CH272313A - Machine de comptabilité. - Google Patents

Machine de comptabilité.

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CH272313A
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Description


  Machine de comptabilité.    La présente invention a pour objet une  machine de comptabilité comprenant des dis  positifs d'impression pour imprimer sur un  matériel d'enregistrement des dispositifs d'ali  mentation de ce matériel et. des touches de  contrôle dirigeant les opérations des disposi  tifs d'impression et d'alimentation, de ma  nière à permettre les impressions dans des  colonnes particulières et sur des     lignes    parti  culières du matériel.

   Cette machine est carac  térisée par     clés    dispositifs automatiques qui,  en conjonction avec les touches de contrôle,  règlent les opérations des dispositifs d'impres  sion et. d'alimentation, de façon que des     im-          pressions    puissent être faites dans des colon  nes et sur des lignes autres que celles  normalement     déterminées    par les touches de  contrôle, suivant le nombre des opérations       successives    effectuées au moyen de ces touches.  



  La machine représentée au     dessin    annexé est  décrite, à titre     d'exemple,    comme étant une  forme     cl'exéeutioii    particulière clé la machine  faisant. l'objet de l'invention.  



       Fig.    1 est une vue     schématique        dit    clavier  de la machine.  



  Fi\ ? est. une coupe de la machine, faite  à droite d'une des rangées de touches de mon  tants, cette coupe montrant. un     mécanisme     différentiel     associé        aux    touches précitées.  



       Fig.    3 est une vue schématique d'une par  tie     d'un    mécanisme commandant le fonction  nement des     mécanismes    différentiels de     cer-          tainesrangées        detouchesdetransactions    par des    touches de transactions d'autres rangées et par  les touches de la rangée de touches des     totaux.     



       Fin-.    4 est. une coupe de la.     machine,    faite  à droite de la première rangée de touches de  transactions, en regardant vers la gauche de  la machine.  



       Fig.    ) est une vue fragmentaire     d'-une     partie de la. seconde rangée de touches de  transactions, cette vue montrant également un  dispositif commandé par ces touches et ser  vant à commander le     mécanisme    différentiel  de la première rangée de touches de trans  actions occupant la huitième position, après       actionnement    de la touche occupant la qua  trième position dans la seconde     rangée    de  touches de transactions.  



  Fi--. ô est. une vue     fra-nientaire    clé la  rangée de touches      & -s        totaux,    cette vue mon  trant également un dispositif     grâce    auquel  un dispositif commandé par la seconde rangée  clé touches de transactions est employé pour  transmettre un mouvement à partir d'un       arbre    de     verrouillage    des touches, de façon  à. actionner un organe d'arrêt du mécanisme  différentiel associé à la. seconde rangée de  touches .de transactions, à. placer dans les pre  mière et seconde     positions    sous la commande  des deux premières touches clé la rangée de  touches des totaux.  



  Fin-. ? est une vue d'un mécanisme d'en  traînement. connecté à. un arbre     d'entraine-          ment.    principal de la machine, cette vue mon  trant également comment, au cours d'une opé-      ration de totalisation en deux phases,     -une     partie .du mécanisme d'impression n'opère  qu'en -une phase, et comment, au cours 'une  opération de totalisation en deux     phases,    une  autre partie dudit mécanisme d'impression  opère en deux phases.  



       Fig.    8 est     -une        vue    fragmentaire partielle,  en élévation latérale,     d'ruie    partie du méca  nisme d'entraînement de la     fig.    7.  



       Fig.    9A et     9B    constituent ensemble une  vue en plan du mécanisme d'impression d'une  bande ide vérification, cette     vue    montrant  également une partie     d'un    mécanisme de com  mande de l'avancement de la bande susdite  et d'un dispositif de commande d'un disposi  tif d'impression associé à ladite bande de vé  rification.  



       Fig.        10A.    et 10B constituent une vue en  élévation latérale du mécanisme montré aux  <B>fi- 9A</B> et<B>913.</B>  



       Fig.    11 montre un dispositif servant à éle  ver et à abaisser des marteaux avant l'im  pression proprement dite.  



       Fig.    12 montre un dispositif     d'aetionne-          ment    des     marteaux,    lorsque ceux-ci ont été  amenés dans la position voulue.  



       Fig.    13 montre un dispositif pour connec  ter et déconnecter les marteaux de leur dis  positif de     commande.     



       Fig.    14 est une vue de détail d'un disposi  tif d'alignement des organes d'impression et  d'alimentation.  



       Fig.'15    est une vue de détail d'un dispo  sitif d'avancement de la bande de vérifica  tion.  



       Fig.    16 est une vue .de détail d'un dispo  sitif empêchant -un mouvement excessif du  dispositif d'avancement.  



       Fig.    17 montre un dispositif permettant  de retenir la bande de vérification     enroulée     en position normale dans la machine et égale  ment un     dispositif    à commande manuelle  pour permettre     l'enlèvement    d'une bande et  son remplacement par     -une    autre.  



       Fig.    18 montre une partie d'un dispositif  porteur de bande et     d'rindispositif    de gui  dage de la bande dans la position convenant  pour son impression.         Fig.    19 est une vue de détail d'un dispo  sitif commandant l'avancement de plaques de  sélection de l'impression pendant les opéra  tions de déduction effectuées par la machine.  



       Fig.    20 est une vue de .détail du dispo  sitif commandant l'avancement des plaques  de sélection des marteaux pendant des opé  rations de totalisation.  



       Fig.    21 montre un dispositif de blocage  du dispositif d'avancement de la.     fig.    19, lors  que des totaux sont dégagés de la rangée     N     3.  



       Fig.    22 montre un dispositif empêchant  un déplacement     excessif    du dispositif d'avan  cement de la     fig.    20.  



       Fig.    23 à 26 représentent séparément  quatre plaques commandant l'avancement. de  la bande de vérification     dans    .certains cas et  empêchant l'avancement de ladite bande dans       certains    autres cas, les plaques des     fig.    23 et  26 étant commandées par la rangée de ton  ches des totaux, la plaque de la     fig.    24 étant  commandée par le mécanisme représenté     aux          fig.    19 et 20 et la plaque de 1a     fig.    25 étant  directement commandée par la seconde ran  gée de touches de     transactions.     



       Fig.    27 à 35 inclusivement représentent  des détails des plaques de sélection des mar  teaux d'impression de la bande de vérifica  tion, les     fig.    27, 30 et 33 montrant .les plaques  commandées par la rangée de touches des to  taux, les     fig.    28, 31 et 34 montrant les pla  ques commandées par le mécanisme des       fig.    19 et 20 et les     fig.    29, 32 et 35 montrant  les plaques commandées par le mécanisme  différentiel de la rangée     N     2.  



       Fig.    36 est un     fac-similé        d'une    partie de  la bande de vérification.  



       Fig.    37 est un fac-similé d'un chèque im  primé par la machine.  



       Fig.    38 est un     fac-similé    d'un folio de  grand livre     imprimé    par la machine.  



       Fig.    39 est une     vue    en perspective de la  machine, montrant un réceptacle porte-cartes  et des     cartes    d'horloge employées par l'opéra  teur, pour prélever le nombre d'heures de  travail d'un employé, ainsi que d'autres  données.

             Fig.    40 est     suie    vite d'une partie du     tué-          canisme    associé au réceptacle porte-cartes,  cette vue montrant également comment le  mécanisme     préleveur    de cartes est mis en  action, lors de l'enfoncement     d'une    touche dé  nommée  Gains à cette date , de la rangée de       touches    des totaux, et       fig.    41 est un schéma     chronologique    illus  trant les périodes de fonctionnement des di  vers     mécanismes    décrits.

      <I>Bâti et</I>     illécunisnte   <I>d'action</I>     neineut.     



  ha machine représentée est supportée en  majeure partie par un châssis de gauche 50       (fig.    2 et 4) et par un châssis de droite 51  (représenté en partie à la     fig.    8), lesquels       châssis    50 et 51 sont solidaires d'une base 52       (fig.    2 et 4) et sont, en outre, supportés  l'un par rapport à l'autre par des barres, des  tiges et     des    châssis transversaux. La base 52       est    solidaire de quatre châssis d'imprimeur,  dont l'un,     désigné    par 53, apparaît, à la     fig.    2,  et dont deux autres, 54 et 55, apparaissent.

         respectivement    à la     fig.    9A et aux     fig.    9B et  10B. Les châssis 53, 54 et 55 sont, à leur tour,  montés sur une embase 56     (fig.    10A et 18)  et sont maintenus latéralement par des tiges  et des barres, dont une, 57, est montrée aux       fig.    10A, 11, 12 et 18, et dont. l'autre, 58, est  montrée à la     fig.    2.  



  La machine proprement dite, ainsi que  son mécanisme d'impression, sont enfermés  dans un carter 59     (fig.    2, 4 et. 39) à sections  articulées permettant d'accéder à certaines       parties    de la machine. Certaines de ces sec  tions,     pourvues    de serrures empêchant aux  personnes non autorisées l'accès de l'intérieur  du carter, seront décrites     ci-dessous,    lors de  la     description    du mécanisme commandant, les  déplacements de la bande de vérification.  



  Normalement, la machine est commandée  électriquement par un moteur électrique  ordinaire. Une manivelle est également pré  vue pour actionner la machine à la main, en  cas de nécessité. Le levier de démarrage, uti  lisé dans les machines connues, a été omis  dans la présente machine, celle-ci étant plu  tôt mise en marche par l'enfoncement, d'une    quelconque des touches dites      d'actionne-          ment     situées dans les rangées 1, 2 et 3 des  touches de transactions     (fig.    1) et dans la  moitié inférieure de la rangée des totaux. Des  détails ait sujet de ces touches seront donnés  plus tard.  



       L'enfoncement        d'une        des        touches        de     libère     tin    arbre de verrouillage 61       (fig.    2, 4 et 5) soumis à. ].'action d'un ressort  (non     représenté)    ayant pour effet de faire  tourner quelque peu cet arbre de verrouillage  dans le sens des aiguilles d'une montre jus  qu'à ce que soit actionné mi mécanisme     d'em-          brapage    qui connecte le moteur d'entraîne  ment à un arbre principal 62 tourillonnant  dans les châssis latéraux 50 et 51 de la ma  chine.

   En tournant, l'arbre 61 fait simulta  nément fonctionner un mécanisme     commuta-          teur    qui ferme le circuit du moteur, en sorte  que ce dernier démarre et entraîne l'arbre  d'entraînement     principal    62.  



  La machine est adaptée à des     opérations          d'addition    se faisant en une phase et à des  opérations de totalisation se faisant en deux  phases. Une rotation complète de l'arbre 62  équivaut à une phase opératoire.  



       Lorsque    la machine a accompli le nombre  voulu de phases, l'arbre<B>61.</B> revient à sa. posi  tion de départ, en débrayant le mécanisme  de connexion du moteur à l'arbre 62 et en  ouvrant le circuit du moteur. Lorsque la ma  chine est actionnée à. la main à. l'aide de la  manivelle mentionnée ci-dessus, on se sert des  touches     d'actionnement    de la même manière  que lorsque la machine est actionnée électri  quement.  



  <I>Clavier.</I>  Le clavier de la. machine est représenté  schématiquement à. la     fig.    let est représenté  en perspective à la     fig.    39. Si on considère la.       fig.    1, on voit que le clavier comprend sept  rangées de touches de montants 63. Les trois  premières rangées de gauche sont employées  pour marquer le numéro d'horloge. Les deux  rangées suivantes sont employées pour mar  quer le nombre d'heures de travail et les deux  dernières rangées pour marquer les fractions  d'heures de travail.

   Toutefois, toutes les tou-      elles 63     peuvent    être utilisées pour     marquer     des montants de types divers, suivant les  genres     d'inscriptions        requis    par le système.  Le clavier de .la. machine comprend égale  ment trois rangées de touches de     transactions,     celles de la     première    rangée de droite étant  désignées par la notation de référence 64,  celles de la seconde rangée par 65, et celles  de la troisième rangée par la notation 66.

    Le clavier comprend     aussi    une rangée de     ton-          elles    des totaux,     consistant    en trois touches  des     totaux    67,     utilisées    pour sélectionner les       totalisateurs    des divers groupes de     totalisa-          teurs    correspondant aux rangées 1, 2 et 3  des touches de transactions, et en trois     tou-          ehes    68 utilisées pour sélectionner des totali  sateurs donnant les     totaux    à     imprimer    fina  lement sur le chèque d'un employé.  



  Les     totalisateurs    ainsi     que    les     dispositifs     y associés,     parmi    lesquels on peut compter  les     balanceurs,    seront décrits en     détails    dans       lo        suite.     



  On décrira à présent les touches de trans  actions 64, 65 et 66 et les touches des totaux  67 et 68 au     point    de vue de leurs fonctions  générales, en se référant     aiLx        fig.    36, 37 et 38  et en     prenant,    comme exemple, les divers    relevé des avances consenties à l'employé.  On suppose que ces avances se montent à.  Fr. 20,00.

   Ce montant. est. formé sur les tou  ches de montants 63, et la touche 64  Relevé  du solde des avances  de la rangée N  1 est       abaissée,    en sorte que le montant de Fr. 20,00  est     imprimé    dans la troisième colonne de la  bande de vérification, avec le     symbole   <B> PU .</B>  L'inscription     suivante    à. porter sur la bande  de vérification est. le numéro d'horloge de  l'employé ainsi     que    le nombre d'heures de  travail. Cette inscription se fait également en  une phase.

   Le     niunéro    d'horloge, supposé être  123,     est    formé sur les trois rangées de gauche  de touches 63, tandis que le nombre d'heures  de travail, supposé être 45, est     formé    sur les       deux    rangées de touches suivantes. Après  cela, la touche 64 de la rangée 1, relative au   Numéro d'horloge - heures de travail , est.       abaissée    et la. machine est déclenchée.  



  Avant de porter le     niunéro    d'horloge et  le nombre     d'heures    de travail, le folio de  grand     livre    et un chèque sont placés     dans    la  machine. Pendant le fonctionnement de la  machine, le numéro d'horloge et le nombre       d'heures    de travail sont     inscrits    sur le folio  et le chèque susdits.

   L'opérateur est alors       rrPt@,        mar        narre        montant        hrnt@r3es        @a;ms         à faire subir aux gains bruts; la première       inscription    est relative aux assurances so  ciales. Pour un salaire brut de Fr.<B>55,00</B>     ',    la  déduction relative aux     assurances    sociales est.  de Fr. 0,55. Ce montant de Fr. 0,55 est formé  sur les     touches    (le montants 63, après quoi la  touche 66 de la rangée N  3, relative à  Dé  duction pour assurance  est. abaissée.

   Ce  montant de Fr. 0,55 est également. porté dans  la seconde colonne de la bande de vérification  avec le symbole      SS ,    (le même que dans la  colonne      OAB     du folio de ;rand livre et  dans la colonne      Déductions     du talon du  chèque. On suppose qu'une déduction de  Fr. 2,00 relative à.     l'assurance    de l'employé  doit également être faite. Le montant de  Fr. 2,00 est formé sur les touches de mon  tants, après quoi la touche 66  Déduction  pour     assurance     de la rangée N  3 est abais  sée. Le montant de Fr. 2,00 est ainsi imprimé  dans la troisième colonne de la bande de vé  rification avec le symbole  IN .

   Il est à noter  que ce montant. de Fr. 2,00 est. inscrit sur la  même .ligne de la bande de vérification que le  montant de     Fi .    0,55 relatif aux assurances       sociales.    Le même     montant    de Fr, 2,00 est  également. imprimé dans la colonne  Déduc  tions  du talon du chèque, mais non sur le  folio de grand livre.  



  La déduction suivante est. de Fr. 5,00, que  l'employé paye en acompte des Fr. 20,00 qu'il  doit à la compagnie. Ce montant de Fr. 5,00  est formé sur les touches de montants du cla  vier de la machine, après quoi la touche 66 de  la rangée N  3, relative au      Remboursement.     des avances , est     abaissée.    Le montant de  Fr. 5,00 est ainsi imprimé dans la quatrième  colonne de la bande de vérification avec le  symbole  AD . Ce montant. de Fr.     ::>,00     est également imprimé sur la même ligne de  la bande de vérification que les montants re  latifs aux     assurances    sociales et à l'assurance.

    Le montant susdit de Fr. 5,00 est     aussi    mar  qué dans la colonne  Remboursé  du folio  de grand livre et dans la colonne      Dédue-          tions     du talon du chèque de l'employé.  



  Une fois la déduction de Fr. 5,00 impri  mée, la bande de vérification avance d'un    interligne, de sorte que les données suivantes  seront imprimées sur une nouvelle ligne.  



  L'opération suivante se fait en deux pha  ses     lie        nécessitant    pas l'abaissement de     tou-          elies    de montants, étant. donné que les inscrip  tions se font toutes     automatiquement.        Pour          imprimer    l'article suivant, L'opérateur abaisse  la touche 68 relative aux  Avances à cette  date , de la rangée des totaux.

   La machine       effeetue    alors une opération en deux phases,       ..u    cours de laquelle le montant total des  avances consenties à l'employé, soit Fr. 15,00  (c'est-à-dire Fr.<B>'</B>0,00 dus diminués de  Fr. 5,00 déduits), est. imprimé dans la troi  sième colonne de la bande de vérification  a     vee    le symbole  A  désignant les avances, ce  montant     de    Fr. 15,00 étant également im  primé dans .la colonne  Solde des avances  du  folio de grand livre et dans la colonne  Gains  bruts  du talon du chèque de l'employé.  



  L'opération suivante se fait également en  deux phases. La touche 68  Gains à. cette  date  de la rangée des touches de totaux est  abaissée, en sorte que le montant de Fr. 95,00  et le symbole      T     sont imprimés clans la  deuxième colonne de la. bande de vérification,  de même que clans la colonne      GaiiLs    à. cette  date  du folio de grand livre et dans la, co  lonne  Gains bruts  du talon du chèque. Le  montant. de Fr. 95,00     correspond    aux Fr. 55,00  de la semaine augmentés (les Fr.     .10,00    gagnés  précédemment.  



  La dernière opération     nécessaire    pour l'im  pression (lu chèque d'un employé et pour l'en  registrement des divers articles de ce chèque  consiste à     abaisser    la. touche 68  Chèque net   de la rangée de touches des totaux. Par       l'abaissement    (le cette touche, le     montant    de  Fr.     47,-15    est- imprimé clans la quatrième co  lonne de la bande de vérification avec une  astérisque (ce qui signifie qu'il s'agit     d'iui     total). Ce montant représente la différence  entre le sain brut de Fr. 55,00 et les diverses  déductions s'élevant au total à Fr. 7,55.  



  Au cours de la. dernière opération, un nu  méro d'ordre (dans ce cas 2085) est égale  ment imprimé dans la cinquième colonne de      la bande de vérification et sur le chèque sous  l'en-tête  Numéro de chèque .  



  Le montant net de Fr. 47,45     est    imprimé  en trois     endroits    sur le chèque, une fois sur  le talon dudit chèque dans la colonne  Net   et     deixx    fois sur le chèque même.  



  Les dispositifs .de positionnement, d'avan  cement et de commande de     l'impression    pour  éviter toute     surimpression    seront décrits     ci-          après.    Le chèque et le folio de grand livre  sont datés au moyen d'un dispositif qui n'est  ni représenté, ni décrit.    <I>Rangées de touches de</I>     montants     <I>et mécanismes différentiels y associés.</I>  Comme toutes les rangées de touches de  montants 63 et les dispositifs y     associés    sont  analogues, il suffira de décrire une rangée  de touches et le dispositif y associé.  



  On considérera ci-après la rangée de tou  ches représentée à la     fig.    2.  



  Les touches .de montants 63 sont montées  sur un cadre 96 supporté par des tiges 97 et  98 s'étendant du châssis 50 au châssis 51 de  la machine. L'abaissement d'une touche 63  dégage un cliquet d'arrêt à zéro 99 d'un croi  sillon de rappel 100 monté librement sur le  moyeu .d'un organe différentiel     d'actionne-          ment    101, monté lui-même librement sur un  moyeu 102 s'étendant entre deux plaques de  support 103 supportées par des tiges     10-1    et  105.

   Chaque organe différentiel     d'actionne-          ment    comprend     -une    paire de plaques de sup  port 103, et     une    entretoise 106 s'étend à tra  vers les passages ménagés     centralement    dans  les moyeux 102, de façon que     tous    les diffé  rentiels forment     tri    ensemble compact.  



       Dans    le     croisillon    100 est ménagée une  fente clans laquelle s'engage un goujon porté  par un bras de loquet 107, qui pivote sur un  prolongement de l'organe différentiel     d'ac-          tionnement    101. Le bras 107 associé à     um    bras  auxiliaire 108 supporte un loquet différentiel  109 à déplacement horizontal.

   Un ressort 110  sollicite les bras 107 et 108, de même     .que    le  loquet 109, vers l'arrière, de manière à main  tenir une saillie en forme de pied 111 dudit  loquet en prise avec un épaulement 112 d'un    segment     d'entrainement    113 monté, de ma  nière à pouvoir     tourner,    sur le moyeu de l'or  gane différentiel     d'actionnement    101.

   Une  tige de liaison 114 connecte le segment 113 à  un     levier-came    115 monté à pivotement sur  une broche 116 portée par la plaque de gau  che 103, le     levier    115     portant.    des galets 117  et 118 qui coopèrent respectivement. avec les  périphéries de cames     auxiliaires    119 et 120  calées sur l'arbre principal 62. Lorsqu'une des  touches 63 est abaissée, son     extrémité    infé  rieure vient se placer sur le trajet d'une surface  arrondie 121 d'un prolongement du bras 107.  



