CH329436A - Machine comptable - Google Patents

Machine comptable

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CH329436A
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Description


  Machine comptable    La présente invention a pour objet une  machine comptable.  



  On connaît des machines comptables com  prenant plusieurs groupes de roues totalisatrices,  susceptibles de se déplacer transversalement  par rapport à des organes d'entraînement, pour  sélectionner un groupe particulier de roues des  tiné à coopérer avec lesdits organes d'entraî  nement.  



  Dans le cas de certaines machines connues  non équipées d'un chariot mobile pour support  d'enregistrement, le mécanisme de déplacement  s'est révélé relativement compliqué et, de plus,  on a imposé au mécanisme différentiel la charge  de déplacer ou décaler les totalisateurs, d'après  son réglage par divers dispositifs de commande  de fonctions.  



  En outre, avec la complexité croissante des  systèmes de comptabilité modernes, on a besoin  de prévoir un nombre croissant de totalisateurs  dans ces machines et une plus grande souplesse  dans leur commande. Habituellement, l'adjonc  tion de totalisateurs supplémentaires à une  machine comptable la rend volumineuse et  encombrante et introduit des organes de cou  plages importants dans les mécanismes de  commande nécessaires.  



  Dans les machines comportant un grand  nombre de totalisateurs intercalés les uns dans  les autres, dont la commande sélective doit    s'effectuer au moyen de dispositifs de commande  montés dans des positions de colonnes déter  minées à l'avance sur un chariot mobile de  support d'enregistrement, la question de l'allè  gement de la charge qui s'exerce sur les méca  nismes de sélection commandés par chariot  devient encore plus importante, car de tels  mécanismes sont essentiellement de construction  relativement fragile et susceptibles d'être endom  magés et distordus sous l'effet de surcharges  élevées.

   Pour cette raison, on a déjà proposé  de faire fonctionner le mécanisme de déplace  ment des totalisateurs par l'intermédiaire d'un  ressort, au moyen d'un mécanisme     d'entrai-          nement    actionné par la machine. Cependant,  ces liaisons par ressort doivent supporter un  gros effort quand le mécanisme, en mouvement  continuel, continue sa pleine course, tandis que  le mécanisme de déplacement doit rester dans  une position acquise     différentiellement,    et le  ressort peut donc s'allonger et se tordre, ris  quant ainsi de provoquer une sélection incor  recte des totalisateurs. En plus, la charge placée  sur le ressort est retransmise, au moyen d'organes  de couplage sur lesquels agissent les dispositifs  de commande du chariot.  



  L'invention a pour objet une machine comp  table comprenant des touches de montants,  des crémaillères d'entraînement réglables sous  la commande de ces touches, plusieurs séries      de pignons totalisateurs     décalables    transver  salement par rapport aux crémaillères     d'en-          trainement,    et un mécanisme de- décalage pour  chaque série de pignons totalisateurs.

   Elle est  caractérisée en ce que chaque mécanisme de  décalage comprend deux leviers de pince  basculés simultanément à chaque opération  de la machine, par des organes de contrôle  individuels pour lesdits leviers de pince, et par  un mécanisme "différentiel, mécanisme coopé  rant avec les organes de contrôle de façon que  le basculement des leviers de pince se trouve  modifié suivant le réglage dudit mécanisme  différentiel, de manière à commander d'une  façon correspondante l'importance et le sens  du mouvement de décalage des pignons totali  sateurs.  



  Le dessin annexe représente, à titre d'exemple  une forme d'exécution de la machine comptable  faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 est une vue en perspective de la  machine,  la     fig.    2 est un schéma de son clavier de  commande,  la<B>fi-.</B> 3 est une élévation frontale d'une  partie du mécanisme à commande de chariot  servant à sélectionner les totalisateurs de groupe,  la     fig.    4 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme de sélection des totalisateurs  de groupe de la     fig.    10.  



  L'ensemble des     fig.    5A et 5B, considérées  ensemble, constituent une coupe de la machine  vue de droite, à partir de la partie droite d'une  rangée de montant,  la     fig.    6 est une vue de détail du mécanisme  de verrouillage destiné à déconnecter la partie  prévue pour l'arrêt des touches des organes  d'entraînement de montant,  la     fig.    7 est une vue, de l'avant de la machine,  du totalisateur de solde,  la     fig.    8 est une vue de détail du mécanisme  destiné à imprimer un déplacement horizontal  aux groupes du totalisateur,

      la     fig.    9 est une vue de détail du dispositif  amortisseur de rebondissement des groupes     dé-          plaçables    de totalisateur,  la     fig.    10 est une élévation latérale de  droite du mécanisme destiné à     imprimer    un  mouvement de sélection horizontal aux groupes  du totalisateur,  la     fig.    11 est une vue de détail du mécanisme  d'embrayage du mécanisme de report de dizaines  de la position d'addition à la position de sous  traction et vice versa,  la     fig.    12 est une vue en plan agrandie d'une  partie du mécanisme destiné à imprimer un  mouvement de sélection horizontal ou de dépla  cement aux groupes du totalisateur,

    la     fig.    13 est une vue de détail des étriers  destinés à imprimer un mouvement de dépla  cement aux groupes du totalisateur,  la     fig.    14 est une vue en plan du mécanisme  de commande du mouvement de déplacement  horizontal du groupe comportant le totalisateur  de solde,  la     fig.    15 est une vue de détail en plan du  mécanisme de commande du déplacement  horizontal du groupe de totalisateurs de groupe,  la     fig.    16 est une vue en coupe transversale  du groupe du totalisateur de solde, montrant  ledit totalisateur en partie embrayé,  la     fig.    17 est une vue en coupe du groupe  du totalisateur de solde, montrant la série  sélectionnée de pignons totalisateurs complè  tement embrayés,

    la     fig.    18 est une vue de détail montrant  le fonctionnement du mécanisme de report  des dizaines dans les opérations d'addition,  la     fig.    19 est une vue de détail montrant  le fonctionnement de ce mécanisme dans les  opérations de soustraction,  la     fig.    20 est une vue en coupé du totalisa  teur de solde, le long de la ligne 20-20 de la     fig.    7,  en regardant dans le sens des flèches,      la     fig.    21 est une coupe du totalisateur de  solde,     effectuée    suivant la ligne 21-21 de la     fig.    7,  en regardant dans le sens des     flèches,    montrant  une portion du mécanisme dit   d'unité fu  gitive  ,

    la     fig.    22 est une vue du totalisateur de solde,  en coupe suivant la ligne 22-22 de la     fig.    7, en  regardant dans le sens des     flèches,     la     fig.    23 est une vue de détail montrant une  partie particulière du mécanisme d'unité fugitive  du totalisateur de solde,  la     fig.    24 est une vue de détail du mécanisme  de report du totalisateur de solde, après son  débrayage, dans les opérations d'addition,  la     fig.    25 est une vue de détail du mécanisme  de report du totalisateur de solde,     m        ant    son  embrayage, dans les opérations de soustraction,

    la     fig.    26 est une élévation latérale, vue de  la droite, montrant le mécanisme d'alignement  des deux groupes du totalisateur à déplacement  horizontal, le mécanisme de     réarmage    des  reports et le mécanisme commandé par l'état  algébrique du totalisateur de solde pour empê  cher le déclenchement automatique de la machine  quand ledit totalisateur est en état négatif  ou de solde débiteur,  la     fig.    27 est une vue fragmentaire d'une extré  mité du totalisateur de groupe,  la     fig.    28 est une élévation, côté gauche,  d'une partie du mécanisme de sélection d'un  totalisateur de groupe particulier, destiné à  recevoir le total d'un solde débiteur prélevé  dans le totalisateur de solde,

    la     fig.    29 est une vue de détail du mécanisme  destiné à maintenir     élastiquement    les groupes  de totalisateurs, soit en position embrayée,  soit en position débrayée, et du mécanisme  de     réarmage    des reports,  la     fig.    30 est une élévation, côté gauche,  du mécanisme de commande des opérations  de total dans le totalisateur de solde,  la     fig.    31 est une vue de détail d'une des pla  ques mobiles de support de l'arbre du totalisa  teur de solde,    la     fig.    32 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme palpeur de la     fig.    4,

    la     fig.    33 est une vue de détail d'une partie  du mécanisme commandé par une touche de  total, pour passer outre à la commande effectuée  par les organes d'arrêt du chariot sur le dépla  cement latéral du totalisateur de solde.  



  <I>Bâtis et mécanisme d'entraînement</I>  Les mécanismes principaux de la machine  représentée, y compris le mécanisme du clavier,  le mécanisme d'entraînement, le mécanisme  imprimeur et le chariot mobile, sont supportés  par des bâtis de droite et de gauche 50 et 51       (fig.    5B et 7), à leur tour fixés à une base de  machine 52. La base 52, en coopération avec  divers bâtis transversaux, barres et tiges, sup  porte et maintient les deux bâtis principaux 50  et 51 parallèles entre eux et à distance conve  nable l'un de l'autre. Le mécanisme de la  machine est contenu dans un coffre 53     (fig.    l )  fixé aux bâtis et à la base.  



  La machine est munie d'un chariot mobile  54,     déplaçable    latéralement     (fig.   <I>1, 5A</I> et 5B)  et comprenant des bâtis ou logements terminaux  de droite et de gauche, reliés à l'arrière par une  cornière en Z, 55 et une plaque de fond 56.  Ils sont reliés à l'avant par une barre horizon  tale 57 fixée en ses extrémités opposées à deux  cornières angulaires 58 (dont une seule est  figurée), lesdites cornières étant à leur tour  fixées aux bâtis terminaux correspondants du  chariot. Le chariot 54 est supporté de façon mo  bile sur la machine par un rail tubulaire 59,       fixé    à la plaque de fond 56 et glissant sur des  rouleaux 60, à leur tour montés à rotation sur  une barre 61 fixée aux bâtis principaux 50  et 51.

   Le rail 59 est maintenu en contact précis  avec chaque rouleau 60 par plusieurs galets  angulaires 62 disposés de part et d'autre du  rouleau, certains de ces galets étant montés  directement sur le bord supérieur de la barre  61, et les autres sur des goujons     fixés    dans la  barre 61. Le bord avant du chariot est supporté  de façon mobile au moyen d'une gorge longitu  dinale de la barre 57, dans laquelle s'engagent  plusieurs rouleaux 63 montés sur une plaque 64,      à son tour fixée au bâti de la machine.

   Une  crémaillère longitudinale 65     (fig.    5B) est fixée  à la partie inférieure de la cornière 55 et ses  dents sont en prise avec un pignon 66 fixé à  l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 67,  tourillonné à son extrémité supérieure sur une  plaque 68 fixée à la barre 61, et à son extrémité  inférieure dans la partie terminale supérieure  d'un boîtier de transmission hydraulique 71,  fixé à la base 52 de la machine. Un pignon à  large face 69 est fixé à l'extrémité inférieure de  l'arbre 67 et engrène avec un pignon     décalable     d'inversion 70     tourillonné    dans le boîtier 71.

    Le pignon 70 peut être connecté à l'un ou  l'autre de plusieurs leviers entraînés     reversible-          ment    (non figurés), qui sont à leur tour entraînés  non-positivement au moyen d'un mécanisme  de transmission hydraulique connu.

   Quand  le pignon 70 occupe sa position supérieure,  comme le montre la     fig.    5B, il entraîne l'arbre 67  et le chariot vers la gauche ou sens de     tabulation     et, quand il est décalé vers le bas, il entraîne  l'arbre 67 et le chariot vers la droite ou sens  de retour de     tabulation.    Le mécanisme de trans  mission hydraulique de déplacement du chariot  dans le sens de     tabulation    et dans le sens de  retour de     tabulation    est mû par un moteur  électrique à mouvement continu (non figuré),  fixé à la base 52 de la machine et qui entraîne  également le mécanisme de la machine compta  ble.  



  Les mouvements de     tabulation,    à la fois  dans le sens direct et dans le sens rétrograde,  sont commandés par un échappement (non  figuré) qui engrène avec les dents du bord  inférieur de la barre 57     (fig.    1 et 5A), ledit  échappement pouvant être commandé soit à  la main, au moyen des barres motrices et des  autres touches de commande, soit automa  tiquement au moyen du chariot mobile, suivant  des positions de colonnes choisies à l'avance,  comme on l'expliquera de façon plus détaillée  dans la suite.  



  Une réglette à taquets 72, fixée de façon amo  vible à la barre 57     (fig.    1 et 5A), comporte plu  sieurs taquets 73 disposés suivant des positions  de colonnes choisies à l'avance du chariot.  Ces taquets portent des plaques de commande    74 qui coopèrent avec des doigts palpeurs 75 pour  commander les diverses fonctions de la machine.

    Ils peuvent, de même, être munis de languettes  de     tabulation    aller et retour, qui commandent  les mouvements de     tabulation    aller et retour  du chariot de façon à placer celui-ci suivant  des positions de colonnes, choisies à l'avance,  tandis qu'il se déplace dans un sens ou dans  l'autre, une languette servant à bloquer le  mécanisme de déclenchement de la machine et,  si on le désire, une autre languette servant à  enclencher automatiquement le fonctionnement  de la machine.

   La réglette 72, avec son ensemble  de taquets de commande 73, peut être aisément  enlevée de la machine et remplacée par une  autre réglette comportant d'autres taquets  disposés suivant des positions de colonnes  différentes, et avec une disposition différente  de plaques de commande 74 et des autres lan  guettes de commande, de faon à adapter  rapidement la machine à un travail comptable  différent. De même, les taquets 73 peuvent  rapidement être réglés dans une position quel  conque de la réglette 72, pour disposer commodé  ment les positions de colonnes. du chariot de  façon à les accorder avec les divisions de  différents types de matériaux d'enregistrement.  



  Un cylindre 76     (fig.    1, 5A et 5B) est monté       rotativement    dans le bâti 54 du chariot, pour  supporter le matériau d'enregistrement, par  exemple une feuille de journal 77, et le main  tenir en position d'impression. Cette feuille  de journal, dans ce cas, est déroulée d'un  cylindre d'approvisionnement 78, supporté par  le chariot, et amenée de l'arrière en dessous  et autour du cylindre 76. La feuille de journal 77  est maintenue en contact avec la face du cylindre  au moyen de galets de pression postérieurs 79  et antérieurs 80.

   Outre qu'elle comporte ce  dispositif postérieur d'alimentation en matériau  d'enregistrement, la machine est munie d'une  trémie frontale d'alimentation pour guider  un matériau d'enregistrement, par exemple des  cartes de compte 81     (fig.    5A et 5B) autour de  la partie avant du cylindre 76 et en position  d'impression. La trémie frontale comporte un  guide d'alimentation antérieur     basculable    82  qui, quand il occupe la position de fermeture      représentée en traits pleins à la     fig.    5A, maintient  le matériau d'enregistrement frontal 81 en  position d'impression autour du cylindre 76.

    Le guide 82 est mobile de la position fermée  à la position ouverte, représentée en trait mixte       (fig.    5A) et, au cours de ce mouvement, les  galets de pression antérieurs 80 sont écartés  de la face du cylindre et, en coopération avec  le guide 82, ils constituent une gorge d'alimen  tation frontale qui dirige la carte de compte  81 autour de la partie antérieure du cylindre  et dans un guide descendant 83, situé à l'arrière  du chariot. Le bord inférieur du guide 82 forme  une ligne de guidage servant à ajuster la ligne  désirée du matériau d'enregistrement, de façon  à la disposer convenablement pour l'impression  par les caractères imprimants.

   Les galets  antérieurs 80 et le guide 82 sont déplacés de la  position fermée à la position ouverte et vice  versa, par l'intermédiaire d'un mécanisme  comprenant un tube 84     (fig.    5B) tourillonné  dans le bâti du chariot et connecté par plusieurs  goupilles à une tige 85, qui glisse entre les faces  parallèles de deux blocs 86 montés pivotants  sur une plaque 87, laquelle est décalée d'une  position à une autre, pour     manaeuvrer    la trémie  frontale, par l'intermédiaire d'un embrayage  de type connu (non figuré) qui connecte la  plaque 87 au moteur à mouvement continu.  



  L'espacement ligne par ligne du matériau  d'enregistrement, alimenté de l'avant ou de  l'arrière et supporté par le cylindre 76, peut être  obtenu par rotation de ce dernier dans le sens       dextrorsum        (fig.    5A et 5B), par l'intermédiaire  d'un mécanisme comprenant un tube 88     tou-          rillonné    dans le bâti du chariot et connecté par  des goupilles 89 à une tige 90, qui est maintenue  en contact élastique avec un rouleau d'entraî  nement 91 monté sur un bras 92 fixé à l'extrémité  supérieure d'un arbre vertical 93 tourillonné  dans la plaque 68 et dans la base 52.

   L'extrémité  inférieure de l'arbre 93 est connectée, par l'in  termédiaire d'une bielle d'accouplement, à un  mécanisme d'embrayage connu (non figuré)  pour embrayer cet arbre avec le moteur à mou  vement continu. Les embrayages de la trémie  frontale et le mécanisme d'espacement de  lignes peuvent être actionnés à la main au moyen    de barres motrices de la machine ou au moyen  de touches de commande correspondantes.  Ils peuvent aussi être actionnés automatique  ment au moyen du chariot dans des positions  de colonnes choisies à l'avance, pour ouvrir  ou fermer la trémie d'alimentation frontale  et faire tourner le cylindre, pour produire  l'espacement des lignes du matériau d'enregis  trement qu'elle supporte, comme tout ceci est  d'ailleurs bien connu.  



  <I>Clavier</I>  Le clavier comprend un ensemble complet  96     (fig.    1, 2 et 5A) contenant plusieurs rangées  de touches de montants 97, une série de touches  de date 98, des touches de symboles 99 et une  touche de     tabulation    103, ensemble qui peut  être inséré dans la machine ou en être retiré  en un seul bloc. Les touches de date 98 sont  du type qui restent normalement enfoncées,  c'est-à-dire qu'elles ne sont pas rappelées à  la fin de     chaque'    opération.

   Toutefois, une touche  de non-répétition 110 est prévue pour les  touches de date et, quand on l'abaisse, elle  libère automatiquement ces dernières vers  la fin du fonctionnement de la machine, de  façon que l'impression de la date ne soit pas  répétée dans les opérations     successives.    De  même, une touche de rappel 109 est prévue  pour libérer toutes les touches de date abaissées,  à l'exception des touches d'années, quand la  machine est au repos. Les touches d'impression  de symbole 99 sont dans la même rangée que  les touches d'années et peuvent être utilisées  pour imprimer des symboles, à des fins d'iden  tification, sur le matériau d'enregistrement,  à côté des montants.

   Les touches de montants 97  sont du type élastique et, par suite, l'abaisse  ment d'une touche dans une rangée particu  lière libère toute touche préalablement abaissée  de cette rangée.  



  Le clavier de la machine comporte également  une barre de déclenchement en vertical 100,  une barre principale 101 et une barre de déclen  chement de saut 102, situées à droite des touches  de montants 97. Ces barres peuvent être abais  sées à la main pour mettre la machine en marche.  Outre qu'elle déclenche le fonctionnement de      la machine, la barre 100 fait, de même, tourner  le cylindre pour produire un espacement de  lignes du matériau d'enregistrement qu'elle  supporte.

   La     manoeuvre    de la barre motrice  principale 101 provoque normalement la     tabu-          lation    du chariot d'une position de colonne  à la suivante, et la     manoeuvre    de la barre de  saut 102, outre qu'elle met la machine en marche,  fait également progresser, par bonds, le chariot  d'une position de colonne à une autre position  de colonne choisie à l'avance, par l'intermé  diaire de positions de colonne interposées.  



  Un levier manuel 108     (fig.    1 et 2), qui traverse  la plaque du clavier, peut être ajusté dans trois  positions pour commander le fonctionnement  et déterminer les fonctions de la barre motrice  principale 101. Quand le levier 108 est dans  sa position supérieure 1, la barre motrice  principale 101 fonctionne normalement pour  faire démarrer la machine et permettre le mou  vement de     tabulation    du chariot 54 d'une posi  tion de colonne à la suivante. Quand ce levier  108 est dans sa position centrale 2, la fonction  tabulatrice de la barre motrice principale 101  est rendue inopérante.

   Enfin, quand le levier  de commande<B>108</B> est dans sa position 3, ou  position inférieure, la barre motrice principale  101, outre qu'elle déclenche les opérations  de la machine, embraye également le mécanisme  de rotation du cylindre et produit l'espacement  de lignes du matériau d'enregistrement enroulé  autour du cylindre 76.  



  Les barres motrices 100, 101 et 102     (fig.    1)  s'abaissent en deux étapes, connues sous les  noms de   toucher   et de   maintien  , et  fonctionnent suivant la manière expliquée     ci-          dessus    quand on les abaisse suivant l'étape  normale ou de   toucher   dans laquelle elles  sont abaissées et immédiatement libérées. Dans  l'abaissement de   maintien  , la pression est  maintenue sur ces barres après leur abaissement,  et elles sont ainsi rendues actives pour comman  der des fonctions différentes de celles qui sont  commandées par abaissement en   toucher  .

    Dans la présente forme d'exécution, l'abaisse  ment de   maintien   de la barre 100 n'en  change pas les fonctions et, par conséquent,  opère comme on l'a expliqué ci-dessus à propos    de l'abaissement normal ou de   toucher  .  L'abaissement de   maintien   de la barre  motrice principale 101, quand le levier 108  occupe sa position supérieure 1, entraîne la       tabulation    du chariot dans le sens de retour et  l'espacement de lignes de la platine. L'abais  sement de   maintien   de la barre de saut 102  ne modifie pas la fonction de cette barre et,  par conséquent, la machine fonctionne suivant  la manière expliquée à propos de l'abaissement  normal, ou de  toucher .  



