Machine de comptabilité. La présente invention a pour objet une machine de comptabilité.
-Jusqu'à présent, il a été de pratique cou rante d'aménager les butées d'arrêt à zéro, de façon qu'elles maintiennent les différen tiels de montant en position de zéro et que l'enfoncement d'une touche de montant ait pour effet de provoquer le déplacement de la butée correspondante jusqu'à une position inactive, de telle sorte que le différentiel, soit libéré pour être mis en position sous la com mande de la touche. Ce système exerçait sur la touche de montant une charge qui entraî nait, pour l'opérateur, la nécessité d'exercer une pression suffisante pour amener les tou <I>ches</I> à déplacer les butées d'arrêt à zéro.
La machine faisant l'objet, de l'invention comprend un mécanisme d'aetionnement prin cipal, des organes d'enregistrement, un entraî neur différentiel susceptible d'être mis en po sition sous la commande des organes d'enre gistrement et un organe d'arrêt à zéro, cette machine étant caractérisée par un dispositif destiné à amener l'organe d'arrêt à zéro en position active, par un dispositif maintenant normalement l'organe d'arrêt à zéro en posi tion inactive et par des organes entraînés par le dispositif principal d'actionnement et grâce auxquels le dispositif de retenue est rendu inactif, à moins qu'un des organes d'enregis trement n'ait été actionné, ce qui permet à l'organe d'arrêt.
à zéro d'être amené à sa posi- tion active, afin de maintenir l'entraîneur en position zéro.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution partielle de la machine faisant l'objet de l'invention, seu les les parties nécessaires à la compréhension de l'invention étant représentées, une descrip tion et une représentation complètes de cette machine se trouvant dans le brevet suisse N 288478.
Fig. 1 est une vue schématique du clavier de la machine.
Fig. 2 est une vue détaillée d'un- méca nisme différentiel des montants, représenté dans la position dans laquelle il est arrêté par la touche cinq au début du cycle de fonc tionnement de la machine, la figure représen tant aussi la position correspondante de mé canismes de mise en place des zéros et de ré pétition.
Fig. 3 est une vue détaillée du mécanisme de fig. 2, dans la position pour .laquelle la glissière différentielle des montants est arrê tée par une butée d'arrêt à zéro, au début du cycle de fonctionnement.
Fig. 4 est une vue détaillée représentant des cames d'entraînement des différentiels de montants.
Fig. 5 est une vue détaillée d'un méca nisme commandant les butées d'arrêt à zéro. Fig. 6 est un détail de la. glissière de com mande de la première rangée de transaction et faisant partie d'un interverrouillage entre les touches de total et les touches de mon tants.
Fig. 7 est un détail d'un mécanisme des tiné à agir sur le fonctionnement du méca nisme d'arrêt à zéro dans les rangées de mon tants, lorsqu'une touche de total a été en foncée.
Fig. 8 est un détail représentant, un méca nisme existant dans la première rangée de transactions pour bloquer le mouvement des butées d'arrêt. à zéro des rangées de différen tiels de montants lorsqu'une touche de total a été enfoncée.
La machine représentée est pourvue d'un clavier comportant huit rangées de touches de montants 100 (fig. 1), et deux rangées de touches de transactions 101 à 118 destinées à commander le genre d'opération que la ma chine doit. effectuer. Chaque rangée de touches de montants comprend une série complète de neuf touches 100 (fig. 2).
Avec chaque rangée de touches de montants coopèrent quatre pièces de con trôle comprenant une détente flexible 260 destinée à retenir une touche enfoncée 100 dans sa. position d'enfoncement, pendant. le fonctionnement de la machine, une plaque 261 destinée à actionner des butées d'arrêts à zéro; une détente de verrouillage 262 destinée à em pêcher l'enfoncement d'une touche de mon tants une fois que le fonctionnement de la machine a été déclenché, et une plaque d'in- terverrouillage 263 qui constitue un dispositif destiné à empêcher le déclenchement de la machine par l'enfoncement de certaines tou ches de transactions après qu'une touche de montants a été enfoncée.
Chaque pièce de contrôle 260, 261, 262 et 263 est pourvue de fentes qui sont à l'alignement des tiges de chaque touche 100, et à. travers lesquelles celles-ci passent. En se reportant à la fig. 2, on voit que les tiges de touches 100 sont dé calées les unes par rapport aux autres et due le rebord arrière de chaque tige de touche est cranté de manière à recevoir un ressort 1-?-), lequel ressort s'étend de l'extrême droite à l'extrême gauche du clavier et fournit l'éner- gie nécessaire pour rappeler les touches 100 de la position -enfoncée à la position non enfoncée.
