CH262594A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH262594A
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Description


  Machine comptable.    L'invention a pour objet une machine  comptable, comprenant un rouleau, une source  motrice et une liaison. mécanique pour trans  mettre un mouvement d'espacement des lignes  au rouleau à partir de la source motrice, ca  ractérisée en ce que ladite liaison est ininter  rompue et fonctionne soit comme un tout, soit  pas du tout, un dispositif     d'accouplement     normalement inactif étant susceptible d'être  déplacé, lorsqu'on désire effectuer l'espace  ment des     li-nes    du rouleau, en position ac  tive pour accoupler la liaison à la source mo  trice.

       litant    donné que la liaison fonctionne  comme un tout ou ne fonctionne pas, selon  qu'on désire     un    espacement des lignes ou pas,  l'espacement des lignes s'effectue beaucoup  plus positivement que cela n'est possible avec  les     machines    connues jusqu'à présent.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine     comptable    faisant l'objet de l'invention,  seules les parties nécessaires à la compréhen  sion de l'invention étant représentées et dé  crites. La machine complète est décrite dans  le brevet suisse No 262592.    La     fig.    1 est une vue en perspective de la  machine complète.  



  La     fig.    2 est une vue de détail d'une partie  du     mécanisme    pour commander la     tabulation     du chariot à partir d'une des barres de dé  clenchement..    La     fig.    3 est une vue en coupe transver  sale de     l'extrémité    de gauche du rouleau,       prise    suivant la ligne     49-19    de la     fig.    15.  



  La. fi-.     -1    est une vue de détail d'une partie  du mécanisme de commande de l'espacement       des    lignes du rouleau.  



  La     fic.    5 est une vue de détail d'une  partie du\     mécanisme    d'embrayage pour effec  tuer l'espacement des     lignes    du rouleau.  



  La     fig.    6 est une élévation latérale d'une  partie du mécanisme commandé par le cha  riot dans ses positions de colonnes de     tabu-          lation    et par l'une des barres de déclenche  ment de la machine, pour     commander    le  mouvement d'espacement des lignes du  rouleau.  



  La     fig.    7 est. une élévation latérale de  droite du mécanisme pour la. commande de la.  mise en position de colonne du chariot au       moyen    des trois barres de déclenchement.,       .Les        fig.        8#1    et     8R    constituent conjointe  ment une\     vue    en plan de dessus de la ma  chine, le chariot étant enlevé.  



  Les fi-. 9 et 10 montrent en détail le mé  canisme recouvrant des fentes     pratiquées    dans  les plaques     d'extrémité    traversées par le  rouleau.  



  La     fig.        1.1    et. une vue de détail du méca  nisme pour l'espacement automatique ou  l'avancement vertical du rouleau.  



  La fi-. 1.2 est une vue de détail de la roue  à rochet et du cliquet d'avancement, ainsi que      du     linguet    d'arrêt pour le mécanisme d'es  pacement des lignes.  



  La     fig.    13 est une vue de détail du levier  manuel et du mécanisme associé pour régler  l'importance du mouvement du mécanisme  d'espacement des lignes.  



  La     fig.    14 est une vue de détail des cames  et du mécanisme associé pour     l'entraînement     du     mécanisme    d'espacement des     lignes    ou       d'avancement    vertical.  



  La     fig.    15 est une vue en plan fragmen  taire du chariot.  



  La     fig.    16 est une vue de détail d'une  partie du mécanisme pour la commande de la       tabulation    du chariot et pour la commande  de l'espacement des lignes du rouleau au  moyen de la barre de déclenchement prin  cipale.  



  La     fig.    17 est une     vue    de détail du levier  manuel et du mécanisme sélecteur y associé  pour faire varier la commande des barres de  déclenchement de la machine par le méca  nisme tabulateur et le mécanisme d'espace  ment des lignes.  



  La     fig.    18 est une vue de détail     d'une    des  barres auxiliaires de déclenchement et du mé  canisme y associé pour commander le mouve  ment d'espacement des lignes ou d'avance  ment vertical du rouleau.  



  La     fig.    19 est une vue de détail d'une  partie du mécanisme     pour    la commande du  mouvement de     tabulation    de colonne en co  lonne du chariot.  



  La     fig.    20 est une élévation latérale, vue  du côté droit, d'une partie du mécanisme  pour la commande de l'opération de     tabula-          tion    du chariot et d'espacement des lignes du  rouleau dans des opérations automatiques de  la machine.  



  La     fig.    21 est une vue de détail d'une  partie du mécanisme associé au mécanisme re  présenté sur la     fig.    20 pour la commande de  certaines fonctions du chariot et du rouleau  dans des opérations automatiques de la ma  chine.  



  La machine     (fig.    1) comprend un chariot  baladeur 136 pouvant se déplacer sur des rails  137, 138 vers certaines positions de colonnes    déterminées d'avance, ce chariot portant un  rouleau 309. Le rouleau possède un noyau en  bois 1441     (fig.    3) pourvu d'un alésage cen  tral qui reçoit des tenons sur des douilles  1442.

       Les    circonférences extérieures des  douilles     1442    supportent le rouleau 309 dans  le chariot en     vue    d'un mouvement rotatif ou  d'espacement des lignes ainsi que d'un mouve  ment     depuis    la position d'avancement frontal  représentée sur la     fig.    10 jusqu'à la position  d'impression représentée sur la     fig.    9, et     vice     versa.  



  Les alésages centraux des douilles 1442  sont en alignement axial et supportent     une     tige 1665 qui est maintenue immobile par une  vis de fixation 1666     (fig.    15) qui fixe égale  ment un bouton de droite 1667 pour la rota  tion manuelle du rouleau sur la douille 1442.

    Il y a un bouton de gauche 1668     (fig.    3 et 15),  similaire au bouton de droite, pour la rota  tion manuelle du rouleau 309, et ce bouton  est fixé à un manchon 1669 porté à glisse  ment par la tige 1665 et relié à la douille de  gauche 1442 à l'aide de tenons qui coopèrent  avec les encoches d'accouplement dans la  dite douille     14-12.    Une vis de fixation<B>1670</B>       (fig.    3), vissée dans un taraudage du bou  ton 1668, est pourvue d'un tenon qui s'en  gage dans une     rainure    annulaire de la tige  1665.

   Un ressort à boudin 1671, comprimé  entre une tête de l'extrémité gauche de la tige  1665 et     l'extrémité    du manchon 1669,     entraîne     ledit manchon et le bouton 1668 vers la  droite pour faire embrayer normalement un  mécanisme d'accouplement à l'aide d'une roue  à rochet 1672 d'avancement du rouleau avec  le manchon 1669 pour le faire tourner soli  dairement de manière à faire entrer en ac  tion le moyen assurant l'espacement automa  tique des lignes du rouleau 309.

   La roue à  rochet 1672 est montée librement sur la. cir  conférence extérieure du manchon 1669 et est  solidaire d'une partie en forme de tambour  1673 ayant     une    circonférence intérieure mole  tée qui coopère avec une molette 1674 montée  dans une fente d'un disque 1675 relié au  manchon 1669 pour tourner solidairement, au  moyen d'une partie angulaire plate dudit      manchon en coopération avec un coin 1676, le  dit coin s'engageant librement dans une fente  dudit disque 1675.  



  Normalement le ressort 1671 pousse le  bouton 1668 et le manchon 1669 vers la droite,  amenant la. surface plate angulaire dudit  manchon, en coopération avec le coin 1676, à  déplacer la molette 1674     vers    le haut pour  embrayer sa partie moletée avec la partie  moletée correspondante de la circonférence  intérieure du tambour 1673, de manière à  accoupler ledit tambour 1673 et la roue à ro  chet 1672 au manchon 1669, lequel est relié à  la douille     1-142.     



