CH271416A - Machine de comptabilité. - Google Patents

Machine de comptabilité.

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CH271416A
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Description


      Machine    de comptabilité.    L'invention a pour objet une machine de  comptabilité dans laquelle une phase de tra  vail unique a lieu pour chacune des opéra  tions et qui comprend un     totaliseur    et un dis  positif     d'actionnement    du totaliseur, caracté  risée par des dispositifs produisant plusieurs  mouvements complets     d'engagement.    et de dé  gagement du     totaliseur    par rapport audit  dispositif     d'actionnein.ent    an cours de chaque  phase de travail, par des dispositifs     d'action-          nement    de ces dispositifs d'engagement et de  dégagement,

   par des dispositifs de manipula  tion permettant de contrôler et de diriger le  genre d'opération due la machine doit effectuer  et par des dispositifs     d'aecouplement    normale  ment inactifs, susceptibles d'être mis en action,  de     fae#on    à.     accoupler    les dispositifs d'enga  gement et. de dégagement. à leurs dispositifs       d'actionnement        respectifs    pour les différentes  opérations de la machine, sous le contrôle des  dispositifs de manipulation, pour mettre le  totaliseur en     engagement    avec son dispositif       d'actionnement    ou pour le dégager de ce  lui-ci au moment requis suivant le genre dé  siré d'opération de la. machine.

      Le     dessin    annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1     est    une vue en perspective com  plète de la machine.  



  La     fig.    2 est une     vite    du clavier de cette  machine.    La     fig.    3 est un fac-similé d'une portion  d'une bande servant à l'impression en plu  sieurs colonnes, telle qu'elle est utilisée dans  cette machine, et qui montre la manière d'uti  liser la machine comme machine de commerce  ou caisse enregistreuse.  



  La     fig.        -1    est. lin     fae-similé    d'une autre  portion de la. bande servant à. l'impression et  montrant la manière d'utiliser la machine  pour le débit de     différentes    transactions et  pour en obtenir les montants totaux.  



  La fi-.     :5    est lui fac-similé d'une autre  portion de la bande servant à l'impression et  montrant la     manière    d'utiliser la machine  comme machine à additionner pour obtenir  le grand total de différents totaux.  



  La fi-. 6 est. une coupe prise     immédiate-          ment.    à. droite de la rangée des touches des  dixièmes de l'unité considérée (décimes     fran-          @ais    ou dix cents américains, par exemple),       montrant    lesdites touches, un mécanisme  différentiel qui leur est associé et des méca  nismes des indicateurs, d'impression et du     to-,          taliseur    actionnés par ledit mécanisme diffé  rentiel.  



  La     fig.    7 est une vue détaillée d'un     mé-          eanisine    différentiel de la rangée des dixièmes.  La     fig.    8 est une vue détaillée d'un. méca  nisme du verrou différentiel de la rangée des  dixièmes.  



  La. fi,,. 9 est. lune     vite    détaillée d'un méca  nisme de report des dizaines pour la. rangée  (les dixièmes.      La     fig.    10 est une coupe de la machine,       prise    immédiatement à droite de la rangée de  touches de transactions et montrant cette  rangée de touches et le mécanisme différen  tiel qui lui est associé.  



  La     fig.    11 est une vue détaillée     d'in    mé  canisme d'alignement des roues d'impression,  y compris .les roues     imprimeuses    mobiles  d'une colonne à l'autre.  



  La     fig.    12 est une ,coupe de la machine  prise immédiatement à droite de la rangée de  touches de sélection des colonnes et montrant  cette rangée et le mécanisme différentiel qui  lui est associé.  



  La     fig.    13 est     une    vue détaillée d'une par  tie d'un     mécanisme    différentiel des touches  de sélection des colonnes.  



  La     fig.    14 est     une    vue détaillée d'un mé  canisme     d'alignement    du mécanisme de sélec  tion des colonnes.  



  La     fig.    15 est une élévation latérale de la  machine, montrant, en particulier, un méca  nisme d'arrêt de la marche de la machine.  



  La     fig.    16 est une     voie    détaillée d'un mé  canisme qui met le mécanisme .de la machine  à la position de repos ou position normale.  



  La     fig.    17 est une vue détaillée en plan de  plaques de contrôle de la rangée de touches  des     transactions    et de la rangée de touches  de sélection des     colonnes.     



  La     fig.    18 est une     vue    latérale des plaques  de contrôle représentées par la     fig.    17, mon  trant comment ces plaques contrôlent la mise  en route de la machine.  



  La     fig.    19 est une     vile    détaillée     d'une     partie d'un mécanisme     d'entraînement    des  roues du totaliseur par les segments d'entraî  nement des montants.  



  La     fig.    20 est     une    vue détaillée     d'in    mé  canisme à came actionnant les pièces d'aligne  ment des roues du totaliseur.  



  La     fig.    21 est une vue de détail     d'un    dis  positif d'alignement des roues du totaliseur.  La     fig.    22 est une vue partielle en plan  de     l'ensemble    du totaliseur.  



  La     fig.    23 est une élévation, vue du côté  gauche, d'un mécanisme .du compteur spécial.         La.fig.    24     est    une vue en plan d'une par  tie de la machine, montrant, en particulier,  le totaliseur et l'un des mécanismes différen  tiels qui lui sont associés, les roues     imprimeu-          ses    et une partie du mécanisme de mise en  position des roues     impriineuses    des colonnes.  



  La     fig.    25 est une élévation, vue du côté  gauche, d'un coulisseau qui contrôle le fonc  tionnement de la machine, et d'une partie       d'iui    mécanisme qui lui est associé.  



  La     fig.    26 est une élévation, vue du côté  droit,     d'un    coulisseau de contrôle et du méca  nisme associé.  



  La     fig.    27 est une coupe de la rangée de  touches des montants, représentée par la     fig.    6.  La     fig.    28 est     suie    coupe, à plus grande  échelle, de     l'une    des touches de montants, de  la plaque de détente et de la plaque de con  trôle associées.  



  La     fig.    29 est     une        vue,    en plan, de la pla  que de contrôle de la     fig.    28.  



  La fi-. 30 est une élévation, vue du côté  droit, d'un mécanisme qui commande la mise  en prise et hors de prise du totaliseur, et du  mécanisme qui donne les mouvements provo  quant cette mise en prise ou hors de prise.  



  La     fig.    31 est une vue de détail .d'un mé  canisme à came et levier qui commande la  mise en prise et hors de prise du totaliseur.  



  La     fig.    32 est une vue de détail d'un mé  canisme<B>qui</B> libère les     cliquets    de zéro lors  des opérations .de lecture et de remise à zéro.  



  La     fig.    33 est     suie    vue en perspective d'un  mécanisme actionné par le coulisseau de con  trôle général pour contrôler la position des  touches de la rangée des centaines, par exem  ple des     -centaines    de francs ou de dollars, des  touches de montants et de certaines touches  de la rangée des transactions.  



  La     fig.    34 est une vue en perspective,  montrant le mécanisme actionné par certaines       touches    de transactions pour contrôler le mé  canisme de sélection des colonnes, et le méca  nisme     interverrouillant    certaines touches de  transactions et les touches des montants.  



  La     fig.    35 est une vue détaillée     d'iin    mé  canisme contrôlé par les rangées de touches  de sélection des colonnes et des transactions      pour libérer l'arbre de verrouillage des tou  ches.  



  La     fig.    36 est. une vue détaillée d'un levier  de libération manuelle des touches.  



  La     fig.    37 est une élévation, vue du côté  droit, d'un mécanisme de libération  < lu     tiroir-          caisse    et du mécanisme actionné à la main  pour déverrouiller la machine     proprement     dite d'avec le tiroir-caisse.  



  La fia. 38 est une vue détaillée d'une  partie d'un mécanisme (lui     déverrouille    la  machine proprement, dite d'avec le     tiroir-          caisse.     



  La     fig.    39 est une vue détaillée d'un  verrou qui maintient le tiroir-caisse en posi  tion fermée.  



  Les     fig.    40A et. 40B réunies constituent  une vue arrière de la machine montrant, en  particulier, l'arbre à cames principal et le mé  canisme de l'indicateur.  



  La     fig.    41 est. une élévation, vue du côté  gauche, (le l'un des indicateurs des montants  et du mécanisme     d'alignement    associé.  



  La     fig.    42 est une vue détaillée d'un mé  canisme à came qui actionne le mécanisme de  l'indicateur représenté à la     fig.    41.  



  La     fig.    43 est un graphique des temps de  fonctionnement des différentes cames de la  machine.  



  La     fig.    44 est une élévation, vue du côté  gauche, d'un mécanisme contrôlé par la ran  gée de touches (les montants représentée à la       fig.    6, pour mettre en position les roues     impri-          meuses    de cette rangée de touches.  



  fia     fig.    45 est une élévation, vue du côté  droit, d'une partie d'un mécanisme contrôlé  par la rangée de touches de transactions re  présentée à la     fig.    10, pour transmettre la. po  sition du mécanisme différentiel de cette ran  gée aux     indicateurs    des transactions.  



  La     fig.    46 est une vue détaillée d'une par  tie d'un.     mécanisme        représenté    à la     fig.    30  pour contrôler les mouvements     de    mise en  prise et de mise hors de prise du     totaliseur.     



  La     fig.    47 est une     @,ue    détaillée d'une  came coopérant avec une pièce d'alignement  pour des     segments    intermédiaires.    <I>Châssis de</I>     lit        machine.     



  Le mécanisme de la machine est porté par  deux flasques principaux 60 et 61     (fig.    12,  24, 40A et 40B), fixés sur l'embase 62 de 1a  machine, Un mécanisme indicateur et une  partie d'un mécanisme de mise en position de  l'imprimeur sont supportés par des flasques       secondaires    63 et 64, fixés respectivement  aux flasques principaux 60 et 61. La plaque  embase 62 s'emboîte dans un fond 65 à re  bords     (fi;-.    37) auquel elle est fixée, ce fond  à son tour reposant sur le dessus d'un socle  66 à tiroir     (fig.    1). Ce socle renferme un  tiroir-caisse 67 et est fixé à une plaque de  base en bois 68. Le mécanisme de la machine  est. enfermé dans un carter 69 qui est fixé  sur le rebord, tourné vers .le haut, du fond 65.  



  La machine est fixée (le façon amovible au  socle 66 (fi g. 1 et 37) par deux ergots 70,  dont un seul est représenté. Ces ergots fixés  à ce socle et passant clans des trous de l'em  base 62 ont des têtes tronconiques, de façon  à. s'engager facilement dans des trous 71       (fig.    37 et 38) d'un verrou 72 monté coulis  sant sur l'embase 62 par l'intermédiaire de       lumières    pratiquées dans le verrou et asso  ciées à des goujons à vis 73 vissés dans l'em  base 62. Un ressort. 74 sollicite le verrou 72  vers le haut, sur la     fil--.    38, de façon à main  tenir normalement le bord inférieur des trou  7l. engagé dans la rainure faite sur la tête  des ergots 70, ce qui fixe la. machine     sur    le  socle à tiroir 66.  



  Un prolongement du verrou 72 porte un  galet, 75 qui coopère avec une surface formant.  came 76 .d'un     bras-came    77 tournant libre  ment sur un goujon<B>78</B> fixé sur le flasque 60.  Une biellette 79 relie le bras 77 à un levier à  deux bras 80     loti    autour d'un axe     87.,    fixé sur  le flasque 60.

   Le levier 80 présente une lu  mière 82 disposée horizontalement, dans la  quelle passe un axe 83 situé vers     l'extrémité     inférieure     d'une    biellette 84, cette extrémité  inférieure étant. en forme de fourche, de  façon à enfourcher un axe 85, fixé sur le  flasque 60, tandis (lue l'extrémité     supérieure     de cette     biellette    est articulée sur l'un des  bras d'un levier 86 tournant librement sur      un axe 87     tourillonné    sur les flasques 60 et  61.

   Un autre bras du     levier    86     présente.    une  encoche qui     enfoiirehë-    un goujon .88 de       l'extrémité        inférieure    de- la tige 89 d'une  touche 91     (fig.    2 et 37) formant le verrou de  l'embase, et cette tige présente deux fenêtres  parallèles qui,     én        coopération    avec des gou  jons 90     fixés    sur le flasque     60supportent     cette touche 91.

   La touche 91 passe au travers  du plateau d'un clavier, vers le coin supé  rieur gauche de- ce plateau:   Lorsqu'on     enfonce    la touche 91     qui    .com  mande le verrou de l'embase, ceci fait     bascu-          lër    le levier 86 -(fi-. 37) dans le     sens    inverse  de celui des aiguilles<B>_d</B> 'une montre, ce qui  relève la biellette 84 et l'axe 83 fait basculer       1ë    levier 80 également dans le sens     inverse    de  celui des aiguilles d'une montre, mouvement       qui    est transmis au bras 77 par -la biellette 79.

    Ce mouvement du bras 77 fait que la came  76, en     :coopération    avec. le galet 75, repousse  le verrou 72 vers le bas sur, la     fig.    38, en  antagonisme à l'action du     ressort    74, de façon  à dégager le bord inférieur des     troLLS    71 de la       ramure    annulaire :des ergots 70 et à amener  ces trous en face des têtes de leurs ergots 70  respectifs. Ceci permet de soulever la machine  par rapport au socle 66 lorsque l'on veut  l'utiliser comme machine à     additionner    et non  comme caisse enregistreuse.  



  Lorsque la machine est remise en place  sur le     socle    66, les     têtes        tronconiques    des  ergots 70 repoussent le verrou 72 vers le bas  sur la     fig.    38, en - antagonisme à l'action. du  ressort 74, jusqu'à .ce que les rainures circu  laires de ces     ergots    soient revenues à     l'aligne-          ment    avec le verrou 72, après quoi le. ressort  74     ramène.ledit    verrou en prise avec les rai  nures circulaires; de façon à- verrouiller     la,     machine sur le socle. 66.  



  Un dispositif, sous 1e contrôle d'un     eou-          l'isseau,de    contrôle     général,    empêche que l'on  puisse enfoncer la touche 91     (fig.    37) "de ver  rouillage lorsque ledit     coulisseau    de contrôle  général est dans     -la;    position     d' Enregistre-          ment     ou     d' Énregistrëuse    verrouillée .  



  Ainsi qu'on     peut    le voir aux     fig.    25; 26  et 37, le     coulisseau    de contrôle général 92 est    monté coulissant sur le flasque de gauche 60,       d'une.    façon qui sera décrite plus loin, et ce       coulisseau    porté une serrure comprenant un  verrou rotatif 93, muni d'un ergot disposé       polir    s'engager dans des encoches 94 et 95       d'une    plaque 96 de verrouillage, lorsque l'on  fait     tourner    le verrou 93 au moyen d'une clé  appropriée:

   La plaque 96 est fixée sur deux  goujons 97, fixés sur le flasque 60, et les en  coches 94 et 95 correspondent respectivement  à la-position     d' Enregistrement     et à la posi  tion     d' Enreg@streuse    verrouillée  ,du Coulis  seau 92, de sorte que le possesseur .de la clé  peut verrouiller le coulisseau dans l'une ou  l'a-Litre de ces positions.  



  Une barre 98 peut, grâce à des entrées pa  rallèles,     glisser    sur les goujons 97 par lesquels  elle est supportée, et     Lin    ressort 99 sollicite  cette barre vers la droite sur la     fig.    37, de  façon à maintenir normalement deux encoches,  réalisées dans le bord supérieur de ladite  barre, et qui correspondent aux encoches 94  et 95 de la plaque 96, en face desdites     enco-          ehes.94    et 95. La barre 98 porte un goujon  100 qui. est pris entre les bras d'une fourche  ménagée dans l'un des bras d'un levier<B>101</B>  tournant     librement    autour d'un axe 102 fixé  au     flasqile    60.

   L'autre bras du levier 101  porte un téton 103 qui est situé en dessous  d'une oreille 104 de la. tige 89 de la touche 91.  



  Lorsque le coulisseau de contrôle général.  92     (fig.37)    se trouve dans l'une ou l'autre  des positions     d' Enregistrement     ou     d' Enre-          gistreuse    verrouillée , la.     manoeuvre    du verrou  93 fait entrer l'ergot de     verrouillage    porté  par ce verrou dans l'une ou l'autre des enco  ches 94 et 95, .de façon à verrouiller ledit Cou  lisseau dans l'une ou l'autre des positions, et,  en .

   même temps, ledit ergot de verrouillage  s'engage dans l'encoche correspondante de la  barre 98, de     façôh    à verrouiller la touche 91       polir        qu'on.        lie    puisse plus l'enfoncer, lorsque  le     coulisseau   <U>de</U> contrôle général est dans  l'une ou l'autre des positions indiquées. Lors  que le verrou du coulisseau de contrôle géné  ral 92 est resté ouvert, la barre 98 peut se  mouvoir     vers    l'avant à l'encontre de l'action      de son ressort, 99 et, par     conséquent.,    n'empê  che pas la touche 91 d'être enfoncée.  



  <I>Mécanisme du tiroir-caisse.</I>  



  Un     mécanisme    est prévu pour faire s'ou  vrir automatiquement. le tiroir-caisse chaque  fois que la machine est mise en route. Dans  cette réalisation particulière de la machine,  il n'est. pas nécessaire d'utiliser un moyen  manuel pour ouvrir le     tiroir-caisse.     



  En se reportant aux     fig.    37 et 39, on voit  que le     tiroir-caisse    67, qui peut glisser dans  le socle 66,     possède    un     cliquet    105, fixé à son  panneau arrière et disposé pour entrer en  prise avec un verrou 106 tournant librement  sur un axe 107, porté par un support 108 du  socle 66. Un     ressort    109 actionne le verrou  106 dans le sens inverse de celui des aiguilles  d'une montre, de     facon    à. maintenir normale  ment. un     prolongement    vers le bas de ce  verrou en contact avec une partie 110 du sup  port 108.

   Un prolongement. 111 du verrou 106  est dirigé vers le haut et coopère avec un       ergot    112 d'un levier 113 fixé sur l'axe 107.  Un autre levier     114-    (fi-. 37) est aussi fixé à  l'axe 107 et porte un ergot 11.5 pris dans une  encoche d'un levier 116 fou sur un axe 117  fixé sur un prolongement du support 108.  



  Un doigt 118 du levier 116 s'étend vers  l'avant et coopère avec l'extrémité inférieure  d'un poussoir 119     passant    librement dans un  manchon 120 fixé à l'embase 62 de la ma  chine. L'extrémité     supérieure    du poussoir 119  est fixée sur une tête 121 présentant une ca  vité dans laquelle peut se loger avec jeu  l'extrémité supérieure du     manchon    120. La,  face supérieure de la tête 121 coopère avec un  bec arrondi d'un levier 122 fou sur l'axe 85.  Le levier 122 est, relié par une     biellette    123  à un levier à came 124 fout sur un axe 125  fixé sur le     flasque    60     (le    gauche.

   Le levier       12-1    porte des     galets    126 et 1<B>2</B>7 qui coopèrent  respectivement avec la. périphérie de deux  cames conjuguées 128 et 129 fixées sur un  arbre à cames 130 qui tourillonne entre les  flasques principaux 60 et 61.  



  A chaque fonctionnement de la machine,  l'arbre à cames principal 130 est     entraîné       clans le     sens    des aiguilles d'une montre       (fig.    37) par un mécanisme qui sera décrit  plus loin, et qui lui fait.

   faire     iii    tour com  plet, de telle sorte que les cames 128 et 129  font basculer le levier 121 tout d'abord dans  le sens des aiguilles d'une montre, puis le ra  mènent dans sa position normale, selon les  temps prévus à l'intervalle     N"    12 du graphi  que de la     fig.13.    Ce mouvement dit levier 121  fait basculer, par l'intermédiaire de la biellette  <B>123,</B> le levier 122 d'abord dans le sens inverse  de celui des aiguilles d'une montre, le rame  nant ensuite dans sa position normale.

      Dès que le levier 122 se déplace dans le  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre     (fig.    37 et 39), son bec arrondi, en coopé  ration avec la     tête    121, enfonce le     poussoir     119 qui fait basculer le levier 116 .dans le  même sens, ce qui fait. basculer le levier 114,  l'arbre 107 et le levier 113 dans le sens des  aiguilles d'une montre. Ce     mouvement    du le  vier 113, par l'intermédiaire de l'ergot 112  coopérant avec le prolongement 111, fait bas  culer le verrou 106 dans le même sens, et, en  opposition à l'action dit ressort 109,     dégage     ce verrou de l'emprise du cliquet. 105.

   Ceci  laisse le tiroir 67 soumis à l'action     d'uri    res  sort 131, dont l'extrémité arrière est fixée au  support 108, et qui repousse immédiatement.  le tiroir dans la position ouverte. Lorsque les  cames 128 et 129 ramènent les     pièces    à leur  position normale, ainsi qu'il est. représenté, le  ressort. 109 ramène le verrou 106 en position  de verrouillage, de sorte que, lorsque le tiroir  se     ferme,    le bord     biseauté    dit     cliquet        10:),    co  opérant avec le bec biseauté  < lu verrou 106,  permettra. à ce cliquet de     dépasser    le verrou,  sur quoi le ressort 109 ramènera. le verrou en  position de verrouillage.

   Un téton fixe 132       (fig.    37) (lu flasque 60, en coopérant avec  une lumière du levier 122, limite le déplace  ment de ce levier.    Mécanisme<I>de</I>     la   <I>sonnerie.</I>    Chaque fois que le mécanisme .d'ouverture  du tiroir fonctionne, il actionne un marteau  qui fait sonner une     cloche,    de façon à attirer      l'attention sur le fait que le tiroir-caisse 67       s'ouvre.     



  Un levier 133 est fixé sur l'axe 107       (fig.    37 et 39) et porte un axe 134 qui sup  porte un     cliquet    135, dont l'extrémité supé  rieure est disposée pour entrer en contact  avec un téton carré 137 d'un marteau de clo  che 138 tournant librement sur un axe 139  porté par un prolongement du support 108.  Un ressort 140 sollicite le marteau 138 dans  le sens des     aiguilles    d'une montre, de façon  à appuyer normalement une surface de ce  lui-ci sur la face supérieure d'un téton carré  141 fixé au support 108. Le téton 141 main  tient le marteau à     une    faible distance     d'une     cloche 144 fixée au support 108, de façon à  ne pas     assourdir    le son de la cloche.  



  Lorsque l'arbre 107 et le     levier    133 tour  nent dans le sens des aiguilles d'une montre,  sous l'action des cames 128 et 129     (fig.    37),  le     cliquet    135 entre en prise avec le téton 137  et ceci déplace le marteau 138 dans le sens       inverse    .de celui des aiguilles     d'une    montre, en       antagonisme    .à l'action du ressort 140.

   Le  mouvement se continuant, l'extrémité supé  rieure du cliquet 135 s'échappe du téton 137  et     libère    le marteau 138 qui se trouve soumis  à l'action de son ressort 140, lequel l'amène  à frapper sur la cloche 144 à peu près en  même temps que le verrou 106 se trouve libéré  du cliquet 105, ce qui attire l'attention sur le  fait que le tiroir 67 s'ouvre. Bien que le mar  teau 138 frappe sur le téton 141 avant de  frapper sur la cloche 144, les pièces sont  assez flexibles pour, sous l'action de l'inertie,  permettre au marteau d'arriver jusqu'à la  cloche et de la frapper.

   L'axe 107 et le     levier     133 revenant en arrière, dans le     sens    inverse  de .celui :des aiguilles d'une montre, le cliquet  135 dépasse le téton 137 et     vient    se placer  sous lui,     ainsi    qu'il est représenté, les pièces  étant ainsi ramenées à leur position normale.  Mécanisme     d'entraînement.     



  Normalement, un moteur électrique 145       (fig.    15) entraîne l'arbre principal 130 et lui  fait faire un tour .complet, dans le     sens    des       aiguilles    d'une montre, à chaque mise en route    de la machine. Cependant, une poignée de       manaeuvre    864 est prévue pour     entraîner    cet  arbre si cela est nécessaire ou si on le veut.  



  Le moteur électrique 145 est fixé au  flasque de droite 61, et ce moteur possède un  arbre 146 sur lequel est fixé un pignon 147  qui engrène avec une couronne 148 folle sur  un axe 149 fixé sur le flasque 61. La cou  ronne 148 présente, venu de matière avec elle,  un rochet 150 à quatre crans, qui coopère  avec un épaulement 151 d'un     cliquet    152 fou  sur un axe 153 fixé sur un disque d'em  brayage 154 lui-même fou sur l'axe 149 et  fixé à une roue d'engrenage 155 libre aussi  autour de l'axe 149. La roue dentée 155 en  grène avec une roue dentée similaire 156 fixée  à l'arbre principal 130. Le train d'engrenages  et le rochet décrits     constituent    une liaison       d'entraînement        antre    le moteur 145 et l'arbre  principal 130.