  Quand le levier de commande 108 est en  position centrale 2, l'abaissement de   maintien    de la barre motrice principale 101 fait fonction  ner le mécanisme d'espacement de lignes et  déclenche la machine. Quand le levier 108 occupe  sa position 3, ou position inférieure, l'abaisse  ment de   maintien   de la barre motrice prin  cipale<B>101</B> ne modifie pas la fonction normale  de celle-ci et, par conséquent, dans ce cas, le  mécanisme d'espacement de lignes par le cylin  dre est rendu     efficace.    L'abaissement de   main  tien   de la barre de saut 102 modifie la com  mande que cette barre exerce sur le mécanisme  de     tabulation,    faisant en sorte que le chariot  effectue une     tabulation    par bond d'une position  de colonne à une autre position de colonne  différente,

   prise parmi celles qui sont choisies  par l'abaissement normal, ou de   toucher    de la barre de saut, c'est-à-dire en sautant plu  sieurs positions de colonne. Dans cette forme  d'exécution, le levier 108 commande seulement  la barre motrice principale 101 et n'a aucun  effet sur la barre 100 et sur la barre de saut 102.  



  On peut libérer à la main le chariot pour  permettre son mouvement aller de     tabulation,     en abaissant la touche de     tabulation    103     (fig.    1  et 2), qui a pour fonction de     tabuler    le chariot  d'une position de colonne à la suivante. De  même, le mouvement inverse ou de retour de       tabulation    du chariot d'une position de colonne  à la précédente peut être commandé par une  touche de     tabulation    inverse 104     manaeuvrable     à la main.

   Une touche 105 de libération du cha  riot permet de déclencher l'échappement du  chariot, de façon que celui-ci puisse être déplacé  dans un sens ou dans l'autre tant que la touche  105 est maintenue en position abaissée. La      machine est également munie d'une touche 106       (fig.    1 et 2) dont l'abaissement provoque la  fermeture ou l'ouverture de la trémie d'ali  mentation frontale, suivant la position dans  laquelle se trouve cette dernière, quand on  abaisse la touche. La libération automatique  de la machine par le chariot en des positions  de colonnes choisies à l'avance peut être empê  chée par l'abaissement d'une touche dite       non-          automatique      107.

   La touche 107 est une  touche à position abaissée verrouillée,     c'est-à-          dire    qu'elle n'est pas relâchée automatiquement  à la fin du fonctionnement de la machine, et  rend inopérant le mécanisme de déclenchement  de la machine tant qu'elle reste abaissée. Une  touche de rappel 112, située immédiatement  au-dessous de la touche   non-automatique    107, permet de libérer la première si désiré.

   Les  fonctions de la machine peuvent, en outre,  être commandées par des bossages de com  mande portés par quatre glissières à position       ajustable    (non figurées), comme il est connu  d'ailleurs et qui sont mises en place sous la  commande des barres de déclenchement<B>100,</B>  101 et 102, et sous la commande du chariot  mobile suivant les positions de colonnes prédé  terminées, de manière à obtenir les résultats  nécessaires suivant le travail comptable parti  culier auquel la machine est destinée.  



  Une touche de rappel 111 permet de libérer  à la main les touches de montants abaissées 97,  et les touches de symboles 99, chaque fois que  la machine est au repos. Quand la touche de    non-répétition   de date 110 est abaissée,  la touche de rappel 111 fonctionne également  pour libérer toutes les touches de date 98  abaissées quand la machine est au repos.  



  Le clavier de la machine comporte égale  ment un jeu complet de touches de commande  des fonctions du totalisateur de solde, à savoir  une touche d'addition 113     (fig.    1 et 2), une  touche de soustraction 114 et une touche de  total 115, lesquelles, quand elles sont utilisées  seules, remettent à zéro le totalisateur de solde  et, quand elles sont utilisées en même temps  qu'une touche de sous-total 116, produisent  une opération de sous-total dans le totalisateur  de solde. Un verrou à main 117 permet de    verrouiller la touche d'addition 113 en position  abaissée, de façon que cette touche puisse être  utilisée comme touche à position abaissée  verrouillée.

   Une touche de total 118 permet de  préparer tous les totalisateurs du groupe de       totalisateurs    sélectionnés sous la commande du  chariot pour une opération de prise de total,  et, comme la touche de total 115 du totalisateur  de solde, cette touche peut être utilisée en  même temps qu'une touche de sous-total<B>116</B>  pour préparer n'importe quel totalisateur de  groupe choisi pour une opération de lecture ou  de sous-total.  



  Le clavier comporte également une touche  de non-sélection 119, dont l'abaissement rend  inactif le mécanisme commandé par le chariot  pour la sélection et la préparation des divers  totalisateurs pour les diverses fonctions. Un  levier à main 120 permet de verrouiller la  touche de non-sélection 119 en position abaissée,  de façon qu'elle ne soit pas automatiquement  rappelée à la fin du cycle de la machine. Une  touche d'inversion 121 permet d'inverser les  fonctions d'addition et de soustraction à la  fois dans le totalisateur de solde et dans les  totalisateurs de groupe, dans le but d'effectuer  des corrections et pour tous autres usages.

    Cette touche agit seulement au moment où  la sélection et les fonctions des divers totalisa  teurs sont contrôlées par le chariot, alors  qu'elle est inactive quand lesdites fonctions sont  contrôlées par- les touches de commande 113  à 116 incluse, et par la touche de commande 118.    <I>Mécanisme</I>     différentiel   <I>des montants</I>    Une rangée de touches de montants, repré  sentée en     fig.    5A, et son mécanisme     différentiel,     sont décrits pour illustrer l'ensemble du clavier  de montants, les rangées ayant des structures  analogues et fonctionnant exactement de la  même façon.  



  Les touches de montants 97     (fig.    5A) sont  supportées, à glissement vertical, par une plaque  de cloisonnement correspondante 124, qui  fait partie du bâti du clavier. Des ressorts  compressibles (non représentés) appuient vers  le haut sur les touches 97 pour les maintenir  en position non abaissée. Chacune des touches      97 comporte une goupille 125 qui coopère avec  une arête d'entraînement correspondante ména  gée dans une lumière d'une plaque<B>126</B> de  commande d'arrêt à.zéro. Les goupilles 125  comportent des arêtes supérieures aplaties,  qui coopèrent avec des mentonnets angulaires  portés par des prolongements correspondants  d'une détente flexible 127.

   Ces mentonnets  angulaires se terminent par des épaulements  de verrouillage qui, en coopération avec les  arêtes supérieures aplaties de la détente 127,  maintiennent les touches en position abaissée.  Les goupilles 125 comportent de même des  arêtes aplaties à leurs faces inférieures, qui  coopèrent avec des dents de verrouillage corres  pondantes formées dans des ouvertures ména  gées dans une détente à verrouillage 128. Celle-ci,  ainsi que la plaque de commande 126 et la  détente flexible 127 sont montées à glissement  horizontal sur la plaque de cloisonnement 124,  suivant la manière habituelle.

   Un ressort 129,  tendu entre la plaque de commande 126 et la  détente flexible 127, appuie sur lesdites plaques  vers l'arrière et vers le haut, respectivement,  pour maintenir normalement les arêtes d'en  traînement angulaires des ouvertures de la  plaque de commande 126 en contact élastique  avec les goupilles correspondantes 125, et pour  maintenir normalement les mentonnets an  gulaires d'entraînement correspondants sur les  prolongements de la détente flexible 127 en  contact élastique avec ces mêmes goupilles 125.  



  L'abaissement d'une des touches de mon  tants 97 fait que sa goupille 125, en coopération  avec le mentonnet angulaire de la détente 127,  déplace cette dernière vers l'arrière contre  l'action du ressort 129 et, après le passage de  l'arête supérieure de la plaque de la goupille  au-delà de l'épaulement du prolongement, le  ressort 129 ramène la détente vers l'avant sur  une faible distance pour verrouiller l'épaulement  prévu sur l'arête plate, de manière à maintenir  abaissée la touche 97. L'abaissement d'une  autre touche de montants 97, alors qu'une  touche de montants a déjà été abaissée, oblige  la goupille de cette dernière touche abaissée  à déplacer la détente vers l'avant pour libérer  la touche préalablement abaissée, constituant    ce qu'on appelle un clavier flexible.

   La détente  d'arrêt 128 comporte un prolongement vers  le haut 130 à bec arrondi, qui est maintenu en  contact élastique avec une saillie 131,     fixée    à  un arbre de verrouillage de touches 132,     tou-          rillonné    dans le bâti du clavier, sous l'action  d'un ressort 133 tendu entre le prolongement  et la saillie.  



  Au début du fonctionnement de la machine  le mouvement, dans le sens     dextrorsum,    de  l'arbre de verrouillage de touches<B>132</B>     (fig.   <I>5A),</I>  entraîne, par l'intermédiaire du ressort 133,       élastiquement    de concert la détente 128 vers  l'arrière pour amener les dents des ouvertures  de la détente en dessus des arêtes inférieures  plates correspondantes des goupilles 125, pour  verrouiller toutes les touches non abaissées et  les empêcher d'être abaissées pendant le fonc  tionnement.

   Vers la fin du cycle de fonctionne  ment, l'arbre 132 est renvoyé dans le sens     senes-          trorsum,    pour déplacer la détente 128 vers  l'avant jusqu'à la position dans laquelle elle  est inopérante et, simultanément, un arbre de  rappel 134, tourillonné dans le bâti du clavier,  reçoit un mouvement de libération de touche  dans le sens     senestrorsum.    Ceci a pour     effet,     par l'intermédiaire d'un bras coopérant avec  le prolongement supérieur correspondant de la  détente     flexible    127, de déplacer celle-ci vers  l'arrière contre l'action du ressort 129, de  manière à dégager l'épaulement de l'arête supé  rieure plate de la touche de montants abaissée,

    ce qui libère cette dernière et permet l'action  de son ressort, qui la ramène immédiatement,  par un mouvement vers le haut, à la position  non abaissée. L'arbre de rappel 134 fonctionne  dans les opérations d'addition et de soustraction,  pour libérer les touches de montants abaissées  97 à la fin du fonctionnement de la machine.  Toutefois, dans les opérations de total et de  sous-total, l'arbre en question reçoit son mou  vement libérateur     senestrorsum    au début du  fonctionnement de la machine, pour libérer  toute touche de montants abaissée par inad  vertance avant une telle opération.  



  Chacune des touches de montants 97     (fig.    5A)  porte, fixé à l'extrémité inférieure de sa tige,  un goujon carré 135 qui coopère avec un épau-           lement    de butée correspondant 136 constitué  par des degrés progressifs ménagés sur une  glissière 137, connectée à une biellette corres  pondante 138, dont l'extrémité antérieure  s'engage dans une     lumière    d'espacement latéral  d'une barre 139, montée dans le bâti du clavier.  La glissière 137 est reliée de manière amovible  à la biellette 138 au moyen d'un loqueteau 140       (fig.    5A et 6) articulé sur un goujon 141 de  ladite glissière.

   Ce loqueteau est poussé dans  le sens     dextrorsum    par un ressort 142 pour main  tenir normalement un épaulement 143 porté  par son extrémité postérieure, sur le trajet d'une  dent 144     fixée    à la biellette 138. Dans les opéra  tions d'addition et de soustraction, la glissière  137 et la biellette 138 fonctionnent de concert  en va-et-vient et, dans ces conditions, le loqueteau  140 reste en contact avec la dent 144.  



  Comme on l'a expliqué précédemment,  l'arbre de rappel de touches 134     (fig.    5A et 6)  reçoit le mouvement dans le sens     senestrorsum     au commencement des opérations de total  et de sous-total pour libérer toute touche de  montants 97 qui aurait été abaissée par inad  vertance. Ce mouvement     senestrorsum    de l'arbre  134 fait en sorte qu'un bras 145     (fixé    sur l'arbre  et pivotant en 146 à l'extrémité supérieure  d'une barre 147 comportant une lumière à sa  partie inférieure dans laquelle s'engage un  goujon de guidage 148 de la plaque de cloisonne  ment 124) déplace la barre 147 vers le bas.

    Ce mouvement fait entrer en contact une arête  dirigée vers le bas 149 de la barre 147 avec une  oreille recourbée 150 portée par le loqueteau  140 et fait basculer celui-ci dans le sens     senes-          trorsum    contre l'action du ressort 142. Il en  résulte que l'épaulement 143 est déplacé et  s'écarte du trajet de la dent 144, de façon à  déconnecter la glissière 137 de la biellette 138,  afin que la glissière puisse rester fixe, tandis  que la biellette se déplace vers l'arrière pour  être mise en position sous la commande du  pignon totalisateur sélectionné, suivant une  manière qu'on expliquera ci-après.

   Ceci consti  tue une précaution supplémentaire pour empê  cher l'impression d'un total erroné au cas  où une touche abaissée quelconque manquerait  à être libérée, puisque la biellette 138 est réglée    indépendamment par le pignon totalisateur dans  les opérations de total et de sous-total.  



  Une fois que le loqueteau 140 a été dégagé,  comme on vient de l'expliquer, et que la     biel-          lette    138 s'est déplacée vers l'arrière, indépen  damment de la glissière 137, le mouvement de  retour dans le sens     dextrorsum    de l'arbre 134  relève la barre 147 qui libère le loqueteau 140  pour permettre l'action du ressort 142 qui le  ramène dans le sens     dextrorsum    jusqu'à ce qu'un  de ses prolongements<B>151</B> vienne en contact avec  un goujon de la glissière 137 auquel est connectée  une extrémité du ressort 142. Ceci maintient le  loqueteau 140 sur le trajet de la dent 144, de  façon que ces deux pièces coopèrent convenable  ment au cours du mouvement de retour de la  biellette 138 vers l'avant.

   Le retour vers l'avant  de la biellette 138 oblige la dent 144 à passer  sous l'épaulement 143 du loqueteau 140.  



  Au voisinage de l'extrémité antérieure de la  biellette 138     (fig.    5A et 6) est fixé un bloc d'arrêt  à zéro 152, dont le bord supérieur coopère avec  les dents d'un loqueteau de zéros 153 monté  librement sur une tige 154 supportée par le bâti  du clavier. Un prolongement recourbé vers le  haut du loqueteau 153 est maintenu en contact  élastique avec l'extrémité de la plaque de com  mande d'arrêt à zéro 126 par un ressort 155  tendu entre le prolongement et un goujon de la  plaque de commande.

   L'abaissement de l'une  des touches de montants 97 fait en sorte que la  goupille 125 de touche coopère avec une arête  d'entraînement correspondante de l'ouverture de  la plaque 126 pour décaler celle-ci vers l'avant  contre l'action du ressort 129, de telle sorte que  la plaque de commande bascule le loqueteau de  zéro 153 dans le sens     senestrorsum    pour écarter  les dents qu'il porte du bloc d'arrêt 152, libérant  ainsi la biellette 138 pour un mouvement de mise  en place vers l'arrière, comme on l'expliquera  ci-après.

   Si aucune touche de montants 97 s'est  abaissée dans la rangée représentée à la     fig.   <I>5A,</I>  le loqueteau de zéro 153 reste     efficace    et, en  coopération avec le bloc 152, maintient la     biel-          lette    138 dans sa position avant ou zéro, comme  le montre la figure. Dans les opérations de total  ou de sous-total, il est nécessaire de libérer le  loqueteau de zéro 153 pour permettre le mouve-      ment vers l'avant de la biellette 138 de façon  qu'elle puisse être positionnée sous la commande  du totalisateur sélectionné et ceci est obtenu au  moyen du mouvement dans le sens     senestrorsum     de l'arbre de rappel des touches 134 vers le  commencement des opérations de total ou de  sous-total.

   Ce mouvement a pour effet, par l'in  termédiaire d'un bras (non figuré) fixé sur ledit  arbre, en coopération avec un prolongement  d'entraînement vers le haut de la plaque de com  mande 126, de décaler la plaque de commande  vers le haut contre l'action du ressort 129, pour  faire basculer le loqueteau de zéro 153 dans le  sens     senestrorsum    à sa position     inefficace,    ce qui  libère la biellette 138 qui peut effectuer son mou  vement de     mise    en place vers l'arrière.    Une ouverture de l'extrémité postérieure de  la biellette 138     (fig.    5A) engage librement un  goujon 157 d'un segment 158 monté à jeu sur  un arbre 159 supporté par le bâti de la machine.

    Le segment 158 est connecté de manière pivotante  par une bielle d'accouplement 160 à un secteur  d'impression 161 connecté librement à l'extré  mité supérieure d'un bras 162, à son tour  supporté     rotativement    par un arbre 163     touril-          lonné    dans le bâti de la machine.

   L'arbre 162 est  connecté à un bras d'entraînement 164 par gou  pilles et     lumières,    et un cliquet     anti-rebond    165,  en coopération avec un ressort relativement fort  d'entraînement 166 du secteur d'impression,  constitue une connexion élastique entre les  bras 162 et 164 pour empêcher le rebond du  secteur d'impression 161 après l'impulsion d'im  pression, éliminant ainsi le danger d'abîmer le  matériau d'enregistrement. Le bras d'entraîne  ment 164 comporte une dent normalement enga  gée avec un cliquet 167 de l'organe d'impression  monté dans le bâti de la machine.

   Une autre dent  du bras 164 coopère avec une dent formée sur  l'extrémité supérieure d'un cliquet d'élimination  de zéros 168     (fig.    5A) monté librement sur une  tige supportée par le bâti de la machine, et  comportant une queue s'étendant vers le bas, qui  coopère avec un goujon 170 porté par le seg  ment 158.

   Un ressort<B>169</B> tend à faire tourner  le cliquet 168 dans le sens     dextrorsum    pour le  maintenir normalement dans sa position     efficace.       Un ressort relativement fort<B>171</B>     (fig.    5A),  tendu entre le segment 158 et une plaque de  ressort connectée à un étrier 172 supporté entre  des bras analogues 173 (dont un seul a été figuré)  du bâti de support, ce bras étant monté librement  sur l'arbre 159, maintient normalement une sur  face postérieure du segment 158 en contact élas  tique avec une surface antérieure de l'étrier 172.

    Celui-ci est entraîné, par le mécanisme d'entraî  nement principal de la machine, d'abord vers  l'arrière et, par l'intermédiaire du ressort<B>171</B>  qui commande ensemble le segment 158, la  biellette 138 et la glissière 137     (fig.    5A et 6)  jusqu'à l'arrêt du mouvement dans les opérations  d'addition et de soustraction par le goujon 135,  quand la touche de montants 97 abaissée vient  en contact avec le degré correspondant 136 de la  glissière<B>137.</B> Ceci empêche de continuer le mou  vement de la biellette<B>138</B> et, par l'intermédiaire  du segment 158, met en place le secteur d'impres  sion<B>161</B> suivant la valeur de la touche de mon  tants abaissée.  



  L'étrier 172 continue alors son mouvement  vers l'arrière, tendant le ressort<B>171.</B> Le mouve  ment initial du segment 158 dans le sens     senes-          trorsum    oblige le goujon 170 à basculer le cliquet  d'élimination de zéros 168 dans le sens     senes-          trorsum    contre l'action du ressort 169, de façon  à écarter la dent dudit cliquet du trajet de la dent  du bras d'entraînement 164.  



  Une fois que l'étrier 172 a terminé son mou  vement initial vers l'arrière et que le secteur  d'impression 161 a été mis en place, comme on  l'a expliqué ci-dessus, le cliquet 167 est basculé  dans le sens     senestrorsum    en s'écartant des dents  du bras 164 pour libérer ce dernier et le bras  satellite 162 pour permettre l'action du res  sort 166 qui déplace vers l'avant le secteur  d'impression 161, obligeant ce dernier à venir en  contact, tout d'abord, avec le ruban encreur  (non figuré) puis avec le matériau d'enregistre  ment porté par le cylindre 76, produisant ainsi  l'impression de la valeur de la touche de mon  tants 97 abaissée.

   Le mouvement d'impression  dans le sens     dextrorsum    du bras 164     (fig.    5A) est  interrompu par une arête 174 qui vient en  contact avec une barre d'arrêt<B>175</B> portée par le  bâti du dispositif d'impression. Toutefois, la      connexion flexible constituée par le cliquet     anti-          rebond    165 et par le ressort 166 permet au  bras 162 et au secteur d'impression 161 d'être  déplacés indépendamment du bras 164 sur une  courte distance nécessaire pour compléter l'im  pulsion d'impression.

   Dès que la course d'impres  sion est terminée, le ressort 166, par l'intermé  diaire du cliquet 165, renvoie le bras 162 et le  secteur d'impression 161 à une courte distance  du cylindre, de façon que tout rebondissement  du secteur d'impression soit amorti par le     cli-          quet    165 et le ressort 166.  



  Le segment 158 comporte, sur son pourtour  extérieur, des dents     d'alignement    176 qui coo  pèrent avec une barre d'alignement 177 s'éten  dant entre des bras analogues 178, dont l'un  seulement a été figuré, fixés sur un arbre d'aligne  ment 179 tourillonné dans le bâti de la machine.  Un bras de came 180, également fixé sur l'arbre  d'alignement 179, est connecté à un bras satel  lite 181 monté librement sur l'arbre 179, au  moyen d'un ressort 182 relativement puissant,  de façon à constituer une connexion qui puisse  céder au cas où l'organe d'alignement 177  trébuche accidentellement sur l'une des dents  d'alignement 176.

