CH264657A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH264657A
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Description


  Machine comptable.    La présente invention a pour objet une       machine    comptable du genre comprenant un  chariot baladeur et des éléments de commande       pour    sélectionner diverses positions de co  lonnes du chariot. Il est connu, dans de telles  machines, de pourvoir le chariot d'arrêts qui  coopèrent avec des pistons d'arrêt sur la ma  chine pour arrêter celui-ci dans des positions  de colonnes choisies, et de faire en sorte que  le chariot se déplace dans le sens de     tabula-          tion    de colonne à colonne sous la commande  d'une touche tabulatrice disposée sur la ma  chine.

   De façon générale, toutefois, il a été  trouvé     nécessaire,    lorsqu'on désire atteindre  une colonne disposée sur le matériel d'enre  gistrement, à gauche de celle sur laquelle le  dernier enregistrement a été effectué, de rap  peler le chariot à la limite de son mouvement  de retour, et ensuite de l'amener à se dépla  cer à la nouvelle position de colonne dans le       sens    de     tabulation.     



  Ceci entraîne une perte de temps qui est.       éliminée    dans la machine faisant l'objet de  l'invention. A cet effet, cette machine est  caractérisée en ce que le fonctionnement d'un       élément    de commande agit pour amener le  chariot automatiquement et directement à la  position de colonne choisie, le chariot se dé  plaçant dans le sens de     tabulation    ou dans le       sens    de retour, selon la position qu'il occupe.  



  Par conséquent, avec la machine suivant  l'invention, l'opérateur peut, en     actionnant     l'élément de commande approprié, provoquer    un mouvement direct du chariot à la position  de colonne nouvellement choisie, quel que soit  le sens dans lequel le chariot doit se déplacer  pour atteindre cette colonne.

   La commande  du chariot est ainsi     simplifiée    puisque, lors  qu'on désire choisir une colonne à gauche de  celle dans laquelle le dernier enregistrement  a été effectué, l'opérateur n'a -qu'à actionner  un seul élément de commande, au lieu d'avoir  d'abord à provoquer un mouvement de retour  du chariot, et ensuite à actionner un autre  élément de commande pour amener le chariot  à se déplacer dans le     sens,    de     tabulation    jus  qu'à la. position de colonne désirée. En outre,  le travail consistant à enregistrer sur le ma  tériel d'enregistrement les indications com  plexes qu'on rencontre souvent     dans    les éta  blissements commerciaux modernes se trouve  grandement activé.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention, seules les  parties nécessaires à la compréhension de  l'invention étant décrites et représentées, la  machine complète étant décrite dans le brevet       suisse    N  262592.    La     fig.    1 est une vue en perspective de  la machine complète.  



  Les     fig.    2 et 3 sont des vues de détail  d'une chape sélectrice de colonnes.  



  La     fig.    4 est une élévation latérale, du  côté droit de la partie arrière de la machine.      La     fig.    5 est une vue de détail d'une barre  de     commande    verticale pour un piston d'arrêt.  



  La     fig.    6 est une vue en plan d'une partie  du mécanisme pour     commander    le renverse  ment du mouvement transversal du chariot  baladeur.  



  La     fig.    7 est une vue de détail     d'une    par  tie du mécanisme représenté sur la     fig.    6 pour  embrayer le     mécanisme    d'embrayage en vue  d'actionner le mécanisme de renversement.  



  La     fig.    8 est     une    vue de détail du méca  nisme de remise en position du mécanisme  d'embrayage représenté     sur    la     fig.    6.  



  La     fig.    9 est une élévation du mécanisme  représenté     sur    la     fig.    6, montrant avec     plues     de     détails    la coulisse de renversement et les  deux accouplements de renversement y associés.  



  La     fig.    10 est un détail d'une partie du  mécanisme pour la     commande        d'an    des jeux  de pistons d'arrêt de     tabulation.     



  La     fig.    11 est une vue de détail d'une par  tie du mécanisme     d'entraînement    des pistons  d'arrêt de     tabulation.     



  La     fig.    12 est une vue en plan des     pistons     d'arrêt de     tabulation    et d'une partie du     mé-          canisme    y associé.  



  La     fig.    13 montre le chariot sélecteur de  colonnes ou la coulisse ainsi que le mécanisme  sur le chariot pour mettre en place ledit  chariot ou ladite     coulisse.     



  La     fig.    14 est une     onze    de détail d'une  partie du     mécanisme    représenté sur la     fig.    13.  La     fig.    15 est une vue de détail des bras  et de la chape sélecteurs de colonnes.  



  La     fig.    16 est une     vue    de détail du mé  canisme à brides     pour    régler la position de  colonne du chariot.  



  La     fig.    17 est une élévation, vue du côté  droit, d'une partie du mécanisme     pour    la  commande du mouvement du chariot vers les  positions de colonnes sélectionnées.  



  La     fig.    18 est une vue de détail du mé  canisme d'embrayage pour commander le  fonctionnement du     mécanisme    de     tabulation     représenté sur la     fig.    17.  



  La     fig.        19    est une vue de détail     d'une    par  tie du mécanisme pour faire agir le mécanisme  de retour du chariot.    La     fig.    20 est une vue de détail d'une       partie    du mécanisme     pour    la     commande    des  barres d'arrêt de     tabulation    ou des     pistons.     



  La     fig.    21 est une élévation de     droite    de  l'une des touches sélectrices de colonnes et du  mécanisme qui lui est associé pour comman  der le mouvement du chariot.    La     fig.    22 est une élévation latérale de  droite du mécanisme pour la commande de  mise en position en colonnes du chariot au  moyen des trois barres de démarrage.  



  La     fig.    23 est une vue de détail d'une  partie du mécanisme pour la commande de  mise en position en colonnes du chariot au  moyen de l'une des barres auxiliaires de dé  marrage.    La     fig.    24 est une vue de détail montrant  le mécanisme de la     fig.    23 dans une position  de     manoeuvre.       La     fig.    25 est une vue en plan d'une par  tie du mécanisme représenté sur la     fig.    22.    La     fig.    26 est une     vue    en plan     d'une    par  tie du     mécanisme    de fonctionnement. du  chariot.  



  La     fig.    27 est une vue de détail d'un     jeli     de pistons d'arrêt de     tabulation,    et  la     fig.    28 est une vue de détail de la barre       verticale    pour la commande d'un jeu de       pistons    d'arrêt de     tabulation.     



  La     machine    est représentée en général sur  la     fig.    1 et comprend     un    chariot baladeur 136  qui porte un rouleau 309 servant à présen  ter le matériel d'enregistrement au mécanisme       imprimeur,    non représenté.  



  Le chariot 136 peut être déplacé dans le  sens de fabulation et dans le     sens    inverse, le  long de rails de guidage 137, 138, et le mé  canisme servant à     .déplacer    ledit chariot dans  l'un ou l'autre sens est relié, par un dispositif  d'accouplement hydraulique, à un moteur à  marche     semi-continue        quel    fonctionne simulta  nément, mais indépendamment du moteur  principal de la machine et qui sert principa  lement à     actionner    le mécanisme baladeur du  chariot,      Les fonctions du chariot sont commandées  par une rangée de     touches    de commande  situées directement au-dessus du clavier nu  méral     (fig.    1),

   ladite rangée de touches com  prenant une touche de Marge Gauche 1066,  dix touches Sélectrices de Colonnes 1070, une  touche Tabulatrice 1071 servant à     tabuler    la  machine de colonne à colonne, une touche du  Chariot 1072 pour l'ouverture et la fermeture  d'une goulotte d'alimentation frontale du rou  leau 309, et une touche d'Avancement du Pa  pier 1073 pour faire tourner le rouleau 309  en vue de l'espacement des lignes sur le ma  tériel d'enregistrement supporté par le rou  leau.  



  Les touches sélectrices de colonnes 1070  opèrent grâce à un dispositif indicateur qui  coopère     (fig.    13) avec des goujons 732 sur  chacun d'une série de blocs de commande 722  montés sur le chariot, un desdits blocs étant       prévu    pour chaque position de colonne, ce dis  positif étant actionné pas à pas par lesdits  goujons chaque fois que le chariot se déplace  d'une position de colonne à l'autre. De cette  façon, le dispositif indicateur tâte la position  du chariot et détermine si ledit chariot doit  se déplacer dans le sens du retour ou dans le  sens de     tabulation,    suivant l'emplacement de  la position de colonne correspondant à la  touche sélectrice de colonne abaissée.

   Ceci fait  fonctionner en effet les dix touches sélectrices  de colonnes 1070 soit comme touches     tabula-          trices,    soit comme touches de retour du cha  riot pour amener le déplacement du chariot  soit dans le sens de     tabulation,    soit dans le  sens de retour de toute position de colonne  présélectionnée à la position de colonne cor  respondant à la touche abaissée 1070.

      Le moteur à marche     semi-continue    pour le  chariot, outre qu'il entraîne le chariot dans  les sens de retour et de     tabulation,    est direc  tement relié à et actionne un arbre à cames  pour     entraîner    plusieurs cames qui peuvent,  à leur tour, être reliées audit arbre par leurs  dispositifs d'accouplement respectifs, lesquels,  à leur tour, sont commandés par les touches  de commande du chariot 1070, 1071, 1072 et    1073 en vue d'actionner les différents méca  nismes associés au chariot.

   Une de ces cames,  comme décrit ci-après, actionne un mécanisme  pour faire descendre des pistons d'arrêt 1170  à 1173     (fig.    12) qui coopèrent avec des ta  quets d'arrêt 733 sur les blocs de commande  722 pour     arrêter    le chariot dans la position  de colonne sélectionnée. Une autre actionne  un mécanisme pour renverser le sens de dé  placement du chariot. D'autres de ces     cames     actionnent des mécanismes (non décrits ici,  mais décrits en détail dans le brevet N  262592,  pour déplacer le rouleau de la position d'im  pression à une position d'avancement frontal.  et vice versa, pour imprimer au rouleau un  mouvement d'espacement de lignes, et pour  faire démarrer automatiquement la machine  sous la commande du chariot.

   Il est prévu,  en outre, un mécanisme par quoi quatre posi  tions de colonnes peuvent être sélectionnées  au moyen de trois barres de démarrage 170,  171, 172     (fig.    1) de la machine.  



  Le bord arrière d'une plaque de base 730  du chariot     (fig.    13) est pourvu de dents qui  engrènent avec une roue dentée 1085 (fi.-. 9)  fixée sur un arbre vertical 1086. L'arbre 1086       (fig.    6 et 9) porte sur son extrémité infé  rieure un pignon conique 1088 qui engrène  avec des pignons coniques de renversement  semblables 1089 et 1090 montés librement sur  un arbre 1091. Les roues de renversement.

    7.089 et 1090 ont des parties cylindriques pré  sentant des dents d'accouplement. qui engrè  nent avec des dents d'accouplement sembla  bles     prévues    sur des organes de renversement  d'accouplement 1092 et 1093 pouvant coulis  ser sur l'arbre 1091, mais reliés à lui à rota  tion à l'aide de rainures à clavettes pratiquées  dans lesdits organes d'accouplement et coopé  rant avec des clavettes correspondantes fixées  à des éléments entraîneurs 1094 et 1095 calés  sur ledit arbre 1091.

   Sur l'extrémité droite  de cet arbre 1091     (fig.    4) est fixée une roue  conique 1096 qui engrène avec une roue coni  que correspondante 1097 fixée sur l'extrémité  supérieure d'un arbre vertical 1098 tournant  dans un     châssis    1087 et relié par un accouple-      ment élastique 1099 à un arbre vertical 1100  du mécanisme hydraulique, ledit arbre tou  rillonnant dans     un    bâti 1101     d'un    dispositif       hydraulique    fixé sur le socle 132 de la ma  chine.

      L'arbre 1100 a une liaison     hydraulique     non positive avec     un.        dispositif        d'entraînement     hydraulique 1102 qui ne sera décrit que  brièvement ici.    L'organe hydraulique cylindrique 1102       (fig.    4) a sur son extrémité inférieure un  tenon     qai        tourillonne    dans un     coussinet    dans  la pièce en fonte en forme de châssis 1101,

    et ledit organe porte également sur sa     surface          inférieure    une roue dentée 1103 qui engrène  avec     tme    roue dentée 1104 fixée à l'extrémité       inférieure    d'un arbre 1105 monté à rotation  verticale dans la pièce en fonte 1101.

   Sur       l'extrémité    supérieure de l'arbre 1105 est fixée  une roue à vis     sans        fin    1106 qui engrène  avec     une    vis sans fin associée 1107 fixée sur  un arbre court tourillonnant dans la pièce  en fonte 1101, en alignement axial avec  l'arbre d'armature d'un moteur 1109 fixé au  socle 132 et relié à cet arbre d'armature par  un accouplement élastique 1108 qui constitue  un moyen     d'entraînement    élastique entre le  dit moteur 1109 et le dispositif hydraulique.

    L'organe hydraulique 1102 baigne dans de  l'huile contenue dans la pièce en fonte 1101,  ladite pièce en fonte formant un réservoir       pour    remplir constamment d'huile ledit     organe          hydraulique        1r02.     



