Machine automatique pour imprimer en tableaux et additionner des indications numériques contenues en des fiches perforée, pour travaux de statistique. La présente invention a pour objet une machine automatique pour imprimer en ta bleaux et additionner des indications numé riques contenues en des cartes-fiches perforées, représentées par les perforations de ces cartes- fiches, et qui est destinée à des travaux de statistique.
Cette machine comporte un ma gasin (le cartes-fiches pour recevoir et guider les cartes-fiches perforées, un organe cueilleur verticalement mobile pour amener, les unes après les autres, une à la fois, les cartes- fiches en position d'analyse, un poussoir à commande élastique pour pousser les cartes- fiches dans le magasin vers cet organe cueilleur, un analyseur avec boîte à chevilles pour analyser la carte-fiche, amenée entre deux plaques perforées,
en faisant passer les chevilles auxquelles correspondent des perfo rations à travers ces dernières de facon à faire agir ces chevilles sur des organes de transmission destinés à commander des câbles flexibles de poussée, la machine comportant d'autre part, des secteurs à caractères d'im pression mobiles, des barres à crémaillère coulissantes pour faire tourner ces secteurs, un mécanisme de commande automatique pour déplacer ces barres à crémaillère, des arrêts mobiles pouvant être amenés en posi tion active par lesdits câbles flexibles de poussée pour arrêter les barres à crémaillère après une course de déplacement plus ou moins grande, suivant la valeur des chiffres transmis,
et déterminer par là l'ajustement angulaire des secteurs à caractères, un elra- riot à accumulateur totalisateur pour totaliser les valeurs transmises aux secteurs à carac tères, et un chariot imprimeur pour amener un papier en position d'impression par rap port aux secteurs à caractères, la carte-fiche, après avoir été analysée dans l'analyseur, étant déchargée dans un récipient récepteur.
Sur les dessins ci-joints, donnés à titre d'exemple Fig. 1 est une élévation latérale de l'en semble d'une forme d'exécution de l'objet de hinvention Fig.2 en est une coupe longitudinale prise à travers le socle de la machine, repré sentant le magasin fournisseur de cartes- fiches, l'analyseur et le récipient récepteur de cartes-fiches; Fig. 3 est un plan d'une partie de l'ana lyseur; Fig. 4 est une élévation d'arrière de la machine;
Fig.5 est une vue en perspective da magasin fournisseur de cartes-fiches; Fig. 6 montre en coupe un mécanisme de cueillage audit magasin et des moyens pour arrêter automatiquement la machine lorsque le magasin est vide; Fig. 7 est une élévation de parties de ces moyens d'arrêt automatique; Fig.8 est un plan du mécanisme de cueillage, représentant les moyens d'arrêt; Fig. 9 est une coupe verticale longitudi nale de l'analyseur à plus grande échelle; Fig 9n est une vue de face d'un verrou;
Fig. 10 est une élévation latérale repré sentant les parties de support d'une boîte à chevilles analysatrices et de moyens suscep tibles d'être "composés"; Fig. I1 montre en plan un support pour les câbles flexibles entre l'analyseur et d'au tres parties de la machine; Fig. 12 est une coupe verticale longitudi nale correspondant à la fig. 11; Fig. 13 est une coupe partielle suivant la ligne 13-13 de la fig. 11; Fig. 14 montre en perspective la faon dont les câbles flexibles sont supportés sur le support;
Fig. 15 est une élévation latérale, partie en coupe, représentant des moyens interpré- tateurs de changement de désignation; Fig. 16 est une vue similaire, prise du côté opposé de ces moyens interprétateurs; Fig. 17 est une élévation de champ des- dits moyens en regardant de la gauche à la fig. 16;
Fig.18 est une élévation latérale de certaines parties de la fig. 15, mais les re présentant dans une position différente; Fig. 19 est un plan des moyens interpré- tateurs, quelques parties étant enlevées; Fig. 20 est une coupe verticale longitu dinale représentant des parties de leviers de commande pour un mécanisme d'alimentation de hanalysenr et la boîte à chevilles analy- satrices, ainsi que des moyens pour ver rouiller le mécanisme d'alimentation;
Fig.21 est une coupe d'un mécanisme d'embrayage,. à arrêt automatique, dont est pourvue la machine; Fig. 22 montre en élévation l'un des cô tés de l'un des jeux d'éléments calculateurs et enregistreurs que comporte la machine et dont chacun possède entre autres un secteur à caractères numériques, en combinaison avec les organes de commande attenants; Fig. 23 est une élévation de l'autre côté du même jeu d'éléments; Fig. 24 est une coupe longitudinale d'en semble de la machine;
Fig. 25 à 50 représentent des détails de la partie calculatrice-enregistreuse de la ma chine dont on parlera plus loin, la fig. 44, en particulier, étant une coupe suivant -la ligne 44-44 de la fig. 43, et la fig. 50 une coupe suivant la ligne 50-50 de la fig.49; Fig.51 représente en élévation latérale un mécanisme de mise hors d'impression des zéros pour un des jeux d'éléments calcula teurs et enregistreurs, avec secteur à carac tères et support pour le zéro de l'ordre im médiatement inférieur, retirés tous deux de leur position d'impression;
Fig. 52 représente une partie de ce sec teur à caractères avec son support de zéro amené en position d'impression; Fig. 53 et 54 donnent d'autres positions pour ces organes; Fig. 55 à 60 sont des figures de détails, la fig. 60 étant une coupe suivant la ligne 60-60 de la fig. 58; Fig. 61 est un plan représentant l'en semble des jeux d'éléments calculateurs et enregistreurs proprement dits dans la posi tion de fig. 52;
Fig. 62 est un plan partiel représentant le secteur de l'un des jeux d'éléments dans la position de fig. 54 et les secteurs des jeux d'éléments restants dans la position de fig. 61; Fig. 63 montre le détail d'une plaque dé cimale pour l'impression de virgules ou signes séparateurs entre les caractères; Fig. 64 est une vue de face d'une bande de papier avec des nombres imprimés sur elle, représentant le fonctionnement des mé canismes de mise hors d'impression des zéros; Fi*<B>65</B> est une élévation en bout du chariot imprimeur et des parties attenantes, représentant les parties dans une de leurs positions;
Fig. 66 est une vue similaire, certaines parties étant brisées, les parties étant repré sentées dans une autre position Fig. 67 est une élévation de face de ce chariot Fig. 68 est une coupe de détail suivant la ligne 68-68 de la fig. 67; Fig. 69 est un plan du chariot i Fig. 70 en est une élévation arrière; Fig.71 en est une élévation en bout, représentant quelques parties d'un mécanisme d'entraînement du papier; Fig. 72 et 73 sont des coupes prises res pectivement suivant les lignes 72-72 et 73-73 de la fig. 69;
Fig. 74 est une vue de face d'une plaque de verrouillage de non-impression.
La machine représentée comporte un ana lyseur auquel des cartes-fiches perforées sont amenées d''un magasin fournisseur de cartes- fiches et dans lequel des chevilles analysa- trices sont amenées à porter sur les cartes- fiches perforées de telle sorte que, quand elles trouvent des perforations dans les cartes- fiches, elles passent au travers d'elles et "composent" des organes ou chevilles "com- po,;
ables" qui coopèrent avec des connexions flexibles, lesquelles sont alors amenées à agir sur des arrêts de commande de la partie calculatrice-enregistreuse de la machine, pour ajuster au moyen de ces arrêts, des barres à crémaillère afin d'effectuer une mise en po sition de secteurs à caractères numériques et de faire fonctionner des accumulateurs tota- lisateurs coopérants pour accumuler ou tota liser les données composées sur les secteurs à caractères et correspondant aux perfora tions existant dans les cartes-fiches qui sont analysées dans l'analyseur.
Lorsque les sec teurs à caractères sont ainsi "composés", un chariot imprimeur appuie une bande de pa pier portée par lui contre les caractères des secteurs, en sorte que les articles composés par les secteurs à caractères sont imprimés sur la bande de papier.
Les divers mécanismes de la machine sont portés par un châssis de support 5 composé de pièces en fer cornière 6; entre lesquelles sont placés des panneaux 7. Le bâti 10 de l'aualy leur (fig. 1 et 2) comporte des flasques latérales, 11, entre lesquelles les divers organes de l'analyseur sont portés et une plaque de dessus 12, sur laquelle est monté le magasin fournisseur de cartes-fiches 13, dans lequel sont introduites les cartes- fiches à analyser,
cartes-fiches dont des in dications représentées par des perforations doivent être reportées sur la partie calcula trice et enregistreuse de la machine pour l'impression et l'addition des données.
Magasin fournisseur <I>de cartes-fiches.</I>
Le magasin fournisseur de cartes-fiches comporte une paire de guides latéraux 15 (fig. 2, 3 et 5) qui sont assujettis sur la plaque de dessus 12 et entre lesquels sont disposés deux guides inférieurs 18 (fig. 3), sur lesquels viennent reposer les cartes-fiches dans une position verticale entre les guides latéraux 15.
A l'extrémité avant du magasin il y a une paire de colonnettes-guides 20, qui sont fixées sur une plaque de dessus 12 et sur lesquelles peut glisser verticalement un bloc mobile 21 (fig. 2); pourvu d'une plaque de cueillage 22, formant, sur son bord arrière, un épaulement de cueillage disposé pour s'engager par dessus le bord supérieur de la carte-fiche qui se trouve le plus en avant dans le magasin au moment où le bloc de cueillage est en position élevée, comme ce sera expliqué.
Dans la plaque de dessus 12, au-dessous de l'épaulement de cueillage, il existe une ouverture à cartes-fiches 1211, au- dessus de laquelle sont placés un bloc fixe 24 et un bloc ajustable 25, laissant entre eux une étroite fente qui est ajustée de ma nière à ne permettre qu'à une seule carte- fiche de passer à travers l'ouverture 12 . On règle la position du bloc 25 au moyen d'une vis de réglage 26 assujettie dans un bloc de portée 28, monté sur la plaque de dessus 12, la vis de réglage étant pourvue d'une tête moletée.
Pour pousser élastiquement les cartes-fiches contenues dans le magasin vers le bloc 24 et le bloc de cueillage 21, il est prévu un poussoir 30 disposé entre les guides latéraux 15 et reposant sur les guides infé rieurs 18, et en avant du magasin, il y a une paire de barillets à ressort 31 (11g. 3), sur chacun desquels est enroulé ni) ruban d'acier 32, s'étendant jusqu'à la tige 34 dis posée derrière le poussoir 30.
Grâce à cette disposition, le poussoir 30 est élastiquement poussé en avant dans le magasin et tient la carte-fiche qui se trouve le plus eu avant et) position pour qu'elle soit saisie par l'épaule ment du bloc de cueillage et soit entraînée par lui à travers l'étroite fente précitée.
Afin que le poussoir 30 puisse être retenu pour permettre le bon placement des cartes-fiches dans le magasin, il existe, à l'arrière des guides latéraux 15 et des guides inférieurs 18, des encoches de retenue 38 et 39 (fig. 2) dans lesquelles la tige 34 du poussoir 30 et le poussoir 30 peuvent être placés pour re tenir celui-ci dans sa position retirée pendant l'introduction des cartes-fiches. Une fois les cartes-fiches introduites, on déclenche le pous soir 30, ce qui permet aux barillets 31 de le tirer en avant.
Mécanisme <I>de</I> cueilh@ge <I>des</I> cartes-fiches. Un peu en avant du magasin, sui, la plaque de dessus 12, sont prévus deux mon tants 40 (fig. 3 et 20) sur lesquels pivotent les leviers coudés 41, qui possèdent une branche s'étendant vers l'arrière, pourvue d'une fente extrême arrière 42, dans laquelle peut glisser un coulisseau 44, prévu sur une partie réduite 45 du bloc de cueillage 21.
Les leviers coudés 41 sont pourvus; chacun, d'un bras descendant possédant une fente extrême inférieure 46, dans laquelle s'engage un coulisseau 48 monté sur un tourillon 49 porté par le bras supérieur 50 (fig. 20) d'un levier coudé 52 pivotant. en 53, sui- la partie interne de la flasque latérale correspondante 11. Chacun des leviers coudés 52 comporte un bras 55, dirigé, vers l'arrière, pourvu à sort extrémité arrière d'un galet 56, eu prise avec la rainure-came 57 d'une came corres pondante 58 portée par un arbre rotatif 59.
Cet arbre 59, lorsqu'il est commandé comme ce sera expliqué plus loin, imprime par l'in termédiaire des cames 58, titi mouvement d'oscillation aux leviers 52 et par là aussi aux leviers coudés .11, obligeant ainsi le bloc de cueillage 21 à aller et venir verticalement pour faire sortir les cartes-fiches par la fente de sortie du magasin.
Le bras supérieur 50 de chaque levier coudé 52 comprend titi élément supérieur 60 et titi élément inférieur 61, reliés à pivot l'un à l'autre en 62, l'élément supérieur 60 étant pourvu d'une saillie 64, qui s'engage dans une fente 65 de l'élément inférieur, de telle sorte que le mouvement relatif de ces deux éléments est limité.
Un ressort 66, tendu entre les crochets 67 prévus aux<B>élé-</B> ments 60, 61, maintient élastiquement ces derniers à une des limites de leur mouvement relatif, de sorte que, quand l'élément supé rieur 60 est empêché d'aller et venir, comme ce sera expliqué, le bras 55 solidaire de l'élément inférieur 61 petit continuer à aller et venir.
Dans la partie supérieure du bâti 10 (fig. 2, 4 et 10) sont longitudinalement dis posées une paire de tiges-guides 70, qui supportent une paire de plaques d'analyseur 71, 72, espacées l'une de l'autre et se trou vant directement sous la fente de sortie du magasin. Les cartes-fiches descendant à tra vers cette fente sont saisies par une paire de rouleaux 74, 75 (fig. 2) montés sur des arbres 76 (fig. 1) portant, à leurs bouts externes, des roues dentées 77, qui reçoivent leur mouvement, au moyen des pignons 78, 78', de la roue dentée 79 laquelle engrène, à son tour, avec une roue dentée 80, engrenant avec une roue dentée 81, portée par l'arbre à came 59.
Les arbres 76 sont faits légère- rneiit flexibles de faon à ce que les cartes fiches puissent être saisies par les rouleaux 74, 7 5 et être passées entre les plaques 71, 72. Analyseur <I>de</I> cartes-fiches. Les plaques d'analyseur 71, 72 sont pouI#vues de rangées verticales de perfora tions se faisant face 85, 86 (fig.9). Les cartes-fiches sont tenues en place entre les plaques d'analyseur au moyen d'une trappe à mouvement alternatif 87 (fig. 9), qui est amenée à coulisser sous l'action d'une paire de bielles 88 reliées, par leurs extrémités an térieures,
à des saillies descendantes 89 (fig. 2 et 20), formées sur les plaques latérales de support 90 pivotant sur des pivots 91, por tés par les éléments supérieurs 60 des le viers coudés 52.
Les extrémités antérieures des plaques de support latérales 90 sont articulées à une bielle pendante 94, suspendue au socle de support 95 de la partie calculatrice-enregis- treuse (fig. 1).
Après qu'une carte-ficlre a été analysée entre les plaques 71, 72, comme ce sera expliqué, les leviers coudés 52 et les bielles 88 effectuent un mouvement de va- et-vient en ouvrant ainsi la trappe 87 et en permettant à la carte-fiche d'être entraînée de haut en bas, au moyen des rouleaux coopérants 96, 97 (fig. 10), qui viennent en prise avec son extrémité et dont le second est com mandé par le court arbre 98 supportant la roue dentée 78.
La carte-fiche est ensuite reçue par un tablier 100 (fig. 2), où elle est saisie entre les rouleaux 101, 102. Le rou leau 101 est monté sur un arbre 104 sup porté, clé façon à pouvoir tourner, dans les flasques 11 et portant de petites roues den tées 105 (fig. 1) en prise avec la roue dentée 79. Le rouleau 102 est monté sur un arbre 107 supporté par les consoles 108 pivotant, en 109, sur les flasques 11 et pourvues de bras à crochet 110 pour l'attaque d'un res- sort 111 servant à tenir ce rouleau 102 appuyé contre le rouleau 101 pour saisir convenablement les cartes-fiches.
(Au lieu que l'arbre 107 soit supporté sur des consoles mobiles, il suffit de faire les arbres 104 et 107 légèrement élastiques de façon à ce qu'ils aient une tendance suffisante à pincer les cartes-fiches entre les rouleaux).
Récipient <I>récepteur des</I> cartes-fiches.
Du tablier 100, les cartes-fiches passent sur le plancher flottant 115 (fig. 2) pourvu, à ses extrémités opposées, de pièces guides tubulaires. 116, -qui peuvent glisser sur les tiges-guides verticales 118 supportées sur la pièce inférieure 119 et par des consoles su périeures 120 montées sur des consoles 121 portées par le bâti 10.
Au bord extrême arrière du plancher flottant, sont placées des plaques d'arrêt 124 destinées - à arrêter les cartes-fiches sur le plancher flottant à mesure qu'elles viennent du tablier, les cartes-fiches étant appliquées contre lesdites plaques d'ar rêt au moyen de galets de mise en position 125, montés sur l'arbre 126 qui passe à travers les côtés du bâti et est mis en ro tation au moyen d'un pignon 128 (fig. 1) engrenant avec la roue dentée 79.
Le plancher flottant 115 est élastiquement supporté au moyen de rubans 130 (fig.4) enroulés autour de barillets à ressorts 131 montés sur les consoles 121. A mesure que les cartes-fiches quittent le tablier 100 et sont mises en position par les galets de mise en position 125, le plancher flottant 115 est graduellement repoussé de haut en bas jusqu'à ce qu'il ait reçu un nombre maximum de cartes-fiches.
<I>Boîte à</I> chevilles analysatrices. Chaque carte-fiche, à mesure qu'elle est placée entre les plaques d'analysateur 71, 72, est analysée par l'avancement de chevilles analysatrices montées dans la boîte à che villes anâlysatrices. Cette boite est supportée sur les tiges-guides 70 (fig. 4 et 10) et com prend une plaque-guide antérieure 140, une plaque-guide intermédiaire 141 et une. plaque guide arrière 142, ces plaques étant mainte- nues espacées au moyen de tiges d'espace ment 143.
Aux extrémités de la boîte à chevilles, sont assujettis des blocs latéraux 114 pourvus de galets 145 qui supportent la boîte à chevilles de façon à lui permettre de glisser sur les tiges 70. Chaque bloc la téral est également pourvue d'une saillie arrondie 147 logée dans une fente extrême supérieure 148 du bras supérieur 149 d'un levier coudé 150 (fig. 20), pivotant cri<B>152</B> sur la flasque correspondante 11 du bâti 10 et ayant un bras inférieur 154, pourvu d'un galet 155 engagé dans une rainure-came analy satrice 156, pratiquée dans la came 58 correspondante,
grâce à quoi les leviers cou dés 150 reçoivent un mouvement de va-et- vient pour faire aller et venir la boîte à chevilles. Le bras supérieur de chaque levier coudé 150 comprend un élément supérieur <B>158</B> et un élément inférieur 159 articulés ensemble en 160, l'élément supérieur étant pourvu d'une saillie 162, engagée dans une fente allongée 163 prévue dans l'élément supérieur, ce qui fait que ces éléments sont susceptibles d'un mouvement relatif limité l'un par rapport à l'autre. L'élément supé rieur est maintenu à la limite antérieure de son mouvement relatif au moyen d'un ressort 164 tendu entre les crochets 166 prévus aux éléments respectifs.