    



  Lorsque la machine est au repos ou en po  sition normale, ainsi qu'il est représenté       (fig.    15),     ime    surface 157     -du    cliquet 152 est  en prise avec l'extrémité supérieure d'un bras  de contrôle 158 du rochet; ce bras est fou sur  un axe 159 porté par le flasque 61, de façon  à retenir le     cliquet    152 dans la position dé  clenchée, en antagonisme à l'action d'un res  sort 160. Cette position est fixée par -une       surface    en creux du cliquet venant en     prise     avec un téton 161 .du disque 154, de façon  que l'épaulement 151 soit maintenu hors du  passage des crans du rochet 150.  



  Le bras 158 est fixé. par l'intermédiaire  d'un goujon 162, sur un     levier    163 de con  trôle du rochet; ce levier est fou sur l'axe  159; il     est    sollicité     clans    le sens inverse de ce  lui des aiguilles d'une montre par     un        ressort     164, de façon à maintenir normalement la  surface 165 d'un prolongement vers le haut  <B>du</B> levier 163 en .contact avec une oreille ra  battue 166 .d'une barre 167 d'arrêt et de dé  marrage du moteur.

   La barre 167 peut     glisser     contre le flasque 61 sur lequel elle est montée,       par        l'intermédiaire        de     parallèles et  de     goujons    168 fixés sur ce flasque. Ladite  barre est normalement maintenue dans la, po  sition élevée ou non enfoncée, grâce à un      ressort 169. Un poussoir à main 170, monté  sur la barre 167, émerge du clavier     (fig.    1)  en     passant    dans une ouverture de la plaque  supérieure de ce clavier, et est situé sur le  côté droit     dudit    clavier.

   U n cliquet 171, arti  culé sur le     prolongement    vers le haut du le  vier 163, est destiné à éviter la répétition       intempestive    de la mise en route; il est solli  cité dans le     sens    des aiguilles d'une montre  par un ressort 172 qui l'amène sur un téton  carré 173 fixé au flasque droit 61. Un téton  174, porté par le cliquet 171, entre en contact  avec le bord du levier 163, de façon à limi  ter le déplacement dans le sens des aiguilles  d'une montre du cliquet 171 sous l'action du       ressort    172.  



  Lorsque la machine est au repos, le res  sort     161.    (fin. 15) sollicite le levier 163 clans  le sens inverse de celui des aiguilles d'une  montre, de façon à appuyer normalement la  surface 165 en     contact    avec l'oreille 166. Lors  que la surface 165 est en contact avec l'oreille  <B>166,</B>     l'extrémité    du cliquet 171 est retenue à  une faible distance du téton 173 et laisse un  jeu entre les deux. Une biellette 175     (fie.    15)  relie le prolongement vers le haut du levier  163 à un levier 176 fixé sur un arbre<B>177</B> tou  rillonnant. dans les flasques 60 et 61.  



  Avant que la machine ne puisse fonction  ner, il est nécessaire que l'arbre 177 puisse  auparavant tourner dans le sens des aiguilles  d'une montre. Par     exemple,    l'arbre 177 ne  peut tourner     lorsque    le coulisseau de contrôle  général 92 se déplace d'une position à l'autre,       lorsqu'une    touche de montant est partielle  ment enfoncée et lorsque, lors d'une opéra  tion d'enregistrement, les touches de trans  actions et de sélection des     colonnes    ne sont pas  enfoncées.

   Le mécanisme de verrouillage de  l'arbre<B>177,</B> contrôlé par les touches de trans  actions et de sélection des     colonnes,    devient  inopérant.     lorsque    l'on amène le coulisseau de  contrôle général dans la position d'addition  et de remise à zéro.  



  Lorsque l'arbre 177 et le levier 176 sont  verrouillés et ne peuvent tourner dans le sens  des aiguilles d'une montre, la biellette 175 em-    pêche le levier 163 .de basculer dans le sens       üiverse    de celui des aiguilles d'une montre,  sous l'action du ressort     161-,    si la barre 167 est.  poussée vers le bas. Dans ce cas, une partie  inférieure de la surface 165 du levier<B>163</B> est  dégagée sur un angle, de façon à     empêcher     que L'oreille 166 n'accroche le bord de cette  surface     lorsque    la barre 167 est rappelée vers  le haut par le ressort 169.  



  Lorsque L'arbre 177 et le levier 176 peu  vent, tourner     .dans    le sens des aiguilles d'une  montre, si l'on pousse vers le bas la. barre  167, l'oreille 166 vient se     placer    sous la sur  face 165 dans un     dégagement    du levier 163  et cette oreille vient, en même temps, prendre  contact avec le cliquet 171 et le fait. basculer  pour le dégager .du téton 173. Ceci laisse le  levier 163 sous l'action du ressort 164 qui fait  immédiatement basculer ce levier et le bras  138 clans le sens     inverse    de celui des aiguilles  d'une montre, et dégage l'extrémité supérieure  de ce bras du contact de la surface 157     dix     cliquet. 152 du rochet.

   Ceci     laisse    le     cliquet    152  soumis à l'action de son ressort 160 qui le  fait immédiatement basculer dans le sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre  sur le dessin, de façon à. amener l'épaulement  151 sur le passage des quatre crans du rochet.  150. Simultanément, au     dégagement    du bras  158 d'avec le cliquet 1.52, une pièce 178 en  matière isolante, fixée à un bras antérieur du  levier 163, appuie sur des ressorts de contact  179 d'un interrupteur qui     ferme    le circuit  électrique du moteur 145 et fait ainsi tourner  l'arbre 146 et le pignon     1-17    dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   Le pignon 147 en  traîne la roue 148 et le rochet 1:50 dans le  sens inverse de     celui    des aiguilles d'une mon  tre, ce qui     amène    l'un des quatre crans     clu     rochet en prise avec l'épaulement 151 et en  traîne le disque 154 et la roue<B>155</B> dans le       sens    inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre à la même vitesse. La roue 155 entraîne  la roue 156, qui a exactement le même nom  bre de dents que ladite roue 155, dans le sens  des aiguilles d'une montre.  



  Lorsque la roue 156 et, l'arbre principal  130 ont effectué presque un tour complet, un      galet 180, porté par la roue 156, entre en  contact avec une     surface    181, formant came,  du prolongement vers le haut du levier 163,  de faon à faire basculer ce     levier    ainsi que  le bras 158 dans le sens des aiguilles d'une  montre, en antagonisme à l'action du ressort  164, et à libérer l'interrupteur 179, en rame  nant en même temps l'extrémité supérieure  du bras 158 sur le passage de la surface 157  du     cliquet    152.

   La rotation du disque 154 se  poursuivant, la surface 157 du cliquet 152  entre en contact avec l'extrémité supérieure  du bras 158 et fait basculer ce cliquet dans  le sens des aiguilles d'une montre pour déga  ger l'épaulement 151 d'avec le rochet 150, de  façon à libérer le rochet et à permettre à  l'arbre principal 130 de continuer sa rotation  dans le sens des aiguilles, après un tour com  plet.

   L'arbre principal continuant sa rotation,  le levier 163 déplace le cliquet 171 de     non-          répétition    et l'amène bien au-delà du téton  173, .de sorte que le ressort 172 ramène ce     cli-          quet    dans le     sens    des     aiguilles    d'une montre  sur le passage de ce téton, de façon à remet  tre le levier 163 dans sa position initiale, lors  que le galet 180 se déplace au-delà de la sur  face 181 et vient en face     d'un.    dégagement  réalisé dans ce levier.  



  Dans le cas où la barre 167 d'arrêt serait  maintenue en position abaissée après un  cycle de fonctionnement de la machine, le  galet 180 ramènerait le levier 163 suffisam  ment dans le     sens    des aiguilles d'une montre  pour permettre au cliquet 171 de venir der  rière l'oreille 166 et de reposer sur le téton  173 lorsque le galet dépasse la came 181, de  façon à empêcher la répétition du fonction  nement de la machine.

   Lorsque la     pression    qui  maintenait la barre 167 s'est relâchée, le res  sort 169 ramène cette barre vers le haut, ce  qui amène l'oreille 166 au contact de la sur  face 165, .de façon à remettre les pièces dans  la position représentée par la     fig.    15.     Lorsque     la barre 167 est poussée vers le bas, l'extré  mité en forme de crochet du prolongement  vers le haut .du .levier 163 passe par-dessus  l'oreille 166, et retient ladite barre en posi  tion     abaissée    jusqu'à ce que le levier 163 soit    ramené en position normale par le galet 1.80,  ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus.  



  Un dispositif actionné par un ressort, re  présenté par la     fig.    16; ramène le mécanisme  de l'embrayage et l'arbre principal 130 à la  position de repos après que le circuit électri  que du moteur a été coupé par l'ouverture de  l'interrupteur 179     (fig.    15).  



  Fixé à la roue 155,     qui    constitue une  partie des pièces entraînées avec le mécanisme  de l'embrayage, se trouve un plateau-came  182, dont la surface formant came coopère  avec un galet 183 porté par un bras 184 fou  autour d'un axe 185 fixé sur le flasque 61.  Un     réssort    186 relativement puissant main  tient le galet 183 en contact avec la came 182.  Lorsque la roue 155 et la came 182 tournent,  le galet 183 est obligé de monter sur la sur  face en forme de spirale de cette came et  tend le     ressort    186.

   Vers la fin -du cycle de  la machine, et presque en même temps que le  levier 163     (fig.    15)     ouvre    l'interrupteur 179  sous l'action du galet 180 et dégage le cliquet  152 d'avec le rochet 150, le galet 183 quitte  la partie élevée de la came 182 et descend le  long d'une surface inclinée 187, ce     qui    fait  que le galet 183,     soies    l'action du ressort 186,  ramène, en coopérant avec la surface inclinée  1.87, la pièce entraînée par l'embrayage, dans  sa position de repos, ainsi qu'il est montré  en     fig.    15.  



  Un cliquet 188, tiré par un ressort       (fig.    15), articulé sur un axe 189 du flasque  60, coopère avec les dents de la roue dentée  155 pour empêcher tout mouvement en arrière  de cette roue et des pièces entraînées par l'em  brayage, de façon à retenir certainement le  cliquet 152 hors du passage des crans     duz     rochet 150.  



  Un train d'engrenages 860 à 863 inclus  relie la poignée de     manoeuvre    864, représentée  en traits mixtes sur la     fig.    15, à la roue den  tée 156, de façon que la machine puisse être  actionnée à la main, si cela est nécessaire ou  si on le .désire. Le moyeu de la     poignée    86-1  présente des dents .d'enclenchement qui s'en  gagent dans une rainure 865 du moyeu du  pignon 863, de façon à former une liaison      amovible qui évite que la poignée soit en  traînée lorsque la machine est actionnée élec  triquement.  



  Le moyeu de la poignée passe dans une  ouverture du coffret. 69, cette ouverture  étant fermée par une plaque 866 (fi;. 1) lors  que la poignée ne doit pas être utilisée pour  un fonctionnement normal de la. machine.         C'lc@r@ier.     Sur les     fig.    1 et 2, on voit que le clavier  de la machine     comprend    quatre rangées de  touches 190 de montants qui donnent à l'en  registrement une capacité maximum de 99,99,  par exemple 99,99 dollars, une rangée de  touches 191 d'addition utilisées en combinai  son avec les touches de montants lorsque la  machine est utilisée comme machine à addi  tionner, de façon à porter la capacité du cla  vier à 999,99,

   quatre rangées de touches 192       d'impression    utilisées en combinaison avec les  touches 190 et 191 pour imprimer des repères  d'identification et une rangée de touches 193  de transactions qui commandent la, position  d'une roue     d'impression    qui leur correspond,  de façon à enregistrer le genre de transaction  qui a été effectuée, et qui contrôlent aussi un  totaliseur unique dont la machine est équipée.

    Le clavier comprend en outre une rangée de  touches 194 de sélection des colonnes (fie. 2)  qui commandent le déplacement des quatre  roues d'impression des montants correspon  dant aux quatre rangées de touches 190 des       montants,    de fanon à imprimer les montants  correspondant. à différents articles dans les  différentes colonnes de la feuille     d'enregis-          trement;    le clavier comprend une touche  d'espacement. 195 pour effectuer à la main  l'espacement de la feuille d'enregistrement et       titi    levier 196 de libération des touches pour  libérer à la main les touches lorsque la ma  chine est an repos. Le     poussoir    170 de la.

    barre 167 est destiné à mettre la machine en  mouvement, la     glissière    de contrôle 92 à con  trôler les différentes fonctions de la machine,  et la touche 91 à déverrouiller la machine pro  prement dite de l'embase contenant le     tiroir-          caisse.       Les touches 91 et 190 à 194 incluses lie  sont pas montées sur des supports individuels,  comme cela se fait     d'ordinaire,    niais sont  toutes montées sur un unique cadre     (fig.    6,  1'? et<B>27),</B> qui peut être enlevé, d'un bloc, de  la machine.

   Ce type de construction du cla  vier le rend plus simple et plus ramassé, et  présente tous les avantages de la construction  à support     individuel    sans avoir aucun de ses       désavantages.    Par exemple, la capacité de la  machine peut être modifiée pour satisfaire à  différentes exigences, simplement en ajoutant  ou en enlevant les rangées de touches dési  rées. Ceci est également vrai pour le nombre  de rangées de touches d'impression 192. De       même,    le nombre de touches de la rangée de       touches    de transactions 193 petit être modifié  et peut varier du maximum de neuf touches  par rangée au minimum voulu pour satisfaire  aux besoins spéciaux d'un commerce déter  miné.  



  Le châssis unique du     .clavier    comprend un  montant avant 197 et un montant arrière 198       (fi(y.    1.2 et 27), une cloison de séparation 199  pour chaque rangée de touches et à chaque  extrémité du     châssis    une     plaque-support    su  périeure 200 et une     plaque-support    infé  rieure 201. Les plaques et séparations ci  dessus sont. toutes fixées l'une sur l'autre au  moyen de tenons et de cavités, et de petites  tiges d'assemblage 202     q121    passent dans des  trous des cloisons de séparation 199 et. sont  aplaties à. chaque extrémité, de façon à les  maintenir en place.

   L'ensemble du clavier est  maintenu en     place    sur la machine au moyen  de quatre vis 203 qui passent avec du jeu  clans les trous d'oreilles rabattues réalisées sur  les montants avant 197 et arrière 198 et sont  vissées dans des trous des flasques 60 et 61.  Pour enlever ].'ensemble du clavier de la ma  chine, il suffit d'enlever les quatre vis 203.  



  Une plaque 204     (fig.    1, 2, 6 et 27) recou  vre le     châssis        dit    clavier et donne à l'ensem  ble un aspect bien fini. La. plaque supérieure  204 du clavier présente des ouvertures pour  laisser passer, avec jeu, les têtes des touches  du clavier, et d'autres ouvertures pour le     cou-          lisseau    de contrôle général 92, le poussoir 170      du "moteur et le     levier    196 de libération des  touches.

   La plaque supérieure du clavier pré  ,sente quatre tétons (non représentés)     formant     guides,     qui    s'engagent dans des     parties    rabat  tues .des     montants    avant et arrière 197 et 198,  de-façon à guider la plaque     en.position,    et  cette plaque est maintenue en position par le  coffret de la machine, dont une partie, voisine  de l'ouverture pratiquée pour le clavier, em  boîte la plaque 204.         Touches   <I>des</I>     montcmts.     



       Etant    donné que le mécanisme des touches  et le mécanisme différentiel qui lui est asso  cié sont les mêmes pour toutes les rangées de  touches, il suffira de décrire ceux-ci     pour    la  rangée. des     dixièmes    (dix cents par exemple)  représentée à la     fig.    6.  



  Les touches 190     (fig.    6 et 27) de la rangée  des dixièmes passent dans     des    entrées des pla  ques 200 et 201, de façon à pouvoir être en  foncées, -et ne peuvent être     enlevées    de     ces     plaques     grâce    à des fenêtres coopérant avec  les     tiges    202.

   Chaque touche 190 de montant  est maintenue normalement en position non  enfoncée par -un     ressort    à boudin 205 qui  s'étend horizontalement tout au long de l'en  semble du clavier, un seul     ressort    étant     prévu     pour toutes les touches de même ordre numé  rique, ledit ressort s'engageant dans     .des        enco-          chës    de     toutes    les touches de même ordre.

   Le       ressort    205 repose sur la face     supérieure    de la  plaque 200 du clavier, et lorsque l'on enfonce  une touche, ce ressort s'étend vers le bas en  passant dans une ouverture de la plaque     vol'-          sine    de la tige de la touche; et lorsque la  touche est libérée, le ressort 205 la ramène  .vers le haut à     sa.    position normale, repré  sentée sur le dessin.

      Chaque rangée de touches de montants pos  sède     -une    détente 206     (fig.    7, 27, 28 et 29) qui  sert à verrouiller les touches en position       enfoncée    et une plaque 20.7 pour libérer les       cliquets    d'arrêt de zéro, de façon que les mé  canismes .différentiels     puissent    -s'éloigner de  la position de zéro et soient mis en. place par  <B>lés</B> touches 190 de montants.

           L'enfoncement    de     l'-une    des touches 190  des dixièmes amène en contact la surface en  forme de came angulaire d'un prolongement  208 de la touche, avec le bord antérieur d'une  ouverture correspondante de la détente 206,  ce qui fait glisser cette détente vers l'avant,  ou vers la ;anche sur ,le dessin, en antago  nisme à l'action d'un ressort 209, jusqu'à ce  que ce prolongement -dépasse au-dessous de la  détente, après quoi le ressort 209 ramène, la  dite détente vers l'arrière pour verrouiller la  touche 190 qui a été enfoncée     dans    cette -po  sition. Les touches de montants sont montées  de telle façon que toute touche enfoncée libère  la touche de la même rangée, précédemment  enfoncée, et ainsi de suite.  



  La plaque 207     (fig.    27 et 28) est placée  immédiatement en dessous de la détente 206  et .,l'enfoncement de l'une des touches 190 de       montants    amène la came du prolongement 208  de cette touche en .contact avec le bord du  trou     correspondant    de la plaque 207, ce qui  fait glisser cette plaque vers l'avant et main  tient la plaque dans cette position tant que la  touche est enfoncée. L'extrémité antérieure de  la plaque 207 vient se placer en dessous du  bec arrondi 210 d'un cliquet 211 fou sur un  axe 212 qui tourillonne dans les flasques 60  et 61.

   Le mouvement vers l'avant de la pla  que 207, lorsqu'on enfonce une touche, fait  basculer le     cliquet    211 dans le     sens    inverse  de celui des aiguilles d'une montre, en opposi  tion à l'action     d'uni    ressort 213.

   Lorsque le  cliquet 211     (fig.    7) tourne dans le     sens    inverse  de celui des aiguilles d'une montre, il fait       basculer    un crochet 214 qu'il porte hors du  passage .d'une oreille 215 .d'un coulisseau dif  férentiel 216 qui est supporté et peut glisser  sur un cadre     présentant    des montants avant  217 et arrière 218 fixés respectivement à des  barres     en.   <B>U</B> 219 et 220 retournées vers le     bars     et     fixées    à leur tour sur des plaques de sépa  ration 221 séparant chaque rangée (dont une  seulement est représentée),

   lesdites plaques  étant à leur tour     montées    sur des barres 222  et 223 supportées par les flasques 60 et 61.  



  Il existe un coulisseau différentiel 216  pour .chaque rangée .de touches de montants,      un pour chaque rangée  < le touches d'impres  sion des nombres, un pour la rangée de tou  ches de transactions et un pour la rangée de  touches (le sélection des colonnes. Les barres  222 et 223 sont maintenues entre les     deux     flasques 60 et 61 par quatre vis, qui, lors  qu'elles sont enlevées, permettent de retirer       l'ensemble    des     coulisseaux        différentiels.    Le       coulisseau    différentiel 216     (fig.    7) porte  quatre prolongements dirigés vers le haut et  qui possèdent des oreilles 221     rabattues    vers  la gauche,

   disposées de façon à entrer en con  tact avec les touches impaires 1, 3, 5 et. 7; ce  coulisseau porte de même quatre prolonge  ments     identiques    possédant des oreilles 225 ra  battues vers la droite et disposées pour co  opérer avec les touches paires     '22,    4,<B>6</B> et<B>S.</B> Les       tiges    des neuf touches 190 sont tordues, celles  portant des nombres impairs vers la     gauche     et celles portant des nombres pairs vers la  droite.  



  Si     ].'on    enfonce l'une     quelconque    des tor  ches 190, sauf la touche 9, la. tige de cette  touche vient se mettre sur le passage     (le     l'oreille     correspondante        22-1    ou 225, et en  même temps le cliquet 21l_ d'arrêt de zéro est  basculé hors du     passage    de l'oreille 215, ainsi  qu'on l'a expliqué     plus    haut.     -Sous    l'action du  mécanisme différentiel des     montants    qui     sera,          décrit    plus loin, le     coulisseau    différentiel.

   216  se déplace vers     l'arrière    et une oreille 221 ou  225 vient.     en    contact. avec     l'extrémité    in]     .é-          rieure    de la touche     1510    qui a été     enfoncée,    de  façon à arrêter le     coulisseau    216 et le     méca-          nisme    différentiel correspondant, dans une  position variable suivant la valeur de la  touche enfoncée. Lorsque c'est. la touche     51    qui  est enfoncée, le     coulisseau    216 se déplace vers  barrière (le toute la. course correspondant à.

    neuf intervalles, course qui est déterminée  par un prolongement 226 de ce     coulisseau    ve  nant en contact avec. un téton 227 carré, de la  plaque de séparation 221, de gauche, de cette  rangée de touches.  



  Le     eoulisseau    216     (fig.    7) est relié à     uni          mécanisme    différentiel qu'il met en place et  qui entre ensuite en prise avec la roue cor  respondante chi     totaliseur,    et le mouvement    de retour du coulisseau 216 place la roue du       totaliseur    dans     suie    position correspondant  la valeur de la, touche 190 qui a été enfoncée,  ainsi qu'il sera expliqué plus loin.

           Mécanisme        dif   <I>f</I>     éreutiel   <I>des</I>     montants.       La mise en position     -différentielle    du cou  lisseau 216 (fi,,. 6, 7 et 8) est transmise au  mécanisme différentiel. par un bras 230 qui  lui est. fixé, ce bras formant une fourchette  qui s'engage sur un téton<B>231</B> d'un segment  différentiel 232 fou sur un arbre 233 sup  porté par les flasques 60 et 61.

   Le segment  232 présente une lumière arquée 231     (fig.    7)  dans laquelle passe l'ergot 235 d'un verrou  236     (fi-.    8) fou sur un axe 237 porté par une  plaque de verrou 238 folle autour de l'arbre  233.     L'ero-ot    235     passe    également dans une  lumière 239 (fi g. 7) pratiquée dans     un    pla  teau de contrôle     2-10    du verrou, fou sur l'arbre  233, la lumière 239 étant à, angle droit avec  la.

   lumière     234-.    Un ressort     2-11    sollicite le seg  ment     232    dans le sens des aiguilles d'une mon  tre et le plateau 210 dans le sens inverse, ce       c,ui        donne    sur les lumières 231, 239 et l'ergot  235 un effet comparable à celui d'une paire  de ciseaux, et retient ainsi le verrou 236 dans  sa position extrême dans le sens des aiguilles  d'une montre     (fig.    8), position dans laquelle       tin    prolongement de ce verrou entre en con  tact avec un épaulement 212 de la. périphérie       d'titi    segment 213 fou aussi     sur    l'arbre 233.  



  Lorsque le verrou 236 est en prise avec       l'épaulement    212, un     prolongement    du plateau  238 entre en contact avec     titi    ergot 214 du  segment     2.13,    de façon à réaliser une liaison       d'entraînement    comportant une lumière dans  laquelle     s'engage    un téton 215     (fig.    8) d'un  bras d'entraînement 216 #(voir aussi fi-.<B>6</B> et  7) fou autour d'une tige 217 supportée par  les flasques 60 et 61.

   Un     excentrique    218 relie,  de     façon    réglable, le bras     2-16    à un autre bras  219, fou aussi sur la tige     21-7,    et ce bras     2-19     ainsi que les bras similaires des autres méca  nismes différentiels sont reliés par une tige  250 à un bras de came 251 fou aussi autour  de la tige 217. Le bras de came 251 porte      des galets 252 et 253 qui coopèrent respecti  vement avec le     pourtour    de     deux    cames jume  lées 254 et 255 fixées sur l'arbre principal 130.