  Le moteur 1109     (fig.    4) entraîne, grâce à  l'engrenage et aux liaisons décrits ci-dessus,  l'organe hydraulique 1102 dans le sens indi  qué par la flèche et, étant donné que ledit  organe est     relié        hydrauliqueinent    à.

   l'arbre  1100, ledit arbre est entraîné de façon non  positive dans le même sens, lequel mouve  ment, par l'accouplement élastique 1099, se       communique    à l'arbre 1098 et à la roue coni  que 1097 qui, à son tour, entraîne la roue  <B>1096</B> et l'arbre 1091 dans le sens inverse des  aiguilles     d'une    montre, en regardant sur la       fig.    4, et dans le     sens    indiqué par les flèches  sur la     fig.    9.

   Les organes d'accouplement    1092 et 1093 sont entraînés simultanément  avec l'arbre 1091 et, si ledit organe d'accou  plement 1092 est relié à la roue conique 1089,  l'arbre 1086 et la roue dentée 1085 sont en  traînés dans le sens des aiguilles d'une mon  tre,     comme    on le voit sur la     fig.    6, de ma  nière à déplacer le chariot. 136 dans le sens  de     tabulation    ou vers la gauche.

   D'autre part,  si l'organe d'accouplement 1093 est en prise  avec la roue conique 1090, l'arbre<B>1086</B> et la  roue dentée 1085 sont entraînés dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'une    montre,  en regardant sur la     fig.    6, de faon à dépla  cer le chariot 136 dans le sens du retour ou  -vers la droite, comme on le voit sur la     fig.    1.  



  Les organes d'accouplement 1092 et 1093       (fig.    6 et 9) sont pourvus d'entailles annu  laires pouvant recevoir des goujons amovi  bles 1111 et 1112 fixés sur des plaques 1113  et 1114 montées     élastiquement    sur la traverse  d'une chape 1115 au moyen de goujons fixés  dans     lesdites    plaques en coopération avec des  fentes parallèles correspondantes ménagées  dans ladite traverse, lesdites plaques 1113 et  1114 étant poussées l'une vers l'autre par un  ressort 1110 qui assure une liaison     élastique     entre elles.

   La chape 1115 a, sur ses bras di  rigés vers le haut, des douilles qui     coulissent      librement sur l'arbre 1091, et la traverse de  ladite chape porte des bras 1116 et 1117 di  rigés vers le haut, pourvus de fentes paral  lèles qui, en coopération avec des     goujons    à  vis vissés dans le châssis 1087, guident ladite c  chape 1115 en     vue    d'un déplacement latéral.

    Un ressort 1118     (fig.    6 et 9) entraîne la chape  1115 vers la droite, en regardant le dessin, de  façon à     maintenir    un     épaulement    de l'extré  mité droite de cette chape normalement en     f     contact avec la dent d'un     linguet    1119 qui  retient normalement ladite chape contre  l'action dudit ressort 1118, afin de maintenir  l'organe d'accouplement 1092 en prise avec la  roue d'entraînement 1089 et d'entraîner le     s     chariot dans le sens de     tabulation.    Le     linguet     1119 pivote sur     im    axe 1120 du châssis 1087.

    et un ressort 1121 entraîne ledit     linguet    dans  le     sens    contraire à celui des aiguilles d'une  montre,     comme    on le voit sur la     fig.    6, pour<B>5</B>      maintenir sa dent. en prise avec l'épaulement  de la chape 1115. Une surface angulaire 1122  du     linguet    1119 coopère avec un prolonge  ment. replié vers le haut d'une bielle 1123,  dont. l'extrémité droite est fendue pour rece  voir un goujon fixé sur le     châssis    1087 et  dont l'extrémité gauche pivote sur un levier  1124 qui pivote lui-même sur un axe 1125  fixé sur le châssis 1087.  



  Lorsque le chariot, en se déplaçant. dans le  sens de     tabulation,    arrive à la fin de sa  course, une saillie de renversement 1127       (fig.    6) s'engage dans une partie entaillée de  l'extrémité antérieure du levier 1124 pour  basculer ledit levier dans le sens des     aib    milles  d'une montre, comme on le voit sur la fi,-. 6,  contre l'action d'un ressort<B>1126</B> qui est tendu  de façon à maintenir ledit levier dans une  position équilibrée ou centrale, comme re  présenté.  



  Le mouvement du levier 1124 dans le sens  des aiguilles d'une montre déplace la bielle  1123 vers la droite     (fig.    6 et 9), amenant, son  extension, en coopération avec le bec angu  laire 1122 du     linguet    1119,à basculer ledit       linguet    dans le sens des aiguilles d'une mon  tre contre l'action du ressort 1121 pour dé  gager la dent de ce     linguet    de l'épaulement  de la chape 1115, de façon à abandonner la  dite chape à l'action du ressort 1118, ce qui  déplace immédiatement ladite chape vers la  droite.

   Le déplacement de la chape 1115 vers  la droite     (fig.    9) dégage l'organe d'accouple  ment 1092 des dents de la roue 1089 et met en  prise en même temps les dents de l'organe  d'accouplement 1093 avec les dents de la roue  1090, de façon à faire tourner l'arbre 1086  et la roue 1085     (fig.    6) dans le sens contraire  à celui des aiguilles d'une montre, afin d'en  traîner le chariot dans le sens de retour.  



  A mesure que la saillie 1127 passe au-delà  de l'extrémité du levier     112.1,    le corps de  ladite saillie rencontre une butée fixe (non  représentée) de manière à terminer de toute  façon le mouvement du chariot au cas où le  mécanisme de renversement, expliqué plus  haut, n'agit pas assez tôt pour terminer ce  mouvement auparavant. Lors du mouvement    de retour du chariot, la saillie 1127     (fig.    6)  passe à côté de l'extrémité inférieure du levier  1124, grâce à l'action du ressort 1126, lequel,  comme il a été expliqué plus haut, maintient  ledit. levier dans une position neutre repré  sentée.  



  Lorsque le chariot 136, en se déplaçant  dans le sens de retour, arrive à la fin de sa  course, une saillie dirigée vers le bas 1129 sur  la butée de marge gauche     (fig.    6) vient au  contact de l'extrémité antérieure d'un     linguet     1130 monté librement sur un axe 1131 fixé  sur le châssis 1087 et. bascule ledit     linguet    dans  le sens contraire à celui des     aiguilles    d'une  montre contre l'action d'un ressort 1132 tendu  pour maintenir ledit     linguet    dans une posi  tion intermédiaire ou neutre, comme repré  senté.

   Le mouvement du     linguet    1130 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre amène un prolongement arrière de ce  lui-ci, en coopération avec un goujon 1133  d'un bras 1134 fixé sur un arbre 1135,à bas  culer ledit bras et     ledit    arbre 1135 dans le  sens des aiguilles d'une montre, comme on le  voit sur la     fig.    6. L'arbre 1135 tourne dans  le sens des aiguilles d'une montre, comme  expliqué     plus    haut, contre l'action d'un res  sort 1137 tendu entre une plaque supérieure  1136     (fig.    4) et un bras 1138 fixé sur ledit  arbre 1135.  



  Sur l'arbre 1135     (fig.    6 et 7) est égale  ment fixé un bras 1139, ayant sur son extré  mité une surface à gradins qui coopère avec  une patte repliée vers le haut 1140 d'un bras  de déblocage 1141 monté de façon à pouvoir  pivoter et se déplacer grâce à un goujon 1142  porté par ce bras et qui s'engage dans une  fente pratiquée dans le bras inférieur d'une  chape 1143 montée librement sur un axe 1144  porté par le châssis 1087 et la plaque supé  rieure 1136.

   Un ressort 1145, tendu entre la  chape 1143 et un verrou 1146 de la chape  monté librement sur l'arbre 1135, entraîne  ledit verrou dans le sens des aiguilles d'une  montre, comme représenté, pour maintenir la  dent de ce verrou normalement en prise avec  une saillie 1147 du bras inférieur de la  chape 1143 afin d'empêcher normalement      ladite chape de se déplacer dans le sens des  aiguilles d'une montre     sous    l'action dudit  ressort 1145.

   La patte repliée 1140 du bras  1141     (fig.    7) passe à travers une fente 1148  en forme de<B>L</B> pratiquée dans le verrou 1146,  et normalement ladite patte est engagée par  le cran extérieur du bras 1139 et retenue en  avant dans la partie     élargie'    de ladite fente  en forme de L 1148 contre l'action     d'un    res  sort 1149 tendu entre ledit bras 1141 et le  bras     inférieur    de la chape 1143, l'action de  ce ressort étant surmontée par le ressort 1137.

      Le mouvement de l'arbre 1135 et du bras  1139 dans le' sens des     aiguilles        d'-une    montre       (fig.    6 et 7), sous l'action de la butée de  marge gauche 1l29,     comme    il a été expliqué  plus haut, permet au bras 1141 de se dépla  cer vers l'arrière sous l'action du     ressort    1149  jusqu'à ce     qué    la patte repliée 1140 rencontre  la paroi arrière de la fente en forme de L  1148,

   sur quoi le cran extérieur dudit bras  1139 se dégage de ladite patte 1140 pour per  mettre au ressort 1149 de basculer ledit bras  1141     dans    le     sens    contraire à     celui    des aiguil  les d'une montre pour déplacer la patte 1140  dans la branche droite ou étroite de la fente  1148.

   Lorsque la saillie 1129 se déplace au  delà du     linguet    1130, l'arbre 1135 et le bras  1139 sont immédiatement     soumis    à l'action du  ressort 1137,     qui,    ramène ledit arbre et ledit  bras dans le sens contraire à celui des aiguil  les d'une montre, amenant le cran intérieur  dudit bras 1139, en coopération avec la patte  1140, à déplacer le bras 1141 vers l'avant  contre l'action du ressort 1149.

   Le mouvement  vers l'avant du bras 1141 amène la patte 1140  à venir en contact avec la paroi avant de la  branche étroite de la fente 1148, afin de  basculer le verrou 1146 dans le sens contraire  à celui des     aiguilles    d'une montre contre  l'action du ressort 1145 pour dégager la dent  dudit verrou de la saillie 1147,     afin.    d'aban  donner la chape 1143 à l'action dudit       ressort    1145.  



  Les bras de la chape 1143     (fig.    6 et 7)  portent des goujons 1150 en     alignement    axial  qui s'engagent     dans        une    rainure annulaire         d'un    organe d'accouplement 1151     pourvu    de  tenons qui s'engagent dans des entailles d'ac  couplement d'un organe entraîneur 1152 fixé       sur    un arbre 1153 tourillonnant dans     1e     châssis 1087. Ainsi, l'organe d'accouplement  1151 est monté pour pouvoir tourner simul  tanément avec l'arbre 1153, mais il peut aussi  se déplacer horizontalement sur cet arbre.

   Sur  l'extrémité droite de l'arbre 1153     (fig.    4)  est     fixée        Lune    roue conique 1154 qui engrène  avec une roue associée 1155 montée sur l'extré  mité supérieure d'un arbre vertical 1156     tou-          rillonnant    dans le châssis 1087, en aligne  ment axial avec l'arbre 1105 et relié à lui au  moyen     d'un    accouplement élastique 1157. Le       train    des mécanismes décrit ci-dessus relie  l'arbre 1153 au moteur à marche continue  1109 et ledit arbre 1153 tourne continuelle  ment dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme le montre la     fig.    4.  



  Le mouvement de la chape 1143 dans le  sens des     aiguilles    d'une montre     (fig.    6, 7 et 8)  après que le verrou 1146 a été dégagé de la  saillie 1147, ainsi qu'il a été expliqué ci-des  sus, amène le goujon 1150, en coopération  avec la rainure annulaire de l'organe d'accou  plement 1151,à déplacer ledit organe vers la  gauche, de manière à mettre en prise ses dents  d'accouplement avec les dents correspon  dantes d'un     tambour    1160 solidaire     d'une     came de remise en position 1161 et d'une  came hélicoïdale 1162, tous ces organes étant  montés librement sur l'arbre 1153.

   Ceci  amène le tambour 1160, la came 1161 et la  came hélicoïdale 1162 à tourner simultané  ment avec l'arbre 1153, sur     quoi    la came héli  coïdale, en coopération avec un goujon 1159  fixé sur la plaque 1117     (fig.    6 et 9), déplace  ladite plaque et la. chape 1115 vers la gauche  pour dégager les dents de l'organe d'accouple  ment 1093 de la roue 1090 et pour embrayer  en même temps les dents de l'organe d'accou  plement 1092 avec.

   les dents de la roue 1089  pour renverser le     sens    du mouvement du  chariot et amener ainsi ledit chariot à être  déplacé dans le sens de     tabulation.    Après que  la chape 1115 a été ramenée à sa position de  gauche, le     linguet    1119     (fig.    6 et 9) entre en      action pour bloquer ladite chape dans sa po  sition de gauche.  