  Si l'on désire débrayer le rouleau 309 de  la roue à rochet 1672 afin d'ajuster le matériel  d'enregistrement par rapport à la ligne d'im  pression, le déplacement du bouton 1668 vers  l'extérieur contre l'action du ressort 1671 re  tire la surface plate angulaire du manchon  1669 du coin<B>1.676</B> pour permettre audit coin  et à la molette 1674 de se déplacer     vers    le bas  afin de dégager la denture de ladite molette  de la denture de la circonférence intérieure du  tambour 1673, pour dégager la roue à rochet  1672 du rouleau 309, de sorte que ledit rou  leau puisse tourner indépendamment afin  d'ajuster le matériel     d'enregistrement.    par  rapport à la ligne     d'impression    et au méca  nisme d'espacement des lignes du rouleau.  



  Un mécanisme, coopérant avec la roue à  rochet 1672 et représenté sur les fi,-,. 11, 12  et 13, est prévit pour faire tourner automa  tiquement le rouleau 309 en     vite    de l'espace  ment des lignes sur le matériel d'enregistre  ment porté par le rouleau.  



  Un cliquet d'arrêt 1677 pivote sur un  axe 1678 fixé sur le bras gauche 1603     (fig.    3  et 15), et un ressort 1679 entraîne ledit     cli-          quet    d'arrêt. dans le sens des aiguilles d'une  montre pour maintenir normalement un gou  jon 1680, fixé sur le     cliquet,    en contact avec  les dents de la roue à rochet 1672 de manière  à retenir ladite roue et le rouleau 309 en po  sition d'espacement des lignes. Le goujon 1680  permet la rotation de la roue à rochet dans  les deux sens.

   Un cliquet d'avance 1681 pi  vote sur un axe 1682 fixé sur un bras 1683 de         manoeuv        re    du cliquet d'avancement, bras  pourvu d'un moyeu monté     librement    sur la  douille gauche 1442. Un ressort 1684, tendu  entre le cliquet 1681 et le     bras    1683, entraîne  ledit cliquet dans le sens des aiguilles d'une  montre pour amener sa dent 1685 à engrener  avec les dents de la roue 1672 lorsqu'on im  prime     att    bras 1683 un mouvement. de     va-et-          vient,    comme expliqué ci-après.

   L'axe 1682  supporte à oscillation l'extrémité avant d'une  articulation 1686, dont l'extrémité arrière pi  vote sur un goujon 1687 d'un bras 1688 relié  par un moyeu 1689 à un bras associé 1690,  ledit moyeu pivotant sur un axe 1691 fixé  sur la plaque 1075. L'extrémité inférieure du  bras 1690 est fendue pour recevoir un goujon  1692 fixé sur un bras 1693 monté librement  sur un goujon 1694 s'étendant entre les  plaques 1075 et 1077     (fig.    15) et relié par  une traverse 1695 à un bras associé 1693 sup  porté à rotation par un goujon 1694 s'éten  dant entre les plaques 1074 et 1076.

   Un res  sort 1696 entraîne le bras 1693 et la traverse  1695 dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre pour maintenir normalement  l'extrémité supérieure du bras 1693 de gauche  en contact avec une patte repliée 1697 for  mée sur une plaque 1698 fixée à la plaque  1075.  



  Le bord arrière de la traverse 1695       (fig.    11 et 14) est recourbé pour former une  surface extérieure arrondie qui coopère avec  un prolongement 1700 replié vers le haut  d'une coulisse d'espacement des lignes 1701  montée à glissement à. l'aide de fentes paral  lèles     (fig.        Srl    et 8B) en     coopération    avec des  goujons à, vis 1458, ladite coulisse 1701 étant  montée immédiatement au-dessus d'une cou  lisse 1457 dont elle est séparée par des ron  delles placées sur les goujons 1458. La cou  lisse 1701 a un prolongement vers le bas avec  une encoche 1702 qui s'engage sur un goujon  1703 de l'extrémité supérieure d'un bras 1704  fixé sur un axe 1705 tournant dans un alé  sage du châssis 1087.

   Un prolongement du  bras 1704 est fendu pour recevoir un goujon  1706 d'un bras 1707 fixé sur l'une des extré  mités d'un manchon 1708 monté librement      sur la tige 1165. Sur l'autre extrémité du  manchon 1708 est fixé un levier 1709 en  forme de     11    portant des galets 1710 et 1711  qui coopèrent, respectivement, avec les péri  phéries de cames associées 1712 et 1713 qui  sont calées ensemble avec un disque de repé  rage, dans un rapport mutuel fixe, sur -Lui  manchon 1714 tournant librement sur un  arbre d'entraînement tournant continuelle  ment 1153.

       Sur    le manchon 1714 est également  fixé     (fig.    8B) un organe commandé par  accouplement 1715     pourvu    de dents qui co  opèrent avec un organe de commande par ac  couplement 1716 relié par des tenons et des  mortaises à un manchon fixé sur l'arbre 1153,  de sorte que ledit organe de commande tourne  solidairement avec ledit arbre, tandis qu'il est  libre de se déplacer sur l'arbre latéralement.  



  L'organe de commande par accouplement  1716 est actionné par une chape 1717 pour  embrayer l'accouplement, comme il sera  maintenant décrit en se référant aux     fig.    5 et  8B. La chape 1717 servant à actionner l'or  gane d'accouplement 1716 est supportée à ro  tation par un axe vertical 1200. Un bras de  la. chape 1717     est        pourvu    d'une saillie vers  l'avant 1208 qui     vient    au contact de la dent  d'un verrou 1209 monté librement sur un  arbre 1718     (fig.    8B).

   Un ressort 1211, tendu  entre     Lin    bras de la chape 1717 et le verrou  1209, entraîne     lesdites    parties dans le sens des       aiguilles    d'une montre pour maintenir     nor-          maJement    le verrou en prise avec la saillie  1208. Le verrou 1209 possède     cule    fente en  forme     d'L    1212 au travers de laquelle passe  une saillie vers le haut 1213 d'un bras de dé  gagement de verrou, 1214, qui est monté sur un  des bras de la chape 1717 de façon à pouvoir  pivoter et à se déplacer à l'aide d'un goujon  de ce bras qui s'engage dans une fente pra  tiquée dans ledit bras de ladite chape.

   Un res  sort 1215 est tendu entre le bras 1214 et un  des bras de la chape 1717 pour entraîner ledit  bras 1214 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre et en même temps  pour entraîner ledit bras vers l'arrière pour  maintenir normalement ledit bras comme re  présenté sur la     fig.    5. La saillie vers le haut    1213 du bras 1214 coopère avec un     linguet     1216 de     dégagement    du verrou fixé sur l'ar  bre 1718. Sur l'extrémité supérieure de l'ar  bre 1718 est également fixé un bras 1719 relié  au moyen     d'une    articulation 1720     (fig.    8B) à  un bras 1721 fixé sur un arbre de commande  d'espacement des lignes 1722 tournant dans le  châssis 1087.

   Un ressort, tendu entre le bras  1719 et la plaque 1136 entraîne ledit bras,  l'arbre 1718 et le     linguet    1216 dans le sens des       aiguilles    d'une montre pour maintenir nor  malement lesdites parties en position normale,  comme indiqué sur le dessin.  



  Lorsque l'arbre 1722 est actionné de la  manière qui va maintenant être décrite, l'ar  bre 1718 et le     linguet    1216 sont basculés dans  le sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre contre l'action dudit ressort, amenant  ledit     linguet,    en coopération avec la saillie  vers le haut 1213, à déplacer le bras 1214 vers  l'avant contre l'action du ressort 1215 et,  lorsque la saillie repliée vers le haut 1213 se  trouve dans la partie étroite de la fente en  forme     d'L,    1212, le verrou 1209 est basculé  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre afin de dégager la dent dudit.  verrou de la saillie 1208 de la chape "1717.

    Ceci libère la chape 1717 à l'action du res  sort 1211 qui déplace immédiatement ladite  chape dans le sens des aiguilles d'une montre,  de manière à mettre en     prise    les dents de l'or  gane d'accouplement 1716 avec les dents cor  respondantes de l'organe entraîné par accou  plement 1715, afin d'entraîner ledit organe  et les cames 1712 et 1713 d'un tour dans le  sens des aiguilles d'une montre, comme on le  voit sur la     fig.    14.  



