Machine comptable. L'invention a pour objet une machine comptable, comprenant un rouleau, une source motrice et une liaison. mécanique pour trans mettre un mouvement d'espacement des lignes au rouleau à partir de la source motrice, ca ractérisée en ce que ladite liaison est ininter rompue et fonctionne soit comme un tout, soit pas du tout, un dispositif d'accouplement normalement inactif étant susceptible d'être déplacé, lorsqu'on désire effectuer l'espace ment des li-nes du rouleau, en position ac tive pour accoupler la liaison à la source mo trice.
litant donné que la liaison fonctionne comme un tout ou ne fonctionne pas, selon qu'on désire un espacement des lignes ou pas, l'espacement des lignes s'effectue beaucoup plus positivement que cela n'est possible avec les machines connues jusqu'à présent.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine comptable faisant l'objet de l'invention, seules les parties nécessaires à la compréhen sion de l'invention étant représentées et dé crites. La machine complète est décrite dans le brevet suisse No 262592. La fig. 1 est une vue en perspective de la machine complète.
La fig. 2 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour commander la tabulation du chariot à partir d'une des barres de dé clenchement.. La fig. 3 est une vue en coupe transver sale de l'extrémité de gauche du rouleau, prise suivant la ligne 49-19 de la fig. 15.
La. fi-. -1 est une vue de détail d'une partie du mécanisme de commande de l'espacement des lignes du rouleau.
La fic. 5 est une vue de détail d'une partie du\ mécanisme d'embrayage pour effec tuer l'espacement des lignes du rouleau.
La fig. 6 est une élévation latérale d'une partie du mécanisme commandé par le cha riot dans ses positions de colonnes de tabu- lation et par l'une des barres de déclenche ment de la machine, pour commander le mouvement d'espacement des lignes du rouleau.
La fig. 7 est. une élévation latérale de droite du mécanisme pour la. commande de la. mise en position de colonne du chariot au moyen des trois barres de déclenchement., .Les fig. 8#1 et 8R constituent conjointe ment une\ vue en plan de dessus de la ma chine, le chariot étant enlevé.
Les fi-. 9 et 10 montrent en détail le mé canisme recouvrant des fentes pratiquées dans les plaques d'extrémité traversées par le rouleau.
La fig. 1.1 et. une vue de détail du méca nisme pour l'espacement automatique ou l'avancement vertical du rouleau.
La fi-. 1.2 est une vue de détail de la roue à rochet et du cliquet d'avancement, ainsi que du linguet d'arrêt pour le mécanisme d'es pacement des lignes.
La fig. 13 est une vue de détail du levier manuel et du mécanisme associé pour régler l'importance du mouvement du mécanisme d'espacement des lignes.
La fig. 14 est une vue de détail des cames et du mécanisme associé pour l'entraînement du mécanisme d'espacement des lignes ou d'avancement vertical.
La fig. 15 est une vue en plan fragmen taire du chariot.
La fig. 16 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour la commande de la tabulation du chariot et pour la commande de l'espacement des lignes du rouleau au moyen de la barre de déclenchement prin cipale.
La fig. 17 est une vue de détail du levier manuel et du mécanisme sélecteur y associé pour faire varier la commande des barres de déclenchement de la machine par le méca nisme tabulateur et le mécanisme d'espace ment des lignes.
La fig. 18 est une vue de détail d'une des barres auxiliaires de déclenchement et du mé canisme y associé pour commander le mouve ment d'espacement des lignes ou d'avance ment vertical du rouleau.
La fig. 19 est une vue de détail d'une partie du mécanisme pour la commande du mouvement de tabulation de colonne en co lonne du chariot.
La fig. 20 est une élévation latérale, vue du côté droit, d'une partie du mécanisme pour la commande de l'opération de tabula- tion du chariot et d'espacement des lignes du rouleau dans des opérations automatiques de la machine.
La fig. 21 est une vue de détail d'une partie du mécanisme associé au mécanisme re présenté sur la fig. 20 pour la commande de certaines fonctions du chariot et du rouleau dans des opérations automatiques de la ma chine.
La machine (fig. 1) comprend un chariot baladeur 136 pouvant se déplacer sur des rails 137, 138 vers certaines positions de colonnes déterminées d'avance, ce chariot portant un rouleau 309. Le rouleau possède un noyau en bois 1441 (fig. 3) pourvu d'un alésage cen tral qui reçoit des tenons sur des douilles 1442.
Les circonférences extérieures des douilles 1442 supportent le rouleau 309 dans le chariot en vue d'un mouvement rotatif ou d'espacement des lignes ainsi que d'un mouve ment depuis la position d'avancement frontal représentée sur la fig. 10 jusqu'à la position d'impression représentée sur la fig. 9, et vice versa.
Les alésages centraux des douilles 1442 sont en alignement axial et supportent une tige 1665 qui est maintenue immobile par une vis de fixation 1666 (fig. 15) qui fixe égale ment un bouton de droite 1667 pour la rota tion manuelle du rouleau sur la douille 1442.
Il y a un bouton de gauche 1668 (fig. 3 et 15), similaire au bouton de droite, pour la rota tion manuelle du rouleau 309, et ce bouton est fixé à un manchon 1669 porté à glisse ment par la tige 1665 et relié à la douille de gauche 1442 à l'aide de tenons qui coopèrent avec les encoches d'accouplement dans la dite douille 14-12. Une vis de fixation<B>1670</B> (fig. 3), vissée dans un taraudage du bou ton 1668, est pourvue d'un tenon qui s'en gage dans une rainure annulaire de la tige 1665.
Un ressort à boudin 1671, comprimé entre une tête de l'extrémité gauche de la tige 1665 et l'extrémité du manchon 1669, entraîne ledit manchon et le bouton 1668 vers la droite pour faire embrayer normalement un mécanisme d'accouplement à l'aide d'une roue à rochet 1672 d'avancement du rouleau avec le manchon 1669 pour le faire tourner soli dairement de manière à faire entrer en ac tion le moyen assurant l'espacement automa tique des lignes du rouleau 309.
La roue à rochet 1672 est montée librement sur la. cir conférence extérieure du manchon 1669 et est solidaire d'une partie en forme de tambour 1673 ayant une circonférence intérieure mole tée qui coopère avec une molette 1674 montée dans une fente d'un disque 1675 relié au manchon 1669 pour tourner solidairement, au moyen d'une partie angulaire plate dudit manchon en coopération avec un coin 1676, le dit coin s'engageant librement dans une fente dudit disque 1675.
Normalement le ressort 1671 pousse le bouton 1668 et le manchon 1669 vers la droite, amenant la. surface plate angulaire dudit manchon, en coopération avec le coin 1676, à déplacer la molette 1674 vers le haut pour embrayer sa partie moletée avec la partie moletée correspondante de la circonférence intérieure du tambour 1673, de manière à accoupler ledit tambour 1673 et la roue à ro chet 1672 au manchon 1669, lequel est relié à la douille 1-142.