Les plaques-guides 140, 141 et 142 (fig. 9) sont pourvues de rangées verticales d'ouver tures 170, 171 et 172 disposées en aligne ment avec les perforations 85 et 86 des plaques d'analyseur 71, 72. Les ouvertures 171 et 172 sont allongées verticalement et, dans ces ouvertures, sont disposées des ran gées verticales de barres analysatrices hori zontales 174, disposées pour effectuer un mouvement vertical limité dans les ouver tures et pourvues, chacune, d'une paire d'en coches 176, 177, s'ouvrant vers le bas, qui reçoivent les plaques-guides arrière et inter médiaires, respectivement, et possèdent des bords antérieurs inclinés formant carnes 179, 180,
le bord supérieur de chaque barre ana- lysatrice étant évidé, entre lesdites encoches, pour former une partie réduite intermédiaire (fi g. 9). Dans les ouvertures 85 et 170 sont disposées les chevilles arialysatrices propre ment dites 185, qui se trouvent en ligne avec les barres analysatrices et se terminent vers l'arrière,
par les têtes 186 s'engageant derrière la plaque-guide antérieure 140 de telle sorte que toutes les chevilles analysa- trices qui peuvent avoir été avancées sont rappelées cri arrière lorsque la boîte à che villes est ramenée en arrière. Lorsque la boîte à chevilles se meut vers l'avant, les chevilles analy satrices 185 sont amenées cri prise avec la carte-fiche en cours d'analyse, et, si une cheville analy satrice quelconque trouve une perforation dans la carte-fiche,
elle avance à travers la carte-fiche, cette cheville analysatrice et la barre analy satrice y associée étant sollicitées en avant du fait que le poids de la barre arialy satrice est suffisant pour empêcher les bords formant carnes 179, 180 de glisser sur les bords in férieurs des perforations 171, 172.
Toutefois, si la cheville analysatrice est arrêtée par contact avec une partie pleine de la carte fiche; lorsqu'elle ne se trouve pas en face d'une perforation, la résistance de la carte- fiche est suffisante pour repousser la cheville analysatrice et la barre arialysatrice y asso ciée par rapport aux plaques-guides 141 et 1.12, en obligeant par cela même les bords- cames 179, 180 à glisser sur le bord inférieur des ouvertures 171, 172.
Comme la force avec laquelle les barres analysatrices 174 sont sollicitées en avant, est très faible et n'est pas suffisante pour effectuer ni) changement appréciable dans les parties du mécanisme analysateur, il est né cessaire de prévoir un moyen pour verrouiller ces barres analysatrices par rapport à la boîte à chevilles après qu'elles ont été mfies en avant,
derrière une cheville analysatrice qui a trouvé une perforation dans la carte- fiche. Ce moyen de verrouillage comporte une plaque de verrouillage 188 susceptible de coulisser verticalement dans la boîte à che villes et pourvue de fentes 189, destinées à recevoir les barres analy satrices et à per mettre un mouvement vertical de ces barres lorsque la plaque de verrouillage a été rele vée, ainsi que de maintenir l'encoche 177 de l'une quelconque des barres avancées en prise avec le bord inférieur de l'ouverture 172 correspondante lorsque la plaque de verrouil lage descend.
8i, cependant, une barre ana- lysatrice quelconque est restée immobile pendant que les plaques 142 et<B>188</B> se sont mûes en avant par rapport à elle, les plaques 1-l'.3 et 188 avancent par rapport à cette barre jusque sur la partie réduite 181 de celle-ci.
Dans -lette position, il ne peut pas y avoir de verrouillage de la barre analysa- trice et la boîte à chevilles continue à se mouvoir en avant en permettant aux che villes analysatrices qui ont été arrêtées par la carte-fiche de rester déverrouillées, de telle sorte que la cheville ne forcera pas contre la carte-fiche.
Pour produire ce mouvement de verrouil lage, il est prévu, sur chaque bord de la plaque de verrouillage 188, une oreille 190 a%sujettie à la face externe d'une patte laté rale 191 solidaire de la plaque de verrouil lage 188, et cette oreille 190 est pourvue d'une saillie 192, qui s'engage dans une rainure-came 193 prévue dans une. plaque 194 fixée au moyen d'une vis 195, au bâti 10. Les rainures-cames 193 des plaques 194 sont de forme telle que, lorsque les saillies 192 se trouvent à l'extrémité arrière de leur mouvement, elles s'engagent dans la partie arrière des rainures-cames 198 en maintenant ainsi la plaque de verrouillage 188 relevée hors de position de verrouillage par rapport aux barres analysatrices 174.
Lorsque la boîte à chevilles analysatrices avance, les saillies 192 viennent glisser dans la partie antéro-inférieure des rainures-cames 193, ce qui oblige la plaque de verrouillage à des cendre en tenant par cela même la barre analysatrice qui .a été avancée en prise de verrouillage avec la plaque arrière 142, mais en permettant à la partie réduite 181 d'une barre analysatrice quelconque qui a été re tenue par une carte-fiche, de rester complè tement dégagée d'avec la plaque de ver rouillage 188.
Lorsque la boîte à chevilles analysatrices est retirée, les barres analysatrices 174 qui étaient repoussées en arrière à cause de l'absence de perforation, en face d'elles, dans la carte-fiche, sont ramenées au moyen de la plaque de ramenage 196, montée sur les tiges 197 supportées dans les consoles 198 portées par le bâti 10. De petites tiges 199 (fig. 10) supportées entre la partie supérieure de la plaque de ramenage 196 et la plaque 72 de l'analyseur, aident à guider la boîte à chevilles dans son mouvement.
Chevilles coinposabdes.
En avant des plaques d'analyseur 71, 72 sont disposées une. paire de plaques-guides fixes 200, 201 (fig. 9) pourvues de trous, en ligne avec les trous des plaques d'analyseur, dans lesquels sont momitées, de façon à pou voir glisser, des chevilles composables 203, en alignement avec les chevilles analysatrices. Chaque cheville composable est pourvue, sur son bord supérieur, d'une saillie sensiblement triangulaire formant un épaulement arrière vertical 205 et une rampe 206 inclinée vers l'avant.
En avant des plaques-guides fixes 200, 201 se trouvent des traverses de support 207 portées par les flasques latérales 11. et por tant les plaques 208 et 209 dans lesquelles sont disposées, de façon à pouvoir glisser, des chevilles de prolongement 210 qui. se trouvent en alignement avec les chevilles composables et sont pourvues de colliers 211, entre lesquels et la plaque 209 sont intercalés des ressorts de compression 212 qui repous sent élastiquement vers l'arrière les chevilles de prolongement 210 et, avec elles, les che villes composables 203.
Les plaques d'analyseur 71, 72, les plaques-guides antérieures 200 et 201 et les plaques-guides 208, 209 pour les chevilles de prolongement sont toutes montées sur les tiges-guides de support, fixes, 70, lesdites plaques-guides étant en outre maintenues espacées les. unes des autres et des plaques- d'analyseur 71, 72 au moyen de tiges-guides supplémentaires 215 (fig. 10).
Les chevilles composables 203 sont pous sées en avant par les chevilles analy satrices 185 et sont tenues dans cette position au moyen de verrous 216, coulissant verticale ment (fig. 9 et 9l) clans des traverses fen dues 217 fixées à la plaque 201 et qui sont soutenus élastiquement par de petits ressorts 218.
Ces verrous sont pourvus d'évidements latéraux 219, formant entre eux des dents 220, susceptibles d'être engagées et soulevées par les rampes antérieures 206, et de re tomber derrière les épaulements verticaux arrière 205, lorsque les chevilles composables 203 sont repoussées en avant. En avant dé la plaque-guide 209, pour les chevilles de prolongement, sont disposés, entre ces der nières, plusieurs leviers oscillants 222 pivo tant, cri un point intermédiaire de leur lon gueur, sur une tige-pivot 223.
A l'extrémité supérieure de chacun de ces leviers oscillants pivote un doigt interprétateur 224 disposé pour s'engager par dessus le verrou 216 associé lorsque le levier oscillant est amené à la position représentée à la fig. 9. A la partie inférieure de chaque levier oscillant '?22 est articulé un doigt de dégagement 226, disposé pour s'engager sous le verrou 21(i associé lorsque la partie inférieure du levier oscillant est amenée à une position située cri arrière de celle représentée à la fig. 9.
Dans cette dernière position, les doigts de dégage ment 226 servent à dégager les verrous 216 de toutes chevilles composables qui ont été mfies vers l'avant et ce dégagement s'effectue, par l'intermédiaire desdits doigts, par l'ac tion d'une tige de dégagement 227, portée à ses extrémités par une paire de bras de dé gagement 229 (fig.2), pivotant, en 230, sur les flasques latérales 11 et pourvus à leur extrémité inférieure, d'un galet 231 cri prise avec une rainure-came 232, prévue sur la face interne des cames 58.
Les leviers oscillants 222 peuvent être n iarroeuvrés à la main, pour être amenés de l'une des positions à l'autre au moyen de tringles de manoeuvre 233, sollicitées vers l'extérieur par des ressorts (fig. 2) et pour vues de crans de réglage 234, au moyen desquels elles peuvent être fixées dans la position d'ajustement voulue.
Connexions fle.zibles <I>mobiles.</I>
Les plaques de support latérales 90 (fig. 2, 11 et 12) sont pourvues d'encoches supé rieures 235, dans lesquelles sont reçues des oreilles 236; faisant saillie de plaques laté rales 237 auxquelles sont assujetties des barres verticales arrière et intermédiaires 239, aux extrémités supérieures et inférieures desquelles sont montées les barres de support arrière, supérieure et inférieure 240 et 241 et les barres de supports intermédiaires 243 et 244. Des barres verticales antérieures 2.15 sont assujetties à la face interne de l'extré mité antérieure des plaques de support laté rales 90 et supportent les barres de support antérieures, supérieure et inférieure, 246 et 247.
Toutes ces barres de support sont pourvues d'encoches latérales verticalement alignées, 250, dans lesquelles sont reçues les extrémités réduites 251 (fig. 14) de barretf'#s réceptrices de tubes<I>252</I> dont chacune est pourvue d'encoches latérales 253. Avec chaque paire de barres de support, supérieure et in férieure, sont associées des plaques-guides extérieures et intérieures 255, 256, dont chacune est pourvue de parties latéralement coudées 257, 258, assujetties auxdites barres de support au moyen de vis 259 engagées dans des trous 260 de ces barres.
Les par ties coudées 258 des plaques-guides intérieures 256 sont pourvues chacune d'un nez 262 disposé pour s'engager avec lesdites extrémi tés réduites 251 et les maintenir dans les encoches latérales 250. Dans les encoches 2â3 des barres 252 sont reçus des tubes- guides arrière, 264, des tubes-guides intermé diaires 265 et des tubes-guides antérieurs 266; ces tubes-guides sont empêchés de se déplacer longitudinalement au moyen de leurs têtes et latéralement au moyen de la barrette réceptrice de tubes adjacente.
Entre les tubes-guides arrière et les tubes- guides intermédiaires sont disposés plu sieurs càbles flexibles de transmission de poussée 268, dont chacun comprend une gaine extérieure assujettie dans les dits tubes; respectivement, et un fil roté- rieur 269 (fig. 14) passant longitudinalement à travers la gaine et raccordé, à l'extrémité arrière, à des chevilles terminales tubulaires arrière 270, pouvant glisser dans les plaques guides arrière 255, 256 et se trouvant en face des chevilles de prolongement 210.
Des chevilles terminales intermédiaires 272, pou vant glisser dans les plaques-guides corres pondantes, reçoivent les extrémités antérieures des fils métalliques intérieurs 269. En regard des chevilles terminales intermédiaires 272 se trouvent les chevilles terminales anté rieures 273 auxquelles sont fixées les extré mités arrière de fils intérieurs de câbles de transmission de poussée 275, portés dans les tubes-guides antérieurs 266 et reliant les chevilles terminales antérieures 273 avec la partie calculatrire-enregistreuse de la machine comme cela sera expliqué plus loin.
Toutes les paires de plaques-guides 255 et256 sont aisément détachables deleurs barres de support; de telle sorte que les tubes-guides intermédiaires 265 et les chevilles termi nales intermédiaires y associées 272, peuvent être détachés des barres de support intermé diaires 243, 244 et être rattachés à une partie différente des barres de support inter- médiaires, de façon à les amener en face des chevilles terminales antérieures 273 en une partie quelconque des barres de support antérieures 246, 247.
De cette façon, il est possible de relier l'une quelconque des Che villes de prolongement 210 avec un câble de transmission de poussée 275 quelconque voulu, et de relier ainsi la partie de l'ana lyseur qui analyse une partie donnée d'une carte-fiche perforée avec un jeu d'éléments calculateurs-enregistreurs quelconque de la partie calculatrice-enregistreuse de la machine.
Lorsque les chevilles composables 203 ont été poussées en avant, au cours de l'ana lyse d'une carte-fiche, et ont été bloquées dans une position avancée au moyen du verrou 216 (fig. 9), les bras supérieurs 50 (fig. 20) des leviers coudés 52 se meuvent alors vers l'arrière en entrainant.avec eux les plaques de support latérales 90, et tout le mécanisme monté entre eux, de telle sorte que les chevilles terminales arrière 270 sont repoussées en arrière sur les chevilles de prolongement 210 qui sont tenues en avant par les chevilles composables 203.
Ce mou vement a pour effet que les chevilles termi nales arrière 270 sont repoussées de dehors en dedans par rapport aux tubes-guides arrière 264 et par rapport à la gaine exté rieure des câbles de transmission de poussée y assujettis, ce qui oblige ainsi les chevilles terminales intermédiaires 272, les chevilles terminales antérieures 273 et le fil intérieur des câbles .de transmission 275 à être poussés en avant. de façon à actionner les arrêts de la partie calculatrice-enregistreuse de la ma chine, comme cela est expliqué plus loin.
Les chevilles terminales 270, 272 et 273 sont pourvues de parties renflées 277 (fig. 14) formant des épaulements pour limiter le mouvement des chevilles terminales dans les plaques-guides 255, 256. Mecanisme inte7:prétaleur <I>de</I> changement <I>de</I> désignation.
Sur les plaques-guides 208, 209 pour les chevilles de prolongement 210 est. monté une plaque 280 (fig. 15 à 19) portant le méca nisme interprétateur pour interpréter le chan gement de désignation lorsque des groupes de cartes-fiches d'une désignation ou caté gorie sont suivis par un autre groupe de cartes-fiches d'une désignation différente. Après avoir placé une pile de cartes-fiches dans le magasin, on met la machine en marche pour qu'elle agisse sur ces cartes- fiches. La machine agit d'abord sur,
et ad ditionne les articles d'un premier groupe de cartes-fiches et, lorsqu'elle arrive à la fin du premier groupe, le mécanisme interprétateur interprète le changement de désignation de groupe, prend et imprime les totaux des données introduites dans le totalisateur, ra mène la machine à zéro et la fait repartir immédiatement pour l'enregistrement des données du groupe suivant de cartes-fiches, en continuant de cette façon jusqu'à ce que toits les groupes de cartes-fiches aient été séparément totalisés. Le mécanisme qui effectue cette opération, est le suivant: .
Un coulisseau à dents de rochet 281, se guidant par des fentes 282 sur des chevilles 284 montées sur la plaque 280 est maintenu retiré ait moyen du ressort 285 tendu entre la lèvre 286 du coulisseau et la paroi de la cage 288 qui, montée sur la plaque de des Rrrs 12, enveloppe le mécanisme interpréta- teur de changement de désignation.
Le bord supérieur du coulisseau<B>281</B> est pourvu d'une paire de dents de" commande 290, 291 et d'une dent de détente 292. Les dents de commande 290, 291, peuvent être engagées par la dent 29.1, tournée vers le bas d'un cliquet de commande 295 articulé à l'extrémité supérieure du levier d'interpré tation 296, monté sur l'arbre 299 qui est supporté dans les flasques latérales 11.
Sur cet arbre sont également montés les bras 300 supportant une tige de contact 301 dis posée pour être rencontrée par les doigts in- terprétateurs 224 lorsque ceux-ci sont dans leur position arrière, comme cela est repré senté à la fig. 16, et lorsque l'un quelconque d'entre eux est soulevé art moyeu d'urr des verrous 216. Seuls ceux des leviers oscillants 222 qui correspondent aux zones des nombres de désignation des cartes-fiches perforées sont actionnés pour amener les doigts interpréta- teurs correspondants à leur position arrière.
Chaque fois qu'un doigt interprétateur 224 est soulevé une fois. comme lorsque la première carte-ficlre <B>dit</B> premier groupe est interprétée, le levier interprétateur 296 est amené à basculer et déplace le coulisseau 281 de la longueur d'une dent de commande, après quoi la dent de détente 292 est enga gée, comme cela est représenté à la fig. 18, par une dent 305 portée par un cliquet de retenue, ou détente, 306, pivotant sur la plaque de support 280.
Le cliquet de commande 295 et le cliquet de détente 306 sont maintenus en prise avec la dent qu'ils attaquent, au moyen d'un ressort 308 tendu entre des bras relevés à crochet 309, 310 prévus sur ces cliquets.
Lorsque le levier interprétateur 296 bas cule de nouveau, il repousse la lèvre 286 du coulisseau 281 contre les chevilles termi nales 312 (fig. 16) d'un câble de commande de prise de total 319 et de câbles de déga gement de loqueteaux 315, ayant leurs fils internes reliés auxdites chevilles terminales et leurs gaines extérieures fixées dans le bloc 316 assujetti sur la plaque de support 280.
Lorsque ces chevilles terminales sont pous sées par ce mouvement de la lèvre 286 du coulisseau 291, les fils internes de ces câbles sont actionnés; le fil interne du câble 314 détermine la prise d'rrrr total, comme ce sera expliqué, alors que les fils intérieurs des câbles 315 produisent titi verrouillage du mécanisme d'alimentation du magasin à car tes-fiches et empêchent les plaques de sup port latérales 90 de se mouvoir vers l'arrière, comme cela va être bientôt expliqué.
Après que les cibles 311 et 315 ont ainsi été actionnés, le ressort 285 retire le cou- lisseau 281 à la position de fig. 18. Lorsque la première carte-ficlle du groupe suivant apparaît dans l'analyseur, titi trou clé dési gnation différente apparaît en position de commande et le levier interprétateur est amené à basculer pour déterminer ainsi de nouveau la prise d'un total.
Lorsque la ma chine est vide de cartes-fiches et qu'on dé sire commencer avec titi nouveau groupe, d'une désignation différente, on relève les cliquets de commande 295 et de détente 306 pour permettre au coulisseau 281 de revenir à, la position de fig. 15.
Ce relèvement est accompli art moyeu d'une clé de remise en position 321, qui est pourvue d'une cheville saillante 326 s'engageant sous les extrémités internes saillantes 327, 328 des cliquets 295, 306 et guidée dans une fente 329 de la plaque de support 280, la clé 321 étant pourvue d'un bouton de man#uvre 333I et d'un ressort de rappel 293.
11c>@@rni.nae <I>(le</I> verrouillage <I>de</I> l'alimentation <I>par</I> <I>le</I> magasin <I>et des connexions</I> flexibles. Sur la partie supérieure de la face in- terne de chaque flasque latérale 11 (fig.20) du bâti 10 est monté un coulisseau de ver- roiiillage horizontal 330, se guidant par des fentes longitudinales 331 sur des chevilles 332 montées sur la flasque latérale 11, de telle sorte que le coulisseau peut effectuer un mouvement limité dans une direction ho rizontale.
A l'extrémité arrière de chaque coulisseau 330 est monté à pivot, en 333, un loqueteau 334 pourvu d'une oreille laté rale 335 disposée pour s'engager derrière la saillie supérieure 336 portée par l'extrémité supérieure de chacun des leviers coudés ana- lysateurs 150, lorsque cette extrémité supé rieure se trouve portée cri avant. Une détente coudée 338 pivotant sur chaque coulisseau de verrouillage 330 est pourvue d'un épaulement 339 disposé pour s'engager sous le loqueteau 334 afin de maintenir l'oreille 335 dégagée de l'extrémité saillante 336.
Un bloc terminal 340 sur chaque flas que latérale 11, disposé au-dessus de la queue de la détente 338, porte la gaine extérieure de l'un des câbles 315 (fig. 16) de dégage ment des loqueteaux.
Un ressort 341, tendu entre les crochets 342 de chaque loqueteau 334 et de la dé tente correspondante 338, maintient cette dernière en prise avec son loqueteau et tend à déplacer celui-ci de haut en bas.
