CH274898A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH274898A
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    • GPHYSICS
    • G07CHECKING-DEVICES
    • G07GREGISTERING THE RECEIPT OF CASH, VALUABLES, OR TOKENS
    • G07G5/00Receipt-giving machines
    • GPHYSICS
    • G07CHECKING-DEVICES
    • G07GREGISTERING THE RECEIPT OF CASH, VALUABLES, OR TOKENS
    • G07G1/00Cash registers
    • G07G1/10Cash registers mechanically operated

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  • Time Recorders, Dirve Recorders, Access Control (AREA)
  • Separation, Sorting, Adjustment, Or Bending Of Sheets To Be Conveyed (AREA)

Description


      Machine    comptable.    L'invention a     pour    objet une machine  comptable comprenant des organes pour im  primer en colonnes et en lignes sur chacun  de plusieurs supports d'enregistrement, des  organes pour l'amenée desdits supports d'en  registrement et plusieurs rangées de touches  de commande, caractérisée par des liaisons  entre les touches et les organes d'impression  et.

   d'amenée des supports, lesquelles sont cons  truites et disposées de façon à être comman  dées, en dépendance de la touche particulière  actionnée, pour faire imprimer dans des co  lonnes différentes sur les supports d'enregis  trement et pour déplacer ces supports diffé  remment les uns des autres en avant et en  arrière, par rapport     auxdits    organes d'impres  sion et en synchronisme avec les mouvements  de ceux-ci, de sorte que chaque item compris  dans une transaction complète sera imprimé  sur la ligne et dans la colonne appropriées  (le chaque support d'enregistrement.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention, ainsi  qu'un détail d'une variante.  



       Fig.    1 est une vue en perspective de la  forme d'exécution complète.  



       Fig.    2 est     une        suie    schématique du clavier  de la machine.  



       Fig.    3 est     une    coupe de la machine au  droit de l'un des groupes numéraux, représen  tant un mécanisme différentiel, des totalisa-         teurs    et une partie d'un mécanisme de     coin-          mande    pour des roues d'impression.  



       Fig.    4 représente la structure d'une partie  d'un mécanisme servant à contrôler le fonc  tionnement des mécanismes différentiels d'un  groupe d'opérations sous l'action de cer  taines touches d'un autre groupe d'opérations.  



       Fig.    5     est    une vue en coupe le long du  deuxième groupe d'opérations, montrant la  commande automatique du mécanisme diffé  rentiel de la rangée 2, une partie du     deuxième     groupe avec arrachement montrant une par  tie du troisième groupe d'opérations.  



       Fig.    6 est -un détail d'une partie d'un  mécanisme d'entraînement du report des  totaux.  



       Fig.    7 montre un mécanisme de commande  du totalisateur servant au réglage du     temps     pour l'addition, la lecture, le     réajustage    et le  report d'un total, ainsi que la sélection et  l'entraînement du total à reporter.  



       Fig.    8 est un détail d'une commande  d'embrayage du totalisateur pour le report  des totaux.  



       Fig.    9 est un détail d'une commande  d'embrayage du totalisateur pour .les opéra  tions d'addition, de     réaddition    et de     réajus-          ta-e.     



       Fig.    10 est un détail     d'une    partie     d'une     commande de blocage d'in levier du numéro  teur et du dateur.  



       Fig.    11 est un détail montrant un verrou  du levier du numéroteur et du dateur.           Fig.    12 est une vue schématique     des        barres     de commande     associées    aux rangées 1, 2, 3 et  4 et leur contrôle à l'aide des touches.  



       Fig.    13 est la reproduction d'une partie  d'une fiche d'analyse pouvant être imprimée  par la     machine.     



       Fig.    14 est     un    détail d'une commande  automatique de blocage pour la rangée 2.       Fig.    15 est une vue de détail d'un méca  nisme servant à libérer une carte de poin  tage par une touche  Paye nette .  



       Fig.    16 est une vue de détail d'une com  mande de verrouillage par une touche d'ana  lyse.  



       Fig.    17 est un schéma de câblage d'un  mécanisme de commande des cartes de poin  tage.  



       Fig.    18 montre une commande d'arrêt à  zéro de la rangée 4 sous l'action de la touche   Paye nette .  



       Fig.    19 montre l'arrêt à zéro de la rangée  par son mécanisme différentiel.  



       Fig.    20 est la reproduction d'une partie  d'un autre genre de fiche analytique,       Fig.    21 montre une     commande    automa  tique du différentiel du verrou de la rangée  2 par des touches de déduction des rangées  3 et 4.  



       Fig.    22 est     izn    détail d'un levier de com  mande de la rangée 4 pour la commande auto  matique du verrou de la rangée 2.  



       Fig.    23 est une vue détaillée d'une com  mande automatique de la rangée 2 par une  touche      -I-     de cette rangée.  



       Fig.    24 est une reproduction d'une forme  d'un talon de chèque imprimé par la machine.       Fig.    25 est une reproduction     d'une    fiche  imprimée par la machine, fiche comprenant  des chiffres analytiques imprimés lorsque  l'opérateur exécute certaines opérations ana  lytiques.  



       Fig.    26 est une reproduction d'une forme  d'enveloppe de paye qui peut être imprimée  par la     machine,    au lieu de chèque.  



       Fig.    27 est une vue schématique d'un to  talisateur de balance où des cames de dépla  cement du totalisateur d'addition et soustrac  tion indiquent l'endroit de la coupure.         Fig.    28 est la reproduction d'un bordereau  de paye d'un type pouvant être imprimé sur  la machine, montrant les     diverses    indications  imprimées lors de l'établissement des borde  reaux.  



       Fig.    29 est la reproduction d'un fragment  d'une carte .de salaires d'in employé.  



       Fig.    30 représente la commande     d'entrai-          nement    d'un imprimeur et l'arrêt d'une ligne  de cames de l'imprimeur sous le contrôle de  la sélection d'imprimeur de la rangée 3.  



       Fig.    31 montre le détail d'une partie d'un       mécanisme    de sélection de l'imprimeur de la  rangée 4.  



       Fig.    32 montre une plaque de commande  du total pour da sélection de l'imprimeur.       Fig.    33 est un détail du blocage mutuel  entre la ligne de blocage des touches (ligne  de déclenchement de la machine) et les  moyens d'ajustage du levier du numéroteur  et du dateur.  



       Fig.    34 montre Lin moyen de réglage du  numéroteur et du dateur et un mécanisme  pour leur déblocage.  



       Fig.    35 représente un mécanisme action  nant le numéroteur et sa commande à l'aide  d'un levier .manuel.  



       Fig.    36 est une vue de détail d'un levier  de réglage de la date.  



       Fig.    37 est une vue de détail d'un moyen  actionnant le verrou du numéroteur et du  dateur.  



       Fig.38    est une vue d'un mécanisme de  commande pour l'impression du bordereau de  paye.  



       Fig.    39 est une vue, en plan, d'une partie  du mécanisme de commande de     l'imprimeur     pour le bordereau de paye.  



       Fig.    40 est une vue de détail de l'entraî  nement de l'arbre de contacteurs sélection  neurs.  



       Fig.    41 est une vue .de détail du montage  de l'ensemble de réglage du numéroteur et du  dateur.  



       Fig.    42A et 42B représentent conjointe  ment une vue en plan, à échelle réduite, du  bâti et des arbres de     l'imprimeur,              Fig.    43A et 43p représentent une vue en  élévation du mécanisme pour l'impression de  la carte de salaires.  



       Fig.    44A et 44B représentent conjointe  ment une vue en plan du mécanisme pour  l'impression de la carte .de salaires.  



       Fig.    45 est une vue partielle en plan     des     marteaux et de la table pour l'impression du       bordereau    de paye, montrant un récipient  pour un rouleau de papier à analyse et le  couvercle à charnières dudit récipient.  



       Fig.    46A et 46B représentent conjointe  ment une vue en plan de l'arbre à cames pour  l'entraînement de l'imprimeur et les arbres  associés des leviers de cames.  



       Fig.    47 est une vue de détail d'un méca  nisme     aligneur    de la fiche et du bordereau de  paye.  



       Fig.    48 représente un détail d'un méca  nisme d'alignement de la plaque sélectrice.       Fig.    49 montre un détail .d'une commande  de la tension de la carte de salaires.  



       Fig.    50 à. 54 incluse montrent cinq plaques  sélectrices des marteaux des gains qui, en  combinaison, sélectionnent     ensemble    les mar  teaux 4 et 15 pour imprimer sur le bordereau  de paye et sur le chèque les gains de l'em  ployé.  



       Fig.    55 montre un mécanisme d'alimenta  tion pour le rouleau du bordereau principal  de paye, ou feuille de travail, et le moyen de  commande de ce mécanisme.  



       Fig.    56 montre un détail du mécanisme  d'avance de ce rouleau pour la feuille de tra  vail.  



       Fig.    57A et     57E    forment une vue d'ensem  ble montrant le rapport entre toutes les     pla-          ques    sélectrices et leurs moyens associés, ces  derniers étant représentés     schématiquement.     



       Fig.        58A    et 581 montrent, schématique  ment, le rapport de tous les groupes des roues       porte-caractères    (indiquées par des rectan  gles) et leurs marteaux, en élévation fron  tale.  



       Fig.    59 est. une vue du mécanisme pour  l'avance du bordereau de paye et de la carte  <B>(le</B> salaires, et de la commande du bordereau    par la rangée des totaux 1, représentés en po  sition normale. (Il     existe    deux de ces méca  nismes identiques, sauf pour l'un     des    disques  de -commande.)       Fig.    60 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme de la     fig.    59, montrant la com  mande par la rangée 2 en position     manaeuvrée.     



       Fig.    61 est une vue de détail du méca  nisme pour l'avancement par la rangée 2 du  bordereau de paye et de la carte de salaires.  



       Fig.    62 est une vue d'une commande  d'avancement du numéroteur du bordereau de  paye.  



       Fig.    63 est une vue en plan du mécanisme  représenté sur les     fig.    59, 60 et 62, à l'excep  tion de la came et du levier de came qui lui  sont associés.  



       Fig.    64A et 64B forment un tableau de  groupes de commande ou plaques sélectrices;  il y a quatre plaques par groupe, montrant  comment les encoches de commande sont en  taillées dans, chacune des plaques pour con  trôler les divers marteaux, la commande du  verrou de la machine, la commande de sélec  tion de ligne du bordereau de paye, la com  mande de sélection de ligne de la carte de sa  laires, la commande d'avancement du     numé-          r        oteur    et la commande de quelques-uns des  marteaux pour faire des empreintes sur le  bordereau de paye et sur la carte de sa  laires.

   Le tableau indique également par  quelle rangée de commande des touches de  commande elles sont contrôlées et indique, de  plus, à quel     endroit    elles sont contrôlées par  le contacteur du bordereau de paye, par le  contacteur de la carte de salaires et par le  contacteur du chèque; des symboles spéciaux  en bas du tableau indiquent l'endroit où les  divers contacteurs effectuent le contrôle.

      Pi     ig.    65 est un tableau des groupes de com  mande ou des plaques sélectrices (il y a trois  plaques par groupe), montrant comment les  plaques sont entaillées pour effectuer les con  trôles; pour contrôler l'espacement du borde  reau de paye, l'avancement et le recul du  chèque, l'éjection du chèque, la libération de  la carte de salaires et plusieurs marteaux      pour l'impression sur le chèque, sur le borde  reau et sur la carte de salaires; le tableau  montre aussi les rangées qui contrôlent les  différentes plaques et indique également les  endroits où ces plaques sont     commandées    par  le contacteur du bordereau, le contacteur du  chèque et celui de la carte de salaires.  



       Fig.    66 est une vue générale illustrant  une partie d'un     mécânisme    éjecteur des chè  ques. .  



       Fig.    67 est une vue générale d'un méca  nisme d'avancement des chèques.  



       Fig.    68 est une vue générale de la com  mande de la feuille du bordereau de paye et  montre un rouleau de papier pour des fiches  d'analyse et un récipient pour le rouleau;  cette fiche peut servir pour y faire des em  preintes au lieu du bordereau de paye lorsque  la machine s'emploie pour l'analyse au lieu de  l'établissement des chèques.  



       Fig.    69 est une vue de détail montrant  l'alimentation manuelle pour le bordereau de  paye ainsi que l'alimentation et le contrôle  de la tension du bordereau de paye.  



       Fig.    70 est une vue générale d'un dispo  sitif d'avancement du bordereau de paye.       Fig.    71 est     une    vue montrant l'introduc  tion d'un chèque dans la machine.  



       Fig.    72 montre un mécanisme de com  mande pour l'analyse, c'est-à-dire le méca  nisme qui sert à transformer la machine de  machine à établir les fiches de paye en ma  chine à analyse.  



       Fig.    73 est une     vue    de détail du train des  mécanismes servant à contrôler le dispositif  de tension des cartes de salaires.  



  Fin-. 74 est une vue de détail     .d'in    dispo  sitif pour arrêter la carte de salaires.  



       Fig.    75 est une vue frontale de la table  des cartes de salaires et d'une partie du mé  canisme qui lui est associé pour la déplacer.  



       Fig.    76 est -une vue de détail montrant un  moyen pour retirer le     dispositif    d'arrêt de la  carte de salaires.  



       Fig.    77 est une vue de détail, avec arra  chement partiel, montrant une barre d'aligne  ment pour la table des cartes de salaires. _       Fig.    78 est une -nie en plan du méca-         nisme    de la     fig.    74, montrant le dispositif  d'arrêt de la carte de salaires.  



       Fig.    79 montre un mécanisme éjecteur des  chèques ou enveloppes.  



       Fig.    80 est une vue de détail du déflecteur  du chèque.  



       Fig.    81 est une     vue    de détail d'une partie  du mécanisme éjecteur du chèque.  



  Fi-. 82 est une vue de détail du méca  nisme éjecteur .du chèque en position de     ma-          n#Uvre.     



       Fig.    83 est une     vue    du mécanisme  d'avance du chèque, montrant l'alimentation  initiale et une partie du mécanisme d'espace  ment des lignes dans la position occupée par  le mécanisme à la fin de l'impression des  heures et des gains horaires.  



       Fig.    84 montre une partie de la     commande     du mécanisme éjecteur et une partie du mé  canisme sélecteur de l'avance .du chèque.  



       Fig.    85 représente une partie du méca  nisme de commande d'éjection du chèque.       Fig.    86 est une vue représentant le mé  canisme d'avance du chèque,     c'est-à-dire    d'ali  mentation initiale, dans sa position normale.       Fig.    87 est une vue du mécanisme d'avance  du chèque pour l'alimentation initiale, mon  trant la position du mécanisme en fin d'ali  mentation, c'est-à-dire lorsque le chèque est  inséré dans la machine.  



       Fig.    88 est une     vue    de détail     .du    méca  nisme d'avancement du chèque, montrant la  partie du dispositif d'espacement du méca  nisme     d'alimentation    pour avancer le chèque  après l'impression des heures et du montant  des gains pour les heures réglementaires ainsi  que supplémentaires.  



       Fig.    89 est une vue de détail du méca  nisme d'avancement du chèque, montrant la  partie du mécanisme qui ramène le chèque à  la position d'impression sur la     ligne    1,     c'est-          à-dire    à la position nécessaire pour recevoir  l'empreinte de la première déduction.  



       Fig.    90 montre un mécanisme contacteur  pour le chèque ou l'enveloppe, pour le bor  dereau -de paye ainsi que pour la carte de  salaires. (Il y a trois de ces mécanismes dans  la machine et ils sont tous identiques.)           Fig.    91 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme contacteur du cheque dans sa  position normale.  



       Fig.    92 est une vue de détail d'une partie       chi    mécanisme contacteur du chèque dans sa  position de     manoeuvre.     



       Fig.    93 montre l'entraînement par accou  plement clés cames du contacteur du chèque.       Fig.    94 est une vue de champ montrant les  carnes pour l'avance du chèque, les cames  pour l'éjecteur du chèque ainsi que la came  qui contrôle les rouleaux de     tension    pour le  chèque.  



       Fig.    95 montre le mécanisme d'avancement  du chèque et la partie qui commande son  avance vers la quatrième ligne, ou     position           montant    net. , après l'impression des di  verses déductions, de sorte que le chèque re  tourne toujours à cette quatrième ligne pour  l'impression du montant net sur le talon et       deux    fois sur la partie principale du chèque,       toujours    sur la même ligne.  



       Fig.    96 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme d'avance du chèque     représentée     sur la fi-. 95.  



       Fig.    97 est une vue de détail monte     ânt     un mécanisme servant à débloquer à la main  la machine lorsqu'elle ne contient pas clé chè  que, de bordereau de paye ou de carte de sa  laires; c'est-à-dire que lorsqu'il n'y a sur la  machine aucun support pour l'enregistrement.,  la machine n'est. pas déclenchée pendant les  opérations de l'établissement des fiches de  paye.  



       Fig.    98 est un détail de la- commande chi  contacteur pour la ligne de blocage sous le  contrôle du dispositif contacteur.  



       Fig.    99 est une vue de détail du méca  nisme actionnant les marteaux. (Il y a trois  clé ces mécanismes identiques dans la ma  chine. )       Fig.    100 est une vue de détail du méca  nisme servant à ramener le chèque à la pre  mière ligne d'impression pour recevoir l'em  preinte de la première déduction après l'im  pression du montant brut. de la paye de l'em  ployé.         Fig.    101 est une     vue    de détail d'une par  tie du mécanisme d'espacement montré sur la       fig.    88 dans la position de     manceuvre.     



       Fig.    102 est une     vue    en perspective mon  trant la commande du mécanisme d'avance  ment du chèque.  



       Fig.    103 est une     vue    de détail. montrant  le mécanisme d'arrêt et de tension du chè  que .dans la position occupée après la pre  mière impression sur le chèque.  



       Fig.    104 est une vue frontale du méca  nisme éjecteur du chèque.  



  Fi-. 105 est une vue schématique de l'ori  gine de commande des groupes     des    disques  des     fig.    50 à 54     _    et représentés sur les ta  bleaux des     fig.        64A,        64B    et 65.  



       Fig.    106 est une vue     montrant,-une    boîte à  cartes de pointage avec arrachement partiel  pour montrer les cartes de pointage et le mé  canisme actionnant le moyen d'éjection de ces  cartes.  



       Fig.    107 est une variante de la commande  manuelle du mécanisme d'avancement du  chèque.  



       Fig.    108 est une vue de détail d'une par  tie du mécanisme de la     fig.    107.  



       Fig.    109 représente un tableau indiquant  les temps auxquels les différents groupes de  mécanismes sont en action.  



       D'une    manière générale, la forme d'exécu  tion représentée de la machine selon l'inven  tion est une machine d'un genre décrit dans  des anciens brevets, machine qui comprend  une série .de totalisateurs sur lesquels peuvent  être répartis différents montants selon les be  soins de     l'entreprise    pour laquelle la machine  est construite.  



  Dans le cas présent, les totalisateurs sont  conçus de manière à recevoir beaucoup de  postes différents qui représentent des opéra  tions individuelles effectuées lors de l'établis  sement de chèques ou enveloppes de paye.  



  Dans les anciens brevets, on trouve égale  ment ce qu'on appelle dans le métier les tota  lisateurs d'addition et     soustraction,    ou de ba  lance, qui permettent à tout moment l'impres  sion des balances.      Pour contrôler l'impression sur divers sup  ports d'impression, la machine est     pourvue    de  quatre rangées de touches de commande et de       quinze        rangées    .de touches numérales, ainsi  que le montrent la     fig.    1 et, schématiquement,  la     fig.    2. Le clavier des touches numérales est  ce qu'on appelle dans le métier un     clavier     scindé.

   Les premières sept rangées de touches  numérales du côté gauche commandent des       montants    à additionner dans le     côté    gauche  d'un     totalisateur    scindé et les huit rangées de  touches numérales du côté droit commandent  des montants à additionner dans la partie  droite d'un     totalisateur    scindé.  



  La carte des gains s'imprime du côté droit  de la machine par dix marteaux, le chèque  s'imprime près du centre de la machine par  huit .marteaux et le bordereau de paye s'im  prime du côté gauche de la machine par onze  marteaux. Lorsqu'on se sert de la machine  pour     des    analyses et que la fiche d'analyse  est placée dans un récipient du côté gauche  de la machine où s'imprime habituellement le  bordereau de paye, les quatre premiers mar  teaux du groupe de onze servent à imprimer  les données analytiques sur la fiche du rou  leau à analyse.  



  Les     inscriptions    sur la carte des gains sur  le côté .droit de la machine s'effectuent à  l'aide d'un mécanisme d'une nouvelle cons  truction pour l'alimentation ou l'espacement  sous le contrôle de dispositifs contacteurs et  des touches de commande .du clavier.  



  Le chèque, ou l'enveloppe, est<B>C/</B> en  interlignes et subit des mouvements en avant  et en arrière à l'aide     d'iui    mécanisme d'ali  mentation d'une nouvelle construction sous le  contrôle des touches de commande du     clavier     et aussi     d'iui    dispositif dit contacteur à glis  sement.  



  Le bordereau de paye avance à l'aide d'un       mécanisme    d'alimentation     d'LUie    nouvelle cons  truction sous le contrôle des contacteurs et  des touches de commande du clavier.  



  Les quatre rangées de touches du côté  droit du clavier contrôlent la sélection des  colonnes et la sélection     des    divers interlignes  dans ces colonnes, dans lesquelles s'impriment    les données pendant les     différentes    opérations  nécessaires pour établir et émettre un chèque  de paye. Le nombre des opérations nécessaires  varie avec le nombre de catégories des gains  à créditer et     aussi    avec le nombre des déduc  tions à opérer sur le gain brut de chaque  employé.  



  Un mécanisme éjecteur des chèques est  également commandé par certaines de ces tou  ches, car ce mécanisme éjecteur doit être  actionné à des moments variables, c'est-à-dire  que le mécanisme éjecteur peut être actionné  après la première ou n'importe quel nombre  d'opérations, ici également suivant le nombre  de catégories des gains et le nombre des dé  ductions à opérer pour chaque employé.  



  La machine représentée est en outre pour  vue d'un dispositif de commande d'une nou  velle construction pour transformer la ma  chine de machine à établir des fiches de paye  en machine à analyse avec un minimum  d'effort physique et mental de la part de  l'opérateur de la machine. Ce dispositif com  prend -un levier manuel, situé du côté gauche  de la machine et pouvant occuper trois posi  tions, et une touche d'analyse sur le clavier.  L'une -des positions du levier est une position  d'analyse, c'est-à-dire une position dans la  quelle 11 contribue à transformer la machine  de machine à établir des bulletins de paye en  machine à analyse. Dans cette position, la ma  chine peut être utilisée pour la distribution  analytique des données et le mécanisme numé  roteur est mis hors service.

   Dans une autre  position     d'analyse    -de ce levier manuel, la. ma  chine peut être     utilisée    pour la distribution  analytique des données et le mécanisme numé  roteur est mis en action. Dans la troisième  position .de ce levier à commande manuelle, la  machine peut être utilisée pour le bulletin (le  paye et les dividendes.  



  Lorsque la machine est transformée de  machine à établir des     fiches    de paye en ma  chine à analyses, les marteaux et le méca  nisme d'avancement de la carte des salaires  peuvent être hors service et le mécanisme pour  l'avancement et l'éjection du chèque, ainsi que  pour son impression, peut être hors fonction      pendant une partie du temps, mais pendant  une autre partie du temps d'analyse, les mé  canismes d'avancement, d'éjection et d'impres  sion du chèque servent à l'avancement, à  l'éjection et à     l'impression    sur une fiche por  tant des empreintes des données analytiques  faites sous le contrôle des touches du clavier.

    De même, le bordereau de paye, comme on l'a  dit plus haut, n'est pas employé pendant  l'analyse, on emploie à la place l'analyse  effectuée; une partie des marteaux qui frap  pent habituellement les empreintes .dans cer  taines colonnes du bordereau de paye est, par  conséquent, hors service, alors que d'autres  marteaux servant à l'impression sur le borde  reau de paye s'emploient pour l'impression  sur la fiche analytique. Toutes ces commandes  s'effectuent sous le contrôle du levier sus  mentionné, à commande manuelle, du côté  gauche de la machine, en     combinaison    avec  une touche     d' analyse     du clavier.  



  La machine .représentée est également  pourvue d'un mécanisme à engrenage interne  servant à l'ajustage simultané sur :des groupes  de dispositifs des nombres et données sous le  contrôle des touches, de façon que l'impres  sion puisse se faire facilement sur le borde  reau de paye du côté gauche de la machine,       sur    le chèque au centre de la machine et sur  la carte des salaires à l'extrême droite de la  machine, ce qui a lieu dans le cas où la ma  chine s'emploie pour l'établissement des fiches  de paye.  



  Le même mécanisme d'engrenage interne  sert également au contrôle et à l'ajustage de  diverses plaques de commande prévues pour  contrôler d'autres mécanismes, tels que le mé  canisme d'alimentation, le mécanisme éjecteur  et les     dispositifs    contacteurs en dehors des  marteaux.  



  Ainsi qu'il a été dit précédemment, les  nombres imprimés sur les divers supports  d'impression,     tels    que bordereau de paye, chè  que et carte des salaires, se composent à l'aide  clés touches du clavier numéral qui, dans le  cas présent, remplit la double fonction d'une  machine à analyse et     d'une    machine établis  sant des bulletins de paye. Lorsque la ma-    chine est utilisée pour l'établissement des bul  letins de paye, on se sert de     certaines    touches  pour composer les gains antérieurs et les  gains réglementaires, et en d'autres occasions  les déductions.

   Ces montants se composent à  l'aide -des huit rangées de droite des touches  numérales, alors que le nombre d'heures, aussi  bien réglementaires que supplémentaires, se  composent à l'aide des sept rangées de gauche  des touches     numérales.     



  En cas d'emploi de la machine pour la  distribution analytique, les touches numérales,       aussi    bien celles des huit rangées de droite  que celles des sept rangées de gauche, servent  à composer les différentes données numéri  ques et les montants.  



  Le clavier de la machine est prévu pour  les opérations d'établissements qui désirent  émettre des chèques de paye et tenir une  comptabilité complète des diverses trans  actions effectuées pour chaque chèque parti  culier. La machine est, par conséquent, pour  vue de touches numérales d'une capacité suf  fisante pour ce genre     d'opérations.     



  Il y a également trois rangées de touches  connues dans le métier sous l'appellation   touches de commande  et servant à sélection  ner les divers     totalisateurs    pour la réparti  tion des transactions enregistrées dans la ma  chine. Il y a également     une    rangée de touches  de     totalisation    qui contrôlent la machine, de  manière à établir les totaux des postes néces  saires pour l'impression     des    chèques de paye  et à remettre à zéro les divers totalisateurs en  fin de chaque journée, si on désire laisser la  machine à l'état initial pour qu'elle soit prête  pour les opérations du .lendemain ou de n'im  porte quelle autre période suivante.  



  La rangée des touches de totalisation est  désignée sur la     fig.    2 par, le chiffre 1; la ran  gée de droite des touches de commande est dé  signée par 2; la rangée des touches de com  mande du     .milieu    est désignée par 3, et la ran  gée de gauche des touches de commande est  désignée par 4. Ces désignations: rangée 1 à  4, seront employées par la suite à propos de  ces touches lors de la description détaillée des  divers mécanismes d'alimentation et d'éjection      et des mécanismes contacteurs et des mar  teaux     qu'elles    commandent.  



  <I>Bâti.</I>  La machine comptable représentée est com  posée de deux parties principales, .d'une par  tie  machine  et d'une partie  imprimeur .  La partie  machine  est montée au-dessus de  la partie      imprimeur .     



  Les     mécanismes    de la partie  machine   sont supportés par un bâti monté sur une  base, laquelle, à son tour, est portée par un  bâti qui supporte le mécanisme imprimeur de  la partie  imprimeur , et ce dernier bâti re  pose sur une base.  



  La disposition des bases, des châssis laté  raux et des châssis spéciaux ainsi que les ti  rants pour les bâtis de la machine et de l'im  primeur sont indiqués de façon générale sur  les     fig.        42A.    .et 42B. Les châssis latéraux et la  base de la machine ainsi que le tirant princi  pal avant sont également indiqués sur les       fig.    3, 5 et 30; les châssis de l'imprimeur sont  également représentés     -sur    les     fig.    42A, 42B,  46B, 57A, 57B, 58A et     58B    et sur diverses       autres    figures qui seront mentionnées plus  loin à propos du mécanisme particulier sup  porté par ces châssis.  



  On décrira d'abord le bâti de la machine  en se rapportant aux figures précitées repré  sentant le bâti de la. machine. Ce bâti de la  machine comprend     lin        châssis    latéral gauche  121 et un châssis latéral droit 122 montés sur.  une base 123 de la machine. Un     châssis    auxi  liaire 124 est fixé au châssis latéral 122 par  des moyens non représentés et également sup  porté par la base 123. Un tirant 125 relie les       châssis    latéraux 121 et 122 du côté antérieur  et une paroi arrière relie les châssis 121 et  122 en arrière. Ces châssis 121 et 122 suppor  tent le corps principal de la partie      machine.>     de la machine comptable.  



  La partie  imprimeur  de la machine est  tout entière montée entre les châssis latéraux  131, 132, 133, 134, 135 et 136 supportés par  une base 137 de     l'imprimeux.    Les châssis 131  et 136 sont fixés aux extrémités d'un tirant  138 qui maintient l'écartement - nécessaire    entre ces châssis. Les châssis latéraux 132,  133, 134 et 135 sont coupés, comme on le voit  sur les     fig.    68 et 79, et chacun d'eux est rac  cordé au tirant 138 pour assurer leur main  tien dans les positions latérales convenables.  



  Un tirant 139 est placé entre les châssis  131 et 136 à leurs extrémités arrière pour  maintenir la distance     convenable    entre ces  deux     châssis.    Les châssis 132, 133. 134 et 135  sont coupés, comme on le voit sur la     fig.    43B,  en vue de leur fixation sur ce tirant 139, de  façon que leurs     extrémités    arrière soient  maintenues dans des positions latérales con  venables.  



  Des parois latérales 140 et 141     (fig.    42A  et 42B) sont prévues entre les châssis 132 et  133 et les     châssis    133 .et 134 respectivement  et fixées aux tirants 138 et 139. Une .antre  paroi auxiliaire 142,à droite du châssis 136.  est fixée à la base 137.  



  Près de leurs bords antérieurs, les châssis  131 et 133 sont également reliés par un tirant       143    qui est aussi fixé au bord extrême avant  du châssis 132. Un tirant 144 est fixé entre  les bords antérieurs des châssis 133 et 131  pour maintenir leurs bords avant en positions  convenables; un tirant 145 est fixé aux     ehâssis     134, 135 et 136 pour maintenir les bords  avant de ces châssis en positions latérales  convenables.  



  La partie  machine  de la machine comp  table est placée dans un coffre 146     (fig.    1 et  3)     possédant    des compartiments articulés né  cessaires pour permettre à l'opérateur d'accé  der en cas de besoin à certaines pièces de la,  machine.  



  Certaines de ces parties seront décrites  plus loin lors de la .description des méca  nismes     particuliers    auxquels elles sont direc  tement associées. Toutes les parties articulées  sont pourvues de serrures, afin d'interdire  aux personnes non autorisées l'accès aux par  ties intérieures de la machine.         .Mécanisme   <I>d'opération.</I>  Normalement, la machine est actionnée  électriquement par un moteur et est     pourvue,     en outre, d'une manivelle (non représentée)      pour actionner la machine à la main, si néces  saire.

   La barre de démarrage électrique utili  sée sur les anciennes machines est supprimée  et la machine est mise en mouvement par       l'abaissement    d'une série. de touches  motori  sées  ou  d'opération  situées dans les ran  gées     des        touches    de commande, c'est-à-dire  clans les     rangées    1, 2, 3 et 4     (fig.    2). Ces tou  ches seront expliquées en détail ci-après.  



       L'abaissement    d'une des touches d'opéra  tion abandonne un arbre 149 de blocage des  touches     (fig.    3, 5 et 30) à l'action d'un res  sort (non représenté) qui fait pivoter cet  arbre légèrement dans le sens des aiguilles  d'une montre, de manière à actionner un mé  canisme d'embrayage qui relie le moteur de  commande à un arbre principal 150 oscillant  dans les châssis latéraux 121 et 122. Le mou  vement de cet arbre 149 de blocage des tou  ches actionne simultanément un mécanisme       interrupteur    qui ferme le circuit du moteur  en mettant ainsi le moteur en marche pour  entraîner l'arbre principal 150.  



  La machine représentée est construite en  vue d'exécuter deux genres d'opérations, dont  l'une est une opération .d'addition comprenant  un cycle et l'autre     rme    opération de soustrac  tion comprenant     deux    cycles. Dans cette des  cription, un tour complet de l'arbre principal  150 est considéré     comme     un cycle  d'opé  ration.    La machine est prévue pour l'établisse  ment d'une feuille de paye qui implique l'éta  blissement d'un chèque comprenant diverses  données imprimées, telles que le gain brut de  l'employé, ses déductions et gain net ainsi que  plusieurs autres indications qui peuvent être  imprimées par la machine.  



  La composition et l'enregistrement .de la  paye     brute,    - des déductions, du nombre  d'heures, etc., sont des opérations à un cycle.       L'impression    de la paye nette de l'employé est  une opération à deux cycles, ou opération de  totalisation, dans laquelle la paye nette est  imprimée comme solde restant après les diffé  rentes déductions de la paye brute de     l'em-'     ployé.    On voit, par conséquent, qu'il faut, pour  établir un chèque de paye pour un seul em  ployé, effectuer plusieurs opérations à  un  cycle  et aussi plusieurs opérations du genre  de totalisation qui     comprennent    deux .cycles.  



  Vers la     fin    de chaque opération à un cycle  et vers la fin du deuxième cycle d'une opéra  tion à deux cycles, l'arbre 149 de blocage des  touches est ramené dans le sens contraire de  celui des aiguilles     d'une    montre, de manière à  débrayer le mécanisme d'accouplement et à  ouvrir simultanément l'interrupteur du mo  teur électrique en arrêtant ainsi     la    machine  quand elle atteint sa position de repos.  



  Le temps de fonctionnement de cet arbre  1.49 de blocage des touches est indiqué sur la  ligne 2 du tableau des temps de la     fig.    109,  montrant qu'avant que l'arbre à cames 150  commence à     fonctionner,    a lieu le déplacement  de l'arbre 149 de blocage des touches et     que,     vers la fin du cycle, l'arbre 149 de blocage  des touches est ramené à sa position normale,  comme on vient de le décrire.  



  Lorsque la machine est     manoeuvrée    à la  main par     une    manivelle, on se sert, pour la  mise en marche de la machine, des touches  d'opération exactement comme dans le cas  d'entraînement électrique.         Documents        imprimés.     



  La machine représentée est construite de  faon à effectuer, lors de l'établissement des  feuilles de paye, des     empreintes    sur trois  supports d'impression, dont il paraît indiqué  de donner la description, étant donné qu'on  aura à s'y référer au cours de cet exposé et  plus particulièrement à l'occasion de la des  cription du clavier et du mécanisme impri  meur.  



  A     titre    d'illustration, cette machine est  construite pour l'impression     dans    29     colonnes     différentes sur trois supports d'impression       différents    pendant les opérations à effectuer  pour l'établissement des chèques de paye pour  les employés.  



  Il est bien entendu que ce nombre de 29  colonnes a été choisi     -uniquement    dans un but  de représentation et qu'il peut être augmenté      ou réduit selon le genre d'écritures désiré par  le     client    pour l'établissement des feuilles de  paye.  



  Chacune de ces colonnes est numérotée de  1 à 29, de sorte qu'elle peut facilement et ra  pidement être identifiée par rapport aux écri  tures et particulièrement en liaison avec les       moyens    de commande du clavier qui seront  décrits plus loin.  



  Sur le côté gauche de la machine, on im  prime un bordereau de paye 151     (fig.    1 et 28).       Près    du centre de la machine, on imprime  un chèque de paye 152     (fig.    1 et 24) et sur le  côté droit de la machine, on imprime une carte  de salaires 153     (fig.    1 et 29).  



  Le formulaire du     bordereau    de paye re  présenté à la     fig.    28 possède trois colonnes du  côté gauche portant, en tête, les indications   Noms ,  Taux  et  Observations . Dans ces  trois colonnes, on peut inscrire soit à la main,  soit à .la machine à écrire, les indications rela  tives à l'employé dont le nom est porté dans  cet espace. Ce bordereau de paye peut avoir  la longueur désirée par     l'entreprise    qui éta  blit le bordereau, afin qu'elle réponde à cer  taines dimensions ou pour un certain nombre  de chèques de paye, cinquante par exemple.  Si le bordereau est prévu pour cinquante,  alors il y a cinquante espacements pour les  noms de cinquante employés.

   A droite de ces  trois colonnes, il y a onze colonnes dans les  quelles des     données    peuvent. être imprimées  par la machine. Ces colonnes sont numérotées  de 1 à 11. Dans la colonne 1, à en-tête  Nu  méro , s'imprime le numéro d'ordre. Dans la  colonne 2, à en-tête  Paye brute  et  Paye  nette , la machine imprime la paye brute et  la paye nette de l'employé, la paye brute  étant toujours imprimée sur la ligne ou sec  tion supérieure réservée à l'employé et sur la       deuxième    ligne se trouve la paye nette. Dans  la colonne 3, portant l'en-tête  Touche R  et   Touche T , sont imprimés Lin symbole dési  gnant la touche  R  et le nombre .des heures  réglementaires effectuées par l'employé et un  symbole  T  qui désigne les heures supplé  mentaires.

   La colonne 4 porte l'en-tête  Tou  che R  et  Touche T ; dans cette colonne    s'impriment le     s@unbolc     R  et le montant, ga  gné pour les heures de travail réglementaires  ainsi qu'un symbole  T  et le montant gagné  pour les     heures    de travail supplémentaires.  La colonne 5 porte l'en-tête  Touche S  et   Touche X . Ces touches sont réservées à       l'enregistrement    des gains supplémentaires de  l'employé, tels que primes ou bonis, et la tou  che  S  peut     servir    pour les primes; clans ces  cas, ce montant sera imprimé sur la ligne  supérieure de l'espace et les bonis seront im  primés sur la ligne inférieure. Les six co  lonnes suivantes, numérotées de 6 à 11, sont  réservées aux déductions à opérer dans la.

    paye brute de l'employé; chaque colonne ainsi  que les espaces supérieur et inférieur de cha  que colonne se trouvent sous le contrôle des  touches dont les symboles sont indiqués en  tête des     .colonnes    respectives. Les montants  pour les différentes colonnes sont naturelle  ment composés à l'aide des touches numérales  du clavier qui seront décrites ci-après.  



  Sur le chèque 152,     représénté    sur la     fig.    24,  sont indiquées les colonnes 12 à 19. Dans la.  colonne 12     s'impriment    le nombre des heures  réglementaires et supplémentaires. Dans la co  lonne 13 s'imprime le montant des gains de  l'employé, à savoir le montant des gains ré  glementaires et des gains pour les heures sup  plémentaires, ainsi que le montant brut. Dans  la colonne 14 sont portés des symboles et dif  férents montants représentant diverses déduc  tions dont doit être débitée la. paye brute.  Dans la colonne 15 s'imprime la paye nette.  Dans la colonne 16, qui est la première co  lonne de la partie principale du chèque, s'im  prime le numéro d'ordre; dans la colonne 17,  la date; dans les colonnes 18 et 19, la paye  nette.  



  La carte de salaires 153     (Tig.    29) est ré  servée aux. employés à titre individuel; en  d'autres termes, la carte de salaires de cha  que employé contient un relevé complet de ses  gains pour une période, disons de 13 semaines.  Sur le formulaire représenté, la colonne de  gauche possède des lignes numérotées de 1 à  13. Les colonnes de la carte de salaires sont.  numérotées de 20 à 29. Dans les colonnes 20      à 28 sont imprimées des indications identiques  à celles imprimées dans les colonnes 2 à 10  du bordereau de paye 151.

   Dans la colonne  29, portant     l'en-téte     Paye brute  et  Gains  à ce jour , il y a une ligne en face de     I'en-          tête         BI'     qui est destinée au  Report  relevé  d'une carte de salaires figurant sur les treize  lignes; autrement dit, elle représenterait la  deuxième période de 13 semaines pour cet  employé particulier, et ses gains à     cette    date  seraient, par     conséquent,    reportés de sa carte  des salaires précédents et inscrits à la main  clans cette colonne.  



  Dans la     partie    supérieure de la ligne 1, on  imprime la paye brute de l'employé et dans  la partie inférieure de la ligne 1 la somme de  ses gains antérieurs plus sa paye brute, ces       montants    représentant ses gains à cette date.  L'impression des gains échus à cette date est  une opération clé totalisation qui sera décrite  ci-après. Au cas où l'entreprise désire établir  des enveloppes de paye et payer en espèces au  lieu de chèques, une enveloppe de paye 154       (fig.        ?6)    peut être imprimée à la place du chè  que 152.

   Sur cette enveloppe, sur laquelle sont  portées les colonnes 12 à 19, on imprime (les  indications similaires à celles qui s'impriment  sur le chèque; en fait, elles sont identiques,  sauf que rien n'est     imprimé    dans la colonne  16 ni dans la colonne     19-          Comme    expliqué ci-dessus, lorsque la ma  chine est transformée de machine à établir ou  à imprimer des feuilles de paye en machine à  analyse, la carte de salaires 1.53 n'est pas im  primée sur la machine, ni le chèque 152, ni  l'enveloppe 154, ni le bordereau .de paye<B>151.</B>       An    lieu du bordereau de paye 151, on peut  faire l'impression sur une bande d'analyse  155     (fig.    13 et 20)

   pour enregistrer la distri  bution des diverses données analytiques. Ces  données sont imprimées aux endroits corres  pondant aux colonnes 1 à 4 du bordereau de  paye et ces colonnes ont été désignées en con  séquence sur les bandes d'analyse.  



  Après avoir effectué une analyse, l'opéra  teur établit un total de plusieurs montants et  données séparés, et ce total est imprimé sur  la bande d'analyse 155; on peut également    l'imprimer sur     itne    fiche 156     (fig.    25) sur la  quelle sont portées les colonnes 12 à 17.  Comme on le voit sur les     fig.    13 et 20, rien  n'est imprimé dans la colonne 2 de la bande  d'analyse 155 et il n'est rien imprimé dans les  colonnes 14 et 15 de la fiche 156     (fig.    25),  mais le montant imprimé dans la colonne 3 de  la bande d'analyse et le chiffre de la colonne  1. de la bande d'analyse sont imprimés dans la  colonne 16 de la fiche. La date imprimée dans  la colonne 17 de la fiche n'est pas imprimée  sur la bande d'analyse.  



  Les mécanismes d'avancement du borde  reau de paye, de la carte de salaires, du chè  que, de l'enveloppe .de la bande d'analyse se  ront décrits en détail ci-après en liaison avec  la section  imprimeur  de la machine; le  moyen pour imprimer ces données sur ces  supports d'impression sera également décrit  ci-après.  



       Clavier.     Le clavier de la machine est représenté  schématiquement sur la     fig.    2 et en perspec  tive sur la     fig.    1.  



  En se reportant en particulier à la vue  schématique de la     fig.    2, on voit qu'il y a sept  rangées de touches numérales 160     .du    côté       gauche    d'une  coupure  permanente indiquée  par une ligne     pointillée    et qu'à droite de cette  coupure se trouvent huit rangées de touches  numérales 161. Il en résulte     fuie    capacité  d'enregistrement et d'accumulation de sept  groupes à gauche et de huit groupes à droite  de la coupure pour les totalisateurs de la ma  chine scindés conformément à la coupure per  manente entre les touches 160 et 161.  



  A droite     des    touches numérales 160 et       161.,    il y a quatre rangées de touches de com  mande désignées par 1, 2, 3 et 4. Les     trois     premières touches de la rangée 1 sont des tou  ches de     manoeuvre,    c'est-à-dire qu'en les abais  sant on     déclenche    la machine; elles ne sont  employées que lorsqu'on se sert de la machine  pour établir des chèques de paye. Les trois  touches 163 du haut de la rangée 1 ne sont  pas destinées aux opérations et servent à sé  lectionner les totalisateurs des rangées 2, 3 et      4 pendant les opérations de remise à zéro.

   La  touche 162  Paye nette  provoque la remise  à zéro du totalisateur d'addition et soustrac  tion et reporte le montant qui s'y trouvait sur  un     totalisateur    associé à la touche  Total paye  nette  166 de la rangée 4. Cette touche 162   Paye nette  sélectionne également la ligne 2  dans l'espace d'impression de la colonne 2 du  bordereau de paye et sélectionne la ligne 4 de  la colonne 15 sur le     chèque,    de manière à  faire imprimer la paye nette sur la ligne 2 de  la colonne 2 sur le bordereau de paye 151 et  sur la ligne 4 des colonnes 15, 18 et 19 du  chèque 152     (fig.    24).

   Elle provoque égale  ment le déclenchement du mécanisme     éjec-          teur    et l'avancement du numéro d'ordre en       faisant    imprimer le numéro d'ordre dans la  colonne 1 du bordereau de paye 151 et dans  la. colonne 16, ligne 1, du chèque 152.  



  La touche 162  Gains à ce jour  remet à  zéro le total de groupe  Gains à ce jour  3 et  provoque son report dans le total du groupe  4. Elle     sélectionne    la ligne 2 dans la colonne  29 de la carte de salaires 153 et produit le dé  blocage de la carte de salaires après cette im  pression. La touche 162  Brut  provoque une       opération,de    la lecture du totalisateur d'addi  tion et soustraction et sélectionne la ligne 1  dans la colonne 2 du bordereau de paye 151  en provoquant l'impression de la paye brute  sur cette ligne; elle sélectionne aussi la ligne 1  dans la colonne 29 de .la carte de salaires 153  en provoquant l'impression de la paye brute  à cet endroit.

   Elle sélectionne en outre la  ligne convenable du chèque dans la colonne  13 pour obtenir l'impression de la paye brute       sur    cette ligne; après cette opération, le chè  que est ramené en arrière à la première ligne  pour recevoir la première déduction.  



  La touche 163  Rem. 0. rang. 2  sert à sé  lectionner les totalisateurs correspondant aux  positions des touches de la rangée 2 lors de  leur remise à zéro. La touche 163  Rem. 0.  rang. 3  sert à sélectionner     les        totalisateurs     correspondant aux positions des touches de la  rangée 3 pour les remettre à zéro. La touche  1.63  Rem. 0. rang. 4  s'emploie également en  liaison avec les totalisateurs correspondant    aux positions des différentes touches de la  rangée 4.  



  Les     touchés    163 s'emploient, dans des opé  rations d'analyse, pour d'autres fonctions qui  seront décrites en détail lors de la description  de la machine en tant que machine     d',analyse.     