  La rotation des cames 1712 et     1.713          (fig.    14) par le mécanisme représenté, dé  place la coulisse 1701 d'abord vers l'avant et  ensuite vers l'arrière jusqu'à la position nor  male. Le mouvement vers l'avant de la cou  lisse 1701     (fig.    8A, 8B, 11 et 15) bascule, au  moyen du prolongement vers le haut 1700 de  la coulisse en coopération avec la partie ar  rondie de la traverse 1695, ladite traverse et  le bras 1693 d'abord dans le sens des aiguilles  d'une montre, lequel mouvement, par l'inter-           médiaire    du goujon 1692, du bras 1690, du  bras 1688 et de l'articulation 1686, bascule le  bras 1683 également dans le sens des aiguilles  d'une montre.

   Le mouvement du bras 1683  dans le sens des aiguilles d'une montre amène  la dent 1685 du     linguet    1681, sous l'action du       ressort    1684, à engager les dents de la roue à  rochet 1672 pour faire tourner le rouleau 309  dans le sens des aiguilles d'une montre, de  façon à espacer les lignes sur la feuille de  journal 1595 enroulée autour du rouleau.  



  Le mouvement de la chape 1717 dans le  sens des     aiguilles    d'une montre     (fig.    5) pour  engager le mécanisme d'accouplement lorsque  le verrou 1209 est libéré comme expliqué     ci-          dessus,    amène une saillie vers le bas 1222 du  bras inférieur de ladite chape à venir au con  tact du bras 1214 et à basculer ledit     bras    dans  le sens des aiguilles d'une montre contre l'ac  tion du ressort. 1215 afin de dégager la saillie  vers de haut 1213 de la branche étroite de la  fente 1212 et à l'introduire dans la.

   branche  élargie de ladite fente, pour permettre au res  sort 1211 de ramener immédiatement le verrou  1209 dans le sens des aiguilles d'une montre  vers une position où sa dent se trouve sur le  chemin de la saillie 1208. Lorsque les cames  1712 et 1713 et l'organe entraîné par  accouplement 171.5 approchent de la fin de  leur révolution dans le sens des aiguilles  d'une montre, une     saillie-eame    1223 sur la  périphérie dudit organe vient au contact d'un  goujon aplati 1224 fixé sur le bras supérieur  de la chape 1717 et bascule ladite chape dans  le sens contraire à celui des     aiguilles    d'une  montre contre l'action du     ressort    1211, de ma  nière à amener la saillie 1208 à passer à côté  de la dent du verrou 1209,

   sur quoi ledit  verrou entre en action pour retenir ladite  chape et l'organe d'accouplement 1716       (fig.    8B) en position débrayée.  



  Un mouvement de bascule peut. être     im-          -primé    à l'arbre 1722 pour opérer le mouve  ment d'espacement des lignes du rouleau de  plusieurs manières, ainsi qu'il sera décrit     ci-          après:

       a) en abaissant une touche d'avancement  du papier 1073     (fig.    1),    b) par l'abaissement normal d'une barre  d'avancement vertical 171     (fig.    1),  c) par l'abaissement normal d'une barre  motrice principale 170     (fig.    1),  d) par l'abaissement de l'une des touches  d'un groupe de touches de commande moto  risées,  e) par le chariot, lorsqu'il atteint une po  sition de colonne déterminée d'avance, et  f) par l'abaissement complet de la barre  motrice motorisée 170.  



  Le     mécanisme    par lequel l'arbre 1722 re  çoit le mouvement de bascule pour l'espace  ment des lignes du rouleau par la touche  d'avancement du papier est représenté sur la       fig.    4. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 172?  est. fixé un bras 1723 relié au moyen d'une  articulation 1724     (fig.    4 et 8B) à un levier  1725 monté librement sur le goujon 1498.  L'extrémité inférieure du levier 1725 est  fendue pour recevoir un goujon de l'extré  mité supérieure d'un levier 1726 monté libre  ment sur le goujon 1501, ledit levier 1726  étant relié à oscillation par une articulation  1727 à l'extrémité inférieure d'un levier 1728  monté librement sur le goujon 161. L'articu  lation 1727 est pourvue d'un prolongement.

    vers le haut 1729 qui coopère avec un goujon  1730 d'une plaque 1731 montée librement sur  le goujon 1508 et reliée à oscillation par une  articulation 1732 à     Lui    levier 1733 monté  librement sur L'arbre 1.512. L'extrémité avant  du levier 1733 pivote sur une partie repliée  de la tige de la touche d'avance du papier  1073. Un ressort 1734 entraîne la plaque 1731  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre qui maintient, par l'articulation  1732 et le levier 1733, la touche 1073 normale  ment en position non     abaissée.     



  L'abaissement de la touche d'avance du  papier 1073 bascule la plaque 1731 dans le  sens des aiguilles d'une montre contre l'action  du ressort. 1734, amenant. le goujon 1730, en  coopération avec le prolongement 1729,à dé  placer l'articulation<B>1.727</B> vers l'avant. Le  mouvement vers l'avant de l'articulation 1727  déplace également, au moyen     des    leviers 1726  et<B>179-5,</B> l'articulation 1724, vers l'avant pour      basculer le bras 1723, l'arbre 1722 et le bras  1721 dans le sens des aiguilles d'une montre.

    Le mouvement du bras 1721 dans le sens des  aiguilles d'une montre bascule, au moyen de  l'articulation 1720, le bras 1719 et l'arbre 1718       dans    le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, comme on le voit sur la     fig.    8B,  pour libérer le verrou 1209     (fig.    5) de la  chape 1717 afin d'amener ladite chape à  mettre en prise l'organe entraîneur par  accouplement avec l'organe entraîné par  accouplement 1715 pour faire accomplir     aux     cames 1712 et 1713     (fig.    14) un tour dans le  sens des aiguilles d'une montre, comme déjà  décrit, après quoi le     mécanisme    d'accouple  ment est automatiquement débrayé.  



  Le mécanisme par lequel l'arbre 1722 re  çoit le mouvement de bascule pour assurer  l'espacement des lignes du rouleau par les  barres de déclenchement 170, 171 est repré  senté sur les     fig.    16 à 18. Ces barres, ainsi  qu'il a été .décrit en détail clans le brevet  No 262592, peuvent fonctionner de deux faons  alternatives, c'est-à-dire qu'elles peuvent être  normalement abaissées et immédiatement libé  rées, ou qu'elles     peuvent    être complètement  abaissées et     maintenues    abaissées. Les deux  modes opératoires ont pour résultat une libé  ration de la machine en vue de son fonc  tionnement, mais     ils    sont accompagnés par  l'exécution de deux opérations différentes de  la machine.

   L'opération exécutée lors de       l'abaissement    normal de l'une des barres est  encore modifiée par la position d'une coulisse  de commande 1808     (fig.    17) pouvant se dé  placer dans différentes positions de com  mande 1 à 4.  



  L'abaissement normal de la touche  d'avancement vertical 171 assure l'espacement  des lignes du rouleau, sauf lorsque la coulisse  se trouve dans la position No 4. Un abaisse  ment complet de la barre 171 amène le cha  riot à     tabuler    à une colonne déterminée  d'avance identifiée comme colonne des  chèques No 3.  



  L'abaissement normal de la barre princi  pale 170 opère l'espacement des lignes lors  que la coulisse 1808 se trouve dans la posi-         tion    No 3, mais amène le chariot à     tabuler    à  la colonne suivante lorsque la coulisse se,  trouve dans la position No 1. Un abaissement  complet de la barre principale 170 amène le  chariot à     tabuler    à une     colonne    déterminée  d'avance, identifiée comme colonne des  chèques No 2, et assure également l'espace  ment des lignes du rouleau.  



  L'abaissement d'une quelconque des tou  ches de commande motorisées 369, 376 à 379       (fig.    1) déclenche la machine et opère égale  ment, suivant la position de la coulisse de,  commande 1808, soit l'espacement des lignes  du rouleau, soit la     tabulation    du chariot à la  colonne suivante.  



  La coulisse 1808 est montée à glissement  sur la plaque supérieure 188 du clavier     numé-,          ral    à l'aide d'une plaque inférieure 1810 espa  cée de la surface inférieure de ladite coulisse  1808 d'une distance légèrement supérieure à  l'épaisseur de ladite plaque supérieure 188 au  moyen d'une entretoise 1811, ladite plaque  1810 et ladite entretoise étant fixées à la cou  lisse 1808 par des vis.

