BE530222A - - Google Patents

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BE530222A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B27/00Control, indicating, or safety devices or systems for composing machines of various kinds or types
    • B41B27/02Systems for controlling all operations
    • B41B27/10Systems for controlling all operations with direct control of all operations by input of recorded or stored information

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  • Toys (AREA)

Description


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   La présente invention a trait aux appareils servant à commander automatiquement le fonctionnement des machines à fondre et composer les li- gnes typographiques et a principalement pour objet d'accroître la vitesse de fonctionnement de ces appareils et de réaliser un appareil de commande facilement adaptable en vue de son application à différents types connus de machines à composer. 



   Le genre particulier d'appareil de commande automatique que concerne l'invention est un appareil dans lequel une succession de signaux de code représentant les divers caractères destinés à être composés par la machine à composer et fondre les lignes typographiques, et d'autres fonc- tions de travail destinées à être réalisées par cette machine,sont enre- gistrés sur un ruban qui est animé d'un mouvement d'entraînement en regard d'un dispositif lecteur d'enregistrement à fonctionnement cyclique qui, à chaque cycle de travail,

   agit de manière à sonder un signal de code enre- gistré et à actionner un mécanisme de transfert grâce auquel des positions de code de permutation conformes au signal de code enregistré sont commu- niquées à une série de barres sélectrices à partir desquelles ces positions sont transférées à une série de barres de code servant à commander la dis- tribution ou mise en liberté des diverses matrices à caractères et à dé - clencher les autres fonctions de travail qui doivent être accomplies par la machine à composer et fondre les lignes typographiqueso 
Conformément à l'invention, il est prévu un appareil du genre ci-dessus dans lequel,au lieu que les positions de code de permutation imparties aux barres sélectrices soient, comme jusqu'à ce jour, directement transférées aux barres de code,

   elles leurs sont transférées par 1'intermédiaire d'un mécanisme de transfert supplémentaire qui est actionné séparément sous la commande du dispositif lecteur d'enregistrement, après que ce dispositif a actionné le mécanisme de transfert mentionné en premier lieu. 



   En construisant ainsi l'appareil, de façon qu'il possède en réalité deux cycles de travail distincts,on obtient un "recouvrement" grâce auquel le cycle de travail suivant du lecteur d'enregistrement peut être commencé pendant que le fonctionnement de la machine est commandé en fonction des positions de code de permutation imparties aux barres de code.Il en résulte que le temps dont on dispose, pour toute vitesse donnée, pour accomplir certaines fonctions devient plus long que celui dont on disposait pour accomplir les mêmes fonctions avec un appareil de commande ne comportant qu'un seul cycle   'le   travail 
Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, l'arbre à cames du mécanisme lecteur d'enregistrement (appelé ci-après "lecteur de ruban" pour plus de concision),

   lequel est animé d'une rotation au cours de chaque cycle de travail dudit lecteur,est destiné, pendant sa rotation, à actionner un contact pulsatoire grâce auquel un second arbre à cames est mis en rotation pour actionner le mécanisme de transfert   supplémentaireo   Ce dernier comprendun étrier pivotant qui coopère avec une came du second arbre à cames et qui est contraint par ladite came à tourner autour de son pivot de telle sorte qu'une série de leviers de transfert portés par ledit étrier sont actionnés de manière à sonder la position de code de permutation des barres sélectrices et à transférer les positions correspondantes aux barres de code par 1-'intermédiaire de bielles individuelles qui sont articulées aux leviers de transfert et aux barres de code. 



   L'appareil qui sera décrit plus loin est aussi pourvu d'un mécanisme à temps qui est mis en action, sous l'influence du sondage de certains signaux de code enregistrés spéciaux qui exigent l'introduction d'un retard dans la commande de la machine à fondre et composer les lignes typographiques, ainsi que de moyens propres à arrêter le fonctionnement cyclique normal du lecteur d'enregistrement lorsque s'effectue le sondage d'un signal de code enregistré spécial qui exige un intervalle de retard, le rôle dudit mécanisme à temps étant de commander l'actionnement du mécanisme de transfert supplémentaire et de régler le temps qui s'écoulé avant que le 

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 fonctionnement cyclique normal du lecteur d'enregistrement soit repris,

   de manière à introduire l'intervalle de retard nécessaire dans la commande de la machine à fondre et composer les lignes typographiques. 



   Le mécanisme à temps comprend une série d'ensembles de cames commande par friction montées sur un arbre tournant continuellement et dont chacun est mis en rotation par le sondage d'un signal de code enregistré spécial de nature différente exigeant une période de retard, et a pour rôle d'introduire la période de retard appropriée à l'aide de contacts qui sont ouverts et fermés par ses cames. 



   Ainsi, un des ensembles de cames est mis en rotation à l'effet d'introduire le retard approprié (retard de caractère double) sous l'in fluence du sondage du second de deux signaux de code identiques enregistrés successivement, un autre est mis en rotation pour introduire le retard approprié (retard de déplacement de rail) souns l'influence du sondage d'un signal de code enregistré de "déplacement" oude "rappel",un autre encore est mis en rotation pour introduire le retard approprié et provoquer la mise en liberté ou distribution d'une espace-bande et d'une matrice d'espace fixe, en succession, sous l'influence du sondage d'un signal de code enregistré spécial (signal d'espace-bande "extraordinaire't)

   qui exige la distribution de l'un et l'autre de ces deux éléments de compositiono Le mécanisme à temps est construit de façon à pouvoir être aisément réglé à l'effet de faire varier les intervalles de temps qu'il permet d'obtenir, afin de satisfaire aux besoins de différents types de machines à composer. 



