur le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras diffé rentiel 186.
Aux touches 80 de transactions de la. ran gée 3 est associé un cliquet 210 (fig. 3, 4 et 5) monté sur la tige 174 et présentant une saillie 211 agencée pour coopérer avec une broche 212 montée sur la touche 80 Cages anté rieurs . Le cliquet 210 est connecté par une bielle 213 à un bras 214 de l'étrier 205: Le cliquet 210 fait partie intégrante d'un bras 215 s'étendant vers le haut, maintenu normale ; ment contre un goujon 216 par un ressort 217 (fig. 5) dont une extrémité est attachée au bras 215 et dont l'autre extrémité est fixée à un goujon porté par la plaque de suspen sion.
Le goujon 216 est porté par un bras d'un étrier 219 pivotant sur une tige 220 montée dans .les plaques de suspension asso ciées aux touches de transactions 78, 79 et 80. Le bras susmentionné de l'étrier 219 est relié par une bielle 221 à un bras 222 claveté sur l'arbre de blocage 75. Ainsi, en relâchant et en faisant tourner dans le sens des aiguilles d'une montre l'arbre de blocage 75, l'étrier 219 sera animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, éloignant: ainsi le goujon 216 du bras 215 du eliquet 210. Ceci permet au ressort 21.7 de faire tourner le bras 215, le cliquet 210, l'étrier 205 .et le bras 204 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Si la touche 80 Gages anté rieurs a été abaissée, le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du eliquet 210 et de l'étrier 205 sera arrêté par la sail lie 211 mise .en contact avec la broche 212 sur ladite touche abaissée, qui placera l'arrêt, 207 sur -le trajet de l'oreille 208, afin d'arrê ter le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras différentiel 186 dans sa seconde position.
Si aucune des touches 80 de la rangée 3 n'a été abaissée, le cliquet 21.0 et l'étrier 205 se déplacent suffisamment dans le sens des aiguilles d'une montre pour amener l'arrêt 207 en dehors du trajet de l'oreille 208, en sorte qu'aucun contrôle n'est excercé par celle-ci sur le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du mécanisme diffé rentiel associé aux touches 78 de la rangée 1.
Certaines des autres touches de trans actions 80 de la. rangée 3 sont susceptibles d'arrêter le mécanisme différentiel associé aux touches de transactions 78 de .la rangée 1 dans différentes positions. Les touches de la rangée 3 portant les N g 20 à 25 inclusive ment et 27 sont agencées pour arrêter le mé canisme différentiel de la rangée 1 dans sa huitième position, tandis que la touche por tant le N 19 est agencée pour arrêter le mécanisme différentiel dans sa première po sition. Les moyens par lesquels ce résultat est obtenu sont décrits ci-dessous.
Aux touches de transactions 80 de la ran gée 3 est associé -un autre cliquet 230 (fig. 3, 4 et 6) pivotant sur la tige 1.74. Le cliquet 230 porte un ensemble d'oreilles de blocage 231, une pour chacune des touches portant les N s 19 à, 25 inclusivement et 27. De même, un bras 232 s'étendant vers le haut fait également partie intégrante du cliquet 230, ce bras 232 étant maintenu normalement contre le goujon 216 par un ressort 233 (fig. 6) dont une extrémité est fixée au bras 232 et dont l'autre extrémité est fixée à la plaque de suspension.
Si on relâche l'arbre 7 5 .de blocage des touches, et si on lui com munique un déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre, l'étrier 219 oscille en sens inverse de :celui des aiguilles d'une montre, éloignant de ce fait le goujon 216 du bras 232. Ceci permet su ressort 233 de faire tourner le bras 232 et le cliquet 230 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Si l'une des touches N s 20 à 25 et 27 a été abaissée, l'oreille appropriée 231 viendra en contact avec la broche 212 habituelle montée sur le côté de la touche abaissée et arrêtera de ce fait .le mouvement dans :le sens des aiguilles d'une montre du cliquet 230.
Les oreilles 231 sont placées de telle façon sur le cliquet 230 qu'elles touchent la broche 212 de. l'une quel conque des. touches N ç 20 à 25 et 27 abais sées, permettant ainsi au ressort 233 de mou- voir le cliquet à une certaine distance dans im but qui sera décrit plus tard.
Le cliquet 230 est relié par une bielle 234 à un bras 235 (fig. 3 et 6) d'in étrier 236 monté librement sur la tige 206. L'étrier 236 comprend un autre bras 237 qui est agencé pour être amené sur le trajet soit d'une oreille 238, soit d'une oreille 239 fixées à une plaque 240 faisant partie intégrante de la partis supérieure du bras différentiel 186.
Lorsque le cliquet 230 parcourt une courte distance dans le sens des aiguilles d'une montre, sous le contrôle de l'une des touches N 8 20 à 25 inclusivement et 27, l'étrier 236, par l'intermédiaire de la bielle 234, recevra un mouvement analogue qui placera le bras 237 sur le trajet de l'oreille 238. De cette façon, lors du déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras différentiel 186, l'extrémité libre du bras 237 coopérera avec l'oreille 238 afin d'arrêter le bras diffé rentiel 186 dans sa huitième position.
D'autre part, dans le cas où le bras 237 aurait un plus grand mouvement par le fait de l'abaissement de la touche N 19 Taxe d'assurance sociale , il coopérera avec l'oreille 239 afin d'arrêter le bras différentiel 186 clans sa première position.
Dans le cas où aucune des touches Nos 19 à, 25 inclusivement et 27 n'est abaissée, le cli- quet sera animé par le ressort 233 d'un mouvement -de rotation dans le sens des aiguilles d'une montre tel qu'il fasse tourner suffisamment le bras 237 dans le même sens pour placer l'extrémité libre de ce dernier au-dessus et en dehors .du trajet de l'une quelconque des oreilles 238 ou 239.
Il existe des cas dans lesquels une touche 80 de la rangée 3 et une touche 78 de la rangée 1 sont abaissées. Dans ce cas, il est désirable que le contrôle de la touche 78 remplace le contrôle de la touche 80 sur le mécanisme différentiel associé à la rangée 1. Les moyens nécessaires pour obtenir ce rêsul- tat seront décrits plus tard.
Dans la forme de réalisation représentée, seules les touches 78 de la rangée 1 Ajuste ment de débit et Ajustement de crédit sont agencées pour remplacer le contrôle exercé par la touche 19 de la rangée 3 sur le mécanisme différentiel associé à la rangée 1.
Un cliquet 246 (fig. 3 et 4) est associé aux touches de transactions 78 de la rangée 1 et est monté de faon à pouvoir pivoter sur la tige 174. Le cliquet 246 présente deux oreilles d'arrêt 247 (fig. 4), une pour chacune des touches 78 Ajustement de débit et Ajustement de crédit . De même, un bras 248 s'étendant vers le haut fait partie inté grante du cliquet 246 et est maintenu nor malement contre lin goujon 245 de l'étrier 219 par un ressort 249.
