Machine à calculer. La présente invention se rapporte à une machine à calculer du type comportant un mécanisme à commande automatique disposé pour déplacer le chariot de la machine dans l'une ou l'autre de deux directions opposées.
Les mécanismes de déplacement automati ques des chariots employés jusqu'à présent dans des machines ià calculer comportaient une commande de direction de marche qui commandait le train d'engrenage ou autres éléments de transmission dé mouvement dis posés pour actionner le chariot, de façon à réaliser soit un actionnement direct, soit un actionnement indirect au moyen d'un organe intermédiaire à montage fou.
Le déplacement de ces éléments de trans mission plutôt encombrants a donné lieu à de sérieuses difficultés, notamment au point de vue de l'adaptation de ces mécanismes à la commande automatique par le mécanisme prévu pour effectuer automatiquement des opérations de division.
Or, la présente inven- tion envisage une disposition dans laquelle on prévoit le déplacement d'organes de com mande disposés pour amorcer l'actionnement du mécanisme de déplacement, au lieu du dé placement des éléments de transmission eux- mêmes. Il en résulte que l'organe prévu pour changer le sens de direction de marche auto matique du chariot peut être fait très léger, grâce à quoi il peut être aisément amené en position opérative ou être ramené au repos au commencement et :à la fin d'une opération de division automatique.
La machine @à calculer suivant l'invention se caractérise par une pièce intervenante dis posée pour être déplacée automatiquement en un point prédéterminé d'une opération de cal cul automatique et par un levier pour amener préalablement ladite pièce intervenante en position convenable pour engager l'un ou l'autre de deux mécanismes de transmission de mouvement à la. suite du mouvement auto matique communiqué à ladite pièce, lesdits mécanismes de transmission étant disposés respectivement pour déplacer le chariot dans des directions opposées.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de cette machine, celle-ci étant du type décrit dans le brevet suisse 11â767, auquel on pourra se re porter pour une description des mécanismes non spécifiquement décrits ici.
Fig. 1 est une coupe longitudinale de la machine, en regardant vers la droite, repré sentant divers mécanismes de commande de la machine, entre autres celui régissant la commande motrice de celle-ci; Fig. 2 est une coupe longitudinale repré sentant la construction de barres plus et moins;
Fig. 3 est une coupe latérale représentant des mécanismes de commande du changement de marche et de la division; Fi-. 4 est un détail d'une portion d'un mécanisme de commande de la division; Fig. 5 est une coupe latérale représentant le mécanisme de déplacement automatique du chariot; Fig. 6, 6A et 7 montrent des détails de la commande d'un embrayage -de déplace ment; Fig. 8 .est une vue d'ensemble de moyens régissant l'effaçage et le déplacement;
Fig. 9 donne le détail d'un mécanisme d'enclenchement réciproque des touches d'ef- façage et de déplacement; Fig. 10 est une coupe longitudinale d'une unité de multiplicateur automatique, repré sentant les moyens régissant le déplacement automatique; Fig. 11 est une coupe représentant un mé canisme de blocage et de libération des tou ches du multiplicateur; Fig. 11A donne le détail d'un mécanisme de libération des touches du multiplicateur;
Fig. 12 est une coupe représentant un le vier de commande de division et le méca nisme y associé; Fig. 13 est une coupe représentant cer tains des dispositifs régissant la division; Fig. 14 à 17 sont .des détails de portions du mécanisme représenté- à la fig. 13; Fig. 18 est une élévation du mécanisme de déplacement automatique du chariot; Fig. 19 est un plan de détails de ce der nier mécanisme; Fig. 20 et 21 donnent des détails de ce même mécanisme;
Fi-. 22 et 23 sont des vues schématiques des divers mécanismes.
<I>Contrôle de la commande.</I> Dans la forme d'exécution représentée, le mécanisme de com mande comprend un moteur électrique qui est relié à l'arbre de commande 100 par un engrenage réducteur de vitesse approprié et est capable d'être relié d'une manière inter- ïnittente au mécanisme calculateur pour l'ac tionner.
Le moyen par lequel la commande est re liée au mécanisme calculateur comprend un embrayage 110 (fig. 1) dont l'organe menant est un rochet 111 fixé sur l'une des extré mités de l'arbre 100. Ce rochet 111 est en fermé dans une cage circulaire 112, qui cons titue l'organe mené de l'embrayage et dans laquelle pivote, en position pour prendre dans le rochet un cliquet d'entraînement 113 qui est normalement repoussé en prise avec ce rochet par un ressort 114, mais peut en être main tenu dégagé au moyen d'un mécanisme de contrôle d'embrayage.
Ce dernier mécanisme comprend un levier coudé 115 tourillonnant sur un axe 116, sur le bâti de la machine et portant, sur l'un de ses bras, un pied 117 ca pable, lorsque l'entraîneur est dans la posi Lion de cycle complet, de passer à travers une ouverture formée dans une position appro priée dans la cage 112 pour venir en prise avec la queue du cliquet 113 et l'amener à la position de débrayage.
Un ressort 118, tendu entre un bouton, sur la base de la machine, et le bras opposé du levier coudé 115, tend à amener le pied 117 à la position de débrayage, de sorte qu'en l'absence d'une intervention d'autres organes, l'entraîneur sera amené au repos, avec l'em brayage dégagé, lorsqu'il atteindra la posi tion de cycle complet, après un tour. Des moyens sont prévus pour actionner le levier coudé 115, afin d'embrayer l'entraîneur pour le nombre de tours requis pour l'accomplis sement d'un calcul désiré et une cheville <B>119</B> est prévue, à cet effet, sur l'extrémité anté rieure du levier 115.
Avec cette cheville s'en gage l'extrémité arrière, encochée, de la bielle de commande 121 qui est articulée, par son extrémité avant, à la plaque de commande l20 et normalement tenue par-dessus la che ville 119 par un ressort 122, tendu entre l'ar bre 123 et un point intermédiaire de ladite bielle. La plaque 120 est fixée sur l'arbre 123, tourillonnant dans la machine, et com prend une partie avant verticale 124, capable de coopérer avec la barre plus, et une partie arrière angulaire 125, capable de coopérer avec la barre moins.
Le fonctionnement de l'une ou l'autre de ces barres est capable d'imprimer une oscillation en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à la plaque 120, comme cela sera décrit ci- après. Cela imprime une oscillation corres pondante, en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, au levier coudé 115 en permettant au cliquet 113 de prendre dans te rochet pour la période de temps pendant la quelle cet ajustement est maintenu. Le moyen par lequel les barres plus et moins remplis sent ce but sera décrit plus loin.
Changement <I>de marche.</I> A la cage d'em brayage 112 (fi-. 3) est fixé, pour tourner avec elle, un manchon 130 qui tourne dans une paroi intermédiaire de la machine et sur lequel tourillonnent deux roues dentées 131 et 132 adjacentes à ladite cage.
Sur leurs fa ces contiguës, ces roues sont pourvues de rebords annulaires 133, dont chacun pré sente deux sièges, disposés à l'opposé l'un de l'autre et de profondeur différente, destinés à recevoir une cheville 134 fixée dans un arbre de déplacement 135 et capable -de prendre dans lesdits sièges à travers des orifices dis posés à l'opposé l'un de l'autre dans le man chon 130. Un déplacement de la cheville 134 au moyen de l'arbre 135 rend alors l'une ou l'autre des deux roues dentées solidaire de la cage d'embrayage.
Dans le train de commande reliant l'une de ces roues à l'entraîneur se trouve une roue de renvoi intermédiaire, tandis que dans le train reliant l'autre roue dentée à cet en traîneur- il n'y en a pas, ce qui fait que les deux roues dentées actionnent l'entraîneur dans des directions opposées, comme c'est re présenté schématiquement à la fig. 23. Cette partie du mécanisme est complètement dé crite, par exemple, dans le brevet américain no 1682901 du 4 septembre 1928.
A la fig. 3, la cheville 134 est représentée en position pour actionner l'entraîneur dans le sens ad ditif, position dans laquelle elle est normale ment sollicitée par le ressort 226 supportant la barre moins. Il est prévu, pour déplacer l'arbre 135 afin d'amener la cheville en prise avec la roue dentée de commande négative 132, un moyen qui est fait élastique, de fa çon que son action puisse être supprimée par d'autres moyens agissant dans des opérations de division automatique, comme ce sera ex posé plus loin.
L'arbre 135 porte un collier fixe 140 qui est enfermé par un manchon coulissant 141 renfermant également un res sort 142 dont un des bouts porte contre le collier et l'autre contre une des extrémités du manchon, ce qui maintient ainsi ce der nier dans une position telle, par-dessus le collier, que son autre extrémité porte contre ce collier. La fourchette de déplacement re présentée dans le brevet suisse antérieur pré cité prend sur ce collier 141, comme c'est re présenté en 143, et son mouvement latéral tend à déplacer l'arbre 135 et sa cheville 134 pour amener celle-ci en prise avec l'une des deux roues 131, 132, sélectivement.
<I>Barres plus et moins.</I> La machine repré sentée comprend des moyens manuels pour régir la rotation de l'entraîneur pour plu sieurs opérations dans un sens positif ou un sens négatif, au choix. Le moyen pour régir à la main la rotation dans le sens positif com prend une barre plus 200, supportée sur un châssis 201 (fig. 2), supporté lui-même sur l'une - des extrémités d'une paire de bielles parallèles 202 reliées ensemble, à leurs ex- trémités opposées, par une bielle 203 et pivo tant, en un point intermédiaire de leur lon gueur, sur la plaque 210.
Un ressort 204, tendu entre la plaque et l'extrémité inférieure de la bielle avant, tient relevée la barre plus. Le châssis 201 porte un galet 205 qui passe à travers une ouverture de la plaque 210 et sert àà actionner le mécanisme d'embrayage.
Le moyen pour régir la rotation négative de l'entraîneur comprend une barre moins (220) dont la tige glisse sur la plaque 210 au moyen d'une liaison à cheville et fente 221 (fig. 1). Cette tige de la barre moins porte une cheville 222 s'étendant par-dessus l'un des bras d'un levier coudé 223 pivotant sur le côté opposé (fig 2) de la plaque 210; en 224, et portant un galet 225 qui passe à travers l'ouverture de la plaque, en juxtapo sition avec le bras 12:5 de la plaque 120 qui commande l'embrayage.
Un abaissement de la barre moins repousse ce galet de haut en bas et vers l'arrière à l'encontre de l'action du ressort 226 qui, tendu entre la plaque in termédiaire 210 et l'extrémité inférieure du levier coudé 223, tient celle des extrémités du levier coudé qui porte le galet 225 dans sa position la plus élevée et le changement de marche dans la position additive.
De même, un abaissement de la barre plus meut son galet 205 de haut en bas et vers l'arrière, en raison de la façon dont elle est supportée sur les bielles parallèles 202. Le galet 20-5 passe à travers une ouverture de la plaque intermédiaire 210 et bute contre le bras vertical avant 124, de la -plaque de commande 120. Le galet 2,25 passe, de même, à travers une ouverture de cette plaque 210 et bute contre le bras angulaire arrière 125, de la plaque 120e. On voit qu'ainsi le fonctionne ment de- l'une ou l'autre barre a pour résul tat une oscillation, en sens inverse du mouve ment des aiguilles d'une montre, de la plaque de commande 120 et, par conséquent, un en gagement de l'embrayage de l'entraîneur.
Un enclenchement réciproque, pour empêcher un fonctionnement simultané des barres 200 et 220, est prévu sous la forme d'une barre à bascule 230 pivotant en un point intermé- diaire de sa longueur, sur la plaque inter médiaire 210. L'une des extrémités de cette barre se trouve sous le galet 205 du châssis de la barre plus, tandis que l'autre se trouve sous un prolongement du bras porte-galet du levier coudé 223. L'abaissement de l'une ou l'autre touche fait basculer la barre en con tact direct avec l'autre organe sous lequel elle s'étend, pour empêcher un fonctionne ment simultané de celui-ci.
Un abaissement de la barre moins actionne également le change ment de marche en produisant un mouve ment d'avant en arrière de la bielle 227 arti culée à l'extrémité inférieure du levier coudé 223. Un mouvement de cette bielle 227 vers l'arrière fait osciller une came en vis sans fin jouant dans une fente de l'arbre qui porte la fourchette de déplacement d'engrenage, comme c'est représenté dans le brevet suisse antérieur précité.
Le mécanisme de change ment de marche proprement dit a été, toute fois, modifié comme expliqué précédemment, pour permettre un renversement du sens de rotation de l'entraîneur sans effectuer un dé gagement de l'embrayage dans certaines con ditions.
<I>Touche</I> d'addition. Une touche spéciale 250 (fig. 10) est prévue pour commander les divers mécanismes dans l'accomplissement d'une addition. Elle est articulée en 251 à un levier 252 pivotant en 2,53 et supporté par un ressort 254. L'extrémité supérieure de la tige de touche présente un cran 2,55 capable de prendre sur la plaque de recouvrement, lors d'un abaissement de cette touche, pour rete nir temporairement celle-ci en position d'acti vité.
Un ressort 256, tendu entre l'extrémité inférieure de la tige de touche et un point fixe de la machine, tend à faire basculer la touche à la position de verrouillage.
L'extrémité arrière du levier 252 est fourchue et prend sur une cheville 2160 portée par une bielle 261 qui est actionnée par la machine et qui, quand elle est relevée en posi tion d'activité par l'abaissement de la touche 250, agit pour libérer les touches à la fin de chaque cycle de fonctionnement. Le fonction- nement de cette bielle pour la libération des touches abaissées est complètement exposé dans le brevet suisse antérieur susmentionné.
La touche 250 régit également les méca nismes de déplacement automatique du mul tiplicateur et du chariot, comme cela sera ex pliqué ci-après.
Entraîneur, accumulateur <I>et compteur.</I> Le tambour d'entraîneur .300, le compteur 375 et le chariot d'accumulateur 400 sont sensiblement identiques, comme construction et fonctionnement au mécanisme correspon dant décrit dans le brevet suisse antérieur précité auquel on pourra se reporter; on ne les décrira par conséquent pas spécifique ment ici.
Il suffira de dire que les sections de l'entraîneur sont capables d'un ajustement différentiel par les sections de touches y asso ciées pour effectuer l'entrée des nombres y posés dans l'accumulateur y associés, lors de la rotation de l'entraîneur, l'entrée étant ad ditive ou soustractive selon le sens de rota tion de l'entraîneur.
Il va sans dire que le terme accumulateur, tel qu'il est employé ici, s'applique à un mé canisme comprenant des roues numérales ca pables d'être actionnées dans des directions opposées pour l'addition et la soustraction, et n'est pas limité à une rangée de roues numé rales capables d'être actionnées dans un sens seulement. L'"entrée" d'un articule peut, par conséquent, être soit additive ou soustractive et le sens de rotation des roues numérales composant l'accumulateur sera commandé en conséquence.
La machine représentée comporte un mé canisme avertisseur pour signaler à l'opéra teur le moment où la capacité du mécanisme calculateur est dépassée dans une addition, une soustraction ou une multiplication. Tou tefois, ce mécanisme avertisseur est mis hors d'action au cours d'une division automatique et son mécanisme de commande est utilisé comme un contrôle du fonctionnement de la. machine dans cette opération.
Un timbre 450 (fig. 3 et 13), convenable ment monté sur le bâti, est disposé pour être frappé par un marteau 451 pivotant sur un montant, sur la base de la machine, et tenu dans une position neutre par un ressort 453. Une bielle de poussée verticale à épaulement 454, s'étendant à travers une oreille fendue prévue sur le bras de marteau, constitue le moyen actionnant ce dernier. Dans sa posi tion de non-division, la queue 633 du méca nisme de commande inverse de division, ci- après décrit, se trouve par-dessus l'extrémité supérieure de la bielle 454.