   Il est aussi prévu et décrit ci-après des moyens grâce auxquels, après qu'un signal de code enregistré se rapportant à une espace-bande "extraordinaire" a été sondé et a provoqué la distribution d'une espace-bande et d'une matrice d'espace fixe en succession, le sondage de chacun des signaux de code enregistrés pour des espaces-bandes qui se succèdent après le signal de code enregistré   pourune   espace-bande extraordinaire, dans une série de signaux de code enregistrés correspondant à une ligne de caractères qui doit être composée par la machine, a pour effet d'introduire à la fois une matrice d'espace fixe et une espace-bande dans la partie restante de la ligne typographique. 



   L'invention sera mieux comprise par la description détaillée donnée ci-après, à titre d'exemple, d'une forme préférée de réalisation, avec référence aux dessins annexés dans lesquels : -la figure 1 est une vue de face d'une machine à fondre et composer les lignes typographiques qui est pourvue d'un appareil de commande automatique conforme à l'invention; - la figure 2 est une vue en plan d'une portion de la machine représentée à la figure   1,   cette vue illustrant l'appareil de commande automatique; - la figure 3 est une coupe transversale prise à travers le clavier et le mécanisme distributeur de matrices, le plan de coupe étant approximativement indiqué par la ligne 3-3 de la figure 1; - la figure   4   est une coupe transversale du mécanisme de commande des barres de frappe;

   - la figure 5 est une vue en plan à plus grande échelle, avec arrachement partiel, illustrant le mécanisme sélecteur de l'appareil de   com-   mande automatique, y compris le mécanisme de déplacement; - la figure 6 est une coupe transversale illustrant les éléments sélectables servant à commander le mécanisme de déplacement; - la figure 7 est une vue en élévation latérale du clavier et représente en coupe partielle l'élévateur de composteur; - la figure 8 est une vue de détail en perspective d'une matri- 

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 ce et illustre une partie du bloc de composteur et des rails inférieur et supérieur; - la figure 9 est une vue en perspective donnant le détail du mécanisme moteur et des éléments associésentre autres du lecteur d'enre- gistrement et des pièces associées;

   - la figure 10 est une coupe longitudinale du lecteur   d'enre-   gistrement et des pièces associées; - la figure 11 est une vue partielle par la ligne 11-11 de la figure 10; - la figure 12 est une vue en plan partielle du lecteur d'en- registrement et des pièces associées; - la figure 13 est un détail en coupe illustrant le mécanisme de commande de l'embrayage de l'unité motrice; - la figure 14 est une vue en perspective représentant les éléments du mécanisme à temps séparés les uns des   autres;   - la figure 15 est un schéma de circuit électrique du mécanisme à temps; - la figure 16 est un détail en coupe par la ligne 16-16 de la figure 12; - la figure 17 est une coupe partielle représentant le dispositif d'entraînement du ruban;

   - la figure 18 est une vue en élévation du mécanisme de   comman-   de d'espaces fixes supplémentaires; - la figure 19 est une vue en bout correspondant à la figure 18; et - la figure 20 est une vue en plan   d'un   fragment du ruban de commande contenant des signaux enregistrés servant à libérer successivement une espace-bande seuleune matrice d'espace fixe seule et,à la fois,une espace-bande et une matrice d'espace   fixeo   
On se réfèrera d'abord aux figures 1 et 2 où l'on voit que 1'unité de commande automatique est supportée par un bâti principal 21. Ce bâti est monté au-dessous du clavier manuel 22 (figure 1) que comportent habituellement les machines à fondre et composer les lignes typographiques. 



  Dans le cas du plus grand nombre des barres posantes 59 (figure 3),il est prévu non seulement un levier à touche 57 commandé manuellement, mais aussi un levier indépendant à   commande   automatique 27, alors quedans le cas de ceux des caractères dont les leviers à touche à commande manuelle sont situés dans les deux rangées inférieures du groupe de six rangées horizontales de leviers à touche (figure 3), chacun des leviers à touche 57 a été modifié par   l'addition   dune portion déportée 26 qui est semblable de facon générale aux portions correspondantes des leviers à commande automatique 27 mais qui, dans ce casfait corps avec les leviers à touche à commande manuelle.

   Le bâti 21 s'étend au-dessous du clavier entier et supporte, entre autresles barres de code 77 et les barres sélectables 76 (figure 3) 
Une poulie d'entraînement appropriée 36 (figure 1) est calée sur un arbre commandé 37 faisant partie de la machine et actionnepar l'intermédiaire d'une courroie de transmission 38, une poulie commandée 39 (figure 12) et un arbre 41,qui tourne continuellement et sur lequel sont calés trois pignons à denture hélicoïdale 40, 42 et 43 (figure 12)oLe pignon 42 actionne une roue à denture hélicoïdale 44 montée folle sur un arbre 45 tournant dans des paliers appropriés   dubâti   21, Le pignon   43   engrène avec une roue à denture hélicoïdale 47 montée sur un arbre 48 de la même manière que le pignon 42,

  engrène avec la roue à denture hélicoïdale 44 

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 de l'arbre 45, mais comme son diamètre est un peu plus petit et que son rapport de transmission avec sa roue   47   est modifié   d'une   façon correspondante, il communique à ladite roue   47   montée sur l'arbre 48 un mouvement qui, dans une mesure correspondante, est plus lent que celui communique à la roue hélicoïdale   44   de 1'arbre 45. De même,   le pignon   hélicoïdal   40   engrène avec une roue hélicoïdale 46 montée folle sur un arbre 50.

   Chacun des arbres 45,   48   et 50 est accouplé avec la roue hélicoïdale correspondante 44,   47   et 46 par   1-'intermédiaire   d'embrayages à griffes chargé par un ressort 49,   314   qui sont tous trois de construction similaire. 