  Lors .des opérations d'addition, l'arbre  principal 62 et les cames 119 et 120     accom-          plissent        unie    révolution     dans    le sens des       aiguilles    d'une montre et font basculer le  segment 113 d'abord dans le sens des aiguilles  d'iule montre, puis en sens inverse. Pendant.  le     basculement    du segment 113 dans le sens  des aiguilles     d'iïne    montre, ce segment. amène  la surface 121 en contact avec la tige de la  touche abaissée 63.

   Ceci provoque le dégage  ment de la saillie 111 de l'épaulement 112, en  sorte que le mouvement, dans le même sens,  de l'organe     différentiel        d'actionnement    101  est arrêté lorsque cet organe a parcouru     urne     distance correspondant à la valeur de la     tou-          ehe    63     abaissée.    Le loquet 109 amène un pro  longement 122 dans une des entailles 123  d'une plaque 124 fixée entre la tige 104 et  un prolongement vers le haut .de la plaque de  support de gauche 103.  



  Après le dégagement du loquet 109 de  l'épaulement 112 du     segment    113, ce segment  continue son déplacement dans le sens des  aiguilles     d'une    montre, jusqu'à ce que le pro  longement 122 du loquet 109 soit engagé dans  l'entaille 123 correspondant à la valeur de la  touche de montants     abaissée    63.

   Lorsque le  levier 115 et le segment 113 atteignent la fin  de leurs mouvements     initiaux        .dans    le sens .des  aiguilles d'une montre, un galet 126 porté par  le levier 115 vient en prise avec une surface  courbe 127 de la partie     inférieure    d'une bielle  <B>128</B> articulée en 130 sur l'organe différentiel       d'actionnement    101 et amène     unie    surface  courbe du bord supérieur de ladite bielle en      contact avec le moyeu de l'organe différentiel       d'actionnement    101, de telle sorte que la bielle  128 occupe une position en rapport avec la  touche de montants abaissée 63.

   Dans la bielle  128 est pratiquée une fente 131, clans laquelle  est     enragée    une broche 132 d'une bielle 133,  dont l'extrémité supérieure est connectée à  pivotement à un segment 134 indicateur et sé  lecteur de totalisateur, lequel segment 134 est  monté sur un tube 135 d'une série de tubes  supportés par un arbre 136 tourillonnant  dans les     châssis    latéraux 50 et 51 de la ma  chine. L'extrémité inférieure de la bielle 133  est connectée à     pivotement    à un segment.<B>137</B>  monté librement sur un arbre 138     tourillon-          nant    dans les     châssis    50 et 51.

   Le segment 137  porte une broche 139 qui s'engage dans une  rainure     formant        sanie    d'une plaque     d1élimi-          nation    de zéro     1-10    articulée en 141à un sec  teur denté 112 monté librement sur un arbre  143     qui    tourillonne également, dans les  châssis 50 et 51.

   Les dents     du    secteur denté       742        ennrèiient,    avec les dents extérieures d'un  engrenage double     1-14,    dont les dents inté  rieures engrènent avec     lui    pignon     145    qui  entraîne un arbre 146.

       C'et    arbre entraîne,  à son tour, des     pignons    similaires     engre-          iiant    avec les dents intérieures d'engre  nages analogues à l'engrenage     144,    les dents  extérieures des engrenages mentionnés en der  nier lieu étant     ao-encées    (le manière à engrener       ï        aveL   <B>,

  </B>     des        roues        porte-caractères        150        de        chaque     rangée     du    mécanisme     d'impression    en co  lonnes, lequel mécanisme sert à imprimer le  folio clé     g-rand    livre, le     elièque    et la bande de       vérification.     



  Pour régler l'alignement     du        mécanisme     différentiel et des roues porte-caractères, cha  que segment     13-1    présente une série de crans  147 dans lesquels est, engagé     -Lin        aligneur    148  fixé à un arbre     11-9.     



       L'aligneur    148 est, dégagé des crans 147  pendant la mise en place des roues porte  caractères et est ramené ensuite en prise avec  les crans 147 pendant     L'impression.     



  Le dispositif d'élimination de zéro men  tionné ci-dessus ne sera pas décrit, car il n'est    pas     nécessaire    à la compréhension de l'inven  tion.  



       Totalisateurs.     La. machine possède les trois lignes     usuelles     (le totalisateurs numérotées 1, 2 et 3 à. la     fig.    2.  La. ligne     N     1 comprend un     balanceur    et un  totalisateur d'addition ordinaire. La ligne     N     2  possède un     balanceur    et cinq totalisateurs  d'addition de type usuel. La ligne     N     3 de  totalisateurs possède dix totalisateurs d'addi  tion bien connus.  



  Le     ba.lanceur    de la     ligne    N  1 est désigné  par 155, tandis que le     totalisateur    d'addition  de cette ligne est désigné par<B>157.</B> A la. ligne  <B>Il,</B> 2, le     balanceur    est indiqué en 156 et les  I  cinq totalisateurs     d'addition    ordinaires de  cette ligne sont indiqués par 158. Enfin, tous  les totalisateurs de la ligne N  3 sont, désignés  par 159.  



  Comme il est, d'usage dans les machines de  ce type, les organes     d'actionnement    101 pré  sentent trois séries de dents indiquées en 160,  <B>161</B> et 162. La série 160 actionne le     balanceur     et le totalisateur ordinaire de la ligne N  1,  la série 161 actionne le     balanceur    et les autres  totalisateurs de la     ligne    N  2 et, enfin, la  série 162 actionne les totalisateurs 159 de la  ligne N  3.  



  Au cours d'une addition, les roues des to  talisateurs choisis sont en prise avec     leurs    sé  ries de dents respectives 160, 161 et 162 des  organes     d'actionnement    101, lorsque ceux-ci  ont. été mis en action par l'abaissement des  touches 63.  



  Le mouvement de retour des     organes          d'actionnement    101 fait tourner les roues cor  respondantes des totalisateurs choisis, en  fonction de la valeur des touches de     montants          abaissées    63.   Au cours d'une soustraction, les roues cor  respondantes des     balan:ceurs   <B>155</B> et 156  entrent en prise avec les dents 160 et 161 de  l'organe     d'actionnement    101, et le mouvement  de retour clé cet organe fait tourner en sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre  les roues des     balanceurs,    par l'intermédiaire       Ose    l'engrenage de renversement montré à la       fig.    2.

        Si     aucune    touche de montants 63     (fig.    2)  n'est abaissée, le cliquet d'arrêt à zéro     99          reste    sur le trajet du croisillon 100, après le  déplacement initial de l'organe d'actionne  ment, et entre en prise avec ce -croisillon, de  faon que le loquet 109 arrête l'organe     d'ac-          tionnement    susdit clans la position zéro. Ceci  fait, le galet 126 met, de faon correspon  dante, la bielle 128, la bielle 133 et les seg  ments 134 et 137 en place.  



  A la fin d'une opération quelconque, l'or  gane     d'actionnement    101 revient toujours à  sa position originelle, comme montré à la       fig.    2. Toutefois, les bielles 133 et les méca  nismes d'impression commandés par celles-ci       restent    en place et sont directement amenés  des positions     qu'ils    occupent à la fin d'une  opération, à leurs nouvelles positions, par  l'intermédiaire .d'un     mécanisme    bien connu et  souvent appelé  Dispositif de mouvement mi  nimum .

   La machine comprend également un       mécanisme    ordinaire de passage d'une unité à       un    ordre plus élevé, lorsqu'une roue de l'or  dre inférieur passe par zéro, et en sens posi  tif ou en sens     négatif.            Touches   <I>de</I>     transactions   <I>et</I>     mécanismes          différentiels   <I>y associés.</I>         Comme    mentionné ci-dessus, la     machine          -comprend    trois rangées de touches de trans  actions 64, 65 et<B>66,.</B> qui sont numérotées de  1 à 9 dans la rangée 1, de 10 à 18 dans la  rangée 2 et de 19 à 27 dans la rangée 3.

   Les  fonctions de ces touches sont les suivantes:       Dans    la rangée 1, la touche      Ejection     re  jette un chèque placé avant son tour, la tou  che  Relevé du solde des avances  porte le  montant du relevé du solde des avances à     Lui          totalisateur    et au     balanceur    N  2, la touche   Numéro d'horloge. - heures     -de    travail  porte  le numéro d'horloge et.

   le nombre d'heures     aLi     totalisateur associé à la touche 65, la touche   Chèque d'avance  porte le montant d'une  avance aux     balanceurs        N 5    1 et 2 (côté plus),  la touche  Correction  est employée avec la  touche  Chèque net  de la rangée des totaux  pour corriger une erreur, la touche  Total  des avances  est employée seulement avec la    touche des totaux 67  Vider rangée 3  pour  le report de totaux au     totalisateur    correspon  dant à la position 18 de la rangée 2 de tou  ches de transactions.  



  Dans la rangée 2, la touche  Total gains à  cette date  est employée seulement avec la  touche de     totaux    67  Vider rangée 2  pour  l'obtention des gains totaux à cette date, la  touche  Total chèques net  est     associée    à un       totalisateur    individuel et est employée pour  le report du total des chèques, la touche      Re,     levé des gains à cette date  est employée  pour ajouter le montant brut .du chèque au  montant global précédent des gains de l'em  ployé, la touche  Gains totaux  marque le  montant brut du chèque, la touche  Total  heures  commande le prélèvement du total  des heures de travail d'un totalisateur y asso  cié,

   la touche  Numéro d'horloge  imprime le  numéro d'horloge lorsqu'un chèque d'avance  est délivré à un employé, et la touche  Total  nouveau des avances  porte le montant du to  tal des avances au côté plus du     balanceur   <B>NI'</B>     \?.     



  Enfin, les touches de la rangée 3 portent  à leurs totalisateurs les montants -des déduc  tions indiqués sur ces touches. Ces déductions  sont aussi portées au côté moins du     balan-          ceur    N  1.  



  Il est évident que les indications que l'on  suppose inscrites sur les touches de la rangée  de touches de     transactions    3 n'y sont qu'à  titre     illustratif    et peuvent être modifiées sui  vant les besoins du système employé.  



  Les mécanismes différentiels associés aux  trois rangées 1, 2 et 3 de touches de trans  actions 64, 65 et 66 sont sensiblement les  mêmes. Il     ,suffira    donc de décrire le méca  nisme différentiel associé à la rangée de  touches 64.  



  Le mécanisme différentiel associé à la ran  gée 1 de touches de transactions 64 est repré  senté aux     fig.    3 et 4 et comprend principale  ment l'arbre     tiprincipal    62, une paire de cames  170, -an levier 171, une bielle 17<B>2</B>, un segment.  d'entraînement 173, une tige de support 171  et un loquet 175.  



  L'arbre 62     actionne,    par l'intermédiaire  des éléments mentionnés ci-dessus, le segment      <B>173,</B> qui fait tourner un bras     ajustable    176  dans le sens des aiguilles d'une montre, jus  qu'à, ce     chie    l'extrémité avant du loquet     1.75     soit en contact avec la touche 64 abaissée.  A ce moment, le     loquet    est séparé du     segment     d'entraînement 173, tandis que le bras 176  reste dans la position dans laquelle il a été       amené    par la touche abaissée 64.  



  Le bras     ajustable    176 porte le dispositif  (le mouvement minimum habituel 177     con.-          rrect6    à une tige d'assemblage 178 solidaire  d'un bras 179 monté librement sur l'arbre  138. Une tige d'assemblage 181 connecte     Ie     bras 179 à un segment 182 calé sur l'arbre  143 porté par les     châssis    50 et 51 de la ma  chine. L'extrémité supérieure du bras 179 est  articulée à un segment 183, avec lequel co  opère     l'aligneur    148 mentionné précédem  ment. Le segment 182 fait tourner les roues       porte-caractères    pour réaliser une     impression     sur le folio de grand livre.  



  Grâce à un dispositif décrit ci-dessous,  l'arbre 143     commande    le dispositif     d'impres-          sion.    suivant le genre d'inscription à faire.  



  Un     cliquet    d'arrêt à zéro 184 coopère avec  un bras 186 supporté par la tige 174 et le  bras 186 présente une rainure, grâce à la  quelle il peut coopérer avec une broche 187  prévue sur le loquet 175. Le cliquet 184 est  normalement. en position hors service.  



  Dans certaines     circonstances,    il est néces  saire de commander le dispositif différentiel       (fig.    4) associé à la. première rangée 1 de  touches de transactions 64 par certaines des  touches 65 et 66 des rangées 2 et 3. En d'au  tres termes, toutes les touches 66 de la rangée  3 provoqueront l'arrêt du mécanisme diffé  rentiel de la rangée 1 dans la cinquième posi  tion. De même, toutes les touches 66 provo  queront l'arrêt du mécanisme différentiel  de la rangée 2 dans la sixième     position.     La touche  Relevé des gains à cette date   de la rangée 2 arrêtera le mécanisme diffé  rentiel de la rangée 1 dans la position 6,       tandis    que la touche  Gains totaux  arrêtera  ce même mécanisme dans la huitième position.

           Rangée   <I>de</I>     torcches   <I>de</I>     tolatrx.          Comme    le montre la fie. 1, six touches  sont     prévues    dans     la.    rangée (le touches de to  taux. Trois clé ces touches, désignées par 67,  servent à choisir les lignes de totalisateurs,  lorsque la machine doit être vidée des     totaux     figurant sur les     diverses    lignes.  



  Les trois     touches    68 clé la. rangée de tou  ches des totaux sont utilisées à la. fin de l'ins  cription des transactions, de la, manière sui  vante: la touche  Avances à cette date:>  imprime le total des avances consenties à  cette date, la touche  Gains à cette date>  imprime le total des gains à cette date et,  enfin, la touche  Chèque net  imprime le  montant du chèque net. Les deux touches  mentionnées en dernier lieu commandent  l'arrêt du mécanisme différentiel dans la se  conde rangée de touches de transactions, tan  dis que la touche  Chèque net  commande  l'arrêt du mécanisme différentiel dans la pre  mière rangée pour accumuler dans le totalisa  teur associé à cette rangée le total des chèques  émis. Enfin, la touche  Gains à. cette date   commande l'arrêt du mécanisme différentiel.

    de la. rangée 2 dans la position zéro.  



       Contniandc        ct@ctonecctiqus   <B><I>da</I></B>     rrtécanisrrre     <I>différentiel à</I>     partir   <I>des</I>     rangées   <I>1, 2 et,</I>  <I>3 de touches de transactions et à</I>     partir     <I>de la,</I>     rangée   <I>de touches (le</I>     totacvx.     



       Aux    touches 67 et 68 est associée une dé  tente 200     (fi;-.    6) montée sur la tige 174 et.  présentant des dents 201. et 202 agencées pour  coopérer avec des goupilles 203 et 204 (le la  touche  Gains à cette date  et clé la touche   Chèque net  respectivement. Sur la tige  1.74 est également montée, en association avec  la rangée 1 de touches de transactions 64, une  détente 205     (fig.    3 et 4) présentant une dent  206 coopérant avec une goupille 199 de la  touche  Numéro d'horloge - heures de tra  vail .

   A côté de la détente 205 se trouve une  détente 207     (fig.    3 et 6) articulée à la tige  174, tandis qu'une troisième détente 208  (fi-. 3), également articulée à la. tige 174, est  associée     aux    touches 66 clé la rangée 3. Cette  dernière détente 208 présente huit dents 209           (fig.    3), destinées à coopérer avec les gou  pilles 210 -de toutes les touches 66 de la ran  gée 3,     sauf    la     touche     Déduction pour assu  rance . Toutefois, la détente 208 porte latéra  lement un bloc 211 présentant une dent 212  qui coopère avec la goupille 210 de la touche   Déduction pour assurance  précitée.

   La dé  tente 208 porte également une dent 213 simi  laire aux dents 209 et en alignement avec  celles-ci, cette dent 213 étant également dans  une position telle qu'elle puisse     coopérer    avec  une goupille 214 de la touche  Relevé des  gains à cette date  de la rangée 2 de touches  de transactions 65.  



       Conune    on l'a déjà mentionné, le loquet  <B>175</B> porte une broche 187 s'étendant dans une  fente du bras 186, de telle sorte que ledit  loquet peut être déconnecté du segment 173  par l'arrêt du bras 186, qui est solidaire d'une  plaque 220     (fig.    4 et 5) à sections de segments  221 et 222. La section 221 comprend     deux     blocs d'arrêt 223 et 224, qui coopèrent avec  l'extrémité d'un bras 241, lorsque ce dernier  est amené dans le chemin     desdits    blocs.

   Lors  que le bras 241 est amené dans une position  telle qu'il est en prise avec le bloc 223, le  loquet 175 est dégagé du segment. d'entraîne  ment 173, lorsque le bras     ajustable   <B>176</B> atteint  sa     sixième    position, tandis que lorsque le bras  241 est dans une position telle     qu'il    est en       prise    avec le bloc 224, le bras 176 est arrêté  dans sa cinquième position.  



  Aux touches de     transactions    65 de la ran  gée 2 est associé un bras 226     (fig.    3 et 6) co  opérant avec une goupille 225 portée par un       mécanisme    à loquet 227 supporté par     un    bras       différentiellement        ajustable    228 et entraîné  par un     segment    d'entraînement 229 pour la  rangée 2 de touches. Les éléments<B>29-7,</B> 228 et  229 sont sensiblement les mêmes que ceux dé  signés par 175, 176 et 173 à la fi". 4.

   Le  bras 226 est solidaire     d'une    plaque 230     (fig.    6)  articulée à la tige 174 et présente     mie    section  de segment     supérieure    231 et une section de  segment inférieure 232.

   A la section 231 sont  fixés deux blocs d'arrêt 233 et     23-1    occupant       respectivement,    les cinquième et.     sixième    posi  tions     différentielles.    La     cinquième.    position    correspond à la touche  Total     heures .    La  section     inférieure    232 présente     deux    blocs  d'arrêt 235 et 236 occupant respectivement  les     positions    zéro et     @    2 de la rangée 2 de  touches de     transactions.     



  Le bras d'arrêt 241     (fig.    3 et 4) coopère  avec les blocs 223 et 224. Ce bras d'arrêt 241  fait corps avec un étrier 245 monté à pivote  ment sur une tige 246 portée par les châssis  latéraux 50 et 51. A l'autre extrémité de  l'étrier 245 est articulée une bielle 240 con  nectée à un bras vertical 247 faisant corps  avec la détente 208     associée    à la rangée 3 de  touches de transactions.  



  Un bras d'arrêt 248, similaire au bras  d'arrêt 241, est fixé à l'étrier 245, de faon à  opérer en synchronisme avec celui-ci. De  même, un bras 249     (fig.    3 et 4) est solidaire  de l'étrier 245 et est connecté par une bielle  250 à un bras vertical 251 solidaire de la dé  tente 205. Un ressort 252 tend en permanence  à faire basculer .la détente 205 et, dès lors,  aussi l'étrier 245, le bras 241 et le bras 248  dans le sens des aiguilles d'une montre, de  faon à amener le bras d'arrêt 241 sur le tra  jet soit du bloc d'arrêt 224, lorsqu'une des       touches    66 de la rangée 3 est abaissée, soit du  bloc d'arrêt 223, lorsque la. touche  Relevé  des gains à cette date  de la rangée 2 est  abaissée.

   En même temps, le ressort 252 sus  dit amène le bras d'arrêt 248     sur    le trajet du  bloc 233, lorsque :la touche  Chèque net  de       la.    rangée 1 est.     abaissée    et sur le trajet du  bloc 234, lorsqu'une des touches 66 de la ran  gée 3 est abaissée.  



  Le ressort 252 tend normalement. à. s'op  poser au mouvement dans le sens des aiguilles  d'une montre de la détente 205     (fig.    4), ce  ressort étant relié au bras 251. Une branche  d'un étrier 256 est articulée à une tige 257,  tandis que l'autre branche est. connectée à un  bras 258 par une bielle 259. Le bras 258 est  calé sur l'arbre 61 de verrouillage des touches.  qui est légèrement. déplacé dans le     sens    des       aiguilles    d'une montre, lorsque la machine est.  déclenchée.

   A ce moment, l'étrier 256 est bas  culé en sens inverse de celui des aiguilles       d'une    montre, de     telle    sorte qu'une broche      255 est amenée sous une surface formant  épaulement 260 du bras 251, qui peut dès lors  se déplacer dans le sens des aiguilles d'une  montre sous l'action du ressort 252, jusqu'à  ce que la dent 206 soit en contact avec la gou  pille 199 de la touche  Numéro d'horloge ,  lorsque la touche 64 correspondante est abais  sée.

   A ce moment, le bras d'arrêt 248 est dé  placé d'un     demi-pas    sur le trajet du bloc 233       (fig.    6) dans la section 231 de la seconde ran  gée de touches de transactions, afin d'arrêter  le dispositif différentiel de cette rangée dans  la cinquième position sous la commande de la  touche  Numéro d'horloge .  



  La détente 208 fonctionne de la même ma  nière, le bras 248 étant amené sur le trajet.  du bloc 234 et arrêtant le dispositif différen  tiel de la rangée 2 de touches de transactions  dans la sixième position.  



