Machine comptable. La présente invention a pour objet une machine comptable comprenant plusieurs tota lisateurs d'addition-soustraction pouvant fonc tionner indépendamment l'un de l'autre pour des opérations d'addition, de soustraction et: de total et elle est. caractérisée en ce qu'elle com prend un mécanisme de renversement de solde négatif qui est. commun à tous les totalisa teurs et qui fonctionne, lorsqu'un solde né-,a- tif se présente dans l'un quelconque de cet totalisateurs, pour renverser ce solde négatif et l'imprimer sous forme de somme négative réelle.
On connaît déjà des machines dans les quelles, lorsqu'un solde négatif a lieu dans l'un des totalisateurs addition-soustraction, l'utilisation d'une touche spéciale a pour effet de provoquer l'actionnement d'un mécanisme de conversion automatique pour obtenir l'im pression (lu solde négatif réel.
Toutefois, dans ces machines connues, lorsqu'il se produit un solde négatif dans l'un quelconque des tota- lisateurs addition-soustraction, la conversion en solde négatif réel ne peut se faire que par une série d'opérations provoquées à l'ori gine manuellement.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet de l'invention, seules les parties nécessaires à la compréhen sion de l'invention étant représentées et dé crites. La machine comptable complète est décrite dans le brevet suisse N 281791. La fig. 1 est une vue en perspective de l'ensemble de la machine.
Fig. 2 est une vue en plan schématique des claviers de la machine.
Fig. 3 est une coupe longitudinale, prise de l'arrière de la machine, passant à droite de l'une des rangées de touches de montants.
Fig. 4 est une vue de la gauche de la rangée de droite des touches de commande, vue montrant également une partie d'un mé canisme de renversement de solde.
Fig. 5 est une coupe montrant une partie du mécanisme de renversement. de solde tel qu'il est vu du côté gauche de la machine.
Fig. 6 est une vue en élévation, de la gauche, d'une partie du mécanisme de com mande des opérations de renversement de solde.
Fi-. 7 est une vue en élévation d'un arbre à cames principal.
Fig. 8 montre en détail un mécanisme des tiné à couper la commande de certaines cames montées sur l'arbre à cames principal, pen dant les opérations de renversement de solde.
Fig. 9 est une vue en élévation de l'arbre à cames pour des opérations de renversement de solde.
Fig. 10 est une vue latérale d'une partie d'un mécanisme d'impression.
Fig. 11 représente une vue en élévation d'une partie d'un mécanisme des indicateurs des opérations de renversement de solde. Fig. 12 est une vue en élévation d'un dis positif commandé par le chariot pour sélec tionner les totalisateurs sur addition, sous traction, total ou sous-total.
Fig. 13 est un détail d'une partie du mé canisme de la fig. 12.
Fig. 14 est une vue en plan montrant les détentes de commande des totalisateurs, ainsi que la commande d'impression des symboles, ainsi que des goujons portés par les touches de commande qui coopèrent. avec ces détentes.
Fig. 15 est une vue en élévation montrant plus en détail le mécanisme d'embrayage des totalisateurs.
Fig. 16 est une vue de face du mécanisme montré en fig. 15.
Fig. 17 est une vue .de face montrant un mécanisme de déclenchement automatique d'un cycle de la machine.
Fig. 18 est une vue de la. gauche. de cer taines pièces du mécanisme de renversement de solde et. des indicateurs de renversement de solde, fig. 19 et 20 montrant des détails corres pondants.
Fig. 21 est une -nie en élévation montrant une touche de Solde négatif , ainsi qu'un mécanisme pour déterminer une opération de renversement de solde à partir des positions du chariot.
Fi-. 22 est une #,1ze de face des indiea- teurs de renversement de solde.
Fi-. 23 est une vue latérale du dispositif déclenchant les opérations.
Fig. 24- est une vue latérale de la. droite montrant des organes grâce auxquels un ren versement de solde peut empêcher le cycle automatique.
Fig. 25 représente un diagramme des temps correspondant aux mouvements des di vers mécanismes de la machine, ainsi que les temps correspondant. à une opération de ren versement de solde à deux cycles.
Fig. 26 est une vue partielle d'un méea.- nisme (l'impression des symboles.
Fig. 27 montre schématiquement les diffé rents symboles prévus sur les secteurs impri- mants. Fig. '?est une vue en perspective mon trant une des glissières de commande des symboles de renversement de solde.
Fig. ?i> est une vile en perspective mon trant \tune des glissières de commande des svinboles.
Fig. 30 est une vue latérale représentait un mécanisme du ruban encreur de la ma chine comptable, ainsi que sa commande par des glissières de commande des totalisa- teurs, et Fig. 31 représente Lui. détail de fig. 30.
La, machine représentée est pourvue (l'un chariot porte-papier 1261 (fig. <B>1)</B> aménagé de manière à pouvoir tabuler ou à revenir dans certaines positions (le colonne et présenter ainsi certaines colonnes bien déterminées d'ini document 13.58 en.
face (le secteurs impri- mants 94?. La position (le colonne que le chariot doit occuper est déterminée par (les tabulateurs 7.37.1 montés de faeon amovible à l'avant. du chariot.
Grâce à. plusieurs rangées de touches 589 (fig. 1 et 2), l'opérateur peut provoquer l'en- l-el@istrenient de montants additifs, ou des nu- méros, ou autres références en non-addition, etc.
Le clavier est représenté clairement -i la l'he. ; il. comprend deux rangées de touelies de commande 65? à. 669 qui contrôlent le fonctionnement de dix totalisateurs addition- soustraction 1\ 1 à 9 et .I dont la machine est équipée et le clavier comprend aussi une barre motrice principale ?050 qui déclenche la machine.
Au-dessus des touches de commande se trouve une série d'indicateurs placés derrière des ouvertures '-100 et qui servent à indiquer ceux des totalisateurs qui présentent un solde positif et celui ou ceux qui présentent un solde né--atif, ainsi chie cela ,era décrit plus loin en détail.
Jléc(@,tt.isrrt(- différentiel d(s niontants <I>et</I> dispositif d'ina@ression.
Le mécanisme différentiel des montants est d'un type bien connu et n'est décrit ici (lue très suceinetenient. En se référant à la fig. 3,
on voit des crémaillères 617 montées de manière à pouvoir se déplacer horizontale ment d'un mouvement de va-et-vient sur des i raverses fendues 905 et<B>908.</B> Chaque crémail lère est pourvue d'un goujon 912 en prise avec une fente 911 pratiquée dans un segment de bras de réduction 913 relié par une biel- lette 943 à un secteur imprimant 942, de façon telle que ce dernier puisse être posi tionné selon la valeur de la touche 589 qui a été utilisée.
Le bord postérieur de chaque segment 913 est normalement, sous l'action d'un ressort !'16, en contact. avec une barre d'entraînement 915 qui, à chaque opération, effectue, à. la manière connue, un mouvement de va-et- vient, le ressort 916 avant pour effet de tirer la crémaillère 617 dans le même mouvement que la barre 915 et ce jusqu'à ce que la cré maillère soit arrêtée par une touche enfoncée 589 (fig. 2).
La barre 915 continue son mouvement, tendant ainsi le ressort 916, et, lors du retour de la barre, celle-ci vient cueil lir le serinent de bras de réduction 913 pour ramener la crémaillère 617 à la position ori ginale.
Le secteur 94'? (fig. 3) pivote à la partie supérieure d'un bras d'impression 94-1, monté fou sur titi arbre 945, lequel bras est sollicité par un fort ressort 961 qui a pour but d'ame- rier les secteurs imprimants 94'22 en Pontaet brusque avec le document comptable 1358 passé autour d'un cylindre 539.
lie mécanisme qui actionne l'arbre d'impres sion 945 est représenté en fig. 10 et comprend un bras 967 goupillé à l'extrémité de droite de l'arbre 945. L'autre extrémité de ce bras porte titi goujon 968 articulé à un bras 969 porté par titi arbre 923. Ce dernier porte également, au côté du bras 969, un levier de came 970 coopérant avec des cames 971 et 972. Pendant. titi cycle d'opération d'un arbre à cames principal 253, le bras 969 pivote d'abord dans le sens senestrorsum, puis dans le sens contraire pour communiquer titi mon- veinent opposé à l'arbre d'impression 945.
