CH301010A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH301010A
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Description


      Machine    à calculer.    La présente invention se rapporte aux ma  chines à calculer actionnées mécaniquement,  dans lesquelles un nombre à enregistrer peut  être composé sur un clavier en manipulant  l'une quelconque des touches du clavier, après  quoi la. machine peut être mise en marche.  



  On a déjà proposé de munir de telles ma  chines d'un clavier entièrement motorisé,     c'est-          à-dire    d'un clavier dans lequel un cycle de  fonctionnement de la machine est déclenché  par l'enfoncement de l'une quelconque des  touches de montants, mais avec les machines  connues jusqu'à présent, l'un des inconvé  nients consiste en ce que la machine ne fonc  tionne que pendant le temps où l'opérateur  maintient la touche enfoncée, et. ceci donne  lieu à un fonctionnement défectueux de la  machine. Par exemple, avec des machines con  nues, il est possible que la période pendant.  laquelle le doigt de l'opérateur enfonce la  touche ne soit, pas assez longue pour permettre  au mécanisme déclencheur de cycle de fonc  tionner.

   Le but de la présente invention est  précisément de remédier entre autres à cet  inconvénient. en fournissant un mécanisme  qui assure des conditions correctes de démar  rage, indépendamment du temps pendant le  quel l'opérateur maintient la touche enfoncée,  sans qu'il soit nécessaire d'utiliser des relais  de maintien dont on connaît les inconvénients  du fait de l'augmentation du nombre des    points sujets à défaut que constituent leurs  divers contacts.    L'invention a pour objet une machine à  calculer comportant un clavier de touches de  montants, des détentes de verrouillage solli  citées     élastiquement    pour maintenir enfoncées  les touches d'une rangée du clavier et un dis  positif de déclenchement de moteur actionné  par l'enfoncement des touches de montants.

    Elle est caractérisée par le fait que, dans le  but de permettre à chacune des touches de  montants de commander ou non le dispositif  de déclenchement. du moteur selon qu'elle est.  enfoncée totalement ou partiellement, chaque  rangée comporte un     coulisseau    actionné par  l'enfoncement total de l'une quelconque des  touches de ladite rangée, une fois sa position  de verrouillage passée, et par le fait qu'un  étrier élastique est déplacé par le mouvement  de n'importe quel coulisseau pour actionner le  dispositif de déclenchement du moteur et  s'opposer à l'enfoncement de toute touche  au-delà de sa position de verrouillage.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution partielle de  la machine faisant l'objet de l'invention.  



       Fig.    1 et 2 sont des élévations, en coupe  partielle, de la partie de la machine corres  pondant, au clavier, vues du côté droit.  



       Fig.    3 est une élévation, en coupe partielle,  de la machine     vue    de gauche.           Fig.    4 est une vue en plan de la base de  la machine.  



       Fig.    5 -est une élévation latérale, en coupe  partielle, d'un mécanisme de verrouillage com  mandant les cycles de la machine.  



       Fig.    6 est une élévation latérale d'une  barre motrice et du mécanisme correspondant.       Fig.    7 et 8 sont respectivement des vues  détaillées d'une rangée de touches et. du mé  canisme de fermeture de l'interrupteur d'exci  tation d'un solénoïde. .  



       Fig.    9 est un schéma des circuits électri  ques des éléments d'excitation du solénoïde  superposé à une vue en plan du solénoïde.  



       Fig.    10 et 11 sont, respectivement, une vue  détaillée de l'extrémité avant d'un coulisseau  actionné par les touches et d'une paire de  touches associées, et une     viie    perspective d'un  contact d'excitation du solénoïde.  



  La machine représentée comprend un cla  vier composé d'un certain nombre de touches  de montants 1 disposées en rangées d'ordres  d'unités, une seule rangée étant représentée       pour    plus de clarté. Les nombres à addition  ner sont composés sur ce clavier par simple  enfoncement des touches.

   La machine est en  traînée par un moteur électrique 2     (fig.    3)  et effectue un cycle de fonctionnement dans  les opérations d'addition et de soustraction et  deux cycles dans les opérations de total ou de  sous-total.     o     Dans un cycle simple, un arbre principal  d'entraînement. 3     (fig.    3 et 5)     tourne    dans  le sens     dextrorsum    pendant la première moitié  du cycle et dans le sens inverse pendant. la  seconde moitié. Toutefois, dans les opérations  à     deux    cycles, le mécanisme de déclenchement.  de cycle n'est pas verrouillé à la fin du pre  mier cycle.  