Près de l'avant. dit bâti du clavier est monté un arbre 270 de commande des butées d'arrêt à. zéro sur lequel des butées 271, une pour chaque rangée de montants, sont mon tées de manière pivotante. L'extrémité supé rieure de chaque butée 271 comporte un doigt qui pénètre dans une fente de la plaque cor respondante de commande '?61. Sur l'arbre.
270 pivote également un étrier 272 qui, nor malement, est en contact avec des queues pra tiquées sur les prolongements vers l'avant des butées d'arrêt à. zéro ''71, grâce à. quoi celles- ci sont commandées de la manière décrite ci- après.
Un entraîneur différentiel 290, sous forme de curseur, est placé au-dessous de chaque rangée de touches 100 (fig. ?), à peu près à mi-chemin entre les touches placées en quin conce. Ces entraîneurs 290 sont guidés par des traverses 291 et 292 (fig. 2 et 3) et compor tent, à la partie supérieure, huit équerres 295 repliées alternativement à, droite et à gauche pour correspondre à. la position des touches. Les équerres 295 coopèrent avec les touches 1 à 8 respectivement. L'entraîneur 290 est muni d'une arête antérieure 296 disposée vers l'avant. et. en prise avec la traverse 291 pour arrêter l'entraîneur à la position 9.
Si aucune touche n'est enfoncée, une partie repliée 297 de la butée d'arrêt à zéro 271 vient sur le tra jet d'une équerre 298 portée par l'entraîneur 290 qui est ainsi arrêté à la position 0, laquelle est distante d'un pas de la position de repos. De cette manière, on obtient. des organes qui per mettent d'arrêter différentiellement et sélec tivement l'entraîneur 290 sur l'une des dix positions autres que la position de repos, sui vant qu'une touche est ou non enfoncée. En d'autres termes, l'entraîneur 290 peut occu per onze positions, la position de repos et dix positions sélectives.
L'entraîneur 290 comporte, vers l'arrière, une portion dentée 300 en prise avec un seg ment denté 301 tournant sur un arbre 302. L n organe de support 303 est fixé au seg ment 301 et trois parties de crémaillères, dont une seule, 304, est représentée, sont montées coulissantes sur cet organe de support 303, ces crémaillères pouvant être embrayées avec des roues de totalisateur dont une seule, 305, est représentée.
Au moment du fonctionnement de la ma chine, une touche 100 étant enfoncée, l'en traineur 290 se déplace d'une distance pro portionnelle à la valeur de cette touche et, par l'intermédiaire des dents 300, fait bascu ler d'autant le segment 301 et le support 303. Ceci a pour effet de positionner les crémail lères sur une distance représentant également la valeur de la touche utilisée. Une fois que les entranîeurs sont ainsi mis en position, un ou plusieurs totalisateurs sont embrayés et l'entraîneur 290 retourne à la position de re pos. Pour ce retour, le segment 301 et les cré maillères tournent dans le sens inverse, d'un nombre de pas correspondant à la valeur de la touche enfoncée, enregistrant ainsi ce mon tant dans un ou plusieurs totalisateurs.
Une fois ce montant enregistré, ces totalisateurs pont débrayés.
lie temps de déplacement de l'entraîneur 290 est commandé par une barre universelle 310. Un ressort 307, fixé à. l'entraîneur 290 et à une entretoise, maintient normalement un épaulement 309 en contact avec la barre<B>31.0,</B> qui est portée par quatre bras 311 (dont un seul est représenté) fixés à. un arbre 312. Sur ce dernier sont fixés deux bras 313 (fig. 4) munis de galets 314 coopérant avec aine dou- ble-came 315 .fixée sur un arbre 229.
Pendant l'opération, la came 315 tourne dans le sens dextrorsum (en fig. 4) pour faire osciller le bras 313 et déplacer la barre universelle 310 (fig. 2) vers la droite pour revenir en arrière ensuite vers la gauche. An moment du dépla cement vers la droite, le ressort 307 tire l'en traîneur 290 également vers la droite jusqu'à ce qu'il soit arrêté par l'une des touches 1 à 8 ou par l'arête 296 (position 9) ou encore par la butée d'arrêt à zéro 271, après quoi la barre universelle 310 complète son mouvement vers la droite.
