CH95248A - Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications numériques contenues en des fiches perforées, pour travaux de statistique. - Google Patents

Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications numériques contenues en des fiches perforées, pour travaux de statistique.

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CH95248A
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Brignoni Ettore
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Brignoni Ettore
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  Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications  numériques contenues en des fiches perforée, pour     travaux    de     statistique.       La présente invention a pour objet une  machine     automatique    pour     imprimer    en ta  bleaux et additionner des indications numé  riques contenues en des     cartes-fiches    perforées,  représentées par les perforations de ces     cartes-          fiches,    et qui est destinée à des travaux de  statistique.

   Cette machine comporte un ma  gasin (le     cartes-fiches    pour recevoir et guider  les     cartes-fiches    perforées, un organe cueilleur  verticalement mobile pour amener, les unes  après les autres, une à la fois, les     cartes-          fiches    en position d'analyse, un poussoir à       commande    élastique pour pousser les     cartes-          fiches    dans le magasin vers cet organe  cueilleur, un analyseur avec boîte à chevilles  pour analyser la carte-fiche, amenée entre       deux    plaques perforées,

   en faisant passer les  chevilles auxquelles correspondent des perfo  rations à     travers    ces dernières de     facon    à  faire agir ces chevilles sur des organes de  transmission destinés à commander des câbles       flexibles    de poussée, la machine comportant  d'autre part, des secteurs à caractères d'im  pression mobiles, des barres à crémaillère  coulissantes pour faire tourner ces secteurs,    un mécanisme de commande automatique  pour déplacer ces barres à crémaillère, des  arrêts mobiles pouvant être amenés en posi  tion active par lesdits câbles     flexibles    de  poussée pour arrêter les barres à crémaillère  après une course de déplacement plus ou  moins grande, suivant la valeur des chiffres  transmis,

   et déterminer par là     l'ajustement     angulaire des secteurs à caractères, un     elra-          riot    à accumulateur totalisateur pour totaliser  les valeurs transmises aux secteurs à carac  tères, et un chariot imprimeur pour amener  un papier en position d'impression par rap  port aux secteurs à caractères, la carte-fiche,  après avoir été analysée dans l'analyseur,  étant déchargée dans un récipient récepteur.  



  Sur les dessins ci-joints, donnés à titre  d'exemple       Fig.    1 est une élévation     latérale    de l'en  semble d'une forme d'exécution de l'objet de       hinvention          Fig.2    en est une coupe longitudinale  prise à travers le socle de la machine, repré  sentant le magasin fournisseur de cartes-      fiches, l'analyseur et le récipient récepteur  de cartes-fiches;       Fig.    3 est     un    plan d'une partie de l'ana  lyseur;       Fig.    4 est une élévation d'arrière de la  machine;

         Fig.5    est une vue en perspective da  magasin fournisseur de     cartes-fiches;          Fig.    6 montre en coupe un mécanisme de  cueillage audit magasin et des moyens pour  arrêter automatiquement la machine lorsque  le magasin est vide;       Fig.    7 est une élévation de parties de ces  moyens d'arrêt automatique;       Fig.8    est un plan du mécanisme de       cueillage,    représentant les moyens d'arrêt;       Fig.    9 est une coupe verticale longitudi  nale de l'analyseur à plus grande échelle;       Fig        9n    est une vue de face d'un verrou;

         Fig.    10 est une élévation latérale repré  sentant les parties de support d'une boîte à  chevilles     analysatrices    et de moyens suscep  tibles d'être     "composés";          Fig.    I1 montre en plan un support pour  les câbles flexibles entre l'analyseur et d'au  tres parties de la machine;       Fig.    12 est une coupe verticale longitudi  nale correspondant à la     fig.    11;       Fig.    13 est une coupe partielle suivant  la ligne 13-13 de la     fig.    11;       Fig.    14 montre en perspective la faon  dont les câbles flexibles sont supportés sur  le support;

         Fig.    15 est une élévation latérale, partie  en coupe, représentant des moyens     interpré-          tateurs    de changement de     désignation;          Fig.    16 est une vue similaire, prise du  côté opposé de ces moyens     interprétateurs;          Fig.    17 est une élévation de champ     des-          dits    moyens en regardant de la gauche à la       fig.    16;

         Fig.18    est une élévation latérale de  certaines parties de la     fig.    15,     mais    les re  présentant dans une position     différente;          Fig.    19 est un plan des moyens     interpré-          tateurs,    quelques parties étant enlevées;         Fig.    20 est une coupe verticale longitu  dinale représentant des parties de leviers de  commande pour un mécanisme d'alimentation  de     hanalysenr    et la boîte à chevilles     analy-          satrices,    ainsi que des moyens pour ver  rouiller le mécanisme d'alimentation;

         Fig.21    est une coupe d'un mécanisme  d'embrayage,. à arrêt     automatique,    dont est  pourvue la machine;       Fig.    22 montre en élévation l'un des cô  tés de l'un des jeux d'éléments calculateurs  et     enregistreurs    que comporte la machine et  dont chacun possède entre autres un secteur  à caractères numériques, en     combinaison    avec  les organes de commande attenants;       Fig.    23 est une élévation de l'autre côté  du même jeu d'éléments;       Fig.    24 est une coupe longitudinale d'en  semble de la machine;

         Fig.    25 à 50 représentent des détails de  la partie     calculatrice-enregistreuse    de la ma  chine dont on parlera plus loin, la     fig.    44,  en particulier, étant une coupe suivant -la  ligne 44-44 de la     fig.    43, et la     fig.    50 une  coupe suivant la ligne 50-50 de la     fig.49;          Fig.51    représente en élévation latérale  un mécanisme de mise hors d'impression des  zéros pour un des jeux d'éléments calcula  teurs et enregistreurs, avec secteur à carac  tères et support pour le zéro de l'ordre im  médiatement inférieur, retirés tous deux de  leur position d'impression;

         Fig.    52 représente une partie de ce sec  teur à caractères avec son     support    de zéro  amené en position d'impression;       Fig.    53 et 54 donnent d'autres positions  pour ces organes;       Fig.    55 à 60 sont des figures de détails,  la     fig.    60 étant une coupe suivant la ligne  60-60 de la     fig.    58;       Fig.    61 est un plan représentant l'en  semble des jeux d'éléments calculateurs et  enregistreurs proprement dits dans la posi  tion de     fig.    52;

         Fig.    62 est un plan partiel représentant  le secteur de l'un des jeux d'éléments dans  la position de     fig.    54 et les secteurs des jeux  d'éléments restants dans la position de     fig.    61;           Fig.    63 montre le détail d'une plaque dé  cimale pour l'impression de virgules ou signes  séparateurs entre les caractères;       Fig.    64 est une vue de face d'une bande  de papier avec des nombres imprimés sur  elle, représentant le fonctionnement des mé  canismes de mise hors d'impression des  zéros;  Fi*<B>65</B> est une élévation en bout du  chariot imprimeur et des parties attenantes,  représentant les parties dans une de leurs  positions;

         Fig.    66 est une vue similaire, certaines  parties étant brisées, les parties étant repré  sentées dans une autre position       Fig.    67 est une élévation de face de ce  chariot       Fig.    68 est une coupe de détail suivant  la ligne 68-68 de la     fig.    67;       Fig.    69 est un plan du chariot i       Fig.    70 en est une élévation arrière;       Fig.71    en est une élévation en bout,  représentant quelques parties d'un mécanisme  d'entraînement du papier;       Fig.    72 et 73 sont des coupes prises res  pectivement suivant les lignes 72-72 et  73-73 de la     fig.    69;

         Fig.    74 est une vue de face d'une plaque  de     verrouillage    de     non-impression.     



  La machine représentée comporte un ana  lyseur auquel des cartes-fiches perforées sont  amenées     d''un    magasin fournisseur de     cartes-          fiches    et dans lequel des chevilles     analysa-          trices    sont amenées à porter sur les     cartes-          fiches    perforées de telle sorte que, quand elles  trouvent des     perforations    dans les     cartes-          fiches,    elles passent au travers d'elles et       "composent"    des organes ou chevilles     "com-          po,;

  ables"    qui coopèrent avec des connexions       flexibles,    lesquelles sont alors amenées à agir  sur des arrêts de commande de la partie       calculatrice-enregistreuse    de la machine, pour  ajuster au moyen de ces arrêts, des barres  à crémaillère afin d'effectuer une mise en po  sition de secteurs à caractères numériques et  de faire fonctionner des accumulateurs tota-         lisateurs    coopérants pour accumuler ou tota  liser les données composées sur les secteurs  à caractères et correspondant aux perfora  tions existant dans les     cartes-fiches    qui sont  analysées dans l'analyseur.

   Lorsque les sec  teurs à caractères sont ainsi     "composés",    un  chariot imprimeur appuie une bande de pa  pier portée par lui contre les caractères des  secteurs, en sorte     que    les articles composés  par les secteurs à caractères sont imprimés  sur la bande de papier.  



  Les divers mécanismes de la machine  sont portés par un châssis de support 5  composé de pièces en fer cornière 6; entre  lesquelles sont placés des panneaux 7. Le  bâti 10 de     l'aualy    leur     (fig.    1 et 2) comporte  des     flasques    latérales, 11, entre lesquelles les  divers organes de l'analyseur sont portés et  une plaque de dessus 12, sur laquelle est  monté le magasin fournisseur de cartes-fiches  13, dans lequel sont introduites les     cartes-          fiches    à analyser,

   cartes-fiches dont des in  dications représentées par des perforations  doivent être reportées sur la partie calcula  trice et enregistreuse de la machine pour  l'impression et l'addition des     données.     



       Magasin        fournisseur   <I>de cartes-fiches.</I>  



  Le magasin     fournisseur    de cartes-fiches  comporte une paire de guides latéraux 15       (fig.    2, 3 et     5)    qui sont assujettis sur la  plaque de dessus 12 et entre lesquels sont  disposés deux guides inférieurs 18     (fig.    3),  sur lesquels viennent reposer les cartes-fiches  dans une position verticale entre les guides  latéraux 15.

   A l'extrémité avant du magasin  il y a une paire de     colonnettes-guides    20, qui  sont fixées sur une plaque de dessus 12 et sur  lesquelles peut glisser verticalement un bloc  mobile 21     (fig.        2);    pourvu d'une plaque de  cueillage 22, formant, sur son bord arrière,  un épaulement de cueillage disposé pour  s'engager par dessus le bord supérieur de la  carte-fiche qui se trouve le plus en avant  dans le magasin au moment où le bloc de  cueillage est en position élevée, comme ce  sera expliqué.

   Dans la plaque de dessus 12,  au-dessous de l'épaulement de     cueillage,    il      existe une ouverture à     cartes-fiches        1211,        au-          dessus    de laquelle sont placés un bloc fixe  24 et un bloc     ajustable    25, laissant entre  eux une étroite fente qui est ajustée de ma  nière à ne permettre qu'à une seule     carte-          fiche    de passer à travers l'ouverture     12 .    On  règle la position du bloc 25 au moyen d'une  vis de réglage 26 assujettie dans un bloc  de portée 28, monté sur la plaque de dessus  12, la vis de réglage étant pourvue d'une  tête moletée.

   Pour pousser     élastiquement    les       cartes-fiches    contenues dans le magasin vers  le bloc 24 et le bloc de cueillage 21, il est  prévu un poussoir 30 disposé entre les guides  latéraux 15 et reposant sur les guides infé  rieurs 18, et en avant du magasin, il y a  une paire de barillets à ressort 31 (11g.     3),     sur chacun desquels est enroulé     ni)    ruban  d'acier 32, s'étendant jusqu'à la tige 34 dis  posée derrière le poussoir 30.

   Grâce à cette       disposition,    le poussoir 30 est     élastiquement     poussé en avant dans le magasin et tient la       carte-fiche    qui se trouve le plus eu avant     et)     position pour qu'elle soit saisie par l'épaule  ment du bloc de cueillage et soit entraînée  par lui à travers l'étroite fente précitée.

   Afin  que le poussoir 30 puisse être retenu pour  permettre le bon placement des     cartes-fiches     dans le magasin, il existe, à l'arrière des  guides latéraux 15 et des guides inférieurs  18, des     encoches    de retenue 38 et 39     (fig.    2)  dans lesquelles la tige 34 du poussoir 30 et  le poussoir 30 peuvent être placés pour re  tenir     celui-ci    dans sa position retirée pendant  l'introduction des cartes-fiches. Une fois les  cartes-fiches introduites, on déclenche le pous  soir 30, ce qui permet aux barillets 31 de  le tirer en avant.  



       Mécanisme   <I>de</I>     cueilh@ge   <I>des</I>     cartes-fiches.          Un    peu en avant du magasin,     sui,    la       plaque    de dessus 12, sont prévus deux mon  tants 40     (fig.    3 et 20) sur lesquels     pivotent     les leviers coudés 41, qui possèdent     une     branche s'étendant vers l'arrière, pourvue  d'une fente extrême arrière 42, dans laquelle  peut glisser un coulisseau 44, prévu sur une  partie réduite 45 du bloc de cueillage 21.

      Les leviers coudés 41 sont     pourvus;    chacun,  d'un bras     descendant    possédant une fente  extrême inférieure 46, dans laquelle s'engage  un coulisseau 48 monté sur un tourillon 49  porté par le bras supérieur 50     (fig.    20) d'un  levier coudé 52 pivotant. en 53,     sui-    la partie  interne de la flasque latérale correspondante  11. Chacun des leviers coudés 52 comporte  un bras 55, dirigé, vers l'arrière, pourvu à  sort extrémité arrière d'un galet 56, eu prise  avec la     rainure-came    57 d'une came corres  pondante 58 portée par un arbre rotatif 59.

    Cet arbre 59, lorsqu'il est commandé comme  ce sera expliqué plus loin, imprime par l'in  termédiaire des cames 58,     titi    mouvement  d'oscillation aux leviers 52 et par là     aussi     aux leviers     coudés        .11,    obligeant ainsi le bloc  de cueillage 21 à aller et venir verticalement  pour faire sortir les     cartes-fiches    par la fente  de sortie du magasin.  



  Le bras     supérieur    50 de chaque levier  coudé 52 comprend     titi        élément    supérieur 60  et     titi    élément     inférieur    61, reliés à pivot  l'un à l'autre en 62, l'élément supérieur 60  étant pourvu d'une saillie 64, qui s'engage  dans une fente 65 de l'élément inférieur, de  telle sorte que le     mouvement    relatif de ces  deux     éléments    est limité.

       Un    ressort 66,  tendu entre les crochets 67 prévus aux<B>élé-</B>  ments 60, 61, maintient     élastiquement    ces  derniers à une des limites de leur mouvement  relatif, de sorte que, quand l'élément supé  rieur 60 est empêché d'aller et venir, comme  ce sera expliqué, le bras 55 solidaire de  l'élément inférieur 61     petit    continuer à aller  et venir.  



  Dans la partie supérieure du bâti 10       (fig.    2, 4 et 10) sont longitudinalement dis  posées une paire de tiges-guides 70, qui  supportent une paire de plaques d'analyseur  71, 72, espacées l'une de l'autre et se trou  vant directement sous la fente de sortie du  magasin. Les     cartes-fiches    descendant à tra  vers cette fente sont saisies par une paire de  rouleaux 74, 75     (fig.    2) montés sur des arbres  76     (fig.    1) portant, à leurs bouts externes,  des roues dentées 77, qui reçoivent leur  mouvement, au moyen des pignons 78, 78',      de la roue dentée 79 laquelle engrène, à son  tour, avec une roue dentée 80, engrenant  avec     une    roue dentée 81, portée par l'arbre  à came 59.

   Les arbres 76 sont faits     légère-          rneiit    flexibles de faon à ce que les cartes  fiches puissent être saisies par les rouleaux  74, 7 5 et être passées entre les plaques  71, 72.         Analyseur   <I>de</I>     cartes-fiches.       Les plaques d'analyseur 71, 72 sont       pouI#vues    de rangées verticales de perfora  tions se faisant face 85, 86     (fig.9).    Les  cartes-fiches sont tenues en place entre les  plaques d'analyseur au moyen d'une trappe  à mouvement alternatif 87     (fig.    9), qui est  amenée à coulisser sous l'action d'une paire  de bielles 88 reliées, par leurs extrémités an  térieures,

   à des saillies descendantes 89     (fig.    2  et 20), formées sur les plaques latérales de  support 90 pivotant sur des pivots 91, por  tés par les     éléments    supérieurs 60 des le  viers coudés 52.  



  Les extrémités antérieures des plaques de  support latérales 90 sont articulées à une  bielle pendante 94, suspendue au socle de       support    95 de la partie     calculatrice-enregis-          treuse        (fig.    1).

   Après qu'une     carte-ficlre    a été  analysée entre les plaques 71, 72, comme ce  sera expliqué, les leviers coudés 52 et les  bielles 88     effectuent    un mouvement de     va-          et-vient    en ouvrant ainsi la trappe 87 et en  permettant à la     carte-fiche    d'être entraînée  de haut en bas, au moyen des rouleaux  coopérants 96, 97     (fig.    10),     qui    viennent en prise  avec son extrémité et dont le second est com  mandé par le court arbre 98 supportant la  roue dentée 78.

   La     carte-fiche    est ensuite  reçue par un tablier 100     (fig.    2), où elle est  saisie entre les rouleaux 101, 102. Le rou  leau 101 est monté sur un arbre 104 sup  porté, clé façon à pouvoir tourner, dans les  flasques 11 et portant de petites roues den  tées 105     (fig.    1) en prise avec la roue dentée  79. Le rouleau 102 est monté sur un arbre  107 supporté par les consoles 108 pivotant,  en 109, sur les flasques 11 et pourvues de  bras à crochet 110 pour l'attaque d'un res-    sort 111 servant à tenir ce rouleau 102  appuyé contre le rouleau 101 pour saisir  convenablement les cartes-fiches.

   (Au lieu que  l'arbre 107 soit supporté sur des consoles  mobiles, il suffit de faire les arbres 104 et  107 légèrement élastiques de façon à ce  qu'ils aient une tendance suffisante à pincer  les cartes-fiches entre les rouleaux).  



       Récipient   <I>récepteur des</I>     cartes-fiches.     



  Du tablier 100, les cartes-fiches passent  sur le plancher flottant 115     (fig.    2) pourvu,  à ses extrémités opposées, de pièces guides  tubulaires. 116, -qui peuvent glisser sur les  tiges-guides verticales 118 supportées sur la  pièce inférieure 119 et par des consoles su  périeures 120 montées sur des consoles 121  portées par le bâti 10.

   Au bord extrême  arrière du plancher flottant, sont placées des  plaques d'arrêt 124 destinées - à arrêter les  cartes-fiches sur le plancher flottant à mesure  qu'elles viennent du tablier, les     cartes-fiches     étant appliquées contre lesdites plaques d'ar  rêt au moyen de galets de mise en position  125, montés sur l'arbre 126 qui passe à  travers les côtés du bâti et est mis en ro  tation au moyen d'un pignon 128     (fig.    1)  engrenant avec la roue dentée 79.  



  Le plancher flottant 115 est     élastiquement     supporté au moyen de rubans 130     (fig.4)     enroulés autour de barillets à ressorts 131  montés sur les consoles 121. A mesure que  les     cartes-fiches    quittent le tablier 100 et  sont mises en position par les galets de  mise en position 125, le plancher flottant  115 est graduellement repoussé de haut en  bas jusqu'à ce qu'il ait reçu un nombre       maximum    de cartes-fiches.  



  <I>Boîte à</I>     chevilles        analysatrices.     Chaque carte-fiche, à mesure qu'elle est  placée entre les     plaques        d'analysateur    71, 72,  est analysée par l'avancement de chevilles       analysatrices    montées dans la boîte à che  villes     anâlysatrices.    Cette boite est supportée  sur les tiges-guides 70     (fig.    4 et 10) et com  prend une plaque-guide antérieure 140, une       plaque-guide        intermédiaire    141 et une. plaque  guide arrière 142, ces plaques étant mainte-      nues espacées au moyen de tiges d'espace  ment 143.

   Aux extrémités de la boîte à  chevilles, sont assujettis des blocs latéraux  114 pourvus de galets 145 qui supportent  la boîte à chevilles de façon à lui permettre  de glisser sur les tiges 70. Chaque bloc la  téral est également pourvue d'une saillie  arrondie 147 logée dans une fente extrême  supérieure 148 du bras supérieur 149 d'un  levier coudé 150     (fig.    20), pivotant cri<B>152</B>  sur la flasque correspondante 11 du bâti 10  et ayant un bras inférieur     154,    pourvu d'un  galet     155    engagé dans une     rainure-came          analy        satrice    156, pratiquée dans la came 58  correspondante,

   grâce à quoi les leviers cou  dés 150 reçoivent un mouvement de     va-et-          vient    pour faire aller et venir la boîte à  chevilles. Le bras supérieur de chaque levier  coudé 150 comprend un élément     supérieur     <B>158</B> et un élément inférieur 159 articulés  ensemble en 160, l'élément supérieur étant  pourvu d'une saillie 162, engagée dans une  fente allongée 163 prévue dans l'élément  supérieur, ce qui fait que ces éléments sont  susceptibles     d'un    mouvement relatif limité  l'un par rapport à l'autre. L'élément supé  rieur est maintenu à la limite antérieure de  son mouvement relatif au moyen d'un ressort  164 tendu entre les crochets 166 prévus aux  éléments respectifs.  



  Les plaques-guides 140, 141 et 142     (fig.    9)  sont pourvues de rangées verticales d'ouver  tures 170, 171 et 172 disposées en aligne  ment avec les perforations 85 et 86 des  plaques d'analyseur 71, 72. Les ouvertures  171 et 172 sont allongées verticalement et,  dans ces ouvertures, sont disposées des ran  gées verticales de barres     analysatrices    hori  zontales 174, disposées pour     effectuer    un  mouvement vertical limité dans les ouver  tures et pourvues, chacune, d'une paire d'en  coches 176, 177, s'ouvrant vers le bas, qui  reçoivent les     plaques-guides    arrière et inter  médiaires, respectivement, et possèdent des  bords     antérieurs    inclinés formant carnes 179,  180,

   le bord supérieur de chaque barre     ana-          lysatrice    étant évidé, entre lesdites encoches,  pour former une partie réduite intermédiaire    (fi g. 9). Dans les ouvertures 85 et 170 sont  disposées les chevilles     arialysatrices    propre  ment dites 185, qui se trouvent en ligne  avec les barres     analysatrices    et se terminent  vers l'arrière,

   par les têtes 186 s'engageant  derrière la     plaque-guide    antérieure 140 de  telle sorte que toutes les chevilles     analysa-          trices    qui     peuvent    avoir été avancées sont  rappelées cri arrière lorsque la boîte à che  villes est ramenée en     arrière.    Lorsque la  boîte à chevilles se meut vers l'avant, les  chevilles     analy        satrices    185 sont amenées cri  prise avec la carte-fiche en cours d'analyse,  et, si une cheville     analy        satrice    quelconque  trouve une perforation dans la     carte-fiche,

       elle     avance    à travers la     carte-fiche,    cette  cheville     analysatrice    et la barre     analy        satrice     y associée étant sollicitées en avant du fait  que le poids de la barre     arialy        satrice    est       suffisant    pour empêcher les bords formant  carnes 179, 180 de glisser sur les bords in  férieurs des perforations 171, 172.

   Toutefois,  si la cheville     analysatrice    est arrêtée par  contact avec une partie pleine de la carte  fiche; lorsqu'elle ne se trouve pas en face  d'une perforation, la résistance de la     carte-          fiche    est suffisante pour repousser la cheville       analysatrice    et la barre     arialysatrice    y asso  ciée par rapport aux     plaques-guides    141 et       1.12,    en obligeant par cela même les     bords-          cames    179, 180 à glisser sur le bord inférieur  des ouvertures 171, 172.  



