Machine comptable. La présente invention a pour objet une machine comptable, notamment une machine à positionner ou une machine clé banque.
Il devient clé pratique courante d'expédier chaque jour à chaque client son compte en banque, à condition que ce compte demeure en activité journalière, et l'établissement (le ce compte comprend la reprise du solde pré- eédent, la soustraction des opérations de dé bit, constituées généralement par des dépôts effectués au crédit dudit compte, et l'extrac tion du total, aboutissant à l'établissement d'un nouveau solde.
La machine comptable faisant l'objet de l'invention comprend un totalisateur addition- soustraction, un certain nombre de rangées d'éléments compteurs montés coaxialement avec ledit totalisateur addition-soustraction et des entraîneurs individuels pour chacun des éléments compteurs. Cette machine est caractérisée par une butée d'arrêt à zéro pour l'entraîneur de l'ordre inférieur, disposée de manière à arrêter cet entraîneur dans l'une de deux positions zéro ou un , par des organes normalement actifs maintenant la.
butée à zéro en position d'arrêt de l'entrai- neur dans la position de zéro, par des organes de commande susceptibles de mettre la ma chine à même d'effectuer des opérations de soustraction, et par des organes, commandés par lesdits organes de commande, pour dé placer la butée à. zéro de telle manière que l'entraîneur correspondant soit arrêté à la position un , afin qu'une unité soit intro duite additivement dans les éléments comp teurs pendant les opérations de soustraction.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution partielle de la machine faisant l'objet de l'invention, seules les parties de cette machine nécessaires à :la compréhension de l'invention étant re présentées.
Fi-. 1 est une vue schématique en plan chi clavier de ladite forme d'exécution de la machine.
Filg. 2 est une coupe prise à droite de l'une des rangées de touches de montants, montrant les mécanismes qui lui sont associés.
Fi;-. 3 est une coupe prise à droite de la rangée des touches de transactions, montrant les mécanismes correspondants.
Fig. 4 est une -%-ne détaillée de l'une des touches de la rangée des unités du groupe servant à compter les chèques, avec une par tie du mécanisme associé.
Fil. 5 est. une vue en perspective du mé canisme de commande du dispositif automa tique de comptage des chèques.
Fi-. 6 est une vue de détail de l'une des touches de la rangée des dizaines du groupe servant à compter les chèques et d'une partie dii mécanisme correspondant.
Fi-. 7 est un détail d'une plaque de com mande manoeuvrée par les touches -de totaux et destinée à rendre inopérant le mécanisme de comptage automatique des chèques pen- dant les opérations d'impression des totaux généraux ou partiels.
Fi---. 8 est un détail d'une plaque de com mande associée aux touches de transactions en vue de la commande du mécanisme de comptage automatique des chèques.
Fi---. 9 est une vue de Face du totalisateur N 1 ou totalisateur de solde.
La. machine représentée est du type ;;é- néral décrit dans le brevet suisse N0189986 et est pourvue d'un mécanisme d'impression par colonnes, disposé à l'avant de la ma ebine, pour enregistrer simultanément des données identiques dans une ou plusieurs co lonnes d'une fiche insérable pendant un cycle de fonctionnement du mécanisme imprimeur. Les machines de ee genre servent à la prépa ration de relevés ou extraits de comptes par les banques, les services publics, etc., ces re levés étant pourvus d'un certain nombre de e olonnes verticales soit pour l'impression des mêmes données dans plusieurs colonnes, soit pour l'impression de données différentes dans lesdites colonnes.
De même, les relevés peu vent présenter deux parties séparables con tenant des données identiques, l'une pour le client, l'autre pour les dossiers.
Dans la description qui v a suivre, l'exem ple spécifique choisi pour illustrer le fonc tionnement de la machine représentée est, la. préparation, par un institut bancaire, d'ex traits de compte en banque destinés à un cer tain nombre de clients.
La partie principale de la machine repré sentée est de construction standard, telle qu'exposée dans le brevet. cité ci-dessus, de sorte qu'un bref rappel suffira à la com préhension.
Cette machine présente un certain nom bre de rangées de touches de montants qui ont pour rôle d'introduire des montants dans les divers totalisateurs dont la machine est équipée et de positionner des séries corres pondantes de roues à caractères servant à inscrire le montant sur un support d'enregis trement. La machine est également munie d'une rangée de touches de transactions, des tinée à assurer l'entrée des écritures positives ou négatives dans les divers totalisateurs.
Il existe encore une ou plusieurs rangées -le touches imprimeiises, pour les svniboles des tinés à l'identification des diverses écritures. ,Au lieu du classique levier de commande du total, cette machine est munie d'une rangée de touches de totaux qui commandent les fonctions de 1_a machine, y compris les opéra tions d'addition, (le soustraction, de sous-total et de total.
L n levier de rappel (les touches, placé sur le côté droit du clavier, sert à libé rer toute touche enfoncée.
La. machine est pourvue d'un mécanisme a.i;tomatique de comptage, destiné à ajouter automatiquement une unité toutes les fois qu'une certaine touche, en l'occurrence la touche des ehèclues, est enfoncée pour une opération. Les roues de comptage de chèques sont placées dans les positions des deux dé nominations supérieures sur le groupe du to talisateur de solde.
Toutefois, ces roues ne sont pas reliées, de quelque manière que ee soit, au totalisateur de solde et comptent automatiquement jusqu'à 99 chèques. Une touche de transactions dite Correction de Chèques est. prévue pour corriger toute erreur quant à.
l'enremistrement d'un débit, et lors que cette touche est enfoncée, il en résulte qu'une unité est soustraite des roues de eomp- ta@e de chèques, ce qui est obtenu par addi tion dit nombre complémentaire à 99. En plus du comptage automatique des chèques, il est prévu deux rangées de touches, à gau che du clavier, destinées à être utilisées lors qu'on groupe les chèques en liasses et qu'on introduit en une seule fois leur valeur globale clans la, machine, pour composer le nombre de chèques contenus dans la. liasse.
Il est prévu divers dispositifs (Vinterverronillage pour commander et contrôler le mécanisme automatique de comptage des chèques.
La machine représentée comprend deux groupes de totalisateurs (fig. 2), à savoir un groupe supérieur ou N 1 de totalisateurs et un groupe arrière ou N \? de totalisateurs.
Le groupe supérieur porte le totalisateur de solde (souvent appelé crossfooter dans la profes sion) et qui est prévu pour compter les mon- tants positifs ou négatifs en vite d'aboutir à lui nouveau solde. Le groupe de totalisateurs nitrière comprend quatre totalisateurs dont.
deux sont à addition-soustraction, l'un pour accumuler le total des débits ou des chèques et l'attire pour accumuler le total des crédits ou dépôts.
La raison pour laquelle on utilise < les totalisateurs addition-soustraction pour établir les totaux de chèques et de dépôts est que, dans les opérations de correction de chè- (lues et de dépôts, il est nécessaire de sous traire dans ces totalisateurs si l'on désire obtenir lin total exact. Bâti <I>et</I> fnée(cn:is?fïe d'aetion-nement.
Le bâti principal de la machine comprend lin flasque de gauche 60 (fig. 2 et 3) et un flasque de droite (non représenté) qui sup portent la plus grande partie du méeanisine (le la machine, et qui, à leur tour, sont fixés sur une base 61 et sont. soutenus, d'autre part, l'un par rapport à l'autre à l'aide de diverses entretoises, tiges et barres transver sales. La base 61 est rendue solidaire de qua tre bâtis d'imprimerie, et l'un de ces derniers, 6-l, est représenté en fi,-. 2 et 3.
Les bâtis d'imprimerie sont maintenus les uns par rap port aux autres à. l'aide de diverses barres et tiges ou axes. Les bâtis d'imprimerie sont à leur tour fixés à la face supérieure d'une sous-base (non représentée) et le mécanisme de la machine est enfermé dans un coffre 68 Une pression exercée sur l'une quelconque des touches cl'aetionnement libère un arbre fie verroilillame de touches 69 (fi-. \?), qui est alors soumis à l'action d'un ressort (non re présenté) faisant tourner l'arbre d'un cer tain angle dan;
le sens dextrorsum, ce qui actionne un mécanisme d'embrayage qui relie lui moteur d'entraînement à un arbre princi pal 70 (fig. 2 et 3) monté dans le bâti prin cipal 60. Simultanément, le mécanisme de con tact est entraîné et ferme le circuit du mo teur d'entraînement, mettant ainsi le moteur en mouvement.
Une fois que la machine a accompli .le nombre de tours nécessaires à l'achèvement d'un type d'opérations donné, l'arbre du verrouillage de touches 69 retourne dans le sens senestrorsum, de manière à déga- er le mécanisme d'embrayage et, en méme temps, à ouvrir le contact du circuit du mo teur électrique. Lorsque la machine est. manoeu- vrée à la main, les touches d'aetionnement ser vent à libérer ,le mécanisme exactement de la. même manière que lorsque la machine fonc tionne électriquement.
Claz-ier. En se reportant à. la fig. 1, qui est une représentation schématique du clavier, on voit qu'il existe neuf rangées de touches de mon tants 71 et deux rangées de touches de comp tage des chèques 52 et 7?, qui sont sembla bles à beaucoup de points de vue aux touches de montants 71, mais qui ont leurs propres roues de comptage sur le groupe 1 1 ou su périeur des totalisateurs pour compter le nom bre de chèques inscrits lors de l'établissement d'u.n compte.
La machine représentée est munie d'une plaque de commande des totaux, destinée à commander les mouvements d'embrayage et de débrayage des deux groupes de totalisa teurs, lors des opérations d'addition, de sous traction, de totaux et de sous-totaux. La mise en place de la plaque de commande des totaux s'obtient à. l'aide d'un certain nombre (le touches de commande des totaux (fig. 1) nu mérotées de 74 à 78 et situées près de la par tie droite du clavier. Les touches de com mande des totaux 74, 75 et 78 sont des touches motrices, c'est-à-dire qu'elles déclenchent di rectement le fonctionnement de la machine.
La machine est. encore munie- de deux groupes de totalisateurs qui sont sélectionnés, en vue de leur embrayage avec les entraî- rieurs, à l'aide de touches situées dans la ran gée des transactions (fi. 1 et 3), à côté des touches de commande des totaux et numéro tées de 79 à 84. Ces touches sont également motrices.
En plus des touches 79 à 84, la rangée des transactions comprend aussi une touche Espacement 85 pour faire avancer la table portant le compte et le relevé; une touche Solde Débiteur (Découvert) 86, uti.- lisée pour débloquer la touche Nouveau Solde 74 lorsque le totalisateur de solde contient un découvert, et enfin une touche Déblocage Découvert 87 qui est utilisée pour débloquer la touche de Reprise du Solde Débiteur 79 et la touche Reprise de Solde 84 lorsque le totalisateur contient un montant. Une fois l'ancien solde repris et introduit. dans la machine à l'aide soit de la touche Reprise de Solde Débiteur 79, soit.
de la touche Reprise de Solde 84, ces tou ches se trouvent à nouveau bloquées contre tout enfoncement jusqu'à, reprise d'un nou veau solde, empêchant ainsi que l'ancien solde ne soit repris une deuxième fois. La touche Déblocage Découvert 87 est employée pour débloquer ces touches au cas où l'on désire utiliser les touches 79 et 84 plus d'une fois.
Normalement, la touche Reprise de Solde Débiteur 79 et la touche Reprise de Solde 84 n'impriment pas sur le relevé destiné au client; toutefois, lorsque l'on désire que l'an cien solde soit inscrit, une touche Report de Solde 88, située dans la rangée des totaux, est enfoncée en même temps que ces touches et provoque l'impression du montant de l'an cien solde sur la ligne de report du solde sur le relevé de compte. Une touche de rappel 89 est prévue pour débloquer la touche Report de Solde qui n'est pas débloquée automati quement à la fin des opérations de la machine. La touche Espacement 85, de même que les touches de transactions 7 9 à 84, sont mo trices.
A gauche -des touches de transactions se trouve une rane#ée de touches de symboles 90 contenant dix touches destinées à l'impression de symboles d'identification à côté des articles inscrits lors de la manceuvre des touches de transactions. Les touches de symboles 90 res tent normalement enfoncées; toutefois, une touche de rappel 91, située au sommet de cette rangée de touches, est. prévue pour libé rer les touches des symboles lorsqu'on le dé sire.
Par exemple, on enfonce la. touche de symbole NC en même temps que la touche Chèques 82 lorsque l'on désire que le débit en cours d'inscription ne soit pas compté par le mécanisme compteur automatique de chè ques. En d'autres termes, la touche symbole <B> NC </B> met hors circuit le mécanisme de conip- tage des chèques et, simultanément, produit l'impression du symbole NC en face de l'opé ration de débit ou du chèque qui n'a. pas été compté.
Les frais mensuels (le tenue de compte ou agios sont déclnits du compte du client en composant le montant avec les touches de montants 71 et; en utilisant la. touche Chè ques 82. Lorsqu'on inscrit. les agios, on en fonce la touche de symbole SC en même temps que la. touche Chèques 82, afin que ce symbole soit imprimé en face des frais, et l'enfoncement. de la. touche SC' , elle aussi, débraye le mécanisme de compta-e des chè ques, de sorte que la rubrique agios n'est pas comptée.
Toutes les touches de symboles 90, à l'exception des touches NC et SC , sont de simples touches d'impression, qui provo quent l'impression de symboles d'identifica tion en face des rubriques correspondantes. Par exemple, la touche IN (Intérêts) pro voque l'impression du symbole IN en face du montant de la rubrique Intérêts .
