CH282770A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH282770A
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Description


  Machine comptable.    La présente invention se rapporte à une  machine comptable.  



  Dans beaucoup d'entreprises, il est souhai  table que chaque     transaction    ou opération soit  imprimée sur chacune de plusieurs portions  détachables d'une fiche d'enregistrement, afin  que chacune des parties intéressées à la trans  action dispose d'un document original authen  tique et identique de ladite transaction, et le  but général de la présente invention est l'ob  tention d'une machine comptable permettant  la production de tels documents identiques, et  qui ne nécessite qu'un nombre minimum de  mouvements de divers mécanismes, de ma  nière à éviter toute usure inutile de ceux-ci.  



  A cet. effet, la machine comptable faisant  l'objet de l'invention comprend un chariot  mobile destiné à porter un support d'enregis  trement, des organes de     tabulation    du chariot  en diverses positions de colonnes, un certain  nombre de     totalisateurs,    des entraîneurs pour  les totalisateurs, des dispositifs     d'embra@-age     sélectifs pour les totalisateurs, des organes  d'impression, des organes d'enregistrement et  des dispositifs de répétition automatique,  cette machine étant caractérisée par le fait  que les dispositifs de répétition automatique  comprennent des organes propres à.

   faire que  l'un des totalisateurs demeure     constamment     en prise avec les entraîneurs, après qu'une  impression est faite dans une première co  lonne, pendant chacune d'un certain nombre  d'impressions successives comprises dans une    série d'impressions complète, par des organes  tels que ledit totalisateur commande les en  traîneurs et les organes d'impression pendant.  ces impressions successives, de manière  effectuer des impressions répétées dans cha  cune d'un certain nombre de colonnes diffé  rentes, et par des dispositifs de débrayage  pour le totalisateur, agissant, lorsque la der  nière impression d'une série a été enregistrée  dans une dernière colonne, pour débrayer le  totalisateur.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  eliine faisant l'objet. de l'invention.  



       Fig.    1 est une coupe transversale, du côté  droit de la machine, juste à droite de l'une  des rangées de touches de montants, avec le  montage de cette rangée et le mécanisme cor  respondant.  



       Fig.    2 est une élévation latérale, telle  qu'on la voit sur le côté gauche de la machine,  avec une rangée de touches de commande et  les mécanismes de commande qui leur sont       associés.     



       Fig.    3 est une vue détaillée d'un méca  nisme de transfert de totaux entre une touche  de solde     N     1 et un totalisateur N  3.  



       Fig.    4 est. une vue détaillée d'une partie  d'un mécanisme destiné à commander des     cli-          quets    d'arrêt à zéro dans des opérations à  répétition.  



       Fig.    5 est une élévation de droite mon  trant en particulier un mécanisme destiné à      donner l'impulsion première aux opérations  de la machine, et une partie du mécanisme  moteur principal de ladite machine.  



       Fig.    6 est. une vue détaillée d'une partie  du mécanisme de déclenchement représenté à  la     fig.    5.  



       Fig.    7 est une vue détaillée de l'un des  organes de libération de la machine et     dit     levier de libération qui lui est associé pour  déclencher le fonctionnement automatique de  la machine sur mouvement du chariot mobile  dans l'une des colonnes prédéterminées.  



       Fig.    8 est une élévation de gauche, en  agrandissement, d'une portion du     mécanisme     de commande des fonctions du totalisateur  N  3.  



       Fig.    9 est une vue détaillée d'un secteur  imprimant des symboles et d'une partie d'un  système de liaison destiné à le mettre en po  sition.  



       Fig.    10 est le fac-similé d'un compte     coin-          portant    plusieurs portions détachables ou sé  parables contenant chacune des impressions  identiques pour chaque transaction ou opéra  tion commerciale.         Bâti   <I>et</I>     chariot        mobile.     



  Le bâti de la machine représentée com  prend un flasque principal de droite 20       (fig.    5) et un flasque principal de gauche 21       (fig.    1 et 2) maintenus fixes et parallèles  l'un par rapport à l'autre au moyen     d'une     base (non représentée) et de différents cadres,  barres et tiges transversales.  



  Fixé aux extrémités arrière des flasques  principaux 20 et 21 se trouve un bâti de tota  lisateurs 22 qui supporte des totalisateurs       Nos    1 et 2, et un bâti de totalisateurs analo  gue 24 soutenant normalement des totalisa  teurs     N 5    3 et 4; toutefois, dans la présente  réalisation, le totalisateur N  4 n'est pas  utilisé.  



  Le bâti de la machine et le mécanisme  supporté par lui sont enfermés dans un coffre  25     (fig.    1) qui, à son tour, supporte des rails  horizontaux 26 et 27 espacés et supportant un  chariot mobile 28. Le rail antérieur 26 pré  sente une gorge horizontale destinée à rece-    voir des     -galets    montés sur la portion anté  rieure du\ bâti de chariot. mobile 28,     tandis     que le rail postérieur 27 présente     une    rainure  de roulement de     forme        angulaire        découpée     dans sa, partie supérieure et destinée à rece  voir des roulements à. billes qui coopèrent.

    avec une rainure de roulement semblable dé  coupée dans un rail     d'accompagnement    30,  fixé à la partie postérieure du bâti de chariot.  mobile 28. Le chariot mobile 28 est,     maintenu     en position correcte par rapport aux rails 26,  '7 et 30 au     moyen    d'un épaulement     orienté     vers le bas et formé sur le rail 27     (fig.        1).,     par l'intermédiaire     d'er,--ots    31     Dun    seul \d'en  tre eux est représenté ici)

   fixés sur une barre       î        an        gulaire        32        qui        est,    à     son        tour,        attachée    à  une surface polie de la. partie inférieure du  bâti de chariot 28.  



  Tourillonnant dans le     biti    du chariot mo  bile 28 se trouve     uni        rouleau    porte-papier 33  destiné à présenter le matériau d'inscription  tel que, par exemple, le compte représenté à  la     fig.    10, devant     lui    certain nombre de sec  teurs imprimeurs 34     (fi$'.    1) qui, par l'inter  médiaire d'un ruban encreur bicolore du type  classique (non représenté). impriment une ins  cription correspondant à chaque     transaction     sur ledit matériau     d'inscription.     



  Le chariot mobile 28 est attiré vers la  gauche, soit dans la direction de     tabulation,     au moyen d'un ruban     d'entraînement    du type  classique (non représenté) fonctionnant. en  liaison avec une bobine actionnée par ressort  (non représentée). Des dispositifs actionnés  par moteur et fonctionnant     automatiquement     lorsque le chariot. arrive au terme de son  mouvement dans la direction de     tabulation     sont, prévus pour faire     revenir_le    chariot à. sa  position de départ ou à. une autre     position     intermédiaire, si on le désire.  



  Montée de manière     amovible    sur la partie  antérieure du bâti de chariot 28     (fig.    1) se  trouve une barre 35 qui supporte de manière  réglable un certain nombre de tabulateurs 36  placés sur la. barre 35 d'après l'espacement en  colonne du type de matériau     d'inscription     utilisé dans le système commercial envisagé.

    Lorsqu'on change de document, la barre 35      et tous les     tabulateurs    36 placés sur elle peu  vent être     enlevés    tous ensemble de la machine,  et une barre     analogue    comprenant le nombre  nécessaire de tabulateurs 36,     convenablement     espacés, peut. être rapidement mise à sa place,  de manière à déterminer le nouveau     réglage     de colonnes sur ledit;     document.     



  Les     tabulateurs    36 sont. munis de butées  (lui, en liaison avec des barres d'arrêt de     ta-          bulation    habituelles (non représentées),     coin-          i anclc#nt    les     positions    en colonnes du chariot  mobile à la fois dans la direction de     tabula-          tion    et dans la direction de retour.

   De même,  les tabulateurs 36 sont, munis de bossages de  commande espacés qui, en liaison avec des     le-          viers    correspondants,     commandent.    les fonc  tions     d'addition    des totalisateurs     N 5    1 et  et la fonction de soustraction du totalisateur       N"    1 et, dans la. présente forme d'exécution  de la machine, il est prévu un tabulateur     spé-          cialement        concis    pour provoquer le fonction  nement     automatique    de la machine, comme il  sera expliqué plus loin.  



       JIe-cavisme        cl'cratrcaîrzerüerrt   <I>de la,</I>     machine.     La machine est entraînée par un moteur  électrique du type classique      marche-arrêt      (non représenté) qui est relié à l'arbre     prin-          cipal    de la machine par un mécanisme     d'em-          brayage,    le moteur étant mis en marche et le  mécanisme d'embrayage rendu effectif dans  les     opérations    ordinaires, au moyen d'une  barre principale de mise en marche 37       (fig.    5) ou au moyen d'une barre motrice       t:uxiliaire    verticale d'avance 38.

   La barre de  mise en marche 37 comprend deux bras  orientés     cers    le bas, qui passent à.     travers    des  ouvertures     pratiquées    dans une plaque supé  rieure 39 du clavier, fixée aux flasques prin  cipaux     '?0    et '1, et la tige de la barre verticale  d'avance 38 passe, de manière analogue, à tra  vers un trou pratiqué dans ladite plaque 39.  L'extrémité inférieure de la barre 37 présente  deux encoches alignées qui agissent en rela  tion avec des galets montés sur des     ergots        -10     et 41 portés par le     flasque    de droite 20, ceci  afin de permettre que la barre de mise en  marche 37 puisse être enfoncée.

      Le bras arrière de la barre 37 porte un  ergot     q'qui    coopère avec un     doigt.        -13    d'un  étrier     44    libre sur un ergot 4 5 fixé au flasque  de droite '30. Un ressort 46, tendu entre un  doigt tourné vers le bas de l'étrier     .14    et       L'ergot    40, agit sur ledit étrier et. sur le doigt       -13,    de manière à. les tourner dans le sens     senes-          trorsum,    comme on le voit à la     fig.    5, clé ma  nière à maintenir la barre 37 dans sa position  supérieure représentée.

   L'étrier     4-1    présente  un bras se prolongeant vers l'avant et auquel  est relié, de manière pivotante, un crochet     -17     comprenant deux     épaulements    en palier 48 et  -19 qui coopèrent avec une oreille recourbée  50 d'un verrou 51 monté fou sur un ergot  52 assujetti au flasque de droite 20.  



  Un ressort 53     (fig.    5), tendu entre le  verrou 51 et le crochet     -17,    oblige ces pièces  à tourner dans le sens     dextrorsum,    de     faeon          que,    normalement, le crochet soit maintenu  clé manière amovible en relation avec l'oreille  50 et que le verrou 51 soit.     engagé    avec une  oreille repliée     5-l    d'un levier 55 (voir aussi       fig.    6) monté libre sur un moyeu 56 d'une  plaque de contrôle 57, ledit moyeu pouvant  tourner sur un arbre 58 qui lui-même     touril-          lonne    dans le bâti général de la machine.

   Un  ' ressort 59, tendu entre le levier 55 et la pla  que 57, amène ces deux parties l'une vers  l'autre, de façon que,     normalement,    les sur  faces opposées d'un     prolongement    de ladite  plaque et d'un prolongement 60 du levier  soient maintenues     engagées    avec des prolon  gements correspondants d'un ergot 61 qui est  fixé à un prolongement vers le bas d'un levier  coudé 62 monté fou sur l'ergot 40.  



  Lorsqu'on enfonce la barre motrice 37       (fig.    5 et 6), l'ergot 42 fait basculer l'étrier       -11    dans le sens     dextrorsum,    ce qui soulève le  crochet. 47 et oblige par là     l'épaulement    en       palier    48, en coopération avec l'oreille 50, à  taire basculer le verrou 51. dans le sens     senes-          trorsum    contre l'action du ressort 53, ce qui       dégage    la dent du verrou de l'oreille 54 et  libère le levier 55.

   Une biellette 65 relie le le  vier 55 à un renvoi 63 monté fou sur un arbre  principal 64 qui     tourillonne    dans le bâti de  la machine; la libération du levier 55 permet      alors au ressort 84 de faire     basculer    le renvoi  63 et ledit levier dans le sens     dextrorsum.    Ce       mouvement    du     levier    55 amène le prolonge  ment 60, par l'intermédiaire de l'ergot 61, à  faire basculer le levier coudé 62 dans le     sens          senestrorsum.    De ce fait, un ergot 66, porté  par ce levier, en coopération avec.

   un prolon  gement vers le haut d'un levier à trois bras  67, monté fou sur un ergot 68 assujetti au  flasque de droite 20, fait basculer ledit levier  dans le sens     dextrorsum,    ce qui amène un  ergot. 69 d'un prolongement vers le bas de ce  lui-ci à se dégager d'un épaulement 70 porté  par un bras 71 de libération     d'embravage     monté fou sur un ergot 72     porté    par le flas  que 20. Le bras 71, sous l'action d'un dispo  sitif mobile (non représenté), fait bascule  dans le sens     senestrorsum,    ce qui, par l'inter  médiaire d'une bielle 73, agit sur l'embrayage  (non représenté) et simultanément sur un  contact qui commande le moteur électrique.  



  Le moteur d'entraînement est relié par  une bielle 74     (fig.    5) à un bras 75 assujetti à  l'arbre principal 64 qui, par ces pièces, oscille  d'abord dans le sens     senestrorsum,    puis le ra  mène à sa position normale, d'un angle d'en  viron 60 , effectuant ainsi un cycle d'opéra  tions. Le bras 75 porte un galet 76 qui co  opère avec une fente 77 d'un bras 78 assu  jetti à l'extrémité de droite d'un arbre 79     tou-          rillonnant    dans les flasques principaux 20 et  21.

   L'oscillation du bras 75 d'abord dans le  sens     senestrorsum,    puis retour à. sa position  normale     (fig.    5), oblige le galet 76, en coopé  ration avec la fente 77, à faire basculer le  bras 78 et l'arbre 79 d'abord dans le sens       senestrorsuin,    puis retour à leur position nor  male, comme on peut le voir à la     fig.    5.  



  Vers la fin du mouvement initial dans le  sens     senestrorsum    de l'arbre principal 64       (fig.    5 et 6), un goujon 80, d'un levier coudé  81 assujetti audit arbre, vient en contact avec  un doigt 82 et ramène le levier 55 dans le  sens     senestrorsum    contre l'action du ressort  84, de manière à faire venir l'oreille 54 sous  la dent du verrou 51 qui, sous     l'influence    du  ressort 53, ramène ladite oreille et les pièces  en position d'origine.    Vers la fin du mouvement de retour  dans le sens     dextrol:suln    de l'arbre 64.

    une came du mécanisme     d'embrayage        (non     représentée) ramène     1a    bielle 73 et le     bras     71 vers l'arrière, ce qui amène l'épaulement  70 au-delà de l'ergot 69; alors, un ressort 83  tendu entre les leviers 55 et 62 ramène le  levier 67 dans le sens     senestrorsum    et l'ergot  69 sur le trajet dudit épaulement 70, main  tenant ainsi le bras 71 et les pièces connexes  en position initiale.    L'enfoncement de la barre motrice verti  cale 38     (flg.    5) agit sur la barre de mise en  marche 37, ce qui met la machine en     marche,     exactement de la même manière qu'il a été       expliqué    ci-dessus.

           Mécanisme   <I>de</I>     raon-répétitiora.       On a prévu un mécanisme pour     empécher     la machine de répéter les opérations au cas où       l'urne    des barres 37 ou 38 serait encore enfon  cée à la fin du cycle de     fonctionnement.    La  plaque de contrôle 57     (fig.    5) présente une  portion recourbée 86 qui entoure un bec 87  du crochet. 47, et étant donné que la plaque  57 est reliée de manière mobile au levier     5:5     par le ressort 59, les pièces se déplacent. en  semble lorsque le levier 55 est libéré sous l'in  fluence du ressort 84, après enfoncement de  la barre motrice 37, comme expliqué ci-dessus.

    Le mouvement initial, dans le sens     dextror-          sum,    de la plaque 57 oblige la portion     re-          cou        rbée    86, en coopération avec le bec<B>8î,</B> à  déplacer le crochet 47 vers l'arrière après que  le verrou 51 a été dégagé de l'oreille 54, écar  tant ainsi l'épaulement en palier     #48    de  L'oreille 50.