Lorsque le fil intérieur des câbles<B>315</B> est actionné; les détentes 338 sont dégagées des loqueteaux 334 et permettent à l'oreille 335 de venir s'engager derrière la saillie 336 des leviers coudés 150, ce qui fait que les coulisseaux 330 sont déplacés ci) arrière, en obligeant ainsi une rampe 343 (fig. 20), y prévue, à venir en prise avec une saillie la térale 344 portée par un cliquet de verrouil lage 345 pivotant en 346 sur la flasque latérale 11.
Lorsque cet engagement se pro duit, les cliquets de verrouillage 345 sont abaissés à l'encontre d'un ressort 348, tendu entre le bras inférieur 349 du cliquet et l'extrémité antérieure du coulisseau de ver rouillage correspondant 330, lequel dernier est normalement maintenu élastiquement à la limite de son mouvement en avant, alors que le cliquet de verrouillage 345 est main tenu dans sa position supérieure par le res sort 348.
Lorsque cet abaissement des cliquets 345 se produit, l'épaulement 350 de ces der niers s'engage derrière le pivot 91 du levier coudé 52 correspondant de sorte que l'élé ment supérieur 60 de celui-ci et par consé quent le levier coudé correspondant 41 et le bloc de cueillage du magasin à cartes-fiches sont empêchés d'aller et venir pendant que le bras inférieur 55 des leviers coudés 52 continue à aller et venir à l'encontre du ressort 66.
Ceci a pour effet de suspendre l'entraînement des cartes-fiches du magasin et empêche la commande des fils internes des câbles de transmission durant le temps pendant lequel le total est pris par la partie calculatrice-enregistreuse de la machine, . comme cela sera expliqué. A la fin de cette période de temps, un bossage périphérique 355 de chaque came 58 vient en prise avec un galet 856 monté à l'extrémité inférieure d'un levier de dégagement 357, pivotant sur la tige 358 portée entre les flasques latérales 11, et soulève ce levier de dégagement et avec lui, une barre de dégagement 360, articulée à l'extrémité inférieure dudit levier.
Chaque barre de dégageaient 360 se guide par une fente 361 sur une vis 362 portée par la flasque latérale 11 correspondante, de telle sorte que ladite barrre de dégagement peut glisser sous le loqueteau 334 correspon dant.
Lorsque les leviers de dégagement 357 sont ainsi soulevés, les barres de dégagement 360 obligent les loqueteaux 334 à être déga gés de la saillie extrême 336 des leviers coudés 150, en permettant par cela même aux coulisseaux de verrouillage 330 de se mouvoir en avant et de permettre aux cli- quets de verrouillage 345 d'être relevés hors d'engagement avec le pivot 91,
ce qui dé gage ainsi l'élément supérieur 60 des leviers coudés 52 et permet la reprise de l'entraî nement des cartes-fiches. Iblé(-aiaisnae interprétateur <I>de</I> eaïtes-fiches <I>de</I> jw-ise <I>de total.</I>
Si, pour une raison quelconque, on désire maintenir le mécanisme interprétateur sus décrit hors d'action et s'en reposer sur des cartes-fiches de prise de total, bien connues, pour déterminer l'opération de prise d'titi to tal, ceci peut se faire au moyeu du méca nisme représenté dans la, partie médiane de la fig. 2 et à la partie inférieure de la fig. 9.
Ce mécanisme comporte une cheville de prise de total 365, glissant dans les perfo rations pratiquées dans la partie inférieure des plaques 71, 140 et 142 et susceptible d'être poussée en avant au moyen d'un res sort 366 tendu entre la plaque 142 et la partie rabattue 367 de la cheville 365.
Lorsqu'un total doit être pris, une carte- fiche de prise de total pourvue d'une perfo ration ou d'une partie entaillée sur soit bord est entraînée entre les plaques d'analyseur et, lorsque la boîte à chevilles avance, la cheville de prise de total 365 passe à tra vers cette perforation ou partie entaillée et actionne tin levier de prise de total 368, pi votant sur le tablier 100 et disposé pour abaisser une pièce de support 370 (6g.
2) de telle sorte qu'un plongeur 371., monté à coulisse sur celle-ci, vient en avant d'une cheville terminale 372 d'un câble de prise de total 373 dont la gaine extérieure est fixée dans titi bloc terminal 374. Lorsque la pièce de support 370 est ainsi amenée en avant de ladite cheville terminale, elle permet au plongeur 371 d'être niii en avant petit, venir eu prise avec la cheville terminale afin d'ac tionner un mécanisme de prise de total dé crit plus loin.
Le plongeur 371 est actionné au moyen d'un levier 375 pivotant sur le bossage 376 et pourvu d'titi galet 377, dis posé pour être engagé pal, une came 378 montée sur l'arbre 59. Il est maintenu élas- tiquement retiré au moyen d'titi ressort de compression 350 intercalé entre la pièce de support 370 et une tête extérieure 381 dit plongeur, une tête intérieure 384 de celui-ci limitant le mouvement du plongeur sous l'action de ce ressort.
Mécanisme <I>de débrayage</I> automatique <I>de la</I> machine.
Le mécanisme de débrayage automatique de la machine est monté sur une partie in férieure 389 du bâti 10 (fig. 2, 4 et 21) et il comporte une boîte 390 dans laquelle est montée une vis sans fin 391 fixée sur l'arbre de commande longitudinal 392 qui tourne dans la partie inférieure de ladite cage et est relié, par une courroie 393, à titi moteur électrique Jl (fig. 4). Dans la partie supé rieure de la boîte 390 est monté un arbre rotatif 394 disposé transversalement à l'arbre 392 et monté dans des roulements à billes 395.
Sur cet arbre 39.1 est fixée une roue hélicoïdale 397, engrenant avec la vis sans fin 391 et obligeant l'arbre 394 à tourner lorsque l'arbre 392 est actionné. Sur l'extré mité interne saillante de l'arbre 394 est calé un collier 398 sur lequel est assujetti, ait moyen de vis 399, titi organe d'embrayage 400 pourvu de bras radiaux.
A la boîte 390 est adjacente une console 401, dans laquelle tourne titi arbre intermédiaire 402, disposé en alignement axial avec l'arbre 394. Sur le bout interne de cet arbre intermédiaire est fixée une tête 40.1 pourvue d'un trou -105 parallèle à l'arbre 402 et situé à une dis tance considérable de celui-ci. Dans les ex trémités opposées de ce trou sont fixés des bouclions 407, 408, dans lesquels peut cou lisser une broche d'embrayage 409.
Sur la partie médiane de cette broche d'embrayage est fixé un collier de commande 410. pourvu d'une rainure en hélice 411 dans laquelle s'engage une cheville 41.\3 fixée dans la tête 404. Entre ce collier 410 et le bouchon 408 est disposé un ressort de compression et à torsion 41.1 qui maintient élastiqueinent la broche d'embrayage entre les bras de l'or gane d'embrayage 400.
Comme la cheville 4-12 est fixée dans la tète 404, tin mouve tnent de rotation de la broche d'embrayage 409 produit un mouvement longitudinal cor respondant de celle-ci pour la retirer d'entre les bras de l'organe d'embrayage 400. D'titi autre côté, lorsque la broche d'embrayage 409 est dégagée, le ressort 414 tend à la ramener entre lesdits bras.
Le mouvement de rotation de la broche d'embrayage est com mandé par l'intermédiaire d'une crémaillère en arc de cercle 418<B>(fi-.</B> 2) montée à pivot sur rrn prolongement latéral 419 de 401 et disposée pour engrener avec un pignon denté .120 (fig. 21) fixé sur le bout externe de la broche d'embrayage 409. Au-dessous de la crémaillère, il y a dans la pièce 389, un trou de guidage 421. pour un tampon 424, sollicité par un ressort 422 contre la cré maillère 418 de façon à la maintenir en prise avec le pignon 420.
Sur le prolongement 419 pivote égale ment un levier de commande 426 pourvu d'une partie fourchue 427, recevant une che ville 428 prévue sur la erérnaillère 418. Le bras inférieur du levier de commande 426 est relié, au moyeu d'une bielle 430, au bras inférieur d'un loquet 431 pivotant sur la pièce 389 et pourvu d'un cran de verrouillage 432, disposé pour s'engager . sous l'extrémité libre de la crémaillère 418 afin d'en assurer la prise avec le pignon 420. On notera qu'il y a un jeu suffisant entre la cheville 428 et la partie fourchue 427 pour permettre de produire le déclenchement du loquet 431, avant que la crémaillère soit abaissée, par le mouvement du levier de commande 426 en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre.
Lorsqu'on désire que le mécanisme soit embrayé, on déplace le levier de commande 426 et) sens inverse du mouvement des ai guilles d'une montre au moyen d'une tringle de manoeuvre 436 passant à travers le pan neau de devant 7 (fig. 1); ceci produit d'abord le déclenchement du loquet 431, puis le mouvement descendant de la crémaillère 418, jusqu'à ce qu'un bras de verrouillage 437 de la crémaillère ait pris sur l'épaulement 438 d'un loqueteau 440 articulé sur le prolonge ment 419 et repoussé en prise avec ledit bras par un ressort 441.
Ce mouvement de descente de la crémaillère 418 libère le pi gnon 420 et le ressort à torsion 414 fait tourner la broche d'embrayage 409 qui vient alors en prise avec l'organe d'embrayage 400, ce qui fait que l'arbre 402 se met à tourner. Pour obtenir le débrayage du mécanisme, le loqueteau 440 est dégagé, ce qui permet à la crémaillère 418 de venir en prise avec le pignon 420, sous l'action du ressort 422. L'arbre 402 en rotation entraînant la tête 404 avec le pignon 420 qui se déplace sur la crémaillère 418, celui-ci est amené à tour ner sur lui-même pour faire tourner la broche d'embrayage 409 de façon à la retirer de l'organe d'embrayage 400.
Sur l'arbre intermédiaire 402 est fixée une roue dentée 445 qui engrène avec une roue dentée 446 (fig. 2) fixée sur l'arbre à cames 59, ce qui fait qu'un mouvement de rotation est imprimé à cet arbre lorsque l'arbre intermédiaire est lui-même mis en rotation.
Lorsqu'un nombre suffisant de cartes- fiches sont amenées ou entraînées par l'ana lyseur pour obliger la plaque flottante 115 à venir presque à la limite inférieure de son mouvement, il est désirable que la machine soit automatiquement arrêtée jusqu'à ce que l'opérateur puisse enlever les cârtes-fiches et remettre la machine en marche.
Cet arrêt automatique de la machine est produit par la pression de la plaque flottante<B>115</B> contre le fil intérieur d'un câble de poussée flexible 448 (fig. 2) dont la gaine extérieure est fixée, par ses extrémités, dans un bloc 450 prévu à la plaque de fond 119 et dans un bloc terminal inférieur 451 fixé à la partie infé rieure du prolongement 419. L'actionnement de ce câble détermine le dégagement du lo queteau 440 et le débrayage de l'embrayage décrit de la machine. Il est également désirable que l'embrayage soit débrayé et que la machine soit amenée au repos si toutes les cartes-fiches ont été entraînées du magasin et que celui-ci se trouve ainsi vide.
Le dispositif qui sert à réaliser cette opération est représenté aux fig. 5 à 8 et est établi comme suit: Le bloc cueilleur de carte-fiche 21, qui est mobile verticalement, est pourvu d'un trou 460 disposé transversalement à lui et et longitudinalement au magasin à cartes- fiches et en ligne avec un trou 461 du pous soir 30. Le trou 460 présente air épaulement intérieur 464 et, dans ce trou, est disposé, de façon à pouvoir glisser, un pistou 468 repoussé vers les cartes-fiches du magasin par un ressort 469 disposé entre cet épaule ment 461 et la tête 470 du piston.
Le bout externe du piston est pourvu d'un bloc de commande allongé 472, susceptible, lorsque le piston est poussé à la position représentée à la fig.6 par les cartes-fiches contenues dans le magasin, de sortir de sous la tête d'engagement 474 (fig.7) d'un levier 475 pivotant su:- la boîte 288 du mécanisme in- terprétateur. S'il n'y a pas de carte-fiche dans le magasin, le piston 468 ést repoussé par le ressort 469 jusqu'à ce que son extré mité interne passe à travers l'ouverture 461 et que le bloc 472 passe sous la tête d'en gagement 474 du levier 475.
Lorsque ceci a lieu, le mouvement ascendant du bloc cueil leur 21 amène le bloc 472 en prise avec la tête d'engagement 474 et fait basculer le levier 475. Ce mouvement de bascule amène l'extrémité active 476 du levier 475 en prise avec la cheville terminale 478 d'un câble flexible de poussée 479 dont la gaine exté rieure est fixée dans le bloc 480 et dont l'autre extrémité de la gaine extérieure est fixée dans le bloc 451 (fig. 2), alors que son fil intérieur est disposé pour se relier au lo queteau 420 afin de déclancher celui-ci et de libérer la crémaillère :118 pour produire le débrayage de l'embrayage, comme cela a été expliqué ci-dessus.
On voit d'après cela que, quand le magasin à cartes-fiches se trouve vide, le bloc 472 coopère avec le câble flexible 479 pour produire l'arrêt de la ma chine.
Chaque fois que l'embrayage est débrayé pour arrêter la machine, il est désirable que le moteur JI, actionnant l'arbre de commande 392 soit également amené au repos et ceci est effectué au moyen d'un câble de poussée flexible 485 (fig. 1) dont l'extrémité interne de la gaine extérieure est fixée dans un bloc 486, prévu sur le prolongement 419, alors que le bout externe de sa gaine est fixé dans un bloc 487 monté dans le voisinage d'un interrupteur, indiqué schématiquement en 488, qui commande l'arrivée du courant électrique au moteur 1L Chaque fois que la crémaillère 418 est soulevée pour débrayer l'embrayage,
le fil interne du câble 485 est actionné par un bras 491 de ladite crémaillère, ce qui produit le déclanchement d'un loqueteau 492 de l'interrupteur 488, eu permettant ainsi à la lame de contact 493 de se dégager, sous l'action du ressort 494, des pièces de con tact 495 intercalées dans le circuit qui ali mente le moteur.
Fonctioieirenient <I>de</I> l'analyseur <I>et des</I> iiaécnu.isiiies <I>y associés.</I> Le poussoir 30 du magasin à cartes-fiches est retiré eu arrière et on place des cartes- fiches dans le magasin de façon à ce que leurs bords inférieurs reposent contre les guides inférieurs 18 et que la face antérieure du paquet de cartes-fiches soit pressée contre le bloc cueilleur au moyen du poussoir au fur et à mesure qu'il est automatiquement tiré
en avant par les rubans 32 sous l'action des barillets à ressort 31. Si le mécanisme interprétateur de changement de désignation doit être utilisé, on fait basculer les leviers oscillants 222, associés avec la zone de la carte-fiche perforée qui représente la désigna tion; de dedans en dehors au moyen de la tringle 233, de sorte que les doigts interpré- tateurs 2'24- de cette zone sont amenés au- dessus des verrous 216 associés avec ladite zone.
On fait basculer les autres leviers oscillants 2'22 de dehors en dedans de telle sorte que les doigts de dégagement 226 s'en gagent sous les verrous 216 de celles des zones dans lesquelles une addition doit se faire.
On relève ensuite le boutoir 333\ de fa çon ), être sûr que le coulisseau dent(: 280 est dégagé. On abaisse le bouton poussoir 497 de l'interrupteur 488 pour mettre le moteur <B><I>JI</I></B> en marche;
la crémaillère oscil lante 418 est, au moyen de la tringle 436, dégagée du pignon 420 et est maintenue ainsi dégagée au moyen du loqueteau 440, après quoi le mécanisme est embrayé pour faire tourner l'arbre à cames 59, tandis que les leviers coudés 52 oscillent en produisant le mouvement de va-et-vient du bloc cueil leur et l'entraînement des cartes-fiches: A mesure que les cartes-fiches sont entraînées de haut cri bas, les bielles 88 se meuvent en même temps vers l'extérieur et ferment la porte ou guichet à cartes-fiches 87 (fig. 9) en sorte que la carte-fiche entraînée entre les plaques d'analyseur 71, 72, y est retenue par ce guichet 87.
Ceci fait, le mouvement d'oscillation des leviers coudés 150 oblige la boîte à chevilles analysatrices à avancer, en repoussant toutes les chevilles analysatrices 185 vers la carte-fiche qui, à ce moment; se trouve entre les plaques d'analyseur. Celles des chevilles analysatrices qui ne trouvent pas devant elles de perforations dans la carte-fiche sont immobilisées par cette der nière, tandis que celles qui y trouvent des perforations avancent par suite du contact des rampes-cames 179, 180 avec les plaques- guides 141, 142.
Durant ce mouvement, la plaque de verrouillage 188 avance avec la boîte à chevilles et verrouille -lors celles des chevilles qui ont avancé, en laissant dé verrouillées celles qui ont été retenues en arrière par la carte-ficlie. Celles des chevilles qui ont avancé poussent en avant les che villes composables 203 jusqu'à ce que les verrous 216 soient relevés et s'engagent derrière les épaulements 205 des chevilles composables en verrouillant ainsi ces dernières en position avancée. Ceux des verrous 216 qui correspondent aux zones de désignation de la carte-fiche soulèvent les doigts inter- prétateurs 224.
qui ont été déplacés en arrière, en produisant ainsi le fonctionnement du le vier interprétateur 296 et le mouvement du poulisseau denté 281, jusqu'à ce que la dent 292 de celui-ci soit arrêtée par la dent 305 de la détente 306.
Lorsque les chevilles composables sont ainsi verrouillées, les leviers coudés 52 oscillent en arrière, en obligeant ainsi le guichet 87 à libérer la carte-fiche qui se trouve alors entre les plaques d'analyseur, et dans ces conditions cette carte-fiche passe sur le tablier 100 et est placée en position, au moyen des galets 125, et de l'arrêt 124, sur le plancher flottant 115.
Pendant que les chevilles composables se trouvent encore en avant et à mesure que les leviers coudés 52 oscillent vers l'arrière, comme cela vient d'être dit, ce mouvement des leviers coudés repousse les plaques de support latérales 90, et tout le mécanisme contenu entre elles, vers l'arrière contre les chevilles de prolongement 210 qui ont été repoussées en avant par les chevilles compo- sables et, alors, les fils internes des câbles 268 et 275 sont repoussés en avant par rap port à leurs gaines, ce qui a pour effet que le fil interne des câbles 275 agit pour ame ner en position les arrêts numériques de. la .
partie calculatrice-enregistreuse de la machine; comme ce sera expliqué plus loin. Après que ce mouvement s'est produit, les leviers coudés 52 et les mécanimes y associés avancent et la tige de dégagement 227 (fig. 2) se relève, de sorte que ceux des doigts de dégagement 226 qui ont été aille- liés en arrière sous les verrous 216 relèvent les verrous associés pour libérer les chevilles composables 203 qui ne correspondent pas aux zones de désignation de la carte-fiche,
en sorte que ces chevilles composables et les chevilles de prolongement 210 y associées sont ramenées en arrière sous l'action des res sorts 212 montés sur les chevilles 210. Le fonctionnement, sus-décrit, de la boîte à chevilles analysatrices et des parties com mandées par elle se répète jusqu'à ce que toutes les cartes-fiches de la même désigna tion aient été analysées et que les indica tions qu'elles portent aient été transférées à la partie calculatrice-enregistreuse de la ma chine.
Toutefois, lorsqu'un nouveau groupe de cartes-fiches d'une désignation différente tombe juste cri arrière du groupe précédent, des chevilles composables différentes 203, se rapportent à la zone de désignation corres pondante sont . actionnées, ce qui fait soule- ver les verrous 216 associés, dont le soulè vement produit un second mouvement d'oscillation du levier interprétateur pour faire déplacer le coulisseau denté 281 du mécanisme interprétateur d'un second pas;
mais puisqu'il n'y a qu'une dent de détente 305, le coulisseau 281 n'est pas verrouillé dans cette nouvelle position en avant et, lorsque le levier iriterprétateur revient en arrière, à la position de la fig. 18, le cou- lisseau 281 recule avec lui d'un pas jusqu'à ce que la dent de détente 305 soit engagée par la dent de rochet 292 du coulisseau.
