BE526367A - - Google Patents

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BE526367A
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Publication of BE526367A publication Critical patent/BE526367A/fr

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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C23/00Driving mechanisms for functional elements
    • G06C23/02Driving mechanisms for functional elements of main shaft

Description


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  MACHINE A CALCULER. 



   La présente invention a trait des machines à calculer et plus particulièrement à une machine de ce genre dite à clavier réduit et actionnée par une source d'énergie, machine dans laquelle chaque touche peut être, en plus de sa fonction habituelle, utilisée pour déclencher un cycle   opératoire.   



   Dans les machines connues à clavier réduit, utilisant le chariot à broches usuel, le mouvement pas à pas de ce dernier est produit par le mouvement d'une touche de montant, d'abord vers l'intérieur puis vers 1' extérieur, ce qui amène ainsi la 'broche positionnée en alignement avec la barre à butées appropriée. Selon la machine de   l'invention,   une opération peut être déclenchée par le   mouvement   vers l'intérieur d'une touche au-delà de   son mouvement   de pose. 



  Il en résulte que le chariot à broches doit être positionné par le mouvement interne de la touche qui, par suite, produirait, à moins que des moyens soient prévus pour l'empêcher, une interférence avec le mouvement de   positionnement   du   chariot   à broches, car la touche enfoncée aurait sa tige sur le trajet de la tige de la rangée suivante. De plus, lorsque le cycle se produit, la tige de la touche enfoncée serait sur le trajet du chariot à broches lors de son mouvement de retour. Une interférence de ce genre est évitée grâce à la construction prévue selon la présente invention. Un organe de dérivation est en effet prévu au bas de chaque tige de touche de montant, lequel organe (un cliquet par exemple) pivote dans chaque direction pour éviter l'interférence mentionnée plus haut. 



   Au cours de l'opération du chariot à broches, au moment où un nombre à plusieurs chiffres est posé, c'est tout d'abord le chiffre de 1' 

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 ordre supérieur qui est posé, puis les suivants en ordre descendant. Par exemple, pour composer le nombre "1576", on opère d'abord le "1", puis le "5", puis le   "7"   et enfine le "6".

   En actionnant le "1", la broche correspondant à ce chiffre dans la première rangée dénominale de broches est amenée en position active et le chariot à broches est positionné pour poser cette broche en alignement avec la   barre   à butées de la rangée inférieure (les unités dans le système   décimal).   En utilisant la touche "5", la broche du "1" est déplacée par suite du second positionnement du chariot à broches, pour s'aligner avec la rangée   immédiatement   supérieure, c'est-à-dire la barreà butées des dizaines dans   lE.   système décimal. Pendant le second mouvement de   positionne-   ment la broche du "5" est alignée avec la barre à butée de l'ordre inférieur et ainsi de suite. 



   Le chariot   à   broches doit être dans la nouvelle position dans laquelle il est déplacé par la dernière touche utilisée, avant de déclencher la machine, de façon que le nombre ou montant correct soit enregistré. Les échappements de positionnement déjà connus dans les chariots à broches usuels, amènent seulement la dernière broche posée en position active en alignement de contrôle avec la barre à butées de l'ordre inférieur, lorsque la touche exerce son mouvement vers le haut ou l'extérieur.

   Un tel mouvement n'est pas possible lorsqu'il faut que la touche de montant soit à même de provoquer un cycle opératoire et c'est pourquoi la présente invention prévoit que le positionnement du chariot à broches, pour amener la dernière broche posée en position   active.d'alignement   avec la barre à butées d'ordre inférieur, se produise lors du mouvement vers l'intérieur de la touche. 



  Comme un tel positionnement a pour effet d'amener une nouvelle rangée de broches à l'alignement avec les tiges de touches, la touche enfoncée sera touchée par la broche correspondante de cette nouvelle rangée, mais grâce à l'organe de dérivation porté par la tige, l'opération peut avoir lieu sans dommage pour la broche et sans danger d'erreur d'opération. 



   Suivant   l'invention,   la machine à calculer à clavier réduit en question comprend un mécanisme de déclenchement, au moins un totalisateur, des entraîneurs pour chaque totalisateur, un chariot à broches mobile pour positionner les entraîneurs et à déplacement   pas-à-pas,   et des touches de montant ayant un premier stade d'enfoncement pour actionner les broches correspondantes, ainsi qu'un deuxième stade d'enfoncement pour actionner le mécanisme de déclenchement. 



  Elle est caractérisée par un mécanisme devancement pas-à-pas qui communique un déplacement dénominal complet au chariot à broches par enfoncement d'une touche quelconque, et par un organe intermédiaire flexible   porté.   par chaque tige de touche pour amener les broches à des positions données, l'organe intermédiaire permettant le mouvement libre du chariot à broches de la rangée dénominale immédiatement supérieure à la position voulue, au fur et   à   mesure que le chariot avance. 



   Le dessin annexé représente, à titre d'exemple une forme d'exécution de la machine à calculer faisant l'objet de   l'invention.   



   Fig. 1 est une vue perspective de la machine à calculer,   Fig. 2   est une représentation schématique en élévation de face d'un chariot à broches et de sa relation avec des barres d'arrêt, 
Fig. 3 est une vue du côté droit de la machine,, le coffre étant enlevé, 
Fig. 4 est une vue d'une partie   d'un   mécanisme de commande de total, 
Fig. 5 est une vue du côté droit d'un mécanisme disposé à l' intérieur du châssis du côté droit, montrant particulièrement un mécanisme d'embrayage du totalisateur et le mécanisme de commande de total. 
 EMI2.1 
 



  Fig à est une vue d'un mécanisme d'anti-rebandissenent de la barre d'arrêt, 

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Fig. 7 est une coupe de la machine à droite des touches et du chariot à broches, montrant une rangée d'un différentiel correspondant, 
Fig. 8 est un détail montrant une touche en position abaissée, avant le mouvement indicateur du chariot à broches, 
Fig. 9 est une vue du côté gauche de la machine, le coffre étant enlevé, 
Fig. 10 est un plan vu par-dessus de socle de la machine, mon- trant la commande de déclenchement manuel et électrique de la machine, 
Fig. 11 est un détail du mécanisme de déclenchement de la   machi-   ne, vu de la droite, 
Fig.

   12 est une vue en plan du chariot à broches, montrant les tiges des touches et le mécanisme indicateur du chariot à broches, certaines pièces étant représentées avec arrachement partiel 
Fig. 13 est une élévation de face des neuf touches de montants, 
Fig. 14 est une vue de détail montrant une touche en relation avec le chariot à broches et la came de rappel de la touche, 
Fig. 15 montre la barre motrice et le mécanisme de déclenchement par touche total, 
Fig.   16   est un détail du chariot à broches et de son mécanisme indicateur et un contacteur actionné par la touche pour amorcer le solénoïde pour déclencher la machine à l'aide des touches de montants, et   compre-   nant le circuit électrique accessoire, 
Fig. 17 est un détail du mécanisme de commande de la fonction total, 
Fig.