   Ceci permet au ressort 53 de ra  mener     immédiatement.    le verrou 51 dans le  sens     dextrorsum,    jusqu'à ce que l'oreille 50  vienne au contact de l'épaulement 49 et oblige  la dent du verrou à venir se mettre sur le  trajet de l'oreille 54 du levier 55, de sorte que  la barre 37 ou 38 enfoncée ou non, le  verrou 51 agira toujours de manière à s'en  gager avec l'oreille 54 et à maintenir le levier  55 en position d'origine pour empêcher la ré  pétition de l'opération de la machine.

        Quand on lâche la barre motrice 37 ou 38,  le ressort     -16        (fig.    5) ramène l'étrier     44    dans  le sens     senestroi:5um    et, en<I>même</I> temps, ra  mène la barre motrice 37 ou 38 vers le     liant          s    et déplace le crochet     4-7    vers le bas,

   de façon  que     l'épaulement    49 se dégage de l'oreille 50  et (lue     l'éllatllelllellt    48     vienne    en prise avec  l'oreille     en.        vue    d'un nouveau mouvement de       (lé('1('tl        ('heiTl        vint.       <I>:Mise r</I>     rt        rltarche        antontatique   <I>de la</I>     machine          par   <I>le</I>     chariot        mobile.     



       Un        mécanisme    permet au chariot mobile,  lorsqu'il se déplace     d'unie    position de colonne  à une     autre,    (le mettre en     marche        aut.oinati-          qnenient    la machine, ce qui permet d'accélérer  le     fonctionnement        dans    les entreprises     com-          nierciales    oit chaque transaction nécessite une  série     d'opérations.     



  1:n plus des     tabulateurs    normaux 36       (fi < ,.    1)     montés    sur la barre     3:5,    la machine  est.     pourvue    d'une série de taquets de     déelen-          chenient    de     machine    88     (fig.    5 et 7) montés  de     manière        réglable    sur la barre 35 par rap  port a     des    positions de     colonnes    déterminées à       l'avance    et où l'on désire que     1a    machine  fonctionne automatiquement.

   Chaque taquet  (le     eoininande    88 porte une languette flexible       S!)        (tlli        agil.         < '1T    liaison avec un doit 90 se     pro-          loii",eaTit        vers    le liant d'un levier<B>91</B> supporté  <B>(le</B> manière à tourner sur     Lui    ergot 92     a.5su-          jetti    à. une entretoise 367. Le levier 91 est re  lié par une bielle 93 à un levier 94     (fig.    5)       monté    fou en 95 sur le flasque 20.

   Mobile sur  le levier     9-1    se trouve     Lin    doigt 96     présentant     (les fentes     allongées    qui viennent s'engager       siir        l'ergot    95 et ml ergot 9 7 assujetti à     Lin          prolongeaient        vers    l'avant dudit levier 94.

   Un       ressort    85 actionne le levier 91- dans le sens       dextrorsum,    de manière à maintenir un     enga.-          peinent    mobile avec un disque d'arrêt. 121  tournant sur un ergot fixe du flasque '?0, de       manière    que, normalement, le doigt 90 soit       maintenu    sur le trajet de la languette 89.

    l'extrémité antérieure du     (loi-,),t   <B>96</B> se trouve  <B>;</B> au-dessus d'un ergot 98 (fi g. 5 et 6) d'un  levier 99 monté fou sur l'ergot     -15    et.     conipre-          nant,    relié (le manière pivotante à son extré-    mité antérieure, un crochet 100 analogue en  tous points au crochet 47     (fig.    5). Le crochet  100 présente deux épaulements, semblables  aux épaulements 48 et 49, qui sont normale  ment maintenus en coopération avec l'oreille  50 du verrou 51 par un ressort 101 tendu  entre ledit     verrou    et le crochet 100.  



  Le mouvement de     tabulation    du chariot  mobile vers la gauche, comme on le voit à la       fig.    7, oblige une rampe de la. languette 89,  en coopération avec le doigt 90, à faire bascu  ler le levier 91 dans le sens     senestrorsum,    de  manière à soulever la bielle 93, ce qui, à son  tour, fait également basculer le levier 94  clans le sens     senestrorsum        (fig.    5).

   Le levier  94 entraîne le doigt 96 dans le même sens par  un même mouvement, ce qui amène le prolon  gement antérieur du doigt, en coopération  avec l'ergot 98     (fig.    5 et 6), à faire basculer  le levier 99 dans le sens     dextrorsum,    de     ma-          ilière    à soulever le crochet 100. Le soulève  ment du crochet 100 amène son     épaulement.     de droite, en coopération avec l'oreille 50, à  taire basculer le verrou 51 et à le dégager de  l'oreille 54, ce qui met en marche la machine,  exactement de la même manière     qu'avec    les  barres de mise en marche 37 et 38 (fis. 5 ).

   Le  crochet 100 présente un prolongement 102 di  rigé     vers    le bas, qui coopère avec la portion  recourbée 86 de la plaque 57,     exactement    de  la même manière que pour le crochet 47, afin  d'empêcher tout fonctionnement répété de la  machine par inadvertance, au cas où l'une des       barres    37 ou 38 serait maintenue enfoncée à  la, fin. d'une opération de la machine.  



  Un     prolongement        1-1-1    du doigt 96     (fig.    5<B>)</B>  émerge par une ouverture de la plaque de       clavier    39, ce qui constitue     Lin    moyen de dé  placer le doigt 96 vers l'arrière à partir de la  position représentée, afin que l'extrémité  antérieure du doigt soit écartée du trajet. de  l'ergot 98, en vue de rendre inopérant le mé  canisme de mise en marche de la machine  toutes les fois qu'on le désire.

   Lorsque le cha  riot mobile retourne à sa position de départ,  ou vers la droite, comme on le voit à la     fig.    7,  la languette flexible 89 franchit le doigt 90  sans faire basculer le levier 91, ce qui empê-           che    le fonctionnement automatique de la ma  chine dans ces circonstances. Comme expliqué  précédemment, on peut placer sur la barre 35  autant de taquets 88 qu'on le désire par rap  port à des positions de colonnes du chariot  mobile déterminées à l'avance, afin que le  mouvement de     tabulation    du chariot mobile  vers     lesdites    positions mette en marche la  machine automatiquement.

           Déclenchement   <I>de</I> la     machine        par   <I>les</I>     touches     <I>de</I>     commande.     



  En     plus    des barres motrices 37 et 38 et  des moyens automatiques de mise en marche  de la machine commandés par le chariot mo  bile, cette mise en marche peut aussi être  commandée par certaines touches de     contrôle     ou de commande placées à l'extrémité     gauche     du clavier, touches qui sont motrices.  



  Les touches de commande comprennent  une touche de  Rappel  103     (fig.    2),     suie     touche      Sous-total    Solde  101, une touche   Solde  105, une touche de  Solde créditeur   106, une touche de  Total N  2  107, une  touche de  Soustraction N  3  108, une tou  che de      Soustraction    N  1  109, une touche        Sous-total     110 et une touche de      Non-addi-          tion     111. Les touches de commande sont  montées sur le flasque gauche 21, de manière  à pouvoir être enfoncées.

   A l'exception de la  touche 108, les extrémités supérieures réduites  de toutes les touches de commande     traversent     des fentes correspondantes dans une plaque  supérieure 112 fixée au flasque gauche 21. et  les extrémités inférieures desdites touches tra  versent des fentes correspondantes dans une  cornière 113 assujettie au flasque gauche 21,  de façon que lesdites touches soient montées de  manière     enfonçable.    Chacune des touches de  commande, à l'exception de la touche 108,  comprend un ressort compressible correspon  dant 114 qui entoure l'extrémité inférieure  de sa tige; ces ressorts ont pour mission de  pousser lesdites touches vers le haut, de ma  nière à les maintenir normalement. dans une  position non enfoncée, comme on le voit ici.  



  La touche de  Soustraction N  3  108       (fig.    2 et 8) est montée de manière enfonça-         ble    sur une plaque 115 assujettie au flasque  gauche 21 au moyen d'une fente dans son  extrémité     supérieure,    en coopération avec un  ergot 116 fixé à la plaque et. an moyen d'un  ergot 117 fixé à l'extrémité inférieure de la  touche 108, en coopération avec une fente cor  respondante de la plaque 1l.5.     1?n    ressort 118,  tendu entre l'ergot 117 et un     verrou    119 pour  la touche 108, actionne la touche vers le haut,  de manière à. la maintenir normalement en  position non enfoncée,     comme    on le voit ici.  Le verrou 119 pivote sur un ergot 120 de la  plaque<B>115.</B>  



  L'enfoncement de la. touche  Solde  105       (fig.    2) amène un cran 122, pratiqué dans son  rebord avant, en face d'une     équerre    pratiquée  sur L'extrémité supérieure d'un verrou 123  pivotant sur un ergot à écrou 121 du flasque  21. Ceci livre le verrou 123 à l'action     d'un     ressort 125 qui, immédiatement, entraîne le  verrou dans le sens     dextrorsum,    ce qui oblige  l'équerre de son extrémité supérieure, en co  opération avec un prolongement 1.26     d'une     barre 127, à, déplacer     eelle-ci        vers    l'avant.

   La  barre 127 est mobile grâce à un bras<B>11228</B>       (fig.    2)     pivotant    sur le flasque 21 et. au  moyen d'une fente pratiquée dans son extré  mité avant en coopération avec un ergot 129  d'un     bras    (non représenté), ledit. bras étant  son tour relié de manière pivotante au  flasque 21.  



  Le mouvement en avant de la barre<B>127</B>       (fig.    2) amène un ergot 130 de son extrémité  antérieure, en coopération avec     ].'extrémité     supérieure à fente     d'un    levier 131     monté    fou  sur un ergot 132, à faire basculer ledit levier  dans le sens     dext.rorsum.    Ce     mouvemeni    du  levier 131, grâce à une fente pratiquée dans  son extrémité inférieure et coopérant avec un  ergot 1.33 d'un bras gauche 131 d'un étrier  135 monté fou .sur un arbre 136 qui touril  lonne dans les flasques 20 et.

   21, fait basculer  ledit étrier dans le sens     senestrorsum.    Ce  mouvement de l'étrier<B>135</B>     (fig.    5 et 6<B>)</B>,     grâce     à un ergot 137 de son bras droit 138, en co  opération avec une fente pratiquée dans  l'extrémité inférieure d'un levier 139 monté  fou sur l'ergot 52, fait basculer le levier clans      le sens     senestror:

  sanr,    ce qui amène un     prolon-          genient    vers L'arrière de celui-ci, en coopéra  tion avec un ergot 140 de l'extrémité infé  rieure du levier 99, à faire basculer ledit le  vier et à soulever le crochet 100, ce qui dé  gage le     verrou    51 de l'oreille 54 et met en       niarclie    la     riiarliine        lorsqu'on    enfonce la     toii-          clie    de  Solde  105     (fig.        '?).     



       L'enroneenient    (le la touche de  Solde cré  diteur  106 ou de la touche  Total N  ?  107  amène un déplacement vers l'avant de la barre  127 exactement de la même manière que pour  la touche de  Solde  105, ce qui déclenche la       machine.        L'eniorieenient    de la touche      Sous-          total    Solde  1.04, grâce aux liaisons     liabi-          tirelles,    enfonce simultanément la touche de   Solde  105, ce qui met la machine en     mai#-          che    de la manière expliquée     ci-dessus.     



       Blocage        dit        mécanisme   <I>(le</I>     cléchiicheiitrict.     On a prévu un mécanisme commandé par  le chariot. mobile et destiné à bloquer le     nié-          canisnie    de déclenchement lorsque le chariot  mobile est. en     dehors    d'un tabulateur,     c'est-          @L-dire    en dehors d'une de ses positions de co  lonne.

   Ceci est destiné à     empécher    toute  fausse     manmuvre    (le la. machine qui pourrait  aisément se produire     lorsque    le chariot n'est  pas dans une de ses positions de colonne,  étant, donné que beaucoup des     importantes     fonctions de la machine sont     comnianclées        par,     le chariot lorsque celui-ci est précisément  clans une de ses positions de colonne.  



  Les     fig.    1, 5 et 6 montrent, que les tabula  teurs (le commande 36, qui sont placés par  rapport.     ii,    des positions de colonnes détermi  nées à     l'avarice,    ont. un bossage     36-1    qui agit       cri    liaison avec un prolongement vers le liant  d'un levier 365 monté librement sur un ergot  à vis 366 assujetti     1i    L'entretoise 367. Un     pro-          longement.    vers la gauche du levier 365 est.

    relié par une Borde à piano 368 à une     biel-          lette    369     ealée    sur un arbre 370 qui     touril-          lonne        loris    le     bati    de la machine. Sur ce       même    arbre 370 est également, calé un doigt  371 dont la pointe avant coopère avec un  ergot 373 d'un prolongement vers l'arrière       d'un    levier de blocage<B>273</B> de mécanisme de    déclenchement, monté fou sur l'ergot 95.

   Un  ressort de torsion (non représenté) fait nor  malement tourner le levier 373 dans le sens       seriestrorsuin,    de façon qu'un galet 374 porté  par ce levier se trouve normalement maintenu  au-dessus et sur le trajet d'un ergot carré 375,  porté par     tin    bras de commande 376 monté  fou sur l'ergot 40. Un ressort 377 (fi-.<B>5</B> et<B>6)</B>  fait tourner le bras 376 dans le sens     dextror-          sum,    de façon qu'une portion décalée du re  bord inférieur de ce levier soit     maintenue        cri     engagement avec le rebord supérieur d'un  prolongement vers l'arrière du levier coudé 62.

      Lorsque le chariot mobile     \38    est dans une  position de colonne     (fig.    5), le bossage 364,  en coopération avec. le levier 365, soulève la.  corde à piano 368, de manière à faire bascu  ler la     biellette    369, l'arbre 370 et le     doigt   <B>371</B>  clans le sens     senestrorsum,    le levier de blocage  373 tournant alors dans le sens contraire, ce  qui dégage le galet     37.1    suffisamment du tra  jet de l'ergot carré 375 pour que, lorsque le  levier 55     (fig.    6).

   est laissé libre à l'action du  ressort 84 par suite de l'enfoncement des  barres motrices 37 ou 38 ou de n'importe  quelle touche de commande motrice, le levier  coudé 62 et le bras 376 soient. libres (le se  déplacer de manière à mettre la machine en  marche, comme expliqué plus haut. Le mou  vement du bras 376 amène l'ergot carré 375,  en coopération avec le galet 374     (fig.    5), à  terminer le pivotement du levier de     blocage     373 jusqu'à ce que celui-ci se trouve dans une  position inopérante sans toutefois contre  carrer le mouvement. de libération, dans le  sens     senestrorsum,    du bras 376.  



  Lorsque le chariot mobile 28 n'est pas dans  une position de colonne, le bossage 364 n'est  pas en position de coopération avec le prolon  gement     supérieur_    du levier 365, ce qui libère  le levier de blocage 373 à l'action de son res  sort de torsion qui, immédiatement, fait     ba.s-          euler    ce bras dans le sens     senestrorsuni,    de  manière à amener le galet 374 directement.     cri     face de l'ergot carré 375 et à bloquer tout  mouvement du bras 376 et du levier coudé 62,  ce qui empêche le fonctionnement de la ma-      chine lorsque le chariot mobile est hors co  lonne.  



  Les languettes de déclenchement 89     (fig.    5  et 7) sont situées entre les positions de co  lonnes du chariot et agissent sur le levier 91  et les mécanismes associés, de manière à libé  rer le levier 55 lorsque le chariot mobile se  déplace d'une colonne à la suivante. Cette       libération    du levier 55     (fig.    6) amène l'oreille  51 au-delà de la dent pratiquée sur le verrou  51 qui ne se remet pas en prise avec ladite  oreille lorsqu'il est. libéré par le mouvement  de la languette 89 au-delà du     doigt    90 du  levier 91.

   Dans ce cas, le levier 55 agit sur le  levier coudé 62 et sur le bras 376 dans le sens       senestrorsum,    de manière à contraindre l'er  got carré 375 à venir en prise avec le galet         < 171,    et ceci a pour effet de restreindre le       mouvement    de déverrouillage du levier de blo  cage 373. Toutefois, par suite de la nature  antifriction du galet     37-1,    le mouvement du  chariot mobile vers la prochaine position de  colonne permet au bossage 361 et aux méca  nismes associés de faire basculer le levier 373  dans le sens     dextrorsum    en dépit de l'action  de retenue qui s'y exerce, permettant ainsi le  mouvement de libération du bras 376 et du  levier coudé 62.  



