Machine de comptabilité munie d'un mécanisme d'élimination des zéros. La présente invention a pour objet une machine de comptabilité munie d'un méca- nisme d'élimination des zéros.
Cette machine est caractérisée par au moins un porte-caractères d'impression, par des organes différentiels réglables sous la commande d'une touche enfoncée pour mettre en position le porte-caractères, par des organes comprenant un engrenage segmen taire pour relier les organes différentiels au porte-earaetères,
par des organes des tinés à entraîner l'engrenage segmentaire indépendamment des organes différentiels lorsque cet engrenage segmentaire se trouve à la position zéro, et par des organes entraî nés par l'enâi,ename segmentaire lorsque celui-ci est, éloif),né .de la. position zéro par les organes différentiels, pour immobiliser les organes d'entraînement indépendants.
Le dessin annexé représente, partielle ment. et, à titre d'exemple, une forme d'exé cution de la machine faisant l'objet. de l'in vention, seules les parties nécessaires < i la compréhension clé l'invention étant. repré sentées.
Fig. l représente une vue en coupe de la. machine prise juste à la droite de la rangée de dizaines de francs, et. montrant cette ran gée, le mécanisme différentiel et le méca nisme d'impression associés, le mécanisme de dizaines étant. identique à celui des décimes représenté dans le brevet. suisse I\ _7147.6 < lu 6 janvier 1.948. Fig. ? représente une vue détaillée du différentiel de la rangée ,des dizaines.
Fig. 3 représente schématiquement une partie du .clavier qui comprend cinq rangées de touches @de montants et quatre rangées de touches de numéros de références.
Fi-. 4 est une élévation du côté droit. du mécanisme servant à commander l'impression des zéros dans l'une des rangées de mon tants.
Fig. 5 est une élévation de face d'une partie du mécanisme d'impression et repré sentant les roues imprimeuses et le méca nisme de commande de l'impression des zéros des montants et clés numéros de référence.
La. machine représentée est constituée par une caisse enregistreuse combinée avec. une machine à. additionner, cette machine étant clé :petite taille, compacte, efficace et facile ment portative, et la. description qui v a suivre concernera particulièrement la com mande de l'impression .dans cette machine qui est destinée à être utilisée dans certains e.om- inerces comme les postes à essence, les salons de coiffure, les maisons de nettoyage, les pharmacies, etc.
La machine représentée comprend cinq rangées de touches à additionner ou de mon tants et quatre rangées de touches d'impres sion de numéros de référence. Le clavier comporte en outre des touches de commande qui ne sont pas représentées ici, mais qui sont- indiquées dans le brevet. suisse \ 271.116.
Lorsque la machine est. utilisée comme caisse enregistreuse, la. cinquième rangée, c'est-à-dire celle de l'ordre le plus élevé, est blo quée pour éviter que les touches ne soient enfoncées, et, ce ne sont que les touches des quatre rangées d'ordre inférieur qui peuvent être utilisées pour enregistrer les montants, donnant ainsi une capacité d'enregistrement maximum de 99.99.
Lorsque la machine est utilisée conune machine à. additionner, la cin quième rangée des touches de montants est débloquée, donnant ainsi au clavier une capacité de 999.99.
Le mécanisme différentiel attenant à chacune des cinq rangées de touches d'addi tion ou de montants commande non seulement la. mise en position des roues totalisatrices correspondantes (non représentées), niais également la mise en position des roues im- primeuses correspondantes pour l'impression des enregistrements sur une bande enregis treuse. Il existe également un mécanisme dif férentiel. associé à chaque rangée .des touches de numéros de référence, ces mécanismes étant à peu près identiques aux mécanismes différentiels de montants.
Des roues impri- meuses sont également associées à ces quatre rangées de touches -de numéros de référence.
Combinés aulx différentiels du méca nisme imprimeur se trouvent des mécanismes de commande d'impression de zéros pour assurer l'impression de zéros tant pour les montants que pour ,les numéros de réfé rence.
Le mécanisme de commande d'impression de zéros pour les numéros de référence est. exactement le même que celui qui est. .prévu pour les touches de montants. <I>Bâti de</I> la machine: Le mécanisme de la machine est porté par deux flasques principaux .dont l'un, 60, est représenté en partie en fig. 1.
