CH315048A - Machine à calculer - Google Patents

Machine à calculer

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CH315048A
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      Machine    à calculer    L'invention a pour objet une machine à  calculer comprenant un clavier de montants,  deux totalisateurs addition -soustraction, des  entraîneurs pour les totalisateurs, un mécanisme  d'embrayage et de débrayage des     totalisateurs     avec les entraîneurs, des touches sélectrices de  totalisateurs et de déclenchement de la ma  chine, des mécanismes individuels de sélection  de totalisateurs associés auxdites touches sélec  trices, et des touches de commande de fonc  tions déterminant le type d'opération à effec  tuer, cette machine étant caractérisée par le  fait qu'un mécanisme de commande des tota  lisateurs est     influencé    de telle sorte par les  touches de commande de fonctions que,

   lors  de l'enfoncement de l'une des touches de com  mande de fonctions, les mécanismes individuels  de sélection de     totalisateurs    sont de ce fait  rendus efficaces par ledit mécanisme de com  mande de totalisateurs en vue de sélectionner  le totalisateur correspondant à celle des tou  ches sélectrices de totalisateurs et de déclen  chement de machine qui a été enfoncée, en  vue de recevoir le montant composé sur le cla  vier de montants, tandis que, lorsqu'une autre  touche de commande de fonctions est enfon  cée, les mécanismes individuels de sélection de  totalisateurs sont tous deux rendus inopérants  par le mécanisme de commande des totalisa  teurs et que les totalisateurs sont tous deux    embrayés avec les entraîneurs par le méca  nisme d'embrayage et de débrayage,

       afin    de  recevoir le montant introduit,     quelle    que soit  la touche sélectrice de     totalisateurs    qui est  enfoncée.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution particulière  de la machine faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 en est une vue en perspective ;  la     fig.    2 est une vue du côté droit de la  machine, coffre enlevé ;  les     fig.   <I>2a, 2b</I> et 2c représentent le méca  nisme de blocage des commandes de soustrac  tion pendant un fonctionnement de la ma  chine ;  la     fig.    3 est une vue du côté gauche de la  machine avec le coffre enlevé;  la     fig.    3a est une vue d'un mécanisme des  tiné à verrouiller une touche       B*      pendant  les fonctionnements de la machine ;

    la     fig.    4 est une vue du côté droit de la  machine,     coffre    enlevé, avec le bâti latéral de  droite représenté en pointillé et avec une par  tie du     mécanisme        fixé    à sa face externe en  levée ;  la     fig.    5 est une coupe verticale de l'avant  à l'arrière, à travers le clavier, des montants et  le mécanisme différentiel;      la     fig.    6 est une vue en plan par-dessus  d'un totalisateur supérieur   A   ;  la     fig.    6a est une vue en plan par-dessus  d'un totalisateur inférieur   B   ;

    la     fig.    7 est une vue d'une partie d'un mé  canisme destiné à palper l'état positif ou néga  tif du totalisateur   A   dans les opérations de  total ;  la fi-. 8 est une vue développée d'une par  tie- d'un mécanisme de   1 fugitif   du totali  sateur   A   ;  la     fig.    9 représente le côté gauche d'une  roue de totalisateur et des cliquets et levier de  report ;  la     fig.    10 est une vue latérale de l'extré  mité de gauche du mécanisme de   1 fugitif    du totalisateur   A   après une opération de  soustraction et juste avant que le totalisateur  passe de l'état positif à l'état négatif ;

    la     fig.    11 est une vue analogue à la fi-. 10,  à ceci près qu'on y a superposé l'ordre le plus  élevé des roues de totalisateur et le tambour  de chiffre associé, et qu'on y voit la position  des éléments après qu'a été faite une addition  conduisant à un total positif ;  la     fig.    12 représente le même mécanisme  que la     fig.    10, sauf que les pièces y sont repré  sentées dans la position qu'elles prennent après  un total négatif ;  la     fig.    13 est une vue brisée en perspec  tive d'une roue de totalisateur type; avec son  tambour de chiffre et son cliquet de report ;

    la     fig.    14 est un fac-similé d'une bande  imprimée par la machine, avec les divers sym  boles représentant les     différents    types d'opé  rations ;  la     fig.    15 représente un train de mécanisme  grâce auquel la     manoeuvre    d'une touche de  soustraction   -   met un mécanisme de com  mande de gauche en état d'exécuter une opé  ration d'enregistrement négatif ;  la     fig.    16 représente un mécanisme       anti-          rebondissement      d'une barre d'arrêt de dif  férentiel ;    la     fig.    17 représente une partie d'un méca  nisme de total et de sous-total ;

    la     fig.    18 représente des touches de com  mande montées sur le côté droit du coffre,  comme on les voit de l'intérieur ;  la     fig.    19 représente une partie d'un mé  canisme d'embrayage des totalisateurs   A    et  B ;  la fia. 20 représente un train de mécanisme  grâce auquel la touche d'addition   B   rend  inopérant le totalisateur   A   et commande  l'impression d'un symbole pendant une opéra  tion d'enregistrement ;  la     fig.    21 représente une partie d'un mé  canisme de contrôle à deux cycles pour les  opérations de total et de sous-total ;  la     fig.    22 représente un train de méca  nisme grâce auquel la touche   A   rend  inopérant le totalisateur   B   et commande  un mécanisme imprimeur de symboles;

    la fi-. 23 représente un mécanisme de tou  ches grâce auquel la machine est mise en état  pour une série d'opérations, en vue d'intro  duire des données à la fois dans les totalisa  teurs<I>  A  </I> et<I>  B  </I> ou seulement dans l'un  des deux totalisateurs<I>  A  </I> ou<I>  B  ,</I> selon ce  lui qui a été choisi ;  la     fig.    24 représente un arbre de trans  mission reliant la touche   B   du côté gauche  avec le mécanisme du côté droit ;  la fi-. 25 représente un train de mécanisme  de commande de total   B   ;  la     fig.    26 représente un dispositif d'action  de la touche de total   B   sur un mécanisme  destiné à déterminer le déplacement latéral  des totalisateurs en fonction de l'état positif  ou négatif du totalisateur   B   ;

    la     fig.    26a représente un mécanisme de  commande de non-addition;  la     fig.    27 représente un mécanisme de dé  clenchement de la machine, tel qu'il est com  mandé par la touche<I>  A</I>  , la touche<I>  B  </I> et  la touche de total ;  la     fig.    28 représente un mécanisme pour      mettre le caractère symbolique   A   en posi  tion d'impression lors des opérations d'enre  gistrement ;  la     fig.    29 représente un mécanisme pour  mettre le caractère     symbolique      A   en posi  tion d'impression lors des opérations de total  ou de sous-total ;

    la     fig.    30 représente un mécanisme pour  mettre le caractère symbolique   B   en posi  tion d'impression lors des opérations d'enre  gistrement ;  la     fig.    31 représente un mécanisme pour  mettre le symbole   B   dans les opérations  de total ou de sous-total ;  la     fig.    32 représente un mécanisme pour  mettre en position un caractère symbolique,  accompagnant les enregistrements négatifs, les  totaux négatifs et les sous-totaux négatifs,  cette vue représentant le mécanisme en posi  tion normale positive ;  la     fig.    33 représente le mécanisme de la       fig.    32 en position négative ;

    la     fig.    34 représente un mécanisme destiné  à déterminer la nature de l'opération d'impres  sion de symbole, c'est-à-dire, s'il s'agit d'un  enregistrement d'un total, d'un sous-total ou  d'une non-addition ;  la     fig.    35 représente une partie du méca  nisme de la     fig.    34 en position déplacée, en  vue d'imprimer le symbole   S   dans les opé  rations positives de sous-total, ou le symbole    CR   dans les opérations de sous-total par  tiel à solde créditeur ;  la     fig.    36 est une vue en plan d'une partie  d'un mécanisme imprimeur destiné à mettre  en position le caractère de symbole négatif à  travers , le mécanisme de déplacement du  ruban ;

    la     fig.    37 est une vue d'un mécanisme de  déplacement du ruban;  la     fig.    38 est une vue d'un dispositif d'en  traînement du mécanisme de déplacement du  ruban.  



  Sur le côté droit du clavier de la machine  représentée (voir     fig.    1) se trouvent une touche    de commande de total 29 désignée par      * ,    une  touche de sous-total 29a désignée par  S , une  touche de commande d'addition 26     pour    l'un des  totalisateurs désignés par   A      ,    une touche  de commande d'addition 27 pour l'autre tota  lisateur désignée par   B      ,    une touche de  commande de soustraction 28 entre les tou  ches<I>  A  </I> et<I>  B  ,</I> désignée par   -      ,    une  touche de commande de non-addition 31 dési  gnée par       lè     ,

   destinée à     mettre    la machine  en état d'imprimer un nombre composé sur  le clavier sans l'introduire dans aucun des tota  lisateurs, une touche de correction 32 destinée  à libérer les touches enfoncées et     verrouillées     des montants, désignée par   C  .

   Sur le     côté     gauche du clavier se trouvent une touche de  commande 24 destinée à     mettre    la machine en  état d'enregistrer le nombre composé avec les  touches de montants dans deux     totalisateurs,     désignée par<I>  A</I> et<I>B  ,</I> une touche de com  mande 25, désignée par<I>  A</I> ou<I>B</I>      ,    destinée  à conditionner la machine en vue d'introduire  le nombre composé dans l'un ou l'autre des       totalisateurs,    selon celle des touches   A   et    B   qui est utilisée, et une touche de com  mande 30, destinée à mettre la machine en  état d'effectuer un total ou un sous-total dans  le totalisateur   B      ,

      ladite touche étant dési  gnée par       B*     . Si un nombre est introduit  positivement dans l'un ou l'autre ou dans les  deux totalisateurs à la fois, il est imprimé en  noir (couleur réservée aux nombres positifs),  mais s'il est introduit négativement, il est im  primé en rouge (couleur réservée aux nombres  négatifs). Si le nombre composé est introduit  dans un totalisateur seulement, il est imprimé  dans la couleur convenable et est suivi du sym  bole correspondant<I>  A  </I> ou<I>  B  ,</I> selon le  totalisateur qui reçoit l'entrée. Toutes les en  trées négatives sont suivies d'un symbole néga  tif   -      imprimé    en rouge.

   Lorsqu'un total  est effectué, il est imprimé en noir s'il est posi  tif et en rouge s'il est négatif, le total positif  étant suivi du symbole   *      ,    et le total négatif  étant suivi du symbole   CR  , les deux sym  boles   *   et   CR   étant imprimés     dans    la  même couleur que le nombre. En outre, on  prévoit un symbole<I>  A  </I> ou<I>  B  </I> après le      symbole de total ou de sous-total désignant le  totalisateur dont le total a été extrait. Dans les  opérations de sous-total, le nombre est im  primé dans la couleur appropriée et avec la  désignation du totalisateur, mais les     sous-          totaux    positifs sont suivis d'un symbole noir    S  , tandis que les sous-totaux négatifs sont  suivis du symbole   CR  .  



  Les touches de commande 24, 25 et 30,  situées sur le côté gauche du clavier, ne sont  pas motrices, ce qui veut dire que le simple  fait de les actionner ne suffit pas à déclencher  la machine en vue de son fonctionnement au  à provoquer un cycle de la machine, car ces  touches sont seulement des touches de com  mande. Par contre, sur le côté droit du clavier,  la touche 29 de total       x     , la touche 29a de  sous-total   S  , la touche 26 d'addition  <I>  A  </I> et la touche 27 d'addition<I>  B  ,</I> ainsi  que la touche 31 de non-addition<B> # </B> sont  toujours motrices, tandis que la touche 28 de  soustraction<B> - </B> est motrice lorsqu'on ac  tionne l'une des touches<I>  A</I> et<I>B  .</I>  



  Lorsque la touche sélectrice       B"      est  utilisée, les touches<I>  A  ,   B  ,</I>   -   et  >> sont bloquées contre tout fonctionne  ment.  



  Avec un tel clavier de commande complet  pour la sélection des totalisateurs, la machine  pourrait avantageusement être munie d'un cha  riot mobile porte-papier et permettrait la com  mande précise, rapide et souple des totalisa  teurs dans toutes les positions latérales don  nées au chariot, avantage qui n'existe pas  dans les machines antérieures comprenant un  levier sélecteur de totalisateurs.  



  La machine est disposée dans un coffre 20       (fig.    1) comportant une ouverture de regard 21  fermée par un verre transparent à travers le  quel ne peuvent être vus que les tambours de  numéros fixés aux pignons de totalisateurs du  totalisateur supérieur. Il est prévu dix ordres  d'unités de touches de montants 22, faisant  saillie à travers une plaque cache-poussière 23  fixée au coffre. Lorsque l'on actionne d'abord  la machine pour une série d'enregistrements ou  pour un seul enregistrement, l'opérateur déter  mine si le ou les nombres doivent être intro-         duits    dans les deux totalisateurs ou dans un  seul d'entre eux.

   Si le ou les nombres à intro  duire doivent l'être dans les deux totalisateurs  à la fois, on enfonce la touche de commande  <I>24   A</I> et<I>B  </I> qui demeure en position enfon  cée une fois que l'opérateur a enlevé son doigt,  l'acte d'enfoncer la touche   A et B   ramenant  la touche 25   A ou B  . Ensuite, le premier  nombre est composé avec les touches de mon  tants 22 et la machine est mise en marche. Si  la touche 24<I>  A</I> et<I>B  </I> a été enfoncée, on  peut, pour déclencher un cycle opératoire, en  foncer soit la touche 26   A  , soit la touche  27   B  , et le nombre se trouve enregistré  dans les deux totalisateurs. Si c'est la touché  25   A ou B   qui a été enfoncée, il faut alors  que l'opérateur choisisse la touche 26   A  ,  ou la touche 27   B  , pour déclencher un  fonctionnement de la machine.

   Dans le cas où  le nombre est à additionner     soustractivement     et où la touche 24<I>  A</I> et<I>B  </I> a été enfoncée,  il suffit que l'opérateur enfonce la touche de  soustraction 28, cette dernière se trouvant  temporairement motrice par suite de l'enfonce  ment de la touche 24<I>  A</I> et<I>B  .</I> Si c'est la  touche 25   A ou B >> quia été enfoncée, il  faut alors utiliser la touche de soustraction 28  en conjonction avec soit la touche 26   A  ,  soit la touche 27   B >>. La touche de soustrac  tion 28 est située entre la touche 26   A   et  la touche 27   B   et assez près de l'une ou  de l'autre pour qu'avec un seul doigt on puisse  enfoncer à la fois la touche 26   A   et la tou  che de soustraction 28 ou la touche 27   B    et la touche de soustraction 28.

   Si l'on veut  extraire un total du totalisateur   A  , on en  fonce la touche de total 29, ce qui provoque un  fonctionnement à deux cycles, au cours duquel  le total   A   est recueilli et imprimé, qu'il soit  positif ou négatif. Si l'on doit extraire un total  du totalisateur   B  , on enfonce d'abord la  touche 30 puis la touche 29. Dans les opéra  tions de sous-total, la touche de sous-total 29a  est utilisée à la place de la touche de total 29.  La touche de non-addition 31 est motrice. La  touche de correction 32 ramène la touche 30  ou l'une quelconque des touches de montants  qui pourraient avoir été enfoncées, à leur posi-      tien normale.

   Le bâti de la machine comprend  une plaque de base, une plaque latérale de  gauche 34     (fig.    3) et une plaque latérale de  droite 35     (fig.    2), réunies par diverses barres  transversales, comme décrit plus loin.  



  <I>Entraînement de la machine</I>  Le dispositif d'entraînement de la machine,  comprenant un moteur, un interrupteur de mo  teur, un mécanisme de déclenchement et un  mécanisme d'embrayage pour cycle unique,  est, dans son ensemble, connu, et ne sera décrit  que très brièvement.  



  La machine représentée est entraînée pour  un cycle opératoire comprenant une rotation,  d'abord dans le sens     dextrorsum,    et ensuite  dans le sens     senestrorsum,    d'un arbre principal  d'entraînement 55 (fia. 2 et 3), dans les opé  rations d'addition, de soustraction et de     non-          addition,    et pour deux cycles comprenant deux  mouvements de rotation de l'arbre 55, dans  les opérations de total et de sous-total.  



  Lorsque l'interrupteur de moteur est dé  clenché, il est accompagné par la rotation dans  le sens     senestrorsum    d'un arbre 36     (fig.    3) et  d'un levier à trois bras 37 fixé à cet arbre  grâce à l'action d'un ressort 38 accroché au  levier 37 par un ergot 44 et au bâti de la ma  chine par un ergot 39 fixé sur une plaque 40  fixée au bâti latéral de gauche 34, par des vis  41 et 42. L'amenée en position de repos de  l'interrupteur se fait contre la tension du res  sort 38. Le moteur 35a fait tourner un arbre  45 dans le sens     senestrorsum    par l'intermé  diaire d'un train réducteur, l'arbre 45 compor  tant, fixée sur lui, une roue crantée d'entraîne  ment cachée derrière une plaque de manivelle  46 montée folle sur l'arbre.

   Un cliquet d'en  traînement 47, pivotant sur la plaque de mani  velle 46 grâce à un pivot 48, est attiré dans le  sens de l'engagement vers la roue d'entraîne  ment crantée par un ressort 49, accroché au       cliquet    d'entraînement 47 et à un ergot 50  monté sur la plaque-manivelle 46, mais il en  est dégagé lorsque la machine vient au repos,  du fait qu'un ergot 64 vient porter contre une  surface ménagée à l'arrière du cliquet d'entraî  nement 47.

   Toutefois, aussitôt que le levier à    trois bras 37 bascule dans le sens     senestrorsum     lors du démarrage du moteur, le cliquet d'en  traînement 47 est libéré et vient en prise avec  la roue d'entraînement crantée,     faisant    tourner  la plaque-manivelle 46 dans le sens     senestror-          sum.    Sur l'arbre 55 est montée folle une mani  velle 54, reliée à la plaque-manivelle 46 par  une biellette 52, articulée en 51 et 53. La ma  nivelle 54 est couplée à l'arbre 55 par une liai  son d'entraînement temporaire, comprenant  un levier 56, pivotant sur le pivot 53, et un  galet 57 monté à l'extrémité extérieure du  levier.

   Le galet est actionné par un fort ressort  58 qui l'oblige à pénétrer dans une encoche  59 pratiquée dans le bord d'une plaque 60  calée sur l'arbre 55.  



  Le ressort 58 est assez fort pour maintenir  le galet 57 dans l'encoche 59, réalisant ainsi  une liaison d'entraînement entre la manivelle  54 et l'arbre 55 pendant toutes les opérations  normales de la machine. Cependant, cette liai  son d'entraînement cède si une surcharge quel  conque se trouve imposée à l'arbre principal  d'entraînement. Au moment où la plaque de  manivelle 46 est sur le point d'achever sa rota  tion, un bras-came 61, qui y est     fixé,    vient  frapper un ergot 62 monté sur le levier à trois  bras 37, le ramenant dans le sens     dextrorsum     à une position normale, dans laquelle il reste  pendant les opérations à cycle unique lorsque  le mécanisme de déclenchement se verrouille.

    Au moment où la plaque de manivelle 46 ar  rivé près de sa position de repos, l'extrémité  <B>du</B> cliquet d'entraînement 47 vient en contact  avec l'ergot 64, dégageant la plaque de mani  velle 46 de l'arbre de moteur. Dans les opéra  tions à deux cycles, le levier à trois bras 37 est  ramené à la position normale à la- fin d'un  cycle, au moment où il est atteint dans le sens       dextrorsum,    par le bras-came 61, mais, comme  il n'est pas verrouillé, il retourne immédiate  ment à sa position dans le sens     senestrorsum     avant qu'il ait eu la possibilité de se dégager  du cliquet d'entraînement 47. Dans les opéra  tions à deux cycles, le levier à trois bras 37  est verrouillé en position normale après deux  cycles de fonctionnement.

   Toutes les fois que  le levier à trois bras 37" se déplace vers sa posi-           tion    normale, et y est verrouillé, les contacts  de moteur sont ouverts, permettant au rotor  du moteur de s'arrêter, une fois déconnecté de  la plaque-manivelle 46.  



  Selon la     fig.    2, un fonctionnement de la  machine est provoqué par le mouvement vers  l'avant d'une bielle 65 lorsqu'un levier à bras  multiples 68, pivotant sur un pivot 69 fixé au  côté droit du bâti, est basculé légèrement dans  le sens     dextrorsum.    Le levier à bras multiples  68 est normalement maintenu contre un rebord  de bâti 70a par un ressort 70.  



  Vu de la     fig.    2, l'arbre principal d'entraîne  ment 55 tourne d'abord dans le sens     senes-          trorsum    pendant la première moitié d'un cycle,  puis dans le sens     dextrorsum    pour revenir à  sa position d'origine pendant la seconde moi  tié du cycle, afin d'actionner le mécanisme dif  férentiel et d'autres mécanismes de commande.  Sur l'extrémité de droite de l'arbre principal  d'entraînement 55 est fixée, grâce à une gou  pille, une plaque d'entraînement 131, articulée  en 132 à une bielle 133 qui pivote en 134 sur  une plaque d'entraînement 135, elle-même  goupillée à un arbre secondaire d'entraînement  130.  



  Entre l'extrémité avant du bâti latéral de  droite 35 et l'extrémité avant du bâti latéral  de gauche 34     (fig.    5) est fixé un peigne 73,  dans lequel sont guidées les extrémités avant  de chacune de toute une série de barres d'ar  rêt correspondant aux divers ordres d'unités,  barres qui y sont soutenues afin de pouvoir y  coulisser. Il est prévu une barre d'arrêt 74  pour chaque ordre.     Etant    donné que les barres  d'arrêt de tous les ordres sont construites de  la même manière, il a suffi d'en représenter  une seule     (fig.    5) à titre d'exemple.

   La barre  d'arrêt 74 est articulée à son extrémité arrière,  par un pivot 75,à un bras orienté vers le haut  313 d'un levier à quatre bras divergents 76,  susceptible de pivoter sur un arbre 77, lequel  est monté et pivote entre les deux bâtis laté  raux. La barre 74 est     normalement    attirée vers  l'avant par un ressort 78, tendu entre un ergot  79 et le peigne 73. La barre d'arrêt 74 est  normalement empêchée de se déplacer vers  l'avant par un étrier 80 qui s'étend en travers    de     l'avant    de tous les bras supérieurs 313 de  tous les leviers divergents, l'étrier étant tenu  entre deux bras clavetés sur l'arbre 77.

   Le bras  de support de droite 81 de l'étrier 80     (fig.    4)  comporte une partie orientée vers le bas qui  est articulée à une bielle 82 sur laquelle est  monté un galet 83 qui est maintenu en prise  avec le rebord d'une came 84 calée sur l'arbre  principal d'entraînement 55. L'extrémité ar  rière de la bielle 82 comporte une extrémité  en fourche 85 qui embrasse et chevauche l'ar  bre 55 destiné à la supporter. Lorsque l'arbre  55 tourne dans le sens     senestrorsum,    l'arbre 77  tourne de la même manière, les ressorts 78,  par l'intermédiaire des barres d'arrêt 74, pro  voquant un mouvement d'avancement et de  descente de l'étrier 80.

   Lorsque l'arbre 55  tourne dans le sens     dextrorsum,    l'étrier 80 est  déplacé de manière analogue, ramenant les  barres d'arrêt 74 à leur position de repos, re  présentée à la     fig.    5. Un bras orienté vers l'ar  rière du levier divergent 76     (fig.    5) est articulé  à l'un des bras d'une bielle de réglage 86 en  forme     d'U,    dont l'autre bras est articulé à un  pivot 87 d'une barre d'impression 88, où il est  maintenu par un clip à ressort 89. La barre  d'impression 88 peut être réglée verticalement  dans des fentes-guides 90 et 91, par rapport  au rouleau porte-papier 92, représenté sché  matiquement, selon la position choisie pour le  levier divergent 76, sous le contrôle des tou  ches de montants décrites plus loin.