   Comme déjà mentionné,  la coulisse peut occuper quatre positions de  commande et elle peut être maintenue dans  chaque position par un organe d'ajustage 1812  à ressorts fixé sur la surface inférieure de la  plaque 188, ledit organe d'ajustage étant       pourvu    d'une saillie sphérique en relief qui  s'engage dans l'un quelconque de quatre trous  fraisés dans la plaque 1810, lesdits trous cor  respondant aux quatre positions de la cou  lisse 1808. Un prolongement vers le bas 1809  de la plaque inférieure 1810 est pourvu d'une  entaille dans     lâquelle    s'engage un goujon  1813 d'un levier 1814 fixé sur l'extrémité de  gauche d'un arbre     court    1815.

   Sur l'extré  mité de droite de l'arbre 1815     (fig.    17) est  fixé un secteur denté 1816 qui engrène avec  un secteur associé 1817 monté librement sur  le goujon 161 et portant des bras 1818 et 1819  qui sont convenablement espacés dudit sec  teur 1817 par deux entretoises et fixés à ce  secteur par deux goujons à vis 1820 qui sup  portent également les entretoises. Sur les ex  trémités supérieures des bras 1818 et 1819,  sont fixés des segments de commande 1821 et      1822. Les segments 1821 et<B>1822</B> sont fixés à  leurs bras     respectifs    1818 et<B>1.819</B> par des vis,  de sorte que     lesdits    segments peuvent être en  levés et remplacés par des segments ayant, des  surfaces (le commande différentes, si on     1q     désire.

      La périphérie découpée du segment 1821  coopère avec des     goujoils-tâteurs    1823 et  1821     (fig.    18 et 19) fixés dans des prolonge  ments symétriques d'un     organe-tâteur    l825,  et la     périphérie    découpée du segment de  commande 1822 coopère avec des     goujons-tâ-          teurs    1826 et 1827 fixés dans des     prolonge-          ments        symétriques        d'un     1828       (fig.    16).

   L'organe 1825     (fig.    18 et 19) pivote  sur un axe 1829 porté par un bras 1830 monté  librement sur     lui    goujon 1831. Le bras 1830  est relié par une     articulation    1832 à un bras  1833 monté     librement    sur le     goujon    166       (fig.    18), ledit. bras ayant un prolongement  vers le haut qui est normalement maintenu en  contact avec un goujon 1834 d'un bras 1835  également libre sur le goujon 166 au moyen  d'un ressort de torsion 1836 tendu entre les  dits bras.

   Le bras 1835 a une encoche 1837  qui coopère avec un goujon 1838 de la partie  inférieure de la tige de la barre 171 de     dé-          elenclienient    d'avancement vertical.  



  L'abaissement. normal de la barre d'avance  verticale<B>171</B> amène le goujon 1838 à des  cendre dans l'encoche 1837 pour permettre  au ressort<B>1836</B> de     basculer    les bras 1835 et.  <B>1833</B> clans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre, ce mouvement étant. transmis,  par     l'articulation    1832, au bras 1830.

   Lors de       l'abaissement.    normal de la barre 17l.,     un    gou  jon     1-1-10        lie    descend pas suffisamment pour       empêelier    un tel mouvement clans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre du  bras<B>18M.</B> Le     mouvement    du bras 1830 dans  le     sens        contraire    à celui des aiguilles d'une  montre amine     l'or-,ane-tâteui>    182:

  5 à repérer  les pleins et les creux de la. périphérie du  segment<B>(le</B>     eonimande    1821 et, si ledit seg  ment est ajusté par la coulisse de telle sorte       (fig.    17)     qu'une    partie creuse de sa péri  phérie se trouve en face du goujon 1823 et         une    partie pleine de ladite périphérie se trouve  en face     dil    goujon 1824, comme indiqué sur  les     fig.    17 et 18, le mouvement du bras 1830  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre amène le goujon 1823 à des  cendre dans la partie creuse de la périphérie       dudit    segment.

   Comme le goujon 1821 est  retenu contre un déplacement par la partie  pleine de la périphérie du     segment    1821, l'or  gane     1825    se déplace dans le sens des     aiguilles          d'une    montre, amenant le prolongement symé  trique de droite du bord supérieur de cet  organe à s'engager sur un goujon 1839 d'un  bras 1810 monté librement sur l'axe 1831 et à  basculer ledit bras dans le sens contraire à  celui des     aiguilles    d'une montre contre     l'ae-          tion    d'un ressort 1806.  



  Sur le bras 1810     (fig.    16 et 18) pivote  l'extrémité     supérieure    d'une barre 1811 por  tant sur son extrémité inférieure un goujon       1.842    qui s'engage dans une fente 1813 du  levier 1728, lequel comme indiqué sur les       fil-    4 et 8B, est relié, par l'intermédiaire des  organes 1727. 1725, 7.724 et l'arbre de     eom-          niande    d'espacement des lignes 1722, au     méca-          liiine        d'aceouplenient    en vue de     l'entraîne-          nient    (les     cames    1712 et.

   1713     (fig.    14) afin de       transmettre    au rouleau 309 un mouvement       d'espacement    des lignes. La fente 1843 coïn  cide avec une fente analogue d'un bras     1844     relié par un moyeu 1845, monté librement sur  le     goujon    161, à. un bras associé 1846 fendu  pour recevoir un     goujon    1847 d'un     entrai-          neur        d'avancement    \ vertical 1848 monté libre  ment     sur    le goujon 1422 et     entraîné    par un       re#;

  sort    1849 dans le sens contraire à celui des       guilles    d'une montre pour maintenir     nor-          .        aig     malement une patte repliée 1850 de cet en  traîneur en prise avec l'épaulement d'un       verrou    1851 monté librement sur l'axe     1-126          et    entraîné     dans    le sens contraire à celui des       aijnilles    d'une montre par un ressort 1852  en prise avec ladite patte 1850.

   Le     mouve-          ment    (lu bras 1840 dans le sens contraire     z     celui des aiguilles d'une montre     (fig.    1.6 et  18)     déplace\    la barre 1841 et le goujon 1842  vers le bas afin de mettre en prise ledit gou  jon avec la fente du bras     1844    pour relier      ledit bras au levier 1728 en vue d'un mouve  ment solidaire.  



  Les pièces se trouvant dans les positions     dé-          èrites    ci-dessus,     lefonetionnementdelamachine     et la rotation dans le sens contraire à celui  des aiguilles     d'une    montre     qui    en résulte de  l'arbre à cames principal 216     (fig.    16) amène  un doigt 1854 d'une came de déclenchement  1855, montée pour tourner avec l'arbre 216, à  dégager le verrou 1851 de la patte 1850 im  médiatement ,après l'exécution de l'impres  sion.

   Le dégagement du verrou 1851 aban  donne l'entraîneur 1848 à l'action du ressort  1849, qui déplace immédiatement ledit en  traîneur dans le sens contraire à celui des       aiguilles    d'une montre, ce qui fait pivoter, par  le goujon 1847, les bras 1846 et 1844 et, au  moyen du goujon 1842, le     levier    1728 dans le  sens des aiguilles d'une montre.

   Le mouve  ment du levier 1728 dans le sens des aiguilles  d'une montre     (fig.    4, 8B et 16), bascule, par  l'intermédiaire de l'articulation 1727, des le  viers 1726 et 1725, de l'articulation 1724 et  du bras 1723, l'arbre 1722 pour faire entrer  en action le mécanisme d'accouplement pour  le mécanisme d'espacement des lignes de ma  nière à faire tourner le rouleau en vue de  l'espacement des lignes sur le matériel d'en  registrement porté par ce dernier, exacte  ment de la manière déjà expliquée pour la  touche d'avance du papier 1073.  



