Machine comptable. L'invention a pour objet. une machine comptable comprenant plusieurs totalisateurs addition-soustraction, des touches de sélection et de commande de fonction pour déterminer le genre d'opération que chaque totalisateur sélectionné doit exécuter, cette machine étant caractérisée par des organes de commande réglables montés sur la tige de certaines tou ches et par un mécanisme destiné à régler ces organes lors de l'utilisation des autres touches, et ce de manière à déterminer le genre d'opération à exécuter dans le totalisa teur sélectionné, selon les touches qui sont enfoncées.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet de l'invention, seules les parties de cette machine nécessaires à la compréhension de l'invention étant repré sentées et décrites, la machine complète étant représentée et décrite dans le brevet suisse 281791.
La fig. 1 est une vue en perspective de l'ensemble de la machine.
Fig. 2 est une vue en plan de ses claviers. Fig. 3A et 3E, prises ensembles, constituent une coupe longitudinale passant. à. droite de l'une des rangées de touches de montant.
Fig. 4 est une élévation, vue de gauche, (le la. rangée de droite des touches de com mande des fonctions.
Fig. 5 est. une perspective de l'une des touches de commande de la figure précédente. Fig. 6 est un détail d'un interverrouillage entre certaines des touches de commande de fig. 4.
Fig. 7 est un schéma de différentes dé tentes assôciées à la rangée de droite des tou ches de commande.
Fig. 8 est une coupe de cette rangée sui vant la ligne 7-7 de fig. 4.
Fig. 9 est une élévation, vue de gauche, de la rangée centrale des touches de com mande et montrant plus particulièrement la relation entre ces touches et les détentes de commande des totalisateurs.
Fig. 10 est une vue schématique des diffé rentes détentes de la rangée centrale des tou ches.
Î Fig. 11 est une coupe suivant la ligne 11-11 de fig. 9.
Fig. 12 est une élévation, vue de gauche, de la rangée de gauche des touches de com mande.
Fig.13 est une coupe selon la ligne 13-13 de fig. 12.
Fig. 14, 15 et 16 sont des schémas mon trant les détentes de verrouillage et de blo cage associées à cette rangée de touches.
Fig. 17 est. une élévation, vue de gauche, d'un mécanisme de rappel des touches de montant.
Fig. 18 est une vue partielle de ce méca nisme.
Fi-. 19 est un détail d'in mécanisme- de cliquet de commande des crémaillères, lequel entre en fonction dans les opérations de total et sert. à. retenir les entraîneurs différentiels.
Fig. 20 est une vue montrant un autre dé tail de ce mécanisme.
Fig. 21 est une élévation, par la gauche, de divers mécanismes de commande disposé à l'extérieur du bâti latéral de gauche.
Fig. 22 montre une partie d'un mécanisme de verrouillage des touches.
Fig. 23 est une vue partielle d'un méca nisme de retenue des touches de montant. Fig. 24 est une élévation, vue de droite, d'un mécanisme de non-répétition, associé aux touches du dateur.
Fig. 25 est une vue en élévation d'un arbre à cames principal.
Fig. 26 est une vue latérale d'un méca nisme d'entraînement des crémaillères diffé rentielles.
Fig. 27 est une coupe des totalisateurs de la machine.
Fig. 28 constitue une élévation latérale de la machine, vue par la gauche.
Fig. 29 est une perspective d'une partie d'un mécanisme commandé par une touche Sans symbole , empêchant l'impression d'un symbole dans certains cas.
Fig. 30 est une élévation, vue de gauche, d'un mécanisme commandé par le chariot porte-papïer, pour sélectionner les totalisa teurs en addition, en soustraction ou en total.
Fig. 31 est une vue analogue, mais mon trant, en plus, un mécanisme de renversement d'addition ou de soustraction dans un totali sateur.
Fig. 32 est un détail du mécanisme précé dent.
Fig. 33 est une vue en plan montrant les détentes de commande des totalisateurs et celles des symboles, ainsi que les goujons coopérant avec ces détentes.
Fig. 34 est une perspective de deux dé tentes associées au mécanisme d'impression des symboles.
Fig. 35 est une vue partielle montrant l'extrémité antérieure de la. détente du tota lisateur NT 1 et le mécanisme correspondant pour l'impression du symbole. - Fi-. 36 est une vue partielle du mécanisme de détente du sous-total et du dispositif d'im pression du symbole correspondant.
Fig. 37 est une élévation, vue de gauche, d'un mécanisme commandant. le sous-total. Fig. 38 est une élévation, vue de face, d'une partie d'un mécanisme de rappel auto matique des touches de fonction, pendant le fonctionnement.
Fig. 39 est une élévation latérale de ce mécanisme.
Fig. 40 représente une partie d'un méca nisme d'embrayage des totalisateurs, vue par la gauche.
Fig. 41 est une élévation, vue de gauche, d'un autre détail de ce mécanisme d'em brayage et des moyens grâce auxquels ce mécanisme est commandé en sous-total.
Fig. 42 est une vue de face des coulisseaux qui commandent. l'embrayage des totalisateurs en soustraction et. en sous-total.
Fig. 43 est une vue en plan des dispositifs destinés à explorer les arêtes inférieures de ces coulisseaux et commander ainsi diverses fonctions.
Fig. 44 est une élévation, vue par la gauche, de ce mécanisme.
Fig. 45 est une vue en plan de leviers explorateurs coopérant. avec les tabulateurs du chariot pour la commande de diverses fonc tions.
<U>Fi-.</U> 46 est une élévation de face de ce mé canisme.
Fig. 47 est un détail de la figure précé dente.
Fig. 48 représente une partie du dispositif de fig. 46.
Fig. 49 est une perspective du mécanisme, commandé par le chariot, pour supprimer tout ou partie de l'impression effectuée par les sec teurs d'impression.
Fig. 50 est une partie d'un mécanisme d'impression des symboles, vu de la droite. Fig. 51 est une perspective d'un mécanisme commandé par le chariot. pour effectuer un sectionnement du dispositif d'impression. Fig. 52 est un schéma des divers symboles disposés sur le secteur d'impression. Fig. 53 est une perspective d'un méca rrisme de non-sélection servant à supprimer certaines commandes, par le chariot, de sélec tion des divers totalisateurs.
Fig. 54 est une perspective des détentes de commande d'impression des symboles et de pièces connexes.
Fig. 55 est une vue, par la gauche, de la commande exécutée par la rangée centrale des touches de fonctions, sur le mécanisme d'im pression des symboles.
Fig. 56 est une vue, par la gauche, de la commande exécutée par la rangée de droite (les touches de fonctions, sur ce même méca rrisme.
Fig. 57 est une vue par la droite d'un détail de l'embrayage principal de la machine. Fig. 58 est une coupe de cet, embrayage. Fig. 59 est une élévation, vue de droite, (les barres motrices et du mécanisme com mandé par ces barres pour exécuter certaines fonctions.
Fig. 60 est un diagramme des temps pour les différents cycles exécutés par les divers mécanismes de la. machine.
Une vue perspective de la machine est représentée en fig. 1 qui donne une idée géné rale de son aménagement. Comme on le voit, un clavier de machine à écrire est disposé l'avant, alors que .légèrement au-dessus et derrière ce clavier se trouve un clavier de machine comptable pour l'enregistrement des montants en addition ou non-addition. A ,rauche du clavier de montants se trouve un vlavier de commande, comprenant plusieurs touches de contrôle des fonctions, alors qu'à droite sont. disposées diverses barres motrices et, des touches de commande du chariot.
Au milieu, juste au-dessus du clavier de mon tants, se trouve un groupe imprimant pour la machine comptable, alors qu'à gauche de ce groupe imprimant se trouve une corbeille des barres à caractères pour la machine à écrire. Immédiatement à l'arrière de ce mécanisme imprimant se trouve un cylindre rotatif au tour duquel on peut passer des formulaires comptables. Ce cylindre est du type Front Feed et est monté sur un chariot mobile 1261 susceptible de se déplacer vers la gauche et vers la droite dans des colonnes bien déter minées.
Derrière le chariot porte-papier, on aperçoit, en fig. 1, un coffre qui renferme dix totalisateurs d'addition-soustraction. A l'avant de la machine, à gauche du clavier de machine à écrire, est disposé un interrupteur qui sert à arrêter un moteur électrique à marche continue qui entraîne les différents- mécanismes de la machine.
La machine est actionnée par un moteur électrique (non représenté) qui entraîne di rectement un arbre 226 (fig. 57), lequel tourne constamment aussi longtemps que le circuit du moteur est fermé. Sur l'arbre 226 est fixé un engrenage 240 en prise avec un engrenage 242 (fig. 57 et 58).
Le pignon 242 est monté élastiquement sur une roue à crans 250, au moyen d'une bague de caoutchouc 251 fixée au pignon 242 et fixée également à une bague métallique 252 solidaire de la roue 250. Cette dernière est montée rotative sur un arbre principal 253 au moyen de roulements à billes 254. Le pignon 242 et la roue à crans 250 peu vent venir en prise avec l'arbre à cames prin cipal 253 pour entraîner ce dernier dans des cycles d'opération. Les organes d'embrayage nécessaires comprennent un disque 255 muni d'un moyeu 256 fixé sur l'arbre 253.
Un bras de contrôle 257 de l'embrayage est monté fou sur l'une des faces du moyeu 256 et ce bras tend à tourner dans le sens dextrorsum (en fig. 57) au moyen d'un ressort 258 fixé par ailleurs au disque 255. Le bras 257 est retenu normalement au moyen d'un bras de déclen chement 259 dont l'extrémité coopère avec un doigt 260 du bras 257. Ce bras de déclenche ment 259 est fixé à l'extrémité de gauche d'un arbre 271 tournant dans le bâti de la machine et qui peut, en se mouvant clans le sens dextrorsum, livrer le bras 257 à l'action du ressort 258. Cette rotation de l'arbre 271 est déclenchée au moyen, par exemple, de diffé rentes barres motrices 2050, 2051 et 2052 (fig. 2).
La partie supérieure du bras 257 (fig. 57) présente une partie dentée 272 engrenant avec une tête dentée 273 (fig. 57 et 58) formée sur un chien d'embrayage 274 pivotant. sur le disque 255, près de la périphérie de ce der nier. Le chien 274 traverse le disque 255 et est placé sur le trajet d'une série de crans 275 ménagés sur la périphérie de la roue 250. La partie inférieure du chien 274 est aplatie de façon qu'il échappe à. la roue 250 et à ses crans lorsqu'il est dans la position représen tée à la fig. 57.
Cependant, lorsque le bras de déclenchement 259 est écarté du doigt. 260, sous le contrôle des barres motrices 2050, 2051 et 2052, le bras 257 tourne dans le sens dextrorsum grâce au ressort 258, et le chien 274 tourne dans le sens senestrorsum de ma nière à amener le bord gauche du chien 274 :z s'engager avec un des crans 275 de la roue 250 qui est constamment en rotation, entraî nant ainsi le disque 255 et l'arbre principal 253 dans une rotation dans le sens dextrorsum (fig. <B>57)</B> au moyen d'une révolution entière à chaque cycle opératoire.
Le mouvement du bras de commande 257 de l'embrayage est. limité sur le moyeu 256 au moyen d'épaule ments 276 du bras 257 qui coopèrent. avec les flans de la tête 273 formée sur le chien 274. Pour maintenir ce dernier en place, sa moitié supérieure est saisie par un coussinet 277 fixé sur le disque 255.
L'arbre<B>271</B> porte, fixé sur sa. partie de droite, un levier coudé 278 (fig. 59) dont l a partie postérieure porte un galet 279 et la partie antérieure fourchue s'engage avec un goujon 280 disposé sur un levier 281 suscep tible de pivoter, comme décrit. dans le brevet N 281791, lorsque l'une quelconque des barre: motrices 20.50, 2051, 2052 (fig. 2) est. abaissée. Toacches <I>de</I> commande <I>des fonctions.</I>
A gauche du clavier de la machine comp table se trouve un groupe de touches qui ser vent . à. commander les différentes fonctions et à sélectionner les totalisateurs de la machine. Comme on le voit en fig. 1. et 2, il existe trois rangées de ces touches de fonction représen tées en détail dans les fig. 4, 9 et 12. Ces touches sont guidées verticalement sur des cloisons 631, 632 et 633 fixées au bâti de la machine au moyen de longs boulons 638 (fig. 12 et 33) traversant les cloisons et fixés au bâti clé gauche 214. Des manchons 639 sont disposés entre les différentes cloisons et entre le bâti pour assurer l'écartement voulu.
De plus, la cloison 633 est fixée par des vis 640 à un support 641 (fig. 28) monté sur la base 213 de la machine. Les extrémités infé rieures des cloisons sont fixées l'une à l'autre au moyen de boulons 646<B>(fi-.</B> 4,<B>9,</B> 12 et<B>28)</B> sur lesquels des écrous 6-17 (fig. 33) ,sont montés pour maintenir un espacement conve nable des cloisons à l'aide de manchons appro priés.
Les touches de commande des deux ran gées de droite sont guidées, à leur extrémité supérieure, au moyen de fentes pratiquées dans des languettes 634 (fig. 4 et 8) et 635 (fig. 9 et 11) qui sont recourbées au-dessus du bord supérieur des cloisons 631 et 632 res pectivement, les touches étant retenues dans ces fentes au moyen de plaquettes de retenue 636 et 637 qui sont fixées de façon amovible auxdites languettes. Les touches sont guidées à leur partie inférieure au moyen de tétons traversant des fentes allongées prévues dans les cloisons et sont maintenues en place au moyen de barrettes 642 et 643 disposées de faeon amovible sur les cloisons.
Les trois tou ches de commande de la rangée de gauche sont supportées à leur extrémité supérieure clans la cloison 633 au moyen d'encoches pra tiquées dans une barrette de retenue 64.1 fixée à la cloison au moyen de vis 6.15 (fig. 12). Les tiges des touches présentent., à leur partie inférieure, des tétons glissant dans des fentes allongées prévues dans la cloison 633, les tou- ehes étant retenues par une barrette 648.
Toutes les touches de commande sont mainte nues normalement dans leur position élevée au moyen de ressorts à boudin 649, 650 et <B>651</B> qui sont disposés suivant une sinusoïde alternativement entre des tétons portés par les touches et des tétons fixés aux cloisons (fig. 9). Si l'on se réfère à la fig. 2, on voit que la rangée clé droite des touches de commande comprend une touche Solde 1 652, une touche Sous-total 1 653, un groupe de quatre touches 654, 655, 656 et 657 pour la sélection des totalisateurs N s 2, 3, 4 et 5, une touche Soustraction 2-5 658, une touche Total 2-5 659, et une touche Solde créditeur 660.
De même, la rangée médiane des touches de commande comprend une touche Add 7. 661, une touche Soustraction 1 662, un groupe de quatre touches 663, 664, 665 et 666 pour la sélection des totalisateurs N s 6, 7, 8 et 9, une touche Soustraction 6-9 667, une touche Total 6-9 668 et une touche Sous- total 669. La rangée de gauche comprend une touche Sans symbole 670, une touche de Renversement. <B>671</B> et une touche de Non-séleetion 672. L'objet et les fonctions clé ces différentes touches seront expliqués au cours de la description qui suit.
Comme on le voit aux fig. 5, 7 et 8, les touches de la rangée de droite sont, munies de goujons 691 à 699 qui coopèrent avec des dé tentes 700 à 705 qui peuvent coulisser vers l'avant et vers l'arrière sur quatre tétons fixés à la cloison 631., au moyen également de galets et d'entretoises d'espacement.
Comme le montre la fig. 5 au sujet chi goujon 693, la partie interne de ce goujon est ronde, alors que l'extrémité extérieure pré sente deux méplats.
De même, les touches de la rangée médiane (le commande présentent des goujons 706 à 714 (fig. 1.0) coopérant avec des détentes 715 à 720 coulissant sur la partie de droite de la cloison. 632. La rangée de gauche des touches de commande est, de même, pourvue de gou jons 721à 723 coopérant avec trois détentes 724 à 726 (fig. 12 à 1.6) coulissant sur la partie clé droite de la cloison 633, à l'aide de galets, comme dans le cas précédemment dé crit.
Les touches de chacune de ces rangées sont -ées clé manière à être retenues en posi- î ,iiiiénan tion enfoncée contre l'action des ressorts 649, 650 et 651, an moyen des détentes mention- nées ci-dessus, de la même manière que dans le cas des-touches de montants.
Comme on le voit en fig. 7, les détentes 702, 703 et 705 tendent à se déplacer vers l'avant de la machine (ou à droite dans le dessin) sous l'action de ressorts 727, 728 et 729 respectivement. Les goujons 691 et 692 de la touche 652 Solde 1 et la touche 653 Sous-total 1 coopèrent avec des dents de retenue de la détente 703, de sorte que cha cune de ces touches restera dans sa position enfoncée. De même, les goujons 693, 694, 695, 696 portés par les touches 654 à 657 sélection nant les totalisateurs N 2, 3, 4 et 5 coopèrent avec des dents de retenue de la détente 702 pour rester en position enfoncée.
Les goujons 697, 698 et 699 coopèrent avec des dents de retenue de la détente 705 qui retient en posi tion enfoncée la touche 658 Soustraction 2-5 , la touche 659 Total 2-5 et la touche 660 Solde Créditeur . La détente 705 permet également aiLx trois touches de se libérer l'une par l'autre.
La fig. 10 montre que les goujons 706 et 707 portés respectivement par la touche 667 Add 1 et la touche 662 Soustraction 1 dans la rangée médiane, sont aménagés de manière à coopérer avec des dents de retenue de la détente 717 tirée vers la droite par un ressort 738, ce qui permet de maintenir les touches en question dans la position enfoncée et aussi à ces touches de se libérer l'une par l'autre.
Les goujons 708, 709, 710 et 711 coopèrent: avec des dents de la détente 716 tirée vers la droite par un ressort 739. De la même ma nière, les goujons 712, 713 et 714 de la touche 667 Soustraction 6-9 ,. de la touche 668 Total 6-9 et enfin de la touche 669 Sous total coopèrent avec la détente 720 tirée vers la. droite par un ressort 740.
Si l'on se reporte maintenant à la fig. 15, on voit que les touches de la rangée de gauche de commande peuvent. être maintenues en po sition enfoncée grâce à leurs goujons 721, 722 et 723 susceptibles de venir en prise avec des dents de retenue de la détente 725 tirée vers la droite par un ressort 752. <I>Touche de rappel</I> manuel.
Pour permettre à l'opérateur de rappeler l'une quelconque des touches de montants, de références ou de commande, avant de déclen cher une opération, il est. prévu une touche Rappel 753 (fig. 2, 17, 18, 21 et \'\') pou vant coulisser dans le bâti latéral 214 au moyen d'un goujon 754 coopérant avec une fente 755 prévue à. l'extrémité inférieure de la tige de la touche et également grâce à. deux goujons de guidage 756 fixés au bâti et coopé rant avec deux arêtes parallèles prévues sur la tige de la touche de rappel. La touche Rappel 753 présente un téton 757 coopérant. avec l'extrémité d'un levier 758 pivotant. sur un goujon 759 fixé sur le bâti 214.
Le levier 758 est muni d'un goujon 760 en prise avec une fente pratiquée dans une bielle de rappel 761 susceptible de coulisser horizontalement sur le bâti 214 au moyen des lumières en prise avec le goujon 754 et un goujon 762 du bâti. La bielle de rappel 761 est tirée vers la droite au moyen d'un ressort. 763 et présente un prolongement dirigé vers le haut se terminant par un goujon 76-1 (fig. 17) engagé dans une partie fourchue d'un bras 765 goupillé sur un arbre 766 porté par le bâti du clavier des montants.
Le prolongement de la bielle 761 est cambré vers la droite, lorsqu'on regarde la machine par l'avant, de manière à traverser une ouverture pratiquée dans le bâti 214 et à placer ainsi le goujon 764 sur le trajet du bras 765, qui est disposé juste à l'intérieur du bâti 214. Comme on le voit dans les fig. 3A et 17, chacune des glissières 609 comprend un bos sage 767 coopérant avec un goujon 768 porté par un bras 769 fixé sur l'arbre 766. Il existe un bras 769 pour chaque rangée de touches de montants et également pour les touches de références et de la date. De cette manière, lorsqu'on enfonce la touche de rappel 753. le mécanisme que l'on vient de décrire a pour effet de déplacer la glissière de retenue 609 vers la gauche, libérant ainsi toutes les tou ches qui ont. précédemment été enfoncées.
Les touches de la date sont cependant retenues dans une position enfoncée par une détente supplémentaire qui sera décrite plus loin.
Un mécanisme est prévu, grâce auquel l'en foncement de la touche de rappel 753 a pour effet. (le libérer les touches de commande des fonctions placées à gauche du clavier. Ce mé canisme représenté en fi-. 18 comprend un goujon 781 porté par la. touche 753 et coopé rant avec un levier 782 pivotant sur un gou jon 783 du bâti 214 et sollicité dans le sens senestrorsum par un ressort 78-1 qui tend à maintenir la touche de rappel dans sa posi tion élevée. Ce levier 782 est muni d'une arête 785 coopérant avec une goupille 786 portée par un bras 787 fixé sur uni arbre 788 sup porté par les cloisons 631, 632 et 633.
Le bras 787 porte également un goujon 789 (fig. 7), qui coopère avec des prolongements des dé tentes 70\Z, 703 et 705 de la rangée de droite des touches de commande. Par conséquent, lorsqu'on enfonce la touche de appel 753, le levier 782 bascule clans le sens dextrorsum (fig. 18) contre l'action du ressort 784, de facon que le goujon 789 agisse sur les détente 702, 703 et 705 pour déplacer ces dernières vers la. gauche et. libérer les touches qui ont pu être enfoncées dans cette rangée de droite.
La fi,-. 9 montre qu'un bras 790 est gou pillé sur l'arbre 788, bras qui porte un gou jon 793 (fig. 10) coopérant. avec des bossages des détentes 716, 717 et 7'20 de la rangée mé diane des touches de commande, de faeon que l'enfoncement de la touche de Rappel 753 ait pour effet de déplacer les détentes en question vers la gauche et. de libérer les tou ches enfoncées. Gluant aux fig. 12 et 15, elles montrent que les touches de la rangée de gauche de commande peuvent être rappelées par la touche 753 au moyen d'un bras 79-1 fixé sur l'arbre 788 et muni d'un goujon 795 coopérant avec un bossage de la détente de retenue 725 de la rangée de gauche.
<I>Rappel</I> automatique <I>(les touches.</I>
Pour préparer la machine pour une nou velle opération, il est nécessaire de prévoir des organes qui, vers la fin de l'opération précédente, aient pour effet (le rappeler les touches utilisées. Ce mécanisme représenté aux fig. 17 et 25 (polir le rappel des touches de montants, de la date et des références) est constitué par une paire de cames 796 et 797 fixées sur un moyeu 798 goupillé sur l'arbre principal 253. La périphérie de cette double canie coopère avec des galets 799 et 800 mon té, sur lin bras 801 pivotant sur un arbre 802.
Ce dernier est porté à son extrémité de gauche dans un coussinet 803 (fig. 25) prévu clans un support. 80-1 (fig. 28) fixé à. la base 213 au moyen de vis 805 et à son extrémité (le droite dans le bâti 214. Le bras 801 est muni d'une encoche en prise avec un goujon 811 porté par un levier 812 monté fou sur un arbre 813 porté par le bâti 214. La bran- rlie dirigée vers le haut du levier 812 porte un galet. 87.4 coopérant avec lin verrou de rappel 815 pivotant en 81.6 sur la bielle de rappel 761. mentionnée plus haut..
Le verrou <B>815</B> présente une arête incurvée 817 mainte nue en prise avec le galet. 814 sous l'action d'un ressort 818. Lorsque la machine fonc tionne, l'arbre principal 253 tourne de 360 , ce < lui fait tourner la double-eame 796/797, de manière à faire basculer clans le sens senestrorsum le bras 801 et ce environ au milieu du cycle d'opération (voir ligne 9 du tableau des temps de la fig. 60). Ceci a. polir effet.
(le faire pivoter le levier 812 dans le sens dextrorsum et d'écarter le galet 814 de l'ai-ôte 817, laissant ainsi un crochet 819, formé sur le verrou, venir en prise avec le galet 814. Vers la fin du cycle, la double-came ramène le bras 801 à sa position initiale (fig. 17), pour déplacer le galet 814 vers l'arrière de la machine en entraînant la bielle <B>(le</B> rappel 761. Ce mouvement de la bielle rappelle les touches qui ont, pu être enfon eées, et ee de la même manière que l'enfonce ment de la touche de rappel 753.
Au moment où la bielle approche de la fin de sa course, un bras 820 formé sur le verrou 815 vient en contact avec un goujon 821 du bâti de gauche (le façon que le verrou bascule dans le sens dextrorsum pour dégager le galet 814 et lais- s ,,ci, la bielle de rappel 761 reprendre sa posi- tion initiale de fig. 17 sous l'action du res sort 763.
Un mécanisme séparé est prévu pour le rappel des touches de commande des fonc tions, également vers la fin du cycle d'opéra tion. Ce mécanisme est représenté aux fig. 21., 38 et 39 et comprend un coulisseau 822 glis sant sur des goujons 823 et 824 du bâti 214. Ce coulisseau tend à être déplacé vers l'avant de la machine (à droite) sous l'action d'un ressort 825 tendu entre un goujon porté par un cliquet 826 pivotant en 827 sur le coulis seau, d'une part, et un goujon fixe 828 du bâti 214, d'autre part. Le coulisseau 822 pré sente un doigt 829 en contact avec le goujon. 828 pour limiter le mouvement vers l'avant du coulisseau.
Le goujon 827 porte également un bras 830 dont l'autre extrémité est fixée sur un moyeu 831 (fig. 38) monté rotatif sur un goujon 832 porté par le bâti 214 et par un support. 833. Ce support est lui-même fixé au bâti 214 au moyen de vis 834 (fig. 30).
Le cliquet 826 comprend un doigt 835, dirigé vers le haut, coopérant avec une por tion de plus faible diamètre du moyeu 831, comme on le voit dans les fig. 21, 38 et 39,. ainsi qu'un doigt 836, dirigé vers le bas, sus ceptible de coopérer avec un goujon 837 porté par un bras 838 formant partie intégrante d'un bras 839 prévu pour l'embrayage des totalisateurs. Le bras 839 est goupillé sur l'arbre 802 qui porte également un autre bras 8-40 (fig. 25) exactement semblable au bras 838 et qui sert, avec ce dernier, à assurer l'embrayage des totalisateurs ainsi que cela sera décrit. plus loin.
Le bras 839 se termine par deux galets 841 et 842 coopérant avec tune double-came 8-43, 844 fixée sur l'arbre prïn- cipal 253.
Lorsque ce dernier effectue sa révo lution complète dans le sens senestrorsum (fig. 41), l'arbre 802 reçoit tout d'abord un mouvement dans le sens dextrorsum, de façon que le goujon 837 échappe au cliquet 826, et ensuite dans le sens senestrorsum, de façon que ce goujon vienne en prise avec le doigt 836 dudit cliquet et déplace le coulisseau 822 vers l'arrière de la machine, vers la fin du cycle d'opération (voir ligne 3 du tableau des temps de fig. 60).
Peu avant que l'arbre 802 atteigne sa position initiale (fig. 39), le goujon 837 échappe au doigt 836, ce qui per met au coulisseau 822 d'être ramené vers la droite sous l'action du ressort 825.
L'extrémité antérieure du coulisseau 822 est munie d'une partie crochue 845 en prise avec la goupille 786 du bras 787 lequel, on l'a vu, est goupillé sur l'arbre 788 (voir égale ment fig. 18). On a v u que le bras 787 est muni d'un goujon 789 coopérant avec les détentes de retenue 702, 703 et 705 (fig. 7). On rappellera également que les bras 790 et 794 fixés sur l'arbre 788 sont munis de gou jons 793 et 795 coopérant. avec les détentes de retenue 716,<B>717,</B> 720 et 725.
Il en résulte que, lorsque le coulisseau 822 est amené vers l'arrière de la. machine, l'arbre 788 tourne dans le sens dextrorsum (fig. 39), de faon que les goujons 789, 793 et 795 déplacent les détentes vers l'arrière et libèrent ainsi les touches de commande enfoncées. Lorsque le coulisseau est relâché à la fin du cycle, les détentes de retenue prévues pour les touches de commande sont, également libérées et re prennent leur position initiale sous l'action de leur propre ressort.
On voit, par ce qui pré cède, que les touches de commande sont auto matiquement rappelées à la fin du cycle, comme les touches de montants, de faon que tout le clavier, à l'exception des touches de la date, soient. prêtes pour une nouvelle opé ration. Les touches de la date 622, 623 et 62.1 ne sont, normalement., pas rappelées à la fin du cycle. Toutefois, si on le désire, on peut faire en sorte que ces touches soient libérées comme les touches des montants et on utilise à. cet effet une touche 627 Non Répétition .
Chacune des rangées qui contiennent des touches de date comprend une détente de re tenue spéciale 846 (fig. 24) tirée vers l'avant de la machine par un ressort 847 de lagon que cette détente vienne, par ses dents de retenue, en prise avec les goujons 607 des touches. Ces détentes ne comprennent pas de bossage, tel que le bossage 767 prévu sur les glissières 609, de sorte qu'à la fin de l'opéra tion ces détentes ne sont pas déplacées, ni les touches rappelées.
Les détentes 846 peuvent être déplacées ::i la main au moyen de la touche 627 Non Répétition . La tige de cette touche comprend un goujon en prise avec une partie fourchue d'un bras 848 filé sur un arbre 849 supporté par les cloisons des rangées de touches de la date. Cet. arbre 849 porte, d'autre part, quatre bras 850, un pour chaque rangée de touches de date, qui se terminent par une goupille 851 coopérant. avec un bras 852 formé sur chacune des détentes 846. Ainsi, lorsqu'on enfonce la touche Non Répétition 627, les détentes sont déplacées vers l'arrière de la machine pour libérer les touches.
La touche Non Répétition 627 peut être maintenue en position enfoncée par un petit verrou 853 pi votant sur Lui goujon 854 et sollicité par un ressort 856 à venir en prise avec une encoche 855 prévue dans la. tige (le la touche 627. De cette façon, les détentes 846 sont en posi tion inactive et les touches se comportent alors comme le reste du clavier, c'est-à-dire qu'elles sont rappelées à la fin de chaque opération.
Une touche de Rappel 626 porte un gou jon 857 pouvant. venir en contact avec une arête du verrou 853. Lorsqu'on enfonce la touche, ce verrou bascule dans le sens dex- trorsum et libère la touche Non Répétition 627. La touche de Rappel porte un autre goujon 858 en contact avec une arête 859 des détentes de retenue 609 et 846 des quatre ran gées clé la date, clé sorte qu'en enfonçant. la touche clé rappel, on libérera les touches de la date.
Touche Répétition .
Pour permettre de conserver, sur le cla vier, la même somme à l'aide des touches 598, on a prévu une touche de répétition 860 (fig. 21) qui empêche leur libération à la fin du cycle.
La, touche Répétition 860 peut se dé placer verticalement sur les goujons 762 et 823 (fig. 21) et est sollicitée vers le haut par un re.,sort 86l tendu entre la touche et -Lui bras d'un verrou 862 pivotant en 823. Ce ver rou comprend un épaulement 863 sollicité, par 1e ressort 861., à venir en contact. avec Lui goujon 864 porté par la touche de Répé tition lorsque celle-ci est enfoncée. De cette manière, la touche 860 ne peut revenir à sa position supérieure.