  A un bras vertical 264 de la détente 200  est connectée une bielle 265     (fig.    3 et<B>6)</B> qui  est également connectée à un bras 266 d'un  étrier 267 articulé à la tige 246. L'étrier 267  est également solidaire     d'un    bras 268     portant     un bloc d'arrêt 269 agencé pour coopérer avec  les blocs d'arrêt 235 et 236 de la section 232  associée à la rangée 2 de touches de trans  actions.     Lorsque    la, détente 200 est libérée, un       ressort    270 connecté à la bielle 265 et à  une goupille fixe (non représentée) fait.

   bas  culer cette détente 200 clans le sens des       aiguilles    d'une montre, soit     jusqu'à    ce que la  dent 201 touche la goupille 203, si la touche   Gains à cette date  est abaissée, soit     jusqu*à     ce que la goupille 202 touche la     -goupille    204,  si la touche  Chèque net  est     abaissée.    Lors  que cette dernière touche est abaissée, la dé  tente 200 se déplace     suffisamment    pour ame  iier le bloc 269 sur le trajet du bloc 236, ce  (lui arrête le mécanisme différentiel de la  deuxième rangée à la     seconde    position,

   en  sorte qu'il     @-    a sélection du totalisateur  Total       chèques    net , qui se trouve à la     deuxième     position.  



  Lorsque la touche 68  Gains à cette date        est.    abaissée, la détente 200 se déplace dans  une mesure suffisante pour amener le bloc  269 sur le trajet du bloc 235 de la. seconde    rangée de touches de transactions. Le diffé  rentiel est ainsi arrêté à la position 0, dans  laquelle position le bloc 235 est. disposé de  fanon que les gains totaux à cette date soient       accumulés    dans le totalisateur, à la. position  zéro associée à. la seconde rangée de touches  de     transactions    occupant. la position zéro sur  la     li,,-ne    de     totalisateurs    N  2.  



  Pour que la détente 200 puisse être<B>dé-</B>  placée dans le sens des     aiguilles    d'une montre,  lorsque l'une ou l'autre des touches 68  Gains  à. cette date  et.  Chèque net  est abaissée, la  détente 207 présente un bras 1270 à épaule  ment. 271, qui coopère avec la broche 255, qui  est elle-même suffisamment longue pour pou  voir rester sur le trajet de la détente 205 et  de la détente 207. Cette broche est, on se le  rappellera, déplacée vers le bas lorsque l'ar  bre de verrouillage des touches 67. subit un  mouvement dans le sens des aiguilles d'une  montre, lors de la. mise en marche de la ma  chine. Dès lors, lorsque la détente 205 est re  lâchée, la détente 200 est également relâchée,  étant donné que le bras 1270 est connecté par  une bielle 272 au bras 268 et est actionné par  le ressort 270.

   La, touche 65  Gains     totaux:>          (fig.    5) présente une broche 276 coopérant  avec une patte formant came 277 portée par  une barre     déplaeable    278. articulée à. des bras  279 et 280. qui sont.     eux-mêmes    articulés au  châssis 281 de la seconde     rangée    de touches  de transactions. Une broche 282, portée par le  bras 279, coopère avec un doit<B>'</B>83 d'un bras  284 monté à pivotement sur une broche 285.  Le bras     28-1    présente tin     épaulement.    286  maintenu, par un     ressort    289, contre une bro  che 287 d'un levier 288.

   Ce dernier levier pi  vote sur une broche 290 et porte une broche  291 agencée pour être déplacée vers le bas,  sous l'action d'un     ressort.    292, et pour être  ainsi amenée sur le trajet d'un épaulement  293 du segment 221 associé à la première  rangée de touches de     transactions.    Le bras  280 porte un     doigt        295    coopérant avec une  broche 296 portée par un cliquet d'arrêt à  zéro<B>297</B> de type habituel, qui est. associé an       mécanisme    différentiel de la première rangée.  



  Lorsque la touche 65  Gains totaux  est      abaissée, le doigt 295, par le fait qu'il coopère  avec la broche 296, fait osciller le cliquet 297  de manière à l'amener hors du trajet du bras  186, en sorte que le segment     2.'31    peut être en  traîné par le mécanisme d'entraînement et le  loquet 175, de la manière décrite précédem  ment. Le déplacement vers le bas de la barre  278 fait osciller le bras 284, à l'encontre de  l'action du ressort 289, en sorte que la broche  287 est libérée de l'épaulement 286 et que le  ressort 292 fait osciller le levier 288 en sens  inverse de     celui    des     aiguilles    d'une montre et  place la broche 291 sur le trajet de l'épaule  ment 293 du segment 221.

   L'épaulement 293  est ainsi placé dans la huitième position du       mécanisme    différentiel de la première rangée  de touches de transactions, le mécanisme  différentiel mentionné ci-avant étant     automa-          tiquement        arrêté        dans        la     position.  



       Lorsqu'une    touche de la rangée 2, à  l'exception de celles occupant les troisième et  quatrième positions, est abaissée, la détente  205 est déplacée jusqu'à ce qu'elle rencontre  une broche 298     (fig.    4), un bras 299 porté par  la détente précitée étant libéré du     cliquet    d'ar  rêt à zéro 184, en sorte que ce     cliquet    peut se  déplacer vers la position dans laquelle le diffé  rentiel de la rangée 1 est mis à .la position zéro.         llécanisnie        d'eritraîiiesiient   <I>dit dispositif</I>       d'impression.     



  Certaines parties du     mécanisme    d'impres  sion sont en service pendant les deux phases  d'une opération de totalisation en deux pha  ses, tandis que d'autres parties sont hors ser  vice pendant la     première    de ces deux     phases     et ne fonctionnent que pendant la seconde  phase.  



  Le fonctionnement du mécanisme d'im  pression sera décrit à présent.  



  L'arbre principal 62 de la machine est  supporté par le châssis latéral de gauche 50  et par le châssis latéral de droite 51. Le  châssis latéral de droite 51 est représenté     à,     la     fig.    8, cette figure illustrant la manière  dont l'arbre 62 passe par le châssis 51. A  l'extérieur du châssis 51, un pignon 301       (fig.    7) est     fixé    à l'arbre 62.

   Ce pignon 301    engrène avec un pignon 302 calé sur un     arbre     303 également. supporté par le châssis 51, de  même que par un châssis auxiliaire     30-1,    qui  est sensiblement en     alignement    vertical avec  le châssis 55 du dispositif     d'impression.    A  l'extrémité extérieure de l'arbre 303 est fixé,  à l'extérieur du châssis auxiliaire 304, un pi  gnon 305 engrenant avec un pignon 306  monté sur une broche 307 supportée par le  châssis 304.

   Le pignon 306     engmène    avec un  pignon 308 calé sur l'arbre 309 d'entraîne  ment du dispositif     d'impression,    lequel arbre  309 est supporté par les châssis 54 et 55 du       dispositif    d'impression     (fig.    9B et     10B).     



  Il est. évident qu'à chaque tour de l'arbre  62 correspond     Lui    tour de l'arbre 309.  



  Au pignon 301, qui est. calé sur l'arbre  principal 62 de la machine, est. fixée rigide  ment une plaque 310 qui effectue deux rota  tions complètes pendant chaque opération de  totalisation. Un collier 311 est fixé à cette  plaque entre celle-ci et le     moyeu    du pignon  301. On notera, en référence<B>à</B> la fi-.<B>8,</B> que  l'extrémité de l'arbre 62 s'étend environ jus  qu'à     mi-largeur    à l'intérieur du collier 311 et  que l'extrémité de l'arbre<B>312</B> s'étend à tra  vers la plaque 310 et dans le collier 311.  L'arbre 312 est     supporté    au voisinage de son  autre extrémité dans le châssis auxiliaire 304.  La plaque 310 porte un cliquet d'entraîne  ment 313, agencé pour coopérer avec un col  lier à épaulement 314 calé sur l'arbre 312.

    La plaque 310 porte également.     Lui    autre     cli-          quet    315 qui coopère avec un autre épaule  ment du collier 314, de façon à empêcher  tout     mouvement.    en arrière     (lu    collier 314 et,  par conséquent, de l'arbre 312. Un ressort  maintient les     cliquets    313 et 315 normalement  en contact avec les épaulements opposés du  collier 314. Lorsque le     pignon    301 est entraîné  dans le sens des aiguilles d'une montre, lors  qu'on considère la     fig.    7, la plaque 310 est.

    entraînée dans le même sens, en sorte que le       cliquet    313 entraîne le collier 314 et, dès     lois,     l'arbre 312 dans le     sens    des     aguilles    d'une  montre, c'est-à-dire dans le même sens que  l'arbre 62. Au voisinage de l'extrémité de  l'arbre 312 est fixé un     pignon    316 engrenant      avec un pignon 317 qui pivote sur une broche  318 supportée par le châssis auxiliaire 304.  lie pignon 317 engrène     avec    un pignon<B>319</B>  fixé à un second\ arbre 320 d'entraînement  du dispositif d'impression.  



  Il résulte de ce qui précède que, lorsque  l'arbre 62 de la machine est entraîné dans le  sens des aiguilles d'une montre et effectue  une rotation pendant des opérations d'addi  tion, l'arbre 312 aligné     axialement        acquiert     un mouvement de même     valeur    par la plaque  310, le cliquet 313 et le collier 314. De plus,  par l'intermédiaire de     l'engrenage    décrit ci  dessus, l'arbre 320 du dispositif     .d'impression     acquiert un mouvement complet de rotation  dans le sens des aiguilles d'une montre, pen  dant chaque phase de fonctionnement.

   Pen  dant la première phase d'une totalisation     oli     d'une     sous-totalisation,    il est     nécessaire    que  l'arbre 320 soit déplacé sur une certaine dis  tance approximativement égale à 40 , mais  pendant, de telles opérations, l'arbre 62     aeconi-          plit    deux rotations, de manière bien connue.

    Pour arrêter l'arbre 320. après la courte ro  tation précisée     ci-avant,    pendant la toute pre  mière partie     (le    la     première        phase    d'une opé  ration à deux phases, un bras 321 est. amené,  de manière     eoririue,    sur le trajet de déplace  nient d'un doigt 322 porté par le cliquet. 313,  ce     cliquet    étant de la sorte libéré du collier  314, tandis que l'arbre 312 reste hors service       pendant    le restant de la première rotation.

    Toutefois, pendant la seconde phase     d'une     opération de totalisation, il est à nouveau  permis an cliquet 313 de venir en contact avec  l'épaulement du collier 31.4 et     d'entraîner     l'arbre 312, en sorte que l'arbre 320 accom  plit une rotation pendant la seconde phase  d'une opération<B>(le</B> totalisation.  



       Châssis   <I>de</I>     support        d'a.îic        bande   <I>(7e</I>       .La        bande        de        Vérification.        vérification        est        disposée        à.     



  l'extrémité de droite (le la machine et à  l'avant de celle-ci. Cette bande de vérification  est montée dans     Lin        châssis,    qui est mobile, de  manière à pouvoir être amené en     positioïi     d'impression et. pour être éloigné de cette der-    nièce position.

   Le châssis mentionné     ci-avant     peut. être éloigné de la position d'impression,  de manière à pouvoir     être    facilement     re-          eharné,    si     nécessaire.    Lorsque, ce châssis a été  Glissé vers l'extérieur .de la machine, il peut  également être basculé à angle droit, de     façon     qu'il. soit plus facile de raccorder     l'extrémité     avant d'un nouveau rouleau de papier en  bande.  



  Comme le montrent les     911,        7.0A    et. 18,  le châssis de support de la bande de vérifica  tion comprend une plaque latérale de gauche  331 et une plaque latérale de droite 332, les  dites plaques étant reliées     l'une    à l'autre au  voisinage de leurs coins antérieurs inférieurs,  par une tige 333 et, au voisinage de leurs bords  supérieurs, par une plaque     33-4    présentant.  des rebords fixés aux     plaques    331 et 332.     T--ii     bras 336 est articulé en 335 à la plaque 332.

    L'extrémité de droite     (fi, < g.        1.0A)    de ce bras  336 s'étend à travers une     plaque        fendue    337  montée sur l'embase 56. L e bras 336 porte  deux broches 338 au-dessus de la plaque 337  et deux broches 339 disposées en dessous de  la plaque 337, de manière à empêcher     l'inch-          naison    vers le haut du bras 336, lorsque la  position d'impression est occupée. La base de  la plaque 332 repose sur la plaque 337 et  glisse sur celle-ci. Un bras 341 est articulé en  340 sur la plaque 331. L'extrémité de droite       (fig.    18) de ce bras 341 s'étend à travers une  plaque fendue 342 fixée à l'embase 56.

   Ce  bras 341 porte deux broches 343 reposant sur  la partie supérieure de la plaque 342 et     deux          autres    broches 344 reposant contre le côté  inférieur de la plaque 342. La base de la  plaque 331 repose et     glisse    sur la plaque 342.  



  Les côtés du châssis de support de la  bande de vérification sont entourés     par    les  parties correspondantes du carter de la ma  chine, tandis que les parties supérieures et  antérieures du châssis précité sont recou  vertes d'un     couvercle    articulé 345, qui pivote  sur la tige 333.

   A la partie supérieure du  couvercle 345 est ménagée une ouverture     3-4û          pour    apposer des notations autographiques  sur la bande     (le    vérification, si ceci est     (lési-          rable.    Un bras 347     (fig.    17), porté par la      partie     supérieure    du couvercle 345, présente  une broche 348 normalement en     prise    avec  un loquet 349, de manière à maintenir le     cou-          v        erele    fermé.  



       Un    rouleau de fourniture de la bande de       vérification    355 est     pourvu    .de tourillons     qui     reposent dans des blocs en<B>V</B> 356     (fig.    9A et  18), montés à l'intérieur des plaques 331 et  332. Le     rouleau    355 est maintenu en place  dans les blocs 356 par une paire de loquets  amovibles 357     (fig.    10A et 17).  



  Pour     maintenir    une     tension    convenable de  la bande de papier sur le rouleau 355 et pour  maintenir les tourillons susdits contre le côté  intérieur de la paire de loquets<B>357,</B> le rou  leau ' repose sur une plaque 358, soumise  l'action d'un ressort et     fixée    à lin. arbre 359,  auquel est attaché un bras 360. Un ressort  361 maintient la plaque 358 contre la partie  inférieure du rouleau 355 et maintient, en  tout temps, les tourillons contre les loquets  357. Des bandes de guidage 362 sont fixées à  la plaque 334 et s'étendent vers le bas sous  le rouleau 355.  



  La bande de vérification passe autour       d'in        rouleau    363 monté sur des     broches    por  tées par les plaques 331 et 332. Ensuite, la  bande passe autour d'un autre rouleau 364  supporté par des plaques latérales     déplaca-          bles    365 et 366, pour être amenée ensuite vers  la .droite autour     -d'un    rouleau 367 porté égale  ment par les plaques 365 et 366 et autour       d'in    rouleau 368 également porté par ces  dernières plaques.

   La bande clé vérification  passe encore sur un rouleau 369 porté par les  plaques 331 et 332 et est ensuite     amenée    vers  le bas autour     d'une    paire de rouleaux d'avan  cement 370, attachés     l'un    à l'autre par une  douille 371 et     touri@llonnés    sur un arbre 372.  La bande est .alors amenée entre la .paire de  rouleaux d'avancement 370 et une paire de  rouleaux de tension 373. Chaque rouleau de       tension    373 est monté sur un levier 374, qui  est     -liü-même    monté sur une tige<B>375</B> portée  par des bras 376     solidaires        d'une    plaque 377  fixée à la. barre 57.

   Des ressorts 378 main  tiennent les rouleaux de tension 373 contre le  papier, de sorte que, lorsque les rouleaux    d'avancement 370 tournent de la. manière dé  crite ci-après, le papier avance vers la droite,  lorsqu'on considère les     fig.        10A    et 18. Venant,  des rouleaux 370 et 373, le papier pénètre  dans une goulotte 379. Puis, le papier est  évacué de l'appareil par une fente 380 mé  nagée dans le couvercle 345.  



  Les plaques 365 et 366 sont reliées l'une  à l'autre par les rouleaux 364, 367 et 368.  Ces plaques sont, en outre, montées de ma  nière à s'éloigner, par glissement, de leurs  positions normales (montrées aux     fig.    10A et  18) vers la .droite, et à être ramenées à nou  veau en position normale. Ces plaques glissent  sur quatre broches, dont deux, désignées par  381, coopèrent avec la plaque 365, et dont les  deux autres, désignées par 382, coopèrent  avec la plaque 366.  



  Le châssis supportant la bande de vérifi  cation est verrouillé dans sa position normale  au moyen de loquets 385     (fig.    17) et 386       (fig.    10A), articulés à un arbre 387 porté par  les plaques latérales 331 et 332. Le loquet  385 coopère avec une broche 388 portée     par     le châssis 54 du dispositif d'impression, tandis  que le loquet 386 coopère avec une broche 389  portée par le châssis 55. A     chacun    des lo  quets 385 et. 386 est attaché un ressort 390  qui sert à maintenir lesdits loquets en prise  avec les broches 388 et 389.

   Pour libérer les  loquets mentionnés ci-avant de leurs broches  respectives, de façon que les châssis de la  bande de vérification puissent être tirés vers  l'avant hors de la machine,     in    levier à com  mande manuelle 391     (fig.    10A) est attaché à  l'arbre 387. Ce levier 391 porte une broche  392, normalement maintenue en contact avec  un doigt 393 du loquet 386 par un ressort.     39-l     tendu entre une broche portée par le levier  391 et un prolongement du     ,loquet    386.     11     l'autre extrémité de l'arbre 387 est attaché  un bras 395, dont une broche 396 est main  tenue en prise avec un doigt. 397 du loquet  385, par le même ressort 394.  



  Lorsqu'il désire libérer les loquets 385 et  386 de leurs broches respectives 388 et 389,  l'opérateur saisit un rebord 398 du levier 391  et fait pivoter     ee        dernier    dans le sens des      aiguilles d'une montre, de telle sorte due les  broches 392 et 396 sont     dégagées    des doits  393 et 397 respectivement, ce qui permet au       ressort    394 (le faire osciller les loquets 386 et  385 dans le sens des aiguilles     (Finie    montre et  de     dégager    ces loquets de leurs     broelies    de ver  rouillage     3h9    et 388.

   Après cela, le     eliâssis     comprenant. la bande de vérification et les  rouleaux     d'avancement.    peut. être glissé vers  l'avant     jusqu'à    ce que la broche de     gauche    des  broches 339 et 344 Heurte     une    saillie 399 de  l'embase 56.  



       ],'opérateur        petit    alors faire basculer le       ehi^txsis    autour des articulations 335 et     3-10,     jusqu'à ce que ce châssis occupe une position  sensiblement verticale, c'est-à-dire perpendi  culaire à la position représentée aux fin. 101  et 18.

   Si l'opérateur désire à présent libérer  le couvercle, il lui suffit de déplacer le lo  quet 349, de manière à le     dégaer    de la  broche 348 montrée à la     fi-o-.    17. ,       Dispositif   <I>(le</I>     (lépl(xcellteltt   <I>de la</I>     bande          (le        i@érifica1ioll,.     



  Pour que les diverses     inscriptions    impri  mées en dernier lieu sui, la bande de vérifi  cation 355 soient. visibles à l'opérateur, à tra  vers l'ouverture 346     ménagée    dans le couver  cle 345, on a.     prévu    un mécanisme de dépla  cement permettant d'amener la bande de la.  position normale jusqu'à une position voisine   < les     marteaux    et (les roues porte-caractères,  de telle sorte que, lorsque l'impression a. été  effectuée, la bande peut être ramenée dans  une position, dans     laquelle    la dernière ins  cription est visible à.     travers    l'ouverture 346.  



  On supposera que la. dernière inscription  eu lien à l'endroit désigné par 411_     aux     Hg.     10A    et 18. Il sera alors nécessaire de dé  placer cet endroit 411 (le la     bande    de     vérifi-          eat-ion    (le la position montrée, vers la droite,       jusqu'en.    une position 412 située exactement  sous les roues porte-caractères 150.

   Lorsque  la bande de vérification a été déplacée     jusqu'à.     cette position, le mécanisme     d'avancement    est  mis en action, de     faeon    à amener     Finserip-          tion    imprimée en     dernier    lieu, qui occupe à    présent. la position indiquée en 412, d'un  cran vers la droite, de telle sorte que la. der  nière inscription se trouve exactement en des  sous ou à la.     ganehe    de l'inscription qui a été  amenée de l'endroit. 411 à la. position 412.  



  Le     mécanisme    servant à effectuer le dé  placement (le la bande de vérification sera  décrit à présent.  



       Comme    on l'a mentionné précédemment,  trois     rouleaux,    à. savoir les rouleaux 364, 367  et 368, sont portés par un châssis constitué  par les plaques 365 et 366 qui glissent sur  les broches 381 et 382. La. plaque 366     (fi-.        9A     et 101) porte une broche 413 en contact avec  un bras 414, qui est fixé rigidement à l'arbre  372.A cet arbre<B>372</B> est     également    fixé un  bras 415, portant une broche 416 en prise  avec     tin    bras 417 fixé à un court arbre 418  porté par .le châssis 55.  



  A l'arbre 418 est. également fixé     tin    bras  419 connecté par une bielle 420     (fig.    101 et  10B) à un levier 421 articulé à. un arbre     -122     porté par les châssis 54 et 55. Le levier 421  porte des galets 423 et     -124,    coopérant avec  une came double     42.5    et 426     fixée    à l'arbre  320 d'entraînement du dispositif d'impression.  



  Les cames 425 et 426 sont     agencées,    quant  à. leur forme, de faon que, après le     début          cl'un        fonctionnement    de la machine, le levier       .12l    est. basculé en sens inverse de celui des       ai-uilles    d'une montre (fin. JOB,, ce qui pro  voque le basculeraient des bras 419 et 417 en  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre (fin. 101), en sorte que les bras 415 et  414 sont déplacés dans le     sens    (les aiguilles  d'une montre et en sorte que les plaques 365  et 366 sont déplacées vers la droite,     lorsqu'on     considère les fin. 101 et 18.  



