CH157085A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH157085A
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automatic
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Inventor
Company Marchant Calcu Machine
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Marchant Calculating Machine
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Description


      Machine    à calculer.    La présente invention se rapporte à une  machine à calculer du type comportant un  mécanisme à commande automatique disposé  pour déplacer le chariot de la     machine    dans  l'une ou l'autre de deux directions opposées.  



  Les mécanismes de déplacement automati  ques des chariots employés     jusqu'à    présent  dans des machines     ià    calculer comportaient  une commande de direction de marche qui  commandait le train d'engrenage ou autres  éléments de transmission dé mouvement dis  posés pour actionner le chariot, de façon à  réaliser soit un     actionnement    direct, soit un       actionnement        indirect    au moyen d'un organe  intermédiaire à montage fou.  



  Le déplacement de ces éléments de trans  mission plutôt encombrants a donné lieu à de  sérieuses difficultés,     notamment    au point de  vue de l'adaptation de ces     mécanismes    à la  commande automatique par le mécanisme  prévu pour effectuer automatiquement des  opérations de division.

   Or, la présente inven-         tion    envisage une     disposition    dans laquelle on  prévoit le déplacement d'organes de com  mande disposés pour amorcer     l'actionnement     du mécanisme de déplacement, au lieu du dé  placement des éléments de transmission     eux-          mêmes.    Il en résulte que l'organe prévu pour  changer le sens de     direction    de marche auto  matique du chariot peut être fait très léger,  grâce à quoi il peut être aisément amené en  position     opérative    ou être ramené au repos au  commencement et :à la fin d'une opération de  division     automatique.     



  La machine     @à    calculer suivant l'invention  se caractérise par une pièce intervenante dis  posée pour être déplacée automatiquement en  un point prédéterminé d'une opération de cal  cul automatique et par un levier pour amener       préalablement    ladite pièce     intervenante    en       position        convenable    pour engager l'un ou  l'autre de deux mécanismes de transmission  de mouvement à la. suite du mouvement auto  matique     communiqué    à ladite pièce, lesdits       mécanismes    de transmission étant disposés      respectivement pour déplacer le chariot dans  des directions opposées.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de cette       machine,    celle-ci étant du type décrit dans le  brevet suisse     11â767,    auquel on pourra se re  porter pour une description des mécanismes  non spécifiquement décrits ici.  



       Fig.    1 est une coupe longitudinale de la  machine, en regardant vers la     droite,    repré  sentant divers mécanismes de commande de  la machine,     entre    autres celui régissant la  commande motrice de celle-ci;       Fig.    2 est une coupe longitudinale repré  sentant la     construction    de barres plus et  moins;

         Fig.    3 est une coupe latérale représentant  des mécanismes de commande du changement  de marche et de la     division;     Fi-. 4 est un détail d'une portion d'un  mécanisme de commande de la     division;          Fig.    5 est une coupe latérale représentant  le mécanisme de déplacement automatique du  chariot;       Fig.    6,     6A    et 7 montrent des détails de  la commande d'un embrayage -de déplace  ment;       Fig.    8     .est    une vue d'ensemble de moyens  régissant     l'effaçage    et le déplacement;

         Fig.    9 donne le détail d'un mécanisme  d'enclenchement réciproque des touches     d'ef-          façage    et de déplacement;       Fig.    10 est une coupe longitudinale d'une  unité de multiplicateur automatique, repré  sentant les moyens régissant le déplacement  automatique;       Fig.    11 est une coupe représentant un mé  canisme de blocage et de libération des tou  ches du multiplicateur;       Fig.        11A        donne    le détail d'un mécanisme  de libération des touches du multiplicateur;

         Fig.    12 est une coupe représentant un le  vier de commande de     division    et le méca  nisme y associé;       Fig.    13 est une coupe représentant cer  tains des dispositifs régissant la division;       Fig.    14 à 17 sont .des détails de portions  du mécanisme représenté- à la     fig.    13;         Fig.    18 est une élévation du     mécanisme     de déplacement     automatique    du chariot;       Fig.    19 est un plan de     détails    de ce der  nier mécanisme;       Fig.    20 et 21 donnent des détails de ce  même mécanisme;

    Fi-. 22 et 23 sont des     vues    schématiques  des divers mécanismes.  



  <I>Contrôle de la commande.</I> Dans la forme  d'exécution représentée, le mécanisme de com  mande comprend un moteur électrique qui  est relié à l'arbre de commande 100 par un  engrenage réducteur de     vitesse    approprié et  est capable d'être relié d'une manière     inter-          ïnittente    au mécanisme calculateur pour l'ac  tionner.  



  Le moyen par lequel la commande est re  liée au mécanisme calculateur comprend     un     embrayage 110     (fig.    1) dont l'organe menant  est un rochet 111 fixé sur l'une des extré  mités de l'arbre 100. Ce rochet 111 est en  fermé dans une cage circulaire 112, qui cons  titue l'organe mené de l'embrayage et dans  laquelle pivote, en position pour prendre dans le  rochet un     cliquet    d'entraînement 113 qui est  normalement repoussé en prise avec ce rochet  par un ressort 114, mais peut en être main  tenu dégagé au moyen d'un mécanisme de  contrôle d'embrayage.

   Ce dernier mécanisme  comprend un     levier    coudé 115     tourillonnant     sur un axe 116, sur le bâti de la machine et  portant, sur l'un de ses bras, un pied 117 ca  pable, lorsque l'entraîneur est dans la     posi          Lion    de cycle complet, de passer à travers une       ouverture    formée dans une position appro  priée dans la cage 112 pour venir en prise  avec la queue du cliquet 113 et l'amener à la  position de débrayage.  



  Un ressort 118, tendu entre un bouton,  sur la base de la machine, et le bras opposé  du levier coudé 115, tend à amener le pied  117 à la position de débrayage, de sorte qu'en  l'absence d'une intervention d'autres organes,  l'entraîneur sera amené au repos, avec l'em  brayage dégagé, lorsqu'il     atteindra    la posi  tion de cycle complet, après un tour. Des  moyens sont prévus pour     actionner    le     levier         coudé 115, afin d'embrayer l'entraîneur pour  le nombre de tours requis pour l'accomplis  sement d'un calcul désiré et     une        cheville   <B>119</B>  est prévue, à cet effet, sur l'extrémité anté  rieure du levier 115.

   Avec cette cheville s'en  gage l'extrémité arrière, encochée, de la bielle  de commande 121 qui est articulée, par son  extrémité avant, à la plaque de commande  l20 et normalement tenue par-dessus la che  ville 119 par un ressort 122, tendu entre l'ar  bre 123 et un point intermédiaire de ladite  bielle. La plaque 120 est fixée sur l'arbre  123, tourillonnant dans la machine, et com  prend une partie avant verticale 124, capable  de coopérer avec la barre plus, et     une    partie  arrière angulaire 125, capable de coopérer  avec la barre moins.

   Le fonctionnement de  l'une ou l'autre de ces barres est capable  d'imprimer une oscillation en sens inverse  du mouvement des aiguilles d'une montre à  la plaque 120, comme cela sera décrit     ci-          après.    Cela imprime une oscillation corres  pondante, en sens     inverse    du mouvement des  aiguilles d'une montre, au levier coudé 115 en       permettant    au cliquet 113 de prendre dans te  rochet pour la période de temps pendant la  quelle cet ajustement est maintenu. Le moyen  par lequel les barres plus et moins remplis  sent ce but sera décrit plus loin.  



       Changement   <I>de marche.</I> A la cage d'em  brayage 112 (fi-. 3) est fixé, pour tourner  avec elle, un manchon 130 qui     tourne    dans  une paroi intermédiaire de la machine et sur  lequel tourillonnent deux roues dentées 131  et 132 adjacentes à ladite cage.

   Sur leurs fa  ces contiguës, ces roues sont     pourvues    de  rebords annulaires 133, dont chacun pré  sente deux sièges, disposés à l'opposé l'un de  l'autre et de profondeur différente,     destinés    à  recevoir une     cheville    134     fixée    dans un arbre  de déplacement 135 et capable -de prendre  dans lesdits sièges à travers des orifices dis  posés à l'opposé l'un de     l'autre    dans le man  chon 130. Un déplacement de la cheville 134  au moyen de l'arbre 135 rend alors l'une ou       l'autre    des deux roues dentées solidaire de la  cage d'embrayage.

      Dans le train de commande reliant l'une  de ces roues à     l'entraîneur    se trouve une  roue de renvoi intermédiaire, tandis que dans  le train reliant l'autre roue dentée à cet en  traîneur- il n'y en a pas, ce qui fait que les       deux    roues dentées actionnent l'entraîneur  dans des directions opposées, comme c'est re  présenté schématiquement à la     fig.    23.     Cette     partie du mécanisme est complètement dé  crite, par exemple, dans le brevet américain  no 1682901 du 4 septembre 1928.

   A la     fig.    3,  la cheville 134 est représentée en position  pour actionner l'entraîneur dans le sens ad  ditif, position dans laquelle elle est normale  ment sollicitée par le ressort 226 supportant  la barre moins. Il est prévu, pour déplacer  l'arbre 135 afin d'amener la cheville en prise  avec la roue dentée de commande négative  132, un moyen qui est fait élastique, de fa  çon que son action puisse     être    supprimée par       d'autres    moyens agissant dans des opérations  de division automatique, comme ce sera ex  posé plus loin.

   L'arbre 135 porte un collier       fixe    140 qui est enfermé par un manchon  coulissant 141 renfermant également un res  sort 142 dont un des bouts porte contre le  collier et l'autre     contre    une des extrémités  du manchon, ce qui maintient ainsi ce der  nier dans une position telle, par-dessus le  collier, que son autre     extrémité        porte    contre  ce collier. La     fourchette    de déplacement re  présentée dans le brevet suisse antérieur pré  cité prend sur ce collier 141, comme c'est re  présenté en 143, et son mouvement latéral  tend à déplacer l'arbre 135 et sa cheville 134  pour amener celle-ci en prise avec l'une des  deux roues 131, 132, sélectivement.  