  Les touches de la rangée 2 sont désignées  par 164, les touches de la rangée 3 sont dési  gnées par 165 et     celles    de la rangée 4 par 166.  Les trois touches inférieures de la rangée 2  sont inopérantes dans toutes .les opérations  d'établissement des feuilles de paye, de même  que la. touche  Analyse  de la rangée 2. Mais,  lorsqu'on abaisse la touche  Analyse  .de la  rangée 2, qui est une touche inopérante, elle  débloque les trois touches inférieures de la  rangée 2, de sorte qu'elles deviennent opé  rantes.  



  La touche 164      Débloc.     sert à. débloquer  la touche  Analyse  lorsqu'elle est abaissée, la  position en face de la touche      Débloc.     sert de  position automatique pour les     touches     A  à   J  165 de la rangée 3 et pour les touches        I*NT     à      K     166 de la rangée 4. Les touches  164      -h     et  -  servent aux corrections,  c'est-à-dire qu'on se sert de la touche  -   pour soustraire un montant qui a été par  erreur additionné dans le totalisateur d'addi  tion et soustraction et qu'on se sert de la  touche      -I-     pour additionner un montant qui  était par erreur soustrait du totalisateur d'ad  dition et soustraction.

   La touche  Gains an  térieurs  est -une touche d'opération et s'em  ploie lorsqu'on compose les gains précédents  de l'employé.  



  Toutes les touches  A  à  J  165 de la  rangée 3 sont prévues' pour les différents  genres -de déductions indiquées précédemment,  telles que assurances, impôt sur le revenu, re  tenues, assurances sociales, déduction pour  obligations, intérêts et n'importe quelles  autres .déductions admises par l'employeur  sur les gains bruts. Les touches  N  à      h      1.66 de la rangée 4 s'emploient également pour  las déductions. La touche  R  sert à déclen  cher la machine après la composition, à l'aide  des touches 160 et respectivement 161, du  nombre des heures de l'employé et du mon-      tant réglementaire de sa paye. La touche 166   T  s'emploie lors de la composition, à l'aide  des touches 1.60 et respectivement 161, des       llcures    et du montant supplémentaires de  l'employé.

   La touche  S  166 s'emploie lors  qu'on additionne sur le totalisateur d'addi  tion et soustraction des gains spéciaux de  l'employé, tels que primes, et la touche  X   <B>1.66</B> peut servir à déclencher la machine lors  qu'on additionne dans le totalisateur d'autres  nains     S,péeiaux,    tels que bonis, pour déterminer  la paye brute.  



  En ce qui concerne les touches numérales  160 à gauche de la coupure, en cas d'emploi  de la machine pour l'établissement des feuilles  de paye, le nombre des heures réglementaires  et les heures supplémentaires se composent  sur les quatre rangées de droite des touches  160, les trois rangées de gauche étant utilisées       ,comme    groupes de dépassement. En cas d'em  ploi de la machine comme machine d'analyse,  on se sert habituellement des cinq rangées de  gauche -des touches 160; il y a entre la cin  quième et, la sixième rangée des touches 160  une région  coupure et normale , c'est-à-dire       que    ce n'est pas une coupure permanente et,  à. moins que les chiffres dépassent le cin  quième ordre dénominateur, on se sert habi  tuellement clos cinq rangées de gauche des  touches 160.

   Il en est de même pour les six  rangées de gauche des touches 161 lorsque la  machine sert à la distribution analytique.       Mais,    lorsque la machine s'emploie pour l'éta  blissement des feuilles de paye et     des    chèques  clé paye, les gains précédents     _de    l'employé et  ses gains ordinaires et supplémentaires ainsi       que    les gains spéciaux et déductions se com  posent sur les six rangées de droite des touches  161. Les deux autres rangées (les touches 161  servent uniquement. à l'accumulation.  



  Les totalisateurs et leurs différentes dis  positions, y compris les totalisateurs d'addi  tion et soustraction, seront traités     ci-après    au       chapitre     Totalisateurs .  



  On donne ci-après une description géné  rale clos touches de commande des rangées 2,  3 et 4, clos touches 162 et 163 de la rangée 1    en liaison avec leurs     fonctions    générales,     c'est-          à-dire    qu'on va écrire la manière de combi  ner les différentes opérations que la machine  doit exécuter pour remplir un chèque de paye  et pour enregistrer toutes les données à im  primer sur le bordereau de paye et sur les  cartes -de salaires se rapportant à l'établisse  ment du chèque de paye.  



  D'abord, on compose avec les touches 161  les gains précédents et on abaisse la touche  164  Gains antérieurs . Ce montant passe  dans le totalisateur des gains     précédents      G. T. 2  de la rangée 2 et également dans le  totalisateur  G. T. 3  en position zéro de la  rangée 3. Immédiatement avant l'opération  d'extraction des gains précédents, l'opérateur  introduit dans la machine le bordereau 151  dans la position nécessaire ainsi que la carte  de salaires 153 qui va du côté droit de la ma  chine.  



  L'opérateur compose ensuite le nombre des  heures de travail réglementaires à l'aide des  touches 160 des quatre rangées de droite et le  montant des gains pour ces heures à. l'aide  des touches 161 des cinq rangées de droite et  abaisse la touche 166 marquée  R  de la ran  gée 4. Ces heures et ces montants s'addition  nent dans les totalisateurs des heures et mon  tants de chaque côté de la coupure dans la.  position     qui,correspond    à la touche  R . Ces  nombres d'heures et montants des gains pour  les heures réglementaires s'additionnent égale  ment dans le     totalisateur     G.

   T. 3  de chaque  côté de la coupure de ce totalisateur, le nom  bre d'heures passant à gauche du totalisateur  scindé et le montant des gains à droite du  totalisateur scindé; l'opérateur compose en  suite le nombre des heures supplémentaires à  l'aide .des     touches    160 et le montant des     gains     supplémentaires à l'aide des touches 161 et  abaisse la touche 166  T  de la rangée 4. Les  heures et le montant supplémentaires s'addi  tionnent sur les deux côtés du totalisateur  scindé associé à la touche  T  et s'accumulent  également dans le totalisateur  G. T. 3 . Ce  totalisateur  G.

   T. 3 , du côté droit de la cou  pure, devient maintenant  Gains à ce jour ,  parce qu'il accumule les gains précédents     plus         le montant     des    gains réglementaires et celui  des gains supplémentaires.  



  S'il y a d'autres gains,     tels    que des primes,  ces montants se composent sur les touches 161  des cinq rangées de droite et on abaisse la  touche 166  S  faisant     ainsi    passer ce mon  tant dans le totalisateur  S  et aussi dans le  totalisateur  G. T. 3 . Pour des montants     tels     que le boni, ceux-ci se composent par les tou  ches 161 et on abaisse la touche 166  X , ce  qui fait que .le montant des bonis s'additionne       dans    le totalisateur  X  ainsi que dans le to  talisateur  G. T. 3 .  



  Il y a lieu d'indiquer ici que le totalisa  teur de la     ligne    supérieure à gauche de la  coupure est un totalisateur d'addition et que  les totalisateurs de la ligne supérieure à droite  de la coupure constituent un totalisateur  d'addition et soustraction ainsi que le totali  sateur  G. T. 2 . Tous les     gains    des heures ré  glementaires et les gains des heures supplé  mentaires,     ainsi    que tous les     gains        spéciaux,     tels que primes et bonis, s'accumulent du côté   +  du     totalisateur    d'addition et soustrac  tion et les gains précédents passent, comme  on l'a dit ci-dessus, dans le totalisateur   G. T. 2 - à droite de la coupure.

   La coupure  est indiquée sur la     fig.    27 où d'on voit une re  présentation schématique des totalisateurs des  deux côtés de la coupure ainsi que la came  sélectrice de ces totalisateurs.  



  Lorsque tous les gains sont accumulés du  côté droit du totalisateur d'addition et sous  traction, l'opérateur abaisse la touche 162   Brut  de la rangée 1 pour relever le côté        +     de ce     totalisateur    et imprimer la paye  brute dans la colonne 2 du bordereau de paye  151, dans la colonne 13 du chèque 152 et dans  la colonne 29 de la carte de salaires 153.  



  L'opérateur procède     ensuite    à la composi  tion des divers montants des différentes dé  ductions dont la paye de l'employé est à débi  ter éventuellement. Comme on ,le voit sur le  chèque 152 de la     fig.    24, six déductions sont       inscrites    après les symboles  A  à  B  et  J .  Chacune de ces déductions nécessite une opé  ration séparée     dans    laquelle le montant de la  déduction se compose par les touches 161 et    se soustrait du totalisateur d'addition et sous  traction. Chacune de ces déductions est égale  ment     accumulée        dans    les totalisateurs associés  à leurs touches respectives.  



  Après l'inscription de toutes les déduc  tions, l'opérateur abaisse la touche 162  Gains  à ce jour  de la rangée 1, ce qui vide le to  talisateur  G. T. 3  et reporte ce montant  dans le totalisateur  G. T. 4 ; ce montant   Gains à ce jour  s'imprime dans la colonne  29 de la carte de salaires 153     (fig.    29). L'opé  ration suivante est l'abaissement de la touche  162  Paye nette  de la rangée 1 qui remet à  zéro le totalisateur d'addition et soustraction  qui, à ce moment, contient. la paye nette de  l'employé et reporte cette paye nette sur un  totalisateur associé à la touche 166  Total  paye nette  de la rangée 4. Ce montant de la.

    paye nette s'imprime sur la deuxième ligne  dans l'espace de la colonne 2 du bordereau de  paye 151, sur la quatrième ligne de la colonne  15 du chèque et s'imprime également dans les  colonnes 18 et 19 du chèque.  



  Ce qui précède constitue une opération  complète nécessaire pour établir un chèque de  paye; après l'abaissement de la touche<B>162</B>   Paye nette , action qui remet le totalisateur  d'addition et soustraction à zéro, la machine  est prête et permet à l'opérateur de relever  les gains précédents de l'employé suivant, en  registrer toutes les données se rapportant à  cette paye et imprimer un chèque de paye  pour le montant qui se présente.  



  Un numéro d'ordre est imprimé dans la  colonne 16 du chèque et la date s'imprime  dans la colonne 17, cette date étant réglée par  un mécanisme :dont la description suivra. Le  mécanisme numéroteur sera également décrit.       ci-après.     



  <I>Les</I>     rangées        numérales   <I>et</I>     leurs   <I>mécanismes</I>       différoitiels   <I>associés.</I>  



  Ainsi qu'il a été expliqué précédemment,  la machine représentée possède sept rangées  de touches numérales 160 à gauche de la cou  pure et huit rangées de touches numérales  161 à droite de la coupure pouvant, dans cer  tains cas, servir à composer des     montants    et,      dans d'autres cas, des nombres d'heures ou  autres nombres employés lorsque la machine  fonctionne en machine d'analyse.  



  Mais, étant donné que toutes les rangées  des touches 160 et 161 et leurs mécanismes  différentiels associés sont identiques sous tous  les rapports, la description d'une de ces ran  gées clé touches et d'un mécanisme différen  tiel suffira.  



  La     fig.    3 représente une coupe transver  sale de la machine .au droit de l'une des ran  gées numérales et montre cette rangée et le  mécanisme différentiel qui lui est associé;  cette rangée sera considérée comme caracté  ristique de toutes les rangées numérales. La  rangée de touches choisies est l'une des ran  gées numérales 161     (fig.    2). Il est entendu  que les touches numérales 160 sont montées  exactement comme les touches 161 et les     mé-          -canismes    différentiels sont par conséquent les  mêmes.  



  Les touches numérales 161     (fig.    3) sont  montées sur un châssis de touches 170 porté  par des tiges 171 et 172 qui s'étendent entre  les châssis principaux 121 et 122 de la section   machine  de la machine comptable. L'abais  sement d'une des touches 161 déplace un cli  quet d'arrêt 173 à zéro de cette dénomination  particulière dans le sens contraire de celui  des aiguilles d'une montre et l'écarte du che  min d'un croisillon l74 monté librement sur  un moyeu d'un différentiel     numéral    175 qui  est supporté à rotation par un moyeu entre  deux plaques similaires 177 (une seule est re  présentée) de support du différentiel numé  ral qui, elles, sont portées par des tiges 178  et 179 qui s'étendent entre les châssis laté  raux 121 et 122 de la machine.

   Il y a une  paire de plaques de support 177 pour chaque  différentiel numéral et une tige de liaison 180  passe par les trous au centre des moyeux     pour     réunir tous les différentiels numéraux en un  ensemble compact.  



  Une fente pratiquée .dans l'extrémité anté  rieure du croisillon 174 s'engage sur un gou  jon 181, porté par un bras 18<B>2</B> de déblocage  qui pivote sur un prolongement de l'organe  moteur 175. Le bras 182 et un bras conjugué    183 portent un verrou différentiel 184 à dé  placement horizontal. Un ressort 185     entraîne          les    bras 182 et 183 ainsi que le verrou 184 en  arrière, de manière à maintenir normalement  un pied 186 dudit verrou en prise avec un  épaulement 187 d'un segment de commande  différentiel 188 supporté de façon à pouvoir  osciller par le moyeu de l'organe moteur dif  férentiel 175.

   Une articulation 189 relie le  segment de commande 188 à un levier de  came 190 pivotant sur un axe 191 fixé sur la  plaque 177 de gauche; -ce levier 190 porte des  galets 192 et 193 qui coopèrent respective  ment avec les périphéries de cames associées  194 et 195 fixées sur l'arbre principal -de com  mande 150. L'abaissement. de l'une des tou  ches numérales 161 place son extrémité infé  rieure sur le chemin d'une     surface    arrondie  196 d'un prolongement du bras 182.  



  Dans les opérations d'addition qui, comme  indiqué précédemment, consistent en lin cy  cle ou en une rotation de l'arbre à cames 150,  les cames 194 et 195 font un tour dans le sens  des aiguilles d'une montre en faisant dépla  cer le segment de commande 188 par le levier  190, d'abord dans le sens des aiguilles     d'une     montre et ensuite dans le     sens    inverse pour  revenir à la position normale. Pendant ce  mouvement dans le sens des aiguilles d'une  montre, le segment 188 entraîne le verrou 184  par l'épaulement 187 en coopération avec le  pied 186 du verrou 184, ainsi que l'organe  moteur 175 à l'unisson dans le sens des  aiguilles d'une montre jusqu'à ce que la sur  face arrondie 196 entre en contact avec la  tige de la touche 161 abaissée.

   Lorsque cela se  produit, le bras de blocage 182 et son bras  associé 183 se déplacent     dans    le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre, de  manière à dégager le pied 186 .de l'épaule  ment 187 pour interrompre le mouvement de  l'organe moteur 175     clans    le sens des aiguilles  d'une montre et pour l'arrêter lorsqu'il s'est  déplacé d'une distance correspondant à la va  leur de la touche abaissée. Ce mouvement  d'embrayage du verrou 184 met mi prolon  gement arrondi     @du    verrou en prise avec une  encoche correspondante d'une série d'encoches      198 faites dans     une    plaque 199 qui est fixée  entre la tige 178 et un prolongement vers le  haut de la plaque de support 177 .de gauche.  



  Après le dégagement chi verrou 184 de  l'épaulement 187 du segment 188, ce dernier  continue son mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre sans interruption, en  amenant une surface courbe 200 du segment,  en coopération avec le côté     inférieur    du pied  186, à bloquer le prolongement 197 du verrou  184 dans l'encoche 198 qui correspond à la  valeur de la touche numérale 161 abaissée.

    Lorsque le levier 190 et le segment 188 arri  vent aux points extrêmes de leur     mouvement     initial dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, un galet 201 porté par le levier 190 s'en  gage avec une surface courbe 202 du côté  inférieur     d'une    barre numérale 203 articulée  au point 204 sur l'organe moteur 175 et oblige  une surface courbe du côté     supérieur    de cette  barre 203 à entrer en contact avec le moyeu  de l'organe moteur 175 pour donner à la  barre 203 une position qui correspond à la  touche numérale 161 abaissée.

   La barre 203  est pourvue d'une fente 205 engagée avec un  goujon 206 d'une articulation 207 dont  l'extrémité     supérieure    est reliée à oscillation  à     Lin    segment d'alignement 208 monté sur  l'un des tubes d'une série de tubes emboîtés  209 portés par un arbre 210 qui oscille dans  les     -châssis    latéraux 121 et 122.  



  L'extrémité inférieure de l'articulation  207 est montée à oscillation sur un segment  <B>2</B>11 monté fou sur un arbre 212     tourillon-          nant    dans les châssis latéraux 121 et 122. Le  segment 211 porte un goujon 213 engagé dans       Lme    fente pratiquée dans une plaque à came  214 d'élimination de zéro montée à oscillation  sur un goujon 215     .qui    est fixé sur un seg  ment denté 216 monté fou sur un arbre 217  tourillonnant également dans les     châssis    laté  raux 121 et 122.

   Les dents du segment 216  engrènent avec les dents extérieures d'une  roue     annulairë    218 à engrenages intérieur et  extérieur dont les dents intérieures engrènent  avec un pignon 219     .qui    entraîne un arbre  carré 220. L'arbre carré entraîne, à son tour,       des    pignons similaires qui engrènent avec les         dents    intérieures de roues analogues à la roue  218; les dents extérieures de ces roues peu  vent engrener avec des roues à     caractèresdé-          nominatrices    correspondantes 221 dans cha  que rangée du mécanisme imprimeur en co  lonnes.

   Le mécanisme imprimeur en colonnes  sert, dans le cas présent, à l'impression des  bordereaux de paye 151, du chèque 152 et de  la carte de salaires 153, comme décrit précé  demment.  



  Pour l'alignement convenable du méca  nisme différentiel et des roues     porte-carac-          tères    placées par le différentiel, on a prévu  sur chacun des segments 208 une série d'en  coches 222 en prise avec un     aligneur    223     ealé     sur un arbre 224.  



       L'aligneur    223 est dégagé des encoches 222  pendant l'ajustage différentiel des roues à  caractères 221; après l'ajustage de ces roues  sous le contrôle des touches 161 par le méca  nisme différentiel,     l'aligneur    223 est de nou  veau mis en prise avec les encoches 222 en  alignant ainsi de     facon    positive les roues       porte-caractères        221.    pendant l'impression.  



  Les nombres composés sur les roues     porte-          caractères    221 sont indiqués dans une ouver  ture 225     (fig.    1 et 2) par des     indicateurs    226  ajustés par les roues 218     (fig.    3) au moyen  de roues 227 qui actionnent des pignons et  arbres carrés, non représentés, mais analo  gues aux pignons 219 et aux arbres 220.  



  <I>Les totalisateurs.</I>  



  La machine représentée comprend les trois  lignes habituelles de totalisateurs, numérotées  1, 2 et 3     (fig.    3). Comme dît précédemment,  les totalisateurs de chacune de ces lignes sont  coupés entre les touches 160 et<B>161</B>     (fig.    2),  c'est-à-dire qu'il n'y a pas de mécanisme de  report entre le premier groupe des touches  160 de gauche et le premier groupe des tou  ches 161 de droite en liaison avec leurs mé  canismes différentiels respectifs représentés  sur la     fig.    3. La ligne     lNT     1 des totalisateurs  est également représentée sur 1a vue schéma  tique     (fig.    27). Cette ligne de totalisateurs  est contrôlée par les touches 164 de la rangée  2.

   Cette ligne N  1. possède, du côté droit clé      la     coupure,    un totalisateur d'addition et sous  traction et, en outre, un totalisateur d'addi  tion directe. Du côté gauche de la coupure,  la ligne     des    totalisateurs comprend deux to  talisateurs d'addition, comme indiqué sur la       fig.    27.  



  La ligne N  3 des totalisateurs ou ligne  avant contrôlée par les touches 165 de la  rangée 3 comprend neuf     totalisateurs    de cha  que côté de la coupure, un     pour    chacune des  touches  A  à  J  et un en position zéro  que nous avons appelé le totalisateur  G. T. 3 .  



  La ligne N  2 des totalisateurs ou ligne  arrière compte neuf totalisateurs d'addition  de chaque côté .de la coupure, un pour cha  cune des touches  R ,  S ,  T ,  Y ,  N ,        ïVl ,     L  et  K  et un pour la touche  To  tal paye nette  et, en outre, un autre en po  sition zéro appelé totalisateur  G. T. 4 .  



  Le totalisateur d'addition et soustraction  de la ligne supérieure ou ligne N  1 situé à  droite de la coupure est désigné par le nu  méro de référence 230 et le totalisateur d'ad  dition directe à droite de la coupure de cette       ligne    porte le numéro 231. Les deux totalisa  teurs de cette ligne N  1 qui se trouvent à  ;anche de la coupure portent les numéros 232  et 233.  



  Les totalisateurs de la ligne N  2, ou ligne  arrière, représentés sur la     fig.    3 seulement,  portent. le numéro 234. Ce numéro s'appli  que aux totalisateurs des deux côtés de la  coupure. Les totalisateurs de la- ligne N  3, ou  ligne avant, portent le numéro 235, et ce nu  méro s'applique également aux totalisateurs  des deux côtés de la coupure.  



  Les totalisateurs de ce genre sont bien       connus,    on les appelle totalisateurs intercalés;  il     n'est    donc pas nécessaire de donner ici une  description de la construction de ces totali  sateurs.  



  Ainsi qu'il est de pratique courante dans  ce genre .de machines, l'organe moteur 175  possède trois sections dentées 236, 237 et 238       (fig.    3). La section 236 actionne les totalisa  teurs d'addition et soustraction ainsi que les  totalisateurs d'addition de la ligne     N     1, ou    ligne supérieure, des     totalisateurs,    la section  237 actionne les totalisateurs de la ligne N  2,  ou ligne arrière, et da section dentée 238  actionne le totalisateur 235 de la ligne N  3,  ou ligne avant.  



  Dans les opérations d'addition, les roues  du ou, suivant le cas, des totalisateurs sélec  tionnés sont en     prise    avec les sections dentées  respectives 236, 237 ou 238 des organes mo  teurs 175 après que ces organes ont accom  pli     ;leur    mouvement d'ajustage dans le sens  -des     aiguilles,    sous le contrôle des touches nu  mérales 160 et 161.  



  Le mouvement de retour dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre de  l'organe 175 fait tourner, comme il a été  expliqué ci-dessus, les roues correspondantes  du ou des totalisateurs sélectionnés et em  brayés, proportionnellement à la valeur des  touches     numérales    160 et 161, pour faire en  trer dans ces totalisateurs les montants qui  correspondent aux touches abaissées.  



  Dans les opérations de soustraction, les  roues correspondantes de soustraction du to  talisateur 230 d'addition et soustraction sont  en prise avec les dents 236 de l'organe moteur  <B>175</B> exactement de la même manière que dans  les opérations d'addition, et le mouvement de  retour de l'organe moteur fait tourner les  roues d'addition 230 du totalisateur d'addi  tion et soustraction dans le sens inverse au  moyen d'un engrenage inverseur représenté  sur la     fig.    3.  



  Si aucune des touches 161 n'est abaissée,  le cliquet d'arrêt à zéro 173 reste, après le  mouvement initial de l'organe moteur 175,  sur le chemin     dut    croisillon 174, s'engage sur  celui-ci et dégage le verrou 184 de l'élément  moteur 188, de manière à arrêter l'organe  moteur 175 dans la position zéro. Après que  l'organe moteur 175 a été mis à la position  zéro, le galet 201 place la barre 203, les arti  culations 207 et les segments 208 et 211 en  conséquence, comme indiqué sur la     fig.    3.  



  A la fin de chaque type d'opération, l'or  gane moteur 175 est toujours ramené à la po  sition de repos     indiquée        sur    la     fig.    3. Mais les  articulations 207 et les mécanismes impri-      meurs commandés par celles-ci restent, en fin  des opérations .de la machine, dans les posi  tions de     manoeuvre    et passent de ces posi  tions directement à leurs nouvelles positions  dans les opérations suivantes de la machine  par l'intermédiaire d'un mécanisme connu et  qu'on appelle souvent  dispositif de mouve  ment     minimum .     



  On a prévu -un mécanisme habituel de re  port pour faire entrer     une    imité dans le pro  chain ordre     supérieur    des     totalisateurs    lors  que la roue totalisatrice de l'ordre inférieur  passe par zéro, soit dans le sens positif, soit  dans le     sens        négatif.     



       illécanisme        d'embrayage   <I>et de</I>     débrayage     <I>des totalisateurs.</I>  



  Après que les différents     totalisateurs    des  diverses lignes ont été sélectionnés     pour    une  opération par     des    moyens contrôlés par les  touches des rangées 2, 3 et 4, moyens qui se  ront décrits ci-après, les     totalisateurs    sont       embrayés    ou débrayés au cours de l'addition,  au     cours    de la totalisation et au cours du re  port du total.

   Au     cours    de l'addition, les  organes moteurs sont d'abord ajustés et en  suite les totalisateurs sont embrayés, après  quoi les organes moteurs sont ramenés à leurs  positions normales; pendant ce temps, les  nombres .composé'-, à l'aide .des     touche,-,    numé  rales 160 'et -161 sont additionnés ou sous  traits du totalisateur d'addition et soustrac  tion et additionnés dans le totalisateur sélec  tionné de la rangée avant N  3 ou de la ran  gée arrière N  2.  



  Pendant les opérations de lecture, les to  talisateurs sont embrayés avec les organes  moteurs avant que ceux-ci se déplacent dans  le sens des aiguilles d'une montre, et le mon  tant qui se trouve sur les totalisateurs en est  extrait et     transmis    aux organes moteurs et  de là aux molettes d'impression, après quoi  les organes moteurs sont ramenés à leurs po  sitions     normales,    les totalisateurs pouvant  rester embrayés avec eux, de sorte que le  nombre qui en a été extrait est restitué dans  ce totalisateur.

   Lors de la remise du totalisa  teur à zéro,     celui=ci    est embrayé avec les    organes moteurs, et ces organes se déplacent  dans le sens des aiguilles d'une montre d'une  distance qui dépend du montant qui se trouve  sur le totalisateur, après quoi le totalisateur  est débrayé de l'organe moteur et ce dernier  est ensuite ramené à sa position normale en  laissant le totalisateur à. zéro.  



  Pendant le report. des     totauiz    d'un totali  sateur à un autre, par exemple du totalisa  teur d'addition et soustraction de la ligne su  périeure des totalisateurs à un totalisateur sé  lectionné de la. ligne N  2, ou ligne arrière, le  totalisateur d'addition et soustraction est  d'abord embrayé avec les organes moteurs  avant leur mouvement dans le     sens    des  aiguilles     d'tuie    montre, le montant qui se  trouve sur le totalisateur d'addition et sous  traction en est.     extrait    et transmis aux organes       moteurs,.    après quoi le totalisateur sélectionné  de la ligne N  2, ou arrière, est.

       embrayé    avec  ces organes moteurs et le totalisateur d'addi  tion et soustraction en est. débrayé, de sorte  que, lorsque les organes moteurs sont ramenés  dans le     sens    contraire à celui des     aiguilles     d'une montre à leurs positions normales, le  nombre qui a été extrait du totalisateur d'ad  dition et soustraction est reporté sur le tota  lisateur sélectionné de la ligne N  2.  



  On va maintenant décrire le mécanisme  servant à embrayer et débrayer les totalisa  teurs dans les conditions qu'on vient d'exposer.  



  Le totalisateur d'addition et soustraction  de la     ligne    supérieure et     l'autre    totalisateur  de cette ligne, ainsi que tous les totalisateurs  de la ligne arrière et tous les totalisateurs de  la ligne avant sont supportés chacun dans  un châssis mobile 210     (fier.    3) qui lui-même  est supporté entre les     châssis    principaux 121  et 122 de la section  machine .  



  Le châssis mobile 240 de la ligne supé  rieure de totalisateur qui porte le totalisateur  d'addition et soustraction comprend un arbre  241     (fig.    3 et 7) sur lequel sont montés, aux  extrémités opposées, des galets 242 qui s'en  gagent dans des fentes similaires 243 prati  quées     dans    des plaques à cames     244    fixées  aux châssis latéraux 121 et 122 .de la machine.  Ces fentes 243 sont radiales par rapport au           centre    de la tige 180 du mécanisme différen  tiel.  



  Sur les extrémités opposées de l'arbre 241  sont. également, fixés des coudes similaires 245  portant des galets 246 qui s'engagent dans  des fentes similaires 247 des     plaques    à cames       2-14,    Le coude de droite 245, représenté sur la       fig.    7, est, relié, à oscillation, à l'une des extré  mités d'une articulation .d'embrayage 248  dont l'autre extrémité porte un galet 249 qui  coopère avec un crochet. 250 d'un croisillon  251 supporté par un goujon fixe 252. Le croi  sillon d'embrayage 251 reçoit son mouvement  d'une coulisse 253 d'embrayage du totalisa  teur, coulisse dont un prolongement avant est  pourvu d'une fente .dans laquelle s'engage un  goujon 254 d'une plaque à cames 255 pivotant       sur    un goujon fixe 256.

   La plaque 255 a une  fente 257 qui est reliée par un goujon 258 à  une fente 259, sensiblement verticale, prati  quée dans l'un des bras d'une bride 260 qui  est     également    montée à oscillation sur le gou  jon 256. Le goujon 258 est fixé sur une arti  culation 261 reliée à oscillation à un coude  262 calé sur un arbre 263 supporté par les       châssis    latéraux 121 et 122.

   Un     autre    bras de  la bride 260 porte un goujon     26-1    qui s'engage  dans une fente de came pratiquée dans une  plaque     clé    commande 266 clé     totalisation     (f     ig.    32) déplacée     différentiellement    sous le  contrôle (les touches 162 et 163 de la rangée 1  (fi... 2).  



  La manière dont la plaque de commande  266 contrôle le     mouvement    clé la. bride 260 et  dont. l'arbre 263 contrôle le mouvement du       coude    262, clé façon que celui-ci assure     l'em-          hra@-agc    de la coulisse 253 avec le croisillon  <B><U>251</U></B> est connue; on ne donnera donc ici       qu'une    description générale de ce     mécanisme.     



  Un prolongement, dirigé vers l'arrière, de  la coulisse 253 pivote sur l'extrémité supé  rieure d'un levier clé came 270 dont. la     fig.    7  ne montre qu'une partie. Ce levier 270 est  actionné par une came     27J.    fixée sur l'arbre  de commande principal 150.

   La forme clé  cette came n'est pas     représentée,    car ce mé  canisme est bien connu et a une forme telle  qu'il oblige la coulisse 253 à se déplacer    d'abord à droite     (fig.    7) dans la direction de  sa longueur et à retourner ensuite à la posi  tion indiquée sur la     fig.    7 à chaque révolution  de l'arbre<B>150,</B>  Le déplacement, de l'articulation 248 pour  contrôler l'embrayage du goujon 240 avec le  crochet 250 du croisillon 251 est commandé,  dans les opérations .d'addition, par des dis  ques de commande à crans bien connus, con  trôlés, à leur tour, par les touches des ran  gées 2, 3 et 4     (fig.    2) ;

   le mouvement d'em  brayage de cette articulation est contrôlé,  dans ces opérations de totalisation, par une  fente de la plaque de commande de totalisa  tion 266     (fig.    32) d'une manière connue..  



  Lorsque la plaque de commande de totali  sation 266 se trouve dans la position d'addi  tion, une encoche 272 de la coulisse 253 est  en prise avec un goujon 273 fixé sur le croi  sillon 251, comme indiqué sur la     fig.    7; lors  que le goujon 249 est embrayé avec le crochet  250 du croisillon 251, le levier 270 déplace,  sous l'action de la came 271,     lacoulisse    253 en  arrière ou à droite en regardant la     fig.    7,  pour communiquer au croisillon 251 un mou  vement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre.

   Ce mouvement du croisillon 251 dans le  sens     clés    aiguilles d'une montre sous l'action  de l'articulation 248 déplace le coude 245 et  l'arbre 241 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre en faisant déplacer, à  l'aide .des galets 246, en coopération avec la  fente 247, l'arbre     2.11    et le châssis 240 des  totalisateurs (fi-. 3), de façon à. embrayer le  jeu sélectionné des roues du totalisateur d'ad  dition et soustraction ou à embrayer l'autre  totalisateur de cette ligne supérieure de to  talisateurs avec l'organe moteur 175.  



  Ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, l'em  brayage du jeu sélectionné des roues avec les  organes moteurs se produit dans les opéra  tions d'addition et de soustraction, après que  les organes moteurs ont été ajustés sous le  contrôle des touches numérales 160 ou<B>161</B>  abaissées, et le mouvement de retour de ces  organes moteurs 175 dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre fait tourner  lesdites roues sélectionnées proportiônnelle-      ment à la     valeur    des touches abaissées, de  façon à y faire entrer le nombre composé sur  le clavier.

   Après que les organes moteurs 175  ont accompli leur mouvement de retour dans  le     sens    contraire à celui des aiguilles d'une  montre, la came 271 ramène la coulisse 253  en avant pour ramener le croisillon 251- dans  le sens -contraire à     celui    des aiguilles d'une  montre, de manière à dégager les roues du  totalisateur embrayé des organes moteurs 175.  



  Dans les opérations de sous-totalisation,  le mouvement de la plaque de commande de  totalisation 266 de la position d'addition vers  la position de sous-totalisation, lorsqu'on  abaisse la touche 162  Brut , donne à l'arbre  263 -Lui mouvement initial dans le sens des  aiguilles d'une montre et crée une condition  qui provoque un mouvement supplémentaire  dans le sens des aiguilles d'ale montre, mou  vement qui     est    communiqué à cet arbre par  la     suite    dans l'opération de sous-totalisation.

    Le mouvement initial dans le sens des aiguil  les d'une montre de cet arbre 263 abaisse le  goujon 258 par rapport aux fentes 257 et  259; toutefois, ce mouvement du goujon 258  vers le bas est confiné à la partie droite de la  fente 259 et l'encoche 272 dans la coulisse 253  reste par conséquent en prise avec le     goujon     273 du croisillon 251, comme indiqué ici.  



  On se rappelle que, dans les opérations de  totalisation et de     sous-totalisation,'        l'arbre-          principal    150 et les cames qui y sont fixées  reçoivent deux rotations clans le sens des  aiguilles d'une montre au lieu d'une qu'ils  font dans .des opérations d'addition et de     soLis-          traction.        Pendânt    la première rotation .de la  came 271, le levier 270 déplace la coulisse 253  en arrière, de façon à embrayer les roues to  talisatrices sélectionnées avec les organes mo  teurs 175 avant leur mouvement initial dans  le sens des aiguilles d'une montre,

   étant  donné que ces organes moteurs sont retenus  dans leurs positions zéro pendant le premier  cycle de l'opération de l'impression du total  Gu     d11        sous-total.     



  Le premier cycle d'une opération de tota  lisation ou     sous-totalisation    sert à déplacer les  lignes des totalisateurs latéralement     pour    sé-         lectionner    le jeu désiré de roues totalisatrices  pour la lecture ou le     réajustage    suivant le  cas. Dans le deuxième cycle d'une opération  de totalisation ou de     sous-totalisation,    les  organes moteurs 175 font, pendant leur mou  vement initial dans le sens des aiguilles d'une  montre, tourner les roues du totalisateur sé  lectionné en arrière jusqu'à ce que les dents  allongées de ces roues amènent ces roues à  leurs positions zéro, de manière à placer les  organes moteurs 175 conformément aux nom  bres indiqués par ces roues totalisatrices.

    Lorsque les organes moteurs 175 sont ainsi  placés conformément au nombre indiqué sur  les roues du totalisateur sélectionné, le galet  201     (fig.    3) s'engage sur la barre 203 pour  ajuster le     segment    et le mécanisme imprimeur  suivant le nombre indiqué sur les roues tota  lisatrices ou, autrement dit, pour ajuster le  montant extrait des roues totalisatrices.  



  Après que la coulisse 253 a accompli, dans  les opérations de sous-totalisation, son mou  vement initial en arrière pour embrayer les  roues totalisatrices sélectionnées avec les  organes moteurs, l'arbre 263 reçoit -un mou  vement     supplémentaire    pour faire communi  quer, à l'aide du goujon 258, en coopération  avec la fente à came 257 et la fente 259, à la  plaque 255     uni    mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre afin de dégager l'en  coche 272 du goujon 273, de sorte que les  roues du totalisateur sélectionné ne soient pas  débrayées des organes moteurs 175.  



  L'encoche 272 reste ainsi, dans les opéra  tions de sous -totalisation, dégagée du     goujon     273 jusque vers la fin du deuxième cycle  d'opérations de l'arbre 150, et les roues totali  satrices sélectionnées restent par conséquent  en prise avec les organes moteurs 175 pen  dant     lieur    mouvement de retour dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'une    montre  et, en conséquence, ces roues totalisatrices  sont ramenées à. leurs positions de départ.  



  Après le retour des roues totalisatrices à  leurs positions de départ et vers la fin du       deuxième    cycle d'opération, l'arbre 263 est  ramené dans le     sens    contraire à celui des  aiguilles d'une montre pour engager l'enco-           ehe    272 avec le goujon 273, de sorte que le  mouvement de retour en avant. de la coulisse  <B>253,</B> vers la fin du second cycle d'opération,  imposera un mouvement de retour dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre au croisillon d'embrayage 251, de manière  à débrayer les roues du totalisateur sélec  tionné des organes moteurs 175.  



  [)ans les opérations de totalisation ou clé  remise à zéro, le mouvement de la plaque de  commande de totalisation 266 de la position       d'addition    vers la position de totalisation ou  remise à zéro communique à l'arbre 263 un  mouvement initial clans le sens des aiguilles       cl'cirre        lrriontre,    exactement comme dans les  opérations de     sous-totalisation;

      de plus, la  plaque clé commande de totalisation 266 dé  place, en combinaison avec le goujon 264, la       bride    260 et la plaque 255 dans le sens des       ai,guilles    d'une montre, ce qui déplace, par le  goujon 254, la coulisse 253 dans le sens     con-          1raire    à celui clés aiguilles d'une montre, de  manière à dégager son encoche 272 du gou  jon 273.

   Vers la fin du premier cycle de l'opé  ration clé totalisation et après que la coulisse  253 a été repoussée en arrière par la came       '_'71,    un mouvement supplémentaires dans le sens  (les aiguilles d'une montre de l'arbre 263 dé  place à l'aide du goujon 258, en coopération  avec les fentes 257 et 259, la plaque 255  d'une distance supplémentaire dans le sens   < les aiguilles d'une montre, de manière à. met  tre une encoche 274 de la coulisse en prise  avec un goujon 275 du croisillon 251.  



  *Immédiatement après l'engagement du  goujon 275 dans l'encoche     274,-1e    mouvement  clé retour du levier 270 déplace la coulisse  253 en avant, de manière à communiquer un  mouvement dans le sens des     aiguilles    d'une  montre au croisillon d'embrayage 251, ce qui  provoque l'embrayage des roues du totalisa  teur sélectionné avec les organes moteurs 175  à la fin du premier cycle de mouvement de  l'arbre 150. Dans le second cycle, les organes       moteurs    175 font tourner ces roues vers le  zéro exactement clé la même faon que dans  les opérations de sous-totalisation ou de lec  ture.

   Pendant que les roues totalisatrices sé-         lectionnées    se trouvent en position zéro et  avant le mouvement de     retour    des organes  moteurs 175 clans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre     (fig.    3), le     mouvement     initial de la came 271, dans le second cycle  d'opération de l'arbre 150, repousse la cou  lisse 253 en arrière en     communiquant        aii    croi  sillon 251     sui    mouvement de débrayage dans  le sens contraire à celui (les     aiguilles    d'une  montre, de manière à débrayer les roues du  totalisateur sélectionné des organes moteurs,  en laissant ainsi ces roues à zéro.

   Après le  retour du croisillon 251 dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre à la posi  tion normale et avant le mouvement de retour  en avant de la coulisse 253, l'arbre 263 est  partiellement ramené dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre, de ma  nière à ramener la plaque à came 255, afin  de dégager l'encoche 274 du goujon 275. Pen  dant que la coulisse 253 est ainsi débrayée du  croisillon 251, la came 271 ramène cette cou  lisse en avant vers la position normale, après  quoi le mouvement de retour de la bride 260  et de la plaque 255 dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre engage l'en  coche 272 sur le goujon 273, comme indiqué  sur la     fig.    7.  



  Une languette 276     (fig.    7), actionnée par  une rente 277 de la plaque à cames 255, s'en  gage avec des encoches 278 et 279 du croisil  lon 251 pour les opérations de totalisation et  de sous-totalisation, afin d'empêcher le mou  vement de ce -croisillon lorsque la coulisse 253  est dégagée des goujons 273 et 275.  



  Des     aligneurs    280 et 281 sont reliés par  une articulation fente-ergot 282 pour aligner  le croisillon 251 et la coulisse à certains mo  ments d'opération de la machine. Une arti  culation 283 pivotant sur     l'aligneur    280 est.  actionnée par une came (non représentée)  montée sur l'arbre de commande principal  150     pour    faire coopérer     l'aligneur    280 avec le  goujon 273 du croisillon<B>25.1</B> et     l'aligneur    281  avec un goujon 284 fixé sur l'extrémité de la  coulisse 253, afin .d'assurer l'engagement con  venable de la coulisse 253 sur le goujon 273  ou, suivant le cas, sur le goujon 275.

        La ligne N  2, ou ligne arrière, des totali  sateurs     (fig.    3), comprend un jeu complet  de totalisateurs, c'est-à-dire -dix totalisateurs,  dont     un    en position zéro et lin dans chacune  des neuf autres positions. Le totalisateur   G. T. 4  en position zéro et le totalisateur   Total paye nette  en position N  9 peuvent  être automatiquement sélectionnés, comme dit  précédemment, pendant certains types .d'opé  rations pour le report sur ces totalisateurs  des nombres extraits d'autres totalisateurs.  



  En d'autres termes, si on actionne la  touche 162  Gains à ce jour      (fig.    2), les  nombres qui se trouvent dans le     totalisateur      G. T. 3  en position zéro dans la rangée 3  sont reportés dans le totalisateur  G. T. 4  en  position zéro dans la ligne arrière. Si on  actionne la touche 162  Paye nette , le tota  lisateur d'addition et soustraction .de la ligne  N  1 ou ligne supérieure des totalisateurs, est,       comme    mentionné également ci-dessus, remis  à zéro, et le nombre qui en est extrait est  automatiquement reporté sur le totalisateur   Total paye nette  de la ligne arrière des to  talisateurs.  



       Illécanisme   <I>de report des</I>     totaux.     



  Si l'on désire reporter des nombres du to  talisateur d'addition et soustraction, ou tota  lisateur de balance, de la, rangée supérieure,  dans le totalisateur de paye nette totale de  la rangée arrière et aussi du     totalisateur           (-'T.    T. 3  de la ligne avant dans le totalisa  teur  G. T. 4  de la ligne arrière, il faut pré  voir un moyen différent du     mécanisme    habi  tuel d'embrayage des lignes des totalisateurs  pour contrôler le mouvement d'embrayage et  de débrayage de la ligne N  2, ou ligne arrière,  des totalisateurs.  



  Un tel mécanisme est représenté en parti  culier sur les     fig.    6 à 9 incluse.  



  La ligne N  2, ou ligne arrière, des totalisa  teurs est montée sur le châssis mobile 240       (fig.   <B>3),</B> analogue sous tous les rapports au  châssis 240 de la ligne supérieure des totali  sateurs. Ce     châssis    particulier pour les tota  lisateurs arrière comprend un arbre 300       (fig.    6 à 8) sur les deux extrémités duquel  sont montés des galets 301 (un seul est repré-         senté)    qui     coopèrent    avec des fentes de gui  dage 302 pratiquées dans des plaques 303 à  cames d'embrayage des totalisateurs, plaques  qui sont montées à l'intérieur des châssis la  téraux 121 et 122.

   Sur chaque extrémité de  l'arbre 300, il y a des bras d'embrayage 304  portant des galets 305 qui coopèrent avec des  fentes 306 pratiquées dans les plaques à  cames 303.  



  Le bras coudé 304 sur l'extrémité de droite  de l'arbre 300 est, comme le montre la     fig.    7,  relié par un moyeu 307 à un bras 308 pourvu  d'une fente 309     (fig.    8) dans laquelle passe  un goujon 310 porté par une plaque de déca  lage 311     (fig.    9), en forme de fourche entou  rant un moyeu 312 fixé sur l'arbre 300. Ce  goujon 310 porté par la plaque 311 passe au  travers de la plaque et porte un galet 313  qui est normalement maintenu en prise avec  une encoche 314 d'une plaque 315 sous l'action       d'un    ressort 316 tendu entre un goujon de la  plaque 311 et un goujon sur le bras 308.  Cette plaque 315 est montée sur le moyeu 307  et pivote par conséquent autour de l'arbre  300.

   Sur la plaque 315 pivote une articula  tion 317 qui porte un goujon aplati 318 pou  vant coopérer avec un crochet 319 du croi  sillon d'embrayage 251.  



  L'articulation<B>31.7</B> pour la ligne N  2, ou  ligne arrière, des totalisateurs, est. commandée  exactement de la même manière que     l'articu-          lation    pour la ligne N  1, ou ligne supérieure,  dans les opérations d'addition et de soustrac  tion, au moyen de disques sélecteurs qui, eux,  sont à leur tour contrôlés par les touches des  rangées 1, 2 et 3 et, dans les opérations de  totalisation et de     sous-totalisation,    par la pla  que 266 de commande de totalisation, de ma  nière à commander l'engagement du goujon  318 avec le crochet 319 du croisillon d'em  brayage 251.  



  Dans des conditions normales, le galet 313  reste engagé dans l'encoche 314 de la plaque  315 en reliant ainsi cette plaque au bras 308  qui est, à son tour, relié avec le bras 304 et  l'arbre 300; dans ces conditions, la ligne N  2,  ou ligne arrière, des totalisateurs, reçoit ses       mouvements    d'embrayage et de débrayage      sous le contrôle du croisillon d'embrayage 251  exactement de la même manière que décrit  ci-dessus pour la ligne N  1, ou ligne supé  rieure, des totalisateurs.

   Mais si on désire       vider    le totalisateur d'addition et soustraction  et reporter le nombre qui s'y trouvait et qui  représente la paye nette, obtenu par l'abais  sement de la touche 162  Paye nette , dans  le totalisateur  Total paye nette  de la ligne  N  2, ou ligne arrière, il faut alors disposer  d'un moyen pour déplacer le moyen de com  mande du mouvement d'embrayage et dé  brayage de la ligne N  2, ou ligne arrière, des       totalisateurs,    de façon à provoquer l'em  brayage et le débrayage de la ligne N  2 des  organes moteurs pendant l'addition, ce qui,  comme on se souviendra, est nécessaire pour  obtenir le report du nombre sur le totalisa  teur sélectionné de cette ligne.  



  On va maintenant décrire le moyen né  cessaire à ce déplacement. Le goujon 310,  porté par la plaque 311, passe dans un bras  fendu 320     (fig.    7 et 8) monté sur un arbre  321 qui est supporté par le châssis latéral  droit 122 et le châssis auxiliaire 124. Sur  l'arbre 321 est fixé un bras 322 sur lequel pi  vote une articulation 323 pivotant également  sur un coude 324 monté sur une tige 325 sup  portée par le châssis latéral 122 et le châssis  auxiliaire 124. Le coude 324 est pourvu d'un       doigt    326 à angle droit coopérant avec un  segment 327 oscillant sur l'arbre 212.

