Machine comptable. La présente invention a pour objet une machine comptable du genre comprenant un chariot baladeur et des éléments de commande pour sélectionner diverses positions de co lonnes du chariot. Il est connu, dans de telles machines, de pourvoir le chariot d'arrêts qui coopèrent avec des pistons d'arrêt sur la ma chine pour arrêter celui-ci dans des positions de colonnes choisies, et de faire en sorte que le chariot se déplace dans le sens de tabula- tion de colonne à colonne sous la commande d'une touche tabulatrice disposée sur la ma chine.
De façon générale, toutefois, il a été trouvé nécessaire, lorsqu'on désire atteindre une colonne disposée sur le matériel d'enre gistrement, à gauche de celle sur laquelle le dernier enregistrement a été effectué, de rap peler le chariot à la limite de son mouvement de retour, et ensuite de l'amener à se dépla cer à la nouvelle position de colonne dans le sens de tabulation.
Ceci entraîne une perte de temps qui est. éliminée dans la machine faisant l'objet de l'invention. A cet effet, cette machine est caractérisée en ce que le fonctionnement d'un élément de commande agit pour amener le chariot automatiquement et directement à la position de colonne choisie, le chariot se dé plaçant dans le sens de tabulation ou dans le sens de retour, selon la position qu'il occupe.
Par conséquent, avec la machine suivant l'invention, l'opérateur peut, en actionnant l'élément de commande approprié, provoquer un mouvement direct du chariot à la position de colonne nouvellement choisie, quel que soit le sens dans lequel le chariot doit se déplacer pour atteindre cette colonne.
La commande du chariot est ainsi simplifiée puisque, lors qu'on désire choisir une colonne à gauche de celle dans laquelle le dernier enregistrement a été effectué, l'opérateur n'a -qu'à actionner un seul élément de commande, au lieu d'avoir d'abord à provoquer un mouvement de retour du chariot, et ensuite à actionner un autre élément de commande pour amener le chariot à se déplacer dans le sens, de tabulation jus qu'à la. position de colonne désirée. En outre, le travail consistant à enregistrer sur le ma tériel d'enregistrement les indications com plexes qu'on rencontre souvent dans les éta blissements commerciaux modernes se trouve grandement activé.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine faisant l'objet de l'invention, seules les parties nécessaires à la compréhension de l'invention étant décrites et représentées, la machine complète étant décrite dans le brevet suisse N 262592. La fig. 1 est une vue en perspective de la machine complète.
Les fig. 2 et 3 sont des vues de détail d'une chape sélectrice de colonnes.
La fig. 4 est une élévation latérale, du côté droit de la partie arrière de la machine. La fig. 5 est une vue de détail d'une barre de commande verticale pour un piston d'arrêt.
La fig. 6 est une vue en plan d'une partie du mécanisme pour commander le renverse ment du mouvement transversal du chariot baladeur.
La fig. 7 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme représenté sur la fig. 6 pour embrayer le mécanisme d'embrayage en vue d'actionner le mécanisme de renversement.
La fig. 8 est une vue de détail du méca nisme de remise en position du mécanisme d'embrayage représenté sur la fig. 6.
La fig. 9 est une élévation du mécanisme représenté sur la fig. 6, montrant avec plues de détails la coulisse de renversement et les deux accouplements de renversement y associés.
La fig. 10 est un détail d'une partie du mécanisme pour la commande d'an des jeux de pistons d'arrêt de tabulation.
La fig. 11 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme d'entraînement des pistons d'arrêt de tabulation.
La fig. 12 est une vue en plan des pistons d'arrêt de tabulation et d'une partie du mé- canisme y associé.
La fig. 13 montre le chariot sélecteur de colonnes ou la coulisse ainsi que le mécanisme sur le chariot pour mettre en place ledit chariot ou ladite coulisse.
La fig. 14 est une onze de détail d'une partie du mécanisme représenté sur la fig. 13. La fig. 15 est une vue de détail des bras et de la chape sélecteurs de colonnes.
La fig. 16 est une vue de détail du mé canisme à brides pour régler la position de colonne du chariot.
La fig. 17 est une élévation, vue du côté droit, d'une partie du mécanisme pour la commande du mouvement du chariot vers les positions de colonnes sélectionnées.
La fig. 18 est une vue de détail du mé canisme d'embrayage pour commander le fonctionnement du mécanisme de tabulation représenté sur la fig. 17.
La fig. 19 est une vue de détail d'une par tie du mécanisme pour faire agir le mécanisme de retour du chariot. La fig. 20 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour la commande des barres d'arrêt de tabulation ou des pistons.
La fig. 21 est une élévation de droite de l'une des touches sélectrices de colonnes et du mécanisme qui lui est associé pour comman der le mouvement du chariot. La fig. 22 est une élévation latérale de droite du mécanisme pour la commande de mise en position en colonnes du chariot au moyen des trois barres de démarrage.
La fig. 23 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour la commande de mise en position en colonnes du chariot au moyen de l'une des barres auxiliaires de dé marrage. La fig. 24 est une vue de détail montrant le mécanisme de la fig. 23 dans une position de manoeuvre. La fig. 25 est une vue en plan d'une par tie du mécanisme représenté sur la fig. 22. La fig. 26 est une vue en plan d'une par tie du mécanisme de fonctionnement. du chariot.
La fig. 27 est une vue de détail d'un jeli de pistons d'arrêt de tabulation, et la fig. 28 est une vue de détail de la barre verticale pour la commande d'un jeu de pistons d'arrêt de tabulation.
La machine est représentée en général sur la fig. 1 et comprend un chariot baladeur 136 qui porte un rouleau 309 servant à présen ter le matériel d'enregistrement au mécanisme imprimeur, non représenté.
Le chariot 136 peut être déplacé dans le sens de fabulation et dans le sens inverse, le long de rails de guidage 137, 138, et le mé canisme servant à .déplacer ledit chariot dans l'un ou l'autre sens est relié, par un dispositif d'accouplement hydraulique, à un moteur à marche semi-continue quel fonctionne simulta nément, mais indépendamment du moteur principal de la machine et qui sert principa lement à actionner le mécanisme baladeur du chariot, Les fonctions du chariot sont commandées par une rangée de touches de commande situées directement au-dessus du clavier nu méral (fig. 1),
ladite rangée de touches com prenant une touche de Marge Gauche 1066, dix touches Sélectrices de Colonnes 1070, une touche Tabulatrice 1071 servant à tabuler la machine de colonne à colonne, une touche du Chariot 1072 pour l'ouverture et la fermeture d'une goulotte d'alimentation frontale du rou leau 309, et une touche d'Avancement du Pa pier 1073 pour faire tourner le rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur le ma tériel d'enregistrement supporté par le rou leau.
Les touches sélectrices de colonnes 1070 opèrent grâce à un dispositif indicateur qui coopère (fig. 13) avec des goujons 732 sur chacun d'une série de blocs de commande 722 montés sur le chariot, un desdits blocs étant prévu pour chaque position de colonne, ce dis positif étant actionné pas à pas par lesdits goujons chaque fois que le chariot se déplace d'une position de colonne à l'autre. De cette façon, le dispositif indicateur tâte la position du chariot et détermine si ledit chariot doit se déplacer dans le sens du retour ou dans le sens de tabulation, suivant l'emplacement de la position de colonne correspondant à la touche sélectrice de colonne abaissée.
Ceci fait fonctionner en effet les dix touches sélectrices de colonnes 1070 soit comme touches tabula- trices, soit comme touches de retour du cha riot pour amener le déplacement du chariot soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour de toute position de colonne présélectionnée à la position de colonne cor respondant à la touche abaissée 1070.
Le moteur à marche semi-continue pour le chariot, outre qu'il entraîne le chariot dans les sens de retour et de tabulation, est direc tement relié à et actionne un arbre à cames pour entraîner plusieurs cames qui peuvent, à leur tour, être reliées audit arbre par leurs dispositifs d'accouplement respectifs, lesquels, à leur tour, sont commandés par les touches de commande du chariot 1070, 1071, 1072 et 1073 en vue d'actionner les différents méca nismes associés au chariot.
Une de ces cames, comme décrit ci-après, actionne un mécanisme pour faire descendre des pistons d'arrêt 1170 à 1173 (fig. 12) qui coopèrent avec des ta quets d'arrêt 733 sur les blocs de commande 722 pour arrêter le chariot dans la position de colonne sélectionnée. Une autre actionne un mécanisme pour renverser le sens de dé placement du chariot. D'autres de ces cames actionnent des mécanismes (non décrits ici, mais décrits en détail dans le brevet N 262592, pour déplacer le rouleau de la position d'im pression à une position d'avancement frontal. et vice versa, pour imprimer au rouleau un mouvement d'espacement de lignes, et pour faire démarrer automatiquement la machine sous la commande du chariot.
Il est prévu, en outre, un mécanisme par quoi quatre posi tions de colonnes peuvent être sélectionnées au moyen de trois barres de démarrage 170, 171, 172 (fig. 1) de la machine.
Le bord arrière d'une plaque de base 730 du chariot (fig. 13) est pourvu de dents qui engrènent avec une roue dentée 1085 (fi.-. 9) fixée sur un arbre vertical 1086. L'arbre 1086 (fig. 6 et 9) porte sur son extrémité infé rieure un pignon conique 1088 qui engrène avec des pignons coniques de renversement semblables 1089 et 1090 montés librement sur un arbre 1091. Les roues de renversement.
7.089 et 1090 ont des parties cylindriques pré sentant des dents d'accouplement. qui engrè nent avec des dents d'accouplement sembla bles prévues sur des organes de renversement d'accouplement 1092 et 1093 pouvant coulis ser sur l'arbre 1091, mais reliés à lui à rota tion à l'aide de rainures à clavettes pratiquées dans lesdits organes d'accouplement et coopé rant avec des clavettes correspondantes fixées à des éléments entraîneurs 1094 et 1095 calés sur ledit arbre 1091.
Sur l'extrémité droite de cet arbre 1091 (fig. 4) est fixée une roue conique 1096 qui engrène avec une roue coni que correspondante 1097 fixée sur l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 1098 tournant dans un châssis 1087 et relié par un accouple- ment élastique 1099 à un arbre vertical 1100 du mécanisme hydraulique, ledit arbre tou rillonnant dans un bâti 1101 d'un dispositif hydraulique fixé sur le socle 132 de la ma chine.
L'arbre 1100 a une liaison hydraulique non positive avec un. dispositif d'entraînement hydraulique 1102 qui ne sera décrit que brièvement ici. L'organe hydraulique cylindrique 1102 (fig. 4) a sur son extrémité inférieure un tenon qai tourillonne dans un coussinet dans la pièce en fonte en forme de châssis 1101,
et ledit organe porte également sur sa surface inférieure une roue dentée 1103 qui engrène avec tme roue dentée 1104 fixée à l'extrémité inférieure d'un arbre 1105 monté à rotation verticale dans la pièce en fonte 1101.