  Comme la force avec laquelle les barres       analysatrices    174 sont sollicitées en avant,  est très faible et n'est pas suffisante pour  effectuer     ni)    changement appréciable dans les  parties du mécanisme     analysateur,    il est né  cessaire de prévoir un moyen pour verrouiller  ces barres     analysatrices    par rapport à la  boîte à chevilles après qu'elles ont été     mfies     en avant,

   derrière une cheville     analysatrice     qui a trouvé une perforation dans la     carte-          fiche.    Ce moyen de verrouillage comporte une  plaque de verrouillage 188 susceptible de  coulisser verticalement dans la boîte à che  villes et pourvue de fentes 189, destinées à  recevoir les barres     analy        satrices    et à per  mettre un mouvement vertical de ces barres           lorsque    la plaque de verrouillage a été rele  vée, ainsi que de maintenir l'encoche 177 de  l'une quelconque des barres avancées en prise  avec le bord inférieur de l'ouverture 172  correspondante lorsque la plaque de verrouil  lage descend.

   8i, cependant, une barre     ana-          lysatrice    quelconque est restée immobile  pendant que les plaques 142 et<B>188</B> se sont  mûes en     avant    par rapport à elle, les plaques       1-l'.3    et 188 avancent par rapport à cette  barre jusque sur la partie réduite 181 de  celle-ci.

   Dans     -lette    position, il ne peut pas  y avoir de verrouillage de la barre     analysa-          trice    et la boîte à chevilles continue à se  mouvoir en avant en permettant aux che  villes     analysatrices        qui    ont été arrêtées par  la carte-fiche de rester déverrouillées, de  telle sorte que la cheville ne forcera pas  contre la     carte-fiche.     



  Pour produire ce mouvement de verrouil  lage, il est prévu, sur chaque bord de la  plaque de verrouillage 188, une oreille 190       a%sujettie    à la face externe d'une patte laté  rale 191 solidaire de la plaque de verrouil  lage 188, et cette oreille 190 est pourvue  d'une saillie 192, qui s'engage dans une       rainure-came    193 prévue dans une. plaque  194 fixée au moyen d'une vis 195, au bâti  10. Les rainures-cames 193 des plaques 194  sont de forme telle que, lorsque les saillies  192 se trouvent à l'extrémité arrière de leur  mouvement, elles s'engagent dans la partie  arrière des     rainures-cames    198 en maintenant  ainsi la plaque de verrouillage 188 relevée  hors de position de verrouillage par rapport  aux barres     analysatrices    174.

   Lorsque la  boîte à chevilles     analysatrices    avance, les  saillies 192 viennent glisser dans la partie       antéro-inférieure    des     rainures-cames    193, ce  qui oblige la plaque de verrouillage à des  cendre en tenant par cela même la barre       analysatrice    qui .a été avancée en prise de  verrouillage avec la plaque arrière 142, mais  en permettant à la partie réduite 181 d'une  barre     analysatrice    quelconque qui a été re  tenue par une carte-fiche, de rester complè  tement dégagée d'avec la plaque de ver  rouillage 188.

      Lorsque la boîte à chevilles     analysatrices     est retirée, les barres     analysatrices    174 qui  étaient repoussées en arrière à cause de  l'absence de perforation, en face d'elles, dans  la     carte-fiche,    sont ramenées au moyen de  la plaque de     ramenage    196, montée sur les  tiges 197 supportées dans les consoles 198  portées par le bâti 10. De petites tiges 199       (fig.    10) supportées entre la partie supérieure  de la plaque de     ramenage    196 et la plaque  72 de l'analyseur, aident à guider la boîte à  chevilles dans son mouvement.  



       Chevilles        coinposabdes.     



  En avant des plaques d'analyseur 71, 72  sont disposées une. paire de     plaques-guides     fixes 200, 201     (fig.    9) pourvues de trous, en  ligne avec les trous des plaques d'analyseur,  dans lesquels sont     momitées,    de façon à pou  voir glisser, des chevilles     composables    203,  en alignement avec les chevilles     analysatrices.     Chaque cheville     composable    est pourvue, sur  son bord supérieur, d'une saillie sensiblement  triangulaire formant un épaulement arrière  vertical 205 et une rampe 206 inclinée vers  l'avant.  



  En avant des plaques-guides fixes 200,  201 se trouvent des traverses de support 207  portées par les flasques latérales 11. et por  tant les plaques 208 et 209 dans lesquelles  sont disposées, de façon à pouvoir glisser,  des chevilles de prolongement 210 qui. se  trouvent en alignement avec les chevilles       composables    et sont pourvues de colliers 211,  entre lesquels et la plaque 209 sont intercalés  des ressorts de compression 212 qui repous  sent     élastiquement    vers l'arrière les chevilles  de prolongement 210 et, avec elles, les che  villes     composables    203.  



  Les plaques d'analyseur 71, 72, les  plaques-guides antérieures 200 et 201 et les       plaques-guides    208, 209 pour les chevilles de  prolongement sont toutes montées sur les       tiges-guides    de support, fixes, 70, lesdites  plaques-guides étant en outre maintenues  espacées les. unes des autres et des     plaques-          d'analyseur    71, 72 au moyen de tiges-guides  supplémentaires 215     (fig.    10).

        Les chevilles     composables    203 sont pous  sées en avant par les chevilles     analy        satrices     185 et sont tenues dans cette position au  moyen de verrous 216, coulissant verticale  ment     (fig.    9 et     9l)    clans des traverses fen  dues 217 fixées à la plaque 201 et qui sont  soutenus     élastiquement    par de petits ressorts  218.

   Ces verrous sont pourvus d'évidements  latéraux 219, formant entre eux des dents  220, susceptibles d'être engagées et soulevées  par les rampes antérieures 206, et de re  tomber derrière les épaulements verticaux       arrière    205, lorsque les chevilles     composables     203 sont repoussées en avant. En avant dé  la     plaque-guide    209, pour les chevilles de  prolongement, sont disposés, entre ces der  nières, plusieurs leviers oscillants 222 pivo  tant,     cri    un point intermédiaire de     leur    lon  gueur, sur une tige-pivot 223.

   A l'extrémité  supérieure de chacun de ces leviers oscillants  pivote     un    doigt     interprétateur    224 disposé  pour s'engager par     dessus    le verrou 216  associé lorsque le levier oscillant est amené  à la position représentée à la     fig.    9. A la  partie     inférieure    de chaque levier oscillant       '?22    est articulé un doigt de dégagement 226,  disposé pour s'engager sous le verrou     21(i     associé lorsque la partie inférieure du levier  oscillant est amenée à une position située cri  arrière de celle représentée à la     fig.    9.

   Dans  cette     dernière    position, les doigts de dégage  ment 226 servent à dégager les verrous 216  de toutes chevilles     composables    qui ont été       mfies    vers l'avant et ce dégagement     s'effectue,     par l'intermédiaire desdits doigts, par l'ac  tion d'une tige de dégagement 227, portée à  ses extrémités par une     paire    de bras de dé  gagement 229     (fig.2),    pivotant, en 230, sur  les flasques latérales 11 et pourvus à leur  extrémité inférieure, d'un galet 231 cri prise  avec une     rainure-came    232, prévue sur la  face interne des cames 58.  



  Les leviers oscillants 222 peuvent être  n     iarroeuvrés    à la main, pour être amenés de  l'une des positions à l'autre au moyen de  tringles de manoeuvre 233, sollicitées vers  l'extérieur par des ressorts     (fig.    2) et pour  vues de crans de réglage 234, au moyen    desquels elles peuvent être fixées dans la  position d'ajustement voulue.  



       Connexions        fle.zibles   <I>mobiles.</I>  



  Les plaques de support latérales 90     (fig.    2,  11 et 12) sont pourvues d'encoches supé  rieures 235, dans lesquelles sont reçues des  oreilles 236; faisant saillie de plaques laté  rales 237 auxquelles sont assujetties des  barres verticales arrière et intermédiaires  239, aux extrémités supérieures et inférieures  desquelles sont montées les barres de support  arrière, supérieure et inférieure 240 et 241  et les barres de supports intermédiaires 243  et 244. Des barres verticales antérieures     2.15     sont assujetties à la face interne de l'extré  mité antérieure des plaques de support laté  rales 90 et supportent les barres de support  antérieures, supérieure et inférieure, 246 et  247.

   Toutes ces barres de     support    sont  pourvues d'encoches latérales verticalement  alignées, 250, dans lesquelles sont reçues les  extrémités réduites 251     (fig.    14) de     barretf'#s     réceptrices de tubes<I>252</I> dont chacune est       pourvue    d'encoches latérales 253. Avec chaque  paire de barres de support, supérieure et in  férieure, sont associées des     plaques-guides     extérieures et intérieures     255,        256,    dont  chacune est pourvue de parties latéralement  coudées 257,     258,    assujetties auxdites barres  de support au moyen de vis 259 engagées  dans des trous 260 de ces barres.

   Les par  ties coudées 258 des plaques-guides     intérieures     256 sont pourvues chacune d'un nez 262  disposé pour s'engager avec lesdites extrémi  tés réduites 251 et les maintenir dans les  encoches latérales 250. Dans les encoches       2â3    des barres 252 sont reçus des     tubes-          guides    arrière, 264, des     tubes-guides    intermé  diaires 265 et des     tubes-guides        antérieurs     266; ces     tubes-guides    sont empêchés de se  déplacer longitudinalement au moyen de  leurs têtes et latéralement au moyen de la  barrette réceptrice de tubes adjacente.

   Entre  les     tubes-guides    arrière et les     tubes-          guides    intermédiaires sont disposés plu  sieurs     càbles    flexibles de transmission  de poussée 268, dont chacun comprend           une    gaine extérieure assujettie dans les  dits tubes; respectivement, et un fil     roté-          rieur    269     (fig.    14) passant longitudinalement à  travers la gaine et raccordé, à l'extrémité       arrière,    à des chevilles terminales tubulaires  arrière 270, pouvant glisser dans les plaques  guides arrière 255, 256 et se trouvant en  face des chevilles de prolongement 210.

   Des  chevilles terminales intermédiaires 272, pou  vant glisser dans les plaques-guides corres  pondantes, reçoivent les extrémités antérieures  des fils métalliques intérieurs 269. En regard  des chevilles terminales     intermédiaires    272  se trouvent les chevilles terminales anté  rieures 273 auxquelles sont fixées les extré  mités arrière de fils intérieurs de câbles de  transmission de poussée 275, portés dans les       tubes-guides    antérieurs 266 et reliant les  chevilles terminales antérieures 273 avec la  partie     calculatrire-enregistreuse    de la machine  comme cela sera expliqué plus loin.  



  Toutes les paires de     plaques-guides    255       et256    sont aisément détachables     deleurs    barres  de support; de telle sorte que les     tubes-guides     intermédiaires 265 et les chevilles termi  nales intermédiaires y associées 272, peuvent  être détachés des barres de support intermé  diaires 243, 244 et être rattachés à une  partie     différente    des barres de support     inter-          médiaires,    de façon à les amener en face  des chevilles terminales antérieures 273 en       une    partie     quelconque    des barres de support  antérieures 246, 247.

   De cette façon, il est  possible de relier l'une quelconque des Che  villes de     prolongement    210 avec un câble  de transmission de poussée 275     quelconque     voulu, et de relier ainsi la partie de l'ana  lyseur qui analyse une partie donnée d'une  carte-fiche perforée avec un jeu d'éléments       calculateurs-enregistreurs        quelconque    de la  partie     calculatrice-enregistreuse    de la machine.  



       Lorsque    les chevilles     composables    203  ont été poussées en     avant,    au cours de l'ana  lyse d'une carte-fiche, et ont été bloquées  dans une position avancée au moyen du  verrou 216     (fig.    9), les bras supérieurs 50       (fig.    20) des leviers coudés 52 se meuvent    alors vers l'arrière en     entrainant.avec    eux  les plaques de support latérales 90, et tout  le mécanisme monté entre eux, de telle sorte  que les chevilles terminales arrière 270 sont  repoussées en arrière sur les chevilles de  prolongement 210 qui sont tenues en avant  par les chevilles     composables    203.

   Ce mou  vement a pour effet que les chevilles termi  nales arrière 270 sont repoussées de dehors  en dedans par rapport aux     tubes-guides     arrière 264 et par rapport à la gaine exté  rieure des câbles de transmission de poussée  y assujettis, ce qui oblige ainsi les chevilles  terminales intermédiaires 272, les chevilles  terminales antérieures 273 et le fil intérieur  des câbles .de transmission 275 à être poussés  en avant. de façon à actionner les arrêts de  la partie     calculatrice-enregistreuse    de la ma  chine, comme cela est expliqué plus loin.  



  Les chevilles terminales 270, 272 et 273  sont pourvues de parties renflées 277     (fig.    14)  formant des épaulements pour limiter le  mouvement des chevilles terminales dans les       plaques-guides    255, 256.         Mecanisme        inte7:prétaleur   <I>de</I>     changement     <I>de</I>     désignation.     



  Sur les     plaques-guides    208, 209 pour les  chevilles de     prolongement    210 est. monté une       plaque    280     (fig.    15 à 19) portant le méca  nisme     interprétateur    pour interpréter le chan  gement de désignation lorsque des groupes  de     cartes-fiches    d'une désignation ou caté  gorie sont suivis par un autre groupe de  cartes-fiches d'une désignation     différente.     Après avoir placé une pile de cartes-fiches  dans le magasin, on met la machine en  marche pour qu'elle agisse sur ces     cartes-          fiches.    La machine agit d'abord sur,

   et ad  ditionne les articles d'un premier groupe de  cartes-fiches et, lorsqu'elle arrive à la fin du  premier groupe, le mécanisme     interprétateur     interprète le changement de désignation de  groupe, prend et imprime les totaux des  données introduites dans le totalisateur, ra  mène la machine à zéro et la fait repartir  immédiatement pour l'enregistrement des      données du groupe suivant de     cartes-fiches,     en continuant de cette façon jusqu'à ce que       toits    les groupes de     cartes-fiches    aient été  séparément totalisés. Le     mécanisme    qui     effectue     cette opération, est le suivant: .  



  Un coulisseau à dents de rochet 281, se  guidant par des fentes 282 sur des chevilles  284 montées sur la plaque 280 est maintenu  retiré     ait    moyen du ressort 285 tendu entre  la lèvre 286 du coulisseau et la     paroi    de la  cage 288 qui, montée sur la plaque de des  Rrrs 12, enveloppe le mécanisme     interpréta-          teur    de changement de désignation.  



  Le bord supérieur du coulisseau<B>281</B> est  pourvu d'une paire de dents de" commande  290, 291 et d'une dent de détente 292. Les  dents de commande 290, 291, peuvent être  engagées par la dent     29.1,    tournée vers le  bas d'un cliquet de commande 295 articulé  à l'extrémité supérieure du levier d'interpré  tation 296, monté sur l'arbre 299 qui est  supporté dans les flasques latérales 11.

   Sur  cet arbre sont également montés les bras  300 supportant une tige de contact 301 dis  posée pour être rencontrée par les doigts     in-          terprétateurs    224 lorsque ceux-ci sont dans  leur position arrière, comme cela est repré  senté à la     fig.    16, et lorsque l'un quelconque  d'entre eux est soulevé art moyeu     d'urr    des  verrous 216. Seuls ceux des leviers oscillants  222 qui correspondent aux zones des nombres  de désignation des cartes-fiches perforées sont  actionnés pour amener les doigts     interpréta-          teurs    correspondants à leur position arrière.  



  Chaque fois qu'un doigt     interprétateur     224 est soulevé une fois.     comme    lorsque la       première        carte-ficlre   <B>dit</B> premier groupe est  interprétée, le levier     interprétateur    296 est  amené à basculer et déplace le coulisseau  281 de la longueur d'une dent de commande,  après quoi la dent de détente 292 est enga  gée, comme cela est représenté à la     fig.    18,  par une dent 305 portée par un cliquet de  retenue, ou détente, 306, pivotant sur  la plaque de support 280.

   Le cliquet de  commande 295 et le cliquet de détente 306    sont maintenus en prise avec la dent qu'ils  attaquent, au moyen     d'un    ressort 308 tendu  entre des bras relevés à crochet 309, 310  prévus sur ces cliquets.  



       Lorsque    le levier     interprétateur    296 bas  cule de nouveau, il repousse la lèvre 286  du coulisseau 281 contre les chevilles termi  nales 312     (fig.    16) d'un câble de commande  de prise de total 319 et de câbles de déga  gement de loqueteaux 315, ayant leurs fils  internes reliés     auxdites    chevilles terminales  et leurs gaines     extérieures        fixées    dans le bloc  316 assujetti sur la plaque de support 280.

    Lorsque ces chevilles terminales sont pous  sées par ce mouvement de la lèvre 286 du  coulisseau 291, les     fils    internes de ces câbles  sont actionnés; le fil interne du câble 314  détermine la prise     d'rrrr    total, comme ce sera  expliqué, alors que les     fils    intérieurs des       câbles    315 produisent     titi    verrouillage du       mécanisme    d'alimentation du     magasin    à car  tes-fiches et empêchent les plaques de sup  port latérales 90 de se mouvoir vers l'arrière,  comme cela va être bientôt expliqué.  



  Après que les cibles 311 et 315 ont ainsi  été actionnés, le ressort 285 retire le     cou-          lisseau    281 à la position de     fig.    18. Lorsque  la     première        carte-ficlle    du groupe suivant  apparaît dans l'analyseur,     titi    trou clé dési  gnation     différente    apparaît en position de       commande    et le levier     interprétateur    est  amené à basculer pour déterminer ainsi de  nouveau la prise d'un total.

   Lorsque la ma  chine est vide de     cartes-fiches    et qu'on dé  sire commencer avec     titi    nouveau groupe,  d'une désignation     différente,    on relève les  cliquets de commande 295 et de détente 306  pour permettre au coulisseau 281 de revenir       à,    la position de     fig.    15.

   Ce relèvement est  accompli art moyeu d'une clé de remise en  position 321, qui est pourvue d'une cheville  saillante 326 s'engageant sous les extrémités  internes saillantes     327,    328 des cliquets 295,  306 et guidée dans une fente 329 de la  plaque de support 280, la clé 321 étant  pourvue d'un bouton de     man#uvre        333I    et  d'un ressort de rappel 293.

             11c>@@rni.nae   <I>(le</I>     verrouillage   <I>de</I>     l'alimentation   <I>par</I>  <I>le</I>     magasin   <I>et des connexions</I>     flexibles.          Sur    la partie supérieure de la face     in-          terne    de chaque flasque latérale 11     (fig.20)     du bâti 10 est monté un coulisseau de     ver-          roiiillage    horizontal 330, se guidant par des  fentes longitudinales 331 sur des chevilles  332 montées sur la flasque latérale 11, de  telle sorte que le coulisseau peut effectuer  un mouvement limité dans une direction ho  rizontale.

   A l'extrémité arrière de chaque       coulisseau    330 est monté à pivot, en 333,  un loqueteau 334 pourvu d'une oreille laté  rale 335 disposée pour s'engager derrière la  saillie supérieure 336 portée par l'extrémité  supérieure de chacun des leviers coudés     ana-          lysateurs    150, lorsque cette extrémité supé  rieure se trouve portée cri avant. Une  détente coudée 338 pivotant sur chaque  coulisseau de verrouillage 330 est pourvue  d'un épaulement 339 disposé pour s'engager  sous le loqueteau 334 afin de maintenir  l'oreille 335 dégagée de l'extrémité saillante  336.

   Un bloc terminal 340 sur chaque flas  que latérale 11, disposé au-dessus de la queue  de la détente 338, porte la gaine extérieure  de l'un des câbles 315     (fig.    16) de dégage  ment des loqueteaux.  



  Un ressort 341, tendu entre les crochets  342 de chaque loqueteau 334 et de la dé  tente correspondante 338, maintient cette       dernière    en prise avec son loqueteau et tend  à déplacer celui-ci de haut en bas.  



  Lorsque le fil intérieur des câbles<B>315</B>  est actionné; les détentes 338 sont dégagées  des loqueteaux 334 et permettent à l'oreille  335 de venir s'engager derrière la saillie 336  des leviers coudés 150, ce qui fait que les  coulisseaux 330 sont déplacés     ci)    arrière, en  obligeant ainsi une rampe 343     (fig.    20), y  prévue, à venir en prise avec une saillie la  térale 344 portée par un cliquet de verrouil  lage 345 pivotant en 346 sur la flasque  latérale 11.

   Lorsque cet engagement se pro  duit, les cliquets de verrouillage 345 sont  abaissés à l'encontre d'un ressort 348, tendu  entre le bras inférieur 349 du cliquet et    l'extrémité antérieure du coulisseau de ver  rouillage correspondant 330, lequel     dernier     est normalement maintenu     élastiquement    à  la limite de son mouvement en avant, alors  que le cliquet de verrouillage 345 est main  tenu dans sa position supérieure par le res  sort 348.

   Lorsque cet abaissement des     cliquets     345 se produit, l'épaulement 350 de ces der  niers s'engage     derrière    le pivot 91 du levier  coudé 52 correspondant de sorte que l'élé  ment supérieur 60 de celui-ci et par consé  quent le levier coudé correspondant 41 et le  bloc de cueillage du magasin à     cartes-fiches     sont empêchés d'aller et venir pendant que  le bras inférieur 55 des leviers coudés 52  continue à aller et venir à l'encontre du  ressort 66.

   Ceci a pour effet de suspendre  l'entraînement des     cartes-fiches    du magasin  et empêche la commande des fils internes  des câbles de     transmission    durant le temps  pendant lequel le total est pris par la partie       calculatrice-enregistreuse    de la machine, .  comme cela sera expliqué. A la     fin    de cette  période de temps, un bossage périphérique  355 de chaque came 58 vient en prise avec  un galet 856 monté à l'extrémité inférieure  d'un levier de     dégagement    357, pivotant sur  la tige 358 portée entre les flasques latérales  11, et soulève ce levier de dégagement et  avec lui, une barre de dégagement 360,  articulée à l'extrémité inférieure dudit levier.

    Chaque barre de     dégageaient    360 se guide  par une fente 361 sur une vis 362 portée  par la flasque latérale 11 correspondante, de  telle sorte que ladite     barrre    de dégagement  peut glisser sous le loqueteau 334 correspon  dant.

   Lorsque les leviers de dégagement 357  sont ainsi soulevés, les barres de dégagement  360 obligent les loqueteaux 334 à être déga  gés de la saillie extrême 336 des leviers  coudés 150, en permettant par cela     même     aux coulisseaux de     verrouillage    330 de se  mouvoir en avant et de permettre aux     cli-          quets    de verrouillage 345 d'être relevés hors  d'engagement avec le pivot 91,

   ce qui dé  gage ainsi l'élément supérieur 60 des leviers  coudés 52 et permet la reprise de l'entraî  nement des     cartes-fiches.              Iblé(-aiaisnae        interprétateur   <I>de</I>     eaïtes-fiches     <I>de</I>     jw-ise   <I>de total.</I>  



  Si, pour une raison quelconque, on désire  maintenir le mécanisme     interprétateur    sus  décrit hors d'action et s'en reposer sur des  cartes-fiches de prise de total, bien connues,  pour déterminer l'opération de prise     d'titi    to  tal, ceci peut se faire au moyeu du méca  nisme représenté dans     la,    partie médiane de  la     fig.    2 et à la partie inférieure de la     fig.    9.  



  Ce mécanisme comporte une cheville de  prise de total 365, glissant dans les perfo  rations pratiquées dans la partie inférieure  des plaques 71, 140 et 142 et susceptible  d'être poussée en avant au moyen d'un res  sort 366 tendu entre la plaque 142 et la  partie rabattue 367 de la cheville 365.

    Lorsqu'un total doit être pris, une     carte-          fiche    de prise de total pourvue d'une perfo  ration ou d'une partie entaillée sur     soit    bord  est entraînée entre les plaques d'analyseur  et, lorsque la boîte à     chevilles        avance,    la  cheville de prise de total 365 passe à tra  vers cette perforation ou partie entaillée et  actionne     tin    levier de prise de total 368, pi  votant sur le tablier 100 et disposé pour  abaisser une pièce de support 370 (6g.