La partie inférieure de la touche de Répétition est munie d'un galet 870 qui, lorsque la touche est enfoncée, vient en contact avec un bec 871 formé sur. le verrou de rappel 81.5 et empêche ainsi la partie crochue<B>819</B> du verrou de s'engager avec le galet 811 (fig. 17). De cette façon, la bielle (le rappel 761 n'est pas actionnée et les touches de montants resteront, à la fin du cycle, dans leur position enfoncée.
La touche de Répétition 860 peut elle- inéme être libérée par la touche de Rappel 753 et, à cet effet, la bielle de rappel 761 com prend un bras 872 dirigé vers le haut et pou vant venir en contact avec un goujon 873 monté sur le verrou 862 lorsque ce dernier est déplacé vers l'arrière, ce qui fait tourner le verrou pour dégager l'épaulement 863 du goujon 861. Il en résulte que la touche de Répétition 860 peut être rappelée par l'en foneement de la touche de Rappel 753 qui déplace la bielle 761 vers l'arrière pour déga ger le verrou 862.
On remarquera toutefois que la touche clé Répétition 860 n'est pas libérée automatiquement à la fin du cycle, car le mouvement automatique de la bielle <B>761</B> est débrayé par le galet 870 dis posé à la partie inférieure de la touche Répétition . Si cependant on désire due la touche de Répétition 860 soit rappelée auto- niatiquement à la fin de l'opération de la ma chine, un goujon s'étendant sur le trajet d'un prolongement 87.1 du coulisseau 822 peut être prévu .sur le verrou 862, un peu au-dessous et à droite du goujon 873,
de facon que le déplacement vers l'arrière du coulisseau, à la fiti (lu cycle, amène le prolongement en ques tion en contact avec le goujon pour faire basculer le verrou<B>862</B> pour libérer la touche de répétition. Verrouillage <I>des</I> touches.
Dés organes sont prévus pour verrouiller complètement le clavier dès l'instant où l'em brayage de la machine est. enclenché et que le cycle a commencé. Ce mécanisme comprend un bras 875 (fig. 8) fixé sur un arbre 282, juste à l'intérieur du bâti latéral de droite <B><U>915.</U></B> Ce bras, fourchu à son extrémité supé rieure, est. en prise avec un goujon 876 dis posé à la partie inférieure d'un bras 877 fixé sur un arbre de verrouillage 878.
Dès que l'embrayage est en position active et que le cycle est déclenché, l'arbre 282 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 57) sous l'action d'un ressort 285, ce qui a pour effet d'amener une série de languettes 879 élastiquement con nectées à un prolongement 880 (fig. 3A et-23) formé sur une détente de verrouillage 891, et ce sois l'action d'un ressort<B>881.</B> Lorsque l'arbre 878 tourne dans le sens dextrorsum,
les détentes de verrouillage 891 de chaque rangée de touches se trouvent déplacées élas- tiquement vers l'arrière de la machine, de façon que des dents de verrouillage 892 (fig. 23), prévues sur les détentes, soient ame nées au-dessous des goujons 607, empêchant ainsi d'enfoncer les touches de montants 589 lorsque la machine est en fonction. Lorsque l'arbre 282 est ramené en positiôn initiale dans le sens dextrorsum, vers la fin du cycle, l'arbre 878 tourne dans le sens senestrorsum, pour déplacer les détentes de verrouillage vers l'avant et libérer les touches qui ont pu être enfoncées.
L'arbre 878 porte, à son extrémité de gauche, un bras 882 (fi g. 8 et. 23) portant un goujon 883 en prise avec une partie four chue d'un bras 881 (voir également fig. 21) fixé sur un arbre court 885 porté par le bâti latéral 214. Cet arbre porte un autre bras 886 dont les mouvements sont limités par un goujon 887 fixé au bâti 214. A l'extré mité inférieure du bras 886 se trouve une goupille 888 en prise avec une équerre 889 (fig. 7, 8 et 22) formée sur la détente 704.
De cette manière, lorsque la détente de ver rouillage 891 (fig. 23) est déplacée vers l'ar rière pour le blocage des goujons 607, l'autre détente 704 (pour la rangée de droite des touches de commande) est déplacée vers l'avant de la machine pour amener les doigts 890 au-dessous des goujons 691 à 699 (fig. 7) de celles des touches qui n'ont pas été enfon cées ou au-dessus des goujons de celles qui ont été enfoncées.
Le mouvement vers l'avant de la détente 704 a également pour effet de verrouiller la tige de la touche de Rappel 753, ce qui est obtenu par une détente de verrouillage<B>893)</B> coulissant par ses fentes 894 sur les goujons 756. La détente 893 est reliée à l'extrémité avant de la détente 701 par une fente en prise avec un goujon 895 de la détente 701, de manière à pouvoir se déplacer avec cette dernière. Par conséquent, lorsque la détente 704 se déplace vers l'avant, elle entraîne dans la même direction la détente 893, plaçant. -Lui épaulement 896 au-dessous d'un goujon carré 897 de la touche 753 qui se trouve ainsi ver rouillée.
Le bord inférieur de la détente 893 sert également de butée pour un goujon 898 (fig. 21) disposé sur la touche de rappel 75 et qui limite le mouvement, vers le haut, de cette touche, sous l'action du ressort 78-1 (fig. 18).
Les détentes de verrouillage 718 (fig. 10) et. 726 (fi-. 16) pour les deux autres rangées de touches de commande sont. liées à la dé tente 704 au moyen d'un arbre 901 tournant dans les cloisons 631, 632 et 633. Cet arbre porte des bras 902, 903 et 904 (fi-. 22, 10 et 16) qui sont articulés aux détentes 704-, 718 et 726 de façon telle que, lorsque l'em brayage est enclenché et l'arbre 282 basculé dans le sens senestrorsum (fig. 57), toutes les touches du clavier des montants et les touches des trois rangées de commande, ainsi que la touche de Rappel 753, soient. blo quées jusqu'à la fin du cycle.
La rangée de gauche des touches de fonc tions est. également munie d'une détente de verrouillage 724 (fig. 14) que l'on peut actionner à la main. Cette détente comprend deux équerres de verrouillage coopérant avec les goujons 721 et 723 portés par les touches 670 Sans Symbole et<B>672</B> Non Sélection . Cette détente comprend une manette 899 diri gée vers le haut (voir également en fig. 1 et 2) faisant saillie au-dessus d'une plaque du clavier 208, ce qui permet à l'opérateur de manaeuvrer la détente.
Comme on le voit d'après fi-. l.-1, la détente peut être retenue élastiquement dans ehacune clé ses deux posi tions par un cliquet 900 sollicité par un res sort. De cette manière, lorsque la détente 724 est dans sa. position avant, les touches Sans Symbole 670 et Non Sélection 672 sont rappelées à la fin du cycle en même temps que les autres touches de commande.
Toute fois, si l'on déplace la détente 72-1 vers l'ar rière, et. au cas où l'une de ces touches 670 ou 672 est enfoncée, l'une des équerres sus mentionnées vient se placer au-dessus du gou jon<B>721.</B> ou 723, empêchant la touche eorres- pondante de se relever. En d'autres termes, grâce à la détente 724, ces touches 670 et 672 peuvent, devenir du ti-pe Sans Rappel . Organes différentiels.
Les crémaillères différentielles 617 (fig.3A) sont commandées par des goujons 605 portés par les tiges des touches (le montants 589, les quels goujons peuvent entrer en contact. avec des épaulements en escalier 618 disposés sur chaque crémaillère 617, lorsqu'une touche est enfoncée, limitant ainsi le mouvement vers l'arrière de cette dernière. Les crémaillères 617 sont. guidées à leur extrémité antérieure par des rainures pratiquées dans la barre transversale 621 et. les crémaillères sont rete nues dans ces rainures au moyen d'une tra verse carrée 620 fixée au-dessus de la barre 621.
Comme représenté à la fig. 3B, les cré maillères sont guidées à leur partie posté rieure au moyen d'une barre rainurée 905 portée par les bâtis latéraux 21.1 et 215.
Chaque crémaillère 617 correspondant à une rangée de montants est reliée par une biellette 906 à. une crémaillère auxiliaire 907 (fi-. 3B et 27) guidée dans des entretoises rainurées 908, 909 et 910 dont on parlera encore plus loin. Les crémaillères 617 corres pondant aux rangées des références et de la date ne présentent pas de crémaillère auxi liaire 907, étant donné qu'il s'agit de rangées (le touches imprimeuses sans relation avec les totalisateurs.
Chaque crémaillère 617 comprend une fente ',111 en prise avec un goujon 912 monté sur un segment de bras de réduction 913 pou vant tourner sur un arbre 914 porté par les bâtis latéraux 21.4 et 215. Le bord arrière de ce segment 913 est en contact avec une barre d'aetionnement 915 sous l'action d'un ressort. 916 tendu entre le segment et la barre. Cette barre 915 est portée par deux bras identiques 917 et 918 (fig. 3B et 26) fixés à gauche et à droite de l'arbre 914 respectivement et juste à. l'intérieur des bâtis latéraux.
Les bras 91.7 et 918 portent des galets 919 et 920 en prise avec des parties fourchues de bras de came 921, 922 (voir aussi fig. 25). Le bras de droite 922 est monté fou sur un arbre 923 (fi-. 26) supporté à l'une des extrémités dans un support 287 et à. l'autre extrémité dans un support (non représenté) fixé sur la base 213 au moyen de vis 925.
Le bras 921 de gauche pivote sur un gou jon d'un support 931 (fig. 25) aligné avec, l'arbre 923. Chacun des bras de came est. relié, de façon réglable, à un levier de came 932, 5133 (fi-. 26) coopérant avec des cames 934, 935, 936 et 937 (fig. 25). Comme on le voit. en fig. 25 et 26, le levier 933 pivote sur l'arbre 923 à côté du bras 922 et ces deux organes sont réglables au moyen d'un excen trique 938 fixé à un disque 939 maintenu en position par un clip 940 fixé au bras 922 par une vis 941. Le levier 932 et le bras 921 sont reliés ensemble au moyen d'un dispositif ré glable analogue, de sorte que l'on peut régler les bras 921 et 922 pour rattraper les défauts d'alignement des cames ou des bras.
Lorsque l'arbre principal 253 . fait une révolution complète, les bras 921 et 922 bas culent d'abord dans le sens dextrorsum et ensuite dans le sens-contraire sur l'arbre 923 (fig. 26), ce qui a pour effet. de déplacer la barre d'actionnement 915 d'abord vers l'arrière (le la machine et ensuite vers l'avant, à la po sition initiale représentée à la fig. 3B. Les cré- maillères 617 sont entraînées élastiquement vers l'arrière de la machine par les ressorts 916 au cours de la première moitié de la révo lution et ramenées positivement à la position originale par la barre 915 au cours de la deuxième moitié du cycle.
<I>Totalisateurs.</I> La machine représentée comprend dix totalisateurs pour l'addition et la soustrac tion et dont la capacité est par exemple de 99.999.999,99. On voit, d'après les fig. 3B et 27, que les totalisateurs sont numérotés de 1 à 9 et que le dixième, désigné par X , est placé immédiatement au-dessous du totalisa teur N 1. Ce totalisateur X est utilisé pour les renversements de solde, comme décrit. en détail dans le brevet N 281791. Les dix tota lisateurs sont semblables et sont tous du type addition-soustraction. Il suffira donc d'en dé crue un seul.
Comme représenté aux fig. 3B et 27, cha que totalisateur comprend, dans chaque ran gée décimale, une molette 997 de vingt dents et comprenant. une came de report 998 com posée de deux dents diamétralement opposées qui coopèrent avec des cliquets de report 999 pour l'addition et des cliquets de report 1000 pour la soustraction. Les molettes des tota lisateurs sont montées folles sur un arbre 1001 qui s'étend entre deux bras latéraux d'un étrier de support 1002. Chacun de ces bras pivote sur un goujon 1003 fixé dans des plaques de séparation 1011. elles-mêmes por tées par des tiges 1012 et 1013 s'étendant entre les bâtis 1004 des totalisateurs.
Chaque paire de bâtis 1004 des totalisa teurs (le bâti de gauche et le bâti de droite), entre lesquels l'étrier de support 1002 pivote, est. fixée, à sa partie inférieure, à une paire de barres 1005 et à sa partie supérieure à une autre paire de barres 1006. Les barres infé rieures 1005 sont #à leur tour fixées par des vis à la base 213, tandis que les barres supé rieures 1006 sont. réunies ensemble par une entretoise 1015 (fig. 3B).
De plus, la première paire des bâtis 1004 est fixée aux bâtis laté raux 214 et 215 avec lesquels les bâtis des totalisateurs 1001 sont d'ailleurs en ali;ne- ment longitudinal. De plus, les entretoises 908, 909 et 910 sont fixées, par leurs extrémités, aux bâtis de totalisateurs 1001. Les molettes 997 des totalisateurs sont disposées dans le plan des crémaillères différentielles 61.7 et des crémaillères auxiliaires 907 et peuvent être embrayées avec ces crémaillères ou en être<B>dé-</B> brayées pour exécuter les différentes fonc tions de calcul.
Errrbr-(ty(tge <I>et</I> débrayage <I>(les</I> totalisateurs. Chaque totalisateur est muni d'une paire de cames d'embrayage et de débrayage pour assurer l'embrayage et le débrayage avec les crémaillères. Le mécanisme prévu à cet. effet est analogue à celui qui est. décrit clans le brevet suisse N 262592. Il suffira donc de ne donner ici qu'une description succincte de ce mécanisme.
Si l'on se réfère à la fig. 27, on voit qu'à chaque extrémité de l'arbre 1001 sont montés des galets 1007 en prise avec des chemins de came 1008 pratiqués dans des cames 1009 fixées à. l'extrémité d'un arbre 1010 porté par le bâti 1001 des totalisateurs. Les arbres <B>1010</B> prévus pour les totalisateurs supérieurs (N =i 1, ?, 1, 6 et 8) portent, en outre un bras 1021 (fig. 28) articulé à une bielle l02'' dont ].'extrémité postérieure est fourchue pour être en prise avec une tige rainurée 1023 por tée par le bâti latéral 211 et le support 801.
Les arbres d'embrayage 1010 prévus pour les totalisateur,-, inférieurs (N'19 <I>X,</I><B>3, 5, 7</B> et<B>9)</B> portent à leur extrémité des bras 10.'21 en prise avec d'autres bras 10\35 pivotant sur les arbres 1010 des jeux supérieurs de totalisa teurs. Sur chaque bras 10\Z5 pivote une bielle 1022, de sorte que la moitié des bielles 1022 est reliée aux bras 1021 et l'autre moitié aux bras 1025.
Sur un goujon 1026 fixé à la partie anté rieure (le chaque bielle 1022 se trouve un cro chet. d'embrayage 102ï coopérant avec une barre d'embravame 1028. Cette barre com prend à ses extrémités des tenons susceptibles de coulisser dans des fentes pratiquées dans le support 801 et dans un bâti 1029 (fig. 11) fixé an bâti latéral 214.
Une paire de bielles similaires 1030 et 1031 sont fixées par leur extrémité postérieure à la barre 1028 et par leur extrémité antérieure aux bras d'em brayage 838 et 810 filés à l'arbre 802. lies crochets d'embrayage 1.027 tendent normale ment à tourner dans le sens senestrorsurn sur leur pivot 1026 sons l'action de ressorts 1032, de manière à. amener des goujons<B>1033</B> (fig. 31 et 11), portés par les eroelrets, à venir en prise avec les bords supérieurs des bielles 1.022, déterminant ainsi la position normale (inférieure) (les crochets.
En se référant à. la fil. 11, on voit que la. double-came 813;811 a pour effet d'impri mer à. la barre d'embrayage 1028 quatre mou vements distincts à chaque cycle de révolution de l'arbre principal 253. Deux de ces mouve ments s'effectuent dans une direction d'em brayage, et deux dans le sens contraire, dans une direction de débrayage, avec une courte période de repos entre ces mouvements.
Dans la première phase des mouvements de la barre 1.028 dans le sens d'embrayage (vers l'avant), le totalisateur sélectionné est. embrayé avec les crémaillères pour les opérations de soustrac tion, de sous-total et de total; dans la seconde phase, clans la même direction, le totalisateur sélectionné est embrayé pour l'addition; dans la. troisième phase. maintenant dans le sens contraire, c'est-à-dire vers l'arrière, le totali sateur sélectionné est débrayé dans les sous tractions et les opérations de total.
Enfin, dans la. quatrième et dernière phase, la barre revient en position de repos et le totalisateur sélectionné est. débrayé dans les opérations d'addition et de sous-total. En commandant convenablement l'engagement et le dégage ment du crochet 1.027 avec la barre 1028, on assure dans les temps voulus conformes à l'opération désirée, l'embrayage et le dé brayage du ou des totalisateurs sélectionnés. Les dispositifs (le commande de ces mouve ments des crochets 1027, et par conséquent de l'embrayage et du débrayage des totalisa teurs, seront décrits plus loin.
3Vcanisîne <I>de</I> commande <I>des</I> totalisateurs. Au-dessous des touches de commande 652 à<B>672</B> des différentes fonctions sont disposées plusieurs glissières de commande des totalisa teurs qui ont pour objet de déterminer les temps d'embrayage et de débrayage des totali sateurs avec les crémaillères différentielles. On voit en fig. 9 et 33 qu'il. existe huit de ces glissières 1051 pour les totalisateurs N s 2 à 9 et qui sont susceptibles de coulisser longi tudinalement sur des manchons rainurés 1052 montés sur des boulons 616.
Les glissières 1051 sont sollicitées vers l'avant de la machine par des ressorts 1053 fixés, d'autre part, à (les tiges 1051 s'étendant entre les cloisons 631, 632 et 633 (voir aussi fig. <B>11).</B> Toute fois, les glissières sont retenues par une série (le leviers de commande 1056 (fig. 30) por tant des goujons 1055 qui s'engagent dans des fentes<B>1.057</B> prévues à l'arrière des glis sières 1051.
Il existe un levier de commande 1056 pour chaque glissière, et ces leviers sont pivotés sur un arbre 1058 porté par le sup port 801 et le bâti latéral 21_4. Ils présentent chacun un prolongement arrière<B>1059</B> coopé rant avec un doigt 1050 (fig. 31) prévu sur chacun des crochets 1027 d'embrayage des totalisateurs. Lorsque les pièces sont dans la position de repos de fig. 30 et 31, les prolon gements 1059 sont supportés par un étrier 1060 porté par des bras l061/62 fixés sur l'arbre 1.058. Le bras 1062 est articulé à une bielle 1.063 reliée, d'autre part, à un levier de came 1.061 tournant sur l'arbre 802.
Le levier 1061. présente -Lui galet 1.065 coopérant avec une came 1066 goupillée sur l'arbre principal 25 3. Quand ce dernier tourne clans le sens senestrorsum, l'étrier 1060 est abaissé pour laisser les ressorts 1053 tirer les glissières 1051 vers l'avant de la machine et amener les prolongements 1059 en contact avec les doigts 1050 des crochets 1027.
Vers la fin du cycle, la came 1066 ramène l'étrier 1060 à sa position initiale, ce qui ramène aussi, positive ment, les glissières<B>1051</B> de faon que les cro chets 1027 retournent également en position (le repos sous l'action de leur ressorts. Le temps exact de déplacement de l'étrier 1060 et de son retour est déterminé par le dia gramme des temps de fig. 60, ligne 6.
Le genre d'opération des totalisateurs (c'est-à-dire l'addition, la soustraction, le total, le sous-total ou la non-addition) est déterminé par la distance sur laquelle la glissière de commande correspondante est amenée à se déplacer. Ces glissières sont déplacées vers l'avant de la machine lorsque l'opération de cette dernière est déclenchée par les tabula teurs du chariot ou par les touches de com mande des fonctions. On décrira maintenant les dispositifs par lesquels les touches de con trôle commandent les glissières, tandis que les organes commandés par le chariot pour dé terminer le déplacement des glissières sera décrit plus loin.
Mécanisme<I>de</I> commande <I>du</I> totalisateur <I>N 1.</I> Ainsi qu'on le voit aux fig. 30 et 31, une glissière de commande 1067 pour le totalisa teur N 1 (fig. 33 et 35) est couplée avec l'un des leviers 1056 au moyen d'un goujon 1.055. La glissière 1067 du totalisateur N 1 est analogue aux glissières 1051 des autres totalisateurs à cette exception près que sa partie antérieure présente un bossage qui coopère avec des goujons portés par les tou ches de commande du totalisateur N 1.
La fig. 31 représente les pièces dans la position de repos, le prolongement 1059 étant à sa po sition de repos H dans laquelle il est dé gagé du doigt 1050 du crochet 1027. Quand la machine fonctionne, sans qu'aucune des quatre touches de commande 652, 653,<B>661</B> et 662 pour le totalisateur N 1 soit enfoncée, la glissière 1067 est libre de se déplacer vers l'avant de la machine sur toute sa course jusqu'à ce qu'elle soit stoppée par le contact du galet 1065 avec la partie basse de la came 1066.
Ce mouvement de la glissière 1067 a pour effet de mouvoir le prolongement 1059 à sa position la plus basse C de non-addi- tion, comme indiqué en trait mixte à la fig. 31, ce qui permet au crochet 1027 de se soulever à sa position la plus haute. Lorsque la barre d'embrayage 1028 des totalisateurs est alors déplacée vers l'avant, suivant les temps indi- gués clans le diagramme de fig. 60 (ligne 3), le crochet 1027 repose en dehors du trajet. de la. barre 1028 et le totalisateur N 1 reste en position débrayée pendant tout le cycle.
Ainsi, bien qu'un montant ait été composé sur le clavier et imprimé sur le document comp table, ce montant n'est pas enregistré dans le totalisateur N 1 puisqu'il s'agit, pour ce dernier, d'une opération de non-addition. Si, par contre, on enfonce la touche 661 Add 1 avant. le déclenchement. de l'opération, uni long goujon 1068 porté par cette touche (fig. 33 et 35) est amené sur le trajet d'une équerre 1069 prévue sur la glissière 1067 pour arrê ter cette dernière dans une position telle que le crochet.
1027 soit, lui, dans une position intermédiaire dans laquelle un talon 1.070 du crochet 1027 se trouve sur le trajet de la barre d'embrayage 1028. Par conséquent, pen dant le premier mouvement. de la barre 1028 vers l'avant, cette dernière passe à vide au dessous d'un bec 1081 du crochet. et le tota lisateur reste dégagé des crémaillères. Une fois que ces dernières ont complété leur mou vement vers l'arrière de la machine, la barre d'embrayage 1028 reçoit un deuxième mouve ment vers l'avant pour se mettre en prise avec le talon 1070 et déplacer la bielle d'em brayage 1022 vers l'avant. Ceci a pour effet.
de faire basculer la carne d'embrayage 1009 et de provoquer l'embrayage des totalisateurs avec les crémaillères, un peu avant le milieu chi cycle. Un peu au début de la deuxième moitié de ce cycle, la barre 1.028 est ramenée vers l'arrière, comme indiqué dans le dia gramme des temps, mais il s'agit là d'un mouvement à vide, puisque le bec 1081 se trouve au-dessus de la barre 1028.
Près de la fin du cycle, une fois que les crémaillère ont été ramenées vers l'avant dans la position initiale, la barre 1028 reçoit un dernier mou vement vers l'arrière, venant en contact avec un épaulement 1082 de la bielle 1022, ce qui déplace celle-ci vers l'arrière et a. pour résuil- tat de débrayer le totalisateur des crémail lères. Etant donné que, dans ce genre d'opé ration, le totalisateur N 1 a été embrayé avec les crémaillères pendant le mouvement de retour de ces dernières, au cours de la deuxième moitié du cycle, le montant composé sur le clavier a été enregistré additivement dans le totalisateur N 1.
Pour commander le totalisateur N 1 pour une opération de soustraction, on a prévu, sur la touche Soustraction l 662, un long goujon 1083 qui se trouve au-dessus de l'extrémité antérieure de la -lissière 1067 de sélection du totalisateur N 1. Lorsqu'on en fonce cette touche 662, le goujon 1083 est amené sur le trajet d'un épaulement 1084 de la glissière, de sorte que cette dernière rie peut, sous l'influence de son ressort, se dé placer que sur une très courte distance. La position de l'épaulement. 1084 est. telle, sur la glissière, que le prolongement 1.059 se trouve dans la position plus élevée ,S" représentée en trait mixte en fi-. 31.
Dans cette position, le prolongement 1059 est dégagé du doigt 1050 et la barre d'embrayage 1028 vient en prise avec le bec 1.081 du crochet 1.027 et dé place la bielle 1022 vers l'avant pour em- bra.ver le totalisateur N 1 dès le début du cycle. Les molettes du totalisateur sont donc en prise avec les crémaillères au moment où. celles-ci se déplacent. vers l'arrière dans la première moitié chi evele pour enregistrer soustractivement le montant qui a pu être composé sur le clavier à l'aide des touches 589.
Simultanément, une bielle de report 1034 (fig. 28) du totalisateur N 1 est retenue suffi samment pour qu'un crochet 1037 de com mande en soustraction soit dégagé d'un gou jon 1040, de sorte qu'un arbre 1042 de eoni- mande en soustraction est basculé et le inéea- nisme de report préparé pour une soustrac tion.
Pour déaa-er le crochet 10'r7 de la barre 1028, avant la deuxième phase de mouvement de la barre, un coulisseau 1085 (fig. 40, 41 et 42) est prévu pour actionner le crochet 1027. Comme on le voit en fig. 42, il y a autant de coulisseaux 1085 qu'il existe de totalisateurs et chacun d'eux présente en fia-Lit et en bas une partie foureliue, pour glisser sur des goujons 1086 et 1087.
Le goujon 1086 est supporté par le support 804 (fig. 28) et le bâti 1029 (fi-. 41), tandis que le goujon 1087 est porté par une paire de bras iden tiques 1088 (fig. 41 et 42) pivotant sur une tige 1089 portée par le support 641 (fig. 43 et 44). Les bras 1088 sont reliés ensemble par une tige 1090 à laquelle sont accrochés des ressorts 1091 fixés, d'autre part, à la partie inférieure des coulisseaux 1085. Ceux-ci sont donc sollicités vers le haut. jusqu'à ce qu'ils soient retenus par le goujon 1087. Chaque coulisseau 1085 présente un goujon 1092 se trouvant sur le trajet du doigt<B>1.050</B> prévu sur le crochet correspondant 1027.
Les coulisseaux 1085 sont aménagés de manière à recevoir un mouvement de va-et- vient à chaque cycle de l'arbre principal 253, à des temps indiqués par la ligne 4 du dia gramme de fig. 60. Les dispositifs prévus pour actionner ainsi les coulisseaux 1.085 sont représentés en fig. 40 et comprennent un bras <B>(le</B> came 1093 en prise avec le goujon 1087 et pivotant sur l'arbre 802. Le bras 1093 com prend des galets 1094 et 1095 coopérant avec une double-came 1096/1097 fixée sur l'arbre principal 253.
Comme le montre le diagramme des temps, les eoulisseaux 1085 sont déplacés vers le bas par la clouble-came 1096!1097 pendant que la barre d'embrayage 1028 est. en position clé repos, après son premier mouvement vers l'avant. Par conséquent, dans une soustrac tion, une fois que les molettes du totalisateur sont en prise avec les crémaillères, dans la première moitié du cycle, le goujon 1092 du coulisseau 1085 appartenant au totalisateur N 1. déplace le crochet 1027 pour le dégager (le la. barre 1028, de sorte que le deuxième mouvement clé cette dernière est sans effet sur le eoulisseau vers la. fin de la. première moitié du cycle.
Immédiatement après que la barre 1028 a terminé son deuxième mouve ment vers l'avant, le coulisseau 1085 est. sou levé pour permettre au crochet 1.027 de venir en prise avec la barre et dégager ainsi les molettes du totalisateur des crémaillères, lorsque la barre 1028 reçoit sa première phase de mouvement vers l'arrière au début. de la deuxième moitié du cycle. Une fois que la barre 1028 a terminé la première partie de son mouvement en arrière, pour débrayer les molettes du totalisateur, le coulisseau<B>1.085</B> est ramené vers le bas pour dégager le crochet 1027 de la barre 1028 pendant la seconde phase de mouvement de cette barre en arrière.
Une fois que cette dernière a terminé son deuxième et dernier mouvement vers l'arrière, le coulisseau 1085 est ramené à nouveau pour dégager les crochets 1027 et ramener les pièces dans leur position initiale de fig. 41.
Dans les opérations de total, la glissière 1067 du totalisateur N 1 est arrêtée par un goujon 1098 (fig. 35) porté par la tige de la touche 652 Solde 1 , lequel goujon coopère avec un épaulement 1099 de la glissière de façon telle que le prolongement 1059 (fig. 37.<B>)</B> soit placé .en position T qui est juste au dessus de la position .il qu'il occupe dans les opérations d'addition. Il est. à noter que, lorsque le prolongement 1059 est dans cette position, il ne soulève pas le bec du crochet 1027 au-dessus de la barre 1028, de sorte que la séquence d'opérations est, dans ce cas, la même que pour une soustraction.
En d'autres termes, pendant la première phase de mouve ment de la barre 1028, le totalisateur est. em- bray é avec les crémaillères, après quoi le cro chet 1027 est dégagé de la barre 1028 grâce au coulisseau 1085. La barre reçoit ensuite sa deuxième phase de mouvement, après quoi le coulisseau 1085 libère le bec du crochet qui s'engage à nouveau avec la barre 1028. Par suite, lorsque la barre effectue sa première phase de mouvement de retour, un peu après le milieu du cycle, le totalisateur se trouve débrayé des crémaillères. Le crochet 1027 est.
alors soulevé et se dégage de la barre 1028 sous l'action du coulisseau 1085, et la barre retourne à vide à sa. position initiale. Dans ce genre d'opération, le totalisateur est donc em brayé dans la première moitié du cycle, c'est- à-dire pendant le déplacement vers l'arrière des crémaillères, ce qui fait tourner les mo lettes du totalisateur en arrière jusqu'à ce qu'elles soient arrêtées en position zéro par la butée des cames de report. 998 (fig. 27) sur la face arrière des cliquets de report additifs 999.
Le total ainsi extrait est imprimé sur le document comptable, après quoi le totalisateur est débrayé pour le retour des crémaillères à leur position initiale, pendant la deuxième moitié du cycle. Ainsi, le montant qui avait été sur le totalisateur en a été effacé et les molettes restent à zéro.
On a prévu naturellement un dispositif pour provoquer une opération de sous-total, c'est-à-dire que les molettes du totalisateur restent engagées avec les crémaillères au début du ey cle et restent ainsi pour le retour des crémaillères. Ce dispositif sera décrit un peu plus loin.
1Técaanisme <I>de</I> commande <I>des</I> totalisateurs <B><I>Nos</I></B> 1à9.
Comme on vient de le voir, la glissière <B>1067</B> du totalisateur N 1 est. commandée par des goujons montés sur les tiges de touches correspondant à ce totalisateur N 1. Exacte ment de la même manière, les glissières 1051. des totalisateurs Nos 2 à 9 sont. commandées par les touches de commande 651 à 659, 663 à 669. Chacune des glissières 1051 (fig. 9 et 33) présente une languette 1100 pouvant. coopérer avec un mécanisme relié à la tige de chaque touche de commande.