   Les bras 180 et 181 portent des  galets qui coopèrent respectivement avec les péri  phéries de cames jumelées 183 et 184 fixées sur  un arbre à cames principal 185 tourillonné dans  des cornières qui dépendent de la surface infé  rieure de la base 52. Cet arbre à cames     effectue     une rotation dans le sens     dextrorsum        (fig.    5A) à  chaque opération de la machine.

   Après que le  segment<B>158</B> a été mis en place sous la commande  de la touche de montants abaissée 97, comme on  l'a expliqué ci-dessus, et avant le fonctionnement  du secteur d'impression 161, l'organe d'aligne  ment<B>177</B> reçoit un mouvement initial dans le  sens     dextrorsum,    au moyen des cames 183 et 184,  de façon à engrener avec les dents 176 pour fixer  le segment 158 et le secteur d'impression 161 en  positions fixes pendant le mouvement d'impres  sion.  



  Quand aucune touche de montants 97 n'est  abaissée dans le clavier représenté à la     fig.    5A,  le segment 158 reste à sa place, c'est-à-dire à la  position zéro, comme on l'a figuré et, par suite,  le cliquet d'élimination de zéros 168 reste capable    de bloquer le fonctionnement du bras 164 quand  le cliquet 167 est libéré, pour empêcher l'impres  sion de zéros dans toutes les colonnes dans les  quelles aucune touche de montants n'est abais  sée.

   Dans tous les types d'opérations, il est  souhaitable que les zéros dans toutes les rangées  inférieures s'impriment et, pour obtenir ce résul  tat, le cliquet 168 est mécaniquement lié au     cli-          quet    de la rangée inférieure voisine et, quand le  cliquet 168 se déplace dans le sens     senestrorsum,     par suite du mouvement du segment 158 en  dehors de sa position de repos, il bascule le     cli-          quet    de la rangée inférieure pour l'écarter des  dents correspondantes de son bras d'entraîne  ment 164.

   Ainsi, le bras est libéré de telle sorte  que le mouvement d'impression se trouve com  muniqué au segment d'impression de l'ordre  inférieur pour y enregistrer un zéro, et cet     effet     se communique à tous les ordres inférieurs.  



  Le fonctionnement des bras d'impression 162  et des secteurs correspondants 161 peut être  commandé par le chariot mobile suivant des  positions de colonnes choisies à l'avance, au  moyen de plaques de commande 74 en coopéra  tion avec des doigts palpeurs correspondants 75  qui, à leur tour, commandent la mise en place  d'un étrier de non-impression 187     (fig.    5A) en  relation avec un prolongement supérieur du  bras 164. La surface interne de l'étrier est graduée  de la manière voulue pour constituer des degrés  qui commandent la     manoeuvre    des bras 164 et  de leurs secteurs d'impression correspon  dants 161.

   Dans ce cas, la longueur de la plaque  de commande 74     (fig.    5A) commande le mouve  ment vers l'intérieur de l'étrier 187 pour déter  miner si un ou plusieurs des degrés de commande  qu'il porte coopèrent avec les prolongements  correspondants des bras 164.  



  Le mouvement des secteurs d'impression 161  peut être, en outre, commandé au moyen du  chariot mobile, suivant des positions de colonnes  choisies à l'avance, par l'intermédiaire de     doigts-          cames    réglables 189     (fig.    5A) montés dans les  tabulateurs 73. Les doigts 189 peuvent être  réglés à partir d'une position normale de repos  jusqu'à deux positions actives pour commander  le mouvement d'un levier d'entraînement 190  qui coopère avec eux.

   Le levier 190 coopère avec      un étrier de commande d'impression 188 auquel  il est connecté, ce dernier coopérant à son tour  avec les prolongements des bras d'impression 162  pour empêcher le mouvement d'impression dans  le sens     senestrorsum    de ces bras quand l'étrier  est mis en place sur les prolongements corres  pondants. Comme dans le cas de l'étrier 187,  l'étrier 188 peut comporter des entailles suivant  les dispositions désirées de- façon que, quand le  doigt 189 est ajusté pour imprimer un mouve  ment partiel au levier 190,     certaines    surfaces  entaillées de l'étrier 188 puissent coopérer avec  les prolongements correspondants des bras 162  pour empêcher leur mouvement d'impression.

    Quand le doigt-came 189 est réglé de façon à  communiquer un mouvement complet au le  vier 190, l'étrier 188 tout entier peut coopérer  avec les prolongements des bras d'impression 162  pour     empêcher    leur mouvement d'impression et  celui des secteurs d'impression correspon  dants 161.  



  La biellette 138     (fig.    5A et 5B) est connectée  de manière pivotante par une bielle 192 à un  levier correspondant 193 monté librement sur un  arbre 194 supporté par le bâti de la machine. Un  prolongement vers le bas du levier 193 porte un  goujon 195 qui s'engage dans une lumière verti  cale 196 de l'extrémité antérieure d'une crémail  lère d'entraînement 197 supportée de façon à  pouvoir glisser horizontalement dans des pro  longements vers le haut d'une base accessoire 198  fixée à la base principale 52. La crémaillère 197  est maintenue dans les lumières de la base  accessoire 198 au moyen de barres horizon  tales 199 et 200 qui sont fixées à des arêtes de  coussinets formées sur la base accessoire 198.

      <I>Totalisateurs et leur commande</I>    Des dents d'embrayage 201     (fig.    5B) formées  sur le bord supérieur de la crémaillère     d'en-          trainement    197 sont disposées de manière à venir  en prise avec des dents formées sur un pignon  totalisateur de solde principal 202 (voir égale  ment la     fig.    7) correspondant au même ordre. Ce  pignon est à rotation sur un arbre tubulaire 204  supporté de façon à pouvoir se déplacer hori  zontalement avec un bâti de totalisateur de  solde 205. Le bâti 205 peut se déplacer verticale-    ment pour embrayer et débrayer le pignon 202  et la crémaillère 197 en temps utile, suivant le  type d'opération à exécuter.

   Le pignon princi  pal 202 de l'ordre qu'on est en train de décrire  engrène constamment avec un pignon totalisa  teur auxiliaire satellite 203 et se meut en sens  inverse. Ce dernier est supporté     rotativement     par un arbre tubulaire 207 monté dans le bâti de  totalisateur de solde 205, de façon â permettre  un mouvement de sélection horizontal et un mou  vement d'embrayage et de débrayage vers le  haut et vers le bas, de concert avec le pignon 202.

    Le pignon 203 comporte des dents qui sont dis  posées de manière à engrener avec les dents 201  de la crémaillère 197 au cours des opérations de  solde débiteur dans le totalisateur de solde, de  façon à commander la mise en place des organes  d'entraînement et du secteur d'impression 161  qui lui est relié, pour provoquer l'impression sur  le matériau d'enregistrement d'un montant  négatif réel correspondant au découvert, comme  on l'expliquera d'une manière plus détaillée dans  la suite.  



  Les dents 201 de la crémaillère d'entraîne  ment 197 coopèrent de même avec des dents  d'un pignon d'ordre correspondant 208 d'une  série de totalisateurs de groupe, supportés     rota-          tivement    par un arbre tubulaire 209, à son tour  monté de manière à pouvoir se déplacer hori  zontalement pour sélectionner les     différentes     séries de totalisateurs de groupe, grâce à un bâti  totalisateur 210 mobile verticalement de façon à  embrayer et débrayer le pignon totalisateur  choisi 208 avec la crémaillère d'entraînement 197.

    Le bâti totalisateur de groupe 210 peut com  prendre quatre séries de pignons 208, ou la  machine peut être munie d'un nombre quel  conque de séries de ces pignons jusqu'à un total  de huit, si cela s'avère nécessaire pour le système  comptable pour lequel on utilise la machine.  



  Dans la présente machine est incorporé un  second bâti totalisateur de groupe 212 repré  senté à la     fig.    5B en traits mixtes et qui peut  comporter un maximum de huit séries de  pignons 211 destinés à coopérer avec les cré  maillères d'entraînement de montants 197,  exactement comme dans le cas du groupe 210.      Dans les opérations d'addition et de sous  traction, le groupe de totalisateurs 209 est  d'abord décalé horizontalement pour aligner ses  pignons 208 avec les crémaillères d'entraîne  ment 197, de façon à recevoir le montant posé  sur ces dernières.

   Dans les opérations d'addition,  une fois que la crémaillère d'entraînement 197       (fig.    5A et 5B) a été mise en place par la touche  de montants abaissée et après que l'étrier de  bâti 172 a terminé son mouvement initial vers  l'arrière, un mouvement d'embrayage vers le  bas est communiqué au bâti 210 pour qu'il  embraye le pignon choisi 208 avec la crémaillère  d'entraînement 197 avant d'effectuer son mou  vement de retour vers l'avant. Ce dernier mou  vement fait avancer le pignon dans le sens  d'addition pour y enregistrer la valeur de la  touche de montants abaissée. Après que la cré  maillère d'entraînement 197 a terminé son mou  vement de retour vers l'avant, un mouvement de  débrayage vers le haut est communiqué au bâti  totalisateur de groupe 210 pour débrayer le  pignon 208.  



  Pour les opérations de soustraction, le bâti  totalisateur de groupe 210 est déplacé vers le bas  avant le mouvement initial de la crémaillère  d'entraînement 197 et ce mouvement fait alors  tourner le pignon totalisateur de groupe embrayé  correspondant 208 dans le sens inverse, ou de  soustraction, jusqu'à ce que le mouvement vers  l'arrière de la crémaillère d'entraînement soit  interrompu parla touche de montants abaissée 97  ce qui soustrait dudit pignon 208 la valeur  correspondant à la touche abaissée.

   Une fois que  la crémaillère d'entraînement 197 et l'étrier 172  ont terminé leurs mouvements initiaux vers  l'arrière, un mouvement de débrayage vers le  haut est communiqué au bâti totalisateur 210  pour débrayer le pignon 208 de la crémaillère  d'entraînement 197 avant qu'elle effectue son  mouvement de retour, après quoi cette dernière  est renvoyée par l'étrier 172 vers l'avant jusqu'à  sa position normale, ou zéro, comme on l'a       figuré.     



  Ce qu'on a dit ci-dessus à propos du mouve  ment d'embrayage et de débrayage du pignon  totalisateur 208 dans les opérations d'addition  et de soustraction s'applique également au tota-         lisateur    de solde 205 et au second bâti totalisa  teur de groupe 212, dont les pignons sélection  nés 211 sont entraînés, dans les opérations  d'addition et de soustraction, exactement suivant  la manière expliquée pour le totalisateur de  groupe 210.  



  Dans les opérations de sous-total et de total,  le groupe totalisateur 209     (fig.    5B) est déplacé  d'abord dans une direction horizontale pour  aligner la série choisie de pignons 208 avec les  crémaillères d'entraînement 197 et, comme dans  les opérations de soustraction, le bâti totalisa  teur 210 reçoit un mouvement d'embrayage vers  le bas de façon à embrayer le pignon correspon  dant 208 du totalisateur choisi avec la crémaillère  d'entraînement 197 avant son mouvement initial.

    Comme on l'a expliqué précédemment, le mou  vement initial dans le sens     senestrorsum    de  l'arbre de rappel de touches 134, au moment du  début des opérations de sous-total et de total       (fig.    5A), déplace vers le bas la barre 147 pour  débrayer le loqueteau 140 de la dent 144, de  façon à séparer la glissière d'arrêt de touches 137  de la biellette d'entraînement de montant 138, de  telle sorte que la biellette peut se placer sous la  commande du pignon totalisateur choisi. .

   De  même, le mouvement initial, dans le sens       senestrorsum,    de l'arbre de rappel de touches 134  déplace la plaque de commande 126 vers l'avant,  suivant la manière expliquée précédemment, pour  faire basculer le loqueteau de zéro 153 dans le  sens     senestrorsum    jusqu'à sa position inactive,  pour libérer la biellette d'entraînement 138 et  permettre son mouvement de mise en place vers  l'arrière.  



  Le mouvement initial, vers l'arrière, de la  biellette 138 et de la crémaillère d'entraîne  ment 197 fait tourner le pignon totalisateur  correspondant choisi 208 en sens inverse jusqu'à  ce que ce mouvement soit arrêté par une longue  dent du pignon qui vient en contact avec la glis  sière de report des dizaines correspondante,  comme on l'expliquera plus loin, ce qui ramène  au zéro le pignon et positionne la crémaillère  d'entraînement 197 et la biellette 138 de manière  correspondante. Cette position est transmise par  le segment 158 au secteur d'impression 161. La       manaeuvre    du secteur 161 enregistre la valeur du      montant prélevé du pignon totalisateur sur le  matériau d'enregistrement placé sur le cylindre.

    Dans les opérations de total, le bâti totalisateur  de groupe 210 reçoit son mouvement de débrayage  vers le haut avant le mouvement de retour de la  crémaillère d'entraînement 197 et, par consé  quent, le pignon 208 reste à l'état zéro.  



  Dans les opérations de sous-total, le pignon  correspondant 208 reste embrayé avec la cré  maillère 197 pendant son mouvement de retour  et est remis à son état initial. Après que la cré  maillère 197 a terminé son mouvement de retour,  un mouvement de débrayage est     transmis    au  bâti 210 pour débrayer le pignon 208 de la cré  maillère d'entraînement 197.  



  Les opérations de total et de sous-total sont  exécutées dans le     totalisateur    de solde 205 et  dans le totalisateur de groupe 211 exactement  suivant la manière expliquée à propos du tota  lisateur de groupe 210, à l'exception des opéra  tions de total et de sous-total négatifs, opérations  dans lesquelles, comme expliqué précédemment,  un mouvement de déplacement latéral est com  muniqué à l'arbre principal 204 et à l'arbre  auxiliaire 207 pour déplacer le pignon princi  pal 202 en dehors de son alignement avec la  crémaillère d'entraînement 197 et déplacer simul  tanément le pignon d'accumulation satellite       auxiliaire    203 jusqu'à l'amener en alignement  avec la crémaillère d'entraînement.

   Le pignon  auxiliaire 203 est alors embrayé avec cette der  nière avant son mouvement initial vers l'arrière,  mouvement qui fait tourner le pignon dans le  sens de la soustraction et fait tourner simultané  ment le pignon satellite 202 dans le sens de  l'addition jusqu'à l'arrêt dans une position cor  respondant au zéro, par des butées fixes qui sont  alignées avec les pignons 202 quand ces derniers  sont décalés, de façon à ne plus être alignés avec  la crémaillère d'entraînement 197. Ceci posi  tionne la crémaillère d'entraînement 197 et le  secteur d'impression correspondant 161 suivant  le solde négatif réel sur le pignon correspondant  du totalisateur de solde.

   Toutefois, comme cela  est habituel dans ce type de totalisateur de solde,  le pignon des unités 202 est incorrect d'une unité  et l'on corrige cet état de choses par l'entrée d'un  chiffre, qu'on appelle souvent l'unité fugitive, et    que l'on entre par soustraction dans le pignon  des unités 202 quand le totalisateur de solde  passe par la valeur zéro alors qu'il se déplace  dans le sens de soustraction. Au cas où le pignon  totalisateur de solde 202 passe par la valeur zéro  tandis qu'il se déplace dans le sens d'addition,  c'est-à-dire passe d'un état de découvert à un  état positif, l'unité fugitive est entrée     additive-          ment    dans le pignon des unités 202 pour corriger  l'erreur d'un chiffre dans ledit pignon.

   Dans les  opérations de sous-total à solde débiteur, le  pignon auxiliaire 203 reste en contact avec la       etémaillère    d'entraînement 197 pendant son  mouvement de retour vers l'avant pour ramener  le pignon satellite principal 202 à son état pri  mitif, tandis que dans les opérations de total à  solde débiteur, le pignon auxiliaire 203 est  dégagé de la crémaillère d'entraînement 197 après  avoir terminé son mouvement vers l'arrière et  avant d'effectuer son mouvement de retour et,  par suite, le pignon et son pignon satellite  restent à l'état zéro.  



  On utilise un seul mécanisme de report de  dizaines pour toutes les séries de pignons totali  sateurs 208 dans le bâti totalisateur de groupe 210,  et les pignons totalisateurs sont alignés avec ce  mécanisme de report quand on les déplace pour  les aligner avec les crémaillères d'entraîne  ment 197. Le mécanisme de report est normale  ment en position d'addition, dans laquelle une  dizaine est entrée     additivement    dans les ordres  supérieurs quand le pignon d'ordre inférieur  voisin passe par zéro, tandis qu'il tourne dans  le sens d'addition sous l'action de la crémaillère  d'entraînement 197. La sélection d'un totalisa  teur de groupe pour une opération de soustrac  tion provoque le déplacement du mécanisme de  report de la position d'addition à la position  de soustraction.

   Quand un pignon d'ordre infé  rieur tourne sous l'action de la crémaillère d'en  traînement 197 dans un sens de soustraction  passant par zéro, une dizaine est soustraite de  l'ordre supérieur voisin. Dans les opérations de  sous-total, le mécanisme de report reste en posi  tion d'addition et ses dents de déclenchement  coopèrent avec la longue dent de la série choisie  de pignons totalisateurs 208 pour bloquer le  pignon dans la position zéro quand on les fait      tourner en sens inverse sous l'action du mouve  ment vers l'arrière des crémaillères d'entraîne  ment 197     (fig.    5A et<I>5B),</I> suivant la manière  expliquée ci-dessus.  



  <I>Totalisateur de solde</I>  _ Les totalisateurs de solde et de groupe décrits  ici ont plusieurs traits généraux communs ana  logues à ceux d'autres machines bien connues  de la titulaire.  



  Le totalisateur de solde 205     (fig.    5B, 7 et 20)  est supporté par un bâti comprenant une plaque  de droite 215, une plaque de gauche 216 et une  plaque centrale 217     fixées    à la base auxiliaire 198.  Le bâti totalisateur de groupe 210 est analogue  à celui du totalisateur de solde et     comporte    une  plaque de droite 218     (fig.    26) analogue à la  plaque correspondante 215 et des plaques cen  trale et de gauche qui sont analogues aux plaques  correspondantes 216 et 217 respectivement.

   Les  plaques de droite 215 et 218 des totalisateurs de  solde et de groupe et les plaques terminales de  gauche correspondantes 216 sont, en outre,  fixées en relation constante l'une avec l'autre par  des barres d'attache de droite et de gauche 219  et 220 qui y sont fixées et qui, à leur tour, sup  portent des traverses 221, 222 et 223     (fig.    5B)  contribuant également à aider la fixation desdites  plaques qui sont séparées par un intervalle fixe.  Les barres 219 et 220 sont fixées à leurs extré  mités antérieures par des vis 224 aux extrémités  postérieures des bâtis principaux voisins corres  pondants 50 et 51.

   L'arbre 204 qui supporte les  pignons totalisateurs de -solde 202     (fig.    7) est  décalé horizontalement dans des paliers 225 et  226 respectivement, fixés dans une plaque de  support de droite 227 et une plaque de support  de gauche 228 et dans un palier 229 fixé à une  plaque de support centrale 230. Les plaques 227,  228 et 230 sont montées de façon à permettre le  mouvement d'embrayage et de débrayage verti  cal au moyen de lumières verticales dans les  plaques fixes 215, 216 et 217, lumières dans les  quelles s'engagent les surfaces aplaties des  paliers 225, 226 et 229 et, en outre, par les bords  supérieurs des plaques 227, 228 et 230 qui  s'engagent dans des saignées annulaires corres  pondantes des traverses 221, 222     (fig.    5B et 20).

      Les plaques 227, 228 et 230 peuvent en outre se  déplacer verticalement au moyen de lumières qui  y sont pratiquées et dans lesquelles s'engage un  arbre d'embrayage et de débrayage 231 du tota  lisateur, tourillonné dans des paliers dans les  plaques<B>215,</B> 216 et 217. Les plaques 227, 228  et 230 supportent, de     manière    rotative, un arbre  d'alignement de totalisateur 232     (fig.    7) dont les  extrémités opposées s'ajustent étroitement dans  des     lumières    verticales pratiquées dans les  plaques 215, 216 et 217.  



  En se référant aux     fig.    7 et 21, deux paires de  manivelles 233 sont fixées sur l'arbre d'em  brayage 231; chaque paire supporte une tige 234  en     alignement    radial exact. La tige et le bras  d'embrayage 231 fonctionnent de     concert        comme     une seule tige. La tige de droite 234     (fig.    7 et 31)  porte un galet 235 qui s'engage dans une lumière  d'entraînement 236 de la plaque de droite 227  et la tige de gauche 234 porte un galet ana  logue 235     (fig.    7) qui s'engage dans une lumière  analogue (non figurée) de la plaque de gauche 228.  



  En se référant aux     fig.    7, 10 et 29, une mani  velle 237 est     fixée    au voisinage de     l'extrémité    de  gauche de l'arbre d'embrayage et de débrayage  <B>231.</B> L'extrémité arrière d'une bielle d'accou  plement 238 est connectée, de manière pivotante,  à ladite manivelle et son extrémité avant est  connectée à rotation à l'extrémité inférieure d'un  bras 239 monté à jeu sur une tige 240 supportée  par le bâti de la machine. L'extrémité arrière  d'une bielle 241 est connectée, de manière pivo  tante, au bras 239 et son extrémité avant com  porte une lumière dans laquelle s'engage à glis  sement une tige 242 supportée par le bâti de la  machine.

