Machine comptable. La présente invention a pour objet une machine comptable comprenant un chariot. porte-papier mobile, au moins un totalisateur addition-soustraction et un mécanisme d'em brayage et. de débrayage, commandé par des tabulateurs du chariot, pour assurer les opé rations d'addition et de soustraction dans le totalisateur, cette machine étant caractérisée par tin méeanisme de renversement actionné par l'enfoncement d'une touche unique pour convertir la nature algébrique de la com mande déterminée par les tabulateurs, que cette commande soit pour l'addition ou pour la soustraction.
Le chariot porte-papier dont ce genre de maehine est. pourvu petit tabuler dans chaque direction à des positions de colonne sélection nées d'avance, et les tabulateurs réglables peu vent être placés dans ces positions de colonne pour commander le ou les totalisateurs dans les fonctions d'addition ou de soustraction.
II est parfois nécessaire, par exemple lors qu'on constate une écriture éronnée, de pro céder à une correction par soustration de la somme lorsque celle-ci a été enregistrée addi- tiv ement ou par addition lorsque l'enregistre ment a été fait soustractivem.ent.
Jusqu'à présent, on a effectué les correc tions au moyen de méthodes assez eompli- quées nécessitant l'utilisation de deux tou ches de commande séparées, l'une pour sous traire et l'autre pour additionner les sommes à corriger. De plus, c'était à l'opérateur à dé- eider quel genre de correction additif ou soustractif il fallait exécuter, ce qui, dans le cas d'un opérateur peu expérimenté, condui sait toujours à des erreurs.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet de l'invention, seules les parties nécessaires à la compréhen sion de l'invention étant représentées et. dé- erites. La machine complète est décrite dans le brevet suisse N 281791.
La fig. Ï est une vue en perspective de l'ensemble de la machine.
Fig. 2 est. une vue en plan schématique des claviers de la machine.
Fig. 3 est une coupe longitudinal d'une partie arrière de la machine.
Fig. 4 est une vue en élévation d'une par tie d'un mécanisme commandé par le chariot pour sélectionner les totalisateurs pour des opérations d'addition, soustraction on de total.
Fig. 5 est une vue analogue, mais mon trant, en outre, un mécanisme de renverse ment d'addition ou de soustraction dans les totalisateurs.
Fig. 6 est une vue partielle montrant le mécanisme précédent.
Fig. 7 est une vue en élévation d'une par tie d'un mécanisme sensible en prise avec les tabulateurs qui commandent les diverses fonctions de la machine. Fig. 8 est un fac-similé d'un bordereau journal sur lequel les diverses inscriptions sont imprimées.
Fig. 9 est. une vue partielle, prise de la droite de la machine, d'un mécanisme d'im pression des symboles.
Fig. 10 montre schématiquement les dif férents symboles sur un secteur imprimant des symboles, et fig. 11 est une vue en perspective mon trant une glissière commandant l'impression des symboles de renversement.
La machine représentée comprend dix totalisateurs pour l'addition et la. soustrac tion, qui sont semblables en tous points et sont décrits en détail dans le brevet N 281791.
Comme représentée en fig. 3, chaque tota lisateur comprend, dans chaque rangée déci male, -une molette 997 de vingt dents. La mo lette 997 de chaque totalisateur est montée folle sur un arbre<B>1001</B> qui s'étend entre deux bras latéraux d'un étrier de support.
Chaque totalisateur est mLmi d'une paire de cames d'embrayage et de débrayage pour assurer l'embrayage et le débrayage avec une crémaillère 617. Le mécanisme prévu à cet effet est analogue à celui qui est décrit dans le brevet N 281791.
Si l'on se réfère à la fig. 5, on voit qu'à chaque extrémité de l'arbre 1001 sont prévus des galets (non représentés) en prise avec des chemins de came 1008 pratiqués dans des cames 1009 fixées à l'extrémité d'un arbre 1010 d'embrayage porté par un bâti 1004 (fig. 3) des totalisateurs.
Les arbres 1010 prévus pour les totalisateurs supérieurs deux d'entre eux seulement sont représentés en fig. 3 - portent, en outre, un bras 102l_ (fig. 5) articulé à une bielle 1022 dont l'ex trémité postérieure est fourchue pour être en prise avec une tige rainurée 1023 portée par un bâti latéral 214 (fig. 4) et un support (non représenté). Les arbres d'embrayage 1.010 prévus pour les totalisateurs inférieurs (deux d'entre eux seulement sont représentés en fig. 3) portent des bras et des bielles ana logues. Pour chaque totalisateur est prévue une bielle 1022 fixée à un bras 1021.
Sur un goujon 1026 (fig. 5), fixé à la par tie antérieure de chaque bielle l022, se trouve un crochet d'embrayage<B>1.027</B> coopérant avec une barre d'embrayage 1028 qui fait. quatre mouvements distincts à chaque cycle de révo lution d'un arbre principal 253 (fig. 4). Deux de ces mouvements s'effectuent dans une di rection d'embrayage et deux dans le sens con traire, dans une direction de débrayage, avec une courte période de repos entre ces mouve ments. Dans la première phase, les mouv e- ments de la barre 1.028 (fig. 5) se faisant.
dans le sens d'embrayage (vers l'avant), le totalisateur sélectionné est embrayé avec les crémaillères pour les opérations de soustrac tion, de sous-total et de total; dans la seconde phase, dans la même direction, le totalisateur sélectionné est embrayé pour l'addition; dans la troisième phase, dans le sens contraire, c'est-à-dire vers l'arrière, le totalisateur sélec tionné est débrayé dans les soustractions et les opérations de total. Enfin, dans la quatrième et dernière phase, la barre revient. en position de repos et. le totalisateur sélectionné est, dé brayé dans les opérations d'addition et de sous-total.
