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CLICHES D'IMPRESSION POUR MACHINES A IMPRIMER LES ADRESSES ET
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AUTRES MACHINES, ET ESTAMI:>=ES-1EUFOIOEMS POUR L'OBTENTION
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On o rinat -le -pro- édé a.' 1mp:L'eee1on des adresses et autres textes d'importance réduit. au moyen de machines à im- primer utilisant des clichés,, stencil'; carton ou zino. Jusqu'ici le travail de ces machines dites " maohines à imprimer les adres ses " consistait seulement à imprimer tout ou partie des textes des clichés et ; par l'adjonction d'un dispositif sélectionneur, à n'imprimer qu'une catégorie déterminée de oliohés tout en lais sant passer les autres catégories sans les imprimer .
Ce prooédé s'applique, en particulier, à la confection des quittances et des bordereaux des Etablissements Financiers, sociétés, Compagnies d'Assurances, etc. Dans ce dernier cas par exemple, la machine imprime les textes portés par les clichés: nom et adresse de l'assuré, numéro de police, les sommes repré- sentant la prime, les impôts ', les frais, les timbres et la som me totale, et grâce au dispositif sélectionneur, elle peut n'im primer par exemple; que les clichés d'une même échéance, d'une
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même échéance , agence ou région.
On connaît, d'autre part, les machines à statistiques; utilisant des fiches perforées. Ces fiches sont divisées en plusieurs rangées longitudinales dont chacune correspond à un chiffre déterminé, et en plusieurs colonnes correspondant à un ahüfre quelconque. Ainsi, un nombre est représenté sur ces fi- ches par plusieurs perforations correspondant aux chiffres de ce nombre, Lorsqu'on passe la carte ainsi perforée dans la ma- chine à statistique, des pistons plongeurs commandent un dispo- sitif calculateur imprimant les sommes de la fiche et les addi- tionne avec celles des chiffres précédents.
La présente invention a pour objet un cliché (stencil, carton, zinc, etc) constitué de telle sorte que la machine utili- sant ce cliché , à la fois , imprime le texte et commande des ma- ohines annexes telles que par exemple, machines à calculer , comptables ou autres. Ce cliché est remarquable, notamment en ce que le texte (lettres et chiffres) est estampé sur une partie dudit cliché, servant à l'impression; l'autre partie oomportant des perforations qui correspondent aux chiffres estampés et qui permettent de commander des machines annexes ', machines à calou- le:!,' ou autres.
L'invention vise également une machine permettant d'obtent lesdits clichés remarquable, notamment, en ce qu'elle est agen- cée de manière que lors de l'estampage d'un chiffre sur le oli- ché elle perfore simultanément ledit cliché en un point corres- pondant à la valeur de ce chiffre.
D'autres caractéristiques de l'invention résulteront de la description qui va suie .
Au dessin annexé donné uniquement à titre d'exemple:
La figure 1 est une vue de face d'un cliché type de l'invention;
La figure 2 est une vue en bout du même cliché.
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La figure 3 esi une coupe, à grande échelle , et par une perforation du môme cliché;
Les figures 4 à 7 représentent de faoe d'autres clichés réalisés suivant l'invention ;
La figure 8 est une coupe verticale d'une machine à estam per et perforer les clichés;
La figure 9 en est une coupe verticale partielle, mon- trant les dispositifs d'estampage et de perforation;
La figure 10 est une vue en plan partielle du tambour disposé de façon à montrer les logements des matrices et des polir çons perforateurs;
La figure 11 représente en élévation , la forme d'une des oames servant à la oommande des caractères d'estampage;
La figure 12 est une vue en élévation du mécanisme tabu- lateur du ohariot .
Selon l'exemple d'exécution représenté aux figures 1 à 3 , le cliché est constitué par une feuille métallique 11 en zinc, par exemple, dont les bords longitudinaux sont repliés de manière, à former des bourrelets 12 (fig. 2) Des encoches sont pratiquées à la manière usuelle, sur l'un des bourrelets 12 .L'une de ces encoches 13 est destinée à recevoir un voyant ou drapeau non re- présenté. Une autre entaille 14 permet de verouiller le cliché, lors de son utilisation dans la machine à imprimer. L'entaille 15 par exemple sert à l'entratnement du cliché, lors de son passée dans la machine à imprimer, par un cliquet approprié. De plus, on peut pratiquer sur chaque cliché une petite encoche 16, destinée au classement dudit cliché, et dont l'emplacement sur ce cliché dépend du rang qu'il occupe dans ce classement.