Sur l'extrémité supérieure de l'arbre 1105 est fixée une roue à vis sans fin 1106 qui engrène avec une vis sans fin associée 1107 fixée sur un arbre court tourillonnant dans la pièce en fonte 1101, en alignement axial avec l'arbre d'armature d'un moteur 1109 fixé au socle 132 et relié à cet arbre d'armature par un accouplement élastique 1108 qui constitue un moyen d'entraînement élastique entre le dit moteur 1109 et le dispositif hydraulique.
L'organe hydraulique 1102 baigne dans de l'huile contenue dans la pièce en fonte 1101, ladite pièce en fonte formant un réservoir pour remplir constamment d'huile ledit organe hydraulique 1r02.
Le moteur 1109 (fig. 4) entraîne, grâce à l'engrenage et aux liaisons décrits ci-dessus, l'organe hydraulique 1102 dans le sens indi qué par la flèche et, étant donné que ledit organe est relié hydrauliqueinent à.
l'arbre 1100, ledit arbre est entraîné de façon non positive dans le même sens, lequel mouve ment, par l'accouplement élastique 1099, se communique à l'arbre 1098 et à la roue coni que 1097 qui, à son tour, entraîne la roue <B>1096</B> et l'arbre 1091 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, en regardant sur la fig. 4, et dans le sens indiqué par les flèches sur la fig. 9.
Les organes d'accouplement 1092 et 1093 sont entraînés simultanément avec l'arbre 1091 et, si ledit organe d'accou plement 1092 est relié à la roue conique 1089, l'arbre 1086 et la roue dentée 1085 sont en traînés dans le sens des aiguilles d'une mon tre, comme on le voit sur la fig. 6, de ma nière à déplacer le chariot. 136 dans le sens de tabulation ou vers la gauche.
D'autre part, si l'organe d'accouplement 1093 est en prise avec la roue conique 1090, l'arbre<B>1086</B> et la roue dentée 1085 sont entraînés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, en regardant sur la fig. 6, de faon à dépla cer le chariot 136 dans le sens du retour ou -vers la droite, comme on le voit sur la fig. 1.
Les organes d'accouplement 1092 et 1093 (fig. 6 et 9) sont pourvus d'entailles annu laires pouvant recevoir des goujons amovi bles 1111 et 1112 fixés sur des plaques 1113 et 1114 montées élastiquement sur la traverse d'une chape 1115 au moyen de goujons fixés dans lesdites plaques en coopération avec des fentes parallèles correspondantes ménagées dans ladite traverse, lesdites plaques 1113 et 1114 étant poussées l'une vers l'autre par un ressort 1110 qui assure une liaison élastique entre elles.
La chape 1115 a, sur ses bras di rigés vers le haut, des douilles qui coulissent librement sur l'arbre 1091, et la traverse de ladite chape porte des bras 1116 et 1117 di rigés vers le haut, pourvus de fentes paral lèles qui, en coopération avec des goujons à vis vissés dans le châssis 1087, guident ladite c chape 1115 en vue d'un déplacement latéral.
Un ressort 1118 (fig. 6 et 9) entraîne la chape 1115 vers la droite, en regardant le dessin, de façon à maintenir un épaulement de l'extré mité droite de cette chape normalement en f contact avec la dent d'un linguet 1119 qui retient normalement ladite chape contre l'action dudit ressort 1118, afin de maintenir l'organe d'accouplement 1092 en prise avec la roue d'entraînement 1089 et d'entraîner le s chariot dans le sens de tabulation. Le linguet 1119 pivote sur im axe 1120 du châssis 1087.
et un ressort 1121 entraîne ledit linguet dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 6, pour<B>5</B> maintenir sa dent. en prise avec l'épaulement de la chape 1115. Une surface angulaire 1122 du linguet 1119 coopère avec un prolonge ment. replié vers le haut d'une bielle 1123, dont. l'extrémité droite est fendue pour rece voir un goujon fixé sur le châssis 1087 et dont l'extrémité gauche pivote sur un levier 1124 qui pivote lui-même sur un axe 1125 fixé sur le châssis 1087.
Lorsque le chariot, en se déplaçant. dans le sens de tabulation, arrive à la fin de sa course, une saillie de renversement 1127 (fig. 6) s'engage dans une partie entaillée de l'extrémité antérieure du levier 1124 pour basculer ledit levier dans le sens des aib milles d'une montre, comme on le voit sur la fi,-. 6, contre l'action d'un ressort<B>1126</B> qui est tendu de façon à maintenir ledit levier dans une position équilibrée ou centrale, comme re présenté.
Le mouvement du levier 1124 dans le sens des aiguilles d'une montre déplace la bielle 1123 vers la droite (fig. 6 et 9), amenant, son extension, en coopération avec le bec angu laire 1122 du linguet 1119,à basculer ledit linguet dans le sens des aiguilles d'une mon tre contre l'action du ressort 1121 pour dé gager la dent de ce linguet de l'épaulement de la chape 1115, de façon à abandonner la dite chape à l'action du ressort 1118, ce qui déplace immédiatement ladite chape vers la droite.
Le déplacement de la chape 1115 vers la droite (fig. 9) dégage l'organe d'accouple ment 1092 des dents de la roue 1089 et met en prise en même temps les dents de l'organe d'accouplement 1093 avec les dents de la roue 1090, de façon à faire tourner l'arbre 1086 et la roue 1085 (fig. 6) dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, afin d'en traîner le chariot dans le sens de retour.
A mesure que la saillie 1127 passe au-delà de l'extrémité du levier 112.1, le corps de ladite saillie rencontre une butée fixe (non représentée) de manière à terminer de toute façon le mouvement du chariot au cas où le mécanisme de renversement, expliqué plus haut, n'agit pas assez tôt pour terminer ce mouvement auparavant. Lors du mouvement de retour du chariot, la saillie 1127 (fig. 6) passe à côté de l'extrémité inférieure du levier 1124, grâce à l'action du ressort 1126, lequel, comme il a été expliqué plus haut, maintient ledit. levier dans une position neutre repré sentée.
Lorsque le chariot 136, en se déplaçant dans le sens de retour, arrive à la fin de sa course, une saillie dirigée vers le bas 1129 sur la butée de marge gauche (fig. 6) vient au contact de l'extrémité antérieure d'un linguet 1130 monté librement sur un axe 1131 fixé sur le châssis 1087 et. bascule ledit linguet dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort 1132 tendu pour maintenir ledit linguet dans une posi tion intermédiaire ou neutre, comme repré senté.
Le mouvement du linguet 1130 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre amène un prolongement arrière de ce lui-ci, en coopération avec un goujon 1133 d'un bras 1134 fixé sur un arbre 1135,à bas culer ledit bras et ledit arbre 1135 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 6. L'arbre 1135 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, comme expliqué plus haut, contre l'action d'un res sort 1137 tendu entre une plaque supérieure 1136 (fig. 4) et un bras 1138 fixé sur ledit arbre 1135.
Sur l'arbre 1135 (fig. 6 et 7) est égale ment fixé un bras 1139, ayant sur son extré mité une surface à gradins qui coopère avec une patte repliée vers le haut 1140 d'un bras de déblocage 1141 monté de façon à pouvoir pivoter et se déplacer grâce à un goujon 1142 porté par ce bras et qui s'engage dans une fente pratiquée dans le bras inférieur d'une chape 1143 montée librement sur un axe 1144 porté par le châssis 1087 et la plaque supé rieure 1136.
Un ressort 1145, tendu entre la chape 1143 et un verrou 1146 de la chape monté librement sur l'arbre 1135, entraîne ledit verrou dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté, pour maintenir la dent de ce verrou normalement en prise avec une saillie 1147 du bras inférieur de la chape 1143 afin d'empêcher normalement ladite chape de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action dudit ressort 1145.
La patte repliée 1140 du bras 1141 (fig. 7) passe à travers une fente 1148 en forme de<B>L</B> pratiquée dans le verrou 1146, et normalement ladite patte est engagée par le cran extérieur du bras 1139 et retenue en avant dans la partie élargie' de ladite fente en forme de L 1148 contre l'action d'un res sort 1149 tendu entre ledit bras 1141 et le bras inférieur de la chape 1143, l'action de ce ressort étant surmontée par le ressort 1137.
Le mouvement de l'arbre 1135 et du bras 1139 dans le' sens des aiguilles d'-une montre (fig. 6 et 7), sous l'action de la butée de marge gauche 1l29, comme il a été expliqué plus haut, permet au bras 1141 de se dépla cer vers l'arrière sous l'action du ressort 1149 jusqu'à ce qué la patte repliée 1140 rencontre la paroi arrière de la fente en forme de L 1148,
sur quoi le cran extérieur dudit bras 1139 se dégage de ladite patte 1140 pour per mettre au ressort 1149 de basculer ledit bras 1141 dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre pour déplacer la patte 1140 dans la branche droite ou étroite de la fente 1148.
Lorsque la saillie 1129 se déplace au delà du linguet 1130, l'arbre 1135 et le bras 1139 sont immédiatement soumis à l'action du ressort 1137, qui, ramène ledit arbre et ledit bras dans le sens contraire à celui des aiguil les d'une montre, amenant le cran intérieur dudit bras 1139, en coopération avec la patte 1140, à déplacer le bras 1141 vers l'avant contre l'action du ressort 1149.
Le mouvement vers l'avant du bras 1141 amène la patte 1140 à venir en contact avec la paroi avant de la branche étroite de la fente 1148, afin de basculer le verrou 1146 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1145 pour dégager la dent dudit verrou de la saillie 1147, afin. d'aban donner la chape 1143 à l'action dudit ressort 1145.
Les bras de la chape 1143 (fig. 6 et 7) portent des goujons 1150 en alignement axial qui s'engagent dans une rainure annulaire d'un organe d'accouplement 1151 pourvu de tenons qui s'engagent dans des entailles d'ac couplement d'un organe entraîneur 1152 fixé sur un arbre 1153 tourillonnant dans 1e châssis 1087. Ainsi, l'organe d'accouplement 1151 est monté pour pouvoir tourner simul tanément avec l'arbre 1153, mais il peut aussi se déplacer horizontalement sur cet arbre.
Sur l'extrémité droite de l'arbre 1153 (fig. 4) est fixée Lune roue conique 1154 qui engrène avec une roue associée 1155 montée sur l'extré mité supérieure d'un arbre vertical 1156 tou- rillonnant dans le châssis 1087, en aligne ment axial avec l'arbre 1105 et relié à lui au moyen d'un accouplement élastique 1157. Le train des mécanismes décrit ci-dessus relie l'arbre 1153 au moteur à marche continue 1109 et ledit arbre 1153 tourne continuelle ment dans le sens des aiguilles d'une montre, comme le montre la fig. 4.
Le mouvement de la chape 1143 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 6, 7 et 8) après que le verrou 1146 a été dégagé de la saillie 1147, ainsi qu'il a été expliqué ci-des sus, amène le goujon 1150, en coopération avec la rainure annulaire de l'organe d'accou plement 1151,à déplacer ledit organe vers la gauche, de manière à mettre en prise ses dents d'accouplement avec les dents correspon dantes d'un tambour 1160 solidaire d'une came de remise en position 1161 et d'une came hélicoïdale 1162, tous ces organes étant montés librement sur l'arbre 1153.
