CH307038A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH307038A
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bars
bar
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Inventor
F Campos
Original Assignee
Soc D Brevets Logabax S A
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  • Feeding Of Articles By Means Other Than Belts Or Rollers (AREA)

Description


      Machine   <B>à</B>     calculer.       La complexité croissante des problèmes  économiques dans les administrations requiert  l'emploi de machines comptables extrêmement  perfectionnées pour accomplir toutes     opéra-          lions    statistiques, comptables et-     analogues.     



  La présente invention se rapporte à une       maehine    à calculer à grand nombre de .totali  sateurs dont le but essentiel est l'analyse  comptable et statistique. On connaît déjà une  machine de ce genre qui est décrite dans le  brevet N  227179 et qui comprend essentielle  ment un certain nombre de compteurs repré  sentant respectivement un compte ou poste  constitué chacun par un abaque composé de  liges ou réglettes susceptibles d'être déplacées  longitudinalement et présentant sur leur lon  gueur des crans ou dents en nombre égal au  nombre d'unités de la base de numération  adoptée, diminué de un, et qui     matérialisent     les éléments de calcul, chaque abaque compor  tant un nombre de ces tiges ou réglettes égal  au nombre des ordres de numération envisagé  pour les calculs à effectuer;

   des     moyens        mé-          eaniques    on électriques coopérant avec les  crans ou dents desdites tiges ou réglettes, pour       imprimer    automatiquement aux tiges ou réglet  tes d'un ou plusieurs compteurs     déterminés     - sous l'action d'un moteur électrique ou  autre et sous le contrôle d'un clavier compre  nant des groupes de touches correspondant  aux différents compteurs et     des    groupes de    touches de calcul - des mouvements d'avance  ou de recul proportionnels aux nombres repré  sentés par les touches de calcul,     manoeuvrées     par l'opérateur,

   et des moyens mécaniques en  relation avec lesdites tiges ou réglettes pour  assurer l'enregistrement ou l'impression des  données des opérations et de leurs résultats.  



  Dans une machine du genre susmentionné,  les opérations de report sont effectuées par  l'entremise d'éléments rigides déterminant si  multanément l'avancement d'une unité de l'or  dre immédiatement supérieur et le retour en  position des organes mécaniques correspon  dant à l'ordre de numération dont la base a  été dépassée. En raison de la grande vitesse  à laquelle ces organes vont être obligés de se  déplacer, notamment dans le cas où ces dits  reports affectent simultanément tous les ordres  de numération, le constructeur est obligé de  prévoir ces dits éléments extrêmement légers.  Il en résulte une fragilité qui parfois peut  être suffisamment considérable pour ne pas  permettre une sûreté de fonctionnement ab  solue.  



  D'autre part, en vertu toujours de la  grande vitesse à laquelle lesdits organes doi  vent se déplacer, et toujours dans le cas de  reports affectant tous les ordres de numéra  tion, ce qui conduit à une     complexité    considé  rable des différents organes de la machine, il  peut se produire dans les machines     connues    à      ce jour, lors de telles opérations, que les dif  férents organes parviennent à se bloquer,  créant en quelque sorte un grippage de la  machine rendant son fonctionnement tout à  fait inopérant.  



  Le but fondamental de la     présente    inven  tion est de remédier à ces inconvénients en  prévoyant des organes mécaniques destinés à  dédoubler les fonctions desdits éléments rigi  des et destinés surtout à permettre un déca  lage de temps entre les différentes fonctions  de report qui, devant être successives, sont  néanmoins simultanément engendrées par tous  les organes d'entraînement de la machine.  



       L'invention    a pour objet une machine à  calculer qui comporte des compteurs empilés  constitués par des cadres disposés pour cou  lisser latéralement et individuellement sons  l'action d'un mécanisme comportant des  barres de butée coulissantes coopérant par  des dents avec les tiges des touches d'un cla  vier de commande, pour être     immobilisées     dans des positions correspondant chacune au  coulissement latéral d'un cadre donné, cha  que cadre contenant des réglettes parallèles  coulissant longitudinalement, en nombre égal  à celui des ordres de numération que l'on dé  sire enregistrer dans la machine, les réglettes  correspondant à un même ordre de numéra  tion, dans     l'ensemble    des compteurs empilés,  étant superposées et commandées,

   pour cha  que ordre, par une cornière coulissante agen  cée pour s'engager dans des encoches ména  gées le long de l'un des côtés des réglettes,  chaque cornière étant liée respectivement à  une barre d'entraînement dont la position lon  gitudinale est commandée par une barre de  butée coopérant par des dents avec les tiges  des touches- d'un clavier de commande, un  rouleau d'impression monté sur un chariot  coulissant transversalement et coopérant avec  un mécanisme de     tabulation    agencé     pour    arrê  ter ledit chariot dans des     positions    prédéter  minées étant prévu pour     permettre    l'impres  sion du     résultat    des opérations réalisées par le  déplacement des réglettes,

   opérations dont la  nature est commandée par un mécanisme com  portant     une    barre de butée coulissante analo-         gue    à celles du mécanisme de commande du  coulissement latéral des cadres des compteurs.  Cette machine est caractérisée en ce qu'elle       comporte    un dispositif de report assurant  automatiquement le report d'une unité à.

   un  ordre de numération immédiatement supé  rieur lorsqu'une réglette d'un ordre donné a  subi .des mouvements d'avance représentant  une valeur au moins égale au nombre d'unités  de la base de numération et comprenant, pour  chaque ordre de numération, une barre de  transfert et une     barre    de verrouillage, toutes  deux guidées longitudinalement dans la ma  chine,     soumises    à     1-'action    d'un ressort. et mu  nies de rampes de guidage agencées pour dé  terminer le déplacement desdites barres per  pendiculairement à la direction de leur mou  vement sous l'action desdits ressorts, une pla  que oscillante montée en rotation sur la barre       d'entraînement    correspondant.

   à l'ordre de nu  mération considéré, ladite plaque étant munie,  d'une part,     d'un    téton s'engageant dans une  fente ménagée longitudinalement dans la.  barre de transfert     correspondant    à l'ordre de  numération immédiatement inférieur à celui  qui est considéré et, d'autre part, d'un axe  sur lequel sont montés à rotation un     cliquet     agencé pour s'engager dans un sens avec un  appendice porté par la -cornière coulissante  correspondant.

   à l'ordre de numération consi  déré et un     contre-eliquet    agencé pour engager  ledit appendice dans l'autre sens, ledit     contre-          cliquet    portant un téton qui s'engage dans  une fente longitudinale ménagée dans la barre  de verrouillage correspondant à l'ordre de nu  mération considéré, un arbre rotatif disposé  verticalement sur un côté de chacune des piles  de réglettes, ledit arbre étant muni d'un volet  latéral agencé pour coopérer avec un redan  pratiqué dans chacune des réglettes, de telle       sorte    que ledit. arbre soit entraîné en rotation  lorsqu'une réglette quelconque de la pile cor  respondante atteint l'une de ses positions  extrêmes, un téton porté excentriquement par  ledit. arbre et s'engageant.

   dans une fente mé  nagée     dans    un levier monté à rotation dans le  châssis de la machine et agencé pour bloquer  longitudinalement la barre de verrouillage de      l'ordre de numération correspondant,     celui    de  ces leviers qui appartient à l'ordre de numé  ration le plus élevé étant relié par une bielle  à un levier analogue agencé pour bloquer la  barre de transfert correspondant à l'ordre de  numération le plus bas, des moyens étant pré  vus pour verrouiller les barres de verrouillage  et de transfert et pour ramener lesdites  barres à leur position d'origine lorsqu'elles se  sont déplacées sous l'action de leurs ressorts  respectifs,

   et des     moyens    étant prévus pour  ramener les barres d'entraînement à leur po  sition d'origine lorsqu'elles ont été déplacées,       sous    l'action d'un ressort, d'une longueur qui  est. déterminée par le rang de la touche qui a  été abaissée clans la partie correspondante du  clavier.  



  Le dessin ci-annexé illustre, à titre  d'exemple, une forme d'exécution d'une ma  chine à calculer:       Fig.    1 est une vue générale de la machine       représentée    par une coupe latérale suivant la  ligne 1-I de la     fig.    20.  



  Fi-. 2 est une vue générale de la machine  représentée par une coupe parallèle à celle de  la     fig.    1, mais suivant un plan passant par le  milieu de la machine.  



       Fig.    3 est une vue partielle latérale re  présentant les organes de commande de la  préparation de l'engagement des compteurs,       suivant    la ligne III de     fig.    20.  



  Fi-. 4 est une coupe latérale suivant la  ligne IV de     fig.    20 et qui montre les organes  de sélection des compteurs et des fonctions.  



  Fi-. 5 est une section partielle horizontale  représentant les compteurs rectilignes de la  machine à. la hauteur de la ligne V de     fig.    2.  



       Fi;-.    6 est une coupe latérale par la ligne  VI de     fig.    20 représentant les organes de dé  clenchement de l'engagement des compteurs.  



  Fi-. 7 est une section partielle horizontale       suivant    la ligne     VII    de     fig.    2 représentant les  organes d'entraînement des réglettes et des  reports des dizaines.  



       Fig.    8 est une section partielle horizontale  à. la hauteur de la ligne VIII de     fig.    2 et mon  trant la disposition des barres de butée.         Fig.    9 est une illustration du détail de  montage d'une barre de report.  



       Fig.    10 est une illustration du détail de  montage d'une équerre mobile.  



       Fig.    11 est une illustration du détail de  montage d'une barre de déclenchement.  



       Fig.    12 montre une coupe frontale d'une  rangée du clavier.  



       Fig.    13 montre le détail d'une touche de  clavier, selon une vue latérale.  



       Fig.    14 est une coupe horizontale du mé  canisme d'entraînement du chariot suivant la  ligne     XIV    de     fig.    16.  



       Fig.    15 est une vue de l'entraînement du  chariot suivant une ligne     XV    de     fig.    1.  



       Fig.    16 est une vue latérale de     l'entraîne-          m        ent    du chariot.  



       Fig.    17 est une vue de plan de l'entraîne  ment du chariot, le couvercle étant ôté.  



       Fig.    18 est une     vue    de plan de l'entraîne  ment du chariot suivant la ligne     XVIII    de       fig.    16.  



       Fig.    19 est. un tableau schématique repré  sentant les sept phases dans lesquelles sont  groupées toutes les fonctions de la machine  telle que décrite.  



  Fi-. 20 est une coupe partielle suivant la  ligne     XX    de     fig.    4, représentant les organes  de sélection des     compteurs    et des fonctions.  



       Fig.    21 est. une vue de l'arrière et en élé  vation d'une rangée de clavier.  



  .     Fig.    22 est une vue en plan de dessus de  l'ensemble de la machine, couvercle ôté.  



  La machine comporte un bâti composé  d'une platine de base 1 solidaire de deux flas  ques droit et gauche 2 et 3, réunis par des  entretoises carrées 4, 5, 6 et 7, et un flasque  intermédiaire 8 maintenu par les entretoises  carrées 6 et 7. Sur ce bâti sont fixés tous les  éléments mécaniques de la machine qui seront  décrits ci-après     (fig.    1 et 5).  



  La machine comprend deux groupes de  compteurs ou sections Ai et A2 groupant cha  cune un certain nombre de compteurs, ces  sections devant être appelées pour plus de  simplicité dans la suite de cette description   section avants> et  section arrière .      Sur la platine 1 sont fixées des traverses  9 et 91     (fig.-    1 et 2) munies de fentes et dans  lesquelles coulissent, de la façon décrite au  brevet suisse N  227179 ci-dessus indiqué, des  tirettes 10 et 101     (fig.    5) munies de plots 11  et 111. Ces plots 11 et 111 servent de     guides     à. des réglettes 12.

   Des triangles 13 et 131  sont guidés par un autre groupe de traverses  9 et 91, de façon à coopérer avec d'autres  plots 14 dont sont également munies les ti  rettes 10 et 101 qui peuvent ainsi se déplacer  longitudinalement.  



  Des ressorts 64 et 641 maintiennent les ti  rettes 10 et 101     (fig.    5), de façon à verrouil  ler les réglettes 12 par l'en     treprise    de cor  nières de     verrouillage    65 et<B>651.</B> Ce     verrouil-          lage    subsiste aussi longtemps que le compteur  correspondant. n'a pas été sélectionné.  



  Deux axes 16 et. 161 montés à rotation sur  des paliers supérieurs 17 et 171 et     inférieurs     18 et<B>18,</B> sont maintenus parallèles par des  canons 19 et 191     (fig.    1 et 4).  



  L'ensemble ainsi constitué peut pivoter  autour des tenons 20 et 201 fixés sur la pla  tine 1.  



  Des pignons 21 et 211 sont fixés sur les  axes 16 et 161 et coopèrent avec des crémail  lères 22 et 221 montées sur les paliers supé  rieurs 17 et 171, afin de commander un cou  lissement. longitudinal. Ces crémaillères sont  toujours sollicitées vers l'avant de la machine  sous l'action des ressorts 164 et 1641 dont. les  autres extrémités sont fixées aux paliers 17  et 171     (fig.    1, 4 et 20).  



  Les crémaillères 22 et 221 sont munies de  galets antifriction 23 et 231 qui coopèrent.  avec d'antres galets     antifriction.    24 et 241, soli  daires des bras inférieurs de leviers 25 et 251       (fig.    1 et 8), montés à rotation sur des sup  ports 26 et 261 solidaires de la platine 1: ces  dits leviers 25 et 251 ont leurs bras supérieurs  munis d'autres galets antifriction 27 et 271;  des barres de butée 28 et     28r    sont munies de  saillants 29 et 291 coopérant avec les galets  antifriction 27 et. 271.

   Ces dites barres de bu  tée 28 et 281 coulissent dans des rainures dis  posées à l'intérieur d'un cadre 345 fixé aux         entretoises    4 et 5, et ces dites barres sollicitées  par les ressorts 164 et     164,.    sont maintenues  en position vers l'avant de la machine par une  barre transversale 30     (fig.    1) fixée par ses  deux extrémités à deux barres parallèles 31 et  311, coulissant respectivement aux côtés gau  che et droit de la machine. Les barres 31 et  311 sollicitées par les ressorts 163 sont main  tenues vers l'avant de la machine par des ga  lets 32 et 321 des leviers 33 et 331     (fig.    1 et  2).

   Lesdits leviers 33 et 331 sont solidaires  d'un arbre 34, et un bras 35 de ces dits     leviers     est commandé par une bielle 36, un levier 37  et une came 38. La came 38 est solidaire d'un  arbre 39 entraîné par le moteur     IZ    de la ma  chine au moyen d'un système d'embrayage et       d'autoembray        age    E, connu, tel que, par exem  ple, celui décrit au     brevet    suisse N  227179     ci-          dessus    mentionné et visible à la fin-. 2. Le le  vier 37 est fixé à rotation sur un     arbre    40  dont-les deux extrémités sont     fixées    au flas  que 2 et au flasque intermédiaire 8 (fi-. 1).

    L'arbre 39 est également fixé à rotation     aux-          dits    flasques 2 et 8.  



  Les barres coulissantes 31 et 311, en plus de  la traverse 30 susmentionnée, sont munies de  cornières 167 et 1671 portant des butées à res  sort 66 et<B>661,</B> une pour chaque ordre de nu  inération, et les     fonctions    de ces dites butées  seront expliquées plus loin.  



  Les barres 31 sont munies de rampes 168  et 1681     (fig.    1)     formant    saillant à ces dites  barres 31. Ces rampes se soulèvent pendant  le mouvement de retour des barres 31 vers  l'arrière de la machine.  



  Ces dites barres 31 sont. également munies  de leviers 169 et<B>1691,</B> lesquels commandent. le       basculement    des leviers 170 et 1701, respecti  vement solidaires d'arbres 171 et 1711 et qui  traversent la machine dans toute sa, largeur  et sont munis de doigts en forme de râteau  172 et 1721     (fig.    9 et 11) dont le fonctionne  ment sera expliqué ci-après.  



  Les leviers 169 et 1691 et les arbres 171 et  1711 sont montés à rotation autour de paliers  fixés sur des guides en foi-me de plaques 101  et 1011, 102 et 1021     (fig.    1 et 2). Sur le pro-           longement    des paliers 17 et 171 sont fixés des  galets antifriction 41 et 411 sur l'axe des  quels sont accrochés des ressorts 42 et 421  fixés à leur extrémité opposée à des     coulis-          seaux    43 et 431 de façon à maintenir les ga  lets 41 et. 411 en contact avec des bras coudés  44 et     441    solidaires des     coulisseaux    43 et 431       (fig.    20).

   Ces coulisseaux 43 et 43, sont mon  tés à coulissement sur la barre 45, elle-même  montée à coulissement sur le flasque 2. Des  ressorts 46 et 461 sont accrochés par l'une de  leurs extrémités aux flasques 2, par l'antre  extrémité     aiLx    coulisseaux 43 et 431. In levier  48 maintient vers l'arrière de la machine la  barre 45 s'opposant à la sollicitation des res  sorts 46 et 461 par l'entremise d'un galet 47  fixé à ladite barre 45. Le levier 48     (fig.    3)  est. monté à rotation sur l'arbre 40 et est muni  d'un galet 49 commandé par une came 50 so  lidaire de l'arbre 39.

   Des axes 52 et 521 sont  montés à rotation sur des supports 51 et 511  et sont munis de bras 53 et 531 destinés à ser  vir d'organes de     verrouillage    dans un sens ou  dans l'autre pour les paliers inférieurs 18 et       181    en coopérant avec les becs 180 et 1801 de  ces dits paliers soit lorsque ces paliers 18 et  181 sont sollicités par les ressorts 46 et 461  ou soit lorsque ces dits paliers 18 et 181 sont  sollicités par les ressorts 42 et 42,     (fig.    1, 3,  4 et 20), selon que la position de la came 50  oblige ou non le levier 48 à déplacer la barre  45 soumise à, la sollicitation des ressorts 46 et       161.    Les axes 52 et 521 sont par ailleurs aussi  solidaires des bras 54 et 541 portant des ga  lets antifriction 55 et<B>55,

  </B> destinés à coopérer  avec les barres coulissantes 56, 67, 68 et 69       (fig.    10, 4 et 6) montées sur des guides 57 et  <B>57,</B> solidaires de la platine 1.  