En commandant, convenablement l'engagement et le dégagement du crochet 1027 avec la barre 1028, on assure, dans les temps voulus conformes à, l'opération désirée, l'embrayage et le débrayage du ou des totali sateurs sélectionnés. Les dispositifs de com mande de ces mouvements des crochets 1027, et, par conséquent, de l'embrayage et du<B>dé-</B> brayage des totalisateurs, seront décrits plus loin.
Les totalisateurs sont embrayés et dé brayés avec les crémaillères 617 (fig. 3) qui sont commandés, dans leur mouvement., par des goujons portés par les tiges de touches de montants 589 (fig. 1 et 2). Les goujons des touches d'un ordre décimal peuvent entrer en contact avec des épaulements en escalier dis posés sur la crémaillère correspondante 617 lorsqu'une touche de cet ordre est enfoncée, limitant ainsi le mouvement vers l'arrière de cette crémaillère.
Les crémaillères sont gui dées à leur extrémité antérieure par des rai nures pratiquées dans une barre transversale 908 et une autre barre (non représentée) et sont guidées, à leur partie postérieure au moyen d'une barre rainurée 905 portée par les bâtis latéraux.
Chaque crémaillère 617 comprend une fente 91.1. en prise avec un goujon 912 monté sur un segment de bras de réduction<B>91.3</B> pou vant tourner sur un arbre 914 porté par les bâtis latéraux. Le bord arrière de ces segments<B>913</B> est en contact avec une barre d'actionnement S)15 sous l'action d'un ressort 916 tendu entre le segment et la barre. Cette barre 915 est portée par deux bras identiques 97.7 fixés près des extrémités de l'arbre 914 de réduc tion, respectivement.
Lorsque l'arbre principal 253 fait une ré volution complète, les bras<B>917</B> basculent d'abord dans le sens senestrorsum et ensuite dans le sens contraire (fig. 3), ce qui a pour effet de déplacer la barre d'aetionnement 915 vers l'arrière de la machine et ensuite vers l'avant à la position initiale représentée à. la fig. 3. Les crémaillères 617 sont entraînées élastiquement vers l'arrière de la machine par les ressorts<B>916</B> au cours de la première moi tié de la révolution et ramenées positivement à la position originale par la barre d'action nement 915 au cours de la deuxième moitié du cycle.
La position acquise par les crémaillères, transmise au segment 913, est également com muniquée à. un secteur imprimant 942 au moyen d'une biellette 943.
- Au-dessous de touches de commande des différentes fonctions 652 à 669 (fig. 1 et 2) sont disposées plusieurs glissières 1.051 (fig. 4) de commande des totalisateurs, qui ont. pour objet de déterminer le temps d'em brayage et de débrayage des totalisateurs avec les crémaillères 617 et qui sont susceptibles de coulisser longitudinalement sur des man chons rainurés montés sur des boulons 646 s'étendant entre des cloisons (non représen tées). Les glissières 1051. sont sollicitées vers l'avant (le la machine par des ressorts 1053 Fixés aux glissières.
Toutefois, les glissières <B>1051</B> sont retenues par une série de leviers de commande 1056 (fig. 4) portant. des gou- jons 1055 qui s'engagent dans des fentes 1057 prévues à l'arrière des glissières. Il existe un levier de commande 1056 pour chaque glis sière, et ces leviers sont pivotés sur un arbre 1058 porté par un support. (non représenté) et par le bati latéral 214. Ces leviers com prennent chacun un prolongement arrière 1059 coopérant avec un doigt 1050 (fig. 5) prévu sur chacun des crochets 1027 d'em brayage des totalisateurs.
Lorsque les pièces sont dans la position de repos de fig. 4 et 5, les prolongements 1059 sont supportés par un étrier 1060 porté par des bras 1061., 1062 fixés sur l'arbre 1058. Le bras 1062 est arti culé à une bielle 1063 reliée, d'autre part, à. un levier de came 1064 tournant sur un arbre 802 supporté dans le bâti de la machine.
Le levier 1064 porte un galet.<B>1065</B> coopérant avec une came 1066 goupillée sur l'arbre principal 253 qui tourne dans le sens senestrorsum (fig. 4) à. chaque opération de la machine, ce qui abaisse l'étrier 1060 pour laisser les res sorts 1053 tirer les glissières 1051 vers l'avant de la machine et amener les prolongements 1059 en contact avec les doigts 1050 des cro chets 1027. Vers la fin du cycle, la came 1066 ramène l'étrier<B>1060</B> à sa position initiale, ce qui ramène aussi, positivement, les glissières 1051 de façon que les crochets 1027 retour nent également en position de repos sous l'ac tion de leur ressort (fig. 5).
Le genre d'opération des totalisateurs (c'est-à-dire l'addition, la soustraction, le to tal, le sous-total ou la non-addition) est dé terminé par la distance sur laquelle la. glis sière 1051 de commande correspondante est amenée à se déplacer. Ces glissières 1051 sont déplacées vers l'avant de la machine lorsque l'opération de cette dernière est déclenchée par des tabulateurs 1374 (fig. 1) du chariot 1261, les tabulateurs portant des bossages de commande 1405 (fig. 7), de longueurs diffé rentes, ou par les touches 652 à 669 (fig. 2) de commande des fonctions.
On a prévu un mécanisme sensible qui vient en quelque sorte tâter les bossages 1405 (fig. 7) de commande portés par les tabula teurs 1374, lorsque le chariot est déplacé dans ses différentes positions. Ce mécanisme con siste en des têtes sensibles 1889 prévues sur une extrémité de doigts sensibles<B>1890.</B> Ces doigts sensibles 1890 sont tous guidés à leur partie supérieure par des ouvertures prati quées dans une plaque de guidage 1894 fixée à un bloc<B>1900</B> lui-même porté par une cor nière 216.