   Ce seg  ment 327 est fixée à un segment<B>328</B> qui  engrène avec un autre segment 329 fixé  sur un manchon 330 qui est. monté sur  un arbre 331 supporté par le châssis la  téral. .droit 122 et le châssis auxiliaire 124.  Sur le manchon 330 est également monté un  segment 332     (fig.    32) qui engrène avec un  segment 334 pivotant sur l'arbre 272. Le  segment 334 est fixé à un bras 335 sur le  quel pivote une articulation 336 reliée égale  ment à la plaque 266 de commande de totali  sation.

   On se rappelle que la plaque 266 de  commande de totalisation se déplace de façon  différentielle sous le contrôle des touches 162  et 163 de la rangée 1     (fig.    2) et le mouve  ment différentiel de la plaque 266 de com-    mande de totalisation place par conséquent,  par l'intermédiaire du train des mécanismes  qu'on vient de décrire, de manière différen  tielle, le segment 327     (fig.    7) suivant la posi  tion de la touche 162 ou 163 abaissée.     Comme     on le voit sur la     fig.    7, le doigt 326 du coude  324 coopère avec la périphérie proprement  dite du bras segmentaire 327 dans la position  zéro.

   Au voisinage de cette position, le bras  327 est pourvu d'une encoche 337 qui corres  pond aux positions de la touche<B>162</B> 2  Paye  nette  et de la touche 162  Gains     à,ce    jour .  Par conséquent, lorsqu'une de ces touches est  abaissée, l'encoche<B>337</B> se présente au doigt  326 en permettant ainsi le déplacement du  coude 324 dans le sens des aiguilles d'une  montre, après quoi le doigt 326 se place dans  l'encoche 337.

   Le moyen servant à déplacer le  coude dans le sens des aiguilles     d'une    montre  comprend un bras 338 fixé sur l'arbre 321,  et ce bras se déplace dans le sens des aiguilles       d'une    montre sous l'action d'un ressort 339  au moment     nécessaire    de l'opération de la  machine, de manière à entraîner le doigt 326  dans l'encoche 337. Lorsque cela se produit,  l'arbre 321 est entraîné dans le sens des  aiguilles d'une montre en déplaçant ainsi le  bras 320 dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et en faisant descendre le goujon 310 dans  la fente 309 du bras 308.

   Ce mouvement vers  le bas du goujon 310 entraîne un galet porté  par ce goujon dans un bloc en forme     d'U     341     (fig.    6) fixé à un     bras    342 qui pivote  sur l'arbre 300. Sur le bras 342 oscille une  articulation 343 qui pivote également sur un  levier 344     (fig.    7) monté sur un goujon 345  porté par le châssis auxiliaire 124.

   Ce levier  344 porte des galets 346 et 347 qui coopèrent  respectivement avec des cames associées 348  et. 349 montées sur un arbre 350 qui est en  alignement axial avec l'arbre à, cames princi  pal 150, et l'arbre 350 est entraîné par l'ar  bre principal 150, par l'intermédiaire d'un  mécanisme d'accouplement qui sera décrit     ci-          après,    de sorte que ce dernier arbre 350 ne  sera pas actionné pendant le premier cycle  de l'opération, à deux cycles, de totalisation  ou de report.

   Mais, dans le second cycle de      cette opération, .les cames 248 et 849 dépla  cent, à l'aide du levier 344 et de l'articulation  343, le bras 342 dans le sens contraire à celui  des     aiguilles    d'une montre et, comme le galet  340 est en prise avec le bloc en forme     d'U     341, ,ce galet 340 et le goujon 310 seront en  traînés autour de l'arbre 300 dans le sens  contraire à celui des aiguilles .d'une montre  avec le bras 342.     Etant    donné que le goujon  310 passe par la fente 309 du bras 308, ce  bras 308 est     déplacé    dans le sens     inverse    clé  celui des aiguilles d'une montre et le coude  304 est déplacé dans le même sens, après quoi  la.

   fente 306     (fig.    8) provoque l'engagement  clé la ligne des totalisateurs et des     organes     moteurs 175, de façon à obtenir le report du  montant, qui a été relevé de la ligne supé  rieure     N     1 (les totalisateurs, sur le totalisa  teur sélectionné de la ligne arrière     N     2 des  totalisateurs.  



  Afin de dégager le doigt 326 de la péri  phérie du bras segmentaire 327 pour que ce  lui-ci puisse être librement déplacé par la pla  que 266 de commande, une came 351, fixée  sur -an arbre 352 porté par le châssis latéral  122 et le châssis auxiliaire 124, entre en con  tact avec un     galet    353 fixé sur le bras 338  et déplace le bras légèrement dans le sens  contraire à_ celui des aiguilles d'une montra  contre la tension du ressort 339, de manière  à écarter le doigt 326 de la périphérie du  bras segmentaire 327 et à permettre le mou  vement -différentiel de celui-ci sous le contrôle  des touches 162 et 163 de la rangée 1. Cet  arbre 352 est entraîné, à. chaque opération de  l'arbre à cames principal 150, au moyen d'une  roue dentée 354     (fig.    30) calée sur l'arbre  principal 150.

   La roue 354 engrène avec     ime     roue dentée 355 .calée sur l'arbre 352. Par  conséquent, l'arbre 352 subit deux rotations       dans    le sens contraire à     celui    des aiguilles  d'une montre pendant chaque opération de  lecture, opération de totalisation et opération  de report du total de l'arbre 150. La came 351  est calculée de. telle façon que, pendant la pre  mière opération de l'arbre 352, le bras 338  est déplacé légèrement. dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre et peut en-    suite se déplacer dans le sens des aiguilles  d'une montre, lorsque la partie supérieure de  la came     passe    devant le galet 353, pour être  finalement ramené par la. came à sa position  normale.

   Mais, dans le second     ey    clé, lorsque  ].-partie haute de la came a dépassé le galet,  le ressort 339 agit à     nouveau    sur le bras 338  et l'arbre 321 de la manière décrite plus haut.  pour placer le goujon 310 et son galet     3-10    en  position d'accouplement, à la suite de quoi la  ligne arrière N  2 des totalisateurs est em  brayée avec les organes moteurs 175 par les  cames 348 et 349 qui sont. fixées sur l'arbre  350 et qui fonctionnent seulement pendant. le       deuxième    cycle d'une opération de totalisa  tion ou de report clés totaux.  



  On va maintenant. décrire le moyen d'en  trainement clé l'arbre 350     (fig.    7 et 30) par  l'arbre principal 150, de manière que l'arbre  350 soit inopérant pendant. le premier cycle de  toutes les opérations à deux cycles ou, autre  ment dit, de toutes les opérations clé lecture,  clé totalisation et de report des totaux. Sur la       roue    dentée 354 précédemment. décrite, qui  est. calée sur l'arbre de commande principal  <B>1.50,</B> est rigidement fixée une plaque 360       (fig.    30) qui subit deux rotations complètes       pendant    chaque opération de totalisation. Sur  cette plaque 360 est fixé, entre elle-même et le  moyeu de la roue 354, un .collier 361.

   L'arbre  350 est supporté près de son extrémité droite  dans .le châssis auxiliaire 124 et,     puisque     l'arbre 350 est en alignement axial avec l'ar  bre 150, l'autre- extrémité de l'arbre 350  s'étend à travers la plaque 360 à, peu près jus  qu'au milieu du collier 361. L'arbre 150  s'étend également à peu près jusqu'au milieu  du collier 361. La plaque 360 porte un cli  quet d'entraînement 363 qui coopère avec un  collier 364 à épaulement fixé sur l'arbre 350.  La plaque 360 porte un autre     cliquet    365 qui  coopère avec. un autre épaulement du collier  364 pour     empêcher    tout mouvement en arrière  du collier 364 et, par conséquent, de l'arbre  350.

   Un ressort maintient les     cliquets    363 et  365 normalement en contact avec les épaule  ments opposés     du    collier 364. Lorsque la roue  dentée 354 est     entraînée    dans le sens des      aiguilles d'une montre en regardant la     fig.    30,  la plaque 360 est entraînée     dans    le même       sens,    à la suite de quoi le     cliquet    363  entraîne le collier 364 et., par conséquent,  l'arbre 350 dans le sens des aiguilles d'une  montre simultanément et dans le même sens  avec le mouvement de l'arbre 150.

   Près de  l'extrémité de l'arbre 350 est fixée une roue  dentée 366 qui engrène avec une roue inter  médiaire 367 montée sur un axe 368 porté par  le châssis latéral 124. La roue 367     entraîne     une roue 369 fixée à un arbre de commande  principal 370 pour l'imprimeur.  



  On conçoit, d'après la description ci-des  sus que, lorsque l'arbre 150 de la machine  est entraîné, dans les opérations d'addition,       cl'un    tour dans le sens des aiguilles d'une  montre, l'arbre auxiliaire 350 aligné avec lui  subira un mouvement analogue par l'intermé  diaire de la plaque 360, du cliquet 363, du  collier 364 et de l'engrenage ci-dessus décrit  et que l'arbre de commande 370 .de l'impri  meur subira un mouvement complet dans le  sens des aiguilles d'une montre dans chaque  opération d'addition.  



  Pendant le premier cycle d'une opération  clé totalisation, d'une sous-totalisation ou d'un  report du total, l'arbre 370 doit être déplacé  d'une très courte distance, de 40 .degrés en  viron, mais l'arbre 150 fait pendant ces opé  rations deux tours de la façon connue. Afin  d'arrêter l'arbre 370 après ce petit déplace  ment, un bras 371 se place sur le chemin par  couru par un doigt 372 du     cliquet    363 et dé  gage ce cliquet du collier 364, de sorte que  l'arbre 350 reste ainsi inopérant pendant le  reste du premier tour de toutes les opérations  de totalisation, de     sous-totalisation    et de re  port du total.  



  Le mouvement du bras 371 qu'on vient de  décrire est provoqué par le premier faible  déplacement de l'arbre 263     (fig.    5) sous le  contrôle de la plaque 266 de commande de  totalisation. Mais, pendant le second cycle de  toute opération de totalisation, ou opération  à deux cycles, le cliquet 363 peut à nouveau  entrer en contact avec l'épaulement 364 et  entraîner l'arbre 350, et l'arbre 370 fait, par    conséquent, un tour pendant le second cycle  de toute opération de totalisation.  



  On a. prévu un moyen pour assurer l'arrêt  de l'arbre 370 et, par conséquent, des arbres  350 et 150     exactement    dans leurs positions de  repos. Ce mécanisme est. commandé par l'ar  bre 149 de blocage des touches     décrit    précé  demment. On se rappelle que cet arbre, lors  qu'il est libéré, subit un mouvement dans le  sens des     aiguilles    d'une montre et est ramené  dans le sens inverse à sa position normale  vers la fin de chaque opération de la machine.  Sur cet arbre 149 est fixé un bras 373 relié  par une articulation 374 à un coude 375 qui  est ù son tour relié par une articulation 376 à un  bras 377. Le bras 377 .a un bras     solidaires    378 qui  coopère avec un galet 379 fixé sur la roue 369.  



  Sur la     fig.    30, les pièces sont dans leurs  positions normales, avec le bras 378 immé  diatement au-dessous du galet 379 de la roue  369. Lorsque la machine est déclenchée, l'ar  bre 149 et le bras 373     subissent    leur mouve  ment dans le sens des aiguilles d'une montre,  et le bras 378 est retiré, par les articulations  qu'on vient de décrire, d'au-dessous du galet  379, de manière à permettre l'entraînement  de la roue 369 et de l'arbre 370 dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   Mais, avant que  cet arbre 370 accomplisse son cycle, l'arbre  149 de blocage des touches est ramené dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre à sa position normale en inversant ainsi le  sens de mouvement, de l'articulation décrite,  par suite de quoi le bras 378 sera à nouveau  placé dans la position indiquée sur la     fig.    30,  de telle façon que lorsque l'arbre 370 atteint  sa position normale, ou .de repos, le galet 379  est. en contact avec le haut du bras et em  pêche tout mouvement ultérieur de l'arbre  370. Par l'engrenage entre les arbres 370 et  350, l'arbre 350     est    également arrêté ainsi  que l'arbre à ,cames principal 150.  



  <I>Touches d'opérations,</I>     touches        numérales,     <I>leurs</I>     différentiels   <I>et mécanisme</I> d'entraîne  ment<I>de</I>     d'imprimeur   <I>et de</I>     l'indicateur.     Ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus, la  machine représentée a trois rangées de tou-           elles        d'opérations    164, 165 et 166. Ces rangées  de touches sont numérotées et désignées sur  la     fig.    2 épar 2, 3 et 4.  



  Toutes les fonctions des touches 164, 165  et 166 ayant été exposées précédemment, il  reste à décrire le montage général de ces  touches, les mécanismes différentiels qui leur  sont associés et l'entraînement de l'imprimeur  et .de l'indicateur par ces mécanismes diffé  rentiels.  



       Etant    donné que tous les mécanismes dif  férentiels associés à ces trois rangées de tou  ches sont sensiblement identiques, on n'en a  représenté     qu'in    seul et sa description suffira  pour tous.  



  Le mécanisme différentiel représenté sur  la     fig.    5 est celui qui est     associé    à la rangée 2,  c'est-à-dire aux touches 164. On voit sur la       fig.    5 une partie     des    touches 164 de la rangée  2 et une partie des touches<B>165</B> de la rangée  3. Les touches de toutes les trois rangées,  c'est-à-dire les touches 164, 165 et 166, sont  supportées par des châssis individuels 390 de  touches montés sur les tiges 171 et 172 qui  sont supportées par les châssis latéraux 1.21 et  122.

   En se référant en particulier à la vue  schématique     des    tiges des touches représentées  sur la     fig.    12, on voit que toutes les touches  162 .de la rangée de totalisation sont pourvues  de tiges 392, chacune des touches 163 d'une  tige 393, tandis que les touches 164 ont des  tiges 394, les touches 165 des tiges 395 et les  touches 166 des tiges 396.  



  On     @a    représenté diverses barres et leviers  de commande associés à ces     quatres    rangées  de touches et toute tige d'une touche parti  culière qui coopère avec une des barres par  ticulières de la même rangée ou de la rangée       voisine    est marquée par     im        X,        c'est-à-dire    par  des lignes     croisées    qui sont. tracées à travers  les tiges directement en face de la barre de  commande ou du levier de commande avec       lesquels    elles coopèrent.

   Certains de ces le  viers sont employés en liaison     avec'        un    méca  nisme automatique qui sera décrit ci-après.  En se reportant maintenant à la rangée 2,  c'est-à-dire aux touches 164     (fig.    12), on voit  que -des tiges 394 des touches 164 coopèrent    avec la détente ou barre habituelle de blo  cage 400, avec la barre habituelle de com  mande 401 et avec la barre 402 de déblocage  de dépassement. Les tiges 395 des touches 165  de la rangée 3 coopèrent, avec la détente de  blocage ou barre habituelle 403 ainsi qu'avec  la barre de commande régulière     40.1.    Les tiges  396 des touches 166 coopèrent. également. avec  la détente de blocage ou barre habituelle -105  ainsi qu'avec la barre de commande habituelle  406.

   Les mouvements     communiqués    aux barres  par les touches et pour     bloquer    les touches  sont bien connus, et on ne donnera donc pas  la description de ces barres de blocage et de  commande.  



  Comme on le voit sur la     fig.    5, il n'y a pas  de     cliquets    d'arrêt à zéro associés aux touches  164 .de la rangée 2, mais la touche 164   N  comptes  est pourvue d'une patte spéciale  407 pour arrêter le différentiel de cette  rangée en position zéro lorsqu'on abaisse cette  touche d'une manière qui sera décrite par  la suite.  



  Ainsi qu'il a été expliqué     ci-dessus,    les  touches 162 à 166     commandent    par leurs mé  canismes différentiels les différentes sections  de l'imprimeur par ce qu'on appelle une ligne  de commande et qu'on va décrire plus loin,  de manière à contrôler les marteaux pour  l'impression sur le bordereau de paye 151, le  cheque 152 et la carte de salaires 153. Elles  contrôlent également l'avancement du borde  reau de paye, de la carte de salaires et du  chèque ainsi que le recul du     chèque    et égale  ment l'éjection du     chèque.    Cette ligne de com  mande est construite d'après un système  connu et sera expliquée en détail dans la suite  à propos du mécanisme imprimeur.

   Toutefois,  on décrira dans ce chapitre l'entraînement  depuis les divers différentiels     jusqu'à    la ligne  de commande, la ligne des caractères ainsi  que les indicateurs.  



  En se rapportant tout particulièrement à  la,     fig.    5, on voit que l'arbre de commande 150  porte une paire de cames 410 servant  actionner un levier 411 relié par une articu  lation 412 au segment habituel de commande  413. Le segment de commande 413 et d'autres      parties du mécanisme différentiel sont sup  portés par la tige 180.

   Le segment 413 dé  place, par le     verrou    habituel 415 porté par       un    bras 416     différentiellement    réglable fixé  sur la tige 180, le bras 416 dans le sens des  aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'extré  mité antérieure du verrou 415 entre en con  tact avec l'une quelconque touche 164 qui a  été abaissée; à ce moment, le verrou est séparé  du segment de commande 413 et permet au  bras 416 de rester dans la position à laquelle  il a été amené sous le contrôle de la touche  abaissée 164.  



  Il faut. dire à ce sujet qu'il y a. d'autres  conditions de fonctionnement qui seront expo  sées ci-après et qui sont connues, comme le  contrôle automatique du différentiel à partir  des touches d'autres rangées, qui provoquent  cette rupture ou séparation différentielle du  verrou 415 du segment. de commande, de  fa ion que le bras différentiel 416 soit. arrêté  dans une position qui ne dépend pas de la       touche    164, mais du mécanisme automatique  commandé soit par une touche de la même  rangée, soit, par des touches d'autres rangées,  de sorte que le différentiel est arrêté dans  d'autres positions.  



  Le bras différentiel 416 porte la barre habi  tuelle 417 de mouvement minimum reliée à une       articulation    418 qui est reliée par son extrémité  supérieure à     -Lui    segment d'alignement 419 pi  votant sur l'arbre 210. L'extrémité inférieure  (le l'articulation 418 pivote sur un bras 421  fixé sur l'arbre 212. Ce bras 421 est relié,  par une articulation 422,à un segment 423  qui pivote sur l'arbre 217.

   Le segment 423 en  Orène avec les dents extérieures d'une roue  -124 ,a engrenages     iiatérieur    et extérieur dont  les dents intérieures entraînent un pignon 425  monté sur un arbre carré 426, de manière à  placer le caractère 427 aux différentes co  lonnes pour l'impression, sois le contrôle des  touches 164, des données sur le     bordereau    de  paye 151, sur le chèque 152 et sur .la carte de  salaires 153.  



  La roue 424 entraîne également la roue  428 et un arbre carré 429 du mécanisme habi  tuel de transmission à engrenage intérieur    pour amener les indications dans l'ouverture  225     (fig.    2).  



  Sur l'arbre     21.2        (fig.    5) est fixé également  un segment denté 430 qui engrène avec un  pignon 431 fixé à une roue 432 et qui oscil  lent tous deux sur un goujon 433 porté par  la base 123. La roue 432 engrène avec une  roue 434 du type à engrenages     extérieur-inté-          rieur,    de manière à entraîner un     pignon        -135     monté sur un arbre carré 436     (fig.    5 et 105)  pour le contrôle. des diverses opérations de  l'imprimeur par les touches 164 de la rangée  2, comme indiqué ci-dessus.  



  Le mécanisme différentiel associé aux tou  ches 165 de la rangée 3 est essentiellement  identique à celui qu'on vient de décrire à  propos de la rangée 2; ce mécanisme ajuste,  par son mécanisme à barre (non représentée),  une articulation 438     (fig.    30) qui pivote sur  un bras 439 oscillant sur     l'arbre    212. Le bras  439 est relié par une articulation 440 à. un  segment 441 engrenant avec les dents exté  rieures d'une roue 442 à engrenages intérieur  et extérieur qui, à son tour, entraîne un pi  gnon 443 monté sur un arbre carré 444 pour  placer le caractère 445 sous le contrôle des  touches 165 de la. rangée 3.

   Le segment 441  est calé sur l'arbre 217, et sur cet .arbre est  également fixé un     segment    denté 446 engre  nant avec un pignon 447 fixé à une roue 448  qui engrène avec une roue 449 à engrenages  intérieur et extérieur qui entraîne un pignon  450 monté sur un arbre carré 451, de sorte  due les positions différentielles de la roue 449  sous le contrôle des touches 165 de la rangée  peuvent être ajustées aux différentes co  lonnes pour imprimer les données sur le bor  dereau de paye 151, sur le chèque 152 et sur  la carte de salaires 153.  



  La roue 442 entraîne une roue 452 qui,  elle-même, entraîne un arbre carré 453 de ma  nière à ajuster les indicateurs pour la rangée  3, afin d'amener les indications dans l'ouver  ture 225     (fig.    2).  



  Les touches 166 de la rangée 4     (fig.    2)  contrôlent également un mécanisme différen  tiel qui     est        approximativement    similaire à ce=  lui représenté et décrit sur la     fig.    5 pour les      touches 164. Ce différentiel ajuste une arti  culation 460     (fig.    31) qui pivote sur un  bras 461 oscillant     sLir    l'arbre 212. Une arti  culation 462 relie le bras 461 à un segment  463 oscillant sur l'arbre 217.

   Ce segment 163  engrène avec les dents extérieures d'une roue  464 à engrenages intérieur et     extérieur-    qui       entraîne    un pignon 465 monté sur un arbre  carré 466 pour ajuster des roues     porte-carac-          tères,    de manière à contrôler l'impression des  données dans les colonnes sélectionnées du  bordereau .de paye 151, du chèque 152 et de la  carte de salaires 153.  



  La roue 464 entraîne une roue 458 et un  arbre carré 459, de manière à ajuster les indi  cateurs pour la rangée 4, afin de faire appa  raître les indications dans l'ouverture ?25  (fis. 2).  



       ALi    bras 461 est fixé de façon rigide un  segment 468 qui- engrène avec un segment  469 fixé sur l'arbre 331 décrit précédemment.  Sur ce bras est également monté     un        segment     470 engrenant avec les dents extérieures d'une  roue 471 à engrenages     intérieLir    et extérieur  dont les dents intérieures entraînent un pi  gnon 472 monté sur un arbre carré 473 qui  sert à contrôler les diverses fonctions du mé  canisme imprimeur qui sera décrit plus loin.  



  Le mécanisme différentiel exerce égale  ment sous l'action des touches 162 et 163 un  contrôle de la ligne de commande à l'aide du  mécanisme suivant. On se rappelle que la pla  que de commande 266     actionne    une articu  lation 336 pivotant sur un bras 335 qui est  monté librement sur l'arbre 212 (fis. 32).  Solidaire de ce     bras    335, un bras 474 est re  lié par une articulation 475 à un segment 476  qui engrène avec les dents extérieures d'une       rouie    477 à engrenages intérieur et extérieur;  cette roue 477 entraîne un pignon 478 monté  sur un arbre carré 479 pour ajuster le carac  tère 480 de manière à faire des empreintes  sur les divers supports d'impression utilisés  dans cette machine.

   On se rappellera égale  ment que le segment 334 est fixé sur le bras  335 et que ce segment engrène avec un seg  ment 332 fixé sur un manchon 330 qui est  monté sur l'arbre 331. Sur ce manchon 330    est également fixé Lui segment 481 qui en  grène avec les dents extérieures d'une roue  482 à engrenages intérieur et extérieur qui  entraîne un pignon 483 monté sur Lui arbre  carré 484, de manière à exercer un contrôle de  certains     éléments    de commande d'impression  d'une façon qui sera décrite en détail par la  suite.  



  La roue 477     entraîne    une roue     .185    et un  arbre carré 486 pour ajuster les indicateurs,  de manière à faire apparaître les     indications     dans l'ouverture 225 de la     fig.    2.  



       Commande        automatique        dit        différentiel   <I>de la</I>  <I>rangée 2 par la touche</I>      Gainas        antérieurs    <I>de</I>  <I>la</I>     rangée   <I>2,</I>     commande        dit        différentiel   <I>de la</I>       ansée   <I>4 par la</I> touche     162         Paye   <I>nette ,</I>  <I>commande</I>     automatique        dit        différentiel   <I>de la,

  </I>       rangée   <I>2 par</I>     n'importe   <I>quelle touche 165 de</I>  <I>la</I>     rangée   <I>3 et par les touches</I>      K ,   <I> L ,</I>      ilT      <I>et  N  166 de la</I>     rangée   <I>4.</I>  



  Le verrou 415 associé aux touches 164 de  la rangée 2 (fis. 5) porte un ergot 490 qui  passe dans une fente d'un bras 491 pivotant  sur la tige 180. Le bras 491 est solidaire  d'une plaque 492 qui porte une butée 493.  Sur la tige 180 oscille également un levier  494 associé aux touches 164 de la rangée 2  (fis. 4, 12 et 14), ce levier étant pourvu d'un  doigt 495 qui     peut    coopérer avec la tige 394  de la touche 164  Gains antérieurs . Sur le  levier 494 oseille une articulation 496 qui pi  vote également sur un bras 497 monté libre  ment sur un arbre 498 supporté par les  châssis latéraux 121 et 122. Le bras 497 porte  une bride 499 reliée à un bras 500 qui pivote  également sur l'arbre 498.

   Le levier     49.1    est  tenu dans sa position normale indiquée sur la  fis. 14 par     Lin    ergot. 501 d'un bras 502 qui  oseille sur une tige 503 supportée par les  châssis 121 et 122. Cet ergot 501 est en con  tact avec un bras 504 .dirigé vers le haut du  levier 494 et maintient normalement le levier  494 dans la position indiquée sur la fis. 14.  Une barre 505 est. fixée à la base du bras 502  et de même à un bras 506 (fis. 5) sur lequel  pivote une articulation 507 reliée à un bras  508 qui est fixé sur l'arbre 149 de blocage      des touches.

   Lorsque cet arbre, par     suite    du  déclenchement de la machine, reçoit son mou  vement dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, les bras 506 et 502 se déplacent dans le       s        -cils   <B>,</B>     contraire    à     celui        des        aiguilles        d'une        mon-          tre,    de manière à retirer l'ergot 501 d'en face  du bras 504 et à permettre à un ressort 509  de déplacer le levier 494 dans le sens des  aiguilles d'une montre jusqu'à ce que son  doigt 495 touche la tige 394 de la touche 164        Gains    antérieurs .

   Ce léger mouvement du       levier    494 se communique à     -l'articulation    496,  au bras 497, à la bride 499 et au bras 500 si  tué directement sur le chemin de la butée 493  (le la plaque 492, de sorte que cette plaque  4.92 s'arrête lorsque la butée 493 touche le  bras 500 quand     %le    bras différentiel 416 se dé  place vers le haut, en dégageant ainsi le       verrou    415 du segment de .commande 413 et  en ajustant la barre 417 et l'articulation 418  conformément à la position de la butée 493   < lui est la position normale, ou position 1 dans  la rangée 2 qui correspond à la position        N     du compte  qui sélectionne le totalisa  teur  G. T. 2  de la rangée 2 pour l'accumu  lation des gains antérieurs.

   Ces gains anté  rieurs s'accumulent en même temps dans le  totalisateur  G. T. 3  qui est clans la position  zéro de la rangée 3, par le fait. que le cliquet  d'arrêt. à zéro de la rangée 3 est retiré et le  différentiel pour cette rangée est, par consé  quent, arrêté dans la position zéro, de sorte  que les gains antérieurs seront additionnés  aussi bien dans le totalisateur  G. T. 3  que  dans le totalisateur  CT. T. 2 .  



  Dans le cas d'une déduction erronée, il  faut à nouveau additionner le montant dans  <B>le</B> totalisateur d'addition et soustraction, de  manière à obtenir     la,    paye nette correcte; à  cet effet, l'opérateur     abaisse    la touche 164        +     de la rangée 2. A cette touche est asso  cié un levier 510     (fig.    4, 12 et 23) pourvu  d'un doigt 511 qui coopère avec la tige 394  de la touche 164  + . Solidaire du bras 510,  un bras<B>512</B> coopère avec un ergot 513 du  bras 506, lequel, comme on sait, est actionné  par l'arbre 149. Sur le bras 512 dirigé vers  le haut pivote une articulation 515 reliée à    un bras 516 qui oscille sur l'arbre 498.

   Le  bras 516 est pourvu d'un     flasque    517 fixé à  une bride 518 d'un bras 519     (fig.    21) qui co  opère avec un     'bloc    520 de la plaque 492. Ce  bras 519 et la plaque 520 servent à la sélec  tion automatique du côté  -  du totalisateur       d'addition    et soustraction 230     (fig.    27) pour  la soustraction des déductions de la paye  brute de l'employé.  



  Mais, étant donné qu'on fait une correc  tion en     réajoutant    dans le totalisateur d'addi  tion et soustraction le montant d'une déduc  tion erronée après la composition du montant  déduit par erreur et     l'abaissement    de la tou  che 164      -!- ,    il faut. sélectionner le côté       i-      du totalisateur     d'addition    et soustraction 230  et la sélection automatique du côté  -  ne  doit, par conséquent, pas fonctionner.     Ta)n     conséquence, le levier 510 subit seulement un  bref mouvement avant que le doigt 511 tou  che     la,    tige 394;

   le bras 519 ne se déplace  donc pas assez loin pour se mettre sur le che  min du bloc 520, de sorte que le différentiel  de la rangée 2 n'est pas arrêté dans la cin  quième position d'après le bloc 520, mais con  tinue son mouvement jusqu'à la neuvième po  sition pour sélectionner le côté      -!-     du     totali..          sateur    d'addition et soustraction.

   L'ergot 513       (fig.    23) s'abaisse et quitte la surface usinée  du bras 512 sous l'action de l'arbre 149 de  blocage des touches, comme expliqué ci-dessus,  et à ce moment un ressort entraîne le levier  510 dans le sens des aiguilles d'une montre  jusqu'à ce que son doigt 511 entre en contact  avec la tige 394, comme on vient de le dé  crire; par l'articulation 515 et le bras 516, le  bras 519 ne se déplace, comme déjà men  tionné, que d'un demi-pas ou d'une courte  distance, de sorte qu'il n'est pas situé en face  du bloc 520.  



  En cas d'addition erronée d'un montant à  la paye réglementaire de l'employé, tel qu'une  prime ou     dividende    additionné par erreur,  l'opérateur doit, pour corriger cette erreur,  composer à nouveau à l'aide des touches 161  le montant qui a été accumulé par erreur et  abaisser la touche 164  -  qui arrête le dif  férentiel de la rangée 2 dans la sixième posi-           tion,    de manière à sélectionner le côté      -      du totalisateur d'addition et soustraction 230,  comme on le voit sur le schéma de la     fig.    27.  



  Afin de sélectionner le côté  -  du tota  lisateur d'addition et soustraction 230 par  l'abaissement d'une quelconque des touches  de  Déduction  de la rangée 3 ou     par.l'abais-          sement    d'une des touches de  Déduction  166,  c'est-à-dire des touches  K ,  L ,  M  ou  NT   de la rangée 4, on a prévu -Lui moyen automa  tique pour l'ajustage du mécanisme différen  tiel de la rangée 2 à la cinquième position en  vue de sélectionner le côté soustraction du to  talisateur d'addition et soustraction 230. On  va maintenant décrire ce mécanisme.  



  A la rangée 3 est associé un levier 522       (fig.    4, 12 et 21) pourvu de neuf doigts 523  destinés à coopérer chacun avec l'une des       tiges    395 des touches 165 de     #la    rangée 3. Au  levier 522 est filée une barre 524     (fig.    4, 12  et 22) pourvue de quatre     doigts    525 qui co  opèrent avec les tiges 396 des touches 166   K ,  L ,      hT     et  X  de la rangée 4.

   Le le  vier 522 a un bras 526 dirigé vers le haut qui  coopère avec un ergot 527 du bras 528 pivo  tant sur la tige 503 et relié à .la barre 505     dé-          erite    précédemment; cette barre 505 est  actionnée par l'arbre 149 de blocage des tou  ches de la manière expliquée ci-dessus pour  écarter l'ergot 527 de la surface usinée de la  partie supérieure du bras 526.

   A ce moment,       un        ressort    529 entraîne le levier 522 dans le  sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que  l'un des doigts 523 rencontre la tige 395 de  la touche abaissée ou jusqu'à ce que l'un des       doigts    525     (fig.    22) rencontre -la tige de l'une  des quatre touches inférieures abaissée 166  de la rangée 4.

   Ce mouvement du levier 522  dans le sens des aiguilles d'une montre dé  place, à l'aide d'une articulation 530 pivo  tant sur .ce levier et par un bras solidaire de  la bride 518, le bras 519 d'un pas entier dans  le sens des aiguilles d'une montre, de manière  à placer son     extrémité    gauche en face du bloc  520 fixé sur la plaque 492, obligeant ainsi le  mécanisme différentiel associé à la rangée 2  de s'arrêter dans la position  5 , ce qui pro  voque la     sélection    automatique du côté  -     du totalisateur d'addition et soustraction  pour obtenir la soustraction des déductions,  désignées par les touches 165 de la rangée  3 ou par     ,les    quatre touches inférieures de la  rangée 4,

   de la paye brute qui se trouve clans  le totalisateur d'addition et soustraction.  



  Chacun de ces     montants    déduits est     aussi     accumulé dans un totalisateur associé à la  touche particulière qui a été     abaissée.    Par le  fait - qu'il n'y a pas de cliquet d'arrêt à zéro  associé au mécanisme différentiel des touches  164 de la rangée 2, chaque fois que l'une quel  conque des touches  R ,  T ,  S  ou  X  166  de la rangée 4     ést    abaissée dans le but d'accu  muler le montant des heures normales, le  montant des gains pour les heures supplé  mentaires ou éventuellement des primes et  bonis, ces montants, outre qu'ils sont addition  nés dans les totalisateurs associés à ces tou  ches,

   sont automatiquement additionnés chi  côté      -I-     du totalisateur d'addition et sous  traction parce que ce différentiel de la rangée  2 passe à la position 9 qui sélectionne le côté        -I-     du totalisateur d'addition et soustrac  tion, comme on le voit sur le tableau de la       fig.    27.  



  Lorsqu'on abaisse .la touche 162  Paye  nette , le montant du totalisateur d'addition  et soustraction, c'est-à-dire le montant net  représentant le montant brut moins toutes       les    déductions, est extrait du totalisateur  d'addition et soustraction, et automatiquement  reporté sur .le totalisateur  Paye nette totale        associé    à la touche 166  Total paye nette  en  haut de la rangée 4. Afin d'obtenir la sélec  tion automatique du totalisateur du haut .de  la rangée 4, il faut que le cliquet d'arrêt à  zéro de cette rangée soit retiré, de manière  que le différentiel de la rangée 4 puisse pas  ser à la position  9  pour     sélectionner    ce tota  lisateur pour le report de la paye nette du  totalisateur d'addition et soustraction.  



  A cet effet, la tige 392 de la touche      Pa;:    e  nette  agit sur un doigt 540     (fig.    18) d'une  barre 541 supportée à son extrémité infé  rieure par un bras articulé 542 fixé au châssis  390 -des touches de la rangée 1. En abaissant.  la touche  Paye nette  162, sa tige 392 dé-      place la barre 541 vers le bas, à la suite de  quoi le bras 542 déplace un levier 543 dans  le sens contraire à celui des aiguilles     d'une     montre et celui-ci déplace un bras     5-1-k,    calé  sur un arbre 545 porté par le châssis 411 du  groupe de totalisation, dans le sens" des  aiguilles d'une montre.

   Sur l'arbre     5-15,    près  du châssis 390 des touches de la rangée 4, est  également fixé un bras 546     (fig.    19) qui  tourne dans le sens des aiguilles d'une montre  avec l'arbre 545 et qui coopère avec un bras  547 en le poussant dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre. Ce bras 547  est relié de façon rigide à un     eliquet    d'arrêt  à zéro 548 associé au mécanisme différentiel  (le la. rangée 4.

   On voit, par conséquent, que  l'abaissement. clé la touche 162  Paye nette   écarte le cliquet d'arrêt à zéro 548 de la ran  gée 4 du chemin du verrou différentiel de  cette rangée, de sorte que le différentiel  passe à la position  9  et sélectionne le tota  lisateur de  Paye nette totale  pour y repor  ter, par le mécanisme décrit ci-dessus, le mon  tant relevé du totalisateur d'addition et sous  traction qui représente la paye nette de l'em  ployé.  



  Afin d'empêcher l'abaissement de la tou  che 164  -  de la rangée 2 lorsque la touche  162  Paye nette  est abaissée, on a prévu un  levier 549 (fi-. 16) associé à la touche  Paye  nette , auquel est attaché un ressort 550 qui  appuie normalement un doigt 551 contre le  côté inférieur de la tige 392 de la touche   Paye nette .

   Le levier 549 a, en outre, un  doigt 552 qui. peut se placer au-dessous de la  tige 394 de la touche 164  -  lorsqu'on       abaisse    la touche  Paye nette , parce que  l'abaissement de cette touche déplace, par si  tige 392 et par l'intermédiaire du     doigt   <B>551,</B>  le levier 549 dans le sens contraire à celui     des          aiguilles    d'une montre à l'encontre de la ten  sion du ressort 550, et place le doit 552 di  rectement     au-dessous    de la tige 394 de la tou  che 164  - .  



  Dans les opérations d'analyse, c'est-à-dire  lors de l'abaissement de la touche d'analyse  164,     eelle-ci    débloque les trois touches 161 de  la première, deuxième et troisième position de    la rangée 2, de sorte qu'elles peuvent être uti  lisées pour la distribution dans les opérations  d'analyse. Ces touches sont normalement blo  quées dans leurs positions non abaissées par  des doigts 555 d'une plaque 556 fixée sur le  levier 549.

   La plaque 556 possède également  un doigt 557 qui coopère avec une tige 394 de  la touche d'analyse, de telle sorte que, lors  qu'on abaisse cette touche, elle éloigne les  doigts 555     d'au-dessous    des tiges 394 des trois  touches inférieures .de la rangée 2 et place en  même temps le .doigt 552 au-dessous de la tige  394 de la touche 164  - , de sorte qu'elle ne  puisse pas être actionnée dans les opérations  d'analyse. .  



  <I>Imprimeur.</I>       11lécanisme        numéroteur.   <I>,</I>  Comme exposé précédemment, le numéro  d'ordre est imprimé sur le bordereau de paye  151 et sur le chèque 152 lorsqu'on se sert de  la machine pour la paye et également sur la  fiche 156 lorsqu'on se sert de la machine pour  la distribution analytique. Le numéro d'or  dre est également indiqué dans l'ouverture  <B>558</B>     (fig.    1 et 2) du coffre 146.  



  On va. maintenant décrire le mécanisme  numéroteur représenté sur les     fig.    35 et 38.  L'arbre à cames principal 150     (fig.    35)  porte des cames conjuguées 560 et 561 qui co  opèrent respectivement avec des galets 562 et  563 fixés sur un levier 564 oscillant sur l'ar  bre 331 décrit précédemment.     L'extrémité    su  périeure du levier 564 a une fente à baïon  nette 565, dans laquelle passe un ergot 566  porté par une articulation 567 qui pivote, en  568, sur une plaque réglable 569, fendue  pour entourer une tige 570 portée par un  support (non représenté) qui est fixé sur le  châssis .latéral .de la machine. La plaque 569  est également fixée à un bras 571 en 572.

   Il  y a deux bras 571 dont un seulement est re  présenté.     Les    bras 571 sont fendus pour re  cevoir .les extrémités d'une tige 573 porté  par une paire de plaques 574     (suie    seule est  représentée) qui sont montées sur une plaque  de support d'un ensemble différentiel à  arbres multiples.     Sur    la tige 573 pivote un       cliquet    différentiel 575 coopérant avec des      roues à rochet 576 et des disques 577 pourvus  d'encoches profondes adaptées au mécanisme  de report du genre habituel à encoches pro  fondes en liaison avec des     cliquets    à denture  différentielle, mécanisme bien connu.  



  Les roues à rochet 576 étant pourvues de  trente dents, il y a trois encoches profondes  578 dans les disques 577, de sorte que, tous  les dix pas, il y a -an report au numéro d'or  dre du prochain ordre dénominateur plus  élevé de la manière habituelle .lorsque les  cames 560 et 561 tournent, l'ergot 566,     qûi    a  été préalablement déplacé vers le haut clans  la, partie verticale de la fente à baïonnette  <B>565</B> par des moyens qui seront décrits ci-après,  déplace, par l'articulation 567, les bras 571  dans le sens des     aiguilles        d'une    montre,

   à la  suite de quoi le cliquet à denture différen  tielle 575 entre en action pour ajouter le nom  bre  un  de la manière habituelle et connue       aux    roues à rochet<B>576</B> du numéroteur. Un  ressort 579 ramène .les pièces à leurs positions  normales. Un ressort 580 maintient .le cliquet.  à denture     différentielle    en prise avec ,les       dents    de la roue 576.

   Aux roues à rochet 576  sont     fixées    et entraînées par elles, au moyen  des arbres carrés montrés sur la     fig.    35, une  série de roues dentées 581 engrenant avec     .les.     dents extérieures de roues     582'à    engrenages  intérieur et extérieur, lesquelles, à l'aide  d'arbres carrés situés à l'intérieur des roues  582, et à l'aide de pignons (non montrés sur  ces arbres), entraînent des roues à caractères  583 pour l'impression du numéro d'ordre sur  le bordereau de paye 151 et sur le chèque 152  lorsqu'on se sert de la machine pour établir  la paye et sur la fiche 156, lorsqu'on s'en sert  pour la distribution analytique.  



  Pour l'indication .du numéro d'ordre     clans     l'ouverture 558 du coffre 146, on a prévu des  flasques 584     (fig.    2) qui portent des chiffres  indiquant le numéro d'ordre.  



  Au moyen des arbres carrés et pignons re  présentés sur la     fig.    35, le numéro d'ordre  peut être imprimé dans les     différentes    co  lonnes des supports d'impression, comme déjà  indiqué ci-dessus. On a prévu une série de  cliquets d'arrêt 585     (fig.    35) dont un. seul    est représenté, pour empêcher le mouvement  en arrière des roues à rochet 576. Ces     cliquets     sont maintenus en prise avec les roues à rochet  par des ressorts 586 reliés entre les extré  mités des cliquets 585 et un crochet 587 fixé  sur lé châssis latéral de la machine.  



  Il est. parfois souhaitable de commencer  le numéro à certaines positions définies,     c'est-          à-dire    qu'on peut, par exemple, faire débuter  les numéros d'ordre par 500 000. Dans ce cas,  les indicateurs 584 des numéros d'ordre et les  roues à rochet 576     peuvent    être     manceu rés     à la main jusqu'à ce que le numéro désiré soit  atteint; après quoi, les numéros seront avan  cés par le mécanisme représenté sur la     fig.    35  de la manière habituelle.

   Le moyen d'ajustage  manuel du numéro d'ordre     comprend    une sé  rie de     leviers    manuels 590 fixés à des disques  591     (fig.    38).     lormalement,    chaque disque  est. verrouillé par un ergot 592 d'un bras 593  fixé sur un arbre 594 porté par les châssis de  la machine. Par des     moyens    qui seront décrits  ci-après, les ergots 592 sont retirés des enco  ches des disques 591 pour les     dégager    et pour  qu'ils puissent être     manoeuvrés    à la. main.

    Chaque disque porte un cliquet d'avancement  595     (fig.    38) appuyé par un ressort contre  les roues à rochet 596 qui sont, de leur côté,  fixées aux indicateurs 584, de sorte que ces  derniers peuvent être     ajustés    au nombre voulu  par des mouvements de va-et-vient des leviers  590     jusqu'à    ce que le numéro désiré soit. indi  qué dans l'ouverture 558     (fig.    1 et 2).  



       Pour    retirer les ergots 592     (fig.    38) du  disque 591, afin de pouvoir ajuster le numéro  d'ordre -à la main, on a prévu une serrure 597       (fig.    1) qui .commande un boulon 598     (fig.    34)  afin de le retirer d'un disque 599 à encoches.  



  Après avoir retiré le boulon 598 de l'en  coche du disque 599, un levier manuel 600       (fig.    34) entraîne un pignon intérieur<B>601</B>  qui engrène avec le disque 599 et engrène  en même temps avec un pignon 602, de ma  nière à entraîner des pignons 603 et 604       (fig.    37) qui, à leur tour, ajustent des pla  ques 605 et 606 pourvues de fentes coopérant  avec un ergot 607 fixé sur un bras 608 monté  sur l'arbre 594. Il ressort clairement de ce      qui précède que, lorsque le levier se trouve  dans la position représentée, l'ergot 592 est  dans la position indiquée sur la     fig.    38 et  l'ergot 607 dans la position indiquée sur la       fig.    37.

   Lorsque le levier 600 est placé dans  une  position de blocage du numéroteur        (fig.    34), la plaque 606 se déplace de façon  à faire déplacer, par l'ergot associé 607, un  bras 609 fixé sur un arbre 610 en alignement  axial avec l'arbre 594. Ce mouvement du le  vier 600 n'a pas déplacé la plaque 605 et, par  conséquent, l'ergot 607 et les bras 608 n'ont  pas été déplacés.

   Mais lorsqu'on place le levier  600     (fig.    34) dans une  position de déblocage  du numéroteur , la plaque 605 repousse l'er  got 607 du bras 608 et fait pivoter l'arbre  594 dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre d'une distance suffisante pour  retirer l'ergot 592 de l'encoche du disque<B>591</B>  et débloque le     mécanisme    numéroteur, de  sorte     qu'il    peut être ajusté à la main. La pla  que 606 est associée au mécanisme dateur qui  sera décrit ci-après.  



       Mécanisme   <I>dateur.</I>  



  La date est indiquée dans l'ouverture 611       (fig.    1 et 2) et s'imprime sur le chèque 152       (fig.    24) ou sur l'enveloppe 154     (fig.    26),  ainsi que sur la fiche 156 lorsque la machine  sert à la distribution analytique.  



  Pour indiquer la date dans l'ouverture  611, on a prévu des flasques 612     (fig.    2) sur  les disques 614     (fig.    36). L'ajustage de la  date se fait à .l'aide des leviers     manuels   <B>61.3</B>  (fi-. 1 et 36) fixés chacun à un disque 614  pourvu de dents intérieures qui entraînent  des pignons et arbres carrés, de sorte que la  date puisse être imprimée     dans    les différentes  colonnes nécessaires et indiquée dans l'ouver  ture 611 du coffre.