  La barre 56 est maintenue en position vers  l'arrière de la machine par l'effet d'une bu  tée 59 commandée par un ressort 58, et     cette     dite baie 56 tend à.     coulisser    vers l'avant de  la machine sous l'effort d'un galet 60 porté  par un levier 61, monté à rotation sur l'arbre  40 et muni d'un bras supérieur 62 dont un  bec peut coopérer alternativement avec les  dents 631 et 63. de la came 63 solidaire de  l'arbre 39     (fig.    6).    Des barres 67, 68, 69     (fig.    4 et 20) coulis  sent aussi sur des     guides    67 et 671 et se trou  vent attirées vers l'arrière de la machine sous  l'effet des     ressorts    70, 71 et 72.

   Les barres 6 7  et 68 sont munies chacune à l'une de     leurs     extrémités de deux leviers     pivotables    73, 74  et 731, 741     (fig.    20), tandis que la barre 69  n'est munie que d'un seul levier     pivotable     75     (fig.    4 et 20).     Tous    ces leviers sont attirés  vers le haut par la sollicitation des ressorts 76.  Ces différents leviers sont de forme identique,  mais les leviers 74 et 74, sont prolongés d'un  bras supérieur 77. Le     levier    78     (fig.    4) est  monté à rotation sur l'arbre 40 et est muni  d'un galet 79 coopérant avec une came 80 so  lidaire de l'arbre 39.

   Une plaque 81     (fig.    4)  est assujettie au bras inférieur du levier 78 et  les     dïmensions    de cette plaque sont telles  qu'elle puisse, par l'entremise d'un ressort  168, venir faire pression à la fois sur l'en  semble des leviers 73, 731, 74, 741 et 75, le  viers sollicités, d'autre part, par le ressort 76.  



  Une plaque     coulissante    82     (fig.    4 et 20) est  susceptible de glisser le long d'un guide 83  et se trouve sollicitée par un ressort 84 ten  dant à attirer la plaque coulissante vers le  côté droit de la machine.  



  Une rainure 85 est pratiquée dans la pla  que 82 de telle sorte qu'un seul bec 86 d'un  des     leviers    73 à 7 5 puisse passer à travers la.  plaque 82 selon la position de glissement de  ladite plaque. Sur le même guide 83 est fixé,  à rotation, un levier 87 muni d'un galet 88  pénétrant dans une rainure appropriée dont  la plaque 82 est     pourvue.    L'autre bras dudit  levier 87 est muni d'un second galet 89 co  opérant avec le prolongement 90 de la barre  de butée 91     (fig.    4).  



  Cette barre de butée 91 coopère, de la fa  çon     décrite    au brevet suisse N  227179     ci-          dessus    mentionné, avec.     une    rangée de touches  921 à 926; de même que les barres de butée  28 et 281     (fig.    8) coopèrent respectivement  avec     deux    autres rangées de touches 931 à 93a       (fig.    1).

   Les organes ci-dessus décrits sont  les organes de commande pour la sélection des  compteurs de chaque section et la. sélection      des fonctions et seront décrits plus en détail  par l'explication de leur fonctionnement qui  suit  L'opérateur enfonce     l'une    des touches 931  à 939     (fig.    1) et le compteur de la section cor  respondante portant le numéro de la touche  sera mis en opération, lorsque la commande  du moteur sera actionnée pour sa mise en  route. L'arbre 39 est entraîné par un système  d'embrayage et     d'autodébrayage    tel que ci  dessus mentionné.  



  Si l'on considère la     fig.    3, l'on voit, en  effet, que la came 50 solidaire de l'arbre 39  exercera une pression sur le galet 49, faisant  ainsi basculer le levier 48 qui, à son tour,  exercera une pression sur le galet 47, amenant  le coulissement vers l'arrière de la machine de  la barre 45, sollicitée par les ressorts 46 et  461, d'une part, et les ressorts 42 et 421, d'au  tre part.  



  Cependant, les paliers 17 et 171 ne pour  ront basculer, parce que les autres paliers pa  rallèles 18 et 181     (fig.    1 et 4) se trouvent blo  qués par les organes de verrouillage 53 et 531.  



  Dans le même temps, la came 38     (fig.    2)  cessera de coopérer avec le levier 37, permet  tant ainsi à la bielle 36, commandant le le  vier 35 monté sur l'arbre 34 commandant à  son tour les leviers 33 et 331, de se détendre,  et, de ce fait, les barres 31 et<B>31,</B> vont cou  lisser vers     l'arrièr    e de la machine, sollicitées  par les ressorts 163.  



  La     barre    transversale 30 effectuera égale  ment un mouvement de recul, ce recul affec  tant aussi les barres de butée 28 et 281 du  fait que les leviers 25 et 251 exercent une  pression sur les saillants 29 et 291 dont ces  dites barres 28 et 281 sont munies     (fig.    1).  



  De cette façon, les barres de     butée    28 et  281 subissent l'effort des ressorts 164 et 1641,  ces dits ressorts 164 et 1641 attirant les cré  maillères 22 et 221     (fig.    1, 20 et 8) au moyen       clés    galets 23 et 231 coopérant avec les galets  24 et. 241 dont sont munis les leviers 25 et 251.  L'arrêt de ces mouvements est cependant. pos  sible sous le contrôle de celle des touches 931  à 939 qui aura été enfoncée.    Les crémaillères 22 et     221    coopèrent clé fa  çon permanente avec des pignons 21 et 211,  de telle façon que la valeur de rotation du pi  gnon soit proportionnelle à la position sur le  clavier des touches 931 à 939     susceptibles     d'être enfoncées par l'opérateur.  



  La relation solidaire entre les pignons 21  et 211 et les pointes 15 et 151     (fig.    1) a été  décrite ci-dessus.  



  Ces dites pointes sont fixées aux axes 16  et 161 en forme -'hélice, de telle sorte que  chaque pointe puisse se trouver en face du  triangle 13     appartenant    an compteur, dont le       niunéro    d'ordre correspond au numéro d'ordre  de la touche enfoncée par l'opérateur.  



  La préparation de la sélection des comp  teurs est ainsi effectuée. Le déverrouillage des  réglettes 12 correspondant     auxdits    compteurs,  ainsi que leur engagement avec les organes  d'entraînement et de calcul, va maintenant  être décrit ci-dessous.  



  Lorsque l'arbre 39 continue à tour  ner     (fig.    6), la came 63 se trouve entraînée  en rotation et la dent 631, formant son extré  mité, vient s'engager sous le bec du bras de  levier 62 commandant le bras de levier 61  qui, par l'entremise du galet 60, fait ainsi  glisser vers l'avant de la machine la barre 56  sollicitée, d'autre part, par le ressort 58.  



  La barre 56 exercera simultanément une  pression sur les galets 55 et 551, ce qui don  nera lieu au déverrouillage des paliers 18 et.  181 en écartant les leviers 53, 531     (fig.    1 et;  4). A ce moment, l'ensemble, constitué par les  paliers 17 et 171, 18 et 181, les axes 16 et 161,  munis des pointes 15 et 151, basculera sous  l'effet des ressorts 42 et     42,    (fi-.<B>3)</B> et les  pointes 15 et 151 se trouvant.

   en face des  triangles 13 et 131     (fig.    5) correspondant au  compte sélectionné exerceront une pression  sur ces dits triangles, de sorte que les tirettes  10 et 101 glisseront, contre la force des res  sorts 64 et 641, dégageant ainsi les réglettes,  12 des     cornières    de verrouillage 65 et 651 et  engageant lesdites réglettes 12 avec les organes  d'entraînement et de calcul 98 et 981     (fig.        5)     et 2) qui seront décrits ci-après.      Les traverses 9 et 91 sont munies de guides  101, 102 et 1011, 1021, à     l'intérieur    desquels  coulissent les barres d'entraînement 103       (fig.    2).

   Sur ces barres 103 sont montés à ro  tation des leviers     triangulaires    104 et 1041       fig.    1, 7 et 10) munis, au bas de leurs bras  horizontaux, de tenons 105 et<B>105,</B> destinés à  passer au travers d'une ouverture pratiquée  dans la barre d'entraînement 103 et à venir  S'engager dans des rainures pratiquées dans  les barres de report 106 et 1061     (fig.    7 et 9),  barres de report appartenant à. L'ordre de nu  mération immédiat inférieur.

   Lesdites barres   < le report 106 et 1061 sont susceptibles de cou  lisser le long des guides 101 et 102 ci-dessus  mentionnés et sont munies de rampes 100,  placées à un angle approprié, par exemple       -l5 ,    et qui déterminent un mouvement. paral  lèle de la, rainure vers le haut, lorsque ces  barres sont soumises à l'action des ressorts  110 et 1101. Les leviers triangulaires 104 et  1041 sont, munis, à l'extrémité de leur bras  vertical, de cliquets 107 et 1071 et de     contre-          cliquets    108 et 1081 montés à rotation.

   Les       contre-cliquets    108 et 1081     (fig.    2) sont mu  nis d'un tenon 109 et 1091 pénétrant dans les  rainures de barres de     désencliqueta.ge    111 et       llli    (fi-. 11). Ces barres de     désencliquetage     sont munies de rampes 100 identiques à celles       des    barres 106 et 1061     ci-dessus    mentionnées,  de     faeon    à déterminer un mouvement paral  lèle vers le haut lorsque les barres de     désen-          eliquetage    111 et<B>111,</B> sont soumises à l'action  de ressorts 112 et 1121.  



  Il convient de remarquer que le déplace  ment, vers le haut des rainures pratiquées  dans les barres 106 et 1061 et 111 et 1111 est  égal. au pas des barres de butée 113 déterminé       par    l'espacement des touches 114 et l'espace  ment des dents desdites barres de butée 113.  ce pas étant d'ailleurs égal au pas des fentes  pratiquées dans les réglettes 12     (fig.    2).

    Toutes les barres de     désencliquetage    111 et       11.11    sont munies d'un saillant 115 coopérant  avec des barres de report 106-1061 et aussi  avec un pied 116 pouvant coopérer avec le bec  d'une pièce d'arrêt 117, de telle manière que  cette pièce d'arrêt 117 puisse bloquer la barre    de     désencliquetage    111 et 1111, bloquant ainsi  du même coup la barre de report 106 et<B>106,</B>  sollicitée par deux ressorts 110 et 1101 et 11.2  et 1121.

   Les pièces d'arrêt 117 sont montées à  rotation sur les guides 101 et 1011 et sont mu  nies     d'une    rainure dans laquelle pénètre un  tenon<B>118</B> dont est muni un arbre de déclen  chement 119     (fig.    2, 5 et 7) ; cet arbre de dé  clenchement 119 est fixé, d'une part, sur la  platine 1 et, d'autre     part,    sur la plaque de  guidage 101 et<B>1011,</B> de telle sorte que le pa  lier 120 des réglettes 12     (fig.    5) l'amène à pi  voter lorsque lesdites réglettes 12 arrivent à  leur position extrême vers l'avant de la ma  chine.

   La pièce d'arrêt 117 à l'extrême droite,  ainsi que la pièce d'arrêt 117 à l'extrême gau  che sont chacune munies d'un bras supplé  mentaire 121 et 1211 relié par une bielle 122       (fig.    7).  



  Les barres de report 106 et 1061 de l'ex  trême droite ne sont pas munies de barres de       désencliquetage,    mais sont pourvues d'un bec  123 dont le mouvement est limité par la pièce  d'arrêt 117 de l'extrême droite. En consé  quence, lorsqu'une réglette 12 appartenant à  l'arbre de numération le     plus    élevé (à gau  che) fait pivoter l'arbre de déclenchement 119  en arrivant à sa position la plus avancée, la  barre de déclenchement 111 et 1111 dudit  arbre 119 et la barre de report 106 et<B>106,</B> de  l'arbre le     phis    bas (à droite) subissent l'action  des ressorts 112 et 112, et 110 et<B>110,</B> par  suite du pivotement     simultané    .des deux pièces       d'arrêt    117 extrêmes, qui, normalement,

   les  maintiennent bloquées.  



  Dans les guides 101, 102, 1011 et 1021 cou  lissent des équerres mobiles 98 et<B>98,</B>     (fig.    2,  5, 7 et 10) dont un bord coudé 125 coopère  avec les fentes dont le côté droit des réglettes  1.2 est muni, et cette coopération a lieu lors  que ces dites réglettes se déplacent de gauche  à droite de la machine,     sous    l'effet des organes  de sélection et d'engagement ci-dessus men  tionnés. Ces équerres mobiles 98 et 981 sont  également munies d'un doigt d'encliquetage  126- et<B>126,</B> coopérant avec les cliquets 107,  1071 et les     eontre-cliquets    108 et 1081 et aussi      avec une butée 127, 1271 dont le fonctionne  ment sera expliqué ci-après.  



  Des ressorts 128 et 1281 sont fixés, d'une  part, aux équerres mobiles 98 et 981 par un  tenon accroche-ressort 129 et, d'autre part, à       L'extrémité    d'une     biellette    130 montée à rota  tion sur l'axe 131 des cliquets et.     contre-cli-          quets    107 et 108, 1071 et     1081.    Ladite biellette  est guidée par un tenon 132, pénétrant dans  une rainure pratiquée dans l'équerre mobile  98 et 981     (fig.    7 et 10). La     biellette   <B>130</B> a  pour     simple    rôle de permettre l'éloignement  des extrémités d'accrochage des ressorts 128  et<B>128,</B> afin de leur donner une longueur con  venable.  



  Les barres d'entraînement 103, visibles à  la     fig.    2, sont munies     d'un    saillant 133     pourvu     d'une rainure dans laquelle s'engage l'axe 134  des barres de butée 113 et ces dites barres  d'entraînement 103 sont maintenues de façon  permanente vers l'arrière de la machine par  l'effet de ressorts 135 dont une des extrémités  est accrochée à un barreau transversal<B>1136</B> so  lidaire d'un support 1362, lui-même solidaire  de la platine 1. Un arbre transversal 137 est  monté sur des leviers 138 solidaires de l'arbre  139 et est susceptible de tourner autour de  paliers fixés à la platine 1. Un levier 140 est  solidaire de l'arbre 139 et se trouve relié par  une bielle 141 à un levier 142.

   Le levier 142  peut tourner autour de l'arbre 40 et est muni  à son extrémité d'un galet antifriction 143. Ce  galet 143 subira l'action de la came 144 ou  ne coopérera pas avec cette dite came selon la  rotation de l'arbre 39 entraînant. cette dite  came 144. Si le galet 143 coopère avec la came  144, la totalité des barres d'entraînement 103  est ramenée à sa position normale, c'est-à-dire  sa position de repos vers l'avant de la ma  chine, mais si, au contraire, le galet 143 et,  par conséquent, la biellette 141 ne subissent  pas l'effet de la came 144 entraînée par l'axe  39, lesdites barres 103 seront soumises direc  tement à la sollicitation des ressorts 135. Les  dites barres d'entraînement 103 sont munies  de dents de scie 145, et un arbre de rattra  page de jeu 146 est monté à rotation sur des  paliers 1462 solidaires de la platine 1.

   Sur    cet     arbre    sont montés à rotation des     cliquets     147, un pour chaque ordre de numération.  



  Un levier 148 est, solidaire de l'arbre 146  et ce dit levier 148 (fit. 1) est réuni par une  bielle 149 à. un levier 150 monté à rotation sur  l'arbre 40. Ce levier     1:50    est. muni     d'un    galet  antifriction<B>151</B> qui coopérera ou non avec la  came 152 qui suit le mouvement de rotation  de l'arbre 39. Si le galet antifriction 1:51, clone  le levier 150, coopère avec la came 152, les  cliquets 147 détermineront la position cor  recte des barres d'entraînement 103 sollicitées,  d'autre part, par les ressorts 135.  



  Des touches 114 (fi-. 2) au nombre de  neuf et portant les références 1141, 1142, 114;,       114,1,    1145, 1146, 1147,     11-18    et 1149 sont mon  tées à la partie supérieure des tiges 154 cou  lissant à l'intérieur des cadres 153, un cadre  étant prévu pour chaque nombre de numéra  tion, .ainsi qu'on peut le voir aux     fig.    2, 12,  1.3 et 21. Dans ces figures, on voit que clés  tiges 155 sont montées parallèlement aux tiges  154 et sont, munies d'un tenon 156, ce dit  tenon pénètre à travers une fente et sert de  point d'accrochage à un ressort 157 accroché  par son autre extrémité à un     autre    tenon     1:5R     solidaire des tiges 154.

   Un ressort 159 est  accroché par l'une de ses extrémités au cadre  153 et par son autre extrémité à un tenon 160  également solidaire des tiges     15.1.     



  Lorsque l'opérateur enfonce une touche  114, la tige 154 solidaire de ladite touche suit  le mouvement d'enfoncement, et le ressort 157  sollicitera également vers le bas la tige 155  qui, .en descendant, servira de butée aux dents  de la barre de butée 113     (fig.    2), dans le cas  où ces .dites barres de butée<B>113</B> sont sollici  tées par les ressorts<B>135.</B> Dès lors, pendant.  que la machine effectue son cycle et au cours  de la rotation de l'arbre 39 et avant le retour  des barres de butée<B>113</B> à leur position  extrême vers l'avant de la machine, l'opéra  teur peut. enfoncer une nouvelle touche.