Le méca nisme pour eommander les totalisateurs NT \_' 3, 4 et 5 est représenté aux fig. 4, 5 et 8. Un long goujon 1101 est fixé à gauche de chaque tige de touche 654, 655, 656 et 657, et ces goujons sont engagés dans des fentes verti cales prévues dans la cloison 632 (fig. 33). lies goujons 1101 (fig. 5 et 33) présentent un méplat 1102 destiné à stopper les lan guettes 1.100, comme on le décrira plus loin.
Sur chaque goujon 1101 pivote un étrier 1103 de soustraction et un étrier 1104 de total, chacun de ces étriers portant des goujons 1105 et 1106. Chacun des goujons 1105 est entouré par une série (le parties fourchues prévues le long du bord inférieur des plaques de soustraction 1111 (fi-. 8) comprenant, à ehacune de leurs extrémités, des fentes de gui dage sur des vis 1112 fixées à la cloison 631. Les goujons 1106 sont en prise avec des par ties fourchues prévues sur le bord inférieur d'une plaque de total 1113 montée coulissante sur les vis 111.2 adjacentes à la plaque 1111.
Les plaques 1111 et. 1113 présentent des arêtes 1111 et 1115 (fig. 4) coopérant avec les goujons 11.3-1 et 1135 portés par chacune des touches 658 Soustraction 2-5 et 659 Total 2-5 . Chacune des plaques 1111 et 1113 est sollicitée vers l'avant de la machine par des ressorts, pour maintenir normalement les étriers 1103 et 1101 en une position légère ment relevée, représentée en fig. 4.
Lorsque la touche 658 Soustraction 2-5 est. enfon- eée, la plaque 1111 coulisse vers l'arrière, ce qui abaisse l'étrier 1.103 dans une position à peu près horizontale. De même, lorsqu'on enfonce la touche 659 Total 2-5 , la plaque 1113 est. déplacée vers l'arrière, ce qui abaisse l'étrier 110-1 dans une position analogue.
Un mécanisme similaire est prévu pour les touches de sélection des totalisateurs N st 6, 7, 8 et 9. Comme on le voit en fig. 9 et 11, chaque tige de touche porte un long goujon 1116 s'étendant. dans une fente verticale pra tiquée dans la cloison 633, et. sur le trajet des glissières 1051 pour les totalisateurs N " 6, 7, 8 et 9. Chaque goujon 1116 supporte un étrier de soustraction 1117 et un étrier de total 1.118 munis de goujons 1119 et 1120 respectivement.
Une plaque de soustraction 1121 et. une plaque de total 1122 peuvent cou lisser sur des vis 1123 filées à la cloison 632 et présentent des parties fourchues en prise avec les goujons 1.1.19 et 1120. Les plaques 1.121 et 1122 présentent des arêtes inclinées 1124 et 1.l.2:3 sur le trajet des goujons 11.32 et 1.133 portés par la touche Soustraction 6-9 667 et la touche Total 6-9 668, sou, L'action des ressorts 11.26.
Le fonctionnement de ce mécanisme d'étriers pour les touches (les totalisateurs N '' 2, 3, 4 et 5 est. exactement le même que celui qui a. été décrit pour les touches des totalisateurs N- 6, 7, 8 et 9, de sorte qu'il suffit de décrire un seul de ces mécanismes attenant à. ce dernier groupe. Lorsqu'on en fonce une des touches (le sélection 663 à<B>666,</B> le goujon correspondant 1.1.16 est amené sur le trajet de la languette<B>1100</B> portée par la ;.lissière 1051 correspondante.
Lorsque la ma ehirre est actionnée et la glissière libérée, comme on l'a vu plus haut, la glissière du totalisateur sélectionné est déplacée vers l'avant. jusqu'à ce que la languette 1100 porte sur le méplat du goujon 1116, déplaçant ainsi le prolongement 1059 porté par le levier de sélection 1056, dans la position d'addition irwi-quée .1 en fig. 31. De cette manière, lorsqu'une des touches 663 à 666 est. enfoncée, le totalisateur correspondant est sélectionné pour une addition.
Lorsque l'une de ces tou ches n'est. pas enfoncée, aucun organe ne retient. la glissière 1051 qui se déplace alors vers l'avant de façon que les prolongements 10:,9 viennent en position C de non-addi- tion en fig. 31.
Si, par contre, la touche<B>667</B> Soustraction 6-9 est utilisée avec l'une quelconque des touches de sélection de totali sateurs, l'étrier 1117 correspondant est bas eulé sur le trajet de la languette 1100 de la ,lissière 1051 et, lors du fonctionnement de la machine, la. -glissière est. stoppée après un court déplacement. Le prolongement -1059 est ainsi amené en position S @de soustraction en fig. 31 pour provoquer une opération de soustraction dans ce totalisateur.
De même, si l'on enfonce la touche 668 Total 6-9 en même temps que l'une quelconque des touches < le sélection, l'étrier 1118 est abaissé sur le trajet de la languette 1100 de la glissière cor respondante, ce qui arrête celle-ci en position de total de faon que le prolongement 1059 @e place aussi en position T de total en, fi- 31.
1 On notera que l'enfoncement de l'une quel conque des touches 667 ou 668 seules, c'est à-dire sans les touches de sélection, aura pour effet de faire basculer les étriers, mais que ce mouvement n'aura aucune influence sur la languette 1100 jusqu'à. ce que l'une des tou- elies de sélection 663 à 666 ait, été enfoncée pour l'amener en position active.
Ainsi, lorsque l'une quelconque des touches 667 ou 668 est enfoncée, tous les étriers associés basculeront, niais seul l'étrier porté par la touche de sélec tion enfoncée aura une action effective pour stopper la glissière 1051 correspondante. Comme on le voit dans la fig. 33, une glissière 1127 de commande est prévue pour le totalisateur X . Cette glissière est ana logue à la glissière 1051, mais ne comprend pas de languette 1100, car le totalisateur X n'a pas à être actionné manuellement du cla vier.
En effet, on a indiqué plus haut que ce totalisateur est généralement utilisé comme accumulateur pour les opérations de renverse ment de solde et ne l'est. généralement pas pour l'enregistrement des soldes. Toutefois, si pour une application particulière de la ma chine, on ne désire pas imprimer des soldes créditeurs ou négatifs, il est tout à fait pos sible de sélectionner le totalisateur X>> exactement comme les autres, sous l'action du chariot, de sorte que, dans ce cas, la machine possède une capacité de dix totalisateurs d'addition et soustraction.
La glissière 1127 pour le totalisateur X ne remplit pas de fonction de sélection en addition, soustraction, total ou sous-total, mais possède seulement. les fonctions de commander certaines pièces de la machine pendant les opérations de total- négatif, ainsi que cela est décrit en détail dans le brevet N 281791.
Commande <I>des</I> opérations <I>de total.</I> Dans les opérations de total, il est néces saire que les cliquets d'arrêt à zéro 614 (fig. 3A) soient basculés pour libérer les cré maillères<B>617</B> de façon'que ces dernières puis sent se déplacer et faire tourner les molettes 997 en sens contraire jusqu'à ce que ces der nières soient arrêtées par le contact de leurs cames de report 998 (fig. 27) qui, avec les cliquets de report additifs 999, fixent ainsi la position différentielle des crémaillères et des secteurs imprimants 942 suivant les montants accumulés sur les molettes.
Dans les additions et les soustractions, les cliquets d'arrêt à zéro 614 sont écartés par l'enfoncement des touches de montants 589 agissant, par leur goujon 607, sur les glissières de commande 611, ce qui éloigne les cliquets des blocs 616. Dans les opérations de total, au contraire, aucune tou che de montant. n'étant enfoncée, il faut donc prévoir d'autres organes pour libérer les cré- maillères des cliquets d'arrêt à zéro. Dans la machine représentée, ce résultat est obtenu au moyen de la bielle de rappel 761 (fig. 17) qui se déplace vers l'arrière de la machine dès le déclenchement du cycle.
Le goujon 764 de la bielle fait pivoter l'arbre 766 dans le sens dextrorsum, de faon que le goujon 768 monté sur chaque bras 769 vienne agir sur une arête 1128 (fig. 3A) portée par chacune des glissières de commande 611 qui se trou vent ainsi déplacées vers l'avant, libérant donc les cliquets 614. En même temps, les goujons 768 coopèrent avec les bossages 767 portés par les glissières de retenue 609 prévues dans les rangées de montants, de manière à libérer, dès le début de l'opération, les touches qui auraient pu accidentellement rester enfoncées et empêcher ainsi les goujons carrés 605 por tés par les touches de stopper les crémaillères 617 dans une position autre que celle qui est.
fournie par le total accumulé.
Le déplacement de la bielle 761 de rappel des touches au début du cycle, plutôt qu'à la fin comme dans les opérations normales, est obtenu au moyen du mécanisme représenté en fig. 21. Un verrou de rappel<B>1.129</B> pour les touches est monté pivotant sur un goujon 1130 porté par la partie postérieure de la bielle 761.. Une partie crochue 1131 de ce verrou est. en prise avec un téton 1141 monté sur l'une des branches d'un levier l1-12 tour nant sur un goujon 1143 fixé au bâti latéral 214. Ce levier 1142 est en prise, par son autre branche, avec un goujon 11.44 porté par l'une des branches d'un levier coudé 11.-15 monté fou sur l'arbre 802.
L'autre branche est mu nie d'un galet 1146 coopérant, avec la péri phérie d'une came 11-17 goupillée sur l'arbre principal 253. Lorsque ce dernier tourne dans le sens de la flèche, le bossage de la canne 1147 fait pivoter le levier coudé 11-15 et. le levier 1142 dès le début du ey ele de manière à déplacer le téton 1141 vers l'arrière de la machine et permettre le déplacement de la bielle 761 dans le but indiqrié plus haut.
Pour éviter que ce rappel des touches effectué au début de l'opération ne s'exécute dans les additions et les soustractions, les glis- sières 1051 clé sélection pour les totalisateurs N \ 2 à 9, la glissière 1067 pour le totalisateur N 1 et la. glissière.17.27 (fig. 33) pour le totalisateur X , sont munies à leur partie inférieure d'épaulements 1.148 en contact avec un étrier 1149 (fig. 19) lorsque les glissières sont en position de total.
Cet étrier 11-19 est goupillé sur un arbre 1150 (fig. 43 et 44' monté dans les parties latérales du support 641. Sur l'arbre 1150, près de son centre, est également goupillé un bras<B>1151</B> muni d'un goujon 71:i2 en prise avec une fente allongée d'un coulisseau 11.53. Celui-ci peut glisser sur le goujon 1152 et sur une tige 1154 portée par le support 641. Un prolongement<B>1155</B> de ce coulisseau peut venir en contact avec 'Lin goujon 1156 porté par un bras 1157 monté fou sur l'arbre 802. Le bras 11:i7 porte un galet. 1158 coopérant avec une came 1159 gou pillée sur l'arbre principal 253.
L'extrémité de droite de l'étrier 1149 pré sente un bras 1160 (fi-. 19) muni d'un gou jon 1161 auquel est. accroché un ressort 1162 fixé d'autre part au support 6-11.. Ce ressort, comme d autres ressorts (lui seront déerits plus loin, tend à pousser le coulisseau<B>11.53</B> vers l'avant et à maintenir le prolongement 1155 en contact avec le goujon 11.56.
Lorsque la came 1159 tourne dans le sens de la flèche de ficp. 44, la. partie de faible diamètre de la came a. pour effet. de faire tourner le bras <B>1157</B> et de déplacer le eouli,sseau 1153 vers l'arrière de la machine, sous l'action des res sorts 1162.
Il en résulte que l'arbre<B>1150</B> tourne dans le sens dextrorsurn pour amener un goujon 1163 (fig. 17 et 19) monté sni- un bras 116-1 de l'arbre 7150, à faire pivoter le verrou de rappel<B>1.129</B> clans le sens senestrorsum (fig. <B>17),</B> dégageant ainsi le crochet<B>1131</B> du téton l1-11. et.
empêchant un rappel prématuré clés touches clé montants, Toutefois, si l'une quelconque des glissières clé commande des totalisateurs est dans une position telle que les épaulements 1.1-18 soient au-dessus des étriers 17.19, la rotation de l'arbre 7150 sera empê- ehée et le verrou 1129 restera en prise avec le téton 1141 de manière à provoquer un rap pel immédiat des touches de montants.
On rappellera que, dans les opérations de total, les molettes sont débrayées des crémail lères vers le milieu du cycle. A ce moment, la. barre d'actionnement 915 (fig. 3B) a atteint. le maximum de sa course vers l'arrière, et les ressorts 916 sont sous tension pour tirer les crémaillères vers l'arrière. Les crémaillères sont cependant empêchées d'exécuter un tel mouvement, car les cames 998 butent contre les cliquets de report. additifs 999.
Pour em- pêcher que les crémaillères soient tirées subi tement par les ressorts 916 au moment où les molettes sont débrayées, vers le milieu du cycle, on a. prévu une série de cliquets de retenue 1165 (fig. 3A,19 et 20) coopérant avec une denture 1171 formée à la partie inférieure (le chaque crémaillère 617. Ces cliquets 1165 pivotent sur un arbre 1172 porté par les bâtis latéraux 214 et 215 et chacun d'eux tend a. être en prise avec une tige<B>1173</B> sous l'action d'un ressort 1174.
Cette tige<B>1173</B> est sup portée par deux bras identiques 1175 fixés sur l'arbre 1172 qui pivote dans le sens senestrorsttm (fig. 19 et 20) avant. le dé- hra.yage des totalisateurs, dans les opérations de total. Le dispositif servant à faire tourner l'arbre 1172 est représenté en fig. 19 et com prend un levier à trois branches 1176, gou pillé sur l'arbre 813, et dont la. branche supé rieure 1177 est en prise avec un goujon 1178 porté par le levier 812 et ce sous l'action d'un ressort 1179.
L'arbre 813 porte également, .juste à gauche du bâti 214, un bras 1180 qui est articulé à une biellette 1181 librement. arti- cnlée à son autre extrémité à un bras 1182 fixé sur l'arbre 1172. Lorsque le levier 812 tourne dans le sens dextrorsum, sous l'action des cames 796, 797 (fig. 17 et. 19), le ressort 1179 déplace l'arbre 813 avec le levier 812 et tend ainsi la genouillère que forment le bras 1780 et la biellette 1181. Il en résulte que le ras<B>1182</B> est soulevé et que l'arbre 1172 tourne dans le sens senestrorsuin pour soule ver la tige 1l73 et amener les cliquets 1165 en prise avec les dents 1171 de la crémaillère 617.
Les crémaillères 617 ne peuvent ainsi se déplacer vers l'arrière au moment où les mo lettes du totalisateur sont débrayées, bien qu'elles puissent être déplacées sans danger vers l'avant sans gêner l'action des cliquets 1165, la denture 1171 ayant la forme de ro chets.
Dans le cas d'opérations autres que le total, on est obligé de prévoir des organes destinés à empêcher les cliquets 1165 de venir en prise avec les crémaillères, car cette opéra tion est non seulement inutile, mais également à éviter. Le mécanisme prévu à cet. effet, et représenté en fig. 19, consiste en une glissière de blocage 1183 coulissant sur une tige 1184 du support 641 et sur un goujon 1.185 porté à l'extrémité du bras 1164. Cette glissière 1183 est tirée vers le goujon 1185 par'un res sort 1186.
Lorsqu'un des épaulements 1148 porté par les glissières 1051 de commande des totalisateurs se trouve au-dessus de l'étrier 1149, la glissière de blocage<B>1183</B> reste à la position représentée en fig. 19, permettant le mouvement des cliquets de retenue 1165 qui viennent en prise avec les dents 1171 des cré maillères 617.
Toutefois, pour une opération autre qu'un total, il n'y a aucun épaulement 1148 au-dessus de l'étrier 1149, de sorte que l'arbre 1150 peut tourner dans le sens dex- tr orsum sous l'action du ressort 1162, et la glissière 1183 peut se déplacer au-dessous d'une oreille 1187 prévue à l'extrémité d'une des branches du levier 1176. Celui-ci ne peut par conséquent pas suivre le mouvement du levier 812 et les cliquets de retenue 1165 res tent en position abaissée, dégagés des dents 1171.
Comme on le voit d'après les lignes 1 et 2 du diagramme des temps de fig. 60, les cré maillères sont ramenées complètement à leur position initiale avant que les cliquets de rete nue 1165 soient dégagés des cliquets de la denture 1171. Toutefois, comme le montre la ligne 7 de ce diagramme, la came 1159 tend à ramener la glissière de blocage 1183 plus tôt; dans le cycle, que les cliquets 1165, ce qui tend ainsi à dégager la glissière de l'oreille 1187 du levier à trois branches 1176.
Si l'on permettait ce mouvement., les cliquets 1165 viendraient s'engager avec la denture 1171 et ces dents frotteraient sur les eliquets au cours de la dernière partie du mouvement de retour des crémaillères. Cette action est.
empêchée grâce à un bec 1188 prévu sur la glissière 1183 et pouvant venir en prise avec l'oreille 1187 pour empêcher la continuation du mouvement de la glissière, ce qui provoque la tension du ressort 1186 lorsque le goujon<B>1185</B> est ramené à sa position initiale vers la droite (fig. 19).
Le levier 1176 à trois branches reste ainsi bloqué par la glissière jusqu'à. ce que le levier 812 soit rappelé, et l'oreille<B>1187</B> se dégage du bec 1188 pour permettre à. la glissière de reprendre sa position initiale, sous l'action du ressort 1186. Jlécarrisrrre <I>de</I> commande <I>des</I> opérations <I>de</I> sous-total.
On a prévu des mécanismes permettant, au moyen des touches de commande, d'extraire un sous-total de l'un quelconque des totali sateurs, sauf du totalisateur X . A cet effet, la touche 653 SoiLs-Total 1 est prévue pour extraire un sous-total du totalisateur N 1 et unie touche 669 Sous-Total pour les totali sateurs N S 2 à 9. Dans ce dernier cas, il faut enfoneer simultanément une touche de sélec tion 659 on 668 et la touche Sous-Total 669.
Comme le montre la fi-. 37, les touches 65 et 669 coopèrent avec une glissière de sous total 1190 coulissant sur des boulons 646, comme les autres glissières, d'ailleurs. Un res sort 1191 tend à. tirer la glissière 1190 vers L'avant, mouvement normalement empêché, sauf pendant l'opération de la machine, au moyen de l'étrier 1060 coopérant avec un levier 1192 analogue aux leviers 1056 associés aux #_li.4ères de totalisateurs, avec cette diffé- rence toutefois que le prolongement 1059 n'a pas lieu d'exister.
Le levier 1192 porte un ;-oujon 1193 en prise avec une partie crochue de la glissière 1190.
Pendant le cycle de la machine, l'étrier 1060 est abaissé et la glissière 1190 se déplace vers la droite (fi-. 37) ou vers l'avant de la machine, sous L'action de son ressort 1191. Si aucune des deux touches 653 ou 669 n'est en- foncée, la glissière exécute sa course complète vers la. droite, tandis que si l'une des deux touches en question est utilisée, la glissière ne peut effectuer qu'une partie de sa course, car elle est retenue par ses épaulements 1201 et 1202 qui butent contre des goujons 1194 ou 1195 portés par les touches 653 ou 669.
Le bord inférieur de la Glissière 1190 pré sente nui évidement. 1203 susceptible de coopé rer avec une oreille 1204 formée sur un bras 1205 d'un étrier 1206 monté sur une tige 1207 portée par le support 641 (voir aussi fig. 43 et 44).
L'étrier 1206 est commandé par un bras 1208 pivotant. sur la. tige 1207 et est sollicité vers l'arrière de la machine par un ressort 1209. Le bras est. cependant retenu par un goujon 1210 monté sur le coulisseau 1153 et coopérant avec. le bras 1208 pour maintenir celui-ci dans la position de fig. 44. Toutefois, lorsque le cycle est déclenché et que le cou- lisseau <B>1153</B> 3 se déplace vers l'arrière, le bras 1208 et l'étrier 1206 tournent dans le sens dextrorsum sur la tige 1207, ce qui amène l'oreille 1.204 en prise avec l'arête inférieure de la glissière 1190.
Des bras 1211 pivotent. aussi sur la tige 1207 (voir aussi fig. 41) et chacun d'eux est muni d'une patte 1212 coopérant. avec la face inférieure de l'une des ;-lissières 1051, 1067 et 1127. Chaque bras 1211 est articulé à. des bielles<B>1.213</B> pouvant coulisser sur la tige 1151 et sollicitées vers la gauche (fi,-. 41<B>)</B> par un ressort. 1214 disposé entre 1a bielle et une tige 1215 portée par les flasques du support 641.
De ce fait, une arête rectifiée 1216 du bras 1211 est pressée élastiquement contre le bord inférieur de l'étrier 1206.
Dans toutes les opérations autres que le sous-total, la glissière <B>11.90</B> est déplacée vers l'avant de la machine pour amener une arête 1217 à. se placer au-dessus de l'oreille 1204 du bras 1205, empêchant ainsi la rotation, dans le sens dextrorsuin, < le l'étrier 1206, lorsque la machine est en fonction. Les bras 1211 associés aux gILssières de commande des totalisateurs sont ainsi retenus grâce au con tact de leur arête 1216 avec l'étrier 1206.
Toutefois, lorsque l'une des touches 653 ou 669 est enfoncée, la glissière 1190 est déplacée vers l'avant de la machine, mais pas suffi samnient pour que l'arête 1217 se place au- dessus de l'oreille 120-1. De ce fait, l'étrier 1206 peut basculer dans le sens dextrorsum pendant l'opération, ce qui libère les bras 121.1. pour un mouvement analogue, sous l'ac tion des ressorts 1214.
Cependant, comme on le voit en fig. 41, les bras sont individuelle ment verrouillés par les arêtes inférieures des glissières (le commande des totalisateurs, sauf: dans le cas où ces glissières ont pu se dépla cer clans une position de total pour laquelle une encoche 1218 se place au-dessus des pattes 121.2.
Ainsi, lorsqu'une touche de total a été enfoncée pour amener l'encoche<B>1218</B> de la glissière sélectionnée au-dessus de la patte 121.2, ainsi que la touche sous-total qui éloigne l'étrier 1206 de l'arête rectifiée 7.216, la bielle correspondante 1213 peut se déplacer vers l'avant (vers la gauche en fig. 41) et amener un doigt 1219 formé sur la bielle à se placer contre l'arête d'une oreille 1.2,\'r0 formée sur eliaeuii des coulisseaux 1085.
II en résulte que, lorsque le coulisseau sélectionné est. abaissé pendant. l'opération de la machine, le doigt <B>121.9</B> peut se placer au-dessus de l'oreille 7.220 sous l'action du ressort 121-1. Le coulisseau <B>1085</B> est. donc maintenu en position abaissée pendant le reste du cycle d'opération, comme indiqué à la ligne 4 du diagramme des temps, ee qui maintient. le crochet 1027 d'embrayage (lu totalisateur en position inactive.
Par con séquent, clans une opération de sous-total, le totalisateur reste embrayé avec, les crémail lères pendant le cycle entier au lieu d'en être débrayé peu après le milieu du cycle, de sorte que la somme accumulée sur les molettes du totalisateur se trouve être imprimée et re- transférée aux molettes pour constituer tune opération de sous-total.
Comme on l'a vu plus haut, il est néces saire, dans un sous-total, d'enfoncer l'une des touches total 659 ou 668, afin de positionner convenablement la glissière de commande 1051 et aussi d'enfoncer la touche 669 Soiis-Total pour libérer l'étrier 1206 et. lui laisser son mouvement de pivotement dans le sens dex- trorsum. Dans le cas du totalisateur N 1, toutefois, la touche 653 Sous-Total 1 est munie d'un talon 1221 (fig. 4) placé au-dessus d'un bec 1222 formé à la base de la touche 652 Solde 1 .
Ainsi, lorsque cette touche 653 é st enfoncée, la touche Solde 1 est entraînée pour commander le mouvement de la glissière 1067 (fig. 35) assurant l'embrayage du tota lisateur N 1 et simultanément pour provo quer le blocage de la glissière 1190 de sous- total par le goujon 1194 (fig. 37) après un court déplacement de cette dernière glissière.
Il y a lieu de noter qu'il est possible d'extraire un total de chacun des totalisateurs du groupe N 5 2 à 5 ou du groupe N 8 6 à 9 et de transférer la somme accumulée soit additivement, soit soustractivement, dans l'un quelconque des totalisateurs de l'autre groupe. Il est également possible, en utilisant les touches de commande pour le totalisateur N 1, d'enregistrer ces sommes soit additive- ment, soit soustractivement, dans le totalisa teur N 1.
De même, un total extrait du totalisateur N 1 peut. être transféré soit addi- tivement, soit soustractivement, dans un des totalisateurs N 5 2 à 5 et dans l'un quelconque des totalisateurs Nos 6 à 9 et ce par simple enfoncement des deux touches de commande correspondantes.
Dans certains cas, il peut être désirable d'établir une longue addition d'un très grand nombre de sommes à enregistrer dans le tota lisateur N 1 et, dans ce cas, il faut éviter à l'opérateur d'avoir à enfoncer chaque fois la touche Add 1 661. Pour ce faire, il est prévu un verrou spécial 1223 (fig. 9) pivo tant en 1224 sur une équerre formée sur la plaquette de retenue 637, ce verrou présen tant une encoche 1225 coopérant avec un gou jon<B>1226</B> porté par la tige de la touche 661 Add 1 . Par conséquent, cette touche peut être maintenue enfoncée de façon permanente, jusqu'à ce que le verrou 1223 soit libéré.
On notera également que la touche 662 Sous traction 1 possède une priorité sur la touche 661 Add 1 étant donné que le goujon 1083 (fig. 35) porté par la touche Soustraction 1 effleure l'épaulement 1081 prévu sur la glis sière 1067 de commande du totalisateur N 1 avant que le goujon 1068 de la touche 661 Add 1 ne vienne sur le trajet de l'équerre 1069. Ainsi, si les deux touches sont enfoncées simultanément, c'est une soustraction qui sera exécutée.
Interverroitillaye <I>entre les</I> touches <I>de</I> contnzand <I>e.</I> Pour éviter les fausses manoeuv res de la part des opérateurs, on a prévu certains interverrouillages entre les touches de com mande. Par exemple, les touches de sélection 651 à 657 et 663 à. 666 sont pourvues d'un mécanisme qui a. pour but d'empêcher d'en foncer simultanément, plus d'une touche dans chacun des groupes.
Ce mécanisme d'interver- rouillage entre les touches 663 à 666 est repré senté aux fig. 28 et 33 où l'on peut constater que chacun des longs goujons 1116 portés par les touches est engagé dans une fente allon gée 1231 pratiquée dans la cloison 633. Les extrémités extérieures de ces goujons coopè rent avec des arêtes 1232 d'une série de mas selottes 1233 pivotant en 1231 sur la cloison 633.
Un mécanisme analogue (non représenté) est prévu pour les touches de sélection 65-1 à <B>657</B> correspondant. aux totalisateurs N 5 2 à 5, de sorte qu'il n'est. pas non plus possible d'en foncer simultanément. plus d'une touche total pour ce groupe. Des dispositifs sont également prévus pour empêcher l'enfoncement de la touche 668 Total 6-9 en même temps que la touche 667 Soustraction 6-9 ou la touche 659 Total 2-5 en même temps que la touche 658 Soustraction 2-5 .
Ce mécanisme d'in- terverrouillage entre les touches de total et de soustraction pour les totalisateurs Nos 2 à 5 est représenté aux fig. 1 et 6 et comprend une masselotte 1235 pivotant sur un goujon 1236 de la cloison 631. Cette masselotte pré sente deux arêtes 1237 coopérant avec des gou jons 1238 et 1 39 portés respectivement. par les touches 659 et 658. Si l'on enfonce l'une de ces deux touches, la masselotte bascule et verrouille l'autre touche.
Comme on le voit en fin. 9, les touches 668 Total 6-9 et 667 Soustraction 6-9 sont également verrouil lées réciproquement clé la même manière, cette fois au moyen d'une masselotte 1210 pivotant sur la cloison 633. Ces interverrouillages ont pour but d'empêcher que l'on essaye d'exécu ter simultanément une opération de total et -unie soustraction.
On a également prévu des moyens pour empêcher d'utiliser simultanément phLs d'une touche de total à la fois. Par exemple, comme représenté à la fig. 6, la. touche Solde l 652 est verrouillée par rapport à la touche 659 Total. 2-5 en ce sens qu'un goujon 7..\'J11 porté par la touche 652 coopère avec tune arête d'une masselotte 1212 pivotant en 1213 sur la cloison 631.
Cette masselotte est reliée à. la masselotte 1235 par une biellette 1211 de façon telle que, lorsque l'on enfonce l'une de ces deux touches, les deux masse- lottes soient. basculées pour verrouiller les touches. La touche 6:52 Solde 1 est ver rouillée par rapport à la touche 668 Total 6-9 a.t-u moyen du mécanisme représenté aux fig. 7 et 9.
Comme on le voit, le goujon 691, porté par la touche 652, agit sur une arête 1255 de la détente 701 pour déplacer celle-ci vers la gauche (flg. 7) lorsque la touche est enfoncée. Ce mouvement a pour effet d'en traîner, dans le même sens, un bras 12-15 et de faire tourner un arbre 1216 dans le sens dextrorsum (fig. 9).
Sur cet arbre est égale ment goupillé un bras 1217 dont une arête 1218 et un épaulement. 1.249 coopèrent avec le noujon 1133 fixé sur la touche 668 lorsque l'arbre 1?16 tourne loirs le sens dextrorsum. Lorsque l'on enfonce la touche<B>652,</B> le bras 1217 est déplacé vers la gauche pour amener l'arête 1218 au-dessous du < goujon 1133 (le la touche 668 qui, par conséquent, ne peut plu, être enfoncée.
Si, au cours (le l'opération sui vante clé la machine, la touche 668 Total 6-9 est enfoncée, le goujon 1133 coopère avec l'arête 1218 pour faire basculer l'arbre 1\'16 dans le sens senestrorsurn. De ce fait, la détente 701 se déplace vers l'avant de la machine pour amener l'arête 1255 au-dessous du goujon 691 porté par la touche 652 Solde 1 . Par suite, si l'opérateur essaie d'enfoncer cette touche 652, il constate que la touche est. bloquée, puisque le goujon 1133 a été déplacé derrière l'épaulement 1219 du bras 12.17 qui empêche la détente 701 de se déplacer vers l'arrière de la machine.
La tou che 659 Total 2-5 et la touche 668 Total 6-9 sont réciproquement verrouillées au moyen du goujon 698 (fig. 7) porté par la touche 659, lequel goujon coopère avec une arête 1250 formée sur la détente 701.
La touche 6.52 Solde 1 et la touche 662 Soustraction 1 sont également verrouillées réciproquement, toujours pour empêcher une fausse man#uvre. Comme indiqué en fig. 9, un levier d'interverrouillage 1251 pivotant en <B>1252</B> sur la cloison 632 présente un bras 1253 diri-é vers l'avant en prise avec le goujon 1098 disposé sur la. tige de la touche 652. 1-ne branche 1254 du levier 1251, dirigée vers le haut, coopère avec le goujon 1083 porté par la touche 662.
Par conséquent, si la touche 652 est. enfoncée, l'arête supérieure de la branche 1254 est amenée au-dessous du gou jon 1083, empêchant ainsi l'enfoncement de la touche 662. Vice versa, si la touche Sous traet.ion 662 est enfoncée, le goujon 1083 vient se placer sur le trajet de la branche 1251 et le levier 1251 empêche que l'on puisse enfoncer la touche 652. Mécanisme <I>de</I> sélection.