   2)  de telle sorte qu'un plongeur     371.,    monté à  coulisse sur celle-ci, vient en avant d'une  cheville terminale 372 d'un câble de prise de  total 373 dont la     gaine    extérieure est fixée  dans     titi    bloc terminal 374. Lorsque la pièce  de support 370 est ainsi     amenée    en avant  de ladite     cheville    terminale, elle permet au  plongeur 371 d'être     niii    en avant     petit,    venir  eu prise avec la cheville terminale afin d'ac  tionner un mécanisme de prise de total dé  crit plus loin.

   Le     plongeur    371 est actionné  au moyen d'un levier 375 pivotant sur le  bossage 376 et pourvu     d'titi    galet 377, dis  posé pour être     engagé        pal,    une came 378  montée sur l'arbre 59. Il est maintenu     élas-          tiquement    retiré au moyen     d'titi    ressort de  compression 350 intercalé entre la pièce de  support 370 et une tête extérieure 381     dit          plongeur,    une tête intérieure 384 de celui-ci  limitant le mouvement du plongeur sous  l'action de ce ressort.

           Mécanisme   <I>de débrayage</I>     automatique     <I>de la</I>     machine.     



  Le mécanisme de débrayage automatique  de la machine est monté     sur    une partie in  férieure 389 du bâti 10     (fig.    2, 4 et 21) et  il comporte une boîte 390 dans laquelle est  montée une vis sans fin 391 fixée sur l'arbre  de commande longitudinal 392 qui tourne  dans la partie inférieure de ladite cage et  est relié, par une     courroie    393, à     titi    moteur  électrique     Jl        (fig.    4). Dans la partie supé  rieure de la boîte 390 est monté un arbre  rotatif 394 disposé     transversalement    à l'arbre  392 et monté     dans    des roulements à billes  395.

   Sur cet     arbre        39.1    est fixée une roue  hélicoïdale 397, engrenant avec la vis sans  fin 391 et obligeant l'arbre 394 à tourner  lorsque l'arbre 392 est actionné. Sur l'extré  mité interne saillante de l'arbre 394 est calé  un collier 398 sur lequel est assujetti,     ait     moyen de vis 399,     titi    organe d'embrayage  400 pourvu de bras radiaux.

   A la boîte 390  est adjacente une console 401, dans laquelle  tourne     titi    arbre     intermédiaire    402, disposé  en alignement axial avec l'arbre 394.     Sur    le  bout interne de cet arbre intermédiaire est  fixée une tête     40.1    pourvue d'un trou     -105     parallèle à     l'arbre        402    et situé à une dis  tance considérable de celui-ci. Dans les ex  trémités opposées de ce trou sont fixés     des     bouclions 407, 408,     dans    lesquels peut cou  lisser une broche d'embrayage 409.

   Sur la  partie médiane de cette broche     d'embrayage     est fixé un collier de commande 410. pourvu  d'une rainure en hélice 411 dans laquelle       s'engage    une cheville     41.\3    fixée dans la tête  404. Entre ce collier 410 et le bouchon 408  est disposé un ressort de compression et à  torsion     41.1    qui maintient     élastiqueinent    la  broche d'embrayage entre les bras de l'or  gane d'embrayage 400.

   Comme la cheville       4-12    est fixée dans la tète 404,     tin    mouve  tnent de rotation de la broche     d'embrayage     409 produit un     mouvement    longitudinal cor  respondant de celle-ci pour la retirer d'entre  les bras de l'organe d'embrayage 400.     D'titi     autre côté, lorsque la broche d'embrayage  409 est dégagée, le ressort 414 tend à la           ramener        entre    lesdits bras.

   Le mouvement de  rotation de la broche d'embrayage est com  mandé par l'intermédiaire d'une crémaillère  en arc de cercle 418<B>(fi-.</B> 2) montée à pivot  sur     rrn    prolongement latéral 419 de 401 et  disposée pour engrener avec un pignon denté       .120        (fig.    21) fixé sur le bout externe de la  broche d'embrayage 409. Au-dessous de la       crémaillère,    il y a dans la pièce 389, un  trou de guidage     421.    pour un tampon 424,  sollicité par un ressort 422 contre la cré  maillère 418 de façon à la maintenir en  prise avec le     pignon    420.  



  Sur le prolongement 419 pivote égale  ment un levier de commande 426 pourvu  d'une partie fourchue 427, recevant une che  ville 428 prévue sur la     erérnaillère    418. Le  bras inférieur du levier de commande 426  est relié, au moyeu d'une bielle 430, au bras  inférieur d'un loquet 431 pivotant sur la  pièce 389 et pourvu d'un cran de verrouillage  432, disposé pour s'engager . sous l'extrémité  libre de la crémaillère 418 afin d'en assurer  la prise avec le pignon 420. On notera qu'il  y a un jeu suffisant entre la cheville 428 et  la partie fourchue 427 pour permettre de  produire le déclenchement du loquet 431,  avant que la crémaillère soit abaissée, par le  mouvement du levier de commande 426 en  sens inverse du mouvement des aiguilles  d'une montre.  



  Lorsqu'on     désire    que le mécanisme soit  embrayé, on déplace le levier de commande  426 et) sens inverse du mouvement des ai  guilles     d'une    montre au moyen d'une tringle  de     manoeuvre    436 passant à travers le pan  neau de devant 7     (fig.    1); ceci produit d'abord  le déclenchement du loquet 431, puis le       mouvement    descendant de la crémaillère 418,  jusqu'à ce qu'un bras de verrouillage 437 de  la crémaillère ait pris sur l'épaulement 438  d'un     loqueteau    440 articulé     sur    le prolonge  ment 419 et repoussé en prise avec ledit  bras par un ressort 441.

   Ce mouvement de  descente de la crémaillère 418 libère le pi  gnon 420 et le ressort à torsion 414 fait  tourner la broche d'embrayage 409 qui vient  alors en prise avec l'organe d'embrayage 400,    ce qui fait que l'arbre 402 se met à tourner.  Pour obtenir le débrayage du mécanisme, le  loqueteau 440 est dégagé, ce qui permet à  la crémaillère 418 de venir en prise avec le  pignon 420, sous l'action du ressort 422.  L'arbre 402 en rotation     entraînant    la tête  404 avec le pignon 420 qui se déplace sur  la crémaillère 418, celui-ci est amené à tour  ner sur lui-même pour faire tourner la broche  d'embrayage 409 de façon à la retirer de  l'organe d'embrayage 400.  



  Sur l'arbre intermédiaire 402 est fixée       une    roue dentée 445 qui engrène avec une  roue dentée 446     (fig.    2) fixée sur l'arbre à  cames 59, ce qui fait qu'un mouvement de  rotation est imprimé à cet arbre lorsque  l'arbre intermédiaire est lui-même mis en  rotation.  



  Lorsqu'un nombre suffisant de     cartes-          fiches    sont amenées ou entraînées par l'ana  lyseur pour obliger la plaque flottante 115 à  venir presque à la limite inférieure de son  mouvement, il est désirable que la machine  soit automatiquement arrêtée jusqu'à ce que  l'opérateur puisse enlever les     cârtes-fiches    et  remettre la machine en marche.

   Cet arrêt  automatique de la machine est produit par  la pression de la plaque flottante<B>115</B> contre  le fil intérieur d'un câble de poussée flexible  448     (fig.    2) dont la gaine extérieure est fixée,  par ses extrémités, dans un bloc 450 prévu  à la plaque de fond 119 et dans un bloc  terminal inférieur 451 fixé à la partie infé  rieure du prolongement 419.     L'actionnement     de ce câble détermine le dégagement du lo  queteau 440 et le débrayage de l'embrayage  décrit de la machine.    Il est également désirable que l'embrayage  soit débrayé et que la machine soit amenée  au repos si toutes les     cartes-fiches    ont été  entraînées du magasin et que celui-ci se  trouve ainsi vide.

   Le dispositif qui sert à  réaliser cette opération est représenté aux       fig.    5 à 8 et est établi comme suit:  Le bloc cueilleur de carte-fiche 21, qui  est mobile verticalement, est pourvu d'un  trou 460 disposé transversalement à lui et      et longitudinalement au magasin à     cartes-          fiches    et en ligne avec un trou 461 du pous  soir 30. Le trou 460 présente air épaulement       intérieur    464 et, dans ce trou, est disposé,  de façon à pouvoir glisser, un pistou 468  repoussé vers les     cartes-fiches    du magasin  par un ressort 469 disposé entre cet épaule  ment 461 et la tête 470 du piston.

   Le bout  externe du piston est pourvu d'un bloc de  commande allongé 472, susceptible, lorsque  le piston est poussé à la position représentée  à la     fig.6    par les     cartes-fiches    contenues  dans le magasin, de sortir de sous la tête  d'engagement 474     (fig.7)    d'un levier 475  pivotant su:- la boîte 288 du mécanisme     in-          terprétateur.    S'il n'y a pas de     carte-fiche     dans le magasin, le piston 468     ést    repoussé  par le ressort 469 jusqu'à ce que son extré  mité interne passe à travers l'ouverture 461  et que le bloc 472 passe sous la tête d'en  gagement 474 du levier 475.

   Lorsque ceci a  lieu, le mouvement ascendant du bloc cueil  leur 21 amène le bloc 472 en prise avec la  tête d'engagement 474 et fait basculer le  levier 475. Ce mouvement de bascule amène  l'extrémité active 476 du levier 475 en prise  avec la cheville terminale 478 d'un câble  flexible de poussée 479 dont la gaine exté  rieure est fixée dans le bloc 480 et dont  l'autre extrémité de la gaine extérieure est  fixée dans le bloc 451     (fig.    2), alors que son       fil    intérieur est disposé pour se relier au lo  queteau 420 afin de     déclancher    celui-ci et de  libérer la     crémaillère        :118    pour produire le  débrayage de l'embrayage, comme cela a été  expliqué ci-dessus.

   On voit d'après cela que,  quand le magasin à     cartes-fiches    se trouve  vide, le bloc 472 coopère avec le câble       flexible    479 pour produire l'arrêt de la ma  chine.  



  Chaque fois que l'embrayage est débrayé  pour arrêter la machine, il est désirable que  le moteur JI, actionnant l'arbre de commande  392 soit également amené au repos et ceci  est     effectué    au moyen d'un câble de poussée  flexible 485     (fig.    1) dont l'extrémité interne  de la gaine extérieure est fixée dans un bloc  486, prévu sur le prolongement 419, alors    que le bout externe de sa gaine est fixé dans  un bloc 487 monté dans le voisinage d'un       interrupteur,    indiqué schématiquement en 488,  qui commande l'arrivée du courant électrique  au moteur     1L    Chaque fois que la     crémaillère     418 est soulevée pour débrayer l'embrayage,

    le fil interne du câble 485 est actionné par  un     bras    491 de ladite     crémaillère,    ce qui       produit    le     déclanchement    d'un loqueteau 492  de l'interrupteur 488, eu permettant ainsi à  la lame de contact 493 de se dégager, sous  l'action du ressort 494, des pièces de con  tact 495 intercalées dans le circuit qui ali  mente le moteur.

           Fonctioieirenient   <I>de</I>     l'analyseur   <I>et des</I>       iiaécnu.isiiies   <I>y associés.</I>    Le     poussoir    30 du magasin à     cartes-fiches     est retiré eu arrière et on place des     cartes-          fiches    dans le magasin de façon à ce que  leurs bords     inférieurs    reposent contre les  guides     inférieurs    18 et que la face     antérieure     du paquet de     cartes-fiches    soit pressée contre  le bloc cueilleur au moyen du poussoir au  fur et à     mesure    qu'il est automatiquement  tiré 

  en avant par les rubans 32 sous l'action  des barillets à ressort 31. Si le mécanisme       interprétateur    de changement de désignation  doit être utilisé, on fait basculer les leviers  oscillants 222, associés avec la zone de la       carte-fiche    perforée qui représente la désigna  tion; de dedans en dehors au moyen de la  tringle 233, de sorte que les doigts     interpré-          tateurs        2'24-    de cette zone sont amenés     au-          dessus    des verrous 216 associés avec ladite  zone.

   On fait basculer les autres leviers  oscillants     2'22    de dehors en dedans de telle  sorte que les doigts de dégagement 226 s'en  gagent sous les verrous 216 de celles des  zones dans lesquelles une addition doit se  faire.  



  On relève ensuite le boutoir     333\    de fa  çon     ),    être sûr que le coulisseau dent(: 280  est dégagé. On abaisse le bouton poussoir  497 de     l'interrupteur    488 pour mettre le       moteur   <B><I>JI</I></B> en marche;

   la     crémaillère    oscil  lante 418 est, au moyen de la tringle 436,  dégagée du pignon 420 et est maintenue      ainsi dégagée au moyen du loqueteau 440,  après quoi le mécanisme est embrayé pour  faire tourner l'arbre à cames 59, tandis que  les leviers coudés 52 oscillent en produisant  le mouvement de va-et-vient du bloc cueil  leur et l'entraînement des     cartes-fiches:    A  mesure que les cartes-fiches sont entraînées  de haut cri bas, les bielles 88 se meuvent  en même temps vers l'extérieur et ferment  la porte ou guichet à     cartes-fiches    87     (fig.    9)  en sorte que la     carte-fiche    entraînée entre  les plaques d'analyseur 71, 72, y est retenue  par ce guichet 87.

   Ceci fait, le mouvement  d'oscillation des leviers coudés 150 oblige la  boîte à chevilles     analysatrices    à avancer, en  repoussant toutes les chevilles     analysatrices     185 vers la carte-fiche qui, à ce moment; se  trouve entre les plaques d'analyseur. Celles  des chevilles     analysatrices    qui ne trouvent  pas devant elles de perforations dans la       carte-fiche    sont immobilisées par cette der  nière, tandis que celles qui y trouvent des  perforations avancent par suite du contact  des rampes-cames 179, 180 avec les     plaques-          guides    141, 142.

   Durant ce mouvement, la  plaque de verrouillage 188 avance avec la  boîte à chevilles et verrouille -lors celles  des chevilles qui ont avancé, en laissant dé  verrouillées celles qui ont été retenues en  arrière par la     carte-ficlie.    Celles des chevilles  qui ont avancé poussent en avant les che  villes     composables    203 jusqu'à ce que les  verrous 216 soient relevés et s'engagent  derrière les épaulements 205 des chevilles       composables    en verrouillant ainsi ces dernières  en position avancée.     Ceux    des verrous 216  qui correspondent aux zones de désignation  de la     carte-fiche    soulèvent les doigts     inter-          prétateurs    224.

   qui ont été déplacés en arrière,  en     produisant    ainsi le fonctionnement du le  vier     interprétateur    296 et le mouvement du       poulisseau    denté 281, jusqu'à ce que la dent  292 de celui-ci soit arrêtée par la dent 305  de la détente 306.  



  Lorsque les chevilles     composables    sont  ainsi verrouillées, les leviers coudés 52  oscillent en arrière, en obligeant ainsi le  guichet 87 à libérer la     carte-fiche    qui se    trouve alors entre les plaques d'analyseur,  et dans ces conditions cette carte-fiche passe  sur le tablier 100 et est placée en position,  au moyen des galets 125, et de l'arrêt 124,  sur le plancher     flottant    115.  



  Pendant que les chevilles     composables    se  trouvent encore en avant et à mesure que  les leviers coudés 52 oscillent vers l'arrière,  comme cela vient d'être dit, ce mouvement  des leviers coudés repousse les plaques de  support latérales 90, et tout le mécanisme  contenu entre elles, vers l'arrière contre les  chevilles de prolongement 210 qui ont été  repoussées en avant par les chevilles     compo-          sables    et, alors, les     fils    internes des câbles  268 et 275 sont repoussés en avant par rap  port à leurs gaines, ce qui a pour     effet    que  le fil interne des câbles 275 agit pour ame  ner en position les arrêts numériques de. la  .

   partie     calculatrice-enregistreuse    de la machine;  comme ce sera expliqué plus loin.    Après que ce mouvement s'est produit,  les leviers coudés 52 et les     mécanimes    y  associés avancent et la tige de dégagement  227     (fig.    2) se relève, de sorte que ceux des  doigts de dégagement 226 qui ont été     aille-          liés    en arrière sous les verrous 216 relèvent  les verrous associés pour libérer les chevilles       composables    203 qui ne correspondent pas  aux zones de désignation de la carte-fiche,

    en sorte que ces chevilles     composables    et  les chevilles de prolongement 210 y associées  sont ramenées en arrière sous l'action des res  sorts 212 montés sur les chevilles 210. Le  fonctionnement, sus-décrit, de la boîte à  chevilles     analysatrices    et des parties com  mandées par elle se répète jusqu'à ce que  toutes les     cartes-fiches    de la même désigna  tion aient été     analysées    et que les indica  tions qu'elles portent aient été transférées à  la partie     calculatrice-enregistreuse    de la ma  chine.

   Toutefois, lorsqu'un nouveau groupe  de     cartes-fiches    d'une désignation     différente     tombe juste cri arrière du groupe précédent,  des chevilles     composables        différentes    203, se  rapportent à la zone de désignation corres  pondante sont . actionnées, ce qui fait soule-      ver les verrous 216 associés, dont le soulè  vement produit un second mouvement  d'oscillation du levier     interprétateur    pour  faire déplacer le coulisseau denté 281 du  mécanisme     interprétateur    d'un second pas;

         mais    puisqu'il n'y a qu'une dent de détente  305, le coulisseau 281 n'est pas verrouillé  dans cette nouvelle position en avant et,  lorsque le levier     iriterprétateur    revient en  arrière, à la position de la     fig.    18, le     cou-          lisseau    281 recule avec lui d'un pas jusqu'à  ce que la     dent    de détente 305 soit engagée  par la dent de rochet 292 du coulisseau.

   Ce  second mouvement du coulisseau 281 oblige  la lèvre 286 à venir en prise avec les che  villes terminales 312, ce qui a pour     effet          que    le mouvement est transmis, par l'inter  médiaire du câble de poussée 314, an méca  nisme de prise de total de la partie     calcula-          trice-enregistreuse    de la     machine    en déter  minant ainsi la prise d'un total.  



  En même     temps;    les câbles 315 commu  niquent un mouvement à la     détente    coudée  338     (fig.    20) en obligeant ainsi l'oreille la  térale 335 à tomber derrière la saillie extrême  336 des leviers coudés 150,

       après    quoi les  cliquets 345 s'engagent derrière les pivots 91  et     empêchent    le mécanisme d'entraînement  d'entraîner aucune     carte-fiche    à l'analyseur  pendant que la première     carte-fiche    du     lion-          veau        groupe    qui a déterminé le     fonctionne-          ment    du mécanisme     interprétateur    et la prise  d'un total reste dans l'analyseur pendant  que le     tôtal    est donné.  



  Lorsque le levier     interprétateur    296 oscille  pour la seconde fois, pour     effectuer    la prise  (le ce total, le coulisseau denté 281 du mé  canisme     interprétateur    n'est pas verrouillé       dans    la nouvelle position, mais revient,- sous  l'action de son ressort<B>285,</B> à     la,    position  qu'il occupait avant le mouvement addition  nel     qui    a     produit    la prise d'un total.

   Par  conséquent,     lorqu'un    troisième groupe de  cartes-fiches est amené à l'analyseur, la     pre-          ntière        carte-fiche    du nouveau groupe fait  basculer le levier     interprétateur    296 une fois,  ce qui produit la prise d'un total de la ma  nière qui vient d'être expliquée.    Si, au lieu de compter sur le mécanisme       interprétateur    de changement de désignation,  on préfère employer des     cartes-fiches    de prise  de total ordinaires, on     introduit    des cartes  fiches de prise de total dans le paquet de       cartes-ficlles    ail point où le total doit être  pris.

   Lorsqu'une telle carte-fiche arrive en  position     analysatrice,    la cheville de prise de  total     365        (fig.    9) trouve une ouverture dans  le bord de la     carte-fiche    et passe à travers  cette     ouverture    sous l'action du ressort 366,  ce qui fait osciller le levier de prise de total  368 de     façon    à amener le plongeur<B>371</B> en  position active pour actionner le câble de  prise de total, par l'intermédiaire du le  vier<B>375,</B> afin de produire la prise d'un total,  après quoi le guichet 87, étant ouvert,

   per  met à la     carte-fiche    de prise de total de  sortir avec les autres     cartes-fiches        dans    le  récipient récepteur des     cartes-fiches.    Lorsqu'un  nombre suffisant de     cartes-fiches    ont été ana  lysées pour amener le plancher flottant<B>115</B>  avec la cheville terminale du     fil    intérieur du  câble 448     (fig.    2), l'embrayage de la ma  chine est débrayé.  



  D'un autre côté, si les cartes-fiches sou  tenues dans le magasin à     cartes-fiches    sont  épuisées, la tête allongée 472 du piston 468  participant au mouvement (lu bloc cueilleur  21     (fig.    7) vient en position pour faire osciller  le levier 457 et le câble 479 est actionné pour  dégager l'embrayage. Dans un cas comme  dans l'autre, le dégagement de l'embrayage  détermine la commande du câble de trans  mission flexible 485     (fig.    1) pour obliger le  levier de     déclanchenient    492 à dégager la  laine de contact 493 de     façon    à     mettre    le  moteur électrique AI<I>à</I> l'arrêt.  



       Partie        calc,ttlatrice-eriregisti-etrse   <I>de<B>Ici</B></I>     inachitae.     La partie     calculatrice-enregistreuse    de la  machine, désignée d'une façon générale par  500     (fig.    1) comprend plusieurs jeux d'élé  ments     calculateurs-enregistreurs    identiques,  dont le nombre varie suivant la grandeur de  la machine.

   Ces jeux d'éléments     calculateurs-          enregistreurs    dont chacun constitue une unité,  sont placés côte à côte et chacun d'eux comporte      titi e paire de joues 501, convenablement espacées       pour-    la réception entre elles des divers élé  ment, du jeu on unité. Ces joues ou flasques  501 sont montées sur des consoles de sup  port 502 montées sur la partie 95 du bâti  de la machine.  



  <I>Boîtes à.</I>     chevilles        terminales.     



  Sur la face interne des consoles 502 sont       supportées    des plaques pendantes espacées  504     (fig.25),    entre lesquelles sont montés  des paires de supports transversaux 505 dis  posés parallèlement les uns aux autres et  transversalement aux flasques 501. Urie boîte  à chevilles terminales 506, supportée     entre     lesdits supports transversaux, comporte des  plaques latérales 507, des plaques     guide-che-          villes    internes 508 et des plaques     guide-che-          villes    inférieures 509.

   Entre les supports  transversaux 505 est assujettie une plaque  à chevilles terminales fixe 510, maintenue  en place par des plaques de retenue, supé  rieures et inférieures, 512, 513, assujetties  à la face interne des supports     transversaux.     Les plaques de retenue supérieures     sontcou-          dées    vers l'intérieur en 515 pour former un  siège     pour        recevoir    et supporter le bord in  férieur des plaques     latérales    de la boîte à  chevilles terminales. Des câbles de transmis  sion flexibles 275 ont leurs gaines fixées à  la plaque à chevilles terminales 510.  



  Aux extrémités supérieures des fils inté  rieurs des câbles de     transmission    275 sont  assujetties les rangées clé chevilles terminales  518 dont chacune est guidée de façon à  pouvoir se déplacer verticalement, dans les  plaques guide-chevilles 508 et 509. Chaque  cheville terminale est pourvue     d'rin    collier  de rappel 519, reposant normalement sur la  plaque     guide-chevilles    inférieure 509 corres  pondante.  



  Entre les rangées de chevilles terminales  sont disposées des barres de rappel 520 qui  reposent sur les colliers de rappel 519 et  aux extrémités opposées desquelles sont  assujetties les pièces ou supports extrêmes  521 .portant, à leur partie inférieure, une  tige de soulèvement 522.    Lorsque les fils des câbles de transmis  sion 275 sont actionnés, les chevilles termi  nales 518 sont relevées; après quoi il est  nécessaire qu'elles soient de nouveau abais  sées. Ceci est accompli au moyen d'un levier  524 pivotant sur une console 525 assujettie  à la partie du bâti 95.