Vers la fin de l'opération, lorsque la barre 310 est ramenée à sa position initiale par la came 315, elle cueille l'entraîneur 290 au passage et le ramène en position de repos qui est un pas au-delà de la position zéro. Pendant. ce retour, l'entraîneur 290 fait tour ner les crémaillères vers l'arrière d'un nom bre de pas correspondant à la valeur de la touche utilisée, enregistrant ainsi le montant sur les roues du totalisateur sélectionné. Un organe (non représenté) entraîne élastique- ment est monté fou sur un arbre 333 pour compenser l'effort exercé par les ressorts 307, car les entraîneurs, lorsqu'ils sont libérés, ont tendance à se déplacer trop vite. Mécanisme <I>d'arrêt à zéro.</I>
Chaque rangée de montants comporte une butée d'arrêt à zéro<B>271</B> (fig. 2 et 3) qui a pour fonction de stopper l'entraîneur diffé rentiel 290 à la position du zéro lorsque au cune touche<B>100</B> n'est enfoncée dans ladite rangée. Cette butée est normalement inactive en ce sens que l'équerre<B>297</B> qu'elle porte est en dehors du trajet de l'équerre 298 de l'en traîneur. L'étrier 272 monté sur l'axe 270 retient la butée 271 en position inactive et cet étrier est lui-même maintenu en sa posi tion normale par un bras 320 (fig. 5) monté fou sur l'axe 270. Ce bras est muni de deux talons 321 entourant l'étrier 272 près de son centre.
L'extrémité inférieure du bras 320 porte un goujon 322 engagé dans une enco che pratiquée dans une bielle 323 en forme de fourchette permettant son glissement sur l'entretoise 291. La bielle 323 est articulée à l'une des branches 324 d'un levier pivotant sur l'arbre 333, ime autre branche 325 se ter minant par un téton 326 en prise avec un le vier 327. Celui-ci porte un galet 328 coopé rant avec une came 329 sous l'action d'un ressort 330. La came 329 est goupillée sur l'arbre principal 229.
An début de l'opération, lorsque l'arbre principal 229 tourne dans le sens dextrorsinn, le ressort 330 fait osciller le levier 327, mouve ment qui se communique à la bielle 323 (fig. 5), laquelle se déplace vers la gauche pour faire basculer le bras 320 et l'étrier 272 (fig. 3) dans le sens dextrorsum. Ceci en traîne le. bute d'arrêt 4 zéro 271, sous l'ac- tion d'un ressort 331 amenant l'équerre 297 sur le trajet de l'équerre 298 de l'entraîneur 290. Lorsque aucune touche n'est enfoncée, la plaque d'arrêt 261 peut se déplacer librement d'une façon qui sera exposée plus loin.
L'en traîneur 290 étant. libéré par le mouvement de la barre universelle 310, l'équerre 297 arrête l'entraîneur 290 à la position zéro. La came 315 commence à. déplacer l'entraîneur 290 immédiatement. après que la butée 271 est amenée en position d'arrêt.
Lorsque la machine fonctionne avec une touche enfoncée dans la rangée considérée, la plaque 261, agissant. avec la touche enfoncée, empêche la butée 271 de venir en position d'arrêt au moment où l'étrier 272 est actionné. Comme on le voit d'après la fig. 2, la fente pratiquée dans la plaque 261 est suffisam ment longue pour permettre un mouvement libre de la touche 100, sans affecter le dépla cement de la plaque en question. Toutefois, lorsqu'une touche de montant 100 est enfon cée (fig. 2), l'épaulement supérieur de cette touche vient en prise avec l'extrémité de gau che de la fente et. empêche le déplacement de la plaque 261.
L'extrémité supérieure de la butée d'arrêt 271 présente un talon engagé dans une ouverture pratiquée dans ladite pla que 261, de sorte que cette butée ne peut pas être entraînée par l'étrier 272 lorsqu'une tou ehe a été utilisée dans la rangée, verrouillant ainsi la plaque 261. La butée est ainsi main tenue en position inactive pendant. le mouve ment de l'étrier 272 sous l'action clé la came 329 (fig. 5). Dans ces conditions, l'étrier oscille à vide dans l'espace compris entre le talon de la butée 271 et le bras supérieur de la butée.
Lorsque aucune touche n'est enfoncée, la plaque d'arrêt 261, n'étant verrouillée par aucune touche, peut être déplacée vers la droite lorsque l'étrier 272 oseille. Ce dernier mou vement fait. que la plaque 261 peut être tirée par le ressort 331, de sorte que la butée d'ar rêt à zéro 271 bascule au début de l'opération pour amener l'équerre 297 sur le trajet. de l'équerre 298 de l'entraîneur 290. On voit par ce qui précède que la butée d'arrêt à zéro est normalement dans sa. position supérieure ou inactive et. n'est abaissée en position d'arrêt que lorsque aucune touche n'est utilisée.