   La barre  d'impression 88 représentant un ordre décimal  du clavier de montants, comporte à son extré  mité supérieure dix caractères 93 verticalement  espacés, susceptibles d'être amenés individuel  lement dans un boîtier 94, vers le rouleau  porte-papier. Les caractères 93 sont attirés  vers une position normalement rétractée repré  sentée sur le dessin, par des ressorts situés à  l'intérieur du boîtier 94, et celui des caractères  qui se trouve en position d'impression est  heurté par un marteau imprimeur 95, lorsque  celui-ci est libéré de sa position armée par le  déclenchement d'un verrou 95a. Lorsque la  barre d'impression 88 est soulevée sélective  ment jusqu'à la position d'impression, une  pièce d'interposition 96 bascule dans le sens           senestrorsum    sur un étrier 97 sous l'influence  d'un ressort 98a.

   L'étrier 97 est fixé entre un  bras 98, pivotant sur un arbre 99 et un bras  semblable pivotant sur l'arbre 99 et qui s'étend  en travers de la ligne d'impression. Un     levier-          came    100 monté sur l'arbre 55 est basculé  dans le sens     senestrorsum    puis dans le sens  contraire pendant un fonctionnement de la ma  chine et un ergot 101 qui s'y trouve fixé vient  toucher un bras 102 de l'étrier 97, faisant bas  culer ce dernier et la pièce d'interposition 96  vers le verrou 95a, de manière à le rendre  inopérant vers le milieu du cycle, si la barre  d'impression 88 a été déplacée de sa position  d'origine, obligeant le marteau imprimeur 95  à frapper le caractère choisi 93 et à le faire  imprimer.  



  L'extrémité inférieure et arrière de chaque  barre d'impression comprend une série d'en  coches 120, adaptées pour être engagées par  un étrier 121 pendant les opérations de tota  lisation, après impression et avant que le tota  lisateur ne soit débrayé des barres d'arrêt 74  pour empêcher tout mouvement ultérieur des  barres d'arrêt 74 après que le totalisateur a  été débrayé. Un bras 122 faisant saillie vers  l'avant et appartenant au levier divergent 76  comporte une crémaillère d'alignement 123,  dont les dix dents passent en face d'un étrier  d'alignement 124, ledit étrier étant basculé  vers la crémaillère 123 pendant le milieu d'un  cycle de la machine, de telle sorte que, après  que les leviers divergents 76 ont été mis en  place, ils soient touchés par l'étrier 124 et  maintenus dans la position acquise.

   L'étrier  d'alignement 124 est maintenu dans un cadre       basculable    comportant deux bras latéraux,  dont celui de gauche 125 est représenté, et  une tringle de support d'étrier 126 relie ces  bras latéraux. Ceux-ci peuvent tourner sur des  pivots montés à l'intérieur des côtés 34 et 35  du bâti.

   L'étrier d'alignement est basculé par  une came 126a, fixée sur l'arbre d'entraîne  ment secondaire 130, lequel pivote entre les  plaques latérales 34 et 35 et est basculé dans  le sens     senestrorsum    puis dans le sens con  traire par l'arbre d'entraînement 55 et par l'in  termédiaire de la plaque d'entraînement 131         (fig.    2), du pivot 132, de la bielle 133, du pivot  134 et de la plaque     d'entraînement    135 gou  pillée sur l'arbre d'entraînement secondaire  130. Des bras de ciseaux 136 et 137     (fig.    5),  articulés sur la tringle de support d'étrier 126,  comportent des ergots 138 et 139, respective  ment, qui sont maintenus en contact avec le  pourtour de la     came    126a par un ressort 140.

    L'étrier d'alignement 124 fait partie du bras de  ciseaux 136 qui, quand il est basculé, fait pi  voter l'ensemble de l'étrier d'alignement. La  came 126a est     conformée    de manière à ame  ner l'étrier d'alignement 124 en prise avec les  crémaillères d'alignement 123 peu avant le  milieu du cycle de fonctionnement. Lorsque le  totalisateur vient en prise avec des crémaillères  différentielles 312 et 338, des leviers diver  gents, comme expliqué plus loin, juste avant  le milieu du cycle dans les opérations d'enre  gistrement, l'étrier d'alignement 124 retient les  crémaillères 312 et 338 en ajustement parfait.  



  Sur le côté de la barre d'arrêt 74 se trouve  une plaque d'arrêt réglable 141, dont l'extré  mité avant vient heurter le peigne 73 de ma  nière à limiter le plein mouvement vers l'avant  de la barre d'arrêt 74.  



  En, se reportant à la     fig.    17, on voit que la  plaque d'arrêt 141 vient en contact avec un  étrier 142, pendant le premier cycle d'une opé  ration de total, afin de maintenir les barres  d'arrêt 74 contre tout mouvement, comme dé  crit plus loin, lequel étrier 142 est ensuite dé  brayé, afin que les barres d'arrêt 74 soient  positionnées par le totalisateur dans le  deuxième cycle.  



  Pour empêcher le rebondissement d'une  barre d'arrêt 74 quand elle est arrêtée brus  quement dans son mouvement vers l'avant par  la tige d'une touche de montant enfoncée, cha  que barre d'arrêt présente une crémaillère 143       (fig.    16) comportant des dents 144 qui passent  vers l'arrière et qui sont adaptées pour glisser  par-dessus l'extrémité d'un     cliquet    145 lorsque  la barre d'arrêt 74 se déplace vers l'avant.

   Ce  cliquet 145 est     maintenu        élastiquement    contre  les dents 144 par un ressort 146, tendu entre  l'extrémité arrière du cliquet 145 et un arbre  transversal 147, ce cliquet étant monté sur un      arbre 148, maintenu entre des plaques latérales  de gauche et de droite, celle de gauche 149  étant représentée aux     fig.    5 et 16. Des plaques  d'espacement et de soutien 150 sont disposées  à travers la machine à divers     intervalles    et  s'étendent entre les arbres 148 et 147. L'arbre  147 joue le rôle de pivot pour le bâti de la pla  que latérale et pour l'arbre tenant les cliquets  145, et la     fig.    16 représente l'ensemble dans  sa position normale, lorsque la machine est au  repos.

   Lorsque la plaque de     manivelle    46 s'est  déplacée dans le sens     dextrorsum,    comme on  peut le voir à la     fig.    16, et a tourné d'environ  1800, sa périphérie entre en contact avec un  ergot 151     fixé    sur un levier 152 pivotant sur  la plaque de gauche du bâti de la machine,  l'extrémité inférieure du levier 152 étant pivo  tée en 153 sur une bielle 154 articulée en 155  sur la plaque latérale de gauche 149. Lorsque  l'ergot 151 est déplacé vers l'avant, l'ensemble  des cliquets 145 est éloigné des dents 144, de  sorte que les barres d'arrêt 74 ne sont pas  retenues dans leur mouvement de retour pen  dant la seconde moitié d'un cycle.

   A la fin du  cycle, les pièces retournent de nouveau à la  position représentée en     fig.    16.  



  <I>Clavier des montants</I>  D'après les     fig.    1, 2, 3, 4 et 5, le groupe  du clavier, dans lequel sont montées les tou  ches de montants destinées à commander le  mouvement des différentiels, comporte un  cadre principal, comprenant une plaque supé  rieure 175, une plaque inférieure 176, une  plaque latérale de gauche 177 et une plaque  latérale de droite 178, tenues ensemble par  divers dispositifs à fentes et languettes et for  mant un ensemble rigide dans lequel les tou  ches peuvent coulisser dans des fentes alignées  des plaques supérieure et inférieure.  



  La     fig.    5 représente une colonne de touches  de montants     caractéristique    correspondant à  un certain ordre d'unités, chacune des touches  22 comportant une tige de touche 180, traver  sant les fentes auxquelles elle est associée et  comportant chacune un ressort de rappel 181  qui, normalement, maintient la touche en posi  tion non enfoncée, position à partir de laquelle    elle peut être enfoncée vers l'intérieur d'une  certaine quantité, telle que l'extrémité infé  rieure de chaque touche enfoncée puisse co  opérer avec la barre d'arrêt 74 associée, l'éten  due de mouvement de la barre d'arrêt permise  par la touche enfoncée étant équivalente à la  valeur du montant porté sur la touche.  



  Un étrier de verrouillage de touche 182  représenté à la     fig.    5 est l'étrier qui coopère  non pas avec les touches représentées à la     fig.     5 mais avec celles de la rangée suivante située  à droite. L'étrier de verrouillage de touche de  la rangée de touches représentées à la     fig.    5  est     derrière    un étrier d'arrêt à zéro 185 qui,  lui, coopère bien avec les touches représentées  à la     fig.    5.

   Cet étrier d'arrêt à zéro pivote aussi  dans des plaques terminales 183 et 184 et est  chassé des touches par des saillies sur leurs  côtés, de sorte que, lorsqu'une touche d'une  colonne est enfoncée et verrouillée, un cliquet  d'arrêt à zéro 186 appartenant à l'extrémité  avant de son étrier associé 185, et empêchant  normalement le mouvement de la barre d'ar  rêt associée, si ce n'est de la quantité nécessaire  pour poser un zéro dans la barre d'impression  associée, est déplacé d'un côté, permettant à la  barre d'arrêt 74 de se déplacer vers l'avant  pendant la première moitié d'un cycle d'enre  gistrement sous le contrôle de la touche enfon  cée. En travers de l'avant du bloc de touches  pivote un étrier de libération de touche 187,  pivotant sur une tringle 188, portée entre les  plaques latérales du bloc de touches.

   A l'ex  trémité de droite de l'étrier 187 se trouve un  bras orienté vers l'arrière 189     (fig.    4), grâce  auquel l'étrier peut être basculé dans le sens       dextrorsum    afin de libérer les touches verrouil  lées en position basse, l'étrier 187 étant pourvu  d'un peigne qui rend inopérants les étriers de  verrouillage de touches. L'étrier de libération  de touche 187 est basculé à la fin de chaque  opération d'introduction par un levier 190     (fig.     2), pivotant en 193a sur la plaque latérale de  droite du bloc de touches. Une portion 191,  orientée vers l'arrière et vers le bas du levier  190, vient normalement buter contre un ergot  192     fixé    à la plaque d'entraînement 135.

   Un       ressort    193, tendu entre un ergot fixé à un      bras montant du levier 190, est accroché à un  ergot 194 fixé à la plaque latérale de droite  du bloc de touches et fait basculer le levier 190  dans le sens     dextrorsum    lorsque la plaque d'en  traînement 135 bascule dans le sens contraire  pendant la première moitié d'un cycle.

   A la fin  d'une opération de machine, lorsque l'ergot  192 vient en prise avec la partie arrière 191  du levier 190, ce dernier est ramené dans le  sens     senestrorsum.    Pendant ce mouvement, un  cliquet de franchissement 195 situé à son ex  trémité avant franchit librement un ergot 196  sur le bras de libération de touche 189, mais,  lorsque le levier 190 revient dans le sens     se-          nestrorsum,    le cliquet de franchissement 195,  qui ne peut se déplacer dans le sens     dextror-          sum,    entre en prise avec l'ergot 196 et le  pousse vers le bas,

   ce qui fait basculer     l'étrier     de libération de touche 187 dans le sens     dex-          trorsum    et libère les touches de chiffres.  



  Pendant la première moitié d'une opéra  tion de total à deux cycles, un levier<B>197</B> (fi-.  4), pivotant sur un ergot 198, est basculé dans  le sens     senestrorsum    par le mouvement vers  l'arrière d'une biellette de commande de total  199, comme décrit plus loin, et en basculant  descend sur un ergot 200, ce qui fait basculer  l'étrier de libération de touche<B>187</B> dans le sens       dextrorsum    et libère toutes touches qui pour  raient avoir été enfoncées accidentellement,  avant une opération de total.  



  La touche de correction 32     (fig.    1 et 18),  qui est montée de manière à pouvoir coulisser  dans un support 201, fixé à l'intérieur du cof  fre, comporte une portion 202 orientée vers  l'arrière, laquelle a elle-même une oreille re  courbée 203 disposée au-dessus d'un méplat  204     (fig.    2) d'un ergot fixé sur l'extrémité  avant d'un levier 205, lequel pivote en 206  sur la plaque latérale du bloc de touches. Une  extrémité orientée vers le bas 207 du levier  205 repose sur l'ergot 196 du bras de libéra  tion de touche 189 et, par conséquent, lorsque  l'on enfonce la touche de correction 32, l'étrier  de libération de touche 187 tourne dans le sens       dextrorsum    autour de la tige 188, libérant ainsi  les touches.  



  Un bras 207a du levier 190 comporte une    oreille dirigée vers l'arrière, qui glisse sur une  arête en arc de cercle 208 du levier 205 pen  dant le     fonctionnement    de la machine, empê  chant le mouvement du levier 205 et l'enfon  cement de la touche de correction 32.

   Entre  les extrémités arrière des plaques latérales 177  et 178 du bloc de touches     (fig.    2, 3 et 5) est  montée de manière à pouvoir y glisser une  coulisse de verrouillage de touches 209 qui  coopère avec les étriers de blocage de touches,  du type de l'étrier 210     (fig.    5), en courant le  long de chaque colonne de touches de chiffres  de telle façon que, lorsque la coulisse est pous  sée vers la gauche, les touches sont libérées  pour fonctionnement ou pour retour à position  normale, tandis que, lorsque la coulisse est  dans sa position de droite, les touches sont  bloquées soit en position non     utilisée,    soit en  position enfoncée, selon le cas, avec la touche  particulière.

   Cette coulisse est commandée par  le dispositif principal d'entraînement pour ver  rouiller les touches au commencement d'un  cycle de la machine, de façon qu'on ne puisse  pas faire de fausse     man#uvre    pendant le cycle  et pour empêcher qu'un cycle de machine ne  commence, si une touche est en position par  tiellement enfoncée.  



  Selon la     fig.    3, un ressort 211, attaché à  la plaque de gauche<B>177</B> du bloc des touches,  tend à attirer la coulisse de verrouillage de tou  che 209 vers la droite, c'est-à-dire vers la posi  tion de blocage des touches, mais l'extrémité  arrière du levier 190 (fi-. 2) vient normalement  appuyer contre une arête oblique de l'extrémité  de droite de la coulisse de blocage de touches  209, la maintenant en position de gauche,  lorsque la machine est au repos, et ceci malgré  la traction exercée par le ressort 211, permet  tant ainsi l'enfoncement des touches. Lors  qu'une opération commence, l'extrémité ar  rière du levier 190 est abaissée, permettant au  ressort 211 de déplacer la coulisse de verrouil  lage des touches 209 vers la droite jusqu'à la  position de verrouillage.

   A la fin d'un cycle,  le levier 190 est ramené à la position représen  tée à la fi-. 2, déplaçant la coulisse de blocage  de touches 209 vers la gauche, déverrouillant  les touches de sorte que toutes celles d'entre      elles qui étaient enfoncées puissent être rame  nées au repos. Un levier à trois bras 212, pivo  tant sur un ergot 213,     comporte    un bras 214  orienté vers le haut et vers l'avant, lequel, lors  que le levier 212 est basculé dans le sens     se-          nestrorsum,    entre en contact avec une encoche  pratiquée dans la coulisse de blocage de tou  ches 209 si celle-ci est à sa position de ver  rouillage.

   Lorsque le bras 214 s'engage ainsi  dans l'encoche de la coulisse 209, cette der  nière ne peut pas être poussée vers la gauche  pour déverrouiller les touches. Un bras infé  rieur et orienté vers l'avant 215 du levier 212  porte contre l'ergot 192 de la plaque d'entraî  nement<B>135</B> et, dans la position de repos de la  machine représentée à la     fig.    2, maintient le  levier 212 basculé à sa position extrême dans  le sens     dextrorsum,    position dans laquelle il  n'est pas en contact avec la coulisse 209. Dans  ces conditions, l'extrémité arrière du levier 190  est en mesure de pousser la coulisse 209 vers  la gauche.

   Un bras orienté vers l'arrière<B>216</B>  du levier 212 comporte une extrémité en  pointe, qui s'engage dans un cran 218 pratiqué  dans une plaque 217 fixée sur l'intérieur de  la plaque d'entraînement 135 et le cran 218  comporte une surface     d'arrêt    219, de sorte  que, si le bras 216 est dans la position repré  sentée en     fig.    2, la plaque d'entraînement 135  ne peut se déplacer que légèrement lors de son  mouvement dans le sens     senestrorsum    qui se  produit pendant la première moitié du fonc  tionnement de la machine. De la sorte, le mé  canisme d'entraînement se trouve dégagé lors  que le galet 57     (fig.    3)     sort    de son encoche.

   Si,  cependant, le levier 212 bascule suffisamment  dans le sens     senestrorsum    pour que le bras  214 pénètre dans l'encoche de la coulisse 209,  l'extrémité pointue du bras 216 est soulevée  du cran 218 de la plaque 217, de sorte qu'il  ne touche pas la surface d'arrêt 219 pour in  terrompre un cycle de la machine.

   Lorsque la  plaque d'entraînement 135 commence son  mouvement pendant la première moitié d'un  fonctionnement, l'ergot 192 s'éloigne du bras  <B>215,</B> qui le suit jusqu'à ce que le bras 214 ou  bien vienne frapper le rebord supérieur non  cranté de la coulisse 209, auquel cas la pointe    du bras 216 ne dégage pas la surface d'arrêt  219 du cran 218, ou bien pénètre dans l'en  coche de la coulisse 209 et le bras pointu 216  dégage la surface d'arrêt 219, permettant au  fonctionnement de la machine de se poursui  vre. Le bras 214 ne tombe pas dans son enco  che si une touche quelconque se trouve en po  sition partiellement     manoeuvrée,    étant donné  que la coulisse 209 ne peut pas se déplacer  vers la droite et le fonctionnement de la ma  chine est donc arrêté.

   Lorsque la manivelle 54       (fig.    3) achève le cycle, l'arbre principal d'en  traînement 55 revient en prise avec la mani  velle, au moment où le galet 57 tombe dans  son encoche.  



  Le levier 212     (fig.    2) est normalement at  tiré dans le sens     senestrorsum    autour de son  pivot 213 par un ressort 220 accroché au bras  216 et à un goujon 221 de la plaque latérale  de droite.  



  <I>Blocage de la touche de commande de</I>  <I>total   B *   pendant un fonctionnement de la</I>  <I>machine</I>  La coulisse de blocage de touche 209 a un  autre rôle associé au verrouillage de la touche  de commande de total       B*      30     (fig.    3), la  dite coulisse 209 fonctionnant en liaison avec  l'étrier de libération de touche 18     (fig.    4) qui,  dans le mouvement de libération des touches,  bascule dans le sens inverse de celui des ai  guilles d'une montre, du point de vue de la  <B>fi-.</B> 3.

   Il est nécessaire de verrouiller la touche  de commande de total       B*      30 soit en posi  tion normale, soit en position     manoeuvrée    et  enfoncée pendant un cycle de la machine, que  ce soit un cycle d'introduction ou une opéra  tion à deux cycles de totalisation, pour empê  cher toute fausse     manoeuvre.    La touche 30  comprend une tige de touche 225 (voir aussi       fig.    3a) qui peut glisser dans des fentes ali  gnées pratiquées dans des plaques auxiliaires  226 et 227, fixées à la plaque latérale de gau  che du bloc de touches.

   Elle est maintenue en  position   haute   par un     ressort    228, accro  ché à un bras orienté vers l'avant ménagé à  l'extrémité inférieure de la tige de touche 225  et à un ergot 244 faisant saillie sur la      plaque latérale de gauche 177 du bloc de  touches.  



  Le mouvement ascendant de la touche 30  est limité par un épaulement pratiqué sur l'ex  trémité inférieure de la tige, lequel épaulement  entre en contact avec la plaque auxiliaire 227  et son mouvement descendant est limité par  un autre épaulement qui vient en contact avec  la plaque auxiliaire 226. Sur des ergots fixés  sur la plaque latérale de gauche 177 du bloc  de touches peut coulisser une pièce à coulisse  à fentes 229, l'une des fentes 230 et son ergot  associé 231 étant représenté à la     fig.    3. La  coulisse 229 est couplée à la coulisse de ver  rouillage de touche 209 par un levier coudé  232, pivotant en 233 sur un support qui fait  saillie sur la plaque latérale du bloc de touches.

    Un bras orienté vers l'arrière du levier 232       porte    un tenon qui pénètre dans une fente pra  tiquée dans l'extrémité de gauche de la cou  lisse 209 et comporte un bras orienté vers la  droite qui est articulé à une oreille 234 de la  coulisse 229, de sorte que, si la coulisse de  blocage de touches 209 est déplacée vers la  gauche jusqu'à la position de déblocage des  touches, la coulisse 229 se déplace vers l'ar  rière, tandis que si la coulisse 209 vient à sa  position de droite afin de bloquer les touches,  la coulisse 229 se déplace vers l'avant.  



  En se référant à la     fig.    3a, on voit que le  rebord arrière de la tige 225 de la touche 30  comprend deux encoches 235 et 236 avec les  quelles coopère une oreille recourbée 237 pra  tiquée sur la coulisse 229. Lorsque la touche  30 est enfoncée, l'encoche 235 est engagée par  l'oreille 237 quand la coulisse 229 se déplace  vers l'avant et, quand la touche 30 est en posi  tion non enfoncée, l'oreille 237 peut pénétrer  dans l'encoche 236 si la coulisse 229 est dans  sa position avant. Si, toutefois, la coulisse 229  est déplacée vers l'arrière par le mouvement  vers la gauche de la coulisse 209     (fig.    3),  l'oreille 237     (fig.    3a) se dégage de l'une ou  l'autre encoche, permettant à la touche 30 de  revenir ou d'être enfoncée selon le cas.

   De  cette manière, la touche 30 est bloquée soit  dans sa position normale haute, soit en posi  tion enfoncée, pendant une opération de la    machine, quand les touches de     chiffres    sont  elles aussi bloquées. Au moment où la cou  lisse de verrouillage des touches 209 se déplace  vers la gauche     (fig.    3) à chaque cycle de fonc  tionnement, la touche de commande de total        B*      se déverrouille pendant le premier et  le second cycle d'une opération de total ou  entre le premier et le second cycle d'une opé  ration de sous-total, pour autant qu'il s'agisse  ici du rôle joué par l'oreille 237.

   Si la touche  30 est enfoncée et qu'une opération à deux  cycles est déclenchée, il faut qu'elle soit main  tenue enfoncée pendant tout le premier cycle  et jusqu'au démarrage du second afin de con  ditionner le mécanisme sélecteur de totalisa  teur, qui sera décrit plus loin, en vue d'ex  traire un total du totalisateur   B  seulement,  par mise hors cause du mécanisme d'em  brayage du totalisateur   A   et, à cet effet,  il est prévu un second verrou, qui est décrit  maintenant plus en détail.  



  Grâce à des ergots 240 et 241     (fig.    3),  fixés sur la plaque latérale de gauche 177 du  blocage des touches, une seconde plaque de  verrouillage 242 munie d'encoches qui s'em  boîtent sur les ergots est disposée pour la tou  che de commande de total       B*         .    La plaque  242 est maintenue dans sa position avant par  un ressort 243, tendu entre l'ergot 241 et  un ergot 244 de la plaque de verrouillage  242.  



  A l'extrémité arrière de la plaque de ver  rouillage 242 est pratiquée une ouverture 245  qui coopère avec un ergot 246 fixé à la tige  225 de touche 30. L'ouverture 245     comporte     un épaulement 247 au-dessous duquel, lorsque  la touche 30 est enfoncée, l'ergot 246 peut  être engagé en vue de maintenir la touche 30  en position enfoncée. Lorsque la touche 30  est appuyée vers le bas, l'ergot 246 glisse sur  une arête de l'épaulement 247 jusqu'à ce que  cette arête soit franchie et, à cet instant, la  plaque de verrouillage 242 se déplace vers  l'avant, sous l'action du ressort 243, verrouil  lant la touche 30 en position enfoncée.

    L'étrier de rappel de touches 187 porte un  bras 248 orienté vers l'arrière, sur lequel est  fixé un ergot 249, et l'extrémité avant de la      plaque de     verrouillage    242     comporte    un     cli-          quet    de     franchissement    250, qui peut être  basculé autour de son pivot<B>251</B> par l'ergot  249, lorsque l'étrier 187 bascule dans le sens       senestrorsum    pour libérer toutes touches 22  enfoncées.  