   La branche externe  du levier 524 est articulée à la tige de sou  lèvement 522 et possède un bras montant  527, pourvu à son extrémité supérieure d'un  galet 528, s'engageant dans une     rainure-          came    périphérique 529 d'une came 530       (fig.    25 et 31), qui -est montée sur Lin arbre  531 supporté dans des consoles 532     (fig.    1),  qui sont montées sur la partie du bâti 95.  Le levier 521 est     élastiquement    tenu en po  sition avec son galet en prise avec la     came     530 au moyen d'un ressort 535, tendu entre  le bout libre 536 du levier et de la partie  du bâti 95 de la machine.  



  L'arbre 531 est actionné par l'arbre à  cames 59 au moyen d'un arbre de transmis  sion 538     (fig.    1) qui est relié aux arbres 59  et 531 au     moyen    de rouages d'angle, de fa  çon que l'arbre 531 soit obligé de tourner  en     uf'iisson    avec l'arbre 59. La     rainure-caine     périphérique 529 de la came 530 est située  et établie de telle sorte que les chevilles  terminales 518 soient abaissées une fois du  rant chaque tour de l'arbre 59 et après que  les mécanismes     coopérants    ont eu le temps  d'agir, comme cela sera expliqué.  



       11lécartisirre   <I>de mise en</I>     2)osition   <I>de barres</I>  <I>à</I>     créazaittèr-e.     



  Au-dessus des chevilles terminales 518  de chaque jeu d'éléments ou unité, se trou  vent des     plaques        guide-arrêts,    supérieure et  inférieure, 540, 541     (fig.24),    dont chacune  est pourvue de plusieurs rangées d'ouvertures  pour des rangées d'arrêts numériques 542       (fig.    24 et 35), dont un correspond, dans  chaque rangée, à chacun des     chiffres        "1"    à       "9"    et qui se trouvent cri alignement avec  les chevilles terminales 518, comme cela est  représenté à la     fig.    25.

   Chaque arrêt numérique  est pourvu d'une face de bout supérieure 543,  inclinée d'avant en arrière et de haut en bas           (fig.    39), d'une paire de crans de verrouillage  latéraux, supérieur et inférieur, 544, 545,  d'une petite saillie 546 entre ces crans et  d'une encoche de rappel 547 dans la partie  inférieure de l'arrêt.  



  Avec     ch^que    rangée d'arrêts numériques  est associé, 'en un endroit adjacent à l'arrêt  correspondant au chiffre<B>,Il',</B> tir) arrêt zéro  550 (fi-. 35 et 37) coulissant     verticalement     dans les plaques-guides supérieure et     inférieure     540, 541 et pourvu d'une face de bout supé  rieure 551,     biseautée    de dehors en dedans  et de haut en bas, d'un épaulement formant  carne 552, incliné de dedans en dehors et de  haut en bas et d'une face d'appui horizontale  553 adjacente à cet épaulement.

   Cet arrêt  zéro 550 est également pourvu, dans son côté,  de deux encoches de verrouillage supérieure  et inférieure 555, 556     (fig.    35), entre les  quelles se trouve une petite saillie 557,  comme dans les     arrêts    542. U rie encoche 558  est prévue dans le bord externe de l'arrêt  zéro. Des plaques     porte-volets    559     (fig.    36)  sont supportées entre les fiasques 501 au  moyen de saillies à épaulement 560 s'en  gageant dans des rainures appropriées des  flasques 501. Ces plaques     porte-volets    sont       assujetties    aux     plaques-guides    supérieure et  inférieure 540, 541 et servent à les supporter.

    Entre les plaques<B>559</B> sont montés à pivot  des volets 561, dont (in est représenté à la       fig.38    et qui sont pourvus de pivots 562  s'engageant d'ans des trous     56.1        (fig.    36 et 37)  des plaques     porte-volets.     



  Les volets 561 sont disposés entre les  rangées     ,d'arrêts    et sont pourvus de rebords  rentrants 566, disposés pour s'engager dans  les     encoches    544, 545, 555 et 556 des arrêts.  Chacun des volets 561 est en outre pourvu       d'une    saillie extrême 567, passant à travers  des trous 568 de la plaque porte-volets     adja-          eente    et engagée par des     fils-ressorts    569  <B>(fi-.</B> 37) supportés dans de petites fentes  pratiquées dans une plaque 570, portée par       (nie    des plaques porte-volets 559.

   Ces res  sorts servent à tenir les volets     élastiquement          cri    prise avec les encoches des arrêts.    Entre les rangées d'arrêts 542 et 550  sont disposés (les leviers d'abaissement 572       (fig.    24), pivotant     par-    leurs extrémités arrière  sur la tige-pivot 573 et qui sont pourvus de  saillies latérales 574 s'engageant dans les  encoches de rappel 547 des arrêts     54.2.    L'ex  trémité antérieure de chaque levier d'abaisse  ment est pourvue d'une cheville latérale à  tête 576 s'engageant dans une fente 577  d'un levier 578, pivotant, en un point inter  médiaire de sa longueur, sur une tige-pivot  590 et qui est pourvu, à     soir    extrémité in  terne,

   d'une cheville latérale à tête 591, s'en  gageant dans l'encoche 558 de l'arrêt zéro       550.    Chaque fois qu'un arrêt     54.2    est relevé  au moyen d'une cheville terminale 518, la  face biseautée inférieure de l'encoche     supé-          rieure        (fig.    39) vient     cri    prise avec le rebord  566 du volet correspondant<B>561</B> et éloigne  celui-ci de     l'encoche    555 de l'arrêt zéro     5#'0;

       dans ces conditions, le levier d'abaissement  572     correspondant    est relevé et     l'extrémité     interne du levier 578 et l'arrêt zéro associé  sont abaissés par, suite de l'engagement de  la saillie latérale 574 du levier avec le bord  inférieur de l'encoche de rappel     5.17    de l'arrêt  relevé, et, aussi, dans une certaine mesure,  par suite de l'influence d'un ressort 593       (fig.    24) tendu entre une plaque à crochet 594  et un crochet 595 prévu sur les leviers  d'abaissement 572. Durant ce mouvement,  les saillies 546 des arrêts numériques repous  seront les volets assez loin pour que l'en  coche 555 de l'arrêt zéro soit sûrement dé  gagée.  



  Le but visé par le     relèvement    des arrêts  numériques est la mise en position, par eux,  de barres à     crérnailléres    à mouvement alter  natif, actionnant des secteurs à caractères et  dont on va parler dans la suite.  



  Après que cette mise en position a eu  lieu, les arrêts numériques sont rappelés,  comme cela va être décrit.  



  Sur la face externe de l'une des plaques  latérales 507     (fig.        25    et 2î) est appliquée,  pour chaque unité, une plaque de rappel au  zéro coulissante 597,     pourvue    de chevilles     Q98     se guidant dans des fentes allongées 599, de      telle sorte que ladite plaque de rappel est  librement reliée à la boîte à chevilles     ter-          initiales    pour     effectuer    un mouvement     cou-          fi.arrt    dans la direction verticale.

   De part  et d'autre de chaque plaque de rappel 597  sont disposées une paire d'oreilles 600 sup  portant une tige transversale 601, logée libre  ment dans une fente 602 prévue à l'extrémité       d'un    levier de rappel 604, pivotant en un  point intermédiaire entre ses extrémités, sur  nue oreille 605 formée sur les bords de la       plaque-guide        supérieure    508.

   L'extrémité op  posée 606 de     chaque    levier de rappel 604  est articulée à une 'bielle courbe 608, arti  culée d'autre part à la tige de soulèvement  522, de telle     serte    que, quand cette tige 522  est relevée, la plaque de rappel 597 est  abaissée, de sorte que l'arrêt zéro 550 peut  être abaissé si l'une des chevilles terminales  et les arrêts numériques alignés avec elle  sont relevés.

   Après que la mise en position,  susmentionnée, des barres à crémaillères a  eu lieu; la tige de soulèvement 522 est abais  sée, en entraînant avec elle les barres de  rappel 520 et les chevilles terminales, en  relevant en même temps, par l'intermédiaire  de la bielle courbe 608 et des leviers de  rappel 604, la plaque de rappel 597 de façon  à relever les arrêts zéro 550 qui sont dis  posés directement au-dessus (le cette     plaque.     Ce relèvement des arrêts zéro 550 fait monter  l'extrémité interne des leviers 578, en abais  sant ainsi les leviers d'abaissement 572 et  en obligeant les saillies latérales 574- à venir  en prise avec le bord inférieur des     encoches     de rappel 517 des arrêts numériques 542 et  à abaisser ces derniers.

   Le relèvement des  arrêts zéro ainsi décrit repousse les volets en  arrière par suite de l'engagement de la face  inférieure de l'encoche     555    avec eux, en dé  gageant les volets des encoches 545 des arrêts  numériques, ce qui permet ainsi à ces arrêts  numériques d'être abaissés; comme cela vient  d'être expliqué.  



  IL ressort de ce     qui    précède que lorsqu'une       carte-fiche    perforée est entraînée entre les  plaques d'analyseur et est analysée dans  l'analyseur par les chevilles     analysatrices,    les    arrêts numériques correspondant aux perfora  tions numériques de la     carte-fiche    seront re  levés; en même temps que l'arrêt zéro y  associé est abaissé.     Toutefois    si, dans une  colonne quelconque, une perforation zéro ap  paraît sans     qu'il    y ait de perforation numé  rique dans la même colonne, il n'y aura pas  d'arrêt numérique 542 qui se relèvera et  l'arrêt zéro 550 associé avec la colonne con  sidérée, restera dans la position relevée.

    <I>Barres et</I>     crémaillère   <I>à</I>     ïnottvernent        alternatif.     



  Au-dessus de chaque rangée d'arrêts numé  riques 542 est disposée une barre à crémail  lère 610     (fig.    24) associée avec cette rangée  et     oDulissant    dans les fentes d'un peigne 611  et dans des fentes de la plaque à crochet 594.  Chaque barre à crémaillère est     pourvue,    en  sa partie médiane, d'une butée présentant (in       épaulement    612. La partie externe de chaque  barre à crémaillère est pourvue d'une fente  longitudinale 614,     traversée    par une tige  transversale 615 qui limite le mouvement des  barres à crémaillère et les maintient eu place.

    La partie interne de chaque barre à crémail  lère est pourvue à son bord supérieur, de  plusieurs dents de crémaillère 616, disposées  pour engrener avec les dents d'une roue dentée  617 assujettie à un secteur à caractères  respectif 618, tournant sur l'arbre 620 qui  est monté entre les fiasques 501.         Secteurs        èt.        caractères.       Les secteurs à caractères<B>618</B> sont pour  vus d'une partie en arc de     cercle    621     (fig.    48)  reliée à la partie principale du secteur par  des bras 622.

   Cette partie arquée 621 pré  sente plusieurs encoches extérieures 624 et  plusieurs encoches intérieures 625, les pre  mières recevant une oreille extérieure 626       (fig.    50) et les secondes, une oreille intérieure  627, formées sur des pièces 628 portant les  caractères numériques 630 et assujetties, par  des rivets<B>631,</B> à la partie arquée, comme  on le voit à la     fig.    24. Chaque secteur à  caractères 618 est également muni     d'un    carac  tère zéro 634, comme ce sera expliqué plus  loin.

   Le caractère numérique 630 adjacent      au caractère zéro 634, est le caractère de  l'unité, les autres caractères portant les dé  signations     "21@    à     "9",    le caractère     "911    étant  le plus éloigné du caractère zéro.     Urr    levier       de    butée 635 est articulé, par sort bout in  terne, à l'extrémité interne de chaque barre  à crémaillère<B>610</B> et est pourvu, en un point  intermédiaire, d'une fente horizontale 636 et  d'une butée à     épaulement    dirigé vers l'ex  térieur 638. Le bout externe du levier de  butée 635 présente un prolongement 640,  disposé vers l'extérieur.

   Sur le bout externe  de chaque barre à crémaillère 610 est dis  posé un montant extrême 641, à l'extrémité  supérieure duquel est monté à pivot un     cli-          quet    de retenue 642. pourvu à son bout in  terne d'un crochet 643. Entre le crochet 643  et un crochet 645 porté par- le prolongement       64()    est tendu un ressort 646 destiné à tenir  le prolongement 640 et le levier de butée       relevés    et à maintenir relevé au     #si    le bout  externe du cliquet de retenue 642.  



  Une barre de commande transversale 647       (fig.    24) est disposée     pour    aller et venir dans  une fente     6-l8    des flasques 501 et pour pou  voir être placée entre les épaulements 612  et 638 lorsque les leviers de butée sont re  levés par le ressort 646. Cette barre de     ccrn-          mande    transversale est animée d'un mouve  ment de va-et-vient par les moyens qui vont       être    décrits.  



  Sur chaque barre à crémaillère 610 est  monté à pivot un levier coudé 650, pourvu       d'art    bras     descendant    qui présente un épaule  ment interne 651, disposé pour venir en prise  avec l'épaulement 552 de l'arrêt zéro lorsque  cet arrêt est relevé et pour venir     cri    prise  avec un arrêt numérique relevé quelconque  de la rangée à laquelle appartient cet arrêt  zéro lorsque le levier de butée est relevé, de  telle sorte que l'épaulement porté vers le  haut 638 de celui-ci, est engagé et actionné  de dehors en dedans par la barre de     corn-          rrrande    transversale 647.

   Ce levier coudé 650  est également pourvu d'un bras 653, disposé  vers l'intérieur, qui est muni d'une cheville  latérale     65-1,    disposée pour s'engager dans la  fente longitudinale 636 du levier de butée.    Lorsque le levier de butée est relevé sous  l'action du ressort 646, la barre de commande  transversale 647 s'engage avec l'épaulement  638 et, lorsqu'elle se meut de dehors en de  dans, elle repousse le levier de butée et la  barre à crémaillère correspondante vers l'in  térieur jusqu'à ce que l'épaulement abrupt  651 des leviers coudés 650 vienne en prise  avec l'épaulement<B>652</B> de     1',i        r,rêt    zéro si aucun  arrêt numérique n'est relevé, ou si un arrêt  numérique est relevé, avec cet arrêt numé  rique.

   Lorsque cet engagement se produit,  le levier coudé 650 bascule et la cheville  latérale 654 est abaissée jusqu'à ce que       l'épaulement    638 soit abaissé suffisamment  pour éviter la barre de commande transver  sale 647 et permettre à cette barre de se       mouvoir    librement en laissant ainsi la     barre     à crémaillère mise en place par l'arrêt relevé,  selon la perforation qui a produit le relève  ment de cet     arrêt    numérique.

   Lorsque la  barre à crémaillère est ainsi mise en place,  le secteur à caractères     cri    prise avec. elle est  amené dans une position telle que le     carac-          tère    numérique 630 correspondant à l'arrêt  numérique relevé su trouve en position d'im  pression, comme ce sera expliqué dans la  description d'un chariot     imprimeur.     



       -Lblécareis ae        domrard        aux        barres        à.        créuaailtère          leur        iraorrreirae)r.t   <I>de</I>     va-et-vient.     



  Les     eatrénrités    de la barre de commande  transversale 647 passent à travers les fentes  648 des flasques<B>501</B>     (fig.    21) et sont assu  jetties à des     coulisseaux    657     (fig.    22) glis  sant à l'extérieur des flasques 501.

   Le bout  externe de chaque coulisseau 657 est pourvu,  sur sa face     interne,    d'un galet de support  658, disposé pour rouler dans la fente<B>618.</B>  La partie interne de chaque coulisseau glisse  entre deux galets de guidage rotatifs 658 et  est pourvue     d'une    cheville latérale à tête,  660,     s'engageant    dans une fente 661 d'un  levier de commande 662 pivotant, en 663,  sur la partie inférieure de la flasque corres  pondante.     L'extrémité    inférieure du levier 662  est pourvue d'un bras 665, s'étendant de  dehors en dedans     (fig.    22 et 30) pourvu à           son    extrémité arrière d'un galet 667 s'en  gageant dans une rainure 668 d'une came  670 montée sur l'arbre 531.

    



       !ll(;canisine   <I>de-</I>     maintien   <I>et</I>     d'alignement     <I>(les</I>     secteurs   <I>à</I>     caractères.     



  Lorsque l'une ou l'autre barre à crémail  lère 610 est mise cri position par l'action  de     ', épaulement    abrupt 651 du levier coudé  <B>650</B> correspondant     (fig.    24) avec     Lit]    arrêt  numérique relevé, l'arrêt numérique empêche       simplement    la barre à crémaillère     d'avancer,     ruais rie l'empêche pas de reculer, reculement  qui     ,pourrait    se produire cri raison du     dés-          équilibrage    du secteur à caractères dû au  poids de la partie arquée 621. Ce mouvement  rétrograde est empêché de la     façon    suivante.

    Un étrier 673     et)    forme de<B>U</B> renversé est  disposé pour glisser verticalement entre les  bouts externes des flasques 501 et comporte  un joug -horizontal     intermédiaire    674 et des  branches descendantes<B>675,</B> dont les extré  mités inférieures sont pourvues chacune d'une  fente verticale 676.

       LTrie        tige-griide    mobile 678  passe à travers la partie supérieure de ces  branches et à travers des fentes verticales  679 des     flasques    501 pour guider la partie  supérieure des     branches.    Une     tige-guide    in  férieure fixe 680, passant à travers les flasques  501, passe dans les fentes verticales 676  pour guider la partie inférieure des branches.

    Une plaque dentée 683 est assujettie au joug       67.1    de l'étrier 673 et est     pourvue,    à sa face  inférieure de dents de rochet 683 disposées  transversalement par rapport aux flasques<B>501</B>  et     offrant    (les épaulements internes abrupts  684 et des faces extérieures inclinées 685,  qui sont disposes pour coopérer avec le bout  externe du cliquet de retenue 642 de façon  à ce que celui-ci ressaute sur lesdites faces  inclinées lorsque l'une ou l'autre barre à cré  maillère se meut de dehors en dedans.

   Après  que la barre à crémaillère s'est ainsi déplacée  vers l'intérieur et a été mise en position par  un arrêt numérique relevé, le     cliquet    de     re-          tenrie    extérieur 642 vient en prise avec l'un  des épaulements abrupts 684 pour empêcher    tout mouvement rétrograde de la barre à  crémaillère.  



  Après que la barre à crémaillère est ainsi  empêchée de reculer, les secteurs à caractères  sont bloqués en position au moyen d'une  règle de verrouillage et d'alignement 687,  disposée parallèlement à l'arbre 620 des sec  teurs à caractères et pourvue d'extrémités  saillantes 688     (fig.    22), susceptibles de glisser  dans des fentes radiales 690 (par rapport  aux     secteurs    à     caractères)        prévues    dans les  flasques 501.

       Lorsque    cette règle se meut de       dehors    en dedans, vers les secteurs à carac  tères, soir bord inférieur biseauté 691, s'en  gage entre les dents d'engrenage 693 des  secteurs à caractères, de sorte que ces sec  teurs sont bloqués et alignés en même temps.

    Cette règle reçoit un     iriouvement    alternatif  de va-et-vient dans les fentes 690 au moyen  de bielles     d'alignément   <B>695</B> assujetties aux  extrémités 688 de la règle, pourvues d'une  extrémité inférieure fourchue 696 enfourchant  l'arbre à cames 531     (fig.    33) et munies de  galets 697 logés, l'un, dans une rainure-came  698 prévue- dans une came d'alignement 700  montée sur l'arbre 531     (fig.    28 et 33), et       1\autre,    dans     Litre    rainure-came semblable  pratiquée dans la came 670, les deux bielles  d'alignement 695 étant coudées l'une vers  l'autre à leur extrémité inférieure de façon  à passer entre les cames 670 et 700.

   Les  bielles 695 sont en outre guidées par les  chevilles latérales 701 mobiles dans des fentes  <B>701'</B> pratiquées dans les flasques 501. La  règle de verrouillage et d'alignement 687  tient les secteurs à caractères verrouillés       jusqu'après    que l'impression a eu lieu. Après  que les secteurs à caractères ont été déver  rouillés, la plaque dentée 682 est relevée  pour libérer le     cliquet    de, retenue 642 et les  leviers de butée 635 sont abaissés, après  quoi la barre de commande transversale 647  revenant à sa position initiale, vient en prise  avec l'épaulement 612 des barres à crémail  lère et ramène ces     dernières    à leur position  initiale.

   Le soulèvement de la plaque dentée  682 est accompli au moyeu de leviers de  relevage 702     (fig.    24) qui pivotent, en 703,      sur la face interne des     flasques    501. Le bout  externe des leviers 702 s'engage par une  fente 704 sur une cheville à tête 705, portée  par la branche     descendante   <B>675</B> de l'étrier  673. Les bouts internes des leviers de     re-          levage    702 sont pourvus de fentes dans les  quelles sont logées les extrémités opposées  d'une tige d'abaissement 707 qui coulisse  dans des fentes 708 des flasques 501.

   Aux  extrémités de cette tige sont fixées les ex  trémités     supérieures    de bielles 709 dont les  extrémités inférieures sont assujetties à une  tige inférieure 710- glissant dans des fentes  inférieures 711 des flasques 501. La tige  inférieure 710 se loge dans des fentes 712  à l'extrémité externe de leviers intermédiaires  714 pivotant en 715     (fig.    22), sur la face  externe     desdites    flasques.

   Les bouts internes  des leviers intermédiaires 714 sont reliés aux  bouts externes de .leviers 716     (fig.    22) pivo  tant en 718, sur la face interne des flasques  501 et dont les extrémités     arrière    portent  des galets 719     (fig.    33) qui     s'engagent    dans  la     rainure-came    698 de part et d'autre de la  came 700.

   Après que les secteurs à carac  tères ont été déverrouillés, les leviers 716  sont actionnés pour- produire l'abaissement de  la tige d'abaissement 707 qui appuie ainsi  sur les prolongements     6-10    (les leviers de  butée pour les abaisser avec les épaulements  638,

   ce qui permet ainsi à la barre de     com-          maarde    transversale 617 de     s'engager    avec  l'épaulement 612 des barres à     crémaillères.     Le même mouvement qui a abaissé la tige       d'abaissement    707 fait monter le bout ex  terne des leviers de relevage 702 de     façon     à soulever la plaque dentée 682 cri dégageant  ainsi cette plaque du cliquet de retenue 642  et eu permettant aux barres à crémaillère       d'être    ramenées, par la barre transversale  647, à leur position initiale.

           Chariot        d'accetrrartlatettr,        totalisateur.            LTrr    accumulateur totalisateur coopère avec  les dents 693     (fig.    24) des secteurs à carac  tères<B>618</B> de chaque unité d'éléments de la  partie     calculatrice-enregistreuse    pour trans-         férer    à l'accumulateur totalisateur les articles  composés par ces secteurs à caractères.  



  Le chariot 725 de chaque accumulateur  totalisateur comporte une paire de plaques  guides espacées 726     (fig.    45 à 47) dont       chacune    est pourvue d'une fente-guide 727,  à son bout externe, se guidant sur une tige  de dégagement 730 fiée entre les flasques  501, et d'une     fente-guide    728 dans sa partie       supérieure,    se guidant sur une tige-pivot fixe   <B>731,</B> pendant le.     mouvement    de va-et-vient  du chariot.

   Lu plus de     ces    guidages,     titi    autre       moyen    de guidage est     offert    par l'arbre 733  cl e l'accumulateur totalisateur qui est fixé à  la partie inférieure desdites plaques espacées  et est adjacent aux dents d'engrenage 693  des secteurs à caractères. Les bouts externes  de cet arbre 733 sont pourvus de manchons  de portée 735     maintenus    en place par des  écrous 736 vissés sur les     extrémités    de l'arbre.         accwwdateur        totalisutersr.     



  Sur l'arbre 733 sont disposées, entre les       manchons    735, plusieurs douilles à épaule  ment 737, sur lesquelles sont disposées les  roues dentées 738 de     l'accumulateur    totali  sateur. roues dont chacune est pourvue de  dix dents disposées pour engrener avec les  dents d'engrenage des secteurs à caractères.  Aux roues de     l'accumulateur    totalisateur sont  assujetties les cames de     commande    740, qui  peuvent tourner sur, les douilles 737 et dont       chacune    est pourvue     d'une    saillie arrondie 741  <B>(fi-,.</B> 47) et d'une saillie triangulaire 742 pré  sentant une face radiale 743 et- une face  antérieure inclinée 714, dont le but va être  expliqué.  