   La date est bloquée, lors  que le levier 600 se trouve dans la position  indiquée sur la     fig.    34, au moyen de l'ergot  615     (fig.    36) d'un     bras    616     fixé        sur    l'arbre  610. Pour chacun des flasques 612 indicateurs  de date, il y a un bras 616 avec ergot 615 et  un disque 617. Lorsque le levier 600 est dans  la position indiquée sur la     fig.    34, l'ergot 615  bloque, par le disque 617, le levier 613, de    sorte qu'il ne peut se déplacer.

   Lorsque le  levier 600 est placé dans la position de<B> dé-</B>  blocage du dateur , la plaque 606     (fig.    37)  déplace l'ergot 607 du bras 609, de manière à  faire osciller l'arbre.     67.0    dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre pour  retirer les ergots 615 des disques 617. Lorsque  le levier 600 se déplace en avant vers la po  sition de  déblocage du dateur , l'ergot 607  repose seulement sur la périphérie usinée de  la plaque 605 en permettant ainsi à l'ergot  615 de     rester    en dehors de l'encoche 617 pour       laisser    le dateur débloqué.  



  En d'autres termes, le levier 600 contrôle  la position de blocage du numéroteur et la po  sition de blocage du dateur. Dans la :première  position à gauche de celle représentée sur la       fig.    34, le numéroteur sera bloqué et le dateur  débloqué, et dans la seconde position en avant  du levier 600, le numéroteur sera débloqué en  le dateur sera également débloqué.  



  Les disques 614 qui sont ajustés par le  levier 613 à l'aide des pignons et arbres carrés  règlent des roues 618 à     engrenages    intérieur  et extérieur     (fig.    34) qui, à l'aide de roues  619 à engrenages intérieur et     extérieur    et  d'un arbre carré, entraînent les roues 620 à  dater, de sorte que la date peut être impri  mée, conformément à l'ajustage des leviers  613, sur le chèque ou l'enveloppe et aussi     sur     la fiche.  



  Tous les ensembles d'arbres carrés et de  pignons et .les roues à engrenages intérieur et  extérieur représentés sur les     fig.    34 à 37 sont  supportés par une série de consoles 621       (fig.    41 et 42) fixées à la traverse 125 et à la  base 123.  



  Comme on le voit sur la     fig.    41, le groupe  inférieur, ou de droite, des arbres carrés, est  monté sur     les    consoles elles-mêmes, et pour  sortir cet ensemble de la machine il faut enle  ver les consoles. Le groupe supérieur, ou de  gauche, des .arbres carrés et des pignons, au  contraire, est monté sur     des    plaques spéciales  622, de sorte que cet ensemble supérieur de  gauche peut être enlevé de la machine sans  démonter les consoles 621.  



  On a prévu -un     dispositif    en liaison avec           les    mécanismes du numéroteur et du dateur  qui empêche la     maneeuvre    de la machine. si.  les     leviers    613 du. dateur et les leviers 590 du  numéroteur ne sont pas .dans leurs positions  correctes. Ce résultat est obtenu à l'aide d'un  mécanisme     aligneur        qui    sera décrit ci-après.  



  En se reportant tout     partiéulièrement    aux       fig.    33 et 34, on voit que sur l'arbre 149 de  blocage et déblocage des touches     (fig.    33) est  montée     une    plaque- 625 reliée par une articu  lation 626 à un bras 627     qui    pivote sur un  arbre .628 supporté par les châssis latéraux  121 et 122 de la machine. Sur l'arbre     6\38    est  calé un bras 629     pourvu    d'un goujon 630       appuyé    contre le bras 627 par un ressort 631  reliant des goujons fixés sur les bras 627 et  629.

   Le bras 629 est muni     d'une    butée 632  en contact avec la traverse 125 pour mainte  nir les pièces dans leurs     positions    normales.  Sur l'arbre 628 est fixé un bras 633     (fig.    10)       sur    lequel pivote, au point. 634, un cliquet  d'entraînement 635. Le cliquet 635 est pourvu  d'une saillie latérale 636     (fig.    11) maintenue  au-dessous d'un épaulement 637 d'un bras  638 par un     ressort    639     (fig.    10). Le- bras 638  est monté librement sur l'arbre 628.  



  Lorsque l'arbre 149, après mise en mar  che de la machine, pivote     dans    le     sens    des  aiguilles d'une montre, l'articulation 626 dé  place le. bras 627 par le goujon 630 dans le  sens des aiguilles d'une montre et l'arbre 628  dans le même sens, à la suite de quoi le bras  633     (fig.    10) se déplace dans le sens des       aiguilles    d'une montre et la saillie 636 pousse  à ce moment le bras 638 dans le même sens,  de manière à placer un doigt 640 de ce bras  au-dessus     d'un    bras 641, solidaire d'un  étrier d'alignement 642 qui - coopère avec  des :disques .dentés 643.

   L'étrier 642 est     assez     large pour s'engager sur plusieurs des dis  ques 643,     im    pour     :chaque    roue à dates et un       pour    chaque roue à numéros d'ordre. Lors  que les     disques    dentés 643, c'est-à-dire l'un  quelconque d'entre eux, tient     l'aligneur    642 à  l'écart, c'est-à-dire à droite de la position  indiquée sur .la     fig.    11, le bras 641 dont il est  solidaire se trouvera sur le côté de la butée  640 du bras 638, et ce bras 638 ne pourra,    par conséquent, pas se déplacer dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   Le bras 633       (fig.    34) sera bloqué par la saillie 636 et l'ar  bre 149 ne pourra pas être actionné pour dé  clencher la machine.  



  Un ressort 644 maintient l'étrier d'aligne  ment 642 contre le disque denté, et l'étrier  642 passe simplement     au-dessus    des disques  643 lorsqu'on     ajuste    le numéro d'ordre on la  date à la main ou lorsque le numéroteur est  actionné par le mécanisme représenté sur la       fig.    35.  



  Afin que l'arbre 149 de blocage des tou  ches puisse être ramené au moment     vouhz,     il faut dégager la saillie 636     (fig.    11) de  l'épaulement 637 du bras 638 et ce résultat  est obtenu à l'aide d'une came 645     (fig.        31-)     montée sur l'arbre à cames principal 150. La  came 645 actionne une bielle 646 pivotant sur  un levier 647 monté sur un arbre 648 porté  par les     châssis    latéraux 121 et 122. Le levier  647 est en prise avec un goujon 649 d'un  bras 650 fixé sur un arbre 651 supporté par  les châssis latéraux de la machine.

   Sur l'ar  bre 651 est également monté un bras 652       pouvant    entrer en contact avec un galet 653  porté par le cliquet 635 et déplacer le     cli-          quet    635 dans le     sens    contraire à celui des  aiguilles d'une montre autour de son pivot.  634 pour libérer la saillie 636 de l'épaulement  637 du bras 638, de sorte que l'arbre     1.19     puisse être ramené à, sa position normale vers  la fin de l'opération de la machine.  



  La came 645 sert également à. actionner  un mécanisme     aligneur    pour les roues 619 à  engrenages intérieur et extérieur et également  pour les roues à caractères 620. Sur l'arbre  651 est calée une paire de bras 654 (dont un  seul est représenté) portant une barre d'ali  gnement 655 pouvant entrer en contact avec  et aligner les roues 619 et d'autres roues ali  gnées avec elles après l'ajustage des roues  porte-caractères. Pour aligner, en outre, les  roues     porte-caractères,    on a prévu une barre  d'alignement 656 portée par un disque 657  muni d'un bras 658 normalement en contact  avec un ergot 659 d'un bras 661 fixé sur  l'arbre 651.

   Lorsque l'arbre 651 se déplace au           moyen    de la     bièlle    646 dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre,     l'aligneur     655 aligne,     comme    dit ci-dessus, la roue 619,  et l'ergot 659 se déplace à droite, à la suite  de quoi L'étrier d'alignement 656 s'engage sur  la roue porte-caractères 620 et l'ergot 659  s'engage dans une encoche 662 du bras<B>658.</B>  Lorsque la bielle 646 ramène l'arbre 651 dans  le sens des aiguilles d'une montre à la posi  tion normale, elle soulève l'étrier d'aligne  ment 655 et déplace le bras 661 dans le sens  (les aiguilles d'une montre,

   après quoi l'ergot  659 repousse le bras<B>658</B> vers le bas et dé  place le disque 657 de manière à soulever       l'aligneur    656 au-dessus de la roue     porte-          caractères    620.  



  Toutes les roues porte-caractères 427 indi  quées schématiquement sur les     fig.        58A    et       aRB    associées à la rangée 2, les roues     porte-          caractères    445 associées à la ligne 3, les roues  port     e-caraetères    467 associées à la rangée 4,  les roues porte-caractères 480 associées à la  rangée 1, les roues 583 à numéros d'ordre sont  montées sur un arbre 665 supporté par les  consoles 621 portant 'les     mécanismes    à engre  nages intérieur et extérieur pour l'ajustage  (les     roues    porte-caractères et des indicateurs,

    ces derniers étant représentés     sur    la     fig.    2.  <I>Les</I>     marteaux.     



  Les marteaux servant à frapper des em  preintes sur le bordereau de paye 151, le     chè-          (lue    152 et la carte de salaires 153 sont tous  représentés schématiquement sur les     fig.   <B>58A</B>  et     58B    et numérotés de 701 à 729 inclus. Les       marteaux    701 à. 711 frappent les empreintes  dans les colonnes 1 à 11 .du bordereau de paye       1.51;    les marteaux 712-719 -les empreintes  dans les colonnes 12 à 19 .du chèque de pave       l5\3    et les marteaux 720 à 729 les empreintes  dans les colonnes 20 à 29 de la carte de sa  laires 153.

   Tous les marteaux 701 à 719 inclus       pivotent    sur un arbre 730     (fig.        42A,    42B et       :)9)    et tous les marteaux 720 à 729 inclus pi  votent sur un arbre 731     (fig.        42B).    L'arbre  730 est supporté par les châssis 131, 132, 133  et 134 de l'imprimeur et l'arbre 731 par les       châssis    135 et 136 de l'imprimeur.    Tous les marteaux sont entraînés par qua  tre jeux de cames associées 732 et 733, toutes  identiques et toutes montées sur l'arbre 730  de commande de l'imprimeur     (fig.        46A,        46B     et 99).

   Les cames associées 732 et 733 coopè  rent respectivement avec des galets 734 et 735  portés par des coudes 736. Tous ces leviers  coudés 736 situés entre les châssis 132 et 134  sont montés sur un arbre<B>737</B> et tous les  coudes situés entre les châssis 135 et 136 sont  montés sur un arbre 738 qui se trouve en ali  gnement avec l'arbre 737. Sur chacun des  coudes 736 pivote une articulation 739 pour  la     manoeuvre    directe des marteaux 707, 714,  718 et 723. Sur les arbres 737 et 738 sont éga  lement fixés des bras 740 sur lesquels pivo  tent des articulations 739, pareilles aux arti  culations 739 représentées sur la     fig.    99.

   Tous  ces bras 740 et leurs     articulations    739 sont  directement associés pour actionner tous les  marteaux de 701 à 729 à l'exception des mar  teaux 707, 714, 718 et 723,     lesquels,        comme     on vient de le :dire, sont actionnés directement  par les leviers coudés 736. Toutes ces articu  lations 739 sont parfaitement plates à l'excep  tion de celle qui est associée au marteau 726.  Comme on le voit sur la     fig.        46B,    cette arti  culation particulière est légèrement en retrait.

    Chaque articulation 739 est     pourvue    d'une  encoche 741 qui coopère avec un ergot 742  d'un levier 743 qui pivote     sur    une     tige    744  portée par les châssis 131 à 134 inclus de  l'imprimeur. Ces leviers 743 montés sur la  tige 744 coopèrent avec les marteaux 701 à  719 inclus. Les châssis 135 et 13ô     (fig.        42B)     portent une autre tige 745 qui est en aligne  ment axial avec la tige 744 et sur laquelle  pivotent les leviers 743 associés aux mar  teaux 720 à 729 inclus.    Sur chaque levier 743 pivote une articu  lation 746 qui sert. à relier ces leviers à cha  cun des marteaux 701 à 729.

   Sur la     fig.    99,  les pièces sont représentées dans     leurs    posi  tions normales, les marteaux en bas, écartés  des roues porte-caractères et maintenus dans  cette position par un doigt 747 du levier 743  qui est en contact avec la traverse 138.           Ainsi    qu'on le voit sur la     fig.    99, l'articu  lation 739 est dégagée de l'ergot 742 dans la  position normale; cependant, les marteaux  particuliers entre 701 et 729, qui doivent être  actionnés dans les divers cycles d'opérations  qui constituent une opération complète d'éta  blissement     d'un    chèque de paye, .fonctionnent  pendant les différentes phases de ces opé  rations.

   Les articulations 739, associées aux  marteaux pour être     actionnées    sous le con  trôle des touches et d'autres dispositifs de  commande qui seront décrits ci-après, se dé  placent autour de leurs extrémités droites  dans le sens contraire à     celui    des aiguilles  d'une montre pour faire entrer les ergots 742  dans les encoches 741.

   Lorsque l'arbre 370,  les ergots 742 étant engagés dans les encoches  741, subit sa rotation dans le sens des aiguilles  d'une montre, les articulations 739 se dépla  cent à droite, de manière à déplacer les leviers  743 dans le sens contraire à celui des aiguilles       d'une    montre à la suite de quoi les genouil  lères 746 soulèvent les marteaux 701 à 729  inclus (c'est-à-dire ceux d'entre eux qui ont  été     sélectionnés)    qui entrent en contact -avec  les groupes des roues porte-caractères qui     leur     sont associés, ainsi que l'on voit sur les       fig.    58A et 58B.

   Ce contact entre les marteaux  et les roues porte-caractères se produit au  point haut de la came associée 732 et, dès que  le galet 734 a dépassé le point haut, les leviers  743 se déplacent dans le- sens des aiguilles  d'une montre et les articulations 746 abais  sent les marteaux vers la position indiquée  sur la     fig.    99.         Contrôle   <I>des</I>     marteaux.     



  Pour l'exécution des diverses     manoeuvres     qui .constituent une opération complète d'im  pression d'un     chèqile    de paye 152 d'un em  ployé avec toutes les indications et l'impres  sion des données nécessaires sur le bordereau  de paye 151 et sur la carte de salaires 153,  les différents marteaux 701 à 729     (fig.    58A  et 58B) sont commandés par des mécanismes  divers, tels que les rangées 1, 2, 3 et 4     (fig.    2)  et les mécanismes contacteurs pour le borde  reau de paye, la carte de salaires et le chèque.

      Comme exposé     ci-dessus,    les marteaux 701 à  729 sont     prévus    pour effectuer des em  preintes dans leurs colonnes respectives de  1 à 29 du bordereau 151, du chèque 152 et  <I>Cie</I> la carte de salaires 153. Ces marteaux sont  commandés par les diverses rangées des tou  ches de commande 162 à 166à des temps dif  férents, parfois directement à l'aide des tou  ches, parfois par l'ajustage automatique du  verrou .de la rangée particulière commandé  par des touches dans une autre rangée.  



  Les contacteurs pour le bordereau, le chè  que et la carte de salaires et les rangées des  touches de commande actionnent une ligne de  contrôle composée de disques à encoches       ajustés    par .le mécanisme d'entraînement à  pignons déjà connu et les arbres carrés du  type bien connu.  



  Cette ligne de contrôle est schématique  ment représentée sur la     fig.    105 et la ligne  assemblée est représentée sur les     fig.    57A et  578. La ligne, c'est-à-dire toutes les plaques et  tous les mécanismes y compris les arbres car  rés et les pignons intérieurs, est supportée  par un grand arbre carré 750 monté sur les  châssis 7.31 à 136 inclus de l'imprimeur.  



  En se reportant à la     fig.    105, on voit que  certains arbres carrés et leur commande ont  déjà été décrits à. propos des différentiels  des rangées 1, 2, 3 et 4 et que les arbres con  trôlés par ces différentiels sont numérotés       respectivement    484, 436, 451 et 473. Cette ligne  de commande comprend encore quatre autres  arbres, à savoir: -Lui arbre 751 contrôlé par  un levier de contrôle de l'imprimeur qui sera  décrit ci-après; un arbre 752 contrôlé par le  contacteur de la carte de salaires; un arbre  753 contrôlé par le contacteur du chèque;  un arbre 754 contrôlé par le contacteur du  bordereau de paye. Tous ces mécanismes con  tacteurs seront     décrits    par la suite.  



  Les plaques sélectrices susmentionnées de  la ligne de contrôle qui s'ajustent sous le con  trôle des touches des rangées 1, 2, 3 et 4 et  sous le contrôle des     contacteurs'du    bordereau  de paye, du chèque et de la carte de salaires  sont représentées sur les     fig.    57A et 57B; au  lieu de numéroter chaque plaque     dans    chaque      groupe, les groupes contrôlant les     marteaux     701 à 729 inclus sont numérotés de 801 à. 829  inclus et servent à     l'impression    dans les co  lonnes 1 à 29 incluse.

   La plupart de ces  groupes de plaques sélectrices sont indiqués  sous forme de tableau sur les     fig.    64A et     64B     ainsi que sur da     fig.    65. Sur les     fig.    64A et       64-B,    il y a quatre plaques par groupe, avec  une exception portée sur le tableau, et sur la       fig.    65 il y a trois plaques par groupe avec  cinq exceptions portées sur le tableau. Le nu  méro du marteau et le numéro de la plaque  sont indiqués sur le tableau, de sorte qu'ils  peuvent. facilement être     retrouvés    sur les       fig.    57A et     57B.     



  Toutes .les encoches découpées dans les di  verses plaques de .tous les     groupes    sont indi  quées sur les tableaux; on a également indiqué  si une plaque particulière d'un groupe est  commandée par le contacteur du bordereau,        < lu    chèque ou de la carte de salaires et aussi  par quelle rangée de touches de commande  elle est contrôlée.    Outre le numéro du marteau et le numéro  du groupe de plaques, on a également indiqué  les fonctions de ce marteau; sur la     fig.    65,  par exemple, on voit dans l'espace 6 le mar  teau 702, le groupe .de plaques 802 qui com  mandent l'impression des montants brut et  net sur le bordereau 151 dans la colonne 2.

      Dans tous les cas, les plaques de chaque  groupe sont numérotées sur les tableaux pla  que 1, plaque 2, plaque 3, etc., et dans tous  les cas la plaque N  1 signifie la plaque de  droite de chacun des groupes des plaques de  commande représentées sur les     fig.    57A et  57B. Le N  2 est la deuxième plaque à partir  de la droite, N  3 est la troisième plaque et  ainsi de suite. Comme indiqué précédemment.,  il     faut,    pour actionner les marteaux 701 à  729     (fig.    58A et     58B)    déplacer les articula  tions 739     qui    leur sont associées     (fig.    46A,       46B    et 99) vers le bas, afin d'engager les  ergots 742 des leviers de commande 743.

   On  a également indiqué que ce déplacement des  articulations 739 se produit sous le contrôle       des    rangées des touches de commande et aussi    des contacteurs du bordereau, du chèque et  de la carte .de salaires.  



  Sur chacune des articulations 739 pivote  une articulation 760 pivotant, d'autre part,  sur un levier 761 monté sur un arbre 762. Le  levier 761 est pourvu d'un doigt 763 qui est  maintenu en contact avec un goujon 764 d'un  bras 765 par un ressort 766. Le bras 765 est  calé sur l'arbre 762.  



  A chacun des groupes de plaques de com  mande 801 à 829 est associé un levier 761       (fig.    57A et     57B)    et sur chacun .de ces leviers  pivote Lm bloc-contacteur 767 pourvu de deux  jeux de     doigts,    un jeu     supérieur    et un jeu  inférieur; chaque levier 761 a Lui doigt de la  même forme que le doigt     inférieur    du bloc  767; tous ces doigts peuvent coopérer avec des  encoches entaillées dans les groupes de pla  ques suivant .les tableaux des     fig.    64A et     64B     et de la     fig.    65.  



  Sur l'arbre 762 sont fixés trois bras 768       (fig.    40, 57A et     57B)    qui servent à déplacer  l'arbre 762 dans le sens contraire à celui des  aiguilles     d'Ltne    montre, de manière que le res  sort 766 de chacun des bras 761 puisse dépla  cer ces bras dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, à la suite de quoi les  doigts des blocs 787 peuvent coopérer avec les  groupes de plaques 801 à 829 inclus.  



  Les leviers<B>761,</B> les bras 765 et un bras  unique 768 qui coopère avec les groupes de  plaques 820 à 829 incluse pour la carte de  salaires et qui est situé entre les châssis 135  et 136 de l'imprimeur sont tous montés sur  un arbre 769 (indiqué seulement sur la       fig.        57B)    qui est en alignement axial avec  l'arbre 762. Les leviers 761 tournent sur cet  arbre 769, les bras 765 et le bras unique 768  sont fixés sur cet arbre.

   Une articulation 770  est reliée à oscillation à chacun des trois bras  768 qui sont     fixés    sur l'arbre 762, comme on  le voit     sur    la     fig.    40, et chacune de ces articu  lations pivote à son tour sur un     levier    coudé  771     (fig.    46A et     46B)    qui coopère avec les  cames associées 772 et 773 fixées sur l'arbre  à cames 370 de .l'imprimeur. Il y a un bras  768, une articulation 770 et au levier coudé       777.,    comme ceux représentés sur la     fig.    40,      qui coopèrent avec les cames 772 et 773 si  tuées sur l'arbre 370, entre les châssis 135 et  136     (fig.    46B).

   Ce levier coudé 771 oscille sur       1-arbre    738.  



  Lorsque l'arbre 370 tourne dans le sens  des     aiguilles        d'une    montre, les coudes 771 et  les articulations 770 déplacent les bras 768 et  les arbres 762 et 769 dans le sens contraire à       celui    des     aiguilles    d'une montre, de manière à  déplacer tous les bras 765 dans le même     sens,     à la. suite de quoi les ressorts 766 (fi-. 99)  tendent à déplacer tous les leviers 761 dans  le sens     contraire    à celui des aiguilles     d'une     montre, suivant.

   que les doigts     supérieurs    ou  les     doigts    inférieurs     dut        bloc-767    coopèrent ou  non avec     une    seule ligne d'encoches d'un  groupé particulier de plaques 801 à. 829 avec  lequel ils coopèrent.  



  Si, soit le doigt supérieur, soit le doigt  inférieur du bloc 767 rencontre des encoches  dans toutes les plaques de son groupe     re3pec-          tif,    le levier 761 pourra alors se déplacer  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre sous l'action de son ressort 766,  après quoi son articulation 760 abaissera  l'articulation 739 et obligera son encoche 741  à s'engager sur l'ergot 742 du levier 743  actionnant le marteau, à la suite de quoi le'  marteau sera actionné par les cames 732 et  733 .dé la manière décrite ci-dessus.  



  On va maintenant examiner tous les mar  teaux en commençant par 701 et jusqu'à 729  en liaison avec leur fonctionnement sous le  contrôle des     groupes    de plaques 801 à 829 in  clusivement qui leur sont associés.  



  En ce qui concerne le marteau 701 de  numéro d'ordre, le groupe de plaques qui com  mande .le fonctionnement de ce marteau porte  le     niïméro    801     (fig.    57A) et est indiqué dans       l'espace    3 du tableau des     fig.    64A et     64B.    Ce  tableau montre que la plaque N  1 est com  mandée par le     contacteur    du bordereau et  qu'elle est pourvue d'une encoche entaillée       dans    la position zéro en     chiffres    arabes.

   La  plaque N  2 est commandée par le contacteur       du    chèque et     pourvue        d'une    encoche aussi  bien dans la position zéro arabe que dans la  position zéro en     chiffres    romains.

   La plaque    N  3 est     commandée    .par le différentiel de la  rangée 2 et elle a des encoches dans les posi  tions 2, 3, 4 et 9 et dans les positions II, IV  et IX, c'est-à-dire que, étant donné que le  différentiel de la rangée 2, lorsque la ma  chine s'emploie - pour     l'établissement    de la  paye, passe à la position 9     lorsqu'on    abaisse  la touche 162  Paye nette , il doit se trouver  une encoche dans la plaque à la position 9  aussi bien en chiffres arabes que romains. La.  plaque N  4 est commandée par la rangée 1:  i1 y a sur le côté des chiffres arabes une en  coche à la position zéro et à la position six, la  position zéro représentant la position addi  tive du différentiel et la position six repré  sentant la position  Décharge rang 4 .

   Sur le  côté des chiffres romains, il y a des encoches  aux positions I, IV et V, le N  1 représentant  la position  Paye nette  et les Nos IV et V  respectivement les positions  Décharge ran  gée 2  et  Décharge rangée 3 .  



  Le doigt du levier 761     (fig.    99) coopérant  a a     vec        la        plaque        N     1     est        situé        dans        la        position     inférieure, il n'est donc pas nécessaire de pra  tiquer des encoches aux positions romaines de  cette plaque N  1.

   On voit donc d'après les  encoches ci-dessus, indiquées dans l'espace 3  de ce tableau, que l'articulation 739 du mar  teau 701 du numéroteur sera accouplée au le  vier d'entraînement 743 du fait que, lorsque  la paye nette est imprimée sur le chèque sous  la commande de la touche  Paye nette , le  numéro d'ordre sera imprimé sur le bordereau  de paye 151 par le marteau 701 parce que  les doigts supérieurs du bloc sélecteur trou  vent des encoches dais la position 9 pour la  plaque N  3 commandée par la rangée     f2    et  dans la position 1 pour la plaque     I\T     4 com  mandée par la rangée 1. Un chèque 152 et.

         ime    feuille du bordereau 151 doivent être  dans la machine car leurs contacteurs con  trôlent les deux     premières    plaques du groupe  801, de manière à placer des encoches .en face  des doigts du bloc 767.  



  Le marteau 702     (fig.    58A) imprime la  paye brute et nette de l'employé dans la co  lonne 2 du     bordereau    de paye 151. Ce mar  teau est. commandé par le groupe de plaque      802,     comme    indiqué dans l'espace 6 du ta  bleau de la     fig.    65; ce tableau montre égale  ment que les trois plaques sont pourvue  d'encoches, de sorte que la paye brute et nette  n'est. imprimée qu'en actionnant respective  ment les touches 162  Paye brute  et  Paye  nette .

      lie marteau 703     (fig.    58A) est commandé  par le groupe de plaques 803, comme indiqué  clans l'espace 4 du tableau     (fig.    64A et 64B),  pour imprimer le nombre des heures régle  mentaires et ,le nombre des heures supplémen  taires contrôlées par les touches  R  et  T   clans les septième et huitième positions de la  rangée 4     (fig.    2).

   Tous les gains passent du  côté droit du totalisateur d'addition et sous  traction qui correspond à la position 9 de la  rangée 2 et, pendant ce temps, le différentiel  de la rangée 1 doit se trouver dans la position       d'addition.    Le tableau montre donc que les  encoches sont. pratiquées dans les positions  appropriées sur le côté chiffres arabes pour  imprimer les heures réglementaires et supplé  mentaires dans la colonne 3 du bordereau de  paye 151. La plaque N  1 montre -une enco  che dans la position zéro contrôlée par le con  tacteur du bordereau. Les encoches indiquées  aux positions en chiffres romains de ce  groupe de plaques montrent que, dans les  opérations analytiques de totalisation, le mar  teau 703 peut être actionné de manière à  effectuer des empreintes dans la colonne 3 de  la bande analytique 155.

      Le marteau 704 qui frappe des empreintes  dans la colonne 4 du bordereau de paye 151  est     commandé    par le groupe de plaques 804,  comme représenté clans l'espace 5 du tableau       (fig.        64A    et 64B); il est commandé pour im  primer les montants, exactement de la même  manière que le marteau 703 est commandé  pour imprimer les heures. En effet, les heures  et les montants correspondant à ces heures  sont imprimés au cours d'un même cycle  d'opérations de la machine, la seule différence  entre les groupes de plaques étant que dans  le groupe 804 la plaque N  1 est supprimée,  car il n'est. pas nécessaire d'avoir une com-    mande de la plaque par contacteur puisqu'il  en existe un pour les heures.  



  Le marteau 705 qui frappe des empreintes  dans la colonne 5 du bordereau de paye est  commandé par le groupe de plaques 805,  comme indiqué dans l'espace 6 du tableau;  les encoches dans les plaques de commande  sont disposées de telle façon que l'impression  dans la colonne 5 aura lieu après l'impres  sion dans les     colonnes    3 et -4 par suite d'une  opération séparée lorsqu'il y a des gains       spéciaux.     



  Les marteaux 707 à 711 inclus, qui frap  pent des empreintes respectivement dans les  colonnes 7 à 11 :incluse     chi    bordereau de paye,  sont commandés     respectivement    par les  groupes 807 à 811 inclus pour imprimer les  déductions sur .le bordereau de paye, comme  indiqué dans les espaces 7 à 12 du tableau des       fig.    64A et 64B; ce tableau montre que les  encoches dans les groupes ci-dessus sont faites  de telle façon que les déductions seront impri  mées dans les colonnes conformément aux  touches     indiquées    en tête des colonnes respec  tives.  



  Le marteau 712 commandé par le groupe  812 indiqué .dans l'espace 13 du tableau       (fig.    64A et     64B)    imprime les heures régle  mentaires et supplémentaires sur le chèque  152 en même temps que les heures sont impri  mées dans la colonne 3 du bordereau de  paye 151 et le tableau montre que les plaques  1, 2, 3 et 4 sont     entaillées        pour    effectuer ces  empreintes.  



  Le marteau 713 qui fait des empreintes  dans la colonne 13 du chèque 152 est com  mandé par le groupe de plaque 813     (fig.    57A).  Ce groupe de plaques 813 comprend cinq  plaques représentées sur les     fig.    50 à 54 in  cluse. Ce marteau est également prévu pour  frapper des empreintes dans la colonne 13 de  la fiche 156 représentée sur la     fig.    25, dans  les opérations analytiques.

   Les plaques 1 à 5  de ce groupe de plaques 813 représentées sur  les     fig.    50 à 54 incluse sont toutes entaillées  de telle façon que le montant pour les heures  réglementaires et le montant de la paye pour  les heures supplémentaires sont imprimés en      même temps que     les    heures     réglementaires    et  les heures supplémentaires sont imprimées  dans la     colonne    12 du chèque;

   les encoches  sont pratiquées aussi afin de montrer que le       marteau    713 imprime     les    gains totaux ou  bruts à la suite de .l'abaissement de la touche  162  Brut , laquelle, comme on sait, effectue  une opération de lecture du côté additif du  totalisateur d'addition et soustraction qui se  trouve dans la position 9 du différentiel  associé aux touches de la rangée 2.  



  Les encoches prévues dans le groupe de  plaques 813 dans la position romaine servent.  à effectuer des empreintes au moment néces  saire dans la colonne 13 de la fiche 156 au  cours des opérations analytiques.  



  Le marteau 714 est commandé par le  groupe de plaques 814. Comme indiqué sur la  ligne 14 du tableau de contrôle     (fig.        64A    et  64B), les plaques sont entaillées de manière à  faire imprimer des déductions par le mar  teau 714 et sont commandées par l'une quel  conque des touches de la rangée 3 ou par  Pane des quatre premières     touches    du bas de  la rangée 4.  



  Le marteau 715 qui imprime la paye nette  dans la, colonne 15 du chèque 152 est com  mandé par un groupe de plaques 815, comme  indiqué sur la ligne 8 du tableau de contrôle  de la     fig.    65. La plaque N  1 est pourvue  d'une encoche à la position zéro et les plaques  N ', 2 et 3 possèdent des encoches respective  ment aux positions IX et I; ces positions sont  associées aux doigts supérieurs du bloc con  tacteur 767, de sorte que la paye nette sera  imprimée depuis la position 9 de la rangée 2  lorsqu'on abaisse la touche 162  Paye nette   de la rangée 1.  



  Le marteau 716 qui imprime le numéro  d'ordre dans la colonne 16 du chèque est com  mandé par le groupe de plaques 816, comme  indiqué sur la ligne 9 du tableau de con  trôle de la     fig.    65; on voit sur ce tableau que  les plaques sont entaillées .de telle façon que  le     numéro    d'ordre s'imprime pendant qu'on  compose sur le clavier les gains antérieurs à  transférer dans le     totalisateur     G. T. 2  de la  première position de 1a rangée 2, lequel,    comme on se rappelle, est sélectionné automa  tiquement par le différentiel de la rangée 2  en abaissant la. touche 164  Gains antérieurs .  



  Le marteau 717, qui imprime la. date dans  la colonne 17 du chèque, est commandé par le  groupe de plaques 817, comme indiqué sur la  ligne 10 du tableau de contrôle de la     fig.    65;  ce tableau montre que les plaques pour ce  marteau sont entaillées de telle manière que  la date s'imprime exactement au même mo  ment que le numéro d'ordre sur le chèque,  c'est-à-dire pendant. l'entrée des gains anté  rieurs dans le totalisateur  G. T. 2  sélec  tionné de la manière qu'on vient de décrire.  



  Les marteaux 718 et 719, qui     impriment.     clans les colonnes 18 et 19 du chèque, sont  commandés par les groupes de plaques 818 et  819, comme indiqué sur les lignes 11 et 12  du tableau .de contrôle     (fig.    65). Ce tableau  montre que les plaques sont entaillées exacte  ment .comme les plaques du groupe 815 qui  commande l'impression de la paye nette sur  le talon du chèque, de sorte que les deux mon  tants de la paye nette seront imprimés dans  les     colonnes    18 et 19 de la partie principale  du chèque en même temps.  



  Les marteaux 720 et 72I., qui impriment  respectivement clans les colonnes 20 et 21 de  la carte de salaires 153, sont commandés par  les groupes de plaques 820 et 821, comme in  diqué sur les lignes 16 et 17 du tableau de  contrôle des     fig.        64A    et 64B. Ce tableau mon  tre que les plaques sont entaillées de telle  sorte que les heures réglementaires et sup  plémentaires et les gains correspondant à ces  heures soient imprimés dans les colonnes 20  et 21 en même temps que les heures et le  montant     correspondant    sont imprimés dans  les colonnes 2 et 3 du bordereau de paye 151  et dans les colonnes 12 et     1.3    du chèque.  



  Le marteau 722, qui imprime dans la co  lonne 22 de la carte de salaires lorsqu'il y a  des gains spéciaux, tels que primes ou bonis,  est commandé par le groupe de plaques 822,  comme indiqué sur la ligne 18 .du tableau de  contrôle     (fig.    64A et     64B).    Les plaques de ce  tableau montrent que les gains spéciaux sont  imprimés dans la colonne 22 lorsqu'on abaisse      les touches  S  ou  X  166     (fig.    2) pour dé  clencher la machine après avoir composé ces  gains spéciaux sur le clavier.  



  Les marteaux 723 à 728 inclus contrôlent  l'impression dans les colonnes 23 à 28 incluse  de la carte de salaires 153 et sont commandés  par les groupes de plaques 823 à 828 incluse,  comme indiqué dans les espaces 19 à 24 inclus  du tableau de contrôle     (fig.    64A et     64B),    de  manière à imprimer les déductions de l'em  ployé dans les colonnes 23 à 28; les plaques  sont, d'après ce tableau, entaillées de telle  façon que ces déductions seront imprimées  après abaissement des touches de déductions  respectives des rangées 3 et 4 en même temps  que les     montants    des déductions composées  sur le clavier à l'aide des touches 161.  



  Le marteau 729, qui imprime les gains  bruts et les gains à la date du règlement dans  la colonne 29 de la carte de salaires 153       (fig.    29), est commandé par le groupe de  plaques 829, comme indiqué sur la ligne 13  du tableau de contrôle     (fig.    65); ce tableau  montre que les plaques sont entaillées de telle  manière que les gains bruts soient imprimés  sous le contrôle du totalisateur d'addition et  soustraction, par le marteau 729 pendant  l'opération, la touche 162  Gains bruts  étant  abaissée, et que les gains à la date du règle  ment soient imprimés pendant l'opération, la  touche 162  Gains à ce jour  étant abaissée;  ces gains sont imprimés d'après le total  extrait du totalisateur  G. T. 3  après abaisse  ment de la touche  Gains à ce jour .  



  Afin d'aligner tous les groupes de plaques  801 à 829 inclus et d'autres groupes de pla  ques sélectrices qui seront décrits par la  suite, on a prévu sur chaque extrémité de  l'arbre 750 une série de disques d'alignement  780     (fig.    57A et 57B) entraînés par les  arbres 484, 436, 450, 473 et 751 et représentés,  en élévation latérale, sur     1w        fig.    48. Avec cha  que groupe des disques d'alignement 780 co  opère un     aligneur    781 porté par un levier  782 qui pivote sur un axe 783 dont une extré  mité est fixée sur la paroi 131 et l'autre sur  la paroi 136. Chaque levier 782 porte un galet  784 maintenu en contact avec une came 785    par un ressort 786.

   Les cames 785 sont calées  sur l'arbre 370 de commande de l'imprimeur  et sont façonnées de telle sorte que, après que  les plaques de sélection ont été     .différentielle-          ment    placées sous le contrôle des touches des  rangées 1, 2, 3 et 4 et du levier de commande  de l'imprimeur du côté gauche de la machine,  les     aligneurs    781 soient mis en prise avec les       disques    entaillés 780 et maintenus en     prise     avec eux jusqu'à ce que les plaques aient  fonctionné pour contrôler les diverses parties  de la machine, telles que les marteaux, les       mécanismes    d'avancement, etc., qu'elles ont à  contrôler.

      <I>Commande de</I>     l'avance   <I>du</I>     numéro        d'brdi-e.     Le mécanisme servant à produire ou à  actionner l'avance du chiffre 1 du numéro  teur     dans    certaines opérations de la machine  est commandé par un groupe de plaques sé  lectrices; ce groupe porte la référence 788,  comme on le voit sur la ligne 26 du tableau  de contrôle     (fig.    64A et 64B). Ce groupe de  plaques est également représenté sur les       fig.    35 et 57B. Il y a, dans ce groupe, quatre  plaques commandées par quatre moyens.

   La  plaque N  1 est commandée par un levier 789  de commande d'impression     (fig.    1 et 72) qui  sera décrit en détail ci-après; ce levier pré  sente les trois positions de réglage suivantes,  désignées par 0, 1 et 2 : N  0, bulletin .de paye  et dividendes, opérations au cours desquelles  le     mécanisme    actionnant le numéroteur doit       fonctionner        après    abaissement de la touche  1,64  Gains antérieurs , de sorte que le nu  méro d'ordre     nécessaire    au chèque     suivant     soit     imprimé    sur celui-ci et aussi sur le bor  dereau. de paye 151.

   La position 1 du levier  est marquée  Numéro d'ordre d'analyse , ce  qui veut dire que le mécanisme du numéro  teur     fonctionne    lorsque le levier 789 se trouve  dans cette position. La position N  2 est. dési  gnée par  Analyse sans numéro d'ordre ,.  c'est-à-dire que, lorsque le levier est dans  cette position, le mécanisme     actionnant    le nu  méroteur est inopérant. Ainsi qu'on le voit à  la ligne 26 des     fig.    64A et 64B, ce levier com  mande la. plaque N  1 du groupe 788 et cette      plaque comprend des encoches aux positions  arabes N  0 et N  1, positions du levier qui  font fonctionner le mécanisme du numéroteur  à condition que les trois autres plaques de  commande de ce groupe, qu'on va décrire,  soient dans leurs positions correctes.

   La se  conde plaque du groupe 788 est commandée  par de dispositif contacteur du chèque, qui  sera décrit ci-après, et cette plaque N  2 com  prend des encoches aussi bien dans la position  arabe que dans la position romaine.  



  La plaque N  3 est commandée par le dif  férentiel de la rangée N  2     (fig.    2); cette pla  que est entaillée aux positions 2, 3 et 4 du  côté arabe qui contrôle les     deuxième,    troisième  et quatrième touches de ce groupe dans les  opérations d'analyse; cette plaque N  3 pos  sède des encoches aux positions romaines II,  IV et     IX,    les positions romaines II et IV ser  vant à l'analyse et la position romaine     IX.     étant la position automatique du différentiel  de la rangée 2 lorsqu'on abaisse la touche   Paye nette , c'est pourquoi il faut une en  coche dans cette position.  



  La plaque 4 comprend des encoches aux  positions zéro et 6, positions arabes, contrô  lant la remise à zéro de la rangée 4 lors des  opérations d'analyse, et possède des encoches  aux positions romaines I, IV et V qui con  trôlent la touche  Paye nette  lors des opéra  tions d'établissement du bulletin de paye par  la position I romaine, les positions romaines  IV et V contrôlant les touches de remise à  zéro de la rangée 2 et de remise à zéro de la  rangée 3 pour vider les totalisateurs des ran  gées 2 et 3 clans les opérations de totalisation  ou d'analyse.  



  Avec ce groupe de plaques coopère le bloc  habituel 767 porté par un bras 790     (fig.    35)  ayant un doigt inférieur qui coopère avec la  plaque N  1 du groupe 788, doigt qui est en  alignement avec les doigts inférieurs habituels  des blocs 767. Sur le bras 790 pivote une arti  culation 791 qui oscille également. sur -un bras  792 tournant sur l'arbre 738. Ce bras 792  porte un galet 793 qui coopère avec une came  fixée sur l'arbre 370 de commande de l'im  primeur. Sur le levier 790 oscille également    une articulation 795 guidée à son extrémité  supérieure sur un goujon 796 de la paroi  auxiliaire 124     (fig.    42B). L'extrémité supé  rieure de l'articulation 795 est pourvue d'une  fente 787 par laquelle passe l'ergot 566 décrit.

    précédemment et fixé sur l'articulation 567  actionnant le numéroteur.  



  Un ressort 797 relié à l'articulation 795  maintient le galet 793 normalement contre la  came 794. Lorsque cette came tourne et pré  sente sa partie basse au galet 793, le ressort  797 déplace le bras dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre, à condition  qu'il y ait, en face des doigts supérieurs du  bloc 767, une encoche dans les trois plaques       N 5    2, 3 et 4 du groupe 788. Du fait qu'il     n'y-          a    pas de doigt supérieur sur le bras 790, il  n'est pas nécessaire qu'il     \T    ait une encoche  dans la position zéro romaine de la, plaque  N  1 du groupe 788.

   Si le bras 790 peut être  déplacé dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre grâce à la position  appropriée des encoches indiquée sur la ligne  26 du tableau de contrôle     (fig.    64A et 64B),  le ressort 797 soulève alors l'articulation 795  et place l'ergot 566 dans la partie verticale de  la fente à baïonnette 565 du levier 564, de  sorte que, lorsque ce levier 564 entre en  action, l'articulation 567 d'entraînement du  numéroteur va se déplacer de manière à faire  avancer .le mécanisme du numéroteur d'un  pas.

   La fente<B>787</B> dans la partie supérieure de  l'articulation 795 contrôle le mouvement de  l'ergot vers la. gauche et, son retour à sa po  sition     normale.    Dans les opérations d'établis  sement des bulletins de paye, les plaques 788  sont réglées de telle façon que le numéro d'or  dre n'avance que dans les opérations dans les  quelles on abaisse la touche<B>162</B>  Gains anté  rieurs .  



  Lorsque le levier 789 se déplace vers la  position N  2, la. plaque N  1 du groupe 788  se déplace sous l'action d'une articulation 798       (fig.    72) oscillant sur une plaque 799 qui  entraîne un pignon interne 800 monté sur  l'arbre carré 751, lequel, comme on se rap  pelle, est l'arbre qui actionne la plaque N  1  du groupe 788 représenté sur la     fig.    35.      Le levier 789 est articulé à une     plaque    841       supportée    par trois goujons 842 fixés sur le  châssis 131 de     l'imprimeur,    comme représenté  sur les     fig.    39 et 72. Le levier 789 porte un  ergot 843 qui coopère avec un levier 841 pi  votant sur un goujon 845 de la plaque 841.

    Le levier 844 est guidé, près de son extrémité  droite, par un goujon à tête 846 fixé sur la  plaque 841. Le levier 844 a trois encoches  847, 848 et 849 avec lesquelles l'ergot 843 du  levier 789 peut coopérer. Un ressort 850 tend  normalement à entraîner les leviers 789 et  844 dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre. Le levier     844    est représenté,  dans la     fig.    72, dans la position du numéro       cl'orclre    d'analyse, l'ergot. 843 étant engagé  dans l'encoche 847.

   Lors de l'établissement       clés    bulletins de paye, le levier 789 est en  traîné par son ressort 850 lorsqu'on enfonce       un    doigt 851     chi    levier     84s,    ce qui permet au  ressort 850 d'entraîner le levier 789 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre     jusqu'à    ce que l'ergot 843 se trouve     au-          dessus    de l'encoche 848; ensuite, lorsqu'on  abandonne le doigt 851, le ressort 850 en  traîne le levier 844 dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre et bloque le  levier 789 dans la position N  0 de bulletin et  (le dividende.

   Lorsque le levier 789 se trouve  clans la position     N     2  Analyse sans numéro       cl'ordre ,    l'ergot 843 coopère avec l'encoche  8-19, ce qui bloque le levier dans cette posi  tion sous l'action du ressort 850.  



  On a également prévu un moyen pour  bloquer le levier 789 définitivement dans cha  que position que lui a     donnée    l'opérateur;  l'opérateur possède une clé à cet effet, qui  s'adapte à, une serrure 852 portée par la pla  que 841. Le nez de la serrure passe par le  coffre 146, comme représenté sur la     fig.    39.  On a prévu -uni pêne spécial 853 qui se place       au-dessous    d'un flasque 854     pour    empêcher  l'abaissement du levier 844 par l'opérateur  manipulant le doigt 851.

   On voit, que, si les  pièces se trouvent dans les positions indiquées  sur la     fig.    72, le pêne se trouve sous le flasque  854 et le levier 789 est par conséquent défi  nitivement bloqué dans cette position jusqu'à    ce qu'on manipule la serrure pour retirer le  pêne spécial.  



  <I>Dispositifs contacteurs du</I>     bordereau,   <I>du</I>       chèque,   <I>de la</I>     carte   <I>de salaires, mécanisme</I>  <I>et commandes.</I>  



  Lorsqu'on se sert de la machine pour l'éta  blissement des bulletins de paye, le disposi  tif contacteur du bordereau contrôle un mé  canisme qui bloque la machine s'il n'y a pas  de bordereau 151 dans la machine et, dans les  opérations d'analyse, la machine sera bloquée  s'il n'y a pas de fiche analytique 154 dans la  machine. Dans les opérations d'établissement  des bulletins de paye, le dispositif contacteur  du chèque     bloque    .la machine s'il n'y a pas  de chèque dans la position convenable pour  recevoir l'impression et le dispositif contac  teur de la carte de salaires bloque la machine  s'il n'y a pas dans la machine de carte clé sa  laires 153 pour recevoir l'impression néces  saire.  



  On a prévu un contacteur de bordereau  857     (fig.    39) oscillant sur l'arbre 730     (fig.    90),  un contacteur de chèque 858 pivotant sur  l'arbre 730 pour coopérer avec le chèque 152  et un contacteur de carte de salaires 859       (fig.    43A et 43B) pour coopérer avec la  carte de salaires 153. Ce contacteur 859 oscille  sur l'arbre 731.  



