CH150650A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH150650A
CH150650A CH150650DA CH150650A CH 150650 A CH150650 A CH 150650A CH 150650D A CH150650D A CH 150650DA CH 150650 A CH150650 A CH 150650A
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Corporation Sundstrand
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Sundstrand Corp
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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C15/00Computing mechanisms; Actuating devices therefor
    • G06C15/04Adding or subtracting devices
    • G06C15/06Adding or subtracting devices having balance totalising; Obtaining sub-total

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  • Computing Systems (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Theoretical Computer Science (AREA)
  • Mechanical Control Devices (AREA)

Description


      31achine    à     calculer.       La présente invention a pour objet une  machine à     calculer    comprenant deux       compteuTs    A -et B qui peuvent fonctionner si  multanément, des touches pour     Tecevoir    :

  des  chiffres et en commander l'enregistrement,  au moins une touche pour commander l'im  pression de totaux, et un organe de     manoeu-          vre    pour l'exécution de chaque cycle -d'opé  rations de la machine, soit qu'il s'agisse d'en  registrer dans les compteurs une donnée re  çue sur les premières touches, soit qu'il  s'agisse d'obtenir un total ,d'un des compteurs  en laissant inchangé le total que peut conte  nir l'autre compteur.

       Cette    machine est ca  ractérisée en     ce    qu'elle comporte un disposi  tif de     verrouillage    (329,<B>336)</B>     maintenant    nor  malement l'un des compteurs (B) en     position     inopérante, et un .dispositif de commande  (295, 301, 311, 5) qui est     destiné    à     permettre          l'actionnement    de ce compteur (B) toutes les  fois que des moyens (72) placés, sous.

       la-d6pen-          dance    -des touches de .chiffres, mais indiffé  rents à     l'actionnement    d'une touche de total,  sont     actionnés,    ces moyens (72) étant     -disposés       de manière à     normalement    libérer ledit  compteur (B) du     @dispositif    de verrouillage       lorsqu'une        touche    -de chiffre est abaissée.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine à calculer selon l'invention.  



  La     fig.    1 -est une élévation latérale par  tielle .de la partie gauche d'une machine, con  forme aux caractéristiques de la présente in  vention;  La     fig.    2 est une vue -de détail 'un cer  tain levier coudé;  La     fig.    3 est une vue de détail d'une came  portée par ce levier -coudé;  La     fig.    3A est une vue -de détail d'un lo  quet faisant partie du mécanisme;  La     fig.    4 est une     élévation    partielle laté  rale du côté droit de la machine;

    La     fig.    5 est une vue partielle montrant  un dispositif .de verrouillage pour le levier  sélectionneur .des     compteurs;     La     fig.    5A est une coupe selon la ligne       a-a   <I>de</I> la     fig.    4;      La     fig.    5B est une vue latérale partielle  d'une bielle faisant partie ,du dispositif sé  lectionneur -des compteurs;  La     fig.    6 est une élévation latérale par  tielle du côté gauche de la machine;  La     fig.    7 est une vue partielle du méca  nisme     compteur    et d'impression, en regar  dant à partir du côté gauche de la machine;

    La     fig.    8 représente un spécimen du tra  vail fourni par la machine.  



  La feuille ou le ruban sur lequel les enre  gistrements doivent     être        effectués,    peut être  supporté par un dispositif comprenant un  cylindre 2     (fig.    7).  



  L'impression est effectuée nu moyen de  barres 3 portant les caractères et allant et ve  nant verticalement, qui sont soulevées et  abaissées à l'aide .d'un dispositif comprenant  deux 'leviers 4 et 5     (fig.    1 et 4) pivotés sur  l'axe 6 et disposés de façon à être     basculés    en  même temps par un .dispositif comprenant  des bielles 7, des bras de manivelles 8 et 9,  un arbre principal 10     d'oscillation    auquel les  bras de levier 8     .et    9 sont fixés, et une ma  nette 11. On comprendra     :qu'un    moteur élec  trique peut     être    employé pour faire osciller  le bras 10, si on le désire.

   Lorsque l'opéra  teur pousse la manette 11 en avant, les bras  de levier 8 .et 9 oscillent vers le haut, en ti  trant ainsi les     extrémités    inférieures des  leviers 4 et 5 en avant et en faisant s'élever  les barres portant les caractères.  



  Le     mécanisme-compteur,    qui peut être dé  cimal ou non, comprend deux compteurs A et  B disposés entre :deux séries de crémaillères.  Chaque compteur comporte une série de pi  gnons 125     (fig.    7) montés de façon à pouvoir  tourner sur un arbre 126 transversal. Chaque  arbre 126 est supporté -de façon à pouvoir  coulisser de façon à mettre son compteur en  prise avec les crémaillères et à retirer ce  compteur hors de prise d'avec celles-ci. Cha  que compteur est disposé de façon à pouvoir  engrener avec l'une ou l'autre série de cré  maillères 129 et 130, mais les deux compteurs  n'engrènent jamais chacun en même temps  avec les crémaillères 129 et avec les crémail  lères 130.

