Machine à calculer. L'invention a pour objet. une machine à calculer munie d'un mécanisme de com mande des totalisateurs, comprenant un pre mier totalisateur monté dans un bâti bascula- ble susceptible de provoquer l'embrayage du totalisateur avec les dispositifs entraîneurs et le débrayage de ce totalisateur, un deuxième totalisateur monté de façon mobile dans ce bâti, et un levier de sélection sous le contrôle duquel les totalisateurs peuvent être em brayés et débrayés indépendamment l'un de l'autre,
caractérisée par une série de bras- supports pour le premier totalisateur, ces bras étant fixés sur un arbre, par une deuxième série de bras-supports pour le deuxième totalisateur, les bras de cette deuxième série étant montés fous sur ledit ,irbre, par un deuxième arbre couplant la se conde série de bras-supports pour un mouve ment commun, et par un mécanisme de sélec tion commandé par le levier de sélection et tel.
que la seconde série de bras-supports pi vote autour du premier arbre indépendam ment de la première série de bras-supports, pour provoquer l'embrayage et. le. débrayage du second totalisateur relativement aux dis positifs entraîneurs.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution particulière (le la machine faisant l'objet. de l'invention.
Fil-. 1 en est une coupe verticale montrant le mécanisme qui coopère avec une rangée de touches d'un certain ordre du clavier. Fig. 2 est une perspective élargie d'une portion de deux totalisateurs adjacents et du mécanisme de report des dizaines correspon dant, montrant comment l'un quelconque des deux totalisateurs peut commander le méca nisme de report.
Fig. 3 est une vue en élévation prise du côté droit de la machine.
Fig. 4 est une coupe verticale passant juste à l'intérieur du bâti de droite.
Fig. 5 est une perspective d'une portion de deux totalisateurs adjacents et de leurs bâtis-supports.
Fig. 6 est une vue en élévation prise du côté gauche de la machine.
Fig. 7 est une suie détaillée d'une portion du dispositif d'embrayage pour le totalisateur N 1 et du dispositif de sélection destiné à commander ce dispositif, pour la sélection des totalisateurs en vue de leur fonctionnement.
Fig. S est une vue détaillée du dispositif d'embrayage du totalisateur N 2 et du dispo sitif de sélection destiné à commander ce dis positif, pour la sélection des totalisateurs.
Fig. 9 est une vue détaillée du levier de total et de sous-total et de la commande des dispositifs d'embrayage des totalisateurs Nos 1 et 3.
Fig. 10 est une vue détaillée du dispositif destiné à mettre en position une barre à ca ractères pour l'impression de symboles, sous la commande du dispositif de sélection, per- mettant ainsi de conserver trace de la sélec tion du totalisateur.
Fig. 11 est une vue détaillée du dispositif d'embrayage du totalisateur N 3 et du dispo sitif de sélection destiné à commander ce dis positif, pour la sélection des totalisateurs.
Fig. 12 est une coupe du mécanisme d'em brayage du totalisateur N 2, selon la ligne 12-12 de la fig. 6.
Fig. 13 est une coupe analogue du dis positif d'embrayage du totalisateur N 3, le long de la ligne 13-13 de la fig. 3.
Fig. 14 est une vue en plan d'une partie du dispositif d'embrayage et du mécanisme de sélection des totalisateurs situé à droite de la machine.
Fig. 15 est une vue des totalisateurs N ' 1 et 2, vue prise en direction de la flèche 15 de fig. 1, certaines parties des totalisateurs étant omises pour faire apparaître plus clai rement les bâtis.
Fig. 16 est une vue du dispositif de com mande du dispositif d'embrayage des totalisa teurs<B>NI'</B> 1 et 3, pour une opération de non- addition.
En plus des bâtis habituels de gauche et de droite 50 et 51 (fig. 1, 3, 6 et 15), la ma chine est pourvue de bâtis latéraux de pro longement 52 et 53, qui sont fixés respective ment aux bâtis latéraux 50 et 51 en s'éten dant vers le bas.
Les bâtis latéraux 50 et 51 et les bâtis la téraux de prolongement 52 et 53 sont main tenus en position d'espacement correct les uns par rapport aux autres au moyen de diverses barres et entretoises et servent à supporter les différents mécanismes de la machine, ainsi qu'il sera expliqué ci-après.
La machine est munie d'un dispositif habi tuel d'entraînement par moteur. Étant donné qu'un tel mécanisme d'entraînement est bien connu, il ne sera décrit ici que brièvement.
Un moteur électrique 55 (fig. 6 et 12), monté sur le bâti latéral 50, entraîne, par l'intermédiaire d'un train de démultiplication et. d'un mécanisme d'enclenchement à un tour, un bras 57. Une biellette 58, pivotant sur le bras 57, est également reliée librement par un g0lljon <B>59</B> à.
nu bras 60 illonté fou sur un arbre arrière 61, de telle faeon que le bras 60 exécute une oscillation complète d'abord dans le sens dextrorsum, puis dans le sens con traire (fig. 6), chaque fois que le bras 57 exé cute lin tour complet..
Le bras 60 est relié à l'arbre arrière 61 par une connexion élasti que qui comprend lin levier 62 pivotant sur le goujon 59 et actionné par un ressort 63, relié au bras 60 et au levier 62, de telle ma nière qu'un galet 64 chi levier 62 soit main tenu dans une encoche pratiquée dans une plaque 65 fixée sur l'arbre arrière 61.
Le ressort 63 est assez fort pour maintenir le galet 64 dans l'encoche pratiquée dans la pla que 65, ce qui constitue une liaison d'entraî nement qui peut transmettre le mouvement du bras 60 à l'arbre pendant les opérations normales, mais qui cède s'il se trouve que cet arbre est verrouillé contre toute manceuvre. Dans ce cas, le galet 64 peut sortir de l'enco che de la plaque 65, interrompant ainsi la liaison d'entraînement et permettant au. bras 60 d'être entraîné indépendamment de l'ar bre 61.
L'arbre 61 s'étend transversalement entre les bâtis latéraux 50 et 51 et est supporté par des paliers, afin de pouvoir exécuter un mou vement d'oscillation.
A proximité du bâti latéral 51, l'arbre 61 porte une plaque 70 (fig. 3 et 13) qui est re liée par une biellette 71 à un secteur 72 assu rant la course complète. Ce secteur est fixé sur un arbre principal 73 monté lui-méiiïe clans les bâtis 50 et 51 où il oseille en un point situé en avant. de l'arbre arrière 61.
La plaque 70 (fig. 3 et 13) comporte, vers l'avant, lin renfoncement. avec lequel coopère un galet. 74, porté par im levier 77 pivotant sur le bâti latéral 51, sous l'action d'un res sort 76. Le renfoncement est disposé de telle manière, sur la plaque 70, qu'il se trouve en face du galet 74 lorsque la plaque est dans sa position normale ou de repos, la coopération de l'encoche et du galet 74 contribuant. à. ra mener les pièces de la machine dans leur position normale de repos.
Un bout d'arbre 79 (fig. 6), qui pivote Taus la partie inférieure du logement du mo teur, porte -Lin bras 80 destiné à agir sur le fonctionnement du mécanisme d'embrayage et porte également un autre bras (non re présenté) destiné à agir sur la fermeture d'un interrupteur disposé dans le circuit du mo teur. Un ressort 81, relié au bras 80 et à une biellette 82 articulée au bâti latéral 50, tend à actionner le bras 80 et l'axe 79 dans le sens senestrorsum (fig. 6), mais ce mouvement est empêché par un levier de verrouillage 83, dont une seule extrémité est représentée à la fig. 3.
Le verrou est libéré par un dispositif eoniprenant une biellette 84 (fig. 3) qui en traîne le levier de verrouillage 83 lorsque la biellette est tirée vers l'avant par le mouve ment dans le sens dextrorsum d'un levier d'enclenchement 85 (fig. 3). Ce levier 85 pi vote sur le bâti latéral 51 et est entraîné dans le sens senestrorsum (fig. 3) par un. ressort 86 qui le maintient dans sa position normale, déterminée par le fait qu'une partie recourbée du levier 85 vient buter contre le bâti 51.
Lorsque le -levier de verrouillage 83 est actionné par la biellette 84 (fig. 3), l'axe 79 (fig. 6) et. le bras 80 peuvent basculer dans le sens senestrorslmz (fig. 6), ce qui dégage tin ergot 87, fixé au bras 80, d'un chien d'ern- brayage 88, de sorte que le dispositif d'em brayage joue son rôle qui consiste à coupler le moteur au bras<B>57;
</B> en même temps, le bras de commande de l'interrupteur du mo teur disposé sur l'axe 79 forme le contact du moteur et met ce dernier en marche.
Vers la fin d'un cycle de fonctionnement, une came 89, disposée sur le bras 57, entre en contact avec 11n galet 90 du bras 80 et ra- niêne le bras 80 et l'axe 79 dans le sens dex- trorsiml (fig. 6), contre l'action du ressort 81, à leur position normale, le levier de verrouil lage 83 (fi-. 3) redevenant efficace et les re tenant de nouveau dans leur position.
Lorsque le bras 80 et l'axe 7 9 sont. ainsi basculés dans le sens dextrorsum, le bras 80 met l'ergot 87 en prise avec le chien d'eni- bra@-a-e 88 et rend inopérant le dispositif d'embrayage, et le bras de commande d'inter- rupteur du moteur sur l'axe 79 ouvre le cir cuit du moteur qui s'arrête.
Sur le levier d'enclenchement 85 (fig. 3) pivote un levier coudé 95 qui comporte un bras 96 orienté vers le haut et en contact avec un bras du levier d'enclenchement 85 par un ressort 97 avec une force suffisante pour que, dans des conditions normales de fonctionne ment, le bras arrière du levier fonctionne comme bras arrière du levier d'enclenche ment 85 et puisse faire basculer le levier dans le sens dextrorsum. Un ergot 98 du le vier 95 peut être attaqué par une arête-came 99 pratiquée sur un levier de commande de soustraction 100 ou par un prolongement vers l'avant 101 (fig. 4) du verrou usuel d'un le vier 102 de non-addition et de total.,
levier qui pivote en 103 sur un des côtés du clavier pour enfoncer l'extrémité libre du bras orienté vers l'arrière du levier 95 et basculer le levier d'enclenchement dans le sens dex- trorsum afin de provoquer la mise en marche de la machine dans des opérations de sous traction, de total, de sous-total et de non- addition. Un levier 105, monté sur le levier d'enclenchement 85, comporte un goujon 106 qui se trouve au-dessus du bras arrière du levier 95 et porte lui autre goujon 107 qui peut être attaqué par la barre motrice habi tuelle,
ceci provoquant le basculement du levier d'enclenchement et la mise en marche de la. machine pour l'addition.
Clavier. La machine comporte un clavier sur lequel des montants peuvent être composés, ce qui détermine l'enregistrement de montants dans la machine.
Le clavier de cette machine est d'un mo dèle connu, et il suffit d'e-srpliqiler que le cla vier est composé d'un certain nombre de ran gées de touches chiffrées 110, chaque rangée correspondant aux unités d'un certain ordre; lame des rangées a été représentée en fig. 1, et les touches ne sont. normalement pas en rela tion de commande avec le mécanisme diffé rentiel, mais lorsqu'on enfonce une de ces touches pour composer le montant à enregis- trer, elle est amenée dans une position propre à. déterminer l'étendue du mouvement d'un mécanisme différentiel en fonction de ce mon tant.
Chaque rangée de touches est associée à une plaque 111, à laquelle est relié un levier d'arrêt à zéro 112. Ce levier est normalement dans une position telle que le fonctionnement du dispositif actionné différentiellement, dans cette rangée, se trouve bloqué, mais le levier 112 se trouve chassé de sa position de blo cage par une arête inclinée pratiquée sur la touche et qui entre en contact avec la plaque 111 en déplaçant celle-ci et par conséquent le levier d'arrêt 112.
Une plaque de verrouil lage s'étend le long de chaque rangée de tou ches et coopère avec les touches de la rangée correspondante pour maintenir en position enfoncée toute touche de la rangée quia été enfoncée, jusqu'à ce qu'une autre touche de la rangée soit enfoncée ou jusqu'à ce que tou tes les touches de toutes les rangées soient li bérées par les doigts d'un mécanisme de rap pel de touches 113 qui déplace les plaques de verrouillage lorsque le mécanisme de rappel fonctionne. La plaque de verrouillage pour la rangée de tôuches situées à. droite de la. ran gée représentée en fig. 1 est elle-même repré sentée en 114 en fig. 1.