  Les mécanismes prévus pour     déplacer    vers  le haut les contacteurs en     vue    de leur coopéra  tion avec leurs supports respectifs sont exacte  ment les mêmes; la description de l'un     d'eux     suffira donc. En se reportant tout particulière  ment à la     fig.    90, on voit que sur chacun des  contacteurs 857, 858 et 859 pivote     une    articu  lation 860 qui oscille, près du milieu, sur     un     axe 861 porté par un bras 862 qui pivote sur  un arbre 737. Le bras 862 pour le contacteur  de la carte de salaires tourne sur l'arbre 738       (fig.        43B)    qui est, comme on sait, en aligne  ment axial avec l'arbre 737.

   Cette articulation  860     (fig.    90) se prolonge à droite et porte  un flasque qui est normalement. en contact  avec la périphérie d'une came 864     (fig.    91)  montée sur l'arbre 370 d'entraînement de  l'imprimeur. Un autre     bras    865, qui est soli-      claire du bras 862, est pourvu d'une encoche  dont le but sera décrit ci-après.

   La distribu  tion des temps de     fonctionnement    de la came  864 est indiquée à la ligne 6 du tableau des  temps (fi-. 109); immédiatement après le  commencement de la rotation de l'arbre 370  dans le sens des aiguilles d'une montre, la  périphérie de la came 864 s'écarte du flasque  863;à ce moment, un ressort 867 relié au con  tacteur 858 entraîne ce dernier dans le.     sens     des aiguilles, d'une montre et, s'il n'y a pas de  chèque dans la machine, le contacteur 858  continue son mouvement dans le même sens  sous l'action du ressort 867 jusqu'à ce que       l'extrémité    supérieure du contacteur pénètre  dans un trou du coffre 146 et également dans  un trou du guide-chèque 868.

   Ce mouvement  du contacteur 858 déplace l'articulation 860  et les bras 862 et 865 de la position indiquée  sur la     fig.    90 à celle de la     fig.    91, où un     cli-          quet    875 sera entraîné par son ressort 876  dans l'encoche 866 du bras 865. Ce     cliquet     875 est articulé à un levier 877 qui,     lui-          même,    tourne sur l'arbre 737.

   Le levier 877  porte un tenon 878 engagé par un bras en  fourche 879 sur lequel est fixé un galet 880  coopérant avec une came 881     (fig.    92) (ligne  8 du tableau des temps,     fig.    109) montée sur  l'arbre 370 de     l'imprimeur.    Ce bras S79 est  monté sur une tige 882 (le bras 879,     fig.    43B,  pour la carte de salaires est monté sur l'arbre  883 qui est en     alignement    axial avec la tige  882). Comme représenté sur les     fig.    42A et  42B, la tige 882 est supportée par les châssis  132 à 134 de     l'imprimeur    et l'arbre 883 est  supporté par les châssis 135 et 136 de l'impri  meur.

   Un ressort 884 tend constamment à  tenir le galet 880 contre la surface de la  came 881.  



  Dès que l'articulation 860 s'est déplacée de  la position indiquée sur la     fig.    90 à celle de  la     fig.    91, la came 881, en agissant sur le ga  let 880, déplace le bras 879 dans le sens con  traire à     celui    des aiguilles d'une montre, ce  qui déplace le levier 877 dans le sens des  aiguilles d'une montre de la position de la       fig.    90 à celle indiquée sur la     fig.    92.  



  On se rappelle que le cliquet 875 s'est engagé    dans l'encoche 866 du bras 865 lorsque l'ar  ticulation 860 a été déplacée à gauche du fait  qu'il n'y avait pas de chèque 152 sur le coffre  146 au-dessous du     guide-chèque    868. Ce mou  vement du cliquet 875 suffit pour placer son  extrémité supérieure     au-dessous    d'un épaule  ment 885 d'un levier 886 pivotant sur l'ar  bre 737. Ce levier 886 est pourvu d'une fente  dans laquelle passe un galet 888 porté par  une plaque 889 qui a une denture intérieure  engrenant avec un pignon 890 monté sur  l'arbre 753     (fig.    90).  



  On voit d'après ce qui précède que, comme  le cliquet 875 se trouve au-dessous de l'épau  lement 885 du levier 886, ce levier 886, lors  que le levier 877 se déplace à, l'aide de la  came 881 dans le sens des aiguilles d'une  montré se déplace également de la position  indiquée sur la     fig.    90 à la. position de la       fig.    92 où la fente 887; en coopérant avec le  galet 888, déplace la plaque 889 dans le       sens    contraire à celui des aiguilles d'une  montre, de manière à entraîner l'arbre 753, et  cet arbre, comme on l'a décrit. ci-dessus,  ajuste les plaques à encoches appropriés des  groupes de plaques 801 à 829, de manière à  empêcher le fonctionnement. des marteaux 712  à 719 destinés à effectuer des empreintes dans  les colonnes 12 à 19 du chèque.

    



  Lorsque le cliquet<B>875</B> se déplace vers le  haut sous l'action du mouvement du levier  877 dans le sens des aiguilles d'une montre,  ce     cliquet,    étant encore engagé dans l'encoche  866, déplace le bras 865 et le bras solidaire  862 dans le sens des aiguilles d'une montre de  la position indiquée sur la     fig.    91 à la posi  tion de la     fig.    90, ce qui ramène le contacteur  858 dans le sens .contraire à celui des aiguilles  d'une montre à     la'position    normale. Au cours  de cette opération du mécanisme qu'on vient.

    de décrire, le ressort. 884, étant relié au bras  879 et au levier 886,a été tendu et cette ten  sion contribue à ramener ces pièces à, leurs  positions normales     lorsque    la came 881 appro  che de sa position normale. L'action de ce res  sort a également pour effet. de déplacer, par  l'intermédiaire d'une came 892     (fig.    92) Fixée  sur l'arbre 370 de l'imprimeur et qui est en      contact avec un galet 893 porté par le levier  877, ce dernier dans le sens contraire à celui  clés aiguilles     d'une    montre vers sa position  normale, ce qui ramène, par l'ergot 878, le  bras 879 dans le sens des aiguilles     d'une    mon  tre définitivement à la position normale.

   Le       levier    877, comme il est ramené par son con  tact avec un ergot 894 à sa position normale,  ramène le levier 886 dans le     sens    contraire à  celui des aiguilles d'une montre à sa position  normale, à la suite de quoi la fente 887 dé  place la plaque 889 dans le sens des aiguilles  d'une montre, à la position indiquée sur l'a       fig.    90, ce qui fera tourner l'arbre 753 du  contacteur et tous les disques de contrôle en  arrière vers leurs positions normales.  



  Comme le fonctionnement de ce mécanisme  est très rapide, on a muni le levier 886 d'une  butée 895     (fig.    92) qui normalement repose  sur un moyeu de la came 881. Ce levier 886  est pourvu d'un autre épaulement d'arrêt 896       (fig.    90)     qui    est en contact avec le même  moyeu lorsque le mécanisme a été placé dans  sa position extrême pour faire tourner ou dé  placer l'arbre 753 s'il     n'y    a pas de chèque 152  dans la machine.  



  Il ressort de la description ci-dessus que,  lorsque la plaque 889     (fig.    90) se déplace du  fait qu'il n'y a pas de chèque     dans    la ma  chine, .cette plaque 889 actionne, par     l'inter-          inédiaire    de l'arbre 753, toutes les plaques  montées sur cet arbre et qui appartiennent  aux groupes de plaques 812 à 819 inclus, de  façon à empêcher le fonctionnement de tous  les marteaux 712 à 719 inclus s'il n'y a pas   < le chèque dans la machine. Ces 'plaques de  contrôle dont oui     nient    de parler pour les  groupes 812 à 814 sont. indiquées sur les  lignes 1.3 et 14 du tableau de contrôle  (fi-.     64A    et 64B).

   Les plaques de contrôle  des groupes clé plaques 815 à 819 inclus sont  indiquées sur les lignes 8 à 12 incluse du ta  bleau de contrôle de la     fig.    65 et la plaque  du groupe 813 est indiquée sur la     fig.    50.  



  Si, au contraire, il se trouve un chèque  dans la machine, le dispositif contacteur 858  se déplace seulement jusqu'à ce qu'il touche  le dos du chèque 152, à la suite de quoi l'ar-         ticulation    860 n'effectue qu'une partie du  parcours entre les positions indiquées sur les       fig.    90 et 91, cela ne suffit pas à amener l'en  coche 866 en face     du-cliquet    875 et, par con  séquent; ce dernier se pose sur la. surface 899  du bras 865 et ne peut pas tomber     au-dessous     de l'épaulement 885 du levier 886.

   En consé  quence, lorsque le levier 877 est. déplacé ou       actionné    par la came 881 de la manière     dé-          erite    précédemment, le bras 865 n'est pas dé  placé et peut rester clans la position indiquée  sur la     fig.    90 du fait que le nez du cliquet  875 repose sur la surface 899 du bras 865 à  vide jusqu'à ce qu'il saisisse le bras 865 et le  ramène à sa position normale représentée sur  la     fig.    90.  



  Le dispositif contacteur 857     (fig.    39 et  68) du bordereau contrôle tous les marteaux  701. à<B>711</B> inclus, de manière à empêcher le  fonctionnement de ces     marteaux    lorsqu'il n'y  a pas de bordereau de paye 151 entre les pla  ques de     guidage    898     (fig.    68 et 70) pour re  cevoir les .données     imprimées    lors     d'une    émis  sion     d'iin    chèque de paye.  



  Le contacteur 857 est commandé par     Lin     disque ou une plaque 901     (fig.    39 et     57A)    qui  porte un galet 902 coopérant avec le levier  886 qui actionne le contacteur du bordereau.  Cette plaque 901     entraîne    l'arbre 754 du con  tacteur du bordereau;

   ainsi qu'il a été exposé  précédemment, cet arbre porte tous les, grou  pes de plaques 801 à 811, comme indiqué sur  la ligne 6 du tableau de contrôle     fig.    65, et  sur les lignes 3 à 12 du tableau de contrôle  des     fig.        64A    et 64B, et comme il a été égale  ment expliqué     ci-dessus,    ces plaques contrô  lent positivement tous les marteaux 701 à 711  inclus, de manière à empêcher le fonctionne  ment d'un seul d'entre eux si on n'a pas in  troduit un bordereau de paye 151 entre les  plaques de guidage 898 pour recevoir les em  preintes lors d'une impression d'un chèque.  



  Des cames conjuguées 903 et 904     (fig.        46A)     actionnent, en liaison avec le mécanisme con  tacteur du bordereau, le levier<B>877</B> et le bras  879 de la même façon que les cames 881 et  892 actionnent ces leviers et bras pour le chè  que, à l'exception de la distribution du temps      qui     diffère    légèrement., comme on le voit sur  le tableau des temps, ligne 7     (fig.    109).  



  Le dispositif contacteur 859     (fig.    43A et  43B) de la carte de salaires contrôle tous les  marteaux 720 à 729 inclus, dé manière à em  pêcher le fonctionnement de l'un quelconque  d'entre eux lorsqu'il n'y a pas de carte de sa  laires 153 dans la machine pour recevoir les  impressions des données lors de l'impression  du bordereau et du chèque.

   Le mécanisme  d'entraînement du contacteur, tel qu'il a été  décrit en liaison avec le chèque     (fig.    90 et 92),  coopère avec une plaque de contrôle 906 qui  entraîne l'arbre 752, lequel, comme on se rap  pelle; porte dans     chacun    des groupes 820 à  829 inclus     une    plaque de contrôle mentionnée  dans les espaces 16 à 24 du tableau de con  trôle     (fig.    64A et 64B) et sur la ligne 13  du tableau de .la     fig.    65 et qui sert à contrôler  chacun des marteaux 720 à 729     inclus    lorsque  le contacteur 859 ne rencontre pas de carte  de salaires 153 entre les plaques de guidage  908     polir    cette carte pour recevoir les impres  sions.  



  Le levier 877 et le bras 879 associés au  contacteur de la carte de salaire, sont action  nés par des cames conjuguées 909 et 910       (fig.    43B) et fonctionnent exactement aux  mêmes endroits que les cames 903 et 904 pour  le bordereau, comme indiqué sur la ligne 7  du tableau des temps     (fig.    109).

      <I>Verrouillage de</I>     la        viachine    soies le<I>contrôle</I>  <I>du</I>     dispositif   <I>contacteur du</I>     chèque,   <I>du dispo-</I>  <I>sitif</I>     contacteur   <I>du</I>     bordereau   <I>et du dispositif</I>  <I>contacteur de</I>     les   <I>carte de</I>     salaires.     



  Le mécanisme qu'on va décrire sert à  verrouiller la machine lorsqu'elle ne contient  pas de bordereau 151, de chèque 152 ou de  carte de salaires 153 pour l'opération sui  vante, afin d'empêcher une     deuxième    opéra  tion si     l'in    de ces formulaires manque dans  la     machine.     



  Lorsqu'on met la machine en marche pour       une    opération sans qu'il y ait un de ces sup  ports dans la machine, l'opérateur doit, étant  donné que la machine est bloquée afin d'em  pêcher une opération suivante, la débloquer    à l'aide     d'un.    mécanisme de déblocage manuel  spécial qui sera décrit ci-après et procéder  ensuite à une opération de correction,     c'est-          à-dire    extraire le montant du totalisateur d'ad  dition et soustraction pour que la paye nette  de l'employé soit exacte lors de l'émission du  chèque.  



  Si cette opération de correction n'était pas  effectuée, le totalisateur d'addition et sous  traction indiquerait. le double du montant  pour les heures réglementaires, et la paye  brute et la paye nette     seraient.    toutes deux  fausses.  



  Tout ce qu'il est nécessaire de faire pour  bloquer la machine de manière à interdire  une opération suivante dont on vient de par  ler est d'empêcher le mouvement de l'arbre  149 de verrouillage des touches dans le sens  des aiguilles d'une montre. En se reportant  aux     fig.    33, 34 et 97, on se rappelle que, lors  que l'arbre 149 de verrouillage des touches se  déplace dans le     sens    des aiguilles d'une mon  tre, l'arbre 628 subit en même temps sous  l'action de l'articulation 626 et du bras 627  un mouvement dans le sens des aiguilles  d'une montre. Sur cet arbre 628 est fixé un  bras 915 sur lequel pivote une articulation  916 oscillant par son extrémité inférieure sur  un levier de blocage 917 monté à rotation sur  Marbre 665 à, caractères.

   Le levier 917 possède  un doigt     918-à    angle droit qui peut coopérer  avec l'extrémité supérieure d'un bras de blo  cage 919 pivotant sur un arbre 920 qui est  supporté par les châssis 135 et 136 de l'im  primeur, comme indiqué sur la     fig.    42B. Un  ressort 921 entraîne* un doigt 922 du bras  919 au-dessous d'un verrou 923     d'un    bras  924 qui est fixé sur un arbre 925 supporté  par le .châssis gauche 131 de l'imprimeur et  par     une    console 926 fixée à la traverse 138.  Un ressort<B>927</B> maintient le verrou 923     au-          dessus    du doigt 922 du bras de blocage 919.  



  On se rappelle que, lorsque l'arbre 149 de  blocage des touches se déplace dans le sens  des aiguilles d'une montre, l'arbre 628 tourne  dans le même     sens    en soulevant.     ainsi    l'articu  lation 916 qui entraîne le levier 917 dans le  sens des aiguilles d'une montre et, si les      pièces<B>se</B> trouvent dans les positions indiquées  sur la.     fig.    97, un tel mouvement. du     levier    917  est possible.

   Mais si la machine ne contient  pas un     bordereau    151 ou un chèque 152 ou  une carte de salaires 153, le bras de blocage  919 est dégagé, par des moyens qui seront. dé  crits ci-après, du verrou 923 grâce à la rota  tion de l'arbre .925 dans le sens des aiguilles  d'une montre, à la suite de quoi le ressort 921  entraîne le bras 919     au-dessous    du doigt 918  du levier 917 en empêchant ainsi tout mouve  ment de l'arbre 628 et de l'arbre 149 de blo  cage des touches et en verrouillant par consé  quent la machine.  



  - Le mouvement ci-dessus du bras de blo  cage 919 dans le sens des aiguilles dîme mon  tre sous l'action de son ressort 921 est. limité  par un doigt 928 du bras 919, ce doigt en  trant en contact avec un goujon 929 porté  par une coulisse de     déverrouillage    930 sup  portée, elle-même, par l'arbre 920 et sur un  goujon 931 du châssis 135 de l'imprimeur et  maintenue en contact avec le goujon 931 par  un ressort 932, comme représenté sur la     fig.    97.  



  *Lorsque la machine est verrouillée pour  une opération ultérieure, comme on l'a expli  qué     plus    haut, par la position du bras 919       î        au        -dessous        du        doigt        918,        l'opérateur        doit        libé-          rer    ce verrou pour pouvoir procéder à l'opé  ration suivante en corrigeant le totalisateur  d'addition et soustraction, comme indiqué  plus haut.

   Ce déblocage s'opère par l'opéra  teur en repoussant la coulisse de déblocage  930 vers la droite, sur la     fig.    97, à la     suite     de quoi .le goujon 929 déplace, par son contact  avec le doigt 928, le bras 919 dans le     sens    con  traire à celui des aiguilles d'une montre et le  doigt 922 entre en contact avec la partie su  périeure avant du verrou 923 et repousse le  verrou     92-1    dans le sens des     aiguilles    d'une  montre contre l'action de son ressort 927 jus  qu'à ce que le doigt 922 se trouve au-dessous  du verrou 923,

   après quoi le ressort 927 en  traîne le verrou 924 dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre pour bloquer  le     bras-verrou    919 dans la position indiquée       sur    la     fig.    97.  



  L'arbre 925 peut pivoter     clans    le sens des         aiguilles        d'une    montre, de     manière    à dégager  le verrou 923 du     bras--verrou    919 sous le con  trôle du     contacteur   <B>857</B> du bordereau, du con  tacteur 858 du chèque, du     contacteur    859 de  la carte de salaires et des groupes de plaques  de contrôle     qui    leur sont associés; on va  maintenant décrire le premier groupe 935       (fig.    57B), indiqué sur la ligne 15 du tableau  de contrôle     (fig.        64A    et 61B).

   Ce groupe com  prend quatre plaques, dont la première est  contrôlée par le levier 789 (fi-. 72) de com  mande .de l'imprimeur, la seconde par le con  tacteur 858     (fig.    90), la troisième par le diffé  rentiel de la rangée 2 et la quatrième par le  différentiel de la rangée 1. Le tableau de con  trôle montre que la plaque N  1 a     ime    encoche       dans    la. position zéro du     levier    789 qui est la  position du levier pour l'établissement du bul  letin de paye.

   La plaque N  2 a.     une    encoche,  entaillée à la. position I     romaine;    cette plaque  est commandée par le     contacteur    du chèque  et subit, comme on se rappelle, un léger mou  vement sous l'action du mécanisme d'entraî  nement du chèque -des     fig.    90, 91 et 92, méca  nisme     q111    fait tourner la plaque N  2 de ma  nière à aligner cette position I (romaine) à  la position zéro (arabe).

   La plaque N  3, com  mandée par le différentiel de la rangée 2,  comprend une encoche dans la position 1  (arabe) ; la raison en est que ce différentiel  s'arrête dans la position 1 lorsqu'on abaisse  la touche  Gains antérieurs  qui est la pre  mière opération pour l'établissement     d'un,     chèque de paye et au cours de laquelle, comme  on sait, le numéro     d'ordre    s'imprime aussi  bien sur le chèque que sur le bordereau. La  plaque 4 possède une encoche à la position  zéro (arabe), position d'addition du différen  tiel de la rangée de totalisation qui est la ran  gée 1.

   En conséquence, lorsqu'il n'y a pas de  chèque sur la machine, un bras 936     (fig.    97)  du contacteur et son bloc 767 peuvent se dé  placer dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre sous l'action d'un res  sort 937 qui est relié à un bras 938 fixé de  façon rigide au bras 936. Sur le bras 938 pi  vote une articulation 939 qui oscille également  sur- un bras 940 fixé sur l'arbre 925.

        Lorsque l'arbre 762     subit    une rotation  dans le sens     contraire    à     celui    des aiguilles  d'une montre, de la. manière décrite précé  demment et que le bras<B>765</B>     (fig.        57P?)    se  déplace avec     lui,    le ressort 937 peut alors en  traîner les bras 938 et 936, à la suite de quoi  les doigts     inférieurs    du bras 936 ainsi que le  bloc.

   767 pénétreront dans les encoches de  toutes les plaques du groupe 935, s'il n'y a  pas de chèque     dans.la    machine, en déplaçant  par conséquent l'articulation 939 à droite et  en faisant osciller l'arbre 925 dans le     sens     des aiguilles d'une montre, 'de manière à dé  gager son verrou 923 du doigt 922 du     bras-          verrou    919 et à bloquer ainsi la machine pour       une    opération suivante qui ne peut. pas être  exécutée avant qu'on ait inséré     in    chèque  dans la     machine.     



  En d'autres termes, le     levier    789 doit se  trouver dans la position nécessaire pour rem  <B>plir</B> un chèque, le contacteur 858 du chèque  doit être actionné et ne pas rencontrer un  chèque, la touche 164  Gains antérieurs  doit  être abaissée et le différentiel de la rangée 2  arrêté     dans,    la position 1 et le différentiel de  la rangée doit se trouver naturellement dans  la position d'addition qui est la position zéro,  comme indiqué sur la ligne 15 du tableau de  contrôle. Ce n'est que lorsque toutes ces con  ditioÈs sont remplies que le bras-verrou 919  entre en action pour verrouiller la machine.  



  L'arbre 925     (fig.    39 et 97) peut également  être actionné de     manière    à placer le     bras-          verrou    919 au-dessous du doigt 918 lorsqu'il       n-'y    a pas de carte de salaires 153 dans la ma  chine;     cette    commande s'effectue sous le con  trôle du groupe de plaques 945     (fig.    39) ins  crit sur la ligne 1 du tableau des     fig.    64A et  64B.

   La plaque 1 de ce groupe comprend une  encoche dans la position I (romaine), de sorte  que, lorsque la plaque 906     (fig.43B)    se dé  place, la plaque de ce groupe 945 est déplacée  par l'arbre, de manière à présenter l'encoche  de la position I (romaine) an doigt du con  tacteur. La plaque N  2 est commandée par  le différentiel de la rangée 4 et comprend,  par conséquent, des encoches dans les posi  tions 5, 6, 7 et 8 (arabes) qui correspondent    respectivement     aux    touches des     gains    166,   Y ,      S ,     T  et  R . La plaque N  3 est.

    commandée par le différentiel de la rangée 2  et     comprend    une encoche à la position 9 (po  sition     automatique    pour la sélection du tota  lisateur d'addition et soustraction). La plaque  4 est commandée par la rangée 1 et possède  une encoche à la position zéro (arabe) ou po  sition d'addition. Ainsi, lorsqu'on . abaisse  l'une des touches  N .  S>>,  T  ou      R.>>    pour  composer -un montant, le différentiel de la  rangée 4 est arrêté dans une position corres  pondante, le différentiel de la rangée 2 est.

    arrêté automatiquement dans la position 9,  comme expliqué ci-dessus, et le différentiel de  la rangée 1 est arrêté dans la position zéro  ou d'addition; s'il n'y a pas de carte de sa  laires dans la machine, toutes les quatre en  coches s'aligneront sur les doigts contacteurs  inférieurs d'un     levier    contacteur 946 (fia. 39),  identique au bras contacteur<B>9ô6</B> de la fi,-.<B>97.</B>  A ce levier contacteur 946 est. fixé un bras  948 auquel est fixé un ressort. (non repré  senté),     mais    analogue au ressort 937. Une  articulation 949 pivote d'un côté sur ce bras  948 et d'un autre .côté sur un bras 950 fixé  sur l'arbre 925.

   On voit d'après ce qui pré  cède que, lorsque les encoches de toutes les  plaques de contrôle du groupe 945 sont ali  gnées sur le .doigt inférieur du bloc contac  teur 767 et sur le doigt du levier 946, le res  sort, comme le ressort 937, entraîne le bras  948 et déplace par l'articulation 939, à l'aide  du bras 950, l'arbre 925 dans le     sens    des  aiguilles     d'une    montre, de manière à abandon  ner le     bras-verrou    919 à l'action du ressort.  921 qui place le doigt 918 de façon à empê  cher le déclenchement ou mouvement .de l'ar  bre 149 de blocage des touches s'il n'y a pas  de carte de salaires dans la machine lors de  l'impression d'un chèque de paye.  



  Lorsqu'il n'y a pas de bordereau de paye  151 dans la machine, le bras-verrou 919 peut  se placer au-dessous du doigt 918, du fait. du  mouvement de l'arbre 925 sous le contrôle  d'une plaque de contrôle unique 955     (fig.    39  et 98)     pourvue    d'une encoche dans la position  I (romaine), de sorte que, lorsque l'arbre 754      avec la plaque 955 est. entraîné par la plaque  901, l'encoche est, placée en face d'un doigt  d'un levier contacteur 956;

   ce doigt est en  traîné dans cette encoche par un ressort 957  relié à un bras 958 qui est. fixé de façon ri  gide au levier 956, si le bras régulier 765,  monté sur l'arbre 762, permet un tel mouve  ment à la suite du mouvement de l'arbre 762  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre, comme indiqué précédemment.

    Lorsque le levier 956 se déplace dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre  (fi-. 98), une articulation 959, pivotant sur  le bras 958 et reliée à un bras 960 qui est  calé sur l'arbre 925, déplace le bras 960 et  l'arbre 925 dans le sens des aiguilles d'une  montre, de manière à dégager le verrou 923  du doigt 922 faisant partie du     bras-verrou     919 et son extrémité supérieure se trouvera  au-dessous du doigt 918 pour empêcher le dé  clenchement en cas d'absence dans la machine  d'un bordereau de paye 1.51 pour recevoir les  empreintes lors de l'impression d'un chèque.       Mécanisme        d'avance        du        chèque.     



  Le chèque de paye 152 peut être introduit  dans la machine pour recevoir les données se  rapportant à la paye de l'employé, entre les       bras    latéraux d'un guide-chèque 961     (fig.    1)  au-dessous d'un déflecteur 962     (fig.    71) jus  qu'à une butée 963 pour occuper la position  indiquée sur la     fig.    71. De cette façon, le chè  que se place sur le guide-chèque 868 inférieur  et au-dessous des roues à caractères, associées  aux marteaux 712 à 719<B>(fi-.</B> 58A et 58p).

    Le bord arrière du chèque tombe sur une  paire de rouleaux d'alimentation 964 et     au-          dessous    d'une paire de     rouleaux    tendeurs 965  qui peuvent entrer en contact avec le chèque,  de sorte que, lorsque les rouleaux d'alimenta  tion 964 tournent, le chèque est amené vers  diverses positions. A partir de la position  d'insertion, le chèque subit d'abord un mou  vement initial. Il est ensuite ramené en arrière  pour recevoir l'impression des heures et des  gains, après quoi il avance d'un pas pour la  seconde impression, celle des heures et des  montants supplémentaires. Le prochain avan-         cement    à la troisième position sert à l'impres  sion du montant brut de la paye de l'em  ployé.

   Si l'employé doit toucher d'autres  gains spéciaux,     tels    que primes ou bonis, le  chèque avance d'un pas à droite de la seconde  position d'impression pour la prime et d'un  autre pas à droite pour les     bonis    avant l'im  pression du montant brut. Le mouvement sui  vant après l'impression du montant brut est  un mouvement en arrière vers la quatrième  position d'impression pour la première déduc  tion. Ensuite, les déductions s'impriment par  les opérations successives de la machine et le  chèque 152 avance chaque fois d'un. pas .jus  qu'à ce qu'il arrive finalement à la huitième  position qui est celle de la cinquième déduc  tion.

   (Le nombre des déductions peut varier  d'un à n'importe quel nombre fixé par l'em  ployeur, de sorte qu'au lieu de cinq déduc  tions il peut y en avoir une ou sept ou huit.)  Après la dernière déduction, le chèque 152  est amené vers la neuvième position ou posi  tion d'impression de la paye nette et ce mou  vement est un mouvement en arrière.  



  On va maintenant décrire les     moyens    des  tinés à faire avancer le chèque de la position  d'insertion manuelle,     indiquée    sur la     fig.    71,  jusqu'à la position finale de  Paye nette .  



  Les rouleaux d'alimentation 964 sont fixés  sur un arbre 966     (fig.        42A)    supporté par un  bossage 967 du côté du châssis     133    .de ).'im  primeur et par le châssis 134 de l'imprimeur       (fig.        42B).     



  Les rouleaux tendeurs 965     (fig.    67 et 103)  sont portés par une paire de bras 968     reliés     par une bride et pivotant sur un arbre 969  supporté par des consoles 970 montées sur la  base 123. Sur l'arbre 969, près de chacun des  bras 968 de la bride, est monté un bras 971  muni d'un doigt 972 contre lequel s'appuie  un ergot 973 du bras 968 sous l'action d'un  ressort de torsion 974.  



  Sur la     fig.    67, les rouleaux tendeurs 965  sont représentés dans leurs positions normales,  débrayés des rouleaux d'alimentation 964.  Lors de la rotation de l'arbre 969 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre, les rouleaux 965 s'abaissent vers les po-      situons indiquées sur les     fig.    87, 88 et 103, de  manière à serrer le chèque 152, de sorte que,  lorsque les rouleaux d'alimentation 964 tour  nent sous l'action des moyens qui seront dé  crits ci-après, le chèque 152 avance vers les  différentes positions d'impression 1 à 9 pour  recevoir les données nécessaires se rapportant  aux gains de l'employé.

   Afin de déplacer les  rouleaux tendeurs 965 de la position normale  indiquée sur la     fig.    67 vers la position de ser  rage indiquée sur la     fig.    103, on a prévu     une     came 975 fixée sur un manchon 976 com  mandé, par des moyens qui seront décrits     ci-          après,    par l'arbre à cames 370 de commande  de     l'imprimeur,    et cette came est en contact  avec un galet 977 fixé sur un levier coudé  978 et déplace le levier coudé dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   Ce levier coudé pivote  sur un goujon 979 du châssis 134 de l'impri  meur et sur une articulation 980 pourvue       d'un    ergot 981 engagé avec un bras 982 qui  est fixé sur l'arbre 969 de tension; par con  séquent, lorsque le     levier    coudé 978 se déplace  dans le     sens    des aiguilles d'une montre de la  position indiquée sur la     fig.    66 à celle de la       fig.    103, le bras 982 et l'arbre 969 se dépla  cent dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, de façon à mettre les  rouleaux tendeurs 965 en contact avec le  chèque qui était placé sur les     rouleaux        d'ah-          mentation    964.

   Le levier coudé 978 est muni  d'un goujon aplati 983 qui est engagé par un  verrou fixé sur un court arbre 985 qui, lui,  est supporté par le châssis 134 de l'impri  meur, et maintient les rouleaux     tendeurs    -965  embrayés pour l'avancement jusqu'à ce qu'ils  soient débrayés par le mécanisme     éjecteur    du  chèque qui sera décrit ci-après.  



  Au moment où les rouleaux tendeurs 965  se déplacent. vers la position indiquée sur la       fig.    103, la butée 963 s'abaisse en s'écartant  du chemin du chèque, de sorte qu'il puisse  être avancé par les rouleaux 964 et 965. La  butée 963 est fixée sur un bras 986 monté  sur un arbre 987 qui est supporté par les  châssis 133, 134 et 135 de l'imprimeur       (fig.        42A    et 42B). Sur l'arbre 987 est égale  ment monté un coude 988 appuyé, dans la         fig.    66, contre un ergot 989 par     iun    ressort  990.

   Lorsque l'articulation 980 passe de la. po  sition de la fi-. 66 à la position indiquée sur  la     fig.    103, l'ergot 989 déplace le coude 988  et l'arbre 987 dans le sens des aiguilles d'une  montre en déplaçant ainsi le bras 986 et en  plaçant la butée 963 au-dessous du trajet que  parcourt le chèque 152.  



  Immédiatement avant que le chèque Soit  éjecté par des moyens qui seront décrits     ci-          après,    le verrou 984     (fig.    66) est déplacé dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre, de manière à le dégager de l'ergot  983, à la suite de quoi le ressort 990 entraî  nera l'articulation 980 vers la gauche (en re  gardant la     fig.    103) pour soulever les rou  leaux tendeurs 965 et les écarter des rouleaux  d'alimentation 964, de sorte que le chèque  puisse être éjecté au moment voulu.  



  En même temps, le ressort 990 entraîne le  coude 988 et le bras 986 dans le sens cou  traire à celui des aiguilles     d'une    montre pour  placer la butée 963 sur le chemin du chèque  152 à introduire à la main, afin d'arrêter ce  lui-ci dans la position convenable.  



  L'avancement du chèque     1:52    de la position  d'insertion manuelle indiquée sur la     fig.    71  vers la position du mouvement initial s'ob  tient au moyen d'un mécanisme représenté  sur les     fig.    67, 83, 86 et 87 qu'on décrira     ci-          après.     



  Sur l'arbre 966 est fixée une roue dentée  991 qui peut engrener avec une crémaillère  992     môntée    à glissement sur un goujon 993  porté par le châssis 134 et guidée, par l'extré  mité dé droite, entre des goujons 994 égale  ment fixés sur le châssis 134. Sur le man  chon 976 entraîné, comme on le sait., par  l'arbre 370, est fixée une came 995 coopérant  avec un galet 997 d'un bras 996 pivotant sur  -Lui axe 998 porté par le châssis 134. Un res  sort 999 maintient le galet 997 normalement  contre la came 995. Le bras 996 s'engage sur  un goujon 1000 d'une barre 1001 montée de  manière à glisser sur le goujon 993 et entre  les goujons 994. Sur cette barre 1001 pivote  une     languette    1002 pouvant coopérer avec un  bloc<B>1003</B> porté par la crémaillère 992.

   Lors-      que la carne 995 actionne le bras 996, la ]an  guette 1002 déplace, en coopérant avec le bloc  l.003, la crémaillère 992 de la position indi  quée sur la     fig.    86 vers celle de la     fig.    87, à  la suite de quoi le chèque 152 se déplace de la  position d'insertion manuelle vers la position  (lu mouvement initial de la<U>fi-.</U> 71.  



  Sur la crémaillère 992 est fixée, de ma  nière à se déplacer avec elle, une barre 1004  ayant un épaulement 1005     (fig.    85) pouvant  coopérer avec     rune    languette 1006 montée à  oscillation sur une barre 1007 qui glisse sur  le goujon 993 et entre les goujons 994. Cette  barre 1007 peut être repoussée vers la     gau-          elie    de la position indiquée sur la fi-.<B>88</B> par  une came 1008 par l'intermédiaire     d'un    bras  1.00,9 au même moment que la crémaillère est  repoussée vers la gauche par la came 995.

         Après    que la barre 1007     commence    à se dé  placer vers la gauche     (fig.    88), la languette  1006 se déplace, sous l'action d'un ressort.  1010, dans le sens des aiguilles d'une montre,  de manière à se placer sur le chemin de  l'épaulement 1005 de la barre 1004, de sorte  que, comme la came 995 permet à un ressort  1011 d'entraîner la .crémaillère 992 vers la  droite, la languette 1006 se trouvera sur le  chemin de     l'épaulement    1005 et arrêtera la  crémaillère 992 lorsque l'épaulement 1005  entrera en contact avec la languette 1006,  <B>,</B> que le chèque 152 sera ramené en  <B>ï</B> alor,  arrière vers la position des heures et des       gains,    ou première position d'impression.

   Mais  la barre 1001 sera ramenée entièrement à la  position indiquée sur la     fig.    86 en laissant un       écartement    plus grand entre la languette  1002 et le bloc 1003 de la crémaillère 992. Ce  pendant, la barre 1007 ne retournera pas à la  position indiquée sur la     fig.    88 et il y     aLira,     par conséquent, un jeu entre la came 1008 et  le galet du bras 1009 à la fin clé cette opéra  tion     particulière,    comme il ressort de la  83.  



  La. barre 1007 est maintenue dans la posi  tion indiquée sur les     fig.    83 et 85, qui est la  première position d'impression du chèque 152,  par un cliquet 1012 qui s'engage sur     Lin    épau  lement 1013 du côté inférieur de la barre    1007. Le cliquet 1012 pivote     siu    un axe 1014  porté par le châssis 134 et est normalement  entraîné par un ressort 1015 dans le sens des  aiguilles d'une montre, de manière à tenir la  pointe du cliquet 1012 contre la surface infé  rieure de la barre 1007, de sorte que, lorsque  la barre 1007 se déplace vers la gauche,  comme expliqué ci-dessus, la pointe du cliquet  1012 s'engage à droite de l'épaulement 1.013  lorsque la barre a été déplacée vers la posi  tion indiquée sur la     fig.    85.  



  La languette 1002 est normalement en  traînée par     un    ressort 1016 dans le sens des  aiguilles d'une montre     (fig.    86) jusqu'à ce  que le goujon auquel est fixé le ressort entre  en contact avec la surface inférieure de la  barre 1001. La languette 1002 porte égale  ment     Lin    ergot 1017 normalement en contact  avec la surface supérieure     d'Lin    bras 1018 pi  votant sur un goujon 1019 également fixé au  châssis 134, pour empêcher un ressort 1020  d'entraîner le bras 1018 dans le sens con  traire à     celui    des aiguilles d'une montre.

   Le  cliquet 1006 porte un ergot 1021 normalement  en contact avec une surface 1022 du côté infé  rieur du bras 1018, mais, lorsque le cliquet 1006  se déplace sous ,l'action de la barre 1007 vers  la gauche, le ressort 1010 entraîne le cliquet  1006 dans le sens des aiguilles d'une montre  quand l'ergot l.021 passe de la surface 1022  vers le haut dans une partie incurvée 1023  du bras 1018, de sorte due le cliquet 1006  peut se placer sur le chemin parcouru par  l'épaulement 1005 de la barre 1004. Le     res-          sort    1020 maintient un doigt     10\_'4    du bras  1018 normalement en     contact.    avec un ergot  1025 d'un bras 1026 pivotant également sur  le goujon 1019.

   Un ressort 1027 appuie le  bras 1026 contre un ergot 1028 porté par le  châssis 133 et le levier est, par conséquent,  maintenu normalement dans la position indi  quée sur la     fig.    67.  



  On se rappelle que le cliquet 1006 est  maintenu par son ergot. 1021 qui s'engage sur  la surface inférieure 1022 du bras 1018, à  l'écart du chemin de l'épaulement 1005 de la  barre 1004.  



  Pour empêcher la languette 1002 d'entraî-           ner    la crémaillère 992 et d'actionner ainsi les  rouleaux     d'alimentation    964 pendant toutes  les opérations qui suivent l'opération du mou  vement     initial    lorsque la barre 1001 est     ra--          inenée    à droite vers la position de la     fig.    83,  la languette 1002 et son ergot 1017 se trou  vent dans la position indiquée sur cette fi  gure..

   Cependant, la barre 1007 est,     comme    on  se rappelle, déplacée auparavant à gauche de  la position indiquée sur la     fig.    88 à la posi  tion de la     fig.    83 et, lorsque cela a lieu, une  came 1029 de la barre 1007 déplace, par son  contact avec un goujon 1030 du     bras    1026, ce  dernier dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, à la suite de quoi le  ressort 1020 entraîne le bras 1018 de la posi  tion indiquée sur la     fig.    87 vers la position  pointillée de la     fig.    83;

   en conséquence, lors  que la came 995 repousse la barre 1.001 à  gauche,? ce qu'elle fait au cours de chacune  des différentes opérations nécessaires pour  imprimer les diverses données sur le chèque  152, _ l'ergot 1017 de la languette 1002 ren  contre alors la surface de came 1031 du bras  1018 et déplace la languette dans le sens con  traire à celui des     aiguilles    d'une montre, de  manière qu'elle soit retirée du chemin par  couru par le bloc 1003 de la crémaillère 992.  La crémaillère 992 ne sera donc pas déplacée  au     cours    des différentes opérations de la came  995 pendant l'impression de certaines données  sur le chèque 152.  



  L'action du bras 1026 a lieu avant que la  barre 1001 atteigne sa position de retour de  droite indiquée sur la     fig.    83, et pendant ce  mouvement de la barre,     l'ergot    1017 glisse       évidemment    le long de la surface supérieure  du bras 1018, le ressort 1020 étant simple  ment tendu. Mais, dès que l'ergot 1017 dé  passe l'extrémité droite du bras, le ressort  1020 peut produire son effet et déplacer le  bras 1018 vers la position indiquée par le  tracé pointillé sur la     fig.    83.  



  On se rappelle que, pendant ce mouve  ment de la barre 1001 vers la droite et pen  dant le retour de la crémaillère 992 à la po  sition     indiquée    sur la     fig.    87, où l'épaulement  1005 de la barre 1004 est en contact avec le    cliquet 1006, le chèque 152 reste dans sa pre  mière position     (fig.    71). Les heures et les  gains sont alors imprimés sur- la première  ligne du chèque dans sa colonne 12. Les deux  opérations suivantes, l'avancement du chèque  vers la     deuxième    et troisième position d'im  pression, s'effectuent par le     cliquet    1.006 en co  opération avec une série de dents 1032 de la  barre 1004, de la manière décrite ci-après.  



  On se rappelle que la barre 1007 est  arrêtée dans la position indiquée sur la       fig.    85 par le     cliquet    1012 qui s'engage sur  l'épaulement 1013 lorsque le chèque 152 est  ramené de la position initiale vers la     pre-          niière    position d'impression. L'avancement à  partir de cette position vers les deuxième et  troisième positions     différentes    d'impression  est     .contrôlé    par un groupe .de plaques sélec  trices dont-l'une est représentée sur la     fig.    83,  indiquées sur la ligne 3 du tableau de con  trôle     (fig.    65); elles portent la référence   groupe de plaques 1040 .

   Ces plaques sont  également représentées sur la     fig.    57B. Il y a  seulement deux plaques dans ce groupe, la  plaque N  1 étant supprimée. La plaque     N(2     est commandée par le différentiel de la ran  gée N  2, et la plaque N  3 est commandée  par le différentiel de la     rangée    N  1.  



  On se rappellera également que la plaque  N  2, suivant le tableau de contrôle ligne 3  de la     fig.    65 et aussi comme indiqué sur la.       fig.    85,a des encoches dans les positions 0,  V, VI, VIII et IN (romaines), c'est-à-dire  que, lorsque le différentiel de la rangée 2  s'arrête dans l'une de ces positions, l'encoche  est présentée au doigt contacteur supérieur  du bloc     contacteur    767 porté par un levier  contacteur 1041 qui pivote sur l'arbre 762 et  auquel est fixé un ressort     qui    entraîne le le  vier 1041     normalement    dans le sens contraire  à celui des     aiguilles    d'une montre.  



  La plaque N  3 de ce groupe de plaques  1040 a Lune encoche à. la position 0 (romain)  qui est la position d'addition pour le différen  tiel de la rangée 1. En     conséquence,    lorsque  le différentiel de la rangée 2, dans les opéra  tions d'addition, s'arrête dans une des posi  tions     indiquées    sur la ligne 3, le levier 1041      peut être déplacé dans le sens contraire à ce  lui des aiguilles d'une montre parce que le  doigt supérieur du bloc contacteur 767 ren  contre des encoches et permet ainsi le dépla  cement du levier 1041 dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre sous l'ac  tion du ressort 1042. Sur le levier 1041 pivote  une articulation 1043 dont. l'extrémité infé  rieure est en forme de fourche pour s'enga  ger sur un goujon 1044 porté par le cliquet  1012.

   Le mouvement du levier 1041 dans le  sens contraire à     celui    des aiguilles d'une  montre déplace donc le cliquet 1012 dans le  même sens et dégage son bec de l'épaulement  <B>1.013</B> de la barre 1007, à la suite de quoi un  ressort 1045 relié au bras moteur 1009       (fig.    101) ramène la barre 1007 vers la droite  clé la position de la     fig.    85 jusqu'à ce qu'elle  soit arrêtée par le bec. d'une languette 1046       (fig.    85 et 102) qui entre en contact avec un  épaulement 1047 de la barre<B>1.007.</B>  



  Or, lorsque la barre 1007 se trouve dans  cette position, le bec de la     languette    1006 est  en prise avec la dent 1032 de gauche de la  barre 1004, de sorte que la came 1008, lors  qu'elle pivote pendant. le premier cycle d'opé  rations où se fait la première impression, re  pousse la barre 1007 à gauche et le cliquet  1006 entraîne la barre 1004 et la crémaillère  992 d'un pas pour faire tourner les rouleaux  d'alimentation 964 dans le sens clés aiguilles  d'une montre et avancer le chèque 152 de la  première position d'impression vers la seconde.  



  Le même mouvement des pièces a lieu au  cours de l'opération pour l'impression des  heures supplémentaires et gains supplémen  taires qui est la deuxième impression, faisant  ainsi avancer le chèque 752 vers la     troisième     position pour permettre     l'impression    de la  pave brute au cours de l'opération dite troi  sième impression.  



  Lorsque le chèque 152 est amené à la posi  tion de la deuxième impression, la crémail  lère 992 est retenue dans cette deuxième po  sition par le bec d'une languette 1048 pivo  tant sur le goujon 1014 et en prise avec des  (lents 1049 du côté inférieur de la crémaillère  992. La languette 1046 est. fixée à la lan-    guette 1048 d'une manière rigide, comme indi  qué sur la     fig.    102.  



  La distribution du temps permettant le  mouvement du levier 1041 dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre       (fig.    85) sous l'action du ressort 1042 est       contrôlée    par des cames conjuguées 1051 et  1052     (fig.    84 et ligne 15 du tableau de dis  tribution .des temps,     fig.    109) qui coopèrent  avec un levier coudé 1053 pivotant     sur    l'ar  bre 737.

   Sur le levier coudé 1053 est fixé un  bras 1054 qui porte un goujon engagé dans  un bras en fourche 1055, lui-même fixé sur  un arbre 1056 supporté par les châssis 131 à  134 de l'imprimeur, comme on le voit sur les       fig.    42A et     42B.    Sur cet arbre 1056 est égale  ment monté un bras 1057     (fig.    85) pourvu  d'un ergot 1058 qui coopère avec un levier  1059 articulé à un goujon 1060 fixé sur le  châssis 134 de     l'imprimeur.    Une articulation  1061 relie le levier 1059 au levier 1041.  



  Pendant le temps où la came 995 permet  l'avance du chèque 152 de la position initiale,  indiquée sur la     fig.    71, vers la position de la  première impression, les cames 1051 et 1052  agissent pour permettre au levier contacteur  1041 de se déplacer dans le sens contraire à  celui des aiguilles     d'une    montre, afin de trou  ver les encoches dans le groupe de plaques  1040 en déplaçant le levier coudé 1053 et le  bras 1054 dans le sens des aiguilles     d'une     montre;

       celui-ci    déplace, à l'aide du bras  1055, l'arbre 1056 et le bras 1057 dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre,  à la suite de quoi l'ergot 1058 s'écarte de la  partie inférieure du levier 1059, permettant  ainsi au ressort 1042 de déplacer le levier  1.041 dans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre, afin qu'il puisse rencontrer  les encoches dans le groupe de plaques 1040  et contrôler la languette 1012 de la manière  décrite ci-dessus.  



