Machine comptable. L'invention a pour objet une machine comptable comprenant des organes pour im primer en colonnes et en lignes sur chacun de plusieurs supports d'enregistrement, des organes pour l'amenée desdits supports d'en registrement et plusieurs rangées de touches de commande, caractérisée par des liaisons entre les touches et les organes d'impression et.
d'amenée des supports, lesquelles sont cons truites et disposées de façon à être comman dées, en dépendance de la touche particulière actionnée, pour faire imprimer dans des co lonnes différentes sur les supports d'enregis trement et pour déplacer ces supports diffé remment les uns des autres en avant et en arrière, par rapport auxdits organes d'impres sion et en synchronisme avec les mouvements de ceux-ci, de sorte que chaque item compris dans une transaction complète sera imprimé sur la ligne et dans la colonne appropriées (le chaque support d'enregistrement.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine faisant l'objet de l'invention, ainsi qu'un détail d'une variante.
Fig. 1 est une vue en perspective de la forme d'exécution complète.
Fig. 2 est une suie schématique du clavier de la machine.
Fig. 3 est une coupe de la machine au droit de l'un des groupes numéraux, représen tant un mécanisme différentiel, des totalisa- teurs et une partie d'un mécanisme de coin- mande pour des roues d'impression.
Fig. 4 représente la structure d'une partie d'un mécanisme servant à contrôler le fonc tionnement des mécanismes différentiels d'un groupe d'opérations sous l'action de cer taines touches d'un autre groupe d'opérations.
Fig. 5 est une vue en coupe le long du deuxième groupe d'opérations, montrant la commande automatique du mécanisme diffé rentiel de la rangée 2, une partie du deuxième groupe avec arrachement montrant une par tie du troisième groupe d'opérations.
Fig. 6 est -un détail d'une partie d'un mécanisme d'entraînement du report des totaux.
Fig. 7 montre un mécanisme de commande du totalisateur servant au réglage du temps pour l'addition, la lecture, le réajustage et le report d'un total, ainsi que la sélection et l'entraînement du total à reporter.
Fig. 8 est un détail d'une commande d'embrayage du totalisateur pour le report des totaux.
Fig. 9 est un détail d'une commande d'embrayage du totalisateur pour .les opéra tions d'addition, de réaddition et de réajus- ta-e.
Fig. 10 est un détail d'une partie d'une commande de blocage d'in levier du numéro teur et du dateur.
Fig. 11 est un détail montrant un verrou du levier du numéroteur et du dateur. Fig. 12 est une vue schématique des barres de commande associées aux rangées 1, 2, 3 et 4 et leur contrôle à l'aide des touches.
Fig. 13 est la reproduction d'une partie d'une fiche d'analyse pouvant être imprimée par la machine.
Fig. 14 est un détail d'une commande automatique de blocage pour la rangée 2. Fig. 15 est une vue de détail d'un méca nisme servant à libérer une carte de poin tage par une touche Paye nette .
Fig. 16 est une vue de détail d'une com mande de verrouillage par une touche d'ana lyse.
Fig. 17 est un schéma de câblage d'un mécanisme de commande des cartes de poin tage.
Fig. 18 montre une commande d'arrêt à zéro de la rangée 4 sous l'action de la touche Paye nette .
Fig. 19 montre l'arrêt à zéro de la rangée par son mécanisme différentiel.
Fig. 20 est la reproduction d'une partie d'un autre genre de fiche analytique, Fig. 21 montre une commande automa tique du différentiel du verrou de la rangée 2 par des touches de déduction des rangées 3 et 4.
Fig. 22 est izn détail d'un levier de com mande de la rangée 4 pour la commande auto matique du verrou de la rangée 2.
Fig. 23 est une vue détaillée d'une com mande automatique de la rangée 2 par une touche -I- de cette rangée.
Fig. 24 est une reproduction d'une forme d'un talon de chèque imprimé par la machine. Fig. 25 est une reproduction d'une fiche imprimée par la machine, fiche comprenant des chiffres analytiques imprimés lorsque l'opérateur exécute certaines opérations ana lytiques.
Fig. 26 est une reproduction d'une forme d'enveloppe de paye qui peut être imprimée par la machine, au lieu de chèque.
Fig. 27 est une vue schématique d'un to talisateur de balance où des cames de dépla cement du totalisateur d'addition et soustrac tion indiquent l'endroit de la coupure. Fig. 28 est la reproduction d'un bordereau de paye d'un type pouvant être imprimé sur la machine, montrant les diverses indications imprimées lors de l'établissement des borde reaux.
Fig. 29 est la reproduction d'un fragment d'une carte .de salaires d'in employé.
Fig. 30 représente la commande d'entrai- nement d'un imprimeur et l'arrêt d'une ligne de cames de l'imprimeur sous le contrôle de la sélection d'imprimeur de la rangée 3.
Fig. 31 montre le détail d'une partie d'un mécanisme de sélection de l'imprimeur de la rangée 4.
Fig. 32 montre une plaque de commande du total pour da sélection de l'imprimeur. Fig. 33 est un détail du blocage mutuel entre la ligne de blocage des touches (ligne de déclenchement de la machine) et les moyens d'ajustage du levier du numéroteur et du dateur.
Fig. 34 montre Lin moyen de réglage du numéroteur et du dateur et un mécanisme pour leur déblocage.
Fig. 35 représente un mécanisme action nant le numéroteur et sa commande à l'aide d'un levier .manuel.
Fig. 36 est une vue de détail d'un levier de réglage de la date.
Fig. 37 est une vue de détail d'un moyen actionnant le verrou du numéroteur et du dateur.
Fig.38 est une vue d'un mécanisme de commande pour l'impression du bordereau de paye.
Fig. 39 est une vue, en plan, d'une partie du mécanisme de commande de l'imprimeur pour le bordereau de paye.
Fig. 40 est une vue de détail de l'entraî nement de l'arbre de contacteurs sélection neurs.
Fig. 41 est une vue .de détail du montage de l'ensemble de réglage du numéroteur et du dateur.
Fig. 42A et 42B représentent conjointe ment une vue en plan, à échelle réduite, du bâti et des arbres de l'imprimeur, Fig. 43A et 43p représentent une vue en élévation du mécanisme pour l'impression de la carte de salaires.
Fig. 44A et 44B représentent conjointe ment une vue en plan du mécanisme pour l'impression de la carte .de salaires.
Fig. 45 est une vue partielle en plan des marteaux et de la table pour l'impression du bordereau de paye, montrant un récipient pour un rouleau de papier à analyse et le couvercle à charnières dudit récipient.
Fig. 46A et 46B représentent conjointe ment une vue en plan de l'arbre à cames pour l'entraînement de l'imprimeur et les arbres associés des leviers de cames.
Fig. 47 est une vue de détail d'un méca nisme aligneur de la fiche et du bordereau de paye.
Fig. 48 représente un détail d'un méca nisme d'alignement de la plaque sélectrice. Fig. 49 montre un détail .d'une commande de la tension de la carte de salaires.
Fig. 50 à. 54 incluse montrent cinq plaques sélectrices des marteaux des gains qui, en combinaison, sélectionnent ensemble les mar teaux 4 et 15 pour imprimer sur le bordereau de paye et sur le chèque les gains de l'em ployé.
Fig. 55 montre un mécanisme d'alimenta tion pour le rouleau du bordereau principal de paye, ou feuille de travail, et le moyen de commande de ce mécanisme.
Fig. 56 montre un détail du mécanisme d'avance de ce rouleau pour la feuille de tra vail.
Fig. 57A et 57E forment une vue d'ensem ble montrant le rapport entre toutes les pla- ques sélectrices et leurs moyens associés, ces derniers étant représentés schématiquement.
Fig. 58A et 581 montrent, schématique ment, le rapport de tous les groupes des roues porte-caractères (indiquées par des rectan gles) et leurs marteaux, en élévation fron tale.
Fig. 59 est. une vue du mécanisme pour l'avance du bordereau de paye et de la carte <B>(le</B> salaires, et de la commande du bordereau par la rangée des totaux 1, représentés en po sition normale. (Il existe deux de ces méca nismes identiques, sauf pour l'un des disques de -commande.) Fig. 60 est une vue de détail d'une partie du mécanisme de la fig. 59, montrant la com mande par la rangée 2 en position manaeuvrée.
Fig. 61 est une vue de détail du méca nisme pour l'avancement par la rangée 2 du bordereau de paye et de la carte de salaires.
Fig. 62 est une vue d'une commande d'avancement du numéroteur du bordereau de paye.
Fig. 63 est une vue en plan du mécanisme représenté sur les fig. 59, 60 et 62, à l'excep tion de la came et du levier de came qui lui sont associés.
Fig. 64A et 64B forment un tableau de groupes de commande ou plaques sélectrices; il y a quatre plaques par groupe, montrant comment les encoches de commande sont en taillées dans, chacune des plaques pour con trôler les divers marteaux, la commande du verrou de la machine, la commande de sélec tion de ligne du bordereau de paye, la com mande de sélection de ligne de la carte de sa laires, la commande d'avancement du numé- r oteur et la commande de quelques-uns des marteaux pour faire des empreintes sur le bordereau de paye et sur la carte de sa laires.
Le tableau indique également par quelle rangée de commande des touches de commande elles sont contrôlées et indique, de plus, à quel endroit elles sont contrôlées par le contacteur du bordereau de paye, par le contacteur de la carte de salaires et par le contacteur du chèque; des symboles spéciaux en bas du tableau indiquent l'endroit où les divers contacteurs effectuent le contrôle.
Pi ig. 65 est un tableau des groupes de com mande ou des plaques sélectrices (il y a trois plaques par groupe), montrant comment les plaques sont entaillées pour effectuer les con trôles; pour contrôler l'espacement du borde reau de paye, l'avancement et le recul du chèque, l'éjection du chèque, la libération de la carte de salaires et plusieurs marteaux pour l'impression sur le chèque, sur le borde reau et sur la carte de salaires; le tableau montre aussi les rangées qui contrôlent les différentes plaques et indique également les endroits où ces plaques sont commandées par le contacteur du bordereau, le contacteur du chèque et celui de la carte de salaires.
Fig. 66 est une vue générale illustrant une partie d'un mécânisme éjecteur des chè ques. .
Fig. 67 est une vue générale d'un méca nisme d'avancement des chèques.
Fig. 68 est une vue générale de la com mande de la feuille du bordereau de paye et montre un rouleau de papier pour des fiches d'analyse et un récipient pour le rouleau; cette fiche peut servir pour y faire des em preintes au lieu du bordereau de paye lorsque la machine s'emploie pour l'analyse au lieu de l'établissement des chèques.
Fig. 69 est une vue de détail montrant l'alimentation manuelle pour le bordereau de paye ainsi que l'alimentation et le contrôle de la tension du bordereau de paye.
Fig. 70 est une vue générale d'un dispo sitif d'avancement du bordereau de paye. Fig. 71 est une vue montrant l'introduc tion d'un chèque dans la machine.
Fig. 72 montre un mécanisme de com mande pour l'analyse, c'est-à-dire le méca nisme qui sert à transformer la machine de machine à établir les fiches de paye en ma chine à analyse.
Fig. 73 est une vue de détail du train des mécanismes servant à contrôler le dispositif de tension des cartes de salaires.
Fin-. 74 est une vue de détail .d'in dispo sitif pour arrêter la carte de salaires.
Fig. 75 est une vue frontale de la table des cartes de salaires et d'une partie du mé canisme qui lui est associé pour la déplacer.
Fig. 76 est -une vue de détail montrant un moyen pour retirer le dispositif d'arrêt de la carte de salaires.
Fig. 77 est une vue de détail, avec arra chement partiel, montrant une barre d'aligne ment pour la table des cartes de salaires. _ Fig. 78 est une -nie en plan du méca- nisme de la fig. 74, montrant le dispositif d'arrêt de la carte de salaires.
Fig. 79 montre un mécanisme éjecteur des chèques ou enveloppes.
Fig. 80 est une vue de détail du déflecteur du chèque.
Fig. 81 est une vue de détail d'une partie du mécanisme éjecteur du chèque.
Fi-. 82 est une vue de détail du méca nisme éjecteur .du chèque en position de ma- n#Uvre.
Fig. 83 est une vue du mécanisme d'avance du chèque, montrant l'alimentation initiale et une partie du mécanisme d'espace ment des lignes dans la position occupée par le mécanisme à la fin de l'impression des heures et des gains horaires.
Fig. 84 montre une partie de la commande du mécanisme éjecteur et une partie du mé canisme sélecteur de l'avance .du chèque.
Fig. 85 représente une partie du méca nisme de commande d'éjection du chèque. Fig. 86 est une vue représentant le mé canisme d'avance du chèque, c'est-à-dire d'ali mentation initiale, dans sa position normale. Fig. 87 est une vue du mécanisme d'avance du chèque pour l'alimentation initiale, mon trant la position du mécanisme en fin d'ali mentation, c'est-à-dire lorsque le chèque est inséré dans la machine.
Fig. 88 est une vue de détail .du méca nisme d'avancement du chèque, montrant la partie du dispositif d'espacement du méca nisme d'alimentation pour avancer le chèque après l'impression des heures et du montant des gains pour les heures réglementaires ainsi que supplémentaires.
Fig. 89 est une vue de détail du méca nisme d'avancement du chèque, montrant la partie du mécanisme qui ramène le chèque à la position d'impression sur la ligne 1, c'est- à-dire à la position nécessaire pour recevoir l'empreinte de la première déduction.
Fig. 90 montre un mécanisme contacteur pour le chèque ou l'enveloppe, pour le bor dereau -de paye ainsi que pour la carte de salaires. (Il y a trois de ces mécanismes dans la machine et ils sont tous identiques.) Fig. 91 est une vue de détail d'une partie du mécanisme contacteur du cheque dans sa position normale.
Fig. 92 est une vue de détail d'une partie chi mécanisme contacteur du chèque dans sa position de manoeuvre.
Fig. 93 montre l'entraînement par accou plement clés cames du contacteur du chèque. Fig. 94 est une vue de champ montrant les carnes pour l'avance du chèque, les cames pour l'éjecteur du chèque ainsi que la came qui contrôle les rouleaux de tension pour le chèque.
Fig. 95 montre le mécanisme d'avancement du chèque et la partie qui commande son avance vers la quatrième ligne, ou position montant net. , après l'impression des di verses déductions, de sorte que le chèque re tourne toujours à cette quatrième ligne pour l'impression du montant net sur le talon et deux fois sur la partie principale du chèque, toujours sur la même ligne.
Fig. 96 est une vue de détail d'une partie du mécanisme d'avance du chèque représentée sur la fi-. 95.
Fig. 97 est une vue de détail monte ânt un mécanisme servant à débloquer à la main la machine lorsqu'elle ne contient pas clé chè que, de bordereau de paye ou de carte de sa laires; c'est-à-dire que lorsqu'il n'y a sur la machine aucun support pour l'enregistrement., la machine n'est. pas déclenchée pendant les opérations de l'établissement des fiches de paye.
Fig. 98 est un détail de la- commande chi contacteur pour la ligne de blocage sous le contrôle du dispositif contacteur.
Fig. 99 est une vue de détail du méca nisme actionnant les marteaux. (Il y a trois clé ces mécanismes identiques dans la ma chine. ) Fig. 100 est une vue de détail du méca nisme servant à ramener le chèque à la pre mière ligne d'impression pour recevoir l'em preinte de la première déduction après l'im pression du montant brut. de la paye de l'em ployé. Fig. 101 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme d'espacement montré sur la fig. 88 dans la position de manceuvre.
Fig. 102 est une vue en perspective mon trant la commande du mécanisme d'avance ment du chèque.
Fig. 103 est une vue de détail. montrant le mécanisme d'arrêt et de tension du chè que .dans la position occupée après la pre mière impression sur le chèque.
Fig. 104 est une vue frontale du méca nisme éjecteur du chèque.
Fi-. 105 est une vue schématique de l'ori gine de commande des groupes des disques des fig. 50 à 54 _ et représentés sur les ta bleaux des fig. 64A, 64B et 65.
Fig. 106 est une vue montrant,-une boîte à cartes de pointage avec arrachement partiel pour montrer les cartes de pointage et le mé canisme actionnant le moyen d'éjection de ces cartes.
Fig. 107 est une variante de la commande manuelle du mécanisme d'avancement du chèque.
Fig. 108 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme de la fig. 107.
Fig. 109 représente un tableau indiquant les temps auxquels les différents groupes de mécanismes sont en action.
D'une manière générale, la forme d'exécu tion représentée de la machine selon l'inven tion est une machine d'un genre décrit dans des anciens brevets, machine qui comprend une série .de totalisateurs sur lesquels peuvent être répartis différents montants selon les be soins de l'entreprise pour laquelle la machine est construite.
Dans le cas présent, les totalisateurs sont conçus de manière à recevoir beaucoup de postes différents qui représentent des opéra tions individuelles effectuées lors de l'établis sement de chèques ou enveloppes de paye.
Dans les anciens brevets, on trouve égale ment ce qu'on appelle dans le métier les tota lisateurs d'addition et soustraction, ou de ba lance, qui permettent à tout moment l'impres sion des balances. Pour contrôler l'impression sur divers sup ports d'impression, la machine est pourvue de quatre rangées de touches de commande et de quinze rangées .de touches numérales, ainsi que le montrent la fig. 1 et, schématiquement, la fig. 2. Le clavier des touches numérales est ce qu'on appelle dans le métier un clavier scindé.
Les premières sept rangées de touches numérales du côté gauche commandent des montants à additionner dans le côté gauche d'un totalisateur scindé et les huit rangées de touches numérales du côté droit commandent des montants à additionner dans la partie droite d'un totalisateur scindé.
La carte des gains s'imprime du côté droit de la machine par dix marteaux, le chèque s'imprime près du centre de la machine par huit .marteaux et le bordereau de paye s'im prime du côté gauche de la machine par onze marteaux. Lorsqu'on se sert de la machine pour des analyses et que la fiche d'analyse est placée dans un récipient du côté gauche de la machine où s'imprime habituellement le bordereau de paye, les quatre premiers mar teaux du groupe de onze servent à imprimer les données analytiques sur la fiche du rou leau à analyse.
Les inscriptions sur la carte des gains sur le côté .droit de la machine s'effectuent à l'aide d'un mécanisme d'une nouvelle cons truction pour l'alimentation ou l'espacement sous le contrôle de dispositifs contacteurs et des touches de commande .du clavier.
Le chèque, ou l'enveloppe, est<B>C/</B> en interlignes et subit des mouvements en avant et en arrière à l'aide d'iui mécanisme d'ali mentation d'une nouvelle construction sous le contrôle des touches de commande du clavier et aussi d'iui dispositif dit contacteur à glis sement.
Le bordereau de paye avance à l'aide d'un mécanisme d'alimentation d'LUie nouvelle cons truction sous le contrôle des contacteurs et des touches de commande du clavier.
Les quatre rangées de touches du côté droit du clavier contrôlent la sélection des colonnes et la sélection des divers interlignes dans ces colonnes, dans lesquelles s'impriment les données pendant les différentes opérations nécessaires pour établir et émettre un chèque de paye. Le nombre des opérations nécessaires varie avec le nombre de catégories des gains à créditer et aussi avec le nombre des déduc tions à opérer sur le gain brut de chaque employé.
Un mécanisme éjecteur des chèques est également commandé par certaines de ces tou ches, car ce mécanisme éjecteur doit être actionné à des moments variables, c'est-à-dire que le mécanisme éjecteur peut être actionné après la première ou n'importe quel nombre d'opérations, ici également suivant le nombre de catégories des gains et le nombre des dé ductions à opérer pour chaque employé.
La machine représentée est en outre pour vue d'un dispositif de commande d'une nou velle construction pour transformer la ma chine de machine à établir des fiches de paye en machine à analyse avec un minimum d'effort physique et mental de la part de l'opérateur de la machine. Ce dispositif com prend -un levier manuel, situé du côté gauche de la machine et pouvant occuper trois posi tions, et une touche d'analyse sur le clavier. L'une -des positions du levier est une position d'analyse, c'est-à-dire une position dans la quelle 11 contribue à transformer la machine de machine à établir des bulletins de paye en machine à analyse. Dans cette position, la ma chine peut être utilisée pour la distribution analytique des données et le mécanisme numé roteur est mis hors service.
Dans une autre position d'analyse -de ce levier manuel, la. ma chine peut être utilisée pour la distribution analytique des données et le mécanisme numé roteur est mis en action. Dans la troisième position .de ce levier à commande manuelle, la machine peut être utilisée pour le bulletin (le paye et les dividendes.
Lorsque la machine est transformée de machine à établir des fiches de paye en ma chine à analyses, les marteaux et le méca nisme d'avancement de la carte des salaires peuvent être hors service et le mécanisme pour l'avancement et l'éjection du chèque, ainsi que pour son impression, peut être hors fonction pendant une partie du temps, mais pendant une autre partie du temps d'analyse, les mé canismes d'avancement, d'éjection et d'impres sion du chèque servent à l'avancement, à l'éjection et à l'impression sur une fiche por tant des empreintes des données analytiques faites sous le contrôle des touches du clavier.
De même, le bordereau de paye, comme on l'a dit plus haut, n'est pas employé pendant l'analyse, on emploie à la place l'analyse effectuée; une partie des marteaux qui frap pent habituellement les empreintes .dans cer taines colonnes du bordereau de paye est, par conséquent, hors service, alors que d'autres marteaux servant à l'impression sur le borde reau de paye s'emploient pour l'impression sur la fiche analytique. Toutes ces commandes s'effectuent sous le contrôle du levier sus mentionné, à commande manuelle, du côté gauche de la machine, en combinaison avec une touche d' analyse du clavier.
La machine .représentée est également pourvue d'un mécanisme à engrenage interne servant à l'ajustage simultané sur :des groupes de dispositifs des nombres et données sous le contrôle des touches, de façon que l'impres sion puisse se faire facilement sur le borde reau de paye du côté gauche de la machine, sur le chèque au centre de la machine et sur la carte des salaires à l'extrême droite de la machine, ce qui a lieu dans le cas où la ma chine s'emploie pour l'établissement des fiches de paye.
Le même mécanisme d'engrenage interne sert également au contrôle et à l'ajustage de diverses plaques de commande prévues pour contrôler d'autres mécanismes, tels que le mé canisme d'alimentation, le mécanisme éjecteur et les dispositifs contacteurs en dehors des marteaux.
Ainsi qu'il a été dit précédemment, les nombres imprimés sur les divers supports d'impression, tels que bordereau de paye, chè que et carte des salaires, se composent à l'aide clés touches du clavier numéral qui, dans le cas présent, remplit la double fonction d'une machine à analyse et d'une machine établis sant des bulletins de paye. Lorsque la ma- chine est utilisée pour l'établissement des bul letins de paye, on se sert de certaines touches pour composer les gains antérieurs et les gains réglementaires, et en d'autres occasions les déductions.
Ces montants se composent à l'aide -des huit rangées de droite des touches numérales, alors que le nombre d'heures, aussi bien réglementaires que supplémentaires, se composent à l'aide des sept rangées de gauche des touches numérales.
En cas d'emploi de la machine pour la distribution analytique, les touches numérales, aussi bien celles des huit rangées de droite que celles des sept rangées de gauche, servent à composer les différentes données numéri ques et les montants.
Le clavier de la machine est prévu pour les opérations d'établissements qui désirent émettre des chèques de paye et tenir une comptabilité complète des diverses trans actions effectuées pour chaque chèque parti culier. La machine est, par conséquent, pour vue de touches numérales d'une capacité suf fisante pour ce genre d'opérations.
Il y a également trois rangées de touches connues dans le métier sous l'appellation touches de commande et servant à sélection ner les divers totalisateurs pour la réparti tion des transactions enregistrées dans la ma chine. Il y a également une rangée de touches de totalisation qui contrôlent la machine, de manière à établir les totaux des postes néces saires pour l'impression des chèques de paye et à remettre à zéro les divers totalisateurs en fin de chaque journée, si on désire laisser la machine à l'état initial pour qu'elle soit prête pour les opérations du .lendemain ou de n'im porte quelle autre période suivante.
La rangée des touches de totalisation est désignée sur la fig. 2 par, le chiffre 1; la ran gée de droite des touches de commande est dé signée par 2; la rangée des touches de com mande du .milieu est désignée par 3, et la ran gée de gauche des touches de commande est désignée par 4. Ces désignations: rangée 1 à 4, seront employées par la suite à propos de ces touches lors de la description détaillée des divers mécanismes d'alimentation et d'éjection et des mécanismes contacteurs et des mar teaux qu'elles commandent.
<I>Bâti.</I> La machine comptable représentée est com posée de deux parties principales, .d'une par tie machine et d'une partie imprimeur . La partie machine est montée au-dessus de la partie imprimeur .
Les mécanismes de la partie machine sont supportés par un bâti monté sur une base, laquelle, à son tour, est portée par un bâti qui supporte le mécanisme imprimeur de la partie imprimeur , et ce dernier bâti re pose sur une base.
La disposition des bases, des châssis laté raux et des châssis spéciaux ainsi que les ti rants pour les bâtis de la machine et de l'im primeur sont indiqués de façon générale sur les fig. 42A. .et 42B. Les châssis latéraux et la base de la machine ainsi que le tirant princi pal avant sont également indiqués sur les fig. 3, 5 et 30; les châssis de l'imprimeur sont également représentés -sur les fig. 42A, 42B, 46B, 57A, 57B, 58A et 58B et sur diverses autres figures qui seront mentionnées plus loin à propos du mécanisme particulier sup porté par ces châssis.
On décrira d'abord le bâti de la machine en se rapportant aux figures précitées repré sentant le bâti de la. machine. Ce bâti de la machine comprend lin châssis latéral gauche 121 et un châssis latéral droit 122 montés sur. une base 123 de la machine. Un châssis auxi liaire 124 est fixé au châssis latéral 122 par des moyens non représentés et également sup porté par la base 123. Un tirant 125 relie les châssis latéraux 121 et 122 du côté antérieur et une paroi arrière relie les châssis 121 et 122 en arrière. Ces châssis 121 et 122 suppor tent le corps principal de la partie machine.> de la machine comptable.
La partie imprimeur de la machine est tout entière montée entre les châssis latéraux 131, 132, 133, 134, 135 et 136 supportés par une base 137 de l'imprimeux. Les châssis 131 et 136 sont fixés aux extrémités d'un tirant 138 qui maintient l'écartement - nécessaire entre ces châssis. Les châssis latéraux 132, 133, 134 et 135 sont coupés, comme on le voit sur les fig. 68 et 79, et chacun d'eux est rac cordé au tirant 138 pour assurer leur main tien dans les positions latérales convenables.
Un tirant 139 est placé entre les châssis 131 et 136 à leurs extrémités arrière pour maintenir la distance convenable entre ces deux châssis. Les châssis 132, 133. 134 et 135 sont coupés, comme on le voit sur la fig. 43B, en vue de leur fixation sur ce tirant 139, de façon que leurs extrémités arrière soient maintenues dans des positions latérales con venables.
Des parois latérales 140 et 141 (fig. 42A et 42B) sont prévues entre les châssis 132 et 133 et les châssis 133 .et 134 respectivement et fixées aux tirants 138 et 139. Une .antre paroi auxiliaire 142,à droite du châssis 136. est fixée à la base 137.
Près de leurs bords antérieurs, les châssis 131 et 133 sont également reliés par un tirant 143 qui est aussi fixé au bord extrême avant du châssis 132. Un tirant 144 est fixé entre les bords antérieurs des châssis 133 et 131 pour maintenir leurs bords avant en positions convenables; un tirant 145 est fixé aux ehâssis 134, 135 et 136 pour maintenir les bords avant de ces châssis en positions latérales convenables.
La partie machine de la machine comp table est placée dans un coffre 146 (fig. 1 et 3) possédant des compartiments articulés né cessaires pour permettre à l'opérateur d'accé der en cas de besoin à certaines pièces de la, machine.
Certaines de ces parties seront décrites plus loin lors de la .description des méca nismes particuliers auxquels elles sont direc tement associées. Toutes les parties articulées sont pourvues de serrures, afin d'interdire aux personnes non autorisées l'accès aux par ties intérieures de la machine. .Mécanisme <I>d'opération.</I> Normalement, la machine est actionnée électriquement par un moteur et est pourvue, en outre, d'une manivelle (non représentée) pour actionner la machine à la main, si néces saire.
La barre de démarrage électrique utili sée sur les anciennes machines est supprimée et la machine est mise en mouvement par l'abaissement d'une série. de touches motori sées ou d'opération situées dans les ran gées des touches de commande, c'est-à-dire clans les rangées 1, 2, 3 et 4 (fig. 2). Ces tou ches seront expliquées en détail ci-après.
L'abaissement d'une des touches d'opéra tion abandonne un arbre 149 de blocage des touches (fig. 3, 5 et 30) à l'action d'un res sort (non représenté) qui fait pivoter cet arbre légèrement dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à actionner un mé canisme d'embrayage qui relie le moteur de commande à un arbre principal 150 oscillant dans les châssis latéraux 121 et 122. Le mou vement de cet arbre 149 de blocage des tou ches actionne simultanément un mécanisme interrupteur qui ferme le circuit du moteur en mettant ainsi le moteur en marche pour entraîner l'arbre principal 150.
La machine représentée est construite en vue d'exécuter deux genres d'opérations, dont l'une est une opération .d'addition comprenant un cycle et l'autre rme opération de soustrac tion comprenant deux cycles. Dans cette des cription, un tour complet de l'arbre principal 150 est considéré comme un cycle d'opé ration. La machine est prévue pour l'établisse ment d'une feuille de paye qui implique l'éta blissement d'un chèque comprenant diverses données imprimées, telles que le gain brut de l'employé, ses déductions et gain net ainsi que plusieurs autres indications qui peuvent être imprimées par la machine.
La composition et l'enregistrement .de la paye brute, - des déductions, du nombre d'heures, etc., sont des opérations à un cycle. L'impression de la paye nette de l'employé est une opération à deux cycles, ou opération de totalisation, dans laquelle la paye nette est imprimée comme solde restant après les diffé rentes déductions de la paye brute de l'em-' ployé. On voit, par conséquent, qu'il faut, pour établir un chèque de paye pour un seul em ployé, effectuer plusieurs opérations à un cycle et aussi plusieurs opérations du genre de totalisation qui comprennent deux .cycles.
Vers la fin de chaque opération à un cycle et vers la fin du deuxième cycle d'une opéra tion à deux cycles, l'arbre 149 de blocage des touches est ramené dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, de manière à débrayer le mécanisme d'accouplement et à ouvrir simultanément l'interrupteur du mo teur électrique en arrêtant ainsi la machine quand elle atteint sa position de repos.
Le temps de fonctionnement de cet arbre 1.49 de blocage des touches est indiqué sur la ligne 2 du tableau des temps de la fig. 109, montrant qu'avant que l'arbre à cames 150 commence à fonctionner, a lieu le déplacement de l'arbre 149 de blocage des touches et que, vers la fin du cycle, l'arbre 149 de blocage des touches est ramené à sa position normale, comme on vient de le décrire.
Lorsque la machine est manoeuvrée à la main par une manivelle, on se sert, pour la mise en marche de la machine, des touches d'opération exactement comme dans le cas d'entraînement électrique. Documents imprimés.
La machine représentée est construite de faon à effectuer, lors de l'établissement des feuilles de paye, des empreintes sur trois supports d'impression, dont il paraît indiqué de donner la description, étant donné qu'on aura à s'y référer au cours de cet exposé et plus particulièrement à l'occasion de la des cription du clavier et du mécanisme impri meur.
A titre d'illustration, cette machine est construite pour l'impression dans 29 colonnes différentes sur trois supports d'impression différents pendant les opérations à effectuer pour l'établissement des chèques de paye pour les employés.
Il est bien entendu que ce nombre de 29 colonnes a été choisi -uniquement dans un but de représentation et qu'il peut être augmenté ou réduit selon le genre d'écritures désiré par le client pour l'établissement des feuilles de paye.
Chacune de ces colonnes est numérotée de 1 à 29, de sorte qu'elle peut facilement et ra pidement être identifiée par rapport aux écri tures et particulièrement en liaison avec les moyens de commande du clavier qui seront décrits plus loin.
Sur le côté gauche de la machine, on im prime un bordereau de paye 151 (fig. 1 et 28). Près du centre de la machine, on imprime un chèque de paye 152 (fig. 1 et 24) et sur le côté droit de la machine, on imprime une carte de salaires 153 (fig. 1 et 29).
Le formulaire du bordereau de paye re présenté à la fig. 28 possède trois colonnes du côté gauche portant, en tête, les indications Noms , Taux et Observations . Dans ces trois colonnes, on peut inscrire soit à la main, soit à .la machine à écrire, les indications rela tives à l'employé dont le nom est porté dans cet espace. Ce bordereau de paye peut avoir la longueur désirée par l'entreprise qui éta blit le bordereau, afin qu'elle réponde à cer taines dimensions ou pour un certain nombre de chèques de paye, cinquante par exemple. Si le bordereau est prévu pour cinquante, alors il y a cinquante espacements pour les noms de cinquante employés.
A droite de ces trois colonnes, il y a onze colonnes dans les quelles des données peuvent. être imprimées par la machine. Ces colonnes sont numérotées de 1 à 11. Dans la colonne 1, à en-tête Nu méro , s'imprime le numéro d'ordre. Dans la colonne 2, à en-tête Paye brute et Paye nette , la machine imprime la paye brute et la paye nette de l'employé, la paye brute étant toujours imprimée sur la ligne ou sec tion supérieure réservée à l'employé et sur la deuxième ligne se trouve la paye nette. Dans la colonne 3, portant l'en-tête Touche R et Touche T , sont imprimés Lin symbole dési gnant la touche R et le nombre .des heures réglementaires effectuées par l'employé et un symbole T qui désigne les heures supplé mentaires.
La colonne 4 porte l'en-tête Tou che R et Touche T ; dans cette colonne s'impriment le s@unbolc R et le montant, ga gné pour les heures de travail réglementaires ainsi qu'un symbole T et le montant gagné pour les heures de travail supplémentaires. La colonne 5 porte l'en-tête Touche S et Touche X . Ces touches sont réservées à l'enregistrement des gains supplémentaires de l'employé, tels que primes ou bonis, et la tou che S peut servir pour les primes; clans ces cas, ce montant sera imprimé sur la ligne supérieure de l'espace et les bonis seront im primés sur la ligne inférieure. Les six co lonnes suivantes, numérotées de 6 à 11, sont réservées aux déductions à opérer dans la.
paye brute de l'employé; chaque colonne ainsi que les espaces supérieur et inférieur de cha que colonne se trouvent sous le contrôle des touches dont les symboles sont indiqués en tête des .colonnes respectives. Les montants pour les différentes colonnes sont naturelle ment composés à l'aide des touches numérales du clavier qui seront décrites ci-après.
Sur le chèque 152, représénté sur la fig. 24, sont indiquées les colonnes 12 à 19. Dans la. colonne 12 s'impriment le nombre des heures réglementaires et supplémentaires. Dans la co lonne 13 s'imprime le montant des gains de l'employé, à savoir le montant des gains ré glementaires et des gains pour les heures sup plémentaires, ainsi que le montant brut. Dans la colonne 14 sont portés des symboles et dif férents montants représentant diverses déduc tions dont doit être débitée la. paye brute. Dans la colonne 15 s'imprime la paye nette. Dans la colonne 16, qui est la première co lonne de la partie principale du chèque, s'im prime le numéro d'ordre; dans la colonne 17, la date; dans les colonnes 18 et 19, la paye nette.
La carte de salaires 153 (Tig. 29) est ré servée aux. employés à titre individuel; en d'autres termes, la carte de salaires de cha que employé contient un relevé complet de ses gains pour une période, disons de 13 semaines. Sur le formulaire représenté, la colonne de gauche possède des lignes numérotées de 1 à 13. Les colonnes de la carte de salaires sont. numérotées de 20 à 29. Dans les colonnes 20 à 28 sont imprimées des indications identiques à celles imprimées dans les colonnes 2 à 10 du bordereau de paye 151.
Dans la colonne 29, portant l'en-téte Paye brute et Gains à ce jour , il y a une ligne en face de I'en- tête BI' qui est destinée au Report relevé d'une carte de salaires figurant sur les treize lignes; autrement dit, elle représenterait la deuxième période de 13 semaines pour cet employé particulier, et ses gains à cette date seraient, par conséquent, reportés de sa carte des salaires précédents et inscrits à la main clans cette colonne.
Dans la partie supérieure de la ligne 1, on imprime la paye brute de l'employé et dans la partie inférieure de la ligne 1 la somme de ses gains antérieurs plus sa paye brute, ces montants représentant ses gains à cette date. L'impression des gains échus à cette date est une opération clé totalisation qui sera décrite ci-après. Au cas où l'entreprise désire établir des enveloppes de paye et payer en espèces au lieu de chèques, une enveloppe de paye 154 (fig. ?6) peut être imprimée à la place du chè que 152.
Sur cette enveloppe, sur laquelle sont portées les colonnes 12 à 19, on imprime (les indications similaires à celles qui s'impriment sur le chèque; en fait, elles sont identiques, sauf que rien n'est imprimé dans la colonne 16 ni dans la colonne 19- Comme expliqué ci-dessus, lorsque la ma chine est transformée de machine à établir ou à imprimer des feuilles de paye en machine à analyse, la carte de salaires 1.53 n'est pas im primée sur la machine, ni le chèque 152, ni l'enveloppe 154, ni le bordereau .de paye<B>151.</B> An lieu du bordereau de paye 151, on peut faire l'impression sur une bande d'analyse 155 (fig. 13 et 20)
pour enregistrer la distri bution des diverses données analytiques. Ces données sont imprimées aux endroits corres pondant aux colonnes 1 à 4 du bordereau de paye et ces colonnes ont été désignées en con séquence sur les bandes d'analyse.
Après avoir effectué une analyse, l'opéra teur établit un total de plusieurs montants et données séparés, et ce total est imprimé sur la bande d'analyse 155; on peut également l'imprimer sur itne fiche 156 (fig. 25) sur la quelle sont portées les colonnes 12 à 17. Comme on le voit sur les fig. 13 et 20, rien n'est imprimé dans la colonne 2 de la bande d'analyse 155 et il n'est rien imprimé dans les colonnes 14 et 15 de la fiche 156 (fig. 25), mais le montant imprimé dans la colonne 3 de la bande d'analyse et le chiffre de la colonne 1. de la bande d'analyse sont imprimés dans la colonne 16 de la fiche. La date imprimée dans la colonne 17 de la fiche n'est pas imprimée sur la bande d'analyse.
Les mécanismes d'avancement du borde reau de paye, de la carte de salaires, du chè que, de l'enveloppe .de la bande d'analyse se ront décrits en détail ci-après en liaison avec la section imprimeur de la machine; le moyen pour imprimer ces données sur ces supports d'impression sera également décrit ci-après.
Clavier. Le clavier de la machine est représenté schématiquement sur la fig. 2 et en perspec tive sur la fig. 1.
En se reportant en particulier à la vue schématique de la fig. 2, on voit qu'il y a sept rangées de touches numérales 160 .du côté gauche d'une coupure permanente indiquée par une ligne pointillée et qu'à droite de cette coupure se trouvent huit rangées de touches numérales 161. Il en résulte fuie capacité d'enregistrement et d'accumulation de sept groupes à gauche et de huit groupes à droite de la coupure pour les totalisateurs de la ma chine scindés conformément à la coupure per manente entre les touches 160 et 161.
A droite des touches numérales 160 et 161., il y a quatre rangées de touches de com mande désignées par 1, 2, 3 et 4. Les trois premières touches de la rangée 1 sont des tou ches de manoeuvre, c'est-à-dire qu'en les abais sant on déclenche la machine; elles ne sont employées que lorsqu'on se sert de la machine pour établir des chèques de paye. Les trois touches 163 du haut de la rangée 1 ne sont pas destinées aux opérations et servent à sé lectionner les totalisateurs des rangées 2, 3 et 4 pendant les opérations de remise à zéro.
La touche 162 Paye nette provoque la remise à zéro du totalisateur d'addition et soustrac tion et reporte le montant qui s'y trouvait sur un totalisateur associé à la touche Total paye nette 166 de la rangée 4. Cette touche 162 Paye nette sélectionne également la ligne 2 dans l'espace d'impression de la colonne 2 du bordereau de paye et sélectionne la ligne 4 de la colonne 15 sur le chèque, de manière à faire imprimer la paye nette sur la ligne 2 de la colonne 2 sur le bordereau de paye 151 et sur la ligne 4 des colonnes 15, 18 et 19 du chèque 152 (fig. 24).
Elle provoque égale ment le déclenchement du mécanisme éjec- teur et l'avancement du numéro d'ordre en faisant imprimer le numéro d'ordre dans la colonne 1 du bordereau de paye 151 et dans la. colonne 16, ligne 1, du chèque 152.
La touche 162 Gains à ce jour remet à zéro le total de groupe Gains à ce jour 3 et provoque son report dans le total du groupe 4. Elle sélectionne la ligne 2 dans la colonne 29 de la carte de salaires 153 et produit le dé blocage de la carte de salaires après cette im pression. La touche 162 Brut provoque une opération,de la lecture du totalisateur d'addi tion et soustraction et sélectionne la ligne 1 dans la colonne 2 du bordereau de paye 151 en provoquant l'impression de la paye brute sur cette ligne; elle sélectionne aussi la ligne 1 dans la colonne 29 de .la carte de salaires 153 en provoquant l'impression de la paye brute à cet endroit.