  Lorsque le cycle de la. machine est dé  clenché, un     interrupteur    4     (fig.    5), normale  ment ouvert, se trouve fermé par une équerre  5 formée sur un levier 6 qui est actionné dans  le     sens        dextrorsum    par un ergot 7 porté par  un levier coudé 8 calé sur un arbre 9 (voir  aussi     fig.    3).    Un levier à trois bras 10, calé sur l'extré  mité extérieure de l'arbre 9, est basculé par  l'action d'un ressort 11. fixé, d'autre part, à  un ergot 12     (fig.    3) faisant saillie sur une  plaque 13.  



  L'équerre 5 est. saisie par un     eliquet    de  verrouillage     1..1,    actionné par ressort, afin de  maintenir l'interrupteur de moteur fermé jus  qu'à ce que soit terminé le cycle de la     ma-          ehine,    moment auquel le cliquet 14 est. soulevé  par un bec 15 d'une plaque calée sur l'arbre  principal 3 permettant ainsi aux lames de  l'interrupteur de s'ouvrir par élasticité. Simul  tanément, le levier 10 a été remis en position  et le levier 6 est amené contre l'ergot. 7.  



  Normalement, l'arbre 9 est maintenu par  le ressort 11 dans la. position représentée en       fig.    5, lorsque     l'interrupteur    de moteur est  ouvert, par     Lui    verrou de déclenchement 16 qui  est en contact avec une équerre 1.7 formée sur  un bras arrière du levier 8. Le verrou de dé  clenchement 16 est basculé dans le sens     dex-          trorsum        (fig.    5) pour déclencher le cycle de  la machine, un tel basculement étant obtenu  par une extrémité, marquée 18, d'un levier  1.9 (voir aussi     fig.    4) qui est     articulé    en 20       ;sur    la base 21. de la machine.  



  Le levier 19 est basculé dans le sens       senestrorsum    pour déclencher un cycle opéra  toire par un solénoïde 22, sous l'influence  d'une touche de montants 1, ou encore est  basculé par une bielle 23 qui est tirée vers  l'avant par les touches habituelles de com  mande de la machine, comme expliqué ci  dessous. Le moteur 2 fait tourner un arbre  24     (fig.    3) dans le sens     senestrorsum    par l'in  termédiaire d'un train réducteur (non repré  senté). Une roue crantée d'entraînement 25  est. calée sur l'arbre 24, derrière une     plaque-          maneton    26 montée folle sur cet arbre.

   La  plaque 26 présente une périphérie jouant, le  rôle de came dont une partie en bossage 27  est prévue pour porter contre un galet 28  monté sur un levier 29 articulé en 30 sur la  plaque 1.3. L'antre extrémité du levier 29 est  articulée en 32 avec une biellette 31 attirée  vers l'avant par un ressort 33. L'extrémité  avant de la biellette 31 est. articulée à un      levier 34 calé sur un arbre 35 qui s'étend  entre     les    plaques latérales de bâti de la. ma  chine, dans lesquelles il pivote, et un bras de  ce levier 34, orienté vers le bas et vers l'avant,  sert de support de gauche à un étrier-peigne  avant une lame élastique 36     (fig.    1 et 3) pour  chacune de plusieurs barres d'arrêt 37.

    L'extrémité de droite de cet. étrier-peigne est  fixée à un autre bras monté sur l'arbre 35  et situé à gauche du bâti latéral de droite.  



  Par conséquent, étant donné que la     plaque-          maneton    26 entraînée par l'arbre moteur est  normalement dans la position représentée à  la fi-. 3, on voit que le bossage 27 de la pla  que n'est pas en contact avec. le galet 28 et  que les dents du peigne 36 sont maintenues  contre les plaques dentées associées 38 fixées  aux barres d'arrêt 37, au moyen du ressort  33 (voir     fig.    1 et 3), les dents des plaques  38 étant, disposées de manière à s'étendre vers  l'arrière de la machine.  