Ce second mouvement du coulisseau 281 oblige la lèvre 286 à venir en prise avec les che villes terminales 312, ce qui a pour effet que le mouvement est transmis, par l'inter médiaire du câble de poussée 314, an méca nisme de prise de total de la partie calcula- trice-enregistreuse de la machine en déter minant ainsi la prise d'un total.
En même temps; les câbles 315 commu niquent un mouvement à la détente coudée 338 (fig. 20) en obligeant ainsi l'oreille la térale 335 à tomber derrière la saillie extrême 336 des leviers coudés 150,
après quoi les cliquets 345 s'engagent derrière les pivots 91 et empêchent le mécanisme d'entraînement d'entraîner aucune carte-fiche à l'analyseur pendant que la première carte-fiche du lion- veau groupe qui a déterminé le fonctionne- ment du mécanisme interprétateur et la prise d'un total reste dans l'analyseur pendant que le tôtal est donné.
Lorsque le levier interprétateur 296 oscille pour la seconde fois, pour effectuer la prise (le ce total, le coulisseau denté 281 du mé canisme interprétateur n'est pas verrouillé dans la nouvelle position, mais revient,- sous l'action de son ressort<B>285,</B> à la, position qu'il occupait avant le mouvement addition nel qui a produit la prise d'un total.
Par conséquent, lorqu'un troisième groupe de cartes-fiches est amené à l'analyseur, la pre- ntière carte-fiche du nouveau groupe fait basculer le levier interprétateur 296 une fois, ce qui produit la prise d'un total de la ma nière qui vient d'être expliquée. Si, au lieu de compter sur le mécanisme interprétateur de changement de désignation, on préfère employer des cartes-fiches de prise de total ordinaires, on introduit des cartes fiches de prise de total dans le paquet de cartes-ficlles ail point où le total doit être pris.
Lorsqu'une telle carte-fiche arrive en position analysatrice, la cheville de prise de total 365 (fig. 9) trouve une ouverture dans le bord de la carte-fiche et passe à travers cette ouverture sous l'action du ressort 366, ce qui fait osciller le levier de prise de total 368 de façon à amener le plongeur<B>371</B> en position active pour actionner le câble de prise de total, par l'intermédiaire du le vier<B>375,</B> afin de produire la prise d'un total, après quoi le guichet 87, étant ouvert,
per met à la carte-fiche de prise de total de sortir avec les autres cartes-fiches dans le récipient récepteur des cartes-fiches. Lorsqu'un nombre suffisant de cartes-fiches ont été ana lysées pour amener le plancher flottant<B>115</B> avec la cheville terminale du fil intérieur du câble 448 (fig. 2), l'embrayage de la ma chine est débrayé.
D'un autre côté, si les cartes-fiches sou tenues dans le magasin à cartes-fiches sont épuisées, la tête allongée 472 du piston 468 participant au mouvement (lu bloc cueilleur 21 (fig. 7) vient en position pour faire osciller le levier 457 et le câble 479 est actionné pour dégager l'embrayage. Dans un cas comme dans l'autre, le dégagement de l'embrayage détermine la commande du câble de trans mission flexible 485 (fig. 1) pour obliger le levier de déclanchenient 492 à dégager la laine de contact 493 de façon à mettre le moteur électrique AI<I>à</I> l'arrêt.
Partie calc,ttlatrice-eriregisti-etrse <I>de<B>Ici</B></I> inachitae. La partie calculatrice-enregistreuse de la machine, désignée d'une façon générale par 500 (fig. 1) comprend plusieurs jeux d'élé ments calculateurs-enregistreurs identiques, dont le nombre varie suivant la grandeur de la machine.
Ces jeux d'éléments calculateurs- enregistreurs dont chacun constitue une unité, sont placés côte à côte et chacun d'eux comporte titi e paire de joues 501, convenablement espacées pour- la réception entre elles des divers élé ment, du jeu on unité. Ces joues ou flasques 501 sont montées sur des consoles de sup port 502 montées sur la partie 95 du bâti de la machine.
<I>Boîtes à.</I> chevilles terminales.
Sur la face interne des consoles 502 sont supportées des plaques pendantes espacées 504 (fig.25), entre lesquelles sont montés des paires de supports transversaux 505 dis posés parallèlement les uns aux autres et transversalement aux flasques 501. Urie boîte à chevilles terminales 506, supportée entre lesdits supports transversaux, comporte des plaques latérales 507, des plaques guide-che- villes internes 508 et des plaques guide-che- villes inférieures 509.
Entre les supports transversaux 505 est assujettie une plaque à chevilles terminales fixe 510, maintenue en place par des plaques de retenue, supé rieures et inférieures, 512, 513, assujetties à la face interne des supports transversaux. Les plaques de retenue supérieures sontcou- dées vers l'intérieur en 515 pour former un siège pour recevoir et supporter le bord in férieur des plaques latérales de la boîte à chevilles terminales. Des câbles de transmis sion flexibles 275 ont leurs gaines fixées à la plaque à chevilles terminales 510.
Aux extrémités supérieures des fils inté rieurs des câbles de transmission 275 sont assujetties les rangées clé chevilles terminales 518 dont chacune est guidée de façon à pouvoir se déplacer verticalement, dans les plaques guide-chevilles 508 et 509. Chaque cheville terminale est pourvue d'rin collier de rappel 519, reposant normalement sur la plaque guide-chevilles inférieure 509 corres pondante.
Entre les rangées de chevilles terminales sont disposées des barres de rappel 520 qui reposent sur les colliers de rappel 519 et aux extrémités opposées desquelles sont assujetties les pièces ou supports extrêmes 521 .portant, à leur partie inférieure, une tige de soulèvement 522. Lorsque les fils des câbles de transmis sion 275 sont actionnés, les chevilles termi nales 518 sont relevées; après quoi il est nécessaire qu'elles soient de nouveau abais sées. Ceci est accompli au moyen d'un levier 524 pivotant sur une console 525 assujettie à la partie du bâti 95.
La branche externe du levier 524 est articulée à la tige de sou lèvement 522 et possède un bras montant 527, pourvu à son extrémité supérieure d'un galet 528, s'engageant dans une rainure- came périphérique 529 d'une came 530 (fig. 25 et 31), qui -est montée sur Lin arbre 531 supporté dans des consoles 532 (fig. 1), qui sont montées sur la partie du bâti 95. Le levier 521 est élastiquement tenu en po sition avec son galet en prise avec la came 530 au moyen d'un ressort 535, tendu entre le bout libre 536 du levier et de la partie du bâti 95 de la machine.
L'arbre 531 est actionné par l'arbre à cames 59 au moyen d'un arbre de transmis sion 538 (fig. 1) qui est relié aux arbres 59 et 531 au moyen de rouages d'angle, de fa çon que l'arbre 531 soit obligé de tourner en uf'iisson avec l'arbre 59. La rainure-caine périphérique 529 de la came 530 est située et établie de telle sorte que les chevilles terminales 518 soient abaissées une fois du rant chaque tour de l'arbre 59 et après que les mécanismes coopérants ont eu le temps d'agir, comme cela sera expliqué.
11lécartisirre <I>de mise en</I> 2)osition <I>de barres</I> <I>à</I> créazaittèr-e.
Au-dessus des chevilles terminales 518 de chaque jeu d'éléments ou unité, se trou vent des plaques guide-arrêts, supérieure et inférieure, 540, 541 (fig.24), dont chacune est pourvue de plusieurs rangées d'ouvertures pour des rangées d'arrêts numériques 542 (fig. 24 et 35), dont un correspond, dans chaque rangée, à chacun des chiffres "1" à "9" et qui se trouvent cri alignement avec les chevilles terminales 518, comme cela est représenté à la fig. 25.
Chaque arrêt numérique est pourvu d'une face de bout supérieure 543, inclinée d'avant en arrière et de haut en bas (fig. 39), d'une paire de crans de verrouillage latéraux, supérieur et inférieur, 544, 545, d'une petite saillie 546 entre ces crans et d'une encoche de rappel 547 dans la partie inférieure de l'arrêt.
Avec ch^que rangée d'arrêts numériques est associé, 'en un endroit adjacent à l'arrêt correspondant au chiffre<B>,Il',</B> tir) arrêt zéro 550 (fi-. 35 et 37) coulissant verticalement dans les plaques-guides supérieure et inférieure 540, 541 et pourvu d'une face de bout supé rieure 551, biseautée de dehors en dedans et de haut en bas, d'un épaulement formant carne 552, incliné de dedans en dehors et de haut en bas et d'une face d'appui horizontale 553 adjacente à cet épaulement.
Cet arrêt zéro 550 est également pourvu, dans son côté, de deux encoches de verrouillage supérieure et inférieure 555, 556 (fig. 35), entre les quelles se trouve une petite saillie 557, comme dans les arrêts 542. U rie encoche 558 est prévue dans le bord externe de l'arrêt zéro. Des plaques porte-volets 559 (fig. 36) sont supportées entre les fiasques 501 au moyen de saillies à épaulement 560 s'en gageant dans des rainures appropriées des flasques 501. Ces plaques porte-volets sont assujetties aux plaques-guides supérieure et inférieure 540, 541 et servent à les supporter.
Entre les plaques<B>559</B> sont montés à pivot des volets 561, dont (in est représenté à la fig.38 et qui sont pourvus de pivots 562 s'engageant d'ans des trous 56.1 (fig. 36 et 37) des plaques porte-volets.
Les volets 561 sont disposés entre les rangées ,d'arrêts et sont pourvus de rebords rentrants 566, disposés pour s'engager dans les encoches 544, 545, 555 et 556 des arrêts. Chacun des volets 561 est en outre pourvu d'une saillie extrême 567, passant à travers des trous 568 de la plaque porte-volets adja- eente et engagée par des fils-ressorts 569 <B>(fi-.</B> 37) supportés dans de petites fentes pratiquées dans une plaque 570, portée par (nie des plaques porte-volets 559.
Ces res sorts servent à tenir les volets élastiquement cri prise avec les encoches des arrêts. Entre les rangées d'arrêts 542 et 550 sont disposés (les leviers d'abaissement 572 (fig. 24), pivotant par- leurs extrémités arrière sur la tige-pivot 573 et qui sont pourvus de saillies latérales 574 s'engageant dans les encoches de rappel 547 des arrêts 54.2. L'ex trémité antérieure de chaque levier d'abaisse ment est pourvue d'une cheville latérale à tête 576 s'engageant dans une fente 577 d'un levier 578, pivotant, en un point inter médiaire de sa longueur, sur une tige-pivot 590 et qui est pourvu, à soir extrémité in terne,
d'une cheville latérale à tête 591, s'en gageant dans l'encoche 558 de l'arrêt zéro 550. Chaque fois qu'un arrêt 54.2 est relevé au moyen d'une cheville terminale 518, la face biseautée inférieure de l'encoche supé- rieure (fig. 39) vient cri prise avec le rebord 566 du volet correspondant<B>561</B> et éloigne celui-ci de l'encoche 555 de l'arrêt zéro 5#'0;
dans ces conditions, le levier d'abaissement 572 correspondant est relevé et l'extrémité interne du levier 578 et l'arrêt zéro associé sont abaissés par, suite de l'engagement de la saillie latérale 574 du levier avec le bord inférieur de l'encoche de rappel 5.17 de l'arrêt relevé, et, aussi, dans une certaine mesure, par suite de l'influence d'un ressort 593 (fig. 24) tendu entre une plaque à crochet 594 et un crochet 595 prévu sur les leviers d'abaissement 572. Durant ce mouvement, les saillies 546 des arrêts numériques repous seront les volets assez loin pour que l'en coche 555 de l'arrêt zéro soit sûrement dé gagée.
Le but visé par le relèvement des arrêts numériques est la mise en position, par eux, de barres à crérnailléres à mouvement alter natif, actionnant des secteurs à caractères et dont on va parler dans la suite.
Après que cette mise en position a eu lieu, les arrêts numériques sont rappelés, comme cela va être décrit.
Sur la face externe de l'une des plaques latérales 507 (fig. 25 et 2î) est appliquée, pour chaque unité, une plaque de rappel au zéro coulissante 597, pourvue de chevilles Q98 se guidant dans des fentes allongées 599, de telle sorte que ladite plaque de rappel est librement reliée à la boîte à chevilles ter- initiales pour effectuer un mouvement cou- fi.arrt dans la direction verticale.
De part et d'autre de chaque plaque de rappel 597 sont disposées une paire d'oreilles 600 sup portant une tige transversale 601, logée libre ment dans une fente 602 prévue à l'extrémité d'un levier de rappel 604, pivotant en un point intermédiaire entre ses extrémités, sur nue oreille 605 formée sur les bords de la plaque-guide supérieure 508.
L'extrémité op posée 606 de chaque levier de rappel 604 est articulée à une 'bielle courbe 608, arti culée d'autre part à la tige de soulèvement 522, de telle serte que, quand cette tige 522 est relevée, la plaque de rappel 597 est abaissée, de sorte que l'arrêt zéro 550 peut être abaissé si l'une des chevilles terminales et les arrêts numériques alignés avec elle sont relevés.
Après que la mise en position, susmentionnée, des barres à crémaillères a eu lieu; la tige de soulèvement 522 est abais sée, en entraînant avec elle les barres de rappel 520 et les chevilles terminales, en relevant en même temps, par l'intermédiaire de la bielle courbe 608 et des leviers de rappel 604, la plaque de rappel 597 de façon à relever les arrêts zéro 550 qui sont dis posés directement au-dessus (le cette plaque. Ce relèvement des arrêts zéro 550 fait monter l'extrémité interne des leviers 578, en abais sant ainsi les leviers d'abaissement 572 et en obligeant les saillies latérales 574- à venir en prise avec le bord inférieur des encoches de rappel 517 des arrêts numériques 542 et à abaisser ces derniers.
Le relèvement des arrêts zéro ainsi décrit repousse les volets en arrière par suite de l'engagement de la face inférieure de l'encoche 555 avec eux, en dé gageant les volets des encoches 545 des arrêts numériques, ce qui permet ainsi à ces arrêts numériques d'être abaissés; comme cela vient d'être expliqué.
IL ressort de ce qui précède que lorsqu'une carte-fiche perforée est entraînée entre les plaques d'analyseur et est analysée dans l'analyseur par les chevilles analysatrices, les arrêts numériques correspondant aux perfora tions numériques de la carte-fiche seront re levés; en même temps que l'arrêt zéro y associé est abaissé. Toutefois si, dans une colonne quelconque, une perforation zéro ap paraît sans qu'il y ait de perforation numé rique dans la même colonne, il n'y aura pas d'arrêt numérique 542 qui se relèvera et l'arrêt zéro 550 associé avec la colonne con sidérée, restera dans la position relevée.
<I>Barres et</I> crémaillère <I>à</I> ïnottvernent alternatif.
Au-dessus de chaque rangée d'arrêts numé riques 542 est disposée une barre à crémail lère 610 (fig. 24) associée avec cette rangée et oDulissant dans les fentes d'un peigne 611 et dans des fentes de la plaque à crochet 594. Chaque barre à crémaillère est pourvue, en sa partie médiane, d'une butée présentant (in épaulement 612. La partie externe de chaque barre à crémaillère est pourvue d'une fente longitudinale 614, traversée par une tige transversale 615 qui limite le mouvement des barres à crémaillère et les maintient eu place.
La partie interne de chaque barre à crémail lère est pourvue à son bord supérieur, de plusieurs dents de crémaillère 616, disposées pour engrener avec les dents d'une roue dentée 617 assujettie à un secteur à caractères respectif 618, tournant sur l'arbre 620 qui est monté entre les fiasques 501. Secteurs èt. caractères. Les secteurs à caractères<B>618</B> sont pour vus d'une partie en arc de cercle 621 (fig. 48) reliée à la partie principale du secteur par des bras 622.
Cette partie arquée 621 pré sente plusieurs encoches extérieures 624 et plusieurs encoches intérieures 625, les pre mières recevant une oreille extérieure 626 (fig. 50) et les secondes, une oreille intérieure 627, formées sur des pièces 628 portant les caractères numériques 630 et assujetties, par des rivets<B>631,</B> à la partie arquée, comme on le voit à la fig. 24. Chaque secteur à caractères 618 est également muni d'un carac tère zéro 634, comme ce sera expliqué plus loin.
Le caractère numérique 630 adjacent au caractère zéro 634, est le caractère de l'unité, les autres caractères portant les dé signations "21@ à "9", le caractère "911 étant le plus éloigné du caractère zéro. Urr levier de butée 635 est articulé, par sort bout in terne, à l'extrémité interne de chaque barre à crémaillère<B>610</B> et est pourvu, en un point intermédiaire, d'une fente horizontale 636 et d'une butée à épaulement dirigé vers l'ex térieur 638. Le bout externe du levier de butée 635 présente un prolongement 640, disposé vers l'extérieur.
Sur le bout externe de chaque barre à crémaillère 610 est dis posé un montant extrême 641, à l'extrémité supérieure duquel est monté à pivot un cli- quet de retenue 642. pourvu à son bout in terne d'un crochet 643. Entre le crochet 643 et un crochet 645 porté par- le prolongement 64() est tendu un ressort 646 destiné à tenir le prolongement 640 et le levier de butée relevés et à maintenir relevé au #si le bout externe du cliquet de retenue 642.
Une barre de commande transversale 647 (fig. 24) est disposée pour aller et venir dans une fente 6-l8 des flasques 501 et pour pou voir être placée entre les épaulements 612 et 638 lorsque les leviers de butée sont re levés par le ressort 646. Cette barre de ccrn- mande transversale est animée d'un mouve ment de va-et-vient par les moyens qui vont être décrits.
Sur chaque barre à crémaillère 610 est monté à pivot un levier coudé 650, pourvu d'art bras descendant qui présente un épaule ment interne 651, disposé pour venir en prise avec l'épaulement 552 de l'arrêt zéro lorsque cet arrêt est relevé et pour venir cri prise avec un arrêt numérique relevé quelconque de la rangée à laquelle appartient cet arrêt zéro lorsque le levier de butée est relevé, de telle sorte que l'épaulement porté vers le haut 638 de celui-ci, est engagé et actionné de dehors en dedans par la barre de corn- rrrande transversale 647.
Ce levier coudé 650 est également pourvu d'un bras 653, disposé vers l'intérieur, qui est muni d'une cheville latérale 65-1, disposée pour s'engager dans la fente longitudinale 636 du levier de butée. Lorsque le levier de butée est relevé sous l'action du ressort 646, la barre de commande transversale 647 s'engage avec l'épaulement 638 et, lorsqu'elle se meut de dehors en de dans, elle repousse le levier de butée et la barre à crémaillère correspondante vers l'in térieur jusqu'à ce que l'épaulement abrupt 651 des leviers coudés 650 vienne en prise avec l'épaulement<B>652</B> de 1',i r,rêt zéro si aucun arrêt numérique n'est relevé, ou si un arrêt numérique est relevé, avec cet arrêt numé rique.
Lorsque cet engagement se produit, le levier coudé 650 bascule et la cheville latérale 654 est abaissée jusqu'à ce que l'épaulement 638 soit abaissé suffisamment pour éviter la barre de commande transver sale 647 et permettre à cette barre de se mouvoir librement en laissant ainsi la barre à crémaillère mise en place par l'arrêt relevé, selon la perforation qui a produit le relève ment de cet arrêt numérique.
Lorsque la barre à crémaillère est ainsi mise en place, le secteur à caractères cri prise avec. elle est amené dans une position telle que le carac- tère numérique 630 correspondant à l'arrêt numérique relevé su trouve en position d'im pression, comme ce sera expliqué dans la description d'un chariot imprimeur.
-Lblécareis ae domrard aux barres à. créuaailtère leur iraorrreirae)r.t <I>de</I> va-et-vient.
Les eatrénrités de la barre de commande transversale 647 passent à travers les fentes 648 des flasques<B>501</B> (fig. 21) et sont assu jetties à des coulisseaux 657 (fig. 22) glis sant à l'extérieur des flasques 501.
