Machine de comptabilité. L'invention a pour objet une machine de comptabilité dans laquelle une phase de tra vail unique a lieu pour chacune des opéra tions et qui comprend un totaliseur et un dis positif d'actionnement du totaliseur, caracté risée par des dispositifs produisant plusieurs mouvements complets d'engagement. et de dé gagement du totaliseur par rapport audit dispositif d'actionnein.ent an cours de chaque phase de travail, par des dispositifs d'action- nement de ces dispositifs d'engagement et de dégagement,
par des dispositifs de manipula tion permettant de contrôler et de diriger le genre d'opération due la machine doit effectuer et par des dispositifs d'aecouplement normale ment inactifs, susceptibles d'être mis en action, de fae#on à. accoupler les dispositifs d'enga gement et. de dégagement. à leurs dispositifs d'actionnement respectifs pour les différentes opérations de la machine, sous le contrôle des dispositifs de manipulation, pour mettre le totaliseur en engagement avec son dispositif d'actionnement ou pour le dégager de ce lui-ci au moment requis suivant le genre dé siré d'opération de la. machine.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine faisant l'objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en perspective com plète de la machine.
La fig. 2 est une vite du clavier de cette machine. La fig. 3 est un fac-similé d'une portion d'une bande servant à l'impression en plu sieurs colonnes, telle qu'elle est utilisée dans cette machine, et qui montre la manière d'uti liser la machine comme machine de commerce ou caisse enregistreuse.
La fig. -1 est. lin fae-similé d'une autre portion de la. bande servant à. l'impression et montrant la manière d'utiliser la machine pour le débit de différentes transactions et pour en obtenir les montants totaux.
La fi-. :5 est lui fac-similé d'une autre portion de la bande servant à l'impression et montrant la manière d'utiliser la machine comme machine à additionner pour obtenir le grand total de différents totaux.
La fi-. 6 est. une coupe prise immédiate- ment. à. droite de la rangée des touches des dixièmes de l'unité considérée (décimes fran- @ais ou dix cents américains, par exemple), montrant lesdites touches, un mécanisme différentiel qui leur est associé et des méca nismes des indicateurs, d'impression et du to-, taliseur actionnés par ledit mécanisme diffé rentiel.
La fig. 7 est une vue détaillée d'un mé- eanisine différentiel de la rangée des dixièmes. La fig. 8 est une vue détaillée d'un. méca nisme du verrou différentiel de la rangée des dixièmes.
La. fi,,. 9 est. lune vite détaillée d'un méca nisme de report des dizaines pour la. rangée (les dixièmes. La fig. 10 est une coupe de la machine, prise immédiatement à droite de la rangée de touches de transactions et montrant cette rangée de touches et le mécanisme différen tiel qui lui est associé.
La fig. 11 est une vue détaillée d'in mé canisme d'alignement des roues d'impression, y compris .les roues imprimeuses mobiles d'une colonne à l'autre.
La fig. 12 est une ,coupe de la machine prise immédiatement à droite de la rangée de touches de sélection des colonnes et montrant cette rangée et le mécanisme différentiel qui lui est associé.
La fig. 13 est une vue détaillée d'une par tie d'un mécanisme différentiel des touches de sélection des colonnes.
La fig. 14 est une vue détaillée d'un mé canisme d'alignement du mécanisme de sélec tion des colonnes.
La fig. 15 est une élévation latérale de la machine, montrant, en particulier, un méca nisme d'arrêt de la marche de la machine.
La fig. 16 est une voie détaillée d'un mé canisme qui met le mécanisme .de la machine à la position de repos ou position normale.
La fig. 17 est une vue détaillée en plan de plaques de contrôle de la rangée de touches des transactions et de la rangée de touches de sélection des colonnes.
La fig. 18 est une vue latérale des plaques de contrôle représentées par la fig. 17, mon trant comment ces plaques contrôlent la mise en route de la machine.
La fig. 19 est une vile détaillée d'une partie d'un mécanisme d'entraînement des roues du totaliseur par les segments d'entraî nement des montants.
La fig. 20 est une vue détaillée d'in mé canisme à came actionnant les pièces d'aligne ment des roues du totaliseur.
La fig. 21 est une vue de détail d'un dis positif d'alignement des roues du totaliseur. La fig. 22 est une vue partielle en plan de l'ensemble du totaliseur.
La fig. 23 est une élévation, vue du côté gauche, d'un mécanisme .du compteur spécial. La.fig. 24 est une vue en plan d'une par tie de la machine, montrant, en particulier, le totaliseur et l'un des mécanismes différen tiels qui lui sont associés, les roues imprimeu- ses et une partie du mécanisme de mise en position des roues impriineuses des colonnes.
La fig. 25 est une élévation, vue du côté gauche, d'un coulisseau qui contrôle le fonc tionnement de la machine, et d'une partie d'iui mécanisme qui lui est associé.
La fig. 26 est une élévation, vue du côté droit, d'un coulisseau de contrôle et du méca nisme associé.
La fig. 27 est une coupe de la rangée de touches des montants, représentée par la fig. 6. La fig. 28 est suie coupe, à plus grande échelle, de l'une des touches de montants, de la plaque de détente et de la plaque de con trôle associées.
La fig. 29 est une vue, en plan, de la pla que de contrôle de la fig. 28.
La fi-. 30 est une élévation, vue du côté droit, d'un mécanisme qui commande la mise en prise et hors de prise du totaliseur, et du mécanisme qui donne les mouvements provo quant cette mise en prise ou hors de prise.
La fig. 31 est une vue de détail .d'un mé canisme à came et levier qui commande la mise en prise et hors de prise du totaliseur.
La fig. 32 est une vue de détail d'un mé canisme<B>qui</B> libère les cliquets de zéro lors des opérations .de lecture et de remise à zéro.
La fig. 33 est suie vue en perspective d'un mécanisme actionné par le coulisseau de con trôle général pour contrôler la position des touches de la rangée des centaines, par exem ple des -centaines de francs ou de dollars, des touches de montants et de certaines touches de la rangée des transactions.
La fig. 34 est une vue en perspective, montrant le mécanisme actionné par certaines touches de transactions pour contrôler le mé canisme de sélection des colonnes, et le méca nisme interverrouillant certaines touches de transactions et les touches des montants.
La fig. 35 est une vue détaillée d'iin mé canisme contrôlé par les rangées de touches de sélection des colonnes et des transactions pour libérer l'arbre de verrouillage des tou ches.
La fig. 36 est. une vue détaillée d'un levier de libération manuelle des touches.
La fig. 37 est une élévation, vue du côté droit, d'un mécanisme de libération < lu tiroir- caisse et du mécanisme actionné à la main pour déverrouiller la machine proprement dite d'avec le tiroir-caisse.
La fia. 38 est une vue détaillée d'une partie d'un mécanisme (lui déverrouille la machine proprement, dite d'avec le tiroir- caisse.
La fig. 39 est une vue détaillée d'un verrou qui maintient le tiroir-caisse en posi tion fermée.
Les fig. 40A et. 40B réunies constituent une vue arrière de la machine montrant, en particulier, l'arbre à cames principal et le mé canisme de l'indicateur.
La fig. 41 est. une élévation, vue du côté gauche, (le l'un des indicateurs des montants et du mécanisme d'alignement associé.
La fig. 42 est une vue détaillée d'un mé canisme à came qui actionne le mécanisme de l'indicateur représenté à la fig. 41.
La fig. 43 est un graphique des temps de fonctionnement des différentes cames de la machine.
La fig. 44 est une élévation, vue du côté gauche, d'un mécanisme contrôlé par la ran gée de touches (les montants représentée à la fig. 6, pour mettre en position les roues impri- meuses de cette rangée de touches.
fia fig. 45 est une élévation, vue du côté droit, d'une partie d'un mécanisme contrôlé par la rangée de touches de transactions re présentée à la fig. 10, pour transmettre la. po sition du mécanisme différentiel de cette ran gée aux indicateurs des transactions.
La fig. 46 est une vue détaillée d'une par tie d'un. mécanisme représenté à la fig. 30 pour contrôler les mouvements de mise en prise et de mise hors de prise du totaliseur.
La fig. 47 est une @,ue détaillée d'une came coopérant avec une pièce d'alignement pour des segments intermédiaires. <I>Châssis de</I> lit machine.
Le mécanisme de la machine est porté par deux flasques principaux 60 et 61 (fig. 12, 24, 40A et 40B), fixés sur l'embase 62 de 1a machine, Un mécanisme indicateur et une partie d'un mécanisme de mise en position de l'imprimeur sont supportés par des flasques secondaires 63 et 64, fixés respectivement aux flasques principaux 60 et 61. La plaque embase 62 s'emboîte dans un fond 65 à re bords (fi;-. 37) auquel elle est fixée, ce fond à son tour reposant sur le dessus d'un socle 66 à tiroir (fig. 1). Ce socle renferme un tiroir-caisse 67 et est fixé à une plaque de base en bois 68. Le mécanisme de la machine est. enfermé dans un carter 69 qui est fixé sur le rebord, tourné vers .le haut, du fond 65.
La machine est fixée (le façon amovible au socle 66 (fi g. 1 et 37) par deux ergots 70, dont un seul est représenté. Ces ergots fixés à ce socle et passant clans des trous de l'em base 62 ont des têtes tronconiques, de façon à. s'engager facilement dans des trous 71 (fig. 37 et 38) d'un verrou 72 monté coulis sant sur l'embase 62 par l'intermédiaire de lumières pratiquées dans le verrou et asso ciées à des goujons à vis 73 vissés dans l'em base 62. Un ressort. 74 sollicite le verrou 72 vers le haut, sur la fil--. 38, de façon à main tenir normalement le bord inférieur des trou 7l. engagé dans la rainure faite sur la tête des ergots 70, ce qui fixe la. machine sur le socle à tiroir 66.
Un prolongement du verrou 72 porte un galet, 75 qui coopère avec une surface formant. came 76 .d'un bras-came 77 tournant libre ment sur un goujon<B>78</B> fixé sur le flasque 60. Une biellette 79 relie le bras 77 à un levier à deux bras 80 loti autour d'un axe 87., fixé sur le flasque 60.
Le levier 80 présente une lu mière 82 disposée horizontalement, dans la quelle passe un axe 83 situé vers l'extrémité inférieure d'une biellette 84, cette extrémité inférieure étant. en forme de fourche, de façon à enfourcher un axe 85, fixé sur le flasque 60, tandis (lue l'extrémité supérieure de cette biellette est articulée sur l'un des bras d'un levier 86 tournant librement sur un axe 87 tourillonné sur les flasques 60 et 61.
Un autre bras du levier 86 présente. une encoche qui enfoiirehë- un goujon .88 de l'extrémité inférieure de- la tige 89 d'une touche 91 (fig. 2 et 37) formant le verrou de l'embase, et cette tige présente deux fenêtres parallèles qui, én coopération avec des gou jons 90 fixés sur le flasque 60supportent cette touche 91.
La touche 91 passe au travers du plateau d'un clavier, vers le coin supé rieur gauche de- ce plateau: Lorsqu'on enfonce la touche 91 qui .com mande le verrou de l'embase, ceci fait bascu- lër le levier 86 -(fi-. 37) dans le sens inverse de celui des aiguilles<B>_d</B> 'une montre, ce qui relève la biellette 84 et l'axe 83 fait basculer 1ë levier 80 également dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, mouvement qui est transmis au bras 77 par -la biellette 79.
Ce mouvement du bras 77 fait que la came 76, en :coopération avec. le galet 75, repousse le verrou 72 vers le bas sur, la fig. 38, en antagonisme à l'action du ressort 74, de façon à dégager le bord inférieur des troLLS 71 de la ramure annulaire :des ergots 70 et à amener ces trous en face des têtes de leurs ergots 70 respectifs. Ceci permet de soulever la machine par rapport au socle 66 lorsque l'on veut l'utiliser comme machine à additionner et non comme caisse enregistreuse.
Lorsque la machine est remise en place sur le socle 66, les têtes tronconiques des ergots 70 repoussent le verrou 72 vers le bas sur la fig. 38, en - antagonisme à l'action. du ressort 74, jusqu'à .ce que les rainures circu laires de ces ergots soient revenues à l'aligne- ment avec le verrou 72, après quoi le. ressort 74 ramène.ledit verrou en prise avec les rai nures circulaires; de façon à- verrouiller la, machine sur le socle. 66.
Un dispositif, sous 1e contrôle d'un eou- l'isseau,de contrôle général, empêche que l'on puisse enfoncer la touche 91 (fig. 37) "de ver rouillage lorsque ledit coulisseau de contrôle général est dans -la; position d' Enregistre- ment ou d' Énregistrëuse verrouillée .
Ainsi qu'on peut le voir aux fig. 25; 26 et 37, le coulisseau de contrôle général 92 est monté coulissant sur le flasque de gauche 60, d'une. façon qui sera décrite plus loin, et ce coulisseau porté une serrure comprenant un verrou rotatif 93, muni d'un ergot disposé polir s'engager dans des encoches 94 et 95 d'une plaque 96 de verrouillage, lorsque l'on fait tourner le verrou 93 au moyen d'une clé appropriée:
La plaque 96 est fixée sur deux goujons 97, fixés sur le flasque 60, et les en coches 94 et 95 correspondent respectivement à la-position d' Enregistrement et à la posi tion d' Enreg@streuse verrouillée ,du Coulis seau 92, de sorte que le possesseur .de la clé peut verrouiller le coulisseau dans l'une ou l'a-Litre de ces positions.
Une barre 98 peut, grâce à des entrées pa rallèles, glisser sur les goujons 97 par lesquels elle est supportée, et Lin ressort 99 sollicite cette barre vers la droite sur la fig. 37, de façon à maintenir normalement deux encoches, réalisées dans le bord supérieur de ladite barre, et qui correspondent aux encoches 94 et 95 de la plaque 96, en face desdites enco- ehes.94 et 95. La barre 98 porte un goujon 100 qui. est pris entre les bras d'une fourche ménagée dans l'un des bras d'un levier<B>101</B> tournant librement autour d'un axe 102 fixé au flasqile 60.
L'autre bras du levier 101 porte un téton 103 qui est situé en dessous d'une oreille 104 de la. tige 89 de la touche 91.
Lorsque le coulisseau de contrôle général. 92 (fig.37) se trouve dans l'une ou l'autre des positions d' Enregistrement ou d' Enre- gistreuse verrouillée , la. manoeuvre du verrou 93 fait entrer l'ergot de verrouillage porté par ce verrou dans l'une ou l'autre des enco ches 94 et 95, .de façon à verrouiller ledit Cou lisseau dans l'une ou l'autre des positions, et, en .
même temps, ledit ergot de verrouillage s'engage dans l'encoche correspondante de la barre 98, de façôh à verrouiller la touche 91 polir qu'on. lie puisse plus l'enfoncer, lorsque le coulisseau <U>de</U> contrôle général est dans l'une ou l'autre des positions indiquées. Lors que le verrou du coulisseau de contrôle géné ral 92 est resté ouvert, la barre 98 peut se mouvoir vers l'avant à l'encontre de l'action de son ressort, 99 et, par conséquent., n'empê che pas la touche 91 d'être enfoncée.
<I>Mécanisme du tiroir-caisse.</I>
Un mécanisme est prévu pour faire s'ou vrir automatiquement. le tiroir-caisse chaque fois que la machine est mise en route. Dans cette réalisation particulière de la machine, il n'est. pas nécessaire d'utiliser un moyen manuel pour ouvrir le tiroir-caisse.
En se reportant aux fig. 37 et 39, on voit que le tiroir-caisse 67, qui peut glisser dans le socle 66, possède un cliquet 105, fixé à son panneau arrière et disposé pour entrer en prise avec un verrou 106 tournant librement sur un axe 107, porté par un support 108 du socle 66. Un ressort 109 actionne le verrou 106 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de facon à. maintenir normale ment. un prolongement vers le bas de ce verrou en contact avec une partie 110 du sup port 108.
Un prolongement. 111 du verrou 106 est dirigé vers le haut et coopère avec un ergot 112 d'un levier 113 fixé sur l'axe 107. Un autre levier 114- (fi-. 37) est aussi fixé à l'axe 107 et porte un ergot 11.5 pris dans une encoche d'un levier 116 fou sur un axe 117 fixé sur un prolongement du support 108.
Un doigt 118 du levier 116 s'étend vers l'avant et coopère avec l'extrémité inférieure d'un poussoir 119 passant librement dans un manchon 120 fixé à l'embase 62 de la ma chine. L'extrémité supérieure du poussoir 119 est fixée sur une tête 121 présentant une ca vité dans laquelle peut se loger avec jeu l'extrémité supérieure du manchon 120. La, face supérieure de la tête 121 coopère avec un bec arrondi d'un levier 122 fou sur l'axe 85. Le levier 122 est, relié par une biellette 123 à un levier à came 124 fout sur un axe 125 fixé sur le flasque 60 (le gauche.
Le levier 12-1 porte des galets 126 et 1<B>2</B>7 qui coopèrent respectivement avec la. périphérie de deux cames conjuguées 128 et 129 fixées sur un arbre à cames 130 qui tourillonne entre les flasques principaux 60 et 61.
A chaque fonctionnement de la machine, l'arbre à cames principal 130 est entraîné clans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 37) par un mécanisme qui sera décrit plus loin, et qui lui fait.
faire iii tour com plet, de telle sorte que les cames 128 et 129 font basculer le levier 121 tout d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, puis le ra mènent dans sa position normale, selon les temps prévus à l'intervalle N" 12 du graphi que de la fig.13. Ce mouvement dit levier 121 fait basculer, par l'intermédiaire de la biellette <B>123,</B> le levier 122 d'abord dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, le rame nant ensuite dans sa position normale.
Dès que le levier 122 se déplace dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre (fig. 37 et 39), son bec arrondi, en coopé ration avec la tête 121, enfonce le poussoir 119 qui fait basculer le levier 116 .dans le même sens, ce qui fait. basculer le levier 114, l'arbre 107 et le levier 113 dans le sens des aiguilles d'une montre. Ce mouvement du le vier 113, par l'intermédiaire de l'ergot 112 coopérant avec le prolongement 111, fait bas culer le verrou 106 dans le même sens, et, en opposition à l'action dit ressort 109, dégage ce verrou de l'emprise du cliquet. 105.
Ceci laisse le tiroir 67 soumis à l'action d'uri res sort 131, dont l'extrémité arrière est fixée au support 108, et qui repousse immédiatement. le tiroir dans la position ouverte. Lorsque les cames 128 et 129 ramènent les pièces à leur position normale, ainsi qu'il est. représenté, le ressort. 109 ramène le verrou 106 en position de verrouillage, de sorte que, lorsque le tiroir se ferme, le bord biseauté dit cliquet 10:), co opérant avec le bec biseauté < lu verrou 106, permettra. à ce cliquet de dépasser le verrou, sur quoi le ressort 109 ramènera. le verrou en position de verrouillage.
Un téton fixe 132 (fig. 37) (lu flasque 60, en coopérant avec une lumière du levier 122, limite le déplace ment de ce levier. Mécanisme<I>de</I> la <I>sonnerie.</I> Chaque fois que le mécanisme .d'ouverture du tiroir fonctionne, il actionne un marteau qui fait sonner une cloche, de façon à attirer l'attention sur le fait que le tiroir-caisse 67 s'ouvre.
Un levier 133 est fixé sur l'axe 107 (fig. 37 et 39) et porte un axe 134 qui sup porte un cliquet 135, dont l'extrémité supé rieure est disposée pour entrer en contact avec un téton carré 137 d'un marteau de clo che 138 tournant librement sur un axe 139 porté par un prolongement du support 108. Un ressort 140 sollicite le marteau 138 dans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à appuyer normalement une surface de ce lui-ci sur la face supérieure d'un téton carré 141 fixé au support 108. Le téton 141 main tient le marteau à une faible distance d'une cloche 144 fixée au support 108, de façon à ne pas assourdir le son de la cloche.
Lorsque l'arbre 107 et le levier 133 tour nent dans le sens des aiguilles d'une montre, sous l'action des cames 128 et 129 (fig. 37), le cliquet 135 entre en prise avec le téton 137 et ceci déplace le marteau 138 dans le sens inverse .de celui des aiguilles d'une montre, en antagonisme .à l'action du ressort 140.
Le mouvement se continuant, l'extrémité supé rieure du cliquet 135 s'échappe du téton 137 et libère le marteau 138 qui se trouve soumis à l'action de son ressort 140, lequel l'amène à frapper sur la cloche 144 à peu près en même temps que le verrou 106 se trouve libéré du cliquet 105, ce qui attire l'attention sur le fait que le tiroir 67 s'ouvre. Bien que le mar teau 138 frappe sur le téton 141 avant de frapper sur la cloche 144, les pièces sont assez flexibles pour, sous l'action de l'inertie, permettre au marteau d'arriver jusqu'à la cloche et de la frapper.
L'axe 107 et le levier 133 revenant en arrière, dans le sens inverse de .celui :des aiguilles d'une montre, le cliquet 135 dépasse le téton 137 et vient se placer sous lui, ainsi qu'il est représenté, les pièces étant ainsi ramenées à leur position normale. Mécanisme d'entraînement.