Elle sélectionne en outre la ligne convenable du chèque dans la colonne 13 pour obtenir l'impression de la paye brute sur cette ligne; après cette opération, le chè que est ramené en arrière à la première ligne pour recevoir la première déduction.
La touche 163 Rem. 0. rang. 2 sert à sé lectionner les totalisateurs correspondant aux positions des touches de la rangée 2 lors de leur remise à zéro. La touche 163 Rem. 0. rang. 3 sert à sélectionner les totalisateurs correspondant aux positions des touches de la rangée 3 pour les remettre à zéro. La touche 1.63 Rem. 0. rang. 4 s'emploie également en liaison avec les totalisateurs correspondant aux positions des différentes touches de la rangée 4.
Les touchés 163 s'emploient, dans des opé rations d'analyse, pour d'autres fonctions qui seront décrites en détail lors de la description de la machine en tant que machine d',analyse.
Les touches de la rangée 2 sont désignées par 164, les touches de la rangée 3 sont dési gnées par 165 et celles de la rangée 4 par 166. Les trois touches inférieures de la rangée 2 sont inopérantes dans toutes .les opérations d'établissement des feuilles de paye, de même que la. touche Analyse de la rangée 2. Mais, lorsqu'on abaisse la touche Analyse .de la rangée 2, qui est une touche inopérante, elle débloque les trois touches inférieures de la rangée 2, de sorte qu'elles deviennent opé rantes.
La touche 164 Débloc. sert à. débloquer la touche Analyse lorsqu'elle est abaissée, la position en face de la touche Débloc. sert de position automatique pour les touches A à J 165 de la rangée 3 et pour les touches I*NT à K 166 de la rangée 4. Les touches 164 -h et - servent aux corrections, c'est-à-dire qu'on se sert de la touche - pour soustraire un montant qui a été par erreur additionné dans le totalisateur d'addi tion et soustraction et qu'on se sert de la touche -I- pour additionner un montant qui était par erreur soustrait du totalisateur d'ad dition et soustraction.
La touche Gains an térieurs est -une touche d'opération et s'em ploie lorsqu'on compose les gains précédents de l'employé.
Toutes les touches A à J 165 de la rangée 3 sont prévues' pour les différents genres -de déductions indiquées précédemment, telles que assurances, impôt sur le revenu, re tenues, assurances sociales, déduction pour obligations, intérêts et n'importe quelles autres .déductions admises par l'employeur sur les gains bruts. Les touches N à h 1.66 de la rangée 4 s'emploient également pour las déductions. La touche R sert à déclen cher la machine après la composition, à l'aide des touches 160 et respectivement 161, du nombre des heures de l'employé et du mon- tant réglementaire de sa paye. La touche 166 T s'emploie lors de la composition, à l'aide des touches 1.60 et respectivement 161, des llcures et du montant supplémentaires de l'employé.
La touche S 166 s'emploie lors qu'on additionne sur le totalisateur d'addi tion et soustraction des gains spéciaux de l'employé, tels que primes, et la touche X <B>1.66</B> peut servir à déclencher la machine lors qu'on additionne dans le totalisateur d'autres nains S,péeiaux, tels que bonis, pour déterminer la paye brute.
En ce qui concerne les touches numérales 160 à gauche de la coupure, en cas d'emploi de la machine pour l'établissement des feuilles de paye, le nombre des heures réglementaires et les heures supplémentaires se composent sur les quatre rangées de droite des touches 160, les trois rangées de gauche étant utilisées ,comme groupes de dépassement. En cas d'em ploi de la machine comme machine d'analyse, on se sert habituellement des cinq rangées de gauche -des touches 160; il y a entre la cin quième et, la sixième rangée des touches 160 une région coupure et normale , c'est-à-dire que ce n'est pas une coupure permanente et, à. moins que les chiffres dépassent le cin quième ordre dénominateur, on se sert habi tuellement clos cinq rangées de gauche des touches 160.
Il en est de même pour les six rangées de gauche des touches 161 lorsque la machine sert à la distribution analytique. Mais, lorsque la machine s'emploie pour l'éta blissement des feuilles de paye et des chèques clé paye, les gains précédents _de l'employé et ses gains ordinaires et supplémentaires ainsi que les gains spéciaux et déductions se com posent sur les six rangées de droite des touches 161. Les deux autres rangées (les touches 161 servent uniquement. à l'accumulation.
Les totalisateurs et leurs différentes dis positions, y compris les totalisateurs d'addi tion et soustraction, seront traités ci-après au chapitre Totalisateurs .
On donne ci-après une description géné rale clos touches de commande des rangées 2, 3 et 4, clos touches 162 et 163 de la rangée 1 en liaison avec leurs fonctions générales, c'est- à-dire qu'on va écrire la manière de combi ner les différentes opérations que la machine doit exécuter pour remplir un chèque de paye et pour enregistrer toutes les données à im primer sur le bordereau de paye et sur les cartes -de salaires se rapportant à l'établisse ment du chèque de paye.
D'abord, on compose avec les touches 161 les gains précédents et on abaisse la touche 164 Gains antérieurs . Ce montant passe dans le totalisateur des gains précédents G. T. 2 de la rangée 2 et également dans le totalisateur G. T. 3 en position zéro de la rangée 3. Immédiatement avant l'opération d'extraction des gains précédents, l'opérateur introduit dans la machine le bordereau 151 dans la position nécessaire ainsi que la carte de salaires 153 qui va du côté droit de la ma chine.
L'opérateur compose ensuite le nombre des heures de travail réglementaires à l'aide des touches 160 des quatre rangées de droite et le montant des gains pour ces heures à. l'aide des touches 161 des cinq rangées de droite et abaisse la touche 166 marquée R de la ran gée 4. Ces heures et ces montants s'addition nent dans les totalisateurs des heures et mon tants de chaque côté de la coupure dans la. position qui,correspond à la touche R . Ces nombres d'heures et montants des gains pour les heures réglementaires s'additionnent égale ment dans le totalisateur G.
T. 3 de chaque côté de la coupure de ce totalisateur, le nom bre d'heures passant à gauche du totalisateur scindé et le montant des gains à droite du totalisateur scindé; l'opérateur compose en suite le nombre des heures supplémentaires à l'aide .des touches 160 et le montant des gains supplémentaires à l'aide des touches 161 et abaisse la touche 166 T de la rangée 4. Les heures et le montant supplémentaires s'addi tionnent sur les deux côtés du totalisateur scindé associé à la touche T et s'accumulent également dans le totalisateur G. T. 3 . Ce totalisateur G.
T. 3 , du côté droit de la cou pure, devient maintenant Gains à ce jour , parce qu'il accumule les gains précédents plus le montant des gains réglementaires et celui des gains supplémentaires.
S'il y a d'autres gains, tels que des primes, ces montants se composent sur les touches 161 des cinq rangées de droite et on abaisse la touche 166 S faisant ainsi passer ce mon tant dans le totalisateur S et aussi dans le totalisateur G. T. 3 . Pour des montants tels que le boni, ceux-ci se composent par les tou ches 161 et on abaisse la touche 166 X , ce qui fait que .le montant des bonis s'additionne dans le totalisateur X ainsi que dans le to talisateur G. T. 3 .
Il y a lieu d'indiquer ici que le totalisa teur de la ligne supérieure à gauche de la coupure est un totalisateur d'addition et que les totalisateurs de la ligne supérieure à droite de la coupure constituent un totalisateur d'addition et soustraction ainsi que le totali sateur G. T. 2 . Tous les gains des heures ré glementaires et les gains des heures supplé mentaires, ainsi que tous les gains spéciaux, tels que primes et bonis, s'accumulent du côté + du totalisateur d'addition et soustrac tion et les gains précédents passent, comme on l'a dit ci-dessus, dans le totalisateur G. T. 2 - à droite de la coupure.
La coupure est indiquée sur la fig. 27 où d'on voit une re présentation schématique des totalisateurs des deux côtés de la coupure ainsi que la came sélectrice de ces totalisateurs.
Lorsque tous les gains sont accumulés du côté droit du totalisateur d'addition et sous traction, l'opérateur abaisse la touche 162 Brut de la rangée 1 pour relever le côté + de ce totalisateur et imprimer la paye brute dans la colonne 2 du bordereau de paye 151, dans la colonne 13 du chèque 152 et dans la colonne 29 de la carte de salaires 153.
L'opérateur procède ensuite à la composi tion des divers montants des différentes dé ductions dont la paye de l'employé est à débi ter éventuellement. Comme on ,le voit sur le chèque 152 de la fig. 24, six déductions sont inscrites après les symboles A à B et J . Chacune de ces déductions nécessite une opé ration séparée dans laquelle le montant de la déduction se compose par les touches 161 et se soustrait du totalisateur d'addition et sous traction. Chacune de ces déductions est égale ment accumulée dans les totalisateurs associés à leurs touches respectives.
Après l'inscription de toutes les déduc tions, l'opérateur abaisse la touche 162 Gains à ce jour de la rangée 1, ce qui vide le to talisateur G. T. 3 et reporte ce montant dans le totalisateur G. T. 4 ; ce montant Gains à ce jour s'imprime dans la colonne 29 de la carte de salaires 153 (fig. 29). L'opé ration suivante est l'abaissement de la touche 162 Paye nette de la rangée 1 qui remet à zéro le totalisateur d'addition et soustraction qui, à ce moment, contient. la paye nette de l'employé et reporte cette paye nette sur un totalisateur associé à la touche 166 Total paye nette de la rangée 4. Ce montant de la.
paye nette s'imprime sur la deuxième ligne dans l'espace de la colonne 2 du bordereau de paye 151, sur la quatrième ligne de la colonne 15 du chèque et s'imprime également dans les colonnes 18 et 19 du chèque.
Ce qui précède constitue une opération complète nécessaire pour établir un chèque de paye; après l'abaissement de la touche<B>162</B> Paye nette , action qui remet le totalisateur d'addition et soustraction à zéro, la machine est prête et permet à l'opérateur de relever les gains précédents de l'employé suivant, en registrer toutes les données se rapportant à cette paye et imprimer un chèque de paye pour le montant qui se présente.
Un numéro d'ordre est imprimé dans la colonne 16 du chèque et la date s'imprime dans la colonne 17, cette date étant réglée par un mécanisme :dont la description suivra. Le mécanisme numéroteur sera également décrit. ci-après.
<I>Les</I> rangées numérales <I>et</I> leurs <I>mécanismes</I> différoitiels <I>associés.</I>
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, la machine représentée possède sept rangées de touches numérales 160 à gauche de la cou pure et huit rangées de touches numérales 161 à droite de la coupure pouvant, dans cer tains cas, servir à composer des montants et, dans d'autres cas, des nombres d'heures ou autres nombres employés lorsque la machine fonctionne en machine d'analyse.
Mais, étant donné que toutes les rangées des touches 160 et 161 et leurs mécanismes différentiels associés sont identiques sous tous les rapports, la description d'une de ces ran gées clé touches et d'un mécanisme différen tiel suffira.
La fig. 3 représente une coupe transver sale de la machine .au droit de l'une des ran gées numérales et montre cette rangée et le mécanisme différentiel qui lui est associé; cette rangée sera considérée comme caracté ristique de toutes les rangées numérales. La rangée de touches choisies est l'une des ran gées numérales 161 (fig. 2). Il est entendu que les touches numérales 160 sont montées exactement comme les touches 161 et les mé- -canismes différentiels sont par conséquent les mêmes.
Les touches numérales 161 (fig. 3) sont montées sur un châssis de touches 170 porté par des tiges 171 et 172 qui s'étendent entre les châssis principaux 121 et 122 de la section machine de la machine comptable. L'abais sement d'une des touches 161 déplace un cli quet d'arrêt 173 à zéro de cette dénomination particulière dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre et l'écarte du che min d'un croisillon l74 monté librement sur un moyeu d'un différentiel numéral 175 qui est supporté à rotation par un moyeu entre deux plaques similaires 177 (une seule est re présentée) de support du différentiel numé ral qui, elles, sont portées par des tiges 178 et 179 qui s'étendent entre les châssis laté raux 121 et 122 de la machine.
Il y a une paire de plaques de support 177 pour chaque différentiel numéral et une tige de liaison 180 passe par les trous au centre des moyeux pour réunir tous les différentiels numéraux en un ensemble compact.
Une fente pratiquée .dans l'extrémité anté rieure du croisillon 174 s'engage sur un gou jon 181, porté par un bras 18<B>2</B> de déblocage qui pivote sur un prolongement de l'organe moteur 175. Le bras 182 et un bras conjugué 183 portent un verrou différentiel 184 à dé placement horizontal. Un ressort 185 entraîne les bras 182 et 183 ainsi que le verrou 184 en arrière, de manière à maintenir normalement un pied 186 dudit verrou en prise avec un épaulement 187 d'un segment de commande différentiel 188 supporté de façon à pouvoir osciller par le moyeu de l'organe moteur dif férentiel 175.
Une articulation 189 relie le segment de commande 188 à un levier de came 190 pivotant sur un axe 191 fixé sur la plaque 177 de gauche; -ce levier 190 porte des galets 192 et 193 qui coopèrent respective ment avec les périphéries de cames associées 194 et 195 fixées sur l'arbre principal -de com mande 150. L'abaissement. de l'une des tou ches numérales 161 place son extrémité infé rieure sur le chemin d'une surface arrondie 196 d'un prolongement du bras 182.
Dans les opérations d'addition qui, comme indiqué précédemment, consistent en lin cy cle ou en une rotation de l'arbre à cames 150, les cames 194 et 195 font un tour dans le sens des aiguilles d'une montre en faisant dépla cer le segment de commande 188 par le levier 190, d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite dans le sens inverse pour revenir à la position normale. Pendant ce mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, le segment 188 entraîne le verrou 184 par l'épaulement 187 en coopération avec le pied 186 du verrou 184, ainsi que l'organe moteur 175 à l'unisson dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que la sur face arrondie 196 entre en contact avec la tige de la touche 161 abaissée.
Lorsque cela se produit, le bras de blocage 182 et son bras associé 183 se déplacent dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à dégager le pied 186 .de l'épaule ment 187 pour interrompre le mouvement de l'organe moteur 175 clans le sens des aiguilles d'une montre et pour l'arrêter lorsqu'il s'est déplacé d'une distance correspondant à la va leur de la touche abaissée. Ce mouvement d'embrayage du verrou 184 met mi prolon gement arrondi @du verrou en prise avec une encoche correspondante d'une série d'encoches 198 faites dans une plaque 199 qui est fixée entre la tige 178 et un prolongement vers le haut de la plaque de support 177 .de gauche.
Après le dégagement chi verrou 184 de l'épaulement 187 du segment 188, ce dernier continue son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre sans interruption, en amenant une surface courbe 200 du segment, en coopération avec le côté inférieur du pied 186, à bloquer le prolongement 197 du verrou 184 dans l'encoche 198 qui correspond à la valeur de la touche numérale 161 abaissée.
Lorsque le levier 190 et le segment 188 arri vent aux points extrêmes de leur mouvement initial dans le sens des aiguilles d'une mon tre, un galet 201 porté par le levier 190 s'en gage avec une surface courbe 202 du côté inférieur d'une barre numérale 203 articulée au point 204 sur l'organe moteur 175 et oblige une surface courbe du côté supérieur de cette barre 203 à entrer en contact avec le moyeu de l'organe moteur 175 pour donner à la barre 203 une position qui correspond à la touche numérale 161 abaissée.
La barre 203 est pourvue d'une fente 205 engagée avec un goujon 206 d'une articulation 207 dont l'extrémité supérieure est reliée à oscillation à Lin segment d'alignement 208 monté sur l'un des tubes d'une série de tubes emboîtés 209 portés par un arbre 210 qui oscille dans les -châssis latéraux 121 et 122.
L'extrémité inférieure de l'articulation 207 est montée à oscillation sur un segment <B>2</B>11 monté fou sur un arbre 212 tourillon- nant dans les châssis latéraux 121 et 122. Le segment 211 porte un goujon 213 engagé dans Lme fente pratiquée dans une plaque à came 214 d'élimination de zéro montée à oscillation sur un goujon 215 .qui est fixé sur un seg ment denté 216 monté fou sur un arbre 217 tourillonnant également dans les châssis laté raux 121 et 122.
Les dents du segment 216 engrènent avec les dents extérieures d'une roue annulairë 218 à engrenages intérieur et extérieur dont les dents intérieures engrènent avec un pignon 219 .qui entraîne un arbre carré 220. L'arbre carré entraîne, à son tour, des pignons similaires qui engrènent avec les dents intérieures de roues analogues à la roue 218; les dents extérieures de ces roues peu vent engrener avec des roues à caractèresdé- nominatrices correspondantes 221 dans cha que rangée du mécanisme imprimeur en co lonnes.
Le mécanisme imprimeur en colonnes sert, dans le cas présent, à l'impression des bordereaux de paye 151, du chèque 152 et de la carte de salaires 153, comme décrit précé demment.
Pour l'alignement convenable du méca nisme différentiel et des roues porte-carac- tères placées par le différentiel, on a prévu sur chacun des segments 208 une série d'en coches 222 en prise avec un aligneur 223 ealé sur un arbre 224.
L'aligneur 223 est dégagé des encoches 222 pendant l'ajustage différentiel des roues à caractères 221; après l'ajustage de ces roues sous le contrôle des touches 161 par le méca nisme différentiel, l'aligneur 223 est de nou veau mis en prise avec les encoches 222 en alignant ainsi de facon positive les roues porte-caractères 221. pendant l'impression.
Les nombres composés sur les roues porte- caractères 221 sont indiqués dans une ouver ture 225 (fig. 1 et 2) par des indicateurs 226 ajustés par les roues 218 (fig. 3) au moyen de roues 227 qui actionnent des pignons et arbres carrés, non représentés, mais analo gues aux pignons 219 et aux arbres 220.
<I>Les totalisateurs.</I>
La machine représentée comprend les trois lignes habituelles de totalisateurs, numérotées 1, 2 et 3 (fig. 3). Comme dît précédemment, les totalisateurs de chacune de ces lignes sont coupés entre les touches 160 et<B>161</B> (fig. 2), c'est-à-dire qu'il n'y a pas de mécanisme de report entre le premier groupe des touches 160 de gauche et le premier groupe des tou ches 161 de droite en liaison avec leurs mé canismes différentiels respectifs représentés sur la fig. 3. La ligne lNT 1 des totalisateurs est également représentée sur 1a vue schéma tique (fig. 27). Cette ligne de totalisateurs est contrôlée par les touches 164 de la rangée 2.
Cette ligne N 1. possède, du côté droit clé la coupure, un totalisateur d'addition et sous traction et, en outre, un totalisateur d'addi tion directe. Du côté gauche de la coupure, la ligne des totalisateurs comprend deux to talisateurs d'addition, comme indiqué sur la fig. 27.
La ligne N 3 des totalisateurs ou ligne avant contrôlée par les touches 165 de la rangée 3 comprend neuf totalisateurs de cha que côté de la coupure, un pour chacune des touches A à J et un en position zéro que nous avons appelé le totalisateur G. T. 3 .
La ligne N 2 des totalisateurs ou ligne arrière compte neuf totalisateurs d'addition de chaque côté .de la coupure, un pour cha cune des touches R , S , T , Y , N , ïVl , L et K et un pour la touche To tal paye nette et, en outre, un autre en po sition zéro appelé totalisateur G. T. 4 .
Le totalisateur d'addition et soustraction de la ligne supérieure ou ligne N 1 situé à droite de la coupure est désigné par le nu méro de référence 230 et le totalisateur d'ad dition directe à droite de la coupure de cette ligne porte le numéro 231. Les deux totalisa teurs de cette ligne N 1 qui se trouvent à ;anche de la coupure portent les numéros 232 et 233.
Les totalisateurs de la ligne N 2, ou ligne arrière, représentés sur la fig. 3 seulement, portent. le numéro 234. Ce numéro s'appli que aux totalisateurs des deux côtés de la coupure. Les totalisateurs de la- ligne N 3, ou ligne avant, portent le numéro 235, et ce nu méro s'applique également aux totalisateurs des deux côtés de la coupure.
Les totalisateurs de ce genre sont bien connus, on les appelle totalisateurs intercalés; il n'est donc pas nécessaire de donner ici une description de la construction de ces totali sateurs.
Ainsi qu'il est de pratique courante dans ce genre .de machines, l'organe moteur 175 possède trois sections dentées 236, 237 et 238 (fig. 3). La section 236 actionne les totalisa teurs d'addition et soustraction ainsi que les totalisateurs d'addition de la ligne N 1, ou ligne supérieure, des totalisateurs, la section 237 actionne les totalisateurs de la ligne N 2, ou ligne arrière, et da section dentée 238 actionne le totalisateur 235 de la ligne N 3, ou ligne avant.
Dans les opérations d'addition, les roues du ou, suivant le cas, des totalisateurs sélec tionnés sont en prise avec les sections dentées respectives 236, 237 ou 238 des organes mo teurs 175 après que ces organes ont accom pli ;leur mouvement d'ajustage dans le sens -des aiguilles, sous le contrôle des touches nu mérales 160 et 161.
Le mouvement de retour dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre de l'organe 175 fait tourner, comme il a été expliqué ci-dessus, les roues correspondantes du ou des totalisateurs sélectionnés et em brayés, proportionnellement à la valeur des touches numérales 160 et 161, pour faire en trer dans ces totalisateurs les montants qui correspondent aux touches abaissées.
Dans les opérations de soustraction, les roues correspondantes de soustraction du to talisateur 230 d'addition et soustraction sont en prise avec les dents 236 de l'organe moteur <B>175</B> exactement de la même manière que dans les opérations d'addition, et le mouvement de retour de l'organe moteur fait tourner les roues d'addition 230 du totalisateur d'addi tion et soustraction dans le sens inverse au moyen d'un engrenage inverseur représenté sur la fig. 3.
Si aucune des touches 161 n'est abaissée, le cliquet d'arrêt à zéro 173 reste, après le mouvement initial de l'organe moteur 175, sur le chemin dut croisillon 174, s'engage sur celui-ci et dégage le verrou 184 de l'élément moteur 188, de manière à arrêter l'organe moteur 175 dans la position zéro. Après que l'organe moteur 175 a été mis à la position zéro, le galet 201 place la barre 203, les arti culations 207 et les segments 208 et 211 en conséquence, comme indiqué sur la fig. 3.
A la fin de chaque type d'opération, l'or gane moteur 175 est toujours ramené à la po sition de repos indiquée sur la fig. 3. Mais les articulations 207 et les mécanismes impri- meurs commandés par celles-ci restent, en fin des opérations .de la machine, dans les posi tions de manoeuvre et passent de ces posi tions directement à leurs nouvelles positions dans les opérations suivantes de la machine par l'intermédiaire d'un mécanisme connu et qu'on appelle souvent dispositif de mouve ment minimum .
On a prévu -un mécanisme habituel de re port pour faire entrer une imité dans le pro chain ordre supérieur des totalisateurs lors que la roue totalisatrice de l'ordre inférieur passe par zéro, soit dans le sens positif, soit dans le sens négatif.
illécanisme d'embrayage <I>et de</I> débrayage <I>des totalisateurs.</I>
Après que les différents totalisateurs des diverses lignes ont été sélectionnés pour une opération par des moyens contrôlés par les touches des rangées 2, 3 et 4, moyens qui se ront décrits ci-après, les totalisateurs sont embrayés ou débrayés au cours de l'addition, au cours de la totalisation et au cours du re port du total.
Au cours de l'addition, les organes moteurs sont d'abord ajustés et en suite les totalisateurs sont embrayés, après quoi les organes moteurs sont ramenés à leurs positions normales; pendant ce temps, les nombres .composé'-, à l'aide .des touche,-, numé rales 160 'et -161 sont additionnés ou sous traits du totalisateur d'addition et soustrac tion et additionnés dans le totalisateur sélec tionné de la rangée avant N 3 ou de la ran gée arrière N 2.
Pendant les opérations de lecture, les to talisateurs sont embrayés avec les organes moteurs avant que ceux-ci se déplacent dans le sens des aiguilles d'une montre, et le mon tant qui se trouve sur les totalisateurs en est extrait et transmis aux organes moteurs et de là aux molettes d'impression, après quoi les organes moteurs sont ramenés à leurs po sitions normales, les totalisateurs pouvant rester embrayés avec eux, de sorte que le nombre qui en a été extrait est restitué dans ce totalisateur.
Lors de la remise du totalisa teur à zéro, celui=ci est embrayé avec les organes moteurs, et ces organes se déplacent dans le sens des aiguilles d'une montre d'une distance qui dépend du montant qui se trouve sur le totalisateur, après quoi le totalisateur est débrayé de l'organe moteur et ce dernier est ensuite ramené à sa position normale en laissant le totalisateur à. zéro.
Pendant le report. des totauiz d'un totali sateur à un autre, par exemple du totalisa teur d'addition et soustraction de la ligne su périeure des totalisateurs à un totalisateur sé lectionné de la. ligne N 2, ou ligne arrière, le totalisateur d'addition et soustraction est d'abord embrayé avec les organes moteurs avant leur mouvement dans le sens des aiguilles d'tuie montre, le montant qui se trouve sur le totalisateur d'addition et sous traction en est. extrait et transmis aux organes moteurs,. après quoi le totalisateur sélectionné de la ligne N 2, ou arrière, est.
embrayé avec ces organes moteurs et le totalisateur d'addi tion et soustraction en est. débrayé, de sorte que, lorsque les organes moteurs sont ramenés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à leurs positions normales, le nombre qui a été extrait du totalisateur d'ad dition et soustraction est reporté sur le tota lisateur sélectionné de la ligne N 2.
On va maintenant décrire le mécanisme servant à embrayer et débrayer les totalisa teurs dans les conditions qu'on vient d'exposer.
Le totalisateur d'addition et soustraction de la ligne supérieure et l'autre totalisateur de cette ligne, ainsi que tous les totalisateurs de la ligne arrière et tous les totalisateurs de la ligne avant sont supportés chacun dans un châssis mobile 210 (fier. 3) qui lui-même est supporté entre les châssis principaux 121 et 122 de la section machine .
Le châssis mobile 240 de la ligne supé rieure de totalisateur qui porte le totalisateur d'addition et soustraction comprend un arbre 241 (fig. 3 et 7) sur lequel sont montés, aux extrémités opposées, des galets 242 qui s'en gagent dans des fentes similaires 243 prati quées dans des plaques à cames 244 fixées aux châssis latéraux 121 et 122 .de la machine. Ces fentes 243 sont radiales par rapport au centre de la tige 180 du mécanisme différen tiel.
Sur les extrémités opposées de l'arbre 241 sont. également, fixés des coudes similaires 245 portant des galets 246 qui s'engagent dans des fentes similaires 247 des plaques à cames 2-14, Le coude de droite 245, représenté sur la fig. 7, est, relié, à oscillation, à l'une des extré mités d'une articulation .d'embrayage 248 dont l'autre extrémité porte un galet 249 qui coopère avec un crochet. 250 d'un croisillon 251 supporté par un goujon fixe 252. Le croi sillon d'embrayage 251 reçoit son mouvement d'une coulisse 253 d'embrayage du totalisa teur, coulisse dont un prolongement avant est pourvu d'une fente .dans laquelle s'engage un goujon 254 d'une plaque à cames 255 pivotant sur un goujon fixe 256.
La plaque 255 a une fente 257 qui est reliée par un goujon 258 à une fente 259, sensiblement verticale, prati quée dans l'un des bras d'une bride 260 qui est également montée à oscillation sur le gou jon 256. Le goujon 258 est fixé sur une arti culation 261 reliée à oscillation à un coude 262 calé sur un arbre 263 supporté par les châssis latéraux 121 et 122.
Un autre bras de la bride 260 porte un goujon 26-1 qui s'engage dans une fente de came pratiquée dans une plaque clé commande 266 clé totalisation (f ig. 32) déplacée différentiellement sous le contrôle (les touches 162 et 163 de la rangée 1 (fi... 2).
La manière dont la plaque de commande 266 contrôle le mouvement clé la. bride 260 et dont. l'arbre 263 contrôle le mouvement du coude 262, clé façon que celui-ci assure l'em- hra@-agc de la coulisse 253 avec le croisillon <B><U>251</U></B> est connue; on ne donnera donc ici qu'une description générale de ce mécanisme.
Un prolongement, dirigé vers l'arrière, de la coulisse 253 pivote sur l'extrémité supé rieure d'un levier clé came 270 dont. la fig. 7 ne montre qu'une partie. Ce levier 270 est actionné par une came 27J. fixée sur l'arbre de commande principal 150.
La forme clé cette came n'est pas représentée, car ce mé canisme est bien connu et a une forme telle qu'il oblige la coulisse 253 à se déplacer d'abord à droite (fig. 7) dans la direction de sa longueur et à retourner ensuite à la posi tion indiquée sur la fig. 7 à chaque révolution de l'arbre<B>150,</B> Le déplacement, de l'articulation 248 pour contrôler l'embrayage du goujon 240 avec le crochet 250 du croisillon 251 est commandé, dans les opérations .d'addition, par des dis ques de commande à crans bien connus, con trôlés, à leur tour, par les touches des ran gées 2, 3 et 4 (fig. 2) ;
le mouvement d'em brayage de cette articulation est contrôlé, dans ces opérations de totalisation, par une fente de la plaque de commande de totalisa tion 266 (fig. 32) d'une manière connue..
Lorsque la plaque de commande de totali sation 266 se trouve dans la position d'addi tion, une encoche 272 de la coulisse 253 est en prise avec un goujon 273 fixé sur le croi sillon 251, comme indiqué sur la fig. 7; lors que le goujon 249 est embrayé avec le crochet 250 du croisillon 251, le levier 270 déplace, sous l'action de la came 271, lacoulisse 253 en arrière ou à droite en regardant la fig. 7, pour communiquer au croisillon 251 un mou vement dans le sens des aiguilles d'une mon tre.
Ce mouvement du croisillon 251 dans le sens clés aiguilles d'une montre sous l'action de l'articulation 248 déplace le coude 245 et l'arbre 241 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre en faisant déplacer, à l'aide .des galets 246, en coopération avec la fente 247, l'arbre 2.11 et le châssis 240 des totalisateurs (fi-. 3), de façon à. embrayer le jeu sélectionné des roues du totalisateur d'ad dition et soustraction ou à embrayer l'autre totalisateur de cette ligne supérieure de to talisateurs avec l'organe moteur 175.
Ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, l'em brayage du jeu sélectionné des roues avec les organes moteurs se produit dans les opéra tions d'addition et de soustraction, après que les organes moteurs ont été ajustés sous le contrôle des touches numérales 160 ou<B>161</B> abaissées, et le mouvement de retour de ces organes moteurs 175 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre fait tourner lesdites roues sélectionnées proportiônnelle- ment à la valeur des touches abaissées, de façon à y faire entrer le nombre composé sur le clavier.
Après que les organes moteurs 175 ont accompli leur mouvement de retour dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, la came 271 ramène la coulisse 253 en avant pour ramener le croisillon 251- dans le sens -contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à dégager les roues du totalisateur embrayé des organes moteurs 175.
Dans les opérations de sous-totalisation, le mouvement de la plaque de commande de totalisation 266 de la position d'addition vers la position de sous-totalisation, lorsqu'on abaisse la touche 162 Brut , donne à l'arbre 263 -Lui mouvement initial dans le sens des aiguilles d'une montre et crée une condition qui provoque un mouvement supplémentaire dans le sens des aiguilles d'ale montre, mou vement qui est communiqué à cet arbre par la suite dans l'opération de sous-totalisation.
Le mouvement initial dans le sens des aiguil les d'une montre de cet arbre 263 abaisse le goujon 258 par rapport aux fentes 257 et 259; toutefois, ce mouvement du goujon 258 vers le bas est confiné à la partie droite de la fente 259 et l'encoche 272 dans la coulisse 253 reste par conséquent en prise avec le goujon 273 du croisillon 251, comme indiqué ici.
On se rappelle que, dans les opérations de totalisation et de sous-totalisation,' l'arbre- principal 150 et les cames qui y sont fixées reçoivent deux rotations clans le sens des aiguilles d'une montre au lieu d'une qu'ils font dans .des opérations d'addition et de soLis- traction. Pendânt la première rotation .de la came 271, le levier 270 déplace la coulisse 253 en arrière, de façon à embrayer les roues to talisatrices sélectionnées avec les organes mo teurs 175 avant leur mouvement initial dans le sens des aiguilles d'une montre,
étant donné que ces organes moteurs sont retenus dans leurs positions zéro pendant le premier cycle de l'opération de l'impression du total Gu d11 sous-total.
Le premier cycle d'une opération de tota lisation ou sous-totalisation sert à déplacer les lignes des totalisateurs latéralement pour sé- lectionner le jeu désiré de roues totalisatrices pour la lecture ou le réajustage suivant le cas. Dans le deuxième cycle d'une opération de totalisation ou de sous-totalisation, les organes moteurs 175 font, pendant leur mou vement initial dans le sens des aiguilles d'une montre, tourner les roues du totalisateur sé lectionné en arrière jusqu'à ce que les dents allongées de ces roues amènent ces roues à leurs positions zéro, de manière à placer les organes moteurs 175 conformément aux nom bres indiqués par ces roues totalisatrices.
Lorsque les organes moteurs 175 sont ainsi placés conformément au nombre indiqué sur les roues du totalisateur sélectionné, le galet 201 (fig. 3) s'engage sur la barre 203 pour ajuster le segment et le mécanisme imprimeur suivant le nombre indiqué sur les roues tota lisatrices ou, autrement dit, pour ajuster le montant extrait des roues totalisatrices.
Après que la coulisse 253 a accompli, dans les opérations de sous-totalisation, son mou vement initial en arrière pour embrayer les roues totalisatrices sélectionnées avec les organes moteurs, l'arbre 263 reçoit -un mou vement supplémentaire pour faire communi quer, à l'aide du goujon 258, en coopération avec la fente à came 257 et la fente 259, à la plaque 255 uni mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre afin de dégager l'en coche 272 du goujon 273, de sorte que les roues du totalisateur sélectionné ne soient pas débrayées des organes moteurs 175.
L'encoche 272 reste ainsi, dans les opéra tions de sous -totalisation, dégagée du goujon 273 jusque vers la fin du deuxième cycle d'opérations de l'arbre 150, et les roues totali satrices sélectionnées restent par conséquent en prise avec les organes moteurs 175 pen dant lieur mouvement de retour dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et, en conséquence, ces roues totalisatrices sont ramenées à. leurs positions de départ.
Après le retour des roues totalisatrices à leurs positions de départ et vers la fin du deuxième cycle d'opération, l'arbre 263 est ramené dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour engager l'enco- ehe 272 avec le goujon 273, de sorte que le mouvement de retour en avant. de la coulisse <B>253,</B> vers la fin du second cycle d'opération, imposera un mouvement de retour dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre au croisillon d'embrayage 251, de manière à débrayer les roues du totalisateur sélec tionné des organes moteurs 175.
[)ans les opérations de totalisation ou clé remise à zéro, le mouvement de la plaque de commande de totalisation 266 de la position d'addition vers la position de totalisation ou remise à zéro communique à l'arbre 263 un mouvement initial clans le sens des aiguilles cl'cirre lrriontre, exactement comme dans les opérations de sous-totalisation;
de plus, la plaque clé commande de totalisation 266 dé place, en combinaison avec le goujon 264, la bride 260 et la plaque 255 dans le sens des ai,guilles d'une montre, ce qui déplace, par le goujon 254, la coulisse 253 dans le sens con- 1raire à celui clés aiguilles d'une montre, de manière à dégager son encoche 272 du gou jon 273.
Vers la fin du premier cycle de l'opé ration clé totalisation et après que la coulisse 253 a été repoussée en arrière par la came '_'71, un mouvement supplémentaires dans le sens (les aiguilles d'une montre de l'arbre 263 dé place à l'aide du goujon 258, en coopération avec les fentes 257 et 259, la plaque 255 d'une distance supplémentaire dans le sens < les aiguilles d'une montre, de manière à. met tre une encoche 274 de la coulisse en prise avec un goujon 275 du croisillon 251.
*Immédiatement après l'engagement du goujon 275 dans l'encoche 274,-1e mouvement clé retour du levier 270 déplace la coulisse 253 en avant, de manière à communiquer un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre au croisillon d'embrayage 251, ce qui provoque l'embrayage des roues du totalisa teur sélectionné avec les organes moteurs 175 à la fin du premier cycle de mouvement de l'arbre 150. Dans le second cycle, les organes moteurs 175 font tourner ces roues vers le zéro exactement clé la même faon que dans les opérations de sous-totalisation ou de lec ture.
Pendant que les roues totalisatrices sé- lectionnées se trouvent en position zéro et avant le mouvement de retour des organes moteurs 175 clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 3), le mouvement initial de la came 271, dans le second cycle d'opération de l'arbre 150, repousse la cou lisse 253 en arrière en communiquant aii croi sillon 251 sui mouvement de débrayage dans le sens contraire à celui (les aiguilles d'une montre, de manière à débrayer les roues du totalisateur sélectionné des organes moteurs, en laissant ainsi ces roues à zéro.
Après le retour du croisillon 251 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à la posi tion normale et avant le mouvement de retour en avant de la coulisse 253, l'arbre 263 est partiellement ramené dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de ma nière à ramener la plaque à came 255, afin de dégager l'encoche 274 du goujon 275. Pen dant que la coulisse 253 est ainsi débrayée du croisillon 251, la came 271 ramène cette cou lisse en avant vers la position normale, après quoi le mouvement de retour de la bride 260 et de la plaque 255 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre engage l'en coche 272 sur le goujon 273, comme indiqué sur la fig. 7.
Une languette 276 (fig. 7), actionnée par une rente 277 de la plaque à cames 255, s'en gage avec des encoches 278 et 279 du croisil lon 251 pour les opérations de totalisation et de sous-totalisation, afin d'empêcher le mou vement de ce -croisillon lorsque la coulisse 253 est dégagée des goujons 273 et 275.
Des aligneurs 280 et 281 sont reliés par une articulation fente-ergot 282 pour aligner le croisillon 251 et la coulisse à certains mo ments d'opération de la machine. Une arti culation 283 pivotant sur l'aligneur 280 est. actionnée par une came (non représentée) montée sur l'arbre de commande principal 150 pour faire coopérer l'aligneur 280 avec le goujon 273 du croisillon<B>25.1</B> et l'aligneur 281 avec un goujon 284 fixé sur l'extrémité de la coulisse 253, afin .d'assurer l'engagement con venable de la coulisse 253 sur le goujon 273 ou, suivant le cas, sur le goujon 275.
La ligne N 2, ou ligne arrière, des totali sateurs (fig. 3), comprend un jeu complet de totalisateurs, c'est-à-dire -dix totalisateurs, dont un en position zéro et lin dans chacune des neuf autres positions. Le totalisateur G. T. 4 en position zéro et le totalisateur Total paye nette en position N 9 peuvent être automatiquement sélectionnés, comme dit précédemment, pendant certains types .d'opé rations pour le report sur ces totalisateurs des nombres extraits d'autres totalisateurs.
En d'autres termes, si on actionne la touche 162 Gains à ce jour (fig. 2), les nombres qui se trouvent dans le totalisateur G. T. 3 en position zéro dans la rangée 3 sont reportés dans le totalisateur G. T. 4 en position zéro dans la ligne arrière. Si on actionne la touche 162 Paye nette , le tota lisateur d'addition et soustraction .de la ligne N 1 ou ligne supérieure des totalisateurs, est, comme mentionné également ci-dessus, remis à zéro, et le nombre qui en est extrait est automatiquement reporté sur le totalisateur Total paye nette de la ligne arrière des to talisateurs.
Illécanisme <I>de report des</I> totaux.
Si l'on désire reporter des nombres du to talisateur d'addition et soustraction, ou tota lisateur de balance, de la, rangée supérieure, dans le totalisateur de paye nette totale de la rangée arrière et aussi du totalisateur (-'T. T. 3 de la ligne avant dans le totalisa teur G. T. 4 de la ligne arrière, il faut pré voir un moyen différent du mécanisme habi tuel d'embrayage des lignes des totalisateurs pour contrôler le mouvement d'embrayage et de débrayage de la ligne N 2, ou ligne arrière, des totalisateurs.
Un tel mécanisme est représenté en parti culier sur les fig. 6 à 9 incluse.
La ligne N 2, ou ligne arrière, des totalisa teurs est montée sur le châssis mobile 240 (fig. <B>3),</B> analogue sous tous les rapports au châssis 240 de la ligne supérieure des totali sateurs. Ce châssis particulier pour les tota lisateurs arrière comprend un arbre 300 (fig. 6 à 8) sur les deux extrémités duquel sont montés des galets 301 (un seul est repré- senté) qui coopèrent avec des fentes de gui dage 302 pratiquées dans des plaques 303 à cames d'embrayage des totalisateurs, plaques qui sont montées à l'intérieur des châssis la téraux 121 et 122.
Sur chaque extrémité de l'arbre 300, il y a des bras d'embrayage 304 portant des galets 305 qui coopèrent avec des fentes 306 pratiquées dans les plaques à cames 303.
Le bras coudé 304 sur l'extrémité de droite de l'arbre 300 est, comme le montre la fig. 7, relié par un moyeu 307 à un bras 308 pourvu d'une fente 309 (fig. 8) dans laquelle passe un goujon 310 porté par une plaque de déca lage 311 (fig. 9), en forme de fourche entou rant un moyeu 312 fixé sur l'arbre 300. Ce goujon 310 porté par la plaque 311 passe au travers de la plaque et porte un galet 313 qui est normalement maintenu en prise avec une encoche 314 d'une plaque 315 sous l'action d'un ressort 316 tendu entre un goujon de la plaque 311 et un goujon sur le bras 308. Cette plaque 315 est montée sur le moyeu 307 et pivote par conséquent autour de l'arbre 300.