A leur extrémité inférieure, eha- que doigt sensible est articulé à une série de leviers 1901 qui sont ainsi commandés par les têtes sensibles 1889 lorsque ces dernières co opèrent avec les bossages 1405. Ainsi, chaque doigt sensible 1890 est articulé à l'extrémité de droite d'un des leviers 1901. et les leviers 1901 sont montés alternativement sur des gou jons 1902 et 1903 disposés sur une plaque de bâti supportée par la partie verticale de la cornière 216.
Chaque levier 1901 est sollicité, dans le sens senestrorsum, par Lin ressort 1906, de manière à maintenir les têtes sensi bles 1889 en prise avec les bossages de com mande 1405. Près de son extrémité de gau che, chaque levier 1901 présente une paire de doigts de guidage 1907 et 1908 coopérant. avec des goujons rainurés 1909 et une plaque de guidage 1910, respectivement, pour guider le mouvement vertical des leviers. Au-dessous d'une arête 1911 formée sur chaque levier 1901 est disposé un coulisseau 1912 qui com mande un mécanisme tâteur et qui peut cou lisser verticalement.
Lorsque l'arbre principal 253 (fig. 4) tourne dans le sens senestrorsum (fig. 4), le coulisseau 1912 est. abaissé, ce qui a pour effet de soulever les têtes sensibles 1889 et de les amener sur le trajet des parties inférieures des bossages de commande 1405. Chacun des .
bossages 1405 coopère avec une des têtes sen sibles 1889 et sont découpés à quatre hau teurs différentes, une position 0 ou Non Addition ; une position A ou Addition pour laquelle les têtes sensibles 1889 sont arrêtées après leur course complète; une posi tion S ou Soustraction correspondant à une course intermédiaire des têtes sensibles 1889; et enfin une position T ou Total pour laquelle les têtes sensibles 1889 ne se déplacent que sur une faible distance. Les doigts sensibles 1890 sont ramenés à leur po sition inférieure, représentée en fig. 7, vers la fin du cycle de la machine.
La manière dont les tabulateur:, 1371- (fig. 1) commandent la sélection et le fonc tionnement des totalisateurs addition-soiis- traction est décrite en détail dans le brevet susmentionné et n'est. pas répétée ici.
On voit par fig. 4 et 7 que les extrémi tés de gauche des leviers sensibles 1901 pré sentent des extrémités repliées 1969 disposées au-dessous de leviers 1970 pivotant sur une tige 1971 supportée elle-même par un support 833 et un bâti (non représenté). Chaque- le vier 1970 comprend un goujon 1973 (fig. 4) en prise avec un bras 197-1 pivotant en<B>1975</B> sur le support 833 et le bâti.
Chaque bras 1974 est sollicité dans le sens senestrorsuln par un ressort<B>1976</B> de façon que le bras 7.974 et le levier 1970 suivent, le déplacement vers le bas des extrémités des levier:, sensibles 1901 au moment du fonctionnement de la machine. Sur l'axe 1975 pivote également un bras de butée 1977 muni d'un goujon 1978 maintenu en contact. avec un épaulement du bras 1974 sous l'influence d'un ressort. 1979. Chacun de ces bras de butée 1977 présente un bec d'arrêt 1.980 pouvant coopérer avec des épaulements en escalier prévus sur un coulisseau sensible 1981.
Chacun des coulisseaux est artieulé, à son extrémité antérieure, à. l'un des leviers 1056 de commande des totalisateurs et est. guidé à l'arrière par une fente ouverte 1982 qui coopère avec une tige fixe 1983. On voit donc que les prolongements 1059 qui com mandent les crochets 1027 d'embrayage des totalisateurs peuvent être également contrô lés par le coulisseau 1981, au lieu de l'être par les glissières 1051 clés totalisateurs, ce qui donne lieu, pour le fonctionnement. des totalisateurs, à. une commande conjointe entre le mouvement. du chariot. et les touches du clavier.
L'extrémité du eoulisseau 1981 présente deux épaulements 1981. et 7.985 qui peuvent coopérer avec le bec 1980 pour placer le pro longement 1059 dans ses positions d'addition et de total, respectivement. Un troisième épaulement mobile est, prévu sur les coulis- seaux 1981 et consiste en une barrette 1_986 pivotant à l'extrémité du coulisseau et qui peut, avec son autre extrémité, coopérer avec ales becs 1980, de manière à. placer le prolon gement 1059 dans la position de soustraction.
Les positions occupées par le bec d'arrêt. 1980 sous la commande des leviers sensibles 1901 sont indiquées en traits mixtes à la fig. 4. Si un bossage 1405 de hauteur 0 coopère avec la tête sensible 1889 pour arrêter le doigt sensible 1890 dans son mouvement ascendant, le bec<B>1980</B> se déplace à sa position la plus élevée ou position 0 qui correspond à une opération de non-addition dans les totalisa teurs.
Lorsqu'un bossage 1405 de hauteur<B> À </B> coopère avec. la. tête sensible 1889, le bec 1980 prend la position :l et permet au coulis- seau <B>1981.</B> de se déplacer vers la gauche (fig. 4) jusqu'à ce que l'épaulement 1984 vienne en contact avec le bec 1980 pour stop per le prolongement 1059 à la position d'addi tion.
Lorsqu'on est en présence d'un bossage de hauteur<B> S ,</B> le bée 1980 est soulevé à cette position ,e , de manière à coopérer avec l'extrémité de la barrette 1986 pour stopper le coulisseau et le prolongement 1059 à la po sition de soustraction. Enfin, dans le cas d'un bossage de hauteur T , le bec 1980 adopte la position T pour venir en contact avec l'épaulement 1985 du coulisseau 1981 et stop per le prolongement 1059 à la position de total.
La liaison élastique. prévue entre le bras 1974 et le bras de butée 1977 au moyen du ressort 1979 et du goujon 1978, permet au coulisseau 1912, qui commande le mouvement des leviers 1901., d'être rappelé en position initiale au début du cycle de machine et ce plus tôt que l'étrier<B>1.060</B> qui commande les prolongements 1059 et le coulisseau 1981. Grâce à l'épaulement 1985, les becs d'arrêt 1980 sont empêchés de revenir en position initiale, mais toutefois, du fait de la liaison élastique existant entre les bras 1974 et 1977, les leviers sensibles peuvent être rappelés en position initiale en tendant le ressort 1.979.