   Rien  n'empêchera le retour desdites barres de bu  tée 113, car les dents de la barre de butée  113 correspondante qui devront passer sous  la tige 155 prématurément enfoncée sollicite  ront     cette-dite    tige au     moy    en du plan incliné l61      de la tige 155 soumise à l'effort du ressort  157. Aussitôt que la dent est passée et que les  barres de butée 113 sont conduites par la       barre    transversale 137 à leur position extrême,  la tige 155 redescendra et sera prête, par con  séquent, à servir normalement de butée à nou  veau pour l'opération suivante.  



  Sur les parois verticales des cadres de  clavier 153 sont montés à rotation des volets  336 destinés à maintenir .abaissées les tiges  154 en coopérant avec des plans inclinés 337  dont sont pourvues les tiges 154. Une barre  transversale à larges dents 338 fait basculer  après chaque enregistrement les volets 336, de  manière à libérer toutes les tiges 154 qui ont  été abaissées par l'opérateur. Le mouvement  transversal de la barre 338 est commandé par       eames    et tringles non     représentées    dans les des  sins.

   Des volets 339 sont montés de façon analo  gue aux volets 336, de sorte que lorsqu'une tige       33.1    quelconque est abaissée, le volet 339 qui y  correspond bascule, entraînant en basculement  un     doigt    de zéro 178 au moyen du tenon 340  solidaire     dudit    volet 339. Il convient de re  marquer que dans le cas où lesdits doigts de  zéro 178 ne sont pas basculés, ils arrêtent. tou  tes les barres de     butée    113 par leurs dents de  zéro 179     (fig.    2).  



  Un barreau 341     (fig.    13) est fixé     aux    pa  iois     verticales    du cadre 153 et a pour effet. de  limiter les mouvements de montée et de des  cente des tiges 154.  



  Tous les organes qui viennent d'être dé  crits le seront maintenant plus en détail, ainsi  que d'autres organes et ensembles qui n'ont  pas encore été mentionnés; mais pour faciliter  la compréhension de la description ci-après,  le fonctionnement desdits organes en relation  avec les diverses fonctions auxquelles     1â    ma  chine doit être assujettie sera également décrit  et l'on fournira à l'appui de cette description  des exemples concrets en facilitant la com  préhension.  



       Addition.     L'addition peut se faire simultanément  dans un compteur appartenant à une section  et. un autre compteur appartenant à l'autre  section de la machine.    L'opérateur enfonce les touches 93 corres  pondant au numéro de compteur dans lequel  on veut opérer l'addition ainsi que les tou  ches 114 pour la composition du montant à  additionner, en choisissant la rangée qui cor  respond à l'ordre de numération de chaque  chiffre donné. L'opérateur agit ensuite sur la  commande du moteur     M    pour mettre en route  ce dit moteur, ce qui détermine une révolu  tion complète de l'arbre 39 ainsi que de toutes  les cames solidaires ,de cet arbre, préparant  ainsi les opérations qui seront décrites par la  suite.  



  Pour plus de clarté, on supposera que  l'opérateur a enfoncé la touche 934 pour la  section avant et la touche 939 pour la section  arrière, ainsi que les touches 1142, 1147 et  1145 respectivement dans les trois rangées à  droite du clavier, c'est-à-dire correspondant  aux unités, dizaines et centaines. On suppo  sera aussi que les réglettes 12 appartenant au  compteur sélectionné se trouvent dans la posi  tion indiquée en 312 dans le compteur 9 de la  section arrière et en 128 dans le compteur 4  de la section avant. Toutes les autres réglettes  des deux compteurs mentionnés se trouvent à  une position qui correspond à zéro,     c'est-          à-dire    dans leur position extrême vers l'ar  rière de la machine, en coïncidence avec les  plaques d'arrêt 162 et 1621 fixées à la pla  tine 1.  



  <I>Phase I -</I>     Sélection   <I>de la</I>     fonction     <I>et des compteurs.</I>  



  Commandé par le moteur     Ill    qui a été mis  en route, l'arbre 39 commence sa révolution       entraînant    la came 38     (fig.    2), qui libère le  levier 37, de sorte que les barres 31     (fig.    1 et  2) et leur traverse 30, sollicitée par les res  sorts 163, libèrent les barres de butée 91, 28 et  281     (fig.    1 et 4). A ce moment, la barre de  butée 91 sera entraînée vers l'arrière de la  machine par l'effet du ressort 84     (fig.    4 et  20) et celui des organes 82, 87 et 90 coopé  rant entre eux.  



  Du fait que l'opérateur n'a pas enfoncé de  touches de fonction 92, la barre de butée 91       (fig.    4) coulissera librement jusqu'à sa posi-           tion    extrême vers l'arrière de la machine, et  la plaque 82 munie de sa fente 85 coulissera  également jusqu'à sa position extrême vers le  côté droit de la machine, recouvrant ainsi les       leviers    73, 731, 74, 741 et 75 qui se trouveront       maintenus.     



  Simultanément, les barres de butée 28 et  281     (fig.    1) tendront à coulisser vers l'arrière  de la machine sous l'effort des ressorts 164 et  1641 et celui des leviers 25 et 251.  



  L'opérateur ayant enfoncé les touches     93,1     et<B>939</B> .de la section avant et arrière de la ma  chine, le déplacement de la. barre de butée 28  sera limité par la tige de la touche     93,1    co  opérant avec la dent 165, tandis que la tige de  la touche<B>939,</B> coopérant avec 1a dent 166,  s'opposera à tout mouvement suivant de ladite  barre de butée<B>28,</B>     (fig.    1).  



  Dans ces conditions, la disposition des or  ganes de sélection déjà mentionnés amènera  la coopération des saillants 29 et 291, enga  geant les galets antifriction 27 et<B>27,</B> avec les  leviers 25 et     25i    qui, par les galets 24 et 241,       entraînent    les crémaillères 22 et 221, et avec  les axes 16 et<B>16,</B> les pointes 15 et 151, de  sorte que, dans la section avant de la machine,  une pointe 15 se trouvera en face du triangle  13 correspondant au compte N  4, tandis que  dans la section     arrière    de la machine, une  pointe 15 se trouvera en face du triangle 13  correspondant au compte N  9.  



  <I>Libération des équerres</I>     mobiles   <I>et des</I>     rampes     <I>de report.</I>  



  Ainsi qu'il est illustré à la     fig.    2 et qu'il  a, été indiqué précédemment, les barres 31 sont  munies de cornières transversales 167 et 1671       pourvues    de butées à ressort 66 et<B>661.</B> On  voit à la figure chacune de ces dites butées  appuyer sur les équerres mobiles 98 et 981.  Au moment du cycle de la machine considéré,  ces dites butées cessent de retenir les équerres  mobiles 98 qui reculent vers l'arrière de la  machine, ainsi qu'il sera exposé par la suite.  



  Le     recul    des     barres    31 entraîne un mouve  ment des rampes 168 et. 1681     (fig.    1) qui libè  rent les leviers 169, 1691 et 170, 1701, permet  tant la rotation des arbres 171, 1711, entraî-         nant    les organes en forme de râteau 172, ro  tation qui a lieu dans le sens opposé à celui  des     aiguilles    d'une montre et contrôlée par  l'action des ressorts 173     at    l731 (fi,-. 9 et 11).  Chaque dent des organes en forme de râteau  172 et 1721 exerce une pression sur le saillant  115 et<B>115,</B> d'une rampe 111 et 1111. Il sera  expliqué plus loin que toutes les rampes 111  et<B>1111,</B> ainsi que les rampes de report 106 et.

    <B>106,</B> coulisseront librement vers l'avant de la  machine sous l'effort des ressorts     respectifs     110 et 1101 ou 112 et 1121, aussitôt que la  pièce d'arrêt 117 et 1171 correspondante aura  été effacée par l'arbre de     déclenchement    119.

      <I>Préparation de</I>     d'erzgagemerd.       En même temps que les mouvements     ci-          dessus        indiqués,    la préparation de l'engage  ment des comptés s'opère de la façon suivante:  La came 50 exerce une     pression    sur le ga  let 49     (fig.    3), ce qui fait basculer le levier  48 qui coopère alors avec le galet. 47 pour en  traîner la     barre        d'engagement    45, attirant  ainsi les ressorts 46 et 461 ainsi que les res  sorts 42 et 421.  



  De leur côté cependant, les galets 41 et  411 ainsi que les paliers 17 et 171 ne suivent  pas ce mouvement, car les organes de verrouil  lage 53 et 531, ainsi qu'il a été vu plus haut,  maintiennent bloqués les paliers 18 et 181       (fig.    1) solidaires des paliers 17 et 171.         Phase   <I>II -</I>     Commande   <I>de fonction.</I>    L'arbre 39,     continuant    son mouvement de  rotation, la came 80     (fig.    4) vient. attaquer le  galet 79, faisant basculer le levier 78 qui était  maintenu par. le ressort 168.  



  La plaque 81, à la position de repos de la  n     racliine,    sert de butée aux leviers 73, 74 et  75 et devrait normalement libérer ces dits le  viers sous la sollicitation des ressorts 76, mais,  la plaque 82 ayant coulissé jusqu'à sa position  extrême, la fente 85 de cette dite plaque 82  vient dépasser le plan vertical du levier 75 et  aucun des leviers 73, 74 et 75 ne montera.  



  En conséquence, la plaque 81 passera     au-          dessus    du bec 185 des leviers 73, 74 et 75 sans  entraîner aucun d'eux.           Libération   <I>du correcteur.</I>       .Simultanément,    la came 152     (fig.    1) libère  le galet 151, occasionnant le basculement des  leviers 150 et 148 réunis par la bielle 149 et       #,ollieités    par les ressorts 335. L'arbre 146 sui  vra le basculement, et les dents 145 cesseront  de coopérer avec les cliquets 147, coopérant  avec ledit arbre 146.

           Phase   <I>III -</I>     Positionnement   <I>des secteurs</I>  <I>d'addition.</I>    L'arbre 39 continuant son mouvement de  rotation, la came 144     (fig.    2) libère le levier  742, entraînant dans son mouvement la bielle  141 qui, de son côté, va libérer le levier 140  et permettre à l'arbre 139 de tourner sous la  sollicitation du ressort 174. L'arbre transver  sal. 137 qui, jusqu'à présent, maintenait les       barres    d'entraînement 103, reculera vers l'ar  rière de la machine et son mouvement en  arrière ne sera pas limité par la cornière 167,  puisque, ainsi qu'il a été décrit à la phase 1,  cette dite cornière se trouvait déjà en arrière  au moment du cycle décrit à la phase 1.

   A ce  moment du fonctionnement de la machine,  toutes les barres d'entraînement 103 se trou  vent libérées et prêtes à coulisser vers l'ar  rière de la machine sous la     sollicitation    des  ressorts 135 et selon la disposition des touches  114 qui auront été enfoncées par l'opérateur.  



  Dans l'exemple ci-dessus indiqué, on a sup  posé que l'opérateur a enfoncé la touche N  5  dans la rangée de l'extrême droite, c'est-à-dire  celle des unités, la touche N  7 dans la rangée  immédiatement antérieure correspondant aux  dizaines et, la touche N  2 dans la rangée sui  vante ou rangée des centaines: En     eonsé-          quenee,    la première tige de touche des     -unités     arrêtera la barre de butée correspondante,  ainsi qu'on peut le voir à la     fig.    2, par     enga-           < -ement    de la dent. 175, qui progresse vers  L'arrière de la machine d'une valeur de cinq  pas.

   La deuxième tige de touche, celle des di  zaines, arrêtera la barre de butée correspon  dante par la dent 176, qui progresse de sept  pas, et la troisième tige de touche, celle des  centaines, arrêtera la barre de butée corres-    pondante par la dent 177,     qui    progresse de  deux pas. Aucune des autres barres de butée  n'aura pu avancer pendant ce temps, puisque  les doigts de zéro 178 arrêtent ces dites barres  de butée en coopérant avec leurs dents 179,  si aucune touche n'a été enfoncée dans les ran  gées qui leur correspondent.

   Les barres d'en  traînement 103 sont munies, ainsi qu'il a été  décrit plus haut, d'un saillant 133 qui coopère  avec L'axe 134 sur lequel sont montées les  barres de butée 28, de sorte que la     progTes-          sion    vers l'arrière de la machine des barres  d'entraînement 103 est déterminée par la  fonction des barres de butée, ainsi qu'il vient  d'être décrit.         Phase   <I>IV - Action</I> dit     correcteur.       La rotation de l'arbre 39 se poursuivant       (fig.    1), la came 152 vient coopérer avec le  galet 151 et sous l'effort de sa pression fait  basculer le levier 150 qui commande la bielle  149 qui fera à son tour basculer le levier 148.

    L'arbre 146 sur lequel est monté le levier 148       tourne    dans la     direction    des     aiguilles    d'une  montre, et les cliquets 147, mieux visibles à la       fig.    2, coopérant avec cet arbre, ainsi qu'il a  été     décrit    plus haut, assurent. en le corrigeant  le positionnement des barres d'entraînement  103, ce positionnement dépendant de la phase  antérieure et des touches     dit    clavier qui ont  été enfoncées.         Engagement   <I>du compte.</I>  



  En considérant la.     fig.    6, on voit qu'immé  diatement après le début de cette     quatrième     phase, la dent 631 de la came 63 vient co  opérer avec le bec du bras 62 du levier d'en  gagement 61, faisant ainsi basculer ce dit le  vier qui, à son tour, fait coulisser la     barre    56  vers l'avant de la machine. Cette dite barre  56 pesant à la fois sur les     deux    galets 55 et  551 fait basculer l'ensemble constitué par les  leviers 54 et 541, les axes 52 et     521    et les dis  positifs de verrouillage 53 -et 531     (fig.    1 et 4).  



  En se rapportant maintenant à la     fig.    3,  on voit que c'est à cet instant que les ressorts  42 et 421 amènent le basculement à la fois des  paliers 17 et<B>17,</B> et des paliers 18 et 181, ces      derniers munis de doigts 16. Les pointes 15       (fig.    20) correspondant au compte N  4 dans  la section avant et N  9 dans la section ar  rière, coopéreront avec le bec 180 et 1801 des  triangles 13 et<B>13,</B> respectivement.

   Ainsi qu'il  a été décrit     phis    haut, ces dits triangles 13 et  131 coopéreront à ce moment, et à ce moment  seul, avec les tirettes 10 et 101, exerçant sur  ces dites tirettes un mouvement de poussée,  ce qui aura pour conséquence de dégager tou  tes les réglettes correspondant aux compteurs  N  4 et N  9 des équerres de     bloquage    65 et  651 et de les amener en coopération avec les  équerres mobiles 98 et 981 (ces dites équerres  étant mieux visibles aux     fig.    2 et 5). Il con  vient de remarquer que le dispositif de ver  rouillage 53 et 531 bloquera dans une direc  tion opposée, c'est-à-dire en position d'enga  gement, les becs 181 et 1811 des paliers 18  et 181.  



       Phase   <I>V - Préparation du</I>     dégageine.nt.     Considérons la     fig.    3: Lorsque, après la fin  de la quatrième phase, l'arbre 39 continue à  tourner, la came 50 libère le galet 49, et tou  jours au moyen des mêmes liaisons ci-dessus  indiquées, la     barre    45 va se trouver débloquée  cependant que les coulisseaux 43 et 43, con  tinueront à faire pression, sous la sollicitation  des ressorts 46 et 461 sur les galets 41 et 411,  du côté de leurs bras coudés 44 et 441, mais  la pression ainsi exercée n'entraînera pas le       basculement    de l'ensemble constitué par les  paliers 17 et 171 et 18 et 181, puisque, ainsi  qu'à la quatrième phase, les dispositifs de ver  rouillage 53 et 531,

   visibles à la     fig.    1, blo  queront les becs 180 et 1801 des paliers 18 et  181.  



       Réarmement   <I>des secteurs</I>     d'addition     <I>et</I>     dégagement   <I>des fonctions.</I>  Pendant ce temps, la came 144     (fig.    2)  est arrivée à une position telle qu'elle com  mande le     basculement    des leviers 142 et 140  réunis par la bielle 141. L'axe horizontal 137  ramènera à leur position primitive vers  l'avant de la machine toutes les barres d'en  traînement qui se sont déplacées vers l'arrière,  c'est-à-dire que toutes ces     barres    feront un    mouvement de retour dont la valeur sera  exactement la même que celle du mouvement  qu'elles ont. fait.     sous    la sollicitation des ressorts  135 pendant la phase III.

   Cependant, ainsi  qu'il a été décrit plus haut, ce mouvement de  retour a lieu pendant que les réglettes 12 co  opèrent avec les équerres mobiles 98 et<B>98,</B> et  selon les fonctions d'engagement décrites à la  phase III.  



  Cependant, ainsi qu'on l'a vu plus haut,  les barres d'entraînement 103 coopèrent. avec  les équerres mobiles 98 et 981 par l'intermé  diaire d'organes de report, c'est-à-dire les le  viers     pivotables    104 et 1041. Ces dits leviers       pivotables    104 et 1041 sont maintenus dans  leur position axiale normale par les tenons  105 et<B>105,</B> pénétrant .dans des rainures hori  zontales pratiquées sur les barres de report  106 et<B>106,</B> et coopérant avec les cliquets 107  et 1071 et les     contre-cliquets    108 et<B>1081.</B> Les       contre-cliquets    108 et<B>108,

  </B> sont maintenus à  leur tour dans leur position normale par des       i.enons    109 et 1091 pénétrant dans la rainure  des barres de     désencliquetage    111 et 1111, et  les cliquets 107 et 1071 sont     maintenus    dans  leur position d'encliquetage par les ressorts  183 et 1831. Ceci explique la raison pour la  quelle les réglettes 12 suivront le mouvement  de retour des barres d'entraînement 103. En  revenant à l'exemple proposé ci-dessus, la ré  glette extrême droite du compteur N  9 ou ré  glette des unités, appartenant à la section       arrière    et qui se trouvait à la. position 2, pas  sera à la position 7.