Sur la plaque 315 pivote une articula tion 317 qui porte un goujon aplati 318 pou vant coopérer avec un crochet 319 du croi sillon d'embrayage 251.
L'articulation<B>31.7</B> pour la ligne N 2, ou ligne arrière, des totalisateurs, est. commandée exactement de la même manière que l'articu- lation pour la ligne N 1, ou ligne supérieure, dans les opérations d'addition et de soustrac tion, au moyen de disques sélecteurs qui, eux, sont à leur tour contrôlés par les touches des rangées 1, 2 et 3 et, dans les opérations de totalisation et de sous-totalisation, par la pla que 266 de commande de totalisation, de ma nière à commander l'engagement du goujon 318 avec le crochet 319 du croisillon d'em brayage 251.
Dans des conditions normales, le galet 313 reste engagé dans l'encoche 314 de la plaque 315 en reliant ainsi cette plaque au bras 308 qui est, à son tour, relié avec le bras 304 et l'arbre 300; dans ces conditions, la ligne N 2, ou ligne arrière, des totalisateurs, reçoit ses mouvements d'embrayage et de débrayage sous le contrôle du croisillon d'embrayage 251 exactement de la même manière que décrit ci-dessus pour la ligne N 1, ou ligne supé rieure, des totalisateurs.
Mais si on désire vider le totalisateur d'addition et soustraction et reporter le nombre qui s'y trouvait et qui représente la paye nette, obtenu par l'abais sement de la touche 162 Paye nette , dans le totalisateur Total paye nette de la ligne N 2, ou ligne arrière, il faut alors disposer d'un moyen pour déplacer le moyen de com mande du mouvement d'embrayage et dé brayage de la ligne N 2, ou ligne arrière, des totalisateurs, de façon à provoquer l'em brayage et le débrayage de la ligne N 2 des organes moteurs pendant l'addition, ce qui, comme on se souviendra, est nécessaire pour obtenir le report du nombre sur le totalisa teur sélectionné de cette ligne.
On va maintenant décrire le moyen né cessaire à ce déplacement. Le goujon 310, porté par la plaque 311, passe dans un bras fendu 320 (fig. 7 et 8) monté sur un arbre 321 qui est supporté par le châssis latéral droit 122 et le châssis auxiliaire 124. Sur l'arbre 321 est fixé un bras 322 sur lequel pi vote une articulation 323 pivotant également sur un coude 324 monté sur une tige 325 sup portée par le châssis latéral 122 et le châssis auxiliaire 124. Le coude 324 est pourvu d'un doigt 326 à angle droit coopérant avec un segment 327 oscillant sur l'arbre 212.
Ce seg ment 327 est fixée à un segment<B>328</B> qui engrène avec un autre segment 329 fixé sur un manchon 330 qui est. monté sur un arbre 331 supporté par le châssis la téral. .droit 122 et le châssis auxiliaire 124. Sur le manchon 330 est également monté un segment 332 (fig. 32) qui engrène avec un segment 334 pivotant sur l'arbre 272. Le segment 334 est fixé à un bras 335 sur le quel pivote une articulation 336 reliée égale ment à la plaque 266 de commande de totali sation.
On se rappelle que la plaque 266 de commande de totalisation se déplace de façon différentielle sous le contrôle des touches 162 et 163 de la rangée 1 (fig. 2) et le mouve ment différentiel de la plaque 266 de com- mande de totalisation place par conséquent, par l'intermédiaire du train des mécanismes qu'on vient de décrire, de manière différen tielle, le segment 327 (fig. 7) suivant la posi tion de la touche 162 ou 163 abaissée. Comme on le voit sur la fig. 7, le doigt 326 du coude 324 coopère avec la périphérie proprement dite du bras segmentaire 327 dans la position zéro.
Au voisinage de cette position, le bras 327 est pourvu d'une encoche 337 qui corres pond aux positions de la touche<B>162</B> 2 Paye nette et de la touche 162 Gains à,ce jour . Par conséquent, lorsqu'une de ces touches est abaissée, l'encoche<B>337</B> se présente au doigt 326 en permettant ainsi le déplacement du coude 324 dans le sens des aiguilles d'une montre, après quoi le doigt 326 se place dans l'encoche 337.
Le moyen servant à déplacer le coude dans le sens des aiguilles d'une montre comprend un bras 338 fixé sur l'arbre 321, et ce bras se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action d'un ressort 339 au moment nécessaire de l'opération de la machine, de manière à entraîner le doigt 326 dans l'encoche 337. Lorsque cela se produit, l'arbre 321 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre en déplaçant ainsi le bras 320 dans le sens des aiguilles d'une mon tre et en faisant descendre le goujon 310 dans la fente 309 du bras 308.
Ce mouvement vers le bas du goujon 310 entraîne un galet porté par ce goujon dans un bloc en forme d'U 341 (fig. 6) fixé à un bras 342 qui pivote sur l'arbre 300. Sur le bras 342 oscille une articulation 343 qui pivote également sur un levier 344 (fig. 7) monté sur un goujon 345 porté par le châssis auxiliaire 124.
Ce levier 344 porte des galets 346 et 347 qui coopèrent respectivement avec des cames associées 348 et. 349 montées sur un arbre 350 qui est en alignement axial avec l'arbre à, cames princi pal 150, et l'arbre 350 est entraîné par l'ar bre principal 150, par l'intermédiaire d'un mécanisme d'accouplement qui sera décrit ci- après, de sorte que ce dernier arbre 350 ne sera pas actionné pendant le premier cycle de l'opération, à deux cycles, de totalisation ou de report.
Mais, dans le second cycle de cette opération, .les cames 248 et 849 dépla cent, à l'aide du levier 344 et de l'articulation 343, le bras 342 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et, comme le galet 340 est en prise avec le bloc en forme d'U 341, ,ce galet 340 et le goujon 310 seront en traînés autour de l'arbre 300 dans le sens contraire à celui des aiguilles .d'une montre avec le bras 342. Etant donné que le goujon 310 passe par la fente 309 du bras 308, ce bras 308 est déplacé dans le sens inverse clé celui des aiguilles d'une montre et le coude 304 est déplacé dans le même sens, après quoi la.
fente 306 (fig. 8) provoque l'engagement clé la ligne des totalisateurs et des organes moteurs 175, de façon à obtenir le report du montant, qui a été relevé de la ligne supé rieure N 1 (les totalisateurs, sur le totalisa teur sélectionné de la ligne arrière N 2 des totalisateurs.
Afin de dégager le doigt 326 de la péri phérie du bras segmentaire 327 pour que ce lui-ci puisse être librement déplacé par la pla que 266 de commande, une came 351, fixée sur -an arbre 352 porté par le châssis latéral 122 et le châssis auxiliaire 124, entre en con tact avec un galet 353 fixé sur le bras 338 et déplace le bras légèrement dans le sens contraire à_ celui des aiguilles d'une montra contre la tension du ressort 339, de manière à écarter le doigt 326 de la périphérie du bras segmentaire 327 et à permettre le mou vement -différentiel de celui-ci sous le contrôle des touches 162 et 163 de la rangée 1. Cet arbre 352 est entraîné, à. chaque opération de l'arbre à cames principal 150, au moyen d'une roue dentée 354 (fig. 30) calée sur l'arbre principal 150.
La roue 354 engrène avec ime roue dentée 355 .calée sur l'arbre 352. Par conséquent, l'arbre 352 subit deux rotations dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pendant chaque opération de lecture, opération de totalisation et opération de report du total de l'arbre 150. La came 351 est calculée de. telle façon que, pendant la pre mière opération de l'arbre 352, le bras 338 est déplacé légèrement. dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et peut en- suite se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre, lorsque la partie supérieure de la came passe devant le galet 353, pour être finalement ramené par la. came à sa position normale.
Mais, dans le second ey clé, lorsque ].-partie haute de la came a dépassé le galet, le ressort 339 agit à nouveau sur le bras 338 et l'arbre 321 de la manière décrite plus haut. pour placer le goujon 310 et son galet 3-10 en position d'accouplement, à la suite de quoi la ligne arrière N 2 des totalisateurs est em brayée avec les organes moteurs 175 par les cames 348 et 349 qui sont. fixées sur l'arbre 350 et qui fonctionnent seulement pendant. le deuxième cycle d'une opération de totalisa tion ou de report clés totaux.
On va maintenant. décrire le moyen d'en trainement clé l'arbre 350 (fig. 7 et 30) par l'arbre principal 150, de manière que l'arbre 350 soit inopérant pendant. le premier cycle de toutes les opérations à deux cycles ou, autre ment dit, de toutes les opérations clé lecture, clé totalisation et de report des totaux. Sur la roue dentée 354 précédemment. décrite, qui est. calée sur l'arbre de commande principal <B>1.50,</B> est rigidement fixée une plaque 360 (fig. 30) qui subit deux rotations complètes pendant chaque opération de totalisation. Sur cette plaque 360 est fixé, entre elle-même et le moyeu de la roue 354, un .collier 361.
L'arbre 350 est supporté près de son extrémité droite dans .le châssis auxiliaire 124 et, puisque l'arbre 350 est en alignement axial avec l'ar bre 150, l'autre- extrémité de l'arbre 350 s'étend à travers la plaque 360 à, peu près jus qu'au milieu du collier 361. L'arbre 150 s'étend également à peu près jusqu'au milieu du collier 361. La plaque 360 porte un cli quet d'entraînement 363 qui coopère avec un collier 364 à épaulement fixé sur l'arbre 350. La plaque 360 porte un autre cliquet 365 qui coopère avec. un autre épaulement du collier 364 pour empêcher tout mouvement en arrière du collier 364 et, par conséquent, de l'arbre 350.
Un ressort maintient les cliquets 363 et 365 normalement en contact avec les épaule ments opposés du collier 364. Lorsque la roue dentée 354 est entraînée dans le sens des aiguilles d'une montre en regardant la fig. 30, la plaque 360 est entraînée dans le même sens, à la suite de quoi le cliquet 363 entraîne le collier 364 et., par conséquent, l'arbre 350 dans le sens des aiguilles d'une montre simultanément et dans le même sens avec le mouvement de l'arbre 150.
Près de l'extrémité de l'arbre 350 est fixée une roue dentée 366 qui engrène avec une roue inter médiaire 367 montée sur un axe 368 porté par le châssis latéral 124. La roue 367 entraîne une roue 369 fixée à un arbre de commande principal 370 pour l'imprimeur.
On conçoit, d'après la description ci-des sus que, lorsque l'arbre 150 de la machine est entraîné, dans les opérations d'addition, cl'un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, l'arbre auxiliaire 350 aligné avec lui subira un mouvement analogue par l'intermé diaire de la plaque 360, du cliquet 363, du collier 364 et de l'engrenage ci-dessus décrit et que l'arbre de commande 370 .de l'impri meur subira un mouvement complet dans le sens des aiguilles d'une montre dans chaque opération d'addition.
Pendant le premier cycle d'une opération clé totalisation, d'une sous-totalisation ou d'un report du total, l'arbre 370 doit être déplacé d'une très courte distance, de 40 .degrés en viron, mais l'arbre 150 fait pendant ces opé rations deux tours de la façon connue. Afin d'arrêter l'arbre 370 après ce petit déplace ment, un bras 371 se place sur le chemin par couru par un doigt 372 du cliquet 363 et dé gage ce cliquet du collier 364, de sorte que l'arbre 350 reste ainsi inopérant pendant le reste du premier tour de toutes les opérations de totalisation, de sous-totalisation et de re port du total.
Le mouvement du bras 371 qu'on vient de décrire est provoqué par le premier faible déplacement de l'arbre 263 (fig. 5) sous le contrôle de la plaque 266 de commande de totalisation. Mais, pendant le second cycle de toute opération de totalisation, ou opération à deux cycles, le cliquet 363 peut à nouveau entrer en contact avec l'épaulement 364 et entraîner l'arbre 350, et l'arbre 370 fait, par conséquent, un tour pendant le second cycle de toute opération de totalisation.
On a. prévu un moyen pour assurer l'arrêt de l'arbre 370 et, par conséquent, des arbres 350 et 150 exactement dans leurs positions de repos. Ce mécanisme est. commandé par l'ar bre 149 de blocage des touches décrit précé demment. On se rappelle que cet arbre, lors qu'il est libéré, subit un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre et est ramené dans le sens inverse à sa position normale vers la fin de chaque opération de la machine. Sur cet arbre 149 est fixé un bras 373 relié par une articulation 374 à un coude 375 qui est ù son tour relié par une articulation 376 à un bras 377. Le bras 377 .a un bras solidaires 378 qui coopère avec un galet 379 fixé sur la roue 369.
Sur la fig. 30, les pièces sont dans leurs positions normales, avec le bras 378 immé diatement au-dessous du galet 379 de la roue 369. Lorsque la machine est déclenchée, l'ar bre 149 et le bras 373 subissent leur mouve ment dans le sens des aiguilles d'une montre, et le bras 378 est retiré, par les articulations qu'on vient de décrire, d'au-dessous du galet 379, de manière à permettre l'entraînement de la roue 369 et de l'arbre 370 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Mais, avant que cet arbre 370 accomplisse son cycle, l'arbre 149 de blocage des touches est ramené dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre à sa position normale en inversant ainsi le sens de mouvement, de l'articulation décrite, par suite de quoi le bras 378 sera à nouveau placé dans la position indiquée sur la fig. 30, de telle façon que lorsque l'arbre 370 atteint sa position normale, ou .de repos, le galet 379 est. en contact avec le haut du bras et em pêche tout mouvement ultérieur de l'arbre 370. Par l'engrenage entre les arbres 370 et 350, l'arbre 350 est également arrêté ainsi que l'arbre à ,cames principal 150.
<I>Touches d'opérations,</I> touches numérales, <I>leurs</I> différentiels <I>et mécanisme</I> d'entraîne ment<I>de</I> d'imprimeur <I>et de</I> l'indicateur. Ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus, la machine représentée a trois rangées de tou- elles d'opérations 164, 165 et 166. Ces rangées de touches sont numérotées et désignées sur la fig. 2 épar 2, 3 et 4.
Toutes les fonctions des touches 164, 165 et 166 ayant été exposées précédemment, il reste à décrire le montage général de ces touches, les mécanismes différentiels qui leur sont associés et l'entraînement de l'imprimeur et .de l'indicateur par ces mécanismes diffé rentiels.
Etant donné que tous les mécanismes dif férentiels associés à ces trois rangées de tou ches sont sensiblement identiques, on n'en a représenté qu'in seul et sa description suffira pour tous.
Le mécanisme différentiel représenté sur la fig. 5 est celui qui est associé à la rangée 2, c'est-à-dire aux touches 164. On voit sur la fig. 5 une partie des touches 164 de la rangée 2 et une partie des touches<B>165</B> de la rangée 3. Les touches de toutes les trois rangées, c'est-à-dire les touches 164, 165 et 166, sont supportées par des châssis individuels 390 de touches montés sur les tiges 171 et 172 qui sont supportées par les châssis latéraux 1.21 et 122.
En se référant en particulier à la vue schématique des tiges des touches représentées sur la fig. 12, on voit que toutes les touches 162 .de la rangée de totalisation sont pourvues de tiges 392, chacune des touches 163 d'une tige 393, tandis que les touches 164 ont des tiges 394, les touches 165 des tiges 395 et les touches 166 des tiges 396.
On @a représenté diverses barres et leviers de commande associés à ces quatres rangées de touches et toute tige d'une touche parti culière qui coopère avec une des barres par ticulières de la même rangée ou de la rangée voisine est marquée par im X, c'est-à-dire par des lignes croisées qui sont. tracées à travers les tiges directement en face de la barre de commande ou du levier de commande avec lesquels elles coopèrent.
Certains de ces le viers sont employés en liaison avec' un méca nisme automatique qui sera décrit ci-après. En se reportant maintenant à la rangée 2, c'est-à-dire aux touches 164 (fig. 12), on voit que -des tiges 394 des touches 164 coopèrent avec la détente ou barre habituelle de blo cage 400, avec la barre habituelle de com mande 401 et avec la barre 402 de déblocage de dépassement. Les tiges 395 des touches 165 de la rangée 3 coopèrent, avec la détente de blocage ou barre habituelle 403 ainsi qu'avec la barre de commande régulière 40.1. Les tiges 396 des touches 166 coopèrent. également. avec la détente de blocage ou barre habituelle -105 ainsi qu'avec la barre de commande habituelle 406.
Les mouvements communiqués aux barres par les touches et pour bloquer les touches sont bien connus, et on ne donnera donc pas la description de ces barres de blocage et de commande.
Comme on le voit sur la fig. 5, il n'y a pas de cliquets d'arrêt à zéro associés aux touches 164 .de la rangée 2, mais la touche 164 N comptes est pourvue d'une patte spéciale 407 pour arrêter le différentiel de cette rangée en position zéro lorsqu'on abaisse cette touche d'une manière qui sera décrite par la suite.
Ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, les touches 162 à 166 commandent par leurs mé canismes différentiels les différentes sections de l'imprimeur par ce qu'on appelle une ligne de commande et qu'on va décrire plus loin, de manière à contrôler les marteaux pour l'impression sur le bordereau de paye 151, le cheque 152 et la carte de salaires 153. Elles contrôlent également l'avancement du borde reau de paye, de la carte de salaires et du chèque ainsi que le recul du chèque et égale ment l'éjection du chèque. Cette ligne de com mande est construite d'après un système connu et sera expliquée en détail dans la suite à propos du mécanisme imprimeur.
Toutefois, on décrira dans ce chapitre l'entraînement depuis les divers différentiels jusqu'à la ligne de commande, la ligne des caractères ainsi que les indicateurs.
En se rapportant tout particulièrement à la, fig. 5, on voit que l'arbre de commande 150 porte une paire de cames 410 servant actionner un levier 411 relié par une articu lation 412 au segment habituel de commande 413. Le segment de commande 413 et d'autres parties du mécanisme différentiel sont sup portés par la tige 180.
Le segment 413 dé place, par le verrou habituel 415 porté par un bras 416 différentiellement réglable fixé sur la tige 180, le bras 416 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'extré mité antérieure du verrou 415 entre en con tact avec l'une quelconque touche 164 qui a été abaissée; à ce moment, le verrou est séparé du segment de commande 413 et permet au bras 416 de rester dans la position à laquelle il a été amené sous le contrôle de la touche abaissée 164.
Il faut. dire à ce sujet qu'il y a. d'autres conditions de fonctionnement qui seront expo sées ci-après et qui sont connues, comme le contrôle automatique du différentiel à partir des touches d'autres rangées, qui provoquent cette rupture ou séparation différentielle du verrou 415 du segment. de commande, de fa ion que le bras différentiel 416 soit. arrêté dans une position qui ne dépend pas de la touche 164, mais du mécanisme automatique commandé soit par une touche de la même rangée, soit, par des touches d'autres rangées, de sorte que le différentiel est arrêté dans d'autres positions.
Le bras différentiel 416 porte la barre habi tuelle 417 de mouvement minimum reliée à une articulation 418 qui est reliée par son extrémité supérieure à -Lui segment d'alignement 419 pi votant sur l'arbre 210. L'extrémité inférieure (le l'articulation 418 pivote sur un bras 421 fixé sur l'arbre 212. Ce bras 421 est relié, par une articulation 422,à un segment 423 qui pivote sur l'arbre 217.
Le segment 423 en Orène avec les dents extérieures d'une roue -124 ,a engrenages iiatérieur et extérieur dont les dents intérieures entraînent un pignon 425 monté sur un arbre carré 426, de manière à placer le caractère 427 aux différentes co lonnes pour l'impression, sois le contrôle des touches 164, des données sur le bordereau de paye 151, sur le chèque 152 et sur .la carte de salaires 153.
La roue 424 entraîne également la roue 428 et un arbre carré 429 du mécanisme habi tuel de transmission à engrenage intérieur pour amener les indications dans l'ouverture 225 (fig. 2).
Sur l'arbre 21.2 (fig. 5) est fixé également un segment denté 430 qui engrène avec un pignon 431 fixé à une roue 432 et qui oscil lent tous deux sur un goujon 433 porté par la base 123. La roue 432 engrène avec une roue 434 du type à engrenages extérieur-inté- rieur, de manière à entraîner un pignon -135 monté sur un arbre carré 436 (fig. 5 et 105) pour le contrôle. des diverses opérations de l'imprimeur par les touches 164 de la rangée 2, comme indiqué ci-dessus.
Le mécanisme différentiel associé aux tou ches 165 de la rangée 3 est essentiellement identique à celui qu'on vient de décrire à propos de la rangée 2; ce mécanisme ajuste, par son mécanisme à barre (non représentée), une articulation 438 (fig. 30) qui pivote sur un bras 439 oscillant sur l'arbre 212. Le bras 439 est relié par une articulation 440 à. un segment 441 engrenant avec les dents exté rieures d'une roue 442 à engrenages intérieur et extérieur qui, à son tour, entraîne un pi gnon 443 monté sur un arbre carré 444 pour placer le caractère 445 sous le contrôle des touches 165 de la. rangée 3.
Le segment 441 est calé sur l'arbre 217, et sur cet .arbre est également fixé un segment denté 446 engre nant avec un pignon 447 fixé à une roue 448 qui engrène avec une roue 449 à engrenages intérieur et extérieur qui entraîne un pignon 450 monté sur un arbre carré 451, de sorte due les positions différentielles de la roue 449 sous le contrôle des touches 165 de la rangée peuvent être ajustées aux différentes co lonnes pour imprimer les données sur le bor dereau de paye 151, sur le chèque 152 et sur la carte de salaires 153.
La roue 442 entraîne une roue 452 qui, elle-même, entraîne un arbre carré 453 de ma nière à ajuster les indicateurs pour la rangée 3, afin d'amener les indications dans l'ouver ture 225 (fig. 2).
Les touches 166 de la rangée 4 (fig. 2) contrôlent également un mécanisme différen tiel qui est approximativement similaire à ce= lui représenté et décrit sur la fig. 5 pour les touches 164. Ce différentiel ajuste une arti culation 460 (fig. 31) qui pivote sur un bras 461 oscillant sLir l'arbre 212. Une arti culation 462 relie le bras 461 à un segment 463 oscillant sur l'arbre 217.
Ce segment 163 engrène avec les dents extérieures d'une roue 464 à engrenages intérieur et extérieur- qui entraîne un pignon 465 monté sur un arbre carré 466 pour ajuster des roues porte-carac- tères, de manière à contrôler l'impression des données dans les colonnes sélectionnées du bordereau .de paye 151, du chèque 152 et de la carte de salaires 153.
La roue 464 entraîne une roue 458 et un arbre carré 459, de manière à ajuster les indi cateurs pour la rangée 4, afin de faire appa raître les indications dans l'ouverture ?25 (fis. 2).
ALi bras 461 est fixé de façon rigide un segment 468 qui- engrène avec un segment 469 fixé sur l'arbre 331 décrit précédemment. Sur ce bras est également monté un segment 470 engrenant avec les dents extérieures d'une roue 471 à engrenages intérieLir et extérieur dont les dents intérieures entraînent un pi gnon 472 monté sur un arbre carré 473 qui sert à contrôler les diverses fonctions du mé canisme imprimeur qui sera décrit plus loin.
Le mécanisme différentiel exerce égale ment sous l'action des touches 162 et 163 un contrôle de la ligne de commande à l'aide du mécanisme suivant. On se rappelle que la pla que de commande 266 actionne une articu lation 336 pivotant sur un bras 335 qui est monté librement sur l'arbre 212 (fis. 32). Solidaire de ce bras 335, un bras 474 est re lié par une articulation 475 à un segment 476 qui engrène avec les dents extérieures d'une rouie 477 à engrenages intérieur et extérieur; cette roue 477 entraîne un pignon 478 monté sur un arbre carré 479 pour ajuster le carac tère 480 de manière à faire des empreintes sur les divers supports d'impression utilisés dans cette machine.
On se rappellera égale ment que le segment 334 est fixé sur le bras 335 et que ce segment engrène avec un seg ment 332 fixé sur un manchon 330 qui est monté sur l'arbre 331. Sur ce manchon 330 est également fixé Lui segment 481 qui en grène avec les dents extérieures d'une roue 482 à engrenages intérieur et extérieur qui entraîne un pignon 483 monté sur Lui arbre carré 484, de manière à exercer un contrôle de certains éléments de commande d'impression d'une façon qui sera décrite en détail par la suite.
La roue 477 entraîne une roue .185 et un arbre carré 486 pour ajuster les indicateurs, de manière à faire apparaître les indications dans l'ouverture 225 de la fig. 2.
Commande automatique dit différentiel <I>de la</I> <I>rangée 2 par la touche</I> Gainas antérieurs <I>de</I> <I>la</I> rangée <I>2,</I> commande dit différentiel <I>de la</I> ansée <I>4 par la</I> touche 162 Paye <I>nette ,</I> <I>commande</I> automatique dit différentiel <I>de la,
</I> rangée <I>2 par</I> n'importe <I>quelle touche 165 de</I> <I>la</I> rangée <I>3 et par les touches</I> K , <I> L ,</I> ilT <I>et N 166 de la</I> rangée <I>4.</I>
Le verrou 415 associé aux touches 164 de la rangée 2 (fis. 5) porte un ergot 490 qui passe dans une fente d'un bras 491 pivotant sur la tige 180. Le bras 491 est solidaire d'une plaque 492 qui porte une butée 493. Sur la tige 180 oscille également un levier 494 associé aux touches 164 de la rangée 2 (fis. 4, 12 et 14), ce levier étant pourvu d'un doigt 495 qui peut coopérer avec la tige 394 de la touche 164 Gains antérieurs . Sur le levier 494 oseille une articulation 496 qui pi vote également sur un bras 497 monté libre ment sur un arbre 498 supporté par les châssis latéraux 121 et 122. Le bras 497 porte une bride 499 reliée à un bras 500 qui pivote également sur l'arbre 498.
Le levier 49.1 est tenu dans sa position normale indiquée sur la fis. 14 par Lin ergot. 501 d'un bras 502 qui oseille sur une tige 503 supportée par les châssis 121 et 122. Cet ergot 501 est en con tact avec un bras 504 .dirigé vers le haut du levier 494 et maintient normalement le levier 494 dans la position indiquée sur la fis. 14. Une barre 505 est. fixée à la base du bras 502 et de même à un bras 506 (fis. 5) sur lequel pivote une articulation 507 reliée à un bras 508 qui est fixé sur l'arbre 149 de blocage des touches.
Lorsque cet arbre, par suite du déclenchement de la machine, reçoit son mou vement dans le sens des aiguilles d'une mon tre, les bras 506 et 502 se déplacent dans le s -cils <B>,</B> contraire à celui des aiguilles d'une mon- tre, de manière à retirer l'ergot 501 d'en face du bras 504 et à permettre à un ressort 509 de déplacer le levier 494 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que son doigt 495 touche la tige 394 de la touche 164 Gains antérieurs .
Ce léger mouvement du levier 494 se communique à -l'articulation 496, au bras 497, à la bride 499 et au bras 500 si tué directement sur le chemin de la butée 493 (le la plaque 492, de sorte que cette plaque 4.92 s'arrête lorsque la butée 493 touche le bras 500 quand %le bras différentiel 416 se dé place vers le haut, en dégageant ainsi le verrou 415 du segment de .commande 413 et en ajustant la barre 417 et l'articulation 418 conformément à la position de la butée 493 < lui est la position normale, ou position 1 dans la rangée 2 qui correspond à la position N du compte qui sélectionne le totalisa teur G. T. 2 de la rangée 2 pour l'accumu lation des gains antérieurs.
Ces gains anté rieurs s'accumulent en même temps dans le totalisateur G. T. 3 qui est clans la position zéro de la rangée 3, par le fait. que le cliquet d'arrêt. à zéro de la rangée 3 est retiré et le différentiel pour cette rangée est, par consé quent, arrêté dans la position zéro, de sorte que les gains antérieurs seront additionnés aussi bien dans le totalisateur G. T. 3 que dans le totalisateur CT. T. 2 .
Dans le cas d'une déduction erronée, il faut à nouveau additionner le montant dans <B>le</B> totalisateur d'addition et soustraction, de manière à obtenir la, paye nette correcte; à cet effet, l'opérateur abaisse la touche 164 + de la rangée 2. A cette touche est asso cié un levier 510 (fig. 4, 12 et 23) pourvu d'un doigt 511 qui coopère avec la tige 394 de la touche 164 + . Solidaire du bras 510, un bras<B>512</B> coopère avec un ergot 513 du bras 506, lequel, comme on sait, est actionné par l'arbre 149. Sur le bras 512 dirigé vers le haut pivote une articulation 515 reliée à un bras 516 qui oscille sur l'arbre 498.
Le bras 516 est pourvu d'un flasque 517 fixé à une bride 518 d'un bras 519 (fig. 21) qui co opère avec un 'bloc 520 de la plaque 492. Ce bras 519 et la plaque 520 servent à la sélec tion automatique du côté - du totalisateur d'addition et soustraction 230 (fig. 27) pour la soustraction des déductions de la paye brute de l'employé.
Mais, étant donné qu'on fait une correc tion en réajoutant dans le totalisateur d'addi tion et soustraction le montant d'une déduc tion erronée après la composition du montant déduit par erreur et l'abaissement de la tou che 164 -!- , il faut. sélectionner le côté i- du totalisateur d'addition et soustraction 230 et la sélection automatique du côté - ne doit, par conséquent, pas fonctionner. Ta)n conséquence, le levier 510 subit seulement un bref mouvement avant que le doigt 511 tou che la, tige 394;
le bras 519 ne se déplace donc pas assez loin pour se mettre sur le che min du bloc 520, de sorte que le différentiel de la rangée 2 n'est pas arrêté dans la cin quième position d'après le bloc 520, mais con tinue son mouvement jusqu'à la neuvième po sition pour sélectionner le côté -!- du totali.. sateur d'addition et soustraction.
L'ergot 513 (fig. 23) s'abaisse et quitte la surface usinée du bras 512 sous l'action de l'arbre 149 de blocage des touches, comme expliqué ci-dessus, et à ce moment un ressort entraîne le levier 510 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que son doigt 511 entre en contact avec la tige 394, comme on vient de le dé crire; par l'articulation 515 et le bras 516, le bras 519 ne se déplace, comme déjà men tionné, que d'un demi-pas ou d'une courte distance, de sorte qu'il n'est pas situé en face du bloc 520.
En cas d'addition erronée d'un montant à la paye réglementaire de l'employé, tel qu'une prime ou dividende additionné par erreur, l'opérateur doit, pour corriger cette erreur, composer à nouveau à l'aide des touches 161 le montant qui a été accumulé par erreur et abaisser la touche 164 - qui arrête le dif férentiel de la rangée 2 dans la sixième posi- tion, de manière à sélectionner le côté - du totalisateur d'addition et soustraction 230, comme on le voit sur le schéma de la fig. 27.
Afin de sélectionner le côté - du tota lisateur d'addition et soustraction 230 par l'abaissement d'une quelconque des touches de Déduction de la rangée 3 ou par.l'abais- sement d'une des touches de Déduction 166, c'est-à-dire des touches K , L , M ou NT de la rangée 4, on a prévu -Lui moyen automa tique pour l'ajustage du mécanisme différen tiel de la rangée 2 à la cinquième position en vue de sélectionner le côté soustraction du to talisateur d'addition et soustraction 230. On va maintenant décrire ce mécanisme.
A la rangée 3 est associé un levier 522 (fig. 4, 12 et 21) pourvu de neuf doigts 523 destinés à coopérer chacun avec l'une des tiges 395 des touches 165 de #la rangée 3. Au levier 522 est filée une barre 524 (fig. 4, 12 et 22) pourvue de quatre doigts 525 qui co opèrent avec les tiges 396 des touches 166 K , L , hT et X de la rangée 4.
Le le vier 522 a un bras 526 dirigé vers le haut qui coopère avec un ergot 527 du bras 528 pivo tant sur la tige 503 et relié à .la barre 505 dé- erite précédemment; cette barre 505 est actionnée par l'arbre 149 de blocage des tou ches de la manière expliquée ci-dessus pour écarter l'ergot 527 de la surface usinée de la partie supérieure du bras 526.
A ce moment, un ressort 529 entraîne le levier 522 dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'un des doigts 523 rencontre la tige 395 de la touche abaissée ou jusqu'à ce que l'un des doigts 525 (fig. 22) rencontre -la tige de l'une des quatre touches inférieures abaissée 166 de la rangée 4.
Ce mouvement du levier 522 dans le sens des aiguilles d'une montre dé place, à l'aide d'une articulation 530 pivo tant sur .ce levier et par un bras solidaire de la bride 518, le bras 519 d'un pas entier dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à placer son extrémité gauche en face du bloc 520 fixé sur la plaque 492, obligeant ainsi le mécanisme différentiel associé à la rangée 2 de s'arrêter dans la position 5 , ce qui pro voque la sélection automatique du côté - du totalisateur d'addition et soustraction pour obtenir la soustraction des déductions, désignées par les touches 165 de la rangée 3 ou par ,les quatre touches inférieures de la rangée 4,
de la paye brute qui se trouve clans le totalisateur d'addition et soustraction.
Chacun de ces montants déduits est aussi accumulé dans un totalisateur associé à la touche particulière qui a été abaissée. Par le fait - qu'il n'y a pas de cliquet d'arrêt à zéro associé au mécanisme différentiel des touches 164 de la rangée 2, chaque fois que l'une quel conque des touches R , T , S ou X 166 de la rangée 4 ést abaissée dans le but d'accu muler le montant des heures normales, le montant des gains pour les heures supplé mentaires ou éventuellement des primes et bonis, ces montants, outre qu'ils sont addition nés dans les totalisateurs associés à ces tou ches,
sont automatiquement additionnés chi côté -I- du totalisateur d'addition et sous traction parce que ce différentiel de la rangée 2 passe à la position 9 qui sélectionne le côté -I- du totalisateur d'addition et soustrac tion, comme on le voit sur le tableau de la fig. 27.
Lorsqu'on abaisse .la touche 162 Paye nette , le montant du totalisateur d'addition et soustraction, c'est-à-dire le montant net représentant le montant brut moins toutes les déductions, est extrait du totalisateur d'addition et soustraction, et automatiquement reporté sur .le totalisateur Paye nette totale associé à la touche 166 Total paye nette en haut de la rangée 4. Afin d'obtenir la sélec tion automatique du totalisateur du haut .de la rangée 4, il faut que le cliquet d'arrêt à zéro de cette rangée soit retiré, de manière que le différentiel de la rangée 4 puisse pas ser à la position 9 pour sélectionner ce tota lisateur pour le report de la paye nette du totalisateur d'addition et soustraction.
A cet effet, la tige 392 de la touche Pa;: e nette agit sur un doigt 540 (fig. 18) d'une barre 541 supportée à son extrémité infé rieure par un bras articulé 542 fixé au châssis 390 -des touches de la rangée 1. En abaissant. la touche Paye nette 162, sa tige 392 dé- place la barre 541 vers le bas, à la suite de quoi le bras 542 déplace un levier 543 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et celui-ci déplace un bras 5-1-k, calé sur un arbre 545 porté par le châssis 411 du groupe de totalisation, dans le sens" des aiguilles d'une montre.
Sur l'arbre 5-15, près du châssis 390 des touches de la rangée 4, est également fixé un bras 546 (fig. 19) qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre avec l'arbre 545 et qui coopère avec un bras 547 en le poussant dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Ce bras 547 est relié de façon rigide à un eliquet d'arrêt à zéro 548 associé au mécanisme différentiel (le la. rangée 4.
On voit, par conséquent, que l'abaissement. clé la touche 162 Paye nette écarte le cliquet d'arrêt à zéro 548 de la ran gée 4 du chemin du verrou différentiel de cette rangée, de sorte que le différentiel passe à la position 9 et sélectionne le tota lisateur de Paye nette totale pour y repor ter, par le mécanisme décrit ci-dessus, le mon tant relevé du totalisateur d'addition et sous traction qui représente la paye nette de l'em ployé.
Afin d'empêcher l'abaissement de la tou che 164 - de la rangée 2 lorsque la touche 162 Paye nette est abaissée, on a prévu un levier 549 (fi-. 16) associé à la touche Paye nette , auquel est attaché un ressort 550 qui appuie normalement un doigt 551 contre le côté inférieur de la tige 392 de la touche Paye nette .
Le levier 549 a, en outre, un doigt 552 qui. peut se placer au-dessous de la tige 394 de la touche 164 - lorsqu'on abaisse la touche Paye nette , parce que l'abaissement de cette touche déplace, par si tige 392 et par l'intermédiaire du doigt <B>551,</B> le levier 549 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à l'encontre de la ten sion du ressort 550, et place le doit 552 di rectement au-dessous de la tige 394 de la tou che 164 - .
Dans les opérations d'analyse, c'est-à-dire lors de l'abaissement de la touche d'analyse 164, eelle-ci débloque les trois touches 161 de la première, deuxième et troisième position de la rangée 2, de sorte qu'elles peuvent être uti lisées pour la distribution dans les opérations d'analyse. Ces touches sont normalement blo quées dans leurs positions non abaissées par des doigts 555 d'une plaque 556 fixée sur le levier 549.
La plaque 556 possède également un doigt 557 qui coopère avec une tige 394 de la touche d'analyse, de telle sorte que, lors qu'on abaisse cette touche, elle éloigne les doigts 555 d'au-dessous des tiges 394 des trois touches inférieures .de la rangée 2 et place en même temps le .doigt 552 au-dessous de la tige 394 de la touche 164 - , de sorte qu'elle ne puisse pas être actionnée dans les opérations d'analyse. .
<I>Imprimeur.</I> 11lécanisme numéroteur. <I>,</I> Comme exposé précédemment, le numéro d'ordre est imprimé sur le bordereau de paye 151 et sur le chèque 152 lorsqu'on se sert de la machine pour la paye et également sur la fiche 156 lorsqu'on se sert de la machine pour la distribution analytique. Le numéro d'or dre est également indiqué dans l'ouverture <B>558</B> (fig. 1 et 2) du coffre 146.
On va. maintenant décrire le mécanisme numéroteur représenté sur les fig. 35 et 38. L'arbre à cames principal 150 (fig. 35) porte des cames conjuguées 560 et 561 qui co opèrent respectivement avec des galets 562 et 563 fixés sur un levier 564 oscillant sur l'ar bre 331 décrit précédemment. L'extrémité su périeure du levier 564 a une fente à baïon nette 565, dans laquelle passe un ergot 566 porté par une articulation 567 qui pivote, en 568, sur une plaque réglable 569, fendue pour entourer une tige 570 portée par un support (non représenté) qui est fixé sur le châssis .latéral .de la machine. La plaque 569 est également fixée à un bras 571 en 572.
Il y a deux bras 571 dont un seulement est re présenté. Les bras 571 sont fendus pour re cevoir .les extrémités d'une tige 573 porté par une paire de plaques 574 (suie seule est représentée) qui sont montées sur une plaque de support d'un ensemble différentiel à arbres multiples. Sur la tige 573 pivote un cliquet différentiel 575 coopérant avec des roues à rochet 576 et des disques 577 pourvus d'encoches profondes adaptées au mécanisme de report du genre habituel à encoches pro fondes en liaison avec des cliquets à denture différentielle, mécanisme bien connu.
Les roues à rochet 576 étant pourvues de trente dents, il y a trois encoches profondes 578 dans les disques 577, de sorte que, tous les dix pas, il y a -an report au numéro d'or dre du prochain ordre dénominateur plus élevé de la manière habituelle .lorsque les cames 560 et 561 tournent, l'ergot 566, qûi a été préalablement déplacé vers le haut clans la, partie verticale de la fente à baïonnette <B>565</B> par des moyens qui seront décrits ci-après, déplace, par l'articulation 567, les bras 571 dans le sens des aiguilles d'une montre,
à la suite de quoi le cliquet à denture différen tielle 575 entre en action pour ajouter le nom bre un de la manière habituelle et connue aux roues à rochet<B>576</B> du numéroteur. Un ressort 579 ramène .les pièces à leurs positions normales. Un ressort 580 maintient .le cliquet. à denture différentielle en prise avec ,les dents de la roue 576.
Aux roues à rochet 576 sont fixées et entraînées par elles, au moyen des arbres carrés montrés sur la fig. 35, une série de roues dentées 581 engrenant avec .les. dents extérieures de roues 582'à engrenages intérieur et extérieur, lesquelles, à l'aide d'arbres carrés situés à l'intérieur des roues 582, et à l'aide de pignons (non montrés sur ces arbres), entraînent des roues à caractères 583 pour l'impression du numéro d'ordre sur le bordereau de paye 151 et sur le chèque 152 lorsqu'on se sert de la machine pour établir la paye et sur la fiche 156, lorsqu'on s'en sert pour la distribution analytique.
Pour l'indication .du numéro d'ordre clans l'ouverture 558 du coffre 146, on a prévu des flasques 584 (fig. 2) qui portent des chiffres indiquant le numéro d'ordre.
Au moyen des arbres carrés et pignons re présentés sur la fig. 35, le numéro d'ordre peut être imprimé dans les différentes co lonnes des supports d'impression, comme déjà indiqué ci-dessus. On a prévu une série de cliquets d'arrêt 585 (fig. 35) dont un. seul est représenté, pour empêcher le mouvement en arrière des roues à rochet 576. Ces cliquets sont maintenus en prise avec les roues à rochet par des ressorts 586 reliés entre les extré mités des cliquets 585 et un crochet 587 fixé sur lé châssis latéral de la machine.