  Dans une variante de la machine repré  sentée, le levier de blocage 373     (fig.    5 et 6 )  est muni d'un épaulement carré destiné à co  opérer avec l'ergot carré 375 au lieu du galet  371 et, dans ce cas, le frottement entre l'épau  lement et l'ergot est suffisant pour empêcher  le mouvement de déverrouillage du levier 373  lorsque le chariot mobile vient prendre     tune     position de colonne. Dans ces conditions, le  déblocage du verrou 51, qu'il soit manuel ou  automatique, permet à l'oreille 51 de venir se  mettre sous la dent du verrou, de manière à  s'opposer à la remise en prise et ainsi mettre  le mécanisme de déclenchement en     position    de  blocage.

   I1 est prévu- un dispositif manuel  pour empêcher cette position, et ce dispositif  comprend     tin    levier de rappel 378     (fig.        .5    et 6 )  monté fou sur l'ergot 10 et relié par un téton  379 au levier coudé 62. L'extrémité inférieure  du levier<B>378</B> porte un doigt. 380 qui se pro-    longe à travers     tune    ouverture pratiquée dans  le coffre 25 de la machine.  



  Pour déverrouiller le mécanisme de dé  clenchement, l'opérateur saisit. le doigt 380 et  ramène le levier coudé 62 dans le sens       dextrorsum.    Ce mouvement, par l'intermé  diaire de l'ergot. 61     (fig.    5 et 6), remet simul  tanément le levier 55 en place,     amenant.    ainsi  l'oreille 51 en prise avec la. dent     dLi    verrou 53,  le mécanisme de     déclenchement    étant     alois     apte à fonctionner.

   De même, le mouvement  dans le sens     dextrorsum    du levier     condé    62  et du bras 376 écarte l'ergot carré     377    de  l'épaulement du levier de blocage 373, ce qui  libère ce levier, de sorte qu'il peut immédiate  ment venir se mettre en position inopérante.

    Après cela, le fonctionnement de la machine  peut     être    déclenché de la manière habituelle  par     etifoneement    d'une des barres     motrices    37  ou 38 ou de l'une des touches (le     coniinande.            Tovches   <I>(le</I>     nion.tants   <I>et</I>      iécanz,# l.es          dif   <I>f é</I>     reit.tiels.     



  La machine représentée est munie     d'nii     certain nombre de rangées de touches de  montants 112 correspondant aux divers ordres  décimaux     (fig.    1), et de mécanismes différen  tiels associés; étant donné que les     méeanisnies     des différentes rangées sont semblables à     tous     points de vue, la description de l'une des  rangées représentée ici et de son mécanisme  différentiel sera suffisante.  



  Les touches de montants 112 de la rangée  choisie à titre d'exemple     (fig.    1) sont. montées  mobiles sur une plaque de séparation. corres  pondante 113 qui, en même temps que les pla  ques de séparation semblables des autres ran  gées de touches de montants, que la plaque  supérieure 39 et. que les différentes barres et  tringles transversales, constitue     Lui    bâti de  touches de montants que l'on peut enlever de  la machine d'un seul bloc.     Un    ressort à boudin  (non représenté) est prévu pour maintenir  les touches de montants 112 dans leur posi  tion supérieure.

   Chacune des touches de  montants 112 porte un ergot carré     11-1    à  l'extrémité inférieure de sa tige, et     chacun          desdits    ergots, à l'exception de     lergotde    la      touche des  9 , coopère avec une rampe gra  duée correspondante 115 d'une crémaillère de  montants 116 mobile sur nue tringle 147 en  coopération avec une partie en retrait de  l'extrémité antérieure de la crémaillère 146  et au moyen d'une barre 148 en     coopération     avec une fente horizontale pratiquée     dans     l'extrémité arrière de la crémaillère, la barre  et la tringle étant, supportées par les flasques  20 et 21 de la machine.  



  La crémaillère 146     (fig.    1) présente près  de son centre une fente verticale qui coopère  avec un goujon 149 d'un segment de bras de  réduction 150 monté fou sur l'arbre principal  79. Un bras postérieur 1.51 du segment 150  Est. relié par une biellette 152 au secteur im  primant     correspondant    34, lequel peut bascu  ler sur l'extrémité supérieure d'un bras 153  correspondant monté fou sur un arbre d'im  pression 154 qui tourillonne dans les flasques  20 et 21.  



  Chaque rangée de touches de     montants        1.12     comprend une détente 155 et une plaque de  commande 156 montées de manière à pouvoir  effectuer des déplacements horizontaux entre  des galets pouvant tourner sur des tourillons       1F>7    fixés sur la plaque de séparation 143. La  détente et la plaque de commande sont espa  cées l'une par rapport à l'autre et par rap  port à la plaque de séparation 142 au moyen  de rondelles aménagées sur les tourillons 1.57.  La détente 155 porte une dent 158 pratiquée  dans une ouverture correspondant à chacune  des touches de montants 142 de la rangée,  chaque dent. étant disposée de manière à co  opérer avec un ergot 159 fixé sur la tige de       1r,.    touche de montants 142 correspondante.  



  La plaque de commande 156 présente une  rampe 160 formée dans une ouverture corres  pondant; à     chaeune    des touches de montants       1-12    et disposée pour coopérer avec l'ergot       eorrespondant    159. Un ressort 161 tendu entre  la détente 155 et la plaque de commande 156       actionne    ces pièces respectivement vers l'avant  et vers l'arrière, de manière à maintenir les  dents 158 en relation de coopération avec les  ergots 159 et de maintenir les rampes 160 en  contact élastique avec les ergots.

      L'extrémité antérieure de la plaque de  commande 156     (fig.    1) coopère avec un pro  longement vers le haut 162 recourbé, d'un  cliquet, d'arrêt à zéro 163, monté fou sur un  arbre     16-1    supporté par le bâti du clavier des  touches. Un ressort 165, tendu entre le pro  longement 162 et un ergot. de la plaque de  commande 156, maintient normalement ces  pièces en prise et maintient normalement     suie     dent formée sur un prolongement. vers l'ar  rière du cliquet 163 sur le trajet d'un bloc  d'arrêt à zéro 166 porté par la crémaillère 146.  



  L'enfoncement de l'une quelconque des  touches de montants 142     (fig.    1) oblige son  ergot. 159, en coopération a     @        ec    une rampe  angulaire formée sur le rebord supérieur de  la dent, correspondante 158,à déplacer la dé  tente 155 vers l'arrière, contre l'action du  ressort 161 jusqu'à ce que l'ergot 159 ait  franchi la     dent    158, après quoi le ressort 161  fait revenir la détente vers l'avant, verrouil  lant ainsi la dent     au-dessus    de l'ergot et.  maintenant la touche enfoncée.

   L'enfonce  ment d'une touche de montants     1.12    oblige       aussi    son ergot 159, en coopération avec la  rampe correspondante 160, à déplacer la pla  que de commande 156 vers l'avant, contre       l'action    du ressort 161, ce qui fait basculer le       eliquet    d'arrêt à zéro 163 dans le sens     senes-          trorsum,    de manière à dégager sa dent du  bloc 166 et à, libérer le différentiel pour son  mouvement de mise en position. La plaque de  commande 156 est maintenue dans sa position  avant et, le cliquet 163 inopérant aussi long  temps que la touche de montant est main  tenue enfoncée par la détente<B>155.</B>  



  Si l'on se reporte à. la     fig.    1, on voit que  l'extrémité arrière du segment. 150 est. norma  lement     maintenue    en prise avec l'extrémité  antérieure d'un étrier 168 au moyen d'un       ressort    167. L'étrier 168 s'étend entre un bras  de gauche 169 et un bras de droite analogue  (non représenté), qui sont fixés sur l'arbre  79.

   Le mouvement initial dans le sens     senes-          trorsum    de l'arbre 79     (fig.    1) et de l'étrier  168 actionne, par l'intermédiaire du ressort  1.67, le segment 150 et la crémaillère des mon  tants 146 vers l'arrière d'un même mouve-      ment, jusqu'à ce que ce mouvement soit  arrêté par le contact de l'ergot carré 144 de  la. touche de montant enfoncée     14\3    avec la  rampe correspondante 145 sur la crémaillère  146.

   Ceci fixe la crémaillère 146, le segment  150 et, par l'intermédiaire de la biellette 152,  le secteur imprimeur 34 en fonction de la va  leur de la touche de montant enfoncée; après  quoi, le bras 153 et le secteur 34 sont libres  d'effectuer le mouvement d'impression,     afin     d'enregistrer la valeur de la touche de     moij-          tant    enfoncée sur le document porté par le  rouleau porte-papier 33. Une fois que la cré  inaillère 146 et les pièces connexes ont été  mises en position par l'enfoncement des tou  ches de montants 142, l'étrier principal 168  continue son mouvement dans le sens     senes-          trorsum    sans interruption, tendant ainsi le  ressort 167.

   Le mouvement de retour de l'ar  bre 79 et de l'étrier 168, près de la fin de  l'opération de la machine, oblige l'étrier à  cueillir la crémaillère 146 et à la ramener  vers l'avant à sa position initiale représentée.  



  D'après la     fig.    1, on remarque qu'il n'y a  pas de rampe graduée correspondante 145  pour l'ergot carré 144 à l'extrémité infé  rieure de la touche de montant d'extrême  droite ou des  9 , et par suite cette touche  n'a pour effet que de libérer le cliquet d'arrêt  à zéro 163, sur quoi la crémaillère 146 est  libre de se déplacer sur toute son amplitude,  soit de neuf crans vers l'arrière, jusqu'à la  position des  9 , laquelle position est déter  minée par l'engagement de la paroi anté  rieure de la partie découpée par en dessous  près de son bord antérieur avec la tringle 147.

    Dans les opérations d'addition et de soustrac  tion, lorsque aucune touche de montant 142  n'est enfoncée dans la rangée envisagée, le  cliquet d'arrêt à zéro 163 reste en prise avec  le bloc 166 et maintient la crémaillère 146 en  position de zéro.    <I>Mécanisme de</I>     rappel   <I>des touches.</I>  



  La machine représentée est pourvue d'un  mécanisme classique de rappel des touches,  qui fonctionne toujours à la fin des opéra  tions d'addition et de soustraction, de ma-    nièce à déplacer la détente 155     (fig.    1)     vers     l'arrière, ce qui dégage la dent. 1:58 de l'ergot.  159, livre la touche enfoncée 142 à.     l'aetion    de  son ressort qui la fait immédiatement revenir  à. sa position supérieure. Ceci livre la plaque  de commande 156 à l'action du ressort 161 qui  immédiatement ramène la plaque vers l'arrière,  de manière à remettre le cliquet d'arrêt à  zéro 163 en position active.

   Le mécanisme de  rappel fonctionne au début. des opérations de  total et de sous-total, de manière à libérer  toutes les touches de montants enfoncées par  inadvertance avant le début     d'une    telle opéra  tion. De même, le mécanisme de rappel des       touches    déplace la plaque de commande 156  vers l'avant en même temps que la détente  155 est déplacée vers l'arrière, de manière à  faire basculer le     cliquet    d'arrêt à zéro 163,  dans le sens     senestrorsum,    jusqu'à. sa position  de non-fonctionnement, au début des opéra  tions de total, de sorte que la crémaillère 146  peut prendre librement sa position sous l'in  fluence de la. roue correspondante du totalisa  teur sélectionné.  



  La détente 155     (fig.   <B>1)</B> et la plaque de  commande 156 comprennent.     respectivement.     des rampes 170 et 172 qui coopèrent avec un  ergot 173 d'un bras de rappel 174 fixé à  l'extrémité droite d'un arbre 175 qui     touril-          lonne    dans le bâti du clavier. Assujetti à  l'extrémité de gauche de l'arbre 177     (fig.4)     se trouve un bras 176 qui présente une fente  destinée à, recevoir un ergot.<B>177</B> d'un prolon  gement orienté vers le haut d'une glissière  <B>178</B> de rappel de touches, montée de manière  à pouvoir se déplacer horizontalement grâce à.  des fentes qui y sont pratiquées, en coopéra  tion avec des tourillons fixés sur le flasque de  gauche 21.

   La glissière 178 supporte, de ma  nière pivotante, un     cliquet    179 de rappel de  touches, actionné dans le sens     senestrorsuin     par un ressort de torsion 207, de manière à  rester en prise avec un galet 180 porté par  un disque 181, assujetti à. l'extrémité de gau  che de l'arbre principal 64.  



  Le mouvement initial dans le sens     dextror-          suin    de l'arbre 64 et du disque 181     (fig.    4 )      oblige le galet 180, d'abord à. franchir un cro  chet. formé sur l'extrémité arrière du cliquet  179.

   Le mouvement de retour dans le sens  inverse de l'arbre 61 et du disque 181 oblige  le galet 180 à venir en prise avec le crochet  du cliquet 179 et à, déplacer le cliquet et la  glissière 178 vers l'arrière, de manière à  basculer le bras 176 et l'arbre 175 dans le  sens     dextrorsum.    Ce mouvement de l'arbre  175 et, du bras 171     (fig.    1) oblige l'ergot 173,  en coopération avec la rampe 170,à déplacer  la détente 155 vers l'arrière, contre l'action  du ressort 161, et à. dégager la dent. 158 de       l'ergot.    159 de la touche de montant enfoncée  112, laissant ainsi la touche libre de subir  l'action de son ressort, qui, immédiatement, la  ramène vers le haut à sa position normale.  



  Le mouvement     senestrorsuni    du bras 171       (fig.    1) oblige l'ergot 173, en coopération avec  la rampe 172 de la plaque de commande 156,  à     déplacer    la. plaque vers l'avant, contre l'ac  tion du ressort 161, ce qui fait basculer le  cliquet d'arrêt à zéro 163 jusqu'à sa position  inactive. Ce     mouvement.    du cliquet d'arrêt à.  zéro 163 est, dans les opérations d'addition et  de soustraction, sans importance, étant, donné  qu'il se produit à. la fin de telles opérations,  niais il est nécessaire dans les opérations de  total, lorsqu'il opère à une cadence différente,  comme on va le voir.  



  Lorsque la glissière 178     (fig.    1) atteint le  terme de son mouvement vers l'arrière, un  prolongement vers le haut 182 du cliquet 179  vient. en     prise    avec un ergot     fixe    183 et. fait  basculer le cliquet jusqu'à ce qu'il se dégage  du galet 180,     permettant    ainsi à la glissière  d'être ramenée vers l'avant à sa position nor  male, sous l'influence du ressort. La, glissière  178 est reliée fonctionnellement avec la touche  de  Rappel  103 (fi-. 2), de sorte que l'en  foncement de ladite touche déplace la glis  sière vers l'arrière et libère la touche de mon  tant enfoncée, exactement. de la. même     manière     que précédemment expliqué.  



  Dans les opérations de non-addition, les  touches de montants sont utilisées pour com  poser des numéros à imprimer sur le docu  ment et, dans de telles opérations, le méca-         nisme    de rappel de touche fonctionne exacte  ment comme expliqué à propos des opérations  d'addition et de soustraction et libère les tou  ches de montants enfoncées.  



  Comme indiqué précédemment, il est né  cessaire que le mécanisme de rappel des tou  ches de montants et d'arrêt à zéro fonctionne  au début des opérations de total, afin que  soient libérées les touches de montants en  foncées par inadvertance et que soient mis  hors circuit des cliquets d'arrêt à zéro.

   La  touche      Sous-total    Solde      10.1        (fig.    2) com  prend un verrou 181, semblable au verrou  12 3 de la touche      Solde     105, et pivotant sur  un ergot à vis 185 du flasque de     gauche    21;

    reliée de manière pivotante à l'extrémité infé  rieure du verrou 181 se trouve l'extrémité  antérieure d'une barre 186     (fig.    \ et, 1) por  tant un ergot 187 qui se trouve au-dessous  d'une queue 188 d'un cliquet de rappel 189,  pivotant sur un prolongement vers le bas de  la glissière 178, le cliquet étant actionné par  le ressort de torsion 207 qui tend à provoquer  la mise en prise d'une encoche 190 de celui-ci  avec un galet 191 fixé à l'extrémité inférieure  d'un levier 192 pivotant sur un ergot 193 du  flasque 21. Un ressort 191 actionne le     levier     192 dans le sens     senestrorsuni,    de manière à  maintenir normalement une rampe 195 de ce  lui-ci en prise avec un galet 196 porté par le  disque 181.