Ceci amène le tambour 1160, la came 1161 et la came hélicoïdale 1162 à tourner simultané ment avec l'arbre 1153, sur quoi la came héli coïdale, en coopération avec un goujon 1159 fixé sur la plaque 1117 (fig. 6 et 9), déplace ladite plaque et la. chape 1115 vers la gauche pour dégager les dents de l'organe d'accouple ment 1093 de la roue 1090 et pour embrayer en même temps les dents de l'organe d'accou plement 1092 avec.
les dents de la roue 1089 pour renverser le sens du mouvement du chariot et amener ainsi ledit chariot à être déplacé dans le sens de tabulation. Après que la chape 1115 a été ramenée à sa position de gauche, le linguet 1119 (fig. 6 et 9) entre en action pour bloquer ladite chape dans sa po sition de gauche.
Les pièces 1160, 1161 et 1162 (fig. 6 et 8) sont normalement retenues dans la. position de repos au moyen d'une encoche dans la came 1161, en coopération avec un galet 1163 fixé sur un bras 1164 monté librement sur une tige 1165 portée par le châssis 1087 et entraînée par un ressort 1166 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir un prolongement vers l'arrière de ce bras normalement en contact avec une surface usinée du châssis 1087.
Lors que l'organe d'accouplement 1151 est en prise avec les dents du tambour 1160, comme il a été expliqué plus haut, la rotation de ce tam bour et des pièces annexes dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté à la fig. 8, éloigne l'encoche pratiquée à la péri phérie de la. came 1161 du galet 1163, de ma nière à basculer le bras 1164 dans le sens des aiguilles d'une montre pour tendre le ressort 1166.
Après que les parties, y compris les cames 1161 et 1162, ont presque accompli un tour, l'encoche angulaire pratiquée à la péri phérie de la came 1161, en coopération avec le galet 1163 et sous l'action du bras 1164 soumis à la tension du ressort, accélère le mouvement final desdites pièces, afin de les faire tourner plus vite que l'arbre 1153, sur quoi les surfaces angulaires des bords arrière des dents du tambour 1160, en coopération avec les surfaces semblables de l'organe d'ac couplement 1151, déplacent ledit organe vers la droite, comme on le voit sur la fig. 6.
Le mouvement de la chape 1143 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig.6 et 7), lorsque le verrou 1146 est. dégagé de la saillie 1147 de cette chape, ainsi qu'il a été expliqué plus haut, amène une patte dirigée vers le bas 1167 de ladite chape à venir au contact.
du bras 1141 et à l'entraîner simultanément clans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à retirer sa patte repliée 1140 de la branche étroite de la fente en forme de<B>L</B> 1148 et à la placer dans la partie large de ladite fente, pour permettre au ressort 1145 de ramener la dent du verrou 1146 sur le chemin de la saillie 1147 et à permettre au cran extérieur du bras 1139 de venir à nouveau au contact de ladite patte 1140 pour retenir le bras 1.141 dans la position normale, comme repré senté sur les fig. 6 et 7.
Comme l'organe d'ac couplement 1151 (fig. 6) est déplacé vers la droite par le mouvement accéléré du tambour 1160 sous l'action du bras 1164 et du ressort 1.166 (fig. 8), ledit organe d'accouplement 1151 entraîne la chape 1143 simultanément avec lui dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour amener la saillie 1147 (fig. 7) à passer à côté de la dent du verrou 1146, sur quoi ledit verrou se pose sur cette saillie pour retenir ladite chape et l'organe d'accouplement 1151 en position dé brayée, comme indiqué sur la fig. 6.
Le galet 1163 (fig. 6 et 8), en coopération avec l'en coche de la came 1161, retient ladite carne, le tambour 1160 et la came hélicoïdale 1162 dans les positions représentées.
Lorsque la butée de la marge gauche 1129 (fig. 6) se déplace au-delà du linguet 1130, ladite butée coopère avec la butée fixe (non représentée) exactement de la façon qui a été expliquée pour la butée de la. marge droite 1127, de faon à empêcher un mouvement excessif de retour du chariot, dans le cas où le mécanisme de renversement ne fonctionne rait pas assez vite pour arrêter ce mouvement au préalable.
Grâce à l'action du ressort 113'? (fi-. 6), la saillie 1129 de la butée clé la marge gauche passe à côté de l'extrémité infé rieure du linguet 1130 durant le mouvement de tabulation du chariot, lorsque ladite saillie se trouve au-delà dudit linguet, ainsi qu'il a été expliqué plus haut.
Il est entendu que le linguet de la. marge gauche 1130 (fig. 6) entre en action lorsque le chariot a été ramené à une position au-delà de la zone des touches sélectrices de colonnes 1070 ou lorsque la touche de la marge gauche 1066 est abaissée et maintenue abaissée pour retenir les pistons d'arrêt hors du chemin des butées de colonnes.
De même, le linguet de la marge droite 1124 entre en action lorsque le chariot. a été fabulé à une position au-delà de la commande des touches<B>1070</B> sélectrices de colonnes ou lorsque la touche tabulatrice 1071 a été abaissée et maintenue abaissée pour re tenir les pistons d'arrêt hors du chemin des butées de colonnes, pour amener le déplace ment du chariot à sa position extrême de fabulation.
En se référant aux fig. 12, 13 et 27, les pistons d'arrêt 1170, 1171, 1172, 1173, qui coopèrent avec les taquets 733 sur le chariot pour arrêter ce dernier dans des positions de colonnes appropriées, sont montés à glisse ment vertical dans cl-es fentes pratiquées dans des plaques plates 1174 montées sur deux goujons 1175 fixés sur une plaque 1176 qui porte trois goujons d'écartement 1177, fixés par des vis à la barre arrière 138 de guidage du chariot.
En se référant à la fig. 27, on remarquera que les bords extérieurs des pistons d'arrêt 1170 à 1173 inclus sont coni ques pour permettre aux bords arrondis des taquets d'arrêt 733 de passer par-dessus les dits pistons lorsque le chariot se déplace soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour.
Le jeu antérieur des pistons d'arrêt 1170 et 1171 possède à ses extrémités infé rieures des encoches dans lesquelles sont en gagés les doigts des extrémités de gauche de leviers 1178 et 1179, respectivement, et le jeu arrière de pistons 1172 et 1173 (fig. 12 et 27) a des encoches analogues dans lesquelles s'en gagent les doigts de leviers analogues 1180 et 1181, tous ces leviers pivotant sur le gou jon central 1177.
Des ressorts 1182 (fig. 27), tendus entre des crochets des leviers 1178 à 1181 inclus et des doigts d'un prolongement vers le bas de la plaque 1176, entraînent les dits leviers dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement les pis tons qui leur sont associés dans leurs posi tions du haut et pour maintenir normalement les extrémités de droite desdits leviers 1178 et 1179 en contact avec le bord supérieur d'une barre de commande de tabulation 1183.
De même, les ressorts 1182 (fig. 12 et 27) pour les leviers 1180 et 1181 maintiennent les extrémités de droite desdits leviers en contact avec la surface supérieure d'une barre de commande de tabulation 1184. Sur la barre 1183 (fig. 17) est montée à glissement une coulisse 1185 pourvue d'une fente sur l'extrémité du haut par laquelle passent les extrémités de droite des leviers 1178 et 1179. Sur la barre 1184 (fig. 5, 10 et 12) est montée à glissement une coulisse 1186 pourvue sur l'extrémité supérieure d'une fente par laquelle passent les extrémités de droite des leviers 1180 et 1181.
La coulisse 1185 (fig. 17) peut glisser sur la barre 1183 au moyen de fentes parallèles dans celle-ci, en coopération avec des goujons<B>1187</B> et 1188 fixés sur ladite barre 1183, ladite coulisse possédant une fente qui chevauche un goujon fixe 1189, lequel, conjointement avec un goujon fixe associé 1190, s'engage dans des fentes parallèles de la barre 1183 pour sup porter ladite barre en vue d'un déplacement vertical. Les goujons 1189 et 1190 (fig. 10) supportent également la barre de commande de tabulation 1184 en vue d'un déplacement vertical exactement de la même manière qu'ils supportent la barre 1183.
Les barres 1183 et 1184 (fig. 11, 17 et 28) ont, respectivement, des prolongements vers l'arrière, 1192 et 1193, qui coopèrent avec un goujon 1194 d'un bras 1195 monté libre ment sur le goujon 1189. Le bras 1195 pos sède une surface usinée qui coopère avec un goujon 1196 d'un bras<B>1197</B> fixé sur un arbre 7.198 tourillonnant dans le châssis 1087 de la machine.
Sur l'extrémité gauche de l'arbre 1198 se trouve un levier à came 1199 (fig. 17) portant des galets 1201 et 1202 qui coopèrent, respectivement, avec les périphéries .de cames associées 1203 et 1204 montées librement sur l'arbre 1153 et solidaires d'im tambour 1205 (fig. 18) pourvu de dents d'accouplement qui coopèrent avec des dents d'accouplement correspondantes d'un organe d'accouplement 1206 (fig. 26) monté à glissement sur l'arbre 1153, mais tournant simultanément avec lui.
L'organe d'accouplement 1206 est actionné par une chape déplaçable 1207, et ce méca nisme d'accouplement servant à soulever les pistons d'arrêt de tabulation est analogue sous tous les rapports au et fonctionne exactement de la même façon que le mécanisme d'accou- plement représenté sur la fig. 6 servant à re mettre en position la chape de renversement 1115. Toutefois, il y a une légère différence clans la manière suivant laquelle les deux mé canismes d'accouplement sont. embrayés et dé brayés, et cette différence sera expliquée en se rapportant aux fig. 18 et 26.
La chape 1207 servant à actionner l'or gane d'accouplement 1206 est supportée à ro tation par un axe vertical 1200 qui est, à son tour, supporté par le châssis 1087 et la pla que supérieure 1136. Un bras de la chape 1207 a une saillie antérieure 1208 qui vient au contact de la dent d'un verrou 1209 monté librement sur un arbre vertical 1210 touril lonnant dans le châssis de la. machine. Un ressort 1211, tendu entre un bras de la chape 1207 et le verrou 1209, entraîne lesdites parties dans le sens des aiguilles d'une mon tre, de manière à maintenir normalement le verrou en prise avec la saillie 1208.
Le verrou 1209 possède une fente en forme de L 1212 au travers de laquelle passe une saillie vers le haut 1213 d'un bras de dégagement 1214 du verrou qui est monté sur un des bras de la chape 1207, de faon à pouvoir pivoter et se déplacer à l'aide d'un goujon de ce bras qui s'engage dans une fente dudit bras de la dite chape. Un ressort 1215 est tendu entre le bras 1214 et un bras de la chape 1207 pour entraîner ledit. bras 1214 dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre et en même temps pour entraîner ledit bras vers l'arrière, de manière à maintenir normale ment ledit bras, comme le montre la fig. 18.