Normalement, un moteur électrique 145 (fig. 15) entraîne l'arbre principal 130 et lui fait faire un tour .complet, dans le sens des aiguilles d'une montre, à chaque mise en route de la machine. Cependant, une poignée de manaeuvre 864 est prévue pour entraîner cet arbre si cela est nécessaire ou si on le veut.
Le moteur électrique 145 est fixé au flasque de droite 61, et ce moteur possède un arbre 146 sur lequel est fixé un pignon 147 qui engrène avec une couronne 148 folle sur un axe 149 fixé sur le flasque 61. La cou ronne 148 présente, venu de matière avec elle, un rochet 150 à quatre crans, qui coopère avec un épaulement 151 d'un cliquet 152 fou sur un axe 153 fixé sur un disque d'em brayage 154 lui-même fou sur l'axe 149 et fixé à une roue d'engrenage 155 libre aussi autour de l'axe 149. La roue dentée 155 en grène avec une roue dentée similaire 156 fixée à l'arbre principal 130. Le train d'engrenages et le rochet décrits constituent une liaison d'entraînement antre le moteur 145 et l'arbre principal 130.
Lorsque la machine est au repos ou en po sition normale, ainsi qu'il est représenté (fig. 15), ime surface 157 -du cliquet 152 est en prise avec l'extrémité supérieure d'un bras de contrôle 158 du rochet; ce bras est fou sur un axe 159 porté par le flasque 61, de façon à retenir le cliquet 152 dans la position dé clenchée, en antagonisme à l'action d'un res sort 160. Cette position est fixée par -une surface en creux du cliquet venant en prise avec un téton 161 .du disque 154, de façon que l'épaulement 151 soit maintenu hors du passage des crans du rochet 150.
Le bras 158 est fixé. par l'intermédiaire d'un goujon 162, sur un levier 163 de con trôle du rochet; ce levier est fou sur l'axe 159; il est sollicité clans le sens inverse de ce lui des aiguilles d'une montre par un ressort 164, de façon à maintenir normalement la surface 165 d'un prolongement vers le haut <B>du</B> levier 163 en .contact avec une oreille ra battue 166 .d'une barre 167 d'arrêt et de dé marrage du moteur.
La barre 167 peut glisser contre le flasque 61 sur lequel elle est montée, par l'intermédiaire de parallèles et de goujons 168 fixés sur ce flasque. Ladite barre est normalement maintenue dans la, po sition élevée ou non enfoncée, grâce à un ressort 169. Un poussoir à main 170, monté sur la barre 167, émerge du clavier (fig. 1) en passant dans une ouverture de la plaque supérieure de ce clavier, et est situé sur le côté droit dudit clavier.
U n cliquet 171, arti culé sur le prolongement vers le haut du le vier 163, est destiné à éviter la répétition intempestive de la mise en route; il est solli cité dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort 172 qui l'amène sur un téton carré 173 fixé au flasque droit 61. Un téton 174, porté par le cliquet 171, entre en contact avec le bord du levier 163, de façon à limi ter le déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre du cliquet 171 sous l'action du ressort 172.
Lorsque la machine est au repos, le res sort 161. (fin. 15) sollicite le levier 163 clans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de façon à appuyer normalement la surface 165 en contact avec l'oreille 166. Lors que la surface 165 est en contact avec l'oreille <B>166,</B> l'extrémité du cliquet 171 est retenue à une faible distance du téton 173 et laisse un jeu entre les deux. Une biellette 175 (fie. 15) relie le prolongement vers le haut du levier 163 à un levier 176 fixé sur un arbre<B>177</B> tou rillonnant. dans les flasques 60 et 61.
Avant que la machine ne puisse fonction ner, il est nécessaire que l'arbre 177 puisse auparavant tourner dans le sens des aiguilles d'une montre. Par exemple, l'arbre 177 ne peut tourner lorsque le coulisseau de contrôle général 92 se déplace d'une position à l'autre, lorsqu'une touche de montant est partielle ment enfoncée et lorsque, lors d'une opéra tion d'enregistrement, les touches de trans actions et de sélection des colonnes ne sont pas enfoncées.
Le mécanisme de verrouillage de l'arbre<B>177,</B> contrôlé par les touches de trans actions et de sélection des colonnes, devient inopérant. lorsque l'on amène le coulisseau de contrôle général dans la position d'addition et de remise à zéro.
Lorsque l'arbre 177 et le levier 176 sont verrouillés et ne peuvent tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, la biellette 175 em- pêche le levier 163 .de basculer dans le sens üiverse de celui des aiguilles d'une montre, sous l'action du ressort 161-, si la barre 167 est. poussée vers le bas. Dans ce cas, une partie inférieure de la surface 165 du levier<B>163</B> est dégagée sur un angle, de façon à empêcher que L'oreille 166 n'accroche le bord de cette surface lorsque la barre 167 est rappelée vers le haut par le ressort 169.
Lorsque L'arbre 177 et le levier 176 peu vent, tourner .dans le sens des aiguilles d'une montre, si l'on pousse vers le bas la. barre 167, l'oreille 166 vient se placer sous la sur face 165 dans un dégagement du levier 163 et cette oreille vient, en même temps, prendre contact avec le cliquet 171 et le fait. basculer pour le dégager .du téton 173. Ceci laisse le levier 163 sous l'action du ressort 164 qui fait immédiatement basculer ce levier et le bras 138 clans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, et dégage l'extrémité supérieure de ce bras du contact de la surface 157 dix cliquet. 152 du rochet.
Ceci laisse le cliquet 152 soumis à l'action de son ressort 160 qui le fait immédiatement basculer dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre sur le dessin, de façon à. amener l'épaulement 151 sur le passage des quatre crans du rochet. 150. Simultanément, au dégagement du bras 158 d'avec le cliquet 1.52, une pièce 178 en matière isolante, fixée à un bras antérieur du levier 163, appuie sur des ressorts de contact 179 d'un interrupteur qui ferme le circuit électrique du moteur 145 et fait ainsi tourner l'arbre 146 et le pignon 1-17 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le pignon 147 en traîne la roue 148 et le rochet 1:50 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre, ce qui amène l'un des quatre crans clu rochet en prise avec l'épaulement 151 et en traîne le disque 154 et la roue<B>155</B> dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre à la même vitesse. La roue 155 entraîne la roue 156, qui a exactement le même nom bre de dents que ladite roue 155, dans le sens des aiguilles d'une montre.
Lorsque la roue 156 et, l'arbre principal 130 ont effectué presque un tour complet, un galet 180, porté par la roue 156, entre en contact avec une surface 181, formant came, du prolongement vers le haut du levier 163, de faon à faire basculer ce levier ainsi que le bras 158 dans le sens des aiguilles d'une montre, en antagonisme à l'action du ressort 164, et à libérer l'interrupteur 179, en rame nant en même temps l'extrémité supérieure du bras 158 sur le passage de la surface 157 du cliquet 152.
La rotation du disque 154 se poursuivant, la surface 157 du cliquet 152 entre en contact avec l'extrémité supérieure du bras 158 et fait basculer ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre pour déga ger l'épaulement 151 d'avec le rochet 150, de façon à libérer le rochet et à permettre à l'arbre principal 130 de continuer sa rotation dans le sens des aiguilles, après un tour com plet.
L'arbre principal continuant sa rotation, le levier 163 déplace le cliquet 171 de non- répétition et l'amène bien au-delà du téton 173, .de sorte que le ressort 172 ramène ce cli- quet dans le sens des aiguilles d'une montre sur le passage de ce téton, de façon à remet tre le levier 163 dans sa position initiale, lors que le galet 180 se déplace au-delà de la sur face 181 et vient en face d'un. dégagement réalisé dans ce levier.
Dans le cas où la barre 167 d'arrêt serait maintenue en position abaissée après un cycle de fonctionnement de la machine, le galet 180 ramènerait le levier 163 suffisam ment dans le sens des aiguilles d'une montre pour permettre au cliquet 171 de venir der rière l'oreille 166 et de reposer sur le téton 173 lorsque le galet dépasse la came 181, de façon à empêcher la répétition du fonction nement de la machine.
Lorsque la pression qui maintenait la barre 167 s'est relâchée, le res sort 169 ramène cette barre vers le haut, ce qui amène l'oreille 166 au contact de la sur face 165, .de façon à remettre les pièces dans la position représentée par la fig. 15. Lorsque la barre 167 est poussée vers le bas, l'extré mité en forme de crochet du prolongement vers le haut .du .levier 163 passe par-dessus l'oreille 166, et retient ladite barre en posi tion abaissée jusqu'à ce que le levier 163 soit ramené en position normale par le galet 1.80, ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus.
Un dispositif actionné par un ressort, re présenté par la fig. 16; ramène le mécanisme de l'embrayage et l'arbre principal 130 à la position de repos après que le circuit électri que du moteur a été coupé par l'ouverture de l'interrupteur 179 (fig. 15).
Fixé à la roue 155, qui constitue une partie des pièces entraînées avec le mécanisme de l'embrayage, se trouve un plateau-came 182, dont la surface formant came coopère avec un galet 183 porté par un bras 184 fou autour d'un axe 185 fixé sur le flasque 61. Un réssort 186 relativement puissant main tient le galet 183 en contact avec la came 182. Lorsque la roue 155 et la came 182 tournent, le galet 183 est obligé de monter sur la sur face en forme de spirale de cette came et tend le ressort 186.
Vers la fin -du cycle de la machine, et presque en même temps que le levier 163 (fig. 15) ouvre l'interrupteur 179 sous l'action du galet 180 et dégage le cliquet 152 d'avec le rochet 150, le galet 183 quitte la partie élevée de la came 182 et descend le long d'une surface inclinée 187, ce qui fait que le galet 183, soies l'action du ressort 186, ramène, en coopérant avec la surface inclinée 1.87, la pièce entraînée par l'embrayage, dans sa position de repos, ainsi qu'il est montré en fig. 15.
Un cliquet 188, tiré par un ressort (fig. 15), articulé sur un axe 189 du flasque 60, coopère avec les dents de la roue dentée 155 pour empêcher tout mouvement en arrière de cette roue et des pièces entraînées par l'em brayage, de façon à retenir certainement le cliquet 152 hors du passage des crans duz rochet 150.
Un train d'engrenages 860 à 863 inclus relie la poignée de manoeuvre 864, représentée en traits mixtes sur la fig. 15, à la roue den tée 156, de façon que la machine puisse être actionnée à la main, si cela est nécessaire ou si on le .désire. Le moyeu de la poignée 86-1 présente des dents .d'enclenchement qui s'en gagent dans une rainure 865 du moyeu du pignon 863, de façon à former une liaison amovible qui évite que la poignée soit en traînée lorsque la machine est actionnée élec triquement.
Le moyeu de la poignée passe dans une ouverture du coffret. 69, cette ouverture étant fermée par une plaque 866 (fi;. 1) lors que la poignée ne doit pas être utilisée pour un fonctionnement normal de la. machine. C'lc@r@ier. Sur les fig. 1 et 2, on voit que le clavier de la machine comprend quatre rangées de touches 190 de montants qui donnent à l'en registrement une capacité maximum de 99,99, par exemple 99,99 dollars, une rangée de touches 191 d'addition utilisées en combinai son avec les touches de montants lorsque la machine est utilisée comme machine à addi tionner, de façon à porter la capacité du cla vier à 999,99,
quatre rangées de touches 192 d'impression utilisées en combinaison avec les touches 190 et 191 pour imprimer des repères d'identification et une rangée de touches 193 de transactions qui commandent la, position d'une roue d'impression qui leur correspond, de façon à enregistrer le genre de transaction qui a été effectuée, et qui contrôlent aussi un totaliseur unique dont la machine est équipée.
Le clavier comprend en outre une rangée de touches 194 de sélection des colonnes (fie. 2) qui commandent le déplacement des quatre roues d'impression des montants correspon dant aux quatre rangées de touches 190 des montants, de fanon à imprimer les montants correspondant. à différents articles dans les différentes colonnes de la feuille d'enregis- trement; le clavier comprend une touche d'espacement. 195 pour effectuer à la main l'espacement de la feuille d'enregistrement et titi levier 196 de libération des touches pour libérer à la main les touches lorsque la ma chine est an repos. Le poussoir 170 de la.
barre 167 est destiné à mettre la machine en mouvement, la glissière de contrôle 92 à con trôler les différentes fonctions de la machine, et la touche 91 à déverrouiller la machine pro prement dite de l'embase contenant le tiroir- caisse. Les touches 91 et 190 à 194 incluses lie sont pas montées sur des supports individuels, comme cela se fait d'ordinaire, niais sont toutes montées sur un unique cadre (fig. 6, 1'? et<B>27),</B> qui peut être enlevé, d'un bloc, de la machine.
Ce type de construction du cla vier le rend plus simple et plus ramassé, et présente tous les avantages de la construction à support individuel sans avoir aucun de ses désavantages. Par exemple, la capacité de la machine peut être modifiée pour satisfaire à différentes exigences, simplement en ajoutant ou en enlevant les rangées de touches dési rées. Ceci est également vrai pour le nombre de rangées de touches d'impression 192. De même, le nombre de touches de la rangée de touches de transactions 193 petit être modifié et peut varier du maximum de neuf touches par rangée au minimum voulu pour satisfaire aux besoins spéciaux d'un commerce déter miné.
Le châssis unique du .clavier comprend un montant avant 197 et un montant arrière 198 (fi(y. 1.2 et 27), une cloison de séparation 199 pour chaque rangée de touches et à chaque extrémité du châssis une plaque-support su périeure 200 et une plaque-support infé rieure 201. Les plaques et séparations ci dessus sont. toutes fixées l'une sur l'autre au moyen de tenons et de cavités, et de petites tiges d'assemblage 202 q121 passent dans des trous des cloisons de séparation 199 et. sont aplaties à. chaque extrémité, de façon à les maintenir en place.
L'ensemble du clavier est maintenu en place sur la machine au moyen de quatre vis 203 qui passent avec du jeu clans les trous d'oreilles rabattues réalisées sur les montants avant 197 et arrière 198 et sont vissées dans des trous des flasques 60 et 61. Pour enlever ].'ensemble du clavier de la ma chine, il suffit d'enlever les quatre vis 203.
Une plaque 204 (fig. 1, 2, 6 et 27) recou vre le châssis dit clavier et donne à l'ensem ble un aspect bien fini. La. plaque supérieure 204 du clavier présente des ouvertures pour laisser passer, avec jeu, les têtes des touches du clavier, et d'autres ouvertures pour le cou- lisseau de contrôle général 92, le poussoir 170 du "moteur et le levier 196 de libération des touches.
La plaque supérieure du clavier pré ,sente quatre tétons (non représentés) formant guides, qui s'engagent dans des parties rabat tues .des montants avant et arrière 197 et 198, de-façon à guider la plaque en.position, et cette plaque est maintenue en position par le coffret de la machine, dont une partie, voisine de l'ouverture pratiquée pour le clavier, em boîte la plaque 204. Touches <I>des</I> montcmts.
Etant donné que le mécanisme des touches et le mécanisme différentiel qui lui est asso cié sont les mêmes pour toutes les rangées de touches, il suffira de décrire ceux-ci pour la rangée. des dixièmes (dix cents par exemple) représentée à la fig. 6.
Les touches 190 (fig. 6 et 27) de la rangée des dixièmes passent dans des entrées des pla ques 200 et 201, de façon à pouvoir être en foncées, -et ne peuvent être enlevées de ces plaques grâce à des fenêtres coopérant avec les tiges 202.
Chaque touche 190 de montant est maintenue normalement en position non enfoncée par -un ressort à boudin 205 qui s'étend horizontalement tout au long de l'en semble du clavier, un seul ressort étant prévu pour toutes les touches de même ordre numé rique, ledit ressort s'engageant dans .des enco- chës de toutes les touches de même ordre.
Le ressort 205 repose sur la face supérieure de la plaque 200 du clavier, et lorsque l'on enfonce une touche, ce ressort s'étend vers le bas en passant dans une ouverture de la plaque vol'- sine de la tige de la touche; et lorsque la touche est libérée, le ressort 205 la ramène .vers le haut à sa. position normale, repré sentée sur le dessin.
Chaque rangée de touches de montants pos sède -une détente 206 (fig. 7, 27, 28 et 29) qui sert à verrouiller les touches en position enfoncée et une plaque 20.7 pour libérer les cliquets d'arrêt de zéro, de façon que les mé canismes .différentiels puissent -s'éloigner de la position de zéro et soient mis en. place par <B>lés</B> touches 190 de montants.
L'enfoncement de l'-une des touches 190 des dixièmes amène en contact la surface en forme de came angulaire d'un prolongement 208 de la touche, avec le bord antérieur d'une ouverture correspondante de la détente 206, ce qui fait glisser cette détente vers l'avant, ou vers la ;anche sur ,le dessin, en antago nisme à l'action d'un ressort 209, jusqu'à ce que ce prolongement -dépasse au-dessous de la détente, après quoi le ressort 209 ramène, la dite détente vers l'arrière pour verrouiller la touche 190 qui a été enfoncée dans cette -po sition. Les touches de montants sont montées de telle façon que toute touche enfoncée libère la touche de la même rangée, précédemment enfoncée, et ainsi de suite.
La plaque 207 (fig. 27 et 28) est placée immédiatement en dessous de la détente 206 et .,l'enfoncement de l'une des touches 190 de montants amène la came du prolongement 208 de cette touche en .contact avec le bord du trou correspondant de la plaque 207, ce qui fait glisser cette plaque vers l'avant et main tient la plaque dans cette position tant que la touche est enfoncée. L'extrémité antérieure de la plaque 207 vient se placer en dessous du bec arrondi 210 d'un cliquet 211 fou sur un axe 212 qui tourillonne dans les flasques 60 et 61.
Le mouvement vers l'avant de la pla que 207, lorsqu'on enfonce une touche, fait basculer le cliquet 211 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, en opposi tion à l'action d'uni ressort 213.
Lorsque le cliquet 211 (fig. 7) tourne dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, il fait basculer un crochet 214 qu'il porte hors du passage .d'une oreille 215 .d'un coulisseau dif férentiel 216 qui est supporté et peut glisser sur un cadre présentant des montants avant 217 et arrière 218 fixés respectivement à des barres en. <B>U</B> 219 et 220 retournées vers le bars et fixées à leur tour sur des plaques de sépa ration 221 séparant chaque rangée (dont une seulement est représentée),
lesdites plaques étant à leur tour montées sur des barres 222 et 223 supportées par les flasques 60 et 61.
Il existe un coulisseau différentiel 216 pour .chaque rangée .de touches de montants, un pour chaque rangée < le touches d'impres sion des nombres, un pour la rangée de tou ches de transactions et un pour la rangée de touches (le sélection des colonnes. Les barres 222 et 223 sont maintenues entre les deux flasques 60 et 61 par quatre vis, qui, lors qu'elles sont enlevées, permettent de retirer l'ensemble des coulisseaux différentiels. Le coulisseau différentiel 216 (fig. 7) porte quatre prolongements dirigés vers le haut et qui possèdent des oreilles 221 rabattues vers la gauche,
disposées de façon à entrer en con tact avec les touches impaires 1, 3, 5 et. 7; ce coulisseau porte de même quatre prolonge ments identiques possédant des oreilles 225 ra battues vers la droite et disposées pour co opérer avec les touches paires '22, 4,<B>6</B> et<B>S.</B> Les tiges des neuf touches 190 sont tordues, celles portant des nombres impairs vers la gauche et celles portant des nombres pairs vers la droite.
Si ].'on enfonce l'une quelconque des tor ches 190, sauf la touche 9, la. tige de cette touche vient se mettre sur le passage (le l'oreille correspondante 22-1 ou 225, et en même temps le cliquet 21l_ d'arrêt de zéro est basculé hors du passage de l'oreille 215, ainsi qu'on l'a expliqué plus haut. -Sous l'action du mécanisme différentiel des montants qui sera, décrit plus loin, le coulisseau différentiel.
216 se déplace vers l'arrière et une oreille 221 ou 225 vient. en contact. avec l'extrémité in] .é- rieure de la touche 1510 qui a été enfoncée, de façon à arrêter le coulisseau 216 et le méca- nisme différentiel correspondant, dans une position variable suivant la valeur de la touche enfoncée. Lorsque c'est. la touche 51 qui est enfoncée, le coulisseau 216 se déplace vers barrière (le toute la. course correspondant à.
neuf intervalles, course qui est déterminée par un prolongement 226 de ce coulisseau ve nant en contact avec. un téton 227 carré, de la plaque de séparation 221, de gauche, de cette rangée de touches.
Le eoulisseau 216 (fig. 7) est relié à uni mécanisme différentiel qu'il met en place et qui entre ensuite en prise avec la roue cor respondante chi totaliseur, et le mouvement de retour du coulisseau 216 place la roue du totaliseur dans suie position correspondant la valeur de la, touche 190 qui a été enfoncée, ainsi qu'il sera expliqué plus loin.
Mécanisme dif <I>f</I> éreutiel <I>des</I> montants. La mise en position -différentielle du cou lisseau 216 (fi,,. 6, 7 et 8) est transmise au mécanisme différentiel. par un bras 230 qui lui est. fixé, ce bras formant une fourchette qui s'engage sur un téton<B>231</B> d'un segment différentiel 232 fou sur un arbre 233 sup porté par les flasques 60 et 61.
