Machine à calculer L'invention a pour objet une machine à calculer comprenant un clavier de montants, deux totalisateurs addition -soustraction, des entraîneurs pour les totalisateurs, un mécanisme d'embrayage et de débrayage des totalisateurs avec les entraîneurs, des touches sélectrices de totalisateurs et de déclenchement de la ma chine, des mécanismes individuels de sélection de totalisateurs associés auxdites touches sélec trices, et des touches de commande de fonc tions déterminant le type d'opération à effec tuer, cette machine étant caractérisée par le fait qu'un mécanisme de commande des tota lisateurs est influencé de telle sorte par les touches de commande de fonctions que,
lors de l'enfoncement de l'une des touches de com mande de fonctions, les mécanismes individuels de sélection de totalisateurs sont de ce fait rendus efficaces par ledit mécanisme de com mande de totalisateurs en vue de sélectionner le totalisateur correspondant à celle des tou ches sélectrices de totalisateurs et de déclen chement de machine qui a été enfoncée, en vue de recevoir le montant composé sur le cla vier de montants, tandis que, lorsqu'une autre touche de commande de fonctions est enfon cée, les mécanismes individuels de sélection de totalisateurs sont tous deux rendus inopérants par le mécanisme de commande des totalisa teurs et que les totalisateurs sont tous deux embrayés avec les entraîneurs par le méca nisme d'embrayage et de débrayage,
afin de recevoir le montant introduit, quelle que soit la touche sélectrice de totalisateurs qui est enfoncée.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution particulière de la machine faisant l'objet de l'invention.
La fig. 1 en est une vue en perspective ; la fig. 2 est une vue du côté droit de la machine, coffre enlevé ; les fig. <I>2a, 2b</I> et 2c représentent le méca nisme de blocage des commandes de soustrac tion pendant un fonctionnement de la ma chine ; la fig. 3 est une vue du côté gauche de la machine avec le coffre enlevé; la fig. 3a est une vue d'un mécanisme des tiné à verrouiller une touche B* pendant les fonctionnements de la machine ;
la fig. 4 est une vue du côté droit de la machine, coffre enlevé, avec le bâti latéral de droite représenté en pointillé et avec une par tie du mécanisme fixé à sa face externe en levée ; la fig. 5 est une coupe verticale de l'avant à l'arrière, à travers le clavier, des montants et le mécanisme différentiel; la fig. 6 est une vue en plan par-dessus d'un totalisateur supérieur A ; la fig. 6a est une vue en plan par-dessus d'un totalisateur inférieur B ;
la fig. 7 est une vue d'une partie d'un mé canisme destiné à palper l'état positif ou néga tif du totalisateur A dans les opérations de total ; la fi-. 8 est une vue développée d'une par tie- d'un mécanisme de 1 fugitif du totali sateur A ; la fig. 9 représente le côté gauche d'une roue de totalisateur et des cliquets et levier de report ; la fig. 10 est une vue latérale de l'extré mité de gauche du mécanisme de 1 fugitif du totalisateur A après une opération de soustraction et juste avant que le totalisateur passe de l'état positif à l'état négatif ;
la fig. 11 est une vue analogue à la fi-. 10, à ceci près qu'on y a superposé l'ordre le plus élevé des roues de totalisateur et le tambour de chiffre associé, et qu'on y voit la position des éléments après qu'a été faite une addition conduisant à un total positif ; la fig. 12 représente le même mécanisme que la fig. 10, sauf que les pièces y sont repré sentées dans la position qu'elles prennent après un total négatif ; la fig. 13 est une vue brisée en perspec tive d'une roue de totalisateur type; avec son tambour de chiffre et son cliquet de report ;
la fig. 14 est un fac-similé d'une bande imprimée par la machine, avec les divers sym boles représentant les différents types d'opé rations ; la fig. 15 représente un train de mécanisme grâce auquel la manoeuvre d'une touche de soustraction - met un mécanisme de com mande de gauche en état d'exécuter une opé ration d'enregistrement négatif ; la fig. 16 représente un mécanisme anti- rebondissement d'une barre d'arrêt de dif férentiel ; la fig. 17 représente une partie d'un méca nisme de total et de sous-total ;
la fig. 18 représente des touches de com mande montées sur le côté droit du coffre, comme on les voit de l'intérieur ; la fig. 19 représente une partie d'un mé canisme d'embrayage des totalisateurs A et B ; la fia. 20 représente un train de mécanisme grâce auquel la touche d'addition B rend inopérant le totalisateur A et commande l'impression d'un symbole pendant une opéra tion d'enregistrement ; la fig. 21 représente une partie d'un mé canisme de contrôle à deux cycles pour les opérations de total et de sous-total ; la fig. 22 représente un train de méca nisme grâce auquel la touche A rend inopérant le totalisateur B et commande un mécanisme imprimeur de symboles;
la fi-. 23 représente un mécanisme de tou ches grâce auquel la machine est mise en état pour une série d'opérations, en vue d'intro duire des données à la fois dans les totalisa teurs<I> A </I> et<I> B </I> ou seulement dans l'un des deux totalisateurs<I> A </I> ou<I> B ,</I> selon ce lui qui a été choisi ; la fig. 24 représente un arbre de trans mission reliant la touche B du côté gauche avec le mécanisme du côté droit ; la fi-. 25 représente un train de mécanisme de commande de total B ; la fig. 26 représente un dispositif d'action de la touche de total B sur un mécanisme destiné à déterminer le déplacement latéral des totalisateurs en fonction de l'état positif ou négatif du totalisateur B ;
la fig. 26a représente un mécanisme de commande de non-addition; la fig. 27 représente un mécanisme de dé clenchement de la machine, tel qu'il est com mandé par la touche<I> A</I> , la touche<I> B </I> et la touche de total ; la fig. 28 représente un mécanisme pour mettre le caractère symbolique A en posi tion d'impression lors des opérations d'enre gistrement ; la fig. 29 représente un mécanisme pour mettre le caractère symbolique A en posi tion d'impression lors des opérations de total ou de sous-total ;
la fig. 30 représente un mécanisme pour mettre le caractère symbolique B en posi tion d'impression lors des opérations d'enre gistrement ; la fig. 31 représente un mécanisme pour mettre le symbole B dans les opérations de total ou de sous-total ; la fig. 32 représente un mécanisme pour mettre en position un caractère symbolique, accompagnant les enregistrements négatifs, les totaux négatifs et les sous-totaux négatifs, cette vue représentant le mécanisme en posi tion normale positive ; la fig. 33 représente le mécanisme de la fig. 32 en position négative ;
la fig. 34 représente un mécanisme destiné à déterminer la nature de l'opération d'impres sion de symbole, c'est-à-dire, s'il s'agit d'un enregistrement d'un total, d'un sous-total ou d'une non-addition ; la fig. 35 représente une partie du méca nisme de la fig. 34 en position déplacée, en vue d'imprimer le symbole S dans les opé rations positives de sous-total, ou le symbole CR dans les opérations de sous-total par tiel à solde créditeur ; la fig. 36 est une vue en plan d'une partie d'un mécanisme imprimeur destiné à mettre en position le caractère de symbole négatif à travers , le mécanisme de déplacement du ruban ;
la fig. 37 est une vue d'un mécanisme de déplacement du ruban; la fig. 38 est une vue d'un dispositif d'en traînement du mécanisme de déplacement du ruban.
Sur le côté droit du clavier de la machine représentée (voir fig. 1) se trouvent une touche de commande de total 29 désignée par * , une touche de sous-total 29a désignée par S , une touche de commande d'addition 26 pour l'un des totalisateurs désignés par A , une touche de commande d'addition 27 pour l'autre tota lisateur désignée par B , une touche de commande de soustraction 28 entre les tou ches<I> A </I> et<I> B ,</I> désignée par - , une touche de commande de non-addition 31 dési gnée par lè ,
destinée à mettre la machine en état d'imprimer un nombre composé sur le clavier sans l'introduire dans aucun des tota lisateurs, une touche de correction 32 destinée à libérer les touches enfoncées et verrouillées des montants, désignée par C .
Sur le côté gauche du clavier se trouvent une touche de commande 24 destinée à mettre la machine en état d'enregistrer le nombre composé avec les touches de montants dans deux totalisateurs, désignée par<I> A</I> et<I>B ,</I> une touche de com mande 25, désignée par<I> A</I> ou<I>B</I> , destinée à conditionner la machine en vue d'introduire le nombre composé dans l'un ou l'autre des totalisateurs, selon celle des touches A et B qui est utilisée, et une touche de com mande 30, destinée à mettre la machine en état d'effectuer un total ou un sous-total dans le totalisateur B ,
ladite touche étant dési gnée par B* . Si un nombre est introduit positivement dans l'un ou l'autre ou dans les deux totalisateurs à la fois, il est imprimé en noir (couleur réservée aux nombres positifs), mais s'il est introduit négativement, il est im primé en rouge (couleur réservée aux nombres négatifs). Si le nombre composé est introduit dans un totalisateur seulement, il est imprimé dans la couleur convenable et est suivi du sym bole correspondant<I> A </I> ou<I> B ,</I> selon le totalisateur qui reçoit l'entrée. Toutes les en trées négatives sont suivies d'un symbole néga tif - imprimé en rouge.
Lorsqu'un total est effectué, il est imprimé en noir s'il est posi tif et en rouge s'il est négatif, le total positif étant suivi du symbole * , et le total négatif étant suivi du symbole CR , les deux sym boles * et CR étant imprimés dans la même couleur que le nombre. En outre, on prévoit un symbole<I> A </I> ou<I> B </I> après le symbole de total ou de sous-total désignant le totalisateur dont le total a été extrait. Dans les opérations de sous-total, le nombre est im primé dans la couleur appropriée et avec la désignation du totalisateur, mais les sous- totaux positifs sont suivis d'un symbole noir S , tandis que les sous-totaux négatifs sont suivis du symbole CR .
Les touches de commande 24, 25 et 30, situées sur le côté gauche du clavier, ne sont pas motrices, ce qui veut dire que le simple fait de les actionner ne suffit pas à déclencher la machine en vue de son fonctionnement au à provoquer un cycle de la machine, car ces touches sont seulement des touches de com mande. Par contre, sur le côté droit du clavier, la touche 29 de total x , la touche 29a de sous-total S , la touche 26 d'addition <I> A </I> et la touche 27 d'addition<I> B ,</I> ainsi que la touche 31 de non-addition<B> # </B> sont toujours motrices, tandis que la touche 28 de soustraction<B> - </B> est motrice lorsqu'on ac tionne l'une des touches<I> A</I> et<I>B .</I>
Lorsque la touche sélectrice B" est utilisée, les touches<I> A , B ,</I> - et >> sont bloquées contre tout fonctionne ment.
Avec un tel clavier de commande complet pour la sélection des totalisateurs, la machine pourrait avantageusement être munie d'un cha riot mobile porte-papier et permettrait la com mande précise, rapide et souple des totalisa teurs dans toutes les positions latérales don nées au chariot, avantage qui n'existe pas dans les machines antérieures comprenant un levier sélecteur de totalisateurs.
La machine est disposée dans un coffre 20 (fig. 1) comportant une ouverture de regard 21 fermée par un verre transparent à travers le quel ne peuvent être vus que les tambours de numéros fixés aux pignons de totalisateurs du totalisateur supérieur. Il est prévu dix ordres d'unités de touches de montants 22, faisant saillie à travers une plaque cache-poussière 23 fixée au coffre. Lorsque l'on actionne d'abord la machine pour une série d'enregistrements ou pour un seul enregistrement, l'opérateur déter mine si le ou les nombres doivent être intro- duits dans les deux totalisateurs ou dans un seul d'entre eux.
Si le ou les nombres à intro duire doivent l'être dans les deux totalisateurs à la fois, on enfonce la touche de commande <I>24 A</I> et<I>B </I> qui demeure en position enfon cée une fois que l'opérateur a enlevé son doigt, l'acte d'enfoncer la touche A et B ramenant la touche 25 A ou B . Ensuite, le premier nombre est composé avec les touches de mon tants 22 et la machine est mise en marche. Si la touche 24<I> A</I> et<I>B </I> a été enfoncée, on peut, pour déclencher un cycle opératoire, en foncer soit la touche 26 A , soit la touche 27 B , et le nombre se trouve enregistré dans les deux totalisateurs. Si c'est la touché 25 A ou B qui a été enfoncée, il faut alors que l'opérateur choisisse la touche 26 A , ou la touche 27 B , pour déclencher un fonctionnement de la machine.
Dans le cas où le nombre est à additionner soustractivement et où la touche 24<I> A</I> et<I>B </I> a été enfoncée, il suffit que l'opérateur enfonce la touche de soustraction 28, cette dernière se trouvant temporairement motrice par suite de l'enfonce ment de la touche 24<I> A</I> et<I>B .</I> Si c'est la touche 25 A ou B >> quia été enfoncée, il faut alors utiliser la touche de soustraction 28 en conjonction avec soit la touche 26 A , soit la touche 27 B >>. La touche de soustrac tion 28 est située entre la touche 26 A et la touche 27 B et assez près de l'une ou de l'autre pour qu'avec un seul doigt on puisse enfoncer à la fois la touche 26 A et la tou che de soustraction 28 ou la touche 27 B et la touche de soustraction 28.
Si l'on veut extraire un total du totalisateur A , on en fonce la touche de total 29, ce qui provoque un fonctionnement à deux cycles, au cours duquel le total A est recueilli et imprimé, qu'il soit positif ou négatif. Si l'on doit extraire un total du totalisateur B , on enfonce d'abord la touche 30 puis la touche 29. Dans les opéra tions de sous-total, la touche de sous-total 29a est utilisée à la place de la touche de total 29. La touche de non-addition 31 est motrice. La touche de correction 32 ramène la touche 30 ou l'une quelconque des touches de montants qui pourraient avoir été enfoncées, à leur posi- tien normale.
Le bâti de la machine comprend une plaque de base, une plaque latérale de gauche 34 (fig. 3) et une plaque latérale de droite 35 (fig. 2), réunies par diverses barres transversales, comme décrit plus loin.
<I>Entraînement de la machine</I> Le dispositif d'entraînement de la machine, comprenant un moteur, un interrupteur de mo teur, un mécanisme de déclenchement et un mécanisme d'embrayage pour cycle unique, est, dans son ensemble, connu, et ne sera décrit que très brièvement.
La machine représentée est entraînée pour un cycle opératoire comprenant une rotation, d'abord dans le sens dextrorsum, et ensuite dans le sens senestrorsum, d'un arbre principal d'entraînement 55 (fia. 2 et 3), dans les opé rations d'addition, de soustraction et de non- addition, et pour deux cycles comprenant deux mouvements de rotation de l'arbre 55, dans les opérations de total et de sous-total.
Lorsque l'interrupteur de moteur est dé clenché, il est accompagné par la rotation dans le sens senestrorsum d'un arbre 36 (fig. 3) et d'un levier à trois bras 37 fixé à cet arbre grâce à l'action d'un ressort 38 accroché au levier 37 par un ergot 44 et au bâti de la ma chine par un ergot 39 fixé sur une plaque 40 fixée au bâti latéral de gauche 34, par des vis 41 et 42. L'amenée en position de repos de l'interrupteur se fait contre la tension du res sort 38. Le moteur 35a fait tourner un arbre 45 dans le sens senestrorsum par l'intermé diaire d'un train réducteur, l'arbre 45 compor tant, fixée sur lui, une roue crantée d'entraîne ment cachée derrière une plaque de manivelle 46 montée folle sur l'arbre.
Un cliquet d'en traînement 47, pivotant sur la plaque de mani velle 46 grâce à un pivot 48, est attiré dans le sens de l'engagement vers la roue d'entraîne ment crantée par un ressort 49, accroché au cliquet d'entraînement 47 et à un ergot 50 monté sur la plaque-manivelle 46, mais il en est dégagé lorsque la machine vient au repos, du fait qu'un ergot 64 vient porter contre une surface ménagée à l'arrière du cliquet d'entraî nement 47.
Toutefois, aussitôt que le levier à trois bras 37 bascule dans le sens senestrorsum lors du démarrage du moteur, le cliquet d'en traînement 47 est libéré et vient en prise avec la roue d'entraînement crantée, faisant tourner la plaque-manivelle 46 dans le sens senestror- sum. Sur l'arbre 55 est montée folle une mani velle 54, reliée à la plaque-manivelle 46 par une biellette 52, articulée en 51 et 53. La ma nivelle 54 est couplée à l'arbre 55 par une liai son d'entraînement temporaire, comprenant un levier 56, pivotant sur le pivot 53, et un galet 57 monté à l'extrémité extérieure du levier.
Le galet est actionné par un fort ressort 58 qui l'oblige à pénétrer dans une encoche 59 pratiquée dans le bord d'une plaque 60 calée sur l'arbre 55.
Le ressort 58 est assez fort pour maintenir le galet 57 dans l'encoche 59, réalisant ainsi une liaison d'entraînement entre la manivelle 54 et l'arbre 55 pendant toutes les opérations normales de la machine. Cependant, cette liai son d'entraînement cède si une surcharge quel conque se trouve imposée à l'arbre principal d'entraînement. Au moment où la plaque de manivelle 46 est sur le point d'achever sa rota tion, un bras-came 61, qui y est fixé, vient frapper un ergot 62 monté sur le levier à trois bras 37, le ramenant dans le sens dextrorsum à une position normale, dans laquelle il reste pendant les opérations à cycle unique lorsque le mécanisme de déclenchement se verrouille.
Au moment où la plaque de manivelle 46 ar rivé près de sa position de repos, l'extrémité <B>du</B> cliquet d'entraînement 47 vient en contact avec l'ergot 64, dégageant la plaque de mani velle 46 de l'arbre de moteur. Dans les opéra tions à deux cycles, le levier à trois bras 37 est ramené à la position normale à la- fin d'un cycle, au moment où il est atteint dans le sens dextrorsum, par le bras-came 61, mais, comme il n'est pas verrouillé, il retourne immédiate ment à sa position dans le sens senestrorsum avant qu'il ait eu la possibilité de se dégager du cliquet d'entraînement 47. Dans les opéra tions à deux cycles, le levier à trois bras 37 est verrouillé en position normale après deux cycles de fonctionnement.
Toutes les fois que le levier à trois bras 37" se déplace vers sa posi- tion normale, et y est verrouillé, les contacts de moteur sont ouverts, permettant au rotor du moteur de s'arrêter, une fois déconnecté de la plaque-manivelle 46.
Selon la fig. 2, un fonctionnement de la machine est provoqué par le mouvement vers l'avant d'une bielle 65 lorsqu'un levier à bras multiples 68, pivotant sur un pivot 69 fixé au côté droit du bâti, est basculé légèrement dans le sens dextrorsum. Le levier à bras multiples 68 est normalement maintenu contre un rebord de bâti 70a par un ressort 70.
Vu de la fig. 2, l'arbre principal d'entraîne ment 55 tourne d'abord dans le sens senes- trorsum pendant la première moitié d'un cycle, puis dans le sens dextrorsum pour revenir à sa position d'origine pendant la seconde moi tié du cycle, afin d'actionner le mécanisme dif férentiel et d'autres mécanismes de commande. Sur l'extrémité de droite de l'arbre principal d'entraînement 55 est fixée, grâce à une gou pille, une plaque d'entraînement 131, articulée en 132 à une bielle 133 qui pivote en 134 sur une plaque d'entraînement 135, elle-même goupillée à un arbre secondaire d'entraînement 130.
Entre l'extrémité avant du bâti latéral de droite 35 et l'extrémité avant du bâti latéral de gauche 34 (fig. 5) est fixé un peigne 73, dans lequel sont guidées les extrémités avant de chacune de toute une série de barres d'ar rêt correspondant aux divers ordres d'unités, barres qui y sont soutenues afin de pouvoir y coulisser. Il est prévu une barre d'arrêt 74 pour chaque ordre. Etant donné que les barres d'arrêt de tous les ordres sont construites de la même manière, il a suffi d'en représenter une seule (fig. 5) à titre d'exemple.
La barre d'arrêt 74 est articulée à son extrémité arrière, par un pivot 75,à un bras orienté vers le haut 313 d'un levier à quatre bras divergents 76, susceptible de pivoter sur un arbre 77, lequel est monté et pivote entre les deux bâtis laté raux. La barre 74 est normalement attirée vers l'avant par un ressort 78, tendu entre un ergot 79 et le peigne 73. La barre d'arrêt 74 est normalement empêchée de se déplacer vers l'avant par un étrier 80 qui s'étend en travers de l'avant de tous les bras supérieurs 313 de tous les leviers divergents, l'étrier étant tenu entre deux bras clavetés sur l'arbre 77.
Le bras de support de droite 81 de l'étrier 80 (fig. 4) comporte une partie orientée vers le bas qui est articulée à une bielle 82 sur laquelle est monté un galet 83 qui est maintenu en prise avec le rebord d'une came 84 calée sur l'arbre principal d'entraînement 55. L'extrémité ar rière de la bielle 82 comporte une extrémité en fourche 85 qui embrasse et chevauche l'ar bre 55 destiné à la supporter. Lorsque l'arbre 55 tourne dans le sens senestrorsum, l'arbre 77 tourne de la même manière, les ressorts 78, par l'intermédiaire des barres d'arrêt 74, pro voquant un mouvement d'avancement et de descente de l'étrier 80.