La saillie vers le haut 1213 du bras 1214 co opère avec un linguet de dégagement 1216 du verrou, fixé sur l'arbre 1210. Sur l'extré mité supérieure de l'arbre 1210 est également fixé un bras 1217 (fig. 26) relié par une arti- eulation 1218 à un bras 1219 fixé sur un arbre 1220 tourillonnant dans le châssis 1087. Un ressort 1221, tendu entre le bras 1217 et la plaque 1136, entraîne ledit bras, l'arbre 1210 et le linguet 1216 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir nor malement lesdites parties en positions nor males, comme représenté.
Lorsque l'arbre 1220 est actionné de la manière qui va être maintenant décrite, l'arbre 1210 (fig. 18 et 26), ainsi que le lin- guet 1216 sont basculés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1221, en amenant ledit Jinguet, en coopération avec la .saillie vers le haut 1213,à déplacer le bras 1214 vers l'avant contre l'action du ressort 1215 et, étant donné que la saillie repliée vers le haut 1213 se trouve dans la partie étroite de la fente "en forme de<B>L</B> 1212, le verrou 1209 se déplace simultanément avec elle dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre,
de manière à dégager la dent dudit verrou de la saillie 1208 de la chape 1207. Ceci a pour effet d'abandonner la chape 1207 à l'action du ressort 1211 qui déplace immédiatement ladite chape dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à mettre en prise les dents de l'organe d'accouplement 1206 avec les dents correspondantes du tambour 1205 et à faire tourner ledit. tambour et les cames 1203 et 1204 d'un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 17.
Du fait de la rotation des cames 1203 et 1204, le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras 1197 se déplacent d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre et ensuite font retour à la position normale, mouvement qui, au moyen du goujon 1196 (fig. 11), bascule le bras 1195 d'abord dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre, amenant le goujon 1194, en coopération avec les prolon gements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1184, à déplacer lesdites barres vers le haut.
Le mouvement vers le haut des barres 1183 et 1184, au moyen des leviers correspondants 1178 et 1181 inclus (fig. 12 et 27), déplace les pistons d'arrêt correspondants 1170 à 1173 inclus vers le bas hors de prise du taquet 733 du bloc 722, de façon à permettre au chariot de se déplacer soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour.
Le mouvement de la chape 1207 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 18) pour engager le mécanisme d'accouplement, lors que le verrou 1209 est libéré comme expliqué plus haut, amène une saillie vers le bas 1222 du bras inférieur de ladite chape à engager le bras 1214 pour basculer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1215, afin de déplacer la saillie vers le haut 1213 hors de la branche étroite de la fente 1212 et à l'introduire dans la branche élargie de ladite fente,
pour permet tre au ressort 1211 de ramener immédiate ment ledit verrou 1209 dans le sens des aiguilles d'une montre vers une position où sa dent se trouve sur le chemin de la saillie 1208. Lorsque les cames 1203 et 1204<B>-</B>et le tambour 1205 (fig. 17 et 18) approchent de la fin de leur révolution dans le sens des aiguilles d'une montre, une saillie-came 1223 de la périphérie dudit tambour vient au con tact d'un goujon aplati 1224 fixé sur le bras supérieur de la chape 1207 et bascule ladite chape dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1211, pour amener la saillie 1208 à passer à côté de la dent du verrou 1209,
sur quoi ledit verrou entre en action pour retenir la dite chape ainsi que l'organe d'accouplement 1206 (fig. 26) en position débrayée.
Les cames 1203 et 1204 et le tambour 1205 sont aidés à regagner leur position de repos et à y être retenus au moyen d'une encoche pratiquée dans un disque de repérage 1225 (fig. 26) solidaire desdites cames et dudit tambour, en coopération avec un galet fixé sur un levier de repérage 1226 entraîné par un ressort, qui est analogue au levier 1164 représenté sur la fig. 8 et expliqué ci-dessus et fonctionnant exactement comme lui.
Le levier de repérage 1226 (fig. 18 et 26) situe le tambour 1205, de sorte que sa came-saillie 1223 se trouve au-delà de la surface plate du goujon 1224, de manière à ne pas gêner le mouvement d'embrayage de la chape 1207 dans le sens des aiguilles d'une montre, lors que le verrou 1209 est de nouveau débrayé de l a manière expliquée plus haut.
Après que le chariot s'est déplacé vers la position de colonne sélectionnée, le linguet 1.216 et l'arbre 1210 sont ramenés dans le sens des aiguilles d'une montre vers la position normale, d'une manière qui va être décrite maintenant, permettant ainsi au ressort 1215 de ramener le bras 1214 vers l'arrière et dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour introduire de nouveau la saillie vers le haut 1213 dudit bras dans la branche étroite de la fente 1212,
de sorte que l'opéra tion dudit arbre et dudit linguet 7.216, de la manière expliquée plus haut, débloquera de nouveau le verrou 1209 pour dégager les pistons d'arrêt.
Sur la barre de tabulation 1184 (fig. 5, 10 et 17) pivote un linguet 1229 présentant une surface angulaire 1230 normalement maintenue en contact avec la tige 1189 par un ressort 1237. qui entraîne ledit linguet dans le sens des aiguilles d'une montre.
Un prolongement vers le bas du linguet 1229 est disposé pour coopérer avec un goujon carré 1232 fixé sur l'extrémité avant d'un bras 1233 monté librement sur la tige 1189 et entraîné dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre par un ressort 1234 pour main tenir normalement un prolongement vers le bas 1235 de ce bras en contact avec le bord supérieur d'un prolongement horizontal d'un bras de commande de fabulation 1236.
Un autre prolongement 1237 (fig. 10) du bras 1233 est disposé pour coopérer avec le bord supérieur arrondi de la traverse d'une chape 1238, laquelle, conjointement avec un bras de commande du retour 1239, qui est un bras droit conjugué du bras 1236, coopère avec les barres 1183 et 1184 d'une manière qui sera décrite ultérieurement pour commander les mouvements de tabulation et de retour du chariot.
Sur les bras conjugués 1236 et 1239 (fig. 12, 13, 15, 16 et 20) sont fixés des moyeux correspondants montés librement sur une tige 1240 entre une plaque 1241, d'une part, fixée à son tour au châssis droit 134 des totalisateurs et au socle de la machine et à ime console 1242, d'autre part, fixée à son tour sur la plaque 1191 (fig. 4). Les moyeux pour les bras 1236 et 1.239 (fig. 12, 13 et 15) s'ajustent entre les bras parallèles de la chape 1238, ces bras pivotant, à leur tour, sur la tige 1240.
Une vis de réglage 1243 s'étend entre les bras parallèles de la chape 1238, passe libre ment dans le bras droit et est filetée dans le bras gauche, de façon à former une tringle entre lesdits bras parallèles et à prévoir un dispositif servant à régler lesdits bras latéra lement, de sorte que les moyeux pour les bras 1236 et 1239 s'ajusteront étroitement entre les bras pour former un bâti 1248 de trois éléments 1236, 1238 et 1239, bâti qui peut se déplacer latéralement sur la tige 1240. Un écrou de blocage coopère avec une partie filetée de la vis 1243 qui passe à travers le bras droit de la chape 1238, de façon à fixer ladite vis dans sa position de réglage.
Sur les surfaces intérieures des bras pa rallèles de la chape 1238 sont fixés des gou jons 1244 et 1245 (fig. 12, 13 et 15) qui s'en gagent dans des fentes des bras de droite et de gauche semblables fixés sur les extrémités opposées d'un manchon 1246 et espacés par lui de telle façon qu'ils s'ajustent entre les surfaces intérieures desdits bras parallèles de ladite chape 1238. Le manchon 1246 s'ajuste librement sur une tige 1247 portée par la plaque 1241 et la console 1242 et, avec ladite chape 1238 et les bras 1236 et 1239, forment un bâti mobile qui peut être disposé latérale ment sous l'action du chariot lorsque celui-ci se déplace vers ses diverses positions de co lonnes, ainsi qu'il va être expliqué maintenant.
Le manchon 1246 (fig. 12 et 13) possède des dents annulaires 1249 entaillées dans ce lui-ci, qui coopèrent avec les dents d'un seg ment 1250 fixé sur une extrémité d'un arbre court 1251 tourillonnant dans un. coussinet 1252 fixé sur la plaque 1176. Sur l'extrémité opposée de l'arbre 1251 se trouve un autre segment d'engrenage 1253 qui engrène avec des dents de crémaillère entaillées dans le bord inférieur d'une barre 1254 supportée pour un mouvement horizontal par des fentes parallèles 1255 et 1256, en coopération avec des goujons correspondants fixés sur la pla que 1176.
L'extrémité de gauche de la barre 1254 (fig. 12 et 13) porte des dents de cré maillère qui engrènent avec un pignon 1257 solidaire d'une roue d'index 1258 fixée sur un tronçon d'arbre 1259, dont les extrémités opposées tourillonnent dans la plaque 1176 et dans la plaque laminée antérieure 1174 en vue de supporter les pistons d'arrêt de tabulation. En considérant la fig. 12, on remarquera que le pignon 1257, la roue 1258 et l'arbre 1259 sont situés au milieu de l'espace formé entre les pistons d'arrêt de droite et de gauche<B>1170</B> à 1173 inclus, espace prévu pour les taquets d'arrêt 733 (fig. 1.3) des blocs de commande 722,
de façon à situer le chariot dans ses di verses positions de colonnes.
Les dents de la roue 1258 sont disposées de façon telle .qu'elles puissent venir au con tact d'un goujon aplati 732 de chacun des blocs de commande 722 et, à mesure que le chariot se déplace d'une position de colonne à la suivante, le goujon sortant 732 fait pi voter la roue 1258 de la moitié de l'entre-dent et le goujon entrant 732 achève ce mouve ment d'ajustage en faisant pivoter ladite roue de l'autre moitié de l'entre-dent, ainsi qu'on le. comprendra en comparant les fig. 13 et 14.
Lorsque le chariot est placé dans une position de colonne par le taquet 733 en coopération avec les pistons d'arrêt 1170 à 1173, le gou jon correspondant 732 est en prise avec les dents de la roue 1258, comme le montre la fig. 14, pour placer et maintenir en position retirée ladite roue et les pièces qui lui sont reliées.
Une barre de retenue 1260 (fig. 13 et 14), montée à glissement sur la face inté rieure de la plaque 1176, est entraînée vers la gauche par un ressort 1261, de façon à maintenir une partie dentée de ladite barre en prise flexible avec les dents de la roue 1258 pour maintenir en position convenable ladite roue et les pièces qui lui sont reliées lorsque le chariot se déplace d'une position de co lonne à une autre et que les goujons 732 sont. hors de prise avec les dents de ladite roue, comme le montre la fig. 13.