    Le bras 251     (fig.    7) est placé à     l'e.Ytrémité     gauche de la tige 247 et porte l'extrémité  gauche de la tige 250, tandis     qu'iui    bras iden  tique (non représenté), placé vers l'extrémité  droite de la tige 247, supporte l'extrémité  droite de la tige 250 et porte des galets qui  coopèrent avec des cames 256 et 257     (fig.    40A),  identiques en tous points aux cames 254 et  255, dont les temps de fonctionnement sont  donnés par la ligne 1 du graphique de la       fig.    43.

   La tige 250 forme liaison d'entraîne  ment entre les bras 249 des     mécanismes    diffé  rentiels des touches de montants 190 et 191  et des touches d'impression 192,     d'une    part,  et les bras de cames 251, d'autre part.  



       Ainsi    qu'il a été indiqué plus haut, l'arbre  principal 130     (fig.    7) effectue un tour com  plet à chaque fonctionnement de la machine.  Lorsque la machine est au repos, le     coulisseau     216     (fig.    7) est maintenu en position à     uxi     intervalle au-delà .de zéro, ainsi qu'on peut le  voir sur la     fig.    7, dans le but de pouvoir effec  tuer des reports, ainsi qu'il sera expliqué     phis     loin.

   Dès le début du fonctionnement de la  machine, les cames 254 à 257 incluses font  tourner, par l'intermédiaire des liaisons re  présentées, le bras 246 d'une faible quantité       dans    le sens des aiguilles     d'une    montre, de  façon à déplacer le segment 243     (fig.    8)     d'une     quantité correspondante dans le même sens,  ce mouvement étant transmis au plateau 238  par l'intermédiaire du verrou 236. Le téton  235 porté par le verrou 236 coopérant. avec  les     'lumières    234 et 239     (fig.    6, 7 et 8) du seg  ment 232 et du plateau 240 déplace lesdites  pièces en même temps que lui dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   Le mouvement .dans ce  sens du segment 232 fait que le téton 231, co  opérant avec la     lumière    du bras 230, entraîne  le     coulisseau    216 vers l'avant et le ramène de  sa position de repos à la position de zéro.  Pendant que le coulisseau 216 est maintenu  dans la position de zéro, le mécanisme de re  port de l'ordre correspondant à ce coulisseau  est ramené en position de repos au cas où il    aurait été .déplacé au cours du fonctionnement.  précédent.  



  Si l'on     enfonce    une touche 190 après que  le mécanisme de report a été ramené au re  pos, le segment 232 et le coulisseau 216 pour  suivent leur mouvement initial sous l'action  des cames 254 et 255     (fig.    7) et des cames  256 et 257     (fig.    40A),     jusqu'à    ce que     l'une     des oreilles 224 ou     '?25    viennent en contact  avec l'extrémité inférieure de la tige de la  touche 190 qui a été enfoncée, ou, dans le cas  où c'est la touche  9  qui a été enfoncée, jus  qu'à ce que le coulisseau soit arrêté par le  téton 227.

   Ceci empêche le coulisseau 216  d'aller plus loin vers     l'arrière    et met le seg  ment 232 dans     une    position correspondant à  la valeur de la. touche 190 enfoncée. L'arrêt  du segment 232 fait monter le téton 235 dans  l'ouverture 234,à quoi s'oppose l'action de la  lumière 239 et du     ressort    241, de façon à dé  gager le verrou 236 de l'épaulement 242       (fig.    8) du segment d'entraînement 243 et à  engager simultanément une dent 258 de ce  verrou dans l'une des encoches 259 d'une  partie en forme d'arc du plateau 221, les en  coches 259 correspondant chacune à     une    posi  tion du coulisseau 216 et du segment 232.

    Cette libération du verrou 236 libère égale  ment le plateau 238 de sa liaison avec le seg  ment d'entraînement 243 qui maintenait le  mécanisme différentiel dans une position cor  respondant à la valeur de la touche 190 en  foncée, et laisse ce segment 243 libre de con  tinuer son mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre. Lorsque le verrou 236       (fig.    8) a été dégagé de     l'épaulement    242, de  la façon     indiquée    plus haut, et s'est enclenché  avec l'encoche 259 qui lui faisait face, une  surface 260, en forme d'arc, du segment 243,  vient se placer en dessous du prolongement  de ce verrou, .de façon à le maintenir, ainsi  que le mécanisme différentiel, dans cette po  sition.  



  L'extrémité supérieure d'une bielle 261       (fig.    6, 7 et 8) est articulée sur le plateau 238  et, lorsque le bras     2-16    approche de la. fin  de son mouvement dans le sens des aiguilles  d'une montre, un galet 281 porté par ce bras      246, entre en contact avec une surface en  forme d'arc du bord antérieur de cette bielle  261 et amène une surface incurvée du bord  interne de cette bielle au contact d'un galet  283 tournant. librement sur l'arbre 233, ce qui  maintient. la bielle 261 dans une position qui  correspond à la saleur de la touche 190 en  foncée.

   La position relative de la bielle 261  est transmise au mécanisme indicateur et au  mécanisme     d'impression    de la     manière    sui  vante:  La bielle 261 est reliée par une biellette  262     (fig.    6, 7, 8, 40A et. 40B) à     uni    levier 263  libre sur un axe     26-1    supporté par les flasques  60 et. 61. Le levier 263 est relié par une     biel-          lette    265 à une manivelle 266 fixée sur un  axe 267 tourillonné dans des flasques 284 et  285 fixés     respectivement    aux flasques 63 et  64 de l'indicateur.

   Une manivelle 268, fixée  également sur l'axe 267, est reliée par une  bielle 269 à un segment 270 de l'indicateur,  libre sur une tige 271 supportée par les flas  ques 63 et 64. Les dents du segment 270 en  grènent avec un pignon 272 libre sur un axe  273, porté par les flasques 63 et 64, et le pi  gnon 272 est relié de façon souple à une roue  274 de l'indicateur avant, de la rangée des  dixièmes (dix cents par exemple), placée en  avant de la machine. Les     nombres    portés par  la roue     27-1    et qui correspondent aux touches  190 peuvent. être vus au travers d'une ouver  ture 275 pratiquée à l'avant du carter 69 de  la machine et protégée par un verre.

   Une     ma-          liivelle    276 fixée sur l'arbre 267     (fig.    40A et  40B) est reliée par une biellette 277 à un seg  ment 278 libre sur l'axe 271 et possédant des  (lents qui engrènent. avec un pignon 279 relié  de façon souple à un indicateur arrière 280  (le la rangée des dixièmes, ledit indicateur  portant des nombres correspondant aux     tou-          ehes    190, ces nombres pouvant être vus au  travers d'une ouverture 286 de l'arrière du  carter 69, ouverture protégée par un verre.  



  La mise en position du mécanisme diffé  rentiel de la rangée des dixièmes et de la  bielle     2f>1    (fi-. 6, 8, 40A et 40B) est trans  mise, par le mécanisme     ci-dessus    décrit, aux  indicateurs avant et arrière 274 et 280, de    façon à mettre ces indicateurs dans une posi  tion correspondant à la valeur de la touche  190 enfoncée.  



  Sur les     fig.    6, 40A et 40B, on voit que  l'arbre 267 et les arbres similaires des autres  rangées de touches portent, à. chacune de       leurs    extrémités, des rainures     circulaires    qui  coopèrent     avec    des encoches correspondantes  des flasques 63 et 64 des indicateurs, de façon  à. empêcher tout mouvement latéral de ces        < îrbres,    tandis que ces arbres peuvent tourner  dans les flasques 284 et 285 sur     lesquels    ils  sont montés.  



  <I>Dispositifs</I>     d'alignemcut        des        indicateurs.     Lorsque les indicateurs de montants ont  été mis en position de la. façon indiquée plus  haut. un dispositif d'alignement maintient ces  indicateurs dans la position qui leur a été  donnée, jusqu'au début de l'opération sui  vante. On voit sur les     fig.    40A, 40B, 41 et 42  que le pignon 272 de l'indicateur 274 est  muni d'un cliquet d'alignement<B>287</B> qui co  opère avec les dents de ce pignon et qui est  fixé sur un axe 288 tourillonnant dans des  douilles portées par les flasques 63 et 64. Il  existe un cliquet d'alignement identique au       cliquet    287 pour chaque indicateur de mon  tants.

   Une manivelle 289, fixée à l'extrémité  gauche de l'arbre 288, ainsi qu'on peut le voir  sur la.     fig.    40A, est reliée, par une bielle 290,  à un bras 291 relié, par un moyeu 292 fou  sur l'arbre 264, à. un bras similaire 293. Le  bras 293 est relié, par une bielle 294,à un  bras 295 relié, par un moyeu 296 fou sur un  axe 297 porté par le flasque 61,à un bras  298. Le bras 298 porte un galet 299 qui co  opère avec la surface 300 d'une came inté  rieure réalisée dans     Lui    plateau 301 fixé sur  l'arbre principal 130.  



  Les temps de     fonctionnement    de la came  300 sont donnés par la ligne 9 du graphique  de la.     fig.    43 sur lequel on peut voir que cette  came, par l'intermédiaire du mécanisme re  présenté par les     fig.    41 et 42, libère le cliquet  287 d'avec les dents du pignon 272 dès le  début du fonctionnement de la machine, et  que ce     cliquet    reste ainsi libéré jusqu'au mo-      ment où les indicateurs de montants ont été  mis en position par le mécanisme différentiel,       ensuite    de quoi la came 300 fait engager le       cliquet   <B>287</B> avec les dents du pignon 272, de  façon à maintenir l'indicateur 274 dans sa  position.

           luise   <I>en</I>     position   <I>des roues</I>     imprimeuses.     L'arbre 267 est mis en position par le mé  canisme :différentiel des dixièmes (dix cents  par exemple) des montants, représenté par la       fig.    6 et décrit ci-dessus, et cette position est  transmise à la roue     imprimeuse    du même  ordre d'unités au moyen du     mécanisme    repré  senté par les     fig.        40B    et 44 et qui est .décrit       ci-après.     



  A l'extrémité droite     (fig.        40B)    de l'arbre  267 est fixée une manivelle 304 (voir aussi       fig.    44) reliée par une bielle 305 à un segment  306 libre sur l'arbre 264. Le segment 306 est  relié par     une    bielle 307 à un segment 308  tournant     librement    sur     ume        douille    309 fixée  sur le flasque de     gauche    60. Des dents d'en  grenage, portées par le segment 308, sont en  prise avec la denture externe d'une     couronne     310 dentée extérieurement et intérieurement.

    Les dents intérieures de cette couronne por  tent sur la périphérie d'un disque 311 fou sur  une douille 312 fixée sur une plaque 313       (fig.    24 et 44) elle-même fixée au flasque 60.  Une tige 314, qui passe au travers de tout  l'ensemble des roues d'impression, est ajustée  glissante dans un trou du .disque 311 et posi  tionne ce disque 311, de façon qu'une entrée, .  ou partie coupée de ce disque, se trouve en  face d'un pignon 315 qui engrène avec les  dents internes de la couronne 310. Le pignon  315 est monté rotatif par des tourillons     qui     coopèrent avec des portées pratiquées dans  les plaques de séparation 316     (fig.    24) por  tées par la douille 312 et l'arbre 314 exacte  ment de la même manière que le disque 311.

    Un trou carré du pignon 315 laisse passer à  jeu     libre-    un arbre à section carrée- 317       (fig.    24 et     44),    cet arbre s'engageant de  même     .dans    un antre pignon, identique au  pignon 315, qui engrène avec les dents inter  nes d'une couronne 318     (fig.    6) à dentures    interne et externe identique à, la couronne  310, et dont les dents externes sont disposées  pour entrer en prise avec et pour     entraîner     une roue     imprimeuse    319 de l'ordre des  dixièmes.  



  Les roues     imprimeuses    des quatre ordres  inférieurs de montants, y     compris    la roue  319     (fig.    24) sont     portées    par un châssis qui  peut se déplacer en coulissant et qui est mis  en position sous l'action des touches 194 de  sélection des colonnes     (fig.    2), de façon à  choisir les colonnes de la feuille d'enregistre  ment     (fig.    3) où seront portés les différents  éléments.

   Le     châssis    coulissant portant ces  roues     imprimeuses    sera décrit plus tard, en  même temps que le mécanisme     -différentiel     des     touches    194 de sélection des     colonnes.       La mise en position de l'arbre 267     (fig.    44)  effectuée par le mécanisme :différentiel de la  rangée des dixièmes des touches des montants  (représenté     fig.    6) est transmise à la roue       imprimeuse    319 de :cet ordre par le mécanisme  représenté par les     fig.    24 et 44 et ci-dessus  décrit.

   La bielle 305     (fig.        40B    et 44) est em  pêchée de se déplacer latéralement par des  prolongements de cette bielle coopérant avec  des rainures circulaires de     deux    axes 320 fixés  sur le flasque 63 de l'indicateur     (fig.        40B).     



       Ainsi    qu'on l'a fait ressortir précédem  ment, il existé , un mécanisme différentiel et       un    mécanisme de mise en position des roues       imprimeuses,    identiques à ceux :décrits, pour  chaque rangée de touches 190 .de montants       (fig.    2); pour la rangée de touches 191 d'ad  dition et pour chacune des quatre rangées  192 des numéros     @de    référence, et comme le  mécanisme     est    le même pour les différentes  rangées de touches, il semble que la descrip  tion faite ci-dessus pour la rangée des  dixièmes doive suffire.

   Chacune des touches  de transactions 193 et des touches 194 de sé  lection :des colonnes possède un mécanisme  différentiel qui :est similaire au mécanisme  différentiel des montants décrits plus haut,       mais    en diffère suffisamment dans sa réalisa  tion mécanique pour justifier une brève des  cription, qui sera donnée plus loin.      Lorsque le segment différentiel d'entraîne  ment 232     (fig.    7) a été mis en position sous  l'action clé la     touche    190 qui a été enfoncée,  une roue 321     du        totaliseur,    de l'ordre corres  pondant, entre en prise avec plusieurs dents  303 d'engrenage de ce segment 232.

   Le rap  pel dans le     sens    inverse des aiguilles d'une  montre du liras 246 (fi-. 7 et 8), sous l'action       des    cames     25-1-255    et 256=257 (ligne 1,       fig.    43), ramène le segment 243 dans le sens  inverse des aiguilles d'une montre, ce qui  amène le téton 244 dans le crochet formé par  un prolongement. du plateau 238, en même  temps que l'épaulement 242 de la périphérie  260 de ce segment 243 vient en face de la  partie formant verrou, de la pièce 236.

   Lors  que l'épaulement 242 vient. en face du verrou  236,     l'action    des lumières 234 et 239 du seg  ment 232 et du plateau 240, jointe à l'action  du     ressort    241, dégage immédiatement la dent  258 de l'encoche d'alignement 259 et met en.  prise l'épaulement 242 du verrou avec le  verrou 236.  



  Le plateau 238 et le verrou 236 peuvent  alors revenir ensemble dans le sens     inverse     des aiguilles d'une montre avec le segment.  243 et, par l'intermédiaire du téton 235, ils  peuvent ramener le plateau 240 et le segment  232 dans le sens inverse des     aiguilles    d'une  montre, de la position qui leur avait été  donnée à la position de repos. Le retour dans  ce sens du segment 232 fait tourner la roue  321 de cet. ordre     particulier,    dans le sens ,des  aiguilles     d'une    montre,     d'une    quantité corres  pondant à la valeur de la, touche enfoncée, de  façon à ajouter cette valeur à cette roue.

    Lorsque le segment. 232 est revenu à sa posi  tion de repos, la roue 321 du totaliseur est  libérée d'avec le segment.  



       Mécanisme   <B><I>(le</I></B><I> report.</I>  



  Le     mécanisme    qui a pour but de reporter  dix unités d'un ordre à l'ordre supérieur  comprend un secteur 322 des dixièmes (dix  cents par exemple)     (fig.    6, 7 et 8) placé  entre le     segment    232 et le plateau 240, ledit  secteur étant disposé pour pouvoir tourner  .autour du même axe que le segment 232,    grâce à une surface arquée de son extrémité  inférieure s'appuyant sur un     nioy-en   <B>323</B> du       segment    232, De façon à l'empêcher de se dé  placer latéralement,

   le secteur 322 porte     lui     téton 324 qui     passe    dans une lumière     cireu-          laire    pratiquée dans le segment 232, cette lu  mière étant concentrique à l'axe du segment.  Pour empêcher le secteur de se déplacer dans  le     selfs    axial, il porte Lui goujon 325 ayant  une partie formant rebord, cette partie     s'ap-          pui>ant    sur la. surface périphérique du seg  ment 232.  



       Lorsque    les pièces sont au repos, comme  le représentent les figures, un ressort. 326,  tendu entre le segment 232 et le secteur 322,  sollicite ledit secteur dans le sens inverse de  celui des aiguilles d'une montre, de façon à  maintenir une     partie        clé    diamètre réduit     du          o'on)oll    325 (fi-. 7 et 9) en contact avec un  talon formé par le prolongement. d'un levier  327 de report, fou sur     lui    axe 328 fixé sur  un plateau suspendu différentiel 329 porté  par les tiges 222 et 223;     i.1        est.    prévu un tel  plateau 329 pour chaque rangée de touches.

         Un    ressort 330 sollicite le levier 327 dans le  sens des     aiguilles    d'une montre, mais ce levier  est maintenu en position, en opposition à, l'ac  tion du ressort, par un téton carré     331.    qu'il  porte et qui entre dans une encoche 332 pra  tiquée sur     lui    cliquet 333. Le     cliquet    333 est.

    relié, par l'intermédiaire d'un     moyeu    fou sur  un axe 334 fixé sur le plateau 329,à un bras  335 qui, lorsqu'il est. en position de repos,  représentée sur- le dessin, se trouve sur le  trajet d'une dent 336 d'une plaque     d'avance-          nient.    fixée sur la face gauche d'une roue 337  de l'ordre des centièmes (un cent par exem  ple). Un ressort de torsion 338 sollicite le  cliquet 333 dans .le sens des     aiguilles    d'une  montre, de façon à maintenir le téton 331 en  prise avec     l'encoche    332.  



  Pendant une addition, lorsque la roue  337 des centièmes (des cents par exemple)  (fi--. 7 .et 9) tourne dans le sens des aiguilles  d'une montre, ou sens de l'addition, de neuf  à zéro, la dent d'avancement 336 appuie sur  l'extrémité du bras 335 et le fait basculer,  ainsi que le     cliquet    333, dans le sens inverse      de celui .des aiguilles d'une montre, en anta  gonisme à l'action du ressort 338, et 'dégage  ainsi le téton 331 de l'encoche 332. Le téton  331 étant dégagé de l'encoche 332, le ressort  330 peut alors faire basculer le levier 327  dans le sens des aiguilles d'une montre jus  qu'à ce que. ce téton 331 vienne en contact  avec     un    cran d'arrêt 339 de ce cliquet. Ceci  éloigne le talon du prolongement en forme  de pied du :levier 327 du trajet du téton 325.  



  Lorsque la machine est au repos, le     cou-          lisseau    différentiel 216 et le segment. 232 sont  maintenus à un intervalle au-delà de zéro,  dans une position neutre, ainsi qu'il est repré  senté à la     fig.    7, et :lorsque le levier de report  327 est en position de repos     (fig.    9), il arrête  et maintient le secteur 322 dans la position  de zéro en s'opposant à l'action du ressort.

    326 qui forme liaison élastique entre le seg  ment 232 et le secteur 322.     Ai    début du cycle  de la machine, les cames 254 et 255 (ligne 1,       fig.    43) déplacent le coulisseau 216 et le seg  ment 232 de la position neutre à la position  de zéro, de façon à rattraper l'espace existant  entre les parties dentées de ce segment et le  secteur 322, et à amener le segment en con  tact avec le secteur. En s'éloignant de la po  sition de zéro, pour venir se mettre en posi  tion sous le contrôle de la touche 190 enfon  cée, le segment 232 accroche de secteur 322 et  l'emmène avec lui.  



  Si le levier de report 327 a été déplacé  par la dent 336 d'entraînement de l'ordre des  centièmes (des cents par exemple), ainsi qu'il  a été expliqué ci-dessus, le secteur 322 va,     au-          delà    de zéro, à la position neutre en accord  avec le segment 232 lors de son mouvement  de retour, et fait tourner la     roue    331 de l'or  dre des dixièmes (dix cents) d'un intervalle  supplémentaire dans le sens de l'addition,  afin d'effectuer un report sur les     dixièmes.     Lorsque le levier de report.

   327 n'a pas été  déplacé, ce levier reste sur le trajet du gou  jon 325 et, pendant le mouvement de     retour     du segment 232 et du secteur 322, ce levier  327 entre en contact avec le goujon 325, de  façon à arrêter le secteur à la position de  zéro, représentée à la     fig.    7, tandis que le seg-    ment 232 poursuit son chemin au-delà de la  position de zéro jusqu'à la position neutre.  Il est évident que, dans ce dernier cas, la  roue 321 des dixièmes étant en     prise    avec le  secteur 322 lorsque ce secteur arrive à la po  sition de zéro, le mouvement de cette roue  s'arrête et qu'aucun report ne se produit.  



  Tous des leviers 327 déplacés et tous les  cliquets 333 sont ramenés à leur position nor  male au début du cycle suivant, avant que les  segments 232 soient     mis    en mouvement, mais  après que ces segments ont été ramenés .de la  position -de repos ou position neutre, repré  sentée à la     fig.    7, à la position de zéro. Les       segments    232, en se     .déplaçant    .de la position  neutre à la position .de zéro, emmènent en  même temps tous les secteurs 322 déplacés à  leur position de zéro.  



  Pendant que le segment 232 de la rangée  des dixièmes est à     1a    position de zéro, un  levier 340 fou sur l'arbre 233     (fig.    9) bascule  dans le sens des aiguilles d'une montre et  amène un nez arrondi qu'il présente, en con  tact avec une surface 341 du levier 327 de  report, de façon à ramener ce levier dans le  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre à sa position de repos, représentée sur la  figure, position dans laquelle le téton 331  s'engage dans l'encoche 332 du     cliquet    d'avan  cement 333.  



  Il existe un levier identique au levier 340       (fig.    9) pour chaque rangée de touches de  montants, y compris la rangée des touches  191 d'addition et la rangée de touches des  excédents et,     d'antre    part, un prolongement  vers le bas du levier .de rappel 340 des unités  (dollars par exemple) supporte l'une des  extrémités d'une tige 342, dont l'autre extré  mité est supportée par un prolongement  identique d'un     ;levier    identique au levier 340,  et tournant librement sur l'arbre     \_'33,    ce  levier n'étant pas représenté sur la figure.

    Un prolongement vers le bas du levier 343  et un prolongement identique de son levier  conjugué sont tous deux en forme de fourche  et emprisonnent dans cette fourche chacun  un téton 344 porté par chacun des leviers     34:ï     fous sur la tige 247, et chaque levier 345      porte des galets 316 et. 317 qui coopèrent. res  pectivement avec des cames 318 et 319 con  juguées     (fig.    9,     10A    et     10B)    fixées sur l'arbre  principal 130.  



  Le levier de rappel. 340 de la rangée des  dixièmes et les leviers similaires des autres  rangées de touches de montants, sauf celui  des unités     (dollars),    ont chacun un prolon  gement vers le bas en forme de fourche pour  emprisonner la tige 312. Par     conséquent,    ces  leviers de rappel se déplacent en     même    temps  que les leviers     3-l0    et la tige 312 lorsque  ceux-ci sont basculés par les leviers 345 et  par les cames     3-18    et 319, tout d'abord dans le  sens des aiguilles     d'une    montre, puis en re  tour, à leur position normale,

       conformément     aux temps donnés par la ligne 1 du graphique  des temps     (fig.    13), de faon à ramener tous       les    mécanismes de report. au repos de la ma  nière indiquée ci-dessus.  



  En comparant les lignes 7. et 1 du graphi  que des temps     (fig.    43), on peut voir que tous  les leviers de report     déplacés    et     leurs    cliquets  sont ramenés ait repos pendant que les seg  ments 232 sont à la position de zéro. Le méca  nisme de rappel est, ramené à sa position nor  male, représentée à la     fig.    9, avant que les  segments 232 n'effectuent leur     mouvement    de  retour dans le     Sens    inverse de celui     clés     aiguilles d'une montre.  



