CH296048A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH296048A
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CH
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Inventor
Corporation The W N Borg
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W N Borg Corp
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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C7/00Input mechanisms
    • G06C7/02Keyboards
    • G06C7/08Keyboards with one set of keys for all denominations, e.g. ten-key board

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Description


      Machine    à     calculer.       La présente invention a pour objet une  machine à calculer permettant d'effectuer des  opérations d'addition et de soustraction.  



  La machine faisant l'objet de l'invention  comprend un jeu de roues     totalisatrices    co  axiales munies de pignons d'entraînement.       1#.11e    est caractérisée en ce qu'elle comprend,  pour chaque pignon, un organe d'entraîne  ment muni de parties de crémaillère     opposées     disposées de côtés opposés du     pignon    et sépa  rées l'une de l'autre par une distance supé  rieure au plus grand diamètre du pignon, ces  parties de crémaillère étant susceptibles d'être  déplacées longitudinalement selon des courses  déterminées et l'organe d'entraînement étant  sélectivement réglable,

   de manière à amener  l'une quelconque des parties de     crémaillère     en engrènement avec le pignon et à maintenir  les deux parties de crémaillère à. distance du  pignon, préalablement à un déplacement lon  gitudinal de l'or pane     .d'entraînement    dans un  sens, et des     moyens    pour commander et pour  déplacer les organes d'entraînement, ces       moyens    comprenant un organe pivotant sus  ceptible de venir en engagement. avec une  came oscillante qui est montée sur une tige,  laquelle est en relation de fonctionnement  avec les organes d'entraînement, ladite came  étant.

   disposée entre des butées fixes et agen  cée de manière à relever les organes d'entraî  nement lorsqu'elle tourne dans un sens et à  abaisser les     organes    d'entraînement lorsqu'elle  tourne dans le sens opposé, actionnée par l'or-         gane    pivotant, celui-ci étant susceptible d'être  actionné par un opérateur et agencé et dis  posé de manière à venir à volonté en engage  ment avec une partie .de la came oscillante,  pour la faire tourner dans un     sens,    et avec  une partie opposée de cette came pour la  faire tourner dans le     sens    opposé.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution et une va  riante de détail de la machine à calculer fai  sant l'objet de la présente invention.  



  Les     fig.    1 et. 2 sont     respectivement    des  vues en plan et en élévation latérale droite de  ladite forme d'exécution.  



  La     fig.    3 est une vue en coupe selon 3-3  de la     fig.    1.  



  Les     fig.    4 et 5 sont des vues en coupe,  respectivement selon     4-4    et selon 5-5 de la       fig.    3.  



  Les     fig.    6 et 8 sont des vues partielles en  coupe, respectivement selon 6-6 et selon  8-8 de la     fig.    5, la     fig.    8 montrant certains  organes d'un     mécanisme    de     commande    du to  talisateur en     position    d'addition.  



  La     fig.    7     est    une vue en perspective de  certains organes espacés les uns des autres  du mécanisme de commande du     totalisateur.     



  Les     fig.    9 et 10 sont des vues quelque peu  similaires à celle de la     fig.    8, montrant res  pectivement les organes du totalisateur en       position    de soustraction et en position de re  mise à zéro.      Les     fig.    11 et 12 sont des vues similaires  à celle de la     fig.    10, certains éléments étant  supprimés ou arrachés et les organes repré  sentés occupant des positions successives sub  séquentes à celles représentées à la     fig.    10  pour une opération de remise à zéro.  



  La     fig.    13 est -une vue en coupe selon  13-13 de la     fig.    5, montrant les pièces en  position de repos ou de départ.  



  La     fig.    14 est une vue partielle similaire à  celle de la     fig.    13, montrant les organes de  commande au début d'une opération d'addi  tion sur un tambour du totalisateur.  



  La     fig.    15 est une vue en coupe partielle  selon 15-15 de la     fig.    5, montrant. les or  ganes de commande à la fin d'une opération  d'addition avec report sur un tambour du  totalisateur.  



  La     fig.    16 est une vue partielle similaire  à celle de la fi-. 15, montrant les organes de  commande en position de repos.  



  La.     fig.    17 est une vue en coupe partielle  selon 17-17 de la     fig.    15, montrant trois       tambours    du totalisateur avec certains de  leurs organes de commande, l'un des tam  bours étant représenté en coupe.  



  La     fig.    18 est une vue en coupe partielle  selon 18-18 de la     fig.    17.  



  La     fig.    19 est une vue en coupe partielle  selon 19-19 de la     fig.    3.  



  La     fig.    20 est, une vue en coupe partielle  selon 20-20 de la     fig.    19.  



  La fi-. 21 est une vue en coupe partielle  selon 21-21 de la     fig.    3.  



  La     fig.    22 est une vue en élévation, à plus  grande échelle, avec coupe partielle d'un dé  tail d'une touche numérique et de son res  sort.  



  La fi-,. 23 est. une vue en coupe partielle  selon 23-23 de la     fig.    3, certains éléments  étant arrachés, un curseur portant des butées  de sélection étant représenté en     positions    (le       départ.    pour une opération d'addition ou de  soustraction.  



  La     fig.    24 est une vue partielle similaire  à. celle de la     fig.    23, montrant le curseur des  butées de sélection en fin de course, par  exemple après l'abaissement     d'un    nombre de    touches numériques égal au nombre de tam  bours du totalisateur.  



  La     fig.    25 est une vue en coupe partielle  selon 25-25 de la fi-. 23.  



  La     fig.    26 est une élévation frontale par  tielle, avec arrachement partiel montrant en  coupe un mécanisme également représenté à  la     fig.    25.  



  La     fig.    27 est une vue en perspective d'un  chariot, d'une platine à     ressorts    et de l'une  des barres d'un jeu de barres de guidage des  crémaillères du totalisateur.  



  La     fig.    28 est une vue partielle en pers  pective du curseur des     butées    de sélection et       d'un    organe correspondant portant un cliquet  de sûreté du curseur.  



  La     fig.    ?9 est une vue partielle en pers  pective d'un mécanisme de verrouillage de  cames de crochets de retenue en position de  dégagement.  



  La     fig.    30 est une vue correspondant à  une partie de celle de la fil. 13, montrant  une variante     d'un    mécanisme de report.  



  La     fig.        31.    est une vue correspondant à  une     partie    de celle de la     fig.    15, montrant  également ladite variante.  



  La.     fig.        3.2l    est une vue correspondant à  une partie de celle de la     fig.    17, montrant  aussi la variante représentée aux     fig.    30  et 31.  



  La     fig.   <B>33</B> est -une vue partielle en pers  pective montrant. certains des organes de la  variante représentée aux     fig.    30 à. 32 séparés  les uns des autres.  



  On va décrire en premier lieu     Lin    méca  nisme sélecteur de chiffre que comprend la  dite forme d'exécution représentée de la ma  chine. A travers un capot 1 d'un bottier 2 de  la machine passent dix touches     numériques     de sélection<B>à,</B> 4,<B>5, 6, 7, 8, 9, 101, 11</B> et 12 qui  correspondent aux chiffres de zéro à neuf.  Chacune de ces touches présente     une    tige 15  qui coulisse dans le capot 1 et     dans    une fente  pratiquée dans une cloison transversale 16.

         Ainsi    qu'on peut. le voir aux     fig.    19 et 20,     au-          dessous    du capot 1, chaque tige est munie  d'un bras latéral 17 qui s'étend sur l'une ou  sur l'autre de deux platines     d'é\-alisation         articulées 18. Ces platines sont munies de  pattes 19 le long de leurs bords extérieurs, et  ces pattes sont engagées dans des fentes pra  tiquées     dans    des ailes relevées 20 des cloisons       transversales    16. Les platines 18 sont évidées  au centre en 21, et elles sont reliées entre  elles par une articulation à coulissement. et       clievaueliement    en 22, de part et d'autre de la  partie évidée.  



  Les extrémités de tous les bras latéraux  17 sont alignées en 25, sauf celle de la touche  12 portant. le chiffre  9 . L'extrémité de ce       ])ras        17a.    s'arrête au-dessus de l'une des pla  tines 18. Les bords articulés l'un à l'autre des  platines 18 sont normalement maintenus sou  levés et appliqués contre les tranches infé  rieures des bras 17 par des     ressorts    à. laine 28,  dont les extrémités inférieures sont fixées à.  la face supérieure de la cloison 16 par des  rivets 29     (fig.    19).  



  Chaque touche peut être maintenue nor  malement relevée par un     ressort    à lame 30  fixé par une extrémité à la cloison 16, tandis  que l'autre extrémité est engagée dans une       ericoehe    31 pratiquée dans la partie infé  rieure de la tige 15.

   Ainsi que le montre la       fi < ,.    22, ces ressorts 30 ont une partie inter  médiaire normalement rectiligne qui s'incurve  lorsque la touche correspondante est abaissée       sensiblement    à la     moitié    de sa coure, ce qui       permet    à l'opérateur de     sentir        distinctement     au toucher le point où chaque     touehe    est. en  tièrement abaissée.  



  Les extrémités alignées     \?5    des bras 17  sont placées au-dessus de plusieurs rangées  (le butées de sélection 35. Chaque rangée com  porte neuf butées, et le nombre des rangées  est égal au nombre de chiffres que la machine  et     eapzible    d'additionner.

   Le dessin montre  huit rangées, et les butées de sélection sont       montée, <     verticalement. dans un curseur 40 qui       petit    coulisser transversalement dans la     rna-          ehine.    Ainsi que l'indiquent les fi,-. 3, 5, 13,  14 et 10, le curseur est monté à coulissement  latéral sur une tige transversale 41 et sur le  rebord     inférieur    42 d'une paroi transversale  43     du    bâti qui descend de la cloison 16.

   Cha  que butée de sélection 35 peut coulisser verti-         calement    dans le curseur entre deux positions,  dans chacune desquelles elle est retenue     élas-          tiquement    par l'extrémité en<B>V</B> d'un ressort  à lame 46 qui     s'engage    dans l'une ou l'autre  de deux encoches 45 pratiquées dans une des  tranches latérales de la butée.

   Ainsi que le  montre par exemple la     fig.    21, la première  butée de sélection à gauche de la rangée a été       abaissée,    de sorte que le ressort 46 est engagé  dans l'encoche 45 supérieure, tandis que les  autres butées de sélection sont maintenues  dans leur position supérieure par le ressort  correspondant, engagé dans l'encoche 45 infé  rieure.  