Si l'on désire débrayer le rouleau 309 de la roue à rochet 1672 afin d'ajuster le matériel d'enregistrement par rapport à la ligne d'im pression, le déplacement du bouton 1668 vers l'extérieur contre l'action du ressort 1671 re tire la surface plate angulaire du manchon 1669 du coin<B>1.676</B> pour permettre audit coin et à la molette 1674 de se déplacer vers le bas afin de dégager la denture de ladite molette de la denture de la circonférence intérieure du tambour 1673, pour dégager la roue à rochet 1672 du rouleau 309, de sorte que ledit rou leau puisse tourner indépendamment afin d'ajuster le matériel d'enregistrement. par rapport à la ligne d'impression et au méca nisme d'espacement des lignes du rouleau.
Un mécanisme, coopérant avec la roue à rochet 1672 et représenté sur les fi,-,. 11, 12 et 13, est prévit pour faire tourner automa tiquement le rouleau 309 en vite de l'espace ment des lignes sur le matériel d'enregistre ment porté par le rouleau.
Un cliquet d'arrêt 1677 pivote sur un axe 1678 fixé sur le bras gauche 1603 (fig. 3 et 15), et un ressort 1679 entraîne ledit cli- quet d'arrêt. dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement un gou jon 1680, fixé sur le cliquet, en contact avec les dents de la roue à rochet 1672 de manière à retenir ladite roue et le rouleau 309 en po sition d'espacement des lignes. Le goujon 1680 permet la rotation de la roue à rochet dans les deux sens.
Un cliquet d'avance 1681 pi vote sur un axe 1682 fixé sur un bras 1683 de manoeuv re du cliquet d'avancement, bras pourvu d'un moyeu monté librement sur la douille gauche 1442. Un ressort 1684, tendu entre le cliquet 1681 et le bras 1683, entraîne ledit cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre pour amener sa dent 1685 à engrener avec les dents de la roue 1672 lorsqu'on im prime att bras 1683 un mouvement. de va-et- vient, comme expliqué ci-après.
L'axe 1682 supporte à oscillation l'extrémité avant d'une articulation 1686, dont l'extrémité arrière pi vote sur un goujon 1687 d'un bras 1688 relié par un moyeu 1689 à un bras associé 1690, ledit moyeu pivotant sur un axe 1691 fixé sur la plaque 1075. L'extrémité inférieure du bras 1690 est fendue pour recevoir un goujon 1692 fixé sur un bras 1693 monté librement sur un goujon 1694 s'étendant entre les plaques 1075 et 1077 (fig. 15) et relié par une traverse 1695 à un bras associé 1693 sup porté à rotation par un goujon 1694 s'éten dant entre les plaques 1074 et 1076.
Un res sort 1696 entraîne le bras 1693 et la traverse 1695 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement l'extrémité supérieure du bras 1693 de gauche en contact avec une patte repliée 1697 for mée sur une plaque 1698 fixée à la plaque 1075.
Le bord arrière de la traverse 1695 (fig. 11 et 14) est recourbé pour former une surface extérieure arrondie qui coopère avec un prolongement 1700 replié vers le haut d'une coulisse d'espacement des lignes 1701 montée à glissement à. l'aide de fentes paral lèles (fig. Srl et 8B) en coopération avec des goujons à, vis 1458, ladite coulisse 1701 étant montée immédiatement au-dessus d'une cou lisse 1457 dont elle est séparée par des ron delles placées sur les goujons 1458. La cou lisse 1701 a un prolongement vers le bas avec une encoche 1702 qui s'engage sur un goujon 1703 de l'extrémité supérieure d'un bras 1704 fixé sur un axe 1705 tournant dans un alé sage du châssis 1087.
Un prolongement du bras 1704 est fendu pour recevoir un goujon 1706 d'un bras 1707 fixé sur l'une des extré mités d'un manchon 1708 monté librement sur la tige 1165. Sur l'autre extrémité du manchon 1708 est fixé un levier 1709 en forme de 11 portant des galets 1710 et 1711 qui coopèrent, respectivement, avec les péri phéries de cames associées 1712 et 1713 qui sont calées ensemble avec un disque de repé rage, dans un rapport mutuel fixe, sur -Lui manchon 1714 tournant librement sur un arbre d'entraînement tournant continuelle ment 1153.
Sur le manchon 1714 est également fixé (fig. 8B) un organe commandé par accouplement 1715 pourvu de dents qui co opèrent avec un organe de commande par ac couplement 1716 relié par des tenons et des mortaises à un manchon fixé sur l'arbre 1153, de sorte que ledit organe de commande tourne solidairement avec ledit arbre, tandis qu'il est libre de se déplacer sur l'arbre latéralement.
L'organe de commande par accouplement 1716 est actionné par une chape 1717 pour embrayer l'accouplement, comme il sera maintenant décrit en se référant aux fig. 5 et 8B. La chape 1717 servant à actionner l'or gane d'accouplement 1716 est supportée à ro tation par un axe vertical 1200. Un bras de la. chape 1717 est pourvu d'une saillie vers l'avant 1208 qui vient au contact de la dent d'un verrou 1209 monté librement sur un arbre 1718 (fig. 8B).
Un ressort 1211, tendu entre Lin bras de la chape 1717 et le verrou 1209, entraîne lesdites parties dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir nor- maJement le verrou en prise avec la saillie 1208. Le verrou 1209 possède cule fente en forme d'L 1212 au travers de laquelle passe une saillie vers le haut 1213 d'un bras de dé gagement de verrou, 1214, qui est monté sur un des bras de la chape 1717 de façon à pouvoir pivoter et à se déplacer à l'aide d'un goujon de ce bras qui s'engage dans une fente pra tiquée dans ledit bras de ladite chape.
Un res sort 1215 est tendu entre le bras 1214 et un des bras de la chape 1717 pour entraîner ledit bras 1214 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et en même temps pour entraîner ledit bras vers l'arrière pour maintenir normalement ledit bras comme re présenté sur la fig. 5. La saillie vers le haut 1213 du bras 1214 coopère avec un linguet 1216 de dégagement du verrou fixé sur l'ar bre 1718. Sur l'extrémité supérieure de l'ar bre 1718 est également fixé un bras 1719 relié au moyen d'une articulation 1720 (fig. 8B) à un bras 1721 fixé sur un arbre de commande d'espacement des lignes 1722 tournant dans le châssis 1087.
Un ressort, tendu entre le bras 1719 et la plaque 1136 entraîne ledit bras, l'arbre 1718 et le linguet 1216 dans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir nor malement lesdites parties en position normale, comme indiqué sur le dessin.
Lorsque l'arbre 1722 est actionné de la manière qui va maintenant être décrite, l'ar bre 1718 et le linguet 1216 sont basculés dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action dudit ressort, amenant ledit linguet, en coopération avec la saillie vers le haut 1213, à déplacer le bras 1214 vers l'avant contre l'action du ressort 1215 et, lorsque la saillie repliée vers le haut 1213 se trouve dans la partie étroite de la fente en forme d'L, 1212, le verrou 1209 est basculé dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre afin de dégager la dent dudit. verrou de la saillie 1208 de la chape "1717.