Le clavier est également muni d'étriers de verrouillage 115 qui sont amenés en coopéra tion avec les touches des rangées par le mou vement d'une coulisse 116 vers la droite de la machine et qui coopèrent avec des dispositifs fixés sur les touches polir empêcher l'enfonce ment ou le rappel des touches pendant le fonctionnement de la, machine. La coulisse 116 est normalement maintenue vers la gauche du clavier, mais est libérée et peut se déplacer vers la droite de la machine tout au début de l'opération. Mécanisme différentiel.
Le mécanisme différentiel que présente la machine représentée est d'une construction bien eonnuie et ne sera décrit que très briève ment.
Un dispositif actionné différentiellement est prévu dans chaque rangée de touches 110 correspondant aux ordres décimaux. Comme tous les dispositifs différentiels sont sensible ment analogues, un seul d'entre eux sera dé crit pour assurer la compréhension de leur construction et de leur fonctionnement.
Comme on peut le voir à la fig. 1, une dé tente d'arrêt 120 est disposée immédiatement en dessous de la rangée de touches 110. Elle est articulée, par son extrémité arrière, à un levier 121, alors que son extrémité avant est guidée par une traverse 122, de manière à pouvoir être déplacée longitudinalement. immédiatement en dessous des touches. Un ressort 123, relié à. la détente d'arrêt. 120 et à la traverse 122, tire normalement. la première vers l'avant.
Lorsque la machine fonctionne, la détente 120 se déplace vers l'avant sons l'action du ressort 123 jusqu'à ce que l'une des butées du rebord supérieur vienne en con tact avec l'extrémité inférieure d'une touche enfoncée, ce qui limite le mouvement de. la détente 120 proportionnellement à la valeur de la touche enfoncée.
Le levier 121 est monté pivotant sur un arbre 124 et comporte un proloncement vers l'arrière auquel est reliée une barrette 125 portant les caractères d'impression des mon tants. Lorsque la détente 7.20 se déplace vers l'avant, le levier 121 se déplace également en basculant dans le sens senestrorsum ((fig. 1) a..iitour de l'arbre 7.2-1 et ce sur une distance proportionnelle à la valeur de la. touche en foncée et met en position la barre à carac tères 125, de façon que le caractère corres pondant à la touche enfoncée se trouve mis en position d'impression.
Sur l'arbre 124, immédiatement à côté du levier 121, pivote aussi un levier de crémail.- lère 126 qui porte, à. sa partie supérieure, une crémaillère 127 actionnant le totalisateur, la quelle crémaillère est susceptible d'actionner les totalisateurs N s 1_ et 2, comme expliqué plus loin.
Le levier 12l. et le levier de crémaillère 126 correspondant sont nuinis de bras pro longés vers l'avant, en forme de col de cy gne, qui comportent à leurs extrémités anté rieures des fentes<B>128</B> disposées sensiblement selon un rayon de l'axe 124. Un ergot 129 porté par un bras 130 d'un levier complémen taire, tournant sur un axe 131, traverse les tentes 128 pratiquées dans les prolongements avant de la paire de leviers 121 et 126, et cou ple ces deux leviers en vue d'un mouvement solidaire, pendant le fonctionnement de la machine, lorsque celle-ci - effectue une addi tion.
Ainsi, lorsque le levier 121 bascule dans le sens senestrorsum autour de l'axe 124 <B>1.),</B> par suite du déplacement vers l'avant (le la détente 190 jusqu'au contact avec une touche enfoncée, le levier de crémaillère 126, qui lui est relié par l'ergot 129, va recevoir un mouvement semblable. .
Afin que le totalisateur inférieur ou tota lisateur N 3 puisse être actionné sous l'in- i'luence du clavier, chaque levier de crémail lère 1?6 orienté vers le haut comporte, fixé sur son côté, un levier de crémaillère orienté vers le bas 132, qui porte à son extrémité in férieure une crémaillère d'actionnement de totalisateurs 133.
Le levier 121, les leviers de crémaillère 126 et l32 et la détente d'arrêt 120 sont nor malement maintenus en position initiale, re présentée en fig. 1, grâce à. suie barre trans versale 134 qui vient en contact avec le re bord avant des leviers 121 et 126.
La barre transversale 134 traverse la machine et est supportée à ses extrémités par une paire de bras qui sont manceuvrés de manière à pous- sei, vers l'avant la barre d'une quantité suffi sante pour permettre le mouvement maxi- Ifititn de mise en place de ces leviers, pendant la première moitié d'un cycle de la machine, et; qui ramène la barre transversale et les le viers à la position représentée en fig. 1 pen dant la dernière moitié d'un cycle .de la ma chine, processus bien connu dans ce genre de machine.
Lors du fonctionnement du dispositif dif férentiel, par conséquent, le levier 121, les le viers (le crémaillère et la détente d'arrêt. 120 se déplacent avec la barre transversale 134 jusqu'à ce que l'une des butées de la détente 120 vienne en contact avec l'extrémité infé rieure d'une touche enfoncée, ce qui empêche la. continuation de leur rnouveinent, après quoi la barre transversale 134 s'écarte du re bord avant des leviers 121 et<B>'126</B> et continue son mouvement.
Lors de son mouvement de retour, la barre transversale 134 cueille au passage le levier 121 et le levier de crémail lère 126 à la position acquise précédemment et les ramène, ainsi que le levier de crémail lère 132 et la détente 120, jusqu'à leur posi tion initiale, tel que représenté en fig. 1. lllécanisme <I>de soustraction.</I>
Avec la machine représentée, la soustrac tion s'effectue par la méthode bien connue de l'addition des compléments.
Comme expliqué plus haut, les ergots 129 des bras 130 des leviers complémentaires mon tés sur l'arbre 131 accouplent les leviers 121 et les leviers de crémaillère 126, afin que ceux-ci exécutent des mouvements communs. Ceci permet aux leviers de crémaillère 126 et aux leviers de crémaillère 132 d'être déplacés de quantités correspondant à la valeur réelle des chiffres d'un nombre composé sur le clavier.
Dans les opérations de soustraction, l'ar bre 131 est déplacé vers la droite de la ma chine et les leviers complémentaires, montés pivotants sur l'arbre sans toutefois effectuer de déplacement longitudinal, vont également être déplacés vers la droite. Dans ce mouve ment, les ergots 129 s'écartent des fentes 128 des leviers 121, de telle sorte que ceux-ci se trouvent désaccouplés des leviers de crémail lère 126. Ce mouvement latéral des leviers complémentaires amène des bras 140 de ces leviers sur le trajet d'ergots 141 portés par les détentes d'arrêt 120.
Un ressort 142, disposé entre chaque levier 121 et le bras 140 correspondant, oblige le bras 140 à venir en prise avec l'ergot 141 pendant les opérations de soustraction. Ce ressort a aussi pour but, par l'intermédiaire du levier complémentaire et de l'ergot 129, d'attirer le levier de crémaillère correspon dant 126 vers l'avant, de sorte que les leviers de crémaillère 126 et 132 sont mis en position différentielle lorsque la barre transversale 134 s'éloigne des leviers de crémaillère 126, pendant la première partie du cycle de la machine.
L'ergot 141 porté par la détente 120 est disposé, sur cette dernière et par rapport au bras 110 correspondant, de telle sorte due, dans les ordres supérieurs à l'ordre des unités, lorsque le bras 110 est amené par le ressort 1-42 en contact avec l'ergot 1-11 dans des opé rations de soustraction, les leviers de crémail lère 126 et 132 doivent se déplacer d'une quantité qui permettra. au complément à neuf d'un chiffre composé dans l'une quelconque de ces rangées sur le clavier, d'être enregis- tré dans la rangée correspondante du totali sateur.
Le dispositif différentiel pour L'ordre des -unités fonctionne de manière semblable, mais la relation entre le bras 110 du levier complé mentaire et l'ergot 111 porté par la barre d'arrêt est telle que les leviers de crémaillère 126 et 132 sont déplacés d'une quantité qui fait que c'est le complément à dix du chiffre composé dans cet ordre sur le clavier qui sera enregistré dans le totalisateur.
Il convient de remarquer que, tandis que les leviers de crémaillère sont actionnés pour enregistrer le complément à neuf, selon les besoins, des chiffres composant les montants à soustraire, comme expliqué ci-dessus, les le viers 121, qui sont. reliés aux détentes 120, sont déplacés selon la valeur réelle des di vers chiffres chi nombre et amènent les barres à caractères 125 à imprimer les chiffres qui sont composés sur le clavier.
L'arbre 131 (fie. 1, 3 et 6) porte un levier 145 (fi-. 6) filé à proximité de son extrémité de gauche, lequel levier porte, à son extré mité inférieure, un galet 146 qui pénètre dans un chemin de came pratiqué dans une plaque 147 fixée au bâti latéral 50. Lorsque l'on fait tourner l'arbre 131 dans le sens senestrorsum selon la fig. 6 ou dans le sens dextrorsum se lon la fie. 3, le galet 146, coopérant avec la came de la plaque 147, déplace l'arbre<B>131</B> vers la droite de la machine.
Le dispositif destiné à faire tourner l'ar bre 131 pour provoquer le mouvement de dé- placement en question est représenté à la fie. 3. Sur l'arbre 131 e;t fixé Lin levier muni d'un segment à encoches 11S orienté :-ers l'avant et un levier de rappel 1-'_-9 orienté vers le bas.
Monté fou sur l'arbre 131, à proximité du levier qui porte le segment. 118, se trouve un autre levier muni d'un bras 150 sur le quel pivote un cliquet 151, et un autre bras 1.52 portant tin galet 153. Un levier 1:55 pivo tant en 156 sur le bâti latéral 51 présente une arête-came <B>157</B> qui coopère avec le galet 1:53, tandis qu'un galet 158 coopère avec une arête pratiquée sur le rebord inférieur du secteur de pleine course habituel 72. Lor:
sdue, peir- dant la première moitié du cycle, le secteur 72 tourne dans le sens senestrorsum, l'arête- came coopère avec le galet<B>158</B> du levier 15:
5 au début du mouvement du secteur et J'ait basculer le levier 155 dans le sens dextror- sum. Pendant ce mouvement, l'arête-came 157 pratiquée sur le levier 155 agit sur le galet 153 et J'ait basculer les bras 150 et 152 dans le sens dextrorsum (fie. 3) autour de l'arbre 131.
Le cliquet 151, porté par le bras 150, est attiré par tin ressort<B>159</B> qui tend à, amener le cliquet dans une position pour laquelle une équerre du cliquet s'engage dans une encoche cin segment 148 pour coupler le segment au bras 150.
Toutefois, dans la position. normale des pièces, un ergot 160 du levier de com- noande de soustraction 100 s'enga;,e avec fui prolongement dirigé vers le liant du cliquet <B>1-55</B> et empêche celui-ci de venir en prise (le couplage avec le segment. 1-48, de sorte que le rj,.ouvement du bras 150 et. du cliquet. <B>151</B> s'effectue à vide.
Dans une opération de soustraction, le le vier de commande de soustraction 100 l#ascule dans le sens dextror:sum (fig. 3) par la tou che habituelle de soustraction et déplace l'er got 160 vers l'avant de la machine, permet tant au ressort 159 de déplacer le cliquet 151, de façon que l'équerre pénètre vairs l'encoche du segment 148, couplant ainsi le segment 148 au bras 150, afin qu'il soit entraîné par ce lui-ci dans le sens dextrorsuni. rtant donné que le segment 148 est fixé sur l'arbre 131,
ce dernier v a aussi se mettre à tourner dans le sens dextrorsum (fig. 3), mouvement qui, par coopération du galet 116 avec la fente de la plaque 117 (fig. 6), déplace l'arbre 131 vers la droite, comme expliqué plus haut.
Un second levier 165 (fig. 3), pivotant en 156, porte un galet 166 qui coopère avec une autre arête-came pratiquée sur la partie inférieure du secteur de pleine course 72 et est basculé dans le sens dextrorsum par le secteur juste avant que le secteur revienne à sa position d'origine vers la fin de la seconde moitié du cycle.
