BE525138A - - Google Patents

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BE525138A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B27/00Control, indicating, or safety devices or systems for composing machines of various kinds or types
    • B41B27/02Systems for controlling all operations
    • B41B27/10Systems for controlling all operations with direct control of all operations by input of recorded or stored information

Description


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   TELETYPESETTER CORPORATION, résidant à CHICAGO, Illinois (E.U.A.) . 



  MECANISME DE COMMANDE POUR MACHINES A COULER ET COMPOSER LES LIGNES
TYPOGRAPHIQUES. 



   La présente invention a trait aux mécanismes de commande pour ma- chines à couler et composer les lignes typographiques et concerne plus particulièrement les appareils qui commandent la composition des lignes de caractères dans les machines de ce genre, à l'aide de signaux enregis- trés sur un ruban ou autre organe de commande, 
Dans la composition des textes destinés à être imprimés, il est de pratique courante de finir toutes les lignes, à l'exception de certai- nes lignes courtes, sur une marge de droite fixe. Dans les machines   à   composer du type effectuant le clichage de lignes, l'opération dite " de justification" est effectuée à l'aide d'espaces-bandes extensibles pro- pres à constituer les espaces séparant les mots.

   A l'achèvement d'une ligne, si l'extensibilité offerte par les espaces-bandes interposés est suffisan- te pour allonger la ligne de façon qu'elle remplisse la largeur de colon- ne requise, on dit que la ligne est "justifiable". 11 arrive quelquefois qu'une ligne composée qui est plus courte que la longueur justifiable est néanmoins trop longue pour recevoir le   mot   suivant ou même la pre- mère syllabe de ce mot. Dans les machines à commande manuelle, le typo- graphe est alors obligé d'augmenter la longueur de la ligne en y insé- rant des matrices d'écartement fixes, c'est-à-dire des cadrats ou cadra- tins d'épaisseur constante, près des espaces-bandes déjà insérés dans la ligne,. 



   La commande automatique des machines à couler et composer les lignes typographiques pose un problème spécial en ce qui concerne les li- gnes non justifiables. La commande automatique s'effectue d'ordinaire à 

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 l'aide d'un ruban perforé qui peut être établi à l'aide d'un perforateur à claviers et le comptage des épaisseurs cumulatives des matrices et des espaces-bandes minima et maxima s'effectue automatiquement, concurremment avec l'exécution dans le ruban des signaux représentant les matrices et les espaces-bandes à assemblero L'insuffisance de longueur d'une ligne n'est découverte   quaprès   que les signaux ont été appliqués au ruban, mais, à ce moment,

   il n'est pas   commode   d'interposer sur le ruban des signaux indi- viduels permettant le choix d'espaces-bandes fixes parce que les signaux déjà perforés se succèdent à des intervalles trop rapprochés. Il a par conséquent été de pratique courante, jusqu'à ce jour, de rendre la série de signaux enregistrés représentant une ligne qui ne présente pas la lon- gueur justifiable, impropre à commander le fonctionnement de la machine, en faisant repasser les signaux déjà enregistrés à travers le perforateur et en transformant chacun desdits signaux en un signal "d'effacement" ou de suppression de toutes les perforationso Cette série de signaux rendus inopérants est alors suivie d'une reperforation de signaux représentant la ligne à composer et comportant les signaux d'espacement fixes Intercalés aux points désirés.

   La détection des signaux d'effacement, effectuée lors du passage du ruban à travers le groupe de commande automatique de la machine à copier et composer les lignes typographiques,ne représente pas un travail utile et constitue une période d'inactivité de la machine à composer. 



   L'appareil conforme à l'invention utilise une série d'organes de commande actionnés sélectivement par un mécanisme qui, sous l'Influence des signaux enregistrés, libère les éléments constituant les caractères d'im- pression et les éléments d'espacement nécessaires pour couler les lignes de caractères.

   Cet appareil est caractérisé par le fait que le mécanisme servant à actionner ces organes de commande est établi de telle sorte que certains de ceux desdits organes qui servent à libérer différents éléments d'espacement (par exemple les organes de commande pour libérer les espa- ces-bandes et les matrices d'espacement fixes, respectivement) et qui sont normalement actionnés individuellement par ledit mécanisme sous l'Influen- ce des signaux enregistrés correspondants, sont actionnés simultanément par ledit mécanisme sous l'influence d'un signal enregistré particulier qui est intercalé dans une série de signaux enregistrés correspondant à une ligne typographique exigeant un supplément d'espacement, de telle sor- te que lesdits différents éléments d'espacement sont libérés simultanément dans la machine à couler et compenser les lignes typographiques,

   ce qui augmente la longueur d'espacement insérée dans la ligne. 



   Plus particulièrement,   l'invention   fournit un appareil dans le- quel le mécanisme servant à actionner les organes de commande est cons- truit de telle sorte que ceux de ces organes de commande qui libèrent les différents éléments d'espacement soient actionnés pour libérer simultané- ment un espace bande et une matrice d'espacement fixe sous l'influence d' un signal enregistré particulier (signal signifiant "ajouter un espace   fixe")   qui comprend un signal d'espace-bande dans la série de signaux en- registrés à laquelle un signal d'espacement fixe à été ajouté. 



   On peut constituer le signais "ajouter un espace fixe" en perfo- rant un ou plusieurs trous de code supplémentaires dans le ruban, de telle sorte que le signal d'espace-bande ordinaire se trouve converti en un signais t'ajouter un espace   fixe".,   qui sera aussi appelé ci-après   signal'   d'espace-bande spécial ou   Ilestraordinairen.   On peut obtenir ce résultat soit en rappelant en arrière le ruban à travers le perforateur jusqu'à ce qu'un des signaux d'espace-bande enregistrés -lequel signal est un signal ordinaire devant être converti en un signal "extraordinaire"-, soit ali- gné avec les poinçons, et soit en abaissant un levier à touche spécial affecté à   l'Insertion   du signal d'espace-bande extraordinaire,

   soit en in- sérant la ou les perforations supplémentaires à l'aide d'un poinçon à main ou d'un bloc à poinçon auxiliaire prévu à cet effet dans le perforateur à 

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 clavier, Aucune autre modification des signaux enregistres sur le ruban n'est requise, et aucun des signaux enregistrés correspondant à la ligne typographique exigeant un espacement supplémentaire n'est détruit. 