       î1Zécariisme        ii        double        effet        pour        impriuter          erre        moètrement   <I>(le</I>     va-et-vient   <I>à l'a</I>     cemuulateur          lotalisateur.     



  Pendant que la machine accumule ou  totalise les données, l'accumulateur totalisa  teur va-et-vient; il est tenu éloigné des dents  des secteurs à caractères durant la course  active des barres à crémaillère qui amène les  secteurs à caractères en position     d'impression,     et il est amené cri prise avec les dents des      secteurs à caractères avant la course de re  tour de ces secteurs et clés barres à     cré-          inaillère.    D'un autre côté, lorsqu'on prend un  total, les roues de l'accumulateur totalisateur       Sont    tenues en prise avec les secteurs à  caractères durant la course de la mise en  position des secteurs à caractères et en sont  dégagées lors de la course en retour.

   Des  moyens sont prévus pour imprimer à l'accu  mulateur totalisateur. c'est-à-dire à son chariot  ces     différents        mouvements:    l'un pour l'accu  mulation comme cela a été décrit ci-dessus,  et l'autre pour la prise de totaux. Le mé  canisme à mouvement de va-et-vient com  prend une paire de leviers de commande 747       (fig.    22 et 40), dont les extrémités supérieures  embrassent les manchons 735 et dont chacun  comporte un élément supérieur 748 et un  élément     inférieur    749, articulés l'un à l'autre  en 750. L'élément inférieur est pourvu d'une  fente 751, dans laquelle s'engage une saillie  752 portée sur l'élément supérieur pour limi  ter le mouvement de pivotement entre les  éléments.

   Des ressorts 754, reliés aux cro  chets 755 des éléments, maintiennent     élas-          tiquement    les éléments supérieurs à l'une des  limites de leur     mouvement    relatif par rap  port aux éléments inférieurs. Chacun des  éléments     inférieurs    749 est coudé vers l'in  térieur, en 757, pour former des joues de  verrouillage espacées 758, dont chacune est  pourvue d'oreilles 760 qui sont assujetties  ensemble par des rivets 76l pour maintenir  les joues de verrouillage espacées les unes  des autres. Chaque joue de verrouillage est  percée     d'un    trou central 763     (fig.41)    et  pourvue d'un manchon 761, ou 765, respec  tivement.

   Les éléments inférieurs 749 pivo  tent sur une tige-pivot 766     montée    entre les       flasques    501. Entre les joues de verrouillage  758 sont montés à pivot, sur la     tige=pivot     <B>766,</B> un levier d'accumulateur 767 et un  levier de prise de total 768 espacés en leurs  parties intermédiaires et présentant des ouver  tures 770, 771 dans leurs parties situées  entre les joues de verrouillage espacées et  susceptibles d'être ramenées en alignement  avec les ouvertures centrales de ces dernières.    L'extrémité arrière du levier d'accumulateur  767 est pourvue d'un galet 773, s'engageant  dans une     rainure-came    d'accumulation 775       (fig.    32) de la came 670.

   L'extrémité arrière  du levier de prise de total 768 porte un galet  776     (fig.    28) travaillant dans une rainure 777  de la came 700     (fig.    32). En se reportant à  la     fig.    32, on notera que les rainures-cames  775 et 777 sont disposées à peu près     dia-          métralemeiit    à l'opposé l'une de l'autre, de  telle sorte que le levier d'accumulateur et le  levier de prise de total sont animés d'un  mouvement de va-et-vient dans des cycles  de disposition similaire, mais décalés d'en  viron<B>1800.</B> Par, conséquent, si le levier  d'accumulateur 767 est verrouillé ou couplé  aux leviers de commande 747,

   le chariot       effectuera    un mouvement de va-et-vient con  formément à la rainure d'accumulation 775.  D'un autre côté, si le levier de prise de  total 768 est bloqué ou couplé aux leviers  de commande 747, le chariot de l'accumu  lateur totalisateur     effectuera    un mouvement  de va-et-vient suivant la rainure de prise de  total 777. Le moyen pour assurer ce couplage  comporte une tige de couplage 779     (fig.    41),  sur laquelle sont montés des blocs à cames  780 dont un existe pour chaque unité de la  partie     calculatrice-enregistreuse.    Chaque bloc  à cames 780 est pourvu d'un cône de couplage  d'accumulation 781 et d'un cône clé couplage  de total 782. formant entre eux une partie  réduite 783.

   Il est empêché     d'effectuer    un  mouvement excessif dans un sens par un  collier     limitateur    784, un collier similaire,  non représenté, étant prévu sur le côté opposé  de la machine. Il est, à part cela, supporté  simplement en étant engagé dans les man  chons 764, 765 des joues de verrouillage 758.  



  Lorsque le bloc à carnes 780 est déplacé  à la position de la     fig.    41, le levier d'accu  mulateur 767 est bloqué ou couplé aux leviers  de commande 747 et ces derniers reçoivent  de lui leur mouvement de va-et-vient. Lorsque  le bloc à cames 780 est amené à la position  de la     fig.    42, le levier de prise de total 768  est bloqué ou couplé aux leviers de com  mande 747 et transmet le mouvement de      va-et-vient à ces derniers leviers, période       pendant    laquelle il est permis art levier d'ac  cumulateur d'aller et venir à vide dans la  région de la partie réduite 783 entre les       cônes-cames    781, 78'3.

   Pour produire le dé  placement du bloc à. cames 780, il est prévu  un levier de déplacement 785     (fig.    43) fourchu  à son extrémité antérieure, dont les fourchons  786 sont disposés pour s'engager dans une  gorge annulaire formée entre l'extrémité du  bloc à cames 780 et un collier 787<B>(fi-,.</B> 41)  assujetti sur l'extrémité de la tige<B>779.</B> L'ex  trémité     arrière    du levier de déplacement 785  pivote sur une colonnette 788     (fig.    1)     montée     sur la partie de bâti 95.

   Sous le levier de  déplacement 785; dont elle est espacée, est  assujettie une plaque de support 790     (fig.    43)       pourvue    de parties rabattues 791,<B>792</B> et  maintenue     espacés    dudit levier au moyen de       potelets        d'espacement    793. Entre le levier  785 de la plaque de support 790 est prévue  une boîte à ressort<B>795,</B> dans laquelle peut  glisser Lin piston plongeur 796 pourvu d'an  prolongement 797 passant à travers le levier  de déplacement 785 et s'engageant dans une  rainure de déplacement 798 de la came 530  <B>(fi-.</B> 28).

   Le piston plongeur est     élastiquernent     <B>t</B> amené  <B>,</B> en prie avec cette came au moyen  d'un ressort 800     (fig.    43) disposé dans la  boîte 795 et     comprirrré    entre la plaque de  support 790 et la tête de piston 801. Le       prolongement    797 du piston plongeur est  normalement maintenu dégagé air moyen d'un  cliquet coudé 802 qui, monté à pivot sur la  console 803 portée     par    la plaque (le support  79f), est pourvu d'un bec 804 disposé pour  s'engager derrière la tête de retenue 805  prévue sur le piston plongeur 796, sous l'in  fluence d'un ressort 797' tendu entre le cliquet  coudé et la partie descendante 797 de la  plaque de support 790.

   La partie descendante  <B>791</B> de cette dernière porte un bloc     terminal     80t;, auquel est assujettie la gaine extérieure       d (rrr    câble de transmission flexible de total,  314, venant dur mécanisme     interprétateur    de  changement de désignation. Dans ce bloc  terminal 806 est également assujettie l'ex  trémité du câble de total 373, venant du    mécanisme de total, actionné par les     cartes-          fiches    de total, représenté à la     fig.    2.  



       Lorsqu'un    total doit être pris, la cheville  terminale du fil intérieur de l'un des câbles  de total 314 ou 373, actionne le cliquet  coudé 802 en dégageant la tête de retenue  805, grâce à quoi le piston plongeur     79(i    est  amené à     s'engager    par le prolongement 797  dans la rainure de déplacement 798.

   Cette  rainure de déplacement est en forme d'hélice  <B>(fi-.</B> 28) et oblige le levier de déplacement  de total 785, à se déplacer vers     l'extérieur          cri    faisant passer le bloc à cames 780 de la  position de la     fig.41    à la position de la       fig.    42, pour dégager ainsi le levier d'accumu  lateur 767 des leviers de     commande    747 et  faire basculer avec lui le levier de prise de  total 768, ce qui fait ainsi aller et venir le  chariot de l'accumulateur totalisateur pour la  prise de total.

   A la fin du tour de la came  530, la butée taillée en biseau 793, formant  l'extrémité de la     rainure-carne    798, vient en  prise avec le prolongement 797 du piston et  repousse la tête de retenue 805 par dessus  le bec 804, après quoi celui-ci     s'enclanche     sous la tête de retenue 805 pour tenir le  piston plongeur dans sa position retirée     jusqu'à,     ce que le total suivant soit pris.  



       Méca:cisrne   <I>(le</I>     1-e2)o)-t   <I>(les</I>     dizaiiaes.     Entre les plaques latérales du chariot de  l'accumulateur totalisateur est monté le mé  canisme de report de l'accumulateur totali  sateur pour déplacer chaque roue de celui-ci  de l'espace d'une dent, lorsque la roue de  l'ordre     immédiatement    inférieur s'est déplacée  de dix dents, c'est-à-dire a fait un tour  complet. Ce mécanisme comporte plusieurs  leviers 807     (fig.    47) pivotant, en des points  intermédiaires de leur longueur, sur une     tige-          pivot    808 montée entre lesdites plaques du  chariot.

   Chacun de ces leviers est pourvu  d'une extrémité interne crochue 809, disposée  pour s'engager avec la face radiale 743 de  la saillie de came 742 et pour être engagée  et soulevée par la face inclinée 744, lorsque  la saillie de carne 74'3 a fait un tour     cour-          plet.    Au bout externe du chariot de l'accu-           mulateur    totalisateur est disposée la tige 810  sur laquelle pivotent les détentes 811 ayant       iiire        extrémité    supérieure crochue 812,

   des  tinée à s'engager par dessus les bouts ex  ternes des leviers 807 lorsque le chariot  d'accumulateur est     inû    vers l'intérieur et  lorsque les leviers 807 correspondants bas  culent par suite du relèvement de l'extrémité  interne 809. Les bras inférieurs 815 des dé  tentes<B>811</B> sont disposés pour s'engager avec  la tige-guide 730 lorsque le chariot d'accu  mulateur est mû vers l'extérieur i les détentes  811 sont alors amenées à la position de la       fig.    47, à l'encontre de ressorts 816, tendus  entre les crochets 817 des détentes 811 et  les crochets 818 portés par un peigne 819,  entre les dents duquel sont tenus, espacés  les uns des autres, les leviers 807 et les  détentes 811.

   Lorsque ce dégagement se pro  duit, les extrémités internes des leviers 807  sont tirées de haut en bas au moyen de  ressorts $21 tendus entre l'extrémité     interne     de ces leviers et la plaque à crochets 822,  montée entre les plaques latérales du chariot.  



  Sur la face interne de chacune des pla  ques latérales du chariot est monté à pivot,  en 825, un levier de rappel 824 pourvu à  son bout externe d'une rampe 826 disposée  pour être engagée par une tige de rappel  827, montée entre les flasques 501, pour  soulever les leviers de rappel lorsque le chariot  d'accumulateur est rappelé vers l'extérieur.  Entre les leviers de rappel 824, est montée  une tige de support 829, à laquelle sont       suspendues    des bielles 830 pourvues, à leurs  extrémités supérieures, de fentes 831, pour  le passage de la. tige de support 829.

   Les  parties supérieures de ces bielles 830 sont       également        pourvues    de lèvres latérales 832,  disposées pour s'engager par dessus des leviers  807 associés et pour maintenir- les bielles  relevées lorsque ces leviers     occupent    la posi  tion de la     fig.47,    et     pour    permettre aux  bielles d'être tirées de haut     cri    bas, sous  l'action de ressorts 834, lorsque les extrémités  internes 809 des leviers 807 sont     relevées     par la rampe ou face inclinée 744 de la  saillie de came 742.

   A l'extrémité inférieure    de chacune des bielles 830 est articulé le  bout externe d'une barre de support 836 dont  l'extrémité intérieure est articulée à l'extré  mité inférieure     d'un    levier de report 837,  pivotant sur la tige<B>731</B> située à la partie  supérieure du chariot d'accumulateur. L'ex  trémité inférieure du levier de report 837 est       élastiquement    maintenue vers l'intérieur au  moyen d'un ressort 838, tendu entre un cro  chet 839 du levier de report et une plaque  à crochets 840 montée entre les plaques  latérales du chariot.

   Un ressort 841 tendu  entre cette plaque à crochets 840 et un cro  chet 842 prévu sur l'extrémité arrière de  chacun des leviers de rappel 824, tient     élas-          tiquement    les bouts externes de ces derniers  dans une position abaissée. Un peigne 843  maintient les parties internes des leviers 807  espacées les unes des autres. Le bout externe  845 de chaque levier de report 837 est pourvu  d'un galet 846 susceptible d'être engagé par  une de plusieurs cames en gradins 847 d'une  plaque à cames de report 848, supportée sur  des galets 849     (fig.    47) s'engageant dans des  fentes-guides 850 pratiquées dans les flas  ques 501.  



  Cette plaque 848 est déplacée vers l'in  térieur par le mécanisme qui va être décrit,  après que la donnée composée par les sec  teurs à caractères a été transférée aux roues  de l'accumulateur totalisateur. Lorsque la  barre de report 836 est relevée à la position  de la     fig.    47, elle ne vient pas en contact  avec l'épaulement, tourné vers l'intérieur, 612,  des barres à     crérrraillére    610, mais lorsque  les leviers 807 ont basculé et que les bielles  830 et le bout externe de la barre de report  836 ont été abaissés, la barre de report 836  se trouve en position pour venir en prise  avec l'épaulement 612 lorsque la partie in  férieure du levier de report 837 bascule de  dedans en dehors, sous l'action des cames 847.  



       illécareisrrte        pour        da        commande   <I>de la</I>     plaque     <I>à cames de report.</I>  



  Pour faire aller et venir la plaque à cames  de report 848,.i1 est prévu une paire de cré  maillères à mouvement alternatif 852     (fig.    23)      situées une de chaque côté de l'unité d'élé  ments calculateurs, assujetties par leur ex  trémité interne à la     plaque    à cames de report  et pourvues, sur leur bord inférieur, de dents  de crémaillère disposées pour engrener avec  les pignons 853 supportés sur un axe 854  passant à travers des fentes 855 pratiquées  dans les flasques 501. Au-dessous de chaque  pignon, avec lequel elle engrène, se trouve  une crémaillère     fixe    857 assujettie à la face  externe de la flasque correspondante.

   En 858  pivote, sur la face externe de chaque     flasque,     un levier 859 pourvu, à son extrémité supé  rieure, d'une fente 860 recevant l'axe 854  correspondant. L'extrémité inférieure de ce  levier s'engage par une fente inférieure 861  sur une tige de commande 862 guidée par       truc    face de support lisse     (fig.    22) prévue sur  la partie de bâti 95.

   Aux extrémités de la  tige 862 sont assujetties des bielles 864 se  guidant, à leur partie arrière, par une     fente     865, sur l'arbre à cames<B>531.</B> Ces bielles 864       (fig.    24 et 29) sont pourvues, à leurs extré  mités arrière, de galets 866 travaillant, l'un,  dans une     rainure-came    de report 867 de la  came de déplacement 530, et l'autre, dans  une rainure semblable d'une came supplé  mentaire 870.  



  Pour empêcher une rotation accidentelle  des roues de l'accumulateur totalisateur lors  qu'elles n'engrènent pas avec les secteurs à  caractères, il est prévu     une    tige d'alignement  873     (fig.    24 et 47) montée entre les extré  mités inférieures de leviers de support 874,  pivotant en 875, sur les plaques latérales 726.  Lorsque le chariot est     rnîi    vers l'intérieur,  la tige 873 est maintenue dégagée des dents  de roues d'accumulateur par engagement avec  l'oreille 878     (fig.    22) formée sur le bord  supérieur des flasques 501.  



  Lorsque le chariot d'accumulateur est  rappelé, la tige 87:3 est     élastiquement    en  gagée dans les dents de roues d'accumula  teur par le ressort 879 tendu entre l'extré  mité supérieure du levier 874 et un peigne  880. Un peigne 881     (fig.    47), pourvu de     dents     coudées en équerre 882 tient les barres de  report 836 espacées les unes des autres.

      <I>report.</I>  En     considérant.    les roues de l'accumula  teur totalisateur dans une position zéro, toute       donnée    qui est composée par les secteurs      < e     caractères fait tourner la roue d'accumulateur  y associée, dans le sens du mouvement des       aiguilles    d'une montre à la     fig.    47, lorsque  les secteurs à caractères reviennent à leur  position initiale.  



  Comme il n'y a pas de chiffre individuel  plus grand que     "911,    la roue d'accumulateur  ne fait pas un tour complet lorsque la pre  mière donnée est composée. S'il y a une  donnée additionnelle composée, qui, ajoutée  à la donnée     précédente,    donne un nombre  plus grand que "10", la roue d'accumulateur  fait plus d'un tour et, en ce taisant, la face  inclinée 744 de la saillie de came de report  7     2\3    vient     cri    prise avec     hextrémité    interne  809 du levier 807     correspondant    pour le  faire basculer, ce qui permet un abaissement  de la bielle 830 et de la     barre    de report 836,  y     associée,

      qui est associée à soir tour avec  l'épaulement 612 de la barre à     crémaillère     du secteur à caractères et de la roue d'ac  cumulateur de l'ordre immédiatement plus  élevé. Lorsque ce mouvement de bascule du  levier 807 se produit, la détente 811 s'en  gage par-dessus le bout externe du levier  basculé 807 et le tient en position jusqu'à  ce que la plaque à cames de report 848 soit  mue vers l'intérieur et, en venant     cri    prise  avec les galets 846, fasse basculer les leviers  de report 837 de     façon        ir        Mouvoir    vers l'ex  térieur les barres de report 836.

   Celles des  barres de report 836 qui ont été abaissées  comme cela vient d'être expliqué, viennent,  au cours de ce     mouvement    vers l'extérieur,  cri prise avec l'épaulement 612 de la barre  à crémaillère de l'ordre immédiatement plus  élevé et font par cela même, tourner le sec  teur à caractères et la roue d'accumulateur,  y associée, de cet ordre immédiatement plus  élevé de l'espace d'une dent, de manière à y  ajouter une unité, ce qui     effectue    par cela     même     le report.

   Après que le report a été     effectué,     le chariot d'accumulateur se meut de dedans       cri    dehors en amenant le bras inférieur 815      des     de@terrtes    en prise avec la barre de     dé-          gagement    730. ce qui fait que les leviers 807  sont libérés et reprennent leur position     nor-          inale    sous l'action du ressort 821. En même       tendis.    la rampe 826 des leviers de rappel       ,S-2_2-1    vient en prise avec la tige de rappel 827  et     relave    par cela même les bielles 830 des  barres de report 836.

   Lorsque la plaque à  cames de report 848 revient de nouveau vers       l'cxtéi,ieur,    les     leviers    de report sont rappelés       @r    leur position normale par les ressorts 838.  



  Les cames 847 de la plaque à cames de  report 848 sont disposées en gradins de telle  sorte que les ordres les plus bas seront ac  tionnés d'abord en soi-te que, si la commande  d'un galet 846 et d'une barre de report 836       d'un    ordre     inférieur    est     effectuée    par cet  engagement de cames, il se produit     ni)    report  qui peut amener la roue d'accumulateur de  l'ordre immédiatement plus élevé au delà du  point de report, auquel cas, la came de report  de l'ordre     immédiatement    plus élevé, n'étant  pas encore venue en prise avec son galet,

    viendra subséquemment en prise avec son  galet après que la barre de     report    associée  avec elle aura été abaissée et déterminera,       par-    conséquent, le report sur la roue d'ac  cumulateur y associée.  



  *     lïlécanisme   <I>de</I>     rczppel   <I>des</I>     barres   <I>à</I>     crémaillère.     Pour empêcher le 'recul accidentel des  barres à crémaillère 610 durant le report,  lorsqu'elles ne sont pas repoussées en arrière  par les barres de report 836, et pour aider  à les rappeler en position, il est prévu, pour  chaque barre à crémaillère 610, un coulisseau  de rappel à ressort 903     (fig.    24) glissant  entre les dents des peignes intérieur et ex  térieur 904, 905 montés entre les plaques  de prolongement 906 portées au bord an  térieur des     flasques    501.

   Chacun des     cou-          lisseaux    de rappel 903 possède à soir bout  interne une lèvre latérale 907, disposée pour  s'engager avec la barre à crémaillère cor  respondante. Les     coulisseaux    sont poussés  vers les barres à crémaillère au moyen de  ressorts 909 tendus entre des crochets<B>910</B>  prévus sur le peigne 904 et des crochets 911    portés par un bras 912, descendant du bout  externe de chaque coulisseau et qui sert en  même temps à limiter le mouvement rentrant  du coulisseau.  



  Après que les barres à crémaillère ont  été amenées en arrière durant le report, elles  sont rappelées par la tige de rappel 915,  montée entre les extrémités supérieures de  leviers de rappel 916 qui pivotent en 917,  sur la face interne des     flasques    501.

   A l'ex  trémité inférieure des leviers de rappel 91.6  sont articulées des bielles de rappel 919,  articulées d'autre part à l'extrémité supérieure  de leviers de commande 920     (fig.    22), qui  pivotent par leurs extrémités     inférierires    sur  lesdites flasques et dont chacun porte, en un  point intermédiaire de sa longueur, un galet  <B>921,</B> disposé pour travailler dans une     rainure-          came        périphérique    922     (fig.    30) de la came  670. Après chaque report, cette tige de rap  pel 915 est actionnée de dehors en dedans  en ramenant ainsi toutes les barres à cré  maillère à leur position normale initiale.  



       lllécanisme   <I>de</I>     prise   <I>de total.</I>  Lorsque l'on     prend    des totaux, le     bjoc    à  came de prise de total 780 est déplacé de  telle sorte que le chariot de l'accumulateur  totalisateur reçoit un mouvement convenable  pour amener les roues d'accumulateur en  prise avec les     sccteurs    à caractères lors de  la coure initiale de la barre de commande  transversale 647     (fig.24)    et des barres à  crémaillère. Au commencement de cette course,  l'épaulement 638, tourné vers l'extérieur des  leviers 635, est relevé et se trouve contre  la face interne de la barre de commande  transversale 647.

   Il est désirable que cet  engagement se continue jusqu'à ce que les  secteurs à caractères fassent tourner les roues  dentées de l'accumulateur totalisateur en sens       inverse    du mouvement des aiguilles d'une  montre à la     fig.    24, jusqu'à ce que la face  radiale 743 de la saillie de came de report  742 vienne cri prise avec l'extrémité 809 du  levier 807, en amenant ainsi les secteurs à  caractères en position pour imprimer le total  qui a été accumulé par l'accumulateur totali-           sateur.    Lorsque ce mouvement initial de la  barre à crémaillère se produit, les arrêts zéro       550    doivent être abaissés de manière à ne  pas déclencher le levier coudé 650 et, en  même temps,

   les arrêts numériques 542 doi  vent rester abaissés. Cette action est accom  plie par les moyens suivants  Le -bloc à cames 780     (fig.    41) comporte  un     cône-came    925, de dégagement de volets,  susceptible, lorsque le bloc à cames est amené  à la position de     fig.    42 pour prendre les  totaux, de venir en prise avec un levier de  rappel d'épaulement 926 pivotant sur la     tige-          pivot    573     (fig.    24) et     qui    est pourvu d'un  bras 927 dont l'extrémité libre passe à la  face externe de la     flasque    correspondante       (fig.    22)

   et est guidée entre celle-ci et l'ex  trémité d'une cheville à tête latérale 928  prévue sur la flasque. Cette extrémité libre,       lorsque    le levier est ainsi actionné, se meut  de bas en haut, et vient en prise avec un  mentonnet 929, passant à travers une petite  fente de la flasque et porté par une plaque  de rappel de volets 930     (fig.    37). Cette plaque  930 est pourvue d'une paire de fentes guides  932 pour le passage de chevilles 933 portées  par la plaque 560 de support des volets. Un       ressort    934 tendu entre des chevilles 935  portées par la plaque 930 et la plaque 560,  respectivement, agit sur cette plaque 930 de  façon à maintenir le mentonnet 929 en posi  tion saillante.