   L'arbre 45 porte trois cames qui actionnent le mécanisme lec teur d'enregistrement 54 et sera appelé ci-après "arbre à lecteurd'enregistre-   ment"; il   porte en outre une roue dentée de commande 52 (figure 12) actionnant un arbre à cames 53. L'arbre 48 porte une came 256 servant à actionner le mécanisme élévateur et une autre came 270 servant à débrayer   sapro-   pre liaison motrice et à   commander   la liaison motrice avec l'arbre à lecteur d'enregistrement   45   à l'achèvement de chacun des cycles de son propre fonctionnement,cet arbre   48   étant appelé ci-après "arbre à cames d'é-   lévateur".,

     L'arbre 50 porte une came de transfert 31 servant à commander le fonctionnement d'un mécanisme de transfert supplémentaire qui permet à l'unité de commande automatique de fonctionner sur une base à deux cycles. 



   On se référera maintenant à la figure 3. où l'on voit que les quatre rangées supérieures de leviers à touche 57 qui pivotent sur des arbres 58 sont convenablement articulées,en 61,à l'effet de faire mouvoir des poids 59, une liaison à course morte qui permet un jeu considérable étant prévue aux divers points d'articulation en raison de   l'excès   de jeu existant dans les entailles 62 Une frappe ou "touche" particulière est obtenue en   prévoyant   un rapport de bras de levier constant dans tous les leviers à touche, bien que, ainsi qu'il ressort d'un examen du dessin, les rangées horizontales successives, considérées de haut en bas, sont composées de leviers dont la longueur augmente progressivement.

   Chacun des poids 59 présente une série d'entailles de la disposition normale, comprenant plusieurs entailles non utilisées 62 afin de faciliter leur remplacement. Les deux rangées inférieures de leviers à touche, qui pivotent en   64,  sont montées de façon à pouvoir être assemblées avec l'entaille la plus basse 62 de certains des divers poids 59 et sont pourvues de prolongements déportés 26 faisant saillie à travers un panneau 63 du cleviero On voit ainsi que, en ce qui concerne la mise en liberté ou "distribution" des matrices commandées par les leviers à touche des quatre rangées supérieures (figure 3), une telle distribution peut être effectuée à l'aide soit d'un levier à main   57,   soit   d'un   levier à commande automatique   27,

    chacun de ces deux leviers étant actionné indépendamment pendant que l'autre reste non actionné, mais que, en ce qui concerne la distribution des matrices commandées par les leviers à touche des deux rangées inférieures, un seul levier est utilisé à la fois pour le fonctionnement manuel et pour le fonctionnement automatique. 



   Une rangée de leviers coudés 65, supportés par un arbre commun 66 et disposés en alignement, sont p lacés à recouvrement par rapport aux prolongements sus-mentionnés 26 de manière à venir à leur contact lorsqu'ils sont animés d'une rotation destrorsum en antagonisme à l'action de ressorts individuels 67 Le bras vertical 68 de chacun des leviers 65 est placé en regard d'un certain élément faisant partie d'une série correspondante   d'élé-   ments intercalaires 69 qui, ainsi qu'il ressort de la figure 3, sont disposés suivant deux rangées symétriques d'éléments se faisant face et qui ressemblent à des structures en   foame   de ciseaux en raison de leur forme particulière.

   Les deux rangées d'éléments intercalaires 69 sont principalement supportés par un arbre commun   71   autour duquel ils sont normalement sollicités par leurs ressorts individuels 72 de façon que leurs crochets ou portions déportées   73   soient situés hors du chemin d'un organe de commande ou barre de frappe 74. Les queues des divers éléments intercalaires 69 occupent des positions de coopération par rapport aux extrémités 75 d'une sé- 

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 rie correspondante de barres sélectables 76 quià leur tour, occupent une position de travail par rapport à une série de barres de code 77.

   Les barres de code 77 sont pourvues   d'entailles   et de gardes à la fois sur leurs bords supérieurs et sur leurs bords inférieurs et, de cette manière, permettent l'aménagement d'une double rangée de barres sélectables 76 qui sont montées pour pivoter autour d'un axe-pivot commun 78, Les éléments tourner l'un vers l'autre de chaque paire de barres sélextables 76 sont normalement sollicités l'un vers l'autre par un ressort commun 79.

   Les barres 76 tendent normalement à entrer sélectivement en prise avec les barres de code 77, mais elles en sont empêchées par deux barres ou étriers d'écartement 81 et 82 supportés à chaque bout par des bras à galet de came 83 et 84, respectivement9 et qui sont normalement sollicités l'un vers l'autre par un ressort commun 85 de telle sorte que les galets de came 86 portés par ces bras roulent normalement sur la périphérie d'une came d'écartement 87 montée sur un arbre 53 
Sur l'arbre 53 (figure 4) est aussi montée une came 89 qui coopère avec un galet de came 91 porté par un levier coudé 92 pivotant en 93 sur le bâti 21. Au bras inférieur du levier coudé 92 est articulée une des extrémités   d'une   bielle 94 dont l'autre extrémité est articulée à un organe 95 supporté par un pivot 96 et servant à actionner la barre de frappe.

