Machine enregistreuse. La préente invention a pour objet une iciaeliine cnre;istretise. L'utilisation sans cesse accrue des machines enregistreuses a. créé la demande d'une ma chine (le prix modéré pourvue d'un méca nisme perfectionné d'enregistrement, qui soit. efficaec dans sa eoneeption et simple dans sa.
construction et qui soit. à- même d'emmagasi ner une provision niaximuni de la matière d'(nreriistrement dans un minimum d'espace. Il est, (le plus, désirable due ce mécanisme perfectionné et sa provision de matière soit contenu en un tout compact, dans un récep tacle ou nni@,asin susceptible d'être transféré <B>(le</B> sa position fermée ou de travail,
à une position plus accessible pour permettre l'iii- troduetion d'un approvisionnement de la nia- En outre, ce magasin doit. pouvoir être facilement retiré de la machine pour permettre le réglage et/ou la réparation (ledit. mécanisme, dans le cas où cela est nécessaire ou désirable.
La inaeliine enregistreuse faisant l'objet de l'invention est caractérisée par un maga- sin contenant (les dispositifs d'vupression et d'avancement (l'une matière d'enregistrement et qui est susceptible d'être déplacé d'une po sition fermée à. une position ouverte donnant accès auxdils dispositifs.
Le dessin annexé représente, à. titre d'exemple, eue forme d'exécution de la ma- chine enregistreuse faisant l'objet de l'inven tion.
Fig. 1 est une vue en plan d'une partie de la. machine dont le carter a été enlevé et montrant le clavier et le dispositif d'impres sion.
Fig. ? est. une élévation du côté droit, sec tionné partiellement. et montrant en partiett- lier le groupe mobile d'impression dans sa position avancée ou de repos, qui facilite le renouvellement de la provision de la matière d'enregistrement.
Fi,. 3 est une section transversale, vue du côté droit, prie exactement à. la droite de L'une (les touelies de montants et montrant la dite touelie et le mécanisme connexe servant à positionner les roues imprimantes corres pondantes.
Fi;-. 4 est cule vue de détail d'un méca nisme servant à actionner l'arbre principal <U>par</U> ]'intermédiaire d'un coupleur.
Fig. 5 est un prolongement de la fir. 3, montrant en détail la fanon dont est, relié le mécanisme (le la fi.,.. 3 avec la. roue inipri- mante correspondante, et représente aussi l'organe de commande des roues imprimantes du numéroteur.
Fi_. 6 est une vue (le détail d'une partie (Iii méeanisnie d'avancement du ruban.
I'lr;. 7 est. une élévation, côté droit, mon trant les parties importantes des mécanismes servant à l'avancement du ruban et à l'im pression du ticket.
Fig. 8 est une vue latérale d'une partie du mécanisme d'avancement du ruban repré senté en fig. 7.
Fig. 9 est une vue en détail du méca nisme d'avancement de la matière d'enregis trement.
Fig. 10 est une vue latérale, partie en coupe, de l'embrayage et des rouleaux d'avan cement du ticket.
Fig. 11 est une vue, à plus grande échelle, montrant en particulier l'embrayage du mé canisme d'avancement dit ticket.
Fig. 12 est une élévation, côté droit., d'un levier mobile manuellement, qui commande les diverses fonctions de la machine.
Fig. 13 est une vue de détail d'un méca nisme de remise à zéro des roues du numé roteur consécutif.
Fig. 11 est une vue de détail du méca nisme servant à faire avancer lesdites roues. Fi-. 15 est un détail de l'une des roues du niunéroteur consécutif.
Fig. 16 est un détail du mécanisme de commande d'un marteau d'impression, dans sa position normale.
Fig. 17 est -Lui détail du mécanisme de commande du marteau d'impression, dans sa position active.
Fi-. 1.8 est un détail d'un mécanisme anti- rebondissement de l'un des marteaux d'im pression.
Fig. 19 est im fac-similé d'un ticket émis par la machine.
Fig. 20 est aine vue de face du magasin contenant la provision de la matière d'enre gistrement et les dispositifs d'impression et d'avancement de cette matière.
Fig. 21 est une élévation latérale, avec arrachement partiel, montrant l'aspect sous lequel se présente la matière d'enregistre ment pliée en forme d'éventail et logée dans le magasin.
La machine enregistreuse représentée est du type à leviers-touches qu'on abaisse, ma chine qui est de construction relativement simple. Bâti. Le bâti de la machine se compose d'un flasque latéral gauche 30 (fig. 1) et d'un flasque droit 31 (fig. 1 et \.3) réunis et main tenus ensemble par des entretoises (non re présentées), d'un bâti arrière 32 et de divers arbres et tiges qui s'étendent. entre les flas ques 30 et 31. Le bâti ainsi constitué est fixé à la face supérieure d'une base à. tiroir 33 (fig. 2), et le mécanisme de la machine est logé dans un coffre 34 qui, à. son tour, est fixé au bâti de la machine.
<I>Disposition</I> générale- chi. clavier.
La machine est pourvue de plusieurs tou ches de montants 35 (fig. 1 à. 3) du type connu sous le nom de touches de cinq cen times . Il comprend des touches disposées par multiples de cinq, allant de cinq centimes à 90 centimes, et des touches de 1, 2 et 3 francs. Le clavier comprend aussi une touche 36 pour Dépenses , une touche 36 pour le change et deux touches 37 que l'on peut affecter à. des rayons ou à des vendeurs et qui contrôlent également la sélection de deux totalisateurs dont la machine . est pourvue. Les touches sont montées à pivot sur un arbre 38 (fig. 1 et 3), dont les tourillons sont. supportés par les flasques 30 et 31.
Les touches de montants comprennent, trois ordres de dénomination, chacun d'eux commandant des mécanismes différentiels correspondants, pour positionner des roues à caractères et des indicateurs, ainsi que pour enregistrer leur valeur représentative dans les totalisateurs correspondants. De même, les touches de transactions 36 et les touches de rayons 3 7 commandent. des mécanismes diffé rentiels qui, à, leur tour, positionnent des roues à caractères correspondantes et des indi cateurs.
Illécanisme d'accouplement <I>des</I> touches. La machine comprend également un méca nisme accoupleur de touches, qui permet. de relier ensemble les touches abaissées pendant une opération de la machine et de bloquer les touches non utilisées dans leur position relevée.
Ledit acconplenr (le totlehes aide aussi, par soit poids, à. rappeler les touches à leur position relevée (fiz. <B>3).</B> Dans cette po sition, une arête de l'exti.1émité des touches 35, 36, 37 repose sur une assise 39 dit bâti arrière < #\'?. Chacune des touches 35,
36 et 37 est pour vue < l'1111 évideraient 41 qui coopère avec l'extrémité interne d'un accoupleur 42, pivo tant<B>sur</B> un arbre 43 tltii est supporté pal, les flasques 30 et 31. (fig. 1, '? et 3).
Normale ment, le poids de l'aceonpleui- 4\3 qui repose sui- l'arête intérieure (le l'évidement 41 re tient élastiqueinent ces touches dans leur po sition relevée oii de repos (fig. 3).
Retende élastiqueinent dans un lo,enient interne (le l'aceoupletti, 42, se trouve une barre 54 pour chaque ordre décimal des tou ches de montant, et pour chaeune des touche de transaction et, (le rayons.
Cette barre eo- opère avec les bords supérieurs des évide- inents 41 pour eonslituer mi dispositif de touches seini-flexible qui évite à l'opérateur d'abaisser en. même temps toutes les touches de montants, intéressées dans une transaction donnée.
Si l'on abaisse légèrement l'une quel- conque des totic-lie.s 35, 36 ou 37, le bord infé rieur de l'évidement 11 vient agir sur l'ext.ré- niit6 interne de l'aeeoiipleiti- _42 qui oseille quelque pets dans le sens senestrorstini. Ptant donné que l'acuotipleur 42 pivote sui- un axe
différent (le celui des touches, le bord supé rieur<B>(le</B> l'évidement. 41 (le la touche dépasse oit liasse à gîté de la barre élastique corres pondante 54.
I-11 dispositif (le course à fond , décrit pin., loin, empéelie tout motive- ment. (le ree til de 1'aecoupleur 42, de sorte qu'il n'est pas nécessaire d'enfoncer davan- tage ladite touche pour le eas où l'on désire rait abaisser d'autres touches de dénomina tions différentes,
lesquelles touches sont de même susceptibles d'être abaissées l'une après l'autre dans une position intermédiaire et maintenues dans cette position par leur barre élastique 54.
Quand toutes les touches voulues ont été ainsi partiellement abaissées, il suffit d'enfoncer l'une d'elles complètement pour entrainer, par<B>J'a</B> etion de l'aceoupleur 42 et des évidements 41 des touches partiellement abais- sées, toutes les autres touches déjà amorcées et pour compléter également. Le mouvement initial de l'accoupleur 42 clans le sens senes- trorsuin.