Par conséquent, après relâchement et déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 75 de blo cage -de touches, décrit précédemment, l'étrier 219 sera déplacé en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de façon à éloigner le goujon 245 du bras 248. Ceci permet au ressort 249 de faire tourner le bras 248 et le cliquet 246 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Si la touche 78 Ajustement de débit ou la touche 78 Ajustement de crédit est abaissée, l'oreille appropriée 247 vient en con tact avec la broche habituelle 250 montée sur le côté de la touche abaissée et arrête ainsi le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du cliquet 246. Le cliquet 246 est relié par une bielle 251 (fig. 3) à um bras 252 fixé à l'étrier 236.
Par conséquent, .le degré de déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre permis au cliquet 246 par la touche abaissée sera transmis, par l'intermédiaire de la bielle 251, à l'étrier 236, afin de placer le bras 237 de ce dernier dans le trajet de l'oreille 238, de façon à arrêter le déplace ment .dans le sens des aiguilles d'une montre du bras différentiel 186 dans sa huitième position.
Les touches 78 Ajustement de débit et Ajustement de crédit de la rangée 1 sont abaissées seulement lorsqu'elles fonctionnent avec les touches 80 Taxe d'assurance sociale , Différentiel taxable ou Gages imposables de la rangée 3. Il sera utile de rappeler ici que la touche Taxe d'assurance sociale con trôle le mécanisme différentiel de la rangée 1 afin de dégager le loquet d'arrêt de ce der nier dans la première position d'ajustement, alors que les touches Différentiel taxable et Gages imposables contrôlent ledit méca nisme afin de dégager son loquet d'arrêt dans sa huitième position.
Lorsque la touche Ajus tement .de débit ou Ajustement de crédit est abaissée en même temps que la touche 80 Taxe d'assurance sociale , le contrôle nor malement exercé par la touche mentionnée en dernier lieu sur la position du bras 237 est remplacé par le contrôle de la touche abais sée Ajustement de débit ou par la touche abaissée Ajustement de crédit , lesquelles touches mettent, ainsi qu'il a été expliqué ci- dessus, le bras 237 en place de façon que le cliquet d'arrêt différentiel soit dégagé dans la huitième position.
Cependant, avant que le mécanisme différenties n'atteigne sa huitième position, l'extrémité de la touche abaissée 78 Ajustement de débit ou Ajustement de crédit coopère avec le bras 186 et dégage le cliquet d'arrêt dans une position correspon dant à celle des deux touches mentionnées ci- avant, qui a été abaissée.
Par conséquent, un ajustement correspon dant est donné à l'arbre 143 qui, à son tour, contrôle d'ajustement des roues porte-carac- tères appropriées et le choix du côté plus du balanceur de la ligne de totalisateurs N 1 lorsque la touche Ajustement de cré dit est actionnée, et le choix du côté moins du balanceur lorsque la touche Ajustement de débit est actionnée.
Au cas où aucune touche de la rangée 1 ou de la rangée. 3 n'est abaissée, le cliquet 246 se déplacera suffisamment dans le sens des aiguilles d'une montre pour permettre au bras 237 de se placer au-dessus et en dehors du trajet des oreilles 238 et 239. Lorsque l'arbre 75 de 'blocage des touches est ramené clans sa position initiale vers la fin du fonc tionnement de la machine, le goujon 216 coopérera avec le bras 248 .afin de replacer le cliquet 246 et les parties correspondantes dans leurs positions normales. Mécanisme <I>d'impression.</I>
Le mécanisme d'impression employé est bien connu et est à même d'imprimer le même montant et d'autres renseignements dans les diverses colonnes des formulaires. Les touches 77 de montants contrôlent de façon différen- tiellelaposition des,segmentsdentés142 (fig.2), comme décrit précédemment.
La méthode d'en traînement -des colonnes des roues porte caractères 147 (dont une seulement est illus trée à la fig. 2) des mécanismes de commande au moyen des segments dentés 142 s'effectue au moyen de roues dentées 144 qui possèdent des dents extérieures et intérieures. Ces roues dentées 144 sont mises en position par leurs dents extérieures et les pignons 145, entraînés par les dents intérieures -des roues 144, ac tionnent l'arbre carré 146 qui porte des pi gnons similaires, dont un pour chacune des colonnes dans laquelle l'impression doit être exécutée en double.
Ces derniers pignons en traînent des roues dentées (non représentées) qui actionnent les roues porte-caractères 147.
Les touches de transactions 78, 79 et 80 (fig. 3 et 4) contrôlent le positionnement des segments 181 qui, à leur tour, par l'intermé diaire d'un même mécanisme que celui qui vient d'être décrit précédemment, position nent les roues d'impression de symboles 183, pour imprimer des symboles dans les diffé rentes colonnes des pièces justificatives.
La méthode d'entraînement des roues d'impression est bien connue. Moyens <I>de</I> contrôle <I>manuel du fonctionnement</I> <I>du mécanisme</I> d'avancement, La machine est pourvue de moyens ac tionnables à la main pour contrôler le fonc- i tionnement du mécanisme d'avancement. Ces moyens comprennent un levier 253 (fig. 16) faisant partie intégrante d'un disque 254 fixé.
à une roue dentée intérieurement et exté rieurement 255, qui entraîne l'arbre carré et,, le pignon habituels. Ces derniers dispositifs entraînent à leur tour une autre roue dentée intérieurement et extérieurement qui engrène avec une autre roue dentée intérieurement et extérieurement 256. Ce type de mécanisme i d'entrainement est bien connu et, par consé- quent, il ne sera pas décrit.
Le levier 253 a deux positions d'-ajustement, notamment: une position départ (représentée en fig. 16) et -une position arrêt . Lorsque le levier 253 se trouve dans la position < arrêt , il contrôle les moyens qui maintiennent des rouleaux 257 séparés de rouleaux d'avancement 258 des for mulaires (fig. 9, 13 et 14) et maintiennent des arrêts 259 dans le trajet des formulaires, afin d'empêcher que .ces derniers ne soient insérés au-delà d'un certain point dans la ma chine.
Lorsque de levier est dans la position de départ , -une surface formant came 260, qui constitue une partie de la périphérie de la roue dentée 256, coopère avec un goujon 261 porté par un bras 262 fixé à un arbre 263, de faon à faire tourner ce bras et cet arbre en sens inverse des aiguilles d'une montre. L'arbre 263 tourillonne de façon appropriée dans une paire de consoles 264 (fig. 13), fixées à une bride de la plaque de base 62. Sur l'arbre 263 sont montés à pivotement deux étriers 265, sur chacun desquels sont montés deux rouleaux compresseurs rotatifs 257 men tionnés précédemment.
Chacun des étriers 265 est relié par un ressort .de torsion 266 à une paire de bras 267 fixée à l'arbre 263. Les rouleaux compresseurs 257 sont normalement maintenus séparés des rouleaux d'avancement 258 par des saillies s'étendant vers l'avant sur les bras 267 et coopérant avec les côtés inférieurs des goujons 268 portés par les étriers 265.
Lorsque l'arbre 263 est animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, comme décrit ci-dessus, les saillies s'étendant vers l'avant des bras 267 sont éloignées des goujons 268, permet tant ainsi aux ressorts de torsion 266 de faire tourner les étriers 265 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, afin d'amener les rouleaux compresseurs 257 en coopération avec les rouleaux d'avancement 258.