La touche LS est une touche utilisée lorsque l'on dé sire porter en liste le montant d'un groupe de chèques en une seule opération, et cette opération est. identifiée par l'impression du symbole LS en face du montant correspon dant. Lorsque l'on introduit de la sorte, en liste, le montant. d'un groupe de chèques, le nombre de chèques constituant le groupe est porté sur les touches de compta-e de chèques 52 et 72, de sorte que le nombre total de chè ques est introduit dans les roues de comptage de chèques.
L'emploi des touches de comptage de chèques 52 et 72 pour compter une liasse de chèques débraye le mécanisme de comp tage des chèques pendant l'établissement de cette liste.
La. position occupée par la. touche de rap pel 91 des symboles (fi-. 1) est aussi une po sition automatique pour l'impression automa tique d'un symbole EC (Erreur) et est rendue effective par l'enfoncement soit de la touche 80 (Correction Dépôts), soit par la touche 83 (Correction Chèques).
Un levier de rappel de touches 92 (fig. 1), situé à l'extrême droite du clavier, est prévu pour libérer n'importe quelle touche, sauf celles qui, par construction, restent enfoncées, comme par exemple les touches de symboles 90 et la touche 88 (Report Solde).
La commande, par les touches de totaux 71 à 78 et par la plaque de commande des inouvenients d'embrayage et. de débrayage des deux groupes clé totalisateurs, est. expliquée dans le brevet cité plus haut. l'oicches <I>de</I> montants <I>et</I> différentiels. Les neuf rangées de touches de montants et les mécanismes différentiels correspondants sont semblables à tous points de vue à ceux qui sont décrits dans le brevet mentionné plus haut. Il suffira. d'en donner une courte des cription.
La fig. 2 est une coupe transversale de la machine prise juste à droite de l'une des ran gées de touches de montants et montrant la rangée proprement dite et le mécanisme diffé rentiel associé. Les touches de montants 71 sont montées dans un bâti de touches 93 sup porté par des tiges 91 et 95 qui joignent les bâtis principaux 60 de la machine.
L'enfon cement de l'une quelconque clés touches de montants 71 fait basculer dans le sens senes- trorsum un cliquet d'arrêt à zéro 96, pour cette rangée.
et l'écarte du trajet d'un levier de position 97 monté libre sur le moyeu d'un entraîneur différentiel 98 qui tourillonne sur nu palier 99 s'étendant entre deux plaques support semblables 100 (l'une d'elles seul.e- ni(@nt étant représentée). Ces plaques sont à leur tour supportées par des barres 101 et 102 s'étendant entre les bâtis principaux 60.
I1 est prévu une paire de plaques de support <B>100</B> pour chaque mécanisme différentiel de iiiontants et une barre d'accouplement<B>103,</B> traversant les paliers 99 par des trous prati qués au centre de ceux-ei, réunit. tous les dir- férentiels de montants en un (groupe compact. Une encoche pratiquée clans l'extrémité antérieure du levier 9 7 est en prise avec un ergot 101 fixé sur un levier coudé 105 pivo tant sur l'entraîneur 98.
Le levier 105 et un maneton 106 pivotant, lui aussi, sur l'entrai- rieur 98, soutiennent ensemble un verrou dif férentiel 107 susceptible de se déplacer hori zontalement. Un ressort 108 oblige les levier 105 et 106 et le verrou 107, en les tirant vers l'arrière, à maintenir normalement un talon 109 .du verrou en contact avec un épaulement 110 d'un segment différentiel d'entraînement 111 pivotant sur un moyeu de l'entraîneur 98.
Une bielle 112 est. articulée entre le seg ment 111 et un levier à galets<B>113</B> pivotant sur un goujon 111 fixé sur la plaque de gau che 100, et ce levier 113 porte des galets<B>1155</B> et<B>116</B> qui coopèrent avec les périphéries de cames 117 et 118 goupillées sur l'arbre prin cipal 70. L'enfoncement. clé l'une quelconque des touches de montants 71 amène 1a partie inférieure de la tige de celle-ci sur le trajet d'une aréte arrondie 11.9 prévue sur un pro- longement du levier coudé 105.
Dans les opérations d'addition, l'arbre principal 70 et les cames 117 et 118 effec tuent une révolution dans le sens dextrorsum, de faon due le levier 113 fasse basculer le se\-ment d'entraînement 7.11 d'abord dans le sens dextrorsuin, puis le ramène clans sa po sition normale. Le premier mouvement du segment<B>111</B> fait que l'épaulement 110 dé place, en coopération avec le prolongement <B>109</B> du verrou 107, ce dernier et l'entraîneur 98 clans le sens dextrorsuin jusqu'à ce que l'arête arrondie <B>1.19</B> entre en contact avec la tige de la touche de montants 71 enfoncée.
Le levier coudé<B>105</B> et le maneton 106 tournent alors dans le sens senestrorsum, dégageant ainsi le prolongement 109 de l'épaulement 110 et interrompant, par conséquent, la rotation clextr orsum de l'entraîneur 98 qui s'arrête dans une position correspondant à la touche de montants 71 enfoncée.
Le mouvement de dégagement du verrou 107 amène un prolon gement arrondi 120 de celui-ci à s'engager dans l'une des encoches 121 pratiquées dans une plaque 122 maintenue entre la barre 101 et -Lui prolongement supérieur de la plaque support de gauche 100.
Une fois que le verrou 107 est dégagé de l'épaulement 110, une arête arquée 125 du segment 111 arrive en face du prolongement 109 pour maintenir le verrou dans une posi tion fixe.
Lorsque le levier 113 atteint le terme de son mouvement dans le sens dextrorsum, un galet 126 porté par ce levier entre en contact avec une surface en forme d'arc 127 d'un bras flottant 128 pivotant sur itn goujon 129 de l'entraîneur 98, ,amenant ainsi une arête concave de ce bras en contact avec le moyeu de l'entraîneur 98, de manière à placer ce bras flottant dans une position variant avec la touche de montants qui a été enfoncée.
Le bras flottant 128 (fig. 2) présente une encoche 130 en prise avec un ergot 131 porté par une bielle 132, dont l'extrémité supérieure est articulée à un secteur denté 131 monté sur l'un de plusieurs tubes télescopiques 135 sup portés par un arbre 136 tourillonnant .dans le bâti principal 60. L'extrémité inférieure de la. bielle 132 est articulée à un segment 137 monté fou sur un arbre 138 tourillonnant clans le bâti 60.
Le segment 137 porte un ergot 139 engagé dans une fente-came d'une plaque d'élimination de zéros 110 montée à pivotement sur un ergot 141 d'un secteur denté 142 monté fou sur un arbre 113 touril- lonnant dans le bâti principal 60.
Les dents du secteur denté 112 engrènent avec les dents extérieures d'une couronne à denture externe-interne 144 (fig. 2) dont les dents intérieures constituent, en coopération avec la périphérie d'un disque 145 fixé sur un arbre 146 soutenu par des supports 1.17 (fig. 3) fixés à. une barre transversale 148 et au bâti principal de la machine, un sup port à rotation pour ledit engrenage 114. La barre 1-18 (fi-. 3) est. fixée aux bâtis princi paux 60 de la machine.
Les dents internes de la. :couronne 111 (fil-. 2) engrènent avec un pignon 149 qui peut tourner à l'intérieur d'une perforation du disque 145 et qui est fixé sur un axe carré 150. Le pignon 149 et l'arbre carré, à leur tour, entraînent. des pi- gnous analogues au pignon 149, commandant. des organes de liaison aboutissant à des porte- caractères.
Le mode d'entraînement des roues à ca ractères de machines comptables imprimant par colonnes, au moyen d'un engrenage interne-externe, est expliqué en détail dans le brevet N 189986.
La plaque 110 (fig. 2) porte un goujon 155 en prise avec une encoche pratiquée à l'extrémité d'un coulisseau 156 de commande d'élimination des zéros, coulisseau qui pré sente des encoches parallèles en prise chacune avec un axe 157 tourillonnant. dans des sup ports 158 fixés à la base 61 et sur une tige 159 supportée par des bras 160 assujettis à l'axe 157. Un ressort 161, tendu entre le segment 137 et la plaque 1-10, maintient nor malement l'extrémité inférieure de l'encoche came de la plaque 110 au contact de l'ergot 139, comme représenté en fil-. 2.
Le mécanisme d'élimination des zéros re présenté est analogue à celui qui est exposé dans le brevet N 1.89986, et. il suffit d'en faire une brève description.
Le coulisseau 156 porte un galet 162 qui coopère avec une arête arquée 7.63 d'un bras 164 monté fou sur un arbre 165 tourillon- nant dans les supports 158. Le bras 161 est relié, grâce à un moyeu 166 monté fou sur l'arbre 165,à un bras semblable 167 qui co opère avec un ergot 168 du bras 161 appar tenant à la rangée décimale immédiatement inférieure. De même, le bras 161 de l'ordre décimal décrit porte un ergot. 168 qui coopère avec le bras 167 de la rangée décimale ininié- diatement supérieure, et ainsi de suite.
L'er got 168 du bras 161 de l'ordre le plus élevé coopère avec un bras semblable au bras 167, fixé sur l'arbre 165, lequel tourne d'abord dans le sens dextrorsum an début du fonc tionnement de la. machine, puis revient à la position normale. La rotation dextrorsum de l'arbre 1,65 et du bras 167 pour l'ordre le plus élevé est transmise par l'intermédiaire de l'ergot 168 au bras 164 de cet ordre élevé, et ainsi de suite en descendant la série, à tra vers toits les ordres, jusqu'à faire basculer l'arbre 16-I représenté ici, d'abord dans le sens dextrorsum pour déplacer le coulisseau 156 vers l'arrière,
de manière à dégager l'encoche de l'ergot 155 porté par la came 140.
Si l'on suppose, par exemple, qu'une tou- elie a été enfoncée dans le clavier des mon tants représenté en fig. 2, après que le cou- lisseau 156 correspondant a été déplacé vers l'arrière pour être dégagé de l'ergot 155 et après due l'entraîneur 98 a été mis en posi tion sous l'influence de la touche 71 enfoncée, le galet 126 entre en contact avec l'arête arquée 127, de manière à mettre en position le bras 128, la bielle 132 et les segments 13-I et 137 proportionnellement à la. touche de montants qui a été enfoncée.
Avant la mise en position du segment 13-I telle qu'elle est. expliquée ci-dessus, un dispo sitif d'alignement 169 (fi-. 2), fixé sur un arbre 170 porté par le bâti principal 60, est basculé dans le sens dextrorsum jusqu'à se dégager des dents 171 du segment 134 et, après que ce segment a pris une nouvelle po sition sorts l'influence du bras 128, le dispo sitif d'alignement 169 s'engage à nouveau dans les dents 171 du segment 134, de ma nière à bloquer les segments 134 et 137.
La mise en position du segment 137 amène une arête arquée 17'? de celui-ci sur le trajet d'un galet 173 porté par le bras 164 de l'ordre décimal envisagé. Par suite, le mouvement, de retour vers l'avant du coulisseau 156 sous l'action du ressort 174 se trouve contrarié et le coulisseau est retenu dans sa. position arrière.
L'ergot 168 du bras 164 de l'ordre envisagé à la fig. 2 s'oppose au mouvement de retour du bras 164 de l'ordre immédiate ment inférieur, et ainsi de suite tout au long de la série, de manière à maintenir les cou- lisseaux 156 de tous les ordres inférieurs vers l'arrière, maintenant ainsi les encoches des- dites pièces coulissantes écartées des ergots 155, clé sorte qu'auetni mouvement n'est com- mtuiiqué à la.
came 140 lorsque l'arbre 157 et les bras 160 sont basculés dans ,le sens senes- trorsuni puis dans le sens contraire pour re venir à la position normale, après que les segments 137 ont été mis en position selon la touche de montants enfoncée.
Lorsque aucune touche 71 n'est enfoncée dans la rangée représentée en fig. 2 ou dans l'une quelconque des autres rangées des ordres décimaux supérieurs, le segment 137 est en position zéro, comme on le voit ici, po sition .dans laquelle une partie évidée dudit segment se trouve en face du galet 173. De cette manière, le bras 164 peut revenir vers l'avant, ainsi que le coulisseau 156, sous l'ac tion du ressort 174, de façon que le cran pra tiqué dans l'extrémité du coulisseau vienne s'engager à nouveau sur l'ergot 155.
Après que le cran du coulisseau est en prise avec l'ergot 155, une rotation dans de sens senes- trorsum est imprimée à l'arbre 157, aux bras <B>160</B> et au coulisseau 156 grâce à un méca nisme représenté au brevet 1 189986 ci- dessiLs mentionné.
Le mouvement imprimé au coulisseau 156 fait basculer dans le sens dextrorsum la came d'élimination des zéros 140, dont l'ouverture en coopération avec l'er got 139 qui, à cet instant, est maintenu sta tionnaire, fait basculer le segment 142 dans le sens senestrorsum contre l'action du res sort 161, ce qui fait tourner dans le sens dextrorsum la couronne dentée 1-I4, de la po sition de zéro représentée ici, jusqu'à une po sition qui se trouve en decà de zéro, laquelle, clans le cas présent, est une position neutre ou de non-impression.
Il est clair que, d'une manière analogue, l'impression du zéro se trouvera éliminée dans toits les ordres supé rieurs.<B>En</B> d'autres termes, le mécanisme d'élimination des zéros fonctionne lorsqu'une touche 71 est enfoncée .dans la cinquième rangée des touches de montants (fis.;. 1.), de telle manière que les zéros s'impriment dans les quatre ordres inférieurs et que l'impres sion des zéros se ti ouve empêchée clans les quatre ordres supérieurs.