Ainsi par exemple encoche 16 indique, par son emplacement, la première lettre du nom porté par le cliché.
De même une ou plusieurs encoches 17 sont entaillées
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d'une manière appropriée, par fraise ou saie circulaire par exemple, dans le deuxième bourrelet 12 . Ces encoches 17 sont utilisés, en combinaison avec un dispositif de saut ou sé- lectionneur faisant partie de la machine à imprimer. Ainsi, l'em- placement de la ou des encoches 17 sur le bourrelet 12 étant le même pour tous les clichés d'une même catégorie, lorsque ces clichés passent avec d'autres dans la machine à imprimer, seuls les premiers servent à l'impression, si le sélectionneur à été , réglé pour l'encoche oorrespondante .
'Une partie ab du cliché 11 est réversée au texte qui est estampé sur ce cliché à la manière connue. L'autre partie bo est réservée aux nombre% estampés comme le texte, et aux per- forations correspondant à ces nombres. De préférence, les nombres occupent une seule ligne. Les perforations sont placées suivant plusieurs rangées longitudinales 18 affectées à l'un des chiffres de 1 à 9 et suivant des colonnes 19 affectées chacune à un chiffe quelconque, correspondant au chiffre estampé au bas de la colon- ne. Ainsi le ohiffre 4 par exemple, peut être représenté par une perforation sur la quatrième ligne à partir du bas dans la même colonne que ce chiffre.
On a représenté à la figure l'un cliché de quittance de compagnie d'assurances. La partie ab est réservée au texte (nom de l'assuré, numéro de police et autres renseignements ) La par- tie be est divisée en plusieurs colonnes se rapportant l'une à la prime totale : 13.822,15 fr. la deuxième à la prime nette : 10.682,19 fr. la troisième à l'impôt : 3.128,36 fr. la quatrième aux frais de répertoire et autres: 9,45 fr. et la dernière au timbre 2,15 fr. Ces sommes sont inscrites à la partie inférieure du cliché , sur une seule ligne, les perforations correspondant à chaque chiffre étant placées au-dessus.
De préférence, chaque perforation a la forme d'une py- ramide pu d'un cane tronqué (fig. 3) ce qui facilité l'intro- duotion d'un petit piaton relié à une touche de la maohine anne- xe, maohine à calculer ou autre.
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On utilise ces cliéhés de la manière suivante: Les cli- chés étant mis en place dans la machine à imprimer, on règle le dispositif sélectionneur de manière qu'il ne permette que l'impression des clichés d'une catégorie (par exemple ceux d'une d'une même échéance dans le cas d'une compagnie d'assurances) c'est à dire de ceux dont l'encoche 17 occupe an emplacement bien déterminé
Chacun de ces clichés, pendant son passage dans la machi- ne, imprime, à la manière connue, le texte et les chiffres qu'il porte .En même temps, la partie de ce cliché, qui porte les per forations, passe, comme dans les machines à statistiques,
sur un olavier constitué par de petits pistons reliés aux touohes d'une ou de plusieurs machines à calculer o Ces pistons sont réguliè- rement disposés et se trouvent exactement au-dessous des perfo- rations et des emplacements de perforations éventuelles, de sor- teque, lorsqu'un cliché quelconque passe dans;la machine à im- primer, il y a toujours un piston vis-àvis de chaque perfora- tion de ce cliché.
Ainsi seuls les pistons qui se trouvent au- dessous d'une perforation sont susceptibles de se déplacer et d'actionner les touches correspondantes de la ou des machines à calculer, Si l'on désire faire les totaux de chaque colonne des clichés d'une même échéance, il sera nécessaire (dans l'ex- emple représenté à la figure 1) d'avoir au moins deux machines à calculer disposées pour permettre l'addition de plusieurs colonnes, le cliché, passant dans la machine à imprimer, ac- tionnera simultanément les deux machines à calculer qui tota- liseront les sommes des colonnes correspondantes des clichés suooessifs , sélectionnés par le dispositif spécial.