De même, lorsque le levier 253 est amené dans sa position de départ , les arrêts 259 mentionnés ci-dessus des pièces justificatives ou formulaires à imprimer (fig. 9, 14 et 16) sont dégagés du trajet d'avancement desdites pièces. Les arrêts 259 font partie intégrante des extrémités des leviers 269 pivotant sur un arbre 270 tourillonnant de faon appropriée dans les cadres d'impression, les arrêts sus dits formant un angle droit avec les extré mités des leviers 269. Les moyens propres à obtenir ce résultat seront décrits à présent.
A l'arbre 263 (fig. 16) est fixé un levier 278 normalement sollicité dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort 279, dont une extrémité est fixée audit levier, alors que l'extrémité opposée est reliée à un bras 280 fixé à l'arbre 270. Le levier 278 pré sente une surface formant came 281 qui coopère avec un goujon 282 fixé au bras 280.
A l'arbre 270 est également fixée une paire de bras 283 (fig. 9 et 14), dont chacun est associé à un des leviers 269. Les leviers 269 sont normalement sollicités dans le sens in verse de celui des aiguilles d'une montre par des ressorts 284, afin de maintenir les arrêts 259 dans leur position de blocage efficace nor male. Chacun des leviers 269 porte un goujon 285 qui est normalement maintenu en con tact avec son bras approprié 283 par le res sort 284.
Sur l'arbre 270 sont montés librement deux leviers 286, dont chacun est adjacent à l'un des leviers 269 et sur lesquels sont mon tés, au voisinage de leurs extrémités de droite, des goujons 287 engagés dans des fentes 288 formées dans les leviers 269. Au voisinage de leurs extrémités opposées, les leviers 286 por tent des boulons d'ajustement 289 qui s'éten dent à travers des fentes 290 formées dans des parties correspondantes des leviers 269. Les leviers 269 sont montés de façon à pou voir coulisser sur l'arbre 270, grâce au fait que cet arbre passe à travers des fentes 291 ménagées dans ces leviers.
II est ainsi pos sible, en utilisant les boulons d'ajustement 289, d'ajuster les leviers 269 par glissement soit vers l'avant, soit vers l'arrière, afin de placer sur ces leviers les arrêts 259 qui peu vent être souhaitables.
Lorsqu'on amène le ,levier 253 de la posi tion arrêt à la position départ , en provo- quant ainsi<B>lé</B> déplacement en sens inverse de celui des aiguilles ,d'une montre de l'arbre 263, le levier 278 est animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de façon à amener la surface 281 à coopérer avec le goujon 282 pour communiquer au bras 280, à l'arbre<B>270</B> et aux bras 283 une rotation dans le sens des aiguilles d'une montre.
Pendant ce déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre, les bras 283 coopé reront avec les goujons 285 pour faire tour ner les leviers 269 dans le sens des aiguilles d'une montre, en provoquant ainsi le dégage ment des arrêts 259 du trajet des pièces justi ficatives ou formulaires insérés dans la ma chine.
Mécanisme d'avancement.
Dans la machine représentée, l'opérateur introduit soit un formulaire 296 de chèque de paye (fig. 12), soit un formulaire 297 (fig. 11) de contrôle de la feuille de paye dans le mécanisme d'impression; en insérant ledit formulaire dans une fente, formée par une plaque de guidage 298 (fig. 13) et Liu plateau 299, qui dirige ce formulaire entre les roues porte-caractères 14î d'impression en colonnes et les marteaux d'impression y asso ciés (non représentés), ensuite entre les rou leaux d'avancement 258 et les rouleaux com presseurs y associés 257, et. finalement place le formulaire susdit en contact avec les arrêts 259 (fig. 14 et 16) des leviers 269.
Le pla teau 299 est monté sur les bords supérieurs des cadres 6-1 et 65. La plaque de guidage 298 est montée de façon appropriée au-dessus du plateau 299, afin de contribuer à guider les formulaires entre les rouleaux compresseurs et les rouleaux .d'avancement et à mettre les formulaires en contact avec les arrêts 259. Avant de faire fonctionner la. machine, l'opé rateur déplace le levier départ et arrêt 253 vers la position départ , ce qui provoque le déplacement des rouleaux compresseurs 257, de manière à les amener en contact avec les rouleaux d'avancement 258, avant -de faire avancer' les formulaires introduits dans la machine, pendant une opération subséquente de celle-ci.
Les rouleaux d'avancement 258 sont fixés à un arbre 300 tourillonnant dans les cadres d'impression. A l'arbre 300 est également fixée une roue à rochet 301 (fig. 15 et 17), laquelle roue à rochet peut être animée de déplacements variables dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à amener les rouleaux d'avancement 258 à faire parcou rir des distances variables aux formulaires d'enregistrement du chèque de paye et de contrôle de la feuille de paye, qui sont intro- duits dans la machine.
Sur l'arbre 300 est monté librement un bras 302 (fig. 15), sur lequel pivote Lm cliquet d'avancement 303 qui est normalement maintenu en prise avec les dents de la roue à rochet 301 par Lm res sort 304.
Le bras 302 porte un goujon 305 en prise avec l'extrémité en .forme de fourche du bras supérieur d'un levier<B>306</B> monté libre ment sur une tige 307 montée à, son tour dans les cadres latéraux d'impression. Le bras inférieur du levier 306 est relié par une bielle 308 à un bras d'une manivelle 309 montée librement sur une tige 310, montée à son tour dans les cadres latéraux d'impression. L'autre bras de la manivelle 309 porte un galet 311 qui coopère avec la périphérie d'une came 312 fixée sur un arbre d'entraînement 313 qui tourillonne dans les cadres latéraux.
Un res sort 314 tend constamment à solliciter la bielle 308 vers la gauche, de façon à maintenir le galet 311 en contact avec la came 312. Le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre communiqué à l'arbre d'entraînement principal 76 est aussi transmis à l'arbre d'en traînement .de l'imprimeur 313 par l'intermé diaire d'un train d'engrenages.
Lorsque l'arbre 313 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, la came 312 coopère avec le galet 311 pour faire tourner la mani velle 309 d'abord en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre .et ensuite dans le sens des aiguilles d'une montre. A son tour, la manivelle 309 communique, .par l'internié- diaire de la bielle 308 et du levier 306, un mouvement similaire au bras 302.
Le degré de déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre communiqué au bras 302 déterminera la mesure dans laquelle le cliquet 303 déplacera, lors du mouvement de retour dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 302, la roue à rochet 301 et, par con séquent, les rouleaux d'avancement 258.
Des moyens, se trouvant sous le contrôle de cer taines -des touches 78 de la rangée 1 et des touches 81, 82 .de la rangée des totaux, sont prévus pour contrôler le degré du déplace ment en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre .communiqué au bras 302, afin de déterminer le degré d'avancement qui sera éventuellement donné aux rouleaux d'avance ment 258 et, par l'intermédiaire de ceux-ci, aux formulaires introduits dans la machine. Ces moyens seront décrits à présent.
Les moyens de contrôle mentionnés ci-des- suis comprennent deux paires de disques de contrôle 325, 326 et 327, 328 (fig. 7, 8, 15 et 18) portés par ilu arbre 329 qui tourillonne dans les cadres d'impression. Des doigts pal peurs 330 et 331 (fig. 15) coopèrent avec les périphéries des disques 325 et 326 respective ment, tandis que des doigts palpeurs 332 et 333 (fig. 18) coopèrent avec les périphéries des disques 327 et 328 respectivement.