  L'action de l'ergot 249 sur le cliquet de  franchissement 250 n'a pas d'effet sur la pla  que de verrouillage 242 mais, lors du retour  de l'étrier 187 à la position normale, l'ergot  249 touche une surface 25l a sur le cliquet de  franchissement 250, poussant la plaque 242  vers l'arrière et libérant la touche 30 verrouil  lée vers le bas.

   Selon la     fig.    4, le levier 197 qui  agit sur l'ergot 200 de l'étrier de rappel 187  dans une opération de total ou dans une opéra  tion de sous-total, bascule dans le sens     senes-          trorsum        (fig.    4) lors du premier cycle de fonc  tionnement, libérant les touches de montants,  mais ce mouvement de l'étrier 187 n'est pas uti  lisable pour pousser la plaque de verrouillage  242     (fig.    3) vers l'arrière, étant donné que l'er  got 249 ne fait que basculer le cliquet de fran  chissement 250 librement dans le sens     dextror-          sum.    Le levier 197     (fig.    4)

   ne retourne à la  position normale représentée à la     fig.    4 que  près de la fin du second cycle et, de ce fait,  étant donné que le mouvement de recul de la  plaque de verrouillage 242     (fig.    3) ne se pro  duit pas avant ce mouvement de retour normal  de l'étrier 187, la touche de commande       B''-       30 ne peut pas retourner à la position normale  avant la fin du second cycle d'une opération  à deux cycles, du genre de celles qui sont né  cessaires pour les opérations de total ou de  sous-total.  



  Par conséquent, il faut les mouvements  combinés de la coulisse 209 vers la gauche,  qui se produit vers la fin d'un fonctionnement  de la machine, et de retour de l'étrier 187 vers  la fin de la seconde opération d'une opération  à deux cycles pour libérer ladite touche 30.  



  Une autre plaque de verrouillage 270 em  pêche que la touche de commande de total        B*      30 ne soit enfoncée pendant une opé  ration de total provoquée elle-même par la  touche de commande de total   A  .     Etant     donné que toutes les opérations de total ou de    sous-total consistent en deux cycles de fonc  tionnement, il y a une période entre le pre  mier et le deuxième cycles pendant laquelle  la coulisse de verrouillage de touches 209,  pendant un bref instant, est déplacée vers sa  position de gauche, débloquant ainsi la touche  de commande de total       B'       et, si l'opérateur  exerce une pression sur cette touche de com  mande de total pendant l'opération de total  exécutée sous l'influence du mécanisme de  total   A  ,

   il y a une possibilité que la touche  de commande de total       B*      soit enfoncée  entre le premier et le second cycle. Comme  ceci provoquerait une fausse     manoeuvre,    la  plaque de verrouillage 270 est pourvue de  deux fentes grâce auxquelles elle est montée  sur les ergots 240 et 241, ce qui lui permet de  se déplacer vers l'avant et vers l'arrière et elle  est attirée vers l'arrière par un ressort (non  représenté) jusqu'à une position de verrouil  lage dans laquelle un épaulement 271 vient se  placer sous l'ergot 246 de la tige 225 de la  touche 30, si cette touche est en position de  repos.

   Une queue orientée vers l'avant et vers  le bas de la plaque de verrouillage 270 repose  normalement contre l'ergot 249 du bras 248  de l'étrier de rappel de touches 187, mainte  nant la plaque de verrouillage 270 dans sa  position avant, position dans laquelle elle n'a  pas pour effet de maintenir la touche de com  mande de total       B*      en position non enfon  cée.

   Du point de vue de la     fig.    3, au commen  cement du premier cycle d'une opération de  total à deux cycles, l'ergot 249 s'éloigne de la  plaque de verrouillage 270, permettant à cette  dernière de subir l'action de son ressort et de  se déplacer de telle sorte que l'épaulement 271  de son extrémité arrière vienne se placer sous  l'ergot 246, maintenant la touche de com  mande de total       B*      en position non enfon  cée.

       Etant    donné que l'étrier de rappel de tou  ches 187 ne revient pas à la position normale,  représentée à la     fig.    3, avant la fin du second  cycle d'une opération à deux cycles, la plaque  de verrouillage 270 joue son rôle pendant la  période dont il a été question entre le premier  et le second cycle lorsque la coulisse 229 est  inopérante.      <I>Mécanisme de verrouillage des touches de</I>  <I>commandes   A et B   et   A ou B  </I>  La touche 24<I>  A</I> et<I>B  </I>     (fig.    3) et la tou  che 25   A ou B   ont toutes deux des tiges  qui peuvent coulisser dans des fentes alignées  pratiquées dans les plaques auxiliaires 226 et  227.

   Comme on peut le voir mieux en exami  nant la touche 24, le rebord arrière de la tige  de touche comporte deux fentes 255 et 256,  grâce auxquelles la touche peut être bloquée  en position non     manoeuvrée    ou en position en  foncée par une oreille 257 ménagée sur la  plaque coulissante 229. La tige de la touche  25 est semblable et coopère avec une autre  oreille de la coulisse 229. La touche 24     porte,     sur une partie avançante de l'extrémité infé  rieure de la tige, un ergot 258, un ergot sem  blable 259 étant fixé sur l'extrémité inférieure  de la tige de touche 25. Les ergots 258 et 259  pénètrent dans des fentes correspondantes pra  tiquées dans les extrémités opposées d'un le  vier 260, qui pivote en 261 sur un prolonge  ment descendant de la plaque auxiliaire 227.

    De la sorte, lorsque la touche 24 est enfoncée,  la touche 25 doit revenir en position non en  foncée, et vice versa. Le blocage de ce méca  nisme particulier est soumis à la seule     influence     de la coulisse de blocage de touches 209 et les  touches 24 et 25 ne peuvent pas être action  nées si la machine n'est pas à l'arrêt. Un     cli-          quet    de retour en place 262 pivote en 263 sur  la plaque latérale de gauche 177 du bloc de  touches et est incité par un ressort 264 à rester  en contact avec l'ergot 258. Le cliquet 262  comporte deux encoches, dont la supérieure  s'engage sur l'ergot 258 lorsque la touche 24  est en position non enfoncée et l'inférieure  s'engage sur l'ergot 258 lorsque la touche 24  est en position enfoncée.

   Le cliquet 262 fait  que les touches 24 et 25 sont fermement main  tenues dans l'une de leur position haute ou  basse. Le rôle fonctionnel des touches 24 et 25  est expliqué plus loin.    <I>Totalisateurs</I>    La machine représentée comprend deux  totalisateurs, l'un situé à la partie supérieure    de la     machine    et dont on peut voir les tam  bours     chiffrés    à travers l'ouverture 21     (fig.    5)  et l'autre dont les tambours de chiffres sont  invisibles, situé au fond de la machine, à peu  près immédiatement en dessous de l'autre.

   Le  totalisateur supérieur est représenté à la     fig.    6,  et désigné par   A   ; le totalisateur inférieur  est représenté à la     fig.    6a, et est désigné par    B  . La     construction    et le fonctionnement  des deux totalisateurs sont sensiblement les  mêmes et, par conséquent, seul le     totalisateur     supérieur   A       (fig.    6) est expliqué dans sa  construction.

   Le totalisateur   A   est monté  dans un bâti comprenant un arbre 300 (voir  aussi     fig.    5)     tourillonnant    sur des     paliers    301  et 302 montés, respectivement,     dans    les ca  dres latéraux 34 et 35, un bras de     support    de  gauche 303, un bras de support de droite 304,  des bras de support intermédiaires 305, et un  arbre 306, s'étendant entre les extrémités orien  tées vers l'arrière des bras de support 303 et  304, et traversant les bras de support 305. Les  roues de totalisateur   A  , par exemple la  roue 307, et dont il existe un exemplaire pour  chaque ordre de numération, sont montées  convenablement écartées les unes des autres  sur l'arbre 306.

   Chaque roue de totalisateur  307 comprend un pignon à dix dents 308 (voir  aussi     fig.    13) auquel est fixé un tambour indi  cateur 309, portant à sa périphérie dix  chiffres.  



  Sur le côté gauche de chaque tambour indi  cateur est disposé un cliquet de report com  portant une dent de     soustraction    310, utilisée  dans les opérations de soustraction et de total  négatif, et une dent d'addition 311, disposée  à     36,,    de la première sur le     pourtour    du pignon  et écartée de la dent 310 vers la gauche, en  regardant de l'avant de la machine, ladite dent  d'addition étant utilisée dans les opérations  d'addition et de total positif.  



  Selon la     fig.    6, l'arbre 300 et le bâti de  totalisateur correspondant sont     déplaçables     vers la gauche depuis la position représentée  sur cette figure, qui est la position d'addition,  jusqu'à une position de soustraction. Dans la  position d'addition, les pignons 308 sont à  l'alignement de     crémaillères    de     différentiel    312,      qui sont montées sur les bras ascendants 313       (fig.    5) des leviers divergents à quatre bras  76.

   Lorsque le bâti de totalisateur est amené  à la position de soustraction, par déplacement  de l'arbre 300 vers la gauche, les crémaillères  312 des leviers divergents à quatre bras diffé  rentiels 76 sont à l'alignement des dents de  pignons fous intermédiaires 314     (fig.    6). Le  pignon fou 314 de l'ordre des unités est monté  sur le bras de support 304, tandis que ceux  des ordres plus élevés sont montés sur les bras  intermédiaires 305. Les pignons 314 compor  tent une série de dents qui sont constamment  en prise avec les pignons d'addition correspon  dants 308 et une autre série de dents, séparée  de la première par une gorge circulaire et qui  sont destinées à s'engager avec les crémaillères  312.  



  La crémaillère 312     (fig.    5) est montée     par     assemblage à goupilles et fentes sur une partie  ascendante et en arc de cercle du bras supé  rieur 313 du levier divergent à quatre bras 76  et est libre de se déplacer suivant un arc de  cercle d'une quantité égale à une dent et est  normalement attirée vers l'arrière par un res  sort 315a. La crémaillère 312 comporte une  oreille recourbée, qui s'engage avec une  oreille 315 d'un levier de report correspondant  316 pour l'ordre immédiatement inférieur,  lorsque le levier divergent 76 est dans la posi  tion de repos, maintenant la crémaillère 312  dans sa position avant contre l'action du res  sort 315a qui tend à la déplacer d'un cran vers  l'arrière.

   Les pignons 308 du totalisateur sont  en prise avec les crémaillères     différentielles     312 lorsque la machine est au repos en posi  tion d'addition, les pignons fous 314 engrenant  avec les crémaillères 312 lorsque le totalisa  teur est déplacé dans le sens de la soustraction.  



  Pendant une opération d'enregistrement  intéressant le totalisateur   A  , le bâti de ce       totalisateur      A   est d'abord légèrement bas  culé dans le sens     senestrorsum    au début d'un  cycle de la machine jusqu'à un point où les  pignons sont dégagés des crémaillères corres  pQndantes et viennent s'engager avec des     cli-          quets    d'alignement 317 fixés à une plaque 318  pivotant sur l'arbre 300 (voir aussi     fig.    6) et,    lorsque le totalisateur est en prise avec les  crémaillères associées ;

   une oreille 319 de la  plaque 318 vient toucher le bord du bâti laté  ral de gauche 34, faisant basculer la plaque  318 et les cliquets 317 pour les écarter des  pignons de totalisateurs 308, contre la traction  d'un     ressort    320, qui tend à maintenir les     cli-          quets    317 en prise avec les pignons 308. Les  pièces sont réglées de telle manière que lors  que le totalisateur se dégage des crémaillères  312 elles rencontrent immédiatement les     cli-          quets    correspondants 317, qui sont alors bas  culés pendant la dernière partie du mouvement  de dégagement du totalisateur, de sorte qu'ils  sont maintenus en contact avec les pignons 308  par le ressort 320.

   Ainsi les pignons 308 peu  vent se réengager à l'alignement convenable  avec les     crémaillères    312 au moment du mou  vement d'embrayage.  



  Une oreille 321, partant du bras de support  303, est également en contact avec le rebord  du bâti latéral de gauche 34 afin de régler à  sa juste valeur la profondeur d'embrayage des  pignons avec les crémaillères.  



  Si l'on suppose maintenant que l'on désire  enregistrer un nombre dans le totalisateur    A  , on enfonce la touche 25   A ou B  ,  on compose le montant sur les touches de  montants, puis on actionne la barre motrice  26 d'addition   A  . Ceci déclenche le cycle  de la machine et, grâce à un mécanisme qui  sera décrit, le totalisateur   A   est immédia  tement débrayé des crémaillères et les leviers  divergents à quatre bras 76 ainsi que les bar  res d'arrêt correspondantes 74 ou bien vien  nent buter contre les cliquets d'arrêt à zéro  186 ou bien sont laissées libres de venir buter  contre les tiges de touches enfoncées, selon  qu'une touche a ou non été utilisée dans la  colonne particulière envisagée. Les leviers di  vergents à quatre bras 76 sont mis dans la  position angulaire déplacée convenable peu  après le milieu du cycle.

   A ce point, le totali  sateur   A   est basculé pour s'engager avec  les crémaillères 312 et ultérieurement, lorsque  l'étrier 80 est ramené à la position d'origine,  les crémaillères 312 introduisent dans les pi  gnons de totalisateur 308 la somme composée      sur le clavier. Naturellement, si la touche de  soustraction 28 a été utilisée en conjonction  avec la touche 26   A  , le fonctionnement de  la machine aura aussi déplacé le totalisateur  vers la gauche, jusqu'à la position de soustrac  tion, comme décrit plus loin, et les crémaillères  viennent en prise avec les pignons fous 314  au lieu des pignons principaux 308, de sorte  que la somme est enregistrée négativement  dans le totalisateur.

   Si un pignon de totalisa  teur quelconque contient déjà une somme  avant l'opération qui vient d'être décrite et  que cette somme     fait    franchir au pignon le  zéro, que ce soit positivement ou négativement,  la dent correspondante de     report    310 ou 311  fait basculer le levier de report associé 316  dans le sens     senestrorsum    autour de sa tringle  de     support    322 et permet à la crémaillère de  l'ordre immédiatement supérieur d'avancer  d'un cran supplémentaire.  



  Le déplacement du totalisateur   A   est  réalisé par une came qui est en contact avec  un galet 323     (fig.    6) situé à l'extrémité de gau  che de l'arbre 300, d'une manière qui sera  décrite plus loin à propos du conditionnement  de la machine pour les opérations de soustrac  tion.  



  L'arbre de totalisateur   B   324     (fig.    5 et  6a) pivote dans des paliers 325 et 326 montés  dans le cadre latéral de gauche 34 et le cadre  latéral de droite 35 et porte des bras de sup  port 327 et 328 destinés à recevoir un arbre  de pignon de totalisateur 329. Des plaques  intermédiaires de support 330 sont logées en  tre les pignons de totalisateurs. Chacune des  roues de totalisateurs consiste en un pignon  331, un tambour de chiffre 332, une dent de  report d'addition 333 et une dent de report  de soustraction 334, exactement comme pour  les pignons du totalisateur   A  . Chacune des  roues du totalisateur   B   porte aussi un pi  gnon fou 335 fixé à la plaque intermédiaire  adjacente 330, celui de l'ordre des unités étant  fixé au bras de support 328.  



  On voit à la     fig.    5 que, sur un bras infé  rieur 337 de chacun des leviers divergents 76  se trouve une     crémaillère    338 fixée grâce à un  montage à goupilles et fentes, lui permettant    d'exécuter un mouvement en arc de cercle  d'une quantité égale à un espacement de dent  sous l'action d'un ressort 339 ; cette crémail  lère possède des dents normalement en prise  avec les pignons de totalisateurs 331 ou avec  les pignons fous 335, selon que le totalisateur  est déplacé à la position d'addition ou à la  position de soustraction. Chacun des pignons  de totalisateur comporte un cliquet de report  340 qui peut être déclenché lorsque le pignon  de totalisateur 331 franchit le zéro soit dans le  sens négatif, soit dans le sens positif.

   Le cliquet  comporte aussi une oreille 341 qui fait     saillie     sur le trajet d'une oreille fixée à la crémail  lère 338 de l'ordre     immédiatement    supérieur,  mais qui, lorsqu'on agit sur le cliquet de report  340, est déplacé de telle sorte que la crémail  lère 338 reçoive un mouvement égal à un es  pacement entre deux dents pour effectuer un  report de retenue.  



  Le totalisateur   B  , lorsqu'il est sélec  tionné pour fonctionnement, est basculé et dé  brayé des crémaillères pendant la première  moitié d'un cycle et est ramené par un nou  veau basculement pour venir en prise avec  les crémaillères associées pendant la seconde  moitié d'un cycle pour provoquer l'enregistre  ment des données composées sur le clavier.  



  Le totalisateur   B   peut être déplacé en  vue du type d'opération, positive ou négative,  qu'on désire lui faire     effectuer,    par l'action  d'une came de déplacement de totalisateur    B   ménagée sur un galet 342     (fig.    6a).  



  D'après la     fig.    19, le bras de support de  droite 304 du totalisateur   A   comporte un  bras orienté vers le bas 343, lequel porte un  galet 344 qui s'engage dans une fente-came  345 ménagée dans la plaque d'embrayage de  totalisateur 346 montée à pivotement sur un  ergot 347 fixé au bâti de droite de la ma  chine. La     fig.    19 représente le mécanisme de  totalisateur dans la position d'embrayage avec  ses crémaillères associées.  



  Si, maintenant, la plaque d'embrayage de  totalisateur 346 est basculée dans le sens     dex-          trorsum    à partir de la position représentée, le  bras de support 304 du totalisateur   A  , qui  est goupillé à l'arbre 300, bascule dans le sens           senestrorsum    au moment où le galet 344 vient  se mettre dans l'extrémité inférieure de la     fente-          came    345.     Ceci    débraye le totalisateur et le  mouvement inverse de la plaque d'embrayage  346 jusqu'à la position représentée et réengage  le totalisateur avec ses pignons.

   D'une manière  similaire, le bras de support de droite 328 du  totalisateur   B   porte un bras orienté vers  le bas 348, muni d'un galet 349 faisant saillie  dans une fente-came 350 pratiquée dans la  plaque d'embrayage 351 du totalisateur   B  ,  laquelle est montée pivotante sur un ergot 352  fixé au cadre latéral de droite 35 de la ma  chine. La commande sélective du mouvement  de ces plaques d'embrayage 346 et 351 de to  talisateurs sera décrite en détail plus loin.  



  Le mouvement     dextrorsum    de la plaque  d'embrayage du totalisateur   B   351 va dé  gager le totalisateur   B  , et à son mouve  ment de retour le     réembraye    avec ses pignons.  



  Le totalisateur   B   comporte également  une série de cliquets 353     (fig.    5), un cliquet  étant prévu pour chaque pignon de totalisateur  à l'alignement de celui-ci, ces cliquets étant  montés sur un bâti supporté par l'arbre 324  et étant sollicités par des ressorts 354 (voir  aussi     fig.    6a), les cliquets étant maintenus hors  de prise d'avec les pignons pendant que les  pignons sont en prise avec les crémaillères as  sociées, mais entrant immédiatement en prise  avec les pignons lorsque ceux-ci sont retirés  des crémaillères associées.

      <I>Enregistrement soustractif</I>    En se reportant aux     fig.    3 et 15, on voit  sur le bâti latéral de gauche 34 des cames 360  et 361 pivotant en 358 et 359 et     comportant     des fentes-cames dans leur pourtour, une  fente-came 363 (fi-. 7) associée au totalisateur    A   étant caractéristique de celle-ci.  



  Sur la came 360 peut pivoter un levier 364  comportant des épaulements 368 et 369, adap  tés, respectivement, pour être engagés par des  ergots 371 et 372 d'une plaque 370, fixée à  l'arbre 130, laquelle tourne d'abord dans le  sens     dextrorsum    puis dans le sens contraire       (fig.    3), au cours d'un fonctionnement de la  machine. Le levier 364     comporte    une fente    365 dans laquelle coulisse un ergot 366 fixé à  une biellette 367.

   Si la biellette 367 est attirée  vers l'avant, le levier 364 est basculé dans le  sens     senestrorsum        (fig.    3), tourne autour de  son pivot sur la came 360 et amène l'épaule  ment 369 sur le trajet de l'ergot 372, lorsque  la plaque 370 oscille dans le sens     dextrorsum     pendant la première moitié du cycle. Si la  bielle 367 est mise en position vers l'arrière,  ainsi qu'on peut le voir à la     fig.    3, l'ergot 371  se déplace pendant la première moitié du cy  cle et se dirige vers l'épaulement 368.

   Dans  la position du levier 364, telle qu'elle est re  présentée à la     fig.    3, la came 360 est basculée  au maximum dans le sens     dextrorsum    de sorte  que le totalisateur   A   se trouve en position  pour des enregistrements positifs et pour un  total ou sous-total positifs. Le mécanisme étant  dans cet état lorsque la machine est mise en  marche, l'ergot 372 se déplace sans aucun effet  autour d'une arête en arc de cercle 373, et  l'ergot 371 vient vers l'épaulement 368 mais,  le levier 364 étant déjà dans sa position la plus  haute, l'ergot 371 entre en contact inopérant  avec l'épaulement 368.

   Lorsque la bielle 367  est déplacée vers l'avant par les moyens qui  seront décrits plus loin, et que le levier 364 est  basculé de telle sorte que l'épaulement 369  soit sur le trajet de l'ergot 372, pendant le pre  mier demi-cycle d'une opération ultérieure, le  levier 364 est tiré vers le bas lorsque l'ergot  372 est poussé à force contre l'épaulement 369,  attirant vers le bas le levier 364, faisant bas  culer la came 360 dans le sens     senestrorsum     et déplaçant le totalisateur jusqu'à la position  négative. A la fin de l'opération, lorsque le  mécanisme de touches de soustraction, qui  sera décrit plus loin et qui est situé sur le côté  droit de la machine, est ramené, la bielle 367  est déplacée vers l'arrière, de sorte que l'épau  lement 368 se trouve sur le trajet de l'ergot  371.

   Si l'opération suivante est une opération  d'addition, pendant la première partie du cycle  de la machine, l'ergot 371 touche l'épaulement  368 qui est alors à sa position la plus basse,  poussant le levier vers le haut et déplaçant la  came 360 dans le sens     dextrorsum    afin de dé  placer le totalisateur vers la droite jusqu'à sa      position positive. La came 361 du totalisateur    B   est représentée à la     fig.    3, elle aussi dans  sa position d'addition, et elle     peut    tourner en  359 sous     l'influence    d'une bielle 375, laquelle  est articulée à un bras de la came 361 et à une  plaque 376 qui pivote en 377.

   Si la plaque  376 bascule dans le sens     senestrorsum        (fig.    3),  la came 361 est basculée dans le même sens,  amenant le totalisateur   B   en position né  gative, autrement dit le déplaçant vers la gau  che. Un levier 378 d'une forme correspon  dante au levier 364 est articulé sur la plaque  376 et comporte une fente 379 dans laquelle  se déplace un ergot 380 fixé à une bielle 381.  Le levier 378 présente un épaulement 382  qui coopère avec l'ergot 371 et un épaulement  383 qui coopère avec l'ergot 372.

   Dans la posi  tion représentée à la     fig.    3, à la première oscil  lation de la plaque 370 pendant la première  moitié du cycle de la machine, l'ergot 371 che  vauche sur une arête en arc de cercle 384 et  l'ergot 372 ne va pas assez loin vers l'épaule  ment 383 pour pouvoir déplacer le levier 378.

    Si, maintenant, le levier 381 est déplacé vers  l'arrière, le levier 378 est basculé autour de  son pivot dans le sens     senestrorsum,    de     sorte     que l'épaulement 382 se trouve sur le trajet  de l'ergot 371 et, pendant la première moitié  du cycle subséquent de la machine, l'ergot 371,  en touchant l'épaulement 382, soulève le levier  378, faisant basculer la plaque 376 et la came  361 dans le sens     senestrorsum    afin d'amener  le totalisateur   B   à sa position négative, si  tuée à main gauche. La bielle 367 comporte,  dans son extrémité arrière, une fente 385 qui  chevauche un ergot 386 fixé sur l'un des bras  de levier 387 pivotant en 388 sur le bâti laté  ral 34.