  Toutefois, lorsqu'au cours d'un cycle de  la machine les barres d'arrêt 37 effectuent  un mouvement vers l'avant, les dents des pla  ques 38 franchissent en cliquetant les lames  36, dont l'effet est d'empêcher le rebondisse  ment. des barres d'arrêt lorsqu'elles sont arrê  tées dans leur mouvement de mise en posi  tion. Ensuite, le bossage 27 de la. plaque 26  entre en contact avec le galet 28 pour tirer  ainsi la biellette 31 vers l'arrière et libérer  les lames élastiques des plaques dentées 38,  de sorte que les barres d'arrêt peuvent re  tourner à leur position d'origine pendant la  seconde moitié du cycle de la machine.  



  Selon les     fig.    7 et 10, il existe un     coulis-          @eau    40 pour chaque ordre d'unité, coulisseau  qui s'étend à travers des fentes verticales 41  pratiquées dans les tiges des touches 1. Les  coulisseaux 40 sont limités     dans    leur mouve  ment vers l'avant. et vers l'arrière par les  dimensions de fentes 42 (voir     fig.    7) prati  quées dans l'extrémité arrière de chaque     cou-          lisseau    au moyen d'une tringle 43 qui traverse  toutes les fentes 42 et qui est fixée à chaque  extrémité aux plaques latérales du clavier.  



  En examinant la     fig.    10, on voit que cha  que     coulisseau    40 repose normalement sur le    fond des fentes verticales 41 (cas de la touche  de droite). La touche de gauche est repré  sentée enfoncée et l'extrémité avant de chaque  coulisseau a la forme d'un doigt recourbé 44  dirigé vers le bas.     Les        coulisseaux    40 sont  maintenus     élastiquement    dans leur position  extrême vers l'arrière grâce à un étrier 45       (fig.    2 et 7) porté par des bras 46, 47 (voir  aussi     fig.    2) qui pivotent sur les plaques laté  rales du clavier.

   L'étrier 45 est maintenu  contre les doigts 44 par un ressort réglable  48 tendu entre l'étrier et une vis réglable 49       (fig.    7) située sur la plaque de base du cla  vier.  



  Le     ressort    48 peut être réglé par déplace  ment de la vis 49 dans sa fente 50.  



  Chaque rangée de touches est munie d'une  détente de blocage 51     (fig.    10) qui, normale  ment,     verrouille    les touches 1 dans leur posi  tion partiellement enfoncée du fait qu'elle  s'engage dans une encoche 52 pratiquée  dans la tige de chaque touche.

   Chaque     cou-          lisseau    40 est. muni d'un certain nombre d'en  coches en biseau 53 (voir     fig.    7) dans son  rebord supérieur, une par touche, de sorte  que lorsqu'une touche est enfoncée au-delà de  son point normal de verrouillage, une arête  54 pratiquée sur la tige de touche dégage la  détente 51 de l'encoche 52, de sorte que le  rebord supérieur de l'ouverture de dégagement  4:1, pratiquée dans la tige de touche, entre en  contact avec la partie en biseau de l'encoche  correspondante, obligeant ainsi le coulisseau  40 à se déplacer légèrement vers l'avant.

   Le  ressort 48     constitue    une résistance à ce mouve  ment du coulisseau, de sorte que l'opérateur  peut composer un nombre sur le clavier sans  déplacer les coulisseaux correspondants vers  l'avant, la résistance supplémentaire rencon  trée au moment. où le sommet d'une ouver  ture de dégagement pratiquée dans une tige  de touche entre en contact avec le coulisseau  correspondant procurant à l'opérateur l'aver  tissement     nécessaire.     



  Lorsque la dernière touche de montants  correspondant à une opération donnée est  enfoncée, l'opérateur enfonce celle-ci encore  plus à fond, malgré la résistance supplémen-      taire fournie par le ressort 48, afin de dé  placer le coulisseau associé 40, et ce mouve  ment fait basculer l'étrier 45 dans le sens       dextrorsum,    de façon qu'une queue 55 de  celui-ci actionne un interrupteur décrit plus  loin en vue d'exciter le solénoïde 22     (fig.    9)  qui déclenche le verrou 16 et provoque un  cycle de fonctionnement de la machine.  