  <I>Barres plus et moins.</I> La     machine    repré  sentée comprend des moyens manuels pour  régir la rotation de l'entraîneur pour plu  sieurs opérations dans un sens positif ou un  sens négatif, au choix. Le moyen pour régir  à la main la rotation dans le sens positif com  prend une barre plus 200, supportée sur un       châssis    201     (fig.    2), supporté lui-même sur  l'une - des     extrémités    d'une paire de bielles  parallèles     202    reliées ensemble, à leurs ex-           trémités    opposées, par une bielle 203 et pivo  tant, en     un    point intermédiaire de leur lon  gueur, sur la plaque 210.

   Un ressort 204,  tendu entre la plaque et l'extrémité inférieure  de la bielle avant, tient relevée la barre plus.  Le châssis 201     porte    un galet 205 qui passe  à travers une ouverture de la plaque 210 et  sert     àà    actionner le mécanisme d'embrayage.  



  Le moyen pour régir la rotation négative  de     l'entraîneur    comprend une barre moins  (220) dont la tige glisse sur la plaque 210  au moyen d'une liaison à cheville et fente  221     (fig.    1). Cette tige de la barre moins  porte une     cheville    222 s'étendant par-dessus  l'un des bras d'un levier coudé 223 pivotant  sur le côté opposé     (fig    2) de la plaque 210;  en 224, et portant un galet 225 qui passe à  travers l'ouverture de la plaque, en juxtapo  sition avec le bras 12:5 de la plaque 120 qui       commande    l'embrayage.

   Un     abaissement    de  la barre moins repousse ce galet de haut en  bas et vers l'arrière à l'encontre de l'action  du ressort 226 qui, tendu entre la plaque in  termédiaire 210 et l'extrémité inférieure du  levier     coudé    223,     tient    celle des extrémités  du levier coudé qui porte le galet 225 dans  sa position la plus élevée et le changement de  marche dans la position additive.  



  De même, un abaissement de la barre plus  meut son galet 205 de haut en bas et vers  l'arrière, en raison de la façon dont elle est  supportée sur les bielles parallèles 202. Le  galet 20-5 passe à travers une ouverture de la  plaque intermédiaire 210 et bute contre le  bras     vertical    avant 124, de la -plaque de  commande 120. Le galet 2,25 passe, de même,  à travers une ouverture de     cette    plaque 210 et  bute contre le bras angulaire arrière 125, de  la plaque 120e. On voit qu'ainsi le fonctionne  ment de- l'une ou l'autre barre a pour résul  tat     une    oscillation, en sens inverse du mouve  ment des aiguilles     d'une    montre, de la plaque  de commande 120 et, par conséquent, un en  gagement de l'embrayage de l'entraîneur.

   Un  enclenchement réciproque, pour empêcher un  fonctionnement simultané des barres 200 et  220, est     prévu    sous la forme d'une barre à  bascule 230     pivotant    en     un    point intermé-         diaire    de sa longueur, sur la plaque inter  médiaire 210. L'une des extrémités de cette  barre se trouve sous le galet 205 du châssis  de la barre plus, tandis que l'autre se trouve  sous un prolongement du bras porte-galet du  levier coudé 223. L'abaissement de l'une ou  l'autre touche fait basculer la barre en con  tact direct avec l'autre organe sous lequel  elle s'étend, pour empêcher un fonctionne  ment simultané de celui-ci.

   Un abaissement de  la barre moins actionne également le change  ment de marche en produisant un mouve  ment d'avant en arrière de la bielle 227 arti  culée à l'extrémité inférieure du     levier    coudé  223. Un mouvement de     cette    bielle 227 vers  l'arrière fait osciller une came en vis sans fin  jouant dans une fente de l'arbre qui     porte    la  fourchette de déplacement d'engrenage,  comme c'est représenté dans le brevet suisse  antérieur précité.

   Le mécanisme de change  ment de marche proprement dit a été, toute  fois,     modifié    comme     expliqué        précédemment,     pour permettre un renversement du sens de  rotation de l'entraîneur sans effectuer un dé  gagement de l'embrayage dans certaines con  ditions.  



  <I>Touche</I>     d'addition.    Une touche spéciale  250     (fig.    10) est prévue pour commander les  divers mécanismes dans l'accomplissement  d'une addition. Elle est articulée en 251 à un  levier 252 pivotant en 2,53 et     supporté    par     un     ressort 254.     L'extrémité    supérieure de la tige  de touche présente un cran 2,55 capable de  prendre sur la plaque de recouvrement, lors  d'un abaissement de     cette    touche, pour rete  nir temporairement celle-ci en position d'acti  vité.

   Un ressort 256, tendu entre l'extrémité  inférieure de la tige de touche et un point       fixe    de la machine, tend à faire basculer la  touche à la position de verrouillage.  



  L'extrémité arrière du levier 252 est  fourchue et prend sur une cheville 2160 portée  par une bielle 261 qui est actionnée par la  machine et qui, quand elle est relevée en posi  tion d'activité par l'abaissement de la touche  250, agit pour libérer les touches à la fin de  chaque cycle de fonctionnement. Le fonction-           nement    de cette bielle pour la libération des  touches abaissées est complètement     exposé     dans le brevet suisse antérieur susmentionné.  



  La touche 250 régit également les méca  nismes de déplacement automatique du mul  tiplicateur et du chariot, comme cela sera ex  pliqué ci-après.  



       Entraîneur,        accumulateur   <I>et compteur.</I>  Le tambour     d'entraîneur        .300,    le compteur  375 et le chariot d'accumulateur 400 sont  sensiblement identiques, comme     construction     et fonctionnement au mécanisme correspon  dant décrit dans le brevet suisse antérieur  précité auquel on pourra se reporter; on ne  les décrira par conséquent pas spécifique  ment ici.

   Il suffira de dire que les sections de  l'entraîneur sont     capables    d'un ajustement  différentiel par les     sections    de touches y asso  ciées pour     effectuer    l'entrée des nombres y  posés dans l'accumulateur y associés, lors de  la rotation de l'entraîneur, l'entrée étant ad  ditive ou soustractive selon le sens de rota  tion de     l'entraîneur.     



  Il va sans dire que le terme accumulateur,  tel qu'il est employé ici, s'applique à un mé  canisme comprenant des roues numérales ca  pables d'être actionnées dans des directions  opposées pour l'addition et la soustraction, et  n'est pas limité à une rangée de roues numé  rales capables d'être     actionnées    dans un sens  seulement.     L'"entrée"    d'un articule peut, par  conséquent, être soit additive ou     soustractive     et le sens de rotation des roues numérales  composant l'accumulateur sera commandé en  conséquence.  



  La machine représentée comporte un mé  canisme avertisseur pour signaler à l'opéra  teur le moment où la capacité du mécanisme  calculateur est dépassée dans une addition,  une soustraction ou une multiplication. Tou  tefois, ce mécanisme avertisseur est mis hors  d'action au cours d'une     division    automatique  et son mécanisme de commande est utilisé  comme un contrôle du fonctionnement de la.  machine dans cette opération.  



  Un timbre 450     (fig.    3 et 13), convenable  ment monté sur le bâti, est disposé pour     être       frappé par un marteau 451 pivotant sur un  montant, sur la base de la machine, et tenu  dans une position neutre par un ressort 453.  Une bielle de poussée verticale à épaulement  454, s'étendant à travers une oreille fendue  prévue sur le bras de marteau, constitue le  moyen     actionnant    ce dernier. Dans sa posi  tion de non-division, la queue 633 du méca  nisme de commande inverse de division,     ci-          après    décrit, se trouve par-dessus l'extrémité  supérieure de la bielle 454.

   Cette queue 633  est     articulée    par son extrémité antérieure au  levier de report en trop pivotant verticale  ment 630, dont la crosse avant se trouve der  rière les leviers de report 425 coopérant avec  les trois derniers ordres de l'entraîneur.  



  La crosse est néanmoins assez espacée des  leviers de report pour que leur     mouvemeni     n'ait point d'effet sur le levier 630 à moins  que quelque pièce intervenant n'amène les  deux sensiblement en     contact.    Le dernier le  vier de report sur la gauche de l'accumula  teur est pourvu d'une telle pièce intervenante,  sous la forme d'une oreille 4251 d'un seul te  nant avec lui, de sorte que le fonctionnement  de ce levier de report fera basculer le levier  630, en déprimant la queue 633 pour faire al  ler et     venir-la    bielle 454. Le marteau 451 est  par cela actionné, indiquant qu'une     quantité     transférée a été perdue et que le nombre en  registré indiqué est par conséquent incorrect.  



  A mesure que le chariot d'accumulateur  est déplacé à gauche, deux ordres de report  de plus de l'entraîneur entrent en jeu et le  point de commande du mécanisme avertis  seur est déplacé d'une façon correspondante.  Finalement, au moment où le levier 42.5, por  tant l'oreille 4251, dépasse le dernier ordre  de     report    de l'entraîneur et devient ainsi in  capable de recevoir des quantités transférées,  une pièce intervenante, sous la forme d'une  oreille 455     située    sur l'extrémité de gauche  de la crosse du levier 630,

   prend la place de  l'oreille 4251 et fait retentir l'avertisseur  chaque fois que le levier de     transfert    qui se  trouve en face du dernier ordre de report de  l'entraîneur est     actionné.         Dans des opérations de division automati  que, la queue     6i33    est éloignée de la bielle  454 et amenée à une     position    où elle se  trouve par-dessus le pied     .6'34,    par un moyen  ci-après décrit. Le mouvement des leviers de  transfert 425 n'a, par conséquent, pas d'ef  fet sur le mécanisme avertisseur au cours de  cette     opération.     



  <I>Mécanisme de déplacement du chariot.</I> Le  chariot d'accumulateur 400 glisse sur une  voie 500 sur laquelle est disposé un méca  nisme pour déplacer, à la main ou automati  quement, le chariot dans un sens ou . dans  l'autre.  



  Le mécanisme pour déplacer le chariot à  la main est complètement décrit dans le bre  vet suisse no     105j276,    auquel on pourra se re  porter pour la description d'un moyen con  venable de déplacement du chariot. On li  mitera la présente description au moyen opé  rant par force motrice pour ce mécanisme de  déplacement du chariot qui peut être com  mandé soit à la main, par des touches prévues  à cet effet, soit     automatiquement    par les dis  positifs de la machine qui agissent dans la  multiplication et la division quand elles sont  effectuées automatiquement par cette ma  chine.  



