CH309352A - Caisse enregistreuse. - Google Patents

Caisse enregistreuse.

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CH309352A
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Gmbh National Registr Augsburg
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Nat Registrier Kassen Augsburg
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Description


  Caisse enregistreuse.    La. présente invention a pour objet une  caisse enregistreuse destinée à effectuer des  soustractions par addition, du complément.  



  On connaît déjà des caisses dans lesquelles  la soustraction peut être effectuée par le pro  cédé de l'addition complémentaire et dans  lesquelles, par ailleurs, un total effectif soit  positif, soit négatif, peut être imprimé. Les  mécanismes, toutefois, sont spécialement com  pliqués et de fabrication coûteuse, et le but  de la présente invention est de réaliser une  caisse simple et économique     permettant    de  remplir ces différentes fonctions.  



  La caisse     enregistreuse    faisant. l'objet de  l'invention comprend des touches de montants,  une paire d'organes de positionnement. de  montants pour chaque ordre d'unités, orga  nes mobiles     complémentairement,    une bielle       couplant    chaque organe de positionnement à  un organe de transmission correspondant, un  totalisateur enregistrant les montants et un  mécanisme agissant sélectivement pour dépla  cer le totalisateur, de telle sorte que les roues  de celui-ci coopèrent avec l'un ou l'autre des  organes de transmission de chaque paire, en       vue    d'être mises en place par ceux-ci selon  qu'il s'agit d'une addition ou d'une soustrac  tion.

   Cette caisse enregistreuse est caractérisée  en ce que chacun desdits organes de position  nement de chaque paire est couplé par ladite  bielle à son organe de transmission corres  pondant, de telle façon que les deux organes  de transmission soient mis en place dans le    même sens rotatif pour transmettre soit     un     montant réel, soit le complément de celui-ci,  aux roues de totalisateur, malgré les mouve  ments opposés de leurs organes de transmis  sion correspondants, pour tourner la roue  correspondante du totalisateur, quand ladite  roue -est engagée sélectivement avec     l'un    ou  l'autre des organes de transmission, dans la  même direction soit pour addition, soit pour  soustraction. '  Le dessin annexé représente, à.

   titre  d'exemple, une forme d'exécution de la caisse  enregistreuse faisant l'objet de l'invention.  



       Fig.    lest une vue latérale d'un mécanisme  principal     d'entraînement    de la caisse enre  gistreuse.  



       Fig.    2 est une vue de face du mécanisme  de la     fig.    1.  



       Fig.    3A et 3B, prises ensemble, donnent  une coupe de la caisse, le long de l'une des  rangées de touches de montants.  



       Fig.        4A    et 4B, prises ensemble, donnent  une vue de face de la caisse avec arrachement  partiel du coffre.  



       Fig.    5 est une coupe à travers une partie  d'un mécanisme différentiel de totalisation,  selon la ligne 5-5 de la     fig.    6.  



       Fig.    5A est -une vue schématique en pers  pective d'une partie d'un mécanisme de re  port des dizaines.  



       Fig.    6 est une vue de face du mécanisme  de     fig.    5, le totalisateur étant enlevé.           Fig.    7 -est une vue détaillée d'une partie  du mécanisme différentiel représenté à la       fig.    3.  



       Fig.    8 est une     suie    latérale d'une rangée  de touches de contrôle représentant un méca  nisme destiné à déplacer     axialement    le totali  sateur.  



       Fig.    9 est une vue à plus grande échelle  des touches de contrôle et d'une détente de  contrôle commandée par elles en vue de ren  dre inopérantes des butées d'arrêt à zéro pour  des opérations de total ou de     soiLs-total.     



       Fig.    10 est une     vue    en plan d'une partie  d'un mécanisme de commande d'embrayage  du ou des totalisateurs.  



       Fig.    11 est une     vue    latérale du mécanisme  de commande d'embrayage des totalisateurs.       Fig.    12 est un détail représentant des  ergots sur la détente de commande d'em  brayage.  



       Fig.    13 est une vue en plan d'une partie  du totalisateur, représentant une roue d'addi  tion de l'ordre le plus élevé.  



       Fig.    14 est une coupe selon la ligne     1.-1-14     de la     fig.    15, représentant une roue d'addi  tion de l'ordre le plus élevé et une came qui  y est fixée.  



       Fig.    15 est une vue en plan d'un méca  nisme de  l'unité fugitive .  



       Fig.    16 est une coupe selon la ligne 16-16  de la     fig.    15, représentant une partie du mé  canisme de report des dizaines.  



  Le clavier de la caisse enregistreuse re  présentée présente un certain nombre de ran  gées de touches de montants 10     (fig.    3A),  une touche de soustraction 11     (fig.        4B,    8 et.  9), une touche de     sous-total    12     (fig.    4B, 8 et  9) et une touche de total 13     (fig.    4B, 8 et 9).         Dlécanisme    d'entraînement<I>de la caisse</I>       enregistreuse.       Le mécanisme principal d'entraînement  de la caisse est représenté aux     fig.    1 et 2.

   La  caisse a été représentée ici entraînée au  moyen d'une manivelle 14, mais elle     pourrait     aussi être entraînée au moyen d'un moteur  électrique.    La manivelle 14 peut être reliée, grâce à  un chien d'embrayage 15, à un pignon d'en  traînement 16 qui     engrène    avec un     pignon     intermédiaire 17 monté sur un axe 18 fixé au  côté droit du bâti 19 de la machine.  



  Avec le pignon 17 engrène un autre pi  gnon 20 calé sur un arbre principal 24 et au  quel est fixé un pignon 21 qui engrène avec  un pignon similaire 22 calé sur un arbre à  cames 23. Le mouvement dans le sens     dextror-          sum    de la manivelle 14 (en     fig.    1), par l'in  termédiaire des pignons 16 et 17, entraîne une  rotation semblable du pignon 20, qui, à son  tour, fait tourner les     pignons    22 et l'arbre à  cames 23 dans le sens     senestr        orsum    et dans  le rapport. de un à un.  



  Une came 25, fixée sur l'arbre principal  24, présente une encoche dans laquelle s'en  gage un galet 26 porté par un levier 27 pivo  tant en 28 sur le bâti 19. L'encoche présente  une forme telle que seuls les mouvements dans  le sens     dextrorsum    sont possibles. Un ressort  29, tendu entre l'extrémité inférieure du le  vier 27 et un bouton 30 du bâti 19, assure  une liaison élastique entre le galet 26 et la  came 25.  