Une fois que l'entraîneur des montants 98 (fig. 2) a. été mis en position sous l'influence de l.'enfoncenient d'une touche 71 de mon tants, comme expliqué plus haut, les roues du totalisateur sélectionné se trouvent embrayées avec l'une de deux séries de dents 175 et 176 de l'entraîneur, après quoi le mouvement de retour du levier 113 et du se=ntent 111 oblige l'arête incurvée 125 dudit segment à se dé placer au-delà du talon 109 du verrou 107, permettant à ce dernier, sous l'influence du ressort 108,
de tomber au-delà de l'épaulement l.10 pour dégager le bec 120 de ce verrou de l'encoche 121 de la plaque 122. En même temps, une surface plis large du segment <B>111</B> entre en contact avec un ergot 179 porté par l'entraîneur 98, qui retourne dans le sens senestrorsum, en même temps que .le segment, jusqu'à la position zéro. Ce mouvement de retour de l'entraîneur 98 fait tourner les roues du ou des totalisateurs embrayés d'un angle proportionnel à la valeur de la touche de montants 71 enfoncée, de sorte que le montant représenté par cette touche se trouve ajouté ou soustrait. dans le ou les totalisa teurs.
Si aucune touche de montants 71 n'est en foncée, le cliquet d'arrêt. de zéros 96 demeure sur le trajet du levier 97 et, sur un mouve ment initial de ce dernier et de l'entraîneur 98, il vient. en contact avec un prolongement dudit levier et stoppe le verrou 107 en posi tion zéro, après quoi .le galet 126, en coopéra- tien avec le levier 1\2e, met en position les segments 131 et 1j 7 et les mécanismes asso ciés pour positionner les rotes à caractères de ce groupe à la position zéro.
En fin d'opération, l'entraîneur 98 (fig. '3) revient toujours à sa position initiale, comme on le voit ici. Toutefois, la bielle 132 et les serments 134 et 137, ainsi que le mécanisme imprimeur correspondant, demeurent dans la position acquise à la fin de l'opération et, de cette position, passent. directement à leur nouvelle position dans l'opération suivante. On prévoit, bien entendu, l'habituel méca nisme pour le report des dizaines d'un ordre à l'ordre immédiatement supérieur pour les opérations d'addition out de soustraction.
Totalisateurs, Comme expliqué plus haut, la machine re présentée possède deux groupes de totalisa teurs, à savoir: un groupe de totalisateurs supérieur (_\ 1) et un groupe postérieur (N \?). Le totalisateur N \1 est un totalisa teur de solde (ou addition-soustraction) et comprend des jeux, par ordres décimaux, de roues d'addition 180 (fig. ?)
et des jeux (le roues de soustraction 181. Les roues additives et soustractives de chaque ordre engrènent en sens inverse, de faon que lorsqu'on fait tour ner l'une des roues dans un sens, l'autre tourne dans le sens opposé et vice versa. Le totalisateur (te solde est monté dans un bâti mobile 183 2). lui-même supporté entre les bâtis principaux 60.
Le bâti mobile 153 du totalisateur de solde comprend un axe 1:8-1 (fig. ?) muni à ses extrémités de galets qui s'engagent dans des fentes de guidage prati quées dans deux cames cte déplacement fixées aux bâtis 60 de gauche et de droite r especti.. vement, comme exposé dans les brevets suisses Nos 189986 et 27-1897.
Le mécanisme d'embrayage des totalisa teurs avec les entraîneurs 175 et 176 est bien connu et, pour une description détaillée, i1 suffira de se reporter aux brevets ei-dessiis mentionnés.
Le groupe de totalisateurs N '-) (posté rieur) comprend deux totalisateurs addition- soustraction, l'utn pour l'accumulation des chèques, l'autre pour l'accumulation des dé pôts. La caractéristique d'addition-soustrac- tion est prévue pour rendre possible les cor rections de chèques et de dépôts.
Le totalisa teur addition-soustraction pour l'accumulation des chèques comprend des roues additives et des roues soustractives<B>218</B> (fio-. ?) qui sont reliées, pour un mouvement inverse, exactement de la. même manière (lue les roues du totalisa teur :I# 1. Le totalisateur des dépôts com prend des roues additives ?19 et (les roues soustractives qui, de même, tournent en sens inverse.
En plus des (feux totalisateurs addi- ï ion-soustraction, le groupe (le totalisateurs N 2 comprend une série (le routes addition- rieuses (non représentées) pour l'accumula tion des nouveaux soldes positifs et une série de roues additionneuses (non représentées) pour l'accumulation des nouveau-, soldes né gatifs.
On peut., au sujet de ces totalisa- teurs d'accumulation, se reporter au brevet N _274897.
Dans les opérations de nouveau solde, si le totalisateur de solde contient un montant po sitif, le côté positif dudit totalisateur est re mis à zéro, tandis que le montant qui y figu rait est simultanément transféré sur les roues additionneuses, et si ce totalisateur de solde contient un montant négatif, sa roue 181 sera remise à zéro avec transfert simultané du montant aux roues soustractives du groupe de totalisateurs N 2.
Ce groupe est monté dans un bâti mobile 223 (fig. 2) semblable à tous points de vue au bâti 183 du totalisateur de solde et comprend un axe 224 (semblable à l'axe 18-1) muni de galets (non représentés) qui coopèrent avec des fentes .de guidage pra tiquées clans des plaques de déplacement mon tées à l'intérieur des bâtis principaux 60. <I>Touches de</I> transactions <I>et</I> mécanismes différentiels correspondants.
Toutes les touches de transactions, à l'exception de la touche Solde Débiteur 86 (fig. 1) et la touche Déblocage Découvert 87, commandent la position du mécanisme différentiel de transactions représenté à la fig. 3. Toutefois, seules la touche Dépôts 81, la touche Correction Dépôts 80, la tou che Chèques 82 et la touche Correction Chèques 83 qui jouent un rôle dans les opé rations d'inscription de chèques, sont. actives en ce qui concerne la. sélection des côtés posi tif et négatif des deux totalisateurs addition- soustraction du groupe de totalisateurs N 2.
Les deux totalisateurs additifs du groupe N 2, et destinés à l'accumulation des nou veaux soldes positifs ou négatifs, ne sont pas embrayés avec les entraîneurs de montants dans les opérations d'inscription de chèques, mais seulement clans les opérations de nou veaux soldes, pour accumuler le nouveau solde. Le mécanisme différentiel de trans actions commandé par les touches de trans actions, en plus de la sélection des totalisa teurs du groupe N 2 correspondant à ces touches et du côté convenable du totalisateur de solde, commande aussi la mise en place de roues d'impression destinées à inscrire des signes représentatifs du type d'opération exé- eutée en face du montant. inscrit.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de transactions, à l'exception des tou ches 86 et 87 (fig. 3), fait. basculer un cliquet d'arrêt. à zéro 271, l'écartant ainsi du chemin de l'extrémité antérieure d'un levier 272 qui peut tourner sur un moyeu 273 d'un bras dif férentiel 274, ce moyeu 273,à son tour, pou vant tourner sur un goujon 275 reliant deux plaques de support identiques 276 (une seu lement étant représentée) montées sur les tiges 1.01 et 102. Le levier 272 présente, à son extrémité antérieure, une fente en prise avec un ergot 277 d'un bras de verrou 278 pivotant sur le bras différentiel 274, et qui, coopérant avec un maneton 279, supporte un verrou diffé rentiel de transactions 280 en vue d'un mou vement de déplacement.
Le verrou 280 pré sente un talon 281 qui, normalement, est maintenu engagé avec un épaulement d'un segment d'actionnement différentiel 282, monté fou sur le goujon 275 et sous Vaction d'un ressort. Le segment 282 est. relié, par une biellette 283, à un levier 28-1 pivotant en 285 sur la plaque 276. Le levier 284 porte des galets 286 et 287 qui coopèrent avec le pour tour de cames 288 et 289 fixées sur l'arbre principal 70.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de transactions, à l'exception des tou ches 86 et 87, déplace l'extrémité inférieure de ladite touche jusqu'à l'amener sur le trajet d'un prolongement arrondi 292 du bras de verrou 278, en même temps que le cliquet d'arrêt à zéro 271 est. écarté du trajet du le vier 272.
L'opération de la machine fait tour ner les cames 288 et 289 et bascule le levier 284 et le segment 282, tout d'abord dans le sens dextrorsum. L'épaulement du segment 282, en coopération avec le prolongement 281, entraîne le verrou 280 dans le même sens jusqu'à ce que l'arête arrondie 292, butant contre le pied de la touche enfoncée, fasse basculer le bras 278 dans le sens senestrorsum, pour dégager le prolongement 281 de l'épau lement du segment 282 et engager la partie arrondie 293 du verrou 280 dans une encoche correspondante 294 pratiquée dans une pla que d'alignement 295 portée par la tige 101 et les plaques 276.
Le bras différentiel 274 est ainsi arrêté dans une position correspon dant à la touche qui a été enfoncée. Le mou vement du segment<B>2</B>82 se poursuivant dans le sens dextrorsum, une arête incurvée 296 frotte contre le talon 281 et vient bloquer le verrou 280 dans la. position acquise.
Vers la fin du mouvement du levier 281 (fig. 3), dans le sens dextrorsum, un galet 297 porté par ce levier entre en,contaet avec une partie arrondie 298 d'une bielle flottante :.'99 pivotant sur le bras 274 et plaque cette bielle contre le moyeu 273, de telle sorte que la bielle flottante se trouve prendre une po sition correspondant à la. touche de trans- actions qui a. été enfoncée.
La bielle 299 se termine par une partie fourchue en prise avec un ergot 301 porté par une bielle de liaison 302 dont l'extrémité supérieure est articulée à un segment 303 fixé à l'un des tubes 135 de l'arbre 136, tandis que l'extrémité infé rieure est articulée à un segment 304 monté fou sur l'arbre 138 et relié par une biellette 305 à un secteur denté 306 fixé sur l'arbre 143. Le secteur denté 306 engrène avec les dents extérieures dîme couronne dentée 307 à. double denture externe et interne, tournant. sur un disque supporté à son tour par l'arbre 1.46.
La couronne 307 porte à son tour un en grenage annulaire 308 qui engrène avec Lui pignon 309 calé sur un arbre 310 tourillon nant dans les supports 147. D'autres pignons, calés sur l'arbre 310, entraînent d'autres cou ronnes dentées analogues à la couronne 307, et mettent en position des roues d'impression de symboles, roues situées clans les diverses positions de colonnes du document à impri mer, de telle sorte qu'un caractère typogra phique indicatif de la transaction en cours d'exécution soit enregistré sur le document.
Sur l'arbre 143 (fig. 3) est aussi fixé un sec teur denté<B>31.1</B> qui engrène avec Lin pignon 312 monté fou sur un axe 313 fixé à la base 61. Le pignon 31'? est en prise avec un engre- nabe 314 goupillé sur Lui axe 315 tourillon nant dans le bâti du mécanisme imprimeur. Cet arbre 315,à son tour, communique sa po sition à des disques sélecteurs qui comman dent le fonctionnement des marteaux impri meurs et le mouvement. de la table d'impres sion des documents (compte et relevé). Le mé canisme des disques sélecteurs est complète ment décrit dans ,le brevet N 274897.
Lorsque la touche Chèques 82 (flg. 1 et est utilisée dans les opérations d'inscrip tion de chèques, l'enfoncement de cette touche a pour effet, de sélectionner les roues positives du totalisateur de chèques N 2 sur le groupe N 2, en vue de l'accumulation du montant total des chèques.
Lorsque l'on désire faire une correction dans une inscription de chèques, on se sert de la touche Correction Chèques 83 (fil. 1) qui sélectionne également le côté positif du totalisateur chèques N 2, de sorte que le mon tant de la correction de chèques, qui constitue un crédit, se trouve additionné dans le tota lisateur de chèques N 2.
<I>Mécanisme de</I> coviptage <I>des chèques.</I> Deux rangées de touches 72 et 52 (unités et, dizaines) sont prévues à l'extrémité gau che .du clavier (fig. 1) et semblables à beau coup de points de vue aux rangées de touches de montants 71, mais sans liaison avec ces dernières. Ces touches servent au comptage manuel et automatique des chèques. Le comp tage automatique des chèques est commandé par la touche Chèques 82 et l'enfoncement de cette touche agit, sur le cliquet d'arrêt à, zéro de la rangée 72 des unités du compteur de chèques; ce cliquet, en plus du cran habi tuel d'arrêt. à zéro, présente un autre cran situé dans la. position 1 de cette rangée des unités.
L'enfoncement de la touche 82 amène ce second cran sur le trajet d'un levier diffé rentiel. placé dans la rangée des unités du dis positif de comptage de chèques, de sorte que 1 se trouve ajouté dans les roues de comp tage 1180 (fi-. 9) qui ont. la même disposi tion que les roues 180 (fig. 2). La touche Correction de chèques 83, qui est utilisée pour retirer ou annuler un chèque inscrit par erreur, commande également les rangées de comptage automatique des chèques <B>729</B> et 52, et fait que 1 se trouve automati quement soustrait des roues de comptage de chèques pour compenser le retrait ou l'annu lation d'un chèque.
Cette soustraction de 1>> dans les roues .de comptage de chèques s'ob tient par introduction du nombre complé mentaire 99 .A cet effet, l'enfoncement de la touche Correction Chèques libère les cli- quets d'arrêt de zéro dans les deux rangées, permettant aux mécanismes différentiels 1175 (fig. 9) de ces rangées de parcourir toute la distance jusqu'à la neuvième position, ce qui, par complément, équivaut à la soustraction d'une unité.
