Machine comptable. La présente invention se rapporte à une machine comptable.
Dans beaucoup d'entreprises, il est souhai table que chaque transaction ou opération soit imprimée sur chacune de plusieurs portions détachables d'une fiche d'enregistrement, afin que chacune des parties intéressées à la trans action dispose d'un document original authen tique et identique de ladite transaction, et le but général de la présente invention est l'ob tention d'une machine comptable permettant la production de tels documents identiques, et qui ne nécessite qu'un nombre minimum de mouvements de divers mécanismes, de ma nière à éviter toute usure inutile de ceux-ci.
A cet. effet, la machine comptable faisant l'objet de l'invention comprend un chariot mobile destiné à porter un support d'enregis trement, des organes de tabulation du chariot en diverses positions de colonnes, un certain nombre de totalisateurs, des entraîneurs pour les totalisateurs, des dispositifs d'embra@-age sélectifs pour les totalisateurs, des organes d'impression, des organes d'enregistrement et des dispositifs de répétition automatique, cette machine étant caractérisée par le fait que les dispositifs de répétition automatique comprennent des organes propres à.
faire que l'un des totalisateurs demeure constamment en prise avec les entraîneurs, après qu'une impression est faite dans une première co lonne, pendant chacune d'un certain nombre d'impressions successives comprises dans une série d'impressions complète, par des organes tels que ledit totalisateur commande les en traîneurs et les organes d'impression pendant. ces impressions successives, de manière effectuer des impressions répétées dans cha cune d'un certain nombre de colonnes diffé rentes, et par des dispositifs de débrayage pour le totalisateur, agissant, lorsque la der nière impression d'une série a été enregistrée dans une dernière colonne, pour débrayer le totalisateur.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma eliine faisant l'objet. de l'invention.
Fig. 1 est une coupe transversale, du côté droit de la machine, juste à droite de l'une des rangées de touches de montants, avec le montage de cette rangée et le mécanisme cor respondant.
Fig. 2 est une élévation latérale, telle qu'on la voit sur le côté gauche de la machine, avec une rangée de touches de commande et les mécanismes de commande qui leur sont associés.
Fig. 3 est une vue détaillée d'un méca nisme de transfert de totaux entre une touche de solde N 1 et un totalisateur N 3.
Fig. 4 est. une vue détaillée d'une partie d'un mécanisme destiné à commander des cli- quets d'arrêt à zéro dans des opérations à répétition.
Fig. 5 est une élévation de droite mon trant en particulier un mécanisme destiné à donner l'impulsion première aux opérations de la machine, et une partie du mécanisme moteur principal de ladite machine.
Fig. 6 est. une vue détaillée d'une partie du mécanisme de déclenchement représenté à la fig. 5.
Fig. 7 est une vue détaillée de l'un des organes de libération de la machine et dit levier de libération qui lui est associé pour déclencher le fonctionnement automatique de la machine sur mouvement du chariot mobile dans l'une des colonnes prédéterminées.
Fig. 8 est une élévation de gauche, en agrandissement, d'une portion du mécanisme de commande des fonctions du totalisateur N 3.
Fig. 9 est une vue détaillée d'un secteur imprimant des symboles et d'une partie d'un système de liaison destiné à le mettre en po sition.
Fig. 10 est le fac-similé d'un compte coin- portant plusieurs portions détachables ou sé parables contenant chacune des impressions identiques pour chaque transaction ou opéra tion commerciale. Bâti <I>et</I> chariot mobile.
Le bâti de la machine représentée com prend un flasque principal de droite 20 (fig. 5) et un flasque principal de gauche 21 (fig. 1 et 2) maintenus fixes et parallèles l'un par rapport à l'autre au moyen d'une base (non représentée) et de différents cadres, barres et tiges transversales.
Fixé aux extrémités arrière des flasques principaux 20 et 21 se trouve un bâti de tota lisateurs 22 qui supporte des totalisateurs Nos 1 et 2, et un bâti de totalisateurs analo gue 24 soutenant normalement des totalisa teurs N 5 3 et 4; toutefois, dans la présente réalisation, le totalisateur N 4 n'est pas utilisé.
Le bâti de la machine et le mécanisme supporté par lui sont enfermés dans un coffre 25 (fig. 1) qui, à son tour, supporte des rails horizontaux 26 et 27 espacés et supportant un chariot mobile 28. Le rail antérieur 26 pré sente une gorge horizontale destinée à rece- voir des -galets montés sur la portion anté rieure du\ bâti de chariot. mobile 28, tandis que le rail postérieur 27 présente une rainure de roulement de forme angulaire découpée dans sa, partie supérieure et destinée à rece voir des roulements à. billes qui coopèrent.
avec une rainure de roulement semblable dé coupée dans un rail d'accompagnement 30, fixé à la partie postérieure du bâti de chariot. mobile 28. Le chariot mobile 28 est, maintenu en position correcte par rapport aux rails 26, '7 et 30 au moyen d'un épaulement orienté vers le bas et formé sur le rail 27 (fig. 1)., par l'intermédiaire d'er,--ots 31 Dun seul \d'en tre eux est représenté ici)
fixés sur une barre î an gulaire 32 qui est, à son tour, attachée à une surface polie de la. partie inférieure du bâti de chariot 28.
Tourillonnant dans le biti du chariot mo bile 28 se trouve uni rouleau porte-papier 33 destiné à présenter le matériau d'inscription tel que, par exemple, le compte représenté à la fig. 10, devant lui certain nombre de sec teurs imprimeurs 34 (fi$'. 1) qui, par l'inter médiaire d'un ruban encreur bicolore du type classique (non représenté). impriment une ins cription correspondant à chaque transaction sur ledit matériau d'inscription.
Le chariot mobile 28 est attiré vers la gauche, soit dans la direction de tabulation, au moyen d'un ruban d'entraînement du type classique (non représenté) fonctionnant. en liaison avec une bobine actionnée par ressort (non représentée). Des dispositifs actionnés par moteur et fonctionnant automatiquement lorsque le chariot. arrive au terme de son mouvement dans la direction de tabulation sont, prévus pour faire revenir_le chariot à. sa position de départ ou à. une autre position intermédiaire, si on le désire.
Montée de manière amovible sur la partie antérieure du bâti de chariot 28 (fig. 1) se trouve une barre 35 qui supporte de manière réglable un certain nombre de tabulateurs 36 placés sur la. barre 35 d'après l'espacement en colonne du type de matériau d'inscription utilisé dans le système commercial envisagé.
Lorsqu'on change de document, la barre 35 et tous les tabulateurs 36 placés sur elle peu vent être enlevés tous ensemble de la machine, et une barre analogue comprenant le nombre nécessaire de tabulateurs 36, convenablement espacés, peut. être rapidement mise à sa place, de manière à déterminer le nouveau réglage de colonnes sur ledit; document.
Les tabulateurs 36 sont. munis de butées (lui, en liaison avec des barres d'arrêt de ta- bulation habituelles (non représentées), coin- i anclc#nt les positions en colonnes du chariot mobile à la fois dans la direction de tabula- tion et dans la direction de retour.
De même, les tabulateurs 36 sont, munis de bossages de commande espacés qui, en liaison avec des le- viers correspondants, commandent. les fonc tions d'addition des totalisateurs N 5 1 et et la fonction de soustraction du totalisateur N" 1 et, dans la. présente forme d'exécution de la machine, il est prévu un tabulateur spé- cialement concis pour provoquer le fonction nement automatique de la machine, comme il sera expliqué plus loin.
JIe-cavisme cl'cratrcaîrzerüerrt <I>de la,</I> machine. La machine est entraînée par un moteur électrique du type classique marche-arrêt (non représenté) qui est relié à l'arbre prin- cipal de la machine par un mécanisme d'em- brayage, le moteur étant mis en marche et le mécanisme d'embrayage rendu effectif dans les opérations ordinaires, au moyen d'une barre principale de mise en marche 37 (fig. 5) ou au moyen d'une barre motrice t:uxiliaire verticale d'avance 38.
La barre de mise en marche 37 comprend deux bras orientés cers le bas, qui passent à. travers des ouvertures pratiquées dans une plaque supé rieure 39 du clavier, fixée aux flasques prin cipaux '?0 et '1, et la tige de la barre verticale d'avance 38 passe, de manière analogue, à tra vers un trou pratiqué dans ladite plaque 39. L'extrémité inférieure de la barre 37 présente deux encoches alignées qui agissent en rela tion avec des galets montés sur des ergots -10 et 41 portés par le flasque de droite 20, ceci afin de permettre que la barre de mise en marche 37 puisse être enfoncée.
Le bras arrière de la barre 37 porte un ergot q'qui coopère avec un doigt. -13 d'un étrier 44 libre sur un ergot 4 5 fixé au flasque de droite '30. Un ressort 46, tendu entre un doigt tourné vers le bas de l'étrier .14 et L'ergot 40, agit sur ledit étrier et. sur le doigt -13, de manière à. les tourner dans le sens senes- trorsum, comme on le voit à la fig. 5, clé ma nière à maintenir la barre 37 dans sa position supérieure représentée.
L'étrier 4-1 présente un bras se prolongeant vers l'avant et auquel est relié, de manière pivotante, un crochet -17 comprenant deux épaulements en palier 48 et -19 qui coopèrent avec une oreille recourbée 50 d'un verrou 51 monté fou sur un ergot 52 assujetti au flasque de droite 20.
Un ressort 53 (fig. 5), tendu entre le verrou 51 et le crochet -17, oblige ces pièces à tourner dans le sens dextrorsum, de faeon que, normalement, le crochet soit maintenu clé manière amovible en relation avec l'oreille 50 et que le verrou 51 soit. engagé avec une oreille repliée 5-l d'un levier 55 (voir aussi fig. 6) monté libre sur un moyeu 56 d'une plaque de contrôle 57, ledit moyeu pouvant tourner sur un arbre 58 qui lui-même touril- lonne dans le bâti général de la machine.
Un ' ressort 59, tendu entre le levier 55 et la pla que 57, amène ces deux parties l'une vers l'autre, de façon que, normalement, les sur faces opposées d'un prolongement de ladite plaque et d'un prolongement 60 du levier soient maintenues engagées avec des prolon gements correspondants d'un ergot 61 qui est fixé à un prolongement vers le bas d'un levier coudé 62 monté fou sur l'ergot 40.
Lorsqu'on enfonce la barre motrice 37 (fig. 5 et 6), l'ergot 42 fait basculer l'étrier -11 dans le sens dextrorsum, ce qui soulève le crochet. 47 et oblige par là l'épaulement en palier 48, en coopération avec l'oreille 50, à taire basculer le verrou 51. dans le sens senes- trorsum contre l'action du ressort 53, ce qui dégage la dent du verrou de l'oreille 54 et libère le levier 55.
Une biellette 65 relie le le vier 55 à un renvoi 63 monté fou sur un arbre principal 64 qui tourillonne dans le bâti de la machine; la libération du levier 55 permet alors au ressort 84 de faire basculer le renvoi 63 et ledit levier dans le sens dextrorsum. Ce mouvement du levier 55 amène le prolonge ment 60, par l'intermédiaire de l'ergot 61, à faire basculer le levier coudé 62 dans le sens senestrorsum. De ce fait, un ergot 66, porté par ce levier, en coopération avec.
un prolon gement vers le haut d'un levier à trois bras 67, monté fou sur un ergot 68 assujetti au flasque de droite 20, fait basculer ledit levier dans le sens dextrorsum, ce qui amène un ergot. 69 d'un prolongement vers le bas de ce lui-ci à se dégager d'un épaulement 70 porté par un bras 71 de libération d'embravage monté fou sur un ergot 72 porté par le flas que 20. Le bras 71, sous l'action d'un dispo sitif mobile (non représenté), fait bascule dans le sens senestrorsum, ce qui, par l'inter médiaire d'une bielle 73, agit sur l'embrayage (non représenté) et simultanément sur un contact qui commande le moteur électrique.
Le moteur d'entraînement est relié par une bielle 74 (fig. 5) à un bras 75 assujetti à l'arbre principal 64 qui, par ces pièces, oscille d'abord dans le sens senestrorsum, puis le ra mène à sa position normale, d'un angle d'en viron 60 , effectuant ainsi un cycle d'opéra tions. Le bras 75 porte un galet 76 qui co opère avec une fente 77 d'un bras 78 assu jetti à l'extrémité de droite d'un arbre 79 tou- rillonnant dans les flasques principaux 20 et 21.
L'oscillation du bras 75 d'abord dans le sens senestrorsum, puis retour à. sa position normale (fig. 5), oblige le galet 76, en coopé ration avec la fente 77, à faire basculer le bras 78 et l'arbre 79 d'abord dans le sens senestrorsuin, puis retour à leur position nor male, comme on peut le voir à la fig. 5.
Vers la fin du mouvement initial dans le sens senestrorsum de l'arbre principal 64 (fig. 5 et 6), un goujon 80, d'un levier coudé 81 assujetti audit arbre, vient en contact avec un doigt 82 et ramène le levier 55 dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 84, de manière à faire venir l'oreille 54 sous la dent du verrou 51 qui, sous l'influence du ressort 53, ramène ladite oreille et les pièces en position d'origine. Vers la fin du mouvement de retour dans le sens dextrol:suln de l'arbre 64.
une came du mécanisme d'embrayage (non représentée) ramène 1a bielle 73 et le bras 71 vers l'arrière, ce qui amène l'épaulement 70 au-delà de l'ergot 69; alors, un ressort 83 tendu entre les leviers 55 et 62 ramène le levier 67 dans le sens senestrorsum et l'ergot 69 sur le trajet dudit épaulement 70, main tenant ainsi le bras 71 et les pièces connexes en position initiale. L'enfoncement de la barre motrice verti cale 38 (flg. 5) agit sur la barre de mise en marche 37, ce qui met la machine en marche, exactement de la même manière qu'il a été expliqué ci-dessus.
Mécanisme <I>de</I> raon-répétitiora. On a prévu un mécanisme pour empécher la machine de répéter les opérations au cas où l'urne des barres 37 ou 38 serait encore enfon cée à la fin du cycle de fonctionnement. La plaque de contrôle 57 (fig. 5) présente une portion recourbée 86 qui entoure un bec 87 du crochet. 47, et étant donné que la plaque 57 est reliée de manière mobile au levier 5:5 par le ressort 59, les pièces se déplacent. en semble lorsque le levier 55 est libéré sous l'in fluence du ressort 84, après enfoncement de la barre motrice 37, comme expliqué ci-dessus.