Au contraire, lorsqu'on emploie une touche, la plaque 261 est retenue et. la butée 27 1 ne peut pas venir en position d'arrêt. La. eara.et6risti- que de ce dispositif consiste en ce que la charge des touches est réduite au minimum, ce qui allège le toucher du clavier puisque le déplacement. de la butée d'arrêt à zéro est.
effectué par des organes indépendants des touches de montants et que l'ensemble est com biné de façon que la. fonction de ces touches n'ait qu'un caractère d'obstacle, la charge supplémentaire habituellement nécessaire pour déplacer la butée d'arrêt à zéro par l'enfonce ment d'une touche de montant, étant ici éli minée.
EMI0004.0021
Commande <SEP> <I>de <SEP> la <SEP> butée <SEP> d'arrêt <SEP> à. <SEP> zéro</I>
<tb> <I>pour <SEP> les <SEP> opérations <SEP> de <SEP> total. <SEP> et <SEP> de <SEP> répétition.</I>
<tb> Il <SEP> est <SEP> nécessaire <SEP> de <SEP> maintenir <SEP> les <SEP> butées
<tb> d'arrêt <SEP> à <SEP> zéro <SEP> 271 <SEP> hors <SEP> de <SEP> leur <SEP> position <SEP> active
<tb> pendant <SEP> les <SEP> opérations <SEP> de <SEP> total <SEP> et <SEP> de <SEP> répé tition, <SEP> de <SEP> manière <SEP> à <SEP> permettre <SEP> à <SEP> l'entraîneur
<tb> différentiel <SEP> 290 <SEP> de <SEP> se <SEP> déplacer <SEP> librement,
<SEP> afin
<tb> de <SEP> recueillir <SEP> Lin <SEP> total <SEP> ou <SEP> un <SEP> sous-total <SEP> sur <SEP> les
<tb> roues <SEP> du <SEP> totalisateur <SEP> sélectionné <SEP> ou <SEP> de <SEP> dépla cer <SEP> un <SEP> montant <SEP> déterminé <SEP> par <SEP> la <SEP> mise <SEP> en
<tb> place <SEP> préalable <SEP> de <SEP> eelles-ei <SEP> dans <SEP> des <SEP> opérations
<tb> de <SEP> répétition.
<tb> L'enfoncement <SEP> d'une <SEP> touche <SEP> de <SEP> total, <SEP> de
<tb> sous-total <SEP> ou <SEP> de <SEP> répétition <SEP> 110, <SEP> 111, <SEP> 11-1, <SEP> 115,
<tb> 116, <SEP> <B>11.7</B> <SEP> ou <SEP> 118 <SEP> (fig. <SEP> 7 <SEP> ) <SEP> dans <SEP> la <SEP> première
<tb> rangée <SEP> de <SEP> transactions <SEP> de <SEP> la <SEP> machine, <SEP> par <SEP> l'in termédiaire <SEP> d'ergots <SEP> 597 <SEP> (fig.
<SEP> 6) <SEP> qui, <SEP> fixés
<tb> aux <SEP> queues <SEP> de <SEP> touches <SEP> qui <SEP> leur <SEP> sont <SEP> associées,
<tb> viennent <SEP> frotter <SEP> contre <SEP> les <SEP> bords <SEP> de <SEP> came <SEP> 649
<tb> d'une <SEP> coulisse <SEP> de <SEP> commande <SEP> 617, <SEP> oblige <SEP> la
<tb> glissière <SEP> à <SEP> se <SEP> déplacer <SEP> latéralement <SEP> vers <SEP> la
<tb> rauche. <SEP> Le <SEP> mouvement <SEP> vers <SEP> la <SEP> gauche <SEP> de <SEP> cette
<tb> glissière <SEP> 6.17 <SEP> oblige <SEP> l'extrémité <SEP> antérieure <SEP> de
<tb> celle-ci <SEP> à <SEP> entrer <SEP> en <SEP> contact <SEP> avec. <SEP> tin <SEP> ergot <SEP> 616
<tb> monté <SEP> sur <SEP> un <SEP> bras <SEP> 629 <SEP> assujetti <SEP> à. <SEP> un <SEP> arbre
<tb> court <SEP> 630 <SEP> et <SEP> fait <SEP> basculer <SEP> ledit. <SEP> arbre <SEP> d'un
<tb> petit.
<SEP> angle <SEP> dans <SEP> le <SEP> sens <SEP> dextrorsum.