Ileet bien évident que ces clichés peuvent être adaptés non seulement à la commande de machines à calculer mais encore à celle d'autres machines annexes, comptables, etc. Ces machi- nes peuvent être indépendantes de la machine à imprimer dans laquelle passent les clichés. Elles peuvent aussi être rappor- tées sur cette dernière machine. En outre,le mode de commande
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de cette machine annexe, à partir des perforations du cliché peut être queloonque. Cette commande pouvant se faire , soit par pistons, comme on l'a indiqué ci-dessus, soit par air com- primé ou aspiré, ou de toute autre manière.
On a représenté aux figures 4 à 7 d'autres modes de réa- lisation du cliché objet de l'invention. Le cliché représenté à la figure 4 comporte un cadre métallique 20 dont les bords sont repliés de manière à maintenir entre eux un carton 1 servant à la fois au texte et aux chiffres et perforations. Cette feuille de carton 1 peut facilement être introduite par l'une des extré- mités du cadre 20, Cette feuille 1 peut être en deux pièces com- me représenté à la figure 5 dont l'une la est réservée au texte et l'autre lb facilement amovible, aux chiffres et aux perfora- tions.
Dans l'exemple représenté à la figure 6, le cliché est constitué par unefeuille de carton laµ réservée au texte et aux chiffres, emprisonnée et collée entre deux feuilles de oarton 1b formant monture, Ces cartons 1b sont convenablement découpés pour laisser libre l'emplacement réservé sur la première feuille la et la partie non découpée reçoit les perforations. La feuille de car- ton intermédiaire la peut être remplaoée par un stencil sur papier japon.
On peut également utiliser des clichés mixtes, carton et zinc par exemple, comme représenté à la figure 7, Dans cet exemple de réalisation, une couverture 21 est découpée dans le cliché de zinc, à l'emplacement des perforations et la partie découpée est remplacée par un carton amovible 1b, convenablement fixé sur la feuille de zinc la .
Ces clichés quelle que soit leur constitution , sont obte- nus au moyen d'une machine spéciale qui en même temps qu'elle ins- orit les chiffres, perfore le cliché aux pointas correspondantes.
Il y aurait inconvénient à séparer ces deux opérations, d'abord au point de vue du temps qui serait nécessaire, et ensuite parce que oe mode opératoire pourrait conduire à des erreur' la perforation
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ne oorrespondant pas, par,/son emplaoement au chiffre voulu.
La machine représentée aux figures 8 à 12 est plus particulièrement destinée à la fabrication de clichés en zino, Selon l'exemple d'éxéoution représenté aux figures 8,9 et 10 la machine, du type des machines à estamper les adresses com- porte un tambour rotatif formé de deux plateaux superposés 22 et 22a entre lesquels sera placé le cliché 24 à estamper et à perforer.
Le tambour porte, à sa périphérie, à la manière connue des oaractéres 25 et 25a destinés à l'estampage du texte et des chiffres, les oaraotéres mâles 25 étant de préférence por- tés par le plateau supérieur 22 et les caractères femelles 25a par le plateau inférieur 22a.Par exemple dans les plateaux 22 et 22a sont pratiquées des entailles 26 se faisant face pour chaque plateau (fig.10) Les caractères 25 sont susoepti- bles de coulisser dans ces entailles 26 perpendiculairement aux plateaux et sont maintenus dans ces entailles par tout moyen approprié. Dans l'exemple représenté à la figure 9,l'entaille 26 est fermée extérieurement par une frette 27.
Un logement 28' pratiqué dans le fond de l'entaille 26, reçoit un doigt 29qu'un ressort 30 maintient appuyé contre le caractère 25 ou 25a Ain- si lorsqu'aucune force ne s'exerce sur lui, le caractère reste dans la position où on l'a laissé car il est maintenu entre la frette 27 et le doigt 29 par le ressort 30. Chaque caractère 25 ou 25a oomporte, à l'extrémité extérieure au tambour, un touril- lon de relevage 31, disposé, de préférence vers la périphérie du tambour.
La tambour 22-22a porte également les poinçons 32a et matrices 32 perforateurs, les matrices étant portées par le pla- teau supérieur 22 de manière que le cône refoulé par la perfo- ration se trouve du côté opposé à l'estampage sur la cliché.