Le mouvement initial, dans le sens dextror- sum, de la plaque 57 oblige la portion re- cou rbée 86, en coopération avec le bec<B>8î,</B> à déplacer le crochet 47 vers l'arrière après que le verrou 51 a été dégagé de l'oreille 54, écar tant ainsi l'épaulement en palier #48 de L'oreille 50.
Ceci permet au ressort 53 de ra mener immédiatement. le verrou 51 dans le sens dextrorsum, jusqu'à ce que l'oreille 50 vienne au contact de l'épaulement 49 et oblige la dent du verrou à venir se mettre sur le trajet de l'oreille 54 du levier 55, de sorte que la barre 37 ou 38 enfoncée ou non, le verrou 51 agira toujours de manière à s'en gager avec l'oreille 54 et à maintenir le levier 55 en position d'origine pour empêcher la ré pétition de l'opération de la machine.
Quand on lâche la barre motrice 37 ou 38, le ressort -16 (fig. 5) ramène l'étrier 44 dans le sens senestroi:5um et, en<I>même</I> temps, ra mène la barre motrice 37 ou 38 vers le liant s et déplace le crochet 4-7 vers le bas,
de façon que l'épaulement 49 se dégage de l'oreille 50 et (lue l'éllatllelllellt 48 vienne en prise avec l'oreille en. vue d'un nouveau mouvement de (lé('1('tl ('heiTl vint. <I>:Mise r</I> rt rltarche antontatique <I>de la</I> machine par <I>le</I> chariot mobile.
Un mécanisme permet au chariot mobile, lorsqu'il se déplace d'unie position de colonne à une autre, (le mettre en marche aut.oinati- qnenient la machine, ce qui permet d'accélérer le fonctionnement dans les entreprises com- nierciales oit chaque transaction nécessite une série d'opérations.
1:n plus des tabulateurs normaux 36 (fi < ,. 1) montés sur la barre 3:5, la machine est. pourvue d'une série de taquets de déelen- chenient de machine 88 (fig. 5 et 7) montés de manière réglable sur la barre 35 par rap port a des positions de colonnes déterminées à l'avance et où l'on désire que 1a machine fonctionne automatiquement.
Chaque taquet (le eoininande 88 porte une languette flexible S!) (tlli agil. < '1T liaison avec un doit 90 se pro- loii",eaTit vers le liant d'un levier<B>91</B> supporté <B>(le</B> manière à tourner sur Lui ergot 92 a.5su- jetti à. une entretoise 367. Le levier 91 est re lié par une bielle 93 à un levier 94 (fig. 5) monté fou en 95 sur le flasque 20.
Mobile sur le levier 9-1 se trouve Lin doigt 96 présentant (les fentes allongées qui viennent s'engager siir l'ergot 95 et ml ergot 9 7 assujetti à Lin prolongeaient vers l'avant dudit levier 94.
Un ressort 85 actionne le levier 91- dans le sens dextrorsum, de manière à maintenir un enga.- peinent mobile avec un disque d'arrêt. 121 tournant sur un ergot fixe du flasque '?0, de manière que, normalement, le doigt 90 soit maintenu sur le trajet de la languette 89.
l'extrémité antérieure du (loi-,),t <B>96</B> se trouve <B>;</B> au-dessus d'un ergot 98 (fi g. 5 et 6) d'un levier 99 monté fou sur l'ergot -15 et. conipre- nant, relié (le manière pivotante à son extré- mité antérieure, un crochet 100 analogue en tous points au crochet 47 (fig. 5). Le crochet 100 présente deux épaulements, semblables aux épaulements 48 et 49, qui sont normale ment maintenus en coopération avec l'oreille 50 du verrou 51 par un ressort 101 tendu entre ledit verrou et le crochet 100.
Le mouvement de tabulation du chariot mobile vers la gauche, comme on le voit à la fig. 7, oblige une rampe de la. languette 89, en coopération avec le doigt 90, à faire bascu ler le levier 91 dans le sens senestrorsum, de manière à soulever la bielle 93, ce qui, à son tour, fait également basculer le levier 94 clans le sens senestrorsum (fig. 5).
Le levier 94 entraîne le doigt 96 dans le même sens par un même mouvement, ce qui amène le prolon gement antérieur du doigt, en coopération avec l'ergot 98 (fig. 5 et 6), à faire basculer le levier 99 dans le sens dextrorsum, de ma- ilière à soulever le crochet 100. Le soulève ment du crochet 100 amène son épaulement. de droite, en coopération avec l'oreille 50, à taire basculer le verrou 51 et à le dégager de l'oreille 54, ce qui met en marche la machine, exactement de la même manière qu'avec les barres de mise en marche 37 et 38 (fis. 5 ).
Le crochet 100 présente un prolongement 102 di rigé vers le bas, qui coopère avec la portion recourbée 86 de la plaque 57, exactement de la même manière que pour le crochet 47, afin d'empêcher tout fonctionnement répété de la machine par inadvertance, au cas où l'une des barres 37 ou 38 serait maintenue enfoncée à la, fin. d'une opération de la machine.
Un prolongement 1-1-1 du doigt 96 (fig. 5<B>)</B> émerge par une ouverture de la plaque de clavier 39, ce qui constitue Lin moyen de dé placer le doigt 96 vers l'arrière à partir de la position représentée, afin que l'extrémité antérieure du doigt soit écartée du trajet. de l'ergot 98, en vue de rendre inopérant le mé canisme de mise en marche de la machine toutes les fois qu'on le désire.
Lorsque le cha riot mobile retourne à sa position de départ, ou vers la droite, comme on le voit à la fig. 7, la languette flexible 89 franchit le doigt 90 sans faire basculer le levier 91, ce qui empê- che le fonctionnement automatique de la ma chine dans ces circonstances. Comme expliqué précédemment, on peut placer sur la barre 35 autant de taquets 88 qu'on le désire par rap port à des positions de colonnes du chariot mobile déterminées à l'avance, afin que le mouvement de tabulation du chariot mobile vers lesdites positions mette en marche la machine automatiquement.
Déclenchement <I>de</I> la machine par <I>les</I> touches <I>de</I> commande.
En plus des barres motrices 37 et 38 et des moyens automatiques de mise en marche de la machine commandés par le chariot mo bile, cette mise en marche peut aussi être commandée par certaines touches de contrôle ou de commande placées à l'extrémité gauche du clavier, touches qui sont motrices.
Les touches de commande comprennent une touche de Rappel 103 (fig. 2), suie touche Sous-total Solde 101, une touche Solde 105, une touche de Solde créditeur 106, une touche de Total N 2 107, une touche de Soustraction N 3 108, une tou che de Soustraction N 1 109, une touche Sous-total 110 et une touche de Non-addi- tion 111. Les touches de commande sont montées sur le flasque gauche 21, de manière à pouvoir être enfoncées.
A l'exception de la touche 108, les extrémités supérieures réduites de toutes les touches de commande traversent des fentes correspondantes dans une plaque supérieure 112 fixée au flasque gauche 21. et les extrémités inférieures desdites touches tra versent des fentes correspondantes dans une cornière 113 assujettie au flasque gauche 21, de façon que lesdites touches soient montées de manière enfonçable. Chacune des touches de commande, à l'exception de la touche 108, comprend un ressort compressible correspon dant 114 qui entoure l'extrémité inférieure de sa tige; ces ressorts ont pour mission de pousser lesdites touches vers le haut, de ma nière à les maintenir normalement. dans une position non enfoncée, comme on le voit ici.
La touche de Soustraction N 3 108 (fig. 2 et 8) est montée de manière enfonça- ble sur une plaque 115 assujettie au flasque gauche 21 au moyen d'une fente dans son extrémité supérieure, en coopération avec un ergot 116 fixé à la plaque et. an moyen d'un ergot 117 fixé à l'extrémité inférieure de la touche 108, en coopération avec une fente cor respondante de la plaque 1l.5. 1?n ressort 118, tendu entre l'ergot 117 et un verrou 119 pour la touche 108, actionne la touche vers le haut, de manière à. la maintenir normalement en position non enfoncée, comme on le voit ici. Le verrou 119 pivote sur un ergot 120 de la plaque<B>115.</B>
L'enfoncement de la. touche Solde 105 (fig. 2) amène un cran 122, pratiqué dans son rebord avant, en face d'une équerre pratiquée sur L'extrémité supérieure d'un verrou 123 pivotant sur un ergot à écrou 121 du flasque 21. Ceci livre le verrou 123 à l'action d'un ressort 125 qui, immédiatement, entraîne le verrou dans le sens dextrorsum, ce qui oblige l'équerre de son extrémité supérieure, en co opération avec un prolongement 1.26 d'une barre 127, à, déplacer eelle-ci vers l'avant.
La barre 127 est mobile grâce à un bras<B>11228</B> (fig. 2) pivotant sur le flasque 21 et. au moyen d'une fente pratiquée dans son extré mité avant en coopération avec un ergot 129 d'un bras (non représenté), ledit. bras étant son tour relié de manière pivotante au flasque 21.
Le mouvement en avant de la barre<B>127</B> (fig. 2) amène un ergot 130 de son extrémité antérieure, en coopération avec ].'extrémité supérieure à fente d'un levier 131 monté fou sur un ergot 132, à faire basculer ledit levier dans le sens dext.rorsum. Ce mouvemeni du levier 131, grâce à une fente pratiquée dans son extrémité inférieure et coopérant avec un ergot 1.33 d'un bras gauche 131 d'un étrier 135 monté fou .sur un arbre 136 qui touril lonne dans les flasques 20 et.
21, fait basculer ledit étrier dans le sens senestrorsum. Ce mouvement de l'étrier<B>135</B> (fig. 5 et 6<B>)</B>, grâce à un ergot 137 de son bras droit 138, en co opération avec une fente pratiquée dans l'extrémité inférieure d'un levier 139 monté fou sur l'ergot 52, fait basculer le levier clans le sens senestror:
sanr, ce qui amène un prolon- genient vers L'arrière de celui-ci, en coopéra tion avec un ergot 140 de l'extrémité infé rieure du levier 99, à faire basculer ledit le vier et à soulever le crochet 100, ce qui dé gage le verrou 51 de l'oreille 54 et met en niarclie la riiarliine lorsqu'on enfonce la toii- clie de Solde 105 (fig. '?).
L'enroneenient (le la touche de Solde cré diteur 106 ou de la touche Total N ? 107 amène un déplacement vers l'avant de la barre 127 exactement de la même manière que pour la touche de Solde 105, ce qui déclenche la machine. L'eniorieenient de la touche Sous- total Solde 1.04, grâce aux liaisons liabi- tirelles, enfonce simultanément la touche de Solde 105, ce qui met la machine en mai#- che de la manière expliquée ci-dessus.
Blocage dit mécanisme <I>(le</I> cléchiicheiitrict. On a prévu un mécanisme commandé par le chariot. mobile et destiné à bloquer le nié- canisnie de déclenchement lorsque le chariot mobile est. en dehors d'un tabulateur, c'est- @L-dire en dehors d'une de ses positions de co lonne.
Ceci est destiné à empécher toute fausse manmuvre (le la. machine qui pourrait aisément se produire lorsque le chariot n'est pas dans une de ses positions de colonne, étant, donné que beaucoup des importantes fonctions de la machine sont comnianclées par, le chariot lorsque celui-ci est précisément clans une de ses positions de colonne.
Les fig. 1, 5 et 6 montrent, que les tabula teurs (le commande 36, qui sont placés par rapport. ii, des positions de colonnes détermi nées à l'avarice, ont. un bossage 36-1 qui agit cri liaison avec un prolongement vers le liant d'un levier 365 monté librement sur un ergot à vis 366 assujetti 1i L'entretoise 367. Un pro- longement. vers la gauche du levier 365 est.
relié par une Borde à piano 368 à une biel- lette 369 ealée sur un arbre 370 qui touril- lonne loris le bati de la machine. Sur ce même arbre 370 est également, calé un doigt 371 dont la pointe avant coopère avec un ergot 373 d'un prolongement vers l'arrière d'un levier de blocage<B>273</B> de mécanisme de déclenchement, monté fou sur l'ergot 95.
Un ressort de torsion (non représenté) fait nor malement tourner le levier 373 dans le sens seriestrorsuin, de façon qu'un galet 374 porté par ce levier se trouve normalement maintenu au-dessus et sur le trajet d'un ergot carré 375, porté par tin bras de commande 376 monté fou sur l'ergot 40. Un ressort 377 (fi-.<B>5</B> et<B>6)</B> fait tourner le bras 376 dans le sens dextror- sum, de façon qu'une portion décalée du re bord inférieur de ce levier soit maintenue cri engagement avec le rebord supérieur d'un prolongement vers l'arrière du levier coudé 62.
Lorsque le chariot mobile \38 est dans une position de colonne (fig. 5), le bossage 364, en coopération avec. le levier 365, soulève la. corde à piano 368, de manière à faire bascu ler la biellette 369, l'arbre 370 et le doigt <B>371</B> clans le sens senestrorsum, le levier de blocage 373 tournant alors dans le sens contraire, ce qui dégage le galet 37.1 suffisamment du tra jet de l'ergot carré 375 pour que, lorsque le levier 55 (fig. 6).
est laissé libre à l'action du ressort 84 par suite de l'enfoncement des barres motrices 37 ou 38 ou de n'importe quelle touche de commande motrice, le levier coudé 62 et le bras 376 soient. libres (le se déplacer de manière à mettre la machine en marche, comme expliqué plus haut. Le mou vement du bras 376 amène l'ergot carré 375, en coopération avec le galet 374 (fig. 5), à terminer le pivotement du levier de blocage 373 jusqu'à ce que celui-ci se trouve dans une position inopérante sans toutefois contre carrer le mouvement. de libération, dans le sens senestrorsum, du bras 376.