Chacune des touches 35, 36 et 37 (fig. 1., \.'. et 3) présente une arête arquée 55, juste au-dessus de l'évidement 41, et concentrique au pivot central 43 de l'accoupleur q2. Il en résulte que le mouvement initial dans le sens senestrorsuiu dudit accoupleur produit, lors qu'on abaisse L'une quelconque des torches, un mouvement du bord interne de l'a.ccou- pleur qui le fait se présenter .face à l'arête arquée 55 et ainsi s'opposer à. l'abaissement de toute touche lion déjà abaissée, pendant. le fonctionnement de la machine.
Quand les touches voulues ont été entièrement abaissées et qu'on cesse d'appuyer dessus, le poids de l'accoupleur 42, aidé par des ressorts (non re présentés), peut alors compléter le mouve ment de retour pour ramener les touches abaissées dans leur position de repos.
Chaque ordre décimal des touches de montants est pourvu d'une série de butées bien eonnues (non représentées) qui coopè rent. avec les prolongements postérieurs 44 (fig. 3) desdites touches, pour s'opposer à L'abaissement (le plus d'une touche à la fois clans un ordre déeimal donné. De même, les touches de transactions 36 (fig. 1) et les toit- elles de rayon 37 possèdent des jeux corres pondants de butées qui empêchent d'abaisser plus d'une touche à la fois.
?Mécanisme actionnant l'arbre rotatif. Ainsi que cela se pratique habituellement avec les machines de ce type, celle-ci est pour vile d'un arbre rotatif, actionné par le mou vement oscillatoire de l'accoupleur. A son tour, cet. arbre rotatif actionne le mécanisme, compris un dispositif de course à fond, pour assurer le mouvement oscillatoire com plet de l'aecoupleur 42 et du mécanisme connexe.
Fixé sur l'extrémité droite de l'accoupleur 42 (fi-. 4) se trouve u n levier 45 sur lequel pivote un cuiseur 46 muni, à l'intérieur, sur des prolongements parallèles 47 et 48, de dents de crémaillère se faisant face. Ces dents sont en prise avec celles d'un pignon 49, monté lui-même sur un arbre rotatif 51 sup porté par les flasques latéraux 30 et 31. Un ressort 51, disposé entre un prolongement antérieur du levier 45 et un prolongement postérieur du curseur 46, actionne ce dernier dans le sens senestrorsum, quand. lesdites pièces sont dans leur position normale, comme indiqué en fi-. 4, pour maintenir normale ment les dents 47 en prise avec le pignon 49.
Quand on abaisse une touche, le mouvement initial dans le sens senestrorsum de l'accou- pleur 42 et du levier 45 déplace le curseur vers le haut et force les dents 47 en prise avec le pignon 49 à faire tourner celui-ci et l'arbre 50 dans le sens senestrorsum. Aussitôt que le curseur 46 commence son mouvement vers le haut, un bec recourbé 52 du curseur passe et glisse sur la surface extérieure d'une barre-guide 53 fixée en flasque droit 31, pour retenir les dents 47 en prise avec le pignon 49 pendant le mouvement initial du curseur 46.
Quand le bec 52 a passé sur la barre 53, et juste avant la fin du mouvement senestror- sum de l'accoupleur 42, du levier 45 et du curseur 46, le pivot du curseur se déplace au dessus de la ligne de centre, ou ligne de ten sion du ressort 51, de sorte que le curseur est immédiatement ramené dans la direction opposée, soit dans le sens dextrorsum. Près du point terminus du mouvement senestror- sum de l'accoupleur 42, du levier 45 et du curseur 46, le bec 52 (fig. 4) passe au-delà de la barre 53,
après quoi le ressort 51 fait bas culer le curseur 46 dans le sens dextrorsum, pour dégager les dents 47 du pignon 49 et engager les dents 48 avec ledit pignon. Juste à la fin du mouvement initial senes- trorsiun de l'accoupleur 42, du levier 45 et du curseur 46, et presque simultanément avec le déplacement de ce dernier, une arête d'ali gnement angulaire 40 (fig. 4), prévue sur -Lui prolongement dudit levier 45, vient en prise avec une encoche d'alignement angulaire correspondante, pratiquée dans un disque (non représenté) qui est fixé sur l'arbre ro tatif 50.
Ce disque sert à retenir cet arbre et les pièces connexes dans une position station naire, pendant que le curseur 46 se déplace, comme expliqué plus haut, et également à constituer un arrêt positif chi mouvement senestrorsum de l'accoupleur 4'3 et des pièces qui en dépendent, y compris les touches 35, 36 et<B>37.</B>
Le mouvement dans le sens dextrorsuin (le l'accoupleur 42, chi levier 45 et. du cur seur 46, fait due les dents 48 coopérant avec le pignon 49 continuent à faire tourner ce pignon et l'arbre 50, dans le sens senestror- sum, afin que lesdites pièces complètent leur révolution. 'u début du mouvement de re tour vers le bas du cuiseur 46 (fig. 4),
le bec 52 passe sous l'arête interne de la barre 53 et, en coopération avec ladite barre, retient les dents 48 en prise avec le pignon 49, pen dant ce mouvement de retour du curseur. Quand ce dernier est rappelé dans le sens dextrorsum, son centre de pivotement se dé place sous la ligne de centre ou ligne de ten.- 5ion du ressort 51, de sorte que celui-ci ra mène à nouveau le curseur dans le sens senes- trorsuin. Lorsque le curseur 46 approche de la fin de son mouvement de retour, le bec 52 se déplace sous la barre 53 (fig. 4),
après quoi le ressort 51 fait basculer le curseur dans le sens senestrorsuin pour dégager les dents 48 du pignon 49 et remettre en prise les dents 47 avec ledit, pignon. Un dispositif de course à fond, comprenant une crémaillère (non représentée) fixée sur l'arbre 50 (fig. 4) et un cliquet., empêche le mouvement rétro grade dudit arbre et des pièces connexes, dans le but d'assurer que lesdites pièces, y compris l'aecoupleur 42, exécutent un cycle complet de fonctionnement à chaque opéra tion de la machine.
Le dispositif de course à fond, en coopération avec les barrettes élas tiques 54 (fig. 3), maintient les touches 35, 36 et 37 partiellement abaissées, ainsi qu'il a été expliqué au sujet de l'action semi-flexible desdites touches, de façon que d'autres tou ches puissent être abaissées avant la fin de l'opération de la machine. alécanismes <I>différentiels des touches</I> <I>à montants.</I>
Etant donné que toutes les touches de montants et leurs mécanismes différentiels associés, fonctionnent de la même manière, de même que les touches de rayon et de ven deur et leurs mécanismes différentiels, il suf fit de décrire l'un de ces mécanismes, par exemple celui (le la touche 35 correspondant à 1 Fr. (fig. 3).
Une partie arrière élargie de la touche 35 de 1 Fr. (fig. 1 et 3) présente un chemin de came 56 qui coopère avec une tige 57 suppor tée par les prolongements vers le bas d'un segment 58 et d'un bras 59, montés fou sur une tige 60 supportée elle-même par les Flasques 30 et 31. Le segment 58 est muni de dents susceptibles de venir en prise avec un pignon 61 filé sur un arbre 62 dont les extrémités opposées sont portées par les pro longements parallèles du bâti arrière 32. lagalement monté sur l'arbre 62, se trouve un pignon 63, semblable au pignon 61, mais qui engrène avec les dents d'un secteur de posi tion 6.1 qui pivote sur la tige 60.
Il porte sur son prolongement des dents qui engrènent avec une roue dentée 65, montée sur un arbre 66 dont les extrémités opposées tournent dans des flasques 67, 68 et 69 de l'imprime rie. Le flasque d Imprimerie 67 est. tenu en position par une cornière 96, fixée à. la face interne du flasque droit 31. Les flasques 68 et 69 (fig. 1 et 2) sont solidaires l'un de l'autre et du flasque droit 31 au moyen de plusieurs goujons 70.
La roue dentée 65 (fig. 1, 3 et 5) engrène avec un pignon 71 goupillé sur un arbre 72 qui tourne dans les plaques 67, 68 et 69. Cet arbre 72 porte également tin pignon 73 qui engrène avec une roue dentée 7-l, montée folle sur l'arbre 66. La roue 71 1 et 5) engrène avec un pignon solidaire d'une roue à caractères 75 pour la valeur l Fr, . Cette roue 75 est montée folle sur un arbre 76 qui tourne clans les plaques 68 et 69.