Ceci libère la chape 1717 à l'action du res sort 1211 qui déplace immédiatement ladite chape dans le sens des aiguilles d'une montre, de manière à mettre en prise les dents de l'or gane d'accouplement 1716 avec les dents cor respondantes de l'organe entraîné par accou plement 1715, afin d'entraîner ledit organe et les cames 1712 et 1713 d'un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 14.
La rotation des cames 1712 et 1.713 (fig. 14) par le mécanisme représenté, dé place la coulisse 1701 d'abord vers l'avant et ensuite vers l'arrière jusqu'à la position nor male. Le mouvement vers l'avant de la cou lisse 1701 (fig. 8A, 8B, 11 et 15) bascule, au moyen du prolongement vers le haut 1700 de la coulisse en coopération avec la partie ar rondie de la traverse 1695, ladite traverse et le bras 1693 d'abord dans le sens des aiguilles d'une montre, lequel mouvement, par l'inter- médiaire du goujon 1692, du bras 1690, du bras 1688 et de l'articulation 1686, bascule le bras 1683 également dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1683 dans le sens des aiguilles d'une montre amène la dent 1685 du linguet 1681, sous l'action du ressort 1684, à engager les dents de la roue à rochet 1672 pour faire tourner le rouleau 309 dans le sens des aiguilles d'une montre, de façon à espacer les lignes sur la feuille de journal 1595 enroulée autour du rouleau.
Le mouvement de la chape 1717 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 5) pour engager le mécanisme d'accouplement lorsque le verrou 1209 est libéré comme expliqué ci- dessus, amène une saillie vers le bas 1222 du bras inférieur de ladite chape à venir au con tact du bras 1214 et à basculer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'ac tion du ressort. 1215 afin de dégager la saillie vers de haut 1213 de la branche étroite de la fente 1212 et à l'introduire dans la.
branche élargie de ladite fente, pour permettre au res sort 1211 de ramener immédiatement le verrou 1209 dans le sens des aiguilles d'une montre vers une position où sa dent se trouve sur le chemin de la saillie 1208. Lorsque les cames 1712 et 1713 et l'organe entraîné par accouplement 171.5 approchent de la fin de leur révolution dans le sens des aiguilles d'une montre, une saillie-eame 1223 sur la périphérie dudit organe vient au contact d'un goujon aplati 1224 fixé sur le bras supérieur de la chape 1717 et bascule ladite chape dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1211, de ma nière à amener la saillie 1208 à passer à côté de la dent du verrou 1209,
sur quoi ledit verrou entre en action pour retenir ladite chape et l'organe d'accouplement 1716 (fig. 8B) en position débrayée.
Un mouvement de bascule peut. être im- -primé à l'arbre 1722 pour opérer le mouve ment d'espacement des lignes du rouleau de plusieurs manières, ainsi qu'il sera décrit ci- après:
a) en abaissant une touche d'avancement du papier 1073 (fig. 1), b) par l'abaissement normal d'une barre d'avancement vertical 171 (fig. 1), c) par l'abaissement normal d'une barre motrice principale 170 (fig. 1), d) par l'abaissement de l'une des touches d'un groupe de touches de commande moto risées, e) par le chariot, lorsqu'il atteint une po sition de colonne déterminée d'avance, et f) par l'abaissement complet de la barre motrice motorisée 170.
Le mécanisme par lequel l'arbre 1722 re çoit le mouvement de bascule pour l'espace ment des lignes du rouleau par la touche d'avancement du papier est représenté sur la fig. 4. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 172? est. fixé un bras 1723 relié au moyen d'une articulation 1724 (fig. 4 et 8B) à un levier 1725 monté librement sur le goujon 1498. L'extrémité inférieure du levier 1725 est fendue pour recevoir un goujon de l'extré mité supérieure d'un levier 1726 monté libre ment sur le goujon 1501, ledit levier 1726 étant relié à oscillation par une articulation 1727 à l'extrémité inférieure d'un levier 1728 monté librement sur le goujon 161. L'articu lation 1727 est pourvue d'un prolongement.
vers le haut 1729 qui coopère avec un goujon 1730 d'une plaque 1731 montée librement sur le goujon 1508 et reliée à oscillation par une articulation 1732 à Lui levier 1733 monté librement sur L'arbre 1.512. L'extrémité avant du levier 1733 pivote sur une partie repliée de la tige de la touche d'avance du papier 1073. Un ressort 1734 entraîne la plaque 1731 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre qui maintient, par l'articulation 1732 et le levier 1733, la touche 1073 normale ment en position non abaissée.
L'abaissement de la touche d'avance du papier 1073 bascule la plaque 1731 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort. 1734, amenant. le goujon 1730, en coopération avec le prolongement 1729,à dé placer l'articulation<B>1.727</B> vers l'avant. Le mouvement vers l'avant de l'articulation 1727 déplace également, au moyen des leviers 1726 et<B>179-5,</B> l'articulation 1724, vers l'avant pour basculer le bras 1723, l'arbre 1722 et le bras 1721 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouvement du bras 1721 dans le sens des aiguilles d'une montre bascule, au moyen de l'articulation 1720, le bras 1719 et l'arbre 1718 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la fig. 8B, pour libérer le verrou 1209 (fig. 5) de la chape 1717 afin d'amener ladite chape à mettre en prise l'organe entraîneur par accouplement avec l'organe entraîné par accouplement 1715 pour faire accomplir aux cames 1712 et 1713 (fig. 14) un tour dans le sens des aiguilles d'une montre, comme déjà décrit, après quoi le mécanisme d'accouple ment est automatiquement débrayé.
Le mécanisme par lequel l'arbre 1722 re çoit le mouvement de bascule pour assurer l'espacement des lignes du rouleau par les barres de déclenchement 170, 171 est repré senté sur les fig. 16 à 18. Ces barres, ainsi qu'il a été .décrit en détail clans le brevet No 262592, peuvent fonctionner de deux faons alternatives, c'est-à-dire qu'elles peuvent être normalement abaissées et immédiatement libé rées, ou qu'elles peuvent être complètement abaissées et maintenues abaissées. Les deux modes opératoires ont pour résultat une libé ration de la machine en vue de son fonc tionnement, mais ils sont accompagnés par l'exécution de deux opérations différentes de la machine.
L'opération exécutée lors de l'abaissement normal de l'une des barres est encore modifiée par la position d'une coulisse de commande 1808 (fig. 17) pouvant se dé placer dans différentes positions de com mande 1 à 4.
L'abaissement normal de la touche d'avancement vertical 171 assure l'espacement des lignes du rouleau, sauf lorsque la coulisse se trouve dans la position No 4. Un abaisse ment complet de la barre 171 amène le cha riot à tabuler à une colonne déterminée d'avance identifiée comme colonne des chèques No 3.