  Les     pièces    1160, 1161 et 1162     (fig.    6 et 8)  sont normalement retenues dans la. position  de repos au moyen d'une encoche dans la  came 1161, en coopération avec un galet 1163  fixé sur un bras 1164 monté librement sur  une tige 1165 portée par le châssis 1087 et  entraînée par un ressort 1166 dans le     sens     contraire à celui des aiguilles d'une montre,  de manière à maintenir un prolongement vers  l'arrière de ce bras normalement en contact  avec une surface usinée du châssis 1087.

   Lors  que l'organe d'accouplement 1151 est en prise  avec les dents du tambour 1160, comme il a  été expliqué plus haut, la rotation de ce tam  bour et des pièces annexes dans le sens des       aiguilles    d'une montre, comme représenté à  la     fig.    8, éloigne l'encoche pratiquée à la péri  phérie de la. came 1161 du galet 1163, de ma  nière à basculer le bras 1164 dans le sens des       aiguilles    d'une montre pour tendre le ressort  1166.

   Après que les parties, y compris les  cames 1161 et 1162, ont presque accompli un  tour, l'encoche angulaire pratiquée à la péri  phérie de la came 1161, en coopération avec  le galet 1163 et sous l'action du bras 1164  soumis à la tension du ressort, accélère le  mouvement final desdites pièces,     afin    de les  faire tourner plus vite que l'arbre 1153, sur  quoi     les    surfaces angulaires des bords arrière  des dents du tambour 1160, en coopération  avec     les    surfaces semblables de l'organe d'ac  couplement 1151, déplacent ledit organe vers  la droite, comme on le voit sur la     fig.    6.  



  Le mouvement de la chape 1143 dans le  sens des aiguilles d'une montre     (fig.6    et 7),       lorsque    le verrou 1146 est. dégagé de la saillie  1147 de cette chape, ainsi qu'il a été expliqué  plus haut, amène une patte dirigée vers le bas  1167 de ladite chape à venir au contact.

   du  bras 1141 et à l'entraîner simultanément clans  le sens des aiguilles d'une montre, de façon à       retirer    sa patte repliée 1140 de la branche  étroite de la fente en forme de<B>L</B> 1148 et à  la placer dans la partie large de ladite fente,       pour        permettre    au ressort 1145 de ramener la  dent du verrou 1146 sur le chemin de la    saillie 1147 et à permettre au cran extérieur  du bras 1139 de venir à nouveau au contact  de ladite patte 1140 pour retenir le bras  1.141 dans la position normale, comme repré  senté sur les     fig.    6 et 7.

   Comme l'organe d'ac  couplement 1151     (fig.    6) est déplacé vers la  droite par le mouvement accéléré du tambour  1160 sous l'action du bras 1164 et du ressort  1.166     (fig.    8), ledit organe d'accouplement  1151 entraîne la chape 1143     simultanément     avec lui dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre pour amener la saillie  1147     (fig.    7) à     passer    à côté de la dent du  verrou 1146, sur quoi ledit verrou se pose  sur cette saillie pour retenir ladite chape et  l'organe d'accouplement 1151 en position dé  brayée, comme indiqué sur la     fig.    6.

   Le galet  1163     (fig.    6 et 8), en coopération avec l'en  coche de la came 1161, retient ladite carne, le  tambour 1160 et la came hélicoïdale 1162 dans  les positions représentées.  



  Lorsque la butée de la marge gauche 1129       (fig.    6) se déplace au-delà du     linguet    1130,  ladite butée coopère avec la butée fixe (non  représentée) exactement de la façon qui a été  expliquée pour la butée de la. marge droite  1127, de faon à empêcher un mouvement  excessif de retour du chariot, dans le cas où  le mécanisme de renversement ne fonctionne  rait pas assez vite pour arrêter ce mouvement  au préalable.

   Grâce à l'action du ressort 113'?  (fi-. 6), la saillie 1129 de la butée clé la  marge gauche passe à côté de l'extrémité infé  rieure du     linguet    1130 durant le     mouvement     de     tabulation    du chariot, lorsque ladite saillie  se trouve au-delà dudit     linguet,    ainsi qu'il a  été expliqué plus haut.  



  Il est entendu que le     linguet    de la. marge  gauche 1130     (fig.    6) entre en action lorsque  le chariot a été ramené à une position au-delà  de la zone des touches sélectrices de colonnes  1070 ou lorsque la touche de la marge gauche  1066 est abaissée et maintenue abaissée pour  retenir les pistons d'arrêt hors du chemin des  butées de colonnes.

   De même, le     linguet    de la  marge droite 1124 entre en action lorsque le  chariot. a été fabulé à une position au-delà de  la commande des touches<B>1070</B> sélectrices de      colonnes ou lorsque la touche tabulatrice 1071  a été abaissée et     maintenue    abaissée pour re  tenir les     pistons    d'arrêt hors du chemin des  butées de colonnes, pour amener le déplace  ment du chariot à sa position extrême de  fabulation.  



  En se référant aux     fig.    12, 13 et 27, les  pistons d'arrêt 1170, 1171, 1172, 1173, qui  coopèrent avec les taquets 733 sur le chariot  pour arrêter ce dernier     dans    des positions de       colonnes    appropriées, sont montés à glisse  ment vertical dans cl-es fentes pratiquées dans  des plaques plates 1174 montées sur deux  goujons 1175 fixés sur une plaque 1176 qui  porte trois goujons d'écartement 1177, fixés  par des vis à la barre arrière 138 de guidage  du chariot.

   En se référant à la     fig.    27, on  remarquera que les bords extérieurs des  pistons d'arrêt 1170 à 1173 inclus sont coni  ques pour permettre aux bords arrondis des  taquets d'arrêt 733 de passer par-dessus les  dits     pistons    lorsque le chariot se déplace soit  dans le sens de     tabulation,    soit dans le sens  de retour.

   Le jeu antérieur des pistons d'arrêt  1170 et 1171 possède à ses extrémités infé  rieures des encoches dans lesquelles sont en  gagés les doigts des extrémités de gauche de  leviers 1178 et 1179,     respectivement,    et le jeu  arrière de pistons 1172 et 1173     (fig.    12 et 27)  a     des    encoches analogues     dans    lesquelles s'en  gagent les doigts de leviers analogues 1180  et 1181, tous ces leviers pivotant sur le gou  jon central 1177.

   Des     ressorts    1182     (fig.    27),  tendus entre des crochets des leviers 1178 à  1181 inclus et des doigts d'un prolongement  vers le bas de la plaque 1176,     entraînent    les  dits     leviers    dans le sens des aiguilles d'une  montre pour maintenir normalement les pis  tons qui leur sont associés dans leurs posi  tions du haut et     pour    maintenir normalement  les extrémités de droite desdits leviers 1178  et 1179 en contact avec le bord supérieur  d'une barre de commande de     tabulation    1183.

    De même, les ressorts 1182     (fig.    12 et 27)  pour les leviers 1180 et 1181 maintiennent  les extrémités de droite desdits     leviers    en  contact avec la surface supérieure d'une barre  de     commande    de     tabulation    1184.    Sur la barre 1183     (fig.    17) est montée à  glissement une coulisse 1185 pourvue d'une  fente sur l'extrémité du haut par laquelle  passent les extrémités de droite des leviers  1178 et 1179. Sur la barre 1184     (fig.    5, 10  et 12) est montée à glissement     une    coulisse  1186 pourvue sur l'extrémité supérieure d'une  fente par laquelle passent les extrémités de  droite des leviers 1180 et 1181.

   La coulisse  1185     (fig.    17) peut glisser sur la barre 1183  au moyen de fentes parallèles dans celle-ci,  en coopération avec des goujons<B>1187</B> et 1188  fixés sur ladite barre 1183, ladite coulisse  possédant une fente qui chevauche un goujon  fixe 1189, lequel, conjointement avec un  goujon fixe associé 1190, s'engage dans des  fentes parallèles de la barre 1183 pour sup  porter ladite barre en vue d'un déplacement  vertical. Les goujons 1189 et 1190     (fig.    10)  supportent également la barre de commande  de     tabulation    1184 en vue d'un déplacement  vertical exactement de la même manière  qu'ils supportent la barre 1183.  



  Les barres 1183 et 1184     (fig.    11, 17 et  28) ont, respectivement, des prolongements  vers l'arrière, 1192 et 1193, qui coopèrent avec  un goujon 1194 d'un bras 1195 monté libre  ment sur le goujon 1189. Le bras 1195 pos  sède une surface usinée qui coopère avec un  goujon 1196 d'un bras<B>1197</B> fixé sur un arbre  7.198     tourillonnant    dans le châssis 1087 de la  machine.

   Sur l'extrémité gauche de l'arbre  1198 se trouve un levier à came 1199     (fig.    17)  portant des galets 1201 et 1202     qui    coopèrent,  respectivement, avec les périphéries .de cames  associées 1203 et 1204 montées librement sur  l'arbre 1153 et solidaires     d'im    tambour 1205       (fig.    18)     pourvu    de dents d'accouplement  qui coopèrent avec des dents d'accouplement  correspondantes d'un organe d'accouplement  1206     (fig.    26) monté à glissement sur l'arbre  1153, mais tournant simultanément avec lui.

    L'organe d'accouplement 1206 est     actionné     par une chape     déplaçable    1207, et ce méca  nisme d'accouplement servant à soulever les  pistons d'arrêt de     tabulation    est analogue sous  tous les rapports au et fonctionne exactement  de la même façon que le mécanisme d'accou-           plement    représenté sur la     fig.    6 servant à re  mettre en position la chape de renversement  1115. Toutefois, il y a une légère différence  clans la manière suivant laquelle les deux mé  canismes d'accouplement sont. embrayés et dé  brayés, et cette différence sera expliquée en  se rapportant aux     fig.    18 et 26.  



  La chape 1207 servant à actionner l'or  gane d'accouplement 1206 est supportée à ro  tation par un axe vertical 1200 qui est, à son  tour, supporté par le châssis 1087 et la pla  que supérieure 1136. Un bras de la chape  1207 a une saillie antérieure 1208 qui vient  au contact de la dent d'un verrou 1209 monté  librement sur un arbre vertical 1210 touril  lonnant dans le châssis de la. machine. Un       ressort    1211, tendu entre un bras de la chape  1207 et le verrou 1209, entraîne lesdites  parties dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, de manière à maintenir normalement le  verrou en prise avec la saillie 1208.

   Le verrou  1209 possède une fente en forme de L 1212  au travers de laquelle     passe    une saillie vers  le haut 1213 d'un bras de dégagement 1214  du verrou qui est monté sur un des bras de  la chape 1207, de faon à pouvoir pivoter et  se déplacer à l'aide d'un goujon de ce bras  qui s'engage dans une fente dudit bras de la  dite chape. Un ressort 1215 est tendu entre  le bras 1214 et un bras de la chape 1207 pour  entraîner ledit. bras 1214 dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre et en  même temps pour entraîner ledit bras vers  l'arrière, de manière à maintenir normale  ment ledit bras, comme le montre la     fig.    18.

    La saillie     vers    le haut 1213 du bras 1214 co  opère avec un     linguet    de dégagement 1216  du verrou, fixé sur l'arbre 1210. Sur l'extré  mité supérieure de l'arbre 1210 est également  fixé un bras 1217     (fig.    26) relié par une     arti-          eulation    1218 à un bras 1219 fixé sur un  arbre 1220 tourillonnant dans le châssis 1087.  Un ressort 1221, tendu entre le bras 1217 et  la plaque 1136, entraîne ledit bras, l'arbre  1210 et le     linguet    1216 dans le sens des  aiguilles d'une montre pour maintenir nor  malement lesdites parties en positions nor  males, comme représenté.

      Lorsque l'arbre 1220 est actionné de la  manière qui va être maintenant décrite,  l'arbre 1210     (fig.    18 et 26), ainsi que le     lin-          guet    1216 sont basculés dans le     sens    contraire  à celui des aiguilles d'une montre contre  l'action du ressort 1221, en amenant ledit       Jinguet,    en coopération avec la .saillie vers le  haut 1213,à déplacer le bras 1214 vers l'avant  contre l'action du ressort 1215 et, étant donné  que la saillie repliée vers le haut 1213 se  trouve dans la partie étroite de la fente "en  forme de<B>L</B> 1212, le verrou 1209 se déplace  simultanément avec elle dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre,

   de  manière à dégager la dent dudit verrou de la  saillie 1208 de la chape 1207. Ceci a pour  effet d'abandonner la chape 1207 à l'action  du ressort 1211 qui déplace immédiatement  ladite chape dans le sens des aiguilles d'une  montre, de manière à mettre en prise les dents  de l'organe d'accouplement 1206 avec les  dents     correspondantes    du tambour 1205 et à  faire tourner ledit. tambour et les cames 1203  et 1204 d'un tour dans le     sens    des aiguilles  d'une montre, comme on le voit sur la     fig.    17.  