Fixé sur l'arbre d'impression 945, à droite du mécanisme d'impression, se trouve un bras 574 qui peut. coopérer avec une vis réglable montée sur une plaquette 975. Celle-ci est fixée à l'extrémité de droite d'un arbre 976 monté dans les flasques du groupe (l'impres sion et est sollicitée dans le sens dextrorsum par un ressort 977.
Une gachette d'impression 950 est à son tour fixée sur l'arbre 976, de sorte que, lorsque l'arbre 945 tourne dans le sens dextrorsum,le bras 974 vient en contact avec la vis de réglage de la plaquette<B>97,5</B> et. fait tourner celle-ci clans le sens senestror- sum contre l'action du ressort. <B>977.</B> Ceci a pour effet de libérer la gachette 950 qui, à. son tour, libère des plaques de commande 949 (fig. 3) de façon que les secteurs imprimants 94-2 soient projetés brusquement, sous l'action des forts ressorts 961_, contre le cylindre 539.
Des secteurs d'impression, analogues aux secteurs 942, sont prévus pour imprimer des symboles représentatifs du genre d'opération effectuée par la machine. Par exemple, un symbole 0D 2514 (fig. 27) est imprimé lorsqu'un solde créditeur est extrait. Ce méca nisme pour imprimer le symbole 0D est constitué comme suit A droite des secteurs imprimants 942 se trouve un secteur 2460 (fic. 26 et 27) qui pivote à l'extrémité supérieure d'un bras d'impression 2-162 lui-même monté fou sur l'arbre d'impri merie 945.
La mise en position et le réglage du secteur 2-160 pour l'impression du symbole sont identiques à ceux des secteurs 942 (fig. 3), et le dispositif comprend une biellette 2464 (fig. 26) qui relie le secteur 2460 à un bras de réduction 2466 monté rotatif sur l'arbre 914 des bras de réduction. A ce bras 2466 est relié un segment de bras de réduction 2468 connecté par une bielle 2-170 à. un bras 2472 fixé à l'extrémité de gauche d'tin arbre 2474 d'impression des symboles.
La bielle 2470 est sollicitée vers l'arrière au moyen d'un ressort. 2476 agissant. sur le bras de réduction 2466, ce. qui a pour effet de placer le secteur imprimant. dans la posi tion convenable d'impression.
Comme on le voit à la fig. 28, la mise en position de l'arbre 2474 est commandée par une glissière 2477 dont une arête 2512 coopère avec une oreille 2351 solidaire d'un curseur clé conversion 2352, de manière telle que le secteur 2460 soit. amené à la position d'indi cation du symbole approprié et correspondant à l'opération effectuée. Lorsque l'oreille 2351 du curseur 23.)2 se trouve sur le trajet de la glissière 2177, cette dernière reçoit un mouvement supplémentaire, sous l'action du ressort 2176, une fois que la.
barre d'actionnement 915 s'est déplacée, et ce mouvement est déterminé par le contact. de l'arête 2512 avec l'oreille 2351. De ce fait, le symbole 2511 (fig. 27) correspondant à l'opé ration de solde créditeur se trouve en posi tion d'impression.
Dans certaines conditions, l'arbre 2174 (fig. 28) ne peut tourner et, dans ce cas, il est. évident que le secteur imprimant 2160 ne peut pas être amené en position. On v a voir pourquoi: Sur l'arbre 2171 est fixé un bras 2522 (fig. 29) présentant une oreille repliée 2550. Monté fou sur un arbre 2538 se trouve un bras 2552 muni d'un doigt.<B>2551</B> et pré sentant une extension supérieure bifurquée qui est en prise avec un goujon 2553 porté par une glissière 2551.
Un ressort. 2558 tend à faire tourner le bras 2552 dans le sens dex- trorsum. Si la glissière 2551 est empêchée de se déplacer, le doigt 2551 est maintenu hors (lu trajet, de l'oreille 2550, et l'arbre 2171 peut tourner librement. Au contraire, si la glissière 2554 est amenée à se déplacer vers la droite (fi-. 29), sous l'action du ressort 2558, le bras 2552 pivote dans le sens dex- trorsum pour amener le doigt 2551 sur le trajet de l'oreille 2550, empêchant. ainsi la rotation de l'arbre 2171.
Pour imprimer le symbole 0D lors d'une opération de solde créditeur, la glissière 2554 ne peut se déplacer vers la, droite, grâce à une oreille 2568 (fig. 29) portée par le curseur<B>2352.</B> Nor malement, cette oreille 2568 est maintenue dans la position de fig. 29 hors d'un prolonge ment 2569 porté par la glissière 2554. Toute fois, lorsqu'une opération de conversion de solde est déclenchée, le curseur 2352 se dé- place vers le bas, comme on le verra plus loin, amenant ainsi l'oreille 2568 sur le trajet du prolongement 2569, bloquant ainsi la glis- sière 2551.
De ce fait, l'arbre ?474 peut tour rrer et positionner le symbole 0D pour l'im pression. Jléca@rtisîiie <B><I>(le</I></B> débrayage <I>cl</I> d'embrayogc <I>des</I> totalisateicrs.
Chacune des touches de commande 652 à 660 et 661 à. 669 (fi-. 2) disposées à, gattelre du clavier correspond à une --glissière de com mande 1051 (fig. 13 et 14) pour les totalisa teurs. Un groupe de ces touches 652 à 660 est représenté plus en détail en fig. 4.
Chaque glissière 1.051 présente une série (le languettes 1100 pouvant coopérer avec des goujons 1101. (fig. 4 et 14) portés par les tiges de touches. Normalement, la glissière 1051 est, sollicitée vers la droite (fi-. 13) par un ressort, mais ce mouvement peut être em pêché par les dispositifs décrits dans ce qui suit. Sur un arbre 1058 (fig. 13) pivote une série de leviers de commande 1056 pour les totalisateurs et chaque levier porte un goujon 1055 en prise avec l'extrémité arrière cro chue 1057 d'une glissière 1051.
Chaque levier 1056 est. pourvu d'un doigt. 10:59 orienté vers l'arrière et pouvant coopérer avec une queue 1050 portée par un crochet 10\_'7. Tous les crochets sont. articulés en 1026 sur une bielle 1.022 d'embrayage des totalisateurs. Un bras 1021 est fixé sur un arbre 1010 et est relié à. la. bielle 1022 dont l'extrémité avant. est fourchue polo' entourer urne tige rainurée 1023.
Les roues de totalisateurs 997 (fi-#,. sont montées par paires, une au-dessus e1 l'autre au-dessous de la crémaillère 617, sur l'arbre des totalisateurs 1001 (fig. 13). A cha que extrémité de cet. arbre sont montés des galets (non représentés) en prise avec des fentes 1008 d'un bras de came 1009 fixé à chaque extrémité clé l'arbre 1010.
Un ressort. 1032 disposé entre un prolongement supé rieur du crochet. 1027 et un prolongement analogue de la bielle 1022 maintient normale- ment un goujon 1033 de ce crochet, en contact avec titi bord supérieur de la bielle 1022.
Un coulisseau palpeur<B>1981</B> est articulé, au levier<B>1056</B> et est #gguidé par sa partie posi-é- rieure présentant \une fente ouverte 1.982 coopérant avec une barre 1983.