  Selon la     fig.    9, l'armature mobile 56 du  solénoïde est pourvue d'une extrémité four  chue chevauchant sur l'extrémité de gauche  du levier 19 et bloquée dans cette position  grâce à une goupille 57. L'armature est amé  nagée de façon que l'excitation du solénoïde  22 attire l'armature 56 vers l'avant, déclen  chant ainsi le verrou et provoquant le début  d'un cycle opératoire. Les bornes d'alimenta  tion 58 du circuit du solénoïde sont reliées  à un circuit comprenant l'enroulement du  solénoïde 22, et un interrupteur d'arrêt 59  permet de fermer le circuit et mettre en état  de fonctionnement le circuit de déclenchement  de la machine et son mécanisme.

   Un interrup  teur 60, commandé par les touches de mon  tants, commun à la totalité desdites touches,  est normalement. maintenu ouvert par la  queue 55 de l'étrier 45 maintenant aussi le  levier 61, lorsque l'étrier 45 est en position  normale du fait qu'aucune des touches de  montants 1 n'a été enfoncée.  



  Lorsque l'on manipule une touche de  montants 1, la queue 55 se déplace vers  l'avant, libérant. ainsi le levier 61 et permet  tant à l'interrupteur 60 de se fermer, ce qui  complète le circuit d'excitation du solénoïde  et déclenche un cycle de la machine par     bas-          culement    du levier 19.

   Lorsque le levier 1.9  est basculé, une biellette 62 se déplace vers  l'avant, dans le sens de la flèche de     fig.    9, ce  qui fait basculer un levier 63 dans le- sens       senestrorsum.    Le levier 63 est. articulé sur  l'extrémité avant de la base 21 de la machine  (voir     fig.    4), et lorsque ce levier est basculé  comme décrit ci-dessus, une équerre 64 de  celui-ci entre en contact avec le levier 61 et  le fait basculer pour ouvrir l'interrupteur 60  et désexciter le solénoïde 22. L'interrupteur  60 demeure ouvert     jusqu'à    ce que le levier de    déclenchement. soit ramené à la fin du cycle  de la machine, et le levier 19, la bielle 62 et  le levier 63 reprennent alors leur position  normale.  



  A ce moment, les touches de montants 1.  utilisées ont été rappelées, de ,sorte que la  queue 55 de l'étrier 45 continue à maintenir  l'interrupteur 60 ouvert, empêchant. ainsi tout  fonctionnement indésirable de la machine.  



  Lorsque le cycle de la machine est provo  qué par la barre normale motrice d'addition  65     (fig.    6) ou la touche de soustraction habi  tuelle (non représentée), et pendant les opé  rations de confection de total ou de sous-total  par les touches correspondantes, le levier 63  est. basculé par le mouvement.     correspondant     du levier 19, mais comme l'interrupteur 60  est déjà. maintenu ouvert, par la queue 55, ce  basculement n'a aucun effet. Un condensateur  66 de type courant, destiné à absorber les  étincelles, est branché entre les bornes de l'in  terrupteur 60.  



  L'interrupteur 60, représenté en agran  dissement à la     fig.    11, à l'état fermé, est du  type basculant à genouillère et consiste en  un     support    isolant. 67 portant. les deux bornes  d'interrupteurs 68, 69 (voir aussi     fig.    9), la  borne 68 comportant un support métallique  en forme de L, dont le jambage 70 est pourvu  d'une ouverture destinée à recevoir l'extré  mité du levier 61 qui est recourbée vers le bas  pour pénétrer dans une ouverture pratiquée  dans une lame d'interrupteur élastique en  métal 71.

   Une     languette    recourbée 72 de la  lame élastique 71 porte dans une encoche du  jambage 70 et, lorsque le levier 61 est déplacé  vers l'arrière et vers l'avant, la lame d'inter  rupteur établit et coupe brusquement le con  tact avec la borne 69.  



  Il résulte de la description ci-dessus que  le mécanisme de déclenchement de cycle au  moyen des touches de montants et les circuits  associés peuvent être rendus opérants ou non  opérants selon que l'interrupteur principal. de  coupure 59 est ouvert ou fermé, et l'on va voir  que, même opérant, celui-ci ne s'oppose pas,  le cas échéant, au déclenchement d'un cycle  de machine par     manoeuvre    de l'une quelcon-      que des touches normales de commande, y  compris la barre motrice 65.  