  Du fait de la rotation des cames 1203 et  1204, le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras  1197 se déplacent d'abord dans le sens des  aiguilles d'une montre et ensuite font retour  à la position normale, mouvement qui, au  moyen du goujon 1196     (fig.    11), bascule le  bras 1195 d'abord dans le sens contraire à.  celui des aiguilles d'une montre, amenant le  goujon 1194, en coopération avec les prolon  gements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1184,  à déplacer lesdites barres vers le haut.

   Le  mouvement vers le haut des barres 1183 et  1184, au moyen des leviers correspondants  1178 et 1181 inclus     (fig.    12 et 27), déplace  les pistons d'arrêt correspondants 1170 à 1173  inclus vers le bas hors de prise du taquet  733 du bloc 722, de façon à permettre au  chariot de se déplacer soit dans le sens de       tabulation,    soit dans le sens de retour.  



  Le mouvement de la chape 1207 dans le  sens des aiguilles d'une montre     (fig.    18) pour  engager le mécanisme d'accouplement, lors  que le verrou 1209 est libéré comme expliqué      plus haut, amène     une    saillie vers le bas 1222  du bras     inférieur    de ladite chape à engager  le bras 1214 pour     basculer    ledit bras     dans    le       sens    des aiguilles     d'une    montre contre l'action  du ressort 1215, afin de déplacer la saillie  vers le haut 1213 hors de la branche étroite  de la fente 1212 et à     l'introduire    dans la  branche élargie de ladite fente,

   pour permet  tre au ressort 1211 de ramener immédiate  ment ledit verrou 1209 dans le sens des       aiguilles    d'une montre vers une position où  sa dent se trouve sur le chemin de la saillie  1208. Lorsque les cames 1203 et 1204<B>-</B>et le  tambour 1205     (fig.    17 et 18) approchent de  la     fin    de leur révolution dans le sens des  aiguilles d'une montre, une saillie-came 1223  de la périphérie dudit     tambour    vient au con  tact d'un goujon aplati 1224 fixé sur le bras  supérieur de la chape 1207 et bascule ladite  chape dans le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre contre l'action du res  sort 1211, pour amener la saillie 1208 à passer  à côté de la dent du verrou 1209,

   sur quoi  ledit verrou entre en action pour retenir la  dite chape     ainsi    que l'organe d'accouplement  1206     (fig.    26) en position débrayée.  



  Les cames 1203 et 1204 et le tambour 1205  sont aidés à regagner leur position de repos  et à y être retenus au moyen d'une encoche  pratiquée dans un disque de repérage 1225       (fig.    26)     solidaire    desdites cames et dudit  tambour, en coopération avec     un    galet fixé  sur un levier de repérage 1226     entraîné    par  un ressort, qui est analogue au levier 1164  représenté sur la     fig.    8 et expliqué ci-dessus  et     fonctionnant    exactement comme lui.

   Le  levier de repérage 1226     (fig.    18 et 26) situe  le tambour 1205, de sorte que sa came-saillie  1223 se trouve au-delà de la surface plate  du goujon 1224, de manière à ne pas gêner  le mouvement d'embrayage de la chape 1207  dans le sens des aiguilles d'une montre, lors  que le verrou 1209 est de nouveau débrayé de  l a manière     expliquée    plus haut.  



  Après que le chariot s'est déplacé vers la       position    de colonne     sélectionnée,    le     linguet     1.216 et l'arbre 1210 sont ramenés dans le sens  des aiguilles     d'une    montre     vers    la position    normale,     d'une    manière qui va être décrite       maintenant,    permettant     ainsi    au ressort 1215  de ramener le bras 1214 vers l'arrière et dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre pour     introduire    de nouveau la saillie  vers le haut 1213 dudit bras dans la branche  étroite de la fente 1212,

   de sorte que l'opéra  tion dudit arbre et dudit     linguet    7.216, de la  manière     expliquée    plus haut, débloquera de  nouveau le verrou 1209 pour dégager les  pistons d'arrêt.  



  Sur la barre de     tabulation    1184     (fig.    5,  10 et 17) pivote un     linguet    1229 présentant  une surface angulaire 1230 normalement       maintenue    en contact avec la tige 1189 par  un ressort 1237. qui entraîne ledit     linguet     dans le sens des aiguilles d'une montre.

   Un  prolongement vers le bas du     linguet    1229 est  disposé pour coopérer avec un goujon carré  1232     fixé    sur l'extrémité avant d'un bras 1233  monté librement sur la tige 1189 et entraîné  dans le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre par un ressort 1234 pour main  tenir normalement un prolongement vers le  bas 1235 de ce bras en contact avec le bord  supérieur d'un prolongement horizontal d'un  bras de commande de fabulation 1236.

   Un  autre prolongement 1237     (fig.    10) du bras  1233 est disposé pour coopérer avec le bord  supérieur arrondi de la     traverse    d'une chape  1238, laquelle, conjointement avec un bras de  commande du retour 1239, qui est un bras  droit conjugué du bras 1236, coopère avec  les barres 1183 et 1184 d'une manière     qui     sera décrite ultérieurement pour commander  les mouvements de     tabulation    et de retour du  chariot.

   Sur les bras conjugués 1236 et 1239       (fig.    12, 13, 15, 16 et 20) sont fixés des  moyeux correspondants montés librement sur  une tige 1240 entre une plaque 1241,     d'une     part,     fixée    à son tour au châssis droit 134 des  totalisateurs et au socle de la machine et à       ime    console 1242, d'autre part, fixée à son tour  sur la plaque 1191     (fig.    4). Les moyeux pour  les bras 1236 et 1.239     (fig.    12, 13 et 15)  s'ajustent entre les bras parallèles de la chape  1238, ces bras pivotant, à leur tour, sur la  tige 1240.

        Une     vis    de réglage 1243 s'étend entre les       bras    parallèles de la chape 1238, passe libre  ment dans le bras droit et est filetée dans le  bras gauche, de façon à former une tringle  entre lesdits bras parallèles et à prévoir un       dispositif    servant à régler lesdits bras latéra  lement, de sorte que les moyeux pour les bras  1236 et 1239 s'ajusteront étroitement entre  les bras pour former un bâti 1248 de trois  éléments 1236, 1238 et 1239, bâti qui peut se  déplacer latéralement sur la tige 1240. Un  écrou de blocage coopère avec une partie       filetée    de la vis 1243 qui passe à travers le  bras droit de la chape 1238, de façon à fixer  ladite vis dans     sa    position de réglage.

    



  Sur les surfaces intérieures des bras pa  rallèles de la chape 1238 sont fixés des gou  jons 1244 et 1245     (fig.    12, 13 et 15) qui s'en  gagent dans des fentes des bras de droite et  de gauche semblables fixés sur les extrémités  opposées d'un manchon 1246 et espacés par  lui de telle façon     qu'ils    s'ajustent entre les  surfaces intérieures desdits bras parallèles de  ladite chape 1238. Le manchon 1246 s'ajuste  librement sur une tige 1247 portée par la  plaque 1241 et la console 1242 et, avec ladite  chape 1238 et les bras 1236 et 1239, forment  un bâti mobile qui peut être disposé latérale  ment sous l'action du chariot lorsque celui-ci  se déplace vers ses diverses positions de co  lonnes, ainsi qu'il va être expliqué maintenant.  



  Le manchon 1246     (fig.    12 et 13) possède  des     dents    annulaires 1249 entaillées dans ce  lui-ci, qui coopèrent avec les dents d'un seg  ment 1250 fixé sur une extrémité d'un arbre  court 1251 tourillonnant dans un. coussinet  1252 fixé sur la plaque 1176. Sur l'extrémité  opposée de l'arbre 1251 se trouve un autre  segment d'engrenage 1253 qui engrène avec  des dents de crémaillère entaillées dans le  bord inférieur d'une barre     1254    supportée  pour un mouvement horizontal par des fentes  parallèles 1255 et 1256, en coopération avec       des    goujons correspondants fixés sur la pla  que 1176.

   L'extrémité de gauche de la barre  1254     (fig.    12 et 13) porte des dents de cré  maillère qui engrènent avec un pignon 1257       solidaire    d'une roue d'index 1258 fixée sur    un tronçon d'arbre 1259, dont les extrémités  opposées tourillonnent dans la plaque 1176 et  dans la plaque laminée antérieure 1174 en vue  de supporter les pistons d'arrêt de     tabulation.     En considérant la     fig.    12, on remarquera que  le pignon 1257, la roue 1258 et l'arbre 1259  sont situés au milieu de l'espace formé entre  les pistons d'arrêt de droite et de gauche<B>1170</B>  à 1173 inclus, espace prévu pour     les    taquets  d'arrêt 733     (fig.    1.3) des blocs de commande  722,

   de façon à situer le chariot dans ses di  verses positions de colonnes.  



       Les        dents    de la roue 1258 sont disposées  de façon telle .qu'elles puissent venir au con  tact d'un goujon aplati 732 de chacun des  blocs de commande 722 et, à mesure que le  chariot se déplace d'une position de colonne  à la suivante, le goujon     sortant    732 fait pi  voter la roue 1258 de la moitié de l'entre-dent  et le goujon entrant 732 achève ce mouve  ment d'ajustage en faisant pivoter ladite roue  de l'autre moitié de l'entre-dent, ainsi qu'on  le. comprendra en comparant les     fig.    13 et 14.

    Lorsque le chariot est placé dans une position  de colonne par le taquet 733 en coopération  avec les pistons d'arrêt 1170 à 1173, le gou  jon correspondant 732 est en prise avec les  dents de la roue 1258, comme le montre la       fig.    14, pour placer et maintenir en position  retirée ladite roue et les pièces qui lui sont  reliées.

   Une barre de retenue 1260     (fig.    13 et  14), montée à glissement sur la face inté  rieure de la plaque 1176, est entraînée vers  la gauche par un ressort 1261, de façon à  maintenir une partie dentée de ladite barre  en prise flexible avec les dents de la roue 1258  pour maintenir en position convenable ladite  roue et les pièces qui lui sont reliées lorsque  le chariot se déplace d'une position de co  lonne à une autre et que     les    goujons 732 sont.  hors de prise avec les dents de ladite roue,  comme le montre la     fig.    13.

   A mesure que le  chariot se déplace d'une position de colonne  à la suivante, soit dans le sens de     tabulation,     soit dans le     sens    de retour,     les    goujons 732,  en coopération avec les dents de la roue 1258       (fig.    13 et 14), déplacent le bâti 1248 com  prenant les bras de commande de     tabulation         I236 et 1239 et la chape 1238 d'un pas pour  chaque position de     colonne    par laquelle passe  le chariot et dans le sens de déplacement du  chariot, de sorte que ledit bâti 1248 est tou  jours     ajusté    en     rapport    avec la position de  colonne du chariot.  



  Dans la machine représentée, la capacité       maximum    du chariot est de     dix    positions de       colonnes.    Toutefois, l'augmentation de la ca  pacité du chariot quant au nombre de co  lonnes n'est qu'une question d'habileté méca  nique ne sortant pas du cadre de la présente       invention.     



  Les bras de droite et de gauche de la  chape 1238     (fig.    16), en regardant depuis  l'arrière de la     machine,    passent par des ouver  tures<B>1262</B> et 1263 pratiquées dans les parties  repliées des bras 1236 et 1239, et le bras 1239  porte     un    goujon 1264     (fig.    17 et 20) qui passe  par une fente 1265 du bras 1236. L'ouverture  1263 permet le mouvement de la chape 1238  pendant que le bras 1239 reste immobile.  Toutefois, l'ouverture 1262 est aménagée pour  entrer en contact avec le bord supérieur du  bras droit de la chape 1238 lorsque cette  dernière est soulevée à la position active,  comme on va l'expliquer.

   Par conséquent, la  chape 1238, qui est toujours basculée vers le  haut lorsque le chariot passe d'une position  de colonne à une autre,     entraîne    toujours le  bras 1236 avec lui vers le haut. Lorsque le  bras de     tabulation    1236 se déplace vers le  haut, sa fente 1265     (fig.    20) donne du jeu au  goujon 1264; par conséquent, le bras de re  tour 1239 demeure immobile. Toutefois, lors  que le bras de retour 1239 est déplacé vers le  haut, comme il sera expliqué plus loin, son  goujon 1264, en coopération avec le bord su  périeur de la fente 1265, soulève avec lui le  bras de     tabulation    1236. Le but de ces liaisons  entre les bras 1236 et 1239 et la chape 1238  ressortira     dü    cours de l'exposé.  



  Se référant     aux        fig.    16 et 17, les bords       inférieurs    du bras 1239 et de la traverse de  la chape 1238 coopèrent avec -Lui levier 1266  de soulèvement pour la marge gauche, et les       bords    inférieurs du bras 1236 et de la tra-    verse de la chape 1238 coopèrent avec dix  leviers sélecteurs de     coloimes    1267     reliés    aux  touches sélectrices de colonnes correspon  dantes 1070     (fig.    1) et, avec le levier de  marge gauche 1266, sont montés à oscillation  sur un goujon 1268 qui s'étend entre la pla  que 1191     (fig.    4) et le châssis de droite 130.