Les poinçons 32a et matrices 32 sont suceptibles de coulisser dans des logements 33, traversant les plateaux 22a-22 et se
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faisant face. Chaque logement 33 se trouve sur le rayon du plateau qui passe par l'axe du caractère correspondant (fig.10) De plus ces logements se trouvent sur des circonférences dont le centre se trouve sur l'axe de rotation 34 du plateau et dont les rayons sont différents, la différence entre les rayons de deux circonférences consécutives étant égale à la distance qui sépare , sur le cliché deux rangées longitudinales consé- cutives de perforations .
Ainsi, dans l'exemple représenté à la figue 10, un poinçon 32a et une matrice 32 se trouvent à l'intersection du rayon passant par l'axe du caractère 25 représentant le chiffre 1 et de la circonférence de plus grand rayon, de ma- nière à perforer le cliché à l'emplacement affecté au chiffre 1. De même un autre poinçon 32a et une autre matrioe 32 se trouvent à l'intersection du rayon passant par l'axe du carac- tère 2 et de la circonférence suivante etc. La disposition des perforations peut être d'ailleurs inverse, les poinçon, et ma- trioe perforateurs correspondant au chiffre 9 étant sur la plus grande oiroonférenoe et ceux corrspondant au chiffre 1 sur la plus petite.
Dans ce oas , le chiffre 1 sera représenté sur le cliché par une perforation sur la rangée supérieure et le chiffre 9 par une perforation sur la rangée inférieure.
De préférence, chaque poinçon 32a ou matrioe 32 compor- te longitudinalement un méplat 34 et traverse une rondelle ou une plaque 35 fixée sur le tambour par une vis 36, par exemple.
Cette rondelle 35 coopère avec le méplat 34 de la matrice ou du poinçon pour en limiter le mouvement.
Un dispositif approprié rapelle chaque poinçon 32a ou matrice 32 à la position de repos. Ce dispositif est constitué par exemple (fig. 8 et 9) par un ressort 37 guidé par une tige 38 coulissant dans un logement du plateau correspondant.
Ce ressort 37 prend appui, d'une part sur ledit pla- teau et d'autre part sur une plaquette 39 reliant le poinçon 32a
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ou la matrice 32 et la tige 38.
Il peut être nécessaire de modifier les chiffres et les perforations sur les clichés,c'est à dire de boucher les perforations existantes par refoulement des cônes de perfora- tion pour pouvoir en faire d'autres, et d'aplatir les oarao- tères estampés. Ceci peut âtre réalisé, au moyen d'un marteau 40, (Fig. 10) étroit et de forme allongée de manière à recou- vrir les perforations de 1 à 9 et une seule colonne à la fois.
Comme dans la plupart des estanpeuses de types connus les caractères 25-25a portés par le tambour sont amenés pour l'estampage à l'endroit voulu, par rotation dudit tambour. A cet effet, le tambour 22-22a est claveté sur un arbre 34 tourl- lonnant dans des roulements 41 portés par le bâti 42 de la ma- chine. A l'une des extrémités de l'arbre 34 est claveté un pi- gnon d'angle 43. Ce pignon 43 engréne avec un deuxième pignon 44 calé à l'extrémité d'un arbre tubulaire 45 tourillonnant à l'intérieur d'une douille 46 sur deux roulements à billes 47 .
Un volant de manoeuvre 48 est fixé à l'autre extrémité de l'ar- bre 45. Une siguille 49 mobile devant un cadran 50 et reliée par un flexible 51 à l'arbre 34 permet de répérer les mouvements de rotation du tambour 22-22a .
La commande des caractères 25-25a et des poinçons 32a et matrices 32 pour estamper et perforer le cliché 24 se fait, de préférence , à partir d'un volant de manoeuvre 52 commandé par moteur électrique . Ce volant 52 est fou sur un arbre 53 sur le- quel sont calées des oames 54 de profil convenable . l'une de ces cames 54 agit sur un galet 55 monté oscillant dans un étrier 56 formant l'extrémité d'une tige 57. Cette tige 57 coulisse dans un guide approprié 58, faisant, par exemple, partie du bâti 42.
Sur cette tige 57 vient prendre appui une extrémité d'un levier 59, articulé sur un axe fixe 60. L'autre extrémité du levier 59 prend appui sur un poussoir 61 coulissant dans le bâti 42 et qu'un ressort 62 tend à écarter du plateau 22.Une vis de butée
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63 avec un contre écrou 64 se vissant dans le levier 59, est de préférence, interposée entre ledit levier et le poussoir 61, afin de permettre le réglage en profondeur des matrices 32. La largeur de poussoir 61 est telle qu'il n'agit que sur la matri- ce 32 qui est amenée au-dessous de lui, sa longueur étant suffi- sante pour commander toutes les matrices 32 quelle que soit leur distance à l'axe 34 du plateau.