  Lorsque ceci se produit., il     n'v    a ni dérou  lement de la bande  < le vérification     dit    rouleau       355,    ni enroulement de cette bande autour du  rouleau d'avancement<B>Ô70.</B> Lorsque le rou  leau 364 est déplacé vers la droite, hors de la  boucle formée par le papier autour de ce rou  leau, le papier est, libéré et prélevé par le  rouleau 367, pendant qu'il se ment vers la.  droite dans la boucle formée     par    le papier      autour     du    rouleau 367, ce qui amène l'endroit  411 .de la position montrée aux     fig.    10A et 18  à la position 412, située directement sous les  roues porte-caractères.

   Après ce déplacement  de la bande .de vérification, le mécanisme  d'avancement .de celle-ci la fait avancer d'un  stade, de manière à placer la ligne d'impres  sion suivante .de ladite bande exactement à la  gauche de la position 412, de manière à per  mettre une impression sur cette ligne suivante.  



  Lorsque l'impression de la bande de véri  fication a eu lieu, les cames 425 et 426 ren  versent     les    mouvements des leviers et bras  décrits ci-dessus, de telle sorte que     ,les    bras  415 et 414     basculent    en     sens    inverse de celui  des aiguilles .d'une montre, de manière à ra  mener les plaques 365 et 366 à la position  montrée aux     fig.        10A    et 18. Pendant ce mou  vement, la bande de vérification est libérée  du rouleau 367, et le brin mou de papier ainsi  créé est absorbé par le     rouleau    364,à mesure  que     celui-ci    se meut vers la gauche, jusqu'à  sa position normale.

   Ainsi, à la fin de cette  opération, l'endroit 411 se trouvera à gauche       d'-un,    point 430 et la dernière ou la nouvelle  impression se fera à l'endroit 411. Il est à  noter que le mouvement de déplacement dé  crit ci-dessus de la bande de vérification se  produit pendant chaque opération d'addition  de la machine et pendant la seconde phase  clé toutes les opérations de totalisation réali  sées par la machine.    A la plaque 332     (fig.        10A),    au voisinage  de sa base, est fixée une     plaque    427 présen  tant une surface supérieure courbe 428, une  surface verticale 429 et un épaulement 431.

    Lorsque le bras 415 est déplacé vers le bas,  pour     réaliser    le déplacement de la bande de  vérification,     une    broche 432 portée par ce  bras 415 vient s'appuyer contre l'épaulement       -131    et limite le déplacement .de la bande<B>(le</B>  vérification. La broche 432, qui pendant le  déplacement vers .le bas du bras 415 se trouve  à. l'avant de la surface 429, agit de manière  à empêcher tout retrait ou éloignement du  châssis pendant un fonctionnement .de la ma  chine.         Mécanisme        d'avancement   <I>de la</I>     bande     <I>de vérification.</I>  



       Lorsque    la bande -de vérification a été dé  placée vers la droite     (fig.        10A    et 18), le mé  canisme d'avancement de la bande entre en  action pour faire avancer     celle-ci,    de manière  à amener une partie fraîche de ladite bande  en mesure de recevoir une inscription en des  sous de l'inscription apposée en dernier lieu.  



  Pendant certaines opérations de totalisa  tion, il est     nécessaire    de faire avancer le pa  pier pendant la première phase d'une opéra  tion de totalisation, de même que pendant la  seconde phase de     celle-ci.    Pour que .de tels  avancements de la bande de vérification puis  sent avoir lieu, la commande de la bande de  vérification est effectuée à partir de l'arbre  309     (fig.    7), qui accomplit deux rotations com  plètes pendant les opérations de totalisation.  



  Le mécanisme d'avancement. de la bande  de vérification est représenté, en particulier,  aux     fig.        9A,        9B,        10A,        10B    et 15.  



  A celui des     rouleaux    d'avancement 370  situé le     plus    à gauche est fixée une roue à  rochet 440, avec laquelle coopère un cliquet  d'avancement 441 articulé en 442 sur un le  vier 443 pivotant sur l'arbre 372. Un ressort  444, tendu entre un prolongement du cliquet  441 et un bras du levier 443, maintient le  cliquet 441 constamment en prise avec la roue  à rochet 440.

   Au levier 443 est connecté un  bras 445 portant une broche     -146.    Un ressort  447 maintient     normalement    les parties du dis  positif décrit ci-avant dans les positions mon  trées aux fi-.     10A    et 7.5, clans lesquelles posi  tions un doigt 448 prend appui contre un col  lier de l'arbre 387, tandis que la broche 446  est maintenue au voisinage immédiat d'un le  vier 449 pivotant sur un arbre 450 supporté  par les châssis 54 et 55. L'extrémité infé  rieure     clu        levier    449 porte une broche 451,  normalement en prise avec l'extrémité fendue       d'une    bielle 452 articulée à un bras 453 pivo  tant     sur    l'arbre 422.

   Une bielle 454 est égale  ment .articulée au bras 453. Cette bielle 454  est connectée à un levier coudé 455 pivotant  sur une tige 456 supportée par les châssis 54  et 55. Le levier coudé 455 porte des galets 457      et     45'8        coopérant,    respectivement, avec les  plaques     -159    et 460 d'une came double fixée  à l'arbre 309.  



  ()n se rappellera que l'arbre 309 accomplit  deux rotations complètes pendant les opérations  de totalisation. Dès lors, le levier coudé 455 su  bira deux oscillations pendant les opérations de  totalisation et une oscillation pendant     -les    opé  rations d'addition. Lorsque la bande de véri  fication a été déplacée de la manière décrite       ci-dessus,    le levier coudé 455 est basculé dans  le     sens    des aiguilles d'une montre, en sorte  que le bras 453 subit également un     bascule-          ment    et que la bielle 452 est. déplacée vers la  droite     (fig.    15).

   Ceci provoque le     basculement     du levier 449 en sens inverse de celui des  aiguilles d'une montre, ce levier venant ainsi  en prise avec la     broche    446 et faisant osciller  le bras 445 et le levier 443 dans le sens des  aiguilles d'une montre. Le cliquet 441 fait  alors avancer la roue à rochet 440 d'un pas,  en sorte que les rouleaux d'avancement 370  avancent également d'un pas, de manière     .à,     faire progresser la bande de vérification de  la distance     voulue.     



       Lorsque    l'avancement de la bande de véri  fication a eu lieu, les cames 459 et 460 ren  versent les     mouvements    des dispositifs décrits       ci-avant,    en sorte que le ressort 447 ramène  le bras 445 et le levier 443 à leur position  normale, dans lesquelles ces éléments sont       arrêtés    par le doigt 448 venant en contact  avec le collier de l'arbre 387, le cliquet 441  étant déplacé vers la gauche, de manière à ve  nir en prise avec la dent suivante de la roue  à rochet 440, en sorte que le dispositif est  prêt pour une opération d'avancement suivante.  



  Il est parfois nécessaire de faire avancer  la bande de vérification pendant la première       phase    d'une opération de totalisation, tandis  qu'il     est,    parfois inutile de la faire avancer  pendant cette première phase. Des moyens  sont, dès lors,     prévus    pour déconnecter la  bielle 452 de la. broche 451, de façon que,  lorsque     les    cames 459 et 460 sont en service  pendant     certaines    opérations de totalisation,  la bande de vérification ne subit aucun avan  cement.

           -1    l'arbre 309 est attachée une came 461       (fig.        lOL)    coopérant avec un galet 462 porté  par une bielle 463 articulée à un bras 464 pi  votant, sur un arbre 465 porté par les châssis  54 et 55. Un bras 466 est     é-alement    articulé  à l'arbre 465 et rigidement connecté au bras       464.-    Ce bras 466 est, connecté par une bielle  467 à, la bielle 452 de commande du     méca:          nisine        d'avaneemeiit.    Un ressort. 468 maintient  le     -alet    462 contre la came 461.  



  Pendant le     fonctionnement    de la     carne     461, une partie intérieure de celle-ci est pré  sentée au galet 462, le ressort 468 ayant. pour  effet de faire basculer les bras 464 et 466 en  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre, - ce qui amène la. bielle 467 à abaisser       l'extrémité    de gauche de la bielle 452 et à dé  connecter celle-ci de la, broche 451     du    levier  d'avancement     44-J.     



  Toutefois, cette déconnexion est contrôlée  par des moyens de sélection qui seront décrits  ci-après.  



  A certains moments, lorsque la came     -161     présente sa partie inférieure au galet 462, les       liras    464 et 466 sont. maintenus contre tout.  déplacement en sens inverse de celui des  aiguilles d'une montre par le ressort 468, en       sorte    qu'aucune déconnexion ne se produit  entre la bielle 452 et le levier 449. Dès lors,  la bande de vérification pourra. être soumise  à, un avancement pendant la première phase  d'une opération. de totalisation, de même que  pendant la seconde phase de cette opération.

         Dispositif        empêchant   <I>tout</I>     aranccinr.ict        excessif     <I>de la</I>     brande   <I>de vérification.</I>  



  Ce dispositif, qui sert à empêcher une ro  tation     excessive    des rouleaux d'avancement  370, comprend une roue à rochet 470 attachée  au rouleau d'avancement de droite 370. Les  dents de cette roue à rochet sont dirigées en  sens inverse à celui des dents de la roue à  rochet 440. Un     cliquet.    471 (fi-. 16) coopère  avec la roue à rochet 470 et est monté, de  manière à pouvoir glisser et à pouvoir pivo  ter, sur l'arbre 387. Le cliquet 471 porte une  broche 472 normalement maintenue contre un      bras faisant office de carne 473 par un res  sort 474. Le bras 473 est calé sur l'arbre 372.  



  Le bras 473 est     normalement    disposé, de  faon que, en étant en contact avec la broche  472, il maintient le nez 475 du cliquet 471  éloigné des dents de la roue à rochet 470.       Toutefois,    lorsque l'arbre bascule     dans    .le sens  des aiguilles d'une montre, de manière à  faire avancer la bande de vérification, une  surface 476 du bras 473 permet au ressort  474 de faire pivoter le cliquet 471 dans le  sens inverse de celui des     aiguilles    d'une mon  tre,

   ce qui amène ce     cliquet    en prise avec une  des dents de la roue à rochet 470 et empêche  un déplacement excessif des rouleaux d'avan  cement 370 par la roue à rochet 440 et son  cliquet     441.    Lorsque l'arbre 372 est     retourné     à sa position normale, à la fin de l'opération  de déplacement. de la bande de vérification,  la surface 476 du bras 473 agit, par son con  tact avec la broche 472, sur .le nez 475 du     cli-          quet    471, de telle sorte que celui-ci reste éloi  gné de la roue à rochet 470 à la fin du fonc  tionnement de la machine.

      <I>Avancement</I>     manuel   <I>de la</I>     bande     <I>de</I>     vérification.       Un dispositif est prévu pour actionner  manuellement la roue à rochet 440 et le cli  quet     441,    de manière à faire tourner les rou  leaux d'avancement 370. Aux     fig.        10A    et 15,  le levier 391 calé sur .l'arbre 387 est utilisé  pour libérer le rouleau porteur de la bande  de     vérification    de la machine, de façon     qu'iui     nouveau rouleau puisse au besoin être placé  dans la machine.  



  A cet arbre 387 est également attaché un  bras 477 coopérant avec une broche 478  portée par le levier d'avancement 443.  



  En saisissant le rebord 398 du levier 391  et en faisant mouvoir .ce dernier vers le bas,  l'opérateur peut faire basculer l'arbre 387 en  sens inverse de     celui    des aiguilles d'une mon  tre, de façon à élever .le bras 477. Cette éléva  tion du bras 477 provoque, par l'intermédiaire  de la broche 478 du levier 443, la rotation du  levier d'avancement susdit, dans le sens des       aiguilles    d'une montre, dans une     mesure    suf-    fusante pour amener le cliquet 441 à faire  tourner la roue à rochet 440 d'un espace entre  deux     dents.     



       Dlarteaux        d'impression   <I>de la,</I>     bande     <I>de</I>     vérification.     



  Pour l'impression de la bande de vérifica  tion, la machine -est pourvue de :cinq mar  teaux servant aux impressions à porter dans  les cinq colonnes de la bande. Ces marteaux  sont     tous    représentés à la     fig.        9a.    et sont dé  signés par 481, 482, 483, 484 et 485.     Tolus    ces  marteaux sont montés à. pivotement sir une  tige 486 (fia. 10B) supportée par les châssis  54 et 55.  



  Le marteau 481 imprime le numéro d'hor  loge et le nombre d'heures travaillées     dans    la  colonne de gauche de la bande. Le marteau  482 imprime les symboles de la deuxième     co-          Sonne,    de même que les montants indiqués  dans cette seconde colonne. Le marteau 483  imprime les indications devant figurer .dans  la troisième colonne de la bande, tandis que  les marteaux 484 et 485 impriment les indica  tions devant figurer respectivement dans la  quatrième et dans la cinquième colonne de  la bande de vérification.

      <I>Dispositif</I>     d'élévation   <I>et</I>     d'abaissenaeiat     <I>des</I>     marteaux.       Comme montré à la     fig.        10A,    les marteaux  se trouvent     juste    en     dessous    des rouleaux 36 7  et 368, qui sont eux-mêmes sous les roues  porte-caractères 150. Il est donc nécessaire  que les marteaux soient déplacés vers le haut.

         jiisqu'à    être à     proximité    des roues     porte-carac-          tères,    lorsque les rouleaux 367 et 368 ont été  éloignés du trajet des marteaux, préalable  ment à     l'impression    au moyen des roues     porte-          caractères.     



  Des moyens sont, dès lors, prévus pour  amener les marteaux au voisinage des roues  porte-caractères, lorsque les rouleaux 367 et  368 ont été déplacés vers la droite par le mé  canisme de déplacement de la bande de vérifi  cation. Le mécanisme d'abaissement et d'élé  vation des marteaux sera décrit à présent en  référence à la     fig.    11.      Comme ces     marteaux    n'impriment jamais  pendant la première phase d'une opération de  totalisation en deux phases, la came destinée à  actionner le mécanisme d'élévation et d'abais  sement des marteaux est attachée à l'arbre 320,  qui est hors service pendant la première phase  d'une opération de totalisation et est. en ser  vice pendant la seconde phase d'une telle  opération.  



  Le dispositif d'élévation et     d'abaissement          des    marteaux comprend une came double,  constituée par des cames 487 et. 488 qui co  opèrent avec des galets 489 et 490 portés res  pectivement par un levier coudé 491 articulé  sur l'arbre 422. Au levier coudé 491 est. atta  ché un bras 492 connecté par une bielle 493  à un bras     -194    fixé à. l'arbre 450.  



  A l'arbre 450 sont également attachés cinq  bras 495, un de ces bras étant. prévu pour  chacun des marteaux 481 à 485. Chaque bras  495 porte deux doigts 496 et 497 destinés à  coopérer avec une broche 498 d'un levier 499  articulé à l'arbre 450. Le mécanisme com  prend cinq leviers 499, dont un pour chacun  des marteaux. Chaque levier 499 est connecté  par une bielle 500 au marteau correspondant.  



       Lorsque    les rouleaux 367 et 368 commen  cent à se déplacer vers la droite     (fig.    10A),  les cames 487 et 488 font osciller le levier  coudé 491 dans le sens des aiguilles d'une  montre, en sorte que le bras 494, l'arbre 450  et les cinq bras 495 oscillent en sens inverse  de celui des aiguilles d'une montre. Comme  on le voit à la     fig.    11, une distance considé  rable sépare les broches 498 des doigts 496 des  bras 495, en sorte que le basculement indiqué  ci-avant est inopérant en ce qui concerne les  leviers 499.

   Toutefois,     lorsque    les doigt., 496  sont en contact avec les broches 498, les le  viers 499     basculent    en sens inverse de celui  des     aiguilles    d'une montre, en sorte que les  bielles     500    élèvent les     marteaux    481 à     -185     vers le haut., de la position montrée en traits  pleins à la fi,-. 11 à la position montrée en  traits     mixtes    dans cette même figure. Pendant  le temps où les marteaux sont élevés jusqu'à.

    la position indiquée en traits mixtes, les rou  leaux 367 et 368 ont. été suffisamment dépia-    tés vers la droite pour qu'il     n'y    ait aucune  interférence entre les marteaux et ces rou  leaux.  



  Après l'impression et avant le déplacement  des     rouleaux    367 et 368 vers la gauche, jus  qu'à la position montrée à la<B>fi-.</B> 10A, les  cames<B>487</B> et 488 renversent. le mouvement  du levier coudé 491, du bras 492, de la. bielle  493, du bras     49.1    et de l'arbre 450, en sorte  que les     doigts    497 seront. d'abord déplacés de  manière     à@    rattraper le mouvement perdu  entre eux et les broches 498 et à venir finale  ment en contact. avec les broches 498, les le  viers 499 étant ramenés à la position montrée  à la.     fig.    11, en sorte que tous les     marteaux          -181    à     -185    sont ramenés à. la.

   position indiquée  en traits pleins à la     fig.    11.  



       Dispositif        d'actioii:fie?ii.c=ii.t   <I>des</I>     fii.arteaux.     Lorsque les marteaux ont été amenés dans  la position indiquée en traits mixtes à la  11, un mécanisme,     représenté    en particu  lier aux     fig.    12 et 13, sert. à faire fonctionner  les marteaux et à provoquer une     impression     par les roues     porte-caractères    150 sur la bande  de vérification.  



       Lorsque    les     marteaux    occupent la position  indiquée en traits mixtes à la     fig.    11, les le  viers 499 ont été éloignés en sens inverse de  celui des     aiguilles    d'une montre de la position  montrée     ans    fi-. 11 et 12. Pendant ce mouve  ment     d'éloil-nement,    les broches 501     desdits     leviers ont. été amenées de la position montrée  à la. fia. 12 dans une position pour laquelle  elles se trouvent     directement    sous     des    encoches  502 ménagées     dans    des bielles 503 articulées  des bras 504 attachés à L'arbre 422.

   Cinq  bielles 503 et. Cinq bras 504 sont prévus, une       bielle    503 et un bras 504 étant associés à. cha  cun des marteaux. A l'arbre 422 est égale  ment attaché un levier coudé 505 portant       cieux    galets 506 et 507 coopérant respective  ment avec. des plaques 508 et 509 d'une came  double attachée à     l'a.rbre    320.  



  Lorsque les broches 501 ont été amenées  sous les encoches 502, un dispositif (décrit. ci  après) est actionné de manière à. faire bascu  ler les bielles 503 en sens inverse de     celui    des      aiguilles d'une montre, de façon que les     bro          ehes    501 soient complètement engagées dans  les encoches 502. En d'autres mots, les cinq  bielles 503 seront basculées jusqu'à ce que  les cinq encoches 502 soient pleinement en       prise    avec les broches 501     des    cinq leviers 499.

    Lorsque cet engagement a eu lieu et que la  bande de vérification a été amenée vers la  droite de la manière décrite précédemment,  mais avant que le mécanisme d'avancement  n'ait été actionné, les cames 508 et 509 font  osciller les     leviers    coudés 505 et l'arbre 422  dans le sens des     aiguilles    d'une montre, en  sorte que toutes les bielles 503 sont déplacées  vers la droite     (fig.    12) et qu'ainsi les     leviers     499 élèvent les marteaux de la position indi  quée en traits mixtes à .la     fig.    11,

       jusqu'à    ce  que ces marteaux     viennent    en contact avec la  bande de vérification qui se trouve exactement  en     .dessous    des roues     porte-caractères    150.  



  Les marteaux restent     dans    la position  acquise jusqu'à ce que les cames 508 et 509  aient fait basculer davantage les     leviers    499,  de façon que les marteaux     puissent    venir de  la position indiquée en traits mixtes jusqu'à  une position dans laquelle     ils    sont en contact  avec la bande de vérification.

   Ce mouvement  supplémentaire des leviers 499 est permis,  parce que, lorsque les marteaux occupent la  position indiquée en traits mixtes, les doigts  496 sont en contact avec les broches 498, en  sorte qu'il y a, entre les broches 498 et les  doigts 497,     iuz    espace suffisant pour que les  leviers 499 puissent se déplacer sans qu'il     ,>     ait interférence entre les broches 498 et les       doigts    497.    <I>Dispositif de</I>     sélection   <I>des</I>     marteaux.       Le mécanisme pour connecter les bielles  503 aux broches 501 des leviers 499 sera dé  crit à présent.  



  A chacune des bielles 503 est     connecté,    par       une    bielle 510, un bras 511 articulé à l'arbre  465. Un ressort 512 maintient des épaulements  des bras 511 en contact avec des broches 513  portées par des bras 514 solidaires de l'arbre  465. Cinq bras 511 sont montés librement     sur          l'arbre    465, tandis que cinq bras 514 sont calés    sur cet arbre. Chacun des bras 511 porte des  doigts palpeurs qui coopèrent avec des enco  ches et des saillies portées par des plaques de  commande.

   Lorsque - les     doigts    palpeurs se  trouvent en regard des encoches ménagées  dans les plaques de commande, les bras 511  peuvent être basculés, en sens inverse de celui  des aiguilles d'une montre, par leur     ressort     512, dans une mesure suffisante pour que les  encoches des bielles 503 soient en prise avec  les broches 501, de sorte que les marteaux  peuvent être actionnés, lorsque les bras 514 et  l'arbre 465 sont basculés par les cames 508  et 509.  