  Après l'exécution de la première impres  sion, les cames 1051 et 1052 fonctionnent à  nouveau pour permettre au levier contacteur  1041 d'entrer en action et d'abaisser la lan  guette 1012, de sorte que la barre 1007 puisse  se déplacer à droite pour mettre la languette      1006 en contact avec la dent 1032 de gauche,  de façon que le chèque soit avancé vers la po  sition de la deuxième impression par la lan  guette 1006 sous l'action de la came 1008.  



  Après la     dellxlème    impression, le même  mouvement se reproduit et le chèque 152  avance vers la troisième position pour l'im  pression de la  paye brute .  



  Après l'impression de la  paye brute , le  chèque 152 est ramené vers la position de la       première    déduction, ou quatrième position  d'impression. On va passer à la description  des moyens destinés à ramener le chèque vers  la quatrième position     d'impression    à la pre  mière ligne     (les    déductions.  



  Ce mécanisme, représenté en particulier  sur la     fig.    100, est commandé par des plaques       entaillées    sous le contrôle des différentiels des  rangées 1 et 2. Ces plaques portent le numéro  de référence  groupe de plaques 1065  et sont  indiquées sur la ligne 2 du tableau de con  trôle de la     fig.    65, sur la     fig.    100     ainsi    que  sur la     fig.    57A.  



  Des cames conjuguées 1066 et 1067, indi  quées     sur    la     ligne    18 du tableau de distribu  tion des temps, coopèrent avec un levier  coudé 1068 pivotant sur l'arbre 737. Ce levier  coudé est relié par une articulation 1069 à un  levier 1070 pivotant au point 1071, sur mi  levier contacteur 1072 qui,     hli-même,    pivote  sur l'arbre 762 et a un ressort 1073 qui tend  à entraîner le levier dans le sens contraire à  celui des aiguilles     d'une    montre. Ce levier  1072 porte le bloc contacteur habituel 767 co  opérant avec le groupe de plaques 1065.  Comme on le voit sur la ligne 2 de la     fig.    65,  la. plaque N  2 a des encoches aux positions  0 à 8, seule la position 9 (arabe) n'ayant pas  d'encoche.

   Dans les positions des chiffres ro  mains, tous les saillants sont supprimés. Dans  ce groupe particulier de plaques, ce sont les  saillants plutôt que les encoches     qui    exercent  le contrôle et, par conséquent, lorsque le dif  férentiel de la rangée 2 arrive à la position  9 et rencontre un     point    saillant, le levier  1072     (fig.    100) n'est pas déplacé dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre       -par    l'action des cames 1066 et 1067, parce que    le doigt inférieur du bloc contacteur 767 ren  contre à la position 9 de la plaque     N     2 un  point saillant,

   position à laquelle le différen  tiel de la rangée s'arrête     automatiquement     lorsqu'on actionne la touche 162  Paye  brute  pour sélectionner le côté      -I->>    du tota  lisateur d'addition et soustraction, afin d'im  primer la paye brute sur le chèque. La touche   Paye brute  de la rangée 1 se trouvant dans  la troisième position, la plaque     N     3 a des  encoches à toutes les positions sauf dans cette  troisième,     -comme    on le voit sur le tableau et,  par conséquent, le doigt inférieur du     bloc.     contacteur 767 entre en contact avec cette  plaque à la troisième position, ce qui empê  che également le mouvement du levier 107\?  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre.

   Puisque le levier 1072 ne peut  se déplacer dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, le levier 1070 pivote  autour de l'axe 1071 et déplace, par son con  tact avec un goujon 1074 d'un bras 1075  oscillant sur la tige 744, ce bras 1.075 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre qui, .à l'aide d'un ergot 1076, déplace un  bras 1077 et un arbre 1078 sur lequel il est       fixé    dans le sens des aiguilles d'une montre.

    Sur l'arbre 1078 est également fixé un bras  1079 portant un ergot 1080 en prise avec une  coulisse 1081 qui glisse sur le goujon 993 et  un goujon 1082     (fig.    89) porté par la barre  <B>1007.</B> Ce mouvement du bras 1079 dans le  sens des aiguilles d'une montre déplace la  coulisse 1081 vers la droite     (fig.    89), à la  suite de quoi son doigt 1083 déplace cette  dernière, par son contact avec un galet     108-1     porté par la languette 1048, dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre, de  manière à dégager son bec des dents 1049  de la crémaillère 992.

       En    même     temps,    un  autre doigt 1085 de la coulisse 1081 entre en  contact avec un ergot 1086 de la languette  1006 et déplace cette dernière dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'iuie    montre  en la dégageant de la barre 1004; à ce mo  ment, étant donné que les deux languettes  1006 et 1048 sont dégagées de la barre 1004  et     clés    (lents 1049, le ressort 1011 entraîne la      crémaillère, quelle que soit sa position, vers  la droite jusqu'à ce que son extrémité droite  entre en contact avec un bras 1087 filé sur  l'arbre 1056. Ce bras 1087     (fig.    67, 81 et<B>87)</B>  est muni d'un doigt 1088, maintenu en con  tact avec un goujon 1089 du châssis 134 par  un ressort 1090.  



  Pendant la première partie de l'opération  d'impression de la première déduction, la  barre 1007, lorsqu'elle est déplacée à gauche,  oblige la languette 1006 à s'engager sur  l'épaulement 1005 de la barre 1001 et à la dé  placer légèrement à gauche, de manière à  aligner le chèque 152 définitivement à la po  sition de la première déduction, ou quatrième  position d'impression, qui est exactement la  même que celle qu'il avait occupée pour la  première impression lors de l'impression des  heures et des gains.  



  Après l'impression de la     première    déduc  tion, le     chèque    152 est à nouveau avancé suc  cessivement à l'aide de la languette 1006 et de  la barre 1001, afin d'imprimer la deuxième,  troisième, quatrième et cinquième déduction  qui correspondent à la cinquième,     sixième     septième et huitième position     d'impression.     



  Après l'impression de la dernière déduc  tion, tout est prêt pour que l'opérateur     puisse     appuyer sur la touche 162  Paye nette  pour  imprimer la paye nette de l'employé sur le  chèque, somme qui, comme on l'a expliqué     ci-          dessus,    représente la différence entre sa paye  brute et les déductions. La paye nette,     comme     on le voit sur la reproduction du chèque de  la     fig.    21, s'imprime sur le chèque toujours  au même endroit, en face de la quatrième dé  duction qui constitue la. neuvième position  d'impression, et on voit que le chèque est  aligné à la quatrième déduction ou à la posi  tion de la septième impression.  



  On décrira le moyen pour l'avancement du  chèque à cette neuvième position d'impres  sion ou position de paye nette en se reportant       plus    particulièrement aux     fig.    65, 95 et 96.  



  L'avancement du chèque 152 vers la neu  vième position d'impression, ou position de payé  nette est également commandé par les plaques  clé sélection désignées par:  groupe de     plaques       1095 . Elles sont indiquées sur la ligne 7 du  tableau de contrôle (fi-. 65) et en partie sur  la     fig.    95. Sur l'arbre d'avancement 966     est     fixée une roue d'engrenage 1096     (fig.    95) qui  peut être entraînée par une crémaillère 1097  montée à glissement sur un goujon 1098 à son  extrémité gauche et entre des goujons 1099,  tous portés par le châssis 133 de l'imprimeur.

    Près de la crémaillère 1097 est montée, sur  le goujon 1098 et entre les goujons 1099, une  barre 1100 pourvue d'un ergot 1101 qui est  en engagement avec un bras 1.102 pivotant  sur un axe 1103 fixé sur le châssis 133 de  ,l'imprimeur. Le bras 1102 porte un galet  11.04 maintenu par un ressort 1105 en con  ta-et avec une came 1106 calée sur l'arbre 370  de commande de l'imprimeur.

   La barre 1100  porte un cliquet 1107 muni d'un goujon qui  est maintenu en contact par un ressort 1109  avec un talon 1110 d'un bras 1111     fixé    sur  un moyeu 1112; sur ce moyeu est, à son  tour, fixé un levier contacteur 1113 qui  porte le bloc contacteur habituel 767 et au  quel est .attaché un ressort 1111 qui tend à dé  placer le levier 1113 et le bras 1111 dans le       sens    contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre.

   Le levier 1113 est tenu en contact avec  un goujon 1115 d'un bras 1116 qui est fixé  sur l'arbre 762 lequel, comme on se rappelle,  subit au cours de     chaque    opération de la ma  chine d'abord un mouvement dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre et  ensuite un mouvement. de retour vers la posi  tion normale dans le sens des aiguilles d'une  montre.  



  Lorsque l'arbre 762 subit un mouvement  clans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, le bras 1116 se déplace et  écarte le goujon 1115 du levier 1113, après  quoi le ressort 1114 entraîne le levier contac  teur 1113 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre; les doigts inférieurs  du levier et du bloc 767, s'ils rencontrent des  encoches dans toutes les plaques du groupe  1095, sont déplacés d'une distance suffisante  pour soulever le bras 1111, à la suite de quoi  le ressort 1109 entraîne le cliquet 1107 dans  le sens des aiguilles d'une montre en plaçant      son extrémité gauche sur le     chemin    parcouru  par l'épaulement 1117 de la. crémaillère 1097.  



  En se reportant à la     fig.    65, ligne 7, on  voit que la plaque N  1 ,commandée par le dis  positif contacteur du chèque comprend une  encoche à la position zéro (arabe) qui se  trouve en face du doigt inférieur du levier  1113. La plaque N  2 possède une encoche à  la neuvième position (arabe) et, étant donné  que cette plaque est commandée par le diffé  rentiel de la rangée N  2, déplacé au cours de  l'opération  paye nette  vers la neuvième po  sition, le doigt inférieur du bloc<B>767</B> se trou  vera en face de l'encoche de cette plaque  N  2.

   La plaque N  3     coiuprend    une encoche  à la position 1 qui est la position  paye nette,>  de la rangée 1 et, par conséquent, le bloc con  tacteur 767 et le levier contacteur 1113 ren  contreront des encoches, en     permettant.    ainsi  au ressort 1114 de soulever le bras 1111, à la  suite de quoi le cliquet<B>1107</B>     sé    placera sur le  chemin     parcouru    par l'épaulement 1117 de la  crémaillère 1097.

       Ensuite,    la came 1106 re  pousse le bras 1102 et déplace la barre 1100  vers la gauche, de sorte que le cliquet 1107  entre en contact avec l'épaulement 1117 et  déplace la crémaillère 1097 vers la position   paye nette  ou neuvième position d'impres  sion, ceci, bien entendu, en supposant que la  crémaillère se trouve     dans    la position indi  quée sur la     fig.    96.

   Mais, cette crémaillère  peut se trouver beaucoup plus à. gauche de la  position indiquée par la     fig.    96; dans ce cas,  le cliquet 1107, à la suite du mouvement de  la barre 1100, se déplacera simplement à vide  vers la gauche et, lorsque la crémaillère 992       (fig.    84) est abandonnée à l'action de son  ressort 1011, un     ressort    1118     (fig.    96) fixé à  la crémaillère 1097 entraîne la crémaillère  1097 avec .la crémaillère 992;

   étant donné  qu'elles sont entraînées ensemble par     leurs     roues d'engrenages 1096 et 991, elles occupe  ront     toujours    la même position et, lorsque la  crémaillère 1097 se déplace à droite sous  l'action de son ressort 1118, elle se déplacera  jusqu'à ce que l'épaulement 1117 entre en  contact avec le cliquet 1107 repoussé par la    came 1106 à droite vers une position défini  tive qui est la position clé  paye nette  ou  neuvième position d'impression.  



  Les cames 975, 995 et 1008 qui comman  dent l'avancement du chèque et la came<B>1119</B>       (fig.    79) commandant. le mécanisme éjecteur  du chèque sont toutes montées sur un moyeu 976.  Sur     lemoyeu976        estégalemen@fixéun@rnanclion     1120 pourvu d'un épaulement 1121     (6g.93).     Le manchon 1120 et le moyeu 976 tournent  sur l'arbre 370.

   Sur l'arbre de commande de  l'imprimeur, près de l'épaulement 1121 du  manchon 1120, est fixée une plaque 1122 por  tant un cliquet d'entraînement 1123 appuyé  par un ressort 1124 contre l'épaulement 1121;  donc, lorsque l'arbre 370 pivote dans le sens  des aiguilles d'une montre, toutes les cames  975, 995, 1008 et 1119 sont entraînées avec  l'arbre 370 aussi longtemps que le     cliquet     1123 est en prise avec l'épaulement 1121. Un       cliquet    de freinage 1125 interdit tout mouve  ment de l'épaulement 1121 en arrière.

      En se reportant aux fi-.<B>90</B> et<B>91,</B> on se  rappelle qu'en cas d'absence     d'un    chèque     dans     la. machine, le contacteur 858 provoque le dé  placement du levier 886 dans le sens des  aiguilles d'une montre et, dans ce cas, un gou  jon 1126 fixé sur ce levier déplace un bras  1127 dans le sens contraire à celui des  aiguilles     d'une    montre, comme représenté sur  la     fig.    91. Ce bras 1127 est fixé sur la tige  882 sur laquelle est également fixé un bras  1128, et ce dernier, lorsque la tige pivote  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, se place sur le chemin d'une  queue 1129 du cliquet 1123.

   En     conséquence,     lorsque la plaque 1122 est     entraînée    par l'ar  bre 370 dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et que la queue 1129 du cliquet 1123 entre  en contact avec le bras 1128, ledit     cliquet.    est.  dégagé de l'épaulement 1121 du manchon  1120, et :ce manchon 1120 n'est pas entraîné  avec l'arbre 370 pendant. des opérations de la  machine où il n'y a pas de chèque pour re  cevoir les empreintes et, par conséquent, au  cune des cames 975, 995, 1008- ou 1119 ne  sera actionnée au cours de telles opérations.

             Mécanisme        éjecteur   <I>des</I>     chèques.     Après l'impression de la paye nette sur le  chèque 152, .ce dernier est éjecté et retourné  pendant l'éjection, de sorte que les chèques  seront mis en piles dans l'ordre numérique.  La pile ides chèques reste sur une tablette 1130       (fig.    1) près de la partie centrale de la ma=  chine au-dessous du guide-chèque 961.  



  Le mécanisme éjecteur des chèques est re  présenté sur les     fig.    66, 67, 79 à 82 et 104. Le  déflecteur 962 se trouvant dans la position  normale indiquée sur les     fig.    67, 71 et 79,  l'opérateur introduit le chèque 152 jusqu'à la  butée 963, comme indiqué.

   L'insertion s'effec  tue évidemment au-dessous du     déflecteur-962.     Après l'insertion, les rouleaux d'alimentation  964 tournent pour avancer le chèque<B>1.52,</B> afin  qu'il puisse recevoir les différentes impres  sions par des moyens qui ont été décrits     ci-          dessus.    Pendant l'impression des deux ou  trois dernières déductions, le chèque 152 est  amené vers la position indiquée sur la     fig.    82,  le déflecteur 962 étant préalablement abaissé  de la position de la     fig.    79 vers la position  indiquée sur la     fig.    82;

   ensuite, après l'opéra  tion de la touche  paye nette  et pendant. le  temps d'impression de la  paye nette , le chè  que 152 reste sensiblement dans la position  de la     fig.    82 où il est prêt à être éjecté de la  machine par le mécanisme éjecteur et en  même temps automatiquement retourné, de  façon que soit maintenu l'ordre numérique ou  alphabétique des chèques lorsqu'ils sont. en  tassés sur la tablette 1130.  



  Le déflecteur 962 est fixé sur un arbre  1132 porté par le     guide-chèque    961. Sur cet  arbre 1132 est également fixé un bras 1133       (fig.    80) muni d'un ergot en engagement avec  un bras 1134 qui pivote sur un arbre 1135  porté par des consoles 1136 fixées à la tra  verse 138. Le bras 1134 a un doigt 1137 main  tenu en contact avec mi goujon 1138 d'un  levier 1145 par un ressort 1139 qui est  tendu entre     Lui    goujon du bras 1134 et le  goujon 1138.  



  Sur l'arbre 1135 est également monté, à  rotation, le levier 1145 muni d'un doigt 1140  maintenu en contact avec un goujon 1141 du    châssis .134 par un ressort 1142. Sur l'arbre  1135 est fixé un bras moteur 1143, représenté  dans la position normale sur la     fig.    80.  



  Par des moyens décrits ci-après, l'arbre  1135 peut recevoir d'abord un mouvement  dans le sens des aiguilles d'une montre et en  suite un mouvement de retour vers la position  normale dans le sens contraire. Par suite du  mouvement de l'arbre 1135 dans le sens des       aiguilles    d'une montre, le bras 1143 s'engage  sur un goujon 1144 porté par le levier 1145  et déplace ce levier dans le sens des aiguilles  d'une montre, après quoi le ressort 1139  oblige le doigt 1137 à rester en contact avec  le goujon 1138 du levier 1145 et déplace, par  conséquent, le bras 1134 dans le sens des  aiguilles d'une montre en entraînant le bras  1133 et le déflecteur 962 dans le sens con  traire, de la position indiquée sur les     fig.    79  et 80 vers celle de la     fig.    82.  



  On décrira maintenant les moyens des  tinés à faire tourner l'arbre 1135 et à le re  tenir. Sur l'arbre 1135 est montée une roue  dentée 1150     (fig.    66, 79 et 104) qui engrène  avec une crémaillère 1151 supportée à glisse  ment par un goujon 1152 fixé sur le châssis  134 et par l'arbre 737. A cette crémaillère  1151 est attaché un ressort 1153     entraînant     la crémaillère normalement vers la droite en  regardant la     fig.    79. La crémaillère 1151 porte  une petite crémaillère 1154 qui engrène avec  un pignon 1155 oscillant sur l'arbre 737. A  ce pignon 1155 est fixé un pignon plus petit  1156 qui engrène avec un segment denté 115 7  pivotant sur un goujon 1158 porté par les  châssis 134 et 135 de l'imprimeur.

   A ce seg  ment 1157 est fixé un bras 1159 portant un  galet 1160 qui coopère avec la came 1119 men  tionnée ci-dessus et qui, comme on se rappelle,  est fixée sur le manchon 976 et entraînée par  le mécanisme d'accouplement représenté sur  les     fig.    93 et 94.  



  Dans le but de maintenir le segment 1157  dans la position normale indiquée sur la       fig.    79, le segment a un bras qui lui est soli  daire 1161 engagé sur un ergot 1162 fixé sur  un bras 1163 tendu par un ressort et pivo  tant sur un goujon 1164 porté par le châssis      l33: Ce bras 1163 est situé entre la came 975  et, la came 1119 et peut être actionné par un  galet porté par les cames 975 et 1119.  



  La     distribution    des temps pour la          came       a119    est indiquée sur la ligne<B>16</B> du tableau  de la     fig.    109 qui montre que le déflecteur est  fermé à     partir    de 60 degrés et jusqu'à 160  degrés, c'est-à-dire pendant l'opération du  mouvement initial du chèque indiquée sur la       fig.    71.

   A ce moment, la came 1119 déplace,       @.    l'aide du bras 1159, le segment 1157, la cré  maillère 1154 et les pignons 1155 et 1156, la  crémaillère 1151 de la position indiquée sur       la,        fig.    79 vers la gauche jusqu'à ce qu'une  encoche 1166 dans la crémaillère 1151 se  trouve au-dessous d'un bloc 1167 fixé sur un  bras coudé 1168     (fig.    66) qui pivote sur un  axe 979. Ce bras coudé 1168 est fendu pour  engager un goujon 1169 fixé sur le verrou de  freinage 984 des rouleaux tendeurs décrit pré  cédemment.  



  Lorsque ce verrou 984 se déplace de la po  sition     indiquée    sur la     fig.    66 vers celle de la       fig.    103, il entraîne le bras 1168 dans le     sens     contraire à celui     des'aigiûlles    d'une montre  après que l'encoche 1166 a été placée au-des  sous du bloc 1167 et ce dernier, par consé  quent, s'engage dans l'encoche 1166 et retient  la crémaillère dans sa position de gauche en  maintenant ainsi le ressort 1153 sous tension.  Cette position de la crémaillère 1151 est,  comme on l'a dit ci-dessus,     maintenue    jusqu'à  ce qu'il soit temps d'éjecter le chèque pendant  l'opération de  paye nette .  



  La partie surélevée de la. came     111_9    donne  un peu de jeu entre le bord gauche du bloc  1167 et le côté gauche     -de    l'encoche 1166, de  sorte que, lorsque le temps vient de dégager  le verrou de l'ergot 983, ce qui s'obtient par  des moyens qui seront décrits ci-après. sous le  contrôle d'un groupe de plaques de contrôle,  ce mécanisme n'a pas à. surmonter toute la  force du ressort tendu.  



  Après dégagement du verrou 984 de l'er  got 983, le bras 1168 se déplace     dans    le sens  des     aiguilles    d'une montre et la crémaillère  1151 est, par conséquent, abandonnée à l'ac  tion du ressort de tension 1153 qui entraîne    la crémaillère 1151 rapidement à droite en  faisant tourner rapidement.     -l'arbre    1135 clans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre par l'intermédiaire du pignon 1150,  de faon à éjecter et à retourner le chèque  152 qu'on a placé dans la position montrée  sur la     fig.    82.  



  Pour permettre, pendant le mouvement  d'éjection, à la barre d'avancement     1101-          (fig.    83, 85 et 89) de retourner à sa position  normale, le cliquet 1006 est dégagé des dents  1032 grâce au contact de la queue du     cliquet     1006 avec un goujon-came 1179 fixé     sur    le  châssis 134.  



  On décrira ci-après les moyens destinés à  éjecter et à retourner le     chèque.    Ce méca  nisme servant à éjecter et à retourner le  chèque comprend une paire de plaques 1170       (fig.    67, 79, 81 et 82) sensiblement circulai  res, montées folles sur l'arbre 1135. Chaque  plaque 1170 a un rebord à angle droit sur le  quel est fixé un doigt courbé 1172 avec lequel  coopère un doigt     grippeur    1173 d'un levier  1174 pivotant sur un axe 1175 fixé sur la  plaque 1170.  



  Dans les positions normales de ces pièces,  indiquées sur les     fig.    79 et 81, un ressort 1176  relié à un goujon 1177 du levier     117.1    et à  un goujon 1178 de la plaque 1170 entraîne le  doigt 1173 vers la     surface    intérieure du doigt  1172, mais, par des moyens qui seront décrits  ci-après, le doigt 1173 est tenu à l'écart     dit     doigt 1172. Le levier 1174 porte également  un ergot 1180     (fig.    82) destiné à coopérer  avec un bras de commande 1181 coopérant.  également avec un ergot 1182 porté par la  plaque 1170.  



  Le levier 1174     (fig.    81) porte un galet  1185 passant dans une ouverture 1186 prati  quée dans la plaque 1170 pour coopérer avec  une came 1187,     angulairement    réglable autour  de l'arbre 1135. Dans ce but de réglage, la  came 1187 est munie de deux goujons 1188       q111    pénètrent dans deux fentes concentriques  1189 pratiquées dans la console 1136.

   A l'aide  des fentes 1189 et des goujons 1188, la came  1187 peut être réglée     angulairement    autour  de l'arbre 1135, de manière à amener la sur-      face de commande 1190 à la position voulue,  en vue de la coopération avec le galet 1185  (lit levier     1174.    Après l'ajustage de la surface  de     commande    1190 à la position nécessaire,  la came 1187 est bloquée dans cette posi  tion de réglage par des écrous<B>11,91.</B> Dans  la position normale     (fig.    81), la surface 1190  de la came tient, par son contact avec le galet       1l85,    le doigt 1173 à l'écart. du doigt 1172  contre la tension du ressort 1176.  



  Au cours du mouvement initial du chèque,  la crémaillère     1157_    se déplace vers la gauche  de la manière     décrite    ci-dessus. Pendant ce  mouvement de la crémaillère vers la gauche,  qui fait tourner l'arbre 1135 dans le sens des  aiguilles d'une montre, les bras moteurs 1181  se déplacent naturellement dans le même sens  et, les plaques 1170 mobiles, ou montées folles,  tournent dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre en maintenant les ergots 1182 contre les  bras 1181 du fait que la plus grande partie  du poids des plaques 1170 se trouve, dans la  position normale, à. droite de l'arbre 1135.  



  Pendant la première partie du mouvement  des plaques 1170 dans le sens des aiguilles  d'une montre, les surfaces 1190 des cames sta  tionnaires 1187 tiennent les doigts<B>1173</B> éloi  gnés des doigts 1172. Ensuite, lorsque     les    ga  lets 1185 quittent les surfaces 1190, les res  sorts 1176 entraînent les leviers 1174 dans le  sens des aiguilles d'une montre sur leurs       ergots    1175 jusqu'à ce que les doigts 1173  entrent en contact avec les doigts 1172. A     ce     moment, il n'y a pas de chèque entre les  doigts 1172 et 1173.

   Mais, lorsque les bras  1181 continuent leur mouvement dans le sens  des aiguilles d'une montre, l'écartement entre  les bras et les ergots 1180 se ferme et les bras  1181 continuent à entraîner les plaques 1170  dans le sens des aiguilles d'une montre jus  qu'à ce que les pièces atteignent la position  indiquée sur la     fig.    82.  



  Lorsque les plaques 1170 atteignent cette  position, un goujon 1194 de chaque plaque  entre en contact avec un goujon carré 1195  fixé sur chaque console stationnaire 1136 en  arrêtant ainsi le mouvement des plaques 1170  dans le sens des aiguilles d'une montre. En-    suite, l'arbre 1135 et les bras 1181 n'ont  qu'un petit mouvement à effectuer dans le  sens des aiguilles d'une montre pour attein  dre le point extrême de leur rotation dans  ce sens;

   pendant ce temps, les bras 1181 dé  placent, par leur contact avec les ergots 1180,  les leviers 1174 dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre autour de .leurs  pivots 1175, de manière à ouvrir les doigts       grippeurs    1173 ou, en d'autres termes, à écar  ter ces doigts 1173 de la surface intérieure       vies    doigts 1172, de sorte que le chèque puisse  avancer entre les doigts 1172 et 1173, comme  représenté sur la     fig.    82. Sur cette figure, le  chèque 152 est représenté ait moment où il  vient d'entrer dans l'espace entre les doigts       _1172    et 1173; pendant l'opération  paye  nette , il se trouvera plus à gauche avant  qu'il soit éjecté et retourné.  



  Après l'exécution de toutes .les impressions  sur le chèque 152 pendant l'opération  paye  cette  ou opération de la neuvième impres  sion, le bras 984     (fig.    66) dégage, sous le  contrôle des moyens décrits ci-après, le bloc  7167 de l'encoche 1166 dans la     crémaillëre     1151.  



  Après dégagement du bloc 1167 de l'en  coche 1166, le ressort tendu 1153 entraîne la  crémaillère 1151 très rapidement à droite, de  manière à faire tourner l'arbre 1135 et les  bras 1181 rapidement dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre vers leurs  positions normales. Tout au début de ce mou  vement dans le sens indiqué des bras 1181,  ceux-ci s'écartent des ergots 1180 et entrent  en contact avec les ergots 1182 des plaques  1170. Lorsque les bras 1181 quittent les ergots  1180 des leviers 1174, les ressorts 1176 dé  placent les leviers 1174 en amenant ainsi les  doigts 1173 à enserrer avec force le chèque  152 entre eux-mêmes et la surface intérieure  des doigts 1172.  



  Ensuite, le mouvement ultérieur des bras  1181 clans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre déplace, par le contact de  ces bras avec les ergots 1182, les plaques 1170  dans le même sens, à la suite de quoi les  doigts 1172 et 1173 éjectent le chèque 152 de      la. machine. Au cours de cette éjection, le chè  que se     retourne    et  son arête antérieure touche  les bords des     consoles    1136.

   Toutefois, immé  diatement avant que l'arête     antérieure    du  chèque 152 entre en contact avec les consoles  1136, les galets<B>1185</B> des leviers 1174 sont  entrés en contact avec la surface surélevée  1190 des cames<B>1187</B> en déplaçant ainsi le       levier    1174 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre contre l'action des res  sorts 1176, de manière à ouvrir les doigts 1172  et 1173 ou, autrement dit, à éloigner les       doigts    1173 du chèque 152 et laisser tomber  ce dernier sur la tablette 1130.  



  Or, à la suite du mouvement -ultérieur des  plaques 1170 dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre vers leurs positions  normales,- le chèque ne peut aller     phis    loin,  puisque son arête antérieure touche le bord  des consoles 1136 et, par conséquent., les  doigts ouverts 1172 et 1173 dépassent les  bords du chèque et celui-ci tombe sur la ta  blette 1130 représentée sur les     fig.    1 et 79.  



  Il y a lieu de noter ici que, pendant le  temps où les plaques 1170 se déplacent     dans     le sens des aiguilles     d'-une    montre, les galets  1.185 des leviers 1174 sont en contact. avec les  surfaces surélevées 1190 des cames fixes 1187  et ouvrent les doigts 1172 et 1173, mais, du  fait que, dans cette phase, il n'y a pas de chè  que ou autre document entre les     doigts,    ce  mouvement est un mouvement à vide et, dès  que les galets 1185 ont quitté les côtés supé  rieurs     des    surfaces surélevées 1190, les res  sorts 1176 mettent les leviers 1174 dans une  position où les doigts 1173 touchent à nou  veau l'intérieur des doigts 1172.  



  Le moyen destiné à dégager le verrou 984       (fig.    66 et 103) de l'ergot 983 porté par le  levier coudé 978 du rouleau tendeur est com  mandé pas     un    groupe de plaques sélectrices,  désigné par  groupe de plaques 1200 , indi  qué sur la.     ligne        T    du tableau de la     fig.    65 et  représenté sur les     fig.    57B et 84.

   Ce groupe  ne contient que deux plaques, la plaque N  2  étant contrôlée par le différenties de la ran  gée 2 et la plaque N  3 par le différentiel  de la rangée 1, Le tableau de contrôle de la         fig.    65 montre que la plaque N  2 comprend  des encoches aux positions 2, 3 et 4 (arabes)  et que la plaque N  3 comprend des encoches  aux     positions    0 et 6 (arabes). Let encoches  2, 3 et 4 de la plaque 2 servent à l'éjection de  la fiche 156     (fig.    25) imprimée au cours des  opérations d'analyse, et les encoches 0 et 6  (arabes) de la plaque N  3 sont utilisées en  combinaison avec les encoches 2, 3 et 4 de la  plaque 2 pendant l'opération d'analyse.

   La  plaque N  2 possède également des encoches  aux positions II, IV et IX (romaines) dont  les positions II et IV servent à l'analyse, et la  plaque N  3 comprend des encoches aux posi  tions 0; I, IV et V servant également à l'ana  lyse. La plaque N  2 possède une encoche à la  position IX (romaine) correspondant à la po  sition 9 du différentiel de la rangée 2, sélec  tionné lors de l'opération  paye nette  pour  extraire du totalisateur d'addition et sous  traction la paye nette de l'employé; la plaque  N  3 est entaillée à la position I (romaine),  qui est la position correspondant. à la touche  162  Paye nette .

   En d'autres termes, la pla  que N  2 doit être     dans    la position 9 et la  plaque 3 doit se trouver dans la position 1  pour que le mécanisme contacteur     puisse    fonc  tionner convenablement, afin de dégager le  verrou 984 de l'ergot 983, de manière à  effectuer     une    opération du mécanisme     éjec-          teur    du chèque qu'on vient de décrire.  



  En se reportant maintenant particulière  nient aux     fig.    66, 67 et 84, on voit que sur  l'arbre 762 pivote un levier contacteur     1201.     muni d'un ressort 1202 qui tend à entraîner  ce levier dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre. Sur ce levier 1201  pivote une articulation 1203 pivotant égale  ment sur un bras 1204 monté sur le goujon  1060 et entraîné par le ressort. 1202 contre  un goujon 1205 porté par un bras 1206 calé  sur l'arbre 1056.  



  On se rappelle que l'arbre 1056 tourne,  sous l'action des cames 1051 et 1052, d'abord  dans le sens des     aiguilles    d'une montre et en  suite dans le sens inverse. Pendant le mouve  ment de l'arbre 1.056 dans le     sens    des aiguilles  d'une montre, le goujon 1205 s'éloigne du      bras 1204, à la suite de quoi le ressort 1202       ohlige    l'extrémité inférieure du bras 1204 à  suivre le goujon 1205 et à déplacer l'articu  lation 1203 à gauche, de manière à déplacer  le levier 1201 dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre, à condition que la  plaque N  2 ait été ajustée à la position 9 et  la plaque N  1 à la position 1,

   à la suite de  quoi le doigt supérieur du bloc contacteur  767 porté par le levier 1201 s'engage dans les  encoches des deux plaques     N 5    2 et 3 du groupe  1200. L'articulation 1203 porte un ergot 1207  qui, lorsque l'articulation se déplace vers la  gauche, entre en contact.     avec    un bras 1208  calé sur l'arbre 985 et fait tourner cet arbre  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre en dégageant ainsi le verrou       f)84    de l'ergot 983 et le bloc 1167 de l'encoche  1166 ménagée dans la crémaillère 1151, après  quoi le ressort 1153 actionne le mécanisme       électeur    de la faon décrite.  



  Toutefois, avant que ce mécanisme     éjec-.          teur    puisse être     manceuvré,    il faut que la lan  guette 1048     (fig.    84) soit dégagée des dents  1049 de la crémaillère 992, que la languette       "L012    soit     dégagée    de l'épaulement 1013 de la  barre 1007 et que la languette 1046 soit éloi  gnée du chemin parcouru par l'épaulement       10-17    de la barre 1007.

      En d'autres termes, il faut, pour que ces  languettes soient .dégagées, que le doigt supé  rieur du bloc<B>767</B> porté par le levier 1201       rencontre    des encoches dans la position     IX     (romaine) de la plaque 2 et dans la position I  (romaine) de la plaque N  3     commandées    res  pectivement par les différentiels des rangées  '? et 1. Lorsque cela a lieu, le levier 1201,  comme on l'a dit plus haut, est déplacé par  son ressort 1202 dans le sens .contraire à celui  des     aiguilles    d'une montre, à la suite de quoi  une articulation 1209 pivotant sur le levier  1201 est déplacée vers le bas. Cette articula  tion est fendue pour embrasser un goujon  1210 d'un bras 1211 qui pivote sur le goujon  1.014.

   L'extrémité extérieure du goujon 1210  est découpée en demi-cercle, comme indiqué  sur les     fig.    84 et 102, qui correspond à     un       demi-cercle découpé dans un autre goujon  1212 porté par la. languette 1048.  



  En     conséquence,    lorsque l'articulation 1209  s'abaisse, le bras 1211 se déplace dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre  et la section demi-circulaire du goujon 1210       déplace,    en raison de son contact avec la sec  tion     demi-circulairè    du goujon 1212, la lan  guette 1048 dans le même sens en libérant  ainsi son bec moteur des dents 1049 de la cré  maillère 992. La languette 1046 étant rigide  ment fixée à la languette 1048, le bec de cette  languette 1046 s'abaisse en s'écartant du che  min parcouru par l'épaulement de la barre  1007.

   Le bras 1211 est     solidaire    d'un étrier  1213 qui est .fixé à un     bras    1214     (fig.    102)  pivotant également sur l'axe 1014 qui se  trouve .au-dessus de l'axe 1044 du cliquet  1012; par conséquent, lorsque le bras 1211 se  déplace     sous    l'action de .l'articulation 1209  dans le     sens    contraire à celui des aiguilles       d'une    montre, l'étrier 1213 et le bras 1214 se  déplacent dans le même sens, par suite de  quoi le     cliquet    1012 est entraîné dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre,  de manière à dégager son bec de l'épaule  ment 1013 de la barre 1007.  



  Par le mécanisme qu'on vient de décrire,  tout le mécanisme     d'alimentation    de l'impri  meur est ramené à sa position normale et les  rouleaux tendeurs. 965     (fig.    66 et 67) se dé  placent vers le haut par rotation de l'arbre  969 dans le sens des aiguilles d'une montre  sous l'action du ressort 990 lorsque le bras  984 est dégagé de l'ergot 983 du levier coudé  978.  



  Afin     d'assurer    le dégagement du chèque  152 des rouleaux 965 et 966 au-dessus de ta  butée 963 et pour éviter que la butée touche  le papier, le retour des butées 963 à leurs po  sitions normales est légèrement retardé par le  mécanisme     suivant.     



  Sur le goujon 1135 pivote un bras coudé  1215 qui est placé dans la position indiquée  sur la     fig.    103 par un goujon fixé sur la cré  maillère 1151 lorsque cette dernière se dé=  place de la position de la     fig.    79 à gauche à  la position indiquée sur la     fig.    103. Ce mou-           vement    amène, à l'aide d'une articulation 1217  pivotant sur le coude 988, ce coude 988 à la po  sition indiquée sur la     fig.    103 où il se trouve  au-dessous de l'ergot 989 de l'articulation 980  qui maintient les butées 963     dans    la position       sbaissée    indiquée sur la     fig.    103.

   Lorsque la       crémaillère    1151 se déplace à droite par le  ressort 1153 pour éjecter le chèque 152, un  'bras 1218, solidaire du coude 1215, est main  tenu dans la position de la     fig.    103 jusqu'à ce  que le goujon 1216 se soit éloigné de dessous  ce bras 1218, ce qui donne au chèque un  temps suffisant pour que l'on ait la certitude  qu'il est sorti d'entre les rouleaux 965     qui    ont  été soulevés de la manière décrite précédem  ment après le dégagement du bras 984 de       1-'ergot    983, de sorte que le ressort 990 peut  déplacer la crémaillère 988 et, par conséquent,

    l'arbre 987 et le bras 986 dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre     lors-          ci-Lie    l'ergot 989     est    déplacé à gauche hors  d'atteinte du doigt du coude 988, de sorte  que, sous l'action du ressort 990, les doigts  ou butées 963 seront ramenés à leurs positions  normales prêtes à arrêter un deuxième chè  que 152 introduit de même dans la position  indiquée sur la     fig.    71.  



  <I>Avance du bordereau et</I>     sélection     <I>des colonnes et des lignes.</I>  



  On se rappelle que le bordereau de paye  151     (fig.    28) porte les noms de plusieurs em  ployés, leur nombre dépendant du système  appliqué par l'employeur qui fait établir les  chèques de paye sur la machine représentée.  



  Ainsi qu'on le voit sur la     fig.    28, on a  prévu pour chaque employé un espace et,  dans cet espace, on remarque deux lignes  imprimées. Dans la colonne 2, par exemple, la  paye brute est imprimée sur la ligne supé  rieure de l'espace et la paye nette sur la ligne  inférieure pour Jean Dupont, employé, dont  le décompte complet est contenu dans le pre  mier     espace    du bordereau de paye. Le numéro  d'ordre se trouve sur la ligne du haut de  l'espace. Les déductions peuvent être impri  mées     sur    la ligne du haut ou sur la. ligne du  bas ou sur les deux dans chaque colonne par-         ticulière    suivant     1a    nature de ces déductions.

    Dans la     machine    représentée, on a prévu des       moyens    spéciaux en vue de la sélection soit  de la ligne supérieure, soit de la ligne infé  rieure, sous le contrôle des touches des ran  gées 1, 2, 3 et 4.  



  Il y a également un nouveau mécanisme  pour l'avance du bordereau de paye 151 de la  ligne inférieure d'un espace, par exemple de  l'espace réservé à Jean Dupont, à la ligne su  périeure du prochain espace suivant, réservé  par exemple à René Dubois, au cours de l'opé  ration de la machine pour l'enregistrement  des gains antérieurs. Le bordereau sera, par  conséquent, ajusté pendant. l'opération qui  suit immédiatement après, lors de l'enregistre  ment     dit    nombre d'heures de l'employé et des  sommes correspondant à ces heures sur la  ligne du haut du premier espace, de telle sorte  que les heures et le montant seront imprimés  sur la ligne supérieure du premier espace,  comme indiqué dans les colonnes 3 et 4 par  l'impression des  R-40.00  et      R-50.00 .     



  Le bordereau de paye 151 peut être avancé  par trois rouleaux -d'alimentation 1210 (fi-. 45)  fixés sur un arbre 1241 qui est supporté par  les châssis 131, 132 et 133 de l'imprimeur,  comme indiqué sur la     fig.    42A.  



  Avec chacun des rouleaux d'alimentation  1240 coopère un rouleau tendeur 1242     (fig.   <B>68)</B>  porté par un bras 1243 d'une bride et monté,  sous la tension d'un ressort, sur un arbre  1244 qui est supporté par des consoles 1245  fixées à la base 123. Les rouleaux tendeurs et  leurs bras 1243 sont maintenus en contact.  avec la feuille du bordereau     au-dessus    des  rouleaux .d'alimentation 1240 sous     l'action          d'iui    ressort, exactement de     la,    même     façon     que les rouleaux tendeurs 965 sont main  tenus en contact avec le chèque sur les rou  leaux d'alimentation 964, comme décrit pré  cédemment.  



  normalement, les rouleaux tendeurs 1242  sont en prise avec les rouleaux d'alimentation  1240, de telle manière qu'on peut introduire  dans la machine     un    bordereau de paye 151  dans la position désirée, de sorte qu'il soit  avancé vers la position où il reçoit la pré-      infère impression des heures et du montant  correspondant à ces heures;

   les rouleaux 1242  doivent être     dégagés    des rouleaux 1240 par  un levier manuel<B>1257</B> décrit. ci-après     (fig.69).     L'opérateur introduit alors le bordereau 151  clans la machine jusqu'à ce que la. double  ligne immédiatement au-dessous du mot   Noms  se trouve au niveau du bord anté  rieur d'une courte barre 1246     (fig.    1) sous  laquelle se place le bord du bordereau 151  lors de son insertion dans la machine.  



  Après l'insertion du bordereau dans la ma  chine, les rouleaux tendeurs 1242 doivent.     être     mis en contact avec le bordereau pour le ser  rer contre les     rouleaux        d'alimentation    1240;  le verrou de la machine doit être dégagé pour  que la machine puisse être mise en marche.  Ce verrou de la machine consiste en un levier  1247 analogue au levier 917 de la     fig.    66.

   Ce  levier 1247 est relié par une articulation 1248  à     im    bras (non représenté) monté sur l'ar  bre 628 (fi-. 33 et 34), lequel, comme on se  rappelle, est relié à l'arbre 149 de déblocage  qui se déplace dans le sens des     aiguilles    d'une  montre pour actionner la machine et, lors  qu'il se déplace dans ce sens, le levier 1247  est déplacé dans le même sens par l'articula  tion 1248. Toutefois, comme on le voit sur la  fi-. 68, lorsque les rouleaux tendeurs sont  écartés, le levier 1248 ne peut se déplacer  dans le sens des aiguilles d'une montre du  fait     qu'in        bras-verrou    1249 pivotant sur  l'arbre 1241 se trouve au-dessous d'un doigt  <B>1</B>250 du levier 1247.  



  Pendant le temps où les rouleaux tendeurs       J.242    prennent la position d'opération, .le bras  verrou 1249 est retiré de la position de blo  cage par rapport au doigt 1250 par le moyen  suivant. Le bras-verrou 1249 est muni d'un  doigt 1251 qui est normalement engagé sur  un épaulement 1252 d'un bras 1253 sous l'ac  tion d'un     ressort.    1254. Ce bras 1253 est monté  fou sur un arbre 1255 supporté par les châs  sis 131, 132 et 1.33 de l'imprimeur. Sur un  goujon 1256 fixé au châssis 131 pivote le le  vier manuel 1257 mentionné ci-dessus     (fig.    39  et 69) et monté entre le châssis 131 et une       plaque-guide    1258 fixée sur le châssis 131.

      Sur la     fig.        69,    le levier 1257 est repré  senté     dans    sa position normale. Lorsque ce  levier se déplace à gauche vers la position   Tension , indiquée par un tracé pointillé,  une articulation 1259 qui pivote sur ce levier  et également     sur    un bras 1260 fixé sur l'arbre  1255 fait tourner ce dernier dans le sens des       aiguilles    d'une montre, à la suite de quoi un  goujon 1261     (fig.    68) d'un     bras    1262 fixé sur  l'arbre 1255 entre en contact avec le     cêté    su  périeur du bras 1253 en le déplaçant dans le  sens des aiguilles d'une montre contre la ten  sion:

   du ressort 1254 et en dégageant l'épaule  ment 1252 .du doigt 1251 du bras-verrou  1249, après quoi     lin        ressort    1263     fixé    au bras  1249 déplace ce dernier dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre, de  manière à éloigner son extrémité supérieure  de dessous le doigt 1250 du levier 1247.

   En  même temps, le doigt 1251 est engagé sur un  épaulement de l'encoche 1252, de     manière    à  maintenir le bras-verrou 1249 dans la posi  tion de déblocage, de sorte que le     levier    1247  soit déplacé dans le sens des aiguilles d'une  montre, afin de permettre à l'arbre 149 de  tourner dans. le sens des aiguilles     d'une    mon  tre pour déclencher le fonctionnement de la  machine.  



  Lorsque le bras     l262    se déplace dans le       sens    des     aiguilles    d'une montre, un bras 1264,  solidaire du bras 1262, entre en contact avec  un goujon<B>1.265</B> fixé sur une articulation 1266  et déplace l'articulation de la position de la       fig.    68 à droite à la suite de quoi un goujon  1267 porté par .l'articulation 1266 déplace un  bras en fourche 1268 fixé sur l'arbre 1244  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre, de manière à permettre aux  rouleaux tendeurs 1242 de s'abaisser et d'en  trer en contact avec le bordereau sur les rou  leaux d'alimentation sous la     tension    d'un res  sort, exactement de la.

   même manière que les  rouleaux 965 de la     fig.    103 s'abaissent vers le  chèque situé sur les rouleaux d'alimentation  964 du chèque.  



  L'articulation 1266 est montée de manière  à glisser par .son extrémité gauche sur un  arbre 1269 supporté par les châssis 131, 132      et 133 et son extrémité droite pivote     sur          l'extrémité    supérieure d'un bras coudé<B>1270</B>  qui, lui-même, oscille sur un goujon 1271  porté par le châssis 133 de l'imprimeur. Le  mouvement de l'articulation 1266 vers la  droite déplace le coude 1270, à la suite de  quoi un goujon 1272 fixé sur ce coude se  place     au-dessous    d'une encoche d'un verrou  1273 fixé sur un arbre 1274 supporté par les  châssis 131, 132 et 133 de l'imprimeur.