Le mécanisme de la. mâchine se trouve enfermé dans un coffre 69, dont une partie est également représentée en fig. 1. lLécatlismc iotetcr: Dans des conditions normales, Lui moteur électrique de modèle courant (non repré senté) entraîne un arbre principal. 130 à rai son d'un tour eoniplet dans le sens dextror- sinmi à chaque opération -de la machine.
Clavier: Le clavier de la machine comporte. quatre rangées de touches de montant <B>190</B> (fig. 1 et 3) donnant une capacité d'enregistrement ma.mmuni de 99.99., une rangée de touches d'addition 7.91, utilisée conjointement avec les touches de montants 190 lorsque la ma chine est utilisée comme machine à addition ner, ce qui ,augmente la capacité du clavier à 999.99.
Il existe également quatre. rangées de touches 192 serrant 'a imprimer des réfé rences et que l'on utilise conjointement avec les touches 190 et<B>191</B> pour imprimer les nu méros de référence.
Les touches 190, 191 et 192 ne sont pas montées dans des rangées individuelles comme à l'ordinaire, mais au contraire, toutes les touches sont. montées dans un seul bâti, dont une ,partie est. représentée en fig. 1.
Ce bâti peut. être enlevé de la machine comme élé ment séparé, comme représenté en détail et décrit dans le brevet suisse Z 2.71416. Ce genre de construction de clavier est plus simple et plus compact et possède tous les avantages de la. construction en rangées indi viduelles sans en comporter les inconvénients. Par exemple, la capacité de clavier de la ma chine peut être modifiée pour convenir aux divers besoins.
Le bâti de c laviez formant un élément sé paré comporte des bâtis avant<B>197</B> et. arrière <B>1.98</B> (fig. 1), unie entretoise 199 pour chaque rangée de touches, une telle entretoise se trouvant, également à. chaque extrémité du bâti, une plaque supérieure 200 et une plaque inférieure 201.
Toutes ces plaques et entre toises sont reliées ensemble par un système à tenon et, mortaise et. au moyen de petites tiges d'accouplement. 202 qui passent. dans des trous prati.xués dans les entretoise < <B>199</B> et qui sont aplaties à chaque extrémité pour être maintenues en place.
<I>Touches</I> (7e montants: Etant donné que le mécanisme de touches et le mécanisme différentiel associé sont. les mêmes pour chaque rangée de touches de montants, il suffira de décrire ces méca nismes pour l'une des rangées, par exemple ceux de la rangée des dizaines (fi-. 1) .
Les touches<B>1.90</B> pour ,la rangée des di zaines peuvent coulisser dans des fentes pra tiquées dans les plaques 200 et. 201 et on empêche leur enlèvement au moyen de fentes coopérant. avec les tiges 202. Chacune des touches de montants est retenue normalement dans sa position non enfoncée par un ressort a boudin 205 se prolongeant horizontalement sur tout l'ensemble du clavier, un seul clé ces ressorts étant prévu pour toutes les touches d'ordre numérique identique.
Ces dits res sorts sont. en prise avec des encoches prévues sur les touches d'ordre similaire. Les ressorts 205 reposent sur la surface supérieure de la plaque 200 de clavier et, lorsqu'on enfonce une touche, ce ressort est. forcé vers le bas au travers d'une ouverture de ladite plaque à, côté de la tige de touche. Lorsque la. touche est relâchée, le ressort 205 la, rappelle vers le haut à la position initiale, représentée en fig. 1..
Ce genre de construction de clavier élas tique est, bien connu et. ne sera pas décrit plus en détail ici.
Chaque rangée de touches de montants comporte une détente 206 pour maintenir les touches en poshien enfoncée et. une détente de commande 207 pour relâcher des cliquets 211 < l'arrêt à zéro, pour permettre aux méea- nimrnes différentiels de s'éloigner clés positions zéro et venir prendre la position correspon dant aux touches 190 de montants enfoncées.