Le segment 232 présente une lumière arquée 231 (fig. 7) dans laquelle passe l'ergot 235 d'un verrou 236 (fi-. 8) fou sur un axe 237 porté par une plaque de verrou 238 folle autour de l'arbre 233. L'ero-ot 235 passe également dans une lumière 239 (fi g. 7) pratiquée dans un pla teau de contrôle 2-10 du verrou, fou sur l'arbre 233, la lumière 239 étant à, angle droit avec la.
lumière 234-. Un ressort 2-11 sollicite le seg ment 232 dans le sens des aiguilles d'une mon tre et le plateau 210 dans le sens inverse, ce c,ui donne sur les lumières 231, 239 et l'ergot 235 un effet comparable à celui d'une paire de ciseaux, et retient ainsi le verrou 236 dans sa position extrême dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 8), position dans laquelle tin prolongement de ce verrou entre en con tact avec un épaulement 212 de la. périphérie d'titi segment 213 fou aussi sur l'arbre 233.
Lorsque le verrou 236 est en prise avec l'épaulement 212, un prolongement du plateau 238 entre en contact avec titi ergot 214 du segment 2.13, de façon à réaliser une liaison d'entraînement comportant une lumière dans laquelle s'engage un téton 215 (fig. 8) d'un bras d'entraînement 216 #(voir aussi fi-.<B>6</B> et 7) fou autour d'une tige 217 supportée par les flasques 60 et 61.
Un excentrique 218 relie, de façon réglable, le bras 2-16 à un autre bras 219, fou aussi sur la tige 21-7, et ce bras 2-19 ainsi que les bras similaires des autres méca nismes différentiels sont reliés par une tige 250 à un bras de came 251 fou aussi autour de la tige 217. Le bras de came 251 porte des galets 252 et 253 qui coopèrent respecti vement avec le pourtour de deux cames jume lées 254 et 255 fixées sur l'arbre principal 130.
Le bras 251 (fig. 7) est placé à l'e.Ytrémité gauche de la tige 247 et porte l'extrémité gauche de la tige 250, tandis qu'iui bras iden tique (non représenté), placé vers l'extrémité droite de la tige 247, supporte l'extrémité droite de la tige 250 et porte des galets qui coopèrent avec des cames 256 et 257 (fig. 40A), identiques en tous points aux cames 254 et 255, dont les temps de fonctionnement sont donnés par la ligne 1 du graphique de la fig. 43.
La tige 250 forme liaison d'entraîne ment entre les bras 249 des mécanismes diffé rentiels des touches de montants 190 et 191 et des touches d'impression 192, d'une part, et les bras de cames 251, d'autre part.
Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, l'arbre principal 130 (fig. 7) effectue un tour com plet à chaque fonctionnement de la machine. Lorsque la machine est au repos, le coulisseau 216 (fig. 7) est maintenu en position à uxi intervalle au-delà .de zéro, ainsi qu'on peut le voir sur la fig. 7, dans le but de pouvoir effec tuer des reports, ainsi qu'il sera expliqué phis loin.
Dès le début du fonctionnement de la machine, les cames 254 à 257 incluses font tourner, par l'intermédiaire des liaisons re présentées, le bras 246 d'une faible quantité dans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à déplacer le segment 243 (fig. 8) d'une quantité correspondante dans le même sens, ce mouvement étant transmis au plateau 238 par l'intermédiaire du verrou 236. Le téton 235 porté par le verrou 236 coopérant. avec les 'lumières 234 et 239 (fig. 6, 7 et 8) du seg ment 232 et du plateau 240 déplace lesdites pièces en même temps que lui dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement .dans ce sens du segment 232 fait que le téton 231, co opérant avec la lumière du bras 230, entraîne le coulisseau 216 vers l'avant et le ramène de sa position de repos à la position de zéro. Pendant que le coulisseau 216 est maintenu dans la position de zéro, le mécanisme de re port de l'ordre correspondant à ce coulisseau est ramené en position de repos au cas où il aurait été .déplacé au cours du fonctionnement. précédent.
Si l'on enfonce une touche 190 après que le mécanisme de report a été ramené au re pos, le segment 232 et le coulisseau 216 pour suivent leur mouvement initial sous l'action des cames 254 et 255 (fig. 7) et des cames 256 et 257 (fig. 40A), jusqu'à ce que l'une des oreilles 224 ou '?25 viennent en contact avec l'extrémité inférieure de la tige de la touche 190 qui a été enfoncée, ou, dans le cas où c'est la touche 9 qui a été enfoncée, jus qu'à ce que le coulisseau soit arrêté par le téton 227.
Ceci empêche le coulisseau 216 d'aller plus loin vers l'arrière et met le seg ment 232 dans une position correspondant à la valeur de la. touche 190 enfoncée. L'arrêt du segment 232 fait monter le téton 235 dans l'ouverture 234,à quoi s'oppose l'action de la lumière 239 et du ressort 241, de façon à dé gager le verrou 236 de l'épaulement 242 (fig. 8) du segment d'entraînement 243 et à engager simultanément une dent 258 de ce verrou dans l'une des encoches 259 d'une partie en forme d'arc du plateau 221, les en coches 259 correspondant chacune à une posi tion du coulisseau 216 et du segment 232.
Cette libération du verrou 236 libère égale ment le plateau 238 de sa liaison avec le seg ment d'entraînement 243 qui maintenait le mécanisme différentiel dans une position cor respondant à la valeur de la touche 190 en foncée, et laisse ce segment 243 libre de con tinuer son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre. Lorsque le verrou 236 (fig. 8) a été dégagé de l'épaulement 242, de la façon indiquée plus haut, et s'est enclenché avec l'encoche 259 qui lui faisait face, une surface 260, en forme d'arc, du segment 243, vient se placer en dessous du prolongement de ce verrou, .de façon à le maintenir, ainsi que le mécanisme différentiel, dans cette po sition.
L'extrémité supérieure d'une bielle 261 (fig. 6, 7 et 8) est articulée sur le plateau 238 et, lorsque le bras 2-16 approche de la. fin de son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, un galet 281 porté par ce bras 246, entre en contact avec une surface en forme d'arc du bord antérieur de cette bielle 261 et amène une surface incurvée du bord interne de cette bielle au contact d'un galet 283 tournant. librement sur l'arbre 233, ce qui maintient. la bielle 261 dans une position qui correspond à la saleur de la touche 190 en foncée.
La position relative de la bielle 261 est transmise au mécanisme indicateur et au mécanisme d'impression de la manière sui vante: La bielle 261 est reliée par une biellette 262 (fig. 6, 7, 8, 40A et. 40B) à uni levier 263 libre sur un axe 26-1 supporté par les flasques 60 et. 61. Le levier 263 est relié par une biel- lette 265 à une manivelle 266 fixée sur un axe 267 tourillonné dans des flasques 284 et 285 fixés respectivement aux flasques 63 et 64 de l'indicateur.
Une manivelle 268, fixée également sur l'axe 267, est reliée par une bielle 269 à un segment 270 de l'indicateur, libre sur une tige 271 supportée par les flas ques 63 et 64. Les dents du segment 270 en grènent avec un pignon 272 libre sur un axe 273, porté par les flasques 63 et 64, et le pi gnon 272 est relié de façon souple à une roue 274 de l'indicateur avant, de la rangée des dixièmes (dix cents par exemple), placée en avant de la machine. Les nombres portés par la roue 27-1 et qui correspondent aux touches 190 peuvent. être vus au travers d'une ouver ture 275 pratiquée à l'avant du carter 69 de la machine et protégée par un verre.
Une ma- liivelle 276 fixée sur l'arbre 267 (fig. 40A et 40B) est reliée par une biellette 277 à un seg ment 278 libre sur l'axe 271 et possédant des (lents qui engrènent. avec un pignon 279 relié de façon souple à un indicateur arrière 280 (le la rangée des dixièmes, ledit indicateur portant des nombres correspondant aux tou- ehes 190, ces nombres pouvant être vus au travers d'une ouverture 286 de l'arrière du carter 69, ouverture protégée par un verre.
La mise en position du mécanisme diffé rentiel de la rangée des dixièmes et de la bielle 2f>1 (fi-. 6, 8, 40A et 40B) est trans mise, par le mécanisme ci-dessus décrit, aux indicateurs avant et arrière 274 et 280, de façon à mettre ces indicateurs dans une posi tion correspondant à la valeur de la touche 190 enfoncée.
Sur les fig. 6, 40A et 40B, on voit que l'arbre 267 et les arbres similaires des autres rangées de touches portent, à. chacune de leurs extrémités, des rainures circulaires qui coopèrent avec des encoches correspondantes des flasques 63 et 64 des indicateurs, de façon à. empêcher tout mouvement latéral de ces < îrbres, tandis que ces arbres peuvent tourner dans les flasques 284 et 285 sur lesquels ils sont montés.
<I>Dispositifs</I> d'alignemcut des indicateurs. Lorsque les indicateurs de montants ont été mis en position de la. façon indiquée plus haut. un dispositif d'alignement maintient ces indicateurs dans la position qui leur a été donnée, jusqu'au début de l'opération sui vante. On voit sur les fig. 40A, 40B, 41 et 42 que le pignon 272 de l'indicateur 274 est muni d'un cliquet d'alignement<B>287</B> qui co opère avec les dents de ce pignon et qui est fixé sur un axe 288 tourillonnant dans des douilles portées par les flasques 63 et 64. Il existe un cliquet d'alignement identique au cliquet 287 pour chaque indicateur de mon tants.
Une manivelle 289, fixée à l'extrémité gauche de l'arbre 288, ainsi qu'on peut le voir sur la. fig. 40A, est reliée, par une bielle 290, à un bras 291 relié, par un moyeu 292 fou sur l'arbre 264, à. un bras similaire 293. Le bras 293 est relié, par une bielle 294,à un bras 295 relié, par un moyeu 296 fou sur un axe 297 porté par le flasque 61,à un bras 298. Le bras 298 porte un galet 299 qui co opère avec la surface 300 d'une came inté rieure réalisée dans Lui plateau 301 fixé sur l'arbre principal 130.
Les temps de fonctionnement de la came 300 sont donnés par la ligne 9 du graphique de la. fig. 43 sur lequel on peut voir que cette came, par l'intermédiaire du mécanisme re présenté par les fig. 41 et 42, libère le cliquet 287 d'avec les dents du pignon 272 dès le début du fonctionnement de la machine, et que ce cliquet reste ainsi libéré jusqu'au mo- ment où les indicateurs de montants ont été mis en position par le mécanisme différentiel, ensuite de quoi la came 300 fait engager le cliquet <B>287</B> avec les dents du pignon 272, de façon à maintenir l'indicateur 274 dans sa position.
luise <I>en</I> position <I>des roues</I> imprimeuses. L'arbre 267 est mis en position par le mé canisme :différentiel des dixièmes (dix cents par exemple) des montants, représenté par la fig. 6 et décrit ci-dessus, et cette position est transmise à la roue imprimeuse du même ordre d'unités au moyen du mécanisme repré senté par les fig. 40B et 44 et qui est .décrit ci-après.
A l'extrémité droite (fig. 40B) de l'arbre 267 est fixée une manivelle 304 (voir aussi fig. 44) reliée par une bielle 305 à un segment 306 libre sur l'arbre 264. Le segment 306 est relié par une bielle 307 à un segment 308 tournant librement sur ume douille 309 fixée sur le flasque de gauche 60. Des dents d'en grenage, portées par le segment 308, sont en prise avec la denture externe d'une couronne 310 dentée extérieurement et intérieurement.
Les dents intérieures de cette couronne por tent sur la périphérie d'un disque 311 fou sur une douille 312 fixée sur une plaque 313 (fig. 24 et 44) elle-même fixée au flasque 60. Une tige 314, qui passe au travers de tout l'ensemble des roues d'impression, est ajustée glissante dans un trou du .disque 311 et posi tionne ce disque 311, de façon qu'une entrée, . ou partie coupée de ce disque, se trouve en face d'un pignon 315 qui engrène avec les dents internes de la couronne 310. Le pignon 315 est monté rotatif par des tourillons qui coopèrent avec des portées pratiquées dans les plaques de séparation 316 (fig. 24) por tées par la douille 312 et l'arbre 314 exacte ment de la même manière que le disque 311.
Un trou carré du pignon 315 laisse passer à jeu libre- un arbre à section carrée- 317 (fig. 24 et 44), cet arbre s'engageant de même .dans un antre pignon, identique au pignon 315, qui engrène avec les dents inter nes d'une couronne 318 (fig. 6) à dentures interne et externe identique à, la couronne 310, et dont les dents externes sont disposées pour entrer en prise avec et pour entraîner une roue imprimeuse 319 de l'ordre des dixièmes.
Les roues imprimeuses des quatre ordres inférieurs de montants, y compris la roue 319 (fig. 24) sont portées par un châssis qui peut se déplacer en coulissant et qui est mis en position sous l'action des touches 194 de sélection des colonnes (fig. 2), de façon à choisir les colonnes de la feuille d'enregistre ment (fig. 3) où seront portés les différents éléments.
Le châssis coulissant portant ces roues imprimeuses sera décrit plus tard, en même temps que le mécanisme -différentiel des touches 194 de sélection des colonnes. La mise en position de l'arbre 267 (fig. 44) effectuée par le mécanisme :différentiel de la rangée des dixièmes des touches des montants (représenté fig. 6) est transmise à la roue imprimeuse 319 de :cet ordre par le mécanisme représenté par les fig. 24 et 44 et ci-dessus décrit.
La bielle 305 (fig. 40B et 44) est em pêchée de se déplacer latéralement par des prolongements de cette bielle coopérant avec des rainures circulaires de deux axes 320 fixés sur le flasque 63 de l'indicateur (fig. 40B).
Ainsi qu'on l'a fait ressortir précédem ment, il existé , un mécanisme différentiel et un mécanisme de mise en position des roues imprimeuses, identiques à ceux :décrits, pour chaque rangée de touches 190 .de montants (fig. 2); pour la rangée de touches 191 d'ad dition et pour chacune des quatre rangées 192 des numéros @de référence, et comme le mécanisme est le même pour les différentes rangées de touches, il semble que la descrip tion faite ci-dessus pour la rangée des dixièmes doive suffire.
Chacune des touches de transactions 193 et des touches 194 de sé lection :des colonnes possède un mécanisme différentiel qui :est similaire au mécanisme différentiel des montants décrits plus haut, mais en diffère suffisamment dans sa réalisa tion mécanique pour justifier une brève des cription, qui sera donnée plus loin. Lorsque le segment différentiel d'entraîne ment 232 (fig. 7) a été mis en position sous l'action clé la touche 190 qui a été enfoncée, une roue 321 du totaliseur, de l'ordre corres pondant, entre en prise avec plusieurs dents 303 d'engrenage de ce segment 232.
Le rap pel dans le sens inverse des aiguilles d'une montre du liras 246 (fi-. 7 et 8), sous l'action des cames 25-1-255 et 256=257 (ligne 1, fig. 43), ramène le segment 243 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, ce qui amène le téton 244 dans le crochet formé par un prolongement. du plateau 238, en même temps que l'épaulement 242 de la périphérie 260 de ce segment 243 vient en face de la partie formant verrou, de la pièce 236.
Lors que l'épaulement 242 vient. en face du verrou 236, l'action des lumières 234 et 239 du seg ment 232 et du plateau 240, jointe à l'action du ressort 241, dégage immédiatement la dent 258 de l'encoche d'alignement 259 et met en. prise l'épaulement 242 du verrou avec le verrou 236.
Le plateau 238 et le verrou 236 peuvent alors revenir ensemble dans le sens inverse des aiguilles d'une montre avec le segment. 243 et, par l'intermédiaire du téton 235, ils peuvent ramener le plateau 240 et le segment 232 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, de la position qui leur avait été donnée à la position de repos. Le retour dans ce sens du segment 232 fait tourner la roue 321 de cet. ordre particulier, dans le sens ,des aiguilles d'une montre, d'une quantité corres pondant à la valeur de la, touche enfoncée, de façon à ajouter cette valeur à cette roue.
Lorsque le segment. 232 est revenu à sa posi tion de repos, la roue 321 du totaliseur est libérée d'avec le segment.
Mécanisme <B><I>(le</I></B><I> report.</I>
Le mécanisme qui a pour but de reporter dix unités d'un ordre à l'ordre supérieur comprend un secteur 322 des dixièmes (dix cents par exemple) (fig. 6, 7 et 8) placé entre le segment 232 et le plateau 240, ledit secteur étant disposé pour pouvoir tourner .autour du même axe que le segment 232, grâce à une surface arquée de son extrémité inférieure s'appuyant sur un nioy-en <B>323</B> du segment 232, De façon à l'empêcher de se dé placer latéralement,
le secteur 322 porte lui téton 324 qui passe dans une lumière cireu- laire pratiquée dans le segment 232, cette lu mière étant concentrique à l'axe du segment. Pour empêcher le secteur de se déplacer dans le selfs axial, il porte Lui goujon 325 ayant une partie formant rebord, cette partie s'ap- pui>ant sur la. surface périphérique du seg ment 232.
Lorsque les pièces sont au repos, comme le représentent les figures, un ressort. 326, tendu entre le segment 232 et le secteur 322, sollicite ledit secteur dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, de façon à maintenir une partie clé diamètre réduit du o'on)oll 325 (fi-. 7 et 9) en contact avec un talon formé par le prolongement. d'un levier 327 de report, fou sur lui axe 328 fixé sur un plateau suspendu différentiel 329 porté par les tiges 222 et 223; i.1 est. prévu un tel plateau 329 pour chaque rangée de touches.
Un ressort 330 sollicite le levier 327 dans le sens des aiguilles d'une montre, mais ce levier est maintenu en position, en opposition à, l'ac tion du ressort, par un téton carré 331. qu'il porte et qui entre dans une encoche 332 pra tiquée sur lui cliquet 333. Le cliquet 333 est.
relié, par l'intermédiaire d'un moyeu fou sur un axe 334 fixé sur le plateau 329,à un bras 335 qui, lorsqu'il est. en position de repos, représentée sur- le dessin, se trouve sur le trajet d'une dent 336 d'une plaque d'avance- nient. fixée sur la face gauche d'une roue 337 de l'ordre des centièmes (un cent par exem ple). Un ressort de torsion 338 sollicite le cliquet 333 dans .le sens des aiguilles d'une montre, de façon à maintenir le téton 331 en prise avec l'encoche 332.
Pendant une addition, lorsque la roue 337 des centièmes (des cents par exemple) (fi--. 7 .et 9) tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, ou sens de l'addition, de neuf à zéro, la dent d'avancement 336 appuie sur l'extrémité du bras 335 et le fait basculer, ainsi que le cliquet 333, dans le sens inverse de celui .des aiguilles d'une montre, en anta gonisme à l'action du ressort 338, et 'dégage ainsi le téton 331 de l'encoche 332. Le téton 331 étant dégagé de l'encoche 332, le ressort 330 peut alors faire basculer le levier 327 dans le sens des aiguilles d'une montre jus qu'à ce que. ce téton 331 vienne en contact avec un cran d'arrêt 339 de ce cliquet. Ceci éloigne le talon du prolongement en forme de pied du :levier 327 du trajet du téton 325.
Lorsque la machine est au repos, le cou- lisseau différentiel 216 et le segment. 232 sont maintenus à un intervalle au-delà de zéro, dans une position neutre, ainsi qu'il est repré senté à la fig. 7, et :lorsque le levier de report 327 est en position de repos (fig. 9), il arrête et maintient le secteur 322 dans la position de zéro en s'opposant à l'action du ressort.
326 qui forme liaison élastique entre le seg ment 232 et le secteur 322. Ai début du cycle de la machine, les cames 254 et 255 (ligne 1, fig. 43) déplacent le coulisseau 216 et le seg ment 232 de la position neutre à la position de zéro, de façon à rattraper l'espace existant entre les parties dentées de ce segment et le secteur 322, et à amener le segment en con tact avec le secteur. En s'éloignant de la po sition de zéro, pour venir se mettre en posi tion sous le contrôle de la touche 190 enfon cée, le segment 232 accroche de secteur 322 et l'emmène avec lui.
Si le levier de report 327 a été déplacé par la dent 336 d'entraînement de l'ordre des centièmes (des cents par exemple), ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, le secteur 322 va, au- delà de zéro, à la position neutre en accord avec le segment 232 lors de son mouvement de retour, et fait tourner la roue 331 de l'or dre des dixièmes (dix cents) d'un intervalle supplémentaire dans le sens de l'addition, afin d'effectuer un report sur les dixièmes. Lorsque le levier de report.
327 n'a pas été déplacé, ce levier reste sur le trajet du gou jon 325 et, pendant le mouvement de retour du segment 232 et du secteur 322, ce levier 327 entre en contact avec le goujon 325, de façon à arrêter le secteur à la position de zéro, représentée à la fig. 7, tandis que le seg- ment 232 poursuit son chemin au-delà de la position de zéro jusqu'à la position neutre. Il est évident que, dans ce dernier cas, la roue 321 des dixièmes étant en prise avec le secteur 322 lorsque ce secteur arrive à la po sition de zéro, le mouvement de cette roue s'arrête et qu'aucun report ne se produit.