Lorsque le chariot mobile 28 n'est pas dans une position de colonne, le bossage 364 n'est pas en position de coopération avec le prolon gement supérieur_ du levier 365, ce qui libère le levier de blocage 373 à l'action de son res sort de torsion qui, immédiatement, fait ba.s- euler ce bras dans le sens senestrorsuni, de manière à amener le galet 374 directement. cri face de l'ergot carré 375 et à bloquer tout mouvement du bras 376 et du levier coudé 62, ce qui empêche le fonctionnement de la ma- chine lorsque le chariot mobile est hors co lonne.
Les languettes de déclenchement 89 (fig. 5 et 7) sont situées entre les positions de co lonnes du chariot et agissent sur le levier 91 et les mécanismes associés, de manière à libé rer le levier 55 lorsque le chariot mobile se déplace d'une colonne à la suivante. Cette libération du levier 55 (fig. 6) amène l'oreille 51 au-delà de la dent pratiquée sur le verrou 51 qui ne se remet pas en prise avec ladite oreille lorsqu'il est. libéré par le mouvement de la languette 89 au-delà du doigt 90 du levier 91.
Dans ce cas, le levier 55 agit sur le levier coudé 62 et sur le bras 376 dans le sens senestrorsum, de manière à contraindre l'er got carré 375 à venir en prise avec le galet < 171, et ceci a pour effet de restreindre le mouvement de déverrouillage du levier de blo cage 373. Toutefois, par suite de la nature antifriction du galet 37-1, le mouvement du chariot mobile vers la prochaine position de colonne permet au bossage 361 et aux méca nismes associés de faire basculer le levier 373 dans le sens dextrorsum en dépit de l'action de retenue qui s'y exerce, permettant ainsi le mouvement de libération du bras 376 et du levier coudé 62.
Dans une variante de la machine repré sentée, le levier de blocage 373 (fig. 5 et 6 ) est muni d'un épaulement carré destiné à co opérer avec l'ergot carré 375 au lieu du galet 371 et, dans ce cas, le frottement entre l'épau lement et l'ergot est suffisant pour empêcher le mouvement de déverrouillage du levier 373 lorsque le chariot mobile vient prendre tune position de colonne. Dans ces conditions, le déblocage du verrou 51, qu'il soit manuel ou automatique, permet à l'oreille 51 de venir se mettre sous la dent du verrou, de manière à s'opposer à la remise en prise et ainsi mettre le mécanisme de déclenchement en position de blocage.
I1 est prévu- un dispositif manuel pour empêcher cette position, et ce dispositif comprend tin levier de rappel 378 (fig. .5 et 6 ) monté fou sur l'ergot 10 et relié par un téton 379 au levier coudé 62. L'extrémité inférieure du levier<B>378</B> porte un doigt. 380 qui se pro- longe à travers tune ouverture pratiquée dans le coffre 25 de la machine.
Pour déverrouiller le mécanisme de dé clenchement, l'opérateur saisit. le doigt 380 et ramène le levier coudé 62 dans le sens dextrorsum. Ce mouvement, par l'intermé diaire de l'ergot. 61 (fig. 5 et 6), remet simul tanément le levier 55 en place, amenant. ainsi l'oreille 51 en prise avec la. dent dLi verrou 53, le mécanisme de déclenchement étant alois apte à fonctionner.
De même, le mouvement dans le sens dextrorsum du levier condé 62 et du bras 376 écarte l'ergot carré 377 de l'épaulement du levier de blocage 373, ce qui libère ce levier, de sorte qu'il peut immédiate ment venir se mettre en position inopérante.
Après cela, le fonctionnement de la machine peut être déclenché de la manière habituelle par etifoneement d'une des barres motrices 37 ou 38 ou de l'une des touches (le coniinande. Tovches <I>(le</I> nion.tants <I>et</I> iécanz,# l.es dif <I>f é</I> reit.tiels.
La machine représentée est munie d'nii certain nombre de rangées de touches de montants 112 correspondant aux divers ordres décimaux (fig. 1), et de mécanismes différen tiels associés; étant donné que les méeanisnies des différentes rangées sont semblables à tous points de vue, la description de l'une des rangées représentée ici et de son mécanisme différentiel sera suffisante.
Les touches de montants 112 de la rangée choisie à titre d'exemple (fig. 1) sont. montées mobiles sur une plaque de séparation. corres pondante 113 qui, en même temps que les pla ques de séparation semblables des autres ran gées de touches de montants, que la plaque supérieure 39 et. que les différentes barres et tringles transversales, constitue Lui bâti de touches de montants que l'on peut enlever de la machine d'un seul bloc. Un ressort à boudin (non représenté) est prévu pour maintenir les touches de montants 112 dans leur posi tion supérieure.
Chacune des touches de montants 112 porte un ergot carré 11-1 à l'extrémité inférieure de sa tige, et chacun desdits ergots, à l'exception de lergotde la touche des 9 , coopère avec une rampe gra duée correspondante 115 d'une crémaillère de montants 116 mobile sur nue tringle 147 en coopération avec une partie en retrait de l'extrémité antérieure de la crémaillère 146 et au moyen d'une barre 148 en coopération avec une fente horizontale pratiquée dans l'extrémité arrière de la crémaillère, la barre et la tringle étant, supportées par les flasques 20 et 21 de la machine.
La crémaillère 146 (fig. 1) présente près de son centre une fente verticale qui coopère avec un goujon 149 d'un segment de bras de réduction 150 monté fou sur l'arbre principal 79. Un bras postérieur 1.51 du segment 150 Est. relié par une biellette 152 au secteur im primant correspondant 34, lequel peut bascu ler sur l'extrémité supérieure d'un bras 153 correspondant monté fou sur un arbre d'im pression 154 qui tourillonne dans les flasques 20 et 21.
Chaque rangée de touches de montants 1.12 comprend une détente 155 et une plaque de commande 156 montées de manière à pouvoir effectuer des déplacements horizontaux entre des galets pouvant tourner sur des tourillons 1F>7 fixés sur la plaque de séparation 143. La détente et la plaque de commande sont espa cées l'une par rapport à l'autre et par rap port à la plaque de séparation 142 au moyen de rondelles aménagées sur les tourillons 1.57. La détente 155 porte une dent 158 pratiquée dans une ouverture correspondant à chacune des touches de montants 142 de la rangée, chaque dent. étant disposée de manière à co opérer avec un ergot 159 fixé sur la tige de 1r,. touche de montants 142 correspondante.
La plaque de commande 156 présente une rampe 160 formée dans une ouverture corres pondant; à chaeune des touches de montants 1-12 et disposée pour coopérer avec l'ergot eorrespondant 159. Un ressort 161 tendu entre la détente 155 et la plaque de commande 156 actionne ces pièces respectivement vers l'avant et vers l'arrière, de manière à maintenir les dents 158 en relation de coopération avec les ergots 159 et de maintenir les rampes 160 en contact élastique avec les ergots.
L'extrémité antérieure de la plaque de commande 156 (fig. 1) coopère avec un pro longement vers le haut 162 recourbé, d'un cliquet, d'arrêt à zéro 163, monté fou sur un arbre 16-1 supporté par le bâti du clavier des touches. Un ressort 165, tendu entre le pro longement 162 et un ergot. de la plaque de commande 156, maintient normalement ces pièces en prise et maintient normalement suie dent formée sur un prolongement. vers l'ar rière du cliquet 163 sur le trajet d'un bloc d'arrêt à zéro 166 porté par la crémaillère 146.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de montants 142 (fig. 1) oblige son ergot. 159, en coopération a @ ec une rampe angulaire formée sur le rebord supérieur de la dent, correspondante 158,à déplacer la dé tente 155 vers l'arrière, contre l'action du ressort 161 jusqu'à ce que l'ergot 159 ait franchi la dent 158, après quoi le ressort 161 fait revenir la détente vers l'avant, verrouil lant ainsi la dent au-dessus de l'ergot et. maintenant la touche enfoncée.
L'enfonce ment d'une touche de montants 1.12 oblige aussi son ergot 159, en coopération avec la rampe correspondante 160, à déplacer la pla que de commande 156 vers l'avant, contre l'action du ressort 161, ce qui fait basculer le eliquet d'arrêt à zéro 163 dans le sens senes- trorsum, de manière à dégager sa dent du bloc 166 et à, libérer le différentiel pour son mouvement de mise en position. La plaque de commande 156 est maintenue dans sa position avant et, le cliquet 163 inopérant aussi long temps que la touche de montant est main tenue enfoncée par la détente<B>155.</B>
Si l'on se reporte à. la fig. 1, on voit que l'extrémité arrière du segment. 150 est. norma lement maintenue en prise avec l'extrémité antérieure d'un étrier 168 au moyen d'un ressort 167. L'étrier 168 s'étend entre un bras de gauche 169 et un bras de droite analogue (non représenté), qui sont fixés sur l'arbre 79.
Le mouvement initial dans le sens senes- trorsum de l'arbre 79 (fig. 1) et de l'étrier 168 actionne, par l'intermédiaire du ressort 1.67, le segment 150 et la crémaillère des mon tants 146 vers l'arrière d'un même mouve- ment, jusqu'à ce que ce mouvement soit arrêté par le contact de l'ergot carré 144 de la. touche de montant enfoncée 14\3 avec la rampe correspondante 145 sur la crémaillère 146.
Ceci fixe la crémaillère 146, le segment 150 et, par l'intermédiaire de la biellette 152, le secteur imprimeur 34 en fonction de la va leur de la touche de montant enfoncée; après quoi, le bras 153 et le secteur 34 sont libres d'effectuer le mouvement d'impression, afin d'enregistrer la valeur de la touche de moij- tant enfoncée sur le document porté par le rouleau porte-papier 33. Une fois que la cré inaillère 146 et les pièces connexes ont été mises en position par l'enfoncement des tou ches de montants 142, l'étrier principal 168 continue son mouvement dans le sens senes- trorsum sans interruption, tendant ainsi le ressort 167.
Le mouvement de retour de l'ar bre 79 et de l'étrier 168, près de la fin de l'opération de la machine, oblige l'étrier à cueillir la crémaillère 146 et à la ramener vers l'avant à sa position initiale représentée.
D'après la fig. 1, on remarque qu'il n'y a pas de rampe graduée correspondante 145 pour l'ergot carré 144 à l'extrémité infé rieure de la touche de montant d'extrême droite ou des 9 , et par suite cette touche n'a pour effet que de libérer le cliquet d'arrêt à zéro 163, sur quoi la crémaillère 146 est libre de se déplacer sur toute son amplitude, soit de neuf crans vers l'arrière, jusqu'à la position des 9 , laquelle position est déter minée par l'engagement de la paroi anté rieure de la partie découpée par en dessous près de son bord antérieur avec la tringle 147.
Dans les opérations d'addition et de soustrac tion, lorsque aucune touche de montant 142 n'est enfoncée dans la rangée envisagée, le cliquet d'arrêt à zéro 163 reste en prise avec le bloc 166 et maintient la crémaillère 146 en position de zéro. <I>Mécanisme de</I> rappel <I>des touches.</I>
La machine représentée est pourvue d'un mécanisme classique de rappel des touches, qui fonctionne toujours à la fin des opéra tions d'addition et de soustraction, de ma- nièce à déplacer la détente 155 (fig. 1) vers l'arrière, ce qui dégage la dent. 1:58 de l'ergot. 159, livre la touche enfoncée 142 à. l'aetion de son ressort qui la fait immédiatement revenir à. sa position supérieure. Ceci livre la plaque de commande 156 à l'action du ressort 161 qui immédiatement ramène la plaque vers l'arrière, de manière à remettre le cliquet d'arrêt à zéro 163 en position active.
Le mécanisme de rappel fonctionne au début. des opérations de total et de sous-total, de manière à libérer toutes les touches de montants enfoncées par inadvertance avant le début d'une telle opéra tion. De même, le mécanisme de rappel des touches déplace la plaque de commande 156 vers l'avant en même temps que la détente 155 est déplacée vers l'arrière, de manière à faire basculer le cliquet d'arrêt à zéro 163, dans le sens senestrorsum, jusqu'à. sa position de non-fonctionnement, au début des opéra tions de total, de sorte que la crémaillère 146 peut prendre librement sa position sous l'in fluence de la. roue correspondante du totalisa teur sélectionné.
La détente 155 (fig. <B>1)</B> et la plaque de commande 156 comprennent. respectivement. des rampes 170 et 172 qui coopèrent avec un ergot 173 d'un bras de rappel 174 fixé à l'extrémité droite d'un arbre 175 qui touril- lonne dans le bâti du clavier. Assujetti à l'extrémité de gauche de l'arbre 177 (fig.4) se trouve un bras 176 qui présente une fente destinée à, recevoir un ergot.<B>177</B> d'un prolon gement orienté vers le haut d'une glissière <B>178</B> de rappel de touches, montée de manière à pouvoir se déplacer horizontalement grâce à. des fentes qui y sont pratiquées, en coopéra tion avec des tourillons fixés sur le flasque de gauche 21.
La glissière 178 supporte, de ma nière pivotante, un cliquet 179 de rappel de touches, actionné dans le sens senestrorsuin par un ressort de torsion 207, de manière à rester en prise avec un galet 180 porté par un disque 181, assujetti à. l'extrémité de gau che de l'arbre principal 64.
Le mouvement initial dans le sens dextror- suin de l'arbre 64 et du disque 181 (fig. 4 ) oblige le galet 180, d'abord à. franchir un cro chet. formé sur l'extrémité arrière du cliquet 179.
Le mouvement de retour dans le sens inverse de l'arbre 61 et du disque 181 oblige le galet 180 à venir en prise avec le crochet du cliquet 179 et à, déplacer le cliquet et la glissière 178 vers l'arrière, de manière à basculer le bras 176 et l'arbre 175 dans le sens dextrorsum. Ce mouvement de l'arbre 175 et, du bras 171 (fig. 1) oblige l'ergot 173, en coopération avec la rampe 170,à déplacer la détente 155 vers l'arrière, contre l'action du ressort 161, et à. dégager la dent. 158 de l'ergot. 159 de la touche de montant enfoncée 112, laissant ainsi la touche libre de subir l'action de son ressort, qui, immédiatement, la ramène vers le haut à sa position normale.