   Un crochet d'embrayage 243 est monté  de manière pivotante sur la bielle 241 et poussé  dans le sens     senestrorsum    par un ressort 244       (fig.    10) tendu entre le crochet et un prolonge  ment vers le haut de la bielle 241 pour maintenir  normalement un goujon de butée porté ce cro  chet en contact avec le bord supérieur de la  bielle 241 pour mettre en place ledit crochet en  rapport de coopération avec une barre d'em  brayage et de débrayage 245.

   La barre 245 peut  glisser horizontalement dans des fentes paral  lèles du bâti de la machine et chaque extrémité  de la barre est connectée à des biellettes jume-           lées    246 dont les extrémités avant sont connectées  de manière pivotante à un bras 247 et à un  levier 248 fixés sur un arbre court 249 tourillonné  dans le bâti de la machine. Le levier 248 porte  des galets 250 qui coopèrent, respectivement,  avec le pourtour de cames jumelées 251 et 252       fixées    sur l'arbre à cames principal 185 et faisant  une révolution dans le sens     senestrorsum,    de       concert    avec l'arbre, comme le montre la     fig.    10,  à chaque opération de la machine.

   Le crochet  d'embrayage 243 comporte une queue 253 qui  coopère avec un levier ou un doigt de com  mande 254     (fig.    10 et 11) portant un goujon 309  qui s'engage dans une lumière d'un prolonge  ment vers l'arrière, en forme de crochet, d'une  glissière de commande 308 positionnée sous la  commande de touches de commande du totali  sateur de solde et du chariot mobile, suivant les  positions de colonne de ce dernier. La glis  sière 308 oblige le levier de     commande    254 à  coupler la barre à la biellette d'embrayage 241  en temps utile, suivant le type d'opération en  cours d'exécution.  



  La barre 245 est entraînée par les cames 251  et 252     (fig.    10), tout d'abord vers l'avant de la  position représentée en deux étapes, puis vers  l'arrière, ou sens de retour, également en deux  étapes. La barre 245, au cours de son mouve  ment vers l'avant, déplace également vers l'avant  la bielle 241 qui, par l'intermédiaire de la bielle  d'accouplement 238, bascule la manivelle 237 de  l'arbre 231     (fig.    10 et 29) dans le sens     dextrorsum,     comme on l'a figuré, et dans le sens     senestrorsum,     comme le montre la     fig.    31.

   Le mouvement dans  le sens     senestrorsum    de l'arbre 231     (fig.    31), de  la manivelle 233 et de la tige 234 fait en sorte que  les galets 235, en coopération avec les lumières  d'entraînement 236, décalent les plaques 227,  228 et 230 supportant l'arbre 204 pour embrayer  vers le bas les pignons totalisateurs de solde avec  les crémaillères d'entraînement de montants 197,  et ce au temps approprié au type d'opération en  cours d'exécution.

   Le mouvement de retour vers  l'arrière de la barre d'embrayage 245     (fig.    10)  ramène en position l'arbre 231 dans le sens       senestrorsum        (fig.    10) (ou dans le sens     dextror-          sum    selon     fig.    31) pour débrayer les pignons du  totalisateur de solde des crémaillères d'entraine-    ment de montants 197, au temps approprié au  type d'opération.  



  Le fonctionnement et la commande du méca  nisme d'embrayage et de débrayage du méca  nisme de totalisateur comprenant la barre 245  <B>(fi-.</B> 10), le crochet 243, le levier 254 et la glis  sière 308 sont connus et l'on ne fera pas de  description plus détaillée de ce mécanisme.  



  Il existe dix ordres dénominatifs de touches  de montants 97 et de leurs crémaillères d'entraî  nement correspondantes 197, et de même, il  existe dix ordres dénominatifs de pignons tota  lisateurs de solde principaux 202     (fig.    5A et 5B),  et leurs pignons satellites 203 qui, comme on l'a  expliqué précédemment, s'engrènent avec ces  derniers et sont, par conséquent, toujours en rela  tion de complément avec les pignons correspon  dants principaux 202.  



  L'arbre tubulaire 207, qui porte les pignons  auxiliaires 203, est supporté à glissement à ses  extrémités opposées dans des paliers de pla  ques 227 et 228. Deux bras identiques 255       (fig.    7 et 22), s'étendant sur les arbres tubulai  res 204 et 207, et fixés sur ceux-ci, font glisser  horizontalement les arbres en relation fixe l'un  par rapport à l'autre pour déplacer la série  choisie de pignons totalisateurs de soldé 202  ou 203 et les amener en     alignement    avec les  crémaillères d'entraînement correspondantes 197.  



  Dans les opérations d'addition, les pignons  principaux 202 du totalisateur de solde     (fig.    5A  5B,     7et20)    sont embrayés avec les crémaillères  d'entraînement de montants 197 après que     celles-          ci    ont terminé leur mouvement initial et ont été  positionnées sous la commande des touches de  montants abaissées 97.     Le    mouvement de retour  vers l'avant des crémaillères d'entraînement fait  tourner les pignons 202 dans le sens d'addition  ou     dextrorsum    pour y entrer la valeur des  touches de montants abaissées, et produit à la fin  du fonctionnement de la machine le débrayage  du pignon 202 par rapport aux crémaillères  d'entraînement.

   Dans les opérations de soustrac  tion, les pignons 202 sont embrayés avec les  crémaillères d'entraînement de montants<B>197</B>  avant leur mouvement initial, mouvement qui  provoque le positionnement des crémaillères  d'entraînement par les touches de montants      abaissées, tandis qu'au cours de leur mise en  place elles font tourner les pignons princi  paux 202 dans le sens de soustraction ou       senestrorsum,    pour en soustraire la valeur corres  pondant aux touches abaissées.  



  Dans les opérations de sous-total, les pignons  principaux 202 sont embrayés avec les crémail  lères d'entraînement de montants 197 avant leur  mouvement initial, mouvement qui fait tourner  en sens inverse les pignons (sens     senestrorsum)     jusqu'à ce que leurs longues dents viennent en  contact avec une dent de report correspon  dante 258     (fig.    24) qui, dans ce cas, sert de butée  pour poser les pignons en position zéro et mettre  en place les crémaillères d'entraînement de mon  tants et les secteurs d'impression correspon  dants<B>161</B>     (fig.    5A).

   Dans les opérations de     sous-          total,    les pignons 202 restent embrayés avec les  crémaillères d'entraînement de montants pen  dant leur mouvement de retour vers l'avant,  mouvement qui ramène les pignons de leur posi  tion originale pour conserver le total qu'ils  contiennent. Les opérations de total sont ana  logues aux opérations de sous-total décrites     ci-          dessus,    sauf que les pignons 202 sont débrayés  des crémaillères 197 avant leur mouvement de  retour et que, par suite, les pignons restent à  l'état zéro.  



  Quand le totalisateur de solde passe à l'état  négatif, il s'établit un état qui a pour effet, dans  les opérations de total et de sous-total, de faire  décaler horizontalement l'arbre 204, pour les  pignons totalisateurs principaux 202     (fig.    7 et 20),  et l'arbre 207 pour les pignons totalisateurs  auxiliaires 203, de façon à aligner le pignon  auxiliaire 203 avec une crémaillère d'entraîne  ment de montants 197. Les décalages des pignons  totalisateurs principaux 202, pour les écarter de  l'alignement d'avec les crémaillères d'entraîne  ment de montants, déplacent simultanément les  longues dents des pignons pour les aligner avec  une butée fixe 259 de solde négatif     (fig.    20 et 21)  ménagée sur une plaque d'ordre correspon  dante 260.

   Les plaques 260 sont décalées vers le  haut et vers le bas avec les tiges 234, en coopéra  tion avec des lumières d'entraînement 261 qu'elles  portent, qui ont le même contour que les  lumières d'entraînement 236     (fig.    31) et, par    conséquent, ces plaques 260 sont déplacées vers  le haut et vers le bas de concert avec les pla  ques 227 et les arbres totalisateurs 204 et 207.

    Dans les opérations de total et de sous-total  négatif, les pignons auxiliaires 203 engrènent  avec les crémaillères d'entraînement de mon  tants 197     (fig.    5A et 5B) avant leur mouvement  initial vers l'arrière, mouvement qui fait tourner  les pignons en sens inverse ou     senestrorsum.     Ceux-ci font tourner, à leur tour, leurs pignons  principaux correspondants 202 dans le sens  d'addition ou     dextrorsum    jusqu'à ce que les  longues dents qu'ils portent viennent en contact  avec les butées 259 pour mettre en place les cré  maillères d'entraînement, suivant le solde négatif  vrai établi sur les pignons.

   Les crémaillères  d'entraînement positionnent, à leur tour, les  secteurs d'impression correspondants 161 pour  provoquer l'impression du solde négatif réel sur  le matériau d'enregistrement supporté par le  cylindre 76. II existe une plaque 260     (fig.    7 et 21)  pour chaque ordre dénominatif du totalisateur  de solde et une plaque     similaire    pour chaque  ordre du totalisateur de groupe 210.    <I>Mécanisme de report des dizaines</I>    Un mécanisme de report des dizaines, qui  coopère avec la série choisie de pignons totalisa  teurs, permet de transférer les chiffres des  dizaines des ordres inférieurs aux ordres supé  rieurs dans les opérations d'addition, et pour  soustraire une dizaine des ordres supérieurs dans  les opérations de soustraction.

   Le mécanisme de  report décrit ici est d'un type connu et ne sera  décrit que brièvement, en rapport avec le  totalisateur de solde.  



  Chaque ordre dénominatif, à l'exception du  plus bas, possède un segment de report 262       (fig.    20) comportant des dents qui coopèrent  avec les dents des pignons totalisateurs princi  paux 202. Le segment de report 262 de l'ordre  représenté à la     fig.    20 est monté de manière  pivotante sur un goujon 263, dans une plaque  d'ordre correspondante 264, montée de façon  à glisser verticalement entre les barres 221 et 222  et sur les arbres 231 et 232.

   Une arête arquée sur  le bord droit du segment de report 262 comporte  une encoche dans laquelle s'engage un loqueteau      de libération de segments 265 monté à jeu sur un  goujon 266 de la plaque 264 et poussé dans le  sens     dextrorsum    de façon à entrer en contact  élastique avec l'encoche, sous l'action d'un res  sort 267. Un prolongement de droite du loque  teau 265 porte un goujon 268 qui coopère avec  une arête 269 sur l'extrémité supérieure d'un  bras de     manoeuvre    d'un loqueteau correspon  dant 270 pivotant sur un goujon 271 dans la  plaque d'ordre correspondante 260     (fig.    21).

   Le  bras 270 porte un goujon 272 comportant une  surface plate qui coopère avec l'extrémité d'un  cliquet de déplacement de report 273 monté à  jeu sur un arbre de déplacement de report 274  supporté     rotativement    dans les plaques 227, 228  et 230     (fig.    7) et-dans les plaques d'ordre 260.  Un bras 277     (fig.    20) d'une seule pièce avec le  cliquet 273 comporte, dans son extrémité infé  rieure, une lumière qui coopère avec un goujon  de butée 278 de la plaque de déplacement cor  respondante 260 comportant la butée 259 déjà  mentionnée, qui coopère avec la longue dent du  pignon totalisateur correspondant 202, dans les  opérations d'addition, de soustraction et de total.

    Un ressort 275, tendu entre le bras 270 et le  cliquet 273, tire le bras dans le sens     senestrorsum,     tandis que le cliquet et le bras correspondant 277  sont poussés dans le sens     dextrorsum    pour main  tenir normalement le bord postérieur de la  lumière du bras 277 en contact élastique avec le  goujon de butée 278.  



  Le bord supérieur d'une plaque 279     (fig.    20)  comporte une surface arquée 280 qui coopère  avec un bras de déplacement 281 fixé sur l'ar  bre 274. Une manivelle 282,     fixée    au segment de  report 262, porte un goujon 283 auquel est  connectée l'extrémité inférieure d'un ressort 284,  dont l'extrémité supérieure est reliée à un étrier  élastique 285, s'étendant sur la longueur du tota  lisateur à travers des ouvertures 286 et 287 pra  tiquées respectivement dans les plaques 260 et 264.  



  L'étrier 285 est monté de manière à permettre  un mouvement de basculement de la position  d'addition à la position de soustraction, et vice  versa, au moyen de trois manivelles 288     (fig.    22  et 23)     fixées    à l'étrier et montées de manière  pivotante sur les goujons 263 qui fournissent, de  même, un support pivotant aux segments de    report correspondants 262. Les extrémités anté  rieures de trois bielles de décalage 289 embrayent  de manière pivotante l'étrier 285. Leurs extré  mités arrière pivotent aux extrémités supé  rieures de trois manivelles 290 fixées à l'arbre de  déplacement de report 274.  



  Dans la     fig.    20, la dent de déclenchement 258  et l'étrier 285 sont     figurés    en position d'addition,  et l'on décrira maintenant les organes permet  tant de faire basculer cette dent et l'étrier de la  position d'addition à la position de soustraction  et vice versa. Un bras 292, portant des gou  jons 293 et 294, est fixé à l'extrémité de droite  de l'arbre 274 (fi-. 11) et coopère avec une surface  arquée du bord inférieur d'un bras de     manoeu-          vre    295 monté à jeu sur un goujon 296 porté par  une glissière 297 montée de façon à     permettre    un  mouvement de glissement angulaire au moyen de  lumières qui y sont pratiquées, en coopération  avec un palier disposé sur les arbres 231 et 274.

    La glissière 297 comporte une lumière dans son  bord avant dans laquelle s'engage un goujon 298  d'un bras de     manoeuvre    299 fixé à l'arbre d'em  brayage 231 qui tourne, tout d'abord dans le  sens     dextrorsum,    comme le montre la     fig.    11,  pour déplacer la glissière 297 vers le bas, puis  dans le sens     senestrorsum    pour ramener la glis  sière vers le haut. Un ressort 300 pousse le  bras 295 dans le sens     senestrorsum    pour main  tenir normalement un épaulement pratiqué dans  une encoche de son bord avant, en contact  élastique avec un goujon de butée 301 fixé dans  la glissière 297.

   Le bras 295 porte un goujon 302  qui coopère avec un doigt porté par 303 une  biellette 304 montée de façon à permettre son  mouvement de déplacement horizontal au  moyen d'une lumière voisine de son extrémité  postérieure, en coopération avec un palier de  l'arbre 231, et au moyen d'une lumière voisine  de son extrémité antérieure qui fait s'engager  un goujon 305, fixé dans le bâti de la machine,  dans une rainure correspondante. Un ressort 306  tire la biellette 304 vers l'avant pour maintenir  normalement une oreille recourbée 307 qu'elle  porte en contact élastique avec un bec     porté    par  l'extrémité arrière de la glissière de commande  308 du totalisateur de solde.

   Celui-ci, comme on  l'a expliqué précédemment, est mis en place sous      la commande des touches de commande des  totalisateurs de solde 113, 114 et 115     (fig.    1 et 2)  ou au moyen du chariot mobile suivant des posi  tions de colonnes choisies à l'avance. La glis  sière 308 comporte une lumière au voisinage de  son extrémité arrière, dans laquelle s'engage le  goujon 309 porté par un prolongement inférieur  du levier 254     (fig.    10 et 11) et met en place le  levier 254 par rapport à la queue 253 du crochet  d'embrayage 243 pour commander le mouve  ment d'embrayage et de débrayage du totalisa  teur de solde, suivant la manière expliquée  précédemment.  



  Dans les opérations d'addition, la glissière 308  est positionnée à une distance substantielle en  avant de celle de la     fig.    11, de façon à permettre  au ressort 306 d'entraîner vers l'avant la     biel-          lette    304 d'où il résulte que le doigt 303 entre en  contact avec le goujon 302 et fait basculer dans  le sens     dextrorsum    le bras 295, contre l'action  du ressort 300, ce qui déplace la surface arquée  du bord inférieur du bras et l'écarte du parcours  du goujon 294 du bras 292.

   Cette mise en place  du bras 295 se produit avant le mouvement initial  ou d'embrayage de l'arbre 231, mouvement qui,  par l'intermédiaire du bras 299, déplace vers le  bas la glissière 297 faisant en sorte que la surface  arquée du bras 295 entre en contact avec le  goujon 294 et bascule le bras 292 et l'arbre 274  dans le sens     senestrorsum    à partir de la position  de soustraction montrée en     fig.    11, jusqu'à la  position d'addition montrée - en     fig.    20.

   Ce  mouvement, au cours duquel l'arbre 274 et le  doigt 281 se déplacent dans le sens     dextrorsum     (en     fig.    20),a pour     effet,    par l'intermédiaire  des manivelles 290     (fig.    21), de déplacer vers  l'avant les bielles d'accouplement 289, de sorte  que les bielles basculent la manivelle 288 et  l'étrier 285, également dans le sens     dextrorsum,     de la position de soustraction, représentée en  trait mixte aux     fig.    20 et 22, à la position d'addi  tion, représentée en trait plein. Dans cette posi  tion, le ressort 284, qui s'étend entre l'étrier et  le segment de report 262, pousse le segment dans  le sens     senestrorsum,    ou d'addition.

    



  Les plaques 264     (fig.    20) qui portent les seg  ments de report 262 comportent des lumières  d'entraînement 310 qui coopèrent avec une tige    d'embrayage 234. Le mouvement     initial    de  l'arbre d'embrayage 231 fait en     sorte    que la tige,  en coopération avec les lumières d'entraîne  ment 310 et avec les lumières d'entraînement 261  dans les plaques 264 et 260, respectivement, pour  l'ordre qu'on est en train de décrire, décale les  plaques vers le bas, d'abord de concert, et les  lumières 236     (fig.    31) des plaques 227, 228 et 230,  lumières qui sont analogues, quant à leurs con  tours, aux lumières 261,

   obligeant lesdites pla  ques et le totalisateur de solde 202 à se déplacer  vers le haut et vers le bas de concert avec ladite  plaque 260. Comme on l'a expliqué précédem  ment, les plaques 227, 228, 230, 260 et 264 se  déplacent vers le bas de concert dans le sens  d'embrayage jusqu'à ce que les dents des pignons  principaux 202 commencent à engrener avec les  dents correspondantes de la crémaillère 197 et,  qu'au cours de ce mouvement, le segment de  report 262 reste en contact avec le pignon  totalisateur correspondant 202 pour s'assurer  que celui-ci ne soit pas déplacé au cours de son  mouvement d'embrayage.

   Après que les dents  des pignons 202 ont commencé à engrener avec  les dents de la crémaillère d'entraînement 197,  la lumière 310     (fig.    20), en coopération avec la  tige 234, décale la plaque 264 vers le haut pour  dégager les dents du segment de report 262 des  dents des pignons totalisateurs 202 et, en même  temps, pour engager le goujon 283 dans une  encoche 311     (fig.    24) formée dans la plaque 260  pour empêcher le segment 262 de se déplacer  pendant que ce dernier est dégagé des pignons  totalisateurs correspondants 202.  



  Comme on l'a expliqué précédemment, dans  les opérations d'addition, le pignon 202 est  engagé avec la crémaillère d'entraînement de  montants 197 après qu'elle a terminé son mou  vement initial vers l'arrière pour être mise en  place sous la commande des touches de montants  abaissées, et le mouvement de retour vers l'avant  de la crémaillère en question fait tourner les  pignons 202 dans le sens     dextrorsum    ou d'addi  tion.

   Si, pendant la rotation dans le sens     dextror-          sum    du pignon 202, la longue dent qu'il porte  entre en contact au passage avec la dent de  déclenchement 258, le bras 277 et le cliquet 273  sont basculés dans le sens     senestrorsum,    contre      l'action du ressort 275, jusqu'à ce que le cliquet  sorte du parcours de la surface plate du gou  jon 272.

   Ceci libère l'arbre 270 et permet l'action  du ressort     2,75        (fig.    24) qui fait immédiatement  basculer le bras dans le sens     senestrorsum    jusqu'à  ce qu'une surface plate du bras vienne en contact  avec une tige de     réarmage    de report 312 suppor  tée à l'extrémité inférieure de plusieurs mani  velles 313     (fig.    20), fixées à leur tour sur un arbre  de     réarmage    314 supporté à rotation dans les  plaques 215, 216 et 217     (fig.    7).

   Après que la  crémaillère d'entraînement 197 a terminé son  mouvement de retour vers l'avant dans les  opérations d'addition, l'arbre 231 et la tige 234  sont rappelés en position dans le sens     dextrorsum     et ce mouvement fait que la tige rappelle les  plaques 227, 228, 230 et 260 vers le haut et, en  même temps, déplace la plaque 264 vers le bas  pour débrayer le pignon totalisateur 202 de la  crémaillère d'entraînement correspondante 197  et embrayer de nouveau le segment de report 262  avec le pignon totalisateur.

   Le mouvement de  retour vers le haut. de la plaque 260 et de la  plaque satellite 264 fait en sorte que le gou  jon 268     (fig.    24) entre en contact avec les sur  faces 269 de l'extrémité supérieure du bras 270  de façon à basculer le loqueteau 265 dans le sens       senestrorsum,    contre l'action du ressort 267  <B>(fi-.</B> 20) pour dégager le loqueteau de l'encoche  du segment de report 262 de l'ordre supérieur  adjacent, une fois que le segment a été embrayé  à nouveau avec les dents du pignon totalisateur  correspondant 202.