   L'autre extrémité du levier 387 porte  un ressort 389 qui est accroché à un ergot fixé  sur le bâti de la machine et ce ressort tend à  faire basculer le levier 387 dans le sens     dex-          trorsum    autour de son pivot 388, maintenant  l'ergot 386 dans l'extrémité arrière de la fente  385. L'extrémité avant de la bielle 367 com  porte une fente 390 qui coopère avec un ergot  391 fixé à un levier 392, lequel est goupillé sur  un arbre transversal 393 qui tourillonne dans  les bâtis 34 et 35. Sous l'action du ressort 389,    l'ergot 391 se déplace dans l'extrémité avant  de la fente 390.

   Il est prévu une fente 394  dans l'extrémité arrière de la bielle 381, la  quelle fente coopère avec un ergot 395 fixé  à un levier 396 pivotant en 397 sur le bâti  34, une extrémité 398 orientée vers le haut du  levier 396 portant contre l'ergot 386 du levier  387, de sorte que l'ergot 395 repose dans l'ex  trémité avant de la fente 394. L'extrémité  avant de la bielle 381     comporte    une fente 399  qui s'engage sur un ergot 400     fixé    à l'extrémité  inférieure du levier 392, ledit ergot, grâce à la  poussée vers l'avant de la bielle 381, par l'in  termédiaire de l'ergot 395, reposant dans l'ex  trémité arrière de la fente 399.

   Goupillé sur  l'extrémité de droite de l'arbre transversal 393       (fig.    2 et 15), se trouve un levier fourchu 401  dont l'extrémité reçoit un ergot 402 fixé à un  bras orienté vers l'arrière d'une plaque de  commande de soustraction 403, qui pivote en  193a.  



  En examinant la     fig.    18, on voit que la tou  che de soustraction 28 est montée coulissante  sur des ergots 404 et 405 fixés à un support  406 lui-même fixé à l'intérieur du coffre de la  machine. Un ressort 407, tendu entre un bras  orienté vers l'avant de la tige de touche 408  et un ergot fixé au support 406,     attire    normale  ment la touche 28 vers le haut.

   La touche de  soustraction 28 comporte un bras orienté vers  l'arrière 409 qui, lorsque la touche de sous  traction est enfoncée, vient heurter un ergot  410     (fig.    2 et 15) de la plaque de commande  de soustraction 403, la faisant basculer dans  le sens     dextrorsum.    Lorsque la plaque de com  mande de soustraction 403 est ainsi basculée,  elle fait pivoter le levier fourchu 401 en sens       senestrorsum    et, selon la     fig.    3, le levier 392  est basculé dans le sens     dextrorsum,    ce qui  amène les leviers 364 et 378 à la position de  soustraction.

   Ainsi, au début du fonctionne  ment de la machine, les     totalisateurs      A   et    B   sont déplacés jusqu'à la position de sous  traction, si précédemment ils étaient en posi  tion d'addition.  



  Dans ces conditions, lorsqu'on enfonce la  touche<I>  A</I> ou<I>B  </I> 25     (fig.    3), la touche de  soustraction 28     (fig.    18) n'est pas motrice et      ne provoque pas le déclenchement d'un cycle  de la machine. Il faut qu'en plus de la touche  de soustraction 28, on enfonce soit la touche  26, qui est la touche sélectrice du totalisateur    A      ,    soit la touche 27, qui est la touche  sélectrice du totalisateur   B      ,    chacune des  touches 26 et 27 déclenchant un cycle de fonc  tionnement de la machine.

   La touche 26 est  montée coulissante sur deux ergots 411 et 412,  eux-mêmes fixés au support 406, et est main  tenue en position haute par un ressort 413,  tendu entre une oreille orientée vers l'arrière  de la tige 414 de touche et un ergot fixé au  support 406. La touche 27 est montée coulis  sante sur des ergots 415 et 416 et est mainte  nue en position élevée par un ressort 417 tendu  entre une oreille orientée vers l'avant de la tige  418 de la touche et un ergot fixé au support  406. La touche 26 comporte un bras orienté  vers l'avant 419 et la touche 27 a un bras  orienté vers l'arrière 420, les extrémités des  bras 419 et 420 se recouvrant sur une courte  distance, à un endroit où ils sont au-dessus  d'un ergot 421     (fig.    2) fixé à un levier 422 qui  pivote en 69.

   La face inférieure de l'ergot 421  repose sur un épaulement 423 d'un bras  orienté vers l'arrière 424 d'un levier 425, le  quel pivote en 426 sur le levier à bras multi  ples 68. Un bras orienté vers le haut 427 du  levier 425 comporte une oreille 428 maintenue  en contact avec un bras orienté vers le haut  429 du levier 68 par un ressort 430 tendu  entre l'oreille 428 et le bras orienté vers l'avant  1431 du levier 68. Lorsqu'on actionne soit la  touche<I>  A  ,</I> soit la touche<I>  B  ,</I> seule ou  en liaison avec la touche de soustraction 28,  le levier 68 est basculé légèrement dans le sens       dextrorsum,    déclenchant un cycle de fonction  nement de la machine. Pivotant sur l'extrémité  arrière du levier 422, se trouve un levier 431  muni, à son extrémité inférieure, d'une fente  432 qui s'engage sur un ergot 433.

   Le levier  431 est représenté dans la position qu'il prend  sous     l'influence    de l'ergot 433 lorsque la ma  chine est mise en état par enfoncement de la  touche 25<I>  A ou B  </I> (voir     fig.    3), état dans  lequel on peut sélectionner en vue de faire des  opérations d'enregistrement, soit le totalisateur    <I>  A  ,</I> soit le totalisateur<I>  B  .</I> Dans cette  position du levier 431, la touche de soustrac  tion 28 (voir     fig.    18) ne va pas, lorsque la pla  que de commande de soustraction 403 sera  basculée     (fig.    2), amener l'ergot 410 en con  tact avec l'extrémité supérieure du levier 431 ;

    mais, si la machine est mise en état par la tou  che 24<I>  A</I> et<I>B  </I>     (fig.    3), le levier 431     (fig.    2)  pivote dans le sens     dextrorsum    par le mouve  ment vers l'avant de l'ergot 433, comme décrit  plus loin, de sorte que l'extrémité supérieure  du levier 431 se trouve sous l'ergot 410 et que  le basculement de la plaque de commande de  soustraction 403, au moment de l'enfoncement  de la touche de soustraction 28, force le levier  431 vers le bas,     entrainant    le levier 422 dans  le sens     dextrorsum    autour de son pivot 69  pour provoquer le déclenchement d'un cycle  de la machine.  



  D'après les     fig.    2, 2a, 26 et 2c, on voit que  sur le bras orienté vers l'arrière 424 du levier  425, pivote en 434 un cliquet de franchisse  ment 435, adapté pour coopérer avec une sur  face d'arrêt 436 d'une plaque 437 qui pivote  en 438 sur le bâti latéral de droite 35.

   Une  bielle 439, pivotant en 440 sur la plaque 437  et en 441 sur le levier fourchu 401, oblige la  plaque 437 à basculer dans le sens     senestror-          sum    à partir de la position normale représen  tée à la     fig.    2a, jusqu'à la position représentée  à la     fig.    2b, toutes les fois que la plaque de  commande de soustraction 403 est basculée  dans le sens     dextrorsum    (fi-. 2), par enfonce  ment de la touche de soustraction 28.

   Selon  la fi-. 2a, si le bras 424 est basculé dans le  sens     dextrorsum,    soit par la touche   A  , soit  par la touche   B  , il entraîne avec lui le     cli-          quet    de franchissement 435. Celui-ci est nor  malement maintenu dans la position     dextror-          sum    de la     fig.    2a par un ressort 442, tendu  entre un bras inférieur et orienté vers l'avant  du cliquet de franchissement 435 et un ergot  424a du bras 424, de sorte qu'un bras 424b  du cliquet 435 entre en contact avec l'ergot  424a.

   Lorsque le bras 424 et le cliquet de  franchissement 435 sont basculés dans le sens       dextrorsum    autour du pivot 426 et que l'on  enfonce la touche 26 ou 27, une oreille 443      du cliquet de franchissement 435 vient se met  tre en ligne avec la surface d'arrêt 436 de la  plaque 437, empêchant son basculement dans  le sens     senestrorsum    et par là empêchant aussi  l'enfoncement de la touche de soustraction 28  après qu'a été déclenché un cycle d'enregistre  ment.  



  Si l'on examine la     fig.    2c, on voit qu'en  444a, sur la surface intérieure de la plaque  437, pivote un levier 444, comportant une  oreille 445 qui s'engage sur le rebord avant  d'un bras supérieur<I>443a</I> de la plaque 437,  sous l'action d'un ressort 446. Sur un bras  orienté vers l'arrière du levier 444 se trouve  une surface d'arrêt 447. Lorsque le bras 424  est basculé dans le sens     dextrorsum    autour de  son pivot 426 pour déclencher la machine, une  oreille 448 tombe directement derrière la sur  face d'arrêt 447 lorsque la plaque 437 est en  position de soustraction, pour empêcher le  mouvement de retour de la plaque 437 à la  position d'addition jusqu'à ce que le fonction  nement de la machine soit presque achevé.

    L'état des pièces pour une opération d'addi  tion est représenté à la     fig.    2a, sur laquelle  l'oreille 448 va simplement faire basculer le  levier 444 dans le sens     dextrorsum    et l'état des  pièces pour une opération de soustraction est  représenté aux     fig.    2b et 2c. Sur un pivot 449,  fixé au bâti latéral de droite 35 de la machine,  pivote un levier 450 sur le bras arrière et  descendant duquel est monté un cliquet de  franchissement 451. Ce levier comporte aussi  un bras orienté vers l'avant et vers le bas,  muni d'un ergot 452. Un ergot 453 limite le  mouvement     dextrorsum    du levier 450.

   Lorsque  celui-ci tourne dans le sens     senestrorsum,    l'er  got 452 touche l'extrémité arrière du levier  444 et le fait tourner dans le sens     dextrorsum     autour de son pivot, ce qui écarte la surface  d'arrêt 447 de l'oreille 448, si elle a ainsi été  mise en contact, ce qui permet à la plaque 437  de revenir à sa position d'addition.

   L'ergot 192  de la plaque d'entraînement 135, pendant la  première moitié d'un cycle, communique un  mouvement à vide dans le sens     dextrorsum    au  cliquet de franchissement 451, mais pendant  la seconde moitié du cycle tend à faire basculer    le cliquet de franchissement 451 dans le sens       senestrorsum.    Toutefois, étant donné que ce  dernier est empêché d'exécuter un tel mouve  ment par un ergot, le levier 450 se trouve bas  culé dans le sens     senestrorsum,    ce qui libère  la plaque 437, lui permettant de revenir à la  position d'addition sous l'action du ressort 389       (fig.    3), d'un ressort tendu entre la plaque 437  et le bâti latéral de droite (non représenté) et  d'un ressort 455     (fig.    2a).

    



  Selon les     fig.    2b et 2c, lorsque la plaque  437 revient à la position d'addition, le cliquet  de franchissement 435 passe sur une arête in  clinée 456, lorsque ledit cliquet bascule sur  son pivot 434.  



  <I>Dispositif de blocage de la touche   A   et</I>  <I>de la touche   B  , lorsque la touche de total</I>  <I> </I>     B*   <I>  est enfoncée</I>  On voit, selon les     fig.    3, 23 et 25, que sur  le côté gauche de la machine est disposée une  coulisse 461 qui comporte une fente 462, la  quelle chevauche un ergot 463 fixé sur le bâti  latéral de gauche 34. Cette coulisse pivote en  464 sur le bras orienté vers l'avant d'un levier  466 goupillé sur un arbre transversal 467. La  coulisse 461 est normalement maintenue en  position haute, dans laquelle le' pivot 463 se  trouve au fond de la fente 462, et elle y est  maintenue par un ressort 468 tendu entre le  levier 466 et un ergot fixé au bâti latéral de  gauche.

   Dans cette position de repos de la  coulisse 461, un ergot 469, fixé sur son extré  mité supérieure, est en contact avec un bras  orienté vers l'avant 470 de la tige de la tou  che 30 de sélection du totalisateur       B*     .  



  Cette touche est maintenue en position  haute par un ressort 471 fixé au bras 470 de  la tige de touche et accroché par son autre  extrémité à un ergot fixé à la plaque latérale  de gauche 177. Lorsque la touche 30       B*       est enfoncée, la coulisse 461 est poussée vers  le bas, faisant basculer l'arbre 467 dans le sens       senestrorsum    en     fig.    23 et 25. Un bras orienté  vers le haut 472 du levier 466 commande un  mécanisme palpeur qui décèle l'état dans le  quel se trouve le     totalisateur      B   et déter  mine si celui-ci contient une somme négative      ou une somme positive, comme décrit plus  loin, en référence à la     fig.    26.

   Les     fig.    4 et 24  montrent que sur l'extrémité de droite de l'ar  bre 467, à l'intérieur de la plaque de bâti de  droite 35, est goupillé un levier 473 muni à  son extrémité extérieure d'un ergot 474 qui  porte contre le bras orienté vers l'arrière d'un  levier 475. Ce dernier pivote en 476, sur le  bâti latéral de droite 35, l'extrémité supérieure  du levier 475 étant en contact avec le rebord  supérieur 477     (fig.    24) d'un levier     flottant     478, ayant à son extrémité de gauche une  fente 479 coopérant avec une gorge périphéri  que pratiquée dans un ergot vertical 480, qui  fait saillie sur la base de la machine.

   L'extré  mité de droite du levier flottant 478 s'étend à  travers une fente allongée 481 ménagée dans  le bâti latéral de droite 35 et repose normale  ment dans l'extrémité avant de ladite fente 481.  L'ergot 480 repose sur l'extrémité arrière de  la fente 479 sous l'influence d'un ressort 482,  allant du levier     flottant    à un arbre transversal  483     (fig.    2), lequel pivote dans les bâtis laté  raux 34 et 35.

   Si la touche 30       B*      est en  foncée, l'extrémité de droite du levier flottant  478 est forcée vers l'arrière dans la fente 481,  où elle se trouve directement sous la jambe  484 orientée vers le bas du levier 422, blo  quant le mouvement de déclenchement du le  vier 422 et empêchant une opération d'enre  gistrement à un cycle et empêchant en outre  par là l'enfoncement des touches 26, 27 et 28       (fig.    18).  



  Selon la     fig.        26u,    la touche de     non-addi-          tion    31 (voir aussi     fig.    18) montée coulissante  sur des ergots<I>484a</I> et 485     (fig.    18) fixés au       support    406 et normalement maintenue en  position haute par un ressort 486, tendu entre  la tige de ladite touche et un ergot porté par  la potence 406, présente un bras orienté vers  l'arrière 487 qui, lorsque la touche de     non-          addition    31 est enfoncée, vient porter contre  un ergot 488     (fig.    26a)

   d'un levier 489 fixé à  un collier monté pivotant en 490 sur le bâti  latéral de droite 35. Sur l'extrémité de gauche  du collier est fixé un levier 491 comportant  une portion orientée vers le bas adaptée pour  venir frapper l'extrémité de droite du levier    478 lorsqu'il est dans sa position arrière, qu'il  assume lorsque la touche       B*      est enfoncée.  Ceci empêche le fonctionnement de la touche  de non-addition 31 pendant le temps que la  touche 30       B*      est en position enfoncée.

   On  voit ainsi que la seule façon de mettre la ma  chine en marche, dans le cas où la touche        B*      aurait été utilisée, est d'actionner soit  la touche de total 29     (fig.    18), soit la touche  de sous-total   S   29a, qui sont motrices et  qui commandent les mécanismes de total et de       sous-total,    respectivement.    <I>Mécanisme de report</I>    Le mécanisme de report est d'un type  connu et par conséquent ne sera décrit que  brièvement ici par rapport au totalisateur    A  , le mécanisme de report du totalisateur    B   étant de même construction.  



  A chaque roue de totalisateur correspond,  à côté de son côté gauche, un levier de report  dont l'un 493     (fig.    8) représentant l'ordre des  unités est illustré en position normale dans la  quelle son oreille 494 bloque une crémaillère  495 prévue pour l'ordre immédiatement supé  rieur en vue d'effectuer son mouvement de re  port sous l'action d'un ressort 496. Les leviers  de report 493 sont tous montés sur l'arbre 322,  de manière à pouvoir basculer et chacun est  maintenu en position normale par un ressort  498.  



  Le levier de report 493 comporte une par  tie extérieure décalée 499 qui est à l'aligne  ment de la dent d'addition du cliquet de report  de l'ordre des unités, lorsque le totalisateur est  en position d'addition. Lors des opérations  d'addition, au fur et à mesure que     la    dent d'ad  dition du pignon de totalisateur approche de  la position de zéro, elle vient agir sur une  arête-came 500, faisant basculer le levier de  report 493 vers le bas, position dans laquelle  il se trouve verrouillé par une oreille 501 d'un  verrou pénétrant dans une encoche 502.

    L'oreille 494, grâce à ce dispositif, est mainte  nue hors d'alignement d'avec la butée de la  crémaillère de différentiel 495 de l'ordre des  dizaines, ce qui permet un mouvement supplé  mentaire d'une unité dans la roue de totalisa-           teur    de l'ordre des dizaines. Lors des opéra  tions de total, lorsqu'un total positif est en  question, une surface d'arrêt verticale 503 de  la partie décalée du levier de transfert 493,  entrant en contact avec la dent d'addition, ar  rête la roue de totalisateur associée lorsque  celle-ci atteint la position de zéro dans son  mouvement rotatif de retour.

   De même, lors  que le totalisateur est déplacé vers la gauche  pour les opérations de soustraction ou de total  négatif, une portion 504 du levier de report  403 se trouve à l'alignement avec la dent du  cliquet de report de soustraction du pignon de  totalisateur des unités, et dans les enregistre  ments soustractifs, il exerce une action sur le  levier de report correspondant afin de provo  quer l'introduction d'une unité négative dans  le pignon de totalisateur des dizaines. Dans les  opérations de total négatif, la dent de soustrac  tion du cliquet de report de l'ordre des unités  arrête le totalisateur des unités en position de  zéro en venant en contact avec une arête 505.  



  Le levier de report 493 de l'ordre le plus  élevé est utilisé pour introduire une   unité  fugitive   dans l'ordre inférieur toutes les fois  que des enregistrements obligent le     totalisateur     dans son ensemble à franchir le zéro, que ce  soit du négatif au positif ou inversement, ainsi  que cela sera décrit plus loin.  



  Un verrou de levier de report typique est  représenté en     fig.    5. Sur le côté de chaque roue  de totalisateur se trouve une plaque 506 sup  portée sur des tringles 507 et 508     fixées    aux  bâtis latéraux, et sur laquelle est montée, par  pivotement, une pièce de verrou 509 action  née dans le sens     senestrorsum    par un ressort  <B><I>51</I>0</B> et comportant une oreille 501 (voir     fig.    8)  qui coopère avec une encoche crantée 512 du  levier de report correspondant 493. Lorsque  ce levier est basculé par le cliquet de report de  la roue de totalisateur associée, l'oreille 501  de son verrou vient se placer brusquement  dans le cran supérieur de l'encoche<B>512,</B> blo  quant le levier 493 en position déclenchée.

   Un  tel déclenchement ne se produit que lorsque  le totalisateur est en prise avec les crémaillères  différentielles. Chaque verrou comporte une  queue 513     (fig.    5) faisant saillie vers l'avant, à    laquelle une poussée vers le haut est donnée  pour remettre les cliquets de report en position  lorsque le totalisateur est débrayé des crémail  lères. Une telle remise en position des leviers  de report se produit au début de chaque opé  ration d'enregistrement de nombres et au début  du premier cycle d'une opération de total à  deux cycles, au moment où le totalisateur est  débrayé des crémaillères.

      <I>Mécanisme de   l'unité fugitive  </I>    Lorsque le totalisateur contient une somme  positive, un total est extrait du totalisateur en  position d'addition et, s'il contient une somme  négative, le total est extrait du totalisateur en  position de soustraction. Une roue de totali  sateur, dont la roue de     fig.    9 constitue un  exemple, quand elle est remise à zéro à partir  d'un total positif, doit tourner dans le sens       senestrorsum    ou additif, jusqu'à ce qu'une  dent du cliquet de report positif<B>311</B> vienne  toucher la surface d'arrêt 503 du levier de  report correspondant. Ceci fait apparaître un  zéro au tambour d'indicateur à travers la fenê  tre de lecture 21.

   Lorsque la roue de totalisa  teur est remise à zéro à partir d'un total néga  tif, sa rotation est provoquée dans un sens       opposé    à celui de la direction de soustraction,  jusqu'à ce que la dent du cliquet de report né  gatif 310 vienne toucher la     surface    d'arrêt 505  de son levier de report. Ceci fait apparaître  un   9   au tambour indicateur dans la fenê  tre de lecture 21.

   Ainsi, après qu'un total a  été extrait du totalisateur, sous     l'influence    des  dents du cliquet de report positif,     c'est-à-          dire    lorsque le totalisateur est en posi  tion d'addition, les tambours d'indica  teurs montrent   0000000000   à tra  vers     l'ouverture    de lecture tandis que lorsqu'un  total est extrait sous l'influence des dents du  cliquet de report négatif, c'est-à-dire lors  que le totalisateur est en position de sous  traction, les tambours indicateurs montrent        _9999999999     .

       Etant    donné que ce qui ap  paraît aux tambours correspond à la position  réelle des roues de totalisateurs, de telles posi  tions de zéro seront désormais appelées par  convention   zéro positif   et   zéro négatif      .         Lors du retour des roues de totalisateurs au    zéro positif   ou au   zéro négatif  , les cré  maillères différentielles doivent être déplacées  d'une distance égale au total réel, que celui-ci  soit positif ou négatif, et ceci est réalisé par  des mécanismes qui assurent l'introduction  d'une unité fugitive dans le totalisateur lorsque  celui-ci passe, lors de l'introduction d'opéra  tions soustractives, de   0000000000    à   9999999999   ou de   9999999999   à   0000000000    pendant une opération d'enregistrement ad  ditif.

    Les exemples ci-après montrent quels se  ront les chiffres qui apparaissent sur les tam  bours d'indicateurs et, par conséquent, la posi  tion des roues de totalisateurs pendant une  série d'opérations d'enregistrement, en com  mençant avec le totalisateur à zéro.  
EMI0022.0001     
  
    0000000000
<tb>  ajouter <SEP> 1
<tb>  0000000001
<tb>  soustraire <SEP> - <SEP> 2
<tb>  9999999999
<tb>  correction <SEP> de <SEP> 1 <SEP> fugitif <SEP> - <SEP> 1
<tb>  9999999998
<tb>  ajouter <SEP> 5
<tb>  0000000003
<tb>  correction <SEP> de <SEP> 1 <SEP> fugitif <SEP> 1
<tb>  0000000004       On voit ainsi que l'unité fugitive est ajou  tée pendant une opération d'addition et sous  traite pendant une opération de soustraction.  



  Le même phénomène se produit entre les  colonnes de totalisateurs pendant les opéra  tions d'enregistrement afin de transférer les  reports ; par exemple  
EMI0022.0002     
  
    0000000009
<tb>  ajouter <SEP> 1
<tb>  0000000010       implique l'introduction de   un   dans la co-    Tonne des dizaines dans le sens positif, tandis  que l'opération  
EMI0022.0003     
  
    <B>0000000010</B>
<tb>  soustraire <SEP> - <SEP> 1
<tb>  0000000009       implique l'introduction de   un   dans la co  lonne des dizaines mais dans le sens négatif.  