   Conformément à une autre caractéristique de l'invention, le mé- canisme servant à actionner les organes de commande est amené à un état tel, sous   l'Influence   de la première apparition du signal: "ajouter un espace fi- xe" dans la série de signaux enregistrés, qu'il agit aussi pour contrain- dre les organes de commande effectuant la libération des différents éléments d'espacement à effectuer cette libération simultanément sous l'influence de chacun des signaux d'espace-bande successifs qui peuvent se présenter dans la série des signaux enregistrés, et ce qu'un signal d'espacement fixe ait ou non été adjoint au signal d'espace-bande faisant suite au signe envisagé, 
En d'autres termes,

   le mécanisme ajoute automatiquement un espace fixe à chacun des espaces-bandes qui peuvent se présenter successivement sur la portion restante de la ligne, bien que le dispositif qui sonde l'or- gane enregistré ne détecte qu'un seul signal   d'espace-bande.   A la fin de la ligne, un signal d'élévateur ramène le mécanisme à son état normal. 



   L'invention sera mieux comprise par la description détaillée qui en sera donnée ci-après en se référant aux dessins annexés dans lesquels: 
La figure 1 est une vue de face en élévation d'une portion d'une machine à couler et composer les lignes   typographique,sur   laquelle est monté un groupe ou appareil de commande automatique; la figure 2 est une coupe verticale par la ligne 2-2 de la figu- re 1, la figure 3 est une vue   perpectïve   du mécanisme de sonde-ruban; la figure 4 est une coupe transversale fragmentaire d'un mécanis- me de commande auquel est appliquée la présente invention; la figure 5 est une vue en plan partielle par dessus du mécanisme de la figure   4;   les figures 6 et 7 sont respectivement une vue de face fragmentai- re, et une vue de l'arrière fragmentaire du mécanisme de la figure 4;

   la figure 8 est une vue en plan d'un fragment de ruban perforé contenant des signaux pour libérer un espace-bande seulement, une matrice- espace d'écartement fixe seulement, ou les deux simultanément; la figure 9 est une vue perspective des organes représentés à la figure 7. 



   On se reportera d'abord à la figure 1, dans laquelle la machine à composer et couler les lignes typographiques est pourvue d'un mécanisme à clavier d'un type courant 12, d'un magasin à matrices 13, d'un magasin à espaces-bandes 14, d'une courroie de composteur 16 et d'un élévateur de composteur 17.

   La libération des matrices du magasin 13 est effectuée par la levée de lames 18, sous la commande d'un mécanisme sonde-ruban 51. cette opé- ration pouvant toutefois, si on le désire, être commandée manuellement par   un clavier 12 ; la libération des espaces-bandes 19 contenues dans le ma-   gasin   14   est effectuée par la levée d'une lame spéciale   21,   sous la dépen- dance du mécanisme sonde-ruban,cette opération pouvant toutefois, si on le désire,être commandée par un levier à touche d'espaces-bandes à commande manuelle 22. Un levier 23, pivotant autour d'un point 24 compris entre ses extrémités, est relié par une de ses extrémitésà la lame 21 de libé- ration des espaces-bandes, et, par son autre extrémité, au mécanisme d'é- chappement 26 des espaces-bandes.

   L'élévateur de composteur 17 est pourvu d'une biellette 27 qui s'étend vers le bas à partir dudit élévateur et dont l'extrémité inférieure est articulée à un bras de manivelle 28 porté par un arbre oscillant 29. 

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   La figure 2 représente la façon dont les lames de libération 18 et 21 sont soulevées pour libérer une matrice ou un espace-bande. On remarquera dans cette figure que les leviers à touche 31, pivotant autour d'un point 32, sont pourvus de languettes 33 engagées dans des entailles pratiquées dans des barres lestées correspondantes 34   qui   sont destinées à être   soule-   vées soit par le pivotement manuel d'un levier à touche 31, soit par un dis- positif automatique comme on le verra plus loin.

   Chacune des barres lestées 34 présente., près de son extrémité supérieure, une entaille dans laquelle est disposé un des bras d'un levier coudé déclencheur 36 dont l'autre bras supporte normalement un étrier à came   37 -dans   une position telle qu'une came de levier 38, montée de façon rotative dans l'étrier à came 37, est maintenue écartée d'un galet de caoutchouc 39 tournant continuellement. 



  Chacun des étriers à came 37 est pourvu d'une portion   41   disposée au-des- sous d'une lame de libération correspondante   (18   ou 21).Les lames 18 et . 



  21 présentent une entaille formant un épaulement qui repose sur une barre de support   42,   ladite entaille permettant le mouvement de levée des lames 18 et 210 
La levée d'une barre lestée 34 par la manoeuvre d'un levier à touche 31 provoque le pivotement du levier coudé déclencheur correspondant* 36 qui libère l'étrier à came correspondant 37 et lui permet de retomber jusqu'à ce que la came 38 entre en contact avec le galet de caoutchouc 39. Une rotation est ainsi communiquée à la came 38 par le galet de caout- chouc 39, et cette rotation a pour effet de faire pivoter l'étrier 37 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (en regardant la figure 2), pour soulever la lame correspondante, 18 ou 21.

   Le soulèvement de l'étrier 37 par la came 38 ramène cet étrier à sa position normale dans laquelle il est supporté par le levier coudé déclencheur 36 et ou il est prêt pour l'opé- ration suivante du levier à touche associé 31 et de la barre lestée 34. 



   Au-dessus de chacune des lames 18 se trouve un bras de levier 43 pivoté en 44 et dont l'extrémité libre est voisine et placée à l'alignement du mécanisme d'échappement d'un canal à matrices du magasin   13,   d'une ma- nière bien connue. La levée d'une des lames 18 provoque un pivotement dans le sens dextrorsum (en regardant la figure 2) du bras de levier correspon- dant 48 autour de son axe de pivotement   44,  et provoque de ce fait le fonc- tionnement du mécanisme d'échappement correspondant et la libération d'une matrice destinée à être transférée par la courroie de composteur 16 jusqu'à l'élévateur de composteur 17. 