La partie antérieure du le vier 165 est en prise avec un goujon 167 du bras de rappel orienté vers le bas 119 et a pour effet., lorsque le levier 165 bascule dans le sens dextrorsum, d'impartir un mouvement de rappel dans le sens senestrorsum (fig. 3) à. l'arbre 131, lequel mouvement ramène, grâce à la, coopération de la fente-came de la plaque 147 (fi-. 6) et clu galet 146 du levier 115, l'arbre 131 vers la gauche.
Le rappel de l'ar bre 131 vers la gauche permet aux ergots 129 (fi@g. 1), portés par les leviers complémen taires 130, de réaecoupler les leviers 121 et les leviers de crémaillère 126, en vue du mou vement commun. Un ressort 168 (fi-.<B>3),</B> disposé entre le bras de rappel 149 et le bras 150,a pour effet de transmettre le mouvement de retour (lu bras 119 aux bras 150 et 152, ce qui ra mène ces bras dans la position. représentée en fig. 3.
Un ergot 143 (fig. 6) du levier 145 fait basculer un levier coudé 141 lorsque le levier 1-1.5 est amené à la position de soustraction. Le levier 141, par l'intermédiaire d'une biel- lette 137 et d'un étrier 138, déplace un bâti porte-ruban de faon telle que les montants soustraits sont imprimés en rouge. Une pièce fixée sur le bâti porte-ruban peut s'engager avec une barre de caractères de symboles, dont une partie est représentée en 139 à la fig. 4, et soulève la barre pour que le signe moins soit amené en position d'impression.
Totalisateurs. Le totalisateur N 1 comporte une roue totalisatrice 170 pour chacun des organes du mécanisme différentiel.
Les roues totalisatrices 170 sont montées dans un bâti de totalisateur (fig. 5 et 15) composé d'un certain nombre de flancs 171 maintenus espacés les uns par rapport aux autres sur un arbre 172. Le bâti ainsi cons titué peut basculer autour de tourillons 173 et 171 qui pénètrent dans des mortaises cir culaires pratiquées-aiLY extrémités de l'arbre.
Vers l'extrémité arrière des flancs 171 se trouve une tringle 175 qui les traverse tous et sur laquelle les roues 170 peuvent tourner séparément. Chaque roue totalisatrice est re liée, à sa droite, à un pignon 176 (fig. 5 et 15) par l'intermédiaire d'un manchon et com porte une came de report 177 (fig. 15) à la quelle elle est reliée sur sa gauche.
L'ensemble ainsi constitué par chaque roue de totalisateur occupe l'espace compris entre deux flancs 171 adjacents, qui servent à maintenir le groupe correctement dans le sens latéral. Les tourillons 173 et 174 sont ré glables dans les cadres latéraux 50 et 57. res pectivement, pour permettre au totalisateur d'être déplacé transversalement dans la ma chine, afin de permettre d'aligner les pignons avec les crémaillères d'entraînement.
Un dispositif décrit plus loin fait basculer le bâti totalisateur autour des tourillons 173 et 174 au moment opportun du fonctionne ment de la machine pour que les pignons 176 viennent en prise avec les crémaillères 127 ou en soient écartés.
Le totalisateur N 2 comporte un pignon de totalisateur 180 (fig. 5 et 1.5) pour chacun des dispositifs différentiels. Ces pignons sont montés dans un bâti de totalisateurs com posé d'un certain nombre de flancs 181 montés fous sur l'arbre 172, mais maintenus écartés les uns par rapport aux autres grâce à leur fixation à une tringle 182<U>qui</U> s'étend sur toute la largeur du totalisateur et en dessous de l'arbre 172.
Les pignons 180 sont solidaires de cames de report 185 au moyen de manchons. Les groupes ainsi formés par les pignons 180 et les cames 185 peuvent tourner individuelle ment sur une tringle 183 portée par la partie arrière des flancs 181, les pignons étant dis posés entre les plaques de telle manière, dans le sens latéral, qu'ils se trouvent immédiate ment en face .des pignons 176 du totalisateur N 1, tandis que les cames de report<B>185</B> sont disposées de telle manière qu'elles soient légè rement décalées latéralement par rapport aux cames de report 177 du totalisateur N 1.
La tringle 183 traverse des ouvertures de dégagement 181 pratiquées dans les flancs 171 et qui permettent au bâti du totalisateur N 2 de basculer indépendamment du bâti qui supporte le totalisateur N 1. De même, les pi gnons 180 du totalisateur N 2 peuvent venir en prise avec les crémaillères 1'27 indépen- damment des pignons 176 du totalisateur N 1.
Des dispositifs d'embrayage, décrits plus loin, font basculer le bâti du totalisateur NO2 autour de l'arbre 172 au moment voulu du cycle de la machine, afin que les pignons 180 viennent en prise avec les crémaillères 127 ou soient dégagés.
Des plaques d'alignement 190 (fig. l.) sont soutenues à l'arrière des pignons 176 et 180, grâce à des tringles 191 et 192, fixées dans les bâtis latéraux 50 et 51. Chacune de ces plaques comporte deux dents d'alignement, l'une, qui est en prise avec le pignon corres pondant 176 du totalisateur N 1 lorsque ce lui-ci est débrayé, et l'autre, placée sur un prolongement de la plaque<B>190</B> et saisie par le pignon correspondant; 180 du totalisateur N 2 lorsque celui-ci est débrayé.
Le totalisateur inférieur ou totalisateur N 3 comprend des pignons 1i95 (fi-. 4) et < les cames de report 196, qui peuvent tourner sur une tringle 197 portée par un bâti-support (le totalisateur. Ce bâti est constitué par des flancs 198, fixés sur un arbre<B>1.99</B> qui peut. tourner autour de tourillons 200 et 201 (fig. 3 et 6) fixés respectivement aux prolon- ;.enients 52 et 53.
Les pignons 195 sont dis posés, dans le sens latéral, de manière à se trouver en face des diverses crémaillères 133 portées par les leviers de crémaillère orientés vers le bas<B>132,</B> crémaillères avec lesquelles les pignons peuvent venir en prie au nionient voulu du cycle de la. lïlaciiine, lorsque le bâti de totalisateur est baseuié par son dispositif d'embrayage.
Des plaques d'aligneineiït 20'3 sont sou tenues par des tringles '303 et 2904 fixées aux- bâtis latéraux 50 et 51 et. aux prolongements 52 et 53 et comportent des dents avec les quelles les pignons 195 engrènent lorsque le totalisateur N 3 est. poussé en position de dé brayage.
Mécaizisine <B><I>(le</I></B> report rh@ dizafies.
Le mécanisme de report des dizaines associé aux- totalisateurs N"' 1 et 2 est sem blable à beaucoup de points de vue aux mé canismes connus. Cependant, i1 a été perfec tionné pour permettre au mécanisme unique de report d'être commandé sélectivement par l'un quelconque de ces totalisateurs, afin que des opérations de report y soient effectuées.
Comme expliqué plus haut, chaque levier de crémaillère porte, à son extrémité supé rieure, une crémaillère 127. C'elle-ci (fi,-. 1) est montée sur le levier de crémaillère 126 pour effectuer un mouvement relatif ].imité, à l'aide d'une paire de tenons à épaulement 210, qui coulissent librement à l'intérieur d'une paire correspondante de fentes 211 prati quées dans le levier 126.
La crémaillère 127 est tirée vers l'arrière sur le levier 126 par un ressort 212, relié à un ergot du levier 126 et à une oreille recourbée de la plaque 213 (voir aussi fig. 2) fixée à la crémaillère 127 et ten dant à amener les ergots en contact avec les extrémités arrière des fentes.
Un levier de report 214 pivote sur une tige 215 portée par les plaques 190 et. vient, grâ ce à un ressort<B>'_</B> 16, en prise avec un ver rou (le levier de report 217 pivotant sur une tige 218 portée elle aussi par les plaques 190.
Dans la position normale des pièces, telle que représentée en fig. 1, lorsque aucun report n'est à effectuer, un bras proton .-é latérale- nient 220 (fig. 1 et 2) du levier de report 21-1 de l'un des ordres d'unité s'en-aâe avec un rebord 221 (fis. 2) de la, plaque \213 fixée à la crémaillère 127 de l'ordre d'unité immé- diatement supérieur, et empêche la.
crémail lère 127 de se déplacer de toute sa distance vers l'arrière, par suite d'un mouvement sup plémentaire, lorsque le levier de crémaillère 126 revient à. sa position d'origine.
Si, pendant l'enregistrement d'une somme clans le totalisateur N 1 ou dans le -totalisa teur N 2, la capacité de l'un quelconque des ordres décimaux se trouve dépassée, la came < le report fixée au pignon de cet ordre vient. en contact avec une oreille recourbée du le vier de report 214 et fait basculer l'extrémité libre du levier 214 vers le bas, de manière à amener le bras 220 en dessous du trajet du rebord 221 de la plaque 213 appartenant à l'ordre décimal immédiatement supérieur.
Les verrous de levier de report 217 correspondant aux leviers de report. actionnés basculent lé- èrement clans le sens senestrorsum (fig. 1) et s'engagent au-dessus d'épaulements 222 pra tiqués sur la surface supérieure de ces leviers (le report 214, maintenant ceux-ci dans la po sition où ils viennent d'être mis, d'une ma 1,ière bien connue.
Lorsque les crémaillères <B>127</B> sont ramenées avec les leviers de crémail lère 126, le rebord 221 de celles des crémail- lÈ res qui sont. commandées par les leviers de report basculés vient se placer au-dessus des bras 220 des leviers de report actionnés 914 et va permettre à. ces crémaillères d'aller plus loin vers l'arrière que celles qui coopèrent avec les bras des leviers de report;
non action- ités. Cette continuation de mouvement des crémaillères suffit pour qu'une valeur sup- plémentaire de 1 soit introduite dans les pignons de totalisateur qui leur correspon- clent.
Il convient, de noter que les leviers de re port 214 sont assez longs et comportent, en face des deux totalisateurs supérieurs, des oreille; recourbées telles que, lorsque l'un (;nelconque des totalisateurs est embrayé avec les crémaillères 127, les cames de report;
co opèrent avec les oreilles recourbées corres pondantes des leviers de report 214 pour actionner les leviers de report et provoquer des opérations de report dans ce totalisateur particulier. Cette disposition permet, par con- séquent, à. un mécanisme de report de dizaines de desservir à la fois le totalisateur N 1 et le totalisateur N 2.
Les verrous de levier de report 217 sont rappelés tout au début du prochain cycle de fonctionnement. Chaque verrou 217 (fig. 1) comporte un bras orienté vers le haut 225, qui se trouve immédiatement derrière la traverse d'un étrier 226 qui s'étend en travers du-tota- lisateur et est fixé à -un arbre<B>227</B> pivotant dans les bâtis latéraux 50 et 51. A l'extrémité de droite de l'arbre 227 (fig. 3 et 14) se trouve un levier dont un bras 228 s'engage avec une butée 229 fixée au bâti 51, tandis que l'autre bras 230 est articulé à l'extrémité supérieure d'une biellette 231.
L'autre extré mité est. guidée dans une fente pratiquée dans une plaque 232 fixée au bâti latéral 51 et est attirée, dans la partie avant, de la fente, par un ressort 233 qui tend ainsi à déplacer la biellette 231 vers le bas et vers l'avant. Un ergot 234 de la biellette 71 entre en contact avec la partie inférieure de la biel- lette 231 vers le début de chaque cycle de fonctionnement et déplace la.
biellette 231 dans le sens de sa longueur, de telle sorte que le levier et l'axe 227 basculent dans le sens senestrorsum (fig. 1 et 3) et amènent la tra verse de l'étrier 226, d'un même mouvement, à venir en contact avec les bras 225 des verrons 217 des leviers de report. Le mouve ment de l'étrier 226 fait basculer les verrous 217 dans le sens dextrorsum (fig. 1), de sorte que les épaulements 222 de tous les leviers de report qui ont. été actionnés vont se trou ver dégagés et que ces leviers vont. pouvoir effectuer un mouvement initial de retour à leur position inactive.
Les leviers de report 214 seront. complètement ramenés à. leur po sition inactive par les ressorts 216 lorsque les rebords 221 quittent le dessus des bras 220. pendant le mouvement vers l'avant des cré maillères 127.