   La partie inférieure de la  plaque 930 est pourvue de doigts descendants  937 disposés pour s'engager entre les saillies  extrêmes 567 des volets 561, ce qui fait que,  lorsque la plaque 930 est poussée vers la  droite en     fig.    37 par l'engagement du bras  927 avec le     mentonnet    929, les volets 561  sont retirés des encoches de     loquetage    des  arrêts numériques et des arrêts zéro, ce qui  permet ainsi aux arrêts zéro d'être abaissés  par le mouvement descendant de l'extrémité  intérieure ou arrière du levier 578     (fig.    24)  et le mouvement ascendant dur levier d'abaisse  ment     572)    sous l'action du ressort 593,

   la  saillie latérale 574 s'élevant dans les longues  encoches de rappel 547 des arrêts numériques  sans relever ces derniers. Cette action permet    aux barres     à,        crémaillère,    durant une prise  de total, d'être avancées comme cela a été  expliqué ci-dessus saris être gênées par aucun  des arrêts zéro ou numériques.

   Ce mouvement  se continue jusqu'à ce que les faces radiales  743 des saillies de cames de report 742  viennent en prise avec les extrémités rabattues  809 des leviers<B>807;</B> les saillies de cames  de report arrondies 741 viennent alors et)  prise avec des galets d'abaissement 940       (fig.24)    portés par les consoles coulissant  verticalement 941,     tenues    espacées entre les  dents de peignes 942 montés entre les fiasques  501 et guidés et limités dans leur mouve  ment au moyen de     tringles-guides    943, mon  tées entre les flasques et traversant des fentes  verticales 944 dans les consoles 941.

   Lorsque  cet engagement est effectué, les galets 940  appuient de haut en bas sur les leviers de  butée 635 en les abaissant, ce qui abaisse  les épaulements 638, tournés vers l'extérieur,  en les dégageant de la barre de commande  transversale 647 et en permettant à celle-ci  de passer. Ceci fait, la règle de blocage et  d'alignement 687 vient en prise avec les  dents 693 et tient les secteurs à     caractères     en alignement pendant que le chariot à papier  appuie le papier contre les caractères des  secteurs.  



       3lccrznni@nne        d'e;rclusiorn   <I>de</I>     colonne..     



  Il est très souvent désirable d'exclure       truc    colonne de façon à ce qu'une ligne parti  culière quelconque de     chiffres    n'y soit tri  accumulée ni imprimée. Ceci peut être ac  compli au moyen du mécanisme représenté  du côté droit de la     fig.    24 et comportant des  moyens pour maintenir hors d'action le sec  teur à caractères et la barre à crémaillère y  associée.

   Entre les plaques de prolongement  906, assujetties à la partie arrière des     flasques     501; sont disposés le peigne supérieur 950  et le peigne inférieur 951, entre les dents  desquels glissent des barres     d exclusion    de  colonne 954 dont chacune est pourvue, à sa  partie     supérieure,    d'un épaulement supérieur       955    et d'un épaulement inférieur 956, dont  le premier est disposé pour s'engager sous le      Peigne     950,    alors que le second est disposé  pour s'engager par-dessus celui-ci.

   Un ressort  957, tendu entre la partie supérieure de       cliadue    barre d'exclusion 954, et une plaque       èt    crochets 958, montée entre les plaques de  prolongement, maintient l'un ou l'autre des  épaulements 955, 956     élastiquement    en prise  avec le peigne supérieur 950. Les tiges de       retenue    supérieure et inférieure 960 tiennent  les barres d'exclusion entre les dents des  peignes.

   L'extrémité inférieure de chaque  barre d'exclusion 954 est pourvue d'une partie  latéralement coudée 961, disposée pour porter  sur le prolongement arrière 640 du levier de  butée 635 correspondant, lorsque la barre  d'exclusion est abaissée de telle sorte que  soir épaulement 955 est engagé sous le peigne  supérieur 950, ce qui tient ainsi le levier de  butée 635 abaissé.

   Lorsque le levier de butée  635 est ainsi tenu abaissé, la barre de com  mande transversale 647 rie vient pas cri prise  avec l'épaulement 638, tourné vers l'extérieur  dudit levier, mais passe librement et la barre  à crémaillère dont le levier de butée est  ainsi tenu abaissé n'est pas avancée et n'ac  tionne pas le secteur à caractères correspon  dant, ni la roue d'accumulateur y associée,  cri sorte .qu'elle     n'effectue    par conséquent ni  impression, ni accumulation, ni report.  



  <I>Exclusion de</I>     l'accumulateur        totalisateur.     



  Il est parfois désirable de maintenir en  tièrement hors d'action l'ensemble des accu  mulateurs totalisateurs correspondant aux jeux  d'éléments calculateurs     enregistreurs    ou unités  de partie calculatrice enregistreuse de la  machine. On y arrive facilement au moyen  d'un levier d'exclusion d'accumulateur 965       (fig.    22), pivotant en 966 sur une des flasques  501 et pourvu, à sort extrémité interne, d'un  crochet 967 disposé pour pouvoir s'accrocher  sur le     manchon    735 correspondant     (fig.    45)  de l'arbre d'accumulateur 733, de telle sorte  que les roues d'accumulateur sont empêchées  d'aller et venir, et tenues dégagées des sec  teurs à caractères,

   les éléments inférieurs 749  des leviers 747 continuant à aller et venir à  l'encontre des ressorts 754,     tandis    que l'ex-         trémité    supérieure de leurs éléments supérieurs  est maintenue pratiquement immobile. Le  bout externe 968 du levier d'exclusion 965  est établi sous la forme d'une poignée per  mettant de     manoeuvrer    le levier à la main,  pour l'amener cri prise avec ledit manchon  et l'en dégager, ce bout externe étant assez  élastique dans le sens latéral pour pouvoir  céder légèrement vers l'extérieur, de façon à  pouvoir s'engager soit au-dessous d'une saillie  d'arrêt 969 destinée à bloquer le levier d'ex  clusion dans sa position d'activité, ou dans  sa position d'inactivité.

           Mécarcisrne   <I>de</I>     désignation   <I>de</I>     totaux.       Parfois, lorsque des cartes-fiches du même  groupe et contenant toutes le même nombre  de désignation, passent à travers la machine,  il est désirable que ce numéro de désignation  apparaisse également dans le total. Si ce  numéro de désignation était transféré à l'ac  cumulateur totalisateur chaque fois qu'une  donnée est imprimée, le total résultant indi  querait le produit de ce numéro de désigna  tion, par le nombre de fois qu'il a été im  primé. Ce produit     n'aurait,    bien entendu,  aucune signification et il n'est pas désirable  qu'il soit imprimé avec le total; mail il est  désirable que le nombre de désignation seul  soit imprimé avec les totaux.

   Ceci est     effectué     en permettant au nombre de désignation' de  n'être transféré à l'accumulateur totalisateur  qu'une seule fois, après quoi l'accumulateur  totalisateur est tenu hors d'action jusqu'à la.  prise de total; à ce moment, il est ramené  en action, de sorte que le nombre qui a été  transféré une fois à l'accumulateur totalisa  teur est     retransféré    au secteur à caractères  et est, par conséquent, imprimé avec les  totaux. Le mécanisme permettant d'arriver à  ce résultat est représenté à la     fig.    23 et com  porte un levier d'arrêt 970 pivotant en 971  sur la seconde flasque 501 et pourvu d'une  extrémité crochue 972, disposée pour s'ac  crocher par-dessus le manchon 735 correspon  dant de l'arbre d'accumulateur 733.

   Une ex  trémité de ce levier 970 est pourvue d'une  oreille 974 qui présente une face de poussée      975 tournée vers l'arrière. Un levier de rap  pel 976 pivote également en 971 et présente  une face de poussée 977, tournée vers l'avant,  destinée à venir en prise avec la face de  poussée 975. Ces faces de poussée sont     élas-          tiquement    tenues en contact l'une avec l'autre  au moyen     d'un    ressort 978, tendu entre les  crochets 979 portés par l'oreille 974 du  levier 970 et le levier de rappel 976  respectivement.

   A l'extrémité     supérieure    du  levier de rappel 976 est articulée une barre  de poussée 980, pourvue d'une dent à épaule  ment de poussée 982, susceptible, lorsque le  bout externe de la barre 980 est disposé     au-          dessous    de la saillie 983, d'être rencontré  par la partie inférieure d'un doigt 984 à  l'extrémité supérieure du levier 859, doigt  qui est pourvu d'une fente 985 pour le pas  sage de ladite barre 980 et permettant à  celle-ci de s'y déplacer verticalement de façon  à ce que la barre 980 puisse être placée au  dessus de la saillie 983 dans une position  telle que l'épaulement 982 ne soit pas     ren-          cocitr6    par le bord inférieur de la fente 985  du doigt 984.

   Le levier de rappel 976 est  pourvu d'un bras extérieur 986, pourvu d'une  lèvre d'arrêt latérale 988, disposée pour être  engagée par     Lui    épaulement 989 prévu sur  un loqueteau coudé 990 qui pivote en 991,  sur la flasque 501 correspondante. Un ressort  993, tendu entre le bras 986 et le loqueteau  990, tient     élastiquement    l'épaulement 989 en  prise avec la lèvre 988, ou tient le bras 986  dans une position basse de telle sorte que le  levier d'arrêt 970 est maintenu dégagé du  manchon correspondant<B>735</B> de l'arbre d'ac  cumulateur 733.

       L'extrémité    inférieure du  loqueteau coudé 990 est pourvue d'un doigt  995, disposé pour être engagé par un des  bras d'un levier coudé de déclenchement 996  pivotant en 997 et pourvu d'un bras inférieur  998, disposé pour être engagé par le     cône-          came        désignateur    999     (fig.41)    du bloc à  cames 780.  



       Foi@ctioiiae ieW        clic        iiiécaiiisnae   <I>de</I>     désiyiiatioic     <I>de total.</I>  



  La barre de commande 930 est ajustée  au-dessous de la saillie 983 et le nombre de    désignation, ou nombre clé, est, au cours du  fonctionnement normal de la machine, trans  féré à l'accumulateur totalisateur aussitôt  avant que l'épaulement 982 soit rencontré  par le doigt fendu     98.1.    Lorsque cette ren  contre a lieu, le levier de rappel 976 et sa  face de poussée 977 basculent de dehors en  dedans et alors le bras 986 est relevé en  permettant à l'épaulement 989 de s'engager  sous la lèvre 988, après quoi, aussitôt que  l'arbre d'accumulateur se meut vers     l'extérieur     sous l'action du ressort 978, le levier d'arrêt  970 bascule également de haut en bas et  vient en prise avec le manchon de l'arbre       d'accumulateur    735,

   de telle sorte que l'ac  cumulateur est tenu hors d'action à     mesure     que les jeux     d'élément,        calculateurs-enregis-          treurs    ou unités non arrêtées de la machine       continuent    à accumuler, le chariot     d1accumu-          lateur    ainsi arrêté étant continuellement main  tenu hors d'action après que le nombre de  désignation, ou nombre clé, y a été trans  féré une fois seulement.

   Toutefois, lors de la  prise d'un total, quand le bloc à cames 780  est déplacé de la position de<B>fi-.</B> 41 à la  position de     fig.    42, le bras inférieur 998 du  levier coudé de     déclanchement    996 est engagé  par le     cône-came    999     dudit    bloc, ce qui a  pour     effet    que le levier coudé de déclenche  ment 996 est déplacé et agit sur le loqueteau  coudé 990 pour retirer     l'épaulement    989 de  sous la lèvre 988, après quoi, sous     l'action     du ressort 993, le bras 986 est abaissé en  relevant ainsi l'extrémité crochue 972 de  façon à dégager le chariot d'accumulateur,

    en permettant à     l'accumulateur    de transférer  aux secteurs à caractères, durant la prise du  total, le numéro de désignation, ou nombre  clé, qui lui     à,    été transféré. A mesure que la  machine     continue    à fonctionner et que le  nombre de désignation du groupe de     cartes-          fiches    suivant est composé par les secteurs  à caractères, ce nouveau nombre de désigna  tion est transféré à l'accumulateur totalisa  teur, l'épaulement 982 est rencontré par le  doigt 984 en produisant le blocage du bras  936 et, lorsque le chariot d'accumulateur  recule, le levier d'arrêt.

   970 s'abaisse et le           chariot    d'accumulateur est de nouveau tenu  lions     d*action    jusqu'à ce que le total suivant  soit pris, de la même manière que celle qui  vient d'être expliquée.  



       Jlécanisme   <I>de mise hors</I>     d'impression   <I>de zéros.</I>  Dans les     fig.    51 à 64, on a représenté un       mécanisme    de mise hors d'impression de zéros  quia pour but d'empêcher l'impression de  zéros avant le chiffre numérique de l'ordre  décimal le plus élevé d'un nombre.

   Sur  chaque secteur à caractères 618 est monté  un support de caractère zéro 1038     (fig.    51,  58 et 59), formé d'une lame métallique, por  tant le caractère- zéro 634     (fig.    60), pivotant  en 1039 et maintenu en position de non im  pression au moyen d'un ressort 1040 tendu  entre un crochet 1041     (fig.    51) et une queue  1042 dudit support de caractère zéro. Le  support de caractère zéro est limité dans son  mouvement de recul au moyen d'une oreille  1044 s'engageant contre le bord adjacent du  secteur à caractères.

   Sur le pivot 1039 pivote  une console porte-galet 1046     (fig.    56) formée  d'une plaque métallique pourvue d'une paire  d'évidements 1048 et 1049, dans l'un ou  l'autre desquels le caractère z     \ro    634; porté  par ledit support, peut être engagé. La con  sole 1046 de chaque support de caractère  zéro est pourvue d'une cheville 1051     (fig.    55  et 57) qui est susceptible d'être engagée     pai      une oreille 1052 du support de caractère  zéro 1038 de l'ordre immédiatement plus  élevé.

   Chacune des consoles 1046 porte égale  ment un galet 1054 disposé pour être engagé  par une came     1055        (fig.    55) assujettie au  secteur à caractères 618 de l'ordre immé  diatement plus élevé.  



  Chaque console porte-galet 1046 et le  support de caractère zéro 1038 présentent  une certaine élasticité dans le sens trans  versal et le caractère zéro peut être dégagé  de l'un des évidements 1048, 1049 et être  engagé dans l'autre simplement en écartant  légèrement lesdits console et support l'un de  l'autre au moyen d'un instrument pointu,  tel qu'un canif par exemple, et en les dé-    plaçant     angulairement    l'un par rapport à  l'autre. Lorsque le caractère zéro est placé  dans l'évidement 1049 le galet 1054 est  maintenu dégagé de la came 1055 correspon  dante. Une petite oreille 1068 prévue sur la  console 1046 limite son déplacement angu  laire par rapport au support de caractère  zéro correspondant.  



  Juste avant qu'une     carte-fiche    soit ana  lysée, les barres à crémaillère se trouvent  dans la position retirée représentée à la     fig.    24.  A ce moment, les secteurs à caractères  occupent la position représentée à la     fig.    51.  Lorsqu'une carte-fiche est analysée, si elle  ne présente pas de perforations représentant  des nombres supérieurs à zéro, comme la  première donnée de la feuille 1057     (fig.    64),  les caractères numériques prennent la posi  tion représentée à la     fig.    22.

   Mais un carac  tère zéro en position dans l'évidement 1048  ne sera pas amené à la position d'impression,  représentée à la     fig.    52, parce qu'aucune came  1055 n'aura été déplacée assez loin pour  venir en prise avec le galet 1054. Toutefois,  si les secteurs de l'ordre inférieur et les sec  teurs     d'un    ordre plus élevé sont amenés  seulement à la position zéro et qu'un secteur  d'un ordre     intermédiaire    soit amené en- posi  tion pour imprimer un nombre plus grand  que zéro, comme pour la seconde donnée de  la     fig.    64, la came 1055 de ce secteur inter  médiaire vient en prise avec le galet 1054  du secteur mis en position à zéro, de l'ordre  immédiatement inférieur et tire le support  de caractère zéro 1038,

   y associé, à la posi  tion d'impression du zéro, comme cela est  représenté à la     fig.52.    L'oreille 1052 du  support de caractère zéro ainsi     entrafné    de  haut en bas vient en prise avec la cheville  1051 de la console porte-galet qui se trouve  à sa droite, de l'ordre immédiatement inférieur,  laquelle, à son tour, fait descendre le sup  port de caractère zéro suivant, et ainsi de  suite jusqu'à la fin de la série de secteurs  mis à la position zéro, à moins que     quelques-          unes    des consoles porte-galet aient été ajus  tées à la position d'inactivité, comme ce sera  expliqué plus loin.

        Toutefois, d'un autre côté, le     support    de  caractère zéro 1038 des secteurs à caractères  amenés à la position zéro d'un ordre plus  élevé que ledit secteur intermédiaire ne sera  pas abaissé, parce que la carne 1055 d'un  secteur est     cri    prise avec le galet de la con  sole de     hordre        immédiatement    inférieur et  non d'un ordre plus élevé, et rien ne sera       imprimé    par les secteurs amenés à la posi  tion zéro des ordres plus élevés que le sec  teur intermédiaire précité..  



  S'il y a plusieurs secteurs intermédiaires  amenés à la position zéro entre des secteurs  amenés à des positions     numériques    d'un ordre  plus élevé et d'un ordre inférieur, comme  dans la troisième rangée     donnée    de     fig.    64,  la came 1055 d'un secteur d'ordre plus élevé  fera descendre le support de caractère zéro  le plus voisin des secteurs intermédiaires et  l'oreille 1052 de ce support de caractère zéro  fera descendre le support de caractère zéro       immédiatement    inférieur, et ainsi de suite,  pour tous les secteurs intermédiaires adjacents  amenés     cri    position,

   jusqu'à ce que l'on arrive  aux secteurs d'ordre inférieur mis en position  pour l'impression de     chiffres    numériques. Bien  entendu, les supports de caractère zéro de  ces derniers secteurs sont mis hors de la  portée de l'oreille 1052 du support de carac  tère zéro des secteurs à caractères amenés  à la     position    zéro.  



  Si l'on désire suspendre la     connexion    entre  un support de caractère zéro quelconque et  les éléments de l'ordre immédiatement plus  élevé, on déplace la console     porte-galet    1046  de ce support de caractère zéro jusqu'à ce  que sort évidement 1049 reçoive le caractère  zéro, auquel cas le galet 1054 et la cheville  1051 se trouveront, respectivement, hors du  chemin de la came 1055 et de l'oreille     1052     dur secteur de l'ordre immédiatement plus  élevé, comme cela est représenté aux     fig.     53 et 54, en divisant, pour ainsi dire,       l'élément    imprimeur en trois zones auquel  cas deux données pourraient être imprimées.  



       Etant    donné ce qui précède, on comprend  que tout secteur à caractères, amené en posi  tion d'impression d'un chiffre numérique, d'une    zone quelconque produira l'abaissement à la  position d'impression du zéro des supports  de     caractère    zéro de tous les secteurs à carac  tères successivement adjacents, amenés à la  position zéro, de la même zone et qu'aucun  secteur à     caractères    amené à la position d'im  pression d'un chiffre numérique     n'effectuera     la descente d'un support de     caractère    zéro  d'un ordre plus élevé.  



  Si l'on désire imprimer une virgule ou  autre signe de séparation entre des colonnes  adjacentes de la feuille imprimée 1057, on  obtient cela au moyen d'une série     d''ceils     d'impression 1059     (fig.    63), sur une plaque  à virgule séparatrice 1060, laquelle plaque  sera assujettie au secteur à caractères cor  respondant par des vis traversant des trous  1061     (fig.    63) de ladite plaque. Une plaque  séparatrice de ce     genre    est représentée montée  en place à la     fig.    62, mais il pourrait y     cri     avoir plusieurs ou bien or) pourrait     s'err    passer  tout à fait.

           Fonctionnement   <I>de la</I>     partie          caletclatf-ice-eiiî-egistreaise   <I>de la</I>     machine.       Le fonctionnement individuel des divers  mécanismes de la partie cal     crrlatrice-enregis-          treuse    de la machine a déjà été donné et il  suffit de décrire le fonctionnement de cette  partie dans son ensemble.  



  Les barres de rappel ou de remise en  position 520     (fig.    25) ayant été relevées par  le levier 524, les plaques de support latérales  90     (fig.    1) reculent pour amener les chevilles  terminales 270     (fig.    11) contre les chevilles  de prolongement qui avec les chevilles coin  posables, ont déjà été composées, ou mises  en position, par le fonctionnement des che  villes     analysatrices,    comme cela a été  expliqué; les chevilles terminales 518     (fig.    25)  sont alors relevées sous l'action des fils in  ternes des câbles de transmission 275 res  pectifs.

   Lorsque le levier 524 se relève,  la plaque de rappel de 597 est abaissée et  tout soulèvement d'une cheville terminale 518  produit le     soulèvement    d'un arrêt numérique       correspondant    542, en abaissant, par l'inter  médiaire du levier d'abaissement 572 et du           .evier        57@,    l'arrêt zéro associé avec la rangée       correspondante    d'arrêts     numériques.    Lorsque  le.     @rrr@ts    numériques .

   sont ainsi relevés, la  barre de commande transversale 647     (fig.    24)       avance    et vient en prise avec l'épaulement,  tourné vers l'intérieur 638, du levier de bu  tée 635 qui a déjà été relevé sous l'action du  ressort 646. La barre à crémaillère et le le  vier de butée correspondants continuent à  avancer avec la barre de commande trans  versale 647 jusqu'à ce que l'épaulement 651  du levier coudé 650 vienne en contact avec  un arrêt numérique relevé 542 (ou un arrêt  zéro relevé si aucun arrêt numérique de la  même rangée n'a été relevé). Lorsque ce  contact se produit, le levier coudé 650 bas  cule en abaissant par cela même l'épaule  ment 638 et en permettant à la barre de  commande transversale de se mouvoir à  vide.

   La barre à crémaillère ainsi arrêtée  est empêchée de revenir en arrière par l'en  gagement du cliquet de retenue 642 avec la  plaque à dents de rochet 682, ce qui main-,  tient ainsi la barre à crémaillère en position  de commande. Lorsque la barre à crémail  lère est ainsi déplacée et amenée en position  de commande, le secteur à caractères 618  qui engrène avec elle est également déplacé,  sur une distance     correspondant    au Mouve  ment de la barre à crémaillère et amené  dans une position telle que l'un des     caPac-          téres    630, ou 634, du secteur à caractères  se trouve en face du chariot d'impression  qui sera décrit plus loin.

   Lorsque le carac  tère a été ainsi amené en position d'impres  sion, la règle d'alignement 687 se meut de  dehors en dedans et s'engage dans les dents  d'engrenage     6.33    des secteurs à caractères  pour maintenir les caractères alignés durant  l'opération d'impression. Une fois l'impression       effectuée,    la règle d'alignement 687 est re  tirée, la plaque à dents de rochet 682 est  relevée et la tige d'abaissement 707 descend  contre le prolongement 640 des leviers de  butée 635 en abaissant ainsi la butée à  épaulement 638 tourné vers l'extérieur, ce  qui permet à la barre de commande trans  versale 647 de revenir et de s'engager avec    l'épaulement 612 tourné vers l'intérieur, pour  ramener les barres à crémaillères à leur po  sitiotr normale.