<tb> A <SEP> l'autre <SEP> extrémité <SEP> de <SEP> l'arbre <SEP> coma <SEP> 630 <SEP> se
<tb> trouve <SEP> fixé <SEP> un <SEP> levier <SEP> 644 <SEP> (,fi-. <SEP> 7) <SEP> auquel <SEP> est relié un ressort 648 dont l'autre extrémité est attachée à un ergot monté sur le bâti de cla vier. Le ressort 648, par l'intermédiaire du bras 644, de l'arbre 630, du bras 629 (fig. 6) et de l'ergot 646, entraîne constamment la glissière vers la droite, contre l'action des touches de total, de sous-total ou de répétition qui seraient enfoncées.
Sur l'arbre 630 est également fixé un bras d'arrêt 650 (fia. 7 et 8) qui, lorsqu'on fait basculer l'arbre 630 dans le sens dextrorsum par enfoncement d'une touche de total, de sous-total ou de répétition, est amené sur le trajet d'un ergot 651 fixé sur une coulisse 652. Celle-ci est fourchue à son extrémité supé rieure, afin de pouvoir chevaucher et coulis ser sur l'arbre 630, tandis que son extrémité inférieure est articulée à un bras 653 fixé au moyeu de l'étrier<B>272.</B> Un rivet 654 rend égale ment solidaire l'étrier 272 du bras 653 et a pour but de donner à l'étrier une rigidité plus grande par rapport au bras 653.
Si, lorsque l'étrier 272 (voir aussi fig. 5) est libéré, de la manière décrite précédem ment, par le ressort 330, sous la commande de la. came 329, une touche de total, de sous- total ou de répétition a été enfoncée et que le bras 650 (fig. 8) se trouve au-dessus de l'er got 651, l'étrier 272 ne peut pas suivre le mouvement, étant donné qu'il est arrêté par le bras d'arrêt 650, agissant par l'intermé diaire de l'ergot 651 de la coulisse 652 et du bras 653.
Par conséquent, les butées d'arrêt à zéro 271 ne peuvent pas, par basculement, venir à leur position active, même si aucune touche de montant 100 n'a été enfoncée et même si les entraîneurs 290 sont libres de se déplacer pour prendre la position déterminée par les roues du totalisateur sélectionné, dans des opérations de répétition, sous l'influence du réglage préalable des touches de montants.
L'arbre 630 est ramené à sa position d'ori gine dans le sens senestrorsum lorsque se trouve libérée, vers le moment de l'achèvement du fonctionnement de la machine, la touche de total, de sous-total ou de répétition qui a pu être enfoncée.
Accounting machine. The present invention relates to an accounting machine.
- Up to now, it has been common practice to set the end stops to zero, so that they keep the upright differentials in the zero position and that the depressing of a pillar key has the effect of causing the corresponding stop to move to an inactive position, so that the differential is released to be placed in position under the control of the button. This system exerted a load on the upright key which made it necessary for the operator to exert sufficient pressure to cause the keys to move the end stops to zero.
The machine which is the object of the invention comprises a main actuating mechanism, recording members, a differential drive capable of being placed in position under the control of the recording members and a device. stop at zero, this machine being characterized by a device intended to bring the stop member to zero in the active position, by a device normally keeping the stop member at zero in the inactive position and by driven members by the main actuating device and by which the retainer is made inactive, unless one of the recording members has been actuated, which allows the stop member.
zero to be brought to its active position, in order to keep the driver in zero position.
The appended drawing represents, by way of example, a partial embodiment of the machine forming the subject of the invention, only the parts necessary for understanding the invention being represented, a description and a representation. complete of this machine found in Swiss patent N 288478.
Fig. 1 is a schematic view of the keyboard of the machine.
Fig. 2 is a detailed view of a differential mechanism of the uprights, shown in the position in which it is stopped by key five at the start of the operating cycle of the machine, the figure also showing the corresponding position of the mechanisms setting up zeros and re petition.
Fig. 3 is a detailed view of the mechanism of FIG. 2, in the position for .laquelle the differential slide of the uprights is stopped by a stop stop at zero, at the start of the operating cycle.
Fig. 4 is a detailed view showing drive cams of the upright differentials.
Fig. 5 is a detailed view of a mechanism controlling the stop stops at zero. Fig. 6 is a detail of the. First row transaction control slide and part of an interlock between the total keys and the amount keys.
Fig. 7 is a detail of a mechanism of the tiné to act on the operation of the stop mechanism at zero in the rows of uprights, when a total key has been pressed.