    Le levier 1266 porte sur son     extrémité    infé  rieure un goujon 1269     (fig.    17) qui s'engage  dans une fente verticale dans l'extrémité  arrière d'une articulation 1270, dont l'extré  mité antérieure pivote sir un bras 1271  monté     librement    sur une tige 1272 s'étendant  entre la plaque 1191 et le châssis de droite  130. Une articulation 1273     relie    à pivot le  bras 1271 à un levier 1274 monté librement  sur une tige 1275 également portée par la  plaque 1191 et le châssis de droite 130.

   Un  fil métallique 1276 relie le levier 1274 à  l'extrémité de droite du levier 1066 de la  touche de marge gauche, lequel levier pivote  sur un axe fixe<B>1277.</B> Un ressort 1279       (fig.    17)     entraîne    le bras 1271 et les leviers  1266 et 1274 dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre, afin de maintenir       ces    parties dans leurs positions normales ou  de repos, comme représenté.  



  Les leviers 1267     (fig.    17 et 20) sont reliés  à leurs touches sélectrices de colonnes respec  tives 1070 au moyen     d'une    articulation ana  logue à celle représentée sur la     fig.    17 pour  la touche de marge gauche 1066, et. la liaison  entre le levier correspondant 1267 et la  touche de Dépôts 1070 est représentée sur la       fig.    21. Le levier 1267 'pour la touche de Dé  pôts 1070 porte sur son extrémité inférieure  un goujon     qui        s'engage    dans une fente verti  cale d'une articulation 1280 dont l'extrémité  antérieure pivote sur un bras 1281 monté  librement     sur    la. tige 1272.

   Un goujon du bras  1281 s'engage dans une fente de l'extrémité       inférieure-d'ime    articulation 1282 dont l'extré  mité supérieure pivote sur     im    levier 1283  monté     librement    sur la tige 1275. Le levier  7.283 est relié par un fil métallique 1284 à  l'extrémité de droite de la partie de     levier     de la touche de Dépôts 1070 qui est montée  librement sur l'axe 1277.

   Une série de barres      d'arrêt 1285     (fig.    21) coopère avec les extré  mités arrière des leviers 1283 en vue d'em  pêcher le mouvement dans le sens des     aiguilles     d'une montre de plus d'un de ces leviers à la  fois et ainsi empêcher l'abaissement de plus  d'une touche sélectrice de colonne à la  fois. Un ressort 1286 entraîne le bras  1281, les leviers 1267 et 1283 dans le  sens contraire à celui     des    aiguilles d'une mon  tre, afin de maintenir normalement lesdites  parties dans leurs positions normales, comme  représenté.

   La fente dans l'extrémité arrière  de l'articulation 1280 (fis. 21) permet à cette  articulation d'être facilement dégagée ou  reliée au goujon de l'extrémité     inférieure    du  levier 1267, et la partie élargie de la fente       dans    l'extrémité inférieure de l'articulation  1282 permet à ladite articulation d'être faci  lement dégagée ou reliée au goujon du bras  1281, tandis que la boucle dans l'extrémité  inférieure du fil 1284 permet audit fil d'être  facilement dégagé ou relié au goujon du  levier 1283 pour faciliter le démontage ou  l'assemblage de ces     parties.     



  L'abaissement de la touche de Dépôts 1070       (fig.    1, 10, 20 et 21) bascule le levier 1283  dans le     sens    des aiguilles d'une montre, lequel  mouvement, par l'intermédiaire de l'articula  tion 1282, du bras 1281 et de l'articulation  1280, se     transmet    au levier 1267 pour bascu  ler ledit levier également dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   Le mouvement du  levier 1267 dans le     sens    des aiguilles d'une  montre amène une came angulaire 1287 de       l'extrémité    supérieure de ce levier, en coopé  ration avec les bords inférieurs en forme de       dents    1288 et 1289, respectivement, de la  partie     repliée    du bras 1236 et de la traverse  de la chape 1238, à basculer ledit bras et la  dite chape dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre.

   Lorsque la came 1287  passe au-delà du bord inférieur 1288 du bras  1236, ledit bord 1288 tombe derrière un  épaulement de l'extrémité supérieure dudit  levier 1267, de manière à bloquer ledit levier  et les pièces annexes, y compris la touche de  Dépôts 1070, dans leurs positions de     manoeu-          vre.    Le mouvement du bras 1236 dans le sens    contraire à. celui des aiguilles d'une montre       (fig.    10 et 20) amène le bord supérieur de sa  partie repliée, en coopération avec le prolon  gement 1235 du bras 1233, à basculer ledit  bras dans le sens des aiguilles d'une montre  contre     l'action    de son ressort 1234.

   Le mou  vement du bras 1233 dans le sens des aiguilles  d'une montre     (fig.    20) amène son goujon  carré 1232, en coopération avec le prolonge  ment avant d'un bras 1290 monté librement  sur la tige 1189,à basculer ledit bras simul  tanément dans le sens des aiguilles d'une  montre.    Sur le bras 1290 pivote l'extrémité supé  rieure d'une barre 1291 portant un goujon  aplati 1292 qui s'engage dans une fente dans  l'extrémité supérieure d'un bras 1293 monté  librement sur la tige 1268 et relié par une  tige 1294 à un bras associé 1295     (fig.    17)  également monté librement sur la tige 1268.

    Un ressort 1300, tendu entre le bras 1290 et  la barre 1291, entraîne ledit bras dans le sens  contraire à celui des aiguilles d'une montre  pour maintenir normalement son extrémité  avant en contact avec le goujon 1232 et en  traîne le bras 1293 également dans le     sens     contraire à celui des aiguilles d'une montre  pour maintenir normalement la tige 1294 en  contact avec les leviers 1267 des touches sélec  trices de colonnes et avec le levier 1266 de la  touche de marge gauche.  



  Le mouvement des bras 1233 et 1290 dans  le     sens    des aiguilles d'une montre     (fig.    10  et 20), sous l'action du bras 1236, comme  expliqué plus haut, déplace le goujon 1292  vers le bas dans le chemin d'un prolongement       @    ers le haut 1296 d'un bras 1297 monté libre  ment sur. la tige 1268 et relié par une articu  lation 1298à un bras 1299 fixé sur l'arbre  1220. Le mouvement du goujon 1292 dans le  chemin du prolongement vers le haut 1296 se  produit avant que la tige 1294     (fig.    20) ait  subi un mouvement appréciable par le mou  vement du levier 1267     dans    le sens des  aiguilles d'une montre.

   Toutefois, le mouve  ment ultérieur dudit. levier 1267 dans le sens  des aiguilles d'une montre, après que le      goujon 1292 a été déplacé dans le     chemin    du  prolongement 1296, bascule le bras 1297 dans  le     sens    des aiguilles d'une montre, lequel, au  moyen de l'articulation 1298, bascule le bras  1299 et l'arbre 1220     simultanément    dans le       sens    des     aiguilles    d'une montre.

   Le mouve  ment de l'arbre 1220 dans le sens des aiguilles  d'une montre     bascule    au moyen de l'articula  tion 1218     (fig.    26), le bras 1217 et l'arbre  1210     dans    le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre, comme on le voit sur  la     fig.    18, pour amener le     linguet    1216, en  coopération avec le prolongement replié 1213  du bras 1214,à dégager le verrou 1209 de la       saillie    1208 de la chape 1207, .pour faire  entrer en action le mécanisme d'accouplement  pour les cames 1203 et 1204     (fig.    17).

   La ro  tation des cames 1203 et 1204     (fig.    11 et 17)  bascule le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras  1197 d'abord dans le     sens    des     aiguilles    d'une  montre, amenant le goujon 1196 à basculer  le bras 1195 dans le     sens    contraire à celui  des aiguilles     d'une    montre.

   Le mouvement du  bras 1195 dans le sens contraire à celui     des     aiguilles d'une montre amène le goujon 1194,  en coopération avec les prolongements 1192 et  1193 des barres 1183 et 1184,à déplacer les  dites barres vers le haut de la     manière    expli  quée     ci-dessus.    Le mouvement de la barre 1184  vers le haut     (fig.    10) retire la surface angu  laire 1230 prévue sur le     linguet    1229 du gou  jon 1189 pour permettre au prolongement  vers le bas     dudit        linguet    de se poser sur le  goujon carré 1232 lorsque la barre 1184  atteint la     limite    de son mouvement vers le  haut,

   afin de bloquer ladite barre dans sa  position haute.  



  Le mouvement de- la barre 1183 vers. le  haut     (fig.    28) retire une surface angulaire  1303 d'une ouverture dans un     linguet    1304,  qui pivote sur ladite barre, à l'écart du gou  jon 1189 de faon à abandonner ledit     linguet     à l'action d'un ressort 1305, tendu de façon  à     entraîner    ledit     linguet    dans le     sens    des       aiguilles    d'une montre.

   Lorsque ladite barre  1183 atteint la limite de son mouvement vers  le- haut, une surface 1306 du     linguet    1304 se  déplace sur le bord supérieur de la traverse    de la chape 1238     pour        verrouiller    ladite barre  1183     dans    sa position haute.  



  Le mouvement des barres 1183 et 1184  vers le haut     (fig.    12 et<B>27),</B> ainsi qu'il a déjà  été expliqué, déplace les pistons d'arrêt cor  respondants 1170, 1171, 11t2 et 1173 vers le  bas hors de prise avec les taquets d'arrêt 733  pour permettre le déplacement du chariot  sous l'action du mécanisme d'entraînement  hydraulique.

   En se référant aux     fig.    20 et 21,  on se rappellera que la traverse de la chape  1238 se déplace vers le haut du fait du mou  vement du levier 1267 dans le     sens    des  aiguilles d'une montre au moment même où  le bras 1236 se déplace vers le haut et est  retenu dans cette position lorsque le bord  inférieur 1288 dudit bras 1236 tombe der  rière l'épaulement de la came 1287 pour re  tenir ledit levier 1267 dans sa position     atteinte     en tournant     dans    le     sens    des aiguilles d'une  montre ou position de     man#uvre.     



  Lorsque les bras 1236 et 1239 et la chape  1238 sont ajustés latéralement, comme indi  qué sur la     fig.    16, par le chariot     quand    il se  déplace vers sa position extrême de     tabula-          tion,    position qui correspond à     une    colonne   Pick-up  de la pièce comptable, une ouver  ture 1307, formée par les bords inférieurs des  bras 1236 et 1239 et par une encoche 1308       dans    le bord inférieur de la chape 1238, coïn  cide avec l'extrémité supérieure du levier 1267  pour la touche  Pick-up  1070 et, lorsque le  chariot se trouve dans cette position, l'abais  sement de la touche  Pick-up  ne provoquera  pas de soulèvement des bras 1236 et 1239 et  de la chape 1238,

   et le chariot restera, par  conséquent,     immobile.     



  Normalement, le mécanisme d'entraîne  ment du chariot     (fig.    6 et 9) agit de manière  à     entraîner    le chariot dans le sens de     tabula-          tion    et, lorsque ledit chariot se trouve dans  la position de la colonne  Pick-up  et les  pièces 1236, 1238 et 1239     dans    les positions  indiquées sur la     fig.    16, la     libération    des  pistons d'arrêt par l'abaissement de la touche  de Dépôts 1070, comme     expliqué    ci-dessus,  déplacera le chariot dans le sens de     tabula-          tion    ou vers la droite,

   comme représenté sur      le     dessin.    Lorsque l'encoche 1308 dans le bord  inférieur de la chape 1238 passe au-delà de  l'extrémité supérieure du levier 1267 pour la  touche des Dépôts, ladite chape tombera en  permettant à la barre 1183     (fig.    28) de se dé  placer simultanément avec elle vers le bas,  permettant ainsi aux pistons 1170 et 1171       (fig.    12 et 13) de se déplacer vers le haut  dans le chemin du taquet d'arrêt 733 du bloc  de commande 722 situé dans la position de la  colonne des dépôts du chariot et, immédiate  ment après, le bord intérieur de l'extrémité  inférieure du bras 1236 passe au-delà du  levier 1267 et ledit bras et la barre 1184       (fig.    10)

   descendent simultanément pour ra  mener les     pistons    1172 et 1173 sur le chemin  dudit taquet 733 pour la colonne des Dépôts.  



  Les barres 1183 et 1184 sont. ramenées vers  le bas juste avant. que le chariot arrive à la  position de la colonne sélectionnée. Par con  séquent, le bord inférieur arrondi du taquet  733     (fig.    13 et 14) se pose sur les bords su  périeurs inclinés des pistons 1170 et 1172  pour les abaisser.

   Le mouvement des pistons  1170 et 1172 vers le bas     (fig.    12 et 27) bascule  les leviers correspondants<B>1178</B> et 1180 dans  lé sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre contre l'action du ressort 1182, de ma  nière à déplacer les coulisses correspondantes  <B>1185</B> et 1186 (voir également les     fig.    5, 11 et  17) vers le haut contre l'action de leurs res  sorts     correspondants    1301 et 1302 pendant  que les barres correspondantes 1183 et 1184  restent dans leurs positions basses.