   18 est un détail du mécanisme de commande de la fonction soustotal, 
Fig. 19 est un détail de la plaque de commande pour le rappel du chariot à broches; 
Fig. 20 est une vue en plan des commandes de rappel du chariot à broches, et 
Fig. 21 est une vue en élévation de l'ensemble représenté à la Fig. 20. 



  Description succincte de la échine de   base:   
Une brève description de la machine de base est suffisante pour montrer comment le nouveau mécanisme de clavier pour déclencher une opération coopère avec le mécanisme différentiel standard, les barres motrices, et les touches de contrôle. 



   La machine à calculer comprend un socle 32 (Fig. 10), une plaque de bâti gauche 31 et une plaque de bâti droit 30 (voir figs.   3 ,   5, 7 et 9), assemblés de manière à constituer un châssis pour les différents éléments de la machine. En se reportant à la fig. 9, on voit que la machine est actionnée par un moteur 33 mis en marche par la fermeture de l'interrupteur de moteur 34 (fig.   Il)   quand le cliquet de déclenchement 35 bascule dans le sens dextrorsum en 36 sur le bâti. De ce fait, le levier de déclenchement   37   fixé sur l'arbre 38 bascule dans le sens dextrorsum et fait tourner l'arbre 38 en retour sous l'action d'un ressort 39 (voir aussi   fige   9) fixé à un levier à trois branches 40 solidaire de l'arbre 38. 



  Quand le levier 37 (fig. Il) bascule jusqu'à ce qu'une oreille de ce levier repose sur le plat 41 du cliquet de déclenchement 35, un levier 42, fixé à l'arbre 38, bascule dans le sens dextrorsum et ferme ainsi l'interrupteur 34, ce qui met le moteur en marche,   @e   levier 42 est saisi par un cliquet 43 quand la machine se met en marche, ce qui maintient fermé l'interrupteur de moteur jusqu'à ce qu'une came 44, montée sur un arbre de transmission principale 50, contacte le cliquet 43 à la fine d'un cycle de la machine. 

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  L'arbre 50, dans une telle opération,tourne dans le sens senestrorsum de la position représentée, en retour, par des moyens qui sont décrits-plus loin. Le moteur, par l'intermédiaire d'un engrenage de réduction, fait tourner un arbre sur lequel est fixée une plaque portant un cliquet pivotant 45 (fig. 9), lequel en position active s'engage dans un disque à entaille fixé sur une plaque à manivelle 46 de devant. Lorsque le levier à trois branches 40 est à la position de repos, la machine arrêrée, un goujon 47 porté par ce levier tient le cliquet 45 en position active, tandis que la plaque manivelle 46 est débrayée du moteur.

   Comme la machine est embrayée, le levier   40   pivote dans le sens senestrorsum (fig. 9), permettant au cliquet 45 de déplacer et de se mettre en position active sous l'influence d'un ressort   48,   de telle sorte que lorsque le moteur se met en marche, la plaque manivelle 46 commence sa rotation dans le sens senestrorsum, c'est-à-dire dans la direction de la flèche.

   Quand la plaque manivelle 46 a presque terminé son premier tour, un bras de came 49 sur celle-ci vient toucher un goujon 51 du levier 40, faisant basculer celui-ci dans le sens dextrorsum pour mettre le goujon 47 en position de contacter le cliquet   45.   Ceci débraye la plaque manivelle 46 du moteur et ramène l'arbre 38 dans sa position de départ, permettant au levier de marche 37 d'être raccroché par la commande déclen-   chement   35. Cette pièce 35 (fig. 10) est reliée à l'extrémité gauche d'un levier 52 monté à pivot en 53 sur le châssis de la machine. Une bielle 54; articulée au levier 52, provoque, en se déplaçant vers l'avant, la marche de la machine. 



  L'extrémité avant de la bielle 54 est articulée en 55 à un bras 56 orienté vers le bas (voir fige 3) d'un levier à bras multiples 57, pivotant sur le bâti de droite en 57a. Ce levier tourne dans le sens dextrorsum de la position représentée, par des éléments de contrôle à décrire, pour mettre la machine en marche.   Un   ressort 58 maintient le levier 57 dans sa position d'origine, où il est arrêté par une oreille 59 buttant sur le bâti de droite 31. Chaque fois que la machine est déclenchée, c'est contre l'action du ressort 58 qui force constamment le cliquet 35 (fig. Il) vers   @a   position de commande. Le levier 52 (fig. 10) peut aussi être basculé par l'action d' un solénoïde 60 dont le noyau 61 présente une partie terminale fourchue qui embrasse l'extrémité gauche du levier 52.

   L'excitation du   @olénoïde   net donc la machine en marche et cette excitation peut être provoquée par l'emploi précité des touches de montants. 



   Revenant à la fig. 9, on voit que le plaque-manivelle avant est couplée à une plaque manivelle arrière 62 par une bielle 63. La manivelle 62 est montée à jeu sur l'arbre principal 50, monté à coussinets dans les plaques de bâtis 30 et 31, mais est solidaire d'une plaque 63a fixée sur l' arbre 50, par la bielle 64 articulée à un bras faisant saillie de la plaque 62. La plaque 64 porte un goujon 65 tenu dans une encoche dans la plaque 63a par un ressort 66, de telle sorte que cet ensemble cède à une surcharge, si une opération de la machine est empêchée d'une façon quelconque, pour éviter ainsi la casse des pièces. 



   A l'extrémité droite de l'arbre de commande principal 50 (fig. 



  3) est fixée une plaque 67 reliée par une bielle 68 à une plaque 69 fixée sur un arbre de commande secondaire 70, celui-ci s'étend de l'une à l'autre des plaques latérales de bâti 30 et 31 et pivotent dans ces plaques. Comme l'arbre 50 et la plaque 67 tournent d'abord dans le sens senestrorsum au cours d'une opération de la machine, la plaque 69 et l'arbre 70 en font autant. 



   Le mécanisme différentiel est le même pour chaque rangée dénominale, excepté en ce qui concerne les cambrages requis par les leviers divergents décrits plus loin, qui relient le totalisateur aux barres d'arrêt et aux barres d'impression. 



  Une rangée dénoninale typique du mécanisme différentiel est décrite avec référence à la fig. 7. Une entretoise 71, montée dans les bâtis latéraux 30 et 31, porte une série de leviers divergents, montés rotatifs, à des 

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 intervalles donnés, sur la largeur de la machine. Par exemple, le levier divergent à trois bras 72, possède un bras 139a s'étendant en arrière, articulé à une barre d'impression 73 par l'intermédiaire d'une connexion réglable 74. Un bras 139, orienté vers le haut, porte par accouplement à fente et goupille une crémaillère 75 et un bras   139b   s'étendant vers l'avant et muni d'une crémaillère d'alignement 76. Le mécanisme d'impression, bien qu'il soit représenté, n'est pas expliqué en détail, parce qu'il ne fait pas partie proprement dite de l'invention.