   Un  ressort 1275 maintient le verrou normalement  contre le goujon 1272 et, lorsque l'ergot se dé  place à droite, comme indiqué sur les     fig.    68  et 69, le ressort 1275 déplace le verrou, à la  suite .de quoi son     encoche    s'engage sur le gou  jon 1272 et maintient le bras coudé 1270 dans  sa position de     manoeuvre    en maintenant ainsi  les rouleaux tendeurs 1242 dans leurs posi  tions de fonctionnement par rapport aux  rouleaux d'alimentation 1240.  



  Pour pouvoir retirer le bordereau de paye       b151    de la. machine après l'établissement des  chèques pour les employés indiqués sur le  bordereau et dont le nombre peut être quel  conque, 50 ou 60 par exemple, il faut libérer  les rouleaux tendeurs 1242, de manière à pou  voir retirer le bordereau sans le déchirer.     _A     cet effet, on a prévu un bras en fourche<B>1276</B>  également fixé sur l'arbre 1255     (fig.    69 et 70),  qui s'engage sur un goujon 1277 porté par  une articulation 1278 montée à glissement sur       l'arbre    1269 et sur un goujon 1279 fixé sur  le châssis 131. Cette     articulation    1278 porte  un ergot 1280 pouvant coopérer avec un bras  1281 fixé sur l'arbre de blocage 1274.  



  Afin de libérer les rouleaux tendeurs pour  pouvoir insérer et retirer le bordereau 151,  l'opérateur déplace le     levier    1257     (fig.    69) à  droite, par suite de quoi l'arbre 1255 oscille,  sous l'action de l'articulation 1259 et du bras  1260, dans     .le-sens    contraire à celui des aiguil  les d'une montre, et -le bras 1276 déplace l'ar  ticulation 1278 à gauche, de sorte que l'ergot  1280 entre en contact avec le bras 1281 et  fait osciller l'arbre 1274 dans le sens contraire        <  <         celui.    des aiguilles d'une montre, ce     qui    sou  lève le verrou 1273 ou, autrement dit,

   il le  déplace dans le sens contraire à celui des    aiguilles d'une montre et dégage son encoche  du goujon 1272, à la suite de quoi     iuz    ressort  1282 fixé au coude 1270 entraîne celui-ci     vers     la position indiquée sur la     fig.    69, en plaçant  ainsi le goujon 1272 sous la partie principale  du bras supérieur du verrou 1273.  



  En même temps que l'arbre 1255 oscille  dans le sens contraire à celui -des aiguilles  d'une montre, le goujon 1261 du     bras    1262  ramène. le     bras-verrou    1249 clé la position  libre vers la position représentée, à la suite  de quoi son extrémité supérieure se trouve  au-dessous du doigt 1250 du levier 1247 en  interdisant ainsi tout mouvement de l'arbre  149 de déclenchement de la machine dans le  sens des aiguilles d'une montre pendant que       .les    rouleaux tendeurs sont dégagés des rou  leaux d'alimentation     121-0.     



  La machine est pourvue d'un dispositif de  sécurité pour empêcher la libération des rou  leaux tendeurs 1242 pendant. l'opération de la  machine. Ce dispositif consiste en un galet  1283 porté par le coude 1270     !fig.    69); après  le déplacement du coude 1270 dans le sens  des aiguilles d'une montre par le mouvement  de l'articulation 1266 vers la droite, ce galet  1283 s'abaisse, lorsque les rouleaux     1.2-12    sont  mis dans la position de     fonctionnement,    de la  position montrée sur la     fig.    69, et s'écarte des  parties à faibles rayons d'une came 1284 fixée  sur l'arbre 370 de l'imprimeur.

   Lorsque cet  arbre tourne     dais    le sens des aiguilles d'une  montre, la partie saillante de .la came 1284  entre en contact avec le galet     12g3    et bloque  tout mouvement du coude 1270 sous l'action  de son ressort 1282, de sorte que, même si  l'opérateur déplace le     levier    1257 à droite  pour débrayer les rouleaux tendeurs et blo  quer la machine, il n'en résulte aucun effet,  parce que le verrou 1273 est seulement dé  placé dans le sens contraire à celui des aiguil  les     d'une    montre et dégagé du goujon 1272,  mais son ressort 1275 entraîne, dès que     I'opé-          r        ateur    abandonne le levier 1257,

   immédiate  ment le verrou à nouveau dans 'le sens des       aiguilles    d'une montre à la, suite de quoi l'en  coche du bras supérieur du verrou s'engage  à nouveau sur le goujon 1272 et maintient      les pièces, de sorte que les rouleaux tendeurs  1242 restent dans la position active. Ensuite,  lorsque l'arbre 370 .arrive à sa position nor  male, le levier 157 peut être déplacé     dans    le  sens des aiguilles d'une montre, afin de dé  brayer les rouleaux tendeurs 1212 et .de re  tirer le bordereau 151 à la fin de toute opéra  tion suivant l'opération de paye nette.  



  Pour l'avancement du bordereau     dc    la  ligne supérieure de n'importe quel espace     vers     la ligne inférieure de ce même espace on de  la ligne     inférireure    d'un espace quelconque  vers la ligne supérieure de ce même espace  ainsi que pour l'avancement du bordereau de  la. ligne inférieure d'un     espace    vers la. ligne  supérieure de l'espace suivant, on a prévu  trois roues à rochet 1290, 1291 et 1292       (fig.    59, 60), toutes fixées     l'une    à l'autre,  toutes montées et fixées sur l'arbre d'alimen  tation 1211. Avec la roue à rochet 1290 co  opère un     cliquet    1293.

   Un ressort 1294 main  tient normalement le cliquet 1293 en prise  avec la roue 1290 pour faire tourner les rou  leaux d'alimentation 1210, de manière à faire  avancer le bordereau 151 de la ligne infé  rieure d'un espace quelconque vers la ligne  supérieure de l'espace suivant. Ce cliquet 1293  fonctionne à .l'aide des moyens décrits     ci-          après,    pendant chaque opération où les gains  antérieurs de l'employé sont relevés sur carte  et enregistrés dans le totalisateur  G. T. 2   <B>(le</B> la machine après abaissement de la     touche     161  Gains antérieurs .  



  Un cliquet 1295     (fig.    59 et 60) coopère  avec la roue à rochet 1291 sous l'action d'un  ressort 1296 pour faire avancer le bordereau  de paye de la ligne supérieure d'un espace  quelconque vers la ligne inférieure de ce  même espace. Ce cliquet est commandé par la  touche 162  Paye nette , par les touches 166   T ,  X ,      11I     et  K  et par les touches 165   B ,  D ,  F   H  et  J , de manière à faire  avancer le bordereau de paye 151 par le     cli-          quet    1295 lorsque, dans l'opération     pr6cé-          dente,    l'impression a été faite sur la ligne su  périeure de ce même espace.

   Ce cliquet 1295  est commandé par les touches 166  R ,  S ,   N  et  L , par ales touches 165  A ,  C ,     E  et  G  et par la touche 162  Brute  pour  empêcher par     l'abaissement    de     l'une    de ces  touches tout avancement du bordereau si la  dernière impression avant l'abaissement de  ces touches a été faite sur la ligne supérieure  de l'espace particulier dans lequel doit se  faire l'impression.  



  Un cliquet 1297     (fig.    59) peut coopérer  avec la roue à rochet 1292 sous l'action d'un  ressort 1298 pour faire avancer le bordereau  de paye de la ligne     inférieure    d'un espace  quelconque vers la ligne supérieure du même  espace sous le contrôle de la touche 162   Paye brute , des     touches        1,56         R ,     S ,   N  et  L  et des touches 165  A ,  C ,        E     et  G  lorsque la dernière impression  précédente a été faite sur la ligne inférieure  de cet espace.

   Ce cliquet 1297 peut également  être commandé par la touche 162  Paye  nette , les     touches    166  T ,  X ,      M     et  K   et les touches 165  B ,  D ,  F ,      H     et      J      pour empêcher tout avancement du bordereau  de paye 151 lorsque la dernière impression  précédente a été faite sur la ligne inférieure  de cet espace particulier.  



  Les cliquets 1293, 1295 et 1297 pivotent  tous     sur    une articulation motrice 1300 fendue  de manière à glisser par son extrémité gauche  sur un moyeu de la roue à rochet 1291 et pi  votant à l'extrémité droite sur un bras 1301       oscillant    sur un goujon 1302 porté par le       châssis    132 de     l'imprimeur.    Un ressort 1303  appuie un galet 1304 porté par le bras 1301  contre une came 1305 calée sur l'arbre 370 de  l'imprimeur.  



  An cours de chaque opération de l'arbre  <B>370,</B> .la came 1305 déplace l'articulation 1300  d'abord à gauche et     ensuite    en arrière à droite  vers la position indiquée sur la     fig.    59,     c'est-          à-dire    qu'elle permet au ressort 1303 de ra  mener l'articulation 1300 en arrière vers la  droite.  



  Lorsque l'articulation 1300 se déplace à  gauche, le cliquet 1293 étant en prise avec la  roue à. rochet 1290, le bordereau de paye  avance de la ligne inférieure     d'un    espace  quelconque vers la ligne supérieure de l'es  pace suivant. Si le     cliquet    1295 est en prise      avec la roue 1291 pendant ce mouvement<B>(le</B>  l'articulation 1300 à gauche, le bordereau de  paye 151 avance de la ligne     supérieure    d'un       espace    quelconque vers la ligne inférieure du  même     espace    et si le     riquet    1297 est en prise  avec la roue à rochet 1292,

   le bordereau de  paye 151 est ramené de la ligne inférieure  d'un     espace    quelconque vers la ligne supé  rieure du même espace.  



  L'embrayage et le débrayage des cliquets  i293, 1295 et     129'7    avec leurs roues respec  tives 1290, 1291 et 1292 sont commandés par  deux groupes de plaques de contrôle à en  coches qui portent les numéros 1306 et 1307       (fig.    39 et     57A).    Le groupe de plaques 1306  comprend quatre plaques,     jeomme    indiqué sur  la ligne 2 du tableau de contrôle     64A    et  64B, commandées par     ,les    touches des rangées  1, 2, 3 .et 4.

   Le groupe de plaques 1307 ne  comprend que deux plaques, .comme     indiqué     sur     7a    ligne 1 du tableau de la     fig.    65,  commandées par     les    touches     des    rangées 1  et 2. Le groupe de plaques 1306 contrôle  les trois cliquets et le groupe de plaques  1307 contrôle -uniquement le cliquet d'avan  cement 1293.  



  Avec le groupe de plaques 1306 coopère  un levier contacteur 1308 pivotant sur l'arbre  762. Ce     levier    est muni     d'-un    doigt 1309 qui       coopère    avec un ergot 1310- d'un bras 131L  fixé sur l'arbre 762, lequel, .comme on se rap  pelle, subit au cours de chaque cycle d'opéra  tions de la machine d'abord un mouvement  contraire à celui des aiguilles d'une montre  et ensuite un mouvement en     arrière    .dans le  sens     des    aiguilles. Le levier     contacteur    1308  possède un bras 1312 qui coopère avec     un     ergot 1313 du cliquet 1293     (fig.    60 et 62).

   Au       levier    contacteur 1308 est fixé, à l'aide  d'un manchon 1314, un levier contacteur  1315     (fig.    59) pourvu d'un doigt 1316 qui co  opère avec un ergot 1317 du cliquet<B>12971</B> et  d'un doigt 1318 coopérant avec un ergot 13l9  du cliquet 1295.

   Un ressort 1320 relié à l'er  got 1310 et à     lin    goujon fixé sur le levier  1315 maintient le doigt 1309 normalement en  contact avec l'ergot 1310, de sorte que, lorsque  le bras 1311 se déplace dans le sens contraire    à     celui    des aiguilles d'une montre, les leviers  1308 et 1315 se déplacent clans le même sens       sous    le contrôle des plaques du groupe<B>1306.</B>  Entre les leviers 1308 et 1315 se trouve un  bloc contacteur 767 supporté par ces derniers  et qui détermine, en coopération avec les en  coches et les points saillants des     plaques    du  groupe 1306,

   si les leviers 1308 et 131.5 se  ront déplacés ou non dans le sens contraire  à     celui    des aiguilles d'une montre pour com  mander les cliquets 1293, 1295 et<B>1297.</B>  



  Il y a lieu de noter que, sur la     fig.        6\?,    le  levier 1308 est représenté dans la position de       manoeuvre    et le levier 1315 est supprimé. Le  levier 1308 est représenté en partie dans la  position normale sur la     fig.    60.  



  En se reportant à la ligne 2 du tableau  de contrôle des     fig.        64A    et 64B,     oui    consta  tera que la plaque N  1, qui est la plaque re  présentée sur la     fig.    59, comprend des enco  ches aux positions 0 .et 3 (arabes) qui cor  respondent à la position d'addition du .diffé  rentiel de la rangée     x    et à la position de la  touche  Brute  de la rangée 1.

   La plaque  N  2, commandée "par le différentiel de la  rangée 4, possède des encoches aux positions  0, 2, 4, 6 .et 8 correspondant à la position 0  du différentiel et aux touches 166 de la ran  gée 4  L ,  K ,  S  et      R. .    La plaque N  3,  commandée par le différentiel de la rangée 3,  a -des encoches aux positions 0, 3, 5, 7 et 9  (arabes) qui correspondent à la position 0     dit     différentiel et aux touches 165      G ,     E ,  C   et  A  de la rangée 3.

   La plaque N  4 de ce  groupe comprend des encoches aux positions  5, 6, 7, 8 et 9 (arabes) correspondant à la  touche  Déblocage , à la touche  - , à la  touche      Gains    antérieurs  et à la touche      +      164 de     @la    rangée 2, la touche de déblocage  étant la position automatique du différentiel.  de la rangée 2     lorsque,    comme on se rappelle,       tune    quelconque des touches 165  A  à  J  on  les touches 166      N     à  K  sont actionnées  en vue du contrôle des     déductions    à     extraire     du     totalisateur    d'addition et     soustraction.     



  On voit donc que par cette     .combinaison    de  plaques du groupe 1306 commandées par les  rangées 1, 2, 3 et 4, lorsque le doigt inférieur      du bloc contacteur 767 rencontre des encoches  dans     toutes    les plaques, les leviers 1315 et  <B>1308</B> sont déplacés dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une montre sous l'action  du ressort 1320, lorsque .le bras 1311 se dé  place dans ce sens.

   Ce mouvement du levier  dans le sens contraire. à celui des aiguilles  d'une montre oblige le doigt 1318 à entrer en  contact. avec l'ergot 1319 du cliquet 1295 et à       @e        débrayer    de la roue à rochet 1291 et, le  doigt. 1316 étant abaissé, il permet au ressort  1298 d'entraîner le cliquet 1297 dans le sens  contraire à .celui des aiguilles d'une montre,  (le manière à s'engager sur la roue à rochet  1292.

   En même temps, le bras 1312 du levier  1308 débraye, par son contact avec l'ergot  1313, le cliquet 1293 de sa roue     :1.290    et, par  conséquent, lorsque l'articulation 1300 se dé  place à gauche, le seul cliquet qui produit un  effet d'avancement est le     cliquet    1297 qui est  le cliquet qui fait avancer le bordereau de       pave    151 de la ligne inférieure d'un espace       quelconque    vers la ligne supérieure de ce  même espace.  



       Sielon    les encoches (côté arabe) des pla  ques     dut    groupe 1306 qu'on vient de décrire,       l'abaissement        d'une    des touches 165  A ,  C ,   E  ou      G ,    ou     d'une    des touches 166  S ,   N ,  L  ou      R ,    ou de la touche 162  Brut   ramène le bordereau de paye en arrière de la  ligne du bas vers celle du haut de cet espace,  pourvu qu'il se soit trouvé au commencement  <B>(le</B> cette opération dans une position lui per  inettant de recevoir une impression sur la  ligne du bas.  



       Dans    l'opération qu'on vient de décrire,  le cliquet 1297 aurait embrayé le rochet 1292  contre les dents, comme indiqué sur la     fig.    62,  et fait reculer le bordereau de la ligne infé  rieure vers la ligne supérieure de l'espace.  



  Cependant, en fin de cette opération, le  rochet 1292 restera dans la position de la       fig.    59; donc, si on abaissait l'une des touches  susmentionnées pour une opération suivante,  lorsque le cliquet 1297 peut s'engager sur le  rochet 1292, il ne le fera pas .dans le sens ra  dial des dents, mais près de leur bord supé  rieur, comme indiqué par la courbe pointillée    partant de l'extrémité du cliquet jusqu'à la  dent du rochet;

   par conséquent, lorsque l'ar  ticulation 1300 se déplace à gauche, le     cliquet     1297 n'entraîne pas le rochet, mais     passe    sans  effet sur la surface radiale de la dent devant  le     cliquet    en empêchant ainsi cette fois tout  mouvement du bordereau puisque l'impression  doit se faire sur la ligne du haut de l'espace,  comme dans l'opération précédente.  



  Pour avancer le     bordereau    151 de la ligne  supérieure d'un espace quelconque vers la  ligne     inférieure    du même espace, le     cliquet     1295 doit faire     tourner    Je rochet 1291. Ce     cli-          quet    1295 est commandé par le levier 1315 et,  comme on le voit sur la     fig.    59, il peut avan  cer du fait que le rochet 1292 montre que la  dernière impression a été faite sur la     ligne    du  haut de l'espace.  



  Mais, au lieu des encoches dans les pla  ques 1, 2, 3 et 4 du groupe 1306, ce sont les  points en     saillie    de ces plaques qui comman  dent le cliquet 1295; par conséquent, lorsque  le doigt inférieur du bloc 767 rencontre un  point saillant sur     une    des quatre plaques du  groupe 1306, le cliquet 1295 reste en position  active. Les points     saillants    se trouvent, en-ce  qui concerne le doigt inférieur, dans des posi  tions complémentaires, c'est-à-dire dans des  positions opposées aux points en retrait. En  d'autres     termes,    il y aura, sur la ,plaque 1,  des points saillants aux positions 2, 4 et 9  (arabes) et, sur la plaque 2, commandée par  la rangée 4, des points     saillants    aux positions  1, 3, 5, 7 et 9.

   Sur la plaque N  3, commandée  par la rangée 3, il y aura .des points saillants  aux positions 1, 2, 4, 6 et 8 et., sur la plaque  N  4, commandée par la rangée 2, des points  saillants aux positions 0, 1, 2, 3 et 4; de cette  façon, le doigt inférieur du bloc 767 rencon  trera des points saillants en cas     d'abaissement     de l'une     .quelconque        des    touches 165      B ,     D ,   F ,  II  et  J  de la rangée 3 ou d'une des  touches     quelconques    166  T ,  Y ,

        M     et        R     de la rangée 4 ou de la touche 162  Paye  nette  de la rangée 1 et également lorsque le  différentiel de la rangée s'arrête dans la cin  quième position sous le contrôle des     touches     de déduction 165 et 166 ou dans la     neuvième         position sous le contrôle des touches 166      R ,      T ,  S  et  X  qui sont des touches de   gains .  



       Puisqu'il    faut un point saillant pour con  trôler le bloc, on doit également avoir des  points saillants en face du doigt supérieur du  bloc 767. ' Comme on le voit sur le tableau       (fig.        64A    et 64B), on a prévu un point sail  lant à chaque     position    désignée en chiffres  romains des     plaques    Nos 1, 2 et 3 et aussi à  chaque position de la plaque N  4, sauf la  position     IX.    En conséquence, les deux doigts  du bloc 767 rencontreront, en cas d'abaisse  ment de l'une des touches susmentionnées, des  points     saillants    au moins sur l'une     .des    plaques  et, de ce fait,

   le ressort 1320 ne pourra dé  placer les leviers 1315 et 1308 dans le sens  ,contraire à celui des aiguilles d'une montre.  Les leviers 1315 et 1308 se trouveront, par  conséquent,     dans    les positions     indiquées    sur  les     fig.    59 et 60 où le doigt<B>1316,</B> par son en  gagement sur l'ergot 1317, a dégagé le     cliquet     1297 du rochet 1292, et le doigt 1318 étant  écarté de l'ergot 1319 .a permis à son     ressort     1296 de mettre le cliquet 1295 en prise avec  le rochet 1291.

   Par conséquent, lorsque l'arti  culation 1300 se déplace vers la gauche, le cli  quet 1295 fait tourner le rochet 1291 de ma  nière à faire avancer le bordereau de paye de  la ligne ,supérieure d'un espace vers la ligne       inférieure    de ce même espace.  



  Ce mouvement du rochet 1291, de la posi  tion indiquée sur la     fig.    60,     destiné    à faire  avancer le bordereau de la ligne du hart vers  celle du bas d'un espace quelconque n'est pas  un déplacement du rochet 1291 d'une dent  entière; par conséquent, si -la prochaine im  pression doit s'effectuer sur la même ligne du  même espace, le cliquet 1295 ne s'engagera  pas sur     l'arête    radiale de la prochaine dent,  mais sur l'arête angulaire de la même dent, la  quelle s'était     engagée    clans ].'opération pré  cédente.

   Il     -%#    aura donc un mouvement à     vide     du cliquet 1295 et, par     conséquent,    le borde  reau n'avancera pas si     des        impressions    succes  sives doivent être     effectuées    sur la même ligne  du même espace.  



  Pour faire avancer le bordereau 151 de la    ligne inférieure     d'-un    espace quelconque vers  la     ligne    supérieure du prochain espace, le       cliquet    1293 doit s'engager sur la roue à ro  chet 1290 pour l'entraîner dans le sens des  aiguilles d'une montre. Cet engagement dudit  cliquet 1293 sur son rochet 1290 s'effectue  sous le contrôle de deux plaques du groupe  1307.  



  Le cliquet d'entraînement 1293 faisant  avancer .le bordereau de la ligne inférieure  d'un espace vers la     ligne    supérieure du pro  chain espace voisin se trouve sous le contrôle  du groupe de     .plaques    1307 indiqué sur la li  gne 1 du tableau de contrôle     (fig.    65) et cons  titué par deux plaques, plaque N  2 et plaque  N  3. Dans ce cas spécial, les points en retrait  empêchent l'avancement et les points saillants       provoquent    l'avancement du bordereau au  moyen du     cliquet    1293.

   La plaque N  2, com  mandée par le différentiel de la rangée     ?,     comprend     des    points     saillants    aux positions  0 à 9 (chiffres arabes) et aux positions V. VI  et VIII     (chiffres    romains). La plaque     N     3,  commandée par le différentiel de la rangée 1,  possède des encoches aux positions 0,     2@et.    3  et aux positions 0, I, II et III (romains). Ce  cliquet 1293,     @m    plus du contrôle par le levier  contacteur 1308, est soumis au contrôle d'un  levier contacteur 1325 pivotant sur l'arbre  762 et possédant un doigt maintenu en con  tact avec l'ergot 1310 du bras 1311 par un  ressort 1327.

   Ce levier porte un bloc contac  teur 767     (fig.    60 et 63) et a un bras 1328 qui  coopère avec l'ergot 1313 du cliquet 1293.  



  Lorsque les plaques du groupe 1307 pré  sentent -des encoches au doigt inférieur du  bloc 767, le levier 1325 se déplace dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre sous l'action du ressort 1327 lorsque le  bras 1311 se déplace dans le sens contraire à  celui des aiguilles d'une -montre, et le bras  1328 entre par conséquent en contact avec  l'ergot 1313 et maintient. le cliquet 1293 dans  la position indiquée sur les     fig.    60 et 62, posi  tion où il est dégagé de son rochet 1290.  



  En se reportant au tableau de contrôle       (fig.    65), on constate que le doigt inférieur  du bloc 767 rencontre des encoches dans la      plaque     N     2 chaque fois que le différentiel de  la rangée 2 s'arrête à la position 0 et à la po  sition 9 et que ceci correspond à la position  0 ou d'addition de la rangée 1     ainsi    qu'à la  position de la touche  Gains à ce jour  et à  la position de la touche  Brut ; par consé  quent, lorsque la machine est actionnée par  l'abaissement d'une de ces     touches     Gains à  ce jour  ou  Brut  ou     dans    les opérations  d'addition avec des déductions et gains, le cli  quet<B>1293</B> est maintenu dégagé de son rochet  1290 et il n'y a pas d'avancement du borde  reau.

    



  Le tableau montre également que le con  tacteur supérieur du doigt supérieur du bloc  767 rencontre     des    encoches chaque fois que le  différentiel de la rangée 2 s'arrête aux posi  tions 5, 6 ou 8 qui correspondent à toutes les  positions des déductions ainsi     qu'aux    deux po  sitions de correction pour les     déductions    ou  gains dans la. position romaine et que le diffé  rentiel de la rangée 1 a     laie    encoche dans la  position zéro, dans la position de la touche   Paye nette , dans la position de la touche   Gains à ce jour  et dans la position de la  touche  Brut .

   Donc, si l'on abaisse l'une de  ces touches, le levier 1325 est déplacé dans le       sens    contraire à celui des aiguilles     d'une    mon  tre, de manière à maintenir le     cliquet    1293  dégagé et à empêcher l'avancement du bor  dereau.  



  Mais, dans la position 7 de la rangée 2, il  y a un point saillant du côté chiffres romains  ainsi que du côté chiffres arabes de la pla  que N  2, et comme il y a un point saillant  dans cette position, le levier 1325 ne peut se  déplacer dans le sens contraire à celui des       ai(ruil@les    d'une montre, comme indiqué sur la       fig.    60 et, par .conséquent, le bras 1328 est  écarté de l'ergot 1313 et le ressort 1294 amène  le cliquet 1293 en prise avec le rochet 1290,  <B>(le</B> telle façon qu'après une opération de la  machine où les gains antérieurs sont extraits  pour les faire entrer dans le     totalisateur      G.

   T. 2 , ce qui exige une opération de la  touche  Gains antérieurs , le bordereau de  paye 151 avance de la ligne inférieure d'un  espace quelconque d'un pas vers la ligne supé-         rieure    de l'espace voisin, de sorte que, dans  l'opération qui suit immédiatement après pour       l'enregistrement    des heures et des gains,  ceux-ci seront imprimés sur la ligne du haut  de l'espace nécessaire pour le nouveau salarié.  



  Afin     d'aligner    les roues à rochet<B>1290,</B>  1.291 et 1292 de manière que leurs dents soient  toujours     dans    les positions convenables par  rapport à leurs cliquets     d'entraînement,    on  a prévu sur. l'arbre d'alimentation 1.241,     lui     disque denté 1330 (fi-. 39 et 47) avec lequel  coopère un ergot 1331. fixé sur un levier  coudé 1332 pivotant sur une tige 744.

   Un  ressort 1333 appuie l'ergot 1331 contre le dis  que denté 1330 de faon permanente pour  servir     d'aligneur,    tandis que les rochets tour  nent pour avancer le bordereau et s'assurer  que tous les rochets se trouvent après la fin  du mouvement d'avancement dans leurs posi  tions correctes, afin d'être actionnés par leurs  cliquets dans les opérations suivantes.  



  Il est très désirable que l'arbre 1241 et,  par conséquent, les rouleaux d'alimentation  1240 soient, au cours de l'impression du bor  dereau, solidement bloqués pour qu'il n'y ait  aucune possibilité pour le bordereau de bou  ger pendant le temps que s'effectue l'impres  sion, afin d'éviter des taches.

   Dans ce but, on  a prévu un mécanisme d'alignement positif  pour l'arbre 1241 et .les rouleaux d'alimenta  tion 1240, mécanisme qui consiste en     lui        ali-          gneur    1334 sur lequel pivote une articulation  1335 pivotant également sur un coude 1336       oscillant        slir    l'arbre<B>737.</B> Ce coude porte des  galets 1337 et 1338 qui coopèrent avec des  cames conjuguées 1339 et 1340 calées sur l'ar  bre 370 de commande de     l'imprimeur.    Ces  cames 1339 et 1340 sont indiquées sur la ligne  19 du tableau de distribution des temps       (fig.    109).  



  Immédiatement avant l'impression du bor  dereau     alt    moyen des marteaux 701 à 711,  les     cames    1339 et 1340 déplacent, à l'aide du  coude 1336 et de l'articulation 1335,     l'ali-          gneur    1334 dans le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre et l'amène en prise  avec ,le disque denté 1330 .pour assurer l'ali  gnement du bordereau pendant     l'impression.         Comme on le voit sur les     fig.        46A    et     46B,          ii    y     -a,    deux jeux de ces cames 1339 et 1340;

   le  jeu .de gauche     (fig.    46A) sert à aligner .le bor  dereau et le jeu de droite     (fig.    46B) sert à  aligner la carte de salaires 153 exactement de  la même façon que le bordereau 151; la seule  différence est que le coude 1336     pour    la carte  de salaires est monté sur l'arbre 738 qui se  trouve, comme on se rappelle, en alignement  axial avec l'arbre 737.  



  Pour protéger la partie inférieure du bor  dereau de paye 151 contre les     déchirures    lors  qu'il se trouve en position d'impression, le  coffre est pourvu, comme on le voit sur la       fig.    68, d'un couvercle 1342 à charnière 1343.  Le .couvercle 1342 ferme le haut d'une     gou-          lotte    de descente de papier 1344. Pour intro  duire la partie inférieure du bordereau 151,  on soulève le     couvercle    1342 en passant .les  doigts dans des trous ad hoc 1345, on fait  contourner au bordereau le bord avant du  couvercle 1342 et on l'introduit dans la  descente du papier 1344. Ensuite, on baisse le  couvercle 1342, -Lui rebord se posant sur une  lame 1347 du coffre 146.

           Hécanisrie        d'avancement   <I>et de tension</I>  <I>du support de la carte de salaires.</I>  



  Ainsi qu'on l'a exposé plus haut, la carte  de salaires 153 s'imprime par les marteaux  720 à 729 inclus situés du côté droit de la  machine.     Sur    la     fig.    1, la carte de salaires  est représentée dans la position d'impression  de la ligne supérieure dans l'espace 1.  



  La carte de salaires 153 est destinée à un  seul employé et il est réservé     im    espace pour  chaque semaine ou autre période de paye.       Chacun    de ces espaces comprend deux     lignes     d'impression, une     ligne    supérieure et une  ligne inférieure, .comme on le voit sur la       fig.    29. La ligne supérieure et la ligne infé  rieure sont sélectionnées par un mécanisme  décrit ci-après sous le contrôle des touches  des rangées 1, 2, 3 et 4 pour déterminer sur       quelle    ligne de l'espace l'impression doit  s'effectuer.

   Pour déplacer la carte de salaires  de la ligne supérieure vers la     ligne    infé  rieure et vice versa, on a prévu un méca-         nisme,    sensiblement identique au. mécanisme  qui déplace     @le    bordereau de paye de la ligne  du haut vers celle du bas et vice versa et au  quel on se reportera par la suite.  



  Une partie du coffre 146 de la     machine     forme un canal de faible     hauteur    dont les  bords 1350 servent de guides pour les cartes  de salaires 153. Près du milieu de ce canal  plat on a prévu     un    canal plus     profond    1351       (fig.    44A) pourvu d'une fente 1352 pour le  passage d'une languette 1353     (fig.75),    .d'une  barre 1354 en forme de     U    munie de deux  doigts 1355. Les doigts 1355 ont des épaule  ments 1356 contre     lesquels    on place le bord  inférieur de la carte 153 lorsqu'on l'introduit.       dans    la machine.

   Ces épaulements sont  obtenus en découpant une partie supérieure  des doigts 1355, de sorte que la carte 153 re  pose à plat sur le canal de faible hauteur du  ,coffre 146 pour être avancée vers l'intérieur  par les doigts 1355 vers une     position    sélec  tionnée après que la carte a été placée sur le  canal plat. La partie supérieure de la carte se  pose .cette fois contre les butées 1357     (fig.    44B,  74, 77 et 78) des leviers 1358 qui pivotent au  point 1359 sur une plaque 1360 pourvue de  flasques 1361 fixés à     une    traverse arrière  1362 de la table mobile     des    cartes.

   Cette tra  verse 1362 relie des barres parallèles 1363 sur  lesquelles, près de ,leurs     e:Ytrémités    avant, sont  fixés les blocs 1364. Pour maintenir l'écarte  ment convenable entre les barres 1363, à leurs  extrémités avant on a prévu un étrier 1365  fixé aux blocs 1364, ainsi qu'on le voit sur la,       fig.    75. Cet étrier 1365 porte un bloc 1366       -dans    ,lequel est fixée la languette 1353 du  doigt 1355.  



       Chacun    des blocs 1364 porte     un    galet.     13E7     reposant sur le bord supérieur d'un     rail    1365.  Le rail<B>1368</B> de gauche est monté sur le châs  sis 135 de     l'imprimeur    à l'aide de goujons à  vis 1369, et le rail 1368 de droite est monté  sur le     châssis    136 de l'imprimeur à l'aide de  goujons à vis 1369.

   Les bords     inférieius    des       rails    1368 ont des encoches en forme de V  1370 qui coopèrent avec     des    ergots 1371 fixés  sur des bras 1372     entrainés    par     des        ressorts,     ergots qui. passent par-dessus les encoches 1370      en forme de V lors du mouvement de     va-          et-vient    .de .la table, c'est-à-dire en avant et en  arrière par rapport à la partie frontale de la  machine. Ces ergots 1371 agissent comme     ali-          gneurs    de la table mobile des cartes.

   Pour  empêcher le     mouvement    de la table vers le  haut, les galets 1367 sont maintenus dans :leur  position de roulement par rapport aux rails  1368 -par des barres 1373 fixées sur les bords  supérieurs des châssis 135 et 136. Un ressort  1374 est tendu entre un .flasque de     chaque    le  vier d'arrêt 1358 et un flasque de chaque pla  que 1360 pour maintenir les butées 1357 dans  da     position        indiquée    sur les     fig.    74 et 77, afin  que le bord     supérieur    de la carte de salaires  153 puisse se poser contre ces butées, de ma  nière à occuper la position correcte par rap  port à la table mobile.  



  La partie     postérieure    de la table voisine,  c'est-à-dire la partie à laquelle est reliée la  barre 1362, est supportée par une plaque fixe  908 du guide-bordereau. Cette plaque est  fixée, près de son bord avant, par des oreilles  à la partie supérieure des châssis 135 et 136  de l'imprimeur et, près de son bord posté  rieur, sur une console 1375     â:    trois doigts mon  tée à l'aide de flasques 1376 sur les châssis  <B>1.35</B> et 136 de l'imprimeur     (fig.        43B    et 44p) .  Le     doigt    central du support 1375 est supporté  par un support auxiliaire 1377 fixé à la tra  verse arrière 139.  



  La plaque 908 est découpée au-dessus     des     marteaux 720 à 729 pour leur permettre d'en  trer en contact avec le bord inférieur de la  carte -de salaires pour recevoir l'impression  des roues porte-caractères. La plaque 908  présente des fentes 1378, afin de permettre       aux    butées 1357 et aux flasques 1361 des pla  ques 1360 de glisser en avant et en arrière,  ou en regardant la     fig.    44B, de gauche à droite  et de droite à gauche.

   Deux flasques 1379       (fig.    43B) de la plaque 908, dirigés vers le  bas, portent des goujons 1385     (fig.    76) à  épaulements qui passent par des fentes-cames  1386 pratiquées     dans    une barre 1387 pour la       guider.    La barre 1387 a un flasque horizontal  1388 qui se trouve au-dessus des ergots 1389  des leviers d'arrêt 1358. Un ressort 1390         maintient        @la    barre 1387 normalement dans la  position     indiquée    sur la     fig.    76, les     extrémités     droites des     fentes-cames    1386 contre les gou  jons à épaulements 1385.  



  Comme on l'a     dit        plus    haut, les espaces  d'impression des cartes de salaires     portant    les  numéros 1 à 25 sont prévus pour recevoir des  empreintes sur les lignes du haut et du bas.  Si     l'impression    se fait sur la ligne du bas  d'un espace quelconque, il faut abaisser les  butées 1357 en dehors du chemin parcouru  par le bord de la carte de salaires, de sorte  qu'elle     puisse    avancer pour     recevoir    l'em  preinte sur la .ligne inférieure de l'espace.  Le moyen servant à abaisser ces butées com  prend la barre 1387 avec ses     fentes-cames     1386.

   A cette barre 1387 est relié, par     une     articulation fente-ergot, un bras 1391 fixé sur  un arbre 1392 supporté par les châssis 135 et  136 de l'imprimeur. Sur cet arbre 1392 est  également fixé un bras 1393 auquel est relié       l'extrémité    arrière d'une articulation 1394  dont l'extrémité avant est fendue pour em  brasser et     glisser    sur l'arbre 731     (fig.    73).  



  Dans l'articulation 1394 est pratiquée     unie     fente 1395     (fig.    73), par laquelle passe un  goujon 1396 fixé sur l'extrémité droite d'une  articulation 1397 qui pivote, à son tour, sur  un coude 1398 fixé sur un arbre 1399 sup  porté par les ;châssis 135 et 136 de l'impri  meur. Sur l'arbre 1399 est également calé un  bras 1400 relié par une articulation 1401 à un  levier manuel 1402 qui pivote sur le côté du  châssis 136 de l'imprimeur et est guidé par  une plaque 1403 fixée au     châssis.    Ce levier  1.402 a trois positions,     ime    position normale ou  centrale, une position  avance  et une position   arrêt , qui sont. indiquées sur les     fig.    1 et 73.

    Lorsque le     levier    est placé dans la position   avance , cette     manoeuvre    est destinée à       abaisser    les butées 1357 en dehors du     .chemin     de la carte de salaires 153 et à mettre les  rouleaux     tendeurs    décrits ci-après en contact  avec les rouleaux d'avancement. pour la carte  de salaires.  



  Dans ce cas, c'est-à-dire lorsque le levier  1402 se déplace vers la gauche, en regardant  la     fig.    73, vers la position  avance , il dé-      place, par l'intermédiaire de l'articulation  1401, du bras 1400, de l'arbre 1399, du coude  1398 et de     l'articulation    1397, l'articulation  1394 à droite, à la suite de quoi le bras 1393  fait pivoter l'arbre 1392 dans le sens des       aiguilles        d'une    montre.

   Ce mouvement de l'ar  bre 1392 dans le sens des aiguilles     d'une    mon  tre déplace, par le bras 1391, la barre 1387 à  droite, en regardant la     fig.    76, à la suite de       quoi    les fentes-cames 1386 abaissent la barre  1387 et son flasque 1388 en même temps  qu'elle se déplace à droite. Ainsi, le flasque  1388 déplace, à l'aide des ergots 1389 des le  viers d'arrêt 1358, ces derniers dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'rure    montre  autour de leurs pivots 1359, de manière à  abaisser les butées 1357     au-dessous    de la pla  que 908 pour que la carte de salaires puisse  avancer.

      Les     butées    1357 sont maintenues dans leur  position de     manceuvre    à l'aide d'un verrou  1404     (fig.    73)     fixé    sur un arbre 1405 porté  par les     châssis    135 et 136. Ce verrou peut se  déplacer sous l'action d'un ressort 1406 relié  à une articulation 1407 pivotant sur ce verrou  1404 de manière à s'engager sur un ergot  1408 d'un levier 1409 pivotant sur -Lui goujon  1410 porté par le     .châssis    135.

   Ce     levier    1409  est relié, par     ruse    articulation fente-ergot, à  l'articulation 1394 et, par     conséquent,        ,lorsque     l'articulation 1394 se déplace à -droite, le le  vier 1409 se déplace     dans        ile    sens des aiguilles  d'une montre et le ressort 1406 fait tomber  le verrou 1404,à la suite -de quoi l'encoche  ménagée dans l'extrémité avant du     verrou.     s'engage sur l'ergot 1408 et maintiendra le  levier 1409 et, par conséquent, la barre 1387  dans     leurs    positions     @de        manoeuvre,

      ce qui  maintient les butées 1357     au-dessous    clé la  surface de la plaque 908.    Pour empêcher tout mouvement du levier  1402 qui pourrait dégager les butées 1357 au  cours d'une opération .de la machine, on a  prévu sur l'arbre 370 une came 1411 qui co  opère avec -Lui galet 1412 porté par un     bras     de blocage 1413 pivotant sur le goujon 1410.  Ce bras -de blocage est maintenu en prise avec         in    verrou 1414 pivotant au point 1415 sur le  levier 1409 par un ressort 1416.  



  Lorsque le levier 1409 a été déplacé dans  le sens -des aiguilles d'une montre à l'aide du  levier 1402, de la manière qu'on vient de dé  crire, le galet 1412 s'est légèrement déplacé  vers le bas à partir de la position     indiquée     sur la     fig.    73 et, pendant l'opération clé la  machine, la partie haute de la     .came    1411, en  tournant, est entrée en contact avec ce galet  1412 en maintenant ainsi le bras de blocage  1413 et, par le verrou 1414, le levier 1409  dans sa position de     manaeuvre,    de sorte que  le levier 1409 n'a pu se déplacer, même si on  avait.

   placé le levier 1402 dans la position   arrêt  pour faire entrer le goujon 1396 en  contact avec une queue 1417 du verrou et dé  placer ce dernier pour le dégager de l'ergot  1408. Par conséquent, si l'opérateur abandon  nait .le lever 1402, le verrou 1404 s'engage  rait à nouveau sur l'ergot 1408.

   A la fin de  l'opération, après l'impression de la pave  nette de l'employé sur le chèque, alors que le       levier    1402 est déplacé vers la droite, le dé  blocage du verrou 1404 par le goujon 1396  dégage le levier 1409, à la suite de quoi le res  sort     (fig.    76) ramène la barre 1387 à gauche  vers     ;la    position indiquée sur la     fig.    76, en  soulevant ainsi le flasque 1388 et en permet  tant aux ressorts 1374 de soulever les butées  1357 vers leur position normale d'arrêt.  



  Pour l'avancement clé la carte de salaires,  on a prévu une paire de rouleaux 1420       (fig.        44A.,    44B et 73) fixés sur l'arbre 920  décrit ci-dessus. Ces rouleaux d'alimentation  sont entraînés par un jeu de roues à rochet  et de     cliquets    identiques à ceux représentés  sur     les        fig.    59, 60 et 62, par la came 1305 re  présentée sur la     fig.    46B et qui est similaire  à la.

   came 1305 qui entraîne l'articulation  1300 pour     actionner    les     cliquets    représentés  sur la     fig.    59 sous le contrôle d'un jeu de qua  tre plaques sélectrices, jeu qui porte l'appella  tion  groupe de plaques     14\'1 ,    comme indi  qué sur la     fig.    57B. Ce groupe de plaques  1421 est indiqué sur la ligne 25 du     tablleau     de contrôle des     fig.        64A    et 64B.

        Ce groupe de plaques 1421 est. similaire au  groupe 1306 indiqué sur la ligne 2 du tableau  clé contrôle     (fig.        64t1    et     64B),    sauf de lé  gères différences     décrites    ci-après. La plaque  N  1 de ce groupe comprend une encoche à la  position 1 (chiffre arabe) du fait que la paye  nette ne s'imprime pas sur -la carte de salaires  comme sur le bordereau sous .le contrôle du  groupe de plaques 1306. Pour la plaque N  2,  la différence entre les groupes 142.1 et 1306       consiste    en ce qu'il y a une encoche à la posi  tion IX (chiffre romain) pour la. même raison  d'empêcher l'impression de la paye nette sur  la carte de salaires.

   La plaque N  3 possède  une     encoche    à la position 0 (romain) pour la  même raison et la plaque N  4 a une encoche  à la position 1 (arabe), ce qui constitue éga  lement l'un des moyens destinés à empêcher  l'impression de la paye nette sur la carte de  salaires.  



  *Afin d'empêcher toute opération du     cli-          quet    1293     (fig.    60, 61 et 62) en combinaison       avée,    la roue à rochet 1290 qui pourrait faire  avancer la carte de salaires de la ligne infé  rieure d'un espace quelconque vers la ligne  supérieure de l'espace voisin, on a prévu un  seul disque de commande 1422     (fig.        57B    et  61) qui     s'ajuste    au moyen du différentiel de  la rangée 1 par l'intermédiaire de l'arbre 484.

    Ce disque 1422 possède des encoches aux po  sitions 0 à 6 (arabes) pour commander un le  vier 1423, identique au levier 1325 décrit  précédemment     (fig.    60) et qui sert à contrô  ler l'avancement du bordereau à l'aide de la  roue à rochet 1290 et du     cliquet    1293.  



  Avec les rouleaux d'alimentation 1420 co  opère une paire de rouleaux tendeurs 1.425  qui sont. montés comme les rouleaux     tendeurs     965 associés au chèque et comme les rouleaux  tendeurs 1242 associés au bordereau de paye.  Ces rouleaux tendeurs 1425 se trouvent nor  malement en position débrayée, comme repré  senté sur la     fig.    73, et     peuvent    être amenés  en position active par un bras 1426, fendu  pour recevoir un goujon 1427 porté par l'arti  culation 1394, de sorte que le mouvement de  l'articulation à droite déplacera, comme dé  crit précédemment, sous l'action du .levier    1402,

   le bras 1426 dans le     sens    contraire à ce  lui des aiguilles d'une montre et amènera les  rouleaux tendeurs 1425 à la position active  où ils seront bloqués par le verrou 1404.  



  Les rouleaux tendeurs 1425 doivent être  dégagés des     rouleaux    1420 pour qu'on puisse  retirer la carte de salaires de la machine  après l'impression de la paye nette sur le chè  que, étant donné que, comme dit ci-dessus, il  existe une carte pour chaque employé, alors  que le bordereau de paye porte les enregis  trements pour plusieurs salariés; par consé  quent, la carte de salaires doit être retirée de  la machine après chaque impression complète  d'une carte pour qu'on     puisse    introduire dans  la machine une nouvelle carte de salaires 153  pour recevoir l'impression des données impri  mées sur le chèque suivant pour l'employé  suivant.

   Le débrayage des rouleaux tendeurs  1425 se fait sous le contrôle des plaques à en  coches d'un groupe de plaques portant le nu  méro 1428     (fig.        57B)    et indiqué sur la ligne  5 du tableau de contrôle de la     fig.    65. Ce  groupe de plaques comprend deux plaques       N S    2 et 3. La plaque N  2 est commandée  par le différentiel de la rangée 2 et comprend  une .encoche à la position IX (romain); la  plaque N  3 est commandée par le différentiel  de la rangée 1 et comprend des encoches aux  positions I et II (romains).  



  L'encoche correspondant à la neuvième  position de la plaque 2 se place en face du  doigt supérieur d'un bloc contacteur 767       (fig.    73) fixé sur un levier contacteur 1429  lorsque le différentiel de la rangée passe à la  position 9 au cours des opérations de la ma  chine où l'on abaisse la touche 162  Paye nette   et également au cours des opérations où l'on  abaisse la touche 162      Gains    à ce jour . Les  encoches aux positions I et II (romains) de la  plaque 3 se placent en face du doigt supé  rieur du bloc contacteur 767 du     levier    1429  chaque fois qu'on abaisse soit la touche  Paye  nette  de la rangée 1, soit la touche  Gains  à ce jour  de la même rangée.