Ainsi qu'on l'a mentionné précédemment. toutes les fonctions de la machine peuvent pratiquement être commandées par le chariot. Pour décharger celui-ci de la force qui lui serait ainsi imposé s'il devait mécaniquement commander tous les leviers ou autres pièces (le commande, on a prévu un mécanisme sen sible qui vient en quelque sorte tâter les pla ques de commande 1405 portés par les tabu lateurs 1.374, lorsque le chariot est déplacé dans ses différentes positions.
Comme le mon trent les fig. 45, 46, 47 et 48, ce mécanisme consiste en des doigts sensibles comprenant à leur partie supérieure une tête sensible 1889 et ces doigts peuvent prendre quatre formes différentes, comme indiqué par les références 1890, 1891, 1892, 1893. Ces doigts sensibles sont tous guidés à leur partie supérieure par des ouvertures pratiquées dans une plaque de guidage 1891 fixée à un bloc 1900 lui-même porté par une cornière 216. A leur extrémité inférieure, les doigts sensibles sont articulés à. une série de leviers qui sont ainsi comman dés par les doigts sensibles lorsque ces der niers coopèrent avec les plaques 1405.
Ainsi, chaque doigt sensible 1890 est articulé à l'ex trémité de droite d'un levier<B>1.901,</B> et ces leviers sont montés sur des goujons 1902 et 1903 disposés sur une plaque de bâti 190-1 supportée par la partie verticale de la cor nière 216 au moyen de nervures<B>1905.</B> Chaque levier est sollicité, dans le sens senestrorsum, par un ressort 1906, de manière à maintenir les doigts sensibles en prise avec les plaques de commande 1405. Près de son extrémité de gauche, chaque levier 1901 comprend une paire de doigts de guidage 1907 et 1908 coopérant avec. des goujons rainurés 1909 et une plaque de guidage 1910 respectivement, pour guider le mouvement vertical des leviers.
Au-dessous d'une arête 1911 formée sur cha que levier 1901 est disposé un coulisseau 1912 qui commande le mécanisme sensible (voir aussi fig. 21) et qui peut coulisser verticale ment sur les goujons 1913 et 824. Ce coulis- seau 1912 comprend une goupille (non repré sentée) en prise avec une fente pratiquée dans un levier 1915 pivotant. en 1916 sur le bâti latéral. L'autre extrémité du levier 1915 porte un goujon 1917 en prise avec un levier 1918 tournant sur l'arbre 802 et l'autre branche 1920 du levier peut coopérer avec des galets 1921, 1922 et 1923 portés entre des cames 796 et 1147 (voir aussi fig. 25).
Lorsque l'arbre principal 253 tourne dans le sens senestrorsum (fig. 21), le galet 1921 s'écarte de la branche 1920, laissant le ressort 1906 abaisser le coulisseau 1912, ce qui a pour effet de soulever les têtes. sensibles 1889 pour venir sur le trajet des parties inférieures des plaques de commande 1405. Comme le montre la fig. 46, chacune des plaques 1405 présente deux épaulements dont l'un coopère avec la rangée de gauche des têtes' sensibles 1889 et. l'autre avec la rangée de droite.
Chacun des épaulements peut être découpé à quatre hau teurs différentes, la position 0 , indiquée en fig. 46, correspondant à. l'absence de plaque, la position A à l'addition pour laquelle les doigts sensibles sont arrêtées après leur course complète, la position S de soustraction cor respondant à une course intermédiaire des doigts sensibles et enfin la position T de total pour laquelle les doigts sensibles ne se déplacent que sur une faible distance.
Les têtes sensibles 1889 des doigts sensibles sont ramenées à leur position inférieure, repré sentée en fig. 46, vers la fin du cycle de la machine, a11 moyen du galet 1923 (fig. 21) qui vient en contact avec la branche 1920 du levier 1918, ce qui soulève le coulisseau 1912. Une fois que le galet 1923 a. dépassé l'extré mité de la branche du levier 1918, le galet suivant 1922 sert à. maintenir le coulisseau dans sa position élevée jusqu'à ce que le galet 1921 revienne en contact avec la branche 1920 pour maintenir le coulisseau dans sa position supérieure jusqu'à la fin du cycle.
* Afin que le coulisseau 191_2 soit abaissé an temps convenable du cycle, le levier 1918 présente un bras 1924 dont la partie infé rieure peut coopérer avec un goujon 1925 fixé à la came 1147. Ce dispositif ajoute son effet à. celui produit par les ressorts 1906 pour abaisser le coulisseau 1912, de façon que le levier 1915 bascule dans le sens dextrorsum tout au début du cycle. Ceci est nécessaire, notamment, pour assurer l'opération appro priée, au début du cycle, de certains méca nismes de renversement de solde, pour des raisons qui sont expliquées dans le brevet Ni 281791.
Le coulisseau 1912 présente, près de son bord supérieur, une encoche 1926 en prise avec l'extrémité arrondie d'un levier 1927. (fig. 46) pivotant en 1919 sur la plaque 1904. L'autre extrémité de ce levier comprend un 9:0ujon 1928 copérant avec une lumière. pra tiquée dans l'un des bras latéraux 1930 d'un étrier 1929. Les bras latéraux 1930 pivotent en 1931 sur la plaque 1904, et l'étrier 1929 est disposé au-dessus d'une série de languettes 1932 solidaires des doigts sensibles 1892 et 1893 pour assurer la commande des têtes sen sibles 1889 correspondantes.
On voit donc que, lorsque le coulisseau 1912 est abaissé, l'étrier 1929 est soulevé, ce qui a pour résultat de mettre les doigts sensibles en prise avec les plaques de commande 1.105.
Comme le montre la fig. 47, le doigt 1892 est, articulé à 1u1 bras 1933 pivotant sur un 8011j011 1934 de la plaque 1904. Sur ce gou jon pivote également un autre bras 1935 muni d'un goujon<B>1936</B> placé sous un prolongement du bras 1933. Le contact. entre les bras est assuré au moyen d'un ressort 1937 tendu entre les deux bras. Cet ensemble est. solli cité dans le sens dextrorsum au moyen d'un ressort. 1938, de sorte que le doigt 1892 est soulevé et la languette 1932 est en contact avec l'étrier 1929.
Dans l'exemple considéré, on a prévu trois doigts sensibles 1892 pivo tant sur un dispositif sensible analogue à celui qui est formé par l'ensemble des bras 1933 et 1935. Ceux-ci sont. représentés égale ment. à la<U>fi-.</U> 45 dans laquelle les bras cor respondant au bras 1935 sont désignés par les références 1939 et 19.10. Ces bras pivotent sur le goujon 1-934 et sont reliés élastiquelnent à des bras analogues au bras 1933. Le bras <B>1935</B> est relié au mécanisme d'introduction par l'avant et au mécanisme d'espacement des lignes.
Le bras 1.939 est relié au mécanisme de tabulation avant, et le bras 1.940 est relié au mécanisme de tabulation arrière. Ces mé canismes sont complètement décrits dans le brevet.<B>NI,</B> 281791.
La fig. -18 montre que les doigts sensibles 1893 pivotent à. l'extrémité de gauche des leviers 1941- et. 1-942. Les leviers 1941 et 19:12 sont articulés à des bielles 1.943 et 1944 res- peetivenient, reliées, d'autre part, aux bras latéraux 1930 de l'étrier 1929. Aux extrémités des leviers 19.11 et 1942 se trouvent également des bielles 19.50 et 1951.
Il faut. noter que la construction de ce mécanisme est telle que, si les têtes sensibles 1.889 correspondant. aux doits sensibles 1893 sont stoppées par les plaques 1-10:1, lorsque l'étrier 1929 est élevé, les bielles<B>1950</B> et 1971 sont également soule- %-ées, tandis que si les doigts sensibles peu vent se déplacer librement. le long de l'étrier 192S), aucun mouvement n'est communiqué à ces bielles 1950 et 1951.
La fi-. 49 montre que la bielle 1.951. est articulée à. un bras<B>1.952</B> qui, avec un autre bras analogue 1.953, constituent un étrier 195-1 (l'impression. Les bras 195 '.. et 1953, supportés har les flasques latérales d'impression 916 (1'i_. 3p), sont sollicités dans le sens dextror- suin (fig. 19) par un ressort. 1957.
Comme représenté à. la fig. 3B, l'étrier 1951 est amé nagé de manière à coopérer avec des lan guettes 1958 formées sur les plaques de com- niande 919 de l'impression, de manière à. arrê ter le mouvement d'impression de tout. ou partie des secteurs imprimants 912.
Le bord postérieur de l'étrier 1951 (fig. 19) est dé coupé de manière à présenter trois épaule ments; si c'est la hauteur T de la plaque (le commande 1105 qui est présentée à la tête sensible 1889, l'étrier 1951 est basculé sur toute sa. course et empêche tous les secteurs de fonctionner.
C'est la fonction de non-im- pression . Si, au contraire, c'est une hauteur ' qui est présentée à la tête sensible, l'étrier 1.951 est arrêté sur une partie de sa course, de sorte que deux épaulements sur trois sont. en position d'engagement avec les lan,uettes 1.958, ce qui a. pour résultat d'em pêcher une partie seulement des secteurs im- primants (le fonctionner, par exemple pour empêcher l'impression des montants.
Enfin, si une hauteur tel de la plaque de commande est présentée à. la tête sensible, l'étrier 1951 est déplacé suffisamment loin pour qu'un seul de, épaulements soit en contact avec les lan- < ,icettes 1958 et empêche encore d'autres sec- tetcrs d'imprimer, par exemple pour la non impression des centimes. Si la tête sensible 1ï18!1 peut se déplacer librement sur toute sa course, l'étrier 1954 reste stationnaire et tous les secteurs imprimants peuvent imprimer.
Les têtes sensibles 1889, qui commandent la bielle 1950, servent à déterminer le section nement de l'impression entre certaines co- lonnes décimales prédéterminées, par exemple pour empêcher l'impression des zéros à droite du sectionnement. Ceci est obtenu par les pièces représentées en fig. 51 dans laquelle on voit la bielle 1950 articulée à une plaque triangulaire 1959 pivotant sur un flasque d'impression 1960. Cette plaque porte un gou jon 1961 en contact avec un épaulement formé sur l'un des deux bras d'un étrier 1962 pivo tant en 1963. Entre les deux bras de l'étrier est disposée une tige 1961 à laquelle est arti culée l'extrémité supérieure d'une biellette 1965.
Par conséquent, lorsque la tête sensible 1889 est retenue dans son mouvement vers le haut, la bielle 1950 est. soulevée en provo quant un mouvement analogue de la biellette 1965 et un sectionnement de l'impression entre les colonnes que l'on désire.
La machine représentée présente trois doigts sensibles 1891 munis des têtes sensibles 1889. Comme le montre la fig. 46, les doigts 1891 sont articulés à des leviers sensibles 1966 pivotant sur le goujon 1903 et présen tant, à leur extrémité de gauche, une forme analogue à celle des leviers 1901.
Le levier 1.966 associé aux têtes sensibles 1889 com prend une languette 1967 reliée à une corde à piano 1968 qui sert à commander l'impres sion de la date, comme décrit en détail dans le brevet N 281791.. Sélection <I>des</I> totalisateurs par <I>les</I> tabulateurs. On voit par les fig. 30 et 45 que les extré mités de gauche des leviers sensibles 1901 et 1.966 présentent des extrémités repliées 1969 disposées au-dessous de leviers 1970 pivotant: sur une tige 1971. supportée elle-même par le support 833 et un bâti 1972 (fig. 28).
Chaque levier 1970 comprend Lin goujon 197Ô (fig. <B>30)</B> en prise avec un bras 1971 pivotant en 1975 sur le support 833. Chaque bras 1974 est solli cité dans le sens senestrorsum par un ressort 1976, de façon que le bras 1974 et le levier <B>1970</B> suivent le déplacement vers le bas des extrémités des leviers sensibles 1901 et 1966, au moment du fonctionnement de la machine. Sur l'axe 1.975 pivote également un bras de butée 1977 muni d'un goujon 1978 maintenu i,n contact avec un épaulement du bras 197-1 sous l'influence d'un ressort 1979.
Chacun de ces bras de butée 1977 présente un bec d'arrêt 1980 pouvant coopérer avec des épaulements en escalier prévus sur un coulisseau sensible l981. Chacun des coulisseaux est articulé, à son extrémité antérieure, à l'un des leviers 1056 de commande des totalisateurs et est. guidé à l'arrière par une fente ouverte 1982 qui coopère avec une tige fixe 1983.
On voit donc que les prolongements 1059 qui com mandent les crochets 1027 d'embrayage des totalisateurs, peuvent être également contrôlés par le coulisseau 1981, au lieu de l'être par les glissières 1051 de totalisateurs, ce qui donne lieu, pour le fonctionnement des totali sateurs, à une commande conjointe entre le mouvement du chariot et les touches du cla vier.
L'extrémité de chaque coulisseau 1981 présente deux épaulements 1981 et 1985 qui peuvent coopérer avec le bec 1980 pour placer le prolongement 1059 dans ses positions d'ad dition et de total, respectivement. Un troisième épaulement mobile est prévu sur les coulis seaux 1981 et consiste en une barrette 1986 pivotant à. l'extrémité du coulisseau 1981. et qui peut, avec son autre extrémité, coopérer avec les becs 1980 de manière à placer le pro longement 1059 dans la position de soustrac tion.
Les positions occupées par le bec d'arrêt 1980, sous la commande des leviers sensibles 1901 et.<B>1966,</B> sont. indiquées en trait mixte à la fil-. 30. Si aucune plaque 1405 n'est pré sentée pour arrêter la tête sensible 1889 dans son mouvement. ascendant, le bec<B>1980</B> se dé place à sa. position la plus élevée ou position Zéro qui correspond à la non-addition dans les totalisateurs.
Lorsqu'une plaque de hau teur _1 coopère avec la tête sensible 1889, le bec 1980 prend la position A et permet au coulisseau <B>1981</B> de se déplacer vers la @auehe (fig. 30) jusqu'à, ce que l'épaulement 1984 vienne en contact avec le bec pour stop per le prolongement 1059 à la position d'addi tion.
Lorsqu'on est en présence d'une plaque de hauteur S , le bec 1980 est. soulevé à cette position S de manière à coopérer avec l'extrémité de la barrette 1986 pour stopper le coulisseau et le prolongement 1059 à la position de :soustraction. Enfin, dans le cas d'une plaque de hauteur T , le bec 1980 adopte la. position T pour venir en contact avec l'épaulement 1985 du coulisseau et stop per le prolongement 1059 à. la position de total.
La liaison élastique prévue entre le bras 1974 et le bras (le butée<B>1977</B> au moyen du ressort<B>1979</B> et du goujon<B>1978,</B> permet au coulisseau 1912, qui eommaiide le mouvement des leviers 1.901 et 1966, d'être rappelé en position initiale au début du cycle de ma chine et ce plus tôt que l'étrier 1060 qui com mande les prolongements <B>1.059</B> et le coulisseau 1981. flràce à l'épaulement 1985, les becs d'ar rêt.<B>1980</B> sont empêchés de revenir en position initiale, mais toutefois, du fait de la liaison élastique existant entre les bras 1974 et 1977, les leviers sensibles peuvent être rappelés en position initiale en tendant. le ressort 1979.
Lorsque le coulisseau 1.981. retourne par la suite en position de fig. 30, le bec 1980 re tombe en position normale et le goujon 1978 revient en contact avec l'épaulement du bras 197-1.
Le mécanisme que l'on rient de décrire est exactement le même pour chacun des totali sateurs \"s 1 à 9, ainsi que pour le totalisa teur Î , lequel, comme mentionné plus haut, peut. être sélectionné à partir des tabulateurs pour les opérations d'addition, desoustraction et de total, rien n'étant prévu pour sa sélec tion à partir du clavier. Pour les opérations de sous-total, on utilise un coulisseau de forme légèrement différente.
Les fi--,-. -15 et 37 mon trent en effet. la tête sensible 1889 qui est reliée à un levier (le sous-total 1987 analogue aux leviers 1901. L'extrémité (le gauche du levier 1.987 est également repliée pour coopé rer avec le bord inférieur des leviers 1970 pivotant en 1971.
Il existe également un bec d'arrêt 1980 qui peut être ramené dans une position .1 représentée en trait. mixte en fil-. 37, position dans laquelle il coopère avec un coulisseau de sous-total 1988 articulé au levier clé sous-total 119,\3. et convenablement guidé par la tige fixe 1983. Lorsqu'une pla- < lue (le longueur A est placée au-dessus de la tête sensible 1889, le coulisseau 1988 est stoppé par le bec, 1980 de manière à posi tionner la glissière de sous-total 1190 à la po sition qui correspond à une extraction de sous total.
Si aucune plaque n'est présentée à la tête .sensible ou s'il s'agit de plaques de hau teur S ou T , le coulisseau 1988 n'est pas arrêté par le bec 1980, et la glissière 1190 se déplace sur toute sa course vers l'avant de la machine, empêchant ainsi la prise de sous- total. Touche <I>de</I> rcnverseinent <I>des</I> totalisateurs. Comme on l'a mentionné dans le para graphe préeédent, les barrettes 1986 qui coopèrent avec les becs 1980 pour stopper les prolongements <B>1.059</B> dans les opérations de soustraction,
sont articulées aux coulisseaux <B>19,81,</B> permettant ainsi d'abaisser ou d'élever les barrettes 1986 par rapport aux coulis seaux. Ce mouvement est obtenu à. l'aide d'un niécanisnie représenté en fig. 31 et qui com prend la. touche de renversement 671 dont un lyoujon est en prise avec l'extrémité crochue (l'un levier 1989 pivotant en 1990. Ce levier comprend un bras qui coopère avec un gou jon<B>1991</B> porté par un bras 1992 monté foii sur l'arbre 1058.
Le mouvement dit bras 199:.' est. communiqué à une plaque triangulaire 93 au moyen d'une bielle 1995 (fig. 32). <B>La</B> plaquette 1993 est fixée sur un arbre 1994 porté, cl'une part, par le support. 833 et, (l'autre part, par la plaque de bâti 1972. On voit. en fig. 3\? qu'une seconde plaque triangu laire 2000, fixée également sur l'arbre 1994, est séparée de la première au moyen d'une tire '?001.
Sur cette dernière pivotent. une série (le fourches 2002 comprenant une fente <B>2003</B> destinée à. coopérer avec des goujons 2004 portés par les barrettes 1986. Ces fourches sont également. munies d'une fente verticale '_'005 en prise av eè la tige 1983 qui leur sert.
ainsi de guidage dans leur mouvement ver- tieal. Un ressort 2006 attaché à la tige 2001 tend à faire tourner la tige et les plaques triangulaires 1993 et 2000 dans le sens dex- trorsum autour de l'arbre 1994 pour mainte nir les fourches dans leur position inférieure ou normale. Lorsqu'on abaisse la touche 671 de renversement, les fourches 2002 et la bar rette 1986 sont soulevées de la position de fig. 30 dans une position dans laquelle la. bar rette coopère avec l'extrémité du bec d'arrêt 1980 lorsque celui-ci est dans la position A .
Par conséquent, une plaque 1405 appropriée produit l'arrêt du prolongement 1059 à la position de soustraction lorsqu'une plaque 1405 S laisse le coulisseau se déplacer vers la gauche jusqu'à ce que l'épaulement 1984 bute contre l'extrémité d'un bec 1980, provo quant ainsi une opération d'addition. Ce ren versement de la sélection d'addition et de soustraction ou vice versa à partir des tabu lateurs de chariot petit être utilisé pour cor riger une erreur d'écriture ou pour enregis trer une ristourne. <I>Touche de</I> non-sélection.
On a prévu, dans la machine représentée, un mécanisme pour, dans certaines conditions données, débrayer la commande, par le cha riot, de la sélection des totalisateurs. Par exemple, si l'on abaisse soit la touche 672 de non-sélection, soit l'une des touches de total 659 ou 668, toute la sélection des totalisateurs à partir du chariot se trouve être débrayée, permettant ainsi de manipuler la machine au moyen des touches de commande de totalisa teurs, sans l'intervention des tabulateurs de chariot. De même, si l'une quelconque des touches de commande pour le totalisateur N 1 est utilisée, la commande de ce totali sateur à partir du chariot est également dé brayée.
Le mécanisme prévu à cet effet est repré senté à la fi,-. 53 dans laquelle on voit que la touche de non-sélection 672 porte un gou jon 2007 en prise avec un bras 2008 goupillé sur un arbre 2009 supporté par les cloisons. Cet arbre 2009 porte un autre bras 2010 en contact avec un goujon 2011 fixé à l'extrémité d'un levier 2012 solidaire d'un arbre 2013 porté par le support 833 et le bâti 1972. Le levier 2012 est. articulé à une bielle 201.1 reliée, d'autre part, à un levier coudé 2015 fixé à. un manchon 2016 tournant sur une tige 2017- portée par le support 833 et le bâti 1972. Un autre levier coudé 2018 est. fixé sur ledit manchon et une tige 2019 relie les deux leviers coudés 2015 et 2018.
Sur la tige 2017 est monté également un manchon court 2020, à chaque extrémité duquel est fixé un levier coudé 2021 et 2022 reliés entre eux par une tige 2023. Le levier coudé 2021 porte un gou jon 2024 placé sur le trajet d'un des bras du levier coudé 2018, de manière à abaisser la tige 2023 chaque fois que la tige<B>2019</B> est elle- même abaissée.
Comme le montre la fig. 30, la tige 2019 est placée au-dessus d'un doigt 2025 \faisant partie des bras de butée 1977 associés aux tota lisateurs X Nos 2 à 5 et N 5' 6 à 9. De même (fig. 37), la tige 2023 est placée au-dessus de doigts faisant partie des bras de butée 1977 attenant au totalisateur N 1 et au mécanisme de commande des opérations de sous-total. Par conséquent, chaque fois que la.
touche de non-sélection 672 est enfoncée, le goujon 2007 fait tourner l'arbre 2009, et le bras 2010 fait basculer le levier 2012 en même temps que l'arbre 2013, mouvement qui est communiqué par la bielle 2014 au levier coudé 2015, ce qui abaisse les tiges 2019 et 2023. Il s'ensuit que les becs d'arrêt 1980 pour tous les totalisa teurs et pour le mécanisme de sous-total sont soulevés en position inactive de non-addition, alors que les ressorts 1979 sont tendus. Les tabulateurs du chariot sont donc rendus in actifs et les totalisateurs peuvent être sélec tionnés comme on le désire à partir du cla vier, quelle que soit. la position du chariot.
On a également prévu un mécanisme grâce auquel l'enfoncement des touches de com mande 659 pour les totalisateurs Nos 2 à 5 et 668 pour les totalisateurs N 5 6 à 9 a pour effet de débrayer la sélection à partir des tabulateurs, car un tabulateur de soustraction ou de sous-total a normalement la priorité sur la commande par touche et cela provo querait, sinon, une opération de soustraction ou de sous-total au lieu d'un total.
Comme le montre la fi-. 53, la touelie 659 Total 2-5 comprend un ;goujon 2026 placé sur le trajet d'un bras 2027 goupillé sur V arbre 2009.
lia touche 668 Total 6-9 est naitnie d'un dis positif analogue qui eomniaiade l'arbre '_'009. Si donc on enfonce l'une ou l'autre de ces touches, l'arbre 2009 tourne et eoniniande, par la chaîne mécanique précédemment décrite, l'abaissement des tiges 2019 et \3023, ce qui, on vient de le voir, amène les lices d'arrêt <B>1980</B> eii position de non-addition.
On a prévu "également des organes grâce auxquels les quatre touches de, commande pour 1e totalisateur N" 1 assurent le déplace ment de la tige 2023 pour débrayer la com mande par tabulateur du totalisateur N 1 et du mécanisme de sous-total. En effet, la fig. 53 montre que la touche 652 Solde 1 et la touche 653 Sous-Total 1.
portent des g <B>y</B> o ujons 691 et 692, respectivement, coopérant avec des arêtes inclinées de la détente 700 (voir aussi fi-. 7). de façon que l'enfonce ment. de ces touches ait pour effet de déplacer cette détente vers l'arrière. Cette détente com prend un prolongement. 2028 en contact avec un goujon 2029 porté par un bras 2030 pivo tant.
sur l'arbre<B>1058,</B> La partie supérieure de ce bras est reliée par une bielle 2031 au levier coudé 2022. Par conséquent, chaque fois qu'on enfonce l'une des touches 652 ou 653, la tige 2023 est abaissée pour provoquer le débrayage de la. commande par chariot du totalisateur N 1 et du mécanisme de sous-total.
Les tou- ehes <B>661</B> Add 1 et 662 Soustraction 1 ont également pour effet, lorsqu'elles sont utili sées, d'abaisser la tige 2023, car ces touches portent. les goujons 706 et 707 coopérant avec une arête inclinée de la détente 715, laquelle est reliée à la détente 700 par l'intermédiaire de bras 2033 fixés sur uti arbre 2032.
Il ré sulte donc de cette disposition que l'utilisa tion des touches 661 et 662 a pour effet de débrayer la eonimande par eliariot de la sélec tion du totalisateur. Iw-pressioia. des symboles.
4 droite des secteurs 9-12 imprimant les montants sont disposés deux secteurs 2460 et <U>'</U>461 (fig. 50 et 52) destinés à l'impression (l'abréviations et symboles. Ces secteurs sont analogues aux secteurs 942 et pivotent à l'extrémité des bras d'impression 2462 et 2463 supportés par un arbre d'impression 945. Le dispositif pour déclencher les secteurs de sym- boles est. décrit. clans le brevet N 281791 et n'est. pas répété ici.
Les organes de réglage des secteurs de symboles sont aussi décrits en détail dans ce brevet, en ce qui concerne les secteurs 923, et. comprend des bielles 2464 et <U>2465</U> qui relient les secteurs 2460 et 2461 à (les bras de réduction 2466 et 2167 montés sur l'arbre 914. Chaque bras de réduction est relié à. un segment 2468 et 2469 reliés par des bielles 2470 et. 2471 à des bras 2472 et 2473 fixé. sur des arbres 2474 et 2475 d'impres sion des symboles. Les bielles 2-170 et 2471. ,ont retenues vers l'arrière de la machine au moyen de ressorts 2476 qui tendent à amener les secteurs en position d'impression.
Comme le montre la. fig. 3A, les arbres 247-1 et 2-175 ,'étendent sur toute la largeur de la machine, sous le clavier, ce qui permet de commander 1 a position de ces secteurs au moyen des tou- elies de commande disposées à gauche du clavier.
Comme représenté à la fig. 54, la mise en position de l'arbre 2474 est commandée par suie paire de glissières 2-177, 2478 qui coopè rent avec des butées portées par les touches 661 Add <B>l ,</B> les touches 658 et 667 de sous traction et la touche 671 de renversement et également avec un curseur 2352 décrit en dé tail dans le brevet N 281791. De cette ma nière, le secteur 2460 est mis en position diffé rentielle pour indiquer le symbole voulu du genre d'opération effectué.
Il en est de même pour l'arbre 2-175 qui est commandé par une paire (le glissières 2479 et 2480 coopérant avec (les butées portées par les touches des totali- satenr,S N ' 2 à 9.
Les fi--. 33 et 54 montrent. que la glissière 2-180 comprend quatre saillies 2481 qui peu vent venir en prise avec les goujons 1116 lorsque l'une des touches correspondante est. enfoncée, ce qui arrête la glissière 2480 et l'arbre '-1475 à des positions différentes trans- mises au secteur imprimant qui vient impri mer les symboles 6 , 7 , 8 ou 9 (fig. 52). La mise en position de la glissière et de l'arbre se fait sous l'action du ressort 2-176 fixé au bras de réduction 2467, lorsque la barre d'ae- tionnement 915 est. déplacée vers l'arrière de la machine.
La gli--,ière 2480 est couplée à l'arbre 2475 au moyen d'un bras 2482 fixé sur l'arbre et dont un goujon 2483 est. engagé dans une chape de la glissière. Celle-ci com prend deux fentes allongées qui lui permet tent de glisser sur des boulons 646. De même, la glissière 2479 est animée d'un mouvement coulissant analogue et elle comprend une en coche 2484 en prise avec un goujon 2485 monté à l'extrémité supérieure d'un bras 2486 fixé sur l'arbre 2475. La glissière 2479 pré sente en outre quatre saillies 2487 pouvant coopérer avec des goujons 2488 (fig. 33) por tés par les tiges des touches de total 654 à 657. Par conséquent, lorsque l'une de ces tou ches est enfoncée, le goujon correspondant.
2488 est. placé sur le trajet. de l'une des sail lies 2487 pour arrêter la glissière 2479 à la position voulue. Lorsque la barre d'actionne- ment 915 est déplacée vers l'arrière de la ma chine, au cours du cycle, le ressort 2476 aura pour effet de faire tourner l'arbre 2475 dans le sens senestrorsum (fig. 54) et faire en sorte que le goujon 2485 se déplace librement dans l'encoche 2484 jusqu'à ce qu'il touche son arête postérieure ou entraîne à ce moment-là la glissière qui peut glisser jusqu'à ce que l'une des saillies rencontre un goujon 2488. Le secteur 2461 imprimant les symboles est.
ainsi stoppé à la position clans laquelle il im prime un des symboles 2 , 3 , 4 ou 5 .
Si aucune des touches de sélection N 5 2 à 9 n'est utilisée, l'arbre 2:175 ne peut tourner sous l'action du ressort 2-176 par suite d'un bras "2489 dont l'extrémité supérieure com prend une équerre 2490 en prise avec un doigt 2491 solidaire d'un bras 2492 pivotant en 646. Le bras 2492 présente une goupille 2493 qui s'étend de chaque côté du bras, la partie de gauche pouvant coopérer avec un bec 2494 (fig. 55) de la. détente 719 correspondant aux touches de sélection des totalisateurs Nos 6 à 9.
Comme on le voit en fig. 56, la partie de droite de la goupille 2493 est en prise avec une glissière 2501 coulissant par des fentes 2502 sur des vis 1l1\3 (voir aussi fig. 4). I n ressort 2503 tend à tirer cette glissière 2501. vers l'avant de manière à maintenir des arêtes 2504 en contact avec des goujons <B>2505)</B> portés par les tiges des touches de sélection 651- à. 6 < 57 des totalisateurs N ' 2 à 5.
De même, la détente 719 de fig. 5 5 comprend des arêtes in elinées 2506 coopérant, avec les goujons<B>708,</B> 709, 710, 711 portés par les tiges des touches (le sélection (les totalisateurs N ç 6 à. 9, ces arêtes étant maintenues en contact avec les goujon,, sous l'action du ressort. 2503.
Par conséquent, si l'on enfonce l'une quelconque des: touches de sélection N " 2 à 5 ou N- 6 à 9, le bras 2-192 bascule dans le sens senestror-- sum pour écarter le doigt 21-91 de l'équerre 2-190, ce qui a pour résultat de libérer l'arbre 247-.ï et par conséquent de préparer la mise en position du secteur 2461 pour l'impression (lu symbole.
Le secteur imprimant 2.160 est commandé de la même manière par les glissières 2477 et 2475. Chacune des glissières est en prise avec des goujons 2507 et<B>2508</B> portés par des bras 2509 et 2510 fixés sur l'arbre 2474. Des sail lies 251l et 2512 prévues sur la glissière 2477 -sont en contact avec le goujon 1239 porté par la. touche<B>658</B> (Soustraction 2-5) et ave(, l'équerre<B><U>2351</U></B> qui termine le curseur 2352, ce qui contrôle la.
position du secteur 2460 pour le symbole 2513 de soustraction (fig. 52) ou le symbole 2514 de renversement de solde. De rnênie, la glissière 2475 peut coopérer avec des (youjons 2515 et 2516 portés respectivement par la touelie <B>671</B> (le Renversement et la touche<B>667</B> Soustraction 6 à 9 , goujons qui sont. amenés sur le trajet d'arêtes 2517 et 2:51S de ladite glissière.