A mesure que le chariot se déplace d'une position de colonne à la suivante, soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour, les goujons 732, en coopération avec les dents de la roue 1258 (fig. 13 et 14), déplacent le bâti 1248 com prenant les bras de commande de tabulation I236 et 1239 et la chape 1238 d'un pas pour chaque position de colonne par laquelle passe le chariot et dans le sens de déplacement du chariot, de sorte que ledit bâti 1248 est tou jours ajusté en rapport avec la position de colonne du chariot.
Dans la machine représentée, la capacité maximum du chariot est de dix positions de colonnes. Toutefois, l'augmentation de la ca pacité du chariot quant au nombre de co lonnes n'est qu'une question d'habileté méca nique ne sortant pas du cadre de la présente invention.
Les bras de droite et de gauche de la chape 1238 (fig. 16), en regardant depuis l'arrière de la machine, passent par des ouver tures<B>1262</B> et 1263 pratiquées dans les parties repliées des bras 1236 et 1239, et le bras 1239 porte un goujon 1264 (fig. 17 et 20) qui passe par une fente 1265 du bras 1236. L'ouverture 1263 permet le mouvement de la chape 1238 pendant que le bras 1239 reste immobile. Toutefois, l'ouverture 1262 est aménagée pour entrer en contact avec le bord supérieur du bras droit de la chape 1238 lorsque cette dernière est soulevée à la position active, comme on va l'expliquer.
Par conséquent, la chape 1238, qui est toujours basculée vers le haut lorsque le chariot passe d'une position de colonne à une autre, entraîne toujours le bras 1236 avec lui vers le haut. Lorsque le bras de tabulation 1236 se déplace vers le haut, sa fente 1265 (fig. 20) donne du jeu au goujon 1264; par conséquent, le bras de re tour 1239 demeure immobile. Toutefois, lors que le bras de retour 1239 est déplacé vers le haut, comme il sera expliqué plus loin, son goujon 1264, en coopération avec le bord su périeur de la fente 1265, soulève avec lui le bras de tabulation 1236. Le but de ces liaisons entre les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 ressortira dü cours de l'exposé.
Se référant aux fig. 16 et 17, les bords inférieurs du bras 1239 et de la traverse de la chape 1238 coopèrent avec -Lui levier 1266 de soulèvement pour la marge gauche, et les bords inférieurs du bras 1236 et de la tra- verse de la chape 1238 coopèrent avec dix leviers sélecteurs de coloimes 1267 reliés aux touches sélectrices de colonnes correspon dantes 1070 (fig. 1) et, avec le levier de marge gauche 1266, sont montés à oscillation sur un goujon 1268 qui s'étend entre la pla que 1191 (fig. 4) et le châssis de droite 130.
Le levier 1266 porte sur son extrémité infé rieure un goujon 1269 (fig. 17) qui s'engage dans une fente verticale dans l'extrémité arrière d'une articulation 1270, dont l'extré mité antérieure pivote sir un bras 1271 monté librement sur une tige 1272 s'étendant entre la plaque 1191 et le châssis de droite 130. Une articulation 1273 relie à pivot le bras 1271 à un levier 1274 monté librement sur une tige 1275 également portée par la plaque 1191 et le châssis de droite 130.
Un fil métallique 1276 relie le levier 1274 à l'extrémité de droite du levier 1066 de la touche de marge gauche, lequel levier pivote sur un axe fixe<B>1277.</B> Un ressort 1279 (fig. 17) entraîne le bras 1271 et les leviers 1266 et 1274 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, afin de maintenir ces parties dans leurs positions normales ou de repos, comme représenté.
Les leviers 1267 (fig. 17 et 20) sont reliés à leurs touches sélectrices de colonnes respec tives 1070 au moyen d'une articulation ana logue à celle représentée sur la fig. 17 pour la touche de marge gauche 1066, et. la liaison entre le levier correspondant 1267 et la touche de Dépôts 1070 est représentée sur la fig. 21. Le levier 1267 'pour la touche de Dé pôts 1070 porte sur son extrémité inférieure un goujon qui s'engage dans une fente verti cale d'une articulation 1280 dont l'extrémité antérieure pivote sur un bras 1281 monté librement sur la. tige 1272.
Un goujon du bras 1281 s'engage dans une fente de l'extrémité inférieure-d'ime articulation 1282 dont l'extré mité supérieure pivote sur im levier 1283 monté librement sur la tige 1275. Le levier 7.283 est relié par un fil métallique 1284 à l'extrémité de droite de la partie de levier de la touche de Dépôts 1070 qui est montée librement sur l'axe 1277.
Une série de barres d'arrêt 1285 (fig. 21) coopère avec les extré mités arrière des leviers 1283 en vue d'em pêcher le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre de plus d'un de ces leviers à la fois et ainsi empêcher l'abaissement de plus d'une touche sélectrice de colonne à la fois. Un ressort 1286 entraîne le bras 1281, les leviers 1267 et 1283 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre, afin de maintenir normalement lesdites parties dans leurs positions normales, comme représenté.
La fente dans l'extrémité arrière de l'articulation 1280 (fis. 21) permet à cette articulation d'être facilement dégagée ou reliée au goujon de l'extrémité inférieure du levier 1267, et la partie élargie de la fente dans l'extrémité inférieure de l'articulation 1282 permet à ladite articulation d'être faci lement dégagée ou reliée au goujon du bras 1281, tandis que la boucle dans l'extrémité inférieure du fil 1284 permet audit fil d'être facilement dégagé ou relié au goujon du levier 1283 pour faciliter le démontage ou l'assemblage de ces parties.
L'abaissement de la touche de Dépôts 1070 (fig. 1, 10, 20 et 21) bascule le levier 1283 dans le sens des aiguilles d'une montre, lequel mouvement, par l'intermédiaire de l'articula tion 1282, du bras 1281 et de l'articulation 1280, se transmet au levier 1267 pour bascu ler ledit levier également dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une montre amène une came angulaire 1287 de l'extrémité supérieure de ce levier, en coopé ration avec les bords inférieurs en forme de dents 1288 et 1289, respectivement, de la partie repliée du bras 1236 et de la traverse de la chape 1238, à basculer ledit bras et la dite chape dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
Lorsque la came 1287 passe au-delà du bord inférieur 1288 du bras 1236, ledit bord 1288 tombe derrière un épaulement de l'extrémité supérieure dudit levier 1267, de manière à bloquer ledit levier et les pièces annexes, y compris la touche de Dépôts 1070, dans leurs positions de manoeu- vre. Le mouvement du bras 1236 dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre (fig. 10 et 20) amène le bord supérieur de sa partie repliée, en coopération avec le prolon gement 1235 du bras 1233, à basculer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort 1234.
Le mou vement du bras 1233 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 20) amène son goujon carré 1232, en coopération avec le prolonge ment avant d'un bras 1290 monté librement sur la tige 1189,à basculer ledit bras simul tanément dans le sens des aiguilles d'une montre. Sur le bras 1290 pivote l'extrémité supé rieure d'une barre 1291 portant un goujon aplati 1292 qui s'engage dans une fente dans l'extrémité supérieure d'un bras 1293 monté librement sur la tige 1268 et relié par une tige 1294 à un bras associé 1295 (fig. 17) également monté librement sur la tige 1268.
Un ressort 1300, tendu entre le bras 1290 et la barre 1291, entraîne ledit bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement son extrémité avant en contact avec le goujon 1232 et en traîne le bras 1293 également dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement la tige 1294 en contact avec les leviers 1267 des touches sélec trices de colonnes et avec le levier 1266 de la touche de marge gauche.
Le mouvement des bras 1233 et 1290 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 10 et 20), sous l'action du bras 1236, comme expliqué plus haut, déplace le goujon 1292 vers le bas dans le chemin d'un prolongement @ ers le haut 1296 d'un bras 1297 monté libre ment sur. la tige 1268 et relié par une articu lation 1298à un bras 1299 fixé sur l'arbre 1220. Le mouvement du goujon 1292 dans le chemin du prolongement vers le haut 1296 se produit avant que la tige 1294 (fig. 20) ait subi un mouvement appréciable par le mou vement du levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Toutefois, le mouve ment ultérieur dudit. levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une montre, après que le goujon 1292 a été déplacé dans le chemin du prolongement 1296, bascule le bras 1297 dans le sens des aiguilles d'une montre, lequel, au moyen de l'articulation 1298, bascule le bras 1299 et l'arbre 1220 simultanément dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouve ment de l'arbre 1220 dans le sens des aiguilles d'une montre bascule au moyen de l'articula tion 1218 (fig. 26), le bras 1217 et l'arbre 1210 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 18, pour amener le linguet 1216, en coopération avec le prolongement replié 1213 du bras 1214,à dégager le verrou 1209 de la saillie 1208 de la chape 1207, .pour faire entrer en action le mécanisme d'accouplement pour les cames 1203 et 1204 (fig. 17).
La ro tation des cames 1203 et 1204 (fig. 11 et 17) bascule le levier 1199, l'arbre 1198 et le bras 1197 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, amenant le goujon 1196 à basculer le bras 1195 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1195 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre amène le goujon 1194, en coopération avec les prolongements 1192 et 1193 des barres 1183 et 1184,à déplacer les dites barres vers le haut de la manière expli quée ci-dessus. Le mouvement de la barre 1184 vers le haut (fig. 10) retire la surface angu laire 1230 prévue sur le linguet 1229 du gou jon 1189 pour permettre au prolongement vers le bas dudit linguet de se poser sur le goujon carré 1232 lorsque la barre 1184 atteint la limite de son mouvement vers le haut,
afin de bloquer ladite barre dans sa position haute.
Le mouvement de- la barre 1183 vers. le haut (fig. 28) retire une surface angulaire 1303 d'une ouverture dans un linguet 1304, qui pivote sur ladite barre, à l'écart du gou jon 1189 de faon à abandonner ledit linguet à l'action d'un ressort 1305, tendu de façon à entraîner ledit linguet dans le sens des aiguilles d'une montre.
Lorsque ladite barre 1183 atteint la limite de son mouvement vers le- haut, une surface 1306 du linguet 1304 se déplace sur le bord supérieur de la traverse de la chape 1238 pour verrouiller ladite barre 1183 dans sa position haute.
Le mouvement des barres 1183 et 1184 vers le haut (fig. 12 et<B>27),</B> ainsi qu'il a déjà été expliqué, déplace les pistons d'arrêt cor respondants 1170, 1171, 11t2 et 1173 vers le bas hors de prise avec les taquets d'arrêt 733 pour permettre le déplacement du chariot sous l'action du mécanisme d'entraînement hydraulique.
En se référant aux fig. 20 et 21, on se rappellera que la traverse de la chape 1238 se déplace vers le haut du fait du mou vement du levier 1267 dans le sens des aiguilles d'une montre au moment même où le bras 1236 se déplace vers le haut et est retenu dans cette position lorsque le bord inférieur 1288 dudit bras 1236 tombe der rière l'épaulement de la came 1287 pour re tenir ledit levier 1267 dans sa position atteinte en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre ou position de man#uvre.