       Mécanisme        difféi-eii-tiel.     



  Le mécanisme différentiel des montants  est d'un type courant, dans lequel une paire  d'organes différentiels mobiles     complémentai-          rement    embrassent, les côtés opposés d'une  touche enfoncée ou d'une butée de zéro. Ce  mécanisme n'est décrit ici que brièvement en  fonction d'un seul ordre d'unités.  



  Une paire d'organes différentiels 31, 32       (fig.        3A,    3B, 4B et 7) sont montés fous sur  l'arbre d'entraînement.     principal    24     (fig.    1, 2,  3B, 4B et 7). Un balancier 33 pivote à l'une  de ses extrémités     saur    un     er-ot    34 de l'organe  différentiel 31, tandis que,\ grâce à une en  coche pratiquée à son autre extrémité, il est  en prise avec un ergot 35 de l'organe diffé  rentiel 32.  



  Une came 36, en contact avec l'arête su  périeure du balancier 33, est montée sur une  tringle 37 portée par une paire de bras 38  calés sur un arbre 39     (fig.    3B et 7). La trin  gle 37 supporte aussi des galets 40 (voir aussi      fi-, 4A) qui coopèrent avec une paire de ca  mes 41 calées sur l'arbre à cames 23.

   Lors  que les cames 41 tournent dans le sens     senes-          tr-orsum        (fig.    3B et 7), grâce au mécanisme  d'entraînement décrit     phis    haut, la tringle 37  est déplacée vers la gauche, ce qui oblige la  came 36 à. déplacer le balancier 33 vers l'arbre  principal 24, faisant basculer l'organe diffé  rentiel.

   31 clans le sens     dextrorsum    et l'or  gane différentiel 32 dans le sens     senestrorsum     si cet organe n'est pas arrêté par une butée  d'arrêt à zéro 43 pivotant sur un ergot 85,  jusqu'à ce que ces organes embrassent tous  deux les côtés opposés d'une touche enfoncée  (par exemple la touche  5  représentée en  pointillé en 42 à la     fig.    3A dans sa position  enfoncée) ou que l'organe différentiel 31  entre aussi en contact avec la butée d'arrêt       ü,    zéro 43.  



  Chaque butée d'arrêt à zéro 43 entre en  contact avec un ergot 82 porté par une cou  lisse 83 présentant une série d'arêtes cames  qui coopèrent avec des ergots 84 des touches  de montants 10, de sorte que lorsque l'une  quelconque des touches 10 est enfoncée, la  coulisse 83 est actionnée vers le bas, obli  geant l'ergot 82 à faire basculer le cliquet  d'arrêt de zéro 43 dans le sens     senestrorsum,     clé telle sorte que sa queue se trouve retirée  du trajet de l'organe différentiel 32.  



  Les organes différentiels 31 et 32 sont ra  menés en position normale par le mécanisme  suivant:  Des fentes en arc de cercle 44, 45 prati  quées dans les organes différentiels 31 et 32,  respectivement     (fig.    3A, 3B et 7) sont en con  tact avec des ergots 46, 47 fixés à des bras  48, 49 montés sur la. tringle 37 (voir aussi       fiÏ.    4B).  



  A chaque extrémité de la tringle 37 est  monté un levier 50 (dont un seul est repré  senté aux     fig.    3B et 7), terminé par une four  chette qui embrasse l'arbre principal 24. Ces  leviers 50 portent des galets 51 qui coopèrent  avec des cames 52 fixées sur l'arbre principal  24, clé telle sorte que, lorsque l'arbre et les       cïimes    tournent dans le sens     dextrorsum,    les    leviers 50, et par conséquent la tringle 37, se  déplacent vers la droite en s'écartant de l'ar  bre 24, sur quoi les ergots 46, 47 coopèrent.

    avec les extrémités des fentes cames 44, 45 et  font tourner les organes différentiels 31, 32  en sens contraire l'un de l'autre, ce qui les  ramène à leurs positions normales, telles que  représentées aux     fig.    3B et 7.  



  Pendant l'intervalle compris entre le mou  vement de mise en place et le mouvement de  retour des organes différentiels 31 et 32, ces  derniers sont alignés dans les positions choi  sies par un étrier d'alignement 53     (fig.    3B  et. 7) qui s'étend derrière toutes les rangées  de touches de montants. L'étrier d'alignement  53 est. porté par une paire de bras 54, pivo  tant sur l'arbre 39 et reliés, par leur extré  mité arrière, à des bielles 55 portant des ga  lets 56 et 57, qui coopèrent avec des cames 58  et 59 calées sur l'arbre à cames 23.

   Une fois  que les organes différentiels 31 et 32 ont été  mis en place, les cames 58 et 59 font basculer  les bras 54 dans le sens     dextrorsum,    ce qui  oblige l'étrier d'alignement 53 à s'engager  dans les dents pratiquées dans les organes  différentiels et à maintenir ces derniers fer  mement dans les positions qui leur ont été  données.    <I>Mise en place des mécanismes</I>     imprimeurs     <I>et</I>     indicateurs.     



  Sur l'arbre principal 24 sont montés fois  (voir     fig.    3B et 7) un certain nombre de seg  ments dentés 60, un par rangée de montants,  sur les côtés opposés de chacun desquels s'en  gagent des ergots 61, 62 solidaires des organes  différentiels 31, 32, respectivement, de sorte  que les segments 60 sont mis en place dans  une position correspondant aux mouvements  combinés des pièces différentielles 31 et 32.  



  Les dents des segments 60 engrènent avec  des pignons 63     (fig.    3A, 3B et 4) fixés chacun  sur l'un de plusieurs arbres 64 emboîtés les  uns dans les autres. A l'autre extrémité des  arbres 64 sont fixés individuellement des pi  gnons 65 qui engrènent chacun     (fig.    4A) avec  des pignons correspondants 66 fixés chacun à  l'un des tubes d'un ensemble de tubes télesco-      piques 67 qui portent à leur autre extrémité  des roues à caractères 68.  