L'abaissement normal de la barre princi pale 170 opère l'espacement des lignes lors que la coulisse 1808 se trouve dans la posi- tion No 3, mais amène le chariot à tabuler à la colonne suivante lorsque la coulisse se, trouve dans la position No 1. Un abaissement complet de la barre principale 170 amène le chariot à tabuler à une colonne déterminée d'avance, identifiée comme colonne des chèques No 2, et assure également l'espace ment des lignes du rouleau.
L'abaissement d'une quelconque des tou ches de commande motorisées 369, 376 à 379 (fig. 1) déclenche la machine et opère égale ment, suivant la position de la coulisse de, commande 1808, soit l'espacement des lignes du rouleau, soit la tabulation du chariot à la colonne suivante.
La coulisse 1808 est montée à glissement sur la plaque supérieure 188 du clavier numé-, ral à l'aide d'une plaque inférieure 1810 espa cée de la surface inférieure de ladite coulisse 1808 d'une distance légèrement supérieure à l'épaisseur de ladite plaque supérieure 188 au moyen d'une entretoise 1811, ladite plaque 1810 et ladite entretoise étant fixées à la cou lisse 1808 par des vis.
Comme déjà mentionné, la coulisse peut occuper quatre positions de commande et elle peut être maintenue dans chaque position par un organe d'ajustage 1812 à ressorts fixé sur la surface inférieure de la plaque 188, ledit organe d'ajustage étant pourvu d'une saillie sphérique en relief qui s'engage dans l'un quelconque de quatre trous fraisés dans la plaque 1810, lesdits trous cor respondant aux quatre positions de la cou lisse 1808. Un prolongement vers le bas 1809 de la plaque inférieure 1810 est pourvu d'une entaille dans lâquelle s'engage un goujon 1813 d'un levier 1814 fixé sur l'extrémité de gauche d'un arbre court 1815.
Sur l'extré mité de droite de l'arbre 1815 (fig. 17) est fixé un secteur denté 1816 qui engrène avec un secteur associé 1817 monté librement sur le goujon 161 et portant des bras 1818 et 1819 qui sont convenablement espacés dudit sec teur 1817 par deux entretoises et fixés à ce secteur par deux goujons à vis 1820 qui sup portent également les entretoises. Sur les ex trémités supérieures des bras 1818 et 1819, sont fixés des segments de commande 1821 et 1822. Les segments 1821 et<B>1822</B> sont fixés à leurs bras respectifs 1818 et<B>1.819</B> par des vis, de sorte que lesdits segments peuvent être en levés et remplacés par des segments ayant, des surfaces (le commande différentes, si on 1q désire.
La périphérie découpée du segment 1821 coopère avec des goujoils-tâteurs 1823 et 1821 (fig. 18 et 19) fixés dans des prolonge ments symétriques d'un organe-tâteur l825, et la périphérie découpée du segment de commande 1822 coopère avec des goujons-tâ- teurs 1826 et 1827 fixés dans des prolonge- ments symétriques d'un 1828 (fig. 16).
L'organe 1825 (fig. 18 et 19) pivote sur un axe 1829 porté par un bras 1830 monté librement sur lui goujon 1831. Le bras 1830 est relié par une articulation 1832 à un bras 1833 monté librement sur le goujon 166 (fig. 18), ledit. bras ayant un prolongement vers le haut qui est normalement maintenu en contact avec un goujon 1834 d'un bras 1835 également libre sur le goujon 166 au moyen d'un ressort de torsion 1836 tendu entre les dits bras.
Le bras 1835 a une encoche 1837 qui coopère avec un goujon 1838 de la partie inférieure de la tige de la barre 171 de dé- elenclienient d'avancement vertical.
L'abaissement. normal de la barre d'avance verticale<B>171</B> amène le goujon 1838 à des cendre dans l'encoche 1837 pour permettre au ressort<B>1836</B> de basculer les bras 1835 et. <B>1833</B> clans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, ce mouvement étant. transmis, par l'articulation 1832, au bras 1830.
Lors de l'abaissement. normal de la barre 17l., un gou jon 1-1-10 lie descend pas suffisamment pour empêelier un tel mouvement clans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre du bras<B>18M.</B> Le mouvement du bras 1830 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre amine l'or-,ane-tâteui> 182:
5 à repérer les pleins et les creux de la. périphérie du segment<B>(le</B> eonimande 1821 et, si ledit seg ment est ajusté par la coulisse de telle sorte (fig. 17) qu'une partie creuse de sa péri phérie se trouve en face du goujon 1823 et une partie pleine de ladite périphérie se trouve en face dil goujon 1824, comme indiqué sur les fig. 17 et 18, le mouvement du bras 1830 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre amène le goujon 1823 à des cendre dans la partie creuse de la périphérie dudit segment.
Comme le goujon 1821 est retenu contre un déplacement par la partie pleine de la périphérie du segment 1821, l'or gane 1825 se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre, amenant le prolongement symé trique de droite du bord supérieur de cet organe à s'engager sur un goujon 1839 d'un bras 1810 monté librement sur l'axe 1831 et à basculer ledit bras dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'ae- tion d'un ressort 1806.
Sur le bras 1810 (fig. 16 et 18) pivote l'extrémité supérieure d'une barre 1811 por tant sur son extrémité inférieure un goujon 1.842 qui s'engage dans une fente 1813 du levier 1728, lequel comme indiqué sur les fil- 4 et 8B, est relié, par l'intermédiaire des organes 1727. 1725, 7.724 et l'arbre de eom- niande d'espacement des lignes 1722, au méca- liiine d'aceouplenient en vue de l'entraîne- nient (les cames 1712 et.
1713 (fig. 14) afin de transmettre au rouleau 309 un mouvement d'espacement des lignes. La fente 1843 coïn cide avec une fente analogue d'un bras 1844 relié par un moyeu 1845, monté librement sur le goujon 161, à. un bras associé 1846 fendu pour recevoir un goujon 1847 d'un entrai- neur d'avancement \ vertical 1848 monté libre ment sur le goujon 1422 et entraîné par un re#;
sort 1849 dans le sens contraire à celui des guilles d'une montre pour maintenir nor- . aig malement une patte repliée 1850 de cet en traîneur en prise avec l'épaulement d'un verrou 1851 monté librement sur l'axe 1-126 et entraîné dans le sens contraire à celui des aijnilles d'une montre par un ressort 1852 en prise avec ladite patte 1850.
Le mouve- ment (lu bras 1840 dans le sens contraire z celui des aiguilles d'une montre (fig. 1.6 et 18) déplace\ la barre 1841 et le goujon 1842 vers le bas afin de mettre en prise ledit gou jon avec la fente du bras 1844 pour relier ledit bras au levier 1728 en vue d'un mouve ment solidaire.