Lorsqu'on enfonce l'une quelconque des touches de montants 190 de la rangée des dizaines, une arête angulaire 208 de la tige de touche vient. a#-ir sur l'arête avant d'une fente correspondante de la détente 206 qui se déplace alors vers l'avant.
(à gauche en fig.1), contre l'action d'un ressort (non représenté), jusqu'à ce que ladite saillie passe :sous la dé tente, après quoi le ressort ramène la détente vers l'arrière pour bloquer la touche 190 dans sa position enfoncée. Les touches de montants sont donc du type flexible qui per met de rappeler une touche enfoncée en pres- sant sur une autre touche de la. même rangée décimale.
La détente de commande 207 se trouve juste au-dessous de la. détente 206 et, lors qu'on enfonce une des touches 190, l'arête de la saillie 208 vient également agir sur le bord d'une fente pratiquée dans la détente 207 qui se déplace alors vers l'avant où elle reste maintenue tant que la touche reste enfoncée. L'extrémité avant de la détente<B>207</B> se trouve au-dessous d'un bec arrondi du cliquet 211 d'arrêt à zéro et; par conséquent, le mouve ment vers l'avant de la détente 207 fait pi voter le cliquet 211 dans le sens senestrorsuin contre l'action d'un ressort (non représenté).
Ce mouvement dans le sens senestrorsum du cliquet 211 d'arrêt à zéro écarte un bec 214 du trajet d'une oreille recourbée 215 se trouvant sur une glissière différentielle 216, pouvant coulisser sur un bâti dont les par ties avant 217 et arrière 218 sont fixées res pectivement sur des cornières renversées 219 et 220, solidaires à leur tour de plaques de séparation 221 prévues dans chaque ordre décimal. Ces plaques .de séparation à leur tour sont montées sur des tiges 222 et 223 portées par les flasques latéraux de la ma chine.
Une glissière différentielle 216 est prévue pour chaque ordre décimal de touches de montants et une pour chaque rangée de touches 19'3 de numéros de référence. Chaque glissière différentielle 216 comporte quatre saillies se dirigeant vers le haut. et. se termi nant par des oreilles 224 recourbées vers la gauche et destinées à coopérer avec les touches portant des nombres impairs 1, 3, 5 et 7. La. glissière comporte également. quatre autres saillies analogues munies d'oreilles 225 recourbées vers la droite et. pouvant coopérer avec les touches portant des nom- tires pairs 2, 4, 6 et 8.
Les tiges des neuf touches de montants 190 sont. disposées en quinconce, les touches portant les numéros impairs se trouvant vers la gauche et les touches portant. les nombres pairs vers la droite.
Si l'on enfonce l'une quelconque des touches 190, sauf la touche de 9, la tige cor respondante vient sur le trajet de l'oreille correspondante 224 ou 225, et simultanément le cliquet 211 d'arrêt à zéro est écarté du tra jet de l'oreille 215 indiquée précédemment.
Le déplacement initial vers l'.axrière de la glissière différentielle 216 sous l'influence du mécanisme différentiel de montants (qui sera décrit plus loin) amène l'oreille 224 ou 225 en prise avec l'extrémité avant inférieure -de la tige de touche 190 enfoncée, pour arrêter la glissière 216 et le mécanisme différentiel cor respondant dans .la position correspondant à la valeur de la touche<B>1.90</B> enfoncée.
Lors qu'on enfonce la touche des 9, la glissière effectue toute sa. course vers l'arrière jus qu'à la position 9 qui est déterminée par une saillie 226 qui vient en contact avec un tenon carré<B>227</B> porté par la plaque de séparation de gauche 221 pour cette dénomination parti- eulière.
La glissière 216 est reliée à un mécanisme différentiel correspondant, dont elle fixe la position, et ce mécanisme différentiel fait fonctionner les totalisateurs, comme cela est représenté et décrit dans le brevet suisse cité plus haut, ainsi que les roues imprimeuses ainsi qu'on le verra plis loin.