Cette queue 633 est articulée par son extrémité antérieure au levier de report en trop pivotant verticale ment 630, dont la crosse avant se trouve der rière les leviers de report 425 coopérant avec les trois derniers ordres de l'entraîneur.
La crosse est néanmoins assez espacée des leviers de report pour que leur mouvemeni n'ait point d'effet sur le levier 630 à moins que quelque pièce intervenant n'amène les deux sensiblement en contact. Le dernier le vier de report sur la gauche de l'accumula teur est pourvu d'une telle pièce intervenante, sous la forme d'une oreille 4251 d'un seul te nant avec lui, de sorte que le fonctionnement de ce levier de report fera basculer le levier 630, en déprimant la queue 633 pour faire al ler et venir-la bielle 454. Le marteau 451 est par cela actionné, indiquant qu'une quantité transférée a été perdue et que le nombre en registré indiqué est par conséquent incorrect.
A mesure que le chariot d'accumulateur est déplacé à gauche, deux ordres de report de plus de l'entraîneur entrent en jeu et le point de commande du mécanisme avertis seur est déplacé d'une façon correspondante. Finalement, au moment où le levier 42.5, por tant l'oreille 4251, dépasse le dernier ordre de report de l'entraîneur et devient ainsi in capable de recevoir des quantités transférées, une pièce intervenante, sous la forme d'une oreille 455 située sur l'extrémité de gauche de la crosse du levier 630,
prend la place de l'oreille 4251 et fait retentir l'avertisseur chaque fois que le levier de transfert qui se trouve en face du dernier ordre de report de l'entraîneur est actionné. Dans des opérations de division automati que, la queue 6i33 est éloignée de la bielle 454 et amenée à une position où elle se trouve par-dessus le pied .6'34, par un moyen ci-après décrit. Le mouvement des leviers de transfert 425 n'a, par conséquent, pas d'ef fet sur le mécanisme avertisseur au cours de cette opération.
<I>Mécanisme de déplacement du chariot.</I> Le chariot d'accumulateur 400 glisse sur une voie 500 sur laquelle est disposé un méca nisme pour déplacer, à la main ou automati quement, le chariot dans un sens ou . dans l'autre.
Le mécanisme pour déplacer le chariot à la main est complètement décrit dans le bre vet suisse no 105j276, auquel on pourra se re porter pour la description d'un moyen con venable de déplacement du chariot. On li mitera la présente description au moyen opé rant par force motrice pour ce mécanisme de déplacement du chariot qui peut être com mandé soit à la main, par des touches prévues à cet effet, soit automatiquement par les dis positifs de la machine qui agissent dans la multiplication et la division quand elles sont effectuées automatiquement par cette ma chine.
Le mécanisme de déplacement du chariot d'accumulateur comprend une plaque 502 pi votant en 501 et présentant, dans son extré mité supérieure, une encoche 503 embrassant une cheville 504 qui est mue latéralement, pour déplacer le chariot, par une oscillation de la plaque d'un côté ou de l'autre de son pivot.
A cet effet, il est prévu une bielle 550 (fig. 5), capable de recevoir un mouvement de va-et-vient dans la direction appropriée sous l'action du moteur de commande. Cette bielle est établie pour imprimer un mouve ment rapidement accéléré au chariot sur à peu près la première moitié de son achemine ment, après quoi le moment acquis est suffi sant pour compléter le déplacement. La cons truction qui rend cela possible présente l'a vantage supplémentaire de permettre un mou- vement à blanc de la bielle dans le cas d'un blocage du chariot, ce qui empêche ainsi un enrayage.
La bielle 550 est supportée, de manière à pouvoir glisser, dans la machine par des liai sons à cheville et fente, 5151 et 552, avec des parties figes de celle-ci et présente en un en droit adjacent à la plaque 502, une partie évidée à travers laquelle passent la tige- pivot 501 et une cheville 55â figée à la pla que 502. Sur la bielle 550 pivotent en 554 des barres de déplacement à ressort 55.5, bu tant contre des côtés opposés de la cheville 553 et normalement maintenues verticales par des ressorts 556 qui, disposés entre elles et la bielle 550, les repoussent contre une oreille angulaire 5.57 de cette dernière.
L'extrémité de droite de la bielle 550 présente des encoches .560 et 5601 coopérant avec des cames périphériques 561 et 5611 commandées par des embrayages de déplace ment de chariot 562 et 5621, respectivement, pour faire aller et venir la bielle 550 à droite ou à gauche selon l'embrayage amené en ac tion. Les cames 561 et 5611 présentent des encoches 5501 et 5,502: (fig. 18), respective ment, qui se trouvent sous la bielle 550 lors que les embrayages sont dans la position de cycle complet, ce qui permet à l'une ou l'au tre came d'actionner la bielle 550 sans être gênée par l'autre.
A mesure que la bielle 550 est mise en mouvement à. droite ou à gauche par l'une des cames, l'un des ressorts 556 est légèrement comprimé en raison de l'inertie du chariot et du mécanisme de déplacement; mais, une fois que le chariot a démarré, ce ressort se détend en accélérant le chariot suffisamment pour lui faire faire un pas, ou acheminement complet, bien que la bielle ne se meuve que d'environ moitié de la distance d'un pas, Dans le cas où le chariot est bloqué, le res sort 556 est simplement comprimé davantage à mesure que la barre 555 se meut autour de son pivot 554 au cours du mouvement de la bielle 5,50, et aucun enrayage ne s'ensuit.
La construction et le fonctionnement des deux embrayages de déplacement étant sensi- blement identiques, on n'en décrira qu'un, sauf en ce qui touche leurs différences. La came 561, actionnée par l'embrayage 562, dé place le chariot à droite et cet embrayage peut être contrôlé par une touche<B>570,</B> tandis que la came 5611, actionnée par l'embrayage 5621, déplace le chariot à gauche et que cet embrayage peut être commandé par une tou che 5701.
Ces touches sont relativement dis posées non par rapport à la. direction réelle de déplacement du chariot, mais par rapport à la direction de déplacement suivant les or dres numériques, comme c'est indiqué par l'index usuel qui est associé avec le compteur et qui se meut en sens inverse du chariot. Le fonctionnement de la. touche de droite 5701 amène par conséquent le chariot dans une position d'ordre numérique inférieur, tandis que le fonctionnement de la touche de gauche 570 amène le chariot dans une position d'or dre numérique plus élevé.
Les deux embrayages sont du même type, â rochet et cliquet, que l'embrayage principal 110 et sont montés sur, et actionnés par, l'ar bre 563 relié par engrenage à l'arbre de com mande principal 100.
L'embrayage 5621 est commandé par un levier 5661, correspondant- au levier 115 qui commande l'embrayage principal 110. Ce le vier 5661 pivote en 567 et présente une ex trémité supérieure crochue, 5681, dans la quelle peut prendre une cheville 5691 portée par l'extrémité inférieure d'un levier à touche 5701 pivotant en<B>571</B> et relevé à sa position haute par un ressort 5731 tendu entre sa par tie antérieure et un arbre approprié à la ma chine. Les deux leviers de contrôle d'em brayage sont pourvus de queues 574 et 5741 pour le fonctionnement automatique, comme cela sera décrit ci-après, et sont pour vus de ressorts 5751 tendant à les amener à leur position de débrayage.
<I>Commande</I> automatique dît déplacement <I>du</I> chariot. Des moyens automatiques sont prévus pour mettre en prise l'embrayage de déplacement de chariot au moment voulu dans des opérations de multiplication automa- tique et de division automatique.
Un déplace ment automatique du chariot se produit tou jours à la fin d'une rotation additive de l'en traîneur dans une multiplication automatique, immédiatement après la dernière des addi tions successives dans chaque ordre numéri que et, dans une division automatique, il se produit là la fin de la rotation additive qui corrige le dépassement dans chaque ordre nu mérique. Le moyen d'engagement de l'em brayage de déplacement est, par conséquent, disposé pour être actionné avec l'entraîneur dans une rotation additive et commandé par le moyen de commande approprié du fonc tionnement de la machine.
Un doigt de dé clenchement 580 (fig. 3, 7 et 18) est par con séquent disposé sur l'extrémité, voisine du flasque, de l'arbre 581 qui s'étend à travers le manchon portant le tambour de transfert du compteur et est relié à une roue intermédiaire du train de commande de l'entraîneur, Si l'on regarde la machine du côté droit, on re marquera que l'entraîneur tourne en sens in verse du mouvement des aiguilles d'une mon tre pour une addition.
On voit ainsi que, dans une rotation additive de l'entraîneur, le doigt 580 tourne en sens inverse du mouve ment des aiguilles d'une montre, peu importe le sens de rotation du tambour du compteur, qui est indépendamment réversible.
Un coulisseau de déclenchement 582 est disposé pour aller et venir verticalement sous l'action du doigt 580 à mesure que l'entraî neur approche de la position de cycle complet (fig. 19 et 20), et pour osciller en pivotant, sous l'action de sa pièce de commande 596, pour venir sur le chemin, et hors du chemin, du doigt 580, au moyen d'une liaison à che ville et fente, 583, par l'intermédiaire de la quelle il est supporté sur le bâti de la ma chine. Un ressort 584, tendu entre le bâti de la machine et le bras inférieur du coulis- seau 582, tend à le faire osciller dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre et à le mettre hors du chemin du doigt 580.
Un verrou 585, pivotant en 586. présente une ex trémité latéralement coudée 587, capable de prendre derrière une dent 588 du coulisseau 582 pour retenir celui-ci dans une position d'activité sur le chemin du doigt 580 jusqu'à ce que l'embrayage de déplacement soit ac tionné.
La queue du verrou coopère avec une came en deux parties 590 (fig. 5 et 7), dont une moitié est figée à la cage d'embrayage 562 et une moitié à la cage d'embrayage 5621, de sorte que la rotation de l'un ou l'au tre embrayage fera basculer le verrou dans le sens du mouvement des aiguilles .d'une mon tre en amenant son extrémité latéralement coudée 58'7 contre la face formant came 591 du coulisseau 582, ce qui repoussera celui-ci hors du chemin du doigt 580 pour empêcher un second fonctionnement de l'embrayage de déplacement, en relâchant le levier .566 ou 5661 à sa position de débrayage. Un ressort 592, tendu entre le bâti et le verrou 585, tend à retenir normalement celui-ci en position pour prendre derrière la dent 588.
Un arbre 595, tournant dans le flasque de la machine, porte un levier pendant 596, pré sentant une portion latéralement coudée 597, en contact avec le devant du coulisseau '582. L'extrémité inférieure 597 du levier 59H lorsqu'elle est mue vers l'arrière au moyen de l'arbre 595, fait osciller le coulisseau 582 à sa position effective, où il se trouve verrouillé. Cet arbre 595 oscillera aux moments voulus, dans des calculs automatiques ci-après -dé crits, pour amorcer le déplacement du cha riot.
Le coulisseau 582 porte une cheville 593 (fig. 18, 19 et 20) capable, lors d'un va-et- vient du coulisseau, d'actionner l'un ou l'au tre des leviers de commande d'embrayage 566 et 5661, selon la position de la pièce in tervenante 576 qui pivote en 5761 sur un col lier 5762 tournant sur un arbre 5763, de sorte qu'elle est capable d'un mouvement horizon tal pour choisir celui des embrayages qui doit fonctionner et d'un mouvement vertical pour actionner l'embrayage choisi.
Une tête en forme de<B>T</B> 5764, de la pièce intervenante 576 est capable, dans l'une de ses positions, de se trouver par-dessus la queue 5741 de l'un des leviers de commande d'embrayage et, dans son autre position, par-dessus la queue 574. La tête est également coudée, comme c'est représenté à la fig. 18, pour se trouver sous la cheville 593 dans l'une et l'autre posi tion. de la pièce intervenante.
Donc, le va-et- vient du coulisseau 582 abaissera la tête 5764 de la pièce intervenante et la queue, située sous elle, de l'un des leviers de commande d'embrayage, selon l'ajustement horizontal de la pièce intervenante. L'un ou l'autre des embrayages sera ainsi engagé pour un cycle de fonctionnement, en déplaçant le chariot d'un pas à droite ou à gauche.
Le moyen pour effectuer l'ajustement ho rizontal de la pièce intervenante 576, afin de commander le sens de ce déplacement auto matique, comprend un levier maneeuvrable à la main 577, pivotant sur le bâti en 5771 et présentant une partie arrière adjacente à l'extrémité antérieure, recourbée vers le bas 5765 de la pièce 576 et située à la droite de cette extrémité. Le levier de commutation de déplacement automatique 577- est mobile ho rizontalement entre des arrêts 5772, et un ressort 5773, disposé entre l'arrière du levier et un point du bâti, tend à le maintenir dans l'une ou l'autre de ses positions ajustées.
Un ressort 5766, tendu entre la queue de la pièce intervenante 576 et une pièce 870, tend à amener la tête de la première à sa position par-dessus la queue 574 et, lorsque la tirette du levier de commutation 577' est à gauche, il est libre d'agir ainsi. Un déplace ment automatique amorcé pendant que cet ajustement est maintenu, déprimera la queue 574 en actionnant la pièce intervenante<B>576</B> et en mettant en prise l'embrayage 562, ce qui déplacera le chariot d'un pas à droite.
Toutefois, lorsque le levier de commuta tion 577 est amené à droite, la tête de la pièce intervenante 576 est amenée au-dessus de la queue 5741. Un déplacement automati que amorcé pendant que cet ajustement est maintenu, abaissera la queue 5741 en action nant le levier 5761 et en mettant en prise l'embrayage 56-21, ce qui déplacera le chariot d'un pas à gauche. On notera que l'ajustement directionnel du levier de commutation correspond à la di rection de déplacement d'ordre numérique in diqué par l'indicateur du compteur, comme dans le cas des touches de -déplacement, et non à la direction de .déplacement du chariot.
<I>Division</I> aedomatique. Une division auto matique est accomplie, dans la présente ma chine, par l'entrée des facteurs de la manière usuelle, le placement du chariot et le dépla cement du levier de division pour l'amener à sa position avant; après cela, les opérations suivantes s'ensuivent tout à fait automatique ment et le quotient est exactement enregistré dans le mécanisme compteur.
Le déplacement du levier de division met en route l'entraî neur dans le sens soustractif, et il agit pour soustraire du dividende le multiple décimal choisi du diviseur, en enregistrant le nombre de soustractions dans le compteur, de la ma nière usuelle, jusqu'à ce qu'un dépassement se produise.
Le fait qu'un dépassement se pré sente, actionne des dispositifs qui effectuent un renversement de la commande -de l'entraîneur sans dégager l'embrayage de commande de celui-ci. Le cycle suivant immédiatement après le cycle de dépassement corrige donc le dépassement et un dispositif actif dans ce cy cle agit pour dégager l'embrayage d'entraîneur dans la position de cycle complet et pour mettre en prise l'embrayage de déplacement de chariot pour un seul cycle. Le mécanisme de commande de déplacement de chariot, en approchant de la fin de son cycle de fonc tionnement actionne des dispositifs pour re mettre en prise l'embrayage d'entraîneur et commander de nouveau celui-ci dans le sens soustractif.
Ce tour de fonctionnement se ré pète successivement dans des ordres numéri ques consécutifs jusqu'à ce que le chariot ar rive à bout de course; alors, un dispositif de commande spécial intervient pôur empêcher une mise en prise de l'embrayage de déplace ment de chariot et tout le mécanisme est, par conséquent, amené au repos avec tous les dis positifs de commande rétablis à leur position normale. Le levier de division automatique 600 (fig. 12) pivote en<B>601</B> sur la paroi latérale de la machine et un mouvement d'oscillation vers le devant de la machine est imprimé à son extrémité supérieure pour amorcer une opération de division.