  Le     mécanisme    de déplacement du chariot  d'accumulateur comprend une plaque 502 pi  votant en 501 et     présentant,    dans son extré  mité supérieure, une encoche 503 embrassant  une cheville 504 qui est mue latéralement,  pour déplacer le chariot, par une oscillation  de la plaque d'un côté ou de l'autre de son  pivot.  



  A cet effet, il est prévu une bielle 550       (fig.    5), capable de recevoir un mouvement  de va-et-vient dans la direction appropriée  sous l'action du moteur de commande. Cette  bielle est établie pour imprimer un mouve  ment rapidement accéléré au chariot sur à  peu près la première     moitié    de son achemine  ment, après quoi le moment acquis est suffi  sant pour compléter le déplacement. La cons  truction qui rend cela possible présente l'a  vantage supplémentaire de permettre un mou-         vement    à blanc de la bielle dans le cas d'un  blocage du chariot, ce qui empêche ainsi un  enrayage.  



  La bielle 550 est supportée, de manière à  pouvoir glisser, dans la machine par des liai  sons à cheville et fente, 5151 et 552, avec des  parties figes de celle-ci et présente en un en  droit adjacent à la plaque 502, une partie  évidée à travers laquelle passent la     tige-          pivot    501 et une cheville     55â    figée à la pla  que 502. Sur la bielle 550 pivotent en 554  des barres de déplacement à ressort 55.5, bu  tant contre des côtés opposés de la cheville  553 et     normalement    maintenues verticales par  des ressorts 556 qui, disposés entre elles et la  bielle 550, les repoussent contre une oreille       angulaire    5.57 de     cette    dernière.  



  L'extrémité de droite de la bielle 550  présente des encoches     .560    et 5601 coopérant  avec des     cames    périphériques 561 et 5611  commandées par des embrayages de déplace  ment de chariot 562 et 5621,     respectivement,     pour faire aller et venir la bielle 550 à droite  ou à gauche selon l'embrayage amené en ac  tion. Les cames 561 et 5611 présentent des  encoches 5501 et 5,502:     (fig.    18), respective  ment, qui se     trouvent    sous la bielle 550 lors  que les embrayages sont dans la position de  cycle complet, ce qui permet à l'une ou l'au  tre came d'actionner la bielle 550 sans être  gênée par l'autre.  



  A mesure que la bielle 550 est mise en  mouvement à. droite ou à gauche par l'une des  cames, l'un des ressorts 556 est légèrement  comprimé en raison de l'inertie du chariot et  du mécanisme de déplacement; mais, une  fois que le chariot a démarré, ce ressort se  détend en accélérant le chariot suffisamment  pour lui faire faire un pas, ou acheminement  complet, bien que la bielle ne se meuve que  d'environ moitié de la     distance    d'un pas,  Dans le cas où le     chariot    est bloqué, le res  sort 556 est simplement comprimé davantage  à mesure que la barre 555 se meut autour de  son pivot 554 au cours du mouvement de la  bielle 5,50, et aucun enrayage ne s'ensuit.  



  La construction et le fonctionnement des  deux embrayages de déplacement étant sensi-           blement    identiques, on n'en décrira     qu'un,     sauf en ce qui touche leurs différences. La  came 561, actionnée par l'embrayage 562, dé  place le chariot à droite et cet embrayage  peut être contrôlé par une touche<B>570,</B> tandis  que la came 5611, actionnée par l'embrayage  5621, déplace le chariot à gauche et que cet  embrayage peut être commandé par une tou  che 5701.

   Ces touches sont relativement dis  posées non par rapport à la.     direction    réelle de  déplacement du chariot, mais par rapport à  la direction de déplacement suivant les or  dres numériques, comme c'est indiqué par  l'index usuel qui est associé avec le compteur  et qui se meut en sens inverse du chariot. Le  fonctionnement de la. touche de     droite    5701  amène par conséquent le chariot dans une  position d'ordre     numérique        inférieur,    tandis  que le     fonctionnement    de la touche de gauche  570 amène le chariot dans une position d'or  dre numérique plus élevé.  



  Les deux embrayages sont du même type,  â rochet et cliquet, que l'embrayage     principal     110 et sont montés sur, et     actionnés    par, l'ar  bre 563 relié par engrenage à l'arbre de com  mande principal 100.  



  L'embrayage 5621 est commandé par un  levier 5661, correspondant- au levier 115 qui  commande l'embrayage principal 110. Ce le  vier 5661 pivote en 567 et présente une ex  trémité supérieure crochue, 5681, dans la  quelle peut prendre une cheville 5691 portée  par l'extrémité inférieure d'un levier à touche  5701 pivotant en<B>571</B> et relevé à sa position  haute par un ressort 5731 tendu entre sa par  tie antérieure et un arbre approprié à la ma  chine. Les deux     leviers    de contrôle d'em  brayage sont pourvus de queues 574 et  5741 pour le fonctionnement automatique,  comme cela sera décrit ci-après, et sont pour  vus de ressorts 5751 tendant à les amener à  leur position de débrayage.  



  <I>Commande</I>     automatique        dît        déplacement     <I>du</I>     chariot.    Des moyens automatiques sont  prévus pour mettre en prise l'embrayage de  déplacement de chariot au moment     voulu     dans des opérations de multiplication automa-    tique et de division automatique.

   Un déplace  ment automatique du chariot se produit tou  jours à la fin d'une     rotation    additive de l'en  traîneur dans une     multiplication    automatique,  immédiatement après la dernière des addi  tions successives dans chaque ordre numéri  que et, dans une division automatique, il se  produit là la fin de la rotation additive qui       corrige    le dépassement dans chaque ordre nu  mérique. Le moyen d'engagement de     l'em          brayage    de déplacement est, par conséquent,  disposé pour être actionné avec l'entraîneur  dans une     rotation    additive et commandé par  le moyen de commande approprié du fonc  tionnement de la machine.

   Un     doigt    de dé  clenchement 580     (fig.    3, 7 et 18) est par con  séquent disposé sur     l'extrémité,    voisine du  flasque, de l'arbre 581     qui    s'étend à travers le  manchon portant le     tambour    de transfert du  compteur et est relié à une roue intermédiaire  du train de commande de l'entraîneur, Si  l'on regarde la machine du côté droit, on re  marquera que l'entraîneur tourne en sens in  verse du mouvement des aiguilles d'une mon  tre pour une addition.

   On voit ainsi que, dans  une     rotation        additive    de l'entraîneur, le  doigt 580 tourne en sens inverse du mouve  ment des aiguilles d'une montre, peu importe  le sens de rotation du tambour du compteur,  qui est indépendamment réversible.  



  Un coulisseau de déclenchement 582 est  disposé pour aller et venir verticalement sous  l'action du doigt 580 à mesure que l'entraî  neur approche de la position de cycle complet       (fig.    19 et 20), et pour osciller en pivotant,  sous l'action de sa pièce de commande 596,  pour venir sur le chemin, et hors du chemin,  du doigt 580, au moyen d'une liaison à che  ville et fente, 583, par l'intermédiaire de la  quelle il est supporté sur le bâti de la ma  chine. Un ressort 584, tendu entre le bâti  de la machine et le bras inférieur du     coulis-          seau    582, tend à le faire osciller dans le sens  du mouvement des aiguilles d'une montre et à  le     mettre    hors du chemin du doigt 580.

   Un  verrou 585, pivotant en 586. présente une ex  trémité latéralement coudée 587, capable de  prendre derrière une dent 588 du coulisseau      582 pour retenir celui-ci dans une position  d'activité sur le chemin du doigt 580 jusqu'à  ce que l'embrayage de déplacement soit ac  tionné.

   La queue du verrou coopère avec une  came en deux parties 590     (fig.    5 et 7), dont  une moitié est figée à la cage d'embrayage  562 et une moitié à la cage d'embrayage  5621, de sorte que la rotation de l'un ou l'au  tre embrayage fera basculer le verrou dans le  sens du mouvement des aiguilles .d'une mon  tre en amenant son extrémité latéralement  coudée 58'7 contre la face formant came 591  du     coulisseau    582, ce qui repoussera celui-ci  hors du chemin du doigt 580 pour empêcher  un second fonctionnement de l'embrayage de  déplacement, en relâchant le levier .566 ou  5661 à sa position de débrayage. Un ressort  592, tendu entre le bâti et le verrou 585, tend  à retenir     normalement    celui-ci en position  pour prendre derrière la dent 588.  



  Un arbre 595, tournant dans le flasque de  la machine, porte un levier pendant 596, pré  sentant une portion latéralement coudée 597,  en contact avec le devant du coulisseau '582.  L'extrémité inférieure 597 du levier     59H     lorsqu'elle est mue vers l'arrière au moyen de  l'arbre 595, fait osciller le coulisseau 582 à  sa position     effective,    où il se trouve verrouillé.  Cet arbre 595 oscillera aux moments voulus,  dans des calculs automatiques ci-après -dé  crits, pour amorcer le déplacement du cha  riot.  



  Le coulisseau 582 porte une cheville 593       (fig.    18, 19 et 20) capable, lors d'un     va-et-          vient    du coulisseau, d'actionner l'un ou l'au  tre des leviers de commande d'embrayage  566 et 5661, selon la position de la pièce in  tervenante 576 qui pivote en 5761 sur un col  lier 5762 tournant sur un arbre 5763, de sorte  qu'elle est capable d'un mouvement horizon  tal pour choisir celui des embrayages qui doit       fonctionner    et d'un mouvement vertical pour  actionner l'embrayage choisi.

   Une     tête    en  forme de<B>T</B> 5764, de la pièce intervenante  576 est capable, dans l'une de ses positions,  de se trouver par-dessus la queue 5741 de  l'un des leviers de commande d'embrayage et,    dans son autre position, par-dessus la queue  574. La tête est également coudée, comme  c'est représenté à la     fig.    18, pour se trouver  sous la cheville 593 dans l'une et l'autre posi  tion. de la pièce intervenante.

   Donc, le     va-et-          vient    du coulisseau 582 abaissera la tête 5764  de la pièce intervenante et la queue, située  sous elle, de l'un des leviers de commande  d'embrayage, selon l'ajustement horizontal de  la pièce intervenante.     L'un    ou l'autre des  embrayages sera ainsi engagé pour un cycle  de fonctionnement, en déplaçant le chariot  d'un pas à droite ou à gauche.  