  La manière dont. les bras 514 et. l'arbre       -165    sont basculés en     sens    inverse de celui des  aiguilles d'une montre sera décrite à présent.  A l'arbre 465     (fig.    13) est fixé un bras 51:>       connecté,.par    une bielle 516,à un levier coudé  517 articulé à l'arbre 422. Le levier coudé 517  porte des galets 518 et 519     coopérant    avec des  plaques 520 et 521 d'une came double atta  chée à l'arbre 320.  



       Juste    avant que les cames 508 et 509     com-          mencent    à fonctionner, de manière à amener  les marteaux dans la position     permettant    aux  roues     porte-caractères    150 de porter des ins  criptions sur la bande de vérification, les  cames 520 et 521 font osciller le levier coudé       51.7        dans    le     sens    des aiguilles d'une montre,  en sorte que la bielle 516 fait osciller le bras  515, l'arbre 465 et     tous    les bras 514 en sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre,

   de  manière à amener les ressorts 512 à faire  osciller les bras 511 en sens inverse de celui  des aiguilles d'une montre, en sorte que les  doigts palpeurs portés par ces bras peuvent  coopérer avec les saillies ou encoches des pla  ques de commande susdites. Si les encoches  sont     situées    en regard des doigts palpeurs, les  bielles 503 seront connectées aux leviers 499  et les marteaux d'impression entreront en ser  vice.

   Toutefois, si des saillies sont situées en  regard des doigts palpeurs des bras 511, les  ressorts 512 seront tendus, en raison     .du    fait  que ces bras 511 ne peuvent pas être soumis  à un basculement en sens inverse de     celui    des       aiguilles    d'une montre, à cause de l'interfé-      rente (les     millies    portées par les plaques avec  les doigts palpeurs. En conséquence, aucune       impression    ne sera faite par les marteaux,  lorsque leurs     plaques    de sélection respectives  sont, disposées de faon que des saillies soient  en regard des doigts palpeurs.  



  <I>Commande</I>     automatique   <I>générale</I>  <I>de</I>     l'avan.ceint        iit   <I>de 1a bande de vérification,</I>  <I>et</I>     dit        mécanisme        d'aetionnement   <I>des marteaux.</I>  Lorsque     l'enregistrement    complet d'une  transaction relative à la délivrance d'un chè  que de paiement est     emmagasiné    sur la bande  de vérification, il est     nécessaire    (le faire  avancer     celle-ci,    lorsque certaines impres  sions y ont été apposées,

   tandis qu'il est né  cessaire aussi d'empêcher l'avancement de la  dite bande lorsque certaines autres impres  sions y ont été apposées. A     d'autres    moments,  il est également nécessaire de faire avancer  la bande de vérification avant que certaines  impressions     @-    soient apposées et même avant  (lue ladite bande de vérification ait été dé  placée jusqu'à la position dans laquelle elle  est susceptible (le recevoir l'impression.  



  De même, il est nécessaire de commander  la sélection du fonctionnement des marteaux       -182,    483 et 484, de faon à imprimer dans les  seconde, troisième et quatrième colonnes de la  bande de vérification pendant l'enregistre  ment (l'une transaction relative à. la déli  vrance d'un chèque de paiement.  



  Ainsi, lorsque trois déductions sont impli  quées dans une transaction, il est     nécessaire     que chacune de ces déductions soit imprimée  par un marteau différent. parmi les marteaux  482, 483 et     -184.    Si la     transaction    comprend  quatre déductions, le marteau 482 doit à nou  veau entrer<B>en</B>     service        immédiatement    après  le     fonctionnement    du marteau     48-1.    S'il     ii'v        :

  i     aucune déduction, les marteaux précités doi  vent être commandés de faon que le mar  teau 483 imprime le total des avances à ce  jour, après quoi le marteau 482 est actionné  de façon que soit imprimé le total clés gains  à cette date, le marteau     48-1    étant finalement  mis en action pour l'impression du total     clés     chèques nets.    Pour commander la sélection des marteaux  et. du mécanisme d'avancement, on a prévu  tout     d'abord    plusieurs     groupes    de plaques de  commande servant à la. sélection des marteaux  et, en outre, un groupe distinct (le plaques de  commande pour commander l'avancement. .clé  la. bande clé vérification.  



  Les plaques de commande des marteaux et  d'avancement de la bande de vérification sont  disposées     différentiellement    à     partir    clé trois  sources différentes: en premier lieu, à partir  de la. rangée 1 de touches de transactions, en  second lieu à partir d'une ligne spéciale d'en  qui reçoit à son tour son mouve  ment du mécanisme différentiel de la rangée  1, et en troisième lieu à. partir d'une autre  ligne     d'engrenages    qui reçoit son.

   mouvement  différentiel sous la commande de la rangée  clé touches des totaux, de telle sorte qu'elle  sera placée dans l'une ou l'autre de sept posi  tions différentielles, la     première    position étant  une position d'addition, tandis que les six  autres positions sont des positions de totaux.  



  Le contrôle de la sélection     clés    marteaux  482, 483 et 484, qui servent à     imprimer    des  indications dans les seconde, troisième et  quatrième     colonnes    (le la bande de vérifica  tion, sera considéré à présent.  



  Le dispositif d'entraînement à partir clé     lai     rangée 1 de touches de     transaetions    sera tout  d'abord décrit. A l'arbre 143     (fig.        4@    qui,  comme on se le rappellera, est déplacé     diffé-          rentiellement    sous la commande du     mécanisme     associé à la rangée de touches 1, est attaché  un     segment    530 engrenant avec un pignon  531 pivotant sur une broche     532    portée par  la. base 52.

   Le pignon 531 engrène avec un  pignon 533 fixé à un arbre 534     sur    lequel  sont montées les diverses plaques clé     com-          mande    des     marteaux,    clé même que les pla  ques de commande de ].'avancement de la  bande de vérification. Cet. arbre 534     touril-          lonne    dans les châssis 54 et     55    et est égale  ment supporté par les châssis latéraux du dis  positif     d'impression,        situés    plus à la gauche  de la     machine.     



  Pour actionner un autre groupe clé pla  ques de commande parmi les divers groupes      de plaques commandant la sélection des mar  teaux et également les plaques -de commande  du groupe     unique    commandant le mécanisme  d'avancement, on a prévu un arbre 535       (fig.    9B et     10B),    dont sont solidaires des pi  gnons 536, 537, 538 et 539 qui ajustent les  plaques de sélection des marteaux, un pignon  540 qui     .ajuste    les plaques de sélection .du mé  canisme d'avancement, un pignon 541 qui est       plus    petit que les pignons mentionnés précé  demment et ajuste les plaques de sélection de  marteaux dans an, but qui sera décrit     ci-          après,

      et également un     pignon    542 qui ajuste  certains disques d'alignement portés par  l'arbre 534.  



  Le mécanisme d'entraînement     commandé     par le mécanisme différentiel de la rangée  des     totau:k    et servant à commander les pla  ques de sélection .des marteaux et d'avance  ment de la bande de vérification sera décrit  à présent. Sur l'arbre 174     (fig.    7) est montée  la plaque des totaux usuelle 543, ajustée     dif-          fér        entiellement        sous    la commande des touches  67 et 68 .de la rangée des totaux. A la plaque  de commande     5.13    est articulée une bielle 544  qui est reliée à pivotement à un bras     545     attaché à l'arbre 138. A cet arbre 138 est.

    fixé un segment denté 546 engrenant avec un  segment denté 547 fixé à l'arbre 548 supporté  par le châssis auxiliaire 304 et par le châssis  latéral de .droite 51 de la machine. A l'arbre  548 est également fixé un segment denté 549  engrenant avec -Lui pignon 550 calé sur un  arbre 551 qui est supporté par les châssis 54  et 55 du dispositif d'impression. Sur l'arbre  551 sont- calés des pignons 552, 553, 554, 555  et 556     (fig.        9B).    Les pignons 552, 553, 554 et  555 ajustent les plaques de commande des       marteaux    qui sont commandées par les tou  ches de la rangée des totaux.

   Le     pignon    556  coopère à la commande du mécanisme d'avan  cement de la bande de vérification.- Un autre  pignon 557 est également fixé à l'arbre 551  et est     utilisé,    en coopération avec les plaques  d'alignement, pour les plaques de commande.  



  Aux     fig.        9B    et 27 à 35, on a représenté les  groupes de     plaques    de commande des trois  marteaux 482, 483 et 484 servant à imprimer    des indications dans les seconde, troisième et       quatrième    colonnes de la bande de vérifica  tion, le mécanisme représenté aux     fig.    27, 28  et 29 servant à la commande du marteau 482       servant    à .l'impression dans la seconde colonne  de la bande de vérification. Le groupe men  tionné ci-avant de plaques de commande sera  décrit à présent.  



  A l'arbre 534, qui est entraîné directe  ment sous la     connnande    du mécanisme diffé  rentiel de la première rangée de touches de  transactions, est attachée une plaque de com  mande 560     (fig.    29) dans laquelle sont mé  nagées des     encoches    561. Sur l'arbre 534     tou-          rillonne    une plaque -de commande 562       (fig.    28) présentant des encoches 563.

   La  plaque 562 est     fixée    à un pignon 564 qui  engrène avec le pignon 539 porté par l'arbre  535 et qui n'est .déplacé que pendant une opé  ration suivant     une    autre opération au     cours     de laquelle une touche 66 est     abaissée.    Sur  l'arbre 534 tourillonne également une plaque  de commande 565     (fig.    27) présentant des       encoches    566. Cette plaque de commande est  fixée à un pignon 567     entraîné    par le pi  gnon 555.  



  Comme on le voit, la plaque 560 est com  mandée par le différentiel de la première  rangée de touches de transactions. La plaque  562 est actionnée par un dispositif automati  que mis en marche sous la commande de la.  première rangée de touches de transactions,  lorsqu'il est positionné     différentiellement    sous  le contrôle des touches 66 de la rangée 3, la  dite plaque 562 étant entraînée par un dispo  sitif à rochet montré aux     fig.    19 et 20. La  plaque de     commande    565 est entraînée sous  la commande de la rangée de touches des  totaux.  



  Le bras sélecteur de marteaux 511       (fig.    27) porte une broche 568, sur     laquelle     est monté à pivotement un bloc palpeur 569  muni de doigts palpeurs 570 et 571 coopé  rant avec la plaque de commande 565, d'un  doigt palpeur 572     (fig.    28) coopérant avec la  plaque de commande 562 et de deux doigts  palpeurs 573 et 574     (fig.    29) coopérant avec  la plaque de sélection 560.      Les points de commande des plaques men  tionnées ci-avant sont désignés par les chiffres  arabes et romains, les premiers coopérant avec  les doigts palpeurs inférieurs, tandis que les  derniers coopèrent avec les doigts palpeurs su  périeurs des blocs palpeurs précités.  



  Il résulte de ce qui précède que le bloc  palpeur 569 porte en tout cinq doigts pal  peurs et que, pour que le marteau     -I82    soit  sélectionné en vue de son fonctionnement, il  est nécessaire que les trois doigts palpeurs  inférieurs 570, 572 et 573 coopèrent avec les  encoches ménagées dans les trois plaques 565,  562 et 560 respectivement, à un certain mo  ment, ou     que    les deux     doigts    palpeurs supé  rieurs 571 et 574     coopèrent.,    au même mo  ment, avec les encoches ménagées dans les  plaques<B>565</B> et 560.  



  Lorsque l'une on l'autre des deux condi  tions énoncées ci-avant se produit, c'est-à-dire  lorsque les trois doigts palpeurs inférieurs co  opèrent avec les encoches des     plaques    565, 562  et 560, ou lorsque les deux     doigts    palpeur  supérieurs coopèrent. avec les encoches des  plaques 565 et 560, le marteau 482 est sélec  tionné pour être     mis    en fonctionnement.

   Ceci  est dû au fait que, lorsque les bras 514 sont  basculés en sens inverse de celui des aiguilles  d'une montre par le     mécanisme    de came de la       fig.    13, les ressorts 512 obligent les bras 511  à suivre .les bras 514, si la condition énoncée       ci-avant    de relation entre les doigts palpeurs  du bloc 569 et les encoches des plaques de sé  lection 560, 562 et. 565 se produit. Lorsque le  bras 511 est ainsi abaissé, la bielle 510 fait  basculer la bielle 503 en sens inverse de celui  des aiguilles d'une montre, clé manière à ame  ner son encoche 502 en     prise    avec la broche  501 du levier de commande     499    des marteaux.  



  Pour     rnicux    illustrer la fonction des pla  ques de     commande        du,    marteau 482, qui est  commandé par les plaques clés     fig.   <B>27,</B> 28 et  29, l'exemple spécifique illustré aux lignes 1,  <B><U>\</U></B> et 3 de la     fig.    36 sera utilisé. La     première     opération de cette transaction consiste à re  lever le montant. des gains à cette date.

    Comme illustré sur la. première ligne de la se  conde colonne de la bande de vérification,    l'opérateur a. relevé un montant de Fr. 40,00  qui constitue le montant des gains à cette  date, cette partie de la transaction étant com  plétée par l'abaissement de la touche 65 rela  tive au relevé des gains à cette date dans la  rangée 2 de touches de transactions. On se  rappellera que l'abaissement de cette touche  provoque l'arrêt du mécanisme de verrouil  lage différentiel de la première rangée de tou  ches de transactions dans la. sixième position.

    Lorsque ceci se produit, la plaque de sélec  tion .560     (fig.    29) est déplacée vers la sixième  position, en sorte que l'encoche .561, désignée  à l'extérieur de la plaque 560 par le chiffre  arabe 6, est amenée en face du doigt,     palpeur     573. Comme aucune touche 66 n'est abaissée,  la plaque de commande 562 de la     fig.    28 res  tera dans la position représentée, dans la  quelle une encoche se trouve en regard du  doigt palpeur .572. En raison du fait qu'il  s'agit d'une opération d'addition, la plaque  de commande 565 reste dans la position repré  sentée, c'est-à-dire dans la position d'addition  pour laquelle une encoche se trouve en regard  du doigt palpeur 570.  



  *Dès lors, comme une encoche se trouve en  regard de chacun des trois doigts palpeurs  inférieurs 570, 572 et 573, lorsque le bras 514  est abaissé, les doigts palpeurs pénètrent dans  les encoches précitées et, par conséquent, le  ressort 512 oblige le bras 511 à suivre le bras  514, en sorte que la bielle 503 de la     fig.    12  est connectée au mécanisme     d'actionnement     des marteaux, le marteau 482 étant, dès lors,  mis en service pour imprimer le montant des       sains    à cette date.  



  Le groupe suivant de plaques de com  mande     sélectriees    est celui représenté aux       fig.    30, 31 et 32. Les plaques de ce groupe       sont    associées au marteau 483 qui     imprime     des indications dans la. troisième colonne de  la bande de vérification.  



  Une plaque de     commande    580, présentant  des encoches 581, est calée sur l'arbre 534 et,  dès lors,     différentiel.lement.    ajustée sous la  commande des touches 64 de la rangée 1. Une  plaque de commande 582 tourillonne sur l'ar  bre 534 et est actionnée par un     dispositif    à      rochet, après l'abaissement d'une touche 66  de la rangée 3. La plaque 582 présente des  encoches 583 et est     fixée    à un pignon 584 qui  engrène avec un pignon 537 solidaire de l'ar  bre 535.  



  Une plaque de commande 585 est égale  ment     tourillonnée    sur l'arbre 534. Cette pla  que 585 présente des encoches 586 et est  fixée à un pignon 587 engrenant avec le pi  gnon 553, calé sur l'arbre 551 actionné sous  la commande des touches 68 et 67 de la ran  gée des totaux.  



  Le bras 511, associé au marteau 483, porte  une broche 588 à laquelle est articulé un bloc  palpeur 589 présentant deux     doigts    palpeurs  590 et 591 devant coopérer avec la plaque  585, un     doigt    palpeur 592 devant coopérer  avec la plaque 582 et deux doigts palpeurs  <B>593</B> et 594 devant coopérer avec la plaque de       commande    580.  



  Comme la donnée     suivante    d'une trans  action complète,     considérée    à présent, con  siste à relever le montant des avances à cette  date, la touche 64 de la rangée 1 relative au  relevé du solde des avances est abaissée, en  sorte que le différentiel de la rangée 1 met la  plaque 580     (fig.    32) dans la troisième posi  tion, étant donné que cette touche est dans la  troisième position de cette rangée. Ce dépla  cement de la plaque 580 amène les encoches  581, situées en face de la position III et en  face de la position 3, en regard -des doigts  palpeurs 594 et 593 respectivement.

   Pendant  ce temps, ni la plaque 582, ni la plaque 585  ne sont déplacées, la plaque 585 restant dans  la position d'addition représentée à la     fig.    30.  On notera, à la     fig.    30, qu'il y a     une    encoche  586 en face de     chaque    doigt palpeur 590 et  591. En face du doigt palpeur 592, la plaque  582 ne présente pas d'encoche, l'extrémité  inférieure du bloc palpeur ne pouvant, dès  lors, pas faire pénétrer ses doigts dans les  encoches des trois plaques 580, 582 et 585.

    Toutefois, comme on l'a mentionné     ci-dessus,     le marteau peut être mis en service, si les  deux     doigts    palpeurs supérieurs 591 et 594  sont disposés en regard d'encoches, de manière  à permettre au ressort 512 de la     fig.    30    d'obliger le bras 511 à suivre le bras 514, qui  est .déplacé vers le bas par le dispositif de  came de la     fig.    13, .de manière à amener l'en  coché 502 de la bielle 503 en prise avec la  broche 501 du levier     d'actionnement    des  marteaux.  



  Comme une encoche 586 de la plaque 585  se trouve en face du doigt     palpeur    591 et  comme une encoche 581 (occupant la position  III) de la plaque 580 se trouve en face du       doigt    palpeur 594, le marteau 483 peut être  actionné pour imprimer dans la troisième co  lonne de la bande de vérification le montant  de Fr. 20,00 qui représente le montant du  solde des avances dû par l'employé à la firme  qui l'occupe.  



  Le groupe     suivant    de plaques de com  mande à considérer est celui représenté aux       fig.    33, 34 et 35. Les plaques de ce groupe  sont associées au marteau 484, qui sert à  porter des inscriptions dans la quatrième co  lonne de la bande de vérification.  



  A l'arbre 534 est fixée une plaque 600  présentant des encoches 601. Cette plaque  étant fixée à l'arbre 534 est ajustée directe  ment     sous    la commande du mécanisme diffé  rentiel de la rangée 1.  



  Sur l'arbre 534     tourillonne        suie    plaque  de commande 602 présentant des encoches 603.  Cette plaque 602 est fixée à     iu1.        pignon    604  engrenant avec un pignon 536 qui est fixé à  l'arbre 535, lequel arbre est actionné par un  mécanisme à rochet sous la commande des  touches 66 de la rangée 3.  



  Sur l'arbre 534 tourillonne également une  plaque 605 qui est fixée à un pignon 607 qui  engrène avec un pignon 552 calé sur l'arbre  551, lequel arbre est ajusté sous la commande  des touches de la rangée des totaux.  



  Le bras 511     (fig.    33) qui est     associé    au  marteau 484 porte une broche 608 à laquelle  est articulé un bloc palpeur 609 présentant  deux doigts palpeurs 610 et 611 coopérant  avec la plaque de commande 605, un doigt  palpeur 612     (fig.    34) coopérant avec la pla  que de commande 602, et deux doigts palpeurs  613 et 614     (fig.    35) coopérant avec la plaque  de commande 600.      La partie de la transaction à considérer à.

    présent est l'entrée du chèque brut. de     l'eni-          plové.    Pour réaliser cette entrée, l'opérateur       inscrit    le montant sur les touches de montants  63 et abaisse la touche 65, relative aux gains  bruts de la seconde rangée de touches de  transactions.  



       L'abaissement    de la touche 65 mentionnée  en dernier lieu amène     automatiquement    le mé  canisme différentiel. de la rangée 1 à s'arrê  ter dans la huitième position, la plaque de  commande 600 étant conséquemment amenée  à la huitième position. Dans la huitième posi  tion, à la fois dans la. position désignée par  un chiffre romain et dans la position désignée  par un chiffre arabe, il y a une encoche 601  qui coopère avec les doigts palpeurs 613 et  614. La plaque 602 n'est. pas déplacée pen  dant l'entrée de la. donnée considérée de la  transaction, de     même    que la plaque 605 n'est  pas déplacée, étant donné qu'elle se trouve  normalement. en position d'addition.

   Dès lors,  les plaques 605 et 602 occupant. les positions  représentées et la plaque 600 étant. amenée  à la huitième position, les deux doigts pal  peurs supérieurs 611 et 614 du     bloc    609 ren  contreront les encoches 606 et 601     respective-          nient,    lorsque le bras 514 est soumis à un     bas-          culement    en sens inverse de celui des aiguilles  d'une montre.

   Le ressort 512 peut alors faire  osciller le bras 511 en sens inverse de celui  des     aiguilles    d'une montre, de manière à  amener la. bielle 510 à abaisser la bielle 503  et à associer celle-ci, par son     engagement    avec  la broche 501, au levier     d'actionnement    499  du marteau.  



  La donnée suivante de la transaction re  lative à l'établissement d'un chèque de paie  ment,     lorsque    des déductions sont prévues,  est l'entrée desdites déductions dans la ma  chine. En référence à la<U>fi-.</U> 36, on notera  (lue dans l'exemple considéré à présent, le  montant de Fr. 0,55 est.     enregistré    dans la  seconde colonne, le montant de Fr. 2,00 dans  la troisième colonne et le montant de Fr. 5,00  dans la quatrième colonne de la seconde ligne.  