Tous des leviers 327 déplacés et tous les cliquets 333 sont ramenés à leur position nor male au début du cycle suivant, avant que les segments 232 soient mis en mouvement, mais après que ces segments ont été ramenés .de la position -de repos ou position neutre, repré sentée à la fig. 7, à la position de zéro. Les segments 232, en se .déplaçant .de la position neutre à la position .de zéro, emmènent en même temps tous les secteurs 322 déplacés à leur position de zéro.
Pendant que le segment 232 de la rangée des dixièmes est à 1a position de zéro, un levier 340 fou sur l'arbre 233 (fig. 9) bascule dans le sens des aiguilles d'une montre et amène un nez arrondi qu'il présente, en con tact avec une surface 341 du levier 327 de report, de façon à ramener ce levier dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre à sa position de repos, représentée sur la figure, position dans laquelle le téton 331 s'engage dans l'encoche 332 du cliquet d'avan cement 333.
Il existe un levier identique au levier 340 (fig. 9) pour chaque rangée de touches de montants, y compris la rangée des touches 191 d'addition et la rangée de touches des excédents et, d'antre part, un prolongement vers le bas du levier .de rappel 340 des unités (dollars par exemple) supporte l'une des extrémités d'une tige 342, dont l'autre extré mité est supportée par un prolongement identique d'un ;levier identique au levier 340, et tournant librement sur l'arbre \_'33, ce levier n'étant pas représenté sur la figure.
Un prolongement vers le bas du levier 343 et un prolongement identique de son levier conjugué sont tous deux en forme de fourche et emprisonnent dans cette fourche chacun un téton 344 porté par chacun des leviers 34:ï fous sur la tige 247, et chaque levier 345 porte des galets 316 et. 317 qui coopèrent. res pectivement avec des cames 318 et 319 con juguées (fig. 9, 10A et 10B) fixées sur l'arbre principal 130.
Le levier de rappel. 340 de la rangée des dixièmes et les leviers similaires des autres rangées de touches de montants, sauf celui des unités (dollars), ont chacun un prolon gement vers le bas en forme de fourche pour emprisonner la tige 312. Par conséquent, ces leviers de rappel se déplacent en même temps que les leviers 3-l0 et la tige 312 lorsque ceux-ci sont basculés par les leviers 345 et par les cames 3-18 et 319, tout d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, puis en re tour, à leur position normale,
conformément aux temps donnés par la ligne 1 du graphique des temps (fig. 13), de faon à ramener tous les mécanismes de report. au repos de la ma nière indiquée ci-dessus.
En comparant les lignes 7. et 1 du graphi que des temps (fig. 43), on peut voir que tous les leviers de report déplacés et leurs cliquets sont ramenés ait repos pendant que les seg ments 232 sont à la position de zéro. Le méca nisme de rappel est, ramené à sa position nor male, représentée à la fig. 9, avant que les segments 232 n'effectuent leur mouvement de retour dans le Sens inverse de celui clés aiguilles d'une montre.
Un mécanisme (le report identique à celui de la rangée des dixièmes. ei-dessiis décrit, est établi pour chacune des rangées de touches de montants, y compris la rangée des touches 191 d'addition et la r < itigée des touches d'excédents voisine des précédentes. Sur la fig. 21, on peut voir 1a disposition en largeur du mécanisme différentiel. et d'une partie du mécanisme de report de la rangée des touche 191 d'addition, et, comme les pièces en sont. identiques à celles de la rangée des dixièmes qui leur correspondent, on les a repérées sous le même numéro.
Mécanisme <I>dit</I> totaliseur.
Il existe une roue de totaliseur identique aux roues 321 et 337 (fig. 6, 9 et 21) pour chacune des rangées de touches 190 de mon- tants, une pour la rangée de touches d'addi tion 191 et une pour .la rangée de touches d'excédents, ce qui fait six roues en tout, qui sont montées et.
peuvent tourner sur un arbre 351 du totaliseur, supporté par un châssis qui peut se déplacer en coulissant, sous la com mande du coulisseau 92 de contrôle total et des touches de transactions 793, de fagon à pou voir mettre en prise et hors de prise les roues du totaliseur avec les segments corres pondants, qui sont., sous tous rapports, iden tiques au segment 232 indiqué ci-dessus propos de la rangée de touches des dixièmes (fig. 6).
Le châssis coulissant du totaliseur com- prend un plateau droit 352 et un plateau gauche 353 (fi--.<B>19,</B> 20, 21, 22 et<B>25)</B> qui supportent l'arbre 351, un arbre d'enclenche ment 351 et. une tige 355 qui, à son tour, maintient, les deux plateaux en position fixe l.'un par rapport. à ].'autre.
Les plateaux 352 et 353 sont montés coulissants dans la ma chine, grâce à. des lumières qu'ils portent et qui coopèrent avec des ergots 356 et 357 fixés aux flasques 67. et. 60 respectivement, et grâce à l'arbre 351 dont. les extrémités s'engagent respectivement. dans des ouvertures 358 prati quées dans des plaques 359 et 360 fixées de faé#on amovible aux flasques 61 et 60 respec tivement au moyen d'ouvertures faites dans un prolongement de ceux-ci, ouvertures co opérant avec des tétons 361 et des vis 362.
lies plaques 359 et 360 présentent chacune des lumières identiques 363, en forme de came, qui coopèrent. avec clés galets 361 portés par des liras 365, fixés à l'arbre 351.
Une manivelle 366, fixée à l'extrémité droite de l'arbre 351 (fig. 19 et 30) est. articulée à l'extrémité supérieure d'une bielle 367 portant. un ergot 368 qui co opère avec une encoche d'une bielle 369, dont l'extrémité antérieure est. articulée sur un bras 370 fou sur l'axe 168 fixé ait flasque 61, et l'extrémité postérieure de cette bielle 369 est articulée sur l'extrémité inférieure d'un levier 371 de relevage.
L'extrémité supé rieure du levier 371 (fig. 30 et 16) est arti culée par un axe 372 sur un levier 373 fou sur un .axe 374 fixé au flasque 61. Une bielle 375 relie le levier 373 (fig. 30 et 31) à un prolongement vers le haut. d'un levier 376 fou sur un axe 377 fixé au flasque 61. Le levier 376 porte des galets 378 et 379 qui coopèrent respectivement avec la périphérie de cames conjuguées 380 et 381 fixées sur l'arbre prin cipal 130 et dont les temps de fonctionne ment sont donnés par la ligne 5 du graphi que (fig. 43).
Le levier 371 (fig. 15, 30 et 46) porte 11u téton qui coopère avec la périphérie de deux segments conjugués 385 et 386. Le segment 385 (fig. 30, 40A et 40B) est fixé sur un arbre 387 tourillonnant dans les supports 284 et 285, cet arbre étant mis en position sous le contrôle des touches de transactions 193 (fig. 2 et 10) de la manière qui va mainte nant être expliquée. Le segment 386 (fia. 30, 40A et 40B) est libre sur un axe 388 fixe sur la plaque 389 fixée au support 285.
Une bielle 390 relie les segments 385 et 386, de sorte que lorsque le segment 385 est mis en position sous la commande des touches 193 de trans actions, le segment 386 se trouve mis en posi tion en relation inverse avec ces touches. En d'autres termes, si la partie du segment 385 qui coopère avec l'ergot 384 avance d'un cran vers le haut, la partie de la périphérie da segment 386 qui coopère avec cet ergot 384 se déplace d'un cran vers le bas, ainsi qu'il sera expliqué plus en détail ultérieurement.
illécanisme différentiel des transactions. L'arbre 387 est relié au mécanisme diffé rentiel des touches 193 de transactions repré senté en fig. 10, ce mécanisme étant. identi que au mécanisme différentiel -des touches de montants représenté à la fig. 6 et fonction nant de la même façon, ainsi qu'il a été expli qué plus haut, avec cette restriction que les dents du segment et le mécanisme de report des dizaines n'existent pas dans le mécanisme différentiel des transactions.
L'arbre 387 (fig. 30, 40A et 40B) porte une manivelle 391 fixée sur lui, et reliée par une bielle 392 à une manivelle coudée<B>3913</B> folle sur l'arbre 264. Une bielle 394 (fig. 10 et 45) relie la manivelle coudée 393 à une bielle différentielle 395 articulée sur un pla teau 397 sur lequel est articulé un verrou 398 reliant le plateau 397 au plateau d'entraîne ment 396. Un ergot 399 du verrou 398 passe dans les lumières d'un plateau d'équilibre dif férentiel 400 et d'un segment 401, de façon à relier ces pièces avec le plateau d'entraîne ment 396.
Le segment 401 porte un ergot qui s'engage dans la fourche formée à l'extrémité inférieure d'iule plaque 402 fixée à un cou- lisseau 403 de transactions, monté et pouvant glisser sur une glissière-support, de la même facon que le coulisseau 216 des dixièmes des montants (fig. 6 et 7).
Le coulisseau de transactions 403 est nor malement maintenu en position de zéro par un cliquet 404 d'arrêt de zéro, fou sur l'arbre 212. Mais, si l'on enfonce une touche 193 de transactions (fig. 10), la plaque de contrôle 415 glisse vers l'avant et fait basculer le cli quet 404 en position inactive, et l'extrémité inférieure de la touche enfoncée vient se pla cer sur le passage d e l'une des oreilles ra battues formées sur le coulisseau 403. Le pla teau d'entraînement différentiel 396 est relié à un bras 405 fou sur la tige 247, et ce bras est relié, par un excentrique réglable, au le vier 406 également fou sur la tige 247.
Le le vier 406 porte des galets 407 et 408 qui co opèrent respectivement avec. la périphérie de cames conjuguées 409 et 410, dont. les temps de fonctionnement sont donnés par la ligne 2 du graphique (fig. 43).
Lorsque l'arbre principal 130 (fia. 10) tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, les cames 409 et 410 font basculer le levier 406 et le bras 405 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, conformément aux temps de fonctionnement. donnés par la ligne 2 du graphique (fig. 43), ce qui fait basculer aussi dans le même sens le mécanisme diffé rentiel des transactions, qui fait glisser le coulisseau 403 vers l'arrière jusqu'à ce que ce mouvement soit interrompu par la touche 193 enfoncée.
Ceci met en position le coulisseau 403 et les pièces 401, 400 et 397, selon la tou che 193 qui a été enfoncée, après quoi le bras 405, approchant de la fin de sa course dans le sens des aiglrilles d'une montre, amène un galet. 411 qu'il porte, en contact avec une surface en forme d'arc de la bielle principale 395, de façon à pousser cette bielle en contact avec un manchon porté par l'arbre 233 et à fixer cette bielle en position et, par conséquent., par l'intermédiaire du système de liaisons représenté par les fis. 10 et 45, à. fixer aussi la position de l'arbre 387, selon la touche 193 de transactions enfoncée.
Comme le segment 385 (fi-. 30) est. fixé sur l'arbre 387, il se trouve, ainsi que son segment con jugué 386, mis en position selon la touche<B>193</B> enfoncée.
La mise en position de l'arbre 387, sous l'action de la touche 193 enfoncée. est trans mise par un bras 412 qui lui est fixé (fi-. 40A et 45) et. une bielle 413, à un segment -114 d'indicateur, fou sur la tige 271 et fonction nant de la. même Tacon que le segment simi laire 270 (fig. 6) de la rangée des dixièmes des montants, de manière à mettre en position des indicateurs avant. et arrière 415 (fi-. 1 et 40A) des touches de transactions 193.
\ Le mécanisme différentiel des transactions met de même en position une roue impri- meuse des transactions, de façon à enregistrer sur la feuille d'enregistrement un repère d'identification caractéristique de la trans action qui a été effectuée.
Sur l'arbre 387 (Tic. 25, 40A et 40B) est fixée une manivelle 416; celle-ci est articulée par l'intermédiaire d'une bielle 417, identique à la bielle 305 ((i1. 44) de la rangée des dixièmes des montants, sur un segment 418 fou sur l'arbre 264. Une bielle 419 relie le segment 418 à un sen-nient 420 libre sur la douille 309, ledit. segment 420 étant muni de dents qui engrènent avec les dents externes d'une couronne 421 dentée intérieurement et. extérieurement. Les dents internes de la. cou ronne 421 portent sur la périphérie d'un dis que 422 porté par la. douille 312. Les dents internes de la couronne 421 engrènent avec un pignon 423, qui entraîne un axe carré 424.
Cet axe est. relié par un pignon identique (non représenté), à une autre couronne 425 dentée intérieurement et extérieurement (fig. 24), dont: les dents extérieures une roue imprirrreuse 426 portant les caractères correspondant aux touches 193 des transactions.
Le méeanisrne représenté par les fig. 24 et 25 et ci-dessus décrit réalise une liaison d'entraînement entre l'arbre 387 et la roue imprimeuse 426 des transactions, de façon à mettre cette roue imprimeuse dans une posi tion qui correspond à la touche 193 gui a été enfoncée, et à enregistrer un symbole ca ractéristique de la. transaction quia été effec tuée.
<I>Mise</I> eii. <I>prise</I> drr. totaliseur.
Les segments 385 et 386 (fig. 15) portent de petits numéros correspondant à leurs diffé rentes positions par rapport à. l'ergot 384, ces numéros correspondant. aux différentes touches 193 de transactions (fig. 2) qui sont numérotées de la même façon.
Lorsque le mécanisme différentiel des tou ches 193 de transactions (Tic. 10) se trouve arrêté dans la position de zéro par le cliquet de zéro -104, les segments 385 et 386 (flg. 15 et 30) sont placés-comme sur ces figures, de sorte qu'une partie d'en haut de la. surface active du segment 385 empêche tout mouve ment vers la. droite du téton 384 et que la surface active du segment 386 est au-dessus et hors du trajet de L'ergot 384.
C'est la posi tion propre que prennent ces segments 385 et 386 lorsque la machine est utilisée comme ma chine à additionner et qu'il faut que le tota liseur soit mis en et hors de prise pendant les opérations d'addition.
Lorsque les segments 385 et 386 ont été mis en position par le mécanisme différentiel < les transactions, les cames 380 et 381. (fi(y. 30 et. 31) fonctionnent selon les temps donné par la lime 5 du graphique des temps (fig. 43), de façon à faire basculer le levier >76 ainsi que, par l'intermédiaire de la bielle <B>375,</B> le levier<B>373,</B> d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre (voir aussi fi-. 46).
Le levier 373 se déplaçant dans le sens ci-dessus, fait mouvoir le levier 371 vers l'avant ou dans le sens inverse de celui des aigomilles d'une montre, sans imprimer aucun mouvement à la bielle 369, car le mouvement- vers l'avant de l'ergot 384 n'est pas gêné par la surface active du segment 386.
Lorsque les segments 232 ont été mis en position selon les temps donnés par la ligne 1 de la fig. 43, les cames 380 et 381 font bascu ler les leviers 376 et 373 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre d'un angle phis grand que l'angle dont ils avaient pré cédemment basculé dans l'autre sens, ce qui ,,mène le levier 373 à déplacer le levier 371 vers l'arrière ou dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce mouvement vers l'arrière du levier 371 amène le téton 384 en contact avec la partie supérieure de la surface active du segment 385, ce qui donne aü levier 371. un point d'appui, de façon que sa partie infé rieure se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, laquelle fait tourner la bielle 369 vers l'avant, ce qui fait que, grâce à la lumière de ladite bielle coopérant avec l'ergot 368 (flg. 30), la bielle 367 est poussée vers l'avant ou dans le sens des aiguilles d'une montre sur la figure.
Ce mouvement vers l'avant de la bielle 367 amène la partie droite d'une ouverture en T 427, ménagée dans nette bielle, en prise avec un ergot 428 .d'un levier 429 fou sur l'axe 377.
Le levier 429 porte .des galets 430 et 431, qui coopèrent respectivement avec la périphé rie de deux cames conjuguées 432 et 433 fixées sur l'arbre principal 130 et fonction nant selon les temps donnés par la ligne 6 du graphique des temps (fig. 43).
Pendant un fonctionnement de la ma chine, les cames 432 et 433 impriment au le vier 429 deux déplacements comprenant cha cun un mouvement dans le sens inverse de celui ,des aiguilles d'une montre et le mouve ment de retour, conformément aux temps donnés par la ligne 6 de la fig. 43. Lors des additions, le premier déplacement du levier 429 déplace l'ergot 428 en haut et en bas dans la branche centrale de l'ouverture en T 427, sans que cela imprime aucun mouvement à la bielle 367.
En comparant les lignes 5 et 6 du graphique (fig. 43), on peut voir que lors- que le levier 429 a achevé son premier dépla cement et revient à sa position normale repré sentée à la fig. 30, la bielle 367 bascule vers l'avant, lors d'une addition, et engage l'ergot 428 dans la branche arrière de l'ouverture en T 427, ainsi qu'il est dit phis haut.
Le mouvement dans le sens inverse de ce lui des aiguilles d'une montre du levier 429 lors de son deuxième déplacement amène l'ergot 428 en coopération avec la 'branche arrière de l'ouvert-Lire 427 et déplace ainsi la bielle 367 vers le haut, ce qui fait basculer la manivelle 366 et l'arbre 354 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce mouvement dans le sens .des aiguilles d'une montre de l'arbre 35-1 (fig. 19, 20, 21 et 22) et des bras 365 qui lui sont fixés, amène les gaIets 364 portés par ces bras, en coopération avec les lumières 363 des plateaux 359 et 360, à faire basculer le sup port du totaliseur, y compris les plateaux 352 et 353 et l'arbre 351, vers le bas, de façon à mettre les roues 321 et 337 (fig. 7, 9 et 24) en prise avec les segments d'entraînement 232 des montants, après que ces segments ont été mis en position sous l'action des touches des montants.
Lorsque les roues du totaliseur ont été mises en prise avec les segments d'entrai- nement, le mouvement de retour de ces seg ments dans le sens inverse de celui des aiguil les d'une montre fait tourner ces roues dans le sens additif ou dans le sens des aiguilles, de façon à ajouter la valeur représentée par ces touches actionnées. Lorsque les segments 232 sont revenus à leur position normale ou de repos, les cames 432 et 433 (fig. 30) ra mènent le levier 429 dans le sens .des aiguilles d'une montre à sa position normale, ce qui ramène l'arbre 354 dans le sens inverse et dé gage les roues du totaliseur d'avec les seg ments d'entraînement.
Lorsque le levier 129 a ramené la bielle 367 vers le bas à sa posi tion normale, les cames 380 et 381 ramènent cette bielle 367 dans le sens inverse de ce lui des aiguilles d'une montre, de façon à re mettre l'ergot 428 en face de la branche verti cale de l'ouverture en T 427, ainsi qu'il est placé sur la figure.
Un dispositif actionné par ressort est prévu dans le but de forcer les cames 380 et 381 (fig. 30 et 31) à ramener le levier 371 et les bielles 369 et 367 à leurs positions nor inales, ce dispositif maintenant ces pièces en position normale si ni l'une ni l'autre des parties supérieures des surfaces actives des segments 385 et 386 ne se trouve en face de l'ergot 38-1 et, dans ce cas, le levier<B>371</B> bas eule d'avant en arrière sans imprimer aucun mouvement à ces bielles 369 et 367.
Un ergot. 603 est fixé à l'extrémité infé rieure du levier 371 (fige. 30) et coopère avec les surfaces planes, se faisant vis-à-vis, de deux doigts 604 et 605 fous tous deux autour d'un axe 606 fixé sur le support auxiliaire 64. Un ressort 607, tendu entre les doits 604 et 605, les sollicite l'un vers l'autre, de façon maintenir normalement. leurs deux surfaces plates en contact avec un téton fixe 608 fixé sur le support auxiliaire 64.
Normalement, le téton 608 maintient les deux surfaces planes opposées des doigts parallèles 604 et 605 pa rallèles entre elles, de façon à former une fente élastique dans laquelle l'ergot 603 peut coulisser vers le haut et vers le bas lorsque le levier<B>371</B> bascule sous l'action des cames 380 et 381 (fia. 31) et si le téton 384 n'est. pas bloqué par les parties hautes des surfaces actives (le l'un des segments 385 ou 386.
lies bras actionnés par ressorts 604 et 605 (fig. 30), coopérant avec les ergots 608 et 603, centrent le pivot du levier 371 et de la bielle 369 et font ainsi revenir la bielle 367 à sa po sition normale, ou neutre, après que ce levier 371 a basculé dans l'un ou l'autre sens sous l'action des cames 380 et 381 (fi-.<B>31)</B> et des segments d'entrainement 38:ï et 386.
Si, lorsque la machine est utilisée comme caisse enregistreuse, on enfonce la touche 193 Comptant , située à la position 9 de la rangée (les touches de transactions, le segment. 385 (fil;. 15 et 30) est mis dans une position oii une partie pleine de sa surface active est en face (le l'ergot 384 et le segment 386 est mis (fans une position telle (lue toute sa surface active se trouve placée en dessous de cet. ergot 384, de façon que le totaliseur soit mis en prise et hors de prise, pendant. les additions, exactement. de la même façon que ci-dessus.