   La continuation du mou  vement vers le haut des plaques 260, 264, 227,  228 et 229 débraye les dents du pignon totalisa  teur 202 d'avec la crémaillère d'entraînement  correspondante et, par suite, le ressort 284 est à  même de faire basculer le segment de report 262  de l'ordre supérieur voisin de la valeur d'une  dent dans le sens     senestrorsum.    Ce segment, à  son tour, entraîne d'une dent dans le sens  d'addition le pignon totalisateur correspondant  pour transférer une dizaine à partir de l'ordre  inférieur adjacent.  



  Au début de l'opération suivante de la  machine, le mouvement initial dans le sens       senestrorsum    de la tige de déplacement 312 et de  l'arbre de rappel 314     (fig.    20) a pour effet    d'amener la tige en contact avec le bras de  report 270 déclenché et de le ramener dans le  sens     dextrorsum    jusqu'à ce que le goujon 272  ait dépassé l'extrémité du cliquet 273, à la suite  de quoi le cliquet 273 est ramené par le res  sort 275 sur le parcours du goujon, de façon à  verrouiller le bras 270 dans sa position de retour  et à déplacer la dent mobile 258 pour la ramener  sur le parcours de la longue dent du pignon  totalisateur correspondant 202.

   De même, dans  l'opération suivante de la machine, le segment  de report déclenché 262 est rétabli à sa position  normale ou centrale après avoir été débrayé du  pignon totalisateur correspondant 202 par les  surfaces courbes voisines de l'encoche<B>311</B> de la  plaque correspondante 260     (fig.    20     et@24).    Après  qu'il a été ainsi remis en place, le loqueteau 265,  sous l'action de son ressort, s'engage à nouveau  dans l'encoche du segment pour le maintenir en  position normale.  



  Dans les opérations de soustraction, la glis  sière 308<B>(fi-.</B> 11) est     soumise    à un mouvement  relativement faible de mise en place vers l'avant  et, par suite, la biellette 304 reste sensiblement  dans la position des figures, dans laquelle le       doigt    303 n'entre pas en contact avec le gou  jon 302, et par conséquent le bras mobile 295  reste sur le parcours du goujon 293.

   Le déplace  ment vers le bas du coulisseau 297 au début des  opérations effectuées par la machine, engage la  surface recourbée du bras 295 avec le goujon 293  et fait basculer dans le sens     dextrorsum    le  bras 292 et l'arbre 274, comme le montre la       fig.    11 (ou dans le sens     senestrorsum,    suivant  la     fig.    20) de la position d'addition à la position  de soustraction, comme le montre la     fig.    25.

   Ce  mouvement de l'arbre 274 et de l'index<B>281</B> est  tel que ce dernier, en coopération avec la sur  face 280 de la plaque 219, bascule la plaque et  la dent 258 dans le sens     dextrorsum,    de façon  à déplacer cette dent de la position d'addition,  représentée à la     fig.    20, à la position de sous  traction, représentée à la     fig.    25.

   Le mouvement  dans le sens     senestrorsum    de l'arbre 274 de la  position d'addition à la position de soustraction,  de même, fait en sorte que les manivelles 290       (fig.    22), en coopération avec les bielles d'accou  plement 289, basculent les manivelles 288 et      également l'étrier 285 dans le sens     senestrorsum     de la position d'addition, représentée à la     fig.    20  en trait plein, à la position de soustraction,  représentée en trait mixte.  



  Comme on l'a expliqué précédemment, dans  les opérations de soustraction, le pignon 202 du  totalisateur de solde s'engage avec une crémail  lère d'entraînement de montants 197 correspon  dante, avant qu'elle effectue son mouvement  initial vers l'arrière, qui a pour effet de faire  tourner le pignon dans le sens de soustraction  ou     senestrorsum    de façon à le mettre en position  suivant la touche de montants abaissée. Si le  pignon 202 passe par le zéro pendant sa rotation  dans le sens de soustraction ou     senestrorsum,     la longue dent qu'il porte engrène avec la dent  de déclenchement 258     (fig.    25) et fait basculer  le cliquet 273 jusqu'à le dégager du goujon 272  et mettre en place le mécanisme de report pour  l'ordre supérieur voisin.

   Le bras 270 se dégage  du verrou 265     (fig.    24) comme on l'explique à  propos des opérations d'addition, de façon à  libérer le segment de report 262, pour l'ordre  supérieur voisin, permettant l'action de son  ressort 284 qui, dans ce cas, oblige à son tour  le segment à faire tourner le pignon de totalisa-    de la machine pour actionner l'arbre 314 et  comporte une manivelle 320     (fig.    26) fixée à  l'arbre 231 et portant un goujon 321 qui coopère  avec un prolongement vers le bas d'un bras 322,  analogue au bras de droite 316, pivotant sur un  goujon de la plaque 215. Ce bras 322 possède un  prolongement vers le bas qui coopère avec un  goujon et une manivelle 323 fixée à l'arbre 314.

    Chacun des bras 316 et 322 est muni d'un res  sort 324 qui les pousse dans le sens     senestrorsum,     comme le montre la     fig.    26, pour maintenir  normalement les prolongements des bras en  contact élastique avec les goujons des manivelles  correspondantes<B>319</B> et 323.  



  Le fonctionnement de l'arbre d'embrayage  231 du totalisateur, vers le début du fonctionne  ment de la machine, oblige les goujons corres  pondants 315 et 321 à s'engager dans les bras  correspondants 316 et 322 et à faire basculer les  bras tout d'abord dans le sens     dextrorsum,          comme    le montrent les     fig.    20 et 26.

   Les bras 316  et 322 font à leur tour basculer les manivelles  correspondantes 323 et l'arbre de     réarmage    314  dans le sens     senestrorsum,    de sorte que la tige 312  engage les bras de report 270 déclenchés et les  ramène par un mouvement dans le sens dextror-  
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           teur    principal, pour assurer que les dents des  pignons principaux soient convenablement engre  nées avec celles des crémaillères d'entraînement  correspondantes 197 et des segments de re  port 262.  



  Le mécanisme d'alignement comprend deux  tiges 327 coopérant avec les dents des pignons  du totalisateur auxiliaire 203, supportées de  manière à pouvoir tourner par une série de bras       i    identiques 328, pivotant à leur tour sur des  goujons 329 fixés aux plaques d'ordres corres  pondantes 260. Les tiges 327 s'engagent dans  des lumières 330 d'une série de bras de     manoeu-          vre   <B>331</B> fixés sur l'arbre d'alignement 232, et  maintenant les tiges 327 en alignement axial à  mesure qu'on les engage et qu'on les dégage des  dents des pignons du totalisateur auxiliaire 203.

    Une manivelle 332     (fig.    26) est articulée, par  l'intermédiaire d'une bielle d'accouplement 333,  à l'extrémité supérieure d'un bras 334 libre sur  un goujon 335 supporté par des cornières qui  dépendent du support 52<B><I>(fi-.</I></B> 5A). Cette mani  velle est     fixée    à l'extrémité droite de l'arbre 232       (fig.    26). Le bras 334     (fig.    26) est lié, par un  goujon 336,à un levier à came 337 libre sur le  goujon 335, et portant des galets 338 et 339 qui  coopèrent avec les périphéries de cames jumelées  340 et 341, fixées sur l'arbre à cames princi  pal 185.

   Un organe d'alignement 342, muni de  dents qui coopèrent avec des disques d'aligne  ment 343 montés à l'extrémité de droite de  l'arbre 204, pour aligner la série de pignons  sélectionnés 202 ou 203 avec les crémaillères  d'entraînement de montants correspondants 197,  est également fixé à l'extrémité de droite de  l'arbre 232     (fig.    7 et 26).  



  A peu près au début de chaque opération de  la machine, la rotation des cames 340 et 341       (fig.    26) fait basculer le levier 337 et le bras 334  dans le sens     dextrorsum    et ce mouvement, par  l'intermédiaire de la bielle d'accouplement 333,  bascule la manivelle 332, l'arbre 232 et     l'ali-          gneur    342 dans le sens     senestrorsum,    pour  débrayer ce dernier des disques 343 et libérer  l'arbre totalisateur 204 pour lui permettre un  mouvement de sélection horizontale.

   En même  temps que le débrayage de l'organe d'aligne  ment 342, le mouvement dans le sens senestror-         surn    de l'arbre 232 et des bras 331     (fig.    20 et 22)  fait basculer vers le bas ou dans le sens     senestror-          sum    les tiges 327 pour qu'elles embrayent les  dents des pignons des totalisateurs auxiliaires 203  afin de maintenir ces pignons et les pignons  associés principaux 202 en alignement conve  nable, au cours du déplacement horizontal de  sélection du totalisateur convenable.

   Avant le  mouvement initial vers l'arrière des crémaillères  de commande de montants 197, les cames 340  et 341     (fig.    26) ramènent en position de repos le  levier 337 et le bras 334 par un mouvement dans  le sens     senestrorsum    qui, par l'intermédiaire de  la bielle d'accouplement 333 et de la mani  velle 332, fait basculer l'arbre 232 dans le sens       dextrorsum    pour     réembrayer    l'organe d'aligne  ment 342 avec les disques d'alignement 343 et,  en même temps, dégager les tiges 327     (fig.    20)  des dents des pignons auxiliaires 203, afin de  libérer ceux-ci pour leur permettre d'être entraî  nés par les crémaillères de commande de mon  tants 197.

      <I>Mécanisme de rappel en position</I>     initiale       Un mécanisme de rappel à ressort permet de  maintenir     élastiquement    l'arbre d'entraîne  ment 231     (fig.    7, 10 et 29) aux limites de son  mouvement dans un sens ou dans l'autre. Une  came de positionnement 344, dont le bord de  travail coopère avec un galet 345 monté sur un  bras 346 libre sur un tourillon 347 fixé à une  plaque de support d'arbre d'entraînement 348  elle-même fixée à la base 52 et au bâti principal  de gauche 51, est fixée à l'extrémité de gauche  de l'arbre d'entraînement 231.

   Un ressort rela  tivement puissant 349, tendu entre le bras 346  et un goujon fixé dans la plaque 348, tire le  bras 346 dans le sens     dextrorsum,    pour maintenir  normalement le galet 345 en contact élastique  ferme avec l'arête de la came 344. Le contour  de cette dernière est tel que le galet 345, sous  l'action du ressort 349, maintient     élastiquement     la came et l'arbre 231 dans l'une ou l'autre des  positions extrêmes de leur mouvement de balan  cier. La plaque 348<B>(fi-.</B> 7), outre qu'elle supporte  le bras 346, supporte également de manière à lui  permettre de tourner, l'extrémité de gauche de  l'arbre d'embrayage 231 du totalisateur de solde.

        <I>Mécanisme de l'unité fugitive</I>  Dans un totalisateur de solde du type décrit  ci-dessus, il est nécessaire de prévoir ce qu'on  appelle un mécanisme d'enregistrement d'une  unité fugitive pour corriger l'état algébrique des  pignons totalisateurs 202, quand le montant qui  y est contenu passe d'une valeur positive à une  valeur négative. Un-solde débiteur dans le tota  lisateur de solde fait tourner le pignon d'ordre  supérieur dans le sens de soustraction de la  position   zéro   à la position   neuf   et, au  cours de cette rotation, la longue dent portée  par ce pignon culbute le cliquet correspon  dant 273     (fig.    21), qui libère le bras de report  correspondant 270 de façon à l'entraîner par son  ressort 275, suivant la manière expliquée à pro  pos des ordres inférieurs du totalisateur.

   Le  fonctionnement du bras 270 fait basculer le  loqueteau 'correspondant 265     (fig.    24) et le  dégage d'une encoche de verrouillage ménagée  dans un segment 350     (fig.    21) pour l'unité fugi  tive, segment qui pivote sur un goujon corres  pondant 263 fixé dans la plaque correspon  dante 264     (fig.    20). Le segment 350 fonctionne  comme le segment de report 262, décrit en se  référant à la     fig.    20, et porte l'un des goujons 283  qui lui correspond, auquel est connectée une  extrémité d'un ressort opératoire 284, dont  l'autre extrémité est connectée à l'étrier 285.

      Dans les opérations de soustraction, l'étrier  285 est dans la position de gauche     (fig.    21)  figurée en trait mixte et la libération du loque  teau 265 de l'encoche du segment 350 permet  la     manoeuvre    dudit segment sous l'action du  ressort 284. De cette manière, le segment se  déplace dans le sens     dextrorsum,    suivant le  mouvement décrit à propos des segments de  report 262 dans les opérations de soustraction.  Le goujon 283 porté par le segment 350 coopère  avec des parois opposées d'une encoche 351  pratiquée dans un bras 352, qui pivote sur le  goujon 263 pour le segment 350.

   Un prolon  gement crochu du bras 352 est relié par une  bielle 353 à une manivelle 354, fixée à un arbre  de commande de découvert 356 tourillonné  dans les plaques 215,<B>216,</B> 217 et 348     (fig.    7).  L'arbre 356 se prolonge à travers le bâti du    totalisateur et porte, fixée sur son extrémité  de droite     (fig.    23), une manivelle 357 reliée par  une bielle 358 à un bras 359 tournant sur le  goujon 263, qui constitue le centre de rotation  du segment de report 360 de l'ordre le plus  bas. Ce segment est identique par son contour  et sa fonction aux segments de report 262 et  comporte des dents qui coopèrent avec celles  du pignon totalisateur principal 202 de l'ordre  le plus bas afin de transférer les chiffres d'unités  fugitives dans le pignon de l'ordre le plus bas.

    Les pièces 357, 358 et 359 ont le même contour  et la même fonction que les pièces correspon  dantes 354, 353 et 352, et coopèrent avec elles  pour transférer les unités     fugitives    dans le pignon  totalisateur de l'ordre le plus bas 202. Le segment  360     (fig.    22 et 23) porte un des goujons 283 et  un autre goujon 362 qui s'engage avec les parois  opposées d'une encoche 361 du bras 359, pour  former une liaison active entre le bras et le seg  ment.  



  Un levier articulé à genouillère 363     (fig.    26),  comportant à son extrémité inférieure une fente  dans laquelle s'engage un goujon porté par  l'extrémité supérieure d'un levier articulé satel  lite 364 libre sur un goujon 365 dans la plaque  215, est fixé à l'extrémité de droite de l'arbre  de solde négatif 356. Un ressort 366 est connecté  entre l'extrémité supérieure du levier 363 et  l'extrémité inférieure du levier satellite 364, de  façon à constituer une connexion élastique à  dépassement de centre des leviers, connexion  qui maintient l'arbre de solde négatif 356 aux  limites extrêmes de son mouvement dans les  deux sens.  



  Le mouvement, dans le sens     dextrorsum,    du  segment 350     (fig.    21), sous l'action du ressort  284, oblige le goujon 283, en coopération avec  la paroi avant de l'encoche 351, à faire basculer  le bras 352 également dans le sens     dextrorsum,     celui-ci à son tour, par l'intermédiaire de la  bielle 353, faisant basculer la manivelle 354,  l'arbre 356 et la manivelle 357     (fig.    22 et 23)  dans le sens     senestrorsum.    Le mouvement de  cette dernière fait basculer, grâce à la bielle 358,  le bras 359 de l'ordre le plus bas, dans le sens       dextrorsum,    faisant en sorte que l'épaulement  arrière de l'encoche 361, en coopération avec      le goujon 362,

   bascule le segment 360 dans le  même sens. Ce mouvement du segment 360  fait tourner le pignon 202 de l'ordre le plus bas  de la valeur d'une dent dans le sens de soustrac  tion pour corriger l'état algébrique du pignon,  de façon que, dans les opérations de total et  de sous-total négatifs, le solde passif réel soit  imprimé sur le support d'enregistrement.  



  Si, après un solde débiteur ou négatif dans  le totalisateur de solde, on ajoute une somme  suffisante pour renverser le découvert, la longue  dent du pignon 202 de l'ordre le plus élevé  déclenchera de nouveau le cliquet 273     (fig.    21)  de façon à libérer le segment 350 et à permettre  sa     man#uvre    par le ressort 284, comme on l'a  expliqué ci-dessus.

   Dans ce cas, le ressort 284  et l'étrier 285 sont en position d'addition,  comme le montrent les lignes en trait plein de  la     fig.    21 et, par suite, le segment 350 est ainsi  actionné dans le sens     senestrorsum.    De ce fait,  le goujon 283 renvoie le bras 352 également  dans le sens     senestrorsum,    et ce mouvement,  par l'intermédiaire de la série de mécanismes  décrite ci-dessus, sera communiqué au bras de  l'ordre le plus bas 359     (fig.    22 et 23), lequel  revient de concert dans le sens     senestrorsum.     Le mouvement     senestrorsum    du bras 359  obligera l'encoche 361, en coopération avec le  goujon 283,

   à faire tourner le segment également  dans le sens     senestrorsum    de façon qu'il fasse  avancer de la valeur d'une dent le pignon 202  de l'ordre le plus bas dans le sens d'addition  pour corriger l'état algébrique du pignon  d'ordre le plus bas quand le totalisateur de  solde devient de nouveau positif.    <I>Commande du déclenchement</I>     automatique   <I>de</I>  <I>la machine paf le mécanisme de découvert</I>  Un mécanisme commandé par l'état algé  brique du totalisateur de solde ou de découvert  permet de bloquer le mécanisme de déclenche  ment automatique de la machine du type à  commande de chariot lorsque le totalisateur de  solde est à découvert, afin que cet état du tota  lisateur soit signalé à l'attention de l'opérateur.  



  Un crochet 368, fixé à l'extrémité de droite  de l'arbre de solde négatif 356     (fig.    26), est  disposé pour coopérer avec un épaulement 369    d'une glissière 370 montée de façon mobile au  moyen d'une lumière située près de son extré  mité arrière, dans laquelle s'engage l'arbre 231,  et au moyen d'une lumière dans son extrémité  avant, dans laquelle s'engage un goujon 371  fixé dans le bâti principal de droite. La glissière  370 porte un goujon 372 qui coopère avec l'ex  trémité supérieure d'un doigt d'entraînement  373 monté librement sur le goujon 335 et com  portant un prolongement vers l'avant qui porte  un galet 374 coopérant avec la périphérie d'une  came 375 fixée sur l'arbre à cames principal 185.

    Un ressort 376 tire la glissière 370 vers l'avant  et celle-ci, par l'intermédiaire du goujon 372 et  du levier 373, maintient le galet 374 en contact  élastique avec la périphérie de la came 375.  Un levier 377 pivote sur la glissière 370 et un  prolongement de ce levier 377 porte un goujon  378 qui s'engage dans une lumière verticale  ménagée dans une barre de déclenchement 379  dont l'extrémité inférieure est articulée à un  levier de déclenchement 380 de la machine qui,  à son tour, est mécaniquement lié à un embrayage  principal (non figuré) qui connecte le mécanisme  d'entraînement de la machine à un moteur d'en  traînement, ainsi qu'il est bien connu.

   Un pro  longement vers le bas du levier 377 porte un  goujon 381 qui s'engage dans une lumière  horizontale d'une glissière 382 montée de façon  mobile au moyen de lumières horizontales qui  y sont pratiquées, en coopération avec des  goujons fixes. Un ressort 383 tire la glissière 382  vers l'avant pour maintenir normalement une  surface d'entraînement de son extrémité avant  en contact élastique avec un goujon 384 fixé  dans la tige de la touche   Non-Automatique    107     (fig.    1 et 2). L'extrémité supérieure de la  barre 379 comporte un épaulement 385 qui  coopère avec un levier 367 actionné par le  chariot mobile 54     (fig.    1) suivant des positions  de colonnes choisies à l'avance, d'une manière  connue.  



  Quand le chariot mobile actionne le levier  367     (fig.    26), celui-ci, en coopération avec l'épau  lement 385, lève la barre 379 pour faire basculer  le levier 380 dans le sens     senestrorsum,    ce qui  déclenche le mécanisme d'embrayage principal  qui entraîne la machine pour un cycle de fonc-           tionnement.    Le déclenchement automatique  de la machine sous la commande du chariot  mobile peut être rendu inopérant quand on  abaisse la touche      Non-Automatique     107,  ce qui fait que le goujon 384, en coopération  avec la surface d'entraînement de la barre 383,  déplace la barre vers l'arrière contre l'action  du ressort 383, et déplace le levier 377 et la  glissière 370 vers l'arrière, contre l'action du  ressort 376.

   Le mouvement vers l'arrière du  levier 377 fait, par l'intermédiaire du goujon 378,  basculer la barre 379 dans le sens     dextrorsum,     pour écarter l'épaulement 385 du parcours du  levier 367, de façon que la     manoeuvre    de ce der  nier par le chariot mobile n'élève pas la barre  379 et, par conséquent, que l'organe de déclen  chement automatique de la machine soit mis  hors service, tant que la touche       Non-Automa-          tique      107 est verrouillée en position abaissée.

    La touche   Non-Automatique   107 reste  verrouillée jusqu'à ce qu'une touche de déclen  chement 112     (fig.    1 et 2) soit abaissée à la main  pour la livrer à l'action de son ressort habituel  (non figuré) qui ramène immédiatement la  touche par un mouvement vers le haut dans sa  position non abaissée.  



  Dès que le fonctionnement de la machine  est commencé, la rotation de la came 375       (fig.    26) fait basculer le levier 373 dans le sens       dextrorsum    pour déplacer vers l'arrière la  glissière 370 afin de déplacer l'épaulement 369  au-delà du crochet 368 et, vers la fin du cycle,  la came 375 permet au ressort 376 de ramener  la glissière 370 dans sa position normale que  représente la     fig.    26, dans laquelle l'épaulement  369 est en dehors du parcours du crochet 368.