  Alors que la position à donner aux totali  sateurs lors de l'enregistrement des nombres  est déterminée par l'opérateur qui fait fonc  tionner la machine selon qu'il met la machine  en état de recevoir des additions ou des sous  tractions, ceci par le jeu des touches 26, 27 et  28, la position donnée aux totalisateurs pen  dant les opérations de totaux est commandée  automatiquement selon que le nombre figurant  dans le totalisateur choisi pour l'opération de  totalisation est positif ou négatif.

   Si le mon  tant du total est positif, le total sera recueilli  par engagement des pignons de totalisateurs  directement avec les crémaillères différentiel  les, tandis que, si le montant figurant dans le  totalisateur est négatif, lesdites crémaillères se  ront en prise avec les pignons de totalisateurs  indirectement, par l'intermédiaire de pignons  intermédiaires ou pignons fous. Ce contrôle  automatique de ces mouvements est décrit plus  loin à l'occasion des opérations de total.  



  Toutes les fois que la roue de totalisateur  de l'ordre le plus élevé d'un totalisateur arrive  près du point de zéro en partant de la direc  tion positive pour se rendre vers la direction  négative, ou en partant de la direction négative  pour se rendre vers la direction positive, l'unité  fugitive est introduite dans la roue de totalisa  teur de l'ordre inférieur     additivement,    ou     sous-          tractivement,    selon le cas.  



  D'après la     fig.    8, un levier de report 514  pour la roue de totalisateur de l'ordre le plus  élevé est déclenché, lorsque cette roue appro  che de zéro dans l'une ou l'autre direction, et  un levier de loquet 515, monté de manière       basculable    sur un arbre 516, lequel levier 515  a normalement une oreille de verrou 517 pla  cée dans la partie inférieure d'une encoche  crantée 518, se trouve libre de se déplacer de  telle sorte que l'oreille de verrou 517 vienne      se placer dans     la,partie    supérieure de l'enco  che 518, sous l'action d'un ressort 519, ame  nant une bielle 520 vers l'arrière afin de faire  basculer une manivelle 521 goupillée sur un  ;

   arbre 522, ce-qui fait tourner l'arbre 522 dans  le sens     senestrorsum    quand on regarde depuis  le côté droit de la machine. Un levier 523, gou  pillé sur l'arbre 522, maintient normalement  un étrier 524 monté pivotant sur l'arbre 322,       n    de telle manière que son oreille 525 soit à  l'alignement d'une butée 526 montée sur la  crémaillère 495 différentielle de l'ordre des  unités. Lorsqu'on fait basculer le levier 523,  l'oreille 525 est abaissée par le basculement de  l'étrier 524, coupe l'action de retour exercée  par un ressort 527, ce qui permet l'introduc  tion d'une unité fugitive dans l'ordre des uni  tés, soit     additivement,    soit     soustractivement,     selon la position latérale du totalisateur.

   Lors  3 de l'opération suivante de la machine, l'étrier  524 est remis à la position active représentée  à la     fig.    8, par une oreille 528     (fig.    6) agissant  sur une queue 529     (fig.    8) du levier de verrou  515 lorsque le totalisateur est débrayé.  



  Un dispositif maintient le levier de verrou  515     (fig.    8) et l'empêche de basculer sauf lors  que la roue de l'ordre le plus élevé franchit le  zéro, au cours d'une opération d'enregistre  ment de signe algébrique opposé à celui de  l'enregistrement précédent. Ce dispositif em  pêche l'introduction de l'unité fugitive lorsque  le totalisateur dépasse sa capacité, que ce soit  positivement ou négativement.  



  Sur le pivot 358     (fig.    7), à l'endroit où ce  dernier passe à travers un collier 530, fixé au  bâti latéral de gauche, est montée basculante  une pièce en forme     d'E    531, comportant un  ergot 532, qui sert à l'accrochage de l'une des  extrémités d'un ressort 533, l'autre extrémité  étant attachée à un ergot 534, fixé à la came  360 du déplacement du totalisateur   A  .  Lorsqu'on fait tourner la came 360 dans le  sens     senestrorsum        (fig.    3), jusqu'à la position  de soustraction, l'extrémité arrière de la pièce  en forme     d'E    531 est attirée vers le bas par  le ressort 533.

   Lorsque la came 360 est rame  née à la position d'addition représentée à la  fi-. 3, la pièce en forme     d'E    531 est attirée    vers le haut jusqu'à la position représentée à  la     fig.    3.  



  Après une série d'opérations d'addition  dans le totalisateur   A   à partir d'un zéro  positif, la came 360 se trouve dans la position  représentée à la     fig.    3 et la pièce en forme     d'E     est dans sa position haute (voir aussi     fig.    11),  dans laquelle un bras inférieur de la pièce en  forme     d'E    531 entoure une oreille 535 que  présente la queue orientée vers le bas du levier  de verrou 515, empêchant le mouvement de ce  dernier même si le levier de report 514 est  basculé vers le bas par le cliquet de report de  la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé  lors d'une opération ultérieure d'addition.

    Après une série d'opérations de soustraction  dans le totalisateur   A      ,    opérations pendant  lesquelles le montant du totalisateur passe  d'une valeur positive à une valeur négative,  l'oreille 535 est saisie par le bras supérieur de  la, pièce en forme     d'E    531     (fig.    12), ce qui  empêche le levier de verrou 515 de se dépla  cer lors d'une opération ultérieure de soustrac  tion dans laquelle le levier de report 514 est  basculé vers le bas.  



  Lors de l'enregistrement d'une première  somme soustractive suivant une série d'opéra  tions d'addition, la came 360 pivote de ma  nière à attirer le levier en forme     d'E    531 vers  le bas, mais elle ne peut pas achever son mou  vement car la face inférieure d'une langue cen  trale de celle-ci vient heurter l'oreille 535,  ainsi qu'on peut le voir à la     fig.    10. Le levier  de verrou 515 est alors libre de basculer dans  le sens     senestrorsum        (fig.    10), si la dent de  report de soustraction de la roue de totalisa  teur de l'ordre le plus élevé fait basculer vers  le bas le levier de report de l'ordre le plus  élevé, et l'unité fugitive sera introduite dans  la roue de l'ordre inférieur du totalisateur    A  .

   A la     fig.    10, cette situation est repré  sentée au moment où elle va se produire,  c'est-à-dire lorsque la roue de totalisateur de  l'ordre le plus élevé, tournant     soustractive-          ment,    entraîne avec elle un cliquet de report  536 dans le sens de la flèche.

   Une unité de  mouvement de plus à partir de la position  représentée amène une dent de soustraction      537 à faire basculer le levier de report 514  vers le bas, permettant au levier de verrou<B>515</B>  de basculer dans le sens     senestrorsum    de telle  sorte que l'oreille 535 s'échappe de dessous  la langue de la pièce en forme     d'E    531, ainsi  qu'on peut le voir en ligne pointillée, et la pièce  en forme     d'E    531 se trouve alors libre d'ache  ver son mouvement dans le sens     dextrorsum     jusqu'à ce que la lèvre du crochet supérieur  qui s'y trouve pratiquée vienne toucher son  oreille 535.

   Au début du cycle suivant, le  levier de verrou 515 est ramené en position de  verrouillage et l'oreille 535 se déplace alors  dans le sens     dextrorsum    et se trouve verrouil  lée par le crochet supérieur de la pièce 531  tant que continuent les opérations de soustrac  tion.

   Si, maintenant, une opération d'addition  se présente, la came 360     (fig.    15) se trouve  déplacée, ce qui amène la pièce en forme     d'E     531 a être attirée dans le sens     senestrorsum          (fig.    12) et le rebord supérieur de sa langue  centrale vient en contact avec l'oreille 535 où  il reste jusqu'à ce qu'une dent d'addition 538       (fig.    12) déclenche le levier de verrou 515 au  moment où la roue de totalisateur de l'ordre  le plus élevé passe par la position zéro en se  rendant dans le sens de l'addition.

   Le levier  515 est maintenant basculé dans le sens     senes-          trorsum,    introduisant l'unité fugitive dans la  roue de     totalisateur    de l'ordre des unités et,  lorsque l'opération suivante de la machine       commence,    l'oreille 535 est saisie par le cro  chet inférieur de la pièce en forme     d'E    531.  



  La position de cette pièce<B>531</B> indique si  le total accumulé est négatif ou positif et ceci  est utilisé pour déterminer le déplacement du  totalisateur   A   dans les opérations de total  afin d'extraire un total négatif ou positif et un  mécanisme semblable est prévu pour le totali  sateur   B  , l'un et l'autre mécanismes devant  être expliqués à propos des opérations de total  ou de sous-total.  



  Un mécanisme semblable à celui du tota  lisateur   A   pour introduire l'unité fugitive  est prévu pour le     totalisateur      B      .    En     effet,     à la     fig.    15, on voit un levier de report 539  de l'ordre de numération le plus élevé du tota  lisateur   B  , levier qui est basculé dans le    sens     senestrorsum    autour de son arbre de sup  port toutes les fois que la roue de totalisateur  de l'ordre le plus élevé du     totalisateur      B    passe par zéro, que ce soit dans le sens positif  ou dans le sens négatif, livrant un levier 541  à l'action d'un ressort 542, selon ce qui est  déterminé par une pièce en forme     d'E    543,

    afin de permettre ou d'empêcher l'introduction  de l'unité fugitive dans l'ordre inférieur du to  talisateur   B  . La position de la pièce 543,  telle qu'on peut la voir à la     fig.    15, indique  qu'un nombre positif se trouve dans le totali  sateur   B  . Dans cette position, une oreille  544 du levier 541 se trouve à portée du bras  supérieur de la pièce 543.

   Si la came 361 est  basculée dans le sens     dextrorsum,    en vue d'un  enregistrement soustractif, la pièce 543 est atti  rée dans le sens     dextrorsum    autour de son  pivot 359, ce qui amène l'oreille 544 en con  tact avec une langue centrale de la pièce 543  et, lors de l'opération suivante de soustraction  pendant laquelle se produit un passage à zéro  de la roue de totalisateur de l'ordre le plus  élevé, l'oreille 544 descend se placer à     portée     d'un crochet inférieur situé sur la pièce 543.  La transmission de mouvement du levier 541  à l'ordre des unités du totalisateur   B   en  vue d'y introduire l'unité fugitive est réalisée  de la même manière que pour le totalisateur    A  .

   Là encore la position de la pièce 543  indique l'état algébrique du totalisateur   B    et cette position est utilisée pour provoquer  le déplacement automatique du totalisateur    B  , comme indiqué précédemment, en vue  de recueillir les totaux ou sous-totaux.  



  <I>Mécanisme d'embrayage du totalisateur</I>  <I>  A   pour additions et soustractions</I>  Le bras d'entraînement 545 est goupillé  sur l'arbre principal 55     (fig.    19) et se déplace  solidairement avec la plaque d'entraînement  131     (fig.    2) à laquelle il est goupillé par     l'ergot-          pivot    132     (fig.    19). Ce bras d'entraînement  545 est basculé à chaque cycle, d'abord dans  le sens     senestrorsum    pendant la première moi  tié du cycle jusqu'à atteindre la position repré  sentée en pointillé à la     fig.    19, puis dans le  sens contraire jusqu'à la position d'origine re-      présentée en traits pleins.

   Sur l'extrémité su  périeure du bras d'entraînement 545 se trouve  un levier 547 qui pivote en 548 et qui est nor  malement attiré par un ressort 549 jusqu'à  atteindre une ligne située sur un des rayons  partant du centre de l'arbre 55. Le levier com  prend une partie en forme de crochet 550 qui  embrasse un ergot 551     fixé    au bras orienté  vers l'arrière d'un levier 552 à trois bras, le  quel pivote sur un ergot 553 qui fait saillie  vers l'intérieur à partir du cadre latéral de  droite 35.

   Lorsqu'un cycle de la machine com  mence, le levier 547 fait immédiatement bas  culer le levier 552 dans le sens     senestrorsum     et, ce faisant, se redresse jusqu'à ce que son  prolongement passe par le centre de l'arbre  55, sous l'influence du ressort 549, jusqu'à ce  qu'un rebord 554 du levier 547 vienne toucher  un ergot 555, amenant le levier 547 à basculer  dans le sens     dextrorsum    autour de l'ergot 548  jusqu'à ce qu'une arête 556 vienne en contact  avec un ergot 557 du bras d'entraînement 545,  dégageant le crochet 550 de l'ergot 551 et  exerçant une pression sur l'ergot 555 de ma  nière à faire basculer le levier 552 dans le  sens     dextrorsum    jusqu'à sa position d'origine,  exactement à la fin du premier demi-cycle du  fonctionnement.

   Lors de la seconde moitié du  cycle, le bras     d'entraînement    545 se déplace  dans le sens     dextrorsum    jusqu'à sa position  d'origine et le levier 547 s'accroche de nouveau  sur l'ergot 551. Un ergot de repérage 558,  monté sur un bras actionné par ressort, vient  se placer soit dans une encoche 559, soit dans  une encoche 560, pratiquées toutes deux dans  le levier 552 afin de maintenir ce dernier dans  l'une de ses deux positions de repos ou dépla  cée. Une bielle 562, pivotant sur un pivot 561  fixé à un bras ascendant du levier 552, com  porte trois bras : un bras 563 orienté vers l'ar  rière et descendant qui porte un ergot 564 ;  un bras 1563 orienté vers le bas et vers l'avant  comportant une encoche 565 ; enfin un bras  566 orienté vers l'avant comportant une en  coche 567.

   La bielle 562 est constamment atti  rée dans le sens     dextrorsum    autour de l'ergot  561 par un ressort 568 et est normalement  maintenue de telle façon que l'ergot 564 soit    en contact avec une arête ménagée sur l'extré  mité d'un levier 570 qui pivote en 571 et qui  est maintenu dans la position représentée jus  qu'au moment des opérations de total ou de  sous-total, moment où il est basculé dans le  sens     senestrorsum,    comme décrit plus loin.  Ainsi, l'encoche 565 est normalement en prise  avec un ergot 569 d'un levier 572 monté bas  culant sur l'ergot 347. Le levier 572 porte sur  son extrémité supérieure une pièce crochue  573 qui pivote en 574 et qui normalement s'en  gage sur un ergot 575 de la plaque d'em  brayage de totalisateur 346, sous l'action d'un  ressort 576.

   Un ergot 577 du levier 572 est  en contact avec le rebord avant du bras orienté  vers le haut de la plaque 346, de sorte que,  lorsque le levier 552 est basculé dans le sens       senestrorsum,    puis dans le sens contraire, jus  qu'à sa position de repos, le levier 572 et la  plaque 346 qui y est accrochée par la     pièce-          crochet    573, basculent d'abord dans le sens       dextrorsum    pour débrayer le totalisateur, puis  dans le sens     senestrorsum    pour embrayer le  totalisateur à la fin de la première moitié du  cycle.  



  <I>Mécanisme d'embrayage du totalisateur</I>  <I>  B   pour additions et soustractions</I>  Au bras orienté vers l'avant du levier à  trois bras 552 est articulée une bielle 580 qui,  à son extrémité inférieure, est fourchue de ma  nière à constituer deux bras 581 et 582. Le  rebord extérieur du bras 581 comporte une  encoche qui s'engage sur un ergot 583 d'un  levier 584, lequel pivote en 352.  



  Le levier 584 correspond au levier 572 et  porte une pièce pivotante crochue 585 qui,  normalement, s'accroche sur un ergot 586  monté sur la plaque d'embrayage de totalisa  teur 351. Le bras 581 de la bielle 580 est  maintenu en prise avec l'ergot 583, pendant  les opérations d'addition et de soustraction, par  un ergot 590 du levier 570 et par un levier  587 fixé sur un arbre 588, l'extrémité exté  rieure du levier 587 s'engageant sur un ergot  589 de la bielle 580. Dans les opérations de  total, l'ergot 590 s'écarte et libère la bielle 580,  mais le levier 587 demeure     efficace,    comme il      sera expliqué à l'occasion de la sélection du  totalisateur<I>  A</I>   ou du totalisateur<I>  B  </I> dans  les opérations de total ou de sous-total.

   La  bielle 580 est sollicitée dans le sens     dextrorsum     autour de son pivot par un ressort 591. Avec  le mécanisme dans la position représentée à la       fig.    19, lorsque le levier à trois bras 552 est  basculé dans le sens     senestrorsum    puis dans  le sens inverse, pendant la première moitié  du cycle, la bielle 580 est d'abord poussée vers  le bas, faisant basculer la plaque d'embrayage  de totalisateur 351 dans le sens     dextrorsum,     afin de débrayer le totalisateur   B      ,    puis  vers le haut pour le     réembrayer.       <I>Mécanisme de non-addition</I>    Dans une opération de non-addition, la  touche 31     (fig.    26a)

   est enfoncée et son bras  487 vient appuyer sur l'ergot 488 du levier  489, faisant basculer ce levier dans le sens       dextrorsum        (fig.    26a). Un levier 592, monté  sur le collier supportant le levier 489, est arti  culé sur une bielle 594 supportée à son extré  mité arrière par une liaison par goupilles et  fentes à l'extrémité inférieure d'une bielle 597  articulée à son extrémité supérieure sur un le  vier 598, monté sur un ergot 599. Un ressort  598a maintient normalement la liaison ci-des  sus décrite dans la position représentée. Un  ergot 595 monté sur la bielle 594 s'engage  avec le rebord arrière et inférieur d'un levier  596a, pivotant en 600. Sur l'arbre 130 est  calée une plaque 601 comportant un ergot 602.

    Lorsque la bielle 594 est déplacée vers l'avant  au moment où l'on enfonce la touche de     non-          addition    31, le levier<I>596a</I> est basculé dans  le sens     dextrorsum    jusqu'à la position repré  sentée en pointillé et un ergot 603 qui s'y  trouve fixé, et qui pénètre dans une fente pra  tiquée dans une bielle 604, se déplace jusqu'au  sommet de ladite fente.

   Lorsque la plaque 601  bascule dans le sens     senestrorsum    pendant la  première moitié d'un cycle, elle entre en con  tact avec une arête 605 du levier 596a, le fai  sant basculer plus loin dans le sens     dextrorsum.     Ceci soulève la bielle 604 qui est articulée à  son extrémité supérieure en 606 à un levier  607 dont l'autre extrémité repose normalement    contre l'ergot 221. Lorsque la bielle 604 est  soulevée, le levier 607 tourne     dans    le sens       dextrorsum    et l'extrémité supérieure de la  bielle 604 se déplace vers l'avant. Une arête  608 d'une encoche pratiquée dans la bielle 604  est en contact avec un ergot 609 fixé à un bras  ascendant d'un levier à deux bras 610 pivotant  en 611.

   Lorsque la bielle 604 monte, l'ergot  609 est amené par l'arête 608 sur le trajet de  la pièce crochue 573 lorsque le levier 572     (fig.     19) bascule dans le sens     dextrorsum    et, après  que le totalisateur   A   a basculé et est dé  brayé, la pièce crochue 573 se trouve déver  rouillée de l'ergot 575 .et de cette sorte la pla  que 346 demeure dans la position débrayée  lors du mouvement de retour du levier 572, ne  provoquant ainsi pas d'addition dans le tota  lisateur   A      .    Vers la fin du cycle, la plaque  601 vient en contact avec un ergot 611a     (fig.     19) de la plaque d'embrayage de totalisateur  346,

   la faisant basculer dans le sens     senestror-          sum    pour amener le totalisateur   A   en po  sition embrayée.  



  La bielle 594 (fia. 26a) est articulée, en  595,à une autre bielle 612 comportant une  fente 613 guidée par un ergot 614 maintenu  dans le bâti de la machine, et une partie tour  née vers le haut, dans son extrémité arrière,  qui, lorsque la bielle 594 est tirée vers l'avant,  vient toucher un ergot 617 d'un levier 618  monté sur un ergot 619, faisant ainsi bascu  ler le levier 618 dans le sens     senestrorsum          (fig.    26a), de sorte que l'ergot 617 vient sur  le trajet d'une arête 616 de la pièce crochue  585 lorsque le levier 584 bascule, dégageant  la pièce crochue 585 de l'ergot 586 (voir     fig.     19) de telle sorte que, lors du mouvement de  retour de la plaque 351, à la fin du premier  demi-cycle de fonctionnement,

   le totalisateur    B   soit maintenu non embrayé avec les cré  maillères, pendant la seconde moitié du cycle.  



  Le totalisateur   B   est ramené à la fin  du cycle, au moment où le bras d'entraînement  545     (fig.    19) est ramené à sa position d'origine  représentée en traits pleins, grâce à l'ergot 132  qui vient toucher un ergot 620 sur un levier  621 pivotant en 622 sur un ergot porté par le  bâti. De ce fait, le levier 621 quitte la position      atteinte dans le sens     senestrorsum    qu'il avait  prise sous     l'influence    d'un ressort 623 lorsque  le bras d'entraînement 545 s'était écarté de la  position d'origine. Le levier 621 tourne     alors     dans le sens     dextrorsum,    revenant ainsi à sa  position normale.

   Une arête 624 vient en con  tact avec un ergot 625 de la plaque d'em  brayage de totalisateur 351, réengageant le  totalisateur   B   à la fin du cycle de la ma  chine.  



  Le mouvement en avant de la bielle 594       (fig.    26a) met aussi la machine en marche en  faisant basculer dans le sens     dextrorsum    un  organe de verrouillage 1620 relié au levier  596a, ce qui entraîne un verrou 1621 (voir  aussi     fig.    21), permettant à un levier 1622       (fig.    4) de basculer dans le sens     senestrorsum     autour d'un pivot 1623 sous l'influence d'un  ressort 1624.

   Lors de ce mouvement du levier  1622, un bras 1625, orienté vers l'avant, vient  frapper un ergot 626 (voir     fig.    2) du bras ar  rière 424 du levier 425, faisant basculer ce  dernier dans le sens     dextrorsum,    ce qui, à son  tour, fait basculer le levier 68 dans le même  sens pour déclencher un fonctionnement de la  machine.

   A la fin du cycle de ce fonctionne  ment, un cliquet de franchissement 627     (fig.     4) monté sur le levier 1622 est touché par  l'ergot 192 (voir     fig.    2) au moment du mouve  ment de retour de la plaque d'entraînement  135, rétablissant la position normale du levier  <B>1622,</B> qui est verrouillé en place par les ver  rous 1620 et 1621, lorsque la bielle 594     (fig.     26a) revient à sa position d'origine.

   Cette  bielle 594 est maintenue en position active par  un pied 628     (fig.    4) du levier 1622 qui se dé  place vers l'arrière et vient se mettre sous les  talons des plaques de verrou 1620 et<B>1621,</B>  empêchant le retour de celles-ci et, en consé  quence, celui de la bielle 594, vers leurs posi  tions normales, jusqu'à ce que le levier 1622  soit ramené à sa position normale, par l'ergot  192 de la plaque 135.    <I>Mécanisme de sélection des totalisateurs</I>  <I>pour les opérations d'enregistrement</I>  Pour la sélection de l'un ou de l'autre des  totalisateurs, dans les opérations d'enregistre-    ment, un mécanisme empêche le     totalisateur     non désiré d'embrayer pendant la seconde moi  tié du cycle.  



  En se reportant à la<B>hg.</B> 23, on voit que la  touche 24 provoque l'introduction de montants  dans les deux totalisateurs<I>  A  </I> et<I>  B  </I> si  multanément et la touche 25 permet à des  montants d'être enregistrés sélectivement, soit  dans le totalisateur   A  , soit dans le totalisa  teur   B      ,    selon celle des touches sélectrices  26 et 27     (fig.    1) qui est utilisée.  



  Sur un pivot 632     (fig.    23), fixé au bâti la  téral de gauche de la machine, est articulée  une bielle 633,à une extrémité de laquelle est  articulée une autre bielle 634, tandis qu'à l'au  tre extrémité est articulée une troisième bielle  635. Toutes ces bielles comportent des fentes  grâce auxquelles elles sont montées coulis  santes, respectivement, sur des ergots 636 et  637. Les bielles 634 et 635 sont articulées à  une biellette 639 qui réunit leurs extrémités  supérieures, formant un mécanisme de parallé  logramme qui peut être forcé de prendre l'une  de deux positions grâce à la pression qui est  exercée sur l'un ou l'autre des ergots 640 et  641 fixés dans les extrémités supérieures des  bielles 634 et 635, respectivement.