   L'extrémité supérieure de chaque    crémaillère est fixée à une partie 131 s'éten  dant vers l'arrière de l'une des barres 3 de ca  ractères.  



  Chaque compteur est mis en     prise    avec  les crémaillères et hors de prise d'avec     celles-          @ci,    au moyen -de deux bielles; une de chaque  côté -du compteur, les bielles pour     1e     compteur supérieur A étant marquées 137 et.  celles pour le compteur inférieur B 137a. Les  extrémités avant de     ces.bielles    présentent -des  coussinets pour recevoir les extrémités -des ar  bre 126. Les extrémités arrière des bielles  137 sont pivotées en 138 aux     bras        inférieurs     de deux leviers 139 qui sont fixés rigidement  à un arbre 140 tourillonné dans le châssis de  la machine.

   Les extrémités arrière des  bielles 13 7a sont pivotées semblablement en       138a    aux bras supérieurs de deux leviers       139a    -qui sont fixés rigidement à un arbre  140a tourillonné dans le châssis de la ma  chine.  



  Le dispositif pour faire osciller les leviers  <B>139</B> et     139a    en position perpendiculaire et  hors de cette     position,    de façon à faire engre  ner les compteurs avec les crémaillères et     à.     libérer ces compteurs de ces crémaillère.  comporte deux bielles 141 .et 141a     (fig.    4).  Une ouverture allongée 142, respectivement  142a; est ménagée dans l'extrémité avant de  chacune de -ces bielles, pour recevoir des gou  jons 143, respectivement 143a, portant une  tête sur une     glissière    144. La glissière 144  est suspendue de façon à pouvoir osciller le  long de la machine, l'oscillation ayant lieu  d'une manière connue.

   Lors -du mouvement de  va-et-vient -de la glissière 144, les leviers 139  et     139a    oscillent de façon à faire engrener  les compteurs avec les crémaillères et de fa  çon     à,    libérer ces compteurs de     ces    crémail  lères.  



  L'extrémité arrière de la bielle 141 -est en  taillée pour venir en prise alternativement  avec les goupilles 156 et 157 des     extrémités     opposées     -'du    levier 139     -droit.    L'extrémité ar  rière de la bielle 141a est destinée     sembla-          blement    à venir en prise     alternativement    avec  des goupilles 156a et 157a     aux        extrémités         opposées du levier 139a droit.

   Les extrémités  arrière des bielles 141 et 141a se     déplacent     verticalement à l'unisson, .d'une manière con  nue, en prise avec ou hors de     prise    d'avec les  goupilles 156, 157, 156a et 157a, ces bielles  étant reliées au moyen d'une bielle 160 trans  versale. Le but de ce mouvement vertical est  de passer de l'addition à la soustraction, ou  vice-versa. Lorsque les bielles sont dans leur  position     inférieure    (comme représenté à la       fig.    4), elles placent les compteurs en posi  tion pour l'addition, la soustraction étant ef  fectuée lorsque     les    bielles sont dans leur po  sition supérieure. Des tasseaux 158 et 159  sont prévus à l'extrémité arrière de la bielle  141.

   Des tasseaux semblables 158a et 159a  sont prévus à l'extrémité arrière de la  bielle 141a.    On peut utiliser l'un ou l'autre des  compteurs ou les     deux    compteurs en même       temps.    Les moyens pour déterminer quel  compteur doit être employé ou si les deux  compteurs .doivent être employés simultané  ment, comportent une glissière 280     (fig.    4)  montée sur la glissière 144, de façon à pou  voir se déplacer verticalement. La glissière  280 est     guidée    au moyen des goujons 281 à  tête, disposés sur la glissière 144, -ces gou  jons se trouvant engagés à l'intérieur .des  ouvertures 282 allongées verticalement, mé  nagées dans la glissière 280.

   Une     surface.,de     came 283 est disposée sur l'extrémité supé  rieure de la glissière 280 et destinée à coopé  rer avec l'extrémité avant de la bielle 141.  La glissière 280 présente également une sur  face de came 284 pour coopérer avec     l'extré-          mité    avant de la bielle 141a. Un ressort à  boudin 285 fixé à la bielle 160 sollicite les  bielles 141 et 141a dans la direction -de la  glissière 280.  



  Lorsque     la.    glissière 280 est .dans. la posi  tion centrale représentée à la     fig.    4 ou dans  sa position supérieure,     l'extrémité    avant -de  la bielle 141 est enfermée entre le goujon 148  et le bord     arrière    vertical de la glissière 280,  la bielle 141 étant ainsi obligée de     @s-e,déplacer     en arrière ou     .en    avant avec la glissière 144 et    le compteur supérieur     _9    Est ainsi obligé de  venir en prise avec ou hors de prise d'avec  l'une ou l'autre des séries de crémaillères,  pendant que la glissière 144 se -déplace en ar  rière ou .en avant.