Par ce mouvement, il meut vers l'arrière de la. machine le coulis- seau de division principal 610 et le coulisseau de division supplémentaire 620, à l'encontre de la force d'un ressort 602, tendu entre la base de la machine et le coulisseau 610. La courte liaison -à cheville et fente 603 relie le coulisseau 62.0 au levier de division, de sorte que ce coulisseau suit le mouvement dudit le vier dans les deux sens. Toutefois, le coulis- seau principal 610 est relié au levier de di vision par une liaison à cheville et fente plus longue 604.
Cette liaison à cheville et fente, plus lon gue 604, est disposée de façon que le coulis- seau de division principal sera poussé en ar rière par un mouvement de bascule du levier de division en avant, mais ne sera pas ra mené par un retour de ce dernier à une posi tion d'inactivité. Une paire de cliquets de blocage 605 et 606 pivotent côte à côte sur le flasque de la machine, en 607.
Les têtes de ces deux cliquets coopèrent avec une enco che 611 existant dans une partie élargie du coulisseau de division principal., encoche dans laquelle elles sont repoussées par leurs res sorts. individuels 608 et 609 comprimés entre la partie antérieure des cliquets respectifs et un prolongement du flasque. Par ce moyen, le coulisseau de division principal 610 est verrouillé dans la position arrière, à laquelle il est repoussé par un mouvement du levier de division 600 jusqu'à ce que les deux cliquets 605 et 606, soient concurremment relevés.
En un endroit adjacent à son extrémité arrière, le coulisseau de division principal 610 présente un coude 612 qui coopère avec une encoche de l'arbre 6-15 pour déplacer celui-ci latéralement lors d'un mouvement du coulisseau. Le déplacement de cet arbre ac tionne la fourchette de déplacement 616, fixée en un point adjacent à son extrémité opposée, qui commande l'engagement de l'embrayage de remise en marche 617 dont on va décrire le rôle.
A distance de son extrémité arrière, le coulisseau<B>610</B> porte une cheville 613, s'éten dant latéralement, dont l'extrémité éloignée se trouve directement en avant d'une partie verticale 227a (fig. 2), de la bielle qui com mande le changement de marche de l'en traîneur. Le mouvement du coulisseau 610 vers l'arrière sert alors à mouvoir la bielle 227 et amène la commande du changement de marche en position pour causer une rotation soustractive de l'entraîneur.
Concurremment, le levier coudé 22e3 (fig. 2), attaché à l'extrémité avant de la bielle 227, bascule et le bras supérieur, por tant le galet 225, descend, le galet étant mû de haut en bas et vers l'arrière de la machine, de la même manière que lorsque le levier coudé est actionné par la barre moins. Dans ce mouvement, il fait osciller la plaque de contrôle 120 pour amener en prise l'em brayage d'entraîneur principal 110.
Ce méca nisme est bloqué dans cette position pour la durée de l'opération de division par les cli- quets de verrouillage tenant le coulisseau de division principal dans sa position arrière. L'entraîneur, étant ainsi mis en mouvement, tourne continuellement en soustrayant le di viseur, ou son multiple décimal, du -dividende posé dans le chariot d'accumulateur, à chaque rotation successive, jusqu'à ce qu'un dépas sement se présente.
Dans une opération de dé passement, il se produit, comme on le sait, une opération de report d'emprunt qui a pour résultat que toutes les roues numérales effec tives situées à la gauche de celles actionnées passent de zéro à neuf.
Le mouvement du mécanisme de report familier de la machine dans cette opération est utilisé pour commander le renversement de l'entraîneur, afin d'effectuer une correc tion du dépassement. Le mécanisme de re port comprend des leviers de report 425 (fig. l'3) normalement verrouillés dans leur position avant, comme représenté, mais capa- bles d'être déclenchés et élastiquement ver rouillés dans leur position arrière par une oreille 426 située sur la roue numérique, dans un transit direct entre zéro et neuf.
Directe ment derrière le levier de report 42.5 des roues numériques coopérant avec l'avant dernier or dre de report de l'entraîneur vers la gauche, se trouve un levier 630 pivotant sur le bâti de la machine en 631. Le pivot 631 permet un mouvement du levier 6-30 dans un plan verti cal lorsqu'un levier de report 425 est déclen ché.
Une queue fourchue 633, articulée pour se mouvoir dans un plan horizontal, en 632, à l'extrémité du levier, est capable d'être mise en mouvement sur son pivot par un moyen, sous la commande du coulisseau de division principal, que l'on va décrire en con nexité avec le moyen pour terminer une course de correction additive et, dans sa po sition de division automatique, se trouve par-dessus le pied 634 d'un levier vertical 635 pivotant -en 636 sur un second levier 637 qui pivote également sur le bâti en 631.
Au levier 637 est articulée, en 638, une bielle pendante 639 (fig. 3), dont l'extrémité infé rieure est en prise avec l'un des bras d'un le vier coudé 640 pivotant, sur un montant 641., sur le bâti de la. machine. Le, bras supé rieur du levier coudé 640 travaille contre un collier 642 monté sur l'arbre 135, de telle ma nière qu'une oscillation du levier coudé, pro duite par une pression .descendante sur la bielle 639, déplace l'arbre 135, de façon qù il amène sa cheville 134 en prise avec la roue dentée 131 qui sert à actionner l'entraîneur dans le sens positif ou additif.
Ce déplace ment est produit positivement par un moyen dérivant sa commande de l'entraîneur et com mandé par les roues numérales dans une opé ration de dépassement.
Dans cette opération, il est nécessaire de régler, dans .le temps, le fonctionnement du levier 630, de façon qu'il soit actionné un peu avant que l'entraîneur atteigne sa posi tion de cycle complet, point en lequel le ren versement se produit. A cet effet, l'extrémité antérieure du levier 630 est construite sous la forme d'un<B>T</B> (fig. 5) dont la traverse se trouve derrière les trois leviers 425 coopérant avec les trois derniers ordres de l'entraîneur.
Ces trois derniers ordres sont simplement des ordres de report n'ayant aucun mécanisme différentiel, bien que l'ordre le plus bas des trois puisse être pourvu, si c'est désirable, d'un mécanisme différentiel sans modifier l'autre structure.
Le dernier levier de report 425, vers la gauche de l'accumulateur est pourvu d'une oreille 4251 lui permettant de faire osciller le levier 630 à partir de l'une quelconque de ses trois positions possibles adjacentes à la traverse de celui-ci; mais les leviers 425 res tants ne sont point pourvus d'une telle oreille et n'oscillent pas assez loin pour actionner le levier 630, à moins que l'espace qui les sé pare ne soit rempli par une pièce interve nante. -Une telle pièce intervenante 6301 est prévue en un endroit adjacent au troisième ordre, en partant du plus élevé, de l'entraî neur; elle est articulée au levier 630 en 6302 et présente dans son extrémité inférieure une encoche dans laquelle se trouve l'extrémité antérieure d'une queue 633.
Lorsque la queue est mue à sa position de division automatique, au-dessus du pied 634, son extrémité avant amène la pièce intervenante 6301 en position d'activité, de sorte que son oreille 6303 vient entre la traverse du levier 630 et celui des le viers de transfert 425 qui se trouve en face.
Puisque les dents de transfert 427 sont décalées les unes par rapport aux autres au tour de la périphérie du tambour, le levier 425 qui se trouve en face de l'oreille 6303 sera, dans une opération de dépassement, re poussé de quelques degrés avant que l'en traîneur arrive à la position de cycle complet, ce qui laissera un temps suffisant pour que le mécanisme de changement de marche, ou de renversement susdécrit fonctionne de la fa çon suivante: Le levier de report 425 de l'ordre numé rique contrôlant oscille vers l'arrière, en en traînant avec lui le levier 630 et en abais sant sa queue 633.
Cela abaisse le pied 634 du levier. vertical 635,. en faisant osciller ce levier à l'encontre du ressort 635a, pour faire descendre une cheville 645 glissant dans un logement que lui offre l'extrémité supérieure du levier 637 et disposé pour être retenue dans l'une ou l'autre de ses deux position ajustées par une bille repoussée par un res sort et indiquée en 646. Ces fonctionnements ont lien juste avant que l'entraîneur atteigne sa position de cycle complet et ont pour ré sultat de faire saillir l'extrémité de la che ville 645 dans une position où une face jouant le rôle de came 647, spécialement formée sur une plaque 648 figée sur l'extrémité gauche de l'arbre d'entraîneur, viendra en prise avec elle.
Cet engagement, s'effectuant pendant que l'entraîneur est. encore commandé dans le sens négatif, actionne le mécanisme com prenant le levier 637, la bielle 639, le levier coudé 640 et l'arbre 135 pour sortir positive ment la cheville 134 de son siège dans la roue 132 et la faire pénétrer dans son siège sur la. roue 13.1, juste au moment où l'entraîneur atteint la position de cycle complet et à l'en contre de la force du ressort 142 qui, dans ce fonctionnement, est comprimé, ce qui rend inutile une libération de la bielle 227 qui. normalement, commande la position de la che ville 134 et commande également l'em brayage d'entraîneur principal.
Ainsi, le sen, de marche de l'entraîneur est renversé sans dégagement de l'embrayage principal et cet entraîneur commence un cycle additif.
La pression sur le jeu de bielles et de le viers susmentionné est immédiatement relâ chée lors du renversement de l'entraîneur: mais une remise en place de la cheville 134 dans le siège de la roue 132, sous la pression du ressort 1.42, est empêchée par le déplace ment du siège et un renversement dans la po sition de demi-cycle est empêché par un lobe jouant le rôle de came 649, de la plaque 648, qui maintient la bielle 639 déprimée en ce point du cycle. A la fin d'un seul cycle de rotation additive, l'entraîneur est arrêté dans la position de cycle complet par le dégage ment de l'embrayage principal et il est per mis au ressort 142 de replacer la cheville 134 dans son siège de la roue 132.
Le dégagement de l'embrayage à la fin de la rotation additive corrective est accompli sous la commande d'un levier 650 monté sur double pivot, pour un mouvement universel limité, en 651. Un ressort 652, tendu entre la partie supérieure du levier et une partie fixe du bâti, sollicite le levier vers sa posi tion d'activité; mais ce levier est normale ment maintenu en position d'inactivité par une bielle 658 dont une des extrémités, 654, bute contre la queue du levier 650 sur le côté opposé au ressort, tandis que sur son autre extrémité est formée une face 655 jouant le rôle de came (fig. 4).
Lorsque le coulisseau de division principal 610 est .en position d'inactivité, un bras 614, qui en descend, se trouve sur le chemin de la bielle .653 et l'em pêche d'être repoussée à gauche, à la fig. 3, par la force du ressort 652, ce qui maintient ainsi le levier 650 dans sa position d'inacti vité.
Toutefois, quand le coulisseau de divi sion principal 610 est mû vers l'arrière à sa position d'activité, le bras descendant 614 est retiré du chemin de la bielle 653 et il est per- mis au ressort 652 d'amener le levier 650 en position d'activité. Le bras supérieur de ce levier se trouve dans la fourchette de la queue fourchue 633, dont il a été question précé demment, et cette queue est amenée à sa po sition d'activité en même temps que le levier.
Dans cette position d'activité, l'extrémité du levier 650 se trouve sur le chemin d'une came 656 (fig. 14) portée par l'un des segments d'entraîneur. L'extrémité de la came qui ap proche du levier durant une rotation soustrac tive de l'entraîneur porte un biseau latéral 657 qui agit pour mouvoir de côté le levier 650 sans le déclencher; mais l'extrémité qui approche du levier dans une rotation additive de l'entraîneur porte une face jouant le rôle de came 658, qui agit pour faire osciller le le vier 650 autour de son pivot vertical, en sou levant sa queue 659.
Cette queue se trouve sous, et agit ainsi pour soulever, l'une des extrémités (fig. 3), d'un système de double levier 660, pivotant convenablement dans la machine, dont l'autre extrémité (fig. 5) se trouve dans cette ouverture de l'extrémité ar- rière de la bielle de commande 121, de l'em brayage d'entraîneur. La levée exercée sur l'une des extrémités du système de double le vier 660 produit une levée correspondante à l'autre extrémité, ce qui soulève la bielle 121 de la cheville 119 du levier coudé 115.
Se trouvant ainsi libéré, ce dernier vient immé diatement en contact avec la cage d'em brayage 112, sous l'action du ressort 118, et au moment oii l'embrayage atteint la position de cycle complet, le pied 117 pénètre dans l'ouverture de la cage et dégage l'embrayage, ce qui bloque l'entraîneur dans la position de cycle complet. Durant la rotation additive qui vient juste de se terminer, une came 648a (fig. 15), formée sur la plaque 6.18, agit pour rétablir la cheville 645 dans sa po sition normale d'inactivité.
Des moyens sont prévus pour engager automatiquement l'embrayage de déplace ment de chariot voulu lors du dégagement de, l'embrayage d'entraîneur principal. Puisque, dans une division automatique, le sens de dé placement du chariot doit toujours être Je droite à. gauche, des moyens sont prévus sous la dépendance du coulisseau de division prin cipal 610, pour amener la pièce intervenante sélectrice 576 au-dessus de la queue de levier d'embrayage 5741, peu importe l'ajustement du levier de commutation de déplacement 577.
Comme cela a été exposé précédemment, la mise en position du coulisseau de division principal 610 déplace l'arbre 615, afin d'a mener la fourchette de déplacement 616 en position pour mettre en prise l'embrayage de remise en route 617. La fourchette de d6pla- cem.ent présente une partie pendante 6161 ad jacente au côté gauche d'une partie montante 5767 de la pièce intervenante 576.
Ainsi, lors d'une mise en position du coulisseau de di vision principal, l'extrémité arrière de la pièce 576 sera amenée rà. sa position de droite, au-dessus de la queue de levier d'embrayage 5741 et chaque va-et-vient subséquent du coulisseau de déclenchement 582 produira un engagement de l'embrayage 5621, ce qui dé placera le chariot d'un pas à gauche. Des moyens sont prévus pour assurer une mise en prise automatique de cet embrayage de déplacement de chariot lors d'un dégagement de l'embrayage d'entraîneur principal.
Un le vier 670 (fig. 5), pivotant en 671 sur une pièce rigide descendant de la voie de chariot, pré sente une partie arrière angulaire 672, située par-dessus la bielle 121 et un nez se trouvant par-dessus le cliquet de verrouillage 605 et le nez 674 d'un levier 673 fixé sur l'arbre 595.
Lorsque la bielle 121 est soulevée pour ar rêter l'entraîneur à la fin de la rotation ad ditive corrective, le cliquet 670 reçoit un mouvement d'oscillation dans le sens du mou vement des aiguilles d'une montre et son nez abaisse le levier 673 (fig. 10), ce qui fait osciller l'arbre 595 pour déclencher le méca nisme de commande du déplacement automa tique du chariot, comme cela a été exposé précédemment.
Vers la fin du cycle de fonctionnement de l'embrayage 5621, de déplacement du chariot, une came 680, rigidement solidaire d'une came 5611 actionnée par cet embrayage .fait osciller le bras correspondant 681 pour re mettre en prise l'embrayage principal. Ce bras tourne sur un arbre 682 sur l'extrémité opposée duquel est figé un bras 683 se trou vant sous une cheville 684 du levier 115, de commande de l'embrayage d'entraîneur. Le mouvement du bras 681 est normalement sans effet;
mais la mise en position du coulisseau de division principal 610 actionne la four chette d'embrayage 616, ce qui amène l'or gane d'embrayage 617, claveté à un collier 6171, fixé à l'arbre 682, en prise avec ane face d'embrayage complémentaire 6172, fixée au bras 681, et l'embrayage à l'arbre, de sorte que, quand ce bras reçoit un mouvement d'oscillation de la came 680, le levier 115 re cevra un mouvement d'oscillation pour re mettre en prise l'embrayage d'entraîneur. Le levier 115 est ensuite verrouillé par le ren gagement de sa cheville 119 dans l'extrémité encochée de la bielle 121. Ce tour d'opérations se répète dans chaque ordre numérique jus qu'à ce que le chariot soit arrivé à fin de mouvement.