   Lorsqu'on  exerce une pression vers le bas sur l'ergot 641,  le mécanisme de parallélogramme se déplace  jusqu'à la position représentée à la     fig.    23,  dans laquelle la bielle 635 est poussée vers le  bas sur son ergot 637. La pression exercée  vers le bas sur l'ergot 640 renverse la situa  tion, de sorte que l'ergot 636 se trouve au  sommet de sa fente et l'ergot 637 au fond de  la sienne, le mécanisme de parallélogramme  demeurant maintenu basculé dans l'une ou  l'autre position par un ressort 642, qui est at  taché de telle façon à des oreilles des bielles  633 et 639 que le parallélogramme ne puisse  pas rester en équilibre en position centrale. La  pression est exercée sur l'ergot 641 en enfon  çant la touche 25 et la pression est exercée sur  l'ergot 640 lorsque la touche 24 est enfoncée.

    L'extrémité inférieure de la bielle 634 pivote  sur un levier 642a goupillé à un arbre 643 qui  s'étend en travers de la machine entre les bâtis  latéraux. Sur l'extrémité de droite de l'arbre      643 est goupillé un levier 644     (fig.    20) pivo  tant à son extrémité supérieure sur une bielle  645 pouvant glisser sur un ergot 646 porté par  le bâti latéral.  



  Lorsque la touche 24<I>  A</I> et<I>B  </I> est en  foncée, l'arbre 643 tourne dans le sens     senes-          trorsum        (fig.    20), amenant la bielle 645 à se  déplacer vers l'avant et l'enfoncement de la  touche 25   A ou B   fait que l'arbre 643  bascule dans le sens     dextrorsum    depuis cette  position jusqu'à la position représentée à la       fig.    20, ce qui oblige la bielle 645 à se dépla  cer vers l'arrière. Sur un levier 647     (fig.    20),  pivotant en 648, est articulée une bielle 649  couplée à la bielle 645 par une fente 650 qui  chevauche un ergot 651 fixé à la bielle 645.

    Dans l'état de la machine représenté à la     fig.     20, la bielle 649 a son rebord supérieur 652  directement en contact avec la face inférieure  d'un ergot 653 fixé sur la tige de touche   B    27 et, lorsqu'on appuie vers le bas sur cette  touche, la bielle 649 se trouve forcée de des  cendre, obligeant le levier 647 à basculer dans  le sens     senestrorsum    pour rendre inopérant le  totalisateur   A   dans l'opération de la ma  chine qui s'ensuit, comme expliqué plus loin,  de sorte que le montant composé sur le clavier  est introduit seulement dans le totalisateur    A      .     



  Sur l'extrémité arrière du levier 647 est  articulé un levier 654 pivotant en 655 et dont  l'extrémité arrière est fourchue de manière à  saisir un ergot 656 fixé sur une plaque 657  montée pivotante en 658.  



  En 659 pivote un levier 660 articulé à une  bielle 661 au moyen d'un pivot 662. Contre  le pivot 662 vient porter une arête-came 663  de la plaque 657, grâce à quoi la bielle 661 est  déplacée vers le haut lorsque la plaque 657  bascule dans le sens     senestrorsum,    au moment  de l'enfoncement de la touche   B      .    Une  fente 664 pratiquée dans l'extrémité supérieure  de la bielle 661 saisit un ergot 665 fixé au  levier 610.

   Le mouvement ascendant de cette  bielle fait basculer le levier 610 dans le sens       senestrorsum,    amenant l'ergot 609 sur le tra  jet d'un crochet 573 et dégageant le levier 572  de la plaque 346 d'embrayage du totalisateur      A  , pendant la première moitié d'un fonc  tionnement, empêchant ainsi la remise en prise  du totalisateur   A   vers le milieu du cycle.  Le totalisateur  < : B      ,    par contre, est embrayé  en vue de l'enregistrement d'un nombre de la  manière habituelle.  



  Si, lorsque la touche 25   A ou B > est en  foncée, la touche 26   A       (fig.    22) est enfon  cée ensuite, un ergot 877 appuie sur une bielle  878 montée sur la bielle 645 par un assem  blage à goupille et fente et articulée à l'extré  mité arrière d'un levier 879, lequel peut pivoter  sur l'arbre 643, faisant ainsi basculer le levier  879 dans le sens     senestrorsum.    L'extrémité ar  rière du levier 819 est reliée par un couplage  à goupille et fente à l'extrémité avant d'un le  vier 880 pivotant en 665. L'extrémité arrière  du levier 880 est fourchue de manière à che  vaucher un ergot 881 d'une plaque 882 qui  pivote en 883.

   Un ressort 884 tire la plaque  882 dans le sens     dextrorsum.    Lorsque la tou  che 26   A > est enfoncée, une arête-came  885 de la plaque 882, agissant sur un galet  886, fait basculer le levier de non-addition  618, associé au totalisateur   B      ,    dans le sens       senestrorsum    contre l'action d'un ressort 888,  afin d'amener l'ergot<B>617</B> sur le trajet de  l'arête 616 (fi-. 26a) du crochet 585 (voir     fig.     19) pour dégager le levier 584 par rapport à  la bielle 580     (fig.    19) afin que le totalisateur    B   n'additionne pas pendant l'opération de  la machine qui s'ensuit.  



  Lorsque la touche 24   A et B   est en  foncée, la liaison en parallélogramme représen  tée à la     fig.    23 se déplace vers la gauche, ce  qui fait basculer l'arbre 643 dans le sens     se-          nestrorsum        (fig.    22 et 23), faisant basculer la  bielle 645 vers la gauche et les bielles 649       (fig.    20) et 878 basculent alors dans le sens       senestrorsum,    retirant leurs extrémités supé  rieures des trajets de leurs ergots respectifs  653 et 877.

   Lorsqu'on enfonce soit la touche  24   A      ,    soit la touche 25   B      ,    celles-ci ne  servent alors qu'à déclencher le fonctionne  ment de la machine, sans affecter le méca  nisme de débrayage de totalisateur qui vient  d'être décrit. Le mécanisme d'embrayage de  totalisateur fonctionne par conséquent de la      manière normale, de sorte que le totalisateur  <I>  A</I>   et le totalisateur<I>  B  </I>sont tous les deux  embrayés afin de recevoir le nombre composé  sur le clavier de la machine.  



  Dans les opérations de soustraction avec  la touche<I>  A</I> et<I>B  </I> 24 enfoncée, le nombre  composé sur le clavier de la machine doit être  introduit     soustractivement    dans les deux tota  lisateurs, l'enfoncement de cette touche per  mettant à la touche de soustraction 28 de libé  rer la machine en vue de son fonctionnement.  D'un autre côté, si la touche 25<I>  A</I> ou<I>B  </I>  est enfoncée, la touche de soustraction 28 ne  doit pas provoquer le déclenchement de la  machine, ce dernier étant effectué par enfon  cement de la touche 26   A   ou de la touche  27   B  .

   Le mécanisme prévu à cet effet est  le suivant  On se. rappelle que le levier 68     (fig.    2) de  déclenchement de la machine peut être bas  culé dans le sens     dextrorsum    afin de libérer la  machine en vue de son fonctionnement, au  moyen d'un levier 431, pivotant sur le levier  422, selon la position que l'extrémité supé  rieure du levier 431 occupe par rapport à l'er  got 410 sur la plaque de commande 403, lors  que cette dernière est basculée dans le sens       dextrorsum    au moment de l'enfoncement de la  touche de soustraction 28     (fig.    15).

   L'extré  mité inférieure du levier 431     (fig.    22) com  porte une fente qui chevauche l'ergot 433 fixé  sur la bielle 645, de sorte que lorsque cette  dernière est déplacée vers l'arrière au moment  de l'enfoncement de la touche 25   A ou B  ,  comme on peut le voir à la     fig.    22, l'extrémité  supérieure du levier 431 s'écarte du trajet de  l'ergot 410 et l'enfoncement de la touche de  soustraction n'a pas pour effet de provoquer  le fonctionnement de la machine. Il faut, pour  arriver à ce résultat, enfoncer soit la touche  26  < . A  , soit la touche 27   B  , ce qui rend  obligatoire l'enfoncement de l'une ou de l'au  tre de ces dernières touches, de manière à sé  lectionner l'un ou l'autre des totalisateurs en  vue de la soustraction.

   Lorsque la bielle 645  est déplacée vers l'avant depuis la position de       fig.    22, par enfoncement de. la touche 25   A  ou B  , le levier 431 bascule dans le sens dex-         trorsum    autour de son pivot fixé sur le levier  422 et son extrémité supérieure vient se placer  immédiatement en dessous de l'ergot 410 fixé  sur la plaque de commande de soustraction.  Par conséquent, l'enfoncement de la touche de  soustraction 28 seule déclenche un fonction  nement de la machine, dans lequel le nombre  composé sur le clavier est introduit     soustracti-          vement    à la fois dans le     totalisateur      A   et  dans le totalisateur   B  .  



  <I>Mécanisme de commande d'opérations à</I>  <I>deux cycles et de</I>     palpage   <I>de totalisateur pour</I>  <I>les opérations de total et de sous-total</I>    Une opération de total ou une opération  de sous-total comprenant deux cycles de la ma  chine est mise en route par enfoncement ou  bien de la touche de total 29     (fig.    1, 18 et 27)  ou de la touche de sous-total 29a     (fig.    1 et 18),  lesquelles touches peuvent coulisser sur des  ergots 675 et 676, et des ergots 677 et 678,  respectivement, fixés au support 406, et sont  normalement toutes deux attirées vers le haut  par un ressort     (fig.    18).

   Un doigt 679     (fig.    27)  de la touche total porte contre un ergot 680  d'une plaque coulissante de total 681, montée  coulissante sur des ergots 682 et 683, fixés  au bâti latéral de droite, et normalement main  tenue dans sa position supérieure par un res  sort 684. Une portion de verrouillage 685 de  la plaque coulissante 681 coopère avec un er  got 686     (fig.    2) d'un levier 687 monté pivo  tant sur un ergot 688 fixé au bâti latéral de  droite et attiré dans le sens     senestrorsum    par  un ressort 689. Lorsque la touche de total 29  est en position non enfoncée, l'ergot 686 re  pose sur la face inférieure de la portion 685  et, lorsque la touche de total 29 est enfoncée,  l'ergot 686 chevauche la portion 685 et vient  au repos sur le côté supérieur de celle-ci.

   Une  portion semblable 690     (fig.    2) de la plaque  coulissante de sous-total 691 montée sur la  droite de la plaque coulissante de total coopère  aussi avec l'ergot 686. Les deux     plaques,cou-          lissantes    681 et 691 sont toutes deux déplacées  vers le bas ensemble lorsqu'on enfonce la  touche de sous-total 29a. En empêchant le  basculement du levier 687 de la position de           fig.    2, on peut maintenir verrouillées en posi  tion     manoeuvrée,    aussi bien qu'en position non       manoeuvrée,    l'une ou l'autre des plaques cou  lissantes de total ou de sous-total ou toutes  les deux à la fois.  



  Chaque fois que la machine est déclen  chée, un levier 692     (fig.    2) bascule dans le sens       senestrorsum    autour de son pivot 693 et y  reste jusqu'à la fin du cycle, à la manière con  nue. Le levier 692 comporte une arête 694  qui, lorsque le levier 692 pivote, est amenée  sous un ergot 695 d'un levier de franchisse  ment 696, articulé en 697 sur la partie recour  bée vers le haut de l'extrémité arrière du levier  687, de manière à empêcher le basculement de  ce dernier pendant un fonctionnement de la  machine, et empêchant ainsi le mouvement des  plaques coulissantes de total ou de sous-total  jusqu'à ce que le levier 692 ait été rappelé.  



  Lorsque la coulisse de total 681 est enfon  cée, un ergot 700     (fig.    27) vient en contact  avec le bras d'un levier 701 pivotant en 702  et le fait basculer dans le sens     dextrorsum.    Une  plaque de total 703, montée basculante en  704 sur le bâti latéral de droite, est maintenue  dans la position de     fig.    27 par une bielle de  commande 706 articulée au levier 701 par un  pivot 705 à l'une de ses extrémités, et pivo  tant sur la plaque 703 grâce à un pivot 707  à son autre extrémité.

   La bielle 706 comporte  à son extrémité supérieure une fente crantée  708, dans l'extrémité supérieure de laquelle  l'ergot 705 vient normalement chevaucher, de  sorte que, lorsque le levier 701 bascule dans  le sens     dextrorsum,    la bielle 706 est contrainte  de descendre et d'avancer, faisant basculer la  plaque de total 703 dans le sens     senestrorsum.     Un ergot 710 fixé sur la plaque 703 vient  frapper le bras inférieur orienté vers l'arrière  du bras 424, libérant ainsi la machine en vue  d'un cycle de fonctionnement. Simultanément  au basculement de la plaque de total 703, un  verrou 711     (fig.    2), articulé en 1721 à une  plaque 716 et maintenu contre un ergot 712  de la plaque 703 par un ressort 714, vient  s'engager sur un épaulement 715 du levier 717.

    La plaque 716 et le levier 717 sont tous deux  montés pivotants en 704. Un bras orienté vers    l'arrière du levier<B>717</B> porte un ergot<B>718</B> qui  est maintenu contre le rebord d'une     plaque-          came    719 fixée à la plaque d'entraînement 135,  par un ressort 720. Lorsque le cycle com  mence, la plaque d'entraînement 135 bascule  dans le sens     senestrorsum    et la plaque-came  719 fait basculer le levier 717 dans le sens       dextrorsum,    entraînant la plaque 716 avec lui  par l'intermédiaire du verrou 711.

   La plaque  716     (fig.    27) est articulée à une coulisse 722  par un goujon 716, et grâce à cela est dépla  cée vers l'arrière malgré un ressort 723 et vient  s'accrocher pendant le premier cycle, comme  expliqué plus loin, dans la première partie du  second cycle.

   Un ressort 724 maintient norma  lement l'ergot 705 engagé dans l'encoche du  sommet de la fente 708, mais un cliquet de  franchissement 725 monté sur la plaque 135,  passant librement sur un ergot 726 de la bielle  706, lorsque la plaque 135 bascule dans le  sens     senestrorsum    pendant la première moitié  du premier cycle, est maintenu par un ressort  727, de sorte qu'il intervient pendant la se  conde moitié du premier cycle, pour venir en  contact avec l'ergot 726 et forcer la bielle 706  à tourner dans le sens     senestrorsum    afin de  désaccoupler l'ergot 705 de son encoche, per  mettant à la bielle 706 et à la plaque 703 de  revenir à la position normale. L'extrémité  avant de la coulisse 722 est articulée à une  bielle de support 728 qui, à son tour, pivote  en 729 sur le bâti latéral de droite.

   Lorsque  la coulisse 722 est attirée vers l'arrière, diver  ses commandes sont exercées en plus du dé  clenchement du premier cycle de la machine.  Tout d'abord, un ergot d'accrochage de res  sort 730 (voir     fig.    2 et 27) qui, normalement,  est dans la position de     fig.    2, se déplace vers  l'arrière lorsqu'il est tiré vers l'arrière avec  la coulisse 722, dans une fente-came 731 d'un  levier 732, fixé sur l'arbre 483, le faisant bas  culer dans le sens     senestrorsum.    Sur l'arbre  483 sont également calés deux bras orientés  vers l'arrière, celui de droite, 733, étant repré  senté à la     fig.    17, portant l'étrier d'arrêt 142,

    lequel est ainsi amené par le basculement     se-          nestrorsum    de l'arbre 483, jusqu'à sa position  effective, représentée sur cette figure, en face      des rebords avant des plaques 141 de toutes  les barres d'arrêt 74 (fi-. 5), afin d'empêcher  ces dernières de se déplacer pendant le pre  mier cycle. En second lieu, une fente 734 qui  chevauche un ergot 735 (voir fi-. 4 et<B>17)</B>  d'un levier 736 fixé à un collier 737 (voir aussi       fig.    7) capable de tourner sur l'arbre 393, fait  basculer le levier 736 dans le sens     senestror-          sum    depuis la position de     fig.    4 jusqu'à celle  de     fig.    17.

   Ce basculement du levier 736 fait,  par l'intermédiaire d'un levier 738     (fig.    7)  fixé au collier 737, basculer un étrier 739 sur  l'arbre 393 dans le même sens     (fig.    7), grâce  à l'action d'un ergot 740 monté sur le levier  738 et qui vient toucher un bras orienté vers  le bas 741 de l'étrier 739. Au bras de support  de gauche de l'étrier 739 'est fixé un levier  742, sur lequel pivotent des leviers 743 et 744  (voir     fig.    26), associés aux totalisateurs   A    et   B   respectivement, et palpant l'état algé  brique du totalisateur sélectionné, comme ex  pliqué plus loin.  



  *Selon la fia. 26, qui représente le méca  nisme palpeur tel qu'on le voit depuis le côté  droit, la position représentée est celle qui est  prise lorsque la machine est au repos, sans que  la touche 30       B*      soit enfoncée, position  dans laquelle la pièce de contrôle 531 pour  le totalisateur   A   est en position positive et  la pièce de contrôle 543 pour le totalisateur    B   en position positive. Dans cette position,  le levier palpeur 743 comporte un bras 745  maintenu en contact avec un ergot 746 de la  pièce 531, sous l'action d'un ressort 747. De  même, un bras 748 du levier 744 est maintenu  en contact avec un ergot 749 d'un bras orienté  vers l'avant de la pièce 543, sous l'action d'un  ressort 750.

   Si le totalisateur   A   porte un  solde négatif, la pièce de commande 531 aura  basculé dans le sens     dextrorsum        (fig.    26), ce  qui retire l'ergot 746 du bras 745 et permet  au ressort 747 de faire basculer le levier 743  dans le sens     senestrorsum,    de telle sorte que  la surface 753 vienne s'engager derrière un  ergot carré 751     (fig.    3, 7 et 26) faisant saillie  à la droite (fi-. 7) de la bielle 367.

   La pièce  de commande 543 associée au totalisateur   < : B   bascule dans le sens     dextrorsum    à par-    tir de la position de     fig.    26, au moment où  son totalisateur associé devient négatif, per  mettant au levier 744 de basculer dans le sens       senestrorsum    sous l'influence du ressort 750  et de     venir    se placer sur le trajet d'un ergot  752 (voir aussi     fig.    3) qui est logé sur un bras  dépendant de la bielle 381, déplaçant l'ergot  752 et la bielle 381 vers l'arrière, lorsque le  levier 742 bascule.

   Un tel mouvement est nor  malement empêché par un ergot 754 fixé sur  un bras orienté vers l'avant et vers le bas d'un  levier à trois bras 755, pivotant en 756 et  ayant un bras orienté vers le bas et vers l'ar  rière articulé à une bielle 757 qui est articulée  à son extrémité avant au levier 466. Celui-ci  bascule par la coulisse 461 (voir     fig.    3) lors  que l'on enfonce la touche 30       B*     .

   Selon  la     fig.    26, le levier 466 bascule dans le sens       senestrorsum    lorsque la touche 30 est enfon  cée, ce qui fait pivoter le levier 755 dans le  sens     dextrorsum        afin    de déplacer l'ergot 754  assez loin vers l'avant pour qu'il se dégage  du bras 748 du levier 744, et de déplacer un  ergot 758 d'un bras orienté vers le haut du  levier 755 jusqu'à l'amener en prise avec  l'arête supérieure du bras 745 du levier 743.  Le levier 755, grâce à sa position, par consé  quent, détermine si l'arête 753 est à l'aligne  ment avec l'ergot carré 751, ou si l'arête 759  est à l'alignement avec l'ergot 752.  



  Lorsque le levier 742 pivote dans le sens       senestrorsum    avec le mécanisme dont la posi  tion est représentée à la     fig.    26, au début d'une  opération de total, ni l'ergot carré 751, ni l'er  got 752 ne se déplacent, de sorte que les deux  totalisateurs demeurent avec leurs roues d'ad  dition alignées avec les     entraîneurs    des mon  tants. Si le totalisateur   A   porte un solde  négatif, le levier 743 est libre de se déplacer  et l'arête 753 vient se mettre en ligne avec  l'ergot carré 751.

   Lorsque le levier 742 pivote  dans le sens     senestrorsum,    l'ergot carré 751 et  sa bielle correspondante 367 se déplace vers  l'avant de la machine, de sorte que la came  360 déplace le totalisateur   A   de manière  à mettre ses roues de soustraction en position  alignée avec les entraîneurs, lorsque la plaque  370     (fig.    3) est basculée.

        Si la touche 30       B^\      est enfoncée et  qu'ensuite on enfonce la touche de total ou la  touche de sous-total, le levier 743 doit être  maintenu fixe et le levier 744 est alors libre  de se déplacer, de sorte que si l'état du totali  sateur   B   est négatif, le mouvement     senes-          trorsum    du levier 742 amène la bielle 381 à  se déplacer vers l'arrière, grâce à quoi la came  361     (fig.    3), sous l'action de la plaque 370,  met en position les roues de soustraction du  totalisateur   B   et les amène en face des  entraîneurs des montants.

   Par conséquent, on  voit que les totalisateurs sont, grâce au méca  nisme qui précède, mis automatiquement dans  les positions latérales appropriées au cours des  opérations de total ou de sous-total, selon l'état  négatif ou positif du totalisateur particulier  choisi pour ce genre d'opérations.    L'étrier 739     (fig.    7) est ramené pendant le  second cycle, en même temps que le levier 736  et que la coulisse 722 (voir     fig.    17). Un ergot  760     (fig.    7), placé derrière le bras 741, retient  l'étrier 739 et l'empêche de basculer acciden  tellement dans le sens     senestrorsum    autour de  l'arbre 393 dans les opérations d'enregistre  ment.

   L'ergot 760 est porté par la bielle de  commande de total 199, qui est représentée  dans sa position extrême vers l'avant, et qui  est déplacée vers l'arrière dans les opérations  de total ou de sous-total, comme décrit plus  loin.    En troisième lieu, en se référant à la     fig.     17, on voit que lorsque le levier 736 bascule  jusqu'à la position représentée, son bras  orienté vers l'avant 762 libère un ergot 763  fixé à un verrou 764 et le laisse libre de se  déplacer sous     l'influence    d'un ressort depuis  la position représentée à la     fig.    4 jusqu'à celle  de la     fig.    17, dans laquelle une équerre du  verrou 764 chevauche la bielle 199 de com  mande de total.

   Le verrou 764 est articulé à  une bielle 766 (fi-. 19) qui est articulée à son  extrémité arrière à un levier 767, lequel est  normalement attiré dans le sens     dextrorsum     par un ressort 768, de sorte qu'un ergot à  galet 769 qui y est fixé suit l'arête-came de la  plaque 601. Lorsque la plaque 601 bascule    dans le sens     senestrorsum,    au début du pre  mier cycle, dans une opération de total ou de  sous-total, le levier 767 déplace la bielle 766  vers l'avant jusqu'à ce que l'oreille du verrou  764 vienne tomber dans une encoche 765 de  la bielle 199.

   Pendant la seconde moitié du  premier cycle, après que l'ergot 192     (fig.    2) a  fait pivoter légèrement le levier 1622     (fig.    4) et,  au moment où la plaque 601 revient à sa po  sition d'origine, la bielle de commande de total  199 est attirée vers l'arrière par le verrou 764  contre l'action d'un ressort de rappel 770 (voir       fig.    4) qui normalement l'attire vers une posi  tion avant déterminée par un ergot 771 fixé  au bâti latéral de droite de la machine.

   Lors  que la bielle 199 se déplace vers l'arrière, une  pièce de     verrouillâge    772     (fig.    21) reliée à la  bielle par l'intermédiaire d'un bras fourchu  773 qui chevauche un ergot 774 fixé sur la  bielle, est basculée dans le sens     senestrorsum.     Le verrou<B>1621</B> est normalement maintenu en  position efficace, position dans laquelle sa lan  guette 621a orientée vers l'avant bloque le pied  628 du levier 1622     (fig.    4) par le fait qu'un  ergot 775     (fig.    21) fixé au verrou 1621 repose  sur le rebord supérieur du verrou 772.