Les pièces se trouvant dans les positions dé- èrites ci-dessus, lefonetionnementdelamachine et la rotation dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre qui en résulte de l'arbre à cames principal 216 (fig. 16) amène un doigt 1854 d'une came de déclenchement 1855, montée pour tourner avec l'arbre 216, à dégager le verrou 1851 de la patte 1850 im médiatement ,après l'exécution de l'impres sion.
Le dégagement du verrou 1851 aban donne l'entraîneur 1848 à l'action du ressort 1849, qui déplace immédiatement ledit en traîneur dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, ce qui fait pivoter, par le goujon 1847, les bras 1846 et 1844 et, au moyen du goujon 1842, le levier 1728 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouve ment du levier 1728 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 4, 8B et 16), bascule, par l'intermédiaire de l'articulation 1727, des le viers 1726 et 1725, de l'articulation 1724 et du bras 1723, l'arbre 1722 pour faire entrer en action le mécanisme d'accouplement pour le mécanisme d'espacement des lignes de ma nière à faire tourner le rouleau en vue de l'espacement des lignes sur le matériel d'en registrement porté par ce dernier, exacte ment de la manière déjà expliquée pour la touche d'avance du papier 1073.
Vers la fin de l'opération, un galet 1431 (fig.18) s'engage sur une patte arrondie 1856 de l'entraîneur 1848 et ramène ledit entraî neur dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que l'épaulement du verrou 1851 se pose sur la patte 1850 pour retenir ledit entraîneur et les pièces annexes en positions normales. La position normale du levier 1728 et des pièces annexes est déterminée par un prolongement vers le bas dudit levier en co opération avec un goujon 1857.
L'abaissement complet de la barre 171 de déclenchement de l'avance verticale (fig. 18) et le maintien de ladite barre complètement abaissée amène le goujon 1440 à s'engager sur un prolongement 1858 du bras 1830 et à bas culer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 1836 afin de ramener l'organe-tâteur 1825 vers le haut à la position normale, ce qui à son tour ramène la barre 1841 (fig. 16 et 18) vers le haut pour dégager le levier 1728 du bras 1844, pour empêcher le fonctionnement du méca nisme d'espacement des lignes sous l'action de la barre 171 d'avance verticale.
En se référant aux fig. 18 et 19, on re marquera que la périphérie du segment de commande 1821 est découpée par rapport au goujon-tâteur 1823 correspondant aux posi tions 1, 2 et 3 de la coulisse de commande 1808 (fig. 17). Par conséquent, lorsque ladite coulisse de commande se trouve dans l'une des positions 1, 2 ou 3 et que la barre de dé clenchement 171 est normalement abaissée, il en résultera un espacement automatique des lignes.
Lorsque la coulisse 1808 se trouve à la position 4, une partie pleine de la péri phérie du segment 1821 se trouve en face du goujon 1823 pour empêcher un mouvement vers le bas de l'organe 1825 et de la barre 1841, et il en résulte que le rouleau 309 ne tourne pas en vue de l'espacement des lignes. En se référant à la fig. 18, on remarquera que le goujon 1839 du bras 1840 passe par un trou ou ouverture dans le bras 1830. Une butée 1859, fixée sur une plaque auxiliaire fixée à son tour à une plaque frontale, est en contact avec une surface plate au milieu de l'organe-tâteur 1825, sous l'action du ressort. 1806, pour déterminer les positions normales dudit organe, des bras 1830 et 1840 et de la barre 1841.
L'organe-tâteur 1828 (fig. 2, 16 et 21) pi vote sur un axe 1861 d'un bras 1862 monté librement sur le goujon 1413 et relié par un goujon 1863 à un bras 1864 également libre sur ledit goujon 1413. Le bras 1864 (fig. 2) est relié élastiquement, au moyen d'un ressort de torsion 1865,à un bras associé 1866 monté librement sur le goujon 1413, ledit ressort de torsion maintenant un prolongement vers le haut dudit bras 1866 normalement en prise avec un prolongement de gauche du goujon 1863. Le bras 1866 a une fente 1867 qui est à che- val sur le goujon 1439 fixé dans la tige de la. barre de déclenchement principale 170.
Un prolongement vers le bas du bras 186-1 est. relié, au moyen d'une articulation 1869, à un bras 1870 monté librement, sur le goujon<B>1.831</B> et pourvu d'ttti prolongement 1871 qui coopère avec un goujon 187'2 fixé clans la tige de la barre de déclenchement 170.
Lorsque la coulisse de commande 1808 (fig. 17) est dans la position 3, une partie dé coupée de la périphérie du segment de com mande 7822 se trouve en face du goujon 1826 et, lors (le l'abaissement normal de la barre de déclenchement 7_70 (fig. 2), le goujon 1.439, descendant dans la fente 1867, permet au res sort 1865 de basculer le bras 1866 et le bras 1861 (fig. 16 et 21) dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant le dessin. Le bras 186-1, au moyen du goujon 1863, bascule le bras 1862 solidairement avec lui et, au moyen de l'articulation 1869,
bascule le bras 1870 dans le sens des aiguilles d'une montre. L n abaissement normal de la barre 170 ne fait. pas descendre le goujon 1872 suffisamment pour qu'il empêche une rotation du bras 1870 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Etant donné que la partie pleine de la périphérie du segment<B>1822</B> se trouve en face du goujon<B>1827</B> et qu'une partie découpée de ladite périphérie se trouve en face du goujon 1826, le mouvement du bras 1862 dans le sens des aiguilles d'une montre amène l'organe- tâteur 1828 1i, basculer dans le même sens et, comme un prolongement. de droite dudit or gane recouvre le goujon 1839, le bras 1810 est simultanément. basculé dans le sens contraire à celui des aiftnilles d'une montre contre l'action du ressort.
1806 pour déplacer le goujon 1842 en prise avec la fente du bras 181-1 afin de relier ledit bras ait levier 1728 de la manière déjà décrite, pour provoquer la rotation auto matique dit rouleau pour l'espacement des lignes sur le matériel d'enregistrement enroulé autour du rouleau.
Lorsque la coulisse de commande 1808 se trouve à la position l., comme le représente la fig. 17, une partie découpée de la périphérie du segment de commande 1822 se trouve en face du goujon 1827 de l'organe de commande l828 et la partie pleine de ladite périphérie se trouve en face du goujon 1826 (fi-.<B>16</B> et<B>19)</B> ,t il s'ensuit qu'un mouvement du bras 1862 dans le sens des aiguilles d'une montre, quand la barre de déclenchement 170 est normale ment abaissée, bascule l'organe de commande 1828 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre, amenant un prolongement de #ïauche, ou patte,
qui est symétrique à la patte de droite dudit organe, en coopération avec un goujon 1871 d'un bras 1875 monté libre- ment sui- le goujon 1-113,à basculer ledit bras dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action de son ressort 1878.