   Le mécanisme de commande automatique 46 est assujetti à la machi- ne 11 effectuant le clichage des lignes, au-dessous et à l'avant du mécanis- me à clavier 12 et il est destiné à être entraîné par une force motrice dérivé detout arbra notaur approprié faisant partie de la machine et tournant con-   tinuellement,   tel que l'arbre Intermédiaire 47 (figure 1). 



    L9organe   qui reçoit la force motrice destinée à l'entraînement du mécanis- me de commande automatique peut être une poulie 48, montée sur cet arbre Intermédiaire 47. La poulie 48 entraîne une courroie 49 qui passe sur   une,   poulie (non représentée) faisant partie du mécanisme sonde-ruban qui a été généralement désigné par 51 à la figure 1. 



   Le mécanisme sonde-ruban 51 régit le fonctionnement d'un mécanisme de commande qui est renfermé à l'intérieur d'une enveloppe 52 (figure l) et dont les détails de construction ont été représentés à la figure 2. Ce. mécanisme de commande comprend des barres de code 53 auxquelles sont trans- mis des mouvements selon les signaux ou combinaisons de signaux sondés par le mécanisme sonde-ruban 51. Les barres de code 53 sont des barres plates disposées cote à cote et montées pour effectuer des mouvements individuels dans la direction de leur longueur entre deux positions sélectives.

   Ces barres de code sont pourvues de prolongements 54 qui sont reliés   aux:dites,   barres et pénètrent à   l'Intérieur   du mécanisme sonde-ruban 51 où ils sont'par ailleurs reliés aux leviers de transfert 56 (figure   3).   Les barres de code 

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53 présentent, le long de leurs bords supérieur et inférieur, des entailles de permutation grâce auxquelles, pour chaque mise en position permutative desdites barres, il peut être établi une rangée rectiligne d'entailles ali- gnées qui s'étend en travers du groupe de permutation entier, laquelle ran- gée peut exister soit au bord supérieur soit au bord inférieur des barres de code 53.

   Des barres 57 qui peuvent être commandées au choix sont   dispo-   sées transversalement aux barres de code 53, alternativement au-dessus et au-dessous de ces barres. Comme représenté à la figure 2, chacune de ces barres 57 est assemblée avec une barre de support 58 à l'aide d'entailles;

   et des ressorts 59 sollicitent les dites barres 57 vers la droite (en re- gardant la figure 2) pour les amener à reposer sur la barre de support 
58, Des ressorts 59 sollicitent aussi dans le sens dextrosum celles des barres 57 qui sont placées au-dessous des barres de code 53, de même qu'ils sollicitent dans le sens sinistrorsum celles desdites barres 57 qui sont placées au-dessus des barres de code, de telle sorte que les barres 57 sont contraintes à tourner pour entrer en contact avec les barres de code et que, lorsqu'elles sont mises à même de recevoir une rotation d'une came   de-sépa-   ration ou d'écartement 61, ces barres entrent en prise avec les barres-de code,

   et celles desdites barres 57 qui rencontre une rangée d'entailles ali- gnées effectue un mouvement angulaire plus grand que les autres barres 57 et se place à l'alignement de la rangée d'entailles. 



   Chacune des barres 57 est pourvue, sur son bord adjacent aux barres de code 53 et près de son extrémité avant (extrémité de gauche à la figure 2), d'un épaulement 62 qui vient se placer sur le chemin de la barre uni- verselle 63 lors de la sélection de la barre 57 par l'entrée de cette bar- re dans une rangée d'entailles alignées. La barre universelle 63 a été re- présentée à la figure 2 dans sa position normale, ou non actionnée, mais, lorsque cette barre est actionnée par l'arbre qui porte la came d'écarte- ment 61, elle est déplacée vers la gauche (en regardant la figure 2) et entre en prise avec l'épaulement 62 de toute barre 57 qui a été choisie, de telle sorte qu'elle communique à cette barre un mouvement vers la gauche dans la direction de sa longueur. 



   Avec chacune des barres 57 qui sont affectées à la libération d' une matrice ou d'un espace-bande, est aligné le bras Inférieur d'un levier coudé   64   pivotant autour d'un arbre de montage 66. Le bras horizontal de chacun des leviers coudés 64 est placé au-dessus d'une portion 67 d'un le- vier à touche auxiliaire 68, pivoté autour d'un axe commun 69, ladite portion 67 s'étendant vers l'avant, et le bras horizontal du levier 64 étant essentiellement en contact avec elle. 11 est prévu un tel levier à touche auxiliaire 68 pour chacun des leviers à touche à commande manuelle 31, chacun desdits leviers à touche auxiliaire 68 étant pourvu d'une lan- guette 70 qui est engagée dans une entaille d'une des barres lestées   34.   



  On voit ainsi qu'une quelconque des barres lestées peut être soulevée pour déclencher l'étrier à came correspondant 37 soit, par l'abaissement manuel de l'extrémité avant du levier à touche correspondant   31,   soit par la'bais- sement automatique de la portion avant 67 du levier à touche auxiliaire cor- respondant 68 On voit aussi que le mouvement vers la gauche, communiqué par la barre universelle 63 à celle des barres 57 qui a été choisie, provoque un pivotement dans le sens dextrosum du levier coudé correspondant 64, ce qui a pour effet d'abaisser l'extrémité avant du levier à touche auxiliaire correspondant 68 et, par suite, de soulever la barre lestée correspondante 34. 



   On se reportera maintenant à la figure 3 dans laquelle 71 désigne des leviers sonde-ruban montés pour osciller sur une tige-pivot 72, Ces leviers 71 sont pourvus de bras 73 et 74 qui s'étendent dans des directions opposées et dont les premiers sont pourvus, à leur extrémité extérieure, de doigts de sondage 76.