Lorsqu'on abaisse la touche 35 (1 Fr.) (Fig. 1 et 3), la fente 56, coopérant avec la tigge 57, fait basculer le segment 58 dans le sens dextrorsum d'un angle proportionnel à la valeur de ladite touche 35 pour 1 Fr.
Le mouvement dans le sens dextrorsum du seg ment 58 fait pivoter, grâce au pignon 61, à l'arbre 62 et au pignon 63, le secteur 64 d'une valeur équivalente dans le sens dextrorsum. Ce mouvement du secteur 64- positionne, par l'intermédiaire de l'engrenage 65, du pignon 71, de l'arbre 72, du pignon 73 et de l'en grenage 71 (fig.5), la roue à caractères 75 de 1 Fr.
Un dispositif d'alignement 77 (fig. 5) est prévu pour aligner la roue dentée 74 et la roue à caractères 75 dans leur position de repos. Cet aligneur 77 est monté libre sur une tige 270, supportée par les plaques 68 et 69 (fig. 1), et il est relié élastiquement à un bâti de commande 271 qui, lui-même, peut tourner sur la tige 270. Le bâti de commande 271 pré sente un prolongement dirigé vers ].'avant et qui porte un goujon 272, se déplaçant dans un chemin de came 273 pratiqué dans un disque 271, fixé sur l'arbre 66.
En abaissant la touche 35 de la valeur d'un Fr. ou toute autre touche d'une autre valeur, on fait bas culer, grâce à l'accoupleur 12 (fig. 3), l'arbre 66 clans le sens dextrorsum (fig. 5). Le mou vement de retour de ladite touche fait tour ner l'arbre 66 dans le sens contraire, ainsi qu'on le verra. plus loin.
Vers la fin du mou vement, dans le sens dextrorsum de l'arbre 66 et après que la roue dentée 74 et la roue à caractères de 1 Fr. ont été amenées en position, le chemin de came 273, coopérant avec le goujon ?72, fait pivoter le bâti 271 et l'aligneur 77 dans le sens dextrorsuni, pour engager élastiquement l'aligneur avec une série d'encoches d'alignement 78, disposées sur la périphérie de l'engrenage 7.1. Les pièces se trouvent. ainsi bien alignées en posi tion. de repos.
Après que l.'aligneur 77 (fi-. 5) s'est engagé dans une encoche 78, comme il vient d'être expliqué, et vers la fin du mouvement. d'abaissement de la touche 35 (fig. 3), un marteau d'impression 79 (fig. 2 et 7) fonctionne pour enregistrer la valeur de ladite touche sur une matière fournissant des tickets, et ce, suivant un processus qui sera expliqué plus loin. Le mouvement de re tour, dans le sens dextrorsum, de l'arbre 66 et de la came 271 (fig. 5), après l'impression, replace le bâti 271 et l'aligneur 77 dans la position<I>débr</I>ayée.
Les autres touches de montant 35, grâce à des mécanismes similaires à celui de la touche de 1 Fr., positionnent les roues à caractères correspondantes de la même faon. De même, les touches de transaction 36 ( Dépenses et Change ) (fig. 1 et 3) et les touches 37 du rayon ou du totalisateur actionnent clés mé canismes différentiels analogues, pour posi tionner les roues à caractères correspondan tes, semblables aux roues à caractères 75. Un sine -ou code se trouve ainsi imprimé sur la matière fournissant les tickets.
Nrmiéroteur. En plus des roues à caractères 75 corres pondant aux montants, au rayon et aux transactions, la présente machine peut pré senter trois rangs de roues imprimantes 80 pour le numéroteur consécutif (fig. 14 et 15) qui sert à enregistrer le nombre de tickets émis dans une période déterminée. Les roues imprimantes du numéroteur consécutif peu vent être mises à zéro par toute personne autorisée, si on le désire.
Les trois roues imprimantes 80 du numé roteur consécutif sont montées folles sur l'ar bre 76 (fig. 15 et 14) et chaque roue comprend un rochet 81 dont les dents coopèrent avec le bec d'un cliquet d'avancement 82, monté sur un goujon 83, lui-même porté par les bras laté raux d'un étrier 84 pivotant sur l'arbre 76 et englobant trois roues à caractères 80 du nu méroteur consécutif. Un ressort de tension 85, convenablement disposé sur le cliquet 82, tend à maintenir ce dernier normalement. en prise avec le rochet correspondant 81. Cha que roue à caractères 80 du numéroteur con sécutif est munie d'un cliquet 86 qzii la main tient en place.
Ce cliquet est monté libre sur un goujon 87 de la plaque 68 (fig. 1 et 14). Les cliquets 86 sont actionnés dans le sens dextrorsum par des ressorts correspondants 88 qui les tiennent en prise avec les encoches d'arrêt taillées entre les dents des rochets 81. Les cliquets d'arrêt ont pour but d'assurer 1e mouvement dans le sens dextrorsum des roues à caractères 80 du numéroteur consécutif et ils servent en même temps à empêcher le mouvement rétrograde de ces mêmes roues. Un prolongement du bras droit de l'étrier 81 (fig. 14) porte un goujon 89, qui coopère avec une came 90 pratiquée dans un bras 91 fixé sur l'arbre 66.
Un bras coudé 92 monté aussi sur l'arbre 66 est relié par une biel lette 93 à un levier 94 pivotant sur un gou jon 95 (fig. 1, 5 et 7) fixé au flasque droit 31.
Ainsi qu'il sera expliqué plus loin, le mou vement de pivotement, d'abord dans le sens dextrorsum, puis dans le sens contraire, du levier 94, produit, par l'intermédiaire de la biellette 93, le basculement du levier coudé 92, de l'arbre 66 et du bras 91, dans le sens dextrorsum, vers leur position normale. Le pivotement du bras 91 (fig. 14), par l'inter médiaire de la came 90, fait basculer d'avant en arrière l'étrier 84 et le cliquet d'avance ment 82 (fig. 15). Il entraîne ainsi, en co opération avec le rochet 81, la dent comman dant la roue de l'ordre des unités, qui avance ainsi d'un pas dans le sens dextrorsum et ce, à chaque opération de la machine.
Quand la roue 80 clé l'ordre des unités passe de neuf à.1 zéro, une encoche plus profonde du rochet 81 de cet ordre permet à un bec du cliquet de l'ordre immédiatement supérieur d'actionner le rochet de cet ordre, de sorte que la roue correspondante avance d'un pas, et d'effec tuer un report de dizaine. Une encoche pro fonde similaire pratiquée dans le rochet 81 du deuxième ordre décimal produit, de la même manière, le report du deuxième au troi sième ordre décimal.
Un levier de commande 98 (fig. 1, 2 et 13) est prévu pour remettre à zéro les roues à ca ractères 80 du numéroteur consécutif. Ce le vier pivote, par un prolongement, sur l'extré mité droite de l'arbre 99 de la touche 35 des 5 centimes. L'arbre est semblable à l'arbre 72 correspondant à 1 Fr. Un doigt 100, façonné sur un prolongement avant du levier 98, passe à travers un orifice (le dégagement du coffre 3-1 (fig. 2) et permet de basculer à la main le levier de remise à zéro 98, d'abord dans le sens dextroi#suill et. ensuite dans sa position normale.
Le levier 98 est, sur sa périphérie, pourvu (le dents qui engrènent avec les dents d'un pignon 101, monté lui-même à l'extrémité droite de l'arbre 76.l'arbre 76 (fi\,@. <B>15)</B> est l'aronilé titi épaulement longitudinal qui correspond avec les dents des cliquets de re mise à zéro 102.
Les cliquets sont logés dans une encoche pratiquée (laits chacune (les roues à caractères 80 du numéroteur consécutif. Chacun (les cliquets 102 est actionné dans le sens senesti#oi#suiii par titi ressort qui niain- tient sa (lent en prise élastique avec. l'arbre (le remise à zéro 76.
Normalement, le levier 98 de remise à zéro chi numéroteur consécutif (fin. 13) est bloqué titi moyen d'un épaulement 103 dont il est pourvu et qui coopère avec un goujon 104 prévu sur un levier coudé 105 fixé sur tln arbre 106. C'et arbre est supporté par les flasques 31, 68 et 69 (fi-. 1). Fixé aussi sur l'arbre 106 se trouve tin bras 107, relié par une biellette 108 à un levier 109, susceptible lui-même de pivoter sur un goujon 110 du flasque droit 31.
Le levier 109 porte un autre goujon 111 (lui coopère avec un chemin de came 112 pratiqué dans un disque 113 fixé sur un arbre 11-1 (lui s'étend sur presque la largeur entière de la machine et. qui tourne clans les flasques gauche et droit 30 et 31.
Uii pignon 115 (1#1@@. 1?), monté sur l'extrémité droite de l'arbre 11-1, engrène avec des dents taillées sur l'arête interne arquée du prololi- genient <B>1.16</B> d'un levier 117, ou levier de con- tr-ôle, qui pivote sur iii. goujon 1.1.8 fixé ait flasque gauche 30.