   La. réglette immédiate  ment     antérieure    ou réglette des dizaines, qui  se trouvait à la position 1, passera à la posi  tion 8, et la réglette suivante ou réglette des  centaines,     qui    se trouvait à la position 3, pas  sera à la position 5.  



  Les réglettes 12 du compteur 9 apparte  nant à la section arrière ont, donc fait. l'addi  tion suivante:  312     -(-    275 = 587.  



  Il peut cependant arriver que les mouve  ments de retour ci-dessus décrits imposent  aux réglettes 12 des avancements supérieurs  au complément à 9 de la position (en nombre      (le pas) qu'elles occupaient au moment ,de  leur engagement avec les leviers 104 et 1041.  Dans un pareil cas, les dispositifs prévus pour  le report entreront en fonction de la manière  suivante: Si l'on considère encore l'exemple  ci-dessus indiqué, la réglette extrême droite  ou d'unités du compteur-";, 4, appartenant à  la section avant était à la position 8 et le mou  vement de retour imposé par la barre     d'on-          traînement    a pour valeur cinq pas.  



  En conséquence, l'encoche 120 de ladite  réglette     (fig.    5 et 7) aura fait basculer l'arbre  (le déclenchement 119 correspondant     aux     unités, après le parcours des premiers deux  pas, de sorte que le tenon 118 solidaire dudit  arbre aura. fait basculer la pièce d'arrêt 117,  et la barre de     désencliquetage    111     (fig.    11),  correspondant.

   à l'ordre d'extrême droite ou  d'unités, ne sera     plus    arrêtée ni par la pièce  d'arrêt 117 qui a basculé, ni par l'organe en  forme de râteau<B>172</B> qui s'est déjà écarté au       cours    de la phase I, et, en conséquence, le res  sort 112 sollicitera la barre de     désencliquetage     et l'amènera à coulisser vers l'avant de la. ma  chine. Ladite barre de     désencliquetage    ayant  des bords à coupe inclinée, ainsi qu'il a été  décrit, entraînera les     contre-cliquets    108 par  sa rainure horizontale qui montera, ainsi que  les cliquets 107, et libérera du même coup  l'équerre mobile 98.

   Sitôt l'équerre mobile 98  libérée, elle se trouvera sollicitée par le res  sort 128 et retournera en arrière jusqu'à ce       que    le bord 127 de cette dite équerre vienne  buter contre le moyeu du     contre-cliquet    108.  Ainsi qu'il a été décrit, la position de ces  bords 127 est telle que la valeur de ce recul  est exactement égale à dix pas, ce qui aura  pour conséquence d'amener la réglette à sa  position extrême vers l'arrière de la machine.

    Cependant, la barre d'entraînement 103 conti  nue sans interruption son mouvement de re  tour pour le reste des cinq pas, c'est-à-dire  trois pas, et ,lorsque la barre d'entraînement  <B>103</B> correspondant aux     unités    parviendra à  sa position de repos initiale vers l'avant de la  machine, la réglette du même ordre de numé  ration se trouvera à la position 3.

   En se rap  pelant, ainsi qu'il a été décrit plus haut, que    les barres de     désencliquetage    111 sont munies  d'un saillant 115     (fig.    7) destiné à retenir la       barre    de report 106 correspondant à l'ordre  de numération immédiatement supérieur, on  comprendra, en considérant toujours le même  exemple, que la barre de     désencliquetage    111  des unités a coulissé vers l'avant de la ma  chine. De son côté, la barre de report 106 cor  respondant aux dizaines, également sous la  sollicitation du ressort 110, entraînera vers le  haut le tenon<B>105</B> solidaire du levier 104 cor  respondant aux dizaines.

   Il     s'ensuit    que le     cli-          quet    107 des dizaines fera avancer l'équerre  mobile 98 des     dizaines    vers l'avant de la ma  chine de la valeur d'un pas, cette valeur étant  en supplément de celle déterminée par le re  tour de la barre d'entraînement des dizaines.  



  Considérant toujours l'exemple proposé, la  réglette 12 des dizaines du compteur 4 appar  tenant à la section avant, se trouvait à la po  sition 2, la barre d'entraînement du même       ordre    fait alors un mouvement de retour de  sept pas et, ainsi qu'il a été décrit plus haut,  le levier 104, appartenant à ladite barre d'en  traînement, pivote et fait avancer d'un pas  l'équerre mobile 98.

   Il devrait s'ensuivre le  positionnement de ladite réglette de dix pas  à partir de sa position extrême vers l'arrière  de la machine, mais, comme indiqué préala  blement, entre la position 9 et la position 10,  la réglette 12 fait tourner l'arbre de     désenclen-          chement    119 ainsi que la pièce d'arrêt 117 des  dizaines, de sorte que la barre de     désenclique-          tage    du même ordre de numération montera  et, au cours de cette montée, exercera un  effort sur le cliquet 107 des dizaines, effort  qui soulèvera ce dit cliquet 107, libérera ainsi  l'équerre mobile du même ordre qui, à son  tour, reculera de dix pas de la même façon  qu'a reculé l'équerre mobile des unités,

   avec  cette différence que dans le cas considéré  maintenant, la réglette 12 se maintiendra à sa  position extrême vers l'arrière de la machine.  



  Dans le même temps, la barre de report  106, correspondant aux centaines, ne se trou  vant plus arrêtée par la barre de     désenclique-          tage    des dizaines 111, coulissera elle aussi et  entraînera dans son mouvement le levier 104      de la barre d'entraînement des centaines, ce       qui,    de même que dans le cas des dizaines,  fera avancer d'un pas supplémentaire l'équerre  mobile des centaines.

   Enfin, la réglette 12 des  centaines du compteur N  4 appartenant à la  section avant de la machine se trouvait à un  pas de sa position extrême; le mouvement de  retour de la barre d'entraînement. du même       ordre    est de la valeur de deux pas, et l'avan  cement supplémentaire dû au pivotement du       levier    104 des centaines étant d'un pas, la  réglette se trouvera à un avancement de  1     +    2 + 1 = 4 pas, par rapport à sa posi  tion extrême.  



  En conclusion, les réglettes 12 du comp  teur 4 appartenant à la section avant de la  machine auront fait l'addition suivante:  128 + 275 = 403.    <I>Phase VI -</I>     Dégagement.     L'addition de la somme 275 ayant été faite  dans les deux sections avant et arrière de la  machine, et le positionnement des réglettes  ayant été accompli, les réglettes 12 doivent  être dégagées des équerres mobiles 98 et 981  et venir se bloquer sur les équerres fixes 65  et 651, ce qui a lieu de la faon suivante:

    En considérant la     fig.    6, l'arbre 39 pour  suivant. sa révolution, la dent 632 de la came  63 vient     coopérer    avec le bec du levier 62 qui  bascule, appliquant par le levier 61 et le galet  60 une pression sur la barre 56 qui occasionne  un nouveau     basculement    des galets 55 et 551  solidaires des leviers 54 et 541, ainsi que des  arbres 52 et 521 et des dispositifs de verrouil  lage 53 et 531     (fig.    1 et 4).

   Le basculement  du dispositif de verrouillage 53 et 531 li  bère les becs 181 et 1811 de l'axe 16, tandis  que les paliers 17 et 171 et 18 et 181 sont sol  licités par les ressorts 42 et 421, et l'ensemble  ainsi constitué pivote, de sorte que les pointes  15 et 151 qui coopéraient avec les becs 180 et  1801 des compteurs N  4 de la section avant  et N  9 de la section     arrière    n'agissent plus  sur ces dits becs et les     triangles    13 et 131 se  trouvent libérés;

   les réglettes 12 ne sont.     phis     soumises à l'action des     équerres    mobiles 98 et    <B>98,</B> et viennent se bloquer en     s'engageant.    avec  les équerres fixes 65 et<B>65,</B> par l'effet de solli  citation des ressorts 64 et 641     (fig.    5).  



  <I>Phase VII -</I>     Réarmement.     



  Le réarmement des organes mécaniques de  report qui ont fonctionné et le retour à la po  sition de repos des organes de sélection de  fonction et des compteurs s'opèrent de la  Tacon suivante:  La came 38     (fig.    2) commandée par la ré  volution de l'axe 39 vient coopérer avec le le  vier 37, lequel au moyen de la bielle 36 fait  basculer le levier 35 et l'arbre 34 dont. il est  solidaire, .de sorte que les leviers 33 et 331  viennent coopérer avec les galets 32 et. 321, ce  qui occasionne un coulissement vers l'avant  de la machine des barres 31 et 311.

   A ce mo  ment, la     barre    transversale 30     (fig.    2) en  traîne vers l'avant de la machine les barres  de butée 91, 28 et 281     (fig.    1 et 4) respective  ment sollicitées par les ressorts 84, 164 et  1641, et lesdites barres de butée retournent. à  leur position de repos. De leur côté, les cor  nières 167 et 1671 entraînent, jusqu'à leur po  sition extrême vers l'avant de la machine  les équerres mobiles 98 et 981, tandis que les  rampes 168 et<B>168,</B> exerceront une pression  vers le haut sur les leviers 169 et 1691 occa  sionnant le     basculement    des leviers 170 et  1701 et des organes en forme de râteau 172  et 1721.

   Dans leur mouvement de bascule, ces  dits organes en forme de râteau     (fig.    7, 9 et  11) exerceront une pression sur les saillants  115 et 1151 des barres d'encliquetage 111 et  1111, ce qui permettra,     d'une    part, au bec  116 desdites barres 111 et 1111, qui auront  effectué un report, de passer derrière les  pièces d'arrêt 117 et, d'autre part, le re  tour en position d'encliquetage des cliquets  <B>107</B> et 1071 ainsi que des     contre-cliquets     108 et<B>1081.</B> Pendant ce temps, les sail  lants 115 et 1151     ramèneront    aussi en posi  tion de repos les barres de report 106 et 1061  qui auront effectué des reports.

   L'arbre 39  ayant terminé sa révolution se trouvera arrêté  par le dispositif d'entraînement et     d'auto-          débrayage    E décrit dans le brevet suisse           'i     227179 mentionné ci-dessus, et la machine  se trouve prête pour l'enregistrement d'une       nouvelle    opération.  



       Soustraction.     Les opérations de soustraction se font par  l'addition du complément à 9 du montant à       soustraire    additionné d'une unité dans l'ordre  de numération le plus bas, auquel on retran  che une unité dans l'ordre de numération le  plus haut. Afin de faciliter la. suite de cette  description, on considérera l'exemple suivant:  Le nombre 275 est à soustraire du comp  teur N  9 de la section arrière et du comp  teur     N     4 de la section avant, les réglettes du       premier    se trouvant à + 368 et celles du der  nier à + 93.  



  L'opérateur enfonce les touches de     comp-          teurs        et        les        touches        des        montants    à  ainsi qu'il a été décrit pour l'opération  d'addition, et enfonce en plus la touche de  soustraction 925 visible à la     fig.    4. Il     com-          mande    la mise en route du moteur, l'arbre 39  tourne et le cycle se développe, ainsi qu'il a  été décrit ci-dessus pour l'addition. Cepen  dant, le fait d'avoir enfoncé la touche 925  amène un certain nombre de modifications qui  vont être décrites ci-après.  



  Au cours de la phase I, la barre; de butée  91     (fig.    4) sera arrêtée lorsque la dent 184  viendra coopérer avec la tige de la touche 925.  



  En conséquence, le saillant de la barre de  butée 90 arrêtera dans son mouvement le     te-          lion    89 solidaire du levier 87, ce qui amènera  l'arrêt de la plaque 82 qui     était    sollicitée par  le ressort 84, et la fente 85 viendra se placer  au-dessus du levier 75 que la plaque 82 n'em  pêche plus de se soulever.  



  Dans la phase II précédemment décrite,  on a vu la manière dont la plaque 81 bas  cule. Considérant toujours la     fig.    4, on voit  que le levier 75, à ce moment, montera, solli  cité par le ressort 76, et le bec 185 dudit le  vier 75 se présentera dans la trajectoire de la  plaque 81 en cours de basculement. Cette dite  plaque 81 continuant son mouvement finira  par rencontrer le bec 185, ci-dessus men  tionné, sur lequel elle fera pression et entrai-         nera    alors vers l'avant de la machine le levier  75 et la     barre    69 sur laquelle ledit     levier    pi  vote.

   A la     fig.    8 est visible l'autre bec<B>186.</B>  Dans son mouvement de basculement, la pla  que 81 amènera le levier 187 à basculer, et  l'encoche 188     dudit    levier,     s'avan#.ant    dans ce  mouvement, permettra le passage du saillant  189 dont est muni le cadre-support 190 et sur  lequel sont fixées les barres de butée 113. Le  cadre 190 est maintenu suspendu par deux  bielles 191 et deux bielles 192, fixées à rota  tion sur les entretoises carrées 4 et 5     (fig.    2)  et l'ensemble ainsi constitué subit la sollicita  tion du ressort 193 attirant ledit ensemble  vers le côté gauche de la machine     (fig.    8).

   Les  barres de butée 113 sont munies de     deux    ran  gées de dents, l'une pour les opérations d'ad  dition, l'autre pour les opérations de sous  traction. Lorsque     Pensembledes        barresde    butée  713 n'a pas basculé vers la gauche de la ma  chine, les dents     d'additionse    présentent en face  des tiges des touches 114 et. opèrent, comme il  a     été    décrit .à l'addition. Au contraire, lorsque  lesdites barres de butée 113 ont basculé laté  ralement sous l'effet. du ressort 193, tel qu'il  vient d'être décrit, les dents de soustraction  desdites barres de butée se présenteront en  face des tiges des touches 114.

   Les dents de  soustraction sont disposées de telle manière  sur lesdites barres de butée 113 qu'elles per  mettent à ces dites barres de butée, lorsque  celles-ci coulisseront vers l'arrière de la ma  chine sous la sollicitation des ressorts 135, des  déplacements dont la longueur comptée en  nombre de pas sera égale au complément à 9  de l'ordre dans lequel les touches 114 seront  montées dans le clavier. De cette façon, la  touche 1 permettra un glissement de huit pas,  la touche 2 de sept pas et ainsi de suite jus  qu'à la touche 9 qui bloquera la barre de bu  tée 113 correspondante, sans en permettre le  retour en arrière.

   Mais, si aucune touche n'est  enfoncée dans une rangée déterminée du cla  vier, la barre de butée correspondante glis  sera d'une valeur de neuf pas, car, d'une part,  le basculement de soustraction des barres 113  vers la gauche permet à toutes les dents 179  de se trouver en dehors du plan vertical de      doigts de zéro 178     (fig.    2) et, d'autre part,  des     goujons    d'arrêt 194 dont est munie la  plaque-guide 102 limitent le déplacement des  saillants 133 des barres d'entraînement 103,  ces goujons d'arrêt étant placés exactement à  une distance égale à neuf pas desdits saillants  133 lorsque ceux-ci se trouvent à leur position  extrême vers     l'avant    de la machine.  



  Pendant la phase III, en reprenant l'exem  ple ci-dessus indiqué, et en considérant la       fig.        \?,    on voit que la tige de la touche 5 des  unités qui a été enfoncée par l'opérateur arrê  tera la barre de butée correspondante par sa  dent 195,' la tige 7 fera la même opération  par la dent 196 et la tige 2 par la dent 197.  Les autres barres de butée 113 ne seront arrê  tées par     aucune    tige de touche du clavier,  mais le seront par les goujons 194 qui, ainsi  qu'il a été expliqué plus haut, permettent une  course de neuf pas.  



  La phase V est tout à fait identique à la  phase 1V décrite à l'addition.  



  Au cours de la phase V a lieu le retour  des barres d'entraînement 103 et les opéra  tions de report, opérations qui s'effectuent de  manière analogue à celles décrites pour l'addi  tion. Considérant toujours l'exemple proposé,  la réglette 12 des     unités    du compteur N  9,  appartenant à la section arrière, se trouvant  à la position 8 et, d'autre part, la barre d'en  traînement devant faire un mouvement de  retour de 4 correspondant au complément à  9 de 5, les réglettes 12 seront amenées à la  position 2:       8+4=12-10(derecul)    -2.  



  Un avancement supplémentaire d'un pas       aura    lieu pour la réglette 12 des dizaines du  même compteur N  9 de la. façon déjà décrite  à la phase correspondante de l'addition. Si  multanément, la barre d'entraînement des  dizaines     effectue:    un retour de deux pas (com  plément à 9 de 7) et entraîne la réglette 12  des dizaines qui se trouvait déjà à 6. La ré  glette des dizaines se trouvera donc amenée à  la position 9, c'est-à-dire       6+1+2=9       et ne produira, par conséquent, aucun report.  dans l'ordre des centaines. La réglette 12 des  centaines qui se trouvait à la position 3 est  entraînée par le mouvement de retour de la  barre d'entraînement correspondante, d'une  valeur de sept pas (complément à 9 de 2).

    L'opération de report se produit et cette ré  glette des centaines viendra donc à la position  zéro:  3 + 7 = 10 - 10 (de recul) = 0.  



  La réglette correspondant au quatrième  ordre de     niunération    qui était à sa position  zéro sera entraînée par sa     barre    d'entraîne  ment correspondante d'une valeur de neuf pas  plus un, équivalente au report soit: dix pas  moins dix pas (correspondant au recul) soit  zéro. Les mêmes mouvements se reproduiront  dans tous les ordres de numération supérieurs,  dans lesquels toutes les réglettes 12 revien  dront à zéro après avoir avancé de 9     -r    1 = 10  et avoir été assujetties an recul de 10 de la  manière ci-dessus décrite.  