Les doigts palpeurs 330 et 331 sont fixés ensemble, mais placés l'un en face de l'autre et sont montés de façon à .pouvoir pivoter sur un goujon 334 fixé à un bras d'un levier 335 monté librement sur un arbre 336 qui touril lonne dans les cadres d'impression. Les doigts. palpeurs 332 et 333 sont disposés de façon similaire à celle des doigts palpeurs 330 et 331 et sont montés de manière à pivoter sur un goujon 337 fixé à un bras d'un levier 338, également monté librement sur l'arbre 336.
Le levier 335 est connecté élastiquement par un ressort 339 à un bras 340, tandis que le levier 338 est également connecté par un res sort 341 à un bras 342, les deux bras précités étant fixés à l'arbre 336. Immédiatement après l'ajustement des disques 325 à 328 sous le contrôle des rangées de touches y associées, l'arbre 336 et les bras 340 et 342 sont animés d'un mouvement de- rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, grâce à un mécanisme bien connu.
Lorsque l'arbre 336 et les bras 340 et 342 sont déplacés en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, après l'ajustement des disques 325 à 328, les leviers 335 et 338 seront sollicités, par l'intermédiaire des ressorts 339 et 341 respectivement, en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre autour de l'arbre 336, -de façon que les doigts palpeurs 330 à 333 coopèrent avec les périphéries des dis ques y associés 325 à 328.
Si le disque 325 a été ajusté .de façon qu'une partie entaillée de sa périphérie se trouve en face du doigt palpeur 330, le levier 335 pourra se déplacer suffisamment en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, sous l'influence du ressort 339, pour amener une surface 343 -sur le trajet d'une oreille 344 qui fait partie inté grante de la portion faisant saillie vers le bas du bras 302, en sorte que ce dernier est bloqué contre tout mouvement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre et que tout fonctionnement des rouleaux d'avancement 258 est empêché.
Toutefois, lorsque le levier 335 reste dans la position montrée à la fig. 15, par le fait qu'aucune encoche n'est placée en face du doigt palpeur 330 et si, à ce moment, le doigt palpeur 332 coopère avec une partie entaillée du disque 327 y associé, le levier 338 sera déplacé en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre par le ressort 341, de façon à amener une surface de blocage 345 de ce levier sur le trajet de l'oreille 344, afin de limiter le déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre du bras 302 dans une mesure telle que le cliquet 303 vienne en prise avec la dent suivante de la roue à rochet 301 et que, lors du déplacement subsé quent du bras 302,
le cliquet 303 déplace la roue à rochet 301 et les rouleaux d'avance ment 258 d'un cran dans le sens des aiguilles d'une montre, en sorte que le formulaire inséré dans la machine n'est avancé que d'une dis tance correspondant à une ligne d'impression.
Si, pendant le déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre de l'arbre 336 et des bras 340 et 342, les deux doigts palpeurs 330 et 332 coopèrent avec des parties non entaillées des périphéries de leur disques respectifs 325 et 327, les deux leviers 335 et 338 ne seront pas à même d'osciller en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, sous l'influence des ressorts 339 et 341. Le bras 302 pourra alors se déplacer en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que l'oreille 344 soit en contact.
avec une autre surface de blocage 346 du levier 335, ce qui amène le cliquet 303 en prise avec la seconde dent suivante de la roue à rochet<B>301,</B> en sorte que, lors du dé placement subséquent dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 302, le cliquet 303 dé place la roue à rochet 301 et les rouleaux d'avancement 258 de deux crans dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui provoque l'avancement du formulaire inséré dans la machine sur une distance correspondant à deux lignes d'impression.
A l'arbre 300 est également fixée une roue à rochet de retenue 347 (fig. 17) qui empêche tout mouvement de renversement de la roue à rochet d'avancement. 301 et des rouleaux d'avancement 258. Sur la tige 307 est monté librement un cliquet 348 relié par un ressort 349 au levier 306 et normalement maintenu en prise avec les dents de la roue à rochet 3-17. Lorsque le levier 306 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, avant de communiquer un déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre à.
la roue à rochet d'avancement 301 et aux rouleaux d'avance ment 258, un goujon 350 de ce levier coopère avec une queue 359 du cliquet 348, afin de faire mouvoir ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre. Ceci dégagera le cli- quet 348 de la roue à rochet de retenue 347 pendant le déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre du bras 302, avant le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre de la roue à rochet 301 et des rouleaux d'avancement 258.
Lorsque le levier 306 est. alors animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de manière à faire tourner le bras 302, la roue à rochet 301, et les roLdeaux d'avance ment 258 dans le sens des aiguilles d'une montre, il provoque, par l'intermédiaire du ressort 349, le déplacement du cliquet 348 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, en sorte que ce dernier vient en prise avec la roue à rochet 347, afin d'empêcher qu'un déplacement supplémentaire dans le sens des aiguilles d'une montre ne soit com muniqué à cette dernière.
Un cliquet de retenue 351 (fig. 13 et 14) coopère normalement avec les dents d'un dis que d'alignement denté 352 fixé à l'arbre 300, afin de maintenir la roue à rochet 301 et les rouleaux d'avancement 258 dans leurs posi tions appropriées, tandis que les cliquets 303 et 348 sont dégagés des dents de leurs roues à rochet respectives 301 et 347. Le cliquet 351 pivote sur une tige 353 fixée dans les cadres d'impression et est normalement main tenu en prise avec les dents du disque d'ali gnement 352, grâce à un ressort 354. Des moyens sont prévus pour dégager le cliquet 351 du disque d'alignement 352 pendant te déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre de la roue à rochet d'avancement 301 et des rouleaux d'avancement 258.
Ces moyens consistent en une bielle 355 reliant le cliquet 351 à un bras d'une manivelle 356 montée librement sur la tige 310. L'autre bras de la manivelle 356 porte un goujon 357 qui est maintenu, par l'action du ressort 354, en con tact avec la périphérie d'une came 358 Fixée à l'arbre de commande 313 du dispositif d'im pression.
Lors de la rotation dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 313 et de la came 358, cette dernière provoque, par l'in termédiaire du goujon 357, de la manivelle 356 et de la bielle 355, le déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre du cliquet 351, à l'encontre de l'action du res sort 354, de façon â 'î le cliquet du disque d'alignement 352 au moment voulu, afin de faciliter le déplacement dans le sens dés aiguilles d'une montre communiqué par ie cliquet 303 à la roue à rochet d'avancement 301 et aux rouleaux d'avancement 258.
Les moyens grâce auxquels les disques 325, 326, 327 et 328 sont ajustés sous le contrôle de la rangée de touches des totaux 81 et 82 et de la rangée 1 de touches de transactions 78, seront décrits à présent. Sur la tige 174 (fig. 7) est montée ime plaque de contrôle des totaux 371, qui est réglée de façon diffé rentielle sous le contrôle des touches 81 et 82 de la rangée des totaux. Sur cette plaque 371 pivote une bielle 372, qui est articulée à un bras 373 monté sur l'arbre 138.