De cette manière, le secteur imprimant 2460 est amené à la posi tion voulue pour imprimer le symbole 2519 (le renversement (un losange par exemple) ou le symbole 2513 de soustraction.
La glissière 2477 présente, à droite, un doigt 2533 qui peut être en prise avec le goujon 1.068 porté par la touche 661 Add 1 dans le but. (le commander la position du sec teur imprimant 2-160 pour l'impression d'un symbole 2534 correspondant ii l'addition clans le totalisateur N 1.
Lorsqu'on enfonce la. touche 672 (le Non- sélection , les glissières 2-177 e1 2-17S sont libérées, comme on le verra plus loin, et comme il n'existe pas (le goujon porté par cette touche pour bloquer les glissières, ces dernières se déplacent sur toute leur course, ce qui correspond à l'impression. d'un sYnibole 2521 de non-séleetion.
D'autres positions du secteur 2460 sont déterminées par un bras (le butée 2522 (fin. 34, :35 et 36) porté par l'arbre 2474 et muni d'un goujon 2523 en prise avec un bras de sélection 252-1 monté fou sur le boulon 646.
Ce bras présente une branche 252:i munie de deux arêtes 2526 et<B>2.527</B> coopérant avec des goujons carrés 2530 et 2525 portés par la glis sière 1.067 du totalisateur N I et par la glis sière 1190 de sous-total. Ainsi, (fans les opé rations de sous-total, la glissière 7190, au lieu de se déplacer librement sur toute sa course,
est arrêtée à sa position de sous-total qui place le goujon carré 2528 sur le trajet de l'arête 2527 pour arrêter le secteur 2-160 à la posi tion d'impression du symbole 2529 de sous- total. De même, lorsque la glissière 1067 (fin. 35) du totalisateur N 1 vient en posi tion de soustraction, le goujon 2530 porté par cette glissière vient se placer devant l'arête 2527 et positionner ainsi le secteur 2460 pour imprimer un symbole 2537. de soustraction 7.
Si la glissière 1067 peut se déplacer à sa po sition de total, le goujon carré 2530 vient coopérer avec l'arête<B>2526</B> qui correspond à l'impression du symbole 2532, soit Solde<B>1 .</B>
Au sujet de ce mécanisme, il faut noter que les symboles qui sont commandés par des goujons portés par les tiges de touches ne sont pas imprimés lorsque la commande est exécutée par le chariot au lieu (les touelies, tandis que les svrirboles qui sont eornrnaridé5 par les glissières des totalisateurs sont. impri més dans les deux cas.
Les symboles mention nés en dernier lieu 2:i29, 2531. et<B>2532</B> sont (le la deuxième catégorie, ainsi qu'un symbole ?535 de total dont, l'impression est comman- dée par des languettes 2536 (fig. 36) placées ait -clessott@ des glissières 1051 (voir aussi fit. 9).
Lorsque les glissières de commande 10;1 pour les totalisateurs N s 2 à. 9 se dé- lrlaeent. vers la droite (fig. 36) à leur posi- lion de total, les languettes 2536 viennent -;e plagier au-dessus d'un étrier 2537 (fig. \39, 36, 4:1 et 44) pivotant sur un arbre 2538.
Un res sort \'5:;9 tend à maintenir l'étrier 2537 en @@@ntact avec les lan-uettes <B>2536,</B> mais nor- iiialenrent l'étrier est maintenu au-dessous du trajet cles languettes grâce à Lui goujon 2540 41) porté par le coulisseau 1153 en prise avec un doigt 2541 fixé à un manchon 2542 29) monté librement sur l'arbre 2538.
\e inanclron 2e42 porte un bras de l'étrier '1a37 (lui est, par conséquent, retenu par le 1@0njon 2:r40 jusqu'à. ee que le coulisseau soit relriclié vers l'arrière, au moment voulu du c@-cle (ligne 7 du diagramme des temps fig. 60).
1.':i Litre bras de l'étrier ?537 est relié élastique- nient à un doigt de blocage 2543 disposé sur le trajet d'un goujon 2544 porté par le bras (le sélection 2524, lorsque l'étrier est empêché de tourner clans le sens dextrorsum par l'une files languettes 2536.
Le contact du goujon -'a44 et du doit 2543 a pour effet (le déter- iciner la position du secteur 2460 pour l'im- 1iression du symbole 2535 de total, indiquant ainsi qu'un total a été extrait de l'un des lotalisateurs N s 1 à, 9.
Si ce total est imprimé s@ms la commande des touches de sélection, le seetenr imprimant. 2461 est amené à la posi tion. qui imprime non seulement le symbole, irais le numéro du totalisateur choisi. Si ce tolu] est imprimé sons la commande d'un tabulateur, seul le symbole total<B>253315</B> est im- primé.
Le doigt 2543 est relié élastiquement au bras de droite de l'étrier 2537 pour permettre ;i l'étrier d'être rappelé par le coulisseau 1153 (fig . 44) un peu avant le bras de sélection '_'534. On notera que le goujon 2544 vient. se plagier au-dessus du doigt '2543 lorsque l'étrier ,)-37 se déplace vers le haut par suite de l'absence d'une languette 2536 et se trouve ainsi au-dessus du doigt 2543 lorsque ce der nier est rappelé.
, Le bras de butée 2522 présente une équerre 2550 (fig. 34) pouvant coopérer avec un doigt. 2551 solidaire d'un bras de blocage 2552 fixé sur l'arbre 2538. Ce bras est en prise avec un goujon 2553 porté à la partie inférieure d'une glissière 2554 pouvant cou.. lisser horizontalement.
A gauche de l'arbre 2538 est goupillé un bras 2555 portant, d'autre part, un goujon 2556 en prise avec la partie inférieure d'une glissière 2557. Les glissières 2554 et<B>2551</B> sont tirées vers l'avant de la machine sous l'action d'un ressort 2558 bien que, normalement, elles soient retenues à leur position arrière (fig. 34) grâce à un goujon 2559 porté par un bras 2560 fixé à l'arbre 2538. Ce goujon est en contact avec l'extrémité supérieure du cou- lisseau <B>1153</B> (fig. 44). Les pièces en question étant dans la position représentée, le doigt 2551 se trouve au-dessus de l'équerre 2550 et n'empêche pas la rotation de l'arbre 2474.
Lorsque, toutefois, la machine effectue son cycle, le doigt<B>2551</B> est déplacé derrière l'équerre 2550 avant le mouvement de la barre d'actionnement 915 et empêche ainsi le secteur 2460 d'être amené en position d'im pression. Les glissières sont munies d'épaule- nients pouvant coopérer avec des goujons pôr- tés par les tiges de commande, afin d'empê cher le mouvement vers l'avant de ces glis sières lors du fonctionnement de la machine.
A cet effet, l'extrémité antérieure de la glis sière 2554 présente des épaulements 2561 et 2562 disposés immédiatement derrière les gou jons 1083 et 1098 portés par les touches 662 Soustraction 1 et 652 Solde 1 . Ainsi, lors qu'on enfonce l'une de ces touches, la glissière est bloquée et l'arbre 2474 peut tourner libre ment pour mettre le secteur 2460 en position d'impression. Il y a lieu de noter qu'il n'y a pas d'épaulement pour le goujon 1194 de la touche 653 Sous-Total 1 , car, lorsque cette touche est. enfoncée, la touche 652 est égale ment entraînée.
De la même manière, le goujon 1068 porté par la touche 661 Add 1 est placé devant un épaulement 2567 prévu sur la glissière pour la mise en place d'un symbole 2534 cor respondant. Les touches 658 Soustraction 2-5 et 669 Total 2-5 portent des goujons 2563 et 2564 pouvant. être amenés an devant d'épaulements 2565 et 2566 de la glissière 2551 pour permettre l'impression d'un symbole convenable.
Pour des raisons analogues, le curseur 2352 est muni d'une équerre 2568 qui peut. être amenée devant un épaulement 2569 de la glissière 255-1, lorsque ce curseur est actionné pendant un renversement de solde, pour blo quer la glissière et préparer l'impression d'un symbole 251-1 correspondant au renversement de solde. La glissière 2557 présente deux doigts 2570 et 2571 dirigés vers le haut et pouvant coopérer avec les goujons 2515, 2516, 2572 et ?573 portés par les touches 671, 667, 672 et 668 respectivement, ce qui a également pour effet d'arrêter la glissière et de préparer l'im pression du symbole correspondant.
Etant donné que le coulisseau 115 (fig. 44) est, dans le cycle, rappelé à, sa posi tion initiale avant l'arbre 2474, le doigt 2551. est écarté de l'équerre 2550, alors que le res sort 2476 (fig. 50) tend toujours à tirer la bielle 2-170 vers l'arrière de la machine. Par conséquent, l'arbre 2474 et le secteur corres pondant 2460 tendent à sauter en position d'impression, si des moyens ne sont pas pré vus pour empêcher cette condition.
Cet incon vénient peut être éliminé par un dispositiî représenté en fig. 59 et qui comprend un ver rou 2591 pivotant en 2592 sous l'action d'un ressort 2593 pour venir en prise avec une équerre 259-1 disposée à l'extrémité supérieure d'un bras 2595 goupillé sur l'arbre 2474. Nor malement, ce verrou est empêché de venir coopérer avec l'équerre grâce à. un goujon 2596 porté par un levier 2186 qui appuie contre un prolongement 2597 du verrou. Lorsque la ma chine fonctionne, le goujon s'écarte du pro longement et, à ce moment, le verrou vient en prise avec l'équerre 2594 à la. condition que l'arbre soit, à ce moment-là, verrouillé par le doigt. 2551.
Si l'arbre n'est pas verrouillé, l'équerre vient se placer au-dessous du verrou à un moment où le goujon 2596 déplace le prolongement _597, de sorte que le verrou travaille à. vide. Si, au contraire, l'arbre est bloqué, le verrou devient actif et retient l'arbre contre tout. mouvement une fois que le doigt 2551 s'écarte de l'équerre 2550 et il continue à. être actif dans le même but jus qu'à ce que la, barre d'actionnement 915 ait été rappelée à sa position initiale.
En plus des glissières 255-1 et 2557, on a prévu Lui étrier 2571 (flg. 29, 35, 43 et 44) entourant l'étrier 2537 et. muni d'un épaule ment surélevé<B>2575</B> qui coopère avec une languette 2576 (fia. 35) prévue à la partie inférieure tic la glissière 1067 dit totalisateur 1. L'autre branche de l'étrier 2574 pré sente une fente 2577 en prise avec un goujon "578 porté par une bielle 2579 articulée à un bras 2580 goupillé sur l'arbre 2538.
La partie antérieure de la fente<B>2577</B> est en forme d'arc de cercle suivi par le goujon 2578 lorsque la. bielle 2579 bascule autour de son pivot sur le bras 2580, de sorte que l'étrier \)574 et l'arbre 2538 sont liés ensemble pour un déplacement, lorsque le goujon est (laits la partie antérieure de la fente, comme repré senté en fig. 29.
Lorsque la glissière 1067 du totalisateur N 1 se déplace à. sa position de total, ce qui amène la languette 2576 au-dessus de l'épaulement.<B>2575</B> de l'étrier, ce dernier et l'arbre 2538 ne peuvent tourner sous l'action du ressort. 2555 et le doigt<B>2551</B> ne petit venir au devant de l'équerre 25:i0, ce qui bloque par conséquent le mouvement de l'arbre 247-1 d'impression des symboles.
Il en résulte que les symboles 2532 (Solde 1) et 2529 (Sons- Total) peuvent être imprimés librement lors qu'une opération de total on de sous-total dans le totalisateur N 1 est déclenchée par un tabulateur du chariot.
De même, le sym bole 2531 (Soustraction) peut être imprimé lorsqu'une soustraction est commandée dans le totalisateur :\ 1. par un tabulateur, et ce au moyen d'une pièce 2581_ (fig. 35) pivo tant sur Lin goujon 258? de la. glissière 1067 et qui petit être maintenue en position active ou inactive au moyen d'un écrou de serrage :
?583. Lorsque cette pièce est en position active (fig. 35), sa partie postérieure se trouve au- dessus de l'épaulement 2575 lorsque la glis sière 1067 est en position de soustraction, em pêchant ainsi le doigt 2551 de verrouiller l'arbre 2474.
Si, pour une raison quelconque; on désire ne pas imprimer le symbole Sous traction 1 dans les opérations commandées par les tabulateurs, ce qui est le cas lorsqu'il n'est pas nécessaire d'obtenir des copies car bone et qu'il est suffisant d'avoir le montant soustrait imprimé en rouge sur l'original, on peut déplacer la. pièce 2581 à sa position inactive pour laquelle la partie postérieure n'est plus en position de blocage de l'étrier 2574. De cette manière, l'arbre 2.175 d'impres sion des symboles est verrouillé par le doigt 2551.
On notera d'ailleurs que l'impression du symbole de Soustraction 1 au moyen de la. touche 662 (Soustraction 1) reste effective étant. donné que le goujon 1083 se déplace au (levant de l'épaulement 2561 (fig. 34).
Comme on le voit en fig. 43, un goujon \3:584 est porté par l'un des bras de l'étrier 2:ï74 immédiatement au-dessous de l'arête de l'étrier 2.537, de sorte que lorsque ce dernier est maintenu abaissé, l'étrier 2574 est abaissé à son tour. En conséquence, lorsque l'une quelconque des glissières 1051 pour les tota lisateurs N ' 2 à 9 est amenée en position de total, pour laquelle les languettes 2536 sont <B>.</B> au -dessus de l'étrier 2537, l'étrier 2574 est également empêché de se soulever au cours du cycle d'opération, et le doigt 2551 ne vient pas en position effective de blocage de la rotation de l'arbre 2474.
Il en résulte qu'un symbole 2535 est imprimé pour les opérations de total commandées par les tabulateurs aussi bien que pour les opérations commandées par les touches de sélection, pour indiquer qu'un total a été extrait d'un totalisateur N S 2 à 9.
On a reconnu qu'il était parfois désirable d'imprimer un symbole indiquant qu'un tota lisateur se trouve à zéro. Ordinairement, dans ce cas, les crémaillères 617 sont maintenues dans leur position zéro et les cliquets 978 d'élimination des zéros retiennent les secteurs imprimants 942. Dans la présente machine, toutefois, comme représenté aux fig. 3A et 3B, le cliquet d'élimination des zéros pour les cen times présente un prolongement 2585 qui coopère avec un goujon 2586 prévu à la partie supérieure d'un bras 2587 fixé sur l'arbre 1172.
En se référant aux fig. 17 et 19, on se rappellera que l'arbre 1172 tourne dans le sens dextrorsum dans les opérations de total seulement. A ce moment, le goujon 2586 fait pivoter le cliquet 978 d'élimination du zéro pour l'écarter de sa position de retenue, de sorte que le secteur imprimant 942 est libéré et comme ce cliquet est. relié rigide ment au cliquet de la rangée des décimes, deux zéros sont imprimés sur les documents pour indiquer que le totalisateur est vide. Touche Sans Symbole .
On petit empêcher, si on le désire, l'im pression des symboles sous la commande des tabulateurs. On a prévu, à cet effet, une touche 670 dite Sans Symbole . Cette touche porte un goujon 2588 (fig. 28) sur la tige, ce goujon coopérant avec un bras 2589 pivo tant en 2590. Ce bras est relié par une bielle 2598 au goujon 2578 de la bielle 2579. Par conséquent, lorsqu'on enfonce la touche 670, la bielle 2598 est. tirée vers le haut et la bielle 2579 vers l'arrière de la machine pour amener le goujon 2578 dans la partie arrière de la fente 2577, partie qui se trouve à angle droit, par rapport à la partie antérieure.
L'étrier 2574 peut donc se déplacer relativement à l'arbre 2538, de sorte que, bien que l'étrier ne puisse se mouvoir à cause de la glissière 1067 du totalisateur N 1 ou de l'étrier 2537, l'arbre et le doigt 2551 ne sont pas bloqués et peu vent venir en position effective pour ver rouiller l'arbre 2474 des symboles. De cette manière, on empêche l'impression des sym boles pour toutes les opérations commandées par les tabulateurs, étant entendu que l'im pression de ces symboles sous la commande des touches n'est pas effectuée.
Accounting machine. The object of the invention is. an accounting machine comprising several addition-subtraction totalizers, selection and function control keys to determine the kind of operation that each selected totalizer must perform, this machine being characterized by adjustable control members mounted on the rod of certain keys ches and by a mechanism intended to adjust these members when using the other keys, so as to determine the kind of operation to be performed in the selected totalizer, according to the keys which are pressed.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the accounting machine which is the subject of the invention, only the parts of this machine necessary for the understanding of the invention being represented and described, the complete machine being shown and described in Swiss patent 281791.
Fig. 1 is a perspective view of the whole machine.
Fig. 2 is a plan view of its keyboards. Fig. 3A and 3E, taken together, constitute a longitudinal section passing. at. right of one of the rows of upright keys.
Fig. 4 is an elevation, viewed from the left, (the right row of the function control keys.
Fig. 5 is. a perspective of one of the control keys of the previous figure. Fig. 6 is a detail of an interlocking between some of the control keys of FIG. 4.
Fig. 7 is a diagram of various detents associated with the right row of control keys.
Fig. 8 is a section of this row along line 7-7 of FIG. 4.
Fig. 9 is an elevation, seen from the left, of the central row of control keys and showing more particularly the relationship between these keys and the control detents of the totalizers.
Fig. 10 is a schematic view of the various detents of the central row of keys.
Î Fig. 11 is a section taken along line 11-11 of FIG. 9.
Fig. 12 is an elevation, viewed from the left, of the left row of control keys.
Fig. 13 is a section taken along line 13-13 of fig. 12.
Fig. 14, 15 and 16 are diagrams showing the locking and locking detents associated with this row of keys.
Fig. 17 is. a left side elevation of a post key return mechanism.
Fig. 18 is a partial view of this mechanism.
Fi-. 19 is a detail of the ratchet control ratchet mechanism, which operates in total and serves operations. at. retain differential trainers.
Fig. 20 is a view showing another detail of this mechanism.
Fig. 21 is a left side elevation of various operating mechanisms located outside the left side frame.
Fig. 22 shows part of a key lock mechanism.
Fig. 23 is a partial view of a mechanism for retaining the pillar keys. Fig. 24 is an elevation, seen from the right, of a non-repeating mechanism associated with the date keys.
Fig. 25 is an elevational view of a main camshaft.
Fig. 26 is a side view of a drive mechanism for the differential racks.
Fig. 27 is a section through the totalizers of the machine.
Fig. 28 is a side elevation of the machine, seen from the left.
Fig. 29 is a perspective of part of a mechanism controlled by a No Symbol key, preventing printing of a symbol in some cases.
Fig. 30 is an elevation, seen from the left, of a mechanism controlled by the papier carriage, for selecting the totalizers in addition, in subtraction or in total.
Fig. 31 is an analogous view, but showing, in addition, an addition or subtraction reversal mechanism in a totalizer.
Fig. 32 is a detail of the previous mechanism.
Fig. 33 is a plan view showing the control detents of the totalisers and those of the symbols, as well as the studs cooperating with these detents.
Fig. 34 is a perspective of two detents associated with the symbol printing mechanism.
Fig. 35 is a partial view showing the anterior end of the. trigger of the NT 1 tota lizer and the corresponding mechanism for printing the symbol. - Fi-. 36 is a partial view of the sub-total trigger mechanism and the corresponding symbol printing device.
Fig. 37 is an elevation, seen from the left, of a controlling mechanism. the subtotal. Fig. 38 is a front elevation of a portion of an automatic function key recall mechanism during operation.
Fig. 39 is a side elevation of this mechanism.
Fig. 40 shows part of a totalizer clutch mechanism, seen from the left.
Fig. 41 is an elevation, seen from the left, of another detail of this clutch mechanism and of the means by which this mechanism is controlled in a sub-total.
Fig. 42 is a front view of the sliders which control. the engagement of the totalizers in subtraction and. as a subtotal.
Fig. 43 is a plan view of the devices intended to explore the lower edges of these sliders and thereby control various functions.
Fig. 44 is an elevation, seen from the left, of this mechanism.
Fig. 45 is a plan view of cooperating exploratory levers. with the tabulators on the carriage for controlling various functions.
<U> Fi-. </U> 46 is a front elevation of this mechanism.
Fig. 47 is a detail of the previous figure.
Fig. 48 shows part of the device of FIG. 46.
Fig. 49 is a perspective of the mechanism, controlled by the carriage, for eliminating all or part of the printing performed by the printing sectors.
Fig. 50 is part of a symbol printing mechanism, viewed from the right. Fig. 51 is a perspective of a mechanism controlled by the carriage. to cut off the printing device. Fig. 52 is a diagram of the various symbols arranged on the printing sector. Fig. 53 is a perspective of a non-selection mechanism serving to suppress certain commands, by the carriage, for selecting the various totalizers.
Fig. 54 is a perspective of the symbol printing control detents and related parts.
Fig. 55 is a view, from the left, of the command executed by the central row of function keys, on the symbol printing mechanism.
Fig. 56 is a view, from the left, of the command executed by the right row (the function keys, on this same mechanism.
Fig. 57 is a view from the right of a detail of the main clutch of the machine. Fig. 58 is a cross section of this clutch. Fig. 59 is an elevation, seen from the right, (the driving rods and the mechanism controlled by these rods to perform certain functions.
Fig. 60 is a timing diagram for the various cycles performed by the various mechanisms of the. machine.
A perspective view of the machine is shown in fig. 1 which gives a general idea of its layout. As can be seen, a typewriter keyboard is arranged at the front, while slightly above and behind this keyboard is an accounting machine keyboard for recording addition or non-addition amounts. To the left of the upright keypad is a control keypad, comprising several function control keys, while to the right are. arranged various drive bars and, truck control keys.
In the middle, just above the keyboard of the mounts, is a printing unit for the accounting machine, while to the left of this printing unit is a bin of typewriter bars. Immediately at the rear of this printing mechanism is a rotating cylinder, which can be turned around with accounting forms. This cylinder is of the Front Feed type and is mounted on a mobile carriage 1261 capable of moving to the left and to the right in well-defined columns.
Behind the paper-holder carriage, we can see, in fig. 1, a chest that contains ten addition-subtraction totalizers. At the front of the machine, to the left of the typewriter keyboard, is a switch which is used to stop a continuously running electric motor which drives the various mechanisms of the machine.
The machine is operated by an electric motor (not shown) which directly drives a shaft 226 (Fig. 57), which rotates constantly as long as the motor circuit is closed. On the shaft 226 is fixed a gear 240 in mesh with a gear 242 (Figs. 57 and 58).
The pinion 242 is resiliently mounted on a notched wheel 250, by means of a rubber ring 251 fixed to the pinion 242 and also fixed to a metal ring 252 secured to the wheel 250. The latter is rotatably mounted on a main shaft 253 by means of ball bearings 254. The pinion 242 and the toothed wheel 250 may engage with the main camshaft 253 to drive the latter in cycles of operation. The necessary clutch components include a disc 255 with a hub 256 attached to the shaft 253.
A clutch control arm 257 is mounted idle on one of the faces of the hub 256 and this arm tends to rotate in the dextrorsum direction (in fig. 57) by means of a spring 258 which is also attached to the disc 255. The arm 257 is normally retained by means of a trigger arm 259, the end of which cooperates with a finger 260 of the arm 257. This trigger arm 259 is fixed to the left end of a rotating shaft 271. in the frame of the machine and which can, by moving in the dextrorsal direction, deliver the arm 257 to the action of the spring 258. This rotation of the shaft 271 is triggered by means, for example, of different drive bars 2050, 2051 and 2052 (fig. 2).
The upper part of the arm 257 (Fig. 57) has a toothed portion 272 meshing with a toothed head 273 (Fig. 57 and 58) formed on a pivoting clutch dog 274. on disk 255, near the periphery of the latter. Dog 274 traverses disc 255 and is placed in the path of a series of notches 275 provided on the periphery of wheel 250. The lower portion of hammer 274 is flattened so that it escapes. the wheel 250 and its notches when it is in the position shown in FIG. 57.
However, when the trigger arm 259 is pulled away from the finger. 260, under the control of the driving bars 2050, 2051 and 2052, the arm 257 turns in the dextrorsum direction thanks to the spring 258, and the hammer 274 turns in the senestorsum direction so as to bring the left edge of the hammer 274: z s 'engage with one of the notches 275 of the wheel 250 which is constantly rotating, thus driving the disc 255 and the main shaft 253 in a rotation in the dextrorsum direction (fig. <B> 57) </B> by means of an entire revolution in each operating cycle.
The movement of the clutch control arm 257 is. limited on the hub 256 by means of co-operating shoulders 276 of the arm 257. with the blanks of the head 273 formed on the hammer 274. To hold the latter in place, its upper half is gripped by a pad 277 fixed on the disc 255.
The tree <B> 271 </B> door, fixed on his. right part, an angled lever 278 (fig. 59) the rear part of which carries a roller 279 and the forked front part engages with a pin 280 disposed on a lever 281 capable of pivoting, as described. in patent N 281791, when any of the bars: drive units 20.50, 2051, 2052 (fig. 2) is. lowered. Toacches <I> of </I> command <I> functions. </I>
To the left of the keyboard of the comp table machine is a group of keys that are used. at. control the various functions and select the machine's totalizers. As seen in fig. 1. and 2, there are three rows of these function keys shown in detail in figs. 4, 9 and 12. These keys are guided vertically on partitions 631, 632 and 633 fixed to the frame of the machine by means of long bolts 638 (fig. 12 and 33) passing through the partitions and fixed to the left key frame 214. sleeves 639 are arranged between the various partitions and between the frame to ensure the desired spacing.
In addition, the partition 633 is fixed by screws 640 to a support 641 (Fig. 28) mounted on the base 213 of the machine. The lower ends of the partitions are fixed to each other with bolts 646 <B> (fi-. </B> 4, <B> 9, </B> 12 and <B> 28) </B> on which nuts 6-17 (fig. 33), are mounted to maintain a suitable spacing of the partitions using suitable sleeves.
The control buttons of the two right rows are guided, at their upper end, by means of slots made in tabs 634 (fig. 4 and 8) and 635 (fig. 9 and 11) which are curved above the upper edge of partitions 631 and 632 respectively, the keys being retained in these slots by means of retaining plates 636 and 637 which are removably attached to said tabs. The keys are guided at their lower part by means of studs passing through elongated slots provided in the partitions and are held in place by means of bars 642 and 643 arranged removably on the partitions.
The three control keys in the left row are supported at their upper end in the partition 633 by means of notches made in a retaining bar 64.1 fixed to the partition by means of screws 6.15 (fig. 12). The rods of the keys have, at their lower part, nipples sliding in elongated slots provided in the partition 633, the keys being retained by a bar 648.
All control keys are normally held in their raised position by coil springs 649, 650 and <B> 651 </B> which are arranged in a sinusoid alternately between nipples carried by the keys and nipples fixed to the partitions (fig. 9). Referring to fig. 2, we see that the right key row of command keys includes a Balance 1 652 key, a Subtotal key 1 653, a group of four keys 654, 655, 656 and 657 for selecting the totalizers N s 2, 3 , 4 and 5, a Subtract 2-5,658 key, a Total key 2-5,659, and a Balance Credit 660 key.
Likewise, the middle row of command keys includes an Add 7,661 key, a Subtraction 1 662 key, a group of four keys 663, 664, 665 and 666 for selecting the totalizers N s 6, 7, 8 and 9 , a 6-9 667 Subtract key, a 6-9 668 Total key, and a 669 Subtotal key. The left row includes a No Symbol 670 key, a Reverse key. <B> 671 </B> and a Non-selection key 672. The purpose and key functions of these different keys will be explained in the course of the description which follows.
As seen in Figs. 5, 7 and 8, the keys of the right row are fitted with studs 691 to 699 which cooperate with detents 700 to 705 which can slide forwards and backwards on four studs fixed to the partition 631 ., also by means of rollers and spacers.
As shown in fig. 5 regarding chi stud 693, the internal part of this stud is round, while the outer end has two flats.
Likewise, the keys of the middle row (the control have pins 706 to 714 (fig. 1.0) cooperating with detents 715 to 720 sliding on the right part of the partition. 632. The left row of the control keys is, likewise, provided with studs 721 to 723 cooperating with three detents 724 to 726 (fig. 12 to 1.6) sliding on the right key part of the partition 633, using rollers, as in the case previously described .
The keys of each of these rows are keyed so as to be retained in position, iiiiénan tion depressed against the action of the springs 649, 650 and 651, by means of the detents mentioned above, in the same manner. as in the case of the upright keys.
As seen in fig. 7, the detents 702, 703 and 705 tend to move towards the front of the machine (or to the right in the drawing) under the action of springs 727, 728 and 729 respectively. The studs 691 and 692 of the 652 Balance 1 key and 653 Subtotal 1 key cooperate with retaining teeth of the trigger 703, so that each of these keys will remain in its depressed position. Likewise, the studs 693, 694, 695, 696 carried by the keys 654 to 657 selecting the totalizers N 2, 3, 4 and 5 cooperate with the detent teeth of the trigger 702 to remain in the depressed position.
The studs 697, 698 and 699 cooperate with retaining teeth of the trigger 705 which retains in a depressed position the key 658 Subtraction 2-5, the key 659 Total 2-5 and the key 660 Credit Balance. The trigger 705 also allows three keys to be released one by the other.
Fig. 10 shows that the studs 706 and 707 carried respectively by the key 667 Add 1 and the key 662 Subtraction 1 in the middle row, are arranged so as to cooperate with the retaining teeth of the trigger 717 pulled to the right by a spring 738 , which makes it possible to keep the keys in question in the depressed position and also for these keys to be released one by the other.
The studs 708, 709, 710 and 711 cooperate: with teeth of the trigger 716 pulled to the right by a spring 739. Likewise, the studs 712, 713 and 714 of the key 667 Subtraction 6-9,. of the key 668 Total 6-9 and finally of the key 669 Subtotal cooperate with the trigger 720 pulled towards the. straight by a spring 740.
If we now refer to fig. 15, we see that the keys of the left row of control can. be maintained in the depressed position by virtue of their studs 721, 722 and 723 capable of engaging with the retaining teeth of the trigger 725 pulled to the right by a spring 752. <I> Recall key </I> manual.
To allow the operator to recall any of the amounts, references or command keys, before triggering an operation, it is. provided a recall key 753 (fig. 2, 17, 18, 21 and \ '\') able to slide in the side frame 214 by means of a pin 754 cooperating with a slot 755 provided at. the lower end of the fingerboard shank and also through. two guide pins 756 fixed to the frame and cooperating with two parallel ridges provided on the rod of the return button. The Recall key 753 has a cooperating stud 757. with the end of a 758 pivoting lever. on a stud 759 fixed on the frame 214.
The lever 758 is provided with a stud 760 engaged with a slot made in a return rod 761 capable of sliding horizontally on the frame 214 by means of the slots engaged with the stud 754 and a stud 762 of the frame. The return rod 761 is pulled to the right by means of a spring. 763 and has an upwardly directed extension terminating in a stud 76-1 (fig. 17) engaged in a forked portion of an arm 765 pinned to a shaft 766 carried by the frame of the upright keyboard.