En se reportant. à la fig. l'_', on constate que le levier (le contrôle 117 petit oceitper cinq positions représelitées par des traits mixtes. C'es positions sont:
la position Tiroir ouvert>, clans laquelle il est montré ici et dans laquelle ail peut faire fonctionnel- la. tiiaebine, (lue le tiroir-caisse soit ferini' oit ouvert.; la position. Tiroir fermé , dans; laquelle ail ne peut faire folle- tionner la machine que lorsque le tiroir-caisse est fermé; la position Blocage , dans la quelle la machine est verrouillée pour toute opération;
la position Lecture (ou sous- total), dans laquelle on peut lire l'un ou l'au tre des totalisateurs; la position Remise â. zéro , dans laquelle oit peut remettre à zéro les totalisateurs.
Le levier de contrôle 1.17 est pourvu d'un verrou et d'une clé correspondante<B>119,</B> au moyen de laquelle ledit. levier peut être blo qué dans l'une des trois positions: Tiroir ouvert , Tiroir fermé et Blocage . Il est., par conséquent, évident que seul le posses seur de la. clé 119 peut déplacer le levier de contrôle 117 et lui faire prendre l'une de ces diverses positions, y compris celles de Lec ture et de Remise à zéro .
En déplaçant le levier de contrôle 117, soit clans la position Lecture , soit dans la position Remise à zéro , on fait tourner l'arbre 114 et le disque 113, ce qui, grâce à la came 112 (fig. 12 et 13) et Lin goujon 111, fait basculer le levier 109 dans le sens dex- trorsum pour le dégager (le la position repré- selitée et le faire passer à la position de fig. ?.
Ce mouvement du levier 109 est transmis par la biellette 108, le bras 107 et l'arbre 66, au bras 105, toujours dans le sens dextror:suin, pour éloigner le goujon. 101 du trajet de l'épaulement 103, de faé;on à libérer le levier de remise à zéro 98 du numéroteur consécutif, afin de permettre sa mailipulation. Pour re mettre à zéro les roues du numéroteur consé- ,cutif, il faut soulever dans le sens dextrorsuin le levier 98 et le ramener dans le sens inverse.
Le premier mouvement du levier 98 fait tourner le pignon. 101 et l'arbre 76 dans le sens senestrorsuiii, pour forcer l'épaulement de cet arbre 76 à passer à côté des dents des cliquets 102 de remise à zéro des roues à ca ractères 80 du numéroteur consécutif qui sont sorties de la. position zéro. Le mouvement de retour dit levier 98 a. pour effet (le réengager l'épaulement de l'arbre 76 avec les dents des cliquets de remise à zéro 10\? des roues 80 sorties de la position zéro, et de ramener ces roues dans le sens dextrorsum en position zéro.
Quand le levier 98 de mise à zéro du numéroteur (fig. 13) est sorti de sa position de repos, une arête incurvée 120 s'oppose, en coopération avec le goujon 104, au mouve ment de retour du bras 105, de l'arbre 106, du bras 107 et du levier 109. Ceux-ci, par l'intermédiaire du goujon 111 et du chemin 112, s'opposent au mouvement dextrorsum du disque 113, de l'arbre 114 et du pignon 115, empêchant ainsi d'éloigner le levier de con trôle 117 des positions Remise à zéro et Lecture , à moins que ledit levier 98 de re mise à zéro du numéroteur consécutif soit complètement retourné à sa position de repos, comme indiqué en fig. 13.
En plus des roues à caractères 75 (fig. 2, 5 et 7) et des roues du numéroteur consécutif 80 (fig. 14 et 15) montées sur l'arbre 76, la machine peut com porter un cliché 121 (fig. 2 et 7) et un mar teau d'impression correspondant 122 pour imprimer toutes inscriptions explicatives ou publicitaires sur les tickets. 11'lécanisme <I>du</I> ruban encreur.
Un ruban encreur 123 (fig. 7) s'enroule et se déroule entre des bobines à ruban ré versibles 124 et 125. Il est guidé entre les marteaux d'imprimerie 79 et 122, les roues à caractères 75 et 80 correspondantes et le cli ché 121 par des guides 126 et 127 fixés dans la plaque 68 (fig. 1). Un écran protecteur 128 (fig. 7), supporté par les guides 126 et 127, sépare le ruban encreur 123 de la bande à tickets 129 pour éviter les taches. Des ouvertures convenables d'espacement sont prévues dans l'écran 128 pour laisser passer les platines des marteaux d'impression 79 et 1@2.
La bobine de droite 124 est pourvue d'un rochet 130 (fig. 6 et 7), dont les dents co opèrent avec une patte 131 prévue sur un cliquet d'avancement 132 côté droit, qui lui- même pivote sur un bras de commande 13-1 monté fou sur l'arbre 66. La bobine de gau che 125 présente un rochet similaire 135, dont; les dents coopèrent avec ime patte 136 d'un cliquet 137, côté gauche, lequel pivote sur le bras _134.
Le bras 134 (fig. 6, 7 et 8) porte un goujon 139 susceptible d'entrer en prise avec la partie amincie d'une fente 140 pra tiquée dans un bras 141, la. partie plus large de ladite fente 140 s'engageant librement avec l'arbre 66. Un ressort 142, tendu entre le bras 141 et un bras d'actionnement 143 monté sur l'arbre 66, tire le bras 1.11 vers le haut., afin qu'à l'état normal il maintienne un bec 144 sur le trajet d'un goujon 145 porté par ledit bras 143. Celui-ci présente un prolongement inférieur pourvu d'un chemin de came 146, en prise avec un goujon 147 porté par la biellette 93 qui, comme il a été expliqué pré cédemment, constitue une liaison active entre le levier 94, le bras 92 et l'arbre 66.
Le mouvement basculant du levier 94, d'abord dans le sens senestrorsum, puis de re tour à la position normale, pendant le fonc tionnement de la machine (mouvement pro duit de la manière décrite phis loin) déplace la, biellette 93, d'abord vers le bas, puis vers le liant. Il en résulte, par l'intermédiaire du goujon 147 et de la came 146, que le bras 143 bascule d'abord clans le sens senestrorsiim, puis en retour à la position normale. Les pièces étant dans la position respective repré sentée en fig. 7, le mouvement initial dans le sens senestrorsum du bras 143 fait de sorte.
que le goujon 145, en coopération avec le bec 144 du bras 141, fait basculer le bras 141 et le bras 134 dans le sens senestrorsum. Ce dernier fait tourner, grâce au prolongement 136 (lu cliquet 137 et au rochet 135, la bo bine 125 dans le sens senestrorsum, pour faire avancer le ruban encreur 123 d'une distance donnée à chaque opération clé la machine.
Le mouvement senestrorsum du bras 134 a pour effet qu'iuz goujon 133 dont. il est pourvu vienne agir sur le bord inférieur du cliqueé 132, pour le déplacer et soulever son prolon gement 131 au-dessus (les dents du rochet 130, afin de permettre le mouvement rétrograde dudit rochet et de la bobine de droite 124.
Les extrémités opposées du ruban encreur 123 (fig. 7) sont fixées sur leurs bobines respectives 124 et 125; il s'ensuit que lorsque le ruban a été entièrement dévidé de la bo bine droite 124, une résistance suffisante se
EMI0009.0001
lait <SEP> sentir <SEP> stir <SEP> la <SEP> bobine <SEP> gauche <SEP> 1'25, <SEP> sitr <SEP> le
<tb> eliquet <SEP> l <SEP> ;
7 <SEP> et <SEP> sur <SEP> l'arbre <SEP> 1361, <SEP> pour <SEP> amener
<tb> le <SEP> gonjori <SEP> 115 <SEP> du <SEP> bras <SEP> 113 <SEP> à <SEP> passer <SEP> à <SEP> côté <SEP> du
<tb> liec <SEP> 1-1-1, <SEP> par <SEP> suite <SEP> dit <SEP> mouvement <SEP> initial <SEP> du
<tb> bras <SEP> 1-13 <SEP> et. <SEP> pour <SEP> lui <SEP> faire <SEP> ocetiper <SEP> la <SEP> position
<tb> indiquée <SEP> eri <SEP> fig. <SEP> 6. <SEP> 1)e <SEP> ce <SEP> tait, <SEP> le <SEP> mouvement
<tb> cl'avancenient <SEP> dit <SEP> inéeanisnie <SEP> dit <SEP> ruban <SEP> est.