Des moyens sont prévus pour terminer 7e calcul .à la fin d'un tour d'opérations si le chariot est à fin de mouvement. Le cliquet 690 (fig. 5), pivotant en 691, possède un nez situé par-dessus les deux verrous 605 et 606, qu'il déclenche concurremment, en libérant complètement le coulisseau de division prin cipal 610, de façon que celui-ci peut être rap pelé à sa position d'inactivité par son ressort 602 pour terminer un calcul. Une bielle 69-2 relie la queue du levier 690 avec une des ex trémités d'un doigt 693 pivotant en 694 et situé pour passer à travers une ouverture de la voie de chariot et venir en contact avec le dessous du chariot, direction dans laquelle il est sollicité par un ressort 695.
L'ouverture est située de telle façon que le chariot la cou vre et bloque la montée du doigt, sauf lors que ce chariot est à fin de mouvement. L'ex trémité inférieure du doigt porte aussi lin verrou pivotant 696 qui passe à travers une fente d'une plaque<B>697</B> descendant du dessous de la voie de chariot et est sollicité en posi tion de verrouillage, contre l'extrémité infé rieure de ladite fente, par un ressort 698 tendu entre une partie intermédiaire du ver rou et la plaque descendante 697.
Le nez du verrou se trouve par-dessus la bielle 121 et est, par conséquent, soulevé à la fin de chaque rotation additive corrective lorsque l'embrayage d'entraîneur est dégage. Si le chariot n'est pas à fin de mouvement, le doigt 693 est incapable de s'élever sous l'ac tion du ressort 695 et le verrou retombe sim plement, sans effet. Mais, si le chariot. est à fin de mouvement, le ressort fait passer le doigt à travers l'ouverture et déplace concur remment la bielle 692 à droite, ce qui fait osciller le levier 690 et abaisse les queues des verrous 605 et 606 qui se trouvent dessous, en. libérant par cela même complètement le cou- lisseau de division principal 610 qui revient à sa. position d'inactivité, ce qui termina le calcul.
Le coulisseau 582, de déclenchement du déplacement de chariot, est comme d'habi tude amené à sa position d'activité par le le vier<B>670;</B> mais il est rappelé à sa position d'inactivité (fig. 7), avant d'être actionné, par l'action de la face jouant le rôle de came 621, du coulisseau de division supplémentaire 620 qui abaisse la cheville 622 du verrou 585, ce qui abaisse ce levier et repousse positive ment le coulisseau 582 .à sa position d'inacti vité.
Des moyens actionnés à la main sont pré vus pour terminer un calcul avant son achè vement. Le calcul peut .être terminé, à la fin de son tour d'opération dans un ordre numé rique quelconque, par un retour ù la main du levier de division 600 à sa position d'inacti- vité à un moment quelconque au cours du tour d'opération.
Cela amène le coulisseau de division supplémentaire 620 (fig. 12) à sa position avant et une face jouant le rôle de came 623, formée dessus, agit sur une oreille 624 formée sur le verrou 606 pour dégager celui-ci de l'encoche 611 du coulisseau de di vision principal. Toutefois, ce dernier est maintenu dans sa position d'activité par le verrou 605 jusqu'à la fin du tour d'opéra tions; alors, il est déclenché par l'oscillation du levier 670 qui se trouve au-dessus et dont la queue se trouve au-dessus de la -bielle 121.
Le déclenchement du verrou 605 com plète la libération du coulisseau de division principal 610, ce qui lui permet de revenir à sa position d'inactivité et termine le cal cul.
Le second verrou 605 peut encore être li béré par des moyens actionnés à la main sous la commande de la touche d'effaçage du mul tiplicateur pour terminer le calcul à la fin d'un cycle quelconque de l'entraîneur et avant achèvement d'un tour .d'opérations.
La tige de la touche d'effaçage du multi plicateur est pourvue d'une cheville 6051 si tuée par-dessus d'une -des extrémités d'un le vier 6052 pivotant sur la paroi latérale de la machine en 6053. L'autre extrémité de ce le vier présente une partie latéralement coudée, 6054, située dans une large encoche du ver rou 605.
L'abaissement de la touche d'effa- çage du multiplicateur fait osciller le levier 6052, ce qui soulève le verrou 605 et, pourvu que le verrou 606 ait été libéré par le retour du levier 600, cette action complètera 1a li bération du coulisseau 610, ce qui terminera le calcul.
Toutefois, on ne fait usage de ce dernier moyen de libération pour le verrou 605 que lorsqu'on a fait une fausse manceuvre sur la machine comme, par exemple, lors qu'on a tiré le levier de division avant qu'au cun facteur n'ait été posé dans la machine, auquel cas elle fonctionnerait continuelle ment dans le sens soustractif et il n'existe= rait pas d'autre moyen de l'arrêter.
Multiplication <I>automatique.</I> La machine à calculer représentée dans celui des deux brevets suisses antérieurs, dont il a été ques tion en premier lieu, est pourvue d'un coulis- seau de déclenchement pour déclencher ou re lever l'extrémité arrière de la bielle 121, afin de libérer le levier de commande d'embrayage 115 à la fin d'un nombre prédéterminé, choisi de rotations de l'entraîneur. Un mou vement du coulisseau de déclenchement 7 00 sert à relever l'extrémité arrière de la bielle 121 et ce coulisseau est mû par une cheville 71-1 portée par la barre coulissante 710 qui est placée dans des positions angulaires va riables,
selon le nombre prédéterminé de rota tions de l'entraîneur par le levier 720 qui est pourvu d'une cheville 721 prenant dans une fente 712 de ladite barre 710. Cette dernière est, comme c'est dit dans le brevet antérieur, reliée à une crémaillère qui est empêchée de se mouvoir par un ressort et qui est mise en mouvement pas-à-pas par un pignon actionné par l'embrayage d'entraîneur. La barre cou lissante 710, qui porte la cheville 711 est, par conséquent, mue d'un pas pour chaque tour ou rotation de l'entraîneur et, en plaçant ladite barre dans diverses positions, il faudra un nombre différent de pas de mouvement avant que la cheville 711 vienne en prise avec la face en gradins du coulisseau 700.
La rota tion suivante de l'entraîneur, après cet enga gement fait que la cheville 711 fait mouvoir le coulisseau 700 et, par cela même, dégage la bielle 121 du levier 115.
Normalement, la barre coulissante 710 est dans sa position basse, dans laquelle elle est normalement tenue par le ressort 722 relié au levier<B>720</B> qui, à son tour, est relié à la dite barre 710. Lorsque cette dernière est dans sa position basse, ou abaissée, normale, la -cheville 711 est à la position zéro, c'est- à-dire un poste au-dessous de la position nu méro un; c'est dans cette position zéro qu'elle est représentée à la fig. 10.
Lorsque la che ville 711. est dans cette position, elle peut osciller d'un seul pas de mouvement, en mou vant le coulisseau 700 sur moins d'un pas complet, comme cela a été exposé dans celui des deux brevets suisses antérieurs précités, dont il a été question en premier lieu, ce qui empêche ainsi le fonctionnement du verrou du coulisseau de déclenchement.
L'unité est pourvue d'une série de touches 730 allant comme valeur de 1 à 9 et servant à mettre en position la cheville 711 pour com mander automatiquement le nombre de tours ou révolutions de l'entraîneur. Un abaisse ment de la touche de la valeur 8, par exem ple, placera la cheville 711 devant le huitième gradin du coulisseau 700, de sorte qu'au huitième tour de l'entraîneur, la bielle 121 sera soulevée et la cage d'embrayage arrêtée.
Les tiges 7,31 (fig. 11) des touches 730 sont montées sur la plaque 732 et sont nor malement tenues relevées par des ressorts 733 attachés aux extrémités inférieures des tiges de touches. Des moyens sont prévus pour te nir dans leur position basse les touches abais sées (fig. 10). Chaque tige de touche 731 est pourvue, à son extrémité inférieure, d'un crochet 734 qui peut s'engager sous un cro chet complémentaire 735, prévu sur le coulis- seau de retenue de touche 736. Ce dernier est monté sur la plaque 732 et est normalement tenu en avant par le ressort 737.
Lorsqu'on abaisse une touche, le coulisseau est mû en arrière puis revient en avant sous l'in fluence du ressort pour amener le crochet 7'35 par-dessus le crochet 734 de la touche, ce qui retient ainsi celle-ci abaissée. Le coulisseau 736 ne possède pas de crochet associé avec la touche numéro 1 de sorte que cette touche n'est pas tenue abaissée.
Le fonctionnement de la machine est si rapide que quand on abaisse la touche numéro 1, l'opération est presque immédiatement terminée et que, s'il était prévu un crochet de retenue pour cette touche et qu'on ne cesse pas d'appuyer sur celle-ci aussitôt après l'avoir abaissée, la touche ne serait pas libérée à la fin de l'opération de calcul parce que cette opération serait termi née et que les moyens de libération de la tou che auraient été actionnés avant qu'on cesse d'appuyer sur cette dernière.
La touche 738 qui se trouve à l'extrémité antérieure de la, rangée de touches 7.30 est une touche d'effa.- çage et son rôle consiste à mouvoir le coulis- seau 7.3:6 pour libérer toutes celles des tou ches 730 qui peuvent être tenues abaissées.
De plus, chaque touche est pourvue de moyens pour actionner tout mécanisme diffé rentiel convenable, afin de situer différen- tiellement en position la cheville 711 et cau ser la mise en prise de l'embrayage d'entraî neur: Un tel mécanisme est représenté et dé crit dans celui des deux brevets suisses anté rieurs qui a été cité en premier lieu.
<I>Commande du</I> déplacement <I>du chariot</I> <I>dans la</I> multiplication automatique. Le cou- lisseau 700 est après cela mîi en arrière par la cheville 711, afin d'actionner des dispositifs pour terminer le calcul. C'est en ce point du fonctionnement qu'il est désirable d'amorcer l'action de l'embrayage de déplacement. Il est prévu pour cela une pièce 760 pivotant sur le coulisseau 700 en 761 et butant, à son extrémité arrière, sur une partie latéralement coudée 762, d'un levier 763 descendant de l'arbre 59.5.
Le mouvement du coulisseau 700 en arrière imprime alors une oscillation en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre à l'arbre 595, ce qui fait os ciller le levier 596, porté par son extrémité opposée, et amène le coulisseau 582 en posi tion d'activité par rapport à la dent 580. Au moment où l'entraîneur arrive à fin de mou vement, cette dent 580 vient en contact avec l'extrémité supérieure du coulisseau 582, ce qui fait descendre le coulisseau et sa cheville 59.3 pour relever le bras de commande d'em brayage de déplacement choisi et mettre cet embrayage en prise.
A mesure que l'em brayage démarre, la came 590 fait osciller le verrou 585., ce qui repousse le coulisseau 5.82 de dessous la dent arrêtée 580 et relâche le bras ou levier de commande d'embrayage 566, de sorte que l'embrayage de déclenche ment sera dégagé et arrêté dans la position de cycle complet à la fin d'un seul tour.
Des moyens pouvant être mis en action par les moyens de déplacement du chariot sont prévus pour relâcher les moyens de ver rouillage des touches de multiplicateur (fig. <B>il</B> et lia).
La bielle 550, de déplacement du chariot, est pourvue d'une paire d'oreilles estampées, jouant le rôle de cames 5501 et 5502, entre lesquelles est disposé un levier de libération 7361, pivotant sur la plaque<B>732,</B> dont l'ex trémité inférieure se trouve directement en avant d'un bouton 7362, porté par le coulis- seau de verrouillage de touches 736. Un mou vement de la bielle 550, pour déplacer le cha riot dans un sens ou dans l'autre, fait ainsi osciller le levier 7361, ce qui libère le méca nisme de verrouillage des touches du multi plicateur.
Des moyens sont prévus, sous la dépen dance de la touche d'addition 250, pour mettre hors d'action cette commande d'em brayage lorsqu'on abaisse ladite touche. Cette touche 250 est maintenue abaissée durant Ses opérations d'addition et de soustraction vé ritables et agit pour libérer ce qui a été com posé sur le clavier et pour limiter la rotation de l'entraîneur à un seul cycle dans un sens ou dans l'autre, à moins qu'on n'abaisse une touche de multiplicateur. A cet effet, une bielle 257 est attachée au levier 252 et pos sède un pied 258 s'étendant sous une cheville 721 du mécanisme d'ajustement .à chevilles du multiplicateur.
Un abaissement de la tou ché 250 soulève légèrement cette bielle, ce qui amène une cheville 711 en coopération avec le gradin "un" du coulisseau 700, de sorte que celui-ci sera mis en mouvement, au cours du premier tour ou rotation de l'entrai- nëur, pour produire un dégagement de l'em brayage d'entraîneur. La fonction de libéra tion du clavier a été décrite précédemment. Pour empêcher un fonctionnement indésirable du déplacement automatique du chariot lors que cela se produit, il est prévu une seconde bielle 259, reliant l'extrémité arrière du le vier 252 à une partie intermédiaire de la pièce 760.
Le soulèvement de l'extrémité arrière du levier 252, résultant de l'abaissement de la touche 250, soulève ainsi l'extrémité arrière de la pièce 760 de sorte que, quand elle se meut en arrière avec le coulisseau 700, elle dépasse l'extrémité latéralement coudée 762 du levier 763 et n'actionne pas l'embrayage de déplacement.
Le mouvement du coulisseau 700 arrête l'entraîneur en écartant la bielle 121 du le vier coudé 115 comme c'est exposé dans celui des deux brevets suisses antérieurs, précités, dont il a été question en premier lieu. Dans une division automatique, un mouvement d'é cart similaire de la bielle 121 est accompli par le jeu de leviers 660; mais le mouvement de la bielle 121 est suffisamment plus grand, dans l'opération de division, pour effectuer une oscillation du levier 670 commandant le déplacement du chariot.
Bien que le mouve ment du levier 670, dans une multiplication automatique, ne soit ordinairement pas assez grand pour faire fonctionner le mécanisme de déplacement automatique du chariot, il est désirable d'empêcher toute possibilité qu'il agisse ainsi pendant que la touche 2e50 est abaissée, et des moyens sont prévus à cet effet.
Le nez 674 (fig. 10) glisse, par une liai son à cheville et fente, sur le levier 673, de façon à se trouver, dans sa position étendue, sous le levier 670 en permettant au méca nisme de déplacement de chariot d'être ac tionné par celui-ci; mais, dans sa position re tirée, il évite ledit levier en empêchant que ledit mécanisme soit actionné par lui. Un bras fourchu du levier coudé 675 vient en prise avec un bouton 676 prévu sur le nez 674 ct l'autre bras dudit levier coudé est également fourchu et vient en prise avec un bouton 677 prévu sur la bielle 760.
Le nez 674 est par conséquent amené à sa position retirée par un abaissement de la, touche 250, ce qui empêche toute possibilité que le mécanisme de dépla cement du chariot soit actionné pendant qu'elle est abaissée.
Puisque le mécanisme de déplacement du chariot est mis hors d'action durant l'abaisse ment de la touche 250, il est nécessaire (le prévoir un autre moyen pour libérer les tou ches de multiplicateur dont on peut faire usage pour effectuer des additions répétées pendant que la. touche 250 est abaissée. La bielle 760, que l'abaissement de la touche 250 fait osciller pour mettre hors d'action la commande du déplacement du chariot par le multiplicateur, présente une extrémité antP- rieure crochue 7364, capable de prendre sur un bouton 7363 portée par la came de ver rouillage 736, des touches du multiplicateur.