Pivotant sur un axe 1975 se trouve un bras < le butée 7977 susceptible de pivoter :roua différents angles sous la commande du chariot, porte-papier. Chaque bras de butée 1977 présente un doigt 1980 pouvant. coopérer avec des épaulements gradués 1981, 1985 (fig. 12) pratiqués sur le coulisseau palpeur 1981. Celui-ci porte également une barrette 1986 et, suivant.
la position à laquelle le doigt de butée<B>1,980</B> est arrêté, sous la comma.rrcle du chariot., le levier 1056 effectue des mouve ments de pivotement sous des angles diffé rents, en particulier lorsque le levier 1056 est déplacé, comme on le verra plus loin, pour placer le ou les totalisateurs sélectionnés en condition d'opération de total, de soustrac tion, d'addition ou de non-addition respective ment. Une barre d'embrayage 1028 (fig. 13) se déplace dans une série de crans, comme indi qué à la ligne 2 (lu diagramme des temps clé fig. 25, sous la commande de certaines carnes (non représentées).
Suivant la position dans laquelle le crochet. 1027 est maintenu, le tota lisateur sélectionné est. couplé avec la barre 1028, ou en est découplé, pour un ceri ain genre d'opération.
Normalement, le levier l_056 est stoppé par un étrier 1060 fixé entre deux bras, dont l'un seulement, 1061, est représenté. Cet étrier 1060 pivote dans le sens senestrorsurn au<B>dé-</B> but du cycle d'opération, permettant au levier 1056 de basculer dans le même sens grâce au ressort agissant sur la glissière 1051. Lorsque la sélection de totalisateur doit être commandée par les touches de fig. 4, le mouve- ment effectué par la glissière 1051 commande alors l'angle de pivotement du levier l056.
Par contre, si la sélection du totalisateur est commandée par le chariot, le mouvement de pivotement erg question est déterminé par la coopération du doigt de butée 1980 avec la barrette<B>1986</B> ou les épaulements gradués 198-1, 1985 du coulisseau 1981..
Comme on le voit en fig. 13, le mouvement 5enestrorsurn du levier 1056 a pour effet. d'amener son doi,,-t 1059 en relation différen tielle par rapport au crochet 1027, de telle sorte que ce dernier soit amené dans une po sition relative par rapport à la, barre 1028, telle que l'accouplement ou le désaccouple- ment soit produit avec le crochet, déterminant ainsi le moment auquel les roues 997 (fig. 3) <B>(lit</B> totalisateur sélectionné seront embrayées avec les crémaillères 617 ou débrayées de ces dernières.
Commande <I>de</I> l'embrayage <I>et</I> dit <I>débrayage</I> du <I>totalisateur X </I> dans <I>les</I> opérations <I>de</I> solde créditeur.
D'une manière générale, le mécanisme de débrayage et d'embrayage pour le totalisa teur<B> Y </B> est analogue pour celui qui est prévu pour les totalisateurs Nos 1 à 9, mais comme la commande du fonctionnement est diffé rente, on décrira. dans ce qui suit comment s'effectue l'embra.ya-e et le débrayage de ce totalisateur X .
Comme on le voit dans les, fi-.<B>5</B> et 14, une glissière 1127 de commande est. prévue pour le totalisateur X . Cette glissière est analogue à la glissière<B>10151,</B> mais ne com prend pas de languette 1100, car le totalisa teur Y n'a pas à être actionné manuelle ment du clavier. En effet, ce totalisateur est généralement utilisé comme accumulateur pour les opérations de renversement. de solde et ne l'est généralement pas pour l'enregistre ment. des soldes.
Toutefois, si pour une appli cation particulière de la machine, on ne dé sire pas imprimer des soldes créditeurs ou négatifs, il est tout à. fait. possible de sélec tionner le totalisateur Y exactement comme décrit pour les autres totalisateurs, sous l'ac tion du chariot, de sorte que, dans ce cas, la machine possède une capacité de dix totali sateurs d'addition et soustraction.
La glissière 1127 pour le totalisateur Y ne remplit pas de fonction de sélection en addition, sous- traction, total ou sous-total, mais possède seulement les fonctions de commander cer taines pièces de la machine pendant- les opé rations de total négatif, ainsi qu'on le dé crira en détail un peu plus loin. Indicateurs <I>des</I> opérations <I>de</I> renversement <I>de solde.</I>
Tous les totalisateurs de la machine repré sentée sont du type addition-soustraction et l'on peut, dans chacun d'eux, avoir un solde négatif en soustrayant un montant supérieur à celui qui s'y trouve déjà accumulé. C'est ce qu'on appelle dans la profession un renverse ment de solde. Pour attirer l'attention de l'opérateur sur un tel état de chose, il est. prévu des indicateurs, un pour chacun des totalisateurs 1 à 9, indicateurs disposés à gauche de la machine au-dessus des rangées de touches de commande, c'est-à-dire à un endroit. facilement visible pour l'opérateur.
Ces indicateurs font. apparaître un signe en couleur pour cehii des totalisateurs qui pré sente un montant négatif et ce signe s'efface lorsque le totalisateur est remis à zéro ou si le montant devient, positif.
Comme on le voit aux fig. 1 et 18, une cor nière 209 constituant une partie du carter de la machine est munie de neuf ouvertures 2300 derrière lesquelles se trouvent des plaquettes indicatrices 2301 (voir aussi fig. 22). Ces pla quettes sont solidaires de bras 2302 pivotant sur une tige 2303 fixée à un support 2304. Chaque bras 2302 est fixé à un levier 2305 en forme de<B>U</B> dont. les deux branches sont pivo tées sur la. tige 2303. Les branches de droite (fig. 22) sont séparées les unes des autres par des manchons 2299. Les branches de gauche des leviers 2305 sont. articulées à des bielles 2306 (fig. 18), elles-mêmes reliées à des leviers 2307 pivotant. en 2308 sur une plaque (non représentée).
Les antres extrémités des leviers 2307 sont reliées par des cordes à piano<B>2310</B> (voir aussi fig. 11) à des plaques 2311 pivo tant sur des goujons 2312. Chaque plaque est normalement maintenue en position de fig. 18 et 11, c'est-à-dire en contact avec un goujon 2313, sous l'action d'un ressort 2314.
A chaque opération, les cordes à piano 2310 sons tirées vers l'avant et font pivoter les plaques dans le sens senestrorsum dans la position repré sentée en trait mixte en fi-.<B>181,</B> ce qui est obtenu au moyen d'un étrier 315 disposé au- dessus d'un épaulement 2316 formé sur les leviers 2307. L'étrier est muni de deux bras latéraux 2317 qui pivotent en 2308. L'un de ces bras 23l7 est. iniini d'un prolongement inférieur 2318 muni d'un galet. 2319 en prise avec un bras de came 2320.
Ce dernier est monté sur un arbre 802 (fi-. 12) et porte un galet 2321 qui est en contact, sous l'action des ressorts 2314, avec la périphérie d'une came 2322 goupillée sur l'arbre principal 2:i3. Lorsque ce dernier tourne, le bras de came bascule dans le sens dextrorsum (.fi-.<B>12)</B> et l'étrier 2315 est abaissé, ce qui tire les cordes à piano 2310 vers l'avant. pour faire pivoter les plaques 2311 dans le sens senestrorsuin (fig. 18).
L'arête de gauche 2323 de chaque plaque est ainsi amenée au-delà de l'extrémité d'un bras de blocage 2324 fixé sur un arbre de renversement 2325 qui s'étend sur la lar geur de la machine. Chaque bras 2321 (fi-@. 18) peut, basculer chaque fois qu'un ren versement de solde se produit dans le totali sateur correspondant..
Le renversement de solde, s'il se produit, a lieu vers la fin de la première moitié du cycle opératoire et, à, ce moment, la plaque 2311 est amenée dans sa position en trait mixte de fil. 1.8, ce qui per met aux bras de bloca-e 2324 de venir se pla cer derrière l'arête 2323 et. d'empêcher la plaque de revenir à sa position normale à la fin du cycle (ligne 5 du diagramme des temps de fig. 25).