  Pour l'entrée de ces trois déductions, les  trois touches 66, occupant les quatrième, troi-         sième    et     cleL(xiènie    positions de la rangée 3,  sont abaissées.  



  Pendant. le fonctionnement (le la machine,  lorsqu'une des touches 66 est abaissée, un mé  canisme spécial est. commandé de manière à  faire avancer les plaques     .562,    582 et. 602 d'un  cran pendant, le fonctionnement suivant de la  machine. Si trois déductions sont à faire, les  plaques précitées seront. d'abord amenées de  la position N  1 à la position N  2 pendant la  seconde opération de déduction, puis à la po  sition N  3 pendant la     troisième    opération de  déduction. Si quatre déductions sont à faire, la  position suivante des plaques précitées     sera    la  position suivante N  1.  



  Le mécanisme de commande des plaques  562, 582 et 602 sera décrit à présent, en réfé  rence aux     fig.    28, 31 et 34.  



  A l'arbre     53.1,    qui est actionné par le  différentiel de la rangée 1 de touches de       transactions,    est. fixée une plaque de com  mande 620 (fi-. 19) présentant. une seule en  coche 621 clans sa cinquième position. On se  rappellera. que lorsqu'une des touches 66 de  la rangée 3 est.     abaissée,    le mécanisme diffé  rentiel de la rangée 1 est automatiquement  arrêté dans sa cinquième position.  



  Une broche 622, portée par un levier 623  tourillonnant sur l'arbre 465, coopère avec la  plaque 620 susdite. La. broche 622 est norma  lement maintenue en contact avec la plaque  620 par un ressort 624. Sur une broche 625  du levier 623 est articulé     Lui    cliquet 626 co  opérant avec une roue à rochet 627 fixée au  côté d'un pignon 628 qui engrène avec un  pignon 538 calé sur l'arbre 535. Les dents de  la roue à rochet. 627 sont espacées de 30 .  



  Une broche 629, portée par un levier  coudé 630 articulé à. une bielle 631, coopère  avec le     levier    623. La. bielle 631 est     fourchue,     de manière à pouvoir glisser sur un collier de  l'arbre 309. La.     bielle    631 porte un galet 632  coopérant avec une came 633 prévue sur  l'arbre 309.  



  Comme le savent bien les spécialistes, les  mécanismes différentiels fonctionnent à la  manière de dispositifs à mouvement mini  mum, de telle sorte que, si l'arbre     531-    est      ajusté par le dispositif à mouvement mini  mum sous la commande du mécanisme diffé  rentiel de la rangée 1, cet arbre, de même  que toutes les plaques de commande calées  sur lui, resteront dans les positions dans les  quelles ils ont été amenés pendant une opéra  tion.

   Dès lors, comme la dernière transaction  considérée consistait à entrer .dans la machine  du gain brut, le différentiel de la rangée 1  est resté dans la huitième position à la     fin     de cette opération, dans laquelle position la  plaque 620 (fi-. 19) a été amenée dans sa hui  tième position,     aucune    encoche n'étant prévue  dans     -cette    position de la plaque 620, en sorte  que le cliquet 626 est resté hors service.  



  L'opération succédant à l'entrée du gain  brut, dans l'exemple considéré, est     -une    opéra  tion pendant laquelle le montant relatif aux  assurances sociales est déduit.     Aii    début de  cette opération, la .came 633 fait. osciller la  broche 629, par l'intermédiaire de la bielle  631, contre la     queute    du levier. 623 et fait  osciller ce levier dans le sens des aiguilles       d'une    montre     (fig.    19), de manière à dégager  le galet 622 de la plaque 620.

       Lin    jeu est  prévu entre le     cliquet    626 et la .dent adja  cente de la roue à rochet 627, de manière à  permettre le mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre mentionné     ci-avant,     sans rotation de la roue à rochet 627.

   La came  633 est agencée de façon que la broche 622  soit éloignée de la plaque 620 avant. que  celle-ci ne commence à     tourner.    Comme la dé  duction relative aux     assurances    sociales est  commandée par .l'abaissement     d'une    touche 66  de la     rangée    3, la plaque 620 est     ajustée    de  manière à subir un déplacement tel que l'en  coche 621 se trouve sur le trajet de la bro  che 622.

   Sensiblement au début de la seconde  moitié de la rotation de la carne 633, la bielle  631 est déplacée vers la droite     (fig.    19), de  manière à faire osciller le levier 630 en sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre,  en sorte que la broche 629 est éloignée -de la  queue du levier 623.

   Ce mouvement du levier  630 permet au ressort 624 de faire osciller le       .levier    623 en sens inverse de celui des aiguil  les     d'une    montre, tandis que, étant donné que    l'encoche 621 se trouve à présent sur le tra  jet de la broche 622, le levier subit     lin        bascu-          lement    vers le haut suffisant pour amener le       cliquet    626 au-dessus de la dent suivante de  la roue     à,    rochet 627, en sorte que celle-ci peut  être mise en rotation au début de la mise en  action suivante de la machine.  



  L'opération suivante à réaliser par la ma  chine est l'entrée du montant des assurances.  Pour commander, de manière appropriée, la  machine à cette fin, la touche 66  Déduction  pour assurance  de la rangée 3 est abaissée.  Pendant cette opération, le     mécanisme    diffé  rentiel de la rangée 1 est à nouveau arrêté  dans la cinquième position et, comme la pla  que 620 est ajustée par le     dispositif    à mouve  ment minimum habituel bien connu, la pla  que 620 n'est pas réajustée, en sorte que l'en  coche 621 de cette plaque reste dans la posi  tion voisine de la broche 622.

   Pendant la pre  mière partie de cette opération, lorsque la  came 633 fait osciller le levier 630 dans le  sens .des aiguilles d'une montre, la broche 629,  par son contact avec le bras arrière du levier  623, fait osciller ce levier dans le sens des       aiguilles    d'une montre, en sorte que le cliquet  626 est abaissé et que la roue à rochet 627 est.  mise en rotation, le pignon 628     subissant,    dès  lors,     un        -déplacement    correspondant à un pas  (30 ) de la roue à rochet.

   Le déplacement du  pignon 628 provoque,. par     l'intermédiaire    du  pignon 538 et de l'arbre 535, du pignon 539       (fig.    28) et du pignon 564, une rotation d'in  pas de la plaque 562, en sorte qu'aucune     en-          coehe    ne sera présentée au doigt palpeur 572.  En même temps, le pignon<B>537</B>     (fig.    31), calé  sur l'arbre 535, fait tourner le pignon 584 et  la plaque 582 y     associée    d'un pas, ce qui  amène une encoche 583 de cette plaque en re  gard du doigt 592 associé au marteau 483.  



  Pendant le déplacement des plaques 562 et  582, la plaque 602     (fig.    34) est déplacée d'un  pas, par l'intermédiaire du pignon 536 et du  pignon 604, en sorte qu'une saillie de la pla  que 602 est amenée en regard du     doigt    pal  peur 612. En conséquence, pendant ].'entrée  du montant des assurances, qui     constitue    la  seconde déduction, seuls les trois doigts pal-      peurs 590     (fig.    30), 592 (fi-.<B>31)</B> et<B>593</B>       (fig.    32) seront en regard d'encoches des pla  ques 585, 582 et 580. Il est à noter que la.  plaque 580 présente une encoche en face de la  cinquième position.

   Comme le mécanisme dif  férentiel est arrêté dans la cinquième posi  tion, l'encoche mentionnée ci-avant est. placée  en regard du doigt 593. Dès lors, lorsque le       bras    514 oseille en sens inverse de celui des  aiguilles d'une montre,     lorsqu'on    considère la       fig.    30, le     ressort    512 du bras 511 peut con  necter sa bielle 503 au levier 499 de com  mande du marteau, en sorte que le montant  de Fr. 2,00 (déduction pour     assurances)    est  imprimé dans la troisième colonne de la bande  de vérification. par le marteau 483.  



  La donnée suivante à entrer dans la ma  chine     est    la déduction correspondant à une  avance de paiement. A cet. effet, l'opérateur  abaisse la touche 66      Remboursement.    des  avances . Comme cette touche se trouve clans  la rangée 3, le mécanisme     différentiel     < le la  rangée 1 restera dans la cinquième position,  une encoche de la plaque 600     (fig.    35) étant.  en regard du doigt palpeur 613, taudis  qu'une encoche 606     (fig.    33) est en regard du       doigt,    palpeur 610, par .le fait que la plaque  605 ne subit aucun déplacement.

   Pendant  cette opération, le mécanisme de la fi;. 19  fonctionne à nouveau sous la commande de la  bielle<B>631,</B> étant donné que la plaque 620 reste  dans la cinquième position, la roue à.     rochet     627 étant déplacée d'un nouveau pas<B>(le</B> 30"  par le cliquet 626,     lorsque    le levier 630 est  déplacé dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre, comme décrit ci-dessus. Les pignons 531>  et 564     (fig.    28) font alors tourner la plaque  562 jusqu'à la troisième position, une saillie  de cette plaque étant alors en     regard    du doigt  palpeur 572.

   De plus, les pignons 537 et 584       (fig.    31) font tourner la plaque<B>582</B> d'un nou  veau pas, ce qui éloigne l'encoche de la posi  tion 2 et place une saillie dans la position  3, en regard du doigt palpeur 592. Simul  tanément,     les    pignons 536 et 604     (fig.    34)  font tourner la plaque 602, de manière à ame  ner une encoche 603 clans la troisième posi  tion, où elle     est    en regard du doigt. palpeur    612.

   Comme la plaque 600 de la     fig.    35 pré  sente une encoche dans la cinquième position  en regard du     doigt    613, les trois doigts pal  peurs<B>610,</B> 612 et 613 du bloc 609 occupent  une position telle que le     ressort    51.2     (fig.    33)  peut abaisser le bras 511, lorsque le bras 514  est basculé par le mécanisme de la fi-. 13.  En conséquence, la bielle 503, associée au mar  teau 484, sera amenée en position     active,    sa  broche 501 étant. sur le levier     199    de com  mande du marteau, en sorte que le montant  de Fr. 5,00 (déduction pour avance de paie  ment) est imprimé par le marteau 484 dans  la quatrième colonne de la bande de vérifica  tion.  



  L'opération suivante de la, transaction est  une opération de totalisation consistant à  imprimer sur la     bande    de vérification le total  des avances à. ce jour, qui s'élève clans le cas  considéré à Fr. 20,00. Ce montant est. obtenu  clans le     totalisateur    de balance et.     imprimé     par le marteau     1-83        dans    la troisième     colonne     de la bande de vérification. Le     dispositif.'     commandant le     fonctionnement    de ce mar  teau sera décrit à présent.  



  Comme le montre particulièrement la,       fil-g.    20, une roue à rochet. 640 tourillonne sur  l'arbre 534. Les dents de cette roue à     rochet     sont écartées de 45", dans un but qui sera. dé  crit ci-après.  



  Dans une transaction     comprenant    trois  déductions on des multiples de trois déduc  tions, le mécanisme     montré    à la     fig.    20  n'accomplit aucune fonction. Il. sera décrit     Ù     présent de façon à détailler ses     mouvements     pendant une telle     transaction    et de façon     à,     montrer comment il n'accomplit aucune fonc  tion pendant cette transaction.

   Ces fonctions       apparaîtront,    lorsqu'on considérera une     trans-          action    présentant.     .cles    déductions en nombre  différent de trois et d'an. multiple de trois.  



  A la roue à rochet 610     (fig.    '0) est fixé  un     pignon    641 engrenant. avec un petit pi  gnon     5.11    de l'arbre 535. Sur l'arbre 534     tou-          rillonne    également un pignon 642     engrenant     avec un pignon     554    porté par l'arbre 551, qui  est entraîné sous la     commande    de la rangée  de touches des totaux. Au pignon 641 .est      fixée une plaque de commande 643 présen  tant une encoche 644 s'étendant sur les posi  tions 1, 2, 3 et 4 de cette plaque. Dans la po  sition d'addition de la plaque 643 se trouve  une saillie.

   Un cliquet 645, articulé     sur    -une  broche 646 portée par un     levier    647 touril  lonné sur l'arbre 465, coopère avec la roue à  rochet 640. Le levier 647 porte un goujon 648  maintenu en contact avec .la périphérie de la  plaque 643 par un ressort 649. L'extrémité       postérieure    du levier 647 coopère avec la  broche 629, qui est de longueur     suffisante     pour s'étendre non     seulement    au-delà de       l'extrémité    arrière du levier 623, mais égale  ment au-delà de l'extrémité arrière du levier  647.

   En conséquence, le levier 647 est actionné  par la came 633     (fig.    19), la bielle 631 et le       levier    630, de faon à actionner le levier 647  et le     cliquet    645 de la même manière et en  même temps que le levier 623 et le cliquet 626.  



  Pendant les trois opérations d'entrée des  trois déductions, la plaque .de commande 620  est ajustée de façon à rendre le     cliquet    626  apte à actionner la roue à rochet 627. Toute  fois,     :comme    la conformation de la came 633  est telle que la roue à rochet 627 n'est pas  actionnée avant le commencement de l'opéra  tion suivant celle pendant laquelle le cliquet  626 est rendu actif, cet     actionnement    n'a lieu  que pendant les opérations d'impression des       deux    dernières déductions.

   Toutefois, à la fin  de l'inscription de la troisième déduction, le  cliquet est encore en service, la roue à rochet  627 étant, dès lors, actionnée au début de  l'opération suivante de la machine qui, dans  l'exemple considéré, consiste à imprimer le  total des avances à cette date, la roue à ro  chet 627 subissant son troisième mouvement  d'un pas, pendant la première partie de la  première phase de l'opération d'impression du  solde en deux phases. La roue à rochet 627  est déplacée de 30  à chacun de ses déplace  ments. Par l'intermédiaire des pignons 628 et  538, de l'arbre 535 et des pignons 541 et 641,  la roue à rochet 640- est déplacée de 15 , cha  que fois que la roue à rochet 627 est action  née, en raison du fait que le rapport de trans  mission est de 2. 1.

   Dès lors, .au bout de trois    avancements d'un pas, la roue à rochet     6'21   <B>Î,</B>  dont les dents sont espacées de 30 , vient  après une rotation supplémentaire dans sa  position de repos. La roue à rochet est mon  trée dans cette position à la     fig.    19. Comme la  roue à rochet 640 a ses dents espacées de 45 ,  elle vient occuper sa     position    de repos après  avoir parcouru une distance correspondant à  une dent seulement, .ladite roue à rochet 640  étant représentée dans cette position à la       fig.    20.  



  Pendant chacune des opérations d'impres  sion d'une déduction, le cliquet 645 ne peut  se mouvoir, étant donné que la plaque 643 est  dans une position d'addition et a une saillie  en regard du goujon 648 du levier 647.  Comme mentionné précédemment, la con  formation de .la came 633 est telle qu'elle fait  osciller le levier 647, de manière à abaisser le       ,cliquet    645 tout au début     .d'un    fonctionne  ment de la machine. Ainsi, le cliquet 645 est  abaissé avant que la plaque de commande soit  ajustée sous la commande de la touche rela  tive aux avances à cette date. Dès lors, le     cli-          quet    645 ne peut faire tourner la roue à. ro  chet 640 pendant une opération de totalisa  tion.

   Pendant cette opération de totalisation,  l'encoche 644 est disposée en regard du goujon  648 et, dès lors, lorsque la came 633     ramène     le levier 647 vers sa position supérieure, le  goujon 648 pénètre dans l'encoche et permet.  au cliquet de s'élever vers     l'entredent    suivant.       Toutefois,    l'amplitude du déplacement vers le       haut    conféré au cliquet 645 n'est pas suffi  sante pour amener le cliquet au-delà de la  dent suivante de la roue à rochet 640, ce cli  quet 645 étant, dès lors, inactif pendant le  fonctionnement immédiatement subséquent de  la came 633.  



  Dès lors, pendant une opération de totali  sation, succédant à trois opérations d'entrée  d'une déduction     dans    la machine, la plaque  582 reste dans la position montrée à la     fig.    31,  dans laquelle position une saillie est en re  gard du doigt 592 du bloc 589.  



  La came 633 est montée sur l'arbre 309,  qui accomplit deux rotations complètes pen  dant     -une    opération de totalisation. Toutefois,      la plaque de commande 620     (fig.    19) est  ajustée pendant. la première phase d'une opé  ration en deux phases, de manière à éloigner  l'encoche 621 du trajet. de la broche 622. Dès  lors, le cliquet. 626 ne peut. être élevé dans       une    mesure suffisante pour que la roue à ro  chet 627 puisse effectivement fonctionner à  nouveau pendant la seconde phase d'une opé  ration. Le cliquet 645 est également mû pen  dant la seconde rotation de la came 633, mais,  à ce moment, ce     cliquet.    ne peut faire tourner  la roue à rochet 640, pour les raisons indi  quées ci-avant.  



  Pendant la première phase d'une opéra  tion de totalisation, la plaque 585     (fig.    30)  est ajustée sous la commande du mécanisme  différentiel de la rangée des totaux et pré  sente l'encoche 586 (III) au doigt. palpeur  591, la position de la plaque 582     (fig.    31) ne  devant pas être     considérée,    bien que cette pla  que ait été amenée dans une position dans la  quelle aucune encoche 583 ne se trouve en  regard du doigt palpeur 592. Toutefois, la  plaque 580     (fig.    32), qui est actionnée sous  la commande du mécanisme différentiel de la  rangée 1, a été déplacée de manière à amener  l'encoche 581     dans    la position.

   IX, parce que  le cliquet d'arrêt à zéro 184     (fig.    4) est  amené en     position    inactive, pendant les opé  rations de totalisation, par un mécanisme  bien connu.     1:n    conséquence, la plaque 580  est amenée dans la position 9. Dès lors,  comme une encoche se trouve en face du doigt  palpeur 591 et en face du doigt. palpeur 594,  le marteau 483 est actionné par le dispositif  décrit précédemment et imprime     les    avances  à cette     date        dans    la troisième colonne de la  bande de vérification.  



  L'opération suivante clé la. transaction       considérée    est l'impression des gains à cette  date, qui est réalisée en faisant fonctionner  la machine après abaissement de la touche 68        (Gains    à cette date  clé la rangée des totaux.  Cette touche est dans la seconde position       dans    la rangée de touches des totaux.       Dès    lors, pendant le fonctionnement clé la  machine, le pignon 554     (fig.    20) amène la  plaque de commande 643 à la seconde posi-    lion, dans laquelle une encoche 644 est pré  sentée au goujon 648, le     cliquet    645 étant à  nouveau élevé.

   Toutefois, le     cliquet.    645 se dé  place à vide pendant cette opération, étant.  donné que, comme il a. été dit ci-dessus, le       mouvement.    n'est. pas suffisant pour amener  ce cliquet     au-dessms    de la. dent suivante de la  roue à rochet 640. Dès lors, la plaque 562  reste dans la position montrée à la     fig.    28,  dans laquelle une encoche 563 est en regard  du doigt palpeur 572. La     plaque    560 de la       fig.    29 est déplacée, clé manière à présenter  une encoche, en face de sa position 9, au  doigt palpeur 573.

   De plus, comme la plaque  565 est déplacée sous la commande des ton  ehes de la rangée des totaux, l'encoche occu  pant la position 2 de .cette plaque 565 est pla  cée en regard du     doigt    palpeur 5ï0. Dès lors,  pendant. cette opération d'impression des  gains à cette date, seul le marteau 482 sera.  actionné, le montant de Fr. 95,00 (gains à  cette date) étant imprimé dans la. seconde co  lonne de la bande de     vérification,    étant donné  que les doigts palpeurs 570, 572 et     5î3    sont  situés en regard d'une encoche clé     leur    plaque  de commande.  



  Toutes les autres plaques des fi-. 30 à. 35  ne présentent pas la     combinaison    \suffisante  d'encoches pour permettre     aux    marteaux 483  ou 484 d'être actionnés pendant l'impression  du montant des gains à cette date.  



  La dernière opération de la. transaction.       considérée    est.     l'impression    du chèque net.  Cette     impression    se fait après abaissement de  la touche 68      Chèque    net  de la rangée clés  totaux.  



  Pendant la première partie de cette opé  ration, la. came 633 abaisse le cliquet. 645,  mais, comme le cliquet.     iie        se    trouve pas der  rière une  < lent clé la roue à     rochet    640, ce     cli-          quet    est     inactif.    Dès lors, la plaque 602 ne  subira aucun déplacement.  



  Pendant. cette     opération,    la, plaque f>00,  commandée par le mécanisme différentiel de  la rangée 1, est amenée dans la position IX,  dans laquelle position. une encoche 601 se  trouve en regard du doigt palpeur 614. De  plus, la plaque 605 est. amenée, sous la com-      mande des touches de l a rangée des totaux, à  la position I, de manière à présenter une en  coche 606 au     doigt        palpeur    611.

   En consé  quence, les deux doigts palpeurs supérieurs  associés     aii    marteau 484 sont en regard d'en  coches     d'une    plaque de commande, le marteau  484 étant, dès lors, actionné, de sorte que le  montant -du chèque net est imprimé dans la  quatrième     -colonne    de la bande de vérification.  



  On notera     qu'aucune    des plaques des       fig.    27 à 32 inclusivement ne possède la com  binaison     voulue    d'encoches, pendant l'impres  sion du montant du chèque net, de façon à  permettre à     l'un    ou l'autre     clés    marteaux 482  et 483 clé fonctionner à ce moment.  



  La     transaction        suivante    à considérer est       celle    .dans laquelle deux déductions sont à  faire du montant du chèque brut d'un employé.  