Lorsque l'on abaisse la touche 250, ce qui met hors d'action la commande du déplace ment du chariot et rend par conséquent ineffectifs les moyens normaux de libération des touches du multiplicateur, le crochet 7364 prend sur le bouton 7363 et entraîne le coulisseau de retenue de touches, ou barres de verrouillage<B>736</B> en arrière avec le coulis- seau 700, ce qui libère le mécanisme de ver rouillage des touches du multiplicateur.
Dans certaines applications mentionnées précédemment, il est désirable de faire usage des touches du multiplicateur sans la carac téristique de déplacement automatique et sans perdre le nombre posé dans le clavier. A cet effet, il est prévu une touche spéciale de non déplacement 770. Celle-ci glisse et pi vote, par une liaison à fente et bouton<B>7</B>701, sur le bâti et est pourvue d'une encoche 7702 et d'un ressort 7703 pour la tenir abaissée.
L'extrémité inférieure de la tige de touche se trouve directement au-dessus de l'extrémité antérieure crochue 7364, de la bielle 760, de sorte qu'un abaissement de la touche soulève l'extrémité arrière de la bielle, en mett:iut hors d'action le mécanisme de commande au tomatique pour le -déplacement .du chariot dans une multiplication, et abaisse l'extrémité avant de la bielle, ce qui permet la libération des touches de multiplicateur d'addition. La liaison de la bielle 259 avec le levier 260 est faite à fente pour permettre ce mouvement.
<I>Commande de la force -motrice et</I> enclen- chement. <I>réciproques.</I> Des moyens sont prévus pour commander le circuit du moteur de com mande, afin de n'en effectuer la fermeture que quand l'un des divers dispositifs de com mande de la machine est en fonction. Une paire de contacts 800 (fig. 1) constitués par des lames de ressort normalement écartées, sont connectés en série dans le circuit du mo teur et sont montés dans un bloc isolant con venable fixé à un arbre<B>801</B> tournant dans le bâti. Une oscillation de l'arbre 801 dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mon tre est capable d'amener la lame de contact voisine contre une butée 802 pour effectuer une fermeture du contact.
Un des moyens de faire osciller l'arbre comprend un levier 803., figé à l'une des extrémités de celui-ci et re lié par une bielle de poussée 804, dont une extrémité épaulée est retenue dans une fente du levier 803, et une tige 805 à un levier 806 figé à un arbre 807 qui tourillonne dans le bâti. Le levier 806 se trouve directement derrière le levier coudé 115, de commande d'embrayage, de sorte qu'une oscillation de ce levier coudé pour amener en prise l'em brayage d'entraîneur fera osciller le levier 806 vers l'arrière en effectuant la fermeture du circuit du moteur par l'intermédiaire du jeu de bielles et leviers qui vient d'être dé crit.
Un second moyen pour actionner les con tacts comprend un levier 810 (fig. 8 et 18<B>)</B> pivotant sur le bâti en 811 et supporté par un ressort 812. L'une des extrémités de ce levier présente une partie angulaire perforée 813 qui reçoit une extrémité à angle de l'arbre 801, tandis que l'autre extrémité est pourvu, d'un pied 814, situé sous un bras 815 fixé sur une des extrémités d'un arbre 820.
Ce dernier supporte quatre pièces dont une quelconque peut effectuer son oscillation: le levier coizdP d'embrayage d'effaçage de l'accumulateur, le levier coudé d'embrayage d'effaçage lu compteur, et les leviers 830 et 8801 de com mande de force motrice pour l'embrayage de déplacement.
Chacune de ces pièces touril- lonne sur l'arbre 820 et porte une saillie 831 s'étendant dans une rainure plus large de l'arbre, de sorte qu'une oscillation d'une quel conque desdites pièces effectuera une oscilla tion de l'arbre sans actionner les autres piè ces tourillonnant sur lui. Une oscillation de l'arbre 820 par ce moyen abaisse le bras<B>81.5</B> et le pied 814, ce qui fait osciller l'arbre<B>8074</B> dans la direction voulue pour effectuer la fer meture du contact.
Le bras 815, lorsqu'il est dans sa position basse, se trouve par-dessus une cheville 816 située sur l'extrémité d'un bras 817 figé à, l'extrémité de l'arbre 807 qui est opposée au levier 806. Par conséquent, lorsque le bras 815 est abaissé, il bloque l'oscillation de l'ar bre 807 et empêche que le levier coudé 1.15, d'embrayage d'entraîneur, soit actionné. In versement, lorsque le levier coudé 115 reçoit un mouvement d'oscillation pour mettre l'em brayage en prise, l'arbre 807 oscille, ce qui amène la cheville 816 en contact avec le des sous du bras 815 et bloque l'oscillation de l'arbre 820.
Cela effectue un enclenchement réciproque entre les touches d'effaçage et de déplacement et l'embrayage d'entraîneur principal, de sorte que ni les unes ni l'autre ne peuvent être actionnés pendant que le ou les autres sont en action. Le levier 830 pos sède un bras se trouvant directement derrière la cheville 569 de la queue de la touche d'em brayage de déplacement 570.
Il reçoit ainsi un mouvement d'oscillation lors de l'abaisse ment de cette touche et est maintenu dans sa. position ajustée par un prolongement 832 du bras 810 qui se trouve sous les queues des deux leviers de commande de l'embrayage de déplacement et maintient aussi le circuit fermé durant l'opération de déplacement, dans des opérations de multiplication auto matique.
Toutefois, dans des opérations de di vision automatique, les contacts sont mainte nus fermés pendant tout le calcul par l'ex trémité formant came 619 (fig. 8) du coulis- seau de division principal 610 qui porte sur le pied 814 du levier 810 et le maintient abaissé pendant toute l'opération.
Pour empêcher l'engagement de l'em brayage principal pendant que fonctionne l'un ou l'autre embrayage de déplacement, il est prévu un dispositif de blocage comprenant un bras 860 pivotant en 861 sur le levier 585 et supporté par un ressort 862. Le levier 585 est déprimé pendant tout le fonctionne ment de l'un ou l'autre embrayage de dépla cement par le fait que la came 590 amène l'o reille 863 du bras 860 contre un bouton carré 864 porté par le bras 815, ce qui bloque ce bras dans sa position basse contre le bouton 816 pour bloquer l'embrayage d'entraîneur.
Durant une division, la remise en route de l'embrayage d'entraîneur doit se faire un peut avant que l'embrayage. de déplacement arrive à fin de mouvement; ainsi, une plaque 865 (fig. 12) est située sur le coulisseau de division principal 610, de manière à porter contre le bras 860 lorsque le coulisseau oc cupe une position active, ce qui repousse l'o reille 863 en arrière -du bouton carré 864 et met hors d'action le dispositif de blocage.
Un enclenchement réciproque, prévu pour empêcher le fonctionnement de l'un ou l'autre levier de commande d'embrayage de dépla@-e- ment pendant que l'autre embrayage de dé placement fonctionne, comprend une plaque 870 (fig. 6 et 6a) pivotant. en 871 et pourvue d'épaulements 872 et<B>873,</B> situés sous les queues 574 et 5741 des leviers de commande respectivement. La queue 574 présente une surface formant came qui, lorsque le levier est actionné, porte contre l'épaulement 872, ce qui amène la plaque<B>870</B> à une position où son épaulement 873 se trouve sous l'extrémité de la queue 5741, en empêchant son fonction nement.
Inversement, le fonctionnement du levier 5661 place une partie de sa queue 57-11 derrière l'épaulement<B>873,</B> en empêchant un mouvement pivotant de la plaque 870 et en bloquant la descente de la queue 574 pour em pêcher le fonctionnement de son embrayage.
Un enclenchement réciproque est prévu entre les touches d'effagage - et les touches zéro du multiplicateur, ou de -commande du, déplacement automatique du chariot, pour permettre un fonctionnement simultané des deux touches d'effaçage, mais pour bloquer les touches de déplacement par le fonctionne ment de l'une ou l'autre touche d'effaçage et, inversement, pour bloquer les deux touches d'effaçage lors de la manoeuvre de l'une ou l'autre touche de déplacement.
Une plaque de blocage 850 pivote au- dessous des quatre touches, entre le flasque du bâti et une plaque fixe et présente des bords 851 qui se trouvent sous des surfaces jouant le rôle de cames 852, des touches d'ef- façage 450 et 475 et un bord 853 adjacent à des bords 854 des touches de déplacement. Un ressort 855 tend à tenir la plaque dans la position verticale, comme représenté à la fig. 8.
Un abaissement de l'une ou l'autre des touches d'effaçage 450 ou 475 fera osciller la plaque 850, ce qui amènera le bord 853 sous le corps des touches<B>570</B> et 5701, en empê chant ainsi un abaissement des touches de dé placement, tandis qu'un abaissement de l'une ou l'autre touche de déplacement empêchera une oscillation de la plaque 850 et empêchera ainsi un abaissement des deux touches d'ef- façage.
Une série de bras. de blocage 840, fixés sur l'arbre 841, peuvent être actionnés, par l'intermédiaire d'un bras 842, par une came 843 montée sur l'arbre de l'entraîneur pour bloquer la sélection du tambour pendant qu'il est hors de la position de cycle complet. Des moyens sont également prévus pour actionner ce moyen de blocage chaque fois qu'une barre agissante ou touche de multiplicateur est abaissée. Une bielle 844 relie un prolonge ment de l'un des bras 840 à une pièce 845 pivotant en 846.
Un prolongement descendant 847 (fig. 1 et 9) de la pièce 845 porte un bou ton 848 par-dessus lequel se trouve l'extr%- mité arrière, encochée, d'une bielle 849 reliée par son extrémité antérieure à la plaque de commande 120. Un abaissement d'une barre agissante ou d'une touche de multiplicateur fait osciller cette plaque, comme cela a été ex pliqué précédemment, ce qui fait osciller la pièce 845 et amène les bras 840 à la position de blocage.
Un prolongement 856 de la plaque de blocage 850 se trouve directement derrière la pièce 845, de sorte qu'une oscillation de cette dernière fait également osciller la plaque 850, ce qui empêche le fonctionnement des deux touches de déplacement.
Calculator. The present invention relates to a calculating machine of the type comprising an automatically controlled mechanism arranged to move the carriage of the machine in one or the other of two opposite directions.
The automatic movement mechanisms of the carriages hitherto employed in calculating machines have included a travel direction control which controls the gear train or other motion transmission elements arranged to actuate the carriage, so as to achieve either direct actuation or indirect actuation by means of an intermediate member with loose assembly.
The movement of these rather bulky transmission elements has given rise to serious difficulties, in particular from the point of view of the adaptation of these mechanisms to automatic control by the mechanism provided for automatically carrying out division operations.
Now, the present invention contemplates an arrangement in which provision is made for the displacement of control members arranged to initiate the actuation of the displacement mechanism, instead of the displacement of the transmission elements themselves. As a result, the member provided for changing the direction of automatic travel direction of the carriage can be made very light, whereby it can easily be brought into the operative position or be brought back to rest at the beginning and: at the end of it. 'an automatic division operation.
The calculating machine according to the invention is characterized by an intervening part arranged to be moved automatically to a predetermined point of an automatic calculation operation and by a lever for bringing said intervening part beforehand into a suitable position to engage the one or the other of two mechanisms for transmitting movement to the. following the automatic movement communicated to said part, said transmission mechanisms being respectively arranged to move the carriage in opposite directions.
The accompanying drawing shows, by way of example, an embodiment of this machine, the latter being of the type described in Swiss patent 11â767, to which reference can be made for a description of the mechanisms not specifically described here.
Fig. 1 is a longitudinal section of the machine, looking to the right, showing various control mechanisms of the machine, among others that governing the motor control of the latter; Fig. 2 is a longitudinal section showing the construction of plus and minus bars;
Fig. 3 is a side section showing the shifting and dividing control mechanisms; Fi-. 4 is a detail of a portion of a division control mechanism; Fig. 5 is a side section showing the automatic movement mechanism of the carriage; Fig. 6, 6A and 7 show details of the control of a shifting clutch; Fig. 8. Is an overview of the means governing erasure and displacement;
Fig. 9 gives the detail of a reciprocal engagement mechanism of the erasing and displacement keys; Fig. 10 is a longitudinal section of an automatic multiplier unit, showing the means governing automatic displacement; Fig. 11 is a section showing a mechanism for locking and releasing the keys of the multiplier; Fig. 11A gives the detail of a mechanism for releasing the keys of the multiplier;
Fig. 12 is a section showing a division control lever and the associated mechanism; Fig. 13 is a section showing some of the devices governing division; Fig. 14 to 17 are details of portions of the mechanism shown in FIG. 13; Fig. 18 is an elevation of the automatic carriage movement mechanism; Fig. 19 is a detail plan of this latter mechanism; Fig. 20 and 21 give details of this same mechanism;
Fi-. 22 and 23 are schematic views of the various mechanisms.
<I> Control of the drive. </I> In the embodiment shown, the drive mechanism comprises an electric motor which is connected to the drive shaft 100 by a suitable speed reduction gear and is capable of 'be connected in an interintent manner to the calculating mechanism to actuate it.
The means by which the control is linked to the computer mechanism comprises a clutch 110 (FIG. 1), the driving member of which is a ratchet 111 fixed on one of the ends of the shaft 100. This ratchet 111 is closed. in a circular cage 112, which constitutes the driven member of the clutch and in which pivots, in position to take in the ratchet a drive pawl 113 which is normally pushed back into engagement with this ratchet by a spring 114, but can be kept free from it by means of a clutch control mechanism.
The latter mechanism comprises an angled lever 115 journaling on an axis 116, on the frame of the machine and carrying, on one of its arms, a foot 117 ca pable, when the trainer is in the complete cycle position, to pass through an opening formed in a suitable position in the cage 112 to engage the shank of the pawl 113 and bring it to the disengaged position.
A spring 118, stretched between a button, on the base of the machine, and the opposite arm of the crank lever 115, tends to bring the foot 117 to the disengaged position, so that in the absence of intervention by other components, the trainer will be brought to rest, with the clutch released, when it reaches the full cycle position after one lap. Means are provided for actuating the crank lever 115, in order to engage the driver for the number of revolutions required for the accomplishment of a desired calculation and an ankle <B> 119 </B> is provided for this. effect, on the front end of lever 115.
With this pin engages the rear end, notched, of the control rod 121 which is articulated, by its front end, to the control plate 120 and normally held over the city plug 119 by a spring 122, stretched between the shaft 123 and an intermediate point of said connecting rod. The plate 120 is fixed on the shaft 123, journaled in the machine, and comprises a vertical front part 124, capable of cooperating with the plus bar, and an angular rear part 125, capable of cooperating with the minus bar.
The operation of either of these bars is capable of imparting a counterclockwise oscillation to the plate 120, as will be described hereinafter. This imparts a corresponding, counterclockwise oscillation to the crank lever 115 allowing the pawl 113 to engage the ratchet for the period of time that this adjustment is maintained. The means by which the plus and minus bars are filled for this purpose will be described later.
Change <I> of gear. </I> To the clutch cage 112 (fig. 3) is attached, to rotate with it, a sleeve 130 which rotates in an intermediate wall of the machine and on which two journals are journaled. toothed wheels 131 and 132 adjacent to said cage.
On their contiguous fa these, these wheels are provided with annular flanges 133, each of which has two seats, arranged opposite to each other and of different depth, intended to receive a pin 134 fixed in a shaft. displacement 135 and capable of taking in said seats through openings arranged opposite to each other in the sleeve 130. A displacement of the pin 134 by means of the shaft 135 then makes the one or the other of the two toothed wheels integral with the clutch cage.