  Le moyen pour effectuer     l'ajustement    ho  rizontal de la pièce intervenante 576, afin de  commander le sens de ce déplacement auto  matique, comprend un levier     maneeuvrable    à  la main 577, pivotant sur le bâti en 5771 et  présentant une partie arrière adjacente à  l'extrémité antérieure, recourbée vers le bas  5765 de la pièce 576 et située à la droite de  cette extrémité. Le levier de commutation de  déplacement automatique 577- est mobile ho  rizontalement entre des arrêts 5772, et un  ressort     5773,    disposé     entre    l'arrière du levier  et un point du bâti, tend à le maintenir dans  l'une ou l'autre de ses positions ajustées.  



  Un ressort 5766, tendu entre la queue de  la pièce intervenante 576 et une pièce 870,  tend à amener la tête de la première à sa  position par-dessus la queue 574 et, lorsque  la tirette du levier de commutation 577' est à  gauche, il est libre d'agir ainsi. Un déplace  ment     automatique    amorcé pendant que cet  ajustement est maintenu, déprimera la queue  574 en actionnant la pièce intervenante<B>576</B>  et en mettant en prise l'embrayage 562, ce  qui déplacera le chariot d'un pas à droite.  



  Toutefois, lorsque le levier de commuta  tion 577 est amené à droite, la     tête    de la  pièce intervenante 576 est amenée au-dessus  de la queue 5741. Un déplacement automati  que amorcé pendant que cet     ajustement    est  maintenu, abaissera la queue 5741 en action  nant le levier 5761 et en mettant en prise  l'embrayage 56-21, ce qui déplacera le chariot  d'un pas à gauche.      On     notera    que l'ajustement directionnel  du levier de     commutation    correspond à la di  rection de déplacement d'ordre numérique in  diqué par l'indicateur du compteur, comme  dans le cas des touches de -déplacement, et  non à la direction de .déplacement du chariot.  



  <I>Division</I>     aedomatique.    Une     division    auto  matique est accomplie, dans la présente ma  chine, par l'entrée des facteurs de la manière  usuelle, le placement du chariot et le dépla  cement du levier de division pour l'amener à  sa position avant; après cela, les opérations  suivantes s'ensuivent     tout    à fait automatique  ment et le     quotient    est exactement     enregistré     dans le mécanisme compteur.

   Le déplacement  du levier de division met en route l'entraî  neur dans le sens     soustractif,    et il agit pour  soustraire du dividende le multiple décimal  choisi du diviseur, en enregistrant le nombre  de     soustractions    dans le compteur, de la ma  nière usuelle, jusqu'à ce qu'un dépassement se  produise.

   Le fait qu'un dépassement se pré  sente, actionne des dispositifs qui effectuent un  renversement de la commande -de l'entraîneur  sans dégager l'embrayage de commande de       celui-ci.    Le cycle suivant immédiatement  après le cycle de dépassement corrige donc le  dépassement et un dispositif     actif    dans ce cy  cle agit pour dégager l'embrayage d'entraîneur  dans la position de cycle complet et pour  mettre en prise l'embrayage de déplacement  de chariot pour un seul cycle. Le mécanisme  de commande de déplacement de chariot, en  approchant de la fin de son cycle de fonc  tionnement actionne des dispositifs pour re  mettre en prise l'embrayage d'entraîneur et  commander de nouveau celui-ci dans le sens  soustractif.

   Ce tour de fonctionnement se ré  pète successivement     dans    des ordres numéri  ques consécutifs jusqu'à ce que le chariot ar  rive à bout de course; alors, un dispositif de  commande spécial intervient     pôur    empêcher  une mise en prise de l'embrayage de déplace  ment de chariot et tout le mécanisme est, par  conséquent, amené au repos avec tous les dis  positifs de commande rétablis à leur position  normale.    Le levier de division automatique 600       (fig.    12) pivote en<B>601</B> sur la paroi latérale  de la machine et un mouvement d'oscillation  vers le devant de la machine est imprimé à  son extrémité supérieure pour amorcer une  opération de division.

   Par ce mouvement, il  meut vers     l'arrière    de la. machine le     coulis-          seau    de     division    principal 610 et le coulisseau  de     division    supplémentaire 620, à l'encontre  de la force d'un ressort 602, tendu entre la  base de la machine et le coulisseau 610. La  courte liaison -à cheville et fente 603 relie le  coulisseau     62.0    au levier de division, de sorte  que ce coulisseau suit le mouvement dudit le  vier dans les deux sens. Toutefois, le     coulis-          seau    principal 610 est relié au levier de di  vision par une liaison à cheville et fente plus  longue 604.  



  Cette liaison à cheville et fente, plus lon  gue 604, est disposée de façon que le     coulis-          seau    de division principal sera poussé en ar  rière par un     mouvement    de bascule du levier  de division en     avant,    mais ne sera pas ra  mené par un retour de ce dernier à une posi  tion     d'inactivité.    Une paire de     cliquets    de       blocage    605 et 606 pivotent côte à côte sur  le flasque de la machine, en 607.

   Les têtes  de ces deux cliquets coopèrent avec une enco  che 611     existant    dans une partie élargie du  coulisseau de     division        principal.,    encoche dans  laquelle elles sont repoussées par leurs res  sorts. individuels 608 et 609 comprimés entre  la partie antérieure des     cliquets    respectifs et  un     prolongement    du flasque. Par ce moyen,  le coulisseau de division principal 610 est  verrouillé     dans    la position arrière, à laquelle  il est repoussé par un mouvement du levier de  division 600 jusqu'à ce que les deux     cliquets     605 et     606,    soient concurremment relevés.  



  En un endroit adjacent à son extrémité  arrière, le     coulisseau    de division principal  610 présente un coude 612 qui coopère avec  une encoche de l'arbre 6-15 pour déplacer  celui-ci latéralement lors d'un mouvement du  coulisseau. Le déplacement de cet arbre ac  tionne la fourchette de déplacement 616,  fixée en un point adjacent à son     extrémité         opposée,     qui    commande l'engagement de  l'embrayage de remise en marche 617 dont on  va décrire le rôle.  



  A distance de son extrémité arrière, le  coulisseau<B>610</B> porte une cheville 613, s'éten  dant latéralement, dont     l'extrémité    éloignée  se trouve directement en avant d'une partie  verticale 227a     (fig.    2), de la bielle qui com  mande le changement de marche de l'en  traîneur. Le mouvement du coulisseau 610  vers l'arrière sert alors à mouvoir la bielle  227 et amène la commande du changement de  marche en     position    pour causer une rotation       soustractive    de l'entraîneur.  



  Concurremment, le levier coudé     22e3          (fig.    2), attaché à l'extrémité avant de la  bielle 227, bascule et le bras supérieur, por  tant le galet 225, descend, le galet étant  mû de haut en bas et vers l'arrière de la  machine, de la même manière que lorsque le       levier    coudé est actionné par la     barre    moins.  Dans ce mouvement, il fait osciller la plaque  de contrôle 120 pour amener en prise l'em  brayage d'entraîneur     principal    110.

   Ce méca  nisme est bloqué dans     cette        position    pour la  durée de l'opération de division par les     cli-          quets    de verrouillage     tenant    le     coulisseau    de       division    principal dans sa position arrière.  L'entraîneur, étant ainsi mis en mouvement,  tourne     continuellement    en soustrayant le di  viseur, ou son multiple décimal, du -dividende  posé dans le chariot d'accumulateur, à chaque  rotation successive, jusqu'à ce qu'un dépas  sement se présente.

   Dans une     opération    de dé  passement, il se produit, comme on le sait,  une opération de report d'emprunt     qui    a pour  résultat que toutes les roues numérales effec  tives situées à la gauche de celles     actionnées     passent de zéro à neuf.  



  Le mouvement du mécanisme de report  familier de la machine dans cette opération  est utilisé pour commander le renversement  de l'entraîneur, afin d'effectuer une correc  tion du dépassement. Le mécanisme de re  port comprend des leviers de report 425       (fig.    l'3) normalement     verrouillés    dans leur  position avant, comme représenté, mais capa-         bles    d'être déclenchés et     élastiquement    ver  rouillés     dans    leur position arrière par une  oreille 426 située sur la roue numérique, dans  un transit direct entre zéro et neuf.

   Directe  ment derrière le levier de report 42.5 des roues  numériques coopérant avec l'avant dernier or  dre de report de l'entraîneur vers la gauche,  se trouve un levier 630 pivotant sur le bâti  de la machine en 631. Le pivot 631 permet un  mouvement du levier 6-30 dans un plan verti  cal lorsqu'un levier de report 425 est déclen  ché.

   Une queue fourchue 633, articulée pour  se mouvoir dans un plan horizontal, en 632,  à l'extrémité du levier, est capable d'être  mise en mouvement sur son pivot par un  moyen, sous la commande du coulisseau de  division principal, que l'on va décrire en con  nexité avec le moyen pour terminer une  course de correction additive et, dans sa po  sition de division automatique, se trouve  par-dessus le pied 634 d'un levier vertical  635 pivotant -en 636 sur un second     levier     637 qui pivote également sur le bâti en 631.

    Au levier 637 est articulée, en 638, une bielle  pendante 639     (fig.    3), dont l'extrémité infé  rieure est en prise avec l'un des bras d'un le  vier coudé 640 pivotant, sur un montant       641.,    sur le bâti de la.     machine.    Le, bras supé  rieur du levier coudé 640 travaille contre un       collier    642 monté sur l'arbre 135, de     telle    ma  nière qu'une oscillation du levier coudé, pro  duite par une pression .descendante sur la  bielle 639, déplace l'arbre 135, de façon     qù    il  amène sa cheville 134 en prise avec la roue  dentée 131 qui sert à actionner l'entraîneur  dans le sens positif ou additif.

   Ce déplace  ment est produit positivement par un moyen  dérivant sa commande de l'entraîneur et com  mandé par les roues numérales dans une opé  ration de dépassement.  



  Dans     cette    opération, il est nécessaire de  régler, dans .le temps, le fonctionnement du  levier 630, de façon qu'il soit actionné un  peu avant que l'entraîneur     atteigne    sa posi  tion de cycle complet, point en lequel le ren  versement se produit. A cet effet,     l'extrémité     antérieure du levier 630 est construite sous  la forme d'un<B>T</B>     (fig.    5) dont la traverse se      trouve derrière les     trois    leviers 425 coopérant  avec les trois derniers ordres de l'entraîneur.