   Le mouve  ment de la     coulisse    1186 vers le haut     (fig.    5)  retire un prolongement avant d'un bras 1309,  pivotant sur la coulisse, d'un goujon fixé sur  la     barre    1184, de façon à abandonner ledit       bras    à l'action d'un ressort 1310 qui bascule  ledit bras dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre pour déplacer un gou  jon carré 1311 fixé sur l'extrémité inférieure  de ce     bras    sous un prolongement 1312 de la  traverse d'une chape 1313 montée librement  sur un arbre 1314     (fig.    4 et 17) qui tourne  dans la pièce en fonte 1101 du mécanisme  hydraulique.

   Le mouvement ultérieur de la       coulisse    1186 et du bras 1309 vers le haut    amène le goujon carré 1311, en coopération  avec le prolongement 1312, à basculer la  chape<B>1313</B> dans le sens des aiguilles d'une  montre.  



       Etant    donné qu'un bras gauche de la  chape 13l3 (fi-. 4, 6, 17 et 26) est relié  à oscillation par une articulation 1315 à     Lui     bras 1316     ixé    sur l'extrémité de droite d'un  arbre 1317 de renversement du     mouvement     du chariot, arbre tournant dans les bras di  rigés vers l'arrière du châssis 1087, le mouve  ment de ladite chape dans le sens des aiguilles  d'une montre bascule ledit arbre dans le sens  contraire à. celui des aiguilles d'une montre,       comme    on le voit sur la fi.. 17.

       Sur    l'arbre  1317 est     également    fixé     (fig.    6, 7 et     '?6)    un  bras<B>1318</B> relié à oscillation par une articu  lation<B>1319</B> au bras 1138 lequel, comme il a  été expliqué ci-dessus, est fixé sur l'extrémité  supérieure de l'arbre vertical 1135 et, par  conséquent, le mouvement dudit arbre 1317  dans le sens des aiguilles d'une montre dé  place l'articulation 1319 vers l'avant, pour  basculer le bras<B>11.38</B> et l'arbre 1135 d'abord  dans le sens des aiguilles d'une montre, comme  représenté.

   Le mouvement. de l'arbre 1135 et  du bras 1139 dans le sens des aiguilles d'une  montre (le bras étant, comme on se rappelle,  calé sur ledit arbre) retire ledit bras de la  patte repliée 1140 du bras 1141 pour permet  tre audit bras de se déplacer dans la partie  étroite 1148 de la fente en forme de     L    dans  le verrou 1146, comme il a été expliqué pré  cédemment.  



  Lorsque le taquet 733     (fig.    12 et     271)    du  bloc de commande 722 pour la colonne des  Dépôts arrive dans l'espace entre les pistons  d'arrêt, les pistons 1170 et 1172 sont ramenés  vers le haut par leurs ressorts 1182, ramenant  ainsi les coulisses 1185 et 1186 vers le bas à:  la position normale, de manière à remettre le  bras 1309     (fig.    5) également dans le sens des  aiguilles d'une montre à la position normale  représentée.

   Le     mouvement    de remise en po  sition vers le bas de la coulisse 1186 et le  mouvement du bras 1309 dans le sens des  aiguilles d'une montre abandonnent la chape  1313 et le mécanisme annexe à l'action du      ressort 1137     (fi-.    6, 7 et 26), ce qui ramène       immédiatement    le bras 1138, l'arbre 1135 et  le bras 1139 dans le sens contraire à celui des       aiguilles        d'une    montre à la position normale.  



  Le mouvement du bras 1139 dans le sens  contraire à celui des aiguilles     d'une    montre  amène ledit bras, en coopération avec la patte  1140, à dégager le verrou 1146 de la     saillie     1147 de la chape 1143     (fig.    7) pour faire  entrer en action le mécanisme d'accouplement  représenté     sux    la     fig.    6, de manière à amener  la came 1162 à faire un tour pour ramener la  chape 1115 à sa position de gauche ou de     ta-          bulation,    au cas où ladite     coulisse    serait pour  une raison quelconque en position pour en  traîner le chariot dans le sens de retour.

   Ceci  constitue une     mesure    de précaution     prise    pour  tous les cas où le chariot se déplace d'une  position de     colonne    à une autre soit dans le       sens    de     tabillation,    soit dans le sens de retour  pour s'assurer que le mécanisme représenté  sur les     fig.    6 et 9 est normalement en état       d'entraîner    le .chariot dans le sens de     tabula-          tion    en vue d'effectuer ce mouvement du cha  riot en un minimum de temps.  



  Sur la     coulisse    1185     (fig.    4 et 17)     est     monté     -Lin    bras 1320 analogue sous tous les  rapports au bras 1309     (fig.    5) pour la cou  lisse 1186, ledit bras ayant un goujon carré  1321 qui coopère avec un prolongement 1322  prévu sur la traverse de la chape 1313 pour  déplacer ladite chape de la faon déjà dé  crite     pour    ledit bras 1309.  



  Il est évident que, lorsque le     levier    1267       (fig.    16 et 21) de la touche des Dépôts 1070  arrive     dans        l'ouverture    formée entre les bords       inférieurs    des bras 1236 et 1239, le bord infé  rieur 1288 dudit bras 1236 passe au-delà de  l'épaulement de l'extrémité supérieure dudit       le;é-ier   <B>1267</B>     pour    libérer ledit levier et les  parties annexes à l'action du ressort 1286, ce  oui ramène immédiatement lesdites parties, y  compris la touche des Dépôts 1070, aux posi  tions normales représentées.

   Tant que le cha  riot se trouve dans la colonne des Dépôts,       'L'abaissement    de la touche des Dépôts<B>10710</B>  basculera simplement le levier 1267 en avant  et en arrière     sans        imprimer    aucun mouvement    au bras 1236 ni à la chape 1238. Par consé  quent, le chariot restera dans la colonne des  Dépôts.  



  Le bras droit de la chape 1313     (fig.4)     porte sur son extrémité supérieure un goujon  1323 maintenu en contact avec une surface  usinée d'un bras 1324, fixé sur l'arbre 1314,  par un ressort 1325 tendu entre ledit bras et  ladite saillie vers le haut. Sur l'arbre 1314  sont également fixés des     doigts    identiques  dont les extrémités coopèrent avec des pistons  correspondants 1327 diamétralement opposés,  montés librement dans des trous de la pièce  en fonte 1101 et s'étendant entre les extré  mités desdits doigts et la surface supérieure       d'un.    organe d'accouplement 1328 fixé à rota  tion sur l'arbre 1100, mais pouvant se dépla  cer sur ledit arbre dans le sens axial.

   Un  piston 1335, actionné par     im    ressort et monté  dans un trou de l'organe d'accouplement 1328  où il est tenu en place par une vis d'arrêt,  coopère avec une encoche correspondante de  l'arbre 1100 pour maintenir normalement les  dents de la face inférieure dudit organe hors  de prise avec les dents correspondantes de la  face supérieure d'un organe d'accouplement  correspondant 7.329. L'organe d'accouplement  1329 est solidaire d'une roue dentée l330  montée librement sur l'arbre 1100 et engre  nant avec mi pignon 1331 solidaire d'une roue  dentée 1332 montée librement sur un tronçon  d'arbre 1333 supporté par la pièce en fonte  1101.

   La roue 1332     (fig.    4) engrène avec une  roue dentée 1334 fixée sur le corps du dispo  sitif d'accouplement 1102 et tournant solidai  rement avec ledit corps et la roue 1103.  



  Par le train d'engrenage réducteur, l'or  gane d'accouplement 1329 est entraîné sensi  blement plus lentement que l'accouplement  hydraulique 1102 et, lors du mouvement de la  chape 1313 dans le sens des aiguilles d'une  montre, lorsque les pistons sont abaissés par  le taquet du bloc de commande quand le cha  riot s'approche des positions de colonnes sé  lectionnées, emporte, au moyen du     ressort     1325, simultanément le bras 1324, l'arbre 1314  et les doigts 1326 dans le sens des aiguilles       d'une    montre.

   Le mouvement des doigts 1326      dans le sens des aiguilles d'une montre abaisse  les pistons 1327 pour déplacer l'organe  d'accouplement 1328 vers le bas pour engre  ner ses dents avec les dents de l'autre organe  d'accouplement 1329, afin de ralentir le mou  vement rotatif de l'arbre 1100 qui fonctionne  sous l'action de l'organe d'accouplement  hydraulique 1102. Le ralentissement du mou  vement de l'arbre 1100 à son tour ralentit le  mouvement de     tabulation    et/ou de retour du  chariot pour amortir le choc entre les taquets  d'arrêt 733     (fig.    12 et 27) et les pistons d'ar  rêt 1170 à 1173 inclus, de manière à réduire  le bruit et éviter des dommages éventuels aux  éléments du mécanisme d'arrêt.

      Lorsque le taquet d'arrêt 733 du bloc de  commande du chariot place ce dernier dans  la position de colonne sélectionnée, le mouve  ment de l'arbre 1100     (fig.    4) et de l'organe  d'accouplement 1328 est interrompu, et le  mouvement. ultérieur de l'organe d'accouple  ment 1329 amène les surfaces angulaires des  dents de cet. organe, en coopération avec des  surfaces angulaires similaires des dents de  l'organe 1328, à déplacer ledit organe vers  le haut, de manière à débrayer ses dents des  dents dudit organe 1329.

   Le piston 1335       poussé    par un     ressort,    en coopération avec l'en  coche dans l'arbre, retient. ledit organe     d'ac-          eouplement    1328 dans sa. position haute et  dégagé de l'organe d'accouplement 1329.  



  Le dispositif de freinage décrit ci-dessus  fonctionne automatiquement     lorsque    les ta  quets d'arrêt 733     (fig.    12)     abaissent    les  pistons d'arrêt de droite 1170 et 1172 pen  dant que le chariot se déplace dans le sens de       tabulation,    ou lorsque les taquets d'arrêt  abaissent. les pistons de gauche 1171 et 1173  pendant le mouvement du chariot. dans le sens  de retour, afin d'amortir le choc entre lesdits       taquets    d'arrêt 733 et. le jeu de pistons d'en  face et afin de contrôler le mouvement dudit  chariot.

      Le fonctionnement alternatif du méca  nisme, qui a lieu     lorsqu'on    désire sélectionner  une colonne exigeant un mouvement. de re  tour du chariot, sera décrit ci-après.    En supposant que le chariot 136 se trouve  dans la position de la colonne de Dépôts et  que le bâti 1248     (fig.    13, 15 et 16) est placé  de telle sorte que le bord inférieur du bras  1239 se trouve au-dessus du levier sélecteur  1267 à gauche du levier sélecteur des dépôts  et surplombe aussi le levier sélecteur 1266  pour la touche de la marge gauche 1066, et       supposant    également qu'on désire maintenant  sélectionner la colonne  Pick-up  qui se  trouve à l'extrême gauche de la pièce comp  table, l'abaissement de la touche  Pick-up   1070 bascule,

   à l'aide de liaisons similaires à  celles représentées sur la     fig.    21 pour la tou  ehe des Dépôts, le levier 1267 de la touche   Pick-up  dans le sens des aiguilles d'une  montre, amenant la came sur l'extrémité su  périeure de ce levier, en coopération avec le  bord inférieur de la partie repliée du bras  1239,à basculer ledit bras vers le haut. De  même, la. came du bord supérieur du levier  1267, en coopération avec la partie de gauche  du bord     inférieur    de la traverse de la. chape  1238     (fig.    16), déplace ladite chape vers le  haut ou     dans    le sens contraire à     celui    des  aiguilles d'une montre, comme on le voit sur  les     fig.    17 et 19.

   Le goujon 1264 du bras 1239,  en coopération avec la fente 1265 du bras  1236,     entraine    également ledit bras vers le  haut ou dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre simultanément avec le  dit bras 1239. Le mouvement. du bras 1239       vers    le haut ou dans le     sens    contraire à celui  des aiguilles d'une montre (fi-. 4 et<B>19)</B>  amène le bord supérieur de la.     partie    repliée  dudit bras, en coopération avec un prolonge  ment d'un bras 1336 monté librement. sur la  tige 1189, à basculer ledit bras     dans    le sens  des aiguilles d'une montre.

   Le mouvement du       liras    1336 dans le     sens    des aiguilles d'une  montre bascule, au moyen d'une articulation  1337 qui relie ledit. bras oscillant à. un bras  associé 1338 monté     librement    sur     un    goujon  1339 fixé au châssis 1087, ledit bras 1338       clans    le sens contraire à celui des     aiguilles     d'une montre contre l'action d'un     ressort    1340  tendu entre un prolongement vers le bas du  dit bras et l'articulation 1337.

   Le mouvement      du bras 133$ dans le sens contraire à celui  des aiguilles d'une montre     (fig.    6 et 19)  amène     un        linguet    by-pass 1341, entraîné par  un ressort et pivotant sur     l'extrémité    supé  rieure dudit bras, en coopération avec un pro  longement du     linguet    1119,à basculer ledit       linguet    dans le sens des     aiguilles    d'une mon  tre, en regardant la     fig.    6, de manière à dé  gager sa dent de l'épaulement de la chape  1115 afin d'abandonner- ladite chape à l'action  du ressort 1118, ce qui le déplace immédiate  ment vers la droite, comme représenté au des  sin,

   pour débrayer l'organe d'accouplement  1092 en vue de     l'entraînement    du chariot dans  le sens de     tabulation    et simultanément à em  brayer l'organe d'accouplement 1093 en vue de       l'entraînement    du     chariot,danslesens,deretour.     