In the control train connecting one of these wheels to the trainer there is an intermediate return wheel, while in the train connecting the other toothed wheel to this trainer there is none, which causes the two toothed wheels to actuate the driver in opposite directions, as shown schematically in fig. 23. This part of the mechanism is fully described, for example, in U.S. Patent No. 1682901 of September 4, 1928.
In fig. 3, the pin 134 is shown in position to actuate the driver in the ad ditif direction, a position in which it is normally biased by the spring 226 supporting the minus bar. There is provided, for moving the shaft 135 in order to bring the pin into engagement with the negative drive gear 132, a means which is made elastic, so that its action can be suppressed by other means acting in automatic division operations, as will be explained later.
The shaft 135 carries a fixed collar 140 which is enclosed by a sliding sleeve 141 also containing a res out 142, one end of which bears against the collar and the other against one of the ends of the sleeve, which thus maintains the latter in a position such, over the collar, that its other end bears against this collar. The displacement fork shown in the aforementioned prior Swiss patent takes on this collar 141, as shown in 143, and its lateral movement tends to move the shaft 135 and its pin 134 to bring it into engagement. with one of the two wheels 131, 132, selectively.
<I> Plus and minus bars. </I> The machine shown includes manual means to control the rotation of the driver for several operations in a positive or a negative direction, as desired. The means for manually controlling the rotation in the positive direction com takes a plus bar 200, supported on a frame 201 (fig. 2), itself supported on one end of a pair of parallel connecting rods 202 connected together, at their opposite ends, by a connecting rod 203 and pivots, at an intermediate point of their length, on the plate 210.
A spring 204, stretched between the plate and the lower end of the front link, holds the plus bar up. The chassis 201 carries a roller 205 which passes through an opening in the plate 210 and serves to actuate the clutch mechanism.
The means for controlling the negative rotation of the driver comprises a minus bar (220) the shank of which slides on the plate 210 by means of a pin and slot connection 221 (Fig. 1). This minus bar rod carries a pin 222 extending over one of the arms of an elbow lever 223 pivoting on the opposite side (Fig 2) of the plate 210; at 224, and carrying a roller 225 which passes through the opening of the plate, in juxtaposition with the arm 12: 5 of the plate 120 which controls the clutch.
Lowering the minus bar pushes this roller up and down and backwards against the action of the spring 226 which, stretched between the intermediate plate 210 and the lower end of the angled lever 223, holds that of the ends of the angled lever which carries the roller 225 in its highest position and the gear change in the additive position.
Likewise, lowering the bar further moves its roller 205 up and down and rearward, due to the way it is supported on the parallel connecting rods 202. The roller 20-5 passes through an opening in the bar. intermediate plate 210 and abuts against the front vertical arm 124 of the control plate 120. The roller 2.25 likewise passes through an opening of this plate 210 and abuts against the rear angular arm 125 of the plate 120th. It can be seen that the operation of one or the other bar results in an oscillation, in the opposite direction of the clockwise movement, of the control plate 120 and, consequently, an oscillation. engaging the trainer clutch.
A reciprocal interlock, to prevent simultaneous operation of bars 200 and 220, is provided in the form of a rocker bar 230 pivoting at an intermediate point of its length on the intermediate plate 210. One end of this bar is located under the roller 205 of the frame of the plus bar, while the other is located under an extension of the roller support arm of the angled lever 223. Lowering either key switches the bar in direct contact with the other member under which it extends, to prevent simultaneous operation of the latter.
Lowering the minus bar also activates the shift by producing a forward-backward movement of the connecting rod 227 articulated at the lower end of the crank lever 223. A movement of this connecting rod 227 backwards makes oscillating a worm screw cam playing in a slot in the shaft which carries the gear displacement fork, as shown in the aforementioned prior Swiss patent.
The actual gear change mechanism was, however, modified as explained above, to allow the direction of rotation of the driver to be reversed without disengaging the clutch in certain conditions.
<I> Addition key </I>. A special key 250 (fig. 10) is provided to control the various mechanisms in carrying out an addition. It is articulated at 251 to a lever 252 pivoting at 2.53 and supported by a spring 254. The upper end of the touch rod has a notch 2.55 capable of gripping the cover plate when lowered. of this key, to temporarily keep it in the active position.
A spring 256, stretched between the lower end of the key rod and a fixed point on the machine, tends to tilt the key to the locked position.
The rear end of the lever 252 is forked and takes on a pin 2160 carried by a connecting rod 261 which is actuated by the machine and which, when it is raised to the active position by lowering the button 250, acts to release the keys at the end of each operating cycle. The operation of this connecting rod for the release of the lowered keys is fully disclosed in the aforementioned prior Swiss patent.
The key 250 also governs the automatic movement mechanisms of the multiplier and the carriage, as will be explained below.
Trainer, accumulator <I> and counter. </I> The trainer drum .300, counter 375 and accumulator carriage 400 are substantially identical in construction and operation to the corresponding mechanism described in the aforementioned prior Swiss patent to which we can refer; they will therefore not be specifically described here.
It will suffice to say that the sections of the trainer are capable of a differential adjustment by the sections of keys associated therewith to effect the entry of the numbers y placed in the associated accumulator, during the rotation of the trainer. , the input being additive or subtractive depending on the direction of rotation of the trainer.
It goes without saying that the term accumulator, as used herein, applies to a mechanism comprising number wheels capable of being operated in opposite directions for addition and subtraction, and is not not limited to a row of digital wheels capable of being operated in one direction only. The "input" of an articulation can, therefore, be either additive or subtractive and the direction of rotation of the number wheels composing the accumulator will be controlled accordingly.
The machine shown includes a warning mechanism for signaling to the operator the moment when the capacity of the calculating mechanism is exceeded in an addition, a subtraction or a multiplication. However, this warning mechanism is disabled during automatic division and its control mechanism is used as a control of the operation of the. machine in this operation.
A stamp 450 (Figs. 3 and 13), suitably mounted on the frame, is arranged to be struck by a hammer 451 pivoting on a post, on the base of the machine, and held in a neutral position by a spring 453. A stepped vertical thrust link 454 extending through a split lug provided on the hammer arm is the means for operating the hammer arm. In its non-splitting position, tail 633 of the reverse split control mechanism, hereinafter described, is over the upper end of connecting rod 454.
This tail 633 is articulated by its front end to the excessively vertically pivoting transfer lever 630, the front butt of which is behind the transfer levers 425 cooperating with the last three commands of the trainer.
The stick is nevertheless sufficiently spaced from the transfer levers so that their movement has no effect on the lever 630 unless some intervening part brings the two substantially into contact. The last one, the transfer lever on the left of the accumulator is provided with such an intervening part, in the form of an ear 4251 in one piece with it, so that the operation of this transfer lever will swing lever 630, depressing shank 633 to move connecting rod 454 up and down. Hammer 451 is thereby actuated, indicating that a transferred quantity has been lost and that the recorded number shown is therefore incorrect. .
As the accumulator carriage is moved to the left, two more postponement orders from the driver come into play and the control point of the warning mechanism is moved in a corresponding manner. Finally, when the lever 42.5, carrying the ear 4251, exceeds the last transfer order of the trainer and thus becomes incapable of receiving transferred quantities, an intervening part, in the form of an ear 455 located on the left end of the butt of lever 630,
takes the place of the ear 4251 and sounds the horn each time the transfer lever which is opposite the last transfer command of the trainer is actuated. In automatic splitting operations, the shank 6i33 is moved away from the connecting rod 454 and brought to a position where it is over the foot .6'34, by means described hereinafter. The movement of transfer levers 425 therefore has no effect on the warning mechanism during this operation.
<I> Mechanism for moving the carriage. </I> The accumulator carriage 400 slides on a track 500 on which is disposed a mechanism for moving, by hand or automatically, the carriage in one direction or. in the other.
The mechanism for moving the cart by hand is fully described in Swiss Patent No. 105j276, to which reference may be made for the description of a suitable means of moving the cart. The present description will be read by means operating by driving force for this mechanism for moving the carriage which can be controlled either by hand, by keys provided for this purpose, or automatically by the devices of the machine which act in multiplication and division when performed automatically by this machine.
The movement mechanism of the accumulator cart comprises a plate 502 ft voting at 501 and having, in its upper end, a notch 503 embracing a pin 504 which is moved laterally, to move the cart, by an oscillation of the plate of battery. 'one side or the other of its pivot.
For this purpose, a connecting rod 550 (fig. 5) is provided, capable of receiving a reciprocating movement in the appropriate direction under the action of the drive motor. This connecting rod is established to impart a rapidly accelerated movement to the carriage over approximately the first half of its path, after which the moment acquired is sufficient to complete the movement. The construction which makes this possible has the additional advantage of allowing a blank movement of the connecting rod in the event of a blockage of the carriage, thus preventing a jamming.
The connecting rod 550 is slidably supported in the machine by pin-and-slot links, 5151 and 552, with fixed parts thereof and present in one in the right adjacent to the plate 502, a part recessed through which pass the pivot rod 501 and a pin 55â fixed at the plate 502. On the connecting rod 550 pivot at 554 spring displacement bars 55.5, bu both against opposite sides of the pin 553 and normally kept vertical by springs 556 which, arranged between them and the connecting rod 550, push them against an angular lug 5.57 of the latter.
The right-hand end of the connecting rod 550 has notches .560 and 5601 cooperating with peripheral cams 561 and 5611 controlled by carriage displacement clutches 562 and 5621, respectively, to move the connecting rod 550 to the right or back and forth. on the left according to the clutch brought into action. The cams 561 and 5611 have notches 5501 and 5.502: (fig. 18), respectively, which are located under the connecting rod 550 when the clutches are in the full cycle position, which allows either instead of activating the connecting rod 550 without being hampered by the other.
As the connecting rod 550 is set in motion at. right or left by one of the cams, one of the springs 556 is slightly compressed due to the inertia of the carriage and of the displacement mechanism; but, once the carriage has started, this spring relaxes by accelerating the carriage enough to cause it to take a step, or full travel, although the connecting rod only moves about half the distance of a step, In the event that the carriage gets stuck, the res exits 556 is simply compressed further as the bar 555 moves about its pivot 554 during movement of the connecting rod 5,50, and no engagement ensues.
The construction and operation of the two displacement clutches being substantially identical, only one will be described, except as regards their differences. Cam 561, actuated by clutch 562, moves the carriage to the right and this clutch can be controlled by a button <B> 570, </B> while cam 5611, actuated by clutch 5621, moves the carriage on the left and that this clutch can be controlled by a button 5701.
These keys are relatively dis posed not compared to the. actual direction of movement of the carriage, but in relation to the direction of movement in numerical order, as indicated by the usual index which is associated with the counter and which moves in the opposite direction to the carriage. The operation of the. right key 5701 therefore moves the carriage to a lower numerical order position, while operation of the left key 570 moves the carriage to a higher numerical order position.
Both clutches are of the same ratchet and pawl type as main clutch 110 and are mounted on, and operated by, shaft 563 geared to main drive shaft 100.
The clutch 5621 is controlled by a lever 5661, corresponding to the lever 115 which controls the main clutch 110. This lever 5661 pivots at 567 and has a hooked upper end, 5681, in which can take a pin 5691 carried. by the lower end of a key lever 5701 pivoting to <B> 571 </B> and raised to its upper position by a spring 5731 stretched between its front part and a shaft suitable for the machine. The two clutch control levers are provided with tails 574 and 5741 for automatic operation, as will be described below, and are provided with springs 5751 tending to bring them to their disengaged position.
<I> Automatic </I> control says movement <I> of the </I> carriage. Automatic means are provided for engaging the carriage moving clutch at the desired time in automatic multiplication and automatic division operations.
An automatic movement of the carriage always occurs at the end of an additive rotation of the trainer in automatic multiplication, immediately after the last of successive additions in each number order and, in an automatic division, it is produces there the end of the additive rotation which corrects the overshoot in each numerical order. The travel clutch engagement means is therefore arranged to be actuated with the driver in additive rotation and controlled by the appropriate machine operation control means.
A trigger finger 580 (fig. 3, 7 and 18) is therefore arranged on the end, close to the flange, of the shaft 581 which extends through the sleeve carrying the transfer drum of the meter and is connected to an intermediate wheel of the control train of the trainer, If we look at the machine from the right side, we will notice that the trainer turns in the opposite direction of the movement of the needles of a watch for an addition .
It can thus be seen that, in an additive rotation of the driver, the finger 580 rotates in the direction of the movement counterclockwise, regardless of the direction of rotation of the meter drum, which is independently reversible.
A trigger slide 582 is arranged to move back and forth vertically under the action of the finger 580 as the driver approaches the full cycle position (Figs. 19 and 20), and to oscillate by pivoting, under the action of its control part 596, to come on the way, and out of the way, of the finger 580, by means of a connection to che town and slot, 583, through which it is supported on the frame from my china. A spring 584, stretched between the frame of the machine and the lower arm of the slider 582, tends to oscillate it clockwise and out of the way of the finger 580.
A latch 585, pivoting at 586, has a laterally angled end 587 capable of engaging behind a tooth 588 of the slider 582 to retain the slider in an active position in the path of the finger 580 until the travel clutch is activated.
The tail of the lock cooperates with a two-part cam 590 (fig. 5 and 7), one half of which is fixed to the clutch cage 562 and one half to the clutch cage 5621, so that the rotation of the 'one or the other clutch will swing the lock in the direction of the movement of the needles of a watch by bringing its laterally angled end 58'7 against the cam face 591 of the slide 582, which will push the latter back out of the way of finger 580 to prevent a second operation of the travel clutch, by releasing lever .566 or 5661 to its disengaged position. A spring 592, stretched between the frame and the latch 585, tends to normally retain the latter in position to take behind the tooth 588.
A shaft 595, rotating in the flange of the machine, carries a pendant lever 596, having a laterally angled portion 597, in contact with the front of the slider '582. The lower end 597 of the lever 59H when moved rearward by means of the shaft 595, oscillates the slider 582 to its effective position, where it is locked. This shaft 595 will oscillate at the desired times, in the automatic calculations described below, to initiate the movement of the carriage.
The slide 582 carries a pin 593 (fig. 18, 19 and 20) capable, when the slide reciprocates, to actuate one or the other of the clutch control levers 566 and 5661, depending on the position of the operating part 576 which swivels at 5761 on a collar 5762 rotating on a shaft 5763, so that it is capable of horizontal movement to choose which of the clutches is to operate and to vertical movement to actuate the selected clutch.
A <B> T </B> 5764, intervenor 576 head is capable, in one of its positions, of being over the tail 5741 of one of the control levers of clutch and, in its other position, over tail 574. The head is also angled, as shown in fig. 18, to be under the ankle 593 in either position. of the intervening document.
Therefore, the reciprocation of the slider 582 will lower the head 5764 of the intervening part and the tail, located below it, of one of the clutch control levers, according to the horizontal adjustment of the intervening part. One or the other of the clutches will thus be engaged for an operating cycle, by moving the carriage one step to the right or to the left.
The means for carrying out the horizontal adjustment of the intervening part 576, in order to control the direction of this automatic displacement, comprises a manually operable lever 577, pivoting on the frame at 5771 and having a rear part adjacent to the anterior end, curved down 5765 from part 576 and located to the right of this end. The automatic displacement switching lever 577- is movable ho rizontally between stops 5772, and a spring 5773, disposed between the rear of the lever and a point of the frame, tends to hold it in one or the other of its adjusted positions.
A spring 5766, stretched between the tail of the intervening part 576 and a part 870, tends to bring the head of the former to its position over the tail 574 and, when the pull tab of the switching lever 577 'is on the left, he is free to do so. Automatic travel initiated while this adjustment is held will depress tail 574 by actuating intervenor <B> 576 </B> and engaging clutch 562, which will move the carriage one step to the right. .