  Un mécanisme (le report identique à celui  de la rangée des dixièmes.     ei-dessiis    décrit, est  établi pour chacune des rangées de touches de  montants, y compris la rangée des touches  191 d'addition et la     r < itigée    des touches  d'excédents voisine des     précédentes.    Sur la       fig.    21, on peut voir     1a    disposition en largeur  du mécanisme différentiel. et d'une partie du       mécanisme    de report de la rangée des touche  191 d'addition, et, comme les pièces en sont.  identiques à celles de la rangée des     dixièmes     qui leur correspondent, on les a repérées sous  le même numéro.

           Mécanisme   <I>dit</I>     totaliseur.     



  Il existe une roue de     totaliseur    identique  aux roues 321 et 337     (fig.    6, 9 et 21) pour  chacune des rangées de touches 190 de mon-         tants,    une pour la     rangée    de touches d'addi  tion 191 et une pour .la rangée de touches  d'excédents, ce qui fait     six    roues en tout, qui  sont montées et.

   peuvent tourner sur un arbre  351 du totaliseur, supporté par un châssis qui  peut se déplacer en coulissant, sous la com  mande du coulisseau 92 de contrôle total et des  touches de     transactions    793, de     fagon    à pou  voir mettre en prise et hors de prise les  roues du totaliseur avec les segments corres  pondants, qui sont., sous tous rapports, iden  tiques au segment 232     indiqué    ci-dessus  propos de la rangée de touches des     dixièmes          (fig.    6).  



  Le     châssis    coulissant du totaliseur     com-          prend    un plateau droit 352 et un plateau  gauche 353 (fi--.<B>19,</B> 20, 21, 22 et<B>25)</B> qui  supportent l'arbre 351, un arbre d'enclenche  ment 351 et. une tige 355 qui, à son tour,  maintient, les deux plateaux en position     fixe          l.'un    par rapport. à ].'autre.

   Les plateaux 352  et 353 sont montés coulissants dans la ma  chine, grâce à. des lumières qu'ils portent et  qui coopèrent avec des ergots 356 et 357 fixés  aux flasques     67.    et. 60 respectivement, et grâce  à l'arbre 351 dont. les extrémités s'engagent  respectivement. dans     des    ouvertures 358 prati  quées dans des plaques 359 et 360 fixées de       faé#on    amovible aux flasques 61 et 60 respec  tivement au     moyen    d'ouvertures faites dans  un prolongement de     ceux-ci,    ouvertures co  opérant avec des tétons 361 et des vis 362.

         lies    plaques 359 et 360 présentent chacune  des lumières identiques 363, en forme de came,       qui    coopèrent. avec     clés    galets 361 portés par  des liras 365,     fixés    à l'arbre 351.  



  Une manivelle 366, fixée à l'extrémité  droite de l'arbre 351     (fig.    19 et 30) est.  articulée à     l'extrémité        supérieure    d'une  bielle 367 portant. un ergot 368 qui co  opère     avec    une encoche d'une bielle 369,  dont     l'extrémité    antérieure est.     articulée    sur       un    bras 370 fou sur l'axe 168 fixé ait flasque  61, et     l'extrémité    postérieure de cette bielle  369 est articulée sur l'extrémité inférieure  d'un levier 371 de relevage.

       L'extrémité    supé  rieure du levier 371     (fig.    30 et 16) est arti  culée par un axe 372 sur un levier 373 fou      sur un .axe 374 fixé au flasque 61. Une bielle  375 relie le levier 373     (fig.    30 et 31) à un  prolongement vers le     haut.    d'un levier 376 fou  sur un axe 377 fixé au flasque 61. Le levier  376 porte des galets 378 et 379 qui coopèrent  respectivement avec la périphérie de cames  conjuguées 380 et 381 fixées sur l'arbre prin  cipal 130 et dont les temps de fonctionne  ment sont donnés par la     ligne    5 du graphi  que     (fig.    43).  



  Le levier 371     (fig.    15, 30 et 46) porte     11u     téton qui coopère avec la périphérie de deux  segments conjugués 385 et 386. Le segment  385     (fig.    30, 40A et     40B)    est fixé sur un  arbre 387     tourillonnant    dans les supports 284  et 285, cet arbre étant mis en position sous le  contrôle des touches de transactions 193       (fig.    2 et 10) de la manière qui va mainte  nant être expliquée. Le segment 386 (fia. 30,  40A et     40B)    est libre sur un axe 388 fixe sur  la plaque 389 fixée au support 285.

   Une bielle  390 relie les segments 385 et 386, de sorte que  lorsque le segment 385 est mis en position  sous la commande des touches 193 de trans  actions, le segment 386 se trouve mis en posi  tion en relation inverse avec ces touches. En  d'autres termes, si la partie du segment 385  qui coopère avec l'ergot 384 avance d'un cran  vers le haut, la partie de la périphérie da  segment 386 qui coopère avec cet ergot 384 se  déplace d'un cran vers le bas, ainsi qu'il sera  expliqué plus en détail ultérieurement.  



       illécanisme        différentiel    des     transactions.     L'arbre 387 est relié au mécanisme diffé  rentiel des touches 193 de     transactions    repré  senté en     fig.    10,     ce        mécanisme    étant. identi  que au mécanisme différentiel     -des    touches de  montants représenté à la     fig.    6 et fonction  nant de la même façon, ainsi qu'il a été expli  qué plus haut, avec cette restriction que les  dents du segment et le mécanisme de report  des dizaines n'existent pas dans le mécanisme  différentiel des transactions.  



  L'arbre 387     (fig.    30,     40A    et     40B)    porte  une manivelle 391 fixée sur lui, et reliée par  une bielle 392 à une manivelle coudée<B>3913</B>  folle sur l'arbre 264. Une bielle 394     (fig.    10    et 45) relie la manivelle coudée 393 à une  bielle différentielle 395 articulée sur     un    pla  teau 397 sur lequel est articulé un verrou 398  reliant le plateau 397 au plateau d'entraîne  ment 396. Un ergot 399 du verrou 398 passe  dans les lumières d'un plateau d'équilibre dif  férentiel 400 et     d'un    segment 401, de façon à  relier ces pièces avec le plateau d'entraîne  ment 396.

   Le segment 401     porte    un ergot qui  s'engage dans la fourche formée à     l'extrémité     inférieure     d'iule    plaque 402 fixée à un     cou-          lisseau    403 de transactions, monté et pouvant  glisser sur une glissière-support, de la même       facon    que le     coulisseau    216 des dixièmes des  montants     (fig.    6 et 7).  



  Le coulisseau de transactions 403 est nor  malement maintenu en position de zéro par  un cliquet 404 d'arrêt de zéro, fou sur l'arbre  212. Mais, si l'on enfonce une touche 193 de  transactions     (fig.    10), la plaque de contrôle  415 glisse vers l'avant et fait basculer le cli  quet 404 en position inactive, et l'extrémité  inférieure de la touche enfoncée vient se pla  cer sur le passage d     e    l'une des oreilles ra  battues formées sur le coulisseau 403. Le pla  teau d'entraînement différentiel 396 est relié  à un bras 405 fou sur la tige 247, et ce bras  est relié, par un excentrique réglable, au le  vier 406 également fou sur la tige 247.

   Le le  vier 406 porte des galets 407 et 408 qui co  opèrent respectivement avec. la périphérie de  cames conjuguées 409 et 410, dont. les temps  de fonctionnement sont donnés par la ligne 2  du graphique     (fig.    43).  



  Lorsque l'arbre principal 130 (fia. 10)  tourne dans le     sens    des aiguilles d'une montre,  les cames 409 et 410 font basculer le levier  406 et le bras 405 d'abord dans le sens des  aiguilles d'une montre, conformément aux  temps de fonctionnement. donnés par la ligne  2 du graphique     (fig.    43), ce qui fait basculer       aussi    dans le même     sens    le mécanisme diffé  rentiel des transactions, qui fait     glisser    le  coulisseau 403 vers l'arrière jusqu'à ce que ce  mouvement soit interrompu par la touche 193  enfoncée.

   Ceci met en position le coulisseau  403 et les pièces 401, 400 et 397, selon la tou  che 193 qui a été enfoncée, après quoi le      bras 405, approchant de la fin de sa course  dans le sens des     aiglrilles    d'une montre,  amène un galet. 411 qu'il porte,     en        contact     avec une surface en forme d'arc de la bielle  principale 395, de façon à pousser cette bielle  en contact avec un manchon porté par l'arbre  233 et à fixer cette bielle en position et, par       conséquent.,    par l'intermédiaire du     système     de liaisons représenté par les fis. 10 et 45, à.  fixer aussi la position de l'arbre 387, selon la  touche 193 de transactions enfoncée.

   Comme  le segment 385 (fi-. 30) est. fixé sur l'arbre  387, il se trouve, ainsi que son segment con  jugué 386, mis en position selon la touche<B>193</B>  enfoncée.  



  La mise en position de l'arbre 387, sous  l'action de la touche 193 enfoncée.     est    trans  mise par un bras 412 qui lui est fixé (fi-. 40A  et 45) et. une bielle 413, à un segment     -114     d'indicateur, fou sur la tige 271 et fonction  nant de la. même     Tacon    que le     segment    simi  laire 270     (fig.    6) de la rangée des     dixièmes     des montants, de manière à mettre en position  des indicateurs avant. et arrière 415 (fi-. 1 et  40A) des touches de transactions 193.

   \  Le mécanisme différentiel des     transactions     met de même en position une roue     impri-          meuse    des transactions, de façon à     enregistrer     sur la feuille d'enregistrement un repère  d'identification caractéristique de la trans  action qui a été effectuée.  



  Sur l'arbre 387     (Tic.    25, 40A et 40B) est  fixée une manivelle 416; celle-ci est articulée  par     l'intermédiaire    d'une bielle 417, identique  à la bielle 305     ((i1.    44) de la     rangée    des  dixièmes des montants, sur un segment 418  fou sur l'arbre 264. Une bielle 419 relie le  segment 418 à un sen-nient 420 libre sur la  douille 309, ledit. segment 420 étant muni de  dents qui engrènent avec les dents externes  d'une couronne 421 dentée intérieurement et.  extérieurement. Les dents internes de la. cou  ronne 421 portent sur la périphérie d'un dis  que 422 porté par la. douille 312. Les dents  internes de la couronne 421     engrènent    avec  un pignon 423, qui entraîne un axe carré 424.

    Cet axe est. relié par un     pignon    identique  (non représenté), à une autre couronne 425    dentée intérieurement et     extérieurement          (fig.        24),        dont:        les        dents        extérieures     une roue     imprirrreuse    426 portant les  caractères     correspondant    aux touches 193 des  transactions.  



  Le     méeanisrne    représenté par les     fig.    24  et 25 et ci-dessus décrit réalise une liaison       d'entraînement    entre l'arbre 387 et la roue       imprimeuse    426 des     transactions,    de façon à  mettre cette roue     imprimeuse    dans une posi  tion qui correspond à la touche 193 gui a  été enfoncée, et à enregistrer un     symbole    ca  ractéristique de la. transaction quia été effec  tuée.  



  <I>Mise</I>     eii.   <I>prise</I>     drr.        totaliseur.     



  Les     segments    385 et 386     (fig.    15) portent  de petits numéros correspondant à leurs diffé  rentes positions par rapport à. l'ergot 384,  ces numéros correspondant. aux différentes  touches 193 de     transactions        (fig.    2) qui sont  numérotées de la même façon.  



  Lorsque le mécanisme différentiel des tou  ches 193 de transactions     (Tic.    10) se trouve  arrêté dans la position de zéro par le cliquet  de zéro     -104,    les     segments    385 et 386     (flg.    15  et 30) sont     placés-comme    sur ces     figures,    de  sorte qu'une partie d'en haut de la. surface  active du segment 385 empêche tout mouve  ment vers la. droite du téton 384 et que la  surface active du     segment    386 est au-dessus  et hors du trajet de     L'ergot    384.

   C'est la posi  tion propre que prennent ces segments 385 et  386 lorsque la     machine    est     utilisée    comme ma  chine à     additionner    et qu'il faut que le tota  liseur soit mis en et hors de prise     pendant    les  opérations d'addition.  



  Lorsque les segments 385 et 386 ont été  mis en     position    par le mécanisme différentiel   < les transactions, les cames 380 et 381.     (fi(y.    30  et. 31)     fonctionnent    selon les temps donné  par la lime 5 du graphique des     temps          (fig.    43), de façon à faire basculer le levier       >76    ainsi que, par l'intermédiaire de la bielle  <B>375,</B> le levier<B>373,</B> d'abord dans le     sens    des  aiguilles d'une montre (voir aussi fi-. 46).

   Le  levier 373 se     déplaçant    dans le sens ci-dessus,  fait mouvoir le levier 371 vers l'avant ou  dans le sens inverse de celui des     aigomilles    d'une      montre,     sans    imprimer aucun mouvement à la  bielle 369, car le mouvement- vers l'avant de  l'ergot 384 n'est pas gêné par la surface active  du segment 386.  



  Lorsque les segments 232 ont été mis en  position selon les temps donnés par la ligne 1  de la     fig.    43, les     cames    380 et 381 font bascu  ler les     leviers    376 et 373 dans le     sens    inverse  de celui des     aiguilles        d'une    montre d'un angle       phis        grand    que l'angle dont ils avaient pré  cédemment basculé dans l'autre sens, ce qui       ,,mène    le levier 373 à déplacer le     levier    371  vers l'arrière ou dans le sens des     aiguilles     d'une montre.

   Ce mouvement vers l'arrière du       levier    371 amène le téton 384 en contact avec  la partie supérieure de la surface active du  segment 385, ce qui donne     aü        levier    371. un  point d'appui, de façon que sa partie infé  rieure se déplace dans le sens des aiguilles       d'une    montre, laquelle fait tourner la bielle  369 vers l'avant, ce qui fait que, grâce à la  lumière de ladite     bielle    coopérant avec l'ergot  368     (flg.    30), la bielle 367 est     poussée    vers  l'avant ou dans le sens des aiguilles     d'une     montre sur la figure.

   Ce mouvement vers  l'avant de la bielle 367 amène la partie droite       d'une    ouverture en     T    427, ménagée dans nette  bielle, en prise avec un ergot 428     .d'un    levier  429 fou sur l'axe 377.  



  Le     levier    429 porte .des galets 430 et 431,  qui coopèrent respectivement avec la périphé  rie de deux cames conjuguées 432 et 433  fixées sur l'arbre principal 130 et fonction  nant selon les temps donnés par la ligne 6 du       graphique    des temps     (fig.    43).  



  Pendant un fonctionnement de la ma  chine, les cames 432 et 433 impriment au le  vier 429 deux déplacements comprenant cha  cun un mouvement dans le sens inverse de  celui ,des     aiguilles    d'une montre et le mouve  ment de retour, conformément aux temps  donnés par la ligne 6 de la     fig.    43. Lors des  additions, le premier déplacement     du        levier     429 déplace l'ergot 428 en haut et en bas dans  la branche centrale de l'ouverture en T 427,  sans que cela imprime aucun mouvement à  la bielle 367.

   En comparant les lignes 5 et 6  du graphique     (fig.    43), on peut voir que lors-    que le levier 429 a achevé son premier dépla  cement et     revient    à sa position normale repré  sentée à la     fig.    30, la bielle 367 bascule vers  l'avant, lors     d'une    addition, et engage l'ergot  428 dans la branche arrière de l'ouverture en  T 427, ainsi qu'il est dit     phis    haut.  



  Le mouvement dans le     sens    inverse de ce  lui des aiguilles d'une montre du levier 429  lors de son deuxième déplacement amène  l'ergot 428 en coopération avec la     'branche     arrière de l'ouvert-Lire 427 et déplace ainsi la  bielle 367 vers le haut, ce qui fait basculer la  manivelle 366 et l'arbre 354 dans le sens des       aiguilles    d'une montre.

   Ce mouvement dans le       sens    .des     aiguilles    d'une montre de l'arbre     35-1          (fig.    19, 20, 21 et 22) et des bras 365 qui lui  sont fixés, amène les     gaIets    364 portés par ces  bras, en coopération avec les lumières 363 des  plateaux 359 et 360, à faire basculer le sup  port du totaliseur, y compris les     plateaux    352  et 353 et l'arbre 351, vers le bas, de façon à  mettre les roues 321 et 337     (fig.    7, 9 et 24)  en prise avec les segments     d'entraînement    232  des montants, après que ces segments ont été       mis    en position sous l'action des touches des  montants.

   Lorsque les roues du totaliseur ont  été mises en prise avec les segments     d'entrai-          nement,    le mouvement de retour de ces seg  ments dans le sens inverse de celui des aiguil  les d'une montre fait tourner ces roues dans  le sens additif ou dans le sens des aiguilles,  de façon à ajouter la valeur représentée par  ces touches actionnées. Lorsque les segments  232 sont revenus à leur position normale ou  de repos, les cames 432 et 433     (fig.    30) ra  mènent le levier 429 dans le sens .des aiguilles  d'une montre à sa position normale, ce qui  ramène l'arbre 354 dans le sens inverse et dé  gage les roues du totaliseur d'avec les seg  ments d'entraînement.

   Lorsque le levier 129  a ramené la bielle 367 vers le bas à sa posi  tion normale, les cames 380 et 381 ramènent  cette bielle 367 dans le sens inverse de ce  lui des aiguilles d'une montre, de façon à re  mettre l'ergot 428 en face de la branche verti  cale de l'ouverture en T 427, ainsi qu'il est  placé sur la figure.  



  Un dispositif actionné par ressort est      prévu dans le but de forcer les     cames    380 et  381     (fig.    30 et 31) à ramener le levier 371 et  les bielles 369 et 367 à     leurs    positions nor  inales, ce dispositif maintenant ces pièces en  position normale si ni l'une ni l'autre des  parties supérieures des surfaces actives des  segments 385 et 386 ne se trouve en face de  l'ergot     38-1    et, dans ce cas, le levier<B>371</B> bas  eule d'avant en arrière sans imprimer aucun  mouvement à ces bielles 369 et 367.  



  Un ergot. 603 est fixé à     l'extrémité    infé  rieure du levier 371 (fige. 30) et coopère avec  les surfaces planes, se faisant vis-à-vis, de  deux doigts 604 et 605 fous tous     deux    autour  d'un axe 606 fixé sur le support auxiliaire  64. Un ressort 607, tendu entre les doits 604  et 605, les sollicite l'un vers l'autre, de façon  maintenir normalement. leurs deux surfaces  plates en contact avec un téton fixe 608 fixé  sur le support auxiliaire 64.

   Normalement, le  téton 608 maintient les deux surfaces planes       opposées    des doigts parallèles 604 et 605 pa  rallèles entre elles, de façon à former une  fente élastique dans laquelle l'ergot 603 peut  coulisser vers le haut et vers le bas lorsque le  levier<B>371</B> bascule sous l'action des cames 380  et 381 (fia. 31) et si le téton 384 n'est. pas  bloqué par les parties hautes des surfaces  actives (le l'un des segments 385 ou 386.  



  lies bras actionnés par ressorts 604 et 605       (fig.    30), coopérant avec les ergots 608 et 603,  centrent le pivot du levier 371 et de la bielle  369 et font ainsi revenir la bielle 367 à sa po  sition normale, ou neutre,     après    que ce levier  371 a basculé dans l'un ou l'autre sens sous  l'action des cames 380 et 381 (fi-.<B>31)</B> et des  segments     d'entrainement    38:ï et 386.  



  Si, lorsque la machine est utilisée comme  caisse enregistreuse, on enfonce la touche 193   Comptant , située à la position 9 de la rangée  (les     touches    de     transactions,    le     segment.    385       (fil;.    15 et 30) est mis dans une position     oii     une partie pleine de sa     surface    active est en  face (le l'ergot 384 et le segment 386 est mis  (fans une position telle (lue toute sa surface  active se trouve placée en     dessous    de cet. ergot  384, de façon que le     totaliseur    soit mis en  prise et hors de prise, pendant. les additions,    exactement. de la même façon que ci-dessus.

    De même, si l'on enfonce la touche 193   Arrhes , située dans la position 7, le     segment     385 est mis dans une position où une partie  pleine de sa surface active est en face du  téton 384 et où le segment 385 place dans une  position telle le segment 386 que toute sa sur  face active se trouve placée en dessous de  l'ergot. 384, et, comme clans les deux cas pré  cédents, le totaliseur est. mis en prise et hors.  (le prise pendant les additions.  



  Si l'on enfonce la touche<B>1.93</B>  Débit  qui ,  est située dans la. position 8 de la. rangée de  touches de transactions     (fig.    ?, 15 et 30), le  segment 385 est mis en position, de telle sorte  que l'une des parties découpées, ou basses, de  sa surface active se trouve en face de l'ergot  384, et le serment 386 est mis dans une posi  tion telle que sa surface active soit en dessous  du téton 384. Par suite, les bielles 369 et 367  ne sont pas déplacées. En conséquence, la  branche verticale du<B>T</B> de l'ouverture 427  reste sur le trajet du téton 428, et le levier  429 ne donne au totaliseur aucun mouvement.  qui pourrait le mettre en ou hors de prise.

    Ceci est également. vrai dans le cas où l'on  enfonce les touches  Pas vendu  ou  Rem  bourré  qui sont respectivement situées aux  positions 5 et 6 de la rangée des touches de  transactions, et pour la même raison aucun       mouvement    n'est imparti au totaliseur.  



  Si l'on enfonce la touche     7.93     Total  ,  (fi-. 2, 15 et 30), (lui est située dans la posi  tion 1 de la rangée des touches de     t.rans-          aetions,    pour enregistrer ou établir un total,  le mécanisme différentiel des transactions  met le segment 38.5 clans une position telle;  qu'une partie découpée de sa périphérie est.  en face de l'ergot 384, et ce     segment    385 met  le segment 386 dans une position telle que sa  surface active soit en. face du téton 384,     ee     qui     empêche    tout mouvement vers l'avant de  ce téton.

   Par suite, lorsque les cames 380 et  381 (fi-. 31) basculent les leviers 376 et 373  clans le sens des aiguilles     d'une    montre, au  début (lu     fonctionnement    de la machine et  avant que les segments des montants amor  cent, leur mouvement. initial, elles font dépla-           cer    la bielle 369 vers l'arrière, par l'intermé  diaire du levier 371, ce     qiû    fait basculer la  bielle 367 dans le sens inverse de celui des       aiguilles        d'une    montre, et amène la branche  avant de l'ouverture 427 sur l'ergot 428.

   Le  mouvement dans 1e sens inverse de celui des  aiguilles d'une montre du levier 429, sous  l'action des cames 432 et 433, déplace la bielle  367 vers le haut et fait tourner l'arbre 354  dans le sens des     aiguilles,    de la     façon,    indi  quée au sujet des additions, de façon à mettre  les     roues    du     totaliseur    en prise avec les seg  ments 232 des montants, avant que ne com  mence leurs mouvements dans le sens des       aiguilles    d'une montre.  



  Le mouvement dans ce sens des segments  232 des montants     (fig.    7 et 9) fait tourner en  sens inverse les roues 321 et 337 du     totaliseur,     jusqu'à ce que leurs .dents 336 d'avancement       viennent    en contact avec l'extrémité des bras  335, de façon à arrêter ces roues dans la posi  tion de zéro et à mettre les segments d'entraî  nement des     montants,    le mécanisme des indi  cateurs et le mécanisme     d'impression    en posi  tion correspondant au montant existant sur  ces roues du totaliseur.

   Dans ce cas, les seg  ments 232 ne pouvant poursuivre leur mouve  ment, le mécanisme de verrouillage de ces  segments tombe, exactement de la même façon  que le verrou des touches des dixièmes le fait,  lorsque le coulisseau 216     (fig.    6) vient en  contact avec la tige de la touche 190 enfoncée,  ainsi qu'il a été expliqué au sujet du méca  nisme différentiel des montants.  



  Lorsque les roues du     totaliseur    ont été ra  menées au zéro, elles sont dégagées d'avec les       segments    d'entraînement des montants par le  premier mouvement de retour     dans    le     sens    des  aiguilles d'une montre, du levier 429     (fig.    30)  sous l'action des cames 432 et 433.

   Lorsque les  roues du totaliseur ont été ainsi dégagées, les  cames 380 et 381     (fig.    31) impriment un mou  vement dans le sens inverse de celui des       aiguilles    aux leviers 376 et 373 qui action  nent le levier 371 et, comme l'ergot 384 a de  vant lui une partie découpée de la surface  active du segment 385,     aucun    mouvement  n'est transmis aux bielles 369 et 367. Par    suite, la branche verticale du<B>T</B> de l'ouvert-Lire  427 reste en face du téton 428, ce     qui    fait  que le deuxième déplacement du     levier        429     ne fait pas tourner l'arbre 354 et que les  roues .du totaliseur restent au zéro à la fin  du fonctionnement de la machine.  