Le bout externe de chaque coulisseau 657 est pourvu, sur sa face interne, d'un galet de support 658, disposé pour rouler dans la fente<B>618.</B> La partie interne de chaque coulisseau glisse entre deux galets de guidage rotatifs 658 et est pourvue d'une cheville latérale à tête, 660, s'engageant dans une fente 661 d'un levier de commande 662 pivotant, en 663, sur la partie inférieure de la flasque corres pondante. L'extrémité inférieure du levier 662 est pourvue d'un bras 665, s'étendant de dehors en dedans (fig. 22 et 30) pourvu à son extrémité arrière d'un galet 667 s'en gageant dans une rainure 668 d'une came 670 montée sur l'arbre 531.
!ll(;canisine <I>de-</I> maintien <I>et</I> d'alignement <I>(les</I> secteurs <I>à</I> caractères.
Lorsque l'une ou l'autre barre à crémail lère 610 est mise cri position par l'action de ', épaulement abrupt 651 du levier coudé <B>650</B> correspondant (fig. 24) avec Lit] arrêt numérique relevé, l'arrêt numérique empêche simplement la barre à crémaillère d'avancer, ruais rie l'empêche pas de reculer, reculement qui ,pourrait se produire cri raison du dés- équilibrage du secteur à caractères dû au poids de la partie arquée 621. Ce mouvement rétrograde est empêché de la façon suivante.
Un étrier 673 et) forme de<B>U</B> renversé est disposé pour glisser verticalement entre les bouts externes des flasques 501 et comporte un joug -horizontal intermédiaire 674 et des branches descendantes<B>675,</B> dont les extré mités inférieures sont pourvues chacune d'une fente verticale 676.
LTrie tige-griide mobile 678 passe à travers la partie supérieure de ces branches et à travers des fentes verticales 679 des flasques 501 pour guider la partie supérieure des branches. Une tige-guide in férieure fixe 680, passant à travers les flasques 501, passe dans les fentes verticales 676 pour guider la partie inférieure des branches.
Une plaque dentée 683 est assujettie au joug 67.1 de l'étrier 673 et est pourvue, à sa face inférieure de dents de rochet 683 disposées transversalement par rapport aux flasques<B>501</B> et offrant (les épaulements internes abrupts 684 et des faces extérieures inclinées 685, qui sont disposes pour coopérer avec le bout externe du cliquet de retenue 642 de façon à ce que celui-ci ressaute sur lesdites faces inclinées lorsque l'une ou l'autre barre à cré maillère se meut de dehors en dedans.
Après que la barre à crémaillère s'est ainsi déplacée vers l'intérieur et a été mise en position par un arrêt numérique relevé, le cliquet de re- tenrie extérieur 642 vient en prise avec l'un des épaulements abrupts 684 pour empêcher tout mouvement rétrograde de la barre à crémaillère.
Après que la barre à crémaillère est ainsi empêchée de reculer, les secteurs à caractères sont bloqués en position au moyen d'une règle de verrouillage et d'alignement 687, disposée parallèlement à l'arbre 620 des sec teurs à caractères et pourvue d'extrémités saillantes 688 (fig. 22), susceptibles de glisser dans des fentes radiales 690 (par rapport aux secteurs à caractères) prévues dans les flasques 501.
Lorsque cette règle se meut de dehors en dedans, vers les secteurs à carac tères, soir bord inférieur biseauté 691, s'en gage entre les dents d'engrenage 693 des secteurs à caractères, de sorte que ces sec teurs sont bloqués et alignés en même temps.
Cette règle reçoit un iriouvement alternatif de va-et-vient dans les fentes 690 au moyen de bielles d'alignément <B>695</B> assujetties aux extrémités 688 de la règle, pourvues d'une extrémité inférieure fourchue 696 enfourchant l'arbre à cames 531 (fig. 33) et munies de galets 697 logés, l'un, dans une rainure-came 698 prévue- dans une came d'alignement 700 montée sur l'arbre 531 (fig. 28 et 33), et 1\autre, dans Litre rainure-came semblable pratiquée dans la came 670, les deux bielles d'alignement 695 étant coudées l'une vers l'autre à leur extrémité inférieure de façon à passer entre les cames 670 et 700.
Les bielles 695 sont en outre guidées par les chevilles latérales 701 mobiles dans des fentes <B>701'</B> pratiquées dans les flasques 501. La règle de verrouillage et d'alignement 687 tient les secteurs à caractères verrouillés jusqu'après que l'impression a eu lieu. Après que les secteurs à caractères ont été déver rouillés, la plaque dentée 682 est relevée pour libérer le cliquet de, retenue 642 et les leviers de butée 635 sont abaissés, après quoi la barre de commande transversale 647 revenant à sa position initiale, vient en prise avec l'épaulement 612 des barres à crémail lère et ramène ces dernières à leur position initiale.
Le soulèvement de la plaque dentée 682 est accompli au moyeu de leviers de relevage 702 (fig. 24) qui pivotent, en 703, sur la face interne des flasques 501. Le bout externe des leviers 702 s'engage par une fente 704 sur une cheville à tête 705, portée par la branche descendante <B>675</B> de l'étrier 673. Les bouts internes des leviers de re- levage 702 sont pourvus de fentes dans les quelles sont logées les extrémités opposées d'une tige d'abaissement 707 qui coulisse dans des fentes 708 des flasques 501.
Aux extrémités de cette tige sont fixées les ex trémités supérieures de bielles 709 dont les extrémités inférieures sont assujetties à une tige inférieure 710- glissant dans des fentes inférieures 711 des flasques 501. La tige inférieure 710 se loge dans des fentes 712 à l'extrémité externe de leviers intermédiaires 714 pivotant en 715 (fig. 22), sur la face externe desdites flasques.
Les bouts internes des leviers intermédiaires 714 sont reliés aux bouts externes de .leviers 716 (fig. 22) pivo tant en 718, sur la face interne des flasques 501 et dont les extrémités arrière portent des galets 719 (fig. 33) qui s'engagent dans la rainure-came 698 de part et d'autre de la came 700.
Après que les secteurs à carac tères ont été déverrouillés, les leviers 716 sont actionnés pour- produire l'abaissement de la tige d'abaissement 707 qui appuie ainsi sur les prolongements 6-10 (les leviers de butée pour les abaisser avec les épaulements 638,
ce qui permet ainsi à la barre de com- maarde transversale 617 de s'engager avec l'épaulement 612 des barres à crémaillères. Le même mouvement qui a abaissé la tige d'abaissement 707 fait monter le bout ex terne des leviers de relevage 702 de façon à soulever la plaque dentée 682 cri dégageant ainsi cette plaque du cliquet de retenue 642 et eu permettant aux barres à crémaillère d'être ramenées, par la barre transversale 647, à leur position initiale.
Chariot d'accetrrartlatettr, totalisateur. LTrr accumulateur totalisateur coopère avec les dents 693 (fig. 24) des secteurs à carac tères<B>618</B> de chaque unité d'éléments de la partie calculatrice-enregistreuse pour trans- férer à l'accumulateur totalisateur les articles composés par ces secteurs à caractères.
Le chariot 725 de chaque accumulateur totalisateur comporte une paire de plaques guides espacées 726 (fig. 45 à 47) dont chacune est pourvue d'une fente-guide 727, à son bout externe, se guidant sur une tige de dégagement 730 fiée entre les flasques 501, et d'une fente-guide 728 dans sa partie supérieure, se guidant sur une tige-pivot fixe <B>731,</B> pendant le. mouvement de va-et-vient du chariot.
Lu plus de ces guidages, titi autre moyen de guidage est offert par l'arbre 733 cl e l'accumulateur totalisateur qui est fixé à la partie inférieure desdites plaques espacées et est adjacent aux dents d'engrenage 693 des secteurs à caractères. Les bouts externes de cet arbre 733 sont pourvus de manchons de portée 735 maintenus en place par des écrous 736 vissés sur les extrémités de l'arbre. accwwdateur totalisutersr.
Sur l'arbre 733 sont disposées, entre les manchons 735, plusieurs douilles à épaule ment 737, sur lesquelles sont disposées les roues dentées 738 de l'accumulateur totali sateur. roues dont chacune est pourvue de dix dents disposées pour engrener avec les dents d'engrenage des secteurs à caractères. Aux roues de l'accumulateur totalisateur sont assujetties les cames de commande 740, qui peuvent tourner sur, les douilles 737 et dont chacune est pourvue d'une saillie arrondie 741 <B>(fi-,.</B> 47) et d'une saillie triangulaire 742 pré sentant une face radiale 743 et- une face antérieure inclinée 714, dont le but va être expliqué.
î1Zécariisme ii double effet pour impriuter erre moètrement <I>(le</I> va-et-vient <I>à l'a</I> cemuulateur lotalisateur.
Pendant que la machine accumule ou totalise les données, l'accumulateur totalisa teur va-et-vient; il est tenu éloigné des dents des secteurs à caractères durant la course active des barres à crémaillère qui amène les secteurs à caractères en position d'impression, et il est amené cri prise avec les dents des secteurs à caractères avant la course de re tour de ces secteurs et clés barres à cré- inaillère. D'un autre côté, lorsqu'on prend un total, les roues de l'accumulateur totalisateur Sont tenues en prise avec les secteurs à caractères durant la course de la mise en position des secteurs à caractères et en sont dégagées lors de la course en retour.
Des moyens sont prévus pour imprimer à l'accu mulateur totalisateur. c'est-à-dire à son chariot ces différents mouvements: l'un pour l'accu mulation comme cela a été décrit ci-dessus, et l'autre pour la prise de totaux. Le mé canisme à mouvement de va-et-vient com prend une paire de leviers de commande 747 (fig. 22 et 40), dont les extrémités supérieures embrassent les manchons 735 et dont chacun comporte un élément supérieur 748 et un élément inférieur 749, articulés l'un à l'autre en 750. L'élément inférieur est pourvu d'une fente 751, dans laquelle s'engage une saillie 752 portée sur l'élément supérieur pour limi ter le mouvement de pivotement entre les éléments.
Des ressorts 754, reliés aux cro chets 755 des éléments, maintiennent élas- tiquement les éléments supérieurs à l'une des limites de leur mouvement relatif par rap port aux éléments inférieurs. Chacun des éléments inférieurs 749 est coudé vers l'in térieur, en 757, pour former des joues de verrouillage espacées 758, dont chacune est pourvue d'oreilles 760 qui sont assujetties ensemble par des rivets 76l pour maintenir les joues de verrouillage espacées les unes des autres. Chaque joue de verrouillage est percée d'un trou central 763 (fig.41) et pourvue d'un manchon 761, ou 765, respec tivement.
Les éléments inférieurs 749 pivo tent sur une tige-pivot 766 montée entre les flasques 501. Entre les joues de verrouillage 758 sont montés à pivot, sur la tige=pivot <B>766,</B> un levier d'accumulateur 767 et un levier de prise de total 768 espacés en leurs parties intermédiaires et présentant des ouver tures 770, 771 dans leurs parties situées entre les joues de verrouillage espacées et susceptibles d'être ramenées en alignement avec les ouvertures centrales de ces dernières. L'extrémité arrière du levier d'accumulateur 767 est pourvue d'un galet 773, s'engageant dans une rainure-came d'accumulation 775 (fig. 32) de la came 670.
L'extrémité arrière du levier de prise de total 768 porte un galet 776 (fig. 28) travaillant dans une rainure 777 de la came 700 (fig. 32). En se reportant à la fig. 32, on notera que les rainures-cames 775 et 777 sont disposées à peu près dia- métralemeiit à l'opposé l'une de l'autre, de telle sorte que le levier d'accumulateur et le levier de prise de total sont animés d'un mouvement de va-et-vient dans des cycles de disposition similaire, mais décalés d'en viron<B>1800.</B> Par, conséquent, si le levier d'accumulateur 767 est verrouillé ou couplé aux leviers de commande 747,
le chariot effectuera un mouvement de va-et-vient con formément à la rainure d'accumulation 775. D'un autre côté, si le levier de prise de total 768 est bloqué ou couplé aux leviers de commande 747, le chariot de l'accumu lateur totalisateur effectuera un mouvement de va-et-vient suivant la rainure de prise de total 777. Le moyen pour assurer ce couplage comporte une tige de couplage 779 (fig. 41), sur laquelle sont montés des blocs à cames 780 dont un existe pour chaque unité de la partie calculatrice-enregistreuse. Chaque bloc à cames 780 est pourvu d'un cône de couplage d'accumulation 781 et d'un cône clé couplage de total 782. formant entre eux une partie réduite 783.
Il est empêché d'effectuer un mouvement excessif dans un sens par un collier limitateur 784, un collier similaire, non représenté, étant prévu sur le côté opposé de la machine. Il est, à part cela, supporté simplement en étant engagé dans les man chons 764, 765 des joues de verrouillage 758.
Lorsque le bloc à carnes 780 est déplacé à la position de la fig. 41, le levier d'accu mulateur 767 est bloqué ou couplé aux leviers de commande 747 et ces derniers reçoivent de lui leur mouvement de va-et-vient. Lorsque le bloc à cames 780 est amené à la position de la fig. 42, le levier de prise de total 768 est bloqué ou couplé aux leviers de com mande 747 et transmet le mouvement de va-et-vient à ces derniers leviers, période pendant laquelle il est permis art levier d'ac cumulateur d'aller et venir à vide dans la région de la partie réduite 783 entre les cônes-cames 781, 78'3.
Pour produire le dé placement du bloc à. cames 780, il est prévu un levier de déplacement 785 (fig. 43) fourchu à son extrémité antérieure, dont les fourchons 786 sont disposés pour s'engager dans une gorge annulaire formée entre l'extrémité du bloc à cames 780 et un collier 787<B>(fi-,.</B> 41) assujetti sur l'extrémité de la tige<B>779.</B> L'ex trémité arrière du levier de déplacement 785 pivote sur une colonnette 788 (fig. 1) montée sur la partie de bâti 95.
Sous le levier de déplacement 785; dont elle est espacée, est assujettie une plaque de support 790 (fig. 43) pourvue de parties rabattues 791,<B>792</B> et maintenue espacés dudit levier au moyen de potelets d'espacement 793. Entre le levier 785 de la plaque de support 790 est prévue une boîte à ressort<B>795,</B> dans laquelle peut glisser Lin piston plongeur 796 pourvu d'an prolongement 797 passant à travers le levier de déplacement 785 et s'engageant dans une rainure de déplacement 798 de la came 530 <B>(fi-.</B> 28).
Le piston plongeur est élastiquernent <B>t</B> amené <B>,</B> en prie avec cette came au moyen d'un ressort 800 (fig. 43) disposé dans la boîte 795 et comprirrré entre la plaque de support 790 et la tête de piston 801. Le prolongement 797 du piston plongeur est normalement maintenu dégagé air moyen d'un cliquet coudé 802 qui, monté à pivot sur la console 803 portée par la plaque (le support 79f), est pourvu d'un bec 804 disposé pour s'engager derrière la tête de retenue 805 prévue sur le piston plongeur 796, sous l'in fluence d'un ressort 797' tendu entre le cliquet coudé et la partie descendante 797 de la plaque de support 790.
La partie descendante <B>791</B> de cette dernière porte un bloc terminal 80t;, auquel est assujettie la gaine extérieure d (rrr câble de transmission flexible de total, 314, venant dur mécanisme interprétateur de changement de désignation. Dans ce bloc terminal 806 est également assujettie l'ex trémité du câble de total 373, venant du mécanisme de total, actionné par les cartes- fiches de total, représenté à la fig. 2.
Lorsqu'un total doit être pris, la cheville terminale du fil intérieur de l'un des câbles de total 314 ou 373, actionne le cliquet coudé 802 en dégageant la tête de retenue 805, grâce à quoi le piston plongeur 79(i est amené à s'engager par le prolongement 797 dans la rainure de déplacement 798.
Cette rainure de déplacement est en forme d'hélice <B>(fi-.</B> 28) et oblige le levier de déplacement de total 785, à se déplacer vers l'extérieur cri faisant passer le bloc à cames 780 de la position de la fig.41 à la position de la fig. 42, pour dégager ainsi le levier d'accumu lateur 767 des leviers de commande 747 et faire basculer avec lui le levier de prise de total 768, ce qui fait ainsi aller et venir le chariot de l'accumulateur totalisateur pour la prise de total.
A la fin du tour de la came 530, la butée taillée en biseau 793, formant l'extrémité de la rainure-carne 798, vient en prise avec le prolongement 797 du piston et repousse la tête de retenue 805 par dessus le bec 804, après quoi celui-ci s'enclanche sous la tête de retenue 805 pour tenir le piston plongeur dans sa position retirée jusqu'à, ce que le total suivant soit pris.
Méca:cisrne <I>(le</I> 1-e2)o)-t <I>(les</I> dizaiiaes. Entre les plaques latérales du chariot de l'accumulateur totalisateur est monté le mé canisme de report de l'accumulateur totali sateur pour déplacer chaque roue de celui-ci de l'espace d'une dent, lorsque la roue de l'ordre immédiatement inférieur s'est déplacée de dix dents, c'est-à-dire a fait un tour complet. Ce mécanisme comporte plusieurs leviers 807 (fig. 47) pivotant, en des points intermédiaires de leur longueur, sur une tige- pivot 808 montée entre lesdites plaques du chariot.
Chacun de ces leviers est pourvu d'une extrémité interne crochue 809, disposée pour s'engager avec la face radiale 743 de la saillie de came 742 et pour être engagée et soulevée par la face inclinée 744, lorsque la saillie de carne 74'3 a fait un tour cour- plet. Au bout externe du chariot de l'accu- mulateur totalisateur est disposée la tige 810 sur laquelle pivotent les détentes 811 ayant iiire extrémité supérieure crochue 812,
des tinée à s'engager par dessus les bouts ex ternes des leviers 807 lorsque le chariot d'accumulateur est inû vers l'intérieur et lorsque les leviers 807 correspondants bas culent par suite du relèvement de l'extrémité interne 809. Les bras inférieurs 815 des dé tentes<B>811</B> sont disposés pour s'engager avec la tige-guide 730 lorsque le chariot d'accu mulateur est mû vers l'extérieur i les détentes 811 sont alors amenées à la position de la fig. 47, à l'encontre de ressorts 816, tendus entre les crochets 817 des détentes 811 et les crochets 818 portés par un peigne 819, entre les dents duquel sont tenus, espacés les uns des autres, les leviers 807 et les détentes 811.
Lorsque ce dégagement se pro duit, les extrémités internes des leviers 807 sont tirées de haut en bas au moyen de ressorts $21 tendus entre l'extrémité interne de ces leviers et la plaque à crochets 822, montée entre les plaques latérales du chariot.
Sur la face interne de chacune des pla ques latérales du chariot est monté à pivot, en 825, un levier de rappel 824 pourvu à son bout externe d'une rampe 826 disposée pour être engagée par une tige de rappel 827, montée entre les flasques 501, pour soulever les leviers de rappel lorsque le chariot d'accumulateur est rappelé vers l'extérieur. Entre les leviers de rappel 824, est montée une tige de support 829, à laquelle sont suspendues des bielles 830 pourvues, à leurs extrémités supérieures, de fentes 831, pour le passage de la. tige de support 829.
Les parties supérieures de ces bielles 830 sont également pourvues de lèvres latérales 832, disposées pour s'engager par dessus des leviers 807 associés et pour maintenir- les bielles relevées lorsque ces leviers occupent la posi tion de la fig.47, et pour permettre aux bielles d'être tirées de haut cri bas, sous l'action de ressorts 834, lorsque les extrémités internes 809 des leviers 807 sont relevées par la rampe ou face inclinée 744 de la saillie de came 742.
A l'extrémité inférieure de chacune des bielles 830 est articulé le bout externe d'une barre de support 836 dont l'extrémité intérieure est articulée à l'extré mité inférieure d'un levier de report 837, pivotant sur la tige<B>731</B> située à la partie supérieure du chariot d'accumulateur. L'ex trémité inférieure du levier de report 837 est élastiquement maintenue vers l'intérieur au moyen d'un ressort 838, tendu entre un cro chet 839 du levier de report et une plaque à crochets 840 montée entre les plaques latérales du chariot.