Dans la pratique, on groupe souvent en liasse tous les chèques de certaines catégories ou désignations, et le montant de chaque liasse est composé sur les touches de montants et inscrit comme un article unique, en utili sant la touche Chèques 82. Dans ce cas, on utilise les touches 72 et 52 pour composer le nombre total de chèques de la liasse, et l'enfoncement de ces touches débraye le mé canisme automatique de comptage des chè ques et produit l'addition du nombre total de chèques contenu dans la liasse dans les roues de comptage des chèques. Le mécanisme de comptage des chèques ne sera pas décrit en détail.
Les rangées de touches de comptage de chèques 72 et 52 (fig. 1) sont semblables en construction aux rangées de touches de mon tants 71 (fig. 2) et chaque rangée comprend un mécanisme différentiel comprenant un le vier 778 (fig. 4) pour les touches d'unités 72 et un levier 779 (fig. 6) pour les touches de dizaines 52 et qui sont analogues aux leviers 97 pour la rangée de montants représentée à la fig. 2. Chaque levier commande une cré maillère différentielle 1175 (fig. 9) analogue à la crémaillère 175 des montants.
Le levier 778 de la rangée des unités de comptage de chèques comprend un goujon 780 muni d'un méplat coopérant avec un cran d'arrêt à zéro 781 et un cran 782 correspondant à la posi tion 1 du mécanisme différentiel des unités. Ces crans sont prévus sur le cliquet d'arrêt à zéro 783 monté fou sur un axe 784 tourillon- nant dans le bâti de la machine. Un ressort de torsion 785, qui entoure l'axe 784 et. dont les extrémités opposées sont retenues par un ergot 786 du cliquet d'arrêt 783 et une colle rette de,la tige 101, oblige lesdits cliquets à tourner dans le sens dextrorsum, pour main tenir un bec 787 du cliquet en contact avec la collerette de la tige 101.
Le levier différentiel 779 des touches des dizaines de comptage de chèques 52 (fig. 6) porte un goujon 788à méplat coopérant avec un cran 789 d'arrêt de zéro d'un cliquet 790 monté fou sur l'axe 784 et sollicité .dans le sens dextrorsum par un ressort de torsion 791 qui entoure l'axe 784 et dont les extrémités opposées sont retenues l'une par un ergot 792 du cliquet 790, l'autre par une collerette de la tige 101, de telle sorte que, normalement, un bec 793 du cliquet 790 soit maintenu en contact avec la collerette. L'ergot 786 (fi-. 4) porté par le cliquet d'arrêt à zéro 783 pour la rangée des unités de comptage de chèques, coopère avec un levier 795 solidaire d'un doigt 796, grâce à un .moyeu 797 monté fou sur la tige 101.
Le doigt 796 (fi-. 4) coopère avec un ergot 798 d'un prolongement vers le haut d'un bras 799 monté fou sur un ergot 800 du bâti des rangées de touches. Le bras 799 pré sente un doigt 801 qui coopère avec une tige 802 portée par un certain nombre de mane- tons 803 fixés sur l'arbre 204 qui sert au dé brayage des cliquets d'arrêt à zéro (voir aussi fig. 2).
On prévoit également un mécanisme ana logue pour les touches d'unités 72 et. de dizaines de comptage de chèques 52 (fig. 6). L'ergot 792 du cliquet d'arrêt. à zéro 790 co opère avec un bras 804 relié, par un moyeu monté fou sur la tige 101, à un doigt 806 qui coopère avec un ergot 807 d'un prolongement supérieur d'un bras 808 fou sur un ergot 809 du bâti des touches de dizaines. Un doigt 810 du bras 808 coopère avec la tige 802 de la même manière que le doigt. 801 pour le bras 799 (fig. 4). Les ergots 798 et 807 (fi-. 4 et 6) des bras 799 et 808 coopèrent aussi avec.
des arêtes pratiquées sur des leviers corres pondants 811 et 812 pivotant. respectivement sur des ergots 813 et 814 portés par les bâtis des touches d'unités et de dizaines. Articulée au levier 811, une barre de manceuvre 815 est reliée à. sa partie supérieure au bâti de tou ches, de façon que cette barre puisse être dé placée. La barre 81.5 présente un certain nom bre d'arêtes inclinées 817 qui coopèrent res pectivement avec les ergots 818 de chacune des touches d'unités 72.
L'enfoncement de l'une de ces touches 72 amène son ergot 818 à coopérer avec l'arête 817 pour déplacer la barre 815 vers le bas et faire ainsi basculer le levier 811 dans le sens dextrorsum. Cette rotation du levier 811 a. pour effet, grâce à son arête et à l'ergot 798, de faire basculer le doigt 796, le moyeu 797 et le levier 795 dans le sens senestrorsum, mouvement qui est transmis, par l'intermé diaire .de l'ergot 786, au cliquet d'arrêt à zéro 783, amenant. ce cliquet à la seconde po sition (représentée en trait.
mixte), de sorte que le cran 0 781 et le cran 1 782 se trouvent. écartés du trajet de l'ergot 780 et que le levier 778 et ses mécanismes associés peuvent être mis en position selon la touche 72 enfoncée.
Le levier 812 appartenant à la rangée des dizaines de comptage de chèques est articulé à l'extrémité inférieure d'une barre de con trôle 816, semblable à tous points de vue à la barre de contrôle 815 et présentant un certain nombre d'arêtes 819 qui coopèrent. avec des ergots 820 de chacune des touches de dizaines 52.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches 52 fait basculer le levier 812 qui, à son tour, fait basculer le cliquet d'arrêt à zéro 790 de la rangée des dizaines dans le sens senestrorsum contre l'action du ressort 791, jusqu'à la position indiquée en trait mixte en fin. 6, de far on que le cran d'arrêt à. zéro 789 dudit cliquet se trouve écarté du trajet de l'ergot 788 et que le levier 779 et le mécanisme connexe se trouvent mis en posi- tion selon celle de la touche des dizaines de comptage des chèques.
Dans les opérations de total et de sous- total, l'arbre 201 (fig. 4) tourne dans le sens dextrorsum, à la manière connue, et ce mou vement est communiqué aux renvois de ma- netons 803 et à la tige 802, qui vient en prise avec les doits 801 et 810 des bras 799 et 808 (fig. 4 et 5), faisant basculer ces bras dans le sens senestrorsum. Ce mouvement a pour effet, grâce aux ergots 798 et 807,
de faire pivoter les doits 796 et 8(j6 et les le viers 795 et 80s dans le sens senestrorsum, mouvement transmis par l'intermédiaire des ergots 786 et 792 atLZ cliquets respectifs d'ar rêt à zéro 783 et 790, qui se trouvent être neutralisés comme plus haut.. Il eu résulte que les leviers différentiels 778 et 779 peuvent être mis en position par les roues de comp tage de chèques et qu'il est ainsi possible d'enregistrer le nombre total de cbèques.
Le levier 795 (fig. q) pour les tourbes d'unités de comptage de chèques présente une encoche 8\31 en forme de<B>L</B> traversée par un ergot. 822 disposé de telle sorte qu'il puisse également coopérer avec un prolonge ment 823 du cliquet d'arrêt à zéro 783.
L'er got 82\' (fig. 4 et 5) est fixé sur un maneton 82q calé sur l'axe<B>784.</B> Le levier 801 (fi-. 5 et 6) présente aussi une encoche 825 en forme de<B>L</B> traversée par un ergot 8 6 qui coopère aussi avec un prolongement<B>1327</B> du cliquet d'arrêt à zéro 790 pour la. touche des dizaines de comptage de chèques 52. .D'ergot 826 est. fixé sur un maneton 828 lui-même calé sur 1-'axe 78-1.
Ce dernier s'étend sur toute la longueur de la. machine et. porte, près de son extrémité de droite, un maneton ou bras 829 relié par une biellette 830 à un segment de commande 831 pour les touches de transactions (fig. 5 et 8). Ce segment. est. supporté à, rotation par une bague 832 ana logue à la bague 99 (fig. 2) de la rangée des montants, Un ressort 833 sollicite le secteent 831 dans le sens dextrorsum, de telle manière qu'une arête 834 de ce segment 831 demeure en contact avec un ergot<B>835</B> porté par l'un des bras d'un étrier 836 monté fou sur une tige 837 supportée par les plaques support de rangée de touches.
L'étrier 836 est relié par une biellette 838 à un levier 839 calé sur l'arbre de blocage de touches 69.
Le mouvement de l'arbre de blocage des touches 69 dans le sens dextrorsum (fi-. 8), lorsque la machine est déclenchée pour opé ration, comme il. a été expliqué à propos de la fig. 2, fait basculer, par l'intermédiaire de la biellette 838, l'étrier 836 dans le sens senestrorsum, écartant l'ergot 835 du bossage de l'arête 834, clé manière à.
permettre au ressort 833 de tirer le segment 831 dans le sens dextrorsum. Chacune des touches de transactions 79, 80, 85, 81 et 87 présente un goujon (fig. 1 et 8) qui, lorsque l'une de ces touches est enfoncée, vient se placer dans un cran correspondant 811 prévu sur le pour tour du segment 831, empêchant. ainsi le mouvement de ce segment dans le sens dex- trorsum sous l'action du ressort 833, lorsque l'on fait. tourner l'arbre de blocage au mo ment.<B>dit</B> déclenchement de la machine pour opération.
La touche de transactions 81 porte un goujon qui se déplace sur le trajet d'un épaulement 8-12 pratiqué sur l'extrémité côté droit, de la portion périphérique du segment 831, de manière à empêcher tout mouvement de ce segment 831 dans le sens dextrorsum. Par suite, lorsque L'une quelconque des tou ches qui viennent d'être énumérées est enfon cée, le segment 831 est rendu inopérant.
La touche Chèques 82 présente un goujon co opérant avec une encoche 843 pratiquée sur l'arête périphérique du segment 831, et cette encoche est sensiblement plus grande que les autres 8-11, clé sorte qu'il reste assez d'espace libre entre la face gauche ou inférieure de l'encoche et le goujon de la touche 82 pour permettre un mouvement partiel du segment 831 sous l'action du ressort 833 lorsque l'ar bre de blocage des touches 69 tourne au dé but, de la mise en marche de la machine.
Ce mouvement. partiel dans le sens dextrorsutn (lu segment.<B>831,</B> déplace, _râce à la biellette 830, le liras 829, l'axe 784 (fi-. 4,<B>5, 6</B> et<B>8),</B> le bras 824 et l'errwt 822 sur une distance suffisante pour que ce dernier, en coopéra tion avec le prolongement 823 .du cliquet d'arrêt à. zéro 783, fasse basculer ce cliquet dans le sens senestrorsum, contre l'action du ressort 785, amenant ainsi le cran d'arrêt.
0 781 de celui-ci à s'écarter du trajet. de l'ergot 780 et le cran d'arrêt 1 782 à. se placer sur le trajet clé l'ergot, de sorte que, lorsqu'on fait fonctionner la machine et. que l'on en fonce la touche Chèques 82, le mécanisme différentiel pour les touches d'unités 72 de comptage des chèques, v compris le levier 778, va se trouver amené à la position 1 sous l'influence de l'arête 782 au lieu d'être arrêté en position de zéro. Il en résulte qu'une unité se trouve ajoutée automatique ment sur les roues de comptage de chèques.
Un mécanisme de report entre les roues de comptage des unités et celles des dizaines réalise le report des dizaines à la roue de comptage des dizaines, celle des unités pas sant de 9 à 0 . Les roues de comptage des chèques sont montées sur le groupe N 1 portant. le totalisateur de solde (fig. 2 et 9), et comme celui-ci est un totalisateur addi- tion-soustraction et peut être décalé laté ralement, de manière à amener au choix son côté positif ou son côté négatif en prise avec les entraîneurs -de montants, il est nécessaire de prévoir deux roues 1180 pour chaque ordre des rangées de comptage des chèques, pour tenir compte de cette con dition.
Les .deux roues de chaque ordre dans les rangées de comptage des chèques ne sont pas reliées l'une à l'autre en vue de leur ro tation en sens inverse l'une par rapport à l'autre, comme c'est le cas pour les roues du totalisateur de solde. Elles sont reliées de ma nière permanente par un manchon 1182 et fonctionnent ainsi comme une seule et même roue additionneuse. De la sorte, il est possi ble d'additionner des chèques dans les roues de comptage des chèques lorsque le totalisa teur (le solde est dans la position de soustrac tion, sous l'influence de la touche Chèques 82;
il est. possible aussi de tirer le total ou le sous-total des roues compteuses de chèques lorsqu'on extrait le total ou le sous-total du totalisateur de solde, que le solde soit positif ou négatif.
Lorsque l'axe 784 se déplace partiellement par l'enfoncement de la. touche 82, comme expliqué plus haut, le maneton 828 (fig. 5 et 6) et le goujon 826 des touches de dizaines 52 de comptage de chèques se déplacent en même temps. Toutefois, on remarquera, en se reportant à la fig. 6, qu'il est prévu suffi samment d'espace entre le goujon 826 et le prolongement 827 du cliquet d'arrêt à zéro 790 pour les touches de dizaines et qu'aucun mouvement n'est communiqué à ce cliquet 790; il en résulte que la surface d'arrêt 789 demeure sur le trajet de l'ergot 788 et met le mécanisme différentiel des dizaines du comptage des chèques en position de zéro.
La touche Correction Chèques 83, comme expliqué plais haut, est utilisée pour corriger une inscription de chèque ou de dé bit qui aurait été introduite par erreur .dans une précédente opération. Comme ce chèque introduit préalablement doit être annulé dans l'opération actuelle, il est nécessaire de sous traire 1 des roues de comptage des chèques lorsque l'on exécute une opération de correc tion de chèque.