Par conséquent, les plaquettes in dicatrices 2301 qui correspondent. à un totali sateur contenant un solde négatif sont rete nues à la fin de l'opération en position repré sentée en trait mixte en fig. 18 et, comme ces plaquettes présentent une partie colorée 2326 (fig. 22) à. travers l'ouverture 2300, l'opéra teur est averti qu'un renversement de solde s'est produit dans le totalisateur en question. Les plaquettes correspondant. aux autres tota lisateurs, contenant un montant positif, re viennent à leur position normale à la fin du eyele et. ne font apparaitre aucun signal à travers les ouvertures 2300.
En ce qui concerne le totalisateur N 1, il est. prévu des moyens qui empêchent l'enfonce ment de la touche 652 Solde I (fig. 2) lors qu'un renversement de solde se produit dans ce totalisateur, ce qui constitue un moyen sup plémentaire d'attirer l'attention (le l'opérateur sur la condition spéciale de renversement.
Comme le montre la fig. 6, un arbre de renversement 2325 pour le totalisateur N 1 porte rni bras 2328 relié à une bielle 2329 portant un goujon 2330 en prise avec une fente 2331 pratiquée dans un bras de blocage 2332 pivotant en 2333 sur un bâti de gauche 214. La bielle 2329 présente également une fente en prise avec un goujon 2334 porté par un plongeur 233.'> pouvant coulisser verticale ment siir (les goujons fixes<B>759</B> et 783.
Ce plongeur et. l'extrémité antérieure de la bielle 2329 sont normalement. maintenus dans leur position élevée représentée en fi;. 6 #,riiree à titi ress( rt '?336 qui maintient le, goujon 2330 dans la partie supérieure de la fente 2331.
Lorsqu'un. renversement de solde se produit dans le totalisateur N 7 et que l'arbre 2325 tourne dans le sens senestror;suni, une arête 2337 située à l'extrémité supérieure du bras de blocag'e 23:32 vient se placer au-dessous du goujon 1241 porté par la touche 65'2 Solde I . Ainsi, en enfonçant cette touche, l'opérateur rencontre une résistance, à moins que le plon geur soit tout (l'abord abaissé, ce qui a pour effet d'amener le goujon 2330 dans la partie inférieure (le la fente 2331 et. en niÊ,me temps d'écarter l'arête 23:37 du goujon 1241.
L'opé rateur peut donc, à. ce moment-là, effectuer une opération (le renversement de solde en appuyant le plon'-eur 4210335 puis en enfonçant la touche 652. La, touche 660 Solde crédi teur peut alors être enfoncée et, grâce à la barre motrice 2050 (fig. 2), la machine effec tue (leur cycles pendant. lesquels le montant effectif du solde négatif extrait du totalisa teur N 1. est imprimé sur les documents. Le totalisateur N 1 est remis à zéro et les indi cateurs correspondants reviennent, à leur posi tion normale.
:IIPcavîsme <I>de</I> commande (lit rencersenu-n-t <I>(le solde.</I>
On peut, avec la machine représentée, extraire un montant négatif réel. de ehaeun des totalisateurs N ; 1 à 9 grâce à un méca nisme de commande du renversement de solde. Par ce mécanisme, la machine effectue auto- niat.iquement deux cycles consécutifs et, pen chant le premier de ces cycles, le montant né gatif, sous forme de complément, est vidé du totalisateur en question pour être soustrait du totalisateur k , de sorte que le montant effectif est accumulé sur les molettes de ce dernier.
Pendant le deuxième cycle, une opé ration de total est effectuée dans le totalisa teur X , alors que le totalisateur sélectionné est en non-addition, de sorte que le montant effectif du solde négatif ou solde créditeur peut être imprimé sur les documents. Ainsi, à la fin de l'opération, le totalisateur sélectionné est à. zéro, de même que le totalisateur X , et le montant effectif est imprimé. Si on le dé sire, on peut extraire un sous-total du mon tant négatif, laissant ainsi le totalisateur sé lectionné dans la même condition qu'avëint l'opération.
Lorsque l'opérateur désire tirer un total ou un sous-total de l'un quelconque des tota lisateurs et s'il constate, par les indicateurs, que le montant est négatif, il doit, en plus de la touche de sélection du totalisateur en ques tion, enfoncer la touche Total de ce totali sateur et également. la touche 660 Solde cré diteur (fig. 2). Si l'on désire tuer un sous total, il faut enfoncer la touche 669 Sous total en plus des touches mentionnées ci-des sus, ce qui a. pour effet de ramener en fin d'opération les molettes 997 à leur position primitive.
On doit ensuite enfoncer la barre motrice 2050 et faire fonctionner la machine à deux cycles pour imprimer le montant effec tif du solde négatif.
Lorsqu'on enfonce la. touche Solde crédi teur 660, un goujon 2338 (fig. 20) porté par sa tige vient agir sur une arête 2339 d'un bras 2340 pivotant en. 2341. Le bras bascule dans le sens dextrorsum contre l'action d'un ressort 2342 pour amener un goujon 2343 porté par le bras, en contact avec un cliquet de coin- mande 231.1 pivotant sur un goujon 2350, le quel cliquet est pivoté dans le sens dextror- sum contre l'action d'un ressort de torsion '348 (fi-.
21) enroulé autour du goujon 2350. Ce dernier porte également un autre cliquet 2349 relié au cliquet 234-1 par le même ressort de torsion '_'348, de faon que les cliquets ten dent à tourner dans des directions opposées.
Au-dessous d'une arête 1911 (fi-. '21), for mée sur chacun de plusieurs leviers 1901, est. disposé un coulisseau 1912 qui commande le mécanisme sensible et qui peut. coulisser verti calement sur un goujon 1913 et sur Lin goujon 524 <B><I>(fi-.</I></B> 19). Ce coulisseau 1912 comporte une goupille 1914 en prise avec une fente pra tiquée dans un levier 1915 pivotant en 1916 (fig. 18) sur le bâti latéral.
L'autre extrémité du levier 1915 porte un goujon 1917 en prise avec un levier 1918 tournant. sur un arbre 802 et l'autre branche 1920 du levier peut coopé rer avec des galets 1921, 1922 et 1923 portés entre des cames 796 et 11.47 (voir aussi fig. 7).
Le mécanisme de commande de sélection pour le chariot est associé à chaque totalisa teur et comprend un levier palpeur 1901 (fig. 21) monté pivotant en 1902 et qui sup porte, à son extrémité de droite, un organe sensible 1890 muni d'un doigt 1889 pouvant coopérer avec les plaques de commande des fonctions portées par les tabulateurs de elna- riot 1374, chacun de ces derniers étant muni d'un prolongement orienté vers le bas coopé rant avec la partie supérieure du doigt pal peur<B>1889.</B>
Lorsque l'arbre principal 253 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 18), le galet 1921 s'écarte de la. branche 1920, laissant les res sorts 1906 (fig. 21) abaisser le coulisseau 1912, ce qui a, pour effet de soulever les doigts tâteurs 1889 pour venir sur le trajet des par ties inférieures des plaques de commande dans les tabulateurs 1374.
Afin que le coulisseau 1912 soit. abaissé au temps convenable du cycle, le levier 1918 présente un bras 1924 dont la partie infé rieure peut. coopérer avec un goujon<I>1925</I> fixé à la came 1147. Ce dispositif ajoute son effet. à celui produit par les ressorts 1906 pour abaisser le coulisseau 1912, de faon que le levier 1915 bascule dans le sens dextrorsum tout au début du eyele. Ceci est nécessaire, notamment, pour assurer l'opération appro priée, au début du cycle, de certains méca- nismes de renversement de solde, pour des rai sons qui seront. expliquées plus loin.
Une équerre 2351 est prévue à l'extrémité supérieure d'un curseur<B>2352</B> (fi-. 1.8) guidé verticalement par des goujons 2353 et articulé à son extrémité inférieure à un levier coudé 2354 pivotant. sur une tige 2355 fixée à un support (non représenté) et un support 2357 (fig. 4). L'autre branche du levier coudé 2354 porte un goujon 2358 coopérant avec urne fente pratiquée dans la partie supérieure d'un bras de déclenchement 2359 monté fou sur titi arbre 2360 également porté par les supports en question.