   L'organe 95 est normalement sollicité dans le sens sinistrorsum par un ressort 97,de sorte que la tringlerie décrite ci-dessus maintient le galet de came 91 au contact de la périphérie de la came 890 L'organe 95 présente une entaille 98 destinée à coopérer avec des tourillons 99 portés par les extrémités de l'étrier ou barre de frappe 74 Il va de soi qu'un ensemble comprenant une came 89 et la tringlerie associée est prévu à chacune des extrémités de l'arbre   53,   de telle sorte qu'un mouvement alternatif est communiqué à la barre de frappe 74 
Lorsque les barres de code 77 sont mises en position de façon pertmutative ainsi qu'il   ressortira   de ce qui   suit.9   l'arbre 53 et la came 87 reçoivent une rotation qui a pour effet de tirer l'un vers l'autre les étriers 81 et 82 sous l'action du ressort 85.

   en provoquant la sélection d'une des   barras   76 qui fait osciller l'élément intercalaire 69 qui lui est associé pour amener l'épaulement 79 de cet élément sur le chemin de la barre de frappe 74 Lorsque la barre de frappe 74 se meut vers la gauche (en regardant la figure 5):

  elle entraîne   Isolément   intercalaire sélecte 69 pour provoquer le pivotement dextrorsum de son levier coudé 659aasocié après quoi le levier de commande automatique associé 27 reçoit une oscillation sinistrorsum autour de son pivot 58 (ou   64)   pour provoquer la levée du poids associé 590 La levée d'un quelconque des poids 59 a pour effet de libérer un élément correspondant faisant partie d'une série de mécanismes à temps, désignés de façon générale par 2000 Ceci résulte d'une rotation sinistrorsum communiquée à un organe déclencheur rotatif 201 jusque ce que ledit organe ait cessé de supporter une chape à came 202,

   laquelle tombe alors jusqu'à ce que la denture périphérique 203 d'une came 204 montée de façon pivotante entre les branches de la chape 2029 entre en prise avec un rouleau de caoutchouc 205 tournant continuellemento L'entrée en prise des dents 203 avec le rouleau 205   comnunique   une rotation dextrorsum à la came 204 qui, en raison de son excentricité, soulève la chape 202 jusqu'à ce que son extrémité opposée   206,  qui bute contre une lame de distribution 207,   comnunique   une course de distribution réglée dans le temps au mécanisme distributeur de matrices,désigné par 208, après quoi la chape 202 est de nouveau supportée par l'organe déclencheur 201 en attente d'un autre mouvement de distribution des matriceso 
Le rôle des mécanismes à tempsainsi qu'il est généralement connu,

   est d'assurer untemps suffisant pourpermettre au mécanisme de distribution 208 du magasin de fonctionner sans qu'il faille le même temps pour abaisser une touche de commande 570 L'application d'un tel élément de re tard est importante en raison du fait que le mouvement des matrices libérées   jusqu'à   la position d'assemblage s'effectue par gravité. En effet, sans un 

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 tel retard, et en particulier sous une commande automatique,un dispositif de distribution directe pourrait être actionné et ramené à sa position normale avant que la matrice ait eu le temps de quitter son magasin   209,  Un de ces mécanismes à temps ou à "recouvrement" des fonctions dans le temps, est prévu pour chacun des leviers 57, son rôle étant de libérer une matrice 211 du magasin 209. 



   On se référera maintenant aux figures 9 et 10. Les parties de droite des barres de code 77 sont articulées à l'une des extrémités de bielles individuellement associées 101, dont l'autre extrémité est articulée à l'élément correspondant d'une série de leviers de transfert en fourme de T associés 102, qui sont montés de façon pivotante sur un arbre-pivot 103, lui-même monté dans l'extrémité d'un des bras 104 d'un étrier à leviers de transfert 105 dont les bras   104   et 106 pivotent sur un arbre-pivot 107 convenablement disposé dans le bâti 21. L'étrier à leviers de transfert 105 porte à l'extrémité du bras 106 un galet de came 108 qui coopère avec la came de transfert 31 fixée à l'arbre 50.

   L'étrier 105 est normalement sollicité dans le sens dextrorsum par un ressort   109   maintenant le galet 108 contre la périphérie de la came 51. 



   Les leviers de transfert 102 présentent deux butées 111 et 112 qui sont en liaison de travail avec deux butées 113 et 114, respectivement formées sur une série de barres sélectrices intermédiaires 115 convenablement supportées dans le bâti 21 pour se mouvoir longitudinalement et parallèlement. Les butées 111 à   114   sont espacées de telle sorte que lorsque   l'une   ou l'autre des deux butées 113 ou   114   est amenée en   'regard de   la butée associée 111 ou 112, l'autre butée 113 ou 114 est légèrement écartée de la butée associée. Chacune des barres sélectrices intermédiaires 115 est articulée à son extrémité de droite (figure 10) au bras 117 d'un levier 118 de transfert en forme de T associé, pivotant sur un arbre-pivot 119 monté sur un étrier de transfert 121.

   Les leviers 118 présentent des butées 122 et 123 destinées à coopérer avec des butées 124 et 125, formées sur une série correspondante de leviers-sonde 126 du ruban, pivotant sur un arbre-pivot 127 convenablement disposé dans le lecteur d'enregistrement 54. Chacun des leviers 126 présente un bras 128 qui se termine par une tige 129 destinée à sonder un ruban 131 qui a été pourvu de combinaisons de perforations conformes à un code de permutation à six unités.

   Les leviers 126 présentent aussi un orifice intermédiaire 130 qui laisse à une barre fixe 120 placée dans ledit orifice un jeu suffisant pour permettre un léger mouvement alternatif des leviers 1260 
Des ressorts individuels 132 sollicitent normalement les le viers 126 vers leur position sinistrorsum extrême, en étant soumis cycliquement à l'action antagoniste d'un étrier   433   à mouvement alternatif. Cet étrier est pourvu d'une barre transversale 434 placée au-dessous de prolongements horizontaux   435   faisant partie intégrante des leviers-sonde 126. 



  L'étrier 433 est supporté pour pivoter de manière appropriée et porte un galet de came (non représenté) qui coopère avec une came montée sur l'arbre 45. Sur l'arbre 45 est aussi montée une came (non représentée) qui sert à actionner un dispositif 136 d'avance du ruban (figure 17 ) portant un cliquet d'entraînement 437 qui coopère avec un rochet 438 d'entraînement du ruban. Le mouvement alternatif du cliquet 437 communique ainsi, par   l'interné-   diaire du rochet 438, un mouvement intermittent à un arbre d'entraînement   439   qui porte un pignon d'entraînement   441   dont les dents 442 coïncident avec une rangée longitudinale centrale de trous du ruban 131. 