   Le ressort 285 maintient  l'extrémité avant de 'la bielle 141 contre le  bord arrière vertical de la glissière 280.  



  Lorsque la glissière 280 .est dans sa posi  tion inférieure, la partie supérieure de la  glissière est hors du parcours de la bielle 141.  par     conséquent    le ressort 285 maintient cette  bielle en avant, le levier 139 étant ainsi  obligé -de se tenir en position verticale, en  ayant les goupilles 156 et 157 placées contre  les tasseaux 158 et 159. Le goujon 143 est  alors libre d'aller et de venir .dans la rainure  142, sans mouvoir la bielle 141, le compteur  supérieur A restant par conséquent inactif.  



  Le dispositif pour placer la glissière 280  dans n'importe laquelle de ses trois positions,  comporte un organe 286 de la forme d'un le  vier coudé, cet organe étant pivoté sur l'axe  147. L'organe 286 porte une goupille 287 qui  se trouve dans une encoche 288 horizontale  allongée, ménagée dans la glissière 280. L'or  gane 286 est pivoté en 289 à l'extrémité ar  rière d'une bielle 290, .dont. l'extrémité avant  est pivotée en 291 à un levier coudé 292 pi  voté en 293. Un des bras .du levier coudé 29?  (ou levier sélecteur) présente une touche 294.  Dans cette forme d'exécution -de l'objet de  l'invention, le compteur supérieur est appelé  compteur A et sert à l'addition, à la soustrac  tion ou à la totalisation, lorsque la touche  294 est dans sa position abaissée.

   Le  compteur inférieur     .est    appelé compteur B et  sert à l'addition, à la soustraction ou à la  totalisation, 'lorsque la touche 294 est dans  sa position supérieure. Lorsque la touche     29.1     ,est dans la position centrale (comme montré  à la     fig.    4), les deux compteurs sont utilisés  pour l'addition et la soustraction, et le total  ne peut être obtenu que du compteur supé  rieur seulement.  



  Lorsque la glissière 280 est dans sa posi  tion inférieure,     l'extrémité    avant de la bielle  141a est maintenue entre le bord vertical ar  rière de la glissière 280 et le goujon 143a, la      bielle 141a étant ainsi obligée d'aller et de  venir avec la glissière 144, ce qui fait que le  compteur inférieur     B    est obligé .de fonction  ner.  



  Lorsque la glissière 280 est dans sa posi  tion centrale ou dans sa. position supérieure,       i;lle    n'exerce aucune commande sur le  compteur     inférieur    B, vu que cette glissière       est    entaillée de façon !à permettre au ressort  285 -de maintenir la bielle 141a de façon sta  tionnaire -dans la position avant .déterminée  par     contact    des     tasseaux    158a et 159a. Lors  du     va-et-vient    de la glissière 144, le goujon       143a    est libre de se déplacer dans la rainure  142a, d'où il s'ensuit que le compteur infé  rieur reste inactif, excepté lorsqu'un méca  nisme qui va être décrit maintenant entre  en jeu.  



  Pour     mettre    le compteur inférieur en  fonction, lorsque la     glissière    280 occupe la  position centrale     représentée    à la     fig.    4, des  moyens sont prévus pour supprimer 'le mou  vement perdu entre la bielle 141a et la glis  sière 144. Ces moyens     ,comprennent    -un or  gane 295 présentant une partie 296 disposée  -de façon à venir entre le goujon     143a    et un  goujon 297 présentant une tête disposée sur  la bielle 141a.

   L'organe 295 présente une       rainure    298, à travers laquelle s'étend le gou  jon 297, l'organe 295 étant ainsi     guidé    pour  se     ,déplacer    en montant et en descendant, de  façon à placer la     partie    296 entre les gou  jons 143 et 297 ou pour retirer cette partie.       L'extrémité    inférieure de l'organe 295 est  pivotée en 299 à     un    bras de manivelle 300  fixé     sur    l'arbre 301 -qui s'étend transversale  ment à travers le châssis de la machine. Un  dispositif se trouve à     l'extrémité    gauche de  l'arbre 301.

   Ce dispositif     constitue        l'équiva-          lentd'un    bras de manivelle pouvant prêter;  il comporte     (fig.    1) une plaque 302 fixée     sur     l'arbre 301 et une plaque     303    pivotée sur la  plaque 302 en 304.