Sur le bras 1875 (fig. 19) pivote l'extré- inité supérieure d'une barre 1876 portant sur son extrémité inférieure un goujon 1877 pourvu d'un prolongement. de gauche qui s'en- < gage dans une fente de l'extrémité supérieure d'tin levier 1879 monté librement sur le gou jon 161.
Le niouveilient dit bras 1875 dans le sens des aiguilles d'une montre entraîne la barre 1576 vers le bas solidairement avec lui, ame nant un prolongement de droite du goujon 1.877 à. s'engager dans une fente<B>1.880</B> d'un prolongement vers le haut du levier coudé 1119, de manière<B>ii</B> relier ledit levier coudé an levier 7.879 en vue d'un mouvement solidaire. I,e levier<B>1879</B> (fi-. 19) est relié au moyen d'une articulation<B>1.881</B> à un bras 1882 fixé s,ur l'extrémité de droite (le l'arbre 1792.
Sur l'extrémité de gauche de l'arbre 1792 est fixé un bras 1883 pivotant. sur une articulation 18S4. U n prolongement du levier coudé 1419 possède une fente qui s'engage sur un goujon 1-120 d'un entraîneur 1-121 qui fonctionne exactement. de lit. même inaitière que l'entraî neur 18-18, étant libéré d'un verrou 1425 par un doi'1 fixé sur une came de déclenchement 1430 de l'arbre à cames principal, et ramené par un galet 1431 de la came (fig. 18).
Lors que le goujon 1877 accouple le levier 1879 au levier coudé 1419, le mouvement de bascule imprimé au levier coudé par l'entraîneur 1421. est partagé par le levier 1879, et l'articulation 1884 est, par conséquent, déplacée vers la gauche en regardant la fig. 19. L'articulation 1884 est reliée à un mécanisme décrit en entier dans le brevet No 262592 pour faire entrer en action un mécanisme d'accouple ment pour amener la colonne à tabuler à la position de colonne suivante.
Un abaissement complet de la barre de déclenchement 170 amène le goujon 1872, en coopération avec le prolongement 1871 (fig. 2), à basculer le bras 1870 et, au moyen de l'articulation 1869, le bras 1864 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre contre l'action du res sort 1865.
Le mouvement du bras 1864 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre entraîne le bras 1862, au moyen du goujon 1863, simultanément avec lui afin de ramener l'organe-tâteur 1828 vers le haut à la position inactive, de sorte que le méca nisme de tabulation de colonne en colonne ne fonctionnera pas lorsque la barre de déclen chement est entièrement abaissée et maintenue ainsi abaissée pendant . le fonctionnement de la machine.
L'abaissement complet de la barre de déclenchement 170 amène un goujon 1439 (fig. 7) à verrouiller un crochet 1399 porté par un bras 1392 par-dessus un goujon 1402 fixé dans une barre 1404 montée sur des bras 1405, 1406 pivotant sur des goujons 166, 167. Le bras 1405 est relié au moyen d'un moyeu 1435 à un bras 1414 relié par une articulation 1415 à un bras 1417, à son tour relié par un moyeu 1418, monté librement sur le goujon 161, au levier coudé 1419.
Par conséquent, lorsque le levier coudé 1419 est basculé dans le sens des aiguilles d'une montre par l'entraîneur 1421, et les bras 1405, 1406 basculés dans le sens inverse au tour de leurs pivots, le crochet 1399, lorsqu'il s'engage sur le goujon 1402 par l'abaisse ment complet de la barre 170, amènera le bras 1392 à basculer dans le sens des aiguilles d'une montre autour de son pivot 1395, déplaçant ainsi une barre 1386 vers la gauche comme indiqué sur la fig. 7.
Ceci amène iine chape <B>1375</B> à basculer autour de son pivot 1377 et ainsi, au moyen du mécanisme décrit dans le brevet No 262592, à amener le chariot à t.a- buler à la colonne des chèques No 2.
L'abaissement complet de la. barre princi pale 170 opère également l'espacement des lignes, au moyen du mécanisme décrit ci-après.
Lorsque le fonctionnement de la machine est déclenché par l'une des touches motorisées 369, 376, 377, 378 et 379 (fig. 1 et 20), l'or- gane-tâteur 1828 entre en action et, selon la position de la coulisse de commande 1808, soit fait tourner le rouleau 309 en vue de l'espace ment des lignes, soit déplace le chariot 136 de colonne en colonne. De même, lorsque l'opération est déclenchée par le chariot 136 dans ses positions de colonnes, le mécanisme fonctionne pour basculer le bras 1875 (fig. 19) vers le bas afin de provoquer la tabulation du chariot d'une colonne à la suivante.
Les touches 369 sont des touches de cor rection, et les touches 376 à 379 servent res pectivement pour les totalisations, pour les enregistrements soustractifs, pour les sous totalisations et pour les enregistrements addi tifs. L'abaissement d'une quelconque des touches de correction 369 (fig. 20) amène les goujons 410 de ces touches à coopérer avec une coulisse 1760 pour déplacer cette dernière vers l'avant ou vers la gauche. De même, l'abaissement de l'une quelconque des touches 376 à 379 imprime un mouvement vers l'avant à la coulisse 1760, par l'intermédiaire d'ttn arbre 1758 et d'un pignon 1759 comme décrit en détail dans le brevet. No 262592.
La plaque de commande 1760 (fig. 20) porte, sur son extrémité avant, un goujon 1885 qui s'en gage dans une fente de l'extrémité supé rieure d'un levier 1886 monté librement sur un goujon 1887. L'extrémité inférieure du le vier 1886 est fendue pour recevoir un gou jon 1888 fixé sur l'extrémité supérieure d'un bras 1889 fixé à son tour sur l'extrémité de gauche d'un arbre 1890. Sur l'extrémité de droite de l'arbre 1890, est calé un bras 1891 portant un goujon 7.892 engagé dans une fente de l'extrémité inférieure d'in levier 1893 monté librement sur un goujon 1894.
L'extrémité supérieure du levier 1893 (fig. 19, 20 et 21) porte un goujon 1895 qui s'engage dans des fentes courbes 1896 et 1897 prati quées dans des bras 1898 et 1899 dont. les extrémités inférieures sont fendues pour recevoir le goujon 1-113.
Lorsqu'une des touches (le commande ou de correction motorisées n'est abaissée et que la plaque de commande 1760 (fi-. 20) se trouve dans sa position arrière, comme in diqué sur le dessin, une encoche 1900 du bras 1898 s'engage normalement sur un goujon 1901 du bras 1862, et. une encoche 1902 (fig. 19) du bras 1899 s'engage normalement sur un goujon 1903 fixé sur l'extrémité supé rieure d'un bras 1901<B>(fi-.</B> 20) monté libre ment sur le goujon 1113. Un prolongement vers le bas du bras 1901 porte Lui goujon 1905 pouvant être engagé par le prolongement vers le haut du bras 1795.