   Il suffit de noter que les positions de rotation des leviers divergents représentent des sommes et qu'elles sont   com-   mandées par le chariot à broches dans les opérations d'entrée, ou par les pignons du totalisateur dans les opérations de total pour représenter des données chiffrées. Chaque barre d'impression est nue de manière à mettre le caractère correspondant au chiffre convenable   vis-à-vis   d'un rouleau porte-papier, représenté schématiquement en 77. Le caractère ainsi mis en place est frappé par un marteau correspondant 78, à peu près à la   moitié   du cycle opératoire de la machine. Un étrier d'alignement 79 est mu, vers la moitié du cycle, par une came 80 et s'engage dans les crémaillères d' alignement 76 pour maintenir exactement les leviers divergents dans la position acquise. 



   Le totalisateur consiste en un pignon principal 81 pour chaque ordre   dénominal   et solidaire d'un tambour chiffré portant sur sa périphérie les chiffres de l'ordre en question. 



  La machine à calculer représentée est une machine décimale, et les tambours sont vus à travers une ouverture de lecture 83 ménagée dans le coffre (fig. 



  1). L'espacement latéral des pignons du totalisateur en travers de la machine est représenté à la fig. 1 par l'espacement des tambours de chiffres. 



  Associé à chaque pignon totalisateur principal 81 est un pignon fou 82 (fig. 7) engrenant avec lui et présentant une série supplémentaire de dents espacées latéralement de celles qui engrènent avec le pignon principal associé. Dans les opérations d'addition, les pignons   principaux   engrènent avec les crémaillères 75 un temps d'enregistrement de somme. Dans les opérations de soustraction, le totalisateur est déplacé latéralement pour amener la dent supplémentaire des pignons fous en alignement avec les crémaillères qui viennent en   prie   avec eux au temps d'enregistrement de somme. Une caste 84 de déplacement du totalisateur (fig. 9) est mue dans un sens ou dans l'autre par le mouvement de la plaque 85, qui tourne à chaque cycle de la machine, suivant la disposition d'un levier 86.

   Le levier 86, représente dans sa position haute, s'il est en bas est poussé vers le haut par le goujon 87 et son arête de contact 88, si le levier 86 est poussé vers l'arrière par la bielle 89, de sorte que le goujon 87 ne passe pas autour de l'arête arquée 90. Si le levier 86 est en haut, le goujon 91 contacte une arête du levier 86 pour le tirer vers le bas si le levier 86 est tiré en avant par la bielle 89.

   La bielle 89 est tirée en avant, dans les opérations de soustraction sous le contrôle de la touche de commande 92   (fig. l),   dont une partie touche le goujon 93 (fig. 3) de la plaque de contrôle de soustraction 94 qui tourne alors dans le sens dextrorsum de telle sorte qu'un goujon 95 se trouvant sur un bras de prolongement en arrière de cette plaque provoque la rotation dans   le   sens senestrorsum d'un levier 96, lequel entraîne dans la même direction un arbre 97 sur lequel il est monté. L'arbre 97 s'étend à travers la machine, et, comme on peut le voir à la fig. 



  9, est mû dans le sens dextrorsum quand la touche de soustraction est enfoncée, tirant la bielle 89 de façon que le goujon 91 déplace vers le bas le levier 86   @'il   n'est pas déjà en bas et fasse tourner la came   à   bascule 84 dans le sens senestrorsum pour déplacer le totalisateur de façon que les pignons fous engrènent avec les crémaillères associées au commencement d'un cycle de la machine. Si l'opération suivante est une addition, la came 84 repousse le totalisateur et le ramène à sa position d'addition.

   La seule relation que le mécanisme de soustraction présente avec le nouveau mécanisme est qu'il doit être employé dans les opérations de soustraction pour mettre la machine en condition pour la soustraction ainsi que pour com- 

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 mencer un cycle de la machine, un tel commencement de cycle de machine n' étant pas affecté par les opérations de soustraction par les touches de montants. 



   En se référant à la fig. 3, on voit que le goujon 93, quand la touche de soustraction est abaissée, appuie vers le bas sur un bras 98, s'étendant vers le haut et vers l'arrière, du levier 99, monté à pivot en 100 sur le levier   57.   Ce levier 99 est couplé élastiquement avec le levier 57 par l'intermédiaire du ressort 101 qui s'étend entre un bras supérieur du levier 99 et un bras intérieur du levier 57. 



  Par conséquent, le levier 57 est actionné par la touche de soustraction, commençant ainsi une opération de la   sa.chine   et provoquant le mécanisme de came de poussée du totalisateur à déplacer ce dernier à la position de soustraction dans le cycle de machine qui suit. Après l'opération de soustraction, le levier 96 retourne à sa position normale et la came 84 (fig. 



  9) tourne à la position d'addition au   commencement   de   l'opération   suivante. 



   Les opérations d'addition peuvent être déclenchées en appuyant sur la barre motrice 102 (fig.   l),   laquelle possède une tige de touche munie d' un prolongement qui appuie sur un goujon 103 (fig. 3) porté par un levier 104 qui pivote en 100 sur le levier 57. Le levier 104 possède un goujon 105 qui, en appuyant sur le levier 99 par l'intermédiaire du ressort 101, fait basculer le levier 57, ce qui déclenche un cycle de la machine. 



   Dans les opérations de total, la touche de total 106 (figs. 1 et 15) est abaissée pour   conditionner   la machine en opération à deux cycles, dans lesquels un total est extrait et imprimé. Pour les opérations de sous-total, la touche de sous-total 107 (figs. 1 et 18) est abaissée pour commencer une opération à deux cycles, dans laquelle le sous-total est extrait et imprimé. L'abaissement de la touche 106 ou de la touche 107 provoque le déplacement vers le bas et vers l'avant d'une bielle 108 (figs. 3 et 15), de façon qu'une plaque de   contrôle   de total 109 tourne dans le sens senestrorsum autour de son axe 110, tandis que le goujon 111 fixé sur cette plaque appuie sur le bras 112 du levier 99, mettant ainsi la machine en opération.

   Quand une opération de total commence, une bielle 113 est tirée vers l'arrière et un goujon 114 (voir en particulier la fig. 3) fait tourner un levier 115 rapidement sur son axe 116 dans le sens senestrorsum. Sur l'axe 116 (fig. 7) est fixé un étrier   117   qui bascule pendant le premier cycle d'une opération de total ou de sous-total pour maintenir les barres d'arrêt immobiles pendant ce premier cycle de total. Une barre d'arrêt typique 118 est représenté en fig. 7 et sera décrite plus loin. 



  Mécanisme d'embrayage du totalisateur: 
Les pignons du totalisateur sont montés dans un châssis qui peut basculer en s'éloignant des crémaillères pour débrayer le totalisateur et en se rapprochant des crémaillères pour embrayer le totalisateur. Les bras du châssis (l'un d'eux, 123, est représenté à la fig. 7) sont montés sur un arbre 124 qui peut être mis en rotation par un levier coudé 125 (fig. 