  Cette transaction est complètement impri  mée dans les quatrième, .cinquième et sixième  colonnes de la. bande de vérification (réfé  rence 663 à la     fig.    36).  



  Lors de l'entrée des diverses données de  cette transaction, les     marteaiLx    sont sélection  nés de la manière     expliquée        ci-dessus,    pour       l1mpression    des montants de Fr. 95,00 cor  respondant aux gains à cette date, de     b'r.    15,00  correspondant aux avances à cette .date, de  Fr. 100,00 correspondant     aux    gains bruts, de  Fr. 0,90 correspondant aux déductions     pour     assurances et de Fr. 15,00 correspondant à la  déduction pour le remboursement des avances  à cette date.

   Dans l'exemple considéré, la  transaction ne comprend que deux déduc  tions, la seconde déduction s'élevant à  Fr. 15,00 et représentant le montant des  avances à cette date     .consenties    à .l'employé,  en sorte que l'employé rembourse la totalité  de ces avances. Après cette déduction, la  touche 68 relative aux avances à cette date  est actionnée. En conséquence, le marteau  483 entre en service, de manière à imprimer  le solde des avances à cette date de l'em  ployé, lequel solde est, dans l'exemple consi  déré, égal à zéro, étant donné que le montant  des avances a été complètement remboursé.  Ce fonctionnement du marteau 483 pour  l'impression du solde nul suit l'impression de    la déduction de Fr. 15,00.

   Ainsi, le marteau  483 est     actionné    pendant deux opérations       subséquentes    et le marteau 484 n'est pas  actionné pendant l'opération précédant immé  diatement l'entrée du solde nul.  



  Pour amener le marteau 483 à procéder à  une impression pendant l'opération suivant  immédiatement l'entrée d'une seconde déduc  tion, les plaques des     fig.    30 et 32 sont posi  tionnées de la manière décrite précédemment,  à propos de l'opération précédente d'entrée  des avances à cette date, de telle sorte que la  combinaison. appropriée d'encoches des pla  ques 580 et 585 se trouve en regard des doigts  palpeurs 591 et 594, de manière à permettre  .le fonctionnement     dit    marteau précité.

   Pen  dant l'entrée du solde, la plaque 580 est posi  tionnée de manière à présenter l'encoche     IX     au doigt palpeur 594, tandis que la plaque  585 est déplacée de manière à présenter l'en  coche III au doigt palpeur 591, de la ma  nière décrite ci-dessus pour une opération  d'inscription du montant des avances à cette  date.  



  On se rappellera que ,la roue à rochet<B>627</B>       (fig.    19) se déplace d'un pas pendant l'entrée  de la seconde déduction, .cette roue à rochet  se déplaçant d'un second pas pendant l'entrée  .de la troisième déduction et     d'iin    troisième       pas    pendant l'impression du montant des  avances à cette date, de manière à mettre la  plaque de commande 582     (fig.    31) dans la.  position voulue. Dans l'exemple considéré à  présent, il n'existe aucune troisième déduc  tion. Dès lors, la plaque 582 accomplit son  deuxième pas pendant l'entrée du montant.  des avances à cette date.

   Ainsi, à la fin de  l'opération mentionnée en dernier lieu, la pla  que 582 est placée de façon à avoir une     enco-          -che    583 en regard .du doigt palpeur 592. Tou  tefois, avant que la donnée immédiatement  suivante de la transaction soit imprimée, la  quelle donnée est de Fr. 195,00 et représente  les gains à cette date, la plaque de commande  doit être dans une position telle qu'elle pré  sente une saillie 1 en face du doigt palpeur  592.     Pour    obtenir ce résultat, le mécanisme  représenté à la     fig.    20 est prévu.

        Pendant. l'entrée de la seconde déduction,  la roue à rochet 627     (fil-.    19) a avancé d'un  pas et, pendant     l'impression    du solde des  avances à cette date, cette roue à rochet. 627  a avancé d'un second pas, c'est-à-dire qu'elle  a progressé de 60" en deux étapes. Pendant       l'impression    (lu montant. des avances à cette  date, la plaque de commande     6-13    est ajustée  de façon à présenter une encoche 611 au gou  jon 618, Dès lors, à la fin d'une telle opéra  tion, le     cliquet    615 est clans sa position supé  rieure. Comme, à ce moment, la roue à rochet.

    610 est éloignée (le sa position normale (repré  sentée à la     fig%    20) de     deux    pas (30") dans le       sens    des aiguilles d'une montre, le cliquet  vient se placer derrière la dent suivante  de la roue à rochet. laquelle dent se trouve à  ce moment. éloignée de sa position     normale    de       deux    dents.

   Pendant la première partie (le  l'opération suivante de la machine, c'est-à-dire  pendant l'impression du montant de Fr.<B>195,00</B>  correspondant. aux gains à cette date, la came  633     (fig.    19) abaisse le cliquet 615, par l'in  termédiaire de la bielle 631 et des leviers 630  et     6-17.    Ce cliquet. 615, en se     trouvant    der  rière une dent. (le la roue à rochet, fait tour  ner cette roue à rochet d'un pas     (15 )    dans  le sens des aiguilles d'une montre     (fig.    20).

    De cette     façon,    par l'intermédiaire des pi  gnons     6-11    et     5-11,    de l'arbre 535     (fig.    28) et  des     pignons    539 et. 561, la plaque (le com  mande 562 avance également d'un pas, tandis  que, par l'intermédiaire de l'arbre 535       (fig.    31) et des pignons 537 et 581, la plaque  de commande 582 avance     également    d'un pas.

    De même, la plaque de     commande    60? avance  elle aussi d'un pas, par l'intermédiaire de l'ar  bre 535     (fig.    31) et des pignons 536 et     60-1.     De cette manière, les trois plaques (le     eom-          mande    562, 582 et 602 sont amenées dans  leurs positions 1, comme montré sur le des  sin. Dès lors, avant que l'impression du mon  tant des gains à cette date n'ait lieu, les pla  ques de commande occupent les positions  indiquées dans le premier exemple d'entrée  d'une transaction.  



  Cet. ajustement. des     plaques    562, 582 et  602 a lieu pendant la     première    partie de la    première rotation de l'arbre 309 et de la came       633.A    la. fin de cette première rotation de la  came 633, le cliquet     615    est à nouveau amené  à sa position la plus élevée. Au début de la  seconde rotation de la came 633, pour l'opé  ration de totalisation considérée, le     cliquet.     615 est     abaissé,    sans exécuter de fonction  utile, étant     donné    qu'il ne se trouve pas der  rière la dent suivante de la roue à rochet 610.  



  L'opération succédant à l'impression du  montant des gains à cette date est celle de  l'impression (lu montant de Fr. 81,10 du  chèque net. Pour cette     impression,    le marteau  approprié est choisi de la manière illustrée  ci-dessus à propos de l'entrée de la première  transaction considérée.  



  Pour la transaction suivante représentée  par les lignes     66-1    à la     fig.    36, il n'y a aucune  avance à. cette date et une seule déduction.  Dans toutes les opérations de cette     transaction     précédant l'opération d'entrée de la déduc  tion, les plaques de commande sont ajustées  de manière à sélectionner les marteaux d'im  pression de la manière indiquée pour les opé  rations similaires     ci-dessus.    Après l'impres  sion par le marteau 18'? du montant de  Fr. 0,75 (déduction), on abaisse la touche re  lative aux gains à cette date, ce qui provoque  la remise en action du marteau 182.  



  Pendant l'entrée de la. seule déduction de  la. transaction considérée à présent, le     eliquet     626 (fi--. 19) est élevé de manière à venir der  rière la dent suivante de la roue à rochet 627.  Au début de la première phase de l'opération  en     deux        phases    relative à     l'impression    du  montant des gains à. cette date, le     eliquet    626  fait. alors avancer la roue à rochet<B>627</B> d'un  pas (30 ), ce qui     provoque    le déplacement, de  la roue à. rochet 610 de     15 .    Au moment où  le cliquet 626 fait mouvoir les roues à rochet  627 et.

   610, la came 633 abaisse     également    le  cliquet 615     (fig.    20), mais, comme ce     eliquet,     615 n'est pas effectivement en prise avec la  roue à rochet     6.10    à ce moment, le cliquet     6-15     se déplace en n'exécutant aucune fonction  utile. Toutefois, lorsque le cliquet 615 est     à,     nouveau ramené dans sa. position supérieure  vers la fin de la première phase, le cliquet      645 tombe derrière la dent     suivante    de la.

    roue à     rôchet    640, laquelle dent a été mise en  place par rapport au     cliquet    645, lors de la  rotation par le     cliquet    626 pendant la pre  mière phase opératoire. Lorsque le     cliquet     645 est     abaissé    par la came 633 au début de  la seconde phase, le cliquet 645 fait alors  tourner les roues à rochet 640 et 627. de ma  nière à les amener dans une position telle que  celle représentée aux     fig.    19 et 20.

   Lorsque  les roues à rochet 640 et 627 occupent les po  sitions indiquées dans les     deux    figures men  tionnées en dernier lieu, les plaques de com  mande 562, 582 et 602 occupent à nouveau les       positions    montrées     aux        fig.    28, 31 et 34. Ces  ajustements des plaques de commande se  font avant le fonctionnement des marteaux  d'impression pendant la seconde phase de l'en  trée du montant des gains à cette date.  



  A présent, la plaque 562 a une encoche  563 en regard du doigt palpeur 572 et les pla  ques 560 et 565 ont respectivement leurs en  coches 561 en regard du doigt palpeur 573 et  leur encoche 566 en regard du doigt palpeur  570. Dès lors,     iuie    .combinaison de trois enco  ches se trouve en regard des     doigts    palpeurs  570, 572 et 573, en sorte que le marteau 582  peut à nouveau être actionné pour l'impres  sion du montant de Fr. 270,00.  



  <I>Dispositif empêchant toute rotation</I>     excessive     <I>des</I>     plaques   <I>de</I>     commande.     



  Pour empêcher une rotation excessive des  plaques 562, 582 et 602, on a prévu un méca  nisme qui sera décrit à présent. Une plaque  de commande 655 tourillonne sur l'arbre 534       (fig.    22) et est fixée à la plaque 585     (fig.    30)  et au pignon 587.  



  Sur l'arbre 534 tourillonne également une  plaque d'arrêt 656 solidaire d'un pignon 657  qui engrène avec un pignon 658 calé sur l'ar  bre 535 entraîné par les roues à rochet 627  et 640. La plaque d'arrêt 656 présente quatre  oreilles d'arrêt, agencées pour coopérer avec  un goujon plat 659 porté par un bras 660  tourillonné sur l'arbre 465. Au bras 660 est  connecté     im    ressort 661 qui maintient un ga  let 662 contre la périphérie de la plaque clé    commande 655. Lors     d'opérations    d'addition,  le galet 662 est maintenu contre la périphé  rie supérieure de la plaque 655, étant donné  qu'il n'est pas nécessaire, pendant ces opéra  tions d'additions, d'arrêter les roues à rochet,  le mouvement n'étant pas suffisant pour pro  voquer une rotation excessive.

   Toutefois, pen  dant certaines opérations -de totalisation, la  roue à rochet 640 est déplacée davantage et  il peut se produire une rotation excessive, en  raison du fait que les plaques 562, 582 ou 602  peuvent subir un déplacement de     60' .    Dès  lors,     pour    empêcher une rotation     excessive    de  ces plaques de commande, la plaque 655 pré  sente une portion inférieure en regard de  toutes les positions de totalisation.

   Comme  cette plaque 655 est     entramée    par le pignon  553 sous la commande des touches de la ran  gée des totaux,     lorsqu'une    de ces touches est  abaissée, la     partie    inférieure de la plaque 655  est présentée au galet 662, en sorte que le res  sort 661 amène le goujon 659 sur le trajet       d'im.e    des oreilles de la plaque :d'arrêt 656, ce  qui empêche toute rotation excessive de la  roue à rochet et des plaques de commande  562, 582 et 602 y connectées, pendant cer  taines opérations -de totalisation.  



  A la fin de .l'établissement des chèques de  paiement pour une période     donnée,    l'opéra  teur peut souhaiter obtenir les totaux des  opérations exécutées dans la machine et, à  cet effet, vider les totalisateurs associés aux  rangées de touches 1, 2 et 3. Pour ce faire,  les touches de totaux 67 appropriées sont  abaissées. Tous les totaux considérés sont  alors imprimés par le marteau 482, et la.       combinaison    appropriée d'encoches des pla  ques 560, 562 et 565 se trouve en regard des  doigts palpeurs associés au marteau 482, en  sorte que ces     totaux    seront imprimés par     ee     marteau.

   Les plaques de commande des     fig.    30  à 35 sont, pendant ce temps, positionnées de       facon    que les deux marteaux 483 et 484 ne soient  pas connectés à leur mécanisme     d'actionnement.     



  Pendant. le vidage des totalisateurs de la  rangée 3, afin d'empêcher le cliquet 626       (fig.    19) de faire avancer la roue à rochet  627, en raison du fait que la plaque 620 est      amenée à la     cinquième    position, de manière à  présenter l'encoche 621 à la broche 622, étant  donné qu'une touche de la.<U>rangée</U> 3     provoque     l'arrêt du mécanisme différentiel de la rangée  1 dans la     cinquième    position, on a prévu une  plaque spéciale 665     (fig.    21) fiée au pignon  567 et à la plaque de commande 565.

   Cette  plaque spéciale 665 se meut vers la sixième       position    avec la plaque 565 et positionne la  plaque 620, de     façon    que la broche 622 ne       puisse    pénétrer dans ]'encoche 621 pendant  les opérations de vidage des totaux, le cliquet  626 ne pouvant, en conséquence, pas fonction  ner pendant ce     temps.            Impression   <I>dit nombre</I>     d'heures   <I>de</I>     travail     <I>et</I>     dit        nitinéro   <I>d'horloge.</I>    Ces données sont.

   imprimées par l'abaisse  ment de la touche 64 relative au numéro  d'horloge et au nombre d'heures de travail de  la première rangée de touches de transactions,  le marteau 481 exécutant cette impression.  Pour commander ce marteau de façon qu'il  n'imprime les données susmentionnées que  pendant l'entrée d'une transaction, dans la  quelle le numéro d'horloge et. le nombre  d'heures de travail sont impliqués, l'arbre  551 porte un pignon 670<B>(fi-.</B>     9B)    qui en  traîne un pignon 672 solidaire d'une plaque  de commande 673.

   Cette plaque de commande  673 possède uniquement une encoche dans la  position d'addition, laquelle encoche doit co  opérer avec     un    doigt palpeur similaire à ceux  représentés aux     fig.    27 à 35, de façon que le       marteau        -181    ne travaille que dans la position  d'addition et lorsque la touche 64 susmention  née est.

       abaissée.    A l'arbre 534 est fixée une  plaque de commande 674 qui coopère avec les  doigts palpeurs     associés    au marteau     .181    et  qui possède une encoche dans la quatrième  position correspondant à la position de la  touche relative au numéro d'horloge et au  nombre     d'heures    de travail, de façon que  cette encoche permette, en combinaison avec  l'encoche prévue dans la position d'addition  sur la plaque 673, au     marteau    481 de ne  fonctionner que pendant cette opération d'ad  dition particulière.         Ini.pression.        dit.        ititniéro        d'ordre.     



  Le marteau 485 de la     fig.    9 A     imprime     dans 1a cinquième colonne de la. bande de vé  rification le numéro d'ordre du chèque, cette  impression ne se faisant que lors du relevé  du total. du chèque net. Pour commander le       marteau    485, de façon qu'il n'imprime le nu  méro d'ordre du chèque que pendant l'opéra  tion d'obtention du     chèque    net, l'arbre 551       porte    un pignon 675 engrenant avec un     pi-          :;non    676 tourillonné sur l'arbre 534. Une pla  que de commande 678 est également calée sur  l'arbre 534 et commandée par la rangée 1 de  touches de transactions.

   La combinaison d'en  coches occupant. la première position d'une  plaque 677 et la. position 9 de la plaque  678 commande le marteau 485, de manière  que celui-ci n'imprime le numéro d'ordre que  pendant. l'opération d'obtention du chèque  net, l'impression du numéro d'ordre ne pou  vant se faire pendant aucune autre opération  de la machine.  



  <I>Dispositif de</I>     commande        ait.tomatique     <I>dit</I>     mécanisme        d'awaiicenwi@t   <B>(le</B><I>la</I>     bande     <I>de</I>     vérification.     



  Comme montré par     l'impression.    de la pre  mière transaction complète sur la bande de  vérification, il ne se produit, aucun avance  ment de cette bande ni après le relevé du       montant    des gains à cette date, ni après le  relevé du solde des avances.

   Un avancement  de la. bande de vérification se produit après  l'établissement du montant du     gain.        brut.     Après l'entrée de la première déduction, de       même        qu'après    l'entrée de la     deuxième    déduc  tion, il ne se produit pas davantage d'avance  ment de la. bande de vérification, mais un tel  avancement. a lien après l'impression de la  troisième déduction, en sorte que le montant  (les avances à cette date, qui est subséquem  ment imprimé, sera imprimé sur la ligne sui  vante. Ce montant est représenté par les  Fr. 15,00     figairant    dans la troisième colonne  de la bande de vérification.

   Après     l'imprès-          sion    du montant des avances à cette date, la  bande de vérification ne subit aucun avance  ment. Dès lors, le montant de Fr. 95,00, qui      représente les gains à cette date, est imprimé  sur la même ligne dans la colonne N  2. Après  cette     dernière    impression, il ne se produit  aucun avancement de la bande (le vérifica  tion, en sorte que le montant de Fr. 47,45 re  présentant le chèque net est imprimé dans la  quatrième colonne de la bande de vérification,  mais sur la troisième ligne de celle-ci, de  même que les montants de Fr. 95,00 et 15,00.  



  Comme le mécanisme proprement dit  d'avancement de la bande de vérification a  déjà été décrit ci-dessus, il ne reste qu'à dé  crire les moyens pour commander le couplage  et le découplage de la bielle     d'avancement     452     (fig.    10A, 10B et 15) et de la broche 451  portée par le levier 449 de commande de  l'avancement de la bande de vérification. Le  dispositif de commande de l'avancement de la  bande de vérification sera décrit à présent en  référence aux     fig.    23, 24, 25 et 26.  



  A l'arbre 534, qui est actionné sous la  commande     des    touches 64 de la rangée 1; est  fixée une plaque de commande 690     (fig.    25)  présentant des encoches 691. Sur l'arbre 534  tourillonne une autre plaque de commande  692     (fig.    23), présentant     une    longue enco  che 693. La     plaque    692 est solidaire d'un pi  gnon 694 entraîné par le pignon 556 calé sur  l'arbre 551, qui est actionné sous la commande  des touches de la rangée des totaux.

   Une pla  que 696     (fig.    26), présentant une encoche  697, est également fixée au     pignon    694 et est  entraînée sous la commande des touches de  la     rangée    des totaux. Sur l'arbre 534     tou-          rillonne    également une autre plaque de com  mande 698     (fig.    24) présentant     plusieurs    en  coches 699. Cette plaque 698 est fixée à un  pignon 700 engrenant avec le pignon 540 calé  sur l'arbre 535, qui est actionné par les roues  à rochet 627 et 640 des     fig.    19 et 20.  



  Au bras 464 décrit     ci-dessus    est attaché     im     bloc palpeur 703     (fig.    23, 24, 25 et 26) pré  sentant des doigts palpeurs 704 et 705 agen  cés pour coopérer avec la plaque de com  mande 692.  



  Le bloc 703 comprend, en outre, deux  autres doigts palpeurs 706 et 707 coopérant  avec la plaque de commande 698 et également    un doigt palpeur 708 coopérant avec la pla  que de commande 690. Un doigt palpeur 709  est également agencé pour coopérer avec     -Lin     bras 710 tourillonné sur l'arbre 534. Ce bras  710 est articulé à un levier 711 portant un  goujon 712 agencé pour coopérer avec l'en  coche<B>697</B> de la plaque 696 et portant égale  ment un galet 713 coopérant avec une came  714 portée par l'arbre 320 d'entraînement du  dispositif d'impression. A certains moments,  un ressort 715 oblige le galet 713 à     suivre    la.

    partie     inférieure    de la came 714, de manière  à amener la bande de vérification à avancer,  lors de certaines opérations spécifiques d'une  transaction. Le levier 711 est articulé à un  arbre 716 porté par les châssis 54 et 55.  



  On se rappellera que pour empêcher  l'avancement de la bande :de vérification sous  la commande des plaques et des doigts pal  peurs, il est nécessaire que les     trois    doigts  705, 707 et 708 coopèrent avec les encoches  693, 699 et 691 des plaques 692, 698 et 690  au même moment, ou bien que des encoches  soient présentées aux doigts palpeurs 704 et  706, tandis que le bras 710 n'est pas au-dessus  du doigt palpeur 709. Lorsqu'une des condi  tions     énoncées    ci-avant est réalisée, le bras  466 peut être oscillé par le ressort 468, de  manière à dégager la bielle 452 de la broche  451 du levier 449 de commande de l'avan  cement.  



  La première opération relative à l'établis  sement d'une transaction complète pour les  chèques de paiement et pour l'impression de  toutes les données de ces chèques sur la bande  de vérification est, comme on .l'a mentionné  ci-dessus, le relevé des gains à cette date. La  touche occupant la troisième position de la  rangée 2 est, pour établir ce relevé, abaissée,  ce qui amène automatiquement le mécanisme  différentiel de la rangée 1 dans la sixième  position. Ainsi, la plaque 690     (fig.    25) est  amenée à la sixième position, dans laquelle  une encoche est présentée au doigt palpeur  708.