A ce bras 373 est fixé im segment denté 374 engrenant avec un segment denté 375 fixé à 1-ru arbre 376 tourillonnant dans la machine. A cet arbre 376 est également fixé un segment denté<B>371</B> 7 qui engrène avec un pignon 378 calé sur un arbre 379, lequel arbre est supporté par les cadres 64 et 65 (fig. 9). Sur l'arbre 379 sont calés des pignons 380 et 381 qui engrènent avec des pignons 382 et 383 respectivement, ces derniers pignons étant môntés libre ment sur l'arbre 329 et étant fixés au dis ques 325 et 327 respectivement.
Lorsque la machine fonctionne sans qu'une touche de la rangée des totaux ne soit abais sée, les disques 325 et 327 sont maintenus, par l'intermédiaire du mécanisme d'engrenages précité, dans leurs positions d'ajustement zéro, dans lesquelles positions ime partie entaillée de la périphérie du disque 325 est disposée en face du doigt palpeur 330 afin d'empêcher tout mouvement d'avancement des rouleaux d'avancement 258, comme décrit précédem ment, tandis qu'une partie non entaillée de la périphérie du disque 327 est en regard du doigt palpeur 332, afin de rendre le levier 338 inefficace.
Si la touche 82 Chèque net avait été abaissée, les disques 325 et 327 auraient été ajustés de façon qu'une partie non entaillée de la périphérie du disque 325 se soit trouvée en face du doigt palpeur 330, afin de rendre le levier 335 inefficace et de façon qu'une partie entaillée de la périphé rie du disque 327 se soit trouvée en face du doigt palpeur 332, afin de rendre le levier 338 efficace et de permettre le déplacement des rouleau d'avancement 258 d'un cran.
Si l'une ou l'autre des touches 82 Salaires jus qu'à ce jour et Excédent de déduction:> avait été abaissée, les disques 325 et 327 auraient été ajustés de façon que les parties entaillées de la périphérie du disque 325 se soient trouvées en face du doigt palpeur 330, afin de rendre le levier 335 efficace et d'em pêcher qu'un mouvement d'avancement. ne soit communiqué aux rouleau d'avancement. 258, tandis qu'une partie non entaillée de la péri phérie du disque 327 se serait trouvée en face du doigt palpeur 332 pour rendre le levier 338 inefficace.
Si la touche 82 Enregistre ment du chèque avait été abaissée, dans le but d'imprimer un total ou un sous-total sur le formulaire d'enregistrement du chèque 296, les disques 325 et<B>327</B> auraient été ajustés de façon qu'une partie non entaillée du disque 325 se soit trouvée en face du doigt palpeur 330, afin de rendre le levier 335 inefficace, tandis qu'une partie entaillée du disque 3\37 se serait trouvée en face du taquet 332, afin de rendre le levier 338 efficace, pour contrôler le mouvement d'avancement.
des rouleaul d'avancement 358 sur une distance correspon dant à une ligne d'impression.
On verra ainsi de ce qui précède que le contrôle exercé par les quatre touches des totaux 82 sur le mécanisme d'avancement con siste soit à empêcher un mouvement d'avance ment des rouleaux d'avancement 258, soit à limiter le mouvement d'avancement de ces rouleaux à une distance correspondant à une ligne d'impression. De plus, ces touches sont généralement utilisées lorsqu'un formulaire d'enregistrement d'un chèque de paye 296 est inséré dans la machine.
Si la machine fonctionne soit avec la tou che Vider rangée 2 , soit avec la touche Vider rangée 3 de la rangée des totaux abaissées, les disques 325 et 327 seront ajus tés, de façon que des parties non entaillées de leurs périphéries soient situées en face des doigts palpeurs 330 et 332 y associés, empê chant ainsi tout déplacement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre des leviers 335 et 338.
Lorsque ceci se produit, le bras 302 est libre de se mouvoir en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que l'oreille 344 vienne en contact avec la surface 346 du levier 335, qui fait avancer le formulaire inséré dans la machine (dans ce cas le formulaire de contrôle du chèque de paye 297) d'un espace correspondant rà deux lignes d'impression. .
Les moyens grâce auxquels les disques 326 et 328 sont ajustés sous le contrôle des tou ches de transactions 78 de la rangée 1 com prennent un segment denté 391 (fig. 8) fixé à l'arbre 143. Lorsque l'arbre 143 est déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre, sous le contrôle des touches de transactions, le seg ment 391 est également mû dans le sens des aiguilles d'une montre. Le segment 391 en grène avec un pignon 392 monté librement sur un goujon 393 porté par la base 62 (fig. 4). Le pignon 392 engrène avec un pignon 394 fixé à l'arbre 329.
A l'arbre 329 sont également fixés les deux disques 326 et 328,. qui sont représentés comme n'ayant pas d'encoches dans leur périphérie, en sorte que, quelle que soit la position qu'ils occupent sous la commande des touches 78, les doigts pal peurs 331 et 333 seront bloqués sous le con trôle des ressorts 339 et 341, lorsque les bras 340 et 342 sont animés d'un mouvement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, les leviers de contrôle de l'avance ment 335 et 338 étant, dès lors, maintenus clans les positions montrées aux fig. 15 et 18.
<I>Contrôle</I> automatique pour bloquer <I>la machine</I> <I>contre un fonctionnement subséquent.</I> Des moyens sont prévus pour bloquer auto matiquement la machine contre un fonctionne ment subséquent, lorsque la machine fonc tionne de façon à exécuter certaines espèces d'opérations dans certaines conditions. Ainsi, ces moyens bloqueront automatiquement la ma chine contre tout fonctionnement subséquent, lorsqu'elle exécute l'impression d'un formu laire d'enregistrement de chèque de paye 296 ou d'un formulaire de contrôle de la feuille de paye 297, sans que l'un ou l'autre de ces deux formulaires soit dans la machine pour recevoir une telle impression.
Ces mêmes moyens bloqueront également la machine contre tout fonctionnement subséquent, lorsque celle-ci exécute soit l'impression de l'avant- dernier espace du formulaire d'enregistrement du chèque de paye 296, soit l'impression du dernier espace du formulaire de contrôle de la feuille de paye 297.
Des moyens actionna- bles à la main sont prévus pour débloquer la machine lorsqu'elle a été bloquée contre tout fonctionnement par ces moyens, afin de per mettre l'impression d'un total ou d'un sous- total dans le dernier espace d'impression du formulaire d'enregistrement du chèque de paye 296, après quoi les moyens de contrôle précités bloqueront à nouveau la machine contre tout fonctionnement subséquent. Dans chaque cas où la machine est bloquée contre tout fonctionnement subséquent par les moyens mentionnés ci-dessus, il est nécessaire de dé bloquer les moyens de blocage en faisant usage de moyens de déblocage actionnables à la main avant que la machine ne puisse être mise en action.
Les moyens pour bloquer auto matiquement la machine contre tout fonction nement subséquent seront décrits à présent.
Sur une tige 395 (fig, 10 et 13), supportée par le cadre latéral de droite 61 de la ma chine, est monté un levier 396 dont un bras . présente une rainure dans laquelle est engagé un goujon 397 porté par une extrémité d'une bielle 398 dont l'autre extrémité pivote sur un bras d'un étrier 399. L'autre bras de l'étrier 399 est relié par une bielle 400 à l'extrémité libre d'un bras 401 fixé à un arbre 402, qui tourillonne dans les cadres laté raux 64 et 65 de la machine. Le levier 396 est normalement maintenu dans une position in efficace, comme montré à la fig. 13, en sorte qu'une saillie 403 de ce levier est située hors du trajet d'un cliquet 404 fixé à l'arbre 75 de blocage des touches.