  17), lequel peut être actionné par le moyen d'une fente à came dans une plaque 126 pivotant en 127 sur le bâti de droite. Dans les opérations d' enregistrement, le totalisateur, normalement embrayé avec les crémaillères, est   d'abord   débrayé au commencement de l'opération, puisque l'arbre de commande principal 50 tourne dans le sens senestrorsum et il est   réembrayé   quand l'arbre 50 atteint sa position à ni-cycle. L'arbre 50 actionne une came 126 par l'intermédiaire d'un levier 128, d'un levier à crochet 129, d'un levier à trois bras 130, d'une bielle 131 et d'un levier à crochet 132.

   Dans les opérations de total, un levier coudé 133 est mis en rotation dans le sens senestrorsum pour commander l'embrayage de la bielle 131 avec le levier à crochet 132 d'une manière différente dans le second cycle, de telle sorte que le totalisateur reste embrayé pendant la seconde moitié du second cycle, debraye à mi-cycle et réembraye à la fin du second cycle. 



  Dans les opérations de sous-total, sous le contrôle de la touche 107 

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 (fig. 18), les pièces 134,   135,   136 et   138   sont mues pour éviter le débrayage du totalisateur pendant le second cycle d'une opération de total à deux cycles, ce qui a, par conséquent, pour résultat une opération de sous-total. 



  L'ensemble de ce mécanisme de total, de sous-total et d'embrayage du totalisateur pour l'enregistrement des   sdmmes   est bien connu. 
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  Méqanisme, de barre.s d'arrêt: 
Le bras orienté vers le haut 139 (fig. 7) de chaque levier divergent 72 est articulé à la barre d'arrêt 118 correspondante. L'extrémité avant de chaque barre d'arrêt est supportée, pour son mouvement glissant, dans une fente ménagée dans un peigne 140 et elle est sollicitée vers l'avant par un ressort 141, tendu entre la barre d'arrêt et le peigne. 



  Ce mouvement est cependant empêché, quand la machine est au repos, par un crochet 142 s'étendant devant tous les   bras- 139   des leviers divergents, Le crochet 142 est supporté par deux bras, dont l'un 143 (fig. 5) est représenté goupillé sur la barre transversale 71. Montée à pivot   à   l'extrémité inférieure du bras 143 se trouve une bielle 144 possédant un galet   145   qui coopère avec une came 146 goupillée sur l'arbre de commande 50, sur lequel l'extrémité fourchue de la bielle 144 glisse. A la position de départ représentée, la bielle 144, le bras   143   et le crochet 142 (fig. 7) maintiennent les barres d'arrêt hors du mouvement.

   Quand un cycle de machine commence, le crochet 142 tourne en avant et en arrière   et.les   barres d'arrêt peuvent se mouvoir avec lui, à moins qu'il en soit autrement empêché indi-   viduellement   par les broches du chariot à broches, qui reste à décrire, ou en tant que groupe par le crochet 117 dans le premier cycle d'une opération de total ou de sous-total, ou comme contrôlé par les roues du totalisateur dans le second cycle d'une opération de total ou de sous-total, tous ces mouvements étant bien   cannus   dans le système auquel il a été fait référence. 



   Revenant à la fige 6, comme les barres d'arrêt'se déplacent rapidement en avant, on peut s'attendre à ce qu'elles rebondissent légèrement quand elles sont tenues par les broches, en raison de l'élasticité des pièces. 



  Pour éviter toute fausse opération, chaque barre d'arrêt est   munie,   à sa partie inférieure, de dents 148 dont les points sont dirigées vers l'arrière. 



  Un étrier 149,   s'étendant   à travers la machine sous les barres d'arrêt, porte une lame 150 associée à chaque barre   d'arrêt;   ces lames sont normalement maintenues contre les dents par le ressort 151, de sorte que la lame s'engage dans les dents au mouvement en avant des barres d'arrêt, empêchant ainsi leur retour. Cet étrier 149 est retiré à   ni-cycle   par le mouvement de la manivelle 46, lorsque son point le plus élevé 152 vient en contact avec le goujon 153 du levier 154 monté à pivot en 155 sur le côté gauche du châssis. 



  De ce fait, le levier est déplacé et tire une bielle 156 articulée vers 1' arrière, de manière à faire pivoter le bras de support de crochet 157 dans le sens senestrorsum pour écarter les lames 150 des dents   148.   Les barres   d'arrêt   peuvent par suite revenir à leur point initial pendant la seconde moitié d'un cycle de machine. A la fin d'un cycle, les lames reprennent leur position effective, car la manivelle 46 présente alors une partie creuse en face du   gou j on     153.   



  Chariot à broches :
Pour contrôler le mouvement des barres d'arrêt dans les enre-   gistrements   suivant la valeur du montant, il a été prévu un chariot à   bro-   ches comportant une plaque supérieure 161 (figs. 2,7, 12,   14,   16 et 20), une plaque de fond 162 (figs. 2, 7, 14 et   16),   une plaque de côté droit 163 (figs. 2, 3 et   5), ,une   plaque de côté gauche 164 (figs. 2, 7, 9, 20 et 21), une plaque antérieure 165 (fig. 7), et une plaque postérieure 166   (fige.   2, 7 et   14).   Ces plaques sont fixées ensemble sous forme de boîte et la plaque supérieure présente à l'arrière un prolongement   167   (figs. 



  7 et 12) sur lequel se trouvent les chiffres indicateurs de dénomination "1" à   "9"   (comme représenté à la fig. 12) qui peuvent être vus par une ouverture 168 (fig. 1), afin de donner à l'opérateur une indication de la 

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 position du chariot à broches, telle que repérée rangée par rangée. 



   Les plaques supérieure et postérieure 161 et 162 du chariot à broches sont munies de cinq séries de fentes alignées, dans lesquelles sont montées des broches mobiles, chacune d'elles ayant une position inefficace   "   en haut" et une position efficace "en   bas",   dans lesquelles elles contrôlent les barres d'arrêt avec lesquelles elles sont alignées dans une opération de la machine. 



   Revenant à la fig. 14, la broche 169 est représentée à sa position inefficace ou en haut, et le contour pointillé 170 montre sa base en position efficace ou en bas. Chaque broche présente sur ses cotés des encoches 171, par lesquelles elle est maintenue élastiquement en position haut ou bas, par le moyen de ressorts, comme le ressort 172, logés entre les plaques antérieure et postérieure. En position basse, le sommet de la broche dépasse légèrement la plaque 161.

   La base de chaque broche est chanfreinée, comme en 173, de sorte que, par suite du mouvement vers la droite du chariot à broches, qui reprend sa position dans la dernière moitié d'un cycle, comme expliqué plus loin, les touches en position basse sont ramenées à la position haute en rencontrant une arête d'une plaque-came 174, à mesure que le chariot   à   broches se déplace vers sa position de retour, dans le sens de la flèche. 