  Au-dessous du curseur 40 et sur le côté  droit de la machine est placée une platine à  came 47     (fig.    21) dont le bord gauche 48 est  replié vers le bas pour former une rampe  inclinée. Chaque fois que le curseur 40 est  replacé dans sa position extrême de droite,  toutes les butées de sélection 35 abaissées  sont, relevées par la rampe et passent sur la.  face supérieure de la platine 47. Au fur et à       mesure    que le curseur est. déplacé vers la  gauche, les différentes rangées de butées de  sélection passent successivement sous les extré  mités alignées 25 des touches. Si l'on abaisse  l'une ou l'autre de ces touches, elle abaisse à  son tour la butée de sélection correspondante  d'une des rangées.

   Après chaque     manoeuvre     d'une touche numérique pour l'abaissement  d'une butée de sélection, le curseur 40 se dé  place pour présenter la rangée de butées sui  vante     sous    la rangée des extrémités alignées  des touches. On décrira ci-après le mécanisme  intervenant à cet effet.  



  Sur les     fig.    5 et 23 à 25, on voit qu'au  curseur 40 est fixée une extrémité d'un ru  ban 50, dont l'extrémité opposée est plus ou  moins engagée sur le pourtour d'un secteur  51 solidaire d'un arbre vertical 52 portant, à.  son extrémité inférieure un pignon 53. Ce       pignon    engrène avec une crémaillère 54 soli  daire d'une platine coulissante 55 sollicitée  d'arrière en avant par un     ressort    56, dont  une extrémité est accrochée à une patte des  cendante 57 de la platine 55, tandis que son  extrémité opposée est accrochée à l'extrémité      570 d'un levier 58 s'étendant en travers de la  machine et articulé par son extrémité 581  dans une fente 59 pratiquée     dans    un flasque  longitudinal intérieur de gauche 216.

   Un ga  let 580 monté sur le levier 58, et roulant sur  la face intérieure     d'un    flasque longitudinal  intérieur de droite 217, maintient le levier  en place. La platine coulissante 55 présente  une coulisse     longitudinale    60 permettant le  passage de l'arbre 52, et une autre coulisse  parallèle 61     dans    laquelle est engagée une  broche 62 fixée au     levier    58.  



  Le     ressort    56 a tendance à faire pivoter  le secteur 51 dans le sens du déplacement du  curseur 40 vers la gauche de sa     course    recti  ligne, c'est-à-dire vers la position que     montre     la.     fig.    24. En ce point, le ruban 50 est sensi  blement déroulé du secteur 51. La     fig.    23  montre le curseur à l'autre extrémité de sa.  course, dans laquelle la moitié environ du  ruban 50 est enroulée sur le pourtour du sec  teur 51, contre lequel ledit ruban est appliqué  par un galet 65 monté sur un bras fixe 66 à  une distance suffisante du pourtour du sec  teur 51 pour que le passage du ruban soit  possible.

   Le ruban 50 possède un gradient de  tension positif lorsqu'il est déroulé,     c'est-          à-dire    que sa force augmente au fur et à me  sure que le curseur 40 avance vers la gauche,  alors que le ressort de traction 56 présente  un gradient de tension négatif, sa traction  décroissant au fur et à mesure que le curseur  avance vers la gauche. La. combinaison des  deux ressorts donne un gradient uniforme,  c'est-à-dire que le curseur 40 avance vers la  gauche sous l'action d'une     poussée    constante.  La poussée, au début de la course, est donc  la même qu'à la fin de la course.

   Le long de  son bord     antéro-sapérieur,    le curseur 40 pré  sente un rebord 70 dans lequel sont prati  quées des encoches 71 qui séparent des dents  72 orientées vers l'avant. Un dispositif est  également prévu pour coopérer avec ces dents  et ces encoches, et pour permettre le déplace  ment intermittent .du curseur par l'action du  ressort 56, en partant de la position que mon  tre la     fig.    23 vers la position indiquée dur la       fig.    24, chaque déplacement intermittent étant         suffisant    pour retirer une rangée de butées  de sélection du dessous des extrémités alignées  25 des touches et pour la remplacer par la  rangée de butées suivantes.

   Ce déplacement a  lieu chaque fois     qu*une    touche     numériqile    est       abaissée,    entre les actions du mécanisme Tota  lisateur. Le mécanisme     réalisant.    ces mouve  ments est représenté sur les     fig.    19 et 20.  



  A une patte 75 du flasque longitudinal de  gauche 216     est    articulée une extrémité d'un  cliquet 77 muni à. l'autre extrémité d'un bec  78 dirigé vers le bas. Entre ses extrémités, ce  cliquet     @77    est coudé vers     l'arrière    (sur la       fig.    20). Il est placé au-dessus d'un     deuxième     cliquet 79 articulé au premier en 80. Ce  deuxième cliquet 79 présente à son extrémité  un bec 81 dirigé vers le haut. Lorsque la pla  tine d'égalisation 18 est abaissée par l'abais  sement .de l'une des touches numériques, les  deux cliquets 77 et 79 sont à leur tour abais  sés, le bec 81 est dégagé de l'une des encoches  71, tandis que le bec 78 est engagé pour se  placer devant l'une des dents 72.

   Le curseur  est ainsi libéré pour pouvoir exécuter une frac  tion de course vers la gauche dès que le bec  81 est dégagé, et jusqu'au moment où l'une  des dents 72 vient en contact avec le bec 78.  Lorsque la platine d'égalisation 18 est ensuite  relevée, le cliquet 71 est soulevé par l'action  d'un ressort à lame 85,     appliqué    contre sa face  inférieure et enfilé dans deux trous 86 et 87  pratiqués dans le flasque 216. Le bec 81 s'en  gage alors dans l'encoche 71     suivante.    Le     cli-          quet    79 continue de se relever et soulève éga  lement l'articulation 80 jusqu'à. ce     qu'un    ga  let 88 monté sur cette dernière soit arrêté par  une butée 89.

   Le bec 78 est alors dégagé du  curseur, et il reste     dans    Bette position jusqu'à  ce qu'il soit. abaissé par l'abaissement de l'une  des touches numériques. Chaque fois que  l'opérateur abaisse lune touche numérique, le  curseur se déplace donc d'un pas et le nom  bre de pas correspond au nombre de chiffres  du nombre qui doit être additionné ou re  tranché. A chaque     manoeuvre    d'une touche  numérique, celle-ci abaisse la butée de sélec  tion occupant la position correspondante dans  la rangée de butées.

   Dans le cas des     fig.    13 et      14, par exemple, la butée N  4 est abaissée  dans la rangée qui se trouvait en regard des  touches dans la position qu'occupait le curseur       lorsque    la touche     numérique    correspondante  a été abaissée. A chaque     man#uvre    du     mé-          eanisme    totalisateur, le curseur est ramené  vers sa position extrême de droite ou de dé  part par un dispositif qui sera décrit plus  loin.  



  La machine comporte un dispositif     ernpê-          diant    le curseur de     revenir    accidentellement       en    position de départ sous l'effet d'une chute  de la machine sur l'une de ses faces latérales  ou de tout autre     traiteryient    brutal. Ce dispo  sitif est constitué par un troisième cliquet. 95       (fig.    19 et 28) muni d'un bec 96 dirigé vers  le bas, et destiné à s'engager dans l'une des       encoches    71     pour    coopérer avec la tranche de  droite de l'une des dents 72.

   Comme on peut  mieux le voir sur la     fig.    28, ce cliquet 95 est  constitué par un élément coudé dont une  branche 97 présente une patte de bout. 98  articulée sur un arbre 99 monté à ses     extré-          rirités    dans une chape 100 et dans un rebord  101 qui fait. saillie vers le haut de la cloison  transversale 16.

   Sur l'arbre 99 peut     égale-          nient    pivoter un étrier 102 prolongé par un  bras<B>103</B> muni d'une patte 104 montante et  coudée vers     l'avant,    avec laquelle peut coopé  rer l'un des bras latéraux 105 du mécanisme  actionnant le totalisateur lorsque ce     nréca-          rrisrne    occupe sa position de repos.

   Une extré  mité d'un ressort 106 s'appuie sur la tranche  supérieure du cliquet. 95, sa partie intermé  diaire étant enroulée autour de     l'amure    99 et  son extrémité opposée étant appliquée latéra  lement     eontre    une patte<B>107</B> qui     s'étend    cers  le haut. à partir de l'une des branches de  l'étrier 102. Lorsque le bras     l03    occupe la       position        indiquée    sur la     fig.    28, le     ressort    1.06  est tendu et maintient le cliquet 95     abaissé    à  l'arrière d'une .dent 72.

   On peut voir, à la  28, qu'un prolongement (représenté en       pointillé)    de l'étrier 102 s'étend au-dessous de  la branche 97, avec la surface inférieure de  laquelle il est en contact, cette     branche    étant  faite d'une pièce avec le cliquet 95. Lorsque  l'étrier 102 est basculé par un ressort 108    après le     déplaeement    du bras latéral 105 loin  du bras 103, la pression exercée vers le bas  par le ressort 106 sur le cliquet 95 est relâ  chée et, en même temps, le prolongement de  l étrier 102 agit sur la surface inférieure du  bras 97 et soulève le     cliquet    95 de manière à  permettre au curseur 40 de retourner en posi  tion de départ.  



  Comme on l'a représenté, le totalisateur  comporte un jeu de tambours 120     (fig.    5 et  13) montés à rotation sur     Lin    arbre 121 dis  posé transversalement dans la machine. On  voit également que chacun de ces tambours  120 présente sur son     pourtour    deux jeux  complets de chiffres allant de 0 à 9     (fig.17).     A travers une fenêtre 125, pratiquée dans le  dessus du boîtier 1, on peut voir à la fois un  seul chiffre de chaque tambour. Chacun des  tambours se compose de deux disques 126 et  127 montés sur des gradins circulaires 128 et  129 du moyeu d'un pignon 130     (fig.    17).

   Les  disques 126 et 127 présentent des nervures  annulaires de renforcement 131, et le disque  126 présente un rebord périphérique et cylin  drique 132 sur lequel sont inscrits les chif  fres. En deux points diamétralement opposés,  le disque 127 présente des dents 135 s'éten  dant     ra.dialement    vers l'extérieur, et l'une de  ces dents est disposée pour agir sur un autre  mécanisme chaque fois que, pendant la rota  tion du disque, les chiffres  0  et  9  passent  successivement sous la fenêtre. Le nombre des  tambours est égal au nombre des chiffres que  la machine peut enregistrer et la forme d'exé  cution représentée comprend neuf tambours.  