  Chaque segment 60 est relié, par une bielle  69     (fig.        3B    et 7), à un segment d'indicateur  70 monté fou sur l'arbre à cames 23 et engre  nant avec un     pignon    d'entraînement. 71       (fig.    3B et 4B) fixé sur le côté d'un tambour  indicateur frontal 72 porté par un arbre de  support 73 porté par des étriers 74. L'étrier  74 de droite est supporté par le bâti latéral  19, et l'étrier 74 de gauche est supporté par  une barre 75     (fig.    4A) portée par des bâtis  76 et 77.  



  Les tambours indicateurs frontaux 72, qui  sont visibles à travers une ouverture 78       (fig.    4B) pratiquée dans le coffre 79 de la  machine, sont reliés par     tm    ensemble de tubes  télescopiques 80 aux tambours indicateurs  arrière 81.  



       Segments   <I>de mise en place du</I>     totalisateur.     A chacun des organes différentiels 31 et  32 sont fixées des bielles 86 et 87     (fig.    3A, 4B,  5, 5A et 7) qui sont reliées par leur autre  extrémité à des segments 88 et 89, respective  ment, lesquels pivotent sur un arbre 90 sup  porté dans la partie latérale du bâti de la  machine, de telle sorte que les     segments    88 et  89 soient toujours entraînés dans le sens     se-          nestrorsum        (fig.    3A) dans les mouvements de  positionnement et dans le sens contraire dans  les mouvements de retour.  



  Sur l'arbre 90, à côté de chacun des seg  ments 88, 89 sont montés des bras pivotants  91     (fig.    3A, 4B, 5, 5A et 6). A l'extrémité de  chaque bras est ménagée une     fente-came    139,  dont le but sera expliqué plus loin et, pour  envelopper cette     fente-came,    un court man  chon 92A représenté en pointillé à la     fig.    5 A  est fixé sur le bras. Sur les extrémités de ces  courts manchons des paires associées de seg  ments 88, 89 pivotent des pignons intermé  diaires 92 et 93 qui     engrènent.    chacun avec  le segment correspondant.  



  Comme indiqué précédemment, les organes  différentiels 31 et 32, pendant l'intervalle  qui s'écoule entre leur mise en position et leur  mouvement de retour, sont. maintenus par    l'étrier d'alignement 53     (fig.    3B), Le mouve  ment d'embrayage du     totalisateur    se produit  sensiblement au moment où l'étrier d'aligne  ment est dégagé.

   Pour empêcher les organes  différentiels     d'exécuter    tout mouvement in  tempestif à ce moment, sur un arbre 149       (fig.        3A,4$    et. 5) est monté un     cliquet    178 pour  chacun des pignons     intermédiaires    93, et des  cliquets correspondants 179 pour chacun des  pignons intermédiaires 92, Chaque paire adja  cente de .cliquets est normalement     maintenue     en contact avec une barre de     retenue        18l.    qui  s'étend entre des bras de support 96 et 97 de  totalisateur et sous l'action d'un ressort de  torsion 180.

   De cette faon, quand le totali  sateur est embrayé, les cliquets 178 et 179  viennent en prise avec leurs     pignons    intermé  diaires correspondants 92 et 93 pour les re  tenir contre tout mouvement intempestif, tout  en cliquetant sur les dents des     pignons    92, 93  quand ceux-ci sont entraînés de force par les       organes    différentiels.  



  <I>Totalisateurs.</I>  Chaque totalisateur comprend une série. de  roues de totalisation 94     (fig.   <B>3A,</B> 4B, 5, 5A,  1.1 et 13) qui peuvent tourner sur un arbre de  support 95, fixé entre les bras de support 96  et 97 portés par l'arbre 149. L'arbre 95 et les  bras 96 et 97 formant un cadre qui     petit    être  déplacé     axialement    en vue d'aligner les roues  de totalisateur avec ].'un ou l'autre des pi  gnons intermédiaires 92 ou 93 et qui peut être  basculé pour mettre les roues de totalisateur  en prise avec les pignons sélectionnés, comme  expliqué plus loin.  



  Les roues de totalisateur 94 ne peuvent  tourner accidentellement. pendant les mouve  ments d'embrayage et de     débray        age        grâee    à  des     eliquets    de blocage 98 (fi-.<B>3A,</B> 4B et<B>5),</B>  un par roue de totalisateur, pivotant sur une  tringle 99 portée par les bras de totalisateur  96 et 97. Comme on petit le voir à la     fig.        3A,     un prolongement 100 des cliquets repose nor  malement sur la surface pleine d'une plaque  de guidage     incurvée    101 portée par une trin  gle 102, elle-même supportée dans les parties  latérales du bâti de la. machine.

   Les becs des      cliquets s'engagent dans les roues de     totalisa-          1        eur    associées.  



  Lorsque les bras de totalisateur 96, 97  effectuent leur mouvement. d'embrayage dans  le sens     dextrorsum    (en     fig.    5), c'est-à-dire de  la position représentée en     fig.    3A à celle des       fi-.    5 et 5A, une arête     !1    de chaque cliquet 98  s'engage avec une arête B de la plaque 101,  ce qui oblige les cliquets 98 à tourner dans le       sens        dextrorsuin    (en     fig.    5) autour de la trin  gle 99 et à se dégager des roues de totalisa  teur 94. Les prolongements 100 des cliquets 98  pénètrent alors dans des crans 103 pratiqués  clans la plaque 101.  



  Loirs du mouvement de retour effectué  dans le sens     senestrorsum    (en     fig.    5) par les  bras de totalisateur 96, 97, les prolongements  100 des cliquets 98 sont actionnés dans le sens       senestrorsum    par les faces     d    e droite, jouant le  rôle de cames, des fentes 103, grâce à quoi ils  reprennent contact avec les roues de totalisa  teur 94 au moment où celles-ci cessent d'engre  ner avec les pignons intermédiaires 92 ou 93.