Lorsque l'arbre 55 tourne dans le sens dextrorsum, l'étrier 80 est déplacé de manière analogue, ramenant les barres d'arrêt 74 à leur position de repos, re présentée à la fig. 5. Un bras orienté vers l'ar rière du levier divergent 76 (fig. 5) est articulé à l'un des bras d'une bielle de réglage 86 en forme d'U, dont l'autre bras est articulé à un pivot 87 d'une barre d'impression 88, où il est maintenu par un clip à ressort 89. La barre d'impression 88 peut être réglée verticalement dans des fentes-guides 90 et 91, par rapport au rouleau porte-papier 92, représenté sché matiquement, selon la position choisie pour le levier divergent 76, sous le contrôle des tou ches de montants décrites plus loin.
La barre d'impression 88 représentant un ordre décimal du clavier de montants, comporte à son extré mité supérieure dix caractères 93 verticalement espacés, susceptibles d'être amenés individuel lement dans un boîtier 94, vers le rouleau porte-papier. Les caractères 93 sont attirés vers une position normalement rétractée repré sentée sur le dessin, par des ressorts situés à l'intérieur du boîtier 94, et celui des caractères qui se trouve en position d'impression est heurté par un marteau imprimeur 95, lorsque celui-ci est libéré de sa position armée par le déclenchement d'un verrou 95a. Lorsque la barre d'impression 88 est soulevée sélective ment jusqu'à la position d'impression, une pièce d'interposition 96 bascule dans le sens senestrorsum sur un étrier 97 sous l'influence d'un ressort 98a.
L'étrier 97 est fixé entre un bras 98, pivotant sur un arbre 99 et un bras semblable pivotant sur l'arbre 99 et qui s'étend en travers de la ligne d'impression. Un levier- came 100 monté sur l'arbre 55 est basculé dans le sens senestrorsum puis dans le sens contraire pendant un fonctionnement de la ma chine et un ergot 101 qui s'y trouve fixé vient toucher un bras 102 de l'étrier 97, faisant bas culer ce dernier et la pièce d'interposition 96 vers le verrou 95a, de manière à le rendre inopérant vers le milieu du cycle, si la barre d'impression 88 a été déplacée de sa position d'origine, obligeant le marteau imprimeur 95 à frapper le caractère choisi 93 et à le faire imprimer.
L'extrémité inférieure et arrière de chaque barre d'impression comprend une série d'en coches 120, adaptées pour être engagées par un étrier 121 pendant les opérations de tota lisation, après impression et avant que le tota lisateur ne soit débrayé des barres d'arrêt 74 pour empêcher tout mouvement ultérieur des barres d'arrêt 74 après que le totalisateur a été débrayé. Un bras 122 faisant saillie vers l'avant et appartenant au levier divergent 76 comporte une crémaillère d'alignement 123, dont les dix dents passent en face d'un étrier d'alignement 124, ledit étrier étant basculé vers la crémaillère 123 pendant le milieu d'un cycle de la machine, de telle sorte que, après que les leviers divergents 76 ont été mis en place, ils soient touchés par l'étrier 124 et maintenus dans la position acquise.
L'étrier d'alignement 124 est maintenu dans un cadre basculable comportant deux bras latéraux, dont celui de gauche 125 est représenté, et une tringle de support d'étrier 126 relie ces bras latéraux. Ceux-ci peuvent tourner sur des pivots montés à l'intérieur des côtés 34 et 35 du bâti.
L'étrier d'alignement est basculé par une came 126a, fixée sur l'arbre d'entraîne ment secondaire 130, lequel pivote entre les plaques latérales 34 et 35 et est basculé dans le sens senestrorsum puis dans le sens con traire par l'arbre d'entraînement 55 et par l'in termédiaire de la plaque d'entraînement 131 (fig. 2), du pivot 132, de la bielle 133, du pivot 134 et de la plaque d'entraînement 135 gou pillée sur l'arbre d'entraînement secondaire 130. Des bras de ciseaux 136 et 137 (fig. 5), articulés sur la tringle de support d'étrier 126, comportent des ergots 138 et 139, respective ment, qui sont maintenus en contact avec le pourtour de la came 126a par un ressort 140.
L'étrier d'alignement 124 fait partie du bras de ciseaux 136 qui, quand il est basculé, fait pi voter l'ensemble de l'étrier d'alignement. La came 126a est conformée de manière à ame ner l'étrier d'alignement 124 en prise avec les crémaillères d'alignement 123 peu avant le milieu du cycle de fonctionnement. Lorsque le totalisateur vient en prise avec des crémaillères différentielles 312 et 338, des leviers diver gents, comme expliqué plus loin, juste avant le milieu du cycle dans les opérations d'enre gistrement, l'étrier d'alignement 124 retient les crémaillères 312 et 338 en ajustement parfait.
Sur le côté de la barre d'arrêt 74 se trouve une plaque d'arrêt réglable 141, dont l'extré mité avant vient heurter le peigne 73 de ma nière à limiter le plein mouvement vers l'avant de la barre d'arrêt 74.
En, se reportant à la fig. 17, on voit que la plaque d'arrêt 141 vient en contact avec un étrier 142, pendant le premier cycle d'une opé ration de total, afin de maintenir les barres d'arrêt 74 contre tout mouvement, comme dé crit plus loin, lequel étrier 142 est ensuite dé brayé, afin que les barres d'arrêt 74 soient positionnées par le totalisateur dans le deuxième cycle.
Pour empêcher le rebondissement d'une barre d'arrêt 74 quand elle est arrêtée brus quement dans son mouvement vers l'avant par la tige d'une touche de montant enfoncée, cha que barre d'arrêt présente une crémaillère 143 (fig. 16) comportant des dents 144 qui passent vers l'arrière et qui sont adaptées pour glisser par-dessus l'extrémité d'un cliquet 145 lorsque la barre d'arrêt 74 se déplace vers l'avant.
Ce cliquet 145 est maintenu élastiquement contre les dents 144 par un ressort 146, tendu entre l'extrémité arrière du cliquet 145 et un arbre transversal 147, ce cliquet étant monté sur un arbre 148, maintenu entre des plaques latérales de gauche et de droite, celle de gauche 149 étant représentée aux fig. 5 et 16. Des plaques d'espacement et de soutien 150 sont disposées à travers la machine à divers intervalles et s'étendent entre les arbres 148 et 147. L'arbre 147 joue le rôle de pivot pour le bâti de la pla que latérale et pour l'arbre tenant les cliquets 145, et la fig. 16 représente l'ensemble dans sa position normale, lorsque la machine est au repos.
Lorsque la plaque de manivelle 46 s'est déplacée dans le sens dextrorsum, comme on peut le voir à la fig. 16, et a tourné d'environ 1800, sa périphérie entre en contact avec un ergot 151 fixé sur un levier 152 pivotant sur la plaque de gauche du bâti de la machine, l'extrémité inférieure du levier 152 étant pivo tée en 153 sur une bielle 154 articulée en 155 sur la plaque latérale de gauche 149. Lorsque l'ergot 151 est déplacé vers l'avant, l'ensemble des cliquets 145 est éloigné des dents 144, de sorte que les barres d'arrêt 74 ne sont pas retenues dans leur mouvement de retour pen dant la seconde moitié d'un cycle.
A la fin du cycle, les pièces retournent de nouveau à la position représentée en fig. 16.
<I>Clavier des montants</I> D'après les fig. 1, 2, 3, 4 et 5, le groupe du clavier, dans lequel sont montées les tou ches de montants destinées à commander le mouvement des différentiels, comporte un cadre principal, comprenant une plaque supé rieure 175, une plaque inférieure 176, une plaque latérale de gauche 177 et une plaque latérale de droite 178, tenues ensemble par divers dispositifs à fentes et languettes et for mant un ensemble rigide dans lequel les tou ches peuvent coulisser dans des fentes alignées des plaques supérieure et inférieure.
La fig. 5 représente une colonne de touches de montants caractéristique correspondant à un certain ordre d'unités, chacune des touches 22 comportant une tige de touche 180, traver sant les fentes auxquelles elle est associée et comportant chacune un ressort de rappel 181 qui, normalement, maintient la touche en posi tion non enfoncée, position à partir de laquelle elle peut être enfoncée vers l'intérieur d'une certaine quantité, telle que l'extrémité infé rieure de chaque touche enfoncée puisse co opérer avec la barre d'arrêt 74 associée, l'éten due de mouvement de la barre d'arrêt permise par la touche enfoncée étant équivalente à la valeur du montant porté sur la touche.
Un étrier de verrouillage de touche 182 représenté à la fig. 5 est l'étrier qui coopère non pas avec les touches représentées à la fig. 5 mais avec celles de la rangée suivante située à droite. L'étrier de verrouillage de touche de la rangée de touches représentées à la fig. 5 est derrière un étrier d'arrêt à zéro 185 qui, lui, coopère bien avec les touches représentées à la fig. 5.
Cet étrier d'arrêt à zéro pivote aussi dans des plaques terminales 183 et 184 et est chassé des touches par des saillies sur leurs côtés, de sorte que, lorsqu'une touche d'une colonne est enfoncée et verrouillée, un cliquet d'arrêt à zéro 186 appartenant à l'extrémité avant de son étrier associé 185, et empêchant normalement le mouvement de la barre d'ar rêt associée, si ce n'est de la quantité nécessaire pour poser un zéro dans la barre d'impression associée, est déplacé d'un côté, permettant à la barre d'arrêt 74 de se déplacer vers l'avant pendant la première moitié d'un cycle d'enre gistrement sous le contrôle de la touche enfon cée. En travers de l'avant du bloc de touches pivote un étrier de libération de touche 187, pivotant sur une tringle 188, portée entre les plaques latérales du bloc de touches.
A l'ex trémité de droite de l'étrier 187 se trouve un bras orienté vers l'arrière 189 (fig. 4), grâce auquel l'étrier peut être basculé dans le sens dextrorsum afin de libérer les touches verrouil lées en position basse, l'étrier 187 étant pourvu d'un peigne qui rend inopérants les étriers de verrouillage de touches. L'étrier de libération de touche 187 est basculé à la fin de chaque opération d'introduction par un levier 190 (fig. 2), pivotant en 193a sur la plaque latérale de droite du bloc de touches. Une portion 191, orientée vers l'arrière et vers le bas du levier 190, vient normalement buter contre un ergot 192 fixé à la plaque d'entraînement 135.
Un ressort 193, tendu entre un ergot fixé à un bras montant du levier 190, est accroché à un ergot 194 fixé à la plaque latérale de droite du bloc de touches et fait basculer le levier 190 dans le sens dextrorsum lorsque la plaque d'en traînement 135 bascule dans le sens contraire pendant la première moitié d'un cycle.
A la fin d'une opération de machine, lorsque l'ergot 192 vient en prise avec la partie arrière 191 du levier 190, ce dernier est ramené dans le sens senestrorsum. Pendant ce mouvement, un cliquet de franchissement 195 situé à son ex trémité avant franchit librement un ergot 196 sur le bras de libération de touche 189, mais, lorsque le levier 190 revient dans le sens se- nestrorsum, le cliquet de franchissement 195, qui ne peut se déplacer dans le sens dextror- sum, entre en prise avec l'ergot 196 et le pousse vers le bas,
ce qui fait basculer l'étrier de libération de touche 187 dans le sens dex- trorsum et libère les touches de chiffres.
Pendant la première moitié d'une opéra tion de total à deux cycles, un levier<B>197</B> (fi-. 4), pivotant sur un ergot 198, est basculé dans le sens senestrorsum par le mouvement vers l'arrière d'une biellette de commande de total 199, comme décrit plus loin, et en basculant descend sur un ergot 200, ce qui fait basculer l'étrier de libération de touche<B>187</B> dans le sens dextrorsum et libère toutes touches qui pour raient avoir été enfoncées accidentellement, avant une opération de total.
La touche de correction 32 (fig. 1 et 18), qui est montée de manière à pouvoir coulisser dans un support 201, fixé à l'intérieur du cof fre, comporte une portion 202 orientée vers l'arrière, laquelle a elle-même une oreille re courbée 203 disposée au-dessus d'un méplat 204 (fig. 2) d'un ergot fixé sur l'extrémité avant d'un levier 205, lequel pivote en 206 sur la plaque latérale du bloc de touches. Une extrémité orientée vers le bas 207 du levier 205 repose sur l'ergot 196 du bras de libéra tion de touche 189 et, par conséquent, lorsque l'on enfonce la touche de correction 32, l'étrier de libération de touche 187 tourne dans le sens dextrorsum autour de la tige 188, libérant ainsi les touches.
Un bras 207a du levier 190 comporte une oreille dirigée vers l'arrière, qui glisse sur une arête en arc de cercle 208 du levier 205 pen dant le fonctionnement de la machine, empê chant le mouvement du levier 205 et l'enfon cement de la touche de correction 32.
Entre les extrémités arrière des plaques latérales 177 et 178 du bloc de touches (fig. 2, 3 et 5) est montée de manière à pouvoir y glisser une coulisse de verrouillage de touches 209 qui coopère avec les étriers de blocage de touches, du type de l'étrier 210 (fig. 5), en courant le long de chaque colonne de touches de chiffres de telle façon que, lorsque la coulisse est pous sée vers la gauche, les touches sont libérées pour fonctionnement ou pour retour à position normale, tandis que, lorsque la coulisse est dans sa position de droite, les touches sont bloquées soit en position non utilisée, soit en position enfoncée, selon le cas, avec la touche particulière.
Cette coulisse est commandée par le dispositif principal d'entraînement pour ver rouiller les touches au commencement d'un cycle de la machine, de façon qu'on ne puisse pas faire de fausse man#uvre pendant le cycle et pour empêcher qu'un cycle de machine ne commence, si une touche est en position par tiellement enfoncée.
Selon la fig. 3, un ressort 211, attaché à la plaque de gauche<B>177</B> du bloc des touches, tend à attirer la coulisse de verrouillage de tou che 209 vers la droite, c'est-à-dire vers la posi tion de blocage des touches, mais l'extrémité arrière du levier 190 (fi-. 2) vient normalement appuyer contre une arête oblique de l'extrémité de droite de la coulisse de blocage de touches 209, la maintenant en position de gauche, lorsque la machine est au repos, et ceci malgré la traction exercée par le ressort 211, permet tant ainsi l'enfoncement des touches. Lors qu'une opération commence, l'extrémité ar rière du levier 190 est abaissée, permettant au ressort 211 de déplacer la coulisse de verrouil lage des touches 209 vers la droite jusqu'à la position de verrouillage.
A la fin d'un cycle, le levier 190 est ramené à la position représen tée à la fi-. 2, déplaçant la coulisse de blocage de touches 209 vers la gauche, déverrouillant les touches de sorte que toutes celles d'entre elles qui étaient enfoncées puissent être rame nées au repos. Un levier à trois bras 212, pivo tant sur un ergot 213, comporte un bras 214 orienté vers le haut et vers l'avant, lequel, lors que le levier 212 est basculé dans le sens se- nestrorsum, entre en contact avec une encoche pratiquée dans la coulisse de blocage de tou ches 209 si celle-ci est à sa position de ver rouillage.
Lorsque le bras 214 s'engage ainsi dans l'encoche de la coulisse 209, cette der nière ne peut pas être poussée vers la gauche pour déverrouiller les touches. Un bras infé rieur et orienté vers l'avant 215 du levier 212 porte contre l'ergot 192 de la plaque d'entraî nement<B>135</B> et, dans la position de repos de la machine représentée à la fig. 2, maintient le levier 212 basculé à sa position extrême dans le sens dextrorsum, position dans laquelle il n'est pas en contact avec la coulisse 209. Dans ces conditions, l'extrémité arrière du levier 190 est en mesure de pousser la coulisse 209 vers la gauche.
Un bras orienté vers l'arrière<B>216</B> du levier 212 comporte une extrémité en pointe, qui s'engage dans un cran 218 pratiqué dans une plaque 217 fixée sur l'intérieur de la plaque d'entraînement 135 et le cran 218 comporte une surface d'arrêt 219, de sorte que, si le bras 216 est dans la position repré sentée en fig. 2, la plaque d'entraînement 135 ne peut se déplacer que légèrement lors de son mouvement dans le sens senestrorsum qui se produit pendant la première moitié du fonc tionnement de la machine. De la sorte, le mé canisme d'entraînement se trouve dégagé lors que le galet 57 (fig. 3) sort de son encoche.
Si, cependant, le levier 212 bascule suffisamment dans le sens senestrorsum pour que le bras 214 pénètre dans l'encoche de la coulisse 209, l'extrémité pointue du bras 216 est soulevée du cran 218 de la plaque 217, de sorte qu'il ne touche pas la surface d'arrêt 219 pour in terrompre un cycle de la machine.
Lorsque la plaque d'entraînement 135 commence son mouvement pendant la première moitié d'un fonctionnement, l'ergot 192 s'éloigne du bras <B>215,</B> qui le suit jusqu'à ce que le bras 214 ou bien vienne frapper le rebord supérieur non cranté de la coulisse 209, auquel cas la pointe du bras 216 ne dégage pas la surface d'arrêt 219 du cran 218, ou bien pénètre dans l'en coche de la coulisse 209 et le bras pointu 216 dégage la surface d'arrêt 219, permettant au fonctionnement de la machine de se poursui vre. Le bras 214 ne tombe pas dans son enco che si une touche quelconque se trouve en po sition partiellement manoeuvrée, étant donné que la coulisse 209 ne peut pas se déplacer vers la droite et le fonctionnement de la ma chine est donc arrêté.
Lorsque la manivelle 54 (fig. 3) achève le cycle, l'arbre principal d'en traînement 55 revient en prise avec la mani velle, au moment où le galet 57 tombe dans son encoche.
Le levier 212 (fig. 2) est normalement at tiré dans le sens senestrorsum autour de son pivot 213 par un ressort 220 accroché au bras 216 et à un goujon 221 de la plaque latérale de droite.
<I>Blocage de la touche de commande de</I> <I>total B * pendant un fonctionnement de la</I> <I>machine</I> La coulisse de blocage de touche 209 a un autre rôle associé au verrouillage de la touche de commande de total B* 30 (fig. 3), la dite coulisse 209 fonctionnant en liaison avec l'étrier de libération de touche 18 (fig. 4) qui, dans le mouvement de libération des touches, bascule dans le sens inverse de celui des ai guilles d'une montre, du point de vue de la <B>fi-.</B> 3.
Il est nécessaire de verrouiller la touche de commande de total B* 30 soit en posi tion normale, soit en position manoeuvrée et enfoncée pendant un cycle de la machine, que ce soit un cycle d'introduction ou une opéra tion à deux cycles de totalisation, pour empê cher toute fausse manoeuvre. La touche 30 comprend une tige de touche 225 (voir aussi fig. 3a) qui peut glisser dans des fentes ali gnées pratiquées dans des plaques auxiliaires 226 et 227, fixées à la plaque latérale de gau che du bloc de touches.
Elle est maintenue en position haute par un ressort 228, accro ché à un bras orienté vers l'avant ménagé à l'extrémité inférieure de la tige de touche 225 et à un ergot 244 faisant saillie sur la plaque latérale de gauche 177 du bloc de touches.
Le mouvement ascendant de la touche 30 est limité par un épaulement pratiqué sur l'ex trémité inférieure de la tige, lequel épaulement entre en contact avec la plaque auxiliaire 227 et son mouvement descendant est limité par un autre épaulement qui vient en contact avec la plaque auxiliaire 226. Sur des ergots fixés sur la plaque latérale de gauche 177 du bloc de touches peut coulisser une pièce à coulisse à fentes 229, l'une des fentes 230 et son ergot associé 231 étant représenté à la fig. 3. La coulisse 229 est couplée à la coulisse de ver rouillage de touche 209 par un levier coudé 232, pivotant en 233 sur un support qui fait saillie sur la plaque latérale du bloc de touches.
Un bras orienté vers l'arrière du levier 232 porte un tenon qui pénètre dans une fente pra tiquée dans l'extrémité de gauche de la cou lisse 209 et comporte un bras orienté vers la droite qui est articulé à une oreille 234 de la coulisse 229, de sorte que, si la coulisse de blocage de touches 209 est déplacée vers la gauche jusqu'à la position de déblocage des touches, la coulisse 229 se déplace vers l'ar rière, tandis que si la coulisse 209 vient à sa position de droite afin de bloquer les touches, la coulisse 229 se déplace vers l'avant.
En se référant à la fig. 3a, on voit que le rebord arrière de la tige 225 de la touche 30 comprend deux encoches 235 et 236 avec les quelles coopère une oreille recourbée 237 pra tiquée sur la coulisse 229. Lorsque la touche 30 est enfoncée, l'encoche 235 est engagée par l'oreille 237 quand la coulisse 229 se déplace vers l'avant et, quand la touche 30 est en posi tion non enfoncée, l'oreille 237 peut pénétrer dans l'encoche 236 si la coulisse 229 est dans sa position avant. Si, toutefois, la coulisse 229 est déplacée vers l'arrière par le mouvement vers la gauche de la coulisse 209 (fig. 3), l'oreille 237 (fig. 3a) se dégage de l'une ou l'autre encoche, permettant à la touche 30 de revenir ou d'être enfoncée selon le cas.