  Lorsque l'on effectue l'enregistrement ou  la lecture d'un total partiel,     les    roues du     to-          taliseur    sont mises en prise avec les segments  d'entraînement des montants, de même que  pour l'enregistrement des totaux, au début       desquels        lesdites    roues sont ramenées au zéro  et le montant qu'elles portent est enregistré  sur la feuille d'enregistrement, comme précé  demment.

   Toutefois, les roues ramenées au  zéro ne sont pas, alors, dégagées d'avec les  segments     d'entrainement,    comme dans l'enre  gistrement des totaux, mais elles     -restent    en  prise avec ces segments pendant leur mouve  ment de retour qui ramène lesdites roues     à,     leurs positions initiales.  



       L'enregistrement    d'un total est souvent  appelé aussi  Remise à zéro , et l'enregistre  ment d'un     sous-total    est souvent appelé  Lec  ture . Aussi, on considérera comme équiva  lents les termes  Total  et  Remise à zéro ,  d'une part, et les termes      Sous-total     et  Lec  ture , d'autre part.  



  Si l'on enfonce la touche 193      Sous-total      (fi-. 2 et 10), située à la position 2 de la ran  gée des transactions, ceci fait mouvoir le mé  canisme différentiel de cette rangée, qui dé  place lés segments 385 et 386     (fig.    15 et 30)  et les amène à la position 2, dans laquelle la  surface active de ces segments bloque le téton  384 dans les deux sens. Par suite, le mouve  ment des leviers 376 et 373     dans    le sens des  aiguilles d'une montre fait. basculer le levier  371 dans le sens inverse, l'ergot 384, coopé  rant avec la surface active du segment 386,  formant pivot pour ledit levier.

   Le mouve  ment dans ce sens du     levier    371 déplace les  bielles 369 et 367 vers l'arrière, pour amener  la branche avant de l'ouverture 427 en prise  avec l'ergot 428.  



  Le mouvement initial des cames 432 et 433       (fig.    30 et ligne 6 du graphique,     fig.    43) fait  basculer le levier 429 dans le sens inverse de      celui     des        aiguilles    d'une montre, ce qui dé  place la bielle 367 vers le haut et fait ainsi  basculer l'arbre 354     (fig.    19 et 30) dans le  sens     des    aiguilles, de faon à mettre les roues  du totaliseur en prise avec les segments d'en  traînement des montants, avant que s'amorce  le     mouvement.    de ces     se-nients.    Le premier  mouvement.

   de retour du levier 429 sous l'ac  tion des cames 432 et 433 ramène la bielle  367 vers le bas à sa position normale repré  sentée sur la figure, de façon à dégager les  roues du totaliseur d'avec les segments d'en  traînement des montants. Tandis que ces seg  ments sont. ainsi libérés, un mouvement en  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre est imprimé aux leviers 376 et 373 par les  cames 380 et 381, ce qui fait que ces leviers       basculent-    le levier 37l_ dans le sens des  aiguilles d'une montre, le téton 384, coopérant       avec    la surface active du segment 385, for  mant pivot.

   Ce mouvement clans le sens  inverse (le celui des aiguilles d'une montre du  levier 371 déplace la bielle 369 vers l'avant,  de faon à amener la branche arrière de l'ou  verture 427 en prise avec     l'ersot    428. Le  deuxième mouvement des cames 432 et 433       (fig.    30 et 31, et. ligne 6 du graphique fi-. 43)  amène les roues du     totaliseur    en prise avec  les segments des montants avant le mouve  ment de retour de ces segments.  



  Lorsque les roues du totaliseur ont ainsi  été mises en prise avec. les segmente d'entraî  nement     des    montants, le mouvement de retour  de ces segments ramène ces roues à     leurs    posi  tions initiales, de façon à effectuer l'enregis  trement d'un      Sous-total     on une      Lecture .     Le montant étant à nouveau porté par les  roues du totaliseur, les cames 432 et 433 dé  gagent     lesdites    roues d'avec les     segments        (Ven-          traînetnent    des     montants,

      après quoi les     cames     380 et<B>381</B>     (fig.    31 et ligne 5 du     graphiqtïe          fig.    43) entrent en fonction pour     ranjener    la  bielle 367 à sa position normale     (fig.    30), de  façon que la branche verticale     dil    T de l'ou  verture 427 soit en face de l'ergot 428.  



  La position 3 des     segments        385    et. 386       (fig.    15 et 30) ferait     aussi    mettre en et. hors  de prise le totaliseur au moment de l'enregis-         trement    ou de la lecture d'un     sous-total,    exac  tement de la même façon que le ferait la po  sition 2 de ce segment. Cependant, il n'existe  pas de touche de transaction 113     (fig.    2) cor  respondant à cette position 3, et, par suite,  cette position n'est. pas utilisée dans la dispo  sition décrite.

   De même, clans la disposition dé  crite, la, position 4 de la rangée de touches de  transactions n'est pas utilisée; mais si elle  l'était, les     segments    385 et 386 feraient mettre  le totaliseur en et hors de     prise    pendant les  périodes d'addition.  



  Il est à remarquer que la partie de la sur  face active du segment 385     (fig.    15 et 30),  correspondant aux touches 193  Pas vendu   et  Remboursé  (fi-. ?) situées respective  ment aux positions 5 et 6 de la rangée des       touches    de transactions, est découpée et,  comme la surface active du segment 386 est  amenée au-delà de l'ergot. 384 lorsque ledit  segment. se trouve dans la position 5 ou 6,  aucun mouvement n'est imprimé à la bielle  369 (fi-. 30). Par suite, la branche verticale  du<B>T</B> de l'ouverture 427 reste sur le passage  de l'ergot 498 et, en conséquence, le totaliseur  n'est soumis à aucun mouvement pour le met  tre en prise ou hors de prise lorsque l'on  enfonce la touche  Pas vendu>> ou  Rem  boursé>>.

   En d'autres termes, les transactions   Pas vendu  et      Renll@o@tl@sé     sont des trans  actions qui     lie    s'ajoutent pas au total.  



  La touche 193  Arrhes      (fig.    2), placée à  la position 7 de la rangée des transactions,  fait, mouvoir les segments 385 et 386 à la  septième position, dans laquelle une partie  pleine de la surface active du segment 385 est  en face de l'ergot 384 et la surface active du       segment    386 se trouve au-delà     dudit.    ergot  384.

   Cette mise en position des segments 385  et 386 met le totaliseur en prise et hors de  prise avec les segments     d'entraînement    des       montants    pendant les périodes d'addition,  exactement de la même façon qu'on l'a. expli  qué lorsque la machine est utilisée comme  machine à     additionner,    cas dans lequel lesdits       segments    sont placés     dans    la position de zéro,  de sorte que les éléments  Arrhes  sont  ajoutés au totaliseur.

        La touche 193  Débit , placée à la posi  tion 8 de la rangée des touches de trans  actions, amène les segments 385 et 386 dans  la position 8, dans laquelle une partie dé  coupée de la surface active du segment 385  se trouve en face de l'ergot 384, et où la sur  face active du segment 386 se trouve au-delà  de cet ergot 384. Lorsque les segments 385 et  386 sont dans de telles positions, aucun  mouvement n'est imparti au totaliseur; par  suite, les     éléments     Débit  ne sont pas ajoutés  au total.  



  *La touche 193  Comptant      (fig.    2)  placée dans la position 9 de la rangée des  transactions amène les segments 385 et 386  dans la position 9, dans laquelle une     partie     pleine de la surface active du segment 385 se  trouve en face de l'ergot 384 et la surface  active du segment 386 se trouve au-delà     du-          dit    ergot 384. En conséquence, lorsque     ,l'on          enfonce    la touche 193  Comptant , les seg  ments 385 et 386 font mettre le totaliseur en  prise et hors de prise avec les segments d'en  traînement des montants pendant les périodes  d'addition, de sorte que     les    éléments  Comp  tant  sont ajoutés au total.  



  Les touches 193     (fig.    2)  Pas vendu ,   Remboursé ,  Arrhes ,  Débit  et  Comp  tant  ne sont     utilisées    que si l'on. se sert de la  machine comme caisse enregistreuse; c'est  pourquoi, lorsque le     coulisseau    de contrôle  général 92 est dans la position  Enregistre  ment , ainsi qu'il est représenté, ces touches  sont déverrouillées et, lorsque ledit coulisseau  est hors de la position     d' Enregistrement ,     ces touches sont toujours verrouillées et ne  peuvent être enfoncées, ainsi qu'il sera expli  qué     phis    loin.

   De même, les touches 193  Total   et      Sous-total         (fig.    2), placées respective  ment aux positions 1 et 2 de la rangée des  touches de transactions, sont verrouillées et  ne peuvent être enfoncées lorsque le     coulis-          seau    92 est dans la position  Addition et Re  mise à zéro .  



  Le dispositif de lecture du totaliseur,  outre qu'il est contrôlé par la touche 193        Sous-total ,    est contrôlé aussi par le     coulis-          seau    92 de contrôle général     (fig.    26 et 30)    qui, lorsqu'il est amené à la.

   position  Lec  ture , amène un segment 436 dans une posi  tion où deux becs 437 et 438 qu'il porte, et  qui se font face, viennent se placer en face de  l'ergot 384 et coopèrent avec cet ergot pour  mettre le     totaliseur    en prise et hors de prise  pendant les périodes de lecture, exactement  de la même manière que lorsque les segments  385 et 386 sont placés en deuxième position  sous l'action de la touche 193 clé      Sous-total           (fig.    2), ainsi qu'il a été expliqué précédem  ment.  



  Le segment 436     (fig.    25, 26 et 30) est fou  sur l'arbre 387, et ce segment porte un ergot.  439, engagé dans une lumière 440 d'un bras  441 fixé sur un arbre 442 tourillonnant sur  les supports 284 et 285     (fig.    40A et 40p). Un  bras 443, fixé aussi sur l'arbre 442, présente  à son extrémité supérieure une lumière dans  laquelle s'engage un ergot 444 du coulisseau  92. Ce coulisseau 92 peut coulisser grâce à des  fenêtres parallèles qu'il porte, coopérant avec  des tétons 445 et 446 fixés au flasque gau  che 60.  



  Le coulisseau 92 présente une série d'en  coches 447 correspondant. aux diverses posi  tions du coulisseau et qui coopèrent avec un  ergot 448 d'un bras 449 poussé par un ressort,  et fou sur l'axe 90, de faon à maintenir le  coulisseau dans ses diverses positions. Lorsque  l'ergot 448 passe d'une encoche à l'autre, le  bras 449 bascule, en opposition à l'action de  son ressort, de faon à amener momentané  ment un bec 450 qu'il porte sur le passage  d'un épaulement 451 d'un bras 452 fixé à  l'extrémité gauche de l'arbre 177 de verrouil  lage des     touches,    de façon à bloquer les mou  vements dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre de cet. arbre (voir aussi     fig.    15), lorsque  le coulisseau 92 est déplacé d'une position à  l'autre.

   Lorsque ce coulisseau 92 est amené à  la position  Enregistreuse verrouillée , un  ergot 453     (fig.    26) porté par ce     coulisseau     vient se placer au-dessus d'un. doigt 454 for  mant prolongement du bras 452, de façon à  empêcher l'arbre 177 d'être libéré, empêchant  ainsi tout fonctionnement de la machine.  



       Lorsque    l'on amène le coulisseau 92 à la           position         Lecture    du total , le bras 443       (fit:.    26 et 30), l'arbre 442, le bras 441 et  l'ergot 439     mettent.    -le segment. 436 en position  telle que les becs 437 et 438 soient en face de  l'ergot 384, de     facon    à faire mettre le     totali-          seur    en prise et. hors de prise avec les seg  tnents d'entraînement     (les    montants, pendant  les périodes (le lecture ou de     sous-total.     



  Dans la     disposition    décrite, toutes les       autres    positions du coulisseau 92 amènent, le       segment    436 dans une position telle que les  parties dégagées de la lumière que porte ce       segment    se trouvent en face de l'ergot 384  et où, par     conséquent,    ce segment n'a aucune  action sur la mise en prise ou hors de prise  du totaliseur, sauf lorsque ce     coulisseau    se  trouve clans la position  Lecture du total .

   Il  est évident que d'autres becs similaires aux  parties 437 et 438 peuvent être réalisés dans  l'ouverture du segment 436, de façon à con  trôler la mise en prise on hors de prise du  totaliseur de     quelque        facon        qu'on    le désire.  



  Le     coulisseau    92 met aussi en position une  roue     imprimense    qui lui correspond, pour en  registrer un     symbole        caractéristique    de la  position de ce     eoulisse < m    ou du type d'opéra  tion réalisée.  



  Le     coulisseau    92     (fig.    24, 25 et 26) porte  un ergot 455     qui    est engagé dans une ouver  ture de la partie     supérieure    d'un segment 456  fou sur l'axe creux 309. Des dents portées  par le segment.     -156        engrènent    avec les dents  d'une roue dentée 457 montée sur l'un des       disques    422, ladite roue étant à. son tour en  prise avec un pignon 4)8 fixé à. l'une des  extrémités d'un arbre 459     tourillonnant    sur 1e  support du mécanisme imprimeur. Ce sup  port du mécanisme imprimeur est constitué  par le plateau 313     (fig%    24 et 25) et<B>un</B> pla  teau 460.

   Ce dernier plateau 460 est fixé sur  une tige 461 dont. l'une des extrémités est  fixée à la douille 312 et l'autre extrémité est  portée par le flasque droit 61.  



  Un pignon 462, fixé sur L'arbre 459       (fig.    24 et 26), est en prise avec les dents  d'une roue 463 montée sur un disque 464 par       rapport    auquel elle peut tourner; ce disque  est supporté à son tour par l'arbre 461. Les    dents de la roue 463 sont. en prise avec une  roue     imprimeuse    465 folle sur l'arbre 351.  Cette roue     imprimeuse    est mise en position  par le mécanisme qui a été     .décrit    pour l'im  pression d'un repère sur la bande d'enregis  trement selon la position du coulisseau 92  ou le type d'opération effectuée.

   Dans la dis  position décrite, deux positions seulement de  la roue     imprimeuse    coulissante 465 portent  des caractères     (fit;'.    24 et 26) d'imprimerie,  un     .U    qui sera reporté sur la, bande d'enre  gistrement lorsque le coulisseau 92 sera sur  la position  Lecture du total  et un signe  d'addition     (-@-    ) lorsque le     coulisseau    est dans  la position  Addition et Remise â. zéro .  



  La tige 461     (fig.    24), outre qu'elle     Sup-          porte    la roue 457, porte     aussi    la roue 425 des  transactions, qui peut tourner sur elle, et de  même les roues dentées des roues     imprimeu-          ses    des deux ordres les plus élevés des mon  tants, et. celles des roues     imprimeuses    des  quatre numéros de référence. Les roues     ci-          dessus    mentionnées constituent, la partie fixe  du mécanisme     imprimeur.    La. tige 461 porte  de même le     support    glissant,     qui    sera décrit.

    plus loin, et, qui porte les engrenages et les  roues     imprimeuses    correspondantes des qua  tre rangées de touches de transactions, de  sorte qu'il est impossible que des montants  plus de quatre chiffres soient imprimés dans  l'une des colonnes de la feuille     d'enregistre-          m.ent.     



       Co-inhtei(r   <I>(le remise à</I>     zéro.     



  Un     eomptenr    pas à pas est prévu, qui  compte une unité chaque fois que le coulis  seau 92 de contrôle général est mis sur la po  sition  Addition et     Remise    à zéro .  



  La     couronne    457: dentée intérieurement, et  extérieurement     (fig.    23, 25 et 26) du     coulis-          seau    92, porte une surface 468 formant came,  qui coopère avec     l'extrémité    arrondie d'un  levier 469 fou sur un axe 466, fixé au  flasque 60. Le levier 469 porte un ergot 470  qui s'engage dans une lumière 471 d'une bielle  472, dont. l'extrémité supérieure est articulée  sur une pièce 473     d'accouplement,    folle sur un  arbre 474, qui pivote dans les montants laté  raux d'un     support.    475 fixé sur     une    console      476 à son tour fixée au flasque 60.

   La pièce  473 porte une tige sur laquelle est monté et  peut tourner un cliquet 477 qui porte des  dents coopérant avec les dents de plusieurs       rochets    fixés     chacun    sur l'une des     roues    478  du compteur, ces     roues    étant folles sur l'arbre  474. Un     ressort    maintient normalement les  dents du cliquet 477     (fig.    23) en prise avec  les rochets portés par les roues 478 du comp  teur de remise à zéro. Chacune des roues 478  du     compteur    porte des chiffres qui sont visi  bles au travers d'une ouvert-Lire d'un couver  cle 494     (fig.    25) du mécanisme du compteur,  ce couvercle étant fixé sur le flasque 60.

    



  La pièce 473 porte un bras droit     (fig.    23  et 25) qui possède deux encoches 479 et 480,  correspondant respectivement aux positions  d'avancement et de rappel du cliquet<B>477.</B> Les  encoches 479 et 480 coopèrent avec le bec d'un  cliquet 481 fou sur un axe 482,     fixé    sur une  plaque 467     (fig.    25), elle-même fixée au  châssis 60.

   Un ressort 483     (fig.    23), tendu  entre un     prolongement    du cliquet 481 et l'axe  470, maintient le bec du     cliquet.    481 en prise  avec les encoches 479 et 480 et sollicite le le  vier 469 dans le sens     inverse    de celui des       aiguilles    d'une montre,<B>de,</B> façon à appuyer  l'extrémité arrondie de ce     levier    sur la sur  face 468 formant came.  



  L'extrémité inférieure de la bielle 472 pré  sente     une    lumière 484 en forme de     Z,    qui  comprend deux branches verticales, décalées       l'une    par rapport à l'a-Litre et réunies par -une  branche horizontale, cette lumière coopérant  avec un ergot 485 d'une manivelle 486 fixée à  l'une des extrémités     d'un    manchon 487 fixé  lui-même sur l'arbre 488 d'entraînement du  dispositif imprimeur, cet arbre tourillonnant  sur les     flasques    60 et 61.

   A l'autre extrémité  du manchon 487 est fixée une manivelle 489       (fig.    25)     sir    laquelle est articulée l'extré  mité antérieure d'une bielle 490, dont l'extré  mité postérieure forme une fourche qui s'en  gage autour de l'arbre principal 130. La bielle  490 porte un galet 491 qui coopère avec la  gorge 492 d'une came 493 fixée à l'arbre  principal 130 et fonctionnant conformément  à. la     ligne    10 du graphique     (fig.    43), de façon    à faire osciller la manivelle 489, l'arbre 488  et la manivelle 486, d'abord dans le sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre       (fig.    23), puis en sens inverse, pour revenir à  la position normale représentée par la figure.  



  Lorsque le coulisseau 92 de contrôle géné  ral     (fig.    2, 23 et 26) est amené dans la posi  tion     d' Enregistrement ,        d' Enregistreuse    ver  rouillée  ou de  Lecture du total , la. roue  457 est mise dans une position telle que la,  surface présentée par la came 468 au levier  469 soit une partie, creuse, de sorte que ce le  vier soit maintenu dans la position représentée  par la     fig.23    et que, par l'intermédiaire de  l'ergot 470 et de .la lumière 471, la bielle 472  soit dans la position représentée par la même  figure, de sorte que la branche gauche de la  lumière 484 se trouve en face de l'ergot 485.

    Lorsque la bielle 472 est dans cette position,  les mouvements d'oscillation de la manivelle  486,     effectués    sous l'action de la came 492, ne  provoquent aucun déplacement de la bielle  472, l'ergot 485 se déplaçant librement dans  la branche gauche de la lumière 484; par con  séquent, les roues du compteur ne sont pas  mises en mouvement.  



  Si le coulisseau 92     (fig.    23 et 25) est mis  dans la position     d' Addition    et de Remise à.  zéro , la partie inclinée de la surface 468,  coopérant avec l'extrémité arrondie     clu    levier  469, fait basculer ce levier dans le sens des  aiguilles d'une montre; ce levier fait aussi  basculer la bielle 472 dans le même sens; la  branche de droite de la lumière 484 est ainsi  amenée en face de l'ergot 485. Lorsque la.  machine fonctionne, le mouvement dans le  sens des aiguilles d'une montre de la mani  velle 486 amène l'ergot. 485,     coopérant    avec le  bord inférieur de la branche horizontale de  la lumière 484, à faire descendre la bielle 472.

    Ceci fait basculer la pièce 473 dans le sens  inverse .de celui des aiguilles     d'üne    montre,  et l'amène de la position de rappel, qui est  représentée sur la     fig.    23 et dans laquelle le       cliquet    481 est en prise avec l'encoche 480, à  la position d'avancement; dans cette position,  le     cliquet    481 est en prise avec l'encoche 479,  ce qui maintient la pièce 473 dans la position      d'avancement.

   Le     mouvement    en sens     inverse     (le celui des aiguilles     d'une    montre de la pièce  473 et du cliquet 477 de la position de rap  pel dans celle     d'avancement,    amène ce cliquet,  en coopération avec le rochet de la roue 478  des unités, à faire avancer cette roue d'un  cran et à enregistrer cette unité lors du     pre-          niier    fonctionnement de la. machine     venant     après la     mise    en place du     coulisseau    92     siu-           Addition    et Remise à zéro .

       Une    encoche pro  fonde pratiquée sur le rochet des ordres les  plus bas permet aux dents du     cliquet   <B>477</B> de  faire avancer d'une unité la roue 478 de l'ordre  immédiatement, supérieur, lorsque la précé  dente passe par zéro.  



  Tant. que le     eoulisseaii    92 reste clans la po  sition     d' Addition    et de Remise à zéro , la  branche de droite de la lumière     48-1        (fi;@.    23<B>)</B>  reste en face de     l'ei,got    485, et lors des fonc  tionnements successifs de la machine, cet  ergot 485 oscillera     librement    dans la branche  de droite de cette     luiiiière,        ,ans        provoquer    au  cun mouvement de la bielle 472,

   (le sorte que  le compteur ne sera actionné qu'une fois à  chaque mise en place du     coulisseau    dans la  position     d' Addition    et de Remise à zéro .  



  Lorsque     Fon    écarte le coulisseau 92 (le la  position     d' Addition    et Remise à zéro , la  partie inclinée de la came     -168        (fig.    23)  s'écarte de     l'extrémité    du     levier    469. -lais, à  ce moment, la. bielle 472 se trouve dans sa  position basse, basculée, la partie haute de 1a  branche (le droite de la lumière     48-1    entourant  l'ergot 485;

   par suite, le ressort 483 ne peut  faire     basculer    le levier 469 et la bielle 472  dans le sens     inverse    de celui des aiguilles  d'une montre, tant. que la manivelle 486 n'est  pas arrivée vers la fin (le son mouvement  dans le     sens    des     ai-uilles    d'une montre, ni  tant que     l'er)-ot        485@n'est    pas en face de la  branche     horizontale    de la lumière 484. Dès  que ceci s'est produit, le ressort. 483 fait bas  culer la- bielle 472 et le levier 469 dans le  sens inverse de celui des aiguilles, ce qui  amène la branche (le gauche de la lumière  484 en face de l'ergot 48:3.

   Lorsque la bielle  472 a ainsi basculé, le     mouvement    dans le sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre    (le la manivelle 486 amène l'ergot 485, coopé  rant avec le bord supérieur de la branche  horizontale de la, lumière 484, à faire remon  ter la bielle 472 à sa position normale, re  présentée sur la     fig.    23, position dans laquelle  le cliquet 481. est en prise avec l'encoche 480  de la pièce 473.  



       Toaclzes   <I>(le</I>     sélection.   <I>(les</I>     colon.iccs.     



  Il est rappelé, en se référant aux fi-. '2 et  '4, que les quatre roues     imprimeuses    319 des  quatre ordres inférieurs des montants et  leurs roues dentées d'entraînement. 318 sont  montées dans un support qui peut se dépla  cer en coulissant et qui est mis en place sous  le contrôle des huit. touches 194 de sélection  des colonnes (numérotées de II à     IX),    de  faon à pouvoir imprimer dans l'une des  huit colonnes verticales de la. bande     d'enre-          -istrement.    représentée     fi@g.    3, ces colonnes  portant des désignations différentes permet  tant d'identifier les éléments imprimés dans  ces colonnes.