Lorsque les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 sont ajustés latéralement, comme indi qué sur la fig. 16, par le chariot quand il se déplace vers sa position extrême de tabula- tion, position qui correspond à une colonne Pick-up de la pièce comptable, une ouver ture 1307, formée par les bords inférieurs des bras 1236 et 1239 et par une encoche 1308 dans le bord inférieur de la chape 1238, coïn cide avec l'extrémité supérieure du levier 1267 pour la touche Pick-up 1070 et, lorsque le chariot se trouve dans cette position, l'abais sement de la touche Pick-up ne provoquera pas de soulèvement des bras 1236 et 1239 et de la chape 1238,
et le chariot restera, par conséquent, immobile.
Normalement, le mécanisme d'entraîne ment du chariot (fig. 6 et 9) agit de manière à entraîner le chariot dans le sens de tabula- tion et, lorsque ledit chariot se trouve dans la position de la colonne Pick-up et les pièces 1236, 1238 et 1239 dans les positions indiquées sur la fig. 16, la libération des pistons d'arrêt par l'abaissement de la touche de Dépôts 1070, comme expliqué ci-dessus, déplacera le chariot dans le sens de tabula- tion ou vers la droite,
comme représenté sur le dessin. Lorsque l'encoche 1308 dans le bord inférieur de la chape 1238 passe au-delà de l'extrémité supérieure du levier 1267 pour la touche des Dépôts, ladite chape tombera en permettant à la barre 1183 (fig. 28) de se dé placer simultanément avec elle vers le bas, permettant ainsi aux pistons 1170 et 1171 (fig. 12 et 13) de se déplacer vers le haut dans le chemin du taquet d'arrêt 733 du bloc de commande 722 situé dans la position de la colonne des dépôts du chariot et, immédiate ment après, le bord intérieur de l'extrémité inférieure du bras 1236 passe au-delà du levier 1267 et ledit bras et la barre 1184 (fig. 10)
descendent simultanément pour ra mener les pistons 1172 et 1173 sur le chemin dudit taquet 733 pour la colonne des Dépôts.
Les barres 1183 et 1184 sont. ramenées vers le bas juste avant. que le chariot arrive à la position de la colonne sélectionnée. Par con séquent, le bord inférieur arrondi du taquet 733 (fig. 13 et 14) se pose sur les bords su périeurs inclinés des pistons 1170 et 1172 pour les abaisser.
Le mouvement des pistons 1170 et 1172 vers le bas (fig. 12 et 27) bascule les leviers correspondants<B>1178</B> et 1180 dans lé sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1182, de ma nière à déplacer les coulisses correspondantes <B>1185</B> et 1186 (voir également les fig. 5, 11 et 17) vers le haut contre l'action de leurs res sorts correspondants 1301 et 1302 pendant que les barres correspondantes 1183 et 1184 restent dans leurs positions basses.
Le mouve ment de la coulisse 1186 vers le haut (fig. 5) retire un prolongement avant d'un bras 1309, pivotant sur la coulisse, d'un goujon fixé sur la barre 1184, de façon à abandonner ledit bras à l'action d'un ressort 1310 qui bascule ledit bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour déplacer un gou jon carré 1311 fixé sur l'extrémité inférieure de ce bras sous un prolongement 1312 de la traverse d'une chape 1313 montée librement sur un arbre 1314 (fig. 4 et 17) qui tourne dans la pièce en fonte 1101 du mécanisme hydraulique.
Le mouvement ultérieur de la coulisse 1186 et du bras 1309 vers le haut amène le goujon carré 1311, en coopération avec le prolongement 1312, à basculer la chape<B>1313</B> dans le sens des aiguilles d'une montre.
Etant donné qu'un bras gauche de la chape 13l3 (fi-. 4, 6, 17 et 26) est relié à oscillation par une articulation 1315 à Lui bras 1316 ixé sur l'extrémité de droite d'un arbre 1317 de renversement du mouvement du chariot, arbre tournant dans les bras di rigés vers l'arrière du châssis 1087, le mouve ment de ladite chape dans le sens des aiguilles d'une montre bascule ledit arbre dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fi.. 17.
Sur l'arbre 1317 est également fixé (fig. 6, 7 et '?6) un bras<B>1318</B> relié à oscillation par une articu lation<B>1319</B> au bras 1138 lequel, comme il a été expliqué ci-dessus, est fixé sur l'extrémité supérieure de l'arbre vertical 1135 et, par conséquent, le mouvement dudit arbre 1317 dans le sens des aiguilles d'une montre dé place l'articulation 1319 vers l'avant, pour basculer le bras<B>11.38</B> et l'arbre 1135 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, comme représenté.
Le mouvement. de l'arbre 1135 et du bras 1139 dans le sens des aiguilles d'une montre (le bras étant, comme on se rappelle, calé sur ledit arbre) retire ledit bras de la patte repliée 1140 du bras 1141 pour permet tre audit bras de se déplacer dans la partie étroite 1148 de la fente en forme de L dans le verrou 1146, comme il a été expliqué pré cédemment.
Lorsque le taquet 733 (fig. 12 et 271) du bloc de commande 722 pour la colonne des Dépôts arrive dans l'espace entre les pistons d'arrêt, les pistons 1170 et 1172 sont ramenés vers le haut par leurs ressorts 1182, ramenant ainsi les coulisses 1185 et 1186 vers le bas à: la position normale, de manière à remettre le bras 1309 (fig. 5) également dans le sens des aiguilles d'une montre à la position normale représentée.
Le mouvement de remise en po sition vers le bas de la coulisse 1186 et le mouvement du bras 1309 dans le sens des aiguilles d'une montre abandonnent la chape 1313 et le mécanisme annexe à l'action du ressort 1137 (fi-. 6, 7 et 26), ce qui ramène immédiatement le bras 1138, l'arbre 1135 et le bras 1139 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à la position normale.
Le mouvement du bras 1139 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre amène ledit bras, en coopération avec la patte 1140, à dégager le verrou 1146 de la saillie 1147 de la chape 1143 (fig. 7) pour faire entrer en action le mécanisme d'accouplement représenté sux la fig. 6, de manière à amener la came 1162 à faire un tour pour ramener la chape 1115 à sa position de gauche ou de ta- bulation, au cas où ladite coulisse serait pour une raison quelconque en position pour en traîner le chariot dans le sens de retour.
Ceci constitue une mesure de précaution prise pour tous les cas où le chariot se déplace d'une position de colonne à une autre soit dans le sens de tabillation, soit dans le sens de retour pour s'assurer que le mécanisme représenté sur les fig. 6 et 9 est normalement en état d'entraîner le .chariot dans le sens de tabula- tion en vue d'effectuer ce mouvement du cha riot en un minimum de temps.
Sur la coulisse 1185 (fig. 4 et 17) est monté -Lin bras 1320 analogue sous tous les rapports au bras 1309 (fig. 5) pour la cou lisse 1186, ledit bras ayant un goujon carré 1321 qui coopère avec un prolongement 1322 prévu sur la traverse de la chape 1313 pour déplacer ladite chape de la faon déjà dé crite pour ledit bras 1309.
Il est évident que, lorsque le levier 1267 (fig. 16 et 21) de la touche des Dépôts 1070 arrive dans l'ouverture formée entre les bords inférieurs des bras 1236 et 1239, le bord infé rieur 1288 dudit bras 1236 passe au-delà de l'épaulement de l'extrémité supérieure dudit le;é-ier <B>1267</B> pour libérer ledit levier et les parties annexes à l'action du ressort 1286, ce oui ramène immédiatement lesdites parties, y compris la touche des Dépôts 1070, aux posi tions normales représentées.
Tant que le cha riot se trouve dans la colonne des Dépôts, 'L'abaissement de la touche des Dépôts<B>10710</B> basculera simplement le levier 1267 en avant et en arrière sans imprimer aucun mouvement au bras 1236 ni à la chape 1238. Par consé quent, le chariot restera dans la colonne des Dépôts.
Le bras droit de la chape 1313 (fig.4) porte sur son extrémité supérieure un goujon 1323 maintenu en contact avec une surface usinée d'un bras 1324, fixé sur l'arbre 1314, par un ressort 1325 tendu entre ledit bras et ladite saillie vers le haut. Sur l'arbre 1314 sont également fixés des doigts identiques dont les extrémités coopèrent avec des pistons correspondants 1327 diamétralement opposés, montés librement dans des trous de la pièce en fonte 1101 et s'étendant entre les extré mités desdits doigts et la surface supérieure d'un. organe d'accouplement 1328 fixé à rota tion sur l'arbre 1100, mais pouvant se dépla cer sur ledit arbre dans le sens axial.
Un piston 1335, actionné par im ressort et monté dans un trou de l'organe d'accouplement 1328 où il est tenu en place par une vis d'arrêt, coopère avec une encoche correspondante de l'arbre 1100 pour maintenir normalement les dents de la face inférieure dudit organe hors de prise avec les dents correspondantes de la face supérieure d'un organe d'accouplement correspondant 7.329. L'organe d'accouplement 1329 est solidaire d'une roue dentée l330 montée librement sur l'arbre 1100 et engre nant avec mi pignon 1331 solidaire d'une roue dentée 1332 montée librement sur un tronçon d'arbre 1333 supporté par la pièce en fonte 1101.
La roue 1332 (fig. 4) engrène avec une roue dentée 1334 fixée sur le corps du dispo sitif d'accouplement 1102 et tournant solidai rement avec ledit corps et la roue 1103.
Par le train d'engrenage réducteur, l'or gane d'accouplement 1329 est entraîné sensi blement plus lentement que l'accouplement hydraulique 1102 et, lors du mouvement de la chape 1313 dans le sens des aiguilles d'une montre, lorsque les pistons sont abaissés par le taquet du bloc de commande quand le cha riot s'approche des positions de colonnes sé lectionnées, emporte, au moyen du ressort 1325, simultanément le bras 1324, l'arbre 1314 et les doigts 1326 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement des doigts 1326 dans le sens des aiguilles d'une montre abaisse les pistons 1327 pour déplacer l'organe d'accouplement 1328 vers le bas pour engre ner ses dents avec les dents de l'autre organe d'accouplement 1329, afin de ralentir le mou vement rotatif de l'arbre 1100 qui fonctionne sous l'action de l'organe d'accouplement hydraulique 1102. Le ralentissement du mou vement de l'arbre 1100 à son tour ralentit le mouvement de tabulation et/ou de retour du chariot pour amortir le choc entre les taquets d'arrêt 733 (fig. 12 et 27) et les pistons d'ar rêt 1170 à 1173 inclus, de manière à réduire le bruit et éviter des dommages éventuels aux éléments du mécanisme d'arrêt.
Lorsque le taquet d'arrêt 733 du bloc de commande du chariot place ce dernier dans la position de colonne sélectionnée, le mouve ment de l'arbre 1100 (fig. 4) et de l'organe d'accouplement 1328 est interrompu, et le mouvement. ultérieur de l'organe d'accouple ment 1329 amène les surfaces angulaires des dents de cet. organe, en coopération avec des surfaces angulaires similaires des dents de l'organe 1328, à déplacer ledit organe vers le haut, de manière à débrayer ses dents des dents dudit organe 1329.