  Chaque tambour est bloqué en rotation,  sauf au moment. où il doit tourner. Le dispo  sitif de blocage de chaque tambour consiste  en un     doigt    140 porté par     iui    étrier 141 qui  s'étend sur la totalité des tambours du totali  sateur, et dont les branches latérales présen  tent des coulisses par lesquelles elles sont  montées sur des     guides    142,     coaxiaux    avec  l'arbre 121 du totalisateur. A l'extrémité de  chaque doigt 140 sont. prévues des dents 143  destinées à engrener avec les dents du pi  -non 130 correspondant. L'étrier 141 est sus  pendu à une biellette 144 solidaire d'un arbre      145.

   Chaque fois que cet arbre oscille en par  tant de la position de la     fig.    13 vers la posi  tion de la     fig.    14, les doigts 140 sont dégagés  des dents de leurs pignons, de sorte que les  tambours du totalisateur sont libérés et peu  vent tourner.  



  Le     mécanisme    du totalisateur est actionné  par la     manoeuvre    d'une barre oscillante 150  qui s'étend     transversalement    sur la machine,  à proximité de son extrémité antérieure, et  qui repose par ses extrémités sur les deux  bras 105. Ces bras passent par deux fentes  155 pratiquées dans le dessus du boîtier, et  leurs extrémités inférieures sont articulées  sur un arbre transversal 156. Au-dessous du  capot du boîtier, les bras 105 sont reliés entre  eux par une entretoise 157 qui fait corps avec  ces bras.

   Les extrémités inférieures des bras  105 sont articulées, en un point 158 situé au  dessous de l'arbre 156, aux extrémités anté  rieures de deux bielles 159, aux extrémités  postérieures desquelles sont fixées les extré  mités     antérieures    de deux tiges 160 coulissant  clans les branches latérales 161 et 162 de deux  étriers 163. Des     butées    constituées par     des     écrous empêchent les tiges 160 de se dégager  des étriers 163. Un ressort 164 entoure     eha-          cune    des tiges 160. Son extrémité antérieure  s'appuie contre une patte 165 de la bielle 159,  tandis que l'extrémité opposée prend appui  contre la branche 161.

   Il en     résulte    une liai  son élastique entre les extrémités inférieures  des bras 105 et les étriers 163. Ceux-ci sont à  leur tour reliés par un dispositif à pivot. et  coulisse 167 à la partie intermédiaire de deux  bras 170, dont les extrémités     supérieures    sont.       articulées    sur des tourillons 171, tandis que  leurs extrémités inférieures sont     articulées     en 172 à deux bielles 173. Les extrémités anté  rieures de ces bielles sont à leur tour articu  lées en 174 aux branches latérales 175 (voir  en particulier la     fig.    27) d'un chariot. Ces  branches latérales 175 reposent par leurs  extrémités postérieures sur une tige transver  sale 176 qui passe dans des coulisses 177.

   Les  branches 175 sont reliées entre elles par une  platine transversale 178 avec laquelle elles  font corps, et qui présente un prolongement    antérieur central 179, dans un bord latéral  duquel est. pratiquée une crémaillère 180.  Ainsi que l'indiquent les fi-. 23 et 24, cette  crémaillère 180 peut engrener avec un pi  gnon 181 solidaire d'un arbre 182 portant  également une roue 183 à encoches périphé  riques. L'engrènement est maintenu par un  galet 1830 coopérant avec le bord opposé du  prolongement 179. La roue 183 fait partie  d'un mécanisme     amortisseur    qui peut être  utilisé, si on le désire, pour limiter la vitesse  de fonctionnement des différents organes et  pour éliminer l'effet nuisible des forces  d'inertie.

   Avec les encoches du pourtour de la  roue 183 coopèrent deux doigts 184, 188 por  tés par un balancier 185 articulé en 186. Ce  balancier a un certain poids. La rotation de  la roue 183 fait que les doigts 184, 188 s'en  gagent alternativement dans les encoches pour  faire osciller rapidement le balancier 185.       L'inertie    de ce balancier 185 intervient- ainsi  pour limiter la vitesse de la manière désirée.  L'oscillation du balancier produit également  une vibration qui agit sur les différents or  ganes de la machine pour les empêcher de  rester coincés en position de départ.. Il en  résulte une augmentation de la sensibilité qui  se traduit par une réponse rapide des diffé  rents mécanismes à la pression de commande.

    La roue 183 et le balancier 185 sont de pré  férence faits en une matière telle que de la  fibre dure, ou qu'une composition à base  de résine, pour éviter un fonctionnement  bruyant. La largeur de l'extrémité antérieure  du prolongement. 179 est réduite, et ses bords  latéraux sont relevés polir former des rebords  190 et 191. A proximité du point de raccor  dement de ce prolongement à. la platine 178,  un rouleau 195 est monté à rotation sur un  pivot 196 qui s'étend à. partir de la face supé  rieure du prolongement 179. Le levier 58,  qui a été mentionné dans la     description    du  mécanisme du curseur, est appliqué contre  le bord avant du rouleau 195 de la manière  représentée sur la     fig.    23, dans un but. qui  sera décrit plus loin.  



  Les branches latérales 175 du chariot pré  sentent des fentes longitudinales 200 prati-           quées    en regard l'une de l'autre, et dans les  quelles sont engagées à coulissement les extré  mités d'une platine ou barre à ressort 201.  Sur cette platine à     ressort    sont montées plu  sieurs barres de commande 202 du totalisa  teur, qui sont orientées perpendiculairement  à ladite platine à ressort. Une de ces barres  de     commande    est prévue pour chaque tam  bour du totalisateur. La     fig.    27 montre tire  seule de ces barres dans la position qu'elle  occupe sur le chariot. Toutes ces barres sont  identiques, et il :suffira donc de décrire  l'agencement de l'une d'elles, en regard de  cette     flg.    27.

   Chaque barre de commande pré  sente une fente     longitudinale    203 engagée sur  la platine à     ressort.    201. La largeur de cette  l'ente 203 est augmentée vers l'extrémité pos  térieure pour former, de la manière indiquée  en 204, une coulisse servant au guidage de la  barre par la tige transversale 176 que mon  trent les fi--. 8 à 16. Le bord inférieur de la  partie antérieure est. entaillé de la manière  indiquée en 205, et l'entaille ainsi     constituée          resoit    un ressort hélicoïdal 206, dont l'extré  mité antérieure est accrochée dans un trou  207 de la barre, tandis que son extrémité pos  térieure est accrochée dans un trou 208 de la  platine 201.

   Chacune des barres 202 est donc  reliée     élastiquement    à la platine 201, et  celle-ci est. reliée au chariot avec un certain  jeu dans les fentes 200. Dans l'extrémité an  térieure de chaque barre 202 est pratiquée  une coulisse longitudinale 210, dans laquelle  est engagé l'arbre de pivotement 156. Les       deux    extrémités de chaque barre 202 sont  ainsi montées à coulissement. longitudinal sur       l'arbre    de pivotement 156 et sur la tige trans  versale 1.76 respectivement.  



  Si l'opérateur fait pivoter la barre de     ma-          n#uvre    150 vers l'avant et vers le bas, ce que  permettent. deux fentes en arc de cercle 215  pratiquées dans les deux flasques     longitudi-          naux    intérieurs 216 et 217, fentes à travers  lesquelles passe l'entretoise 157 des bras 105,  les bielles 159 reculent, et le chariot. est. poussé   < l'avant. en arrière par les ressorts 164. les  étriers 163, les leviers 170 et les bielles 1.73.

    La vitesse du déplacement du chariot est ré-    filée par la vitesse de rotation. de la roue à  encoches 183 qui ne contrarie cependant pas  la vitesse de     manoeuvre    de la barre 150, la  différence des     vitesses    étant absorbée par la  compression des     ressorts    164.  



  Les ressorts 206 exercent également une  traction ayant tendance à entraîner chacune  des barres 202 vers l'arrière. Cependant, sui  vant la position transversale du curseur por  tant les butées de sélection, certaines de     ces     barres ne peuvent suivre ce mouvement. Ceci  provient du fait qu'elles peuvent être retenues  par des crochets 220     (fig.    3, 13 et 14), dont  un est prévu pour chaque barre 202, et arti  culé sur un arbre 221 maintenu     dans    des  chapes 222 et 223     fixées    sur les     faces    inté  rieures des flasques 216 et 217, de la manière  indiquée sur la     fig.    4.

   Le bec de chacun des  crochets 220 peut être maintenu en position  escamotée par une bride antérieure 224 pré  vue au bord     antéro-inférieur    du curseur por  tant les butées de sélection, de la manière in  diquée sur la     fig.    14. Cette bride 224 retient  les crochets correspondant aux barres de com  mande 202 actionnant les tambours du totali  sateur par l'intermédiaire des barres de tota  lisation, et dont le nombre correspond au  nombre de chiffres ou au nombre des ma  noeuvres d'une touche numérique entre chaque  fonctionnement du totalisateur.

   Par exemple,  si le nombre à additionner ou à retrancher se  compose de trois chiffres, ce qui correspond à  trois abaissements de touches numériques  entre deux commandes du totalisateur, les  trois crochets en partant de l'extrémité de  droite de la rangée sont maintenus en position  escamotée par la bride 224. Au moment de la       manoeuvre    de la barre 150, tous les autres       crochets    sont abaissés, et le bec 225 de chacun  d'eux est placé devant un talon de retenue  226 de la barre de commande 202 correspon  dante, de sorte que celle-ci ne peut reculer  lorsque l'opérateur abaisse la barre de     ma-          naeuvr    e 150.  



  Les barres 202 non retenues sont entraî  nées vers l'arrière par le recul du chariot       jusqu'à    ce qu'un .deuxième talon 227 vienne  heurter la butée de sélection qui a été abais-           sec    par la touche numérique correspondante.  Comme représenté aux     fig.    13 et     1-1,    la butée  Cie sélection     correspondant    au chiffre      4     est  abaissée, de sorte qu'elle arrête le talon<B>227</B>  de la barre de commande     20'2    correspondante  entraînée par le chariot.

   On voit que le bord       postérieur    du curseur présente une bride des  cendante 230     formant    une butée correspon  clant à     rabaissement    de la touche     portant    le  chiffre  9 . C'est. l'extrême limite du déplace  ment de chacune des barres 20?, et. il n'est  donc pas nécessaire de prévoir une butée de  sélection mobile pour cette     touche.    En consé  quence, ainsi que le montre la     fig.    20, cette  touche ne s'étend que de     manière    à pouvoir  arriver en contact avec l'une des platines  d'égalisation 18, de la manière indiquée en       17a.     