<tb> inversé <SEP> et <SEP> le <SEP> niouve <SEP> ient. <SEP> de <SEP> retour <SEP> dans <SEP> le
<tb> seii, <SEP> dextrorstuü <SEP> du <SEP> ])ras <SEP> 1-l\.-3 <SEP> et <SEP> du <SEP> ;
goujon
<tb> 11,, <SEP> en <SEP> liaison <SEP> avec <SEP> le <SEP> bec <SEP> 1-11, <SEP> fait <SEP> pivoter
<tb> les <SEP> bras <SEP> 111 <SEP> et <SEP> 113 <SEP> clans <SEP> le <SEP> sens <SEP> clextrorsupi
<tb> (Finie <SEP> distance <SEP> suffisante <SEP> pour <SEP> amener <SEP> le <SEP> eli quet <SEP> <B>13'2</B> <SEP> esi <SEP> prise <SEP> avec <SEP> le <SEP> roeliel <SEP> 130 <SEP> et, <SEP> taire
<tb> totinier <SEP> I;t <SEP> bobine <SEP> droite <SEP> 121 <SEP> dans <SEP> le <SEP> sens
<tb> dextrorsun). <SEP> Cela <SEP> a, <SEP> pour <SEP> effet <SEP> d'enrouler <SEP> le
<tb> ruban <SEP> encreur <SEP> 1.'33 <SEP> sur <SEP> ladite <SEP> bobine <SEP> 12-1, <SEP> exac tement <SEP> (le <SEP> la <SEP> manière <SEP> expliquée <SEP> au <SEP> sujet <SEP> de
<tb> la <SEP> bobine <SEP> ;.;
anche <SEP> 121. <SEP> Dans <SEP> ce <SEP> dernier <SEP> cas, <SEP> le
<tb> mouvement <SEP> dans <SEP> le <SEP> sens <SEP> dextrorsum <SEP> du <SEP> bras
<tb> 13-1 <SEP> (fine. <SEP> 7) <SEP> fait <SEP> due <SEP> le <SEP> goujon <SEP> 138 <SEP> qui <SEP> porte
<tb> ce <SEP> liras <SEP> entraîne <SEP> le <SEP> cliquet <SEP> 137 <SEP> pour <SEP> soulever
<tb> le <SEP> prolongetiietit <SEP> 136 <SEP> dudit <SEP> cliquet <SEP> au-dessus
<tb> des <SEP> (lents <SEP> dut <SEP> rochet <SEP> 1:
35, <SEP> (le <SEP> f@t(On <SEP> qu'il <SEP> ne
<tb> s'oppose <SEP> pas <SEP> ait <SEP> mouvement. <SEP> rétrograde <SEP> dudit
<tb> rochet <SEP> et <SEP> de <SEP> la <SEP> bobine <SEP> 125. <SEP> Quand <SEP> la <SEP> totalité
<tb> clic <SEP> rtibati <SEP> a <SEP> été <SEP> déroulée <SEP> de <SEP> la <SEP> bobine <SEP> gauche
<tb> 125. <SEP> le <SEP> mouvement <SEP> d'avancement. <SEP> du <SEP> méca iiisnie <SEP> dit <SEP> ruban <SEP> est <SEP> (le <SEP> nouveau <SEP> inversé <SEP> exac tement <SEP> de <SEP> la. <SEP> niênie <SEP> manière.
Jlt"ecr@iisii@c dc iiittffitsiit fottrri,i.ss(t-ict <I>les</I> tickets. J'a réserve de la ïitatière 129 fournissant les tickets (fig. 1, 2 et 21) est. entassée en accordéon, de faon à présenter un paquet rectangulaire compact, qui petit, si on le dé sire, être logé dans un emballage en papier 150, miicii d'une ouverture sur le dessus pour la sortie dit papier, comme cela se fait com munément pour la. présentation du papier cellulose.
Le paquet plié en accordéon 150 petit. être facilement inséré dans un magasin ou tiroir 151, (le préférence en tôle, et com posé d'un fond 152 et de côtés latéraux 153. Une porte 1.5-1 est disposée à l'avant pour ].'insertion du paquet., et une porte supérieure est pratiquée pour faciliter le passage de la bande sur les marteaux d'impression 79 et 122 et entre les rouleaux d'avancement des tickets. Les côtés, le fond et l'extrémité arrière du niag-asin-tii-oir- 151 peuvent être fixés de Tacon. rigide par soudure, rivetage oit tout. autre mode convenable.
Le tiroir 151 peut glisser vers l'avant et vers l'arrière à travers une ouverture 156 pratiquée dans le coffre 31, et, sur une paire de rails parallèles 157, sur lesquels s'engage le fond 15.'3 du ma gasin. Ces rails sont filés au bâti de la ma chine et des équerres 158 (fig. '?), formées par les cloisons latérales 153, s'ajustent avec précision dans les rails<B>157</B> et assurent. le guidage du tiroir 15l. dans son mouvement coulissant.
Chaque cloison latérale 153 pos sède un prolongement inférieur 159 muni d'un goujon 160, coopérant avec des rebords 161 prévus sur les rails 157. Cette disposition est. destinée à, compenser le poids en porte à faux du tiroir 151, lorsque celui-ci est tiré cri avant, ainsi qu'il est représenté en fig. 2. Des butées 162 déterminent ].'ampleur du dépla cement vers l'avant dit tiroir 151. En plus de ces butées<B>162,</B> des crochets fixés aux rails 1.57 coopèrent avec des goujons 175 fixés aux cloisons latérales 153, pour aider l'action de butées du tiroir 1:51.
Les rebords 161 des rails s'ouvrent en 163 pour faciliter le passage des ,;ottjons 160, lorsqu'on a à. retirer oit intro duire le tiroir 1..51. En alignant les goujons l.60 avec les ouvertures 163, on supprime la liaison des goujons 175 avec les crochets cor- respondants, et. le profil incliné de la partie supérieure du tiroir 151 adjacents à la fer meture 15:5 permet de soulever le tiroir vers le haut et vers l'avant par l'ouverture 156, quand on désire le retirer de la machine.
La porte avant 151 (fig. \?) est montée à char nières an moven de supports 161 dont un seul est représenté fixé à la porte. Ils sont pourvus de pivots 165 en prise avec les cloi sons latérales gauche et droite 1.53 du tiroir 1.51. La position fermée de la porte 151 est déterminée par des arêtes des supports 161 coopérant avec un ergot d'arrêt 166 fixé aux cloisons latérales 153. La position ouverte (le la porte 15-1 est déterminée par des doigts 167 des supports 161, qui coopèrent avec le gou jon 166.
La porte 154 est verrouillée en po- sition fermée, comme indiqué en fig. 2, par des partiés crochues des supports 164 qui co opèrent avec des goujons 168 montés sur des loquets 169, pivotant en 170 sur les cloisons latérales 153. Les loquets 169 tendent à tour ner dans le sens senestrorsum sous l'action d'im ressort 171, .ce qui maintient normale ment un doigt 172 en contact avec le goujon 166 et détermine les positions actives des loquets 169.
Quand le magasin-tiroir 151 est ouvert, comme indiqué en fig. 2, les loquets 169 peu vent être manipulés dans le sens dextrorsum contre l'action -des ressorts 171, pour écarter . les goujons 168 hors du trajet des crochets que portent les supports 164. On peut alors ouvrir la porte pour renouveler la provision de bande à tickets en retirant le paquet vide 150 et en insérant un nouveau paquet. Zinc fente 184 (fig. 20) est prévue dans la porte 154, qui permet, grâce à une autre fente sem blable à l'extrémité du paquet 150, de s'assu rer visuellement où en est la provision de tickets.
La porte supérieure 155 (fig. 2) est mon tée à .charnières sur un pivot 173 et, lorsque le magasin-tiroir 151 est ouvert, comme repré senté en fig. 2, cette porte 155 peut être ouverte pour permettre le passage des doigts pour accéder au tiroir et en extraire la bande de papier 129 pour la passer sur une plaque- guide 174 qui est fixée entre les cloisons laté rales 153 et, de là, atteindre les marteaux d'imprimerie 79 et 122 et les rouleaux d'avan cement 176.
Finalement, la bande est passée entre les surfaces latérales d'un guidage 177 (fig. 2 et 20) constitué par ime partie re courbée intérieurement de la porte 154.
Après que la bande 129 a été ainsi mise en place, la porte supérieure 155 est refer mée, comme indiqué sur la fig. 2, de manière à former lui guide protecteur pour la bande. Le magasin-tiroir 151 peut alors être déplacé de la position ouverte à la position fermée, dans laquelle le guidage 177 vient en coopéra tion avec lune partie repliée 178 du coffre 34, ce qui constitue une sortie pour la bande à tickets 129.