Un ressort 841 tendu entre cette plaque à crochets 840 et un cro chet 842 prévu sur l'extrémité arrière de chacun des leviers de rappel 824, tient élas- tiquement les bouts externes de ces derniers dans une position abaissée. Un peigne 843 maintient les parties internes des leviers 807 espacées les unes des autres. Le bout externe 845 de chaque levier de report 837 est pourvu d'un galet 846 susceptible d'être engagé par une de plusieurs cames en gradins 847 d'une plaque à cames de report 848, supportée sur des galets 849 (fig. 47) s'engageant dans des fentes-guides 850 pratiquées dans les flas ques 501.
Cette plaque 848 est déplacée vers l'in térieur par le mécanisme qui va être décrit, après que la donnée composée par les sec teurs à caractères a été transférée aux roues de l'accumulateur totalisateur. Lorsque la barre de report 836 est relevée à la position de la fig. 47, elle ne vient pas en contact avec l'épaulement, tourné vers l'intérieur, 612, des barres à crérrraillére 610, mais lorsque les leviers 807 ont basculé et que les bielles 830 et le bout externe de la barre de report 836 ont été abaissés, la barre de report 836 se trouve en position pour venir en prise avec l'épaulement 612 lorsque la partie in férieure du levier de report 837 bascule de dedans en dehors, sous l'action des cames 847.
illécareisrrte pour da commande <I>de la</I> plaque <I>à cames de report.</I>
Pour faire aller et venir la plaque à cames de report 848,.i1 est prévu une paire de cré maillères à mouvement alternatif 852 (fig. 23) situées une de chaque côté de l'unité d'élé ments calculateurs, assujetties par leur ex trémité interne à la plaque à cames de report et pourvues, sur leur bord inférieur, de dents de crémaillère disposées pour engrener avec les pignons 853 supportés sur un axe 854 passant à travers des fentes 855 pratiquées dans les flasques 501. Au-dessous de chaque pignon, avec lequel elle engrène, se trouve une crémaillère fixe 857 assujettie à la face externe de la flasque correspondante.
En 858 pivote, sur la face externe de chaque flasque, un levier 859 pourvu, à son extrémité supé rieure, d'une fente 860 recevant l'axe 854 correspondant. L'extrémité inférieure de ce levier s'engage par une fente inférieure 861 sur une tige de commande 862 guidée par truc face de support lisse (fig. 22) prévue sur la partie de bâti 95.
Aux extrémités de la tige 862 sont assujetties des bielles 864 se guidant, à leur partie arrière, par une fente 865, sur l'arbre à cames<B>531.</B> Ces bielles 864 (fig. 24 et 29) sont pourvues, à leurs extré mités arrière, de galets 866 travaillant, l'un, dans une rainure-came de report 867 de la came de déplacement 530, et l'autre, dans une rainure semblable d'une came supplé mentaire 870.
Pour empêcher une rotation accidentelle des roues de l'accumulateur totalisateur lors qu'elles n'engrènent pas avec les secteurs à caractères, il est prévu une tige d'alignement 873 (fig. 24 et 47) montée entre les extré mités inférieures de leviers de support 874, pivotant en 875, sur les plaques latérales 726. Lorsque le chariot est rnîi vers l'intérieur, la tige 873 est maintenue dégagée des dents de roues d'accumulateur par engagement avec l'oreille 878 (fig. 22) formée sur le bord supérieur des flasques 501.
Lorsque le chariot d'accumulateur est rappelé, la tige 87:3 est élastiquement en gagée dans les dents de roues d'accumula teur par le ressort 879 tendu entre l'extré mité supérieure du levier 874 et un peigne 880. Un peigne 881 (fig. 47), pourvu de dents coudées en équerre 882 tient les barres de report 836 espacées les unes des autres.
<I>report.</I> En considérant. les roues de l'accumula teur totalisateur dans une position zéro, toute donnée qui est composée par les secteurs < e caractères fait tourner la roue d'accumulateur y associée, dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la fig. 47, lorsque les secteurs à caractères reviennent à leur position initiale.
Comme il n'y a pas de chiffre individuel plus grand que "911, la roue d'accumulateur ne fait pas un tour complet lorsque la pre mière donnée est composée. S'il y a une donnée additionnelle composée, qui, ajoutée à la donnée précédente, donne un nombre plus grand que "10", la roue d'accumulateur fait plus d'un tour et, en ce taisant, la face inclinée 744 de la saillie de came de report 7 2\3 vient cri prise avec hextrémité interne 809 du levier 807 correspondant pour le faire basculer, ce qui permet un abaissement de la bielle 830 et de la barre de report 836, y associée,
qui est associée à soir tour avec l'épaulement 612 de la barre à crémaillère du secteur à caractères et de la roue d'ac cumulateur de l'ordre immédiatement plus élevé. Lorsque ce mouvement de bascule du levier 807 se produit, la détente 811 s'en gage par-dessus le bout externe du levier basculé 807 et le tient en position jusqu'à ce que la plaque à cames de report 848 soit mue vers l'intérieur et, en venant cri prise avec les galets 846, fasse basculer les leviers de report 837 de façon ir Mouvoir vers l'ex térieur les barres de report 836.
Celles des barres de report 836 qui ont été abaissées comme cela vient d'être expliqué, viennent, au cours de ce mouvement vers l'extérieur, cri prise avec l'épaulement 612 de la barre à crémaillère de l'ordre immédiatement plus élevé et font par cela même, tourner le sec teur à caractères et la roue d'accumulateur, y associée, de cet ordre immédiatement plus élevé de l'espace d'une dent, de manière à y ajouter une unité, ce qui effectue par cela même le report.
Après que le report a été effectué, le chariot d'accumulateur se meut de dedans cri dehors en amenant le bras inférieur 815 des de@terrtes en prise avec la barre de dé- gagement 730. ce qui fait que les leviers 807 sont libérés et reprennent leur position nor- inale sous l'action du ressort 821. En même tendis. la rampe 826 des leviers de rappel ,S-2_2-1 vient en prise avec la tige de rappel 827 et relave par cela même les bielles 830 des barres de report 836.
Lorsque la plaque à cames de report 848 revient de nouveau vers l'cxtéi,ieur, les leviers de report sont rappelés @r leur position normale par les ressorts 838.
Les cames 847 de la plaque à cames de report 848 sont disposées en gradins de telle sorte que les ordres les plus bas seront ac tionnés d'abord en soi-te que, si la commande d'un galet 846 et d'une barre de report 836 d'un ordre inférieur est effectuée par cet engagement de cames, il se produit ni) report qui peut amener la roue d'accumulateur de l'ordre immédiatement plus élevé au delà du point de report, auquel cas, la came de report de l'ordre immédiatement plus élevé, n'étant pas encore venue en prise avec son galet,
viendra subséquemment en prise avec son galet après que la barre de report associée avec elle aura été abaissée et déterminera, par- conséquent, le report sur la roue d'ac cumulateur y associée.
* lïlécanisme <I>de</I> rczppel <I>des</I> barres <I>à</I> crémaillère. Pour empêcher le 'recul accidentel des barres à crémaillère 610 durant le report, lorsqu'elles ne sont pas repoussées en arrière par les barres de report 836, et pour aider à les rappeler en position, il est prévu, pour chaque barre à crémaillère 610, un coulisseau de rappel à ressort 903 (fig. 24) glissant entre les dents des peignes intérieur et ex térieur 904, 905 montés entre les plaques de prolongement 906 portées au bord an térieur des flasques 501.
Chacun des cou- lisseaux de rappel 903 possède à soir bout interne une lèvre latérale 907, disposée pour s'engager avec la barre à crémaillère cor respondante. Les coulisseaux sont poussés vers les barres à crémaillère au moyen de ressorts 909 tendus entre des crochets<B>910</B> prévus sur le peigne 904 et des crochets 911 portés par un bras 912, descendant du bout externe de chaque coulisseau et qui sert en même temps à limiter le mouvement rentrant du coulisseau.
Après que les barres à crémaillère ont été amenées en arrière durant le report, elles sont rappelées par la tige de rappel 915, montée entre les extrémités supérieures de leviers de rappel 916 qui pivotent en 917, sur la face interne des flasques 501.
A l'ex trémité inférieure des leviers de rappel 91.6 sont articulées des bielles de rappel 919, articulées d'autre part à l'extrémité supérieure de leviers de commande 920 (fig. 22), qui pivotent par leurs extrémités inférierires sur lesdites flasques et dont chacun porte, en un point intermédiaire de sa longueur, un galet <B>921,</B> disposé pour travailler dans une rainure- came périphérique 922 (fig. 30) de la came 670. Après chaque report, cette tige de rap pel 915 est actionnée de dehors en dedans en ramenant ainsi toutes les barres à cré maillère à leur position normale initiale.
lllécanisme <I>de</I> prise <I>de total.</I> Lorsque l'on prend des totaux, le bjoc à came de prise de total 780 est déplacé de telle sorte que le chariot de l'accumulateur totalisateur reçoit un mouvement convenable pour amener les roues d'accumulateur en prise avec les sccteurs à caractères lors de la coure initiale de la barre de commande transversale 647 (fig.24) et des barres à crémaillère. Au commencement de cette course, l'épaulement 638, tourné vers l'extérieur des leviers 635, est relevé et se trouve contre la face interne de la barre de commande transversale 647.
Il est désirable que cet engagement se continue jusqu'à ce que les secteurs à caractères fassent tourner les roues dentées de l'accumulateur totalisateur en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à la fig. 24, jusqu'à ce que la face radiale 743 de la saillie de came de report 742 vienne cri prise avec l'extrémité 809 du levier 807, en amenant ainsi les secteurs à caractères en position pour imprimer le total qui a été accumulé par l'accumulateur totali- sateur. Lorsque ce mouvement initial de la barre à crémaillère se produit, les arrêts zéro 550 doivent être abaissés de manière à ne pas déclencher le levier coudé 650 et, en même temps,
les arrêts numériques 542 doi vent rester abaissés. Cette action est accom plie par les moyens suivants Le -bloc à cames 780 (fig. 41) comporte un cône-came 925, de dégagement de volets, susceptible, lorsque le bloc à cames est amené à la position de fig. 42 pour prendre les totaux, de venir en prise avec un levier de rappel d'épaulement 926 pivotant sur la tige- pivot 573 (fig. 24) et qui est pourvu d'un bras 927 dont l'extrémité libre passe à la face externe de la flasque correspondante (fig. 22)
et est guidée entre celle-ci et l'ex trémité d'une cheville à tête latérale 928 prévue sur la flasque. Cette extrémité libre, lorsque le levier est ainsi actionné, se meut de bas en haut, et vient en prise avec un mentonnet 929, passant à travers une petite fente de la flasque et porté par une plaque de rappel de volets 930 (fig. 37). Cette plaque 930 est pourvue d'une paire de fentes guides 932 pour le passage de chevilles 933 portées par la plaque 560 de support des volets. Un ressort 934 tendu entre des chevilles 935 portées par la plaque 930 et la plaque 560, respectivement, agit sur cette plaque 930 de façon à maintenir le mentonnet 929 en posi tion saillante.
La partie inférieure de la plaque 930 est pourvue de doigts descendants 937 disposés pour s'engager entre les saillies extrêmes 567 des volets 561, ce qui fait que, lorsque la plaque 930 est poussée vers la droite en fig. 37 par l'engagement du bras 927 avec le mentonnet 929, les volets 561 sont retirés des encoches de loquetage des arrêts numériques et des arrêts zéro, ce qui permet ainsi aux arrêts zéro d'être abaissés par le mouvement descendant de l'extrémité intérieure ou arrière du levier 578 (fig. 24) et le mouvement ascendant dur levier d'abaisse ment 572) sous l'action du ressort 593,
la saillie latérale 574 s'élevant dans les longues encoches de rappel 547 des arrêts numériques sans relever ces derniers. Cette action permet aux barres à, crémaillère, durant une prise de total, d'être avancées comme cela a été expliqué ci-dessus saris être gênées par aucun des arrêts zéro ou numériques.
Ce mouvement se continue jusqu'à ce que les faces radiales 743 des saillies de cames de report 742 viennent en prise avec les extrémités rabattues 809 des leviers<B>807;</B> les saillies de cames de report arrondies 741 viennent alors et) prise avec des galets d'abaissement 940 (fig.24) portés par les consoles coulissant verticalement 941, tenues espacées entre les dents de peignes 942 montés entre les fiasques 501 et guidés et limités dans leur mouve ment au moyen de tringles-guides 943, mon tées entre les flasques et traversant des fentes verticales 944 dans les consoles 941.
Lorsque cet engagement est effectué, les galets 940 appuient de haut en bas sur les leviers de butée 635 en les abaissant, ce qui abaisse les épaulements 638, tournés vers l'extérieur, en les dégageant de la barre de commande transversale 647 et en permettant à celle-ci de passer. Ceci fait, la règle de blocage et d'alignement 687 vient en prise avec les dents 693 et tient les secteurs à caractères en alignement pendant que le chariot à papier appuie le papier contre les caractères des secteurs.
3lccrznni@nne d'e;rclusiorn <I>de</I> colonne..
Il est très souvent désirable d'exclure truc colonne de façon à ce qu'une ligne parti culière quelconque de chiffres n'y soit tri accumulée ni imprimée. Ceci peut être ac compli au moyen du mécanisme représenté du côté droit de la fig. 24 et comportant des moyens pour maintenir hors d'action le sec teur à caractères et la barre à crémaillère y associée.
Entre les plaques de prolongement 906, assujetties à la partie arrière des flasques 501; sont disposés le peigne supérieur 950 et le peigne inférieur 951, entre les dents desquels glissent des barres d exclusion de colonne 954 dont chacune est pourvue, à sa partie supérieure, d'un épaulement supérieur 955 et d'un épaulement inférieur 956, dont le premier est disposé pour s'engager sous le Peigne 950, alors que le second est disposé pour s'engager par-dessus celui-ci.
Un ressort 957, tendu entre la partie supérieure de cliadue barre d'exclusion 954, et une plaque èt crochets 958, montée entre les plaques de prolongement, maintient l'un ou l'autre des épaulements 955, 956 élastiquement en prise avec le peigne supérieur 950. Les tiges de retenue supérieure et inférieure 960 tiennent les barres d'exclusion entre les dents des peignes.
L'extrémité inférieure de chaque barre d'exclusion 954 est pourvue d'une partie latéralement coudée 961, disposée pour porter sur le prolongement arrière 640 du levier de butée 635 correspondant, lorsque la barre d'exclusion est abaissée de telle sorte que soir épaulement 955 est engagé sous le peigne supérieur 950, ce qui tient ainsi le levier de butée 635 abaissé.
Lorsque le levier de butée 635 est ainsi tenu abaissé, la barre de com mande transversale 647 rie vient pas cri prise avec l'épaulement 638, tourné vers l'extérieur dudit levier, mais passe librement et la barre à crémaillère dont le levier de butée est ainsi tenu abaissé n'est pas avancée et n'ac tionne pas le secteur à caractères correspon dant, ni la roue d'accumulateur y associée, cri sorte .qu'elle n'effectue par conséquent ni impression, ni accumulation, ni report.
<I>Exclusion de</I> l'accumulateur totalisateur.
Il est parfois désirable de maintenir en tièrement hors d'action l'ensemble des accu mulateurs totalisateurs correspondant aux jeux d'éléments calculateurs enregistreurs ou unités de partie calculatrice enregistreuse de la machine. On y arrive facilement au moyen d'un levier d'exclusion d'accumulateur 965 (fig. 22), pivotant en 966 sur une des flasques 501 et pourvu, à sort extrémité interne, d'un crochet 967 disposé pour pouvoir s'accrocher sur le manchon 735 correspondant (fig. 45) de l'arbre d'accumulateur 733, de telle sorte que les roues d'accumulateur sont empêchées d'aller et venir, et tenues dégagées des sec teurs à caractères,
les éléments inférieurs 749 des leviers 747 continuant à aller et venir à l'encontre des ressorts 754, tandis que l'ex- trémité supérieure de leurs éléments supérieurs est maintenue pratiquement immobile. Le bout externe 968 du levier d'exclusion 965 est établi sous la forme d'une poignée per mettant de manoeuvrer le levier à la main, pour l'amener cri prise avec ledit manchon et l'en dégager, ce bout externe étant assez élastique dans le sens latéral pour pouvoir céder légèrement vers l'extérieur, de façon à pouvoir s'engager soit au-dessous d'une saillie d'arrêt 969 destinée à bloquer le levier d'ex clusion dans sa position d'activité, ou dans sa position d'inactivité.
Mécarcisrne <I>de</I> désignation <I>de</I> totaux. Parfois, lorsque des cartes-fiches du même groupe et contenant toutes le même nombre de désignation, passent à travers la machine, il est désirable que ce numéro de désignation apparaisse également dans le total. Si ce numéro de désignation était transféré à l'ac cumulateur totalisateur chaque fois qu'une donnée est imprimée, le total résultant indi querait le produit de ce numéro de désigna tion, par le nombre de fois qu'il a été im primé. Ce produit n'aurait, bien entendu, aucune signification et il n'est pas désirable qu'il soit imprimé avec le total; mail il est désirable que le nombre de désignation seul soit imprimé avec les totaux.
Ceci est effectué en permettant au nombre de désignation' de n'être transféré à l'accumulateur totalisateur qu'une seule fois, après quoi l'accumulateur totalisateur est tenu hors d'action jusqu'à la. prise de total; à ce moment, il est ramené en action, de sorte que le nombre qui a été transféré une fois à l'accumulateur totalisa teur est retransféré au secteur à caractères et est, par conséquent, imprimé avec les totaux. Le mécanisme permettant d'arriver à ce résultat est représenté à la fig. 23 et com porte un levier d'arrêt 970 pivotant en 971 sur la seconde flasque 501 et pourvu d'une extrémité crochue 972, disposée pour s'ac crocher par-dessus le manchon 735 correspon dant de l'arbre d'accumulateur 733.
Une ex trémité de ce levier 970 est pourvue d'une oreille 974 qui présente une face de poussée 975 tournée vers l'arrière. Un levier de rap pel 976 pivote également en 971 et présente une face de poussée 977, tournée vers l'avant, destinée à venir en prise avec la face de poussée 975. Ces faces de poussée sont élas- tiquement tenues en contact l'une avec l'autre au moyen d'un ressort 978, tendu entre les crochets 979 portés par l'oreille 974 du levier 970 et le levier de rappel 976 respectivement.
A l'extrémité supérieure du levier de rappel 976 est articulée une barre de poussée 980, pourvue d'une dent à épaule ment de poussée 982, susceptible, lorsque le bout externe de la barre 980 est disposé au- dessous de la saillie 983, d'être rencontré par la partie inférieure d'un doigt 984 à l'extrémité supérieure du levier 859, doigt qui est pourvu d'une fente 985 pour le pas sage de ladite barre 980 et permettant à celle-ci de s'y déplacer verticalement de façon à ce que la barre 980 puisse être placée au dessus de la saillie 983 dans une position telle que l'épaulement 982 ne soit pas ren- cocitr6 par le bord inférieur de la fente 985 du doigt 984.
Le levier de rappel 976 est pourvu d'un bras extérieur 986, pourvu d'une lèvre d'arrêt latérale 988, disposée pour être engagée par Lui épaulement 989 prévu sur un loqueteau coudé 990 qui pivote en 991, sur la flasque 501 correspondante. Un ressort 993, tendu entre le bras 986 et le loqueteau 990, tient élastiquement l'épaulement 989 en prise avec la lèvre 988, ou tient le bras 986 dans une position basse de telle sorte que le levier d'arrêt 970 est maintenu dégagé du manchon correspondant<B>735</B> de l'arbre d'ac cumulateur 733.
L'extrémité inférieure du loqueteau coudé 990 est pourvue d'un doigt 995, disposé pour être engagé par un des bras d'un levier coudé de déclenchement 996 pivotant en 997 et pourvu d'un bras inférieur 998, disposé pour être engagé par le cône- came désignateur 999 (fig.41) du bloc à cames 780.