De même, si l'on enfonce la touche 193 Arrhes , située dans la position 7, le segment 385 est mis dans une position où une partie pleine de sa surface active est en face du téton 384 et où le segment 385 place dans une position telle le segment 386 que toute sa sur face active se trouve placée en dessous de l'ergot. 384, et, comme clans les deux cas pré cédents, le totaliseur est. mis en prise et hors. (le prise pendant les additions.
Si l'on enfonce la touche<B>1.93</B> Débit qui , est située dans la. position 8 de la. rangée de touches de transactions (fig. ?, 15 et 30), le segment 385 est mis en position, de telle sorte que l'une des parties découpées, ou basses, de sa surface active se trouve en face de l'ergot 384, et le serment 386 est mis dans une posi tion telle que sa surface active soit en dessous du téton 384. Par suite, les bielles 369 et 367 ne sont pas déplacées. En conséquence, la branche verticale du<B>T</B> de l'ouverture 427 reste sur le trajet du téton 428, et le levier 429 ne donne au totaliseur aucun mouvement. qui pourrait le mettre en ou hors de prise.
Ceci est également. vrai dans le cas où l'on enfonce les touches Pas vendu ou Rem bourré qui sont respectivement situées aux positions 5 et 6 de la rangée des touches de transactions, et pour la même raison aucun mouvement n'est imparti au totaliseur.
Si l'on enfonce la touche 7.93 Total , (fi-. 2, 15 et 30), (lui est située dans la posi tion 1 de la rangée des touches de t.rans- aetions, pour enregistrer ou établir un total, le mécanisme différentiel des transactions met le segment 38.5 clans une position telle; qu'une partie découpée de sa périphérie est. en face de l'ergot 384, et ce segment 385 met le segment 386 dans une position telle que sa surface active soit en. face du téton 384, ee qui empêche tout mouvement vers l'avant de ce téton.
Par suite, lorsque les cames 380 et 381 (fi-. 31) basculent les leviers 376 et 373 clans le sens des aiguilles d'une montre, au début (lu fonctionnement de la machine et avant que les segments des montants amor cent, leur mouvement. initial, elles font dépla- cer la bielle 369 vers l'arrière, par l'intermé diaire du levier 371, ce qiû fait basculer la bielle 367 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, et amène la branche avant de l'ouverture 427 sur l'ergot 428.
Le mouvement dans 1e sens inverse de celui des aiguilles d'une montre du levier 429, sous l'action des cames 432 et 433, déplace la bielle 367 vers le haut et fait tourner l'arbre 354 dans le sens des aiguilles, de la façon, indi quée au sujet des additions, de façon à mettre les roues du totaliseur en prise avec les seg ments 232 des montants, avant que ne com mence leurs mouvements dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement dans ce sens des segments 232 des montants (fig. 7 et 9) fait tourner en sens inverse les roues 321 et 337 du totaliseur, jusqu'à ce que leurs .dents 336 d'avancement viennent en contact avec l'extrémité des bras 335, de façon à arrêter ces roues dans la posi tion de zéro et à mettre les segments d'entraî nement des montants, le mécanisme des indi cateurs et le mécanisme d'impression en posi tion correspondant au montant existant sur ces roues du totaliseur.
Dans ce cas, les seg ments 232 ne pouvant poursuivre leur mouve ment, le mécanisme de verrouillage de ces segments tombe, exactement de la même façon que le verrou des touches des dixièmes le fait, lorsque le coulisseau 216 (fig. 6) vient en contact avec la tige de la touche 190 enfoncée, ainsi qu'il a été expliqué au sujet du méca nisme différentiel des montants.
Lorsque les roues du totaliseur ont été ra menées au zéro, elles sont dégagées d'avec les segments d'entraînement des montants par le premier mouvement de retour dans le sens des aiguilles d'une montre, du levier 429 (fig. 30) sous l'action des cames 432 et 433.
Lorsque les roues du totaliseur ont été ainsi dégagées, les cames 380 et 381 (fig. 31) impriment un mou vement dans le sens inverse de celui des aiguilles aux leviers 376 et 373 qui action nent le levier 371 et, comme l'ergot 384 a de vant lui une partie découpée de la surface active du segment 385, aucun mouvement n'est transmis aux bielles 369 et 367. Par suite, la branche verticale du<B>T</B> de l'ouvert-Lire 427 reste en face du téton 428, ce qui fait que le deuxième déplacement du levier 429 ne fait pas tourner l'arbre 354 et que les roues .du totaliseur restent au zéro à la fin du fonctionnement de la machine.
Lorsque l'on effectue l'enregistrement ou la lecture d'un total partiel, les roues du to- taliseur sont mises en prise avec les segments d'entraînement des montants, de même que pour l'enregistrement des totaux, au début desquels lesdites roues sont ramenées au zéro et le montant qu'elles portent est enregistré sur la feuille d'enregistrement, comme précé demment.
Toutefois, les roues ramenées au zéro ne sont pas, alors, dégagées d'avec les segments d'entrainement, comme dans l'enre gistrement des totaux, mais elles -restent en prise avec ces segments pendant leur mouve ment de retour qui ramène lesdites roues à, leurs positions initiales.
L'enregistrement d'un total est souvent appelé aussi Remise à zéro , et l'enregistre ment d'un sous-total est souvent appelé Lec ture . Aussi, on considérera comme équiva lents les termes Total et Remise à zéro , d'une part, et les termes Sous-total et Lec ture , d'autre part.
Si l'on enfonce la touche 193 Sous-total (fi-. 2 et 10), située à la position 2 de la ran gée des transactions, ceci fait mouvoir le mé canisme différentiel de cette rangée, qui dé place lés segments 385 et 386 (fig. 15 et 30) et les amène à la position 2, dans laquelle la surface active de ces segments bloque le téton 384 dans les deux sens. Par suite, le mouve ment des leviers 376 et 373 dans le sens des aiguilles d'une montre fait. basculer le levier 371 dans le sens inverse, l'ergot 384, coopé rant avec la surface active du segment 386, formant pivot pour ledit levier.
Le mouve ment dans ce sens du levier 371 déplace les bielles 369 et 367 vers l'arrière, pour amener la branche avant de l'ouverture 427 en prise avec l'ergot 428.
Le mouvement initial des cames 432 et 433 (fig. 30 et ligne 6 du graphique, fig. 43) fait basculer le levier 429 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, ce qui dé place la bielle 367 vers le haut et fait ainsi basculer l'arbre 354 (fig. 19 et 30) dans le sens des aiguilles, de faon à mettre les roues du totaliseur en prise avec les segments d'en traînement des montants, avant que s'amorce le mouvement. de ces se-nients. Le premier mouvement.
de retour du levier 429 sous l'ac tion des cames 432 et 433 ramène la bielle 367 vers le bas à sa position normale repré sentée sur la figure, de façon à dégager les roues du totaliseur d'avec les segments d'en traînement des montants. Tandis que ces seg ments sont. ainsi libérés, un mouvement en sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre est imprimé aux leviers 376 et 373 par les cames 380 et 381, ce qui fait que ces leviers basculent- le levier 37l_ dans le sens des aiguilles d'une montre, le téton 384, coopérant avec la surface active du segment 385, for mant pivot.
Ce mouvement clans le sens inverse (le celui des aiguilles d'une montre du levier 371 déplace la bielle 369 vers l'avant, de faon à amener la branche arrière de l'ou verture 427 en prise avec l'ersot 428. Le deuxième mouvement des cames 432 et 433 (fig. 30 et 31, et. ligne 6 du graphique fi-. 43) amène les roues du totaliseur en prise avec les segments des montants avant le mouve ment de retour de ces segments.
Lorsque les roues du totaliseur ont ainsi été mises en prise avec. les segmente d'entraî nement des montants, le mouvement de retour de ces segments ramène ces roues à leurs posi tions initiales, de façon à effectuer l'enregis trement d'un Sous-total on une Lecture . Le montant étant à nouveau porté par les roues du totaliseur, les cames 432 et 433 dé gagent lesdites roues d'avec les segments (Ven- traînetnent des montants,
après quoi les cames 380 et<B>381</B> (fig. 31 et ligne 5 du graphiqtïe fig. 43) entrent en fonction pour ranjener la bielle 367 à sa position normale (fig. 30), de façon que la branche verticale dil T de l'ou verture 427 soit en face de l'ergot 428.
La position 3 des segments 385 et. 386 (fig. 15 et 30) ferait aussi mettre en et. hors de prise le totaliseur au moment de l'enregis- trement ou de la lecture d'un sous-total, exac tement de la même façon que le ferait la po sition 2 de ce segment. Cependant, il n'existe pas de touche de transaction 113 (fig. 2) cor respondant à cette position 3, et, par suite, cette position n'est. pas utilisée dans la dispo sition décrite.
De même, clans la disposition dé crite, la, position 4 de la rangée de touches de transactions n'est pas utilisée; mais si elle l'était, les segments 385 et 386 feraient mettre le totaliseur en et hors de prise pendant les périodes d'addition.
Il est à remarquer que la partie de la sur face active du segment 385 (fig. 15 et 30), correspondant aux touches 193 Pas vendu et Remboursé (fi-. ?) situées respective ment aux positions 5 et 6 de la rangée des touches de transactions, est découpée et, comme la surface active du segment 386 est amenée au-delà de l'ergot. 384 lorsque ledit segment. se trouve dans la position 5 ou 6, aucun mouvement n'est imprimé à la bielle 369 (fi-. 30). Par suite, la branche verticale du<B>T</B> de l'ouverture 427 reste sur le passage de l'ergot 498 et, en conséquence, le totaliseur n'est soumis à aucun mouvement pour le met tre en prise ou hors de prise lorsque l'on enfonce la touche Pas vendu>> ou Rem boursé>>.
En d'autres termes, les transactions Pas vendu et Renll@o@tl@sé sont des trans actions qui lie s'ajoutent pas au total.
La touche 193 Arrhes (fig. 2), placée à la position 7 de la rangée des transactions, fait, mouvoir les segments 385 et 386 à la septième position, dans laquelle une partie pleine de la surface active du segment 385 est en face de l'ergot 384 et la surface active du segment 386 se trouve au-delà dudit. ergot 384.
Cette mise en position des segments 385 et 386 met le totaliseur en prise et hors de prise avec les segments d'entraînement des montants pendant les périodes d'addition, exactement de la même façon qu'on l'a. expli qué lorsque la machine est utilisée comme machine à additionner, cas dans lequel lesdits segments sont placés dans la position de zéro, de sorte que les éléments Arrhes sont ajoutés au totaliseur.
La touche 193 Débit , placée à la posi tion 8 de la rangée des touches de trans actions, amène les segments 385 et 386 dans la position 8, dans laquelle une partie dé coupée de la surface active du segment 385 se trouve en face de l'ergot 384, et où la sur face active du segment 386 se trouve au-delà de cet ergot 384. Lorsque les segments 385 et 386 sont dans de telles positions, aucun mouvement n'est imparti au totaliseur; par suite, les éléments Débit ne sont pas ajoutés au total.
*La touche 193 Comptant (fig. 2) placée dans la position 9 de la rangée des transactions amène les segments 385 et 386 dans la position 9, dans laquelle une partie pleine de la surface active du segment 385 se trouve en face de l'ergot 384 et la surface active du segment 386 se trouve au-delà du- dit ergot 384. En conséquence, lorsque ,l'on enfonce la touche 193 Comptant , les seg ments 385 et 386 font mettre le totaliseur en prise et hors de prise avec les segments d'en traînement des montants pendant les périodes d'addition, de sorte que les éléments Comp tant sont ajoutés au total.
Les touches 193 (fig. 2) Pas vendu , Remboursé , Arrhes , Débit et Comp tant ne sont utilisées que si l'on. se sert de la machine comme caisse enregistreuse; c'est pourquoi, lorsque le coulisseau de contrôle général 92 est dans la position Enregistre ment , ainsi qu'il est représenté, ces touches sont déverrouillées et, lorsque ledit coulisseau est hors de la position d' Enregistrement , ces touches sont toujours verrouillées et ne peuvent être enfoncées, ainsi qu'il sera expli qué phis loin.
De même, les touches 193 Total et Sous-total (fig. 2), placées respective ment aux positions 1 et 2 de la rangée des touches de transactions, sont verrouillées et ne peuvent être enfoncées lorsque le coulis- seau 92 est dans la position Addition et Re mise à zéro .
Le dispositif de lecture du totaliseur, outre qu'il est contrôlé par la touche 193 Sous-total , est contrôlé aussi par le coulis- seau 92 de contrôle général (fig. 26 et 30) qui, lorsqu'il est amené à la.
position Lec ture , amène un segment 436 dans une posi tion où deux becs 437 et 438 qu'il porte, et qui se font face, viennent se placer en face de l'ergot 384 et coopèrent avec cet ergot pour mettre le totaliseur en prise et hors de prise pendant les périodes de lecture, exactement de la même manière que lorsque les segments 385 et 386 sont placés en deuxième position sous l'action de la touche 193 clé Sous-total (fig. 2), ainsi qu'il a été expliqué précédem ment.
Le segment 436 (fig. 25, 26 et 30) est fou sur l'arbre 387, et ce segment porte un ergot. 439, engagé dans une lumière 440 d'un bras 441 fixé sur un arbre 442 tourillonnant sur les supports 284 et 285 (fig. 40A et 40p). Un bras 443, fixé aussi sur l'arbre 442, présente à son extrémité supérieure une lumière dans laquelle s'engage un ergot 444 du coulisseau 92. Ce coulisseau 92 peut coulisser grâce à des fenêtres parallèles qu'il porte, coopérant avec des tétons 445 et 446 fixés au flasque gau che 60.
Le coulisseau 92 présente une série d'en coches 447 correspondant. aux diverses posi tions du coulisseau et qui coopèrent avec un ergot 448 d'un bras 449 poussé par un ressort, et fou sur l'axe 90, de faon à maintenir le coulisseau dans ses diverses positions. Lorsque l'ergot 448 passe d'une encoche à l'autre, le bras 449 bascule, en opposition à l'action de son ressort, de faon à amener momentané ment un bec 450 qu'il porte sur le passage d'un épaulement 451 d'un bras 452 fixé à l'extrémité gauche de l'arbre 177 de verrouil lage des touches, de façon à bloquer les mou vements dans le sens des aiguilles d'une mon tre de cet. arbre (voir aussi fig. 15), lorsque le coulisseau 92 est déplacé d'une position à l'autre.
Lorsque ce coulisseau 92 est amené à la position Enregistreuse verrouillée , un ergot 453 (fig. 26) porté par ce coulisseau vient se placer au-dessus d'un. doigt 454 for mant prolongement du bras 452, de façon à empêcher l'arbre 177 d'être libéré, empêchant ainsi tout fonctionnement de la machine.
Lorsque l'on amène le coulisseau 92 à la position Lecture du total , le bras 443 (fit:. 26 et 30), l'arbre 442, le bras 441 et l'ergot 439 mettent. -le segment. 436 en position telle que les becs 437 et 438 soient en face de l'ergot 384, de facon à faire mettre le totali- seur en prise et. hors de prise avec les seg tnents d'entraînement (les montants, pendant les périodes (le lecture ou de sous-total.
Dans la disposition décrite, toutes les autres positions du coulisseau 92 amènent, le segment 436 dans une position telle que les parties dégagées de la lumière que porte ce segment se trouvent en face de l'ergot 384 et où, par conséquent, ce segment n'a aucune action sur la mise en prise ou hors de prise du totaliseur, sauf lorsque ce coulisseau se trouve clans la position Lecture du total .
Il est évident que d'autres becs similaires aux parties 437 et 438 peuvent être réalisés dans l'ouverture du segment 436, de façon à con trôler la mise en prise on hors de prise du totaliseur de quelque facon qu'on le désire.
Le coulisseau 92 met aussi en position une roue imprimense qui lui correspond, pour en registrer un symbole caractéristique de la position de ce eoulisse < m ou du type d'opéra tion réalisée.
Le coulisseau 92 (fig. 24, 25 et 26) porte un ergot 455 qui est engagé dans une ouver ture de la partie supérieure d'un segment 456 fou sur l'axe creux 309. Des dents portées par le segment. -156 engrènent avec les dents d'une roue dentée 457 montée sur l'un des disques 422, ladite roue étant à. son tour en prise avec un pignon 4)8 fixé à. l'une des extrémités d'un arbre 459 tourillonnant sur 1e support du mécanisme imprimeur. Ce sup port du mécanisme imprimeur est constitué par le plateau 313 (fig% 24 et 25) et<B>un</B> pla teau 460.
Ce dernier plateau 460 est fixé sur une tige 461 dont. l'une des extrémités est fixée à la douille 312 et l'autre extrémité est portée par le flasque droit 61.
Un pignon 462, fixé sur L'arbre 459 (fig. 24 et 26), est en prise avec les dents d'une roue 463 montée sur un disque 464 par rapport auquel elle peut tourner; ce disque est supporté à son tour par l'arbre 461. Les dents de la roue 463 sont. en prise avec une roue imprimeuse 465 folle sur l'arbre 351. Cette roue imprimeuse est mise en position par le mécanisme qui a été .décrit pour l'im pression d'un repère sur la bande d'enregis trement selon la position du coulisseau 92 ou le type d'opération effectuée.
Dans la dis position décrite, deux positions seulement de la roue imprimeuse coulissante 465 portent des caractères (fit;'. 24 et 26) d'imprimerie, un .U qui sera reporté sur la, bande d'enre gistrement lorsque le coulisseau 92 sera sur la position Lecture du total et un signe d'addition (-@- ) lorsque le coulisseau est dans la position Addition et Remise â. zéro .
La tige 461 (fig. 24), outre qu'elle Sup- porte la roue 457, porte aussi la roue 425 des transactions, qui peut tourner sur elle, et de même les roues dentées des roues imprimeu- ses des deux ordres les plus élevés des mon tants, et. celles des roues imprimeuses des quatre numéros de référence. Les roues ci- dessus mentionnées constituent, la partie fixe du mécanisme imprimeur. La. tige 461 porte de même le support glissant, qui sera décrit.
plus loin, et, qui porte les engrenages et les roues imprimeuses correspondantes des qua tre rangées de touches de transactions, de sorte qu'il est impossible que des montants plus de quatre chiffres soient imprimés dans l'une des colonnes de la feuille d'enregistre- m.ent.
Co-inhtei(r <I>(le remise à</I> zéro.
Un eomptenr pas à pas est prévu, qui compte une unité chaque fois que le coulis seau 92 de contrôle général est mis sur la po sition Addition et Remise à zéro .
La couronne 457: dentée intérieurement, et extérieurement (fig. 23, 25 et 26) du coulis- seau 92, porte une surface 468 formant came, qui coopère avec l'extrémité arrondie d'un levier 469 fou sur un axe 466, fixé au flasque 60. Le levier 469 porte un ergot 470 qui s'engage dans une lumière 471 d'une bielle 472, dont. l'extrémité supérieure est articulée sur une pièce 473 d'accouplement, folle sur un arbre 474, qui pivote dans les montants laté raux d'un support. 475 fixé sur une console 476 à son tour fixée au flasque 60.
La pièce 473 porte une tige sur laquelle est monté et peut tourner un cliquet 477 qui porte des dents coopérant avec les dents de plusieurs rochets fixés chacun sur l'une des roues 478 du compteur, ces roues étant folles sur l'arbre 474. Un ressort maintient normalement les dents du cliquet 477 (fig. 23) en prise avec les rochets portés par les roues 478 du comp teur de remise à zéro. Chacune des roues 478 du compteur porte des chiffres qui sont visi bles au travers d'une ouvert-Lire d'un couver cle 494 (fig. 25) du mécanisme du compteur, ce couvercle étant fixé sur le flasque 60.
La pièce 473 porte un bras droit (fig. 23 et 25) qui possède deux encoches 479 et 480, correspondant respectivement aux positions d'avancement et de rappel du cliquet<B>477.</B> Les encoches 479 et 480 coopèrent avec le bec d'un cliquet 481 fou sur un axe 482, fixé sur une plaque 467 (fig. 25), elle-même fixée au châssis 60.
Un ressort 483 (fig. 23), tendu entre un prolongement du cliquet 481 et l'axe 470, maintient le bec du cliquet. 481 en prise avec les encoches 479 et 480 et sollicite le le vier 469 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre,<B>de,</B> façon à appuyer l'extrémité arrondie de ce levier sur la sur face 468 formant came.
L'extrémité inférieure de la bielle 472 pré sente une lumière 484 en forme de Z, qui comprend deux branches verticales, décalées l'une par rapport à l'a-Litre et réunies par -une branche horizontale, cette lumière coopérant avec un ergot 485 d'une manivelle 486 fixée à l'une des extrémités d'un manchon 487 fixé lui-même sur l'arbre 488 d'entraînement du dispositif imprimeur, cet arbre tourillonnant sur les flasques 60 et 61.
A l'autre extrémité du manchon 487 est fixée une manivelle 489 (fig. 25) sir laquelle est articulée l'extré mité antérieure d'une bielle 490, dont l'extré mité postérieure forme une fourche qui s'en gage autour de l'arbre principal 130. La bielle 490 porte un galet 491 qui coopère avec la gorge 492 d'une came 493 fixée à l'arbre principal 130 et fonctionnant conformément à. la ligne 10 du graphique (fig. 43), de façon à faire osciller la manivelle 489, l'arbre 488 et la manivelle 486, d'abord dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre (fig. 23), puis en sens inverse, pour revenir à la position normale représentée par la figure.