En fermant le tiroir 151, on amène les rouleaux d'avancement 176 directe ment au-dessous de cette sortie et ces rou leaux coopèrent élastiquement avec des galets de pression 179 (fig. 2 et 9) fixés sur un arbre 180 (fig. 2). Celui-ci est porté par un bâti mobile 181 qui est poussé vers le bas par des ressorts compressibles 182, de faon qu'en temps normal la bande 129 soit maintenue en prise élastique avec les rouleaux d'avance ment 176 et soit déplacée par suite de l'action de ces rouleaux, ainsi que cela sera expliqué plus loin.
On remarquera, d'après les fig. 1, 7 et 9, que la cloison gauche 153 du tiroir 151 porte un pivot 185 portant un marteau d'impres sion 186 auquel un bras d'avancement d'iui cliquet 187 est adjacent. Ce bras 187 est pourvu d'une fente 188 en prise avec le pivot 185 et peut pivoter et coulisser par rapport à ce pivot. Le bras 187 est pourvu d'une fente 189, parallèle à la fente 188 et qui est en prise avec un goujon 190 (fig. 9) du marteau 186, pour former un ensemble de commande entre lesdits bras.
Le marteau 186 est muni d'un doigt 191 qui coopère avec un goujon de commande 192 porté sur le levier 45 (fig. 4) qiü, ainsi qu'il a été expliqué précé demment, est relié à l'accoupleur 42. Le gou jon 192 se prolonge à travers une fente 183 (fig. 2 et 7) pratiquée dans le flasque droit 31. Le bras 187 présente 1m épaulement 193 agissant sur le goujon 192, lequel établit une liaison mécanique entre les bras 186 et 187 et le levier 45.
Le goujon 95 du levier 94 est en aligne- ment axial avec l'arbre 43 de l'accoupleur. Lorsque le tiroir 151 est fermé, le goujon 185 se trouve en alignement axial avec le goujon 95 et l'arbre 43.
Le mouvement initial dans le sens senestrorsum de l'accoupleur 42 et du levier 45 (fig. 4, 7 et 9) a pour effet de dé placer, grâce au goujon 192 et à l'épaulement 193, les bras 187 et 186 dans le sens senes- trorsiim également, alors que le mouvement de retour du levier 45 ramène, grâce au doigt 191, le goujon 192 et les bras 186 et 187 dans le sens dextrorsum à leur position de repos (représentée), ce qui fait fonctionner le mé canisme du ruban encreur, le marteau d'im pression,
le mécanisme d'avancement du nu méroteur consécutif et le mécanisme d'avance ment des tickets, ainsi qu'on ].'explique dans ce qui suit.
Le bras 187 porte un goujon 194 (fig. 7 et 9) articulé à une biellette 195 dont l'autre extrémité pivote sur un goujon 196 fixé à. la branche inférieure d'un segment 197 (voir aussi fig. 1), pivotant en 198 sur la cloison 153 du magasin-tiroir 151. La biellette 195 présente une fente incurvée 199, dans laquelle s'engage un galet 200 porté par un levier 201 de débrayage monté fou sur un goujon 202 fixé à la cloison gauche 153.
Un ressort 203 (fig. 7) sollicite le levier 201 dans le sens dextrorsum, ce qui maintient. élastiquement le bras 187 dans sa position abaissée (repré sentée), de faon que l'épaulement 193 se place normalement sur le trajet du gou jon 192.
Si l'on écarte le levier de débrayage 201 (fig. 7 et 9) de la position active représentée ici, dans le sens senestrorsum, contre l'action du ressort. 203, vers la position inactive, la co opération du galet 200 et de la fente 199 sou lève la biellette 195 et le bras 187, ce qui écarte l'épaulement 193 du trajet du goujon 192. Le bras 187 et le bras 186 du levier 45 sont libérés et le fonctionnement du méca nisme d'impression et d'avancement des tickets est arrêté.
Si l'on désire, on peut. appliquer tout mé canisme approprié pour maintenir le levier 201 en position de débrayage, par exemple si l'on veut rendre inefficace le mécanisme à tickets pendant certaines opérations àde la. machine.
Quand le levier de débrayage 201 (fi--. 1 et 7) se trouve dans la, position active, le\ga- let 200 se trouve sur le trajet d'une petite cornière 211 fixée à la face extérieure du flasque droit 31, ce qui empêche d'ouvrir le magasin-tiroir 151 à ce moment. Lorsqu'on déplace le levier 201 en position inactive ou de débrayage, on soulève le goujon 200 pour l'éloigner de la. cornière 211 et permettre ainsi L'ouverture du tiroir 151.
On a prévu un dispositif commandé par le levier de contrôle 117 (fig. 12), pour blo quer le bras 187 et le mécanisme connexe, y compris le levier de débrayage 201, et empê cher d'amener ce dernier vers la position inactive, à moins que ledit. levier de contrôle 117 soit sir la. position de Lecture ou sur la position de Remise à zéro .
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, quand le levier de contrôle 117 (fig. 7, 12 et 13) est dans une position autre que Lecture ou Remise à zéro , le chemin de came 112 du disque 113 retient, en coopération avec le galet 111, le levier 109 dans sa position représentée en fig. 13. Quand le levier 109 tourne dans le sens senestrorsum, un goujon 204 de ce levier vient, en combinaison avec une patte 205 du bras 187, empêcher le mou vement vers le haut du levier 201 (fig. 7), en position active.
En déplaçant le levier de contrôle 117 en position Lecture ou Re mise à zéro , on fait tourner le disque 113 (fig. 12 et 13) dans le sens dextrorsum, comme expliqué précédemment. Il s'ensuit que le chemin de came 112 et le goujon 111 font pivoter le levier 109 dans le sens dextrorsum pour l'amener à la position indiquée en fig. 2, afin d'écarter le goujon 204 du trajet de la patte 205 et de libérer le bras 187, qui peut alors se soulever sous l'action du levier de débrayage 201 (fig. 7), quand celui-ci est. amené à. la position inactive.
Lorsque le levier de contrôle 117 (fig. 2, 7, 12 et 13) est dans une position autre que Lecture ou Remise à zéro , un goujon 206 du levier 109 se trouve sur le trajet d'une équerre 207 fixée à la cloison gauche 153 du magasin-tiroir 151, afin d'empêcher que ce tiroir puisse s'ouvrir. Lorsque le levier de contrôle 117 est amené soit sur Lecture , soit sur Remise à. zéro , le levier 109 pivote dans le sens dextrorsum pour éloigner le gou jon 206 du trajet de l'équerre 207, ce qui permet d'ouvrir le tiroir 151.
Il est évident que le déplacement du levier de contrôle 117, hors des deux positions Lecture ou Remise à zéro , pour le mettre dans toute autre po sition, tandis que le tiroir 151 est ouvert, a pour effet d'amener le goujon 206 sur le tra jet de l'équerre 207, de sorte que ledit tiroir ne peut être fermé à ce moment-là.
Le bras 187 (fig. 7 et 9) porte une fente- guide 208 qui vient en prise avec un téton fixe 209 monté sur la cloison gauche 153 du tiroir 151 (fig. 2), lorsque ce bras 187 est basculé dans le sens dextrorsum. Ceci a pour effet d'assurer de façon certaine que l'épaule ment 193 reste sur le trajet du goujon 192 et aussi d'empêcher le mouvement du levier de débrayage 201, vers la position inactive, après que la machine a commencé de fonc tionner.
D'après ce qui précède, on voit qu'il est impossible d'ouvrir le magasin-tiroir 151 (fig. 2) quand le levier de contrôle 117 (fig. 12) se trouve dans une position autre que Lecture ou Remise à zéro . De même, il est impossible de fermer complètement le tiroir quand le levier de contrôle 117 est dans une position autre que Lecture ou Remise à zéro .
Quand le levier de contrôle 117 est dans les positions Lecture ou Remise à zéro et le levier de débrayage 201 (fig. 1 et 7) dans sa position active (représentée ici), la ferme ture du tiroir 151 amènera une arête-came 210 du bras 187 à passer sur le goujon 192, sous l'action du ressort 203. De ce fait, le le vier 187, la biellette 195 et le galet 200 seront soulevés pour écarter le galet de l'équerre et amener l'épaulement 193 au-dessus du goujon 192. Quand l'épaulement 193 dépasse le gou jon 192, le ressort 203 fait revenir le bras 187 vers le bas, pour ramener l'épaulement sur le trajet du goujon 192 et pour replacer le galet 200 sur le trajet de l'équerre 211.
1llarteaux d'impression.