De cette manière, la touche 30 est bloquée soit dans sa position normale haute, soit en posi tion enfoncée, pendant une opération de la machine, quand les touches de chiffres sont elles aussi bloquées. Au moment où la cou lisse de verrouillage des touches 209 se déplace vers la gauche (fig. 3) à chaque cycle de fonc tionnement, la touche de commande de total B* se déverrouille pendant le premier et le second cycle d'une opération de total ou entre le premier et le second cycle d'une opé ration de sous-total, pour autant qu'il s'agisse ici du rôle joué par l'oreille 237.
Si la touche 30 est enfoncée et qu'une opération à deux cycles est déclenchée, il faut qu'elle soit main tenue enfoncée pendant tout le premier cycle et jusqu'au démarrage du second afin de con ditionner le mécanisme sélecteur de totalisa teur, qui sera décrit plus loin, en vue d'ex traire un total du totalisateur B seulement, par mise hors cause du mécanisme d'em brayage du totalisateur A et, à cet effet, il est prévu un second verrou, qui est décrit maintenant plus en détail.
Grâce à des ergots 240 et 241 (fig. 3), fixés sur la plaque latérale de gauche 177 du blocage des touches, une seconde plaque de verrouillage 242 munie d'encoches qui s'em boîtent sur les ergots est disposée pour la tou che de commande de total B* . La plaque 242 est maintenue dans sa position avant par un ressort 243, tendu entre l'ergot 241 et un ergot 244 de la plaque de verrouillage 242.
A l'extrémité arrière de la plaque de ver rouillage 242 est pratiquée une ouverture 245 qui coopère avec un ergot 246 fixé à la tige 225 de touche 30. L'ouverture 245 comporte un épaulement 247 au-dessous duquel, lorsque la touche 30 est enfoncée, l'ergot 246 peut être engagé en vue de maintenir la touche 30 en position enfoncée. Lorsque la touche 30 est appuyée vers le bas, l'ergot 246 glisse sur une arête de l'épaulement 247 jusqu'à ce que cette arête soit franchie et, à cet instant, la plaque de verrouillage 242 se déplace vers l'avant, sous l'action du ressort 243, verrouil lant la touche 30 en position enfoncée.
L'étrier de rappel de touches 187 porte un bras 248 orienté vers l'arrière, sur lequel est fixé un ergot 249, et l'extrémité avant de la plaque de verrouillage 242 comporte un cli- quet de franchissement 250, qui peut être basculé autour de son pivot<B>251</B> par l'ergot 249, lorsque l'étrier 187 bascule dans le sens senestrorsum pour libérer toutes touches 22 enfoncées.
L'action de l'ergot 249 sur le cliquet de franchissement 250 n'a pas d'effet sur la pla que de verrouillage 242 mais, lors du retour de l'étrier 187 à la position normale, l'ergot 249 touche une surface 25l a sur le cliquet de franchissement 250, poussant la plaque 242 vers l'arrière et libérant la touche 30 verrouil lée vers le bas.
Selon la fig. 4, le levier 197 qui agit sur l'ergot 200 de l'étrier de rappel 187 dans une opération de total ou dans une opéra tion de sous-total, bascule dans le sens senes- trorsum (fig. 4) lors du premier cycle de fonc tionnement, libérant les touches de montants, mais ce mouvement de l'étrier 187 n'est pas uti lisable pour pousser la plaque de verrouillage 242 (fig. 3) vers l'arrière, étant donné que l'er got 249 ne fait que basculer le cliquet de fran chissement 250 librement dans le sens dextror- sum. Le levier 197 (fig. 4)
ne retourne à la position normale représentée à la fig. 4 que près de la fin du second cycle et, de ce fait, étant donné que le mouvement de recul de la plaque de verrouillage 242 (fig. 3) ne se pro duit pas avant ce mouvement de retour normal de l'étrier 187, la touche de commande B''- 30 ne peut pas retourner à la position normale avant la fin du second cycle d'une opération à deux cycles, du genre de celles qui sont né cessaires pour les opérations de total ou de sous-total.
Par conséquent, il faut les mouvements combinés de la coulisse 209 vers la gauche, qui se produit vers la fin d'un fonctionnement de la machine, et de retour de l'étrier 187 vers la fin de la seconde opération d'une opération à deux cycles pour libérer ladite touche 30.
Une autre plaque de verrouillage 270 em pêche que la touche de commande de total B* 30 ne soit enfoncée pendant une opé ration de total provoquée elle-même par la touche de commande de total A . Etant donné que toutes les opérations de total ou de sous-total consistent en deux cycles de fonc tionnement, il y a une période entre le pre mier et le deuxième cycles pendant laquelle la coulisse de verrouillage de touches 209, pendant un bref instant, est déplacée vers sa position de gauche, débloquant ainsi la touche de commande de total B' et, si l'opérateur exerce une pression sur cette touche de com mande de total pendant l'opération de total exécutée sous l'influence du mécanisme de total A ,
il y a une possibilité que la touche de commande de total B* soit enfoncée entre le premier et le second cycle. Comme ceci provoquerait une fausse manoeuvre, la plaque de verrouillage 270 est pourvue de deux fentes grâce auxquelles elle est montée sur les ergots 240 et 241, ce qui lui permet de se déplacer vers l'avant et vers l'arrière et elle est attirée vers l'arrière par un ressort (non représenté) jusqu'à une position de verrouil lage dans laquelle un épaulement 271 vient se placer sous l'ergot 246 de la tige 225 de la touche 30, si cette touche est en position de repos.
Une queue orientée vers l'avant et vers le bas de la plaque de verrouillage 270 repose normalement contre l'ergot 249 du bras 248 de l'étrier de rappel de touches 187, mainte nant la plaque de verrouillage 270 dans sa position avant, position dans laquelle elle n'a pas pour effet de maintenir la touche de com mande de total B* en position non enfon cée.
Du point de vue de la fig. 3, au commen cement du premier cycle d'une opération de total à deux cycles, l'ergot 249 s'éloigne de la plaque de verrouillage 270, permettant à cette dernière de subir l'action de son ressort et de se déplacer de telle sorte que l'épaulement 271 de son extrémité arrière vienne se placer sous l'ergot 246, maintenant la touche de com mande de total B* en position non enfon cée.
Etant donné que l'étrier de rappel de tou ches 187 ne revient pas à la position normale, représentée à la fig. 3, avant la fin du second cycle d'une opération à deux cycles, la plaque de verrouillage 270 joue son rôle pendant la période dont il a été question entre le premier et le second cycle lorsque la coulisse 229 est inopérante. <I>Mécanisme de verrouillage des touches de</I> <I>commandes A et B et A ou B </I> La touche 24<I> A</I> et<I>B </I> (fig. 3) et la tou che 25 A ou B ont toutes deux des tiges qui peuvent coulisser dans des fentes alignées pratiquées dans les plaques auxiliaires 226 et 227.
Comme on peut le voir mieux en exami nant la touche 24, le rebord arrière de la tige de touche comporte deux fentes 255 et 256, grâce auxquelles la touche peut être bloquée en position non manoeuvrée ou en position en foncée par une oreille 257 ménagée sur la plaque coulissante 229. La tige de la touche 25 est semblable et coopère avec une autre oreille de la coulisse 229. La touche 24 porte, sur une partie avançante de l'extrémité infé rieure de la tige, un ergot 258, un ergot sem blable 259 étant fixé sur l'extrémité inférieure de la tige de touche 25. Les ergots 258 et 259 pénètrent dans des fentes correspondantes pra tiquées dans les extrémités opposées d'un le vier 260, qui pivote en 261 sur un prolonge ment descendant de la plaque auxiliaire 227.
De la sorte, lorsque la touche 24 est enfoncée, la touche 25 doit revenir en position non en foncée, et vice versa. Le blocage de ce méca nisme particulier est soumis à la seule influence de la coulisse de blocage de touches 209 et les touches 24 et 25 ne peuvent pas être action nées si la machine n'est pas à l'arrêt. Un cli- quet de retour en place 262 pivote en 263 sur la plaque latérale de gauche 177 du bloc de touches et est incité par un ressort 264 à rester en contact avec l'ergot 258. Le cliquet 262 comporte deux encoches, dont la supérieure s'engage sur l'ergot 258 lorsque la touche 24 est en position non enfoncée et l'inférieure s'engage sur l'ergot 258 lorsque la touche 24 est en position enfoncée.
Le cliquet 262 fait que les touches 24 et 25 sont fermement main tenues dans l'une de leur position haute ou basse. Le rôle fonctionnel des touches 24 et 25 est expliqué plus loin. <I>Totalisateurs</I> La machine représentée comprend deux totalisateurs, l'un situé à la partie supérieure de la machine et dont on peut voir les tam bours chiffrés à travers l'ouverture 21 (fig. 5) et l'autre dont les tambours de chiffres sont invisibles, situé au fond de la machine, à peu près immédiatement en dessous de l'autre.
Le totalisateur supérieur est représenté à la fig. 6, et désigné par A ; le totalisateur inférieur est représenté à la fig. 6a, et est désigné par B . La construction et le fonctionnement des deux totalisateurs sont sensiblement les mêmes et, par conséquent, seul le totalisateur supérieur A (fig. 6) est expliqué dans sa construction.
Le totalisateur A est monté dans un bâti comprenant un arbre 300 (voir aussi fig. 5) tourillonnant sur des paliers 301 et 302 montés, respectivement, dans les ca dres latéraux 34 et 35, un bras de support de gauche 303, un bras de support de droite 304, des bras de support intermédiaires 305, et un arbre 306, s'étendant entre les extrémités orien tées vers l'arrière des bras de support 303 et 304, et traversant les bras de support 305. Les roues de totalisateur A , par exemple la roue 307, et dont il existe un exemplaire pour chaque ordre de numération, sont montées convenablement écartées les unes des autres sur l'arbre 306.
Chaque roue de totalisateur 307 comprend un pignon à dix dents 308 (voir aussi fig. 13) auquel est fixé un tambour indi cateur 309, portant à sa périphérie dix chiffres.
Sur le côté gauche de chaque tambour indi cateur est disposé un cliquet de report com portant une dent de soustraction 310, utilisée dans les opérations de soustraction et de total négatif, et une dent d'addition 311, disposée à 36,, de la première sur le pourtour du pignon et écartée de la dent 310 vers la gauche, en regardant de l'avant de la machine, ladite dent d'addition étant utilisée dans les opérations d'addition et de total positif.
Selon la fig. 6, l'arbre 300 et le bâti de totalisateur correspondant sont déplaçables vers la gauche depuis la position représentée sur cette figure, qui est la position d'addition, jusqu'à une position de soustraction. Dans la position d'addition, les pignons 308 sont à l'alignement de crémaillères de différentiel 312, qui sont montées sur les bras ascendants 313 (fig. 5) des leviers divergents à quatre bras 76.
Lorsque le bâti de totalisateur est amené à la position de soustraction, par déplacement de l'arbre 300 vers la gauche, les crémaillères 312 des leviers divergents à quatre bras diffé rentiels 76 sont à l'alignement des dents de pignons fous intermédiaires 314 (fig. 6). Le pignon fou 314 de l'ordre des unités est monté sur le bras de support 304, tandis que ceux des ordres plus élevés sont montés sur les bras intermédiaires 305. Les pignons 314 compor tent une série de dents qui sont constamment en prise avec les pignons d'addition correspon dants 308 et une autre série de dents, séparée de la première par une gorge circulaire et qui sont destinées à s'engager avec les crémaillères 312.
La crémaillère 312 (fig. 5) est montée par assemblage à goupilles et fentes sur une partie ascendante et en arc de cercle du bras supé rieur 313 du levier divergent à quatre bras 76 et est libre de se déplacer suivant un arc de cercle d'une quantité égale à une dent et est normalement attirée vers l'arrière par un res sort 315a. La crémaillère 312 comporte une oreille recourbée, qui s'engage avec une oreille 315 d'un levier de report correspondant 316 pour l'ordre immédiatement inférieur, lorsque le levier divergent 76 est dans la posi tion de repos, maintenant la crémaillère 312 dans sa position avant contre l'action du res sort 315a qui tend à la déplacer d'un cran vers l'arrière.
Les pignons 308 du totalisateur sont en prise avec les crémaillères différentielles 312 lorsque la machine est au repos en posi tion d'addition, les pignons fous 314 engrenant avec les crémaillères 312 lorsque le totalisa teur est déplacé dans le sens de la soustraction.
Pendant une opération d'enregistrement intéressant le totalisateur A , le bâti de ce totalisateur A est d'abord légèrement bas culé dans le sens senestrorsum au début d'un cycle de la machine jusqu'à un point où les pignons sont dégagés des crémaillères corres pQndantes et viennent s'engager avec des cli- quets d'alignement 317 fixés à une plaque 318 pivotant sur l'arbre 300 (voir aussi fig. 6) et, lorsque le totalisateur est en prise avec les crémaillères associées ;
une oreille 319 de la plaque 318 vient toucher le bord du bâti laté ral de gauche 34, faisant basculer la plaque 318 et les cliquets 317 pour les écarter des pignons de totalisateurs 308, contre la traction d'un ressort 320, qui tend à maintenir les cli- quets 317 en prise avec les pignons 308. Les pièces sont réglées de telle manière que lors que le totalisateur se dégage des crémaillères 312 elles rencontrent immédiatement les cli- quets correspondants 317, qui sont alors bas culés pendant la dernière partie du mouvement de dégagement du totalisateur, de sorte qu'ils sont maintenus en contact avec les pignons 308 par le ressort 320.
Ainsi les pignons 308 peu vent se réengager à l'alignement convenable avec les crémaillères 312 au moment du mou vement d'embrayage.
Une oreille 321, partant du bras de support 303, est également en contact avec le rebord du bâti latéral de gauche 34 afin de régler à sa juste valeur la profondeur d'embrayage des pignons avec les crémaillères.
Si l'on suppose maintenant que l'on désire enregistrer un nombre dans le totalisateur A , on enfonce la touche 25 A ou B , on compose le montant sur les touches de montants, puis on actionne la barre motrice 26 d'addition A . Ceci déclenche le cycle de la machine et, grâce à un mécanisme qui sera décrit, le totalisateur A est immédia tement débrayé des crémaillères et les leviers divergents à quatre bras 76 ainsi que les bar res d'arrêt correspondantes 74 ou bien vien nent buter contre les cliquets d'arrêt à zéro 186 ou bien sont laissées libres de venir buter contre les tiges de touches enfoncées, selon qu'une touche a ou non été utilisée dans la colonne particulière envisagée. Les leviers di vergents à quatre bras 76 sont mis dans la position angulaire déplacée convenable peu après le milieu du cycle.
A ce point, le totali sateur A est basculé pour s'engager avec les crémaillères 312 et ultérieurement, lorsque l'étrier 80 est ramené à la position d'origine, les crémaillères 312 introduisent dans les pi gnons de totalisateur 308 la somme composée sur le clavier. Naturellement, si la touche de soustraction 28 a été utilisée en conjonction avec la touche 26 A , le fonctionnement de la machine aura aussi déplacé le totalisateur vers la gauche, jusqu'à la position de soustrac tion, comme décrit plus loin, et les crémaillères viennent en prise avec les pignons fous 314 au lieu des pignons principaux 308, de sorte que la somme est enregistrée négativement dans le totalisateur.
Si un pignon de totalisa teur quelconque contient déjà une somme avant l'opération qui vient d'être décrite et que cette somme fait franchir au pignon le zéro, que ce soit positivement ou négativement, la dent correspondante de report 310 ou 311 fait basculer le levier de report associé 316 dans le sens senestrorsum autour de sa tringle de support 322 et permet à la crémaillère de l'ordre immédiatement supérieur d'avancer d'un cran supplémentaire.
Le déplacement du totalisateur A est réalisé par une came qui est en contact avec un galet 323 (fig. 6) situé à l'extrémité de gau che de l'arbre 300, d'une manière qui sera décrite plus loin à propos du conditionnement de la machine pour les opérations de soustrac tion.
L'arbre de totalisateur B 324 (fig. 5 et 6a) pivote dans des paliers 325 et 326 montés dans le cadre latéral de gauche 34 et le cadre latéral de droite 35 et porte des bras de sup port 327 et 328 destinés à recevoir un arbre de pignon de totalisateur 329. Des plaques intermédiaires de support 330 sont logées en tre les pignons de totalisateurs. Chacune des roues de totalisateurs consiste en un pignon 331, un tambour de chiffre 332, une dent de report d'addition 333 et une dent de report de soustraction 334, exactement comme pour les pignons du totalisateur A . Chacune des roues du totalisateur B porte aussi un pi gnon fou 335 fixé à la plaque intermédiaire adjacente 330, celui de l'ordre des unités étant fixé au bras de support 328.
On voit à la fig. 5 que, sur un bras infé rieur 337 de chacun des leviers divergents 76 se trouve une crémaillère 338 fixée grâce à un montage à goupilles et fentes, lui permettant d'exécuter un mouvement en arc de cercle d'une quantité égale à un espacement de dent sous l'action d'un ressort 339 ; cette crémail lère possède des dents normalement en prise avec les pignons de totalisateurs 331 ou avec les pignons fous 335, selon que le totalisateur est déplacé à la position d'addition ou à la position de soustraction. Chacun des pignons de totalisateur comporte un cliquet de report 340 qui peut être déclenché lorsque le pignon de totalisateur 331 franchit le zéro soit dans le sens négatif, soit dans le sens positif.
Le cliquet comporte aussi une oreille 341 qui fait saillie sur le trajet d'une oreille fixée à la crémail lère 338 de l'ordre immédiatement supérieur, mais qui, lorsqu'on agit sur le cliquet de report 340, est déplacé de telle sorte que la crémail lère 338 reçoive un mouvement égal à un es pacement entre deux dents pour effectuer un report de retenue.
Le totalisateur B , lorsqu'il est sélec tionné pour fonctionnement, est basculé et dé brayé des crémaillères pendant la première moitié d'un cycle et est ramené par un nou veau basculement pour venir en prise avec les crémaillères associées pendant la seconde moitié d'un cycle pour provoquer l'enregistre ment des données composées sur le clavier.
Le totalisateur B peut être déplacé en vue du type d'opération, positive ou négative, qu'on désire lui faire effectuer, par l'action d'une came de déplacement de totalisateur B ménagée sur un galet 342 (fig. 6a).
D'après la fig. 19, le bras de support de droite 304 du totalisateur A comporte un bras orienté vers le bas 343, lequel porte un galet 344 qui s'engage dans une fente-came 345 ménagée dans la plaque d'embrayage de totalisateur 346 montée à pivotement sur un ergot 347 fixé au bâti de droite de la ma chine. La fig. 19 représente le mécanisme de totalisateur dans la position d'embrayage avec ses crémaillères associées.
Si, maintenant, la plaque d'embrayage de totalisateur 346 est basculée dans le sens dex- trorsum à partir de la position représentée, le bras de support 304 du totalisateur A , qui est goupillé à l'arbre 300, bascule dans le sens senestrorsum au moment où le galet 344 vient se mettre dans l'extrémité inférieure de la fente- came 345. Ceci débraye le totalisateur et le mouvement inverse de la plaque d'embrayage 346 jusqu'à la position représentée et réengage le totalisateur avec ses pignons.
D'une manière similaire, le bras de support de droite 328 du totalisateur B porte un bras orienté vers le bas 348, muni d'un galet 349 faisant saillie dans une fente-came 350 pratiquée dans la plaque d'embrayage 351 du totalisateur B , laquelle est montée pivotante sur un ergot 352 fixé au cadre latéral de droite 35 de la ma chine. La commande sélective du mouvement de ces plaques d'embrayage 346 et 351 de to talisateurs sera décrite en détail plus loin.
Le mouvement dextrorsum de la plaque d'embrayage du totalisateur B 351 va dé gager le totalisateur B , et à son mouve ment de retour le réembraye avec ses pignons.
Le totalisateur B comporte également une série de cliquets 353 (fig. 5), un cliquet étant prévu pour chaque pignon de totalisateur à l'alignement de celui-ci, ces cliquets étant montés sur un bâti supporté par l'arbre 324 et étant sollicités par des ressorts 354 (voir aussi fig. 6a), les cliquets étant maintenus hors de prise d'avec les pignons pendant que les pignons sont en prise avec les crémaillères as sociées, mais entrant immédiatement en prise avec les pignons lorsque ceux-ci sont retirés des crémaillères associées.
<I>Enregistrement soustractif</I> En se reportant aux fig. 3 et 15, on voit sur le bâti latéral de gauche 34 des cames 360 et 361 pivotant en 358 et 359 et comportant des fentes-cames dans leur pourtour, une fente-came 363 (fi-. 7) associée au totalisateur A étant caractéristique de celle-ci.
Sur la came 360 peut pivoter un levier 364 comportant des épaulements 368 et 369, adap tés, respectivement, pour être engagés par des ergots 371 et 372 d'une plaque 370, fixée à l'arbre 130, laquelle tourne d'abord dans le sens dextrorsum puis dans le sens contraire (fig. 3), au cours d'un fonctionnement de la machine. Le levier 364 comporte une fente 365 dans laquelle coulisse un ergot 366 fixé à une biellette 367.
Si la biellette 367 est attirée vers l'avant, le levier 364 est basculé dans le sens senestrorsum (fig. 3), tourne autour de son pivot sur la came 360 et amène l'épaule ment 369 sur le trajet de l'ergot 372, lorsque la plaque 370 oscille dans le sens dextrorsum pendant la première moitié du cycle. Si la bielle 367 est mise en position vers l'arrière, ainsi qu'on peut le voir à la fig. 3, l'ergot 371 se déplace pendant la première moitié du cy cle et se dirige vers l'épaulement 368.