En se reportant à la fig. 5, on voit que la touche Correction Chèques 83 ne présente pas de goujon, à la différence des autres tou ches de transactions, et qu'aucune encoche correspondante n'est prévue sur l'arête du segment 831. Par suite, l'enfoncement de la touche 83 permet un mouvement complet du segment 831 dans le sens dextrorsum lorsque l'on met en marche le mécanisme pour l'opé ration. Ce mouvement est communiqué à l'axe 784, au bras 824 et à l'ergot 822 (fi-. 4, 5 et 6), de sorte que le cliquet d'arrêt à zéro 783 pour les unités des touches de comptage de chèques 72 bascule sur toute sa course, écartant ainsi dit trajet de l'ergot 780, à la fois le cran 781 et le Bran 782.
Le mouvement complet de l'axe 784, du bras 828 et de l'ergot 826 fait que ce dernier déplace, grâce au pro longement 827, le cliquet d'arrêt à zéro 790 sur toute sa course clans le sens senestrorsum, de sorte que le cran d'arrêt zéro 789 est écarté du trajet de l'ergot 788. Il en résulte que le mécanisme différentiel à la fois pour les unités et les dizaines de ranjées de comptage de chèques est libéré, permettant leur com plet mouvement jusqu'à 9 , ce qui fait que le nombre 99 se trouve ajouté dans les roues de comptage de chèques, ce qui revient au même que de leur enlever 1 .
Il arrive parfois que la touche Chèques 82 (fig. 1) soit utilisée, en liaison avec les touches de montants 71, pour inscrire des articles autres que les chèques. Dans ce cas, il est désirable de débrayer le mécanisme de comptage des chèques. Le débit de cette na ture le phis courant est celui des agios frais de service, affectés à la tenue des comptes des déposants et lorsque l'on compte cet. arti cle, le mécanisme de comptage automatique des chèques se trouve neutralisé par l'enfon cement de la touche SC de symboles 90, toujours utilisée pour ce genre d'articles.
Il arrive parfois aussi qu'il soit désirable que le mécanisme de comptage automatique des chè ques ne fonctionne pas, alors que pourtant on est en train d'inscrire un chèque ou un. autre article de débit: l'enfoncement de la touche de symboles NC 90 neutralise le mé canisme de comptage automatique des chè ques, de sorte que ces articles ne sont pas comptés.
Sur l'axe 784 (fig. 5) est fixé un mane ton 844 relié par une biellette 845 à un seg ment de commande 846 pour les touches 90, lequel segment, adjacent au segment 831, pi vote sur le coussinet 832. Un ressort 847 solli cite le segment 846 dans le sens dextrorsum, pour maintenir une arête pratiquée sur un de ses prolongements 848 à rester en contact avec un ergot 835, exactement comme cela a été expliqué pour le segment 831.
La touche 90 marquée SC pour les agios et. la touche marquée NC pour les opérations sans nu méro de compte sont toutes deux des touches imprime-uses et elles présentent chacune tin ergot coopérant avec des prolongements cor respondants 849 et 850 prévus sur la péri phérie du segment 846. Le segment 816 est actionné solidairement avec le segment 831 lorsque l'axe de blocage des touches 69 tourne (fig. 8) dans le sens dextrorsum, lors de la mise en marche de la machine.
L'enfoncement soit de la touche SC , soit de la touche NC amène l'ergot porté par la touche enfoncée sur le trajet du prolongement correspondant 819 ou 850, afin d'empêcher tout mouvement clans le sens dextrorsum des segments 816 et 831 et. d'em pêcher également la manoeuvre du mécanisme automatique de comptage des chèques, même si l'on enfonce une touche de chèques. L'en foncement de l'une de ces deux touches pro duit également l'impression, sur le compte, d'un signe d'identification en face du mon tant correspondant.
Comme la touche Chèques 82 (fig. 1) peut être utilisée en liaison avec la touche de sous-total 76 et la touche de total 77, il est nécessaire de prévoir des moyens dépendant. du fonctionnement des touches de total et de sous-total 77 et 76, ainsi que des autres tou ches de totaux, pour que soit empêché, à cette occasion, le fonctionnement. du mécanisme automatique compteur de chèques.
En se reportant maintenant aux fig. 1, 5 et 7, on voit qu'une détente de commande de total 857 est montée de manière à. pouvoir effectuer un déplacement circulaire grâce à des fentes qui y sont pratiquées et qui sont en prise avec deux ergots 858 du bâti des touches de total. La détente 857 présente un certain nombre de protubérances jouant le rôle de cames 851 qui coopèrent avec des ergots de chacune des touches de commande 71 à 78 et de la touche Report. de Solde 88.
L'extrémité inférieure de la détente 857 pré sente une encoche en prise avec un ergot 852 monté sur un verrou 853 fou sur la tige 101 et muni, sur son prolongement de droite, d'une fente 851 en forme de L à travers la quelle passe un ergot 855 d'un maneton 856 fixé sur l'arbre 784.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de commande 71 à 78 ou de la touche 88 déplace, en coopération avec le bossage correspondant 851, la détente de commande 857 vers le bas, faisant ainsi basculer dans le sens senestrorsum le verrou 853, dont la branche verticale de la fente 851 vient ver rouiller l'ergot 855, bloquant le maneton 856 et l'axe 784 contre tout mouvement et empê chant ainsi le fonctionnement du mécanisme automatique de comptage des chèques. Lors que aucune des touches de commande n'est enfoncée, c'est la branche horizontale de la.
fente en<B>L</B> qui est en face de l'ergot 855, comme on le voit. en fig. 7, laissant ainsi toute liberté de mouvement à l'axe 781.
L'enfoncement de l'une quelconque des touches de comptage de chèques, série des unités 72 (fig. 4), fait que son ergot 818, en coopération avec l'arête 817 de la détente 815, bascule le levier 811 dans le sens dextrorsum, de faon que l'arête-came de ce dernier, par l'intermédiaire de l'ergot 798 et du doigt 796, bascule le levier 795 dans le sens senestror- sum, amenant ainsi la branche verticale de la fente en<B>L</B> 8\31 dudit levier à venir en prise avec l'ergot 822 et à bloquer ainsi le mouve ment de l'axe 781, ce qui débraye le méca nisme automatique de comptage des chèques lorsque l'on enfonce une touche de comptage de chèques 72, groupe des unités.
Un méca nisme analogue, représenté en fi-, 6 et déjà expliqué plus haut, est prévu pour les tou- ehes des dizaines 52 de comptage des chèques et, lorsque l'une quelconque de ces touches est enfoncée, le bras 801 prévu à cet effet, est basculé dans le sens senestrorsum, de manière à mettre la branche verticale de la fente en forme de<B>L</B> 825 en prise avec l'ergot 826 et bloquer l'axe 781 contre tout mouvement. Ainsi, le mécanisme clé comptage automatique des chèques est débrayé lorsque l'une quel conque des touches de comptage de chèques, groupe clés dizaines 52, est enfoncée alors même que la touche Chèques 82 est utilisée pour déclencher la machine (fig. 1).
Pour montrer la nécessité d'un verrouil lage, par le mécanisme décrit plus haut, pour empêcher le fonctionnement de l'axe 784 lors de l'enfoncement des touches .de comptage des chèques 72 ou 52, on donnera l'exemple suivant : le nombre 20 est à. inscrire avec ces touches. Dans ce cas, on enfonce la. tou ehe 2 du groupe des dizaines et l'on n'en fonce aucune touche dans le groupe des unités.
Etant donné que la touche 82 est utilisée pour mettre en marche une opération de ce genre, le cran 1 (782) de l'arrêt à zéro 783 pour la rangée des unités devrait normale ment être amené sur le trajet. de l'ergot 780 pour provoquer l'addition automatique (le 1 dans les roues de comptage de chèques de l'ordre des unités;
mais par suite du méca nisme de verrouillage représenté en fig. 6, l'a-xe 784 est bloqué contre tout mouvement, de sorte que le cran 0 (781) du cliquet d'arrêt à zéro 783 demeure sur le trajet de l'ergot 780, ce qui met en position de zéro le différentiel pour la rangée des unités du sys tème compteur de chèques.
Le verrouillage des encoches 821 et 825 avec les ergots 822 .et 826, lors de l'enfonce ment de l'arbre de débrayage 204 et de la tige 802 pour les opérations de total ou de sous-total est purement accidentel; il est dû à la construction même du mécanisme et ne joue aucun rôle essentiel, étant. donné que l'enfoncement d'une touche quelconque de commande de total 7.1 à 78, ou de la touche de Report de Solde 88 a déjà verrouillé l'axe 784 contre tout mouvement avant que l'arbre 204 ait reçu suffisamment de mouve ment dans le sens dextrorsum pour empêcher le mouvement de l'arbre 784.
Accounting machine. The present invention relates to an accounting machine, in particular a positioning machine or a bank key machine.
It is becoming common practice to send each customer their bank account each day, provided that this account remains in daily activity, and the establishment (this account includes the recovery of the previous balance, the subtraction of transactions from de bit, generally constituted by deposits made to the credit of said account, and the extraction of the total, resulting in the establishment of a new balance.
The accounting machine which is the subject of the invention comprises an addition-subtraction totalizer, a number of rows of counter elements mounted coaxially with said addition-subtraction totalizer and individual drivers for each of the counter elements. This machine is characterized by a stop stop at zero for the trainer of the lower order, arranged so as to stop this trainer in one of two zero or one positions, by normally active members maintaining the.
zero stop in the stop position of the driver in the zero position, by control members capable of making the machine capable of performing subtraction operations, and by members, controlled by said members control, to move the stopper to. zero so that the corresponding trainer is stopped at position one, so that a unit is added to the counting elements during the subtraction operations.
The appended drawing represents, by way of example, a partial embodiment of the machine forming the subject of the invention, only the parts of this machine necessary for: understanding the invention being presented.
Fi-. 1 is a schematic chi-keyboard plan view of said embodiment of the machine.
Filg. 2 is a section taken to the right of one of the rows of upright keys, showing the mechanisms associated with it.
Fi; -. 3 is a section taken to the right of the row of transaction keys, showing the corresponding mechanisms.
Fig. 4 is a detailed -% - ne of one of the keys of the row of group units used for counting checks, with part of the associated mechanism.
Wire. 5 is. a perspective view of the control mechanism of the automatic check counting device.
Fi-. 6 is a detail view of one of the keys of the tens row of the group used for counting checks and of a corresponding part of the mechanism.
Fi-. 7 is a detail of a control plate operated by the totals keys and intended to render inoperative the automatic counting mechanism of the checks during the printing operations of the general or partial totals.
Fi ---. 8 is a detail of a control plate associated with the transaction keys for the purpose of controlling the automatic check counting mechanism.
Fi ---. 9 is a Front view of the N 1 totalizer or balance totalizer.
The machine shown is of the general type described in Swiss patent N0189986 and is provided with a column printing mechanism, disposed at the front of the machine, for simultaneously recording identical data in one or more of the machines. several columns of a plug insertable during one operating cycle of the printing mechanism. Machines of this kind are used for the preparation of statements or account statements by banks, public services, etc., these statements being provided with a certain number of vertical columns either for printing the same data in several columns, or for printing different data in said columns.
Likewise, the statements may have two separable parts containing identical data, one for the client, the other for the records.
In the description which follows, the specific example chosen to illustrate the operation of the machine shown is. preparation, by a banking institute, of former bank account drafts intended for a certain number of clients.
The main part of the machine shown is of standard construction, as disclosed in the patent. cited above, so that a brief reminder will suffice to understand.
This machine has a number of rows of upright keys which have the role of inserting uprights into the various totalisers with which the machine is equipped and of positioning corresponding series of character wheels serving to inscribe the upright on a support. of recording. The machine is also equipped with a row of transaction keys, designed to ensure the entry of positive or negative entries in the various totalisers.
There are also one or more rows - the printed keys, for the symbols of the tines to identify the various writings. , Instead of the classic total control lever, this machine is equipped with a row of totals keys that control machine functions, including addition, (subtract, subtotal and total.
The return lever (the keys, placed on the right side of the keyboard, is used to release any key pressed.
The machine is provided with an automatic counting mechanism, intended to automatically add a unit whenever a certain key, in this case the keys key, is pressed for an operation. The check counting wheels are placed in the positions of the top two designations on the balance totalizer group.
However, these wheels are not connected in any way to the balance totalizer and automatically count up to 99 checks. A transaction key known as Check Correction is. intended to correct any errors regarding.
the recording of a debit, and when this key is pressed, it follows that a unit is subtracted from the check payment wheels, which is obtained by adding the so-called number complementary to 99. In in addition to the automatic counting of checks, two rows of keys are provided, to the left of the keyboard, intended to be used when the checks are grouped in bundles and when their overall value is entered in the machine at one time , to dial the number of checks contained in the. bundle.
Various devices are provided (Interverronillage to command and control the automatic check counting mechanism.
The machine shown comprises two groups of totalizers (fig. 2), namely an upper group or N 1 of totalizers and a rear group or N \? totalizers.
The upper group carries the balance totalizer (often called a crossfooter in the profession) and which is intended to count the positive or negative amounts quickly resulting in a new balance. The nitrière totalizers group includes four totalizers including.
two are addition-subtraction, one to accumulate the total of debits or checks and attract it to accumulate the total of credits or deposits.
The reason why addition-subtraction totalizers are used to establish check and deposit totals is that, in check correction and deposit transactions, it is necessary to subtract from these totalizers if the we want to get the exact total lin. <I> and </I> frame (cn: is? fïe of action-nement.
The main machine frame consists of a left flange 60 (Figs. 2 and 3) and a right flange (not shown) which support most of the meanisine (the machine, and which, in turn, are fixed on a base 61 and are supported, on the other hand, relative to each other by means of various spacers, rods and cross bars. The base 61 is made integral with four frames of printing press, and one of these, 6-l, is shown in fi, -. 2 and 3.