   Revenant à la fig. 12, on voit qu'il y a neuf broches dans chaque rangée. Prenant comme exemple la série d'extrême droite, la broche 175 contrôle le mouvement de la barre d'arrêt pour représenter un zéro. 



  La broche 175, représentée à la fig. 7, coopère avec la pièce d'arrêt 176 pour limiter le mouvement du levier divergent 72 à un pas pour mettre le caractère "zéro" 177 en position d'impression. Ce pas unique de mouvement n'enregistre pas un chiffre dans le totalisateur au retour de la barre d'arrêt par le crochet 142 à sa position de départ, car la crémaillère 75 est couplée au bras 139 du levier divergent 72 par une connexion   à   goujon et fente qui permet ce pas unique de mouvement avant qu'aucun   mouvement   d'enregistrement par la crémaillère   n'ait   lieu au totalisateur.

   La broche 178 (figs. 7 et 12), en position inefficace, coopère avec une butée 179 qui correspond au chiffre "8", et les broches 180 à 186 (fig. 12) coopèrent avec la butée 179 pour enregistrer respectivement les chiffres "7", "6" "5",   "4",     "3",   "2" et "1".

   L'entrée du chiffre "9" n'est pas contrôlé par une broche, mais par la touche   "9"   qui libère l'échappement pour faire avancer le chariot à broches d'une rangée (en plus de ce qu'elle déclenche une opération de machine si désiré), ce qui entraine la butée d'arrêt à zéro 191, restant à décrire, découvrant une des barres d'arrêt qui peut se mouvoir, pendant   l'opération   de   na.chine   suivante, à sa pleine distance, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'une arête 187 (fig. 7) touche le peigne   140.   



   Le   chariot- à   broches est monté   à   coulisse sur un arbre 188 pour mouvement perpendiculaire aux barres d'arrêt; un galet 189, roulant sur un chemin de came 190, fixé entre les plaques de châssis latéral, supportant son extrémité avant. 



   A la fig. 2 sont représentées les extrémités avant des barres d'arrêt qui représentant les puissances de dix, 10  à 109, respectivement, commençant par la droite et allant vers la gauche, dans leur relation aux rangées de broches dans le chariot à broches, après deux pas de mouvement de sa position de droite. On voit que la première rangée de broches est en alignement avec la barre d'arrêt 101 et aue la seconde rangée est en alignement avec la barre d'arrêt 100. Les rangées sont indiquées par des chiffres arabes cerclés. Si aucun nombre n'a été composé, c'est-à-dire le chariot à broches étant en position normale, la première rangée de broches est en ligne avec la flèche. 



   La butée d'arrêt à zéro 191, en   forme   de crochet, est montée sur des bras 192 et 193, pivotant sur les plaques latérales gauche et droite 164 et 103 du chariot à broches (voir aussi fig. 3). La dite butée 

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 est sur la gauche de la rangée de devant des broches et elle est assez large pour que, quand le chariot à broches est en position de repos, elle se trouve en face de toutes les barres d'arrêt. Dans une telle position, sur opération de la machine, l'arête 194 (voir fig. 7) de toutes les barres d'arrêt vient toucher l'étrier après un pas de mouvement qui amène les leviers divergents 72 et les barres à caractères 73 à leur position zéro.

   Comme les   chif-   fres sont posés dans le chariot à broches par les touches, ce chariot est poussé vers la gauche d'un pas à la fois, de sorte que les barres d'arrêt sont découvertes une à la fois, successivement. 



   Comme la butée   d'arrêt 9.   zéro doit être rendue inefficace pendant le second cycle des opérations à deux cycles (total et sous-total), afin que les barres d'arrêt et le mécanisme associé puisse se mouvoir sous le contrôle des pignons du totalisateur, cette butée d'arrêt à zéro est montée sur une tige 195 (figs. 2 et 7) maintenue dans des bras 196 et 197 montés sur des axes tournant dans les plaques latérales 30 et 31 du châssis. L'axe droit 198 est représenté à la fig. 5.   L'extrémité   inférieure du bras 197 est articulée à une bielle 200 qui est tirée vers l'arrière dans la seconde moitié du premier cycle opératoire, comme expliqué précédemment.

   De ce fait, la butée d'arrêt   à   zéro se soulève suffisamment pour être rendue inefficace pendant le second cycle de ces opérations à deux cycles. La bielle 200 est ramenée à sa place à la fin des deux cycles. 



   Un ressort 201 (fig. 20) ramène constamment le chariot à broches vers la gauche, mais tout mouvement vers la gauche est commandé par un mécanisme d'échappement comprenant des cliquets 202 et 203 (fig. 16) qui coopèrent avec le bord avant encoché de la plaque supérieure 161 du chariot à broches. On voit mieux cette entaille à la fig. 12. 
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  Revenant à la ,fig 16,;on.'voit que:'.l9'oaliquet 120:a:'.Pd:vote ':en ¯2flt, .r.& àapport'205, fixé à\ ':;ta plaque latérale dé gauche 3 e, et,le 3.,qu.t 0. p.vote sur 1e,.pr'; (6. Le cliquet 203 eàt muni ,'un ¯ga.jcn2?.p2C etle,.,.i9 q. exerce sur le cliquet 203 une traction tendant a le faire tourner dans le sens senestrorsum, de telle sorte que son bec pénètre dans une des entailles de la plaque 161 qui se trouve en alignement avec lui. L'extrémité droite du bec vient en prise avec le côté droit de l'entaille par suite de la traction du ressort 201 (fig. 20) . Le cliquet 202 est muni d'un goujon 210 et un ressort est tendu entre ce goujon et le goujon 207, pour maintenir le bec de l'extrémité droite du cliquet 202 en contact avec la face supérieure de la dent qui suit immédiatement à droite de l'encoche dans laquelle le cliquet 203 est engagé.

   Si le cliquet   203   tourne légèrement dans le sens dextrorsum à partir de la position représentée, son bec échappe de l'entaille   dâns   laquelle il était engagé et dans l'entaille suivante va s'engager le bec du cliquet 202 qui dépasse très légèrement sur la droite le bec du cliquet 203. Le mouvement du chariot à broches qui en résulte est suffisant pour amener les broches de la première rangée en alignement avec la prochaine barre d'arrêt sur la gauche. 



  Cet alignement n'est pas détruit si l'on laisse le cliquet 203 revenir à la prochaine entaille, ce qui repousse le cliquet 202 hors de l'encoche parce que le bec du cliquet 202 dépasse seulement de très peu celui du cliquet 203. Le cliquet 202 est repoussé hors de l'encoche suivante par l'ergot 212 du cliquet 203 qui vient en contact avec l'ergot   213   du cliquet 202. 