  La machine comporte un     dispositif    pour  soulever les crochets 220 au-dessus de la bride       221        lorsque    la barre de     manceuvre    150 est  abaissée, afin que ces crochets ne     contrarient     pas le     déplacement    transversal     du.    curseur  portant les butées de sélection. Ce soulève  ment est effectué par les moyens décrits     ci-          après.    Sur la face intérieure de     chacun    des  flasques 216 et 217, deux cames 235 sont     ai¯ti-          culées    en 236.

   Chacune de ces     cames    pré  sente un talon 237 contre lequel s'applique       Fentretoise   <B>157</B> de la barre de     mana        uvre    lors  que celle-ci occupe sa position arrière dressée,  telle que la montre la     fig.    13 par exemple.  Les cames 235 sont elles-mêmes entretoisées  par une traverse 238 approximativement pro  filée en     ill,    présentant une bride     longitudinale     239     incurvée        glissant        sur    une rampe 240 pré  vue sur une queue 211 de chacun des crochets  220.

   Cette rampe 210 est maintenue en con  tact avec. la bride 239 par un ressort     2-13     prévu pour chaque crochet, ressort dont une  extrémité est. accrochée à ce crochet en     2-1-1,     tandis que son extrémité opposée est accro  chée à une bride 212 de la traverse 238. La  rampe 2q0 est profilée de façon que les queues  211 soient. poussées vers l'avant et vers le bas  lorsque la barre de     manoeuvre    150 occupe sa  position de repos, dans laquelle la bride 239  est en contact avec la partie supérieure de la    rampe     \?40,    de sorte que l'extrémité de cha  cun des crochets est alors soulevée et occupe  la position que montrent les     fig.    3 et 13.

   Si  l'opérateur abaisse la barre de     manoeuvre,    les  cames 23:5 s'inclinent. de la     manière    indiquée  sur la     fig.    11.     Chacun    des crochets non sou  levés au-dessus de la bride     221    du curseur  peut alors descendre     usqu'à    ce que son bec       \?\'5    soit placé derrière le talon 226 de la     barre     de commande 202     correspondante.        Seules        les     barres de commande 202     déga-ées    des     cro-          ehets    220  <RTI  

   ID="0008.0056">   glissant    sur la bride 221 peuvent  alors exécuter un mouvement de recul en ré  ponse à l'abaissement de la barre de     nianaeu-          v        re    150. Ces barres de     commande    ne peuvent  exécuter ce mouvement que jusqu'au point  déterminé par la lattée de sélection abaissée  par     l'actionnenient    dune touche numérique.  Si cette touche     porte    le chiffre  9 , le mou  vement de recul est limité par la bride<B>230</B> du  curseur.

   Ce mouvement des barres de com  mande intervient     alom         < pour    actionner les  tambours     correspondants    du totalisateur,  pour les faire tourner dans le sens de l'addi  tion ou de la soustraction ou pour les remet  tre à zéro,     l'ensemble    de la machine étant  ainsi ramené au point. de départ pour l'opéra  tion suivante.  



  Chacune des barres 202 est. agencée pour  actionner, dans des conditions contrôlées  appropriées, une barre de totalisation 250 qui  est placée     directemen     à. côté d'elle. Cette  barre est montée à coulissement sur l'arbre  221, qui passe dans une coulisse 251 prati  quée dans l'extrémité     antérieure    de la barre  250. L'extrémité postérieure de la barre 250  présente une coulisse     similaire        '5?    dans la  quelle passe une seconde tige de     guidage    253.

    Cette     ti-e    de     guidage    ?53 peut. toutefois se  déplacer     alternativement    dans des coulisses  verticales de     guidage    2531     (fig.    3) pratiquées  dans les flasques 216 et 217, de façon à faire  engrener soit une crémaillère     postéro-sapé-          rieure   <B>255</B> à dents dirigées vers le bas, soit  une     crémaillère        postéro-inférieure    256 à dents  dirigées vers le haut, avec le pignon corres  pondant 130     d'lin    tambour du totalisateur,

   ou  encore de façon à occuper une position inter-           médiaire    dans laquelle aucune des crémail  lères n'engrène avec le pignon. La     fig.    9 mon  tre la crémaillère supérieure en prise avec le       pignon,    tandis que les     fig.    8, 14 et 15 mon  trent ce dernier en prise avec la     crémaillère     inférieure. Dans la position que montrent les  fi-. 13 et 16, aucune des crémaillères n'en  grène avec le     pignon.    On voit donc que l'espa  cement entre les crémaillères est. un peu su  périeur au plus grand diamètre du pignon.  



  Pour que la tige de guidage 253 puisse  être réglée, c'est-à-dire amenée dans l'une ou  l'autre     des    trois positions en hauteur, ses deux  extrémités sont. solidaires de deux cames 260.  dont. l'une est clairement représentée sur la       fig.    7. Chaque came 260 repose entre deux  plots de butée fixes 261, 26 _, diamétralement.  opposés par rapport à la tige 253 et soli  daires des flasques 216 et 217. Chacune des  cames 260 présente à sa     périphérie        taie    rampe  incurvée haute 265 et une rampe incurvée  basse 266, diamétralement opposées. Entre  ces deux rampes sont prévues des encoches  <B>267</B> ayant une hauteur intermédiaire.

   Les  plots 261. et 262 sont     alignés    avec les coulisses       2:;31.    Ils sont espacés l'un de l'autre de faon  que l'un soit     engagé    sur la rampe haute alors  que l'autre est en contact. avec la rampe  basse, de sorte que la tige de guidage 253 est  maintenue tantôt. dans sa position supérieure,  tantôt. dans sa position inférieure.  



  La machine comporte un dispositif pour  faire pivoter les cames 260 autour de l'axe de  la tige 253. C'est ce pivotement des cames qui  fait     coulisser    la tige 253     verticalement    dans       ::es        coulisses    de guidage pour l'amener en po  sition supérieure, inférieure ou intermédiaire.

    En position supérieure, la crémaillère infé  rieure de chacune des barres de totalisation  est amenée en prise avec le pignon     correspon-          da.nt..    Dans la position intermédiaire, toutes  les crémaillères sont. dégagées de leurs     Pi-          Qnons;    clans la position inférieure, les crémail  lères supérieures engrènent. avec les pignons  correspondants.  



  Le     dispositif    qui fait pivoter les cames  pour leur faire occuper ces trois positions dif-         férentes    comporte un cliquet 270, représenté  séparément sur la     fig.    7, et placé sur la droite  du flasque 217. L'extrémité postérieure de ce  cliquet est articulée sur un tourillon 310 en  gagé dans un trou 272 du cliquet. Dans ce  dernier est également pratiquée une     coulisse     longitudinale 273, dans laquelle est engagé       im    doigt 274 fixé à l'extrémité inférieure  d'un levier coudé 275, qui est également arti  culé en 276 sur un tourillon. 2710 qui est  porté par le flasque 217 (voir     fig.    5 et 10).

    Le tourillon 310 est porté par un curseur 301  dont il sera question plus loin. A l'extrémité  supérieure de ce levier coudé est accrochée  une extrémité d'un ressort hélicoïdal 277,  dont l'extrémité opposée est accrochée à un  tourillon fixe 278. Ce ressort a tendance à  maintenir l'extrémité supérieure du levier  coudé 275 appliquée contre un talon de butée  279 prévu au bord antérieur d'un levier 280,  dont l'extrémité inférieure est également arti  culée sur le tourillon 2710 du flasque 217. Ce  levier 280 fait saillie vers le haut à travers  une fente 289 pratiquée dans le dessus du  boîtier, et son extrémité supérieure est munie  d'un bouton de     manceuvre    290. La fente 289  est normalement recouverte par une plaquette  291 qui se déplace avec 1e levier 280.

   Celui-ci  peut occuper trois positions: une position  antérieure indiquée sur la fi-. 10 et dans la  quelle le talon de butée 279 est écarté du bord  antérieur du levier coudé 275, une position  intermédiaire représentée sur les     fig.    3 et 7  et dans laquelle le levier coudé 275     est    en con  tact avec le talon de butée 279, et une troi  sième position postérieure dans laquelle le ta  lon de butée 279 est toujours en contact. avec  le levier coudé 275,     celui-ci    étant incliné vers  l'arrière et le tourillon 274 occupant sa posi  tion supérieure, de sorte que le     cliquet    270  est soulevé vers la position que montre la       fig.    9.

   Le levier coudé 275 n'occupe que deux  positions angulaires, dans l'une     desquelles     l'extrémité antérieure du cliquet 270 est sou  levée de la manière indiquée sur la     fig.    9,  tandis qu'elle est, abaissée de la manière indi  quée sur les     fig.    3, 8 et 10 lorsque le levier  est placé dans l'autre position.      Les opérations d'addition     s'effectuent     comme suit  Si le bouton 290 est. placé sur la position  intermédiaire, les organes occupent la posi  tion dans laquelle la machine fonctionne pour  additionner. Dans cette position des organes,  le levier coudé 275 maintient abaissée l'extré  mité antérieure du cliquet.

   L'opérateur  abaisse les touches numériques correspondant  aux chiffres du nombre à additionner; en par  tant du premier chiffre de gauche.<B>Il</B> abaisse  la, barre de     manoeuvre    150 et la laisse revenir  à sa position dressée initiale. Ce rabattement.  de la barre de     man#uvre    150 fait reculer le  chariot par l'intermédiaire des organes qui  ont été décrits précédemment.

   Après un fai  ble mouvement à vide du chariot, jusqu'à       l'établissement    du contact avec la platine à  ressort 201, ladite platine est entraînée vers  l'arrière et entraîne à. son tour, par l'intermé  diaire des ressorts 206, toutes les barres de  guidage qui sont.     déverrouillées    par la bride       22-1    du curseur à butées de sélection, main  tenant les crochets de verrouillage     soulevés     autant que le permettent les butées de sélec  tion escamotées par l'abaissement des touches  numériques correspondantes.

   Le mouvement  de recul des barres de commande 202 libérées  agit, par l'intermédiaire d'un doigt 295, sur  la barre de totalisation 250 correspondante,  ce doigt venant. buter contre un épaulement  2990 de la barre de commande (voir     fig.    11)  pour faire reculer la     barre    de totalisation. A  ce moment,     la    tige de guidage 253 occupe sa  position intermédiaire, de sorte que les barres  de totalisation reculent sans engrener avec  les     pignons    des tambours du totalisateur.