However, when the switch lever 577 is moved to the right, the head of the intervening part 576 is brought over the shank 5741. Automatic movement initiated while this adjustment is being held will lower the shank 5741 in action. lever 5761 and engaging clutch 56-21, which will move the carriage one step to the left. Note that the directional adjustment of the switching lever corresponds to the direction of numerical order movement indicated by the counter indicator, as in the case of the movement keys, and not to the direction of movement of the counter. cart.
<I> Division </I> aedomatic. Automatic division is accomplished, in the present machine, by entering factors in the usual manner, placing the carriage, and moving the division lever to bring it to its forward position; after that, the following operations follow quite automatically and the quotient is exactly recorded in the counter mechanism.
The movement of the division lever starts the trainer in the subtractive direction, and it acts to subtract from the dividend the chosen decimal multiple of the divisor, recording the number of subtractions in the counter, in the usual way, up to until an overflow occurs.
The fact that an overrun occurs, activates devices which effect a reversal of the control of the trainer without disengaging the control clutch thereof. The next cycle immediately after the overshoot cycle therefore corrects the overshoot and an active device in that cycle acts to disengage the drive clutch to the full cycle position and engage the trolley travel clutch for a longer time. single cycle. The carriage movement control mechanism, on approaching the end of its operating cycle, actuates devices to re-engage the driver clutch and re-control the latter in the subtractive direction.
This operating revolution is repeated successively in consecutive numerical orders until the carriage arrives at the end of its travel; then a special control device intervenes to prevent engagement of the carriage movement clutch and the whole mechanism is therefore brought to rest with all control devices restored to their normal position. The automatic dividing lever 600 (fig. 12) pivots in <B> 601 </B> on the side wall of the machine and an oscillating movement towards the front of the machine is imprinted at its upper end to initiate an operation. of division.
By this movement, he moves towards the rear of the. machines the main dividing slider 610 and the additional dividing slider 620, against the force of a spring 602, tensioned between the base of the machine and the slider 610. The short pin-slot linkage 603 connects the slider 62.0 to the dividing lever, so that this slider follows the movement of said lever in both directions. However, the main slider 610 is connected to the viewing lever by a longer peg and slot link 604.
This longer peg-and-slot connection 604 is arranged so that the main dividing slide will be pushed back by a rocking motion of the forward dividing lever, but will not be driven back. of the latter to a position of inactivity. A pair of locking pawls 605 and 606 pivot side by side on the machine flange, at 607.
The heads of these two pawls cooperate with a notch 611 existing in an enlarged part of the main dividing slide., Notch into which they are pushed back by their spells. individual 608 and 609 tablets between the anterior part of the respective pawls and an extension of the flange. By this means, the main dividing slider 610 is locked in the rear position, to which it is pushed back by movement of the dividing lever 600 until the two pawls 605 and 606, are concurrently raised.
At a location adjacent to its rear end, the main dividing slider 610 has an elbow 612 which cooperates with a notch in the shaft 6-15 to move the shaft laterally during movement of the slider. The movement of this shaft activates the movement fork 616, fixed at a point adjacent to its opposite end, which controls the engagement of the restart clutch 617, the role of which will be described.
At a distance from its rear end, the slide <B> 610 </B> carries a pin 613, extending laterally, the far end of which is directly in front of a vertical part 227a (fig. 2), of the connecting rod which controls the change of gait of the trainer. The rearward movement of the slider 610 then serves to move the connecting rod 227 and brings the shift control into position to cause subtractive rotation of the driver.
Concurrently, the bent lever 22e3 (fig. 2), attached to the front end of the connecting rod 227, tilts and the upper arm, carrying the roller 225, descends, the roller being moved up and down and backwards. machine, in the same way as when the angle lever is operated by the minus bar. In this movement, it oscillates the control plate 120 to engage the main drive clutch 110.
This mechanism is locked in this position for the duration of the dividing operation by the locking pawls holding the main dividing slide in its rear position. The trainer, being thus set in motion, rotates continuously, subtracting the di visor, or its decimal multiple, from the -dividend placed in the accumulator carriage, on each successive rotation, until an overshoot occurs. .
In an override operation, there occurs, as is known, a carry forward operation which results in all the effective number wheels to the left of the actuated ones going from zero to nine.
The movement of the machine's familiar carry-over mechanism in this operation is used to control the overturn of the trainer, in order to effect an overshoot correction. The transfer mechanism comprises transfer levers 425 (fig. L3) normally locked in their forward position, as shown, but capable of being released and resiliently worm rusted in their rear position by a lug 426 on the back. the digital wheel, in a direct transit between zero and nine.
Directly behind the transfer lever 42.5 of the digital wheels cooperating with the penultimate transfer order of the trainer to the left, there is a lever 630 pivoting on the machine frame at 631. The pivot 631 allows movement. lever 6-30 in a vertical plane when a shift lever 425 is released.
A forked tail 633, articulated to move in a horizontal plane, at 632, at the end of the lever, is capable of being set in motion on its pivot by a means, under the control of the main dividing slide, that the 'we will describe in con nexity with the means for terminating an additive correction stroke and, in its automatic division position, is over the foot 634 of a vertical lever 635 swiveling -in 636 on a second lever 637 which also pivots on the frame in 631.
To the lever 637 is articulated, at 638, a hanging rod 639 (fig. 3), the lower end of which is engaged with one of the arms of a pivoting crank handle 640, on an upright 641., on the frame of the. machine. The upper arm of the elbow lever 640 works against a collar 642 mounted on the shaft 135, so that oscillation of the elbow lever, produced by downward pressure on the connecting rod 639, moves the shaft 135. , so that he brings his ankle 134 into engagement with the toothed wheel 131 which serves to actuate the driver in the positive or additive direction.
This movement is produced positively by means deriving its command from the trainer and commanded by the number wheels in an overtaking operation.
In this operation, it is necessary to adjust, in time, the operation of the lever 630, so that it is actuated a little before the trainer reaches its complete cycle position, at which point the reversal takes place. product. For this purpose, the anterior end of lever 630 is constructed in the form of a <B> T </B> (fig. 5) whose crossbar is located behind the three levers 425 cooperating with the last three orders of the 'coach.
These last three orders are simply carry-over orders having no differential mechanism, although the lowest order of the three may be provided, if desired, with a differential mechanism without changing the other structure.
The last transfer lever 425, to the left of the accumulator is provided with a lug 4251 allowing it to oscillate the lever 630 from any one of its three possible positions adjacent to the cross member thereof; but the remaining levers 425 are not provided with such a lug and do not oscillate far enough to actuate the lever 630, unless the space which separates them is filled by an intervening part. -A such intervening part 6301 is provided in a place adjacent to the third order, starting from the highest, of the trainer; it is articulated to the lever 630 at 6302 and has in its lower end a notch in which the front end of a tail 633 is located.
When the tail is moved to its position of automatic division, above the foot 634, its front end brings the intervening part 6301 into the active position, so that its ear 6303 comes between the crosspiece of the lever 630 and that of the le transfer sinks 425 which is opposite.
Since the transfer teeth 427 are offset from each other around the periphery of the drum, the lever 425 which is in front of the lug 6303 will, in a protrusion operation, be pushed back a few degrees before the trainer arrives at the full cycle position, which will leave sufficient time for the gear change mechanism, or reversal described above, to work as follows: The shift lever 425 of the digital order controlling oscillates backwards, dragging lever 630 with it and lowering its tail 633.
This lowers the foot 634 of the lever. vertical 635 ,. by oscillating this lever against the spring 635a, to lower a pin 645 sliding in a housing offered to it by the upper end of the lever 637 and arranged to be retained in one or the other of its two positions adjusted by a ball repelled by a res sort and indicated at 646. These operations are linked just before the trainer reaches its full cycle position and have the result of protruding the end of the city pin 645 in a position where a face playing the role of cam 647, specially formed on a plate 648 fixed on the left end of the drive shaft, will come into engagement with it.
This engagement, taking place while the coach is. still controlled in the negative direction, actuates the mechanism comprising the lever 637, the connecting rod 639, the bent lever 640 and the shaft 135 to positively remove the pin 134 from its seat in the wheel 132 and make it enter its seat on the. wheel 13.1, just when the driver reaches the full cycle position and against the force of the spring 142 which, in this operation, is compressed, making it unnecessary to release the connecting rod 227 which. normally, controls the position of the city plug 134 and also controls the main drive clutch.
Thus, the driving direction of the trainer is reversed without disengaging the main clutch and this trainer begins an additive cycle.
The pressure on the aforementioned set of connecting rods and screws is immediately released when the driver overturns: but a re-installation of the pin 134 in the seat of the wheel 132, under the pressure of the spring 1.42, is prevented. by the displacement of the seat and a reversal in the half-cycle position is prevented by a lobe acting as a cam 649, of the plate 648, which keeps the connecting rod 639 depressed at this point of the cycle. At the end of a single additive rotation cycle, the driver is stopped in the full cycle position by disengaging the main clutch and the spring 142 is allowed to replace the pin 134 in its seat on the wheel 132.
The clutch release at the end of the corrective additive rotation is accomplished under the control of a lever 650 mounted on a double pivot, for limited universal movement, in 651. A spring 652, tensioned between the upper part of the lever and a fixed part of the frame, urges the lever towards its active position; but this lever is normally maintained in the inactive position by a connecting rod 658, one end of which, 654, abuts against the tail of the lever 650 on the side opposite the spring, while on its other end is formed a face 655 playing the role of cam (fig. 4).
When the main dividing slide 610 is in the idle position, an arm 614, which descends from it, is in the path of the connecting rod .653 and prevents it from being pushed to the left, in FIG. 3, by the force of the spring 652, which thus maintains the lever 650 in its inactive position.
However, when the main divider slide 610 is moved rearward to its active position, the drop arm 614 is withdrawn from the path of the connecting rod 653 and the spring 652 is allowed to drive the lever 650. in active position. The upper arm of this lever is in the fork of the forked tail 633, which was discussed above, and this tail is brought to its active position at the same time as the lever.
In this active position, the end of lever 650 is in the path of a cam 656 (FIG. 14) carried by one of the driver segments. The end of the cam which approaches the lever during subtractive rotation of the driver carries a side bevel 657 which acts to move the lever 650 aside without releasing it; but the end which approaches the lever in an additive rotation of the driver carries a face playing the role of cam 658, which acts to oscillate the lever 650 around its vertical pivot, lifting its tail 659.
This shank is located under, and thus acts to lift, one end (fig. 3), of a double lever system 660, pivoting properly in the machine, of which the other end (fig. 5) is located. in this opening of the rear end of the control rod 121, of the drive clutch. The lift exerted on one end of the double-lever system 660 produces a corresponding lift at the other end, which lifts the connecting rod 121 from the pin 119 of the crank lever 115.
Being thus released, the latter immediately comes into contact with the clutch cage 112, under the action of the spring 118, and when the clutch reaches the full cycle position, the foot 117 enters the opening the cage and disengaging the clutch, which locks the driver in the full cycle position. During the additive rotation which has just ended, a cam 648a (fig. 15), formed on the plate 6.18, acts to restore the peg 645 to its normal inactive position.
Means are provided for automatically engaging the desired carriage movement clutch upon disengaging the main drive clutch. Since, in an automatic division, the direction of movement of the carriage must always be straight to. left, means are provided under the control of the main dividing slide 610, to bring the selector intervening part 576 above the clutch lever shank 5741, regardless of the adjustment of the displacement switching lever 577.
As discussed previously, positioning the main dividing slide 610 moves the shaft 615, to drive the shift fork 616 into position to engage the restart clutch 617. The fork of displacement has a pendant part 6161 adjacent to the left side of a rising part 5767 of the intervening part 576.
Thus, during a positioning of the main viewing slide, the rear end of the part 576 will be brought rà. its right position, above the clutch lever shank 5741 and each subsequent reciprocation of the release slide 582 will cause clutch 5621 to engage, which will move the carriage one step at a time. left. Means are provided to ensure automatic engagement of this carriage displacement clutch when disengaging the main drive clutch.
A lever 670 (fig. 5), pivoting at 671 on a rigid part descending from the carriage track, has an angular rear part 672, located above the connecting rod 121 and a nose located above the pawl. locking 605 and the nose 674 of a lever 673 fixed on the shaft 595.
When the connecting rod 121 is raised to stop the driver at the end of the corrective ad ditive rotation, the pawl 670 receives an oscillating movement in the direction of the clockwise movement and its nose lowers the lever 673. (fig. 10), which makes the shaft 595 oscillate to trigger the control mechanism for the automatic movement of the carriage, as has been explained previously.
Towards the end of the operating cycle of the clutch 5621, of movement of the carriage, a cam 680, rigidly secured to a cam 5611 actuated by this clutch. Causes the corresponding arm 681 to oscillate to re-engage the main clutch. This arm rotates on a shaft 682 on the opposite end of which an arm 683 is fixed and is located under a pin 684 of the lever 115, controlling the drive clutch. Movement of arm 681 is normally ineffective;
but the positioning of the main dividing slide 610 actuates the clutch oven 616, which brings the clutch assembly 617, keyed to a collar 6171, attached to the shaft 682, in mesh face clutch 6172, attached to arm 681, and clutch to the shaft, so that when this arm receives an oscillating motion from the cam 680, the lever 115 will oscillate to re engage the drive clutch. The lever 115 is then locked by the ren gage of its pin 119 in the notched end of the connecting rod 121. This round of operations is repeated in each numerical order until the carriage has reached the end of movement.
Means are provided for completing the 7th calculation at the end of a turn of operations if the carriage is at the end of its movement. The pawl 690 (fig. 5), pivoting at 691, has a nose located above the two bolts 605 and 606, which it releases concurrently, completely releasing the main dividing slide 610, so that the latter can be brought back to its inactivity position by its spring 602 to complete a calculation. A connecting rod 69-2 connects the tail of the lever 690 with one of the ends of a finger 693 pivoting at 694 and located to pass through an opening in the carriage track and come into contact with the underside of the carriage, in which direction it is requested by a spring 695.
The opening is located in such a way that the carriage covers it and blocks the rise of the finger, except when this carriage is at the end of its movement. The lower end of the finger also carries a swivel lock 696 which passes through a slot in a plate <B> 697 </B> descending from the underside of the carriage track and is biased into the locking position against the latch. 'lower end of said slot, by a spring 698 stretched between an intermediate part of the worm and the descending plate 697.
The nose of the lock sits over the connecting rod 121 and is, therefore, lifted at the end of each corrective additive rotation when the drive clutch is disengaged. If the carriage is not at the end of its movement, the finger 693 is unable to rise under the action of the spring 695 and the latch simply drops back, without effect. But, if the cart. is at the end of movement, the spring passes the finger through the opening and concurrently moves the connecting rod 692 to the right, which oscillates the lever 690 and lowers the tails of the latches 605 and 606 which are located below, in. thereby completely freeing the main divider 610 which returns to its. idle position, which ends the calculation.
The slide 582, for triggering the movement of the carriage, is as usual brought to its active position by the lever <B> 670; </B> but it is recalled to its inactivity position (fig. 7), before being actuated, by the action of the face playing the role of cam 621, of the additional dividing slide 620 which lowers the pin 622 of the latch 585, which lowers this lever and positively pushes the slide 582 back .to its idle position.
Hand-operated means are provided for completing a calculation prior to its completion. The calculation can be terminated, at the end of its turn of operation in any numerical order, by a hand return of the division lever 600 to its idle position at any time during the turn. operation.
This brings the additional dividing slide 620 (Fig. 12) to its forward position and a cam-acting face 623 formed thereon acts on a lug 624 formed on the latch 606 to disengage the latter from the notch 611. of the main viewing slider. However, the latter is maintained in its active position by the latch 605 until the end of the turn of operations; then, it is triggered by the oscillation of the lever 670 which is located above and whose tail is located above the -bielle 121.