The extension of the connecting rod 761 is arched to the right, when looking at the machine from the front, so as to pass through an opening made in the frame 214 and thus to place the stud 764 on the path of the arm 765, which is disposed just inside the frame 214. As seen in FIGS. 3A and 17, each of the slides 609 comprises a bos sage 767 cooperating with a stud 768 carried by an arm 769 fixed to the shaft 766. There is an arm 769 for each row of upright keys and also for the reference keys and of the date. In this way, when the return key 753 is depressed, the mechanism just described has the effect of moving the retaining slide 609 to the left, thus releasing any keys which have. previously been pressed.
The date keys are however retained in a depressed position by an additional trigger which will be described later.
A mechanism is provided by which the depressing of the recall key 753 has the effect. (release the control keys for the functions placed to the left of the keyboard. This mechanism shown in fig. 18 comprises a pin 781 carried by the key 753 and cooperating with a lever 782 pivoting on a pin 783 of the frame 214 and biased in the senestorsum direction by a spring 78-1 which tends to keep the return button in its raised position. This lever 782 is provided with an edge 785 cooperating with a pin 786 carried by an arm 787 fixed on a shaft 788 supported by partitions 631, 632 and 633.
The arm 787 also carries a stud 789 (fig. 7), which cooperates with extensions of the detents 70 \ Z, 703 and 705 of the right row of the control keys. Consequently, when the call key 753 is depressed, the lever 782 swings in the dextrorsum direction (fig. 18) against the action of the spring 784, so that the pin 789 acts on the triggers 702, 703 and 705 to move these to the. left and. release the keys that may have been pressed in this row on the right.
The fi, -. 9 shows that an arm 790 is pinned on the shaft 788, which arm carries a cooperating pin 793 (FIG. 10). with bosses of the detents 716, 717 and 7'20 of the median row of the control keys, so that the depression of the Recall key 753 has the effect of moving the detents in question to the left and. to release the pressed keys. Sticky in fig. 12 and 15, they show that the keys of the left row of controls can be recalled by the key 753 by means of an arm 79-1 fixed on the shaft 788 and provided with a stud 795 cooperating with a boss of the left-hand row retaining trigger 725.
<I> Reminder </I> automatic <I> (the keys. </I>
To prepare the machine for a new operation, it is necessary to provide components which, towards the end of the previous operation, have the effect (recall the keys used. This mechanism shown in fig. 17 and 25 (polish the reminder of the amount keys, the date and the references) consists of a pair of cams 796 and 797 fixed on a hub 798 pinned to the main shaft 253. The periphery of this double cania cooperates with rollers 799 and 800 mon tee, on an arm 801 rotating on a shaft 802.
The latter is carried at its left end in a pad 803 (fig. 25) provided in a support. 80-1 (fig. 28) attached to. the base 213 by means of screws 805 and at its end (the right in the frame 214. The arm 801 is provided with a notch engaged with a stud 811 carried by a lever 812 mounted idle on a shaft 813 carried by the frame 214. The upwardly directed arm of lever 812 carries a roller 87.4 cooperating with the return latch 815 pivoting at 81.6 on the return rod 761. mentioned above.
The lock <B> 815 </B> has a curved edge 817 which is kept bare in engagement with the roller. 814 under the action of a spring 818. When the machine is running, the main shaft 253 turns 360, this <it turns the double-eame 796/797, so as to tilt the arm 801 in the senestorsum direction and this approximately in the middle of the operating cycle (see line 9 of the times table in fig. 60). This has. polish effect.
(rotate the lever 812 in the dextrorsum direction and move the roller 814 away from the remover 817, thus leaving a hook 819, formed on the lock, to engage with the roller 814. Towards the end of the cycle , the double cam returns the arm 801 to its initial position (fig. 17), to move the roller 814 towards the rear of the machine, driving the connecting rod <B> (the </B> recall 761. This movement of the connecting rod recalls the keys which may have been pressed in the same way as the pushing of the recall key 753.
As the connecting rod approaches the end of its travel, an arm 820 formed on the latch 815 comes into contact with a pin 821 of the left frame (the way that the latch tilts in the dextrorsum direction to release the roller 814 and the left - Here, the return rod 761 returns to its initial position of Fig. 17 under the action of the spring 763.
A separate mechanism is provided for recalling the function control keys, also towards the end of the operating cycle. This mechanism is shown in Figs. 21., 38 and 39 and comprises a slide 822 sliding on studs 823 and 824 of the frame 214. This slide tends to be moved towards the front of the machine (on the right) under the action of a tensioned spring 825 between a pin carried by a pawl 826 pivoting at 827 on the bucket slide, on the one hand, and a fixed pin 828 of the frame 214, on the other hand. The slider 822 has a finger 829 in contact with the stud. 828 to limit the forward movement of the slide.
The stud 827 also carries an arm 830, the other end of which is fixed to a hub 831 (Fig. 38) rotatably mounted on a stud 832 carried by the frame 214 and by a support. 833. This support is itself fixed to the frame 214 by means of screws 834 (fig. 30).
The pawl 826 comprises a finger 835, directed upwards, cooperating with a portion of smaller diameter of the hub 831, as seen in FIGS. 21, 38 and 39 ,. as well as a finger 836, directed downwards, capable of cooperating with a stud 837 carried by an arm 838 forming an integral part of an arm 839 provided for the clutch of the totalisers. The arm 839 is pinned to the shaft 802 which also carries another arm 8-40 (fig. 25) exactly similar to the arm 838 and which, with the latter, serves to ensure the engagement of the totalisers as will be described. further.
The arm 839 ends with two rollers 841 and 842 cooperating with a double cam 8-43, 844 fixed on the main shaft 253.
When the latter makes its complete revolution in the senestrorsum direction (fig. 41), the shaft 802 first receives a movement in the dextrorsum direction, so that the pin 837 escapes the pawl 826, and then in the direction senestrorsum, so that this stud engages with the finger 836 of said pawl and moves the slide 822 towards the rear of the machine, towards the end of the operating cycle (see line 3 of the time table of fig. 60) .
Shortly before the shaft 802 reaches its initial position (fig. 39), the stud 837 escapes from the finger 836, which allows the slide 822 to be brought back to the right under the action of the spring 825.
The anterior end of the slider 822 is provided with a hooked part 845 in engagement with the pin 786 of the arm 787 which, as we have seen, is pinned to the shaft 788 (see also fig. 18). It has been seen that the arm 787 is provided with a stud 789 cooperating with the retaining detents 702, 703 and 705 (FIG. 7). It will also be recalled that the arms 790 and 794 fixed to the shaft 788 are provided with cooperating studs 793 and 795. with 716 retaining detents, <B> 717, </B> 720 and 725.
As a result, when the slide 822 is brought towards the rear of the. machine, the shaft 788 turns in the dextrorsum direction (fig. 39), so that the studs 789, 793 and 795 move the detents backwards and thus release the pressed control buttons. When the slide is released at the end of the cycle, the retaining detents provided for the control buttons are also released and return to their initial position under the action of their own spring.
It can be seen, from what precedes, that the command keys are automatically recalled at the end of the cycle, like the amount keys, so that the entire keyboard, with the exception of the date keys, is. ready for a new operation. The date keys 622, 623 and 62.1 are normally not recalled at the end of the cycle. However, if desired, these keys can be released like the amount keys and use at. this effect one key 627 No Repeat.
Each of the rows which contain date keys includes a special retaining trigger 846 (fig. 24) pulled towards the front of the machine by a lagoon spring 847 which this trigger comes, through its retaining teeth, into engagement with the machine. the studs 607 of the keys. These detents do not include a boss, such as the boss 767 provided on the slides 609, so that at the end of the operation these detents are not moved, nor the keys recalled.
The detents 846 can be moved: by hand using the 627 No Repeat key. The shank of this key includes a stud engaged with a forked portion of an arm 848 spun on a shaft 849 supported by the partitions of the rows of date keys. This. shaft 849 carries, on the other hand, four arms 850, one for each row of date keys, which end with a cooperating pin 851. with an arm 852 formed on each of the detents 846. Thus, when the No Repeat key 627 is depressed, the detents are moved to the rear of the machine to release the keys.
The No Repeat key 627 can be held in the depressed position by a small latch 853 ft voting on it stud 854 and biased by a spring 856 to engage with a notch 855 provided in the. stem (the key 627. In this way, the detents 846 are in the inactive position and the keys then behave like the rest of the keyboard, ie they are recalled at the end of each operation.
A Recall key 626 carries a pin 857 capable of. come into contact with an edge of the latch 853. When the key is pressed, this latch switches in the xtrorsum direction and releases the No Repeat key 627. The Recall key brings another pin 858 in contact with an edge 859 of the retaining detents 609 and 846 of the four key rows the date, key so that while pushing in. the key reminder key, the date keys will be released.
Repeat button.
To make it possible to keep, on the keyboard, the same sum using keys 598, a repeat key 860 (fig. 21) has been provided which prevents their release at the end of the cycle.
The Repeat button 860 can move vertically on the studs 762 and 823 (fig. 21) and is urged upwards by a re., Exits 86l stretched between the button and the arm of a latch 862 pivoting at 823 This red worm comprises a shoulder 863 urged, by the spring 861., to come into contact. with Him stud 864 carried by the Repeat key when it is pressed. In this way, the key 860 cannot return to its upper position.
The lower part of the repeat key is provided with a roller 870 which, when the key is pressed, contacts a spout 871 formed on. the return lock 81.5 and thus prevents the hooked part <B> 819 </B> of the lock to engage with the roller 811 (fig. 17). In this way, the connecting rod (the return 761 is not actuated and the upright keys will remain, at the end of the cycle, in their depressed position.
The Repeat button 860 can itself be released by the Recall button 753 and, for this purpose, the return rod 761 com takes an arm 872 directed upwards and can come into contact with a stud 873 mounted on the latch 862 when the latter is moved rearward, which rotates the latch to disengage shoulder 863 from stud 861. As a result, Repeat key 860 can be recalled by pressing the Recall key. 753 which moves the connecting rod 761 rearward to release the lock 862.
Note, however, that the Repeat 860 key key is not released automatically at the end of the cycle, because the automatic movement of the connecting rod <B> 761 </B> is disengaged by roller 870 placed at the bottom of the repeat button. If, however, it is desired that the Repeat key 860 be automatically recalled at the end of the machine operation, a stud extending over the path of an extension 87.1 of the slide 822 can be provided on the lock. 862, a little below and to the right of stud 873,
so that the rearward movement of the slide, at the end of the cycle, brings the extension in question into contact with the pin to swing the lock <B> 862 </B> to release the repeat key. Locking <I> of </I> keys.
The components are designed to completely lock the keyboard as soon as the machine is engaged. engaged and the cycle has started. This mechanism includes an arm 875 (fig. 8) attached to a shaft 282, just inside the right side frame. <B> <U> 915. </U> </B> This arm, forked at its upper end, is. meshed with a stud 876 placed at the bottom of an arm 877 fixed to a locking shaft 878.
As soon as the clutch is in the active position and the cycle is triggered, the shaft 282 rotates in the senestrorsum direction (fig. 57) under the action of a spring 285, which has the effect of bringing a series of tongues 879 elastically connected to an extension 880 (fig. 3A and-23) formed on a locking detent 891, and this is the action of a spring <B> 881. </B> When the shaft 878 turns in the dextrorsum direction,
the locking detents 891 of each row of keys are moved elastically towards the rear of the machine, so that locking teeth 892 (fig. 23), provided on the detents, are brought under the studs 607, preventing the push-in of the studs 589 when the machine is running. When shaft 282 is returned to its initial position in the dextrorsum direction, towards the end of the cycle, shaft 878 rotates in the senestorsum direction, to move the locking detents forward and release any keys which may have been pressed. .
The shaft 878 carries, at its left end, an arm 882 (fi g. 8 and. 23) carrying a stud 883 engaged with an oven part dropped from an arm 881 (see also fig. 21) fixed on a short shaft 885 carried by the side frame 214. This shaft carries another arm 886 whose movements are limited by a stud 887 fixed to the frame 214. At the lower end of the arm 886 is a pin 888 engaged with a square 889 (fig. 7, 8 and 22) formed on the trigger 704.
In this way, when the lock release trigger 891 (fig. 23) is moved rearward to lock the studs 607, the other trigger 704 (for the right row of control keys) is moved to the rear. 'front of the machine to bring the fingers 890 below the studs 691 to 699 (fig. 7) of those of the keys which have not been inserted or above the studs of those which have been inserted.
The forward movement of the trigger 704 also has the effect of locking the rod of the Recall key 753, which is achieved by a locking trigger. <B> 893) </B> sliding by its slots 894 on the studs 756. The trigger 893 is connected to the front end of the trigger 701 by a slot engaged with a stud 895 of the trigger 701, so as to be able to move with this last. Therefore, as trigger 704 moves forward, it drives trigger 893 in the same direction, setting. -His shoulder 896 below a square stud 897 of key 753 which is thus rusty worm.
The lower edge of the trigger 893 also serves as a stop for a stud 898 (fig. 21) placed on the return button 75 and which limits the upward movement of this button, under the action of the spring 78-1 (fig. 18).
The locking detents 718 (fig. 10) and. 726 (fig. 16) for the other two rows of control keys are. linked to the tent 704 by means of a shaft 901 rotating in the partitions 631, 632 and 633. This shaft carries arms 902, 903 and 904 (fig. 22, 10 and 16) which are articulated to the detents 704- , 718 and 726 in such a way that, when the clutch is engaged and the shaft 282 is tilted in the senestorsum direction (fig. 57), all the keys of the keyboard of the uprights and the keys of the three control rows, as well as the Recall key 753, either. blocked until the end of the cycle.
The left row of function keys is. also equipped with a locking trigger 724 (fig. 14) which can be operated by hand. This trigger comprises two locking brackets cooperating with the studs 721 and 723 carried by the keys 670 Without Symbol and <B> 672 </B> No Selection. This trigger includes an upwardly directed lever 899 (see also in Figs. 1 and 2) projecting above a keyboard plate 208, which allows the operator to operate the trigger.
As can be seen from fi-. l.-1, the trigger can be resiliently retained in its two key positions by a pawl 900 urged by a res sort. In this way, when the trigger 724 is in its. front position, the No Symbol 670 and No Selection 672 keys are recalled at the end of the cycle at the same time as the other control keys.
However, if the trigger 72-1 is moved backwards, and. in the event that one of these keys 670 or 672 is pressed, one of the above-mentioned brackets is placed above the stud <B> 721. </B> or 723, preventing the corresponding key from rising. In other words, thanks to the trigger 724, these keys 670 and 672 can become ti-pe Without Recall. Differential organs.
The differential racks 617 (fig.3A) are controlled by studs 605 carried by the rods of the keys (the uprights 589, which studs may come into contact with stepped shoulders 618 disposed on each rack 617, when a key is pushed in, thus limiting the rearward movement of the latter. The racks 617 are. guided at their anterior end by grooves in the crossbar 621 and. the racks are retained in these grooves by means of a guide. square pour 620 fixed above bar 621.
As shown in fig. 3B, the meshes are guided at their rear part by means of a grooved bar 905 carried by the side frames 21.1 and 215.
Each rack 617 corresponding to a row of uprights is connected by a link 906 to. an auxiliary rack 907 (Fig. 3B and 27) guided in grooved spacers 908, 909 and 910, which will be discussed further below. The racks 617 corresponding to the rows of the references and the date do not have an auxiliary rack 907, since they are rows (the printing keys unrelated to the totalisers.
Each rack 617 comprises a slot '111 engaged with a pin 912 mounted on a reduction arm segment 913 to rotate on a shaft 914 carried by the side frames 21.4 and 215. The rear edge of this segment 913 is in contact. with a spring loaded bar 915. 916 stretched between the segment and the bar. This bar 915 is carried by two identical arms 917 and 918 (FIGS. 3B and 26) fixed to the left and to the right of the shaft 914 respectively and just to. inside the side frames.
Arms 91.7 and 918 carry rollers 919 and 920 in engagement with forked cam arm portions 921, 922 (see also Fig. 25). The right arm 922 is mounted loose on a shaft 923 (fig. 26) supported at one end in a support 287 and at. the other end in a support (not shown) fixed on the base 213 by means of screws 925.
The left arm 921 pivots on a stud of a bracket 931 (Fig. 25) aligned with the shaft 923. Each of the cam arms is. connected, in an adjustable manner, to a cam lever 932, 5133 (fig. 26) cooperating with cams 934, 935, 936 and 937 (fig. 25). As one can see. in fig. 25 and 26, the lever 933 pivots on the shaft 923 next to the arm 922 and these two members are adjustable by means of an eccentric 938 fixed to a disc 939 held in position by a clip 940 fixed to the arm 922 by a screw 941. The lever 932 and the arm 921 are connected together by means of a similar adjustable device, so that the arms 921 and 922 can be adjusted to compensate for misalignments of the cams or the arms.
When the main shaft 253. makes a complete revolution, the lower arms 921 and 922 first rise in the dextrorsal direction and then in the opposite direction on the shaft 923 (fig. 26), which has the effect. move the operating bar 915 first backwards (the machine and then forwards, to the initial position shown in fig. 3B. The racks 617 are elastically driven backwards machine by the springs 916 during the first half of the revolution and returned positively to the original position by the bar 915 during the second half of the cycle.
<I> Totalizers. </I> The machine shown includes ten totalizers for addition and subtraction, the capacity of which is, for example, 99,999,999.99. It can be seen from FIGS. 3B and 27, that the totalizers are numbered from 1 to 9, and that the tenth, denoted by X, is placed immediately below the totalizer N 1. This totalizer X is used for balance reversals, as described. in detail in patent No. 281791. The ten tota readers are similar and are all of the addition-subtraction type. It will therefore suffice to die only one.
As shown in fig. 3B and 27, each totalizer includes, in each decimal row, a wheel 997 of twenty teeth and comprising. a transfer cam 998 made up of two diametrically opposed teeth which cooperate with transfer pawls 999 for the addition and transfer pawls 1000 for the subtraction. The wheels of the totals are mounted idle on a shaft 1001 which extends between two lateral arms of a support bracket 1002. Each of these arms pivots on a stud 1003 fixed in separation plates 1011. themselves carried by rods 1012 and 1013 extending between the frames 1004 of the totalisers.
Each pair of totalizer frames 1004 (the left frame and the right frame), between which the support bracket 1002 pivots, is. attached at its lower part to a pair of bars 1005 and at its upper part to another pair of bars 1006. The lower bars 1005 are in turn fastened by screws to the base 213, while the upper bars laughs 1006 are. joined together by a spacer 1015 (fig. 3B).
In addition, the first pair of frames 1004 is fixed to the side frames 214 and 215 with which the frames of the totalisers 1001 are moreover in longitudinal alignment. In addition, the spacers 908, 909 and 910 are fixed, by their ends, to the totalizer frames 1001. The totalizer wheels 997 are arranged in the plane of the differential racks 61.7 and the auxiliary racks 907 and can be engaged with these racks or To be one of them <B> de- </B> crossed out to perform the various calculation functions.
Errrbr- (ty (tge <I> and </I> clutch <I> (the </I> totalisers. Each totalizer is fitted with a pair of clutch and release cams to engage and disengage with the racks. The mechanism provided for in this. effect is analogous to that which is. described in Swiss patent No. 262592. It will therefore suffice to give here only a brief description of this mechanism.
Referring to fig. 27, it can be seen that at each end of the shaft 1001 are mounted rollers 1007 engaged with cam tracks 1008 formed in cams 1009 fixed to. the end of a shaft 1010 carried by the frame 1001 of the totalisers. Trees <B> 1010 </B> provided for the upper totalizers (N = i 1,?, 1, 6 and 8) carry, in addition an arm 1021 (fig. 28) articulated to a connecting rod 10 2 "of which]. The rear end is forked to be engaged with a grooved rod 1023 carried by the side frame 211 and the support 801.
The clutch shafts 1010 provided for the totalizer, -, lower (N'19 <I> X, </I> <B> 3, 5, 7 </B> and <B> 9) </B> carry at their end the arms 10.'21 engaged with other arms 10 \ 35 pivoting on the shafts 1010 of the upper sets of totalisators. On each arm 10 \ Z5 pivots a connecting rod 1022, so that half of the connecting rods 1022 is connected to the arms 1021 and the other half to the arms 1025.
On a stud 1026 fixed to the anterior part (each connecting rod 1022 is a clutch hook 102i cooperating with a clutch bar 1028. This bar comprises at its ends tenons capable of sliding in slots made in the support 801 and in a frame 1029 (fig. 11) fixed to the side frame 214.
A pair of similar connecting rods 1030 and 1031 are attached by their rear end to bar 1028 and by their anterior end to clutch arms 838 and 810 spun to shaft 802. The clutch hooks 1.027 tend to rotate normally. in the direction senestrorsurn on their pivot 1026 sounds the action of springs 1032, so as to. bring studs <B> 1033 </B> (fig. 31 and 11), carried by the eroelrets, to come into engagement with the upper edges of the connecting rods 1.022, thus determining the normal (lower) position (the hooks.
To refer at. the thread. 11, we see that the. double cam 813; 811 has the effect of printing at. the clutch bar 1028 four separate movements at each cycle of revolution of the main shaft 253. Two of these movements take place in one direction of engagement, and two in the opposite direction, in a direction of release , with a short period of rest between these movements.
In the first phase of the movements of the bar 1.028 in the clutch direction (forward), the selected totalizer is. engaged with the racks for subtraction, subtotal and total operations; in the second phase, in the same direction, the selected totalizer is engaged for addition; in the. third phase. now in the opposite direction, that is to say backwards, the selected totalizer is disengaged in the subtractions and total operations.
Finally, in the. fourth and last phase, the bar returns to the rest position and the selected totalizer is. disengaged in addition and subtotal operations. By properly controlling the engagement and disengagement of hook 1.027 with bar 1028, the engagement and disengagement of the selected totalizer (s) is ensured in the desired times in accordance with the desired operation. The devices (the control of these movements of the hooks 1027, and consequently of the engagement and disengagement of the totalizers, will be described below.
3Vcanisine <I> of </I> command <I> of </I> totalisers. Below the control buttons 652 to <B> 672 </B> For the various functions, several totalizer control slides are arranged, the purpose of which is to determine the engagement and disengagement times of the totalizers with the differential racks. We see in fig. 9 and 33 that it. Eight of these slides 1051 exist for totalizers N s 2 to 9 and which are able to slide lengthwise on grooved sleeves 1052 mounted on bolts 616.
The slides 1051 are urged towards the front of the machine by springs 1053 fixed, on the other hand, to (the rods 1051 extending between the partitions 631, 632 and 633 (see also fig. <B> 11). </B> However, the slides are retained by a series (the control levers 1056 (fig. 30) carrying studs 1055 which engage in slots <B> 1.057 </B> provided at the rear of the 1051 slides.
There is a control lever 1056 for each slide, and these levers are pivoted on a shaft 1058 carried by the support 801 and the side frame 21_4. They each have a rear extension <B> 1059 </B> cooperating with a finger 1050 (Fig. 31) provided on each of the totalizer clutch hooks 1027. When the parts are in the rest position of fig. 30 and 31, the extensions 1059 are supported by a yoke 1060 carried by arms 1061/62 fixed to the shaft 1.058. The arm 1062 is articulated to a connecting rod 1.063 connected, on the other hand, to a cam lever 1.061 rotating on the shaft 802.
The lever 1061 presents -His roller 1.065 cooperating with a cam 1066 pinned to the main shaft 25 3. When the latter turns in the senestorsum direction, the caliper 1060 is lowered to let the springs 1053 pull the slides 1051 towards it. front of the machine and bring the extensions 1059 into contact with the fingers 1050 of the hooks 1027.
Towards the end of the cycle, the cam 1066 returns the caliper 1060 to its initial position, which also returns, positively, the slides <B> 1051 </B> so that the hooks 1027 also return in position (the rest under the action of their springs. The exact time of movement of the stirrup 1060 and of its return is determined by the diagram of the times of fig . 60 line 6.
The kind of operation of the totalisers (i.e. addition, subtraction, total, subtotal or non-addition) is determined by the distance over which the corresponding control slide is brought to move. These slides are moved towards the front of the machine when the operation of the latter is triggered by the tabulators on the carriage or by the function control keys. We will now describe the devices by which the control keys control the slides, while the members controlled by the carriage to determine the movement of the slides will be described below.
Mechanism <I> of </I> command <I> from </I> totalizer <I> N 1. </I> As seen in fig. 30 and 31, a control slide 1067 for the totalizer N 1 (fig. 33 and 35) is coupled with one of the levers 1056 by means of a stud 1.055. The slide 1067 of the totalizer N 1 is similar to the slides 1051 of the other totalizers except that its front part has a boss which cooperates with the studs carried by the control keys of the totalizer N 1.
Fig. 31 shows the parts in the rest position, the extension 1059 being in its rest position H in which it is released from the finger 1050 of the hook 1027. When the machine is running, without any of the four control keys 652, 653, <B> 661 </B> and 662 for the totalizer N 1 is pressed, the slide 1067 is free to move towards the front of the machine over its entire travel until it is stopped by the contact of the roller 1065 with the lower part of cam 1066.
This movement of the slide 1067 has the effect of moving the extension 1059 to its lowest non-addition position C, as indicated in phantom in FIG. 31, allowing hook 1027 to rise to its highest position. When the clutch rod 1028 of the totalizers is then moved forward, according to the times indicated in the diagram of fig. 60 (line 3), hook 1027 rests outside the path. of the. bar 1028 and totalizer N 1 remains in the disengaged position throughout the cycle.
Thus, although an amount has been entered on the keyboard and printed on the accounting document, this amount is not recorded in the totalizer N 1 since it is, for the latter, a non-transaction. -addition. If, on the other hand, the key 661 Add 1 is pressed before. the triggering. of the operation, uni long pin 1068 carried by this key (fig. 33 and 35) is brought on the path of a bracket 1069 provided on the slide 1067 to stop the latter in a position such as the hook.
1027 or, for its part, in an intermediate position in which a heel 1.070 of the hook 1027 is in the path of the clutch bar 1028. Therefore, during the first movement. of the bar 1028 forward, the latter passes empty below a spout 1081 of the hook. and the tota liser remains clear of the racks. Once the latter have completed their movement towards the rear of the machine, the clutch bar 1028 receives a second forward movement to engage with the heel 1070 and move the clutch rod. 1022 forward. This has the effect.
to tilt the clutch cover 1009 and cause the totalizers to engage with the racks, a little before the middle of the cycle. A little bit at the start of the second half of this cycle, bar 1.028 is pulled back as shown in the beat diagram, but this is a no-load movement, since spout 1081 is located above bar 1028.
Near the end of the cycle, once the racks have been returned to the front in the initial position, the bar 1028 receives a final rearward movement, contacting a shoulder 1082 of the connecting rod 1022, this which moves it backwards and a. as a result of disengaging the totalizer of the racks. Since, in this type of operation, the totalizer N 1 was engaged with the racks during the return movement of the latter, during the second half of the cycle, the amount dialed on the keyboard was added in the totalizer N 1.
To control the totalizer N 1 for a subtraction operation, a long pin 1083 is provided on the subtraction key l 662, which is located above the front end of the slider 1067 for selecting the totalizer N 1. When this key 662 is pressed, the pin 1083 is brought onto the path of a shoulder 1084 of the slide, so that the latter can, under the influence of its spring, move only over a very short distance. The position of the shoulder. 1084 est. such, on the slide, that the extension 1.059 is in the higher position, S "shown in phantom in fig. 31.
In this position, the extension 1059 is released from the finger 1050 and the clutch bar 1028 engages with the nose 1.081 of the hook 1.027 and moves the connecting rod 1022 forward in order to engage the totalizer N 1 as soon as possible. the start of the cycle. The totalizer knobs are therefore engaged with the racks at the moment. these move. backward in the first half of the figure to subtractively record the amount that could be dialed on the keypad using the 589 keys.
At the same time, a transfer rod 1034 (fig. 28) of the totalizer N 1 is retained enough so that a subtraction control hook 1037 is released from a pin 1040, so that a shaft 1042 of eoni- command in subtraction is toggled and the carry-over mechanism prepared for subtraction.
To clear the hook 10'r7 of the bar 1028, before the second phase of movement of the bar, a slider 1085 (fig. 40, 41 and 42) is provided to actuate the hook 1027. As seen in fig. . 42, there are as many slides 1085 as there are totalizers and each of them has a split part at the bottom and bottom, to slide on studs 1086 and 1087.
The stud 1086 is supported by the support 804 (fig. 28) and the frame 1029 (fig. 41), while the stud 1087 is carried by a pair of identical arms 1088 (fig. 41 and 42) pivoting on a rod 1089 carried by the support 641 (fig. 43 and 44). The arms 1088 are connected together by a rod 1090 to which are hooked springs 1091 fixed, on the other hand, to the lower part of the slides 1085. These are therefore urged upwards. until they are retained by the stud 1087. Each slide 1085 has a stud 1092 lying in the path of the finger <B> 1.050 </B> provided on the corresponding hook 1027.
The slides 1085 are arranged so as to receive a reciprocating movement with each cycle of the main shaft 253, at times indicated by line 4 of the diagram of FIG. 60. The devices provided for thus actuating the sliders 1.085 are shown in fig. 40 and include an arm <B> (the </B> cam 1093 engaged with the stud 1087 and pivoting on the shaft 802. The arm 1093 comprises rollers 1094 and 1095 cooperating with a double cam 1096/1097 fixed on the main shaft 253.
As shown in the timing diagram, sliders 1085 are moved down by cam pin 1096! 1097 while clutch bar 1028 is. in the key rest position, after its first forward movement. Therefore, in a subtraction, once the totalizer knobs are engaged with the racks, in the first half of the cycle, the pin 1092 of the slide 1085 belonging to the totalizer N. moves the hook 1027 to disengage it (the bar 1028, so that the second key movement the latter has no effect on the slider towards the end of the first half of the cycle.
Immediately after bar 1028 has completed its second forward movement, slide 1085 is on. raised to allow hook 1.027 to engage with the bar and thus disengage the totalizer knurls from the racks, when bar 1028 receives its first phase of backward movement at the start. of the second half of the cycle. Once bar 1028 has completed the first part of its backward movement, to disengage the totalizer knobs, the slide <B> 1.085 </B> is brought down to disengage the hook 1027 from the bar 1028 during the second phase of movement of this bar back.
Once the latter has completed its second and last rearward movement, the slide 1085 is brought back again to release the hooks 1027 and return the parts to their initial position in FIG. 41.
In total operations, slide 1067 of totalizer N 1 is stopped by a pin 1098 (fig. 35) carried by the rod of key 652 Balance 1, which pin cooperates with a shoulder 1099 of the slide such that the extension 1059 (fig. 37. <B>) </B> is placed. In position T which is just above the position .il it occupies in the addition operations. It is. note that, when the extension 1059 is in this position, it does not raise the beak of the hook 1027 above the bar 1028, so that the sequence of operations is, in this case, the same as for a subtraction .
In other words, during the first phase of movement of the bar 1028, the totalizer is. clutched with the racks, after which the hook 1027 is released from the bar 1028 thanks to the slider 1085. The bar then receives its second phase of movement, after which the slider 1085 releases the beak of the hook which engages to again with bar 1028. Consequently, when the bar performs its first phase of return movement, a little after the middle of the cycle, the totalizer is disengaged from the racks. Hook 1027 is.
then lifted and released from the bar 1028 under the action of the slider 1085, and the bar returns empty to its. initial position. In this type of operation, the totalizer is therefore engaged in the first half of the cycle, that is to say during the rearward movement of the racks, which causes the totalizer wheels to turn back until that they are stopped in the zero position by the stop of the transfer cams. 998 (fig. 27) on the rear face of the additive transfer pawls 999.