Fig. 8 is a detail showing a mechanism existing in the first row of transactions for blocking the movement of the stops. to zero the rows of amount differentials when a total key is pressed.
The machine shown is provided with a keyboard comprising eight rows of upright keys 100 (FIG. 1), and two rows of transaction keys 101 to 118 intended to control the kind of operation that the machine must. carry out. Each row of upright keys consists of a complete set of nine 100 keys (Fig. 2).
With each row of upright keys cooperate four control pieces comprising a flexible trigger 260 for retaining a pressed key 100 in its. recess position, during. the operation of the machine, a plate 261 intended to actuate the zero stops; a locking trigger 262 intended to prevent the depressing of a button of the uprights once the operation of the machine has been initiated, and an interlocking plate 263 which constitutes a device intended to prevent the triggering of machine by pressing certain transaction keys after an amounts key has been pressed.
Each control piece 260, 261, 262 and 263 is provided with slots which are in alignment with the rods of each key 100, and at. through which these pass. Referring to fig. 2, it can be seen that the key rods 100 are offset relative to each other and due to the rear edge of each key rod is notched so as to receive a spring 1 -? -), which spring extends from l the far right to the far left of the keyboard and provides the energy to recall keys 100 from the depressed to the non-depressed position.
Near the front. said keyboard frame is mounted a shaft 270 for controlling the stops at. zero to which stops 271, one for each row of posts, are pivotally mounted. The upper end of each stop 271 has a finger which penetrates a slot in the corresponding control plate 61. On the tree.
270 also pivots a stirrup 272 which, normally, is in contact with tails made on the forward extensions of the stops to. zero '' 71, thanks to. which these are controlled in the manner described below.
A differential driver 290, in the form of a slider, is placed below each row of keys 100 (Fig.?), Approximately halfway between the keys placed in quin conce. These coaches 290 are guided by cross members 291 and 292 (Figs. 2 and 3) and include, at the top, eight brackets 295 bent alternately to, right and left to correspond to. the position of the keys. The brackets 295 cooperate with the keys 1 to 8 respectively. The trainer 290 is provided with an anterior ridge 296 disposed forwardly. and. meshed with crosshead 291 to stop the driver in position 9.
If no key is pressed, a folded part 297 of the zero stop stop 271 comes on the path of a square 298 carried by the trainer 290 which is thus stopped at position 0, which is distant from 'one step from the rest position. In this way we get. organs which make it possible to differentially and selectively stop the trainer 290 in one of the ten positions other than the rest position, depending on whether or not a key is pressed. In other words, the trainer 290 can occupy eleven positions, the rest position and ten selective positions.
The driver 290 comprises, towards the rear, a toothed portion 300 engaged with a toothed segment 301 rotating on a shaft 302. The support member 303 is fixed to the segment 301 and three parts of racks, of which only one , 304, is shown, are slidably mounted on this support member 303, these racks can be engaged with totalizer wheels of which only one, 305, is shown.
When the machine is operating, with a key 100 depressed, the trainer 290 moves a distance proportional to the value of this key and, by means of the teeth 300, causes the same the segment 301 and the support 303. This has the effect of positioning the racks on a distance also representing the value of the key used. Once the trainers are thus placed in position, one or more totalizers are engaged and the trainer 290 returns to the rest position. For this return, the segment 301 and the meshes rotate in the opposite direction, by a number of steps corresponding to the value of the key pressed, thus recording this amount in one or more totalizers.
Once this amount is recorded, these bridge totalizers are disengaged.
The travel time of the trainer 290 is controlled by a universal bar 310. A spring 307, attached to. the driver 290 and a strut, normally maintains a shoulder 309 in contact with the bar <B> 31.0, </B> which is carried by four arms 311 (only one of which is shown) attached to. a shaft 312. On the latter are fixed two arms 313 (FIG. 4) provided with rollers 314 cooperating with the double-cam groin 315 fixed on a shaft 229.
During the operation, the cam 315 turns in the dextrorsal direction (in fig. 4) to make the arm 313 oscillate and to move the universal bar 310 (fig. 2) to the right to then go back to the left. When moving to the right, the spring 307 pulls the trainer 290 also to the right until it is stopped by one of the buttons 1 to 8 or by the edge 296 (position 9) or again by the zero stop stop 271, after which the universal bar 310 completes its movement to the right.