Il est. parfois souhaitable de commencer le numéro à certaines positions définies, c'est- à-dire qu'on peut, par exemple, faire débuter les numéros d'ordre par 500 000. Dans ce cas, les indicateurs 584 des numéros d'ordre et les roues à rochet 576 peuvent être manceu rés à la main jusqu'à ce que le numéro désiré soit atteint; après quoi, les numéros seront avan cés par le mécanisme représenté sur la fig. 35 de la manière habituelle.
Le moyen d'ajustage manuel du numéro d'ordre comprend une sé rie de leviers manuels 590 fixés à des disques 591 (fig. 38). lormalement, chaque disque est. verrouillé par un ergot 592 d'un bras 593 fixé sur un arbre 594 porté par les châssis de la machine. Par des moyens qui seront décrits ci-après, les ergots 592 sont retirés des enco ches des disques 591 pour les dégager et pour qu'ils puissent être manoeuvrés à la. main.
Chaque disque porte un cliquet d'avancement 595 (fig. 38) appuyé par un ressort contre les roues à rochet 596 qui sont, de leur côté, fixées aux indicateurs 584, de sorte que ces derniers peuvent être ajustés au nombre voulu par des mouvements de va-et-vient des leviers 590 jusqu'à ce que le numéro désiré soit. indi qué dans l'ouverture 558 (fig. 1 et 2).
Pour retirer les ergots 592 (fig. 38) du disque 591, afin de pouvoir ajuster le numéro d'ordre -à la main, on a prévu une serrure 597 (fig. 1) qui .commande un boulon 598 (fig. 34) afin de le retirer d'un disque 599 à encoches.
Après avoir retiré le boulon 598 de l'en coche du disque 599, un levier manuel 600 (fig. 34) entraîne un pignon intérieur<B>601</B> qui engrène avec le disque 599 et engrène en même temps avec un pignon 602, de ma nière à entraîner des pignons 603 et 604 (fig. 37) qui, à leur tour, ajustent des pla ques 605 et 606 pourvues de fentes coopérant avec un ergot 607 fixé sur un bras 608 monté sur l'arbre 594. Il ressort clairement de ce qui précède que, lorsque le levier se trouve dans la position représentée, l'ergot 592 est dans la position indiquée sur la fig. 38 et l'ergot 607 dans la position indiquée sur la fig. 37.
Lorsque le levier 600 est placé dans une position de blocage du numéroteur (fig. 34), la plaque 606 se déplace de façon à faire déplacer, par l'ergot associé 607, un bras 609 fixé sur un arbre 610 en alignement axial avec l'arbre 594. Ce mouvement du le vier 600 n'a pas déplacé la plaque 605 et, par conséquent, l'ergot 607 et les bras 608 n'ont pas été déplacés.
Mais lorsqu'on place le levier 600 (fig. 34) dans une position de déblocage du numéroteur , la plaque 605 repousse l'er got 607 du bras 608 et fait pivoter l'arbre 594 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre d'une distance suffisante pour retirer l'ergot 592 de l'encoche du disque<B>591</B> et débloque le mécanisme numéroteur, de sorte qu'il peut être ajusté à la main. La pla que 606 est associée au mécanisme dateur qui sera décrit ci-après.
Mécanisme <I>dateur.</I>
La date est indiquée dans l'ouverture 611 (fig. 1 et 2) et s'imprime sur le chèque 152 (fig. 24) ou sur l'enveloppe 154 (fig. 26), ainsi que sur la fiche 156 lorsque la machine sert à la distribution analytique.
Pour indiquer la date dans l'ouverture 611, on a prévu des flasques 612 (fig. 2) sur les disques 614 (fig. 36). L'ajustage de la date se fait à .l'aide des leviers manuels <B>61.3</B> (fi-. 1 et 36) fixés chacun à un disque 614 pourvu de dents intérieures qui entraînent des pignons et arbres carrés, de sorte que la date puisse être imprimée dans les différentes colonnes nécessaires et indiquée dans l'ouver ture 611 du coffre.
La date est bloquée, lors que le levier 600 se trouve dans la position indiquée sur la fig. 34, au moyen de l'ergot 615 (fig. 36) d'un bras 616 fixé sur l'arbre 610. Pour chacun des flasques 612 indicateurs de date, il y a un bras 616 avec ergot 615 et un disque 617. Lorsque le levier 600 est dans la position indiquée sur la fig. 34, l'ergot 615 bloque, par le disque 617, le levier 613, de sorte qu'il ne peut se déplacer.
Lorsque le levier 600 est placé dans la position de<B> dé-</B> blocage du dateur , la plaque 606 (fig. 37) déplace l'ergot 607 du bras 609, de manière à faire osciller l'arbre. 67.0 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre pour retirer les ergots 615 des disques 617. Lorsque le levier 600 se déplace en avant vers la po sition de déblocage du dateur , l'ergot 607 repose seulement sur la périphérie usinée de la plaque 605 en permettant ainsi à l'ergot 615 de rester en dehors de l'encoche 617 pour laisser le dateur débloqué.
En d'autres termes, le levier 600 contrôle la position de blocage du numéroteur et la po sition de blocage du dateur. Dans la :première position à gauche de celle représentée sur la fig. 34, le numéroteur sera bloqué et le dateur débloqué, et dans la seconde position en avant du levier 600, le numéroteur sera débloqué en le dateur sera également débloqué.
Les disques 614 qui sont ajustés par le levier 613 à l'aide des pignons et arbres carrés règlent des roues 618 à engrenages intérieur et extérieur (fig. 34) qui, à l'aide de roues 619 à engrenages intérieur et extérieur et d'un arbre carré, entraînent les roues 620 à dater, de sorte que la date peut être impri mée, conformément à l'ajustage des leviers 613, sur le chèque ou l'enveloppe et aussi sur la fiche.
Tous les ensembles d'arbres carrés et de pignons et .les roues à engrenages intérieur et extérieur représentés sur les fig. 34 à 37 sont supportés par une série de consoles 621 (fig. 41 et 42) fixées à la traverse 125 et à la base 123.
Comme on le voit sur la fig. 41, le groupe inférieur, ou de droite, des arbres carrés, est monté sur les consoles elles-mêmes, et pour sortir cet ensemble de la machine il faut enle ver les consoles. Le groupe supérieur, ou de gauche, des .arbres carrés et des pignons, au contraire, est monté sur des plaques spéciales 622, de sorte que cet ensemble supérieur de gauche peut être enlevé de la machine sans démonter les consoles 621.
On a prévu -un dispositif en liaison avec les mécanismes du numéroteur et du dateur qui empêche la maneeuvre de la machine. si. les leviers 613 du. dateur et les leviers 590 du numéroteur ne sont pas .dans leurs positions correctes. Ce résultat est obtenu à l'aide d'un mécanisme aligneur qui sera décrit ci-après.
En se reportant tout partiéulièrement aux fig. 33 et 34, on voit que sur l'arbre 149 de blocage et déblocage des touches (fig. 33) est montée une plaque- 625 reliée par une articu lation 626 à un bras 627 qui pivote sur un arbre .628 supporté par les châssis latéraux 121 et 122 de la machine. Sur l'arbre 6\38 est calé un bras 629 pourvu d'un goujon 630 appuyé contre le bras 627 par un ressort 631 reliant des goujons fixés sur les bras 627 et 629.
Le bras 629 est muni d'une butée 632 en contact avec la traverse 125 pour mainte nir les pièces dans leurs positions normales. Sur l'arbre 628 est fixé un bras 633 (fig. 10) sur lequel pivote, au point. 634, un cliquet d'entraînement 635. Le cliquet 635 est pourvu d'une saillie latérale 636 (fig. 11) maintenue au-dessous d'un épaulement 637 d'un bras 638 par un ressort 639 (fig. 10). Le- bras 638 est monté librement sur l'arbre 628.
Lorsque l'arbre 149, après mise en mar che de la machine, pivote dans le sens des aiguilles d'une montre, l'articulation 626 dé place le. bras 627 par le goujon 630 dans le sens des aiguilles d'une montre et l'arbre 628 dans le même sens, à la suite de quoi le bras 633 (fig. 10) se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre et la saillie 636 pousse à ce moment le bras 638 dans le même sens, de manière à placer un doigt 640 de ce bras au-dessus d'un bras 641, solidaire d'un étrier d'alignement 642 qui - coopère avec des :disques .dentés 643.
L'étrier 642 est assez large pour s'engager sur plusieurs des dis ques 643, im pour :chaque roue à dates et un pour chaque roue à numéros d'ordre. Lors que les disques dentés 643, c'est-à-dire l'un quelconque d'entre eux, tient l'aligneur 642 à l'écart, c'est-à-dire à droite de la position indiquée sur .la fig. 11, le bras 641 dont il est solidaire se trouvera sur le côté de la butée 640 du bras 638, et ce bras 638 ne pourra, par conséquent, pas se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le bras 633 (fig. 34) sera bloqué par la saillie 636 et l'ar bre 149 ne pourra pas être actionné pour dé clencher la machine.
Un ressort 644 maintient l'étrier d'aligne ment 642 contre le disque denté, et l'étrier 642 passe simplement au-dessus des disques 643 lorsqu'on ajuste le numéro d'ordre on la date à la main ou lorsque le numéroteur est actionné par le mécanisme représenté sur la fig. 35.
Afin que l'arbre 149 de blocage des tou ches puisse être ramené au moment vouhz, il faut dégager la saillie 636 (fig. 11) de l'épaulement 637 du bras 638 et ce résultat est obtenu à l'aide d'une came 645 (fig. 31-) montée sur l'arbre à cames principal 150. La came 645 actionne une bielle 646 pivotant sur un levier 647 monté sur un arbre 648 porté par les châssis latéraux 121 et 122. Le levier 647 est en prise avec un goujon 649 d'un bras 650 fixé sur un arbre 651 supporté par les châssis latéraux de la machine.
Sur l'ar bre 651 est également monté un bras 652 pouvant entrer en contact avec un galet 653 porté par le cliquet 635 et déplacer le cli- quet 635 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre autour de son pivot. 634 pour libérer la saillie 636 de l'épaulement 637 du bras 638, de sorte que l'arbre 1.19 puisse être ramené à, sa position normale vers la fin de l'opération de la machine.
La came 645 sert également à. actionner un mécanisme aligneur pour les roues 619 à engrenages intérieur et extérieur et également pour les roues à caractères 620. Sur l'arbre 651 est calée une paire de bras 654 (dont un seul est représenté) portant une barre d'ali gnement 655 pouvant entrer en contact avec et aligner les roues 619 et d'autres roues ali gnées avec elles après l'ajustage des roues porte-caractères. Pour aligner, en outre, les roues porte-caractères, on a prévu une barre d'alignement 656 portée par un disque 657 muni d'un bras 658 normalement en contact avec un ergot 659 d'un bras 661 fixé sur l'arbre 651.
Lorsque l'arbre 651 se déplace au moyen de la bièlle 646 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, l'aligneur 655 aligne, comme dit ci-dessus, la roue 619, et l'ergot 659 se déplace à droite, à la suite de quoi L'étrier d'alignement 656 s'engage sur la roue porte-caractères 620 et l'ergot 659 s'engage dans une encoche 662 du bras<B>658.</B> Lorsque la bielle 646 ramène l'arbre 651 dans le sens des aiguilles d'une montre à la posi tion normale, elle soulève l'étrier d'aligne ment 655 et déplace le bras 661 dans le sens (les aiguilles d'une montre,
après quoi l'ergot 659 repousse le bras<B>658</B> vers le bas et dé place le disque 657 de manière à soulever l'aligneur 656 au-dessus de la roue porte- caractères 620.
Toutes les roues porte-caractères 427 indi quées schématiquement sur les fig. 58A et aRB associées à la rangée 2, les roues porte- caractères 445 associées à la ligne 3, les roues port e-caraetères 467 associées à la rangée 4, les roues porte-caractères 480 associées à la rangée 1, les roues 583 à numéros d'ordre sont montées sur un arbre 665 supporté par les consoles 621 portant 'les mécanismes à engre nages intérieur et extérieur pour l'ajustage (les roues porte-caractères et des indicateurs,
ces derniers étant représentés sur la fig. 2. <I>Les</I> marteaux.
Les marteaux servant à frapper des em preintes sur le bordereau de paye 151, le chè- (lue 152 et la carte de salaires 153 sont tous représentés schématiquement sur les fig. <B>58A</B> et 58B et numérotés de 701 à 729 inclus. Les marteaux 701 à. 711 frappent les empreintes dans les colonnes 1 à 11 .du bordereau de paye 1.51; les marteaux 712-719 -les empreintes dans les colonnes 12 à 19 .du chèque de pave l5\3 et les marteaux 720 à 729 les empreintes dans les colonnes 20 à 29 de la carte de sa laires 153.
Tous les marteaux 701 à 719 inclus pivotent sur un arbre 730 (fig. 42A, 42B et :)9) et tous les marteaux 720 à 729 inclus pi votent sur un arbre 731 (fig. 42B). L'arbre 730 est supporté par les châssis 131, 132, 133 et 134 de l'imprimeur et l'arbre 731 par les châssis 135 et 136 de l'imprimeur. Tous les marteaux sont entraînés par qua tre jeux de cames associées 732 et 733, toutes identiques et toutes montées sur l'arbre 730 de commande de l'imprimeur (fig. 46A, 46B et 99).
Les cames associées 732 et 733 coopè rent respectivement avec des galets 734 et 735 portés par des coudes 736. Tous ces leviers coudés 736 situés entre les châssis 132 et 134 sont montés sur un arbre<B>737</B> et tous les coudes situés entre les châssis 135 et 136 sont montés sur un arbre 738 qui se trouve en ali gnement avec l'arbre 737. Sur chacun des coudes 736 pivote une articulation 739 pour la manoeuvre directe des marteaux 707, 714, 718 et 723. Sur les arbres 737 et 738 sont éga lement fixés des bras 740 sur lesquels pivo tent des articulations 739, pareilles aux arti culations 739 représentées sur la fig. 99.
Tous ces bras 740 et leurs articulations 739 sont directement associés pour actionner tous les marteaux de 701 à 729 à l'exception des mar teaux 707, 714, 718 et 723, lesquels, comme on vient de le :dire, sont actionnés directement par les leviers coudés 736. Toutes ces articu lations 739 sont parfaitement plates à l'excep tion de celle qui est associée au marteau 726. Comme on le voit sur la fig. 46B, cette arti culation particulière est légèrement en retrait.
Chaque articulation 739 est pourvue d'une encoche 741 qui coopère avec un ergot 742 d'un levier 743 qui pivote sur une tige 744 portée par les châssis 131 à 134 inclus de l'imprimeur. Ces leviers 743 montés sur la tige 744 coopèrent avec les marteaux 701 à 719 inclus. Les châssis 135 et 13ô (fig. 42B) portent une autre tige 745 qui est en aligne ment axial avec la tige 744 et sur laquelle pivotent les leviers 743 associés aux mar teaux 720 à 729 inclus. Sur chaque levier 743 pivote une articu lation 746 qui sert. à relier ces leviers à cha cun des marteaux 701 à 729.
Sur la fig. 99, les pièces sont représentées dans leurs posi tions normales, les marteaux en bas, écartés des roues porte-caractères et maintenus dans cette position par un doigt 747 du levier 743 qui est en contact avec la traverse 138. Ainsi qu'on le voit sur la fig. 99, l'articu lation 739 est dégagée de l'ergot 742 dans la position normale; cependant, les marteaux particuliers entre 701 et 729, qui doivent être actionnés dans les divers cycles d'opérations qui constituent une opération complète d'éta blissement d'un chèque de paye, .fonctionnent pendant les différentes phases de ces opé rations.
Les articulations 739, associées aux marteaux pour être actionnées sous le con trôle des touches et d'autres dispositifs de commande qui seront décrits ci-après, se dé placent autour de leurs extrémités droites dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour faire entrer les ergots 742 dans les encoches 741.
Lorsque l'arbre 370, les ergots 742 étant engagés dans les encoches 741, subit sa rotation dans le sens des aiguilles d'une montre, les articulations 739 se dépla cent à droite, de manière à déplacer les leviers 743 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à la suite de quoi les genouil lères 746 soulèvent les marteaux 701 à 729 inclus (c'est-à-dire ceux d'entre eux qui ont été sélectionnés) qui entrent en contact -avec les groupes des roues porte-caractères qui leur sont associés, ainsi que l'on voit sur les fig. 58A et 58B.
Ce contact entre les marteaux et les roues porte-caractères se produit au point haut de la came associée 732 et, dès que le galet 734 a dépassé le point haut, les leviers 743 se déplacent dans le- sens des aiguilles d'une montre et les articulations 746 abais sent les marteaux vers la position indiquée sur la fig. 99. Contrôle <I>des</I> marteaux.
Pour l'exécution des diverses manoeuvres qui .constituent une opération complète d'im pression d'un chèqile de paye 152 d'un em ployé avec toutes les indications et l'impres sion des données nécessaires sur le bordereau de paye 151 et sur la carte de salaires 153, les différents marteaux 701 à 729 (fig. 58A et 58B) sont commandés par des mécanismes divers, tels que les rangées 1, 2, 3 et 4 (fig. 2) et les mécanismes contacteurs pour le borde reau de paye, la carte de salaires et le chèque.
Comme exposé ci-dessus, les marteaux 701 à 729 sont prévus pour effectuer des em preintes dans leurs colonnes respectives de 1 à 29 du bordereau 151, du chèque 152 et <I>Cie</I> la carte de salaires 153. Ces marteaux sont commandés par les diverses rangées des tou ches de commande 162 à 166à des temps dif férents, parfois directement à l'aide des tou ches, parfois par l'ajustage automatique du verrou .de la rangée particulière commandé par des touches dans une autre rangée.
Les contacteurs pour le bordereau, le chè que et la carte de salaires et les rangées des touches de commande actionnent une ligne de contrôle composée de disques à encoches ajustés par .le mécanisme d'entraînement à pignons déjà connu et les arbres carrés du type bien connu.
Cette ligne de contrôle est schématique ment représentée sur la fig. 105 et la ligne assemblée est représentée sur les fig. 57A et 578. La ligne, c'est-à-dire toutes les plaques et tous les mécanismes y compris les arbres car rés et les pignons intérieurs, est supportée par un grand arbre carré 750 monté sur les châssis 7.31 à 136 inclus de l'imprimeur.
En se reportant à la fig. 105, on voit que certains arbres carrés et leur commande ont déjà été décrits à. propos des différentiels des rangées 1, 2, 3 et 4 et que les arbres con trôlés par ces différentiels sont numérotés respectivement 484, 436, 451 et 473. Cette ligne de commande comprend encore quatre autres arbres, à savoir: -Lui arbre 751 contrôlé par un levier de contrôle de l'imprimeur qui sera décrit ci-après; un arbre 752 contrôlé par le contacteur de la carte de salaires; un arbre 753 contrôlé par le contacteur du chèque; un arbre 754 contrôlé par le contacteur du bordereau de paye. Tous ces mécanismes con tacteurs seront décrits par la suite.
Les plaques sélectrices susmentionnées de la ligne de contrôle qui s'ajustent sous le con trôle des touches des rangées 1, 2, 3 et 4 et sous le contrôle des contacteurs'du bordereau de paye, du chèque et de la carte de salaires sont représentées sur les fig. 57A et 57B; au lieu de numéroter chaque plaque dans chaque groupe, les groupes contrôlant les marteaux 701 à 729 inclus sont numérotés de 801 à. 829 inclus et servent à l'impression dans les co lonnes 1 à 29 incluse.
La plupart de ces groupes de plaques sélectrices sont indiqués sous forme de tableau sur les fig. 64A et 64B ainsi que sur da fig. 65. Sur les fig. 64A et 64-B, il y a quatre plaques par groupe, avec une exception portée sur le tableau, et sur la fig. 65 il y a trois plaques par groupe avec cinq exceptions portées sur le tableau. Le nu méro du marteau et le numéro de la plaque sont indiqués sur le tableau, de sorte qu'ils peuvent. facilement être retrouvés sur les fig. 57A et 57B.
Toutes .les encoches découpées dans les di verses plaques de .tous les groupes sont indi quées sur les tableaux; on a également indiqué si une plaque particulière d'un groupe est commandée par le contacteur du bordereau, < lu chèque ou de la carte de salaires et aussi par quelle rangée de touches de commande elle est contrôlée. Outre le numéro du marteau et le numéro du groupe de plaques, on a également indiqué les fonctions de ce marteau; sur la fig. 65, par exemple, on voit dans l'espace 6 le mar teau 702, le groupe .de plaques 802 qui com mandent l'impression des montants brut et net sur le bordereau 151 dans la colonne 2.
Dans tous les cas, les plaques de chaque groupe sont numérotées sur les tableaux pla que 1, plaque 2, plaque 3, etc., et dans tous les cas la plaque N 1 signifie la plaque de droite de chacun des groupes des plaques de commande représentées sur les fig. 57A et 57B. Le N 2 est la deuxième plaque à partir de la droite, N 3 est la troisième plaque et ainsi de suite. Comme indiqué précédemment., il faut, pour actionner les marteaux 701 à 729 (fig. 58A et 58B) déplacer les articula tions 739 qui leur sont associées (fig. 46A, 46B et 99) vers le bas, afin d'engager les ergots 742 des leviers de commande 743.
On a également indiqué que ce déplacement des articulations 739 se produit sous le contrôle des rangées des touches de commande et aussi des contacteurs du bordereau, du chèque et de la carte .de salaires.
Sur chacune des articulations 739 pivote une articulation 760 pivotant, d'autre part, sur un levier 761 monté sur un arbre 762. Le levier 761 est pourvu d'un doigt 763 qui est maintenu en contact avec un goujon 764 d'un bras 765 par un ressort 766. Le bras 765 est calé sur l'arbre 762.
A chacun des groupes de plaques de com mande 801 à 829 est associé un levier 761 (fig. 57A et 57B) et sur chacun .de ces leviers pivote Lm bloc-contacteur 767 pourvu de deux jeux de doigts, un jeu supérieur et un jeu inférieur; chaque levier 761 a Lui doigt de la même forme que le doigt inférieur du bloc 767; tous ces doigts peuvent coopérer avec des encoches entaillées dans les groupes de pla ques suivant .les tableaux des fig. 64A et 64B et de la fig. 65.
Sur l'arbre 762 sont fixés trois bras 768 (fig. 40, 57A et 57B) qui servent à déplacer l'arbre 762 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'Ltne montre, de manière que le res sort 766 de chacun des bras 761 puisse dépla cer ces bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi les doigts des blocs 787 peuvent coopérer avec les groupes de plaques 801 à 829 inclus.
Les leviers<B>761,</B> les bras 765 et un bras unique 768 qui coopère avec les groupes de plaques 820 à 829 incluse pour la carte de salaires et qui est situé entre les châssis 135 et 136 de l'imprimeur sont tous montés sur un arbre 769 (indiqué seulement sur la fig. 57B) qui est en alignement axial avec l'arbre 762. Les leviers 761 tournent sur cet arbre 769, les bras 765 et le bras unique 768 sont fixés sur cet arbre.
Une articulation 770 est reliée à oscillation à chacun des trois bras 768 qui sont fixés sur l'arbre 762, comme on le voit sur la fig. 40, et chacune de ces articu lations pivote à son tour sur un levier coudé 771 (fig. 46A et 46B) qui coopère avec les cames associées 772 et 773 fixées sur l'arbre à cames 370 de .l'imprimeur. Il y a un bras 768, une articulation 770 et au levier coudé 777., comme ceux représentés sur la fig. 40, qui coopèrent avec les cames 772 et 773 si tuées sur l'arbre 370, entre les châssis 135 et 136 (fig. 46B).
Ce levier coudé 771 oscille sur 1-arbre 738.
Lorsque l'arbre 370 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, les coudes 771 et les articulations 770 déplacent les bras 768 et les arbres 762 et 769 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer tous les bras 765 dans le même sens, à la. suite de quoi les ressorts 766 (fi-. 99) tendent à déplacer tous les leviers 761 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, suivant.
que les doigts supérieurs ou les doigts inférieurs dut bloc-767 coopèrent ou non avec une seule ligne d'encoches d'un groupé particulier de plaques 801 à. 829 avec lequel ils coopèrent.
Si, soit le doigt supérieur, soit le doigt inférieur du bloc 767 rencontre des encoches dans toutes les plaques de son groupe re3pec- tif, le levier 761 pourra alors se déplacer dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sous l'action de son ressort 766, après quoi son articulation 760 abaissera l'articulation 739 et obligera son encoche 741 à s'engager sur l'ergot 742 du levier 743 actionnant le marteau, à la suite de quoi le' marteau sera actionné par les cames 732 et 733 .dé la manière décrite ci-dessus.
On va maintenant examiner tous les mar teaux en commençant par 701 et jusqu'à 729 en liaison avec leur fonctionnement sous le contrôle des groupes de plaques 801 à 829 in clusivement qui leur sont associés.
En ce qui concerne le marteau 701 de numéro d'ordre, le groupe de plaques qui com mande .le fonctionnement de ce marteau porte le niïméro 801 (fig. 57A) et est indiqué dans l'espace 3 du tableau des fig. 64A et 64B. Ce tableau montre que la plaque N 1 est com mandée par le contacteur du bordereau et qu'elle est pourvue d'une encoche entaillée dans la position zéro en chiffres arabes.
La plaque N 2 est commandée par le contacteur du chèque et pourvue d'une encoche aussi bien dans la position zéro arabe que dans la position zéro en chiffres romains.
La plaque N 3 est commandée .par le différentiel de la rangée 2 et elle a des encoches dans les posi tions 2, 3, 4 et 9 et dans les positions II, IV et IX, c'est-à-dire que, étant donné que le différentiel de la rangée 2, lorsque la ma chine s'emploie - pour l'établissement de la paye, passe à la position 9 lorsqu'on abaisse la touche 162 Paye nette , il doit se trouver une encoche dans la plaque à la position 9 aussi bien en chiffres arabes que romains. La. plaque N 4 est commandée par la rangée 1: i1 y a sur le côté des chiffres arabes une en coche à la position zéro et à la position six, la position zéro représentant la position addi tive du différentiel et la position six repré sentant la position Décharge rang 4 .
Sur le côté des chiffres romains, il y a des encoches aux positions I, IV et V, le N 1 représentant la position Paye nette et les Nos IV et V respectivement les positions Décharge ran gée 2 et Décharge rangée 3 .
Le doigt du levier 761 (fig. 99) coopérant a a vec la plaque N 1 est situé dans la position inférieure, il n'est donc pas nécessaire de pra tiquer des encoches aux positions romaines de cette plaque N 1.
On voit donc d'après les encoches ci-dessus, indiquées dans l'espace 3 de ce tableau, que l'articulation 739 du mar teau 701 du numéroteur sera accouplée au le vier d'entraînement 743 du fait que, lorsque la paye nette est imprimée sur le chèque sous la commande de la touche Paye nette , le numéro d'ordre sera imprimé sur le bordereau de paye 151 par le marteau 701 parce que les doigts supérieurs du bloc sélecteur trou vent des encoches dais la position 9 pour la plaque N 3 commandée par la rangée f2 et dans la position 1 pour la plaque I\T 4 com mandée par la rangée 1. Un chèque 152 et.
ime feuille du bordereau 151 doivent être dans la machine car leurs contacteurs con trôlent les deux premières plaques du groupe 801, de manière à placer des encoches .en face des doigts du bloc 767.
Le marteau 702 (fig. 58A) imprime la paye brute et nette de l'employé dans la co lonne 2 du bordereau de paye 151. Ce mar teau est. commandé par le groupe de plaque 802, comme indiqué dans l'espace 6 du ta bleau de la fig. 65; ce tableau montre égale ment que les trois plaques sont pourvue d'encoches, de sorte que la paye brute et nette n'est. imprimée qu'en actionnant respective ment les touches 162 Paye brute et Paye nette .
lie marteau 703 (fig. 58A) est commandé par le groupe de plaques 803, comme indiqué clans l'espace 4 du tableau (fig. 64A et 64B), pour imprimer le nombre des heures régle mentaires et ,le nombre des heures supplémen taires contrôlées par les touches R et T clans les septième et huitième positions de la rangée 4 (fig. 2).
Tous les gains passent du côté droit du totalisateur d'addition et sous traction qui correspond à la position 9 de la rangée 2 et, pendant ce temps, le différentiel de la rangée 1 doit se trouver dans la position d'addition. Le tableau montre donc que les encoches sont. pratiquées dans les positions appropriées sur le côté chiffres arabes pour imprimer les heures réglementaires et supplé mentaires dans la colonne 3 du bordereau de paye 151. La plaque N 1 montre -une enco che dans la position zéro contrôlée par le con tacteur du bordereau. Les encoches indiquées aux positions en chiffres romains de ce groupe de plaques montrent que, dans les opérations analytiques de totalisation, le mar teau 703 peut être actionné de manière à effectuer des empreintes dans la colonne 3 de la bande analytique 155.
Le marteau 704 qui frappe des empreintes dans la colonne 4 du bordereau de paye 151 est commandé par le groupe de plaques 804, comme représenté clans l'espace 5 du tableau (fig. 64A et 64B); il est commandé pour im primer les montants, exactement de la même manière que le marteau 703 est commandé pour imprimer les heures. En effet, les heures et les montants correspondant à ces heures sont imprimés au cours d'un même cycle d'opérations de la machine, la seule différence entre les groupes de plaques étant que dans le groupe 804 la plaque N 1 est supprimée, car il n'est. pas nécessaire d'avoir une com- mande de la plaque par contacteur puisqu'il en existe un pour les heures.
Le marteau 705 qui frappe des empreintes dans la colonne 5 du bordereau de paye est commandé par le groupe de plaques 805, comme indiqué dans l'espace 6 du tableau; les encoches dans les plaques de commande sont disposées de telle façon que l'impression dans la colonne 5 aura lieu après l'impres sion dans les colonnes 3 et -4 par suite d'une opération séparée lorsqu'il y a des gains spéciaux.
Les marteaux 707 à 711 inclus, qui frap pent des empreintes respectivement dans les colonnes 7 à 11 :incluse chi bordereau de paye, sont commandés respectivement par les groupes 807 à 811 inclus pour imprimer les déductions sur .le bordereau de paye, comme indiqué dans les espaces 7 à 12 du tableau des fig. 64A et 64B; ce tableau montre que les encoches dans les groupes ci-dessus sont faites de telle façon que les déductions seront impri mées dans les colonnes conformément aux touches indiquées en tête des colonnes respec tives.
Le marteau 712 commandé par le groupe 812 indiqué .dans l'espace 13 du tableau (fig. 64A et 64B) imprime les heures régle mentaires et supplémentaires sur le chèque 152 en même temps que les heures sont impri mées dans la colonne 3 du bordereau de paye 151 et le tableau montre que les plaques 1, 2, 3 et 4 sont entaillées pour effectuer ces empreintes.
Le marteau 713 qui fait des empreintes dans la colonne 13 du chèque 152 est com mandé par le groupe de plaque 813 (fig. 57A). Ce groupe de plaques 813 comprend cinq plaques représentées sur les fig. 50 à 54 in cluse. Ce marteau est également prévu pour frapper des empreintes dans la colonne 13 de la fiche 156 représentée sur la fig. 25, dans les opérations analytiques.
Les plaques 1 à 5 de ce groupe de plaques 813 représentées sur les fig. 50 à 54 incluse sont toutes entaillées de telle façon que le montant pour les heures réglementaires et le montant de la paye pour les heures supplémentaires sont imprimés en même temps que les heures réglementaires et les heures supplémentaires sont imprimées dans la colonne 12 du chèque;
les encoches sont pratiquées aussi afin de montrer que le marteau 713 imprime les gains totaux ou bruts à la suite de .l'abaissement de la touche 162 Brut , laquelle, comme on sait, effectue une opération de lecture du côté additif du totalisateur d'addition et soustraction qui se trouve dans la position 9 du différentiel associé aux touches de la rangée 2.
Les encoches prévues dans le groupe de plaques 813 dans la position romaine servent. à effectuer des empreintes au moment néces saire dans la colonne 13 de la fiche 156 au cours des opérations analytiques.
Le marteau 714 est commandé par le groupe de plaques 814. Comme indiqué sur la ligne 14 du tableau de contrôle (fig. 64A et 64B), les plaques sont entaillées de manière à faire imprimer des déductions par le mar teau 714 et sont commandées par l'une quel conque des touches de la rangée 3 ou par Pane des quatre premières touches du bas de la rangée 4.
Le marteau 715 qui imprime la paye nette dans la, colonne 15 du chèque 152 est com mandé par un groupe de plaques 815, comme indiqué sur la ligne 8 du tableau de contrôle de la fig. 65. La plaque N 1 est pourvue d'une encoche à la position zéro et les plaques N ', 2 et 3 possèdent des encoches respective ment aux positions IX et I; ces positions sont associées aux doigts supérieurs du bloc con tacteur 767, de sorte que la paye nette sera imprimée depuis la position 9 de la rangée 2 lorsqu'on abaisse la touche 162 Paye nette de la rangée 1.
Le marteau 716 qui imprime le numéro d'ordre dans la colonne 16 du chèque est com mandé par le groupe de plaques 816, comme indiqué sur la ligne 9 du tableau de con trôle de la fig. 65; on voit sur ce tableau que les plaques sont entaillées .de telle façon que le numéro d'ordre s'imprime pendant qu'on compose sur le clavier les gains antérieurs à transférer dans le totalisateur G. T. 2 de la première position de 1a rangée 2, lequel, comme on se rappelle, est sélectionné automa tiquement par le différentiel de la rangée 2 en abaissant la. touche 164 Gains antérieurs .
Le marteau 717, qui imprime la. date dans la colonne 17 du chèque, est commandé par le groupe de plaques 817, comme indiqué sur la ligne 10 du tableau de contrôle de la fig. 65; ce tableau montre que les plaques pour ce marteau sont entaillées de telle manière que la date s'imprime exactement au même mo ment que le numéro d'ordre sur le chèque, c'est-à-dire pendant. l'entrée des gains anté rieurs dans le totalisateur G. T. 2 sélec tionné de la manière qu'on vient de décrire.
Les marteaux 718 et 719, qui impriment. clans les colonnes 18 et 19 du chèque, sont commandés par les groupes de plaques 818 et 819, comme indiqué sur les lignes 11 et 12 du tableau .de contrôle (fig. 65). Ce tableau montre que les plaques sont entaillées exacte ment .comme les plaques du groupe 815 qui commande l'impression de la paye nette sur le talon du chèque, de sorte que les deux mon tants de la paye nette seront imprimés dans les colonnes 18 et 19 de la partie principale du chèque en même temps.
Les marteaux 720 et 72I., qui impriment respectivement clans les colonnes 20 et 21 de la carte de salaires 153, sont commandés par les groupes de plaques 820 et 821, comme in diqué sur les lignes 16 et 17 du tableau de contrôle des fig. 64A et 64B. Ce tableau mon tre que les plaques sont entaillées de telle sorte que les heures réglementaires et sup plémentaires et les gains correspondant à ces heures soient imprimés dans les colonnes 20 et 21 en même temps que les heures et le montant correspondant sont imprimés dans les colonnes 2 et 3 du bordereau de paye 151 et dans les colonnes 12 et 1.3 du chèque.
Le marteau 722, qui imprime dans la co lonne 22 de la carte de salaires lorsqu'il y a des gains spéciaux, tels que primes ou bonis, est commandé par le groupe de plaques 822, comme indiqué sur la ligne 18 .du tableau de contrôle (fig. 64A et 64B). Les plaques de ce tableau montrent que les gains spéciaux sont imprimés dans la colonne 22 lorsqu'on abaisse les touches S ou X 166 (fig. 2) pour dé clencher la machine après avoir composé ces gains spéciaux sur le clavier.
Les marteaux 723 à 728 inclus contrôlent l'impression dans les colonnes 23 à 28 incluse de la carte de salaires 153 et sont commandés par les groupes de plaques 823 à 828 incluse, comme indiqué dans les espaces 19 à 24 inclus du tableau de contrôle (fig. 64A et 64B), de manière à imprimer les déductions de l'em ployé dans les colonnes 23 à 28; les plaques sont, d'après ce tableau, entaillées de telle façon que ces déductions seront imprimées après abaissement des touches de déductions respectives des rangées 3 et 4 en même temps que les montants des déductions composées sur le clavier à l'aide des touches 161.
Le marteau 729, qui imprime les gains bruts et les gains à la date du règlement dans la colonne 29 de la carte de salaires 153 (fig. 29), est commandé par le groupe de plaques 829, comme indiqué sur la ligne 13 du tableau de contrôle (fig. 65); ce tableau montre que les plaques sont entaillées de telle manière que les gains bruts soient imprimés sous le contrôle du totalisateur d'addition et soustraction, par le marteau 729 pendant l'opération, la touche 162 Gains bruts étant abaissée, et que les gains à la date du règle ment soient imprimés pendant l'opération, la touche 162 Gains à ce jour étant abaissée; ces gains sont imprimés d'après le total extrait du totalisateur G. T. 3 après abaisse ment de la touche Gains à ce jour .
Afin d'aligner tous les groupes de plaques 801 à 829 inclus et d'autres groupes de pla ques sélectrices qui seront décrits par la suite, on a prévu sur chaque extrémité de l'arbre 750 une série de disques d'alignement 780 (fig. 57A et 57B) entraînés par les arbres 484, 436, 450, 473 et 751 et représentés, en élévation latérale, sur 1w fig. 48. Avec cha que groupe des disques d'alignement 780 co opère un aligneur 781 porté par un levier 782 qui pivote sur un axe 783 dont une extré mité est fixée sur la paroi 131 et l'autre sur la paroi 136. Chaque levier 782 porte un galet 784 maintenu en contact avec une came 785 par un ressort 786.
Les cames 785 sont calées sur l'arbre 370 de commande de l'imprimeur et sont façonnées de telle sorte que, après que les plaques de sélection ont été .différentielle- ment placées sous le contrôle des touches des rangées 1, 2, 3 et 4 et du levier de commande de l'imprimeur du côté gauche de la machine, les aligneurs 781 soient mis en prise avec les disques entaillés 780 et maintenus en prise avec eux jusqu'à ce que les plaques aient fonctionné pour contrôler les diverses parties de la machine, telles que les marteaux, les mécanismes d'avancement, etc., qu'elles ont à contrôler.
<I>Commande de</I> l'avance <I>du</I> numéro d'brdi-e. Le mécanisme servant à produire ou à actionner l'avance du chiffre 1 du numéro teur dans certaines opérations de la machine est commandé par un groupe de plaques sé lectrices; ce groupe porte la référence 788, comme on le voit sur la ligne 26 du tableau de contrôle (fig. 64A et 64B). Ce groupe de plaques est également représenté sur les fig. 35 et 57B. Il y a, dans ce groupe, quatre plaques commandées par quatre moyens.
La plaque N 1 est commandée par un levier 789 de commande d'impression (fig. 1 et 72) qui sera décrit en détail ci-après; ce levier pré sente les trois positions de réglage suivantes, désignées par 0, 1 et 2 : N 0, bulletin .de paye et dividendes, opérations au cours desquelles le mécanisme actionnant le numéroteur doit fonctionner après abaissement de la touche 1,64 Gains antérieurs , de sorte que le nu méro d'ordre nécessaire au chèque suivant soit imprimé sur celui-ci et aussi sur le bor dereau. de paye 151.
La position 1 du levier est marquée Numéro d'ordre d'analyse , ce qui veut dire que le mécanisme du numéro teur fonctionne lorsque le levier 789 se trouve dans cette position. La position N 2 est. dési gnée par Analyse sans numéro d'ordre ,. c'est-à-dire que, lorsque le levier est dans cette position, le mécanisme actionnant le nu méroteur est inopérant. Ainsi qu'on le voit à la ligne 26 des fig. 64A et 64B, ce levier com mande la. plaque N 1 du groupe 788 et cette plaque comprend des encoches aux positions arabes N 0 et N 1, positions du levier qui font fonctionner le mécanisme du numéroteur à condition que les trois autres plaques de commande de ce groupe, qu'on va décrire, soient dans leurs positions correctes.
La se conde plaque du groupe 788 est commandée par de dispositif contacteur du chèque, qui sera décrit ci-après, et cette plaque N 2 com prend des encoches aussi bien dans la position arabe que dans la position romaine.
La plaque N 3 est commandée par le dif férentiel de la rangée N 2 (fig. 2); cette pla que est entaillée aux positions 2, 3 et 4 du côté arabe qui contrôle les deuxième, troisième et quatrième touches de ce groupe dans les opérations d'analyse; cette plaque N 3 pos sède des encoches aux positions romaines II, IV et IX, les positions romaines II et IV ser vant à l'analyse et la position romaine IX. étant la position automatique du différentiel de la rangée 2 lorsqu'on abaisse la touche Paye nette , c'est pourquoi il faut une en coche dans cette position.
La plaque 4 comprend des encoches aux positions zéro et 6, positions arabes, contrô lant la remise à zéro de la rangée 4 lors des opérations d'analyse, et possède des encoches aux positions romaines I, IV et V qui con trôlent la touche Paye nette lors des opéra tions d'établissement du bulletin de paye par la position I romaine, les positions romaines IV et V contrôlant les touches de remise à zéro de la rangée 2 et de remise à zéro de la rangée 3 pour vider les totalisateurs des ran gées 2 et 3 clans les opérations de totalisation ou d'analyse.