   Les leviers sonde-ruban 71 sont sollicités dans le sens sinistrorsum (en regardant la figure 3) par des ressorts 77, et leur corps est percé d'une ouverture circulaire 78 à travers laquelle passe une 

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 barre fixe 79 servant à limiter la mouvement desdits leviers   71.   Les bras 74 des leviers sonde-ruban   71   viennent sur le chemin   d'un   organe de commande 81 porté par un levier coudé 82 qui est monté pour osciller sur une tige-pivot 83 et qui est sollicité dans le sensdextrorsumpar un ressort de traction 84. 



  Ce levier 82 porte un galet 86 en contact avec une came 87 portée par un ar- bre 88 faisant partie d'un lecteur de ruban. Lorsque l'arbre 88 tourne, la came 87 fait pivoter dans le sens sinistrorsum le levier coudé 82 et,par l'intermédiaire de l'organe de commande 81, fait pivoter dans le sens   dextror-   sum les leviers sonde-ruban   71,   afin qu'ils dégagent les doigts sonde-ruban   76'du   ruban' enregistré 89, avant l'avancement de ce ruban.

     Après     quelles   doigts   sonde.-ruban   76 ont été dégagés du ruban, la came 87 permet au levier ,coudé 82 de revenirà sa position dextrorsum   extrme,   l'organe'de commande 81 étant de ce fait abaissé et permettant à ceux des leviers sonde-ruban 71 dont les doigts de sondage 76 trouvent des perforations dans le ruban, de pivoter dans le sens sinistrorsum pour sonder la combinaison de signaux du ruban. 



   91 désigne un levier supporté de façon pivotante et qui sert   à   ef- fectuer l'entraînement du ruban;ce levier porte un galet 92 en contact avec la périphérie   d'une   came 93 d'entraînement du ruban portée par l'arbre 88 du lecteur de ruban. Le levier d'entraînement 91 porte aussi, à son extrémité de droite (figure 3), un cliquet   d'entraînement   96 qui coopère avec un rochet d'entraînement 101 fixé à un arbre 102. A l'arbre 102 est fixée une roue den- tée 104 dont les dents s'engagent dans les trous d'entraînement du ruban 89 pour déplacer celui-ci par rapport à la position de sondage déterminée par la position des doigts de sondage 76. 



   Lorsque les leviers sonde-ruban 71 sont libérés par l'organe de commande 81 pour sonder le ruban 89, ceux de ces leviers dont les doigts de sondage 76 rencontrent des trous du ruban reçoivent de leurs ressorts 77 un déplacement angulaire dans le sens sinistrorsum jusqu'à leurs positions   extrê-   mes choisies. Les leviers sonde-ruban restants 71 sont maintenus dans leur position   dextrosum,   ou non choisie, par des portions pleines du ruban. 



  Au-dessous des leviers sonde-ruban 71, les leviers de transfert 56, dont il a été question précédemment, sont supportés de façon pivotante pour une barre 106 portée par un organe de transfert 107. Chacun des leviers sonde-ruban se termine à son extrémité Inférieure par deux becs ou dents espacés l'un de 1' autre ; et au-dessous de chacun de ces leviers se trouve un des leviers de transfert 56 en forme de   T.   Les bras latéraux des leviers de transfert 56 en forme de T portent des butées qui s'étendent vers le haut et sont espacées l'une de l'autre d'une distance plus grande que celle qui sépare les dents s'étendant vers le bas des leviers sonde-ruban.

   La distance qui sépare les butées est telle que, lorsqu'un levier sonde-ruban occupe sa position dextror- sum, ce qui a lieu lorsque son doigt de sondage rencontre une portion pleine du rubans la dent de gauche dudit levier se trouve à l'alignement et sur le chemin de la butée gauche du levier de transfert correspondant. Inversement, lorsqu'un levier sonde-ruban 71 occupe sa position sinistrorsum, ce qui est le cas lorsque son doigt sonde-ruban a rencontré un trou du ruban dans le- quel il a pénétré, la dent de droite de ce levier est placée à l'alignement et sur le chemin de la butée de droite du levier de transfert associé   56.   



   A l'organe de transfert 107 est relié un bras de commande 108 qui porte à son extrémité libre un galet 109 en contact avec la périphérie d'une came de commande 111 portée par l'arbre   88.   Lorsque la came 111 tourne elle fait pivoter le bras 108. et par conséquent l'organe de transfert 107, dans le sens sinistrorsum, ce qui a pour effet d'élever les leviers de trans- fert 56 en forme de T par rapport aux leviers sonde-ruban 71. La distance dont s'élèvent les leviers de transfert 56 est supérieure à celle nécessaire pour amener une des butées de chacun de ces leviers au contact de la dent cor- respondant des leviers sonde=ruban 71 qui ont été mis en position sous la com- mande d'une combinaison de signaux du ruban.

   Par suite, lorsqu'un levier de transfert 56 entre en contact avec une des dents d'un levier sonde-ruban 71, ce levier, avant d'avoir atteint la limite de son mouvement, pivote autour 

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 de la tige-pivot 106, dans le sens dextrorsumou sinistrorsum selon la posi- tion à laquelle le levier sonde-ruban a été amené. 11 est ainsi évident que, lorsque les leviers sonde-ruban ont été amenés à une position conforme à une combinaison de signaux du ruban et que l'organe de transfert 107 a été action- né, les leviers de transfert 56 en forme de T occupent soit une position dextror- sum, soit une position sinistrorsum, selon la combinaison de signaux du ruban. 



   L'extrémité inférieure des branches intermédiaires des leviers de transfert 56 en forme de T, lesquelles branches s'étendent verticalement vers le bas, affecte la forme d'un disque 112. Ces portions discoïdes des divers le- viers 56 sont disposées dans des entailles à flancs parallèles 113 pratiquées aux bords supérieurs des prolongements 54 des barres de code 53. Ainsi, à mesu- re que chacun des leviers de transfert 56 en forme de T est amené à sa position dextrorsum sous la commande de son levier sonde-ruban 71, la barre de code 53 et le prolongement 54 relié à cette barre occupent une position située à gau- che. Inversement, tout levier de transfert 56 qui pivote dans le sens sinis- trorsum amène la barre de code 53 correspondante et son prolongement 54 à une position de droite.