   II y  a. lieu de noter que le chariot, parcourt la to  talité de sa course chaque fois que la barre de       manoeuvre    est complètement abaissée, tandis  que la course de chacune des barres de gui  dage 202 et de la barre de totalisation corres  pondante 250 est fonction de la butée de sé  lection que touche le talon de la barre 202. La       longueur    de la course des crémaillères est.       ainsi    limitée à une. amplitude correspondant  au chiffre de la touche numérique qui la com  mande. Le mouvement de recul du chariot    continue jusqu'à ce que l'extrémité anté  rieure de la coulisse 177 heurte la tige trans  versale 176. Celle-ci est ensuite entraînée sur  le reste de la course.

   L'extrémité de droite  de cette tige transversale 176 est engagée  dans un trou 300 d'un curseur 301, représenté  séparément sur la     fig.    7, et qui présente, à  ses extrémités, .des coulisses espacées 302 et  303 dans lesquelles sont. engagés des doigts  fixes 301 et. 305 s'étendant vers l'extérieur à  partir du flasque 217     (fig.   <B>5),</B> de sorte que  ce curseur peut exécuter un     mouvement    de  va-et-vient horizontal de faible amplitude. Il  porte sur sa face intérieure le     tourillon    310  qui est engagé dans le trou<B>272</B> du cliquet  270. II en résulte que le cliquet est entraîné  vers l'arrière dans la dernière partie du recul  du chariot.

   Dans l'extrémité antérieure du  cliquet sont pratiquées deux fentes incurvées       ct    opposées 311 et 312 respectivement. desti  nées à recevoir des     doigts    espacés 313 et     31-1     s'étendant à     partir    de la face extérieure de la  came 260 de droite.  



  Si le cliquet est. abaissé, c'est-à-dire s'il  occupe la, position d'addition, comme on l'a  supposé, le doigt 311 est     engagé    dans la fente  312. Pendant le recul du     cliquet,    la came 260  tourne pour passer de la position indiquée  sur la     fig.    3 à la position que montre la     fig.    8.  Les cames 260 tournent donc dans le sens in  verse de celui des aiguilles d'une montre.

         Ltant    donné qu'elles tournent entre les plots  fixes 261 et 262, elles sont soulevées et sou  lèvent également. la tige de     guidage    253.     Les     extrémités postérieures des barres de totali  sation sont donc à, leur tour soulevées et la  crémaillère inférieure de chaque barre de to  talisation est amenée en prise avec le pignon       correspondant,    de la. manière indiquée sur la       fig.    8.

   Il y a. lieu de noter que toutes les barres  à crémaillères déplacées occupent des posi  tions de recul     déterminées    par les touches nu  mériques préalablement abaissées pour la  commande des barres de totalisation corres  pondantes, de sorte que la distance vers  l'avant à partir du point de     l'extrémité    posté  rieure de chacune des crémaillères où elle en  grène avec son pignon est fonction de la tou-      elle numérique commandant     chacune    de ces       barres.    Le recul du curseur 301 est transmis  par une bielle 320     (fig.        3)    à un arbre     1-15    de  blocage du totalisateur, de sorte que cet.

   arbre  pivote dans le sens approprié pour dégager  tous les dol     ts    de blocage 140 des     pignons   <B>1.30</B>       qui    sont ainsi libérés et peuvent. tourner. Dès  due la barre -de     manoeuvre    150 est rappelée  vers sa     position    de     départ,    les bielles 159 sont  entraînées vers l'avant. Deux ressorts     3-5     sont accrochés par leurs extrémités posté  rieures aux extrémités antérieures des bran  ches 175 du chariot, dans des trous<B>326,</B> tan  dis que leurs extrémités antérieures sont  accrochées en des points fixes 327 du bâti de  la machine.

   Ces     ressorts        interviennent        ï:o,-          pour    rappeler le chariot. La platine à ressort  ?01, entraînée en arrière par le chariot, vient  buter contre l'extrémité antérieure des fentes  203 de chacune des barres de guidage qui ont  été entraînées vers l'arrière sur une distance  quelconque et les rappelle toutes vers la po  sition  < le départ. Par l'intermédiaire de res  sorts 296, qui sont accrochés à des doigts 329  (les barres de guidage et aux doigts 295 des  barres de totalisation, les barres à crémail  lères qui ont été entraînées vers l'arrière pen  dant l'abaissement de la barre de     manceucre     <B>150</B> sont également rappelées vers la, position  de départ.

   Elles font, en même temps, tour  ner les     pignons    correspondants du totalisa  teur d'un angle tel que les chiffres des tam  bours du totalisateur correspondant aux tou  e lies numériques abaissées sont amenés en     re-          gard    de la fenêtre d'observation. Le mouve  ment clé retour du chariot produit également,       lui    mouvement de retour similaire du curseur  :;01, qui produit à. son tour un mouvement  correspondant du cliquet, agissant sur le doigt  inférieur 311 pour faire tourner les cames  clans le sens des     aiguilles    d'une montre vers la.  position de départ, tandis que la tige de gui  dage 253 est. abaissée en position de repos.

   Le  retour du     curseur    provoque également le re  tour des doigts de blocage 140 qui reviennent  en prise avec les pignons du totalisateur et  les maintiennent dans les positions dans les  quelles ils ont été amenés sous l'action des    crémaillères. Le retour de la barre de     ma-          noeuvre    150 intervient également pour faire  revenir le     curseur    des butées de sélection vers  sa fin de course vers la droite, et pour ra  mener en position de départ les butées de  sélection précédemment abaissées. Le rappel  du curseur des butées de sélection sera dé  crit plus loin.  



  Le report dans le totalisateur s'effectue  de la manière suivante:  Il est évident que, chaque fois qu'un tam  bour du totalisateur tourne pour passer de   9  à  0  en regard de la fenêtre d'observa  tion, il est nécessaire de faire avancer d'un  chiffre le tambour de gauche adjacent. Le dis  positif destiné à cet effet sera décrit ci-après.  



  Ainsi qu'on l'a précédemment remarqué,       chacun    des tambours du totalisateur présente  deux dents diamétralement opposées 135. Dès  que les chiffres d'un tambour du totalisateur  passent de  9  à  0  en regard de la fenêtre  d'observation, l'une de ces dents<B>135</B> agit sur  une came 330 d'un levier de report 331 arti  culé sur un arbre transversal 33?     (fig.    13 à  1.6). Chaque levier 331 présente une fente  verticale 333 engagée sur un     doigt    331     d'uni     levier coudé 335 articulé sur la tige 253.

   Un  crochet 336 prévu à une     extrémité    de ce le  vier coudé est destiné à s'engager devant un  talon 337 partant d'une face     latérale    de la  barre de totalisation 250     suivante    à la gauche  du tambour du totalisateur, dont. la dent.<B>135</B>  est en contact avec la came 330. Le crochet  engagé devant le talon détermine normale  ment la fin de course vers l'avant de chaque  barre de totalisation. Un crochet est prévu  pour chacune des barres de totalisation. Le  passage de la dent 135 sur la came fait pivo  ter le levier 331 correspondant de la position  représentée en traits pleins sur les     fig.    13 et  14 vers la position indiquée sur les     fig.    15 et  16.

   Il en résulte que le crochet. 336 est. dégagé  du talon 337, ce qui permet au ressort 296  de tirer la barre de totalisation vers l'avant  jusqu'à ce que son doigt 295 vienne buter con  tre l'épaulement 2990 de la barre de guidage,  ce qui est tout juste suffisant pour faire tour  ner d'un chiffre le tambour correspondant du      totalisateur. L'extrémité inférieure de chaque  levier 331 porte un doit de verrouillage 340  glissant sur la face supérieure d'un ressort à  lame 341 présentant une     bosse    centrale 342.

    Ce ressort fait office de verrou pour retenir       Plastiquement    le levier 331 dans chacune des  positions angulaires qu'il peut     occuper,    posi  tions qui sont indiquées respectivement en  traits pleins et en pointillés sur la     fig.    16.  L'extrémité inférieure de chaque levier 331  est également prolongée vers\ le bas par un  bec     342Q    engagé sur la trajectoire d'un doigt  343 solidaire de la platine à ressort 201.  



  Lors de la     manceuvre    suivante de la barre  150, le recul de la barre de guidage amorce  immédiatement le recul de la barre de totali  sation libérée, et ce, sans aucun jeu, à la fin  du. mouvement d'avancement de la barre de  totalisation arrêtée dans sa position de repos  par son crochet 336. Le levier 330 est     é--ale-          ment    ramené en position de départ et amène  le crochet 336 en position de travail, lorsque  le doit 343 de la platine à ressort fait recu  ler l'extrémité inférieure du levier 330.  



  Les     fiz.    30 à 33 représentent une variante  du mécanisme de report dans le totalisateur.  Dans cette variante, le levier 331 des       fiz    13 à, 16 est remplacé par un levier de       report        331Q.    Celui-ci est articulé sur l'arbre  332 et présente un épaulement 451     normale-          ment        a.npliaué    contre un talon latéral 452  d'un     clinuet    453 articulé en 454 à un levier       cniidé    4,0.

   Ce levier coudé 450 est, monté sur  la tige 253 mobile verticalement et     présente,     dans sa tranche supérieure, une fente 455     -ui-          dée    à coulissement     sur    l'arbre 332'. La. posi  tion de repos des     orma.nes    est indiquée sur la  fis. 30.

   Le     cliquet    453 est maintenu dans sa       position    de repos par un     ressort    456, dont une       extrémité    est accrochée dans un trou 457 du       levier    450.

   tandis que l'extrémité     opposée    est  accrochée dans un trou 458 du     cliquet,    ce  trou     nccnnant    une position     aneulaire    telle  nue l'épaulement 451 du     levier    de report soit       appliqué    contre le talon 452 du     cliquet    pour  maintenir celui-ci dans une position telle  qu'un     épaulement    461 d'une barre de totali  sation suivante     250a    à la gauche du levier de    report     331a        puisse    heurter un bec 460 du     cli-          quet    453 lorsque les barres 

  de totalisation  sont rappelées vers l'avant. La barre de tota  lisation     250Q    ne     comporte    aucun talon<B>337,</B>  parce qu'il n'est pas     nécessaire    dans cette va  riante.     Chaque    fois qu'une cane     330Q    du le  vier de report     331a    est. repoussée par une  dent 135 du tambour correspondant et dé  place ce levier     331Q    vers l'avant, de la manière  indiquée sur la     fig.    31, l'épaulement 451 du  levier de     report    se relève et.

   fait     basculer    le  cliquet 453 dans le sens contraire de celui  des aiguilles d'une montre, de soi-te que son  bec 460 est, escamoté de la position arrêtant  l'épaulement 461 de la barre de     totalisation     suivante à gauche, ce qui     permet,    le rappel de  cette barre d'un pas correspondant à une  unité sur le tambour correspondant. On ob  tient ainsi le report désiré. Le recul du     eha-          riot    au cours de l'opération suivante de la  machine ramène ces organes à la position de  repos, de la, manière décrite en regard des  fie. 13 à 16.