Le mouvement senestrorsuni du bras 171 (fig. 1) oblige l'ergot 173, en coopération avec la rampe 172 de la plaque de commande 156, à déplacer la. plaque vers l'avant, contre l'ac tion du ressort 161, ce qui fait basculer le cliquet d'arrêt à zéro 163 jusqu'à sa position inactive. Ce mouvement. du cliquet d'arrêt à. zéro 163 est, dans les opérations d'addition et de soustraction, sans importance, étant, donné qu'il se produit à. la fin de telles opérations, niais il est nécessaire dans les opérations de total, lorsqu'il opère à une cadence différente, comme on va le voir.
Lorsque la glissière 178 (fig. 1) atteint le terme de son mouvement vers l'arrière, un prolongement vers le haut 182 du cliquet 179 vient. en prise avec un ergot fixe 183 et. fait basculer le cliquet jusqu'à ce qu'il se dégage du galet 180, permettant ainsi à la glissière d'être ramenée vers l'avant à sa position nor male, sous l'influence du ressort. La, glissière 178 est reliée fonctionnellement avec la touche de Rappel 103 (fi-. 2), de sorte que l'en foncement de ladite touche déplace la glis sière vers l'arrière et libère la touche de mon tant enfoncée, exactement. de la. même manière que précédemment expliqué.
Dans les opérations de non-addition, les touches de montants sont utilisées pour com poser des numéros à imprimer sur le docu ment et, dans de telles opérations, le méca- nisme de rappel de touche fonctionne exacte ment comme expliqué à propos des opérations d'addition et de soustraction et libère les tou ches de montants enfoncées.
Comme indiqué précédemment, il est né cessaire que le mécanisme de rappel des tou ches de montants et d'arrêt à zéro fonctionne au début des opérations de total, afin que soient libérées les touches de montants en foncées par inadvertance et que soient mis hors circuit des cliquets d'arrêt à zéro.
La touche Sous-total Solde 10.1 (fig. 2) com prend un verrou 181, semblable au verrou 12 3 de la touche Solde 105, et pivotant sur un ergot à vis 185 du flasque de gauche 21;
reliée de manière pivotante à l'extrémité infé rieure du verrou 181 se trouve l'extrémité antérieure d'une barre 186 (fig. \ et, 1) por tant un ergot 187 qui se trouve au-dessous d'une queue 188 d'un cliquet de rappel 189, pivotant sur un prolongement vers le bas de la glissière 178, le cliquet étant actionné par le ressort de torsion 207 qui tend à provoquer la mise en prise d'une encoche 190 de celui-ci avec un galet 191 fixé à l'extrémité inférieure d'un levier 192 pivotant sur un ergot 193 du flasque 21. Un ressort 191 actionne le levier 192 dans le sens senestrorsuni, de manière à maintenir normalement une rampe 195 de ce lui-ci en prise avec un galet 196 porté par le disque 181.
Un ressort 197 (fïg. 1), qui est assez fort pour surmonter l'action du ressort, de torsion 207, actionne la barre 186 dans 1e sens dextrorsum, de manière à maintenir nor- nialement un ergot 198 porté par celle-ci en contact avec un levier de commande de total <B>199</B> (fig. 2) du totalisateur N 1.
Tandis que la barre 186 est maintenue dans sa position haute, comme on le voit à la fil-. 1, l'ergot 187, en coopération avec la queue 188, maintient. l'encoche 190 dégagée par rapport. au galet 191, de sorte que dans des conditions normales, le cliquet 189 n'a pas d'effet sur le mouvement de rappel de la glissière 178.
Comme on l'a expliqué précé demment, l'enfoncement de la touche Solde 105 (fig. 2) amène le cran 122 en face de l'équerre du verrou 123, sur quoi le ressort 125 fait basculer ce dernier dans le sens dextrorsum, amenant un ergot 200 de son extrémité inférieure, en coopération avec, une arête du levier 199, à faire basculer le levier dans le sens dextrorsum. Ce mouvement, grâce à l'ergot 198, fait basculer la barre 186 dans le sens senestrorsum, retirant l'ergot 187 de la queue 188, afin de permettre au ressort de torsion 207 de faire pivoter le cliquet 189 dans le sens dextrorsum et d'amener l'enco che 190 en prise avec le galet 19l..
Immédiatement après que l'encoche 190 se trouve en prise avec le galet<B>191,</B> l'arbre 64 et le disque 181 commencent leur mouvement initial dans le sens dextrorsuin (fig. 4). Ce mouvement oblige le galet 196, en coopéra tion avec la.
rampe 195, à faire aussi basculer le levier 192 dans le même sens, ce qui, à son tour, déplace le eliquet 189 et la glissière 178 vers l'arrière, faisant ainsi basculer l'arbre 175 et le bras 174 dans le sens senestrorsum (fig. 1), de manière à déplacer les détentes 155 vers l'arrière et à libérer toutes les tou ches de montants enfoncées, tout en déplaçant simultanément les plaques de commande 156 vers l'avant, de manière à faire basculer les cliquets d'arrêt à zéro 163, pour que ceux-ci se dégagent des blocs 166, libérant ainsi les crémaillères 146 qui peuvent alors être mises en position sous l'influence des roues du to talisateur sélectionné. <I>Blocage des touches de</I> montants.
Vers le début du fonctionnement de la machine, une détente de blocage de touches .201 (fig. 1), qui est située à côté de la dé tente 155 et qui est montée de manière à pou voir se déplacer horizontalement entre des galets portés par les ergots 157, se trouve dé placée vers l'arrière, de. manière à amener des dents 202, qui sont formées dans des ouv er- tures de cette détente, sous les ergots 159 des touches de montants 142 non enfoncées, de sorte que ces dites touches se trouvent blo quées et ne peuvent pas être enfoncées pen dant que la machine fonctionne.
La détente 201 présente un prolongement vers le haut ?03, dont un nez, orienté vers barrière, est. normalement maintenu en prise avec un doigt 204 filé dans une gorge d'un arbre de ver rouillage 205 qui tourillonne dans le bâti du clavier, sous l'action d'un ressort 206 tendu entre le prolongement 203 et le doigt. 204.
Un mécanisme, qui fonetionne en même temps que le mécanisme de déclenchement de la machine, communique uni mouvement dans le sens dextrorsum à. l'arbre 205 (fig. 1), ce oui oblige le ressort 206 à tirer la, détente 201 vers l'arrière et à. amener les dents 202 au dessous des ergots 159 des touches de mon tants 142 non enfoncées, de telle sorte que ces touches se trouvent verrouillées contre tout, enfoncement. pendant le fonctionnement. (le la machine.
Vers la fin d'une opération, l'arbre 205 est ramené dans le sens inverse, afin de faire revenir la détente 201 vers F avant, à sa position inopérante représentée en fig. 1. Dans les opérations de total et de sous-total, la détente 201 est déplacée vers l'arrière, c'est-à-dire mise en position de fonctionner avant que le mécanisme de rappel des touches ait pu fonctionner et laisser une touche de montant quelconque être enfoncée par inad- vertanee avant le début. d'une telle opération.
Dans de tels cas, le ressort qui rappelle l'une quelconque des touches enfoncées à. la position non enfoncée est assez fort pour surmonter l'action du ressort '.306; en conséquence, les ergots 159 franchissent les dents correspon dantes 202, et ces dents reviennent immédiate ment à leur position active sous les ergots 159, de manière à. s'opposer à l'enfoncement des touches de montants. 1lceaitisnte totalisateur. Comme expliqué précédemment., la ma chine représentée est pourvue de trois totali sateurs dont deux sont disposés sous forme d'une paire verticale (fig. 1) située à l'ar rière de la machine. Le totalisateur N 1 est.
un totalisateur addition-soustraction; le tota lisateur N 2 est un totalisateur d'additions, tandis que le totalisateur N 3 est un totalisa teur addition-soustraction. La crémaillère 116 de l'ordre décimal con sidéré présente, à son extrémité arrière, deux séries de dents, la série supérieure coopérant avec une roue 209 de totalisateur correspon dante, située sur l'axe da totalisateur N 1, tandis que la série inférieure coopère avec une roue correspondante 210 sur l'axe du to talisateur N 2.
Fixé à l'extrémité arrière de la crémaillère 116 se trouve un prolongement 211 dont l'extrémité arrière est en fourchette, de manière à encadrer une barre de support 212 assujettie au bâti des totalisateurs 21. Le prolongement 211 présente à sa partie supé rieure une série de dents qui coopère avec une roue '?13 de totalisateur correspondante sur l'axe du totalisateur N 3.
Le totalisateur N 3, le mécanisme d'em- brayage et les mécanismes de commande asso- eiés seront expliqués d'une manière générale comme étant représentatifs de tous les tota lisateurs, car les mécanismes sont semblables.
Les roues 213 (fig. 1) du totalisateur N 3 peuvent. tourner sur un arbre 211 du totalisa teur N 3, supporté dans un bâti basculable, lui-même supporté par le bâti des totalisa teurs '2-1. L'arbre 211 porte, à son extrémité opposée, des galets (non représentés) qui <B>g</B> gent dans des fentes correspondantes s<B>,</B> #enoa pratiquées dans des chemins de cames (non re présentées) solidaires d'un arbre d'embrayage 215 (fig. 2), tourillonnant dans le bâti 21.
Fixé a, l'extrémité de gauche de l'arbre 215 se trouve un bras 216 relié par une biellette 217 à l'extrémité supérieure d'un levier vo lant 218 (voir aussi fig. 8) pivotant sur un ergot 2l9 porté par une plaque d'embrayage 220 fixée sur l'arbre principal 64.
Le levier volant 218 porte un cliquet 221 sollicité dans le sens senestrorsum par un res sort de torsion (non représenté), de manière à être en prise mobile avec un ergot d'arrêt 222 du levier 218. Un prolongement vers l'ar rière du cliquet. 221 est destiné à coopérer avec un ergot 223 fixé à la plaque 220, de manière à produire l'embrayage du totalisa teur N 3 au moment de l'addition.
Un doigt \?21 prolongé vers le haut du cliquet 221 co- opère avec un ergot 225 d'un bras de com mande de non-addition 226, monté fou sur un ergot fixe<B>227.</B> Un prolongement vers le bas du bras 226 (fig. 2) présente un épaulement 228 qui, normalement, est en contact avec un verrou 229 pivotant en 230 et, relié par l'in termédiaire d'une barrette 231 à un levier qui présente une équerre coopérant avec un bos sage des tabulateurs 36 (fig. 1) qui sont. placés en fonction des colonnes du chariot mo bile pour lesquelles on désire que le totalisa teur N 3 soit sélectionné en vue d'opéra tions d'additions.
L'ergot 225 (fig. 2) du bras 226 est en prise dans une fente pratiquée dans l'extré mité supérieure d'une bielle de réarmage 23<B>2</B> dont l'extrémité inférieure est articulée à un levier 233 monté fou sur un ergot. 231 chi flasque 21. Un prolongement vers le bas du levier 233 porte un ergot 235 qui vient se placer sous une équerre d'un levier (non re présenté) semblable au levier 233 et monté fou sur un ergot 231, ce levier comprenant un talon (non représenté) qui coopère avec une arête 236 d'une plaque d'embrayage 237, semblable à la plaque 220, cette plaque 23 7 étant associée avec le mécanisme d'embrayage prévu pour les totalisateurs N s 1 et 2.
Le mouvement initial dans le sens dext.ror- sum des plaques 220 et 237 (fig. 2) amène l'arête 236 à se dégager du talon, de manière à. libérer le levier 233, la bielle 232 et le bras 226 à ].'action d'un ressort 238 qui, immédia tement, actionne le bras 226 dans le sens se nestrorsum jusqu'à ce que l'épaulement 228 vienne en contact avec l'extrémité arrière du verrou 229 lorsque celui-ci est en position active et, dans ce cas, le verrou retiendrait le bras 226 en position active, comme représenté ici.
Lorsque le bras 226 est, actif, ].'ergot 225 demeure sur le trajet du doigt 221 qui l'en traîne, lorsque la plaque 220 se meut, de sorte que le cliquet 221 pivote dans le sens dextror- sum et écarte le prolongement arrière du cli- quet du trajet de l'ergot 223 et aucun mouve ment d'embrayage ne se trouve communiqué à l'arbre 215 et au totalisateur N 3.
Un verrou de non-addition (non repré senté), semblable à un verrou de non-addition 239 (fig. 2) pour le totalisateur N 2, est prévu pour le totalisateur N 3 et coopère avec une équerre 240 pratiquée sur le prolonge ment inférieur du bras 226, lorsque la touche de non-addition 111 est enfoncée, de manière à s'opposer au mouvement du bras 226 dans le sens senestrorsum, amenant. ainsi le totali sateur N 3 à ne pas fonctionner sur addition, comme expliqué plus Haut an sujet du verrou 229.
Lorsque le chariot 28 (fig. 1) est. dans une position de colonne pour laquelle on désire que le totalisateur N 3 soit sélectionné en vue d'une opération d'addition (première posi tion), le bossage d'un tabulateur, en coopéra tion avec le levier N 3 et la barrette 231 (fig. 2), fait basculer le verrou 229 dans le sens senestrorsum, l'écartant du trajet de l'épaulement 228, ce qui libère le bras 226 et lui permet de pivoter sous l'influence du ressort 238, lorsque le levier 233 et la bielle \332 sont libérés par le mouvement initial des plaques 220 et 237, comme expliqué plus haut.
Ce mouvement du bras 226 écarte l'ergot 225 chi doigt 224 et, par conséquent, le prolonge ment arrière du cliquet 221 demeure sur le trajet de l'ergot 223. Vers la fin du niouve- nient initial de la plaque 220, l'ergot 223 vient en prise avec le cliquet 221, déplaçant ainsi le levier volant 218 et la biellette 217 à L'unisson avec la plaque 220, ce qui, à son tour, fait basculer le bras 216 et l'arbre d'em brayage 215 (fig. 2) dans le sens senestror- sum. Ce mouvement de l'arbre 215 amène les cames qui y sont fixées,
en coopération avec des galets fixés sur l'arbre du totalisateur N 3, 214 (fig. 1), à le basculer avec le bâti supportant le totalisateur N 3 vers le bas, de façon que la roue 213 soit mise en prise avec les dents correspondantes de la crémaillère 211, -une fois que la crémaillère a terminé son mouvement initial vers l'arrière et a été mise en position sous l'influence de la touche de montant. 142 enfoncée. Le mouvement de re tour vers l'avant de la crémaillère 146 et du prolongement 211 fait tourner la roue de tota- lisateur 213 dans une direction additive, de sorte que la valeur de la touche de montant enfoncée 142 est introduite dans le totalisa teur.