    Le mouvement initial vers l'arrière de la glissière  370 déplace de concert le levier 377, le faisant  basculer avec la barre 379 dans le sens     dextror-          sum    pour éloigner l'épaulement 385 du trajet  du levier 367 et ce, pendant l'intervalle de temps  au cours duquel la glissière 370 et la barre 379  occupent leur position arrière, quand s'effectue  l'action des roues du totalisateur de solde.  



  Si un solde négatif se produit dans le totali  sateur de solde, l'arbre de solde négatif 356 et  le crochet 368 basculent dans le sens     senestror-          sum,    comme on l'a expliqué précédemment,    pour placer le crochet 368 sur le trajet de  l'épaulement 369, de façon à empêcher le mou  vement de retour vers l'avant de la glissière 370,  du levier 377 et de la barre 379 sous l'action de  la came 375 et du ressort 376. Ceci maintient  l'épaulement 385 de la barre 379 en dehors du  parcours du levier 367 et, par conséquent, le  fonctionnement automatique de la machine sous  la commande du chariot mobile est rendu impos  sible, ce qui attire l'attention de l'opérateur sur  le fait que le totalisateur de solde est à décou  vert.

   Si, après avoir été à découvert, le totalisa  teur de solde redevient positif, l'arbre 356 revient  dans le sens     senestrorsum,    en écartant le cro  chet 368 du trajet de l'épaulement 369 et permet  de nouveau le déclenchement automatique de la  machine sous la commande du chariot mobile.  



  Le mécanisme de déclenchement de la ma  chine et la commande par le chariot mobile sont  déjà connus en soi.  



  <I>Mécanisme de déplacement du totalisateur de solde</I>    Comme on l'a expliqué précédemment, les  pignons principaux 202     (fig.    7 et 20) du totali  sateur de solde sont     normalement    alignés avec  les crémaillères d'entraînement de montants 197.

    Toutefois, quand le totalisateur de solde est à  découvert, il s'établit un certain état par lequel  la sélection dudit totalisateur pour une opération  de total ou de sous-total produit, soit au moyen  du chariot mobile suivant des positions de  colonnes déterminées, soit au moyen de touches  de commande du totalisateur de solde, le dépla  cement vers la droite de l'arbre principal 204 et  de l'arbre auxiliaire 207, comme on le voit à la       fig.    7, de façon à aligner les pignons auxiliaires  203 du totalisateur de solde avec les crémaillères  d'entraînement de montants 197. Le mécanisme  de déplacement ou de décalage du totalisateur  de solde dans les opérations de total négatif et  de sous-total négatif est représenté de façon plus  claire aux     fig.    7, 10, 12 et 14.  



  L'arbre 204 des pignons 202 du totalisateur  principal est fileté à son extrémité de gauche de  façon à recevoir une paire de disques filetés de  décalage 386 et 387, dont les faces extérieures  coopèrent respectivement avec.des goujons de  décalage 388 et 389 montés dans une paire de      bras 390 et 391     (fig.    14). Ceux-ci pivotent sur des  goujons 392 et 393     fixés    à une plaque de sup  port 394     (fig.    7), elle-même assujettie au bâti 52  de la machine, et ils sont convenablement séparés  du bâti au moyen de plusieurs moyeux à épaule  ment 396, dont un seulement a été figuré.

   On  peut obtenir un réglage convenable des disques  de décalage 386 et 387 par rapport aux gou  jons de décalage correspondants 388 et 389, en  faisant tourner dans un sens ou dans l'autre et  une     fois    qu'ils sont mis convenablement en place,  ils peuvent être fixés et immobilisés au moyen  d'écrous de verrouillage correspondants 397       (fig.    7). Les extrémités supérieures des goujons  392 et 393 se prolongent dans des orifices pra  tiqués dans une plaque de support supérieure  395 ayant le même contour que la plaque infé  rieure 394, la plaque supérieure contribuant,  avec la plaque inférieure 394, à supporter rigide  ment le mécanisme de décalage du totalisateur.

    Les goujons 388 et 389     (fig.    7, 10, 12 et 14) portés  par les bras 390 et 391 se prolongent vers le bas  à travers les bras et une ouverture pratiquée dans  la plaque 394 et supportent à rotation des leviers  d'exploration 398 et 399. Un ressort 400 tendu  entre les bras 390 et 391 les sollicite dans des  directions opposées, c'est-à-dire, respectivement,  dans un sens     dextrorsum    et dans un sens     senes-          trorsum,    comme on le voit à la     fig.    14, de façon  à maintenir normalement les surfaces entaillées  du bord extérieur du levier 398 en contact élas  tique avec des goujons d'arrêt 401 et 402 dépen  dant de la surface inférieure de la plaque 394,

   et  de façon à maintenir normalement les surfaces  entaillées analogues du levier 399 en contact  élastique avec des goujons d'arrêt correspon  dants 403 et 404 qui dépendent également de la  surface inférieure de la plaque 394. Des goujons  d'entraînement 405 et 406 entrent en contact  avec les surfaces d'entraînement d'un étrier 407       (fig.    12 et 13) pivotant en son centre sur un  goujon 408, lui-même porté par une glissière  d'entraînement 409 montée de façon mobile au  moyen de lumières longitudinales 410 qui y  sont pratiquées (une seule de ces lumières est  figurée) en coopération avec des goujons à vis  411     (fig.    8, 10 et 13) fixés dans le bâti 52 de la       machine,    ces goujons d'entraînement 405 et 406    étant solidaires des bras 390 et 391,

   respective  ment. La glissière 409 est supportée de façon  mobile entre les têtes de vis 411 et les surfaces  polies des coussinets formés sur le bâti 52. La  partie inférieure de droite de la glissière 409       (fig.    8) porte un goujon 412 qui s'engage dans  une lumière d'un levier d'entraînement 413  monté à jeu sur le goujon 249 et portant des  galets 414 et 415 qui coopèrent respectivement  avec les périphéries de cames jumelées 416 et  417 fixées à l'arbre à cames principal 185. Un  ressort 418 tire en avant la glissière 409 de façon  à rattraper le jeu qui peut exister entre la glis  sière, le levier 413 et les cames 416 et 417 et  absorber tous les chocs qui peuvent résulter du  décalage du totalisateur d'une position à une  autre.  



  Le levier d'exploration 398 comporte à ses  extrémités opposées des doigts palpeurs 421 et  422 et le levier 399 comporte à ses extrémités  opposées des doigts palpeurs 423 et 424. Les  doigts 421 et 423 coopèrent avec la périphérie  d'une came de sélection 425 montée sur un  goujon 426 tourillonné dans un moyeu dépen  dant de la plaque 394     (fig.    10). Les doigts 422  et 424     (fig.    14) coopèrent avec la périphérie d'une  came de sélection 427 montée sur un goujon  428 tourillonné dans un moyeu qui dépend de  la plaque 394. Dans ce cas, on peut faire varier  la position de la came de sélection 427, et elle  reste constamment dans la position du dessin,  dans laquelle elle est ancrée par un goupille 429  qui va de la came à la plaque 394.

   La came de  sélection 425 peut être mise en position soit sous  la commande du chariot mobile, suivant des  positions de colonnes prédéterminée soit sous  la commande de touches de commande du  totalisateur de solde. La came 425 porte une  goupille 430     (fig.    10, 12 et 14) qui s'engage libre  ment dans une ouverture pratiquée dans l'extré  mité arrière aplatie d'une corde à piano 431  dont l'extrémité avant est connectée de manière  pivotante au moyen d'une goupille 432     (fig.    30)  à l'extrémité inférieure d'un levier 433 tournant  sur la tige 240.

   Un ressort 434 tire le levier 433  dans le sens     senestrorsum    pour maintenir nor  malement une arête arquée 435 de son bord  avant, en contact élastique avec un galet 436           (fig.    10) porté par un levier 437 monté à jeu  sur le goujon 249. Un ressort relativement puis  sant 438 sollicite le levier 437 dans le sens     senes-          trorsum,    de façon à maintenir normalement un  galet 439 qu'il porte en contact élastique avec la  périphérie d'une came 440     fixée    sur l'arbre à  cames principal 185.

   Le levier 433     (fig.    30)  comporte un prolongement supérieur à épaule  ment 441 coopérant avec un goujon carré 442  de l'extrémité inférieure d'un levier 443 monté  à jeu sur une tige 444 supportée par le bâti de la  machine. Un ressort 445 tire le levier 443 dans  le sens     senestrorsum,    de façon à maintenir un  goujon 446 qu'il porte en contact élastique avec  un épaulement formé sur un bras 447. Le bras  447 est monté librement sur la tige 444 et com  porte une lumière dans laquelle s'engage un  goujon 448 d'un bras d'un étrier 449 monté à  jeu sur une tige 450 supportée par le bâti de la  machine.

   L'autre bras de l'étrier 449 comporte  un prolongement 451 qui recouvre l'extrémité  de gauche d'un levier sensible 452 et coopère  avec ce levier qui est connecté au doigt palpeur  correspondant 75     (fig.    5A) qui, comme on l'a  expliqué précédemment, coopère avec les pla  ques de commande 74, de façon à contrôler les  fonctions du totalisateur de solde.  



  Une corde à piano 454     (fig.    30) relie le  levier 433 à un prolongement inférieur d'un  levier 455 monté à jeu sur l'arbre 231 et compor  tant un prolongement recourbé 456 à son extré  mité supérieure, qui coopère avec une surface  périphérique 457 d'un bras d'arrêt 458 fixé à  l'arbre de solde négatif 356.

   Comme le montre  la     fig.    30, le bras d'arrêt 458 et l'arbre 356 sont  dans un état positif dans lequel la surface 457  s'oppose au mouvement dans le sens     senestror-          sum    des leviers 455 et 433 sous l'action du  ressort 434 quand le levier de came 437     (fig.    10)  est actionné au commencement du fonctionne  ment de la machine par la came 440 et, dans ce  cas, aucun mouvement de déplacement ne sera  communiqué au totalisateur de solde.

   Par consé  quent, il est évident que, quel que soit le type  d'opération de la machine en cours, soit sous la  commande du chariot mobile, soit sous la com  mande de touche de commande de solde négatif,  aucun mouvement de déplacement, suivant la    manière décrite ci-dessus, ne sera communiqué  aux arbres du totalisateur de solde 204 et 207  tant que celui-ci sera dans un état positif et, par  conséquent, les pignons   plus   202 resteront  alignés avec leur crémaillère d'entraînement de  montants correspondants 197.

   Cependant, à l'ar  rivée du solde débiteur dans le totalisateur de  solde, l'arbre 356 et le bras 458 sont basculés dans  le sens     dextrorsum        (fig.    30) jusqu'à la position  figurée en trait mixte, de façon à déplacer la  surface 457 au-dessous et en dehors du parcours  du prolongement 456 pour libérer les leviers 455  et 433 et leur permettre un mouvement dans le  sens     senestrorsum    au début de la     manoeuvre    du  levier de came 437     (fig.    10).  



  Comme on l'a expliqué précédemment, le  levier explorateur 452     (fig.    30 et 32) est relié à  celui des doigts palpeurs 75 correspondant qui  palpe le bord inférieur de la plaque de commande  correspondante 74 montée sur le tabulateur 73  qui, comme on l'a expliqué précédemment, peut  être disposé, suivant une combinaison quelcon  que voulue, le long de la réglette 72     (fig.    5A), en  accord avec les divisions en colonnes du maté  riau d'enregistrement utilisé dans un système  comptable particulier. Les plaques de com  mande 74 qui coopèrent avec le doigt 75     (fig.    32)  du totalisateur de solde peuvent être disposées  suivant quatre longueurs, de manière à com  mander les différentes fonctions du totalisateur  de solde.  



  La plaque la plus longue, ou de longueur    T  , conditionne le totalisateur de solde pour  une opération de total, la plaque dont la longueur  vient immédiatement en dessous, ou plaque de  longueur   S  , conditionne le totalisateur de  solde pour une opération de soustraction, la  plaque de longueur suivante   A   conditionne  le totalisateur de solde pour une opération  d'addition, et la plaque la plus courte, de lon  gueur   O  , conditionne le totalisateur de solde  pour une opération de non-addition.

   La plaque  de contrôle 74 la plus longue ou de longueur    T  , en coopération avec le doigt palpeur 75,  maintient le levier 443     (fig.    30) et le goujon  carré 442 dans leur position     dextrorsum,    comme  le représente la figure, de façon à maintenir le  goujon en dehors du parcours de l'épaule-      ment 441, ce qui fait que le levier 433 peut  basculer dans le sens     senestrorsum    dès le com  mencement du mouvement du levier 437     (fig.    10)  pourvu que le totalisateur de solde soit dans un  état négatif dans lequel le bras 458 se trouve en  dehors du parcours du prolongement 456.

   Le  mouvement initial dans le sens     senestrorsum    du  levier 433, sous l'action du ressort 434, par l'in  termédiaire de la bielle 431     (fig.    10 et 14), fait  basculer la came de sélection 425 dans le sens       senestrorsum    pour déplacer les arêtes de com  mande 459 et 460 de la came en coopération avec  les doigts 421 et 423 des leviers palpeurs 398  et 399.

   Aussitôt après, le mouvement initial vers  l'avant de la glissière 409     (fig.    8 et 13) sous  l'action des cames 416 et 417, et par l'intermé  diaire de l'étrier 407, fait basculer les bras 390  et 391     (fig.    14) et les goujons 388 et 389 basculent  vers l'intérieur, de façon à obliger les palpeurs  398 et 399 à explorer les cames 425 et 427 pour  mettre en position les goujons suivant le contour  de la came.

   Les goujons 388 et 389     (fig.    10, 12  et 14), en coopération avec les disques corres  pondants 386 et 387, déplacent vers la droite  l'arbre 204 du totalisateur de solde, comme le  montre la     fig.    7, de façon que les pignons prin  cipaux 202 soient écartés de leur     alignement    avec  les crémaillères d'entraînement 197 et, simulta  nément, à déplacer le pignon auxiliaire corres  pondant 203 pour l'aligner avec ladite crémail  lère d'entraînement 197.

      Une plaque de commande quelconque 74       (fig.    30 et 32) plus courte que la longueur   T    permet un mouvement     suffisant    du doigt pal  peur 75 pour faire basculer le bras 447 et le  levier 443 dans le sens     senestrorsum    sous 'la  commande du ressort 445, sur une distance       suffisante    pour déplacer le goujon carré 442 et  l'amener sur l'épaulement 441, ce quia pour  effet finalement d'empêcher le mouvement dans  le sens     senestrorsum    du levier 433 et, par consé  quent, dans ce cas, même si le totalisateur de  solde se trouve à l'état négatif, le mouvement du  levier 433 sera empêché et, par suite,

   les pignons  principaux 202 du totalisateur de solde resteront  alignés avec les crémaillères d'entraînement de  montants 197.    Un mécanisme commandé par la touche de  total 115 du totalisateur de solde     (fig.    1 et 2)  permet de bloquer le mouvement     senestrorsum     du levier     443        (fig.    30 et 33), afin de maintenir le  goujon carré 442 en dehors du parcours de  l'épaulement 441, quelle que soit la longueur de  la plaque 74     (fig.    32) qui coopère avec le doigt  palpeur 75. Ce mécanisme comporte un épaule  ment 463 du levier 443, qui coopère avec un  doigt 464 fixé sur un arbre 465 tourillonné dans  le bâti de la machine.

   A l'arbre 465 est fixée une  manivelle 466     (fig.    33) à laquelle est connectée  d'une manière pivotante une bielle 467 articulée  à son extrémité à un bras 468 monté à jeu sur un  goujon 469, lui-même fixé dans le bâti principal  de gauche 51. Le bras 468 comporte un chemin  de came 470 qui coopère avec un goujon 471  fixé dans la tige de la touche de total 115 du  totalisateur de solde.

   L'abaissement de cette  touche 115 fait en sorte que le goujon 471, en  coopération avec la lumière 470, bascule le  bras 468 dans le sens     dextrorsum,    mouvement  qui, par l'intermédiaire de la bielle 467, est  communiqué à la manivelle 466, à l'arbre 465  et au doigt 464, et déplace ce dernier pour l'ame  ner sur le parcours de l'épaulement 463, de façon  à bloquer le mouvement     senestrorsum    du  levier 443     (fig.    30) sous la commande du chariot  mobile, et de façon à maintenir le goujon 442 en  dehors du parcours de l'épaulement 441.

   Ceci  permet le mouvement initial dans le sens     senes-          trorsum    du levier 433, dans le cas où un solde  négatif du totalisateur de solde aurait écarté le  bras 458 du parcours du prolongement 456 pour  obliger l'arbre du totalisateur de solde 204 à se  déplacer vers la droite     (fig.    7) et à aligner les  pignons du totalisateur auxiliaires 203 avec les  crémaillères d'entraînement de montants 197  dans les opérations de total négatif.  



  Quand le levier 433     (fig.    30) est bloqué dans  son mouvement initial, dans le sens     senestror-          sum,    la came 425 occupe la position représentée  à la     fig.    14, de façon que les surfaces de com  mande 461 et 462 coopèrent avec les doigts 421  et 423 des leviers palpeurs 398 et 399, si bien que  le mouvement vers l'avant de la glissière 409       (fig.    13) oblige les goujons 388 et 389, en coopé  ration avec leurs disques 386 et 387     (fig.    7), à      mettre en position l'arbre 204, comme dans le  cas de la figure, de façon que les pignons du  totalisateur principal 202 soient alignés avec les  crémaillères d'entraînement de montants 197.

    <I>Mécanisme d'inversion de</I>     fônction     Un mécanisme commandé par le mouvement  initial, dans le sens     senestrorsum,    du levier 433       (fig.    30) permet d'inverser les fonctions d'addi  tion et de soustraction dans le totalisateur de  groupe choisi dans les opérations de total néga  tif. Le bord antérieur 472 du levier 433 coopère  avec un goujon 473 porté par une bielle 474  articulée, par son extrémité postérieure, à un  bras 475 monté à jeu sur la tige 240.

   L'extrémité  antérieure de la bielle 474 est articulée avec une  manivelle 476 fixée sur un arbre 477 tourillonné  dans le bâti de la machine et qui porte également  un bras 478 comportant à son extrémité anté  rieure une lumière dans laquelle s'engage un  goujon 479 porté par un levier 480 lui-même  monté à jeu sur une tige 481 supportée par le  bâti de la machine. Un prolongement antérieur  du levier 480 coopère avec un goujon 482 porté  par un bras de     manaeuvre    483 du mécanisme  d'inversion, monté à jeu sur l'arbre 481.

   Le  goujon 482 et le bras 483 commandent, d'une  manière connue, un mécanisme qui peut inverser  la nature algébrique des entrées     effectuées    dans  les     totalisateurs    autres que le totalisateur de  solde, sous la commande de la touche   Inver  sion   121     (fig.    1 et 2) et qui, dans le cas présent,  peut de la même façon commander les crochets  d'engagement     individuels243        (fig.10)    pour inver  ser les fonctions d'addition et de soustraction du  totalisateur de groupe sélectionné.

   Le mouve  ment initial, dans le sens     senestrorsum,    du  levier 433     (fig.    30) oblige la surface 472, en  coopération avec le goujon 473, à déplacer vers  l'avant la bielle 474, mouvement qui fait basculer  dans le sens     dextrorsum    la manivelle 476,  l'arbre 477 et le bras 478, contre l'action d'un  ressort 484.

   Le mouvement dans le sens     dextror-          sum    du bras 478 fait basculer le levier 480 dans  le sens     senestrorsum    et celui-ci, à son tour, fait  basculer le goujon 482 et également le bras 483  dans le sens     senestrorsum    pour inverser les  fonctions d'addition et de soustraction du tota-         lisateur    de groupe choisi, suivant une manière  connue.  



  La touche   Inversion   121     (fig.    1 et 2)  actionne le bras 483 auquel elle est connectée,  d'une manière connue, de façon à fournir des  moyens de contrôle manuels de la nature algé  brique des entrées dans les totalisateurs de groupe  chaque fois qu'on le désire.    <I>Commande de déplacement du ruban</I>    Dans les opérations de total négatif, il est  souhaitable que le montant du découvert soit  imprimé d'une couleur distincte, par exemple  rouge, afin qu'on puisse l'identifier commodé  ment comme élément de solde débiteur.

   Ce  résultat est obtenu automatiquement sous la  commande du levier 433     (fig.    30) au cours de  son mouvement initial dans le sens     senestrorsum.     Un bras 486 est fixé à l'arbre 477 et comporte un  prolongement antérieur situé en dessous d'un  goujon 487     (fig.    10) porté par une glissière de       commande    488 de déplacement du ruban montée  de façon à permettre un mouvement de déplace  ment vertical dans le bâti de la machine.

   Le  mouvement initial vers l'avant du levier 433 fait  basculer dans le sens     dextrorsum    l'arbre 477 et  le bras 486, suivant la manière expliquée précé  demment, de façon à dégager les prolongements  antérieurs du goujon 487 pour libérer la glis  sière 488 et la soumettre ainsi à l'action d'un  ressort (non figuré) qui la déplace immédiate  ment vers le bas. Cette glissière, suivant la  manière habituelle connue, commande ainsi le  mécanisme élévateur d'encrage du ruban qui  soulève le ruban, lequel est amené dans une  position pour laquelle la partie de ce mécanisme  qui imprime en rouge est alignée avec le secteur  d'impression, imprimant ainsi en rouge le mon  tant du total du solde négatif.