Dans la position du levier 364, telle qu'elle est re présentée à la fig. 3, la came 360 est basculée au maximum dans le sens dextrorsum de sorte que le totalisateur A se trouve en position pour des enregistrements positifs et pour un total ou sous-total positifs. Le mécanisme étant dans cet état lorsque la machine est mise en marche, l'ergot 372 se déplace sans aucun effet autour d'une arête en arc de cercle 373, et l'ergot 371 vient vers l'épaulement 368 mais, le levier 364 étant déjà dans sa position la plus haute, l'ergot 371 entre en contact inopérant avec l'épaulement 368.
Lorsque la bielle 367 est déplacée vers l'avant par les moyens qui seront décrits plus loin, et que le levier 364 est basculé de telle sorte que l'épaulement 369 soit sur le trajet de l'ergot 372, pendant le pre mier demi-cycle d'une opération ultérieure, le levier 364 est tiré vers le bas lorsque l'ergot 372 est poussé à force contre l'épaulement 369, attirant vers le bas le levier 364, faisant bas culer la came 360 dans le sens senestrorsum et déplaçant le totalisateur jusqu'à la position négative. A la fin de l'opération, lorsque le mécanisme de touches de soustraction, qui sera décrit plus loin et qui est situé sur le côté droit de la machine, est ramené, la bielle 367 est déplacée vers l'arrière, de sorte que l'épau lement 368 se trouve sur le trajet de l'ergot 371.
Si l'opération suivante est une opération d'addition, pendant la première partie du cycle de la machine, l'ergot 371 touche l'épaulement 368 qui est alors à sa position la plus basse, poussant le levier vers le haut et déplaçant la came 360 dans le sens dextrorsum afin de dé placer le totalisateur vers la droite jusqu'à sa position positive. La came 361 du totalisateur B est représentée à la fig. 3, elle aussi dans sa position d'addition, et elle peut tourner en 359 sous l'influence d'une bielle 375, laquelle est articulée à un bras de la came 361 et à une plaque 376 qui pivote en 377.
Si la plaque 376 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 3), la came 361 est basculée dans le même sens, amenant le totalisateur B en position né gative, autrement dit le déplaçant vers la gau che. Un levier 378 d'une forme correspon dante au levier 364 est articulé sur la plaque 376 et comporte une fente 379 dans laquelle se déplace un ergot 380 fixé à une bielle 381. Le levier 378 présente un épaulement 382 qui coopère avec l'ergot 371 et un épaulement 383 qui coopère avec l'ergot 372.
Dans la posi tion représentée à la fig. 3, à la première oscil lation de la plaque 370 pendant la première moitié du cycle de la machine, l'ergot 371 che vauche sur une arête en arc de cercle 384 et l'ergot 372 ne va pas assez loin vers l'épaule ment 383 pour pouvoir déplacer le levier 378.
Si, maintenant, le levier 381 est déplacé vers l'arrière, le levier 378 est basculé autour de son pivot dans le sens senestrorsum, de sorte que l'épaulement 382 se trouve sur le trajet de l'ergot 371 et, pendant la première moitié du cycle subséquent de la machine, l'ergot 371, en touchant l'épaulement 382, soulève le levier 378, faisant basculer la plaque 376 et la came 361 dans le sens senestrorsum afin d'amener le totalisateur B à sa position négative, si tuée à main gauche. La bielle 367 comporte, dans son extrémité arrière, une fente 385 qui chevauche un ergot 386 fixé sur l'un des bras de levier 387 pivotant en 388 sur le bâti laté ral 34.
L'autre extrémité du levier 387 porte un ressort 389 qui est accroché à un ergot fixé sur le bâti de la machine et ce ressort tend à faire basculer le levier 387 dans le sens dex- trorsum autour de son pivot 388, maintenant l'ergot 386 dans l'extrémité arrière de la fente 385. L'extrémité avant de la bielle 367 com porte une fente 390 qui coopère avec un ergot 391 fixé à un levier 392, lequel est goupillé sur un arbre transversal 393 qui tourillonne dans les bâtis 34 et 35. Sous l'action du ressort 389, l'ergot 391 se déplace dans l'extrémité avant de la fente 390.
Il est prévu une fente 394 dans l'extrémité arrière de la bielle 381, la quelle fente coopère avec un ergot 395 fixé à un levier 396 pivotant en 397 sur le bâti 34, une extrémité 398 orientée vers le haut du levier 396 portant contre l'ergot 386 du levier 387, de sorte que l'ergot 395 repose dans l'ex trémité avant de la fente 394. L'extrémité avant de la bielle 381 comporte une fente 399 qui s'engage sur un ergot 400 fixé à l'extrémité inférieure du levier 392, ledit ergot, grâce à la poussée vers l'avant de la bielle 381, par l'in termédiaire de l'ergot 395, reposant dans l'ex trémité arrière de la fente 399.
Goupillé sur l'extrémité de droite de l'arbre transversal 393 (fig. 2 et 15), se trouve un levier fourchu 401 dont l'extrémité reçoit un ergot 402 fixé à un bras orienté vers l'arrière d'une plaque de commande de soustraction 403, qui pivote en 193a.
En examinant la fig. 18, on voit que la tou che de soustraction 28 est montée coulissante sur des ergots 404 et 405 fixés à un support 406 lui-même fixé à l'intérieur du coffre de la machine. Un ressort 407, tendu entre un bras orienté vers l'avant de la tige de touche 408 et un ergot fixé au support 406, attire normale ment la touche 28 vers le haut.
La touche de soustraction 28 comporte un bras orienté vers l'arrière 409 qui, lorsque la touche de sous traction est enfoncée, vient heurter un ergot 410 (fig. 2 et 15) de la plaque de commande de soustraction 403, la faisant basculer dans le sens dextrorsum. Lorsque la plaque de com mande de soustraction 403 est ainsi basculée, elle fait pivoter le levier fourchu 401 en sens senestrorsum et, selon la fig. 3, le levier 392 est basculé dans le sens dextrorsum, ce qui amène les leviers 364 et 378 à la position de soustraction.
Ainsi, au début du fonctionne ment de la machine, les totalisateurs A et B sont déplacés jusqu'à la position de sous traction, si précédemment ils étaient en posi tion d'addition.
Dans ces conditions, lorsqu'on enfonce la touche<I> A</I> ou<I>B </I> 25 (fig. 3), la touche de soustraction 28 (fig. 18) n'est pas motrice et ne provoque pas le déclenchement d'un cycle de la machine. Il faut qu'en plus de la touche de soustraction 28, on enfonce soit la touche 26, qui est la touche sélectrice du totalisateur A , soit la touche 27, qui est la touche sélectrice du totalisateur B , chacune des touches 26 et 27 déclenchant un cycle de fonc tionnement de la machine.
La touche 26 est montée coulissante sur deux ergots 411 et 412, eux-mêmes fixés au support 406, et est main tenue en position haute par un ressort 413, tendu entre une oreille orientée vers l'arrière de la tige 414 de touche et un ergot fixé au support 406. La touche 27 est montée coulis sante sur des ergots 415 et 416 et est mainte nue en position élevée par un ressort 417 tendu entre une oreille orientée vers l'avant de la tige 418 de la touche et un ergot fixé au support 406. La touche 26 comporte un bras orienté vers l'avant 419 et la touche 27 a un bras orienté vers l'arrière 420, les extrémités des bras 419 et 420 se recouvrant sur une courte distance, à un endroit où ils sont au-dessus d'un ergot 421 (fig. 2) fixé à un levier 422 qui pivote en 69.
La face inférieure de l'ergot 421 repose sur un épaulement 423 d'un bras orienté vers l'arrière 424 d'un levier 425, le quel pivote en 426 sur le levier à bras multi ples 68. Un bras orienté vers le haut 427 du levier 425 comporte une oreille 428 maintenue en contact avec un bras orienté vers le haut 429 du levier 68 par un ressort 430 tendu entre l'oreille 428 et le bras orienté vers l'avant 1431 du levier 68. Lorsqu'on actionne soit la touche<I> A ,</I> soit la touche<I> B ,</I> seule ou en liaison avec la touche de soustraction 28, le levier 68 est basculé légèrement dans le sens dextrorsum, déclenchant un cycle de fonction nement de la machine. Pivotant sur l'extrémité arrière du levier 422, se trouve un levier 431 muni, à son extrémité inférieure, d'une fente 432 qui s'engage sur un ergot 433.
Le levier 431 est représenté dans la position qu'il prend sous l'influence de l'ergot 433 lorsque la ma chine est mise en état par enfoncement de la touche 25<I> A ou B </I> (voir fig. 3), état dans lequel on peut sélectionner en vue de faire des opérations d'enregistrement, soit le totalisateur <I> A ,</I> soit le totalisateur<I> B .</I> Dans cette position du levier 431, la touche de soustrac tion 28 (voir fig. 18) ne va pas, lorsque la pla que de commande de soustraction 403 sera basculée (fig. 2), amener l'ergot 410 en con tact avec l'extrémité supérieure du levier 431 ;
mais, si la machine est mise en état par la tou che 24<I> A</I> et<I>B </I> (fig. 3), le levier 431 (fig. 2) pivote dans le sens dextrorsum par le mouve ment vers l'avant de l'ergot 433, comme décrit plus loin, de sorte que l'extrémité supérieure du levier 431 se trouve sous l'ergot 410 et que le basculement de la plaque de commande de soustraction 403, au moment de l'enfoncement de la touche de soustraction 28, force le levier 431 vers le bas, entrainant le levier 422 dans le sens dextrorsum autour de son pivot 69 pour provoquer le déclenchement d'un cycle de la machine.
D'après les fig. 2, 2a, 26 et 2c, on voit que sur le bras orienté vers l'arrière 424 du levier 425, pivote en 434 un cliquet de franchisse ment 435, adapté pour coopérer avec une sur face d'arrêt 436 d'une plaque 437 qui pivote en 438 sur le bâti latéral de droite 35.
Une bielle 439, pivotant en 440 sur la plaque 437 et en 441 sur le levier fourchu 401, oblige la plaque 437 à basculer dans le sens senestror- sum à partir de la position normale représen tée à la fig. 2a, jusqu'à la position représentée à la fig. 2b, toutes les fois que la plaque de commande de soustraction 403 est basculée dans le sens dextrorsum (fi-. 2), par enfonce ment de la touche de soustraction 28.
Selon la fi-. 2a, si le bras 424 est basculé dans le sens dextrorsum, soit par la touche A , soit par la touche B , il entraîne avec lui le cli- quet de franchissement 435. Celui-ci est nor malement maintenu dans la position dextror- sum de la fig. 2a par un ressort 442, tendu entre un bras inférieur et orienté vers l'avant du cliquet de franchissement 435 et un ergot 424a du bras 424, de sorte qu'un bras 424b du cliquet 435 entre en contact avec l'ergot 424a.
Lorsque le bras 424 et le cliquet de franchissement 435 sont basculés dans le sens dextrorsum autour du pivot 426 et que l'on enfonce la touche 26 ou 27, une oreille 443 du cliquet de franchissement 435 vient se met tre en ligne avec la surface d'arrêt 436 de la plaque 437, empêchant son basculement dans le sens senestrorsum et par là empêchant aussi l'enfoncement de la touche de soustraction 28 après qu'a été déclenché un cycle d'enregistre ment.
Si l'on examine la fig. 2c, on voit qu'en 444a, sur la surface intérieure de la plaque 437, pivote un levier 444, comportant une oreille 445 qui s'engage sur le rebord avant d'un bras supérieur<I>443a</I> de la plaque 437, sous l'action d'un ressort 446. Sur un bras orienté vers l'arrière du levier 444 se trouve une surface d'arrêt 447. Lorsque le bras 424 est basculé dans le sens dextrorsum autour de son pivot 426 pour déclencher la machine, une oreille 448 tombe directement derrière la sur face d'arrêt 447 lorsque la plaque 437 est en position de soustraction, pour empêcher le mouvement de retour de la plaque 437 à la position d'addition jusqu'à ce que le fonction nement de la machine soit presque achevé.
L'état des pièces pour une opération d'addi tion est représenté à la fig. 2a, sur laquelle l'oreille 448 va simplement faire basculer le levier 444 dans le sens dextrorsum et l'état des pièces pour une opération de soustraction est représenté aux fig. 2b et 2c. Sur un pivot 449, fixé au bâti latéral de droite 35 de la machine, pivote un levier 450 sur le bras arrière et descendant duquel est monté un cliquet de franchissement 451. Ce levier comporte aussi un bras orienté vers l'avant et vers le bas, muni d'un ergot 452. Un ergot 453 limite le mouvement dextrorsum du levier 450.
Lorsque celui-ci tourne dans le sens senestrorsum, l'er got 452 touche l'extrémité arrière du levier 444 et le fait tourner dans le sens dextrorsum autour de son pivot, ce qui écarte la surface d'arrêt 447 de l'oreille 448, si elle a ainsi été mise en contact, ce qui permet à la plaque 437 de revenir à sa position d'addition.
L'ergot 192 de la plaque d'entraînement 135, pendant la première moitié d'un cycle, communique un mouvement à vide dans le sens dextrorsum au cliquet de franchissement 451, mais pendant la seconde moitié du cycle tend à faire basculer le cliquet de franchissement 451 dans le sens senestrorsum. Toutefois, étant donné que ce dernier est empêché d'exécuter un tel mouve ment par un ergot, le levier 450 se trouve bas culé dans le sens senestrorsum, ce qui libère la plaque 437, lui permettant de revenir à la position d'addition sous l'action du ressort 389 (fig. 3), d'un ressort tendu entre la plaque 437 et le bâti latéral de droite (non représenté) et d'un ressort 455 (fig. 2a).
Selon les fig. 2b et 2c, lorsque la plaque 437 revient à la position d'addition, le cliquet de franchissement 435 passe sur une arête in clinée 456, lorsque ledit cliquet bascule sur son pivot 434.
<I>Dispositif de blocage de la touche A et</I> <I>de la touche B , lorsque la touche de total</I> <I> </I> B* <I> est enfoncée</I> On voit, selon les fig. 3, 23 et 25, que sur le côté gauche de la machine est disposée une coulisse 461 qui comporte une fente 462, la quelle chevauche un ergot 463 fixé sur le bâti latéral de gauche 34. Cette coulisse pivote en 464 sur le bras orienté vers l'avant d'un levier 466 goupillé sur un arbre transversal 467. La coulisse 461 est normalement maintenue en position haute, dans laquelle le' pivot 463 se trouve au fond de la fente 462, et elle y est maintenue par un ressort 468 tendu entre le levier 466 et un ergot fixé au bâti latéral de gauche.
Dans cette position de repos de la coulisse 461, un ergot 469, fixé sur son extré mité supérieure, est en contact avec un bras orienté vers l'avant 470 de la tige de la tou che 30 de sélection du totalisateur B* .
Cette touche est maintenue en position haute par un ressort 471 fixé au bras 470 de la tige de touche et accroché par son autre extrémité à un ergot fixé à la plaque latérale de gauche 177. Lorsque la touche 30 B* est enfoncée, la coulisse 461 est poussée vers le bas, faisant basculer l'arbre 467 dans le sens senestrorsum en fig. 23 et 25. Un bras orienté vers le haut 472 du levier 466 commande un mécanisme palpeur qui décèle l'état dans le quel se trouve le totalisateur B et déter mine si celui-ci contient une somme négative ou une somme positive, comme décrit plus loin, en référence à la fig. 26.
Les fig. 4 et 24 montrent que sur l'extrémité de droite de l'ar bre 467, à l'intérieur de la plaque de bâti de droite 35, est goupillé un levier 473 muni à son extrémité extérieure d'un ergot 474 qui porte contre le bras orienté vers l'arrière d'un levier 475. Ce dernier pivote en 476, sur le bâti latéral de droite 35, l'extrémité supérieure du levier 475 étant en contact avec le rebord supérieur 477 (fig. 24) d'un levier flottant 478, ayant à son extrémité de gauche une fente 479 coopérant avec une gorge périphéri que pratiquée dans un ergot vertical 480, qui fait saillie sur la base de la machine.
L'extré mité de droite du levier flottant 478 s'étend à travers une fente allongée 481 ménagée dans le bâti latéral de droite 35 et repose normale ment dans l'extrémité avant de ladite fente 481. L'ergot 480 repose sur l'extrémité arrière de la fente 479 sous l'influence d'un ressort 482, allant du levier flottant à un arbre transversal 483 (fig. 2), lequel pivote dans les bâtis laté raux 34 et 35.
Si la touche 30 B* est en foncée, l'extrémité de droite du levier flottant 478 est forcée vers l'arrière dans la fente 481, où elle se trouve directement sous la jambe 484 orientée vers le bas du levier 422, blo quant le mouvement de déclenchement du le vier 422 et empêchant une opération d'enre gistrement à un cycle et empêchant en outre par là l'enfoncement des touches 26, 27 et 28 (fig. 18).
Selon la fig. 26u, la touche de non-addi- tion 31 (voir aussi fig. 18) montée coulissante sur des ergots<I>484a</I> et 485 (fig. 18) fixés au support 406 et normalement maintenue en position haute par un ressort 486, tendu entre la tige de ladite touche et un ergot porté par la potence 406, présente un bras orienté vers l'arrière 487 qui, lorsque la touche de non- addition 31 est enfoncée, vient porter contre un ergot 488 (fig. 26a)
d'un levier 489 fixé à un collier monté pivotant en 490 sur le bâti latéral de droite 35. Sur l'extrémité de gauche du collier est fixé un levier 491 comportant une portion orientée vers le bas adaptée pour venir frapper l'extrémité de droite du levier 478 lorsqu'il est dans sa position arrière, qu'il assume lorsque la touche B* est enfoncée. Ceci empêche le fonctionnement de la touche de non-addition 31 pendant le temps que la touche 30 B* est en position enfoncée.
On voit ainsi que la seule façon de mettre la ma chine en marche, dans le cas où la touche B* aurait été utilisée, est d'actionner soit la touche de total 29 (fig. 18), soit la touche de sous-total S 29a, qui sont motrices et qui commandent les mécanismes de total et de sous-total, respectivement. <I>Mécanisme de report</I> Le mécanisme de report est d'un type connu et par conséquent ne sera décrit que brièvement ici par rapport au totalisateur A , le mécanisme de report du totalisateur B étant de même construction.
A chaque roue de totalisateur correspond, à côté de son côté gauche, un levier de report dont l'un 493 (fig. 8) représentant l'ordre des unités est illustré en position normale dans la quelle son oreille 494 bloque une crémaillère 495 prévue pour l'ordre immédiatement supé rieur en vue d'effectuer son mouvement de re port sous l'action d'un ressort 496. Les leviers de report 493 sont tous montés sur l'arbre 322, de manière à pouvoir basculer et chacun est maintenu en position normale par un ressort 498.
Le levier de report 493 comporte une par tie extérieure décalée 499 qui est à l'aligne ment de la dent d'addition du cliquet de report de l'ordre des unités, lorsque le totalisateur est en position d'addition. Lors des opérations d'addition, au fur et à mesure que la dent d'ad dition du pignon de totalisateur approche de la position de zéro, elle vient agir sur une arête-came 500, faisant basculer le levier de report 493 vers le bas, position dans laquelle il se trouve verrouillé par une oreille 501 d'un verrou pénétrant dans une encoche 502.
L'oreille 494, grâce à ce dispositif, est mainte nue hors d'alignement d'avec la butée de la crémaillère de différentiel 495 de l'ordre des dizaines, ce qui permet un mouvement supplé mentaire d'une unité dans la roue de totalisa- teur de l'ordre des dizaines. Lors des opéra tions de total, lorsqu'un total positif est en question, une surface d'arrêt verticale 503 de la partie décalée du levier de transfert 493, entrant en contact avec la dent d'addition, ar rête la roue de totalisateur associée lorsque celle-ci atteint la position de zéro dans son mouvement rotatif de retour.
De même, lors que le totalisateur est déplacé vers la gauche pour les opérations de soustraction ou de total négatif, une portion 504 du levier de report 403 se trouve à l'alignement avec la dent du cliquet de report de soustraction du pignon de totalisateur des unités, et dans les enregistre ments soustractifs, il exerce une action sur le levier de report correspondant afin de provo quer l'introduction d'une unité négative dans le pignon de totalisateur des dizaines. Dans les opérations de total négatif, la dent de soustrac tion du cliquet de report de l'ordre des unités arrête le totalisateur des unités en position de zéro en venant en contact avec une arête 505.
Le levier de report 493 de l'ordre le plus élevé est utilisé pour introduire une unité fugitive dans l'ordre inférieur toutes les fois que des enregistrements obligent le totalisateur dans son ensemble à franchir le zéro, que ce soit du négatif au positif ou inversement, ainsi que cela sera décrit plus loin.
Un verrou de levier de report typique est représenté en fig. 5. Sur le côté de chaque roue de totalisateur se trouve une plaque 506 sup portée sur des tringles 507 et 508 fixées aux bâtis latéraux, et sur laquelle est montée, par pivotement, une pièce de verrou 509 action née dans le sens senestrorsum par un ressort <B><I>51</I>0</B> et comportant une oreille 501 (voir fig. 8) qui coopère avec une encoche crantée 512 du levier de report correspondant 493. Lorsque ce levier est basculé par le cliquet de report de la roue de totalisateur associée, l'oreille 501 de son verrou vient se placer brusquement dans le cran supérieur de l'encoche<B>512,</B> blo quant le levier 493 en position déclenchée.