   Ainsi,conformément à l'action réglée dans le temps des étriers   433   et 121, le groupe de leviers-sonde 126 est d'abord mis à même d'effec tuer une rotation sinistrorsum (à un degré limité par la barre 120), et, pendant ce temps, ceux des leviers 126 dont les tiges 129 ne sont pas arrêtées par le ruban d'enregistrement 131 mais sont au contraire placées en regard d'une perforation dudit ruban sont mis à même de tourner jusqu'à ce que leurs butées respectives 125 soient venues en regard des butées corres- 

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 pondantes 123, alors que les autres leviers 126 qui sont empêchées d'effectuer une telle rotation sinistrorsum restent dans la position qu'ils occupent à la figure   10,

     avec leurs butées 124 placées en regard des butées correspondantes   1220   
Immédiatement après cet état de choses, l'étrier de transfert 121 reçoit une rotation sinistrorsum pour amener les leviers à T 118 en prise avec les leviers-sonde respectifs 126 et, dans une mesure qui dépend de celle des deux positions que ces leviers sont susceptibles de posséder, lesdits leviers   118   sont amenés à des positions correspondantes et communiquent un déplacement semblable aux barres sélectrices intermédiaires associées 115 De cette manière, un ensemble de positions correspondant à la combinaison de perforations présente dans chaque rangée transversale du ruban est communiqué aux barres sélectrices intermédiaires 115 Après chacune des opérations de ce genre,

   le ruban   131   est entraîné paréchelons vers l'avant jusqu'à ce qu'une autre rangée transversale de perforations ait été amenée en regard des tiges-sonde 1290 
Les divers leviers-sonde 126 sont ramenés à leur position normale ou initiale en un point déterminé de chaque cycle de travail, mais les leviers de transfert 118 et les barres sélectrices intermédiaires associées
115 ne sont pas ainsi rappelés et restent au contraire dans la position à la- quelle ils ont été amenés, jusqu'à ce qu'ils soient amenés à une nouvelle position lors d'une opération subséquente du mécanisme de transfert. Ce mode de travail permet un recouvrement dans le fondtionnement des deux séries de leviers et donne aux barres sélectrices intermédiaires 115 un temps de repos maximum pendant chaque cycle de travail.

   Un autre recouvrement dans le temps est assuré entre le fonctionnement des barres sélectrices intermédiaires 115 et celui des barres de code 77 par le mécanisme de transfert supplémentaire comprenant les leviers de transfert   1020  
On attirera particulièrement l'attention sur le fait que le mécanisme de transfert composé des leviers de transfert 118, et le mécanisme de transfert supplémentaire composé des leviers 102 sont actionnés l'un après l'autres ce qui permet à l'unité de commande automatique de travailler sur la base d'un cycle à deux temps conformément auquel l'arbre   45   du lecteur de ruban est d'abord mis en action pour effectuer une lecture ou sondage du ruban   131   et communiquer une position de code correspondante aux barres sélectrices intermédiaires 113, ainsi que,

  vers la fin du cycle de travail, pour déclencher le cycle de travail de l'arbre à cames de transfert 50 à l'aide d'une came et d'un contact pulsatoire dont il sera question plus loin, ceci ayant pour effet de transférer la position de code des barres sélectrices intermédiaires 115 aux barres de code 177 Cette disposition à deux cycles augmente le temps dont dispose l'unité de commande automatique pour accomplir sa fonction de commande:, sous toute vitesse données en comparaison avec le temps qui serait disponible pour la même fonction dans le cas d'un appareil de commande à un seul cycle.

   En d'autres termes la disposition à deux cy clés assure un recouvrement qui permet au lecteur de ruban de commencer la lecture ou sondage d'une seconde rangée de perforations du ruban pendant que s'effectue la fonction de commande afférente à la rangée de perforations précédente du ruban. 



   Six des barres de code 77 sont mises en position de la manière décrite au cours de chaque cycle de travail par l'intermédiaire du lecteur d'enregistrement   54;   et il est prévu une septième barre du code 135,qui est une barre, dite à "déplacement-rappel" et qui est mise en position par une structure spéciale représentée à la figure 50 
Certains des leviers à touche sont utilisés pour effectuer les fonctions de "déplacement" et de   "rappel".   Les barres sélectables 133 et 134 (figures 5 et 6) déterminent la mise en position de la septième barre de code 135 de la manière suivante. A la barre 133 est juxtaposée une barre de traction 136 qui est destinée à effectuer le déplacement en coopérant avec ladite barre 133, cette barre 133 pivotant, de même que les barres 76, sur 

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 l'arbre-pivot 78.

   La barre de traction 136 est disposée de façon coulissante par rapport à la barre 135 comme résultat de la coopération d'une goupille 137 fixée à cette dernière avec la fente 138 de la barre 136 (figure 6) La barre 133 présente une extrémité verticale 139 qui agit, lorsque la barre 133 est sélectée, de manière à faire tourner un élément intercalaire spécial 141 autour d'un arbre-pivot 71 de manière à amener l'épaulement 73 de cet élément sur le chemin de la barre à mouvement alternatif   74.   L'élément intercalaire   141   n'est pas pourvu d'un nez susceptible de coopérer avec les leviers coudés 65 comme celui que comportent les autres éléments intercalaires   69,   étant donné que ledit élément   141   n'agit pas par l'intermédiaire d'un levier coudé 65.