   Avant ce mouvement de  rappel; les roues 738 de l'accumulateur to  talisateur viennent en prise avec les secteurs  à caractères et, durant le mouvement de  rappel, les roues de l'accumulateur totalisa  teur sont mises en rotation dans le sens du  mouvement des aiguilles d'une montre à la       fig.24,    en transférant ainsi aux roues de  l'accumulateur totalisateur tous montants qui  ont été composés sur les secteurs à carac  tères.  



  Lorsque les roues de l'accumulateur tota  lisateur .font plus     -d'un    tour, leur face de came  inclinée 744     (fig.    47) vient en prise avec le  levier 807 correspondant et le met en position  en abaissant ainsi la barre de report respec  tive 836 en avant de l'épaulement 612,  tourné vers l'intérieur, après quoi la plaque  à cames 848 se meut vers l'intérieur en  faisant basculer le levier de report 845 et  en obligeant la barre de report 836 à agir  contre l'épaulement 612 de la barre à cré  maillère de l'ordre immédiatement plus élevé  en déplaçant ainsi cette barre à crémaillère  et le secteur à caractères y associé, ainsi  que sa roue d'accumulateur, d'une dent de  façon à     effectuer    par cela même le report.

    Si le report, ainsi     effectué    fait achever un  tour à une roue d'accumulateur quelconque,  la face de came inclinée 744 de cette roue  actionne son levier 807 qui abaisse immé  diatement la barre de report 836 de l'ordre  immédiatement plus élevé, après     quoi,    comme  la face-came 847 de la plaque 848 de cet  ordre immédiatement plus élevé est plus  éloignée du<I>galet</I> 846, lorsqu'elle vient en  prise avec celui-ci après que la barre de  report à été ainsi abaissée, elle     effectue    un  report de la roue d'accumulateur' de l'ordre  encore plus élevé.

   Ceci fait, le chariot d'ac  cumulateur totalisateur est rappelé et les  leviers 807 ainsi que les barres de report,  sont également rappelés en raison de l'enga  gement, avec les tiges 827 et 730, des le  viers -de rappel 824 et des détentes 811.  Lorsque, à la suite     d'un    commencement d'un      nouveau groupe de cartes-fiches,     ou    de la  présence d'une     earte-fiche    de total dans  l'analyseur, le câble 314     (fig.    43) ou le câble  373, produit la libération du     cliquet    coudé  802,

   le prolongement 797 du piston 796  s'engage     immédiatement    dans la rainure de  déplacement hélicoïdale 798 de la came de  déplacement 530 et oblige le bloc à cames  <B>780</B> à venir à la position de     fig.   <B>42</B> en cou  plant par cela même les leviers de com  mande 747 au levier de prise de total 768.  Ceci produit le mouvement alternatif des  roues d'accumulateur en prise avec les sec  teurs à caractères, lors de la course initiale  de la barre de     éomrnande        tranversale    647.

    Ce     mouvement    du bloc à cames 780 actionne  également le levier 926 de dégagement des  volets et la plaque 930 de     dégagement    des  volets     (fig.    37), en ouvrant ainsi les volets  561 et en permettant aux arrêts zéro 550  d'être abaissés sous l'action du ressort 593       (fig.    24). Lorsque les arrêts zéro ont été  abaissés, les barres à crémaillère sont libres  de se mouvoir de dehors en dedans, avec  la barre de commande     6.17,    jusqu'à ce que  la face de came radiale 743 vienne en prise  avec l'extrémité tournée vers le bas 809 du  levier 807.

   Au même instant, les saillies de  came arrondies 741 viennent en prise avec  le galet 940 et abaissent les leviers de bu  tée 635, en permettant à la barre 647 de  passer. Comme dans le cas de l'accumulation  totalisation, lorsque les barres à crémaillère  sont empêchées de reculer par la plaque à  dents de rochet 682 et que les secteurs à  caractères sont bloqués par la règle d'aligne  ment 687, le chariot imprimeur     amène    le  papier contre les caractères et imprime le  total.         Chariot        i aprimeur.       Le chariot imprimeur, désigné dans son  ensemble par 1100     (fig.    1 et 65), est situé à  l'arrière de la partie de bâti 95, derrière le  mécanisme     calculateur-enregistreur.     



  Ce chariot est supporté, aux extrémités  opposées, sur les consoles 532     (fig.    65) de  l'arbre à cames 531 et les consoles 1101,    portées par la partie de bâti 95. Ces con  soles sont reliées ensemble,     a,    leur partie  supérieure, par les entretoises 1102     (fig.    66)  boulonnées par leurs     extrémités    opposées à  la partie supérieure de ces consoles respecti  vement. Les consoles<B>1101</B> sont pourvues, à  leurs extrémités supérieures, de fentes guides  1104, dans lesquelles sont reçues les con  soles, en forme de L 1105, portant à leur  extrémité antérieure des galets 1106 dispo  sés pour aller et venir dans les ouvertures  allongées 1107 des consoles 532.  



  Les consoles de support 1105 possèdent,  prés de leur extrémité arrière, des montants  1108     entre    les     extrémités    supérieures des  quels est montée     un=    barre 1109. Entre les  extrémités arrière     desdites    consoles de sup  port est monté l'arbre de support 1110 entre  les extrémités duquel sont montés les or  ganes de support en forme de<B>L</B> 1112 pos  sédant les bras de support 1114, s'étendant  vers l'avant, pour le chariot.  



       Entre    les extrémités de la barre de sup  port 1109 sont montées les entretoises 1115,  s'étendant vers l'avant, qui portent à leurs  extrémités antérieures le rail 1116.  



  Le chariot proprement dit comporte des  plaques extrêmes 1117 maintenues espacées  par l'entretoise 1113 et les. arbres 1129. Sur  ces arbres sont montées les consoles de sup  port 1118, s'étendant vers l'arrière, dont  chacune est pourvue d'une ouverture circu  laire destinée à recevoir le rail 1116 du  chariot, la paroi de cette ouverture étant  pourvue     d'une    fente 1119,     s'etendant    vers  l'arrière, destinée à offrir un passage aux  entretoises 1115 lorsque l'on fait glisser le  chariot sur le rail. Lorsque le chariot a été  mis en place, il est supporté par les rails de       chariot    1116 et par les extrémités anté  rieures des bras 1114 qui s'engagent sous  l'entretoise 1113 à la partie     antéro-inférieure     du chariot.  



  Entre les plaques extrêmes 111.7 est  monté l'arbre 1120 du rouleau à papier qui  porte une partie du     mécanisme    de support  et d'entraînement du papier qui sera décrit  plus en détail ci-après.           JIF@ rris@n@        déterminant        l'emplacement          du        chariot        inaprinreur.     



       ]-)airs    le fonctionnement de la machine,  il et parfois désirable de déplacer le chariot  imprimeur par rapport aux unités des sec  teurs à caractères, de façon à ce que les  colonnes imprimées puissent occuper diverses  positions sur la feuille de papier. Les moyens  employés à cet     effet    sont les suivants  Le bord antérieur des montants<B>1108</B>       (fig.    66 et 68) des consoles.<B>1105</B> est     pourvu     d'oreilles perforées 1121 coudées vers l'inté  rieur et portant des boutons de support 1122,  sur lesquels .est montée, de façon à pouvoir  glisser, une barre 1124 pourvue de fentes  allongées 1125, recevant les boutons de  support 1122.

   Cette barre est également  pourvue de plusieurs trous 1126, assez grands  pour recevoir la tête d'un bouton de déter  mination d'emplacement 1127, fixé sur une  console 1128 assujettie elle-même aux arbres  1129     (fig.    66) qui relient les plaques extrêmes  1117.  



  On     peut    faire osciller le chariot vers  l'extérieur sur le rail 1116     (fig.    65) jusqu'à  ce que le bouton 1127 sorte du trou 1126  dans lequel il se trouve, et déplacer ensuite  le chariot longitudinalement jusqu'à ce que le  bouton 1127 s'engage dans un autre trou 1126.

    Le bouton 1127 et la console 1128 sont  bloqués dans la position ajustée au moyen  d'une plaque de verrouillage 1180     (fig.    68)  pourvue de fentes 1131, en forme d'entrée  de serrure, dont chacune présente une extré  mité plus large 1132     (fig.    67), à travers la  quelle la tête du bouton 1127 peut passer,  et une extrémité moins large 1134 destinée  à former des épaulements pour s'engager  soirs la tête     dudit    bouton, de telle sorte que  celui-ci est maintenu en position par ladite  plaque de verrouillage sollicitée par un ressort  1135 tendu entre un des montants 1108 et  une oreille coudée 1136     (fig.    68) prévue sur la  plaque de verrouillage pour permettre de la  manipuler.

   La plaque de verrouillage 1130  est maintenue dans la position voulue par  rapport à la barre de détermination d'em-    placement 1124 au moyen d'une plaque-guide       1133    assujettie à l'un des montants 1108 et  s'engageant sur l'une des extrémités de la  plaque de verrouillage et une plaque-guide  fendue 1133, assujettie à l'autre extrémité  de la plaque de verrouillage et embrassant  une vis i134', prévue dans l'oreille 1121 de  l'autre montant 1108.

           ltlécanisme        pour        imprimer   <I>un</I>     mouvement          alternatif        azc        chariot        ïrnprinaeur.       L'impression est accomplie par le mou  vement en avant du mécanisme de support  du papier, mouvement qui amène le papier  contre les caractères 630 et 634 des secteurs  à caractères 618. Ceci est accompli au moyen  de leviers de commande 1137, 1138     (fig.    66),  qui pivotent sur l'arbre 1139 monté dans les  consoles 1101.

   Les leviers 1137, 1138, lors  qu'ils sont en position d'impression, sont  verrouillés ou couplés ensemble comme ce  sera expliqué plus loin et sont mis en oscil  lation sous l'action d'un galet 1140, en prise  avec la     rainure-came    1141 d'une came d'im  pression 1142 montée sur l'arbre 531. Les  leviers de commande donnent au chariot un  cycle complet d'oscillation une fois pour  chaque tour de l'arbre 531.  



  Le     verrouillage    ou couplage des leviers  1137, 1138 est accompli au moyen de cônes  de verrouillage 1145, qui sont représentés à  la position de déverrouillage à la     fig.    67 et  doivent être mûs vers la droite, dans cette  figure, pour verrouiller ou coupler les leviers  de façon à les empêcher de se déplacer l'un  par rapport à l'autre.

   Ces cônes s'engagent  dans les ouvertures 1148, 1149 des leviers  et, lorsqu'ils sont en position de couplage,  ils maintiennent ces ouvertures en alignement;  ils sont montés sur une tige 1150,     élastique-          nient    sollicitée vers la position de déverrouil  lage par un ressort 1151 assujetti entre une  extrémité de la tige et une traverse 1152       (fig.    67) disposée en travers de l'ouverture  1154 de la console 1101 correspondante       (fig.    66). L'ouverture 1.154 est assez grande  pour qu'on puisse introduire la tige 1150   avec les cônes 1145 lors du montage de la      machine.

   Ces cônes peuvent être amenés à  lit position de verrouillage au moyen d'un  levier coudé 1155; pivotant sur la partie de  bâti 95 de la machine et pourvu, à son  extrémité     supérieure,        d'oreilles        espacées    1156  en prise avec une cheville transversale 1157  plantée dans la tige 1150. Ce levier est       -tctionné    au moyen d'une bielle 1158 arti  culée, par son extrémité inférieure, art bras  horizontal du levier 1155 et, par son extré  mité supérieure,     à,        ni)    levier de     commande     1160     (fig.    1 et 65) pivotant en 1161 sur la  console 532.

   Le levier de commande<B>1160</B>  se termine par une poignée 1162     (fig.    1)  passant par une fente 1164     (fig.    74) d'une  plaque de verrouillage 1165, cette fente étant       pourvue,    à ses parties     supérieure    et inférieure,       d'un    épaulement formant des crans 1166 et  <B>1167,</B> dans lesquels ladite poignée     petit    être  bloquée pour retenir     lec    cônes de     verrouillage,     soit dans la position de verrouillage, soit  dans la position de déverrouillage.  



  <I>Dispositif de</I>     sar,i)ltoi-t   <I>dit</I>     papier.     



  Sur l'arbre 1120, qui tourillonne dans les  plaques extrêmes 1117     (fig.    66 et 73), sont  disposés plusieurs rouleaux à papier 1248,  pourvus chacun d'un moyeu 1249 et mainte  mis espacés au moyen de bagues d'espace  ment 1250     (fig.    72) enfilées sur l'arbre 1120.

         Entre    les rouleaux à papier adjacents, et  librement en prise avec ces bagues d'espace  ment, sont disposées des consoles     porte-pla-          tine    1251 empêchées de tourner au moyen  d'un arbre 1252, passant à travers des per  forations pratiquées dans l'oreille     1'254.    pré  vue sur la partie extérieure. desdites consoles,  ces dernières étant maintenues     espacées    au  moyen de tranchons<B>1255</B>     (fig.    71) montés  sur l'arbre 1252.

   La partie intérieure de  chaque console de support de platine 1251  porte une saillie antérieure 1274, sur laquelle  est assujetti, au moyen d'une vis 1256, un  support 125 7 présentant, à son extrémité       antprieure,    un évidement     dans    lequel est  monté un bloc élastique 1258 en caout  chouc ou autre matière convenable, formant  platine.

      Les bagues d'espacement     1250    tiennent  les     rouleaux    à papier hors de contact des  consoles     porte-platine.    Les bagues et les  rouleaux à papier, ainsi que toutes les par  ties devant pouvoir     tourner    sur l'arbre 1120,  sont obligées de tourner avec cet arbre par  un     engagement    à friction les unes avec les  autres, produit par le serrage d'une vis     1'259          (fig.        65)    prévue sur cet arbre.  



  Entre les rouleaux à papier se trouvent  les écrans supérieur et     inférieur    1260 et  1261     (fig.    72), qui forment un prolongement  de la surface cylindrique des rouleaux à pa  pier. Ces écrans possèdent des prolongements  angulaires     1,\3f34,    dont chacun possède des  oreilles     rentrantes    1265     (fig.    70) pourvues  chacune d'une ouverture recevant l'arbre<B>1252.</B>  L'écran supérieur<B>1260</B> est supporté à pivot  sur ledit arbre au moyen des oreilles 1265  et il lui est permis de pivoter grâce à la  face supérieure arrondie 1266     (fig.    72) des  saillies 1254 de telle sorte qu'on peut avoir  accès à la vis 1256.

   L'écran supérieur 1260  peut être omis si     ott    le désire.  



  Les écrans inférieurs 1261 et la partie infé  rieure des rouleaux à papier 1248 sont en partie  entourés ou renfermés par des écrans exté  rieurs 1267, pourvus de rebords 1268 sur  lesquels sont formées des oreilles 1269, pour  vues de trous dans     lesquels    passent les arbres  1129     (fig.    66 et 71). Ces écrans extérieurs  coopèrent avec les écrans inférieurs 1261  pour former des guides pour le papier 1281  sur lequel les tableaux doivent être impri  més, les écrans extérieurs étant prolongés de  bas en haut, en avant des rouleaux à papier  1248, ce qui forme ainsi des prolongements  1284     (fig.    67), entre lesquels les caractères  des secteurs à caractères passent lorsque le  papier est appuyé contre eux au moyen des  blocs formant platine 1258.  



       Sur    la partie inférieure des rebords 1268  sont formées de petites oreilles 1285,     pour-          vites    de trous dans lesquels passent des  arbres 1286     (fig.    67 et 71), sur lesquels sont  montés à pivot les leviers     1\'87    aux bouts  externes desquels tourillonnent des rouleaux           d'entraînement    du papier qui s'engagent       contre    la partie inférieure des rouleaux à pa  pier     12-1S_    et passent à travers des     ouver-          tiiru,        pratiquées    dans les écrans inférieurs 1267.

         C'es    rouleaux d'entraînement sont maintenus  en contact avec les rouleaux à papier au  moyen de ressorts 1289 assujettis, par leurs  extrémités opposées, aux tourillons 1290 des  rouleaux     (fig.    67 et 71). Les leviers 1287  sont empêchés de s'écarter accidentellement  des rouleaux d'entraînement au moyen des  ressorts 1289. Les leviers 1287 sont pourvus  de doigts<B>1292</B> dirigés vers l'intérieur, s'en  gageant par dessus une tige de dégagement  1294 guidée dans des fentes allongées 1295  des plaques extrêmes 1117     (fig.    66).

   Lorsque  cette tige de dégagement est soulevée, les  rouleaux d'entraînement 1288 sont amenés à  la position des lignes pointillées à la     fig.    71,  hors de contact avec les rouleaux à papier,  pour permettre d'enlever le papier. Ce sou  lèvement de la tige de dégagement 1294 est  accompli au moyen de bras de commande,  1296, montés sur un arbre 1297 qui est  porté par les plaques extrêmes 1117 et peut  être actionné au moyen d'un levier de     ma-          naeuvre    1298     (fig.    65 et 71), disposé pour  s'engager derrière un épaulement 1299 d'une  oreille 1300 prévue sur la plaque extrême  1117 correspondante pour maintenir les rou  leaux dégagés.

           11fécarrisnte        d'erati,aiiaeriterzt   <I>dit</I>     papier       Après chaque impression du nombre par  les caractères des secteurs à caractères, il  est nécessaire de faire avancer le papier, de  bas en haut, d'un ou plusieurs espaces.

   Cet  entraînement est     effectué    par suite de l'en  gagement des dents d'un rochet 1301 monté  sur l'arbre 1120 par un cliquet d'entraîne  ment à deux bras 1302     (fig.    66) montés à  pivot sur un levier 1304 qui pivote sur       ]''arbre    1305 et reçoit son mouvement d'une  bielle 1306 actionnée, à son tour, par le le  vier 1307 qui est monté sur l'arbre d'entraî  nement 1308, ce dernier étant actionné par  un bras de commande 1309 fixé sur lui et  disposé pour venir en contact avec un arbre    1810 et être mis en mouvement par cet  arbre qui est porté par des consoles 1311  pivotant sur les plaques entretoises 1102.

    Les consoles 1311 sont limitées dans leur  mouvement vers l'arrière par     l'engagement,     avec les plaques entretoises, d'un épaulement  1312 formé par le bord inférieur d'une oreille  1314 s'étendant latéralement du bord arrière  des consoles 1311 et elles sont     élastiquement     tenues à la limite arrière de leur mouvement  par - un ressort 1315 tendu entre ladite  oreille et une oreille prévue sur la partie  arrière de la plaque entretoise 1102.

           Lorsque    le chariot imprimeur est mû en  avant vers les secteurs à caractères, la face  extrême libre 1316     (fig.    66) du bras de com  mande 1309 vient en prise avec l'arbre 1310  et le repousse à l'encontre du ressort 1315,  jusqu'à ce qu'elle abandonne ledit arbre pour  lui permettre d'être rappelé par le ressort  1315 jusqu'à ce qu'il soit arrêté par l'épau  lement 1312; la     fig.66    représente l'arbre  1310 un instant après qu'il a abandonné la  dite face extrême.  



  -Une fois l'impression     effectuée    et après  que le chariot s'est mû vers l'arrière, l'arbre  1310 est engagé par le côté inférieur du  bras de commande 1309, ce qui fait que ce  bras et le levier 1307 sont soulevés en fai  sant ainsi basculer le levier 1304 et en  abaissant le cliquet 1302, ce qui fait tourner  le rochet 1301 d'une ou plusieurs dents sui  vant qu'il est permis plus tard ou plus tôt  à la branche inférieure 1317 du     cliquet    de  venir en prise avec les dents du rochet.

    Lorsqu'on désire que les cliquets ne fassent  avancer le rochet que d'une dent à la fois,  un levier ]imitateur d'entraînement 1318,  monté à pivot sur la partie supérieure de  la plaque extrême 1117 correspondante est  ajusté à la position représentée à la     fig.    66  en empêchant ainsi la branche 1317 du     cli-          quet    de rester en prise avec le rochet après  qu'elle a été mue de haut en bas sur une  distance correspondant à une dent, puisque  la face interne inclinée 1319 de cette branche  du     cliquet    sera engagée par la cheville limi-           tatrice    d'entraînement 1320 montée sur 1a  partie     inférieure    du levier 1318.  



  Ce levier 1318 est un peu élastique et il  est pourvu d'une paire de dépressions<B>1321,</B>  dont l'une ou l'autre est susceptible d'être       engagée    par un téton de blocage monté     sur,     la face interne de la plaque extrême corres  pondante 1117, suivant que le levier 1318  est déplacé vers la droite comme cela est  représenté à la     fig.    66. ou vers la gauche.  



  Ce moyen de blocage sert à maintenir  le levier dans la position où il a été amené.  Lorsqu'on désire que le cliquet 1302 fasse  avancer le rochet de plus d'une dent à la  fois, on déplace le levier 1318 vers la gauche  en     fig.    66, ce qui éloigne ainsi la cheville  1320 de la branche 1317 du cliquet en per  mettant à cette branche d'être en prise avec  le rochet durant le mouvement descendant  du cliquet pour une distance de deux dents  par exemple. Si on le désire, les parties  peuvent être proportionnées de façon à ce  que l'entraînement puisse se faire par trois,  ou plus de trois dents à la fois.  



  Pour empêcher l'entraînement du chariot  sur une distance plus grande que le nombre  voulu de dents lorsque par exemple, la ma  chine marche à très grande vitesse, le     cli-          quet    1302 est pourvu, sur, l'autre branche,  d'un bec d'arrêt 1322 disposé pour     s'engager     entre les dents du rochet, contre la face  inclinée desdites dents, de telle sorte que le  rochet est empêché de tourner d'une autre  dent après que le cliquet a cessé de se dé  placer dans la direction correspondant à  l'entraînement. Un ressort 1324, tendu entre  la branche à bec d'arrêt 1322 et le levier  1304, maintient     élastiquement    le cliquet en  prise avec les dents du rochet.  



  Le mécanisme d'entraînement est     élasti-          quement    tenu en position pour l'entraînement  au moyen d'un ressort 1325 tendu entre la  plaque extrême 1117 et une oreille prévue  sur la partie supérieure de l'extrémité in  terne du bras 1307.  



  Pour     maintenir    le rochet 1301 et les  parties montées sur l'arbre 1120 dans les    positions dans lesquelles elles sont amenées  par le cliquet 1302, il est prévu un galet  d'arrêt 1326, monté de façon à pouvoir  tourner, sur une des extrémités d'un levier  de détente 1327 pivotant sur la plaque  extrême 1117 et sollicité par un ressort 1328,  tendu entre l'autre extrémité du levier de  détente et la partie inférieure de la plaque  extrême 1117, de telle sorte que ce galet est       élastiquement    pressé entre les dents du ro  chet et tient     élastiquement    ce rochet dans  la position à laquelle il a été amené.  



  Lorsqu'on désire introduire, retirer ou  entraîner le papier tout à fait indépendam  ment du mécanisme     d'entraînement    qui vient  d'être décrit, on se sert du     mécanisme    re  présenté aux     fig.    67 et 71 et comportant, de  chaque côté, une roue dentée 1329 d'entraî  nement de papier     (fig.    71), fixée à l'arbre  1120 et engrenant avec une roue dentée  folle 1330 qui, tournant sur la plaque  extrême 1117 correspondante,     engrène    à son  tour avec une roue dentée 1331 fixée sur  l'arbre 1305 monté de façon à pouvoir tour  ner dans ladite plaque extrême 1117 et por  tant un bouton     moletté    1332     (fig.    67)

   au  moyen duquel on     petit    faire tourner cet arbre  et les roues dentées à la main.  



  Pendant l'entraînement du papier et pen  dant l'impression, il est désirable que ce pa  pier soit fermement maintenu contre les  platines. Ceci est effectué au moment d'un  mécanisme de serrage     comportant    une barre  de serrage 1333     (fig.    66), montée entre les  bouts externes de leviers 1334, pourvus de  fentes longitudinales 1335, dans lesquelles  passe librement l'arbre 1120 d'entraînement  du papier, de telle sorte que la barre de  serrage du papier 1333 est susceptible d'être  rapproché et éloignée des rouleaux à, papier  aussi bien que de tourner avec eux.