Le piston 1335 poussé par un ressort, en coopération avec l'en coche dans l'arbre, retient. ledit organe d'ac- eouplement 1328 dans sa. position haute et dégagé de l'organe d'accouplement 1329.
Le dispositif de freinage décrit ci-dessus fonctionne automatiquement lorsque les ta quets d'arrêt 733 (fig. 12) abaissent les pistons d'arrêt de droite 1170 et 1172 pen dant que le chariot se déplace dans le sens de tabulation, ou lorsque les taquets d'arrêt abaissent. les pistons de gauche 1171 et 1173 pendant le mouvement du chariot. dans le sens de retour, afin d'amortir le choc entre lesdits taquets d'arrêt 733 et. le jeu de pistons d'en face et afin de contrôler le mouvement dudit chariot.
Le fonctionnement alternatif du méca nisme, qui a lieu lorsqu'on désire sélectionner une colonne exigeant un mouvement. de re tour du chariot, sera décrit ci-après. En supposant que le chariot 136 se trouve dans la position de la colonne de Dépôts et que le bâti 1248 (fig. 13, 15 et 16) est placé de telle sorte que le bord inférieur du bras 1239 se trouve au-dessus du levier sélecteur 1267 à gauche du levier sélecteur des dépôts et surplombe aussi le levier sélecteur 1266 pour la touche de la marge gauche 1066, et supposant également qu'on désire maintenant sélectionner la colonne Pick-up qui se trouve à l'extrême gauche de la pièce comp table, l'abaissement de la touche Pick-up 1070 bascule,
à l'aide de liaisons similaires à celles représentées sur la fig. 21 pour la tou ehe des Dépôts, le levier 1267 de la touche Pick-up dans le sens des aiguilles d'une montre, amenant la came sur l'extrémité su périeure de ce levier, en coopération avec le bord inférieur de la partie repliée du bras 1239,à basculer ledit bras vers le haut. De même, la. came du bord supérieur du levier 1267, en coopération avec la partie de gauche du bord inférieur de la traverse de la. chape 1238 (fig. 16), déplace ladite chape vers le haut ou dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur les fig. 17 et 19.
Le goujon 1264 du bras 1239, en coopération avec la fente 1265 du bras 1236, entraine également ledit bras vers le haut ou dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre simultanément avec le dit bras 1239. Le mouvement. du bras 1239 vers le haut ou dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fi-. 4 et<B>19)</B> amène le bord supérieur de la. partie repliée dudit bras, en coopération avec un prolonge ment d'un bras 1336 monté librement. sur la tige 1189, à basculer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du liras 1336 dans le sens des aiguilles d'une montre bascule, au moyen d'une articulation 1337 qui relie ledit. bras oscillant à. un bras associé 1338 monté librement sur un goujon 1339 fixé au châssis 1087, ledit bras 1338 clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action d'un ressort 1340 tendu entre un prolongement vers le bas du dit bras et l'articulation 1337.
Le mouvement du bras 133$ dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 6 et 19) amène un linguet by-pass 1341, entraîné par un ressort et pivotant sur l'extrémité supé rieure dudit bras, en coopération avec un pro longement du linguet 1119,à basculer ledit linguet dans le sens des aiguilles d'une mon tre, en regardant la fig. 6, de manière à dé gager sa dent de l'épaulement de la chape 1115 afin d'abandonner- ladite chape à l'action du ressort 1118, ce qui le déplace immédiate ment vers la droite, comme représenté au des sin,
pour débrayer l'organe d'accouplement 1092 en vue de l'entraînement du chariot dans le sens de tabulation et simultanément à em brayer l'organe d'accouplement 1093 en vue de l'entraînement du chariot,danslesens,deretour.
Lors du déplacement du chariot 136 dans le sens de retour, ou vers la droite en regar dant les fig. 12 et 13, le mécanisme d'indices représenté ici et expliqué précédemment dé place le bâti 1248, y compris les bras 1236 et 1239 et la chape 1238, vers la droite en fig.12 et 13 et vers la gauche, sur la fig. 16, simul tanément avec lui.
Lorsque la fente 1308 (fig. 16), dans le bord inférieur de la chape 1238, coïncide avec le levier 1267 pour la tou che Pick-up , ladite chape et sa barre cor respondante 1183 (fig. 28) se déplacent vers le bas pour ramener les pistons d'arrêt 1170 et 1171 (fig. 12) dans le chemin du taquet d'arrêt 733 du bloc de commande 722 pour la colonne Pick-up .
Immédiatement après, le bord inférieur du bras 1239 s'éloigne du le vier 1267 pour permettre audit levier de re tourner dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à la position normale et pour permettre audit bras 1239 et à son bras associé 1236 de se déplacer vers le bas, ce mouvement dudit bras 1236 (fig. 5 et 10) ramenant la barre 1184 vers le bas en vue de ramener les pistons 1172 et 1173 (fig. 12) vers le haut sur le chemin des taquets d'arrêt 733 du bloc de commande 722 pour la colonne Pick-up .
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment, les pistons d'arrêt sont remis en position cor recte avant l'arrivée du chariot 136 à la posi- tion de colonne sélectionnée et, par consé quent, lesdits pistons se trouvent sur le che- min du taquet d'arrêt 733 et ledit taquet monte sur les extrémités supérieures inclinées des pistons 1171 et 1173 pour abaisser ces pistons, ce qui bascule les leviers correspon dants 1179 et 1181 (6g.12 et 27)
dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour soulever les coulisses 1185 et 1186, ce qui, au moyen du mécanisme représenté sur la fig. 17 et déjà expliqué, bascule l'arbre 1317 en arrière et en avant, de manière à actionner le mécanisme d'accouplement repré senté sur la fig. 6 pour amener la came 1162 à faire un tour pour ramener la chape 1115 vers la gauche pour dégager l'organe d'accou plement 1093 et en même temps embrayer l'organe d'accouplement 1092 (fig. 9) pour renverser le sens de déplacement de la roue 1085,
de sorte que le chariot sera entraîné dans .le sens de tabulation. La remise en posi tion vers le bas du bras 1239 (fig. 19) permet au ressort 1340 de ramener les bras 1336 et 1338 dans le sens des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse, respectivement., à la position normale, pendant lequel mouvement de retour dudit bras 1338 le linguet 1341 passe à côté de l'extrémité de droite du lin- guet 1119 et regagne sa position normale re présentée.
D'après la description qui précède, il res sort clairement que, chaque fois que<B>lé</B> cha riot se trouve dans une position telle que les bords inférieurs du bras 1236 et de la chape 1238 (fig. 16, 17 et 21) sont au-dessus des extrémités supérieures des leviers 1267, l'abaissement de l'une quelconque des touches sélectrices de colonnes 1070 provoquera le dé placement du chariot dans la direction de ta- bulation vers la position de colonne sélection née.
On comprendra également que, lorsque le chariot se trouve dans une position telle que les bords inférieurs du bras 1239 et de la chape 1238 sont au-dessus des leviers 1267, l'abaissement de l'une quelconque des touches sélectrices de colonnes 1070 provoquera le dé placement du chariot dans le sens de retour de la position actuelle à la position de colonne sé- lectionnée. Autrement. dit, le bâti 1248 (fi-. 12) comprenant.
les bras 1236 et 1239 et la chape 1238 est toujours en correspondance exacte avec la position du chariot et le rapport entre lesdits bras 1236 et 1239 et les leviers 1267 pour les touches 1070 conditionne le déplace ment du chariot dans le sens de tabulation ou dans le sens de retour, de la position actuelle à la position de la colonne sélec tionnée.
Lors de l'abaissement de la touche tabula trice 1071, suivi par une libération immédiate de cette touche, le chariot est amené, comme décrit. dans le brevet. N 262592,à se déplacer dans le sens de tabulation d'une colonne à l'autre. Si la touche tabulatrice est maintenue abaissée, le chariot se déplacera sur toute la distance dans le sens de tabulation. L'abaisse ment de la touche de la marge gauche 1066, également comme décrit dans ledit brevet, amène le chariot à se déplacer dans le sens de retour, et si cette touche est maintenue abaissée, le chariot se déplacera sur toute la distance dans le sens de retour.
Un mécanisme est également prévu, selon lequel quatre quelconques des positions de co lonnes du chariot. peuvent être sélectionnées automatiquement. par l'abaissement des barres de dégagement. 170 à 172. Un abaissement complet de la. barre de dégagement 170 agit pour sélectionner une de ces quatre positions et l'abaissement complet de la barre de déga gement d'avancement vertical 171 une autre. La barre de dégagement tabulatrice Skip 172 peut sélectionner une de deux positions de colonnes alternatives, selon qu'elle soit nor malement abaissée et libérée immédiatement ou maintenue complètement abaissée.
Se référant. aux fig. 17 et 21, chacune des articulations 1280 pour les touches sélectrices de colonnes 10"r0 est pourvue de quatre bos sages 1370 dirigés vers le haut, et l'articula tion 1270 pour la touche de la. marge gau che 1066 est. pourvue de quatre bossages 1371 dirigés vers le haut, tous ces bossages coopé rant avec des saillies sur des blocs d'opération 1372, dont un est monté de façon réglable dans chacune des chapes correspondantes 1373 à 1376 incluses, les bras verticaux parallèles de chacune desdites chapes pivotant sur des tiges correspondantes 1377 qui tournent.
entre la plaque 1191 (fig. 4 et 25) et une plaque asso ciée en relation fixe avec elle. Les blocs 1372 pour les chapes 1373 (fig. 2, 3 et 22) sont montés de façon réglable entre les bras paral lèles desdites chapes à l'aide de trous taraudés dans lesdits blocs, dans lesquels s'engage une vis de réglage correspondante 1378, dont les extrémités opposées peuvent tourner dans les bras parallèles de la chape correspondante 1373.
Chacune des vis de réglage porte un bouton 1379 à l'aide duquel ladite vis peut être tournée de manière à déplacer le bloc correspondant 1372 dans toute position dési rée, de sorte que le doigt pendant de ce bloc (fi-. 21) peut coopérer avec tout bossage cor respondant 1370 des articulations 1280 pour les touches sélectrices de colonnes 1070 ou avec les bossages 1371 de l'articulation 1270 (fig. 17) pour la touche de la marge gauche 1066.
Les saillies des blocs 1372 (fig. 2 et 3) passent par des fentes horizontales correspon dantes dans les traverses des chapes 1373, et chacune des extrémités supérieures desdits blocs est pourvue d'un trou pour recevoir un ressort. de compression et une bille 1380, la quelle bille, en coopération avec l'un quel conque d'une série de trous 1381 percés dans une barre transversale 1382 fixée entre les bras de .chacune des chapes 1373 à 1376, situe et retient lesdits blocs 1372 dans l'une quel conque de ses diverses positions.