Avec ce groupe de plaques coopère le bloc habituel 767 porté par un bras 790 (fig. 35) ayant un doigt inférieur qui coopère avec la plaque N 1 du groupe 788, doigt qui est en alignement avec les doigts inférieurs habituels des blocs 767. Sur le bras 790 pivote une arti culation 791 qui oscille également. sur -un bras 792 tournant sur l'arbre 738. Ce bras 792 porte un galet 793 qui coopère avec une came fixée sur l'arbre 370 de commande de l'im primeur. Sur le levier 790 oscille également une articulation 795 guidée à son extrémité supérieure sur un goujon 796 de la paroi auxiliaire 124 (fig. 42B). L'extrémité supé rieure de l'articulation 795 est pourvue d'une fente 787 par laquelle passe l'ergot 566 décrit.
précédemment et fixé sur l'articulation 567 actionnant le numéroteur.
Un ressort 797 relié à l'articulation 795 maintient le galet 793 normalement contre la came 794. Lorsque cette came tourne et pré sente sa partie basse au galet 793, le ressort 797 déplace le bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à condition qu'il y ait, en face des doigts supérieurs du bloc 767, une encoche dans les trois plaques N 5 2, 3 et 4 du groupe 788. Du fait qu'il n'y- a pas de doigt supérieur sur le bras 790, il n'est pas nécessaire qu'il \T ait une encoche dans la position zéro romaine de la, plaque N 1 du groupe 788.
Si le bras 790 peut être déplacé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre grâce à la position appropriée des encoches indiquée sur la ligne 26 du tableau de contrôle (fig. 64A et 64B), le ressort 797 soulève alors l'articulation 795 et place l'ergot 566 dans la partie verticale de la fente à baïonnette 565 du levier 564, de sorte que, lorsque ce levier 564 entre en action, l'articulation 567 d'entraînement du numéroteur va se déplacer de manière à faire avancer .le mécanisme du numéroteur d'un pas.
La fente<B>787</B> dans la partie supérieure de l'articulation 795 contrôle le mouvement de l'ergot vers la. gauche et, son retour à sa po sition normale. Dans les opérations d'établis sement des bulletins de paye, les plaques 788 sont réglées de telle façon que le numéro d'or dre n'avance que dans les opérations dans les quelles on abaisse la touche<B>162</B> Gains anté rieurs .
Lorsque le levier 789 se déplace vers la position N 2, la. plaque N 1 du groupe 788 se déplace sous l'action d'une articulation 798 (fig. 72) oscillant sur une plaque 799 qui entraîne un pignon interne 800 monté sur l'arbre carré 751, lequel, comme on se rap pelle, est l'arbre qui actionne la plaque N 1 du groupe 788 représenté sur la fig. 35. Le levier 789 est articulé à une plaque 841 supportée par trois goujons 842 fixés sur le châssis 131 de l'imprimeur, comme représenté sur les fig. 39 et 72. Le levier 789 porte un ergot 843 qui coopère avec un levier 841 pi votant sur un goujon 845 de la plaque 841.
Le levier 844 est guidé, près de son extrémité droite, par un goujon à tête 846 fixé sur la plaque 841. Le levier 844 a trois encoches 847, 848 et 849 avec lesquelles l'ergot 843 du levier 789 peut coopérer. Un ressort 850 tend normalement à entraîner les leviers 789 et 844 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Le levier 844 est représenté, dans la fig. 72, dans la position du numéro cl'orclre d'analyse, l'ergot. 843 étant engagé dans l'encoche 847.
Lors de l'établissement clés bulletins de paye, le levier 789 est en traîné par son ressort 850 lorsqu'on enfonce un doigt 851 chi levier 84s, ce qui permet au ressort 850 d'entraîner le levier 789 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre jusqu'à ce que l'ergot 843 se trouve au- dessus de l'encoche 848; ensuite, lorsqu'on abandonne le doigt 851, le ressort 850 en traîne le levier 844 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et bloque le levier 789 dans la position N 0 de bulletin et (le dividende.
Lorsque le levier 789 se trouve clans la position N 2 Analyse sans numéro cl'ordre , l'ergot 843 coopère avec l'encoche 8-19, ce qui bloque le levier dans cette posi tion sous l'action du ressort 850.
On a également prévu un moyen pour bloquer le levier 789 définitivement dans cha que position que lui a donnée l'opérateur; l'opérateur possède une clé à cet effet, qui s'adapte à, une serrure 852 portée par la pla que 841. Le nez de la serrure passe par le coffre 146, comme représenté sur la fig. 39. On a prévu -uni pêne spécial 853 qui se place au-dessous d'un flasque 854 pour empêcher l'abaissement du levier 844 par l'opérateur manipulant le doigt 851.
On voit, que, si les pièces se trouvent dans les positions indiquées sur la fig. 72, le pêne se trouve sous le flasque 854 et le levier 789 est par conséquent défi nitivement bloqué dans cette position jusqu'à ce qu'on manipule la serrure pour retirer le pêne spécial.
<I>Dispositifs contacteurs du</I> bordereau, <I>du</I> chèque, <I>de la</I> carte <I>de salaires, mécanisme</I> <I>et commandes.</I>
Lorsqu'on se sert de la machine pour l'éta blissement des bulletins de paye, le disposi tif contacteur du bordereau contrôle un mé canisme qui bloque la machine s'il n'y a pas de bordereau 151 dans la machine et, dans les opérations d'analyse, la machine sera bloquée s'il n'y a pas de fiche analytique 154 dans la machine. Dans les opérations d'établissement des bulletins de paye, le dispositif contacteur du chèque bloque .la machine s'il n'y a pas de chèque dans la position convenable pour recevoir l'impression et le dispositif contac teur de la carte de salaires bloque la machine s'il n'y a pas dans la machine de carte clé sa laires 153 pour recevoir l'impression néces saire.
On a prévu un contacteur de bordereau 857 (fig. 39) oscillant sur l'arbre 730 (fig. 90), un contacteur de chèque 858 pivotant sur l'arbre 730 pour coopérer avec le chèque 152 et un contacteur de carte de salaires 859 (fig. 43A et 43B) pour coopérer avec la carte de salaires 153. Ce contacteur 859 oscille sur l'arbre 731.
Les mécanismes prévus pour déplacer vers le haut les contacteurs en vue de leur coopéra tion avec leurs supports respectifs sont exacte ment les mêmes; la description de l'un d'eux suffira donc. En se reportant tout particulière ment à la fig. 90, on voit que sur chacun des contacteurs 857, 858 et 859 pivote une articu lation 860 qui oscille, près du milieu, sur un axe 861 porté par un bras 862 qui pivote sur un arbre 737. Le bras 862 pour le contacteur de la carte de salaires tourne sur l'arbre 738 (fig. 43B) qui est, comme on sait, en aligne ment axial avec l'arbre 737.
Cette articulation 860 (fig. 90) se prolonge à droite et porte un flasque qui est normalement. en contact avec la périphérie d'une came 864 (fig. 91) montée sur l'arbre 370 d'entraînement de l'imprimeur. Un autre bras 865, qui est soli- claire du bras 862, est pourvu d'une encoche dont le but sera décrit ci-après.
La distribu tion des temps de fonctionnement de la came 864 est indiquée à la ligne 6 du tableau des temps (fi-. 109); immédiatement après le commencement de la rotation de l'arbre 370 dans le sens des aiguilles d'une montre, la périphérie de la came 864 s'écarte du flasque 863;à ce moment, un ressort 867 relié au con tacteur 858 entraîne ce dernier dans le. sens des aiguilles, d'une montre et, s'il n'y a pas de chèque dans la machine, le contacteur 858 continue son mouvement dans le même sens sous l'action du ressort 867 jusqu'à ce que l'extrémité supérieure du contacteur pénètre dans un trou du coffre 146 et également dans un trou du guide-chèque 868.
Ce mouvement du contacteur 858 déplace l'articulation 860 et les bras 862 et 865 de la position indiquée sur la fig. 90 à celle de la fig. 91, où un cli- quet 875 sera entraîné par son ressort 876 dans l'encoche 866 du bras 865. Ce cliquet 875 est articulé à un levier 877 qui, lui- même, tourne sur l'arbre 737.
Le levier 877 porte un tenon 878 engagé par un bras en fourche 879 sur lequel est fixé un galet 880 coopérant avec une came 881 (fig. 92) (ligne 8 du tableau des temps, fig. 109) montée sur l'arbre 370 de l'imprimeur. Ce bras S79 est monté sur une tige 882 (le bras 879, fig. 43B, pour la carte de salaires est monté sur l'arbre 883 qui est en alignement axial avec la tige 882). Comme représenté sur les fig. 42A et 42B, la tige 882 est supportée par les châssis 132 à 134 de l'imprimeur et l'arbre 883 est supporté par les châssis 135 et 136 de l'impri meur.
Un ressort 884 tend constamment à tenir le galet 880 contre la surface de la came 881.
Dès que l'articulation 860 s'est déplacée de la position indiquée sur la fig. 90 à celle de la fig. 91, la came 881, en agissant sur le ga let 880, déplace le bras 879 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, ce qui déplace le levier 877 dans le sens des aiguilles d'une montre de la position de la fig. 90 à celle indiquée sur la fig. 92.
On se rappelle que le cliquet 875 s'est engagé dans l'encoche 866 du bras 865 lorsque l'ar ticulation 860 a été déplacée à gauche du fait qu'il n'y avait pas de chèque 152 sur le coffre 146 au-dessous du guide-chèque 868. Ce mou vement du cliquet 875 suffit pour placer son extrémité supérieure au-dessous d'un épaule ment 885 d'un levier 886 pivotant sur l'ar bre 737. Ce levier 886 est pourvu d'une fente dans laquelle passe un galet 888 porté par une plaque 889 qui a une denture intérieure engrenant avec un pignon 890 monté sur l'arbre 753 (fig. 90).
On voit d'après ce qui précède que, comme le cliquet 875 se trouve au-dessous de l'épau lement 885 du levier 886, ce levier 886, lors que le levier 877 se déplace à, l'aide de la came 881 dans le sens des aiguilles d'une montré se déplace également de la position indiquée sur la fig. 90 à la. position de la fig. 92 où la fente 887; en coopérant avec le galet 888, déplace la plaque 889 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à entraîner l'arbre 753, et cet arbre, comme on l'a décrit. ci-dessus, ajuste les plaques à encoches appropriés des groupes de plaques 801 à 829, de manière à empêcher le fonctionnement. des marteaux 712 à 719 destinés à effectuer des empreintes dans les colonnes 12 à 19 du chèque.
Lorsque le cliquet<B>875</B> se déplace vers le haut sous l'action du mouvement du levier 877 dans le sens des aiguilles d'une montre, ce cliquet, étant encore engagé dans l'encoche 866, déplace le bras 865 et le bras solidaire 862 dans le sens des aiguilles d'une montre de la position indiquée sur la fig. 91 à la posi tion de la fig. 90, ce qui ramène le contacteur 858 dans le sens .contraire à celui des aiguilles d'une montre à la'position normale. Au cours de cette opération du mécanisme qu'on vient.
de décrire, le ressort. 884, étant relié au bras 879 et au levier 886,a été tendu et cette ten sion contribue à ramener ces pièces à, leurs positions normales lorsque la came 881 appro che de sa position normale. L'action de ce res sort a également pour effet. de déplacer, par l'intermédiaire d'une came 892 (fig. 92) Fixée sur l'arbre 370 de l'imprimeur et qui est en contact avec un galet 893 porté par le levier 877, ce dernier dans le sens contraire à celui clés aiguilles d'une montre vers sa position normale, ce qui ramène, par l'ergot 878, le bras 879 dans le sens des aiguilles d'une mon tre définitivement à la position normale.
Le levier 877, comme il est ramené par son con tact avec un ergot 894 à sa position normale, ramène le levier 886 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à sa position normale, à la suite de quoi la fente 887 dé place la plaque 889 dans le sens des aiguilles d'une montre, à la position indiquée sur l'a fig. 90, ce qui fera tourner l'arbre 753 du contacteur et tous les disques de contrôle en arrière vers leurs positions normales.
Comme le fonctionnement de ce mécanisme est très rapide, on a muni le levier 886 d'une butée 895 (fig. 92) qui normalement repose sur un moyeu de la came 881. Ce levier 886 est pourvu d'un autre épaulement d'arrêt 896 (fig. 90) qui est en contact avec le même moyeu lorsque le mécanisme a été placé dans sa position extrême pour faire tourner ou dé placer l'arbre 753 s'il n'y a pas de chèque 152 dans la machine.
Il ressort de la description ci-dessus que, lorsque la plaque 889 (fig. 90) se déplace du fait qu'il n'y a pas de chèque dans la ma chine, .cette plaque 889 actionne, par l'inter- inédiaire de l'arbre 753, toutes les plaques montées sur cet arbre et qui appartiennent aux groupes de plaques 812 à 819 inclus, de façon à empêcher le fonctionnement de tous les marteaux 712 à 719 inclus s'il n'y a pas < le chèque dans la machine. Ces 'plaques de contrôle dont oui nient de parler pour les groupes 812 à 814 sont. indiquées sur les lignes 1.3 et 14 du tableau de contrôle (fi-. 64A et 64B).
Les plaques de contrôle des groupes clé plaques 815 à 819 inclus sont indiquées sur les lignes 8 à 12 incluse du ta bleau de contrôle de la fig. 65 et la plaque du groupe 813 est indiquée sur la fig. 50.
Si, au contraire, il se trouve un chèque dans la machine, le dispositif contacteur 858 se déplace seulement jusqu'à ce qu'il touche le dos du chèque 152, à la suite de quoi l'ar- ticulation 860 n'effectue qu'une partie du parcours entre les positions indiquées sur les fig. 90 et 91, cela ne suffit pas à amener l'en coche 866 en face du-cliquet 875 et, par con séquent; ce dernier se pose sur la. surface 899 du bras 865 et ne peut pas tomber au-dessous de l'épaulement 885 du levier 886.
En consé quence, lorsque le levier 877 est. déplacé ou actionné par la came 881 de la manière dé- erite précédemment, le bras 865 n'est pas dé placé et peut rester clans la position indiquée sur la fig. 90 du fait que le nez du cliquet 875 repose sur la surface 899 du bras 865 à vide jusqu'à ce qu'il saisisse le bras 865 et le ramène à sa position normale représentée sur la fig. 90.
Le dispositif contacteur 857 (fig. 39 et 68) du bordereau contrôle tous les marteaux 701. à<B>711</B> inclus, de manière à empêcher le fonctionnement de ces marteaux lorsqu'il n'y a pas de bordereau de paye 151 entre les pla ques de guidage 898 (fig. 68 et 70) pour re cevoir les .données imprimées lors d'une émis sion d'iin chèque de paye.
Le contacteur 857 est commandé par Lin disque ou une plaque 901 (fig. 39 et 57A) qui porte un galet 902 coopérant avec le levier 886 qui actionne le contacteur du bordereau. Cette plaque 901 entraîne l'arbre 754 du con tacteur du bordereau;
ainsi qu'il a été exposé précédemment, cet arbre porte tous les, grou pes de plaques 801 à 811, comme indiqué sur la ligne 6 du tableau de contrôle fig. 65, et sur les lignes 3 à 12 du tableau de contrôle des fig. 64A et 64B, et comme il a été égale ment expliqué ci-dessus, ces plaques contrô lent positivement tous les marteaux 701 à 711 inclus, de manière à empêcher le fonctionne ment d'un seul d'entre eux si on n'a pas in troduit un bordereau de paye 151 entre les plaques de guidage 898 pour recevoir les em preintes lors d'une impression d'un chèque.
Des cames conjuguées 903 et 904 (fig. 46A) actionnent, en liaison avec le mécanisme con tacteur du bordereau, le levier<B>877</B> et le bras 879 de la même façon que les cames 881 et 892 actionnent ces leviers et bras pour le chè que, à l'exception de la distribution du temps qui diffère légèrement., comme on le voit sur le tableau des temps, ligne 7 (fig. 109).
Le dispositif contacteur 859 (fig. 43A et 43B) de la carte de salaires contrôle tous les marteaux 720 à 729 inclus, dé manière à em pêcher le fonctionnement de l'un quelconque d'entre eux lorsqu'il n'y a pas de carte de sa laires 153 dans la machine pour recevoir les impressions des données lors de l'impression du bordereau et du chèque.
Le mécanisme d'entraînement du contacteur, tel qu'il a été décrit en liaison avec le chèque (fig. 90 et 92), coopère avec une plaque de contrôle 906 qui entraîne l'arbre 752, lequel, comme on se rap pelle; porte dans chacun des groupes 820 à 829 inclus une plaque de contrôle mentionnée dans les espaces 16 à 24 du tableau de con trôle (fig. 64A et 64B) et sur la ligne 13 du tableau de .la fig. 65 et qui sert à contrôler chacun des marteaux 720 à 729 inclus lorsque le contacteur 859 ne rencontre pas de carte de salaires 153 entre les plaques de guidage 908 polir cette carte pour recevoir les impres sions.
Le levier 877 et le bras 879 associés au contacteur de la carte de salaire, sont action nés par des cames conjuguées 909 et 910 (fig. 43B) et fonctionnent exactement aux mêmes endroits que les cames 903 et 904 pour le bordereau, comme indiqué sur la ligne 7 du tableau des temps (fig. 109).
<I>Verrouillage de</I> la viachine soies le<I>contrôle</I> <I>du</I> dispositif <I>contacteur du</I> chèque, <I>du dispo-</I> <I>sitif</I> contacteur <I>du</I> bordereau <I>et du dispositif</I> <I>contacteur de</I> les <I>carte de</I> salaires.
Le mécanisme qu'on va décrire sert à verrouiller la machine lorsqu'elle ne contient pas de bordereau 151, de chèque 152 ou de carte de salaires 153 pour l'opération sui vante, afin d'empêcher une deuxième opéra tion si l'in de ces formulaires manque dans la machine.
Lorsqu'on met la machine en marche pour une opération sans qu'il y ait un de ces sup ports dans la machine, l'opérateur doit, étant donné que la machine est bloquée afin d'em pêcher une opération suivante, la débloquer à l'aide d'un. mécanisme de déblocage manuel spécial qui sera décrit ci-après et procéder ensuite à une opération de correction, c'est- à-dire extraire le montant du totalisateur d'ad dition et soustraction pour que la paye nette de l'employé soit exacte lors de l'émission du chèque.
Si cette opération de correction n'était pas effectuée, le totalisateur d'addition et sous traction indiquerait. le double du montant pour les heures réglementaires, et la paye brute et la paye nette seraient. toutes deux fausses.
Tout ce qu'il est nécessaire de faire pour bloquer la machine de manière à interdire une opération suivante dont on vient de par ler est d'empêcher le mouvement de l'arbre 149 de verrouillage des touches dans le sens des aiguilles d'une montre. En se reportant aux fig. 33, 34 et 97, on se rappelle que, lors que l'arbre 149 de verrouillage des touches se déplace dans le sens des aiguilles d'une mon tre, l'arbre 628 subit en même temps sous l'action de l'articulation 626 et du bras 627 un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre. Sur cet arbre 628 est fixé un bras 915 sur lequel pivote une articulation 916 oscillant par son extrémité inférieure sur un levier de blocage 917 monté à rotation sur Marbre 665 à, caractères.
Le levier 917 possède un doigt 918-à angle droit qui peut coopérer avec l'extrémité supérieure d'un bras de blo cage 919 pivotant sur un arbre 920 qui est supporté par les châssis 135 et 136 de l'im primeur, comme indiqué sur la fig. 42B. Un ressort 921 entraîne* un doigt 922 du bras 919 au-dessous d'un verrou 923 d'un bras 924 qui est fixé sur un arbre 925 supporté par le .châssis gauche 131 de l'imprimeur et par une console 926 fixée à la traverse 138. Un ressort<B>927</B> maintient le verrou 923 au- dessus du doigt 922 du bras de blocage 919.
On se rappelle que, lorsque l'arbre 149 de blocage des touches se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, l'arbre 628 tourne dans le même sens en soulevant. ainsi l'articu lation 916 qui entraîne le levier 917 dans le sens des aiguilles d'une montre et, si les pièces<B>se</B> trouvent dans les positions indiquées sur la. fig. 97, un tel mouvement. du levier 917 est possible.
Mais si la machine ne contient pas un bordereau 151 ou un chèque 152 ou une carte de salaires 153, le bras de blocage 919 est dégagé, par des moyens qui seront. dé crits ci-après, du verrou 923 grâce à la rota tion de l'arbre .925 dans le sens des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi le ressort 921 entraîne le bras 919 au-dessous du doigt 918 du levier 917 en empêchant ainsi tout mouve ment de l'arbre 628 et de l'arbre 149 de blo cage des touches et en verrouillant par consé quent la machine.
- Le mouvement ci-dessus du bras de blo cage 919 dans le sens des aiguilles dîme mon tre sous l'action de son ressort 921 est. limité par un doigt 928 du bras 919, ce doigt en trant en contact avec un goujon 929 porté par une coulisse de déverrouillage 930 sup portée, elle-même, par l'arbre 920 et sur un goujon 931 du châssis 135 de l'imprimeur et maintenue en contact avec le goujon 931 par un ressort 932, comme représenté sur la fig. 97.
*Lorsque la machine est verrouillée pour une opération ultérieure, comme on l'a expli qué plus haut, par la position du bras 919 î au -dessous du doigt 918, l'opérateur doit libé- rer ce verrou pour pouvoir procéder à l'opé ration suivante en corrigeant le totalisateur d'addition et soustraction, comme indiqué plus haut.
Ce déblocage s'opère par l'opéra teur en repoussant la coulisse de déblocage 930 vers la droite, sur la fig. 97, à la suite de quoi .le goujon 929 déplace, par son contact avec le doigt 928, le bras 919 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre et le doigt 922 entre en contact avec la partie su périeure avant du verrou 923 et repousse le verrou 92-1 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort 927 jus qu'à ce que le doigt 922 se trouve au-dessous du verrou 923,
après quoi le ressort 927 en traîne le verrou 924 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour bloquer le bras-verrou 919 dans la position indiquée sur la fig. 97.
L'arbre 925 peut pivoter clans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à dégager le verrou 923 du bras--verrou 919 sous le con trôle du contacteur <B>857</B> du bordereau, du con tacteur 858 du chèque, du contacteur 859 de la carte de salaires et des groupes de plaques de contrôle qui leur sont associés; on va maintenant décrire le premier groupe 935 (fig. 57B), indiqué sur la ligne 15 du tableau de contrôle (fig. 64A et 61B).
Ce groupe com prend quatre plaques, dont la première est contrôlée par le levier 789 (fi-. 72) de com mande .de l'imprimeur, la seconde par le con tacteur 858 (fig. 90), la troisième par le diffé rentiel de la rangée 2 et la quatrième par le différentiel de la rangée 1. Le tableau de con trôle montre que la plaque N 1 a ime encoche dans la. position zéro du levier 789 qui est la position du levier pour l'établissement du bul letin de paye.
La plaque N 2 a. une encoche, entaillée à la. position I romaine; cette plaque est commandée par le contacteur du chèque et subit, comme on se rappelle, un léger mou vement sous l'action du mécanisme d'entraî nement du chèque -des fig. 90, 91 et 92, méca nisme q111 fait tourner la plaque N 2 de ma nière à aligner cette position I (romaine) à la position zéro (arabe).
La plaque N 3, com mandée par le différentiel de la rangée 2, comprend une encoche dans la position 1 (arabe) ; la raison en est que ce différentiel s'arrête dans la position 1 lorsqu'on abaisse la touche Gains antérieurs qui est la pre mière opération pour l'établissement d'un, chèque de paye et au cours de laquelle, comme on sait, le numéro d'ordre s'imprime aussi bien sur le chèque que sur le bordereau. La plaque 4 possède une encoche à la position zéro (arabe), position d'addition du différen tiel de la rangée de totalisation qui est la ran gée 1.
En conséquence, lorsqu'il n'y a pas de chèque sur la machine, un bras 936 (fig. 97) du contacteur et son bloc 767 peuvent se dé placer dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sous l'action d'un res sort 937 qui est relié à un bras 938 fixé de façon rigide au bras 936. Sur le bras 938 pi vote une articulation 939 qui oscille également sur- un bras 940 fixé sur l'arbre 925.
Lorsque l'arbre 762 subit une rotation dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de la. manière décrite précé demment et que le bras<B>765</B> (fig. 57P?) se déplace avec lui, le ressort 937 peut alors en traîner les bras 938 et 936, à la suite de quoi les doigts inférieurs du bras 936 ainsi que le bloc.
767 pénétreront dans les encoches de toutes les plaques du groupe 935, s'il n'y a pas de chèque dans.la machine, en déplaçant par conséquent l'articulation 939 à droite et en faisant osciller l'arbre 925 dans le sens des aiguilles d'une montre, 'de manière à dé gager son verrou 923 du doigt 922 du bras- verrou 919 et à bloquer ainsi la machine pour une opération suivante qui ne peut. pas être exécutée avant qu'on ait inséré in chèque dans la machine.
En d'autres termes, le levier 789 doit se trouver dans la position nécessaire pour rem <B>plir</B> un chèque, le contacteur 858 du chèque doit être actionné et ne pas rencontrer un chèque, la touche 164 Gains antérieurs doit être abaissée et le différentiel de la rangée 2 arrêté dans, la position 1 et le différentiel de la rangée doit se trouver naturellement dans la position d'addition qui est la position zéro, comme indiqué sur la ligne 15 du tableau de contrôle. Ce n'est que lorsque toutes ces con ditioÈs sont remplies que le bras-verrou 919 entre en action pour verrouiller la machine.
L'arbre 925 (fig. 39 et 97) peut également être actionné de manière à placer le bras- verrou 919 au-dessous du doigt 918 lorsqu'il n-'y a pas de carte de salaires 153 dans la ma chine; cette commande s'effectue sous le con trôle du groupe de plaques 945 (fig. 39) ins crit sur la ligne 1 du tableau des fig. 64A et 64B.
La plaque 1 de ce groupe comprend une encoche dans la position I (romaine), de sorte que, lorsque la plaque 906 (fig.43B) se dé place, la plaque de ce groupe 945 est déplacée par l'arbre, de manière à présenter l'encoche de la position I (romaine) an doigt du con tacteur. La plaque N 2 est commandée par le différentiel de la rangée 4 et comprend, par conséquent, des encoches dans les posi tions 5, 6, 7 et 8 (arabes) qui correspondent respectivement aux touches des gains 166, Y , S , T et R . La plaque N 3 est.
commandée par le différentiel de la rangée 2 et comprend une encoche à la position 9 (po sition automatique pour la sélection du tota lisateur d'addition et soustraction). La plaque 4 est commandée par la rangée 1 et possède une encoche à la position zéro (arabe) ou po sition d'addition. Ainsi, lorsqu'on . abaisse l'une des touches N . S>>, T ou R.>> pour composer -un montant, le différentiel de la rangée 4 est arrêté dans une position corres pondante, le différentiel de la rangée 2 est.
arrêté automatiquement dans la position 9, comme expliqué ci-dessus, et le différentiel de la rangée 1 est arrêté dans la position zéro ou d'addition; s'il n'y a pas de carte de sa laires dans la machine, toutes les quatre en coches s'aligneront sur les doigts contacteurs inférieurs d'un levier contacteur 946 (fia. 39), identique au bras contacteur<B>9ô6</B> de la fi,-.<B>97.</B> A ce levier contacteur 946 est. fixé un bras 948 auquel est fixé un ressort. (non repré senté), mais analogue au ressort 937. Une articulation 949 pivote d'un côté sur ce bras 948 et d'un autre .côté sur un bras 950 fixé sur l'arbre 925.
On voit d'après ce qui pré cède que, lorsque les encoches de toutes les plaques de contrôle du groupe 945 sont ali gnées sur le .doigt inférieur du bloc contac teur 767 et sur le doigt du levier 946, le res sort, comme le ressort 937, entraîne le bras 948 et déplace par l'articulation 939, à l'aide du bras 950, l'arbre 925 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à abandon ner le bras-verrou 919 à l'action du ressort. 921 qui place le doigt 918 de façon à empê cher le déclenchement ou mouvement .de l'ar bre 149 de blocage des touches s'il n'y a pas de carte de salaires dans la machine lors de l'impression d'un chèque de paye.
Lorsqu'il n'y a pas de bordereau de paye 151 dans la machine, le bras-verrou 919 peut se placer au-dessous du doigt 918, du fait. du mouvement de l'arbre 925 sous le contrôle d'une plaque de contrôle unique 955 (fig. 39 et 98) pourvue d'une encoche dans la position I (romaine), de sorte que, lorsque l'arbre 754 avec la plaque 955 est. entraîné par la plaque 901, l'encoche est, placée en face d'un doigt d'un levier contacteur 956;
ce doigt est en traîné dans cette encoche par un ressort 957 relié à un bras 958 qui est. fixé de façon ri gide au levier 956, si le bras régulier 765, monté sur l'arbre 762, permet un tel mouve ment à la suite du mouvement de l'arbre 762 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme indiqué précédemment.
Lorsque le levier 956 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fi-. 98), une articulation 959, pivotant sur le bras 958 et reliée à un bras 960 qui est calé sur l'arbre 925, déplace le bras 960 et l'arbre 925 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à dégager le verrou 923 du doigt 922 faisant partie du bras-verrou 919 et son extrémité supérieure se trouvera au-dessous du doigt 918 pour empêcher le dé clenchement en cas d'absence dans la machine d'un bordereau de paye 1.51 pour recevoir les empreintes lors de l'impression d'un chèque. Mécanisme d'avance du chèque.
Le chèque de paye 152 peut être introduit dans la machine pour recevoir les données se rapportant à la paye de l'employé, entre les bras latéraux d'un guide-chèque 961 (fig. 1) au-dessous d'un déflecteur 962 (fig. 71) jus qu'à une butée 963 pour occuper la position indiquée sur la fig. 71. De cette façon, le chè que se place sur le guide-chèque 868 inférieur et au-dessous des roues à caractères, associées aux marteaux 712 à 719<B>(fi-.</B> 58A et 58p).
Le bord arrière du chèque tombe sur une paire de rouleaux d'alimentation 964 et au- dessous d'une paire de rouleaux tendeurs 965 qui peuvent entrer en contact avec le chèque, de sorte que, lorsque les rouleaux d'alimenta tion 964 tournent, le chèque est amené vers diverses positions. A partir de la position d'insertion, le chèque subit d'abord un mou vement initial. Il est ensuite ramené en arrière pour recevoir l'impression des heures et des gains, après quoi il avance d'un pas pour la seconde impression, celle des heures et des montants supplémentaires. Le prochain avan- cement à la troisième position sert à l'impres sion du montant brut de la paye de l'em ployé.
Si l'employé doit toucher d'autres gains spéciaux, tels que primes ou bonis, le chèque avance d'un pas à droite de la seconde position d'impression pour la prime et d'un autre pas à droite pour les bonis avant l'im pression du montant brut. Le mouvement sui vant après l'impression du montant brut est un mouvement en arrière vers la quatrième position d'impression pour la première déduc tion. Ensuite, les déductions s'impriment par les opérations successives de la machine et le chèque 152 avance chaque fois d'un. pas .jus qu'à ce qu'il arrive finalement à la huitième position qui est celle de la cinquième déduc tion.
(Le nombre des déductions peut varier d'un à n'importe quel nombre fixé par l'em ployeur, de sorte qu'au lieu de cinq déduc tions il peut y en avoir une ou sept ou huit.) Après la dernière déduction, le chèque 152 est amené vers la neuvième position ou posi tion d'impression de la paye nette et ce mou vement est un mouvement en arrière.
On va maintenant décrire les moyens des tinés à faire avancer le chèque de la position d'insertion manuelle, indiquée sur la fig. 71, jusqu'à la position finale de Paye nette .
Les rouleaux d'alimentation 964 sont fixés sur un arbre 966 (fig. 42A) supporté par un bossage 967 du côté du châssis 133 .de ).'im primeur et par le châssis 134 de l'imprimeur (fig. 42B).
Les rouleaux tendeurs 965 (fig. 67 et 103) sont portés par une paire de bras 968 reliés par une bride et pivotant sur un arbre 969 supporté par des consoles 970 montées sur la base 123. Sur l'arbre 969, près de chacun des bras 968 de la bride, est monté un bras 971 muni d'un doigt 972 contre lequel s'appuie un ergot 973 du bras 968 sous l'action d'un ressort de torsion 974.
Sur la fig. 67, les rouleaux tendeurs 965 sont représentés dans leurs positions normales, débrayés des rouleaux d'alimentation 964. Lors de la rotation de l'arbre 969 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, les rouleaux 965 s'abaissent vers les po- situons indiquées sur les fig. 87, 88 et 103, de manière à serrer le chèque 152, de sorte que, lorsque les rouleaux d'alimentation 964 tour nent sous l'action des moyens qui seront dé crits ci-après, le chèque 152 avance vers les différentes positions d'impression 1 à 9 pour recevoir les données nécessaires se rapportant aux gains de l'employé.
Afin de déplacer les rouleaux tendeurs 965 de la position normale indiquée sur la fig. 67 vers la position de ser rage indiquée sur la fig. 103, on a prévu une came 975 fixée sur un manchon 976 com mandé, par des moyens qui seront décrits ci- après, par l'arbre à cames 370 de commande de l'imprimeur, et cette came est en contact avec un galet 977 fixé sur un levier coudé 978 et déplace le levier coudé dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce levier coudé pivote sur un goujon 979 du châssis 134 de l'impri meur et sur une articulation 980 pourvue d'un ergot 981 engagé avec un bras 982 qui est fixé sur l'arbre 969 de tension; par con séquent, lorsque le levier coudé 978 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre de la position indiquée sur la fig. 66 à celle de la fig. 103, le bras 982 et l'arbre 969 se dépla cent dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de façon à mettre les rouleaux tendeurs 965 en contact avec le chèque qui était placé sur les rouleaux d'ah- mentation 964.
Le levier coudé 978 est muni d'un goujon aplati 983 qui est engagé par un verrou fixé sur un court arbre 985 qui, lui, est supporté par le châssis 134 de l'impri meur, et maintient les rouleaux tendeurs -965 embrayés pour l'avancement jusqu'à ce qu'ils soient débrayés par le mécanisme éjecteur du chèque qui sera décrit ci-après.
Au moment où les rouleaux tendeurs 965 se déplacent. vers la position indiquée sur la fig. 103, la butée 963 s'abaisse en s'écartant du chemin du chèque, de sorte qu'il puisse être avancé par les rouleaux 964 et 965. La butée 963 est fixée sur un bras 986 monté sur un arbre 987 qui est supporté par les châssis 133, 134 et 135 de l'imprimeur (fig. 42A et 42B). Sur l'arbre 987 est égale ment monté un coude 988 appuyé, dans la fig. 66, contre un ergot 989 par iun ressort 990.
Lorsque l'articulation 980 passe de la. po sition de la fi-. 66 à la position indiquée sur la fig. 103, l'ergot 989 déplace le coude 988 et l'arbre 987 dans le sens des aiguilles d'une montre en déplaçant ainsi le bras 986 et en plaçant la butée 963 au-dessous du trajet que parcourt le chèque 152.
Immédiatement avant que le chèque Soit éjecté par des moyens qui seront décrits ci- après, le verrou 984 (fig. 66) est déplacé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à le dégager de l'ergot 983, à la suite de quoi le ressort 990 entraî nera l'articulation 980 vers la gauche (en re gardant la fig. 103) pour soulever les rou leaux tendeurs 965 et les écarter des rouleaux d'alimentation 964, de sorte que le chèque puisse être éjecté au moment voulu.
En même temps, le ressort 990 entraîne le coude 988 et le bras 986 dans le sens cou traire à celui des aiguilles d'une montre pour placer la butée 963 sur le chemin du chèque 152 à introduire à la main, afin d'arrêter ce lui-ci dans la position convenable.
L'avancement du chèque 1:52 de la position d'insertion manuelle indiquée sur la fig. 71 vers la position du mouvement initial s'ob tient au moyen d'un mécanisme représenté sur les fig. 67, 83, 86 et 87 qu'on décrira ci- après.
Sur l'arbre 966 est fixée une roue dentée 991 qui peut engrener avec une crémaillère 992 môntée à glissement sur un goujon 993 porté par le châssis 134 et guidée, par l'extré mité dé droite, entre des goujons 994 égale ment fixés sur le châssis 134. Sur le man chon 976 entraîné, comme on le sait., par l'arbre 370, est fixée une came 995 coopérant avec un galet 997 d'un bras 996 pivotant sur -Lui axe 998 porté par le châssis 134. Un res sort 999 maintient le galet 997 normalement contre la came 995. Le bras 996 s'engage sur un goujon 1000 d'une barre 1001 montée de manière à glisser sur le goujon 993 et entre les goujons 994. Sur cette barre 1001 pivote une languette 1002 pouvant coopérer avec un bloc<B>1003</B> porté par la crémaillère 992.
Lors- que la carne 995 actionne le bras 996, la ]an guette 1002 déplace, en coopérant avec le bloc l.003, la crémaillère 992 de la position indi quée sur la fig. 86 vers celle de la fig. 87, à la suite de quoi le chèque 152 se déplace de la position d'insertion manuelle vers la position (lu mouvement initial de la<U>fi-.</U> 71.
Sur la crémaillère 992 est fixée, de ma nière à se déplacer avec elle, une barre 1004 ayant un épaulement 1005 (fig. 85) pouvant coopérer avec rune languette 1006 montée à oscillation sur une barre 1007 qui glisse sur le goujon 993 et entre les goujons 994. Cette barre 1007 peut être repoussée vers la gau- elie de la position indiquée sur la fi-.<B>88</B> par une came 1008 par l'intermédiaire d'un bras 1.00,9 au même moment que la crémaillère est repoussée vers la gauche par la came 995.
Après que la barre 1007 commence à se dé placer vers la gauche (fig. 88), la languette 1006 se déplace, sous l'action d'un ressort. 1010, dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à se placer sur le chemin de l'épaulement 1005 de la barre 1004, de sorte que, comme la came 995 permet à un ressort 1011 d'entraîner la .crémaillère 992 vers la droite, la languette 1006 se trouvera sur le chemin de l'épaulement 1005 et arrêtera la crémaillère 992 lorsque l'épaulement 1005 entrera en contact avec la languette 1006, <B>,</B> que le chèque 152 sera ramené en <B>ï</B> alor, arrière vers la position des heures et des gains, ou première position d'impression.
Mais la barre 1001 sera ramenée entièrement à la position indiquée sur la fig. 86 en laissant un écartement plus grand entre la languette 1002 et le bloc 1003 de la crémaillère 992. Ce pendant, la barre 1007 ne retournera pas à la position indiquée sur la fig. 88 et il y aLira, par conséquent, un jeu entre la came 1008 et le galet du bras 1009 à la fin clé cette opéra tion particulière, comme il ressort de la 83.
La. barre 1007 est maintenue dans la posi tion indiquée sur les fig. 83 et 85, qui est la première position d'impression du chèque 152, par un cliquet 1012 qui s'engage sur Lin épau lement 1013 du côté inférieur de la barre 1007. Le cliquet 1012 pivote siu un axe 1014 porté par le châssis 134 et est normalement entraîné par un ressort 1015 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à tenir la pointe du cliquet 1012 contre la surface infé rieure de la barre 1007, de sorte que, lorsque la barre 1007 se déplace vers la gauche, comme expliqué ci-dessus, la pointe du cliquet 1012 s'engage à droite de l'épaulement 1.013 lorsque la barre a été déplacée vers la posi tion indiquée sur la fig. 85.
La languette 1002 est normalement en traînée par un ressort 1016 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 86) jusqu'à ce que le goujon auquel est fixé le ressort entre en contact avec la surface inférieure de la barre 1001. La languette 1002 porte égale ment Lin ergot 1017 normalement en contact avec la surface supérieure d'Lin bras 1018 pi votant sur un goujon 1019 également fixé au châssis 134, pour empêcher un ressort 1020 d'entraîner le bras 1018 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre.
Le cliquet 1006 porte un ergot 1021 normalement en contact avec une surface 1022 du côté infé rieur du bras 1018, mais, lorsque le cliquet 1006 se déplace sous ,l'action de la barre 1007 vers la gauche, le ressort 1010 entraîne le cliquet 1006 dans le sens des aiguilles d'une montre quand l'ergot l.021 passe de la surface 1022 vers le haut dans une partie incurvée 1023 du bras 1018, de sorte due le cliquet 1006 peut se placer sur le chemin parcouru par l'épaulement 1005 de la barre 1004. Le res- sort 1020 maintient un doigt 10\_'4 du bras 1018 normalement en contact. avec un ergot 1025 d'un bras 1026 pivotant également sur le goujon 1019.
Un ressort 1027 appuie le bras 1026 contre un ergot 1028 porté par le châssis 133 et le levier est, par conséquent, maintenu normalement dans la position indi quée sur la fig. 67.
On se rappelle que le cliquet 1006 est maintenu par son ergot. 1021 qui s'engage sur la surface inférieure 1022 du bras 1018, à l'écart du chemin de l'épaulement 1005 de la barre 1004.
Pour empêcher la languette 1002 d'entraî- ner la crémaillère 992 et d'actionner ainsi les rouleaux d'alimentation 964 pendant toutes les opérations qui suivent l'opération du mou vement initial lorsque la barre 1001 est ra-- inenée à droite vers la position de la fig. 83, la languette 1002 et son ergot 1017 se trou vent dans la position indiquée sur cette fi gure..