Foi@ctioiiae ieW clic iiiécaiiisnae <I>de</I> désiyiiatioic <I>de total.</I>
La barre de commande 930 est ajustée au-dessous de la saillie 983 et le nombre de désignation, ou nombre clé, est, au cours du fonctionnement normal de la machine, trans féré à l'accumulateur totalisateur aussitôt avant que l'épaulement 982 soit rencontré par le doigt fendu 98.1. Lorsque cette ren contre a lieu, le levier de rappel 976 et sa face de poussée 977 basculent de dehors en dedans et alors le bras 986 est relevé en permettant à l'épaulement 989 de s'engager sous la lèvre 988, après quoi, aussitôt que l'arbre d'accumulateur se meut vers l'extérieur sous l'action du ressort 978, le levier d'arrêt 970 bascule également de haut en bas et vient en prise avec le manchon de l'arbre d'accumulateur 735,
de telle sorte que l'ac cumulateur est tenu hors d'action à mesure que les jeux d'élément, calculateurs-enregis- treurs ou unités non arrêtées de la machine continuent à accumuler, le chariot d1accumu- lateur ainsi arrêté étant continuellement main tenu hors d'action après que le nombre de désignation, ou nombre clé, y a été trans féré une fois seulement.
Toutefois, lors de la prise d'un total, quand le bloc à cames 780 est déplacé de la position de<B>fi-.</B> 41 à la position de fig. 42, le bras inférieur 998 du levier coudé de déclanchement 996 est engagé par le cône-came 999 dudit bloc, ce qui a pour effet que le levier coudé de déclenche ment 996 est déplacé et agit sur le loqueteau coudé 990 pour retirer l'épaulement 989 de sous la lèvre 988, après quoi, sous l'action du ressort 993, le bras 986 est abaissé en relevant ainsi l'extrémité crochue 972 de façon à dégager le chariot d'accumulateur,
en permettant à l'accumulateur de transférer aux secteurs à caractères, durant la prise du total, le numéro de désignation, ou nombre clé, qui lui à, été transféré. A mesure que la machine continue à fonctionner et que le nombre de désignation du groupe de cartes- fiches suivant est composé par les secteurs à caractères, ce nouveau nombre de désigna tion est transféré à l'accumulateur totalisa teur, l'épaulement 982 est rencontré par le doigt 984 en produisant le blocage du bras 936 et, lorsque le chariot d'accumulateur recule, le levier d'arrêt.
970 s'abaisse et le chariot d'accumulateur est de nouveau tenu lions d*action jusqu'à ce que le total suivant soit pris, de la même manière que celle qui vient d'être expliquée.
Jlécanisme <I>de mise hors</I> d'impression <I>de zéros.</I> Dans les fig. 51 à 64, on a représenté un mécanisme de mise hors d'impression de zéros quia pour but d'empêcher l'impression de zéros avant le chiffre numérique de l'ordre décimal le plus élevé d'un nombre.
Sur chaque secteur à caractères 618 est monté un support de caractère zéro 1038 (fig. 51, 58 et 59), formé d'une lame métallique, por tant le caractère- zéro 634 (fig. 60), pivotant en 1039 et maintenu en position de non im pression au moyen d'un ressort 1040 tendu entre un crochet 1041 (fig. 51) et une queue 1042 dudit support de caractère zéro. Le support de caractère zéro est limité dans son mouvement de recul au moyen d'une oreille 1044 s'engageant contre le bord adjacent du secteur à caractères.
Sur le pivot 1039 pivote une console porte-galet 1046 (fig. 56) formée d'une plaque métallique pourvue d'une paire d'évidements 1048 et 1049, dans l'un ou l'autre desquels le caractère z \ro 634; porté par ledit support, peut être engagé. La con sole 1046 de chaque support de caractère zéro est pourvue d'une cheville 1051 (fig. 55 et 57) qui est susceptible d'être engagée pai une oreille 1052 du support de caractère zéro 1038 de l'ordre immédiatement plus élevé.
Chacune des consoles 1046 porte égale ment un galet 1054 disposé pour être engagé par une came 1055 (fig. 55) assujettie au secteur à caractères 618 de l'ordre immé diatement plus élevé.
Chaque console porte-galet 1046 et le support de caractère zéro 1038 présentent une certaine élasticité dans le sens trans versal et le caractère zéro peut être dégagé de l'un des évidements 1048, 1049 et être engagé dans l'autre simplement en écartant légèrement lesdits console et support l'un de l'autre au moyen d'un instrument pointu, tel qu'un canif par exemple, et en les dé- plaçant angulairement l'un par rapport à l'autre. Lorsque le caractère zéro est placé dans l'évidement 1049 le galet 1054 est maintenu dégagé de la came 1055 correspon dante. Une petite oreille 1068 prévue sur la console 1046 limite son déplacement angu laire par rapport au support de caractère zéro correspondant.
Juste avant qu'une carte-fiche soit ana lysée, les barres à crémaillère se trouvent dans la position retirée représentée à la fig. 24. A ce moment, les secteurs à caractères occupent la position représentée à la fig. 51. Lorsqu'une carte-fiche est analysée, si elle ne présente pas de perforations représentant des nombres supérieurs à zéro, comme la première donnée de la feuille 1057 (fig. 64), les caractères numériques prennent la posi tion représentée à la fig. 22.
Mais un carac tère zéro en position dans l'évidement 1048 ne sera pas amené à la position d'impression, représentée à la fig. 52, parce qu'aucune came 1055 n'aura été déplacée assez loin pour venir en prise avec le galet 1054. Toutefois, si les secteurs de l'ordre inférieur et les sec teurs d'un ordre plus élevé sont amenés seulement à la position zéro et qu'un secteur d'un ordre intermédiaire soit amené en- posi tion pour imprimer un nombre plus grand que zéro, comme pour la seconde donnée de la fig. 64, la came 1055 de ce secteur inter médiaire vient en prise avec le galet 1054 du secteur mis en position à zéro, de l'ordre immédiatement inférieur et tire le support de caractère zéro 1038,
y associé, à la posi tion d'impression du zéro, comme cela est représenté à la fig.52. L'oreille 1052 du support de caractère zéro ainsi entrafné de haut en bas vient en prise avec la cheville 1051 de la console porte-galet qui se trouve à sa droite, de l'ordre immédiatement inférieur, laquelle, à son tour, fait descendre le sup port de caractère zéro suivant, et ainsi de suite jusqu'à la fin de la série de secteurs mis à la position zéro, à moins que quelques- unes des consoles porte-galet aient été ajus tées à la position d'inactivité, comme ce sera expliqué plus loin.
Toutefois, d'un autre côté, le support de caractère zéro 1038 des secteurs à caractères amenés à la position zéro d'un ordre plus élevé que ledit secteur intermédiaire ne sera pas abaissé, parce que la carne 1055 d'un secteur est cri prise avec le galet de la con sole de hordre immédiatement inférieur et non d'un ordre plus élevé, et rien ne sera imprimé par les secteurs amenés à la posi tion zéro des ordres plus élevés que le sec teur intermédiaire précité..
S'il y a plusieurs secteurs intermédiaires amenés à la position zéro entre des secteurs amenés à des positions numériques d'un ordre plus élevé et d'un ordre inférieur, comme dans la troisième rangée donnée de fig. 64, la came 1055 d'un secteur d'ordre plus élevé fera descendre le support de caractère zéro le plus voisin des secteurs intermédiaires et l'oreille 1052 de ce support de caractère zéro fera descendre le support de caractère zéro immédiatement inférieur, et ainsi de suite, pour tous les secteurs intermédiaires adjacents amenés cri position,
jusqu'à ce que l'on arrive aux secteurs d'ordre inférieur mis en position pour l'impression de chiffres numériques. Bien entendu, les supports de caractère zéro de ces derniers secteurs sont mis hors de la portée de l'oreille 1052 du support de carac tère zéro des secteurs à caractères amenés à la position zéro.
Si l'on désire suspendre la connexion entre un support de caractère zéro quelconque et les éléments de l'ordre immédiatement plus élevé, on déplace la console porte-galet 1046 de ce support de caractère zéro jusqu'à ce que sort évidement 1049 reçoive le caractère zéro, auquel cas le galet 1054 et la cheville 1051 se trouveront, respectivement, hors du chemin de la came 1055 et de l'oreille 1052 dur secteur de l'ordre immédiatement plus élevé, comme cela est représenté aux fig. 53 et 54, en divisant, pour ainsi dire, l'élément imprimeur en trois zones auquel cas deux données pourraient être imprimées.
Etant donné ce qui précède, on comprend que tout secteur à caractères, amené en posi tion d'impression d'un chiffre numérique, d'une zone quelconque produira l'abaissement à la position d'impression du zéro des supports de caractère zéro de tous les secteurs à carac tères successivement adjacents, amenés à la position zéro, de la même zone et qu'aucun secteur à caractères amené à la position d'im pression d'un chiffre numérique n'effectuera la descente d'un support de caractère zéro d'un ordre plus élevé.
Si l'on désire imprimer une virgule ou autre signe de séparation entre des colonnes adjacentes de la feuille imprimée 1057, on obtient cela au moyen d'une série d''ceils d'impression 1059 (fig. 63), sur une plaque à virgule séparatrice 1060, laquelle plaque sera assujettie au secteur à caractères cor respondant par des vis traversant des trous 1061 (fig. 63) de ladite plaque. Une plaque séparatrice de ce genre est représentée montée en place à la fig. 62, mais il pourrait y cri avoir plusieurs ou bien or) pourrait s'err passer tout à fait.
Fonctionnement <I>de la</I> partie caletclatf-ice-eiiî-egistreaise <I>de la</I> machine. Le fonctionnement individuel des divers mécanismes de la partie cal crrlatrice-enregis- treuse de la machine a déjà été donné et il suffit de décrire le fonctionnement de cette partie dans son ensemble.
Les barres de rappel ou de remise en position 520 (fig. 25) ayant été relevées par le levier 524, les plaques de support latérales 90 (fig. 1) reculent pour amener les chevilles terminales 270 (fig. 11) contre les chevilles de prolongement qui avec les chevilles coin posables, ont déjà été composées, ou mises en position, par le fonctionnement des che villes analysatrices, comme cela a été expliqué; les chevilles terminales 518 (fig. 25) sont alors relevées sous l'action des fils in ternes des câbles de transmission 275 res pectifs.
Lorsque le levier 524 se relève, la plaque de rappel de 597 est abaissée et tout soulèvement d'une cheville terminale 518 produit le soulèvement d'un arrêt numérique correspondant 542, en abaissant, par l'inter médiaire du levier d'abaissement 572 et du .evier 57@, l'arrêt zéro associé avec la rangée correspondante d'arrêts numériques. Lorsque le. @rrr@ts numériques .
sont ainsi relevés, la barre de commande transversale 647 (fig. 24) avance et vient en prise avec l'épaulement, tourné vers l'intérieur 638, du levier de bu tée 635 qui a déjà été relevé sous l'action du ressort 646. La barre à crémaillère et le le vier de butée correspondants continuent à avancer avec la barre de commande trans versale 647 jusqu'à ce que l'épaulement 651 du levier coudé 650 vienne en contact avec un arrêt numérique relevé 542 (ou un arrêt zéro relevé si aucun arrêt numérique de la même rangée n'a été relevé). Lorsque ce contact se produit, le levier coudé 650 bas cule en abaissant par cela même l'épaule ment 638 et en permettant à la barre de commande transversale de se mouvoir à vide.
La barre à crémaillère ainsi arrêtée est empêchée de revenir en arrière par l'en gagement du cliquet de retenue 642 avec la plaque à dents de rochet 682, ce qui main-, tient ainsi la barre à crémaillère en position de commande. Lorsque la barre à crémail lère est ainsi déplacée et amenée en position de commande, le secteur à caractères 618 qui engrène avec elle est également déplacé, sur une distance correspondant au Mouve ment de la barre à crémaillère et amené dans une position telle que l'un des caPac- téres 630, ou 634, du secteur à caractères se trouve en face du chariot d'impression qui sera décrit plus loin.
Lorsque le carac tère a été ainsi amené en position d'impres sion, la règle d'alignement 687 se meut de dehors en dedans et s'engage dans les dents d'engrenage 6.33 des secteurs à caractères pour maintenir les caractères alignés durant l'opération d'impression. Une fois l'impression effectuée, la règle d'alignement 687 est re tirée, la plaque à dents de rochet 682 est relevée et la tige d'abaissement 707 descend contre le prolongement 640 des leviers de butée 635 en abaissant ainsi la butée à épaulement 638 tourné vers l'extérieur, ce qui permet à la barre de commande trans versale 647 de revenir et de s'engager avec l'épaulement 612 tourné vers l'intérieur, pour ramener les barres à crémaillères à leur po sitiotr normale.
Avant ce mouvement de rappel; les roues 738 de l'accumulateur to talisateur viennent en prise avec les secteurs à caractères et, durant le mouvement de rappel, les roues de l'accumulateur totalisa teur sont mises en rotation dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la fig.24, en transférant ainsi aux roues de l'accumulateur totalisateur tous montants qui ont été composés sur les secteurs à carac tères.
Lorsque les roues de l'accumulateur tota lisateur .font plus -d'un tour, leur face de came inclinée 744 (fig. 47) vient en prise avec le levier 807 correspondant et le met en position en abaissant ainsi la barre de report respec tive 836 en avant de l'épaulement 612, tourné vers l'intérieur, après quoi la plaque à cames 848 se meut vers l'intérieur en faisant basculer le levier de report 845 et en obligeant la barre de report 836 à agir contre l'épaulement 612 de la barre à cré maillère de l'ordre immédiatement plus élevé en déplaçant ainsi cette barre à crémaillère et le secteur à caractères y associé, ainsi que sa roue d'accumulateur, d'une dent de façon à effectuer par cela même le report.
Si le report, ainsi effectué fait achever un tour à une roue d'accumulateur quelconque, la face de came inclinée 744 de cette roue actionne son levier 807 qui abaisse immé diatement la barre de report 836 de l'ordre immédiatement plus élevé, après quoi, comme la face-came 847 de la plaque 848 de cet ordre immédiatement plus élevé est plus éloignée du<I>galet</I> 846, lorsqu'elle vient en prise avec celui-ci après que la barre de report à été ainsi abaissée, elle effectue un report de la roue d'accumulateur' de l'ordre encore plus élevé.
Ceci fait, le chariot d'ac cumulateur totalisateur est rappelé et les leviers 807 ainsi que les barres de report, sont également rappelés en raison de l'enga gement, avec les tiges 827 et 730, des le viers -de rappel 824 et des détentes 811. Lorsque, à la suite d'un commencement d'un nouveau groupe de cartes-fiches, ou de la présence d'une earte-fiche de total dans l'analyseur, le câble 314 (fig. 43) ou le câble 373, produit la libération du cliquet coudé 802,
le prolongement 797 du piston 796 s'engage immédiatement dans la rainure de déplacement hélicoïdale 798 de la came de déplacement 530 et oblige le bloc à cames <B>780</B> à venir à la position de fig. <B>42</B> en cou plant par cela même les leviers de com mande 747 au levier de prise de total 768. Ceci produit le mouvement alternatif des roues d'accumulateur en prise avec les sec teurs à caractères, lors de la course initiale de la barre de éomrnande tranversale 647.
Ce mouvement du bloc à cames 780 actionne également le levier 926 de dégagement des volets et la plaque 930 de dégagement des volets (fig. 37), en ouvrant ainsi les volets 561 et en permettant aux arrêts zéro 550 d'être abaissés sous l'action du ressort 593 (fig. 24). Lorsque les arrêts zéro ont été abaissés, les barres à crémaillère sont libres de se mouvoir de dehors en dedans, avec la barre de commande 6.17, jusqu'à ce que la face de came radiale 743 vienne en prise avec l'extrémité tournée vers le bas 809 du levier 807.
Au même instant, les saillies de came arrondies 741 viennent en prise avec le galet 940 et abaissent les leviers de bu tée 635, en permettant à la barre 647 de passer. Comme dans le cas de l'accumulation totalisation, lorsque les barres à crémaillère sont empêchées de reculer par la plaque à dents de rochet 682 et que les secteurs à caractères sont bloqués par la règle d'aligne ment 687, le chariot imprimeur amène le papier contre les caractères et imprime le total. Chariot i aprimeur. Le chariot imprimeur, désigné dans son ensemble par 1100 (fig. 1 et 65), est situé à l'arrière de la partie de bâti 95, derrière le mécanisme calculateur-enregistreur.
Ce chariot est supporté, aux extrémités opposées, sur les consoles 532 (fig. 65) de l'arbre à cames 531 et les consoles 1101, portées par la partie de bâti 95. Ces con soles sont reliées ensemble, a, leur partie supérieure, par les entretoises 1102 (fig. 66) boulonnées par leurs extrémités opposées à la partie supérieure de ces consoles respecti vement. Les consoles<B>1101</B> sont pourvues, à leurs extrémités supérieures, de fentes guides 1104, dans lesquelles sont reçues les con soles, en forme de L 1105, portant à leur extrémité antérieure des galets 1106 dispo sés pour aller et venir dans les ouvertures allongées 1107 des consoles 532.
Les consoles de support 1105 possèdent, prés de leur extrémité arrière, des montants 1108 entre les extrémités supérieures des quels est montée un= barre 1109. Entre les extrémités arrière desdites consoles de sup port est monté l'arbre de support 1110 entre les extrémités duquel sont montés les or ganes de support en forme de<B>L</B> 1112 pos sédant les bras de support 1114, s'étendant vers l'avant, pour le chariot.
Entre les extrémités de la barre de sup port 1109 sont montées les entretoises 1115, s'étendant vers l'avant, qui portent à leurs extrémités antérieures le rail 1116.
Le chariot proprement dit comporte des plaques extrêmes 1117 maintenues espacées par l'entretoise 1113 et les. arbres 1129. Sur ces arbres sont montées les consoles de sup port 1118, s'étendant vers l'arrière, dont chacune est pourvue d'une ouverture circu laire destinée à recevoir le rail 1116 du chariot, la paroi de cette ouverture étant pourvue d'une fente 1119, s'etendant vers l'arrière, destinée à offrir un passage aux entretoises 1115 lorsque l'on fait glisser le chariot sur le rail. Lorsque le chariot a été mis en place, il est supporté par les rails de chariot 1116 et par les extrémités anté rieures des bras 1114 qui s'engagent sous l'entretoise 1113 à la partie antéro-inférieure du chariot.
Entre les plaques extrêmes 111.7 est monté l'arbre 1120 du rouleau à papier qui porte une partie du mécanisme de support et d'entraînement du papier qui sera décrit plus en détail ci-après. JIF@ rris@n@ déterminant l'emplacement du chariot inaprinreur.
]-)airs le fonctionnement de la machine, il et parfois désirable de déplacer le chariot imprimeur par rapport aux unités des sec teurs à caractères, de façon à ce que les colonnes imprimées puissent occuper diverses positions sur la feuille de papier. Les moyens employés à cet effet sont les suivants Le bord antérieur des montants<B>1108</B> (fig. 66 et 68) des consoles.<B>1105</B> est pourvu d'oreilles perforées 1121 coudées vers l'inté rieur et portant des boutons de support 1122, sur lesquels .est montée, de façon à pouvoir glisser, une barre 1124 pourvue de fentes allongées 1125, recevant les boutons de support 1122.
Cette barre est également pourvue de plusieurs trous 1126, assez grands pour recevoir la tête d'un bouton de déter mination d'emplacement 1127, fixé sur une console 1128 assujettie elle-même aux arbres 1129 (fig. 66) qui relient les plaques extrêmes 1117.
On peut faire osciller le chariot vers l'extérieur sur le rail 1116 (fig. 65) jusqu'à ce que le bouton 1127 sorte du trou 1126 dans lequel il se trouve, et déplacer ensuite le chariot longitudinalement jusqu'à ce que le bouton 1127 s'engage dans un autre trou 1126.