Lorsque le coulisseau 1981 retourne par la suite en position de fig. 4, le bec 1980 retombe en position normale et le goujon 1978 revient en contact avec l'épaulement du bras 1974.
Le mécanisme que l'on vient clé décrire est exactement le même pour chacun des totalisa teurs. Pour les opérations de sous-total, on utilise un coulisseau 1.981 de forme légère ment différente, mais il n'est. pas compris directement dans l'objet de l'invention.
On décrira dans ce qui suit le mécanisme permettant de passer de la sélection d'un totalisateur pour la fonction d'addition à. la sélection en soustraction, ou vice versa.
Les barrettes 1986, qui coopèrent avec les becs 1980 pour stopper les prolongements 1059 dans les opérations de soustraction, sont articulées aux coulisseaux 1981, permettant ainsi d'abaisser ou d'élever la barrette par rapport au coulisseau. Cé mouvement est obtenu. à l'aide d'un mécanisme représenté en fig. 5 et qui comprend une touche de renver sement 671 dont un goujon est en prise avec l'extrémité crochue d'un levier 1989 pivotant en 1990. Ce levier 1989 comprend un bras qui coopère avec un goujon 1991 porté par un bras 1992- monté fou sur l'arbre 1058. Le mouvement du bras 1992 est. communiqué à une plaque triangulaire 1.993 au moyen d'une bielle 199.5.
La plaque 1993 est fixée sur un. arbre 1991- porté, d'une part., par le support 833 et, d'autre part, par une plaque de bâti. On voit en fig. 6 qu'une seconde plaque trian gulaire 2000, fixée également sur l'arbre 1994, est. séparée de la première au moyen d'une tige 2001. Sur cette dernière pivotent une sé rie de fourches 2002 comprenant ime fente 2003 destinée à coopérer avec des goujons 2004 portés par les barrettes 1986. Ces four ches sont. également. munies d'une fente verti cale 2005 en prise avec la tige 1983 qui leur sert ainsi de guidage dans leur mouvement vertical.
Un ressort 2006 attaché à la tige 2001 tend à faire tourner la tige et les pla ques triangulaire 1993 et 2000 dans le sens dextrorsum autour de l'arbre 1994 pour main tenir les fourches dans leur position infé rieure ou normale. Lorsqu'on abaisse la tou che 671 de renversement, les fourches 2002 et la barrette 1986 sont soulevées de la position (le fig. 4 dans une position dans laquelle celle- ci coopère avec l'extrémité du bec d'arrêt 1980 lorsque celui-ci est dans la position A .
Par conséquent, un bossage 1405 de hauteur A produit. l'arrêt du prolongement<B>1059</B> à la position de soustraction lorsqu'un bossage 1405 S laisse le coulisseau se déplacer vers la. gauche jusqu'à ce que l'épaulement 198-1 bute contre l'extrémité d'un bec 1980, provo quant ainsi une opération d'addition. Ce ren versement de la sélection d'addition et (le soustraction ou vice versa à. partir des tabu lateurs de chariot peut. être utilisé pour cor riger une erreur d'écriture ou pour enregis trer une ristourne ainsi qu'on le décrira plus loin dans un exemple.
Le mécanisme suivant permet. d'imprimer un symbole spécial quand la touche<B>671</B> de renversement est abaissée.
A droite des secteurs 942 (fig. 3) impri mant les montants est disposé un secteur 2460 (fig. 9 et 1.0) destiné à l'impression de sym boles. Ce sectéur est analogue aux secteurs 942 et pivote à l'extrémité d'un bras d'im pression 2462 supporté par l'arbre d'impres sion 945. Le dispositif pour déclencher le sec teur de symboles est identique à celui qui a été décrit au brevet N 281791 en regard des secteurs de montants, et il en est de même pour les dispositifs de mise en position de ces secteurs.
Il consiste en une bielle 2464 qui relie le secteur 2460 à un bras de réduction 2466 monté sur l'arbre 914. Le bras de réduc tion 2466 à -un segment 2468 relié par une bielle 2470 à un bras 2472 fixé sur un arbre 2474 d'impression des symboles. La bielle 2470 est retenue vers l'arrière de la machine au moyen d'un ressort 2476 qui tend à ame ner le secteur en position d'impression.
Comme représenté à la fig. 17., la mise en position de l'arbre 2474 est commandée par une glissière 2478 dont l'arête coopère avec un goujon 2515 porté par la touche 671 de renversement , de sorte que le secteur 2460 peut être mis en position différentielle pour indiquer le symbole correspondant au genre d'opération effectué.
Quand 1a. touche 671. de renversement est abaissée, la glissière 2478 subit un mouve- ment additionnel, sous l'action du ressort 2476, après que l'étrier 915 s'est déplacé, mou vement qui est déterminé par l'arête 2517 ve nant buter contre le goujon '?515 qui se trouve alors sur son trajet. Le secteur impri mant 2460 est. alors mis en position pour im primer un symbole 2519 (fig. 1.0) qui corres pond à. la touche 671 de renversement .
L'exemple de travail<B>1858</B> (fig. 8) montre comment le mécanisme de renversement peut. être utilisé.
La quatrième ligne d'écriture donnée à titre d'exemple sert. à illustrer l'emploi de la touche 671 (fig. 2 et. 5) de renversement . On suppose, dans ce cas, que le Grand Maga sin en question achète des porcelaines à la maison A. P. & C'e et qu'tme partie de ces marchandises est retournée au fournisseur. Pour ce genre d'opération, il est nécessaire de renverser le signe des différentes opérations, afin de maintenir les soldes corrects des dif férents comptes accumulés dans les totalisa teurs de la machine. L'opérateur place le compte de la maison A. P. & C'e dans le chariot et ferme ce dernier.