Lorsque le coulisseau 92 de contrôle géné ral (fig. 2, 23 et 26) est amené dans la posi tion d' Enregistrement , d' Enregistreuse ver rouillée ou de Lecture du total , la. roue 457 est mise dans une position telle que la, surface présentée par la came 468 au levier 469 soit une partie, creuse, de sorte que ce le vier soit maintenu dans la position représentée par la fig.23 et que, par l'intermédiaire de l'ergot 470 et de .la lumière 471, la bielle 472 soit dans la position représentée par la même figure, de sorte que la branche gauche de la lumière 484 se trouve en face de l'ergot 485.
Lorsque la bielle 472 est dans cette position, les mouvements d'oscillation de la manivelle 486, effectués sous l'action de la came 492, ne provoquent aucun déplacement de la bielle 472, l'ergot 485 se déplaçant librement dans la branche gauche de la lumière 484; par con séquent, les roues du compteur ne sont pas mises en mouvement.
Si le coulisseau 92 (fig. 23 et 25) est mis dans la position d' Addition et de Remise à. zéro , la partie inclinée de la surface 468, coopérant avec l'extrémité arrondie clu levier 469, fait basculer ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre; ce levier fait aussi basculer la bielle 472 dans le même sens; la branche de droite de la lumière 484 est ainsi amenée en face de l'ergot 485. Lorsque la. machine fonctionne, le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de la mani velle 486 amène l'ergot. 485, coopérant avec le bord inférieur de la branche horizontale de la lumière 484, à faire descendre la bielle 472.
Ceci fait basculer la pièce 473 dans le sens inverse .de celui des aiguilles d'üne montre, et l'amène de la position de rappel, qui est représentée sur la fig. 23 et dans laquelle le cliquet 481 est en prise avec l'encoche 480, à la position d'avancement; dans cette position, le cliquet 481 est en prise avec l'encoche 479, ce qui maintient la pièce 473 dans la position d'avancement.
Le mouvement en sens inverse (le celui des aiguilles d'une montre de la pièce 473 et du cliquet 477 de la position de rap pel dans celle d'avancement, amène ce cliquet, en coopération avec le rochet de la roue 478 des unités, à faire avancer cette roue d'un cran et à enregistrer cette unité lors du pre- niier fonctionnement de la. machine venant après la mise en place du coulisseau 92 siu- Addition et Remise à zéro .
Une encoche pro fonde pratiquée sur le rochet des ordres les plus bas permet aux dents du cliquet <B>477</B> de faire avancer d'une unité la roue 478 de l'ordre immédiatement, supérieur, lorsque la précé dente passe par zéro.
Tant. que le eoulisseaii 92 reste clans la po sition d' Addition et de Remise à zéro , la branche de droite de la lumière 48-1 (fi;@. 23<B>)</B> reste en face de l'ei,got 485, et lors des fonc tionnements successifs de la machine, cet ergot 485 oscillera librement dans la branche de droite de cette luiiiière, ,ans provoquer au cun mouvement de la bielle 472,
(le sorte que le compteur ne sera actionné qu'une fois à chaque mise en place du coulisseau dans la position d' Addition et de Remise à zéro .
Lorsque Fon écarte le coulisseau 92 (le la position d' Addition et Remise à zéro , la partie inclinée de la came -168 (fig. 23) s'écarte de l'extrémité du levier 469. -lais, à ce moment, la. bielle 472 se trouve dans sa position basse, basculée, la partie haute de 1a branche (le droite de la lumière 48-1 entourant l'ergot 485;
par suite, le ressort 483 ne peut faire basculer le levier 469 et la bielle 472 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, tant. que la manivelle 486 n'est pas arrivée vers la fin (le son mouvement dans le sens des ai-uilles d'une montre, ni tant que l'er)-ot 485@n'est pas en face de la branche horizontale de la lumière 484. Dès que ceci s'est produit, le ressort. 483 fait bas culer la- bielle 472 et le levier 469 dans le sens inverse de celui des aiguilles, ce qui amène la branche (le gauche de la lumière 484 en face de l'ergot 48:3.
Lorsque la bielle 472 a ainsi basculé, le mouvement dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre (le la manivelle 486 amène l'ergot 485, coopé rant avec le bord supérieur de la branche horizontale de la, lumière 484, à faire remon ter la bielle 472 à sa position normale, re présentée sur la fig. 23, position dans laquelle le cliquet 481. est en prise avec l'encoche 480 de la pièce 473.
Toaclzes <I>(le</I> sélection. <I>(les</I> colon.iccs.
Il est rappelé, en se référant aux fi-. '2 et '4, que les quatre roues imprimeuses 319 des quatre ordres inférieurs des montants et leurs roues dentées d'entraînement. 318 sont montées dans un support qui peut se dépla cer en coulissant et qui est mis en place sous le contrôle des huit. touches 194 de sélection des colonnes (numérotées de II à IX), de faon à pouvoir imprimer dans l'une des huit colonnes verticales de la. bande d'enre- -istrement. représentée fi@g. 3, ces colonnes portant des désignations différentes permet tant d'identifier les éléments imprimés dans ces colonnes.
Les touches 194 de sélection des colonnes ne peuvent être enfoncées que lors- (tue le coulisseau 92 de contrôle général est clans la. position Enregistrement ou dans la position Addition et Remise à zéro . Lors que aucune touche 194 (le sélection des colon nes n'a été enfoncée, un mécanisme d'arrêt.
de zéro du mécanisme différentiel place les roues imprimeuses des montants contre la partie fixe du dispositif imprimeur, qui com prend les roues iniprimeuses des deux ordres les plus élevés, les roues imprimeuses des transactions, la roue imprinieuse du coulis seau 92 et. les quatre roues imprimeuses des numéros de référence.
Dans ce cas, toutes les roues effectuent leurs impressions dans une large colonne, située sur le côté gauche de la bande d'enregistrement représentée fig. 3, et qui est. dénommée colonne I.
Lorsque l'oii enfonce la touche 193 To tal ou Soiis-total ou Pas vendu , le mé canisme différentiel des touches 1.94 de sé lection des colonnes est mis en position de zéro, de façon que les roues imprinienses mo biles des montants viennent se placer contre les roues imprime-Lises fixes, pour imprimer les éléments correspondant . à ces touches dans la colonne de gauche (I) de la bande d'enregistrement.
En se reportant maintenant à la fig. 12, on voit que si l'on enfonce une touche 194 de sélection des colonnes, l'extrémité inférieure de la tige de cette touche vient se placer sur le trajet de Pluie des oreilles 564 rabattues, portées par un coulisseau 523, identique sous tous rapports au coulisseau 216 .des montants et monté de façon identique sur le support - des coulisseaux. Le coulisseau 523 (fig. 12 et 13) porte un bras 524, dirigé vers le bas,
et qui est en forme de fourche pour embrasser un ergot 525 d'un segment diffé rentiel 526 libre sur ime douille entourant la tige 233. Un plateau 527 est associé au seg ment 526, et ils portent chacun une fenêtre, placées à angle droit, et dans lesquelles passe un même ergot 528 d'un verrou 529. Un res sort. 530, tendu entre deux prolongements du segment 526 et du plateau 527, sollicite ces deux pièces en sens inverse, ce qui force les deux fenêtres à maintenir le téton 528 dans le bas de ces fenêtres, et à maintenir ainsi le verrou 529 verrouillé dans la posi tion représentée sur la fig. 12.
Le verrou 529 (fig. 12 et 13) pivote sur un axe 531 porté par une plaque 532 folle sur la tige 233, et l'effet de ciseaux des fe nêtres du segment 526 et du plateau 527, sur l'ergot 528, force ledit verrou 529 à s'enga ger dans une encoche de la périphérie d'un segment 533 d'entraînement, fou sur la tige 233.
Un prolongement de la plaque 532, co opérant avec un ergot. 534 porté par le seg ment 533, et le verrou 529, coopérant avec l'épaulement dudit segment, relient normale ment ce segment et cette plaque en les main tenant en position relative fixe, de sorte que la plaque 532 peut être entramée dans les deux sens par le segment 533.
Ce segment 533 porte une lumière qui coopère avec um ergot 535 d'un levier 536.pivotarit sur la tige 247 et relié par im dispositif excentrique 537 à un levier 538 également fou sur la tige 247.
Le levier 538 porte deux galets 539 et 540 qui coopèrent respectivement avec la péri- phérie de cames conjuguées 541 et 542, fixées sur l'arbre principal 130 et qui fonc tionnent selon les temps donnés par la ligne 3 du graphique des temps (fig. 43), de façon à faire osciller les leviers 538 et 536, d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, puis en sens inverse, pour actionner le mécanisme différentiel: Le levier 536, qui est relié au segment 533 par l'ergot 535, fait osciller ledit segment en accord avec lui, d'abord dans le sens des aiguilles .d'une montre, puis en sens inverse, jusqu'à sa position normale.
Le seg ment 533 étant relié à la plaque 532 par le verrou 529 et celui-ci étant relié par l'inter médiaire des fenêtres ou lumières et de l'ergot 528 au plateau 527 et au segment 526, lesdites pièces se déplacent dans le sens des aiguilles d'une montre avec le segment 533. le segment 526 entraînant à son tour le cou- lisseau 523 vers l'arrière.
Ce coulisseau 523 (fig. 12 et 13) glisse vers l'arrière jusqu'à ce que l'oreille 564 cor respondant à la touche 194 de sélection des colonnes, qui a été enfoncée, vienne en con tact avec l'extrémité de la tige de cette tou che, ce qui arrête le mouvement vers l'ar- ,rière de ce coulisseau et empêche le segment 526 de continuer son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre.
L'arrêt du mou vement dans ce sens du segment 526 amène l'ergot 528à monter dans la lumière de ce segment, à dégager le verrou 529 de l'épaule ment dur segment 533 et à engager un bec de ce verrou dans l'une des encoches 543 d'une série d'encoches ménagées dans une plaque 544 supportée par les tiges 222 et 223. Cette ouverture .du verrou 529 permet au segment. de poursuivre son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, sans arrêt, et fixe la position de la plaque 532 selon la touche 194 enfoncée.
Lorsque le verrou 529 est dé gagé du segment 533, une partie creuse de ce segment vient se placer sur le passage d'un prolongement de celui-ci, ce qui bloque le verrou et la plaque 532 dans la position d'avancement.
Lorsque la plaque 532 est ainsi mise en place sous l'action de la touche de sélection des colonnes qui a été enfoncée, le levier 536 approchant de la fin de son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, un galet 545 porté par ce levier prend contact avec une partie, incurvée vers l'extérieur, d'une bielle 546, dont l'extrémité supérieure est articulée sur la plaque 532 et pousse une partie incurvée vers l'intérieur de cette même bielle, au contact d'une douille libre sur la. tige 233, de faon à fixer la position de cette bielle en accord avec la. position de la plaque 532.
La bielle 5-16 présente une lumière 5.17 qui, en coopérant. avec un galet. 5-18 porté par un segment 549, fixe la position de ce segment. selon la position de la plaque 532, laquelle, ainsi qu'il a été expliqué plus haut, est mise dans une position qui dépend de la touche I9-1 enfoncée.
lie segment 549 (fig. 12 et 24) engrène avec un segment 550 fou sur la tige 2471 et qui porte des dents qui sont en prise avec une roue dentée 551 fixée à l'une des extré mités d'un arbre court 552 tourillonnant sur des prolongements vers le haut de l'embase 62.
Une couronne dentée 553, fixée à l'autre extrémité de L'arbre 552, engrène avec un pi gnon 554 fixé sur un court axe 555 tourillon- nant sur des prolongements vers le haut de l'embase 62, l'axe 555 étant à angle droit avec l'arbre 55\Z. Sur l'extrémité avant de l'axe 535 est fixé un pignon 556 qui engrène avec une crémaillère 557 fixée à une plaque 558 en forme d'Y (fig. 24), qui porte trois axes supportant des galets 559, 560 et 561 pouvant tourner chacun sur son axe.
Les ga lets 559 et 560 sont. sur une même horizon tale et s'engagent dans une lumière horizon tale 562 pratiquée dans une plaque 563 fixée par des vis 566 à des prolongements vers le haut de l'embase 62. Le galet 561, qui est placé au-dessous des galets 5.59 et 560 et ;i. mi-chemin entre eux deux, s'engage dans une lumière horizontale 567 de la. plaque 563 et, avec les galets 559 et 560, supporte la plaque 558 et la crémaillère 557, de façon. à leur permettre des déplacements horizontaux. Des rondelles portées par les axes qui supportent les galets 559, 560 et. 561 sont de diamètre plus grand que la largeur des lumières 562 et 567 et maintiennent la plaque 558 à dis tance constante de la plaque 563.
Sur un prolongement vers le haut de la plaque 558 (fig. 24) sont articulés deux doigts identiques 568 et 569 qui portent cha cun un. ergot s'engageant dans des lumières pratiquées dans ledit prolongement vers le haut. Un ressort 570, tendu entre les deux ergots ci-dessus, sollicite les deux doigts 568 et 569 l'un vers l'autre, de façon que ceux-ci appuient sur les faces opposées d'un disque 571 fou sur un manchon 572 entourant la tige 461, et serrent ce disque entre eux.
Le manchon<B>572</B> est fixé à une plaque<B>573,</B> et une extrémité de diamètre réduit de ce man chon se prolonge au-delà de la. plaque, cers la<I>gauche,</I> de fagon à pouvoir porter les roues dentées 318 des quatre roues imprimeuses 319 des ordres inférieurs des montants. Le disque 571 est espacé de la plaque 573 par une entretoise 574, et ces pièces sont serrées contre la plaque 573 par un écrou 575 vissé sur l'extrémité du manchon 572.
L'extrémité supérieure de la. plaque 573 (fig. 6, 12 et 24) est ajustée dans une gorge circulaire .d'une douille 576 libre sur une tige<B>1351,</B> et cette plaque 573 est encochée de façon à enfour cher la partie de diamètre réduit de la douille 576 formée par cette gorge circulaire. L'extrémité gauche de la douille 576 (fi-. 24) supporte les quatre roues imprimeuses 319 des ordres inférieurs des montants, ces roues étant entraînées par leur roue dentée respec tive 318, tournant sur le manchon 572.
Le mécanisme qui vient. d'être décrit, et qui comprend la. plaque 573, le manchon 572 et la. douille 576, forme un support qui peut se déplacer sur Je,,; tiges 461 et 1351, sous l'action. des touches 194 de sélection des co lonnes, pour effectuer une impression dans les différentes colonnes de la bande d'enre- Oistrement représentée par la fig. 3.
La mise en position de la bielle 546 et chi segment 549 (fig. 12 et 25), sous l'action de la touche 194 enfoncée, et par l'intermédiaire du train d'engrenages décrit ci-dessus, fixe la position de la plaque 55'# et, par l'inter- médiaire des doigts 568 et 569 et du disque 571, cette plaque 558 fixe la position des roues imprimetlses des quatre ordres infé rieurs des montants, en concordance avec la touche 194 enfoncée, de façon à imprimer le montant de la transaction dans celle .des co lonnes de la bande d'enregistrement qui cor respond à cette touche.
Le support mobile, y compris la plaque 573, n'est pas ramené à sa position normale contre les autres roues im- primeuses, à la fin de l'opération, mais reste à la place où il a été mis jusqu'à l'opération suivante, au cours de laquelle le support mobile est déplacé directement de son an cienne position à la nouvelle.
Mécanisme d'alignement <I>des roues</I> imprimeuses. Lorsque les quatre roues imprime-Lises des ordres inférieurs des montants et leur support ont été mis en position de la façon indiquée plus haut, un mécanisme d'alignement entre en oeuvre pour aligner ce support et le main tenir dans la position d'impression.
En se référant aux fig. 6, 10, 11 et 12, on peut voir que la plaque 573 possède un pro longement 577 vers le bas, disposé de façon à. pouvoir entrer en prise avec l'une des neuf encoches d'une barre d'alignement 578, les dites encoches correspondant aux neuf posi tions du support mobile des quatre roues imprimeuses des ordres inférieurs;
ces posi tions comprennent la position normale ou de repos de ce support, .dans laquelle les quatre roues imprimeuses sont placées contre les roues imprime-Lises fixes. La barre 578 est fixée à deux bras identiques 579 et 580 (fig. 11), dont chacun est relié de façon ro tative à deux bras conjugués 581 et 582 par l'intermédiaire de moyeux fous sur l'arbre 247.
Un ressort de compression 583, tendu entre chacune des paires formées par les bras 579 et 581, d'une part, et 580 et 582, d'autre part; réalise une liaison souple entre lesdits bras, et maintient Lm ergot d'arrêt 584 porté par chacun des bras 579 et 580, en contact avec une partie surélevée des bras conjugués 581 et 582. Chacun des bras 581 et 582 porte Lui galet 585 et 586; ces galets coopèrent res pectivement avec la périphérie de cames con juguées 587 et 588 (fig. 11, 40A et 40B) fixées sur l'arbre principal 130.
Lorsque la plaque 573 (fig. 6 et 24) a été mise en position sous l'action de la touche 194 enfoncée, ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus, les cames 587 et 588 agissent, selon les temps donnés par la ligne 8 du graphique des temps (fig. 43), pour amener les ouvertures angu laires de la barre 578 correspondant à la po sition de cette plaque 573, en contact avec l'oreille 577, de façon à aligner cette plaque et les quatre roues imprimeuses en position de fonctionnement. Lorsque l'impression a été effectuée, les cames 587 et 588 dégagent la barre d'alignement 578 d'avec L'oreille 577 de la plaque 573.
Une autre barre d'alignement 589 (fig. 6, 10, 11 et 24), fixée aux bras 579 et 580, s'en gage dans les dents d'alignement des couron nes 318 qtii entraînent les roues imprimeuses mobiles 319, quelle que soit leur position, et s'engage, de même, dans les dents des couron nes entraînant les roues imprime-Lises fixes, y compris les roues 425 .des transactions et la roue 463 du coulisseau de contrôle général (fig. 24), de façon à aligner tous ces engre nages en position de fonctionnement.
Un dispositif d'alignement intermédiaire est réalisé pour que le mécanisme différentiel, des touches 194 de sélection des colonnes puisse mettre avec précision le support .des roues imprimeuses mobiles dans la position v otalue, de sorte que la barre d'alignement 578 (fig. 10) ne bute pas sur les oreilles 577 et pour que ce soit l'encoche voulue de cette barre 578 qui entre en contact, avec l'oreille 577, de façon à placer le support mobile des montants dans la position voulue, pendant le fonctionnement du mécanisme d'impression.
Une roue d'alignement 592, fixée sur l'ar bre 552 (fig. 12 et 14), porte une série d'en coches 593 correspondant aux différentes po sitions de support des roues imprime-Lises. Les encoches 593 sont disposées pour recevoir la dent d'un cliquet 594 fou sur un moyeu<B>595</B> porté par la tige 247, et tournant sur cette tige; le moyeu 595 est. filé sur tin bras de came 596. Un ressort<B>597</B> sollicite le cliquet 594 et. le bras 596 en sens inverses, de façon à maintenir normalement en contact. des pro longements clé chacune clé ces pièces, ainsi qu'il est représenté, ledit ressort réalisant une liaison souple entre lesdits bras.
Un autre ressort 598, tendu entre le bras 596 et l'ergot 78, sollicite ce bras et le cliquet 594 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre, (le façon à. maintenir normalement un prolongement 599 du bras 596 en contact avec l'ergot 78, ce qui met le cliquet 594 en position dégagée, représentée par la fier. 14. Le bras 596 présente une surface 600 for mant came, qui coopère avec un ergot 601 porté par la came 257; la surface 600 et. L'er got 601 fonctionnent conformément. aux temps donnés par la ligne 13 du graphique clés temps (fig. 43).
En comparant les lignes<B>3, 8</B> et<B>13 de</B> ce graphique (fig. 43), on peut voir que, lors que le mécanisme différentiel (les touches 194 de sélection des colonnes approche de la. fin de son mouvement, la surface 600, coopérant avec l'ergot 601 (fig. 14), met en prise le cliquet 594 avec l'encoche 593 correspondant. à la position choisie des roues 319 d'impres sion, de façon à aider le mécanisme différen tiel à placer avec précision lesdites roues imprimeuses dans la. colonne voulue.
Lors que les roues imprinieuses ont été ainsi ali gnées, et. avant que le cliquet d'alignement 594 soit dégagé, la barre d'alignement 578 (fig. 11) entre en fonction sous Faetioii clés cames 587 et<B>588</B> pour parfaire l'alignement des roues imprimeuses. <I>Dispositif</I> d'aligïieïïr.-ï@l clés segiïieïi.ts ihte7wi("d@oines.
Un dispositif d'alignement, actionné par ressort et du type à fonctionnement brusque, est réalisé pour aligner les segments intermé diaires y compris les segments 306 des mon tants et le segment 418 des transactions (fig. 23, 25, 40B et 44), ce dispositif fonc tionnant en conjonction avec la barre d'ali- .nement 589 (fh. 11) pour assure)- une mise en position convenable des roues imprimeuses sous l'action des mécanismes différentiels.