   Les portions discoïdes 112 des leviers de transfert 56 et les entailles 113 du prolongement 54 des barres de code sont proportion- nées de telle sorte que lesdites portions 112 se s'élèvent pas hors des entail- les 113 lorsque les leviers de transfert 56 se meuvent vers le haut par l'effet du mouvement de commande de l'organe de transfert 107. 



  Tous les appareils   jusqu'ici   décrits sont en substance de construction con- nue. 



   Le but du mécanisme conforme à l'invention, et qu'on va maintenant décrire, est d'effectuer la mise en liberté simultanément ou indépendante d' une matrice d'espacement fixe et d'un espace-bande, sous l'influence d'un si- gnal d'espace-bande modifié et de tous signaux d'espace-bande susceptibles d' apparaître dans la ligne à la suite dudit signal lorsque la composition exi- ge un tel espacement supplémentaire.

   Les figures 4 à 7 et la figure 9 repré- sentent une forme de réalisation préférée de la présente invention grâce à la- quelle la libération simultanée d'une matrice d'espacement fixe et d'un es- pace-bande est effectuée à l'aide d'un dispositif à parallélogramme articulé fonctionnant sous l'influence d'un signal spécial ou   extraordinaire   appelé ci-après "ajouter un espace   fixe",   obtenu en superposant un signal d'espace- fixe à un signal d'espece-bande, comme Indiqué en 163à la figure' 8, de même que sous   l'influence   de signaux d'espace-bande ultérieurs, dès que ces si- gnaux ont été   Initialement   "conditionnés" par le signal spécial "ajouter un espace fixe"   @     @   
On se reportera maintenant.aux figures 4, 5 et 9,

   où l'on voit que certaines des barres ! sélectionner 57, à savoir les barres 115, 116 et 117 (figure 5), sont respectivement pourvues de portions en forme de crochet 118, 119 et 121 dirigées vers l'arrière (vers la droite des figures 4 et 5). Un Un organe à barre horizontale de commande 122 (figure 9) est monté de façon pivotante sur un arbre-pivot 123 convenablement tourillonné dans le bâti du mécanisme contenu dans l'enveloppe 52 (figure l), cet organe étant placé au- dessous des portions en forme de crochet 118,119 et 121 s'étendant vers 1' arrière. Afin que l'organe de commande 122 soit supporté d'une manière stable par l'arbre 123, cet organe reçoit essentiellement la forme d'un U propre à constituer une double portée. De plus, l'organe de commande 122 est pourvu de bras 125 et 126 dirigés vers le haut, et d'un bras 127 dirigé vers le bas (figure 4).

   L'organe 122 tend normalement à tourner dans le sens dextrorsum (figure 4) sous l'Influence d'un ressort 128. Sur l'arbre 123 est aussi mon- té de façon pivotante un autre organe à barre horizontale de commande 131 (figures 7 et 9) qui, de   marne   que l'organe 122, possède la forme d'un U propre à constituer une double portée sur l'arbre 123. L'organe de commande 131 est pourvu d'un bras 132 qui est dirigé vers le haut et tend normalement à effectuer une rotation dans le sens dextrorsum (figure 4) sous l'influen- ce d'un ressort 133. Le bras 125 de l'organe de commande 122 est pourvu, à son extrémité, d'une saillie 134 dirigée vers l'intérieur et latéralement. 



  Le bras 132 de l'organe de commande 131 est pourvu, à son extrémité, d'une 

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 portion saillante 135 qui possède essentiellement la forme d'un Z et qui est dirigée latéralement, l'aile extérieure 136 de cette portion étant destinée à se placer à recouvrement sur la saillie 134 de l'organe de commande 122, comme représenté clairement à la figure 9. Le rôle de la saillie 135 en for- me de Z ressortira de ce qui suit. 



  Le bras 132 de l'organe de commande 131 est aussi pourvu d'une autre saillie latérale 137 qui est placée en regard de la   saillie 135   en forme de Z, entre cette dernière et l'arbre pivot 123, comme représenté clairement aux figures 7 et 9. 



   Sur un arbre-pivot 138 (figures 4 et 9) est monté de façon   pivo-   tante,dans une position convenable par rapport aux organes de commande 122 et 131, un organe de verrouillage 139 ayant la forme d'un U propre à   consti-   tuer une double portée sur l'arbre 138. L'organe de verrouillage 139 est pour- vu   d'un   bras   IL,1   qui se termine par une portion en forme de crochet et des- tinée à venir occuper une position de verrouillage par rapport à la saillie latérale 137 de l'organe de commande 131. 



  L'organe de verrouillage 139 est aussi pourvu d'un bras vertical 142 qui se termine par une portion dirigée vers l'Intérieur et destinée à coopérer avec la portion en forme de crochet 121 de la barre 117 correspondante à sélec- tionner. 



   Le bras Inférieur 127 de l'organe de commande 122 est articulée par son extrémité, à une biellette 143, elle-même accouplée à un mécanisme à parallélogramme articulé désigné dans son ensemble par 145 à la figure 5. 



  Comme on le volt sur cette figure, la biellette 143 est articulée au bras 146 d'un levier 147 en forme de T du parallélogramme articulé, lequel levier pivote autour d'un axe-pivot 148 fixé au bâti du mécanisme de commande auto- matique   46.   Le bras 149 du levier 147 en forme de T est articulé à l'une des extrémités d'une biellette 151 dont l'extrémité opposée est elle-même articulée à l'un des bras 152 d'un levier coudé 153 monté pour pivoter autour d'un axe 154 fixé au bâti du mécanisme   46.   Une lame 155, faisant partie du dispositif à parallélogramme articulé 145, est articulé à l'un des bras 156 du levier 147 en forme de T et à l'un des bras 157 du levier coudé 153.