Il reprend l'an cien solde (de-25 I r.) qui est. imprimé dans la colonne 1 et additionné dans le totalisateur N 1. Dans la colonne '?, le montant (soit 75 fr.) de la marchandise retournée au four nisseur est composé sur le clavier et. l'opéra teur enfonce la touche 671 de renversement, après quoi il abaisse une barre motrice 2050 (fig. 1 et 2) pour provoquer l'impression de cette somme dans la colonne 2. La somme est soustraite dans le totalisateur N 7 qui accu mule la valeur des marchandises débitées au rayon de porcelaines.
Le taux de marque et la référence sont imprimés dans les colonnes 3 et 4, après quoi le chariot tabule dans la colonne 5 indiquant. en rouge le prix de facture de la marchandise retournée, prix qui est. soustrait des totalisa teurs 1. et 3 en utilisant la. touche 671 de ren versement. Le symbole de renversement, un losange, est. imprimé en rouge et la date indi que la date de retour de la marchandise. En colonne 6, le genre de marchandise et le taux d'escompte sont imprimés côte à côte, après quoi le chariot tabule en colonne 7 où s'im prime, cette fois en noir, le symbole de ren versement ; il est de plus additionné dans le totalisateur N" 1. et soustrait. dans le totali sateur N 4.
Le chariot passe ensuite en co lonne 8 où un montant dit. escompte anti cipé est imprimé en noir, additionné dans le totalisateur N" 1 et soustrait du totalisateur N 5 en utilisant la touche de renverse ment 67l.
Cet escompte anticipé est soustrait par l'emploi d'une barre de saut 2051 (fi-.<B>1</B> et 2) qui est, maintenue enfoncée (le faon que le chariot saute directement à la colonne 10 dans laquelle un cycle est déclenché automatique ment pour l'impression du solde créditeur de 23 fr. 75 qui s'imprime en rouge avec le sym bole ('R . Ce solde est soustrait du totalisa teur Ne 2 qui accumule tous les soldes des comptes fournisseurs.
Dans ce cas, il n'y a aucune opération à faire dans les colonnes 11, 12, 14 et 15, de sorte que l'opérateur utilise une touche 1482 (fig. 1 et 2) de tabulation machine à écrire, pour amener le chariot di rectement. en position de machine à écrire dans la colonne 13 où l'on inscrit le nom du fournisseur A. P. & C'e. On peut indiquer son adresse, après quoi le chariot est ramené à la colonne 1 par l'emploi d'une touche 1583 du clavier de machine à écrire, disposé à l'avant du clavier de machine comptable. La touche fait qu'un tabulateur de renversement de ta- bulation coopère avec un tabulateur analogue Ne 15 placé dans la colonne 15.
Une fois que le nom du vendeur a été écrit, on peut rame ner le chariot dans la colonne 1 en abaissant la touche 1583 de renversement de tabulation N 1. L'ouverture du chariot se fait par 1'en- foneement d'une touche 1781, ce qui permet de retirer le compte et d'en introduire un autre. Il y a lieu de noter que la touche de renversement 671 ne reste pas elle-même en foncée et doit être utilisée manuellement dans les colonnes 2, 5. 7 et 8.
Accounting machine. The present invention relates to an accounting machine comprising a trolley. movable paper holder, at least one addition-subtraction totalizer and a clutch mechanism and. disengagement, controlled by tabulators of the carriage, to ensure the operations of addition and subtraction in the totalizer, this machine being characterized by a reversal mechanism actuated by the depression of a single key to convert the algebraic nature of the command determined by the tabulators, whether this command is for addition or for subtraction.
The paper cart that this kind of maehine is. provided a small tab in each direction at selected column positions created in advance, and adjustable tabulators can be placed in these column positions to control the totalizer (s) in addition or subtraction functions.
It is sometimes necessary, for example when an incorrect writing is observed, to make a correction by subtracting the sum when it has been recorded additionally or by addition when the recording has been made subtractively. .ent.
Heretofore, the corrections have been carried out by means of fairly sophisticated methods requiring the use of two separate control keys, one for subtracting and the other for adding up the amounts to be corrected. In addition, it was up to the operator to decide what kind of additive or subtractive correction to perform, which, in the case of an inexperienced operator, always knows to make mistakes.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the accounting machine which is the subject of the invention, only the parts necessary for understanding the invention being represented and. deserves. The complete machine is described in Swiss patent N 281791.
Fig. Ï is a perspective view of the entire machine.
Fig. 2 is. a schematic plan view of the keypads of the machine.
Fig. 3 is a longitudinal section of a rear part of the machine.
Fig. 4 is an elevational view of part of a mechanism controlled by the carriage for selecting totalizers for addition, subtraction or total operations.
Fig. 5 is a similar view, but further showing an addition or subtraction reversal mechanism in the totalizers.
Fig. 6 is a partial view showing the previous mechanism.
Fig. 7 is an elevational view of part of a sensitive mechanism engaged with the tabulators which control the various functions of the machine. Fig. 8 is a facsimile of a newspaper slip on which the various entries are printed.
Fig. 9 is. a partial view, taken from the right of the machine, of a symbol printing mechanism.
Fig. 10 schematically shows the various symbols on a symbol printing sector, and FIG. 11 is a perspective view showing a slide controlling the printing of the reversal symbols.
The machine shown includes ten totalizers for the addition and the. subtraction, which are similar in all respects and are described in detail in Patent No. 281791.
As shown in fig. 3, each totalizer comprises, in each decimal row, a wheel 997 of twenty teeth. The mo l 997 of each totalizer is mounted loose on a shaft <B> 1001 </B> which extends between two side arms of a support bracket.
Each totalizer is mLmi of a pair of clutch and disengagement cams for engaging and disengaging with a rack 617. The mechanism provided for this purpose is similar to that described in patent No. 281791.