   Un ressort 305 est ancré  à une de     ces    extrémités à la plaque 302 et  est relié à son autre extrémité à une gou  pille 306 sur la plaque     303.    Le     ressort    305       maintient    normalement la goupille 306 contre  le bord adjacent de la plaque 302, les pla-         ques    302 et 303 se déplaçant ainsi comme une  unité restant ensemble. Pour supporter l'or  gane 295" de façon élastique, dans l'une ou  l'autre de ses     deux        positions    et pour complé  ter .son mouvement dans     ces    positions, on a.

    prévu une détente 307 actionnée par un res  sort, pivotée,     comportant    une goupille 308  destinée à se     trouver    dans l'une ou l'autre de  deux encoches 309 de la plaque 302.  



  Une bielle     311,est    pivotée en 310 au bras  de manivelle composé des parties 302 et     303.          L'extrémité    supérieure de     cette    bielle est gui  dée par la     commodité    sur une vis à tête sur  l'axe 6. La. bielle 311 est disposée de façon  à pouvoir être abaissée et élevée, de façon à  amener la partie 296 en position active ou  hors de     cette        position,    par -des moyens com  prenant un levier coudé pivoté dans le châs  sis de la machine, de façon à osciller sur la  pivot. 312.

   Ce levier coudé comporte un bras       313    présentant une ouverture 314 allongée,  pour     recevoir    un goujon 315 porté par la  bielle 311. Le bras     313    présente une     surface     316 de came élastique et une surface 317  disposée -de façon à venir en prise avec un  goujon 318 fixé au levier 5.  



  Les surfaces 316 et 317 sont     formées    sur  un bras du levier 319, lequel est pivoté sur le  bras 313 en 320. Un ressort 321 de traction  agit entre l'autre bras du levier 319 et une  goupille 322 du bras     313,    et maintient nor  malement ce levier 319 avec une partie     323          d'arrêt    en contact avec la goupille 315. Un       bras    324 s'étendant verticalement est fixé ri  gidement au bras     313.    Le bras 324 porte un  chien 325 qui est maintenu de façon à pou  voir prêter     contre    un tasseau 326     ,d'arrêt     sur le bras 324, par un ressort 327 de torsion.

    Un goujon 328 est .disposé sur le     levier    5, -de  façon à venir en prise avec le chien en 325.  lors du mouvement descendant     @de    ce goujon.  Lors. du mouvement     ascendant    .dudit goujon,  le chien 325 est libre de prêter pour per  mettre au goujon 328 de passer sans provo  quer de mouvement du levier coudé     313,    324.  



  On verra que le goujon 328 est     -destiné    à  provoquer le mouvement ascendant de la  bielle 311, dans le but de retirer la partie      296 -d'entre les goujons 143 et 297. On verra  également que le goujon 318     -st    disposé pour  provoquer l'abaissement de la bielle 311, en  vue d'introduire la partie 296 entre les gou  jons 143a et 297 et     .de    mettre ainsi le  compteur inférieur en emploi. Cependant, les  goujons 318 et 328 ne peuvent pas exercer  de commande     sur    le compteur inférieur, lors  que ce compteur doit rester fou, comme lors  que le compteur supérieur doit être employé  seul. Des moyens ont été prévus dans ce but,  pour enlever aux goujons 318 et 328 la com  mande du compteur inférieur.

   Ces moyens  comprennent un verrou 329     (fig.    1) pivoté en  330 .et destiné à pénétrer dans l'encoche 331  de la     biellette    311. Le verrou 329 est fixé ,de  façon à pouvoir prêter à une tige 332     -d'ac-          tionnevaent,    au moyen d'un ressort 333 qui  tend à maintenir le verrou contre un collier  334 sur la tige. L'extrémité avant de la tige  332 est pivotée sur un goujon 335 d'un bras  336, 'lequel est pivoté en<B>337.</B> Un ressort  338 tend à faire osciller le bras 336 en ar  rière, de façon à pousser le verrou 329 en     l'é-          loignant,de    la bielle 311.  



  Le compteur inférieur est inopérant lors  que le levier sélecteur 292 qui porte la tou  che 294 est dans sa position inférieure (dans  laquelle le compteur supérieur seulement est  en fonction) et lorsque le levier     sélecteur    est  dans sa     position    moyenne -et qu'un total est  obtenu du compteur supérieur.    Des moyens sont prévus pour maintenir  le verrou 329 en prise avec la bielle 311, lors  que le levier sélecteur est dans sa position in  férieure. Ces moyens comprennent une came  339     (fig.    1)     disposée,de    façon à être action  née par un goujon 340 .du levier coudé 292.

    La came 339 est fixée sur une     extrémité        d'un     arbre 341 de pivotement     transversal.    Un  bras 342 est disposé .à l'autre     extrémité    de  -cet arbre et s'étend jusque vers le goujon 335.  Lorsque le levier sélecteur 292 est abaissé  dans sa position inférieure, le bras 342 tire  la     tige    332 en avant contre la     traction        des     ressorts 333 et 338. Si le verrou 329 n'est pas  déjà en prise avec     l'entaille    331, il glisse    dans cette entaille lorsque la bielle est sou  levée par l'action du goujon 328 contre le  chien 325.