Un tel déclenchement ne se produit que lorsque le totalisateur est en prise avec les crémaillères différentielles. Chaque verrou comporte une queue 513 (fig. 5) faisant saillie vers l'avant, à laquelle une poussée vers le haut est donnée pour remettre les cliquets de report en position lorsque le totalisateur est débrayé des crémail lères. Une telle remise en position des leviers de report se produit au début de chaque opé ration d'enregistrement de nombres et au début du premier cycle d'une opération de total à deux cycles, au moment où le totalisateur est débrayé des crémaillères.
<I>Mécanisme de l'unité fugitive </I> Lorsque le totalisateur contient une somme positive, un total est extrait du totalisateur en position d'addition et, s'il contient une somme négative, le total est extrait du totalisateur en position de soustraction. Une roue de totali sateur, dont la roue de fig. 9 constitue un exemple, quand elle est remise à zéro à partir d'un total positif, doit tourner dans le sens senestrorsum ou additif, jusqu'à ce qu'une dent du cliquet de report positif<B>311</B> vienne toucher la surface d'arrêt 503 du levier de report correspondant. Ceci fait apparaître un zéro au tambour d'indicateur à travers la fenê tre de lecture 21.
Lorsque la roue de totalisa teur est remise à zéro à partir d'un total néga tif, sa rotation est provoquée dans un sens opposé à celui de la direction de soustraction, jusqu'à ce que la dent du cliquet de report né gatif 310 vienne toucher la surface d'arrêt 505 de son levier de report. Ceci fait apparaître un 9 au tambour indicateur dans la fenê tre de lecture 21.
Ainsi, après qu'un total a été extrait du totalisateur, sous l'influence des dents du cliquet de report positif, c'est-à- dire lorsque le totalisateur est en posi tion d'addition, les tambours d'indica teurs montrent 0000000000 à tra vers l'ouverture de lecture tandis que lorsqu'un total est extrait sous l'influence des dents du cliquet de report négatif, c'est-à-dire lors que le totalisateur est en position de sous traction, les tambours indicateurs montrent _9999999999 .
Etant donné que ce qui ap paraît aux tambours correspond à la position réelle des roues de totalisateurs, de telles posi tions de zéro seront désormais appelées par convention zéro positif et zéro négatif . Lors du retour des roues de totalisateurs au zéro positif ou au zéro négatif , les cré maillères différentielles doivent être déplacées d'une distance égale au total réel, que celui-ci soit positif ou négatif, et ceci est réalisé par des mécanismes qui assurent l'introduction d'une unité fugitive dans le totalisateur lorsque celui-ci passe, lors de l'introduction d'opéra tions soustractives, de 0000000000 à 9999999999 ou de 9999999999 à 0000000000 pendant une opération d'enregistrement ad ditif.
Les exemples ci-après montrent quels se ront les chiffres qui apparaissent sur les tam bours d'indicateurs et, par conséquent, la posi tion des roues de totalisateurs pendant une série d'opérations d'enregistrement, en com mençant avec le totalisateur à zéro.
EMI0022.0001
0000000000
<tb> ajouter <SEP> 1
<tb> 0000000001
<tb> soustraire <SEP> - <SEP> 2
<tb> 9999999999
<tb> correction <SEP> de <SEP> 1 <SEP> fugitif <SEP> - <SEP> 1
<tb> 9999999998
<tb> ajouter <SEP> 5
<tb> 0000000003
<tb> correction <SEP> de <SEP> 1 <SEP> fugitif <SEP> 1
<tb> 0000000004 On voit ainsi que l'unité fugitive est ajou tée pendant une opération d'addition et sous traite pendant une opération de soustraction.
Le même phénomène se produit entre les colonnes de totalisateurs pendant les opéra tions d'enregistrement afin de transférer les reports ; par exemple
EMI0022.0002
0000000009
<tb> ajouter <SEP> 1
<tb> 0000000010 implique l'introduction de un dans la co- Tonne des dizaines dans le sens positif, tandis que l'opération
EMI0022.0003
<B>0000000010</B>
<tb> soustraire <SEP> - <SEP> 1
<tb> 0000000009 implique l'introduction de un dans la co lonne des dizaines mais dans le sens négatif.
Alors que la position à donner aux totali sateurs lors de l'enregistrement des nombres est déterminée par l'opérateur qui fait fonc tionner la machine selon qu'il met la machine en état de recevoir des additions ou des sous tractions, ceci par le jeu des touches 26, 27 et 28, la position donnée aux totalisateurs pen dant les opérations de totaux est commandée automatiquement selon que le nombre figurant dans le totalisateur choisi pour l'opération de totalisation est positif ou négatif.
Si le mon tant du total est positif, le total sera recueilli par engagement des pignons de totalisateurs directement avec les crémaillères différentiel les, tandis que, si le montant figurant dans le totalisateur est négatif, lesdites crémaillères se ront en prise avec les pignons de totalisateurs indirectement, par l'intermédiaire de pignons intermédiaires ou pignons fous. Ce contrôle automatique de ces mouvements est décrit plus loin à l'occasion des opérations de total.
Toutes les fois que la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé d'un totalisateur arrive près du point de zéro en partant de la direc tion positive pour se rendre vers la direction négative, ou en partant de la direction négative pour se rendre vers la direction positive, l'unité fugitive est introduite dans la roue de totalisa teur de l'ordre inférieur additivement, ou sous- tractivement, selon le cas.
D'après la fig. 8, un levier de report 514 pour la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé est déclenché, lorsque cette roue appro che de zéro dans l'une ou l'autre direction, et un levier de loquet 515, monté de manière basculable sur un arbre 516, lequel levier 515 a normalement une oreille de verrou 517 pla cée dans la partie inférieure d'une encoche crantée 518, se trouve libre de se déplacer de telle sorte que l'oreille de verrou 517 vienne se placer dans la,partie supérieure de l'enco che 518, sous l'action d'un ressort 519, ame nant une bielle 520 vers l'arrière afin de faire basculer une manivelle 521 goupillée sur un ;
arbre 522, ce-qui fait tourner l'arbre 522 dans le sens senestrorsum quand on regarde depuis le côté droit de la machine. Un levier 523, gou pillé sur l'arbre 522, maintient normalement un étrier 524 monté pivotant sur l'arbre 322, n de telle manière que son oreille 525 soit à l'alignement d'une butée 526 montée sur la crémaillère 495 différentielle de l'ordre des unités. Lorsqu'on fait basculer le levier 523, l'oreille 525 est abaissée par le basculement de l'étrier 524, coupe l'action de retour exercée par un ressort 527, ce qui permet l'introduc tion d'une unité fugitive dans l'ordre des uni tés, soit additivement, soit soustractivement, selon la position latérale du totalisateur.
Lors 3 de l'opération suivante de la machine, l'étrier 524 est remis à la position active représentée à la fig. 8, par une oreille 528 (fig. 6) agissant sur une queue 529 (fig. 8) du levier de verrou 515 lorsque le totalisateur est débrayé.
Un dispositif maintient le levier de verrou 515 (fig. 8) et l'empêche de basculer sauf lors que la roue de l'ordre le plus élevé franchit le zéro, au cours d'une opération d'enregistre ment de signe algébrique opposé à celui de l'enregistrement précédent. Ce dispositif em pêche l'introduction de l'unité fugitive lorsque le totalisateur dépasse sa capacité, que ce soit positivement ou négativement.
Sur le pivot 358 (fig. 7), à l'endroit où ce dernier passe à travers un collier 530, fixé au bâti latéral de gauche, est montée basculante une pièce en forme d'E 531, comportant un ergot 532, qui sert à l'accrochage de l'une des extrémités d'un ressort 533, l'autre extrémité étant attachée à un ergot 534, fixé à la came 360 du déplacement du totalisateur A . Lorsqu'on fait tourner la came 360 dans le sens senestrorsum (fig. 3), jusqu'à la position de soustraction, l'extrémité arrière de la pièce en forme d'E 531 est attirée vers le bas par le ressort 533.
Lorsque la came 360 est rame née à la position d'addition représentée à la fi-. 3, la pièce en forme d'E 531 est attirée vers le haut jusqu'à la position représentée à la fig. 3.
Après une série d'opérations d'addition dans le totalisateur A à partir d'un zéro positif, la came 360 se trouve dans la position représentée à la fig. 3 et la pièce en forme d'E est dans sa position haute (voir aussi fig. 11), dans laquelle un bras inférieur de la pièce en forme d'E 531 entoure une oreille 535 que présente la queue orientée vers le bas du levier de verrou 515, empêchant le mouvement de ce dernier même si le levier de report 514 est basculé vers le bas par le cliquet de report de la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé lors d'une opération ultérieure d'addition.
Après une série d'opérations de soustraction dans le totalisateur A , opérations pendant lesquelles le montant du totalisateur passe d'une valeur positive à une valeur négative, l'oreille 535 est saisie par le bras supérieur de la, pièce en forme d'E 531 (fig. 12), ce qui empêche le levier de verrou 515 de se dépla cer lors d'une opération ultérieure de soustrac tion dans laquelle le levier de report 514 est basculé vers le bas.
Lors de l'enregistrement d'une première somme soustractive suivant une série d'opéra tions d'addition, la came 360 pivote de ma nière à attirer le levier en forme d'E 531 vers le bas, mais elle ne peut pas achever son mou vement car la face inférieure d'une langue cen trale de celle-ci vient heurter l'oreille 535, ainsi qu'on peut le voir à la fig. 10. Le levier de verrou 515 est alors libre de basculer dans le sens senestrorsum (fig. 10), si la dent de report de soustraction de la roue de totalisa teur de l'ordre le plus élevé fait basculer vers le bas le levier de report de l'ordre le plus élevé, et l'unité fugitive sera introduite dans la roue de l'ordre inférieur du totalisateur A .
A la fig. 10, cette situation est repré sentée au moment où elle va se produire, c'est-à-dire lorsque la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé, tournant soustractive- ment, entraîne avec elle un cliquet de report 536 dans le sens de la flèche.
Une unité de mouvement de plus à partir de la position représentée amène une dent de soustraction 537 à faire basculer le levier de report 514 vers le bas, permettant au levier de verrou<B>515</B> de basculer dans le sens senestrorsum de telle sorte que l'oreille 535 s'échappe de dessous la langue de la pièce en forme d'E 531, ainsi qu'on peut le voir en ligne pointillée, et la pièce en forme d'E 531 se trouve alors libre d'ache ver son mouvement dans le sens dextrorsum jusqu'à ce que la lèvre du crochet supérieur qui s'y trouve pratiquée vienne toucher son oreille 535.
Au début du cycle suivant, le levier de verrou 515 est ramené en position de verrouillage et l'oreille 535 se déplace alors dans le sens dextrorsum et se trouve verrouil lée par le crochet supérieur de la pièce 531 tant que continuent les opérations de soustrac tion.
Si, maintenant, une opération d'addition se présente, la came 360 (fig. 15) se trouve déplacée, ce qui amène la pièce en forme d'E 531 a être attirée dans le sens senestrorsum (fig. 12) et le rebord supérieur de sa langue centrale vient en contact avec l'oreille 535 où il reste jusqu'à ce qu'une dent d'addition 538 (fig. 12) déclenche le levier de verrou 515 au moment où la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé passe par la position zéro en se rendant dans le sens de l'addition.
Le levier 515 est maintenant basculé dans le sens senes- trorsum, introduisant l'unité fugitive dans la roue de totalisateur de l'ordre des unités et, lorsque l'opération suivante de la machine commence, l'oreille 535 est saisie par le cro chet inférieur de la pièce en forme d'E 531.
La position de cette pièce<B>531</B> indique si le total accumulé est négatif ou positif et ceci est utilisé pour déterminer le déplacement du totalisateur A dans les opérations de total afin d'extraire un total négatif ou positif et un mécanisme semblable est prévu pour le totali sateur B , l'un et l'autre mécanismes devant être expliqués à propos des opérations de total ou de sous-total.
Un mécanisme semblable à celui du tota lisateur A pour introduire l'unité fugitive est prévu pour le totalisateur B . En effet, à la fig. 15, on voit un levier de report 539 de l'ordre de numération le plus élevé du tota lisateur B , levier qui est basculé dans le sens senestrorsum autour de son arbre de sup port toutes les fois que la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé du totalisateur B passe par zéro, que ce soit dans le sens positif ou dans le sens négatif, livrant un levier 541 à l'action d'un ressort 542, selon ce qui est déterminé par une pièce en forme d'E 543,
afin de permettre ou d'empêcher l'introduction de l'unité fugitive dans l'ordre inférieur du to talisateur B . La position de la pièce 543, telle qu'on peut la voir à la fig. 15, indique qu'un nombre positif se trouve dans le totali sateur B . Dans cette position, une oreille 544 du levier 541 se trouve à portée du bras supérieur de la pièce 543.
Si la came 361 est basculée dans le sens dextrorsum, en vue d'un enregistrement soustractif, la pièce 543 est atti rée dans le sens dextrorsum autour de son pivot 359, ce qui amène l'oreille 544 en con tact avec une langue centrale de la pièce 543 et, lors de l'opération suivante de soustraction pendant laquelle se produit un passage à zéro de la roue de totalisateur de l'ordre le plus élevé, l'oreille 544 descend se placer à portée d'un crochet inférieur situé sur la pièce 543. La transmission de mouvement du levier 541 à l'ordre des unités du totalisateur B en vue d'y introduire l'unité fugitive est réalisée de la même manière que pour le totalisateur A .
Là encore la position de la pièce 543 indique l'état algébrique du totalisateur B et cette position est utilisée pour provoquer le déplacement automatique du totalisateur B , comme indiqué précédemment, en vue de recueillir les totaux ou sous-totaux.
<I>Mécanisme d'embrayage du totalisateur</I> <I> A pour additions et soustractions</I> Le bras d'entraînement 545 est goupillé sur l'arbre principal 55 (fig. 19) et se déplace solidairement avec la plaque d'entraînement 131 (fig. 2) à laquelle il est goupillé par l'ergot- pivot 132 (fig. 19). Ce bras d'entraînement 545 est basculé à chaque cycle, d'abord dans le sens senestrorsum pendant la première moi tié du cycle jusqu'à atteindre la position repré sentée en pointillé à la fig. 19, puis dans le sens contraire jusqu'à la position d'origine re- présentée en traits pleins.
Sur l'extrémité su périeure du bras d'entraînement 545 se trouve un levier 547 qui pivote en 548 et qui est nor malement attiré par un ressort 549 jusqu'à atteindre une ligne située sur un des rayons partant du centre de l'arbre 55. Le levier com prend une partie en forme de crochet 550 qui embrasse un ergot 551 fixé au bras orienté vers l'arrière d'un levier 552 à trois bras, le quel pivote sur un ergot 553 qui fait saillie vers l'intérieur à partir du cadre latéral de droite 35.
Lorsqu'un cycle de la machine com mence, le levier 547 fait immédiatement bas culer le levier 552 dans le sens senestrorsum et, ce faisant, se redresse jusqu'à ce que son prolongement passe par le centre de l'arbre 55, sous l'influence du ressort 549, jusqu'à ce qu'un rebord 554 du levier 547 vienne toucher un ergot 555, amenant le levier 547 à basculer dans le sens dextrorsum autour de l'ergot 548 jusqu'à ce qu'une arête 556 vienne en contact avec un ergot 557 du bras d'entraînement 545, dégageant le crochet 550 de l'ergot 551 et exerçant une pression sur l'ergot 555 de ma nière à faire basculer le levier 552 dans le sens dextrorsum jusqu'à sa position d'origine, exactement à la fin du premier demi-cycle du fonctionnement.
Lors de la seconde moitié du cycle, le bras d'entraînement 545 se déplace dans le sens dextrorsum jusqu'à sa position d'origine et le levier 547 s'accroche de nouveau sur l'ergot 551. Un ergot de repérage 558, monté sur un bras actionné par ressort, vient se placer soit dans une encoche 559, soit dans une encoche 560, pratiquées toutes deux dans le levier 552 afin de maintenir ce dernier dans l'une de ses deux positions de repos ou dépla cée. Une bielle 562, pivotant sur un pivot 561 fixé à un bras ascendant du levier 552, com porte trois bras : un bras 563 orienté vers l'ar rière et descendant qui porte un ergot 564 ; un bras 1563 orienté vers le bas et vers l'avant comportant une encoche 565 ; enfin un bras 566 orienté vers l'avant comportant une en coche 567.
La bielle 562 est constamment atti rée dans le sens dextrorsum autour de l'ergot 561 par un ressort 568 et est normalement maintenue de telle façon que l'ergot 564 soit en contact avec une arête ménagée sur l'extré mité d'un levier 570 qui pivote en 571 et qui est maintenu dans la position représentée jus qu'au moment des opérations de total ou de sous-total, moment où il est basculé dans le sens senestrorsum, comme décrit plus loin. Ainsi, l'encoche 565 est normalement en prise avec un ergot 569 d'un levier 572 monté bas culant sur l'ergot 347. Le levier 572 porte sur son extrémité supérieure une pièce crochue 573 qui pivote en 574 et qui normalement s'en gage sur un ergot 575 de la plaque d'em brayage de totalisateur 346, sous l'action d'un ressort 576.
Un ergot 577 du levier 572 est en contact avec le rebord avant du bras orienté vers le haut de la plaque 346, de sorte que, lorsque le levier 552 est basculé dans le sens senestrorsum, puis dans le sens contraire, jus qu'à sa position de repos, le levier 572 et la plaque 346 qui y est accrochée par la pièce- crochet 573, basculent d'abord dans le sens dextrorsum pour débrayer le totalisateur, puis dans le sens senestrorsum pour embrayer le totalisateur à la fin de la première moitié du cycle.
<I>Mécanisme d'embrayage du totalisateur</I> <I> B pour additions et soustractions</I> Au bras orienté vers l'avant du levier à trois bras 552 est articulée une bielle 580 qui, à son extrémité inférieure, est fourchue de ma nière à constituer deux bras 581 et 582. Le rebord extérieur du bras 581 comporte une encoche qui s'engage sur un ergot 583 d'un levier 584, lequel pivote en 352.
Le levier 584 correspond au levier 572 et porte une pièce pivotante crochue 585 qui, normalement, s'accroche sur un ergot 586 monté sur la plaque d'embrayage de totalisa teur 351. Le bras 581 de la bielle 580 est maintenu en prise avec l'ergot 583, pendant les opérations d'addition et de soustraction, par un ergot 590 du levier 570 et par un levier 587 fixé sur un arbre 588, l'extrémité exté rieure du levier 587 s'engageant sur un ergot 589 de la bielle 580. Dans les opérations de total, l'ergot 590 s'écarte et libère la bielle 580, mais le levier 587 demeure efficace, comme il sera expliqué à l'occasion de la sélection du totalisateur<I> A</I> ou du totalisateur<I> B </I> dans les opérations de total ou de sous-total.
La bielle 580 est sollicitée dans le sens dextrorsum autour de son pivot par un ressort 591. Avec le mécanisme dans la position représentée à la fig. 19, lorsque le levier à trois bras 552 est basculé dans le sens senestrorsum puis dans le sens inverse, pendant la première moitié du cycle, la bielle 580 est d'abord poussée vers le bas, faisant basculer la plaque d'embrayage de totalisateur 351 dans le sens dextrorsum, afin de débrayer le totalisateur B , puis vers le haut pour le réembrayer. <I>Mécanisme de non-addition</I> Dans une opération de non-addition, la touche 31 (fig. 26a)
est enfoncée et son bras 487 vient appuyer sur l'ergot 488 du levier 489, faisant basculer ce levier dans le sens dextrorsum (fig. 26a). Un levier 592, monté sur le collier supportant le levier 489, est arti culé sur une bielle 594 supportée à son extré mité arrière par une liaison par goupilles et fentes à l'extrémité inférieure d'une bielle 597 articulée à son extrémité supérieure sur un le vier 598, monté sur un ergot 599. Un ressort 598a maintient normalement la liaison ci-des sus décrite dans la position représentée. Un ergot 595 monté sur la bielle 594 s'engage avec le rebord arrière et inférieur d'un levier 596a, pivotant en 600. Sur l'arbre 130 est calée une plaque 601 comportant un ergot 602.
Lorsque la bielle 594 est déplacée vers l'avant au moment où l'on enfonce la touche de non- addition 31, le levier<I>596a</I> est basculé dans le sens dextrorsum jusqu'à la position repré sentée en pointillé et un ergot 603 qui s'y trouve fixé, et qui pénètre dans une fente pra tiquée dans une bielle 604, se déplace jusqu'au sommet de ladite fente.
Lorsque la plaque 601 bascule dans le sens senestrorsum pendant la première moitié d'un cycle, elle entre en con tact avec une arête 605 du levier 596a, le fai sant basculer plus loin dans le sens dextrorsum. Ceci soulève la bielle 604 qui est articulée à son extrémité supérieure en 606 à un levier 607 dont l'autre extrémité repose normalement contre l'ergot 221. Lorsque la bielle 604 est soulevée, le levier 607 tourne dans le sens dextrorsum et l'extrémité supérieure de la bielle 604 se déplace vers l'avant. Une arête 608 d'une encoche pratiquée dans la bielle 604 est en contact avec un ergot 609 fixé à un bras ascendant d'un levier à deux bras 610 pivotant en 611.