           Mécanisme        d'embrayage        oit   <I>de</I>     défrayage     <I>du</I>     totalisateur.       Le temps d'embrayage et de débrayage des  totalisateurs par rapport aux pignons inter  médiaires 92 ou 93, selon l'opération à exécu  ter, c'est-à-dire selon qu'il     s'agit    d'un total,  d'un sous-total ou d'une soustraction, est dé  terminé par trois cames     104,    105, 106     (fig.        3B,          4A,    10 et 11) fixées sur un arbre 107 qui,       entrainé,

      effectue un tour dans le sens     senes-          trorsum        (fig.    11) chaque fois que l'on tourne  la manivelle 14 de deux tours, par l'intermé  diaire d'un train d'engrenages     réducteurs    17,  108, 109 et 110 (fi-. 1 et 2). Sur un arbre  \?11 sont montés fous trois leviers     ebudés    111,  112 et 113, qui ont des bras supérieurs Tour  ehus, tandis que les bras inférieurs portent  chacun un galet, lesquels galets sont respecti  vement maintenus en contact avec les     cames          10-l,    105 et 106 sous l'action de ressorts indi  viduels 114.  



  Un bras 118 est articulé, en 163, au bras  96 du cadre de totalisateur et, comme on le    ->erra en examinant la     vue    de     ce    bras prise  par en dessous, à la     fig.    12, il comporte une  branche parallèle fixée à son extrémité libre  et, à eux deux, le bras et la branche suppor  tent trois ergots qui sont espacés verticale  ment et à égale distance les uns des autres,  mais sans être alignés latéralement. Autre  ment dit, le bras porte un ergot supérieur 115  qui peut s'engager dans l'extrémité fourchue  du levier 111. Entre le bras et la branche  est porté un ergot médian 116 qui peut s'en  gager dans l'extrémité fourchue du levier 112  et, en outre, la branche porte un ergot infé  rieur 117 s'engageant avec le levier 113.  



  Un levier 158, monté fou sur l'arbre à  emboîtements 64, comporte à sa partie infé  rieure un ergot 161 qui s'engage dans une  fente 162 pratiquée dans l'extrémité libre du  bras 118. Le bras supérieur du levier 158  comporte, en 160, une fente destinée à rece  voir un ergot 159 fixé à un bras 157 calé sur  un arbre 155.  



  A la     fig.    11, on a représenté le mécanisme  ajusté pour des opérations d'addition ou de  soustraction, dans lesquelles l'ergot médian  116 se trouve logé entre les fourches de l'ex  trémité du levier 112, tandis que les leviers  111 et 113 ne sont plus .en prise avec leurs  ergots correspondants, respectivement 115 et  117. Si l'on fait tourner l'arbre 155 dans le  sens     .dextrorsum    ou dans le sens     senestrorsum,     un mouvement de sens opposé sera     communi-          qué    au levier 158, et un mouvement semblable  au bras 118, grâce à quoi soit l'ergot 115, soit  l'ergot 117 est amené en prise avec son levier  correspondant, 111 ou 113 respectivement.  



  La manière dont ces dernières opérations  s'effectuent est décrite plus loin. Dans ce qui  suit apparaît la description de l'embrayage du  totalisateur pour des opérations d'addition  ou de soustraction.  



  On voit que, par sa configuration, la came  106     (fig.    11) intervient pour faire tourner le  levier 112 dans le sens     dextrorsum    au moment  opportun du cycle de fonctionnement de la  machine. Le levier 112, par engagement avec  l'ergot 116, déplace le bras 118 vers la droite,  ce qui, à son tour, fait tourner le cadre de to-           talisateur    dans le sens     senestrorsum,    amenant  le totalisateur en prise avec les pignons inter  médiaires 92 ou 93. Le réglage dans le temps  de cet embrayage coïncide avec le mouvement  de retour des organes différentiels, comme dé  crit plus loin d'une manière plus précise, de  sorte que le montant représenté par ces der  niers s'ajoute dans le totalisateur.  



  Lorsque la came 106 libère le levier 112,  ce dernier, avec le bras 118 et le cadre de to  talisateur, sont ramenés à leur position nor  male par le ressort correspondant 114.    <I>Entrées additives.</I>  



  Les roues de totalisateur 94     (fig.    3A, 4B  et 11) sont normalement disposées à l'opposé  des pignons     intermédiaires    93, associés aux  segments additionneurs 89 couplés aux or  ganes différentiels 32.  



  Comme décrit précédemment, pour les en  trées additives, le bras 118     (fig.    11) est dis  posé dans sa position médiane, de sorte que  l'ergot 116 est en contact avec le levier 112,  grâce à quoi le totalisateur s'embraye au mo  ment propice à l'addition     sous    l'influence de  la came 106, c'est-à-dire à l'instant du cycle  de la caisse enregistreuse qui suit celui où les  organes différentiels ont été mis en positions  et avant qu'ils soient ramenés à leur position  normale.  



  Par conséquent, lorsque les organes<B>diffé-</B>  rentiels 31 et 32 sont ramenés à leurs posi  tions d'origine, les segments 89 sont entraînés  en rotation dans le sens     dextrorsum    et les pi  gnons intermédiaires 93 tournent dans le sens       senestrorçum        (fig.    3A) en     vue    d'introduire le  montant convenable dans le totalisateur, après  quoi la came 106 fait que le totalisateur est  débrayé des pignons 93.         Entrées        soustractives.     



  Pour les entrées soustractives, l'opérateur  enfonce la touche de soustraction 11     (fig.    8,  9), en même temps que les touches du clavier  des montants.  



  La tige de la touche de soustraction 11       (fig.    8) comporte, en saillie,     un    ergot 142 qui,  quand on enfonce la. touche, coopère avec une    arête 143 pratiquée sur une coulisse 144 et  déplace celle-ci vers le bas. La face opposée  de la tige de la touche de soustraction 11       ffig.    9) porte -un ergot 172 qui coopère avec  une arête d'une coulisse de blocage 173, en  vue de retenir enfoncée la touche utilisée.  



  A la coulisse 144     (fig.    8) est articulée une  bielle 145 attirée vers le haut par un ressort  150 et reliée à un bras de déplacement de to  talisateur 146 (voir aussi     fi;g.    4B et 6) qui  pivote librement sur     l'arbre,   <B>90.</B> Une fente  diagonale 147 pratiquée dans le bras 146     re-          goit    un ergot 148 fixé sur un manchon soli  daire du bras 96 du cadre de totalisateur.

    Ainsi, lorsque la coulisse 144 est déplacée  vers le bas par suite de l'enfoncement de la  touche de soustraction, le bras 146 tourne  dans le sens     senestrorsum,    et l'action de came  de la fente qui y est pratiquée et de l'ergot  148 -du cadre de totalisateur     amène    ce dernier  à être déplacé vers la droite (fi-. 4B), ce qui  place les roues de totalisateur en face des pi  gnons intermédiaires 92.  