   Les touches 194 de sélection des  colonnes ne peuvent être enfoncées que     lors-          (tue    le coulisseau 92 de contrôle général est  clans la. position      Enregistrement     ou dans la  position  Addition et Remise à zéro . Lors  que aucune touche 194 (le sélection des colon  nes n'a été enfoncée, un mécanisme d'arrêt.

    de zéro du mécanisme     différentiel    place les  roues     imprimeuses        des    montants contre la  partie fixe du dispositif     imprimeur,    qui com  prend les roues     iniprimeuses    des deux ordres  les plus élevés, les roues     imprimeuses    des  transactions, la roue     imprinieuse    du coulis  seau 92 et. les quatre roues     imprimeuses    des       numéros    de référence.

   Dans ce cas, toutes les  roues effectuent     leurs    impressions dans une  large colonne, située sur le côté gauche de la  bande     d'enregistrement    représentée     fig.    3, et  qui est. dénommée colonne I.  



       Lorsque        l'oii    enfonce la touche 193  To  tal  ou      Soiis-total     ou  Pas vendu , le mé  canisme différentiel des touches 1.94 de sé  lection des colonnes est mis en position de  zéro, de façon que les roues     imprinienses    mo  biles des montants viennent se placer contre  les roues imprime-Lises fixes, pour     imprimer         les     éléments    correspondant . à ces touches  dans la colonne de gauche (I) de la bande  d'enregistrement.  



  En se reportant maintenant à la     fig.    12,  on voit que si l'on enfonce une touche 194 de  sélection des colonnes, l'extrémité inférieure  de la tige de cette touche vient se placer sur  le trajet de Pluie     des    oreilles 564 rabattues,  portées par un     coulisseau    523, identique       sous    tous rapports au coulisseau 216 .des       montants    et monté de façon identique sur le  support - des     coulisseaux.    Le coulisseau 523       (fig.    12 et 13) porte un bras 524, dirigé vers  le bas,

   et qui est en forme de fourche pour  embrasser un ergot 525     d'un    segment diffé  rentiel 526 libre sur     ime    douille entourant la  tige 233. Un plateau 527 est associé au seg  ment 526, et     ils    portent chacun une fenêtre,  placées à angle droit, et dans lesquelles passe  un même ergot 528 d'un verrou 529. Un res  sort. 530, tendu entre deux prolongements  du segment 526 et du plateau 527, sollicite  ces     deux    pièces en sens inverse, ce qui force  les deux fenêtres à maintenir le téton 528  dans le bas de ces fenêtres, et à maintenir       ainsi    le verrou 529 verrouillé dans la posi  tion représentée sur la     fig.    12.  



  Le verrou 529     (fig.    12 et 13) pivote sur  un axe 531 porté par une plaque 532 folle  sur la tige 233, et l'effet de ciseaux des fe  nêtres du segment 526 et du plateau 527, sur  l'ergot 528, force ledit verrou 529 à s'enga  ger dans une encoche de la périphérie d'un       segment    533 d'entraînement, fou sur la tige  233.

   Un     prolongement    de la plaque 532, co  opérant avec un ergot. 534 porté par le seg  ment 533, et le verrou 529, coopérant avec  l'épaulement dudit segment, relient normale  ment ce segment et cette plaque en les main  tenant en position relative     fixe,    de sorte que  la plaque 532 peut être     entramée    dans les       deux        sens    par le segment 533.

   Ce segment 533  porte     une    lumière     qui    coopère avec     um    ergot  535 d'un     levier        536.pivotarit        sur    la tige 247  et     relié    par     im    dispositif excentrique 537 à  un levier 538 également fou sur la tige 247.

    Le levier 538 porte deux galets 539 et 540       qui    coopèrent respectivement avec la péri-         phérie    de cames conjuguées 541 et 542,  fixées sur l'arbre principal 130 et     qui    fonc  tionnent selon les temps donnés par la ligne  3 du graphique des temps     (fig.    43), de façon  à faire osciller les leviers 538 et 536, d'abord  dans le sens des aiguilles d'une montre, puis  en sens inverse, pour actionner le mécanisme  différentiel: Le levier 536, qui est relié au  segment 533 par l'ergot 535, fait osciller ledit  segment en accord avec lui, d'abord dans le       sens    des aiguilles .d'une montre, puis en sens  inverse,     jusqu'à    sa position normale.

   Le seg  ment 533 étant relié à la plaque 532 par le  verrou 529 et celui-ci étant relié par l'inter  médiaire des fenêtres ou lumières et de  l'ergot 528 au plateau 527 et au segment 526,  lesdites pièces se déplacent dans le sens     des     aiguilles d'une montre avec le segment 533.  le segment 526 entraînant à son tour le     cou-          lisseau    523 vers l'arrière.  



  Ce coulisseau 523     (fig.    12 et 13) glisse  vers     l'arrière    jusqu'à ce que l'oreille 564 cor  respondant à la touche 194 de sélection des  colonnes, qui a été enfoncée, vienne en con  tact avec l'extrémité de la tige de cette tou  che, ce qui arrête le mouvement vers     l'ar-          ,rière    de ce coulisseau et empêche le     segment     526 de continuer son mouvement dans le sens  des aiguilles d'une montre.

   L'arrêt du mou  vement dans ce     sens    du segment 526 amène  l'ergot 528à monter dans la     lumière    de ce  segment, à dégager le verrou 529 de l'épaule  ment dur segment 533 et à engager un bec de  ce verrou dans l'une des encoches 543 d'une  série d'encoches ménagées dans une plaque  544 supportée par les tiges 222 et     223.    Cette  ouverture .du verrou 529 permet au segment.  de     poursuivre    son mouvement dans le sens  des     aiguilles    d'une montre, sans arrêt, et fixe  la position de la plaque 532 selon la touche  194 enfoncée.

   Lorsque le verrou 529 est dé  gagé du segment 533, une partie creuse de ce  segment vient se placer sur le passage d'un  prolongement de     celui-ci,    ce     qui    bloque le  verrou et la plaque 532 dans la position  d'avancement.  



  Lorsque la plaque 532 est     ainsi        mise    en  place sous l'action de la touche de sélection      des colonnes qui a été enfoncée, le levier 536  approchant de la fin de son mouvement dans  le sens des aiguilles d'une montre, un galet  545 porté par ce levier prend contact avec  une partie, incurvée vers l'extérieur, d'une  bielle 546, dont l'extrémité supérieure est  articulée sur la plaque 532 et pousse une  partie incurvée vers l'intérieur de cette même  bielle, au contact d'une douille libre sur la.  tige 233, de faon à fixer la position de cette  bielle en accord avec la. position de la plaque  532.

   La bielle     5-16    présente une lumière     5.17     qui, en coopérant. avec un galet.     5-18    porté  par un segment 549, fixe la position de ce  segment. selon la position de la plaque 532,  laquelle, ainsi qu'il a été expliqué plus haut,  est mise dans une position qui dépend de la  touche     I9-1    enfoncée.  



  lie segment 549     (fig.    12 et 24) engrène  avec un segment 550 fou sur la tige 2471 et  qui porte des     dents    qui sont en prise avec  une roue dentée 551 fixée à l'une des extré  mités d'un arbre court 552 tourillonnant sur  des prolongements vers le haut de l'embase  62.

   Une couronne dentée 553, fixée à l'autre  extrémité de L'arbre 552, engrène avec un pi  gnon 554 fixé sur un court axe 555     tourillon-          nant    sur des prolongements vers le haut de  l'embase 62, l'axe 555 étant à angle droit  avec l'arbre     55\Z.        Sur    l'extrémité avant de       l'axe    535 est fixé un pignon 556 qui engrène  avec une crémaillère 557 fixée à une plaque  558 en forme d'Y     (fig.    24), qui porte trois  axes supportant des galets 559, 560 et 561  pouvant tourner chacun sur son axe.

   Les ga  lets 559 et 560 sont. sur une même horizon  tale et s'engagent dans une lumière horizon  tale 562 pratiquée dans une plaque 563 fixée  par des vis 566 à des prolongements vers le  haut de l'embase 62. Le galet 561, qui est  placé     au-dessous    des galets 5.59 et 560 et     ;i.     mi-chemin entre eux     deux,    s'engage dans une  lumière horizontale 567 de la. plaque 563 et,  avec les galets 559 et 560, supporte la plaque  558 et la crémaillère 557, de façon. à leur  permettre des déplacements horizontaux. Des  rondelles portées par les axes qui supportent  les galets 559, 560 et. 561 sont de diamètre    plus grand que la largeur des lumières 562  et 567 et maintiennent la plaque 558 à dis  tance constante de la plaque 563.  



  Sur un prolongement vers le haut de la  plaque 558     (fig.    24) sont articulés deux  doigts identiques 568 et 569 qui portent cha  cun un. ergot s'engageant dans des lumières  pratiquées dans ledit prolongement vers le  haut. Un ressort 570, tendu entre les deux  ergots     ci-dessus,    sollicite les deux doigts 568  et 569 l'un vers l'autre, de     façon    que ceux-ci  appuient sur les faces opposées d'un disque  571 fou sur un manchon 572 entourant la  tige 461, et serrent ce     disque    entre eux.

   Le  manchon<B>572</B> est fixé à une plaque<B>573,</B> et  une extrémité de diamètre réduit de ce man  chon se prolonge au-delà de la.     plaque,    cers  la<I>gauche,</I> de     fagon    à pouvoir porter les roues  dentées 318 des quatre roues     imprimeuses     319 des ordres inférieurs des montants. Le  disque 571 est espacé de la     plaque    573 par  une entretoise 574, et ces pièces sont serrées  contre la plaque 573 par un écrou 575 vissé  sur l'extrémité du manchon 572.

   L'extrémité  supérieure de la. plaque 573     (fig.    6, 12 et 24)  est ajustée dans une gorge circulaire .d'une  douille 576 libre sur une tige<B>1351,</B> et cette  plaque 573 est encochée de façon à enfour  cher la partie de diamètre réduit de la  douille 576 formée par cette gorge circulaire.       L'extrémité    gauche de la douille 576 (fi-. 24)       supporte    les quatre roues     imprimeuses    319  des ordres inférieurs des montants, ces roues  étant entraînées par leur roue dentée respec  tive 318,     tournant    sur le manchon 572.  



  Le mécanisme qui vient. d'être décrit, et  qui comprend la. plaque 573, le manchon 572  et la. douille 576, forme un support qui peut  se déplacer sur     Je,,;    tiges 461 et 1351, sous  l'action. des touches 194 de sélection des co  lonnes, pour effectuer une impression dans  les différentes colonnes de la bande     d'enre-          Oistrement    représentée par la     fig.    3.  



  La mise en position de la bielle 546 et     chi     segment 549     (fig.    12 et 25), sous l'action de  la     touche    194 enfoncée, et par l'intermédiaire  du train d'engrenages décrit ci-dessus, fixe  la position de la plaque     55'#    et, par l'inter-           médiaire    des doigts 568 et 569 et du disque  571, cette plaque 558     fixe    la position des  roues     imprimetlses    des quatre ordres infé  rieurs des montants, en concordance avec la  touche 194 enfoncée, de façon à imprimer le  montant de la transaction dans celle .des co  lonnes de la bande d'enregistrement qui cor  respond à cette touche.

   Le support mobile, y  compris la plaque 573, n'est pas ramené à sa  position normale contre les autres roues     im-          primeuses,    à la fin de l'opération, mais reste  à la place où il a été mis     jusqu'à    l'opération  suivante, au cours de laquelle le support  mobile est déplacé directement de son an  cienne position à la nouvelle.

           Mécanisme        d'alignement   <I>des roues</I>       imprimeuses.       Lorsque les quatre roues imprime-Lises des  ordres inférieurs des montants et leur support  ont été mis en position de la façon indiquée  plus haut, un mécanisme d'alignement entre  en     oeuvre    pour aligner ce support et le main  tenir dans la position d'impression.  



  En se référant aux     fig.    6, 10, 11 et 12, on  peut voir que la plaque 573 possède un pro  longement 577 vers le bas, disposé de façon  à. pouvoir entrer en prise avec l'une des neuf  encoches     d'une    barre d'alignement 578, les  dites encoches correspondant aux neuf posi  tions du support mobile des quatre roues       imprimeuses    des ordres inférieurs;

   ces posi  tions comprennent la position normale ou de  repos de ce support,     .dans    laquelle les quatre  roues     imprimeuses    sont placées contre les  roues imprime-Lises     fixes.    La barre 578 est  fixée à deux bras identiques 579 et 580       (fig.    11), dont chacun est relié de façon ro  tative à deux bras conjugués 581 et 582 par  l'intermédiaire de moyeux fous sur l'arbre  247.

   Un ressort de compression 583, tendu  entre chacune des paires formées par les bras  579 et 581,     d'une    part, et 580 et 582, d'autre  part; réalise une liaison souple entre lesdits  bras, et maintient     Lm    ergot d'arrêt 584 porté  par chacun des bras 579 et 580, en contact  avec une partie surélevée des bras conjugués    581 et 582. Chacun des bras 581 et 582 porte       Lui    galet 585 et 586; ces galets coopèrent res  pectivement avec la périphérie de cames con  juguées 587 et 588     (fig.    11, 40A et     40B)     fixées sur l'arbre principal 130.  



  Lorsque la plaque 573     (fig.    6 et 24) a été  mise en position sous l'action de la touche 194  enfoncée, ainsi qu'il a été expliqué ci-dessus,  les cames 587 et 588 agissent, selon les temps  donnés par la ligne 8 du graphique des temps       (fig.    43), pour amener les ouvertures angu  laires de la barre 578 correspondant à la po  sition de cette plaque 573, en contact avec  l'oreille 577, de façon à aligner cette plaque  et les quatre roues     imprimeuses    en position  de fonctionnement. Lorsque l'impression a  été effectuée, les cames 587 et 588 dégagent  la barre d'alignement 578 d'avec L'oreille 577  de la plaque 573.  



  Une autre barre d'alignement 589     (fig.    6,  10, 11 et 24), fixée aux bras 579 et 580, s'en  gage dans les dents d'alignement des couron  nes 318     qtii    entraînent les roues     imprimeuses     mobiles 319, quelle que soit leur position, et  s'engage, de même, dans les dents des couron  nes entraînant les roues imprime-Lises fixes, y  compris les roues 425 .des transactions et la  roue 463 du coulisseau de contrôle général       (fig.    24), de façon à     aligner    tous ces engre  nages en position de fonctionnement.  



  Un dispositif d'alignement intermédiaire  est réalisé pour que le mécanisme différentiel,  des touches 194 de sélection des colonnes  puisse mettre avec précision le support .des  roues     imprimeuses    mobiles dans la position  v     otalue,    de sorte que la barre d'alignement  578     (fig.    10) ne bute pas sur les oreilles 577  et pour que ce soit l'encoche voulue de cette  barre 578 qui entre en contact, avec l'oreille  577, de façon à placer le support mobile des  montants dans la position voulue, pendant le  fonctionnement du     mécanisme    d'impression.  



  Une roue d'alignement 592, fixée sur l'ar  bre 552     (fig.    12 et 14), porte une série d'en  coches 593 correspondant aux différentes po  sitions de support des roues imprime-Lises. Les  encoches 593 sont disposées pour recevoir la  dent d'un cliquet 594 fou sur un moyeu<B>595</B>      porté     par    la tige 247, et tournant sur cette  tige; le     moyeu    595 est. filé sur     tin    bras de  came 596. Un ressort<B>597</B> sollicite le cliquet  594 et. le     bras    596 en sens     inverses,    de façon  à maintenir normalement en contact. des pro  longements clé chacune clé ces pièces, ainsi  qu'il est représenté, ledit ressort réalisant une  liaison souple entre lesdits bras.

   Un autre  ressort 598, tendu entre le bras 596 et l'ergot  78, sollicite ce bras et le     cliquet    594 dans le  sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre, (le façon à. maintenir normalement un  prolongement 599 du bras 596 en contact  avec l'ergot 78, ce qui met le cliquet 594 en  position dégagée, représentée par la     fier.    14.  Le bras 596 présente une surface 600 for  mant came, qui coopère avec un ergot 601  porté par la came 257; la surface 600 et. L'er  got 601     fonctionnent        conformément.    aux  temps     donnés    par la ligne 13 du graphique  clés temps     (fig.    43).  



  En     comparant    les lignes<B>3, 8</B> et<B>13 de</B> ce  graphique     (fig.    43), on peut voir que, lors  que le mécanisme différentiel (les touches 194  de sélection des colonnes     approche    de la. fin  de son     mouvement,    la     surface    600, coopérant  avec l'ergot 601     (fig.    14), met en prise le  cliquet 594 avec l'encoche     593    correspondant.  à la position choisie des roues 319 d'impres  sion, de     façon    à aider le     mécanisme    différen  tiel à placer avec précision lesdites roues       imprimeuses    dans la. colonne voulue.

   Lors  que les roues     imprinieuses    ont été ainsi ali  gnées, et. avant que le cliquet d'alignement  594 soit dégagé, la barre     d'alignement    578       (fig.    11) entre en fonction sous     Faetioii    clés  cames 587 et<B>588</B> pour parfaire     l'alignement     des roues     imprimeuses.       <I>Dispositif</I>     d'aligïieïïr.-ï@l        clés        segiïieïi.ts          ihte7wi("d@oines.     



  Un dispositif     d'alignement,    actionné par  ressort et du type à fonctionnement brusque,  est réalisé pour aligner les segments intermé  diaires y compris les     segments    306 des mon  tants et le     segment    418 des transactions       (fig.    23, 25, 40B et 44), ce dispositif fonc  tionnant en conjonction avec la barre d'ali-         .nement    589     (fh.    11) pour     assure)-    une mise  en     position    convenable des roues     imprimeuses     sous l'action des mécanismes différentiels.  



  Les segments intermédiaires,     p    compris  les segments 306 des montants et le segment  418 des transactions     (fig.    25 et     40B),    sont  supportés et. peuvent. tourner sur Marbre 264,  et portent clés encoches d'alignement 609 cor  respondant aux différentes positions de ces  segments et disposées pour se mettre en prise  avec la. dent 610     cFune    pièce d'alignement 611  portant des joues rabattues folles sur un axe  612 porté par les flasques 60 et 63.

   Un res  sort 613, relativement. puissant, est tendu de  façon à. solliciter la pièce d'alignement 611  dans le sens des aiguilles d'une montre, sens  suivant lequel. se fait     l'alignement,    mais qui  ne     .peut    normalement tourner ainsi, parce  qu'il en est empêché par un prolongement  614 clé la. pièce 611 qui     coopère    avec un épau  lement 630 d'un loquet 615 relié, par l'inter  médiaire d'une douille 616 folle     sur    un axe  617 fixé au flasque 60, à un bras 618.

   Un  ressort. 619 (fi-. 25), tendu entre un bras de  la pièce 617 et le loquet 615. tire ce loquet en  prise avec le prolongement 614, et ce loquet  a normalement pour effet, ainsi qu'il est re  présenté sur la     fig.    25, de maintenir la. dent  d'alignement. 610 hors de prise d'avec les en  coches d'alignement 609.

   Un     prolongement     620 du bras 618 coopère avec une surface  621, formant came, pratiquée dans la     péri-          phérie    de la. came 493, et cette came 493  porte un ergot.     62'?        disposé    pour coopérer avec  une autre surface 623 d'un prolongement de  ce bras 618, de façon à dégager le loquet 615  d'avec le prolongement 614, ainsi que     l.'on    va  l'expliquer.  



       -Vit    bras de la pièce 611     (fig.    25 et     40B)     porte un ergot 624 engagé dans une lumière  pratiquée     dans    une extrémité d'une bielle 625       (fig.    25 et 47) dont l'autre     extrémité    est en  forme de fourche et entoure une partie de  diamètre réduit du moyeu de la came 493. La  bielle 625 (fi-. 47) porte un galet 626 qui  coopère avec une     gorge    formant. came 627,  creusée dans la face extérieure d'une came  510 fixée à, l'arbre principal 130; cette came      627 fonctionne de façon à donner à la bielle  625     -un    mouvement alternatif.  



  En se reportant à la     fig.    25 et à la ligne  7 de la     fig.    43, on peut voir que la came 627  ramène la bielle 625 presque à sa position  initiale, à la fin du fonctionnement de la ma  chine. Tout au début du fonctionnement de la  machine, la rainure-came 627, coopérant avec  le galet 626, achève la remise en place de la  bielle 625 vers l'arrière (ou vers la gauche,  sur la figure), de façon à laisser dans la lu  mière beaucoup de jeu vers l'arrière pour  l'ergot 624, de sorte que la dent d'alignement  610     pourra    s'engager à fond     dans    les encoches  d'alignement 609 lorsque le loquet 615 sera  libéré.

   La rotation de la came 493 et de la       surface    621, pendant le fonctionnement de la  machine, éloigne du prolongement 620 une  partie inclinée de cette surface, ce q111 laisse  au loquet 615     -uni    jeu suffisant pour pouvoir  se dégager. La rotation de la came 493 se con  tinuant, l'ergot 622 vient se placer au-dessous  d'une avancée chi     bras    618,     puis    finalement  l'amène en contact avec la surface 623,  ce qui fait basculer le bras 618 ainsi  que le loquet 615 dans 1e sens inverse  de celui des aiguilles d'une montre, s'op  posant à l'action     dit    ressort 619, et dégage  l'épaulement 630 de ce loquet d'avec le pro  longement 614.

   Ceci libère la pièce 611 et la  soumet à l'action du ressort 613, qui engage  immédiatement la dent.     d'alignement    610  dans les encoches 609, de façon à aligner les  segments intermédiaires, y compris     les    seg  ments 306 des montants et le segment 418 .des  transactions, en position de fonctionnement.  Lorsque l'ergot 622 passe au-delà de la sur  face 623, le ressort 619 ramène le loquet 615  dans le sens des aiguilles d'une montre, jus  qu'à ce que l'épaulement 630 repose, par sa  face supérieure, sur la surface inférieure du  prolongement 614.  



  Pendant que la dent 610     (fig.    25) s'en  gage dans les encoches d'alignement 609, un  doigt 628, fixé à     -un    bras de la pièce 611,  entre en .contact avec un bloc de caoutchouc  629, monté dans un étrier fixé au flasque 60,  de façon à amortir l'action brutale de la pièce    611, ].'empêchant ainsi de causer des dom  mages aux différentes pièces, et adoucissant  le bruit fait.  



  En .comparant     les    lignes 7 et. 8 du graphi  que     (fig.    43), on peut voir que l'ergot 622  libère le loquet 615     (fig.    25) pour que la  pièce 611 entre en     oeuvre    immédiatement  après que 'les segments intermédiaires ont été  mis en position sous l'action de leur méca  nisme différentiel, et juste avant le moment  où la barre d'alignement 589     (fig.    11) entre  en action.

   Lorsque la barre d'alignement 589  est entrée en action, la     rainure-came    627       (fig.    47) déplace la bielle 625 vers l'avant,  ou vers 1a droite sur la     fig.    25, pour que la  lumière qu'elle porte, coopérant avec l'ergot  624, fasse basculer la pièce 611 dans le sens  inverse de celui des aiguilles d'une montre,  en opposition à l'action du ressort 613. La.

    pièce 611 se déplaçant dans le sens inverse de  celui des aiguilles d'une montre, la dent 610  se dégage .des encoches 609 et le prolonge  ment 614 vient au-delà de l'épaulement 630  du loquet 615, après quoi le ressort 619 peut  librement remettre en prise ledit épaulement  et ledit prolongement, pour verrouiller la  pièce 611 en position dégagée, représentée sur  la     figure.     



  De façon à être sûr que le loquet 615 est  bien revenu en prise avec le prolongement  614 et reste enclenché ainsi, on a établi une  partie inclinée de la sui-face 621 qui, en co  opérant avec le prolongement 620, achève la       remise    en place dans le sens des aiguilles  d'une montre (le ce loquet, au cas où le res  sort 619 n'aurait. pas réussi à le faire, et  verrouille ce loquet. dans la, position initiale,  représentée à la     fig.    25.

           Mécanisme   <I>de</I>     verrouillage   <I>de la</I>     machine.     La     maehine    est munie de différents méca  nismes de verrouillage pour assurer -un     fone-          tionnement    correct de celle-ci. Ces mécanis  mes     sont    contrôlés par le     coulisseau    de con  trôle général et par différents     dispositifs          d'interverrouillage    entre les touches de sélec  tion des colonnes, de transactions et des mon  tants.