   La plaque 698 n'est pas déplacée par la  roue à rochet 627 pendant cette opération et,  dès lors, une encoche 699 reste en regard du  doigt palpeur 707, tandis que, comme il s'agit      d'une opération d'addition, l'encoche 693 est.  en face du doigt palpeur 705, en sorte que le  bras 466 sera déplacé de manière à dégager  la bielle 452 de la broche 451, aucun avance  ment n'ayant lieu après l'impression du re  levé des gains à cette date.  



  L'opération suivante de la transaction est  le relevé du solde des avances. A cet effet,  l'opérateur     abaisse    la troisième touche de la  rangée 1, ce qui amène la plaque 690     (fig.    25)  dans la position 3, où elle présente une en  coche 691 au doigt palpeur 708.     Etant    donné  que les plaques 698 et 692 ne sont pas dépla  cées, il y a des encoches en regard des     doigts     palpeurs 705, 707 et 708, en sorte qu'il ne se  produit aucun avancement de la bande de vé  rification après l'impression du relevé des  avances à cette date.  



  L'opération suivante est l'impression du  numéro d'horloge et du nombre d'heures de  travail. Cette opération s'accompagne de  l'abaissement de la quatrième touche de la  rangée 1. Pendant cette opération, la plaque  690 est amenée à la quatrième position et,  comme précédemment, il y a, dès lors, des en  coches en regard des doigts     palpeurs    705, 707  et 708, en sorte qu'aucun     avancement.    de la.  bande de vérification ne se produit après  l'impression du numéro d'horloge et du nom  bre d'heures de travail.  



  L'opération suivante est l'établissement  du gain brut. A cet effet, l'opérateur     abaisse     la quatrième touche de la rangée 2. Pendant  cette opération, la plaque 690 est ajustée par  la première rangée différentielle à la hui  tième position, de telle sorte qu'une saillie est  présentée au doigt palpeur 708.

   Comme une  saillie est opposée au doigt palpeur     70-1,    étant  donné que la plaque 692 n'a pas été déplacée,  puisqu'il s'agit encore d'une opération d'addi  tion, une saillie au moins est présentée à un  des doigts palpeurs de la partie inférieure du  bloc 703 et une saillie est. également présentée  à un des doigts palpeurs de la partie supé  rieure du bloc 703, en sorte que le bras 466  ne peut. être déplacé vers le bas par le ressort  468 et, que, dès lors, la bielle 452 n'est pas  déconnectée de la broche 451. En conséquence,    la bande de vérification sera. avancée d'un  interligne, de     faeon    à présenter une ligne  vierge pour la transaction suivante.  



  L'opération suivante est. ].'entrée de la  première déduction s'élevant à un montant de  Fr. 0,55. Comme indiqué précédemment., la  roue à rochet 627 ne fonctionne pas pendant  cette opération et, dès lors, la plaque 698  reste dans la position représentée. Pendant  cette opération, la plaque 690 est.     amenée     automatiquement à la. cinquième position,  dans laquelle une encoche est présentée au  doigt palpeur 708. Comme une encoche est  également en regard du doigt palpeur 707,  de même qu'une encoche est en. regard du       doigt    palpeur 705, il ne se produit. aucun  avancement de la bande de vérification à ce  moment, parce que le bras 466 est. actionné  de faon à déconnecter le mécanisme de com  mande de l'avancement.  



  La transaction suivante est l'impression  de la     .déduction    Fr. 2,00 relative aux assuran  ces. A ce moment, la plaque 698 est déplacée  d'un pas par la roue à     roeliet    627, de faon à  présenter la position II au doigt palpeur 707,  laquelle position est une position basse.  Comme une position basse correspond à. la  position 5 de la plaque 690 et à la position  d'addition de la plaque 692, il ne se produira  aucun avancement de la bande de vérification  après l'impression de la déduction relative  aux     assurances.     



  L'opération suivante est l'entrée de la dé  duction Fr. 5,00     correspondant.    au rembour  sement des     avances.    Préalablement à cette im  pression, la plaque 698 a été amenée une se  conde fois en avant par la roue à rochet 627  et présente la. saillie<B>111</B> au doigt palpeur 707  et la saillie 3 au doigt. palpeur<B>706,</B> Dès lors,  le bras 466 ne peut, subir de rotation pendant  cette opération, c'est-à-dire après l'impression  des cinq francs. En conséquence, la bande de  vérification avance, de manière à présenter  une ligne vierge pour ]'impression     suivante     de la.     transaction.     



  L'opération suivante est le relevé du total  des avances à cette date, qui est accompagné  par l'abaissement de la touche 68 occupant la      troisième position     dans    la rangée de touches  des totaux. Pendant ce temps, la plaque 692  est amenée à la position 3 qui présente une  saillie dans     @    la position III au doigt palpeur  705. Pendant     l'impression    du total des avan  ces à cette date, la plaque 696 est. déplacée  de trois pas, mais pendant ce déplacement, la  came 714a maintenu le levier 711 de façon  que le goujon 712 ne tombe pas dans l'en  coche 697, lorsque cette encoche passe en re  gard du goujon.

   Pendant la première phase  de cette opération, la plaque 698 est déplacée  de 30  par le cliquet 626, de façon à être ame  née de la position III à la position suivante I,  une encoche étant     ainsi    présentée au doigt pal  peur 707 et an doigt palpeur 706. Le bras 710  est maintenu en dehors du trajet du doigt  palpeur 709 et le     doigt    palpeur 704 présente  une encoche, en sorte qu'il ne se produit  aucun avancement de la bande de vérification  après l'impression du total des avances à  cette date.  



  L'opération suivante de la transaction est  l'entrée des gains à cette date, qui s'accompa  gne de l'abaissement -de la touche 68 corres  pondante de la rangée des totaux. La plaque  690 est positionnée de manière à avoir une  encoche en regard du doigt palpeur 708, tan  dis que la plaque 698, qui n'a subi aucun dé  placement, présente des encoches aux doigts  palpeurs 706 et 707. En conséquence, il ne se  produit pendant cette opération aucun avan  cement de la bande de vérification.  



  L'opération suivante de la transaction est       ].'impression    du montant du chèque net. Il  est souhaitable qu'il y ait un avancement de  la bande de vérification après l'impression de  ce montant et ceci s'accompagne de l'abaisse  ment de la touche occupant la première posi  tion     dans    la rangée de touches des totaux. La  première des touches des totaux amène l'en  coche 693 en regard des doigts palpeurs 704 et  705. La plaque 690 sera amenée à la position  9 pendant cette opération et, par conséquent,  une     saillie    sera présentée au :doigt palpeur  708.

   De même, pendant la première phase de  cette opération, la plaque 696 sera déplacée  d'un pas et présentera l'encoche 697 au gou-         jon    712, mais, ainsi qu'on l'a signalé ci-des  sus, peu après le début de la première phase,  l'arbre 320 est arrêté, laissant la partie supé  rieure ou plus élevée de la came 714 en deçà  du galet 713 du levier 711, en sorte que le  bras 710 ne peut être amené en regard du  doigt palpeur 709.     En    .conséquence, les doigts  palpeurs 704 et 706 pénètrent dans des en  coches et le doigt palpeur 709 ne coopère pas,  avec le bras 710, ce qui opère la déconnexion  du mécanisme d'avancement pendant la pre  mière phase.

   Pendant. la. seconde phase,  l'arbre 320 déplace la came 714, et le ressort  715 fait osciller le levier<B>711</B> dans le sens des  aiguilles d'une montre et amène le bras 710  en regard du     doigt    palpeur 709. Dès     lois,     comme une saillie se trouve en regard du  doigt palpeur 708 et également en regard du  doigt palpeur 709, la bande de vérification  subira un avancement après l'impression du  montant du chèque net, pendant la seconde  phase.  



  Lors .de l'entrée d'une transaction ne com  prenant     qu'une    déduction, la bande de véri  fication avance au début de l'opération d'en  trée de la donnée suivante. Pendant l'entrée  de la déduction de Fr. 0,75, le .cliquet 626       (fig.    19)     est    amené dans sa position efficace  pour     actionner    la roue à rochet 627 et la.     pla-          -que    de     commande    698     (fig.    24). Au début, de  la première phase de l'entrée des gains à cette  date, le     cliquet    626 déplace la plaque de com  mande 698 d'un pas, en sorte que le cliquet.

    645 peut être amené en position active par  rapport à la roue à rochet 640, pendant la  première phase de l'entrée du montant des  gains à cette date. Lorsque l'arbre 309 com  mence sa seconde     rotation    au début de la. se  conde phase, le cliquet 645 fait tourner la roue  à. rochet 640 de deux pas, de manière à ame  ner la plaque de commande 698 dans une po  sition similaire à celle de la.     fig.    24, dans la  quelle position une encoche est en regard des       doigts    palpeurs 706 et 707 du bloc 703. Dès  lors, la plaque de commande est dans une  position empêchant tout. avancement de la  bande de vérification.

   D'autres plaques de  commande doivent, dès lors, être     ajustées         pour provoquer un avancement de la bande  de vérification.  



  Pendant la première phase de     ]'entrée    du  montant des gains à cette date, la plaque de  commande 690     (fig.    25) ajustée par le méca  nisme différentiel de la rangée 1 est amenée  en position 9 par le mécanisme d'ajustement  de l'arbre 531, de façon à amener une saillie  en regard du doigt palpeur 708 du bloc 703.  



  De même, pendant. la première phase de  l'entrée du montant des gains à cette date,  le mécanisme différentiel de la rangée des  totaux ajuste la plaque de commande 692  dans sa position 2, dans laquelle une encoche  est en regard du doigt palpeur 701 et une  saillie est en regard du doigt palpeur 705.  



  De plus, le mécanisme différentiel de la  rangée 1 ajuste la plaque de commande 696,  de façon à commander le bras 710, ce dernier  bloquant le doigt palpeur 709.  



       Ainsi,    au début de la seconde phase de  l'entrée du montant. des gains à cette date,  des saillies sont sur le trajet des doigts pal  peurs 705 et. 708, tandis que le bras 710 se  trouve sur le trajet du doigt palpeur 709, ce  qui provoque un avancement correspondant  à un interligne, avant     l'actionnement    du mar  teau d'impression 182.  



  Pendant le vidage des     totaux    des rangées  1, 2 et 3, la plaque 692 (fin. 23) est amenée  respectivement dans les quatrième, cinquième  et sixième positions et, comme dans les posi  tions 1, 5 et 6 et dans les positions IV, V et  VI, il n'y a pas d'encoches, les doigts pal  peurs     70-I    et.<B>705</B> sont maintenus hors service  et la bande de vérification est, en conséquence,  soumise à un avancement pendant la première  phase, avant ]'impression et, pendant la se  conde phase,     après    l'impression.  



       Dispositif        il'atïqyi.erneriJ        (les        disqices          de        corn iande.     



  On a prévu un mécanisme d'alignement  pour aligner les disques ajustés     sous    la com  mande de la première rangée de transactions,  le mécanisme d'alignement étant commandé,  ainsi qu'on le décrira. ci-après, par la roue à  rochet 627     (fig.    19) et par le levier des to-         taux.    Comme le montrent les     fig.    9 et 11, un  pignon 557 engrène avec un pignon 721 so  lidaire d'un     aligneur    722.

   Un pignon 723 fixé  à. un     aligneur    721     analogue    à     l'aligneur    722       en-rène    avec le pignon 512.     Sur    l'arbre 531  est. calé un     aligneur   <B>725</B> représenté     également.     à. la     fig.    11. Ces     aligneurs    722, 721 et 725  coopèrent. avec une barre     d'alignement    726  fixée à un levier     7'-17    monté à pivotement sur  un arbre 716.

   Le levier<B>727</B> est     eonneeté    à une  bielle 729 portant un galet. 730 coopérant  avec. une came 731 calée sur l'arbre 309 qui,  on se le rappellera, accomplit deux     révolutions     pendant les opérations de totalisation. Un  ressort 732 maintient la barre 726 en prise  avec les trois     aligneurs    722, 721 et 725, lors  que la came 731 se meut de manière à présen  ter sa partie inférieure au galet 730, en sorte  que, pendant l'impression et l'avancement, les       aligneurs    et plaques de     comma.ilde    ne subiront       pas    de     dérangement    d'alignement.  



  On a également prévu un     aïi;neur    733  qui coopère avec     l'aliglleur    721 \sous l'in  fluence d'un ressort 731. Cet     aligheur    733  danse simplement sur les dents (le la. plaque  d'alignement pendant le déplacement de cette  dernière.  



       Chèque   <I>de</I>     salaire.     



  Un fac-similé d'un chèque de salaire est.  illustré à la fin. 37. Ce chèque est. imprimé  par des roues porte-caractères à partir du  type habituel de mécanisme d'impression en  colonnes, qui est ajusté sous la commande du  train d'engrenages à dents extérieures et inté  rieures représenté à. la fi-. 1, en sorte que  tous les montants formés\ sur le clavier et  imprimés sur la. bande de vérification sont       également        imprimés    sur le     chèque.     



  <I>Polio de</I>     gra d        litre.     



  Un fac-similé de folio du ;rand livre est  représenté à la     fig.    38. L'impression de ce  folio se fait par des roues porte-caractères  commandées, de la manière habituelle, par le  mécanisme d'entraînement représenté à, la  fini 2.  



  Les     marteaux    pour l'impression du chèque  de salaire et. du folio de grand livre sont coin-      mandés par les plaques de commande mon  trées aux     fig.    27 à 35, de façon que l'impres  sion du chèque de salaire et du folio de grand       livre        puisse    se faire en temps     opportun,    sui  vant le type d'opération de la transaction       particulière    entrant dans la machine à ce mo  ment.  



  <I>Porte-fiches.</I>  Un     dispositif    est prévu à la partie arrière       supérieure    de la machine pour contenir une  pile de fiches d'horloge des employés, à partir  desquelles des données peuvent être lues pour  relever le numéro d'horloge, le nombre       d'heures    de travail et d'autres déductions,  lorsqu'il est souhaitable d'utiliser ce système.  



  Le porte-fiches est représenté     aux        fig.    39  et 40. I1 :comprend     un    dispositif de support  comprenant des parois latérales 1721 et 1722  reliées par un fond 1723 et par un     coilvercle     incliné 1724. Ce couvercle supporte des fiches  1725 placées entre des plaques de guidage  1726 et 1727 et maintenues en place par une  plaque lourde 1728. Un dispositif éjecteur de  fiches 1729 est guidé de manière à glisser  vers le bas contre une plaque frontale 1730.  



  Un bras 1731 du     dispositif    1729 présente  une fente dans laquelle est engagée l'extré  mité     d'iin    levier 1732 articulé sur la plaque  latérale 1727. L'autre extrémité du levier 1732  est .connectée à une tige 1733, susceptible  d'être déplacée vers le haut par un solénoïde  1734, lorsque ce dernier est excité. Un ressort  735 ramène la tige 1733, le levier 1732 et le  dispositif 1729 en position normale, lorsque ce  dernier dispositif a amené la fiche 1725 se  trouvant à l'avant de la pile vers le bas. Lors  de son     -déplacement    vers .le bas, la fiche est  mue entre une paire de galets d'avancement  736 entraînée par une courroie<B>737</B> raccordée  à un moteur 738.

   Une plaque déflectrice 739  fait tourner la fiche vers la gauche     (fig.    40),  de façon que :cette fiche soit empilée sur le  fond 1723. Une porte 740, montée sur char  nières,     est        -prévue    pour accéder aux fiches qui  ont été amenées vers le bas par le mécanisme  décrit ci-dessus.  



  Le fonctionnement du dispositif     éjecteur     de fiches et du solénoïde 1734 est le suivant    Une boîte de connexion électrique 745 pré  sente des     barres    de contact 746, 747 et 748.  Des     lignes    d'alimentation 749 et 750 sont con  nectées     aux    barres 747 et     7-18.    A ces barres  747 et 748 sont également connectées des  lignes 751 et 752 raccordées au moteur 738.  Ce moteur tourne constamment,     saiû    lorsque  le courant est coupé par un commutateur 753.  Une ligne 754 connecte le solénoïde 1734 et  la barre 746, à laquelle est connectée une ligne  755 menant à un contact fixe 756.

   A la barre  747 est connectée     une    ligne 757 menant. à un  contact 758 monté sur la touche 68  Gains à  cette date  de la rangée de touches des totaux.  Une ligne 759 connecte le solénoïde 1734 et  la barre 748.  



  Lors de     l'abaissement    de la touche 68 men  tionnée ci-avant, le contact. 758 vient toucher  le contact 756 et ferme le circuit passant par  le solénoïde 1734, en sorte que le dispositif  1729 est actionné et amène la fiche située à.  l'avant de la pile dans la partie inférieure  du porte-fiches, la fiche suivante de la pile  étant dès lors visible, de telle sorte que, lors  de     l'établissement    du chèque de l'employé sui  vant, l'opérateur a devant lui tous les rensei  gnements nécessaires.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine de comptabilité, comprenant des dispositifs d'impression pour imprimer sur un matériel d'enregistrement, des dispositifs d'alimentation de ce matériel et des touches de contrôle dirigeant les opérations des dis positifs d'impression et d'alimentation, de ma nière à permettre les impressions dans des Co lonnes particulières et sur des lignes particu lières du matériel, caractérisée par des dis positifs automatiques qui, en conjonction avec les touches de contrôle, règlent les opérations des dispositifs d'impression et d'alimentation, de façon que des impressions puissent être faites dans des colonnes et sur des lignes autres que celles normalement déterminées par les touches de contrôle,
    suivant le nombre clés opérations successives effectuées au moyen clé ces touches. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine suivant la revendication, adap tée de façon à faire une série d'entrées se rapportant les unes aux autres et formant une transaction complète, caractérisée par plusieurs groupes<B>(le</B> dispositifs de sélection qui contrôlent et dirigent les opérations des marteaux d'impression, de façon à imprimer dans des colonnes différentes du matériel d'enregistrement, par plusieurs groupes de touches qui contrôlent certains éléments asso ciés aux dispositifs de sélection,
    et par -uni dis positif automatique de réglage de certains autres éléments au cours de @ chaque entrée séparée, produisant une variation du contrôle normal des touches, de sorte que les marteaux d'impression fonctionnent d'une autre ma nière gt en ordre différent..
    2. -Machine suivant la revendication et la sous-revendieation 1, caractérisée en ce que le dispositif automatique peut remettre les été- ments à leurs positions premières au cours de l'opération finale de la machine lors d'une transaction complète, de sorte que les touches peuvent (le nouveau reprendre leur contrôle normal (le ces éléments. 3.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que le dispositif automatique comprend un encliquetage de remise des éléments et. un encliquetage d'enibravage de ces éléments. -1. Machine suivant la revendication et les sous-revenclications 1 à à. caractérisée par plusieurs rangées de touches (le contrôle dont le but. est.
    (le permettre (les opérations à phase unique et par une autre rangée (1c touches de contrôle permettant des opérations à phase multiples, chaque rangée de touches à phase unique dirigeant son mécanisme différentiel iiiclividuel de façon à. mettre en position voulue le dispositif de sélection approprié, l'une des rangées de ces touches contrôlant.
    en même temps le mécanisme différentiel d'une autre rangée de ces touches, ce mécanisme différentiel commandant, sous la direction de ladite rangée de touches, un encliquetage qui avance d'un pas le dispositif (le sélection asso cié, tandis que l'actionnenient d'une touche d'une rangée de touches à phases multiples contrôle un autre encliquetage qui remet. le dispositif de sélection en position normale au cours d'une opération de la machine qui suit une opération au cours de laquelle une touche seulement a été abaissée parmi cette rangée de touches à phase unique.
    5. -Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce que le dispositif d'alimentation est. contrôlé normalement par l'opération des touches à . phase unique et des touches à phases multi ples, ce dispositif pouvant être contrôlé par l'encliquetage associé à une rangée de touches à phase unique lorsque cet encliquetage est contrôlé par une autre rangée de touches à. phase unique.
    6. Machine suivant la. revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée en ce que les dispositifs d'imprimerie sont cliri-és par les touches, de sorte que certaines de ces touches donnent des opérations en succession et d'autres des opérations en répétition, le tout étant arrangé de telle façon que le dis positif d'alimentation est mis hors d'action au cours d'opérations successives d'une trans action complète, et est. mis en jeu entre cha que opération de répétition.
    7. -Machine suivant la revendication et les sous-revendieations 1 à 5, caractérisée en ce que les touches et le dispositif automatique fonctionnent en association, de façon a. com mander une série de trois dispositifs (Fini- pression sous le contrôle de deux touches d'une rangée et sous le contrôle (l'une touche d'une autre rangée au cours (le l'enregistre- ment (le certaines entrées comprises dans une transaction complète, et (le façon à.
    eomman- (ier nue série de certains de ces dispositifs d'impression par l'actionnement de deux ton elles d'une troisième rangée de touches (le con trôle, de façon à commander une opération répétée du dispositif d'impression actionné le dernier, en actionnant une touche d'une qua trième rangée. 8.
    Machine suivant la revendication, ca ractérisée en ce qu'elle comprend plusieurs dispositifs d'actionnenient des dispositifs d'im- pression, des dispositifs pour donner deux tours à un de ces dispositifs d'actionnement au cours ,d'une opération de la machine à double phase et pour empêcher la rotation d'un autre de ces dispositifs d'actionnement pendant une des phases d'une opération à deux phases, et des assemblages entre ces dis positifs d'impression et les dispositifs d'ali mentation du matériel d'enregistrement, dis posés de telle façon que :
    ces dispositifs d'ali mentation marchent en synchronisation avec les dispositifs d'impression.
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