  Les pièces d'arrêt. 11.7 telles qu'elles sont.  visibles à la fi g. 7 et correspondant. aux deux  ordres de numération le plus haut et le plus  bas (le     plus    bas étant celui des unités) sont  munies de bras 121 et 1211 respectivement re  liés par la bielle 122, de sorte que lorsque la  pièce d'arrêt<B>117</B> correspondant à     l'ordre    le  plus haut bascule, ainsi qu'il vient d'être dé  crit ci-dessus, celle de l'ordre de numération  le plus bas suivra ce mouvement de bascule et  cessera de coopérer avec le bec 123 de la  rampe de report de l'ordre .des unités, ce qui  aura pour effet de permettre à la rainure de  cette dite rampe de monter, et la conséquence  en sera l'augmentation d'un pas du mouve  ment d'avancement. de l'équerre mobile qui  positionnera la réglette 12 des unités à.

   3 au  lieu de 2. Par conséquent, la machine a effec  tué     dans    le compteur N  9 de la section  arrière l'opération de soustraction  + 368 - 275 = + 93.  



  Dans le compteur N  4, de la section avant  de la machine, on a supposé que la réglette 12  des unités se trouvait à trois pas de sa posi-           fion    extrême vers l'arrière, la réglette des di  zaines se trouvait à neuf pas et toutes les  autres réglettes à zéro, c'est-à-dire à leur posi  tion extrême vers l'arrière de la machine. En  analysant les mouvements que devront effec  tuer ces réglettes pendant le retour des barres       d'entraînement    103, on s'apercevra que la ré  glette des unités se trouvera. entraînée de  quatre pas vers l'avant de la machine, et puis  qu'elle se trouvait. déjà avancée de trois pas  par rapport à sa position normale, elle s'arrê  tera donc à la position 7.

   La réglette des di  zaines qui se trouvait à. 9 sera encore     entrai-          née    de 2 et. fera un recul de 10, s'arrêtant  donc définitivement à 1, faisant ainsi avancer  d'un pas supplémentaire la réglette des cen  taines: La réglette des centaines qui se trou  vait à 0 se trouvera entraînée vers l'avant (le  la machine de sept pas, plus le pas     supplé-          menta.ire    mentionné, soit 8. Toutes les autres  réglettes qui se trouvaient à 0 seront entrai  nées de neuf pas par leur barre d'entraîne  ment 103 correspondante et seront arrêtées à  9.

   Si l'on suppose que la capacité maximum  de la machine soit de cinq ordres de numéra  tion et en se rappelant que les réglettes du  compte 4 de la section avant se trouvaient à  la position 00093, si l'on effectue la soustrac  tion. du montant 275 qui, ainsi qu'explicité,  est l'addition du complément à 9 de chaque       ehiffre,    soit: 99724, les réglettes du compte  N  4 de la section avant se trouveront à la  position 99817 qui représente le complément  à 9     de    chaque chiffre du nombre négatif ré  sultant de la soustraction  + 93 - 275 = - 182.  



  Les autres phases du cycle comprennent  les mêmes fonctions que celles .déjà décrites  pour l'addition, mais il faut. remarquer qu'au  cours de la phase     VII,    lorsque la butée de fonc  tion. 91 recule sous l'effort de pression de la       barre    transversale 30, un saillant 198 de la  dite barre de butée 91     (fig.    8) fait basculer  le levier 199 monté à rotation sur le cadre  34.5.

   Ce levier exerce une pression sur     tut    bec  200 dont est muni le     cadre-support    190 contre  la sollicitation du ressort 193 ce qui ramène ce    cadre au-delà de sa position normale, à la posi  tion d'addition vers la droite de la machine,  de telle sorte que le levier 187 poussé par  un ressort spiral non représenté retourne le  cadre-support 190 à sa position d'addition.  



       Totalisation-transfert.     L'opérateur enfonce les touches du clavier  de sélection correspondant au numéro -du  compte qui doit être totalisé dans     une        section     de la machine, et du compte qui doit recevoir  la totalisation dans l'autre section.  



  L'opérateur enfonce aussi la touche  to  tal  922 ou 92, suivant la section qui contient  le compteur devant être vidé et commande la  mise en route du moteur M.  



  L'arbre 39 tournera et. les opérations effec  tuées par la. machine se dérouleront selon la  description ci-après dans laquelle on a choisi  un .exemple pour en faciliter l'explication.  



  Soit à totaliser le compteur N  4 avant,  comprenant un montant négatif de 182 et à  transférer ce dit montant au compteur N   9  arrière dont le montant 93 est positif.  



  L'opérateur enfonce les touches 1144 de la  section avant, 1149 de la section arrière       (fig.    1), 922 du clavier des fonctions     (fig.    4)  et commande la mise en route du moteur M.  



  L'arbre 39 fera un cycle durant les phases  duquel les mouvements suivants devront se  produire  La phase I se développe de la même façon  que dans le cas de l'addition et de la sous  traction avec cependant la différence que la  barre de butée des fonctions sera arrêtée par  sa dent 225     (fig.    4) venant coopérer avec la       tige    de la touche 922.  



  La plaque 82     (fig.    20) sera également  arrêtée à ce moment, malgré la sollicitation  du ressort 84, et la. fente 85 viendra se pla  cer au-dessus du levier 74 ainsi libéré.  



  On a déjà vu que pendant la phase II, la.  plaque 81     (fig.    4) basculait, permettant au  levier 74 libéré de monter par coopération de  ladite plaque 81 avec le bec 185 dudit levier  74. Cette     manoûuvre    commandera le coulisse  ment vers l'avant de la machine de la barre 67  qui exercera une pression sur le galet 55 qui,      à son tour, repoussera l'organe de verrouillage  53 qui libérera le bec 181 du palier 18     (fig.1)     et, simultanément, le ressort 42     (fig.    3) déjà  soumis à l'action du coulisseau 43 pendant la  phase antérieure, amènera l'axe 16 à basculer  jusqu'à ce qu'une pointe 15 vienne coopérer  avec le bec 180 du compteur N  4 de la section  avant.

   et les réglettes 12     dudit    compteur sorti  ront d'engagement avec les     équerres    fixes 65  pour s'engager avec les équerres mobiles 98.  



  Pendant la progression en avant de la  barre 67, une équerre 202 (fit-M. 20 et 8) soli  daire de ladite barre 67 fait basculer un le  vier 203 monté en rotation sur Lin tenon soli  daire de l'entretoise carrée 5. Ce levier 203  fera dès lors coulisser vers la droite de la ma  chine la barre d'effacement 204 qui, à son  tour, fera basculer tous les doigts de zéro 178  et tous les volets d'arrêt 338 et 339 en rela  tion avec le clavier des montants d'opérations       (fig.    21). Ainsi sera annulé l'effet. de toute  touche 114 qui aurait pu être enfoncée par  mégarde, et du même coup le passage sera  libéré pour les barres de butée 113 devant.       progresser    vers l'arrière de la machine au  cours de la phase suivante du même cycle.  



  On a déjà     vu    qu'au cours de la phase III,  la barre transversale<B>137</B> s'écarte afin de per  mettre     ainx    barres d'entraînement 103 de cou  lisser vers l'arrière de la machine sous la sol  licitation des ressorts l3:5 (fi-. 1). Ce mou  vement de la barre 137 aura lieu pendant que  le compteur N  -4 de la section avant coopère  avec ses équerres mobiles 98 et que le comp  teur N  9 de la section arrière est. encore blo  qué par ses équerres fixes 65, étant donné que  la barre 67, comme il a été décrit, n'a déblo  qué que l'organe de verrouillage 53 de la sec  tion avant et non l'organe de verrouillage 531  de la section arrière.  



  En reprenant l'exemple cité, on verra qu'au  cours de cette phase III, la réglette 12 des  unités du compteur N  4 avant qui se trouvait  avancée de 7 par rapport à sa position  extrême vers l'arrière, ne pourra se déplacer  que de sept pas, puisque la plaque     d'arrêt    162  bloquera, après un déplacement de sept pas,  l'ensemble des organes mobiles des unités    aussi bien dans la section avant que dans la  section arrière. La réglette 12 des dizaines  bloquera les organes mobiles de cet ordre de       numération    après un déplacement d'un pas,  celle des centaines après un déplacement de  huit pas et     toutes    les autres réglettes après  un déplacement de neuf pas.

   En d'autres ter  mes, les organes mobiles se trouveront, après  les déplacements mentionnés et par rapport à  leur position extrême vers l'arrière de la ma  chine, à. deux pas pour les unités, à huit pas  pour les dizaines, à un pas     pour    les centaines  et à zéro pas pour tons les autres ordres de  numération, tandis que toutes les réglettes du  compteur N  4 de la section avant se trouve  ront à zéro pas.  



  Au cours de la. phase IV, la dent. 631<B>(le</B>  la came 63     (fig.    6) vient coopérer avec le le  vier 62 ayant pour résultat le déplacement  vers l'avant de la machine de la barre 56, de  sorte que le levier 541 basculera, entraînant le  déblocage de l'organe de     verrouillage    53 de  la section arrière. L'organe de verrouillage  531 de la section avant avait déjà. été déblo  qué au cours de la phase Il. En conséquence,  les équerres fixes 65 cesseront de     coopérer     avec le compteur N  9 de la section arrière et  les équerres mobiles 981 coopéreront alors  avec ce dit. compteur de la     faeon    déjà. décrite.  



  On a déjà mentionné qu'au cours de la  phase V, la came 50 libère le levier 48       (fig.    3), permettant aux ressorts 46 et 461  d'entrer en action. En ce qui concerne la sec  tion avant, le     ressort.    46 pourra attirer le     cou-          lisseau    43 vers l'avant de la machine, et ce  coulisseau 43 coopérera par son bord 44 avec  le galet     41.,    faisant ainsi tourner les paliers  17 et 18, ce dernier n'étant pas bloqué par  l'organe de verrouillage 53, et le résultat sera  que le compteur     N^    4 n'ayant plus son bec  180 coopérant avec une pointe 15 sera sollicité  par le ressort 64, et les équerres mobiles- 98  cesseront de coopérer avec lui, et.

   ce sont les  équerres fixes 65 qui réaliseront cette coopé  ration.  



  On voit donc comment ce compteur a été  totalisé, c'est-à-dire toutes ses     réglettes    12 ra-      menées à leur position extrême vers l'arrière  de la machine et bloquées dans cette position.  



  Le développement de la phase VI est le       même    (lue dans les opérations d'addition. En  reprenant l'exemple ci-dessus cité, la réglette       l'?        des    unités du     compteur        \     9, appartenant  à la section arrière de la machine et qui se  trouvait lors de la phase précédente à trois  pas de sa position extrême vers l'arrière, sera  entraînée de sept pas vers l'avant, soit dix pas  en totalité, déclenchant les opérations de re  port telles qu'elles ont été décrites plus haut,  et il s'ensuivra un recul de dix pas de la ré  -lette 12 (les unités qui prendra la position  zéro ainsi que l'avancement d'un pas de la  réglette 12 des dizaines.  



  Or, cette dernière qui se trouvait à neuf  pas sera entraînée d'un pas auquel il convient  d'ajouter le report d'un pas et de retrancher  le recul (le dix pas. En conséquence, ladite  réglette prendra la position 1 tout en faisant       avancer    d'un pas la réglette des centaines.  Cette réglette des centaines qui se trouvait à  zéro sera entraînée de huit pas, plus le report  d'un pas, ce qui fait qu'elle avancera en tout  de neuf pas. Toutes les autres réglettes 12       appartenant.    à des ordres de numération plus  élevés seront entraînées de neuf pas et du fait.  qu'aucun report antérieur n'existe, elles se  ront, arrêtées à cette position extrême     vers          l'avant    de la machine.  



  Pendant, le     déroulement    de cette phase, et       considérant    la     fig.    6, la dent 632 de la came       r;:3    viendra de nouveau s'engager     avec,    le bec  du levier 62, ce qui déterminera, ainsi qu'il a  été décrit plus haut, le dégagement (lu     comp-          teur    N" 9 de la section arrière et le blocage de       ses,    réglettes correspondantes à la position (le  repos.  



  Le     réarmement.,    au cours de la phase VII,  de tous les organes qui ont déclenché un re  port, s'opère -de façon identique au procédé  décrit à l'addition. En revenant à l'exemple  indiqué, il convient de noter que les réglettes       12    (les compteurs 4 avant et 9 arrière se trou  vaient, avant le cycle de totalisation et trans  fert ci-dessus décrit, respectivement aux     po-          #--itions    -182 et + 93, alors qu'à la fin de ce    cycle elles se trouvent respectivement aux po  sitions 0 et - 89, soit 99.910, représentant le  complément. à 9 ,de chacun des chiffres 0, 0, 0,       8et9.     



  En conséquence, il faut noter que le nom  bre de réglettes 12 de chaque     compteur    ainsi  que le nombre d'organes d'entraînement et  d'équerres fixes de blocage doit être obliga  toirement supérieur de 1 au nombre des  ordres de numération devant être représentés  dans la machine.  



  Ces dites réglettes et organes supplémen  taires sont destinés non seulement à coopé  rer avec les organes de report de l'ordre de  numération le plus bas au moyen de la bielle  122, mais sont encore destinés à déterminer le  caractère négatif ou positif du montant de  l'opération matérielle par la position des ré  glettes correspondant à l'ordre de numéra  tion. Par exemple, la     position    09345 des ré  glettes d'un compteur correspondra à un nom  bre positif, tandis que la position 90654 cor  respondra audit même nombre, mais affecté  du signe négatif.

   De la même façon, la posi  tion 00000 des réglettes d'un compteur cor  respond au zéro considéré comme position de  départ des quantités positives, tandis que la  position 99999 correspond     également    au zéro,  considéré cette fois comme position de départ  des quantités négatives.  



  De cette façon, la. machine peut. accumuler  des montants positifs ou négatifs en correspon  dance avec les touches enfoncées dans le cla  vier de deux compteurs appartenant à des  sections différentes de la machine, et cela quel  que soit. le signe positif ou négatif du mon  tant de l'opération à déterminer contenu dans  l'un ou l'autre des compteurs. De la même  façon, ladite machine pourra accumuler dans  un compteur appartenant à une section tous  les montants d'opérations contenues dans les  compteurs appartenant à l'autre section, quelle  que soit la caractéristique positive ou négative  de n'importe lequel desdits compteurs.  



  En reprenant les     fig.    8 et 2, on voit que  les barres de butées 113 sont munies de deux  .rampes à. crans 205 et 206 qui coopèrent. avec  des organes coulissants 207     (fig.    1 et 2) - un      organe coulissant étant prévu par ordre de  numération -. Ces dits organes coulissants  viennent coopérer avec des barres d'impres  sion 208 par l'entremise de bras 218.

   Des barres  à caractères 209 sont montées à rotation sur  les barres d'impression 208, et l'ensemble de  ces dits organes est maintenu vers le haut par  des ressorts non représentés et vers le bas par  une barre transversale 210 qui coopère avec  des cames d'imprimerie 211 (mieux visibles à  la     fig.    1) solidaires d'un arbre 212 monté à  rotation sur le flasque intermédiaire 8 de la  machine, d'un côté, et de l'autre sur des pa  liers solidaires du support d'imprimerie<B>213,</B>  ,  lui-même solidaire de l'entretoise carrée 6.  



  Ledit arbre 212 est muni d'un levier 214       pourvu    du galet 215.  



  Au cours des phases IV et V du cycle, pré  cédemment décrites, c'est-à-dire lorsque les cli  quets 147 coopérant avec l'axe 146, comme  indiqué, maintiennent les .dents 45 des organes  mobiles commandés par les barres 103, une  came 216 qui coopérait jusqu'à présent. avec le  galet 215, de façon à maintenir, comme indi  qué, la came d'imprimerie 211, cessera de co  opérer avec ce dit galet et par conséquent les  dites cames d'imprimerie 211 remonteront  sous la sollicitation d'un ressort, non repré  senté. A ce moment, les organes 207, les bras  218, les barres 208 et les barres à caractères  209 suivront le mouvement d'ascension jus  qu'à ce que les crochets 217 dont. sont munis  les organes 207 viennent buter contre un des  crans des rampes 205 ou 206.

   L'écartement de  ces dits crans est calculé de telle façon que  le caractère d'imprimerie qui se présentera à  la. frappe sur un rouleau 219     (fig.    2) sera  fonction de l'avancement horizontal vers l'ar  rière de la machine de la barre de butée 113  correspondante.  



  On a déjà vu que les barres de butée 113  progressent vers l'arrière de la machine d'un  nombre de pas proportionnel au chiffre repré  senté par la touche enfoncée lors de l'addition  et inversement proportionnel à ce dit chiffre  lors de la     soustraction,    et que toutes les barres  de butée 113 se déplacent latéralement vers  la gauche de la machine lorsque cette machine    opère une soustraction.

   Les dents 205 et 206  sont fixées sur les barres de butée de telle  manière que dans le cas de     1-'addition,        c'est-          à-dire    lorsque les barres de butée n'ont fait  aucun déplacement vers la gauche, le crochet  <B>217</B> correspondant coopère avec la rampe 205  dont la. hauteur des crans augmente propor  tionnellement avec. l'avancement de ladite  barre et inversement pour la soustraction;  c'est-à-dire que     lorsque    lesdites barres de bu  tée se déplacent vers la. gauche, le crochet 217  coopérera avec la rampe 206 dont. la hauteur  des crans décroit dans la même proportion.

    Par conséquent, aussi bien pour l'addition que  pour la soustraction, la barre à caractères  d'imprimerie 209 progressera vers le haut pro  portionnellement au chiffre représenté par la  touche du clavier enfoncée par l'opérateur  imprimant maintenant le nombre réel des  compléments à. 9 de ces chiffres.  



  On a vu aussi que pour une opération de  totalisation, chaque barre de butée 113 pro  gresse vers l'arrière de la machine d'un nom  bre de pas égal au complément à 9 de la po  sition de la réglette correspondante au mo  ment où le cycle de totalisation commence.  