Si l'on se sert de l'une quelconque des touches de commande motorisées 376,<B>377,</B> 378 ou 379 pour déclencher le fonctionnement de la machine ou si l'on se sert de l'une quel conque des touches de correction 369 pour déclencher le fonctionnement de la machine, le mouvement vers l'avant de la plaque de commande<B>1760,</B> par suite de l'abaissement de l'une quelconque desdites touches au moyen du train des mécanismes représenté ici, y compris le levier 1886, les bras 1889 et 1891, et le levier 1893 déplace les bras 1898 et. 1899 (fig. 19 et 21) vers le haut pour dégager l'encoche 190'dudit liras 1899 du goujon 1903 et pour engager simultanément, l'encoche 1900 dudit bras 1898 sur ledit goujon 1903.
Ceci provoque l'accouplement du bras 1862 pour l'organe-tâ teur avec le bras 1904. Lors du déclenchement de la machine en vue de son fonctionnement, un mécanisme à came, décrit en entier dans le brevet No 26 _592, bascule, au moyen de l'articulation 1793 et du ressort. 1803 (fig. 20), le ])ras 1795 d'abord dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et ensuite dans le sens des aiguilles d'une montre de retour à la position normale.
Le mouvement du bras 1795 dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre bascule le bras 190-1 dans le sens des aiguilles d'une montre et., puisque le bras <B>1.898</B> est relié au goujon 1903 et que le bras 1862 est, à son tour, relié audit bras 1898, lesdites pièces se déplacent dans le sens des aiguilles d'une montre solidairement avec le bras 7.90-1 pour abaisser l'organe-tâteur 1825 afin d'amener les goujons 1826 et 1827 (fig. 16) à tâter la surface de commande du segment<B>1822</B> comme expliqué précédemment.
Si la coulisse 1808 (fig. 17) se trouve dans la position No 1, la partie découpée ou creuse de la périphérie du segment. 1822 se trouve en face du goujon 1827; par conséquent, la patte de gauche de l'organe-tâteur 1828 s'en gagera sur le goujon 1.871 et basculera le bras 1875 dans le sens des aiguilles d'une montre ou vers le bas (fig. 19) pour amener le goujon 1877 à s'engager dans la fente 1880 du levier coudé 1119, de sorte que le méca nisme de tabulation entrera en action pour amener la. tabulation du chariot d'une posi tion de colonne à la suivante, ainsi qu'il a déjà. été expliqué.
Si la coulisse 1808 est. dans la position No 3, le segment 1822 sera placé de telle fa çon qu'une partie découpée ou creuse de sa périphérie se trouve en face du goujon 1826 et la partie pleine de ladite périphérie en face du goujon 1827; par conséquent, la patte de droite de l'organe-tâteur 1828 s'engagera sur le goujon 1839 pour basculer le bras 18-10 (fig. 16 et 18) vers le bars ou dans le sens contraire à. celui des aiguilles d'une montre, pour amener le goujon 18-12 à s'engager dans la fente du bras 1841 pour provoquer l'es pacement des lignes du rouleau comme déjà décrit.
La commande par chariot du mécanisme d'espacement des lignes sera maintenant dé crite. Le chariot. comporte des taquets de com mande dans diverses positions de colonnes de celui-ci dont le but consiste à coopérer avec un levier-tâteur 1925 (fig. 8B), dont l'extré mité de droite recouvre un prolongement vers l'arrière d'un levier 1991 (voir également la fig. 6), monté librement sur un axe 1964 et poussé par un ressort (non représenté) au contact. d'un levier-tâteur. Le levier 1991 est relié à oscillation, par une articulation 1992, à un bras d'un levier coudé 1993 monté libre ment sur un goujon 1994.
Sur un bras du levier coudé 1993 dirigé vers le bas pivote l'extrémité arrière d'une articulation 1995 dont l'extrémité avant est fendue pour rece voir un goujon 1996 d'un levier 1997 monté librement sur le goujon 1422. Un prolonge ment vers l'avant dut levier 1997 possède une fente qui s'engage sur un goujon 1998 d'un bras 2000 pourvu d'iuie fente qui s'engage librement sur un moyeu du levier 1728, ledit moyeu étant monté librement sur le goujon 161. Le goujon 1998 passe également par une fente courbe 1999 du levier 1728.
Si le chariot 136 se trouve dans une posi tion de colonne où il n'y a pas de taquet en face de la saillie de tâtonnement du levier 1925, ledit levier est libre de se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action d'iin ressort lorsqu'il est libéré comme décrit clans le brevet No 262592. Un tel mouvement du levier<B>1925</B> amène son prolongement de droite à basculer le levier 1991 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 6), lequel mouvement, à l'aide de l'articulation 1992 et du levier coudé 1993, déplace l'articulation 1995 vers l'avant en amenant la fente de sa partie avant, en coopération avec le goujon 1996,à basculer le levier 1997 également dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le mouve ment du levier 1997 dans le sens des aiguilles d'une montre amène la fente de son prolonge ment avant, en coopération avec le goujon 1998,à déplacer ledit goujon et le bras 2000 vers le haut pour engager ledit goujon dans une encoche d'un prolongement vers le bas du bras 1846 (fig. 4, 16 et 18) de manière à relier le levier 1728 audit bras 1846, de sorte que la .libération de l'entraîneur 1848 par la came 1855, comme expliqué ci-dessus, immé diatement après l'exécution de l'impression, fera entrer en action le mécanisme d'alimen tation verticale ou d'espacement des lignes pour faire tourner le rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur le matériel d'en registrement enroulé autour du rouleau.
Si le chariot 136 se trouve dans une posi tion de colonne où l'in des taquets est en face de la saillie de tâtonnement, du levier 1925, le mouvement dudit levier dans le sens des aiguilles d'une montre, lorsqu'il est aban donné à l'action de son ressort, sera empêché et il en résultera que le levier 1991 (fig. 6) sera retenu dans la position représentée, qu'aucun mouvement ne sera transmis au levier 1997, que le goujon 1998 restera dé gagé de l'encoche du bras 1846 (fig. 4) et que le mécanisme d'espacement des lignes ne fonc tionnera pas.
En se référant à la fig. 7, on se rappellera que, lorsque la barre de déclenchement prin cipale 170 est complètement abaissée et rete nue dans cette position, le goujon 1439 dP- place le crochet 1399 sur le chemin du gou jon 1402, sur quoi le mouvement vers l'ar rière de la barre tabulatrice 1404 déplace la barre 1386 vers l'avant pour basculer la chape 1375 dans le sens des aiguilles d'une montre pour amener le déplacement du chariot vers la colonne des chèques No 2.
La barre 1386 (fig. 6 et 7) possède un prolongement replié 2001 qui coopère avec un prolongement vers le haut 2002 d'une barre 2003 montée à mouvement indépendant sur l'articulation 1995 à l'aide d'un trou dans son extrémité avant qui s'engage librement sur le goujon 1996 et à l'aide d'une fente dans son extré mité arrière qui reçoit un goujon 2004 de la dite articulation 1995. Un ressort. 2005, tendu entre les goujons 2004 et 1996, entraîne le le vier<B>1997</B> dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre et la barre 2003 vers l'arrière.