Ce mécanisme de rappel ou de réarmage a pour effet de ramener les verrous de re port, lorsque l'un des totalisateurs N 5 1 et 2 a été en action. Le mécanisme de report des dizaines asso eié au totalisateur N 3 est d'un type bien connu. Les crémaillères 133 (fi-. 1), qui peu vent se déplacer par rapport aux bras de cré maillère 132 orientés vers le bas, sont égale ment actionnées par des ressorts 210 en vue d'effectuer une nouvelle portion de mouve ment nécessaire à. l'introduction d'un report.
Les leviers de report. 2-11, pivotant sur une tige 2-12 portée par les plaques 202, sont actionnés par des cames de repos û 196 (fig. 4) et sont maintenus dans leur position ma.noeu- vrée par des verrous de report 2-13 pivotant sur une tige 244, laquelle est. également por tée par les plaques 202.
Les verrous 2-13 sont ramenés en position par le fait. que les bras 2-1-5 des verrous sont. saisis par les plaques <B>198</B> du bâti de totalisateur lorsque le totali sateur N 3 est débrayé.
<I>Dispositif</I> d'embrayage <I>de totalisateur.</I> Un dispositif d'embrayage connu pour le totalisateur N 1 est représenté aux fi-. 4, 7 et 9.
Le flanc 171, constituant le côté droit du bâti de totalisateur N 1, comporte un pro Iongement 250 orienté vers le bas (fig. 4 et 7 ) qui porte, à. son extrémité, un galet 251 péné trant dans un chemin de came 252 d'un levier 253. Celui-ci pivote sur un ergot 254 dirigé vers l'intérieur sur le bâti latéral 51.
La partie supérieure du chemin de came 252 est plus loin de l'ergot 254 que sa partie infé rieure, de telle sorte que, lorsque le levier 253 est dans la position pour laquelle le galet 251 est. dans la. partie supérieure du chemin de came 252, le bâti de totalisateur 171 peut être basculé autour des tourillons 173 et 17-1, afin eue les pignons 176 viennent en prise avec les crémaillères 127. Lorsque le levier 253 a. basculé autour de l'ergot 254 et due le galet 251 est dans la partie inférieure de la fente 252, le bâti est. déplacé et les pignons sont dé gagés des crémaillères.
Lin verrou de détente 255 (fig. 4), pivotant. en 256 sur le levier 253 et attiré dans le sens senestrorsum par un ressort 257, coopère avec un goujon 258 fixé à. l'intérieur du bâti laté- ral 51, pour amener le levier 253 dans la po sition précise représentée ou dans la position pour laquelle la. fente-canre du levier débraye le totalisateur des crémaillères. Le verrou re tient élastiquement le levier 253 dans l'une quelconque des deux positions.
Le levier 253 est actionné par le rnéca- nisme d'entrahrerrrent suivant, pour que le totalisateur s'embraye avec les crémaillères ou en soit dégagé.
Pivotant sur l'ergot 2:ï4 (fi--. 7 et<B>9)</B> à proximité du levier 2:ï3, se trouve un levier 260 portant une goupille 261 qui est en con tact avec la surface antérieure d'un bras orienté vers le haut 262 du levier 253.
L'extrémité supérieure du levier 260 porte un ergot 263 sur lequel pivote un cliquet d'accouplement 264. Ce cliquet 264 est solli cité par un ressort 265 et coopère avec un ergot 266 du bras 262 du levier 253. Le cli- quet 264, en venant en contact avec l'er.ot 266, maintient le bras 262 au contact clé l'er got<B>261</B> du levier 260 et, par là même, ver rouille le levier<B>253</B> au le v ter 260. en vue d'un mouvement commun.
L'extrémité inférieure du levier 260 porte un ergot 270 (flg. 7 et 9) qui est saisi par la partie antérieure crantée d'une bielle<B>'271</B> qui, à son tour, est. articulée à l'extrémité supé rieure d'un levier à trois bras 272 (fil:. 4, 7 et 11) pivotant en 273 sur le bâti latéral de droite 51.
L'encoche de la bielle<B>271</B> est maintenue en prise avec l'ergot 270 du levier 260, contre l'action d'un ressort 27-1, par le fait qu'un galet 275 appuie contre un bras dirigé vers le haut 276 (fig. 9) d'un levier de commande de total<B>277</B> pivotant en 278.
Le levier à trois bras 272 porte un ergot 280 (fig. 4, 11 et 16) qui coopère avec un cli quet 281 actionné par un ressort et pivotant sur un bras 282 porté par L'arbre arrière 61. Le levier à trois bras peut. ainsi basculer dais le sens senestrorsum (fig. 4, 11 et 16) lorsque le bras 282 pivote dans l'autre sens, au début du cycle. Cette rotation du levier à trois bras 272 a pour effet, par l'intermédiaire de la bielle 271 et du levier 260, de faire basculer le levier 253 dans le sens dextrorsum, ce qui provoque le débrayage du totalisateur.
Un se cond ergot 284 (fig. <B>Il</B> et 16), porté par le levier à, trois bras 272, coopère avec le cliquet <B><U>\</U></B>81 vers le début de la, seconde moitié du cy cle et permet, au cliquet. de faire basculer le levier à. trois bras dans le sens dextrorsum pour le ramener à sa position d'origine. Ce rappel du levier à trois bras 272 entraîne, par l'intermédiaire de la bielle 271 et du le vier 260, le levier 253 dans le sens senestror- surri (fig. 7 et 9) et, par suite, l'embrayage du totalisateur.
De cette manière, le totalisa teur, par basculement, est amené à s'em brayer avec les crémaillères, puis à être dé brayé pendant les opérations normales d'ad dition et de soustraction, si le totalisateur a été sélectionné en vue de son fonctionnement d'une manière qui sera expliquée plus loin.
Une détente 283 (fig. 4 et 16), pivotant sur le bâti latéral 51, porte un ergot qui, sous l'action d'un ressort, pénètre dans l'une ou l'autre de deux encoches pratiquées dans un bras, orienté vers l'avant, da levier 272, de facon que le levier puisse demeurer dans l'une ou' l'autre des positions où il a été amené par basculement. Lorsque le totalisateur N 1. n'est. pas sé lectionné, un ergot 285 (fi-. 7) est amené sur le trajet d'un bras orienté vers le haut du cli- quet 264.
Lorsque le levier 260 bascule dans le sens dextrorsum (fil. 7) vers le début de la première moitié du cycle, il fait basculer, par l'intermédiaire de la goupille 261, le levier '?-ï pour débrayer le totalisateur. Lorsque le levier 260 et le cliquet 264 arrivent vers la fin de leur mouvement, le bras du cliquet. tourné vers 1e haut s'engage avec l'ergot 285 et fait basculer le cliquet., de telle sorte que celui-ci se dégage de l'ergot 266 et que le levier 260 se trouve désaccouplé .du levier 253.
Le cli quet est maintenu dégagé de l'ergot 266, de telle sorte que le mouvement, de retour du le vier 260 vers le début de la seconde moitié d'un cycle n'a plus d'influence sur le levier 253 et que le totalisateur reste débrayé des crémaillères, pendant le mouvement de retour de ces dernières, ce qui empêche l'enregistre ment d'une somme.
Vers la fin de celles des opérations pour lesquelles le totalisateur demeure débrayé, pendant le mouvement de retour des crémail lères et après que celles-ci aient été ramenées à leur position d'origine, un doigt 286 (fig. 4 et 7), monté fou sur l'arbre principal 73, est saisi par un ergot 287 d'un bras 288 calé sur l'arbre principal 73 et bascule dans le sens dextrorsuni (fig. 4 et 7). Lorsque le doigt 286 est ainsi basculé, sa partie supérieure entre en contact avec un ergot 289 du levier 253 et fait basculer celui-ci dans le sens senestror- sum pour embrayer le totalisateur.
Ce mouvement du levier 253 amène l'ergot 266 dans une position où celui-ci est de nou veau saisi par le cliquet 264, de sorte que le levier 253 se trouve accouplé au levier 260 pour être entraîné par lui. Il s'ensuit que le totalisateur N 1 est embrayé avec les crémail lères à la fin de chaque opération de la ma chine.
Le dispositif d'embrayage du totalisateur N 3 est semblable à celui du totalisateur N 1. La plaque 198 (fig. 1, 4 et 11), consti tuant le côté droit du bâti de totalisateur N 3, comporte un prolongement vers l'ar rière 295, portant un galet 296 qui pénètre dans un chemin de came 297 pratiqué dans un levier 298 pivotant en 299 sur le bâti la téral 51.
Lorsque le galet 296 occupe l'extré mité avant du chemin 297, le bâti de totalisa teur a été basculé autour des tourillons 200 et 201, de telle sorte que les pignons de totalisa teur 195 soient embrayés avec les crémaillères 133, mais, lorsque le levier 298 a été basculé et que le galet 296 occupe l'extrémité arrière du chemin 297, le bâti a été basculé pour dé brayer les pignons de totalisateur des crémail lères. Une détente 300 (fig. 4) repère et main tient en place le levier 298 dans l'une ou l'au tre de ses positions.
Sur l'ergot 299 pivote aussi un levier 301 (fig. 9 et 11), dont une goupille 302 coopère avec l'arête inférieure d'un bras orienté vers l'avant du levier 298. Ce levier porte un cli- quet pivotant 303 qui coopère avec un ergot ,04 et porte, en c du bras -en question, outre, un ergot 305 (fig. 9), qui est saisi par une encoche pratiquée dans un prolongement vers l'arrière d'une bielle 306.
Un ressort 307 (fig: 4 et 9), relié att levier de commande de totaux 277 et à la bielle 306, actionne normalement l'extrémité inférieure de celle-ci vers l'avant de la machine, mais un ergot 308 du bras 276, orienté vers le haut, du levier 277, vient en contact avec une arête antérieure de la bielle dans les opéra tions d'addition et de soustraction et main tient l'encoche de la bielle en prise avec 1-'er- got 305, contre l'action du ressort 307.
La bielle 306 est articulée, à son extrémité supérieure, avec le bras avant du levier à trois bras 272 et est abaissée lorsque le levier <B>272</B> bascule dans le sens senestrorum, au dé but de la première moitié d'un cycle. Elle est ramenée vers le haut lorsque le levier à trois bras 272 bascule dans le sens dextrorsum, au début de la seconde moitié du cycle.
Lorsque le totalisateur N 3 est sélec tionné, ce mouvement de la bielle vers le bas, puis vers le haut, a pour effet, par l'intermé diaire du levier 301, de faire basculer le le vier 298 et d'amener le totalisateur N 3 à se dégager des crémaillères pendant la première moitié d'un cycle de fonctionnement et à, s'en gager avec les crémaillères pendant la seconde moitié de ce cycle.
Comme dans le cas du totalisateur N 1, lorsque le totalisateur N 3 n'est pas sélec tionné, un ergot. 310 (fi,. 4) est, amené en po- .7) sur le trajet d'un bras du cliquet 303 pour dégager le cliquet par rapport à. l'ergot 304 et désaccoupler du levier 301 le levier 298, une fois que celui-ci a été déplacé pour pro voquer le débrayage du totalisateur. Le tota lisateur demeure débrayé et ne reçoit aucune somme lorsque les crémaillères retournent à. leur position d'origine.
Dans celles des opérations pour lesquelles le totalisateur N 3 demeure débrayé, pendant. le retour des crémaillères, le totalisateur s'embraye après que celles-ci soient retour nées à leur position d'origine. Ceci résulte de l'intervention d'un levier (fig. 4 et 11) pivotant en 315 sur le bâti latéral 51. Ce le vier comporte un bras 316 orienté vers l'avant (fig. 11), coopérant avec un ergot 317 du le vier 298 et un bras 318 orienté vers le haut, porteur d'un galet 319 qui est. en contact avec le rebord arrière du bras 282 de l'axe arrière 61.
Lorsque<B>le</B> bras 282 se déplace dans le sens senestrorsum <B>(fi-.</B> 4) au début d'une opération, un ressort 320 fait basculer le le vier dans le sens senestrorsum jusqu'à ce que le bras 31.6 entre en contact avec un ergot 321 du bâti latéral 51. Ce mouvement du levier a pour effet d'écarter le bras 316 de l'ergot 317 du levier 298, de sorte que celui-ei peut basculer dans le sens dextrorsum lorsque le totalisateur est débrayé.