   La lame 155 du parallélogramme articulé 145 coopère avec deux leviers coudés spéciaux   164   (figure 4),qui sont semblables aux leviers 64 de la figure 2 mais dont les bras inférieurs sont prolongés au delà de la longueur normale indiquée à la figure 2 (un de ces leviers prolongés ayant été représBnté aux figures 4 et 6), la disposition étant telle que lesdits leviers coudés spé- ciaux peuvent être commandés ou actionnés de deux façons, à savoir par la barre universelle 63 ou, sous certaines conditions prédéterminées, par le parallélogramme articulé 145. 



   Les signaux qui représentent les matrices et les espaces-bandes sont perforés dans le ruban en succession et dans un ordre convenable par un perforateur à clavier et, lorsque le mécanisme compteur du perforateur indique que la longueur de ruban enregistrée est suffisante pour assurer le remplis- sage d'une ligne typographique par l'extension des espaces-bandes, ou que le mot suivant (ou la première syllabe du mot suivant) est trop long pour être Incorporé à la ligne, alors même que les espaces-bandes n'auraient pas été développés suffisamment pour remplir la ligne, la ligne est terminée par la perforation d'un signal d'élévateur, qui provoque la commande de l'éléva- teur de composteur 17 pour amener la ligne de matrices et d'espaces-bandes assemblés au   coté   débiteur de ligne de la machine à composer et couler les lignes typographiques.

   Dans le second des cas mentionnés   ci-dessus,   il est nécessaire de prévoir des moyens permettant l'adjonction de matrices d'es- pacement fixes destinées à être insérées près de certains des espaces-bandes ou de tous. On obtient ce résultat en rappelant le ruban en arrière pour ramener en regard des poinçons du perforateur le premier des signaux d'espa- ces-bandes enregistrées représentant des espaces-bandes avec lesquels des matrices d'espacement fixes doivent être assemblées et en transformant le signal en question, qui était jusqu'alors un signal d'espace-bande ordinal- 

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 re, Indiqué en 161 à la figure 8 et constitué par une perforation unique à la position 3 de l'élément de code, en un signal d'espace-bande spécial, ou ex-   traordinaire   (signal "ajouter un espace   fixe"),

     par l'adjonction d'une perfo- ration à la position 0 de l'élément de code, comme indiqué en 163 à la figure 
8, Lorsque des matrices d'espacement fixes sont requises à titre de partie régulière de la composition sans que ceci ait aucun rapport avec des espaces- bandes ou avec la nécessité de compléter la longueur d'une ligne trop courte, ces matrices sont représentées par un code comportant une seule perforation dans la position 0 de l'élément de code, comme indiqué en 162 à la figure 8, Par la combinaison du signal d'espace-bande ordinaire et du signal d'espace- ment fixe., le choix d'un espace-bande et celui d'une matrice d'espacement fixe seront effectuée simultanément. 



   Le présent mécanisme est pourvu de moyens grâce auxquels l'appareil sélecteur est "conditionné" ou amené à l'état voulu, sous l'influence du si- gnal 0-3 ou signal d'espace-bande extraordinaire, de manière à libérer une matrice d'espacement fixe sous l'influence de chacun des signaux   d'espacé-ban-   de ultérieur d'une ligne, et ce qu'un tel signal d'espace-bande ultérieur soit le signal d'espace-bande ordinaire ou ait déjà été converti en un signal ex- traordinaire.

   En d'autres termes, la machine à composer et   à   couler les li- gnes typographiques libère simultanément des espaces-bandes et des matrices d'espacement fixes sous l'influence d'un signal de code prédéterminé qui est obtenu en changeant seulement le premier signal d'espacement de la ligne, à la suite de quoi le mécanisme ajoute automatiquement une matrice d'espacement fixe à chacun des espaces-bandes suivants de toute la portion restante de la ligne, puis le signal d'élévateur ramène la disposition à l'état normal.

   Ce résultat est effectué à l'aide du parallélogramme articulé 145 qui, sous la dépendance du signal extraordinaire ou "ajouter un espace fixe", fonctionne de manière à effectuer la commande simultanée des deux leviers coudés spé-   ciaux   164 
On expliquera maintenant le fonctionnement du mécanisme en suppo- sant que les éléments de la structure occupent leur position normale, (c'est- à-dire qu'ils n'ont pas été actionnés); comme représenté aux figures 2 à 7. 



  A la lecture du ruban 89, les leviers sonde-ruban 71 sont mis en position dé- terminées, après quoi les leviers de transfert 56 en forme de T sont actionnés par l'organe de transfert 107 pour transférer la sélection des éléments 54 qui, étant articulés aux barres de code 53, effectuent   à   leur tour la mise en position desdites barres d'une manière correspondante pour établir une rangée d'entailles alignées dans ces barres de sorte que, lorsque la came de sépa- ration 61 pivote dans le sens sinistrorsum, une barre   57,   choisie parmi la série de barres à sélectionner, pénètre dans l'alignement desdites entailles pour placer son épaulement 62 sur le chemin de la barre universelle 63, de sorte que, lors du mouvement de ladite barre 63 vers la gauche,

   la barre 57 ainsi sélectionnée reçoit un mouvement vers la gauche ce qui provoque la ro- tation dans le sens destrorsum du levier coudé correspondant 64(ou du levier coudé spécial   164,   comme on le verra plus loin), de manière à actionner le levier à touche auxiliaire correspondant 68 pour effectuer, par l'entremise d'une barre lestée   34   et d'une lame 18 ou 21, le choix d'une matrice ou d'un espace-bande, suivant le cas. 



   En réponse à un signal d'espace-bande (ruban perforé   à   la position 3 de l'élément de code qui est la position 161 indiquée à la figure 8), la sélection de la barre à sélectionner 115 s'effectue, et l'un des leviers cou- dés spéciaux   164   est actionné par la barre universelle 63 pour effectuer, par l'intermédiaire du levier à touche auxiliaire correspondant 68, de la barre pesante 34 et de la lame 21, le pivotement dans le sens sinistrorsum du le- vier 23 autour du pivot 24 (figure 1), pour actionner le mécanisme 26 (figu- re 1) d'échappement des espaces-bandes et libérer ainsi un espace-bande du magasin 14.