  Vers la fin de l'opération, un galet 1431       (fig.18)    s'engage sur une patte arrondie 1856  de l'entraîneur 1848 et ramène ledit entraî  neur dans le sens des aiguilles d'une montre  jusqu'à ce que l'épaulement du verrou 1851  se pose sur la patte 1850 pour retenir ledit  entraîneur et les pièces annexes en positions  normales. La position normale du levier 1728  et des pièces annexes est déterminée par un  prolongement vers le bas dudit levier en co  opération avec un goujon 1857.  



  L'abaissement complet de la barre 171 de  déclenchement de l'avance verticale     (fig.    18)  et le maintien de ladite barre complètement  abaissée amène le goujon 1440 à s'engager sur  un prolongement 1858 du bras 1830 et à bas  culer ledit bras dans le sens des aiguilles    d'une montre contre l'action du ressort 1836  afin de ramener     l'organe-tâteur    1825 vers le  haut à la position normale, ce qui à son tour  ramène la barre 1841     (fig.    16 et 18) vers le  haut pour dégager le     levier    1728 du bras 1844,  pour empêcher le fonctionnement du méca  nisme d'espacement des lignes sous l'action de  la barre 171 d'avance verticale.

      En se référant aux     fig.    18 et 19, on re  marquera que la périphérie du segment de  commande 1821 est découpée par rapport au       goujon-tâteur    1823 correspondant     aux    posi  tions 1, 2 et 3 de la coulisse de commande  1808     (fig.    17). Par conséquent, lorsque ladite  coulisse de commande se trouve dans l'une  des positions 1, 2 ou 3 et que la barre de dé  clenchement 171 est normalement abaissée, il  en résultera un espacement automatique des  lignes.

   Lorsque la coulisse 1808 se trouve à  la position 4, une partie pleine de la péri  phérie du segment 1821 se trouve en face du  goujon 1823 pour empêcher un mouvement  vers le bas de l'organe 1825 et de la barre  1841, et il en résulte que le rouleau 309 ne  tourne pas en vue de l'espacement des lignes.  En se référant à la     fig.    18, on remarquera que  le goujon 1839 du bras 1840 passe par un  trou ou ouverture dans le bras 1830. Une  butée 1859, fixée sur une plaque auxiliaire  fixée à son tour à une plaque frontale, est en  contact avec une surface plate au milieu de       l'organe-tâteur    1825, sous l'action du ressort.  1806, pour déterminer les positions normales  dudit organe, des bras 1830 et 1840 et de la  barre 1841.

           L'organe-tâteur    1828     (fig.    2, 16 et 21) pi  vote sur un axe 1861 d'un bras 1862 monté  librement sur le goujon 1413 et relié par un  goujon 1863 à un bras 1864 également libre  sur ledit goujon 1413. Le bras 1864     (fig.    2)  est relié     élastiquement,    au moyen d'un ressort  de torsion 1865,à un bras associé 1866 monté  librement sur le goujon 1413, ledit ressort de  torsion maintenant un prolongement vers le  haut dudit bras 1866 normalement en prise avec       un    prolongement de gauche du goujon 1863.  Le bras 1866 a une fente 1867 qui est à che-      val sur le goujon 1439 fixé dans la tige de la.  barre de déclenchement principale 170.

   Un  prolongement vers le bas du bras     186-1    est.  relié, au moyen d'une articulation 1869, à un  bras 1870 monté librement, sur le goujon<B>1.831</B>  et pourvu     d'ttti    prolongement 1871 qui coopère  avec un goujon     187'2    fixé clans la tige de la  barre de déclenchement 170.  



  Lorsque la coulisse de     commande    1808       (fig.    17) est dans la position 3, une partie dé  coupée de la périphérie du segment de com  mande 7822 se trouve en face du goujon 1826  et, lors (le l'abaissement normal de la barre de  déclenchement 7_70     (fig.    2), le goujon 1.439,  descendant dans la fente 1867, permet au res  sort 1865 de basculer le bras 1866 et le bras  1861     (fig.    16 et 21) dans le sens des aiguilles  d'une montre, en     regardant    le     dessin.    Le bras       186-1,    au moyen du goujon 1863, bascule le  bras 1862 solidairement avec lui et, au moyen  de     l'articulation    1869,

   bascule le bras 1870  dans le sens des aiguilles d'une montre. L n  abaissement     normal    de la barre 170 ne fait.  pas descendre le goujon 1872 suffisamment  pour qu'il empêche une rotation du bras 1870  dans le     sens    des aiguilles d'une montre.

           Etant    donné que la partie pleine de la  périphérie du segment<B>1822</B> se trouve en face  du goujon<B>1827</B> et qu'une partie découpée de  ladite périphérie se trouve en face du goujon  1826, le mouvement du bras 1862 dans le sens  des aiguilles d'une montre amène     l'organe-          tâteur    1828     1i,    basculer dans le même sens et,  comme un     prolongement.    de droite dudit or  gane recouvre le goujon 1839, le bras 1810 est  simultanément.     basculé    dans le sens contraire à  celui des     aiftnilles    d'une montre contre l'action  du ressort.

   1806 pour déplacer le goujon 1842  en prise avec la fente du bras     181-1    afin de  relier ledit bras     ait    levier 1728 de la manière  déjà décrite,     pour    provoquer la rotation auto  matique dit rouleau pour l'espacement     des     lignes sur le matériel d'enregistrement enroulé  autour du rouleau.

      Lorsque la coulisse de commande 1808 se  trouve à la position l., comme le représente la       fig.    17, une partie découpée de la périphérie    du segment de commande 1822 se trouve en  face du goujon 1827 de l'organe de commande  l828 et la partie pleine de ladite périphérie se  trouve en face du goujon 1826 (fi-.<B>16</B> et<B>19)</B>       ,t    il s'ensuit qu'un mouvement du bras 1862  dans le sens des aiguilles d'une montre, quand  la barre de déclenchement 170 est normale  ment     abaissée,    bascule l'organe de commande  1828     dans    le sens contraire à celui des aiguilles       d'une    montre, amenant un prolongement de       #ïauche,    ou patte,

   qui est symétrique à la patte  de droite     dudit    organe, en coopération avec  un goujon 1871 d'un bras 1875 monté     libre-          ment        sui-    le goujon     1-113,à    basculer ledit bras       dans    le sens des aiguilles d'une montre contre  l'action de son ressort 1878.  



  Sur le bras 1875     (fig.    19) pivote     l'extré-          inité    supérieure d'une barre 1876 portant sur  son     extrémité    inférieure un goujon 1877       pourvu    d'un prolongement. de gauche qui     s'en-           < gage    dans une fente de l'extrémité supérieure       d'tin    levier 1879 monté librement sur le gou  jon 161.  



  Le     niouveilient    dit bras 1875 dans le sens  des     aiguilles        d'une    montre entraîne la barre  1576 vers le bas solidairement avec lui, ame  nant un prolongement de droite du goujon  1.877 à.     s'engager    dans une fente<B>1.880</B> d'un  prolongement vers le haut du levier coudé  1119, de manière<B>ii</B> relier ledit levier coudé an  levier 7.879 en vue d'un mouvement solidaire.       I,e    levier<B>1879</B> (fi-. 19) est relié au     moyen     d'une articulation<B>1.881</B> à un bras 1882     fixé          s,ur    l'extrémité de droite (le l'arbre 1792.

   Sur  l'extrémité de gauche de l'arbre 1792 est fixé  un bras 1883 pivotant. sur une articulation       18S4.    U n     prolongement    du levier coudé 1419  possède une fente qui s'engage sur un goujon       1-120    d'un entraîneur     1-121    qui fonctionne       exactement.    de lit. même     inaitière    que l'entraî  neur     18-18,    étant libéré d'un verrou 1425 par  un     doi'1    fixé sur une came de déclenchement  1430 de l'arbre à cames principal, et ramené  par un galet 1431 de la came     (fig.    18).

   Lors  que le goujon 1877 accouple le levier 1879 au  levier coudé 1419, le mouvement de bascule  imprimé au levier coudé par l'entraîneur 1421.      est partagé par le     levier    1879, et l'articulation  1884 est, par conséquent, déplacée vers la  gauche en regardant la     fig.    19. L'articulation  1884 est reliée à un mécanisme décrit en  entier dans le brevet No 262592 pour faire  entrer en action un mécanisme d'accouple  ment pour amener la colonne à     tabuler    à la  position de colonne suivante.