Vers la fin du mou vement de retour du bras 282 à sa. position d'origine, il. entre en contact avec le galet 319 et fait basculer le levier dans le sens dextror- sum, ce qui amène le bras 316 au contact de l'ergot 317 du levier 298 et fait basculer ce lui-ci jusqu'à la position pour laquelle le to talisateur est embrayé avec les crémaillères.
Le mouvement de retour du levier 298 amène l'ergot 301- dans la position pour la quelle le cliquet 303 couple le levier 298 avec le levier 301 en vue d'un fonctionnement ulté rieur avec ce dernier.
Le totalisateur N 3, par conséquent, va aussi être embrayé avec les crémaillères, à la fin de chaque fonctionnement de la machine.
Le dispositif d'embrayage du totalisateur N 2 est logé sur la gauche (le la machine et diffère quelque peu du dispositif d'embrayage des totalisateurs N ' 1 et 3.
La. plaque 181, constituant le côté gauche du bâti de totalisateur N 2 (fig. 5), comporte un prolongement 325 vers le bas, qui porte un galet 326 à. son extrémité intérieure. Le galet 326 pénètre dans une fente-came 327 (fig. 6 et 8) d'un levier 328, monté pivotant en 329 sur le bâti latéral de gautehe 50.
Cette fente-came 327 détermine les positions du bâti totalisateur N 2, e'est-à dire l'embrayage des pignons 180 avec les crémaillères 127, lorsque le galet 326 occupe la partie infé rieure de la fente, tandis que les pignons 180 sont dégagés des crémaillères 127, lorsque le galet. 326 est dans la partie supérieure de la fente.
Une détente 330 (fig. 6), montée sur une goupille 331 du levier 328, est amenée, par mouvement dans le sens dextrorsum, à pren dre contact avec un ergot 332 du bâti latéral .)0, ce qui maintient le levier 328 dans l'une de ses detLx positions.
La goupille 331 (fig. 6 et 8) du levier 328 traverse une ouverture pratiquée dans le bâti latéral 50 et émerge sur le trajet d'un cliquet "):5, monté pivotant sur un segment. 336 fixé ,à, l'arbre principal 73. lie cliquet 335 est actionné par un ressort 337 qui l'amène dans une position telle que la plus grande dimen sion du cliquet se trouve sensiblement sur un rayon clé l'arbre. L'extrémité libre du cliquet :.i est, pourvue d'un épaulement 338 qui, dans la position d'origine du cliquet, telle qu'elle est représentée aux fig. 6 et 8, se trouve au-dessous de la goupille 331.
Tout au début du mouvement du segment 336, dans le sens dextrorsum (fig. 6), ou dans le sens inverse (fi-, 8), l'épaulement 338 du cliquet vient en contact avec la goupille 331 et fait basculer le levier 328, de telle sorte que la partie supérieure de la fente-came 327 co opère avec le galet 326 pour amener le bâti à pivoter pour débrayer les pignons 180 des crémaillères 127. Ceci se produit lors des opé rations d'addition et de soustraction, avant que les crémaillères commencent leur mouve- iiient vers l'avant.
Une biellette 340, qui porte à son clti-éiii.ité avant un ergot 341, est articulée par son extrémité arrière avec le levier 328. Lorsque le totalisateur N 2 est sélectionné, -;insi qu'il sera expliqué plus en détail ci- après, l'ergot 341 est amené en face d'une en coche 34\? pratiquée dans le bord du segment et sur le trajet de celle-ci.
Lorsque le segment atteint la fin de son mouvement dans le sens dextrorsum (fig. 6), vers la fin de la pre- nfière moitié du cycle, l'encoche 342 du seg- ;
nent vient en contact avec l'ergot 341, et lors que le segment continue son mouvement, la biellette 340 se trouve être attirée vers l'avant pour faire basculer le levier 328 clans le sens senestrorsum (fig. 6), ce qui fait que l'extrémité inférieure de la fente-came 327 prend contact avec le galet 326, faisant ainsi basculer le bâti-support pour amener les pi gnons 180 en prise avec les crémaillères 127, une fois que celles-ci ont achevé leur mouve ment vers l'avant.
Les pignons demeurent en prise avec les crémaillères et, dans les opéra tions d'addition et de soustraction, enregis trent les sommes pendant les mouvements de retour des crémaillères.
Un ressort 343 (fig. 6), relié à un prolon gement du segment 336 et au bâti latéral, aide au rappel de l'arbre principal 73 dans sa po sition normale. Mécanisme <I>de</I> sélection <I>des</I> totalisateurs. Le mécanisme destiné à sélectionner Fan quelconque des totalisateurs en vue de son fonctionnement est représenté aux fig. 3, 4, 6, 7, 8 et 11 et comprend un levier de sélection de totalisateur 350 et un certain nombre de trains de mécanismes entraînés par celui-ci et qui s'étendent jusqu'au dispositif d'em brayage des divers totalisateurs dont ils com mandent le fonctionnement.
Dans ces figures, la position du mécanisme sélecteur représente la sélection du totalisateur N 2.
Le levier de sélection 350 (fig. 3) pivote sur un ergot 103 qui fait saillie sur la plaque latérale du clavier; il peut être mis dans l'une quelconque de trois positions pour cha cune desquelles il commande la sélection d'un totalisateur différent. Pendant le fonctionne ment de la machine, le levier de sélection des totalisateurs est retenu dans la position acquise par une saillie 349 de l'extrémité droite de la coulisse 116, laquelle saillie pénè tre dans l'un de trois trous pratiqués dans le levier, lorsque la coulisse 116 se déplace vers la droite de la machine vers le commencement du cycle.
Un goujon 351 (fig. 7, 8, 10, 11 et 14), placé à l'extrémité inférieure du levier, co opère avec les arêtes de commande pratiquées sur la partie antérieure de leviers 352, 353, 354 et 355, qui pivotent en 356 sur le bâti latéral 51. Les leviers 352, 353 et 355 respec- tiv ement, contrôlent la mise en position de la barre de caractères imprimeurs de symboles et le fonctionnement du dispositif d'em brayage des totalisateurs N's 1, 3 et ?.
Le levier 353 (fig. 7), qui contrôle le dis positif d'embrayage chi totalisateur N 1, est actionné dans le sens dextrorsum (fig. 7) par un ressort 357 qui maintient l'arête de con trôle pratiquée sur le portion antérieure du levier, en prise avec le goujon 351.
Un bras 358, orienté vers le haut, du levier 353, fait saillie à travers une ouverture pratiquée dans le bâti latéral 51 et porte un ergot<B>285</B> qui détermine si le cliquet d'accouplement '2264 de- meure ou ne demeure pas en prise avec 266.
Lorsque le levier de sélection 350 est dans la position de sélection de l'un des tota lisateurs N'S ? ou 3, le goujon 351 amène le levier 353 dans une position telle que l'ergot \385 se trouve sur le trajet du cliquet d'accou plement '164 et. dégage celui-ci par rapport à l'ergot ?66 une fois que la bielle<B>271</B> a fait basculer le levier 260 et le levier 253, tout. ceci afin de débrayer le totalisateur N 1.
Une fois le cliquet 261 ainsi dégagé, le mouvement de retour de la bielle 271 et du levier 260 ne déplace plus le levier 253 et le totalisateur demeure écarté des crémaillères pendant. le mouvement de retour de ces dernières, ce qui empêche le totalisateur N 1 de recevoir des enregistrements lorsque l'un quelconque des totalisateurs<B>NO</B>S 2 ou 3 est sélectionné pour opération. Ainsi qu'il a été exposé plus haut, le levier 2e73 bascule, par le doigt 286, vers la fin du cycle de fonctionnement, ce qui dé braye le totalisateur des crémaillères.
Lorsque le levier sélectionneur 350 est dans sa position de sélection du totalisateur N 1, le levier 353, actionné par le ressoi t 357 et l'ergot 285, est, écarté du trajet du cliquet d'accouplement 261. Le levier<B>253</B> demeure accouplé au levier 260 et se trouve entraîné par ce dernier et embraye le totalisateur avec les crémaillères au début de la seconde moitié du cycle, permettant ainsi des enregistre ments clans le totalisateur N 1 lorsque les cré- maillères retournent à leur position de dé- part, pendant. la seconde moitié d'un cycle (opérations d'addition ou de soustraction).
Le levier 354 (fi-. 3, 11 et 14) qui contrôle le dispositif d'embrayage du totalisateur N' 3, comporte une biellette 360 orientée vers le bas et articulée à son extrémité arrière. 1\n er\;
ot 1"61, fixé à l'un des bras d'un levier 362 pi- @otant en 363 sur le bâti latéral 51, traverse une fente 364. pratiquée dans l'extrémité infé rieure de la biellette 360, et cet. ergot est obligé, par un ressort 365, de rester en con tact avec l'extrémité inférieure de la, fente. Le ressort 365, de ce fait, exerce une traction sur la biellette 360, et cette traction a pour effet de maintenir la surface active (le l'extrémité avant du levier 35-1 en prise avec l'ergot 351 fixé au levier 350 de sélection des totalisa teurs.
L'autre bras du levier 362 porte l'ergot 310 qui traverse une ouverture pratiquée dans le bâti 51, et coopère avec le cliquet d'accouplement 303 pour a,:ir sur l'accouple- ment du levier 298 et du levier 301 en vue de leur entraînement lorsque le levier 301 est actionné par la bielle 306.
Lorsque le levier de sélection 350 est dans ses positions de sélection de l'un des deux to talisateurs N's 1 ou ?, l'ergot 351 fait que le levier 35-1, la biellette 360 et le levier 362 prennent la position représentée aux fig. 3 et 11, position dans laquelle l'ergot 310 se trouve sur le trajet (tu cliquet d'aceouplemeiit :;
03 pour dégager le cliquet. par rapport à l'ergot 304, une fois que la bielle 306 aura fait bas- euler le levier 301 et le levier 298, produisant ainsi le débrayage du totalisateur N' 3.
Le cliquet 303 ainsi dégagé, le mouvement de re tour de la bielle 306 et du levier 301 n'exerce aucune action sur le levier 298, et le totalisa teur demeure débrayé pendant. le mouvement de retour des crémaillères, ce gui empêche le totalisateur N 3 d'enre;@istrer lorsque l'un quelconque des totalisateurs N 5 1 et. 2 auront été sélectionnés pour fonctionnement.
Dans celle des opérations pour laquelle le totalisateur N 3 demeure débrayé pendant le mouvement de retour des crémaillères 133, le bras 316 est en contact avec l'ergot 317 chi levier 298, et ce vers la fin du cycle, comme expliqué plus haut, et fait basculer le levier 298 afin que le totalisateur s'embraye avec les crémaillères après que celles-ci sont revenues à. leur position d'origine.
Lorsque le levier de sélection 350 a été amené à sa position de sélection du totalisa teur N 3, l'ergot 351 se trouve en face d'une encoche de la surface de contrôle du levier 3:54 et permet au ressort 365 de déplacer le levier 362 de faon que l'ergot 310 soit écarté du trajet du cliquet 303, de telle sorte que le levier 298 reste couplé au levier 301 pour âtre manceuvré par ce dernier et met le tota lisateur en prise avec les crémaillères au dé but de la seconde moitié du cycle.
Ceci pro duit l'enregistrement des sommes dans le totalisateur N 3, au cours d'additions et de soustractions, pendant le retour des crémail lères à leur position de départ durant la se- conde moitié du cycle.
Le levier 355 (fig. 3 et 8), qui coopère avec le goujon 351 du levier 350 pour agir v*ir le dispositif d'embrayage du totalisa teur N 2, est articulé à l'extrémité supérieure dînne biellette 370 dont l'extrémité inférieure e>t articulée à. un bras 3'7l, assujetti lui-même à l'extrémité de droite d'un arbre 372 qui traverse la machine et qui tourillonne dans les prolongements 52 et 53.
Vers son extré mité de gauche, l'arbre 372 porte un bras 373 < irtieulé à l'extrémité inférieure d'une biel- lette 374. L'extrémité supérieure de la biel- lette 374 (fig. 6 et 8) porte une fente 3"r5 qui coopère avec un ergot 376 d'un levier 377 pi votant en 378, ce qui permet à la biellette 374 d'être déplacée de haut en bas et de bas en faut sur un trajet. sensiblement vertical.