    Ces trois derniers ordres sont simplement des  ordres de report n'ayant aucun mécanisme  différentiel, bien que l'ordre le plus bas des  trois puisse     être    pourvu, si c'est désirable,  d'un mécanisme différentiel sans modifier  l'autre structure.  



  Le dernier levier de report 425, vers la  gauche de l'accumulateur est pourvu d'une  oreille 4251 lui permettant de faire osciller  le levier 630 à partir de l'une quelconque de  ses trois positions possibles adjacentes à la  traverse de celui-ci; mais les leviers 425 res  tants ne sont point pourvus d'une telle oreille  et n'oscillent pas assez loin pour actionner le  levier 630, à moins que l'espace qui les sé  pare ne soit rempli par une pièce interve  nante.     -Une    telle pièce     intervenante    6301 est  prévue en un endroit adjacent au troisième  ordre, en partant du plus élevé, de l'entraî  neur; elle est articulée au levier 630 en 6302  et présente dans son extrémité inférieure une  encoche dans laquelle se     trouve    l'extrémité  antérieure d'une queue 633.

   Lorsque la queue  est mue à sa     position    de division automatique,  au-dessus du pied 634, son extrémité avant  amène la     pièce    intervenante 6301 en position  d'activité, de sorte que son oreille 6303 vient  entre la traverse du levier 630 et celui des le  viers de transfert 425 qui se trouve en face.  



  Puisque les dents de transfert 427 sont  décalées les unes par rapport aux autres au  tour de la périphérie du tambour, le levier  425 qui se trouve en face de     l'oreille    6303  sera, dans une opération de dépassement, re  poussé de quelques degrés avant que l'en  traîneur arrive à la position de cycle complet,  ce qui laissera un temps     suffisant    pour     que     le mécanisme de changement de marche, ou  de renversement     susdécrit    fonctionne de la fa  çon suivante:  Le levier de report 425 de l'ordre numé  rique contrôlant oscille vers l'arrière, en en  traînant avec lui le levier 630 et en abais  sant sa queue 633.

   Cela abaisse le pied 634  du levier.     vertical        635,.    en faisant osciller ce    levier à l'encontre du ressort 635a, pour faire  descendre une cheville 645 glissant dans un  logement que lui offre l'extrémité supérieure  du levier 637 et disposé pour être retenue  dans l'une ou l'autre de ses deux position  ajustées par une bille repoussée par un res  sort et indiquée en 646. Ces fonctionnements  ont lien juste avant que l'entraîneur atteigne  sa position de cycle complet et ont pour ré  sultat de faire saillir l'extrémité de la che  ville 645 dans une     position    où une face jouant  le rôle de came 647, spécialement formée sur  une plaque 648 figée sur l'extrémité gauche  de l'arbre d'entraîneur, viendra en prise avec  elle.

   Cet engagement, s'effectuant     pendant     que l'entraîneur est. encore commandé dans  le sens négatif, actionne le mécanisme com  prenant le levier 637, la bielle 639, le levier  coudé 640 et l'arbre 135 pour sortir positive  ment la cheville 134 de son siège dans la roue  132 et la faire pénétrer dans son siège sur  la. roue 13.1, juste au moment où l'entraîneur  atteint la position de cycle complet et à l'en  contre de la force du ressort 142 qui, dans  ce fonctionnement, est comprimé, ce qui rend       inutile    une libération de la bielle 227 qui.  normalement, commande la position de la che  ville 134 et commande également l'em  brayage d'entraîneur principal.

   Ainsi, le sen,  de marche de l'entraîneur est renversé sans  dégagement de l'embrayage principal et cet  entraîneur commence un cycle additif.  



  La pression sur le jeu de bielles et de le  viers susmentionné est immédiatement relâ  chée lors du renversement de l'entraîneur:  mais une remise en place de la cheville 134  dans le siège de la roue 132, sous la pression  du ressort 1.42, est empêchée par le déplace  ment du siège et un renversement dans la po  sition de     demi-cycle    est empêché par un lobe  jouant le rôle de came 649, de la plaque 648,       qui    maintient la bielle 639 déprimée en ce  point du cycle. A la     fin    d'un seul cycle de  rotation additive, l'entraîneur est arrêté dans  la position de cycle complet par le dégage  ment de l'embrayage principal et il est per  mis au ressort 142 de replacer la cheville  134 dans son siège de la roue 132.

        Le dégagement de l'embrayage à la fin de  la rotation additive corrective est accompli  sous la commande d'un levier 650 monté sur  double pivot, pour un mouvement universel       limité,    en 651. Un ressort 652, tendu entre  la partie supérieure du levier et une partie       fixe    du bâti, sollicite le levier vers sa posi  tion     d'activité;    mais ce levier est normale  ment maintenu en position d'inactivité par  une bielle 658 dont une des extrémités, 654,  bute     contre    la queue du levier 650 sur le     côté     opposé au ressort, tandis que sur son autre  extrémité est formée une face 655 jouant le  rôle de came     (fig.    4).

   Lorsque le coulisseau  de     division    principal 610 est .en position  d'inactivité, un bras 614, qui en descend, se       trouve    sur le chemin de la bielle     .653    et l'em  pêche d'être repoussée à gauche, à la     fig.    3,  par la force du ressort 652, ce qui     maintient     ainsi le levier 650 dans sa position d'inacti  vité.

   Toutefois, quand le coulisseau de divi  sion principal 610 est mû vers l'arrière à sa  position     d'activité,    le bras descendant 614 est  retiré du     chemin    de la bielle 653 et il est     per-          mis    au ressort 652 d'amener le     levier    650  en position     d'activité.    Le bras supérieur de ce  levier se trouve dans la fourchette de la queue  fourchue 633, dont il a été question précé  demment, et cette queue est amenée à sa po  sition d'activité en même temps que le levier.

    Dans cette position     d'activité,        l'extrémité    du  levier 650 se trouve sur le     chemin    d'une came  656     (fig.    14) portée par l'un des segments       d'entraîneur.        L'extrémité    de la came qui ap  proche du levier durant une rotation soustrac  tive de l'entraîneur porte un biseau latéral  657 qui agit pour mouvoir de côté le levier  650 sans le déclencher; mais l'extrémité qui  approche du levier dans une rotation     additive     de l'entraîneur porte     une    face jouant le rôle  de came 658, qui agit pour faire osciller le le  vier 650 autour de son pivot vertical, en sou  levant sa queue 659.

   Cette queue se trouve  sous, et agit ainsi pour soulever, l'une des       extrémités        (fig.    3), d'un système de double  levier 660, pivotant     convenablement    dans la  machine, dont l'autre extrémité     (fig.    5) se  trouve dans cette ouverture de l'extrémité ar-         rière    de la bielle de commande 121, de l'em  brayage d'entraîneur. La levée exercée sur  l'une des extrémités du système de double le  vier 660 produit une levée correspondante à  l'autre extrémité, ce qui soulève la bielle 121  de la cheville 119 du levier coudé 115.

   Se  trouvant ainsi libéré, ce dernier vient immé  diatement en contact avec la cage d'em  brayage 112, sous l'action du ressort 118, et  au moment     oii    l'embrayage atteint la position  de cycle complet, le pied 117 pénètre dans       l'ouverture    de la cage et dégage l'embrayage,  ce qui bloque l'entraîneur dans la position de  cycle complet. Durant la rotation additive  qui vient juste de se terminer, une came       648a        (fig.    15), formée sur la plaque     6.18,     agit pour rétablir la cheville 645 dans sa po  sition normale d'inactivité.

      Des moyens sont prévus pour     engager     automatiquement l'embrayage de déplace  ment de chariot voulu lors du dégagement de,  l'embrayage d'entraîneur principal. Puisque,  dans une division automatique, le sens de dé  placement du chariot doit toujours être Je  droite à. gauche, des moyens sont prévus sous  la dépendance du     coulisseau    de     division    prin  cipal 610, pour amener la     pièce    intervenante  sélectrice 576 au-dessus de la queue de levier  d'embrayage 5741, peu importe l'ajustement  du levier de     commutation    de déplacement  577.

   Comme cela a été exposé précédemment,  la mise en position du     coulisseau    de division  principal 610 déplace l'arbre 615, afin d'a  mener la     fourchette    de déplacement 616 en  position pour mettre en     prise    l'embrayage de  remise en route 617. La fourchette de     d6pla-          cem.ent    présente une partie pendante 6161 ad  jacente au côté gauche d'une partie montante  5767 de la pièce intervenante 576.

   Ainsi, lors  d'une mise en     position    du     coulisseau    de di  vision principal,     l'extrémité    arrière de la  pièce 576 sera amenée     rà.    sa position de droite,  au-dessus de la queue de levier d'embrayage  5741 et chaque va-et-vient subséquent du  coulisseau de déclenchement 582 produira un  engagement de l'embrayage 5621, ce qui dé  placera le chariot d'un pas à gauche.      Des moyens sont     prévus    pour assurer une  mise en prise automatique de cet embrayage de  déplacement de chariot lors d'un dégagement  de l'embrayage d'entraîneur principal.

   Un le  vier 670     (fig.    5), pivotant en 671 sur une pièce  rigide descendant de la voie de chariot, pré  sente une partie arrière angulaire 672, située  par-dessus la bielle 121 et un nez se trouvant  par-dessus le     cliquet    de verrouillage 605 et le  nez 674 d'un levier 673 fixé sur l'arbre 595.

    Lorsque la bielle 121 est soulevée pour ar  rêter l'entraîneur à la fin de la     rotation    ad  ditive corrective, le     cliquet    670 reçoit un       mouvement    d'oscillation dans le sens du mou  vement des aiguilles d'une montre et son nez  abaisse le levier 673     (fig.    10), ce qui fait  osciller l'arbre 595 pour déclencher le méca  nisme de     commande    du déplacement automa  tique du chariot, comme cela a été exposé  précédemment.  