Referring to fig. 5, it can be seen that at each end of the shaft 1001 are provided rollers (not shown) engaged with cam tracks 1008 formed in cams 1009 fixed to the end of a clutch shaft 1010 carried by a frame 1004 (fig. 3) for the totalizers.
The shafts 1010 provided for the upper totalizers, only two of them are shown in FIG. 3 - carry, in addition, an arm 102l_ (Fig. 5) articulated to a connecting rod 1022 whose rear end is forked to engage with a grooved rod 1023 carried by a side frame 214 (Fig. 4) and a support (not shown). The 1.010 clutch shafts provided for the lower totalizers (only two of them are shown in fig. 3) have similar arms and connecting rods. For each totalizer is provided a connecting rod 1022 fixed to an arm 1021.
On a stud 1026 (Fig. 5), attached to the front part of each connecting rod 1022, is a clutch hook <B> 1.027 </B> cooperating with a clutch bar 1028 which does. four distinct movements at each revolving cycle of a main shaft 253 (fig. 4). Two of these movements take place in a clutch direction and two in the opposite direction, in a declutch direction, with a short period of rest between these movements. In the first phase, the movements of bar 1.028 (fig. 5) take place.
in the clutch direction (forward), the selected totalizer is engaged with the racks for the subtraction, sub-total and total operations; in the second phase, in the same direction, the selected totalizer is engaged for addition; in the third phase, in the opposite direction, that is to say backwards, the selected totalizer is disengaged in the subtractions and total operations. Finally, in the fourth and final phase, the bar returns. in rest position and. the selected totalizer is disengaged in the addition and sub-total operations.
By properly controlling the engagement and disengagement of the hook 1027 with the bar 1028, the engagement and disengagement of the selected totalizer (s) is ensured within the desired times in accordance with the desired operation. The control devices for these movements of the hooks 1027, and, consequently, of the clutch and the disengagement of the totalizers, will be described later.
The totalisers are engaged and disengaged with the racks 617 (fig. 3) which are controlled, in their movement., By studs carried by the studs of uprights 589 (fig. 1 and 2). The studs of the keys of a decimal order may come into contact with stepped shoulders provided on the corresponding rack 617 when a key of this order is depressed, thus limiting the rearward movement of this rack.
The racks are guided at their anterior end by grooves made in a transverse bar 908 and another bar (not shown) and are guided at their posterior part by means of a grooved bar 905 carried by the side frames.
Each rack 617 includes a slot 91.1. meshed with a pin 912 mounted on a reduction arm segment <B> 91.3 </B> to rotate on a shaft 914 carried by the side frames. The rear edge of these segments <B> 913 </B> is in contact with an actuating bar S) 15 under the action of a spring 916 stretched between the segment and the bar. This bar 915 is carried by two identical arms 97.7 fixed near the ends of the reduction shaft 914, respectively.
When the main shaft 253 makes a complete revolution, the arms <B> 917 </B> swing first in the senestrorsum direction and then in the opposite direction (fig. 3), which has the effect of moving the shaft. air bar 915 towards the rear of the machine and then forwards to the initial position shown at. fig. 3. The racks 617 are elastically driven towards the rear of the machine by the springs <B> 916 </B> during the first half of the revolution and positively returned to the original position by the action bar. 915 during the second half of the cycle.
The position acquired by the racks, transmitted to segment 913, is also communicated to. a printing sector 942 by means of a link 943.
- Below the control buttons for the different functions 652 to 669 (fig. 1 and 2) are arranged several slides 1.051 (fig. 4) for controlling the totalizers, which have. for the purpose of determining the engagement and disengagement time of the totalisers with the racks 617 and which are capable of sliding longitudinally on grooved sleeves mounted on bolts 646 extending between partitions (not shown). The slides 1051. are biased towards the front (the machine by springs 1053 Attached to the slides.
However, the <B> 1051 </B> slides are held by a series of control levers 1056 (fig. 4) bearing. studs 1055 which engage in slots 1057 provided at the rear of the slides. There is a control lever 1056 for each slide, and these levers are pivoted on a shaft 1058 carried by a support. (not shown) and by the side frame 214. These levers each take a rear extension 1059 cooperating with a finger 1050 (FIG. 5) provided on each of the hooks 1027 for clutching the totalizers.
When the parts are in the rest position of fig. 4 and 5, the extensions 1059 are supported by a bracket 1060 carried by arms 1061., 1062 fixed on the shaft 1058. The arm 1062 is articulated to a connecting rod 1063 connected, on the other hand, to. a cam lever 1064 rotating on a shaft 802 supported in the machine frame.
The lever 1064 carries a roller. <B> 1065 </B> cooperating with a cam 1066 pinned to the main shaft 253 which rotates in the senestrorsum direction (fig. 4) to. each operation of the machine, which lowers the caliper 1060 to let the springs 1053 pull the slides 1051 towards the front of the machine and bring the extensions 1059 in contact with the fingers 1050 of the hooks 1027. Towards the end of the cycle, the cam 1066 returns the caliper <B> 1060 </B> to its initial position, which also positively returns the slides 1051 so that the return hooks 1027 are also in the rest position under the action of their spring (fig. 5).
The kind of operation of the totalisers (that is, addition, subtraction, to tal, subtotal or non-addition) is determined by the distance over which the. corresponding control slide 1051 is caused to move. These slides 1051 are moved towards the front of the machine when the operation of the latter is triggered by tabulators 1374 (fig. 1) of the carriage 1261, the tabulators carrying control bosses 1405 (fig. 7), of lengths different, or by buttons 652 to 669 (fig. 2) for controlling the functions.
A sensitive mechanism is provided which, in a way, feels the control bosses 1405 (FIG. 7) carried by the tabulators 1374, when the carriage is moved into its various positions. This mechanism consists of 1889 sensitive heads provided on one end of <B> 1890. </B> sensitive fingers. These 1890 sensitive fingers are all guided at their upper part by openings made in an 1894 guide plate attached to a block <B> 1900 </B> itself carried by a horn 216.