La construction habituelle du mécanisme d'embrayage des totalisateurs est telle qu'un téton carré (non représenté) porté par la plaque 220 vient en contact avec le levier volant 218 vers la fin du mouvement, (le re tour de la plaque 220 (fig. 2) et oblige le le vier volant et la biellette 217 à se déplacer d'un même mouvement, faisant basculer le bras 216 et l'arbre .\315 dans le sens dextror- sum, jusqu'à les ramener à leur position nor male et à dégager la roue 213 des dents de la crémaillère 211, après due la crémaillère 146 a achevé son mouvement de retour vers l'avant.
Toutefois, le téton carré a été omis sur la plaque de commande 220 de la machine représenté et, en conséquence, -une fois que le totalisateur N 3 est. en prise avec les eré- ma.illères, lors de l'addition, il demeure ainsi jusqu'à ce qu'il soit dégagé par une opération ultérieure de solde ou de total, ainsi qu'il sera expliqué plus loin.
Vers la fin du mouve ment de retour, dans le sens senestrorsum, des plaques 220 et 237 (fig. 2), l'arête 236 amène le talon (non représenté) à faire basculer le levier 233 dans le sens dextrorsum, ce qui, par l'intermédiaire de la bielle 232, ramène le bras 226 dans le même sens contre l'action du ressort 238, à la position de lion-addition re présentée ici, position dans laquelle l'épaule ment 228 est légèrement au-delà de l'extré mité arrière du verrou 229, de sorte que ce dernier peut se déplacer librement et, venir sur le trajet des épaulements, lorsque le elia- riot mobile se rend.
à une antre position de colonne.
Les totalisateurs N s 1 et 2 sont pourvu,, d'un mécanisme d'einbraya;e semblable à tous points de vue à celui qui vient d'être décrit pour le totalisateur N 3, en vue de comman der les opérations d'addition et de non-addi- tion qui y sont effectuées.
Comme expliqué précédemment, le docu ment d'inscription utilisé dans la machine comporte trois portions identiques (fig. 10) correspondant à au moins trois positions de colonnes du chariot mobile. Dans la première des trois -opérations consécutives de chaque transaction, la transaction est traitée de la manière ordinaire, autrement dit un montant.
est composé sur les touches de montants selon le procédé habituel et, si ce montant est celui d'un débit qui doit être additionné, l'enfon- cenic#nt d'une barre motrice amène le bossage correspondant d'addition, placé sur le tabula;
teur (le, la première colonne, et le levier cor respondant actionne le verrou d'addition N 1 qui sélectionne le totalisateur N 1 pour l'ad dition, Si le montant est un crédit qui doit être soustrait, la touche de Soustraction N 1 <B>109</B> est enfoncée avant qu'on enfonce la barre motrice et, étant donné qu'une opération de soustraction l'emporte sur une opération d'ad dition eoiiiinandée par le chariot mobile, le to talisateur N 1 ou totalisateur de solde est, eni- Irayé pour la soustraction.
Dais l'un et l'au tre cas, lors de la première opération, le tota lisateur N 3 qui a été précédemment remis à zéro est sélectionné pour une opération d'ad dition, grâce au bossage d'addition, au levier de barre et au verrou 229 correspondant. (fig. 2), et lorsqu'on introduit le montant positif ou négatif dans le totalisateur N 1, ce montant se trouve simultanément introduit additive- ment dans le totalisateur N 3.
Le mouvement vers l'avant de la biellette <B>217</B> (fig. 2), pour embrayer le totalisateur N 3 en période d'addition, oblige un ergot 243 qui s'y trouve fixé, en coopération avec une tente pratiquée dans l'extrémité supé rieure d'un bras 2-14, monté fou sur L'ergot 234,à basculer ce bras dans le sens dextror- sum. Le bras 24-1 porte un ergot. 2.15 qui lui- même est. articulé à une bielle 246 qui pré sente, près (le son extrémité avant, une fente s'engageant librement sur un collet, pratiqué dans un ergot.
247, porté par le flasque de gauche 21. Le mouvement du bras 244 pousse la bielle 246 vers l'avant, obligeant ainsi une arête 248, en coopération avec l'ergot 198, à enfoncer la barre 186 (fig. 4), rendant. ainsi le cliquet 189 opérant pour l'opération sui vante. Dans la première opération, le cliquet. 179 (fig. 4) fonctionne comme d'habitude pour libérer les touches de montants enfon cées à la fin de l'opération de la machine.
A la fin de la première opération, le cha riot mobile passe automatiquement, par tabu- lation, à la seconde colonne, et tandis qu'il s 'v rend, il déclenche le fonctionnement auto matique de la machine, par l'intermédiaire du mécanisme représenté aux fig. 5 et 7 et e@pli- qué plus haut. Dans la seconde des trois opé rations successives, les totalisateurs NI' 1 et 2 sont automatiquement sélectionnés pour la. non-addition, et étant donné que le totalisa teur N 3 demeure en prise à la fin de la pre mière opération, il est encore en prise pen dant la deuxième opération.
Il en résulte que le cliquet<B>189</B> (fig. 4) demeure opérant et que, au commencement de la seconde opération de la machine, il déplace la glissière 178 vers l'arrière, afin de libérer toutes les touches de montants enfoncées par inadvertance et. en même temps libère les cliquets 163 d'arrêt à réro (fig. 1), afin que les crémaillères 146 soient libres de se déplacer vers l'arrière au moment du mouvement initial de l'étrier<B>168.</B> Le mouvement vers L'arrière des crémail lères 146 (fig. 1), pendant la seconde opéra tion fait tourner en sens inverse les roues 213 du totalisateur N 3, jusqu'à ce que les roue soient arrêtées en.
position de zéro par les cents des cames de déclenchement qui y sont fixées, lorsqu'elles viennent en prise avec les cliquets déclencheurs de report d'addition cor respondants, mettant ainsi les crémaillères 1.16 dans une position correspondant au montant. porté dans les roues du totalisateur N 3, montant. qui, on s'en souvient., est celui qui avait été composé primitivement sur les tou- ehes de montants lors de la première opéra tion.
Le fonctionnement du mécanisme impri- nieur produit l'impression du montant exact de la première opération, par répétition sur la deuxième portion du document d'inscrip tion. Le totalisateur N 3 demeure en prise avec les crémaillères de montants pendant. leur mouvement- de retour et, par suite, le montant s 1v trouve réintroduit, assurant ainsi ce qui, en fait, constitue une opération auto matique de sous-total.
Il est évident que le totalisateur N 3 peut être sous-totalisé automatiquement, autant de fois qu'on le désire, dans des opérations sem blables à la seconde opération, de manière à obtenir autant d'impressions en répétition de la transaction qu'on le désire.
A la fin de la seconde opération, le elia- riot mobile passe automatiquement, par tabu- lation, de la, seconde position de colonne à la troisième et, pendant. cette tabulation, la ma ehine est de nouveau déclenchée en vue d'une troisième opération automatique dans laquelle le totalisateur N 3 est remis à zéro, et le montant qui s'y trouvait est imprimé dans la troisième partie du document comptable.
Dans la troisième et dernière opération de la série de trois, les totalisateurs Nos 1 et 2 restent en non-addition, comme dans la deuxième opération, et le totalisateur N 3 est sélectionné et mis en position pour une opération de remise à zéro, afin que soit en levé le montant qui s'y trouvait porté et que celui-ci soit imprimé par répétition sur la troisième partie du document.
Le tabulateur 36 (fig. 1) pour la troi sième colonne présente un bossage qui coopère avec une portion tournée vers le haut d'un levier de commande de total 2-1,9 (fig. 8) monté fou sur l'ergot 366 (fig. 5). ,L'extré mité arrière du levier 2-19 s'engage dans une fente pratiquée à la partie supérieure d'une barre 250 articulée à un levier 251 monté fou sur un ergot 252 fixé au flasque de gauche 21.
Pivotant sur un prolongement du levier 251 se trouve une biellette 253 présentant à son extrémité avant un ergot engagé dans une fente 25-1 pratiquée dans un levier de com mande d'embrayage 255, qui peut tourner en 256 sur le flasque 21. Un. ressort 257 assure une liaison flexible entre le levier 255 et l'ergot fixé à l'extrémité antérieure de la biel- lette 253, grâce à quoi la fente 251 permet un mouvement indépendant de la. biellette et des pièces qui lui sont reliées, au cas où pour une raison quelconque, le mouvement du levier ,\355 se trouve empêché.
Un ressort 258, attaché entre la biellette '253 et un ergot fixe (non re présenté), tire les leviers 251 et 255 dans le sens senestrorsum, de manière à les amener normalement en position inopérante, comme on le voit ici, ce qui à son tour, par l'intermé diaire de la barre 250, maintient normalement le levier 219 en position non enfoncée.
Le mouvement du chariot mobile vers sa troisième position abaisse le levier 219 (fig. 8), ce qui soulève la barre 250 et fait basculer les leviers 251 et 255 dans le sens dextrorsum contre l'action du ressort 258. Le mouvement <B>dit</B> levier 255 oblige un ergot 259, de son extrémité inférieure, en coopération avec une arête 260 d'un levier 261. monté fou sur l'er got 217, à faire basculer ledit levier dans le même sens.
Le levier 261 porte un cliquet de débrayage 262 actionné par un ressort 263, de faon que, normalement, un ergot 261 soit maintenu en engagement, avec une surface polie pratiquée sur le bord inférieur du le vier ,'361. Le mouvement de ce dernier dans le sens senestrorsum, au cours de la troisième opération, amène l'extrémité supérieure da cliquet 263 sur le trajet de l'extrémité infé rieure du levier volant 218.
Dtant donné que les roues du totalisateur N 3 sont en prise avec les dents des crémail lères de montants, au début, de la troisième opération, le mouvement initial vers l'arrière des crémaillères fait. tourner ces roues en sens inverse, jusqu'à ce qu'elles soient. arrêtées en position de zéro, ce qui met les crémaillères et les secteurs imprimeurs correspondant dans une position concordant avec la, valeur du montant introduit dans les roues du tota lisateur N 3. Le fonctionnement ultérieur du mécanisme imprimeur fait que le montant est. imprimé à nouveau sur la troisième portion du document d'enregistrement. Pendant le mouvement. initial de l'arbre principal 6.1 et.
de la plaque d'embrayage '-120 dans le sens dextrorsum (fig. 8), l'extrémité inférieure du levier volant 218 franchit 1e cliquet 962 et, au moment du retour de l'arbre et de la plaque dans le sens inverse, et pendant que les roues du totalisateur N 3 sont à. zéro, l'extrémité inférieure du levier volant<B>218</B> vient en prise avec le cliquet. 262, ce qui amène le levier à se déplacer dans le sens senestrorsum avec la plaque 220, déplaçant ainsi la biellette 217 (fig. 2) vers l'arrière.
Ceci fait basculer l'arbre 215 dans le sens dextrorsum, de manière à débrayer les roues du totalisateur N 3 avant que s'effectue le mouvement de retour vers l'avant des crémail lères et, en conséquence, les roues de totalisa teur N 3 demeurent à zéro à la fin de la troisième opération, prêtes pour une nouvelle série d'opérations.
Les autres débits du même compte sont additionnés dans le totalisateur N 1 et impri més par répétition sur les trois portions du document d'inscription, comme expliqué plus haut., tandis que les crédits sont traités d'une façon qui, dans l'ensemble, est la même à ceci près qu'ils sont soustraits du totalisateur N 1 lors de la première opération.
Après que tous les débits et les crédits ont été introduits dans le compte particulier, la procédure courante consiste à obtenir -Lui nou veau solde en enfonçant la touche de Solde 105 (fig. 2), ce qui déclenche une série de trois opérations dans la première desquelles le totalisateur N 1 est remis à zéro, tandis que le montant qui s'y trouvait est introduit additivement et simultanément dans les tota lisateurs Nos 2 et 3.
L'enfoncement de la touche Solde 105 (fig. 2) amène son cran 122 en face du verrou. <B>123,</B> sur quoi le ressort 125 fait basculer le verrou dans le sens dextrorsum, de manière à déplacer la barre 127 vers l'avant, en vue dit déclenchement du fonctionnement de la ma chine, comme expliqué pour les fig. 2, 5 et 6. Le mouvement du verrou 123 oblige l'ergot 200, en coopération avec une arête pratiquée sur le levier 199 de commande de total, à faire basculer ce levier de manière à provo quer l'embrayage ou le débrayage du totali sateur N 1 dans les opérations de total, comme il est. bien connu.
L'enfoncement de la touche Solde 105 (fig. 2 et 3) oblige égale ment un ergot 241, en coopération avec une fente pratiquée dans l'extrémité avant d'un levier 242 pivotant sur un ergot. 1261 du flasque 21, à basculer le levier dans le sens dextrorsum. Ce mouvement oblige un prolon gement vers l'arrière de celui-ci à soulever une barre 266 reliée à l'extrémité avant. d'un verrou de commande d'addition N 2, 267, monté fou sur un ergot assujetti au flasque de gauche 21.
En conséquence, lorsqu'on soulève la barre, on fait basculer le verrou dans le sens senestrorsuin, ce qui écarte son prolongement vers l'arrière du trajet, d'un épaulement pratiqué sur un bras de commande d'addition N 2, 268, semblable en tous points et fonctionnant exactement comme le bras de commande d'addition 226 (fig. \?) du totalisateur N 3, expliqué plus haut. Ceci prépare le totalisateur N 2 en po sition pour la prochaine opération d'addition, de sorte que le montant relevé sur le totalisa teur de solde dans la première opération se trouve transporté ait totalisateur INT 2 qui est utilisé dans la machine représentée pour accu muler le total net des soldes.