Les segments intermédiaires, p compris les segments 306 des montants et le segment 418 des transactions (fig. 25 et 40B), sont supportés et. peuvent. tourner sur Marbre 264, et portent clés encoches d'alignement 609 cor respondant aux différentes positions de ces segments et disposées pour se mettre en prise avec la. dent 610 cFune pièce d'alignement 611 portant des joues rabattues folles sur un axe 612 porté par les flasques 60 et 63.
Un res sort 613, relativement. puissant, est tendu de façon à. solliciter la pièce d'alignement 611 dans le sens des aiguilles d'une montre, sens suivant lequel. se fait l'alignement, mais qui ne .peut normalement tourner ainsi, parce qu'il en est empêché par un prolongement 614 clé la. pièce 611 qui coopère avec un épau lement 630 d'un loquet 615 relié, par l'inter médiaire d'une douille 616 folle sur un axe 617 fixé au flasque 60, à un bras 618.
Un ressort. 619 (fi-. 25), tendu entre un bras de la pièce 617 et le loquet 615. tire ce loquet en prise avec le prolongement 614, et ce loquet a normalement pour effet, ainsi qu'il est re présenté sur la fig. 25, de maintenir la. dent d'alignement. 610 hors de prise d'avec les en coches d'alignement 609.
Un prolongement 620 du bras 618 coopère avec une surface 621, formant came, pratiquée dans la péri- phérie de la. came 493, et cette came 493 porte un ergot. 62'? disposé pour coopérer avec une autre surface 623 d'un prolongement de ce bras 618, de façon à dégager le loquet 615 d'avec le prolongement 614, ainsi que l.'on va l'expliquer.
-Vit bras de la pièce 611 (fig. 25 et 40B) porte un ergot 624 engagé dans une lumière pratiquée dans une extrémité d'une bielle 625 (fig. 25 et 47) dont l'autre extrémité est en forme de fourche et entoure une partie de diamètre réduit du moyeu de la came 493. La bielle 625 (fi-. 47) porte un galet 626 qui coopère avec une gorge formant. came 627, creusée dans la face extérieure d'une came 510 fixée à, l'arbre principal 130; cette came 627 fonctionne de façon à donner à la bielle 625 -un mouvement alternatif.
En se reportant à la fig. 25 et à la ligne 7 de la fig. 43, on peut voir que la came 627 ramène la bielle 625 presque à sa position initiale, à la fin du fonctionnement de la ma chine. Tout au début du fonctionnement de la machine, la rainure-came 627, coopérant avec le galet 626, achève la remise en place de la bielle 625 vers l'arrière (ou vers la gauche, sur la figure), de façon à laisser dans la lu mière beaucoup de jeu vers l'arrière pour l'ergot 624, de sorte que la dent d'alignement 610 pourra s'engager à fond dans les encoches d'alignement 609 lorsque le loquet 615 sera libéré.
La rotation de la came 493 et de la surface 621, pendant le fonctionnement de la machine, éloigne du prolongement 620 une partie inclinée de cette surface, ce q111 laisse au loquet 615 -uni jeu suffisant pour pouvoir se dégager. La rotation de la came 493 se con tinuant, l'ergot 622 vient se placer au-dessous d'une avancée chi bras 618, puis finalement l'amène en contact avec la surface 623, ce qui fait basculer le bras 618 ainsi que le loquet 615 dans 1e sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, s'op posant à l'action dit ressort 619, et dégage l'épaulement 630 de ce loquet d'avec le pro longement 614.
Ceci libère la pièce 611 et la soumet à l'action du ressort 613, qui engage immédiatement la dent. d'alignement 610 dans les encoches 609, de façon à aligner les segments intermédiaires, y compris les seg ments 306 des montants et le segment 418 .des transactions, en position de fonctionnement. Lorsque l'ergot 622 passe au-delà de la sur face 623, le ressort 619 ramène le loquet 615 dans le sens des aiguilles d'une montre, jus qu'à ce que l'épaulement 630 repose, par sa face supérieure, sur la surface inférieure du prolongement 614.
Pendant que la dent 610 (fig. 25) s'en gage dans les encoches d'alignement 609, un doigt 628, fixé à -un bras de la pièce 611, entre en .contact avec un bloc de caoutchouc 629, monté dans un étrier fixé au flasque 60, de façon à amortir l'action brutale de la pièce 611, ].'empêchant ainsi de causer des dom mages aux différentes pièces, et adoucissant le bruit fait.
En .comparant les lignes 7 et. 8 du graphi que (fig. 43), on peut voir que l'ergot 622 libère le loquet 615 (fig. 25) pour que la pièce 611 entre en oeuvre immédiatement après que 'les segments intermédiaires ont été mis en position sous l'action de leur méca nisme différentiel, et juste avant le moment où la barre d'alignement 589 (fig. 11) entre en action.
Lorsque la barre d'alignement 589 est entrée en action, la rainure-came 627 (fig. 47) déplace la bielle 625 vers l'avant, ou vers 1a droite sur la fig. 25, pour que la lumière qu'elle porte, coopérant avec l'ergot 624, fasse basculer la pièce 611 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, en opposition à l'action du ressort 613. La.
pièce 611 se déplaçant dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, la dent 610 se dégage .des encoches 609 et le prolonge ment 614 vient au-delà de l'épaulement 630 du loquet 615, après quoi le ressort 619 peut librement remettre en prise ledit épaulement et ledit prolongement, pour verrouiller la pièce 611 en position dégagée, représentée sur la figure.
De façon à être sûr que le loquet 615 est bien revenu en prise avec le prolongement 614 et reste enclenché ainsi, on a établi une partie inclinée de la sui-face 621 qui, en co opérant avec le prolongement 620, achève la remise en place dans le sens des aiguilles d'une montre (le ce loquet, au cas où le res sort 619 n'aurait. pas réussi à le faire, et verrouille ce loquet. dans la, position initiale, représentée à la fig. 25.
Mécanisme <I>de</I> verrouillage <I>de la</I> machine. La maehine est munie de différents méca nismes de verrouillage pour assurer -un fone- tionnement correct de celle-ci. Ces mécanis mes sont contrôlés par le coulisseau de con trôle général et par différents dispositifs d'interverrouillage entre les touches de sélec tion des colonnes, de transactions et des mon tants.
Lorsque le coulisseau 92 (le contrôle géné ral est dans la position d' Enreaisti,ement représentée par les fia. \' et 26, les touches 193 de Total et de Sous-total , ainsi que les touches 191 de l'ordre le phis élevé, sont verrouillées et ne peuvent être enfoncées. Toutes les autres touches sont, à ce moment, déverrouillées. Lorsque le coulisseau 92 est.
dans la position cl' Enre;-istreuse verrouil lée , le poussoir <B>1.70</B> du moteur et tontes les touches, sauf la touche d' Espacement 195 et la touche 91 de verrouillage de l'embase, sont verrouillées et. ne peuvent être enfoncées. Lorsque le coulisseau 92 est. dans la position Lecture du total , toutes les touches sont verrouillées et ne peuvent. être enfoncées. Toutefois, dans ce cas, le poussoir 170 est dé verrouillé et la machine est automatiquement préparée pour effectuer une opération de lec ture de sous-total, qui peut. être mise en route en appuyant sur ledit poussoir.
Lorsque le coulisseau 92 est dans la posi tion d' Addition et de Remise à zéro , la ma chine est mise automatiquement en état d'ef fectuer des additions, et il n'est nécessaire que d'appuyer sur le poussoir 170 du moteur (fig. 21) pour pouvoir les mettre en route.
De même, lorsque le coulisseau 92 est dans la po sition d' Addition et. de Remise à. zéro , les touches Comptant. , Débit>>, Arrhes , Remboursé et Pas vendu ne peuvent être actionnées, et les touches 191 des montants de l'ordre le plus élevé sont déverrouillées, ainsi que les touches Total et Sous-total . Lorsque le coulisseau 92 est. dans la position d' Addition et<B>(le</B> Remise a zéro , on peut mettre en route une opération de total ou de sous-total en enfon < ant, respectivement,
la touche 193 Total ou Sous-total en même temps que le poussoir 170 du moteur. La ma- nceuvre de la touche Total ou Sous-total verrouille toutes les touches de montants et libère un cliquet d'arrêt auxiliaire des tou ches 191 de sélection des colonnes, de fa@oii à faire imprimer les éléments du total ou du sous-total dans la colonne de gauche ou pre mière colonne de la bande d'enregistrement (fig. 3), que l'une des touches 194 de sélection des colonnes soit enfoncée ou non.
La ma- n#uvre de la touche 193 Pas vendu , lorsque le coulisseau 9-1 est dans la position d' Enre- gistrement , actionne également le cliquet auxiliaire des touches 194 de sélection des colonnes pour faire imprimer les éléments Pas vendu dans la première colonne de la bande d' Enregistrement , qu'une touche de sélection des colonnes soit enfoncée ou non.
Lorsque le coulisseau 92 (fig. ?) est dans la position d' Addition et de Remise à zéro ou clans la position d' Enregistrement , les touches 192 d'impression des numéros de ré férence sont. libérées et. peuvent être enfon cées. Lorsque le coulisseau 92 est dans la po sition d' Enregistreuse verrouillée ou dans la position Lecture du total , les touches d'impression des numéros de référence sont verrouillées.
La manmuvre .de la touche Pas vendu 193 verrouille les touches 190 des montants qui ne peuvent être enfoncées, et la manoeuvre de L'une quelconque de ces touches de montants verrouille à, son tour la touche Pas vendu 193.
Lorsqu'on appuie sur le poussoir 170 dit moteur, le mouvement dans le sens des ai-o@uil- les d'une montre de l'arbre 177 qui en résulte (fia. 15) empêche toutes les touches enfoncées d'être libérées et toutes les autres touches d'être enfoncées, pendant toute la durée du fonctionnement de la machine. Le mouvement clans le sens des aiguilles d'une montre de L'arbre 177 ne peut s'effectuer si une touche est en partie enfoncée.
En se reportant: aux fig. 15,<B>17,</B> 18 et 35. on voit que lorsque le coulisseau 92 est dans la position d' Enregistrement>>, l'arbre 177 île verrouillage des touches est empêché de tourner clans le sens des aiguilles d'une mon tre par une dent 633 d'un cliquet 633 fou sur un ale 631- fixé sur le flasque. Un ressort 635 sollicite le cliquet. 633 dans le sens des aiguil les d'une montre, pour maintenir normale ment la dent 632 en prise avec un prolonge ment 636 d'un bras 637 fixé sur l'arbre 177.
Le cliquet 633 porte un ergot 638 qui co opère avec un prolongement vers le bas 639 d'une plaque 640 de contrôle des transactions, pouvant coulisser sur le support du clavier qui la supporte. Un ressort de compression 641, enroulé autour d'une tige portée par le prolongement 639 et comprimé entre ce pro longement et une partie fixe du support du clavier, sollicite la plaque 640 vers l'arrière, ou vers la droite sur la fig. 18, pour mainte nir normalement les bords avant d'une série d'encoches faites .dans la plaque de contrôle, en contact avec les extrémités inférieures des tiges des touches 194 de sélection des colon nes.
La manoeuvre .de l'une- des touches 194 amène une surface 642 formant came, de ces touches, à déplacer en coopérant avec le bord avant de l'encoche correspondante de la pla que 640; cette plaque vers l'avant, en opposi tion à l'action du ressort 641, de façon à faire basculer la dent 632 du cliquet 633 hors de prise d'avec le prolongement 636, ce qui libère l'arbre 177 .de verrouillage des touches et lui permet. -de tourner dans le sens des aiguilles d'une montre.
Des prolongements 643 de la plaque 640 (fig. 17 et 18) coopèrent avec une surface 644, formant came, que possède chaque touche 193, sauf la touche Comptant et la touche Débit , de sorte que si l'on enfonce l'une des touches 193, à l'exception des touches Comp tant et Débit , la plaque de contrôle 640 est poussée vers l'avant, ce qui libère l'arbre 177 de la manière indiquée ci-dessus.
De ce qui précède, il apparaît évident que, si l'une des touches 193 Débit ou Comp tant est. enfoncée, il est nécessaire d'enfon cer l'une des touches 194 de sélection des co lonnes, pour que l'arbre 177 soit libéré. Mais, si l'une des autres touches 1.93 est enfoncée, l'arbre est libéré sans qu'il soit. nécessaire d'enfoncer une touche de sélection des co lonnes.
La machine fonctionne comme il est indi qué ci-dessus, lorsque le coulisseau 92 de con trôle général (fig. 33) est. dans la position d' Enregistrement . Lorsque ce coulisseau est dans la position Lecture du total ou .dans la position Addition et Remise à zéro , le loquet 633 se trouve en position inactive et, par conséquent, la machine peut être mise en route sans qu'il soit nécessaire d'enfoncer ni une touche 193 de transaction, ni une touche 194 de sélection des colonnes.
Le déplacement du coulisseau 92 hors de la position d' Enregistrement , qui est repré sentée par la fig. 33, amène une lumière 645 formant came, que porte ce coulisseau, à faire basculer (en coopérant avec un téton 646 d'une manivelle 647 fixée à l'extrémité gau che de l'arbre 212) ladite manivelle et ledit arbre .dans le sens des aiguilles d'une montre.
Ce mouvement de l'arbre 212 amène -Lui bras 648 fixé sur cet arbre, en coopérant avec une encoche de l'extrémité antérieure d'une pla que de contrôle 649 des touches de trans- actions (voir les fig. 17 et 18),à déplacer la dite plaque vers l'avant ou vers la gauche. La plaque 649 se déplaçant vers l'avant, une encoche 650 qu'elle porte, coopérant avec une plaque 651 (fig. 17, 18 et 35) fixée au prolongement 639 de la. plaque de .contrôle 640, déplace cette plaque 640 vers l'avant et dégage la dent 632 d'avec le prolongement. 636, de façon à libérer l'arbre 177 qui peut alors tourner dans le sens des aiguilles d'une montre.
Il est donc évident que lorsque le coulis seau 92 se trouve hors de la position d' En- registrement , le loquet 633 est en position inactive et n'empêche pas l'arbre<B>177</B> de tour ner dans le sens susindiqué. Par conséquent, lorsque le coulisseau 92 est dans la position Lecture du total ou dans la position Addition et Remise à zéro , il est possible de faire fonctionner la machine simplement en enfonçant le poussoir 170 du moteur (fig. 15).
Mais, ceci n'est. plus vrai si le cou- lisseau 92 est dans la position d' Enre-istre- ment car, à ce moment, L'ergot 453 (fig. 26) se trouve sur le trajet du prolongement 45-1 et empêche l'arbre 177 de tourner dans le sens des aiguilles d'une montre.
Verrouillage <I>des touches</I> pendant <I>le</I> foneiionneme@zt <I>de la</I> machine. Lorsque le poussoir 170 du moteur est en foncé, le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 177 (fig. 15, 1.8 et.
36) amène une surface 653, formant came, <B>dit</B> bras 637, coopérant avec un ergot 654 fixé sur le bras droit d'un étrier 655 Toit sur un arbre 656 tourillonnant sur les flasques 60 et 61, à faire basculer cet étrier 655 dans le sens des aiguilles d'une montre, en opposition à l'action d'trn ressort 7630 (fig. 27).
L'étrier 655 tournant clans le sens indiqué, un prolon gement. 657 de cet. étrier vient se placer clans une ouverture 658 d'une pièce de détente<B>659</B> des touches 194 de sélection des colonnes (cette pièce de détente étant identique sous tous rap ports à la pièce de détente 206 [fin. 27] des tou- ehes 190 des montants), qui porte une ouver ture 660 identique à l'ouverture 658 et dis posée pour recevoir l'un des prolongements 657 lorsque l'étrier bascule de la façon qui vient d'être indiquée.
Chacune des rangées de touches 190 et 191 des montants, la. rangée de touches<B>193</B> des transactions et chacune des rangées (le touches 1112 des numéros de référence, @@ossèdent une piére de détente identique à la pièce '_'06, avant des ouvertures identiques aux ouvertures 658 et disposée,, pour recevoir les prolongements <B>657</B> de l'étrier 6<B>5</B>5, de façon identique à.
celle qui a été indiquée au sujet des touches 194 de sélection des colonnes. Le prolon gement 657 (fig. 36) entrant dans l'ouverture 658 verrouille la pièce 659 et. l'empêche de glisser, ce (lui empêche la touche 19-1 enfoncée d'être libérée et empêche toutes Les autres touches 194 d'être enfoncées.
Si l'on enfonce partiellement une touche 194, la pièce<B>659</B> se déplace vers l'avant. et. les ouvertures 658 ne sont. plus en face des pro longements<B>657,</B> (le sorte que cette pièce 659 empêche tout mouvement. dans le sens des aiguilles d'une montre, de l'étrier<B>655</B> (lui, par l'intermédiaire du téton 654 et (le la came 653, empêche tout mouvement dans ledit sens du bras 637 et de l'arbre 177, c e qui empê che la machine de pouvoir fonctionner si une touche est partiellement enfoncée.
Lorsque l'arbre 177 est en position de re pos, représentée par les fig. 18 et 36, une partie 661, en forme de crochet, du bras 637 vient accrocher Je téton 654, de façon à eni- pécher tout mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'étrier 655 et, par suite, à retenir les prolongements 657 au-des sous de la.
pièce 659, de sorte que cette pièce de détente soit libre de se déplacer si l'on en fonce une touche. JTccn,7zïsiii.c dc libératiop, <I>des touches.</I> Un mécanisme déplace automatiquement les pièces de détente de toutes les rangées de touches vers l'avant, vers la fin du fonction nement de la machine, de façon à libérer toutes les touches qui avaient été enfoncées. Un dispositif manuel. peut. aussi actionner le mécanisme de libération des touches, de facon 1j pouvoir libérer les touches lorsque la ma- ehine est an repos.
En se référant aux fig. 27 et. 35, on. voit que la détente 659 de la, rangée de touches 194 de sélection (les colonnes porte un pro longement 66?, dirigé vers l'arrière, qui co opère avec une tête arrondie<B>663</B> d'un bras 66-1 fou sur l'arbre 177 (1e verrouillage des toti- elies. Le bras 664 présente une encoche qui vient enfourcher une partie réduite de la.
partie centrale d'un étrier 665, dont les par ties latérales tournent librement sur l'arbre 177. L'extrémité supérieure de la. pièce de dé tente '?06 (Ti,-. \?7) de la rangée des dixièmes (décimes ou dix cents par exemple), repré sentée à la. fig. '?7, coopère avec l'extrémité arrondie ('tut bras 666 identique au bras 664 et. présentant une partie encochée qui enfour che la partie centrale (le l'étrier 665 de la même façon cl-Lie le bras 664.
La. détente de la rangée de touches 193 de transactions et la détente de chaque rangée de touches 19\? des numéros de référence coopèrent avec leurs bras correspondants, similaires en tous points au bras 666 et. qui portent une partie enco chée enfourchant. la partie centrale de l'étrier 665 de la même Tacon que le bras 666.
En se reportant à la fig. 15 et à. la. ligne 13 du graphique des temps (fiu. 43), on peut voir que le mécanisme représenté par la 15 ramène l'arbre 177 beaucoup plus loin dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre que sa position normale ou de repos, et ce mouvement supplémentaire est utilisé pour actionner le mécanisme de libé ration ,des touches et pour faire en sorte que le cliquet 171 soit bien ramené assez loin.
L'arbre 177 revenant dans le sens susindiqué (fig. 36), le prolongement 667 du bras 637 fait basculer (en coopérant avec une partie réduite du centre de l'étrier 665) ledit étrier dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre.
L'étrier 665 basculant dans ce sens, les bras 664 et 666 (fig. 27 et 35) tour nent avec lui et viennent porter leurs extré mités arrondies au contact de l'extrémité pos térieure des pièces de détente 659 et 206, de façon à déplacer ces détentes vers l'avant et à dégager les encoches qu'elles portent d'avec les épaulements 208 des touches enfoncées, de façon à permettre aux différents ressorts 205 de ramener .ces touches vers le haut à leur position normale.
Lorsque l'arbre 177 a été ramené de la position où il avait dépassé sa position de re pos à cette position de repos (qui est déter minée par la surface 165 [fig. 15] du prolon gement vers le haut du levier 163 d'enclen chement, arrivant en contact avec l'oreille ra battue 166 de la plaque 167 du poussoir du moteur), les bras 664 et 666 sont ramenés dans le sens des aiguilles d'une montre, à leur position normale, représentée par les fig. 27 et 35, ce qui permet aux pièces de dé tente 659 et 206 d'être ramenées par leurs ressorts à leurs positions normales.
Le levier 196 de libération des touches (fig. 2, 15 et 35) qui dépasse du clavier en passant dans une ouverture de la plaque 204, permet d'actionner manuellement le méca nisme de libération des touches. Le levier 196 porte un axe 668 qui tourne dans lin étrier porté par la plaque 204 du clavier. Ce levier 196 est relié par une bielle 669 à un bras 670 fixé à l'arbre 656. Un ressort 671 sollicite le levier 196 dans le sens des aiguilles d'une montre et l'arbre 656 dans le sens inverse, de façon à maintenir normalement ces pièces dans la position de repos représentée.