La biellette 374 comporte un doigt pro longé vers l'avant 381, qui se place sous l'er got 341 et permet à la biellette 374 d'agir sur la position de l'ergot 341 par rapport à. l'encoche 342 pratiquée dans le rebord supé rieur du segment 336. Un ressort 382 (fig. 6), relié à l'ergot 341 et à la biellette 374, main tient l'ergot en contact avec le doigt 381.
Lorsque l'un quelconque des deux totalisa teurs N s 1 ou 3 est sélectionné pour fone- tionnement, le goujon 351 vient en prise avec l'une ou l'autre de deux portions terminales de l'arête de contrôle du levier 355, ce qui fait basculer le levier et. l'amène à faire fonc tionner les pièces connexes. La biellette 374 se déplace alors vers le haut et soulève l'ergot 341 qui s'écarte du trajet du segment 336.
Comme expliqué plus haut, si l'ergot 311 est sur le trajet du segment 336, ce dernier vient en prise avec l'ergot 341 vers la fin de la pre mière moitié du cycle (opérations d'addition ou de soustraction) et attire la biellette 340 vers l'avant pour faire basculer le levier 328 et embrayer le totalisateur avec les crémail lères pour recevoir des données pendant le mouvement. de retour des crémaillères.
En conséquence, lorsque l'un quelconque des to talisateurs N $ 1 ou 3 a été sélectionné et que l'ergot 341 a été soulevé vers le haut et écarté du trajet du segment 336, celui-ci ne peut pas tirer la biellette 340 vers l'avant et le to talisateur reste débrayé des crémaillères pen dant le mouvement de retour de celles-ci, ce qui empêche le totalisateur N 2 de recevoir les sommes, lorsque soit le totalisateur N .1, soit le totalisateur N 3 a. été sélectionné pour fonctionnement.
Lorsque le totalisateur N 2 est sélectionné pour fonctionnement, la mise en position chi levier 350 place le goujon 351 en position de coopération avec la portion centrale de l'arête de contrôle du levier 355. Ceci permet à la biellette 374 de gagner sa position basse et de placer L'ergot 341 dans une position telle qu'il soit pris par l'encoche 342 du segment 336 et que le segment puisse tirer la biellette 340 vers l'avant, ce qui produit l'embrayage du totalisateur avec les crémaillères avant que celles-ci commencent leur mouvement de re tour; de la sorte, des enregistrements peuvent s'effectuer dans le totalisateur N 2.
On voit que le mécanisme sélectionneur de totalisateurs, en agissant de manière sélec tive sur le dispositif d'embrayage, peut déter miner celui ou ceux des totalisateurs qui de meurent hors circuit par rapport aux crémail lères, pendant le mouvement de, retour de ces dernières, et que, par conséquent, le méca- nisme sélectionneur de totalisateur peut sélec tionner l'un quelconque des totalisateurs pour l'enregistrement de données pendant des opé rations d'addition et de soustraction.
Une barre à caractères 385 (fig. 10) est mise en position sous l'influence du levier sé lectionneur 350 afin que l'un des chiffres 1 , 2 ou 3 soit imprimé pour indiquer lequel des totalisateurs a été sélectionné pour fonctionnement. Lorsque le levier sélection neur est mis en position de sélectionner pour l'un quelconque des totalisateurs, à volonté, le goujon 351 coopère avec. la surface de con trôle située à l'avant du levier 352 pour per mettre au levier d'être mis en position dans l'une des trois positions correspondantes.
Le levier 352 comporte un prolongement dirigé vers l'arrière qui se trouve sous un ergot 386 d'un bras 387 (fig. 10 et 14) fai sant partie d'un étrier pivotant en<B>3188</B> sur le bâti latéral .51. Le bras 387 fait saillie à tra vers une ouverture pratiquée dans le bâti 51, et son extrémité avant est actionnée vers le bas par un ressort 389 qui a pour effet, par l'intermédiaire du contact entre l'ergot 386 et le prolongement arrière du levier 352, de maintenir la surface de contrôle, située à l'avant du levier 352, en contact avec le gou jon 351 du levier sélectionneur 350.
.L'autre bras 390 (fig. 10 et 14) de l'étrier présente une fente 391 coopérant avec un ergot 392 porté par un levier 393 pivotant en 391 sur le bâti de droite du mécanisme impri meur 395 dont une partie est représentée en fig.10. L'extrémité arrière du levier 393 est fourchue et est en prise avec un ergot 396 fixé sur le côté de la barre à caractères 385.
Des éléments de caractères portant les chiffres 1 , 2 et 3 sont disposés sur la barre à caractères 385, le chiffre 1 étant au-dessus du chiffre 2 et le chiffre 3 sous le chiffre 2 .
Lorsque le levier 352 est mis en position sous l'influence du levier sé- -leetionneur 350, il. va, par l'intermédiaire de l'étrier et du levier 393, obliger la barre à ca ractères à monter ou descendre et amener ainsi l'élément de caractère convenable en po sition d'impression, grâce à quoi le chiffre correspondant peut être imprimé pour indi quer celui des totalisateurs qui a été sélec tionné pour fonctionnement.
lIéc(tiiisirie <I>de</I> coîrii)i((rtde <I>(les o</I> pératioiis (le tot(tl.
Dans la machine représentée, les opéra tions de total s'effectuent de la manière Habi tuelle par embrayage du totalisateur voulu avec les crémaillères différentielles et ce pen- dant la première moitié d'un cycle et avant que les crémaillères se déplacent vers l'avant.
Les divers pignons tournent jusqu'à. ce qu'ils atteignent leur position de zéro, position dans laquelle une partie radi < de des cames de re- port qui leur correspond vient en contact. avec les équerres pratiquées sur les leviers<B>(le</B> report pour empêcher tonte continuation du mouvement des pignons et des différentiels.
Le résultat de cette opération est que le to tal se trouve extrait du totalisateur et que le dispositif différentiel est positionné en fonc tion de ce total, ainsi que les barres à carac tères qui permettent d'imprimer la somme correspondante.
litant donné que la. machine représentée est pourvue de trois totalisateurs, il est rr6ees- saire que le mécanisme sélecteur des totalisa teurs coopère avec le mécanisme de colnrrlande Oies opérations de total pour permettre à l'un quelconque des totalisateurs, mais setalement à celui qui a. été sélectionné, de demeurer en prise avec le dispositif différentiel, pendant la première moitié d'un c'-cle, afin due ce dis positif soit.
correctement positionné pour re présenter le total.
Le mécanisme de commande du total est semblable à beaucoup de points de vue à ce lui que l'on trouve habituellement dans les machines du type de celle représentée. Ce mé canisme, quand il fonctionne, libère les di-,-ers mécanismes différentiels et provoque le dé clenchement d'un cycle de fonctionnement dans lequel le dispositif d'embrayage des to talisateurs est commandé pour qu'un totalisa teur reste en prise avec les crémaillères diffé rentielles pendant leur déplacement vers l'avant.
Le totalisateur est ainsi remis à zéro et les différentiels positionnés convenable ment; il est ensuite dégagé des crémaillères avant le début. de leur mouvement de retour.
Le mécanisme de commande chi total peut aussi être actionné pour une opération de sous-total qui est semblable à une opération tic total, à cette exception que le totalisateur cst embrayé avec les différentiels pendant leur mouvement vers l'avant, afin de déter miner leur position en fonction du total, et demeure en prise pendant le mouvement de retour pour permettre à la somme de se réta blir.
Un levier de total 400 (fig. 4, 9 et 14) est fixé sur un arbre 401 qui traverse la machine et tourillonne dans les bâtis latéraux 50 et 51. Un levier de blocage de course d'espacement 402 4 et 14) coopère avec le levier (le to tal 400 pour provoquer une opération de réarmage des reports des dizaines avant que le levier de total puisse être manceuvré après une opération quelconque d'enregistrement de montants.
Pour extraire un total, on fait basculer le levier 400 dans le sens dextrorsum (fig. 9), ce qui déplace l'extrémité supérieure d'une biel- lette 403 vers l'avant et le haut, amenant la biellette à. se déplacer vers le haut et à faire basculer le levier de commande de totaux 277 dans le sens senestrorsum contre l'action d'un ressort 404 (fig. 4).
Lorsque le levier coudé 277 pivote, il tire vers l'arrière une biellette 405 qui est. arti culée, à son extrémité antérieure, à un levier 406 (fi-. 4) pivotant en 407 sur le bâti laté ral. 51. Lorsque la biellette est déplacée vers l'arrière par la manoeuvre du levier de total 400, le levier 406 pivote dans le sens senes- trorsttm (fi-. 4) et une arête située à l'extré mité supérieure du levier vient appuyer con tre un galet 408 fixé au bras prolongé vers l'arrière 409 de l'étrier de rappel des touches 113.
Celui-ci ;comporte des doigts qui co opèrent avec les leviers d'arrêt à zéro 112 (fi-. 1) et lorsque l'étrier est basculé, ces doigts s'écartent des barres d'arrêt. 7.20 pour libérer, en vue de leur fonctionnement., les dispositifs différentiels. Comme expliqué plus haut, les doigts de l'étrier 113 coopèrent avec les plaques de ver rouillage 114 pour libérer toute touche enfon cée lorsque l'étrier bascule.
En conséquence, la manoeuvre de ce dernier, lorsque le levier (le total est. actionné pour une opération de total, libère toutes les touches de montants qui peuvent avoir été enfoncées et libère aussi les divers dispositifs différentiels afin que ceux-ci puissent fonctionner pendant l'opéra tion de total.
Lorsque la bielle 405 est tirée vers l'ar rière, un ergot 410 (fig. 4) qu'elle porte et qui coopère avec l'extrémité inférieure four chue d'un levier 411, fait pivoter celui-ci autour d'un ergot 412 qui est porté par le bâti latéral 51.
Lorsque le levier 411 pivote, un doigt 418 prolongé vers l'avant vient. se placer sous un rebord 419 du verrou 102 du levier de total et de non-addition. Ce mouvement du levier 411 a également pour effet d'amener un ergot 413 en contact avec une plaque de retenue 414 du verrou et à faire basculer la plaque autour de l'ergot. 412, de façon qu'un doigt de la plaque s'écarte de la position de blo cage du rebord et permette à un ressort 415 (le faire basculer le verrou 102.
Ce dernier, clans son mouvement, place le rebord 419 au- dessus du doigt 418 qui est sur le levier 411, et ce mouvement retient le levier ainsi que le levier de total 400, qui lui est relié, dans leur position déplacée. Le verrou 102 retient ces pièces dans cette position jusqu'à ce qu'un galet 416 (fig. 3), disposé sur le secteur de course complète 72, s'engage avec un cliquet de franchissement 417 (fig. 4) porté par le verrou 102, peu après le début de la course de retour du secteur 72, et fasse basculer le verrou 102 dans le sens dextrorsum (fig. 4).
De la sorte, le rebord _419 s'écarte de sa posi tion de verrouillage avec le doigt du levier 411, de sorte que le ressort 404 peut alors ramener le levier de total 400 et les pièces connexes à leur position normale.
Dans le mouvement. du verrou 102 vers sa position de verrouillage, le prolongement 101 qui s'y trouve fixé entre en contact avec l'ergot 98 (fig. 3) et fait basculer le levier de déclenchement, pour provoquer un cycle opé ratoire de la machine, comme expliqué plus haut.
Un mouvement du levier de total -100 dans le sens senestrorsum (fig. 4) provoque une opération de sous-total, en ce sens que la biellette 103 est soulevée, que les pièces con nexes, comme décrit plus haut, fonctionnent. De plus, le dispositif d'embrayage du totalisa teur sélectionné agit. de telle manière que ce totalisateur reste embrayé avec les différen tiels pendant le mouvement de retour de eeul-ci, comme expliqué plus loin.
Un ergot 488, porté par le levier de total 100, s'engage avec un levier à trois bras 492 pour faire basculer les différents prolonge ments du levier pour une opération de total ou de sous-total. Le levier 492, par l'intermé diaire d'un levier de couplage 489, met en po sition la barre à caractères 139 des symboles, afin que le symbole distinctif de totaux soit mis en position voulue d'impression.