   L'organe 295 est ainsi bloqué dans  sa position inférieure     (fig.    1 et 4). Le res  sort 285 maintient alors le compteur infé  rieur en position folle ou neutre, comme à la       fig.    4.  



  Lorsque le levier 292 sélecteur -de  compteurs est dans sa position centrale, le  bras 342 se trouve très éloigné du goujon  335, de façon à ne pas gêner l'action du res  sort 338 qui retire le verrou 329.  



  Lorsque     le    levier sélecteur est dans sa po  sition     eeutral.e,    et qu'un total .doit être ob  tenu du     compteur    supérieur, le verrou 329  doit être actionné pour bloquer l'organe 295  dans .sa position inférieure, de telle sorte que  le compteur inférieur reste inactif. Ce résul  tat est obtenu en employant la barre 72 de  glissière qui sert à ramener les arrêts diffé  rentiels à la position initiale, comme entière  ment     -expliqué    au brevet -des Etats-Unis  n  1198487, :du 19     septembre    1916.

   Un bras  343 est fixé     rigidement    au bras 336     (fig.    1)  et présente une partie 344 de came qui est  maintenue abaissée par un rouleau 7 3 dis  posé sur la barre 72 .de glissière, lorsque cette  barre est. dans sa position avant. Lorsqu'un  chiffre est reçu sur le clavier, la barre 72 est  déplacée en arrière, suffisamment loin pour  retirer le rouleau 73 de la partie 344 de came,  en permettant ainsi au ressort 338 -de retirer  le verrou 329 et en permettant à l'organe 290  de fonctionner et -en permettant l'addition ou  la soustraction dans le compteur inférieur B.

    Lorsqu'un total doit être obtenu, la barre 72  est toujours dans sa     position    avant, il s'en  suit que le loquet 329 est maintenu contre  la bielle 311, prête à glisser dans l'encoche  311, pendant la course d'espacement qui pré  cède l'obtention d'un     total.    Dans ce but, le  goujon 318 est empêché de soulever l'organe  295 en position active et le compteur     inf.-          rieur    reste inactif pendant -que le total du  compteur supérieur est imprimé.  



  Des moyens sont     prévus    pour empêcher  le levier 292 sélecteur d'être déplacé de n'im-      porte laquelle -de ses     positions,    après que la  touche "total" a été pressée. 345 est la tige  de la touche 346     "total".    Un doigt 347 est  fixé à la tige 345 et recouvre un bras 348  compris dans le mécanisme .de totalisation.  Le bras 348 est pivoté en 349. L'extrémité  avant du bras 348 présente deux encoches 350  et 351 dans son bord inférieur. Un goujon  352 est fixé au bras s'étendant verticalement  du levier coudé 292. Lorsque ce levier coudé  est dans sa position centrale (comme à la       fig.    4), le goujon 352 se trouve directement  au-dessous de l'encoche 350.

   L'abaissement  de la touche "total" oblige la partie entail  lée 350 à venir en prise avec le goujon 352,  en empêchant ainsi le mouvement du levier  292 sélecteur jusqu'à ce que le total ait été  obtenu. Lorsque ce levier est dans sa posi  tion supérieure, le goujon 352 se trouve di  rectement au-dessous de l'encoche 351 et il  sera ainsi saisi par cette encoche, lorsque la  touche "total" sera abaissée. Semblablement,  lorsque le levier 292 est dans sa position su  périeure, le goujon 352 est dans la position  pour laquelle     l'abaissement    de la touche "to  tal" placera     7.e    bord 353 frontal directement  derrière ce goujon et empêche ainsi le levier  sélecteur d'être élevé.  



  Pour empêcher le levier sélecteur 292  d'être déplacé après que la manette 11 a été  poussée et jusqu'à ce que cette manette re  tourne dans sa position normale, on prévoit  les moyens qui vont être décrits maintenant.  



  En référence aux     fig.    4,     5A    et 5B: Trois  encoches 354, 355 et 356 sont ménagées dans  le bord inférieur de la bielle 290, -de façon  à être saisies par un tasseau 357 porté par le  loquet 358. Ce     loquet,est    pivoté en 359 à une  console 360 fixée au châssis de la machine.  Un goujon 361 à tête,     porté    par la     console     360, fait saillie à     travers    une rainure du lo  quet et empêche le déplacement latéral de       ce    loquet. Un     ressort    362 fixé au loquet et  ancré à la console, tend à amener le loquet en  prise avec la bielle 290.

   Lorsque la manette  11 est dans la position initiale, le loquet est  maintenu hors     de    prise .d'avec la bielle, par    l'engagement du bras 8 -de manivelle avec  une saillie 363 du loquet. Comme représenté  à la     fig.    4, lorsque le levier 292 sélecteur est  dans sa position centrale, l'encoche médiane  355 se trouve directement au-dessus -du tas  seau 357.