  La     manceuvre    de la touche de soustraction  11 n'a     aucun    effet sur le bras 118     (fig.    11),  de sorte que dans le fonctionnement. de la  caisse qui s'ensuit, le totalisateur est embrayé  avec les pignons 92 en réglage additif, grâce  à quoi le montant qui est représenté par les  positions des organes     différentiels    32 et des  segments de soustraction 88 (lequel montant  est le complément du montant composé par  celles des touches qui ont été enfoncées) se  trouve introduit     additivement    dans le totali  sateur.  



  Lorsque la touche de soustraction 11 est  libérée par la coulisse de rappel 173     (fig.    9),  une fois que l'entrée est terminée et que le to  talisateur est débrayé, la bielle 145 et la cou  lisse 144 sont ramenées vers le haut par le  ressort 150     (fig.    8), ce qui ramène le bras 146  également, de sorte que le totalisateur reprend  la position dans laquelle ses roues sont. en face  des pignons intermédiaires 93.  



       Mécanisme   <I>de</I>     report        des        dizaines.     Comme exposé précédemment, l'arbre 107       (fig.    1 et 2) effectue un tour complet. pendant      un cycle complet de fonctionnement de la ma  chine.     A.    l'arbre 107 est fixé un engrenage  partiel 119 comportant un secteur denté 120  pouvant engrener avec les dents d'un autre  engrenage partiel 121 calé sur l'arbre 90,       grâce    à quoi ce dernier arbre est, entraîné  dans le sens     senestrorsum    et effectue un tour  pendant une période fixe située à l'intérieur  de chaque cycle de     fonctionnement    de la  caisse.

   Pendant. les temps où les     dents    des en  grenages partiels ne sont pas en prise, une  plaque de blocage 122 que porte le pi-non  119 s'engage dans un arc de cercle 123     ménagé     dans le pignon 121 .en     inne    de bloquer ce der  nier. Les pignons sont calés de telle     manière     que l'arbre 90 commence à tourner sensible  ment au moment où les segments de mise en  place atteignent leurs     positions    normales.  



  C'est. en examinant les fig. 5 et 5A, qui eu       donnent.    respectivement une vue en plan et  une vue cavalière, que l'on comprend mieux  le fonctionnement du mécanisme de report.  Les roues de totalisateur 94 sont représentées  en prise avec les pignons intermédiaires d'ad  dition 93 à la     fig.    5 et avec les     pignons    de  soustraction 92 à la     fig.    5A.  



  Chaque roue de totalisateur 94 est pour  vue d'une longue dent de report 124. Un arbre  126, fixé entre les deux faces latérales de la  caisse, traverse avec un grand jeu tous les  pignons intermédiaires 92, 93 et les bras 91.  Sur l'arbre 126 sont montés fous des cliquets  de     report    125, un par roue de totalisateur.  



  Chaque     cliquet    de report 125 comporte  une dent d'avancement 261, une dent de rap  pel 127 et une dent de blocage 137. Cette der  nière est, décalée par rapport au plan conte  nant les     deux    autres dents. Un large cliquet  de blocage 135, monté fou sur un arbre 131       qui    traverse la caisse de bord à bord, s'engage  normalement,

   entre les dents de rappel et de  blocage et doit demeurer dans cette position  sous l'action d'un ressort de torsion 136 qui  le fait tourner dans le sens     senestrorsum.     Une goupille 138 fait latéralement saillie sur  le côté     gaucbe    du     cliquet    125 et     s'engage    clans  une     ouverture-came    139 pratiquée dans le bras  91 qui porte le pignon intermédiaire 92 du    totalisateur de l'ordre immédiatement supé  rieur. Sur le cliquet de report 125, par l'in  termédiaire d'un court manchon, est fixé un  pignon partiel 521 qui engrène avec un engre  nage 130 monté fou sur l'arbre 131 et sur le  quel sont fixées deux dents 132.  



  Deux pignons 129 et 134, calés sur l'arbre  90, sont disposés respectivement dans les  plans des dents 261 et 127 du cliquet 125, et  des dents 132 fixées au     pignon    130, les dents  n'étant normalement pas en prise.  



  Lorsque la roue de totalisateur passe de   9  à  0 , c'est-à-dire en tournant dans le  sens     senestrorsum,    la longue dent. 124 prend  contact avec la queue du cliquet de     report     125 et fait basculer ce dernier dans le     sens          dextrorsum,        grâce    à quoi la dent. d'avance  ment 261 est amenée, par basculement, sur le  trajet des dents 128 du     pignon    129.

   Une  arête pratiquée sur la dent. 137 oblige le     cli-          quet    de blocage 135 à s'écarter, par bascule  ment, des dents 137 et 127 jusqu'à ce que la  crête de la première ait franchi le     sommet    du  cliquet de blocage, après quoi celui-ci glisse  en descente sur la surface inférieure de la  dent, ce qui assure au cliquet de report un  complet mouvement dans le sens     dextrorsum     jusqu'à ce qu'il vienne se reposer entre les  dents 137 et 261.  



  Le mouvement dans le sens     dextrorsum    du  cliquet de report est aussi communiqué au  pignon 521, ce qui fait tourner le pignon 130  dans le sens     senestrorsum.     



  Lorsque l'on fait tourner l'arbre 90,     c'est-          à-dire    dans le sens     senestrorsum        (fig.    5 et 5A),  la première     dënt    128 du pignon 129 vient en  prise avec la dent d'avancement 261 et, par là,  communique un autre mouvement de rotation  dans le sens     dextrorsum    au cliquet de report  jusqu'à ce que le     cliquet    de blocage glisse  par-dessus les dents 261. Ce nouveau mouve  ment du cliquet de report amène les dents 132  du pignon 130 à la position .correcte pour être  entièrement en prise avec les dents 133 du pi  gnon 134.