   Par consé  quent, lorsque les encoches des deux plaques  du groupe 1428 se trouvent en face du doigt  supérieur du bloc contacteur 767,     zm    ressort      1.430 déplace le levier 1429 de la manière  habituelle, à la suite de quoi les doigts supé  rieurs s'engagent dans les encoches,     tandis     qu'un ergot 1431 d'un bras 1432 fixé au le  vier 1429 déplace l'articulation 1407 à droite       (fig.    73), cette articulation ayant été dépla  cée à gauche jusqu'à ce que l'extrémité droite  d'une fente 1433 de l'articulation entre en  contact avec l'ergot 1431 lorsque le- verrou  1404 bloque le levier 1409 dans sa position  de     manceuvre.     



  Le verrou 1404 porte un ergot 1434 qui       coopèr    e avec une encoche d'un levier 1435 pi  votant sur le goujon 1410 et,     qui    est en  traîné dans la position indiquée sur la     fig:    49  par -Lui ressort 1436. Un galet 1437, fixé sur  le côté de la came 1411, coopère avec le levier  1435, de manière à déplacer celui-ci dans le  sens des aiguilles d'une montre lorsque la  partie haute de la came 1411 maintient<B>le</B>  levier 1409 dans sa position bloquée.

   Le mou  vement du levier 1435 sous     l'inflilence    du ga  let 1437 déplace le levier 1435 légèrement  dans le sens des aiguilles d'une montre, ce  levier ayant été     précédenunent    déplacé dans  le sens des aiguilles Mme montre par le  goujon 1396 de l'articulation 1397 lorsque les  rouleaux tendeurs 1425 ont été     soumis    à la  tension     initiale,    c'est-à-dire     lorsqu'ils    ont été  amenés en position active.

   Ce levier 1435  étant .dans la position qu'il occupe après avoir  été déplacé par le goujon 1396, l'ergot 1434  s'abaisse devant la partie     principalé    du levier  et quitte l'encoche du levier; ce mouvement  supplémentaire du levier 1435 dans le sens  des aiguilles d'une montre sous l'action du  galet 1437 sert à décharger l'ergot 1434 de la  pression du ressort 1436 pour avoir la certi  tude que le ressort 1430 peut déplacer le le  vier 1429 et obliger le doigt du bloc contac  teur à pénétrer dans l'encoche qui se trouve  à ce     moment    en face de lui.  



  Au mécanisme de la carte de salaires est  également associé un bras de blocage 1450 co  opérant avec un bras-verrou 1451 actionné  par un goujon 1452 fixé sur le coude 1398       (fig.    73). Ce bras de blocage 1450 coopère  avec un doigt 1453 d'un     levier    1454 relié par    une articulation 1455 à un bras, similaire au  bras 915     (fig.    33) et fixé sur l'arbre 628, afin  d'empêcher le mouvement de l'arbre 149 de  démarrage de la machine chaque fois que le  bras de blocage 1450 se place au-dessous du  doigt par le coude 1398 lorsque le levier 1402  se déplace dans le sens des aiguilles d'une  montre pour écarter les rouleaux tendeurs  1425 des rouleaux d'alimentation 1420.  



  On voit, par conséquent, que les rouleaux  tendeurs 1425 doivent se trouver en position  active et qu'une carte de salaires 153 doit se  trouver dans la machine pendant les opéra  tions d'établissement d'un bordereau, autre  ment la machine est bloquée par le bras de  blocage 1450 de la même manière     qu'elle    est  bloquée par les bras de blocage 919 et 1249,  décrits précédemment, associés au chèque  152 et au bordereau de paye 151.  



       llllécanisnae   <I>des cartes de</I>     pointage     <I>et du</I>     bordereau.        principal.     



  Lors de     l'établissement    d'un bordereau de  paye (c'est-à-dire lorsqu'on remplit une série  de chèques de paye et qu'on imprime les di  verses données décrites     précédemment.    sur la  carte de salaires individuelle 153 de     l'emploj-é     et aussi sur le bordereau de paye 151 qui con  cerne plusieurs employés), on peut recueillir  les informations pour la comptabilité sur un  bordereau principal     1-160        (fig.    1) qui peut  être placé et avancé sur un     rouleau        1-161          (fig.    55 et 56)

   supporté par -Lui châssis 1462  monté sur le coffre     14-6.    Le châssis porte     un     support 1463 pour guider le papier autour     du     rouleau 1461. Au rouleau 1461 est fixée une  roue à rochet 1464 actionnée     par    un cliquet  d'entraînement 1465 fixé sur une plaque mo  trice 1466 pivotant sur l'arbre du rouleau. A  la plaque 1466 est     reliée    une articulation 1467  qui est couplée à l'aide d'une articulation  ergot-fente à une articulation 1468 qui, elle,  pivote     sur    un bras 1469 portant un galet  1470 coopérant avec une came 1471 montée  sur un arbre 1472 entraîné par un moteur. Le  moyen destiné à actionner .cet arbre est décrit  ci-après.

   Lorsque la came 1471 tourne dans le  sens .des aiguilles d'une montre, en regardant      la     fig.    55, elle déplace -le bras 1469 et attire  les articulations 1468 et 1467 vers la gauche  en     déplacant    ainsi la plaque motrice 1466  clans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre en même temps que le cliquet  1465. Ce cliquet 1465 porte un galet 1473  qui passe dans une fente 1474 d'un levier  1475 à réglage manuel pivotant sur l'arbre  du rouleau et maintenu dans l'une de six po  sitions de réglage par un     cliquet.    de freinage  1476. La fente 1474 est élargie du côté gau  che, en regardant la     fig.    55, en formant ainsi  un épaulement déclinant vers le bas 1477.

    Lorsque, dans la position montrée sur la       fig.    55, la plaque 1466 se déplace vers la gau  che, le galet 1473 n'arrivera     à,    l'épaulement  1477 que très tard au cours du     mouvement    de  l'articulation 1467 et, -par conséquent, lorsque  le galet 1473 descend de l'épaulement dans la  partie élargie de la fente 1474, un ressort  <B>1478</B> du cliquet déplace ce dernier dans le       sens    contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre et le met en prise avec le rochet 1464, de  sorte que le reste du mouvement de l'articula  tion 1467 fera. pivoter le rochet     d'un.e    .dent, de  manière à. avancer le     rouleau    1461 d'une ligne.  



  Si le levier 1475 est déplacé, par exemple,  vers sa position extrême dans le sens des  aiguilles d'une montre, l'épaulement 1477 est  beaucoup plus près du galet 1473 lorsque  l'articulation commence son mouvement et,  par conséquent, le rouleau 1461, au lieu       d'avancer    d'un pas, avance de six pas à cha  clue mouvement d'opération de l'articulation  1467 et de la plaque motrice 1466.  



  L n ressort 1479, fixé à l'articulation 1467,  maintient le galet 1470 normalement appuyé  contre la came 1471 et oblige les articulations  1468 et 1467 à retourner à droite vers leurs  positions normales indiquées sur la     fig.    55  après l'avancement du rouleau 1461.  



  Un     cliquet    de retenue 1480 est     maintenu     en prise par un ressort avec le rouleau 1461  pour     empêcher    tout mouvement en arrière  du rochet 1464 pendant le     mouvement    de re  tour du cliquet 1465 à sa position normale  avant qu'il soit soulevé du rochet 1464 par  l'épaulement 1477.    Outre le bordereau principal 1460, cer  taines données à comptabiliser sont enregis  trées sur des cartes de pointage 1483 qui sont  rangées     dans    -une boîte 1484     (fig.    1. et<B>106)</B>  montée au dos du coffre 146.

   Lorsqu'on  actionne la. touche 162  Paye nette , un     grip-          peur    1485 peut éjecter la première carte 1483  de la pile vers le bas vers une position où elle  sera saisie par un rouleau d'alimentation 1486  et un rouleau tendeur 1487. Le rouleau ten  deur 1487 est porté par     tule    paire de bras  1488 et maintenu en contact avec le rouleau  d'alimentation 1486 par un ressort 1489. Les  rouleaux d'alimentation 1486 sont entraînés  au moyen d'une courroie 1490 par un arbre  1491 d'un moteur 1492 monté dans la boîte  1484.

   Par conséquent, lorsque le bord infé  rieur de la carte 1483 entre en contact avec       les    rouleaux 1486 et 1487, elle est dirigée vers  le bas dans un récipient (non     représenté)        ati     fond de la boîte 1484.  



  Le moteur 1492 entraîne un pignon 1493  qui, à son tour, entraîne une roue dentée 1494  montée folle sur l'arbre 1472. A la roue 1494  est fixée     une    roue à rochet 1495 qui peut co  opérer avec un cliquet 1496 porté par     -une     plaque 1497 fixée sur l'arbre 1472. Le cliquet  1496 est normalement maintenu dégagé du  rochet 1495 par un doigt 1498 d'un levier  1499 pivotant sur un support 1500 qui     est     fixé à la -boîte 1484. Un ressort 1.501 tend nor  malement à entraîner le levier 1499 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre, mais en est empêché par un verrou<B>1502</B>  maintenu en prise avec le levier par un res  sort 1503.

   Le verrou 1502 est relié à oscilla  tion au piston 1504 d'un solénoïde 1505, le  quel, lorsqu'il est excité, soulève le piston  1504 en dégageant le verrou 1502 du levier  1499, par suite .de quoi le ressort 1501 en  traîne le levier dans le sens contraire à ce  lui des aiguilles d'une montre en abandon  nant ainsi le cliquet 1496 à l'action du res  sort 1506 qui met le cliquet en prise avec le  rochet 1495, à la suite de quoi la plaque 1497  tourne dans le sens des aiguilles d'une montre  sous l'action de la roue 1494 et du rochet  1495, ,de manière à entraîner l'arbre 1472.      Sur la plaque 1497 pivote,. au point 1507,     suie     bielle 1508 qui pivote, à son tour,     sur    une  barre 1509 qui porte     ,le        grippeur    1485.

   Par       conséquent,    lorsque la -plaque 1497 tourne  dans le sens des aiguilles     d'une    montre, la  bielle 1508 descend pour abaisser le     grippeur     1485, de manière à éjecter la première carte  1483 de sa position du haut sur la     fig.    106  jusqu'à ce que le bord inférieur de la carte  entre en contact avec le rouleau d'alimenta  tion 1486 et le rouleau tendeur 1487, à la       suite    de quoi les     rouleaiux        saisissent    la carte  et la font avancer dans un récipient     aii    fond  de la boîte 1484.  



  La rotation de l'arbre 1472 sous l'action  du moteur 1492 éjecte, par conséquent, la  première carte de pointage 1483 de l'employé  et fait avancer automatiquement le rouleau  1461     d'u4e    distance     déterminée    par la posi  tion à laquelle était ajusté le levier 1475.  



  Immédiatement avant la fin du mouve  ment de l'arbre 1472, un doigt 1510, solidaire  du levier 1499, entre en contact avec un ergot  1511 .de la plaque 1497 qui ramène le levier  1499 dans le sens des aiguilles     d'iuie    montre  contre l'action du ressort 1501 vers la. posi  tion de la     fig.    106; le doigt 1498 est ainsi  placé sur le     chemin    de     l'extrémité    du cliquet  1496 et dégage le     cliquet    du rochet 1495; la  bielle 1508 subit donc un seul mouvement  vers le bas et en arrière pendant chaque cy  cle ou mouvement de l'arbre 1472.  



  On se rappelle que la dernière opération  pour un chèque d'employé est     l'impression     de la paye nette qui s'effectue lorsque l'opé  rateur abaisse la touche 162  Paye nette .  C'est par l'abaissement de cette touche que la  machine est déclenchée et le circuit du mo  teur 1492 est fermé par l'action du solénoïde  1505 dont le circuit se ferme partiellement  par l'abaissement de la touche 162  Paye  nette  et complètement immédiatement après  le     commencement    de l'opération de     ,l'arbre    150       (fig.    17),

   lorsqu'un ergot 1512 de la roue 354       est    retiré -d'au-dessous d'in talon d'un levier  <B>1515</B> qui pivote sur un axe 1514 fixé sur le       châssis    latéral droit 122. Lorsque le levier  1515 est libéré de l'ergot 1512, un     ressort       1516 attire, par une articulation 1517, un       interrupteur    1518 vers le bas en le fermant  et en complétant     ainsi    le circuit.  



  L'abaissement de la touche 162  Paye  nette      (fig.    15 et 17) actionne     une    barre  1519, ,de manière à fermer un interrupteur  1520 .du circuit du solénoïde 1505. Lorsqu'on  abandonne la touche 162, un ressort 1513 re  met la barre 1519 en place pour permettre  l'ouverture de     l'interrupteur    1520.  



  Le circuit du moteur     1-192    et du solénoïde  est représenté sur la     fig.    17 comme suit: en  partant du côté      -I-     de la ligne par le con  ducteur 1525, le conducteur 1526, le solénoïde  1505, le conducteur 1527, le conducteur 1528,  en passant par l'interrupteur fermé     i15''0,          ensuite    par la ligne 1529, l'interrupteur  fermé 1518 et le conducteur 1530 vers le côté  négatif de la ligne.  



  Lorsque le solénoïde 1505 est excité pour  dégager le verrou 1499, ce dernier ferme, par  son mouvement dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre sous l'action du  ressort 1501, les interrupteurs 1531 et 1532,  à. la suite de quoi le circuit est complété à  partir du côté positif de la ligne par le con  ducteur 1525 et l'interrupteur 1532, le Mo  teur 1492, le     conducteur    1533,     l'interrupteur     1531 et ensuite par la ligne 1534 vers le con  ducteur négatif 1530. .  



  Pour le .cas où l'opérateur veut faire éjec  ter une ou plusieurs cartes 1483 du haut de  la pile sans     manoeuvrer    la machine, on a  prévu une barre 1521     (fig.    1 et 17) montée  sur le devant de la machine. En     abaissant     cette barre 1521, on ferme un interrupteur  1522 en complétant ainsi un circuit passant  par le solénoïde 1505 pour l'exciter et lui  faire fermer, à son tour, le circuit du moteur  1492 décrit     ci-dessus,    de manière à entraîner  l'arbre 1472 et actionner le     grippeur        1-185.     L'abaissement de la barre 1521. complète le  circuit suivant:

   ligne      +     1525, ligne 1526,  solénoïde 1505, ligne 1527, ligne 1523, inter  rupteur 1522, ligne 1524, ligne  --  1530. De  cette faon, le circuit du moteur se trouve  fermé, comme     .décrit    ci-dessus, et les cartes  1483 peuvent être éjectées     suie    par une, par      l'abaissement successif .de la barre 1521 ou  en tenant la barre abaissée et le circuit fermé.       Variante   <I>de</I>     l'avancement    manuel<I>du</I>     chèque.     



  Sur les     fig.    107 et 108 est représentée une  variante d'un mécanisme d'alimentation du  chèque     l5\3    qui peut être     manoeuvré    à la main.  



  Ce mécanisme comprend un levier 1535  qui peut être monté sur un goujon<B>1536</B> du  châssis 134 de l'imprimeur sur lequel pivote  une articulation 1537 pivotant. d'un autre côté  sur un bras 1538 fixé sur l'arbre 1078. Sur la  coulisse<B>1081</B> décrite précédemment pivote un  cliquet 1539 actionné par un ressort, de ma  nière à coopérer avec des dents 1540 dé  coupées sur le bord supérieur de la barre 1004.  



  Lorsque le levier 1535 est placé dans la  position  Avancement de ligne  indiquée sur  la     fig.    107 en tracé pointillé, à droite de la.  position médiane, l'arbre 1078 et le bras 1079  se déplacent dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre, à la suite de quoi la  coulisse 1081 oblige par sa coopération avec la  barre d'avancement 1004 les rouleaux 964 à  tourner pas à pas et à avancer le chèque 152.  



  Pour ramener le chèque à la première  ligne, le levier<B>1535</B> se place dans la position        Recul    vers la première =ligne  indiquée sur  la     fig.    107 en pointillé, à gauche de la     posi-          lion    médiane, à la suite de quoi la coulisse  1081 se déplace à droite et,     dans    ce cas, une  plaque l541 (fi-.

   108) rigidement fixée sur  les goujons 993 et 1082     provoque    le débrayage  du cliquet 1539 des dents 1540 et en même  temps -les cliquets 1048 et 1006     (fig.    86 et 88)  sont dégagés de la .crémaillère 992 et de la  barre 1004, de sorte que le ressort 1011 peut  actionner la crémaillère 992 de manière à  faire tourner les rouleaux d'alimentation 964  dans le sens des aiguilles d'une montre pour  ramener le chèque 152 en arrière à la     pre-          inière    digne, ainsi qu'on l'a décrit. ci-dessus.  



  On a ainsi donné     une-description    complète de  la machine représentée en liaison avec l'impres  sion des chèques de paye 152 simultanément avec  l'impression des données sur le bordereau 151  et sur la carte de salaires 153. Comme le fonc  tionnement des divers mécanismes a été expli-         qué    au     cours    de leur description détaillée, il  n'est pas nécessaire de     donner    une nouvelle  description du fonctionnement de ces méca  nismes.  



       Analyse.     Ainsi qu'il a été exposé plus haut, la ma  chine représentée est destinée aux travaux  d'analyse pour effectuer -des empreintes sur  une bande d'analyse 155     (fig.    13 et 20) au  moyen des marteaux     107.    à 704 et, sur une  fiche à l'aide des marteaux 712 à 717     inclus.     



  Lorsqu'on désire se servir de la machine  pour des travaux analytiques, on peut dépla  cer le     .levier    789     (fig.    1 et 72) de la position   0 , soit     dans    la position  1 , soit dans la. po  sition  2 . En le plaçant .dans la position  1   ( Analyse N  d'ordre ), il transforme la ma  chine à établir des bordereaux de paye en  machine adaptée aux travaux analytiques et il  commande en même temps le numéroteur, de  manière que les numéros     consécutifs    soient  imprimés en même temps que les données ana  lytiques.

   Lorsque le levier 789 se place dans  la position N  2 (Analyse - Sans N  d'or  dre), la machine à établir des bordereaux de  paye est transformée en machine adaptée     aux     travaux     analytiques    et le levier 789 com  mande en même     temps    le numéroteur de telle  façon que le numéro consécutif ne sera pas  imprimé sur la bande analytique 155 ni sur  la fiche 156.  



  La bande analytique 155 est fournie par  un rouleau 1544     (fig.    68) placé librement       clans    un récipient 1545 situé en face des mar  teaux 701 à 704 inclus et fermé par' un cou  vercle 1546 à charnière 1343. La bande 155  peut être retirée du rouleau 1544 à droite du  couvercle 1546     (fig.    68) et amenée     au-dessus     des rouleaux d'alimentation 1240, de manière  être saisie par les rouleaux tendeurs 1242  et avancée d'un pas à chaque opération de la  machine.  



  On abaisse la touche 164  Analyse  de la  rangée 2; cette touche est une touche qui ni,  peut pas être libérée par le mécanisme ordi  naire de déblocage des     touches,    mais unique  ment par le levier 1548 de déblocage des tou  ches     (fig.    1). L'abaissement de cette touche      d'analyse, comme exposé     ci-dessus,    par le mé  canisme représenté sur la     fig.    16, débloque les  touches  N  du compte  et les touches 16.1   W  et  V  en retirant les doigts 555     d'au-          dessous    des tiges 394 de ces touches.  



  La fiche 156 s'imprime par     :les    marteaux  712 à 716 qui effectuent habituellement les  impressions dans les colonnes 12 à 17 du chè  que 152. Sur cette fiche s'imprime ,la totalité  de certaines écritures imprimées en détail sur  la bande analytique 155. On voit par exemple,  en se reportant à la     fig.    20, qu'il y a sur la  bande analytique 155 deux totaux, à savoir  Fr. 723,52 et Fr. 245,63 et que     plus    bas est  imprimé le total     Fr:    969,15 relatif à un cer  tain N  de folio 4652 et un N  de compte 236.  Ces numéros de folio et du compte ainsi que  le total Fr. 969,15 sont imprimés sur la fiche  156.

   On peut imprimer un certain nombre de  ces fiches pour les utiliser pour certaines clas  sifications relatives à des répartitions analy  tiques exigées par les divers types d'entre  prises qui se servent de cette machine.  



  Dans les opérations     d'analyses    tous les  montants enregistrés par le totalisateur cor  respondant à la touche 164  V  de la rangée  2 s'accumulent -dans le totalisateur  G. T. 4   à. la position zéro de la- rangée 4 et tous les  montants enregistrés par l'abaissement de la  touche 164  W  de la rangée 2 s'accumulent  dans le totalisateur  G. T. 3  à la position zéro  de la rangée 3.  



  Tous les montants     enregistrés    en cours  d'analyse le sont     naturellement.    soit d'un  seul, soit des deux côtés du clavier numéral,  à l'aide des touches 160 à gauche de la cou  pure et des touches 161 à .droite de la cou  pure.  



  Chaque poste enregistré s'additionne à son  propre total et     aussi    au total  G. T. 2 , le  quel, comme on se rappelle, est dans la posi  tion de la rangée 2. L'impression se fait dans  les colonnes 3 et 4 de la bande analytique  <B>1,55</B> et cette bande avance après chaque im  pression sous .l'action du cliquet     d'entra"ine-          ment    1293     (fig.    60 et 61).  



  Comme indiqué précédemment, une fiche  telle que celle représentée sur la     fig.    25 peut    être employée pour certaines ou     pour    toutes  les écritures.  



  Après distribution de tous les postes, les  totaux accumulés peuvent être mis à jour sur  la, bande<B>155</B> de la façon suivante: Pour sor  tir les totaux clans la rangée 4, l'opérateur  abaisse la touche 163  Rem. 0 rangée 4  et en  la tenant abaissée enfonce successivement tou  tes .les touches 166 de la rangée 4.  



  Pour sortir les totaux de la rangée 3,  l'opérateur abaisse la touche 163  Rem. 0 ran  gée 3  et enfonce ensuite successivement tou  tes les touchés 165 .de la rangée 3. Pour vider  le     totalisateur     G. T. 4  de la rangée 4, il  faut enfoncer la touche  Rem.<B>O</B>rangée 4 , la  tenir abaissée et ensuite abaisser la touche 164   V  de la rangée 2. Pour vider le totalisateur   G. T. 3 , qui est à la position zéro de la ran  gée 3, il faut abaisser la touche  Rem. 0 ran  gée 3  et     ensuite    la touche 164  W  de la  rangée 2.  



  Il peut arriver qu'on désire se servir de  la machine pour faire les impressions sur une  grande feuille du journal qu'on met à la place  du bordereau<B>151.</B> sans qu'il y ait de supports  d'impression à la place de la carte .de salaires  ou du chèque. Dans ce cas, il faut naturelle  ment empêcher le blocage de la machine par  le bras de blocage 919, c'est-à-dire empêcher  le fonctionnement de l'arbre 149 de blocage  des touches et aussi de l'arbre 628     (fig.    33 et  34) en interdisant l'opération de l'arbre 925       (fig.    97).  



  En d'autres termes, lorsque l'arbre 925 ne  peut pas tourner, l'arbre 149 ne sera pas blo  qué. Du côté gauche du coffre de la machine  sort un levier 1550 fixé à une bride 1551       (fig.    39 et 72) possédant un bras 1552 qui lui  est solidaire, le tout pivotant sur un axe 1553  fixé sur le     châssis    131 de l'imprimeur. Le  bras 1552 est muni d'un doigt 1554 qui se  trouve normalement en dehors du chemin  parcouru par un bras 1555 fixé sur l'arbre       .925,    lequel, comme on se rappelle, tourne  dans le sens des     aiguilles    d'une montre sous  le contrôle .du contacteur 858 du chèque et du  contacteur 859 de la carte des salaires.

   Par con  séquent, lorsque l'arbre 925 se déplace dans le      sens des aiguilles d'une montre sous le con  trôle de ces contacteurs, le bras 1555 se dé  place vers le haut en face du doigt 1550 qui  est normalement maintenu dans la position  indiquée sur la     fig.    72 par un bras     aligneur     1556 actionné par un ressort, et ce bras porte  un ergot 1557 qui coopère avec deux encoches  pratiquées dans le bras 1552.  



  Cependant, s'il est     nécessaire    ou si l'on  désire rendre le contacteur 859 de la carte de  salaires et le contacteur 858 du chèque inopé  rants, le doigt 1550 se déplace dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre       (fig.    72), à la suite de quoi l'ergot d'aligne  ment 1557 s'engage     .clans    l'encoche inférieur  du bras 1552 et le doigt 1554 se déplace vers  le haut sur le chemin parcouru par le bras  1555 qui est fixé sur l'arbre 925 et interdit  ainsi tout mouvement de l'arbre 925 sous le  contrôle des bras contacteurs 936 et 946 et  des articulations 939 et 949     (fig.    66 et 97)  commandées respectivement par le contacteur  859 de la carte de salaires et le contacteur du  chèque.

   Par conséquent, l'arbre 149 ne peut  être     bloqué    par le bras de blocage 919.  



  La machine représentée est utilisée comme  suit:  En supposant que tous les totalisateurs de  la machine soient .en position zéro et que  l'opérateur se prépare à établir un groupe de  chèques de paye, il abaisse, sans qu'il y ait  de formule en position pour établir     im    chè  que, d'abord la touche  Paye nette  pour per  mettre au mécanisme d'alimentation des dis  positifs imprimeurs d'amener les formulaires  après     qu'ils    ont été mis dans la machine.  Cette opération de la machine sous le con  trôle de la touche  Paye nette  ramène égale  ment le totalisateur de balance à la position  zéro, de sorte que les montants bruts et nets  exacts sont imprimés sur le chèque ou autre  support d'impression destiné à recevoir ces  indications.  



  L'opération suivante consiste clans l'intro  duction du bordereau de paye et du chèque,  après quoi l'opérateur extrait de la carte de  salaires de l'employé, c'est-à-dire qu'il com  pose à l'aide des touches numérales, les gains    antérieurs de l'employé et actionne ensuite  la touche  Gains antérieurs . Pendant cette  opération, la machine accumule le montant  des gains précédents qui a été enregistré dans  un totalisateur prévu à cet effet.  



  Au cas où l'opérateur n'introduit pas le  chèque avant     l'enregistrement    des gains pré  cédents, le mécanisme d'alimentation des     ehè-          ques    commande les rouleaux de tension des  chèques de telle manière que le chèque peut  être inséré pendant ou après l'opération d'en  trée des gains antérieurs dans les totalisateurs.  



  Le clavier numéral est un clavier à cou  pure  permanente , bien connu dans ce genre  de machines, qui peut     desservir    juste le dou  ble chi nombre des totalisateurs     desservis    par  un clavier sans     coupures.    Le clavier est coupé  de telle sorte qu'il y a hait rangées de tou  ches numérales à droite et sept rangées à  gauche.  



  La prochaine opération après l'enregistre  ment des gains antérieurs en rapport avec  l'établissement d'un bordereau de paye est la  composition, à l'aide des touches numérales,  du côté gauche, des heures réglementaires, à  l'aide des touches numérales du côté droit, du  montant gagné. L'opérateur abaisse     15,    touche   R  des  heures et Montants  et, pendant  cette opération, le nombre des heures régle  mentaires et le montant gagné pour ces heures  s'impriment sur le bordereau de paye, sur le  talon du chèque et sur la carte de salaires. Le  nombre des heures réglementaires s'accumule  dans le     totalisateur    prévu à cet effet et le sa  laire s'ajoute dans un totalisateur prévu pour  de tels montants.

   Le montant est également  additionné dans un totalisateur d'addition et  soustraction, ou totalisateur de balance.  



  L'opération suivante consiste dans la com  position des heures supplémentaires et du  montant relatif aux heures supplémentaires  à l'aide des touches numérales du côté gauche  et du côté droit respectivement, après quoi  l'opérateur actionne la touche  T  des   Heures et Montants , de sorte que la .ma  chine imprime les heures supplémentaires et  le montant correspondant sur le bordereau de       pa5-e,    sur le talon du chèque ainsi que sur la      carte de salaires. Le nombre des heures sup  plémentaires s'ajoute dans le     totalisateur    cor  respondant et le montant supplémentaire dans  le totalisateur prévu à cet effet et dans le  totalisateur d'addition et soustraction.  



  S'il y a     d'autres    sommes spéciales à verser  à cet employé particulier     pour    lequel on éta  blit le .chèque, telles que :dividendes ou bonis,  ces montants se composent sur le clavier et  on actionne la touche  S  pour les dividendes  et .la touche  Y  pour les bonis. Cette ou ces       sommes    seront imprimées sur le bordereau de  paye, sur le talon du chèque et sur la carte  de salaires et additionnées dans les totalisa  teurs correspondants et dans le totalisateur  d'addition et soustraction.  



  L'opération suivante est -la lecture du to  talisateur d'addition et soustraction en abais  sant la touche      Bruit     qui imprime le mon  tant brut (somme des montants des heures  réglementaires, des heures supplémentaires et  des dividendes et bonis, s'il y en a) sur le bor  dereau -de paye, sur le talon du chèque et  aussi sur la carte de salaires.  



  Le montant brut gagné par l'employé  étant maintenant enregistré et emmagasiné       dans    .le totalisateur d'addition et soustraction  de la machine, l'opérateur procède à l'enre  gistrement des différentes déductions, quelles  qu'elles soient, telles que retenues de l'impôt  sur le revenu, cotisation pour la retraite, assu  rances, etc. Pour     ,chacune    de ces déductions,  l'opérateur :compose séparément le montant à  l'aide des touches du côté droit et abaisse une  des touches correspondantes -de  A  à      N      prévue pour la déduction en     question.    Pen  dant cette opération, les déductions sont im  primées sur le bordereau de paye, sur le talon  -du -chèque     ainsi    que sur la carte de salaires.

    Les montants de ces diverses déductions sont  soustraits du totalisateur d'addition et sous  traction pour arriver à la paye nette de l'em  ployé.  



  Pendant ces     opérations,    le bordereau de  paye se déplace ou avance pour l'impression       sur    les deux lignes réservées à chaque employé  et la carte de salaires se déplace également.  Cet     -avancement    de ligne en ligne d'un inter-    ligne est contrôlé de faon positive par les  touches des rangées 2 et 3. Chaque touche a       une    position définie     dans    laquelle elle im  prime. Le bordereau de paye avance égale  ment, pendant l'opération  Paye nette , de  l'une des lignes d'un espace vers la ligne supé  rieure -de l'espace suivant, la carte de salaires  toutefois n'avance pas de la même façon.  



  Pendant ces opérations, le chèque avance  après l'impression des     heures    et du gain pour  le temps réglementaire de travail et avance       ensuite    encore après l'impression des heures  supplémentaires et de la somme supplémen  taire, de sorte que les gains bruts sont impri  més au-dessous des montants normaux et sup  plémentaires. S'il y a des gains spéciaux, tels       que    dividendes ou bonis, le chèque avance et       ces    montants sont imprimés et enregistrés  avant l'impression sur le chèque du montant  brut.

   Ensuite, après     l'enregistrement    de la  première déduction, le chèque est ramené en  arrière, de façon que     l'impression    soit faite  sur la ligne en face des heures réglementaires  et avance après chaque déduction. L'opéra  tion suivante sert à comptabiliser les gains  jusqu'à la date et, à cet effet, l'opérateur       abaissè    la touche  Gains à .ce jour  qui im  prime ce montant sur la carte de salaires sur  la deuxième ligne de l'espace destinée à cette  inscription pour l'employé particulier dont la  carte se trouve dans la machine.  



  Après cette opération, l'opérateur abaisse  la touche  Paye nette  qui remet le totalisa  teur d'addition et soustraction à zéro, de  façon à imprimer le montant net de la paye  de l'employé sur le bordereau de paye     au-          dessoüs        -du    montant brut de la paye. Pendant  cette opération, le chèque est automatique  ment ramené vers la position de la quatrième  ligne, après quoi la paye nette est. imprimée  sur le talon et également imprimée deux fois  sur la partie principale du chèque qui sera  encaissé par l'employé. Après que le chèque  est imprimé, il est éjecté et retourné pour  être classé dans l'ordre numérique.  



  Ces     opérations    se répètent. pour chaque  employé de chaque groupe, sélectionné par  l'opérateur suivant le système appliqué dans      les différentes entreprises où l'on se sert de  la machine. Dans le cas où on emploie des en  veloppes au lieu de chèques, le montant brut  de la paye de l'employé est imprimé sur l'en  veloppe ainsi que chacune des déductions,  l'enveloppe avançant après l'impression de  chaque déduction. L'enveloppe est ensuite ra  menée à la quatrième ligne et, après     manoeu-          vre    de la touche  Paye nette , la paye nette  de l'employé qui représente la différence  entre le montant brut et la somme des diffé  rentes déductions est imprimée sur l'enve  loppe en ligne avec la quatrième déduction.  



  Après l'impression et l'enregistrement  dans la machine d'un certain groupe de chè  ques ou enveloppes de paye des employés,  l'opérateur procède à la passation aux écri  tures. Avant d'y procéder, on introduit le  bordereau de paye dans la position de la  ligne de totalisation. Les différents totaux  sont extraits dans l'ordre suivant: on extrait  le total des gains précédents en abaissant la  touche  Rem. 0 rangée 2  et la touche  Gains  antérieurs ; ensuite on- imprime les  Gains  totaux à ce jour  sur le bordereau de paye en  abaissant la touche  Rem. 0 rangée 4  en  même temps que la touche  Gains antérieurs .  Ceci remet à zéro le totalisateur du groupe  4 connu sous le nom de totalisateur  G. T. 4 ,  la touche  Gains antérieurs  agissant cette  fois uniquement comme touche de déclenche  ment de la machine.  



  L'opérateur trouve ensuite les totaux des  gains en abaissant la touche  Rem. 0 rangée 4   en combinaison avec la     manoeuvre    indivi  duelle des touches  X ,      S ,     T  et      R .     



  On vide ensuite les totalisateurs des dé  ductions en abaissant la touche  Rem. 0 ran  gée 4  en combinaison avec les touches  K ,   L ,  M  et  N  dans des opérations séparées  et en abaissant la touche  Rem. 0 rangée 3   en combinaison avec les touches  A  à  J   incluse dans des opérations séparées. L'opéra  teur relève ensuite le total net en abaissant la  touche  Paye nette  en combinaison avec la  touche  Total paye nette .  



  Pour toutes ces     opérations,    le levier de  commande, d'analyse ou d'impression, à gau-         che    de la machine, se trouve dans la position  N  1.  



  Le numéro d'ordre avance pendant l'opé  ration  Paye nette , de sorte qu'il s'imprime  sur le bordereau de paye ainsi que sur la  partie principale du chèque.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine comptable comprenant des or ganes pour imprimer en colonnes et en lignes sur chacun de plusieurs supports d'enregistre ment, des organes pour l'amenée desdits sup ports d'enregistrement, et plusieurs rangées de touches de commande, caractérisée par des liaisons entre les touches et les organes d'im pression et d'amenée des supports, lesquelles sont construites et disposées de façon à être commandées, en dépendance de la touche par ticulière actionnée, pour faire imprimer dans des colonnes différentes sur les supports d'en registrement et pour déplacer ces supports différemment les uns des autres en avant et en arrière,
    par rapport auxdits organes d'im pression et en synchronisme avec les mouve ments de ceux-ci, de sorte que chaque item compris dans une transaction complète sera imprimé sur la ligne et dans la colonne appro priées de chaque support d'enregistrement. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine selon la revendication, caracté risée par plusieurs groupes d'organes d'im pression, par plusieurs groupes d'organes d'amenée des supports, par des organes sélec tionneurs pour les organes d'impression et les organes d'amenée, et par un mécanisme diffé rentiel associé à chaque rangée de touches, de sorte que, normalement, chaque rangée de touches commande son propre mécanisme dif férentiel pour commander des organes sélec tionneurs appropriés, des organes automati ques étant actionnés, pendant certains types d'opérations qu'effectue la machine, afin de faire aussi commander, par certaines des tou ches, la mise en place d'un mécanisme diffé rentiel associé à une autre rangée de touches,
    de sorte que les opérations des organes sélec- tionneurs seront commandées différentielle- ment. 2. Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que les touches sont agencées de faon à comman der les organes d'impression et d'amenée des supports, de manière que l'impression se fasse ou sur la ligne supérieure ou-sur la ligne infé rieure de chaque espace d'impression sur cer tains des supports, suivant la touche action née, des touches à un seul cycle sélectionnant la ligne supérieure de chaque espace et des touches à plusieurs cycles sélectionnant la li gne inférieure du même espace.
    3. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce qu'une des touches à plusieurs cycles est pro pre à commander les organes d'amenée des supports pour déplacer ces derniers de ma nière à sélectionner la ligne supérieure de l'espace suivant. 4.
    Machine selon la revendication, caracté risée par des dispositifs de commande pour les organes d'amenée des supports, ces dispo sitifs de commande étant sous la dépendance de toutes les rangées de touches pour action ner lesdits organes d'amenée pour déplacer certains des supports d'enregistrement en avant sous la commande de certaines tou ches quand l'impression précédente a eu lieu sur une ligne d'un espace de ces supports, pour empêcher q'actionnement desdits organes d'amenée quand l'impression précédente a été faite sur la même ligne que l'impression cou rante à faire,
    et pour déplacer lesdits sup ports d'enregistrement en arrière si l'impres sion a eu lieu sur une certaine autre ligne. 5. Machine selon la revendication, caracté risée par -des rouleaux d'alimentation pour amener les supports d'enregistrement, par plusieurs organes d'entraînement pour les rouleaux, par tus. seul organe opératoire pour les organes d'entraînement et par des orga nes commandables pour déterminer lequel des organes d'entraînement doit être amené à pro voquer l'opération .des rouleaux.
    6. Machine selon la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée en ce que les organes d'entraînement comprennent plu sieurs rochets solidaires les uns des autres, et des cliquets indépendants qui peuventcoopérer chacun avec l'un des rochets, les organes com- mandables comprenant des moyens qui em pêchent normalement la coopération de cha que cliquet avec son rochet, des organes étant prévus, actionnables sous la commande d'une touche, pour rendre inopérant l'un ou l'autre des moyens empêchant la coopération des cli- quets avec les rochets,
    afin que le cliquet cor respondant audit moyen rendu inopérant puisse coopérer avec son rochet pour déter miner la nature de l'alimentation des supports d'enregistrement. 7. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que les liaisons comprennent des plaques de commande qui peuvent être mises en place différentiellement sous la commande des touches et d'autres dispositifs, lesdites plaques présentant des encoches disposées de façon .différente d'une plaque à l'autre, ces encoches étant aménagées dans la périphérie et coopérant avec des doigts qui tâtent les dites périphéries des plaques pour déterminer les fonctions d'organes, suivant que les doigts tâtent des saillies ou des encoches des plaques. 8.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 7, caractérisée par plu sieurs engrenages internes-externes propres à transmettre le mouvement d'un mécanisme différentiel aux plaques. 9. Machine selon la revendication et les sous-revendications 7 et 8, caractérisée en ce que les autres dispositifs propres à comman der la mise en place des plaques comprennent des moyens servant à déceler la présence ou l'absence de chacun -des supports d'enregistre ment, ainsi qu'un levier de commande propre à changer les fonctions principales de la ma chine. 10.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 7 à 9, caractérisée par un groupe de plaques associé avec chaque or gane d'impression et par un groupe de pla ques associé avec les organes d'amenée des supports, les plaques de chaque groupe étant susceptibles d'être amenées à occuper une po- sition déterminant un rapport correct entre les organes d'impression et les organes d'amenée des supports. 11. Machine selon la revendication et les sous-revendications 7 à 9, caractérisée par Lin organe de blocage placé sous commande des moyens servant à déceler la présence ou l'ab sence des supports d'enregistrement, et destiné à bloquer la machine lors de l'absence de l'un quelconque desdits supports. 12.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 5 et 7, caractérisée par des rouleaux -de tension destinés à coopérer avec les rouleaux ,d'alimentation, des plaques de commande étant destinées à commander l'amenée en contact de ces rouleaux de ten sion avec .les rouleaux d'alimentation. 13. Machine selon la. revendication et les sous-revendications 1 et 7, caractérisée par un organe expulseur et inverseur, normalement inactif, pour l'un des supports d'enregistre ment, et par des plaques, commandées par l'une des touches à plusieurs cycles, pour ren dre actif l'organe expulseur et inverseur lors que ladite touche à plusieurs cycles est actionnée. 14.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 5, 7 et 12, caractérisée par clos organes additionnels à commande ma nuelle, propres à commander l'amenée en con tact des rouleaux de tension avec les rouleaux d'alimentation. 15. Machine selon la revendication et les sous-revendications 5, 7 à 9, 11, 12 et 14, ca ractérisée en ce que lesdits organes addition nels sont aussi propres -à commander l'action- nement de l'organe de blocage lorsque le rou leau de tension associé est dans la position inactive. 16.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce que l'un des organes -d'amenée des supports d'enregistrement peut être actionné de manière à provoquer une amenée ligne par ligne du support d'enregistrement correspondant, lorsque certaines des touches à un seul cycle sont actionnées, de manière à provoquer un retour en arrière à la position de la première ligne pour permettre de faire une impression dans une colonne adjacente lorsqu'une première des touches à plusieurs cycles est actionnée, et de manière à provoquer un retour en arrière à. -Lino autre position prédéterminée lorsqu'ilne seconde des touches à plusieurs cycles est actionnée.
    17. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 7 et 16, caractérisée en ce que ledit organe d'amenée est commandé par un groupe de plaques qui peuvent être mises en place par les mécanismes différen tiels associés avec lesdites touches à Lui seul cycle et lesdites touches à plusieurs cycles. 18.
    Machine selon la. revendication et les sous-revendications 1, 7, 16 et 17, caractérisée par -Lino crémaillère pour entraîner un rou leau d'alimentation pour ledit support d'en registrement particulier, par un cliquet pour faire avancer la.
    crémaillère, afin de mettre ledit support dans une position initiale cons tante, par un autre cliquet pour arrêter le mouvement de retour de la crémaillère à une position propre à recevoir une impression sur la première ligne dans une certaine colonne, par un autre cliquet propre à faire avancer ensuite ledit support d'enregistrement ligne par ligne sous la commande d'enregistrements exécutés par l'actionnement de certaines des touches à.
    tus. seul cycle, par des dispositifs pour rendre inopérant le deuxième cliquet lors de l'actionnement de ladite première tou che à plusieurs cycles, par un bras propre à arrêter le mouvement de retour de la.
    cré maillère quand le deuxième cliquet a été rendu inopérant, .pour mettre le support en place pour recevoir le premier d'une autre série d'enregistrements espacés ligne par ligne dans une nouvelle colonne, et par ime cré maillère auxiliaire sous commande de ladite seconde touche à plusieurs cycles pour faire avancer le support à ladite autre position prédéterminée. 19.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 7, 13 et 16, caractérisée en ce que l'organe expulseur et inverseur comprend des doigts arqués propres à rece- Toir le support des doigts serreurs suscep tibles d'être amenés à coopérer avec les .doigts arqués pour serrer le support, une crémail lère propre à alimenter les doigts arqués à une position pour recevoir.
    le support pen dant qu'il est imprimé et avancé successive ment, des organes à came pour entraîner la crémaillère, un ressort attaché à la crémail lère et propre à être mis sous tension lorsque la crémaillère est entraînée par les organes à came, des organes de verrouillage pour tenir la crémaillère dans la position déplacée, et des organes commandés par l'actionnement de la dite seconde touche à plusieurs cycles pour rendre inopérants les organes de verrouillage, de sorte que le ressort ramène la crémaillère à sa position initiale pour expulser et inver ser le support. 20.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 16, caractérisée par un rouleau porte-papier propre à supporter une feuille, par un dispositif pour faire tourner ce rouleau, et par des organes, commandés par l'actionnement de ladite seconde touche à plusieurs cycles, pour actionner le dispo sitif faisant tourner le rouleau, afin de pro voquer l'avancement de la feuille portée par ce rouleau, sur une distance correspondant z@ l'espacement entre deux lignes. 21.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 16, caractérisée par un ré cipient propre à recevoir des cartes à temps des ouvriers, des organes pour sortir lesdites cartes successivement du récipient, et des or ganes rendus inefficaces, par l'opération de ladite seconde touche à plusieurs cycles, à commander lesdits organes pour sortir la pré mière carte du récipient. 22.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 16 et 21, caractérisée par un moteur pour l'actionnement des organes propres à sortir les cartes, par im embrayage, normalement inefficace, entre ledit moteur et lesdits organes, par un solénoïde propre rendre efficace ledit embrayage, et par des organes, commandés par l'actionnement de la dite seconde touche à plusieurs .cycles, pour fermer des circuits électriques au moteur et au solénoïde, @de façon que l'embrayage soit commandé pour -actionner par le moteur les organes propres à sortir les cartes. 23.
    Machine selon la revendication, carac térisée par des mécanismes pour l'impression de numéros et de dates, par des organes ma- naeuvrables à la main et propres à mettre les dits mécanismes en place, par des organes comprenant des engrenages internes-externes, pour transmettre le mouvement des organes manoeuvrables à la main auxdits mécanismes, et par des organes additionnels manoeuvrables à la main, propres à bloquer les mécanismes en position inactive. 24.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 16, caractérisée par des or ganes manoeuvrables à la main et propres à faire avancer ligne par ligne ledit support d'enregistrement et à déplacer en arrière ligne par ligne ce support d'enregistrement. 25.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2 et 7 à 9, comprenant des totalisateurs associés à chacune des tou ches de commande à un seul cycle et im tota lisateur à addition et à soustr action propre à recevoir des enregistrements sous commande desdites touches à un seul cycle, caractérisée par des organes commandés par l'abaissement d'une touche à un seul cycle, particulière pour supprimer les fonctions de soustraction des touches à im seul cycle. 26.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 7 à 9, 23 et 25, carac térisée en ce que le levier de commande est propre à rendre opérant le mécanisme pour l'impression de numéros lorsqu'il occupe l'une de ses positions, tandis qu'il rend ce méca nisme inopérant lorsqu'il occupe une autre position. 27.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 7 à 9, 23, 25 et 26, caractérisée en ce que lorsque le levier de commande occupe certaines positions, il em pêche le déplacement en avant et' en arrière d'un support d'enregistrement inséré dans l'une des positions d'impression, tandis qu'il permet l'avancement ligne par ligne de ce sup port inséré à ladite position d'impression lors- qu'une quelconque des touches est actionnée. \58.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 7 à 9 et 11, caractérisée par des organes manoeuvrables à la main et propres à rendre inactif l'organe de blocage de la machine après qu'il a été amené en po sition active. 29. Machine selon la revendication et les sous-revendications 16 et 21, caractérisée par des organes manoeuvrables à la main et pro pres à provoquer l'opération indépendante des organes pour sortir les cartes. 30.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 7, caractérisée en ce que chaque organe d'impression comprend un marteau d'impression, une liaison à rotule accouplée audit marteau, un organe d'entraî- ment invariablement commandé, pour la liai son à rotule, des dispositifs d'accouplement entre l'organe d'entraînement et la rotule, et des dispositifs commandés par un groupe de plaques de commande et propres à rendre efficace lesdits dispositifs d'accouplement, de sorte que la liaison à rotule soit actionnée, par l'organe d'entraînement, pour commander le marteau correspondant.
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