       Etant    donné que le clavier est flexible, des  corrections du nombre composé peuvent être  faites dans l'une quelconque des rangées en       enfonc,ant    la touche     voulue    jusqu'à la. position  de verrouillage, ce qui ramène à la normale  la touche enfoncée par erreur. Ceci peut être  effectué jusqu'à ce que l'interrupteur 60 soit  fermé par la pression supplémentaire de     dé-          elenchement    de cycle sur la. dernière touche  utilisée.         Opérations   <I>de soustraction.</I>  



  Si l'on désire effectuer une soustraction,  l'opérateur compose le nombre ou montant  voulu en enfonçant la touche normale de  soustraction (non. représentée) et ceci amène  L'arête inférieure d'un bras qui s'y trouve fixé  à prendre contact avec un ergot 73     (fig.    2)  porté par une plaque 74 montée sur un pivot  à écrou 75 et qui bascule ainsi dans le sens       dextrorsum.    Pendant ce mouvement, l'ergot  73 vient en contact avec un bras 76 orienté  vers l e haut et vers l'arrière (voir aussi fi-.

   6 )  appartenant à un levier 77 qui bascule en       m-.-me    temps qu'un second levier 78 en vue de  déclencher le verrou 16     (fig.    4 et 5) par un  mouvement de la biellette 23 du levier 19,  provoqué mécaniquement, sans intervention  du solénoïde 22. La touche de soustraction  est rappelée par un ressort lorsque l'opéra  teur retire son doigt.  



  Dans une variante, le bras 76     (fig.    2 et 6)  est     raceourei,    de sorte que l'ergot 73 ne le  :encontre pas et l'enfoncement de la touche  de     soustractiôn    met alors en condition de sous  traction un levier 79     (fig.    3) qui demeure  dans cette position, lorsque la touche de sous  traction revient à sa position d'origine, du fait  qu'un cliquet de verrouillage 80     (fig.    2) est  en contact avec une arête 81 du levier 74.

    Le nombre que l'on désire introduire     soustrae-          tiv        ement    est alors composé sur le clavier et       1.'on    communique à la dernière touche l'en  foncement supplémentaire destiné à déclen  cher le cycle de la machine.

           Dans    l'une ou l'autre forme d'exécution,  un levier 82 revient à la position normale  sous l'influence d'un ressort 83     (fig.    2) lors  qu'un ergot 84 d'une plaque 85 rencontre un  cliquet de franchissement 86, qui pivote sur le       cliquet    80 pendant la dernière moitié du cycle  de la machine, laissant la     machine    dans une  position telle que le levier 79     (fig.    3) soit  en position  d'addition .  



  <I>Opérations de total.</I>  



  Une opération de total, exigeant deux  cycles de la machine, est déclenchée par l'opé  rateur qui enfonce la touche normale  Total>>  (non représentée).  



  Un levier de total 87     (fig.    2 et 6), bascu  lant sur un pivot 88, est normalement main  tenu dans la position représentée à la     fig.    6  grâce à une liaison convenable avec la touche  de  total , ladite liaison comprenant une biel  lette     déconnectable    89 articulée en 90 sur le  levier 87. On comprend donc que, lorsqu'on  enfonce la touche  Total , le levier 89 doit.  basculer le levier de total 87 dans le sens       senestrorsum.     



  Par ce mouvement, un ergot 91 du levier  87 rencontre un bras inférieur du levier 77,  déclenchant ainsi la machine d'une façon con  nue et mettant en marche un cycle de fonc  tionnement de la machine. En même temps  que le levier de total 87 est basculé     (fig.    2),  un verrou 92, pivotant sur une plaque 93 et  maintenu en prise avec un ergot 94 du levier  87 grâce à un ressort 95, entre en contact  avec un épaulement 96 d'un levier 97. La  plaque 93 et le levier 97 sont tous deux arti  culés sur le pivot 88.  



  En examinant la     fig.    2, on voit qu'un bras  tourné vers l'arrière du levier 97 est muni  d'un ergot 98 qui porte contre le rebord d'une  came 99 fixée à la plaque d'entraînement 85  et sous l'influence d'un ressort 100.  



  Lorsque<I>le cycle</I> de la machine commence,  la plaque d'entraînement 85 tourne dans le  sens     senestrorsum    et la plaque-came 99 fait  basculer le levier de renvoi. de sonnette 97  dans le sens     dextrorsum,    entraînait avec lui           dans    la même direction, par l'intermédiaire  du verrou 92, la plaque 93 (voir     fig.    6). Un  coulisseau 101     (fig.    6), qui est articulé sur  la plaque 93, est déplacé vers l'arrière, contre  l'action d'un ressort 102, et il y demeure ver  rouillé jusqu'au début du second cycle de la.  machine.