The printing frames are held in relation to each other at. using various bars and rods or axes. The printing frames are in turn secured to the top face of a sub-base (not shown) and the machine mechanism is enclosed in a safe 68 Pressure exerted on any of the release keys releases a shaft fie verroilillame keys 69 (fi. \?), which is then subjected to the action of a spring (not shown) causing the shaft to rotate through a certain angle dan;
the dextrorsum direction, which activates a clutch mechanism which connects its drive motor to a main shaft 70 (fig. 2 and 3) mounted in the main frame 60. Simultaneously, the contact mechanism is driven and closes the drive motor circuit, thus setting the motor in motion.
Once the machine has completed the number of revolutions necessary to complete a given type of operation, the key lock shaft 69 returns in the senestorsum direction, so as to disengage the key lock mechanism. clutch and, at the same time, to open the contact of the electric motor circuit. When the machine is. operated by hand, the actuation buttons can be released, the mechanism exactly. same as when the machine is electrically operated.
Claz-ier. Referring to. fig. 1, which is a schematic representation of the keyboard, it can be seen that there are nine rows of amount keys 71 and two rows of check counting keys 52 and 7 ?, which are similar in many respects to amount keys 71, but which have their own counting wheels on group 1 1 or higher of totalizers for counting the number of checks entered during the establishment of an account.
The machine shown is fitted with a totals control plate, intended to control the engagement and disengagement movements of the two groups of totalisers, during addition, under traction, totals and sub-totals operations. . The placement of the totals control panel is obtained at. using a number (the totals control keys (fig. 1) numbered from 74 to 78 and located near the right side of the keyboard. The totals control keys 74, 75 and 78 are motor keys, that is to say they directly trigger the operation of the machine.
The machine is. also provided with two groups of totalizers which are selected, with a view to their engagement with the trainers, using keys located in the transaction row (fi. 1 and 3), next to the control keys totals and numbers from 79 to 84. These keys are also motorized.
In addition to keys 79 to 84, the transaction row also includes a Space key 85 to advance the table carrying the count and statement; a Debtor Balance (Overdraft) key 86, used to unlock the New Balance key 74 when the balance totalizer contains an overdraft, and finally an Overdraft Release 87 key which is used to unlock the Debtor Balance Resume key 79 and the Balance Transfer key 84 when the totalizer contains an amount. Once the old balance is taken over and entered. in the machine using either the Debtor Balance Transfer key 79 or.
of the Balance transfer key 84, these keys are again blocked against any depression until a new balance is taken over, thus preventing the old balance from being taken over a second time. The Open Unlock 87 key is used to unlock these keys in the event that keys 79 and 84 are to be used more than once.
Normally, the Debtor Balance Transfer key 79 and the Balance Transfer key 84 will not print on the customer statement; however, when it is desired that the old balance be entered, a Transfer Balance 88 key, located in the totals row, is pressed at the same time as these keys and causes the printing of the amount of the old balance. balance on the balance carry forward line on the account statement. A recall key 89 is provided to release the Balance Carryover key which is not released automatically at the end of machine operations. The Space key 85, as well as the transaction keys 7 9 to 84, are effective.
To the left of the transaction keys is a row of symbol keys 90 containing ten keys for printing identification symbols next to the items entered during operation of the transaction keys. The symbol keys 90 are normally kept pressed; however, a recall key 91, located at the top of this row of keys, is. designed to release the symbol keys when desired.
For example, we push the. NC symbol key at the same time as the Checks key 82 when it is desired that the debit being entered is not counted by the automatic check counter mechanism. In other words, the symbol key <B> NC </B> switches off the check tipping mechanism and, at the same time, produces the printing of the NC symbol opposite the debit transaction or the debit transaction. check that did. not been counted.
The monthly fees (account maintenance or agios are declined from the customer's account by dialing the amount with the amount keys 71 and; using the. Checks key 82. When you enter the agios, you press the key. SC symbol at the same time as the. Checks key 82, so that this symbol is printed opposite the charges, and pressing. the. SC 'key also disengages the check counting mechanism, so that the agios heading is not counted.
All the symbol keys 90, with the exception of the NC and SC keys, are simple printing keys, which cause the printing of identification symbols opposite the corresponding headings. For example, the IN (Interest) key causes the IN symbol to be printed opposite the amount of the Interest heading.
The LS key is a key used when you want to list the amount of a group of checks in a single operation, and this operation is. identified by the printing of the LS symbol opposite the corresponding amount. When one introduces in this way, in list, the amount. of a group of checks, the number of checks constituting the group is carried on the check counting keys 52 and 72, so that the total number of checks is fed into the check counting wheels.
The use of the check counting keys 52 and 72 to count a bundle of checks disengages the check counting mechanism during the establishment of this list.
The position occupied by the. symbol recall key 91 (fig. 1) is also an automatic position for the automatic printing of an EC symbol (Error) and is made effective by pressing either key 80 (Deposit Correction) or by key 83 (Check Correction).
A key recall lever 92 (fig. 1), located at the far right of the keyboard, is provided to release any key, except those which, by construction, remain depressed, such as for example the symbol keys 90 and key 88 (Report Balance).
The control, by the total keys 71 to 78 and by the control plate of the clutch inouvenients and. of the two totalizer key groups, est. explained in the patent cited above. the ticks <I> of </I> amounts <I> and </I> differentials. The nine rows of upright keys and the corresponding differential mechanisms are similar in all respects to those described in the aforementioned patent. It will suffice. give a short description.
Fig. 2 is a cross section of the machine taken just to the right of one of the rows of upright keys and showing the row itself and the associated differential mechanism. The upright keys 71 are mounted in a key frame 93 supported by rods 91 and 95 which join the main frames 60 of the machine.
Depression of any one of the upright keys 71 causes a zero stop pawl 96 for that row to swing in the senestrorsum direction.
and away from the path of a position lever 97 freely mounted on the hub of a differential driver 98 which is journaled on bare bearing 99 extending between two similar support plates 100 (one of them alone. ni (@nt being shown) These plates are in turn supported by bars 101 and 102 extending between the main frames 60.
There is provided a pair of support plates <B> 100 </B> for each differential coupling mechanism and a tie rod <B> 103, </B> passing through the bearings 99 through holes in the center of the those-ei, reunites. all the upright direc- tives in one (compact group. A notch made in the front end of the lever 9 7 engages with a lug 101 fixed on an angled lever 105 pivoted on the driver 98.
The lever 105 and a pivoting crankpin 106, also on the drive 98, together support a differential latch 107 capable of moving horizontally. A spring 108 forces the levers 105 and 106 and the latch 107, by pulling them rearward, to normally maintain a heel 109 of the latch in contact with a shoulder 110 of a differential drive segment 111 pivoting on a hub. of the coach 98.
A connecting rod 112 is. articulated between the segment 111 and a roller lever <B> 113 </B> pivoting on a pin 111 fixed on the left plate 100, and this lever 113 carries rollers <B> 1155 </B> and < B> 116 </B> which cooperate with the peripheries of cams 117 and 118 pinned to the main shaft 70. The depression. Any one of the upright keys 71 brings the lower part of the shank thereof into the path of a rounded edge 11.9 provided on an extension of the crank lever 105.
In the addition operations, the main shaft 70 and the cams 117 and 118 make one revolution in the dextrorsal direction, so the lever 113 causes the drive gear 7.11 to tilt in the direction of the first. dextrorsuin, then returns it to its normal position. The first movement of segment <B> 111 </B> causes the shoulder 110 to move, in cooperation with the extension <B> 109 </B> of the lock 107, the latter and the driver 98 in the dextrorsuin direction until the rounded edge <B> 1.19 </B> comes into contact with the shank of the depressed upright button 71.
The elbow lever <B> 105 </B> and the crankpin 106 then turn in the senestrorsum direction, thus freeing the extension 109 from the shoulder 110 and consequently interrupting the clextr orsum rotation of the driver 98 which is stops in a position corresponding to the upright key 71 pressed.
The disengaging movement of the lock 107 causes a rounded extension 120 of the latter to engage in one of the notches 121 made in a plate 122 held between the bar 101 and the upper extension of the left support plate 100 .
Once the latch 107 is released from the shoulder 110, an arcuate edge 125 of the segment 111 comes in front of the extension 109 to keep the latch in a fixed position.
When the lever 113 reaches the end of its movement in the dextrorsal direction, a roller 126 carried by this lever comes into contact with an arc-shaped surface 127 of a floating arm 128 pivoting on itn stud 129 of the driver 98 ,, thus bringing a concave edge of this arm in contact with the hub of the driver 98, so as to place this floating arm in a position varying with the upright key which has been pressed.
The floating arm 128 (fig. 2) has a notch 130 engaged with a lug 131 carried by a connecting rod 132, the upper end of which is articulated to a toothed sector 131 mounted on one of several telescopic tubes 135 supported by a shaft 136 journalling .in the main frame 60. The lower end of the. connecting rod 132 is articulated to a segment 137 mounted loosely on a shaft 138 journalling in the frame 60.
The segment 137 carries a lug 139 engaged in a cam slot of a zero elimination plate 110 pivotally mounted on a lug 141 of a toothed sector 142 mounted idly on a shaft 113 pivoting in the main frame 60 .
The teeth of the toothed sector 112 mesh with the external teeth of an external-internal ring gear 144 (FIG. 2), the internal teeth of which constitute, in cooperation with the periphery of a disc 145 fixed on a shaft 146 supported by supports 1.17 (fig. 3) fixed to. a cross bar 148 and at the main frame of the machine, a rotating support for said gear 114. The bar 1-18 (fig. 3) is. attached to the main frames 60 of the machine.
The internal teeth of the. : crown 111 (fil-. 2) mesh with a pinion 149 which can rotate inside a perforation of the disc 145 and which is fixed on a square axis 150. The pinion 149 and the square shaft, in turn , entail. pinion-like sprockets 149, commander. connecting members leading to character carriers.
The mode of driving the character wheels of accounting machines printing in columns, by means of an internal-external gear, is explained in detail in patent No. 189986.
The plate 110 (FIG. 2) carries a pin 155 engaged with a notch made at the end of a zeros elimination control slider 156, which slider has parallel notches each engaged with a journal pin 157 . in supports 158 fixed to the base 61 and on a rod 159 supported by arms 160 secured to the axis 157. A spring 161, stretched between the segment 137 and the plate 1-10, normally maintains the lower end of the cam notch of the plate 110 in contact with the lug 139, as shown in fil-. 2.
The mechanism of elimination of the zeros shown is analogous to that which is set forth in patent No. 1,89986, et. it suffices to give a brief description.
The slide 156 carries a roller 162 which cooperates with an arcuate ridge 7.63 of an arm 164 mounted idly on a shaft 165 pivoting in the supports 158. The arm 161 is connected by means of a hub 166 mounted idle on the shaft. 165, to a similar arm 167 which co-operates with a lug 168 of the arm 161 belonging to the immediately lower decimal row. Likewise, the arm 161 of the decimal order described carries a lug. 168 which cooperates with the arm 167 of the first decimal row above, and so on.
The er got 168 of the highest order arm 161 cooperates with an arm similar to the arm 167, attached to the shaft 165, which first rotates in the dextrorsal direction at the start of the operation of the. machine, then returns to the normal position. The dextrorsum rotation of the shaft 1.65 and of the arm 167 for the highest order is transmitted through the lug 168 to the arm 164 of this high order, and so on down the series, to through the orders, until tilting the shaft 16-I shown here, first in the dextrorsum direction to move the slide 156 backwards,
so as to release the notch from the lug 155 carried by the cam 140.
Assuming, for example, that a keypad has been pressed into the upright keypad shown in fig. 2, after the corresponding slide 156 has been moved rearward to be released from the lug 155 and after the driver 98 has been put into position under the influence of the pressed key 71, the roller 126 comes into contact with the arcuate edge 127, so as to position the arm 128, the connecting rod 132 and the segments 13-I and 137 in proportion to the. amount key that was pressed.
Before positioning segment 13-I as it is. explained above, an alignment device 169 (fig. 2), fixed on a shaft 170 carried by the main frame 60, is tilted in the dextrorsum direction until it is released from the teeth 171 of the segment 134 and, after this segment has taken a new position under the influence of the arm 128, the alignment device 169 engages again in the teeth 171 of the segment 134, so as to block the segments 134 and 137.
Positioning segment 137 results in an arcuate edge 17 '? thereof on the path of a roller 173 carried by the arm 164 of the decimal order envisaged. As a result, the forward return movement of the slide 156 under the action of the spring 174 is thwarted and the slide is retained in its. rear position.
The lug 168 of the arm 164 of the order envisaged in FIG. 2 opposes the return movement of the arm 164 of the immediately lower order, and so on throughout the series, so as to keep the sliders 156 of all lower orders rearward, now thus the notches of said sliding parts separated from the lugs 155, key so that the movement is not involved.
cam 140 when the shaft 157 and the arms 160 are tilted in, the senes- trorsun direction and then in the opposite direction to return to the normal position, after the segments 137 have been put in position according to the pressed uprights.
When no key 71 is pressed in the row shown in FIG. 2 or in any of the other rows of higher decimal orders, the segment 137 is in zero position, as seen here, a position in which a recessed part of said segment is opposite the roller 173. In this way , the arm 164 can return forwards, as well as the slider 156, under the action of the spring 174, so that the notch made in the end of the slider engages again on the lug 155 .
After the notch of the slider engages with the lug 155, a rotation in the senestrorsum direction is imparted to the shaft 157, the arms <B> 160 </B> and the slider 156 by means of a mechanism. shown in the above-mentioned patent 1,189986.