  Vers la fin du cycle de fonctionnement de  l'embrayage 5621, de déplacement du chariot,  une came 680,     rigidement    solidaire d'une  came 5611 actionnée par cet embrayage .fait  osciller le bras     correspondant    681 pour re  mettre en prise l'embrayage     principal.    Ce  bras tourne sur un arbre 682 sur     l'extrémité     opposée duquel est figé un bras 683 se trou  vant sous une cheville 684 du levier 115, de  commande de l'embrayage     d'entraîneur.    Le  mouvement du bras 681 est normalement sans  effet;

   mais la mise en     position    du coulisseau  de division principal 610 actionne la four  chette d'embrayage 616, ce qui amène l'or  gane d'embrayage 617, claveté à un collier  6171, fixé à l'arbre 682, en prise avec     ane     face d'embrayage complémentaire 6172, fixée  au bras 681, et l'embrayage à l'arbre, de  sorte que, quand ce bras reçoit un mouvement  d'oscillation de la came 680, le levier 115 re  cevra un mouvement d'oscillation pour re  mettre en prise l'embrayage d'entraîneur. Le       levier    115 est ensuite verrouillé par le ren  gagement de sa cheville 119 dans l'extrémité  encochée de la bielle 121. Ce tour     d'opérations     se répète dans chaque ordre numérique jus  qu'à ce que le chariot soit arrivé à fin de  mouvement.

      Des moyens sont     prévus    pour terminer 7e  calcul .à la fin d'un tour d'opérations si le  chariot est à fin de mouvement. Le cliquet  690     (fig.    5), pivotant en 691, possède un nez  situé par-dessus les deux verrous 605 et 606,  qu'il déclenche concurremment, en libérant  complètement le coulisseau de division prin  cipal 610, de façon que     celui-ci    peut être rap  pelé à sa position d'inactivité par son ressort  602 pour terminer un calcul. Une bielle     69-2     relie la queue du levier 690 avec une des ex  trémités d'un doigt 693 pivotant en 694 et  situé pour passer à travers une ouverture de  la voie de chariot et venir en contact avec le  dessous du chariot, direction dans laquelle il  est sollicité par un ressort 695.

   L'ouverture  est située de telle façon que le chariot la cou  vre et bloque la montée du doigt, sauf lors  que ce chariot est à fin de mouvement. L'ex  trémité inférieure du doigt porte aussi lin  verrou pivotant 696 qui passe à travers une  fente d'une plaque<B>697</B> descendant du dessous  de la voie de chariot et est sollicité en posi  tion de verrouillage, contre l'extrémité infé  rieure de ladite fente, par un     ressort    698  tendu entre une partie intermédiaire du ver  rou et la plaque descendante 697.  



  Le nez du verrou se trouve par-dessus la  bielle 121 et est, par conséquent, soulevé à la  fin de chaque rotation additive corrective  lorsque l'embrayage d'entraîneur est dégage.  Si le chariot n'est pas à fin de mouvement, le  doigt 693 est incapable de s'élever sous l'ac  tion du ressort 695 et le verrou retombe sim  plement, sans effet. Mais, si le chariot. est à  fin de mouvement, le ressort fait passer le  doigt à travers l'ouverture et déplace concur  remment la bielle 692 à droite, ce qui fait  osciller le levier 690 et abaisse les queues des  verrous 605 et 606 qui se trouvent dessous, en.  libérant par cela même complètement le     cou-          lisseau    de division principal 610 qui revient  à sa. position d'inactivité, ce qui termina le  calcul.

   Le coulisseau 582, de déclenchement  du déplacement de chariot, est comme d'habi  tude amené à sa position d'activité par le le  vier<B>670;</B> mais il est rappelé à sa position  d'inactivité     (fig.    7), avant d'être actionné,      par l'action de la face jouant le rôle de came  621, du coulisseau de     division    supplémentaire  620 qui abaisse la cheville 622 du verrou 585,  ce qui abaisse ce     levier    et repousse positive  ment le     coulisseau    582 .à sa     position    d'inacti  vité.  



  Des moyens     actionnés    à la main sont pré  vus     pour    terminer un calcul avant son achè  vement. Le     calcul    peut .être terminé, à la fin  de son tour d'opération dans un ordre numé  rique quelconque, par un retour ù la main du  levier de division 600 à sa position     d'inacti-          vité    à un moment     quelconque    au cours du       tour    d'opération.

   Cela amène le     coulisseau    de       division    supplémentaire 620     (fig.    12) à sa  position avant et une face jouant le rôle de  came 623, formée dessus, agit sur une oreille  624 formée sur le verrou 606 pour dégager  celui-ci de l'encoche 611 du coulisseau de di  vision     principal.    Toutefois, ce dernier est  maintenu dans sa position d'activité par le  verrou 605 jusqu'à la fin du tour d'opéra  tions; alors, il est déclenché par l'oscillation  du levier 670     qui    se trouve au-dessus et dont  la queue se trouve au-dessus de la -bielle  121.

   Le déclenchement du verrou 605 com  plète la     libération    du     coulisseau    de     division     principal 610, ce qui lui permet de revenir  à sa     position        d'inactivité    et termine le cal  cul.  



  Le second verrou 605 peut encore être li  béré par des moyens actionnés à la main sous  la commande de la touche     d'effaçage    du mul  tiplicateur pour terminer le calcul à la fin  d'un cycle quelconque de l'entraîneur et  avant achèvement d'un tour .d'opérations.  



  La     tige    de la touche     d'effaçage    du multi  plicateur est pourvue d'une cheville 6051 si  tuée par-dessus d'une -des     extrémités    d'un le  vier 6052 pivotant sur la paroi latérale de la  machine en 6053. L'autre     extrémité    de ce le  vier présente une partie latéralement coudée,  6054, située dans une large encoche du ver  rou 605.

   L'abaissement de la touche     d'effa-          çage    du multiplicateur fait     osciller    le levier  6052, ce qui soulève le verrou 605 et, pourvu  que le verrou 606 ait été libéré par le retour    du levier 600, cette action     complètera        1a    li  bération du coulisseau 610, ce qui terminera  le calcul.

   Toutefois, on ne fait usage de ce       dernier    moyen de     libération    pour le verrou  605 que lorsqu'on a fait une fausse     manceuvre     sur la machine comme, par exemple, lors  qu'on a tiré le levier de division avant qu'au  cun facteur n'ait été posé dans la machine,  auquel cas elle     fonctionnerait    continuelle  ment dans le sens soustractif et il n'existe=  rait pas d'autre moyen de     l'arrêter.     



       Multiplication   <I>automatique.</I> La machine  à calculer représentée dans celui des deux  brevets suisses antérieurs, dont il a été ques  tion en premier lieu, est pourvue d'un     coulis-          seau    de déclenchement pour déclencher ou re  lever l'extrémité arrière de la bielle 121, afin  de libérer le levier de commande d'embrayage  115 à la fin d'un     nombre    prédéterminé,  choisi de rotations de     l'entraîneur.    Un mou  vement du coulisseau de déclenchement 7 00  sert à relever     l'extrémité    arrière de la bielle  121 et ce coulisseau est mû par une cheville  71-1 portée par la barre coulissante 710 qui  est placée dans des positions angulaires va  riables,

   selon le nombre     prédéterminé    de rota  tions de l'entraîneur par le levier 720     qui    est  pourvu d'une cheville 721 prenant dans une  fente 712 de ladite barre 710. Cette dernière  est, comme c'est dit dans le brevet antérieur,  reliée à une crémaillère qui est     empêchée    de  se mouvoir par un ressort et qui est mise en  mouvement pas-à-pas par un pignon actionné  par l'embrayage d'entraîneur. La barre cou  lissante 710, qui porte la cheville 711 est,  par conséquent, mue d'un pas pour chaque  tour ou rotation de l'entraîneur et, en plaçant  ladite barre dans diverses positions, il faudra  un nombre différent de pas de mouvement  avant que la cheville 711     vienne    en prise avec  la face en gradins du coulisseau 700.

   La rota  tion suivante de l'entraîneur, après     cet    enga  gement fait que la cheville 711 fait mouvoir  le     coulisseau    700 et, par cela même, dégage la  bielle 121 du levier 115.  



  Normalement, la barre coulissante 710  est dans sa position basse, dans laquelle elle      est normalement tenue par le ressort 722 relié  au levier<B>720</B> qui, à son tour, est relié à la  dite barre 710. Lorsque cette dernière est  dans sa position basse, ou abaissée, normale,  la -cheville 711 est à la position zéro,     c'est-          à-dire    un poste au-dessous de la position nu  méro un; c'est dans cette position zéro qu'elle  est représentée à la     fig.    10.

   Lorsque la che  ville 711. est dans cette position, elle peut  osciller d'un seul pas de mouvement, en mou  vant le coulisseau 700 sur moins d'un pas  complet, comme cela a été exposé dans     celui     des deux brevets suisses antérieurs précités,  dont il a été question en premier lieu, ce qui  empêche ainsi le     fonctionnement    du verrou  du coulisseau de déclenchement.  



  L'unité est pourvue d'une     série    de touches  730 allant comme valeur de 1 à 9 et servant  à mettre en position la cheville 711 pour com  mander automatiquement le nombre de tours  ou révolutions de l'entraîneur. Un abaisse  ment de la touche de la valeur 8, par exem  ple, placera la cheville 711 devant le huitième  gradin du coulisseau 700, de sorte qu'au  huitième tour de l'entraîneur, la bielle 121  sera soulevée et la cage d'embrayage arrêtée.  



  Les tiges     7,31        (fig.    11) des touches 730  sont montées sur la plaque 732 et sont nor  malement tenues relevées par des ressorts 733       attachés    aux extrémités inférieures des tiges  de touches. Des moyens sont prévus pour te  nir dans leur position basse les touches abais  sées     (fig.    10). Chaque tige de touche 731 est  pourvue, à son extrémité inférieure, d'un  crochet 734 qui peut s'engager sous un cro  chet complémentaire 735, prévu sur le     coulis-          seau    de retenue de touche 736. Ce dernier est  monté sur la plaque 732 et est     normalement     tenu en avant par le ressort 737.

   Lorsqu'on  abaisse une touche, le coulisseau est mû en  arrière puis revient en avant sous l'in  fluence du ressort pour amener le crochet 7'35  par-dessus le crochet     734    de la touche, ce qui  retient ainsi celle-ci abaissée. Le coulisseau  736 ne possède pas de crochet associé avec la  touche numéro 1 de sorte que cette touche n'est  pas tenue abaissée.