Lorsque la bielle 604 monte, l'ergot 609 est amené par l'arête 608 sur le trajet de la pièce crochue 573 lorsque le levier 572 (fig. 19) bascule dans le sens dextrorsum et, après que le totalisateur A a basculé et est dé brayé, la pièce crochue 573 se trouve déver rouillée de l'ergot 575 .et de cette sorte la pla que 346 demeure dans la position débrayée lors du mouvement de retour du levier 572, ne provoquant ainsi pas d'addition dans le tota lisateur A . Vers la fin du cycle, la plaque 601 vient en contact avec un ergot 611a (fig. 19) de la plaque d'embrayage de totalisateur 346,
la faisant basculer dans le sens senestror- sum pour amener le totalisateur A en po sition embrayée.
La bielle 594 (fia. 26a) est articulée, en 595,à une autre bielle 612 comportant une fente 613 guidée par un ergot 614 maintenu dans le bâti de la machine, et une partie tour née vers le haut, dans son extrémité arrière, qui, lorsque la bielle 594 est tirée vers l'avant, vient toucher un ergot 617 d'un levier 618 monté sur un ergot 619, faisant ainsi bascu ler le levier 618 dans le sens senestrorsum (fig. 26a), de sorte que l'ergot 617 vient sur le trajet d'une arête 616 de la pièce crochue 585 lorsque le levier 584 bascule, dégageant la pièce crochue 585 de l'ergot 586 (voir fig. 19) de telle sorte que, lors du mouvement de retour de la plaque 351, à la fin du premier demi-cycle de fonctionnement,
le totalisateur B soit maintenu non embrayé avec les cré maillères, pendant la seconde moitié du cycle.
Le totalisateur B est ramené à la fin du cycle, au moment où le bras d'entraînement 545 (fig. 19) est ramené à sa position d'origine représentée en traits pleins, grâce à l'ergot 132 qui vient toucher un ergot 620 sur un levier 621 pivotant en 622 sur un ergot porté par le bâti. De ce fait, le levier 621 quitte la position atteinte dans le sens senestrorsum qu'il avait prise sous l'influence d'un ressort 623 lorsque le bras d'entraînement 545 s'était écarté de la position d'origine. Le levier 621 tourne alors dans le sens dextrorsum, revenant ainsi à sa position normale.
Une arête 624 vient en con tact avec un ergot 625 de la plaque d'em brayage de totalisateur 351, réengageant le totalisateur B à la fin du cycle de la ma chine.
Le mouvement en avant de la bielle 594 (fig. 26a) met aussi la machine en marche en faisant basculer dans le sens dextrorsum un organe de verrouillage 1620 relié au levier 596a, ce qui entraîne un verrou 1621 (voir aussi fig. 21), permettant à un levier 1622 (fig. 4) de basculer dans le sens senestrorsum autour d'un pivot 1623 sous l'influence d'un ressort 1624.
Lors de ce mouvement du levier 1622, un bras 1625, orienté vers l'avant, vient frapper un ergot 626 (voir fig. 2) du bras ar rière 424 du levier 425, faisant basculer ce dernier dans le sens dextrorsum, ce qui, à son tour, fait basculer le levier 68 dans le même sens pour déclencher un fonctionnement de la machine.
A la fin du cycle de ce fonctionne ment, un cliquet de franchissement 627 (fig. 4) monté sur le levier 1622 est touché par l'ergot 192 (voir fig. 2) au moment du mouve ment de retour de la plaque d'entraînement 135, rétablissant la position normale du levier <B>1622,</B> qui est verrouillé en place par les ver rous 1620 et 1621, lorsque la bielle 594 (fig. 26a) revient à sa position d'origine.
Cette bielle 594 est maintenue en position active par un pied 628 (fig. 4) du levier 1622 qui se dé place vers l'arrière et vient se mettre sous les talons des plaques de verrou 1620 et<B>1621,</B> empêchant le retour de celles-ci et, en consé quence, celui de la bielle 594, vers leurs posi tions normales, jusqu'à ce que le levier 1622 soit ramené à sa position normale, par l'ergot 192 de la plaque 135. <I>Mécanisme de sélection des totalisateurs</I> <I>pour les opérations d'enregistrement</I> Pour la sélection de l'un ou de l'autre des totalisateurs, dans les opérations d'enregistre- ment, un mécanisme empêche le totalisateur non désiré d'embrayer pendant la seconde moi tié du cycle.
En se reportant à la<B>hg.</B> 23, on voit que la touche 24 provoque l'introduction de montants dans les deux totalisateurs<I> A </I> et<I> B </I> si multanément et la touche 25 permet à des montants d'être enregistrés sélectivement, soit dans le totalisateur A , soit dans le totalisa teur B , selon celle des touches sélectrices 26 et 27 (fig. 1) qui est utilisée.
Sur un pivot 632 (fig. 23), fixé au bâti la téral de gauche de la machine, est articulée une bielle 633,à une extrémité de laquelle est articulée une autre bielle 634, tandis qu'à l'au tre extrémité est articulée une troisième bielle 635. Toutes ces bielles comportent des fentes grâce auxquelles elles sont montées coulis santes, respectivement, sur des ergots 636 et 637. Les bielles 634 et 635 sont articulées à une biellette 639 qui réunit leurs extrémités supérieures, formant un mécanisme de parallé logramme qui peut être forcé de prendre l'une de deux positions grâce à la pression qui est exercée sur l'un ou l'autre des ergots 640 et 641 fixés dans les extrémités supérieures des bielles 634 et 635, respectivement.
Lorsqu'on exerce une pression vers le bas sur l'ergot 641, le mécanisme de parallélogramme se déplace jusqu'à la position représentée à la fig. 23, dans laquelle la bielle 635 est poussée vers le bas sur son ergot 637. La pression exercée vers le bas sur l'ergot 640 renverse la situa tion, de sorte que l'ergot 636 se trouve au sommet de sa fente et l'ergot 637 au fond de la sienne, le mécanisme de parallélogramme demeurant maintenu basculé dans l'une ou l'autre position par un ressort 642, qui est at taché de telle façon à des oreilles des bielles 633 et 639 que le parallélogramme ne puisse pas rester en équilibre en position centrale. La pression est exercée sur l'ergot 641 en enfon çant la touche 25 et la pression est exercée sur l'ergot 640 lorsque la touche 24 est enfoncée.
L'extrémité inférieure de la bielle 634 pivote sur un levier 642a goupillé à un arbre 643 qui s'étend en travers de la machine entre les bâtis latéraux. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 643 est goupillé un levier 644 (fig. 20) pivo tant à son extrémité supérieure sur une bielle 645 pouvant glisser sur un ergot 646 porté par le bâti latéral.
Lorsque la touche 24<I> A</I> et<I>B </I> est en foncée, l'arbre 643 tourne dans le sens senes- trorsum (fig. 20), amenant la bielle 645 à se déplacer vers l'avant et l'enfoncement de la touche 25 A ou B fait que l'arbre 643 bascule dans le sens dextrorsum depuis cette position jusqu'à la position représentée à la fig. 20, ce qui oblige la bielle 645 à se dépla cer vers l'arrière. Sur un levier 647 (fig. 20), pivotant en 648, est articulée une bielle 649 couplée à la bielle 645 par une fente 650 qui chevauche un ergot 651 fixé à la bielle 645.
Dans l'état de la machine représenté à la fig. 20, la bielle 649 a son rebord supérieur 652 directement en contact avec la face inférieure d'un ergot 653 fixé sur la tige de touche B 27 et, lorsqu'on appuie vers le bas sur cette touche, la bielle 649 se trouve forcée de des cendre, obligeant le levier 647 à basculer dans le sens senestrorsum pour rendre inopérant le totalisateur A dans l'opération de la ma chine qui s'ensuit, comme expliqué plus loin, de sorte que le montant composé sur le clavier est introduit seulement dans le totalisateur A .
Sur l'extrémité arrière du levier 647 est articulé un levier 654 pivotant en 655 et dont l'extrémité arrière est fourchue de manière à saisir un ergot 656 fixé sur une plaque 657 montée pivotante en 658.
En 659 pivote un levier 660 articulé à une bielle 661 au moyen d'un pivot 662. Contre le pivot 662 vient porter une arête-came 663 de la plaque 657, grâce à quoi la bielle 661 est déplacée vers le haut lorsque la plaque 657 bascule dans le sens senestrorsum, au moment de l'enfoncement de la touche B . Une fente 664 pratiquée dans l'extrémité supérieure de la bielle 661 saisit un ergot 665 fixé au levier 610.
Le mouvement ascendant de cette bielle fait basculer le levier 610 dans le sens senestrorsum, amenant l'ergot 609 sur le tra jet d'un crochet 573 et dégageant le levier 572 de la plaque 346 d'embrayage du totalisateur A , pendant la première moitié d'un fonc tionnement, empêchant ainsi la remise en prise du totalisateur A vers le milieu du cycle. Le totalisateur < : B , par contre, est embrayé en vue de l'enregistrement d'un nombre de la manière habituelle.
Si, lorsque la touche 25 A ou B > est en foncée, la touche 26 A (fig. 22) est enfon cée ensuite, un ergot 877 appuie sur une bielle 878 montée sur la bielle 645 par un assem blage à goupille et fente et articulée à l'extré mité arrière d'un levier 879, lequel peut pivoter sur l'arbre 643, faisant ainsi basculer le levier 879 dans le sens senestrorsum. L'extrémité ar rière du levier 819 est reliée par un couplage à goupille et fente à l'extrémité avant d'un le vier 880 pivotant en 665. L'extrémité arrière du levier 880 est fourchue de manière à che vaucher un ergot 881 d'une plaque 882 qui pivote en 883.
Un ressort 884 tire la plaque 882 dans le sens dextrorsum. Lorsque la tou che 26 A > est enfoncée, une arête-came 885 de la plaque 882, agissant sur un galet 886, fait basculer le levier de non-addition 618, associé au totalisateur B , dans le sens senestrorsum contre l'action d'un ressort 888, afin d'amener l'ergot<B>617</B> sur le trajet de l'arête 616 (fi-. 26a) du crochet 585 (voir fig. 19) pour dégager le levier 584 par rapport à la bielle 580 (fig. 19) afin que le totalisateur B n'additionne pas pendant l'opération de la machine qui s'ensuit.
Lorsque la touche 24 A et B est en foncée, la liaison en parallélogramme représen tée à la fig. 23 se déplace vers la gauche, ce qui fait basculer l'arbre 643 dans le sens se- nestrorsum (fig. 22 et 23), faisant basculer la bielle 645 vers la gauche et les bielles 649 (fig. 20) et 878 basculent alors dans le sens senestrorsum, retirant leurs extrémités supé rieures des trajets de leurs ergots respectifs 653 et 877.
Lorsqu'on enfonce soit la touche 24 A , soit la touche 25 B , celles-ci ne servent alors qu'à déclencher le fonctionne ment de la machine, sans affecter le méca nisme de débrayage de totalisateur qui vient d'être décrit. Le mécanisme d'embrayage de totalisateur fonctionne par conséquent de la manière normale, de sorte que le totalisateur <I> A</I> et le totalisateur<I> B </I>sont tous les deux embrayés afin de recevoir le nombre composé sur le clavier de la machine.
Dans les opérations de soustraction avec la touche<I> A</I> et<I>B </I> 24 enfoncée, le nombre composé sur le clavier de la machine doit être introduit soustractivement dans les deux tota lisateurs, l'enfoncement de cette touche per mettant à la touche de soustraction 28 de libé rer la machine en vue de son fonctionnement. D'un autre côté, si la touche 25<I> A</I> ou<I>B </I> est enfoncée, la touche de soustraction 28 ne doit pas provoquer le déclenchement de la machine, ce dernier étant effectué par enfon cement de la touche 26 A ou de la touche 27 B .
Le mécanisme prévu à cet effet est le suivant On se. rappelle que le levier 68 (fig. 2) de déclenchement de la machine peut être bas culé dans le sens dextrorsum afin de libérer la machine en vue de son fonctionnement, au moyen d'un levier 431, pivotant sur le levier 422, selon la position que l'extrémité supé rieure du levier 431 occupe par rapport à l'er got 410 sur la plaque de commande 403, lors que cette dernière est basculée dans le sens dextrorsum au moment de l'enfoncement de la touche de soustraction 28 (fig. 15).
L'extré mité inférieure du levier 431 (fig. 22) com porte une fente qui chevauche l'ergot 433 fixé sur la bielle 645, de sorte que lorsque cette dernière est déplacée vers l'arrière au moment de l'enfoncement de la touche 25 A ou B , comme on peut le voir à la fig. 22, l'extrémité supérieure du levier 431 s'écarte du trajet de l'ergot 410 et l'enfoncement de la touche de soustraction n'a pas pour effet de provoquer le fonctionnement de la machine. Il faut, pour arriver à ce résultat, enfoncer soit la touche 26 < . A , soit la touche 27 B , ce qui rend obligatoire l'enfoncement de l'une ou de l'au tre de ces dernières touches, de manière à sé lectionner l'un ou l'autre des totalisateurs en vue de la soustraction.
Lorsque la bielle 645 est déplacée vers l'avant depuis la position de fig. 22, par enfoncement de. la touche 25 A ou B , le levier 431 bascule dans le sens dex- trorsum autour de son pivot fixé sur le levier 422 et son extrémité supérieure vient se placer immédiatement en dessous de l'ergot 410 fixé sur la plaque de commande de soustraction. Par conséquent, l'enfoncement de la touche de soustraction 28 seule déclenche un fonction nement de la machine, dans lequel le nombre composé sur le clavier est introduit soustracti- vement à la fois dans le totalisateur A et dans le totalisateur B .
<I>Mécanisme de commande d'opérations à</I> <I>deux cycles et de</I> palpage <I>de totalisateur pour</I> <I>les opérations de total et de sous-total</I> Une opération de total ou une opération de sous-total comprenant deux cycles de la ma chine est mise en route par enfoncement ou bien de la touche de total 29 (fig. 1, 18 et 27) ou de la touche de sous-total 29a (fig. 1 et 18), lesquelles touches peuvent coulisser sur des ergots 675 et 676, et des ergots 677 et 678, respectivement, fixés au support 406, et sont normalement toutes deux attirées vers le haut par un ressort (fig. 18).
Un doigt 679 (fig. 27) de la touche total porte contre un ergot 680 d'une plaque coulissante de total 681, montée coulissante sur des ergots 682 et 683, fixés au bâti latéral de droite, et normalement main tenue dans sa position supérieure par un res sort 684. Une portion de verrouillage 685 de la plaque coulissante 681 coopère avec un er got 686 (fig. 2) d'un levier 687 monté pivo tant sur un ergot 688 fixé au bâti latéral de droite et attiré dans le sens senestrorsum par un ressort 689. Lorsque la touche de total 29 est en position non enfoncée, l'ergot 686 re pose sur la face inférieure de la portion 685 et, lorsque la touche de total 29 est enfoncée, l'ergot 686 chevauche la portion 685 et vient au repos sur le côté supérieur de celle-ci.
Une portion semblable 690 (fig. 2) de la plaque coulissante de sous-total 691 montée sur la droite de la plaque coulissante de total coopère aussi avec l'ergot 686. Les deux plaques,cou- lissantes 681 et 691 sont toutes deux déplacées vers le bas ensemble lorsqu'on enfonce la touche de sous-total 29a. En empêchant le basculement du levier 687 de la position de fig. 2, on peut maintenir verrouillées en posi tion manoeuvrée, aussi bien qu'en position non manoeuvrée, l'une ou l'autre des plaques cou lissantes de total ou de sous-total ou toutes les deux à la fois.
Chaque fois que la machine est déclen chée, un levier 692 (fig. 2) bascule dans le sens senestrorsum autour de son pivot 693 et y reste jusqu'à la fin du cycle, à la manière con nue. Le levier 692 comporte une arête 694 qui, lorsque le levier 692 pivote, est amenée sous un ergot 695 d'un levier de franchisse ment 696, articulé en 697 sur la partie recour bée vers le haut de l'extrémité arrière du levier 687, de manière à empêcher le basculement de ce dernier pendant un fonctionnement de la machine, et empêchant ainsi le mouvement des plaques coulissantes de total ou de sous-total jusqu'à ce que le levier 692 ait été rappelé.
Lorsque la coulisse de total 681 est enfon cée, un ergot 700 (fig. 27) vient en contact avec le bras d'un levier 701 pivotant en 702 et le fait basculer dans le sens dextrorsum. Une plaque de total 703, montée basculante en 704 sur le bâti latéral de droite, est maintenue dans la position de fig. 27 par une bielle de commande 706 articulée au levier 701 par un pivot 705 à l'une de ses extrémités, et pivo tant sur la plaque 703 grâce à un pivot 707 à son autre extrémité.
La bielle 706 comporte à son extrémité supérieure une fente crantée 708, dans l'extrémité supérieure de laquelle l'ergot 705 vient normalement chevaucher, de sorte que, lorsque le levier 701 bascule dans le sens dextrorsum, la bielle 706 est contrainte de descendre et d'avancer, faisant basculer la plaque de total 703 dans le sens senestrorsum. Un ergot 710 fixé sur la plaque 703 vient frapper le bras inférieur orienté vers l'arrière du bras 424, libérant ainsi la machine en vue d'un cycle de fonctionnement. Simultanément au basculement de la plaque de total 703, un verrou 711 (fig. 2), articulé en 1721 à une plaque 716 et maintenu contre un ergot 712 de la plaque 703 par un ressort 714, vient s'engager sur un épaulement 715 du levier 717.
La plaque 716 et le levier 717 sont tous deux montés pivotants en 704. Un bras orienté vers l'arrière du levier<B>717</B> porte un ergot<B>718</B> qui est maintenu contre le rebord d'une plaque- came 719 fixée à la plaque d'entraînement 135, par un ressort 720. Lorsque le cycle com mence, la plaque d'entraînement 135 bascule dans le sens senestrorsum et la plaque-came 719 fait basculer le levier 717 dans le sens dextrorsum, entraînant la plaque 716 avec lui par l'intermédiaire du verrou 711.
La plaque 716 (fig. 27) est articulée à une coulisse 722 par un goujon 716, et grâce à cela est dépla cée vers l'arrière malgré un ressort 723 et vient s'accrocher pendant le premier cycle, comme expliqué plus loin, dans la première partie du second cycle.
Un ressort 724 maintient norma lement l'ergot 705 engagé dans l'encoche du sommet de la fente 708, mais un cliquet de franchissement 725 monté sur la plaque 135, passant librement sur un ergot 726 de la bielle 706, lorsque la plaque 135 bascule dans le sens senestrorsum pendant la première moitié du premier cycle, est maintenu par un ressort 727, de sorte qu'il intervient pendant la se conde moitié du premier cycle, pour venir en contact avec l'ergot 726 et forcer la bielle 706 à tourner dans le sens senestrorsum afin de désaccoupler l'ergot 705 de son encoche, per mettant à la bielle 706 et à la plaque 703 de revenir à la position normale. L'extrémité avant de la coulisse 722 est articulée à une bielle de support 728 qui, à son tour, pivote en 729 sur le bâti latéral de droite.
Lorsque la coulisse 722 est attirée vers l'arrière, diver ses commandes sont exercées en plus du dé clenchement du premier cycle de la machine. Tout d'abord, un ergot d'accrochage de res sort 730 (voir fig. 2 et 27) qui, normalement, est dans la position de fig. 2, se déplace vers l'arrière lorsqu'il est tiré vers l'arrière avec la coulisse 722, dans une fente-came 731 d'un levier 732, fixé sur l'arbre 483, le faisant bas culer dans le sens senestrorsum. Sur l'arbre 483 sont également calés deux bras orientés vers l'arrière, celui de droite, 733, étant repré senté à la fig. 17, portant l'étrier d'arrêt 142,
lequel est ainsi amené par le basculement se- nestrorsum de l'arbre 483, jusqu'à sa position effective, représentée sur cette figure, en face des rebords avant des plaques 141 de toutes les barres d'arrêt 74 (fi-. 5), afin d'empêcher ces dernières de se déplacer pendant le pre mier cycle. En second lieu, une fente 734 qui chevauche un ergot 735 (voir fi-. 4 et<B>17)</B> d'un levier 736 fixé à un collier 737 (voir aussi fig. 7) capable de tourner sur l'arbre 393, fait basculer le levier 736 dans le sens senestror- sum depuis la position de fig. 4 jusqu'à celle de fig. 17.
Ce basculement du levier 736 fait, par l'intermédiaire d'un levier 738 (fig. 7) fixé au collier 737, basculer un étrier 739 sur l'arbre 393 dans le même sens (fig. 7), grâce à l'action d'un ergot 740 monté sur le levier 738 et qui vient toucher un bras orienté vers le bas 741 de l'étrier 739. Au bras de support de gauche de l'étrier 739 'est fixé un levier 742, sur lequel pivotent des leviers 743 et 744 (voir fig. 26), associés aux totalisateurs A et B respectivement, et palpant l'état algé brique du totalisateur sélectionné, comme ex pliqué plus loin.
*Selon la fia. 26, qui représente le méca nisme palpeur tel qu'on le voit depuis le côté droit, la position représentée est celle qui est prise lorsque la machine est au repos, sans que la touche 30 B* soit enfoncée, position dans laquelle la pièce de contrôle 531 pour le totalisateur A est en position positive et la pièce de contrôle 543 pour le totalisateur B en position positive. Dans cette position, le levier palpeur 743 comporte un bras 745 maintenu en contact avec un ergot 746 de la pièce 531, sous l'action d'un ressort 747. De même, un bras 748 du levier 744 est maintenu en contact avec un ergot 749 d'un bras orienté vers l'avant de la pièce 543, sous l'action d'un ressort 750.