Le bouton 1127 et la console 1128 sont bloqués dans la position ajustée au moyen d'une plaque de verrouillage 1180 (fig. 68) pourvue de fentes 1131, en forme d'entrée de serrure, dont chacune présente une extré mité plus large 1132 (fig. 67), à travers la quelle la tête du bouton 1127 peut passer, et une extrémité moins large 1134 destinée à former des épaulements pour s'engager soirs la tête dudit bouton, de telle sorte que celui-ci est maintenu en position par ladite plaque de verrouillage sollicitée par un ressort 1135 tendu entre un des montants 1108 et une oreille coudée 1136 (fig. 68) prévue sur la plaque de verrouillage pour permettre de la manipuler.
La plaque de verrouillage 1130 est maintenue dans la position voulue par rapport à la barre de détermination d'em- placement 1124 au moyen d'une plaque-guide 1133 assujettie à l'un des montants 1108 et s'engageant sur l'une des extrémités de la plaque de verrouillage et une plaque-guide fendue 1133, assujettie à l'autre extrémité de la plaque de verrouillage et embrassant une vis i134', prévue dans l'oreille 1121 de l'autre montant 1108.
ltlécanisme pour imprimer <I>un</I> mouvement alternatif azc chariot ïrnprinaeur. L'impression est accomplie par le mou vement en avant du mécanisme de support du papier, mouvement qui amène le papier contre les caractères 630 et 634 des secteurs à caractères 618. Ceci est accompli au moyen de leviers de commande 1137, 1138 (fig. 66), qui pivotent sur l'arbre 1139 monté dans les consoles 1101.
Les leviers 1137, 1138, lors qu'ils sont en position d'impression, sont verrouillés ou couplés ensemble comme ce sera expliqué plus loin et sont mis en oscil lation sous l'action d'un galet 1140, en prise avec la rainure-came 1141 d'une came d'im pression 1142 montée sur l'arbre 531. Les leviers de commande donnent au chariot un cycle complet d'oscillation une fois pour chaque tour de l'arbre 531.
Le verrouillage ou couplage des leviers 1137, 1138 est accompli au moyen de cônes de verrouillage 1145, qui sont représentés à la position de déverrouillage à la fig. 67 et doivent être mûs vers la droite, dans cette figure, pour verrouiller ou coupler les leviers de façon à les empêcher de se déplacer l'un par rapport à l'autre.
Ces cônes s'engagent dans les ouvertures 1148, 1149 des leviers et, lorsqu'ils sont en position de couplage, ils maintiennent ces ouvertures en alignement; ils sont montés sur une tige 1150, élastique- nient sollicitée vers la position de déverrouil lage par un ressort 1151 assujetti entre une extrémité de la tige et une traverse 1152 (fig. 67) disposée en travers de l'ouverture 1154 de la console 1101 correspondante (fig. 66). L'ouverture 1.154 est assez grande pour qu'on puisse introduire la tige 1150 avec les cônes 1145 lors du montage de la machine.
Ces cônes peuvent être amenés à lit position de verrouillage au moyen d'un levier coudé 1155; pivotant sur la partie de bâti 95 de la machine et pourvu, à son extrémité supérieure, d'oreilles espacées 1156 en prise avec une cheville transversale 1157 plantée dans la tige 1150. Ce levier est -tctionné au moyen d'une bielle 1158 arti culée, par son extrémité inférieure, art bras horizontal du levier 1155 et, par son extré mité supérieure, à, ni) levier de commande 1160 (fig. 1 et 65) pivotant en 1161 sur la console 532.
Le levier de commande<B>1160</B> se termine par une poignée 1162 (fig. 1) passant par une fente 1164 (fig. 74) d'une plaque de verrouillage 1165, cette fente étant pourvue, à ses parties supérieure et inférieure, d'un épaulement formant des crans 1166 et <B>1167,</B> dans lesquels ladite poignée petit être bloquée pour retenir lec cônes de verrouillage, soit dans la position de verrouillage, soit dans la position de déverrouillage.
<I>Dispositif de</I> sar,i)ltoi-t <I>dit</I> papier.
Sur l'arbre 1120, qui tourillonne dans les plaques extrêmes 1117 (fig. 66 et 73), sont disposés plusieurs rouleaux à papier 1248, pourvus chacun d'un moyeu 1249 et mainte mis espacés au moyen de bagues d'espace ment 1250 (fig. 72) enfilées sur l'arbre 1120.
Entre les rouleaux à papier adjacents, et librement en prise avec ces bagues d'espace ment, sont disposées des consoles porte-pla- tine 1251 empêchées de tourner au moyen d'un arbre 1252, passant à travers des per forations pratiquées dans l'oreille 1'254. pré vue sur la partie extérieure. desdites consoles, ces dernières étant maintenues espacées au moyen de tranchons<B>1255</B> (fig. 71) montés sur l'arbre 1252.
La partie intérieure de chaque console de support de platine 1251 porte une saillie antérieure 1274, sur laquelle est assujetti, au moyen d'une vis 1256, un support 125 7 présentant, à son extrémité antprieure, un évidement dans lequel est monté un bloc élastique 1258 en caout chouc ou autre matière convenable, formant platine.
Les bagues d'espacement 1250 tiennent les rouleaux à papier hors de contact des consoles porte-platine. Les bagues et les rouleaux à papier, ainsi que toutes les par ties devant pouvoir tourner sur l'arbre 1120, sont obligées de tourner avec cet arbre par un engagement à friction les unes avec les autres, produit par le serrage d'une vis 1'259 (fig. 65) prévue sur cet arbre.
Entre les rouleaux à papier se trouvent les écrans supérieur et inférieur 1260 et 1261 (fig. 72), qui forment un prolongement de la surface cylindrique des rouleaux à pa pier. Ces écrans possèdent des prolongements angulaires 1,\3f34, dont chacun possède des oreilles rentrantes 1265 (fig. 70) pourvues chacune d'une ouverture recevant l'arbre<B>1252.</B> L'écran supérieur<B>1260</B> est supporté à pivot sur ledit arbre au moyen des oreilles 1265 et il lui est permis de pivoter grâce à la face supérieure arrondie 1266 (fig. 72) des saillies 1254 de telle sorte qu'on peut avoir accès à la vis 1256.
L'écran supérieur 1260 peut être omis si ott le désire.
Les écrans inférieurs 1261 et la partie infé rieure des rouleaux à papier 1248 sont en partie entourés ou renfermés par des écrans exté rieurs 1267, pourvus de rebords 1268 sur lesquels sont formées des oreilles 1269, pour vues de trous dans lesquels passent les arbres 1129 (fig. 66 et 71). Ces écrans extérieurs coopèrent avec les écrans inférieurs 1261 pour former des guides pour le papier 1281 sur lequel les tableaux doivent être impri més, les écrans extérieurs étant prolongés de bas en haut, en avant des rouleaux à papier 1248, ce qui forme ainsi des prolongements 1284 (fig. 67), entre lesquels les caractères des secteurs à caractères passent lorsque le papier est appuyé contre eux au moyen des blocs formant platine 1258.
Sur la partie inférieure des rebords 1268 sont formées de petites oreilles 1285, pour- vites de trous dans lesquels passent des arbres 1286 (fig. 67 et 71), sur lesquels sont montés à pivot les leviers 1\'87 aux bouts externes desquels tourillonnent des rouleaux d'entraînement du papier qui s'engagent contre la partie inférieure des rouleaux à pa pier 12-1S_ et passent à travers des ouver- tiiru, pratiquées dans les écrans inférieurs 1267.
C'es rouleaux d'entraînement sont maintenus en contact avec les rouleaux à papier au moyen de ressorts 1289 assujettis, par leurs extrémités opposées, aux tourillons 1290 des rouleaux (fig. 67 et 71). Les leviers 1287 sont empêchés de s'écarter accidentellement des rouleaux d'entraînement au moyen des ressorts 1289. Les leviers 1287 sont pourvus de doigts<B>1292</B> dirigés vers l'intérieur, s'en gageant par dessus une tige de dégagement 1294 guidée dans des fentes allongées 1295 des plaques extrêmes 1117 (fig. 66).
Lorsque cette tige de dégagement est soulevée, les rouleaux d'entraînement 1288 sont amenés à la position des lignes pointillées à la fig. 71, hors de contact avec les rouleaux à papier, pour permettre d'enlever le papier. Ce sou lèvement de la tige de dégagement 1294 est accompli au moyen de bras de commande, 1296, montés sur un arbre 1297 qui est porté par les plaques extrêmes 1117 et peut être actionné au moyen d'un levier de ma- naeuvre 1298 (fig. 65 et 71), disposé pour s'engager derrière un épaulement 1299 d'une oreille 1300 prévue sur la plaque extrême 1117 correspondante pour maintenir les rou leaux dégagés.
11fécarrisnte d'erati,aiiaeriterzt <I>dit</I> papier Après chaque impression du nombre par les caractères des secteurs à caractères, il est nécessaire de faire avancer le papier, de bas en haut, d'un ou plusieurs espaces.
Cet entraînement est effectué par suite de l'en gagement des dents d'un rochet 1301 monté sur l'arbre 1120 par un cliquet d'entraîne ment à deux bras 1302 (fig. 66) montés à pivot sur un levier 1304 qui pivote sur ]''arbre 1305 et reçoit son mouvement d'une bielle 1306 actionnée, à son tour, par le le vier 1307 qui est monté sur l'arbre d'entraî nement 1308, ce dernier étant actionné par un bras de commande 1309 fixé sur lui et disposé pour venir en contact avec un arbre 1810 et être mis en mouvement par cet arbre qui est porté par des consoles 1311 pivotant sur les plaques entretoises 1102.
Les consoles 1311 sont limitées dans leur mouvement vers l'arrière par l'engagement, avec les plaques entretoises, d'un épaulement 1312 formé par le bord inférieur d'une oreille 1314 s'étendant latéralement du bord arrière des consoles 1311 et elles sont élastiquement tenues à la limite arrière de leur mouvement par - un ressort 1315 tendu entre ladite oreille et une oreille prévue sur la partie arrière de la plaque entretoise 1102.
Lorsque le chariot imprimeur est mû en avant vers les secteurs à caractères, la face extrême libre 1316 (fig. 66) du bras de com mande 1309 vient en prise avec l'arbre 1310 et le repousse à l'encontre du ressort 1315, jusqu'à ce qu'elle abandonne ledit arbre pour lui permettre d'être rappelé par le ressort 1315 jusqu'à ce qu'il soit arrêté par l'épau lement 1312; la fig.66 représente l'arbre 1310 un instant après qu'il a abandonné la dite face extrême.
-Une fois l'impression effectuée et après que le chariot s'est mû vers l'arrière, l'arbre 1310 est engagé par le côté inférieur du bras de commande 1309, ce qui fait que ce bras et le levier 1307 sont soulevés en fai sant ainsi basculer le levier 1304 et en abaissant le cliquet 1302, ce qui fait tourner le rochet 1301 d'une ou plusieurs dents sui vant qu'il est permis plus tard ou plus tôt à la branche inférieure 1317 du cliquet de venir en prise avec les dents du rochet.
Lorsqu'on désire que les cliquets ne fassent avancer le rochet que d'une dent à la fois, un levier ]imitateur d'entraînement 1318, monté à pivot sur la partie supérieure de la plaque extrême 1117 correspondante est ajusté à la position représentée à la fig. 66 en empêchant ainsi la branche 1317 du cli- quet de rester en prise avec le rochet après qu'elle a été mue de haut en bas sur une distance correspondant à une dent, puisque la face interne inclinée 1319 de cette branche du cliquet sera engagée par la cheville limi- tatrice d'entraînement 1320 montée sur 1a partie inférieure du levier 1318.
Ce levier 1318 est un peu élastique et il est pourvu d'une paire de dépressions<B>1321,</B> dont l'une ou l'autre est susceptible d'être engagée par un téton de blocage monté sur, la face interne de la plaque extrême corres pondante 1117, suivant que le levier 1318 est déplacé vers la droite comme cela est représenté à la fig. 66. ou vers la gauche.
Ce moyen de blocage sert à maintenir le levier dans la position où il a été amené. Lorsqu'on désire que le cliquet 1302 fasse avancer le rochet de plus d'une dent à la fois, on déplace le levier 1318 vers la gauche en fig. 66, ce qui éloigne ainsi la cheville 1320 de la branche 1317 du cliquet en per mettant à cette branche d'être en prise avec le rochet durant le mouvement descendant du cliquet pour une distance de deux dents par exemple. Si on le désire, les parties peuvent être proportionnées de façon à ce que l'entraînement puisse se faire par trois, ou plus de trois dents à la fois.
Pour empêcher l'entraînement du chariot sur une distance plus grande que le nombre voulu de dents lorsque par exemple, la ma chine marche à très grande vitesse, le cli- quet 1302 est pourvu, sur, l'autre branche, d'un bec d'arrêt 1322 disposé pour s'engager entre les dents du rochet, contre la face inclinée desdites dents, de telle sorte que le rochet est empêché de tourner d'une autre dent après que le cliquet a cessé de se dé placer dans la direction correspondant à l'entraînement. Un ressort 1324, tendu entre la branche à bec d'arrêt 1322 et le levier 1304, maintient élastiquement le cliquet en prise avec les dents du rochet.
Le mécanisme d'entraînement est élasti- quement tenu en position pour l'entraînement au moyen d'un ressort 1325 tendu entre la plaque extrême 1117 et une oreille prévue sur la partie supérieure de l'extrémité in terne du bras 1307.
Pour maintenir le rochet 1301 et les parties montées sur l'arbre 1120 dans les positions dans lesquelles elles sont amenées par le cliquet 1302, il est prévu un galet d'arrêt 1326, monté de façon à pouvoir tourner, sur une des extrémités d'un levier de détente 1327 pivotant sur la plaque extrême 1117 et sollicité par un ressort 1328, tendu entre l'autre extrémité du levier de détente et la partie inférieure de la plaque extrême 1117, de telle sorte que ce galet est élastiquement pressé entre les dents du ro chet et tient élastiquement ce rochet dans la position à laquelle il a été amené.
Lorsqu'on désire introduire, retirer ou entraîner le papier tout à fait indépendam ment du mécanisme d'entraînement qui vient d'être décrit, on se sert du mécanisme re présenté aux fig. 67 et 71 et comportant, de chaque côté, une roue dentée 1329 d'entraî nement de papier (fig. 71), fixée à l'arbre 1120 et engrenant avec une roue dentée folle 1330 qui, tournant sur la plaque extrême 1117 correspondante, engrène à son tour avec une roue dentée 1331 fixée sur l'arbre 1305 monté de façon à pouvoir tour ner dans ladite plaque extrême 1117 et por tant un bouton moletté 1332 (fig. 67)
au moyen duquel on petit faire tourner cet arbre et les roues dentées à la main.
Pendant l'entraînement du papier et pen dant l'impression, il est désirable que ce pa pier soit fermement maintenu contre les platines. Ceci est effectué au moment d'un mécanisme de serrage comportant une barre de serrage 1333 (fig. 66), montée entre les bouts externes de leviers 1334, pourvus de fentes longitudinales 1335, dans lesquelles passe librement l'arbre 1120 d'entraînement du papier, de telle sorte que la barre de serrage du papier 1333 est susceptible d'être rapproché et éloignée des rouleaux à, papier aussi bien que de tourner avec eux.
Les bouts internes des leviers de serrage 1334 sont pourvus de petites chevilles 1336, s'en gageant dans des fentes longitudinales 1337 prévues dans les extrémités inférieures de leviers 1338 pivotant sur les plaques extrêmes 1117 et sollicités par un ressort tendu entre l'extrémité supérieure de ces leviers et la partie supérieure des pla ques extrêmes 1117, ce qui a pour effet que les leviers 1334 sont élastiquement tirés de liant en bas et que la barre de serrage 1333 e élastiquement le papier contre les <B>t</B> appui rouleaux à papier 1248.
Cet engagement élastique se maintient durant l'impression et l'entraînement du pa pier, mais, après que l'entraînement a eu lieu, comme cela a été décrit ci-dessus, des chevilles de dégagement 1340 montées sur l'arbre 1341, viennent en contact avec l'arbre 1310 et obligent l'arbre 1341, et des consoles 1342 qui le portent à basculer vers l'arrière ce qui fait que des bords formant came 1343, repoussent de dedans en de- dehors les chevilles 1336, et avec elles les leviers 1334 et la barre 1333, et font égale ment basculer les leviers dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la fig. 66, après quoi la barre 1333 est mue de haut en bas, par-dessus le papier,
et effectue plus tard une nouvelle prise sur le papier lorsque les leviers de serrage 1334 sont li bérés par les cames au mouvement suivant du chariot en avant et retirés sous l'action du ressort 1339. 111écanisine <I>encreur.</I> Le mécanisme encreur est ici du type à ruban encré dont les moyens de support et d'entraînement sont désignés dans leur e11- semble par 1350 (fig. 67 et 69); mais, comme ce mécanisme est bien connu, on ne le dé crira pas en détail; il pourrait d'ailleurs être remplacé par un autre mécanisme encreur approprié.
,ilécarzisrrze <I>de</I> signal <I>de total.</I> Lorsqu'un total est imprimé, il est dési rable de faire apparaître un signal visuel pour indiquer que le nombre imprimé est un total. Ceci est accompli en déplaÇant le chariot vers la gauche lorsque le total est imprimé, ce qui fait que le total est imprimé un peu à droite de l'alignement de la colonne de nombres enregistrés. Mécanisme d'inzpressiora <I>de total</I> ra'imprirnant <I>pas les</I> données.
Lorsque, au moyen du levier 1160 (fig. 1), le chariot imprimeur a été amené à une po- . sinon de non impression, de telle sorte que les données accumulées ne sont pas impri mées, il est toujours désirable que les totaux eux-mêmes soient imprimés. Pour effectuer cette impression automatiquement, on a prévu un levier de blocage automatique d'impres sion 1387 (fig. 67), monté à pivot sur la console 1388 fixée à l'arbre 1339, l'extrémité supérieure de ce levier s'engageant dans un cran 1390 de la barre 1124, alors que son extrémité inférieure s'engage avec une che ville transversale 1391, prévue sur l'arbre 1150.
Lorsque le chariot est déplacé vers la gauche, la barre 1124 se meut avec lui et entraîne l'extrémité supérieure du levier 1387 vers la gauche; dans ces conditions, la partie inférieure de ce levier, l'arbre 1150 et les cônes 1145 sont déplacés vers la droite, en bloquant ou couplant ainsi ensemble les le viers d'impression supérieur et inférieur 1137, 1138 pour l'impression.
Fonetionnernent <I>dit chariot</I> inzprinzezzr. On introduit le papier dans l'ouverture arrière existant entre les écrans extérieurs 1267 et les écrans inférieurs internes 1261 et on fait tourner, au moyen d'un des bou tons 1332, les rouleaux à papier 1248 jus qu'à ce due la partie sur laquelle on désire imprimer tout d'abord se trouve en face des blocs formant platines 1258. On ajuste le le- vier.limitateur d'entraînement 1318 pour le nombre de dents que l'on désire que le ro chet d'entraînement entraîne.
Si on le dé sire, on déverrouille la plaque de blocage 1130. et on ajuste le chariot sur le rail à chariot, après quoi on reverrouille le chariot.
On amène le levier 1160 dans la position de blocage ou de déblocage suivant que l'on désire que les données soient imprimées ou 11011.
On met ensuite la machine en marche comme cela a été expliqué ci-dessus, et les caractères sont composés et les accumula- teurs totalisateurs totalisent. Si le levier 1160 est dans la position de blocage, les cames 1142 font aller et venir les leviers d'impression 1137, 1138 et le chariot, et l'impression s'effectue.
Lors de la prise d'un total, le chariot est déplacé vers la gauche, juste avant l'im pression au moyen du levier de signal de total 1381 s'engageant dans le cran 1380 de la barre 1124. Si le levier 1160 n'a pas été amené à la position d'impression, le levier de blocage automatique 1387 oblige égale ment les cônes 1145 à coupler les leviers d'impression 1137,<B>1138</B> et à imprimer des totaux lorsque les totaux sont composés et représentés par les secteurs à caractères.