   En outre, pendant ce nouveau mou  vement dans le sens     @dextrorsum,    la goupille  138 vient en contact avec la partie inférieure      de l'ouverture-came 139 du bras de support  91, de     sorte    que ce dernier se trouve légère  ment déplacé dans le sens     dextrorsum.        Ptant     donné qu'à ce moment le segment de mise en  place 88 ou 89 doit se déplacer, du fait que  les ergots 46, 47 sont en prise avec les extré  mités des fentes 44, 45, pratiquées dans les  organes différentiels, le pignon intermédiaire  92 ou 93 effectue un mouvement planétaire  autour     dudit    segment.

   et, par suite,     tourne          lui-même    dans le sens     dextrorsum    d'un     entre-          dent    et, étant donné qu'à cet instant le tota  lisateur est en prise, une unité se trouve ajou  tée dans la roue de totalisateur de l'ordre  immédiatement supérieur.  



  Une fois le report effectué, le totalisa  teur est débrayé et les dents 133 du pignon       13-1    rencontrent alors les dents 132 et font  tourner ces dernières et. le pignon 130 dans le  sens     dextrorsum    pour les ramener à la posi  tion normale, mouvement qui, à son tour,  fait tourner l'engrenage partiel 521 et le  cliquet de report 125 dans le sens     senestror-          sum    jusqu'à la position initiale. Pendant ce  mouvement, le     cliquet    135     cliquète    sur les  dents 127 et 137.  



  La goupille 138 recule le long de l'ouver  ture-came du bras de support 91 et fait bas  culer celui-ci et le pignon intermédiaire, les  ramenant à leur position haute ou position  normale.  



       Introduction   <I>d'une  unité</I>     ficgitive .     Comme on le sait, lorsqu'on soustrait un  nombre d'un totalisateur par le procédé de  l'addition du complément, le résultat de l'ad  dition directe est en fait inférieur d'une unité  au résultat réel et l'on corrige cette erreur  en s'arrangeant pour qu'un report, qui est  nécessairement effectué à travers la roue de  l'ordre le plus élevé soit transmis sous forme  d'une      imité    fugitive  à la roue de l'ordre  inférieur.  



  Selon les     fig.    13, 14 et 15, la longue dent  124 de la roue de l'ordre le plus élevé du to  talisateur, en passant de  9  à  0  dans une  opération de soustraction, prend contact avec  un cliquet 140 calé sur l'arbre 126, faisant    tourner ces derniers dans le sens     dextrorsum          (fig.    14). Sur l'extrémité opposée de l'arbre       126,à    proximité immédiate de la roue 94 de  totalisateur de l'ordre le plus bas, se trouve  un cliquet de report 141 qui, :de la, sorte, est  amené par basculement sur le trajet des dents  128 du pignon 129 du mécanisme de report       (fig.    5 et 5A).

   Ainsi, lorsqu'il se produit des  opérations de report, une unité se trouve être  ajoutée dans la roue de l'ordre le plus bas, de  la manière décrite, en vue de donner le résul  tat correct.  



  <I>Opération de</I>     total   <I>et</I>     sous-total.     



  Sur la même rangée de touches que la tou  che de soustraction 11     (fig.    4B, 8 et 9) se trou  vent une touche de sous-total 12 et une touche  de total 13.  



  La touche de sous-total 12     (fig.    9) com  porte un ergot 164 et la. touche de total 13  un ergot 165. Tous deux coopèrent avec des  arêtes d'une coulisse 166, de manière à faire  descendre la coulisse contre l'action d'un res  sort 177, quand on enfonce l'une ou l'autre  des deux touches.  



  A l'extrémité     arrière    de la coulisse 166 se  trouve une fente qui     redoit    un ergot 167 d'un  bras 168 calé sur un arbre 169. Sur l'arbre  7:69 est. également fixé un autre bras 170       (fig.    3B), les bras 168 et 170 supportant une  tringle 171 qui s'étend derrière la totalité des  coulisses 83.  



  Lorsque la coulisse 166 se déplace vers le  bas, le bras 168 et le bras 169 basculent dans  le sens     dextrorsum    (en     fi4.    3B), de sorte que  la tringle 171 vient en contact avec la     faûe     arrière de l'ensemble des coulisses 83 de com  mande de butée de zéro     (fig.    3A et 3B), les  dirigeant vers le bas, de telle manière que les  ergots 82 rendent inopérantes la totalité des  butées de zéro 43.  



  Les ergots 164, 165     (fig.    9) peuvent aussi  coopérer avec des arêtes pratiquées sur la  coulisse de blocage     1'ï3,    de sorte que, lorsque  l'une ou l'autre de ces touches est enfoncée,  la coulisse 173 est poussée vers le haut con  tre l'action du ressort 200     jusqu'à    ce que  l'ergot 164 ou 165 franchisse un nez 175 ou      176 de la coulisse, de manière à bloquer la  touche en position enfoncée.  



  La coulisse 173 est automatiquement et de  manière appropriée déplacée temporairement  vers le haut quand on arrive vers la fin de  chaque cycle de fonctionnement de la caisse,  pour permettre à la touche enfoncée d'être  ramenée à sa position d'origine par l'habituel  ressort de rappel.  



  Un ergot 151     (fig.    8) fixé à la base de la  touche de total partiel 12 supporte par. pivo  tement un levier 152 dont une extrémité infé  rieure fourchue est en prise avec un ergot 153  d'un bras 154 calé sur l'arbre 155. L'extré  mité supérieure du levier 152 est articulée à  un ergot 156 disposé au pied de la touche de  total 13.  



  Quand on enfonce la touche de     sous-total     12, le levier pivote dans le sens     senestrorsum     autour de l'ergot 156, faisant basculer le bras  154, l'arbre 155 et le bras 157     (fig.    11) dans  le sens     dextrorsum.    Le bras 157, par l'inter  médiaire du levier 158, communique un mou  vement analogue au bras 118, dont l'ergot 115  vient se placer entre les mâchoires de la four  che du levier 111, tandis que les ergots 116 et  <B>117</B> 7 se dégagent de leurs leviers respectifs  112 et 113.

   On voit, en se reportant à la       fig.    11, que l'arête supérieure de la. came 104  s'étend environ entre les angles de 100  et de  325 , de manière à provoquer l'embrayage du  totalisateur pendant sa rotation de cet angle,  durée pendant laquelle les organes différen  tiels exécutent à la fois leur mouvement de  mise en place et leur mouvement de retour.

         rtant    donné que le totalisateur est associé aux  organes différentiels pendant la totalité du  mouvement de mise en place de ces derniers,  il est entraîné dans un sens opposé à celui de  l'addition jusqu'à retour à zéro, instant à  partir duquel toute continuation du mouve  ment est empêchée, du fait que les longues  dents des roues ont rencontré les faces     arrière          clés        cliquets    de report. On comprend donc que  les organes différentiels,     _    les indicateurs et les  organes d'impression soient mis en position en  fonction du nombre relevé sur le totalisateur.