   Les encoches 354 et<B>356</B> correspon  dent, par leur espacement, aux positions su  périeure et respectivement inférieure du le  vier sélecteur de     compteurs.    On verra .qu'aus  sitôt que la manette 11 est déplacée hors de  sa position initiale, le loquet 358 immobilise  la bielle 290 et continue à retenir     cette    bielle  jusqu'à ce que la manette soit revenue à la  position initiale.  



  Le fonctionnement de la machine peut  être résumé et ses possibilités indiquées  comme suit:  En supposant que 'les deux compteurs  soient à zéro, la manette 11 étant dans sa po  sition initiale et le levier 292 sélecteur des  compteur étant dans sa position centrale ou  A -et B, les parties du côté droit de la ma  chine sont dans la position indiquée à la       fig.    4 et le mécanisme -du côté gauche .de la  machine est dans la position représentée à la       fig.    1. Le compteur supérieur A sera actionné  par la glissière 144.

   En supposant que l'opé  rateur désire totaliser une série de valeurs,  mais veut obtenir -des totaux séparés     (sous-          totaux)    de certains groupes de valeurs et en se  référant à la     fig.    8, l'opérateur inscrit 1.25  sur le clavier et le mouvement en arrière ré  sultant de la barre 72 de glissière, éloigne le  goujon 73 de la partie 344 .de came et permet  au ressort 338 -de déplacer le loquet 329 hors  de l'encoche 331.     L'opérateur    appuie alors  sur la manette. Dans la première partie de  la course en avant, la glissière 144 se -dé  place en avant, en s'éloignant -de la bielle  141a.

   Lorsque la manette termine sa course  en avant, la partie 296 est introduite entre le  goujon     143a    et le goujon 297 par engagement  du goujon 318 avec la surface 316 de came.  Au début -de<B>l</B>a course -de retour de la ma  nette, le compteur inférieur B est mis en  prise avec les crémaillères avant pour totali  ser la valeur 1.25, lorsque les crémaillères      descendent. A     1a    fin de la course de retour,  les parties du côté droit de la machine sont  dans la position représentée à la     fig.    6. Le  compteur supérieur est mis .en prise     avec    et  hors de prise d'avec les crémaillères     arrière;     au moment voulu, pour totaliser la va  leur 1.25.  



  Après avoir inscrit 7.89 sur le clavier, la  manette est .de nouveau poussée. Dans la pre  mière partie de la course en avant, la glis  sière 144 se déplace .en avant, en portant avec  elle la bielle 141a. Comme la partie 296 est  encore dans sa position supérieure, le  compteur inférieur est ainsi placé en position  neutre. Lorsque la manette continue sa course  en avant, la butée est. abaissée par le contact  du goujon 328 avec le chien 325 et il s'ensuit  une élévation .de la bielle 311.<B>En</B> outre,     pen-          -dant    la course en avant de la manette, la par  tie 296 est de nouveau     introduite    entre les  goujons     143a    et 297 par le contact du gou  jon 318 avec la surface 316 de came.

   Lors de  la course de retour de     la    manette, la glissière  144 est déplacée en     arrière,    en portant avec  elle la bielle 141a, de telle sorte que le       compteur    inférieur est mis en prise avec les  crémaillères avant pour enregistrer la va  leur 7.89. Cette valeur est également enre  gistrée dans le compteur supérieur.  



  L'opérateur fait alors une course à vide.  Pendant la première partie -de la course en  avant de la manette, la glissière 144 est dé  placée en avant, en portant avec elle la  bielle 141a. Un     peu    plus tard, dans la course  en avant, la partie 296 est abaissée par le       'Contact    du goujon     328    avec le chien 325.  Lors -de la course de retour -de la manette, la  glissière 144 est déplacée en arrière, la  bielle 141a restant stationnaire.  



  L'opérateur appuie alors sur la     .touche     "total" et pousse la manette. Dans la pre  mière partie de la course de retour, la glis  sière 144 est déplacée en avant pour retirer  le compteur supérieur -des crémaillères ar  rière, en mettant ainsi le compteur supérieur  à zéro, après que l'impression -du total qui se  trouvait dans ledit compteur a été effectuée.    Le compteur inférieur reste dans sa position       neutre,    le total qui a été libéré -du compteur  supérieure restant évidemment dans le  compteur inférieur.

   On voit ainsi que l'opé  rateur a obtenu un total individuel ou     sous-          total    des deux premières valeurs, mais qu'il  a conservé ce total dans le compteur infé  rieur, sans déplacer le levier 292 sélecteur de  compteurs. La partie 296 est restée abaissée  pendant .ce cycle d'opérations, vu que le lo  quet 329 empêche le fonctionnement de la  bielle 311 par le levier 5, la surface 316 de  came cédant pour permettre au goujon 318 de  passer.  