La touche Solde 105 et les autres touches de commande positionnent un secteur impri- niant des symboles, destiné à imprimer à. côté du montant un caractère d'identification du type d'opération. Ordinairement, le rappel de la touche de commande, à la fin d'une opéra tion; permet au secteur imprimant de revenir à sa position neutre. Dans la machine repré sentée, il est préférable que le secteur de meure en position, afin que le caractère soit réimprimé sur la seconde et la troisième por tion du document, et un mécanisme com mandé par le totalisateur N 3 est, prévu à. cet effet.
L'enfoncement de la touche Solde 105 fait que son extrémité inférieure (fig. 2) co opère avec une arête 269 pratiquée sur une pièce coulissante 270 montée de manière à pouvoir se déplacer horizontalement grâce à des fentes qui v sont découpées, et coopérant avec des ergots 271 du flasque 21, ladite pièce coulissante se déplaçant vers l'avant.
La pièce coulissante 270 est reliée par une biellette 272 (fi-. 2 et 9) à un levier 273 calé sur un arbre 274 qui tourillonne dans les flasques 20 et 21. L'arbre 274 porte aussi un bras 275 relié par une bielle 276 à un bras 277 pivotant sur un ergot fixe 278. Le bras 277 est relié par une biellette 279 à un secteur imprimant des symboles 280, lui-même relié à un bras 281, semblable au bras 153 du secteur imprimant 34 (fig. 1), et qui est monté fou sur l'arbre 154.
Le mouvement vers l'avant de la pièce coulissante 270 (fig. 2 et 9) et de la biellette 272 oblige celle-ci à faire basculer le levier 273, l'arbre 274 et le bras 275 dans le sens senestrorsum, et. ce mouvement, par l'intermé diaire de la bielle 276, du bras 277 et de la biellette 279, met en position le secteur impri mant des symboles 280 dans sa seconde posi tion, sur quoi le fonctionnement ultérieur du bras d'imprimerie 281 amène le secteur 280 à eoopérer avec le ruban encreur et avec le sup port d'inscription porté par le rouleau porte- papier. Ainsi, un symbole se trouve imprimé (dans ce cas un astérisque),
symbole caracté ristique d'une opération de solde.
A la fin de la première d'une série de trois opérations, la touche Solde 105 est ra menée vers le haut à sa position normale et, dans des conditions normales, la pièce cou lissante 270 serait., en même temps, ramenée à sa position normale vers l'arrière, comme on le voit à la fig. 2; en conséquence, le sec teur imprimant 280 serait également ramené à, sa position normale de non-impression (fig. 9), mais dans la machine représentée, il est désirable que le secteur 280 demeure en position, afin que l'impression du symbole Solde soit répétée lors des deuxième et troi sième opérations; ceci s'obtient par le mouve ment vers l'avant de la biellette 217 (fig. 2), lors de la première opération;
ce mouvement met le totalisateur N 3 en prise avec les cré maillères pour l'addition, comme on l'a expli qué plus haut.
A côté du bras 244 (fig. 2), et monté fou sur l'ergot 234, se trouve un cliquet 28,\'. de retenue de symbole, qui est actionné dans le sens dextrorsum par un ressort 283, de ma nière à rester en prise mobile avec un ergot 284, porté par le bras 244. Le cliquet 282 pré sente, à son extrémité inférieure, des dents de retenue qui coopèrent avec des dents analo gues placées à la périphérie d'un segment 285 fixé sur l'arbre de symboles 274 (voir aussi fig. 9).
Une fois que l'arbre de symboles 274 et le segment 285 ont été mis en position par l'enfoncement de la touche de Solde 105 (fig. 2), comme expliqué plus haut, le mouve ment initial vers l'avant de la biellette 217 en vue d'embrayer le totalisateur N 3 avec les crémaillères pour addition dans la première opération, fait basculer le bras 244 dans le sens dextrorsum, retirant ainsi l'ergot 284 chi cliquet 282 et permettant au ressort 283 de mettre les dents du cliquet.
en prise avec les dents correspondantes du segment<B>285,</B> afin que ce dernier, l'arbre 274 et le secteur impri- mant les symboles soient maintenus élastique- ment dans la position choisie à. la fin de la pre mière opération de la machine, et après que la touche de Solde 105 a été libérée et ra menée vers le haut.
On a vu due le totalisa teur NO 3 demeure en prise pendant la se conde et la troisième opération et qu'en con séquence la biellette 217 conserve sa position vers l'avant, ce qui oblige le secteur impri mant 280 (fig. 9) à demeurer en position pen dant la deuxième et la troisième opération et à réimprimer le symbole pendant ces deux opérations.
Le mouvement de déga-ement vers l'arrière de la biellette 217 (fig.2) fait bascu ler le cliquet 282 jusqu'à ce qu'il soit. dégagé des dents du segment 285, ce qui permet au segment, à l'arbre de symboles 274, à la. pièce coulissante 270 et aux autres pièces qui lui sont reliées, yT compris le secteur de symboles 280 (fig. 9), d'être immédiatement ramenés à leur position normale de non-impression.
La touche Sous-total Solde 104 (fig. 2), la touche de Solde créditeur 106, la touche Total N 2 107, la touche 109 de Sou8trac- tion N 1 et la touche 111 de. Non-addition coopèrent avec la pièce coulissante 270 exacte ment de la même manière que pour la. touche de Solde 105, en vue de mettre en posi tion le secteur imprimant de symboles 280 (fig. 9) par rapport à chacune d'entre elles, de sorte qu'un symbole identifiant le type d'opération en cours se trouvera inscrit sur le document d'enregistrement.
Dans chaque cas, le cliquet 282 (fig. 2), en coopération avec le segment 285, retient le secteur symboles dans la position choisie pendant la deuxième et. la troisième opération, et le symbole d'ideni:ifi- ration se trouve réimprimé sur la seconde et la troisième partie du support d'inscription pour toutes les opérations dans lesquelles le totalisateur N 3 est embrayé avec les cré maillères.
Opérations <I>de solde créditeur.</I> Un exemple typique d'application de la machine représentée est celui d'un grossiste qui vend des marchandises à des détaillants, lesdites marchandises étant portées au compte du marchand détaillant et apparaissant sous forme d'articles de débit sur le relevé de compte. De même, les créances en faveur du marchand détaillant, consistant par exemple en paiements en compte, en crédit pour mar chandises rendues, etc., apparaissent sous forme d'articles de crédit sur ce relevé.
Lors que les créances en faveur du détaillant dé passent. ses dettes, il en résulte un solde cré diteur en sa faveur et, par suite, un dépasse ment dans le totalisateur N 1, lequel dépas sement est signalé à l'attention de l'opérateur par le blocage automatique de la touche de Solde 105 qui ne peut plus être enfoncée. Le processus habituel, dans ce cas, consiste à effectuer une opération de solde créditeur, par laquelle le montant complémentaire, ou négatif, du solde créditeur est transposé en montant positif qui est enregistré sur le do cument dans une couleur différente, comme on va le voir.
Lorsqu'un dépassement se produit dans le totalisateur N 1 ou totalisateur de solde, un axe de dépassement (non représenté), se lon un mécanisme connu, bascule, de sorte qu'une biellette 288 (fig. 8) se trouve dé placée vers l'arrière.
L'extrémité antérieure de la biellette 288 (fig. 8) est articulée à une autre biellette 289, dont l'extrémité arrière est supportée par une fente qui s'y trouve pratiquée et qui s'engage sur un ergot. fixe 290. L'extrémité antérieure de la biellette 289 est reliée à un verrou 291 de touche de Solde 105 monté fou sur l'ergot 12-1 et présentant, à. son extrémité tournée vers le bas, une équerre 292 qui co opère avec une fente 293 pratiquée dans la tige de la touche de Solde 105.
Le mouvement de la biellette 288 vers l'ar rière, lorsqu'il se produit un dépassement , déplace la biellette 289 vers l'arrière d'un même mouvement, ce qui fait basculer le verrou 291 dans le sens senestrorsum. L'équerre 292 vient alors s'engager dans la fente 293, comme on le voit à la fig. 8, blo quant la touche de Solde 105 contre tout enfoncement, lorsqu'il se produit un dépasse ment.
L'opérateur s'aperçoit alors de l'existence d'un dépassement lorsqu'il tente d'enfoncer la touche de Solde 105 afin de déclencher une opération de solde et, dans la machine re présentée, une procédure qu'il est. recom mandé de suivre lorsqu'on découvre un dé passement consiste à. déplacer manuellement le chariot mobile vers la droite jusqu'à, une position hors colonie , position qui est dé terminée par un margeur et dans laquelle le totalisateur N 3 n'est pas automatiquement sélectionné pour une opération d'addition, comme c'est le cas quand le chariot mobile est dans la première position de colonne.
Tout en maintenant le chariot mobile dans la posi tion d'extrême droite, l'opérateur enfonce la touche de Soustraction N 3 108 (fig. 2 et 8), ce qui oblige l'ergot 117 de son extrémité inférieure, en coopération avec une fente 291 d'un levier 295 monté fou sur l'ergot 120 à faire basculer le levier dans le sens dextror- suin, ce mouvement dextrorsum du levier 295 obligeant un doigt 296 orienté vers le liant, en coopération avec un ergot 297 de la biel- lette 289, à déplacer la.
biellette vers l'avant, de manière à. basculer le verrou 291 dans le sens dextrorsnm, dégageant l'équerre 292 de la fente 293 de la touche 105, ce qui a pour résultat de libérer cette touche.
L'enfoncement de la, touche de Soustrac tion N 3 108 (fig. 8) amène un épaulement 298 de celle-ci au-delà d'une équerre 299 du verrou 119, livrant ainsi ce dernier à l'action d'un ressort 118 qui, immédiatement, fait basculer le verrou dans le sens dextrorsum. Il en résulte qu'un doigt 300 de celui-ci, en coopération avec un ergot 301 du levier de commande 255, bascule le levier contre l'action des ressorts 257 et 258. Le mouve ment du levier 255 oblige aussi l'ergot 259, en coopération avec l'arête 260, à basculer le levier 261 dans le même sens, amenant le cliquet 262 sur le trajet de l'extrémité infé rieure du levier volant 218.
Le levier 261 porte un prolongement vers le bas 302, qui coopère avec le rebord supérieur d'un levier 303 de mise en prise N 3, monté fou sur l'ergot 247. Le levier 303 est relié de manière flexible, par un ressort 304, à un cliquet 305 d'embrayage N 3, monté fou sur l'ergot 2-17, ledit ressort maintenant normalement un pro longement vers l'arrière du levier 303 en con tact mobile avec un ergot 306 porté par le cliquet 305.
Le mouvement. dans le sens dex- trorsum du levier 261 amène, par l'intermé diaire du prolongement 302, le levier 303 et le cliquet 305 à se déplacer ensemble dans le sens dextrorsum, ce qui entraîne le cliquet sur le trajet du prolongement inférieur du le vier volant 218.
Après enfoncement de la touche 108 de Soustraction N 3 , et tout en maintenant le chariot mobile dans sa position d'extrême droite, l'opérateur enfonce la touche 105 de Solde , afin de déclencher une opération préliminaire de la machine, afin de déclen cher et de préparer le totalisateur N 1 en vue d'une opération de total et, simultané ment, afin de sélectionner le totalisateur N 2 en vue d'une opération d'addition, grâce au mécanisme représenté à la fig. 3 et expliqué ci-dessus.
Pendant ce temps de fonctionne ment préliminaire de la machine, le mouve ment initial dans le sens dextrorsum de l'ar bre principal 64 et de la plaque d'embrayage 220 (fig. 8) oblige l'extrémité inférieure du levier volant 218 à venir en contact. avec le cliquet 305, de manière à embrayer le totalisa teur N 3 préalablement remis à zéro avec les crémaillères de montants, avant. tout mouve ment initial de celles-ci, ce mouvement les amenant en position proportionnelle au mon tant. du solde négatif du totalisateur N 1. Le montant se trouve introduit soustractivement dans le totalisateur N 3.
Préalablement au mouvement de retour vers l'avant des crémail lères de montants, le cliquet 262, en coopéra tion avec l'extrémité inférieure du levier vo lant 218 (fig. 8), dégage le totalisateur N 3, de sorte que le montant effectif du solde né gatif demeure dans le totalisateur N 3.
Des explications qui précèdent, il résulte que dans l'opération préliminaire, qui est né cessaire pour obtenir un enregistrement effec tif d'un solde créditeur, le totalisateur de solde est remis à zéro et le montant négatif qui s'y trouvait est soustrait du totalisateur N 3 préalablement remis à zéro et additionné dans le totalisateur N 2; mais, étant. donné que le mécanisme imprimeur est rendu inopé rant, le résultat de cette opération prélimi naire n'est pas enregistré sur le document. Cette addition du nombre complémentaire dans le totalisateur N 2 a pour effet de sous traire le chiffre négatif vrai, de manière à maintenir un enregistrement exact des nou veaux soldes.
A la fin de l'opération, l'opérateur lâche le chariot mobile qui, alors, se rend automa tiquement, en fabulant, jusqu'à, la première position de colonne, et la première de la série de trois opérations conjointes d'une trans action de solde créditeur, en vue de l'enregis trement du montant de solde créditeur sur les trois portions semblables du support d'ins cription, peut alors être déclenchée par enfon cement de la touche Solde créditeur 106 (fig. 2).
La touche Solde créditeur 106 est. une touche dite motrice et, lorsqu'on l'enfonce, elle amène une encoche pratiquée dans la partie supérieure de sa tige sur le trajet d'une équerre d'un verrou 307 qui peut tourner sur un tourillon 308 du flasque 21. Le verrou 307 est alors livré à l'action d'un ressort 309 qui bascule immédiatement le verrou dans le sens dextrorsum, lequel déplace la barre 127 vers l'avant, mettant ainsi la machine en mar che de la manière qui a été expliquée à pro pos de la touche de Solde 105.
Le mouve ment du verrou 307 dans le sens dextrorsuin oblige également un ergot. 310 (fig. 2 et 8) porté par lui, en coopération avec une rampe 3l1 du levier 303, à basculer ce levier dans le même sens. Ce levier, à son tour, au moyen (lu ressort .\304, entraîne le eliquet 305, d'un même mouvement, jusqu'à ce que le cliquet se trouve sur le trajet de l'extrémité inférieure du levier volant 218. Le eliquet 305 vient en prise avec un ergot 312 fixé au levier 261 et déplace le levier et le cliquet 262 dans le sens dextror:sum.