The total thus extracted is printed on the accounting document, after which the totalizer is disengaged for the return of the racks to their initial position, during the second half of the cycle. Thus, the amount which had been on the totalizer has been erased and the dials remain at zero.
A device has naturally been provided for causing a sub-total operation, that is to say that the totalizer knurls remain engaged with the racks at the start of the ey cle and thus remain for the return of the racks. This device will be described a little further on.
1Tecaanism <I> of </I> command <I> of </I> totalisers <B> <I> Our </I> </B> 1 to 9.
As we have just seen, the slide <B> 1067 </B> of the totalizer N 1 is. controlled by studs mounted on the button stems corresponding to this totalizer N 1. Exactly in the same way, the slides 1051. of totalizers Nos. 2 to 9 are. controlled by the control buttons 651 to 659, 663 to 669. Each of the slides 1051 (fig. 9 and 33) has a tab 1100 which can. cooperate with a mechanism connected to the rod of each control key.
The mechanism for controlling the totalizers NT \ _ '3, 4 and 5 is shown in figs. 4, 5 and 8. A long stud 1101 is attached to the left of each touchpad 654, 655, 656 and 657, and these studs are engaged in vertical slots provided in bulkhead 632 (fig. 33). The studs 1101 (fig. 5 and 33) have a flat 1102 intended to stop the lan guettes 1.100, as will be described later.
On each stud 1101 pivots a subtraction caliper 1103 and a total caliper 1104, each of these calipers carrying studs 1105 and 1106. Each of the studs 1105 is surrounded by a series (the forked parts provided along the lower edge of the plates of subtraction 1111 (fig. 8) comprising, at each of their ends, guide slots on screws 1112 fixed to the partition 631. The studs 1106 engage with forked parts provided on the lower edge of a total plate 1113 slidably mounted on screws 111.2 adjacent to plate 1111.
Plates 1111 and. 1113 have edges 1111 and 1115 (fig. 4) cooperating with the studs 11.3-1 and 1135 carried by each of the keys 658 Subtraction 2-5 and 659 Total 2-5. Each of the plates 1111 and 1113 is biased towards the front of the machine by springs, to normally maintain the stirrups 1103 and 1101 in a slightly raised position, shown in FIG. 4.
When the 658 Subtraction 2-5 key is. when inserted, the plate 1111 slides backwards, which lowers the caliper 1.103 into a more or less horizontal position. Likewise, when the 659 Total 2-5 key is pressed, plate 1113 is. moved rearward, which lowers the caliper 110-1 to a similar position.
A similar mechanism is provided for the selection keys of the totalizers N st 6, 7, 8 and 9. As seen in fig. 9 and 11, each key rod carries a long stud 1116 extending. in a vertical slot made in the partition 633, and. on the path of the slides 1051 for the totalizers N "6, 7, 8 and 9. Each stud 1116 supports a subtraction caliper 1117 and a caliper of total 1.118 provided with studs 1119 and 1120 respectively.
A subtraction plate 1121 and. a plate of total 1122 can be slid on screws 1123 threaded to the partition 632 and have forked parts in engagement with the studs 1.1.19 and 1120. The plates 1.121 and 1122 have inclined edges 1124 and 1.l.2: 3 on the path of studs 11.32 and 1.133 carried by the Subtraction key 6-9 667 and the Total key 6-9 668, sou, The action of the springs 11.26.
The operation of this caliper mechanism for the keys (totalizers N '' 2, 3, 4 and 5 is. Exactly the same as that which has been described for the keys of totalizers N- 6, 7, 8 and 9 , so that it suffices to describe only one of these mechanisms adjoining this last group. When one of the keys is pressed (the selection 663 to <B> 666, </B> the corresponding stud 1.1.16 is brought on the path of the tongue <B> 1100 </B> carried by the corresponding;. 1051 slipper.
When the ma ehirre is actuated and the slider released, as seen above, the slider of the selected totalizer is moved forward. until the tongue 1100 bears on the flat of the stud 1116, thus moving the extension 1059 carried by the selection lever 1056, in the irwi-cated addition position .1 in fig. 31. In this way, when one of the keys 663 to 666 is. pressed, the corresponding totalizer is selected for addition.
When one of these keys is not. not pushed in, no organ is holding back. the slide 1051 which then moves forward so that the extensions 10:, 9 come to the non-addition position C in FIG. 31.
If, on the other hand, the <B> 667 </B> Subtraction 6-9 is used with any one of the totalizer selection keys, the corresponding caliper 1117 is low on the path of the tab 1100 of the bar 1051 and, during operation of the machine, the. - slide is. stopped after a short trip. The extension -1059 is thus brought into position S @de subtraction in fig. 31 to cause a subtraction operation in this totalizer.
Likewise, if you press the 668 Total 6-9 key at the same time as any of the <selection, the caliper 1118 is lowered on the path of the tongue 1100 of the corresponding slide, which stops the latter in the total position so that the extension 1059 @e also places in the T position of total in, fi- 31.
1 Note that pressing any of the buttons 667 or 668 alone, that is to say without the selection buttons, will have the effect of causing the calipers to tilt, but that this movement will have no influence. on the tab 1100 up to. that one of the selection buttons 663 to 666 has been pressed to bring it into the active position.
Thus, when any one of the keys 667 or 668 is pressed, all the associated stirrups will switch, but only the stirrup carried by the pressed selection key will have an effective action to stop the corresponding slide 1051. As seen in fig. 33, a control slide 1127 is provided for the totalizer X. This slide is analogous to slide 1051, but does not include a tab 1100, because the totalizer X does not have to be operated manually from the keyboard.
In fact, it was indicated above that this totalizer is generally used as an accumulator for balance reversal operations and is not. generally not for recording balances. However, if for a particular application of the machine, you do not wish to print credit or negative balances, it is quite possible to select the totalizer X >> exactly like the others, under the action of the carriage, of so that in this case the machine has a capacity of ten addition and subtraction totalizers.
Slider 1127 for the totalizer X does not perform a selection function in addition, subtraction, total or subtotal, but only has. the functions of controlling certain parts of the machine during total-negative operations, as described in detail in patent No. 281791.
Ordered <I> of </I> operations <I> of total. </I> In total operations, it is neces sary that the zero stop pawls 614 (fig. 3A) be tilted to release the cranks <B> 617 </B> so that the latter then feel to move and to turn the knobs 997 in the opposite direction until the latter are stopped by the contact of their transfer cams 998 (fig. 27) which, together with the additive transfer pawls 999, thus fix the differential position of the racks and of the printing sectors 942 according to the amounts accumulated on the rollers.
In additions and subtractions, the zero stop pawls 614 are moved away by the depression of the upright keys 589 acting, by their pin 607, on the control slides 611, which moves the pawls away from the blocks 616. In total operations, on the contrary, no amount keys. not being pushed in, other devices must therefore be provided to release the racks from the zero stop pawls. In the machine shown, this result is obtained by means of the return rod 761 (fig. 17) which moves towards the rear of the machine as soon as the cycle is started.
The pin 764 of the connecting rod rotates the shaft 766 in the dextrorsum direction, so that the pin 768 mounted on each arm 769 comes to act on an edge 1128 (fig. 3A) carried by each of the control slides 611 which is hole wind thus moved forward, thus releasing the pawls 614. At the same time, the studs 768 cooperate with the bosses 767 carried by the retaining slides 609 provided in the rows of uprights, so as to release, from the start of the 'operation, the keys which might have accidentally remained depressed and thus prevent the square studs 605 carried by the keys from stopping the racks 617 in a position other than that which is.
provided by the accumulated total.
The displacement of the key return link 761 at the start of the cycle, rather than at the end as in normal operations, is obtained by means of the mechanism shown in FIG. 21. A reminder lock <B> 1.129 </B> for the keys is pivotally mounted on a stud 1130 carried by the rear part of the connecting rod 761 .. A hooked part 1131 of this lock is. engaged with a stud 1141 mounted on one of the branches of a lever 11.44 turned on a stud 1143 fixed to the side frame 214. This lever 1142 is engaged, by its other branch, with a stud 11.44 carried by one of the branches of an angled lever 11.-15 mounted idle on the shaft 802.
The other branch is fitted with a roller 1146 cooperating with the periphery of a cam 11-17 pinned to the main shaft 253. When the latter turns in the direction of the arrow, the boss of the rod 1147 rotates the angle lever 11-15 and. the lever 1142 from the start of the ey ele so as to move the stud 1141 towards the rear of the machine and allow the displacement of the connecting rod 761 for the purpose indicated above.
To prevent this recall of the keys carried out at the start of the operation from being executed in addition and subtraction, slide 1051 selection key for totalizers N \ 2 to 9, slide 1067 for totalizer N 1 and the. slide 17.27 (fig. 33) for the totalizer X, are fitted at their lower part with shoulders 1.148 in contact with a bracket 1149 (fig. 19) when the slides are in the total position.
This caliper 11-19 is pinned to a shaft 1150 (fig. 43 and 44 'mounted in the lateral parts of the support 641. On the shaft 1150, near its center, is also pinned an arm <B> 1151 </B> provided with a stud 71: i2 engaged with an elongated slot of a slider 11.53. This can slide on the pin 1152 and on a rod 1154 carried by the support 641. An extension <B> 1155 </B> of this slider can come into contact with the pin 1156 carried by an arm 1157 mounted idle on the shaft 802. The arm 11: i7 carries a roller. 1158 cooperating with a cam 1159 gou plundered on the main shaft 253.
The right end of the caliper 1149 has an arm 1160 (fig. 19) provided with a stud 1161 which is. hooked on a spring 1162 fixed on the other hand to the support 6-11 .. This spring, like other springs (it will be described later, tends to push the slide <B> 11.53 </B> forward and to keep the extension 1155 in contact with the pin 11.56.
When cam 1159 rotates in the direction of the thread arrow. 44, the. small diameter portion of the cam a. for effect. to rotate the arm <B> 1157 </B> and move the eouli, bucket 1153 towards the rear of the machine, under the action of the 1162 spells.
It follows that the tree <B> 1150 </B> turns in the dextrorsurn direction to cause a pin 1163 (fig. 17 and 19) mounted on an arm 116-1 of the shaft 7150, to rotate the return lock <B> 1.129 </B> in the sense of senestrorsum (fig. <B> 17), </B> thus releasing the hook <B> 1131 </B> of the l1-11 nipple. and.
preventing premature recall of keys keys keys uprights, However, if any of the key slides controlling the totalizers is in a position such that the shoulders 1.1-18 are above the calipers 17.19, the rotation of the shaft 7150 will be prevented. - Ehée and the latch 1129 will remain engaged with the stud 1141 so as to cause an immediate recall of the studs of the uprights.
It will be recalled that, in total operations, the wheels are disengaged from the racks towards the middle of the cycle. At this moment. actuator bar 915 (fig. 3B) has reached. maximum of its rearward travel, and the springs 916 are under tension to pull the racks rearward. The racks are however prevented from executing such a movement, because the cams 998 abut against the transfer pawls. additives 999.
To prevent the racks from being pulled by the springs 916 when the rollers are disengaged, towards the middle of the cycle, we have. provided a series of retaining pawls 1165 (fig. 3A, 19 and 20) cooperating with a toothing 1171 formed at the lower part (each rack 617. These pawls 1165 pivot on a shaft 1172 carried by the side frames 214 and 215 and each of them tends to engage with a rod <B> 1173 </B> under the action of a spring 1174.
This rod <B> 1173 </B> is supported by two identical arms 1175 fixed on the shaft 1172 which swivels in the senestrorsttm direction (fig. 19 and 20) before. the disengagement of totalizers, in total operations. The device for rotating the shaft 1172 is shown in FIG. 19 and com takes a lever with three branches 1176, gou looted on the shaft 813, and whose. upper branch 1177 is engaged with a pin 1178 carried by the lever 812 and this under the action of a spring 1179.
The shaft 813 also carries, just to the left of the frame 214, an arm 1180 which is freely articulated to a link 1181. articulated at its other end to an arm 1182 fixed on the shaft 1172. When the lever 812 turns in the dextrorsum direction, under the action of the cams 796, 797 (fig. 17 and. 19), the spring 1179 moves the shaft 813 with the lever 812 and thus tightens the toggle formed by the arm 1780 and the rod 1181. It follows that the flush <B> 1182 </B> is lifted and the shaft 1172 rotates in the senestorsuin direction to lift the rod 1173 and bring the pawls 1165 into engagement with the teeth 1171 of the rack 617.
The racks 617 cannot thus move backwards when the totalizer wheels are disengaged, although they can be moved without danger forwards without hindering the action of the pawls 1165, the teeth 1171 having the shape of rocks.
In the case of operations other than the total, it is necessary to provide members intended to prevent the pawls 1165 from coming into engagement with the racks, because this operation is not only unnecessary, but also to be avoided. The mechanism provided for in this. effect, and shown in fig. 19, consists of a locking slide 1183 sliding on a rod 1184 of the support 641 and on a stud 1.185 carried at the end of the arm 1164. This slide 1183 is pulled towards the stud 1185 by a res out 1186.
When one of the shoulders 1148 carried by the slides 1051 for controlling the totalizers is above the caliper 1149, the locking slide <B> 1183 </B> remains in the position shown in fig. 19, allowing movement of the retaining pawls 1165 which engage with the teeth 1171 of the chain rings 617.
However, for an operation other than a total, there is no shoulder 1148 above the caliper 1149, so that the shaft 1150 can turn in the dex- tr orsum direction under the action of the spring. 1162, and the slide 1183 can move under a lug 1187 provided at the end of one of the branches of the lever 1176. The latter can therefore not follow the movement of the lever 812 and the retaining pawls. 1165 remains in lowered position, free from teeth 1171.
As can be seen from lines 1 and 2 of the timing diagram of fig. 60, the meshes are returned completely to their initial position before the bare retaining pawls 1165 are released from the pawls of the teeth 1171. However, as shown in line 7 of this diagram, the cam 1159 tends to return the slide of blocking 1183 earlier; in the cycle, that the pawls 1165, which thus tends to release the slide of the lug 1187 of the lever with three branches 1176.
If this movement were allowed, the pawls 1165 would engage with the teeth 1171 and these teeth would rub against the eliquets during the last part of the return movement of the racks. This action is.
prevented by a nose 1188 provided on the slide 1183 and able to engage with the lug 1187 to prevent the continuation of the movement of the slide, which causes the tension of the spring 1186 when the stud <B> 1185 </B> is returned to its initial position to the right (fig. 19).
The lever 1176 with three branches thus remains blocked by the slide until. that the lever 812 be recalled, and the ear <B> 1187 </B> comes off the spout 1188 to allow. the slide to return to its initial position, under the action of spring 1186. Jlécarrisrrre <I> of </I> command <I> of </I> operations <I> of </I> subtotal.
Mechanisms have been provided which make it possible, by means of the control keys, to extract a subtotal from any one of the totalizers, except from the totalizer X. For this purpose, the 653 SoiLs-Total 1 key is provided to extract a sub-total from the totalizer N 1 and united key 669 Sub-Total for the totalizers NS 2 to 9. In the latter case, a key must be pressed simultaneously. 659 on 668 and the Sub-Total key 669.
As shown in fi-. 37, the keys 65 and 669 cooperate with a sub-total slide 1190 sliding on bolts 646, like the other slides, moreover. A res sort 1191 tends to. pull the slide 1190 forwards, movement normally prevented, except during the operation of the machine, by means of the bracket 1060 cooperating with a lever 1192 similar to the levers 1056 associated with the # _li.4ères of totalizers, with this difference - however, that extension 1059 does not need to exist.
Lever 1192 carries a stud 1193 engaged with a hooked portion of slide 1190.
During the cycle of the machine, the caliper 1060 is lowered and the slide 1190 moves to the right (fig. 37) or to the front of the machine, under the action of its spring 1191. If neither of the two button 653 or 669 is not pressed, the slideway executes its full course towards the. right, while if one of the two keys in question is used, the slide can only perform part of its travel, because it is retained by its shoulders 1201 and 1202 which abut against studs 1194 or 1195 carried by the keys 653 or 669.
The lower edge of the Slide 1190 is obviously damaged. 1203 capable of cooperating with an ear 1204 formed on an arm 1205 of a stirrup 1206 mounted on a rod 1207 carried by the support 641 (see also Figs. 43 and 44).
The caliper 1206 is controlled by a pivoting arm 1208. on the. rod 1207 and is biased towards the rear of the machine by a spring 1209. The arm is. however retained by a pin 1210 mounted on the slide 1153 and cooperating with. the arm 1208 to maintain the latter in the position of FIG. 44. However, when the cycle is triggered and the slide <B> 1153 </B> 3 moves rearward, arm 1208 and caliper 1206 rotate dextrorsum on rod 1207, bringing lug 1.204 into engagement with the lower ridge of slide 1190.
Arms 1211 pivot. also on the rod 1207 (see also fig. 41) and each of them is provided with a lug 1212 cooperating. with the underside of one of; -lissières 1051, 1067 and 1127. Each arm 1211 is articulated to. connecting rods <B> 1.213 </B> which can slide on the rod 1151 and requested to the left (fi, -. 41 <B>) </B> by a spring. 1214 disposed between 1a connecting rod and a rod 1215 carried by the flanges of the support 641.
As a result, a ground edge 1216 of arm 1211 is resiliently pressed against the lower edge of caliper 1206.
In all operations other than the subtotal, the slider <B> 11.90 </B> is moved to the front of the machine to bring an edge 1217 to. place yourself above the ear 1204 of the arm 1205, thus preventing rotation, in the dextrorsuin direction, <the caliper 1206, when the machine is running. The arms 1211 associated with the control rails of the totalizers are thus retained thanks to the contact of their edge 1216 with the caliper 1206.
However, when one of the keys 653 or 669 is depressed, the slider 1190 is moved towards the front of the machine, but not enough for the ridge 1217 to be placed above the lug 120-1. Therefore, the caliper 1206 can swing in the dextrorsum direction during the operation, which frees the arms 121.1. for a similar movement, under the action of springs 1214.
However, as seen in fig. 41, the arms are individually locked by the lower edges of the slides (the control of the totalizers, except: in the case where these slides have been able to move in a total position for which a notch 1218 is placed above the tabs 121.2.
So when a total key has been pressed to bring the notch <B> 1218 </B> of the slide selected above the leg 121.2, as well as the subtotal key which moves the caliper 1206 away from the rectified edge 7.216, the corresponding connecting rod 1213 can move forward (towards the left in fig. 41) and bring a finger 1219 formed on the connecting rod to be placed against the ridge of an ear 1.2, \ 'r0 formed on eliaeuii of the sliders 1085.
As a result, when the selected slider is. lowered during. machine operation, finger <B> 121.9 </B> can be placed above the ear 7.220 under the action of the spring 121-1. The slide <B> 1085 </B> is. therefore maintained in the lowered position during the remainder of the operating cycle, as indicated in line 4 of the timing diagram, which maintains. the clutch hook 1027 (read totalizer in inactive position.
Consequently, in a subtotal operation, the totalizer remains engaged with the racks during the entire cycle instead of being disengaged shortly after the middle of the cycle, so that the sum accumulated on the totalizer knobs is found to be printed and transferred back to the dials as a subtotal operation.
As we have seen above, it is necessary, in a sub-total, to press one of the total keys 659 or 668, in order to properly position the control slide 1051 and also to press the key 669 Soiis-Total to release the stirrup 1206 and. allow it to pivot in the dextrorsum direction. In the case of the totalizer N 1, however, the key 653 Sub-Total 1 is provided with a heel 1221 (fig. 4) placed above a spout 1222 formed at the base of the key 652 Balance 1.
Thus, when this key 653 is pressed, the Balance 1 key is driven to control the movement of the slide 1067 (fig. 35) ensuring the clutch of the totalizer N 1 and simultaneously to cause the locking of the slide 1190 of subtotal by pin 1194 (fig. 37) after a short displacement of this last slide.
It should be noted that it is possible to extract a total from each of the totalizers of group N 5 2 to 5 or of group N 8 6 to 9 and to transfer the accumulated sum either additively or subtractively, into the any of the totalizers of the other group. It is also possible, by using the control keys for totalizer N 1, to record these sums either additively or subtractively in totalizer N 1.
Likewise, a total extracted from the totalizer N 1 can. be transferred either additively or subtractively to one of the totalizers N 5 2 to 5 and to any one of the totalizers Nos 6 to 9 by simply pressing the two corresponding control keys.
In some cases, it may be desirable to establish a long addition of a very large number of sums to be recorded in the totalizer N 1 and, in this case, the operator must be avoided having to press each time the Add 1 661 key. To do this, a special lock 1223 (fig. 9) is pivoted at 1224 on a square formed on the retaining plate 637, this lock having a notch 1225 cooperating with a pin <B> 1226 </B> carried by the stem of the button 661 Add 1. Therefore, this key can be held down permanently, until the lock 1223 is released.
Note also that the key 662 Under traction 1 has a priority over the key 661 Add 1 given that the stud 1083 (fig. 35) carried by the key Subtraction 1 touches the shoulder 1081 provided on the slide 1067 for the control of the totalizer N 1 before the pin 1068 of the key 661 Add 1 comes on the path of the square 1069. Thus, if the two keys are pressed simultaneously, a subtraction will be executed.
Interverroitillaye <I> between </I> keys <I> of </I> contnzand <I> e. </I> To avoid false maneuvers on the part of the operators, some interlocking has been provided between the control keys. For example, the selection keys 651 to 657 and 663 to. 666 are provided with a mechanism which a. The goal is to prevent more than one key from entering simultaneously in each group.
This interlocking mechanism between keys 663 to 666 is shown in figs. 28 and 33 where it can be seen that each of the long studs 1116 carried by the keys is engaged in an elongated slot 1231 made in the partition 633. The outer ends of these studs cooperate with ridges 1232 of a series of mas selottes 1233 swiveling in 1231 on the partition 633.
A similar mechanism (not shown) is provided for selection keys 65-1 to <B> 657 </B> correspondent. to the totalizers N 5 2 to 5, so that it is. not possible either to rush in simultaneously. more than one touch total for this group. Arrangements are also provided to prevent the depressing of the 668 Total 6-9 key at the same time as the 667 Subtract 6-9 key or the 659 Total 2-5 key at the same time as the 658 Subtract 2-5 key.
This interlocking mechanism between the total and subtraction keys for totalizers Nos. 2 to 5 is shown in figs. 1 and 6 and comprises a weight 1235 pivoting on a stud 1236 of the partition 631. This weight has two ridges 1237 cooperating with studs 1238 and 1 39 carried respectively. by keys 659 and 658. If one of these two keys is pressed, the weight switches and locks the other key.
As seen at the end. 9, the keys 668 Total 6-9 and 667 Subtraction 6-9 are also interlocked key in the same way, this time by means of a weight 1210 pivoting on the partition 633. The purpose of these interlocks is to prevent the 'an attempt is made to carry out a total and a united subtraction operation simultaneously.
Means have also been provided to prevent simultaneous use of phLs from one total key at a time. For example, as shown in FIG. 6, the. Balance key l 652 is locked against the 659 Total key. 2-5 in the sense that a stud 7 .. \ 'J11 carried by the key 652 cooperates with the edge of a weight 1212 pivoting at 1213 on the partition 631.
This weight is connected to. the weight 1235 by a link 1211 so that, when one of these two keys is pressed, the two mass-burts are. tilted to lock the keys. Key 6:52 Balance 1 is rusty compared to key 668 Total 6-9 a.t-u by means of the mechanism shown in fig. 7 and 9.
As can be seen, the stud 691, carried by the key 652, acts on an edge 1255 of the trigger 701 to move the latter to the left (flg. 7) when the key is depressed. This movement has the effect of dragging an arm 12-15 in the same direction and rotating a shaft 1216 in the dextrorsum direction (fig. 9).
On this shaft is also pinned an arm 1217 including an edge 1218 and a shoulder. 1.249 cooperate with the bolt 1133 fixed on the key 668 when the shaft 1 to 16 turns the direction dextrorsum. When you press the <B> 652, </B> the arm 1217 is moved to the left to bring the edge 1218 below the <stud 1133 (the key 668 which, therefore, cannot be pressed.
If, during the following operation with the machine key, the 668 Total 6-9 key is pressed, the pin 1133 cooperates with the edge 1218 to tilt the shaft 1 \ '16 in the senestrorsurn direction. therefore, the trigger 701 moves towards the front of the machine to bring the edge 1255 below the stud 691 carried by the key 652 Balance 1. Therefore, if the operator tries to depress this key 652, he finds that the key is stuck, since the stud 1133 has been moved behind the shoulder 1219 of the arm 12.17 which prevents the trigger 701 from moving towards the rear of the machine.
The key 659 Total 2-5 and the key 668 Total 6-9 are reciprocally locked by means of the pin 698 (fig. 7) carried by the key 659, which pin cooperates with an edge 1250 formed on the trigger 701.
The 6.52 Balance 1 key and the 662 Subtraction 1 key are also interlocked to each other, again to prevent a wrong move. As shown in fig. 9, an interlocking lever 1251 pivoting in <B> 1252 </B> on the bulkhead 632 has an arm 1253 directed forward in engagement with the pin 1098 disposed on the. rod of the key 652. 1-branch 1254 of the lever 1251, directed upwards, cooperates with the stud 1083 carried by the key 662.
Therefore, if the 652 key is. depressed, the upper edge of the branch 1254 is brought below the pin 1083, thus preventing the depression of the key 662. Vice versa, if the Subtract key 662 is pressed, the pin 1083 is placed. on the path of branch 1251 and lever 1251 prevents the key 652 from being pressed. Mechanism <I> of </I> selection.
As previously mentioned. virtually all machine functions can be controlled by the trolley. To relieve the latter of the force which would thus be imposed on it if it had to mechanically control all the levers or other parts (the control, a sensitive mechanism is provided which in a way feels the control plates 1405 carried by tabulators 1.374, when the carriage is moved to its different positions.
As shown in Figs. 45, 46, 47 and 48, this mechanism consists of sensitive fingers comprising at their upper part a sensitive head 1889 and these fingers can take four different shapes, as indicated by the references 1890, 1891, 1892, 1893. These sensitive fingers are all guided at their upper part by openings made in a guide plate 1891 fixed to a block 1900 itself carried by an angle bar 216. At their lower end, the sensitive fingers are articulated to. a series of levers which are thus controlled by the sensitive fingers when these latter cooperate with the plates 1405.
Thus, each sensitive finger 1890 is articulated at the right end of a lever <B> 1.901, </B> and these levers are mounted on studs 1902 and 1903 arranged on a frame plate 190-1 supported by the vertical part of the horn 216 by means of ribs <B> 1905. </B> Each lever is biased, in the senestrorsum direction, by a spring 1906, so as to keep the sensitive fingers in engagement with the control plates 1405. Near its left end, each lever 1901 includes a pair of fingers guide 1907 and 1908 cooperating with. grooved studs 1909 and a guide plate 1910 respectively, to guide the vertical movement of the levers.
Below a ridge 1911 formed on each lever 1901 is arranged a slider 1912 which controls the sensitive mechanism (see also fig. 21) and which can slide vertically on the studs 1913 and 824. This slider 1912 comprises a pin (not shown) engaged with a slot made in a pivoting lever 1915. in 1916 on the side frame. The other end of the lever 1915 carries a stud 1917 engaged with a lever 1918 rotating on the shaft 802 and the other branch 1920 of the lever can cooperate with rollers 1921, 1922 and 1923 carried between cams 796 and 1147 (see also fig. 25).
As the main shaft 253 rotates in the senestrorsum direction (Fig. 21), the roller 1921 moves away from the branch 1920, allowing the spring 1906 to lower the slide 1912, which has the effect of lifting the heads. sensitive 1889 to come into the path of the lower parts of the control plates 1405. As shown in fig. 46, each of the plates 1405 has two shoulders, one of which cooperates with the left row of sensitive heads 1889 and. the other with the right row.
Each of the shoulders can be cut to four different heights, position 0, shown in fig. 46, corresponding to. the absence of a plate, position A at the addition for which the sensitive fingers are stopped after their complete stroke, the subtraction position S corresponding to an intermediate stroke of the sensitive fingers and finally the total position T for which the fingers sensitive travel only a short distance.
The sensitive heads 1889 of the sensitive fingers are returned to their lower position, shown in fig. 46, near the end of the machine cycle, by means of the roller 1923 (Fig. 21) which contacts the branch 1920 of the lever 1918, which lifts the slide 1912. After the roller 1923 a. beyond the extremity of the arm of the lever 1918, the following roller 1922 is used for. maintaining the slide in its raised position until the roller 1921 comes back into contact with the branch 1920 to keep the slide in its upper position until the end of the cycle.
* So that the slider 191_2 is lowered at a suitable time of the cycle, the lever 1918 has an arm 1924, the lower part of which can cooperate with a stud 1925 fixed to the cam 1147. This device adds its effect to. that produced by the springs 1906 to lower the slider 1912, so that the lever 1915 swings in the dextrorsum direction at the very beginning of the cycle. This is necessary, in particular, to ensure the appropriate operation, at the start of the cycle, of certain balance reversal mechanisms, for reasons which are explained in patent Ni 281791.
The slider 1912 has, near its upper edge, a notch 1926 engaged with the rounded end of a lever 1927. (fig. 46) pivoting in 1919 on the plate 1904. The other end of this lever comprises a 9 : 0ujon 1928 copying with a light. performed in one of the side arms 1930 of a 1929 stirrup. The side arms 1930 pivot in 1931 on the 1904 plate, and the 1929 stirrup is placed above a series of 1932 tabs attached to the sensitive fingers 1892 and 1893 to ensure the ordering of the corresponding 1889 sensitive heads.
It can therefore be seen that when the slider 1912 is lowered, the caliper 1929 is raised, which results in putting the sensitive fingers in engagement with the control plates 1.105.
As shown in fig. 47, the finger 1892 is, articulated with 1u1 arm 1933 pivoting on an 8011j011 1934 of the 1904 plate. On this pin also pivots another arm 1935 provided with a pin <B> 1936 </B> placed under an extension of the arm 1933. The contact. between the arms is secured by means of a 1937 spring stretched between the two arms. This set is. solicited in the dextrorsum direction by means of a spring. 1938, so that finger 1892 is lifted and tab 1932 is in contact with caliper 1929.
In the example under consideration, three sensitive fingers 1892 are provided as pivot on a sensitive device similar to that formed by all of the arms 1933 and 1935. These are. also represented. to the <U> fi-. </U> 45 in which the arms corresponding to the arm 1935 are designated by the references 1939 and 19.10. These arms pivot on stud 1-934 and are elastically connected to arms similar to arm 1933. The arm <B> 1935 </B> is connected to the front feed mechanism and the line spacing mechanism.
Arm 1.939 is connected to the front tab mechanism, and arm 1.940 is connected to the back tab mechanism. These mechanisms are fully described in the patent. <B> NI, </B> 281791.
Fig. -18 shows that sensitive fingers 1893 rotate at. the left end of the levers 1941- and. 1-942. The levers 1941 and 19:12 are articulated to connecting rods 1.943 and 1944 res- peetivenient, connected, on the other hand, to the side arms 1930 of the bracket 1929. At the ends of the levers 19.11 and 1942 are also connecting rods 19.50 and 1951.
It is necessary. note that the construction of this mechanism is such that, if the corresponding sensitive heads 1.889. to sensitive fingers 1893 are stopped by the plates 1-10: 1, when the caliper 1929 is raised, the connecting rods <B> 1950 </B> and 1971 are also raised, while the sensitive fingers can move freely. along the 192S caliper), no movement is communicated to these 1950 and 1951 connecting rods.