   Cette variante du mécanisme de  report présente, par     rapport.    au     mécanisme     des     fig.    13 à 16, l'avantage que     ledit    méca  nisme occupe     une    position élevée, de sorte  qu'il est plus accessible pour l'inspection et  pour la réparation après l'enlèvement du     cou-          verele    de la machine.  



  Les opérations de soustraction s'effectuent  comme suit  Si l'opérateur désire effectuer une sous  traction, il doit tout d'abord     rézler    les tam  bours du     totalisateur    en fonction du nombre       supérieur,        qu'il    inscrit. en     partant    du premier  chiffre à     gauche.    Il abaisse     ensaiite    la barre  de     maneeuvre    150 pour la libérer immédiate  ment.

   Il fait ainsi apparaître le nombre supé  rieur en regard de la fenêtre     d'observation.     Il pousse le bouton 290 à la dernière position  arrière que montre la     fig.    9 et inscrit. le nom  bre inférieur en     abaissant    les touches numé  riques correspondantes, toujours en partant  du premier chiffre à gauche. Il abaisse de  nouveau la barre de     manoeuvre    150 pour la  libérer     immédiatement..     



  Pendant la. première partie de l'abaisse  ment de la barre de     manoeuvre    150, le chariot      recule de la manière     précédemment    décrite.  L'extrémité antérieure     -du    cliquet 270     est     alors relevée dans la position que montre la       fig.    9. Lorsque le curseur 301 est déplacé c11  arrière, le doigt supérieur 313 de la came est  engagé dans la fente supérieure 311 du cli  quet. La fin du mouvement. d'abaissement de  la barre de     manoeuvre,    qui déplace     également     le curseur 301, fait alors tourner la came  260 dans le sens des aiguilles d'une montre  et abaisse la tige 253.

   Toutes les barres de to  talisation descendent, de sorte     que    leurs     cré-          niaillères    supérieures 255 engrènent avec les  pignons du totalisateur. Lorsque la barre de       manceuvre    150 remonte, ces crémaillères, dont  le recul a été déterminé par les butées de sé  lection abaissées par les touches     numériques          manoeuvrées    par l'opérateur, font tourner les  tambours correspondants du totalisateur dans  le sens de la     soustraction.    Chaque fois qu'un  tambour passe de  0  à  9 , le mécanisme de  report intervient comme pour une addition,

    mais dan b le sens opposé par suite du mouve  ment opposé des crémaillères par rapport aux       pignons.     



  L'opération de remise à zéro     s'effectue     comme suit:  Avant toute opération d'addition, il est,  bien entendu, nécessaire de ramener à zéro  tous les tambours du totalisateur. La machine  comporte un dispositif permettant la remise  à zéro par la     manoeuv    ré de la barre 150. A  cet effet, l'opérateur pousse le bouton 290  vers la position antérieure extrême que mon  tre la fi-. 10. Dans cette position des organes,  le levier coudé 275 est. incliné vers l'avant,  de     sorte    que le cliquet 270 est placé dans la  position     q11'11    occupe pour l'addition, le doigt  inférieur 314 étant engagé dans la fente infé  rieure 312 du cliquet.

   Le levier 280 est relié  par une bielle<B>350</B> à une platine 351 articulée       cri    352 au     flasque    217 de droite. Ainsi que le  montre le mieux la     fig.    13 (en pointillé),  cette platine 351 présente une encoche     allon-          riée    353 :dans sa tranche supérieure. Une  extrémité de cette encoche forme une rampe  inclinée 354, tandis que l'extrémité opposée  forme un épaulement 355. Au-delà de l'épau-         lement    355 est prévue     une    rampe 357. Sur les  rampes 354 et 357 se déplacent respective  ment des galets 358 et 359 (voir     fig.    7 et 10)  qui sont montés sur des leviers en ciseaux 360  et 361.

   Ces leviers en ciseaux 360 et 361 pré  sentent, à leurs extrémités supérieures, une  coulisse 362 engagée sur un tourillon fixe 363  s'étendant à partir du flasque 217. Les leviers  en ciseaux peuvent donc exécuter un mouve  ment d'élévation et d'abaissement à l'endroit  des coulisses 362, en pivotant. autour de l'axe  des galets 358 et 359 et en pivotant     égale-          nient    autour du tourillon 363. Le pivot. 352  placé entre les bords intérieurs encochés des  leviers en ciseaux 360 et 361 intervient pour  limiter le rapprochement entre ces leviers en  ciseaux.

   Ceux-ci se déplacent en     superposition     et leurs extrémités inférieures     présentent    des  talons opposés 365 et 366 placés dans un plan  commun et dans le plan d'un coude 367, en  saillie vers le haut, d'un levier 368 articulé  en 369 au curseur 301. Ce levier 368     porte     un galet.<B>370</B> destiné à coopérer avec une  rampe inclinée 371 prévue à l'extrémité pos  térieure de la branche latérale 175 de droite  du chariot. Cette même branche latérale pré  sente une rampe opposée 372 en avant de là  rampe 371.

   Lorsque le bouton 290 occupe la  position de remise à zéro, la platine 351 est  placée dans la position que montre la     fig.    10,  le galet 358 étant alors placé sur le fond de  l'encoche allongée 353, tandis que le galet  359 repose sur la rampe 357. Dans cette posi  tion des organes, l'extrémité inférieure du le  vier 360 des ciseaux est placée directement au  dessus du coude 367 et empêche le soulève  ment de l'extrémité postérieure du levier 368  par la rampe 371 agissant sur le galet 370,  au-delà de la course limitée     nécessaire    pour  amener l'extrémité inférieure de la coulisse  des ciseaux contre la broche 363, de la ma  nière indiquée sur la     fig.    11.

   Cette extrémité  du levier 360 est suffisamment soulevée, tou  tefois, pour se placer au-dessus de l'extrémité  inférieure de l'autre levier 361.     Etant    donné  que le levier 368 ne peut. pas être     relevé,    le  recul du chariot fait également. reculer ce le  vier ainsi que le curseur 301, tandis que l'au-           tre    levier 361 pivote pour occuper la position  que montre la     fig.    11. Le recul du curseur  301 déplace le cliquet 270 comme pour l'addi  tion, de sorte que les cames 260 tournent clans  le sens contraire de     celui    des aiguilles d'une  montre pour relever toutes les barres de tota  lisation 250, de façon que leurs crémaillères  inférieures viennent en prise avec les pignons  du totalisateur.

   Ce recul escamote également  les     verrous    140, mais seulement après un fai  ble recul du chariot. Le réglage du bouton  290 sur la position de remise à zéro fait. égale  ment avancer une     barre    coulissante<B>372)</B>       (fig.    3 et 29) présentant une encoche 373 en  gagée sur un doigt 3730 du levier 280, de  sorte qu'un talon antérieur     37.1    vient se pla  cer sir un épaulement 215 de la came 235.  Ceci empêche la rotation de cette came et  maintient. les crochets 220 relevés, de sorte  que toutes les barres de guidage peuvent re  culer avec le chariot au lieu     d'être    amenées  à proximité de la fin de cette course, comme  pour l'addition.

   Le recul prolongé du chariot  fait alors tourner tous les pignons jusqu'à ce  que chacun soit. arrêté par le fait qu'une des  dents 135 vient en contact avec une butée  375     (fig.    5 et. 13). Cette butée 375 est arti  culée en<B>376</B> au flasque 217 et comporte une  branche 377 à fente dirigée vers le bas et en  gagée sur un doigt 378 s'étendant à partir de  la face intérieure de la platine 351 et sur le  quel est articulée la bielle 350. Lorsque cette  platine 351 est initialement déplacée par le  bouton 290 amené à la position de remise à  zéro, la butée 375 est abaissée à la position  indiquée en pointillé sur la     fig.    13. Elle est  alors placée sur le chemin des dents 135.

   Le  chariot peut achever sa course de recul, tan  dis que les barres 250 sont arrêtées, du fait  de l'arrêt de leurs tambours de totalisation,  dans la position qu'ils peuvent alors occuper.  Le complément de course du chariot a sim  plement pour effet. de tendre les ressorts 206  qui agissent indépendamment pour chacune  des barres de guidage. Lorsque les extrémités  inférieures des leviers en ciseaux sont suffi  samment écartées pour permettre au coude  367 de se relever entre ces leviers, la branche    latérale 175 est libérée pour pouvoir reculer  indépendamment du curseur et pour pouvoir  achever sa course de recul jusqu'au point où  le galet 370, en descendant. la rampe 372 de  la branche latérale 175, reprend la position  que montre la     fig.    12.

   A la position extrême  postérieure du chariot, au retour de la barre  de     manoeuvre    150, les     barres    de totalisation  sont immédiatement dégagées des pignons, et  le mouvement de remise à zéro des tambours  est achevé. L'abaissement du coude 367 pen  dant la descente du galet 371 sur la rampe  372 permet au levier 361 de reprendre sa po  sition initiale près du levier 360, avec son  extrémité inférieure directement. au-dessus du  coude 367.

   Lorsque le chariot est rappelé vers  l'avant par le soulèvement de la barre de     ma-          naeuvre    150, étant donné que le coude 367 ne  peut se soulever au-delà du jeu permis par le  doigt 363, le curseur 301 est immédiatement  accouplé au chariot qui pousse le cliquet 270  en avant et fait tourner les cames 260 dans  le sens des aiguilles d'une montre, pour les       ramener    en position de départ. Pendant le  mouvement de retour, les barres de totalisa  tion sont donc dégagées des pignons.  



  Un dispositif est prévu pour le blocage du  bouton 290 dans les positions de remise à zéro  et de soustraction. Ainsi que le montrent les       fig.    3, 10 et. 11, ce dispositif comporte deux  leviers 380 et 381 montés sur le tourillon 278.  Le levier 380 s'étend vers l'arrière du levier  280 et présente deux épaulements espacés 382  et 383 entre lesquels est ménagée une rampe  concave 381. Un talon 385 du levier 280 est  destiné à coopérer tantôt avec     l'un    des épau  lements 383 ou 382, tantôt avec la rampe 384.  Lorsque le levier 280 occupe la position anté  rieure de remise à zéro indiquée sur la fi-. 10,  le talon 385 est appliqué contre l'épaule  ment. 383.