Les marteaux d'impression 79 et 122 (fig. 2 et 7) comprennent des bras jumelés gauche et droit, reliés respectivement par des étriers 216 et 217. Ces bras sont suscep tibles de pivoter sur un axe 218 supporté par les cloisons latérales 153 du magasin-tiroir 151. Le bras gauche du marteau 122 (impres sion du cliché) présente un épaulement 219 (fig. 7 et 18) coopérant avec une équerre 220 prévue sur un autre bras de commande 22l., monté fou sur l'axe 218. Un ressort 222, dis posé entre le bras gauche du marteau 122 et le bras 221, tend à tirer lesdites pièces l'une vers l'autre pour maintenir normalement.
l'équerre 220 en prise élastique avec l'épau lement 219, comme indiqué dans la. fig. 18. Un ressort 223, qui actionne le marteau et disposé entre les bras 221 et un goujon fixe, tend à tirer ce bras et le marteau 122 dans le sens dextrorsum pour maintenir normalement ce bras 221 en prise élastique avec un goujon d'arrêt 224 fixé à la cloison latérale gauche 153 du tiroir 151. Le bras 221 (fig. 7 et 16) porte un bec retourné 225, coopérant avec un épaulement 226 prévu sur un cliquet 227 de commande du marteau, pivotant en 228 sur le bras 186.
Un ressort 229, prévu entre le cliquet 227 et un bras 230 pivotant également en 228, tend à tirer lesdites pièces en direc tion opposée, pour maintenir normalement un bec recourbé 231 du bras 230, en contact élas tique avec le bord extérieur du cliquet 227. L'extrémité inférieure du bras 230 (fig. 7 et 16) présente un chemin de came 232, en prise avec un ergot 233 fixé à la cloison de gauche 153. Cet ergot 233 est en alignement axial avec le goujon 190 lorsque les bras 186 et 187 sont à leur position de repos. (voir fig. 7 et 9).
Le mouvement initial, clans le sens senes- trorsum, du bras d'impression 186 (fig. 1, 7 et 16) entraîne, par l'intermédiaire du téton 228, le cliquet 227 et le bras 230 dans le même sens. Le mouvement du cliquet 227 fait bas culer, par l'intermédiaire de l'épaulement 226 et du bec 225, le bras 221 et le marteau du cliché 122 dans le sens senestrorsum, contre l'action du ressort 223, pour bander ledit res sort et armer le marteau d'impression du cli ché.
Quand le marteau 122 a été suffisamment armé, la came 232 (fig. 16 et 17) et l'ergot 233 font pivoter le bras 230 et le cliquet 227 pour dégager l'épaulement 226 du bec 225 et laisser le bras 221 et le marteau 122 à l'action du ressort de marteau 223 (fig. 7). Le res sort 223 est de force suffisante pour rame ner brusquement le bras 221 et le marteau 122 dans le sens dextrorsum, jusqu'à ce que le bras 221 soit arrêté par la butée d'arrêt 224.
Le ressort. 222, qui constitue une liaison élastique entre le bras 221 et le bras gauche du marteau 122, est assez faible pour per mettre au marteau 122 de continuer son mou vement dextrorsum, par son propre élan, sur une faible distance, indépendamment. du bras 221. C'est pendant. ce mouvement indépen dant que le bloc d'impression du marteau 122 frappe la bande à tickets 129 et le ruban encreur 123 (fig. 1 et 7) contre le cliché 121, pour imprimer les inscriptions voulues sur le ticket.
En fig. 17, le bras 186, le cliquet 227 et le bras 230 sont représentés complètement en position de fonctionnement. Dans cette position, l'épaulement 226 est libéré du bec 225 du bras 221, permettant au marteau de cliché d'agir de la façon expliquée ci-dessus. lie mouvement dextrorsum du bras 186, de puis la position indiquée en fig. 17, jusqu'aux positions indiquées aux fig. 7 et 16, fait que l'épaulement 226 du cliquet 227 passe à côté du bec 225, après quoi le ressort 229 replace ledit épaulement sur le trajet du bec 225 pour préparer la prochaine opération de la machine.
Bien que certaines des pièces ne soient pas indiquées en détail, le marteau d'impression 79 pour les montants et le numéroteur consécutif (fig. 1 et 7) fonctionne avec un mécanisme semblable au précédent. En particulier, le bras gauche de ce marteau présente un épau lement analogue à l'épaulement 219 du mar teau 122 et. qui coopère avec une équerre d'un bras 23:1 d'actionnement du marteau. Ce bras 234 porte un bec retourné 235 (fig. 7, 16 et 17) coopérant avec l'épaulement 226 expliqué plus haut pour assurer le mouvement d'im pression du marteau 122.
On remarquera que le bec 235 (fig. 7 et 16) est déporté par rap port au bec 225, de façon que le marteau d'impression 79 n'opère qu'immédiatement après l'impression du marteau 122, dans le but d'une meilleure répartition des vibrations dues au choc d'impression des marteaux. Un doigt 236 (fig. 7 et 16) du cliquet 227 co opère avec le bloc 235 pour limiter le dépla cement senestrorsum dudit cliquet 227 et de l'épaulement 226 par rapport au bec 235 et aussi du bec 225 du bras 221.
Mécanisme antirebondissewne-rrt <I>des</I> marteaux. Les marteaux d'impression 79 et 122 (fig. 1, 7 et 18) sont munis d'un mécanisme qui empêche le rebondissement pour éviter la double frappe d'impression qui pourrait se produire par le rebondissement de ces mar teaux. Sur le dessin, seul le mécanisme anti- rebondissement pour le marteau 122 du cliché a été représenté, mais un mécanisme anti- rebondissement analogue est prévu pour le marteau 79 des montants et du numéroteur consécutif.
Le mécanisme antirebondissement fonc tionne après la frappe d'impression des mar teaux et il empêche la répétition de cette frappe, éliminant ainsi 1.a possibilité d'une double impression qui nuirait à la netteté.
A la fig. 7, les marteaux 79 et 122 sont représentés au moment où la bande à tickets et le ruban encreur sont pressés en contact avec le cliché et les roues à caractères pour établir la. pièce imprimée. Ce n'est pas la po sition normale de ces marteaux, car ils re bondissent immédiatement pour être retenu dans leur position normale, ainsi qu'indiqué en fig. 18, sous l'action du mécanisme ant.i- rebondissement.
Le bras gauche du marteau 122 pour le cliché présente un prolongement 239 dirigé vers le bas et présentant une équerre 240 co opérant avec un bec correspondant 241 prévu sur un cliquet antirebondissement 242 pivo tant en 243 sur la cloison gauche 153 du ma gasin-tiroir 151. Un ressort de pression 244, disposé entre le cliquet antirebondissement 242 et un loquet 245 pivotant lui-même en 246 sur la cloison de gauche 153, tend à pous ser lesdites pièces dans le sens dextrorsum, pour forcer ce cliquet 242 à coopérer avec le bec 240 et le loquet 245 avec le bec 241 du cliquet 242.
Quand le marteau 122 pour le cliché est en position normale ou de rebondissement, comme indiqué en fig. 18, son bec 240 est en prise avec le bec 241 du cliquet 242, pour empêcher un mouvement répété dans le sens dextrorsum du marteau 122, une fois que la course d'impression a été complétée. Quand le cliquet 242 est en prise (fig. 18), un mé plat 247 du loquet 245 touche le bec 241 pour limiter le mouvement dextrorsum du cliquet 242 sous l'influence du ressort 244.
Le mar teau 122 étant en position normale (fig. 18), si le marteau tourne dans le sens senestror- sum, comme expliqué plus haut, une arête inclinée du prolongement 239 -agit sur un goujon 248 fixé au cliquet 2-12 et fait basculer ce dernier dans le sens senestrorsum, contre l'action du ressort 244, jusqu'à ce que le bec 241 se déplace au-delà d'un épaulement 249 du loquet 245.
Une fois que le bec 241 a dé passé l'épaulement 249, le ressort 244 tire le loquet 245 dans le sens dextrorsum et l'oblige à faire passer l'épaulement 2-19 par-dessus le bec 241 pour verrouiller le cliquet anti- rebondissement dans une position inactive.
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, une fois que le marteau 122 a été armé, l'épaulement 226 (fig. 17) du cliquet 227 est mis hors de prise d'avec le bec 225 du bras 221, pour laisser ce bras et le marteau 122 à l'action du ressort 223, lequel produit immé diatement un mouvement dextrorsum pour effectuer la course d'impression. La rotation dextrorsum du marteau 122 produit l'enga gement de l'équerre 240 (fig. 7 et 1.8) avec une arête 250 du loquet 245 pour actionner celui-ci dans le sens senestrorsum, afin de dé gager l'épaulement 249 du bec 241.
Après quoi, le ressort 244 oblige immédiatement le cliquet 242 à pivoter légèrement dans le sens dextrorsum, jusqu'à ce que l'arête supérieure de l'équerre 241. entre en contact avec le bord inférieur du bec 240. Le contact de la pla tine d'impression du marteau 122 avec le cliché 122 (fig. 7) produit un léger rebon dissement dans le sens senestrorsum et dégage le bec 240 du trajet du bec \341. Le ressort 244 complète alors le mouvement dans le sens dextrorsum chi cliquet 2-12 pour le placer dans la position représentée en fig. 18,
posi tion dans laquelle le bec 241, coopérant avec le bec 240, s'oppose au rebondissement du marteau 122, empêchant ainsi une répétition de l'impression.