   Au lieu d'un tel nez, l'élément intercalaire   141   est pourvu, sur sa portion de queue, d'une goupille 142 qui coopère avec la portion coudée verticalement 143 de la barre de traction 1360 
Après que lesbarres de code 77 ont été mises en position par le lecteur de ruban en conformité du signal de code "déplacement", la barre sélectable 133 est sélectée, après que le dispositif d'écartement 81 - 82 a fonctionné, et reçoit une rotation dextrorsum autour du pivot 78, de telle sorte que son extrémité 139 provoque une rotation.sinistrorsum de l'élément intercalaire 141 pour amener l'épaulement 73 dudit élément sur le chemin de la barre 74 Après le mouvement qu'effectue alors vers la gauche (en regardant la figure 6) l'élément intercalaire   141:

  ,   la goupille   142   de cet élément coopére avec le coude vertical 143 pour faire mouvoir la barre de traction 136 vers la gauche, en surmontant l'action d'un ressort   144.   Lorsque la barre 136 est ainsi actionnée, une saillie inférieure 145 de cette barre agit sur une des bras d'un levier coudé   146   et conmunique à ce levier une rotation dextrorsum (en regardant la figure   5),  en communiquant un mouvement semblable au loquet   147   par l'entremise d'une bielle   1480   Ce mouvement du loquet 147 libère un levier 149 auquel sont intégralement associés des bras 151 et 152, et permet à ce levier d'obéir à l'action de son ressort 153 et de tenter de déplacer la barre de code 135 vers la gauche (figure 5)

   sous l'action du bras   151   sur la saillie 154 de cette barre. Dans la forme de réalisation préférée de la tringlerie à leviers servant à déplacer la barre de code 135, il est prévu un faible jeu entre   l'extrémité   du bras de levier 151 et la saillie 154 de la barre 135 lorsque le levier   149   est retenu par l'épaulement 155 du liquet   147   afin que, dans le cas où pour une raison quelconque, la barre de code 135 ne serait pas déplacée par le ressort 156 aussitôt après l'action du loquet   147,

     l'extrémité 157 du levier 149 soit libérée de l'épaulement 155 et ne soit pas ramenée à sa position où elle est verrouillée par cet épaulement dans l'éventualité où le loquet   147   reviendrait à sa position d'inactivité avant que la barre 135 ait été déplacée. Cet jeu permet en effet une rotation suffisante du bras de levier 151 et du levier associé   149   pour assurer que, après le rappel du loquet   147,   l'extrémité 157 du levier 149 sera située au-dessous de l'épaulement 1550 La barre 135 est entaillée de telle sorte qu'elle ne fait pas obstacle à la sélection de l'une ou l'autre des barres sélectables 133 et 134 dans l'une ou l'autre de ses positions de sélection. 



   De même, le choix de la barre conjuguée 134, sous l'influence du signal de code "rappel", provoque le déplacement de la barre de code 135 dans le sens opposé,   c'est-à-dire   vers la droite en regardant la figure 5. 



  Ce déplacement est obtenu à l'aide d'une saillie similaire   145   faisant corps avec une barre 158 qui est juxtaposée à la barre 134 et coulisse par rapport à cette dernière. Lorsque la barre 158 est actionnée sélectivement, d'une manière semblable à celle décrite pour la barre   136,   elle entre en prise avec le bras 152 du levier   149   qu'elle fait mouvoir dans le sens sinistrorsum autour du pivot 159, en provoquant l'allongement du ressort 156 et un nouvel accrochage de la saillie 157 derrière l'épaulement 153 du loquet   147.   Un levier 161, relié à l'extrémité opposée du ressort 156, est sollicité par ce dernier de manière à déplacer la barre 135 vers la droite aussitôt qu'il est à même de le faire après que le dispositif d'écartement 81 - 82 a fonctionné.

   

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   Dans ce cascomme dans le premier cas, le déplacement réel de la barre de code 135 est effectué par l'intermédiaire du ressort 1560 On obtient ain- si un dispositif qui en effectuant le déplacement d'une septième barre de code, qui double le nombre des permutations possibles. Ainsi qu'il a déjà été décrit, chacune des six barres de code 77 est mise en position, d'une façon correspondante, selon la présence ou l'absence de perforations dans les rangées transversales du ruban ou autre élément de commande. En raison des deux états possibles de chacune des barres 77, le nombre des permuta- tions offert par l'ensemble des positions des six barres est de soixante- quatre.

   Toutefois,   comne   le nombré total des opérations qu'exige le cla- vier normal d'une machine à composer les lignes typographiques est de qua- tre-vingt onze, étant donné qu'il existe quatre-vingt onze touches, et com- me l'addition de fonctions spéciales porte le nombre d'opérations nécessai- res à un chiffre voisin de cent-quinze, les permutations permises par les six barres 77 ne sont pas suffisantes; c'estpourquoi la septième barre 135 a été ajoutée pour   accroître   le nombre des   permutationso   Bien que deux per- mutations aient été utilisées pour déplacer et rappeler la septième barre   135,   le nombre de permutations total obtenu avec sept barres se trouve por- té à cent vingt-six. 



   Une barre sélectable 182 placée près du côté gauche de la fi- gure 5 est destinée à entrer en prise avec l'un des bras d'un levier 183 dont l'autre bras actionne le mécanisme de déplacement de railo Après que les matrices 211 (figure 3) ont été libérées des divers canaux 212 (figu- re 1) où elles se trouvaient dans le magasin 213 , elles tombent dans l'une ou l'autre d'une série de goulottes et, de celles-ci, sur une courroie transporteuse inclinée   2149   pour être ensuite recueillies par un bloc composteur 215.