   Le levier 381 porte à son     extré-          n        nité    un cliquet 390 présentant une rampe       incurvée    391 qui peut coopérer avec une  rampe inclinée 392 du curseur 301     lorsque    ce  lui-ci s'en rapproche en partant de la. position  que montre la     fig.    12. Dans cette position des  organes, un talon 393 du     cliquet    est. appliqué  contre une butée 394 du levier 381, et le cli-      guet 390 est normalement maintenu dans cette  position angulaire par un ressort à lame 395.

         Etant    donné que le cliquet ne peut pas pivo  ter dans le sens des aiguilles d'une montre en  partant de la position de la     fig.    12, la rampe  inclinée 392 du curseur soulève le levier 381  qui fait pivoter le levier 380 pour le dégager  du talon 385. Le levier 280 est ainsi déver  rouillé dans la position de remise à zéro, et le  ressort 351a.     (fig.    3, 7 et 10), agissant par  l'intermédiaire de la platine 351, ramène le  bras 280 à sa     position    normale d'addition.  Lorsque le levier 280 occupe la position de  soustraction, le talon 385 est appliqué contre  l'épaulement 382. Dans ce cas encore, le rap  pel du curseur soulève le levier 380 pour dé  verrouiller le levier 280.

   Lorsque le curseur  <B>3</B>     01        se        déplace        dans        la        direction        opposée,    à  partir de la position indiquée sur la     fig.    11       vers    la     position    de la     fig.    12, le cliquet 390  peut céder et permet ainsi au curseur de pas  ser sans soulever le levier de blocage 380.  Mais ce levier de blocage peut être déver  rouillé à volonté par l'opérateur qui appuie  simplement sur un bouton 397 sortant du  boîtier et dont l'extrémité inférieure repose  sur un prolongement postérieur 398 du levier  381. ' .

    



  Lorsque le levier 280 occupe la position       irterinédiaire    pour l'addition ou la position  pour la soustraction, la. platine 351 est orien  tée de faon que les galets 358 et 359 des le  viers en ciseaux soient placés sur les rampes  surélevées de la platine 351, leurs extrémités  inférieures étant ainsi écartées l'une de l'au  tre de la manière indiquée sur la     fig.    3. Dans  cette position, elles ne s'opposent pas au sou  lèvement du coude 367, de sorte que le cur  seur 301 n'est accouplé au chariot que lorsque  celui-ci arrive à proximité de la fin de sa  course vers l'arrière et vient coopérer avec la  tige 176.  



  Le mécanisme de rappel du curseur des       butées    clé sélection est le suivant  Ainsi qu'il a été indiqué précédemment, le  mouvement de relèvement de la barre (le     ma-          naeuvre    150 rappelle normalement. le curseur  vers la position d'extrême droite de sa course,    à     la    fin d'une opération de sélection,     c'est-          à-dire    au moment où le curseur 40 des butées  de sélection a parcouru au     moins    une partie  de sa course vers la gauche de la machine.  Cette action a lieu à la fin d'une opération  normale d'addition ou de soustraction, mais  certaines dérogations à ce mode .de fonction  nement sont possibles.

   Le mécanisme de rap  pel comporte un levier d'arrêt 400     (fig.    23  et 24) articulé en 401 au levier 58, entre les  extrémités de celui-ci, et qui est superposé au  prolongement antérieur 179 du chariot. Ce  levier d'arrêt 400 est muni d'un bras de com  mande 402 orienté vers l'avant et de part et  d'autre duquel sont engagées     les        branches     descendantes 403     (fig.    26) d'un curseur de  commande 404. Ce curseur peut coulisser le  long d'une tige 405 et est     élastiquement    blo  qué dans l'une de trois positions axiales au  moyen d'un verrou à bille 406 qui peut s'en  gager dans l'une de trois gorges périphéri  ques 407, 408 et 409 de la tige 405.

   Une ma  nette 410, passant vers l'extérieur à travers  une fente 411 de la paroi antérieure du boî  tier, est accouplée au curseur 404 et peut ser  vir à placer ce curseur sur l'une des trois po  sitions. L'extrémité antérieure du levier 400  présente un épaulement 412, tandis qu'un       deuxième    épaulement     .113    est prévu à une dis  tance     très    inférieure de l'articulation 401.  Entre ces deux épaulements est pratiquée une  encoche 414.

   Lorsque le levier d'arrêt occupe  sa position médiane que montre la     fig.    23, le  rebord latéral du chariot vient toucher l'épau  lement 413 pendant le recul et pousse l'extré  mité de droite du levier 58 vers l'arrière sur  une distance suffisante pour qu'un verrou  420 articulé en 62     puisse    pivoter vers l'exté  rieur sous l'action d'un ressort de torsion 421,  à partir de la position de la     fig.    23 vers la  position de la     fig.    24, dans laquelle un épau  lement 421 du verrou s'engage derrière une  butée 422 de la platine coulissante 55.

   Pen  dant l'élévation consécutive de la barre de       manoeuvre    150 qui rappelle le chariot, le ga  let 195 du chariot coopérant avec le levier 5   pousse la platine 55 vers l'avant, en faisant  tourner le secteur 51 dans le     sens    des aiguil-      les d'une montre pour enrouler le ruban 50.  Le curseur de sélection revient ainsi à la po  sition de départ que montre la fié. 23. Un  peu avant cette position, une butée fixe     -125     coopère avec un talon 426     .du    verrou 420, de  sorte que celui-ci est dégagé de la. butée 422.  I1 libère ainsi le curseur qui peut se déplacer  -,;ers la gauche après abaissement d'une ou  < le  plusieurs touches numériques.  



  Si l'opérateur découvre qu'il a commis une  erreur en abaissant l'une     des    touches numéri  ques, il peut. ramener les butées de sélection en  position de repos sans transmettre un mouve  ment aux tambours du totalisateur. A cet effet,  il déplace la manette 410 vers la gauche pour  la placer     siir    l'inscription  Erreur  et amène  ainsi l'épaulement     :112    en regard du rebord  <B>191</B> du chariot. S'il abaisse ensuite un peu la.

    barre de     manoeuvre    150, le levier 58 amorce  son mouvement. de     pivotement    très rapide  ment., et il atteint la position de la fié. 24  avant une descente de la barre de     manceuvre     150 suffisante pour libérer les barres de com  mande du totalisateur. L'opérateur laisse en  suite revenir la barre de     manoeuvre    150 vers  sa position dressée. Le retour du chariot vers  la position de départ rappelle le curseur des  butées de sélection en position de repos, et  toutes les butées de sélection abaissées sont  relevées par la platine 47.  



  Dans certains cas, l'opérateur peut     désirer     répéter la même suite de chiffres pour des  opérations successives de totalisation.     Dans    ce  cas, il est inutile de faire revenir le curseur  entre les totalisations successives et il est, au  contraire, possible de totaliser sans déranger  le     réglage    précédent des butées ,de sélection ou  la position du curseur. A cet effet, ]'opérateur  déplace la. manette 410 vers la droite pour la  placer à la position  Répétition , dans la  quelle le levier 400 est déplacé vers la droite  à la position extrême indiquée en traits mixtes  sur la fié. 24.

   Dans cette position, le recul  du chariot, déclenché par l'abaissement de la  barre de     manceuvre    150, fait pénétrer le re  bord<B>190</B> dans l'encoche 414 du levier 400. Il  en résulte que la barre 150 ne peut déplacer  ce levier, de sorte que le levier 58 n'est pas    amené à la position de la fié. 24.

   Lorsque       l'opérateur    actionne la. barre de     nianoeuvre     <B>150,</B> le curseur reste donc dans la position  précédente, et une     manceuv        re    répétée de la  barre 150 a pour effet d'additionner ou de  soustraire plusieurs fois le même nombre re  présenté par les butées de sélection abaissées,  suivant que le bouton 290 est     réglé    pour l'ad  dition ou pour la soustraction.  



  Le fonctionnement de la     machine    repré  sentée et. décrite est. le suivant:  Il ressort de la. description précédente de  la machine que, si le bouton 290 est. placé sur  la position  Addition , l'opérateur peut abais  ser les touches numériques dans l'ordre des  chiffres du nombre à additionner.

   Il en ré  sulte que les butées de sélection sont action  nées d'une manière     eorrespondante,    tandis  que le curseur est déplacé vers la gauche jus  qu'en un point dépendant du nombre de tou  ches abaissées.     L'abaissement    de la barre de       manoeuvre    150, suivi d'un retour de cette  barre, produit un     mouvement    de rotation de  chacun des tambours     du    totalisateur d'un  angle dépendant de la touche numérique  abaissée pour l'ordre numérique correspon  dant.

   A chaque retour de la barre de     manceu-          vre    150, le curseur des butées de sélection re  vient en position de départ dans laquelle il  est prêt pour la nouvelle série de chiffres à  ajouter à la première. Cette     nouvelle    série  est ensuite enregistrée dans la machine à  l'aide des touches numériques, et dans un  ordre allant de     gauche    à droite. Ce nouveau  nombre est additionné au premier par un  abaissement et un retour de la barre 150,  après quoi la machine est prête à. recevoir la  série de chiffres d'un autre nombre à addi  tionner. L'opérateur répète ces opérations  jusqu'à la fin des additions désirées.

   Le total  apparaît alors     sur    les tambours du totalisa  teur à travers la fenêtre d'observation.  



  Après la série d'additions, la machine peut  être remise à zéro. A cet effet, l'opérateur  avance complètement le bouton 290, après  quoi il abaisse et laisse revenir la barre de       manceuvre    150. Tous les tambours du totalisa  teur sont ainsi ramenés à la. position dans la-      quelle tous les  0  apparaissent dans la fenê  tre d'observation.  



  Si l'opérateur désire effectuer une sous  traction, il inscrit d'abord le nombre supé  rieur sur les     tambours    du     totalisateur    par  une opération d'addition, les     chiffres    du       nombre    étant. introduits dans la machine par       l'abaissement    des touches numériques corres  pondantes et par une     manaeuvre    de la barre  150. L'opérateur place     ensuite    le bouton 290  sur la position postérieure  Soustraction , et  il introduit. le nombre inférieur dans la ma  chine en abaissant les touches numériques  clans l'ordre des     chiffres    de ce nombre.