   Un abaissement  complet de la barre de déclenchement 170  amène le goujon 1872, en coopération avec le  prolongement 1871     (fig.    2), à basculer le bras  1870 et, au moyen de l'articulation 1869, le  bras 1864 dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre contre l'action du res  sort 1865.

   Le mouvement du bras 1864     dans     le sens contraire à celui des     aiguilles        d'une     montre     entraîne    le bras 1862, au moyen du  goujon 1863, simultanément avec lui afin de  ramener     l'organe-tâteur    1828 vers le haut à  la position inactive, de sorte que le méca  nisme de     tabulation    de colonne en colonne ne  fonctionnera pas lorsque la barre de déclen  chement est entièrement abaissée et maintenue  ainsi abaissée pendant . le fonctionnement de  la machine.

       L'abaissement    complet de la barre  de déclenchement 170 amène un goujon 1439       (fig.    7) à verrouiller un crochet 1399 porté  par     un    bras 1392 par-dessus un goujon 1402  fixé dans une barre 1404 montée sur des bras  1405, 1406 pivotant sur des     goujons    166, 167.  Le bras 1405 est relié au moyen     d'un    moyeu  1435 à     un    bras 1414 relié par une articulation  1415 à un bras 1417, à son tour relié par un  moyeu 1418, monté librement sur le goujon  161, au levier coudé 1419.  



  Par conséquent, lorsque le levier coudé  1419     est        basculé    dans le sens des aiguilles  d'une montre par l'entraîneur 1421, et les bras  1405, 1406 basculés dans le sens inverse au  tour de leurs     pivots,    le crochet 1399, lorsqu'il  s'engage sur le goujon 1402 par l'abaisse  ment complet de la barre 170, amènera le bras  1392 à basculer dans le sens des aiguilles d'une  montre autour de son pivot 1395, déplaçant  ainsi une     barre    1386 vers la gauche comme  indiqué sur la     fig.    7.

   Ceci amène     iine    chape  <B>1375</B> à     basculer    autour de son pivot 1377 et  ainsi, au moyen du mécanisme décrit dans le    brevet No 262592, à amener le chariot à     t.a-          buler    à la colonne des chèques No 2.  



  L'abaissement complet de la. barre princi  pale 170 opère également l'espacement des  lignes, au moyen du mécanisme décrit ci-après.  



  Lorsque le fonctionnement de la machine  est déclenché par l'une des touches motorisées  369, 376, 377, 378 et 379     (fig.    1 et 20),     l'or-          gane-tâteur    1828 entre en action et, selon la  position de la coulisse de commande 1808, soit  fait tourner le rouleau 309 en vue de l'espace  ment des lignes, soit déplace le chariot 136  de colonne en colonne. De même, lorsque  l'opération est déclenchée par le chariot 136  dans ses positions de colonnes, le mécanisme  fonctionne pour basculer le bras 1875     (fig.    19)  vers le bas afin de provoquer la     tabulation     du chariot d'une colonne à la suivante.  



  Les touches 369 sont des touches de cor  rection, et les touches 376 à 379 servent res  pectivement pour les totalisations, pour les  enregistrements soustractifs, pour     les    sous  totalisations et pour les enregistrements addi  tifs. L'abaissement d'une quelconque des  touches de correction 369     (fig.    20) amène les  goujons 410 de ces touches à coopérer avec  une coulisse 1760 pour déplacer cette dernière  vers l'avant ou vers la gauche. De même,  l'abaissement de l'une quelconque des touches  376 à 379 imprime un mouvement vers  l'avant à la coulisse 1760, par l'intermédiaire       d'ttn    arbre 1758 et     d'un    pignon 1759 comme  décrit en détail dans le brevet. No 262592.

   La  plaque de commande 1760     (fig.    20) porte, sur  son extrémité avant, un goujon 1885 qui s'en  gage dans     une    fente de l'extrémité supé  rieure d'un levier 1886 monté librement sur  un goujon 1887. L'extrémité inférieure du le  vier 1886 est fendue pour recevoir un gou  jon 1888 fixé sur l'extrémité supérieure d'un  bras 1889 fixé à son tour sur l'extrémité de  gauche d'un arbre 1890. Sur l'extrémité de  droite de l'arbre 1890, est calé un bras 1891  portant un goujon 7.892 engagé dans une  fente de     l'extrémité    inférieure     d'in    levier  1893 monté librement sur     un    goujon 1894.

    L'extrémité supérieure du levier 1893     (fig.    19,  20 et 21) porte un goujon 1895 qui s'engage      dans des fentes courbes 1896 et 1897 prati  quées dans des bras 1898 et 1899 dont. les  extrémités inférieures sont fendues pour  recevoir le goujon     1-113.     



       Lorsqu'une    des touches (le commande ou  de correction motorisées n'est abaissée et que  la plaque de commande 1760 (fi-. 20) se  trouve dans sa position arrière, comme in  diqué sur le dessin, une encoche 1900 du bras  1898 s'engage normalement sur un goujon  1901 du bras 1862, et. une encoche 1902       (fig.    19) du bras 1899 s'engage normalement  sur un goujon 1903 fixé sur l'extrémité supé  rieure d'un bras 1901<B>(fi-.</B> 20) monté libre  ment sur le goujon 1113. Un prolongement  vers le bas du bras 1901 porte     Lui    goujon 1905  pouvant être engagé par le prolongement vers  le haut du bras 1795.  



  Si l'on se sert de l'une quelconque des  touches de commande motorisées 376,<B>377,</B> 378  ou 379 pour déclencher le fonctionnement de  la machine ou si l'on se sert de l'une quel  conque des touches de correction 369 pour  déclencher le fonctionnement de la machine,  le mouvement vers l'avant de la plaque de  commande<B>1760,</B> par suite de l'abaissement de  l'une quelconque desdites touches au moyen  du train des mécanismes représenté ici, y  compris le levier 1886, les bras 1889 et 1891, et  le levier 1893 déplace les bras 1898 et. 1899       (fig.    19 et 21) vers le haut pour dégager  l'encoche     190'dudit    liras 1899 du goujon  1903 et pour engager     simultanément,    l'encoche  1900 dudit bras 1898 sur ledit goujon 1903.

    Ceci provoque     l'accouplement    du bras 1862  pour     l'organe-tâ        teur    avec le bras 1904. Lors  du déclenchement de la machine en vue de  son fonctionnement, un mécanisme à came,  décrit en entier dans le brevet No 26 _592,  bascule, au moyen de     l'articulation    1793 et du  ressort. 1803     (fig.    20), le     ])ras    1795 d'abord  dans le sens contraire à celui des aiguilles  d'une montre et     ensuite    dans le sens des  aiguilles d'une montre de retour à la position  normale.

   Le mouvement du bras 1795 dans le  sens contraire à celui des aiguilles d'une  montre bascule le bras     190-1    dans le sens des  aiguilles d'une montre et., puisque le bras    <B>1.898</B> est relié au goujon 1903 et que le bras  1862 est, à son tour, relié audit bras 1898,  lesdites pièces se déplacent dans le     sens    des  aiguilles d'une montre solidairement avec le  bras     7.90-1    pour abaisser     l'organe-tâteur    1825  afin d'amener les goujons 1826 et 1827       (fig.    16) à tâter la surface de commande du  segment<B>1822</B> comme expliqué précédemment.

    Si la coulisse 1808     (fig.    17) se trouve dans la  position No 1, la partie découpée ou creuse  de la périphérie du segment. 1822 se trouve  en face du goujon 1827; par conséquent, la  patte de gauche de     l'organe-tâteur    1828 s'en  gagera sur le goujon 1.871 et basculera le       bras    1875 dans le sens des aiguilles d'une  montre ou vers le bas     (fig.    19) pour amener  le goujon 1877 à s'engager dans la fente 1880  du levier coudé 1119, de sorte que le méca  nisme de     tabulation    entrera en action pour  amener la.     tabulation    du chariot d'une posi  tion de colonne à la suivante, ainsi qu'il a  déjà. été     expliqué.     