The movement imparted to the slide 156 causes the zero elimination cam 140 to swing in the dextrorsum direction, the opening of which in cooperation with the er got 139 which, at this moment, is kept stationary, causes the segment 142 to swing into the sense senestrorsum against the action of res sort 161, which turns the gear 1-I4 in the dextrorsum direction, from the zero position shown here, to a position which is below zero, which, in this case, is a neutral or non-impression position.
It is clear that, in a similar way, the impression of zero will be eliminated in all higher orders. <B> In </B> in other words, the mechanism of elimination of zeros works when a key 71 is pressed in the fifth row of the amount keys (fis.;. 1.), so that the zeros are printed in the four lower orders and the printing of the zeros is prevented in the four higher orders.
After the driver of the uprights 98 (fig. 2) a. been put into position under the influence of a key 71 of the uprights, as explained above, the wheels of the selected totalizer are engaged with one of two series of teeth 175 and 176 of the driver, after which the return movement of lever 113 and seat 111 forces the curved edge 125 of said segment to move beyond heel 109 of latch 107, allowing the latter, under the influence of the spring 108,
to fall beyond the shoulder l.10 to disengage the beak 120 of this latch from the notch 121 of the plate 122. At the same time, a wide pleated surface of the <B> 111 </B> segment enters into contact with a lug 179 carried by the trainer 98, which returns in the senestrorsum direction, at the same time as the segment, up to the zero position. This return movement of the coach 98 causes the wheels of the engaged totalizer (s) to turn at an angle proportional to the value of the uprights key 71 pressed, so that the amount represented by this key is added or subtracted. in the totalizer (s).
If no upright key 71 is pressed, the stop pawl. of zeros 96 remains in the path of lever 97 and, on an initial movement of the latter and of the driver 98, it comes. in contact with an extension of said lever and stops the latch 107 in the zero position, after which the roller 126, in cooperation with the lever 1 \ 2e, positions the segments 131 and 1j 7 and the associated mechanisms for set the character rotes of this group to the zero position.
At the end of the operation, the driver 98 (fig. '3) always returns to its initial position, as seen here. However, the connecting rod 132 and the oaths 134 and 137, as well as the corresponding printing mechanism, remain in the position acquired at the end of the operation and, from this position, pass. directly to their new position in the next operation. The usual mechanism is, of course, provided for the transfer of tens of an order to the order immediately above for addition or subtraction operations.
Totalizers As explained above, the machine shown has two groups of totalizers, namely: an upper group of totalizers (_ \ 1) and a posterior group (N \?). The totalizer N \ 1 is a balance totalizer (or addition-subtraction) and includes sets, in decimal orders, of addition wheels 180 (fig.?)
and games (the subtraction wheels 181. The additive and subtractive wheels of each order mesh in the opposite direction, so that when one turns one of the wheels in one direction, the other turns in the opposite direction and vice versa The totalizer (the balance is mounted in a movable frame 183 2) itself supported between the main frames 60.
The mobile frame 153 of the balance totalizer comprises an axis 1: 8-1 (fig.?) Provided at its ends with rollers which engage in guide slots made in two cams for movement fixed to the frames 60 on the left and of right respecti .. vement, as set out in Swiss Patents Nos. 189986 and 27-1897.
The totalizer clutch mechanism with coaches 175 and 176 is well known, and for a detailed description it will suffice to refer to the mentioned patents.
The group of totalizers N '-) (posterior) includes two addition-subtraction totalizers, the one for the accumulation of checks, the other for the accumulation of deposits. The addition-subtraction feature is intended to make corrections of checks and deposits possible.
The add-subtract totalizer for check accumulation comprises additive wheels and <B> 218 </B> (fio-.?) Subtractive wheels which are connected, for reverse movement, to exactly the. the same way (read the wheels of the totalizer: I # 1. The deposit totalizer includes additive wheels? 19 and (the subtractive wheels which, likewise, turn in the opposite direction.
In addition to the (addition-subtraction totalizer lights, the group (the totalizer N 2 includes a series (the adding roads (not shown) for the accumulation of new positive balances and a series of adding wheels (not shown). represented) for the accumulation of new negative balances.
Reference may be made to these accumulation totalisers in Patent No. 274897.
In the new balance operations, if the balance totalizer contains a positive amount, the positive side of said totalizer is reset to zero, while the amount which appears therein is simultaneously transferred to the adding wheels, and if this totalizer of balance contains a negative amount, its wheel 181 will be reset to zero with simultaneous transfer of the amount to the subtractive wheels of totalizer group N 2.
This group is mounted in a movable frame 223 (fig. 2) similar in all respects to the frame 183 of the pay totalizer and comprises an axis 224 (similar to the axis 18-1) provided with rollers (not shown) which cooperate with guide slots made in displacement plates mounted inside the main frames 60. <I> Transaction keys </I> and </I> corresponding differential mechanisms.
All the transaction keys, except the Debtor Balance key 86 (fig. 1) and the Unblock Overdraft key 87, control the position of the differential transaction mechanism shown in fig. 3. However, only the Deposits key 81, the Deposit Correction 80 key, the Checks key 82 and the Check Correction key 83 which play a role in check entry operations, are. active with regard to. selection of the positive and negative sides of the two totalizers addition-subtraction of the group of totalizers N 2.
The two additive totalizers of group N 2, and intended for the accumulation of new positive or negative balances, are not engaged with the amount coaches in check entry operations, but only in new balance operations. , to accumulate the new balance. The differential transaction mechanism controlled by the transaction keys, in addition to the selection of group N 2 totalizers corresponding to these keys and the appropriate side of the balance totalizer, also controls the placement of printing wheels. intended to inscribe signs representative of the type of transaction carried out opposite the amount. registered.
Pressing any of the transaction keys except keys 86 and 87 (fig. 3) does. flip a locking pawl. at zero 271, thus removing it from the path of the anterior end of a lever 272 which can rotate on a hub 273 of a differential arm 274, this hub 273, in turn, can rotate on a stud 275 connecting two identical support plates 276 (only one being shown) mounted on the rods 1.01 and 102. The lever 272 has, at its anterior end, a slot engaging with a lug 277 of a latch arm 278 pivoting on the differential arm 274, and which, cooperating with a crank pin 279, supports a differential transaction lock 280 with a view to a displacement movement.
The latch 280 has a heel 281 which normally is kept engaged with a shoulder of a differential actuating segment 282 mounted loosely on the stud 275 and under the action of a spring. Segment 282 is. connected, by a rod 283, to a lever 28-1 pivoting at 285 on the plate 276. The lever 284 carries rollers 286 and 287 which cooperate with the turn of cams 288 and 289 fixed on the main shaft 70.
Depression of any one of the transaction keys, with the exception of keys 86 and 87, moves the lower end of said key to bring it into the path of a rounded extension 292 of the control arm. latch 278, together with the zero stop pawl 271 is. removed from the path of the vier 272.
Machine operation rotates cams 288 and 289 and rocks lever 284 and segment 282, first in the dextrorsum direction. The shoulder of the segment 282, in cooperation with the extension 281, drives the latch 280 in the same direction until the rounded edge 292, abutting against the foot of the depressed key, causes the arm 278 to tilt in the direction senestrorsum, to release the extension 281 from the shoulder of the segment 282 and engage the rounded part 293 of the lock 280 in a corresponding notch 294 made in an alignment plate 295 carried by the rod 101 and the plates 276.
The differential arm 274 is thus stopped in a position corresponding to the key which has been pressed. The movement of the segment <B> 2 </B> 82 continuing in the dextrorsum direction, a curved ridge 296 rubs against the heel 281 and comes to block the latch 280 in the. position acquired.
Towards the end of the movement of lever 281 (fig. 3), in the dextrorsum direction, a roller 297 carried by this lever enters, contaet with a rounded part 298 of a floating connecting rod:. '99 pivoting on the arm 274 and plate this connecting rod against the hub 273, so that the floating connecting rod is found to take a position corresponding to the. touch of transactions which has. been pressed.
The connecting rod 299 ends with a forked portion engaged with a lug 301 carried by a connecting rod 302 whose upper end is articulated to a segment 303 fixed to one of the tubes 135 of the shaft 136, while the 'lower end is articulated to a segment 304 mounted loose on the shaft 138 and connected by a link 305 to a toothed sector 306 fixed on the shaft 143. The toothed sector 306 meshes with the outer teeth of the ring gear 307 to. double external and internal teeth, rotating. on a disc supported in turn by the shaft 1.46.
The crown wheel 307 in turn carries an annular grained 308 which meshes with it pinion 309 wedged on a journal shaft 310 nested in the supports 147. Other gears, wedged on the shaft 310, drive other similar toothed crowns at the crown 307, and put in position symbol printing wheels, wheels located in the various column positions of the document to be printed, so that a typographic character indicative of the transaction being executed is saved on the document.
On the shaft 143 (fig. 3) is also fixed a toothed sec tor <B> 31.1 </B> which meshes with the pinion 312 mounted idly on a pin 313 fixed to the base 61. The pinion 31 '? is engaged with a gear 314 pinned to its pin 315 pin nested in the frame of the printing mechanism. This shaft 315, in turn, communicates its position to selector discs which control the operation of the printing hammers and the movement. of the document printing table (account and statement). The mechanism of the selector discs is fully described in, patent No. 274897.
When the Checks key 82 (flg. 1 and is used in check entry operations, pressing this key has the effect of selecting the positive wheels of check totalizer N 2 on group N 2, in view of the accumulation of the total amount of checks.
When you want to make a correction in a check entry, use the Check Correction 83 key (wire 1) which also selects the positive side of the check totalizer N 2, so that the amount of the check checks, which constitute a credit, are added up in check totalizer N 2.
<I> Checks </I> coviptage <I> mechanism. </I> Two rows of keys 72 and 52 (units and, tens) are provided at the left end of the keyboard (fig. 1) and similar in many points of view to the rows of upright keys 71, but without connection with them. These keys are used for manual and automatic counting of checks. The automatic counting of checks is controlled by the Checks key 82 and the depressing of this key acts, on the stop pawl at, zero of row 72 of the units of the check counter; this pawl, in addition to the usual stopper. at zero, presents another notch located in the. position 1 of this row of units.
Depression of the key 82 brings this second notch on the path of a differential lever. placed in the row of units of the check counting device, so that 1 is added in the counting wheels 1180 (fig. 9) which have. the same arrangement as the wheels 180 (fig. 2). The Check Correction 83 key, which is used to withdraw or cancel a check entered in error, also controls the automatic count rows of checks <B> 729 </B> and 52, and causes 1 to be automatically subtracted from the checks. check counting wheels to compensate for the withdrawal or cancellation of a check.
This subtraction of 1 >> in the check counting wheels is obtained by entering the additional number 99. For this purpose, pressing the Check Correction key releases the zero stop pawls in the checks. two rows, allowing the differential mechanisms 1175 (fig. 9) of these rows to travel the entire distance to the ninth position, which, by complement, is equivalent to the subtraction of one unit.
In practice, all the checks of certain categories or designations are often grouped into a bundle, and the amount of each bundle is entered on the amount keys and entered as a single item, using the Checks key 82. In this case, keys 72 and 52 are used to compose the total number of checks in the bundle, and pressing these keys disengages the automatic check counting mechanism and produces the addition of the total number of checks contained in the bundle in check counting wheels. The mechanism for counting checks will not be described in detail.
The rows of check counting keys 72 and 52 (fig. 1) are similar in construction to the rows of upright keys 71 (fig. 2) and each row comprises a differential mechanism comprising a lever 778 (fig. 4). for the unit keys 72 and a lever 779 (fig. 6) for the tens keys 52 and which are analogous to the levers 97 for the row of uprights shown in fig. 2. Each lever controls a differential rack 1175 (fig. 9) similar to rack 175 of the uprights.
The lever 778 of the row of check counting units comprises a stud 780 provided with a flat cooperating with a zero stopper 781 and a notch 782 corresponding to the position 1 of the differential mechanism of the units. These notches are provided on the zero stop pawl 783 mounted loosely on a pin 784 pivoting in the frame of the machine. A torsion spring 785, which surrounds the axis 784 and. the opposite ends of which are retained by a lug 786 of the stop pawl 783 and a glue rette of, the rod 101, forces said pawls to rotate in the dextrorsum direction, in order to hold a beak 787 of the pawl in contact with the collar of rod 101.
The differential lever 779 of the check count tens keys 52 (fig. 6) carries a flat pin 788 cooperating with a zero stop notch 789 of a pawl 790 mounted loosely on the axis 784 and biased in the. dextrorsal direction by a torsion spring 791 which surrounds the axis 784 and whose opposite ends are retained one by a lug 792 of the pawl 790, the other by a collar of the rod 101, such that, normally, a nose 793 of the pawl 790 is kept in contact with the collar. The lug 786 (fig. 4) carried by the zero stop pawl 783 for the row of check counting units, cooperates with a lever 795 integral with a finger 796, thanks to a .moyeu 797 mounted idle. on the rod 101.
The finger 796 (Fig. 4) cooperates with a lug 798 of an upward extension of an arm 799 mounted idly on a lug 800 of the frame of the rows of keys. The arm 799 has a finger 801 which cooperates with a rod 802 carried by a certain number of crankpins 803 fixed on the shaft 204 which serves to disengage the stop pawls at zero (see also FIG. 2).