Les commandes ci-dessus fonctionnent de la même manière dans toutes les opérations de total et ne sont pas affectées par la sélec tion du totalisateur dont le total est extrait.
On décrira dans ce qui suit la manière dont le mécanisme sélecteur de totalisateurs et le mécanisme de commande des totaux co opèrent pour agir sur le dispositif d'em- braya;e et provoquent des opérations de total.
En ce qui concerne tout d'abord les com mandes de l'embrayage du totalisateur N 1, on rappellera que, lorsque le mécanisme de sélection est. placé pour la sélection du totali sateur N 1, l'ergot 351 (fi-. 7) du levier 350 de sélection se trouve en face de la partie basse de l'arête de commande située à. l'avant du levier 353, et le ressort 357 fait basculer le levier 353 d'un petit angle dans le sens dex- trorstrm, à partir de la. position représentée à. la fig. 7. Dans cette position ainsi atteinte, l'ergot 285 a été écarté du cliquet 264 et le le vier 260 demeure couplé au levier 253 pen dant la seconde moitié du cycle.
En outre, pour cette position du levier 353, un prolon- genrent de celui-ci vers l'arrière s'écarte d'un ergot 425 fixé à. un levier 4'26 pivotant en -127 à l'extérieur du bâti latéral et permet. ait levier 426 d'effectuer un léger mouvement dans le sens senestror:sum.
Le levier 426 comporte une oreillette 428 qui fait saillie à travers une ouverture du bâti latéral 51 et derrière un ergot 429 fixé à un levier 430 pivotant en 273. Lorsque le levier 426 pivote dans le sens senestrorsum, l'oreillette 428 se déplace vers l'arrière de la machine, et ce suffisamment pour permettre au levier 430- de basculer dans le sens dex- trorsum (fig. 7).
Le levier 430 comporte, à l'avant, un re bord 431 qui se trouve au-dessus d'un galet ?75 de la bielle 271.
Lorsque le levier coudé 277 (fi-. 9) pivote grâce au levier de total -100, le bras 276 orienté vers le haut s'éloigne de l'ergot 275 de la bielle 271, et le ressort. 274 soulève l'ex trémité avant. de la bielle, (le façon telle que l'encoche de cette dernière se dégage de l'er got 270 du levier 260 avant que la bielle re- coive son mouvement vers l'avant.
1Jtant donné que le mécanisme de sélec tion des totalisateurs est placé pour la sélec tion du totalisateur N 1, le levier 430 (fig. 7) n'empêche pas que la bielle 2(1 (fig. 9) soit déconnectée du levier 260, mais il pivote dans le sens dextrorsum ;râce au galet<B>'2</B>75, lorsque l'extrémité avant de la bielle<B>271</B> est soulevée par le ressort 274.
La bielle étant ainsi déconnectée du levier 260, le totalisateur n'est pas écarté des cré maillères différentielles et se trouve ainsi ramené à zéro par ces dernières, ce qui fixe la position des différentiels en fonction du total, pendant la première moitié du cycle de fonctionnement, ainsi qu'il est d'ailleurs cou rant dans les opérations de total.
Lorsque la bielle 271 atteint l'extrénre pointe de son. moue ement vers l'avant, une encoche 435 pratiquée dans un de ses pro longements (fig. 7 et 9) vient en prise avec un ergot 436 (fig. 9) de l'extrémité supé rieure du levier 260, et le mouvement (le re tour de la bielle fait basculer le levier <B>260</B> et <B>Je</B> levier 253 qui lui est couplé, dans le ,sens dextrorsurtr (fig. 7),
ce qui débraye le totali- sal eur remis à zéro clés crémaillères avant v ,ue celles-ci commencent leur mouvement de retour dans la seconde moitié d'un cycle.
Le doigt. 286 (fig. 7), monté fou sur l'ar bre principal 73, fait alors basculer le levier :.'>vers la fin du cycle de la machine, comme e@plidué précédemment, et amène, par suite, les pignons de totalisateurs remis à zéro à s'embrayer avec les crémaillères une fois que ces dernières ont achevé leur mouvement de retour.
La commande ci-dessus des dispositifs d'embrayage des totalisateurs pour le N 1 agit dans toutes les opérations de total pour lesquelles le totalisateur N 1 est sélectionné pour fonctionnement. Lorsque l'un des tota lisateurs 1\T g 2 ou 3 a été sélectionné pour le total, l'ergot 351 du levier sélectionneur 350 est en face clé la. portion la plus élevée de l'arête du levier 353, comme on le voit en fig. 7, et le levier 353 bascule dans le sens se- nestrorsum depuis sa position de sélection du totalisateur N 1 jusqu'à la position repré sentée ici.
Le levier 353 étant dans cette po sition, l'ergot 285 se déplace vers l'avant dans une position de coopération avec le cliquet 264 et il déconnecte le levier 260 du levier ''.i3 ver.; la fin de la première moitié du cy- Me. Le prolongement arrière du levier 353 est déplacé vers le haut. et met en position le levier 426 avec son oreillette 428 immédiate ment derrière l'ergot 429 du levier 430, ce qui bloque tout mouvement sensible de la bielle 271 dans le sens dextrorsrtnr.
Lorsque l'un des totalisateurs N- J ou 3 est sélectionné pour fonctionnement. et que le levier clé total -100 fait, basculer le levier de commande de total 277 pour que le bras 276 soif:
dégagé du galet 275, le levier 430 étant bloqué contre tout mouvement va, grâce à son engagement. avec le galet 275, empêcher le levage de l'extrémité avant de la bielle 271 par le ressort 274 et fait que l'encoche de la bielle reste en prise avec l'ergot 270 du le vier 260 < Étant donné que l'encoche de la bielle de meure en prise avec l'ergot 270, le mouvement vers l'avant de la bielle fait basculer le levier 260 et le levier 253 pour dégager les pignons des crémaillères avant. que celles-ci commen cent. leur mouvement vers l'avant..
Comme, de plus, le levier 260 est désolidarisé du levier 253, vers la fin de la première moitié d'un cycle de la machine, empêchant ainsi le mou vement de retour de la bielle de faire basculer le levier 253 et, par suite, de provoquer l'em brayage des pignons de totalisateurs avec les crémaillères avant leur mouvement de retour, le totalisateur N 1 reste dégagé des crémail lères pendant les opérations de totaux, lors que l'un quelconque des totalisateurs N s 2 ou 3 est sélectionné pour fonctionnement, et la position qui lui avait été donnée n'est pas modifiée.
Les commandes pour les opérations de sous-total à partir du totalisateur I\T 1 sont essentiellement les mêmes que ci-dessus, mais lorsque l'on fait. basculer le levier de total 400 dans le sens senestrorsum (fig. 9) et que ce levier 400 déplace la biellette 403 afin que cette dernière entraîne le levier de commande 277, la biellette 405 (fig. 4) et les pièces con nexes dans les mêmes conditions que pour une opération de total, le levier 400 déplace vers l'arrière l'extrémité supérieure de la biel- lette 403.
Ce mouvement. (fig. 9) amène son galet 434 sur le trajet de la bielle 271, limi tant le mouvement vers le haut de cette der nière, de telle sorte que l'encoche 435 ne puisse s'engager avec l'ergot 436 du levier 260. Ceci empêche le totalisateur d'être dé brayé des crémaillères pendant leur mouve ment de retour. En conséquence, le totalisa teur reste embrayé avec les crémaillères aussi bien à l'aller qu'au retour; ainsi que c'est né cessaire pour une opération de sous-total.
Les commandes pour le dispositif d'em brayage du totalisateur N 3, dans une opé ration de total, sont semblables à celles du to talisateur N 1.
Lorsque le mécanisme de sélection des to-- ta.lisa.teurs est réglé pour la sélection du tota lisateur N 3, l'ergot 351 du levier sélection- neur de totalisateur 350 se trouve être en face de la partie basse de l'arête-ca.me prati quée sur le devant du levier 351 (fig. 11), et le ressort 365 peut, par l'intermédiaire de la biellette 360, faire basculer le levier dans le sens dextrorsum, d'une petite distance à par tir de la position représentée en fig. 11.
Ce mouvement du levier 354 et de la biellette 360 permet. au levier 362 de basculer dans le sens dextrorsum, de sorte que l'ergot 310 est écarté du cliquet 303 et que le levier 301 reste couplé au levier \398.
Le mouvement dans le sens de=:trorsum du levier 354 (fig. 11) fait qu'une biellette -137, articulée à l'extrémité antérieure du levier 35-1, déplace et bascule un organe<B>de</B> blocage 138 dans le sens senestrorsum. Cet. organe 438, qui est. relié à la biellette 437 au moyen d'une liaison par goupille et fente, est arti culé sur un ergot 439 filé à l'intérieur. di: bâti latéral 51 et à une équerre 440 qui co opère avec un ergot 441 de la bielle 306, sauf lorsque le totalisateur N 3 a été sélectionné pour fonctionnement.
Le baseulement de la pièce 438 par la biellette 437 a pour effet d'écarter l'équerre 440 de l'ergot 441.
Lorsque le levier de total 277 (fig. 9) pi vote sous l'action du levier 400 au cours d'une opération de total, l'ergot 308 du bras 276 du levier s'éloigne du rebord frontal de la bielle et permet au ressort 307 de déplacer l'extré mité inférieure de la bielle vers l'avant, ce qui retire l'encoche de l'ergot 305 du levier 301, au début du cycle et avant que la bielle soit en mesure de déplacer le levier 301.
Un levier 445 (fig. 11), pivotant sur l'er got 315 et relié élastiquement au levier 318, coopère avec un ergot 446 de la bielle 306 pour agir sur les temps de débrayage et d'em brayage de l'encoche et de l'ergot 305 pendant le evele de fonctionnement de la machine.
Lorsque l'encoche de la bielle 306 est.<B>dé-</B> ,gagée de l'ergot 305, le levier 301 et le levier 298 ne sont pas basculés par le mouvement de descente de la bielle 306 et les pignons du to talisateur N 3 restent embrayés avec les cré maillères différentielles pendant leur mouve ment vers l'avant, et sont remis à zéro en même temps que la position (les différentiels est fiée selon les différents chiffres du total.
Lorsque la bielle 306 se déplace vers le bas, une encoche 447 (fig. 9) d'un bras orienté vers l'avant de celle-ci s'en;,ao,e sur un ergot 418 du levier 301 et permet le mouvement (le retour de la bielle, laquelle fait basculer le levier 301 dans le sens deltr'orslInr (fi\;. 9), de telle sorte que le totalisateur N 3 se trouve dégagé des crémaillères avant que celles-ci rie commencent leur mouvement de retour.
Lorsque le levier de total 400 est baseulé dans le sens senestrorsuni (fig. 9) pour pré parer la machine à une opération de sous total, il déplace l'extrémité supérieure (le la biellette -103 vers l'arrière, et amène son ergot 150 dans une position telle que celui-ci em pêche l'encoche 43-7 de la bielle 306 de s'en gager sur l'ergot -148, et, par suite, de provo quer le dégagement du totalisateur N 3 par rapport aux crémaillères avant,
que celles-ci re viennent à leur position d'origine. Par consé quent, le totalisateur demeure en prise avec les crémaillères tant à l'aller qu'au retour, ainsi que cela. est nécessaire pour les opéra tions de soustractions.
Si le totalisateur N 1 ou 2 est sélectionné pour fonctionnement, l'organe de blocage 438 (fig. 11) empêche la bielle 306 d'être dégagée de l'ergot. 305 pendant une opération de total, de sorte que le totalisateur N <I>13)</I> est. immédia- tement dégagé des eréiiraillères et due l'ergot 310 désaccouple le cliquet 303 et l'ergot. 30-1,
ce qui permet au totalisateur de demeurer dégagé des crémaillères jusqu'à. ce que eel- les-ci soient revenues à. leur position d'origine, comme expliqué plus haut.
En ce qui concerne le totalisateur N ?, l'ergot 351 du levier 350 vient en face de la partie basse de l'arête (le commande pratiquée à l'extrémité antérieure du levier 355 (fi-. 8) et, comme expliqué plus haut, permet au res sort 380 de déplacer la biellette 374 vers le bas. Le mouvement de descente de la biellette 374 fait basculer le levier 377 dans le sens senestrorsum (fig. 6) autour (le son pivot 378.