<I>Mécanisme différentiel<B>de</B></I> tontants: La mise en position différentielle de la glissière 216 est transmise au mécanisme dif férentiel au moyen d'un bras 230 (fi". 1) fixé à la. glissière et qui comporte une fente en prise avec un goujon 231 porté par un segment différentiel 232 monté fou sur une tige 233 portée pair les flasques latéraux de la machine. Le segment 232 possède une fente angulaire 234 dans laquelle passe un goujon 235 d'un verrou 236 (fig. 2) librement monté sur un goujon 237 porté par une plaque de verrou 238 libre sur la tige 233.
Le goujon 235 est prolongé au travers d'une fente 239 pratiquée dans une plaque de commande de verrou 240 tournant librement, sur la tige 233, ladite fente 239 se trouvant angulaire- ment opposée à la fente 23-1. Un ressort 241 sollicite le segment 232 dans le sens dextror- sum et la plaque 2-10 dans le sens contraire,
créant une action de ciseaux entre les fentes 234 et 239 et le goujon 235 pour retenir nor malement le verrou 236 dans sa position dans laquelle une saillie de ce verrou est en prise avec un épaulement 242 disposé sur la péri phérie d'un seraient 243 également monté libre sur la ti,_,e 233.
Lorsque le verrou 236 est. en prise avec l'épaulement. 2-12, un prolongement de la plaque 238 vient en contact avec un goujon 244 du segment 243 pour former une liaison de commande Mitre le se-o-nient et la plaque. Le segment d'entraînement. différentiel 243 possède une fente en prise avec un goujon 24e7 porté épar nu bras d'entraînement diffé rentiel 246 pivotant sur une tige 247 portée par le flasque latéral de la machine.
Un excentrique 248 (fig. 1) relie de façon réglable le bras 246 à. un bras 249 également libre sur la tige 247. Ce bras 249 et les bras similaires des autres mécanismes différentiels sont reliés par une tige 250 à un bras de came différentiel 251, également libre sur la tige 247.
Le bras de came 251 porte des ga lets 252 et 253 coopérant respectivement avec les périphéries d'une double came 254-255 fixée sur L'arbre principal 130. lie bras 251 se trouve sur l'extrémité de gauche de la tige 247 et porte l'extrémité gauche de la. tige 250, tandis qu'un bras similaire (non repré senté) se trouve près de l'extrémité de droite de ladite tige 247 et porte l'extrémité de droite de la tige 250 ainsi que les galets coopérant avec une double came (non repré sentée) exactement identique à. la came 254-255.
La tige 250 forme une liaison d'entraîne ment. entre les bras 249 des différents méca nismes différentiels des touches de montants 190 et 191 et des touches imprimeuses 192 d'une part. et les bras à. came 251. d'autre part.
Comme exposé plus haut, l'arbre princi pal 130 fait un tour complet. dans le sens dextrorsum pendant une opération de la ma chine. Lorsque la machine se trouve à la po sition de repos, la glissière 21.6 est retenue d'urx degré au-delà de zéro, comme cela est représenté à la fig. 1, et ce pour permettre d'effectuer les reports dans les totalisateurs (non représentés ici, mais décrits dans le bre vet suisse cité ci-dessus).
Au commencement de l'opération de la machine, la double-came 254-255, grâce à la chaîne mécanique dé crite, fait basculer le bras 246 sur une légère distance dans le sens dextrorsum pour dépla cer le segment 243 dans le même sens, et ce mouvement est. \'ransmis par le verrou 236 à. la plaque 238.
Le goujon 235 porté par :le verrou 236, en coopération avec les fentes 234 et 239 pratiquées dans le segment différen tiel 232 et. dans la plaque de commande de verrou 240 respectivement, déplace ces pièces dans le sens dextrorsum. Le mouvement dans le sens dextrorcum du segment différentiel 232 a pour ef-Let., par le goujon 231 et.
la fente du bras 2'0, de déplacer la glissière 216 vers l'arrière (à droite en fig. 1), de la posi tion initiale à la position zéro. Alors que la glissière 216 se trouve retenue à la position zéro, le mécanisme de report. de l'ordre déci mal en question est réarmé au cas où il au rait été déclenché lors de l'opération précé dente, comme @#ela est décrit dans le brevet suisse cité plus haut..