Si le totalisateur A porte un solde négatif, la pièce de commande 531 aura basculé dans le sens dextrorsum (fig. 26), ce qui retire l'ergot 746 du bras 745 et permet au ressort 747 de faire basculer le levier 743 dans le sens senestrorsum, de telle sorte que la surface 753 vienne s'engager derrière un ergot carré 751 (fig. 3, 7 et 26) faisant saillie à la droite (fi-. 7) de la bielle 367.
La pièce de commande 543 associée au totalisateur < : B bascule dans le sens dextrorsum à par- tir de la position de fig. 26, au moment où son totalisateur associé devient négatif, per mettant au levier 744 de basculer dans le sens senestrorsum sous l'influence du ressort 750 et de venir se placer sur le trajet d'un ergot 752 (voir aussi fig. 3) qui est logé sur un bras dépendant de la bielle 381, déplaçant l'ergot 752 et la bielle 381 vers l'arrière, lorsque le levier 742 bascule.
Un tel mouvement est nor malement empêché par un ergot 754 fixé sur un bras orienté vers l'avant et vers le bas d'un levier à trois bras 755, pivotant en 756 et ayant un bras orienté vers le bas et vers l'ar rière articulé à une bielle 757 qui est articulée à son extrémité avant au levier 466. Celui-ci bascule par la coulisse 461 (voir fig. 3) lors que l'on enfonce la touche 30 B* .
Selon la fig. 26, le levier 466 bascule dans le sens senestrorsum lorsque la touche 30 est enfon cée, ce qui fait pivoter le levier 755 dans le sens dextrorsum afin de déplacer l'ergot 754 assez loin vers l'avant pour qu'il se dégage du bras 748 du levier 744, et de déplacer un ergot 758 d'un bras orienté vers le haut du levier 755 jusqu'à l'amener en prise avec l'arête supérieure du bras 745 du levier 743. Le levier 755, grâce à sa position, par consé quent, détermine si l'arête 753 est à l'aligne ment avec l'ergot carré 751, ou si l'arête 759 est à l'alignement avec l'ergot 752.
Lorsque le levier 742 pivote dans le sens senestrorsum avec le mécanisme dont la posi tion est représentée à la fig. 26, au début d'une opération de total, ni l'ergot carré 751, ni l'er got 752 ne se déplacent, de sorte que les deux totalisateurs demeurent avec leurs roues d'ad dition alignées avec les entraîneurs des mon tants. Si le totalisateur A porte un solde négatif, le levier 743 est libre de se déplacer et l'arête 753 vient se mettre en ligne avec l'ergot carré 751.
Lorsque le levier 742 pivote dans le sens senestrorsum, l'ergot carré 751 et sa bielle correspondante 367 se déplace vers l'avant de la machine, de sorte que la came 360 déplace le totalisateur A de manière à mettre ses roues de soustraction en position alignée avec les entraîneurs, lorsque la plaque 370 (fig. 3) est basculée.
Si la touche 30 B^\ est enfoncée et qu'ensuite on enfonce la touche de total ou la touche de sous-total, le levier 743 doit être maintenu fixe et le levier 744 est alors libre de se déplacer, de sorte que si l'état du totali sateur B est négatif, le mouvement senes- trorsum du levier 742 amène la bielle 381 à se déplacer vers l'arrière, grâce à quoi la came 361 (fig. 3), sous l'action de la plaque 370, met en position les roues de soustraction du totalisateur B et les amène en face des entraîneurs des montants.
Par conséquent, on voit que les totalisateurs sont, grâce au méca nisme qui précède, mis automatiquement dans les positions latérales appropriées au cours des opérations de total ou de sous-total, selon l'état négatif ou positif du totalisateur particulier choisi pour ce genre d'opérations. L'étrier 739 (fig. 7) est ramené pendant le second cycle, en même temps que le levier 736 et que la coulisse 722 (voir fig. 17). Un ergot 760 (fig. 7), placé derrière le bras 741, retient l'étrier 739 et l'empêche de basculer acciden tellement dans le sens senestrorsum autour de l'arbre 393 dans les opérations d'enregistre ment.
L'ergot 760 est porté par la bielle de commande de total 199, qui est représentée dans sa position extrême vers l'avant, et qui est déplacée vers l'arrière dans les opérations de total ou de sous-total, comme décrit plus loin. En troisième lieu, en se référant à la fig. 17, on voit que lorsque le levier 736 bascule jusqu'à la position représentée, son bras orienté vers l'avant 762 libère un ergot 763 fixé à un verrou 764 et le laisse libre de se déplacer sous l'influence d'un ressort depuis la position représentée à la fig. 4 jusqu'à celle de la fig. 17, dans laquelle une équerre du verrou 764 chevauche la bielle 199 de com mande de total.
Le verrou 764 est articulé à une bielle 766 (fi-. 19) qui est articulée à son extrémité arrière à un levier 767, lequel est normalement attiré dans le sens dextrorsum par un ressort 768, de sorte qu'un ergot à galet 769 qui y est fixé suit l'arête-came de la plaque 601. Lorsque la plaque 601 bascule dans le sens senestrorsum, au début du pre mier cycle, dans une opération de total ou de sous-total, le levier 767 déplace la bielle 766 vers l'avant jusqu'à ce que l'oreille du verrou 764 vienne tomber dans une encoche 765 de la bielle 199.
Pendant la seconde moitié du premier cycle, après que l'ergot 192 (fig. 2) a fait pivoter légèrement le levier 1622 (fig. 4) et, au moment où la plaque 601 revient à sa po sition d'origine, la bielle de commande de total 199 est attirée vers l'arrière par le verrou 764 contre l'action d'un ressort de rappel 770 (voir fig. 4) qui normalement l'attire vers une posi tion avant déterminée par un ergot 771 fixé au bâti latéral de droite de la machine.
Lors que la bielle 199 se déplace vers l'arrière, une pièce de verrouillâge 772 (fig. 21) reliée à la bielle par l'intermédiaire d'un bras fourchu 773 qui chevauche un ergot 774 fixé sur la bielle, est basculée dans le sens senestrorsum. Le verrou<B>1621</B> est normalement maintenu en position efficace, position dans laquelle sa lan guette 621a orientée vers l'avant bloque le pied 628 du levier 1622 (fig. 4) par le fait qu'un ergot 775 (fig. 21) fixé au verrou 1621 repose sur le rebord supérieur du verrou 772.
Un ergot 776, qui fait saillie sur le verrou 772, touche la languette 62l a orientée vers l'avant de la pièce de verrouillage<B>1621</B> pendant le mouvement dans le sens senestrorsum du ver rou 772, déplaçant la languette 62l a vers le bas, l'écartant du pied 628 du levier 1622 (fig. 4). Ceci libère le levier 1622 qui peut se déplacer dans le sens senestrorsum sous l'in fluence du ressort 1624, de sorte que le bras 1625 vient en contact avec l'ergot 626 (fig. 2) du bras 424, le retenant vers le bas contre l'attraction de retour exercée par le ressort 430.
Lorsque le pied 628 du levier 1622 se déplace sur la surface supérieure de la lan guette de verrou 772 (fig. 21), la bielle 199 est verrouillée en position déplacée vers l'arrière. Ainsi un second cycle de la machine se trouve déclenché.
Pendant le second cycle, l'ergot 192 (fig. 2) libère le levier 1622, permettant au méca nisme de commande de total ci-dessus décrit de revenir en position d'origine. En quatrième lieu, lorsque la bielle 199 (fig. 19) est déplacée vers l'arrière, elle bas cule le levier 570 dans le sens senestrorsum pendant la première moitié du premier cycle et le maintient ainsi basculé, de sorte que son arête supérieure arrière est écartée de l'ergot 564 lorsque le levier 547 fait basculer la bielle 562 au cours du second cycle.
Aussitôt que l'ergot 564 est ainsi libéré, le ressort 568 fait basculer la bielle 562 dans le sens dextrorsum, retirant l'encoche 565 de son engagement avec l'ergot 569 du levier 572,à moins que la tou che 30 B ait été actionnée, comme décrit plus loin, et, par conséquent, le totalisateur A demeure en position embrayée pendant la première partie du second cycle.
Ceci est valable pour le totalisateur B , étant donné que le mouvement de l'ergot 590 s'éloignant de la bielle 580 livre cette dernière à l'action du ressort 591, grâce à qui l'encoche pratiquée dans le bras 581 est dégagée de l'ergot 583, de sorte que le totalisateur B n'est pas dé brayé, à moins que le levier 587 ne demeure efficace par suite du non-enfoncement de la touche 30 B* (voir plus loin). Les crémail lères différentielles, lors de leur mouvement en avant pendant la première moitié du second cycle, font tourner les pignons du totalisateur choisi en sens inverse jusqu'à zéro, si l'opéra tion de total est positive, ou jusqu'à la position de neuf si le total est négatif.
Le totalisa teur sélectionné est débrayé au point milieu du second cycle dans le cas d'un total ou de meure en prise pour un sous-total. Pendant la seconde moitié du second cycle, pour un total relevé dans le totalisateur A , l'encoche 567 (fig. 19) sur la bielle 562 s'engage avec l'ergot 575 du levier 572, faisant basculer ce dernier dans le sens dextrorsum et entraînant avec lui la plaque 346, de sorte que le totalisateur A est débrayé des crémaillères, avant qu'elles retournent à leurs positions d'origine. De même, la bielle 580, associée au totalisa teur<I> B ,</I> dégage le totalisateur<I> B </I> à mi- cycle pendant le second cycle d'une opération de total.
Pendant le temps que la coulisse 722 est verrouillée par la bielle 766, par le serrage du verrou 764 contre l'arête supérieure de l'en coche 765, on voit que le bras o762 (fig. 17) du levier 736 est bloqué, de façon qu'il ne peut faire qu'un mouvement léger quand le cliquet de franchissement 725 (fig. 27) élève la bielle 706 dans la deuxième partie du deuxième cy cle.
Ce mouvement léger du levier 736 (fig. 17), cependant, libère la coulisse 722 pour un mouvement vers la gauche, et cela suffi samment pour que l'ergot 730 fasse basculer le levier 732, l'arbre 483, et les bras 733 pour amener l'étrier 142 en dehors du chemin des barres d'arrêt 74, de façon que ces dernières puissent être positionnées par les roues du to talisateur sélectionné, dans la première partie du second cycle.
Pendant la première partie du second cycle, quand la plaque 601 (fig. 19) bascule dans le sens senestrorsum, permettant le mouve ment en avant de la bielle 766, la pression de l'oreille du verrou 764 contre l'arête de- l'en coche 765 est libérée, et ladite oreille glisse librement dans l'encoche 765, de façon que le ressort 723 ramène la coulisse 722 et la bielle 706 à leurs positions normales. Mainte nant, le levier 736 (fig. 4) bascule dans le sens dextrorsum, élevant le verrou 764 à sa position normale.
Quand le levier 1622 (fig. 4) est bas culé dans le sens dextrorsum par le goujon <B>192</B> (fig. 2), près de la fin du second cycle, la bielle 199, qui est libérée par les verrous 764 et 772 (fig. 21), est amenée à sa position nor male, et la coulisse 681 est libérée, de façon que le goujon 705 (fig. 27) est ramené dans l'encoche de la bielle 706.
La coulisse 681 n'est pas libérée à la fin du premier cycle, parce que le levier 687 (fig. 2) est bloqué par un levier 921, décrit plus loin. Ledit levier 921 ne reçoit pas un mouve ment suffisant à ce moment pour libérer le levier 687: Lorsque la bielle 199 (fig. 4) est amenée en arrière pendant la dernière partie du pre mier cycle, le levier 197 est basculé dans le sens senestrorsum, de façon que, par action sur le goujon 200, la bielle 187 est actionnée pour libérer les touches de montants qui au raient été enfoncées par erreur, et pour amener les cliquets de zéro à leur position inefficace jusqu'au retour de la bielle 187 à sa position normale.
La bielle 199 revient à sa position normale à la fin du second cycle.
<I>Sélection des totalisateurs A ou B </I> <I>pour les opérations de total ou de sous-total,</I> <I>et mécanisme de</I> commande <I>du sous-total</I> Si la touche de total 29 (fig. 1) seule, ou la touche de sous-total 29a seule, a été enfon cée, la machine représentée exécute une opéra tion à deux cycles dans laquelle le total ou le sous-total, selon le cas, est extrait du totalisa teur<I> A .</I> Si la touche 30<I> </I> B* <I> </I> est enfon cée, puis que l'on enfonce la touche de total ou la touche de sous-total, un total ou un sous- total, selon le cas, doit être extrait du totali sateur B .
On a décrit précédemment comment, dans une opération de total déclenchée par enfon cement de la touche de total général 29 (fig. 1), le mouvement arrière de la bielle 199 (fig. 19) dans la seconde moitié du premier cycle fait basculer le levier 570 dans le sens senestror- sum, dégageant l'encoche 565 pratiquée dans la bielle 562 par rapport à l'ergot 569 du le vier 572 et tendant à dégager l'encoche prati quée dans le bras 581 de la bielle 580 par rapport à l'ergot 583 du levier 584, de sorte que, si le levier 587 n'était pas efficace, les totalisateurs<I> A </I> et<I> B </I> demeureraient tous les deux en position embrayée pendant la pre mière partie du second cycle,
lorsque les en traîneurs de montants exécutent leurs mouve ments initiaux.
On a vu également comment l'arbre 483 (fig. 17) est basculé au commencement d'une opération de total et, par ce mouvement, fait basculer l'étrier 142 jusqu'à la position active pour maintenir les barres d'arrêt 74 et les em pêcher de se déplacer pendant le premier cycle. Etant donné que les barres d'arrêt 74 restent stationnaires, les deux totalisateurs A et B peuvent être débrayés tous deux pendant le premier cycle, par le mécanisme déjà décrit.
Cependant, il est essentiel que l'un des totalisateurs demeure en position embrayée pendant la première moitié du second cycle, et le mécanisme pour débrayer sélectivement, soit le totalisateur A , soit le totalisateur B , est décrit dans ce qui suit.
Pendant la seconde moitié du premier cy cle, après qu'a été actionnée la bielle 199 (fig. 19), l'ergot 590 s'éloigne de la bielle 580, qui est à ce moment-là encore en prise avec l'er got 583 par l'extrémité du levier 587 qui porte contre l'ergot 589. Par conséquent, lorsque le levier -à trois bras 552 bascule dans le sens senestrorsum pendant la première moitié du second cycle, le totalisateur B est débrayé. Cependant, lorsque l'ergot 589 descend, il passe à côté de l'extrémité du levier 587 et s'engage dans une encoche 780 dudit levier.
Le mouvement dextrorsum qui en résulte pour la bielle 580 sous l'influence du ressort 591 la dégage de l'ergot 583 après que le totalisa teur B a exécuté son mouvement de dé brayage. Ainsi, seul le totalisateur A de meure en position embrayée et transmet son total aux barres de crémaillères différentielles à ce moment. Il est toutefois débrayé, comme déjà expliqué, avant que les barres d'arrêt soient ramenées à leurs positions d'origine, laissant ainsi les roues de totalisateurs à zéro.
A la fin de la première moitié du second cycle, la bielle 580 se déplace vers le haut, sans communiquer aucun mouvement au le vier 584, étant donné que l'encoche pratiquée dans le bras 581 est écartée de l'ergot 583 du levier 584, et entrainant avec lui le levier 587 contre la tension du ressort 783, jusqu'à ce que l'ergot 589 s'échappe de l'encoche 780 et vienne reposer une fois de plus contre l'ex trémité de droite du levier 587. Ainsi, le tota lisateur B demeure dégagé du mécanisme différentiel pendant tout son mouvement.
Lors que le levier 570 revient dans le sens dextror- sum jusqu'à sa position de repos et que l'ergot 590 fait basculer la bielle 580 dans le sens senestrorsum pour réengager l'encoche du bras 581 avec l'ergot 583 du levier 584, un bras de rappel 784, pivotant sur l'arbre 622 et maintenu par un ressort 785 contre un ergot du levier 621, vient porter contre un ergot fixé au bras 581 pour aider au réembrayage.
Un sous-total est extrait du totalisateur A par enfoncement de la touche de sous- total 29a, ce qui provoque l'actionnement à la fois de la plaque de coulisse de total<B>681</B> (fig. 27) et de la plaque de coulisse de sous-total 691 (fig. 2).
Cette dernière positionne un mé canisme qui empêche le débrayage du tota lisateur A pendant le second cycle, de sorte que le montant du total imprimé se trouve réintroduit dans le totalisateur A . Ce mécanisme comprend (fig. 2) l'ensemble suivant : sur l'ergot 688 est montée une pla que 786 comportant une fente 787, dans la quelle roule un galet 788 (voir fig. 34) monté sur une plaque 789 pivotant sur un arbre de support d'imprimerie 790.
La plaque 786 comporte un ergot 791 qui est engagé par un épaulement 1792 pratiqué sur la plaque cou lissante de sous-total 691 (voir fig. 2), lorsque cette dernière est enfoncée, faisant par là bas culer la plaque 786 et la plaque 789 dans le sens senestrorsum. Sur le levier de total 570 (fig. 34) pivote en 792 une bielle 793 com portant à son extrémité supérieure une fente 794 qui chevauche un ergot 795 de la plaque 789.
Lorsque la plaque 789 pivote dans le sens senestrorsum, un galet 796 monté sur la bielle 793 est déplacé vers l'arrière et, lorsque le levier 570 est basculé dans le sens senes- trorsum, pendant la seconde moitié du premier cycle, la bielle 793 est forcée vers le haut, entraînant l'ergot 796 jusqu'à la position de fig. 35.
Dans cette position (fig. 4), l'ergot 796 se trouve dans une position telle qu'il va être en contact avec le rebord supérieur de la bielle 562 (fig. 19), de sorte que celle-ci ne peut pas basculer suffisamment dans le sens dextrorsum pour engager l'encoche 567 avec l'ergot 575 et dégager le totalisateur A , lequel, par conséquent, demeure en prise avec le méca nisme de barres d'arrêt différentielles pendant la totalité de la seconde moitié du second cycle. <B>Il</B> reçoit ainsi de nouveau le nombre qui y avait été recueilli pendant là première moitié de ce cycle.
Lorsqu'on effectue une opération de total ou de sous-total à partir du totalisateur B , la touche 30 B'* est enfoncée et par la suite la touche de total 29 ou la touche de sous- total 29a, selon le cas, est enfoncée à son tour. L'extrémité arrière du levier 797 (fig. 25) calé sur l'arbre 467 qui est basculé lorsque la tou che 30 est enfoncée, est couplée par goupille et fente à l'extrémité avant d'un levier 798 pivotant sur l'ergot 665. L'extrémité arrière de ce levier porte sur un ergot 799 lui-même fixé à un levier pivotant 800, sous l'influence d'un ressort 801.
Une bielle 802, articulée à une oreille qui descend de l'extrémité arrière du levier 800, a son extrémité supérieure munie d'une fente qui coopère avec un ergot 803 fixé à un bras orienté vers l'arrière du levier 610 (voir aussi fig. 20) qui dégage le totalisateur A lors que la touche sélectrice de totalisateur B 27 (fig. 1) est enfoncée.
Lorsque la touche 30 (fig. 25) est enfoncée, le levier 797 bascule dans le sens senestrorsum, forçant la bielle 802 vers le haut et basculant le levier 610 dans le sens senestrorsum, de telle sorte que l'ergot 609 soit en position pour empêcher le ré- embrayage du totalisateur A , avant que les crémaillères reviennent, en rendant inopé rants les crochets 573. Une oreille 804, tournée vers le haut, du levier 610 porte contre un ergot 805 fixé à un levier 806 qui pivote en 807 et qui comporte une oreille 808 en ligne avec un ergot 809 d'un levier 810 pivotant en 553.
Lorsque la bielle 802 est forcée vers le haut, le levier 806 est basculé dans le sens dextrorsum. Le levier 810 comporte un pied 811 qui porte contre l'ergot 564 de la bielle 562 (voir fig. 19), mais ordinairement celle-ci est libre de faire basculer le levier 810 dans le sens dextrorsum lorsque le levier 570 (fig. 19) est actionné dans une opération de total ou de sous-total.
Lorsque le levier 810 (fig. 25) est basculé dans le sens dextrorsum, cepen dant, au moment où le levier 610 exécute son mouvement inverse, l'oreille 808 est maintenue contre l'ergot 809, empêchant le levier 810 de se déplacer et maintenant le pied 811 ferme ment contre l'ergot 564. Par conséquent, lors que la machine effectue une opération de total ou de sous-total, le totalisateur A est dé brayé pendant la première partie de chaque cycle et est réembrayé après que les entraî- neurs des montants ont été ramenés par la plaque 601 (voir fig. 19).
La bielle 802 (fig. 25) comporte un bras 812 qui, lorsqu'elle est soulevée, vient toucher un ergot 782 du levier 587 (voir aussi fig. 19), faisant basculer ce dernier dans le sens senes- trorsum jusqu'à la position inactive.