Le mouvement vers l'avant de la barre 1386, à l'aide des prolongements 2001 et 2002, déplace la barre 2003 également vers l'avant contre l'action du ressort 2005, en amenant ladite barre à basculer le levier 1997 dans le sens des aiguilles d'une montre, comme expliqué ci-dessus, pour engager le goujon 1998 (fig. 4) dans une encoche du bras 1846, afin de provoquer la rotation du rouleau 309 en vue de l'espacement des lignes sur le matérie'1 d'enregistrement enroulé autour du rouleau, comme il a été expliqué ci-dessus.
Il est prévu un mécanisme à came pour commander la prise de la dent 1685 (fi-. 11) du cliquet 1681 avec les dents de la roue à rochet 1672 afin de déterminer si le rouleau 309 et le matériel d'enregistrement qu'il porte seront avancés d'une, de deux ou de trois lignes.
En se référant. aux fi-. 11, 12 et 13, le cli- quet d'avancement. 1681 porte tri goujon 1736 qui coopère avec une surface courbe 1737 d'une plaque<B>1738</B> pourvue d'un moyeu monté librement sur le moyeu pour le bras 1683, la dite plaque présentant, sur un prolongement, trois encoches (le position 1739 qui coopèrent avec un goujon 1740 d'un cliquet d'arrêt 1741 monté librement sur un goujon 1742 fixé sur le bras gauche 1603 (fig. 15) et entraîné par un ressort 1743 clans le sens des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement ledit goujon en contact souple avec lesdites en coches de position.
Une articulation 1744 relie, à oscillation, la plaque 1738 à un levier 1745 monté 'librement sur le goujon de gauche 1694 et pourvu d'un doigt 1746 qui passe par une ouverture pratiquée dans la plaque de couver ture 1633, de gauche.
Lorsque le bras 1683 et le eliquet 1681 se trouvent dans leurs positions de prise en charge, comme représenté, la surface courbe 1737, en coopération avec le goujon 1736, maintient la dent 1685 dudit cliquet hors de prise avec les dents de la roue à rochet 1.672.
Lorsque le levier 1745 et la plaque 1738 se trouvent dans la position indiquée en traits pleins sur la fi-. 13, le mouvement d'avance du cliquet 1f>81 dans le sens des aiguilles d'une montre amène le goujon 1736 à quitter la sur face courbe 1737 le plus tôt. possible et., ce fai sant., amène la dent 1685 à. entrer en prise avec les dents de la roue à rochet. 1672 suffi samment tôt pour que le mouvement contint dudit eliquet 1681 dans le sens des aiguille, d'une montre fasse avancer la roue à rochet. 1672 et le rouleau 309 d'une distance égale à trois dents de la roue à rochet afin d'espacer le matériel d'enregistrement de trois lignes.
Le déplacement du levier 1745 et de la plaque 1738 d'un cran dans le sens des aiguilles d'une montre, comme montré en pointillés sur la fig. 13, amène la surface courbe 1737 de ladite plaque à retarder l'engagement entre la dent du cliquet 1681 et la roue 1672 suffisamment pour que le mouvement dudit eliquet clans le sens des ai-uilles d'une montre fasse avancer ladite roue @à rochet et le rouleau d'une dis tance é--,ale à deux dents de la. roue à. rochet de manière à espacer le matériel d'enregistre ment de deux li;
-nes. Le mouvement du levier 1745 et de la plaque 1738 d'un cran supplé mentaire dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit en pointillés sur la <U>fi-.</U> 13, amène la surface courbe 1737, en co opération avec le goujon 1736, à. retarder encore le mouvement\ d'engagement de la dent du cliquet 1681 de sorte que le mouvement complet dudit cliquet dans le sens des aiguilles d'une montre fera avancer la roue à rochet 1672 et le rouleau 309 d'une distance égale à une dent de la roue à rochet afin d'espacer le matériel d'enregistrement d'une seule ligne.
Lorsque le cliquet d'avance 1681 arrive à la fin de son mouvement d'avancement dans le sens des aiguilles d'une montre, comme l'in dique la. fi-. 12, le goujon 1736, en coopéra tion avec un doigt en saillie 1747 du cliquet d'arrêt 1.677, bloque ledit eliquet et le goujon 1.680 contre le mouvement d'encliquetage, de manière à amener ledit goujon à bloquer, à son tour, la roue à rochet 1672 et le rouleau 309 pour assurer l'espacement précis de ladite roue et pour éviter le dépassement en cas de mouvements rapides du mécanisme d'avance ment du papier.
Chaque douille 1442 (fig. 9, 10 et 15) et le manchon 1669 passent. par des ouvertures correspondantes 1748 dans les plaques de droite et de gauche 1074 et 1075 et par des fentes courbes correspondantes 1749 dans les plaques de couverture de droite et de gauche 1632 et. 1634, lesdites fentes permettant. au rouleau 309 de se déplacer de la. position d'im pression à la position d'a'limentation frontale et vice versa.
Des volets mobiles sont. prévus pour fer mer les fentes 1749 lorsque le rouleau 309 se trouve clans une de ses positions de manoeuvr e, empêchant ainsi l'introduction de corps étran gers dans les fentes et ainsi éviter les dangers pour les personnes et pour le mécanisme du chariot.
Etant donné que le mécanisme se répète pour chaque côté du chariot, on décrira seule ment le mécanisme pour la fermeture de la fente 1749 du côté droit du chariot.
La fente de droite 1749 peut être fermée par des volets segmentaires 1750 et 1751 reliés à friction à l'extrémité supérieure d'un levier coudé 1752 monté librement sur un goujon <B>1753</B> fixé à la plaque de droite 1074. Un res sort 1754 entraîne le levier coudé 1752 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour maintenir normalement une surface avant concave du segment 1751 en contact avec une surface similaire convexe du bord avant de la fente 1749.
Lorsque le rouleau 309 est en position d'impression, comme le montre la fig. 9, l'ex trémité supérieure du segment 1750 ferme l'extrémité supérieure de l'ouverture 1748 et le segment 1751 ferme la partie centrale de ladite ouverture, fermant ainsi virtuellement toute la fente contre 'l'introduction de corps étrangers, sauf la partie de la fente par la quelle passe la douille 1742. Lorsque le rou leau 309 passe de la position d'impression à la position d'alimentation frontale, comme in diqué sur la fig. 10, la douille 1442 repousse simplement les segments de volets 1751 et 1750, en basculant le levier coudé 1752 clans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action dit ressort 1754.
De même, lorsque le rouleau passe de la position d'impression à la position d'alimentation frontale, la douille 1442 entre en contact avec liextrémité supérieure du volet segmentaire 1750 et le bascule dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte que son ex trémité inférieure recouvre la partie infé rieure de la fente 1749 non recouverte par le volet 1751.