  Chaque fois que le cliquet 203 tourne dans le sens dextrorsum, le chariot à broches avance d'un pas vers la gauche sous l'action de son ressort   201:   Chaque fois que le cliquet 203 est mû dans le sens dextrorsum au-delà du point nécessaire pour faire avancer le chariot à broches, son goujon 207 fermera un micro-interrupteur 293 , normalement ouvert, pour déclencher un cycle de la machine, comme il va être décrit.

   Pendant la dernière moitié d' une opération, le chariot Pä broches est ramené à sa position de repos par les moyens de   commande   principale, comme cela va être décrit 
D'après fig. 20, on voit qu'une équerre 225 est fixée sur la plaque latérale gauche 30 et porte un axe 226 sur lequel est monté un manchon 227 (voir   fig.   21) portant, fixé à son extrémité supérieure, un levier à 

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 fente 228 dans laquelle circule un goujon 229 fixé au côté gauche de la plaque supérieure 161 du chariot à broches. Le manchon 227 porte, fixé à son extrémité inférieure, un levier coudé 230 articulé en 236 à un crochet 231 qui se prolonge vers l'arrière.

   Ce crochet 231 présente à son extrémité libre une partie crochue 232, et porte à sa partie moyenne une   proéminence   233 jouant le rôle de came. La machine étant au repos après un cycle, les pièces se trouvent telles que représentées aux figs. 



  20 et 21.   A   mesure que le chariot à broches se déplace vers la gauche, le crochet 231 est tiré en avant. La came 233, reposant sur le goujon 234, maintient normalement la partie 232 l'empêchant de venir en   prier,   avec le goujon 235 sur la plaque 85, mais comme le crochet 231 est tiré en avant, il est libre d'osciller légèrement dans le sens senestrorsum sur pivot 236. Comme la plaque 85 tourne dans le sens dextrorsum pendant la première moitié d'un cycle, le goujon 235 passe alors derrière la partie crochue 232 et durant la seconde moitié du cycle, l'élément 231 est tiré en arrière, ramenant le chariot à broches à sa position normale, vers la droite. Le crochet 231 se dégage du goujon 235 quand la came 233 contacte sur le goujon   234.   



    Mécanisme   de répétition:
Selon les figs. 9 et 21, la plaque latérale gauche 241 du bloc de clavier décrit plus loin, présente un axe 242 sur lequel pivote un levier de répétition 243 se prolongeant par un doigt 244 qui passe à travers une fente de la plaque supérieure 245 du bloc de clavier et par une fente à travers le coffre de la machine (voir fig.   1) .   Ce levier se prolonge vers l'arrière par un bras fourchu 246 et par une face inférieure à deux encoches coopérant avec un goujon 247 fixé à un levier 248 monté à pivot sur la plaque 241. Le goujon 247 est maintenu en contact avec le levier 243 par un ressort   249.   Le bras fourchu 246 embrasse un goujon 250 disposé à l'extrémité d'un levier coudé 251 pivotant en 252 sur un axe se trouvant sur la plaque latérale gauche 30.

   Ce levier 251 porte un goujon 253 placé de manière à appuyer contre le champ inférieur du crochet 231. 



  Le goujon 253 n'intervient pas dans l'accouplement du goujon 235 et du   cro-   chet 232 lorsque l'élément 231 est tiré vers l'avant, mais si le levier de répétition 243 est mû dans le sens dextrorsum, c'est-à-dire vers sa position effective, le goujon 253 est soulevé et entraîne le crochet 231 vers le haut, de telle sorte que le chariot à broches ne soit pas renvoyé dans la dernière moitié d'un cycle. Dans ces dernières circonstances, le chariot   à   broches demeure en action dans le cycle suivant pour répéter l'enregistrement qui y a été composé, sauf si cet enregistrement a été modifié par l'usage des touches de montants. 



    Clavier:  
On voit d'après les figs. 3, 5, 7 et 9, que l'ensemble de clavier comprend la plaque supérieure 245 déjà mentionnée et une plaque de gauche   241,  une plaque latérale gauche 254 et une pièce transversale 255 assemblées en bloc ayant forme de boite, qui est supporté à sa partie arrière par l'axe 124 et à sa partie avant par un axe 256 sur la plaque latérale gauche et un goujon 257 sur la plaque latérale droite. Fixé à la face inférieure de la plaque 245 du clavier se trouve un godet en forme d'U 258 (fig. 7). 



   Les touches de montants 1, 2, 3,   4,   5, 6, 7, 8, 9 et 0 ont leurs têtes disposées comme représenté   à   la fig. 1, c'est-à-dire qu'elles font saillie à travers un couvercle 259 de protection contre la poussière. La partie supérieure de chacune des tiges, sur laquelle les touches sont fixées, passe à travers une fente de la plaque 245 (fig. 7); la partie moyenne de chaque tige est recourbée, de sorte qu'une branche de cette tige passe par un des trous alignés dans le godet 258, ces trous alignés formant une rangée dans le sens de la longueur de l'ensemble de clavier et constituant la station de mise en place des broches, au-delà de laquelle le chariot à broches est déplacé rangée par rangée.

   Chaque tige de touche possède aussi une partie disposée de manière à être en contact avec une barre universelle 262 

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 (voir aussi fig. 12) commune à toutes les touches. A la fige 12 toutes les têtes de touches sont indiquées en pointillé et les différentes courbures et conformations des tiges de touches sont représentées en trait plein et en coupe, comme on peut le voir dans la vue en plan.

   Par exemple, la touche "1"
260 a une tige 261 dont la partie moyenne est disposée de manière à passer d'abord à gauche, ensuite vers l'arrière de la machine, et enfin   à   droite où elle croise la barre universelle 262, et finalement vers le bas, formant une branche 263 (voir fig. 13) qui porte, monté à   pivot,   un cliquet de dé- rivation 264, qui se trouve directement au-dessus de la position "1" du pos- te de réglage du chariot à broches. Chaque touche, à l'exception de celle du "5" a, toujours prenant la touche "1" comme exemple, une tige de guida- ge 265 directement en-dessous de la touche, autour de laquelle un ressort de rappel est enroulé, qui guide la tige pour entrer dans une fente de gui- dage pratiquée dans le godet 258.

   La touche   "5"   n'a besoin d'aucune tige de guidage séparée, car elle est placée directement au-dessus de la position "5" du poste de réglage du chariot à broches. Le cliquet de dériva- tion de chaque touche se trouve sous le godet 258, et chaque cliquet présente un épaulement de gauche 266 (en se reportant   à   la touche   "1"   de la fig. 



  13, comme exemple) et un épaulement de droite   267;   ces deux épaulements lorsqu'une touche est dans la position haute reposent contre le fond du godet, empêchant ainsi le   cliquet   de pivoter (voir fig.   14).   Quand une touche, la touche "5" par exemple, est abaissée, comme représenté à la fig. 8, le bas 269 du cliquet, se déplaçant vers le bas, est au point mort et ne remonte pas avant de toucher et enfoncer la broche correspondante "5" qui est en face de lui. Ses épaulements 271 et 272 cessent d'être en contact avec le fond du godet 258, de sorte que le cliquet peut osciller dans le sens dextrorsum ou en sens inverse.