At their lower end, each sensitive finger is articulated to a series of levers 1901 which are thus controlled by the sensitive heads 1889 when the latter co-operate with the bosses 1405. Thus, each sensitive finger 1890 is articulated at the end of right of one of the levers 1901. and the levers 1901 are mounted alternately on studs 1902 and 1903 arranged on a frame plate supported by the vertical part of the angle iron 216.
Each lever 1901 is biased, in the senestorsum direction, by Lin spring 1906, so as to keep the sensitive heads 1889 in engagement with the control bosses 1405. Near its left end, each lever 1901 has a pair of cooperating guide fingers 1907 and 1908. with grooved studs 1909 and a guide plate 1910, respectively, to guide the vertical movement of the levers. Below a ridge 1911 formed on each lever 1901 is disposed a slider 1912 which controls a feeler mechanism and which can slide vertically.
When the main shaft 253 (fig. 4) rotates in the senestrorsum direction (fig. 4), the slider 1912 is. lowered, which has the effect of lifting the sensitive heads 1889 and bringing them into the path of the lower parts of the control bosses 1405. Each of the.
bosses 1405 cooperates with one of the sensitive heads 1889 and are cut to four different heights, a 0 or No Addition position; an A or Addition position for which the 1889 sensitive heads are stopped after their complete stroke; a position S or Subtraction corresponding to an intermediate stroke of the sensitive heads 1889; and finally a T or Total position for which the sensitive 1889 heads move only a short distance. The sensitive fingers 1890 are brought back to their lower position, shown in fig. 7, towards the end of the machine cycle.
The manner in which the tabulators :, 1371- (Fig. 1) control the selection and operation of the add-so-tensile totalisers is described in detail in the aforementioned patent and is not. not repeated here.
We see by fig. 4 and 7 that the left extremities of the sensitive levers 1901 have folded ends 1969 arranged below levers 1970 pivoting on a rod 1971 itself supported by a support 833 and a frame (not shown). Each 1970 sink includes a 1973 stud (fig. 4) engaged with an arm 197-1 pivoting in <B> 1975 </B> on the bracket 833 and the frame.
Each 1974 arm is biased in the senestrorsuln direction by a spring <B> 1976 </B> so that the arm 7.974 and the lever 1970 follow, the downward displacement of the ends of the lever :, sensitive 1901 at the time of operation of the machine. On the 1975 axis also pivots a 1977 stop arm fitted with a 1978 pin kept in contact. with a shoulder of the 1974 arm under the influence of a spring. 1979. Each of these 1977 stop arms has a 1.980 stopper which can cooperate with stepped shoulders provided on a sensitive slider 1981.
Each of the slides is artieulé, at its anterior end, to. one of the totalizer control levers 1056 and is. guided at the rear by an open slot 1982 which cooperates with a fixed rod 1983. It can therefore be seen that the extensions 1059 which control the clutch hooks 1027 of the totalizers can also be controlled by the slide 1981, instead of the 'be by the slides 1051 keys totalizers, which gives rise, for operation. totalizers, to. a joint command between the movement. of the cart. and keyboard keys.
The end of the 1981 slider has two shoulders 1981. and 7.985 which can cooperate with the nose 1980 to place the extension 1059 in its add and total positions, respectively. A third movable shoulder is provided on the sliders 1981 and consists of a bar 1986 pivoting at the end of the slider and which can, with its other end, cooperate with the jaws 1980, so as to. place extension 1059 in the subtraction position.
The positions occupied by the stopper. 1980 under the control of the sensitive levers 1901 are shown in phantom in fig. 4. If a boss 1405 of height 0 cooperates with the sensitive head 1889 to stop the sensitive finger 1890 in its upward movement, the nozzle <B> 1980 </B> moves to its highest position or position 0 which corresponds to a non-addition operation in the totalisers.
When a boss 1405 of height <B> TO </B> cooperates with. the. sensitive head 1889, the nozzle 1980 takes the position: l and allows the <B> 1981. </B> slider to move to the left (fig. 4) until the shoulder 1984 comes into contact with the 1980 spout to stop the 1059 extension in the addi tion position.
When there is a boss of height <B> S, </B> the opening 1980 is raised to this position, e, so as to cooperate with the end of the bar 1986 to stop the slider and the extension 1059 to the subtraction position. Finally, in the case of a boss of height T, the nose 1980 adopts the position T to come into contact with the shoulder 1985 of the slide 1981 and stop by the extension 1059 at the total position.
The elastic connection. provided between the arm 1974 and the stop arm 1977 by means of the spring 1979 and the pin 1978, allows the slider 1912, which controls the movement of the levers 1901., to be returned to the initial position at the start of the machine cycle and this earlier than the <B> 1.060 </B> caliper which controls the 1059 extensions and the 1981 slider. Thanks to the 1985 shoulder, the 1980 stop slats are prevented from returning to the initial position, but however, due to the of the elastic connection existing between the arms 1974 and 1977, the sensitive levers can be returned to the initial position by tensioning the spring 1.979.
When the slide 1981 subsequently returns to the position of FIG. 4, the 1980 spout falls back to its normal position and the 1978 stud returns to contact with the shoulder of the 1974 arm.
The mechanism just described is exactly the same for each of the totalizers. For the subtotal operations, a 1.981 slider of a slightly different shape is used, but it is not. not directly included in the object of the invention.
The mechanism for going from the selection of a totalizer for the addition function to. selection in subtraction, or vice versa.