   Un ressort 197     (fïg.    1), qui est  assez fort pour surmonter l'action du ressort,  de torsion 207, actionne la barre 186 dans 1e  sens     dextrorsum,    de manière à maintenir     nor-          nialement    un ergot 198 porté par celle-ci en  contact avec un levier de commande de total  <B>199</B>     (fig.    2) du totalisateur N  1.  



  Tandis que la barre 186 est maintenue  dans sa position haute, comme on le voit à la  fil-. 1, l'ergot 187, en coopération avec la  queue 188, maintient. l'encoche 190 dégagée  par rapport. au galet 191, de sorte que dans  des conditions normales, le cliquet 189 n'a  pas d'effet sur le mouvement de rappel de la  glissière 178.

   Comme on l'a expliqué précé  demment, l'enfoncement de la touche  Solde   105     (fig.    2) amène le cran 122 en face de      l'équerre du verrou 123, sur quoi le ressort  125 fait basculer ce dernier dans le sens       dextrorsum,    amenant un ergot 200 de son  extrémité inférieure, en coopération avec, une  arête du levier 199, à faire basculer le levier  dans le sens     dextrorsum.    Ce mouvement,  grâce à l'ergot 198, fait basculer la barre 186  dans le sens     senestrorsum,    retirant l'ergot 187  de la queue 188, afin de permettre au ressort  de torsion 207 de faire pivoter le cliquet 189  dans le sens     dextrorsum    et d'amener l'enco  che 190 en prise avec le galet     19l..     



       Immédiatement    après que l'encoche 190 se  trouve en prise avec le galet<B>191,</B> l'arbre 64  et le disque 181 commencent leur mouvement  initial dans le sens     dextrorsuin        (fig.    4). Ce  mouvement oblige le galet 196, en coopéra  tion avec la.

   rampe 195, à faire aussi basculer  le levier 192 dans le même sens, ce qui, à son  tour, déplace le     eliquet    189 et la glissière 178  vers l'arrière, faisant ainsi basculer l'arbre  175 et le bras 174 dans le sens     senestrorsum          (fig.    1), de manière à déplacer les détentes  155 vers l'arrière et à libérer toutes les tou  ches de montants enfoncées, tout en déplaçant  simultanément les plaques de commande 156  vers l'avant, de manière à faire basculer les  cliquets d'arrêt à zéro 163, pour que ceux-ci  se dégagent des blocs 166, libérant ainsi les  crémaillères 146 qui peuvent alors être mises  en position sous l'influence des roues du to  talisateur sélectionné.    <I>Blocage des touches de</I>     montants.     



  Vers le début du fonctionnement de la  machine, une détente de blocage de touches       .201        (fig.    1), qui est située à côté de la dé  tente 155 et qui est montée de manière à pou  voir se déplacer horizontalement entre des  galets portés par les ergots 157, se trouve dé  placée vers l'arrière, de. manière à amener des  dents 202, qui sont formées dans des     ouv        er-          tures    de cette détente, sous les ergots 159 des  touches de montants 142 non     enfoncées,    de  sorte que ces dites touches se trouvent blo  quées et ne peuvent pas être enfoncées pen  dant que la machine fonctionne.

   La détente  201 présente un prolongement vers le haut         ?03,    dont un nez, orienté vers barrière, est.  normalement maintenu en prise avec un doigt  204 filé dans une gorge d'un arbre de ver  rouillage 205 qui tourillonne dans le bâti du  clavier, sous l'action d'un ressort 206 tendu  entre le     prolongement    203 et le doigt. 204.

      Un mécanisme, qui     fonetionne    en     même     temps que le mécanisme de déclenchement de  la machine, communique     uni    mouvement dans  le sens     dextrorsum    à. l'arbre 205     (fig.    1), ce  oui oblige le ressort 206 à tirer la, détente 201  vers l'arrière et à. amener les dents 202 au  dessous des ergots 159 des touches de mon  tants 142 non enfoncées, de telle sorte que ces  touches se trouvent verrouillées contre tout,  enfoncement. pendant le fonctionnement. (le la  machine.

   Vers la fin d'une opération,     l'arbre     205 est ramené dans le sens inverse, afin de  faire revenir la détente 201 vers F avant, à sa  position inopérante représentée en     fig.    1.  Dans les opérations de total et de sous-total,  la détente 201 est déplacée vers l'arrière,  c'est-à-dire mise en position de fonctionner  avant que le mécanisme de rappel des touches  ait pu fonctionner et laisser une touche de  montant     quelconque    être enfoncée par     inad-          vertanee    avant le début. d'une telle opération.

    Dans de tels cas, le ressort qui rappelle l'une  quelconque des touches enfoncées à. la position  non enfoncée est assez fort pour surmonter  l'action du ressort     '.306;    en conséquence, les  ergots 159 franchissent les dents correspon  dantes 202, et ces dents reviennent immédiate  ment à leur position active sous les ergots  159, de manière à. s'opposer à l'enfoncement  des touches de montants.         1lceaitisnte        totalisateur.       Comme expliqué précédemment., la ma  chine représentée est pourvue de trois totali  sateurs dont deux sont disposés sous forme  d'une paire verticale     (fig.    1) située à l'ar  rière de la machine. Le totalisateur N  1 est.

    un totalisateur     addition-soustraction;    le tota  lisateur N  2 est un totalisateur d'additions,  tandis que le totalisateur     N     3 est un totalisa  teur     addition-soustraction.         La crémaillère 116 de l'ordre décimal con  sidéré présente, à son extrémité arrière, deux  séries de dents, la série supérieure coopérant  avec une roue 209 de totalisateur correspon  dante, située     sur        l'axe    da totalisateur N  1,  tandis que la série inférieure coopère avec  une roue correspondante 210 sur l'axe du to  talisateur N  2.

   Fixé à l'extrémité arrière de  la crémaillère 116 se trouve un prolongement  211 dont l'extrémité arrière est en fourchette,  de manière à encadrer une barre de support  212 assujettie au bâti des totalisateurs 21. Le  prolongement 211 présente à sa partie supé  rieure une série de dents qui coopère avec  une roue     '?13    de totalisateur correspondante  sur l'axe du totalisateur N  3.

      Le totalisateur N  3, le mécanisme     d'em-          brayage    et les mécanismes de     commande        asso-          eiés    seront expliqués d'une manière générale       comme    étant     représentatifs    de tous les tota  lisateurs, car les mécanismes sont semblables.  



  Les roues 213     (fig.    1) du     totalisateur    N  3  peuvent. tourner sur un arbre 211 du totalisa  teur N  3, supporté dans un bâti     basculable,     lui-même supporté par le bâti des totalisa  teurs     '2-1.    L'arbre 211 porte, à son extrémité       opposée,    des galets (non représentés) qui  <B>g</B> gent dans des fentes correspondantes  s<B>,</B>     #enoa     pratiquées dans des chemins de cames (non re  présentées) solidaires d'un arbre d'embrayage  215     (fig.    2), tourillonnant dans le bâti 21.

    Fixé     a,    l'extrémité de gauche de l'arbre 215  se trouve un bras 216 relié par une biellette  217 à l'extrémité supérieure d'un levier vo  lant 218 (voir aussi     fig.    8) pivotant sur un  ergot     2l9    porté par une plaque d'embrayage  220     fixée    sur l'arbre     principal    64.  



  Le levier volant 218 porte un cliquet 221  sollicité dans le sens     senestrorsum    par un res  sort de torsion (non représenté), de manière  à être en     prise    mobile avec un ergot d'arrêt  222 du levier 218. Un prolongement vers l'ar  rière du cliquet. 221 est destiné à coopérer  avec un ergot 223 fixé à la plaque 220, de  manière à produire l'embrayage du totalisa  teur N  3 au moment de l'addition.

   Un doigt  \?21 prolongé vers le haut du     cliquet    221 co-    opère avec un ergot 225 d'un bras de com  mande de non-addition 226, monté fou sur un  ergot fixe<B>227.</B> Un prolongement vers le bas  du bras 226     (fig.    2) présente un épaulement  228 qui, normalement, est en contact avec un  verrou 229 pivotant en 230 et, relié par l'in  termédiaire d'une barrette 231 à un levier qui  présente une équerre coopérant avec un bos  sage des tabulateurs 36     (fig.    1) qui sont.  placés en fonction des colonnes du chariot mo  bile pour lesquelles on désire que le totalisa  teur N  3 soit sélectionné en vue d'opéra  tions d'additions.  



  L'ergot 225     (fig.    2) du bras 226 est en  prise dans une fente pratiquée dans l'extré  mité supérieure d'une bielle de     réarmage    23<B>2</B>  dont l'extrémité inférieure est articulée à un  levier 233 monté fou sur un ergot. 231 chi  flasque 21. Un prolongement vers le bas du  levier 233 porte un ergot 235 qui vient se  placer sous une équerre     d'un    levier (non re  présenté) semblable au levier 233 et monté  fou sur un ergot 231, ce     levier    comprenant  un talon (non représenté) qui coopère avec  une arête 236 d'une plaque d'embrayage 237,  semblable à la plaque 220, cette plaque 23 7  étant associée avec le mécanisme d'embrayage  prévu pour les totalisateurs     N s    1 et 2.

      Le mouvement initial dans le sens     dext.ror-          sum    des plaques 220 et 237     (fig.    2)     amène     l'arête 236 à se dégager du talon, de manière  à. libérer le levier 233, la bielle 232 et le bras  226 à ].'action d'un ressort 238 qui, immédia  tement, actionne le bras 226 dans le     sens    se  nestrorsum jusqu'à ce que l'épaulement 228  vienne en contact avec     l'extrémité    arrière du  verrou 229 lorsque celui-ci est en position  active et, dans ce cas, le verrou retiendrait le  bras 226 en position active, comme représenté  ici.

   Lorsque le bras 226 est, actif, ].'ergot 225  demeure sur le trajet du     doigt    221 qui l'en  traîne, lorsque la plaque 220 se meut, de sorte  que le     cliquet    221 pivote dans le sens     dextror-          sum    et écarte le prolongement arrière du     cli-          quet    du trajet de l'ergot 223 et aucun mouve  ment d'embrayage ne se trouve communiqué  à l'arbre 215 et au totalisateur N  3.

        Un verrou de     non-addition    (non repré  senté), semblable à un verrou de     non-addition     239     (fig.    2) pour le totalisateur N  2, est  prévu pour le totalisateur N  3 et coopère avec  une équerre 240 pratiquée sur le prolonge  ment inférieur du bras 226, lorsque la touche  de non-addition 111 est enfoncée, de manière  à s'opposer au mouvement du bras 226 dans  le sens     senestrorsum,    amenant. ainsi le totali  sateur N  3 à ne pas     fonctionner    sur addition,  comme expliqué plus Haut an sujet du verrou  229.  



       Lorsque    le chariot 28     (fig.    1) est. dans une  position de colonne pour laquelle on désire  que le totalisateur N  3 soit sélectionné en vue  d'une opération d'addition     (première    posi  tion), le bossage d'un tabulateur, en coopéra  tion avec le levier N  3 et la barrette 231       (fig.    2), fait basculer le verrou 229 dans le  sens     senestrorsum,    l'écartant du trajet de  l'épaulement 228, ce qui libère le bras 226 et  lui permet de pivoter sous     l'influence    du  ressort 238, lorsque le levier 233 et la bielle       \332    sont libérés par le mouvement initial des  plaques 220 et 237, comme expliqué plus haut.

    Ce mouvement du bras 226 écarte l'ergot 225       chi    doigt 224 et, par conséquent, le prolonge  ment arrière du cliquet 221 demeure sur le  trajet de l'ergot 223. Vers la fin du     niouve-          nient    initial de la plaque 220, l'ergot 223  vient en prise avec le     cliquet    221,     déplaçant     ainsi le levier volant 218 et la biellette 217 à       L'unisson    avec la plaque 220, ce qui, à son  tour, fait basculer le bras 216 et l'arbre d'em  brayage 215     (fig.    2) dans le sens     senestror-          sum.    Ce mouvement de l'arbre 215 amène les  cames qui y sont fixées,

   en coopération avec  des galets fixés sur l'arbre du totalisateur  N  3, 214     (fig.    1), à le basculer avec le bâti  supportant le totalisateur N  3 vers le bas, de  façon que la roue 213 soit mise en prise avec  les dents correspondantes de la     crémaillère     211,     -une    fois que la crémaillère a terminé son  mouvement initial vers l'arrière et a été mise  en position sous l'influence de la touche de  montant. 142 enfoncée. Le mouvement de re  tour vers l'avant de la crémaillère 146 et du  prolongement 211 fait tourner la roue de tota-         lisateur    213 dans     une    direction additive, de  sorte que la valeur de la touche de montant  enfoncée 142 est introduite dans le totalisa  teur.  



  La construction habituelle du mécanisme  d'embrayage des totalisateurs est telle qu'un  téton carré (non représenté) porté par la  plaque 220 vient en contact avec le levier  volant 218 vers la fin du     mouvement,    (le re  tour de la plaque 220     (fig.    2) et oblige le le  vier volant et la biellette 217 à se déplacer  d'un même mouvement, faisant basculer le  bras 216 et l'arbre     .\315    dans le sens     dextror-          sum,    jusqu'à les ramener à leur position nor  male et à dégager la roue 213 des dents de  la crémaillère 211, après due la crémaillère  146 a achevé son mouvement de retour vers  l'avant.

   Toutefois, le téton carré a été omis  sur la plaque de commande 220 de la machine       représenté    et, en conséquence,     -une        fois    que  le     totalisateur    N  3 est. en prise avec les     eré-          ma.illères,    lors de l'addition, il demeure ainsi  jusqu'à ce qu'il soit dégagé par une opération  ultérieure de solde ou de total, ainsi qu'il sera  expliqué plus loin.

   Vers la fin du mouve  ment de retour, dans le sens     senestrorsum,    des  plaques 220 et 237     (fig.    2), l'arête 236 amène  le talon (non représenté) à faire basculer le  levier 233 dans le sens     dextrorsum,    ce qui,  par l'intermédiaire de la bielle 232, ramène le  bras 226 dans le même sens contre l'action du  ressort 238, à la position de     lion-addition    re  présentée ici, position dans laquelle l'épaule  ment 228 est légèrement au-delà de l'extré  mité arrière du verrou 229, de sorte que ce       dernier    peut se déplacer librement et, venir  sur le trajet des épaulements, lorsque le     elia-          riot    mobile se rend.

   à une antre position de  colonne.  



  Les totalisateurs     N s    1 et 2 sont     pourvu,,     d'un mécanisme     d'einbraya;e    semblable à tous  points de vue à celui qui vient d'être décrit  pour le totalisateur N  3, en vue de comman  der les opérations     d'addition    et de     non-addi-          tion    qui y sont effectuées.  



  Comme expliqué précédemment, le docu  ment d'inscription utilisé dans la machine  comporte trois portions identiques     (fig.    10)      correspondant à au moins trois positions de  colonnes du chariot mobile. Dans la première  des trois -opérations consécutives de chaque  transaction, la transaction est traitée de la  manière ordinaire, autrement dit un montant.

    est composé sur les touches de montants selon  le procédé habituel et, si ce montant est celui  d'un débit qui doit être additionné,     l'enfon-          cenic#nt    d'une barre motrice amène le bossage  correspondant     d'addition,    placé sur le     tabula;

            teur    (le, la première colonne, et le levier cor  respondant actionne le     verrou    d'addition N  1  qui sélectionne le totalisateur N  1 pour l'ad  dition, Si le montant est un crédit qui doit  être soustrait, la touche de  Soustraction N  1   <B>109</B> est enfoncée avant qu'on enfonce la barre  motrice et, étant donné qu'une opération de  soustraction     l'emporte    sur une opération d'ad  dition     eoiiiinandée    par le chariot mobile, le to  talisateur N  1 ou totalisateur de solde est,     eni-          Irayé    pour la soustraction.

   Dais l'un et l'au  tre cas, lors de la première opération, le tota  lisateur N  3 qui a été précédemment remis à  zéro est sélectionné pour une opération d'ad  dition, grâce au bossage     d'addition,    au levier de  barre et au verrou 229 correspondant.     (fig.    2),  et lorsqu'on introduit le montant positif ou  négatif dans le     totalisateur    N  1, ce montant  se trouve     simultanément    introduit     additive-          ment        dans    le totalisateur N  3.  