Releasing the latch 605 completes the release of the main dividing slide 610, allowing it to return to its idle position and complete the cal cul.
The second latch 605 may further be released by hand actuated means under the control of the clear key of the multiplier to complete the calculation at the end of any cycle of the trainer and before completion of a cycle. tour. of operations.
The shank of the erase key of the multi plier is provided with a pin 6051 if killed over one end of a 6052 shank pivoting on the side wall of the machine at 6053. The other end of this the sink has a laterally angled part, 6054, located in a large notch of the red worm 605.
Lowering the multiplier erase key oscillates lever 6052, which raises latch 605 and, provided latch 606 has been released by the return of lever 600, this action will complete release of the slider. 610, which will complete the calculation.
However, use is made of this latter release means for the latch 605 only when a wrong operation has been made on the machine such as, for example, when the dividing lever has been pulled before no factor n. have been placed in the machine, in which case it would run continuously in the subtractive direction and there would be no other way to stop it.
<I> Automatic multiplication. </I> The calculating machine shown in that of the two earlier Swiss patents, which was first mentioned, is provided with a trigger slide to trigger or raise the rear end of the connecting rod 121, in order to release the clutch control lever 115 at the end of a predetermined, chosen number of rotations of the driver. A movement of the trigger slide 7 00 serves to raise the rear end of the connecting rod 121 and this slide is moved by a pin 71-1 carried by the sliding bar 710 which is placed in variable angular positions,
according to the predetermined number of rotations of the driver by the lever 720 which is provided with a pin 721 taking in a slot 712 of said bar 710. The latter is, as is said in the prior patent, connected to a rack which is prevented from moving by a spring and which is set in step-by-step motion by a pinion actuated by the driving clutch. The smoothing neck bar 710, which carries the ankle 711 is, therefore, moved by one step for each turn or rotation of the trainer and, by placing said bar in various positions, it will take a different number of steps of forward movement. that the peg 711 comes into engagement with the stepped face of the slider 700.
The following rotation of the coach, after this engagement causes the pin 711 to move the slide 700 and, by that very fact, disengage the connecting rod 121 from the lever 115.
Normally, the sliding bar 710 is in its down position, in which it is normally held by the spring 722 connected to the lever <B> 720 </B> which, in turn, is connected to said bar 710. When the latter is in its lowered, or lowered, normal position, the anchor 711 is at the zero position, that is to say one position below the number one position; it is in this zero position that it is shown in FIG. 10.
When the che ville 711. is in this position, it can oscillate with a single step of movement, slacking the slide 700 for less than one full step, as has been explained in that of the two previous Swiss patents mentioned above, discussed in the first place, thereby preventing the operation of the trip slide lock.
The unit is provided with a series of keys 730 ranging as a value from 1 to 9 and serving to position the pin 711 to automatically control the number of turns or revolutions of the trainer. Lowering the key to the value 8, for example, will place the peg 711 in front of the eighth step of the slide 700, so that on the eighth turn of the driver, the connecting rod 121 will be raised and the clutch cage. stopped.
The rods 7,31 (Fig. 11) of the keys 730 are mounted on the plate 732 and are normally held up by springs 733 attached to the lower ends of the key rods. Means are provided to hold the lowered keys in their low position (fig. 10). Each key rod 731 is provided, at its lower end, with a hook 734 which can engage under a complementary hook 735, provided on the key retainer slide 736. The latter is mounted on the plate 732. and is normally held forward by spring 737.
When a key is lowered, the slide is moved backwards then comes back forward under the influence of the spring to bring the hook 7'35 over the hook 734 of the key, which thus retains the latter lowered. The slider 736 does not have a hook associated with the number 1 key so that this key is not held down.
The operation of the machine is so fast that when the number 1 key is depressed, the operation is almost immediately terminated and if a retaining hook was provided for this key and the key is not stopped being pressed. the latter immediately after having lowered it, the key would not be released at the end of the calculation operation because this operation would have been completed and the means for releasing the key would have been actuated before it ceased to press it.
Key 738 which is at the front end of row of keys 7.30 is a clear key and its role is to move slider 7.3: 6 to release all of the keys 730 that can be held down.
In addition, each key is provided with means for actuating any suitable differential mechanism, in order to locate the pin 711 in position differentially and to cause the engagement of the drive clutch: Such a mechanism is shown and described in the one of the two earlier Swiss patents which was cited first.
<I> Control of the </I> movement <I> of the carriage </I> <I> in the </I> automatic multiplication. The slider 700 is thereafter moved back by the pin 711, in order to actuate devices to complete the calculation. It is at this point of operation that it is desirable to initiate the action of the displacement clutch. There is provided for this a part 760 pivoting on the slide 700 in 761 and abutting, at its rear end, on a laterally bent portion 762, of a lever 763 descending from the shaft 59.5.
The movement of the slide 700 backwards then imparts an oscillation in the opposite direction of the clockwise movement to the shaft 595, which causes the lever 596, carried by its opposite end, to wobble, and brings the slide 582 into position. tion of activity with respect to tooth 580. When the driver comes to the end of movement, this tooth 580 comes into contact with the upper end of the slide 582, which causes the slide and its ankle 59.3 to descend. raise the selected travel clutch control arm and put that clutch into gear.
As the clutch starts, cam 590 oscillates lock 585., which pushes slider 5.82 out from under set tooth 580 and releases clutch control arm or lever 566, so that the clutch The trigger will be disengaged and stopped in the full cycle position at the end of a single turn.
Means which can be put into action by the means for moving the carriage are provided for releasing the means for locking the multiplier keys (fig. <B> il </B> and 11a).
The rod 550, for moving the carriage, is provided with a pair of stamped ears, playing the role of cams 5501 and 5502, between which is disposed a release lever 7361, pivoting on the plate <B> 732, </ B> the lower end of which is directly in front of a button 7362, carried by the key locking slide 736. A movement of the connecting rod 550, to move the cart in one direction or in the same direction. other, thus oscillates the lever 7361, which releases the locking mechanism of the keys of the multiplier.
Means are provided, under the dependence of the addition key 250, for disabling this clutch control when said key is lowered. This key 250 is held down during its true addition and subtraction operations and acts to release whatever has been dialed on the keypad and to limit the rotation of the driver to one cycle in one direction or in the direction. other, unless you lower a multiplier key. For this purpose, a connecting rod 257 is attached to the lever 252 and has a foot 258 extending below a peg 721 of the peg adjustment mechanism of the multiplier.
A lowering of the key 250 slightly raises this rod, which brings a pin 711 in cooperation with the step "one" of the slide 700, so that the latter will be set in motion, during the first turn or rotation of the slide. drive, to produce disengagement of the drive clutch. The keyboard release function has been described previously. To prevent undesirable operation of the automatic carriage movement when this occurs, a second connecting rod 259 is provided, connecting the rear end of the lever 252 to an intermediate portion of the part 760.
Raising the rear end of lever 252, resulting from lowering key 250, thus lifts the rear end of part 760 so that, when it moves backward with slider 700, it goes beyond the laterally angled end 762 of lever 763 and does not actuate the travel clutch.
The movement of the slide 700 stops the driver by moving the connecting rod 121 away from the angled screw 115 as is set out in that of the two earlier Swiss patents, cited above, which were discussed first. In an automatic division, a similar moving away of the connecting rod 121 is accomplished by the set of levers 660; but the movement of the connecting rod 121 is sufficiently greater, in the dividing operation, to effect an oscillation of the lever 670 controlling the movement of the carriage.
Although the movement of lever 670, in automatic multiplication, is ordinarily not large enough to operate the automatic carriage movement mechanism, it is desirable to prevent any possibility of it doing so while the 2e50 key is on. lowered, and means are provided for this purpose.
The nose 674 (fig. 10) slides, by a pin-and-slot connection, on the lever 673, so as to be, in its extended position, under the lever 670 allowing the carriage movement mechanism to move. be actuated by it; but, in its retracted position, it avoids said lever by preventing said mechanism from being actuated by it. A forked arm of the crank lever 675 engages with a button 676 provided on the nose 674 and the other arm of said crank lever is also forked and engages with a button 677 provided on the connecting rod 760.
Nose 674 is therefore brought to its withdrawn position by lowering key 250, preventing any possibility of the carriage moving mechanism being actuated while it is lowered.
Since the carriage movement mechanism is disabled during the lowering of key 250, it is necessary to provide some other means of releasing the multiplier keys which can be used to make repeated additions during that the. button 250 is lowered. The connecting rod 760, which the lowering of the button 250 causes to oscillate to disable the control of the movement of the carriage by the multiplier, has a hooked front end 7364, capable of taking on a button 7363 carried by the rusting worm cam 736, multiplier keys.
When the button 250 is lowered, which disables the control of the movement of the carriage and consequently renders ineffective the normal means of releasing the buttons of the multiplier, the hook 7364 takes on the button 7363 and drives the slide key retainer, or locking bars <B> 736 </B> back with the slide 700, which releases the lock mechanism of the multiplier keys.
In some of the aforementioned applications, it is desirable to make use of the multiplier keys without the automatic displacement feature and without losing the number set in the keyboard. For this purpose, a special non-displacement key 770 is provided. This slides and votes, by a slot and button connection <B> 7 </B> 701, on the frame and is provided with a notch 7702 and a spring 7703 to keep it lowered.
The lower end of the key shank is directly above the hooked anterior end 7364, of the connecting rod 760, so that a lowering of the key raises the rear end of the connecting rod, putting: iut disengages the automatic control mechanism for movement of the carriage in a multiplication, and lowers the front end of the connecting rod, allowing the release of the addition multiplier keys. The connection of the connecting rod 259 with the lever 260 is slotted to allow this movement.
<I> Driving force control and </I> engagement. <I> reciprocal. </I> Means are provided for controlling the circuit of the control motor, so as to close it only when one of the various control devices of the machine is in operation. A pair of contacts 800 (fig. 1) consisting of spring leaves normally spaced apart, are connected in series in the motor circuit and are mounted in a suitable insulating block fixed to a shaft <B> 801 </B> turning in the frame. An oscillation of the shaft 801 in the direction of clockwise movement is capable of bringing the neighboring contact blade against a stop 802 to effect closure of the contact.
One of the means for causing the shaft to oscillate comprises a lever 803, fixed at one end of the latter and re linked by a thrust rod 804, one shouldered end of which is retained in a slot in the lever 803, and a rod 805 with a lever 806 fixed to a shaft 807 which pivots in the frame. Lever 806 is directly behind elbow lever 115, clutch control, so an oscillation of this elbow lever to engage the drive clutch will cause lever 806 to swing rearward while performing. closing the motor circuit by means of the set of connecting rods and levers which has just been described.
A second means for actuating the contacts comprises a lever 810 (fig. 8 and 18 <B>) </B> pivoting on the frame at 811 and supported by a spring 812. One end of this lever has a part angular perforated 813 which receives an angled end of the shaft 801, while the other end is provided with a foot 814, located under an arm 815 fixed on one end of a shaft 820.
The latter supports four parts, any of which can swing: the accumulator erasing clutch lever, the counter-readable erasing clutch lever, and the force control levers 830 and 8801. drive for the displacement clutch.
Each of these parts pivots on the shaft 820 and carries a projection 831 extending into a wider groove of the shaft, so that an oscillation of any one of said parts will effect an oscillation of the shaft. shaft without actuating the other parts these journaling on it. Oscillating shaft 820 by this means lowers arm <B> 81.5 </B> and leg 814, causing shaft <B> 8074 </B> to oscillate in the direction desired to effect the iron. contact.
The arm 815, when in its down position, sits over a peg 816 located on the end of an arm 817 fixed to the end of the shaft 807 which is opposite the lever 806. By Consequently, when the arm 815 is lowered, it blocks the oscillation of the arbor 807 and prevents the angled lever 1.15, of the drive clutch, from being actuated. Conversely, when the elbow lever 115 receives an oscillating movement to engage the clutch, the shaft 807 oscillates, which brings the pin 816 in contact with the underside of the arm 815 and blocks the oscillation of the arm. tree 820.
This performs a reciprocal engagement between the clear and move keys and the main drive clutch, so neither can be actuated while the one (s) are in action. The lever 830 has an arm located directly behind the pin 569 of the travel clutch button shank 570.
It thus receives an oscillating movement when this key is lowered and is held in its. position adjusted by an extension 832 of the arm 810 which is located under the tails of the two displacement clutch control levers and also maintains the circuit closed during the displacement operation, in automatic multiplication operations.
However, in automatic display operations, the contacts are kept closed throughout the calculation by the cam end 619 (fig. 8) of the main dividing slide 610 which bears on the foot 814 of the lever 810. and keeps it lowered throughout the operation.
To prevent engagement of the main clutch while either travel clutch is in operation, a locking device is provided comprising an arm 860 pivoted at 861 on lever 585 and supported by a spring 862. The lever 585 is depressed throughout the operation of either travel clutch by the fact that the cam 590 brings the eye 863 of the arm 860 against a square button 864 carried by the arm 815, this which blocks this arm in its low position against the button 816 to block the drive clutch.
During a split, the drive clutch should be restarted shortly before the clutch. of movement arrives at the end of movement; thus, a plate 865 (Fig. 12) is located on the main dividing slider 610, so as to bear against the arm 860 when the slider occupies an active position, which pushes the eyelet 863 behind the button. square 864 and disables the blocking device.
A reciprocal interlock, intended to prevent the operation of either shift clutch control lever while the other shift clutch is operating, includes a plate 870 (Fig. 6 and 6a) swivel. in 871 and provided with shoulders 872 and <B> 873, </B> located under the tails 574 and 5741 of the control levers respectively. The shank 574 has a camming surface which, when the lever is operated, bears against the shoulder 872, which brings the plate <B> 870 </B> to a position where its shoulder 873 is below the end of the shank. tail 5741, preventing it from functioning.
Conversely, the operation of lever 5661 places part of its tail 57-11 behind the shoulder <B> 873, </B> preventing pivoting movement of plate 870 and blocking the descent of tail 574 to prevent the operation of its clutch.
A reciprocal interlocking is provided between the erase keys - and the zero keys of the multiplier, or of the automatic movement of the carriage, to allow simultaneous operation of the two erase keys, but to block the movement keys by the operation of one or the other erase key and, conversely, to block the two erase keys during the operation of one or the other movement key.
A locking plate 850 pivots below the four keys, between the frame flange and a stationary plate, and has edges 851 which are under camming surfaces 852, eraser keys 450 and 475 and an edge 853 adjacent to edges 854 of the movement keys. A spring 855 tends to hold the plate in the vertical position, as shown in FIG. 8.
Lowering either erase key 450 or 475 will cause plate 850 to oscillate, which will bring edge 853 under the body of <B> 570 </B> and 5701 keys, thus preventing lowering the shift keys, while lowering either shift key will prevent oscillation of the plate 850 and thus prevent lowering of the two eraser keys.
A series of arms. lock 840, attached to shaft 841, can be actuated, through an arm 842, by a cam 843 mounted on the driver shaft to lock the selection of the drum while it is off. from the full cycle position. Means are also provided for actuating this locking means each time an operating bar or multiplier key is lowered. A connecting rod 844 connects an extension of one of the arms 840 to a part 845 pivoting at 846.
A downward extension 847 (fig. 1 and 9) of part 845 carries a button 848 over which is the rear end, notched, of a connecting rod 849 connected by its front end to the plate. control 120. Lowering a working bar or a multiplier key oscillates this plate, as has been explained previously, which oscillates the part 845 and brings the arms 840 to the locked position.
An extension 856 of the locking plate 850 is directly behind the part 845, so that an oscillation of the latter also oscillates the plate 850, which prevents the operation of the two movement keys.