Cependant, la barre 1007 est, comme on se rappelle, déplacée auparavant à gauche de la position indiquée sur la fig. 88 à la posi tion de la fig. 83 et, lorsque cela a lieu, une came 1029 de la barre 1007 déplace, par son contact avec un goujon 1030 du bras 1026, ce dernier dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi le ressort 1020 entraîne le bras 1018 de la posi tion indiquée sur la fig. 87 vers la position pointillée de la fig. 83;
en conséquence, lors que la came 995 repousse la barre 1.001 à gauche,? ce qu'elle fait au cours de chacune des différentes opérations nécessaires pour imprimer les diverses données sur le chèque 152, _ l'ergot 1017 de la languette 1002 ren contre alors la surface de came 1031 du bras 1018 et déplace la languette dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, de manière qu'elle soit retirée du chemin par couru par le bloc 1003 de la crémaillère 992. La crémaillère 992 ne sera donc pas déplacée au cours des différentes opérations de la came 995 pendant l'impression de certaines données sur le chèque 152.
L'action du bras 1026 a lieu avant que la barre 1001 atteigne sa position de retour de droite indiquée sur la fig. 83, et pendant ce mouvement de la barre, l'ergot 1017 glisse évidemment le long de la surface supérieure du bras 1018, le ressort 1020 étant simple ment tendu. Mais, dès que l'ergot 1017 dé passe l'extrémité droite du bras, le ressort 1020 peut produire son effet et déplacer le bras 1018 vers la position indiquée par le tracé pointillé sur la fig. 83.
On se rappelle que, pendant ce mouve ment de la barre 1001 vers la droite et pen dant le retour de la crémaillère 992 à la po sition indiquée sur la fig. 87, où l'épaulement 1005 de la barre 1004 est en contact avec le cliquet 1006, le chèque 152 reste dans sa pre mière position (fig. 71). Les heures et les gains sont alors imprimés sur- la première ligne du chèque dans sa colonne 12. Les deux opérations suivantes, l'avancement du chèque vers la deuxième et troisième position d'im pression, s'effectuent par le cliquet 1.006 en co opération avec une série de dents 1032 de la barre 1004, de la manière décrite ci-après.
On se rappelle que la barre 1007 est arrêtée dans la position indiquée sur la fig. 85 par le cliquet 1012 qui s'engage sur l'épaulement 1013 lorsque le chèque 152 est ramené de la position initiale vers la pre- niière position d'impression. L'avancement à partir de cette position vers les deuxième et troisième positions différentes d'impression est .contrôlé par un groupe .de plaques sélec trices dont-l'une est représentée sur la fig. 83, indiquées sur la ligne 3 du tableau de con trôle (fig. 65); elles portent la référence groupe de plaques 1040 .
Ces plaques sont également représentées sur la fig. 57B. Il y a seulement deux plaques dans ce groupe, la plaque N 1 étant supprimée. La plaque N(2 est commandée par le différentiel de la ran gée N 2, et la plaque N 3 est commandée par le différentiel de la rangée N 1.
On se rappellera également que la plaque N 2, suivant le tableau de contrôle ligne 3 de la fig. 65 et aussi comme indiqué sur la. fig. 85,a des encoches dans les positions 0, V, VI, VIII et IN (romaines), c'est-à-dire que, lorsque le différentiel de la rangée 2 s'arrête dans l'une de ces positions, l'encoche est présentée au doigt contacteur supérieur du bloc contacteur 767 porté par un levier contacteur 1041 qui pivote sur l'arbre 762 et auquel est fixé un ressort qui entraîne le le vier 1041 normalement dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
La plaque N 3 de ce groupe de plaques 1040 a Lune encoche à. la position 0 (romain) qui est la position d'addition pour le différen tiel de la rangée 1. En conséquence, lorsque le différentiel de la rangée 2, dans les opéra tions d'addition, s'arrête dans une des posi tions indiquées sur la ligne 3, le levier 1041 peut être déplacé dans le sens contraire à ce lui des aiguilles d'une montre parce que le doigt supérieur du bloc contacteur 767 ren contre des encoches et permet ainsi le dépla cement du levier 1041 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sous l'ac tion du ressort 1042. Sur le levier 1041 pivote une articulation 1043 dont. l'extrémité infé rieure est en forme de fourche pour s'enga ger sur un goujon 1044 porté par le cliquet 1012.
Le mouvement du levier 1041 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre déplace donc le cliquet 1012 dans le même sens et dégage son bec de l'épaulement <B>1.013</B> de la barre 1007, à la suite de quoi un ressort 1045 relié au bras moteur 1009 (fig. 101) ramène la barre 1007 vers la droite clé la position de la fig. 85 jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée par le bec. d'une languette 1046 (fig. 85 et 102) qui entre en contact avec un épaulement 1047 de la barre<B>1.007.</B>
Or, lorsque la barre 1007 se trouve dans cette position, le bec de la languette 1006 est en prise avec la dent 1032 de gauche de la barre 1004, de sorte que la came 1008, lors qu'elle pivote pendant. le premier cycle d'opé rations où se fait la première impression, re pousse la barre 1007 à gauche et le cliquet 1006 entraîne la barre 1004 et la crémaillère 992 d'un pas pour faire tourner les rouleaux d'alimentation 964 dans le sens clés aiguilles d'une montre et avancer le chèque 152 de la première position d'impression vers la seconde.
Le même mouvement des pièces a lieu au cours de l'opération pour l'impression des heures supplémentaires et gains supplémen taires qui est la deuxième impression, faisant ainsi avancer le chèque 752 vers la troisième position pour permettre l'impression de la pave brute au cours de l'opération dite troi sième impression.
Lorsque le chèque 152 est amené à la posi tion de la deuxième impression, la crémail lère 992 est retenue dans cette deuxième po sition par le bec d'une languette 1048 pivo tant sur le goujon 1014 et en prise avec des (lents 1049 du côté inférieur de la crémaillère 992. La languette 1046 est. fixée à la lan- guette 1048 d'une manière rigide, comme indi qué sur la fig. 102.
La distribution du temps permettant le mouvement du levier 1041 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 85) sous l'action du ressort 1042 est contrôlée par des cames conjuguées 1051 et 1052 (fig. 84 et ligne 15 du tableau de dis tribution .des temps, fig. 109) qui coopèrent avec un levier coudé 1053 pivotant sur l'ar bre 737.
Sur le levier coudé 1053 est fixé un bras 1054 qui porte un goujon engagé dans un bras en fourche 1055, lui-même fixé sur un arbre 1056 supporté par les châssis 131 à 134 de l'imprimeur, comme on le voit sur les fig. 42A et 42B. Sur cet arbre 1056 est égale ment monté un bras 1057 (fig. 85) pourvu d'un ergot 1058 qui coopère avec un levier 1059 articulé à un goujon 1060 fixé sur le châssis 134 de l'imprimeur. Une articulation 1061 relie le levier 1059 au levier 1041.
Pendant le temps où la came 995 permet l'avance du chèque 152 de la position initiale, indiquée sur la fig. 71, vers la position de la première impression, les cames 1051 et 1052 agissent pour permettre au levier contacteur 1041 de se déplacer dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, afin de trou ver les encoches dans le groupe de plaques 1040 en déplaçant le levier coudé 1053 et le bras 1054 dans le sens des aiguilles d'une montre;
celui-ci déplace, à l'aide du bras 1055, l'arbre 1056 et le bras 1057 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi l'ergot 1058 s'écarte de la partie inférieure du levier 1059, permettant ainsi au ressort 1042 de déplacer le levier 1.041 dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre, afin qu'il puisse rencontrer les encoches dans le groupe de plaques 1040 et contrôler la languette 1012 de la manière décrite ci-dessus.
Après l'exécution de la première impres sion, les cames 1051 et 1052 fonctionnent à nouveau pour permettre au levier contacteur 1041 d'entrer en action et d'abaisser la lan guette 1012, de sorte que la barre 1007 puisse se déplacer à droite pour mettre la languette 1006 en contact avec la dent 1032 de gauche, de façon que le chèque soit avancé vers la po sition de la deuxième impression par la lan guette 1006 sous l'action de la came 1008.
Après la dellxlème impression, le même mouvement se reproduit et le chèque 152 avance vers la troisième position pour l'im pression de la paye brute .
Après l'impression de la paye brute , le chèque 152 est ramené vers la position de la première déduction, ou quatrième position d'impression. On va passer à la description des moyens destinés à ramener le chèque vers la quatrième position d'impression à la pre mière ligne (les déductions.
Ce mécanisme, représenté en particulier sur la fig. 100, est commandé par des plaques entaillées sous le contrôle des différentiels des rangées 1 et 2. Ces plaques portent le numéro de référence groupe de plaques 1065 et sont indiquées sur la ligne 2 du tableau de con trôle de la fig. 65, sur la fig. 100 ainsi que sur la fig. 57A.
Des cames conjuguées 1066 et 1067, indi quées sur la ligne 18 du tableau de distribu tion des temps, coopèrent avec un levier coudé 1068 pivotant sur l'arbre 737. Ce levier coudé est relié par une articulation 1069 à un levier 1070 pivotant au point 1071, sur mi levier contacteur 1072 qui, hli-même, pivote sur l'arbre 762 et a un ressort 1073 qui tend à entraîner le levier dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Ce levier 1072 porte le bloc contacteur habituel 767 co opérant avec le groupe de plaques 1065. Comme on le voit sur la ligne 2 de la fig. 65, la. plaque N 2 a des encoches aux positions 0 à 8, seule la position 9 (arabe) n'ayant pas d'encoche.
Dans les positions des chiffres ro mains, tous les saillants sont supprimés. Dans ce groupe particulier de plaques, ce sont les saillants plutôt que les encoches qui exercent le contrôle et, par conséquent, lorsque le dif férentiel de la rangée 2 arrive à la position 9 et rencontre un point saillant, le levier 1072 (fig. 100) n'est pas déplacé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre -par l'action des cames 1066 et 1067, parce que le doigt inférieur du bloc contacteur 767 ren contre à la position 9 de la plaque N 2 un point saillant,
position à laquelle le différen tiel de la rangée s'arrête automatiquement lorsqu'on actionne la touche 162 Paye brute pour sélectionner le côté -I->> du tota lisateur d'addition et soustraction, afin d'im primer la paye brute sur le chèque. La touche Paye brute de la rangée 1 se trouvant dans la troisième position, la plaque N 3 a des encoches à toutes les positions sauf dans cette troisième, -comme on le voit sur le tableau et, par conséquent, le doigt inférieur du bloc. contacteur 767 entre en contact avec cette plaque à la troisième position, ce qui empê che également le mouvement du levier 107\? dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
Puisque le levier 1072 ne peut se déplacer dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, le levier 1070 pivote autour de l'axe 1071 et déplace, par son con tact avec un goujon 1074 d'un bras 1075 oscillant sur la tige 744, ce bras 1.075 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre qui, .à l'aide d'un ergot 1076, déplace un bras 1077 et un arbre 1078 sur lequel il est fixé dans le sens des aiguilles d'une montre.
Sur l'arbre 1078 est également fixé un bras 1079 portant un ergot 1080 en prise avec une coulisse 1081 qui glisse sur le goujon 993 et un goujon 1082 (fig. 89) porté par la barre <B>1007.</B> Ce mouvement du bras 1079 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace la coulisse 1081 vers la droite (fig. 89), à la suite de quoi son doigt 1083 déplace cette dernière, par son contact avec un galet 108-1 porté par la languette 1048, dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à dégager son bec des dents 1049 de la crémaillère 992.
En même temps, un autre doigt 1085 de la coulisse 1081 entre en contact avec un ergot 1086 de la languette 1006 et déplace cette dernière dans le sens contraire à celui des aiguilles d'iuie montre en la dégageant de la barre 1004; à ce mo ment, étant donné que les deux languettes 1006 et 1048 sont dégagées de la barre 1004 et clés (lents 1049, le ressort 1011 entraîne la crémaillère, quelle que soit sa position, vers la droite jusqu'à ce que son extrémité droite entre en contact avec un bras 1087 filé sur l'arbre 1056. Ce bras 1087 (fig. 67, 81 et<B>87)</B> est muni d'un doigt 1088, maintenu en con tact avec un goujon 1089 du châssis 134 par un ressort 1090.
Pendant la première partie de l'opération d'impression de la première déduction, la barre 1007, lorsqu'elle est déplacée à gauche, oblige la languette 1006 à s'engager sur l'épaulement 1005 de la barre 1001 et à la dé placer légèrement à gauche, de manière à aligner le chèque 152 définitivement à la po sition de la première déduction, ou quatrième position d'impression, qui est exactement la même que celle qu'il avait occupée pour la première impression lors de l'impression des heures et des gains.
Après l'impression de la première déduc tion, le chèque 152 est à nouveau avancé suc cessivement à l'aide de la languette 1006 et de la barre 1001, afin d'imprimer la deuxième, troisième, quatrième et cinquième déduction qui correspondent à la cinquième, sixième septième et huitième position d'impression.
Après l'impression de la dernière déduc tion, tout est prêt pour que l'opérateur puisse appuyer sur la touche 162 Paye nette pour imprimer la paye nette de l'employé sur le chèque, somme qui, comme on l'a expliqué ci- dessus, représente la différence entre sa paye brute et les déductions. La paye nette, comme on le voit sur la reproduction du chèque de la fig. 21, s'imprime sur le chèque toujours au même endroit, en face de la quatrième dé duction qui constitue la. neuvième position d'impression, et on voit que le chèque est aligné à la quatrième déduction ou à la posi tion de la septième impression.
On décrira le moyen pour l'avancement du chèque à cette neuvième position d'impres sion ou position de paye nette en se reportant plus particulièrement aux fig. 65, 95 et 96.
L'avancement du chèque 152 vers la neu vième position d'impression, ou position de payé nette est également commandé par les plaques clé sélection désignées par: groupe de plaques 1095 . Elles sont indiquées sur la ligne 7 du tableau de contrôle (fi-. 65) et en partie sur la fig. 95. Sur l'arbre d'avancement 966 est fixée une roue d'engrenage 1096 (fig. 95) qui peut être entraînée par une crémaillère 1097 montée à glissement sur un goujon 1098 à son extrémité gauche et entre des goujons 1099, tous portés par le châssis 133 de l'imprimeur.
Près de la crémaillère 1097 est montée, sur le goujon 1098 et entre les goujons 1099, une barre 1100 pourvue d'un ergot 1101 qui est en engagement avec un bras 1.102 pivotant sur un axe 1103 fixé sur le châssis 133 de ,l'imprimeur. Le bras 1102 porte un galet 11.04 maintenu par un ressort 1105 en con ta-et avec une came 1106 calée sur l'arbre 370 de commande de l'imprimeur.
La barre 1100 porte un cliquet 1107 muni d'un goujon qui est maintenu en contact par un ressort 1109 avec un talon 1110 d'un bras 1111 fixé sur un moyeu 1112; sur ce moyeu est, à son tour, fixé un levier contacteur 1113 qui porte le bloc contacteur habituel 767 et au quel est .attaché un ressort 1111 qui tend à dé placer le levier 1113 et le bras 1111 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre.
Le levier 1113 est tenu en contact avec un goujon 1115 d'un bras 1116 qui est fixé sur l'arbre 762 lequel, comme on se rappelle, subit au cours de chaque opération de la ma chine d'abord un mouvement dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre et ensuite un mouvement. de retour vers la posi tion normale dans le sens des aiguilles d'une montre.
Lorsque l'arbre 762 subit un mouvement clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, le bras 1116 se déplace et écarte le goujon 1115 du levier 1113, après quoi le ressort 1114 entraîne le levier contac teur 1113 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre; les doigts inférieurs du levier et du bloc 767, s'ils rencontrent des encoches dans toutes les plaques du groupe 1095, sont déplacés d'une distance suffisante pour soulever le bras 1111, à la suite de quoi le ressort 1109 entraîne le cliquet 1107 dans le sens des aiguilles d'une montre en plaçant son extrémité gauche sur le chemin parcouru par l'épaulement 1117 de la. crémaillère 1097.
En se reportant à la fig. 65, ligne 7, on voit que la plaque N 1 ,commandée par le dis positif contacteur du chèque comprend une encoche à la position zéro (arabe) qui se trouve en face du doigt inférieur du levier 1113. La plaque N 2 possède une encoche à la neuvième position (arabe) et, étant donné que cette plaque est commandée par le diffé rentiel de la rangée N 2, déplacé au cours de l'opération paye nette vers la neuvième po sition, le doigt inférieur du bloc<B>767</B> se trou vera en face de l'encoche de cette plaque N 2.
La plaque N 3 coiuprend une encoche à la position 1 qui est la position paye nette,> de la rangée 1 et, par conséquent, le bloc con tacteur 767 et le levier contacteur 1113 ren contreront des encoches, en permettant. ainsi au ressort 1114 de soulever le bras 1111, à la suite de quoi le cliquet<B>1107</B> sé placera sur le chemin parcouru par l'épaulement 1117 de la crémaillère 1097.
Ensuite, la came 1106 re pousse le bras 1102 et déplace la barre 1100 vers la gauche, de sorte que le cliquet 1107 entre en contact avec l'épaulement 1117 et déplace la crémaillère 1097 vers la position paye nette ou neuvième position d'impres sion, ceci, bien entendu, en supposant que la crémaillère se trouve dans la position indi quée sur la fig. 96.
Mais, cette crémaillère peut se trouver beaucoup plus à. gauche de la position indiquée par la fig. 96; dans ce cas, le cliquet 1107, à la suite du mouvement de la barre 1100, se déplacera simplement à vide vers la gauche et, lorsque la crémaillère 992 (fig. 84) est abandonnée à l'action de son ressort 1011, un ressort 1118 (fig. 96) fixé à la crémaillère 1097 entraîne la crémaillère 1097 avec .la crémaillère 992;
étant donné qu'elles sont entraînées ensemble par leurs roues d'engrenages 1096 et 991, elles occupe ront toujours la même position et, lorsque la crémaillère 1097 se déplace à droite sous l'action de son ressort 1118, elle se déplacera jusqu'à ce que l'épaulement 1117 entre en contact avec le cliquet 1107 repoussé par la came 1106 à droite vers une position défini tive qui est la position clé paye nette ou neuvième position d'impression.
Les cames 975, 995 et 1008 qui comman dent l'avancement du chèque et la came<B>1119</B> (fig. 79) commandant. le mécanisme éjecteur du chèque sont toutes montées sur un moyeu 976. Sur lemoyeu976 estégalemen@fixéun@rnanclion 1120 pourvu d'un épaulement 1121 (6g.93). Le manchon 1120 et le moyeu 976 tournent sur l'arbre 370.
Sur l'arbre de commande de l'imprimeur, près de l'épaulement 1121 du manchon 1120, est fixée une plaque 1122 por tant un cliquet d'entraînement 1123 appuyé par un ressort 1124 contre l'épaulement 1121; donc, lorsque l'arbre 370 pivote dans le sens des aiguilles d'une montre, toutes les cames 975, 995, 1008 et 1119 sont entraînées avec l'arbre 370 aussi longtemps que le cliquet 1123 est en prise avec l'épaulement 1121. Un cliquet de freinage 1125 interdit tout mouve ment de l'épaulement 1121 en arrière.
En se reportant aux fi-.<B>90</B> et<B>91,</B> on se rappelle qu'en cas d'absence d'un chèque dans la. machine, le contacteur 858 provoque le dé placement du levier 886 dans le sens des aiguilles d'une montre et, dans ce cas, un gou jon 1126 fixé sur ce levier déplace un bras 1127 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme représenté sur la fig. 91. Ce bras 1127 est fixé sur la tige 882 sur laquelle est également fixé un bras 1128, et ce dernier, lorsque la tige pivote dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, se place sur le chemin d'une queue 1129 du cliquet 1123.
En conséquence, lorsque la plaque 1122 est entraînée par l'ar bre 370 dans le sens des aiguilles d'une mon tre et que la queue 1129 du cliquet 1123 entre en contact avec le bras 1128, ledit cliquet. est. dégagé de l'épaulement 1121 du manchon 1120, et :ce manchon 1120 n'est pas entraîné avec l'arbre 370 pendant. des opérations de la machine où il n'y a pas de chèque pour re cevoir les empreintes et, par conséquent, au cune des cames 975, 995, 1008- ou 1119 ne sera actionnée au cours de telles opérations.
Mécanisme éjecteur <I>des</I> chèques. Après l'impression de la paye nette sur le chèque 152, .ce dernier est éjecté et retourné pendant l'éjection, de sorte que les chèques seront mis en piles dans l'ordre numérique. La pile ides chèques reste sur une tablette 1130 (fig. 1) près de la partie centrale de la ma= chine au-dessous du guide-chèque 961.
Le mécanisme éjecteur des chèques est re présenté sur les fig. 66, 67, 79 à 82 et 104. Le déflecteur 962 se trouvant dans la position normale indiquée sur les fig. 67, 71 et 79, l'opérateur introduit le chèque 152 jusqu'à la butée 963, comme indiqué.
L'insertion s'effec tue évidemment au-dessous du déflecteur-962. Après l'insertion, les rouleaux d'alimentation 964 tournent pour avancer le chèque<B>1.52,</B> afin qu'il puisse recevoir les différentes impres sions par des moyens qui ont été décrits ci- dessus. Pendant l'impression des deux ou trois dernières déductions, le chèque 152 est amené vers la position indiquée sur la fig. 82, le déflecteur 962 étant préalablement abaissé de la position de la fig. 79 vers la position indiquée sur la fig. 82;
ensuite, après l'opéra tion de la touche paye nette et pendant. le temps d'impression de la paye nette , le chè que 152 reste sensiblement dans la position de la fig. 82 où il est prêt à être éjecté de la machine par le mécanisme éjecteur et en même temps automatiquement retourné, de façon que soit maintenu l'ordre numérique ou alphabétique des chèques lorsqu'ils sont. en tassés sur la tablette 1130.
Le déflecteur 962 est fixé sur un arbre 1132 porté par le guide-chèque 961. Sur cet arbre 1132 est également fixé un bras 1133 (fig. 80) muni d'un ergot en engagement avec un bras 1134 qui pivote sur un arbre 1135 porté par des consoles 1136 fixées à la tra verse 138. Le bras 1134 a un doigt 1137 main tenu en contact avec mi goujon 1138 d'un levier 1145 par un ressort 1139 qui est tendu entre Lui goujon du bras 1134 et le goujon 1138.
Sur l'arbre 1135 est également monté, à rotation, le levier 1145 muni d'un doigt 1140 maintenu en contact avec un goujon 1141 du châssis .134 par un ressort 1142. Sur l'arbre 1135 est fixé un bras moteur 1143, représenté dans la position normale sur la fig. 80.
Par des moyens décrits ci-après, l'arbre 1135 peut recevoir d'abord un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre et en suite un mouvement de retour vers la position normale dans le sens contraire. Par suite du mouvement de l'arbre 1135 dans le sens des aiguilles d'une montre, le bras 1143 s'engage sur un goujon 1144 porté par le levier 1145 et déplace ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre, après quoi le ressort 1139 oblige le doigt 1137 à rester en contact avec le goujon 1138 du levier 1145 et déplace, par conséquent, le bras 1134 dans le sens des aiguilles d'une montre en entraînant le bras 1133 et le déflecteur 962 dans le sens con traire, de la position indiquée sur les fig. 79 et 80 vers celle de la fig. 82.
On décrira maintenant les moyens des tinés à faire tourner l'arbre 1135 et à le re tenir. Sur l'arbre 1135 est montée une roue dentée 1150 (fig. 66, 79 et 104) qui engrène avec une crémaillère 1151 supportée à glisse ment par un goujon 1152 fixé sur le châssis 134 et par l'arbre 737. A cette crémaillère 1151 est attaché un ressort 1153 entraînant la crémaillère normalement vers la droite en regardant la fig. 79. La crémaillère 1151 porte une petite crémaillère 1154 qui engrène avec un pignon 1155 oscillant sur l'arbre 737. A ce pignon 1155 est fixé un pignon plus petit 1156 qui engrène avec un segment denté 115 7 pivotant sur un goujon 1158 porté par les châssis 134 et 135 de l'imprimeur.
A ce seg ment 1157 est fixé un bras 1159 portant un galet 1160 qui coopère avec la came 1119 men tionnée ci-dessus et qui, comme on se rappelle, est fixée sur le manchon 976 et entraînée par le mécanisme d'accouplement représenté sur les fig. 93 et 94.
Dans le but de maintenir le segment 1157 dans la position normale indiquée sur la fig. 79, le segment a un bras qui lui est soli daire 1161 engagé sur un ergot 1162 fixé sur un bras 1163 tendu par un ressort et pivo tant sur un goujon 1164 porté par le châssis l33: Ce bras 1163 est situé entre la came 975 et, la came 1119 et peut être actionné par un galet porté par les cames 975 et 1119.
La distribution des temps pour la came a119 est indiquée sur la ligne<B>16</B> du tableau de la fig. 109 qui montre que le déflecteur est fermé à partir de 60 degrés et jusqu'à 160 degrés, c'est-à-dire pendant l'opération du mouvement initial du chèque indiquée sur la fig. 71.
A ce moment, la came 1119 déplace, @. l'aide du bras 1159, le segment 1157, la cré maillère 1154 et les pignons 1155 et 1156, la crémaillère 1151 de la position indiquée sur la, fig. 79 vers la gauche jusqu'à ce qu'une encoche 1166 dans la crémaillère 1151 se trouve au-dessous d'un bloc 1167 fixé sur un bras coudé 1168 (fig. 66) qui pivote sur un axe 979. Ce bras coudé 1168 est fendu pour engager un goujon 1169 fixé sur le verrou de freinage 984 des rouleaux tendeurs décrit pré cédemment.
Lorsque ce verrou 984 se déplace de la po sition indiquée sur la fig. 66 vers celle de la fig. 103, il entraîne le bras 1168 dans le sens contraire à celui des'aigiûlles d'une montre après que l'encoche 1166 a été placée au-des sous du bloc 1167 et ce dernier, par consé quent, s'engage dans l'encoche 1166 et retient la crémaillère dans sa position de gauche en maintenant ainsi le ressort 1153 sous tension. Cette position de la crémaillère 1151 est, comme on l'a dit ci-dessus, maintenue jusqu'à ce qu'il soit temps d'éjecter le chèque pendant l'opération de paye nette .
La partie surélevée de la. came 111_9 donne un peu de jeu entre le bord gauche du bloc 1167 et le côté gauche -de l'encoche 1166, de sorte que, lorsque le temps vient de dégager le verrou de l'ergot 983, ce qui s'obtient par des moyens qui seront décrits ci-après. sous le contrôle d'un groupe de plaques de contrôle, ce mécanisme n'a pas à. surmonter toute la force du ressort tendu.
Après dégagement du verrou 984 de l'er got 983, le bras 1168 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre et la crémaillère 1151 est, par conséquent, abandonnée à l'ac tion du ressort de tension 1153 qui entraîne la crémaillère 1151 rapidement à droite en faisant tourner rapidement. -l'arbre 1135 clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre par l'intermédiaire du pignon 1150, de faon à éjecter et à retourner le chèque 152 qu'on a placé dans la position montrée sur la fig. 82.
Pour permettre, pendant le mouvement d'éjection, à la barre d'avancement 1101- (fig. 83, 85 et 89) de retourner à sa position normale, le cliquet 1006 est dégagé des dents 1032 grâce au contact de la queue du cliquet 1006 avec un goujon-came 1179 fixé sur le châssis 134.
On décrira ci-après les moyens destinés à éjecter et à retourner le chèque. Ce méca nisme servant à éjecter et à retourner le chèque comprend une paire de plaques 1170 (fig. 67, 79, 81 et 82) sensiblement circulai res, montées folles sur l'arbre 1135. Chaque plaque 1170 a un rebord à angle droit sur le quel est fixé un doigt courbé 1172 avec lequel coopère un doigt grippeur 1173 d'un levier 1174 pivotant sur un axe 1175 fixé sur la plaque 1170.
Dans les positions normales de ces pièces, indiquées sur les fig. 79 et 81, un ressort 1176 relié à un goujon 1177 du levier 117.1 et à un goujon 1178 de la plaque 1170 entraîne le doigt 1173 vers la surface intérieure du doigt 1172, mais, par des moyens qui seront décrits ci-après, le doigt 1173 est tenu à l'écart dit doigt 1172. Le levier 1174 porte également un ergot 1180 (fig. 82) destiné à coopérer avec un bras de commande 1181 coopérant. également avec un ergot 1182 porté par la plaque 1170.
Le levier 1174 (fig. 81) porte un galet 1185 passant dans une ouverture 1186 prati quée dans la plaque 1170 pour coopérer avec une came 1187, angulairement réglable autour de l'arbre 1135. Dans ce but de réglage, la came 1187 est munie de deux goujons 1188 q111 pénètrent dans deux fentes concentriques 1189 pratiquées dans la console 1136.
A l'aide des fentes 1189 et des goujons 1188, la came 1187 peut être réglée angulairement autour de l'arbre 1135, de manière à amener la sur- face de commande 1190 à la position voulue, en vue de la coopération avec le galet 1185 (lit levier 1174. Après l'ajustage de la surface de commande 1190 à la position nécessaire, la came 1187 est bloquée dans cette posi tion de réglage par des écrous<B>11,91.</B> Dans la position normale (fig. 81), la surface 1190 de la came tient, par son contact avec le galet 1l85, le doigt 1173 à l'écart. du doigt 1172 contre la tension du ressort 1176.
Au cours du mouvement initial du chèque, la crémaillère 1157_ se déplace vers la gauche de la manière décrite ci-dessus. Pendant ce mouvement de la crémaillère vers la gauche, qui fait tourner l'arbre 1135 dans le sens des aiguilles d'une montre, les bras moteurs 1181 se déplacent naturellement dans le même sens et, les plaques 1170 mobiles, ou montées folles, tournent dans le sens des aiguilles d'une mon tre en maintenant les ergots 1182 contre les bras 1181 du fait que la plus grande partie du poids des plaques 1170 se trouve, dans la position normale, à. droite de l'arbre 1135.
Pendant la première partie du mouvement des plaques 1170 dans le sens des aiguilles d'une montre, les surfaces 1190 des cames sta tionnaires 1187 tiennent les doigts<B>1173</B> éloi gnés des doigts 1172. Ensuite, lorsque les ga lets 1185 quittent les surfaces 1190, les res sorts 1176 entraînent les leviers 1174 dans le sens des aiguilles d'une montre sur leurs ergots 1175 jusqu'à ce que les doigts 1173 entrent en contact avec les doigts 1172. A ce moment, il n'y a pas de chèque entre les doigts 1172 et 1173.
Mais, lorsque les bras 1181 continuent leur mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, l'écartement entre les bras et les ergots 1180 se ferme et les bras 1181 continuent à entraîner les plaques 1170 dans le sens des aiguilles d'une montre jus qu'à ce que les pièces atteignent la position indiquée sur la fig. 82.
Lorsque les plaques 1170 atteignent cette position, un goujon 1194 de chaque plaque entre en contact avec un goujon carré 1195 fixé sur chaque console stationnaire 1136 en arrêtant ainsi le mouvement des plaques 1170 dans le sens des aiguilles d'une montre. En- suite, l'arbre 1135 et les bras 1181 n'ont qu'un petit mouvement à effectuer dans le sens des aiguilles d'une montre pour attein dre le point extrême de leur rotation dans ce sens;
pendant ce temps, les bras 1181 dé placent, par leur contact avec les ergots 1180, les leviers 1174 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre autour de .leurs pivots 1175, de manière à ouvrir les doigts grippeurs 1173 ou, en d'autres termes, à écar ter ces doigts 1173 de la surface intérieure vies doigts 1172, de sorte que le chèque puisse avancer entre les doigts 1172 et 1173, comme représenté sur la fig. 82. Sur cette figure, le chèque 152 est représenté ait moment où il vient d'entrer dans l'espace entre les doigts _1172 et 1173; pendant l'opération paye nette , il se trouvera plus à gauche avant qu'il soit éjecté et retourné.
Après l'exécution de toutes .les impressions sur le chèque 152 pendant l'opération paye cette ou opération de la neuvième impres sion, le bras 984 (fig. 66) dégage, sous le contrôle des moyens décrits ci-après, le bloc 7167 de l'encoche 1166 dans la crémaillëre 1151.
Après dégagement du bloc 1167 de l'en coche 1166, le ressort tendu 1153 entraîne la crémaillère 1151 très rapidement à droite, de manière à faire tourner l'arbre 1135 et les bras 1181 rapidement dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre vers leurs positions normales. Tout au début de ce mou vement dans le sens indiqué des bras 1181, ceux-ci s'écartent des ergots 1180 et entrent en contact avec les ergots 1182 des plaques 1170. Lorsque les bras 1181 quittent les ergots 1180 des leviers 1174, les ressorts 1176 dé placent les leviers 1174 en amenant ainsi les doigts 1173 à enserrer avec force le chèque 152 entre eux-mêmes et la surface intérieure des doigts 1172.
Ensuite, le mouvement ultérieur des bras 1181 clans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre déplace, par le contact de ces bras avec les ergots 1182, les plaques 1170 dans le même sens, à la suite de quoi les doigts 1172 et 1173 éjectent le chèque 152 de la. machine. Au cours de cette éjection, le chè que se retourne et son arête antérieure touche les bords des consoles 1136.
Toutefois, immé diatement avant que l'arête antérieure du chèque 152 entre en contact avec les consoles 1136, les galets<B>1185</B> des leviers 1174 sont entrés en contact avec la surface surélevée 1190 des cames<B>1187</B> en déplaçant ainsi le levier 1174 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action des res sorts 1176, de manière à ouvrir les doigts 1172 et 1173 ou, autrement dit, à éloigner les doigts 1173 du chèque 152 et laisser tomber ce dernier sur la tablette 1130.
Or, à la suite du mouvement -ultérieur des plaques 1170 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre vers leurs positions normales,- le chèque ne peut aller phis loin, puisque son arête antérieure touche le bord des consoles 1136 et, par conséquent., les doigts ouverts 1172 et 1173 dépassent les bords du chèque et celui-ci tombe sur la ta blette 1130 représentée sur les fig. 1 et 79.
Il y a lieu de noter ici que, pendant le temps où les plaques 1170 se déplacent dans le sens des aiguilles d'-une montre, les galets 1.185 des leviers 1174 sont en contact. avec les surfaces surélevées 1190 des cames fixes 1187 et ouvrent les doigts 1172 et 1173, mais, du fait que, dans cette phase, il n'y a pas de chè que ou autre document entre les doigts, ce mouvement est un mouvement à vide et, dès que les galets 1185 ont quitté les côtés supé rieurs des surfaces surélevées 1190, les res sorts 1176 mettent les leviers 1174 dans une position où les doigts 1173 touchent à nou veau l'intérieur des doigts 1172.
Le moyen destiné à dégager le verrou 984 (fig. 66 et 103) de l'ergot 983 porté par le levier coudé 978 du rouleau tendeur est com mandé pas un groupe de plaques sélectrices, désigné par groupe de plaques 1200 , indi qué sur la. ligne T du tableau de la fig. 65 et représenté sur les fig. 57B et 84.
Ce groupe ne contient que deux plaques, la plaque N 2 étant contrôlée par le différenties de la ran gée 2 et la plaque N 3 par le différentiel de la rangée 1, Le tableau de contrôle de la fig. 65 montre que la plaque N 2 comprend des encoches aux positions 2, 3 et 4 (arabes) et que la plaque N 3 comprend des encoches aux positions 0 et 6 (arabes). Let encoches 2, 3 et 4 de la plaque 2 servent à l'éjection de la fiche 156 (fig. 25) imprimée au cours des opérations d'analyse, et les encoches 0 et 6 (arabes) de la plaque N 3 sont utilisées en combinaison avec les encoches 2, 3 et 4 de la plaque 2 pendant l'opération d'analyse.
La plaque N 2 possède également des encoches aux positions II, IV et IX (romaines) dont les positions II et IV servent à l'analyse, et la plaque N 3 comprend des encoches aux posi tions 0; I, IV et V servant également à l'ana lyse. La plaque N 2 possède une encoche à la position IX (romaine) correspondant à la po sition 9 du différentiel de la rangée 2, sélec tionné lors de l'opération paye nette pour extraire du totalisateur d'addition et sous traction la paye nette de l'employé; la plaque N 3 est entaillée à la position I (romaine), qui est la position correspondant. à la touche 162 Paye nette .
En d'autres termes, la pla que N 2 doit être dans la position 9 et la plaque 3 doit se trouver dans la position 1 pour que le mécanisme contacteur puisse fonc tionner convenablement, afin de dégager le verrou 984 de l'ergot 983, de manière à effectuer une opération du mécanisme éjec- teur du chèque qu'on vient de décrire.
En se reportant maintenant particulière nient aux fig. 66, 67 et 84, on voit que sur l'arbre 762 pivote un levier contacteur 1201. muni d'un ressort 1202 qui tend à entraîner ce levier dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Sur ce levier 1201 pivote une articulation 1203 pivotant égale ment sur un bras 1204 monté sur le goujon 1060 et entraîné par le ressort. 1202 contre un goujon 1205 porté par un bras 1206 calé sur l'arbre 1056.
On se rappelle que l'arbre 1056 tourne, sous l'action des cames 1051 et 1052, d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et en suite dans le sens inverse. Pendant le mouve ment de l'arbre 1.056 dans le sens des aiguilles d'une montre, le goujon 1205 s'éloigne du bras 1204, à la suite de quoi le ressort 1202 ohlige l'extrémité inférieure du bras 1204 à suivre le goujon 1205 et à déplacer l'articu lation 1203 à gauche, de manière à déplacer le levier 1201 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à condition que la plaque N 2 ait été ajustée à la position 9 et la plaque N 1 à la position 1,
à la suite de quoi le doigt supérieur du bloc contacteur 767 porté par le levier 1201 s'engage dans les encoches des deux plaques N 5 2 et 3 du groupe 1200. L'articulation 1203 porte un ergot 1207 qui, lorsque l'articulation se déplace vers la gauche, entre en contact. avec un bras 1208 calé sur l'arbre 985 et fait tourner cet arbre dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre en dégageant ainsi le verrou f)84 de l'ergot 983 et le bloc 1167 de l'encoche 1166 ménagée dans la crémaillère 1151, après quoi le ressort 1153 actionne le mécanisme électeur de la faon décrite.
Toutefois, avant que ce mécanisme éjec-. teur puisse être manceuvré, il faut que la lan guette 1048 (fig. 84) soit dégagée des dents 1049 de la crémaillère 992, que la languette "L012 soit dégagée de l'épaulement 1013 de la barre 1007 et que la languette 1046 soit éloi gnée du chemin parcouru par l'épaulement 10-17 de la barre 1007.
En d'autres termes, il faut, pour que ces languettes soient .dégagées, que le doigt supé rieur du bloc<B>767</B> porté par le levier 1201 rencontre des encoches dans la position IX (romaine) de la plaque 2 et dans la position I (romaine) de la plaque N 3 commandées res pectivement par les différentiels des rangées '? et 1. Lorsque cela a lieu, le levier 1201, comme on l'a dit plus haut, est déplacé par son ressort 1202 dans le sens .contraire à celui des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi une articulation 1209 pivotant sur le levier 1201 est déplacée vers le bas. Cette articula tion est fendue pour embrasser un goujon 1210 d'un bras 1211 qui pivote sur le goujon 1.014.
L'extrémité extérieure du goujon 1210 est découpée en demi-cercle, comme indiqué sur les fig. 84 et 102, qui correspond à un demi-cercle découpé dans un autre goujon 1212 porté par la. languette 1048.
En conséquence, lorsque l'articulation 1209 s'abaisse, le bras 1211 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et la section demi-circulaire du goujon 1210 déplace, en raison de son contact avec la sec tion demi-circulairè du goujon 1212, la lan guette 1048 dans le même sens en libérant ainsi son bec moteur des dents 1049 de la cré maillère 992. La languette 1046 étant rigide ment fixée à la languette 1048, le bec de cette languette 1046 s'abaisse en s'écartant du che min parcouru par l'épaulement de la barre 1007.
Le bras 1211 est solidaire d'un étrier 1213 qui est .fixé à un bras 1214 (fig. 102) pivotant également sur l'axe 1014 qui se trouve .au-dessus de l'axe 1044 du cliquet 1012; par conséquent, lorsque le bras 1211 se déplace sous l'action de .l'articulation 1209 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, l'étrier 1213 et le bras 1214 se déplacent dans le même sens, par suite de quoi le cliquet 1012 est entraîné dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à dégager son bec de l'épaule ment 1013 de la barre 1007.
Par le mécanisme qu'on vient de décrire, tout le mécanisme d'alimentation de l'impri meur est ramené à sa position normale et les rouleaux tendeurs. 965 (fig. 66 et 67) se dé placent vers le haut par rotation de l'arbre 969 dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 990 lorsque le bras 984 est dégagé de l'ergot 983 du levier coudé 978.
Afin d'assurer le dégagement du chèque 152 des rouleaux 965 et 966 au-dessus de ta butée 963 et pour éviter que la butée touche le papier, le retour des butées 963 à leurs po sitions normales est légèrement retardé par le mécanisme suivant.
Sur le goujon 1135 pivote un bras coudé 1215 qui est placé dans la position indiquée sur la fig. 103 par un goujon fixé sur la cré maillère 1151 lorsque cette dernière se dé= place de la position de la fig. 79 à gauche à la position indiquée sur la fig. 103. Ce mou- vement amène, à l'aide d'une articulation 1217 pivotant sur le coude 988, ce coude 988 à la po sition indiquée sur la fig. 103 où il se trouve au-dessous de l'ergot 989 de l'articulation 980 qui maintient les butées 963 dans la position sbaissée indiquée sur la fig. 103.