   Un  ergot 776, qui fait saillie sur le verrou 772,  touche la languette 62l a orientée vers l'avant  de la pièce de verrouillage<B>1621</B> pendant le  mouvement dans le sens     senestrorsum    du ver  rou 772, déplaçant la languette     62l    a vers le  bas, l'écartant du pied 628 du levier 1622       (fig.    4). Ceci libère le levier 1622 qui peut se  déplacer dans le sens     senestrorsum    sous l'in  fluence du ressort 1624, de     sorte    que le bras  1625 vient en contact avec l'ergot 626     (fig.    2)  du bras 424, le retenant vers le bas contre  l'attraction de retour exercée par le ressort  430.

   Lorsque le pied 628 du levier 1622 se  déplace sur la surface supérieure de la lan  guette de verrou 772     (fig.    21), la bielle 199 est  verrouillée en position déplacée vers l'arrière.  Ainsi un second cycle de la machine se trouve  déclenché.  



  Pendant le second cycle, l'ergot 192     (fig.     2) libère le levier 1622, permettant au méca  nisme de commande de total ci-dessus décrit  de revenir en position d'origine.      En quatrième lieu, lorsque la bielle 199       (fig.    19) est déplacée vers l'arrière, elle bas  cule le levier 570 dans le sens     senestrorsum     pendant la première moitié du premier cycle  et le maintient ainsi basculé, de sorte que son  arête supérieure arrière est écartée de l'ergot  564 lorsque le levier 547 fait basculer la bielle  562 au cours du second cycle.

   Aussitôt que  l'ergot 564 est ainsi libéré, le ressort 568 fait  basculer la bielle 562 dans le sens     dextrorsum,     retirant l'encoche 565 de son engagement avec  l'ergot 569 du levier 572,à moins que la tou  che 30   B   ait été actionnée, comme décrit  plus loin, et, par conséquent, le totalisateur    A   demeure en position embrayée pendant  la première partie du second cycle.

   Ceci est  valable pour le totalisateur   B      ,    étant donné  que le mouvement de l'ergot 590 s'éloignant  de la bielle 580 livre cette dernière à l'action  du ressort 591, grâce à qui l'encoche pratiquée  dans le bras 581 est dégagée de l'ergot 583, de  sorte que le totalisateur   B   n'est pas dé  brayé, à moins que le levier 587 ne demeure  efficace par suite du non-enfoncement de la  touche 30       B*      (voir plus loin). Les crémail  lères différentielles, lors de leur mouvement en  avant pendant la première moitié du second  cycle, font tourner les pignons du totalisateur  choisi en sens inverse jusqu'à zéro, si l'opéra  tion de total est positive, ou jusqu'à la position  de   neuf   si le total est négatif.

   Le totalisa  teur sélectionné est débrayé au point milieu  du second cycle dans le cas d'un total ou de  meure en prise pour un sous-total. Pendant la  seconde moitié du second cycle, pour un total  relevé dans le totalisateur   A  , l'encoche 567       (fig.    19) sur la bielle 562 s'engage avec l'ergot  575 du levier 572, faisant basculer ce dernier  dans le sens     dextrorsum    et entraînant avec lui  la plaque 346, de sorte que le totalisateur    A   est débrayé des crémaillères, avant  qu'elles retournent à leurs positions d'origine.  De même, la bielle 580, associée au totalisa  teur<I>  B  ,</I> dégage le totalisateur<I>  B  </I> à     mi-          cycle    pendant le second cycle d'une opération  de total.  



  Pendant le temps que la coulisse 722 est  verrouillée par la bielle 766, par le serrage du    verrou 764 contre l'arête supérieure de l'en  coche 765, on voit que le bras     o762        (fig.    17)  du levier 736 est bloqué, de façon qu'il ne peut  faire qu'un mouvement léger quand le     cliquet     de franchissement 725     (fig.    27) élève la bielle  706 dans la deuxième partie du deuxième cy  cle.

   Ce mouvement léger du levier 736     (fig.     17), cependant,     libère    la coulisse 722 pour  un mouvement vers la gauche, et cela suffi  samment pour que l'ergot 730 fasse basculer  le levier 732, l'arbre 483, et les bras 733 pour  amener l'étrier 142 en dehors du chemin des  barres d'arrêt 74, de façon que ces dernières  puissent être positionnées par les roues du to  talisateur sélectionné, dans la première partie  du second cycle.  



  Pendant la première partie du second cycle,  quand la plaque 601     (fig.    19) bascule dans  le sens     senestrorsum,    permettant le mouve  ment en avant de la bielle 766, la pression de  l'oreille du verrou 764 contre l'arête de- l'en  coche 765 est libérée, et ladite oreille glisse  librement dans l'encoche 765, de façon que  le ressort 723 ramène la coulisse 722 et la  bielle 706 à leurs positions normales. Mainte  nant, le levier 736     (fig.    4) bascule dans le sens       dextrorsum,    élevant le verrou 764 à sa position  normale.

   Quand le levier 1622     (fig.    4) est bas  culé dans le sens     dextrorsum    par le goujon  <B>192</B>     (fig.    2), près de la fin du second cycle,  la bielle 199, qui est     libérée    par les verrous 764  et 772     (fig.    21), est amenée à sa position nor  male, et la coulisse 681 est libérée, de façon  que le goujon 705     (fig.    27) est ramené dans  l'encoche de la bielle 706.  



  La coulisse 681 n'est pas libérée à la fin  du premier cycle, parce que le levier 687     (fig.     2) est bloqué par un levier 921, décrit plus  loin. Ledit levier 921 ne reçoit pas un mouve  ment     suffisant    à ce moment pour libérer le  levier 687:  Lorsque la bielle 199     (fig.    4) est amenée  en arrière pendant la dernière partie du pre  mier cycle, le levier 197 est basculé dans le  sens     senestrorsum,    de façon que, par action  sur le goujon 200, la bielle 187 est actionnée  pour libérer les touches de montants qui au  raient été enfoncées par erreur, et pour amener      les     cliquets    de zéro à leur position inefficace  jusqu'au retour de la bielle 187 à sa position  normale.

   La bielle 199 revient à sa position  normale à la fin du second cycle.  



  <I>Sélection des totalisateurs   A   ou   B  </I>  <I>pour les opérations de total ou de sous-total,</I>  <I>et mécanisme de</I>     commande   <I>du sous-total</I>  Si la touche de total 29     (fig.    1) seule, ou  la touche de sous-total 29a seule, a été enfon  cée, la machine représentée exécute une opéra  tion à deux cycles dans laquelle le total ou le  sous-total, selon le cas, est extrait du totalisa  teur<I>  A  .</I> Si la touche 30<I> </I>     B*   <I> </I> est enfon  cée, puis que l'on enfonce la touche de total  ou la touche de sous-total, un total ou un     sous-          total,    selon le cas, doit être extrait du totali  sateur   B  .  



  On a décrit précédemment comment, dans  une opération de total déclenchée par enfon  cement de la touche de total général 29     (fig.    1),  le mouvement arrière de la bielle 199     (fig.    19)  dans la seconde moitié du premier cycle fait  basculer le levier 570 dans le sens     senestror-          sum,    dégageant l'encoche 565 pratiquée dans  la bielle 562 par rapport à l'ergot 569 du le  vier 572 et tendant à dégager l'encoche prati  quée dans le bras 581 de la bielle 580 par  rapport à l'ergot 583 du levier 584, de sorte  que, si le levier 587 n'était pas efficace, les  totalisateurs<I>  A  </I> et<I>  B  </I> demeureraient tous  les deux en position embrayée pendant la pre  mière     partie    du second cycle,

   lorsque les en  traîneurs de montants exécutent leurs mouve  ments initiaux.  



  On a vu également comment l'arbre 483       (fig.    17) est basculé au commencement d'une  opération de total et, par ce mouvement, fait  basculer l'étrier 142 jusqu'à la position active  pour maintenir les barres d'arrêt 74 et les em  pêcher de se déplacer pendant le premier cycle.       Etant    donné que les barres d'arrêt 74 restent  stationnaires, les deux totalisateurs   A   et    B   peuvent être débrayés tous deux pendant  le premier cycle, par le mécanisme déjà décrit.  



  Cependant, il est essentiel que l'un des  totalisateurs demeure en position embrayée  pendant la première moitié du second cycle, et    le mécanisme pour débrayer sélectivement,  soit le totalisateur   A  , soit le totalisateur    B  , est décrit dans ce qui suit.  



  Pendant la seconde moitié du premier cy  cle, après qu'a été actionnée la bielle 199     (fig.     19), l'ergot 590 s'éloigne de la bielle 580, qui  est à ce moment-là encore en prise avec l'er  got 583 par l'extrémité du levier 587 qui porte  contre l'ergot 589. Par conséquent, lorsque le  levier -à trois bras 552 bascule dans le sens       senestrorsum    pendant la première moitié du  second cycle, le totalisateur   B   est débrayé.  Cependant, lorsque l'ergot 589 descend, il  passe à côté de l'extrémité du levier 587 et  s'engage dans une encoche 780 dudit levier.

    Le mouvement     dextrorsum    qui en résulte pour  la bielle 580 sous     l'influence    du ressort 591  la dégage de l'ergot 583 après que le totalisa  teur   B   a exécuté son mouvement de dé  brayage. Ainsi, seul le totalisateur   A   de  meure en position embrayée et transmet son  total aux barres de crémaillères différentielles  à ce moment. Il est toutefois débrayé, comme  déjà expliqué, avant que les barres d'arrêt  soient ramenées à leurs positions d'origine,  laissant ainsi les roues de totalisateurs à zéro.  



  A la fin de la première moitié du second  cycle, la bielle 580 se déplace vers le haut,  sans communiquer aucun mouvement au le  vier 584, étant donné que l'encoche pratiquée  dans le bras 581 est     écartée    de l'ergot 583 du  levier 584, et     entrainant    avec lui le levier 587  contre la tension du ressort 783, jusqu'à ce  que l'ergot 589 s'échappe de l'encoche 780 et  vienne reposer une fois de plus contre l'ex  trémité de droite du levier 587. Ainsi, le tota  lisateur   B   demeure dégagé du mécanisme  différentiel pendant tout son mouvement.

   Lors  que le levier 570 revient dans le sens     dextror-          sum    jusqu'à sa position de repos et que l'ergot  590 fait basculer la bielle 580 dans le sens       senestrorsum    pour réengager l'encoche du  bras 581 avec l'ergot 583 du levier 584, un  bras de rappel 784, pivotant sur l'arbre 622  et maintenu par un     ressort    785 contre un ergot  du levier 621, vient porter contre un ergot  fixé au bras 581 pour aider au     réembrayage.     



  Un sous-total est extrait du totalisateur        A   par enfoncement de la touche de     sous-          total    29a, ce qui provoque     l'actionnement    à la  fois de la plaque de coulisse de total<B>681</B>     (fig.     27) et de la plaque de coulisse de sous-total  691     (fig.    2).

   Cette dernière positionne un mé  canisme qui empêche le débrayage du tota  lisateur   A   pendant le second cycle, de  sorte que le montant du total imprimé se  trouve réintroduit dans le totalisateur   A      .     Ce mécanisme comprend     (fig.    2) l'ensemble  suivant : sur l'ergot 688 est montée une pla  que 786 comportant une fente 787, dans la  quelle roule un galet 788 (voir     fig.    34) monté  sur une plaque 789 pivotant sur un arbre de  support d'imprimerie 790.

   La plaque 786  comporte un ergot 791 qui est engagé par un  épaulement 1792 pratiqué sur la plaque cou  lissante de sous-total 691 (voir     fig.    2), lorsque  cette dernière est enfoncée, faisant par là bas  culer la plaque 786 et la plaque 789 dans le  sens     senestrorsum.    Sur le levier de     total    570       (fig.    34) pivote en 792 une bielle 793 com  portant à son extrémité supérieure une fente  794 qui chevauche un ergot 795 de la plaque  789.

   Lorsque la plaque 789 pivote dans le  sens     senestrorsum,    un galet 796 monté sur la  bielle 793 est déplacé vers l'arrière et, lorsque  le levier 570 est basculé dans le sens     senes-          trorsum,    pendant la seconde moitié du premier  cycle, la bielle 793 est forcée vers le haut,  entraînant l'ergot 796 jusqu'à la position de       fig.    35.

   Dans cette position     (fig.    4), l'ergot 796  se trouve dans une position telle qu'il va être  en contact avec le rebord supérieur de la bielle  562     (fig.    19), de sorte que celle-ci ne peut pas  basculer suffisamment dans le sens     dextrorsum     pour engager l'encoche 567 avec l'ergot 575  et dégager le totalisateur   A      ,    lequel, par  conséquent, demeure en prise avec le méca  nisme de barres d'arrêt différentielles pendant  la totalité de la seconde moitié du second cycle.  <B>Il</B> reçoit ainsi de nouveau le nombre qui y  avait été recueilli pendant là première moitié  de ce cycle.  



  Lorsqu'on effectue une opération de total  ou de sous-total à partir du totalisateur   B      ,     la touche 30       B'*      est enfoncée et par la suite  la touche de total 29 ou la touche de sous-    total 29a, selon le cas, est enfoncée à son tour.  L'extrémité arrière du levier 797     (fig.    25) calé  sur l'arbre 467 qui est basculé lorsque la tou  che 30 est enfoncée, est couplée par goupille  et fente à l'extrémité avant d'un levier 798  pivotant sur l'ergot 665. L'extrémité arrière de  ce levier porte sur un ergot 799 lui-même fixé  à un levier pivotant 800, sous     l'influence    d'un  ressort 801.  



  Une bielle 802, articulée à une oreille qui  descend de l'extrémité arrière du levier 800,  a son extrémité supérieure munie d'une fente  qui coopère avec un ergot 803 fixé à un bras  orienté vers l'arrière du levier 610 (voir aussi       fig.    20) qui dégage le totalisateur   A   lors  que la touche sélectrice de totalisateur   B    27     (fig.    1) est enfoncée.

   Lorsque la touche 30       (fig.    25) est enfoncée, le levier 797 bascule  dans le sens     senestrorsum,    forçant la bielle 802  vers le haut et basculant le levier 610 dans le  sens     senestrorsum,    de telle sorte que l'ergot  609 soit en position pour empêcher le     ré-          embrayage    du     totalisateur      A      ,    avant que  les crémaillères     reviennent,    en rendant inopé  rants les crochets 573. Une oreille 804, tournée  vers le haut, du levier 610 porte contre un  ergot 805 fixé à un levier 806 qui pivote en  807 et qui comporte une oreille 808 en ligne  avec un ergot 809 d'un levier 810 pivotant en  553.

   Lorsque la bielle 802 est forcée vers le  haut, le levier 806 est basculé dans le sens       dextrorsum.    Le levier 810 comporte un pied  811 qui porte contre l'ergot 564 de la bielle  562 (voir     fig.    19), mais ordinairement     celle-ci     est libre de faire basculer le levier 810 dans  le sens     dextrorsum    lorsque le levier 570     (fig.     19) est actionné dans une opération de total  ou de sous-total.

   Lorsque le levier 810     (fig.     25) est basculé dans le sens     dextrorsum,    cepen  dant, au moment où le levier 610 exécute son  mouvement inverse, l'oreille 808 est maintenue  contre l'ergot 809, empêchant le levier 810 de  se déplacer et maintenant le pied 811 ferme  ment contre l'ergot 564. Par conséquent, lors  que la machine effectue une opération de total  ou de sous-total, le totalisateur   A   est dé  brayé pendant la première partie de chaque  cycle et est     réembrayé    après que les entraî-           neurs    des montants ont été ramenés par la  plaque 601 (voir     fig.    19).  



  La bielle 802     (fig.    25) comporte un bras  812 qui, lorsqu'elle est soulevée, vient toucher  un ergot 782 du levier 587 (voir aussi     fig.    19),  faisant basculer ce dernier dans le sens     senes-          trorsum    jusqu'à la position inactive.

   Si, main  tenant, la touche 30       B*      étant enfoncée, la  touche de total 29 est utilisée, la bielle 580  demeure en prise avec l'ergot 583 (voir aussi       fig.    19) jusqu'à ce que l'ergot 590     (fig.    19)  s'en écarte pendant la seconde moitié du pre  mier cycle et le totalisateur   B   demeure en  position engagée pendant la première moitié  du second cycle, de manière à transmettre son  total aux crémaillères des montants.  



  Le crochet du bras 582     (fig.    19) de la  bielle 580 se trouve sous l'ergot 586 du levier  584, lorsque la bielle 580 monte pendant la  dernière partie de la première moitié du second  cycle, dégageant le totalisateur   B   avant  que les crémaillères des montants ne revien  nent, laissant ainsi les roues de totalisateurs à  zéro.  



  Si la touche de sous-total 29a est enfoncée,  un ergot 813 (voir     fig.    4) se déplace vers l'ar  rière lorsque la bielle 793 est basculée dans le  sens     dextrorsum,    afin de maintenir la bielle  580     (fig.    19) et l'empêcher de pivoter dans le  sens     dextrorsum    assez loin pour venir se pla  cer sous l'ergot 586 ; de sorte que le totalisa  teur   B   demeure engagé pendant le mouve  ment de retour des crémaillères de manière à  rendre audit totalisateur, pendant la seconde  moitié du second cycle, le nombre qui en avait  été extrait pendant la première moitié du se  cond cycle.

      <I>Mécanisme imprimeur de symboles</I>    La     fig.    36 est une vue en plan d'une par  tie des mécanismes bien connus de déplace  ment de ruban et d'imprimerie et les     fig.    37  et 38 représentent un mécanisme bien connu       d'entraînement    et de déplacement de ruban.  



  Sur l'arbre 790     (fig.    36 et 37) peut pivoter  un étrier 814     articulé    grâce à une bielle 815       (fig.    3) au levier 387. Lorsque la bielle 367 se  déplace de la position positive représentée à    la fi,,. 3 à la position négative, l'étrier 814  bascule dans le sens     senestrorsum        (fig.    3) et  dans le sens contraire     (fig.    37). Le bras droit  de l'étrier 814 comporte un talon 816 orienté  vers l'arrière     (fig.    37).

   La     fig.    36 montre une  bobine de ruban de gauche 817, un guide de  ruban de gauche 818, et une plaque de guide  de ruban de gauche 819, qui porte une extré  mité inférieure fourchue, laquelle s'engage sur  l'arbre 820 qui traverse les bâtis latéraux  d'imprimerie 821 et 821a     (fig.    36). Un ergot  821b     (fig.    37) est supporté par ladite plaque  de guide de     ruban    819, et grâce auquel cette  plaque et le mécanisme associé peuvent être  soulevés. Sur l'arbre 820 est montée rotative  une plaque-came 822 qui comporte une butée  d'arrêt 823 portant normalement contre l'er  got 821b.

   Si la came 822 tourne dans le sens       dextrorsum    depuis la position de     fig.    37, la  plaque de guidage 819 et le mécanisme associé  sont soulevés, de sorte que la moitié inférieure  rouge d'un ruban 832 se trouve à l'alignement  de la position d'impression, à la place de la  partie supérieure noire. Sur l'arbre 820 est  montée folle une plaque d'entraînement 824       (fig.    38) reliée par une bielle 825 à un levier  826 fixé à l'arbre principal d'entraînement 55.

    Lorsque celui-ci tourne dans le sens     senestror-          sum    (fi-. 38), pendant la première moitié d'un  cycle, puis dans le sens     dextrorsum    pendant la  seconde moitié du cycle, la plaque d'entraîne  ment 824 est     entrainée    d'abord dans le sens       dextrorsum    puis ramenée pendant la seconde  moitié du cycle.

   Cette plaque 824 est     articulée     à un cliquet de verrouillage 827 sollicité par  un ressort vers une encoche pratiquée dans la  came 822 et normalement empêché de s'enga  ger avec cette encoche par le talon 816     (fig.     37) qui bascule dans le sens     senestrorsum    avec  l'étrier 814 pendant un mouvement de sous  traction et libère le cliquet de verrouillage 827  lui permettant d'entrer dans l'encoche. Pen  dant la première moitié du cycle subséquent  de la machine, la plaque 819 va se déplacer  vers le haut et va être ramenée pendant la       dernière    moitié dudit cycle.

   La plaque 819 est  reliée à une plaque-guide jumelle 828 (voir       fig.    32 et 33) par un étrier consistant en un      bras 829     (fig.    36), un tube 830 monté sur  l'arbre 790 et un bras 831, monté sur l'extré  mité de droite du tube 830. Les plaques de  guidage 819 et 828 sont par conséquent dé  placées ensemble vers le haut pendant les opé  rations de soustraction. Le mouvement de la  plaque de guidage du ruban de droite 828       (fig.    32 et 33) est utilisé pour mettre en posi  tion le caractère ou symbole négatif approprié,  ainsi qu'on le verra.

   Selon la     fig.    36, il existe  dix barres à caractères 833 correspondant aux  ordres de numération ; une barre à caractères  834, sur laquelle figurent les caractères symbo  liques   -  ,<I>  S  ,  </I>     cr   <I> ,</I>   *  ,   CR   et        #_ ,    de haut en bas     (fig.    34) ; enfin, une  barre à caractères 835, sur laquelle sont gra  vés les caractères<I>  A  </I> et<I>  B  </I>     (fig.    29). Les  caractères sont montés dans la case associée  afin de pouvoir reculer jusqu'à une position  rétractée, après quoi ils sont amenés à frapper  contre le ruban sur le cylindre 92.  



  En ce qui concerne le positionnement de  la barre à caractères 834 dans la position d'im  pression     (fig.    34), c'est normalement un carac  tère en blanc 836 qui se trouve maintenu. La  partie inférieure de la barre 834 comporte un  ergot 837, sur lequel s'engage l'extrémité four  chue du bras orienté vers l'arrière d'un levier  838 monté sur un ergot 839. Le bras orienté  vers le haut du levier 838 forme une moitié  d'une paire de ciseaux qui entoure l'ergot 840  d'une bielle 841 articulée à un bras 842 qui  est solidaire de la plaque de guidage de ruban  de droite 828. L'autre moitié des ciseaux est  formée par un bras 843 d'un étrier 844, com  portant une queue 845 tournée vers le bas, qui  vient porter contre le galet 83. Les bras de  ciseaux 838 et 843 sont maintenus en contact  avec l'ergot 840 par un ressort 846.

   Lorsque  le galet 83 se déplace vers l'arrière pendant la  première moitié d'un cycle, l'étrier 844 bascule  dans le sens     senestrorsum        (fig.    32), sous l'ac  tion d'un ressort 847, entraînant avec lui le  levier 838,à moins que celui-ci ne soit retenu  par ailleurs. Ce mouvement de l'étrier 844, par  conséquent, par l'intermédiaire de la liaison  provisoire des ciseaux avec le levier 838, fait  que la barre à caractères 834     (fig.    34) se dé-    place vers le haut. Les extrémités de droite de  l'étrier 844 comportent un bras orienté vers  le haut avec une oreille recourbée 848 qui nor  malement vient toucher le rebord arrière du  levier 598     (fig.    34).  



  Ce rebord, dans la position représentée à  la     fig.    34, empêche l'étrier 844 de se dépla  cer et, lors d'un cycle d'enregistrement avec le  mécanisme totalisateur en position positive, la  barre à caractères 834 se déplace de telle sorte  qu'aucun symbole distinctif du type d'opéra  tion ne s'imprime après le nombre, comme on  peut le voir en 849, 849a, 850 et 851     (fig.    14).  Si un nombre doit être introduit négativement,  l'étrier 844     (fig.    32) est empêché de se dépla  cer, mais l'ergot 840 est tiré vers le haut lors  que la plaque de guidage de     ruban    828 s'élève,  donnant au levier 838 un cran de mouvement  vers le haut afin de permettre au symbole né  gatif   -   de venir en position d'impression.

    Ce mouvement d'un cran se produit à chaque  opération d'enregistrement négatif, à chaque  opération de total ou de sous-total négatif, et  met la barre à caractères un cran plus loin  que celui qui est déterminé par l'étrier 844.  