  L'opérateur     peut    alors faire la liste et  procéder à l'enregistrement     d'autres    valeurs  et peut alors obtenir un total individuel (ou       sous-total    5.79) de ces valeurs, comme indi  qué à la     fig.    8, en mettant à zéro le  compteur supérieur.  



  L'opérateur peut     maintenant    totaliser  toutes les valeurs (obtention d'un total géné  ral ou grand total) et mettre à zéro le  compteur inférieur en -déplaçant en premier  lieu le levier 292 sélecteur des compteurs  vers la position supérieure. Le soulèvement  du levier     sélecteur    oblige la glissière 280  d'être abaissée, pour retirer l'extrémité supé  rieure de cette glissière -du contact avec la  bielle 141 et pour présenter le bord vertical  arrière de     cette    glissière, à l'extrémité avant  de la bielle 141a. Le retrait de l'extrémité  supérieure -de la glissière 280 du contact  avec la bielle 141 permet immédiatement au  ressort 285 -de placer le compteur supérieur  mis à zéro en position neutre.

   Le compteur  inférieur engrène avec les crémaillères avant.  



  L'opérateur fait alors une course à vide.  Pendant la course en avant de la manette,     l-,     glissière 144 est .déplacée en arrière pour re  tirer le compteur inférieur des crémaillères  avant. Au début de la course de retour, le  compteur inférieur est remis en prise avec les  crémaillères avant. L'opérateur appuie alors  sur la touche  total" et pousse la manette. Le  compteur inférieur reste en prise avec les  crémaillères pendant la course avant de la      manette, de telle sorte que les     barres    portant.  les caractères sont     mises    en position pour  l'impression du total de toutes les valeurs   ou grand total - (14.93).

   Près du début de  la course ,de retour de la manette, le compteur  inférieur est retiré des crémaillères en lais  sant ce     compteur    à zéro. A la fin     -de    la course  de retour, 'le compteur     inférieur    est remis en  prise     avec,    les crémaillères avant.  



  On voit que     l'opérateur    peut obtenir des  totaux à     partir    du compteur supérieur A  sans déplacer le levier sélecteur 292 .clés  compteurs de la position A -et B (position       médiane),    en évitant ainsi le     risque    d'oublier,  par     inadvertance,    de ramener le levier à la  position<I>A et B.</I>  



  D'après     la,description    qui précède, on voit       que    la commande     automatique    du compteur  B est effectuée     directement    à partir de l'a  baissement d'une touche de chiffre. Le  compteur B est     normalement    en position  inopérante, mais l'abaissement d'une touche  déchiffre .quelconque fait .que le compteur B  est amené en position opérante, tandis que l'a  baissement d'une touche de total ou de     sub-          total    n'a pas,     cet    effet .sur ce compteur.

   Une  telle disposition offre un avantage pratique  sérieux, -qui apparaît lorsque l'on vient d'a  baisser une ou plusieurs touches de chiffres  et une touche de total pour une même opéra  tion à faire effectuer par la machine. Dans  un tel cas, qui peut se présenter par suite  d'une inadvertance, il n'y a pas de conséquen  ces fâcheuses, l'abaissement -de la touche de  total n'a aucun effet .et les, chiffres corres  pondants aux     touches    de chiffres qui ont  été abaissées sont enregistrés et totalisés dans  la machine comme à l'ordinaire. Il     n'est,donc     besoin     d'aucun    mécanisme spécial pour préve  nir ce cas.

      Il n'en va pas de même -dans les machines  connues dans lesquelles on a également deux  compteurs similaires aux compteurs<I>A</I> -et<I>B.</I>  Dans ces machines, celui -des compteurs qui  correspond à B est normalement -en position  opérante: Il s'ensuit 'l'inconvénient suivant:  en vue de prendre garde à l'éventualité -ci-         tée,

      il est nécessaire de prévoir un mécanisme  additionnel destiné à produire la libération  ou     mise    en position inopérante de pratique  ment toute la machine lorsqu'on abaisse une  touche     de    total ou de     sub-total    alors qu'un  organe de commande équivalent à l'organe  294 de la machine décrite est dans la position  correspondant au fonctionnement     simultané     des deux compteurs.  



  A part la     complication    supplémentaire  signalée     -des    machines connues, il y a aussi  pour -elles l'inconvénient pratique qu'avec  cette disposition,     l'opérateur,        dans    le     cas    exa  miné, est sujet à être incertain quant aux con  séquences, de son inattention, tandis qu'avec  la machine décrite, une telle complication  supplémentaire est évitée, et l'inconvénient  signalé ne se présente pas.  