Lorsque l'arbre 75 est animé d'un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, pour débloquer la ma chine en vue de permettre son fonctionnement, le cliquet 404 est déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre, à condition que le levier 396 n'ait pas été placé de façon que sa saillie 403 soit. sur le trajet du cliquet 404 et empêche dès lors ce dernier. de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui aurait pour conséquence d'empêcher le déblo cage de la machine. L'étrier 399 est monté sur une tige 405 supportée par le cadre latéral 61. L'arbre 402 porte également un autre bras 406 portant in goujon 407 au voisinage de son extrémité libre.
Sur une tige 408 portée par les cadres 64 et 65 est monté à pivotement un levier 409, dont un bras présente un crochet 415 destiné à coopérer avec le goujon 407 pour maintenir le bras 406, l'arbre 402 et le bras 401 en position abaissée, en sorte que, par l'intermédiaire de la bielle 400, de l'étrier 399 et de la bielle 398, le levier 396 est main tenu dans une position inefficace à l'encontre de l'action d'un ressort 410. Lorsque le levier 396 est ainsi maintenu dans sa position ineffi cace, la saillie 403 est hors du trajet du cli- quet 404, de faon à permettre le déclenche ment de la machine en vue de son fonctionne ment au moment approprié.
Un doigt 411 s'étendant vers le bas et faisant partie inté- D Brante du levier 396 coopère avec une rainure annulaire formée dans un galet 412 monté librement sur un goujon 413 servant de guide au levier 396.
Les moyens propres à dégager le crochet 415 du levier 409 du goujon 407, afin de per mettre au ressort 410 de faire osciller le levier 396 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre pour empêcher le déblocage de la ma chine en vue d'un fonctionnemnt subséquent, 9 seront décrits -à présent. Sur l'arbre 402 est monté librement -Lui levier 421 à deux bras (fig. 9 et 13), dont un bras est connecté par un ressort 422 au levier 409 et porte un gou jon 423 qui coopère avec un doigt 424 porté par le levier 409.
L'autre bras du levier 421 est relié par une bielle 425 à un bras d'in levier coudé 426 monté à pivotement sir une tige 427 supportée par les cadres 64 et 65 de la machine. L'autre bras du levier coudé 426 o pivote sur un palpeur 428, monté de façon à pouvoir coulisser sur des goujons 429 et 430 fixés au cadre 65 de la machine.
Un ressort 431, relié à un goujon 432 fixé dans le cadre 65 et à un goujon 433 porté par un bras du levier coudé 426, tend constamment à faire osciller le levier coudé 426 dans le sens des aiguilles d'une montre, afin d'amener le pal peur 428 vers le haut dans sa position effi- cace, mais il en est empêché par des moyens décrits ci-après.
Sur l'arbre 402 est monté librement un levier 434 qui est sollicité en permanence en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre par un ressort 435, en sorte qu'in goujon 436 porté par Lui bras de ce levier coopère avec une sirface 437 du levier 421 et maintient ce levier, ainsi que la bielle 425 et le levier coudé 426 dans les positions montrées à la fig. 13, à. l'encontre de l'action du ressort 431.
On verra, facilement en examinant ce qui précède que, lorsque le levier 421 et le levier coudé 426 sont dans les positions montrées sur la figure précitée, le crochet 415 du levier 409 sera en prise avec le goujon 407, afin de maintenir le levier 396 dans sa position inefficace, tan dis que le levier coudé 426 maintiendra égale ment le palpeur 428 dans une position ineffi cace.
Sur l'arbre de commande de l'impression 313 est. calée une came 446 (fig. 9 et 13) qui coopère avec un galet 447 porté par un bras du levier 434. Lorsque la machine fonctionne, l'arbre 313 communique une rotation complète dans le sens des aiguilles d'une montre à la came 446, amenant cette dernière à coopérer avec le galet 447 afin de faire tourner le levier 434 dans le sens des aiguilles d'une montre. Un tel déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du levier 434 éloignera le gou jon 436 de la surface 437, afin de permettre au levier 421 et, par l'intermédiaire de la bielle 425, au levier coudé 426, d'être déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 431.
Après im tel déplace ment dans le sens des aiguilles dîme montre du levier 426, le palpeur 428 sera déplacé vers le haut à travers une ouverture ménagée danq la table d'impression, afin d'entrer en contact soit avec un formulaire d'enregistrement du chèque de paye 296, soit avec un formulaire de contrôle de feuille de paye 297, selon que l'un ou l'autre de ces deux formulaires se trouve dans la machine.
Si le palpeur 428 vient en contact avec la partie inférieure de l'un ou l'antre de ces deux formulaires diffé rents, le déplacement vers le haut de ce pal- peur sera arrêté et, par conséquent, le palpeur arrêtera le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du levier coudé 426 et, par l'intermédiaire de la bielle 425, du levier 421. Le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre qui a été communiqué au levier 421. jusqu'en ce point n'est pas suffisant pour dégager le crochet 415 du levier 409 d'avec le goujon 407, afin de bloquer la machine contre tout fonctionnement subséquent.
Des moyens sont prévus, sous le contrôle des touches de la rangée des totaux et de la rangée 1, pour ne rendre le palpeur efficace que lorsque la machine exécute certaines espèces d'opérations. Ces moyens comprennent une paire de disques de contrôle 448 et 449 (fig. 9 et 13), le disque 448 étant monté libre ment. sur l'arbre 329, tandis que le disque 449 est fixé à cet arbre.
Le disque 448 est ajusté différentiellement de la même manière que les disques 325 et 327 précédemment décrits, sous le contrôle des touches de la rangée des totaux 81 et 82, tandis que le disque de contrôle 449 est ajusté différentiellement de la même ma nière que les disques 326 et 328 précédemment décrits sous le contrôle de la rangée 1 des tou- elies de transactions 78. Une description de la façon dont les disques 448 et 449 sont ajus tés différentiellement ne paraît pas nécessaire.
Une paire de doigts palpeurs 450 et 451 est prévue pour coopérer avec les périphéries des disques 448 et 449 respectivement, lesdits doigts palpeurs étant fixés ensemble et dispo sés l'un en face de l'autre. Les doigts palpeurs 450 et 451 sont pivotés sur un goujon 452 fixé à un bras d'un levier 453 monté librement sur l'arbre 336. Le levier 453 est relié élasti- quement, par un ressort 454,à un bras 455 fixé à l'arbre 336. Un bras du levier 453 porte un goujon 456 en prise avec l'extrémité en forme de fourche d'un bras 457 d'un étrier -158 monté librement sur la tige 307. Un autre bras 459 de l'étrier 458 est normalement posi tionné, de Tacon que son extrémité coopère avec un goujon 460 porté par un bras 461.
s'étendant vers le haut et faisant partie inté grante du levier coudé 426, pour empêcher le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre nécessaire pour rendre le palpeur 428 efficace.