    Pendant le mouvement de retour des organes    différentiels, il est évident qu'un même nom  bre est introduit dans le totalisateur.  



  Quand on enfonce la touche de total 13       (fig.    8), l'ergot 156 fait que le levier<B>152</B> 2 bas  cule dans le sens     dextrorsum    autour de l'er  got de pivotement 151, faisant basculer l'ar  bre 155 et le bras 157     (fig.    11) dans le sens       senestrorsum    en vue d'impartir un mouvement  semblable au bras 118 par l'intermédiaire du  levier 158. Le mouvement du bras 118 amène  l'ergot 117 à s'engager dans les mâchoires du  levier 113.

   La surface supérieure de la came  105 produit l'embrayage du totalisateur au       moment    opportun du cycle de la caisse, et pen  dant cette période les organes différentiels  31 et 32, en ramenant le totalisateur à sa po  sition normale, sont disposés en fonction du  nombre qui y a été relevé, ainsi que le méca  nisme imprimeur et les indicateurs. Le totali  sateur est débrayé avant que les organes dif  férentiels soient ramenés à leur position d'ori  gine, de sorte que le montant n'est pas     réin-          troduit    dans le totalisateur.    <I>Solde</I>     négatif.     



  Comme indiqué précédemment, la roue  d'addition de l'ordre le     plus    élevé du totalisa  teur est toujours remise soit à  9 , soit à  0 ,  selon que le total est négatif ou positif.  



  Sur la roue de totalisateur 94 de l'ordre  le plus élevé est fixée     (fig.    13) une roue sup  plémentaire 182. Un pignon 183 est monté  fou sur l'arbre 126     (fig.    4B, 14 et 1.5) et en  grène avec la roue 182     (fig.    13) aussi bien  dans la position d'addition que dans la posi  tion de soustraction du totalisateur.  



  Sur le pignon 183 est fixé un disque-came  184     (fig.    4A, 11, 14 et 15) comportant une  gorge 185 dans une de ses faces, gorge qui  reçoit un ergot 186     (fig.    4 et 11) fixé à un  bras de commande 187 calé sur une tringle  102.  



  Sur la tringle 102 est également goupillé  un bras 188     (fig.    8) relié par une bielle 189  à une coulisse 190 montée sur des ergots  fixes 191.  



  Une paire de cliquets 192 et 193, pivotant  sur la coulisse 144, comportent respectivement      des chemins -de came 196 et 197, qui reçoivent  des boutons 194 et 195 montés sur la coulisse  <B>190.</B> Les positions normales des cliquets sont  celles représentées en traits pleins à la     fig.    8,  positions dans lesquelles les nez de ces     cli-          quets    ne sont pas sur le trajet d'ergots 198 et  199 des tiges des touches 12 de sous-total et  13 de total.  



  Le rapport entre la roue 182     (fig.    13) et  le pignon 183     (fig.    13 et 14) a été calculé de  telle manière que, lorsque la roue 94 de tota  lisateur de l'ordre le plus élevé et la roue 182  sont en position de  0 , l'ergot 186     (fig.    11)  chevauche dans la partie à grand rayon de la  gorge 185 de la came 184, tandis que lorsque  la roue 94 de totalisateur de l'ordre le     phis     élevé et la roue 182 sont en position de  9 ,  l'ergot 186 se trouve dans la partie à petit  rayon de la came.  



  Autrement dit, quand le totalisateur est en  découvert. (solde négatif), ce qui amène la  roue de l'ordre le plus élevé à passer de  0   à  9  pendant une entrée, la mise en posi  tion analogue de la roue 182 amène le pignon  183     (fig.    14 et 15) et la came 184 à tourner  dans le sens     dextrorsum        (fig.    11), de telle  sorte que l'ergot 186 soit amené dans la par  tie à petit rayon de la gorge 185. De ce fait,  le bras de commande<B>187</B> et la tringle 102       (fig.    8) basculent dans le sens     senestrorsum,          déplacant    la bielle 189 et la coulisse 190 vers  le haut.

   Pendant ce mouvement, les boutons  194 et 195 font basculer leurs cliquets res  pectifs 192, 193 dans le     sens        dextrorsum    sur  la coulisse 144, de sorte qu'ils prennent la po  sition représentée en pointillé à la     fig.    8.  



  Les arêtes-cames des cliquets 192, 193 se  trouvent alors sur le trajet des ergots 198 et  199, de sorte que lorsque l'on enfonce soit la  touche 12 de sous-total, soit la touche 13 de  total, l'ergot approprié descend sur l'arête du  cliquet correspondant pour déplacer la cou  lisse 144 vers le bas et faire basculer le bras  de déplacement de totalisateur 146 dans le  sens     senestrorstun        (fig.    8), exactement comme  il est basculé par l'enfoncement de la touche  de soustraction 11, ce qui déplace l'ensemble  de totalisateur vers la droite et amène les    roues de totalisateur 94     (fig.    4) en face des  pignons intermédiaires de soustraction 92.  



  Lorsque les roues de totalisateur 94 sont  en prise avec les     pignons    intermédiaires 92,  sous l'influence soit. de la came 104, soit de la  came 106, les roues de totalisateur tournent.  en sens inverse grâce aux segments de mise  en place, jusqu'à ce que les longues dents 124  des roues entrent en contact avec lés faces  arrière des cliquets de report 125.  



  Ainsi, lorsqu'un totalisateur est ramené en  arrière à zéro, les organes différentiels sont  mis en position conformément. au complément  du nombre complémentaire présent sur le  segment de soustraction,     nombre    qui est égal  au montant réel du découvert. Le mouvement  combiné de mise en place des organes diffé  rentiels 31 et 32 est     communiqué    aux segments  60, lesquels positionnent l'imprimerie et les  indicateurs à la valeur réelle.  