Chacune des traverses des chapes 1373 à 1376 incluses (fig. 22 et 25) a un bord replié 1383 entrant en contact avec un prolongement dirigé vers le haut de barres d'opération correspondantes 1384 à 1387 incluses, dont. les extrémités arrière sont supportées dans des rainures cor respondantes d'une partie repliée vers le haut 1389 d'une plaque de liaison qui s'étend entre les plaques 1191 et 1388.
Les extrémités anté rieures des barres 1384 à 1387 incluses sont re liées respectivement à des leviers 1390 à 1393 inclus, lesdits leviers 1390 et 1391 pivotant sur un goujon fileté 1394 fixé dans la plaque 437 (fig. 22) et ledit levier 1392 étant sup- porté à rotation par un goujon 1395 égale ment fixé sir la plaque 437, tandis que le le vier 1393 estmonté librement sur le goujon 154.
Les leviers 1390 à. 1393 inclus portent, respectivement, des crochets 1397 à 1400 inclus, lesdits crochets 1397 et 1398 pouvant coopérer avec un goujon 1401, tandis que les dits crochets 1399 et 1400 coopèrent, respec tivement, avec des goujons 1402 et 1403, tous ces goujons étant fixés dans une barre 1404 supportée de façon mobile par les extrémités inférieures de bras analogues 1405 et 1406 (fig. 22), dont les extrémités supé rieures sont montées librement sur des gou jons 166 et<B>167.</B> Des ressorts 1407 et 1408 (fig. 22) retiennent les crochets 1399 et 1400 dans la position normale, comme représenté,
hors du chemin- de leurs goujons correspon- clants 1402 et 1403. Un ressort (non repré senté), analogue aux ressorts 1407 et 1408, co opère avec le crochet 1397 (fig. 22, 23 et 24) pour maintenir normalement ledit crochet dans sa position du haut, comme représenté, cors du chemin du goujon 1401. Le crochet 1398 (fig. 22 et 23) porte sur iun prolonge ment un goujon 1409 qui s'engage dans une fente de l'extrémité avant d'urne articulation 1410, dont l'extrémité arrière pivote sur un bras 1412 monté librement sur im goujon 1413.
Un ressort 1411, tendu entre le goujon 1409 et un goujon de l'articulation 1410, maintient normalement ledit goujon 1409 dans l'extré ?nité arrière de la fente de ladite articulation 1410, tandis qu'un ressort 1436, tendu entre le crochet 1398 et Lui goujon du levier 1391, maintient ledit crochet 1398 normalement clans la position dégagée représentée.
Le bras de support 1405 (fig. 22 et 23) pour l'extrémité avant de la barre 1404 est fixé par un moyeu 1435, monté librement sur le goujon 167,à un bras associé 1414 relié à oscillation, par une àrticulation 1415, à un bras 1417 fixé par l'intermédiaire d'im moyeu 1418, monté librement sur le goujon 161, à un levier coudé associé 1419. Un prolonge ment du levier coudé 1419 est pourvu d'une fente dans laquielle s'engage 1m goujon 1420 d'un entraîneur 1421 de la barre de tabula- tion, monté librement sur -Lui axe 1422.
Un ressort 1423 est tendu pour entraîner l'entraî neur 1421 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 22) pour mainte nir normalement une patte repliée 1424 de ce lui-ci, en contact avec un épaulement d'un verrou 1425 de l'entraîneur, monté librement sur un goujon 1426. Un ressort 1427 entraîne le verrou 1425 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, de manière à maintenir normalement l'épaulement dudit verrou en contact avec la patte 1.424.
Le verrou 1425 possède une pointe 1428 qui peut s'engager sur un doigt 1429 d'une came de déblocage du verrou 1430 fixée sur l'arbre principal à cames 216, de manière à libérer la barre 1404, comme il sera expliqué ci-après. La came 1430 porte également un galet 1431 qui, en coopération avec une saillie arrondie 1432 de l'entraîneur 1421, ramène ledit en traîneur en position vers la fin du fonction nement de la machine.
L'abaissement normal de la barre tabula trice par sauts (Skip) 172 (fig. 22 et 23) c'est-à-dire abaissement de ladite barre suivi d'un retrait immédiat de la pression sur celle-ci - amène un goujon 1433 fixé à ladite barre 172, en coopération avec un prolonge ment 1434 du bras 1412,à basculer ledit bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, lequel mouvement, par l'inter médiaire de l'articulation 1410 et du ressort 1411, bascule le crochet 1398 en contact avec le goujon 1.401 de la barre 1404.
Fendant le fonctionnement de la. machine et avant l'exé cution de l'impression, le doigt 1429 s'engage sur la pointe 1428 pour dégager le verrou 1425 de la patte 1424 pour abandonner l'en traîneur 1421 à l'action du ressort 1423, ce qui fait basculer ledit entraîneur dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Le mouvement de l'entraîneur 1421 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une mon tre déplace, au moyen du goujon 1420, du levier coudé 1419, du bras 1417, de l'articula tion 1415,_ du bras 1414 et du bras 1405, la barre 1404 vers l'arrière.
Le mouvement vers l'arrière de la barre 1404 amène le goujon 1.401, en coopération avec le crochet 1398, à basculer le levier 1391 dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à déplacer la barre 1385 vers l'avant, sur quoi sa saillie vers le haut bascule la chape 1374 (fig. 17, 21, 22 et 25) également dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement de la chape 1374 dans le sens des aiguilles d'une montre amène la saillie vers le bas du bloc correspondant <B>1372,</B> en coopération avec la saillie vers le haut. 1370 ou 1371 des articula tions 1270 ou 1280 (fig. 17 et 21), à déplacer lesdites articulations vers l'avant pour bascu ler le levier correspondant<B>1266</B> ou 1267 dans ; le sens des aiguilles d'une montre, afin d'ame ner le chariot à se déplacer soit dans le sens de tabulation, soit dans le sens de retour, se lon sa position, afin de sélectionner la position de colonne désirée dudit chariot, comme expli qué précédemment.
Dans la machine représentée, le bloc 1372 pour la chape 1374 a été réglé de telle sorte que sa saillie coopère avec la saillie vers le haut. 1370 de l'articulation 1280 pour la tou che des Dépôts 1070 représentée sur la fig. 21. Par conséquent, lorsque la touche tabulatrice Skip 172 est abaissée normalement, le chariot 1.36 est amené en position comme expliqué ci-dessus pour la touche des Dépôts 1070 en vue de la sélection de la colonne des dépôts de la pièce comptable pour l'alignement avec le mécanisme d'impression.
L'abaissement complet de la barre tabula trice Skip 172 (fig. 22, 23 et 25) et le main ; tien de ladite barre dans la position d'abaisse ment complet amène un goujon 1437 de ladite barre à s'engager sur la face supérieure du crochet 1397 et à basculer ledit crochet dans le sens des aiguilles d'une montre contre 1'ac- tion de son ressort sur le chemin du goujon 1401, tandis qu'un goujon 1438, porté par le dit crochet 1397, s'engage sur la surface supé rieure du crochet 1398 pour basculer ledit crochet également dans le sens des aiguilles ;
d'une montre hors du chemin dudit. goujon 1401, la liaison fente-ressort entre ledit cro chet 1398 et l'articulation 1410 permettant le mouvement relatif de ces parties. Par consé- quent, lorsque la barre tabulatrice Skip 172 est retenue complètement abaissée, le dégage ment du verrou 1425 (fi-. 22) par la came 3430, comme expliqué ci-dessus, et le mouve ment consécutif vers l'arrière de la barre ta bulatrice 1404 sous l'action du ressort 1423 amène le goujon 1401, en coopération avec le crochet. 1397, à basculer le levier 1390 dans le sens des aiguilles d'une montre pour dé placer la barre 1384 vers l'avant.
Le mouve ment vers l'avant de la barre 1384 amène la saillie vers le haut de l'extrémité arrière de celle-ci (fig. 17, 21, 22 et 25) à basculer la chape 1373 dans le sens des aiguilles d'une montre, amenant la saillie du bloc 1372 pour la chape 1373, en coopération avec la saillie vers le haut 1370 ou 1371 des articulations 1280 ou 1270, à déplacer lesdites articulations vers l'avant exactement de la même manière due lors de l'abaissement de la touche sélec trice de colonne correspondante 1070 ou 1066, en vue de provoquer le mouvement du chariot vers la position de colonne sélectionnée, comme expliqué précédemment..
Dans la ma chine représentée, la saillie du bloc 1372 porté par la chape<B>1373</B> a été réglée en vue de co opérer avec la saillie vers le haut 1370 de l'articulation 1280 (fig. 21) pour la touche de sous-balance 1070. Par conséquent, le main tien de la barre de dégagement tabulatrice Skip 172 dans sa position complètement abais sée amène le chariot à être placé de telle sorte que la colonne de sous-balance du ma tériel d'enregistrement se trouve en face du mécanisme d'impression.
La barre de dégagement 170 et la barre d'avancement vertical 171 (fig. 22) portent, respectivement, des goujons 1439 et 1440 qui coopèrent exactement de la façon qui a été expliquée pour le goujon 1437, avec les cro chets correspondants 1399 et 1400 lorsque les dites barres sont abaissées complètement et maintenues abaissées, de manière à déplacer lesdits crochets sur les chemins de leurs gou jons correspondants 1402 et 1403, sur quoi le mouvement de la barre 1404 en arrière, sous l'action de la came 1430, après l'impression, amène la chape correspondante 1375 ou 1376 (fig. 17, 21, 22 et 25) à être basculée dans le sens des aiguilles d'une montre,
afin de choisir la position de colonne désirée de la pièce comptable.
Dans la machine représentée, la saillie du bloc 1372 pour la chape 1375 a été réglée, afin de coopérer avec la saillie vers le haut 3.370 de l'articulation 1280 (fig. 21) pour la touche des chèques N 2 1070, et la saillie sur le bloc 1372 pour la chape 1376 a été réglée en vue de coopérer avec la saillie correspon dante 1370 de l'articulation 1280 pour la touche de chèques N 3 1070.
Par conséquent, lorsque la barre de dégagement 170 est com plètement abaissée et maintenue abaissée, la colonne des chèques N 2 sera sélectionnée pour l'impression et, lorsque la barre d'avan cement vertical 171 est complètement abais sée et maintenue abaissée, la colonne des chè ques N 3 sera sélectionnée pour l'impression.
Il est bien entendu que les saillies des blocs 1372 peuvent être ajustées pour coopé rer avec les saillies correspondantes 1370 ou 1371 des articulations 1280 ou 1270, de ma nière à sélectionner toute position de colonne désirée correspondant aux touches 1070 et 1066.
Vers la fin de chaque fonctionnement de la machine, le galet 1431 (fig. 22), en coopé ration avec le bec 1432 de l'entraîneur 1421, ramène ledit entraîneur dans le sens des aiguilles d'une montre et la barre tabulatrice 1404 vers l'avant aux positions normales ou de repos,
sur quoi le verrou 1425 entre en action pour engager la patte 1424 en vite d'immobiliser ledit entraîneur et ladite barre dans les positions de repos.