Les touches 82 Chèque net et Salaires jusqu'à ce jour et les touches 81 Vider rangée 2 et Vider rangée 3 de la rangée (les totaux .contrôlent l'ajustement -du disque 448 de façon que -des parties entaillées de la périphérie -de ce disque soient placées en face du doigt palpeur 450, tandis que les touches 81 Excédent de déduction et Enregistrement du chèque contrôlent l'ajustement -de ce disque de façon que,des parties non entaillées de la périphérie de ce dernier soient placées en face du doigt palpeur 450.
Chacune des touches 78 de la rangée 1 contrôle l'ajustement du disque 449, de façon que des parties non entaillées de la périphé rie de ce disque soient placées en face du doigt palpeur 451, tandis que la touche 80 Gages antérieurs de la rangée 3 arrête le mécanisme différentiel associé à la rangée 1 dans sa seconde position, comme décrit précé demment, et .contrôle ainsi l'ajustement du disque 449 de façon qu'une partie entaillée de :la périphérie de celui-ci soit placée en face du doigt palpeur 451.
Immédiatement après l'ajustement des dis ques 448 et 449, ainsi qu'il est décrit ci-dessus, l'arbre 336 et le bras 455 sont déplacés en sens inverse de celui des aiguilles d'tuie montre et le ressort 454 tend à faire tourner également<B>lé</B> levier 453 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre.
Si à ce Mo ment l'un et/ou l'autre des doigts palpeurs 450 et 451 coopèrent avec une partie entaillée des disques 448 et 449, de levier 453 peut se mou voir suffisamment en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre pour déplacer l'étrier 458 dans le sens des aiguilles d'une montre dans une mesure telle que le bras 459 de cet étrier soit dégagé du trajet du goujon 460. Le levier coudé 426 sera alors déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre, par les moyens décrits précédemment, de façon à rendre le palpeur 428 efficace.
Si .les deux doigts palpeurs 450 et 451 coopèrent avec des parties non entaillées des périphéries de leurs disques respectifs 448 et 449, le mouvement en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre du levier 453 est limité dans une mesure telle que le bras 459 n'est pas dégagé du trajet du goujon 460 et claie le palpeur 428 reste, dès lors, inefficace.
Des moyens sont prévus pour faire légère ment tourner le bras 406 dans le sens des aiguilles d'une montre pendant chaque opé ration, afin de faciliter le dégagement du .cro chet 415 du levier 409 d'avec le goujon 407, lorsque le levier 396 doit être animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une .montre, afin de bloquer la. machine contre un fonctionnement subséquent.
Ces moyens comprennent un levier 462 (fig. 9 et 13) qui est fixé à l'arbre 402 et qui est nor malement sollicité en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre par un ressort 463, afin de maintenir iuu galet 464 porté par un bras dudit levier 462 en contact avec une came 465, de même que pour maintenir le goujon 407 du bras 406 en prise avec le cro chet 415 du levier 409.
La came 465 est fixée à. l'arbre 313 et subit une rotation complète dans le sens des aiguilles d'une montre, pen dant chaque fonctionnement de la machine. Pendant ce déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre, la came 465 coopère avec le galet 464, de façon à faire légèrement tourner le levier 462, l'arbre 402 et le bras 406 dans le sens des aiguilles d'une montre, en sorte que le goujon 407 est déplacé vers le bas et est éloigné de la partie sensiblement horizontale du crochet 415 du levier 409.
On remarquera ainsi de ce qui précède que, lorsque le levier 409 est animé d'une rotation en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre; afin de bloquer la machine contre un fonctionnement subséquent, sous le contrôle du palpeur 428, lorsqu'aucun formulaire 296 ou 297 n'est inséré dans la machine, et lorsque l'une quelconque des touches Chèque net , Salaire jusqu'à ce jour , Vider rangée 2 , Vider rangée 3 ou Gages antérieurs est abaissée, le déblocage du crochet 415 du gou jon 407 se fait facilement par le goujon 423,
après quoi le ressort 410 fait osciller le levier 396, afin d'empêcher un fonctionnement sub séquent de la machine, en empêchant le .dé placement de l'arbre de déblocage 75. A ce moment, le goujon 407 est élevé de faon à être placé à l'avant d'une extrémité 470 du crochet 415 qui, on se le rappellera, a été dé placé vers la gauche par le goujon 423.
Il est à noter que le levier 396 n'arrête pas le fonctionnement de la machine au mo ment où elle est déclenchée pour en per mettre le-blocage subséquent. En raison du fait qu'au moment où le levier 396 est déblo qué le cliquet 404 (fig. 13) a été amené à se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre au début de cette opération et se trouve dans une position pour laquelle il est situé sous la saillie du levier 396, lorsque le levier 396 est débloqué pour fonctionner par le dégagement du goujon 407 d'avec le cro chet 415,
le ressort 410 ne peut faire osciller le levier 396 que sur une faible distance jus qu'à ce que la saillie 403 soit en contact avec la partie du cliquet 404 qui est située sous cette saillie à ce moment.
Toutefois, pendant cette même opération de la machine, lorsque le cliquet 404 est ramené en position normale, il est déplacé en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre pour être dégagé de la saillie 403 et être amené dans la position montrée à la fig. 13, après quoi le ressort 410 fait immédiatement osciller le levier 396 en sens inverse de celui -des aiguilles d'une montre, de façon à placer la saillie 403 en regard du cliquet 404 ou sur le trajet de celui-ci, afin d'empêcher le déplacement de ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre,
ce qui est nécessaire pour débloquer la machine en vue d'un fonctionnement subsé quent.
Dès .lors, avant que .la machine puisse être actionnée à nouveau, l'opérateur est obligé d'actionner manuellement des moyens pour débloquer les moyens de blocage précités. Ces moyens actionnables à la main comprennent un .levier 471 (fig. 9, 10 et 13) monté à pivote ment sur un goujon 472 fixé au cadre de droite 65.
Le bras vertical du levier 471 est pourvu d'une pièce en forme de doigt 473, tandis que le bras horizontal de ce levier se termine par une fourche dans laquelle est engagé un goujon 474 porté par un bras 475 fixé à un arbre 476 qui tourillonne dans les cadres 64 et 65.A l'arbre 476 est également fixé un bras 477 pourvu d'une surface 478 susceptible de coopérer avec un goujon 479 porté par le bras supérieur d'un levier 480 qui pivote sur la tige 307. Le bras inférieur du levier 480 est relié par une bielle 481 au bras vertical du levier 462. Un ressort 482 maintient normalement le levier 471 dans sa position normale.
Pour débloquer le levier de blocage sus mentionné 396, l'opérateur déplace manuelle ment le levier 471 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre à l'encontre de l'action du ressort 482, en faisant ainsi tourner le bras 475, l'arbre 476 et le bras 477 dans le sens des aiguilles d'une montre. Lors du dé placement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 477, la surface 478 de celui-ci coopère avec le goujon 479, de façon à faire osciller le levier 480 et, par l'intermédiaire de la bielle 481, le levier 462 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Un tel déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du levier 462 est suffisant pour faire tourner l'arbre 402 et le bras 406 ,dans le sens des aiguilles d'une montre dans une mesure telle que le goujon 407 s'éloigne vers le bas de l'extrémité 470 du crochet 415, ce qui permet au ressort 422 à présent tendu de faire oscil ler le levier 409 dans le sens des aiguilles d'une montre, afin de placer le crochet 415 en contact avec le sommet du goujon 407, tandis qu'en même temps le levier 462 ramène le levier 396 à sa position normale inefficace. Fonctionnement.