  L'impression du montant totalisé est faite  de la même manière et au même moment du  cycle que dans les opérations d'addition. Se  reportant à. la     fig.    8, le levier 187 est muni  d'un bec 220 coopérant avec la butée 221,  d'une barre 222 parallèle aux barres de butée  <B>113</B> et circulant dans le même cadre 190.

   La  dite barre 222 est munie de deux crans 223 et       22,1    coopérant avec les organes     d'imprimerie     de la même façon que pour les crans 205 et  206, mais disposés à des hauteurs différentes,  de telle sorte que la hauteur du cran 224 com  mande l'impression du signe A- et que la hau  teur du cran 223 commande l'impression du  signe - à. une barre de caractère     d'imprime-          rie,    de     facon    identique à, celle qui a été décrite  pour l'impression des montants d'opérations.  



  Dans le cas d'un montant négatif, soit par  exemple 99.761, la barre 222 se déplace de  neuf pas et la butée 221 fait basculer le levier  187, de sorte que l'encoche 188 ne se trouvant  plus bloquée, le cadre 190 se déplacera vers      la gauche sous la sollicitation du ressort 19$.  Lorsque le déplacement vers le haut des  barres d'imprimerie 207, 208 et 209 aura. lieu,  les crans de droite 206 et 223 opéreront, puis  que les crans des montants 206 sont décrois  sants et que le mouvement des barres de butée       #    ers l'arrière de la. machine se fait par rap  port au complément du montant réel totalisé.  Les chiffres imprimés correspondront au mon  tant réel totalisé et non à son complément.

    Dans l'exemple, la position 99761 sera,     impri-          rnée    sous la forme - 238.  



  Considérons maintenant un montant posi  tif, par exemple 00238. La barre 222 au mo  ment de la totalisation     rie    progressera pas vers  l'arrière de la machine, de sorte que la butée       '?21        rie    fera pas basculer le levier 187 qui con  tinuera. à maintenir le cadre 190 dans sa, po  sition     vers    le côté droit de la machine. Lors  que les organes d'imprimerie 207, 208 et 209       progresseront    vers le haut, les crans de     gau-          clle    224 et 205 arrêteront les crochets 217.

         Puisque    les crans des montants 205 sont. crois  sonts, les chiffres imprimés correspondront  au montant réel du déplacement des réglettes;  ainsi, dans l'exemple, la position 00238 sera  imprimée en     -i-    238.  



       Sous-totalisation   <I>- Transfert.</I>  



  On a vu plus haut que pour les opérations       dE        totalisation-transfert,    l'opérateur enfonce  les touches 921 ou 923; pour les opérations de       sous-totalisation,    ce sont. les     touches    922 ou       !121    qui seront enfoncées selon la section con  tenant le compteur à     sous-totaliser.     



  On voit à la     fig.    4 que la barre de butée  91 sera arrêtée par sa dent 225 ou 2251 et  qu'à ce moment la fente 85 de la plaque 82  s'arrêtera au-dessus du levier 74 ou 741. Les  leviers 74 et     7-11    sont. munis d'un bras supplé  mentaire 77, et l'arbre 39 est muni d'une came  226 solidaire de cet arbre qui, au cours de la  phase IV précédemment décrite, fera basculer  le levier 227. Ce levier 227 est muni d'un ga  let 229 dont le fonctionnement est le suivant:  Lorsque l'un des leviers 74 on 741 est repoussé       vers    l'avant. de la machine par la plaque 81,  le tenon 229 viendra coopérer avec le bras    supplémentaire 77 qui fait alors basculer le  levier 74 ou 741 selon le cas.

   Ce dit levier,  ainsi basculé, ne sera plus en engagement  avec la plaque 81, et les barres 67 ou 68       (fig.    20) reviendront à la position de repos  sous la sollicitation des ressorts 70 ou 71. A  ce moment, les organes de verrouillage 53 ou  531     (fig.    1) cessent d'être commandés par les  barres 67 ou 68 et viennent bloquer le palier  18, de sorte que le dégagement du compte  sous-totalisé ne se réalisera pas au cours de  la phase V, mais seulement au cours de la  phase VI lorsque la dent 632 de la came 63  coopère avec le bec du levier 62     (fig.    6).  



  Dans ces conditions, les réglettes 12, au  lieu d'être bloquées à la position extrême, vers  l'arrière de la. machine,     comme    pour l'opéra  tion  total , se trouvent ramenées au cours de  la phase V à la position qu'elles avaient au  commencement de l'opération et avant .d'être  dégagées.  



  L'impression sur un rouleau 219 des trans  ferts en sous-total se réalise dans les mêmes  conditions que précédemment 'indiqué. Les  barres de butée 28 et 281     (fig.    8), ainsi qu'il  a déjà été expliqué, coopèrent dans la sélec  tion des compteurs. Ces dites barres sont mu  nies de rampes à crans 342 pour la barre 28  et 343 pour la barre 281. Ces dites rampes à  crans coopèrent de façon analogue à celle dé  crite pour les barres à crans 205 et 206 avec  les organes d'impression, de sorte que le nu  méro des compteurs sélectionnés s'imprimera  à côté du montant enregistré.

   La barre de  butée 91 est également. munie d'une rampe à  crans 344 qui coopère aussi de la même ma  nière avec les organes d'imprimerie et qui a  pour but d'imprimer, à côté du numéro des  compteurs sélectionnés, le     symbole    correspon  dant à la fonction qui a été sélectionnée au  moyen des touches 921, 922, 92s,     92.1    et     92,5          (fig.    4).

   Ces symboles de fonction peuvent  être représentés par des lettres ou des chiffres  et pour simplifier l'exposé qui suit,     ori    a  adopté les exemples suivants  0: pour les opérations d'enregistrement  des montants positifs et pour lesquelles au  cune des touches 92 n'est à enfoncer     (fig.    4) ;      pour les opérations d'enregistrement  des montants négatifs et pour lesquelles il  est nécessaire d'enfoncer la touche 925;       TAV    : pour les opérations de totalisation  des compteurs de la section avant. et pour les  quelles la touche     92,1    doit être enfoncée;

         TAR:    pour les opérations de totalisation  des compteurs de la section arrière pour les  quelles la touche     92@    doit. être enfoncée;       STAV:    pour les opérations de     sous-totali-          sation    des     compteurs    de la section avant pour  lesquelles la     touche        92#,    doit être enfoncée;  STAR: pour les     opérations.de        sous-totali-          sation    des compteurs de la section arrière  pour lesquelles la touche<B>92,</B> doit être en  foncée.  



  Par suite de la combinaison des organes clé  sélection de calcul et d'impression tels qu'ils  ont été décrits, toutes les nombreuses fonc  tions, susceptibles d'être réalisées par la ma  chine, sont commandées par l'opérateur au  moyen d'un clavier de sélection de fonctions  <B>92,</B> à 925     (fig.    4) et d'un clavier de sélection  des compteurs<B>93,</B> à 939     (fig.    1), de manière  à présélectionner n'importe quelle combinai  son des fonctions et des compteurs et à effec  tuer n'importe quelle opération de calcul et  d'impression ainsi présélectionnée, par enfon  cement des touches correspondantes après  commande du moteur     Jr.     



  Si l'on reprend les exemples qui ont été  proposés au cours de cette     description,    on  verra qu'une     li-ne     0 9 4 275  imprimée par la machine indiquerait qu'une  somme de 275 a été introduite dans le sens  positif dans les compteurs     N     4 avant et     N     9  arrière, les touches 939 et<B>93,1</B> correspondant  aux sections respectives avant été enfoncées.  Une ligne libellée:  9 4 275  indique que la même somme a été introduite  dans les deux compteurs mentionnés, mais  dans le sens négatif. L'opérateur avant en  foncé les mêmes touches de sélection pour les  compteurs et     clé        plus    la touche 92,,.

      D'une façon analogue:  0 0 4 27:5  indiquerait que la somme 275 a été introduite  dans le sens positif dans le compteur N  4  avant,     salis    affecter aucun compteur de la sec  tion arrière et, dans ce cas, la touche<B>93.1</B> seu  lement aurait. été enfoncée.  



  Si la     ligne    imprimée     est          STAV    9 4 -182  cela indique que le compteur 4 (le la section  avant a été totalisé et que son solde 182 a été  transféré dans le sens négatif au compteur 9  de la section arrière. Les touches 939 corres  pondant à la section arrière et     93i        eorrespon-          dant    à la section avant,     ;ainsi    que la     tonclie          92-1    ont été enfoncées.  



  Une ligne telle que:       TAV    0 4 -182  indique que le même compteur a été totalisé  de la même façon, mais que son solde négatif  182 n'a été transféré à aucun autre compteur  de la section arrière. En vue de cette opéra  tion, les touches<B>93,1</B>     avant    et 924 arrière     on#     été enfoncées.  



  Une ligne telle que  STAR, 9     4.   <B>-89</B>  indiquerait que le compteur     :V     9 de la section  arrière a été totalisé et que son solde 89 a été  transféré au compteur N  4 de section avant  dans le sens négatif, les touches enfoncées se  raient les touches 939 arrière et.<B>93,1</B>     avait.,     ainsi que la     touche        92..     



       Enfin,    une ligne telle que:       TAR    9 4<B>-89</B>  indiquerait que l'opération effectuée serait.  une opération de     sons-totalisation    et que les  touches enfoncées auraient été les touches     93,i     arrière et     93,1    avant, ainsi que la touche     9313-          Toutes    les combinaisons possibles     peuvent     être     présélectionnées    de manière     analogue     afin de pouvoir effectuer n'importe quelle      opération ou série d'opérations, de comptabi  lité, de statistiques ou autres.  



  Se rapportant aux     fig.    1, 2, 22 et 15, on  voit que le rouleau d'impression 219 est. monté  à rotation entre deux flasques parallèles 230  et 2301 d'un organe basculant et solidaires       d'un    arbre 231 monté à rotation dans des ori  fices pratiqués dans les deux flasques paral  lèles 232 et 2321 du cadre d'un chariot. Ces       deux    flasques 232 et 2321 forment avec deux  barres 233 et 234 un cadre rigide à     l'inté-          rieur    duquel l'ensemble constitué par l'arbre       :..'31,    les flasques 230 et 2301 et le rouleau 219       peut.    basculer.

   Un ressort 235 sollicite     vers    le  haut les flasques parallèles 230 et<B>2301,</B> mais  l'effort de ce ressort, est, limité par deux     ero-          ehets    236-2361 dont sont respectivement  munis les flasques 230 et 2301 coopérant avec  deux cliquets 237-2371 solidaires d'un axe  238 monté à rotation sur les flasques     2,32    et  2321. Deux manettes 239 et 2391     commandent     le mouvement des flasques 230 et 2301 solli  cités, d'autre part, par le ressort 235, de sorte  qu'après engagement des cliquets 237 et 2371,  le rouleau 219 demeure en position d'impres  sion. Un autre levier 240 est monté à pivote  ment sur le flasque 2321.  



  Un bec 241 de ce dit, levier 240 est destiné  à, écarter les cliquets 237 et 2371, et dans ce  cas, les flasques parallèles 230 et 2301 sui  vront la sollicitation du ressort 235 et remon  teront, permettant ainsi l'introduction fron  tale des documents destinés à être imprimés  par la machine. Des rails 242 et 243 sont fixés  aux flasques 2 et 3 de la machine     (fig.    1, 2,  14, 15 et 16); ces rails sont destinés à faire  glisser le chariot au moyen de rouleaux ou  valets antifriction de toutes façons connues.

    Une barre transversale 244 est fixée par ses  extrémités aux flasques 232 et 2321 et une  crémaillère 245 coulisse sur cette dite barre;  une roue dentée 246 engage la crémaillère  245 de telle façon que lorsque la roue tourne  clans le sens des aiguilles d'une montre, le cha  riot tourne vers la droite, et lorsque la roue  tourne dans le sens opposé, le chariot tourne  vers la. gauche. Une biellette 247 est montée  â rotation à l'extrémité gauche de la crémail-         lère    245, et à l'autre extrémité de cette dite  biellette est monté, aussi à. rotation, un levier  248, lui-même monté à rotation sur un support  249 solidaire du flasque gauche 232.

   La     biel-          lette    247 est rendue extensible grâce à une  boutonnière et à un ressort visibles à la     fig.    15.  A la partie supérieure du levier 248 est fixé  un tenon 250 qui coopère avec un autre tenon  251 solidaire -d'un levier 252 monté à rotation  sur le flasque parallèle gauche 230. La cré  maillère 245 coulisse sur la barre 244, ainsi       q11'11    a été expliqué plus haut, mais ce coulis  sement est, limité par des dispositifs     connus     en soi, tels que axes épaulés et boutonnières.

    D'autre part, ladite crémaillère est toujours  soumise     à,    la sollicitation     d'21n    ressort 253  dont. l'autre extrémité est fixée à la barre 244  du chariot.  



  Lorsque la roue 246 commence son mouve  ment dans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre, lorsque l'on regarde la ma  chine par l'arrière, ainsi que l'illustre la       fig.    15, cette roue déplacera le chariot vers la  gauche, ainsi qu'il a     été    montré     phis    haut,  mais avant de commander ce déplacement, la  dite roue 246 aura commandé le coulissement  de la crémaillère sur la barre 244. Le levier  248 tournera dans le sens inverse à celui des  aiguilles d'une montre, et le tenon 250, co  opérant avec le tenon 251 et avec le levier  252, suivra immédiatement.

   Le levier 252 est  muni d'un autre tenon 253 fixé de telle ma  nière, par rapport au centre de     pivotage    254,  qu'il déplacera un coulisseau 255 avec lequel  il peut coopérer par un tenon 256 solidaire  du coulisseau 255. Le     coulisseau    255 est soli  daire du flasque parallèle 230 et est muni d'un  bec coopérant avec un rochet 257 solidaire du  rouleau d'impression et destiné à faire tour  ner ce dit rouleau d'une valeur correspon  dante à l'interligne voulu.  



  Dans la description qui précède, on a in  diqué que la roue 246 pouvait tourner dans  les deux sens, cette roue est commandée par  un moteur électrique et contrôlée par un appa  reillage d'embrayage et de débrayage dont la.  description est indiquée ci-après     (fig.    2, 14,  15 et 16).      Une     plaque-support   <B>258</B> est solidaire d'un  bâti 213 et est pourvue d'un axe<B>259</B> autour  duquel tourne un pignon 260. Ce pignon 260  est entraîné par un jeu d'engrenages com  mandé par un pignon. 261 solidaire du bout de  l'arbre du réducteur 262 dont la fonction a  été expliquée plus haut.

   Le pignon 260 en  traîne deux roues dentées 263 et 264 qui co  opèrent l'une avec l'autre de     faeon    que la  roue 264 tourne dans le sens des aiguilles  d'une montre, tandis que la roue 263 tour  nera dans le sens contraire. Cette     disposition     est visible à. la     fig.    15 qui ne montre qu'excep  tionnellement et pour plus de clarté la ma  chine vue de l'arrière. Ces deux roues sont  montées dans des pièces en forme de douilles  <B>265--266,</B> serties sur la     plaque-support    258,  et sont munies chacune de     deux    .chiens<B>267</B> et  268 montés à rotation sur des entailles pra  tiquées dans le corps desdites roues perpendi  culairement à leur plan de rotation.

   Une  deuxième paroi 269 est réunie par des entre  toises 270 à la     plaque-support    258. Deux     ro-          ehets    271 et 272 solidaires des pignons 273 et  '374 coopèrent avec la roue     2-16    qui entraîne  la crémaillère 245. Deux axes 275 et 276     peii-          vent    coulisser à l'intérieur des douilles 265 et  266 et sont munis des rondelles 277 et 278 pé  nétrant dans les rainures pratiquées à. l'extré  mité des chiens 267 et 268.

   Suivant la posi  tion de coulissement     desdits    axes     275-\-376,     les becs des chiens 267 et 268 coopèrent ou  non avec le rochet 271 ou 272     correspondant.          (.'n    troisième flasque<B>279</B> est. réuni au flasque  269 par des entretoises et est muni de paliers       horizontaux    dans lesquels un arbre 260 est  susceptible d'osciller. Cet arbre est muni d'un  double bras en forme de bascule 281, muni  de     deux    tenons 282 et 283 qui pénètrent     dans     la     gorge    d'une poulie 284 et 285, elle-même so  lidaire des     axes    275 et 276.  



  La. disposition des organes de transmission  et de     débrayage,    qui vient d'être décrite,  montre que si l'axe 262 tourne     toujours    dans  le     même    sens, par exemple dans celui des  aiguilles d'une montre en regardant la ma  chine de l'arrière, suivant la     fig.    15, deux po  sitions de l'organe basculant 281 détermine-         ront    le sens de rotation de la roue 216 com  mandant le déplacement du chariot.  



  En effet, si les chiens<B>267</B> coopèrent avec  le rochet 271, ce dernier entraînera la roue  216 en la faisant tourner dans la     direction     des aiguilles d'une montre (toujours en re  gardant la machine par l'arrière, selon la       fig.    15), et le déplacement du chariot aura  lieu vers la droite, le rochet 272 tournant  alors fou sur sa douille.  



  Au contraire, si ce sont les chiens 268 qui  coopèrent. avec le rochet 272, c'est ce dernier  qui entraînera. alors la roue 246, et le dépla  cement du chariot aura lieu vers la gauche,  et c'est dans ce cas le rochet 271 qui tournera  fou sur sa douille. L'élément basculeur 281  étant rigide, ne pourra jamais coopérer à la  fois avec tous les éléments du débrayage.  



  En considérant la     fig.    14, on voit que l'élé  ment basculeur 281 est maintenu en position  par des billes 286 logées dans des trous coni  ques pratiqués dans des bossages du flasque  279 et maintenus en place par des ressorts vi  sibles .à la     fig.    14.  