Un mécanisme antirebondissement analo gue (non représenté) est prévu pour le mar teau 79. Mécanisme d'at,ancement <I>des tickets.</I> Après que les marteaux 79 et 122 (fig. 1, 2 et 7) ont complété leur course d'impression pour enregistrer les données voulues sur le ticket, le mécanisme d'avancement. fonctionne pour faire avancer la bande de façon que le ticket imprimé puisse être retiré et que l'im pression du ticket suivant. soit préparée.
En se reportant aux fig. 7 et 9, on se sou viendra que le bras 187 est relié par la biel- lette 195 à l'extrémité inférieure du segment 197 d'avancement du ticket. Ce segment pi vote sur un téton 198 et (fig. 1, 9 et 10) pré sente sur sa périphérie des dents qui engrè nent avec celles d'un pignon 252 (fig. 9, 10 et 11) fixé sur le moyeu d'un disque 253. Ce moyeu pivotant est porté par un arbre 254 d'avancement des tickets, arbre qui tourne dans des paliers fixés aux cloisons latérales 153 du magasin-tiroir 151. Sur l'arbre 254 sont montés les deux rouleaux d'avancement 176 qui coopèrent avec les rouleaux de pres sion 179, quand le tiroir 151 est fermé.
Le disque 253 (fig. 10 et 11) porte un goujon 255 sur lequel pivote un cliquet d'avancement 256, poussé dans le sens senestrorsum par un ressort de torsion 257 qui maintient normale ment la dent du cliquet en prise avec une encoche pratiquée dans le rebord d'un tam bour d'avancement 258 fixé sur l'arbre 254.
Un disque de sélection 259, solidaire du tambour 258 (fig. 9, 10 et 11), est muni d'une encoche d'arrêt susceptible d'entrer en prise avec l'extrémité supérieure d'un cliquet d'arrêt 260 pivotant sur le téton 198. Ce disque présente une autre encoche d'arrêt susceptible de venir en prise avec l'extrémité supérieure d'nii cliquet d'arrêt 261, monté fou sur un goujon 262 porté par la cloison gauche 153. Un ressort.
263, disposé entre les cliquets 260 et 261, tend à les faire tourner dans des directions opposées, c'est-à-dire l'un vers l'autre, afin de maintenir normalement leurs extrémités supérieures en prise élasti que avec les encoches correspondantes pré vues dans le disque 259 et, par conséquent, l'arbre t.'5-1 et les pièces connexes dans leur position (le repos.
On se ,oiwient que les galets de pression <B>179</B> maintiennent la bande à tickets<B>129</B> en contact. élastique avec les rouleaux d'avance ment. 176 et, eoniine le montre la fi-.<B>10,</B> ces deux jeux (le rouleaux sont moletés pour assurer une meilleure propulsion de la bande.
Le mouvement initial dans le sens senes- troi-sum de l'aeeoitpleur 42 et du levier 45 (fig. 3, 7 et 9) fait tourner, par Finternié- diaire du goujon 192 et (le l'épaulement 193, le bras<B>1,S7</B> d'un angle d'environ 26,5 .
Le mouvenwnt senestrorsuni du iras 187 fait basculer, grâce à la biellette 195, le segment 197 dans le sens senestrorsuni également. Cette dernière rotation fait tourner le pignon 252, le disque 253 et le cliquet 256 dans le sens dextrorsuin suivant fi-. 9 et en sens con traire suivant. fi-. 11.
Pendant ce mouvement à vide, la surface externe du cliquet 256 frotte librement sur la périphérie interne du tainbour# <B>258,</B> sans communiquer de mouve ment à ce dernier, ni à l'arbre 254, ni aux rouleaux d'avancement 176 (fig. 10).
Quand le segment 197 (fig. 9) approche du terme < le son mouvement initial, dans le sens senes- trorsum, un galet 26s (fig. 9), qui v est fixé, vient en prise avec une arête du cliquet 260 et le fait pivoter dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 263, pour le déga ger de l'encoche d'arrêt correspondante du disque 2i9, pour permettre à ce dernier et. â.
l'arbre 254 d'opérer leur mouvement d'avan cement. dans le sens senestrorsum. Pendant son mouvement initial, le segment<B>197</B> com munique un mouvement rotatif d'un tour complet, dans le sens senestrorsuin, au pignon 252, au disque 253 et au cliquet 256, comme indiqué à la fig. 11, pour forcer ce cliquet à entrer de nouveau en prise avec l'encoche 251 du tambour 258.
Le cliquet 256 étant en prise avec l'encoche 251 du tambour 258 et le cli- quet 260 n'étant plus en prise avec l'encoche du disque 259, le mouvement de retour dans le sens dextrorsum du segment 1.97, sous la pression du bras 187,a pour effet de faire tourner le pignon 252, le disque 253 et le cliquet 256 dans le sens senestrorsum suivant fig. 9 et dans le sens contraire suivant. fi,. 11.
Cette rotation du disque 253 et du cliquet 256 oblige ce dernier à communiquer, grâce à l'encoche 251, au tambour<B>2</B>58, au disque 259, à l'arbre 25.1 et au rouleau d'avancement 176, une révolution complète pour transporter la bande à tickets vers l'avant, comme on le voit. aux fig. 1, 2 et 9. La partie imprimée du ticket est ainsi déplacée de la distance voulue au-delà d'un massicot 265 (fi;. 2), monté dans le bâti des rouleaux de pression 179 et qui sert à détacher le ticket. terminé (fi-. 19) de la. bande 129.
Quand l'arbre 254, le tambour 255 et le disque 259 complètent leur mouvement d'avancement dans le sens senestrorsuni (fig. 9), les encoches d'arrêt, du disque 259 sont encore en prise avec les extrémités supé rieures des cliquets respectifs 260 et 261, pour tenir en place le mécanisme d'alimentation dans la position normale et de repos. A ce sujet, on remarquera que le cliquet 261 s'op pose au mouvement rétrograde du disque 259, du tambour 258 et de l'arbre 254, pendant le mouvement initial du segment 197 et du pignon 252 et que le cliquet 260 empêche le mouvement d'avancement de ces pièces jus qu'à ce que le segment 197 et le pignon 252 aient complété leur mouvement initial.
On a vu que le mouvement de débrayage de la position active (fig. 7) à la position inactive avait pour effet, par l'intermédiaire du galet 200 et de la fente 199, de soulever la biellette 195 et le bras 187, pour éloigner l'épaulement de commande 193 de ce bras dit trajet du goujon 192, pour immobiliser le mé- eanisme d'impression et le mécanisme d'avan cement des tickets.
Mécanisme <I>de</I> commande <I>du ruban encreur,</I> <I>du numéroteur consécutif et de</I> l'alignement <I>des roues à</I> caractères.
En se reportant aux fig. 1, 5 et 7, on voit que le goujon fixe 95 supportant le levier de commande 94 du numéroteur consécutif, du ruban encreur et des dispositifs d'alignement des caractères est en alignement axial avec l'arbre 43 de l'accoupleur 42, ainsi qu'avec le goujon 185 lorsque le magasin-tiroir est fermé. Ce levier 94 porte un antre goujon 266 en prise avec une encoche 267 du bras 186, quand le tiroir 151 est fermé.
En conséquence, le mouvement oscillant, d'abord dans le sens dextrorsum, puis de retour à la position normale du bras 186, fait pivoter le levier 94 et, par l'intermédiaire de la biel- lette 93, le maneton 92 et l'arbre 66, d'abord clans le sens dextrorsum, puis dans le sens opposé en position normale, pour faire avan cer la roue à caractères 80 du numéroteur consécutif (fig. 14), et pour actionner égale ment le mécanisme d'avancement du ruban encreur (fig. 7)
et l'alignement 77 (fig. 5).
On remarquera que l'encoche 267 du bras 186 (fig. 5 et 7) est élargie à son extrémité ouverte pour permettre une entrée facile du goujon 266 dans ladite encoche, dans le cas où il se produirait un léger décalage des pièces, au moment où le tiroir 151 est déplacé de sa position ouverte à la position fermée.
Le levier de débrayage 201 (fig. 1, 2 et 7) qui contrôle les mécanismes d'avancement et d'impression des tickets commande aussi le fonctionnement du mécanisme du numéroteur consécutif, celui du ruban encreur et celui de l'alignement des roues à caractères. Ces méca nismes sont tous actionnés par les bras 186 et 187 (fig. 7 et 9) qui, à leur tour, sont direc tement commandés par le levier de dé brayage 201.