      <I>Commande du totalisateur de solde</I>  <I>par les touches d'addition et de soustraction</I>         L'actionnement    du levier 433     (fig.    30) est,  d'autre part, commandé par les touches d'addi  tion 113 et de soustraction 114     (fig.    1 et 2) du  totalisateur de solde, quand celui-ci est dans un  état négatif, pour s'assurer que le levier 433 est  néanmoins bloqué dans son mouvement dans le      sens     senestrorsum    dans ces opérations, de façon  que les pignons du totalisateur principal 202       (fig.    7) restent alignés avec les crémaillères     d'en-          trainement    de montants 197 pour en recevoir les  entrées.

   Un bras 489 fixé sur l'arbre 477     (fig.    10  et 30) comporte un pied 490 qui coopère avec un  goujon carré 491     fixé    à un levier 492 monté à jeu  sur la tige 481. Le levier 492 porte un goujon 493  qui coopère avec un prolongement vers l'ar  rière 494 d'une glissière de commande 495 qui  est déplacée vers l'arrière par la touche d'addi  tion 113 et la touche de soustraction 114 du  totalisateur de solde débiteur quand ces touches  sont abaissées. Le mouvement vers l'arrière de  la glissière 495, quand on abaisse soit la touche  d'addition 113, soit la touche de soustrac  tion 114, fait basculer le levier 492 dans le sens       dextrorsum    pour déplacer le goujon carré 491  sous le pied 490.

   Ceci empêche le mouvement  en sens     dextrorsum    du bras 489 de l'arbre 477  et de la manivelle 476, de telle sorte que cette  dernière, par l'intermédiaire de la bielle 474 et  du goujon 473, bloque le mouvement initial dans  le sens     senestrorsum    du levier 433 quand l'une  ou l'autre de ces touches est abaissée, quelle que  soit la position du levier 433     (fig.    30), par une  plaque de commande 74 de longueur   T         (fig.    32), comme on l'a expliqué ci-dessus, pour  s'assurer que les pignons principaux 202 du  totalisateur de solde restent alignés avec les  crémaillères d'entraînement de montants quand  on effectue les fonctions d'addition et de sous  traction dans le totalisateur de solde, lorsqu'il  est à l'état négatif.  



  Le     bloquage    du mouvement dans le sens       dextrorsum    de l'arbre 477 et du bras 478, comme  on l'a expliqué ci-dessus, empêche également le  fonctionnement du mécanisme d'inversion quand  on effectue les fonctions d'addition et de sous  traction dans le totalisateur de solde, si ce dernier  est à l'état négatif. De même, le     bloquage    du  mouvement dans le sens     dextrorsum    du bras 486  maintient également la glissière 488     (fig.    10) dans  sa position supérieure pour empêcher le déplace  ment du ruban encreur vers la position d'impres  sion en rouge.

   Toutefois, dans certains cas, il est  souhaitable que tous les éléments de la soustrac  tion soient imprimés en rouge et, s'il en est    ainsi, on peut disposer de la touche de soustrac  tion 114 pour faire déplacer le ruban encreur à la  position d'impression en rouge de façon que tous  les éléments de soustraction du totalisateur de  solde soient imprimés en rouge.  



  *Ce qu'on a dit ci-dessus au sujet des opéra  tions de total négatif s'applique également aux       opérations    de sous-total négatif. Le mécanisme  commandé par la touche de total 115 fonctionne  exactement de la même façon dans les opérations  de sous-total négatif. La seule différence est que  la touche de sous-total 116 commande le méca  nisme qui oblige les pignons auxiliaires 203 du  totalisateur de solde à rester engrenés avec les  crémaillères d'entraînement correspondantes 197  pendant leur mouvement de retour vers l'avant,  pour ramener les pignons et les pignons corres  pondants du totalisateur principal 202 dans leur  position initiale.

      <I>Mécanisme</I>     totalisateur   <I>de groupe</I>    Comme on l'a mentionné précédemment, la  présente machine est munie d'un bâti de     totali-          sateûrs    de groupe     (fig.        5A-5B)    qui supporte  quatre séries de pignons totalisateurs de groupe  (ou d'accumulation) 208, chaque série compor  tant un pignon 208 pour chaque ordre de valeur,  monté sur l'arbre totalisateur 209 qui, comme  l'arbre du totalisateur de solde 204, peut être  déplacé horizontalement dans le bâti 210, per  mettant d'aligner la série sélectionnée de pi  gnons 208 avec les crémaillères d'entraînement  de montants 197 qui les entraînent.

   Tandis que  la présente machine est munie de quatre séries  de pignons totalisateurs de groupe 208, il est  naturellement possible d'en disposer davantage,  sur l'arbre 209, par exemple huit séries de  pignons et, comme on l'a expliqué précédem  ment, on peut ajouter un autre bâti 212 de tota  lisateurs de groupe qui peut également porter  huit séries de pignons totalisateurs de groupe 211,  le bâti totalisateur 212 étant identique en tous  points au bâti totalisateur de groupe 210.

   Le  bâti totalisateur de groupe 210 est muni d'un  mécanisme d'embrayage et de débrayage per  mettant de déplacer le bâti totalisateur vers le  haut et vers le bas pour être embrayé et débrayé  par rapport à la série choisie de pignons 208 et      aux crémaillères d'entraînement de montants 197  au moment opportun, suivant le type d'opération       effectuée.    Ce mécanisme est identique en tous  points à celui du totalisateur de solde et, par  conséquent, ne sera décrit que brièvement.  



  Le mécanisme d'embrayage et de débrayage  du totalisateur de groupe 210 comporte un arbre  d'embrayage et de débrayage 498     (fig.    5B, 10,  16 et 29) auquel est fixée une manivelle 499  articulée, par l'intermédiaire d'une bielle 500, à  un bras 501 analogue au bras 239 du totalisateur  de solde.  



  Une bielle 502 articulée au bras 501     (fig.    29)  porte un crochet d'embrayage et de débrayage  correspondant 503, bielle et crochet coopérant  avec la barre d'embrayage et de débrayage 245,  exactement de la même façon que celle qu'on a  expliquée pour les pièces correspondantes 241  et 243     (fig.    10) du totalisateur de solde. Le  crochet 503 du totalisateur de groupe est com  mandé par un levier identique en tous points au  levier 254 du totalisateur de solde, la mise en  place de ce levier étant, à son tour, commandée  par le chariot mobile suivant des positions de  colonnes choisies à l'avance dans les opérations  d'addition, de soustraction et de total.

   On peut  également commander, au moyen de la touche  de total<B>118</B>     (fig.    1 et 2), les fonctions de total  dans les totalisateurs de groupe, touche utilisée  seule pour conditionner le totalisateur de groupe  choisi en vue d'une opération de total, tandis  qu'elle sera utilisée en coopération avec la touche  de sous-total 116 pour conditionner le totalisa  teur de groupe choisi en vue d'une opération de  sous-total.

   L'arbre d'embrayage 498     (fig.    16 et 17)  est connecté, par l'intermédiaire de plusieurs  manivelles 497, à une tige d'embrayage de tota  lisateurs 504 qui coopère avec des chemins de  came pratiqués dans les plaques extrêmes et  intermédiaire du totalisateur, afin de communi  quer un mouvement d'embrayage et de débrayage  à la série choisie de pignons 208 du totalisateur  de groupe, suivant la manière expliquée pour le  totalisateur de solde.  



  Chaque ordre de valeur des totalisateurs de  groupe, à l'exception des pignons 208 correspon  dant à l'ordre le plus bas, est muni d'un segment  505     (fig.    16) de report des dizaines correspon-         dant.    Ce segment est actionné par un ressort 506  disposé entre le segment et un étrier 507 qui se  déplace de la position d'addition à la position  de soustraction, et vice-versa, exactement sui  vant la manière expliquée à propos de l'étrier  correspondant 285     (fig.    20) du totalisateur de  solde.  



  Le segment de report 505 est bloqué dans  son mouvement de report produit par le res  sort 506, grâce à un verrou 508 débrayé par un  bras 509 quand le pignon inférieur voisin 208  passe par la valeur zéro et la longue dent qu'il  porte engrène la dent d'une plaque de verrouil  lage 510 connectée à un cliquet 511 monté à jeu  sur un arbre de commande     addition-soustrac-          tion    513 et fait basculer ledit cliquet de façon  à le débrayer d'un goujon porté par le bras 509  pour libérer le bras et le soumettre à l'action  de son ressort d'entraînement, comme le montre  la     fig.    18.

   La plaque 510 est déplacée de la posi  tion d'addition à la position de soustraction, et  vice-versa, au moyen d'un doigt de décalage<B>512</B>       fixé    à l'arbre 513 qui est tourillonné dans le bâti  totalisateur de groupe et mobile vers le haut et  vers le bas, de concert avec l'arbre totalisateur  209 et les pignons 208     (fig.    16).  



  L'arbre de commande de report 513 est  déplacé de la position d'addition à la position  de soustraction, et vice-versa, au moyen d'une  glissière 514     (fig.    10 et 11) analogue à la glis  sière 297 et mécaniquement reliée à l'arbre 498  par un bras analogue- au bras 299     fixé    sur l'arbre  et portant un goujon qui coopère avec une  lumière pratiquée dans la glissière 514. Celle-ci  porte un bras<B>515</B> qui coopère avec un goujon  porté par un bras 516 fixé à l'arbre 513. Le bras  515     (fig.    10 et 11) est positionné par rapport  aux goujons du bras<B>516,</B> par l'intermédiaire  d'un doigt 517 d'une bielle de totalisateur de  groupe 518 qui a le même contour et fonctionne  de la même façon que la bielle de commande 304  du totalisateur de solde.

   Cette bielle est com  mandée dans sa mise en place au moyen d'une  glissière de commande pour les totalisateurs de  groupe. Cette glissière (non figurée) est analogue  à la glissière 308     (fig.    11) du totalisateur de solde.  



  Dans les     fig.    10 et 11, les arbres 274 et 513  et leurs bras correspondants 292 et 516, sont      représentés dans la position de soustraction. Si  les bielles 304 et 518 sont bloquées dans leur  mouvement vers l'avant par leur glissière corres  pondante de commande 308, les bras 295 et 515  restent dans la position figurée; par conséquent,  les arbres 274 et 513 restent en position de sous  traction.

   Dans les opérations d'addition et de  total, les     glissières    de commande 308 se dépla  cent vers l'avant sous la commande soit du  chariot mobile, soit de leur touche de commande  respective et, par ce mouvement, permettent aux  bielles 304 et 518 de se déplacer de concert avec  elles, d'où il résulte que les bras 295 et 515 sont  basculés dans le sens     dextrorsum    en position de  conditionnement d'addition et, au moment du  mouvement vers le bas des glissières de com  mande 297 et 514, font basculer les bras corres  pondants 292 et 516 et les arbres de commande  de report 274 et 513 dans le sens     senestrorsum     de la position de soustraction à la position d'ad  dition.  



  Dans la<B>fi-.</B> 16, le totalisateur de groupe est  représenté en position d'embrayage partiel pour  opération d'addition et, dans la     fig.    17, il est  représenté en position d'embrayage complet pour  ce genre d'opérations. La     fig.    18 montre le  déplacement et la     manoeuvre    du mécanisme de  report des dizaines dans les opérations d'addi  tion des totalisateurs de groupe et la     fig.    19 mon  tre le déplacement et la     man#uvre    du mécanisme  de report pour les opérations de soustraction.  



  Les totalisateurs de groupe comprennent une  tige de rappel de report 519     (fig.    16, 17, 18 et 19)  qui fonctionne exactement de la même manière  que la tige correspondante 312     (fig.    20) prévue  pour le totalisateur de solde, afin de ramener  les bras de déclenchement 509 dans leur position  de repos, au début du fonctionnement de la  machine.  



       Mécanisjne   <I>de sélection des totalisateurs de groupe</I>    L'arbre 209     (fig.    16) qui supporte de manière  pivotante les pignons 208 des totalisateurs de  groupe peut être décalé horizontalement de façon  à aligner la série sélectionnée avec les crémail  lères d'entraînement de montants 197 et les  segments de report correspondants 505. Le  mécanisme de commande du décalage sélectif    de l'arbre 209 est analogue à bien des points  de vue au mécanisme de sélection décrit à propos  du totalisateur de solde et l'on se contentera  donc d'en donner une description brève.  



  L'arbre 209     (fig.    10, 12 et 15) de totalisateurs  de groupe est muni de disques de décalage 520  et 521 qui coopèrent avec des goujons de déca  lage 522 et 523 portés par des bras 524 et 525  montés à jeu sur des goujons 526 et 527 fixés  dans la plaque 394. Les goujons 522 et 523 se  prolongent à travers les bras correspondants et  supportent des leviers palpeurs correspondants  528 et 529 comportant, respectivement, des doigts  palpeurs 530, 531, 532 et 533 destinés à explorer  les surfaces de- commande de cames de com  mande correspondantes 534 et 535. La came 534  est supportée par le goujon 428.

   La came 535  pivote sur un goujon 536 supporté par la plaque  394 et la position des surfaces de commande  qu'elle porte peut être réglée en relation avec  les doigts palpeurs correspondants 531 et 533  au moyen du chariot mobile, suivant ses posi  tions de colonnes prédéterminées. Un ressort  537     (fig.    12 et 15), tendu entre les bras 524 et  525, sollicite ceux-ci dans des sens opposés pour  maintenir normalement les surfaces entaillées des  parties postérieures des leviers 528 et 529 en  contact élastique avec des goujons d'arrêt 538  et 539 fixés dans la plaque 394.  



  Les bras 524 et 525 portent, respectivement,  des goujons 540 et 541 disposés de façon à  entrer en contact avec des surfaces actives d'un  étrier 542     (fig.    13) monté libre sur un goujon 543  fixé à la glissière 409. Cette dernière se déplace  tout d'abord vers l'avant et revient vers l'ar  rière dans sa position normale sous l'action du  mécanisme de la     fig.    8, comme on l'a expliqué  ci-dessus et, pendant le mouvement initial vers  l'avant de l'étrier 542, ce dernier, en coopération  avec les goujons 540 et 541, fait basculer les  bras 524 et 525 respectivement dans le sens       senestrorsum    et dans le sens     dextrorsum,

      faisant  ainsi en sorte que les doigts des leviers palpeurs  528 et 529 palpent les surfaces de commande des  cames 534 et 535 et mettent en place, en consé  quence, les goujons 522 et 523. Les goujons 522  et 523 coopèrent à leur tour avec les disques 520  et 521 pour déplacer l'arbre des totalisateurs de      groupe de façon à aligner la série de leurs  pignons 208, correspondant aux surfaces de  commande effectives des cames 534 et 535,  avec les crémaillères d'entraînement de mon  tants 197 et les segments de report 505.  



  Comme on l'a mentionné précédemment, la  came 534     (fig.    15) est fixe et, par conséquent,  les doigts palpeurs 530 et 532 coopèrent tou  jours avec les surfaces de commande respec  tives 544 et 545 de cette came. Au contraire, la  came de commande 535 est réglable sous la  commande du chariot et, par suite, les doigts  palpeurs 531 et 533 peuvent coopérer avec l'une  quelconque de quatre surfaces de commande de  la came pour sélectionner les quatre séries de  pignons totalisateurs de groupe 208.

   Au cas où  plus de quatre séries de pignons totalisateurs de  groupe sont portées par un seul arbre, on peut  également disposer la came 534 de façon qu'elle  puisse prendre une ou plusieurs positions sous  la commande du chariot mobile, suivant des  positions de colonnes choisies à l'avance ou  sous la commande de touches de contrôle des  totalisateurs de groupe.  



  Le mécanisme de positionnement de la  came 535     (fig.    10 et 15) comporte une corde à  piano 546 effectuant une liaison articulée entre  la came et un levier 547 monté à jeu sur la  tige 240. Un prolongement antérieur en forme  de crochet du levier 547 comporte une lumière  dans laquelle s'engage un goujon 548     (fig.    4)  porté par le prolongement postérieur d'un  levier 549 monté libre sur le goujon 450. Un  prolongement antérieur du levier 549 est situé  en-dessus de l'extrémité gauche d'un levier pal  peur 550     (fig.    3) monté à jeu sur un goujon 551  fixé dans un cadre transversal de la machine et  coopère avec ce levier.

   Un ressort 555 sollicite  le levier 547 dans le sens     senestrorsum    et le  levier 549 dans le sens     dextrorsum,    pour main  tenir normalement l'extrémité antérieure du  levier 549 en contact élastique avec le levier 550.  Ce dernier est tiré dans le sens     senestrorsum    par  un ressort 552     (fig.    3) pour maintenir normale  ment une surface polie de son bord inférieur en  contact élastique avec une glissière 553     d'ac-          tionnement    du mécanisme palpeur et montée  de façon à pouvoir effectuer un mouvement    vertical dans la machine.

   Un prolongement vers  la droite du levier 550 pivote à l'extrémité infé  rieure d'un doigt palpeur 554 dont l'extrémité  supérieure coopère avec une plaque de<I>com-</I>  mande correspondante 74 (voir également     fig.    1)  portée par les tabulateurs 73 qui, comme on l'a  expliqué, sont placés dans des positions de  colonnes choisies à l'avance du chariot mobile.  Au début de chaque opération, la glissière 553  se déplace vers le bas     (fig.    3) pour permettre un  mouvement palpeur dans le sens     senestrorsum     du levier 550 sous l'action des ressorts 552 et  555.

   Ceci oblige les extrémités du doigt 554 à  palper les surfaces de commande de la plaque  de commande effective 74, plaçant ainsi le levier  550, le levier 549 et le levier 547     (fig.    10 et 4) en  conséquence pour positionner convenablement  la came de sélection 535.  



  Comme on l'a expliqué, les plaques de com  mande 74     (fig.    3) peuvent avoir une longueur  choisie     parmi    quatre longueurs dont la plus  longue est   T   ou longueur totale, celle dont la  longueur vient immédiatement en dessous   S    ou soustraction, la suivante   A   ou addition,  la plus courte étant   O   ou non-addition. La  came 535     (fig.    15) comporte des surfaces de  commande qui possèdent des degrés correspon  dant aux diverses longueurs des plaques de  commande.

   Quand une plaque de commande 74  de longueur   T   se trouve en regard de l'extré  mité supérieure du doigt palpeur 554     (fig.    3),  aucun mouvement n'est communiqué aux leviers  550 et 547     (fig.    10) et, par suite, le levier 547,  par l'intermédiaire de la corde 546, positionne  la came de sélection 535 comme le montrent les       fig.    12 et 15.

   Dans ce cas, la     maneeuvre    des  leviers 524 et 525 par la glissière 409 et l'étrier  542     (fig.    13) fait en sorte que les goujons 522 et  523, en coopération avec leurs disques respectifs  520 et 521, déplacent l'arbre totalisateur 209  jusqu'à sa position extrême de droite     (fig.    27)  pour aligner la quatrième série ou série de  gauche des pignons totalisateurs de groupe 208  avec les crémaillères d'entraînement de mon  tants 197.

   D'une manière analogue, une plaque  de commande 74 de     longueur      S   déterminera  la mise en place de la plaque de commande 535  par l'intermédiaire du mécanisme palpeur du      totalisateur de groupe de façon que la paire  suivante de- surfaces de commande qu'elle porte  se trouve vis-à-vis des doigts 531 et 533.

   La       manazuvre    de la glissière 409 et de l'étrier 542       (fig.    13) a pour     effet    que les leviers palpeurs 528  et 529 commandent la mise en position des dis  ques 520 et 521 et de l'arbre 209 des totalisateurs  de groupe     (fig.    7, 16 et 27) de façon que la troi  sième série des pignons totalisateurs de groupe  208 qu'il porte soit alignée avec les crémaillères  d'entraînement de montants 197.

   D'une manière  analogue, une plaque de commande de lon  gueur   A   provoquera l'alignement de la  seconde série des pignons totalisateurs de  groupe 208 avec les crémaillères d'entraînement  de montants 197, et une plaque de commande  de longueur   O   provoquera l'alignement de  la première série de droite des pignons totalisa  teurs de groupe avec les crémaillères d'entraîne  ment de montants 197 pour leur coopération  dans le type d'opération d'addition, soustrac  tion et prise de total en cours d'exécution dans  le totalisateur de groupe choisi. Vers la fin de  chaque opération, le mouvement de retour vers  le haut de la glissière 553     (fig.    3) ramène en  position normale le levier 550 et le mécanisme  associé, contre l'action des ressorts 555 et 552.

    <I>Mécanisme</I>     d'alignement   <I>des totalisateurs de</I>  <I>groupe.</I>  



  La     fig.    27 est une vue longitudinale partielle  de l'arbre 209 des totalisateurs de groupe, mon  trant les deux ordres dénominatifs inférieurs des  quatre séries de pignons 208 et leurs crémaillères  d'entraînement correspondantes 197.  



  Après l'alignement de la série sélectionnée  de pignons 208 avec les crémaillères d'entraîne  ment de montants 197, suivant la manière  expliquée ci-dessus, ces pignons sont fixés en  position alignée par une série de disques d'aligne  ment 556 fixés à l'extrémité de droite de l'arbre  totalisateur de groupe 209 en coopération avec  les dents d'alignement d'un organe d'aligne  ment 557 fixé sur un arbre d'alignement 558  tourillonné dans le bâti du totalisateur de  groupe     (fig.    26 et 27). Une manivelle 559, égale  ment fixée sur l'arbre 558, est articulée par une  bielle 560 à la manivelle 332 et à la bielle 333 de    l'arbre d'alignement du totalisateur de solde 232.