Le mouvement initial dans le sens dext.ror- sUrn (fi-. 8) de l'arbre principal 64 et de la plaque d'embrayage 220 oblige l'extrémité inférieure du levier volant 218 à coopérer avec le cliquet 305 en vue de mettre le totalisateur N 3 en prise avec les crémaillères att début (le la première opération et préalablement au mouvement initial, vers l'arrière, des eréina.il- lères. Le mouvement vers l'avant de la biel- lette 217 (fig. ?) fait basculer le bras 2-1-1 clans le sens dextrorsunr,
de manière à dépla eer la bielle 246 vers l'avant, comme il a été expliqué précédemment., ce qui fait basculer la barre 186 (fig. 4) dans le sens senestroi- sinn ou vers le bas, de manière à rendre le cliqijet 189 opérant en vue (lu déplacement, de la glissière 178 vers l'arrière, au début. du fonctionnement de la machine, libérant ainsi les cliquets d'arrêt à zéro. Les crémaillères 146 sont donc libres de se déplacer vers l'arrière et d'être mises en place par les roues du tota lisateur N 3.
Le mouvement initial vers l'ar rière des crémaillères 146 fait tourner en sens inverse les roues du totalisateur N 3 jusqu'à la position zéro, afin que les secteurs impri mants correspondant.-, soient mis en position proportionnellement au montant effectif du solde créditeur, après quoi le mécanisme im primeur enregistre ce montant effectif, sur la première portion du document.
L'ergot 312 du levier 261 (fig. 8) a aussi pour rôle de maintenir une relation convena ble entre le cliquet 305 et l'extrémité infé- rieure du levier volant 218. Ceci est obtenu grâce à une arête 313 pratiquée à la partie supérieure du levier 261 et qui est en contact avec un collier 311 de l'arbre 64, et dans ce cas le ressort 304 permet au levier 303 de se déplacer indépendamment ou relativement par rapport audit levier 261 dans le cas où il est déplacé par le verrou 307.
Le mouvement de retour, dans le sens seires- tror:sum, de la plaque 220 aurait pour effet, dans des conditions normales, d'obliger l'extré mité inférieure du levier volant 218 à s'enga ger avec le cliquet 262 et, comme ce eliquet est dans sa position rigide habituelle, ceci amènerait. le totalisateur N 3 à être débrayé préalablement au mouvement de retour vers l'avant, des crémaillères 1-16; par suite, les roues du totalisateur N 3 demeureraient en position de zéro, ce qui n'est pas souhaitable dans le cas particulier envisagé.
Toutefois, clans la machine représentée, le ressort 304, par l'intermédiaire du cliquet 305 et de l'er got 312, constitue une liaison flexible, de sorte que l'extrémité inférieure du levier volant 218 peut franchir le cliquet 262, en le faisant basculer avec le levier 261 et le cliquet 305 dans le sens senestrorsuin, contre l'action du ressort 304. Ceci permet. aux roues du totali sateur N 3 de rester en prise avec les cré maillères 146 pendant leur mouvement de re tour, de telle manière que lesdites roues se trouvent ramenées à leur position initiale, grâce à quoi le montant effectif du solde cré diteur demeure sur ces roues.
Vers la fin de la première opération, le chariot mobile se déplace automatiquement par tabulation jusqu'à la seconde position de colonne et, ce faisant, déclenche une opération automatique de la, machine, semblable en tous points aux secondes opérations expliquées à propos des transactions de débit ou de crédit, provoquant le sous-total sur le totalisateur N 3, la réimpression du solde créditeur effec tif sur la deuxième portion du document d'enregistrement.
A la fin de la seconde opé ration, le chariot mobile se déplace par tabu- lation automatiquement jusqu'à sa troisième position et, dans une troisième opération de machine, qui est de même analogue à. la troi sième opération expliquée à l'occasion des transactions de débit et de crédit, le totalisa teur N 3 est totalisé ou remis à zéro et le solde négatif effectif est à nouveau imprimé sur la troisième portion du document.
Il est désirable qu'un symbole d'identifiea- t.ion de transaction du solde créditeur soit im primé à côté des inscriptions faites sur les trois portions et ceci est obtenu de la ma nière habituelle par le fait que l'extrémité inférieure de la tige de la touche de Solde créditeur 106 (fig. 2 et 9), en coopération avec la rampe correspondante pratiquée sur la pièce coulissante 270, déplace la pièce cou lissante vers l'avant d'une quantité suffisante pour amener le secteur imprimant les sym boles dans une position où le symbole corres pondant à une opération de solde créditeur (CR)
se trouve inscrit à côté du montant. intéressé sur chacune des trois portions du document.
On se souvient que, dans la première d'une série d'opérations d'inscription de débits, le totalisateur N 1 est sélectionné par le chariot. mobile en vue d'une opération d'addition, afin que le montant de l'article s'y trouve accu mulé. Toutefois, dans la première d'une sé rie d'opérations de solde créditeur, il est dé sirable que le totalisateur de solde n'addi tionne pas, afin que le montant du solde cré diteur ne s'y trouve pas introduit.
Ceci est obtenu par le fait que le mouve ment du verrou 30'7 dans le sens dextrorsum, lors de l'enfoncement de la touche de Solde créditeur 106 (fig. 2), oblige le verrou, en coopération avec un ergot 315 d'une biellette <B>316,</B> à déplacer la biellette vers l'arrière. L'extrémité antérieure de la biellette 316 pré sente une fente destinée à venir chevaucher un ergot 317 de l'extrémité inférieure du verrou 181 de sous-total, tandis que l'extré mité arrière de la. biellette 316 est articulée à un verrou 318 de non-addition du totalisateur N 1 pivotant sur un ergot fixe du flasque 21.
Un ressort. 319, tendu entre un ergot de la biellette 316 et l'ergot<B>31.7</B> (fig. 2), actionne la biellette vers l'avant, de manière à main- tenir normalement la partie gauche de la fente en prise souple avec l'ergot 317, assu rant ainsi une liaison flexible qui permet à la biellette 316 de se déplacer vers l'arrière, indé pendamment du verrou 181. Le mouvement de recul de la biellette 316 fait basculer le verrou de non-addition 318 dans le sens dextrorsuin, amenant ainsi un épaulement d'arrêt de celui-ci sur le trajet d'un bras de commande d'addition (non représenté ) pour le totalisateur.
N 1, bras de commande qui est semblable en tous points au bras de com mande d'addition 226 (fig. '?) prévu pour le totalisateur N 3, de manière à s'opposer au mouvement dans le sens senestrorsum du bras de commande et à ne pas additionner dans le totalisateur N 1 dans les opérations pour les quelles la touche de Solde créditeur 106 est. enfoncée.
JZécanisîne <I>de</I> commande du rtcbait. Dans la série de trois opérations comprises dans une transaction de solde créditeur, il est désirable que l'ensemble des inscriptions sur les trois parties du document comptable soit inscrit en rouge, afin que l'on distingue faci lement les articles de solde créditeur des autres articles.
Ce résultat s'obtient par l'en foncement de la touche de Solde créditeur 106 (fig. ?) qui déplace l'axe de commande d'un ruban de sa position normale, c'est-à-dire de sa position d'impression en noir, à. sa posi tion d'impression en rouge et, étant. donné que l'aie de commande est ramené automati quement de la position roue à la position noire à la fin de chaque opération ' de la ma chine, il est.
prévu un mécanisme qui fonc tionne en liaison avec le mécanisme d'em brayage du totalisateur N 3, de manière à faire revenir l'axe de commande en question de sa position normale ou noire à sa, position d'impression en rouge aussi longtemps que le totalisateur N 3 demeure en prise avec les crémaillères, afin que les trois inscriptions du solde créditeur se fassent en une couleur dif férente.
Le verrou 307 (fig. 2) de la touche de Solde créditeur.> 106 comporte, fixée à son extrémité supérieure, une plaque 321 présen tant une équerre 322 qui coopère avec un pro longement orienté vers le bas d'une bielle 323 guidée à l'aide de fentes pratiquées à chacune de ses extrémités, en coopération, respective ment, avec un ergot 324 du flasque 21 et un ergot. 325 assujetti à une partie recourbée de la plaque supérieure 112.
La bielle 323 est articulée à l'extrémité antérieure d'une biel- lette 3:).6 dont l'extrémité postérieure présente une fente qui vient s'engager sui, un ergot 327 fixé à un prolongement vers le bas d'un renvoi 328 assujetti à. l'extrémité de gauche d'un arbre 329 de commande du ruban, qui pivote dans un bâti transversal 330 fixé entre les flasques 20 et 21.
Lorsqu'on enfonce la touche de Solde cré diteur 106 (fig. 2), un mouvement du verrou 307 et de la plaque 321, sous l'influence du ressort 309, dans le sens (lextrorsum, est rendu possible, comme expliqué précédem ment; ce mouvement oblige l'équerre 322, en coopération avec le prolongement vers le bas de la bielle 323, à déplacer ladite bielle et la biellette 326 vers l'avant, ce qui fait basculer le renvoi 328 et l'arbre de commande 329 dans le sens senestrorsum, depuis sa position d'impression en noir, position normale, jus qu'à sa position d'impression en rouge.
Un bras 331. est fixé sur l'arbre 215 d'eni- brayage du totalisateur N 3 (fig. 2), bras sur lequel peut se déplacer un doigt 332 au moyen d'ergots 333 et 335 en coopération avec une fente dans l'extrémité arrière du doigt et une fente 331 en forme de L près de l'extré mité antérieure.
Un ressort.<B>336,</B> tendu entre le doigt. 332 et le bras 331, actionne le doigt vers l'avant et dans le sens senestrorsum, de manière à maintenir normalement le doigt dans la position représentée, dans laquelle la branche supérieure de la fente en L 331 se trouve à l'alionement avec l'ergot 335.
Le mouvement initial dans le sens senes- trorsum de l'arbre 215 (fi-. 2) et du bras 331, lors du sous-total dans la première série de trois opérations d'une transaction de solde créditeur, amène une languette 337 du doigt 332 sur le trajet de l'ergot 327 du renvoi 3<B>2</B>3, et., étant donné que l'arbre 215 et le bras 331 demeurent en position engagée à la fin de la première opération de la machine, il est évi dent que la languette 337 demeure sur le trajet de l'ergot 327. Un mécanisme bien connu est prévit pour ramener l'arbre de rit- bail de la position rouge à, la position noire vers la fin de chaque opération.
Ce mouve ment. de retour de l'arbre 329 de commande du ruban (fig. 2) et du renvoi 328 oblige L'ergot 327, en coopération avec la languette 337, à déplacer le doigt 332 vers l'arrière, contre L'action du ressort 336, après quoi, immédiatement après le débrayage dit méca nisme de rappel de l'arbre 329 de ruban, le doigt 332, sous l'influence du ressort 336, ra mène le renvoi 328 et l'arbre 329 dans le sens senestrorsum (fig. 2) de la position noire à. la position rouge, de sorte que dans la deuxième opération d'une transaction de solde créditeur, l'impression en répétition du solde créditeur se fait également en rouge.
Étant donné que le totalisateur N 3 de meure embrayé à. la fin de la seconde opéra tion, le ruban est maintenu dans la position d'impression rouge et, par suite, la troisième inscription du solde créditeur sur la troisième partie du document se fait en rouge. Dans la troisième opération, le totalisateur N 3 est. débrayé au moment du total et, par suite, l'arbre <B>2</B>15 et le bras 33l sont ramenés dans le sens dextr orsum en position de fig. 2, de manière à enlever le doigt 332 dit trajet de l'ergot 327, de sorte que l'arbre 329 de com mande du ruban, lorsqu'il est ramené en posi tion, demeure dans cette position normale d'impression en noir à la fin de ladite opéra tion.
On se rappellera que les écritures de cré dit sont également imprimées en rouge et que, dans de telles opérations, le doigt 332 (fig. 2) fonctionne exactement comme on vient de le dire ci-dessus, en vue de maintenir l'arbre 329 de commande du ruban en position d'impres sion rouge, de sorte que les trois inscriptions d'un crédit se font en rouge. Dans certains cas, il est possible que l'ar bre d'embrayage 215 du totalisateur N 3, le bras 331 et le doigt 332 soient basculés dans le sens senestrorsum avant que l'ergot 327, le renvoi 328 et l'arbre 329 de commande du ruban aient effectué leur mouvement de la position noire à la position rouge.
Lorsque ceci se produit, l'extrémité supérieure de la fente en<B>L</B> 334 permet un mouvement relatif entre le doigt 332 et le bras 331, lorsque la languette<B>337</B> vient en contact avec l'ergot 327, et lorsque ce dernier et l'arbre 329 sont mis à la position de rouge, le ressort 336 ramène la languette 337 dans le trajet de l'ergot 327, de sorte que l'arbre 329 est maintenu en po sition d'impression en rouge.
De même, dans les opérations où l'arbre 329 (fig. 2) de coin- niande dn ruban demeure en position de noir, la branche supérieure de la fente 334 en<B>L</B> permet. au doigt 332 de pivoter par rapport au bras 331, et ceci malgré l'action du ressort 336, afin que ne soit pas contrarié le mouve ment. d'embrayage du bras et de l'arbre 215. Exemple <I>de</I> fonctionnement.
Bien que le fonctionnement de la machine représentée ressorte de la description qui pré cède, il sera néanmoins donné -une brève des- er iption du fonctionnement, en employant à titre d'exemple le document en trois parties, représenté en fig. 10.
L'exemple typique d'emploi de la machine représentée est celui d'un grossiste en viandes qui vend de la viande à un certain nombre de marchands détaillants répartis dans une certaine localité. La méthode la plus courain- nient employée d'établissement. de compte par la majorité des grossistes en viandes est ana logue à celle qui est employée par les grands magasins pour la tenue des comptes courants, à ceci près que dans le cas des grossistes, les relevés de compte sont. donnés toutes les se maines au lieu de tous les mois, comme il est de pratique courante dans les grands ma gasins.
Les achats quotidiens de viande par cha que détaillant sont portés quotidiennement à son compte, sous forme d'articles de débit, et les crédits, sous forme de paiements eü compte ou de rendus, sont portés à son compte sous forme d'articles de crédit.