The fi-. 49 shows that the connecting rod 1.951. is articulated to. an arm <B> 1.952 </B> which, together with another similar arm 1.953, constitute a bracket 195-1 (printing. The arms 195 '.. and 1953, supported by the side printing flanges 916 (1'i_. 3p), are biased in the dextror- suine direction (fig. 19) by a spring. 1957.
As depicted at. fig. 3B, the yoke 1951 is arranged to cooperate with lugs 1958 formed on the control plates 919 of the print, so as to. stop the printing movement of everything. or part of the printing sectors 912.
The rear edge of the 1951 stirrup (fig. 19) is cut so as to present three shoulders; if it is the height T of the plate (the control 1105 which is presented to the sensitive head 1889, the caliper 1951 is tilted over its entire stroke and prevents all the sectors from functioning.
This is the non-printing function. If, on the contrary, it is a height which is presented to the sensitive head, the 1.951 caliper is stopped for part of its travel, so that two out of three shoulders are. in position of engagement with the lan, uettes 1.958, which a. as a result of preventing only part of the printing sectors (operating it, for example to prevent printing of amounts.
Finally, if such a height of the control plate is presented to. the sensitive head, the 1951 caliper is moved far enough so that only one of the shoulders is in contact with the <, icettes 1958 and still prevents other sectors from printing, for example for the non-printing of pennies. If the sensitive head 1118! 1 can move freely over its entire stroke, the 1954 caliper remains stationary and all printing sectors can print.
Sensitive heads 1889, which control the connecting rod 1950, are used to determine the sectioning of the printing between certain predetermined decimal columns, for example to prevent the printing of zeros to the right of the sectioning. This is obtained by the parts shown in fig. 51 in which we see the 1950 connecting rod articulated to a 1959 triangular plate pivoting on a 1960 printing flange. This plate carries a 1961 pin in contact with a shoulder formed on one of the two arms of a 1962 pivot bracket. in 1963. Between the two arms of the caliper is disposed a 1961 rod to which is articulated the upper end of a 1965 rod.
Therefore, when the 1889 sensing head is retained in its upward movement, the connecting rod 1950 is. raised causing an analogous movement of the 1965 rod and a sectioning of the print between the columns as desired.
The machine shown has three sensitive fingers 1891 fitted with sensitive heads 1889. As shown in FIG. 46, the fingers 1891 are articulated to sensitive levers 1966 pivoting on the stud 1903 and having, at their left end, a shape similar to that of the levers 1901.
The 1.966 lever associated with the 1889 com sensitive heads takes a 1967 tab connected to a 1968 piano wire which is used to control the printing of the date, as described in detail in patent No. 281791. <I> of </I> totalizers by <I> the </I> tabulators. It can be seen from figs. 30 and 45 that the left ends of the sensitive levers 1901 and 1966 have folded ends 1969 arranged below pivoting levers 1970: on a rod 1971. itself supported by the support 833 and a frame 1972 (fig. 28 ).
Each 1970 lever includes the 197Ô pin (fig. <B> 30) </B> engaged with an arm 1971 pivoting in 1975 on the support 833. Each arm 1974 is biased in the senestorsum direction by a spring 1976, so that the arm 1974 and the lever <B> 1970 </B> Follow the downward movement of the ends of the sensitive levers 1901 and 1966, when the machine is in operation. On the 1.975 axis also pivots a 1977 stop arm fitted with a 1978 pin held in contact with a shoulder of the 197-1 arm under the influence of a 1979 spring.
Each of these 1977 stop arms has a 1980 stopper which can cooperate with stepped shoulders provided on a 1981 sensitive slider. Each of the slides is articulated, at its front end, to one of the totalizer control levers 1056 and is. guided at the rear by an open slot 1982 which cooperates with a fixed rod 1983.
It can therefore be seen that the extensions 1059 which control the totalizer clutch hooks 1027 can also be controlled by the slide 1981, instead of being controlled by the totalizer slides 1051, which gives rise, for the operation of the totalizers. totalizers, to a joint command between the movement of the carriage and the keys of the keyboard.
The end of each slider 1981 has two shoulders 1981 and 1985 which can cooperate with the nose 1980 to place the extension 1059 in its add and full positions, respectively. A third movable shoulder is provided on the 1981 bucket coulis and consists of a 1986 bar pivoting to. the end of the slider 1981. and which can, with its other end, cooperate with the slats 1980 so as to place the protrusion 1059 in the position of subtraction.
The positions occupied by the stopper 1980, under the control of the sensitive levers 1901 and. <B> 1966, </B> are. indicated in phantom in the thread. 30. If no 1405 plate is presented to stop the 1889 sensitive head in its movement. ascending, beak <B> 1980 </B> moves to his. highest position or zero position which corresponds to the non-addition in the totalizers.
When a plate of height _1 cooperates with the sensitive head 1889, the nozzle 1980 assumes position A and allows the slider <B> 1981 </B> to move towards the @auehe (fig. 30) until the shoulder 1984 comes into contact with the spout to stop the extension 1059 at the addi tion position.
When we are in the presence of a plate of height S, the nozzle 1980 is. raised to this position S so as to cooperate with the end of the bar 1986 to stop the slide and the extension 1059 at the position of: subtraction. Finally, in the case of a plate of height T, the nozzle 1980 adopts the. position T to come into contact with the shoulder 1985 of the slide and stop by the extension 1059 to. the position of total.
The elastic connection provided between the 1974 arm and the arm (the stop <B> 1977 </B> by means of the spring <B> 1979 </B> and stud <B> 1978, </B> allows the slider 1912, which controls the movement of the 1.901 and 1966 levers, to be recalled to the initial position at the start of the machine cycle and this earlier than the caliper 1060 which controls the extensions <B> 1.059 </B> and the slider 1981. flràce at the shoulder 1985, the stop slats. <B> 1980 </B> are prevented from returning to the initial position, but however, due to the elastic connection existing between the arms 1974 and 1977, the sensitive levers can be returned to the initial position by tensioning. spring 1979.
When the slider 1.981. subsequently returns to the position of fig. 30, the nozzle 1980 returns to its normal position and the stud 1978 returns to contact with the shoulder of the arm 197-1.
The mechanism described above is exactly the same for each of the totalizers \ "s 1 to 9, as well as for the totalizer Î, which, as mentioned above, can be selected from the tabulators for the totalizers. addition, subtraction and total operations, nothing is provided for its selection from the keyboard For subtotal operations, a slider of a slightly different shape is used.
The fi -, -. -15 and 37 my trent indeed. the sensitive head 1889 which is connected to a lever (the subtotal 1987 analogous to the levers 1901. The end (the left of the lever 1.987 is also folded up to cooperate with the lower edge of the levers 1970 pivoting in 1971.
There is also a 1980 stopper which can be returned to a position .1 shown in line. mixed wire-. 37, position in which it cooperates with a sub-total slider 1988 hinged to the sub-total key lever 119, \ 3. and suitably guided by the 1983 fixed rod. <read (length A is placed above the sensitive head 1889, the slider 1988 is stopped by the spout, 1980 so as to position the sub-total slide 1190 in the position which corresponds to an extraction of under total.
If no plate is presented to the sensitive head or if they are plates of S or T height, the slider 1988 is not stopped by the spout 1980, and the slide 1190 moves over its entire length. forward movement of the machine, thus preventing the taking of a subtotal. Touch <I> of </I> reverse <I> of </I> totalisers. As mentioned in the previous paragraph, the 1986 bars which cooperate with the 1980 mouthpieces to stop the extensions <B> 1.059 </B> in subtraction operations,
are articulated to the slides <B> 19.81, </B> thus enabling the 1986 bars to be lowered or raised relative to the bucket coulis. This movement is obtained at. using a niecanisia represented in fig. 31 and which includes the. reversal key 671 of which a pin is engaged with the hooked end (the one lever 1989 swivels in 1990. This lever comprises an arm which cooperates with a pin <B> 1991 </B> carried by a 1992 arm mounted faithfully on the 1058 shaft.
The movement says arm 199 :. ' East. communicated to a triangular plate 93 by means of a connecting rod 1995 (fig. 32). <B> The </B> 1993 plate is fixed on a 1994 shaft carried, on the one hand, by the support. 833 and, (the other hand, by the frame plate 1972. It can be seen in fig. 3 \? That a second triangular plate 2000, also fixed on the shaft 1994, is separated from the first by means of 'a tire'? 001.
On the latter pivot. a series (the 2002 forks including a slot <B> 2003 </B> intended for. cooperate with 2004 studs worn by 1986 lugs. These forks are also. provided with a vertical slot '_'005 engaged with the 1983 rod which serves them.
thus guiding in their vertical movement. A 2006 spring attached to the 2001 rod tends to rotate the rod and the triangular plates 1993 and 2000 in the dextrorsum direction around the shaft 1994 to keep the forks in their lower or normal position. When the reversing key 671 is lowered, the 2002 forks and the 1986 bar are raised from the position of fig. 30 in a position in which the. bar rette cooperates with the end of the stop spout 1980 when the latter is in position A.
Therefore, a suitable 1405 plate causes extension 1059 to stop at the subtract position when a 1405 S plate allows the slider to move to the left until the shoulder 1984 abuts against the end of a. bec 1980, thus provo an addition operation. This return of the addition and subtraction selection or vice versa from the cart tabulators can be used to correct a clerical error or to record a rebate. <I> key </I> non-selection.
In the machine shown, a mechanism has been provided for, under certain given conditions, disengaging the control, by the cart, of the selection of the totalisers. For example, if you lower either the non-selection key 672 or one of the total keys 659 or 668, all of the totalizer selection from the carriage will be disengaged, thus allowing the machine to be manipulated at the same time. by means of the totalizer control keys, without the intervention of the carriage tabulators. Likewise, if any one of the control keys for the totalizer N 1 is used, the control of this totalizer from the carriage is also disengaged.
The mechanism provided for this purpose is shown at the end, -. 53 in which we see that the non-selection key 672 carries a 2007 pin engaged with a 2008 arm pinned to a 2009 shaft supported by the partitions. This 2009 shaft carries another 2010 arm in contact with a 2011 pin attached to the end of a 2012 lever secured to a 2013 shaft carried by the support 833 and the 1972. The 2012 lever is. articulated to a connecting rod 201.1 connected, on the other hand, to an angled lever 2015 fixed to. a 2016 sleeve rotating on a 2017- rod carried by the support 833 and the frame 1972. Another elbow lever 2018 is. attached to said sleeve and a 2019 rod connects the two angled levers 2015 and 2018.
On the rod 2017 is also mounted a short sleeve 2020, at each end of which is fixed an elbow lever 2021 and 2022 interconnected by a rod 2023. The elbow lever 2021 carries a jon 2024 placed on the path of one of the arms of the angled lever 2018, so as to lower the rod 2023 each time the rod <B> 2019 </B> is itself lowered.
As shown in fig. 30, the rod 2019 is placed above a finger 2025 \ forming part of the stop arms 1977 associated with the totals X Nos 2 to 5 and N 5 '6 to 9. Similarly (fig. 37), the rod 2023 is placed over fingers forming part of the 1977 stop arms adjoining the totalizer N 1 and the control mechanism for the subtotal operations. Therefore, every time the.
non-selection key 672 is pressed, the stud 2007 turns the shaft 2009, and the arm 2010 switches the lever 2012 at the same time as the shaft 2013, movement which is communicated by the connecting rod 2014 to the crank lever 2015, which lowers the 2019 and 2023 rods. It follows that the 1980 stop slips for all totalisers and for the subtotal mechanism are raised to the inactive no-add position, while the 1979 springs are tensioned . The tabulators of the carriage are therefore made inactive and the totalisers can be selected as desired from the keypad, whatever. the position of the carriage.
A mechanism has also been provided whereby pressing the control keys 659 for totalizers Nos. 2 to 5 and 668 for totalizers N 5 6 to 9 has the effect of disengaging the selection from the tabulators, since a tabulator of subtract or subtotal normally takes precedence over key control and otherwise would cause a subtract or subtotal operation instead of a total.
As shown in fi-. 53, the touelie 659 Total 2-5 includes a; stud 2026 placed on the path of an arm 2027 pinned on the shaft 2009.
The hit 668 Total 6-9 is born from a similar positive device which crushes the tree '009. If therefore one or the other of these keys is pressed, the shaft 2009 turns and eoniniande, by the mechanical chain previously described, the lowering of the rods 2019 and \ 3023, which, as we have just seen, brings about the arrest lists <B> 1980 </B> eii position of no addition.
Also provided are members by which the four control keys for the totalizer N "1 move the rod 2023 to disengage the tab control of the totalizer N 1 and the subtotal mechanism. In fact, FIG. 53 shows that the 652 Balance 1 key and the 653 Sub-Total 1 key.
wear g <B> y </B> o ujons 691 and 692, respectively, cooperating with inclined ridges of the trigger 700 (see also Fig. 7). so that the depress is lying. of these keys has the effect of moving this trigger backwards. This relaxation com takes an extension. 2028 in contact with a stud 2029 carried by a pivot arm 2030.
on the tree <B> 1058, </B> The upper part of this arm is connected by a connecting rod 2031 to the elbow lever 2022. Consequently, each time one of the keys 652 or 653 is pressed, the rod 2023 is lowered to cause the disengagement of the . Trolley control of the totalizer N 1 and of the subtotal mechanism.
The keys <B> 661 </B> Add 1 and 662 Subtraction 1 also have the effect, when used, of lowering rod 2023, as these keys wear. the studs 706 and 707 cooperating with an inclined edge of the trigger 715, which is connected to the trigger 700 by means of arms 2033 fixed on a shaft 2032.
It therefore follows from this arrangement that the use of the keys 661 and 662 has the effect of disengaging the control by eliariot from the selection of the totalizer. Iw-pressioia. symbols.
4 right of sectors 9-12 printing the amounts are arranged two sectors 2460 and <U> ' </U> 461 (fig. 50 and 52) intended for printing (abbreviations and symbols. These sectors are analogous to sectors 942 and pivot at the end of printing arms 2462 and 2463 supported by a shaft of Print 945. The device for triggering the symbol sectors is described in patent No. 281791 and is not repeated here.
The means for adjusting the symbol sectors are also described in detail in this patent, with regard to sectors 923, and. includes 2464 connecting rods and <U> 2465 </U> which connect sectors 2460 and 2461 to (the reduction arms 2466 and 2167 mounted on shaft 914. Each reduction arm is connected to. A segment 2468 and 2469 connected by connecting rods 2470 and. 2471 to arms 2472 and 2473 fixed on shafts 2474 and 2475 for printing the symbols The connecting rods 2-170 and 2471., are held towards the rear of the machine by means of springs 2476 which tend to bring the sectors into position printing.
As shown in the. fig. 3A, the shafts 247-1 and 2-175, extend over the entire width of the machine, under the keyboard, which makes it possible to control the position of these sectors by means of the control buttons arranged to the left of the keyboard .
As shown in fig. 54, the positioning of the shaft 2474 is controlled by soot pair of slides 2-177, 2478 which cooperate with stops carried by the keys 661 Add <B> l, </B> the under traction keys 658 and 667 and the overturn key 671 and also with a cursor 2352 described in detail in patent N 281791. In this way, the sector 2460 is put in a differential position to indicate the desired symbol of the type of operation performed.
It is the same for the shaft 2-175 which is controlled by a pair (the slides 2479 and 2480 cooperating with (the stops carried by the keys of the totalisatenr, S N '2 to 9.
The fi--. 33 and 54 show. that the slide 2-180 comprises four projections 2481 which can come into engagement with the studs 1116 when one of the corresponding keys is. depressed, which stops the slide 2480 and the shaft '-1475 at different positions transmitted to the printing sector which prints the symbols 6, 7, 8 or 9 (fig. 52). The slide and the shaft are positioned by the action of the spring 2-176 attached to the reduction arm 2467, when the actuator bar 915 is. moved to the rear of the machine.
The gli -, ière 2480 is coupled to the shaft 2475 by means of an arm 2482 fixed on the shaft and of which a stud 2483 is. engaged in a yoke of the slide. This comprises two elongated slots which allow it to slide over bolts 646. Likewise, the slide 2479 has a similar sliding movement and it includes a notch 2484 engaged with a stud 2485 mounted on it. upper end of an arm 2486 fixed on the shaft 2475. The slide 2479 also has four projections 2487 which can cooperate with the studs 2488 (fig. 33) carried by the shanks of the keys of total 654 to 657. Therefore , when one of these keys is pressed, the corresponding stud.
2488 is. placed on the route. of one of the sail lies 2487 to stop the slide 2479 at the desired position. When the actuating bar 915 is moved towards the rear of the machine, during the cycle, the spring 2476 will have the effect of turning the shaft 2475 in the senestrorsum direction (fig. 54) and doing so. so that stud 2485 moves freely in notch 2484 until it touches its posterior edge or at that point drives the slide which can slide until one of the protrusions meets a stud 2488 Sector 2461 printing the symbols is.
thus stopped at the position in which it im prime one of the symbols 2, 3, 4 or 5.
If none of the selection keys N 5 2 to 9 are used, the shaft 2: 175 cannot rotate under the action of the spring 2-176 as a result of an arm "2489 whose upper end comprises a bracket 2490 engaged with a finger 2491 integral with an arm 2492 pivoting at 646. The arm 2492 has a pin 2493 which extends on each side of the arm, the left part being able to cooperate with a spout 2494 (fig. 55) trigger 719 corresponding to the selection keys of totalizers Nos. 6 to 9.
As seen in fig. 56, the right part of the pin 2493 engages with a slide 2501 sliding through slots 2502 on screws 111 \ 3 (see also fig. 4). I n spring 2503 tends to pull this slide 2501. forward so as to maintain edges 2504 in contact with the studs <B> 2505) </B> carried by the rods of the selection keys 651- to. 6 <57 of totalizers N '2 to 5.
Likewise, the trigger 719 of FIG. 5 5 comprises in elined edges 2506 cooperating with the studs <B> 708, </B> 709, 710, 711 carried by the rods of the keys (the selection (the totalizers N ç 6 to. 9, these edges being kept in contact with the studs, under the action of the spring. 2503.
Therefore, if any of the selection keys N "2 to 5 or N-6 to 9 is pressed, the arm 2-192 switches in the senestror-- sum direction to move the finger 21-91 away from the square 2-190, which has the result of freeing the shaft 247-.ï and consequently to prepare the positioning of the sector 2461 for printing (see symbol.
The printing sector 2.160 is controlled in the same way by the slides 2477 and 2475. Each of the slides engages with studs 2507 and <B> 2508 </B> carried by arms 2509 and 2510 fixed on the shaft 2474. Sail lies 251l and 2512 provided on the slide 2477 -are in contact with the pin 1239 carried by the. touch <B> 658 </B> (Subtraction 2-5) and ave (, the square <B> <U> 2351 </U> </B> which ends cursor 2352, which controls the.
position sector 2460 for the subtraction symbol 2513 (fig. 52) or the balance reversal symbol 2514. De rnênie, the slide 2475 can cooperate with (youjons 2515 and 2516 carried respectively by the touelie <B> 671 </B> (Knockdown and hit <B> 667 </B> Subtraction 6 to 9, studs that are. brought on the path of edges 2517 and 2: 51S of said slide.
In this way, the printing sector 2460 is brought to the desired position to print the symbol 2519 (the reversal (a diamond for example) or the subtraction symbol 2513.
The slide 2477 has, on the right, a finger 2533 which can be engaged with the stud 1.068 carried by the key 661 Add 1 in the goal. (order the position of the printing sector 2-160 for the printing of a symbol 2534 corresponding to the addition in the totalizer N 1.
When we push the. key 672 (the Non-selection, the slides 2-177 e1 2-17S are released, as we will see later, and since it does not exist (the pin carried by this key to block the slides, the latter move over their entire stroke, which corresponds to the impression of a non-selection sYnibole 2521.
Other positions of sector 2460 are determined by an arm (the stop 2522 (end 34,: 35 and 36) carried by the shaft 2474 and provided with a pin 2523 engaged with a selection arm 252-1 mounted. crazy on bolt 646.
This arm has a branch 252: i provided with two ridges 2526 and <B> 2.527 </B> cooperating with square studs 2530 and 2525 carried by the 1.067 slide of the totalizer N I and by the 1190 sub-total slide. Thus, (for subtotal operations, slide 7190, instead of moving freely over its entire stroke,
is stopped at its subtotal position which places square stud 2528 on the path of edge 2527 to stop sector 2-160 at the print position of subtotal symbol 2529. Likewise, when the slide 1067 (end 35) of the totalizer N 1 comes in the subtraction position, the pin 2530 carried by this slide comes to be placed in front of the edge 2527 and thus position the sector 2460 to print a symbol 2537. subtraction 7.
If the slide 1067 can move to its full position, the square stud 2530 cooperates with the edge <B> 2526 </B> which corresponds to the printing of the symbol 2532, i.e. Balance <B> 1. </B>
Regarding this mechanism, it should be noted that the symbols which are controlled by studs carried by the key rods are not printed when the command is executed by the carriage instead (the touelies, while the svrirboles which are eornrnaridé5 by the slides of the totalizers are printed in both cases.
The last-born mentioned symbols 2: i29, 2531. and <B> 2532 </B> are (the second category, as well as a symbol? 535 of total, the printing of which is controlled by tabs 2536 (fig. 36) placed on -clessott @ slides 1051 (see also fit . 9).
When the control slides 10; 1 for the totalizers N s 2 to. 9 unfolded. to the right (fig. 36) in their total position, the tabs 2536 come to plagiarize above a bracket 2537 (fig. \ 39, 36, 4: 1 and 44) pivoting on a shaft 2538.
A res out \ '5:; 9 tends to keep the caliper 2537 in @@@ ntact with the straps <B> 2536, </B> but nor- iiialenrent the caliper is maintained below the path of the tabs thanks to its stud 2540 41) carried by the slider 1153 engaged with a finger 2541 fixed to a sleeve 2542 29) freely mounted on the tree 2538.
\ e inanclron 2e42 carries an arm of the caliper '1a37 (it is, therefore, retained by the 1 @ 0njon 2: r40 until. ee that the slider is relocked backwards, at the desired moment of the c @ -cle (line 7 of the timing diagram fig. 60).
1. ': I Liter arm of the caliper? 537 is resiliently connected to a locking finger 2543 disposed in the path of a stud 2544 carried by the arm (the selection 2524, when the caliper is prevented from rotating in the dextrorsum direction by one of the tabs 2536.
The contact of stud -'a44 and must 2543 has the effect of determining the position of sector 2460 for the printing of symbol 2535 of total, thus indicating that a total has been extracted from one of the lotalisers N s 1 to, 9.
If this total is printed s @ ms the command of the selection keys, the seetenr printing. 2461 is brought to the position. which not only prints the symbol, would go to the number of the chosen totalizer. If this tolu] is printed under the command of a tabulator, only the total symbol <B> 253315 </B> is printed.
The finger 2543 is resiliently connected to the right arm of the caliper 2537 to allow the caliper to be recalled by the slider 1153 (fig. 44) shortly before the selector arm '_'534. Note that stud 2544 comes. plagiarize over finger 2543 when the caliper,) - 37 moves upward due to the absence of a tab 2536 and thus lies above finger 2543 when the latter is recalled.
, The stop arm 2522 has a bracket 2550 (fig. 34) which can cooperate with a finger. 2551 integral with a locking arm 2552 fixed on the shaft 2538. This arm is engaged with a stud 2553 carried to the lower part of a slide 2554 which can slide horizontally.
To the left of the shaft 2538 is pinned an arm 2555 carrying, on the other hand, a pin 2556 in engagement with the lower part of a slide 2557. The slides 2554 and <B> 2551 </B> are pulled towards the front of the machine under the action of a spring 2558 although, normally, they are retained in their rear position (fig. 34) by a pin 2559 carried by a fixed arm 2560 to shaft 2538. This stud is in contact with the upper end of the slide <B> 1153 </B> (fig. 44). The parts in question being in the position shown, the finger 2551 is located above the square 2550 and does not prevent the rotation of the shaft 2474.
When, however, the machine cycles, the finger <B> 2551 </B> is moved behind the bracket 2550 before the movement of the actuator bar 915 and thus prevents the sector 2460 from being brought into the printing position. The slides are provided with shoulders which can cooperate with studs driven by the control rods, in order to prevent the forward movement of these slides during operation of the machine.
To this end, the anterior end of the slide 2554 has shoulders 2561 and 2562 placed immediately behind the studs 1083 and 1098 carried by the keys 662 Subtraction 1 and 652 Balance 1. Thus, when one of these keys is pressed, the slide is blocked and the shaft 2474 can rotate freely to put the sector 2460 in the printing position. Note that there is no shoulder for stud 1194 of 653 Subtotal 1 key, because when this key is. pressed, key 652 is also driven.
Likewise, the pin 1068 carried by the key 661 Add 1 is placed in front of a shoulder 2567 provided on the slideway for the installation of a corresponding symbol 2534. The 658 Subtraction 2-5 and 669 Total 2-5 keys carry studs 2563 and 2564 that can. be brought in front of shoulders 2565 and 2566 of slide 2551 to allow printing of a suitable symbol.
For similar reasons, the slider 2352 is provided with a square 2568 which can. be brought in front of a shoulder 2569 of the slide 255-1, when this cursor is operated during a balance reversal, to block the slide and prepare the printing of a symbol 251-1 corresponding to the balance reversal. The slide 2557 has two fingers 2570 and 2571 directed upwards and able to cooperate with the studs 2515, 2516, 2572 and? 573 carried by the keys 671, 667, 672 and 668 respectively, which also has the effect of stopping the slider and prepare the printing of the corresponding symbol.
Since the slide 115 (fig. 44) is, in the cycle, recalled to its initial position before the shaft 2474, the finger 2551. is moved away from the square 2550, while the res comes out 2476 (fig. . 50) always tends to pull the connecting rod 2-170 towards the rear of the machine. Therefore, the shaft 2474 and the corresponding sector 2460 tend to jump into the printing position, if means are not provided to prevent this condition.
This drawback can be eliminated by a device shown in FIG. 59 and which comprises a worm 2591 pivoting at 2592 under the action of a spring 2593 to engage with a bracket 259-1 disposed at the upper end of an arm 2595 pinned to the shaft 2474. Nor malement , this lock is prevented from coming to cooperate with the square thanks to. a stud 2596 carried by a lever 2186 which presses against an extension 2597 of the lock. When the machine is in operation, the stud moves away from the extension and at this time the latch engages with square 2594 at the. provided that the shaft is, at that moment, locked by the finger. 2551.
If the shaft is not locked, the square moves below the latch at a time when stud 2596 moves extension _597, so the latch is working on. empty. If, on the contrary, the tree is blocked, the lock becomes active and holds the tree against everything. movement once finger 2551 moves away from square 2550 and continues to. be active for the same purpose until the actuator bar 915 has been returned to its initial position.
In addition to slides 255-1 and 2557, it has been provided with a stirrup 2571 (flg. 29, 35, 43 and 44) surrounding the stirrup 2537 and. with a raised shoulder <B> 2575 </B> which cooperates with a tongue 2576 (fia. 35) provided at the lower part of the slide 1067 called totalizer 1. The other branch of the stirrup 2574 has a slot 2577 engaged with a stud 578 carried by a connecting rod 2579 articulated to an arm 2580 pinned to the shaft 2538.
The anterior part of the slit <B> 2577 </B> is in the shape of a circular arc followed by stud 2578 when the. connecting rod 2579 swings around its pivot on arm 2580, so that caliper 574 and shaft 2538 are linked together for displacement, when the stud is (milks the front part of the slot, as shown in fig. 29.
When the slide 1067 of the totalizer N 1 moves to. its total position, which brings the tab 2576 above the shoulder. <B> 2575 </B> the caliper, the caliper and shaft 2538 cannot rotate under the action of the spring. 2555 and the finger <B> 2551 </B> does not come to the front of the 25: i0 square, which therefore blocks the movement of the symbol printing shaft 247-1.
As a result, the symbols 2532 (Balance 1) and 2529 (Sounds-Total) can be printed freely when a total or subtotal operation in the totalizer N 1 is triggered by a tab of the carriage.
Likewise, sym bol 2531 (Subtraction) can be printed when a subtraction is commanded in the totalizer: \ 1. by a tabulator, and this by means of a part 2581_ (fig. 35) pivoted on Lin stud 258 ? of the. slide 1067 and which can be kept in active or inactive position by means of a tightening nut:
? 583. When this part is in the active position (fig. 35), its posterior part is above the shoulder 2575 when the slide 1067 is in the subtraction position, thus preventing the finger 2551 from locking the shaft 2474.
If for some reason; we do not want to print the symbol Under tension 1 in the operations controlled by the tabulators, which is the case when it is not necessary to obtain carbon copies and it is sufficient to have the amount subtracted printed in red on the original, you can move it. part 2581 in its inactive position for which the rear part is no longer in the blocking position of the caliper 2574. In this way, the symbol printing shaft 2.175 is locked by the finger 2551.
It will also be noted that the printing of the Subtraction symbol 1 by means of the. key 662 (Subtraction 1) remains effective being. since the stud 1083 moves to the lift of the shoulder 2561 (fig. 34).
As seen in fig. 43, a stud \ 3: 584 is carried by one of the arms of caliper 2: ï74 immediately below the ridge of caliper 2.537, so that when the caliper is held down, the caliper 2574 is lowered in turn. Consequently, when any of the slides 1051 for the totalizers N '2 to 9 is brought to the total position, for which the tabs 2536 are <B>. </B> above the caliper 2537, the caliper 2574 is also prevented from lifting during the operating cycle, and the finger 2551 does not come into the effective position of blocking the rotation of the shaft 2474.
As a result, a symbol 2535 is printed for total operations controlled by the tabulators as well as for operations controlled by the selection keys, to indicate that a total has been taken from a totalizer N S 2 through 9.
It has been recognized that it is sometimes desirable to print a symbol indicating that a totalizer is at zero. Ordinarily, in this case, the racks 617 are held in their zero position and the zero elimination pawls 978 retain the printing sectors 942. In the present machine, however, as shown in Figs. 3A and 3B, the zero elimination pawl for the cen times has an extension 2585 which cooperates with a stud 2586 provided at the top of an arm 2587 fixed to the shaft 1172.
Referring to Figs. 17 and 19, it will be recalled that shaft 1172 rotates in the dextrorsum direction in total only operations. At this time, the stud 2586 rotates the zero elimination pawl 978 away from its retaining position, so that the printing sector 942 is released and as that pawl is. rigidly connected to the ratchet in the decimal row, two zeros are printed on the documents to indicate that the totalizer is empty. Key Without Symbol.
You can prevent, if you want, the printing of symbols under the control of the tabulators. For this purpose, a so-called Symbolless key 670 has been provided. This key carries a stud 2588 (fig. 28) on the rod, this stud cooperating with an arm 2589 pivots as well as 2590. This arm is connected by a connecting rod 2598 to the stud 2578 of the connecting rod 2579. Consequently, when depressing key 670, connecting rod 2598 is. pulled up and the connecting rod 2579 towards the rear of the machine to bring the stud 2578 into the rear part of the slot 2577, which part is at right angles to the front part.
The caliper 2574 can therefore move relative to the shaft 2538, so that, although the caliper cannot move because of the slide 1067 of the totalizer N 1 or of the caliper 2537, the shaft and the finger 2551 are not blocked and can come into effective position to lock the symbol tree 2474. In this way, the printing of the symbols for all the operations controlled by the tabulators is prevented, it being understood that the printing of these symbols under the control of the keys is not carried out.