  Les signes de référence     indiqués    dans la  revendication     ét    les     sous-revendications.    ne  sont donnés qu'à titre indicatif et ne limitent  pas la     portée    de celles-ci à la forme d'exécu  tion décrite ci-dessus et représentée au -des  sin.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer comprenant deux compteurs<I>(A</I> et B)- qui peuvent fonctionner simultanément, des touches pour recevoir -des chiffres et en commander l'enregistrement, au moins une touche pour commander l'im pression de totaux, et un organe de manoeu- vre pour l'exécution de chaque cycle @d'opéra- tion de la machine, soit qu'il s'agisse d'enre gistrer dans les compteurs une ,donnée reçue sur les premières touches, soit @qu'i1 s'agisse d'obtenir un total d'un des compteurs en lais sant inchangé le total que peut.
    contenir l'au tre compteur, caractérisée -en ce qu'elle com porte un dispositif -de verrouillage (329, 336) maintenant normalement l'un des compteurs (B) en position inopérante, et un dispositif de commande (295, 301, 311, 5) qui est destiné à permettre l'actionnement de ce compteur (B) toutes les fois que les moyens (72) placés sous la dépendance des touches de chiffres, mais indifférents à l'actionnement d'une tou- che de total, sont actionnés, ces moyens (72) étant disposés de manière à normalement li bérer ledit compteur (B)
    du dispositif de verrouillage lorsqu'une touche de chiffre .est abaissée. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine à .calculer selon la revendication, comportant -un organe de commande à main, qui, dans une posirion, dispose la machine pour le fonctionnement simultané .des deux compteurs, et qui, dans une se conde position, dispose la ma:
    ehine pour le fonctionnement du compteur (A) autre que celui (B) maintenu normalement en posi tion inopérante par le dispositif de ver- rouillage,caractérisée en ce que l'organe de commande à main (294), Ïorsqu'il est amené dans -la seconde position, -empêche la libération .du compteur (B) .du disposi tif -de verrouillage de se produire lors qu'une touche .de chiffre est abaissée, de sorte que ce compteur Teste en position ino pérante même lors @de l'abaissement d'une telle touche.
    2 Machine à calculer selon la revendication et @la sous-revendication 1, caractérisée en ce que les moyens (72) placés sous la dé pendance .des touches de chiffres,compren- nent une glissière ayant un goujon (73) qui .est normalement -en prise avec une par tie (344) d'un levier (336) pour .maintenir un verrou (829) en position de retenue, -et en ce que l'organe @de commande à main (294) est connecté avec un bras (342)
    mo- -bile sur la trajectoire -et hors de la trajec- toire d'un second goujon (3'35) .du levier précité (33H, la,disposition étant telle que 'le prermiem goujon (73) s'écarte de la partie (344) susdite lorsque la glissière est mue en avant, de manière à permettre au ver rou (329) 1d'être retiré, pourvu que l'or gane de co,mmanude à main ne soit pas dans la -seconde position, dans laquelle le bras (342)
    est contre le goujon correspondant (33M. 3 Machine à calculer selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que la glissière (295) présente une par tie (296) -qui ,constitue un dispositf à éli mination de mouvement perdu qui, lors qu'il est mû,en position opérante au cours -d'un cycle d'opération de la machine, quand les moyens (72) placés sous la dé pendance des touches de chiffres le per mettent, sert à éliminer le mouvement perdu dans une liaison entre une glissière (144),
    d'actionnement de compteur et une bielle (141a) qui est disposée pour trans mettre le mouvement de cette glissière (144) au compteur (B) maintenu normale ment en position inopérante par le,disposi- tif de verrouillage.
    4 Machine selon la revendication et les sous- revendications 1, 2 et 3, caractérisée en ce qu'une seconde bielle (141) présente une liaison à mouvement perdu avec la glissière (144) d'actionnement de compteur et est ,disposée pour transmettre le mouvement.
    de cette glissière au compteur (A) autre que celui .qui est normalement maintenu en po sition inopérante par le dispositif de ver rouillage, et en @ce que l'organe de coin- ,mande à main (294), lorsqu'il se trouve dans l'une des première et seconde posi tions, produit l'élimination .du mouvement perdu entre ladite bielle (141) et la glis sière (144), cet organe de commande à .
    main pouvant occuper une troisième posi- tion, dans laquelle il produit l'élimination du mouvement perdu entre la première bielle (141a) et la glissière et il rétablit le mouvement perdu entre la seconde bielle (141) et cette glissière (144).
    5 Machine à calculer selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractéri- sée en ce que l'organe de commande à main (294) est connecté avec une glissière (280) au moyen d'un goujon (287) .et d'un levier (290), cette glissière (280) étant prévue avec des surfaces .de cames (283 et 284) opposées, disposées pour coopérer vltcrnativement avec l'extrémité de la se- @conde bielle (141.) ou -de la première bielle (141a),
    pour maintenir l'extrémité de la coulisse (l42) respective, -de l'une des bielles, chacune desdites bielles présentant une @de ces coulisses, -en engagement avec le goujon (143) respectif, porté par la glis sière (144), pour effectuer l'élimination du mouvement perdu.
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