  Le mouvement vers l'avant de la biellette  <B>217</B>     (fig.    2), pour embrayer le     totalisateur     N  3 en période d'addition, oblige un ergot  243 qui s'y trouve fixé, en coopération avec  une tente pratiquée dans l'extrémité supé  rieure d'un bras     2-14,    monté fou sur     L'ergot     234,à basculer ce bras dans le sens     dextror-          sum.    Le bras     24-1    porte un ergot.     2.15    qui     lui-          même    est. articulé à une bielle 246 qui pré  sente, près (le son extrémité avant, une fente  s'engageant librement sur un collet, pratiqué  dans un ergot.

   247, porté par le flasque de       gauche    21. Le mouvement du bras 244 pousse  la bielle 246     vers    l'avant,     obligeant    ainsi une  arête 248, en coopération avec l'ergot 198, à  enfoncer la barre 186     (fig.    4), rendant. ainsi  le cliquet 189 opérant pour l'opération sui  vante. Dans la première opération, le cliquet.    179     (fig.    4) fonctionne comme d'habitude  pour libérer les touches de montants enfon  cées à la fin de l'opération de la machine.  



  A la fin de la première opération, le cha  riot mobile passe automatiquement, par     tabu-          lation,    à la seconde colonne, et tandis qu'il  s 'v rend, il déclenche le     fonctionnement    auto  matique de la machine, par l'intermédiaire du  mécanisme représenté aux     fig.    5 et 7 et     e@pli-          qué    plus haut. Dans la seconde des trois opé  rations successives, les totalisateurs     NI'    1 et 2  sont automatiquement sélectionnés pour la.       non-addition,    et étant donné que le totalisa  teur N  3 demeure en prise à la fin de la pre  mière opération, il est encore en prise pen  dant la deuxième opération.

   Il en résulte que  le cliquet<B>189</B>     (fig.    4) demeure opérant et que,  au commencement de la seconde opération de  la machine, il déplace la glissière 178 vers  l'arrière, afin de libérer toutes les touches de  montants enfoncées par inadvertance et. en  même temps libère les cliquets 163 d'arrêt à       réro        (fig.    1), afin que les crémaillères 146  soient libres de se     déplacer    vers l'arrière au  moment du mouvement initial de l'étrier<B>168.</B>    Le mouvement vers L'arrière des crémail  lères 146     (fig.    1), pendant la seconde opéra  tion fait tourner en sens inverse les roues 213  du totalisateur N  3, jusqu'à ce que les roue  soient arrêtées en.

   position de zéro par les  cents des cames de déclenchement qui y sont  fixées, lorsqu'elles viennent en prise avec les       cliquets    déclencheurs de report d'addition cor  respondants, mettant ainsi les crémaillères     1.16     dans une position correspondant au montant.  porté dans les roues du totalisateur N  3,  montant. qui, on s'en souvient., est celui qui  avait été composé primitivement sur les     tou-          ehes    de montants lors de la première opéra  tion.

   Le fonctionnement du mécanisme     impri-          nieur    produit     l'impression    du montant exact  de la première opération, par répétition sur  la deuxième portion du document d'inscrip  tion. Le totalisateur N  3 demeure en prise  avec les crémaillères de montants pendant.  leur mouvement- de retour et, par suite, le  montant s 1v trouve     réintroduit,    assurant ainsi      ce qui, en fait, constitue une opération auto  matique de     sous-total.     



  Il est évident que le totalisateur N  3 peut  être     sous-totalisé    automatiquement, autant de  fois qu'on le désire, dans des opérations sem  blables à la seconde opération, de manière à  obtenir autant d'impressions en répétition de  la transaction qu'on le désire.  



  A la fin de la seconde opération, le     elia-          riot    mobile passe automatiquement, par     tabu-          lation,    de     la,    seconde position de colonne à la  troisième et, pendant. cette     tabulation,    la ma  ehine est de nouveau déclenchée en vue d'une  troisième opération automatique dans laquelle  le totalisateur N  3 est remis à zéro, et le  montant qui s'y trouvait est imprimé dans  la troisième partie du document comptable.  



  Dans la troisième et dernière opération de  la série de trois, les totalisateurs Nos 1 et 2  restent en     non-addition,        comme    dans la  deuxième opération, et le totalisateur N  3  est sélectionné et mis en position pour une  opération de remise à zéro, afin que soit en  levé le montant qui s'y trouvait porté et que  celui-ci soit imprimé par répétition sur la  troisième     partie    du document.  



  Le tabulateur 36     (fig.    1) pour la troi  sième colonne présente un bossage qui coopère  avec une portion tournée vers le haut d'un  levier de commande de total     2-1,9        (fig.    8)  monté fou sur l'ergot 366     (fig.    5). ,L'extré  mité arrière du levier     2-19    s'engage dans une  fente pratiquée à la partie supérieure d'une  barre 250 articulée à un levier 251 monté fou  sur un ergot 252 fixé au flasque de gauche 21.  



  Pivotant sur un prolongement du levier  251 se trouve une biellette 253     présentant    à  son extrémité avant un ergot engagé dans une  fente     25-1    pratiquée dans un levier de com  mande     d'embrayage    255, qui peut tourner en  256 sur le flasque 21. Un. ressort 257 assure  une liaison flexible entre le levier 255 et  l'ergot fixé à l'extrémité antérieure de la     biel-          lette    253, grâce à quoi la fente 251 permet un  mouvement indépendant de la. biellette et des  pièces qui lui sont reliées, au cas où pour une  raison quelconque, le mouvement du levier     ,\355     se trouve empêché.

   Un ressort 258, attaché    entre la biellette     '253    et un ergot fixe (non re  présenté), tire les leviers 251 et 255 dans le  sens     senestrorsum,    de manière à les amener  normalement en position inopérante, comme  on le voit ici, ce qui à son tour, par l'intermé  diaire de la barre 250, maintient normalement  le     levier    219 en position non enfoncée.  



  Le mouvement du chariot mobile vers sa  troisième position abaisse le levier 219     (fig.    8),  ce qui soulève la barre 250 et fait basculer les  leviers 251 et 255 dans le sens     dextrorsum     contre l'action du ressort 258. Le mouvement  <B>dit</B> levier 255 oblige un ergot 259, de son  extrémité inférieure, en coopération avec une  arête 260 d'un levier 261. monté fou sur l'er  got 217, à faire basculer ledit levier dans le  même sens.

   Le levier 261     porte    un     cliquet    de  débrayage 262 actionné par un ressort 263, de  faon que, normalement, un ergot 261 soit  maintenu en engagement, avec une surface  polie     pratiquée    sur le bord inférieur du le  vier     ,'361.    Le mouvement de ce dernier dans le  sens     senestrorsum,    au     cours    de la troisième  opération, amène l'extrémité     supérieure    da  cliquet 263 sur le trajet de l'extrémité infé  rieure du levier volant 218.  



       Dtant    donné que les roues du totalisateur  N  3 sont en prise avec les dents des crémail  lères de montants, au début, de la     troisième     opération, le mouvement initial vers l'arrière  des crémaillères fait. tourner ces roues en sens  inverse, jusqu'à ce qu'elles soient. arrêtées en  position de zéro, ce qui met les crémaillères  et les secteurs imprimeurs correspondant  dans une position concordant avec la, valeur  du montant introduit dans les roues du tota  lisateur N  3. Le fonctionnement ultérieur du  mécanisme imprimeur fait que le montant est.  imprimé à nouveau     sur    la troisième portion  du document d'enregistrement. Pendant le  mouvement. initial de l'arbre principal     6.1    et.

    de la plaque d'embrayage     '-120    dans le sens       dextrorsum        (fig.    8), l'extrémité inférieure du  levier volant 218 franchit 1e cliquet 962 et,  au     moment    du retour de l'arbre et de la  plaque dans le sens inverse, et pendant que  les roues du totalisateur N  3 sont à. zéro,  l'extrémité inférieure du levier volant<B>218</B>      vient en prise avec le cliquet. 262, ce qui  amène le levier à se déplacer dans le sens       senestrorsum    avec la plaque 220, déplaçant  ainsi la biellette 217     (fig.    2) vers l'arrière.

    Ceci fait basculer l'arbre 215 dans le sens       dextrorsum,    de manière à débrayer les roues  du totalisateur N  3 avant que s'effectue le  mouvement de retour vers l'avant des crémail  lères et, en conséquence, les roues de totalisa  teur N  3 demeurent à zéro à la fin de la  troisième opération, prêtes     pour    une nouvelle  série d'opérations.  



  Les autres débits du même compte sont  additionnés dans le totalisateur N  1 et impri  més par répétition sur les trois portions du  document d'inscription, comme expliqué plus  haut., tandis que les crédits sont traités     d'une     façon qui, dans l'ensemble, est la même à ceci  près qu'ils sont soustraits du totalisateur N  1  lors de la première opération.  



  Après que tous les débits et les crédits ont  été introduits dans le compte particulier, la  procédure courante consiste à obtenir     -Lui    nou  veau solde en enfonçant la touche de  Solde   105     (fig.    2), ce qui déclenche une série de  trois opérations dans la première desquelles  le totalisateur N  1 est remis à zéro, tandis       que    le montant qui s'y trouvait est introduit       additivement    et simultanément dans les tota  lisateurs Nos 2 et 3.  



  L'enfoncement de la touche  Solde  105       (fig.    2) amène son cran 122 en face du     verrou.     <B>123,</B> sur quoi le ressort 125 fait basculer le       verrou    dans le sens     dextrorsum,    de manière  à déplacer la barre 127 vers l'avant, en vue dit  déclenchement du fonctionnement de la ma  chine, comme expliqué     pour    les     fig.    2, 5 et 6.  Le mouvement du verrou 123 oblige l'ergot  200, en coopération avec une arête pratiquée  sur le levier 199 de commande de total, à  faire basculer ce levier de manière à provo  quer l'embrayage ou le débrayage du totali  sateur N  1 dans les opérations de total,  comme il est. bien connu.

   L'enfoncement de la  touche  Solde  105     (fig.    2 et 3) oblige égale  ment un ergot 241, en coopération avec une  fente pratiquée dans l'extrémité avant d'un  levier 242 pivotant sur un ergot. 1261 du    flasque 21, à basculer le levier dans le sens       dextrorsum.    Ce mouvement oblige un prolon  gement vers l'arrière de celui-ci à soulever  une barre 266 reliée à l'extrémité avant. d'un       verrou    de commande d'addition N  2, 267,  monté fou sur un ergot assujetti au flasque  de gauche 21.

   En conséquence, lorsqu'on  soulève la barre, on fait basculer le verrou  dans le sens     senestrorsuin,    ce qui écarte  son prolongement vers l'arrière du trajet,  d'un épaulement pratiqué sur un bras de  commande d'addition N  2, 268, semblable  en tous points et fonctionnant exactement  comme le bras de commande d'addition 226       (fig.        \?)    du totalisateur N  3, expliqué plus  haut. Ceci     prépare    le totalisateur N  2 en po  sition pour la prochaine opération d'addition,  de sorte que le montant relevé sur le totalisa  teur de solde dans la première opération se  trouve transporté ait totalisateur     INT     2 qui est  utilisé dans la machine représentée pour accu  muler le total net des soldes.  



  La touche  Solde  105 et les autres touches  de commande positionnent un secteur     impri-          niant    des symboles, destiné à imprimer à. côté  du montant un caractère d'identification du  type d'opération. Ordinairement, le rappel de  la touche de commande, à la fin d'une opéra  tion; permet au secteur imprimant de revenir  à sa position neutre. Dans la machine repré  sentée, il est préférable que le secteur de  meure en     position,    afin que le caractère soit  réimprimé sur la seconde et la troisième por  tion du document, et un mécanisme com  mandé par le totalisateur N  3 est, prévu à. cet  effet.  



  L'enfoncement de la touche  Solde  105  fait que son extrémité inférieure     (fig.    2) co  opère avec une arête 269 pratiquée     sur    une  pièce coulissante 270 montée de manière à  pouvoir se déplacer horizontalement grâce à  des fentes qui     v    sont découpées, et coopérant  avec des ergots 271 du flasque 21, ladite pièce  coulissante se déplaçant vers l'avant.  



  La pièce coulissante 270 est reliée par une  biellette 272 (fi-. 2 et 9) à un levier 273  calé sur un arbre 274 qui tourillonne dans les  flasques 20 et 21. L'arbre 274 porte aussi un      bras 275 relié par une bielle 276 à un bras  277 pivotant sur un ergot fixe 278. Le bras  277 est relié par une biellette 279 à un secteur  imprimant des symboles 280, lui-même relié à  un bras 281, semblable au bras 153 du secteur  imprimant 34     (fig.    1), et qui est monté fou  sur l'arbre 154.  



  Le mouvement vers l'avant de la pièce  coulissante 270     (fig.    2 et 9) et de la biellette  272 oblige celle-ci à faire basculer le levier  273, l'arbre 274 et le bras 275 dans le sens       senestrorsum,    et. ce mouvement, par l'intermé  diaire de la bielle 276, du bras 277 et de la  biellette 279, met en position le secteur impri  mant des     symboles    280 dans sa seconde posi  tion, sur quoi le fonctionnement ultérieur du  bras d'imprimerie 281 amène le secteur 280 à       eoopérer    avec le ruban encreur et avec le sup  port d'inscription porté par le rouleau     porte-          papier.    Ainsi, un symbole se trouve imprimé  (dans ce cas un astérisque),

   symbole caracté  ristique d'une opération de solde.  



  A la fin de la première d'une série de  trois opérations, la touche  Solde  105 est ra  menée vers le haut à sa position normale et,  dans des conditions normales, la pièce cou  lissante 270 serait., en même temps, ramenée  à sa position normale vers l'arrière, comme  on le voit à la     fig.    2; en conséquence, le sec  teur imprimant 280 serait également ramené  à, sa position normale de     non-impression          (fig.    9), mais dans la machine représentée, il  est désirable que le secteur 280 demeure en  position, afin que l'impression du symbole   Solde  soit répétée lors des deuxième et troi  sième opérations; ceci s'obtient par le mouve  ment vers l'avant de la biellette 217     (fig.    2),  lors de la première opération;

   ce     mouvement     met le totalisateur N  3 en prise avec les cré  maillères pour l'addition, comme on l'a expli  qué plus haut.  



  A côté du bras 244     (fig.    2), et monté fou  sur l'ergot 234, se trouve un     cliquet        28,\'.    de  retenue de symbole, qui est actionné dans le  sens     dextrorsum    par un ressort 283, de ma  nière à rester en prise mobile avec un ergot  284, porté par le bras 244. Le cliquet 282 pré  sente, à son extrémité inférieure, des dents de    retenue qui coopèrent avec des dents analo  gues placées à la périphérie d'un segment 285  fixé sur l'arbre de symboles 274 (voir aussi       fig.    9).

   Une fois que l'arbre de symboles 274  et le     segment    285 ont été mis en position par  l'enfoncement de la touche de  Solde  105       (fig.    2), comme expliqué plus haut, le mouve  ment initial vers l'avant de la biellette 217 en  vue d'embrayer le     totalisateur        N     3 avec les  crémaillères pour addition dans la première  opération, fait basculer le bras 244 dans le  sens     dextrorsum,    retirant ainsi l'ergot 284 chi  cliquet 282 et permettant au ressort 283 de  mettre les dents du cliquet.

   en prise avec les  dents correspondantes du segment<B>285,</B> afin  que ce dernier, l'arbre 274 et le secteur     impri-          mant    les symboles soient maintenus     élastique-          ment    dans la position choisie à. la fin de la pre  mière opération de la machine, et après que la  touche de  Solde  105 a été libérée et ra  menée vers le haut.

   On a vu due le totalisa  teur NO 3 demeure en prise pendant la se  conde et la troisième opération et qu'en con  séquence la biellette 217 conserve sa     position     vers l'avant, ce qui oblige le secteur impri  mant 280     (fig.    9) à demeurer     en    position pen  dant la deuxième et la troisième opération et  à réimprimer le symbole pendant ces deux  opérations.

   Le     mouvement    de     déga-ement    vers  l'arrière de la biellette 217     (fig.2)    fait bascu  ler le cliquet 282     jusqu'à    ce qu'il soit. dégagé  des dents du segment 285, ce qui permet au  segment, à l'arbre de symboles 274, à la. pièce  coulissante 270 et aux autres pièces qui lui  sont reliées,     yT    compris le secteur de symboles  280     (fig.    9), d'être immédiatement ramenés à  leur position normale de     non-impression.     