Sir l'extrémité arrière du levier<B>â77</B> pi vote une biellette 456, orientée vers le bas (voir aussi fig. 8), qui comporte un ergot 457 à son extrémité inférieure. Lorsque le levier 377 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 6), L'ergot 457 vient en face d'un rebord 458 pra tiqué à l'extrémité inférieure d'un levier 459 qui pivote en 460 sur le bâti latéral 50.
Un ressort. 461 (fig. 8) tendu entre le le vier 377 et la biellette 456, tire la biellette clans le sens senestrorsum (fig. 8) pour la faire s'engager avec le bâti du moteur 55, ainsi qu'on le verra mieux à la fig. 12.
Sur le levier 459 pivote un levier 462 (Fig. 6) dont un doigt 463 orienté vers l'avant se prolonge au-dessus d'un ergol: 464 du le vier<B>377</B> et tend à demeurer en contact avec celui-ci par un ressort 465. Le mouvement du levier 377 dans le sens senestrorsum (fig. 6) permet au levier 462 de basculer dans le sens dextrorsum (fig. 6) sur le levier 459, de sorte qu'un rebord antérieur 456 de celui-ci se trouve être dégagé de l'ergot 331 da levier 3 8,
si celui-ci est dans une position pour la quelle le totalisateur est demeuré débrayé des crémaillères à la fin d'une opération précé- (1(#nte.
Un second cliquet 470 pivote sur le seg ment 336 et. est attiré par un ressort 471 dans une position pour laquelle la plus grande di- raension du cliquet est sensiblement sur un rayon de l'arbre. Le cliquet 470 est maintenu dans sa position normale (fig. 6 et 8) contre mi ergot 472 du bâti latéral 50.
Un second levier 475 (fig. 6) pivotant sur l'ergot 460 comporte un ergot 476 à sa partie intérieure qui, normalement., est dans une po sition propre à empêcher le cliquet 470 d'en trer en contact avec l'ergot 331 et de faire basculer le levier 328 pour dégager le totali sateur N 2 aLt début de la course de retour du segment.
Les leviers 459 et 475 (fig. 6) présentent (les arêtes-cames à leur extrémité supérieure, (lui coopèrent avec un ergot 477 d'Ltn bras 478 calé à. l'extrémité de l'arbre 401 sur lequel le levier de total 400 est fixé. Lorsque le le vier 400 est manipulé pour commencer une opération de total, le bras 478 bascule dans le sens senestrorsum (fig. 6), ce qui amène le le- vier 459 à basculer dans le sens dextrorsam et permet au levier 475 de basculer dans le sens contraire (fig. 6).
Le mouvement dix levier 459 fait que le levier 462 entre en contact avec l'ergot 331, si le totalisateur est dégagé, et fait basculer directement le levier 328 jusqu'à. embrayage du totalisateur N 2 avec les crémaillères avant que celles-ci commencent leur mouve ment vers l'avant. En même temps, le rebord 458 du levier 459 déplace l'ergot 457 vers l'avant pour engager le cliquet 335 et le re tirer de l'ergot 331 pour empêcher que le cli- quet dégage le totalisateur pendant le mouve ment initial du segment.
En conséquence, le totalisateur N 2 étant sélectionné, la manceuvre du levier de total 400 pour déclencher une opération de total va, par l'intermédiaire du bras 478 et de l'er got 477, faire basculer le levier 459, de telle sorte que le levier 462 de celui-ci fasse bascu ler le levier 328 et que le totalisateur soit immédiatement engagé avec les crémaillères si le totalisateur a été laissé dégagé dans une opération précédente.
Le rebord 458, de plus, déplace l'ergot 457 et retire le cliquet 335 de sa coopération avec l'ergot 331 sur le le vier 328, empêchant que le totalisateur soit dégagé des crémaillères au débat du mouve ment vers l'avant du segment 336. Cxrâce à ces commandes, le'totalisa-teur reste en prise avec les crémaillères pendant leur mouve ment de retour et va être remis à zéro par elles.
Le bras 478 et l'ergot 477 placent le levier <B>J.75</B> dans une position telle que son ergot 476 place lui-même le cliquet 470 en prise avec l'er got 331 pour faire basculer le levier-came, si bien que le totalisateur sera dégagé des cré rnaillères avant que ces dernières commencent leur mouvement de retour.
Dans une opération de sous-total, le bras 478 est basculé dans le sens dextrorsum (fig. 6) et oblige le levier 459 à fonctionner comme dans une opération de total. Le levier 475 est maintenu dans sa position normale pour laquelle l'ergot 476 s'engage avec le cliquet 470 et empêche ce dernier de s'engager avec l'ergot 331 pour provoquer le déplace ment du totalisateur et son dégagement par rapport aux crémaillères différentielles avant le début de leur mouvement de retour.
Dans ces conditions, le totalisateur demeure en prise avec les crémaillères aussi bien à l'aller qa'au retour, ainsi que cela est nécessaire dans une opération de sous-total.
*Lorsque l'un des totalisateurs N 5 1 ou 3 est. sélectionné, la biellette 374 se trouve être clans sa position supérieure, comme expliqué plus haut. Dans cette position, le levier 377 aura été basculé dans le sens dextrorstim (fig. 6) pour soulever l'ergot 5,57 et le déga- jer du rebord 458, et aura fait. basculer le le vier 462 vers le haut, le dégageant de l'ergot 331.
Dans ces conditions, le totalisateur N 2 n'est pas saisi par le levier 462 lorsque le le vier 459 est. déplacé par le levier de total, et le cliquet 335 reste en prise avec l'ergot 331 et débraye le totalisateur N 2 immédiate ment dès que le segment 336 se met en mou vement.
Comme expliqué phis haut, l'ergot 341 est écarté par la biellette 374 de sa relation de coopération avec le segment. 336 lorsque l'un des totalisateurs N S 1 ou 3 est. sélectionné, de sorte que le totalisateur N 2 reste dégagé pendant le mouvement de retour des crémail lères.
Ftant donné que le totalisateur est déjà dégagé des crémaillères, 1-e cliquet 470 de meure inopérant, même si le levier 475 a été mis dans une position pour laquelle le cliquet serait inopérant dans une opération de total pour laquelle le totalisateur N 2 serait sélec tionné.
.IZécanisme <I>(le</I> commande <I>de</I> non-addition. Dans la machine représentée, les opéra tions de non-addition peuvent être exécutées lorsque l'un quelconque des trots totalisateurs est sélectionné pour fonctionnement, et l'em- bray age chi totalisateur sélectionné est. sim plement empêché, de sorte qu'il ne peut rece voir aucun nombre.
Les opérations de non-addition .:.ont pro voquées lorsque l'on pousse sur l'extrémité supérieure d'un levier NON-ADD 481 (flg'. 4, 8, 14 et 16) vers l'arrière.
Le levier N ON- ADD 481 pivote sur la tige 191 de support de la plaque d'alignement, tige portée par les bâtis latéraux 50 et 51, et sur ce levier est. articulée l'extrémité supérieure d'une biellette de non-addition .183, dont l'extrémité inférieure est articulée à lute plaque de ver rouillage 484 pouvant tourner sur l'ergot 412.
Lorsque le levier NON-ADD -1-51 est basculé, il communique d'abord à la plaque de ver rouillage 484 un mouvement. de bascuientent préliminaire dans le sens dextrorsum (fig. 4),
ce qui amène le prolongement. de verrouillage 1-85 au-dessus du rebord 419 du verrou 102 du levier total et de non-addition. Pendant que la plaque 484 revoit ce mouvement préli minaire, titi ergot -186 qui y est fixé vient s'engager avec la plaque de retenue de verrou 41-1 et la. fait basculer, ce qui retire le doigt qui en est.
solidaire de sa relation de blocage avec le rebord 419 et permet. ainsi au verrou 102 d'être amené en position de verrouillage par le ressort 415. Quand le verrou 414 est ainsi déplacé, le doigt 101 qui en fait partie déclenche un cycle de fonctionnement de la machine, comme expliqué antérieurement.
Le mouvement initial de la plaque de v er- ronillage 484 amène un prolongentent-came 487 (fig. 4) à se placer sur le trajet de l'ergot 'û87 du bras 288.
L'ergot 287 entre en contact avec le prolongement 487 et communique un mouvement supplémentaire dans le sens dex- trorsunt à la plaque de verrouillage 48-1 an moment convenable du fonctionnement de la machine. Ce mouvement supplémentaire de la plaque de verrouillage 484 provoque un mouvement supplémentaire vers le haut. de la biellette 483.
Ce mouvement est le même quel que soit le totalisateur sélectionné et a pour effet d'amener le totalisateur sélectionné à. exécuter une opération de non-addition.
Le soulèvement de la biellette 453 fait qu'un ergot 490 d'un bras orienté vers l'ar- rièe 491 (fig. 4 et 16) agit sur un levier de mise en place de symboles -19'' et à.
le faire basculer dans le sens dextrorsum. Ce mouve- ment a pour effet, par l'intermédiaire du le vier d'accouplement -189, d'amener la barre de caractères symboles en position pour impri mer un symbole de non-addition.
Lorsque le totalisateur N 1 est sélectionné pour fonctionnement, les totalisateurs N 2 et 3 restent en non-addition sous l'influence du mécanisme sélecteur de totalisateur.
Dans une opération de non-addition avec le totalisateur N 1 sélectionné, le bascule- ment du levier 492 est utilisé pour empêcher l'introduction d'une somme dans le totalisa teur. Lorsque le levier 492 est basculé par la continuation de l'élévation de la biellette 483, le levier 492 entre en contact avec un ergot 493 et l'un des bras 494 d'un levier et fait basculer celui-ci en déplaçant l'autre bras -19.4a. vers l'arrière, comme on peut le voir en trait mixte à la fig. 16,
de sorte qu'un ergot -196 de ce dernier vient sur le trajet du cli- (luet 281 et empêche le cliquet de s'engager avec l'ergot 284 du levier à trois bras 272 et < le renvoyer le levier vers le début de la course de retour du bras 282.
Dans cette opération, le cliquet 281<B>dé-</B> place le levier 272 et la bielle 271 pour dé brayer le totalisateur N 1 vers le commen- eement du cycle, mais n'a pas pour effet de déplacer le levier 272 et la bielle 271 pour amener 1e totalisateur à être saisi pendant la course de retour du bras 282, ce qui fait que le totalisateur demeure dégagé des crémail lères pendant le mouvement de retour de ces dernières.
Le doigt 286 (fig. 4), lorsqu'il actionne le levier 253 pour que le totalisa teur soit mis en prise avec les crémaillères après que celles-ci aient effectué leur moue e nient de retour, oblige la bielle 271, qui est couplée au levier 253, et le levier à trois bras '272, à être ramenés à leur position normale.
Etant donné que le dispositif d'embrayage du totalisateur N 3 est actionné par une bielle 306 reliée au levier 272, la, mise hors service décrite ci-dessus du cliquet.<B>'281</B> par le bras 494a empêche le totalisateur N 3 de recevoir une somme dans une opération de non- addition où le totalisateur N 3 est sélectionné. Comme expliqué plus haut, la sélection du to talisateur N 3 met automatiquement les tota lisateurs N " 1 et 2 en non-addition.
Lorsque le totalisateur N 2 est sélec tionné pour fonctionnement, les totalisateurs N s 1 et 3 sont mis automatiquement en non addition par le dispositif sélecteur ainsi que cela a été expliqué plus haut.
Le mouvement supplémentaire, vers le haut, de la biellette 483 amène le bras 491 de celle-ci à s'engager avec un prolongement re courbé 495 situé à l'extrémité arrière du le vier 355 et à faire basculer le levier dans le sens senestrorsum (fig. 8) jusqu'à la position même qu'il occupe lorsque le levier sélection neur 350 est dans sa position N s 1 ou 3. Comme expliqué plus haut, lorsque le levier 355 est dans cette position, l'ergot 341 est écarté du trajet de l'ergot 342 du segment 336, et le totalisateur N 2 ne peut être em brayé avec les crémaillères pendant leur mou vement de retour.
Ainsi, quel que soit le totalisateur choisi pour fonctionnement, la manoeuvre du levier 481 NON-ADD a pour effet d'empêcher des sommes d'y être enregistrées.