Le bras de déclenchement. 2.3.59 présente une encoche 2361 maintenue en con tact avec un goujon 2362 porté par un levier :,r363 sous L'action d'un ressort 2364. Le levier 2363 pivote sur la tige 2355 et présente, à sa partie inférieure, un galet 2365 en contact avec la périphérie d'une came 2366 (fi-. 5) goupillée sur l'arbre 2360. Ainsi, lorsque la touche 660 Solde créditeur est enfoncée, le cliquet 2344 (fil-. 20) bascule au-dessus de l'équerre 2351, ce qui déplace le curseur 23:r2 vers le bas lorsque le cliquet est abaissé par le levier 1915, au début du cycle.
Le levier Boudé '354 est par suite basculé dans le sens dextrorsum, de façon que le goujon <B>'</B>358 (fig. 4) fasse à son tour pivoter le bras de déclenchement 2359 dans le sens senestror:suru, livrant ainsi le levier 2363 à l'action du res sort 2364 qui ramène le galet ,'3365 sur le tra jet de la came 2366.
Le levier coudé 2351- est fixé sur un man- elron 2367 (fig. 18) porté par la tige 2355. L'autre extrémité du manchon porte un bras 2368 muni d'un goujon 2369 en prise avec Lin chien d'arrêt 2370 pivotant en<B>2371</B> sur un disque 2372 fixé sur l'arbre 2360. Le chien d'arrêt 2370 tend, sous l'action d'un ressort 2373, à. venir en prise avec un disque d'em brayage 2374 présentant deux encoches 237=r destinées à cet effet.
Le disque 2374 est fixé à une extrémité d'un manchon 2376 porté par l'arbre 2360 et présentant à son autre extré mité un pignon 2377 (voir aussi fig. 5) en prise avec un pignon plus petit 2378 goupillé sur l'arbre principal 253. Le diamètre du pi gnon 2377 est le double de celui du pignon 2378, de sorte que l'arbre 2360 tourne deux fois moins vite que l'arbre principal.
Le disque de centrage 2372 présente sur sa périphérie une encoche destinée à. recevoir un galet 2379 monté à l'extrémité inférieure d'un bras 2380 monté fou sur la tige 2355 et sollicité dans le sens dextrorsum par un res sort 2381. Ce mécanisme est prévu pour ame ner l'arbre 2360 dans la position de repos à la fin de chaque opération de solde négatif.
De ce qui précède, on voit qu'en plus du mouvement de basculement du levier coudé 2354, le bras 2368 tourne pour écarter le goujon 2369 du chien d'arrêt 2370, de sorte que le bec de ce chien d'arrêt peut. pénétrer dans l'une des encoches 2375. Il en résulte que l'arbre 2360 est rendu solidaire du pi gnon 2377 qui tourne avec cet arbre.
La came 2366 (fig. 5) présente un bos sage 2382 qui, vers la fin du second cycle, a pour effet de ramener le goujon 2362 dans l'encoche 2361 pratiquée dans le bras de dé clenchement 2359. On notera à cet effet. que la touche 660 Solde créditeur est rappelée vers la fin du premier cycle opératoire (ligne 3 du diagramme des temps de fig. 25) et le cliquet 2344 est donc ramené en position d'origine, de sorte que le curseur 2352 n'actionne pas le levier 1915 ni le cliquet pendant le deuxième cycle.
Lorsque le curseur est libéré par le cliquet 234.1, dans la dernière partie du pre mier cycle, il est rappelé à sa position élevée sous l'action du ressort 2364 (fig. 4), de sorte que le goujon 2369 revient à sa position de repos de fig. 18 où il est sur le trajet du chien d'arrêt 2370, vers la fin du second cycle, pour débrayer l'arbre 2360 du pignon 2377.
Pour empêcher que l'embrayage princi pal soit ramené en position de repos par une came 290 (fig. 7) vers la fin du premier cycle d'une opération de renversement de solde, il a été nécessaire de prévoir des or ganes destinés à débrayer la came 290 dans le premier cycle et de la ramener en position active dans le second cycle pour rappeler l'em brayage principal à la fin du second cycle. Simultanément, les cames 971 et 972 (fig. 7 et 10) du mécanisme d'impression sont dé brayées pendant le premier cycle pour empê cher l'impression du nombre complémentaire négatif.
De même, une came 2215 (fig. 7) qui commande le fonctionnement de la tabu- la.tion et l'interlignage ou l'ouverture du cha riot est débrayée pour empêcher le fonctionne ment de ces mécanismes pendant le premier cycle d'une opération de renversement de solde. Les moyens prévus pour ces différents débrayages sont représentés en fig. 8 et 9 et comprennent une came de débrayage 2383 fixée à l'extrémité de droite de l'arbre 2360 et coopérant avec un galet 2384 monté sur un bras 2385 fixé à l'extrémité de gauche d'un arbre de débrayage 2386.
Le galet 2384 est maintenu normalement en contact avec la came 2383 sous l'action d'un ressort 2387, ce qui, d'autre part, maintient une partie cro- chute d'un bras 2388 hors du trajet d'un prolongement 2389 prévu sur un cliquet 2390 pivotant en 2391 sur un disque 2392. Ce dis que est fixé à un manchon 2393 monté sur l'arbre principal 253. Lorsque l'embrayage 2370, 2374 (fig. 8) est en prise, de manière à relier l'arbre principal 253 et l'arbre 2360, la came de débrayage 2383 tourne dans le sens de la flèche (fig. 8) pour abaisser brus quement le bras 2388 en prise avec le pro longement 2389.
Le cliquet 2390 présente une dent 2394 pouvant être en prise avec un épaulement prévu sur un collier 2400 fixé sur l'arbre principal 253. De cette manière, le prolongement 2389 est retenu par le crochet du bras 2388 et la dent 2394 est dégagée de l'épaulement du collier 2400 contre l'action d'un ressort 2401, de sorte que l'arbre princi pal 253 continue à tourner, tandis que le disque 2392 est bloqué par un prolongement 2402 retenu par le crochet du bras 2388. Un cliquet de retenue 2403 pivotant sur le disque Peut aussi s'engager avec un épaulement du collier 2400, de manière à empêcher un mouve ment de retour du disque.
Le manchon 2393 porte les cames d'im pression 971 et 972 (fig. 7) qui, par consé quent, comme le disque 2392, ne peuvent tourner lorsque le bras de débrayage 2388 est dans sa position inférieure. A droite du manchon 2393, sur l'arbre principal, se trouve un autre manchon 2404 sur lequel sont fixées une came 2405 de commande du cycle auto matique, la came 290 de rappel de l'embrayage principal et la came 2215 (fig. 7) de com mande des leviers sensibles 1901 (fig. 21).
Ce groupe de cames est relié mécaniquement aux cames d'impression montées sur le manchon 2393 au moyen,d'une goupille 2406 (fig. 7 et 10) fixée à la came 972 et s'étendant à tra vers des ouvertures pratiquées dans les cames 2405 et 290. Par conséquent, ces trois cames, ainsi que les cames d'impression, sont dé brayées de l'arbre principal 253 vers le com mencement d'une opération de renversement de solde et restent dans cette position jus qu'à ce que le bras 2388 (fig. 8) relâche le cliquet 2390 au début du second cycle, après quoi la dent 2394 revient en prise avec l'épau lement du collier 2400 pour faire tourner le disque 2392 et les quatre cames en question pendant le second cycle.