   Le fonctionnement de la       machine    est si rapide que quand on abaisse    la touche numéro 1, l'opération est presque  immédiatement terminée et que, s'il était  prévu un crochet de retenue pour cette touche  et qu'on ne cesse pas d'appuyer sur celle-ci  aussitôt après l'avoir abaissée, la touche ne  serait pas     libérée    à la fin de l'opération de  calcul parce que cette opération serait termi  née et que les moyens de libération de la tou  che auraient été actionnés avant qu'on cesse  d'appuyer sur     cette    dernière.

   La touche 738  qui se trouve à l'extrémité antérieure de la,  rangée de touches 7.30 est une touche     d'effa.-          çage    et son rôle consiste à mouvoir le     coulis-          seau        7.3:6    pour libérer toutes celles des tou  ches 730 qui peuvent être tenues abaissées.  



  De plus, chaque touche est pourvue de  moyens pour actionner tout mécanisme diffé  rentiel convenable, afin de situer     différen-          tiellement    en position la cheville 711 et cau  ser la mise en prise de l'embrayage d'entraî  neur: Un tel mécanisme est représenté et dé  crit dans celui des deux brevets suisses anté  rieurs qui a été cité en premier lieu.  



  <I>Commande du</I>     déplacement   <I>du chariot</I>  <I>dans la</I>     multiplication        automatique.    Le     cou-          lisseau    700 est après cela     mîi    en arrière par la  cheville 711, afin d'actionner des     dispositifs     pour terminer le calcul. C'est en ce point du       fonctionnement    qu'il est désirable d'amorcer  l'action de l'embrayage de déplacement. Il  est prévu pour cela une pièce 760 pivotant  sur le coulisseau 700 en 761 et butant, à son  extrémité arrière, sur une partie latéralement  coudée 762, d'un levier 763 descendant de  l'arbre 59.5.

   Le mouvement du coulisseau 700  en arrière imprime alors une     oscillation    en       sens        inverse    du mouvement des aiguilles  d'une montre à l'arbre 595, ce qui fait os  ciller le levier 596, porté par son extrémité  opposée, et amène le coulisseau 582 en posi  tion d'activité par rapport à la dent 580. Au  moment où l'entraîneur arrive à fin de mou  vement, cette dent 580 vient en contact avec  l'extrémité supérieure du coulisseau 582, ce  qui fait descendre le coulisseau et sa cheville  59.3 pour relever le bras de commande d'em  brayage de déplacement choisi et mettre cet      embrayage en prise.

   A mesure que l'em  brayage démarre, la came 590 fait osciller  le verrou 585., ce qui repousse le coulisseau  5.82 de dessous la dent arrêtée 580 et relâche  le bras ou levier de     commande    d'embrayage  566, de sorte que l'embrayage de déclenche  ment sera dégagé et arrêté dans la position  de cycle complet à la fin d'un seul tour.  



  Des moyens pouvant être mis en action  par les moyens de déplacement du chariot  sont prévus pour relâcher les moyens de ver  rouillage des touches de multiplicateur       (fig.   <B>il</B> et lia).  



  La bielle 550, de déplacement du chariot,  est pourvue d'une paire d'oreilles estampées,  jouant le rôle de cames 5501 et 5502, entre  lesquelles est disposé un levier de     libération     7361, pivotant sur la plaque<B>732,</B> dont l'ex  trémité inférieure se trouve directement en  avant d'un bouton 7362, porté par le     coulis-          seau    de verrouillage de touches 736. Un mou  vement de la bielle 550, pour déplacer le cha  riot dans un sens ou dans l'autre, fait ainsi  osciller le levier 7361, ce qui libère le méca  nisme de verrouillage des touches du multi  plicateur.  



  Des moyens sont prévus, sous la dépen  dance de la touche     d'addition    250, pour  mettre hors d'action cette commande d'em  brayage lorsqu'on abaisse ladite touche.     Cette     touche 250 est maintenue abaissée durant Ses  opérations d'addition et de soustraction vé  ritables et agit pour libérer ce qui a été com  posé sur le clavier et pour limiter la rotation  de l'entraîneur à un seul cycle dans un sens  ou     dans    l'autre, à moins qu'on n'abaisse une  touche de multiplicateur. A cet effet, une  bielle 257 est attachée au levier 252 et pos  sède un pied 258 s'étendant sous une cheville  721 du mécanisme d'ajustement .à chevilles  du multiplicateur.

   Un abaissement de la tou  ché 250 soulève légèrement cette bielle, ce  qui amène une     cheville    711 en     coopération     avec le gradin     "un"    du     coulisseau    700, de  sorte que celui-ci sera mis en mouvement, au  cours du premier tour ou rotation de l'entrai-         nëur,    pour produire un dégagement de l'em  brayage d'entraîneur. La fonction de libéra  tion du clavier a été décrite précédemment.  Pour empêcher un fonctionnement indésirable  du déplacement automatique du chariot lors  que cela se produit, il est prévu une seconde  bielle 259, reliant l'extrémité arrière du le  vier 252 à une partie intermédiaire de la pièce  760.

   Le soulèvement de     l'extrémité    arrière du  levier 252, résultant de l'abaissement de la  touche 250, soulève ainsi l'extrémité arrière  de la pièce 760 de sorte que, quand elle se  meut en arrière avec le coulisseau 700, elle  dépasse l'extrémité latéralement coudée 762  du levier 763 et n'actionne pas l'embrayage  de déplacement.  



  Le mouvement du coulisseau 700 arrête  l'entraîneur en écartant la bielle 121 du le  vier coudé 115 comme c'est exposé dans celui  des deux brevets suisses antérieurs, précités,  dont il a été question en premier lieu. Dans  une division automatique, un mouvement d'é  cart similaire de la bielle 121 est accompli  par le jeu de leviers 660; mais le mouvement  de la bielle 121 est suffisamment plus grand,  dans l'opération de     division,    pour effectuer  une oscillation du levier 670     commandant    le  déplacement du chariot.

   Bien que le mouve  ment du levier 670, dans une     multiplication     automatique, ne soit ordinairement pas assez  grand pour faire fonctionner le mécanisme de  déplacement automatique du chariot, il est  désirable d'empêcher toute     possibilité    qu'il  agisse ainsi pendant que la touche     2e50    est  abaissée, et des moyens sont prévus à cet effet.  



  Le nez 674     (fig.    10) glisse, par une liai  son à cheville et fente, sur le levier 673, de  façon à se trouver, dans sa position étendue,  sous le levier 670 en permettant au méca  nisme de déplacement de chariot d'être ac  tionné par celui-ci; mais, dans sa position re  tirée, il     évite    ledit levier en empêchant que  ledit mécanisme soit actionné par lui. Un bras  fourchu du levier coudé 675 vient en prise  avec un bouton 676 prévu sur le nez 674     ct     l'autre bras dudit levier coudé est également  fourchu et vient en     prise    avec un bouton 677      prévu sur la bielle 760.

   Le nez 674 est par  conséquent amené à sa position     retirée    par     un     abaissement de la, touche 250, ce qui empêche  toute possibilité que le mécanisme de dépla  cement du chariot soit actionné     pendant     qu'elle est abaissée.  



  Puisque le mécanisme de déplacement du  chariot est mis hors d'action durant l'abaisse  ment de la touche 250, il est nécessaire (le  prévoir un autre moyen pour libérer les tou  ches de multiplicateur dont on peut faire  usage pour effectuer des additions répétées  pendant que la. touche 250 est abaissée. La  bielle 760, que l'abaissement de la touche  250 fait osciller pour mettre hors d'action la  commande du déplacement du chariot par le  multiplicateur, présente une extrémité     antP-          rieure    crochue 7364, capable de prendre sur  un bouton 7363 portée par la came de ver  rouillage 736, des touches du multiplicateur.

    Lorsque l'on abaisse la touche 250, ce qui  met hors d'action la commande du déplace  ment du chariot et rend par conséquent       ineffectifs    les moyens     normaux    de     libération     des touches du multiplicateur, le crochet  7364 prend sur le bouton 7363 et entraîne  le coulisseau de retenue de touches, ou barres  de verrouillage<B>736</B> en arrière avec le     coulis-          seau    700, ce qui libère le mécanisme de ver  rouillage des touches du multiplicateur.  



  Dans certaines applications mentionnées  précédemment, il est désirable de faire usage  des touches du multiplicateur sans la carac  téristique de déplacement automatique et  sans perdre le nombre posé dans le clavier.  A cet effet, il est prévu une touche spéciale  de non déplacement 770. Celle-ci glisse et pi  vote, par une liaison à fente et bouton<B>7</B>701,  sur le bâti et est pourvue d'une encoche 7702  et d'un ressort 7703 pour la tenir abaissée.

    L'extrémité inférieure de la tige de touche se  trouve directement au-dessus de     l'extrémité     antérieure crochue 7364, de la bielle 760, de  sorte qu'un abaissement de la touche     soulève     l'extrémité arrière de la bielle, en     mett:iut     hors     d'action    le mécanisme de commande au  tomatique pour le -déplacement .du chariot  dans une     multiplication,    et abaisse     l'extrémité            avant    de la bielle, ce qui permet la libération  des touches de multiplicateur d'addition. La  liaison de la bielle 259 avec le levier 260 est  faite à fente pour permettre ce mouvement.  



  <I>Commande de la force -motrice et</I>     enclen-          chement.   <I>réciproques.</I> Des moyens sont prévus  pour commander le circuit du moteur de com  mande, afin de n'en effectuer la fermeture  que quand l'un des divers dispositifs de com  mande de la machine est en fonction. Une  paire de contacts 800     (fig.    1) constitués par  des lames de ressort normalement écartées,  sont connectés en série dans le circuit du mo  teur et sont montés dans un bloc isolant con  venable fixé à un arbre<B>801</B> tournant     dans    le  bâti. Une oscillation de l'arbre 801 dans le  sens du mouvement des aiguilles d'une mon  tre est capable d'amener la lame de contact  voisine contre une butée 802 pour effectuer  une fermeture du contact.

   Un des moyens de  faire osciller l'arbre     comprend    un levier     803.,     figé à l'une des extrémités de celui-ci et re  lié par une bielle de poussée 804, dont une       extrémité    épaulée est retenue dans une fente  du levier 803, et une tige 805 à un levier  806 figé à un arbre 807 qui tourillonne dans  le bâti. Le levier 806 se trouve directement  derrière le levier coudé 115, de     commande     d'embrayage, de sorte qu'une oscillation de ce  levier coudé pour amener en prise l'em  brayage d'entraîneur fera osciller le levier  806 vers l'arrière en effectuant la fermeture  du circuit du moteur par l'intermédiaire du  jeu de bielles et leviers qui vient d'être dé  crit.  