   Dans la mesure où le chariot à broches, comme déjà décrit, se déplace vers la gauche alors qu'une touche est abaissée pour mettre la broche enfoncée en position active, la série de broches suivante arrive en position de mise en place des broches. Ce mouvement n'est pas empêché par la touche enfoncée, vu que son cliquet peut osciller dans le sens dextrorsum. Là   où,   comme avec cette machine, l'opération de machine commence toujours par l'abaissement d'une touche de montants, si employée ainsi, il est nécessaire que le chariot à broches se mette en marche imméditament avant le commencement de l'opération et cette construction avec un cliquet oscillant permet à la rangée suivante de broches non mises en action d'entrer dans le poste de mise en place sans obstacle.

   Comme le chariot à broches se déplace après que la touche a été enfoncée dans sa position active, le   @liquet   correspondant quitte la broche enfoncée, la distance entre l'extrémité du cliquet et la plaque 161 permettant le mouvement de la touche vers le second stade pour commencer une opération de la machine. Le cliquet oscillant permet à la broche suivante d'entrer dans le poste de mise en place sans obstacle. Comme la touche enfoncée est relevée après que l'opération de la machine commence, le cliquet est ramené à sa position normale, puisque ses épaulements viennent buter contre la paroi inférieure de godet 258. Toutes les tiges de touches sont munies d' un tel cliquet oscillant, à   l'execption   de la touche "9".

   Celle-ci ne fait que mettre en marche le chariot à broches et n'a pas besoin dé cliquet de mise en place de broche. Le cliquet de toute touche qui en est munie, oscille dans l'autre sens, c'est-à-dire dans le sens dextrorsum, si la touche est maintenue enfoncée jusqu'à la fin d'un cycle de la machine et est ensuite touché par une ou plusieurs broches en position haute dans le chariot à broches retournant. La touche "0" comporte une tige 274, conformée comme représenté à la fig. 7, afin de correspondre aux broches "0" du chariot à broches. La tige 274 possède un cliquet oscillant 275, comme les autres tiges de touches.

   Gomme on le voit à la fig. 1, la touche "0" est plus large que les autres, et comme on le voit Pâ la fig.   12,   cette tige de touche comporte deux doigts 276 et 277 reliés à la touche et un pont 278 se trouvant sous la plaque supérieure 245 et franchissant la barre universelle 262. 

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   La barre universelle 262 (fig. 16) est supportée par un bras avant 279 et un bras arrière 280 (fig. 7) montés sur une barre pivotante 281 (fig. 



  16) qui tourne dans les extrémités avant et arrière du godet 258. Le bras 279 possède une branche   282,   comme mentionné, dont l'extrémité inférieure appuie sur le goujon 207. Dès qu'une quelconque des touches de montants est abaissée, le cliquet 203 tourne, ce qui met en marche le chariot à broches, ainsi que cela a été décrit. 



  Déclenchement de l'opération par les touches de montants:
Comme indiqué précédemment, la mise en action du solénoïde 60 (fig. 10) provoque un cycle opératoire de la machine. Ce solénoïde est représenté schématiquement à la fig. 16, dans un circuit comprenant la borne électrique 291, l'interrupteur principal 292 (qui peut être placé à n'importe quel endroit convenable et accesible du coffre de la machine, comme représenté à la Fig. l), le micro-interrupteur 293 normalement ouvert, le microinterrupteur 295 normalement fermé (voir aussi fig. 10) et, enfin, la   forne   d'alimentation   294.   Si l'interrupteur principal 292 et l'interrupteur 293 commandés par la touche de montants sont fermés, le solénoïde 60 est mis en action et la machine fonctionne.

   Comme représenté à la fig. 7, l'interrupteur 293 est monté sur le peigne 140. L'interrupteur 295 (fig. 10) est monté sur un élément supporté par le châssis, avec son armature 296 normalement poussée à l'intérieur par le levier 52, de sorte que l'interrupteur est fermé. Dès que la machine est mise en marche et que le levier 52 pivote dans le sens senestrorsum, l'interrupteur 295 s'ouvre, interrompant ainsi le circuit du   solénolde,   de façon que la machine se réarme à la fin d'un cycle. Si, pendant le mouvement de retour du levier 52, alors que l'interrupteur 295 se ferme,   l'interrupteur   293 demeure fermé par suite d'un abaissement prolongé d'une touche de montant, la machine est à nouveau déclenchée.

   Cela revient à dire que tant qu'une touche est maintenue abaissée à sa position de déclenchement, la machine continue son opération cyclique. 



  Si le levier de répétition est à sa position de répétition, les données posées dans le chariot à broches sont enregistrées à nouveau. Si le levier de répétition est à sa position inactive, le second cycle et les cycles suivants se font à vide. Si l'on désire faire marcher la machine par la barre motrice   d'addition   102, l'interrupteur 292 peut être ouvert. Il y a lieu de noter, en se reportant à la fig. 16, que le cliquet 203 peut être déplacé jusqu'à la position de mise en marche du chariot à broches, avant que le goujon 207 entre en contact avec l'interrupteur 293 et agisse sur lui.

   Il y a lieu de noter également qu'un ressort supplémentaire 297 est monté sur l'interrupteur, pour avertir l'opérateur que le point de fermeture de l'interrupteur par la touche a été atteint, de sorte que, si la machine ne doit pas être actionnée par la dite touche, ce point ne soit pas dépassé. Même l'interrupteur principal 292 étant fermé, le montant complet peut être posé sur le clavier et la machine mise en marche par la barre motrice 102. Dans le cas de la soustraction, la touche 92 est toujours employée pour déclencher un cycle de la machine. 



  Touche de correction: 
Une touche de correction 300 (fig. 1 et 7) a été prévue avec une tige 301 qui se prolonge par une partie recourbée et évidée 302 (voir aussi fige 12) montée sur les goujons de coulisse 303 et 304. La touche 300 est normalement maintenue élastiquement dans une position extrême gauche par le ressort 305 tendu entre le goujon 303 et l'oreille 306 dépendant de la glissière avant. Une autre oreille 307, se prolongeant vers le bas à partir de la partie recourbée 302, est en alignement avec la face   308   de la plaque supérieure 161 du chariot à broches. A la suite du mouvement de la touche de correction 300 vers la droite, le chariot à broches, où   qu'il   se trouve, est ramené à sa position de départ, rappelant toutes les broches qui auraient pu avoir été actionnées.

   Après avoir relâché la touche de correction, un nouveau nombre peut être composé sur le chariot à broches. 

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     Fonctionnement   de lamachine:
L'opérateur doit d'abord décider s'il veut faire marcher la ma- chine en addition sous le contrôle des touches de montants, ou non. Dans la négative, l'interrupteur 292 (fig. 1) est poussé   à   sa position d'arrêt; cela veut dire que le solénôïde principal est ouvert. Les montants sont alors composés avec les touches à la manière habituelle et l'opération de la machine est déclenchée par la barre motrice d'addition 102, si l'entrée est destinée à être une addition, ou par la touche de soustraction 92, si l'entrée est destinée à être une soustraction.