   Il y a lieu de noter que, lors de la sélection de la barre à sé- lectionner 115, sa portion arrière en forme de crochet 118 reçoit un mouvement vers le bas du à la rotation dans le sens dextrorsum de ladite barre 115, mais que le crochet d'extrémité n'a pas d'effet sur l'organe de commande 131 parce 

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 que, à ce moment, il ne lui est pas possible d'entrer en prise avec la saillie latérale 135 dudit organe.

   (Ainsi qu'il ressort des figures 4, 5 et 9, le crochet de la barre 115 est placé à gauche ou à l'avant de la saillie latéra- le 135 de sorte qu'il est alors sans effet), 
Sous l'Influence   d'un   signal d'espacement fixe (ruban perforé dans la position 0 de l'élément de code,ce qui est la position Indiquée en 162à la figure 8), la barre à sélectionneur identifiée par la position de la ma- trice   d'espacement   fixe dans le magasin 13 est sélectionnée et le secondât* deux leviers coudés spéciaux 164 sus-mentionnés est actionné par la barre universelle 63, de sorte que;

  , par l'intermédiaire du levier à touche auxiliai- re correspondant 68, de la barre lestée   34   et de la lame 18, une matrice d' espacement fixe est libérée et tombe sur la courroie de composteur 16 pour être transportée par elle jusqu'à l'élévateur de composteur 17. 



   Ainsi qu'il a été mentionné précédemment, on envisage   d'effectu-   er le choix simultané d'un espace-bande et d'une matrice d'espacement fixe. 



  A cette fin, on modifie le signal d'espace-bande enregistré (position 3 de Isolément de code),de la manière déjà expliquée, pour le convertir en un signal "ajouter un espace fixe" (positions 0-3 de l'élément de code), comme Indiqué en 163,figure 8. Le choix de la barre 116 à sélectionner s'effectue sous l'Influence du signal 0-3 ("ajouter un espace   fixe ')   et, en raison de sa rotation dans le sens dextrorsum autour de l'arbre-pivot   58,   le crochet à l'extrémité de la portion 119 vient se placer à l'arrière (ou à droite en regardant la figure 4) de la saillie latérale 134 de l'organe de commande 122.

   De plus, l'épaulement 62 de la barre 116 est soulevé et vient sur le chemin de la barre universelle 63, de sorte que, lors du mouvement de cette ' barre dans les deux sens, la barre 116 du signal "ajouter un espace fixe" est déplacée vers la gauche, après quoi le crochet de la portion 119 atta- que la saillie latérale 134 pour communiquer une rotation dans le sens si-   nlstrorsum   (figures 4 et 9) à l'étrier 122 autour de son pivot 123. 



   Après avoir ainsi reçu une rotation dans le sens sinistrorsum de la portion en forme de crochet   119   de la barre 116, l'organe de commande 122 communique un mouvement vers la droite (figures 4 et 5) à la biellette 143 pour actionner le parallélogramme articulé 145, de manière que la lame 155 actionne le levier coudé 164 des espaces fixes et des espaces-bandes pour effectuer la mise en liberté d'une matrice d'espacement fixe et d'un espace- bande, simultanément.De plus, après avoir effectué une telle rotation, 1 organe de commande 122 entraîne l'organe de commande 131, en raison de la coopération et de l'entrée en prise de la saillie latérale 134 de l'organe 122 avec la saillie latérale 135 de l'organe 131,

   L'organe de commande 131 reçoit ainsi une rotation dans le sens sinistrorsum et il est verrouillé par le bras 141 de l'organe de verrouillage 139, qui est normalement sollicité dans le sens dextrorsum par son ressort 158. L'organe de commande 131 est ainsi main- tenu dans cette seconde position, pendant que l'organe 122 est mis à même de revenir à sa position première, ou Initiale. 



   Il y a lieu de noter qu'aucun levier coudé 64 ou 164 n'est asso- cié à la barre   à   sélectionner 116 du signal "ajouter un espace   fixe",   parce que, lors de la sélection de la barre 116, le parallélogramme articulé est actionné pour faire fonctionner le levier coudé d'espacement fixe et le le- vier coudé des espaces-bandes, dont les bras Inférieurs sont plus longs que les bras normaux afin qu'ils entrent en prise avec la lame 155 du parallélo- gramme articulé   145.   On voit ainsi que le levier coudé des espaces-bandes et le levier coudé d'espacement fixe sont commandés de deux façons, à savoir par les barres respectives à sélectionner et par le parallélogramme articu- lé, 
A la suite de chacune des actions sélectives ultérieures de la barre 115 des espaces-bandes,

   le crochet de la portion 118 descend derrière la saillie latérale 135   (c'est-à-dire  à droite de cette saillie en 

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 regardant la figure 4) de l'organe de commande 131, de sorte que, lors d'un. mouvement vers la gauche communiqué à la barre 115 par la barre universelle 
63 ledit organe de commande 131 effectue une rotation supplémentaire dans le sens sinistrorsum jusqu'à sa position antérieure extrême, ou troisième posi- tion, et, au cours de cette rotation, la saillie latérale 137 de l'organe de commande 131 entre en prise avec le bras tourné vers le haut 126 de l'or- gane de commande 122, pour effectuer la rotation dans le sens sinistrorsum correspondante dudit organe 122 et actionner de ce fait, par l'entremise de la biellette   143,   le parallélogramme articulé 145,

  de la manière précé- demment décrite, après quoi une matrice d'espacement fixe et un espace-ban- de sont libérés en principe simultanément. 



   Il est par conséquent évident que, sous l'influence d'un signal de code "ajouter un espace   fixe'9,   le mécanisme décrit ci-dessus est amené à l'état voulu pour que, sous la dépendance de chacun des signaux d'espacement ultérieure, il ajoute automatiquement une matrice d'espacement fixe à chacun des espaces-bandes suivants sur la portion restante de la ligne, bien que le lecteur de ruban   n'ait   détecté qu'un seul signal d'espace-bande, Pour pré- parer le ruban en vue de la commande de l'appareil, il n'est donc plus né- cessaire de modifier chaque signal d'espace-bande pour effectuer la mise en liberté d'une matrice d'espacement fixe simultanément avec l'espace-ban- de envisagé, et il suffit de modifier un seul signal d'espace-bande (qui convertit ce signal ordinaire en un signal spécial ou extraordinaire)

   pour effectuer la mise en liberté d'une matrice d'espacement fixe avec cet espace- bande et avec tous les espaces-bandes qui sont susceptibles de se présenter par la suite dans la ligne. 