  Lors du déplacement du chariot 136 dans  le sens de retour, ou vers la droite en regar  dant les     fig.    12 et 13, le mécanisme d'indices  représenté ici et expliqué précédemment dé  place le bâti 1248, y     compris    les bras 1236 et  1239 et la chape 1238, vers la droite en     fig.12     et 13 et vers la gauche, sur la     fig.    16, simul  tanément avec lui.

   Lorsque la fente 1308       (fig.    16), dans le bord inférieur de la chape  1238, coïncide avec le     levier    1267 pour la tou  che  Pick-up , ladite chape et sa barre cor  respondante 1183     (fig.    28) se déplacent vers  le bas pour ramener les pistons d'arrêt 1170  et 1171     (fig.    12) dans le     chemin    du taquet  d'arrêt 733 du bloc de commande 722 pour la       colonne     Pick-up .

   Immédiatement après, le  bord inférieur du bras 1239 s'éloigne du le  vier 1267 pour permettre audit levier de re  tourner dans le     sens    contraire à celui des       aiguilles    d'une montre à la     position    normale  et pour permettre audit bras 1239 et à son  bras associé 1236 de se déplacer vers le bas,  ce mouvement     dudit    bras 1236     (fig.    5 et 10)  ramenant la barre 1184 vers le bas en vue  de ramener les     pistons    1172 et 1173     (fig.    12)  vers le haut sur le     chemin    des taquets d'arrêt  733 du bloc de commande 722 pour la     colonne      Pick-up .  



       Ainsi    qu'il a été     expliqué    précédemment,  les pistons d'arrêt sont remis en position cor  recte avant l'arrivée du chariot 136 à la posi-         tion    de     colonne    sélectionnée et, par consé  quent, lesdits pistons se trouvent     sur    le     che-          min    du taquet d'arrêt 733 et ledit taquet  monte sur les     extrémités    supérieures     inclinées     des pistons 1171 et 1173 pour abaisser ces  pistons, ce qui bascule les leviers correspon  dants 1179 et 1181     (6g.12    et 27)

       dans    le sens  contraire à celui des     aiguilles    d'une montre  pour soulever les     coulisses    1185 et 1186, ce       qui,    au moyen du mécanisme représenté sur  la     fig.    17 et déjà expliqué, bascule l'arbre  1317 en arrière et en avant, de manière à  actionner le mécanisme d'accouplement repré  senté sur la     fig.    6 pour amener la came 1162  à faire un tour pour ramener la chape 1115  vers la gauche pour dégager l'organe d'accou  plement 1093 et en même temps embrayer  l'organe d'accouplement 1092     (fig.    9) pour  renverser le sens de déplacement de la roue  1085,

   de sorte que le chariot sera     entraîné     dans .le sens de     tabulation.    La remise en posi  tion vers le bas du bras 1239     (fig.    19) permet  au ressort 1340 de ramener les     bras    1336 et  1338     dans    le sens des     aiguilles    d'une montre  et     dans    le     sens    inverse, respectivement., à la  position normale, pendant lequel mouvement  de retour dudit bras 1338 le     linguet    1341  passe à côté de     l'extrémité    de droite du     lin-          guet    1119 et regagne sa position normale re  présentée.

    



  D'après la description qui précède, il res  sort clairement que, chaque fois que<B>lé</B> cha  riot se trouve dans une position telle que les  bords inférieurs du bras 1236 et de la chape  1238     (fig.    16, 17 et 21) sont au-dessus des  extrémités supérieures des leviers 1267,  l'abaissement de l'une quelconque des touches  sélectrices de colonnes 1070 provoquera le dé  placement du chariot dans la direction de     ta-          bulation    vers la position de colonne sélection  née.

   On comprendra également que, lorsque  le chariot se trouve     dans    une position telle  que les bords inférieurs du bras 1239 et de  la chape 1238 sont au-dessus des leviers 1267,  l'abaissement de l'une quelconque des touches  sélectrices de colonnes 1070 provoquera le dé  placement du chariot dans le     sens    de retour de  la position actuelle à la position de     colonne    sé-           lectionnée.    Autrement. dit, le bâti 1248 (fi-. 12)  comprenant.

   les bras 1236 et 1239 et la chape  1238     est    toujours en correspondance exacte  avec la position du chariot et le rapport entre       lesdits    bras 1236 et 1239 et les leviers 1267  pour les touches 1070 conditionne le déplace  ment du chariot dans le     sens    de     tabulation     ou dans le sens de retour, de la position  actuelle à la position de la colonne sélec  tionnée.  



  Lors de l'abaissement de la touche tabula  trice 1071, suivi par une libération immédiate  de cette touche, le chariot est amené, comme  décrit. dans le brevet. N  262592,à se déplacer  dans le sens de     tabulation    d'une colonne à  l'autre. Si la touche tabulatrice est maintenue       abaissée,    le chariot se déplacera sur toute la  distance dans le sens de     tabulation.    L'abaisse  ment de la touche de la marge gauche 1066,  également comme décrit dans ledit brevet,  amène le chariot à se déplacer dans le sens  de retour, et si cette touche est maintenue       abaissée,    le chariot se déplacera sur toute la       distance    dans le sens de retour.  



  Un mécanisme est également prévu, selon  lequel quatre quelconques des positions de co  lonnes du chariot. peuvent être sélectionnées  automatiquement. par l'abaissement des barres  de dégagement. 170 à 172. Un     abaissement     complet de la. barre de dégagement 170 agit  pour sélectionner une de ces quatre positions  et l'abaissement complet de la barre de déga  gement d'avancement vertical 171 une autre.  La barre de dégagement tabulatrice Skip 172  peut sélectionner une de deux positions de  colonnes alternatives, selon qu'elle soit nor  malement abaissée et libérée immédiatement  ou maintenue complètement abaissée.  



  Se référant. aux     fig.    17 et 21, chacune des  articulations 1280 pour les touches sélectrices  de colonnes     10"r0    est pourvue de quatre bos  sages 1370 dirigés vers le haut, et l'articula  tion 1270 pour la touche de la. marge gau  che 1066 est. pourvue de quatre     bossages    1371  dirigés vers le haut, tous ces bossages coopé  rant avec des saillies sur des blocs d'opération  1372, dont un est monté de façon réglable dans       chacune    des chapes     correspondantes    1373 à    1376 incluses, les bras verticaux parallèles de  chacune desdites chapes pivotant sur des tiges  correspondantes 1377 qui tournent.

   entre la  plaque 1191     (fig.    4 et 25) et une plaque asso  ciée en relation fixe avec elle. Les blocs 1372  pour les chapes 1373     (fig.    2, 3 et 22) sont  montés de façon réglable entre les bras paral  lèles desdites chapes à l'aide de trous taraudés  dans lesdits blocs, dans lesquels s'engage une  vis de réglage correspondante 1378, dont les  extrémités opposées peuvent tourner dans les  bras parallèles de la chape correspondante  1373.

   Chacune des vis de réglage porte un  bouton 1379 à l'aide duquel ladite     vis    peut  être tournée de manière à déplacer le bloc  correspondant 1372 dans toute position dési  rée, de sorte que le doigt pendant de ce bloc  (fi-. 21) peut coopérer avec tout bossage cor  respondant 1370 des articulations 1280 pour  les touches sélectrices de colonnes 1070 ou  avec les bossages 1371 de l'articulation 1270       (fig.    17) pour la touche de la marge gauche  1066.

   Les saillies des blocs 1372     (fig.    2 et 3)  passent par des fentes horizontales correspon  dantes dans les traverses des chapes 1373, et  chacune des extrémités supérieures desdits  blocs est pourvue d'un trou pour recevoir un  ressort. de compression et une bille 1380, la  quelle bille, en coopération avec l'un quel  conque d'une série de trous 1381 percés dans  une barre transversale 1382 fixée entre les  bras de .chacune des chapes 1373 à 1376, situe  et retient lesdits blocs 1372 dans l'une quel  conque de ses diverses positions.

   Chacune des  traverses des chapes 1373 à 1376 incluses       (fig.    22 et 25) a un bord replié 1383 entrant  en contact avec un prolongement dirigé vers  le haut de barres d'opération correspondantes  1384 à 1387 incluses, dont. les extrémités  arrière sont     supportées    dans des rainures cor  respondantes d'une partie repliée vers le haut  1389 d'une plaque de liaison qui s'étend entre  les plaques 1191 et 1388.

   Les extrémités anté  rieures des barres 1384 à 1387 incluses sont re  liées respectivement à des leviers 1390 à 1393  inclus, lesdits leviers 1390 et 1391 pivotant  sur un goujon fileté 1394 fixé dans la plaque  437     (fig.    22) et ledit levier 1392 étant sup-      porté à rotation par     un    goujon 1395 égale  ment fixé     sir    la plaque 437, tandis que le le  vier 1393     estmonté    librement sur le goujon 154.  



  Les leviers 1390 à. 1393 inclus portent,  respectivement, des crochets 1397 à 1400  inclus, lesdits crochets 1397 et 1398 pouvant  coopérer avec un goujon 1401, tandis que les  dits crochets 1399 et 1400 coopèrent, respec  tivement, avec des goujons 1402 et 1403,  tous ces goujons étant fixés dans une barre  1404 supportée de façon mobile par les       extrémités    inférieures de bras analogues 1405  et 1406     (fig.    22), dont les extrémités supé  rieures sont montées librement     sur    des gou  jons 166 et<B>167.</B> Des ressorts 1407 et 1408       (fig.    22) retiennent les crochets 1399 et 1400  dans la position normale, comme représenté,

    hors du chemin- de leurs goujons     correspon-          clants    1402 et 1403. Un ressort (non repré  senté), analogue aux ressorts 1407 et 1408, co  opère avec le crochet 1397     (fig.    22, 23 et 24)  pour maintenir normalement ledit crochet  dans sa position du haut, comme représenté,  cors du chemin du goujon 1401. Le crochet  1398     (fig.    22 et 23) porte sur     iun    prolonge  ment un goujon 1409 qui s'engage dans une  fente de l'extrémité avant d'urne articulation  1410, dont l'extrémité arrière pivote sur un  bras 1412 monté     librement    sur     im    goujon 1413.

    Un ressort 1411, tendu entre le goujon 1409  et un goujon de     l'articulation    1410, maintient  normalement ledit goujon 1409 dans l'extré  ?nité arrière de la fente de ladite articulation  1410, tandis     qu'un    ressort 1436, tendu entre  le crochet 1398 et Lui goujon du levier 1391,  maintient ledit crochet 1398 normalement       clans    la position dégagée représentée.  



  Le bras de support 1405     (fig.    22 et 23)  pour l'extrémité avant de la barre 1404 est  fixé par un moyeu 1435, monté librement sur  le goujon 167,à     un    bras associé 1414     relié    à  oscillation, par une     àrticulation    1415, à un  bras 1417 fixé par l'intermédiaire     d'im    moyeu  1418, monté librement sur le goujon 161, à  un levier coudé associé 1419. Un prolonge  ment du levier coudé 1419 est pourvu d'une  fente dans     laquielle    s'engage     1m    goujon 1420  d'un     entraîneur    1421 de la barre de tabula-         tion,    monté librement sur -Lui axe 1422.

   Un  ressort 1423 est tendu pour entraîner l'entraî  neur 1421 dans le sens contraire à     celui    des  aiguilles     d'une    montre     (fig.    22) pour mainte  nir normalement une patte repliée 1424 de ce  lui-ci, en contact avec un épaulement d'un  verrou 1425 de l'entraîneur, monté librement       sur    un goujon 1426. Un ressort 1427 entraîne  le verrou 1425     dans    le sens contraire à     celui     des     aiguilles    d'une montre, de manière à  maintenir normalement l'épaulement     dudit     verrou en contact avec la patte 1.424.

   Le  verrou 1425 possède     une        pointe    1428 qui peut  s'engager sur un doigt 1429 d'une came de  déblocage du verrou 1430     fixée    sur l'arbre  principal à cames 216, de manière à libérer  la barre 1404, comme il sera expliqué ci-après.  La came 1430 porte également un galet 1431  qui, en coopération avec une     saillie    arrondie  1432 de l'entraîneur 1421, ramène ledit en  traîneur en position vers la fin du fonction  nement de la machine.  



  L'abaissement normal de la barre tabula  trice par sauts (Skip) 172     (fig.    22 et 23)   c'est-à-dire abaissement de ladite barre     suivi     d'un retrait immédiat de la pression sur  celle-ci - amène un goujon 1433 fixé à ladite  barre 172, en coopération avec un prolonge  ment 1434 du bras 1412,à basculer ledit bras  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, lequel mouvement, par l'inter  médiaire de l'articulation 1410 et du ressort  1411, bascule le crochet 1398 en contact avec  le goujon 1.401 de la barre 1404.