        Lorsque le     coulisseau    92 (le contrôle géné  ral est dans la position     d' Enreaisti,ement      représentée par les fia. \' et 26, les     touches     193 de  Total  et de      Sous-total ,    ainsi que       les    touches 191 de l'ordre le     phis    élevé, sont  verrouillées et ne peuvent être enfoncées.  Toutes les autres touches sont, à ce moment,  déverrouillées. Lorsque le coulisseau 92 est.

    dans la position     cl' Enre;-istreuse    verrouil  lée , le     poussoir   <B>1.70</B> du moteur et tontes les  touches, sauf la touche     d' Espacement     195  et la touche 91 de verrouillage de l'embase,  sont verrouillées et. ne peuvent être enfoncées.  Lorsque le     coulisseau    92 est. dans la position   Lecture du total , toutes les touches sont  verrouillées et ne peuvent. être enfoncées.  Toutefois, dans ce cas, le poussoir 170 est dé  verrouillé et la     machine    est automatiquement  préparée pour effectuer une opération de lec  ture de sous-total, qui peut. être mise en route  en appuyant sur ledit poussoir.  



  Lorsque le     coulisseau    92 est     dans    la posi  tion     d' Addition    et de Remise à zéro , la ma  chine est mise automatiquement en état d'ef  fectuer des additions, et il n'est nécessaire  que d'appuyer sur le poussoir 170 du     moteur          (fig.        21)    pour pouvoir les mettre en route.

   De  même, lorsque le     coulisseau    92 est dans la po  sition     d' Addition    et. de Remise à. zéro , les  touches  Comptant. ,  Débit>>,  Arrhes ,   Remboursé  et  Pas vendu  ne peuvent être  actionnées, et les touches 191 des     montants     de l'ordre le plus élevé sont déverrouillées,  ainsi que les     touches     Total  et      Sous-total .     Lorsque le coulisseau 92     est.    dans la position       d' Addition    et<B>(le</B> Remise a zéro , on peut  mettre en route une opération de total ou de  sous-total en     enfon < ant,    respectivement,

   la  touche 193  Total  ou      Sous-total     en même  temps que le poussoir 170 du moteur. La     ma-          nceuvre    de la touche  Total  ou      Sous-total      verrouille toutes les touches de montants et  libère un cliquet d'arrêt auxiliaire des tou  ches 191 de sélection des colonnes, de     fa@oii     à faire imprimer les éléments du total ou du  sous-total dans la colonne de gauche ou pre  mière colonne de la bande d'enregistrement       (fig.    3), que l'une des touches 194 de sélection    des colonnes soit enfoncée ou non.

   La     ma-          n#uvre    de la touche 193  Pas vendu , lorsque  le     coulisseau        9-1    est dans la position     d' Enre-          gistrement ,    actionne également le cliquet  auxiliaire des touches 194 de sélection des  colonnes pour faire     imprimer    les éléments   Pas vendu  dans la première colonne de la  bande     d' Enregistrement ,    qu'une touche de  sélection des colonnes soit enfoncée ou non.  



  Lorsque le     coulisseau    92     (fig.    ?) est dans  la position     d' Addition    et de Remise à zéro   ou clans la position     d' Enregistrement ,    les  touches 192 d'impression des numéros de ré  férence sont. libérées et. peuvent être enfon  cées.     Lorsque    le     coulisseau    92 est dans la po  sition     d' Enregistreuse    verrouillée  ou dans  la position  Lecture du total , les touches  d'impression des numéros de référence sont  verrouillées.

   La     manmuvre    .de la touche  Pas  vendu  193 verrouille les touches 190 des  montants qui ne peuvent être enfoncées, et la       manoeuvre    de     L'une    quelconque de ces touches  de montants verrouille à, son tour la touche   Pas vendu  193.  



  Lorsqu'on appuie sur le poussoir 170     dit     moteur, le mouvement dans le sens des     ai-o@uil-          les    d'une montre de l'arbre 177 qui en résulte  (fia. 15) empêche toutes les touches enfoncées  d'être libérées et toutes les autres touches  d'être enfoncées, pendant toute la durée du  fonctionnement de la machine. Le mouvement  clans le sens des aiguilles d'une montre de  L'arbre 177 ne peut s'effectuer si une touche  est en partie enfoncée.  



  En se reportant:     aux        fig.    15,<B>17,</B> 18 et 35.  on voit que lorsque le     coulisseau    92 est dans  la position     d' Enregistrement>>,    l'arbre 177  île     verrouillage    des touches est empêché de  tourner     clans    le sens des aiguilles d'une mon  tre par une dent 633 d'un cliquet 633 fou     sur     un ale     631-    fixé sur le flasque. Un ressort 635  sollicite le cliquet. 633 dans le sens des aiguil  les d'une montre, pour maintenir normale  ment la dent 632 en prise avec un prolonge  ment 636 d'un bras 637 fixé sur l'arbre 177.

    Le cliquet 633 porte un ergot 638 qui co  opère avec un prolongement vers le bas 639  d'une plaque 640 de contrôle des transactions,      pouvant coulisser sur le support du clavier  qui la supporte. Un ressort de compression  641, enroulé autour d'une tige portée par le  prolongement 639 et comprimé entre ce pro  longement et une partie fixe du support du       clavier,    sollicite la plaque 640 vers l'arrière,  ou vers la droite sur la     fig.    18, pour mainte  nir normalement les bords avant d'une série  d'encoches faites .dans la plaque de contrôle,  en contact avec les extrémités inférieures des  tiges des touches 194 de sélection des colon  nes.

   La     manoeuvre    .de l'une- des touches 194  amène une surface 642 formant came, de ces  touches, à déplacer en coopérant avec le bord  avant de l'encoche     correspondante    de la pla  que 640; cette plaque vers l'avant, en opposi  tion à l'action du ressort 641, de façon à faire  basculer la dent 632 du cliquet 633 hors de  prise d'avec le prolongement 636, ce qui  libère l'arbre 177 .de verrouillage des touches  et lui permet. -de tourner dans le sens des       aiguilles    d'une montre.  



  Des prolongements 643 de la plaque 640       (fig.    17 et 18) coopèrent avec une surface  644, formant came, que possède chaque touche  193, sauf la touche  Comptant  et la touche   Débit , de sorte que si l'on     enfonce        l'une    des  touches 193, à l'exception des touches  Comp  tant  et  Débit , la plaque de contrôle 640  est poussée vers l'avant, ce qui libère l'arbre  177 de la manière indiquée ci-dessus.  



  De ce qui précède, il apparaît évident que,  si l'une des touches 193  Débit  ou  Comp  tant  est. enfoncée, il est nécessaire d'enfon  cer l'une des touches 194 de sélection des co  lonnes, pour que l'arbre 177 soit libéré.     Mais,     si     l'une    des autres touches 1.93 est enfoncée,  l'arbre est libéré sans qu'il soit. nécessaire  d'enfoncer une touche de sélection des co  lonnes.  



  La machine fonctionne comme il est indi  qué ci-dessus, lorsque le coulisseau 92 de con  trôle général     (fig.    33) est.     dans    la position       d' Enregistrement .    Lorsque ce coulisseau est  dans la position  Lecture du total  ou     .dans     la position  Addition et Remise à zéro , le  loquet 633 se trouve en position inactive et,  par conséquent, la machine peut être mise en    route sans qu'il soit nécessaire d'enfoncer ni  une touche 193 de transaction, ni une touche  194 de sélection des colonnes.  



  Le déplacement du coulisseau 92 hors de  la position     d' Enregistrement ,    qui est repré  sentée par la     fig.    33, amène une     lumière    645  formant     came,    que porte ce coulisseau, à faire  basculer (en coopérant avec un téton 646  d'une manivelle 647 fixée à l'extrémité gau  che de l'arbre 212) ladite manivelle et ledit  arbre     .dans    le sens des aiguilles d'une montre.

    Ce mouvement de l'arbre 212 amène -Lui bras  648 fixé sur cet arbre, en coopérant avec une  encoche de     l'extrémité    antérieure d'une pla  que de contrôle 649 des touches de     trans-          actions    (voir les     fig.    17 et 18),à déplacer la  dite plaque vers l'avant ou vers la gauche.  La plaque 649 se déplaçant vers l'avant, une  encoche 650 qu'elle porte, coopérant avec  une plaque 651     (fig.    17, 18 et 35) fixée au  prolongement 639 de la. plaque de .contrôle  640, déplace cette plaque 640 vers l'avant et  dégage la dent 632 d'avec le prolongement.  636, de façon à libérer l'arbre 177 qui peut  alors tourner dans le sens des aiguilles d'une  montre.  



  Il est donc évident que lorsque le coulis  seau 92 se trouve hors de la position     d' En-          registrement ,    le loquet 633 est en position  inactive et n'empêche pas l'arbre<B>177</B> de tour  ner dans le sens     susindiqué.    Par conséquent,  lorsque le     coulisseau    92 est dans la position   Lecture du total  ou dans la position   Addition et Remise à zéro , il est possible  de faire fonctionner la machine simplement  en enfonçant le poussoir 170 du moteur       (fig.    15).

   Mais, ceci n'est. plus vrai si le     cou-          lisseau    92 est dans la position     d' Enre-istre-          ment     car, à ce moment, L'ergot 453     (fig.    26)  se trouve sur le trajet du prolongement     45-1     et empêche l'arbre 177 de tourner dans le  sens des aiguilles d'une montre.  



       Verrouillage   <I>des touches</I>     pendant     <I>le</I>     foneiionneme@zt   <I>de la</I>     machine.     Lorsque le poussoir 170 du     moteur    est en  foncé, le mouvement dans le sens des aiguilles      d'une montre de     l'arbre    177     (fig.    15, 1.8 et.

    36) amène une surface 653, formant came,  <B>dit</B> bras 637, coopérant avec un ergot 654 fixé  sur le bras droit d'un étrier 655     Toit    sur un  arbre 656 tourillonnant sur les flasques 60  et 61, à faire basculer cet étrier     655    dans le  sens des aiguilles d'une montre, en opposition  à l'action     d'trn        ressort    7630     (fig.    27).

   L'étrier  655 tournant clans le sens indiqué, un prolon  gement. 657 de cet. étrier vient se placer     clans     une ouverture 658 d'une pièce de détente<B>659</B>  des touches 194 de sélection des colonnes (cette  pièce de détente étant identique sous tous rap  ports à la pièce de détente 206     [fin.    27] des     tou-          ehes    190 des     montants),        qui    porte une ouver  ture 660 identique à l'ouverture 658 et dis  posée pour     recevoir    l'un des prolongements  657 lorsque l'étrier bascule de la façon qui  vient d'être indiquée.

   Chacune des rangées de  touches 190 et 191 des montants, la. rangée  de touches<B>193</B>     des    transactions et chacune  des rangées (le touches     1112        des        numéros    de  référence,     @@ossèdent    une     piére    de détente  identique à la pièce '_'06,     avant    des ouvertures       identiques    aux     ouvertures    658 et     disposée,,     pour recevoir les     prolongements   <B>657</B> de  l'étrier 6<B>5</B>5, de façon identique à.

   celle  qui a été indiquée au sujet des touches  194 de sélection des     colonnes.    Le prolon  gement 657     (fig.    36) entrant dans l'ouverture  658     verrouille    la pièce 659 et. l'empêche de       glisser,    ce (lui     empêche    la     touche        19-1    enfoncée  d'être libérée et     empêche        toutes        Les    autres  touches 194     d'être        enfoncées.     



  Si l'on enfonce partiellement une touche  194, la pièce<B>659</B> se déplace vers l'avant. et. les  ouvertures 658 ne sont. plus en face des pro  longements<B>657,</B> (le sorte que cette pièce 659  empêche tout     mouvement.    dans le sens des       aiguilles    d'une montre, de l'étrier<B>655</B> (lui, par  l'intermédiaire     du    téton 654 et (le la came  653, empêche tout     mouvement    dans ledit sens  du bras 637 et de l'arbre 177, c e qui empê  che la machine de     pouvoir    fonctionner si une  touche est partiellement enfoncée.  



  Lorsque l'arbre 177 est en position de re  pos, représentée par les     fig.    18 et 36, une  partie 661, en forme de crochet, du bras 637         vient    accrocher Je téton 654, de façon à     eni-          pécher    tout mouvement dans le sens des  aiguilles d'une montre de l'étrier 655 et, par  suite, à retenir les prolongements 657 au-des  sous de la.

   pièce 659, de sorte que cette pièce  de détente soit libre de se déplacer si l'on en  fonce une     touche.            JTccn,7zïsiii.c        dc        libératiop,   <I>des touches.</I>  Un     mécanisme    déplace automatiquement  les pièces de détente de toutes les rangées de  touches vers l'avant, vers la fin du fonction  nement de la machine, de façon à libérer  toutes les touches qui avaient été enfoncées.  Un dispositif manuel. peut. aussi actionner le  mécanisme de libération des touches, de     facon          1j    pouvoir libérer les touches lorsque la     ma-          ehine    est an repos.  



       En    se référant aux     fig.    27 et. 35, on. voit  que la détente 659 de la, rangée de touches  194 de sélection (les colonnes porte un pro  longement     66?,        dirigé    vers l'arrière, qui co  opère avec une tête arrondie<B>663</B> d'un bras     66-1     fou sur l'arbre 177     (1e    verrouillage des     toti-          elies.    Le bras 664 présente une encoche qui       vient    enfourcher une partie     réduite    de la.

    partie centrale d'un étrier 665, dont les par  ties latérales tournent librement sur     l'arbre     177.     L'extrémité    supérieure de la. pièce de dé  tente '?06 (Ti,-.     \?7)    de la rangée des dixièmes  (décimes ou dix cents par exemple), repré  sentée à la.     fig.        '?7,    coopère avec l'extrémité  arrondie     ('tut    bras 666 identique au bras 664  et. présentant une partie encochée qui enfour  che la partie centrale (le l'étrier 665 de la       même    façon cl-Lie le bras 664.

   La. détente de  la rangée de touches 193 de     transactions    et la  détente de chaque rangée de touches     19\?    des  numéros de référence coopèrent avec leurs  bras correspondants, similaires en tous points  au bras 666 et. qui portent une partie enco  chée enfourchant. la partie centrale de     l'étrier     665 de la même Tacon que le bras 666.  



  En se reportant à la     fig.    15 et à. la. ligne  13 du graphique des temps     (fiu.    43), on peut  voir que le     mécanisme    représenté par la  15 ramène l'arbre 177 beaucoup plus loin  dans le sens inverse de celui des aiguilles           d'une    montre que sa position normale ou de  repos, et ce mouvement supplémentaire est  utilisé pour actionner le mécanisme de libé  ration ,des touches et pour faire en sorte que  le cliquet 171 soit bien ramené assez loin.

    L'arbre 177 revenant dans le sens     susindiqué          (fig.    36), le prolongement 667 du bras 637  fait     basculer    (en coopérant avec une partie  réduite du centre de l'étrier 665) ledit étrier       dans    le sens inverse de celui des aiguilles       d'une    montre.

   L'étrier 665     basculant    dans ce       sens,    les bras 664 et 666     (fig.    27 et 35) tour  nent avec lui et viennent porter leurs extré  mités arrondies au contact de l'extrémité pos  térieure des pièces de détente 659 et 206, de  façon à déplacer ces détentes vers l'avant et  à dégager les encoches qu'elles portent d'avec  les épaulements 208 des touches enfoncées, de  façon à permettre aux différents     ressorts    205  de ramener .ces touches vers le haut à leur  position normale.  



  Lorsque l'arbre 177 a été ramené de la  position où il avait dépassé sa position de re  pos à cette position de repos (qui est déter  minée par la     surface    165     [fig.    15] du prolon  gement vers le haut du     levier    163 d'enclen  chement, arrivant en contact avec l'oreille ra  battue 166 de la plaque 167 du poussoir du  moteur), les bras 664 et 666 sont ramenés  dans le sens des aiguilles d'une montre, à  leur position normale, représentée par les       fig.    27 et 35, ce qui permet aux pièces de dé  tente 659 et 206 d'être ramenées par leurs       ressorts    à leurs positions normales.  



  Le levier 196 de libération des touches       (fig.    2, 15 et 35) qui dépasse du clavier en  passant dans une ouverture de la plaque 204,  permet d'actionner manuellement le méca  nisme de libération des touches. Le levier 196  porte un axe 668 qui tourne dans     lin    étrier  porté par la plaque 204 du     clavier.    Ce levier  196 est relié par une bielle 669 à un bras 670  fixé à l'arbre 656. Un     ressort    671 sollicite le  levier 196 dans le sens des aiguilles d'une  montre et l'arbre 656 dans le sens inverse, de       façon    à maintenir normalement ces pièces  dans la position de repos représentée.  



  Si l'on     manceuvre    le levier 196 dans le    sens inverse de celui des aiguilles d'une mon  tre, en antagonisme à l'action du ressort 671,  l'arbre 656 bascule dans le     sens    des aiguilles       d'une    montre, et le doigt 672 fixé sur cet  arbre entre en contact avec un ergot 673 du  bras 664 et fait basculer ce bras, ce qui, par  l'intermédiaire de l'étrier 665, fait. basculer  le bras 666 et tous les bras similaires dans  le sens inverse de celui des aiguilles d'une  montre et fait avancer les pièces de détente  de toutes les touches, y compris les détentes  659 et 206, et libère les touches qui avaient  été enfoncées.  



  Lorsqu'on lâche le levier 196, après que  les touches ont été libérées, le ressort 671 ra  mène ledit levier et les pièces qui lui sont.  reliées à leurs positions normales représen  tées par la     fig.    35. Le levier 196 est muni de  rebords qui bouchent effectivement l'ouver  ture de la plaque 204     (fig.    15) dans laquelle  passe ce levier, de façon à éviter toute dété  rioration     dit    mécanisme de la machine, qui  pourrait être faite en passant par cette ou  verture.  



  Lorsque le bras 670     (fig.    15) bascule dans  le     sens    des aiguilles d'une montre, sous l'ac  tion du     levier    196, pour libérer manuellement  les touches, un ergot 674 porté par ledit bras  vient se mettre sur le trajet d'une surface  arquée 675 d'un prolongement du bras 176  et empêche tout mouvement dans le sens des       aiguilles    d'une montre de l'arbre 177 et, par  conséquent, empêche le fonctionnement de la  machine pendant que les touches sont libérées.

    Le mouvement dans le sens ci-dessus de l'ar  bre 177 et du bras 176 amène l'ergot 671  dans une encoche 676 de ce bras, ce qui blo  que le bras 670 et l'arbre 656, de sorte     qua     le levier de libération des touches ne peut  être     manoeuvré    par inadvertance pendant le  fonctionnement de la     machine.     



       Jlécanisme   <I>de</I>     libératior2,   <I>des</I>     cliquets   <I>de zéro.</I>  En se référant     aux        fig.    7, 27 et 32, on se  rappellera que l'extrémité antérieure de la  plaque de contrôle 207 de la rangée des  dixièmes (dix cents par exemple) des mon  tants entre en contact avec un prolongement      vers le haut, du cliquet 211 d'arrêt de zéro et  fait. basculer ce cliquet dans le sens     anti-          horaire    jusqu'à sa position de repos, lors  qu'une touche des montants est enfoncée.  



  Chacun des cliquets 211 des rangées de  touches de montants porte une saillie<B>678</B>       (fig.    7 et 32) qui coopère avec le bord supé  rieur (le la partie centrale d'un étrier 679,  dont les bras tournent librement sur l'arbre  212. Un prolongement 680 de l'un des bras  de l'étrier 679 est. articulé sur l'extrémité  antérieure d'une bielle 689, dont     l'extrémité     postérieure porte     unie    lumière 690 dans la  quelle s'engage     uni    ergot 691 du bras 370       (fig.    30 et. 32).  



  En se reportant à la     fig.    30, on se rappel  lera que la surface active du segment 386 se  trouve en face de L'ergot 384 lorsque l'on  effectue un total. ou un     sous-total.    Par consé  quent, le mouvement.  < fans le sens des aiguil  les d'une montre des leviers 376 et 373, sous       l'action        (les    cames 380 et 381_     (fig.    31), fait       basculer    le levier 371 dans le sens inverse de ce  lui des aiguilles d'une montre, autour de l'ergot  384 formant pivot, ce qui déplace la bielle 369  vers l'arrière et.

       amène    ainsi les roues du     to-          taliseur    en prise avec les segments 232 des  montants, avant que ces     segments    ne se met  tent en     mouvement,    ainsi qu'il. a été expliqué  précédemment.

   Le mouvement vers l'arrière  de la bielle 369 fait basculer le     bras    370 dans       1c    sens inverse de celui des aiguilles d'une  montre, ce qui déplace la bielle 689 égale  ment vers l'arrière, laquelle à. son tour fait       basculer        dans    le même sens l'étrier 679       (fig.    7 et. 32) et les     cliquets    211 d'arrêt de  zéro des rangées de touches des montants.

    Les     cliquets    d'arrêt 211 tournant dans le sens  inverse de celui (les aiguilles     d'uine    montre  dégagent leur     (lent.    d'avec les     prolongements     <B><U>915</U></B>     (fig.    7)     (les        coulisseaux    216, de façon à,  libérer     ces        eoiilisseaux,    qui peuvent alors se  déplacer vers l'arrière sous l'action des mé  canismes     différentiels    des montants, de .sorte  que ces     coulisseaux    peuvent être mis en posi  tion par les roues du totaliseur, ainsi qu'il a  été expliqué précédemment.  



  Lorsque les     serments    d'entraînement des    montants ont été mis en position par les roues  du totaliseur, le mécanisme représenté par les       fig.    30 et 32 ramène l'étrier 679 et les cliquets  211 à leur     position    normale, de sorte que ces  cliquets agiront lorsque les coulisseaux 216       (fig.    7) seront ramenés à leur position de       repos.     



  Il est rappelé que le mécanisme repré  senté par la     fit;.    30 fait basculer le bras 370  dans le sens des aiguilles d'une montre     au-          delà    de sa position \normale, lors des opéra  tions d'addition et de lecture des totaux inter  médiaires; c'est pourquoi la lumière 690 laisse  du jeu     tj.    L'ergot 691, de façon que le mouve  ment (lu bras 370 ne soit plus transmis à  l'étrier 679.         Interverrouiltage   <I>entre le</I>     coutîsseau   <I>de</I>  <I>contrôle</I>     général   <I>et les</I>     touches   <I>des montants.</I>  



  Un mécanisme de verrouillage entre le       coulisseau    92 de contrôle général. et les ran  gées de touches des     montants        (fig.    26 et 27)  empêche ce coulisseau d'être     manaeuvré    hors  (le la position     d' Enregistremeirt:     ou de la  position     d' !lddition    et de Remise à zéro ,  lorsque ].'une des touches de montants est en  foncée et, réciproquement, empêche que l'on  enfonce une touche des montants, lorsque le       coulisseau    de contrôle général. se trouve soit  dans la position     d' Enregistreuse    verrouil  lée , soit dans la position de  Lecture d'un  total .  



  L'extrémité antérieure de la plaque 207 de  contrôle de la. rangée (les dixièmes     (fig.    26,  27 et 34) se trouve     au-dessous        clic    bec 6..92  (l'un segment 693 fou sur     L'arbre    212. Le seg  ment 693 porte un ergot 694 qui vient se  placer au-dessus d'un prolongement 695 du       cliquet    d'arrêt 211, ce qui fait que le ressort  213 sollicite ledit segment dans le sens des       ai.builles    d'une montre en. même temps que le       cliquet    211, et. maintient normalement ledit.  segment en contact avec la plaque de     eon-          trôle    207.  



  Si l'on enfonce L'une des touches 190, ceci  déplace la plaque 207 vers L'avant et fait  basculer le segment 693 dans le sens inverse  (le celui des aiguilles d'une. montre, de faon      à amener une surface 696 (incurvée vers  l'extérieur) de ce cliquet en dessous d'un re  bord 697 de la partie centrale     d'iui    étrier 698,  dont les bras peuvent tourner sur un axe  1203 supporté par les deux vis inférieures  203. Un ressort 699     (fig.    25 et 26) sollicite  l'étrier 698 dans le sens des aiguilles d'une  montre, ainsi qu'on peut le voir sur la     fig.    26,  de faon à maintenir normalement un ergot  700, porté par cet étrier, en contact avec une  surface 701, formant came, du bord supé  rieur du coulisseau 92.

      Lorsque le     coulisseau    92 se trouve dans la  position     d' Enregistrement ,    représentée sur  la     fig.    26, ou lorsque ce     coulisseau    se trouve  dans la position     d' Addition    et Remise à  zéro , l'ergot 700 trouve en face de lui une  partie     basse    de la surface 701.