Ainsi, pendant le premier cycle de l'arbre principal, le méca nisme d'impression est débrayé, tandis que l'embrayage principal reste en prise pour un deuxième cycle et qu'il n'y a ni tabulation, ni interlignage, ni ouverture du chariot. Il est également nécessaire, pendant ce premier cycle, que le totalisateur qui contient un solde négatif soit sélectionné pour une opération de total ou de sous-total, tandis que le totalisa teur X est sélectionné pour une opération de soustraction. Le totalisateur choisi peut donner un total ou un sous-total soit par les touches de commande, soit par les tabulateurs, tandis que le totalisateur < Y est sélectionné automatiquement pour une soustraction sous la commande de la came 2366 (fig. 5 et 9).
Comme représenté en fig. 5, lorsque le bras de déclenchement 2359 bascule dans le sens senestrorsum pour libérer le goujon 2362 du levier 2363, ce dernier tourne dans le sens dextrorsum sous l'action du ressort 2364 jus qu'à ce que le galet 2365 vienne en contact. avec. la périphérie de la came 2366. Le levier 2363 présente une autre branche articulée à une pièce 2407 guidée verticalement par une tige 1154.
L'extrémité supérieure de cette pièce présente lui talon 2408 pouvant venir se placer devant un épaulement 2409 formé sûr la glissière de commande 1127 appartenant au totalisateur X et ce, lorsque le levier 2363 bascule dans le sens dextrorsum. Ainsi, lors que la glissière 1127 est libérée et se déplace vers l'avant pendant le premier cycle d'un renversement de solde, elle est. stoppée par le talon \3408 dans une position telle qu'une soustraction s'effectue dans le totalisateur X . Lorsque ce totalisateur est remis à zéro pendant le deuxième cycle, le solde négatif effectif est imprimé et. le totalisateur X est prêt pour une nouvelle opération de renverse ment de solde.
La sélection du totalisateur X polir une opération de total, dans le deuxième cycle, s'effectue sous la commande de la came \'366 qui présente un bossage 2410 ayant pour effet. de faire basculer le levier 2363 légèrement dans le sens senestrorsum à la fin du premier cycle (ligne 9 du diagramme des temps de fig. 25), de manière à. déplacer la. pièce 2-107 vers le bas pour écarter le talon 2.108. pas suffisamment toutefois pour l'écarter d'un épaulement 2411 de la glissière<B>1127.</B> Lorsque celle-ci se déplace vers l'avant pendant.
le se cond cycle, elle est stoppée par l'épaulement 2411 qui vient buter contre le talon 2408, ce qui correspond à une position de total.
Ltant donné que le mécanisme d'impres sion est en position active pour le deuxième cycle, le total négatif extrait du totalisateur <I>X</I> est. imprimé sur les documents, après quoi le chariot peut être tabulé dans une co lonne quelconque, ou le cylindre peut avancer d'une ligne ou le chariot ouvert ou fermé au choix, puisque ces mécanismes sont de nou veau actifs au cours du deuxième cycle. Au cours de ce deuxième cycle, tous les tota lisateurs (sauf le totalisateur Y ) sont sélec tionnés sur non-addition et ce sous la com mande d'une came 2412 de non-addition (fig. 9 et 15) qui est. fixée sur l'arbre 2360.
Cette came coopère avec un galet 2413 porté par un bras 2414 fixé sur un manchon 2415 porté par la tige 2355. Le bras 2414 est solidaire, grâce à une tige 2416, d'un autre bras 2417 également fixé sur le manchon 2415. Quand la came de non-addition 2412 tourne, une partie de faible diamètre coopère avec le galet 2413, pendant le premier cycle (ligne 10 du diagramme des temps de fi-. 25), après quoi une partie 2418 de grand diamètre de la came 2412 vient se placer sous le galet pour abaisser la tige 2416.
Comme celle-ci est placée au-dessus des talons 2419 prévus à l'extrémité inférieure de tous les coulisseaux 1085 (sauf celui du totalisa teur X ), il en résulte que tous les coulis- seaux 1085 - sauf celui qu'on vient de men tionner - sont tirés vers le bas pendant le deuxième cycle, ce qui a pour effet de soulever les crochets 1027 à la position de non-addition. Il faut noter que, pendant le premier cycle d'une opération de renversement de solde, le montant complémentaire du solde négatif peut être transféré soit. additivement, soit. soustractivement, dans l'un quelconque des autres totalisateurs.
Ce transfert. peut être accompli soit sous la commande des touches de sélection, soit sous la commande des tabu lateurs. Cette commande est effective pendant le premier cycle seulement.
<I>Renversement de solde</I> automatique. Comme indiqué précédemment, le totalisa teur peut, être sélectionné pour l'addition, la soustraction, les opérations de total et celles de non-addition et ce sous la commande du chariot. poile-papier. Cette sélection se fait au moyen des bras d'arrêt 1977 (fig. 13). Un coulisseau séparé tel que 1981 est prévu pour la commande des opérations de sous-total. Les plaques de commande de fonction 1405 portées par les tabulateurs 1374 sont de différentes longueurs suivant le type d'opé- ration à exécuter. Un tabulateur de total Ts> est indiqué à la fig. 21.
Les leviers palpeurs 1901 sont. normale ment tenus en position inactive contre l'action clés ressorts 1906. Pendant. l'opération, ces leviers 1901 sont relâchés et pivotent dans le sens senestrorsum (fig. 21) sur la distance qui est déterminée par le genre de plaque 1405 aménagée dans la colonne particulière dans laquelle le chariot a tabulé.
Le degré de mouvement. senestrorsum que peut effectuer chaque levier-palpeur 1901 dé termine la position à laquelle le bras d'arrêt 1977 est positionné pour commander les temps d'embrayage et de débrayage du totali sateur sélectionné.
Afin qu'il soit. possible d'imprimer, égale ment sous la commande du chariot, des totaux négatifs, il est prévu des organes qui servent à entraîner automatiquement, le curseur 2352 (fig. 18) lorsqu'un montant négatif se trouve clans le totalisateur considéré. Ce mécanisme consiste en des organes contrôlés par le dispo sitif d'indicateurs de renversement de solde. On a vu qu'un cliquet 2349 de commande de renversement automatique (fig. 19) était tenu en position par l'équerre 2351 du curseur 2352 de façon que celui-ci puisse être abaissé lors que le levier 1915 est actionné au début du cycle.
On rappellera que lorsqu'un renversement de solde se produit, le bras de blocage 2324 (fig. 18) pour ce totalisateur bascule dans le sens senestrorsum dans une position bloquant la plaque 2311. En conséquence, la bielle 2306 pour l'indicateur du renversement de solde reste en position déplacée (représentée en trait mixte en fig. 18) à la fin de l'opération dans laquelle le renversement de solde a eu lieu et à la fin de chacune des opérations sui vantes, c'est-à-dire aussi longtemps que le solde négatif subsiste. Cette bielle 2306 comprend un goujon 2420 coopérant avec une arête 2421 prévue sur un levier 2422 pivotant en 2424 sur une plaque de bâti 1972.
Il existe natu rellement un levier 2422 pour chaque totali sateur dont on doit extraire automatiquement un solde négatif. Dans la machine représentée, le mécanisme de renversement automatique est pr évtt pour cinq totalisateurs. Il existe donc cinq de ces leviers 2422. Comme repré senté en fig. 18 et 21, l'extrémité antérieure de chaque levier 2422 est placée au-dessus de l'extrémité de gauche d'un levier 2425 pivo tant en 2426 sur un prolongement 2427 des leviers sensibles 1901 appartenant aux cinq totalisateurs en question.
L'autre extrémité de chaque levier 2425 s'engage dans une fente 2428 pratiquée dans une plaque de commande 2.129 montée coulissante sur Lin goujon 824 et sur un goujon 2430 (fig. 19) fixé au coulis- seau 1912. Cette plaque tend à être déplacée vers le bas par rapport au coulisseau 1912, sous l'action d'un ressort 2431, La fig. 19 montre que la plaque de commande 2429 com prend un chemin de came 2432 en prise avec un goujon 2433 porté par un levier de com mande 2434 pivotant sur le goujon 2350. Ce levier 2434 présente une équerre 2435 en con tact avec le cliquet 2349 sous l'action du res sort de torsion 2348.