  Un second moyen pour actionner les con  tacts comprend un levier 810     (fig.    8 et 18<B>)</B>  pivotant sur le     bâti    en 811 et supporté par un  ressort 812. L'une des extrémités de ce levier  présente une partie angulaire perforée 813  qui reçoit une extrémité à angle de l'arbre  801, tandis que l'autre extrémité est     pourvu,     d'un pied 814, situé sous un bras 815 fixé sur  une des extrémités d'un arbre 820.

   Ce dernier  supporte quatre pièces dont une quelconque  peut effectuer son oscillation: le levier     coizdP     d'embrayage     d'effaçage    de l'accumulateur, le      levier coudé d'embrayage     d'effaçage    lu  compteur, et les     leviers    830 et 8801 de com  mande de force     motrice    pour l'embrayage de  déplacement.

   Chacune de ces pièces     touril-          lonne    sur l'arbre 820 et porte une saillie 831  s'étendant dans une     rainure    plus large de  l'arbre, de sorte qu'une     oscillation    d'une quel  conque     desdites    pièces effectuera une oscilla  tion de l'arbre sans actionner les autres piè  ces tourillonnant sur lui. Une oscillation de  l'arbre 820 par ce moyen abaisse le bras<B>81.5</B>  et le pied 814, ce qui fait osciller l'arbre<B>8074</B>  dans la direction voulue pour effectuer la fer  meture du contact.  



  Le bras 815, lorsqu'il est dans sa position  basse, se trouve par-dessus une cheville 816       située    sur l'extrémité d'un bras 817 figé à,  l'extrémité de l'arbre 807 qui est opposée au  levier 806. Par conséquent, lorsque le bras  815 est abaissé, il bloque     l'oscillation    de l'ar  bre 807 et empêche que le levier coudé 1.15,  d'embrayage d'entraîneur, soit     actionné.    In  versement, lorsque le levier coudé 115 reçoit  un mouvement     d'oscillation    pour mettre l'em  brayage en prise, l'arbre 807 oscille, ce qui  amène la cheville 816 en contact avec le des  sous du bras 815 et bloque l'oscillation de  l'arbre 820.

   Cela effectue un enclenchement  réciproque entre les touches     d'effaçage    et de  déplacement et l'embrayage d'entraîneur  principal, de sorte que ni les unes ni l'autre  ne peuvent être actionnés pendant que le ou  les autres sont en action. Le levier 830 pos  sède un bras se trouvant directement derrière  la cheville 569 de la queue de la touche d'em  brayage de déplacement 570.

   Il reçoit ainsi  un     mouvement    d'oscillation lors de l'abaisse  ment de cette touche et est maintenu dans     sa.          position    ajustée par un prolongement     832    du  bras 810 qui se trouve sous les queues des  deux leviers de commande de l'embrayage de  déplacement et maintient aussi le circuit  fermé durant l'opération de déplacement,  dans des     opérations    de     multiplication    auto  matique.

   Toutefois, dans des opérations de di  vision automatique, les contacts sont mainte  nus fermés pendant tout le calcul par l'ex  trémité formant came 619     (fig.    8) du coulis-    seau de division principal 610     qui    porte sur  le pied 814 du     levier    810 et le maintient  abaissé pendant toute     l'opération.     



  Pour empêcher l'engagement de l'em  brayage principal pendant que fonctionne  l'un ou l'autre embrayage de déplacement, il  est prévu un dispositif de blocage comprenant  un bras 860 pivotant en 861 sur le levier  585 et supporté par un ressort 862. Le levier  585 est déprimé     pendant    tout le fonctionne  ment de l'un ou l'autre embrayage de dépla  cement par le fait que la came 590 amène l'o  reille 863 du bras 860 contre un bouton carré  864 porté par le bras 815, ce qui bloque ce  bras dans sa position basse contre le bouton  816 pour bloquer l'embrayage d'entraîneur.  



  Durant une division, la remise en route  de l'embrayage d'entraîneur doit se faire un  peut avant que l'embrayage. de déplacement  arrive à fin de mouvement; ainsi, une     plaque     865     (fig.    12) est située sur le coulisseau de  division principal 610, de manière à porter  contre le bras 860 lorsque le coulisseau oc  cupe une position active, ce     qui    repousse l'o  reille 863 en arrière -du bouton carré 864 et  met hors d'action le dispositif de blocage.  



  Un enclenchement réciproque, prévu pour  empêcher le fonctionnement de l'un ou l'autre  levier de commande d'embrayage de     dépla@-e-          ment    pendant que l'autre embrayage de dé  placement fonctionne, comprend une plaque  870     (fig.    6 et 6a) pivotant. en 871 et pourvue  d'épaulements 872 et<B>873,</B> situés sous les  queues 574 et 5741 des leviers de     commande     respectivement. La queue 574 présente une  surface formant came qui, lorsque le levier  est actionné, porte contre l'épaulement 872,  ce qui amène la plaque<B>870</B> à une position où  son épaulement 873 se trouve sous     l'extrémité     de la queue 5741, en empêchant son fonction  nement.

   Inversement, le fonctionnement du  levier 5661 place une     partie    de sa queue 57-11  derrière l'épaulement<B>873,</B> en empêchant un  mouvement pivotant de la plaque 870 et en  bloquant la descente de la queue 574 pour em  pêcher le     fonctionnement    de son embrayage.  



  Un enclenchement réciproque est     prévu     entre les touches     d'effagage    - et les touches      zéro du multiplicateur, ou de -commande du,  déplacement automatique du chariot, pour  permettre un fonctionnement     simultané    des  deux touches     d'effaçage,    mais pour     bloquer     les touches de déplacement par le fonctionne  ment de l'une ou l'autre touche     d'effaçage    et,  inversement, pour bloquer les deux touches       d'effaçage    lors de la     manoeuvre    de     l'une    ou  l'autre touche de déplacement.  



  Une plaque de blocage 850 pivote     au-          dessous    des quatre touches, entre le flasque  du bâti et une plaque fixe et présente des  bords 851 qui se trouvent sous des surfaces  jouant le rôle de cames 852, des     touches        d'ef-          façage    450 et 475 et un bord 853 adjacent à  des bords 854 des touches de déplacement.  Un ressort 855 tend à tenir la plaque dans la  position verticale, comme représenté à la       fig.    8.  



  Un abaissement de l'une ou l'autre des  touches     d'effaçage    450 ou 475 fera osciller la  plaque 850, ce qui amènera le bord 853 sous  le corps des touches<B>570</B> et 5701, en empê  chant ainsi un abaissement des touches de dé  placement, tandis qu'un abaissement de l'une  ou l'autre touche de déplacement empêchera  une oscillation de la plaque 850 et empêchera  ainsi un abaissement des deux touches     d'ef-          façage.     



  Une série de bras. de blocage 840, fixés  sur l'arbre 841, peuvent être actionnés, par       l'intermédiaire    d'un bras 842, par une came  843 montée sur l'arbre de     l'entraîneur        pour     bloquer la sélection du tambour pendant qu'il  est hors de la position de cycle complet. Des  moyens sont également prévus pour actionner  ce moyen de blocage chaque fois     qu'une    barre  agissante ou touche de     multiplicateur    est  abaissée. Une bielle 844 relie un prolonge  ment de l'un des bras 840 à une pièce 845  pivotant en 846.

   Un prolongement descendant  847     (fig.    1 et 9) de la pièce 845 porte un bou  ton 848 par-dessus lequel se trouve     l'extr%-          mité    arrière, encochée, d'une bielle 849 reliée  par son extrémité antérieure à la plaque de  commande 120. Un abaissement d'une barre  agissante ou d'une touche de multiplicateur    fait osciller cette plaque, comme cela a été ex  pliqué précédemment, ce qui fait osciller la  pièce 845 et amène les bras 840 à la position  de blocage.  



  Un prolongement 856 de la plaque de  blocage 850 se trouve directement derrière la  pièce 845, de sorte qu'une oscillation de cette  dernière fait également osciller la plaque 850,  ce qui empêche le fonctionnement des     deux     touches de déplacement.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à, calculer comportant un méca nisme à commande automatique pour dépla cer le chariot de la machine dans l'une ou l'autre de deux directions opposées, caractéri sée par une pièce intervenante (576) disposée pour .être déplacée automatiquement en un point prédéterminé d'une opération de calcul automatique et par un levier (577) pour ame ner préalablement ladite pièce intervenante en position convenable pour engager l'un ou l'autre de deux mécanismes de transmission de mouvement (562, 5621) à la suite du mou vement automatique communiqué à ladite pièce,
    lesdits mécanismes de transmission étant disposés respectivement pour déplacer le chariot dans des directions opposées. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine à calculer suivant la revendica tion, caractérisée par un mécanisme de c!i- vision automatique comportant une tige (615) disposée pour amener la pièce inter venante (576) en position opérative. 2 Machine à calculer suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par un ressort (5766)
    destiné à faire porter la pièce intervenante (576) contre le levier (577) et à la ramener après que ladite pièce a été déplacée par la tige (615). 3 Machine à calculer suivant la revendica tion, caractérisée par un levier (596) porté par un arbre de commande (595), ce levier étant disposé pour amener, en un point pré déterminé d'une opération de calcul auto matique, un coulisseau (582) . en relation opérative avec un organe de déclenchement (580) en vue d'amorcer le déplacement automatique du chariot.
    4 Machine à calculer suivant la revendication et la sous-revendication 3, caractérisée par une goupille (593) prévue sur le co-ulisseau (582) et destinée à coopérer, lors de l'ac- tionnement de ce dernier, avec l'un ou l'autre de deux leviers de commande d'em brayage (566, 5661), respectivement, pour provoquer l'engagement d'embrayages res pectifs en vue de la commande des mécanis mes de transmission.
    5- Machine là calculer suivant la revendication et les sous-revendications 3 et 4, caractéri sée par un levier à commande manuelle (577) disposé pour déterminer la direction du déplacement automatique du chariot, la portion arrière de ce levier se trouvant. à proximité d'une partie terminale rabattue (5765) de la pièce intervenante (576) qui coopère avec les leviers de commande d'em brayage.
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