Un dispositifanalogue au précédent permet de commander, de même, les poinçons 32a à partir de l'arbre 34, le levier 59a prenant de préférence , directement appui sur une came par le galet 55a .
Les caractères mâles 25 et femelles 25a sont commandés de la même manière que les poinçons 32a et matrices 32 à partir de l'arbre 53 par des leviers 65 et 65a agissant sur des poussoirs 66-66a,lesdits leviers étant actionnés directement ou nom:par des cames oalées sur ledit arbre 53.L'extrémité de chaque poussoir 66-66a a la forme d'un crochet 67 dans lequel vient s'engager le tourbillon 31 d'un caractère 25, de sorte que ce poussoir agit dans les deux sens sur le caractère 25 pour l'abaisser et le re- lever. La largeur interne du crochet 67 est supérieure au diama- tre du tourillon 31 pour laisser le jeu nécessaire au passage des tourillons 31 lors de la manoeuvre du tambour 22-22a.
Dans ce même,but, les oames 54 qui commandent les leviers 65 et 65a relatifs aux caractères, ont, de préférence le profil indiqué à la figure 11. Elles présentent un léger méplat 68.
Ce méplat permet, lorsqu'on écarte les caractères 25-25a en fai- sant tourner l'arbre 53 de donner un excès de course aux poussoirs 66-66a et aux caractères 25-25a, puis de rapprocher légèrement les poussoirs 66-66a. Dans cette position de repos, les tourillons 31 des caractères 25-25a qui sont maintenus par les doigts 29, ne sont pas en contact avec les crochets 67 des poussoirs 66-66a et peuvent ainsi se déplacer librement lors du mouvement de rotation du tambour (Fig.9)
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La machine comporte un dispositifusuel de verouillage de l'arbre 53 permettant d'éviter les fausses manoeuvres .Dans l'exemple représenté à la figure 8, une pièce 69 montée sur l'ar- bre 53 comporte un do 70,
une butée mobile formée par l'extré- mité d'un levier coudé 71 étant placé en position de repos en fa- ce de ce doigt 70. Ce levier 71 , articulé en 72, est relié par une biellette 73 à un autre levier 74 fixé sur un arbre 75 termi- né par un levier 74a. L'extrémité libre du levier 74a porte un doigt ou ergot 76 mobile dans une gorge circulaire 77 formant une extrémité d'une pièce tubulaire 78. Cette pièce 78 ooulisse dans le tube 45 et un plateau d'embrayage 79 est fixé à son ex- trémité supérieure. Un ressort 80 prenant appui d'une part sur le volant 48 et d'autre part sur le plateau 79 tend à appliquer celui-ci contre une bride 81 fixée sur le volant 48 par exemple par des colonnes 82.
Dans cette position (représentée à la figu- re8) la butée mobile 71 se trouve en fioe du doigt 70 et empêche ainsi l'arbre 53 de tourner dans le sens de la flèche fl .
Un dispositif approprié permet d'immobiliser le tambour 22-22a pendant l'estampage ce ce dispositif est constitué par exemple, par une roue à denture spéciale 83 olavetée sur l'ar- bre 34. Un doigt 85 coulissant dans un logement 86 est soumis à l'action d'un ressort 87 qui tend à 1'écarter de ladite roue et à l'appliquer contre un bras 88 d'un levier double. L'autre bras 88a de ce levier porte un galet 89 roulant sur une came de profil approprié calée sur l'arbre 53.De préférence, les bras
88 et 88a du levier double, articulés en 90, sont reliés l'un à l'autre par un dispositif élastique, par exemple par un ressort 91 guidé par une tige 92 et prenant appui sur des bossages 93 de ces deux leviers de façon à absorber l'excès de course du levier 88a lorsque le doigt 85 est bloqué à fond de la denture de la roue 83.
En outre le bras 88 du levier est relié par une tige 94 à un bras 95 qui enclenche le levier 74a .