Une brève description sera à présent don née du fonctionnement de .la machine repré sentée. Ainsi qu'il a été mentionné précédem ment, cette machine est spécialement conçue pour la préparation de feuilles de paye et l'établissement de chèques de paye; une telle machine est capable d'accumuler ainsi que d'imprimer sur divers formulaires le salaire brut d'un employé, les diverses déductions qui doivent être faites de ce salaire brut et le salaire net qui est en fait payé à l'employé par l'employeur.
L'opérateur est d'abord mis en possession de toutes les pièces justificatives concernant les heures de présence -des employés d'un département déterminé, lesquelles pièces con tiennent le montant des salaires imposables, des salaires non imposables, le différentiel, etc., le montant de la prime d'assurance so ciale et une pièce justificative de toutes les déductions autorisées pour chaque employé.
Lorsque l'opérateur commence une série d'opérations d'enregistrement et d'établisse- ment de chèques relatifs aux feuilles de .paye et aux chèques de paye des employés d'un département spécial, il introduit un formu laire d'enregistrement de chèque 296 (fig. 12) dans la machine,
en ayant soin de placer vers le bas la partie de ce formulaire qui doit recevoir une impression. La première entrée à faire dans la machine concernant les don nées relatives à un employé est l'indication du salaire précédent de l'employé en ques tion. Ce montant est indiqué au moyen des touches de montants et la touche 80 Gages antérieurs est abaissée. L'abaissement de la touche 80 Gages antérieurs de la rangée 3 contrôle le mécanisme différentiel pour les touches de la rangée 1, en sorte que le pal peur 428 est à même de vérifier si un for mulaire d'enregistrement d'un .chèque de paye est inséré dans la machine ou non.
Si aucun formulaire d'enregistrement de chèque de paye ne se trouve dans la machine, le palpeur bloquera la machine contre un fonc tionnement subséquent. Lorsque l'opérateur essaye de faire l'entrée suivante dans la ma chine, son attention est attirée par le fait qu'il n'y a pas de formulaire d'enregistrement de chèque dans la machine parce que la ma chine est bloquée. L'opérateur débloque .alors la machine en employant les moyens de dé blocage actionnables manuellement.
PILLs tard, dans -la série des opérations né cessaires pour entrer tous les différents postes en relation avec le compte d'un employé, par exemple lorsque la touche 82 Salaires jus qu'à ce jour de la rangée des totaux est abaissée afin de provoquer l'accumulation ,des salaires à ce jour, le palpeur- est de nouveau rendu à même de vérifier si ,le formulaire d'enregistrement du chèque de paye se trouve dans la machine ou non. De même, si un tel formulaire. ne se trouve pas dans -la machine, la machine sera bloquée contre tout fonction nement subséquent.
Lorsque l'opérateur essaye de faire l'entrée suivante dans la machine, son attention est attirée sur le fait qu'il ne se trouve pas de formulaire d'enregistrement du chèque de paye dans la machine par le fait que la machine est bloquée. L'opérateur doit à nouveau utiliser .les moyens .de déblo cage actionnables à la main avant que la machine puisse à nouveau fonctionner.
Lorsque tous les postes concernant le compte d'un employé ont été entrés dans la machine et que l'opérateur est prêt à impri mer le montant net du chèque de paye, la touche 82 Chèque net est abaissée. L'abaisse ment de la touche 82 Chèque net rend le palpeur 428à même de vérifier à nouveau si le formulaire d'enregistrement du chèque de paye est dans la machine ou non. Si aucun formulaire de cette espèce ne ;se trouve dans la. machine, cette dernière est à nouveau blo quée. Lorsque l'opérateur essaye d'entrer d'autres postes dans la machine, son .atten tion sera de nouveau attirée sur le fait qu'il ne se trouve pas de formulaire d'enregistre ment,de chèque dans la machine, étant donné qu'elle est bloquée.
Le formulaire d'enregistrement de chèque de paye est .d'une telle longueur qu'après qu'un tel formulaire est inséré suffisamment dans la machine pour imprimer l'avant-der nier espace, la partie restante ;dudit formu laire n'est pas assez longue pour que le pal peur 428 puisse venir en contact .avec elle lorsqu'il est rendu efficace par l'abaissement de la touche 82 Chèque net , bloquant ainsi la machine.
Le but de la condition énoncée ci-avant, lorsque l'impression a lieu dans l'avant-dernier espace du formulaire d'enre gistrement du chèque de paye, est d'attirer l'attention de l'opérateur à ce moment sur le fait que l'espace en question a été imprimé et de permettre ainsi à l'opérateur de faire imprimer à la machine un sous-total pendant l'opération suivante de la machine dans le dernier espace du formulaire en question avant de le sortir de la machine. Il est évi demment nécessaire pour l'opérateur d'action ner les moyens actionnables à la main avant que la machine puisse imprimer le sous-total sur le formulaire d'enregistrement de .chèque.
Les opérations qui précèdent sont répé tées jusqu'à ce que les postes concernant les salaires et les chèques pour le dernier em ployé de l'unité de la feuille de paye ont été préparés. Le total des montans des chèques est alors imprimé sur le formulaire d'enregis trement de chèque en abaissant la touche de contrôle 82 Enregistrement du chèque . Le formulaire d'enregistrement du chèque est alors enlevé de la machine et le formulaire de contrôle de la feuille de paye (fig.11) est inséré à sa place.
Le formulaire de contrôle de :la feuille de paye est pourvu de deux espaces en face de chaque total .de classifica tion, l'un de ces espaces contenant des totaux précédemment entrés, alors que l'autre espace contient les totaux imprimés de la machine, lorsque les différents totalisateurs sont vidés. Les montants ainsi obtenus peuvent être com parés l'un avec ,l'autre.
*Lorsque los divers totalisateurs sont vidés de leurs montants, la touche 81 Vider ran gée 2 est abaissée en relation avec la touche 79 correspondant au totalisateur qu'on désire vider. L'abaissement de la touche 81 Vider rangée 2 rend le palpeur 428 apte à véri fier s'il y a un formulaire de contrôle de la feuille de paye dans la machine. Si tel n'est pas le cas, la machine est bloquée. Si l'opéra teur essaye -de faire fonctionner de nouveau la machine afin de vider un autre totalisa teur, le fait que la machine est bloquée lui indiquera qu'on l'a fait fonctionner sans que le formulaire de contrôle de la feuille de paye y ait été introduit.
Lorsque l'un quelconque des totalisateurs correspondant à la rangée 3 est vidé, la touche 81 Vider rangée 3 est abaissée en relation avec .la touche 80 correspondant au totalisateur qu'on désire vider. L'abaissement de la touche 81 Vider .rangée 3 rend le pal ; peur 428 à même de vérifier si le formulaire de contrôle de la feuille de paye se trouve dans la machine ou non. Si tel n'est pas le cas, la machine est à nouveau bloquée. Lors de la prochaine opération de la machine, sa # condition bloquée indiquera à l'opérateur que la machine a été actionnée sans le formulaire de contrôle de la feuille de paye.