    Normalement, les dents de l'organe d'aligne  ment 557 engrènent avec les disques 556 quand  la machine est au repos et, au début de chaque  opération, le mécanisme représenté à la     fig.    26  fait basculer l'organe d'alignement dans le sens       senestrorsum    jusqu'à le débrayer des disques  556 de façon que l'arbre 209 et les pignons 208  puissent être positionnés par rapport aux cré  maillères d'entraînement 197     (fig.    27).

   Après  l'alignement de la série choisie avec les cré  maillères d'entraînement 197, comme on l'a  expliqué ci-dessus, l'organe d'alignement 557 est  ramené dans le sens     senestrorsum    en prise avec  les disques 556 de façon à aligner et à maintenir  la série choisie de pignons contre tout déplace  ment pendant le fonctionnement de la machine.  



  Un bras 561 empêche de tourner l'arbre 209       (fig.    26 et 27) et les pièces connexes. Le bras 561  est     fixé    sur l'arbre 209 et comporte une lumière  dans laquelle s'engage un goujon de guidage 562  fixé à la plaque de droite 218. Une barre d'ali  gnement fixe 563     (fig.    16) est solidaire des  plaques d'ordre intermédiaires du bâti du tota  lisateur lequel, comme les plaques similaires 260       (fig.    21) du totalisateur de solde, se déplacent de  haut en bas de concert avec l'arbre 209 et les  pignons totalisateurs de groupe 208, pour empê  cher les séries de pignons 208     (fig.    16 et 27) non  alignés avec les crémaillères 197 de tourner.

   La  barre d'alignement 563 est munie de lumières  de dégagement 564 pour chaque ordre     dénomi-          tif.    Ces lumières sont alignées avec les cré  maillères d'entraînement de montants correspon  dantes 197, de façon que la série choisie de  pignons totalisateurs de groupe 208 puisse être  entraînée dans un mouvement de rotation par  les crémaillères d'entraînement et, inversement,  les séries non choisies de pignons totalisateurs  de groupe soient maintenues en position fixe.  Les dents des pignons 208 peuvent glisser libre  ment sur la barre d'alignement 563 quand l'arbre  totalisateur de groupe 209 est décalé horizontale  ment pour la sélection, en vue de leur embrayage  avec les crémaillères d'entraînement de mon  tants 197.  



  L'arbre d'alignement 558     (fig.    16, 26 et 27)  qui, comme on l'a expliqué précédemment, se      déplace de haut en bas de concert avec l'arbre  totalisateur de groupe 209, comporte plusieurs  bras 565 qui supportent une barre d'aligne  ment 566 qui fonctionne en synchronisme avec  l'organe d'alignement 557     (fig.26)etcoopère    avec  les dents de pignons totalisateurs de groupe 208  pour empêcher ceux-ci d'être décalés pendant  qu'ils embrayent et débrayent d'avec les dents  des crémaillères d'entraînement 197 et des seg  ments de report 505.

      <I>Sélection automatique des totalisateurs</I>    Le mécanisme commandé par le totalisateur  de solde, lorsqu'il est à l'état négatif, est prévu  pour sélectionner automatiquement une série  particulière de pignons totalisateurs de groupe  208     (fig.    16 et 27), afin de recevoir le montant du  découvert quand on     effectue    une opération de  total négatif dans le totalisateur de solde.  



  En se référant aux     fig.    10, 28 et 30, il est bien  entendu que, quand le totalisateur de solde est  dans un état positif, l'arbre de solde débiteur 356  et le bras 458 occupent la position figurée en trait  plein, si bien qu'ils empêchent le mouvement dans  le sens     senestrorsum    des leviers 455 et 433, sui  vant la manière expliquée précédemment. Quand  le totalisateur de solde est en découvert, l'arbre  de solde négatif 356 et le bras 458 occupent la  position représentée en trait mixte à la     fig.    30 et,  par conséquent, n'empêchent pas le mouvement  dans le sens     senestrorsum    des leviers 455 et 433.  



  Le bras 458 porte un goujon 568 situé en  dessous d'un goujon 569 d'un bras d'arrêt 570  monté à jeu sur l'arbre de solde négatif 356. Le  bras 570 comporte une surface de butée 571 qui  coopère avec un prolongement recourbé 572  ménagé à l'extrémité supérieure d'un levier 573,  ayant le même contour que le levier 455, et monté  à jeu sur l'arbre 231. L'extrémité inférieure du  levier 573 est connectée d'une manière pivotante  par une corde à -piano 574 au levier 547 qui,  comme on l'a expliqué précédemment, com  mande la sélection des quatre séries de pignons  totalisateurs 208 montés sur l'arbre totalisa  teur 209.

   Une surface interne 575 du bras 570  coopère avec un goujon 576 d'un bras 577 monté  librement sur l'arbre de solde négatif 356 et  connecté de manière pivotante par une bielle 578    au levier 443     (fig.    28 et 30) qui, comme on l'a  expliqué précédemment, empêche également le  mouvement de sélection dans le sens     senestror-          sum    du levier 433 dans toutes les opérations,  excepté les opérations de total.  



  Quand le totalisateur de solde est dans un  état positif, le goujon 568     (fig.    28) du bras 458,  en coopération avec le goujon 569, maintient le  bras d'arrêt 570 dans sa position supérieure,  comme le représente la figure, dans laquelle la  surface 571 est au-dessus du prolongement 572  et en dehors du contact de ce dernier. Par suite,  le bras d'arrêt 570 n'a aucune action sur les  leviers 573 et 547 dans leur mouvement de  sélection de l'une quelconque des quatre séries  de pignons des totalisateurs de groupe.

   Toute  fois, lorsqu'il se produit un solde débiteur dans  le totalisateur de solde, l'arbre 356 et le bras 458  viennent dans la position figurée en trait mixte  en     fig.    30 et, dans cette position, le goujon 568  permet le déplacement du bras d'arrêt 570 sous       l'influence    de la pesanteur, dans le sens     dextror-          sum,    de façon à placer la surface de butée 571  en regard du prolongement 572 pour déterminer  l'étendue du mouvement de sélection dans le sens       senestrorsum    du levier 573.

   De ce fait, le  levier 573, par l'intermédiaire de la corde 574,  commande également le mouvement de sélection  dans le sens     senestrorsum    du levier 547 pour que  celui-ci, par l'intermédiaire de la bielle d'accou  plement 546     (fig.    10 et 15) positionne la came 535  et ses degrés correspondant à la position   S    de la     fig.    32, c'est-à-dire en regard des doigts 531  et 533 des leviers 528 et 529.  



       L'actionnement    des bras 524 et 525, après la  mise en place décrite ci-dessus de la came 535,  amène les goujons 522 et 523 en coopération  avec les disques 520 et 521, ce qui commande de  manière appropriée le mouvement de décalage  horizontal de l'arbre totalisateur de groupe 209       (fig.    27) pour aligner la seconde série de pignons  totalisateurs de groupe 208 avec les crémaillères  d'entraînement de montants 197, de façon que  le montant négatif réel résultant de l'opération  de total négatif, soit enregistré dans cette seconde  série de pignons totalisateurs de groupe.  



  Dans le cas où des opérations d'addition, de  soustraction et de non-addition sont     effectuées         dans le totalisateur de solde,     lorsqud    celui-ci est  à l'état négatif, il est souhaitable que le bras 570       (fig.    28 et 30) soit empêché de commander le  mouvement de sélection de la ligne totalisatrice  de groupe et ce résultat est obtenu de la manière  suivante.  



  On se rappellera, en se référant à la     fig.    30,  que le levier 443 est basculé dans le sens     senes-          trorsum    dans les opérations d'addition, de  soustraction et de non-addition pour amener le  goujon carré 442 sur l'épaulement 441, pour  empêcher le mouvement de déplacement dans le  sens     senestrorsum    du levier 443, mouvement qui,  par l'intermédiaire de la bielle 578     (fig.    28)  basculerait le bras 577 dans le sens     senestrorsum,     de telle sorte que le goujon 576, en coopération  avec les surfaces 575,

   basculerait le bras 570  également dans le sens     senestrorsum    pour écarter  la surface de butée 571 du parcours du prolon  gement 572, de façon que le bras d'arrêt 570  n'ait aucune action sur le mouvement de mise en  place des leviers 573 et 547. Ainsi, ce dernier est  mis en place sous la commande du chariot  mobile. Le goujon 576 du bras 577, en coopéra  tion avec une surface antérieure 579 d'un pro  longement en forme de V du bras d'arrêt 570,  empêche le dépassement du bras, quand celui-ci  bascule dans le sens     senestrorsum,    soit sous  l'action du goujon 576, soit sous l'action du  goujon 568 du bras 458.  



  Comme on l'a expliqué précédemment, l'arbre  totalisateur de groupe 209     (fig.    27) peut contenir  huit séries de pignons 208, et dans ce cas, le  décalage horizontal de l'arbre d'une position  extrême à l'autre peut provoquer un rebond qui       peutfaireéventuellement    trébucher l'organe d'ali  gnement 557 sur les disques d'alignement 556  et, dans certains cas extrêmes, provoquer l'ali  gnement de la mauvaise série de pignons tota  lisateurs de groupe avec les crémaillères d'en  traînement de montants 197. Pour empêcher  cet inconvénient, un dispositif     anti-rebond    a été  prévu pour l'arbre 209.  



  Le disque de décalage 521 monté sur l'arbre  209     (fig.    9 et 10) est étroitement entouré par des  doigts formés sur le bord postérieur d'une pla  que     anti-rebond    581 comportant deux goujons  582 qui portent chacun un galet (non figuré)    qui s'engage dans une lumière 583 formée dans  une cornière 584. Celle-ci est fixée par une vis  585 dans une lumière formée dans un goujon  586 fixé à la face extérieure d'une plaque de  support de gauche 589 pour l'arbre totalisateur  de groupe 209 et identique en tous points à la  plaque correspondante de gauche 208     (fig.    7)  du totalisateur de solde.

   Une entretoise à fric  tion 587, de forme allongée     (fig.    9), est disposée  entre la surface supérieure de la plaque<B>581</B> et  la surface inférieure de la cornière 584, et une  entretoise analogue 587 repose sur la surface  supérieure de ladite cornière. L'entretoise 587  comporte des trous espacés qui s'adaptent sur  les goujons 582. Des ressorts compressibles (non  figurés), s'adaptant chacun séparément sur  chacun des goujons 582, sont comprimés entre  l'entretoise supérieure 587 et des écrous 588  vissés sur les extrémités supérieures des goujons  582, et ces ressorts peuvent être comprimés de  manière appropriée par les écrous pour obtenir  le degré de frottement désiré entre les entretoises  587 et les faces de la cornière 584 et, par consé  quent, l'effet de freinage requis sur la plaque 581.

    A mesure que l'arbre 209 et les disques 520 et  521 se déplacent d'une position à l'autre, l'en  semble de la plaque 581, des entretoises 587, des  goujons 582 et des ressorts compressibles glisse  le long de la cornière 584 pour amortir toute  tendance de l'arbre 209 à rebondir quand il se  déplace d'une position extrême à l'autre.    La machine peut être utilisée     pratiquement     pour un type quelconque de système de compta  bilité dans lequel les soldes précédents sont  repris et enregistrés dans le totalisateur de solde  et les montants sont additionnés aux soldes  précédents et soustraits de ceux-ci pour obtenir  un nouveau solde qui, si on le désire, peut être  entré dans l'un des totalisateurs de groupe.

   De  même, certains des montants   plus   ou    moins   qui sont additionnés aux anciens sol  des et soustraits de ceux-ci, peuvent être entrés,  simultanément, soit positivement, soit négati  vement dans des totalisateurs de groupe diffé  rents pour maintenir un total séparé de ces diffé  rents éléments. Un système du type esquissé  ci-dessus peut être adapté pour être utilisé par      les diverses sections d'un magasin, par exemple,  ou autres affaires de détail de même nature.  



  Un autre exemple typique d'application de la  machine décrite peut consister dans la passation  périodique de comptes chèques séparés par des  établissements bancaires. En règle générale, tous  les relevés de comptes actifs sont enregistrés  chaque semaine et, dans la passation de tels  comptes, l'ancien solde est obtenu à partir de la  carte de compte du client, composé sur le clavier  de montants et entré dans le totalisateur de solde.  Ce nouveau solde peut également être entré,  en même temps, dans l'un quelconque des tota  lisateurs de groupe dans lequel on conserve ainsi  le total courant des nouveaux soldes.

   Ensuite,  les chèques tirés par le client sur son compte  sont soustraits de l'ancien solde et, de même,  les dépôts faits par ledit client sont additionnés  à ce solde et, comme précédemment, les chèques  peuvent être, simultanément, entrés dans l'un  des totalisateurs de groupe de façon à conser  ver un total courant de tous les éléments de débit.  De même, les dépôts peuvent être entrés, simul  tanément, dans l'un des totalisateurs de groupe  de façon à conserver un total courant de tous  les éléments de crédit.

   Après avoir entré tous  les éléments de chèques et de dépôts dans le  totalisateur de solde, on effectue une opération  de balance dans le totalisateur de solde pour  obtenir un nouveau solde qui est simultanément  imprimé sur le compte du client et, si on le  désire, peut être entré dans l'un des totalisateurs  de groupe de façon à maintenir un total courant  de tous les nouveaux soldes.  



  Si, pendant le calcul du compte chèques du  client, les chèques dépassent les dépôts d'une  valeur     suffisante    pour créer un découvert dans  le totalisateur de solde, ce fait est signalé à l'opé  rateur par le débrayage automatique du méca  nisme de déclenchement de la machine. Toute  fois, si on le désire, l'opérateur peut continuer à  effectuer la passation de l'écriture du compte  chèques particulier en utilisant les barres de  déclenchement manuelles et déclencher les opé  rations de la machine.

   Si, à la fin de la passation  du compte du client, ce compte reste à décou  vert, l'exécution d'une opération de total négatif  dans le totalisateur de solde provoquera l'im-    pression du solde négatif réel ou de découvert  sur la carte de compte du client et, simultané  ment, le mécanisme représenté à la     fig.    28,  sélectionnera automatiquement un totalisateur  de groupe particulier pour recevoir le montant  du total des découverts, de façon à maintenir  un total courant de ces totaux négatifs.  



  D'après la description relativement brève qui  précède de son fonctionnement, on comprendra  aisément que la machine décrite est très simple  et peut être adaptée à peu près à n'importe  quel type de systèmes comptables dans lesquels  les débits sont soustraits d'un solde préalable  et dans lesquels les crédits sont additionnés à  ce solde pour calculer un nouveau solde. De  même, les différents éléments appliqués dans les  calculs de divers comptes séparés peuvent être  distribués aux     différentes    séries de totalisateurs  de groupe de façon à donner un total général  de chacun de ces éléments.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine comptable comprenant des touches de montants, des crémaillères d'entraînement réglables sous la commande de ces touches, plusieurs séries de pignons totalisateurs déca- lables transversalement par rapport aux cré maillères d'entraînement, et un mécanisme de décalage pour chaque série de pignons totalisa teurs, caractérisée en ce que chaque mécanisme de décalage (388-391; 522-525) comprend deux leviers de pince (390, 391; 524, 525) basculés simultanément à chaque opération de la machine, par des organes de contrôle (398, 399; 529, 530) individuels pour lesdits leviers de pince et par un mécanisme différentiel (425-428; 534-536), mécanisme coopérant avec les organes de con trôle (398, 399;
    529, 530) de façon que le bascu- lement des leviers de pince (390, 391;<I>524, 525)</I> se trouve modifié suivant le réglage dudit méca nisme différentiel (425-428; 534-536), de manière à commander d'une façon correspondante l'im portance et le sens du mouvement de décalage des pignons totalisateurs (202, 203, 208, 211). SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine comptable suivant la revendica tion, caractérisée en ce que le mécanisme diffé- rentiel (534-536) de l'un des mécanismes de déca lage est réglé par des organes de commande (73) montés sur un chariot mobile (54) de support du matériau d'enregistrement, de façon à sélec tionner au moins un des totalisateurs d'une série (208; 211) et que, au moyen d'un mécanisme inverseur (482, 483) automatiquement mis en oeuvre par un mécanisme de soled négatif (356, 454, 458) rendu efficace quand un totalisa teur de solde (202, 203) est à découvert et quand on en prélève un total négatif, la nature algé brique des entrées dans le totalisateur sélec tionné (208;
    211), suivant les organes de contrôle (73) du chariot (54), s'en trouve inversée. 2. Machine comptable suivant la revendica tion, caractérisée par un totalisateur de solde comportant deux séries de pignons (202, 203) pouvant tourner en sens inverse, l'une (202) desdites séries de pignons étant normalement en regard des crémaillères d'entraînement (197) et pouvant être décalée sous la commande du mécanisme différentiel (425-428) correspondant, et en ce que ce dernier est réglé de telle façon, au moyen d'un mécanisme de solde négatif (356, 454, 458) rendu efficace quand le totalisa teur de solde est à découvert et quand on en prélève un total négatif, que le totalisateur de solde se trouve décalé par le mécanisme de décalage (388-391) en vue de placer l'autre série (203)
    de pignons en regard des crémaillères d'en traînement (197). 3. Machine comptable suivant la revendica tion, caractérisée en ce que les leviers de pince (390, 391; 524, 525) embrassent les faces d'une paire de disques (386, 387; 520, 521) fixés à un support (204; 209) sur les totalisateurs (202, 203, 208, 211), un étrier (407; 542) pivotant sur une glissière à mouvement alternatif (409), pour faire basculer les leviers de pince (390, 391; 524, 525), et en ce que, au moyen des organes de contrôle en forme de palpeurs (398, 399; 529, 530), le mécanisme différentiel (425-428, 534-536) soit exploré pour contrôler le mouve ment de décalage des pignons totalisateurs (202, 203, 208, 211). 4.
    Machine comptable suivant la revendica tion et la sous-revendication 3, caractérisée en ce que les organes de contrôle en forme de palpeur (398,<B>399,</B> 524, 525) sont chacun montés de manière à pouvoir basculer sur le levier de pince correspondant (390, 391, 525, 525), et en ce que le mécanisme différentiel comprend une paire de cames rotatives (425, 427; 534, 535) ayant des surfaces profilées coopérant chacune, avec une extrémité d'un des organes de contrôle en forme de palpeur (398, 399; 524, 525) de façon que le basculement de ceux-ci- se termine ainsi à des positions différentes suivant le réglage des cames (425, 427; 534, 535) et que, par suite, le mouvement relatif des leviers de pince (390, 391, 524, 525) varie de manière correspondante pour commander l'importance et le sens du mouvement des supports (204;
    209) des totali sateurs (202, 203, 208, 211). 5. Machine comptable suivant la revendica tion et la sous-revendication 3, caractérisée en ce que le mécanisme différentiel _(425-428) est réglé au moyen d'un levier élastique (433) dont les mouvements de basculement sont commandés au moyen d'un levier à degrés (443) ajustables au moyen d'organes de commande de fonction (73, 113, 116), et en ce que le levier à degrés est verrouillé au moyen d'un bras de verrouillage normalement efficace (458), le bras (458) étant déplacé jusqu'à la position de déblocage par le mécanisme de solde négatif (356, 454, 458) pour permettre le réglage du mécanisme diffé rentiel (425-428) par le levier élastique (433), en vue de décaler le totalisateur de solde (202,
    203). 6. Machine comptable suivant la revendica tion et les sous-revendications 3 et 5, caractérisée en ce que le levier à degrés (443) est en outre verrouillé au moyen d'un dispositif de verrouil lage supplémentaire (464, 465) mis de côté seulement quand on abaisse une touche de total (115) du totalisateur de solde (202, 203). 7.
    Machine comptable suivant la revendica tion et les sous-revendications 3, 5 et 6, carac térisée en ce que le levier élastique (433) est con necté au mécanisme différentiel (425-428) au moyen d'un embiellage (473 à 481) dont le mouvement est bloqué pour empêcher le déca lage du totalisateur de solde (202, 203) grâce à un mécanisme de blocage (492 à 495) mis en oeuvre quand on abaisse une touche d'addition (113) ou une touche de soustraction (114) du totalisateur de solde (202, 203). 8.
    Machine comptable suivant la revendica tion, caractérisée en ce que le mécanisme diffé rentiel (534-536) est ajusté sous la commande d'organes de commande (73) montés en des positions de colonnes prédéterminées sur un chariot mobile (54) pour permettre le décalage transversal par rapport aux crémaillères d'en traînement de montants (197) d'au moins un totalisateur (208, 211), ledit mécanisme différen tiel (534-536) recevant son mouvement de réglage d'un levier élastique (547), et en ce qu'un bras de blocage (570) du levier élastique (547) est disposé de façon telle, sous la commande d'un mécanisme de solde débiteur (356, 454, 458) pour un totalisateur de solde (202, 203), que ledit bras de blocage (570) est à même de déblo quer le levier élastique (547) quand le solde est positif dans le totalisateur de solde,
    si bien que le totalisateur considéré (208, 21<B>1)</B> se trouve être sélectionné sous la commande des organes de commande (73) mais que, quand le solde est négatif dans le totalisateur de solde, le bras de blocage (570) devenant actif permet seulement un mouvement limité du levier élastique (547) et que, par suite, le totalisateur considéré (208, 211) est toujours sélectionné pour recevoir le total négatif prélevé du totalisateur de solde en dépit de la commande exercée par les organes de commande (73).
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