  Si la coulisse 1808 est. dans la position  No 3, le     segment    1822 sera placé de telle fa  çon qu'une partie découpée ou creuse de sa  périphérie se trouve en face du goujon 1826  et la partie pleine de ladite périphérie en face  du goujon 1827; par conséquent, la patte de  droite de     l'organe-tâteur    1828 s'engagera sur  le goujon 1839 pour basculer le bras     18-10          (fig.    16 et 18) vers le     bars    ou dans le sens       contraire    à. celui des aiguilles d'une montre,  pour amener le goujon     18-12    à s'engager dans  la fente du bras 1841 pour provoquer l'es  pacement des lignes du rouleau comme déjà  décrit.  



  La commande par chariot du mécanisme  d'espacement des lignes sera maintenant dé  crite. Le chariot. comporte des taquets de com  mande dans diverses positions de colonnes de  celui-ci dont le but consiste à coopérer avec  un     levier-tâteur    1925     (fig.    8B), dont l'extré  mité de droite recouvre un prolongement vers  l'arrière d'un levier 1991 (voir également la       fig.    6), monté librement sur un axe 1964 et  poussé par un ressort (non représenté) au  contact. d'un     levier-tâteur.    Le levier 1991 est  relié à oscillation, par une articulation 1992,      à un bras d'un levier coudé 1993 monté libre  ment sur un goujon 1994.

   Sur un bras du  levier coudé 1993 dirigé vers le bas pivote  l'extrémité arrière d'une articulation 1995  dont l'extrémité avant     est    fendue pour rece  voir un goujon 1996 d'un levier 1997 monté  librement sur le goujon 1422. Un prolonge  ment vers l'avant dut levier 1997 possède une  fente qui s'engage sur un goujon 1998 d'un  bras 2000     pourvu        d'iuie    fente qui s'engage  librement sur     un    moyeu du levier 1728, ledit  moyeu étant monté librement sur le goujon  161. Le goujon 1998 passe également par une  fente courbe 1999 du levier 1728.  



  Si le chariot 136 se trouve dans une posi  tion de colonne où il n'y a pas de taquet en  face de la saillie de tâtonnement du levier  1925, ledit levier est libre de se déplacer dans  le sens des aiguilles d'une montre sous l'action       d'iin    ressort lorsqu'il est libéré comme décrit  clans le brevet No 262592. Un tel mouvement  du levier<B>1925</B> amène son prolongement de  droite à basculer le levier 1991 dans le sens  des aiguilles d'une montre     (fig.    6), lequel  mouvement, à l'aide de l'articulation 1992 et  du levier coudé 1993, déplace l'articulation  1995 vers l'avant en amenant la fente de sa  partie avant, en coopération avec le goujon  1996,à basculer le levier 1997     également    dans  le sens des aiguilles d'une montre.

   Le mouve  ment du levier 1997 dans le sens des aiguilles  d'une montre amène la fente de son prolonge  ment avant, en coopération avec le goujon  1998,à déplacer ledit goujon et le bras 2000  vers le haut pour engager ledit goujon dans  une encoche     d'un    prolongement vers le bas du  bras 1846     (fig.    4, 16 et 18) de manière à  relier le levier 1728 audit bras 1846, de sorte  que la .libération de l'entraîneur 1848 par la  came 1855, comme expliqué ci-dessus, immé  diatement après l'exécution de l'impression,  fera entrer en action le mécanisme d'alimen  tation verticale ou d'espacement des lignes  pour faire tourner le rouleau 309 en vue de  l'espacement des lignes sur le matériel d'en  registrement enroulé autour du rouleau.  



  Si le chariot 136 se trouve dans une posi  tion de colonne où     l'in    des taquets est en face    de la saillie de tâtonnement, du levier 1925, le  mouvement dudit levier dans le sens des  aiguilles d'une montre, lorsqu'il est aban  donné à l'action de son ressort, sera empêché  et il en résultera que le levier 1991     (fig.    6)  sera retenu dans la position représentée,       qu'aucun    mouvement ne sera transmis au  levier 1997, que le goujon 1998 restera dé  gagé de l'encoche du bras 1846     (fig.    4) et que  le mécanisme d'espacement des lignes ne fonc  tionnera pas.  



  En se référant à la     fig.    7, on se rappellera  que, lorsque la barre de déclenchement prin  cipale 170 est complètement abaissée et rete  nue dans cette position, le goujon 1439     dP-          place    le crochet 1399 sur le chemin du gou  jon 1402, sur quoi le mouvement vers l'ar  rière de la barre tabulatrice 1404 déplace la  barre 1386 vers l'avant pour basculer la chape  1375 dans le sens des aiguilles d'une montre  pour amener le déplacement du chariot vers  la colonne des chèques No 2.

   La barre 1386       (fig.    6 et 7) possède un prolongement replié  2001 qui coopère avec un prolongement vers  le haut 2002 d'une barre 2003 montée à  mouvement indépendant sur l'articulation  1995 à l'aide d'un trou dans son extrémité  avant qui s'engage librement sur le goujon  1996 et à l'aide d'une fente dans son extré  mité arrière qui reçoit un goujon 2004 de la  dite articulation 1995. Un ressort. 2005, tendu  entre les goujons 2004 et 1996, entraîne le le  vier<B>1997</B> dans le sens contraire à celui des  aiguilles d'une montre et la barre 2003 vers  l'arrière.

   Le mouvement vers l'avant de la  barre 1386, à l'aide des prolongements 2001  et 2002, déplace la barre 2003 également vers  l'avant contre l'action du ressort 2005, en       amenant    ladite barre à basculer le levier  1997 dans le sens des aiguilles d'une montre,  comme expliqué ci-dessus, pour engager le  goujon 1998     (fig.    4) dans une encoche du  bras 1846, afin de provoquer la rotation du  rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes  sur le     matérie'1    d'enregistrement enroulé  autour du rouleau, comme il a été expliqué  ci-dessus.

        Il est prévu un mécanisme à came pour  commander la prise de la dent 1685 (fi-. 11)  du cliquet 1681 avec les dents de la roue à  rochet 1672 afin de déterminer si le rouleau  309 et le matériel d'enregistrement qu'il porte  seront avancés d'une, de     deux    ou de trois  lignes.  



  En se référant. aux fi-. 11, 12 et 13, le     cli-          quet    d'avancement. 1681 porte     tri    goujon 1736  qui coopère avec une surface courbe 1737  d'une plaque<B>1738</B>     pourvue    d'un moyeu monté  librement sur le moyeu pour le bras 1683, la  dite plaque présentant, sur un prolongement,  trois encoches (le position 1739 qui coopèrent  avec un goujon 1740 d'un cliquet d'arrêt 1741  monté librement sur un goujon 1742 fixé sur  le bras gauche 1603     (fig.    15) et entraîné par  un ressort 1743 clans le sens des aiguilles d'une  montre pour maintenir normalement ledit  goujon en contact souple avec lesdites en  coches de position.

   Une articulation 1744 relie,  à oscillation, la plaque 1738 à un levier 1745  monté 'librement sur le goujon de gauche 1694  et pourvu d'un doigt 1746 qui passe par une  ouverture pratiquée dans la plaque de couver  ture 1633, de gauche.  



  Lorsque le bras 1683 et le     eliquet    1681 se  trouvent dans leurs positions de prise en  charge, comme représenté, la surface courbe  1737, en coopération avec le goujon 1736,  maintient la dent 1685 dudit cliquet hors de  prise avec les dents de la roue à rochet 1.672.

    Lorsque le levier 1745 et la plaque 1738 se  trouvent dans la position indiquée en traits  pleins sur la fi-. 13, le mouvement d'avance du  cliquet     1f>81    dans le sens des aiguilles d'une  montre amène le goujon 1736 à quitter la sur  face courbe 1737 le plus tôt. possible et., ce fai  sant., amène la dent 1685 à. entrer en prise  avec les dents de la roue à rochet. 1672 suffi  samment tôt pour que le mouvement contint  dudit     eliquet    1681 dans le sens des aiguille,  d'une montre fasse     avancer    la roue à rochet.  1672 et le rouleau 309 d'une distance égale à  trois dents de la roue à rochet afin d'espacer  le matériel d'enregistrement de trois lignes.