Une fois que le mécanisme de report a été réarmé, si une touche 190 a été enfoncée, le segment 232 et la glissière 216 continuent leur mouvement initial sous l'influence de la came 254-255 jusqu'à ce que lune des oreilles recourbes 224 on 22:) vienne en con tact avec l'extrémité inférieure de la tige de la touche 190 enfoncée. Dans le cas où la touche 9 est enfoncée, la glissière se trouve arrêtée par le goujon 227.
Ceci empêche toute continuation de mouvement, vers l'arrière, de la glissière 216 et fixe la position du seg ment. ?32 suivant la valeur de la touche de montants 190 quia été enfoncée. L'arrêt du segment '232 a pour effet d'amener le gou jon 235 à remonter la surface inclinée de la fente 234 contre l'action de la fente 239 et du ressort 241 pour .dégager le verrou 236 de l'épaulement 242 (fig. 2) du segment d'en traînement 243 et simultanément pour enga ger une :dent 258 se trouvant sur ledit verrou avec une denture d'alignement 259 pratiquée dans une plaque 221.
Les dents 259 corres- pondent aux .différentes positions de la glis sière 216 et du segment 232. Le dégagement du verrou 236 libère la plaque de verrou 238 du segment 'd'entraînement 243 pour placer en position le mécanisme différentiel suivant.
la valeur de la. touche 190 qui a été utilisée, alors que le segment 243 est ,libre de termi ner son mouvement ou déplacement initial dans le sens dextrorsiun. Lorsque le verrou 236 (fig. 2) se trouve dégagé de l'épaule ment 242, comme expliqué ci-dessus, et en prise avec l'encoche d'alignement. 259 corres pondante, une arête arquée 260 prévue sur le segment 243 passe au-dessous du prolonge ment dudit verrou pour bloquer ce dernier et. le mécanisme différentiel à. la position acquise.
L'extrémité supérieure d'un balancier 267 (fig. 1 et \') est articulée à. la plaque de ver rou 238 et, lorsque le bras 246 approche du terminus de son mouvement:
initial dans le sens dextrorsum, un galet 281 porté par ce bras vient, en contact avec une arête arquée 282 prévue sur le balancier 261 et amène une arête incurvée interne du balancier contre la périphérie d'un moyeu 283 libre sur la tige 233, ce qui met en position le balancier 261 suivant la valeur de la touche de montants <B>190</B> enfoncée. fia mise en position différen tielle du balancier 261 est transmise de la fa çon suivante au mécanisme d'impression: Le balancier 261 est relié par une bielle 262 à un bras 238 fixé sur un arbre 229 porté par le bâti de la machine. Cet arbre 229, par conséquent, reçoit le mouvement différentiel.
sous le contrôle de la touche enfoncée dans la. rangée considérée (les dizaines) dans l'exemple. Egalement goupillé sur l'arbre 2.29 se trouve un bras 302 (fig. 4) relié par une biellette 350 à un segment. 496 en prise avec la denture extérieure d'un système d'engre nage interne-externe 497, dont la denture in terne porte sur la périphérie d'un disque 311 monté librement sur un coussinet 312.
Une tige de repérage 314, qui passe dans l'en semble d'entraînement des roues imprimeuses, constitue un frottement par glissière dans le trou de repère du disque 311 et détermine la position de ce dernier de telle sorte qu'une partie dégagée de celui-ci se trouve en face d'un pignon-satellite 315 qui engrène avec les dents internes de l'engrenage 497. Le pignon 315 est à rotation, de chaque côté par des tenons, en coopération avec des évidements pratiqués dans des plaques de séparation por tées par le coussinet 312 et la tige 314, exacte ment de la même manière que pour le disque 311. Un trou carré dans le pignon 315 laisse le passage à un arbre carré 317 relié de la.
même façon à un autre pignon-satellite en prise avec la denture interne d'un engrenage interne-externe 318 (fi-. 1 et 5) similaire à L'engrenage 497. La denture externe de l'en grenage 318 est en prise avec une roue im- prime-Lise 319 de la. rangée des dizaines. Ce système de commande des roues imprimeuses à partir du mécanisme différentiel, représenté aux fig. 1, 4 et 5, est du type représenté plus en détail dans le brevet suisse suscité.