   Les  bouts internes des leviers de serrage 1334  sont     pourvus    de petites chevilles 1336, s'en  gageant dans des fentes longitudinales 1337  prévues dans les extrémités inférieures de  leviers 1338 pivotant sur les plaques  extrêmes 1117 et sollicités par un ressort           tendu    entre l'extrémité supérieure de  ces     leviers    et la partie supérieure des pla  ques     extrêmes    1117, ce qui a pour effet que  les leviers 1334 sont     élastiquement    tirés de       liant    en bas et que la barre de serrage 1333  e     élastiquement    le papier contre les  <B>t</B> appui  rouleaux à papier 1248.  



  Cet engagement élastique se maintient  durant l'impression et l'entraînement du pa  pier, mais, après que l'entraînement a eu  lieu, comme cela a été décrit ci-dessus, des       chevilles    de dégagement 1340 montées sur  l'arbre 1341, viennent en contact avec l'arbre  1310 et obligent l'arbre 1341, et des  consoles 1342 qui le portent à basculer vers  l'arrière ce qui fait que des bords formant  came 1343, repoussent de dedans en     de-          dehors    les chevilles 1336, et avec elles les  leviers 1334 et la barre 1333, et font égale  ment basculer les leviers dans le sens du  mouvement des aiguilles d'une montre à la       fig.    66, après quoi la barre 1333 est mue de  haut en bas, par-dessus le papier,

   et     effectue     plus tard une nouvelle prise sur le papier  lorsque les leviers de serrage 1334 sont li  bérés par les cames au mouvement suivant  du chariot en avant et retirés sous l'action  du ressort 1339.         111écanisine   <I>encreur.</I>    Le mécanisme encreur est ici du type à  ruban encré dont les moyens de support et  d'entraînement sont désignés dans leur     e11-          semble    par 1350     (fig.    67 et 69); mais, comme  ce mécanisme est bien connu, on ne le dé  crira pas en détail; il pourrait d'ailleurs être  remplacé par un autre     mécanisme    encreur  approprié.

           ,ilécarzisrrze   <I>de</I>     signal   <I>de total.</I>         Lorsqu'un    total est imprimé, il est dési  rable de faire apparaître un signal visuel  pour indiquer que le nombre imprimé est un  total. Ceci est accompli en     déplaÇant    le     chariot     vers la gauche lorsque le total est imprimé,  ce qui fait que le total est imprimé un peu  à droite de l'alignement de la colonne de  nombres enregistrés.         Mécanisme        d'inzpressiora   <I>de total</I>     ra'imprirnant     <I>pas les</I>     données.     



  Lorsque, au moyen du levier 1160     (fig.    1),  le chariot imprimeur a été amené à une po- .  sinon de non impression, de telle sorte que  les données accumulées ne sont pas impri  mées, il est     toujours    désirable que les totaux  eux-mêmes soient imprimés. Pour effectuer  cette impression automatiquement, on a prévu  un levier de blocage automatique d'impres  sion 1387     (fig.    67), monté à pivot sur la  console 1388 fixée à l'arbre 1339, l'extrémité  supérieure de ce levier     s'engageant    dans un  cran 1390 de la barre 1124, alors que son  extrémité inférieure s'engage avec une che  ville transversale 1391, prévue sur l'arbre  1150.

   Lorsque le chariot est déplacé vers la  gauche, la barre 1124 se meut avec lui et  entraîne l'extrémité supérieure du levier 1387  vers la gauche; dans ces conditions, la partie  inférieure de ce levier, l'arbre 1150 et les  cônes 1145 sont déplacés vers la droite, en  bloquant ou     couplant    ainsi ensemble les le  viers d'impression supérieur et inférieur 1137,  1138 pour l'impression.

           Fonetionnernent   <I>dit chariot</I>     inzprinzezzr.       On introduit le papier dans l'ouverture  arrière existant entre les écrans extérieurs  1267 et les écrans inférieurs internes 1261  et on fait tourner, au moyen d'un des bou  tons 1332, les rouleaux à papier 1248 jus  qu'à ce due la partie sur laquelle on désire  imprimer tout d'abord se trouve en face des  blocs formant platines 1258. On ajuste le     le-          vier.limitateur    d'entraînement 1318 pour le       nombre    de dents que l'on désire que le ro  chet d'entraînement entraîne.

   Si on le dé  sire, on déverrouille la plaque de blocage  1130. et on ajuste le chariot sur le rail à  chariot, après quoi on     reverrouille    le chariot.  



  On amène le levier 1160 dans la position  de blocage ou de déblocage suivant que l'on  désire que les données soient imprimées ou       11011.     



  On met ensuite la machine en marche  comme cela a été expliqué ci-dessus, et les  caractères sont composés et les accumula-           teurs    totalisateurs totalisent. Si le levier  1160 est dans la position de blocage, les  cames 1142 font aller et venir les leviers  d'impression 1137, 1138 et le chariot, et  l'impression     s'effectue.     



  Lors de la prise d'un total, le chariot  est déplacé vers la gauche, juste avant l'im  pression au moyen du levier de signal de  total 1381 s'engageant dans le cran 1380 de  la barre 1124. Si le levier 1160 n'a pas été  amené à la position d'impression, le levier  de blocage automatique 1387 oblige égale  ment les cônes 1145 à coupler les leviers  d'impression 1137,<B>1138</B> et à imprimer des  totaux lorsque les totaux sont composés et  représentés par les secteurs à caractères.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications nu mériques contenues en des eartes-fiches per forées, représentées par les perforations de ces cartes-fiches, et qui est destinée à des travaux de statistique, comportant un magasin à cartes-fiches pour recevoir et guider les cartes-fiches perforées, un organe cueilleur verticalement mobile pour amener, les unes après les autres et une à la fois, les cartes- fiches en position d'analyse, un poussoir à commande élastique pour pousser les cartes- fiches dans le magasin vers cet organe cueil leur,
    un analyseur avec boite à chevilles pour analyser la carte-fiche, amenée entre deux plaques perforées, en faisant passer les chevil les auxquelles correspondent les perforations à travers ces dernières, de façon à faire agir ces chevilles sur des organes de transmission destinés à commander des câbles flexibles de poussée, la machine comportant d'autre part des secteurs à caractères d'impression mobiles, des barres à crémaillère coulissantes pour faire tourner ces secteurs, un mécanisme de commande automatique pour déplacer ces barres à crémaillère, des arrêts mobiles pou vant être amenés en position active par les dits câbles flexibles de poussée pour arrêter les barres à crémaillère après une course de déplacement plus ou moins grande,
    suivant la valeur des chiffres transmis, et déterminer par là l'ajustement angulaire des secteurs à caractères, un chariot à accumulateur totali sateur pour totaliser les valeurs transmises aux secteurs à caractères et un chariot itr- primeur pour amener un papier en position d'impression par rapport aux secteurs à carac tères, la carte-fiche, après avoir été analysée dans l'analyseur, étant déchargée dans un récipient récepteur.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine suivant la revendication, dans laquelle le poussoir des cartes-fiches est élastiquement poussé en avant par des barillets à ressort autour desquels sont enroulés des rubans reliés à une tige de poussoir située derrière le poussoir. 2 Machine suivant la revendication, dans laquelle des troyens d'arrêt sont prévus pour arrêter le mouvement de l'organe cueilleur de cartes-fiches lorsque le ma gasin à cartes-fiches est vide.
    3 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 2, dans laquelle les moyens d'arrêt comportent un organe d'arrêt pour arrêter la commande de l'or gane cueilleur et une pièce mobile portée par celui-ci et disposée pour, lorsque des cartes-fiches sont dans le magasin, être écartée de cet organe d'arrêt et, lorsque le magasin est vide, être amenée en posi tion pour rencontrer l'organe d'arrêt afin de faire arrêter la commande de l'organe cueilleur.
    4 Machine suivant la revendication et la sous -revendication 2, dans laquelle un mouvement alternatif est imprimé à l'or gane cueilleur à l'aide d'au moins un levier en deux éléments distincts élastique ment reliés, dont l'un est relié à l'organe cueilleur, l'autre à un organe de commande, de telle sorte que l'élément relié à l'organe de commande peut continuer à aller et venir lorsque le mouvement de l'organe cueilleur est arrêté.
    5 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 2, 3 et 4, dans la- quelle titi organe d'arrêt est disposé pour venir en prise avec l'élément de levier relié à l'organe cueilleur afin d'arrêter celui-ci pour la prise de totaux. t3 Machine suivant la revendication, dans laquelle le récipient récepteur des cartes- fiches analysées comporte un plancher flottant, un arrêt disposé pour arrêter la carte-fiche sur le plancher et un galet de mise en position, au-dessus du plancher, disposé pour placer en position et main tenir les cartes-fiches sur le plancher.
    7 Machine suivant la revendication, carac térisée en ce que les plaques perforées de l'analyseur de cartes-fiches occupent une position verticale et sont combinées avec un moyen pour tenir la carte-fiche entre elles pendant qu'elle est analysée. 8 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 7, caractérisée cri ce que le moyen pour ternir la carte-fiche entre les plaques d'analyseur consiste en un guichet à mouvement de va-et-vient. 9 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 7, dans laquelle un tablier courbe est disposé pour recevoir les cartes-fiches d'entre les plaques d'ana lyseur et les amener à une position hori zontale avant de les déposer dans le ré cipient récepteur.
    10 Machine suivant la revendication, à com mande par moteur électrique, dans la quelle le magasin à cartes-fiches et le récipient récepteur de cartes-fiches sont combinés avec un mécanisme pour provo quer l'arrêt du moteur lorsque le magasin est vide ou le récipient récepteur plein de cartes-fiches, ce mécanisme comportant un câble flexible de poussée disposé pour actionner Lin interrupteur électrique dans le circuit d'alimentation du moteur.
    11 Machine suivant la revendication, dans laquelle la boîte à chevilles analysatrices de l'analyseur, animée d'un mouvement de va-et-vient, entraîne les chevilles ana- lysatrices par le moyen de barres arialy- satrices combinées avec ces dernières et disposées pour être mues en avant avec la boîte par simple effet de friction et de pesanteur.
    12 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 11, dans laquelle chaque barre analysatrice est pourvue d'encoches, s'ouvrant vers le bas, pourvues de bords formant cames et traversant des trous pratiqués dans des plaques de la boîte à chevilles, le bord formant came étant incliné de bas en haut et d'avant en arrière de façon qu'en glissant sur les bords inférieurs desdits -trous il soulève la barre, à mesure que la boîte à che villes avance, lorsque la cheville ire ren contre pas de perforation.
    13 Machine suivant la revendication et les sous-revendicatioris 11 et 12, dans laquelle des moyens sont prévus pour bloquer en place celle ou celles des barres analysa- trices qui ne sont pas mues vers l'arrière, à l'analyse des perforations d'une carte- fiche, par rapport à la, boîte à chevilles.
    14 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 11, 12 et 13, dans laquelle les moyens de blocage comportent une plaque percée à mouvement alternatif, disposée pour verrouiller les barres analy- satrices. 15 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 11, 12, 13 et 14, dans laquelle les barres analysatrices sont en taillées au bord supérieur de telle sorte que;
    lorsqu'une des barres est poussée en arrière, sa partie entaillée vienne se placer en face de la plaque de verrouillage pour empêcher le verrouillage de la barre ana- lysatrice. 16 Machine suivant la revendication, dans laquelle les organes de transmission sont constitués par des chevilles composables qui, après avoir été actionnées, sont ver rouillées en place et, lorsqu'elles sont verrouillées, sont susceptibles d'actionner à leur tour les câbles flexibles de poussée.
    17 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 16, dans laquelle les câbles flexibles de poussée sont montés dans un châssis mobile susceptible d'aller et venir en se rapprochant et s'éloignant des chevilles composables. 18 Machine suivant 1,1 revendication et les sous-revendications 2, 4, 16 et 17, dans laquelle le châssis à mouvement alternatif portant les câbles flexibles de poussée est actionné par le même levier qui actionne l'organe cueilleur du magasin à cartes- fiches. 19 Machine suivant la revendication et les sous- revendications 2, 4, 7, 8, 16 et 17,
    dans laquelle le levier qui actionne le châssis porte-câbles à mouvement alter natif actionne également le guichet à cartes-fiches. 20 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 16, dans laquelle les chevilles composables sont pourvues de saillies triangulaires formant des épaule ments arrière, avec lesquels peuvent co opérer des barres de verrouillage soumises à l'action de ressorts. 21 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 20, dans laquelle les chevilles composables sont disposées en rangées verticales avec une barre de verrouillage commune pour toutes les chevilles d'une rangée.
    22 Machine suivant la revendication, carac térisée en ce que l'analyseur de cartes- fiches est combiné avec un mécanisme interprétateur pour décaler des change ments dans les désignations de groupes différents de cartes-fiches, un mécanisme de prise de total étant prévu et rais en dépendance dudit mécanisme interprétateur pour être amené à prendre un total lors que des changements de ce genre se pro duisent. 23 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 22, dans laquelle le mécanisme interprétateur agit sur le mé canisme de prise de total au moyen d'un câble de poussée flexible.
    24 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 16, 20 et 22, dans laquelle un levier oscillant correspond à chaque barre de verrouillage, cri com- binaison avec titi doigt interprétateur pivo tant sui, le levier et disposé pour s'en gager par-dessus la barre de verrouillage lorsque le levier oscillant a basculé dans un sens, un levier interprétateur étant disposé pour être actionné par l'inter médiaire de ce doigt interprétateur afin de produire la commande du mécanisme de prise de total.
    25 Machine suivant la revendication, dans laquelle l'analyseur comporte, en dehors des chevilles analysatrices, une cheville auxiliaire d'interprétation de carte-fiche et de prise de total disposée pour Provo quer la commande d'un mécanisme de prise de total.
    26 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 25, dans laquelle la liaison de commande entre ladite cheville auxiliaire et le mécanisme de prise de total est établie air moyen d'un levier de prise de total disposé pour basculer sous l'action de la cheville de prise de total, d'une pièce intermédiaire commandée par le levier de prise de total, d'un câble de poussée flexible relié audit mécanisme et ayant une cheville terminale voisine de la pièce intermédiaire, et d'un organe de poussée, actionné par force motrice et disposé pour repousser la pièce inter médiaire contre ladite cheville terminale.
    27 Machine suivant la revendication, avec embrayage pour sa commande, comprenant un élément d'embrayage à bras radiaux fixés sur un arbre de transmission et un contre-élément d'embrayage coulissant sur une pièce portée par un autre arbre de transmission et qui est disposé pour venir cri prise avec le premier élément d'em brayage, des moyens étant prévus pour rappeler l'élément d'embrayage coulissant au moyen d'une rainure en hélice prévue sur celui-ci et d'une saillie prévue sur ladite pièce s'engageant dans cette rainure, en faisant tourner l'élément d'embrayage coulissant sur lui-même.
    28 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 27, dans laquelle l'élé- ment d'embrayage coulissant est pourvu; pour pouvoir être amené à tourner sur lui-même, d'uii pignon denté avec lequel petit être amené en prise une crémaillère de commande. 29 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 27 et 28, dans laquelle la crémaillère de commande peut être verrouillée, en position de prise avec le pignon, par un loquet combiné avec des moyens pour le dégager.
    30 Machine suivant la revendication, dans laquelle les arrêts sont disposés par ran gées au-dessous des barres à crémaillère et comprennent, dans chaque rangée, neuf arrêts numériques et un arrêt zéro, les arrêts étant établis pour être soulevés et servir alors de butées pour les barres à crémaillère afin de limiter leur course d'avancement. 31 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 30, dans laquelle des moyens sont combinés avec les arrêts pour abaisser les arrêts numériques lorsque les arrêts zéro sont soulevés.
    32 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 30 et 31, dans laquelle les moyens pour abaisser les arrêts nu mériques comportent tin levier de rappel disposé à côté de chaque rangée d'arrêts numériques et pourvu de plusieurs saillies latérales s'engageant dans des encoches allongées des arrêts numériques, ce levier de rappel étant relié à l'arrêt zéro cor respondant au moyen d'un levier inter médiaire pivotant librement, relié au levier de rappel et à l'arrêt zéro.
    33 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 30, 31 et 32, dans laquelle des volets de blocage sont dis posés entre les rangées d'arrêts pour s'en gager dans des encoches de blocage supé rieure et inférieure prévues dans les côtés des arrêts numériques ou des arrêts zéro, pour tenir ces arrêts soulevés lorsque le volet de blocage s'engage dans la plus basse desdites encoches, les arrêts zéro, lorsqu'ils sont soulevés, étant susceptibles de repousser et de dégager les volets des encoches des arrêts numériques pour per mettre à ces derniers d'être abaissés.
    34 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 30, dans laquelle .la limitation de la course d'avancement des barres à crémaillère au moyen des arrêts est réalisée par l'intermédiaire d'un petit levier coudé monté à pivot sur chaque barre à crémaillère et relié à un élément de butée pour l'attaque d'une barre trans versale de commande des barres à cré maillère, ce levier coudé ayant un bras inférieur susceptible d'être engagé par titi arrêt' numérique relevé quelconque, au moment où la barre transversale de com mande est mue en avant, de fagon à être amené à pivoter et, en agissant sur l'élé ment de butée; à dégager celui-ci du champ d'action de la barre transversale de commande.
    35 Machine suivant la revendication et les sous- revendications 30 et 34, dans laquelle les éléments de butée consistent en des leviers reliés aux barres à crémaillère, sollicités par ressort et pourvus d'un épaule ment, tourné vers l'extérieur, susceptible d'être engagé par la barre transversale de commande lorsque le levier est relevé. 36 Machine suivant la revendication, carac- t6riséë en ce que les secteurs à carac tères, pourvus d'une denture pour engrener avec les barres à crémaillère sont com binés avec une règle de verrouillage et d'alignement mobile susceptible de s'en gager dans les dents des secteurs à carac tères de manière à aligner et verrouiller ces derniers durant l'impression.
    37 Machine suivant la revendication, dans laquelle des moyens de retenue sont pré vus pour empêcher le mouvement rétro grade des secteurs à caractères et des barres à crémaillère après qu'ils ont été amenés en position d'impression. 38 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 37, dans laquelle les moyens de retenue comportent une plaque horizontale, pourvue sur son dessous de dents de rochet et des cliquets de retenue montés à l'extrémité arrière des barres à crémaillère et disposés pour s'engager dans lesdites dents de rochet de la plaque pour empêcher un mouvement rétrograde des barres à crémaillère.
    39 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 37 et 38, dans laquelle la plaque à dents de rochet est mobile et disposée de façon à pouvoir être amenée hors du chemin des cliquets de retenue afin de permettre aux barres à crémail lère d'être rappelées à leur position initiale. 40 Machine suivant la revendication, dans laquelle les secteurs à caractères com portent chacun une partie en arc de cercle; présentant un bord à encoches, et des pièces à caractères pourvues d'oreilles disposées dans ces encoches dans lesquelles elles sont fixées en place. 41 Machine suivant la revendication, dans laquelle une plaque à virgules, pourvue de saillies disposées pour imprimer des virgules séparatrices, est assujettie à l'un au moins des secteurs à caractères.
    42 Machine suivant la revendication, dans laquelle le chariot à accumulateur totali sateur est pourvu d'un mécanisme de re port et est susceptible d'exécuter un mouvement de va-et-vient pour être rap proché ou éloigné des secteurs à carac tères afin d'amener les roues de l'accumu lateur totalisateur à engrener avec eux; ou à s'en dégager.
    43 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 42, dans laquelle le mécanisme de report comporte des leviers de report en combinaison avec des cames solidaires des roues de l'accumulateur totalisateur et avec une plaque à cames en gradins, pour amener des barres de report à agir sur les barres à crémaillère de l'ordre immédiatement supérieur de façon à faire déplacer les secteurs à carac tères correspondant à ces barres d'une imité de pas donnant le report.
    44 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 42 et 43, dans laquelle les barres à crémaillère sont combinées avec des moyens de rappel pour les ra- mener par voie contrainte, après un dé placement de report, ces moyens compor tant une tige de rappel disposée pour s'engager avec le bout externe des barres à crémaillère, une paire de leviers de rappel entre lesquels cette tige est sup portée, des rainures-cames de rappel et des leviers disposés sensiblement verti calement, reliés, au moyen de bielles,
    auxdits leviers de rappel et pourvus à leur extrémité inférieure de galets tra vaillant dans lesdites rainures-cames. 45 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 49, dans laquelle le chariot à accumulateur totalisateur est commandé de telle sorte que les roues de l'accumulateur totalisateur sont dé gagées des secteurs à caractères pendant que les données sont introduites dans ces derniers et sont en prise avec les secteurs à caractères lorsque les données sont ac cumulées et lorsque les totaux sont en <B>cours</B> de prise.
    46 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 42 et 45, dans laquelle le chariot à accumulateur totalisateur peut être commandé par deux jeux d'organes à. mouvement alternatif actionnés respec tivement pour accumuler les données ou pour prendre les totaux, en combinaison avec des moyens de couplage pour relier l'un ou l'autre de ces jeux au chariot.
    47 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 30, 34 et 35, dans laquelle des moyens sont prévus pour maintenir l'un quelconque des leviers de butée abaissé, de telle sorte que ce levier est maintenu dégagé de la barre trans- versale de commande pour ne pas rece voir de mouvement de va-et-vient et ne pas actionner la barre à crémaillère cor respondante.
    48 Machine suivant la revendication, dans laquelle les secteurs à caractères sont pourvus de caractères numériques et de caractères zéro, ces derniers étant portés par des supports qui sont normalement en position de non impression par rapport aux secteurs à caractères, tout en étant susceptibles d'être amenés à la position d'impression du zéro. 49 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 48, dans laquelle les supports de zéro des secteurs à caractères sont amenés à la position d'impression de zéro par une came portée par un sec teur à caractères de l'ordre immédiate ment plus élevé.
    50 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 48 et 49, dans laquelle les supports de zéro des secteurs à carac tères comprennent chacun deux parties relativement mobiles qui peuvent être ajustées l'une par rapport à l'autre de façon à mettre les supports de zéro en état pour ne pas être amenés à la posi tion d'impression. 51 Machine suivant la revendication, dans laquelle le chariot imprimeur est com mandé au moyen d'une paire de leviers à mouvement alternatif composés de deux bras distincts, l'un, relié au chariot, l'autre, à une commande, susceptibles d'être cou plés ensemble pour rendre opérants leurs bras reliés au chariot et d'être désaccouplés lorsque ces bras doivent être rendus in opérants.
    52 Machine suivant la revendication, dans laquelle le chariot imprimeur comporte un. support pour le papier, déplaçable par rapport au chariot. 53 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 52, dans laquelle le .,apport du papier du chariot imprimeur peut être déplacé d'un côté ou de l'autre et être fixé au chariot afin d'effectuer l'impression à l'endroit voulu du papier, ce support étant disposé de façon à pou voir osciller et glisser sur un rail porté par le chariot.
    54 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 52 et 53, dans laquelle le support du papier est pourvu de che villes à têtes disposées pour s'engager dans des ouvertures d'une barre de dé termination d'emplacement montée sur ledit chariot. 55 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 52, dans laquelle le support de papier est pourvu de galets pour guider le papier, combinés avec un mécanisme à rochet et à cliquet pour l'avancement du papier, en dépendance du mouvement du chariot imprimeur; le cliquet étant pourvu de deux parties dis posées pour s'engager avec le rochet, l'une de ces parties servant à entraîner le rochet et l'autre servant à l'empêcher d'aller trop loin sous l'effet de la vitesse acquise.
    56 Machine suivant la revendication et les sous-revendications précédentes, telle que décrite ci-dessus en regard des dessins annexés.
CH95248D 1919-07-23 1919-07-23 Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications numériques contenues en des fiches perforées, pour travaux de statistique. CH95248A (fr)

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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE741749C (de) * 1930-02-17 1943-11-17 Hollerith Maschinen Gmbh Durch Lochkarten gesteuerte Maschine

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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DE741749C (de) * 1930-02-17 1943-11-17 Hollerith Maschinen Gmbh Durch Lochkarten gesteuerte Maschine

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