  Les deux positions qui viennent d'être dé  crites sont. les     deux    positions de     basculement     extrêmes, mais il peut encore y avoir une po  sition qui est. celle parallèle aux flasques 279  et 269.  



  La longueur des becs des chiens 267 et 268  est. calculée pour que dans cette troisième  position aucun des chiens ne coopère ni avec  les rochets 271, ni avec les rochets 272.  



  Dans ce cas, les roues dentées ?63 et 264  tourneront, mais la roue 246 ne suivra pas ce  mouvement de rotation et. le chariot demeu  rera immobile.  



  *Le contrôle des positions, c'est-à-dire l'em  brayage des organes d'entraînement     du        elia-          riot,    ainsi qu'ils viennent d'être décrits, peut  se faire soit automatiquement au cours du  cycle de la machine, soit par l'entremise d'un  opérateur disposant. d'éléments de commandes  manuelles.  



  Le contrôle automatique s'effectue de la  manière décrite ci-après avec référence aux       fig.    1, 2, 16, 17 et 18.      L'arbre 280 est muni d'une plaque 287 qui  est solidaire avec lui, ladite plaque 287 est       munie    d'un galet antifriction     \?88.     



  Sur le flasque 279 sont montés deux pa  liers 289 autour et dans lesquels un arbre 290  peut tourner et glisser parallèlement à son  a     xE.     



  Un levier 291 est solidaire de l'arbre 290  et son extrémité inférieure est munie d'An       galet.    antifriction 292, tandis que son extré  mité supérieure vient. coopérer avec un galet       '?88    soit à gauche de son axe, soit à droite, sui  vant la, position de coulissement axial de l'ar  bre 290.  



  Aux     fig.    1 et 2, on voit l'arbre d'impri  merie 212 sur lequel est fixé un levier 293;  ,sur ce levier 293 est. montée à rotation une       came-cliquet    294 et dont la position angu  laire est, déterminée par un ressort et une  butée.  



  Lorsque la came 216 cesse de coopérer avec  le     ;-alet        \?15,    l'arbre 212, ainsi qu'il a été      u          préeédemnient,        tourne    clans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre. A ce mo  ment, le     cliquet    294 va passer sous le galet  292, mais lorsque la came 216 coopérera à  nouveau avec le galet 215, faisant ainsi tour  ner l'arbre 212, cette fois dans le sens des ai  guilles d'une montre, le cliquet 294     repons-          sera    alors le galet 292 et le levier     \391    tour  nera.  



  L'extrémité     dit    levier 291 coopérera avec  le galet 288 soit dans sa partie gauche, soit       (h)ns    sa. partie droite, suivant la. position de  coulissement de l'arbre 290, et l'organe bas  enlant 281 suivra cette rotation, mettant en  action soit les chiens 267, soit les chiens 268  et. amenant, finalement le déplacement du       chariot    ou vers la droite ou vers la gauche.  



  Il sera expliqué     phis    loin comment l'opé  rateur peut donner à l'arbre 290 la position  axiale nécessaire pour que le chariot se dé  place dans le sens désiré.  



  La barre 244 est munie d'une barre de     ta-          (j        uets    de     tabulation    295     (fig.    18), et ladite  barre de taquets de     tabulation    est fixée à la  barre 244 de Tacon amovible. La barre de ta  quets de fabulation est munie d'autant de ta-         quets    de     tabulation    296 qu'il est nécessaire  pour provoquer les arrêts du chariot aux  intervalles demandés par la position des co  lonnes du document comptable que la machine  d     evra    imprimer.  



  Deux verrous 297 sont montés sur une pla  tine 298 solidaire du flasque 279. Ces verrous  peuvent, d'une part, coulisser dans le sens de  leur longueur et., d'autre part, légèrement pi  voter autour     -d'axes    299 solidaires de la pla  tine 298. Deux leviers 300 sont montés à     -t o-          tation    sur la face intérieure d'un couvercle  302 fixé par des entretoises à la platine 298  et sont maintenus en position par des ressorts  303 coopérant avec des tenons 30 solidaires  de la platine 298.

   Une     extrémité    arrondie de  ces leviers 300 pénètre dans une rainure pra  tiquée dans les verrous 297, de sorte     qu'an     effort de poussée est exercé sur ces dits ver  rous vers l'avant de la machine et l'avance  ment ainsi     produit    est limité par les tenons  301. Deux autres leviers 304 montés à rota  tion sur la platine 298 sont sollicités par les  ressorts 305 et maintenus en position par les  tenons 301 de telle manière que le bord 3041  de ces dits leviers 304 exerce une pression  sur les verrous 297, les     maintenant    ainsi en  contact avec le tenon 306 solidaire de la pla  tine 298. De cette faon, le guidage des ver  rous est effectué dans leur mouvement longi  tudinal.

   Les organes     d'autodébrayage    qui  viennent ainsi d'être     énumérés    seront décrits  plus en détail ci-après.  



  Lorsque le chariot est en mouvement soit  vers la droite, soit vers la gauche, un taquet  de     tabulation    296 parviendra à son point  d'appui sur la rampe inclinée d'un des deux  verrous 297. Ce dit verrou glissera longitudi  nalement et s'effacera contre la sollicitation  du ressort. 303 correspondant. Le taquet con  sidéré viendra buter contre l'autre verrou. Cet  autre verrou subira un choc dû à l'inertie du  chariot, basculera et entraînera en basculant  le levier 304 correspondant et soumis à la sol  licitation du ressort 305     (fig.    18).  



  Il convient de se souvenir que l'organe  basculant 281 est dans une position oblique  par rapport à la plaque 287 soit sous l'effet      clé commandes automatiques telles qu'elles ont  été     décrites    plus haut, soit sous l'effet de  commandes manuelles de l'opérateur que l'on       décrira    par la suite. L'effet de ce     positionrle-          ment    est que     1-'un    des deux tenons 307 soli  daire de ladite plaque<B>287</B> se trouvera très  rapproché du bord courbe 308, du levier 304  correspondant, et au moment où le levier 301  pivote, son bord courbe 308 viendra coopérer  avec le tenon 307 correspondant amenant  ainsi la plaque 287 à se redresser et le retour  à sa position parallèle de l'organe basculant  281.

    



       L'organe    basculant fera alors pression sur  les axes 275 ou 276     (fig.    14), et les chiens 267  ou les chiens 268 seront dégagés des rochets  correspondants 271 ou 272 et le chariot ces  sera d'être entraîné.  



  Il est évident que pour que ce débrayage  ait lieu, le chariot devra légèrement dépasser  la position d'arrêt, mais à ce moment le même  verrou 297 qui a occasionné le débrayage fera  retourner le     chariot    à sa position correcte sous  l'effort du levier 304 sollicité par le ressort  305 faisant pression sur le taquet de     tabula-          tion.     



  On pourrait, concevoir que le mouvement.,  de bascule de la plaque 287, se faisant trop       rapidement,    le chariot se trouverait, embrayé  à. nouveau dans le sens opposé par suite de  l'inertie de cette     plaque    287 dans le cas où  la bille 286 correspondante ne serait. pas suf  fisamment maintenue par son ressort pour  occasionner l'arrêt de l'organe basculant 281  à. la position neutre. Pour éviter ce risque, des  leviers 309 sont. montés à rotation sur la pla  tine 298 et sont munis à une extrémité de       masselottes    310, tandis que leur autre extré  mité sert de butée aux tenons 307.

   Le poids  des masselottes est établi de façon à contre  carrer l'effet .de lancée de la plaque 287     dît     à un débrayage trop rapide de l'entraînement.  



  En considérant maintenant les     fig.    16 et  17 qui présentent, des vues de la machine par  l'avant, on voit que l'extrémité gauche (le  l'arbre 290, qui, ainsi qu'il<B>a déjà</B> été expliqué,  peut glisser parallèlement à son axe, est mu-    nie d'une plaque en forme de faucille     :320          (fig.    16 et 17).  



  La position de cette plaque par rapport à.  l'extrémité gauche de l'arbre 290     est.    telle due  lorsque ledit arbre 290 a glissé vers la droite  et que le levier 291 parvient à faire basculer  <B>le</B> galet 288, le bord supérieur de la plaque  320 entre en     coopération    avec le bord arrondi  du levier 300 et le verrou 297 gauche se  trouve effacé. Le résultat. en est. la possibilité  pour le chariot de se déplacer vers la gauche  (vers la droite si l'on considère la     fig.    1.5)  jusqu'à ce que le taquet de     tabulation    296       (fig.    18) opère un     autodébrayage    de la     faplon     décrite ci-dessus.  



  L'arbre 290 étant. placé vers la, droite, le  chariot effectuera une     tabulation    vers la gau  che, en regardant la machine par devant, ou  vers la droite si l'on considère la     fig.    15 qui  illustre une vue de la machine par l'arrière.  



  La valeur de cette     tabulation    sera déter  minée par la position des taquets de     tabula-          tion    296 qui auront été fixés sur la barre de  fabulation 295. Il faut remarquer que ces     ta-          bulations    ne seront pas     accompagnées    d'un  mouvement d'interligne, c'est-à-dire de rota  tion du     rouleau    219, du fait que la crémaillère  245 soumise à l'action clé la biellette 247 exer  cera une poussée sur le levier 248 dans le sens  opposé au mouvement de l'interligne     (fig.    15).

    Si l'on considère le sens contraire, ce sont les  chiens 268 qui s'engageront avec le rochet 272  et, dans ce cas, la crémaillère 245 sera entraî  née vers la droite (vers la gauche si l'on con  sidère la     fig.    15) par la roue     2-16.    Cependant,  la barre munie de taquets 295 est. bloquée par  les verrous 297 (voir     fig.    18) ;

       puisque    cette  barre ne peut ainsi se déplacer, ce sera la cré  maillère 245 qui, obligatoirement, coulissera  sur la barre transversale     21-1,    opérant L'opé  ration de l'interligne et le mouvement suivant,  c'est-à-dire lorsque la course de glissement  maximum de la crémaillère autorisée par la       longueur    des boutonnières est atteinte, l'auto  débrayage se poursuit de la faon ci-dessus  décrite.  



  Le glissement à droite on à gauche de  l'arbre 290 est contrôlé par l'opérateur au      moyen d'un levier à manette 322     monté    à ro  tation sur le flasque 3 de la machine et muni   < l'un système     compensateur    318 à levier, res  sort et bielle 323.  



  Lorsque l'opérateur pousse la manette vers  la droite, il s'ensuivra un     glissement    de l'ar  bre 290 vers la gauche, mettant ainsi les or  ganes de débrayage et d'entraînement ci-des  sus décrits en position de travail en     interl.i-          'Uie,    tandis qu'une poussée en sens contraire  fera travailler les mêmes organes en     tabula-          tion.     



  Les trois positions de l'organe basculant       '?81    déterminant l'entraînement à gauche, ou  l'entraînement à. droite, ou l'immobilité du  chariot, peuvent être contrôlées par l'opéra  teur au moyen des dispositifs qui vont être       décrits    ci-après.  



  En considérant la,     fig.    17, on voit une pla  que 311 montée à rotation sur le couvercle 302  et munie de tenons 312, lesquels peuvent,  après un certain nombre de basculements de  la plaque 311, venir coopérer en poussant  l'un ou l'autre des tenons 307 solidaires de la  plaque 287, de     faeon    à faire passer ladite     plu-          que    287 et, par suite, l'organe basculant 281,  de la position parallèle de     non-entraînenrent     à. une position oblique d'entraînement à droite  ou à gauche.  



  La plaque 31.1 est également, munie de  deux bords 313 en forme de came et pouvant  coopérer avec l'un ou l'autre des tenons 311,  solidaires de l'un ou l'autre des leviers 300.  de     facon    à faire basculer le levier 300 corres  pondant un peu avant que     l'embrayage    soit  effectué.  



  Le basculement d'un des leviers 300 a  tour conséquence, ainsi qu'il a été vu plus  haut, d'effacer le verrou 297 Clans lequel ledit  levier est engagé par sa partie ronde, de  sorte que le taquet de     tabulation    296 sera dé  bloqué et permettra l'entraînement du cha  riot dans le sens désiré.  



       Un    levier à manette 315 monté à     rotation.          sur    le flasque 3 de la machine est, muni d'un  système compensateur 318 à levier et ressort.  Ce dit. levier 315 coopère     avec        suie    bielle 316  reliant. l'extrémité du     levier    315 à la plaque    311.

   Cette manette permet à l'opérateur de  contrôler le système d'embrayage, de façon à  obtenir l'entraînement du chariot soit à droite,  soit à gauche, jusqu'au moment où le taquet  Cie     tabulation    suivant détermine     l'auto-          débrayage    de la façon qui a été indiquée plus  11     aut.     



  Dans le cas où l'opérateur désire obtenir  une course du chariot plus grande que celle  déterminée par les taquets de     tabulation    soit  à droite, soit à gauche, il suffira de maintenir  l'effort sur la manette, ce qui aura pour effet  de     prolonger    l'effacement du verrou corres  pondant.  



  La plaque 311 est munie d'un bras de sé  curité 317; dans le cas où l'opérateur conti  nuerait par mégarde à maintenir indéfini  ment la pression sur le levier 315, ce bras de  sécurité 317 reviendra à sa position droite par  l'effort de butées s'opposant à la sollicitation  du' ressort 318, ces dites butées étant fixées  aux extrémités du chariot.  



  Le dispositif     d'embrayage    et     d'auto-          débrayage    qui vient d'être décrit.     fonctionne     aussi longtemps que l'arbre 262 continue son  mouvement de rotation. .  



  Afin d'éviter une rotation permanente, un       interrupteur        31.9    est prévu, permettant le pas  sage du courant vers le moteur électrique,  seulement lorsque la plaque 287 se met en po  sition oblique ou d'entraînement à droite ou  à gauche. Dans la position moyenne ou de re  pos, la plaque 287 coopérera avec la lame  d'un contact destiné à couper le courant  d'alimentation dudit moteur.  



  Au lieu d'être commandées par l'opéra  teur, au     moyen    des touches 92 et 93 du cla  vier, les barres de butée correspondantes peu  vent être commandées automatiquement en  fonction de la, position du chariot du rouleau  d'impression le long des rails 242 et 243,     c'est-          à-dire    en fonction de la position de fabulation  du chariot.  



  A cet effet, un     certain    nombre de leviers  324 sont disposés à l'arrière de la machine,  ces leviers étant montés à rotation sur un  arbre 325 porté par des supports 326 fixés au  rail 242     (fig.    1 et 22).      Chacun desdits leviers est muni, d'une  part, à. son extrémité     supérieure,    d'un galet  327 capable de coopérer avec le bord arrière  d'une réglette 329,     toutes    les réglettes 329  étant rendues solidaires de la réglette longi  tudinale 233 du chariot, au moyen du support  328 et, d'autre part, à son extrémité infé  rieure, d'un doigt 334 s'engageant sous un  galet 332 porté par l'un des côtés d'une barre  331 qui coulisse verticalement dans des guides  convenables, solidaires du bâti de la machine.

    Chaque barre verticale 331 se prolonge, à sa  partie inférieure, par un     doigt   <B>2171.</B>  



  Dans la machine représentée, il y a cinq  leviers 324, à savoir un levier 3241 destiné à  commander la sélection de la nature des opé  rations réalisées par la machine, et quatre  leviers 3242, 3243, 3244, 3245 destinés à com  mander la sélection des compteurs dans les  diverses sections. En fait, seuls les leviers  3242 et     32-13    sont utilisés dans le cas présent,       ainsi        qu'll    sera expliqué ci-après.  



  Le doigt 2171 de la barre verticale 331  correspondant au levier 3242 est agencé pour  coopérer avec une rampe à crans 333     (fig.    1)  solidaire de la barre de butée 28, la position  des crans sur ladite rampe étant telle qu'en  fonction de la position verticale du     doigt    2171,  la barre de butée 28 peut être immobilisée  dans son mouvement vers l'arrière de la ma  chine dans les différentes positions dans les  quelles elle peut être immobilisée en enfonçant  les touches 93 de la colonne de gauche de la  partie correspondante du clavier, c'est-à-dire  dans neuf positions successives.  



  Le bord arrière de la réglette 3292 avec le  quel coopère le galet 3272     porté    par le levier  3242 est. entaillé de telle façon que, lorsque le  chariot du rouleau d'impression se déplace le  long des rails 242, 243, le galet 3272 suit les  dites entailles, en permettant au levier 3242  de pivoter dans le sens des     aiguilles    d'une  montre     (fig.    1), si le galet 3272 passe d'une  entaille donnée à une entaille plus profonde,  ou dans le sens inverse des aiguilles d'une  montre, dans le cas contraire.  



  Pour éviter de surcharger les dessins, les       entailles    ménagées dans les réglettes 329    n'ont pas été représentées, mais il suffit de  dire qu'elles présentent des     profondeurs    dif  férentes, ainsi qu'il sera exposé ci-après, et  qu'elles peuvent être réunies entre elles     pa1@     des parties obliques. La barre verticale<B>331</B>  suspendue au levier     324a    sera. donc levée ou  abaissée selon le cas.

   La profondeur des en  tailles dans la réglette 3292 est déterminée de  Tacon telle que le doigt<B>217,</B> de la barre ver  ticale 331 considérée est amené, pour cha  que position de     tabulation    du chariot, au ni  veau auquel la coopération dudit doigt avec  la. rampe à crans 333 correspondante déter  mine l'arrêt de la barre de butée 28 dans la  position qui correspond à la sélection du  compteur dans lequel doivent être réalisés les  enregistrements ou opérations à imprimer  dans ladite position de     tabulation.     