Si l'on manceuvre le levier 196 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre, en antagonisme à l'action du ressort 671, l'arbre 656 bascule dans le sens des aiguilles d'une montre, et le doigt 672 fixé sur cet arbre entre en contact avec un ergot 673 du bras 664 et fait basculer ce bras, ce qui, par l'intermédiaire de l'étrier 665, fait. basculer le bras 666 et tous les bras similaires dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre et fait avancer les pièces de détente de toutes les touches, y compris les détentes 659 et 206, et libère les touches qui avaient été enfoncées.
Lorsqu'on lâche le levier 196, après que les touches ont été libérées, le ressort 671 ra mène ledit levier et les pièces qui lui sont. reliées à leurs positions normales représen tées par la fig. 35. Le levier 196 est muni de rebords qui bouchent effectivement l'ouver ture de la plaque 204 (fig. 15) dans laquelle passe ce levier, de façon à éviter toute dété rioration dit mécanisme de la machine, qui pourrait être faite en passant par cette ou verture.
Lorsque le bras 670 (fig. 15) bascule dans le sens des aiguilles d'une montre, sous l'ac tion du levier 196, pour libérer manuellement les touches, un ergot 674 porté par ledit bras vient se mettre sur le trajet d'une surface arquée 675 d'un prolongement du bras 176 et empêche tout mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de l'arbre 177 et, par conséquent, empêche le fonctionnement de la machine pendant que les touches sont libérées.
Le mouvement dans le sens ci-dessus de l'ar bre 177 et du bras 176 amène l'ergot 671 dans une encoche 676 de ce bras, ce qui blo que le bras 670 et l'arbre 656, de sorte qua le levier de libération des touches ne peut être manoeuvré par inadvertance pendant le fonctionnement de la machine.
Jlécanisme <I>de</I> libératior2, <I>des</I> cliquets <I>de zéro.</I> En se référant aux fig. 7, 27 et 32, on se rappellera que l'extrémité antérieure de la plaque de contrôle 207 de la rangée des dixièmes (dix cents par exemple) des mon tants entre en contact avec un prolongement vers le haut, du cliquet 211 d'arrêt de zéro et fait. basculer ce cliquet dans le sens anti- horaire jusqu'à sa position de repos, lors qu'une touche des montants est enfoncée.
Chacun des cliquets 211 des rangées de touches de montants porte une saillie<B>678</B> (fig. 7 et 32) qui coopère avec le bord supé rieur (le la partie centrale d'un étrier 679, dont les bras tournent librement sur l'arbre 212. Un prolongement 680 de l'un des bras de l'étrier 679 est. articulé sur l'extrémité antérieure d'une bielle 689, dont l'extrémité postérieure porte unie lumière 690 dans la quelle s'engage uni ergot 691 du bras 370 (fig. 30 et. 32).
En se reportant à la fig. 30, on se rappel lera que la surface active du segment 386 se trouve en face de L'ergot 384 lorsque l'on effectue un total. ou un sous-total. Par consé quent, le mouvement. < fans le sens des aiguil les d'une montre des leviers 376 et 373, sous l'action (les cames 380 et 381_ (fig. 31), fait basculer le levier 371 dans le sens inverse de ce lui des aiguilles d'une montre, autour de l'ergot 384 formant pivot, ce qui déplace la bielle 369 vers l'arrière et.
amène ainsi les roues du to- taliseur en prise avec les segments 232 des montants, avant que ces segments ne se met tent en mouvement, ainsi qu'il. a été expliqué précédemment.
Le mouvement vers l'arrière de la bielle 369 fait basculer le bras 370 dans 1c sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, ce qui déplace la bielle 689 égale ment vers l'arrière, laquelle à. son tour fait basculer dans le même sens l'étrier 679 (fig. 7 et. 32) et les cliquets 211 d'arrêt de zéro des rangées de touches des montants.
Les cliquets d'arrêt 211 tournant dans le sens inverse de celui (les aiguilles d'uine montre dégagent leur (lent. d'avec les prolongements <B><U>915</U></B> (fig. 7) (les coulisseaux 216, de façon à, libérer ces eoiilisseaux, qui peuvent alors se déplacer vers l'arrière sous l'action des mé canismes différentiels des montants, de .sorte que ces coulisseaux peuvent être mis en posi tion par les roues du totaliseur, ainsi qu'il a été expliqué précédemment.
Lorsque les serments d'entraînement des montants ont été mis en position par les roues du totaliseur, le mécanisme représenté par les fig. 30 et 32 ramène l'étrier 679 et les cliquets 211 à leur position normale, de sorte que ces cliquets agiront lorsque les coulisseaux 216 (fig. 7) seront ramenés à leur position de repos.
Il est rappelé que le mécanisme repré senté par la fit;. 30 fait basculer le bras 370 dans le sens des aiguilles d'une montre au- delà de sa position \normale, lors des opéra tions d'addition et de lecture des totaux inter médiaires; c'est pourquoi la lumière 690 laisse du jeu tj. L'ergot 691, de façon que le mouve ment (lu bras 370 ne soit plus transmis à l'étrier 679. Interverrouiltage <I>entre le</I> coutîsseau <I>de</I> <I>contrôle</I> général <I>et les</I> touches <I>des montants.</I>
Un mécanisme de verrouillage entre le coulisseau 92 de contrôle général. et les ran gées de touches des montants (fig. 26 et 27) empêche ce coulisseau d'être manaeuvré hors (le la position d' Enregistremeirt: ou de la position d' !lddition et de Remise à zéro , lorsque ].'une des touches de montants est en foncée et, réciproquement, empêche que l'on enfonce une touche des montants, lorsque le coulisseau de contrôle général. se trouve soit dans la position d' Enregistreuse verrouil lée , soit dans la position de Lecture d'un total .
L'extrémité antérieure de la plaque 207 de contrôle de la. rangée (les dixièmes (fig. 26, 27 et 34) se trouve au-dessous clic bec 6..92 (l'un segment 693 fou sur L'arbre 212. Le seg ment 693 porte un ergot 694 qui vient se placer au-dessus d'un prolongement 695 du cliquet d'arrêt 211, ce qui fait que le ressort 213 sollicite ledit segment dans le sens des ai.builles d'une montre en. même temps que le cliquet 211, et. maintient normalement ledit. segment en contact avec la plaque de eon- trôle 207.
Si l'on enfonce L'une des touches 190, ceci déplace la plaque 207 vers L'avant et fait basculer le segment 693 dans le sens inverse (le celui des aiguilles d'une. montre, de faon à amener une surface 696 (incurvée vers l'extérieur) de ce cliquet en dessous d'un re bord 697 de la partie centrale d'iui étrier 698, dont les bras peuvent tourner sur un axe 1203 supporté par les deux vis inférieures 203. Un ressort 699 (fig. 25 et 26) sollicite l'étrier 698 dans le sens des aiguilles d'une montre, ainsi qu'on peut le voir sur la fig. 26, de faon à maintenir normalement un ergot 700, porté par cet étrier, en contact avec une surface 701, formant came, du bord supé rieur du coulisseau 92.
Lorsque le coulisseau 92 se trouve dans la position d' Enregistrement , représentée sur la fig. 26, ou lorsque ce coulisseau se trouve dans la position d' Addition et Remise à zéro , l'ergot 700 trouve en face de lui une partie basse de la surface 701.
Par suite, le ressort 699 retient l'étrier 698 dans sa posi tion extrême dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 26), de sorte que le rebord 697 se trouve au-dessus de la surface 696, et que rien n'empêche que l'on enfonce les touches de montants, puisque ladite surface 696 peut se déplacer librement en dessous dudit re bord.
Lorsque l'on enfonce une touche, le mouvement de la surface 696 en dessous du rebord 697 empêche tout mouvement dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre de l'étrier 698 et, par l'intermédiaire de l'ergot 700 coopérant avec la surface-came 701, empêche les déplacements du coulisseau 92 hors de la position d' Enregistrement ou de la position d' Addition et Remise à zéro .
Lorsque l'on déplace le coulisseau 92 de la position d' Enregistrement ou de la posi tion d' Addition et de Remise à zéro à l'une ou l'autre des positions d' Enregistrement verrouillé ou de Lecture du total (fig. 26, 27 et 34), la surface 701 coopérant avec l'ergot 700 fait basculer l'étrier 698 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une mon tre, en opposition à l'action du ressort 699,
ce qui amène le rebord 697 sur le trajet de la surface incurvée 696 du segment 693 .et blo que les mouvements dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre de ce seg- ment et, par conséquent, empêche que l'on puisse enfoncer une touche de montants.
La liaison qu'effectuent, entre le segment 693 et le cliquet 211 d'arrêt au zéro, l'ergot 694 et la saillie 695 (fig. 27) permet au cli- quet de basculer indépendamment du seg ment, sous l'action de l'étrier 679, lors de l'impression d'un total ou d'in sous-total, ainsi qu'il a été expliqué plus haut. Il existe pour chaque rangée de touches des montants, <B>y</B> compris la rangée des touches 191 des cen taines (fig. 2), im segment identique au seg ment 693 et fonctionnant exactement de la même façon.
Ainsi qu'il a été indiqué précédemment la rangée des touches 193 de transactions (fig. 10) et la rangée des touches 194 de sé lection des colonnes (fig. 12) ont .chacune une pièce de détente et une plaque de con trôle identiques sous tous rapports à la dé tente 206 et à la plaque de contrôle 207 de la rangée de touches des montants (fig. 27), et fonctionnent exactement de la même ma nière, lesdites pièces de détente et plaques de contrôle étant disposées pour faire basculer leurs cliquets de zéro respectifs 404 et 702 jusqu'à leur position de repos,
lorsqu'une touche quelconque de l'une .de ces rangées est enfoncée.
Lorsque le coulisseau 92 se trouve soit dans la position d' Enregistrement repré sentée par la fig. 26, soit dans la position d' Addition et Remise à zéro , la manoeuvre de l'une des touches 193 de transactions, ou de l'une -des touches 194 de sélection des co lonnes, fait, basculer le cliquet de zéro 404 ou 702 dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, pour amener une surface incurvée vers l'extérieur, et similaire à la surface 696 (fig. 27), en dessous du rebord 697,
de façon à arrêter le mouvement .du cou- lisseau 92. -vrais un autre mécanisme de ver rouillage, qui va être décrit, empêche que l'on puisse enfoncer la touche Total ou la touche Sous-total (fig. 2 et 10), lorsque le coulisseau 92 est dans la position d' Enregis- trement , et empêche que l'on puisse enfoncer l'une quelconque des autres touches 193 de transactions, lorsque ce coulisseau 92 se trouve dans la position d' addition et Remise zéro .
Chacune des rangées (le touches 192 (fig. 2) d'impression des numéros de réfé rence possède un cliquet de zéro identique en tous points au cliquet -104 de la rangée des touches de transactions, ces cliquets ayant des surfaces incurvées qui viennent se placer au-dessous du rebord 697 de ]'étrier 698, lors que l'on enfonce l'une (les touches de nu méros de référence, de faon à bloquer les mouvements du coulisseau 92 (fig. 26)
hors de la position d' Enreg-istremen.t ou de la position d' Addition et Remise à. zéro . Lorsque le coulisseau 92 de contrôle général est dans l'une des positions d' Enregistreuse verrouillée ou clé Lecture du total , le re bord 697 empêche le mouvement des cliquets d'arrêt de zéro des touches 192 de numéros (le référence, ce qui.
empêche que ].'on puisse enfoncer l'une de ces touches lorsque le cou- lisseau est clans ].'une on l'autre desdites po sitions. Interrerroicillage !titre certaines touches <I>de</I> transactions <I>et les touches de montants.</I>
Un dispositif contrôlé par les touches 193 Total , Sous-total et. Pas vendu (fig. 10 et 34) verrouille les touches des montants lorsqu'on enfonce l'une desdites touches, quelle que soit la position du coulisseau 92 et, réciproquement, ce mécanisme verrouille les touches Total , Sous-total et Pas vendu qui ne peuvent plus être enfoncées lorsqu'une touche (le montant l'est.
Les touches 193 Total , Sous-total et Pas vendu possèdent respectivement une surface (le came 703, 704 et 705 (fi-. 34), qui coopère avec des lainières eorrespondant.es clé la plaque 706 de contrôle, qui peut coulisser sur le support du clavier par lequel elle est supportée. Un prolongement replié vers le haut, de la plaque 706, présente une lumière dans laquelle s'engage un ergot. 707 d'une manivelle 708 faisant, partie intégrante d'un moyeu 709 fixé sur ]'arbre 1203.
Une came 710 et un cliquet 711 font aussi partie inté- 'Tante (lu moyen 709, ledit, cliquet ayant un bec qui coopère avec une saillie 712 dirigée vers le haut., du bras droit d'un étrier 713 fou sur l'arbre 212. Le bord antérieur de la partie centrale de l'étrier 713 coopère avec un prolongement 714, formant. crochet, du seg ment 693, et un ressort. 715 sollicite l'étrier 713 dans le sens des aiguilles d'une montre, de faon à maintenir normalement le segment. 693 en contact avec le bord antérieur de la plaque 207 de la rangée de touches des dixièmes, par l'intermédiaire clés pièces ci- dessus.
Si ].'on enfonce l'une des touches 193 To tal , Sous-total ou Pas vendu , l'une des surfaces correspondantes 703, 704 on 705 for mant. came et coopérant avec la lumière cor respondante de la. plaque de contrôle 706 dé place cette plaque vers l'arrière, et celle-ci, par l'intermédiaire de l'ergot 707 et de la manivelle 708, fait basculer le moyeu 709, la came 710, le cliquet 711 et l'arbre 1203, dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre.
Ce mouvement du cliquet 711 amène l'extrémité inférieure de celui-ci sur le trajet de la saillie 712, ce qui arrête tout. mouv e- ment dans le susdit. sens clé l'étrier 713. Cet arrêt du mouvement. de l'étrier 713 empêche, par l'intermédiaire .du segment 693, tout mou vement vers l'avant (le la plaque de contrôle 207 et verrouille, par conséquent., les touches 190 de la rangée des dixièmes des montants, qui lie peuvent plus être enfoncées.
Réciproquement, si l'on enfonce une tou- elie <B>1.90</B> des montants de la. rangée des dixièmes (fig. 27 et 34), .cette touche déplace la plaque 207 vers l'avant et fait basculer le segment 693 et l'étrier 713 dans le sens in verse de celui des aiguilles d'une montre, de facon à, amener le prolongement 712 sur le trajet du cliquet 711 et à bloquer ainsi ce cliquet dans ledit sens.
Ce blocage du cliquet 711 dans ce sens empêche, par ].'intermédiaire du moyeu 709 et de la manivelle 708, tout mouvement vers l'arrière de la plaque de con trôle 706, et, par suite, empêche les touches Total , Sous-total et Pas vendu de se laisser enfoncer.
Ce qui a été dit ci-dessus au sujet de l'interverroiûllage entre la rangée de touches <B>1,90</B> des dixièmes et les touches Total , Soïis-total et Pas vendu s'applique égale ment aux autres rangées de touches des mon tants, y compris la rangée de touches<B>1.91</B> des centaines, car chacune de ces rangées pos sède- un segment identique au segment 693, qui coopère avec l'étrier 713 de la même façon que ledit segment, pour arriver au même but.
En plus du cliquet<B>7</B>11 (fig. 34), il existe deux autres cliquets identiques (non repré- sentés),-fixés sur l'arbre 1203, et qui co opèrent avec des saillies correspondantes (non représentées) de l'étrier 713, identiques aux saillies 712, pour surmonter les difficultés que pourrait. créer l'étrier 713 en faisant res sort.
Lorsque l'une quelconque des touches Total , Sous-total ou Pas vendu est en foncée, le mouvement dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre de la came 710 (fig. 12 et 34) .amène une surface de cette came à coopérer avec un ergot 716 d'un cliquet auxiliaire 717 de la rangée de touches 194 de sélection des .colonnes, ledit cliquet étant fou sur l'arbre 212, pour faire basculer ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre en opposition à l'action d'un ressort de torsion 718, ce qui amène une dent de ce cliquet sur le trajet d'une oreille<B>719</B> (fig. 12)
du coulisseau 523 de la rangée de touches de sélection des colonnes, cette oreille coopérant aussi avec le cliquet d'arrêt 702 que possède cette rangée. Ceci bloque le mouvement vers l'arrière du coulisseau 523 pendant le fonc tionnement de la machine et, par suite, ce coulisseau et le mécanisme différentiel des touches de sélection .des colonnes sont placés dans la position N 1, de façon à mettre les roues. imprimeuses mobiles 319 du support.
573 (fig. 24) dans la position N 1, afin que les, éléments ,correspondant aux touches To tal , Sous-total et Pas "vendu soient impri més. dans la première colonne de la feuille d'enregistrement représentée à la fig. 3:
En se référant aux fig. 7, 10, 12 et 26, on se rappellera que le bord 697 de l'étrier 698, coopérant avec les segments 693 des ran gées de touches des montants, les .cliquets d'arrêt 702 des rangées de touches de sélec tion des colonnes, les cliques d'arrêt 404 des rangées de touches des transactions et les cli- quets clé zéro des quatre rangées de touches d'impression des numéros de référence, ver rouille toutes ces touches en position élevée lorsque le coulisseau 92 est dans l'une des positions d' Enreoistreuse verrouillée ou de Lecture du total et déverrouille ces mêmes touches, qui peuvent alors être enfoncées,
lorsque le coulisseau 92 est dans l'une des positions d' Enregistrement ou d' Addition et Remise à zéro .
Il est préférable que l a rangée de touches 191 de l'ordre le plus élevé soient verrouil lées en position élevée lorsque le coulisseau 92 est dans la position d' hnr egistrement et que ces touches soient. déverrouillées lorsque le coulisseau se trouve dans la position d' Ad- dition et Remise à zéro . Il est. de même dé sirable due les touches 193 de Total et de Sous-total soient verrouillées en position élevée lorsque le coulisseau 92 est dans la po sition d' Enregistrement et que toutes les autres touches 193 de transactions soient dé verrouillées à ce moment.
Lorsque 'le coulis- seau 92 (fig. 33 et 34) est dans la position Enregistrement , représentée sur les figures, la plaque de contrôle 649 de la rangée de touches de transactions se trouve dans la po sition représentée, dans laquelle la face su périeure de cette plaque voisine des lumières que présente la plaque se trouve en face des prolongements 720 des touches de To tal et de Sous-total , de façon à empêcher que l'on puisse enfoncer ces touches.
Dans ces conditions, les touches 193 de transactions Coinptaxit , Débit , Arrhes et Rem boursé sont déverrouillées et peuvent être enfoncées.
Si l'on déplace le coulisseau 92 hors de la position d' Enregistrement (fig. 33), l'arbre 212 et le bras 648 basculent dans le sens in verse de celui des aiguilles d'une. montre et déplacent la plaque de contrôle 649 vers l'avant, de façon que les parties des encoches formant dégagement viennent se placer en face des prolongements 720 des touches To tal et Sous-total , afin que ces touches puissent être enfoncées.
Ce mouvement vers l'avant de la plaque 6-I9 amène les bords des lumières de la plaque dans des encoches 72'_' que présentent toutes les touches 193 autres que les deux touches ci-dessus, ce qui ver rouille ces touches et empêche qu'on puisse les enfoncer lorsque le coulisseau 92 se trouve hors (le la position d' Enregisti-enient .
En se référant aux fig. 12 et 26, on rap pellera que, lorsque le coulisseau 92 se trouve dans la position d' Enregistreuse verrouillée ou dans la position de Lecture du total , le rebord 697 de l'étrier 698 empêche que l'on puisse enfoncer aucune touche, @- compris la. touche Total et la touche Sous-total . Lorsque le coulisseau 92 est. dans la position d' Adclition et Remise à- zéro , l'étrier 698 ne gêne plus l'enfoncement des touches. Il est donc évident que, lorsque le coulisseau 92 est.
dans cette position, on peut enfoncer les touches Total et Sous-total .
Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, il est désirable que les touches 191 de l'ordre le plus élevé (fig. 2 et 33) ne puissent être en foncées que lorsque la caisse est utilisée comme machine à additionner, c'est-à-dire lorsque le coulisseau 92 est dans la position d' Addition et Remise à zéro . Pour ce faire, lorsque le coulisseau est dans la position d' Enregistrement , représentée par la. figure, une plaque (le contrôle 723 présente des lu mières dont.
les bords, coopérant avec des saillies 724 de ces touches 1.91, empêchent celles-ci de pouvoir être enfoncées. Lorsque l'on déplace le coulisseau 92 hors de la posi tion d' Enregistrernent . l'arbre 212 tourne clans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, ce qui fait, qu'un bras 725, fixé sur cet arbre et coopérant, avec les parties en cochées de la plaque 723, déplace la plaque vers l'avant.
et amène ainsi les lumières de cette plaque en face des saillies 721-, de sorte que l'on peut enfoncer les touches<B>191.</B> Comme dans le cas des autres touches, l'étrier 698 (fig. 12 et 26) verrouille la rangée de touches 191 de l'ordre le plus élevé, en posi tion élevée, lorsque le coulisseau 92 est dans l'une des positions Enregistreuse verrouillée ou Lecture du total . Par suite, on ne peut enfoncer ces touches que lorsque le coulisseau 92 se trouve dans la position d' Addition et Remise à zéro ,
position clans laquelle l'étrier 698 n'agit pas.