  La touche      Sous-total    Solde  104     (fig.    2),  la touche de  Solde créditeur  106, la touche   Total N  2  107, la touche 109 de      Sou8trac-          tion    N  1  et la touche 111 de.      Non-addition      coopèrent avec la pièce coulissante 270 exacte  ment de la même manière que pour la. touche  de  Solde  105, en vue de mettre en posi  tion le secteur imprimant de symboles 280       (fig.    9) par rapport à chacune d'entre elles,  de sorte qu'un     symbole    identifiant le type  d'opération en cours se trouvera inscrit sur le      document d'enregistrement.

   Dans chaque cas,  le cliquet 282     (fig.    2), en coopération avec le  segment 285, retient le secteur symboles     dans     la position choisie pendant la     deuxième    et. la  troisième     opération,    et le symbole     d'ideni:ifi-          ration    se trouve réimprimé sur la seconde et  la troisième partie du support d'inscription  pour toutes les opérations dans lesquelles le  totalisateur N  3 est embrayé avec les cré  maillères.

           Opérations   <I>de solde créditeur.</I>    Un exemple typique     d'application    de la  machine représentée est celui d'un grossiste  qui vend des marchandises à des détaillants,  lesdites marchandises étant portées au     compte     du marchand détaillant et apparaissant sous  forme d'articles de débit sur le relevé de  compte. De même, les créances en faveur du  marchand détaillant, consistant par exemple  en paiements en compte, en crédit pour mar  chandises rendues, etc., apparaissent sous  forme d'articles de     crédit    sur ce relevé.

   Lors  que les créances en faveur du détaillant dé  passent. ses dettes, il en résulte un solde cré  diteur en     sa    faveur et, par suite,     un     dépasse  ment  dans le totalisateur N  1, lequel dépas  sement est signalé à l'attention de l'opérateur  par le blocage automatique de la touche de   Solde  105 qui ne peut plus être enfoncée.  Le processus habituel, dans ce cas, consiste à  effectuer une opération de solde créditeur,  par laquelle le montant complémentaire, ou  négatif, du solde créditeur est transposé en  montant positif qui est enregistré sur le do  cument dans une couleur différente,     comme     on va le voir.

      Lorsqu'un  dépassement  se produit dans  le totalisateur N  1 ou totalisateur de solde,  un axe de dépassement (non     représenté),    se  lon un mécanisme connu, bascule, de sorte  qu'une biellette 288     (fig.    8) se trouve dé  placée vers l'arrière.  



  L'extrémité antérieure de la biellette 288       (fig.    8) est articulée à une autre biellette 289,  dont l'extrémité arrière est supportée par une  fente qui s'y trouve pratiquée et qui s'engage    sur un ergot. fixe 290. L'extrémité antérieure  de la biellette 289 est reliée à un verrou 291  de touche de  Solde  105 monté fou sur  l'ergot     12-1    et présentant, à. son extrémité  tournée vers le bas, une équerre 292 qui co  opère avec une fente 293 pratiquée dans la  tige de la touche de  Solde  105.  



  Le mouvement de la biellette 288 vers l'ar  rière, lorsqu'il se produit un  dépassement ,  déplace la biellette 289 vers l'arrière d'un  même mouvement, ce qui fait basculer le  verrou 291 dans le sens     senestrorsum.     L'équerre 292 vient alors s'engager dans la  fente 293,     comme    on le voit à la     fig.    8, blo  quant la touche de  Solde  105 contre tout  enfoncement, lorsqu'il se produit un dépasse  ment.  



  L'opérateur s'aperçoit alors de l'existence  d'un dépassement lorsqu'il tente d'enfoncer  la touche de      Solde     105 afin de déclencher       une    opération de solde et, dans la machine re  présentée, une procédure qu'il est. recom  mandé de suivre lorsqu'on découvre un dé  passement consiste à. déplacer manuellement  le chariot mobile vers la droite jusqu'à, une  position  hors     colonie ,    position qui est dé  terminée par un margeur et dans laquelle le  totalisateur N  3 n'est pas automatiquement  sélectionné pour une     opération    d'addition,  comme c'est le cas quand le chariot mobile  est dans la première position de colonne.

   Tout  en maintenant le chariot mobile dans la posi  tion d'extrême droite, l'opérateur enfonce la  touche de      Soustraction    N  3  108     (fig.    2 et 8),  ce qui oblige l'ergot 117 de son extrémité  inférieure, en coopération avec une fente 291  d'un levier 295 monté fou sur l'ergot 120 à  faire     basculer    le levier dans le sens     dextror-          suin,    ce     mouvement        dextrorsum    du levier 295  obligeant un doigt 296 orienté vers le     liant,     en coopération avec un ergot 297 de la     biel-          lette    289, à déplacer la.

   biellette vers l'avant,  de manière à. basculer le verrou 291 dans le  sens     dextrorsnm,        dégageant    l'équerre 292 de  la fente 293 de la touche 105, ce qui a pour  résultat de libérer cette touche.  



  L'enfoncement de     la,    touche de  Soustrac  tion N  3  108     (fig.    8) amène un épaulement      298 de celle-ci au-delà d'une équerre 299 du  verrou 119, livrant ainsi ce dernier à l'action  d'un ressort 118 qui, immédiatement, fait  basculer le verrou dans le sens     dextrorsum.     Il en résulte qu'un doigt 300 de celui-ci, en  coopération avec un ergot 301 du levier de  commande 255, bascule le levier contre  l'action des ressorts 257 et 258. Le mouve  ment du levier 255 oblige aussi l'ergot 259,  en coopération avec l'arête 260, à basculer  le levier 261 dans le même sens, amenant le  cliquet 262 sur le trajet de l'extrémité infé  rieure du levier volant 218.

   Le levier 261  porte un prolongement vers le bas 302, qui  coopère avec le rebord supérieur d'un levier  303 de mise en prise N  3, monté fou sur  l'ergot 247. Le levier 303 est relié de manière  flexible, par un ressort 304, à un cliquet 305  d'embrayage N  3, monté fou sur l'ergot     2-17,     ledit ressort maintenant normalement un pro  longement vers l'arrière du levier 303 en con  tact mobile avec un ergot 306 porté par le  cliquet 305.

   Le mouvement. dans le sens     dex-          trorsum    du levier 261 amène, par l'intermé  diaire du prolongement 302, le levier 303 et  le cliquet 305 à se déplacer ensemble dans le  sens     dextrorsum,    ce qui entraîne le     cliquet     sur le trajet du prolongement inférieur du le  vier volant 218.  



  Après enfoncement de la touche 108 de        Soustraction    N  3 , et tout en maintenant le  chariot mobile dans sa position d'extrême  droite, l'opérateur enfonce la touche 105 de   Solde , afin de déclencher une opération  préliminaire de la machine, afin de déclen  cher et de préparer le totalisateur N  1 en       vue    d'une opération de total et, simultané  ment, afin de sélectionner le totalisateur N  2  en vue d'une opération d'addition, grâce au  mécanisme représenté à la     fig.    3 et expliqué  ci-dessus.

   Pendant ce temps de fonctionne  ment préliminaire de la machine, le mouve  ment initial dans le sens     dextrorsum    de l'ar  bre principal 64 et de la plaque d'embrayage  220     (fig.    8) oblige l'extrémité inférieure du  levier volant 218 à venir en contact. avec le       cliquet    305, de manière à embrayer le totalisa  teur N  3 préalablement remis à zéro avec les    crémaillères de montants, avant. tout mouve  ment initial de celles-ci, ce     mouvement    les  amenant en position proportionnelle au mon  tant. du solde négatif du totalisateur N  1. Le  montant se trouve introduit     soustractivement     dans le totalisateur N  3.

   Préalablement au  mouvement de retour vers l'avant des crémail  lères de montants, le cliquet 262, en coopéra  tion avec l'extrémité inférieure du levier vo  lant 218     (fig.    8), dégage le totalisateur N  3,  de sorte que le montant     effectif    du solde né  gatif demeure dans le totalisateur     N     3.  



  Des explications qui précèdent, il résulte  que dans l'opération préliminaire, qui est né  cessaire pour obtenir un enregistrement effec  tif d'un solde     créditeur,    le totalisateur de  solde est remis à zéro et le montant négatif  qui s'y trouvait est soustrait du totalisateur  N  3 préalablement remis à zéro et additionné  dans le totalisateur N  2; mais, étant. donné  que le mécanisme imprimeur est rendu inopé  rant, le résultat de cette opération prélimi  naire n'est pas enregistré sur le document.  Cette addition du nombre complémentaire  dans le totalisateur N  2 a pour effet de sous  traire le chiffre négatif vrai, de manière à  maintenir un enregistrement exact des nou  veaux soldes.  



  A la fin de l'opération, l'opérateur lâche  le chariot mobile qui, alors, se rend automa  tiquement, en fabulant, jusqu'à, la première  position de colonne, et la première de la série  de trois opérations conjointes d'une trans  action de solde créditeur, en vue de l'enregis  trement du montant de solde créditeur sur  les trois portions semblables du support d'ins  cription, peut alors être déclenchée par enfon  cement de la touche  Solde créditeur  106       (fig.    2).  



  La touche  Solde créditeur  106 est. une  touche dite motrice et, lorsqu'on l'enfonce,  elle amène une encoche pratiquée dans la  partie supérieure de sa tige sur le trajet d'une  équerre d'un verrou 307 qui peut tourner     sur     un tourillon 308 du flasque 21. Le verrou  307 est alors livré à l'action d'un ressort 309  qui bascule immédiatement le verrou dans le  sens     dextrorsum,    lequel déplace la barre 127      vers l'avant, mettant ainsi la machine en mar  che de la manière qui a été expliquée à pro  pos de la touche de  Solde  105.

   Le mouve  ment du verrou 307 dans le sens     dextrorsuin     oblige également un ergot. 310     (fig.    2 et 8)  porté par lui, en coopération avec une rampe  3l1 du levier 303, à basculer ce levier dans le  même sens. Ce levier, à son tour, au moyen       (lu        ressort        .\304,    entraîne le     eliquet    305, d'un       même    mouvement, jusqu'à ce que le cliquet se  trouve sur le trajet de l'extrémité inférieure  du levier volant 218. Le     eliquet    305 vient en  prise avec un ergot 312 fixé au levier 261 et  déplace le levier et le cliquet 262 dans le sens       dextror:sum.     



  Le mouvement initial dans le sens     dext.ror-          sUrn    (fi-. 8) de l'arbre principal 64 et de la  plaque d'embrayage 220 oblige l'extrémité  inférieure du levier volant 218 à coopérer avec  le     cliquet    305 en vue de mettre le totalisateur  N  3 en prise avec les crémaillères     att    début  (le la première opération et préalablement au  mouvement initial, vers l'arrière, des     eréina.il-          lères.    Le mouvement vers l'avant de la     biel-          lette    217     (fig.    ?) fait basculer le bras     2-1-1     clans le sens     dextrorsunr,

      de manière à dépla  eer la bielle 246     vers    l'avant, comme il a été       expliqué    précédemment., ce qui fait basculer  la barre 186     (fig.    4) dans le sens     senestroi-          sinn    ou vers le bas, de manière à rendre le       cliqijet    189 opérant en vue (lu déplacement, de  la glissière 178 vers l'arrière, au début. du  fonctionnement de la machine, libérant ainsi  les cliquets d'arrêt à zéro. Les crémaillères 146  sont donc libres de se déplacer vers l'arrière  et     d'être    mises en place par les roues du tota  lisateur     N     3.

   Le mouvement initial vers l'ar  rière des crémaillères 146 fait tourner en sens       inverse    les roues du totalisateur N  3 jusqu'à  la position zéro, afin que les secteurs impri  mants     correspondant.-,    soient mis en position  proportionnellement au montant effectif du  solde créditeur, après quoi le mécanisme im  primeur enregistre ce montant effectif, sur la  première portion du document.  



  L'ergot 312 du levier 261     (fig.    8) a aussi  pour rôle de maintenir une relation convena  ble entre le cliquet 305 et l'extrémité infé-         rieure    du levier volant 218. Ceci est obtenu  grâce à une arête 313 pratiquée à la partie  supérieure du levier 261 et qui est en contact  avec un collier 311 de l'arbre 64, et dans ce  cas le ressort 304 permet au levier 303 de se  déplacer indépendamment ou relativement  par rapport audit levier 261 dans le cas où il  est déplacé par le verrou 307.  



  Le mouvement de retour, dans le sens     seires-          tror:sum,    de la plaque 220 aurait pour effet,  dans des conditions normales, d'obliger l'extré  mité inférieure du levier volant 218 à s'enga  ger avec le cliquet 262 et, comme ce     eliquet     est dans sa position rigide habituelle, ceci  amènerait. le totalisateur N  3 à être débrayé  préalablement au mouvement de retour vers  l'avant, des crémaillères     1-16;    par suite, les  roues du totalisateur N  3 demeureraient en  position de zéro, ce qui n'est pas souhaitable  dans le cas particulier envisagé.

   Toutefois,  clans la machine représentée, le ressort 304,  par l'intermédiaire du cliquet 305 et de l'er  got 312, constitue une liaison flexible, de sorte  que l'extrémité inférieure du levier volant  218 peut franchir le cliquet 262, en le faisant  basculer avec le levier 261 et le cliquet 305  dans le sens     senestrorsuin,    contre l'action du  ressort 304. Ceci permet. aux roues du totali  sateur N  3 de rester en prise avec les cré  maillères 146 pendant leur mouvement de re  tour, de telle manière que lesdites roues se  trouvent ramenées à leur position initiale,  grâce à quoi le montant effectif du solde cré  diteur demeure sur ces roues.  



  Vers la fin de la première opération, le  chariot mobile se déplace automatiquement  par     tabulation    jusqu'à la seconde position de  colonne et, ce faisant, déclenche une opération  automatique de la, machine, semblable en tous  points aux secondes opérations expliquées à  propos des transactions de débit ou de crédit,  provoquant le     sous-total    sur le totalisateur  N  3, la réimpression du solde créditeur effec  tif sur la deuxième portion du document  d'enregistrement.

   A la fin de la seconde opé  ration, le chariot mobile se déplace par     tabu-          lation    automatiquement jusqu'à sa troisième  position et, dans une troisième opération de      machine, qui est de même analogue à. la troi  sième opération expliquée à l'occasion des  transactions de débit et de crédit, le totalisa  teur N  3 est totalisé ou remis à zéro et le  solde négatif effectif est à nouveau imprimé  sur la troisième portion du document.  



  Il est désirable qu'un symbole     d'identifiea-          t.ion    de transaction du solde créditeur soit im  primé à côté des inscriptions faites sur les  trois portions et ceci est     obtenu    de la ma  nière habituelle par le fait que l'extrémité  inférieure de la tige de la touche de  Solde  créditeur  106     (fig.    2 et 9), en coopération  avec la rampe     correspondante    pratiquée sur  la pièce coulissante 270, déplace la pièce cou  lissante vers l'avant d'une quantité suffisante  pour amener le secteur imprimant les sym  boles dans une position où le symbole corres  pondant à une opération de solde     créditeur     (CR)

   se trouve inscrit à côté du     montant.     intéressé sur chacune des trois     portions    du  document.  



  On se souvient que, dans la première d'une  série d'opérations d'inscription de débits, le       totalisateur    N  1 est sélectionné par le chariot.  mobile en vue d'une opération d'addition, afin  que le montant de l'article s'y trouve accu  mulé. Toutefois, dans la première d'une sé  rie d'opérations de solde créditeur, il est dé  sirable que le totalisateur de solde n'addi  tionne pas, afin que le montant du solde cré  diteur ne s'y trouve pas introduit.  



  Ceci est obtenu par le fait que le mouve  ment du verrou 30'7 dans le sens     dextrorsum,     lors de l'enfoncement de la touche de  Solde  créditeur  106     (fig.    2), oblige le verrou, en  coopération avec un ergot 315 d'une biellette  <B>316,</B> à déplacer la biellette vers l'arrière.  L'extrémité antérieure de la biellette 316 pré  sente une fente destinée à venir chevaucher  un ergot 317 de l'extrémité inférieure du  verrou 181 de sous-total, tandis que l'extré  mité arrière de la. biellette 316 est articulée à  un verrou 318 de     non-addition    du totalisateur  N  1 pivotant sur un ergot fixe du flasque  21.