  On a donné en 852, 853, 854 et 855     (fig.     14) des exemples d'enregistrements négatifs.  Dans les opérations de sous-total, le mouve  ment dans le sens     dextrorsum    de la biellette  793     (fig.    34) met en position un ergot 856  sous un levier 857, monté sur l'ergot-pivot  599, de manière à soulever ledit levier 857  jusqu'à la position dans laquelle l'arête 858  se trouve en ligne avec l'oreille 848.

   En se  déplaçant dans le sens     senestrorsum,    l'arête  supérieure du levier 857 vient en contact avec  un ergot 859, ce qui écarte le levier 598 du  trajet de l'oreille 848, de telle sorte que cette  dernière permette à l'étrier 844 de se déplacer  jusqu'à ce que l'oreille 848 vienne rencontrer  l'arête 858 afin de mettre en position d'impres  sion le caractère de total partiel   S  , comme  on peut le voir en 862     (fig.    14). Si le montant  figurant dans le totalisateur est négatif, la  barre à caractères 834 est soulevée d'un autre  cran de manière à amener le caractère   CR    en position d'impression. On voit en 863     (fig.     14) un exemple d'une telle impression.

   Dans      le cas d'un total, le mouvement     ascendant    de  la biellette 793, s'exécutant cette fois-ci sans  aucun mouvement dans le sens     senestrorsum,     amène une arête 860 en ligne avec l'oreille  848, ce quia pour résultat de mettre en posi  tion d'impression le caractère   Y   de la barre  à caractères 834. Dans l'exécution d'un total  négatif, la barre 834 se soulève d'un cran de  plus de manière à amener en position d'im  pression le caractère   CR  .

   Dans les opéra  tions de non-addition, la bielle 594 se déplace  vers l'avant, tirant sur la biellette 597 dans  le sens descendant et vers l'avant, d'où un  mouvement     senestrorsum    du levier 598 jus  qu'à ce que son extrémité arrière se trouve     au-          dessus    de l'oreille 848     (fig.    34). Ainsi, lorsque  le cycle de la machine est déclenché, l'oreille  848 se promène sous le levier 598 et au-dessus  du levier 857, permettant le plein mouvement  de la barre à caractères 834 qui amène en po  sition d'impression le caractère de     non-addi-          tion          # .     



  A la     fig.    29 est représentée la barre à ca  ractères 835 qui     porte    les caractères   A   et    B  , désignant respectivement les totalisa  teurs<I>  A  </I> et<I>  B  .</I> Un caractère vierge 861  est en position d'impression lorsque la ma  chine est au repos et lorsque des enregistre  ments sont faits à la fois dans les totalisateurs  <I>  A  </I> et<I>  B  .</I> Un étrier 864     (fig.    29), pivo  tant sur l'ergot 839, comporte un bras gauche  865 orienté vers l'arrière, lequel a une extré  mité fourchue qui coopère avec un ergot 866  fixé au sommet de la barre 835 et un bras  droit 867 orienté vers le bas,

   lequel possède  une oreille recourbée 868 adaptée normale  ment pour coopérer avec une arête 869 d'une  pièce de commande 872 de manière à mettre  en position à vide la     barre"à    caractères 835,  comme on peut le voir à la     fig.    29. Un levier  873 porte une arête 870 contre laquelle  l'oreille 868 repose en position   A       (fig.    28),  alors que la pièce 872 présente une seconde  arête 871, contre laquelle l'oreille 868 repose  en position   B       (fig.    30 et 31).

   La pièce de  commande 872 est fixée au levier 873 pivoté  en 876 et comportant un ergot 874 qui limite  son mouvement dans le sens     senestrorsum    à    partir de la position de fi-. 29, en coopérant  avec une     partie    du bâti latéral de droite sous  l'influence d'un ressort 875.  



  Lorsque la plaque 882     (fig.    22) est bascu  lée dans le sens     senestrorsum    au moment de  l'enfoncement de la touche 26   A  , une  queue 890 de cette plaque 882 vient en con  tact avec un ergot 892 fixé au levier 873 (voir       fig.    28), le faisant basculer suffisamment dans  le sens     dextrorsum    pour amener l'arête 870 en  ligne avec l'oreille 868. L'étrier 864 comporte  un bras 893 (voir     fig.    29) qui     porte    contre le  galet 83, sous l'influence d'un ressort, lequel  maintient normalement la barre à caractères  835 en position inactive.  



  On voit, d'après la     fig.    20, que lorsque la  plaque 657 est basculée dans le sens     senestror-          sum    par enfoncement de la touche 27   B      ,     une queue 894 vient toucher un ergot 895a du  levier 873, l'amenant à la position de     fig.    30,  position dans laquelle l'arête 871 est en ligne  avec l'oreille 868, de sorte qu'au cours du  cycle, l'étrier 864 est laissé libre de basculer  suffisamment pour amener la barre à carac  tères 835 dans la position d'impression du  symbole   B  .  



  Lors de l'exécution d'un total ou d'un     sous-          total    dans le totalisateur   A  , le mouvement       senestrorsum    du levier 570     (fig.    29) déplace  la biellette 895 qui y est articulée, vers l'ar  rière, celle-ci étant guidée sur l'ergot 876 sous       l'influence    d'un ressort 896. Un bras 897, fai  sant saillie vers le haut de la biellette 895,  porte contre l'ergot 874, faisant basculer le  levier 873, de telle sorte que l'arête 870 co  opère avec l'oreille 868 pour placer le carac  tère   A   en position d'impression.  



  Pour un total ou un sous-total extrait du  totalisateur   B   sous l'influence de la touche        B*         ,    une queue 898     (fig.    31) du levier 800  qui est alors basculé va, du fait qu'elle s'en  gage avec l'ergot 895a du levier 873, faire bas  culer ce dernier pour amener l'arête 871 en  ligne avec l'oreille 868, de telle sorte qu'en  cours de fonctionnement, le symbole caracté  ristique   B   se place en position d'impres  sion.  



  En     fig.    14, on voit en 900 un exemple de      total extrait du totalisateur   A   et en 901 un  exemple de total créditeur     imprimé    d'après le  totalisateur   B      .     



  L'enfoncement de la touche de     non-addi-          tion    31     (fig.    26a), après déclenchement de la  machine, est empêché par le mécanisme     ci-          après.    Un levier coudé 900     (fig.    2) pivote en  646     (fig.    20) et comporte un bras tourné vers  l'arrière 902, lequel porte une équerre 903 qui  est en contact avec un bras faisant saillie vers  l'arrière et vers le bas du levier 424     (fig.    2),  lorsque ce dernier est déclenché,

   ce qui fait  basculer le levier 900 dans le sens     dextrorsum     jusqu'à la position active dans laquelle il se  trouve placé sous l'ergot 488     (fig.    26a), em  pêchant ainsi l'enfoncement de la touche de  non-addition 31.  



  En se reportant à la     fig.    18, on voit que  les touches 29, 29a, 26, 27 et 31 comportent,  respectivement, des ergots 904, 905, 906, 907  et 908 qui coopèrent avec des plaques coulis  santes connues 909, 910, 911 et 912, avec  partie supérieure inclinée. Ces plaques cou  lissantes sont assemblées par goupilles et fen  tes au support 406, de sorte qu'elles ne peu  vent exécuter que des mouvements latéraux de  coulissement limités. L'enfoncement de l'une  quelconque des touches qui précèdent, 29,  29a, 26, 27 et 31, pousse de côté la ou les  coulisses adjacentes qui vont se trouver toutes  ramenées en masse, de sorte qu'aucune autre  desdites touches ne pourra être enfoncée, car  il n'y a pas de place pour leurs ergots respec  tifs. Ceci empêche que plus d'une des touches  soit utilisée à la fois.  



  La touche   B   27 est ramenée par res  sort et non pas verrouillée, le mécanisme com  mandé par elle et représenté à la     fig.    20 étant  maintenu en position efficace lorsque la ma  chine est déclenchée par une oreille 920     (fig.    2)  d'un levier 921 pivotant sur le bâti latéral de  droite en 922 et couplé au levier 692 par un  couplage à goupille et fente 923. Lorsque le  levier 692 bascule dans le sens     dextrorsum,     au moment où la machine est déclenchée, le  levier 921 bascule dans le sens     dextrorsum,    ce  qui amène l'oreille 920 vers l'avant.

   Si la tou  che 27   B   n'est pas enfoncée, l'oreille 920    glisse dans une fente 924 de la plaque 657,  empêchant l'enfoncement de la touche 27    B   pendant que 'la machine est en fonc  tionnement. A la fin de l'opération,     l'oreille     920 est amenée à la position représentée à la       fig.    2. Si la touche   B   a été enfoncée, la  plaque 657 a pivoté dans le sens     senestrorsum     et, lorsque le levier se déplace dans le sens       dextrorsum,    l'oreille 920 se place sous le pied  925 qui est soulevé, empêchant le retour du  mécanisme associé à la touche   B   à la posi  tion normale, tant que la machine n'a pas  achevé son cycle.  



  On voit d'après la     fig.    22 que la plaque  882, associée à la touche 26   A  , est mon  tée sur le même pivot que la plaque 657, direc  tement derrière celle-ci     (fig.    2) et coopère aussi  avec l'oreille 920 de manière à commander  le mécanisme associé à la touche 26   A      ,     empêchant l'enfoncement de cette dernière une  fois qu'un fonctionnement de la machine a  commencé et verrouillant le mécanisme asso  cié à ladite touche en position     manoeuvrée    jus  qu'à ce que le fonctionnement de la machine  soit terminé.  



  La     fig.    2 montre que la coulisse 878, asso  ciée à la touche   A      ,    porte, à son extrémité  inférieure, un ergot 930 qui fait     saillie    sur le  trajet du levier 647 associé à la touche   B  .  Si cette     dernière    est enfoncée, l'extrémité ar  rière du levier 647 entre en contact avec l'er  got 930, empêchant la touche   A   d'être en  foncée. Inversement, si la touche   A   est en  foncée, la touche   B   ne peut pas l'être, car  l'ergot 930 descend contre l'extrémité arrière  du levier 647. Grâce à cet     interverrouillage,     une seule des deux touches<I>  A  </I> ou<I>  B  </I>  peut être en position enfoncée à un moment  donné.  



  La touche de total est ramenée par res  sort, ainsi que la touche de sous-total, mais  les coulisses associées sont verrouillées en po  sition     manoeuvrée    ou non     manoeuvrée    par le  levier 687     (fig.    2) précédemment décrit. Lors  que la coulisse 199     (fig.    17) se déplace vers  l'arrière au cours des opérations de total ou  de sous-total, le levier 478 est déplacé vers  l'arrière (voir aussi     fig.    24) et vient directe-      ment sous la jambe 484 du levier de déclen  chement 422 (voir     fig.    27) empêchant toutes  les opérations à un seul cycle.  



  L'action du     mécanigme    de soustraction  pendant une opération à deux cycles est em  pêchée par le mouvement de recul du levier  478 qui, de la sorte, vient se placer sous un  rebord 928 de la plaque 437     (fig.    2a), ainsi  que cela est représenté en traits pointillés,  lorsque commence l'opération de total ou de  sous-total.

      <I>Description générale d'une série d'opéra-</I>  <I>tions</I>    Il faut se reporter aux     fig.    1 et 14 : on  prendra comme exemple une série d'opérations  dans laquelle les deux premiers nombres à in  troduire doivent l'être à la fois dans les tota  lisateurs<I>  A  </I> et<I>  B</I>      .    Par conséquent, il  suffit d'enfoncer la touche 24<I>  A</I> et<I>B  </I> afin  de créer un état dans lequel les nombres com  posés sur le clavier soient enregistrés dans les  deux totalisateurs à la fois. Le nombre 0,22  est composé sur les touches de montants 22  et l'on enfonce soit la touche 26   A      ,    soit  la touche 27   B      .    Ceci déclenche un fonc  tionnement de la machine et introduit le nom  bre dans les deux totalisateurs.

   Ensuite, on  compose sur les touches 22 du clavier le nom  bre 0,05 et l'on enfonce soit la touche   A      ,     soit la touche   B      .    On remarquera qu'il n'y  a aucune indication imprimée quant aux tota  lisateurs qui ont reçu ces deux nombres et ceci  est le cas lorsque les nombres sont enregistrés  dans les deux totalisateurs à la fois. On sup  pose que les deux nombres suivants doivent  être introduits dans un seul totalisateur.

   On  enfonce alors la touche 25, on compose le  nombre 0,14 sur les touches 22 et, comme le  nombre doit être introduit     soustractivement     dans le totalisateur   A  , on enfonce simul  tanément les touches 26 et 28, ce quia pour  résultat d'imprimer le montant, le signe   -    et le signe   A   en rouge, ce qui indique que  le montant a été introduit     soustractivement     dans le totalisateur   A   seulement.

   Ensuite,  on compose le nombre 0,05 sur le clavier et  l'on enfonce la touche 27   B      ,    ce qui ajoute    le nombre dans le totalisateur   B   ; le nom  bre imprimé est suivi du caractère  <I>B<B> .</B></I>  Comme le nombre suivant doit être enregistré       soustractivement    dans les deux totalisateurs,  on enfonce la touche 24, on compose le nom  bre 0,15 sur le clavier et l'on enfonce la touche  28, laquelle introduit le montant     soustractive-          ment    dans les deux totalisateurs à la fois. Sur  le papier, on voit apparaître le montant im  primé suivi du signe   -   en rouge.

   Ensuite,  on désire extraire un sous-total du totalisateur    A      .    Il suffit alors d'enfoncer la touche 29a,  ce quia pour résultat de faire apparaître un  solde créditeur de 0,02 en rouge, suivi du ca  ractère   CR   et du caractère   A  , ce qui  représente le totalisateur   A  . Après cela, on  recueille un sous-total du totalisateur   B   en  enfonçant la touche 30   B  , après quoi l'on  actionne les touches 29a et le montant 0,17  suivi des caractères<I>  SB  </I> est imprimé en  noir, ce qui indique que le nombre est positif.       Etant    donné que le montant suivant est sup  posé être introduit seulement dans le totalisa  teur   B      ,    on enfonce la touche 25, on com  pose le nombre 0,60 sur le clavier et l'on  enfonce simultanément les touches 27 et 28.

    Ceci a pour effet d'enregistrer le nombre dans  le totalisateur   B       soustractivement    et de  l'imprimer en rouge, suivi du signe   -   et  d'un   B      .    Le montant suivant est composé  avec les touches de montants, la touche 26    A   est enfoncée et le nombre sera imprimé,  suivi d'un   A  , ce qui indique qu'il a été  additionné dans le totalisateur   A   seule  ment.     Etant    donné que le montant suivant doit  être introduit dans les deux totalisateurs simul  tanément, la touche 24 sera enfoncée, après  quoi on composera le nombre 0,10 et l'on en  foncera la touche 28 seule, ce qui enregistre  le nombre négativement dans les deux totali  sateurs. Le montant est imprimé en rouge et  est suivi du signe   -  .

   Le total   A   est  recueilli en enfonçant la touche 29 seule et le  nombre se trouve imprimé, en même temps  qu'un   *   et un   A      .    Ensuite, on extrait le  total du totalisateur   B  , et ceci est réalisé  en enfonçant la touche 30       B*         ,    après quoi  l'on enfonce la touche 29 et le nombre 0,53      apparaît alors en rouge suivi des caractères        CR     et  B .

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer, comprenant un clavier de montants, deux totalisateurs addition-sous- traction, des entraîneurs<I>pour</I> les totalisateurs, un mécanisme d'embrayage et de débrayage des totalisateurs avec les entraîneurs, des touches sélectrices de totalisateurs et de déclenchement de machine, des mécanismes individuels de sélection de totalisateurs associés auxdites touches sélectrices, et des touches de com mande de fonctions déterminant le type d'opé ration à effectuer, caractérisée par le fait qu'un mécanisme de commande (634 à 645) des totalisateurs est influencé de telle sorte par les touches de commande de fonctions (24, 25) que, lors de l'enfoncement de l'une (25)
    des touches de commande de fonctions (24, 25), les mécanismes individuels (649 à 664 ; 878 à 885) de sélection de totalisateurs sont de ce fait rendus efficaces par ledit mécanisme de commande de totalisateurs (634 à 645) en vue de sélectionner le totalisateur (309, 332) correspondant à celle dés touches (26, 27) sélectrices de totalisateurs et de déclenchement de machine qui a été enfoncée, en vue de rece voir le montant composé sur le clavier de montants, tandis que, lorsqu'une autre touche de commande de fonctions (24) est enfoncée, les mécanismes individuels (649 à 664, 878 à 885) de sélection de totalisateurs sont tous deux rendus inopérants par le mécanisme de commande des totalisateurs (634 à 645) et que les totalisateurs (309, 332) sont tous deux embrayés avec les entraîneurs (123, 338)
    par le mécanisme d'embrayage et de débrayage (346, 562 ; 351, 580) afin de recevoir le mon tant introduit, quelle que soit la touche sélec trice de totalisateurs (26, 27) qui est enfon cée. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, carac térisée par une pièce d'entraînement séparée (649, 878) pour chaque mécanisme individuel (649 à 664 ;
    878 à 885) de sélection de totali- sateurs, qui est montée sur un support mobile commun (645) d'une part déplacé dans un cer tain sens lors de l'enfoncement de l'une (25) des touches de commande de fonctions de manière à placer les deux pièces d'entraîne ment (649, 878) sur le trajet d'enfoncement de leurs touches (26, 27) sélectrices de totali sateurs et de déclenchement d'opérations, de sorte que l'une ou l'autre desdites pièces d'en traînement (649, 878) soit actionnée selon celle des touches sélectrices (26, 27) qui aura été enfoncée, et d'autre part déplacée dans l'au tre sens lors de l'enfoncement de l'autre tou che (24) de commande de fonctions, de telle sorte que les pièces d'entraînement (649, 878) soient toutes deux écartées du trajet de leurs touches (26, 27)
    sélectrices de totalisateurs et de déclenchement d'opérations respectives. 2. Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que les totalisateurs (309, 332) sont tous deux normalement dégagés des entraîneurs (123, 338) par le mécanisme d'embrayage et de dé brayage de totalisateurs (346, 562 ; 351, 580) avant que les entraîneurs n'effectuent leur mouvement de position, et que des pièces de couplage (573) qui normalement servent à coupler les totalisateurs au mécanisme d'em brayage et de débrayage (346, 562 ;
    351, 580) en vue du mouvement de réembrayage avant que les entraîneurs ne reviennent, peuvent être sélectivement rendues inopérantes par des pièces neutralisantes individuelles (802, 618), une pour chaque pièce d'entraînement (649, 878), selon celle des touches (26, 27) de sélec tion de totalisateurs et de déclenchement d'opérations qui est enfoncée. 3. Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que le support mobile commun (645) est dé placé au moyen d'une liaison à . parallélo gramme (632 à 639) qui est basculée dans un sens ou dans l'autre selon celle des touches de fonctions. (26, 27) qui est enfoncée. 4.
    Machine selon la revendication, compre nant une touche de soustraction susceptible de déclencher la machine en vue de son fonction- nement, caractérisée par le fait que ladite tou che de soustraction (28) est couplée à un mé canisme de déclenchement d'opération (422, 424, 68) par l'intermédiaire d'une pièce de déclenchement soustractive (431) amenée en relation de coopération avec ladite touche de soustraction (28) ou en étant retirée, de ma nière, selon le cas, à permettre ou à empêcher, respectivement, le déclenchement de la ma chine par cette touche, selon celle des touches de commande de fonctions (24, 25) qui est enfoncée. 5.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 4, caractérisée par le fait que la pièce de déclenchement soustractive (431) coopère avec la touche de soustraction (28) lorsque les totalisateurs (309, 332) sont tous deux mis en état de recevoir un nombre à enregistrer et est retirée d'une telle coopé ration lorsque les totalisateurs (309, 332) sont mis en état d'être individuellement sélection nés. 6.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 4, caractérisée par le fait que la pièce de déclenchement soustrac tive (431) comprend un levier pivoté relié au support mobile commun (645) et comportant un doigt qui est mis en relation de coopération avec un ergot monté sur une plaque (403) qui tourne par enfoncement de la touche de sous traction (28), selon la position dans laquelle le support mobile commun (645) a été dé placé. 7.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2, comprenant une touche de total, caractérisée par le fait que les totalisateurs (309, 332) sont amenés d'abord en position de débrayage puis en position d'em brayage à chaque cycle de la machine grâce à des bielles individuelles (562, 580) entraînées par une pièce d'entraînement commune (545), lesdites bielles (562, 580) étant maintenues dans leur position opérante pendant les opéra tions d'enregistrement par une pièce principale de retenue (570), cette dernière étant rendue inopérante par un mécanisme neutralisant (199, 764 à 769, 601) pendant le premier cycle d'une opération de total à deux cycles déclen chée par l'enfoncement de la touche de total (29), de telle sorte que les bielles (562, 580) viennent en position inopérante,
    permettant ainsi aux totalisateurs (309, 332) de rester tous deux en position d'embrayage pendant que les entraîneurs (123, 338) exécutent leur mou vement de mise en place durant le second cycle de la machine, et caractérisée en outre par le fait que l'une (580) des bielles (562, 580) est maintenue en position opérante lorsque la pièce principale de retenue (570) a été rendue inopérante, par l'intermédiaire d'une seconde pièce de retenue (587), grâce à quoi un seul (332) des totalisateurs (309, 332) est débrayé. 8.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2 et 7, caractérisée par le fait que, pour l'extraction d'un total du tota lisateur débrayé (332), la seconde pièce de retenue (587) est dégagée par enfoncement d'une seconde touche de commande de total (30), tandis que la bielle (562) de l'autre tota lisateur (309) est empêchée, par enfoncement de ladite seconde touche de total (30), de venir en position inopérante, grâce à quoi l'autre totalisateur en question (309) est débrayé avant que les entraîneurs (123, 338) n'aient exécuté leur mouvement de mise en place dans le second cycle d'une opération de totalisation à deux cycles. 9.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2 et 7, caractérisée par le fait que la bielle (580) du totalisateur non sélectionné (332) est maintenue en position d'efficacité pour le mouvement de débrayage grâce à la coopération d'une arête de la se conde pièce de retenue (587) avec un ergot (589) fixé sur ladite bielle (580), et que l'er got (589) est ultérieurement libéré de cette arête de sorte que le totalisateur non sélec tionné (332) est de ce fait maintenu par la libé ration de la bielle (580) dans la position dé brayée tandis que les entraîneurs (123, 338) exécutent leur mouvement de retour. 10.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 7 et 8, caractérisée par le fait que la seconde pièce de retenue (587) et la pièce de couplage dudit autre totalisateur (309) sont rendues inopérantes grâce à une pièce commune actionnée lors de l'enfonce ment de la seconde touche de total (30), de sorte que ledit autre totalisateur (309) de meure débrayé tandis que les entraîneurs (123, 338) exécutent leur mouvement de retour. 11.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 7, 8 et 10, caractéri sée par le fait que la première bielle (562) est empêchée de se rendre à sa position inopé rante par un dispositif de verrouillage (806) normalement inopérant et actionné par le dis positif de commande commun (802), grâce à quoi ledit autre totalisateur (309) est débrayé avant le mouvement de mise en place des en- traineurs (123, 338) dans le second cycle d'une opération de totalisation à deux cycles. 12.
    Machine selon la revendication, com prenant une pièce porte-caractères portant des caractères imprimants correspondant aux to- talisateurs, et qui peut être réglée grâce à un mécanisme actionné par ressort en vue d'ame ner en position d'impression le caractère ap proprié, caractérisée par le fait que le méca nisme actionné par ressort (864 à 870) est arrêté différentiellement de manière à mettre les caractères en position voulue grâce à une pièce à butées multiples (872) réglée en fonc tion de la touche de commande de fonctions (24, 25) ou de la touche sélectrice de totalisa teurs et de déclenchement d'opérations (26, 27) qui a été enfoncée,
    la pièce à butées mul tiples obligeant une partie vierge à se présenter en position d'impression lorsque celle (24) des touches de commande de fonctions (24, 25) qui provoque la sélection des deux totalisateurs (309, 332) à la fois, pour les opérations d'enre gistrement, est enfoncée.
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