Le cliché 24 est susceptible d'êtredéplacé entre les deux
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plateaux 22-22a de manière à produire l'estampage et les perfora tions aux points vouluso A cet effet, le cliché 24 est porté par, un plateau 96, coulissant horizontalement dans une glissière d'un chariot 97, de manière à être rapproché ou écarté plus ou moins de l'axe 34 du tambour 22-22a 0 Le plateau 96 est solidaire d'une crémaillère 98 engrenant avec un pignon 99 claveté sur un arbre 100 que l'on peut faire tourner à la main.
De préférence, un dis- positif élastique,(non représenté) tend à rappeler le plateau 96 en arrière, dans le sens de la flèche f2 et à retirer ainsi le cliché 24 du tambour 22-22a , Un cliquet 101, en prise avec une denture 102 en dents de loup s'oppose à ce mouvement.
Le chariot 97 se déplace perpendiculairement au mouvement du plateau 96, c'est à dire tangentiellement au tambour 22-22a sur une règle fixe 103 (représentée en traits mixtes à la figure 12) portée par le bâti 42, Le chariot 97 est solidaire d'une crémaillère double 104, dont les dentures inférieure 105 et su- périeure 106 sont en dents de loup inclinées du même côté. Ces dentures sont en prise respectivement avec des cliquets 107 et 108 qui l'immobilisent à rencontre d'un ressort de rappel non représenté tendant à déplacer le chariot 97 et la crémaillère 104 (Fig. 12) dans le sens de la flèche f3.
Le cliquet supérieur 108 est fixé sur une tige porte- cliquets 109 mobile verticalement à travers le bâti 42 et rappe- lée vers le bas par un ressort 110 (Fig. 8) Le oliquet inférieur 107 est susceptible de coulisser verticalement sur le porte-cli- quet 109, un ressort 111 le maintenant appliqué contre la denture inférieure 105. Les dentures 105 et 106 sont décalées d'une demi- dent l'une par rapport, les cliquets 107 et 108 étant suivant un même axe vertical. Ainsi lorsque l'un des cliquets est en prise, 1 l'autre est inaotif et se trouve entre deux dents. Si le premier libère la crémaillère, celle-ci se déplace d'une demi-dent et le deuxième cliquet se trouve en prise à son tour, tandis que le pre- mier vient entre deux dents.
L'écartement des dents de la crémaillère 104 est choisi de
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telle sorte qu'il correspond à la distance entre deux caractères successifs sur le cliché 24. De préférence, on emploie pour les chiffres des caractères moins rapprochés que pour le texte de ma- nière à éviter les erreurs de lecture.
Pour cela, les dentures comportent par exemple, deux pas différents, l'un p sur une cer- taine largeur oorrespondant au passage sous les caractères d'es- tampage de la partie du cliché réservé au texte, l'autre P, plus grand que le premier, sur le reste de la crémaillère correspondant à la partie du cliché réservée aux chiffres et aux perforations,
Le déplacement du cliché 24 entre les plateaux pour l'es- tampage des caractères successifs et, par conséquent, l'avance de la crémaillère 104 dans le sens de la flèche f3, peuvent être réali sés automatiquement . Dans l'exemple représenté à la figure 8 , l'ex trémité inférieure de la tige 109 prend appuis sur un poussoir 112 qui repose à l'extrémité d'un bras d'un levier coudé 113 ar- tioulé en 114 .
Sur ce levier 113 est articulée une biellette 115 dont l'autre extrémité comporte une boutonnière 116 dans laquelle coulisse un axe 117 porté par le levier 95,
L'avancement du chariot 97 peut être également commandé à la main, par exemple par un bouton 118 placé sur le volant 48 (fig. 8) Ce bouton est solidaire d'une tige 119 logée à l'intérieur du tube 78 et reliée par leviers et câble Bowden (non représentés) à la tige porte-cliquets 109 e Un ressort 120 prend appui d'une part sur une bague 121 fixée sur la bride 81 et d'autre part sur le bouton 118 .une bague 122 est maintenue, par une goupille par exemple, sur la tige 119 et limite le déplacement de oelle-oi sous l'action du ressort 120.
De préférence, la chariot 97 est lui-même pourvu d'un dis- positif tabulateur, sur lequel on agit pour faire avancer ce ohariot dans le sens de la flèche f (fige 12) Ce dispositif comporte un levier coudé 123 monté oscillant sur un axe 124 et dont un bras forme une touche 125;tandis que 1'autre appuie sur une tige 126.