   Il  abaisse et laisse revenir la barre de     manoeu-          re    150. Les tambours du totalisateur indi  quent alors le reste. La machine peut être en  suite remise à zéro de la même manière que       précédemment.     



       Lri    dispositif est prévu pour permettre à  lit barre de     manoeuvre    150 d'exécuter une       (-ourse    complète pour chaque opération d'ad  dition, de soustraction ou de remise à zéro,  tout en ne lui permettant d'exécuter qu'une  course réduite après une erreur, et si l'opéra  teur désire effacer un nombre déjà introduit  dans la machine par     l'intermédiaire    des bu  tées de sélection, avant d'effectuer -une addi  tion ou une     soustraction.    Ce dispositif est re  présenté sur la     fig.    6.

   L'extrémité inférieure       (lit    bras 170 est munie d'un cliquet 430 main  tenu normalement par un ressort 431 dans la       position    indiquée en traits pleins sur la       l'ig-.    6. Ce cliquet est agencé pour se déplacer  sur la tranche supérieure d'une platine 432  clans la partie intermédiaire de laquelle sont  taillées     plusieurs    dents 433, tandis que ses  extrémités 434 et 435 sont lisses et.     incurvées.     Le bras 170 peut.

   être déplacé vers l'arrière,  en partant de sa position avant     indiquée    sur  la     fig.    6, jusqu'à ce que le cliquet 430 se rap  proche d'un premier sommet 436 des dents,  après quoi l'opérateur le laisse revenir libre  ment. L'amplitude de ce mouvement est     suf-          risante    pour     permettre    le retour du curseur  (les     buttées    de sélection qui efface ainsi l'er  reur commise lors de l'abaissement des tou  ches numériques, mais elle est insuffisante    pour produire un déplacement des barres de  totalisation et pour actionner les tambours  du totalisateur. Cependant, si le bras 170 est.

    déplacé au-delà du premier sommet 436, le  cliquet 430 s'engage derrière la dent, corres  pondante et empêche     ït    retour du bras 170.  Ceci     est    indiqué par la position médiane en  traits mixtes sur la     fig.    6. Le mouvement de  retour du bras 1.70 ne peut alors avoir lieu  tant. que ce bras n'a pas été déplacé au-delà  du dernier sommet 437 de la rangée de dents.  Dans ce dernier cas, le bras peut revenir à  la. position de départ parce que le cliquet 430  pivote dans le sens opposé et d'un angle suffi  sant pour glisser sur le sommet des dents.  



  La machine peut être faite assez petite et  ramassée pour que l'opérateur puisse facile  ment régler le bouton 290 et     abaisser    les tou  ches numériques avec les doigts (le L'une ou  l'autre des mains, pour abaisser     ensuite    la  barre de     manaeuvre    150 par une pression de  la paume de la même main, les     ressorts    325 et  164 rappelant la barre 150 vers sa position  de départ dès que l'opérateur cesse d'exercer  une pression sur cette barre. II suffit donc  d'une seule main pour actionner la machine,  l'autre main restant libre pour un autre  usage.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine à calculer, permettant d'effectuer des opérations d'addition et de soustraction, comprenant un jeu de roues totalisatrices co axiales munies de pignons d'entraînement, caractérisée en ce qu'elle comprend, pour chaque pignon (130), un organe d'entraîne ment (250) muni de parties de crémaillère opposées (255 et 256) disposées de côtés opposés du pignon (130) et séparées l'une de l'autre par une distance supérieure au plus grand diamètre du pignon (130), ces parties de crémaillère (255 et 256) étant susceptibles d'être déplacées longitudinale ment selon des courses déterminées et l'or gane d'entraînement (250) étant sélective ment réglable, de manière à amener l'une quelconque des parties de crémaillère (255, 256) en engrènement avec le pignon (130)
    et à maintenir les deux parties de crémaillère (255, 256) à distance du pignon (130), préalablement à un déplacement longitudi- nal de l'organe d'entraînement. (250) dans un sens, et des moyens pour commander et pour déplacer les organes d'entraînement ('250), ces moyens comprenant un organe pi votant (270) susceptible de venir en engage ment avec une came oscillante (260) qui est montée sur une tige (253), laquelle est en re lation de fonctionnement avec les organes d'entraînement (2.50), ladite came (260) étant disposée entre des butées fixes (261 et '62)
    et agencée de manière à relever les or- -çyanes d'entraînement (250) lorsqu'elle tourne dans un sens et à abaisser les organes d'en traînement (250) lorsqu'elle tourne dans le sens opposé, actionnée par l'organe pivotant. (270), celui-ci étant susceptible d'être ac tionné par un opérateur et agencé et disposé clé manière à venir à volonté en engagement avec une partie de la came oscillante (260), pour la faire tourner dans un sens, et avec une partie opposée de cette came (260) pour la faire tourner dans le sens opposé. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine selon la revendication, com prenant dix touches de commande, caraeté- r isée en ce qu'elle est agencée de manière à permettre de déplacer lesdites roues totalisa trices (120),à partir d'une position dans la quelle leurs pignons (130) respectifs coopè rent chacun avec l'une des parties de crémail lère de l'organe d'entraînement (250) corres pondant, pour effectuer une opération d'addi tion, jusque dans une position dans laquelle ces pignons (130) coopèrent. avec la partie de crémaillère opposée de cet. organe d'entraî nement (250), pour effectuer une opération de soustraction, ces organes (250) étant.
    des barres de commande élastiquement reliées à un chariot susceptible d'être actionné par un opérateur, de manière à tirer les barres de commande (250) pour les amener en position pour une course de commande. 2. Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que ledit chariot est agencé et disposé de manière que, vers la fin d'une course de réglage, il vient en engagement. avec lesdites barres de commande (250) pour les déplacer, et, en ce que ce chariot est susceptible d'être com mandé par un opérateur, de manière à venir en engagement avec les barres de commande (250) et à déplacer celles-ci lors d'un dépla cement initial de ce chariot.
    3. llaehine selon la revendication, caracté risée en ce que lesdites roues totalisatrices (120) font. partie de mécanismes totalisateurs comprenant lesdits pignons (130) et lesdits organes d'entraînement (250), ceux-ci étant des barres mobiles longitudinalement et avec lesquelles les pignons (130) coopèrent lorsque ces barres sont.
    déplacées dans tin sens déter miné, en ce qu'elle comprend un curseur (40) portant des butées de réglage et mobile trans versalement par rapport aux barres (250), les butées (35) de ce curseur étant disposées de manière à pouvoir empêcher les déplacements de certaines des barres (250) dans des posi tions déterminées, et des touches de sélection servant. à déplacer les butées (35) jusque dans des positions de blocage dans lesquelles elles sont efficaces pour empêcher les déplace ments des barres, et à. déplacer le curseur (40) pas à pas dans un sens, ledit curseur (-10) étant. susceptible clé revenir dans une position de départ. 4.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que lesdits organes d'entrainement ('250) sont des barres à. chacune desquelles correspond une barre de commande (2092) élastiquement reliée à un chariot et. munie de moyens de liaison élastiques qui tendent à la maintenir sur cette barre (250), de faon que cette dernière barre se déplace conjointement avec sa barre de commande (202) dans la. di rection de déplacement du chariot. et puisse se déplacer transversalement à cette direction, et en ce qu'elle comprend des moyens d'ar rêt agencés de manière à.
    permettre d'arrêter individuellement chaque barre d'entraînement 1<B>9-50)</B> avec sa barre de commande (202) dans toute position choisie, pendant son déplace ment dans un sert.-, avec le chariot et tout en laissant ce dernier poursuivre sa course jus qu'à tin point déterminé, ceci afin de limiter la course de la barre d'entraînement (250) clans le sens opposé tout. en laissant le chariot et la barre de commande (202) poursuivre leur course clans ce sens et jusqu'à un point déterminé, toutes les barres d'entraînement (250) étant susceptibles de se déplacer à vo lonté dans un sens et dans le sens opposé.
    clans la direction de déplacement du chariot et jusqu'à des points choisis, et en ce que les dites roues totalisatrices (1.20) sont agencées (le faqon à exercer une action de commande lorsqu'une partie visible de chacune de ces roues se déplace entre deux positions corres pondant, respectivement aux chiffres 0 et !h>, cette action rendant alors inefficaces les iuoyens d'arrêt de la barre d'entraînement de l'ordre immédiatement supérieur, de sorte que cette barre d'entraînement (250) avance < l'une distance supplémentaire suffisante pour faire tourner la roue totalisatrice (120) asso ciée d'un angle correspondant à une unité,
    afin de permettre auxdits moyens de liaison élastiques d'être efficaces entre ladite barre d'entraînement (250) et la barre de com mande (202) correspondante. Machine selon la revendication et la .sous-revendication 4, caractérisée en ce que ledit chariot est pourvu de moyens pour ra mener lesdits moyens d'arrêt en position de travail par rapport à la barre d'entraînement correspondante, lors de la course suivante de ce chariot. 6.
    Machine selon la revendication et la sous-rev endieation 3, caractérisée en ce qu'elle comprend une pièce mobile (290) susceptible de prendre sélectivement l'une quelconque de deux positions dans une seule desquelles elle agit sur une pièce d'actionnement (150) par (les moyens disposés sur ces deux pièces et agencés de manière que, lorsque ces pièces sont reliées l'une à l'autre par ces moyens, toutes lesdites butées de réglage (35) sont ra menées en position de repos sans que.
    cela provoque un actionnement desdits mécanismes totalisateurs, tandis que, pour l'autre posi tion sélective de ladite pièce mobile, les butées (35) restent en position de blocage pendant plusieurs courses complètes successives de la pièce d'actionnement (150) et pendant que chacun des mécanismes totalisateurs est actionné. 7.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 3 et 6, caractérisée en ce que ladite pièce mobile (290) est susceptible d'être sélectivement disposée dans trois posi tions pour l'une desquelles un déplacement de ladite pièce d'actionnement (150) ramène toutes les butées (35) en position de repos sans actionner lesdits mécanismes totalisa teurs, pour une autre desquelles toutes les butées (35) sont ramenées en position de- re pos par -un déplacement complet de la pièce d'actionnement (150), après chaque action- nement des mécanismes totalisateurs, et pour la troisième desquelles les butées (35)
    qui se trouvent. en position de blocage conservent chacune sa position de blocage pendant plu sieurs courses complètes de la pièce d'action- nement (150) et pendant que chacun des mé canismes totalisateurs est actionné.
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