   Le  déplacement du levier 1745 et de la plaque  1738 d'un cran dans le sens des aiguilles d'une    montre, comme montré en pointillés sur la       fig.    13, amène la surface courbe 1737 de ladite  plaque à retarder l'engagement entre la dent  du cliquet 1681 et la roue 1672 suffisamment  pour que le mouvement dudit     eliquet    clans le  sens des     ai-uilles    d'une montre fasse avancer  ladite roue     @à    rochet et le rouleau d'une dis  tance     é--,ale    à     deux    dents de la. roue à. rochet  de manière à espacer le matériel d'enregistre  ment de deux     li;

  -nes.    Le mouvement du levier  1745 et de la plaque 1738 d'un cran supplé  mentaire dans le sens des aiguilles d'une  montre, comme on le voit en pointillés sur la  <U>fi-.</U> 13, amène la surface courbe 1737, en co  opération avec le goujon 1736, à. retarder  encore le     mouvement\    d'engagement de la dent  du cliquet 1681 de sorte que le mouvement  complet dudit cliquet dans le sens des aiguilles  d'une montre fera avancer la roue à rochet  1672 et le rouleau 309 d'une distance égale à  une dent de la roue à rochet afin d'espacer le  matériel d'enregistrement d'une seule ligne.  



  Lorsque le cliquet d'avance 1681 arrive à  la fin de son mouvement d'avancement dans le  sens des aiguilles d'une montre, comme l'in  dique la. fi-. 12, le goujon 1736, en coopéra  tion avec un doigt en saillie 1747 du cliquet  d'arrêt 1.677, bloque ledit     eliquet    et le goujon  1.680 contre le mouvement d'encliquetage, de  manière à amener ledit goujon à bloquer, à  son tour, la roue à rochet 1672 et le rouleau  309 pour assurer l'espacement précis de ladite  roue et pour éviter le dépassement en cas de  mouvements rapides du mécanisme d'avance  ment du papier.  



  Chaque douille 1442     (fig.    9, 10 et 15) et  le manchon 1669 passent. par des ouvertures  correspondantes 1748 dans     les    plaques de  droite et de gauche 1074 et 1075 et par des  fentes courbes correspondantes 1749 dans les  plaques de couverture de droite et de gauche  1632 et. 1634, lesdites fentes permettant. au  rouleau 309 de se déplacer de la. position d'im  pression à la position     d'a'limentation    frontale  et vice versa.  



  Des volets mobiles sont. prévus     pour    fer  mer les fentes 1749 lorsque le rouleau 309 se  trouve clans une de ses positions de     manoeuvr    e,      empêchant ainsi l'introduction de corps étran  gers dans les fentes et ainsi éviter les dangers  pour les personnes et pour le mécanisme du  chariot.  



       Etant    donné que le mécanisme se répète  pour chaque côté du chariot, on décrira seule  ment le mécanisme pour la fermeture de la  fente 1749 du côté droit du chariot.  



  La fente de droite 1749 peut être fermée  par des volets segmentaires 1750 et 1751 reliés  à friction à l'extrémité supérieure d'un levier  coudé 1752 monté librement sur un goujon  <B>1753</B> fixé à la plaque de droite 1074. Un res  sort 1754 entraîne le levier coudé 1752 dans le       sens    contraire des aiguilles d'une montre pour  maintenir normalement une surface avant  concave du segment 1751 en contact avec une  surface similaire convexe du bord avant de  la fente 1749.  



  Lorsque le rouleau 309 est en position  d'impression, comme le montre la     fig.    9, l'ex  trémité supérieure du segment 1750 ferme       l'extrémité    supérieure de l'ouverture 1748 et  le segment 1751 ferme la partie centrale de  ladite ouverture, fermant ainsi virtuellement  toute la fente contre 'l'introduction de corps  étrangers, sauf la partie de la fente par la  quelle passe la douille 1742. Lorsque le rou  leau 309 passe de la position d'impression à  la position d'alimentation frontale, comme in  diqué sur la     fig.    10, la douille 1442 repousse  simplement les segments de volets 1751 et 1750,  en basculant le levier coudé 1752 clans le sens  des aiguilles d'une montre contre l'action     dit     ressort 1754.

   De même, lorsque le rouleau  passe de la position d'impression à la position  d'alimentation frontale, la douille 1442 entre  en contact avec     liextrémité    supérieure du volet       segmentaire    1750 et le bascule dans le sens des  aiguilles     d'une    montre, de sorte que son ex  trémité inférieure     recouvre    la partie infé  rieure de la fente 1749 non recouverte par le  volet 1751.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine comptable, comprenant un rou leau (309), une source motrice (1153) et une liaison mécanique (1709, 1707, 1704, 1701, 1693, 1690, 1688, 1686) pour transmettre un mouvement d'espacement des lignes au rou leau à partir de la source motrice, caracté risée en ce que ladite liaison est ininterrompue et actionnée soit comme un tout ou pas du tout, un dispositif d'accouplement normale ment inactif (1716) étant susceptible d'être déplacé, lorsqu'on désire assurer l'espacement des lignes du rouleau, en position active pour accoupler la liaison à la source motrice. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine comptable suivant la revendi cation, caractérisée en ce que la source mo trice est un arbre tournant continuellement (1153) et en ce que le dispositif d'accouple ment est formé par un organe d'accouplement (1716) fonctionnant pour accoupler tempo rairement audit arbre une came (1712) nor malement montée librement sur l'arbre, mais fonctionnant, lorsqu'elle est accouplée à l'ar bre, pour imprimer un mouvement d'espace ment des lignes au rouleau par l'intermédiaire de la liaison mécanique. 2.
    Machine comptable suivant la sous- revendication 1, caractérisée en ce que l'accou plement agit pour accoupler la came à l'arbre pour un tour seulement de l'arbre, et com prend un organe (1715) fonctionnant auto matiquement pour dégager l'accouplement après la fin d'un seul tour de l'arbre. 3.
    Machine comptable suivant la sous revendication 2, comprenant des organes dé clenchant son fonctionnement (369, 376 à 379, <B>170,</B> l.71), caractérisée par un organe entraî neur (1848) entrant en action chaque fois que la machine est libérée en unie de son fonctionnement, un organe (1727) pour mettre en action le dispositif d'accouplement pour assurer l'espacement des lignes du rou leau et des moyens (18.12) agissant, lors du fonctionnement de l'un quelconque des or ganes de déclenchement de la machine, pour accoupler ledit organe (1727) mettant en ac tion le dispositif d'accouplement à l'organe entraîneur (1848) afin d'assurer l'espacement des lignes du rouleau. 4.
    Machine comptable suivant la sous- revendication 3, dans laquelle le rouleau est. monté sur un chariot pouvant se déplacer vers diverses positions de colonnes, caracté risée par des moyens (1925, 1991, 1998, 1848, 1728) actionnés par le chariot dans des posi tions de colonnes déterminées d'avance pour déplacer le dispositif d'accouplement en posi tion pour assurer l'espacement des lignes du rouleau. 5.
    Machine comptable suivant la sous- revendication 4, caractérisée par une paire de goujons (1842, 1998) pouvant être déplacés alternativement en position pour accoupler l'organe entraîneur (1848) à l'organe (1727) mettant en action le dispositif d'accouplement afin d'opérer l'espacement des lignes du rou leau, l'un des goujons (1842) pouvant être déplacé en position d'accouplement sous la commande des organes de déclenchement de la machine et l'autre goujon (1998) pouvant être déplacé en position d'accouplement sous la commande du chariot, dans des positions de colonnes déterminées d'avance. 6.
    Machine comptable suivant la sous- revendication 5, caractérisée en ce que le cha riot comporte des taquets de commande pour coopérer, dans certaines positions de colonnes du chariot, avec un dispositif de tâtonne ment (1925) pour contrôler si le dispositif d'accouplement doit être engagé pour assurer l'espacement des lignes du rouleau, ou non, le contrôle étant déterminé à chaque position de colonne du chariot, par la présence ou l'ab- seneë d'un taquet de commande.
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