  Si, pendant des entrées     normales,    on intro  duit un nombre assez élevé pour dépasser le  nombre complémentaire dans le totalisateur,  la roue 94 de totalisateur de l'ordre le plus  élevé     (fig.    13) passe de  9  à  0 , la roue<B>182</B>  est déplacée de manière correspondante, fai  sant tourner le pignon 183     (fig.    14 et 15)  dans le sens     senestrorsum        (fig.    11), ce qui  ramène l'ergot 186 dans la partie de grand  rayon de la gorge 185 et fait tourner la trin  gle 102     (fig.    8) et le bras 188 dans le sens       dextrorsum,    en vue d'abaisser la coulisse 190  et ramener les cliquets 192 et 193 à leur posi  tion normale,

   représentée en trait plein.  



  Sous l'influence de la. roue 94 de totalisa  teur de l'ordre le plus élevé, une sonnette  peut, à la manière connue, retentir lorsque le  totalisateur passe de l'état positif à l'état né  gatif.  



  On peut aussi prévoir que, lorsque le to  talisateur est déplacé vers la droite,     c'est-          à-dire    de la position d'addition à la position  de soustraction, le ruban encreur bicolore soit  déplacé de la position d'impression en noir  à la position d'impression en rouge, de sorte  que les valeurs soustraites et les totaux et  sous-totaux négatifs soient imprimés en une  couleur distinctive.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Caisse enregistreuse destinée à effectuer des soustractions par addition du complément, comprenant des touches de montants, une paire d'organes de positionnement de mon tants pour chaque ordre d'unités, organes mobiles complémentairement, une bielle cou plant chaque organe de positionnement à un organe (le transmission correspondant, un to talisateur enregistrant les montants et un mé canisme agissant.
    sélectivement pour déplacer le totalisateur, de telle sorte que les roues de celui-ci coopèrent avec l'un ou l'autre des or ganes de transmission de chaque paire en vue d'être mises en place par ceux-ci selon qu'il s'agit d'une addition ou d'une soustraction, caractérisée en ce que chacun desdits organes do positionnement (31, 32) de chaque paire est couplé par ladite bielle (86, 87) à son organe de transmission (88, 89) correspon dant de telle faon que les deux organes de transmission (88, 89) soient mis en place dans le même sens rotatif pour transmettre soit un montant réel, soit le complément de celui-ci aux roues de totalisateur (94), malgré les mouvements opposés de leurs organes de trans mission (88, 89) correspondants, pour tourner la.
    roue correspondante du totalisateur (94), quand ladite roue est engagée sélectivement avec l'un ou l'autre des organes de transmis sion, dans la même direction soit pour addi tion, soit pour soustraction. SOUS-REVENDICATIONS 1. Caisse enregistreuse selon la revendica tion, dans laquelle les organes de positionne ment des montants comprennent des leviers pivotant destinés à.
    venir embrasser les côtés opposés d'une touche enfoncée, caractérisée par le fait que les organes de transmission de triouvement (88, 89) sont en forme de sec teurs dentés et qu'une des bielles (86) est re liée à l'un des organes de positionnement (31) au-dessus de son axe de rotation, tandis que L'autre bielle (87) est reliée à l'autre organe de positionnement (32) au-dessous de son axe clé rotation, de fanon que les deux secteurs dentés (88, 89) soient mis en place dans le même sens. 2.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que chaque secteur denté (88, 89) est en prise permanente avec un pignon inter médiaire (92, 93) avec lequel les roues de to talisateur peuvent être mises en prise et qu'un mécanisme de report de dizaines (124 à 134) fait avancer le pignon intermédiaire (92, 93) d'un cran lorsque la roue de totalisateur cor respondante passe de 9 à 0 . 3.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion, comportant une touche de commande de soustraction, caractérisée par le fait que les roues de totalisateur (94), qui sont normale ment en face d'organes de transmission en addition (93), peuvent être déplacées et amenées en face d'organes de transmission en soustraction (92) par le mécanisme de dépla cement (144 à 148) du totalisateur qui est di rectement actionné par l'enfoncement de la touche de commande de soustraction (1.1) et par le fait que le mouvement de déplacement se produit préalablement au fonctionnement de la caisse. 4.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion et la sous-revendieation 3, comprenant un mécanisme de solde négatif qui est actionné quand se produit un renversement de solde dans le totalisateur, caractérisé par le fait que le mécanisme de solde négatif (1.82 à 190) modifie, quand il intervient, l'entraînement dudit mécanisme de déplacement (144 à 148), de telle manière que ce dernier soit actionné directement quand on enfonce soit une tou che de sous-total (12), soit une touche de to tal (13) pour extraire le sous-total ou le to tal négatif réel, selon le cas, drr totalisateur (94). 5.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion et les sous-revendications 3 et 4, caracté risée par le fait qu'une coulisse (144) mue par l'enfoncement de la touche de soustrac tion (11) pour déplacer le totalisateur (94) est également déplacée par le moyen d'une paire de cliquets (192, 193), normalement inopérants, mais amenés à la portée des ton- ches de sous-total et de total (12, 13) respec tivement, par le mécanisme de commande de solde négatif (182 à 190), de telle sorte que l'enfoncement de l'une quelconque de ces tou ches actionne l'un des cliquets (192, 193) et déplace la coulisse (144). 6.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion et les sous-revendications 3 à 5, caracté risée par une coulisse (190), par un bras (188) pivotant sur celle-ci et calé sur un arbre (102), .et par un bras de commande (187) fixé sur cet arbre et comportant un ergot (186) coopérant avec une came (184) dont la rotation est provoquée de telle façon, sous l'influence d'une roue de totalisateur (94) de l'ordre le plus élevé, quand le totali sateur a son solde renversé, que le bras de commande (187) bascule et, par là, amène la pièce active de liaison à déplacer les cliquets (192, 193) à portée des touches de sous-total et de total (12, 13). 7.
    Caisse enregistreuse selon la revendica tion, caractérisée par le fait que le totalisateur (94) est embrayé et débrayé par l'intermé diaire d'un bras (118) portant un certain nombre d'ergots (115, 116,<B>117)</B> qui sont sé lectivement amenés à la portée de l'un d'une série d'organes de commande d'entraînement (111, 112, 113) sous l'influence d'un méca- riisme de sélection (l51, 161) réglé sous l'in fluence de touches de commande (11, 12, 13.).
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