   Un ressort. 319, tendu entre un ergot de  la biellette 316 et l'ergot<B>31.7</B>     (fig.    2), actionne  la biellette vers l'avant, de manière à main-    tenir normalement la partie gauche de la  fente en prise souple avec l'ergot 317, assu  rant ainsi une liaison flexible qui permet à la  biellette 316 de se déplacer vers l'arrière, indé  pendamment du verrou 181. Le mouvement  de recul de la biellette 316 fait basculer le  verrou de     non-addition    318 dans le sens       dextrorsuin,    amenant ainsi un     épaulement     d'arrêt de celui-ci sur le trajet d'un bras de  commande d'addition (non représenté ) pour  le totalisateur.

   N  1, bras de commande qui est  semblable en tous points au bras de com  mande d'addition 226     (fig.        '?)    prévu pour le  totalisateur N  3, de manière à s'opposer au  mouvement dans le sens     senestrorsum    du bras  de commande et à ne pas additionner dans le  totalisateur N  1 dans les     opérations    pour les  quelles la touche de  Solde créditeur  106 est.  enfoncée.

           JZécanisîne   <I>de</I>     commande        du        rtcbait.     Dans la série de trois opérations comprises  dans une transaction de solde créditeur, il est  désirable que l'ensemble des     inscriptions        sur     les trois parties du document comptable soit  inscrit en rouge, afin que l'on distingue faci  lement les articles de solde créditeur des  autres articles.

   Ce résultat s'obtient par l'en  foncement de la touche de  Solde créditeur   106     (fig.    ?) qui déplace l'axe de commande  d'un ruban de sa position normale,     c'est-à-dire     de sa position d'impression en noir, à. sa posi  tion d'impression en rouge et, étant.     donné     que l'aie de commande est ramené automati  quement de la position roue à la position  noire à la     fin    de chaque opération ' de la ma  chine, il est.

   prévu un     mécanisme    qui fonc  tionne en liaison avec le     mécanisme    d'em  brayage du totalisateur N  3, de manière à  faire revenir l'axe de commande en question  de sa position normale ou noire à sa, position  d'impression en rouge aussi longtemps que le  totalisateur N  3 demeure en prise avec les  crémaillères, afin que les trois inscriptions du  solde créditeur se fassent en une couleur dif  férente.  



  Le verrou 307     (fig.    2) de la touche de   Solde     créditeur.>    106 comporte, fixée à son      extrémité supérieure, une plaque 321 présen  tant une équerre 322 qui coopère avec un pro  longement orienté vers le bas d'une bielle 323  guidée à l'aide de fentes pratiquées à chacune  de ses extrémités, en coopération, respective  ment, avec un ergot 324 du flasque 21 et un  ergot. 325 assujetti à une partie recourbée de  la plaque supérieure 112.

   La bielle 323 est  articulée à l'extrémité antérieure d'une     biel-          lette        3:).6    dont l'extrémité postérieure présente  une fente qui vient s'engager sui, un ergot  327 fixé à un prolongement vers le bas d'un  renvoi 328 assujetti à.     l'extrémité    de gauche  d'un arbre 329 de commande du ruban, qui  pivote dans un bâti     transversal    330 fixé entre  les flasques 20 et 21.  



  Lorsqu'on enfonce la touche de  Solde cré  diteur  106     (fig.    2), un mouvement du verrou  307 et de la plaque 321, sous l'influence du       ressort    309, dans le sens     (lextrorsum,    est  rendu possible, comme expliqué précédem  ment; ce mouvement oblige l'équerre 322, en  coopération avec le prolongement vers le bas  de la bielle 323, à déplacer ladite bielle et la       biellette    326 vers l'avant, ce qui fait basculer  le renvoi 328 et l'arbre de commande 329  dans le sens     senestrorsum,    depuis sa position  d'impression en noir, position normale, jus  qu'à sa position     d'impression    en     rouge.     



  Un bras 331. est fixé sur l'arbre 215     d'eni-          brayage    du totalisateur N  3     (fig.    2), bras  sur     lequel    peut se déplacer un doigt 332 au  moyen d'ergots 333 et 335 en coopération avec  une fente dans l'extrémité arrière du doigt et  une fente 331 en forme de     L    près de l'extré  mité antérieure.

   Un ressort.<B>336,</B> tendu entre  le doigt. 332 et le bras 331, actionne le doigt  vers l'avant et dans le sens     senestrorsum,    de  manière à     maintenir    normalement le doigt  dans la position représentée, dans laquelle la  branche supérieure de la fente en     L    331 se  trouve à     l'alionement    avec l'ergot 335.  



  Le mouvement initial dans le sens     senes-          trorsum    de l'arbre 215 (fi-. 2) et du bras  331, lors du sous-total dans la     première    série  de trois opérations d'une transaction de solde  créditeur, amène une languette 337 du doigt    332 sur le trajet de l'ergot 327 du renvoi 3<B>2</B>3,  et., étant donné que l'arbre 215 et le bras 331  demeurent en position engagée à la fin de la  première opération de la machine, il est évi  dent que la languette 337 demeure sur le  trajet de l'ergot 327. Un mécanisme bien  connu est     prévit    pour ramener l'arbre de     rit-          bail    de la position rouge à, la position noire  vers la fin de chaque opération.

   Ce mouve  ment. de retour de l'arbre 329 de commande  du ruban     (fig.    2) et du renvoi 328 oblige       L'ergot    327, en coopération avec la languette  337, à déplacer le doigt 332 vers l'arrière,  contre L'action du ressort 336, après quoi,  immédiatement après le débrayage     dit    méca  nisme de rappel de l'arbre 329 de ruban, le       doigt    332, sous l'influence du ressort 336, ra  mène le renvoi 328 et l'arbre 329 dans le sens       senestrorsum        (fig.    2) de la position noire à.  la position rouge, de sorte que dans la  deuxième opération d'une transaction de solde  créditeur, l'impression en répétition du solde  créditeur se fait également en rouge.  



  Étant donné que le totalisateur N  3 de  meure embrayé à. la fin de la seconde opéra  tion, le ruban est maintenu dans la position  d'impression rouge et, par suite, la troisième  inscription du solde créditeur sur la troisième  partie du document se fait en rouge. Dans la  troisième opération, le totalisateur N  3 est.  débrayé au moment du total et, par suite,       l'arbre   <B>2</B>15 et le bras 33l sont ramenés dans  le sens     dextr        orsum    en position de     fig.    2, de  manière à enlever le doigt 332     dit    trajet de  l'ergot 327, de sorte que l'arbre 329 de com  mande du ruban, lorsqu'il est ramené en posi  tion, demeure dans cette position normale  d'impression en noir à la fin de ladite opéra  tion.

    



  On se rappellera que les écritures de cré  dit sont également imprimées en rouge et que,  dans de telles opérations, le doigt 332     (fig.    2)  fonctionne exactement comme on vient de le  dire ci-dessus, en vue de maintenir l'arbre 329  de     commande    du ruban en position d'impres  sion rouge, de sorte que les trois inscriptions  d'un crédit se font en rouge.      Dans certains cas, il est possible que l'ar  bre d'embrayage 215 du totalisateur N  3, le  bras 331 et le doigt 332 soient basculés dans  le sens     senestrorsum    avant que l'ergot 327, le  renvoi 328 et l'arbre 329 de commande du  ruban aient effectué leur     mouvement    de la  position noire à la position rouge.

   Lorsque  ceci se produit,     l'extrémité    supérieure de la  fente en<B>L</B> 334 permet un mouvement relatif  entre le doigt 332 et le bras 331, lorsque la  languette<B>337</B> vient en contact avec l'ergot 327,  et lorsque ce dernier et l'arbre 329 sont mis  à la position de rouge, le ressort 336 ramène  la     languette    337 dans le trajet de l'ergot 327,  de sorte que l'arbre 329 est maintenu en po  sition d'impression en rouge.

   De même, dans  les opérations où l'arbre 329     (fig.    2) de     coin-          niande        dn    ruban demeure en position de noir,  la branche supérieure de la fente 334 en<B>L</B>  permet. au doigt 332 de pivoter par rapport  au bras 331, et ceci malgré l'action du ressort  336, afin que ne soit pas contrarié le mouve  ment. d'embrayage du bras et de l'arbre 215.       Exemple   <I>de</I>     fonctionnement.     



  Bien que le fonctionnement de la machine       représentée    ressorte de la description qui pré  cède, il sera néanmoins donné     -une    brève     des-          er        iption    du     fonctionnement,    en employant à  titre d'exemple le document en trois parties,  représenté en     fig.    10.  



  L'exemple     typique    d'emploi de la     machine     représentée est celui d'un grossiste en viandes  qui vend de la viande à un certain nombre  de marchands détaillants répartis dans une  certaine localité. La méthode la plus     courain-          nient    employée d'établissement. de compte par  la majorité des grossistes en viandes est ana  logue à celle qui est employée par les grands  magasins pour la tenue des comptes courants,  à ceci près que dans le cas des grossistes, les  relevés de compte sont. donnés toutes les se  maines au lieu de tous les mois,     comme    il est  de pratique courante dans les grands ma  gasins.  



  Les achats quotidiens de viande par cha  que détaillant sont portés quotidiennement à  son compte, sous forme d'articles de débit, et    les crédits, sous     forme    de paiements     eü     compte ou de rendus, sont portés à son     compte     sous forme d'articles de crédit.

   A la fin de la  période hebdomadaire, le compte est utilisé  pour préparer le relevé en trois parties       (fig.    10), et la machine représentée peut être  utilisée pour établir ces relevés en     triplicata.     Le relevé de compte représenté à la     fig.    10  présente trois parties analogues, détachables  ou séparables, comprenant une portion 310  destinée au client, une portion     3.11    destinée à.  l'encaisseur et une portion 312 destinée au  service comptable. Ces trois portions simi  laires portent en tête le nom du client, dans  notre exemple porté à la main sur une     ligna     prévue à cet effet.  



  Lorsqu'il désire établir le compte du dé  taillant A, l'opérateur introduit convenable  ment la     feuille    en trois parties     (fig.    10) sur  le rouleau porte-papier du chariot mobile, de  telle manière que     lorsque    le chariot mobile est  dans sa 'première     position    de colonne, la. por  tion d'extrême gauche     310    se trouve à, l'aligne  ment du mécanisme imprimeur.     Piiis,    avec le  compte du détaillant  < 1 et contenant les di  verses transactions en.

   cours de la semaine,  placée à la portée de sa main, l'opérateur  compose la date, 10 mai, sur les touches de  date, le symbole YB correspondant à la caté  gorie de marchandise achetée, avec la touche  de symbole, et le montant de l'achat, 20 francs,  sur les touches de montants.     Etant    donné qu'il  s'agit là d'une transaction de débit, tout ce  qui est nécessaire pour déclencher la série de  trois opérations de la machine est d'enfoncer  la barre normale de démarrage 37     (fig.    5).

    Dans la première opération, la date, 10 mai,  le symbole YB et le montant de l'achat, 20  francs, sont imprimés dans la     première    por  tion 340 du relevé et simultanément le mon  tant se trouve additionné dans le totalisateur  N  1 et dans le totalisateur     N     3.  



  A la fin de la première opération, le     elia-          riot    mobile passe automatiquement par     tabu-          lation    à la deuxième position de colonne, dans  laquelle la partie centrale 341 du relevé de  compte se trouve à l'alignement du mécanisme  imprimeur et, avant que le chariot     arrive         dans sa position, le mécanisme représenté à.  la     fig.    7 déclenche un fonctionnement auto  matique de la machine, dans lequel le totali  sateur N  3 est     sous-totalisé    et le montant du  premier article de débit, 20 francs, est im  primé par répétition sur la partie centrale  341 du relevé.

   En même temps, la date,  10 mai, et le symbole<I>YB</I> sont également en  registrés. La. répétition de l'impression de la  date dans ce cas est effectuée par le main  tien des touches de date enfoncées     tôut    le  temps, et la répétition de l'impression du sym  bole YB est, effectuée grâce à une roue spé  ciale située dans le totalisateur N  3 pour la  rangée de touches de symboles, laquelle roue  est mise en position pendant la première opé  ration, dans une position correspondant à la  touche de symbole quia été enfoncée.  



  Après que la seconde inscription (dupli  cata) a été effectuée sur la partie centrale       3-11,    le chariot mobile passe     automatiquement     par     tabulation    à la troisième position de co  lonne, dans laquelle la portion de droite 342  du relevé se trouve à. l'alignement du méca  nisme     imprimeur    et pendant, cette     tabulation     déclenche un autre     fonetionnenient    automa  tique pendant, lequel le totalisateur N  3 est,  remis à zéro et le montant de l'article de  débit, 20 francs, est imprimé par répétition  sur la troisième portion 342 (triplicata).

    Comme auparavant, le     symbole    YB et la date,  10 mai, sont imprimés par répétition sur la  portion triplicata 342, de sorte que l'on  obtient. trois enregistrements imprimés iden  tiques de la transaction effectuée le 10 mai.  



  L'inscription d'un débit de 30 francs pour  le 11 mai est. enregistrée sur les trois parties  (lu bulletin de compte, exactement de la même  manière. Dans chaque cas, une fois que la  troisième inscription a été imprimée sur la  portion triplicata 342, le chariot mobile re  tourne automatiquement à la position de co  lonne N  1 et, en même temps qu'il retourne,  le rouleau porte-papier avance d'une ligne en  vue de la prochaine inscription.  



  Pour la troisième inscription de ce compte  particulier, l'opérateur compose la date,  12 mai, le symbole convenable<I>CD,</I> destiné à    identifier cet article de crédit, et. le montant  de l'article, 40 francs.     Etant    donné qu'il  s'agit d'une transaction de crédit, l'opérateur  enfonce la touche de  Soustraction N  1 <B>109</B>       (fig.    2) de manière à rendre le totalisateur  N  1 apte à une opération de soustraction,       puis    11 enfonce la barre de démarrage, afin de  mettre la machine en marche. L'enfoncement,  de la touche de  Soustraction N  1  109 place  le mécanisme dans une position telle que le  ruban encreur     glisse    du noir au rouge et que  l'article de crédit se trouve inscrit dans une  couleur distinctive.

   De même, l'enfoncement  de la touche de  Soustraction N  1  déclenche  le secteur imprimeur de     symbole    280     (fig.    9)  qui imprime le signe  moins  à la droite du  montant, de manière à     indiquer    qu'il s'agit  d'une opération de crédit.  



  Dans la. première opération d'une trans  action de crédit, la date, 12 mai, le symbole  <I>CD,</I> le montant de crédit, 40 francs, et le si  gne  moins  sont imprimés en rouge sur la  première portion du relevé, et le montant se  trouve simultanément soustrait du totalisa  teur N  1 et additionné dans le totalisateur  N  3. A la fin de la première opération, le       eliariot    mobile passe automatiquement. par     ta-          bulation    à sa seconde position de colonne,  dans laquelle la partie centrale 341 du relevé  se trouve à l'alignement des mécanismes im  primeurs, et dans une opération automatique  de la machine, les mêmes données sont impri  mées sur le duplicata 341.  



  A la fin de la seconde opération, le cha  riot passe     automatiquement    par     tabulation    à  la troisième position de colonne, dans laquelle  c'est la. portion de droite 342 du bulletin qui  se trouve à l'alignement des mécanismes im  primeurs, et dans une opération automatique  de la machine, les données relatives à la  transaction créditrice sont réimprimées sur la  troisième partie du bulletin ou triplicata.  L'article de débit pour le 13 mai est inscrit       exactement    de la manière expliquée pour les  autres articles de débit, et l'article de crédit  du 14 mai est inscrit exactement de la manière  expliquée pour le précédent article de crédit  du 12 mai.

        Lorsque toutes les inscriptions de débit et  de crédit ont été faites pour la période hebdo  madaire envisagée, l'opérateur enfonce la tou  che de  Solde  105, afin de déclencher la pre  mière des trois opérations de solde, dans la  quelle le totalisateur N  1 est remis à zéro,  tandis que le solde qui s'y trouve contenu,  50 francs, est imprimé sur la première por  tion 340 du relevé, tandis que le symbole  d'identification (un astérisque), qui est sé  lectionné par l'enfoncement de la touche de   Solde , se trouve imprimé immédiatement à.  droite de la somme.

   Dans cette première opé  ration de solde, comme dans toutes les opéra  tions de débit et de crédit, le totalisateur N  3  est automatiquement sélectionné et mis en po  sition d'addition, afin que le montant du  solde, 50 francs, y soit additionné et en même  temps le mécanisme représenté à la     fig.    3 sé  lectionne et met en position le totalisateur       iNT     2, en vue d'une opération d'addition, de  sorte que le total des soldes net s'y trouve  accumulé.  