On voit par ce qui précède que la roue imprimeuse 319 associée aux dizaines est mise en position par voie différentielle, sui vant la valeur de la touche enfoncée, au moyen du mécanisme différentiel, du balancier 261. et des bielles 262 et 350, du segment 496 et enfin par le système d'engrenage interne externe représenté aux fig. 4 et 5.
Mécanisme<I>de</I> suppression <I>de</I> zéro: Si l'on se réfère à la fig. 3, on verra que les rangées des unités, des dizaines et des cen taines (pour les touches 190 et 191) et que les quatre rangées imprime-Lises de numéros de référence (touches 192) sont munies d'un mécanisme d'élimination de zéros pour em pêcher l'impression des zéros lorsqu'aucune touche n'est enfoncée dans les ordres supé rieurs et pour assurer au contraire l'impres sion de zéros dans les ordres inférieurs lors- qu'une touche est enfoncée dans l'ordre supé rieur adjacent.
lies rangées des centimes et des décimes ne comportent pas de mécanisme d'élimination de zéros, car il y a intérêt à ce que les zéros s'impriment constamment dans ces deux ordres.
Le mécanisme d'élimination de zéros pour la. rangée 191 des dizaines est représenté à. la <U>fi-.</U> 4 et sa description est valable pour le même mécanisme des autres rangées.
On a vu que les touches 191 des dizaines commandent -Lui mécanisme différentiel. et qu'une liaison mécanique relie le différentiel à, la roue imprimeuse des dizaines (fig. 1, -1 et 5). Cette liaison comprend entre autres le segment 496 et l'engrenage d'entraînement interne-externe 497.
Lorsque le segment. 496 et l'engrenage 497 se trouvent à la position zéro (représentée à la. fig. 4), un entre-dent assez large de la périphérie de ce segment coopère avec une grande dent 498 prévue sur le segment d'en grenage 497.
Cet. entre-dent permet à l'engre nage 497 d'être entraîné dans le sens senes- trorsum indépendemment du segment, la grande dent 498 pouvant échapper à la den ture du segment. Lorsque l'engrenage -197 est déplacé hors de la. position zéro pour la sup pression d'impression des zéros, la périphérie de la grande dent 498 vient. sur le trajet d'une grande dent 499 portée par le segment -196, ce qui bloque le mouvement dans le sens senestr orsum dudit segment. qui se trouve ainsi verrouillé à. la position zéro.
L'engrenage -197 comporte un épaulement :a00 (fig. 4) disposé de manière à coopérer avec une patte recourbée 501 prévue sur une plaque 502 pouvant osciller sur l'axe de l'en grenage 497 grfee à des fentes incurvées qui coopèrent avec des tenons 503 et 504 fixés à une plaque 467. Une bielle<B>505</B> relie la plaque 502 à un levier à came 506 monté fou en 507 sur le bâti 60. Le levier .506 porte un galet 508 engagé dans une rainure 509 d'une came 510 fixée sur l'arbre à came principal 130.
La rainure 509, par sa forme, fait osciller le levier 506 et la. plaque 502 d'abord dans le sens senestrorsum et ensuite dans le sens con traire pour revenir à la position normale. La plaque 502 porte un goujon 511 sur lequel pi vote un cliquet 512 sollicité dans le sens senes- trorsum par un ressort 513 pour maintenir normalement. une saillie arrondie 51.1 du cli- (luet en contact. avec une arête d'un cliquet. 515 clé suppression des zéros.
Le cliquet 515 pivote en 516 sur la, plaque 467 et est solli cité clans le sens dex-trorsuin par un ressort de torsion 517 qui maintient normalement un I)ec 518 du cliquet en contact avec une arête- came 519 prévue sur la. périphérie de l'engre nage 497.
Lorsqu'aucune touche ne se trouve enfon cée dans la rangée des dizaines, le segment 496 et l'engrenage 497 restent à, la position zéro, comme représentée en fig. 4. Le mouve ment dans le sens senestrorsum du levier 506 et de la plaque 502 sous l'action de la rai- nure-caine 509 amène le bec 514 du cliques; :ï12 à s'écarter clé l'arête du cliquet 515 et. permet au ressort 513 d'amener la dent du cliquet 512 en prise avec l'épaulement de gauche d'une encoche 520 prévue sur la péri phérie de l'engrenage 497.