   Les matrices et espaces-bandes sont assemblés dans l'élévateur de composteur 17 et, à la réception du signal d'élévateur à l'extrémité de la ligne, l'élévateur 17 est soulevé pour transporter la ligne de matrices as- semblées à un mécanisme de transfert qui amène cette ligne à la position de clichage, d'une manière bien connueo Lorsque s'effectue le sondage du signal d'élévateur que comporte le ruban 89, par le mécanisme sonde-ruban 51, les barres de code 53 sont mises dans les positions voulues pour effectuer la sélection de la barre de sélecteur d'élévateur 117, de sorte que, lors du mouvement vers la gauche communiqué à ladite barre par la barre universelle 63 en coopération, avec l'épaulement 62 de la barre 117,

   le crochet à l'ex- trémité de la portion 121 de la barre 117 entre en prise avec le bras vertical 142 de l'organe de verrouillage 139 pour provoquer une rotation dans le sens   sinistrorsum   de cet organe 139 et dégager le bras de verrouillage   141   de la saillie latérale 137 portée par l'organe de commande 131, afin de permettre à ce dernier de revenir à sa position de droite:, contre une butée 160   (figu-   re 4),sous la traction de son ressort 133. On voit ainsi que, à la fin de la ligne, le mécanisme élévateur déverrouille le mécanisme producteur de signaux "ajouter un espace   fixe",   en permettant à ce dernier d'être ramené à son état normal pour la ligne suivante. 



   On a décrit ci-dessus une forme de réalisation préférée de l'in- vention, mais il est évident que celle-ci est susceptible de recevoir d'au- tres formes et de nombreuses modifications de détails sans sortir de son   ca-   dre.

Claims (1)

  1. RESUME L'invention a trait aux appareils de commande des machines à com- poser et couler les lignes typographiques à l'aide de signaux enregistrés sur un ruban ou organe de commande similaire, en utilisant une série d'organes de commande actionnés sélectivement par un mécanisme qui, sous l'influence des signaux enregistrés, libère les éléments d'impression (matrices) et les éléments d'espacement (espaces-bandes) qui sont nécessaires pour le clichage des lignes de caractères, cette invention étant caractérisée par les points <Desc/Clms Page number 12> suivants,
    séparément ou en combinaisons 1- Le mécanisme servant à actionner les organes de commande est construit de telle sorte que certains de ceux desdits organes qui servent à libérer différents éléments d'espacement (par exemple les organes de com- mande servant à libérer les espaces-bandes et les matrices d'espacement fixes, respectivement) et qui sont normalement actionnés individuellement par ledit mécanisme sous l'influence des signaux enregistrés correspondants, sont ac- tionnés simultanément par ce mécanisme sous l'influence d'un signal enregis- tré particulier qui fait partie d'une série de signaux enregistrés corres- pondant à une ligne de caractères exigeant un espacement supplémentaire, de telle sorte que les différents éléments d'espacement sont mis en liberté simultanément dans la machine à composer et couler les lignes typographiques,
    ce qui augmente la longueur ou degré d'espacement de ladite ligne typogra- phique.
    2- Le mécanisme servant à actionner les organes de commande est construit de telle sorte que lesdits organes qui effectuent la mise en liber- té des différents éléments d'espacement sont actionnés de manière à libérer simultanément un espace-bande et une matrice d'espacement fixe sous l'Influen- cé d'un signal enregistré particulier (signal "ajouter un espace fixe" ;
    qui comprend un signal d'espace-bande dans la série des signaux enregistrés à la- quelle a été ajouté un signal d'espacement fixeo 3- Le mécanisme servant à actionner les organes de commande est ame- né, sous l'influence de la première apparaition du signal "ajouter un espace fixe" dans la série de signaux enregistrés, à un état tel qu'il oblige aussi les organes de commande servant à libérer les différents éléments d'espacement, à effectuer la mise en liberté simultanée desdits éléments,sous l'influence de chacun des signaux d'espace-bande successifs susceptibles d'intervenir dans la série de signaux enregistrés, et en ce qu'un signal d'espace fixe ait ou non été ajouté au signal d'espace-bande suivant,,
    4- Le mécanisme servant à actionner les organes de commande est ramené à son état normal par un signal d'élévateur qui termine la série des signaux enregistrés.
    5 - Les organes de commande servant à libérer les différents élé- ments d'espacement sont actionnés par un organe de commande qui fonctionne sous l'influence du signal enregistré "ajouter un espace fixe" et qui, lorsqu' il fonctionne, "conditionne" un second organe de commande, qui est verrouillé dans cet état conditionné par un organe de verrouillage et a pour rôle de faire de nouveau fonctionner le premier organe de commande, sous l'influence de chacun des signaux d'espace-bande successif de la série de signaux enre- gistrés, l'organe de verrouillage étant commandé de façon qu'il déverrouille le second organe de commande et l'amène ainsi à son état 'tnon conditionné" sous l'influence du signal d'élévateur.
    6- Les organes de commande servant à libérer les différents élé- ments d'espacement sont actionnés simultanément par l'intermédiaire d'un mé- canisme à parallélogramme articulé composé de leviers dont l'un est déplacé latéralement pour entrer en prise simultanément avec l'organe de commande sous l'influence du signal enregistré particulier.
    7 - Les organes de commande sont des leviers coudés pourvus de bras qui sont dirigés vers le bas et normalement actionnés individuellement par des barres à sélectionner, sous l'influence des signaux enregistrés, et ceux desdits organes de commande qui sont utilisés pour libérer les différents éléments d' espacement ont leurs bras inférieurs prolongés de façon qu'ils soient action- nés simultanément par le parallélogramme articulé, sous l'influence du signal enregistré particulier.
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