   Fendant le  fonctionnement de la. machine et avant l'exé  cution de l'impression, le doigt 1429 s'engage  sur la pointe 1428 pour dégager le verrou  1425 de la patte 1424 pour abandonner l'en  traîneur 1421 à l'action du     ressort    1423, ce  qui fait basculer ledit     entraîneur    dans le sens  contraire à     celui    des aiguilles     d'une    montre.  Le mouvement de     l'entraîneur    1421     dans    le  sens contraire à celui des aiguilles d'une mon  tre déplace, au moyen du goujon 1420, du  levier coudé 1419, du bras 1417, de l'articula  tion     1415,_    du bras 1414 et du bras 1405, la  barre 1404 vers l'arrière.

   Le mouvement vers  l'arrière de la barre 1404 amène le goujon      1.401, en coopération avec le crochet 1398, à  basculer le levier 1391 dans le sens des  aiguilles d'une montre, de manière à déplacer  la barre 1385 vers l'avant, sur quoi sa saillie       vers    le haut     bascule    la chape 1374     (fig.    17,  21, 22 et 25) également dans le sens des  aiguilles d'une montre.

   Le mouvement de la  chape 1374 dans le sens des aiguilles d'une  montre amène la saillie vers le bas du bloc       correspondant   <B>1372,</B> en coopération avec la  saillie vers le haut. 1370 ou 1371 des articula  tions 1270 ou 1280     (fig.    17 et 21), à déplacer  lesdites articulations vers l'avant pour bascu  ler le levier correspondant<B>1266</B> ou 1267 dans  ; le sens des aiguilles d'une montre, afin d'ame  ner le chariot à se déplacer soit     dans    le sens  de     tabulation,    soit dans le     sens    de retour, se  lon sa     position,    afin de     sélectionner    la position  de colonne désirée dudit chariot, comme expli  qué précédemment.  



  Dans la machine représentée, le bloc 1372  pour la chape 1374 a été réglé de telle sorte  que sa saillie coopère avec la saillie vers le  haut. 1370 de l'articulation 1280 pour la tou  che des Dépôts 1070 représentée sur la     fig.    21.  Par conséquent, lorsque la touche tabulatrice  Skip 172 est abaissée normalement, le chariot  1.36 est amené en position comme expliqué       ci-dessus    pour la touche des Dépôts 1070 en  vue de la sélection de la     colonne    des dépôts  de la pièce comptable pour l'alignement avec  le mécanisme d'impression.  



  L'abaissement complet de la barre tabula  trice Skip 172     (fig.    22, 23 et 25) et le main  ; tien de ladite barre dans la position d'abaisse  ment complet amène un goujon 1437 de ladite  barre à s'engager sur la face supérieure du  crochet 1397 et à basculer ledit crochet dans  le sens des aiguilles d'une montre contre     1'ac-          tion    de son ressort sur le chemin du goujon  1401, tandis qu'un goujon 1438, porté par le  dit crochet 1397, s'engage sur la surface supé  rieure du     crochet    1398 pour basculer ledit  crochet également     dans    le sens des aiguilles  ;

   d'une montre hors du chemin dudit. goujon  1401, la liaison     fente-ressort    entre     ledit    cro  chet 1398 et l'articulation 1410 permettant le  mouvement relatif de ces parties. Par consé-         quent,    lorsque la barre tabulatrice Skip 172  est retenue complètement abaissée, le dégage  ment du verrou 1425 (fi-. 22) par la came  3430, comme expliqué     ci-dessus,    et le mouve  ment consécutif vers l'arrière de la barre ta  bulatrice 1404 sous l'action du ressort 1423  amène le goujon 1401, en coopération avec le  crochet. 1397, à     basculer    le levier 1390 dans  le sens des aiguilles d'une montre pour dé  placer la barre 1384 vers l'avant.

   Le mouve  ment vers l'avant de la barre 1384 amène la  saillie vers le haut de l'extrémité arrière de  celle-ci     (fig.    17, 21, 22 et 25) à basculer la  chape 1373 dans le sens des aiguilles     d'une     montre, amenant la saillie du bloc 1372 pour  la chape 1373, en coopération avec la saillie  vers le haut 1370 ou 1371 des articulations  1280 ou 1270, à déplacer lesdites articulations  vers l'avant exactement de la même manière  due lors de l'abaissement de la touche sélec  trice de colonne correspondante 1070 ou 1066,  en vue de provoquer le mouvement du chariot  vers la position de colonne sélectionnée,  comme expliqué précédemment..

   Dans la ma  chine représentée, la saillie du bloc 1372 porté  par la chape<B>1373</B> a été réglée en vue de co  opérer avec la saillie vers le haut 1370 de       l'articulation    1280     (fig.    21) pour la touche de       sous-balance    1070. Par conséquent, le main  tien de la barre de dégagement tabulatrice  Skip 172 dans sa position complètement abais  sée amène le chariot à être placé de telle  sorte que la colonne de sous-balance du ma  tériel d'enregistrement se trouve en face du  mécanisme d'impression.  



  La barre de dégagement 170 et la barre  d'avancement vertical 171     (fig.    22) portent,  respectivement, des goujons 1439 et 1440 qui  coopèrent exactement de la façon qui a été  expliquée pour le goujon 1437, avec les cro  chets correspondants 1399 et 1400 lorsque les  dites barres sont abaissées complètement et  maintenues     abaissées,    de manière à déplacer  lesdits crochets sur les chemins de leurs gou  jons correspondants 1402 et 1403, sur quoi le  mouvement de la barre 1404 en arrière, sous  l'action de la came 1430, après l'impression,  amène la chape correspondante 1375 ou 1376           (fig.    17, 21, 22 et 25) à être basculée dans  le     sens    des     aiguilles    d'une montre,

   afin de  choisir la position de colonne désirée de la  pièce comptable.  



  Dans la machine représentée, la     saillie    du  bloc 1372 pour la chape 1375 a été réglée,  afin de coopérer avec la     saillie    vers le haut  3.370 de l'articulation 1280     (fig.    21) pour la  touche des chèques N  2 1070, et la     saillie    sur  le bloc 1372 pour la chape 1376 a été réglée  en vue de coopérer avec la saillie correspon  dante 1370 de l'articulation 1280 pour la  touche de     chèques    N  3 1070.

   Par conséquent,  lorsque la barre de dégagement 170 est com  plètement abaissée et maintenue abaissée, la  colonne des chèques N  2 sera sélectionnée  pour l'impression et, lorsque la barre d'avan  cement vertical 171 est complètement abais  sée et maintenue abaissée, la colonne des chè  ques N  3 sera sélectionnée pour l'impression.  



       Il    est bien entendu que les saillies     des     blocs 1372 peuvent être ajustées pour coopé  rer avec les saillies     correspondantes    1370 ou  1371 des articulations 1280 ou 1270, de ma  nière à sélectionner toute position de     colonne     désirée     correspondant    aux touches 1070 et 1066.  



  Vers la     fin    de chaque     fonctionnement    de  la machine, le galet 1431     (fig.    22), en coopé  ration avec le bec 1432 de     l'entraîneur    1421,  ramène ledit     entraîneur    dans le sens des       aiguilles        d'une    montre et la barre     tabulatrice     1404 vers l'avant aux positions normales ou  de repos,

   sur quoi le verrou 1425 entre en  action pour engager la patte 1424 en     vite          d'immobiliser    ledit     entraîneur    et ladite barre       dans    les     positions    de repos.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine comptable comprenant um cha riot baladeur et des éléments de commande (1070) pour sélectionner diverses positions de colonnes du chariot, caractérisée en ce que le fonctionnement d'un élément de commande agit pour amener le chariot automatiquement et directement à la position de colonne sélec tionnée, le chariot se déplaçant dans le sens de tabulation ou dans le sens de retour, selon la position qu'il occupe. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine comptable suivant la revendi cation, comprenant des moyens (10.91) pour entraîner le chariot, des moyens de renver sement (1092, 1093) pour relier le chariot au moyen d'entraînement en vue d'un déplace ment soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour, et des moyens de mise en position (1170 à 1173) coopérant avec des butées prévues sur le chariot pour placer le chariot dans la position de colonne sélection née, caractérisée en ce que le fonctionnement de l'élément de commande sert à commander les moyens de renversement ainsi que les moyens de mise en position,
    afin de détermi ner l'étendue et le sens du mouvement du chariot. 2. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 1, caractérisée en ce que la com mande des moyens de renversement et des moyens de mise en position s'effectue par l'in termédiaire d'un dispositif indicateur (1258, 1246, 1236, 1238, 1239) pouvant être ajusté par le chariot lorsque celui-ci est déplacé d'une colonne à une autre dans une mesure et dans une direction dépendant du déplace ment et de la direction de déplacement du chariot. 3.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 2, caractérisée en ce que les moyens de mise en position comprennent des pistons d'arrêt (1170 à 1173) fonctionnant sous la commande des éléments de commande d'abord pour libérer le chariot pour un dé placement dans le sens de tabulation ou dans le sens de retour, pour liû permettre d'attein dre la position de colonne sélectionnée, et en suite pour arrêter le chariot dans ladite posi tion.
    4. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 3, caractérisée en ce que le dispo sitif indicateur comprend deux parties sé parées pouvant être réglées par les éléments de commande, une partie (1236) servant à commander les pistons d'arrêt et l'autre partie (1239) servant à commander les moyens de renversement.
    5. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 1, caractérisée par des moyens (1185, 1186, 1313, 1319, 1162) actionnés par les moyens de mise en position, lorsque le chariot se déplace vers une position de co lonne sélectionnée, afin de mettre les moyens de renversement en position pour entraîner le chariot dans le sens de tabulation, un verrou (1119) pour bloquer les moyens de renversement dans cette position, des moyens (1118) agissant. lors du déblocage du verrou pour déplacer les moyens de renversement.
    à une position pour entraîner le chariot dans le sens de retour, un dispositif indicateur (1258, 1246, 1236, 1238, 1239) disposé pour se dé placer simultanément avec le chariot afin d'être toujours mis en position selon la posi tion de colonne du chariot et servant, lors du fonctionnement d'un élément de commande, à commander les moyens de mise en position ainsi que le verrou, afin de provoquer un dé placement direct du chariot vers la. position de colonne sélectionnée. 6.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 5, caractérisée en ce que le dispo sitif indicateur comprend une partie (1236) pour commander les moyens de mise en posi tion et une partie (1239) pour commander le verrou, la seconde partie (1239) fonction nant pour débloquer le verrou seulement lors de la sélection d'une position de colonne né cessitant un mouvement de retour du chariot. 7.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 6, caractérisée par un organe (1267) associé à chaque élément de commande et mobile, lors du fonctionnement dudit élé ment, pour faire agir la première partie (1236) du dispositif indicateur lorsque le dé placement du chariot dans le sens de tabula- tion est nécessaire pour atteindre la position de colonne sélectionnée et pour faire agir la seconde partie (1239) du dispositif indica teur lorsque le déplacement du chariot dans le sens de retour est nécessaire pour atteindre la position de colonne sélectionnée, et par le fait que la première partie (1236)
    de ce dis positif indicateur peut fonctionner indépen damment de la seconde partie (1239), tandis que le fonctionnement de la. seconde partie (1239) sert également. à. actionner la première partie (1236). 8. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 1, caractérisée par plusieurs barres de dégagement (170, 171, 172) pour libérer la machine en vue de son fonctionne ment, ces barres étant susceptibles d'agir éga lement sur les moyens de renversement et les moyens de mise en position pour provoquer un déplacement automatique et. direct du cha riot à une position de colonne correspondante déterminée d'avance. 9.
    Machine comptable suivant. la sous-re- vendication 8, caractérisée par des organes (1267) actionnés sélectivement par les élé ments de commande pour opérer la commande des moyens de renversement et des moyens de mise en position et en ce que chaque barre de dégagement. (170, 171, 172) est reliée opé- rativement à l'organe (1267) associé à. l'un des éléments de commande et sert, lorsqu'elle est actionnée, à actionner cet organe (1267) pour opérer un déplacement dit chariot vers la. position de colonne correspondante. 10.
    Machine comptable suivant la sous-re- vendication 9, caractérisée par des moyens réglables (1372, 1373 à 1376, 1379) servant à effectuer un accouplement sélectif des barres de dégagement auxdits organes<B>(1267)</B> asso eiés aux éléments de commande, afin de mo difier les positions de colonnes sélectionnées par le fonctionnement des barres de dé-a- gement. 11.. Machine comptable suivant la sous-re- vendication 10, caractérisée par des moyens (1398,
    1.404, 1375 et 1397, 1404, 1375) au. moyen desquels une des barres de dé;-a@#ement (172) peut. exercer une commande alternative des organes<B>(1267)</B> associés aux éléments de commande, afin de sélectionner différentes positions de colonnes pour le chariot, selon le mode opératoire de ladite barre de dégage ment.
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