Lorsque la crémaillère 1151 se déplace à droite par le ressort 1153 pour éjecter le chèque 152, un 'bras 1218, solidaire du coude 1215, est main tenu dans la position de la fig. 103 jusqu'à ce que le goujon 1216 se soit éloigné de dessous ce bras 1218, ce qui donne au chèque un temps suffisant pour que l'on ait la certitude qu'il est sorti d'entre les rouleaux 965 qui ont été soulevés de la manière décrite précédem ment après le dégagement du bras 984 de 1-'ergot 983, de sorte que le ressort 990 peut déplacer la crémaillère 988 et, par conséquent,
l'arbre 987 et le bras 986 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre lors- ci-Lie l'ergot 989 est déplacé à gauche hors d'atteinte du doigt du coude 988, de sorte que, sous l'action du ressort 990, les doigts ou butées 963 seront ramenés à leurs positions normales prêtes à arrêter un deuxième chè que 152 introduit de même dans la position indiquée sur la fig. 71.
<I>Avance du bordereau et</I> sélection <I>des colonnes et des lignes.</I>
On se rappelle que le bordereau de paye 151 (fig. 28) porte les noms de plusieurs em ployés, leur nombre dépendant du système appliqué par l'employeur qui fait établir les chèques de paye sur la machine représentée.
Ainsi qu'on le voit sur la fig. 28, on a prévu pour chaque employé un espace et, dans cet espace, on remarque deux lignes imprimées. Dans la colonne 2, par exemple, la paye brute est imprimée sur la ligne supé rieure de l'espace et la paye nette sur la ligne inférieure pour Jean Dupont, employé, dont le décompte complet est contenu dans le pre mier espace du bordereau de paye. Le numéro d'ordre se trouve sur la ligne du haut de l'espace. Les déductions peuvent être impri mées sur la ligne du haut ou sur la. ligne du bas ou sur les deux dans chaque colonne par- ticulière suivant 1a nature de ces déductions.
Dans la machine représentée, on a prévu des moyens spéciaux en vue de la sélection soit de la ligne supérieure, soit de la ligne infé rieure, sous le contrôle des touches des ran gées 1, 2, 3 et 4.
Il y a également un nouveau mécanisme pour l'avance du bordereau de paye 151 de la ligne inférieure d'un espace, par exemple de l'espace réservé à Jean Dupont, à la ligne su périeure du prochain espace suivant, réservé par exemple à René Dubois, au cours de l'opé ration de la machine pour l'enregistrement des gains antérieurs. Le bordereau sera, par conséquent, ajusté pendant. l'opération qui suit immédiatement après, lors de l'enregistre ment dit nombre d'heures de l'employé et des sommes correspondant à ces heures sur la ligne du haut du premier espace, de telle sorte que les heures et le montant seront imprimés sur la ligne supérieure du premier espace, comme indiqué dans les colonnes 3 et 4 par l'impression des R-40.00 et R-50.00 .
Le bordereau de paye 151 peut être avancé par trois rouleaux -d'alimentation 1210 (fi-. 45) fixés sur un arbre 1241 qui est supporté par les châssis 131, 132 et 133 de l'imprimeur, comme indiqué sur la fig. 42A.
Avec chacun des rouleaux d'alimentation 1240 coopère un rouleau tendeur 1242 (fig. <B>68)</B> porté par un bras 1243 d'une bride et monté, sous la tension d'un ressort, sur un arbre 1244 qui est supporté par des consoles 1245 fixées à la base 123. Les rouleaux tendeurs et leurs bras 1243 sont maintenus en contact. avec la feuille du bordereau au-dessus des rouleaux .d'alimentation 1240 sous l'action d'iui ressort, exactement de la, même façon que les rouleaux tendeurs 965 sont main tenus en contact avec le chèque sur les rou leaux d'alimentation 964, comme décrit pré cédemment.
normalement, les rouleaux tendeurs 1242 sont en prise avec les rouleaux d'alimentation 1240, de telle manière qu'on peut introduire dans la machine un bordereau de paye 151 dans la position désirée, de sorte qu'il soit avancé vers la position où il reçoit la pré- infère impression des heures et du montant correspondant à ces heures;
les rouleaux 1242 doivent être dégagés des rouleaux 1240 par un levier manuel<B>1257</B> décrit. ci-après (fig.69). L'opérateur introduit alors le bordereau 151 clans la machine jusqu'à ce que la. double ligne immédiatement au-dessous du mot Noms se trouve au niveau du bord anté rieur d'une courte barre 1246 (fig. 1) sous laquelle se place le bord du bordereau 151 lors de son insertion dans la machine.
Après l'insertion du bordereau dans la ma chine, les rouleaux tendeurs 1242 doivent. être mis en contact avec le bordereau pour le ser rer contre les rouleaux d'alimentation 1240; le verrou de la machine doit être dégagé pour que la machine puisse être mise en marche. Ce verrou de la machine consiste en un levier 1247 analogue au levier 917 de la fig. 66.
Ce levier 1247 est relié par une articulation 1248 à im bras (non représenté) monté sur l'ar bre 628 (fi-. 33 et 34), lequel, comme on se rappelle, est relié à l'arbre 149 de déblocage qui se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre pour actionner la machine et, lors qu'il se déplace dans ce sens, le levier 1247 est déplacé dans le même sens par l'articula tion 1248. Toutefois, comme on le voit sur la fi-. 68, lorsque les rouleaux tendeurs sont écartés, le levier 1248 ne peut se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre du fait qu'in bras-verrou 1249 pivotant sur l'arbre 1241 se trouve au-dessous d'un doigt <B>1</B>250 du levier 1247.
Pendant le temps où les rouleaux tendeurs J.242 prennent la position d'opération, .le bras verrou 1249 est retiré de la position de blo cage par rapport au doigt 1250 par le moyen suivant. Le bras-verrou 1249 est muni d'un doigt 1251 qui est normalement engagé sur un épaulement 1252 d'un bras 1253 sous l'ac tion d'un ressort. 1254. Ce bras 1253 est monté fou sur un arbre 1255 supporté par les châs sis 131, 132 et 1.33 de l'imprimeur. Sur un goujon 1256 fixé au châssis 131 pivote le le vier manuel 1257 mentionné ci-dessus (fig. 39 et 69) et monté entre le châssis 131 et une plaque-guide 1258 fixée sur le châssis 131.
Sur la fig. 69, le levier 1257 est repré senté dans sa position normale. Lorsque ce levier se déplace à gauche vers la position Tension , indiquée par un tracé pointillé, une articulation 1259 qui pivote sur ce levier et également sur un bras 1260 fixé sur l'arbre 1255 fait tourner ce dernier dans le sens des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi un goujon 1261 (fig. 68) d'un bras 1262 fixé sur l'arbre 1255 entre en contact avec le cêté su périeur du bras 1253 en le déplaçant dans le sens des aiguilles d'une montre contre la ten sion:
du ressort 1254 et en dégageant l'épaule ment 1252 .du doigt 1251 du bras-verrou 1249, après quoi lin ressort 1263 fixé au bras 1249 déplace ce dernier dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à éloigner son extrémité supérieure de dessous le doigt 1250 du levier 1247.
En même temps, le doigt 1251 est engagé sur un épaulement de l'encoche 1252, de manière à maintenir le bras-verrou 1249 dans la posi tion de déblocage, de sorte que le levier 1247 soit déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre, afin de permettre à l'arbre 149 de tourner dans. le sens des aiguilles d'une mon tre pour déclencher le fonctionnement de la machine.
Lorsque le bras l262 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, un bras 1264, solidaire du bras 1262, entre en contact avec un goujon<B>1.265</B> fixé sur une articulation 1266 et déplace l'articulation de la position de la fig. 68 à droite à la suite de quoi un goujon 1267 porté par .l'articulation 1266 déplace un bras en fourche 1268 fixé sur l'arbre 1244 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à permettre aux rouleaux tendeurs 1242 de s'abaisser et d'en trer en contact avec le bordereau sur les rou leaux d'alimentation sous la tension d'un res sort, exactement de la.
même manière que les rouleaux 965 de la fig. 103 s'abaissent vers le chèque situé sur les rouleaux d'alimentation 964 du chèque.
L'articulation 1266 est montée de manière à glisser par .son extrémité gauche sur un arbre 1269 supporté par les châssis 131, 132 et 133 et son extrémité droite pivote sur l'extrémité supérieure d'un bras coudé<B>1270</B> qui, lui-même, oscille sur un goujon 1271 porté par le châssis 133 de l'imprimeur. Le mouvement de l'articulation 1266 vers la droite déplace le coude 1270, à la suite de quoi un goujon 1272 fixé sur ce coude se place au-dessous d'une encoche d'un verrou 1273 fixé sur un arbre 1274 supporté par les châssis 131, 132 et 133 de l'imprimeur.
Un ressort 1275 maintient le verrou normalement contre le goujon 1272 et, lorsque l'ergot se dé place à droite, comme indiqué sur les fig. 68 et 69, le ressort 1275 déplace le verrou, à la suite .de quoi son encoche s'engage sur le gou jon 1272 et maintient le bras coudé 1270 dans sa position de manoeuvre en maintenant ainsi les rouleaux tendeurs 1242 dans leurs posi tions de fonctionnement par rapport aux rouleaux d'alimentation 1240.
Pour pouvoir retirer le bordereau de paye b151 de la. machine après l'établissement des chèques pour les employés indiqués sur le bordereau et dont le nombre peut être quel conque, 50 ou 60 par exemple, il faut libérer les rouleaux tendeurs 1242, de manière à pou voir retirer le bordereau sans le déchirer. _A cet effet, on a prévu un bras en fourche<B>1276</B> également fixé sur l'arbre 1255 (fig. 69 et 70), qui s'engage sur un goujon 1277 porté par une articulation 1278 montée à glissement sur l'arbre 1269 et sur un goujon 1279 fixé sur le châssis 131. Cette articulation 1278 porte un ergot 1280 pouvant coopérer avec un bras 1281 fixé sur l'arbre de blocage 1274.
Afin de libérer les rouleaux tendeurs pour pouvoir insérer et retirer le bordereau 151, l'opérateur déplace le levier 1257 (fig. 69) à droite, par suite de quoi l'arbre 1255 oscille, sous l'action de l'articulation 1259 et du bras 1260, dans .le-sens contraire à celui des aiguil les d'une montre, et -le bras 1276 déplace l'ar ticulation 1278 à gauche, de sorte que l'ergot 1280 entre en contact avec le bras 1281 et fait osciller l'arbre 1274 dans le sens contraire < < celui. des aiguilles d'une montre, ce qui sou lève le verrou 1273 ou, autrement dit,
il le déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et dégage son encoche du goujon 1272, à la suite de quoi iuz ressort 1282 fixé au coude 1270 entraîne celui-ci vers la position indiquée sur la fig. 69, en plaçant ainsi le goujon 1272 sous la partie principale du bras supérieur du verrou 1273.
En même temps que l'arbre 1255 oscille dans le sens contraire à celui -des aiguilles d'une montre, le goujon 1261 du bras 1262 ramène. le bras-verrou 1249 clé la position libre vers la position représentée, à la suite de quoi son extrémité supérieure se trouve au-dessous du doigt 1250 du levier 1247 en interdisant ainsi tout mouvement de l'arbre 149 de déclenchement de la machine dans le sens des aiguilles d'une montre pendant que .les rouleaux tendeurs sont dégagés des rou leaux d'alimentation 121-0.
La machine est pourvue d'un dispositif de sécurité pour empêcher la libération des rou leaux tendeurs 1242 pendant. l'opération de la machine. Ce dispositif consiste en un galet 1283 porté par le coude 1270 !fig. 69); après le déplacement du coude 1270 dans le sens des aiguilles d'une montre par le mouvement de l'articulation 1266 vers la droite, ce galet 1283 s'abaisse, lorsque les rouleaux 1.2-12 sont mis dans la position de fonctionnement, de la position montrée sur la fig. 69, et s'écarte des parties à faibles rayons d'une came 1284 fixée sur l'arbre 370 de l'imprimeur.
Lorsque cet arbre tourne dais le sens des aiguilles d'une montre, la partie saillante de .la came 1284 entre en contact avec le galet 12g3 et bloque tout mouvement du coude 1270 sous l'action de son ressort 1282, de sorte que, même si l'opérateur déplace le levier 1257 à droite pour débrayer les rouleaux tendeurs et blo quer la machine, il n'en résulte aucun effet, parce que le verrou 1273 est seulement dé placé dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre et dégagé du goujon 1272, mais son ressort 1275 entraîne, dès que I'opé- r ateur abandonne le levier 1257,
immédiate ment le verrou à nouveau dans 'le sens des aiguilles d'une montre à la, suite de quoi l'en coche du bras supérieur du verrou s'engage à nouveau sur le goujon 1272 et maintient les pièces, de sorte que les rouleaux tendeurs 1242 restent dans la position active. Ensuite, lorsque l'arbre 370 .arrive à sa position nor male, le levier 157 peut être déplacé dans le sens des aiguilles d'une montre, afin de dé brayer les rouleaux tendeurs 1212 et .de re tirer le bordereau 151 à la fin de toute opéra tion suivant l'opération de paye nette.
Pour l'avancement du bordereau dc la ligne supérieure de n'importe quel espace vers la ligne inférieure de ce même espace on de la ligne inférireure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure de ce même espace ainsi que pour l'avancement du bordereau de la. ligne inférieure d'un espace vers la. ligne supérieure de l'espace suivant, on a prévu trois roues à rochet 1290, 1291 et 1292 (fig. 59, 60), toutes fixées l'une à l'autre, toutes montées et fixées sur l'arbre d'alimen tation 1211. Avec la roue à rochet 1290 co opère un cliquet 1293.
Un ressort 1294 main tient normalement le cliquet 1293 en prise avec la roue 1290 pour faire tourner les rou leaux d'alimentation 1210, de manière à faire avancer le bordereau 151 de la ligne infé rieure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure de l'espace suivant. Ce cliquet 1293 fonctionne à .l'aide des moyens décrits ci- après, pendant chaque opération où les gains antérieurs de l'employé sont relevés sur carte et enregistrés dans le totalisateur G. T. 2 <B>(le</B> la machine après abaissement de la touche 161 Gains antérieurs .
Un cliquet 1295 (fig. 59 et 60) coopère avec la roue à rochet 1291 sous l'action d'un ressort 1296 pour faire avancer le bordereau de paye de la ligne supérieure d'un espace quelconque vers la ligne inférieure de ce même espace. Ce cliquet est commandé par la touche 162 Paye nette , par les touches 166 T , X , 11I et K et par les touches 165 B , D , F H et J , de manière à faire avancer le bordereau de paye 151 par le cli- quet 1295 lorsque, dans l'opération pr6cé- dente, l'impression a été faite sur la ligne su périeure de ce même espace.
Ce cliquet 1295 est commandé par les touches 166 R , S , N et L , par ales touches 165 A , C , E et G et par la touche 162 Brute pour empêcher par l'abaissement de l'une de ces touches tout avancement du bordereau si la dernière impression avant l'abaissement de ces touches a été faite sur la ligne supérieure de l'espace particulier dans lequel doit se faire l'impression.
Un cliquet 1297 (fig. 59) peut coopérer avec la roue à rochet 1292 sous l'action d'un ressort 1298 pour faire avancer le bordereau de paye de la ligne inférieure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure du même espace sous le contrôle de la touche 162 Paye brute , des touches 1,56 R , S , N et L et des touches 165 A , C , E et G lorsque la dernière impression précédente a été faite sur la ligne inférieure de cet espace.
Ce cliquet 1297 peut également être commandé par la touche 162 Paye nette , les touches 166 T , X , M et K et les touches 165 B , D , F , H et J pour empêcher tout avancement du bordereau de paye 151 lorsque la dernière impression précédente a été faite sur la ligne inférieure de cet espace particulier.
Les cliquets 1293, 1295 et 1297 pivotent tous sur une articulation motrice 1300 fendue de manière à glisser par son extrémité gauche sur un moyeu de la roue à rochet 1291 et pi votant à l'extrémité droite sur un bras 1301 oscillant sur un goujon 1302 porté par le châssis 132 de l'imprimeur. Un ressort 1303 appuie un galet 1304 porté par le bras 1301 contre une came 1305 calée sur l'arbre 370 de l'imprimeur.
An cours de chaque opération de l'arbre <B>370,</B> .la came 1305 déplace l'articulation 1300 d'abord à gauche et ensuite en arrière à droite vers la position indiquée sur la fig. 59, c'est- à-dire qu'elle permet au ressort 1303 de ra mener l'articulation 1300 en arrière vers la droite.
Lorsque l'articulation 1300 se déplace à gauche, le cliquet 1293 étant en prise avec la roue à. rochet 1290, le bordereau de paye avance de la ligne inférieure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure de l'es pace suivant. Si le cliquet 1295 est en prise avec la roue 1291 pendant ce mouvement<B>(le</B> l'articulation 1300 à gauche, le bordereau de paye 151 avance de la ligne supérieure d'un espace quelconque vers la ligne inférieure du même espace et si le riquet 1297 est en prise avec la roue à rochet 1292,
le bordereau de paye 151 est ramené de la ligne inférieure d'un espace quelconque vers la ligne supé rieure du même espace.
L'embrayage et le débrayage des cliquets i293, 1295 et 129'7 avec leurs roues respec tives 1290, 1291 et 1292 sont commandés par deux groupes de plaques de contrôle à en coches qui portent les numéros 1306 et 1307 (fig. 39 et 57A). Le groupe de plaques 1306 comprend quatre plaques, jeomme indiqué sur la ligne 2 du tableau de contrôle 64A et 64B, commandées par ,les touches des rangées 1, 2, 3 .et 4.
Le groupe de plaques 1307 ne comprend que deux plaques, .comme indiqué sur 7a ligne 1 du tableau de la fig. 65, commandées par les touches des rangées 1 et 2. Le groupe de plaques 1306 contrôle les trois cliquets et le groupe de plaques 1307 contrôle -uniquement le cliquet d'avan cement 1293.
Avec le groupe de plaques 1306 coopère un levier contacteur 1308 pivotant sur l'arbre 762. Ce levier est muni d'-un doigt 1309 qui coopère avec un ergot 1310- d'un bras 131L fixé sur l'arbre 762, lequel, .comme on se rap pelle, subit au cours de chaque cycle d'opéra tions de la machine d'abord un mouvement contraire à celui des aiguilles d'une montre et ensuite un mouvement en arrière .dans le sens des aiguilles. Le levier contacteur 1308 possède un bras 1312 qui coopère avec un ergot 1313 du cliquet 1293 (fig. 60 et 62).
Au levier contacteur 1308 est fixé, à l'aide d'un manchon 1314, un levier contacteur 1315 (fig. 59) pourvu d'un doigt 1316 qui co opère avec un ergot 1317 du cliquet<B>12971</B> et d'un doigt 1318 coopérant avec un ergot 13l9 du cliquet 1295.
Un ressort 1320 relié à l'er got 1310 et à lin goujon fixé sur le levier 1315 maintient le doigt 1309 normalement en contact avec l'ergot 1310, de sorte que, lorsque le bras 1311 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, les leviers 1308 et 1315 se déplacent clans le même sens sous le contrôle des plaques du groupe<B>1306.</B> Entre les leviers 1308 et 1315 se trouve un bloc contacteur 767 supporté par ces derniers et qui détermine, en coopération avec les en coches et les points saillants des plaques du groupe 1306,
si les leviers 1308 et 131.5 se ront déplacés ou non dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour com mander les cliquets 1293, 1295 et<B>1297.</B>
Il y a lieu de noter que, sur la fig. 6\?, le levier 1308 est représenté dans la position de manoeuvre et le levier 1315 est supprimé. Le levier 1308 est représenté en partie dans la position normale sur la fig. 60.
En se reportant à la ligne 2 du tableau de contrôle des fig. 64A et 64B, oui consta tera que la plaque N 1, qui est la plaque re présentée sur la fig. 59, comprend des enco ches aux positions 0 .et 3 (arabes) qui cor respondent à la position d'addition du .diffé rentiel de la rangée x et à la position de la touche Brute de la rangée 1.
La plaque N 2, commandée "par le différentiel de la rangée 4, possède des encoches aux positions 0, 2, 4, 6 .et 8 correspondant à la position 0 du différentiel et aux touches 166 de la ran gée 4 L , K , S et R. . La plaque N 3, commandée par le différentiel de la rangée 3, a -des encoches aux positions 0, 3, 5, 7 et 9 (arabes) qui correspondent à la position 0 dit différentiel et aux touches 165 G , E , C et A de la rangée 3.
La plaque N 4 de ce groupe comprend des encoches aux positions 5, 6, 7, 8 et 9 (arabes) correspondant à la touche Déblocage , à la touche - , à la touche Gains antérieurs et à la touche + 164 de @la rangée 2, la touche de déblocage étant la position automatique du différentiel. de la rangée 2 lorsque, comme on se rappelle, tune quelconque des touches 165 A à J on les touches 166 N à K sont actionnées en vue du contrôle des déductions à extraire du totalisateur d'addition et soustraction.
On voit donc que par cette .combinaison de plaques du groupe 1306 commandées par les rangées 1, 2, 3 et 4, lorsque le doigt inférieur du bloc contacteur 767 rencontre des encoches dans toutes les plaques, les leviers 1315 et <B>1308</B> sont déplacés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 1320, lorsque .le bras 1311 se dé place dans ce sens.
Ce mouvement du levier dans le sens contraire. à celui des aiguilles d'une montre oblige le doigt 1318 à entrer en contact. avec l'ergot 1319 du cliquet 1295 et à @e débrayer de la roue à rochet 1291 et, le doigt. 1316 étant abaissé, il permet au ressort 1298 d'entraîner le cliquet 1297 dans le sens contraire à .celui des aiguilles d'une montre, (le manière à s'engager sur la roue à rochet 1292.
En même temps, le bras 1312 du levier 1308 débraye, par son contact avec l'ergot 1313, le cliquet 1293 de sa roue :1.290 et, par conséquent, lorsque l'articulation 1300 se dé place à gauche, le seul cliquet qui produit un effet d'avancement est le cliquet 1297 qui est le cliquet qui fait avancer le bordereau de pave 151 de la ligne inférieure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure de ce même espace.
Sielon les encoches (côté arabe) des pla ques dut groupe 1306 qu'on vient de décrire, l'abaissement d'une des touches 165 A , C , E ou G , ou d'une des touches 166 S , N , L ou R , ou de la touche 162 Brut ramène le bordereau de paye en arrière de la ligne du bas vers celle du haut de cet espace, pourvu qu'il se soit trouvé au commencement <B>(le</B> cette opération dans une position lui per inettant de recevoir une impression sur la ligne du bas.
Dans l'opération qu'on vient de décrire, le cliquet 1297 aurait embrayé le rochet 1292 contre les dents, comme indiqué sur la fig. 62, et fait reculer le bordereau de la ligne infé rieure vers la ligne supérieure de l'espace.
Cependant, en fin de cette opération, le rochet 1292 restera dans la position de la fig. 59; donc, si on abaissait l'une des touches susmentionnées pour une opération suivante, lorsque le cliquet 1297 peut s'engager sur le rochet 1292, il ne le fera pas .dans le sens ra dial des dents, mais près de leur bord supé rieur, comme indiqué par la courbe pointillée partant de l'extrémité du cliquet jusqu'à la dent du rochet;
par conséquent, lorsque l'ar ticulation 1300 se déplace à gauche, le cliquet 1297 n'entraîne pas le rochet, mais passe sans effet sur la surface radiale de la dent devant le cliquet en empêchant ainsi cette fois tout mouvement du bordereau puisque l'impression doit se faire sur la ligne du haut de l'espace, comme dans l'opération précédente.
Pour avancer le bordereau 151 de la ligne supérieure d'un espace quelconque vers la ligne inférieure du même espace, le cliquet 1295 doit faire tourner Je rochet 1291. Ce cli- quet 1295 est commandé par le levier 1315 et, comme on le voit sur la fig. 59, il peut avan cer du fait que le rochet 1292 montre que la dernière impression a été faite sur la ligne du haut de l'espace.
Mais, au lieu des encoches dans les pla ques 1, 2, 3 et 4 du groupe 1306, ce sont les points en saillie de ces plaques qui comman dent le cliquet 1295; par conséquent, lorsque le doigt inférieur du bloc 767 rencontre un point saillant sur une des quatre plaques du groupe 1306, le cliquet 1295 reste en position active. Les points saillants se trouvent, en-ce qui concerne le doigt inférieur, dans des posi tions complémentaires, c'est-à-dire dans des positions opposées aux points en retrait. En d'autres termes, il y aura, sur la ,plaque 1, des points saillants aux positions 2, 4 et 9 (arabes) et, sur la plaque 2, commandée par la rangée 4, des points saillants aux positions 1, 3, 5, 7 et 9.
Sur la plaque N 3, commandée par la rangée 3, il y aura .des points saillants aux positions 1, 2, 4, 6 et 8 et., sur la plaque N 4, commandée par la rangée 2, des points saillants aux positions 0, 1, 2, 3 et 4; de cette façon, le doigt inférieur du bloc 767 rencon trera des points saillants en cas d'abaissement de l'une .quelconque des touches 165 B , D , F , II et J de la rangée 3 ou d'une des touches quelconques 166 T , Y ,
M et R de la rangée 4 ou de la touche 162 Paye nette de la rangée 1 et également lorsque le différentiel de la rangée s'arrête dans la cin quième position sous le contrôle des touches de déduction 165 et 166 ou dans la neuvième position sous le contrôle des touches 166 R , T , S et X qui sont des touches de gains .
Puisqu'il faut un point saillant pour con trôler le bloc, on doit également avoir des points saillants en face du doigt supérieur du bloc 767. ' Comme on le voit sur le tableau (fig. 64A et 64B), on a prévu un point sail lant à chaque position désignée en chiffres romains des plaques Nos 1, 2 et 3 et aussi à chaque position de la plaque N 4, sauf la position IX. En conséquence, les deux doigts du bloc 767 rencontreront, en cas d'abaisse ment de l'une des touches susmentionnées, des points saillants au moins sur l'une .des plaques et, de ce fait,
le ressort 1320 ne pourra dé placer les leviers 1315 et 1308 dans le sens ,contraire à celui des aiguilles d'une montre. Les leviers 1315 et 1308 se trouveront, par conséquent, dans les positions indiquées sur les fig. 59 et 60 où le doigt<B>1316,</B> par son en gagement sur l'ergot 1317, a dégagé le cliquet 1297 du rochet 1292, et le doigt 1318 étant écarté de l'ergot 1319 .a permis à son ressort 1296 de mettre le cliquet 1295 en prise avec le rochet 1291.
Par conséquent, lorsque l'arti culation 1300 se déplace vers la gauche, le cli quet 1295 fait tourner le rochet 1291 de ma nière à faire avancer le bordereau de paye de la ligne ,supérieure d'un espace vers la ligne inférieure de ce même espace.
Ce mouvement du rochet 1291, de la posi tion indiquée sur la fig. 60, destiné à faire avancer le bordereau de la ligne du hart vers celle du bas d'un espace quelconque n'est pas un déplacement du rochet 1291 d'une dent entière; par conséquent, si -la prochaine im pression doit s'effectuer sur la même ligne du même espace, le cliquet 1295 ne s'engagera pas sur l'arête radiale de la prochaine dent, mais sur l'arête angulaire de la même dent, la quelle s'était engagée clans ].'opération pré cédente.
Il -%# aura donc un mouvement à vide du cliquet 1295 et, par conséquent, le borde reau n'avancera pas si des impressions succes sives doivent être effectuées sur la même ligne du même espace.
Pour faire avancer le bordereau 151 de la ligne inférieure d'-un espace quelconque vers la ligne supérieure du prochain espace, le cliquet 1293 doit s'engager sur la roue à ro chet 1290 pour l'entraîner dans le sens des aiguilles d'une montre. Cet engagement dudit cliquet 1293 sur son rochet 1290 s'effectue sous le contrôle de deux plaques du groupe 1307.
Le cliquet d'entraînement 1293 faisant avancer .le bordereau de la ligne inférieure d'un espace vers la ligne supérieure du pro chain espace voisin se trouve sous le contrôle du groupe de .plaques 1307 indiqué sur la li gne 1 du tableau de contrôle (fig. 65) et cons titué par deux plaques, plaque N 2 et plaque N 3. Dans ce cas spécial, les points en retrait empêchent l'avancement et les points saillants provoquent l'avancement du bordereau au moyen du cliquet 1293.
La plaque N 2, com mandée par le différentiel de la rangée ?, comprend des points saillants aux positions 0 à 9 (chiffres arabes) et aux positions V. VI et VIII (chiffres romains). La plaque N 3, commandée par le différentiel de la rangée 1, possède des encoches aux positions 0, 2@et. 3 et aux positions 0, I, II et III (romains). Ce cliquet 1293, @m plus du contrôle par le levier contacteur 1308, est soumis au contrôle d'un levier contacteur 1325 pivotant sur l'arbre 762 et possédant un doigt maintenu en con tact avec l'ergot 1310 du bras 1311 par un ressort 1327.
Ce levier porte un bloc contac teur 767 (fig. 60 et 63) et a un bras 1328 qui coopère avec l'ergot 1313 du cliquet 1293.
Lorsque les plaques du groupe 1307 pré sentent -des encoches au doigt inférieur du bloc 767, le levier 1325 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre sous l'action du ressort 1327 lorsque le bras 1311 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une -montre, et le bras 1328 entre par conséquent en contact avec l'ergot 1313 et maintient. le cliquet 1293 dans la position indiquée sur les fig. 60 et 62, posi tion où il est dégagé de son rochet 1290.
En se reportant au tableau de contrôle (fig. 65), on constate que le doigt inférieur du bloc 767 rencontre des encoches dans la plaque N 2 chaque fois que le différentiel de la rangée 2 s'arrête à la position 0 et à la po sition 9 et que ceci correspond à la position 0 ou d'addition de la rangée 1 ainsi qu'à la position de la touche Gains à ce jour et à la position de la touche Brut ; par consé quent, lorsque la machine est actionnée par l'abaissement d'une de ces touches Gains à ce jour ou Brut ou dans les opérations d'addition avec des déductions et gains, le cli quet<B>1293</B> est maintenu dégagé de son rochet 1290 et il n'y a pas d'avancement du borde reau.
Le tableau montre également que le con tacteur supérieur du doigt supérieur du bloc 767 rencontre des encoches chaque fois que le différentiel de la rangée 2 s'arrête aux posi tions 5, 6 ou 8 qui correspondent à toutes les positions des déductions ainsi qu'aux deux po sitions de correction pour les déductions ou gains dans la. position romaine et que le diffé rentiel de la rangée 1 a laie encoche dans la position zéro, dans la position de la touche Paye nette , dans la position de la touche Gains à ce jour et dans la position de la touche Brut .
Donc, si l'on abaisse l'une de ces touches, le levier 1325 est déplacé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, de manière à maintenir le cliquet 1293 dégagé et à empêcher l'avancement du bor dereau.
Mais, dans la position 7 de la rangée 2, il y a un point saillant du côté chiffres romains ainsi que du côté chiffres arabes de la pla que N 2, et comme il y a un point saillant dans cette position, le levier 1325 ne peut se déplacer dans le sens contraire à celui des ai(ruil@les d'une montre, comme indiqué sur la fig. 60 et, par .conséquent, le bras 1328 est écarté de l'ergot 1313 et le ressort 1294 amène le cliquet 1293 en prise avec le rochet 1290, <B>(le</B> telle façon qu'après une opération de la machine où les gains antérieurs sont extraits pour les faire entrer dans le totalisateur G.
T. 2 , ce qui exige une opération de la touche Gains antérieurs , le bordereau de paye 151 avance de la ligne inférieure d'un espace quelconque d'un pas vers la ligne supé- rieure de l'espace voisin, de sorte que, dans l'opération qui suit immédiatement après pour l'enregistrement des heures et des gains, ceux-ci seront imprimés sur la ligne du haut de l'espace nécessaire pour le nouveau salarié.
Afin d'aligner les roues à rochet<B>1290,</B> 1.291 et 1292 de manière que leurs dents soient toujours dans les positions convenables par rapport à leurs cliquets d'entraînement, on a prévu sur. l'arbre d'alimentation 1.241, lui disque denté 1330 (fi-. 39 et 47) avec lequel coopère un ergot 1331. fixé sur un levier coudé 1332 pivotant sur une tige 744.
Un ressort 1333 appuie l'ergot 1331 contre le dis que denté 1330 de faon permanente pour servir d'aligneur, tandis que les rochets tour nent pour avancer le bordereau et s'assurer que tous les rochets se trouvent après la fin du mouvement d'avancement dans leurs posi tions correctes, afin d'être actionnés par leurs cliquets dans les opérations suivantes.
Il est très désirable que l'arbre 1241 et, par conséquent, les rouleaux d'alimentation 1240 soient, au cours de l'impression du bor dereau, solidement bloqués pour qu'il n'y ait aucune possibilité pour le bordereau de bou ger pendant le temps que s'effectue l'impres sion, afin d'éviter des taches.
Dans ce but, on a prévu un mécanisme d'alignement positif pour l'arbre 1241 et .les rouleaux d'alimenta tion 1240, mécanisme qui consiste en lui ali- gneur 1334 sur lequel pivote une articulation 1335 pivotant également sur un coude 1336 oscillant slir l'arbre<B>737.</B> Ce coude porte des galets 1337 et 1338 qui coopèrent avec des cames conjuguées 1339 et 1340 calées sur l'ar bre 370 de commande de l'imprimeur. Ces cames 1339 et 1340 sont indiquées sur la ligne 19 du tableau de distribution des temps (fig. 109).
Immédiatement avant l'impression du bor dereau alt moyen des marteaux 701 à 711, les cames 1339 et 1340 déplacent, à l'aide du coude 1336 et de l'articulation 1335, l'ali- gneur 1334 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et l'amène en prise avec ,le disque denté 1330 .pour assurer l'ali gnement du bordereau pendant l'impression. Comme on le voit sur les fig. 46A et 46B, ii y -a, deux jeux de ces cames 1339 et 1340;
le jeu .de gauche (fig. 46A) sert à aligner .le bor dereau et le jeu de droite (fig. 46B) sert à aligner la carte de salaires 153 exactement de la même façon que le bordereau 151; la seule différence est que le coude 1336 pour la carte de salaires est monté sur l'arbre 738 qui se trouve, comme on se rappelle, en alignement axial avec l'arbre 737.
Pour protéger la partie inférieure du bor dereau de paye 151 contre les déchirures lors qu'il se trouve en position d'impression, le coffre est pourvu, comme on le voit sur la fig. 68, d'un couvercle 1342 à charnière 1343. Le .couvercle 1342 ferme le haut d'une gou- lotte de descente de papier 1344. Pour intro duire la partie inférieure du bordereau 151, on soulève le couvercle 1342 en passant .les doigts dans des trous ad hoc 1345, on fait contourner au bordereau le bord avant du couvercle 1342 et on l'introduit dans la descente du papier 1344. Ensuite, on baisse le couvercle 1342, -Lui rebord se posant sur une lame 1347 du coffre 146.
Hécanisrie d'avancement <I>et de tension</I> <I>du support de la carte de salaires.</I>
Ainsi qu'on l'a exposé plus haut, la carte de salaires 153 s'imprime par les marteaux 720 à 729 inclus situés du côté droit de la machine. Sur la fig. 1, la carte de salaires est représentée dans la position d'impression de la ligne supérieure dans l'espace 1.
La carte de salaires 153 est destinée à un seul employé et il est réservé im espace pour chaque semaine ou autre période de paye. Chacun de ces espaces comprend deux lignes d'impression, une ligne supérieure et une ligne inférieure, .comme on le voit sur la fig. 29. La ligne supérieure et la ligne infé rieure sont sélectionnées par un mécanisme décrit ci-après sous le contrôle des touches des rangées 1, 2, 3 et 4 pour déterminer sur quelle ligne de l'espace l'impression doit s'effectuer.
Pour déplacer la carte de salaires de la ligne supérieure vers la ligne infé rieure et vice versa, on a prévu un méca- nisme, sensiblement identique au. mécanisme qui déplace @le bordereau de paye de la ligne du haut vers celle du bas et vice versa et au quel on se reportera par la suite.
Une partie du coffre 146 de la machine forme un canal de faible hauteur dont les bords 1350 servent de guides pour les cartes de salaires 153. Près du milieu de ce canal plat on a prévu un canal plus profond 1351 (fig. 44A) pourvu d'une fente 1352 pour le passage d'une languette 1353 (fig.75), .d'une barre 1354 en forme de U munie de deux doigts 1355. Les doigts 1355 ont des épaule ments 1356 contre lesquels on place le bord inférieur de la carte 153 lorsqu'on l'introduit. dans la machine.
Ces épaulements sont obtenus en découpant une partie supérieure des doigts 1355, de sorte que la carte 153 re pose à plat sur le canal de faible hauteur du ,coffre 146 pour être avancée vers l'intérieur par les doigts 1355 vers une position sélec tionnée après que la carte a été placée sur le canal plat. La partie supérieure de la carte se pose .cette fois contre les butées 1357 (fig. 44B, 74, 77 et 78) des leviers 1358 qui pivotent au point 1359 sur une plaque 1360 pourvue de flasques 1361 fixés à une traverse arrière 1362 de la table mobile des cartes.
Cette tra verse 1362 relie des barres parallèles 1363 sur lesquelles, près de ,leurs e:Ytrémités avant, sont fixés les blocs 1364. Pour maintenir l'écarte ment convenable entre les barres 1363, à leurs extrémités avant on a prévu un étrier 1365 fixé aux blocs 1364, ainsi qu'on le voit sur la, fig. 75. Cet étrier 1365 porte un bloc 1366 -dans ,lequel est fixée la languette 1353 du doigt 1355.
Chacun des blocs 1364 porte un galet. 13E7 reposant sur le bord supérieur d'un rail 1365. Le rail<B>1368</B> de gauche est monté sur le châs sis 135 de l'imprimeur à l'aide de goujons à vis 1369, et le rail 1368 de droite est monté sur le châssis 136 de l'imprimeur à l'aide de goujons à vis 1369.
Les bords inférieius des rails 1368 ont des encoches en forme de V 1370 qui coopèrent avec des ergots 1371 fixés sur des bras 1372 entrainés par des ressorts, ergots qui. passent par-dessus les encoches 1370 en forme de V lors du mouvement de va- et-vient .de .la table, c'est-à-dire en avant et en arrière par rapport à la partie frontale de la machine. Ces ergots 1371 agissent comme ali- gneurs de la table mobile des cartes.
Pour empêcher le mouvement de la table vers le haut, les galets 1367 sont maintenus dans :leur position de roulement par rapport aux rails 1368 -par des barres 1373 fixées sur les bords supérieurs des châssis 135 et 136. Un ressort 1374 est tendu entre un .flasque de chaque le vier d'arrêt 1358 et un flasque de chaque pla que 1360 pour maintenir les butées 1357 dans da position indiquée sur les fig. 74 et 77, afin que le bord supérieur de la carte de salaires 153 puisse se poser contre ces butées, de ma nière à occuper la position correcte par rap port à la table mobile.
La partie postérieure de la table voisine, c'est-à-dire la partie à laquelle est reliée la barre 1362, est supportée par une plaque fixe 908 du guide-bordereau. Cette plaque est fixée, près de son bord avant, par des oreilles à la partie supérieure des châssis 135 et 136 de l'imprimeur et, près de son bord posté rieur, sur une console 1375 â: trois doigts mon tée à l'aide de flasques 1376 sur les châssis <B>1.35</B> et 136 de l'imprimeur (fig. 43B et 44p) . Le doigt central du support 1375 est supporté par un support auxiliaire 1377 fixé à la tra verse arrière 139.
La plaque 908 est découpée au-dessus des marteaux 720 à 729 pour leur permettre d'en trer en contact avec le bord inférieur de la carte -de salaires pour recevoir l'impression des roues porte-caractères. La plaque 908 présente des fentes 1378, afin de permettre aux butées 1357 et aux flasques 1361 des pla ques 1360 de glisser en avant et en arrière, ou en regardant la fig. 44B, de gauche à droite et de droite à gauche.
Deux flasques 1379 (fig. 43B) de la plaque 908, dirigés vers le bas, portent des goujons 1385 (fig. 76) à épaulements qui passent par des fentes-cames 1386 pratiquées dans une barre 1387 pour la guider. La barre 1387 a un flasque horizontal 1388 qui se trouve au-dessus des ergots 1389 des leviers d'arrêt 1358. Un ressort 1390 maintient @la barre 1387 normalement dans la position indiquée sur la fig. 76, les extrémités droites des fentes-cames 1386 contre les gou jons à épaulements 1385.
Comme on l'a dit plus haut, les espaces d'impression des cartes de salaires portant les numéros 1 à 25 sont prévus pour recevoir des empreintes sur les lignes du haut et du bas. Si l'impression se fait sur la ligne du bas d'un espace quelconque, il faut abaisser les butées 1357 en dehors du chemin parcouru par le bord de la carte de salaires, de sorte qu'elle puisse avancer pour recevoir l'em preinte sur la .ligne inférieure de l'espace. Le moyen servant à abaisser ces butées com prend la barre 1387 avec ses fentes-cames 1386.
A cette barre 1387 est relié, par une articulation fente-ergot, un bras 1391 fixé sur un arbre 1392 supporté par les châssis 135 et 136 de l'imprimeur. Sur cet arbre 1392 est également fixé un bras 1393 auquel est relié l'extrémité arrière d'une articulation 1394 dont l'extrémité avant est fendue pour em brasser et glisser sur l'arbre 731 (fig. 73).