A la fin de la période hebdomadaire, le compte est utilisé pour préparer le relevé en trois parties (fig. 10), et la machine représentée peut être utilisée pour établir ces relevés en triplicata. Le relevé de compte représenté à la fig. 10 présente trois parties analogues, détachables ou séparables, comprenant une portion 310 destinée au client, une portion 3.11 destinée à. l'encaisseur et une portion 312 destinée au service comptable. Ces trois portions simi laires portent en tête le nom du client, dans notre exemple porté à la main sur une ligna prévue à cet effet.
Lorsqu'il désire établir le compte du dé taillant A, l'opérateur introduit convenable ment la feuille en trois parties (fig. 10) sur le rouleau porte-papier du chariot mobile, de telle manière que lorsque le chariot mobile est dans sa 'première position de colonne, la. por tion d'extrême gauche 310 se trouve à, l'aligne ment du mécanisme imprimeur. Piiis, avec le compte du détaillant < 1 et contenant les di verses transactions en.
cours de la semaine, placée à la portée de sa main, l'opérateur compose la date, 10 mai, sur les touches de date, le symbole YB correspondant à la caté gorie de marchandise achetée, avec la touche de symbole, et le montant de l'achat, 20 francs, sur les touches de montants. Etant donné qu'il s'agit là d'une transaction de débit, tout ce qui est nécessaire pour déclencher la série de trois opérations de la machine est d'enfoncer la barre normale de démarrage 37 (fig. 5).
Dans la première opération, la date, 10 mai, le symbole YB et le montant de l'achat, 20 francs, sont imprimés dans la première por tion 340 du relevé et simultanément le mon tant se trouve additionné dans le totalisateur N 1 et dans le totalisateur N 3.
A la fin de la première opération, le elia- riot mobile passe automatiquement par tabu- lation à la deuxième position de colonne, dans laquelle la partie centrale 341 du relevé de compte se trouve à l'alignement du mécanisme imprimeur et, avant que le chariot arrive dans sa position, le mécanisme représenté à. la fig. 7 déclenche un fonctionnement auto matique de la machine, dans lequel le totali sateur N 3 est sous-totalisé et le montant du premier article de débit, 20 francs, est im primé par répétition sur la partie centrale 341 du relevé.
En même temps, la date, 10 mai, et le symbole<I>YB</I> sont également en registrés. La. répétition de l'impression de la date dans ce cas est effectuée par le main tien des touches de date enfoncées tôut le temps, et la répétition de l'impression du sym bole YB est, effectuée grâce à une roue spé ciale située dans le totalisateur N 3 pour la rangée de touches de symboles, laquelle roue est mise en position pendant la première opé ration, dans une position correspondant à la touche de symbole quia été enfoncée.
Après que la seconde inscription (dupli cata) a été effectuée sur la partie centrale 3-11, le chariot mobile passe automatiquement par tabulation à la troisième position de co lonne, dans laquelle la portion de droite 342 du relevé se trouve à. l'alignement du méca nisme imprimeur et pendant, cette tabulation déclenche un autre fonetionnenient automa tique pendant, lequel le totalisateur N 3 est, remis à zéro et le montant de l'article de débit, 20 francs, est imprimé par répétition sur la troisième portion 342 (triplicata).
Comme auparavant, le symbole YB et la date, 10 mai, sont imprimés par répétition sur la portion triplicata 342, de sorte que l'on obtient. trois enregistrements imprimés iden tiques de la transaction effectuée le 10 mai.
L'inscription d'un débit de 30 francs pour le 11 mai est. enregistrée sur les trois parties (lu bulletin de compte, exactement de la même manière. Dans chaque cas, une fois que la troisième inscription a été imprimée sur la portion triplicata 342, le chariot mobile re tourne automatiquement à la position de co lonne N 1 et, en même temps qu'il retourne, le rouleau porte-papier avance d'une ligne en vue de la prochaine inscription.
Pour la troisième inscription de ce compte particulier, l'opérateur compose la date, 12 mai, le symbole convenable<I>CD,</I> destiné à identifier cet article de crédit, et. le montant de l'article, 40 francs. Etant donné qu'il s'agit d'une transaction de crédit, l'opérateur enfonce la touche de Soustraction N 1 <B>109</B> (fig. 2) de manière à rendre le totalisateur N 1 apte à une opération de soustraction, puis 11 enfonce la barre de démarrage, afin de mettre la machine en marche. L'enfoncement, de la touche de Soustraction N 1 109 place le mécanisme dans une position telle que le ruban encreur glisse du noir au rouge et que l'article de crédit se trouve inscrit dans une couleur distinctive.
De même, l'enfoncement de la touche de Soustraction N 1 déclenche le secteur imprimeur de symbole 280 (fig. 9) qui imprime le signe moins à la droite du montant, de manière à indiquer qu'il s'agit d'une opération de crédit.
Dans la. première opération d'une trans action de crédit, la date, 12 mai, le symbole <I>CD,</I> le montant de crédit, 40 francs, et le si gne moins sont imprimés en rouge sur la première portion du relevé, et le montant se trouve simultanément soustrait du totalisa teur N 1 et additionné dans le totalisateur N 3. A la fin de la première opération, le eliariot mobile passe automatiquement. par ta- bulation à sa seconde position de colonne, dans laquelle la partie centrale 341 du relevé se trouve à l'alignement des mécanismes im primeurs, et dans une opération automatique de la machine, les mêmes données sont impri mées sur le duplicata 341.
A la fin de la seconde opération, le cha riot passe automatiquement par tabulation à la troisième position de colonne, dans laquelle c'est la. portion de droite 342 du bulletin qui se trouve à l'alignement des mécanismes im primeurs, et dans une opération automatique de la machine, les données relatives à la transaction créditrice sont réimprimées sur la troisième partie du bulletin ou triplicata. L'article de débit pour le 13 mai est inscrit exactement de la manière expliquée pour les autres articles de débit, et l'article de crédit du 14 mai est inscrit exactement de la manière expliquée pour le précédent article de crédit du 12 mai.
Lorsque toutes les inscriptions de débit et de crédit ont été faites pour la période hebdo madaire envisagée, l'opérateur enfonce la tou che de Solde 105, afin de déclencher la pre mière des trois opérations de solde, dans la quelle le totalisateur N 1 est remis à zéro, tandis que le solde qui s'y trouve contenu, 50 francs, est imprimé sur la première por tion 340 du relevé, tandis que le symbole d'identification (un astérisque), qui est sé lectionné par l'enfoncement de la touche de Solde , se trouve imprimé immédiatement à. droite de la somme.
Dans cette première opé ration de solde, comme dans toutes les opéra tions de débit et de crédit, le totalisateur N 3 est automatiquement sélectionné et mis en po sition d'addition, afin que le montant du solde, 50 francs, y soit additionné et en même temps le mécanisme représenté à la fig. 3 sé lectionne et met en position le totalisateur iNT 2, en vue d'une opération d'addition, de sorte que le total des soldes net s'y trouve accumulé.
Une fois la première opération achevée, le chariot mobile passe par tabulation à la se conde position de colonne et, par une opéra tion automatique, le solde et le symbole d'identification sont réimprimés sur la se conde portion du relevé. Quand la seconde opération est achevée, le chariot mobile passe à la troisième position de colonne et, grâce à une autre opération automatique, le solde et le symbole d'identification sont réimprimés sur la troisième portion 342.
On remarquera que la date n'est pas im primée dans les opérations de solde. Ceci est voulu et s'obtient en munissant le totalisateur N 1 du dispositif de non-totalisation dans les trois positions correspondant. aux trois cré maillères de date. Le dispositif retient les cré maillères de date et leurs secteurs imprimeurs correspondants en position de zéro ou de non-impression lors de la première opération, afin d'empêcher l'impression. de la date sur la première portion du compte, même si les touches de date sont enfoncées.
Le totalisateur N 1 n'est pas embrayé avec les crémaillères dans les seconde et troi- sième opérations et, par suite, il n'intervient pas pour empêcher l'impression de la date dans de telles opérations. Pour pallier cette difficulté, le totalisateur N 3 est. muni de roues normales dans les positions correspon dant aux crémaillères de date et, dans la pre mière opération, celles-ci maintiennent les roues N 3 à zéro.
Il est. évident que les roue, de date N 3 démarreront à. zéro dans la se conde et la troisième opération et, à leur tour, maintiendront les crémaillères de date à zéro, ce qui empêchera l'impression de la date star la deuxième et la troisième portion du relevé.
On voit ainsi qu'à, la fin de la se maine, le détaillant A doit. an grossiste la somme de 50 francs, et lorsque ce dernier vient encaisser cette somme, il donne la pre mière portion 340 (fig. 10) au client, à. titre de reçu et pour sa documentation, et conserve la. seconde portion 341 pour son propre dos sier à lui encaisseur, tandis que la troisième portion 342 est conservée par la Compagnie pour les archives des transactions de la se maine en cours.
*Le second groupe d'inscription, porté sur les trois parties du bulletin, illustre à titre d'exemple la manière de traiter un compte impliquant un solde créditeur dans lequel la différence est. en faveur du client.
Dans ce second exemple, les articles de débit et de crédit sont. introduits exactement comme on l'a expliqué pour le premier exem ple, et une fois que le dernier article de dé bit de 10 francs a été enregistré, l'opérateur, ne sachant pas que le totalisateur N 1 est en dépassement, tente d'enfoncer la. touche de Solde , afin de déclencher une transaction de solde. Ceci naturellement est impossible, étant donné que le mécanisme représenté à la fig. 8 verrouille la. touche de solde contre tout enfoncement dès que le totalisateur de solde passe d'une situation positive à une situation négative.
Lorsqu'il découvre cette situation, l'opérateur déplace le chariot mobile d'un cran vers la. droite jusqu'à l'amener en posi tion hors tabulateur , qui est déterminée par le margeur de gauche et, tout en maintenant le chariot dans cette position, il enfonce la touche<B>108</B> ou Soustraction N 3 (fig. ?) et déclenche alors une opération préliminaire en enfonçant la touche de Solde 105. Le mouvement du chariot vers la position en question entraîne le verrouillage de tous les secteurs imprimeurs contre des mouvements d'impression, de sorte qu'aucun enregistre ment de cette opération ne peut être effectué sur le papier. Lorsqu'on fait fonctionner la machine, le totalisateur de solde est remis à.
zéro et le solde complémentaire ou négatif, qui s'y trouve, est simultanément soustrait du totalisateur N 3 et additionné dans le totali sateur N 2. Ceci a pour résultat l'introduc tion du solde négatif effectif dans le totalisa teur N 3 et. sa soustraction du totalisateur N 2, lequel, comme expliqué précédemment, accumule le total net. de tous les soldes. A la fin de l'opération préliminaire, le chariot mo bile est laissé libre de revenir par tabulation à la première position de colonne, dans la quelle la partie gauche 340 du relevé (fig. 10) est à l'alignement du mécanisme imprimeur.
La première opération de solde créditeur est déclenchée par l'enfoncement de la touche Solde créditeur 106 (fig. 2) qui oblige le totalisateur N 3 à embrayer pour un sous total en même temps que les totalisateurs N ' 1 et 2 sont non-additionnés, de sorte clne le montant. effectif du solde créditeur, 30 francs, est imprimé sur la. première portion du relevé. De même, l'enfoncement de la tou che Solde créditeur amène le secteur impri- meur de symboles à être mis en position, de manière à imprimer un symbole d'identifica tion<I>CR</I> immédiatement à droite de l'ins cription de solde créditeur.
A la. fin de la première transaction de solde créditeur, le chariot mobile passe auto matiquement à la seconde position de colonne et, ce faisant, déclenche un fonctionnement automatique de la machine pendant. lequel le montant effectif du solde créditeur, 30 francs, et le symbole correspondant. <I>CR</I> sont ré imprimés sur la seconde partie du relevé. A la fin de la seconde opération, le chariot mo bile passe automatiquement à la troisième po sition de colonne et, ce faisant, déclenche un autre fonctionnement automatique de la ma chine, dans lequel le montant positif du solde créditeur et le symbole correspondant sont ré imprimés sur la troisième portion du relevé.
Il est désirable que les données relatives à. une transaction de solde créditeur soient im primées en rouge, et ceci résulte de l'enfonce ment de la touche 106 Solde créditeur qui amène l'arbre 329 (fig. 2) de commande du ruban en position d'impression rouge; l'arbre est maintenu en position par le doigt 332, comme expliqué plus haut, de sorte que les trois inscriptions de solde créditeur se font. dans une couleur distinctive. On remarquera que dans les transactions de solde créditeur comme dans les trans actions régulières de solde, la date n'est im primée sur aucune des trois portions, pour la même raison que celle expliquée plus. haut.
Si, à la fin d'une période commerciale quelconque, telle qu'une journée par exemple, l'opérateur désire savoir duel est le solde total net, il peut l'obtenir en tirant le total ou le sous-total du totalisateur N 2 qui accumule le total des soldes nets. Ordinairement, le solde total net n'est pas imprimé sur le relevé représenté à la fig. 10, mais il est imprimé sur un autre document. comptable qui est con servé dans les archives.
Dans la machine re présentée, le solde net est inscrit. seulement sur la bande comptable, ce qui s'obtient en en fonçant la touche de Non-addition 111 en même temps que la touche 107 de Total N ? . Cette dernière touche déclenche une série d'opérations de la machine dans la pre mière desquelles le totalisateur N 2 est tota lisé et le montant qui s'y trouve imprimé sur le document. Etant donné que les totalisa teurs Nos 1 et. 3 sont sur non-addition pen dant la première opération, ils demeurent à. zéro pendant la. seconde et la troisième opéra tion et, par suite, rien n'est imprimé sur le document.
Dans les opérations de solde net., il est souhaitable que la date ne s'imprime pas non plus, et ceci est obtenu en munissant le tota lisateur N 2 de roues appropriées dans les positions correspondant aux crémaillères de la date, de manière à maintenir les crémaillères en position de zéro, de telle sorte que même si les touches de date sont enfoncées, la date ne soit pas imprimée. La touche de Non-addi- tion 111 met en position le secteur impri meur de symboles, de manière à imprimer un symbole de non-addition immédiatement à droite du solde total net.