   Si un montant composé doit être enregistré à plusieurs reprises, le levier de répétition 243 est mis à sa   position   de répétition avant qu'une opération de la machine soit commencée, et ensuite on actionne la barre motrice d'addition ou la tou- che de soustraction le nombre de fois désiré, ou on la maintient enfoncée pen- dant que la machine tourne de façon continue le nombre de tours désiré. 



   Si l'opération de la machine en addition doit être déclenchée soit par les touches de montants, soit par la barre matrice   d'addition,   1' interrupteur principal 292 de solénoïde est poussé sur sa position de mar- che. Le nombre à enregistrer est alors composé sur les touches, une à une, en commençant par le chiffre le plus élevé, comme il est d'usage avec les machines à additionner à clavier réduit. 



  L'opérateur doit veiller à n'appuyer sur aucune touche autre que la dernière touche de chiffre à employer jusqu'au point où l'interrupteur de solénolde 293 est fermé. Quand la dernière touche est enfoncée, il faut l'enfoncer à fond, ce qui déclenche un cycle de la machine dans lequel le montant composé est enregistré additivement. Si ce montant doit être enregistré soustractivement, la touche de soustraction 92 est utilisée pour déclencher l'opération. Les opérations répétées sont obtenues par action sur le levier de répétition 243 qui est poussé à sa position effective avant le commencement d'un cycle de la machine. En maintenant enfoncée une touche de montant, on provoque la marche répétée du cycle, tout comme en maintenant abaissée la barre motrice d'addition 102, ou la touche de soustraction 92. 



   Les opérations de total sont toujours déclenchées par action sur la touche motrice 106 et les opérations de sous-total par action sur la touche motrice   107.   



   REVENDICATIONS. 



   1. Machine à calculer à clavier réduit, comprenant un mécanisme de déclenchement, au moins un totalisateur, des entraîneurs pour chaque totalisateur, un chariot à broches mobile pour positionner les entraîneurs et à déplacement pas-à-pas, et des touches de montant ayant un premier stade d'enfoncement pour actionner les broches correspondantes, ainsi qu'un deuxième stade d'enfoncement pour actionner le mécanisme de déclenchement, caractérisée par un mécanisme d'avancement pas-à-pas qui communique un déplacement   dénominal   complet au chariot à broches par enfoncement d'une   tou-'   che quelconque, et par un organe intermédiaire flexible porté par chaque tige de touche pour amener les broches Pà des positions données,

   l'organe intermédiaire permettant le mouvement libre du chariot à broches de la rangée dénominale immédiatement supérieure à la position   voulue,   au fur et à mesure que le chariot avance.

Claims (1)

  1. 2. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que le chariot à broches est libéré à l'action d'un ressort pour un mouvement pas- à-pas au moyen d'une plaque à encoches avec lesquelles coopère un mécanisme à rochet constitué par une paire de rochets disposés respectivement au-dessus et au-dessous de la dite plaque, le bec du rochet inférieur étant normalement en prise avec les encoches et placé légèrement à l'arrière du bec du rochet supérieur, lequel est normalement hors de prise d'avec la plaque à encoches. <Desc/Clms Page number 14>
    3. Machine selon les revendications 1 et 2, caractérisée en ce que la tige de chaque touche comprend un prolongement latéral normalement en contact avec un organe pivotant dont l'extrémité inférieure coopère avec un ergot porté par le rochet inférieur, de façon telle que lorsqu'une touche est enfoncée à son premier stade, le bec du rochet inférieur se dégage de la plaque et que le bec du rochet supérieur vienne en prise avec l'encoche suivante pour permettre au chariot à broches d'avancer d'un pas.
    4. Machine selon les revendications 1 à 3, caractérisée en ce que le rochet inférieur porte un ergot coopérant avec un interrupteur normalement ouvert, de façon telle que lorsque qu'une touche est enfoncée à son deuxième stade d'enfoncement, l'ergot ferme l'interrupteur et déclenche un cycle opératoire, 5. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que l' organe intermédiaire flexible est constitué par un cliquet de dérivation pivotant à la partie inférieure de la tige de chaque touche, chacun des cliquets étant muni d'une paire d'épaulements aménagés pour buter contre la face inférieure du clavier lorsque les touches sont dans leur position enfoncée.
    6. Machine selon les revendications 1 et 5, caractérisée en ce que l'extrémité inférieure de chaque cliquet est placée, par le déplacement du chariot à broches, au-dessus d'une broche et qu'il est aménagé de façon qu'à l'enfoncement de la touche correspondante, ce cliquet appuie sur la broche qui est alignée avec lui et qui est maintenue en position enfoncée par l'action d'un ressort.
    7. Machine selon les revendications 1, 5 et 6, caractérisée en ce que les épaulements du cliquet se dégagent lorsque la broche est enfoncée, de la face inférieure du clavier, de façon que par la continuation du mouvement du chariot, les broches enfoncées dans la rangée suivant celle qui contient des broches enfoncées, fassent pivoter le cliquet et amènent la broche en position indexée.
    8. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque broche comprend un chanfrein coopérant avec une arête-came prévue sur le bâti de machine lors du mouvement de retour du chariot à broches à sa position d'origine, provoquant ainsi le rappel des broches enfoncées à la position non-enfoncée.
    9. Machine selon la revendication l, et comprenant un arbre moteur principal, caractérisée par un mécanisme de rappel positif, normalement inactif, pour le chariot à broches et par un organe de couplage rendu actif par le mouvement pas-à-pas du chariot pour coupler le mécanisme de rappel au mécanisme moteur.
    10. Machine selon les revendications 1 et 9, caractérisée en ce que le mécanisme de rappel est constitué par un bras relié d'une part au chariot à broches et d'autre part à un biellage qui comprend une glissière à crochets normalement inactive, mais qui est déplacée par le mouvement pas- a-pas du chariot à broches sur le trajet d'un organe à va-et-vient actionné par l'arbre moteur principal et produisant ainsi le retour du chariot à la position de repos.
    11. Machine selon les revendications 1, 9 et 10, comprenant une touche de "répétition" et caractérisée par un bras couplé indirectement à cette touche de répétition, le bras comportant un ergot placé normalement au-dessous de la glissière à crochets, la disposition étant telle que lorsque cette touche est enfoncée, la glissière est maintenue en position inactive, débrayant ainsi le mécanisme de retour du chariot à broches.
    12. Machine selon la revendication 1, caractérisée par un indicateur porté parole chariot à broches et muni de chiffres visibles à tra- <Desc/Clms Page number 15> vers une ouverture pratiquée dans le clavier pour permettre à l'opérateur de suivre les positions du chariot à broches. en annexe 10 dessins.
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