Cette tige 126 peut coulisser grâce à des boutonnières sur des er-
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gots fixes, un ressort de rappel 127 tendant à la ramener dans sa position de repos, le porte-cliquets 109 prend appui par un doigt 128 sur une rampe 129 de cette tige de sorte que lorsque celle-ci se déplace en sens inverse de la flèche f3 le porte-cli- quets 109 est soulevé,
Le retour (en sens inverse de la flèche f3) du chariot
97 est obtenu dent par dent, par un dispositif comprenant une touche 130 formant l'un des bras d'un levier 131 articulé en 132.
L'autre basde ce levier, rappelé dans le sens de la flèche f3 par un ressort 133, agit sur une tige 134 coulissant , par des bouton- nières sur des goujons , Deux cliquets 135 et 136 sont articulés sur la tige 134 et engrènent avec la denture 106. La distance 1 entre
135 le cliquet/et le cliquet 108 est un multiple du pas p de l'une des dentures de la crémaillère tandis que ladistance de l'autre cliquet 136 avec le cliquet 108 est un multiple du pas P de l'au- tre denture de la crémaillère. Ainsi lorsque les deux cliquets travaillent sur la denture de pas p le rappel du chariot a lieu par ces deux cliquets.
Lorsque l'un 135 est sur la denture de pas p et l'autre 136 sur la denture de pas P, ils travaillent alterna- tivement Enfin lorsqu'ils sont tous les deux sur la denture de pas P , seul le cliquet 136 assure le rappel du chariot.
Lorsque l'estampage du texte du cliché est très oourt et que l'on veut passer immédiatement à l'estampage des chiffres, on peut faire avancer rapidement le chariot, dans le sens de la flèche f3, jusqutà la position voulue, par un dispositif qui libère la cré- maillère 104 à la fois des cliquets 107 et 108 . Ce dispositif est constitué, par exemple par une touche formant l'un des bras d'un levier coudé 137 monté oscillaht sur un axe 138.
L'autre bras de ce levier agit sur une tige 139, qui coulisse, par des boutonnières sur des goujons fixez et est rappelée dans le sens de la flèche f3 Par un ressort 140.Cette tige 139 est reliée, par un levier 141 monté oscillant sur un axe 142, à une pièce 143 qui peut coulisser par des boutonnières sur des ergote,
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La pièce 143 comporte deux rampes 144 et 145 susceptibles de venir en contact, l'une avec un goujon 146 fixé sur le porte- cliquet 109 , l'autre avec goujon 147 solidaire du oliquet mobile
107. Ainsi, lorsque la pièce 143 se déplace dans le sens de la flèche f3, les rampes 144 et 145 de cette pièce provoquent l'éoar tement des cliquets 107 et 108 et libèrent la crémaillère 104 qui se déplace dans le sens de la flèche f3 sous l'action de son ressort de rappel.
Une butée 148 est fixée sur la crémaillère 104, en un point convenable, de manière à limiter la course de la orémail- lère dans ce sens, par la rencontre de cette butée avec la bora d'une entaille 149 pratiquée dans le porte-cliquet 109. Cette entaille est placée de telle sorte que la butée 148 puisse la traverser lorsque la porte-cliquets 109 s'est abaissé et que les cliquets 107 et 108 ont repris leur position normale. Ainsi le chariot peut continuer à avancer dent par dent pour l'estampage des chiffres.
Le fonctionnement de cette maohine est le suivant ; on pla- ce (fig. 8) le cliché 24 à estamper et à perforer sur le plateau 96 dont on règle la position par la crémaillère 98 et on déplace le chariot 97, par sa crémaillère 104, sur la régle fixe 103 ,de manière à amener à l'endroit de l'estampage le point voulu du oli- ché. on fait tourner le tambour 22-22a par le volant de manoeuvre 48 jusqu'à amener au point d'estampage, entre les poussoirs 66-66a les caractères 25-25a choisis. L'aiguille 49 permet de repèrer cette position.
A ce moment on appuie sur le plateau d'embrayage 790 Le le- vier 74 pivote dans le sens de la flèche f4 et entraîne par la tige 94 le levier 88 qui repousse le doigt 85 contre la roue dentée 83. Le doigt 85 s'engage entre deux dents de cette roue et immobilise le tambour 22-22a. Pendant ce mouvement l'ergot 117 se déplace dans la boutonnière 116,de sorte que la tige 115 n'est pas entratnée.