Towards the end of the operation, when the bar 310 is returned to its initial position by the cam 315, it picks up the driver 290 as it passes and brings it back to the rest position which is one step beyond the zero position. During. this feedback, the driver 290 rotates the racks rearward by a number of steps corresponding to the value of the key used, thus registering the amount on the wheels of the selected totalizer. A resiliently driven member (not shown) is mounted idle on a shaft 333 to compensate for the force exerted by the springs 307, since the drivers, when released, tend to move too fast. <I> zero stop mechanism. </I>
Each row of uprights has a stop stop at zero <B> 271 </B> (fig. 2 and 3) which has the function of stopping the differential trainer 290 at the zero position when any key <B > 100 </B> is not pressed in said row. This stopper is normally inactive in the sense that the <B> 297 </B> square it carries is out of the path of the driver's square 298. The caliper 272 mounted on the axis 270 retains the stop 271 in the inactive position and this caliper is itself maintained in its normal position by an arm 320 (FIG. 5) mounted idle on the axis 270. This arm is provided with two heels 321 surrounding the stirrup 272 near its center.
The lower end of the arm 320 carries a pin 322 engaged in a notch made in a connecting rod 323 in the form of a fork allowing it to slide on the spacer 291. The connecting rod 323 is articulated to one of the branches 324 of a lever pivoting on the shaft 333, another branch 325 ending in a pin 326 engaged with a lever 327. The latter carries a roller 328 cooperating with a cam 329 under the action of a spring 330. The cam 329 is pinned to main shaft 229.
At the start of the operation, when the main shaft 229 turns in the dextrorsinn direction, the spring 330 causes the lever 327 to oscillate, a movement which is communicated to the connecting rod 323 (fig. 5), which moves to the left for tilt the arm 320 and the bracket 272 (fig. 3) in the dextrorsum direction. This drags the. stopper 4 zero 271, under the action of a spring 331 bringing the square 297 on the path of the square 298 of the driver 290. When no key is pressed, the plate stop 261 can move freely in a way which will be discussed later.
The trainer 290 being. released by the movement of the universal bar 310, the square 297 stops the driver 290 at the zero position. Cam 315 starts at. move coach 290 immediately. after the stopper 271 is brought to the stop position.
When the machine operates with a key pressed in the row considered, the plate 261, acting. with the button pressed, prevents the stop 271 from coming to the stop position when the caliper 272 is actuated. As can be seen from fig. 2, the slot made in the plate 261 is long enough to allow free movement of the key 100, without affecting the movement of the plate in question. However, when a post 100 key is pressed (Fig. 2), the upper shoulder of this key engages with the left end of the slot and. prevents displacement of the plate 261.
The upper end of the stopper 271 has a heel engaged in an opening made in said plate 261, so that this stopper cannot be driven by the yoke 272 when a tou ehe has been used in the row, thus locking the plate 261. The stopper is thus held in the inactive position during. the movement of the caliper 272 under the key action of the cam 329 (fig. 5). Under these conditions, the caliper oscillates empty in the space between the heel of the stop 271 and the upper arm of the stop.
When no key is pressed, the stop plate 261, not being locked by any key, can be moved to the right when the caliper 272 is sorrel. This last movement is done. that the plate 261 can be pulled by the spring 331, so that the zero stopper 271 swings at the start of the operation to bring the square 297 on the path. of the square 298 of the trainer 290. It can be seen from the above that the stop stop at zero is normally in its. upper or inactive position and. is only lowered to the stop position when no button is used.
On the contrary, when a key is employed, the plate 261 is retained and. the stop 27 1 cannot come to the stop position. The essential feature of this device is that the load on the keys is reduced to a minimum, which alleviates the touch of the keyboard since the displacement. from the zero stop stop is.
performed by independent bodies of the amount keys and that the whole is combined so that the. The function of these keys is only an obstacle, the additional load usually required to move the stopper to zero by depressing an upright key, being here eliminated.
EMI0004.0021
<SEP> <I> command of <SEP> the <SEP> stop <SEP> of stop <SEP> to. <SEP> zero </I>
<tb> <I> for <SEP> the <SEP> operations <SEP> of <SEP> total. <SEP> and <SEP> of <SEP> repetition. </I>
<tb> It <SEP> is <SEP> necessary <SEP> of <SEP> maintain <SEP> the <SEP> stops
<tb> stop <SEP> at <SEP> zero <SEP> 271 <SEP> out of <SEP> of <SEP> their <SEP> position <SEP> active
<tb> during <SEP> the <SEP> operations <SEP> of <SEP> total <SEP> and <SEP> of <SEP> repetition, <SEP> of <SEP> way <SEP> to <SEP> allow <SEP> to <SEP> the trainer
<tb> differential <SEP> 290 <SEP> of <SEP> to <SEP> move <SEP> freely,
<SEP> so
<tb> from <SEP> collect <SEP> Lin <SEP> total <SEP> or <SEP> a <SEP> subtotal <SEP> on <SEP> the
<tb> wheels <SEP> of the <SEP> totalizer <SEP> selected <SEP> or <SEP> of <SEP> move <SEP> an <SEP> amount <SEP> determined <SEP> by <SEP> the < SEP> set <SEP> to
<tb> place <SEP> prior <SEP> of <SEP> them-ei <SEP> in <SEP> of <SEP> operations
<tb> of <SEP> repeat.