On a vu que ce ressort agit également sur le cliquet 2344, dans le sens senestrorsum, de façon qu'un goujon 2.136 porté par ce cliquet vienne en contact avec tin doigt 2437 prévu à l'extrémité du levier 1915.
Si la plaque de commande 2-129 est rete nue dans la position élevée (fig. 18 et 1.9) et si, simultanément, le levier 1915 bascule dans le sens dextrorsum pour abaisser le levier 2434, le chemin de came 2432 aura pour effet de faire basculer le levier 2434 dans le sens dextrorsum. De ce fait, l'équerre 2435 libère le cliquet 2349 qui vient se placer au-dessus de l'équerre<B>2351</B> du curseur <B>2Ô52.</B> En consé quence, lorsque le levier 1915 fonctionne, le curseur 2352 est abaissé et une opération de renversement de solde est déclenchée.
Si la plaque de commande 2429 peut se déplacer vers le bas avec le coulisseau 1912, même sur une courte distance, la partie incurvée du chemin de la came 2432 est trop basse pour provoquer le déplacement du cliquet 21049 au- dessus de l'équerre 2351 et, dans ce cas. un renversement de solde automatique n'a pas lieu.
On a indiqué plus haut que lorsqu'un des cinq totalisateurs sélectionnés pour lin renver sement automatique contient un montant né gatif, la bielle 2306 est dans la position repré sentée en trait mixte en fig. 18 et.
le goujon 2420 est en contact avec l'arête 2421 pour amener le levier 2422 dans la position en trait mixte, ce quia pour effet de faire basculer le levier 2425 dans la position également repré sentée en trait mixte en fig. ?l. A ce moment- là, une plaque 1405 présente un bossage T au-dessus de la tête sensible 1889 pour ce tota lisateur, le prolongement du levier sensible est maintenu en position soulevée, de manière à maintenir le levier 242:5 en prise avec la partie supérieure de la fente correspondante 2428.
Il en résulte que la. plaque 2429 ne peut pas se déplacer vers le bas, le long du cou- lisseau 1912, de sorte que le cliquet. 2349 peut venir se placer au-dessus de l'éqLierre 2351 pour provoquer un renversement de solde.
Si un tabulateur présente un autre bossage que T au-dessus de la tête sensible 1889, le prolongement 2427 dit levier sensible peut se déplacer vers le bas en entraînant le levier 2425 dont l'extrémité de droite ne reste plus, par conséquent., à la partie supérieure de la fente 2428 pour empêcher l'abaissement de la plaque de commande. Il peut donc se présen ter deux cas pour lesquels un renversement automatique peut être effectué, à savoir: la bielle 2306 de l'indicateur de renversement de solde doit être dans sa position arrière (fig. 18) et un bossage T de la plaque 1405 doit être au-dessus de la tête sensible 1889 (fig. 21), de façon à maintenir le levier 1901.
Des organes spéciaux sont prévus pour empêcher une opération automatique de ren versement de solde lorsqu'une touche 672 (fig. 2) de non-sélection est enfoncée. Cette touche est aménagée de manière à débrayer la commande des totalisateurs par le chariot, ainsi que cela est décrit, dans le brevet suisse N 281791. Puisque le levier sensible 1901 reste actif quand cette touche est. enfoncée et si un bossage T du tabulateur 1.105 était en position de blocage du levier 1901 corres pondant au totalisateur contenant tin solde négatif, le mécanisme automatique serait mis en fonction de la manière décrite plus haut.
Cette opération étant indésirable dans le cas particulier, c'est-à-dire lorsque la touche 672 de non-sélection est enfoncée, il est prévu à l'extrémité de l'arbre de non-sélection 2013 (fig. 20) un bras de débrayage 2438 pouvant venir en prise avec un goujon 2439 placé sur le cliquet 2349 empêchant l'extrémité infé rieure du cliquet de se placer au-dessus de l'équerre 2351. Ainsi, les opérations automa tiques de renversement de solde ne peuvent avoir lieu, mais il va de soi qu'un montant négatif peut quand même être imprimé en utilisant la touche 660 Solde créditeur . <I>Commande du</I> cycle automatique.
On désire parfois, pour certains travaux comptables, aménager les tabulateurs 1374 de chariot de façon qu'un cycle soit automatique ment déclenché lorsque le chariot arrive dans une position correspondant à la colonne Solde et que ce solde soit imprimé par con séquent sans l'intervention de l'opérateur. Toutefois, lorsqu'on est en présence d'un solde négatif, il est parfois désirable d'empêcher le cycle automatique dans la colonne Solde , afin d'attirer l'attention de l'opérateur sur le fait qu'il y a un solde négatif.
Le mécanisme grâce auquel la machine est déclenchée sous la commande du chariot porte- papier 1261 (fig. 1) est. décrit en détail dans le brevet suisse N 281791, de sorte qu'il suffit d'en faire ici une description succincte.
Comme représenté en fig. 17, ce méca nisme est commandé par un bossage 1390 monté sur un bloc d'arrêt 1382 qui coopère avec un bec 2140 prévu à l'extrémité d'un levier 2141 de déclenchement automatique. Ce levier peut pivoter et, glisser simultanément sur un goujon 21.43 porté par une cornière 21,6 (fig. 3) grâce à une ouverture allongée 2142. L'extrémité de droite du levier porte un gou jon 2144 en prise avec un levier 21.45 pivo tant en un point file 2146. Ce levier 2145 comprend un prolongement. 2150 en prise avec un crochet 2151 articulé à son extrémité infé rieure au levier 2075 (fig. 24).
Le levier 2075 pivote sur un goujon 2076 (fig. 23) fixé à une plaque de bâti auxiliaire (non repré senté), ce levier étant sollicité dans le sens dextrorsum sous l'action d'tin ressort 2077. Le levier 2075 porte un goujon carré 2078 coopé rant avec une encoche 2079 pratiquée dans la partie inférieure d'un coulisseau 2080 qui commande l'embrayage. Ce coulisseau peut se déplacer horizontalement sur des goujons 2081 et 2082 portés par la plaque auxiliaire et porte un goujon 2084 en prise avec l'extré mité supérieure d'un bras 2085 fixé sur l'arbre 282.
Par conséquent, le coulisseau est cons tamment sollicité vers l'avant par le ressort 285 relié à un levier 281 attaché à l'arbre 282, ce mouvement étant cependant empêché normalement par le goujon carré 2078 qui bute contre l'arête postérieure de l'encoche 2079.
Si l'on se réfère à nouveau au levier 2141 (fig. 17), on constate qu'un crochet 2152 est monté pivotant en 2153 sur ce levier qui porte une goupille 2154 en contact avec l'arête du levier sous l'action d'un ressort 2155. L'extré mité du crochet 2152 peut venir en prise avec un épaulement 2156 formé à l'extréinitë de droite du levier de tabulation 1429, d'une ma nière que l'on décrira plus en détail dans ce qui suit.
Lorsque le bossage 1390 passe sur le bec 2140, le levier 2141 bascule dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 2157 et le crochet 2152 est alors amené en position active avec l'épaulement 2156 qui occupe la position représentée en traits mixtes en fi-. 17, une fois que le mécanisme de tabula- tion est en activité. La disposition des pièces est telle que le bossage 1390 maintient le bec 2140 dans sa position enfoncée et le crochet, en prise avec l'épaulement 2156 au moment où un bossage 1393 ramène le levier 1429 à sa position nor male représentée en traits pleins en fig. 17.
Le levier 2141 est, par conséquent, tiré vers la gauche, ce qui fait basculer le levier 2145 pour soulever le crochet 2151. Ce mouvement a pour effet de faire tourner le levier 2075 (fig. 23) dans le sens senestrorsum et d'agir par conséquent sur le coulisseau 2080 de com mande de l'embrayage qui s'enclenche ainsi automatiquement.