   Par suite, le  ressort 699 retient l'étrier 698 dans sa posi  tion extrême     dans    le     sens    des aiguilles d'une  montre     (fig.    26), de sorte que le rebord 697  se trouve au-dessus de la surface 696, et que  rien n'empêche que l'on enfonce les touches  de montants, puisque ladite surface 696 peut  se déplacer librement en dessous dudit re  bord.

   Lorsque l'on enfonce une touche, le  mouvement de la surface 696 en dessous du  rebord 697 empêche tout mouvement dans le  sens inverse de     celui    des aiguilles     d'une    mon  tre de l'étrier 698 et, par l'intermédiaire de  l'ergot 700 coopérant avec la     surface-came     701, empêche les déplacements du coulisseau  92 hors de la position     d' Enregistrement     ou  de la position     d' Addition    et Remise à zéro .

      Lorsque l'on déplace le     coulisseau    92 de  la position     d' Enregistrement     ou de la posi  tion     d' Addition    et de Remise à zéro  à l'une  ou l'autre des positions     d' Enregistrement     verrouillé  ou de  Lecture du total      (fig.    26,  27 et 34), la surface 701 coopérant avec  l'ergot 700 fait basculer l'étrier 698 dans le  sens     inverse    de celui des aiguilles d'une mon  tre, en opposition à l'action du ressort 699,

    ce qui amène le rebord 697 sur le trajet de la  surface incurvée 696 du segment 693 .et blo  que les mouvements dans le     sens    inverse de  celui des     aiguilles    d'une montre de ce seg-    ment et, par conséquent, empêche que l'on  puisse enfoncer une touche de montants.  



  La liaison qu'effectuent, entre le segment  693 et le cliquet 211 d'arrêt au zéro, l'ergot  694 et la saillie 695     (fig.    27) permet au     cli-          quet    de basculer indépendamment du seg  ment, sous l'action de l'étrier 679, lors de  l'impression d'un total ou d'in     sous-total,     ainsi qu'il a été expliqué plus haut. Il existe  pour chaque rangée de touches des montants,  <B>y</B> compris la rangée des touches 191 des cen  taines     (fig.    2),     im        segment    identique au seg  ment 693 et fonctionnant exactement de la  même façon.  



  Ainsi qu'il a été indiqué précédemment  la rangée des touches 193 de transactions       (fig.    10) et la rangée des     touches    194 de sé  lection des colonnes     (fig.    12) ont .chacune       une    pièce de détente et une plaque de con  trôle identiques sous     tous    rapports à la dé  tente 206 et à la plaque de contrôle 207 de la  rangée de touches des montants     (fig.    27), et  fonctionnent exactement de la même ma  nière, lesdites pièces de détente et plaques de  contrôle étant disposées pour faire basculer  leurs cliquets de zéro respectifs 404 et 702  jusqu'à leur position de repos,

       lorsqu'une     touche     quelconque    de     l'une    .de ces rangées  est enfoncée.  



  Lorsque le     coulisseau    92 se trouve soit  dans la position     d' Enregistrement     repré  sentée par la     fig.    26, soit dans la position       d' Addition    et Remise à zéro , la     manoeuvre     de     l'une    des touches 193 de     transactions,    ou  de l'une -des touches 194 de sélection des co  lonnes, fait, basculer le     cliquet    de zéro 404 ou  702 dans le sens inverse de celui des aiguilles  d'une montre, pour amener une surface  incurvée vers l'extérieur, et similaire à la  surface 696     (fig.    27), en dessous du rebord  697,

   de façon à arrêter le mouvement .du     cou-          lisseau    92.     -vrais    un autre mécanisme de ver  rouillage, qui va être décrit, empêche que  l'on puisse enfoncer la touche  Total  ou la  touche      Sous-total         (fig.    2 et 10), lorsque le  coulisseau 92 est dans la position     d' Enregis-          trement ,    et empêche que l'on     puisse    enfoncer  l'une quelconque des autres touches 193 de      transactions, lorsque ce coulisseau 92 se  trouve dans la position     d'         addition    et Remise  zéro .  



       Chacune    des rangées (le touches 192       (fig.    2)     d'impression    des numéros de réfé  rence     possède    un cliquet de zéro identique  en tous points au     cliquet        -104    de la rangée des  touches de transactions, ces cliquets ayant  des surfaces     incurvées    qui viennent se placer  au-dessous du rebord 697 de ]'étrier 698, lors  que l'on enfonce l'une (les     touches    de nu  méros de référence, de faon à bloquer les  mouvements du coulisseau 92     (fig.    26)

   hors  de la     position        d' Enreg-istremen.t     ou de la  position     d'     Addition et Remise à. zéro .  Lorsque le     coulisseau    92 de contrôle général  est dans     l'une    des positions     d' Enregistreuse     verrouillée  ou     clé     Lecture du total , le re  bord 697     empêche    le     mouvement    des     cliquets          d'arrêt    de zéro des     touches    192 de     numéros     (le référence, ce qui.

   empêche que     ].'on    puisse  enfoncer l'une de ces touches     lorsque    le     cou-          lisseau    est clans ].'une on l'autre desdites po  sitions.         Interrerroicillage        !titre        certaines        touches     <I>de</I>     transactions   <I>et les touches de montants.</I>  



  Un dispositif contrôlé par les touches 193   Total ,      Sous-total     et.  Pas vendu      (fig.    10  et 34) verrouille les touches des montants  lorsqu'on enfonce l'une     desdites    touches,  quelle que soit la position du     coulisseau    92 et,       réciproquement,    ce mécanisme verrouille les  touches  Total ,      Sous-total     et  Pas vendu   qui ne peuvent     plus    être enfoncées     lorsqu'une     touche (le montant l'est.  



  Les touches 193  Total ,      Sous-total     et   Pas vendu  possèdent respectivement une  surface (le came 703, 704 et 705 (fi-. 34), qui  coopère avec des     lainières        eorrespondant.es    clé  la plaque 706     de        contrôle,    qui peut coulisser  sur le support du clavier     par    lequel elle est  supportée. Un prolongement replié vers le  haut, de la plaque 706, présente une lumière  dans laquelle s'engage un ergot. 707 d'une  manivelle 708 faisant, partie intégrante d'un  moyeu 709 fixé sur ]'arbre 1203.

   Une came  710 et un     cliquet    711 font aussi partie inté-         'Tante    (lu     moyen    709, ledit, cliquet ayant un  bec qui coopère avec une saillie 712 dirigée  vers le haut., du bras droit d'un étrier 713  fou sur l'arbre 212. Le bord antérieur de la  partie centrale de l'étrier 713 coopère avec  un prolongement 714, formant. crochet, du seg  ment 693, et un ressort. 715 sollicite l'étrier  713 dans le sens des aiguilles d'une montre,  de faon à maintenir normalement le segment.  693 en contact avec le bord antérieur de la  plaque 207 de la rangée de touches des  dixièmes, par l'intermédiaire clés pièces     ci-          dessus.     



  Si ].'on enfonce l'une des touches 193  To  tal ,      Sous-total     ou  Pas vendu , l'une des  surfaces correspondantes 703, 704 on 705 for  mant. came et coopérant avec la lumière cor  respondante de la. plaque de contrôle 706 dé  place cette plaque vers l'arrière, et celle-ci,  par l'intermédiaire de l'ergot 707 et de la  manivelle 708, fait basculer le     moyeu    709, la  came 710, le     cliquet    711 et l'arbre 1203, dans  le sens inverse de celui des aiguilles d'une  montre.

   Ce mouvement     du        cliquet    711 amène       l'extrémité    inférieure de     celui-ci    sur le trajet  de la saillie 712, ce qui arrête tout.     mouv        e-          ment    dans le susdit. sens clé l'étrier 713. Cet  arrêt du mouvement. de l'étrier 713 empêche,  par l'intermédiaire .du segment 693, tout mou  vement vers l'avant (le la plaque de contrôle  207 et verrouille, par conséquent., les touches  190 de la rangée des     dixièmes    des montants,  qui     lie    peuvent plus être enfoncées.  



  Réciproquement, si l'on enfonce une     tou-          elie   <B>1.90</B> des montants de la. rangée des  dixièmes     (fig.    27 et 34), .cette touche déplace  la plaque 207 vers l'avant et fait basculer le  segment 693 et l'étrier 713     dans    le sens in  verse de celui des aiguilles d'une montre, de       facon        à,    amener le     prolongement    712     sur    le  trajet du cliquet 711 et à bloquer ainsi ce       cliquet    dans ledit sens.

   Ce blocage du     cliquet     711 dans ce sens empêche, par     ].'intermédiaire     du     moyeu    709 et de la manivelle 708, tout  mouvement vers l'arrière de la plaque de con  trôle 706, et, par suite, empêche les touches   Total ,      Sous-total     et  Pas     vendu     de se  laisser enfoncer.

        Ce qui a été dit ci-dessus au sujet de       l'interverroiûllage    entre la rangée de touches  <B>1,90</B> des dixièmes et les touches  Total ,        Soïis-total     et  Pas vendu  s'applique égale  ment aux autres rangées de touches des mon  tants, y compris la rangée de touches<B>1.91</B> des  centaines, car chacune de ces rangées pos  sède- un segment identique au segment 693,  qui coopère avec l'étrier 713 de la même  façon que ledit segment, pour arriver au  même but.  



  En plus du cliquet<B>7</B>11     (fig.    34), il existe  deux autres cliquets identiques (non     repré-          sentés),-fixés    sur l'arbre 1203, et qui co  opèrent avec des saillies correspondantes (non  représentées) de l'étrier 713, identiques aux  saillies 712, pour surmonter les difficultés  que pourrait. créer l'étrier 713 en faisant res  sort.  



  Lorsque l'une quelconque des touches   Total ,      Sous-total     ou  Pas vendu  est en  foncée, le mouvement dans le     sens    inverse de  celui des aiguilles d'une montre de la came  710     (fig.    12 et 34) .amène une surface de  cette came à coopérer avec un ergot 716 d'un       cliquet    auxiliaire 717 de la rangée de touches  194 de sélection des     .colonnes,    ledit cliquet  étant fou sur l'arbre 212, pour faire basculer  ce cliquet dans le sens des aiguilles d'une  montre en opposition à l'action d'un ressort  de torsion 718, ce qui amène une dent de ce  cliquet     sur    le trajet d'une oreille<B>719</B>     (fig.    12)

    du     coulisseau    523 de la rangée de touches de  sélection des colonnes, cette oreille coopérant  aussi avec le     cliquet    d'arrêt 702 que possède  cette rangée. Ceci bloque le mouvement vers  l'arrière du coulisseau 523 pendant le fonc  tionnement de la machine et, par suite, ce       coulisseau    et le mécanisme différentiel des  touches de sélection .des colonnes sont placés  dans la position N  1, de façon à mettre les       roues.        imprimeuses    mobiles 319 du support.

    573     (fig.    24)     dans    la position N  1, afin que  les, éléments     ,correspondant    aux touches  To  tal ,      Sous-total     et  Pas     "vendu     soient impri  més. dans la première colonne de la feuille  d'enregistrement     représentée    à la     fig.    3:

    En se référant aux     fig.    7, 10, 12 et 26,    on se rappellera que le bord 697 de l'étrier  698, coopérant avec les segments 693 des ran  gées de touches des montants, les .cliquets  d'arrêt 702 des rangées de touches de sélec  tion des colonnes, les cliques d'arrêt 404 des  rangées de touches des     transactions    et les     cli-          quets    clé zéro des quatre rangées de touches  d'impression des     numéros    de référence, ver  rouille toutes ces touches en position élevée  lorsque le coulisseau 92 est dans l'une des  positions     d' Enreoistreuse    verrouillée  ou de   Lecture du total  et déverrouille ces mêmes  touches, qui peuvent alors être enfoncées,

         lorsque    le coulisseau 92 est dans l'une des  positions     d' Enregistrement     ou     d' Addition     et Remise à zéro .  



  Il est préférable que l a rangée de     touches     191 de l'ordre le plus élevé soient verrouil  lées en position élevée lorsque le coulisseau  92 est dans la position     d' hnr        egistrement     et  que ces touches soient. déverrouillées lorsque  le coulisseau se trouve dans la position     d' Ad-          dition    et Remise à zéro . Il est. de même dé  sirable due les touches 193 de  Total  et de        Sous-total     soient verrouillées en position  élevée lorsque le coulisseau     92    est dans la po  sition     d' Enregistrement     et que toutes les  autres touches 193 de transactions soient dé  verrouillées à ce moment.

   Lorsque 'le     coulis-          seau    92     (fig.    33 et 34) est dans la position   Enregistrement , représentée sur les figures,  la plaque de contrôle 649 de la rangée de  touches de transactions se trouve dans la po  sition représentée, dans laquelle la face su  périeure de cette plaque voisine des     lumières     que présente la plaque se trouve en face  des prolongements 720 des touches de  To  tal  et de      Sous-total ,    de façon à empêcher  que l'on puisse enfoncer ces touches.

   Dans ces  conditions, les touches 193 de transactions        Coinptaxit ,     Débit ,  Arrhes  et  Rem  boursé  sont     déverrouillées    et peuvent être       enfoncées.     



  Si l'on déplace le coulisseau 92 hors de la  position     d' Enregistrement         (fig.    33), l'arbre  212 et le bras 648 basculent     dans    le     sens    in  verse de celui des aiguilles d'une. montre et  déplacent la plaque de contrôle 649 vers      l'avant, de façon que les parties des     encoches     formant     dégagement    viennent se placer en       face    des prolongements 720 des touches  To  tal  et      Sous-total ,    afin que ces touches       puissent    être enfoncées.

   Ce     mouvement    vers  l'avant de la plaque     6-I9    amène les bords des  lumières de la plaque dans des     encoches        72'_'     que présentent toutes les touches 193 autres  que les deux touches ci-dessus, ce qui ver  rouille ces     touches    et empêche qu'on     puisse     les enfoncer lorsque le coulisseau 92 se trouve  hors (le la position     d' Enregisti-enient .     



  En se     référant    aux     fig.    12 et 26, on rap  pellera que, lorsque le     coulisseau    92 se trouve  dans la position     d' Enregistreuse    verrouillée   ou dans la position de  Lecture du total , le  rebord 697 de l'étrier 698 empêche que l'on  puisse enfoncer aucune touche,     @-    compris la.  touche  Total  et la touche      Sous-total .     Lorsque le     coulisseau    92 est.     dans    la position       d' Adclition    et Remise à- zéro , l'étrier 698  ne gêne plus l'enfoncement des touches. Il est  donc évident que, lorsque le     coulisseau    92 est.

    dans cette     position,    on peut enfoncer les  touches  Total  et      Sous-total .     



  Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, il est       désirable    que les touches 191 de l'ordre le  plus élevé     (fig.    2 et 33) ne     puissent    être en  foncées que lorsque la     caisse    est utilisée  comme     machine    à additionner, c'est-à-dire  lorsque le     coulisseau    92 est dans la position       d' Addition    et Remise à zéro .     Pour    ce faire,  lorsque le     coulisseau    est dans la position       d' Enregistrement ,    représentée par la. figure,  une plaque (le contrôle 723 présente des lu  mières dont.

   les     bords,    coopérant avec des  saillies 724 de ces touches 1.91, empêchent  celles-ci de pouvoir être     enfoncées.    Lorsque  l'on déplace le     coulisseau    92 hors de la posi  tion     d' Enregistrernent .    l'arbre 212 tourne  clans le sens inverse de celui des     aiguilles     d'une montre, ce qui fait, qu'un bras 725, fixé  sur cet arbre et coopérant, avec les parties en  cochées de la plaque 723, déplace la plaque  vers l'avant.

   et amène ainsi les lumières de  cette plaque en face des saillies     721-,    de sorte  que l'on peut enfoncer les touches<B>191.</B>  Comme dans le cas des autres touches, l'étrier    698     (fig.    12 et 26) verrouille la rangée de  touches 191 de l'ordre le plus élevé, en posi  tion élevée, lorsque le coulisseau 92 est dans  l'une des     positions         Enregistreuse    verrouillée   ou  Lecture du     total .    Par suite, on ne peut  enfoncer ces touches que lorsque le     coulisseau     92 se trouve dans la position     d' Addition    et       Remise    à zéro ,

       position    clans laquelle l'étrier  698 n'agit pas.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine (le comptabilité dans laquelle une phase de travail unique a. lieu pour chacune des opérations et qui comprend un totaliseur et un dispositif d'actionnement du totaliseur, caractérisée par des dispositifs produisant plusieurs mouvements complets d'engagement et de dégagement du totaliseur par rapport audit dispositif d'actionnement au cours de chaque phase de travail, par des dispositifs d'aetionnenient de ces dispositifs d'engage ment et de dégagement,
    par des dispositifs de manipulation permettant de contrôler et de diriger le genre d'opération que la ma chine doit effectuer et par des dispositifs d'accouplement normalement inactifs, suscep tibles d'être mis cri action, de façon à accou pler les dispositifs d'engagement et de déga gement à leurs dispositifs d'actionnement res pectifs pour les différentes opérations de la machine, sous le contrôle des dispositifs de manipulation,
    pour mettre le totaliseur en engagement avec son dispositif d'act.ionne- ment ou pour le dégager de celui-ci au mo ment requis suivant le genre désiré d'opéra- t.ion de la. machine. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine suivant la revendication, ca ractérisée en. ce que les dispositifs de mani pulation comprennent des touches de trans actions abaissables. 2.
    Machine suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que lesdits dispositifs d'actionnement reçoivent deux mouvements de montée pendant chaque phase d'opération, par l'intermédiaire de dis positifs que les touches de transactions con trôlent et qui actionnent les dispositifs d'ac- couplement, afin que ceux-ci amènent les dis positifs d'engagement et de dégagement en rapport avec les dispositifs d'actionnement aux périodes suivantes cc) pendant la première montée, b) pendant la deuxième montée ou c) pendant la première et la deuxième montée,
    de sorte que le totaliseur puisse s'engager avec les dispositifs d'actionnement au cours d'opérations d'addition, de prise d'un total ou (le prise d'in sous-total, selon le cas. 3. Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que les dispositifs d'actionnement des dispo sitifs d'accouplement comprennent. un levier qui est normalement débrayé au cours d'un simple mouvement de retour de ses dispositifs d'actionnement, mais qui est arrêté par un dis positif mis en position différentielle par les touches de transactions,
    de façon que les dis positifs d'actionnement le basculent dans un sens ou dans l'autre pour que les dispositifs d'accouplement puissent relier les dispositifs d'engagement et de dégagement aux dispositifs d'actionnement au moment voulu. 4.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée en ce que chaque dispositif d'accouplement com prend une tige d'assemblage avec rainure en forme de j renversé et une tige d'assemblage bifurquée pivotée sur un levier qui engage un goujon de la tige faisant partie du dispo sitif d'accouplement, un deuxième levier di rigeant les dispositifs d'engagement et de dé gagement du totaliseur et qui subit une dou ble ascension sous l'action d'hile paire de ,cames directrices au cours de chaque opéra tion de la machine, et un deuxième goujon fixé au deuxième levier et situé de façon à être en rapport avec la rainure, de sorte que lorsque le premier levier est arrêté,
    la tige bifurquée passe d'une position à une autre, et que .le susdit deuxième goujon s'engage dans la partie de droite ou clans la partie de gauche de la rainure, selon la direction :du mouvement de la tige bifurquée, ensuite de quoi le deuxième levier occasionne l'engage- ment du totaliseur avec son dispositif d'ac- tionnement au cours ou bien de son déplace ment en avant, ou de son déplacement en arrière, ou au cours des deux déplacements. 5.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu'elle comprend une paire de segmenta que des dispositifs différentiels peuvent met tre à la position voulue et qui sont accouplés en vue de mouvements complémentaires, ces segments possédant des parties extérieures en rapport avec un goujon du premier levier, la forme de ces segments étant telle qu'elle empêche ou permet le mouvement du premier levier dans une direction ou l'autre. 6. Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée en ce qu'elle possède un coulisseau de contrôle pour le contrôle général du genre d'opération de la.
    machine, avec un segment supplémentaire mis en position par le coulisseau en certaines de ses positions, empêchant le mouvement du premier levier dans une direction ou l'autre, de sorte que le totaliseur puisse être engagé avec son dispositif d'actionnement pendant les deux ascensions du deuxième levier, occa sionnant une opération de prise de sous-total. 7. Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à. 6, caractérisée en ce que le coulisseau de contrôle, en certaines de ses positions, met en position active .des dis positifs qui empêchent certaines touches d'être abaissées. 8.
    Machine suivant la revendication et les soiis-revendications 1 à 6, caractérisée en ce que le premier levier, au cours d'un de ses déplacements, relâche des arrêts à zéro de toutes les rangées de touches de montants avant une opération de prise de total ou de sous-total. 9.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 8, possédant des tou ches de sélection de colonnes, dont le but est de déplacer latéralement des roues porte- caractères par rapport à une bande d'enre gistrement, et des dispositifs d'embrayage d'un arbre de déclenchement de la machine, caractérisée en ce que les dispositifs d'em- brayage sont mis hors d'action, afin de dé clencher l'arbre dans le cas seulement où ces touches de sélection sont actionnées en. con jonction avec certaines touches de trans actions. 10.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 ù 11, caractérisée par un coulisseau mis en position différentielle par l'abaissement (le touches de sélection de colonnes, de faon à amener les roues porte- caractères à la colonne choisie, et par des dis positifs mis en action par l'abaissement de certaines touches de transactions, dont un encliquetage tient ledit coulisseau à la posi tion zéro, de sorte due les roues porte-carae- tères soient à leur position normale.
    11. 'Machine suivant la revendication et. les sous-revendieations 1 à 4, caractérisée en ce qu'un dispositif à ressort maintient le pre mier levier en position neutre, de sorte que le goujon du deuxième levier passe librement dans la partie verticale de la rainure (le la tige d'assemblage. 12.
    Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 6, caractérisée par plusieurs rangées de touches abaissables et par des dispositifs embrayant. ces touches dans le coulisseau de contrôle, afin d'empêcher l'abaissement de ces touches lorsque le coulis- seau de contrôle est en certaines positions d'ajustement, et afin d'empêcher le déplace ment de ce coulisseau hors de ces positions lorsque l'une de ces touches a. été abaissée. 13.
    Machine suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par plu sieurs rangées de touches de montants abais- sables et par des dispositifs d'embrayage entre ces touches de montants et certaines tou ches de transactions, qui empêchent l'abaisse ment des touches de montants lorsque ces tou ches de transactions sont abaissées et vice versa. 14.
    Machine suivant la revendication, ca ractérisée par une partie principale et une partie (1e base, des dispositifs retenant nor- malement les deux parties ensemble, tandis que (les dispositifs actionnés par' une touche abaissable peuvent mettre les dispositifs d'assemblage hors d'action, afin de pouvoir enlever la partie principale de la partie de base. 15. Machine suivant la revendication et les sous-rev endications 1. à. 6, caractérisée en ce qu'elle est. pourvue d'un compteur et de dispositifs qui, lorsque le coulisseau de con trôle est à une certaine position d'ajustement, font. avancer le compteur d'une unité.
    16. -Machine suivant la. revendication et les sous-revenclieations 1 à 6 et 15, caractéri sée par des dispositifs pour avancer le comp teur, des dispositifs d'opération de celui-ci à mouvement invariable, des dispositifs d'accou plement normalement ineffectifs et des dis positifs contrôlés par le mouvement du cou lisseau de contrôle auxdites positions et ren dant les dispositifs d'accouplement effectifs et accouplant les dispositifs d'avancement aux dispositifs d'opération.
    17.L#laehine suivant la. revendication et les sous-revendieations 1 à 6, 1.5 et 16, ca ractérisée en ce que les dispositifs d'accouple ment comprennent une tige d'assemblage ver ticale présentant tut cliquet opératoire du compteur, un levier basculant, un goujon du levier s'engageant dans une rainure de la tige, une projection du levier coopérant avec des surfaces élevées et. des surfaces basses d'un segmentaire mis en position par le coulisseau \et positionnant un porte- caractère indiquant.
    la position du coulisseau, et une rainure en<B>Z</B> dans la tige, qui coopère avec un goujon fixé sur le bras directeur, de sorte que lorsque l'engrenage segmentaire est à. une certaine position, une surface élevée de celui-ci bascule le levier, afin de positionner le coulisseau de faon qu'inie partie horizon- taxe de la rainure en forme de <B>Z</B> coopère avec le goujon du bras ci-dessus qui, alors,
    com munique un mouvement à la tige dont le cli- quet avance le compteur d'une unité.
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