  La réglette 3293 avec laquelle coopère le  galet 3273 du levier 3243 est disposée .de la  gon     analogue,    la barre verticale 331 correspon  dant audit. levier étant agencée pour coopérer  dans les mêmes conditions avec une rampe à  crans solidaire de la barre de butée<B>281.</B>  



  Deux leviers 3242 et 3243 suffisent lorsque  la machine, comme il est représenté aux des  sins, ne comprend pas plus de neuf compteurs  dans chaque section, mais deux leviers sup  plémentaires     32.1:1    et 3245 sont. prévus pour le  cas où l'on adapterait dans la machine des  sections comprenant un nombre de     compteurs     égal ou     supérieur    à dix, mais inférieur à 99.  Dans un tel cas, deux barres de butée avec     des     colonnes de touches correspondantes doivent  être prévues dans la machine, de façon analo  gue à ce qui est décrit dans le brevet  N  227179.

   T1 v a     alors    quatre barres de butée  telles que 28, 281, et il. doit donc y avoir qua  tre barres verticales correspondantes 331 et  quatre leviers 324. D'une     facon    générale, la  machine doit comporter autant de leviers 324  pour la commande des sections des compteurs  qu'il y a d'ordres de numération dans le     no;n-          bre    desdits compteurs dans chaque section,  multiplié par le nombre de sections.  



  Le levier 3241 commande également une  barre verticale coulissante 331 qui coopère  avec une rampe à crans 333, solidaire de la.      barre de butée 91     (fig.    4), de telle sorte que  cette barre de butée peut être immobilisée  (]ans son mouvement vers l'arrière de la ma  chine, en fonction de la position de ladite  barre verticale 331, dans les     diverses    posi  tions clans lesquelles elle serait immobilisée       par    enfoncement des touches 92.

   Le bord  arrière de la règle 3291 qui coopère avec le  galet 3271 du levier     3241    est muni d'entailles       disposées    pour que, dans chaque position de       fabulation    du chariot, le levier     3241    et, par  conséquent, la barre verticale 331 correspon  dante viennent. se placer dans la position qui  détermine l'arrêt de la barre de butée 91,  après un mouvement de cette dernière vers       l'arrière,    sur la distance nécessaire pour dé  terminer la section de l'opération qui doit  être     effectuée    par la machine dans la position  correspondante de     tabulation    du chariot.  



  Le chariot étant arrêté dans une position  donnée de     tabulation,    avant le début de cha  que cycle opératoire de la machine, les en  tailles des réglettes 3291, 3292 et<B>3293</B> qui cor  respondent à ladite position de     tabulation    se  trouvent respectivement en face des leviers       3241,    32q2,     324@.    Comme les galets 327     des-          (lits    leviers sont.

   appliqués contre les réglettes  329 par le     poids    (les barres verticales 331, les  leviers     32.11,    3242, 3243 pivotent autour de  l'arbre 325     d'un    angle proportionnel à la pro  fondeur desdites entailles, et les barres verti  cales 331 se trouvent respectivement placées  1:

   des niveaux tels que, lorsque les barres ce       lutée    28, 281 et 91 sont libérées pendant le  fonctionnement de la machine et que lesdites  barres sont entraînées à l'arrière de cette der  nière, elles sont arrêtées par butée des ram  pes à crans avec les doigts<B>217,</B> des barres 33.1  clans les positions qui correspondent à la sé  lection des     compteurs    et des opérations dont  le contenu et les résultats respectifs doivent       ître    imprimés dans la position clé fabulation  considérée.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine à calculer comportant des comp teurs empilés constitués par des cadres dispo sés pour coulisser latéralement et individuel lement sons l'action .d'un mécanisme compor- tant des barres de butée coulissantes (28) co opérant par des dents (165-166) avec les tiges des touches (93) d'un clavier de com mande, pour être immobilisées dans des posi tions correspondant chacune au coulissement latéral d'un cadre donné, chaque cadre conte nant des réglettes (12) parallèles coulissant longitudinalement, en nombre égal à celui des ordres de numération que l'on désire enregis trer dans la machine, les réglettes correspon dant à un même ordre de numération, dans l'ensemble des compteurs empilés,
    étant su perposées et commandées, pour chaque ordre, par une cornière coulissante (98) agencée pour s'engager dans des encoches ménagées le long de l'un des côtés des réglettes, chaque cornière (98) étant liée respectivement à une barre d'entraînement (103) dont la position longitudinale est commandée par une barre de butée (113) coopérant par des dents (176, 1.77, 195, 196) avec les tiges des touches (1-14) d'un clavier de commande, un rouleau d'im pression (219) monté sur un chariot coulis sant transversalement et coopérant avec un mécanisme de tabulation agencé pour arrêter ledit.
    chariot dans des positions prédétermi nées étant prévu polir permettre l'impression du résultat des opérations réalisées par le dé placement des réglettes, opérations dont la na ture est commandée par un mécanisme com portant une barre de butée coulissante (91) analogue à celles du mécanisme de commande du coulissement latéral des cadres des comp teurs, caractérisée en ce qu'elle comporte un dispositif de report assurant automatiquement le report d'une unité à un ordre de numéra tion immédiatement supérieur lorsqu'une ré glette (12) d'un ordre donné a subi des mou- ements d'avance représentant une valeur au moins égale au nombre d'unités de la base clé numération et comprenant, pour chaque ordre de numération,
    une barre de transfert (106) et une barre de verrouillage (111), tontes deux guidées longitudinalement dans la ma chine, soumises à l'action d'un ressort (110, 1.12) et munies de rampes & _ guidage (100) agencées pour déterminer le déplacement des dites barres perpendiculairement à la direc- Lion de leur mouvement sous l'action desdits ressorts, une plaque oscillante (104) montée en rotation sur la barre d'entraînement (103) correspondant à l'ordre de numération consi déré, ladite plaque étant munie, d'une part, d'un téton (105) s'engageant. dans une fente ménagée longitudinalement dans la barre de transfert correspondant.
    à l'ordre de numéra tion immédiatement inférieur à celui qui est considéré, et, d'autre part, d'un axe sur lequel sont montés à rotation un cliquet<B>(107)</B> agencé pour s'engager dans iui sens avec un appendice (126) porté par la cornière cou lissante (98) correspondant à l'ordre de nu mération considéré et un contre-cliquet (10#)) agencé pour engager ledit appendice daïzs l'autre sens, ledit contre-cliquet portant un téton (109) qui s'engage dans une fente lon gitudinale ménagée dans la barre de verrouil lage (111) correspondant à l'ordre de numé- ration considéré, un arbre rotatif (1l.9)
    dis posé verticalement sur un côté de chacune des piles de réglettes (12), ledit arbre étant muni d'un volet latéral agencé pour coopérer avec un redan (120) pratiqué dans chacune des ré glettes, de telle sorte que ledit arbre soit en traîné en rotation lorsqu'une réglette quelcon que de la pile correspondante atteint l'une de ses positions extrêmes, un téton (118) porté excentriquement par ledit arbre et s'enga geant dans une fente ménagée dans un levier (117) monté à rotation dans le châssis de la.
    machine et agencé pour bloquer longitudinale ment la barre de verrouillage (111) de l'or dre de numération correspondant, celui de ces leviers qui appartient à l'ordre de nLunération le plus élevé étant relié par une bielle (122) à un levier analogue agencé pour bloquer la barre de transfert (106) correspondant à l'or dre de numération le plus bas, des moyens étant prévus pour verrouiller les barres de verrouillage (l11) et de transfert (l06) et pour ramener lesdites barres à leur position d'origine lorsqu'elles se sont déplacées sous l'action de leurs ressorts respectifs (110, 112), et des moyens étant prévus pour ramener les barres d'entraînement (103) à leur position d'origine lorsqu'elles ont été ,
    déplacées, sous l'action d'un ressort. (135), d'une longueur qui est déterminée par le rang de la touche (114) qui a été abaissée dans\ la partie cor respondante du clavier. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine à. calculer selon la. revendica tion, caractérisée en ce que les moyens pour verrouiller et déverrouiller les barres de tran#- fert (106) et de verrouillage (111) compren nent deux barres (31) coulissant longitudina lement dans des guides solidaires du bâti de la machine, ces barres étant. munies de rampes (168) qui coopèrent avec des leviers (170) ca lés sur Lin arbre transversal (171) monté rotation dans le châssis de la machine et por tant des doigts de verrouillage<B>(172)</B> qui co opèrent avec les barres de transfert (106) et de verrouillage (111), une came rotative (38) étant.
    prévue pour commander le mouvement de coulissement desdites barres (31), came qui est calée sur un arbre d'entraînement (39) agencé pour faire un tour pendant un cycle d'opérations de la machine, de telle sorte que les barres de transfert (106) et les barres de verrouillage (111) soient. libérées par les doigts de verrouillage <B>(172)</B> et peuvent se déplacer sous l'action des ressorts correspon dants (110, 112), au début de chaque cycle. 2.
    Machine à calculer selon la revendica tion, dans laquelle les moyens pour ramen^r les barres :d'entraînement (103) à leur posi tion d'origine comprennent, pour chaque barre d'entraînement, un levier (138) calé sur uli arbre (139) monté à rotation dans le châssis de la machine et commandé par un ensemble de bielle et de leviers (140, 141, 142) au moyen d'une deuxième came (144) calée -air le même arbre (39) que la première came (3:3) qui commande les barres de positionnement.
    des organes de verrouillage (172) des barres de transfert (106) et de verrouillage (111), cette deuxième came (1-14) étant décalée an- gulairement par rapport. à la. première, de telle faon que les barres d'entraînement (103) soient libérées et, puissent se déplacer sous l'action des ressorts correspondants (135), immédiatement après la libération des barres de transfert (106) et de verrouillage (111), tandis que lesdites barres d'entraînement (103) sont repoussées dans leur position d'ori gine immédiatement avant les barres de trans- fert (106) et de verrouillage (111).
    3. Machine à calculer selon la revendica tion, caractérisée en ce que la tige (154) de chaque touche (114) du clavier présente une longueur insuffisante pour que son extrémité puisse coopérer avec les dents .de la barre de butée (113) correspondante lorsque ladite touche est. enfoncée et en ce qu'une barre ver ticale (155) est montée coulissante le long de eliaque tige de touche et est munie d'un doigt latéral (156) s'engageant dans une fente mé nagée dans ladite tige de touche, un organe élastique (157) reliant chaque barre verticale (155) à.
    la tige de touche (154) correspon clante et sollicitant ladite barre vers le bas, chaque barre verticale (155) ayant une extré nité inférieure biseautée (161) faisant sail lie sous le clavier et agencée pour coopérer avec les dents de la barre de butée<B>(113)</B> correspondante en arrêtant cette barre lors que celle-ci se déplace dans une direction, nais en étant soulevée par les dents de ladite barre lorsque cette dernière se déplace dans l'autre direction. 4.
    Machine à calculer selon la revendica tion, caractérisée en ce qu'elle comporte un dispositif de commande automatique des barres de butée (28, 91) de sélection des ca dres de compteurs et de la nature des opéra tions à effectuer, en fonction de la position de tabulation du chariot du rouleau d'impres sion, .dispositif comprenant, en combinaison, des barres entaillées (329) fixées longitudina lement sur ledit chariot, en nombre égal au nombre total desdites barres de butée (28, 91<B>)</B>,
    lesdites barres entaillées ayant chacune tin bord longitudinal libre s'étendant sur la lon- ueur totale du rouleau d'impression et pré sentant des entailles étagées, un arbre (325) assujetti .dans le châssis de la machine, paral lèlement au chariot, et sur lequel sont montés à rotation des leviers à deux bras (324) en nombre égal à celui des barres entaillées, cha cun (le ces leviers portant, sur l'un de ses bras, un organe de contact (327) venant s'appliquer sur le bord entaillé de l'une des- dites barres, chacun desdits leviers coopérant ainsi avec une barre différente,
    tandis qu'à l'autre bras de chacun de ces leviers est sus pendue une barre verticale (331) dont l'extré mité inférieure coopère avec les crans d'une rampe en escalier (333) solidaire de l'une des barres de butée (28, 91) pour pouvoir immo biliser ladite barre de butée dans une posi tion donnée, fonction de la position de la barre verticale (331) correspondante, la.
    pro fondeur des entailles ménagées dans les bar res entaillées (329), la longueur des bras des leviers (324) et l'échelonnement des crans des rampes (333) étant calculés pour qu'à chaque position de tabulation du chariot corresponde une immobilisation des barres de butée (28, 91) dans une position donnant lieu au dépla cement des cadres de compteurs voulus et à la sélection de l'opération désirée.
    5. Machine à calculer selon la revendica tion, comportant un dispositif de contrôle impératif des mouvements transversaux du chariot. du rouleau d'impression, dans les deux sens, et caractérisée en ce qu'elle comprend un moteur dont l'arbre porte un pignon (261) agencé pour entraîner deux roues dentées en- grenantes (263, 264) tournant en sens inverses et montées à rotation sur un support (258) solidaire du bâti de la machine, et dans l'axe de chacune desquelles est monté coulissant un arbre (275, 276) portant un organe (277, 278) coopérant avec la queue d'au moins un chien (267, 268) monté à bascule sur la roue dentée (263, 264) correspondante,
    autour d'un axe sensiblement perpendiculaire à un plan contenant l'axe de ladite roué dentée, le bec dudit chien (267, 268) étant agencé pour s'engager, lorsque ledit arbre (275, 276) est amené à l'une de ses positions extrêmes de coulissement, avec les dents d'une roue créne lée (271, 272) montée à rotation sur le bâti de la machine, coaxialement avec la roue den tée (263, 264) correspondante et pour se dé gager desdites dents lorsque l'arbre coulissant (275, 276) est déplacé vers son autre position extrême de coulissement, les deux roues eré- nelées (271, 272) étant chacune solidaire d'un pignon (273, 274) engrenant avec une roue dentée commune (246)
    qui attaque une cré maillère (245) portée par le chariot du rou leau d'impression, et un levier double (9-81), relié aux deux arbres coulissants (275, 276) pour assurer leur coulissement en sens inver ses, étant calé sur un arbre (280) qui est monté à rotation dans le bâti de la machine et qui porte un levier de commande (287) sou mis, d'une part, à l'action d'un organe de com mande (291) agencé pour le faire basculer dans un sens ou dans l'autre d'une position extrême à l'autre et, d'autre part, à l'action de deux poussoirs oscillants (304) articulés sur le bâti de la machine et coopérant avec clés butées (296) portées, en position réglable longitudinalement,
    par une barre de tabula- tion (295) fixée au chariot du rouleau d'im pression, lesdits poussoirs (304) étant agencés pour ramener le levier de commande (287) et le levier double (281) dans une position inter médiaire pour laquelle les chiens (267, 268) des deux roues dentées (263, 264) sont à la fois dégagés des dents des deux roues cré nelées (271, 272). 6.
    Machine selon la sous-revendication 5, c araetérisée en ce que des verrous élastique (286) sont prévus pour immobiliser temporai rement le levier double (281) dans l'une et l'autre de ses positions correspondant aux po sitions extrêmes de coulissement des deux arbres coulissants (2275, 276). 7.
    Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que l'organe de commande (291) du basculement du levier clé commande (287) est une équerre (291) calée sur un arbre (290) parallèle à la direction de mou vement du chariot, monté à rotation dans (les supports (289) solidaires du bâti de la ma chine et coulissant longitudinalement.
    dans lesdits supports sous l'action d'un levier à main (322), ladite équerre (291) étant sou mise à l'action d'un mécanisme (293, 294) agencé pour la faire basculer autour de l'axe de l'arbre coulissant (290), lors de la mise en marche de la machine en vue de la réalisation d'une opération de calcul, l'équerre (291) co opérant, d'autre part, lors de son basculement, avec un galet (288) porté par le levier de commande (287), pour appui er sur l'un ou l'autre côté de ce galet selon la. position Ion- yitudinale de l'arbre coulissant (290). 8.
    Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que les poussoirs oscillants (304) sont. constitués par des leviers montés à rotation sur un support (298) solidaire du bâti de la machine, autour d'axes (314) sen siblement parallèles à l'axe de rotation du le vier de commande (287) et de part et d'autre de cet axe, lesdits leviers-poussoirs (304) comportant.
    chacun un bras présentant un bord (308) capable < le venir appuyer sur une butée<B>(307)</B> solidaire du levier de commande (287), en surmontant l'action d'un ressort (305) lors de la rotation du levier-poussoir correspondant, et lesdits leviers-poussoirs (304) s'appuyant par un bec (30-11), sons l'action dudit ressort (30.5), respectivement sur deux verrous (297) montés entre les le viers-poussoirs sur le support (\398) de ces derniers, à la fois à rotation dans le sens qui tend à repousser les becs (3041) des leviers poussoirs (304) et à glissement contre l'action de dispositifs de rappel élastique (300, 303),
    lesdits verrous présentant une tranche biseau tée coopérant. avec les butées (296) portées par la. barre-de tabulation (295). 9. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que le chariot d'impression est constitué par un châssis rigide formé de deux flasques latéraux externes (232, 2321) portant deux barres longitudinales (233, 234) montées coulissantes sur des rails (242, 243) solidaires du bâti de la machine, cadre dans lequel est monté oscillant un ensemble formé de deux flasques latéraux internes (230, 2301) entre lesquels est monté à rotation le rouleau d'im pression (219) et qui sont solidaires d'un arbre (231)
    tourillonnant dans les flasques externes (232, 2321), lesdits flasques internes (230, 2301) portant deux crochets (236, 2361) coopérant avec des cliquets (237, 2371) calés sur un arbre (238) tourillonnant dans les tlas- (lues externes (232, 2321), pour retenir ledit ensemble contre l'action du ressort (235), ces cliquets étant soumis à l'action d'un bras (240) d'un levier de manoeuvre (241) arti culé sur l'un des flasques externes (232), tandis que deux autres leviers de manoeuvre (239, 2391) sont solidaires respectivement des flasques internes (230, 2301).
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