Lorsque le coulisseau 2080 est libéré, il se déplace vers l'avant de la machine sous l'ac tion du ressort 285. Simultanément, un bras de déclenchement 259 fixé à l'extrémité d'un court arbre 271 se dégage d'un prolongement 260 porté par un bras 257 de commande d'em brayage. Ce bras est monté sur le moyeu 256 d'un disque 255 goupillé sur 'L'arbre principal 253 de faon telle que l'embrayage soit engagé et que la machine effectue un cycle opératoire comme il est décrit dans le brevet suisse N 2817 91. Il y a lieu de noter qu'avec cette construc tion, un cycle d'opération n'est déclenché que lorsqu'un bossage 1390 (fig. 17) est prévu sur le tabulateur 1382 et seulement lorsque le cha riot est arrêté par un tel tabulateur dans la position en question.
En d'autres termes, comme le crochet 2152 est abaissé en prise avec l'épaulement 2156 chaque fois qu'un bos sage 1390 passe sur un bec 2140, l'opération déclenchée est une opération à vide, à moins que le mécanisme de tabulation soit mis en acitivité par le bossage 1393 pour déplacer le levier 2141 vers la gauche.
Le coulisseau 2080 (fie. 23) est aussi amé nagé de manière à être libéré lorsque la barre motrice principale 2050 est enfoncée, ainsi qu'il est décrit en détail dans le brevet suisse N 281791, de sorte que la machine peut être déclenchée sous l'effet d'une commande ma nuelle. D'après la fig. 24, il est prévu pour eha- cun des totalisateurs pour lesquels on désire empêcher l'impression automatique du solde négatif, un bras 2440 fixé à l'extrémité de droite de l'arbre 2325.
Ce bras porte un gou jon 2441 en prise avec un bras de verrouil lage 2442 dont une branche 2443 peut coopé rer avec un goujon 2444 porté par une bielle 2171. Celle-ci est animée d'un mouvement de va-et-vient à chaque cycle, conformément à la ligne 8 du diagramme des temps (fig. 25) et ce au moyen d'une came ?405 qui est. en contact avec un galet 2450 porté par un bras 2451.
Par conséquent, lorsque la machine fonctionne, la came fait pivoter le bras 2175 d'abord dans le sens dextrorsum contre l'ac tion du ressort 2173 et déplace la bielle 2171 vers l'arrière de la machine, et fait pivoter le bras 2175 ensuite dans le sens contraire sous l'action du ressort 2173 pour ramener la bielle en position initiale.
Toutefois, si un renversement de solde se produit pendant. ce cycle, dans l'un des totalisateurs dont l'arbre <B>2360</B> comprend un bras 2440 et un bras 2-142, l'arbre 2325 est également entraîné dans un mouvement de rotation dans le sens dextror- sum, de manière à amener la branche 2443 du bras de verrouillage 2442 au devant du gou jon 2444. La bielle ne peut par conséquent revenir à sa position initiale à la. fin du cycle et le crochet 2151 reste dégagé du prolonge ment 2150, ce qui empêche un déclenchement automatique de l'opération lorsque le chariot tabule dans la colonne suivante ou colonne Solde .
Le mécanisme de déclenchement au tomatique d'un cycle reste donc en position débrayée jusqu'à ce que le totalisateur en question soit remis à zéro ou redevienne posi tif. On voit donc que la présence d'un solde négatif dans chacun des totalisateurs muni d'un bras 2440 débraye le mécanisme (le dé clenchement automatique et reste dans cette position pour toutes les colonnes ;jusqu'à ce que le solde négatif soit effacé.
Afin de pouvoir imprimer le montant. du solde renversé en une couleur distinctive, il est prévu un mécanisme qui a pour fonction de déplacer le ruban de sa position normale d'impression en noir, \a une autre position où l'impression se fait en rouge.
Le mécanisme de ruban est décrit en dé tail dans le brevet N 281791, de sorte qu'il suffira de le décrire succinctement ici. Le ruban est supporté par des guides 2602 (fig. 30 et 31) portés par des bras 2603 mu- riis chacun d'une fente oblong-Lie '604 eoopé- rant avec un goujon 2599 porté par les pla ques latérales du groupe d'impression, tandis que les extrémités inférieures de ces bras sont guidées par des goujons 2605 qui coopèrent avec des fentes incurvées 2606 pratiquées dans lesdites plaques latérales.
Chacun des goujons 2605 est également en prise avec un bras 2607 fixé sur un arbre 2608 porté par les parois du groupe d'impression et cet arbre porte, d'autre part, un bras d'entraînement 2609 qu'un ressort 2610 tend à faire basculer dans le sens dextrorsum. Ce mouvement est cepen dant empêché normalement par un goujon 2611 porté par l'étrier 964 et qui est en con tact avec l'arête incurvée du bras 2609. Lorsque l'étrier 964 est déplacé vers l'arrière de la machine, le goujon 261.1 s'écarte du bras 2609 qui peut pivoter dans le sens dextror- sum pour faire basculer l'arbre 2608 et soule ver les bras 2603 et le ruban encreur.
Lorsque l'étrier 964 revient en position initiale (fig. 31), le goujon 2611 vient. toucher l'arête du bras d'entraînement. qui se trouve ramené en position initiale, de même que le ruban à la position inférieure éloignée du cylindre 539. La partie inférieure de la fente 2606 est dé coupée sous un certain angle pour permettre aux extrémités supérieures des bras 2603 de pivoter vers le cylindre au moment où ils sont soulevés, ce qui amène le ruban en position d'impression par le secteur imprimant 942.
La partie supérieure de la fente 2606 est. pra tiquement verticale, de sorte que, lorsque le goujon 2605 se trouve dans cette partie, le bras 2603 est soulevé sans autre mouvement de pivotement pour amener la partie infé rieure rouge du ruban dans le champ d'im pression.
Il dépend donc de ce que le goujon <B>2605</B> soit arrêté avant de pénétrer dans la partie supérieure de la fente ou soit libre de péné trer dans cette partie pour que l'impression se fasse en noir ou en ronge. Ces conditions sont déterminées par un bras 2612 (fig. 30) muni d'un crochet 2613 pouvant venir en prise avec une dent 2614 du bras d'entraîne ment 2609. Le bras 2612 est goupillé sur un arbre 2615 qui porte un antre bras 2616 arti culé en 2617 à un levier 2618 pivotant en 2619. Ce levier 2618 est relié par une bielle 2620 à un bras 2621 fixé à un arbre 2622.
Celui-ci porte un étrier 2623 pouvant coopé rer avec des languettes 2624 pratiquées à la partie inférieure de la glissière<B>1127</B> du tota lisateur X . La languette 2624 de la glis sière 1127 est. au-dessus de l'étrier 2623 pour la position de total, dans le deuxième cycle d'une opération de solde créditeur, comme dé crit précédemment.
Pendant le cycle, des organes sont dé brayés, ce qui permet. à l'étrier 2623 de se soulever sous l'action d'un ressort lorsqu'il rencontre une languette 2624. Lorsqu'aucune languette n'empêche son mouvement, l'étrier est soulevé et, par la chaîne mécanique dé crite ci-dessus, le crochet. 2613 vient sur le trajet de la dent 2614, empêchant ainsi le goujon 2605 de passer dans la partie supé rieure de la fente 2606. Il en résulte que la partie noire du ruban est présentée aux carac tères d'impression. Si, au contraire, une lan guette 2624 est placée au-dessus de l'étrier 2623, ce dernier ne peut se soulever et le bras 2609 peut pivoter sur toute sa course et soule ver le ruban pour amener la partie rouge en position d'impression.
Dans toutes les opéra tions de renversement de solde dans lesquelles intervient le totalisateur X , le montant est imprimé également en rouge. Etant donné que le totalisateur X peut aussi être utilisé pour accumuler des montants sous la commande de tabulateurs et que l'on peut en extraire un total ou un sous-total, on voit que ces deux opérations sont imprimées en rouge du fait de la. présence d'une languette 2624.