<tb> Pressing <SEP> of a <SEP> key <SEP> of <SEP> total, <SEP> of
<tb> sub-total <SEP> or <SEP> of <SEP> repeat <SEP> 110, <SEP> 111, <SEP> 11-1, <SEP> 115,
<tb> 116, <SEP> <B> 11.7 </B> <SEP> or <SEP> 118 <SEP> (fig. <SEP> 7 <SEP>) <SEP> in <SEP> the first <SEP>
<tb> row <SEP> of <SEP> transactions <SEP> of <SEP> the <SEP> machine, <SEP> by <SEP> the intermediary <SEP> of pins <SEP> 597 <SEP> ( fig.
<SEP> 6) <SEP> which, <SEP> fixed
<tb> to the <SEP> queues <SEP> of <SEP> keys <SEP> which <SEP> their <SEP> are <SEP> associated,
<tb> come <SEP> to rub <SEP> against <SEP> the <SEP> edges <SEP> of <SEP> cam <SEP> 649
<tb> of a <SEP> slide <SEP> of <SEP> command <SEP> 617, <SEP> forces <SEP> the
<tb> slide <SEP> to <SEP> move <SEP> laterally <SEP> to <SEP> the
<tb> rauche. <SEP> The <SEP> move <SEP> to <SEP> the left <SEP> <SEP> of <SEP> this
<tb> slider <SEP> 6.17 <SEP> forces <SEP> the earlier <SEP> end <SEP> of
<tb> this <SEP> to <SEP> enter <SEP> in <SEP> contact <SEP> with. <SEP> tin <SEP> lug <SEP> 616
<tb> mounted <SEP> on <SEP> a <SEP> arm <SEP> 629 <SEP> subject <SEP> to. <SEP> a <SEP> tree
<tb> short <SEP> 630 <SEP> and <SEP> does <SEP> toggle <SEP> said. <SEP> tree <SEP> of a
<tb> small.
<SEP> angle <SEP> in <SEP> the <SEP> direction <SEP> dextrorsum.
<tb> A <SEP> the other <SEP> end <SEP> of <SEP> the tree <SEP> coma <SEP> 630 <SEP> se
<tb> finds <SEP> fixed <SEP> a <SEP> lever <SEP> 644 <SEP> (, fi-. <SEP> 7) <SEP> to which <SEP> is connected a spring 648 whose other end is attached to a lug mounted on the keyboard frame. The spring 648, via the arm 644, the shaft 630, the arm 629 (fig. 6) and the lug 646, constantly drives the slide to the right, against the action of the total keys, subtotal or repetition that would be embedded.
On the shaft 630 is also fixed a stop arm 650 (fig. 7 and 8) which, when the shaft 630 is tilted in the dextrorsum direction by pressing a total, subtotal or repetition, is brought on the path of a pin 651 fixed on a slide 652. The latter is forked at its upper end, in order to be able to overlap and grout ser on the shaft 630, while its lower end is articulated to an arm 653 fixed to the hub of the caliper <B> 272. </B> A rivet 654 also makes the caliper 272 integral with the arm 653 and is intended to give the caliper greater rigidity compared to at arm 653.
If, when the caliper 272 (see also fig. 5) is released, in the manner previously described, by the spring 330, under the control of the. cam 329, a total, subtotal or repeat key has been pressed and arm 650 (fig. 8) is above er got 651, caliper 272 cannot follow movement , since it is stopped by the stop arm 650, acting through the lug 651 of the slide 652 and of the arm 653.
Consequently, the zero stops 271 cannot, by tilting, come to their active position, even if no upright key 100 has been pressed and even if the drivers 290 are free to move to take the position. position determined by the wheels of the selected totalizer, in repeating operations, under the influence of the prior setting of the amount keys.
The shaft 630 is returned to its original position in the senestorsum direction when the total, subtotal or repeat key is released, towards the moment of the completion of the operation of the machine, which has been able to be pressed.