The 1986 bars, which cooperate with the 1980 nozzles to stop the 1059 extensions in the subtraction operations, are articulated to the 1981 sliders, thus making it possible to lower or raise the bar relative to the slider. This movement is obtained. using a mechanism shown in fig. 5 and which comprises a reversing key 671, a stud of which is engaged with the hooked end of a lever 1989 pivoting in 1990. This lever 1989 comprises an arm which cooperates with a stud 1991 carried by an arm 1992- mounted loose on shaft 1058. Arm movement 1992 est. communicated to a triangular plate 1.993 by means of a connecting rod 199.5.
The 1993 plate is attached to a. shaft 1991- carried, on the one hand, by the support 833 and, on the other hand, by a frame plate. We see in fig. 6 that a second triangular plate 2000, also fixed on the shaft 1994, is. separated from the first by means of a rod 2001. On the latter pivot a series of 2002 forks comprising a 2003 slot intended to cooperate with the 2004 studs carried by the 1986 bars. These forks are. also. provided with a vertical slot 2005 engaged with the rod 1983 which thus serves as a guide in their vertical movement.
A 2006 spring attached to the 2001 stem tends to rotate the stem and the triangular 1993 and 2000 plates dextrorsum around the 1994 shaft to keep the forks in their lower or normal position. When the reversing key 671 is lowered, the forks 2002 and the bar 1986 are raised from the position (fig. 4 to a position in which the latter cooperates with the end of the stop nose 1980 when the latter ci is in position A.
As a result, a height A boss 1405 produced. stopping the extension <B> 1059 </B> at the subtraction position when a boss 1405 S allows the slide to move towards the. left until shoulder 198-1 butts against the end of a 1980 spout, thereby causing an addition operation. This return of the addition selection and (subtraction or vice versa from the cart tabulators can. Be used to correct a clerical error or to record a rebate as will be described later. in an example.
The following mechanism allows. print a special symbol when the reverse <B> 671 </B> key is down.
To the right of the sectors 942 (fig. 3) printing the uprights is arranged a sector 2460 (fig. 9 and 1.0) intended for the printing of symbols. This sector is analogous to sectors 942 and pivots at the end of a printing arm 2462 supported by the printing shaft 945. The device for triggering the symbol sector is identical to that which has been described. to patent N 281791 with respect to the upright sectors, and the same applies to the devices for positioning these sectors.
It consists of a connecting rod 2464 which connects the sector 2460 to a reduction arm 2466 mounted on the shaft 914. The reduction arm 2466 has a segment 2468 connected by a connecting rod 2470 to an arm 2472 fixed on a shaft 2474 d printing of symbols. The connecting rod 2470 is retained towards the rear of the machine by means of a spring 2476 which tends to bring the sector into the printing position.
As shown in fig. 17., the positioning of the shaft 2474 is controlled by a slide 2478 whose edge cooperates with a pin 2515 carried by the reversal key 671, so that the sector 2460 can be put in a differential position to indicate the symbol corresponding to the type of operation performed.
When 1a. overturn button 671. is lowered, the slide 2478 undergoes an additional movement, under the action of the spring 2476, after the caliper 915 has moved, movement which is determined by the edge 2517 coming into abutment against the stud '? 515 which is then in its path. The printing sector 2460 is. then put in position to print a symbol 2519 (fig. 1.0) which corresponds to. the overturn key 671.
The working example <B> 1858 </B> (fig. 8) shows how the overturning mechanism can. to be used.
The fourth line of writing given as an example is used. to illustrate the use of the reversal key 671 (fig. 2 and. 5). It is assumed, in this case, that the Grand Maga sin in question purchases porcelain from the A. P. & C'e house and that part of these goods is returned to the supplier. For this type of operation, it is necessary to reverse the sign of the different operations, in order to maintain the correct balances of the various accounts accumulated in the totalizers of the machine. The operator places the account of the house A. P. & C'e in the cart and closes the latter.
He takes over the old pay (of -25 I r.) Which is. printed in column 1 and added to the totalizer N 1. In column '?, the amount (ie 75 fr.) of the goods returned to the supplier is entered on the keypad and. the operator presses the reversal key 671, after which he lowers a driving bar 2050 (fig. 1 and 2) to cause the printing of this sum in column 2. The sum is subtracted in the totalizer N 7 which accumulates mule the value of goods debited from the china department.
The mark rate and part number are printed in columns 3 and 4, after which the carriage tabulates in column 5 indicating. in red the invoice price of the returned goods, price that is. subtracts from totalizers 1. and 3 using the. repayment 671 key. The symbol for reversal, a rhombus, is. printed in red and the date indicates the date of return of the goods. In column 6, the type of merchandise and the discount rate are printed side by side, after which the carriage tabulates in column 7 where the repayment symbol is prime, this time in black; it is further added in the totalizer N "1. and subtracted. in the totalizer N 4.
The carriage then passes into column 8 where an amount says. anti ciped discount is printed in black, added into totalizer N "1 and subtracted from totalizer N 5 using the reverse key 67l.
This early discount is subtracted by the use of a 2051 jump bar (fi-. <B> 1 </B> and 2) which is, held down (the way the cart jumps directly to column 10 in which a cycle is automatically triggered for the printing of the credit balance of 23 fr. 75 which is printed in red with the symbol ('R. This balance is subtracted from the totalizer Ne 2 which accumulates all the balances of the accounts payable.
In this case, there is no operation to do in columns 11, 12, 14 and 15, so the operator uses a typewriter tab key 1482 (fig. 1 and 2), to bring the trolley directly. in typewriter position in column 13 where the name of the supplier is entered A. P. & C'e. Its address can be indicated, after which the cart is returned to column 1 by the use of a key 1583 of the typewriter keyboard, arranged in front of the accounting machine keyboard. The key causes a tab reversal tab to cooperate with a similar Ne 15 tab placed in column 15.
Once the name of the vendor has been entered, the cart can be moved to column 1 by lowering the tab reversal key 1583 N 1. The cart is opened by pressing a key. 1781, which makes it possible to withdraw the account and introduce another. Note that the reverse key 671 itself does not stay dark and must be used manually in columns 2, 5, 7 and 8.