  Une fois la première opération achevée, le  chariot mobile passe par     tabulation    à la se  conde position de colonne et, par une opéra  tion automatique, le solde et le symbole  d'identification sont réimprimés sur la se  conde portion du relevé. Quand la seconde  opération est achevée, le chariot mobile passe  à la troisième position de colonne et, grâce  à une autre opération automatique, le solde  et le     symbole    d'identification sont réimprimés  sur la troisième portion 342.  



  On     remarquera    que la date n'est pas im  primée dans les opérations de solde. Ceci est  voulu et s'obtient en munissant le totalisateur  N  1 du dispositif de      non-totalisation     dans  les trois positions correspondant. aux trois cré  maillères de date. Le dispositif retient les cré  maillères de date et leurs secteurs imprimeurs  correspondants en position de zéro ou de       non-impression    lors de la première opération,  afin d'empêcher l'impression. de la date sur  la première portion du compte, même si les  touches de date sont enfoncées.  



  Le totalisateur N  1 n'est pas embrayé  avec les crémaillères dans les seconde et troi-         sième    opérations et, par suite, il n'intervient  pas pour empêcher l'impression de la date  dans de telles     opérations.    Pour pallier cette  difficulté, le     totalisateur    N  3 est. muni de  roues normales dans les positions correspon  dant aux crémaillères de date et, dans la pre  mière opération, celles-ci maintiennent les  roues N  3 à zéro.

   Il est. évident que les roue,  de date N  3 démarreront à. zéro dans la se  conde et la troisième opération et, à leur  tour,     maintiendront    les crémaillères de date à  zéro, ce qui empêchera l'impression de la date       star    la deuxième et la     troisième        portion    du  relevé.

   On voit ainsi qu'à, la fin de la se  maine, le détaillant A doit. an grossiste la  somme de 50 francs, et lorsque ce dernier  vient encaisser cette somme, il donne la pre  mière portion 340     (fig.    10) au client, à. titre  de reçu et pour sa documentation, et conserve  la. seconde portion 341 pour son propre dos  sier à lui encaisseur, tandis que la troisième  portion 342 est conservée par la Compagnie  pour les archives des transactions de la se  maine en cours.  



  *Le second groupe     d'inscription,    porté sur  les trois parties du bulletin, illustre à titre  d'exemple la manière de traiter un compte  impliquant un solde créditeur dans lequel la  différence est. en faveur du client.  



  Dans ce second exemple, les articles de  débit et de crédit sont. introduits exactement  comme on l'a expliqué pour le premier exem  ple, et une fois que le dernier article de dé  bit de 10 francs a été enregistré, l'opérateur,  ne sachant pas que le totalisateur N  1 est en  dépassement, tente d'enfoncer la. touche de   Solde , afin de déclencher une transaction  de solde. Ceci naturellement est impossible,  étant donné que le mécanisme représenté à la       fig.    8 verrouille la. touche de solde contre tout       enfoncement    dès que le totalisateur de solde  passe d'une situation positive à une situation  négative.

   Lorsqu'il découvre cette situation,  l'opérateur déplace le chariot mobile d'un  cran vers la. droite jusqu'à l'amener en posi  tion  hors tabulateur , qui est déterminée par  le margeur de gauche et, tout en maintenant  le chariot dans cette position, il enfonce la      touche<B>108</B> ou  Soustraction N  3      (fig.    ?)  et déclenche alors une     opération    préliminaire  en enfonçant la touche de  Solde  105. Le       mouvement    du chariot vers la position en  question entraîne le verrouillage de tous les  secteurs imprimeurs contre des mouvements  d'impression, de sorte qu'aucun enregistre  ment de cette opération ne peut être     effectué     sur le papier. Lorsqu'on fait fonctionner la  machine, le totalisateur de solde est remis à.

    zéro et le solde complémentaire ou négatif,  qui s'y trouve, est simultanément soustrait du  totalisateur N  3 et additionné dans le totali  sateur N  2. Ceci a pour résultat l'introduc  tion du solde négatif effectif dans le totalisa  teur N  3 et. sa soustraction du totalisateur  N  2, lequel, comme expliqué précédemment,  accumule le total net. de tous les soldes. A la  fin de l'opération préliminaire, le chariot mo  bile est laissé libre de revenir par     tabulation     à la première position de colonne, dans la  quelle la partie gauche 340 du relevé     (fig.    10)  est à l'alignement du mécanisme imprimeur.  



  La première opération de solde créditeur  est déclenchée par l'enfoncement de la touche   Solde créditeur  106     (fig.    2) qui oblige le  totalisateur N  3 à     embrayer    pour un sous  total en même temps que les totalisateurs  N ' 1 et 2 sont     non-additionnés,    de sorte     clne     le montant. effectif du solde créditeur, 30  francs, est imprimé sur la. première portion  du relevé. De même, l'enfoncement de la tou  che  Solde créditeur  amène le secteur     impri-          meur    de symboles à être mis en     position,    de  manière à imprimer un symbole d'identifica  tion<I>CR</I> immédiatement à droite de l'ins  cription de solde créditeur.  



  A la. fin de la première transaction de  solde créditeur, le chariot mobile passe auto  matiquement à la seconde position de colonne  et, ce faisant, déclenche un fonctionnement  automatique de la machine pendant. lequel le  montant effectif du solde créditeur, 30 francs,  et le symbole     correspondant.   <I>CR</I> sont ré  imprimés sur la seconde partie du relevé. A  la fin de la seconde opération, le chariot mo  bile passe automatiquement à la troisième po  sition de colonne et, ce faisant, déclenche un    autre fonctionnement automatique de la ma  chine, dans lequel le montant positif du solde  créditeur et le symbole correspondant sont ré  imprimés sur la troisième portion du relevé.  



  Il est désirable que les données relatives à.  une transaction de solde créditeur soient im  primées en rouge, et ceci résulte de l'enfonce  ment de la touche 106  Solde créditeur      qui     amène l'arbre 329     (fig.    2) de commande du  ruban en position d'impression rouge; l'arbre  est maintenu en position par le doigt 332,  comme expliqué plus haut, de sorte que les  trois inscriptions de solde créditeur se font.  dans une couleur distinctive.   On remarquera que dans les transactions  de solde créditeur comme dans les trans  actions régulières de solde, la date n'est im  primée sur aucune des trois portions, pour la  même raison que celle expliquée     plus.    haut.  



  Si, à la fin d'une période commerciale  quelconque, telle qu'une journée par exemple,  l'opérateur désire savoir duel est le solde total  net, il peut l'obtenir en tirant le total ou le  sous-total du totalisateur N  2 qui accumule  le total des soldes nets. Ordinairement, le  solde total net n'est pas imprimé sur le relevé  représenté à la     fig.    10, mais il est imprimé  sur un autre document. comptable qui est con  servé dans les archives.

   Dans la machine re  présentée, le solde net est inscrit. seulement  sur la bande comptable, ce qui s'obtient en en  fonçant la touche de      Non-addition     111 en  même temps que la touche 107 de  Total  N       ? .    Cette dernière touche déclenche une  série d'opérations de la machine dans la pre  mière desquelles le totalisateur N  2 est tota  lisé et le montant qui s'y trouve imprimé sur  le document.     Etant    donné que les totalisa  teurs Nos 1 et. 3 sont sur non-addition pen  dant la première opération, ils demeurent à.  zéro pendant la. seconde et la troisième opéra  tion et, par suite, rien n'est     imprimé        sur    le  document.  



  Dans les opérations de solde net., il     est     souhaitable que la date ne s'imprime pas non  plus, et ceci est obtenu en munissant le tota  lisateur N  2 de roues appropriées dans les  positions correspondant aux crémaillères de la      date, de manière à maintenir les crémaillères  en position de zéro, de telle sorte que même si  les touches de date sont enfoncées, la date ne  soit pas imprimée. La touche de      Non-addi-          tion     111 met en position le secteur impri  meur de symboles, de manière à imprimer un  symbole de     non-addition    immédiatement à  droite du solde total net.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine comptable, comprenant un chariot mobile destiné à porter tin support d'enregis trement, des organes de tabulation du chariot en diverses positions de colonnes, un certain nombre de totalisateurs, des entraîneurs pour les totalisateurs, des dispositifs d'embrayage sélectifs pour les totalisateurs, des organes d'impression, des organes d'enregistrement et des dispositifs de répétition automatique, ca ractérisée par le fait que les dispositifs de ré pétition automatique comprennent des organes propres à faire que l'un des totalisateurs de meure constamment en prise avec les entraî neurs, après qu'une impression est faite dans une première colonne,
    pendant chacune d'un certain nombre d'impressions successives comprises dans une série d'impressions com plète, par des organes tels que ledit. totalisa teur commande les entraîneurs et les organes d'impression pendant ces impressions succes sives, de manière à effectuer des impressions répétées dans chacune d'un certain nombre de colonnes différentes, et par des dispositifs de débrayage pour le totalisateur, agissant, lors que la dernière impression d'une série a été enregistrée dans une dernière colonne, pour débrayer le totalisateur. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine selon la revendication, compre nant. un totalisateur de Solde disposé pour accumuler un total général de toutes les pre mières impressions comprises dans chaque série, caractérisée par le fait que les disposi tifs de répétition automatique sont disposés de telle manière que lorsqu'an total est extrait du totalisateur de solde, il est transmis au to talisateur répétiteur , lesdits dispositifs ame- nant alors le total transmis à. être imprimé à répétition pendant les autres impressions con sécutives comprises dans une série complète. 2.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, et comprenant un méca nisme de total pour le totalisateur de solde et des organes de verrouillage pour verrouil ler ce mécanisme de total lorsqu'il s'y pro duit un renversement, caractérisée par des dispositifs propres à rendre le totalisateur ré pétiteur apte à.
    la soustraction et aménagés pour assurer le déblocage du mécanisme de total, grâce à, quoi une opération de total fait entrer soustractiv eurent le renversement dans le totalisateur répétiteur, de manière à @# constituer le total effectif, le mécanisme répé titeur commandant alors le totalisateur répé titeur de faon que des impressions répétées du total effectif soient effectuées pendant les opérations subséquentes de la. machine. 3. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée par an mécanisme de non-addition disposé pour débrayer le totalisateur de solde lorsque le premier d'une série de totaux effectifs est imprimé. 4.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée par des butées de zéro pour les entraîneurs, par des dispositifs rendant inopérantes ces butées lors que le premier d'une série d'articles est intro duit dans le dispositif inscripteur d'articles, et par des dispositifs de débra@-age automati que des butées pendant chacune d'une série d'opérations commandées par le totalisateur répétiteur. 5.
    Machine selon la revendication et. les sous-revendications 1 à -1, caractérisée par un dispositif d'embrayage pour le totalisateur ré pétiteur et par des organes reliés à ce dispo sitif et manoeuvrables lors d'un mouvement initial d'embrayage, de manière à rendre inopérantes les butées de zéro pendant les opérations subséquentes de la machine. 6.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée par une bielle mobile adaptée pour embrayer et dé brayer le totalisateur répétiteur, par un dis- positif propre à déplacer la bielle lorsque ledit totalisateur est en prise pendant la pre mière opération d'une série et par un organe d'accouplement qui, lorsque 1a bielle est actionnée, rend inopérantes les butées de zéro. 7.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 6, caractérisée par un organe imprimant des symboles, par des organes pour son ajustement, de manière qu'un symbole d'identification soit, imprimé à côté de la première impression d'une série, et par des organes commandés par le dispo sitif d'embrayage du totalisateur répétiteur, en vue d'imprimer le même symbole à côté de chacune des impressions restantes comprises dans la série. 8.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 7, caractérisée par un secteur imprimeur, par un arbre à position différentielle pour ajuster le secteur impri meur, par un se-ment monté sur l'arbre, par une pièce mobile dépla,(jable lorsque le totali sateur répétiteur est embrayé et par un eli- quet porté par ladite pièce et venant en prise avec des dents du segment., lorsque la pièce est déplacée, de façon que le secteur imprimeur demeure en position ajustée pendant.
    chacune des opérations de la machine pour lesquelles le totalisateur répétiteur est embrayé. 9. Maehirre selon la revendication et les sous-revendieations 1 à 8, caractérisée par un ruban bicolore, par des organes de déplace ment adaptés pour déplacer le ruban de fa çon que la couleur convenable coopère avec les organes imprimeurs en vue de l'impression (lu premier article d'une série, et par des dis positifs commandés par le mécanisme d'em brayage du totalisateur répétiteur,
    de faon (lue le dispositif de déplacement mette le ru ban dans une position telle que chacune des impressions restantes d'une série soit irnpri- ?née dans la même couleur que la première impression. 10. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 9, caractérisée par un dispositif ayant normalement pour effet de déplacer l'une ou l'autre des zones du ruban en position de coopération avec le dispositif imprimeur et disposé pour, normalement, faire revenir L'une des zones en position de fonctionnement à la fin de chacune des opéra tions de la machine, et par un dispositif relié au mécanisme d'embrayage du totalisateur ré pétiteur,
    fonctionnant en liaison avec lui et ayant pour but de ramener l'autre zone du ruban cri position d'impression tant que le totalisateur répétiteur reste embrayé. 11. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 10, caractérisée en ce que le ruban présente une zone noire et une zone rouge, par un dispositif comprenant un arbre destiné à mettre sélectivement le ruban en position de coopération avec le dispositif imprimeur, ledit arbre ayant normalement pour rôle de mettre la zone noire en position d'impression, par un élément de commande adapté, pendant l'impression du premier arti cle d'une série, pour obliger l'arbre à.
    amener le ruban en position d'impression en rouge, et par un doigt flexible relié au mécanisme d'enr- brayage du totalisateur répétiteur et adapté pour ramener l'arbre à la position de rouge, --race à quoi les articles se trouveront impri més en rouge pendant. l'opération initiale et les opérations de répétition de la machine. 12.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 11, et. comportant un mécanisme destiné à embrayer automatique ment un dispositif d'entraînement et un dis positif principal d'opération, de manière à dé- elencher la machine pour des opérations dans lesquelles le totalisateur répétiteur commande des impressions à répétition, caractérisée par le fait que les organes de déclenchement com prennent un dispositif maintenant normale- nient un embrayage du dispositif entraîneur et du dispositif principal d'opération en, po sition débrayée,
    une liaison mécanique des tinée à rendre inopérant le dispositif de main tien, un dispositif verrouillant normalement ladite liaison contre tout mouvement, et un dispositif commandé par le chariot, et par des organes manuels destinés à rendre le verrouil lage inopérant, pour libérer la machine en vue de son fonctionnement. 13.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 12, caractérisée par un cliquet coopérant avec le verrouillage, par un levier pivotant adapté pour soulever le cli- quet et pour rendre inopérant le verrouillage, et par des liaisons entre des éléments de com mande et le levier, afin que celui-ci soit bas culé par le chariot, dans des positions de co lonnes déterminées à l'avance, afin de dé clencher automatiquement la machine en v;ie d'opérations. 14.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1. à 13, caractérisée par un dispositif manuel adapté pour rendre inopérants les dispositifs commandés par le chariot, grâce à quoi la machine n'est déclan- chée que par cule action manuelle.
    15. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à,<B>1.4,</B> caractérisée par le fait que les liaisons avec le chariot com prennent un levier comportant deux parties mobiles l'une par rapport à. l'autre, l'une des- dites parties étant adaptée pour entrer en contact et faire basculer ledit levier pivotant, cette partie étant déplacée, lorsque le disposi tif manuel est manoeuvré, de manière à ne phis être en relation de coopération avec le levier pivotant, grâce à quoi la machine n'est déclenchée que sur intervention des dispositifs manuels. 16.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 15, caractérisée par des éléments de commande montés sur le chariot, de manière à commander la tabula- tion de celui-ci, et par d'autres élément montés sur le chariot et adaptés pour rendre le verrouillage automatiquement inopérant, lesdits autres éléments étant disposés intermé- diairement par rapport aux premiers élé ments, et par un dispositif de blocage de la liaison mécanique, commandé par ces der niers éléments,
    la disposition étant telle que les éléments de commande de déclenchement permettent un mouvement. partiel de la liai son et que le dispositif de blocage est rendu inopérant lorsque le chariot arrive à la posi tion de colonne suivante, grâce à, quoi le dis positif mécanique de liaison peut terminer son mouvement et la machine est automatique ment déclenchée en vue de son. fonctionne ment.
CH282770D 1948-07-02 1949-07-01 Machine comptable. CH282770A (fr)

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