En même temps , la rotation du levier 74 autour de son axe entraîne celle du levier,. 71 dans le sens de la flèche f5, ce
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qui libère la pièce 69 et/provoque l'embrayage pour une rota- tion d'un tour de l'arbre 53 dans le sens de la flèche f au moyen du volant 52. Les cames 54 calées sur cet arbre soulèvent les galets 55 et 55a et 89.
Le bras 88du levier double pivote donc autour de l'axe 90 et entratne dans sa rotation l'autre bras 88. Celui-ci enfonce plus avant le doigt 85 entre les dents de la roue 83. De plus, l'ergot
117 de la tige 94 prenant l'appui sur le fond de la boutonnière 116, entraîne par la tige 115 le levier coudé 113 qui soulève la tige porte-oliquets 109, et par conséquent le cliquet fixe 108 par rapport à la crémaillère 104 * Ce cliquet libère ladite orémail- lère qui avance d'une démirent et vient en prise avec le cliquet inférieur 107.
De même, les galets 55-55a étant soulevés par les cames cor- respondantes 54, les leviers 59-59a-65-65a pivotent autour de leurs axes et prennent appui sur les poussoirs 61 et 61a, 66 et 66a. Les poussoirs 66-66a enfoncent les caractères choisis 25-25a dans le cli ohé 24 et le chiffre qu'ils portent est ainsi estampé à la base du cliché . En même temps, les poinçons et matrices 32a-32 sous l'action des poussoirs 61-61 perforent ce cliché 24 au point correspondant au chiffre estampé. Si le caractère estampé est une lettre, il ne se trouve'pas de poinçons et matrices sous les poussoirs 61a-61 de sorte qu'il n'y a qu'estampage sans perforation comme dans les estampeuses connues.
En fin de rotation , les poussoirs reprennent leur position de repos, comme représenté à la figue 8, sous l'action des ressorts de rappel. Les poinçons et matrices ainsi que les caractères repren- nent aussi leurs positions primitives comme il a été indiqué.
En même temps, le galet 89 se rapproche de l'arbre 53 et le bras 88 du levier double, sous l'action du doigt 85, rappelé par le ressort 87, revient an arrière, libérant la roue 83 et par suite le tambour 22-22a. Le porte-cliquet 109 descend sous l'action du ressort de rappel 110. Il en résulte que le cliquet supérieur 108 s'abaisse et se place entre deux dents de la denture 106, Le cliquet inférieur
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107 s'abaisse aussi et libère la crémaillère 104 qui avance d'une demi-dent et vient en prise par sa denture supérieure 106 aveo le cliquet supérieur 108.
De plus, pendant la rotation de l'arbre 53 et le retour du levier 88, ce levier a entraîne par la tige 94 et en sens inverse de la flèche f4le levier 74 qui était aussi sollicité par l'axe 78 et le ressort 80. Le mouvement de ce levier coudé 74 a ramené la butée mobile 71 en faoe du doigt 70 de la pièce 69 et a ainsi immobilisé de nouveau l'arbre 53.
Pour estamper le chiffre suivant , il suffit de reoommenoer les mêmes opérations dans qu'il soit nécessaire de faire avancer ohariot puisque l'avance se prodit automatiquement en deux temps, d'une demi-dent de la crémaillère 104 à chaque temps. Si l'on dé- sire laisser un intervalle entre deux caractères; on fait avancer le chariot de la quantité voulue en agissant soit sur le bouton
118 soit sur la touche 125.
Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée aux modes d'exécution représentés et décrits qui n'ont été choisis qu'à ti- tre d'exemple. En particulier, les dispositions des textes et des perforations sur les clichés peuvent être tout autres, et être dans tous les cas le mieux adaptées à l'application en vue. De plus, la constitution des caractères de la machine à estamper dépend de la matière dont est formé le cliché. 0 est ainsi que, dans le cas par exemple, où l'on prépare un cliché stencil sur papier japon,le texte et les chiffres peuvent Être produits sur ce stencil par simple pression des daractères mâles sur une matière plastique, caoutchouc ou autre, effectuant le même travail que les caractères d'une ma- chine à écrire.
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