   Le bloc 215 est muni de deux rails inférieurs fixes 216 et d'un rail supérieur déplaçable 217 (figures 7 et 8) Lorsque le rail supérieur 217 occupe celle de ses positions qui est indiquée en pointillé (figure 7), les matrices reçues ensuite occupent une position 218; mais lorsque ce rail 217 est rétracté et vient à la position marquée en traits pleins, les matrices reçues ensuite sont mises à même de tomber complètement et de venir à la position 219 indiquée en pointillé. 



   Conformément à la pratique courante, chacune des matrices est pourvue de deux impressions de moulage 221 et 222 (figure 8) et, selon celle des deux positions qu'occupe la matrice particulière sur le bloc composteur 215, l'une ou l'autre des deux impressions de moulage vient en regard de la chambre du moule, au cours du clichage de la ligne-bloc particulière. 



  Le rail supérieur déplaçable 217 est articulé à un levier coudé 223 susceptible d'effectuer un mouvement limité et dont la position est ajustable de façon précise par la manoeuvre de vis d'arrêt 2240 Une bielle 225, pivotant par une de ses extrémités sur le levier coudé 223, est reliée par son autre extrémité à un levier 226 qui pivote en 227 et est soumis à l'action d'un ressort. L'extrémité opposée du levier 226 coopère avec un épaulement 228 d'un levier déclencheur 2290 Ce dernier établit ainsi une liaison d'ac couplement déclenchable avec le levier 226 au moyen de l'épaulement 228.

   Le levier déclencheur 229 est pourvu d'un élément faisant saillie vers le haut et destiné à être commandé manuellement, alors que son extrémité inférieure 231 est placée dans une position convenant en vue de sa commande par   le   levier 183 précédemment décrit (figures 5 et 7) 
Lorsque la barre sélectable 182 est commandée, d'une manière semblable à celle des barres 133 et   1349   ce qui provoque le mouvement du levier 183, le levier déclencheur 229 se peut, en permettant au levier 226 de se mouvoir sous l'action des ressorts 232 et de provoquer l'amenée du rail supérieur déplaçable 217 à sa position de travail (indiquée en pointillé). Cette position peut aussi être obtenue manuellement en libérant le levier déclencheur 229 par la manoeuvre de sa portion dirigée vers le haut. 



  De cette manière, il est possible d'assembler une partie de la ligne avec les matrices dans leur position abaissée ou de rail inférieur, et une autre partie avec les matrices dans leur position relevée ou de rail supérieur, 

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 et ce par une commande manuelle ou automatique 
Une barre sélectable spéciale 162 (figure 5) analogue aux barres 133 et 134 est sélectée à la suite de la réception d'un signal de commande de l'élévateur. Lors d'un mouvement de la barre sélectable 162 vers l'avant (vers la gauche de figure 6),cette barre agit sur la portion tige 163 (figure 9) d'un levier 164 en forme de T qui effectue de ce fait une rotation sinistrorsum autour de son pivot 165 en   surmontant   l'action du ressort 166.

   Lorsque le levier 164 effectue une telle rotation, un de ses bras 167 tire une bielle 168, ce qui fait osciller un levier coudé 169 dans le sens dextrorsum (figure   13),  ce levier agissant alors par son bras 171 de manière à amener le levier de débrayage 72 à venir occuper une position où il retire l'élément commandé 170 (figure 16) de l'embrayage 49, en arrêtant ainsi la rotation de l'arbre 45 du lecteur d'enregistrement.

   L'autre bras 174 du levier 164 est relié à un coulisseau 175 qui, pendant la rotation décrite, est projeté vers la droite (figure 9 ) jusqu'à ce que sa portion déportée 176 ait été engagée derrière un épaulement 177 d'un levier à ressort 178 Une portion verticale de la barre 175 pivote sur une des extrémités d'un levier flottant 181 en provoquant un mouvement de ce levier pendant son propre   mouvement.   



   Lorsque le nombre de matrices qui s'accumulent sur le bloc composteur 215 a atteint une valeur suffisante pour permettre le clichage d'une ligne complète,un signal de commande d'élévateur, enregistré sur le ruban et sondé par le lecteur de ruban 54, provoque la sélection de la barre de commande d'élévateur 162 et l'arrêt de l'arbre 45 du lecteur pour arrêter l'avance du ruban, de la manière déjà décrite. Cette sélection fait tourner le levier   164   pour faire mouvoir la bielle 168 vers la gauche et le coulisseau 175 vers la droite. Comme la bielle 168 est reliée au levier de débrayage 172, son mouvement vers la gauche (en regardant les figures 9 et 13) amène le levier de débrayage 172 à une position où il peut entrer en prise avec une patte biseautée 233 (figure 16) portée par l'élément conmandé 170 de l'embrayage à ressort 49.

   Le mouvement de l'arbre 45 continue jusqu'à ce que la patte 233 entre en prise avec le levier 172, ladite patte pénétrant ensuite dans un. orifice 234 en agissant par son bord biseauté sur la surface inclinée correspondante 235 du levier 172, ce qui provoque l'arrêt de l'arbre 45 Dans cette action, la patte 233 et l'élément commandé 170 sont contraints à effectuer un mouvement de retrait par rapport à l'élément d'embrayage menant 236 et sont maintenus temporairement dans cette position par un levier de retenue 237 (figure 13)le galet porté par ce levier étant sollicité par un ressort de manière qu'il tombe derrière l'épaulement 238 du disque 2390
En se déplaçant vers la droite (figure 9) la barre coulissante. 



  175 est verrouillée par l'épaulement 177 du levier 178 et, en coopération avec le levier 164, communique un mouvement similaire à l'une des extrémités du levier flottant 181 auquel elle est reliée en 241. L'extrémité opposée 240 (figure 2) du levier flottant 181 est enserrée par une chape 242 qui termine la bielle 243. dont l'extrémité opposée est reliée au levier 244 de commande du coulisseau livreur, lequel levier est placé près du bras coulissant livreur 245 (figure 1) et supporté de manière qu'il;soit maintenu dans sa position dextrorsum extrême, en surmontant l'action d'un ressort 246, pendant le temps que le bras livreur occupe sa position de droite ou, normale.