      Pendant la dernière moitié du cycle, la  biellette 89 et le levier 87 sont ramenés d'une  façon connue pour dégager ainsi le verrou 92  de l'épaulement 96     (fig.    2). L'extrémité avant  du coulisseau 101 est articulée à une     biellette     de support 103, laquelle à son tour pivote en  104.         Interverroufblage   <I>des</I>     touches   <I>de</I>     commande.     La     fig.    4 représente un levier 105     cor..1-          portant    une ouverture<B>106</B> grâce à laquelle il  est monté sur un pivot 107 fixé à la base de  la machine.

   Le levier<B>105</B> est maintenu par  un ressort 108, de sorte que son extrémité de  droite 109 est maintenue dans l'extrémité  avant d'une ouverture 1.10 (voir aussi     fig.    21  pratiquée dans la biellette<B>101</B> qui est tirée  vers l'arrière lorsque l'on     manoeuvre    les tou  ches de commande normales, soit de total, soit  de     sous-total.    Une plaque de blocage 111       (fig.    2), pivotant en     1l2,    est basculée dans le  sens     senestrorsum    par la plaque 74, laquelle  est elle-même basculée par la touche de sous  traction.

   Cette plaque 74 agit sur un bras  orienté vers le haut de la plaque 111 et amène  ainsi une arête de celle-ci sur le trajet de  l'extrémité de droite 109 du levier<B>105,</B> empê  chant ainsi que soit actionnée l'une des tou  ches de total ou de sous-total pendant une  opération de soustraction. D'autre part, un  ergot 113 est amené sous une équerre 114  d'un levier 115     (fig.    2) pour empêcher la ma  chine d'être déclenchée par la touche d'addi  tion pendant une telle opération.

      Lors des opérations de total ou de     sous-          total,    l'extrémité de droite 1.09 du levier 105  est déplacée vers l'arrière par la biellette 101,  ce qui empêche le basculement de la plaque  <B>111</B> et, par conséquent, empêche la     manoeuvre     de la plaque de soustraction<B>74 qui</B> doit faire    basculer la plaque 1.11 pour pouvoir se dé  placer.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer comportant un clavier de touches de montants, des détentes de ver rouillage sollicitées élastiquement pour main tenir les touches d'une rangée partiellement. enfoncées et un dispositif de déclenchement de moteur actionné par l'enfoncement des touches de montants, caractérisée par le fait que, dans le but, de permettre à chacune des touches de montants de commander ou non le dispositif de déclenchement du moteur selon qu'elle est enfoncée totalement ou partielle ment, chaque rangée de touches (1.) comporte un coulisseau (40) actionné par l'enfoncement total de l'une quelconque des touches de ladite rangée, une fois sa position de verrouillage passée,
    et par le fait qu'un étrier élastique (45) est déplacé par le mouvement de n'im porte quel coulisseau (40) pour actionner le dispositif de déclenchement (16) du moteur et s'opposer à l'enfoncement. de toute touche au-delà de sa position de verrouillage. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine selon la revendication, ca.raeté- risée en ce que chaque coulisseau (40) repose normalement au fond d'une ouverture verti cale (41) pratiquée dans chaque tige de touche de la rangée considérée et en ce que les cou- lisseaux (40) sont déplacés lorsque les touches sont complètement enfoncées, par la coopéra tion des parties supérieures des ouvertures avec des crans en biseau (53) pratiqués sur les coulisseaux. 2. Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'un ressort. (48), relié à l'étrier (45) pour s'opposer à l'enfoncement des tou ches (1), est pourvu d'un organe de réglage (49) permettant de faire varier la tension. 3.
    Machine selon la revendication, compor tant un solénoïde (22) excité par la fermeture d'un interrupteur (60) déclenchant le mo teur, caractérisée par un mécanisme de ver rouillage (66-72) qui verrouille élastique- ment l'interrupteur (60) dans chaque posi tion ouverte ou fermée. 4.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 3, caractérisée par le fait que le solénoïde (22) est désexcité par une tringlerie (19, 62, 63) intercalée entre l'arma ture (56) du solénoïde et l'interrupteur (60), laquelle tringlerie est actionnée par l'armà- ture lorsque le solénoïde est excité.
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