Si, main tenant, la touche 30 B* étant enfoncée, la touche de total 29 est utilisée, la bielle 580 demeure en prise avec l'ergot 583 (voir aussi fig. 19) jusqu'à ce que l'ergot 590 (fig. 19) s'en écarte pendant la seconde moitié du pre mier cycle et le totalisateur B demeure en position engagée pendant la première moitié du second cycle, de manière à transmettre son total aux crémaillères des montants.
Le crochet du bras 582 (fig. 19) de la bielle 580 se trouve sous l'ergot 586 du levier 584, lorsque la bielle 580 monte pendant la dernière partie de la première moitié du second cycle, dégageant le totalisateur B avant que les crémaillères des montants ne revien nent, laissant ainsi les roues de totalisateurs à zéro.
Si la touche de sous-total 29a est enfoncée, un ergot 813 (voir fig. 4) se déplace vers l'ar rière lorsque la bielle 793 est basculée dans le sens dextrorsum, afin de maintenir la bielle 580 (fig. 19) et l'empêcher de pivoter dans le sens dextrorsum assez loin pour venir se pla cer sous l'ergot 586 ; de sorte que le totalisa teur B demeure engagé pendant le mouve ment de retour des crémaillères de manière à rendre audit totalisateur, pendant la seconde moitié du second cycle, le nombre qui en avait été extrait pendant la première moitié du se cond cycle.
<I>Mécanisme imprimeur de symboles</I> La fig. 36 est une vue en plan d'une par tie des mécanismes bien connus de déplace ment de ruban et d'imprimerie et les fig. 37 et 38 représentent un mécanisme bien connu d'entraînement et de déplacement de ruban.
Sur l'arbre 790 (fig. 36 et 37) peut pivoter un étrier 814 articulé grâce à une bielle 815 (fig. 3) au levier 387. Lorsque la bielle 367 se déplace de la position positive représentée à la fi,,. 3 à la position négative, l'étrier 814 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 3) et dans le sens contraire (fig. 37). Le bras droit de l'étrier 814 comporte un talon 816 orienté vers l'arrière (fig. 37).
La fig. 36 montre une bobine de ruban de gauche 817, un guide de ruban de gauche 818, et une plaque de guide de ruban de gauche 819, qui porte une extré mité inférieure fourchue, laquelle s'engage sur l'arbre 820 qui traverse les bâtis latéraux d'imprimerie 821 et 821a (fig. 36). Un ergot 821b (fig. 37) est supporté par ladite plaque de guide de ruban 819, et grâce auquel cette plaque et le mécanisme associé peuvent être soulevés. Sur l'arbre 820 est montée rotative une plaque-came 822 qui comporte une butée d'arrêt 823 portant normalement contre l'er got 821b.
Si la came 822 tourne dans le sens dextrorsum depuis la position de fig. 37, la plaque de guidage 819 et le mécanisme associé sont soulevés, de sorte que la moitié inférieure rouge d'un ruban 832 se trouve à l'alignement de la position d'impression, à la place de la partie supérieure noire. Sur l'arbre 820 est montée folle une plaque d'entraînement 824 (fig. 38) reliée par une bielle 825 à un levier 826 fixé à l'arbre principal d'entraînement 55.
Lorsque celui-ci tourne dans le sens senestror- sum (fi-. 38), pendant la première moitié d'un cycle, puis dans le sens dextrorsum pendant la seconde moitié du cycle, la plaque d'entraîne ment 824 est entrainée d'abord dans le sens dextrorsum puis ramenée pendant la seconde moitié du cycle.
Cette plaque 824 est articulée à un cliquet de verrouillage 827 sollicité par un ressort vers une encoche pratiquée dans la came 822 et normalement empêché de s'enga ger avec cette encoche par le talon 816 (fig. 37) qui bascule dans le sens senestrorsum avec l'étrier 814 pendant un mouvement de sous traction et libère le cliquet de verrouillage 827 lui permettant d'entrer dans l'encoche. Pen dant la première moitié du cycle subséquent de la machine, la plaque 819 va se déplacer vers le haut et va être ramenée pendant la dernière moitié dudit cycle.
La plaque 819 est reliée à une plaque-guide jumelle 828 (voir fig. 32 et 33) par un étrier consistant en un bras 829 (fig. 36), un tube 830 monté sur l'arbre 790 et un bras 831, monté sur l'extré mité de droite du tube 830. Les plaques de guidage 819 et 828 sont par conséquent dé placées ensemble vers le haut pendant les opé rations de soustraction. Le mouvement de la plaque de guidage du ruban de droite 828 (fig. 32 et 33) est utilisé pour mettre en posi tion le caractère ou symbole négatif approprié, ainsi qu'on le verra.
Selon la fig. 36, il existe dix barres à caractères 833 correspondant aux ordres de numération ; une barre à caractères 834, sur laquelle figurent les caractères symbo liques - ,<I> S , </I> cr <I> ,</I> * , CR et #_ , de haut en bas (fig. 34) ; enfin, une barre à caractères 835, sur laquelle sont gra vés les caractères<I> A </I> et<I> B </I> (fig. 29). Les caractères sont montés dans la case associée afin de pouvoir reculer jusqu'à une position rétractée, après quoi ils sont amenés à frapper contre le ruban sur le cylindre 92.
En ce qui concerne le positionnement de la barre à caractères 834 dans la position d'im pression (fig. 34), c'est normalement un carac tère en blanc 836 qui se trouve maintenu. La partie inférieure de la barre 834 comporte un ergot 837, sur lequel s'engage l'extrémité four chue du bras orienté vers l'arrière d'un levier 838 monté sur un ergot 839. Le bras orienté vers le haut du levier 838 forme une moitié d'une paire de ciseaux qui entoure l'ergot 840 d'une bielle 841 articulée à un bras 842 qui est solidaire de la plaque de guidage de ruban de droite 828. L'autre moitié des ciseaux est formée par un bras 843 d'un étrier 844, com portant une queue 845 tournée vers le bas, qui vient porter contre le galet 83. Les bras de ciseaux 838 et 843 sont maintenus en contact avec l'ergot 840 par un ressort 846.
Lorsque le galet 83 se déplace vers l'arrière pendant la première moitié d'un cycle, l'étrier 844 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 32), sous l'ac tion d'un ressort 847, entraînant avec lui le levier 838,à moins que celui-ci ne soit retenu par ailleurs. Ce mouvement de l'étrier 844, par conséquent, par l'intermédiaire de la liaison provisoire des ciseaux avec le levier 838, fait que la barre à caractères 834 (fig. 34) se dé- place vers le haut. Les extrémités de droite de l'étrier 844 comportent un bras orienté vers le haut avec une oreille recourbée 848 qui nor malement vient toucher le rebord arrière du levier 598 (fig. 34).
Ce rebord, dans la position représentée à la fig. 34, empêche l'étrier 844 de se dépla cer et, lors d'un cycle d'enregistrement avec le mécanisme totalisateur en position positive, la barre à caractères 834 se déplace de telle sorte qu'aucun symbole distinctif du type d'opéra tion ne s'imprime après le nombre, comme on peut le voir en 849, 849a, 850 et 851 (fig. 14). Si un nombre doit être introduit négativement, l'étrier 844 (fig. 32) est empêché de se dépla cer, mais l'ergot 840 est tiré vers le haut lors que la plaque de guidage de ruban 828 s'élève, donnant au levier 838 un cran de mouvement vers le haut afin de permettre au symbole né gatif - de venir en position d'impression.
Ce mouvement d'un cran se produit à chaque opération d'enregistrement négatif, à chaque opération de total ou de sous-total négatif, et met la barre à caractères un cran plus loin que celui qui est déterminé par l'étrier 844.
On a donné en 852, 853, 854 et 855 (fig. 14) des exemples d'enregistrements négatifs. Dans les opérations de sous-total, le mouve ment dans le sens dextrorsum de la biellette 793 (fig. 34) met en position un ergot 856 sous un levier 857, monté sur l'ergot-pivot 599, de manière à soulever ledit levier 857 jusqu'à la position dans laquelle l'arête 858 se trouve en ligne avec l'oreille 848.
En se déplaçant dans le sens senestrorsum, l'arête supérieure du levier 857 vient en contact avec un ergot 859, ce qui écarte le levier 598 du trajet de l'oreille 848, de telle sorte que cette dernière permette à l'étrier 844 de se déplacer jusqu'à ce que l'oreille 848 vienne rencontrer l'arête 858 afin de mettre en position d'impres sion le caractère de total partiel S , comme on peut le voir en 862 (fig. 14). Si le montant figurant dans le totalisateur est négatif, la barre à caractères 834 est soulevée d'un autre cran de manière à amener le caractère CR en position d'impression. On voit en 863 (fig. 14) un exemple d'une telle impression.
Dans le cas d'un total, le mouvement ascendant de la biellette 793, s'exécutant cette fois-ci sans aucun mouvement dans le sens senestrorsum, amène une arête 860 en ligne avec l'oreille 848, ce quia pour résultat de mettre en posi tion d'impression le caractère Y de la barre à caractères 834. Dans l'exécution d'un total négatif, la barre 834 se soulève d'un cran de plus de manière à amener en position d'im pression le caractère CR .
Dans les opéra tions de non-addition, la bielle 594 se déplace vers l'avant, tirant sur la biellette 597 dans le sens descendant et vers l'avant, d'où un mouvement senestrorsum du levier 598 jus qu'à ce que son extrémité arrière se trouve au- dessus de l'oreille 848 (fig. 34). Ainsi, lorsque le cycle de la machine est déclenché, l'oreille 848 se promène sous le levier 598 et au-dessus du levier 857, permettant le plein mouvement de la barre à caractères 834 qui amène en po sition d'impression le caractère de non-addi- tion # .
A la fig. 29 est représentée la barre à ca ractères 835 qui porte les caractères A et B , désignant respectivement les totalisa teurs<I> A </I> et<I> B .</I> Un caractère vierge 861 est en position d'impression lorsque la ma chine est au repos et lorsque des enregistre ments sont faits à la fois dans les totalisateurs <I> A </I> et<I> B .</I> Un étrier 864 (fig. 29), pivo tant sur l'ergot 839, comporte un bras gauche 865 orienté vers l'arrière, lequel a une extré mité fourchue qui coopère avec un ergot 866 fixé au sommet de la barre 835 et un bras droit 867 orienté vers le bas,
lequel possède une oreille recourbée 868 adaptée normale ment pour coopérer avec une arête 869 d'une pièce de commande 872 de manière à mettre en position à vide la barre"à caractères 835, comme on peut le voir à la fig. 29. Un levier 873 porte une arête 870 contre laquelle l'oreille 868 repose en position A (fig. 28), alors que la pièce 872 présente une seconde arête 871, contre laquelle l'oreille 868 repose en position B (fig. 30 et 31).
La pièce de commande 872 est fixée au levier 873 pivoté en 876 et comportant un ergot 874 qui limite son mouvement dans le sens senestrorsum à partir de la position de fi-. 29, en coopérant avec une partie du bâti latéral de droite sous l'influence d'un ressort 875.
Lorsque la plaque 882 (fig. 22) est bascu lée dans le sens senestrorsum au moment de l'enfoncement de la touche 26 A , une queue 890 de cette plaque 882 vient en con tact avec un ergot 892 fixé au levier 873 (voir fig. 28), le faisant basculer suffisamment dans le sens dextrorsum pour amener l'arête 870 en ligne avec l'oreille 868. L'étrier 864 comporte un bras 893 (voir fig. 29) qui porte contre le galet 83, sous l'influence d'un ressort, lequel maintient normalement la barre à caractères 835 en position inactive.
On voit, d'après la fig. 20, que lorsque la plaque 657 est basculée dans le sens senestror- sum par enfoncement de la touche 27 B , une queue 894 vient toucher un ergot 895a du levier 873, l'amenant à la position de fig. 30, position dans laquelle l'arête 871 est en ligne avec l'oreille 868, de sorte qu'au cours du cycle, l'étrier 864 est laissé libre de basculer suffisamment pour amener la barre à carac tères 835 dans la position d'impression du symbole B .
Lors de l'exécution d'un total ou d'un sous- total dans le totalisateur A , le mouvement senestrorsum du levier 570 (fig. 29) déplace la biellette 895 qui y est articulée, vers l'ar rière, celle-ci étant guidée sur l'ergot 876 sous l'influence d'un ressort 896. Un bras 897, fai sant saillie vers le haut de la biellette 895, porte contre l'ergot 874, faisant basculer le levier 873, de telle sorte que l'arête 870 co opère avec l'oreille 868 pour placer le carac tère A en position d'impression.
Pour un total ou un sous-total extrait du totalisateur B sous l'influence de la touche B* , une queue 898 (fig. 31) du levier 800 qui est alors basculé va, du fait qu'elle s'en gage avec l'ergot 895a du levier 873, faire bas culer ce dernier pour amener l'arête 871 en ligne avec l'oreille 868, de telle sorte qu'en cours de fonctionnement, le symbole caracté ristique B se place en position d'impres sion.
En fig. 14, on voit en 900 un exemple de total extrait du totalisateur A et en 901 un exemple de total créditeur imprimé d'après le totalisateur B .
L'enfoncement de la touche de non-addi- tion 31 (fig. 26a), après déclenchement de la machine, est empêché par le mécanisme ci- après. Un levier coudé 900 (fig. 2) pivote en 646 (fig. 20) et comporte un bras tourné vers l'arrière 902, lequel porte une équerre 903 qui est en contact avec un bras faisant saillie vers l'arrière et vers le bas du levier 424 (fig. 2), lorsque ce dernier est déclenché,
ce qui fait basculer le levier 900 dans le sens dextrorsum jusqu'à la position active dans laquelle il se trouve placé sous l'ergot 488 (fig. 26a), em pêchant ainsi l'enfoncement de la touche de non-addition 31.
En se reportant à la fig. 18, on voit que les touches 29, 29a, 26, 27 et 31 comportent, respectivement, des ergots 904, 905, 906, 907 et 908 qui coopèrent avec des plaques coulis santes connues 909, 910, 911 et 912, avec partie supérieure inclinée. Ces plaques cou lissantes sont assemblées par goupilles et fen tes au support 406, de sorte qu'elles ne peu vent exécuter que des mouvements latéraux de coulissement limités. L'enfoncement de l'une quelconque des touches qui précèdent, 29, 29a, 26, 27 et 31, pousse de côté la ou les coulisses adjacentes qui vont se trouver toutes ramenées en masse, de sorte qu'aucune autre desdites touches ne pourra être enfoncée, car il n'y a pas de place pour leurs ergots respec tifs. Ceci empêche que plus d'une des touches soit utilisée à la fois.
La touche B 27 est ramenée par res sort et non pas verrouillée, le mécanisme com mandé par elle et représenté à la fig. 20 étant maintenu en position efficace lorsque la ma chine est déclenchée par une oreille 920 (fig. 2) d'un levier 921 pivotant sur le bâti latéral de droite en 922 et couplé au levier 692 par un couplage à goupille et fente 923. Lorsque le levier 692 bascule dans le sens dextrorsum, au moment où la machine est déclenchée, le levier 921 bascule dans le sens dextrorsum, ce qui amène l'oreille 920 vers l'avant.
Si la tou che 27 B n'est pas enfoncée, l'oreille 920 glisse dans une fente 924 de la plaque 657, empêchant l'enfoncement de la touche 27 B pendant que 'la machine est en fonc tionnement. A la fin de l'opération, l'oreille 920 est amenée à la position représentée à la fig. 2. Si la touche B a été enfoncée, la plaque 657 a pivoté dans le sens senestrorsum et, lorsque le levier se déplace dans le sens dextrorsum, l'oreille 920 se place sous le pied 925 qui est soulevé, empêchant le retour du mécanisme associé à la touche B à la posi tion normale, tant que la machine n'a pas achevé son cycle.
On voit d'après la fig. 22 que la plaque 882, associée à la touche 26 A , est mon tée sur le même pivot que la plaque 657, direc tement derrière celle-ci (fig. 2) et coopère aussi avec l'oreille 920 de manière à commander le mécanisme associé à la touche 26 A , empêchant l'enfoncement de cette dernière une fois qu'un fonctionnement de la machine a commencé et verrouillant le mécanisme asso cié à ladite touche en position manoeuvrée jus qu'à ce que le fonctionnement de la machine soit terminé.
La fig. 2 montre que la coulisse 878, asso ciée à la touche A , porte, à son extrémité inférieure, un ergot 930 qui fait saillie sur le trajet du levier 647 associé à la touche B . Si cette dernière est enfoncée, l'extrémité ar rière du levier 647 entre en contact avec l'er got 930, empêchant la touche A d'être en foncée. Inversement, si la touche A est en foncée, la touche B ne peut pas l'être, car l'ergot 930 descend contre l'extrémité arrière du levier 647. Grâce à cet interverrouillage, une seule des deux touches<I> A </I> ou<I> B </I> peut être en position enfoncée à un moment donné.
La touche de total est ramenée par res sort, ainsi que la touche de sous-total, mais les coulisses associées sont verrouillées en po sition manoeuvrée ou non manoeuvrée par le levier 687 (fig. 2) précédemment décrit. Lors que la coulisse 199 (fig. 17) se déplace vers l'arrière au cours des opérations de total ou de sous-total, le levier 478 est déplacé vers l'arrière (voir aussi fig. 24) et vient directe- ment sous la jambe 484 du levier de déclen chement 422 (voir fig. 27) empêchant toutes les opérations à un seul cycle.
L'action du mécanigme de soustraction pendant une opération à deux cycles est em pêchée par le mouvement de recul du levier 478 qui, de la sorte, vient se placer sous un rebord 928 de la plaque 437 (fig. 2a), ainsi que cela est représenté en traits pointillés, lorsque commence l'opération de total ou de sous-total.
<I>Description générale d'une série d'opéra-</I> <I>tions</I> Il faut se reporter aux fig. 1 et 14 : on prendra comme exemple une série d'opérations dans laquelle les deux premiers nombres à in troduire doivent l'être à la fois dans les tota lisateurs<I> A </I> et<I> B</I> . Par conséquent, il suffit d'enfoncer la touche 24<I> A</I> et<I>B </I> afin de créer un état dans lequel les nombres com posés sur le clavier soient enregistrés dans les deux totalisateurs à la fois. Le nombre 0,22 est composé sur les touches de montants 22 et l'on enfonce soit la touche 26 A , soit la touche 27 B . Ceci déclenche un fonc tionnement de la machine et introduit le nom bre dans les deux totalisateurs.
Ensuite, on compose sur les touches 22 du clavier le nom bre 0,05 et l'on enfonce soit la touche A , soit la touche B . On remarquera qu'il n'y a aucune indication imprimée quant aux tota lisateurs qui ont reçu ces deux nombres et ceci est le cas lorsque les nombres sont enregistrés dans les deux totalisateurs à la fois. On sup pose que les deux nombres suivants doivent être introduits dans un seul totalisateur.
On enfonce alors la touche 25, on compose le nombre 0,14 sur les touches 22 et, comme le nombre doit être introduit soustractivement dans le totalisateur A , on enfonce simul tanément les touches 26 et 28, ce quia pour résultat d'imprimer le montant, le signe - et le signe A en rouge, ce qui indique que le montant a été introduit soustractivement dans le totalisateur A seulement.
Ensuite, on compose le nombre 0,05 sur le clavier et l'on enfonce la touche 27 B , ce qui ajoute le nombre dans le totalisateur B ; le nom bre imprimé est suivi du caractère <I>B<B> .</B></I> Comme le nombre suivant doit être enregistré soustractivement dans les deux totalisateurs, on enfonce la touche 24, on compose le nom bre 0,15 sur le clavier et l'on enfonce la touche 28, laquelle introduit le montant soustractive- ment dans les deux totalisateurs à la fois. Sur le papier, on voit apparaître le montant im primé suivi du signe - en rouge.
Ensuite, on désire extraire un sous-total du totalisateur A . Il suffit alors d'enfoncer la touche 29a, ce quia pour résultat de faire apparaître un solde créditeur de 0,02 en rouge, suivi du ca ractère CR et du caractère A , ce qui représente le totalisateur A . Après cela, on recueille un sous-total du totalisateur B en enfonçant la touche 30 B , après quoi l'on actionne les touches 29a et le montant 0,17 suivi des caractères<I> SB </I> est imprimé en noir, ce qui indique que le nombre est positif. Etant donné que le montant suivant est sup posé être introduit seulement dans le totalisa teur B , on enfonce la touche 25, on com pose le nombre 0,60 sur le clavier et l'on enfonce simultanément les touches 27 et 28.
Ceci a pour effet d'enregistrer le nombre dans le totalisateur B soustractivement et de l'imprimer en rouge, suivi du signe - et d'un B . Le montant suivant est composé avec les touches de montants, la touche 26 A est enfoncée et le nombre sera imprimé, suivi d'un A , ce qui indique qu'il a été additionné dans le totalisateur A seule ment. Etant donné que le montant suivant doit être introduit dans les deux totalisateurs simul tanément, la touche 24 sera enfoncée, après quoi on composera le nombre 0,10 et l'on en foncera la touche 28 seule, ce qui enregistre le nombre négativement dans les deux totali sateurs. Le montant est imprimé en rouge et est suivi du signe - .
Le total A est recueilli en enfonçant la touche 29 seule et le nombre se trouve imprimé, en même temps qu'un * et un A . Ensuite, on extrait le total du totalisateur B , et ceci est réalisé en enfonçant la touche 30 B* , après quoi l'on enfonce la touche 29 et le nombre 0,53 apparaît alors en rouge suivi des caractères CR et B .