Dès que le cliquet 512 est en prise avec l'encoche<B>5</B>20, il entraîne l'engrenage 497 et la roue imprimeuse 319 (les dizaines dans le sens senestrorsum de la position zéro à une position située au-delà de zéro, qui ne comporte aucun caractère im primant: le zéro est, donc éliminé dans cet ordre décimal.
Lorsque l'engrenage -197 se trouve à cette position de non-impression, la périphérie (le la grande dent .198 se trouve sur le trajet (le la dent 499 du segment 496 pour retenir celui-ci à la position zéro, tandis qu'un eroehet 521 aménagé sur l'engrenage 497 vient se pla cer au-dessus (lu bec 518 pour bloquer le cli- quet 515 dans une position neutre.
Le mouve- nient de retour dans le sens dextrorsum du levier 506 et de la plaque 502 amène la patte 501 en prise avec l'épaulement: 500 pour ramener l'engrenage 497 à la position zéro ou position normale représentée et ce après que le mécanisme d'impression a fonctionné.
Lorsque l'une des touches<B>191</B> de la ran gée des dizaines est. enfoncée, le segment 496, sous l'influence du mécanisme différentiel, tourne dans le sens senestrorsum hors de la position zéro, en entraînant l'engrenage 497 dans le sens dextrorsum. Lorsque l'engre nage 497 s'éloigne ainsi de la position zéro; une arête-came 519 fait, en coopération avec le bec 518 du cliquet 515, basculer ce dernier dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 517.
Lorsque le cliquet. 515 pivote ainsi dans le sens senestrorsum, il fait bas culer, en coopération avec le prolongement 514, le cliquet 512 dans le sens dextrorsum contre l'action du ressort 513, pour déplacer et. retenir la dent du cliquet 512 écartée de la périphérie de l'engrenage 497, en sorte que cette dent soit. maintenue hors de l'encoche 520, pendant le mouvement oscillant de la plaque 502. Le cliquet 515 de la rangée des dizaines possède une saillie 522 recourbée au- dessus du cliquet 515 appartenant à l'ordre immédiatement inférieur.
En conséquence, le mouvement dans le sens senestrorsum du cli- quet 515 des dizaines, sous l'action de l'arête- came 519, fait basculer le cliquet 515 de l'ordre inférieur dans le sens senestrorsum, pour faire basculer et retenir la dent du cliquet 512 de cet ordre inférieur, hors du trajet de l'encoche 520 de l'engrenage 497, toujours de cet. ordre inférieur.
En conséquence, cet engre nage et le mécanisme d'impression mis en posi tion par ce moyen, demeure à la position zéro, puisqu'il est désirable que les zéros soient im primés dans l'ordre inférieur lorsqu'une touche d'un ordre supérieur est enfoncée.
Comme exposé ci-dessus, les rangées des montants pour les unités, les centaines, ainsi que la rangée de dépassement. de capacité des centaines et enfin les quatre rangées 192 des numéros de références comportent un méca nisme d'élimination de zéros identique à celui qui est représenté à la fig. 4 et fonctionnant. exactement de la même manière que celui qu'on vient de décrire. Cependant, une seule plaque 502 est prévue, dont la bride 501 se prolonge sur tous les engrenages 497, de telle sorte que lorsque cette plaque est ramenée, la bride 501 vienne en prise avec les épaule ments 500 de tous ceux des engrenages 497 qui avaient été amenés à leurs positions res pectives de non-impression, pour les ramener à leurs positions normales.
Les centimes et les décimes (touches 190) lie sont pas munis de mécanisme d'élimination de zéros, car il faut que les zéros de ces rangées soient. imprimés constamment.
Une plaque 495 (fig. 5), fixée sur les extrémités filetées des goujons 503 et 504, aide la plaque 467à maintenir en place le méca nisme d'élimination des zéros. La plaque 495 comporte une fente incurvée (non repré sentée) en prise avec un galet porté par le goujon 511 pour contribuer au guidage de la plaque 502 dans un mouvement oscillant.