A similar mechanism is also provided for the unit keys 72 and. of tens of check counts 52 (Fig. 6). The lug 792 of the stop pawl. at zero 790 co operates with an arm 804 connected, by a hub mounted loosely on the rod 101, to a finger 806 which cooperates with a lug 807 of an upper extension of an arm 808 idle on a lug 809 of the key frame tens. A finger 810 of the arm 808 cooperates with the rod 802 in the same way as the finger. 801 for the 799 arm (fig. 4). The pins 798 and 807 (fig. 4 and 6) of the arms 799 and 808 also cooperate with it.
ridges made on corresponding levers 811 and 812 pivoting. respectively on lugs 813 and 814 carried by the frames of the units and tens keys. Hinged to the lever 811, a maneuver bar 815 is connected to. its upper part to the frame of keys, so that this bar can be moved. The bar 81.5 has a number of inclined edges 817 which cooperate respectively with the lugs 818 of each of the unit keys 72.
The depression of one of these keys 72 causes its lug 818 to cooperate with the edge 817 to move the bar 815 downwards and thus cause the lever 811 to tilt in the dextrorsum direction. This rotation of the lever 811 a. for effect, thanks to its edge and to the lug 798, to tilt the finger 796, the hub 797 and the lever 795 in the senestrorsum direction, a movement which is transmitted through the intermediary of the lug 786, to zero stop pawl 783, causing. this pawl in the second position (shown in line.
mixed), so that notch 0 781 and notch 1782 are found. spaced from the path of the lug 780 and that the lever 778 and its associated mechanisms can be put into position according to the key 72 pressed.
The lever 812 belonging to the row of check counting tens is hinged to the lower end of a control bar 816, similar in all respects to the control bar 815 and having a number of ridges 819 who cooperate. with lugs 820 of each of the tens keys 52.
Depression of any one of the keys 52 causes the lever 812 to swing which in turn causes the zero stop pawl 790 of the tens row to swing in the senestorsum direction against the action of the spring 791, until 'at the position indicated in phantom at the end. 6, far on that the switchblade at. zero 789 of said pawl is moved away from the path of lug 788 and lever 779 and the related mechanism are placed in position according to that of the check count tens key.
In the total and subtotal operations, the shaft 201 (fig. 4) rotates in the dextrorsal direction, in the known manner, and this movement is communicated to the handgrips 803 and to the rod 802, which engages with the fingers 801 and 810 of the arms 799 and 808 (fig. 4 and 5), causing these arms to swing in the senestrorsum direction. This movement has the effect, thanks to the pins 798 and 807,
to rotate the rights 796 and 8 (j6 and the levers 795 and 80s in the senestrorsum direction, movement transmitted by the intermediary of the pins 786 and 792 atLZ respective pawls of zero stop 783 and 790, which happen to be neutralized as above. As a result, the differential levers 778 and 779 can be put into position by the check counting wheels and thus it is possible to record the total number of checks.
The lever 795 (fig. Q) for check counting unit peats has a notch 8 \ 31 in the shape of a <B> L </B> crossed by a lug. 822 arranged so that it can also cooperate with an extension 823 of the zero stop pawl 783.
Er got 82 \ '(fig. 4 and 5) is fixed on a crank pin 82q wedged on the <B> 784. </B> lever 801 (fig. 5 and 6) also has a notch 825 in the form of <B> L </B> crossed by a lug 8 6 which also cooperates with an extension <B> 1327 </B> of the stop pawl at zero 790 for the. check count tens key 52. .D'ergot 826 est. fixed on a crank pin 828 itself wedged on 1-axis 78-1.
The latter extends over the entire length of the. machine and. carries, near its right end, a crank pin or arm 829 connected by a link 830 to a control segment 831 for the transaction keys (fig. 5 and 8). This segment. East. supported by, rotation by a ring 832 analogous to ring 99 (fig. 2) of the row of uprights, A spring 833 urges the secteent 831 in the dextrorsum direction, so that an edge 834 of this segment 831 remains in contact with a lug <B> 835 </B> carried by one of the arms of a bracket 836 mounted idle on a rod 837 supported by the key row support plates.
The caliper 836 is connected by a link 838 to a lever 839 wedged on the key locking shaft 69.
The movement of the key blocking shaft 69 in the dextrorsum direction (fig. 8), when the machine is triggered for operation, as it. has been explained with reference to fig. 2, swings, by means of the link 838, the caliper 836 in the senestrorsum direction, removing the lug 835 from the boss of the ridge 834, key way.
allow the spring 833 to pull the segment 831 in the dextrorsal direction. Each of the transaction keys 79, 80, 85, 81 and 87 has a pin (fig. 1 and 8) which, when one of these keys is depressed, is placed in a corresponding notch 811 provided on the turn of the segment 831, preventing. thus the movement of this segment in the dextrorsum direction under the action of the spring 833, when done. turn the locking shaft at the moment <B> said </B> triggering of the machine for operation.
The transaction key 81 carries a stud which moves in the path of a shoulder 8-12 made on the right side end, of the peripheral portion of the segment 831, so as to prevent any movement of this segment 831 in the direction dextrorsum. Therefore, when any of the keys just enumerated is pressed, segment 831 is rendered inoperative.
The Checks key 82 has a stud co operating with a notch 843 made on the peripheral edge of the segment 831, and this notch is appreciably larger than the other 8-11, key so that there is enough free space between the left or lower face of the notch and the pin of the key 82 to allow partial movement of the segment 831 under the action of the spring 833 when the key locking shaft 69 turns at the start, from the start-up of the machine.
This movement. partial in the dextrorsutn direction (the segment. <B> 831, </B> moves, thanks to the rod 830, the liras 829, the axis 784 (fi. 4, <B> 5, 6 </B> and <B> 8), </B> the arm 824 and the errwt 822 a sufficient distance so that the latter, in cooperation with the extension 823. of the zero stop pawl 783, causes this pawl to swing. in the senestrorsum direction, against the action of the spring 785, thus bringing the stopper.
0 781 of it to deviate from the path. of the pin 780 and the stopper 1782 to. position the lug on the key path, so that when the machine is operated and. when pressing the Checks key 82, the differential mechanism for the check counting unit keys 72, including the lever 778, will be brought to position 1 under the influence of the edge 782 at the instead of being stopped in the zero position. As a result, a unit is automatically added to the check counting wheels.
A transfer mechanism between the units counting wheels and those for tens carries the tens to the tens counting wheel, that of the units not from 9 to 0. The check counting wheels are mounted on the bearing group N 1. the balance totalizer (fig. 2 and 9), and since this is an addition-subtraction totalizer and can be laterally shifted, so as to bring its positive side or its negative side into mesh with the coaches as desired of amounts, it is necessary to provide two wheels 1180 for each order of the check counting rows, to take this condition into account.
The two wheels of each order in the check counting rows are not connected to each other for rotation in the opposite direction to each other, as is the case. for the balance totalizer wheels. They are permanently connected by a sleeve 1182 and thus function as one and the same adding wheel. In this way, it is possible to add checks in the check counting wheels when the totalizer (the balance is in the subtraction position, under the influence of the Checks key 82;
he is. It is also possible to derive the total or subtotal from the check counting wheels when extracting the total or subtotal from the balance totalizer, whether the balance is positive or negative.
When the axis 784 moves partially by the depression of the. key 82, as explained above, the crank pin 828 (Figs. 5 and 6) and the pin 826 of the check count tens keys 52 move at the same time. However, it will be noted, referring to FIG. 6, that sufficient space is provided between the pin 826 and the extension 827 of the zero stop pawl 790 for the tens keys and that no movement is communicated to this pawl 790; as a result, the stop surface 789 remains in the path of the lug 788 and places the tens differential mechanism of the check counting in the zero position.
The Correction Checks key 83, as explained above, is used to correct a check or debit entry which would have been entered by mistake in a previous operation. As this previously entered check must be canceled in the current operation, it is necessary to subtract 1 of the check counting wheels when performing a check correction operation.
Referring to fig. 5, it can be seen that the Check Correction key 83 does not have a stud, unlike the other transaction keys, and that no corresponding notch is provided on the edge of the segment 831. Consequently, the depression of the key 83 allows a complete movement of the segment 831 in the dextrorsum direction when the mechanism for the operation is started. This movement is communicated to the axis 784, to the arm 824 and to the lug 822 (fig. 4, 5 and 6), so that the stop pawl at zero 783 for the check count key units 72 tilts over its entire travel, thus removing said path of the lug 780, both the notch 781 and the Bran 782.
The complete movement of the axis 784, of the arm 828 and of the pin 826 causes the latter to move, thanks to the extension 827, the stop pawl at zero 790 over its entire travel in the senestorsum direction, so that zero stopper 789 is moved out of the path of pin 788. As a result, the differential mechanism for both units and tens of check count runs is released, allowing their full movement up to 9, so the number 99 is added to the check counting wheels, which is the same as removing 1 from them.
It sometimes happens that the Checks key 82 (Fig. 1) is used, in conjunction with the Amount keys 71, to enter items other than checks. In this case, it is desirable to disengage the check counting mechanism. The debit of this nature the current phis is that of the overhead service charges, allocated to the keeping of depositors' accounts and when this is counted. article, the automatic counting mechanism of the checks is neutralized by the depression of the key SC of symbols 90, always used for this kind of articles.
It also sometimes happens that it is desirable that the automatic counting mechanism of checks does not work, even though one is writing a check or one. other debit item: Pressing the NC symbol key 90 disables the automatic check counting mechanism, so that these items are not counted.
On the axis 784 (fig. 5) is fixed a handle 844 connected by a rod 845 to a control segment 846 for the keys 90, which segment, adjacent to the segment 831, pi votes on the bearing 832. A spring 847 requests the segment 846 in the dextrorsal direction, to maintain an edge made on one of its extensions 848 to remain in contact with a pin 835, exactly as has been explained for the segment 831.
The 90 key marked SC for agios and. the key marked NC for operations without an account number are both print-use keys and each has a lug cooperating with corresponding extensions 849 and 850 provided on the periphery of segment 846. Segment 816 is actuated jointly with segment 831 when the key blocking pin 69 rotates (fig. 8) in the dextrorsum direction, when the machine is started.
Depression either of the SC key or of the NC key brings the lug carried by the pressed key on the path of the corresponding extension 819 or 850, in order to prevent any movement in the dextrorsum direction of the segments 816 and 831 and. also prevent the operation of the automatic check counting mechanism, even if a check key is pressed. Pressing one of these two keys also produces the impression, on the account, of an identification sign in front of the corresponding currency.
As the Checks key 82 (fig. 1) can be used in conjunction with the subtotal key 76 and the total key 77, it is necessary to provide dependent means. the operation of the total and subtotal keys 77 and 76, as well as the other total keys, so that operation is prevented on this occasion. of the automatic check counter mechanism.
Referring now to Figs. 1, 5 and 7, it can be seen that a total control trigger 857 is mounted so as to. to be able to perform a circular movement thanks to slots which are formed therein and which engage with two lugs 858 of the frame of the total keys. The trigger 857 has a certain number of protuberances acting as cams 851 which cooperate with lugs of each of the control keys 71 to 78 and of the Report key. of Balance 88.
The lower end of the trigger 857 has a notch engaged with a lug 852 mounted on a latch 853 loose on the rod 101 and provided, on its right extension, with an L-shaped slot 851 through which passes a pin 855 of a crank pin 856 fixed on the shaft 784.
Depression of any one of the control keys 71 to 78 or of the key 88 moves, in cooperation with the corresponding boss 851, the control trigger 857 downwards, thus causing the latch 853 to swing in the senestrorsum direction, whose vertical branch of the slot 851 comes to rust the lug 855, blocking the crankpin 856 and the axis 784 against any movement and thus preventing the operation of the automatic check counting mechanism. When none of the control keys are pressed, it is the horizontal branch of the.
<B> L </B> slot which is in front of the lug 855, as seen. in fig. 7, thus leaving complete freedom of movement to the axis 781.
The depression of any one of the check counting keys, series of units 72 (fig. 4), causes its lug 818, in cooperation with the edge 817 of the trigger 815, to tilt the lever 811 in the direction dextrorsum, so that the cam ridge of the latter, by means of the lug 798 and the finger 796, rocks the lever 795 in the senestror- sum direction, thus bringing the vertical branch of the slot in <B > L </B> 8 \ 31 of said lever coming into engagement with the lug 822 and thus blocking the movement of the axis 781, which disengages the automatic mechanism for counting checks when a Check count key 72, unit group.
A similar mechanism, shown in fi-, 6 and already explained above, is provided for the tens keys 52 for counting checks and, when any one of these keys is pressed, the arm 801 provided for this. effect, is tilted in the senestrorsum direction, so as to put the vertical branch of the <B> L </B> shaped slot 825 in engagement with the lug 826 and block the axis 781 against any movement. Thus, the automatic check counting key mechanism is disengaged when any one of the check counting keys, tens key group 52, is pressed even though the Checks key 82 is used to start the machine (Fig. 1).
To show the need for locking, by the mechanism described above, to prevent the operation of the axis 784 when the check counting keys 72 or 52 are pressed, the following example will be given: number 20 is at. register with these keys. In this case, we push it in. key 2 in the tens group and no key is pressed in the ones group.
Since key 82 is used to initiate such an operation, step 1 (782) of zero stop 783 for the row of units should normally be brought into the path. pin 780 to cause automatic addition (the 1 in the check counting wheels of the order of units;
but as a result of the locking mechanism shown in FIG. 6, the a-xe 784 is locked against any movement, so that notch 0 (781) of the zero stop pawl 783 remains in the path of the pin 780, which sets the differential to zero. for the row of units of the check counter system.
The locking of the notches 821 and 825 with the pins 822. And 826, when the disengagement shaft 204 and the rod 802 are pushed in for the total or sub-total operations is purely accidental; it is due to the very construction of the mechanism and does not play any essential role, being. since pressing any 7.1 to 78 total control key, or the Balance Carryover key 88 has already locked axis 784 against movement before shaft 204 has received sufficient movement in the dextrorsal direction to prevent movement of the shaft 784.