Dans l'articulation 1394 est pratiquée unie fente 1395 (fig. 73), par laquelle passe un goujon 1396 fixé sur l'extrémité droite d'une articulation 1397 qui pivote, à son tour, sur un coude 1398 fixé sur un arbre 1399 sup porté par les ;châssis 135 et 136 de l'impri meur. Sur l'arbre 1399 est également calé un bras 1400 relié par une articulation 1401 à un levier manuel 1402 qui pivote sur le côté du châssis 136 de l'imprimeur et est guidé par une plaque 1403 fixée au châssis. Ce levier 1.402 a trois positions, ime position normale ou centrale, une position avance et une position arrêt , qui sont. indiquées sur les fig. 1 et 73.
Lorsque le levier est placé dans la position avance , cette manoeuvre est destinée à abaisser les butées 1357 en dehors du .chemin de la carte de salaires 153 et à mettre les rouleaux tendeurs décrits ci-après en contact avec les rouleaux d'avancement. pour la carte de salaires.
Dans ce cas, c'est-à-dire lorsque le levier 1402 se déplace vers la gauche, en regardant la fig. 73, vers la position avance , il dé- place, par l'intermédiaire de l'articulation 1401, du bras 1400, de l'arbre 1399, du coude 1398 et de l'articulation 1397, l'articulation 1394 à droite, à la suite de quoi le bras 1393 fait pivoter l'arbre 1392 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce mouvement de l'ar bre 1392 dans le sens des aiguilles d'une mon tre déplace, par le bras 1391, la barre 1387 à droite, en regardant la fig. 76, à la suite de quoi les fentes-cames 1386 abaissent la barre 1387 et son flasque 1388 en même temps qu'elle se déplace à droite. Ainsi, le flasque 1388 déplace, à l'aide des ergots 1389 des le viers d'arrêt 1358, ces derniers dans le sens contraire à celui des aiguilles d'rure montre autour de leurs pivots 1359, de manière à abaisser les butées 1357 au-dessous de la pla que 908 pour que la carte de salaires puisse avancer.
Les butées 1357 sont maintenues dans leur position de manceuvre à l'aide d'un verrou 1404 (fig. 73) fixé sur un arbre 1405 porté par les châssis 135 et 136. Ce verrou peut se déplacer sous l'action d'un ressort 1406 relié à une articulation 1407 pivotant sur ce verrou 1404 de manière à s'engager sur un ergot 1408 d'un levier 1409 pivotant sur -Lui goujon 1410 porté par le .châssis 135.
Ce levier 1409 est relié, par ruse articulation fente-ergot, à l'articulation 1394 et, par conséquent, ,lorsque l'articulation 1394 se déplace à -droite, le le vier 1409 se déplace dans ile sens des aiguilles d'une montre et le ressort 1406 fait tomber le verrou 1404,à la suite -de quoi l'encoche ménagée dans l'extrémité avant du verrou. s'engage sur l'ergot 1408 et maintiendra le levier 1409 et, par conséquent, la barre 1387 dans leurs positions @de manoeuvre,
ce qui maintient les butées 1357 au-dessous clé la surface de la plaque 908. Pour empêcher tout mouvement du levier 1402 qui pourrait dégager les butées 1357 au cours d'une opération .de la machine, on a prévu sur l'arbre 370 une came 1411 qui co opère avec -Lui galet 1412 porté par un bras de blocage 1413 pivotant sur le goujon 1410. Ce bras -de blocage est maintenu en prise avec in verrou 1414 pivotant au point 1415 sur le levier 1409 par un ressort 1416.
Lorsque le levier 1409 a été déplacé dans le sens -des aiguilles d'une montre à l'aide du levier 1402, de la manière qu'on vient de dé crire, le galet 1412 s'est légèrement déplacé vers le bas à partir de la position indiquée sur la fig. 73 et, pendant l'opération clé la machine, la partie haute de la .came 1411, en tournant, est entrée en contact avec ce galet 1412 en maintenant ainsi le bras de blocage 1413 et, par le verrou 1414, le levier 1409 dans sa position de manaeuvre, de sorte que le levier 1409 n'a pu se déplacer, même si on avait.
placé le levier 1402 dans la position arrêt pour faire entrer le goujon 1396 en contact avec une queue 1417 du verrou et dé placer ce dernier pour le dégager de l'ergot 1408. Par conséquent, si l'opérateur abandon nait .le lever 1402, le verrou 1404 s'engage rait à nouveau sur l'ergot 1408.
A la fin de l'opération, après l'impression de la pave nette de l'employé sur le chèque, alors que le levier 1402 est déplacé vers la droite, le dé blocage du verrou 1404 par le goujon 1396 dégage le levier 1409, à la suite de quoi le res sort (fig. 76) ramène la barre 1387 à gauche vers ;la position indiquée sur la fig. 76, en soulevant ainsi le flasque 1388 et en permet tant aux ressorts 1374 de soulever les butées 1357 vers leur position normale d'arrêt.
Pour l'avancement clé la carte de salaires, on a prévu une paire de rouleaux 1420 (fig. 44A., 44B et 73) fixés sur l'arbre 920 décrit ci-dessus. Ces rouleaux d'alimentation sont entraînés par un jeu de roues à rochet et de cliquets identiques à ceux représentés sur les fig. 59, 60 et 62, par la came 1305 re présentée sur la fig. 46B et qui est similaire à la.
came 1305 qui entraîne l'articulation 1300 pour actionner les cliquets représentés sur la fig. 59 sous le contrôle d'un jeu de qua tre plaques sélectrices, jeu qui porte l'appella tion groupe de plaques 14\'1 , comme indi qué sur la fig. 57B. Ce groupe de plaques 1421 est indiqué sur la ligne 25 du tablleau de contrôle des fig. 64A et 64B.
Ce groupe de plaques 1421 est. similaire au groupe 1306 indiqué sur la ligne 2 du tableau clé contrôle (fig. 64t1 et 64B), sauf de lé gères différences décrites ci-après. La plaque N 1 de ce groupe comprend une encoche à la position 1 (chiffre arabe) du fait que la paye nette ne s'imprime pas sur -la carte de salaires comme sur le bordereau sous .le contrôle du groupe de plaques 1306. Pour la plaque N 2, la différence entre les groupes 142.1 et 1306 consiste en ce qu'il y a une encoche à la posi tion IX (chiffre romain) pour la. même raison d'empêcher l'impression de la paye nette sur la carte de salaires.
La plaque N 3 possède une encoche à la position 0 (romain) pour la même raison et la plaque N 4 a une encoche à la position 1 (arabe), ce qui constitue éga lement l'un des moyens destinés à empêcher l'impression de la paye nette sur la carte de salaires.
*Afin d'empêcher toute opération du cli- quet 1293 (fig. 60, 61 et 62) en combinaison avée, la roue à rochet 1290 qui pourrait faire avancer la carte de salaires de la ligne infé rieure d'un espace quelconque vers la ligne supérieure de l'espace voisin, on a prévu un seul disque de commande 1422 (fig. 57B et 61) qui s'ajuste au moyen du différentiel de la rangée 1 par l'intermédiaire de l'arbre 484.
Ce disque 1422 possède des encoches aux po sitions 0 à 6 (arabes) pour commander un le vier 1423, identique au levier 1325 décrit précédemment (fig. 60) et qui sert à contrô ler l'avancement du bordereau à l'aide de la roue à rochet 1290 et du cliquet 1293.
Avec les rouleaux d'alimentation 1420 co opère une paire de rouleaux tendeurs 1.425 qui sont. montés comme les rouleaux tendeurs 965 associés au chèque et comme les rouleaux tendeurs 1242 associés au bordereau de paye. Ces rouleaux tendeurs 1425 se trouvent nor malement en position débrayée, comme repré senté sur la fig. 73, et peuvent être amenés en position active par un bras 1426, fendu pour recevoir un goujon 1427 porté par l'arti culation 1394, de sorte que le mouvement de l'articulation à droite déplacera, comme dé crit précédemment, sous l'action du .levier 1402,
le bras 1426 dans le sens contraire à ce lui des aiguilles d'une montre et amènera les rouleaux tendeurs 1425 à la position active où ils seront bloqués par le verrou 1404.
Les rouleaux tendeurs 1425 doivent être dégagés des rouleaux 1420 pour qu'on puisse retirer la carte de salaires de la machine après l'impression de la paye nette sur le chè que, étant donné que, comme dit ci-dessus, il existe une carte pour chaque employé, alors que le bordereau de paye porte les enregis trements pour plusieurs salariés; par consé quent, la carte de salaires doit être retirée de la machine après chaque impression complète d'une carte pour qu'on puisse introduire dans la machine une nouvelle carte de salaires 153 pour recevoir l'impression des données impri mées sur le chèque suivant pour l'employé suivant.
Le débrayage des rouleaux tendeurs 1425 se fait sous le contrôle des plaques à en coches d'un groupe de plaques portant le nu méro 1428 (fig. 57B) et indiqué sur la ligne 5 du tableau de contrôle de la fig. 65. Ce groupe de plaques comprend deux plaques N S 2 et 3. La plaque N 2 est commandée par le différentiel de la rangée 2 et comprend une .encoche à la position IX (romain); la plaque N 3 est commandée par le différentiel de la rangée 1 et comprend des encoches aux positions I et II (romains).
L'encoche correspondant à la neuvième position de la plaque 2 se place en face du doigt supérieur d'un bloc contacteur 767 (fig. 73) fixé sur un levier contacteur 1429 lorsque le différentiel de la rangée passe à la position 9 au cours des opérations de la ma chine où l'on abaisse la touche 162 Paye nette et également au cours des opérations où l'on abaisse la touche 162 Gains à ce jour . Les encoches aux positions I et II (romains) de la plaque 3 se placent en face du doigt supé rieur du bloc contacteur 767 du levier 1429 chaque fois qu'on abaisse soit la touche Paye nette de la rangée 1, soit la touche Gains à ce jour de la même rangée.
Par consé quent, lorsque les encoches des deux plaques du groupe 1428 se trouvent en face du doigt supérieur du bloc contacteur 767, zm ressort 1.430 déplace le levier 1429 de la manière habituelle, à la suite de quoi les doigts supé rieurs s'engagent dans les encoches, tandis qu'un ergot 1431 d'un bras 1432 fixé au le vier 1429 déplace l'articulation 1407 à droite (fig. 73), cette articulation ayant été dépla cée à gauche jusqu'à ce que l'extrémité droite d'une fente 1433 de l'articulation entre en contact avec l'ergot 1431 lorsque le- verrou 1404 bloque le levier 1409 dans sa position de manceuvre.
Le verrou 1404 porte un ergot 1434 qui coopèr e avec une encoche d'un levier 1435 pi votant sur le goujon 1410 et, qui est en traîné dans la position indiquée sur la fig: 49 par -Lui ressort 1436. Un galet 1437, fixé sur le côté de la came 1411, coopère avec le levier 1435, de manière à déplacer celui-ci dans le sens des aiguilles d'une montre lorsque la partie haute de la came 1411 maintient<B>le</B> levier 1409 dans sa position bloquée.
Le mou vement du levier 1435 sous l'inflilence du ga let 1437 déplace le levier 1435 légèrement dans le sens des aiguilles d'une montre, ce levier ayant été précédenunent déplacé dans le sens des aiguilles Mme montre par le goujon 1396 de l'articulation 1397 lorsque les rouleaux tendeurs 1425 ont été soumis à la tension initiale, c'est-à-dire lorsqu'ils ont été amenés en position active.
Ce levier 1435 étant .dans la position qu'il occupe après avoir été déplacé par le goujon 1396, l'ergot 1434 s'abaisse devant la partie principalé du levier et quitte l'encoche du levier; ce mouvement supplémentaire du levier 1435 dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du galet 1437 sert à décharger l'ergot 1434 de la pression du ressort 1436 pour avoir la certi tude que le ressort 1430 peut déplacer le le vier 1429 et obliger le doigt du bloc contac teur à pénétrer dans l'encoche qui se trouve à ce moment en face de lui.
Au mécanisme de la carte de salaires est également associé un bras de blocage 1450 co opérant avec un bras-verrou 1451 actionné par un goujon 1452 fixé sur le coude 1398 (fig. 73). Ce bras de blocage 1450 coopère avec un doigt 1453 d'un levier 1454 relié par une articulation 1455 à un bras, similaire au bras 915 (fig. 33) et fixé sur l'arbre 628, afin d'empêcher le mouvement de l'arbre 149 de démarrage de la machine chaque fois que le bras de blocage 1450 se place au-dessous du doigt par le coude 1398 lorsque le levier 1402 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre pour écarter les rouleaux tendeurs 1425 des rouleaux d'alimentation 1420.
On voit, par conséquent, que les rouleaux tendeurs 1425 doivent se trouver en position active et qu'une carte de salaires 153 doit se trouver dans la machine pendant les opéra tions d'établissement d'un bordereau, autre ment la machine est bloquée par le bras de blocage 1450 de la même manière qu'elle est bloquée par les bras de blocage 919 et 1249, décrits précédemment, associés au chèque 152 et au bordereau de paye 151.
llllécanisnae <I>des cartes de</I> pointage <I>et du</I> bordereau. principal.
Lors de l'établissement d'un bordereau de paye (c'est-à-dire lorsqu'on remplit une série de chèques de paye et qu'on imprime les di verses données décrites précédemment. sur la carte de salaires individuelle 153 de l'emploj-é et aussi sur le bordereau de paye 151 qui con cerne plusieurs employés), on peut recueillir les informations pour la comptabilité sur un bordereau principal 1-160 (fig. 1) qui peut être placé et avancé sur un rouleau 1-161 (fig. 55 et 56)
supporté par -Lui châssis 1462 monté sur le coffre 14-6. Le châssis porte un support 1463 pour guider le papier autour du rouleau 1461. Au rouleau 1461 est fixée une roue à rochet 1464 actionnée par un cliquet d'entraînement 1465 fixé sur une plaque mo trice 1466 pivotant sur l'arbre du rouleau. A la plaque 1466 est reliée une articulation 1467 qui est couplée à l'aide d'une articulation ergot-fente à une articulation 1468 qui, elle, pivote sur un bras 1469 portant un galet 1470 coopérant avec une came 1471 montée sur un arbre 1472 entraîné par un moteur. Le moyen destiné à actionner .cet arbre est décrit ci-après.
Lorsque la came 1471 tourne dans le sens .des aiguilles d'une montre, en regardant la fig. 55, elle déplace -le bras 1469 et attire les articulations 1468 et 1467 vers la gauche en déplacant ainsi la plaque motrice 1466 clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre en même temps que le cliquet 1465. Ce cliquet 1465 porte un galet 1473 qui passe dans une fente 1474 d'un levier 1475 à réglage manuel pivotant sur l'arbre du rouleau et maintenu dans l'une de six po sitions de réglage par un cliquet. de freinage 1476. La fente 1474 est élargie du côté gau che, en regardant la fig. 55, en formant ainsi un épaulement déclinant vers le bas 1477.
Lorsque, dans la position montrée sur la fig. 55, la plaque 1466 se déplace vers la gau che, le galet 1473 n'arrivera à, l'épaulement 1477 que très tard au cours du mouvement de l'articulation 1467 et, -par conséquent, lorsque le galet 1473 descend de l'épaulement dans la partie élargie de la fente 1474, un ressort <B>1478</B> du cliquet déplace ce dernier dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre et le met en prise avec le rochet 1464, de sorte que le reste du mouvement de l'articula tion 1467 fera. pivoter le rochet d'un.e .dent, de manière à. avancer le rouleau 1461 d'une ligne.
Si le levier 1475 est déplacé, par exemple, vers sa position extrême dans le sens des aiguilles d'une montre, l'épaulement 1477 est beaucoup plus près du galet 1473 lorsque l'articulation commence son mouvement et, par conséquent, le rouleau 1461, au lieu d'avancer d'un pas, avance de six pas à cha clue mouvement d'opération de l'articulation 1467 et de la plaque motrice 1466.
L n ressort 1479, fixé à l'articulation 1467, maintient le galet 1470 normalement appuyé contre la came 1471 et oblige les articulations 1468 et 1467 à retourner à droite vers leurs positions normales indiquées sur la fig. 55 après l'avancement du rouleau 1461.
Un cliquet de retenue 1480 est maintenu en prise par un ressort avec le rouleau 1461 pour empêcher tout mouvement en arrière du rochet 1464 pendant le mouvement de re tour du cliquet 1465 à sa position normale avant qu'il soit soulevé du rochet 1464 par l'épaulement 1477. Outre le bordereau principal 1460, cer taines données à comptabiliser sont enregis trées sur des cartes de pointage 1483 qui sont rangées dans -une boîte 1484 (fig. 1. et<B>106)</B> montée au dos du coffre 146.
Lorsqu'on actionne la. touche 162 Paye nette , un grip- peur 1485 peut éjecter la première carte 1483 de la pile vers le bas vers une position où elle sera saisie par un rouleau d'alimentation 1486 et un rouleau tendeur 1487. Le rouleau ten deur 1487 est porté par tule paire de bras 1488 et maintenu en contact avec le rouleau d'alimentation 1486 par un ressort 1489. Les rouleaux d'alimentation 1486 sont entraînés au moyen d'une courroie 1490 par un arbre 1491 d'un moteur 1492 monté dans la boîte 1484.
Par conséquent, lorsque le bord infé rieur de la carte 1483 entre en contact avec les rouleaux 1486 et 1487, elle est dirigée vers le bas dans un récipient (non représenté) ati fond de la boîte 1484.
Le moteur 1492 entraîne un pignon 1493 qui, à son tour, entraîne une roue dentée 1494 montée folle sur l'arbre 1472. A la roue 1494 est fixée une roue à rochet 1495 qui peut co opérer avec un cliquet 1496 porté par -une plaque 1497 fixée sur l'arbre 1472. Le cliquet 1496 est normalement maintenu dégagé du rochet 1495 par un doigt 1498 d'un levier 1499 pivotant sur un support 1500 qui est fixé à la -boîte 1484. Un ressort 1.501 tend nor malement à entraîner le levier 1499 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, mais en est empêché par un verrou<B>1502</B> maintenu en prise avec le levier par un res sort 1503.
Le verrou 1502 est relié à oscilla tion au piston 1504 d'un solénoïde 1505, le quel, lorsqu'il est excité, soulève le piston 1504 en dégageant le verrou 1502 du levier 1499, par suite .de quoi le ressort 1501 en traîne le levier dans le sens contraire à ce lui des aiguilles d'une montre en abandon nant ainsi le cliquet 1496 à l'action du res sort 1506 qui met le cliquet en prise avec le rochet 1495, à la suite de quoi la plaque 1497 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action de la roue 1494 et du rochet 1495, ,de manière à entraîner l'arbre 1472. Sur la plaque 1497 pivote,. au point 1507, suie bielle 1508 qui pivote, à son tour, sur une barre 1509 qui porte ,le grippeur 1485.
Par conséquent, lorsque la -plaque 1497 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, la bielle 1508 descend pour abaisser le grippeur 1485, de manière à éjecter la première carte 1483 de sa position du haut sur la fig. 106 jusqu'à ce que le bord inférieur de la carte entre en contact avec le rouleau d'alimenta tion 1486 et le rouleau tendeur 1487, à la suite de quoi les rouleaiux saisissent la carte et la font avancer dans un récipient aii fond de la boîte 1484.
La rotation de l'arbre 1472 sous l'action du moteur 1492 éjecte, par conséquent, la première carte de pointage 1483 de l'employé et fait avancer automatiquement le rouleau 1461 d'u4e distance déterminée par la posi tion à laquelle était ajusté le levier 1475.
Immédiatement avant la fin du mouve ment de l'arbre 1472, un doigt 1510, solidaire du levier 1499, entre en contact avec un ergot 1511 .de la plaque 1497 qui ramène le levier 1499 dans le sens des aiguilles d'iuie montre contre l'action du ressort 1501 vers la. posi tion de la fig. 106; le doigt 1498 est ainsi placé sur le chemin de l'extrémité du cliquet 1496 et dégage le cliquet du rochet 1495; la bielle 1508 subit donc un seul mouvement vers le bas et en arrière pendant chaque cy cle ou mouvement de l'arbre 1472.
On se rappelle que la dernière opération pour un chèque d'employé est l'impression de la paye nette qui s'effectue lorsque l'opé rateur abaisse la touche 162 Paye nette . C'est par l'abaissement de cette touche que la machine est déclenchée et le circuit du mo teur 1492 est fermé par l'action du solénoïde 1505 dont le circuit se ferme partiellement par l'abaissement de la touche 162 Paye nette et complètement immédiatement après le commencement de l'opération de ,l'arbre 150 (fig. 17),
lorsqu'un ergot 1512 de la roue 354 est retiré -d'au-dessous d'in talon d'un levier <B>1515</B> qui pivote sur un axe 1514 fixé sur le châssis latéral droit 122. Lorsque le levier 1515 est libéré de l'ergot 1512, un ressort 1516 attire, par une articulation 1517, un interrupteur 1518 vers le bas en le fermant et en complétant ainsi le circuit.
L'abaissement de la touche 162 Paye nette (fig. 15 et 17) actionne une barre 1519, ,de manière à fermer un interrupteur 1520 .du circuit du solénoïde 1505. Lorsqu'on abandonne la touche 162, un ressort 1513 re met la barre 1519 en place pour permettre l'ouverture de l'interrupteur 1520.
Le circuit du moteur 1-192 et du solénoïde est représenté sur la fig. 17 comme suit: en partant du côté -I- de la ligne par le con ducteur 1525, le conducteur 1526, le solénoïde 1505, le conducteur 1527, le conducteur 1528, en passant par l'interrupteur fermé i15''0, ensuite par la ligne 1529, l'interrupteur fermé 1518 et le conducteur 1530 vers le côté négatif de la ligne.
Lorsque le solénoïde 1505 est excité pour dégager le verrou 1499, ce dernier ferme, par son mouvement dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 1501, les interrupteurs 1531 et 1532, à. la suite de quoi le circuit est complété à partir du côté positif de la ligne par le con ducteur 1525 et l'interrupteur 1532, le Mo teur 1492, le conducteur 1533, l'interrupteur 1531 et ensuite par la ligne 1534 vers le con ducteur négatif 1530. .
Pour le .cas où l'opérateur veut faire éjec ter une ou plusieurs cartes 1483 du haut de la pile sans manoeuvrer la machine, on a prévu une barre 1521 (fig. 1 et 17) montée sur le devant de la machine. En abaissant cette barre 1521, on ferme un interrupteur 1522 en complétant ainsi un circuit passant par le solénoïde 1505 pour l'exciter et lui faire fermer, à son tour, le circuit du moteur 1492 décrit ci-dessus, de manière à entraîner l'arbre 1472 et actionner le grippeur 1-185. L'abaissement de la barre 1521. complète le circuit suivant:
ligne + 1525, ligne 1526, solénoïde 1505, ligne 1527, ligne 1523, inter rupteur 1522, ligne 1524, ligne -- 1530. De cette faon, le circuit du moteur se trouve fermé, comme .décrit ci-dessus, et les cartes 1483 peuvent être éjectées suie par une, par l'abaissement successif .de la barre 1521 ou en tenant la barre abaissée et le circuit fermé. Variante <I>de</I> l'avancement manuel<I>du</I> chèque.
Sur les fig. 107 et 108 est représentée une variante d'un mécanisme d'alimentation du chèque l5\3 qui peut être manoeuvré à la main.
Ce mécanisme comprend un levier 1535 qui peut être monté sur un goujon<B>1536</B> du châssis 134 de l'imprimeur sur lequel pivote une articulation 1537 pivotant. d'un autre côté sur un bras 1538 fixé sur l'arbre 1078. Sur la coulisse<B>1081</B> décrite précédemment pivote un cliquet 1539 actionné par un ressort, de ma nière à coopérer avec des dents 1540 dé coupées sur le bord supérieur de la barre 1004.
Lorsque le levier 1535 est placé dans la position Avancement de ligne indiquée sur la fig. 107 en tracé pointillé, à droite de la. position médiane, l'arbre 1078 et le bras 1079 se déplacent dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, à la suite de quoi la coulisse 1081 oblige par sa coopération avec la barre d'avancement 1004 les rouleaux 964 à tourner pas à pas et à avancer le chèque 152.
Pour ramener le chèque à la première ligne, le levier<B>1535</B> se place dans la position Recul vers la première =ligne indiquée sur la fig. 107 en pointillé, à gauche de la posi- lion médiane, à la suite de quoi la coulisse 1081 se déplace à droite et, dans ce cas, une plaque l541 (fi-.
108) rigidement fixée sur les goujons 993 et 1082 provoque le débrayage du cliquet 1539 des dents 1540 et en même temps -les cliquets 1048 et 1006 (fig. 86 et 88) sont dégagés de la .crémaillère 992 et de la barre 1004, de sorte que le ressort 1011 peut actionner la crémaillère 992 de manière à faire tourner les rouleaux d'alimentation 964 dans le sens des aiguilles d'une montre pour ramener le chèque 152 en arrière à la pre- inière digne, ainsi qu'on l'a décrit. ci-dessus.
On a ainsi donné une-description complète de la machine représentée en liaison avec l'impres sion des chèques de paye 152 simultanément avec l'impression des données sur le bordereau 151 et sur la carte de salaires 153. Comme le fonc tionnement des divers mécanismes a été expli- qué au cours de leur description détaillée, il n'est pas nécessaire de donner une nouvelle description du fonctionnement de ces méca nismes.
Analyse. Ainsi qu'il a été exposé plus haut, la ma chine représentée est destinée aux travaux d'analyse pour effectuer -des empreintes sur une bande d'analyse 155 (fig. 13 et 20) au moyen des marteaux 107. à 704 et, sur une fiche à l'aide des marteaux 712 à 717 inclus.
Lorsqu'on désire se servir de la machine pour des travaux analytiques, on peut dépla cer le .levier 789 (fig. 1 et 72) de la position 0 , soit dans la position 1 , soit dans la. po sition 2 . En le plaçant .dans la position 1 ( Analyse N d'ordre ), il transforme la ma chine à établir des bordereaux de paye en machine adaptée aux travaux analytiques et il commande en même temps le numéroteur, de manière que les numéros consécutifs soient imprimés en même temps que les données ana lytiques.
Lorsque le levier 789 se place dans la position N 2 (Analyse - Sans N d'or dre), la machine à établir des bordereaux de paye est transformée en machine adaptée aux travaux analytiques et le levier 789 com mande en même temps le numéroteur de telle façon que le numéro consécutif ne sera pas imprimé sur la bande analytique 155 ni sur la fiche 156.
La bande analytique 155 est fournie par un rouleau 1544 (fig. 68) placé librement clans un récipient 1545 situé en face des mar teaux 701 à 704 inclus et fermé par' un cou vercle 1546 à charnière 1343. La bande 155 peut être retirée du rouleau 1544 à droite du couvercle 1546 (fig. 68) et amenée au-dessus des rouleaux d'alimentation 1240, de manière être saisie par les rouleaux tendeurs 1242 et avancée d'un pas à chaque opération de la machine.
On abaisse la touche 164 Analyse de la rangée 2; cette touche est une touche qui ni, peut pas être libérée par le mécanisme ordi naire de déblocage des touches, mais unique ment par le levier 1548 de déblocage des tou ches (fig. 1). L'abaissement de cette touche d'analyse, comme exposé ci-dessus, par le mé canisme représenté sur la fig. 16, débloque les touches N du compte et les touches 16.1 W et V en retirant les doigts 555 d'au- dessous des tiges 394 de ces touches.
La fiche 156 s'imprime par :les marteaux 712 à 716 qui effectuent habituellement les impressions dans les colonnes 12 à 17 du chè que 152. Sur cette fiche s'imprime ,la totalité de certaines écritures imprimées en détail sur la bande analytique 155. On voit par exemple, en se reportant à la fig. 20, qu'il y a sur la bande analytique 155 deux totaux, à savoir Fr. 723,52 et Fr. 245,63 et que plus bas est imprimé le total Fr: 969,15 relatif à un cer tain N de folio 4652 et un N de compte 236. Ces numéros de folio et du compte ainsi que le total Fr. 969,15 sont imprimés sur la fiche 156.
On peut imprimer un certain nombre de ces fiches pour les utiliser pour certaines clas sifications relatives à des répartitions analy tiques exigées par les divers types d'entre prises qui se servent de cette machine.
Dans les opérations d'analyses tous les montants enregistrés par le totalisateur cor respondant à la touche 164 V de la rangée 2 s'accumulent -dans le totalisateur G. T. 4 à. la position zéro de la- rangée 4 et tous les montants enregistrés par l'abaissement de la touche 164 W de la rangée 2 s'accumulent dans le totalisateur G. T. 3 à la position zéro de la rangée 3.
Tous les montants enregistrés en cours d'analyse le sont naturellement. soit d'un seul, soit des deux côtés du clavier numéral, à l'aide des touches 160 à gauche de la cou pure et des touches 161 à .droite de la cou pure.
Chaque poste enregistré s'additionne à son propre total et aussi au total G. T. 2 , le quel, comme on se rappelle, est dans la posi tion de la rangée 2. L'impression se fait dans les colonnes 3 et 4 de la bande analytique <B>1,55</B> et cette bande avance après chaque im pression sous .l'action du cliquet d'entra"ine- ment 1293 (fig. 60 et 61).
Comme indiqué précédemment, une fiche telle que celle représentée sur la fig. 25 peut être employée pour certaines ou pour toutes les écritures.
Après distribution de tous les postes, les totaux accumulés peuvent être mis à jour sur la, bande<B>155</B> de la façon suivante: Pour sor tir les totaux clans la rangée 4, l'opérateur abaisse la touche 163 Rem. 0 rangée 4 et en la tenant abaissée enfonce successivement tou tes .les touches 166 de la rangée 4.
Pour sortir les totaux de la rangée 3, l'opérateur abaisse la touche 163 Rem. 0 ran gée 3 et enfonce ensuite successivement tou tes les touchés 165 .de la rangée 3. Pour vider le totalisateur G. T. 4 de la rangée 4, il faut enfoncer la touche Rem.<B>O</B>rangée 4 , la tenir abaissée et ensuite abaisser la touche 164 V de la rangée 2. Pour vider le totalisateur G. T. 3 , qui est à la position zéro de la ran gée 3, il faut abaisser la touche Rem. 0 ran gée 3 et ensuite la touche 164 W de la rangée 2.
Il peut arriver qu'on désire se servir de la machine pour faire les impressions sur une grande feuille du journal qu'on met à la place du bordereau<B>151.</B> sans qu'il y ait de supports d'impression à la place de la carte .de salaires ou du chèque. Dans ce cas, il faut naturelle ment empêcher le blocage de la machine par le bras de blocage 919, c'est-à-dire empêcher le fonctionnement de l'arbre 149 de blocage des touches et aussi de l'arbre 628 (fig. 33 et 34) en interdisant l'opération de l'arbre 925 (fig. 97).
En d'autres termes, lorsque l'arbre 925 ne peut pas tourner, l'arbre 149 ne sera pas blo qué. Du côté gauche du coffre de la machine sort un levier 1550 fixé à une bride 1551 (fig. 39 et 72) possédant un bras 1552 qui lui est solidaire, le tout pivotant sur un axe 1553 fixé sur le châssis 131 de l'imprimeur. Le bras 1552 est muni d'un doigt 1554 qui se trouve normalement en dehors du chemin parcouru par un bras 1555 fixé sur l'arbre .925, lequel, comme on se rappelle, tourne dans le sens des aiguilles d'une montre sous le contrôle .du contacteur 858 du chèque et du contacteur 859 de la carte des salaires.
Par con séquent, lorsque l'arbre 925 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre sous le con trôle de ces contacteurs, le bras 1555 se dé place vers le haut en face du doigt 1550 qui est normalement maintenu dans la position indiquée sur la fig. 72 par un bras aligneur 1556 actionné par un ressort, et ce bras porte un ergot 1557 qui coopère avec deux encoches pratiquées dans le bras 1552.
Cependant, s'il est nécessaire ou si l'on désire rendre le contacteur 859 de la carte de salaires et le contacteur 858 du chèque inopé rants, le doigt 1550 se déplace dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 72), à la suite de quoi l'ergot d'aligne ment 1557 s'engage .clans l'encoche inférieur du bras 1552 et le doigt 1554 se déplace vers le haut sur le chemin parcouru par le bras 1555 qui est fixé sur l'arbre 925 et interdit ainsi tout mouvement de l'arbre 925 sous le contrôle des bras contacteurs 936 et 946 et des articulations 939 et 949 (fig. 66 et 97) commandées respectivement par le contacteur 859 de la carte de salaires et le contacteur du chèque.
Par conséquent, l'arbre 149 ne peut être bloqué par le bras de blocage 919.
La machine représentée est utilisée comme suit: En supposant que tous les totalisateurs de la machine soient .en position zéro et que l'opérateur se prépare à établir un groupe de chèques de paye, il abaisse, sans qu'il y ait de formule en position pour établir im chè que, d'abord la touche Paye nette pour per mettre au mécanisme d'alimentation des dis positifs imprimeurs d'amener les formulaires après qu'ils ont été mis dans la machine. Cette opération de la machine sous le con trôle de la touche Paye nette ramène égale ment le totalisateur de balance à la position zéro, de sorte que les montants bruts et nets exacts sont imprimés sur le chèque ou autre support d'impression destiné à recevoir ces indications.
L'opération suivante consiste clans l'intro duction du bordereau de paye et du chèque, après quoi l'opérateur extrait de la carte de salaires de l'employé, c'est-à-dire qu'il com pose à l'aide des touches numérales, les gains antérieurs de l'employé et actionne ensuite la touche Gains antérieurs . Pendant cette opération, la machine accumule le montant des gains précédents qui a été enregistré dans un totalisateur prévu à cet effet.
Au cas où l'opérateur n'introduit pas le chèque avant l'enregistrement des gains pré cédents, le mécanisme d'alimentation des ehè- ques commande les rouleaux de tension des chèques de telle manière que le chèque peut être inséré pendant ou après l'opération d'en trée des gains antérieurs dans les totalisateurs.
Le clavier numéral est un clavier à cou pure permanente , bien connu dans ce genre de machines, qui peut desservir juste le dou ble chi nombre des totalisateurs desservis par un clavier sans coupures. Le clavier est coupé de telle sorte qu'il y a hait rangées de tou ches numérales à droite et sept rangées à gauche.
La prochaine opération après l'enregistre ment des gains antérieurs en rapport avec l'établissement d'un bordereau de paye est la composition, à l'aide des touches numérales, du côté gauche, des heures réglementaires, à l'aide des touches numérales du côté droit, du montant gagné. L'opérateur abaisse 15, touche R des heures et Montants et, pendant cette opération, le nombre des heures régle mentaires et le montant gagné pour ces heures s'impriment sur le bordereau de paye, sur le talon du chèque et sur la carte de salaires. Le nombre des heures réglementaires s'accumule dans le totalisateur prévu à cet effet et le sa laire s'ajoute dans un totalisateur prévu pour de tels montants.
Le montant est également additionné dans un totalisateur d'addition et soustraction, ou totalisateur de balance.
L'opération suivante consiste dans la com position des heures supplémentaires et du montant relatif aux heures supplémentaires à l'aide des touches numérales du côté gauche et du côté droit respectivement, après quoi l'opérateur actionne la touche T des Heures et Montants , de sorte que la .ma chine imprime les heures supplémentaires et le montant correspondant sur le bordereau de pa5-e, sur le talon du chèque ainsi que sur la carte de salaires. Le nombre des heures sup plémentaires s'ajoute dans le totalisateur cor respondant et le montant supplémentaire dans le totalisateur prévu à cet effet et dans le totalisateur d'addition et soustraction.
S'il y a d'autres sommes spéciales à verser à cet employé particulier pour lequel on éta blit le .chèque, telles que :dividendes ou bonis, ces montants se composent sur le clavier et on actionne la touche S pour les dividendes et .la touche Y pour les bonis. Cette ou ces sommes seront imprimées sur le bordereau de paye, sur le talon du chèque et sur la carte de salaires et additionnées dans les totalisa teurs correspondants et dans le totalisateur d'addition et soustraction.
L'opération suivante est -la lecture du to talisateur d'addition et soustraction en abais sant la touche Bruit qui imprime le mon tant brut (somme des montants des heures réglementaires, des heures supplémentaires et des dividendes et bonis, s'il y en a) sur le bor dereau -de paye, sur le talon du chèque et aussi sur la carte de salaires.
Le montant brut gagné par l'employé étant maintenant enregistré et emmagasiné dans .le totalisateur d'addition et soustraction de la machine, l'opérateur procède à l'enre gistrement des différentes déductions, quelles qu'elles soient, telles que retenues de l'impôt sur le revenu, cotisation pour la retraite, assu rances, etc. Pour ,chacune de ces déductions, l'opérateur :compose séparément le montant à l'aide des touches du côté droit et abaisse une des touches correspondantes -de A à N prévue pour la déduction en question. Pen dant cette opération, les déductions sont im primées sur le bordereau de paye, sur le talon -du -chèque ainsi que sur la carte de salaires.
Les montants de ces diverses déductions sont soustraits du totalisateur d'addition et sous traction pour arriver à la paye nette de l'em ployé.
Pendant ces opérations, le bordereau de paye se déplace ou avance pour l'impression sur les deux lignes réservées à chaque employé et la carte de salaires se déplace également. Cet -avancement de ligne en ligne d'un inter- ligne est contrôlé de faon positive par les touches des rangées 2 et 3. Chaque touche a une position définie dans laquelle elle im prime. Le bordereau de paye avance égale ment, pendant l'opération Paye nette , de l'une des lignes d'un espace vers la ligne supé rieure -de l'espace suivant, la carte de salaires toutefois n'avance pas de la même façon.
Pendant ces opérations, le chèque avance après l'impression des heures et du gain pour le temps réglementaire de travail et avance ensuite encore après l'impression des heures supplémentaires et de la somme supplémen taire, de sorte que les gains bruts sont impri més au-dessous des montants normaux et sup plémentaires. S'il y a des gains spéciaux, tels que dividendes ou bonis, le chèque avance et ces montants sont imprimés et enregistrés avant l'impression sur le chèque du montant brut.
Ensuite, après l'enregistrement de la première déduction, le chèque est ramené en arrière, de façon que l'impression soit faite sur la ligne en face des heures réglementaires et avance après chaque déduction. L'opéra tion suivante sert à comptabiliser les gains jusqu'à la date et, à cet effet, l'opérateur abaissè la touche Gains à .ce jour qui im prime ce montant sur la carte de salaires sur la deuxième ligne de l'espace destinée à cette inscription pour l'employé particulier dont la carte se trouve dans la machine.
Après cette opération, l'opérateur abaisse la touche Paye nette qui remet le totalisa teur d'addition et soustraction à zéro, de façon à imprimer le montant net de la paye de l'employé sur le bordereau de paye au- dessoüs -du montant brut de la paye. Pendant cette opération, le chèque est automatique ment ramené vers la position de la quatrième ligne, après quoi la paye nette est. imprimée sur le talon et également imprimée deux fois sur la partie principale du chèque qui sera encaissé par l'employé. Après que le chèque est imprimé, il est éjecté et retourné pour être classé dans l'ordre numérique.
Ces opérations se répètent. pour chaque employé de chaque groupe, sélectionné par l'opérateur suivant le système appliqué dans les différentes entreprises où l'on se sert de la machine. Dans le cas où on emploie des en veloppes au lieu de chèques, le montant brut de la paye de l'employé est imprimé sur l'en veloppe ainsi que chacune des déductions, l'enveloppe avançant après l'impression de chaque déduction. L'enveloppe est ensuite ra menée à la quatrième ligne et, après manoeu- vre de la touche Paye nette , la paye nette de l'employé qui représente la différence entre le montant brut et la somme des diffé rentes déductions est imprimée sur l'enve loppe en ligne avec la quatrième déduction.
Après l'impression et l'enregistrement dans la machine d'un certain groupe de chè ques ou enveloppes de paye des employés, l'opérateur procède à la passation aux écri tures. Avant d'y procéder, on introduit le bordereau de paye dans la position de la ligne de totalisation. Les différents totaux sont extraits dans l'ordre suivant: on extrait le total des gains précédents en abaissant la touche Rem. 0 rangée 2 et la touche Gains antérieurs ; ensuite on- imprime les Gains totaux à ce jour sur le bordereau de paye en abaissant la touche Rem. 0 rangée 4 en même temps que la touche Gains antérieurs . Ceci remet à zéro le totalisateur du groupe 4 connu sous le nom de totalisateur G. T. 4 , la touche Gains antérieurs agissant cette fois uniquement comme touche de déclenche ment de la machine.
L'opérateur trouve ensuite les totaux des gains en abaissant la touche Rem. 0 rangée 4 en combinaison avec la manoeuvre indivi duelle des touches X , S , T et R .
On vide ensuite les totalisateurs des dé ductions en abaissant la touche Rem. 0 ran gée 4 en combinaison avec les touches K , L , M et N dans des opérations séparées et en abaissant la touche Rem. 0 rangée 3 en combinaison avec les touches A à J incluse dans des opérations séparées. L'opéra teur relève ensuite le total net en abaissant la touche Paye nette en combinaison avec la touche Total paye nette .
Pour toutes ces opérations, le levier de commande, d'analyse ou d'impression, à gau- che de la machine, se trouve dans la position N 1.
Le numéro d'ordre avance pendant l'opé ration Paye nette , de sorte qu'il s'imprime sur le bordereau de paye ainsi que sur la partie principale du chèque.