   Toutefois, lorsque le bras livreur 245 est actionné, comme c'est le cas à la suite d'un mouvement de l'élévateur 247, il oscille vers la gauche et permet au levier 244 d'obéir à l'action de son ressort 245 et d'effectuer ainsi une rotation sinistrorsum, en permettant ainsi à la bielle 243 d'être déplacée vers la gauche (figure 2) et de déplacer une des extrémités 240 du levier flottant 181, ce qui contribue en partie au mouvement résultant de sa partie centrale 248 (figure 9), de sorte que cette dernière peut s'éloigner du bras inférieur 249 d'un levier coudé 251.

   L'autre bras du levier coudé 251 est pourvu d'une extrémité à épaulement 252 destinée à maintenir le levier de débrayage 253 dans la position où il assure le dé- 

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 brayage de l'arbre 48 actionnant l'élévateuro Toutefois, lorsque le levier coudé 251 est mû par la portion centrale   248   du levier flottant 181, ce qui ne peut se produire qu'après le mouvement combiné de la bielle 243 et de la barre 175, la portion antérieure extrême 252 du levier coudé 251 re- coit un mouvement d'élévation suffisant pour permettre au ressort 254 (figure 13) du levier de débrayage 253 de faire mouvoir ce dernier à l'écart de sa position de travail, en libérant ainsi l'élément mené 255 de l'embrayage 256 de l'élévateur, et en établissant une liaison motrice avec l'arbre 48. 



   La commande du levier flottant 181 est subordonnée aux deux conditions données suivantes(1) il faut qu'un signal d'élévatuer ait été sondé; (2) il faut que le bras coulissant livreur 245 (figure 1) occupe sa position de droite extrêmeou dextrorsum, ceci indiquant à son tour que le   coulisseaulivreur   de ligne est prêt à recevoir de l'élévateur une autre ligne de matrices composée. Ainsi, comme l'arbre 48 de commande de   l'éléva-   teur est commandé par l'intermédiaire du levier coudé 251 par le levier flottant 181, cet arbre n'est actionné que lorsque les deux conditions précitées ont été remplies.

   Lorsque, après une opération précédente, l'élévateur a été convenablement rappelé et qu'un autre signal de   comnande   de l'élévateur est ensuite reçu, de l'énergie de commande est communiquée par   l'intermé -   diaire du pignon 47 et de l'élément menant de l'embrayage 256 à l'élément mené 255 dudit embrayage et à l'arbre 480 L'embrayage 255 - 256 est du type à un seul cycle ou touro Comme représenté à la figure   13,   chacun des arbres d'embrayage   45,   48 et 50 porte un disque ou came de retenue correspondant 239, 421 ou   422,   qui coopère avec un levier de retenue correspondant 237,423 ou 424.

   La came 421 coopère avec un levier coudé   425,   qui coopère lui-même avec le levier de débrayage 253 pour limiter la rotation du mécanisme d'embrayage de l'élévateur à un seul touro La rotation cyclique de l'arbre 48 entraînant dans son mouvement une came d'élévateur 256', soulève le bras 257, qui fait lui-même tourner un arbre d'élévateur 258 s'étendant transversalement au clavier (figures 2 et 9) L'extrémité de gauche de   l'arbre 258, tel qu'on le voit à la figure 2 ; un bras 259 qui est pour-   vu d'un robuste ressort à boudin 261 (figures 2 et 5) dont une des extrémités est fixée à une saillie du bras 259 et dont l'autre extrémité est fixée à une goupille fixée au bâti de la machine. L'élévateur 247 est relié par l'entremise d'une bielle 263 (figure 1) au bras 259.

   Le contour de la came 256' est tel qu'il provoque, par l'intermédiaire du bras 257 et de l'arbre 258, le mouvement du bras 259 pour effectuer l'élévation et la descente de l'élévateur 247 en coopérant avec le ressort 2610 
Un doigt 264 (figure 9) porté par le bras 257 de l'arbre d'élévateur est disposé de manière à s'étendre au-dessus d'un bras horizontal 265 d'un levier coudé 266 qui pivote en 415 et dont l'autre bras est relié à l'une des extrémités d'une bielle 416 (figure 18) 0 Vautre extrémité de la bielle 416 est reliée à un coude inférieur d'un étrier de débrayage 417 (figure 9), qui est normalement sollicité pour pivoter dans le sens   dextror-   sum (en regardant la figure 18) par un ressort 267, autour d'un pivot   418.   



  Comme représenté à la figure 9, l'étrier 417 est pourvu d'un bras 268 à l'aide duquel il peut entrer en prise avec l'extrémité supérieure du levier de débrayage 172, comme il ressortira de ce qui   suito   Pendant le mouvement d'élévation du bras 257, lorsque le mécanisme élévateur est initialement mis en mouvement, le doigt 264 est relevé à l'écart du bras 265, ce qui permet au ressort 267 de faire tourner l'étrier 417 ainsi que, par   l'intermédiaire   de la bielle 416, le levier coudé 266.

   Le levier d'embrayage 172 est ainsi maintenu dans la position voulue pour débrayer l'embrayage 49 de l'arbre 45 commandant le lecteur   d'enregistrement.   Lorsque le bras 257 s'abaisse de nouveau, après que l'élévateur a livré sa charge de matrices au coulisseau livreur, le doigt 264 entre de nouveau en prise avec la saillie 265 du levier coudé 266, en permettant ainsi au levier de débrayage 172, par l'intermédiaire de la bielle 416 et de l'étrier 417, d'être amené à l'écart de la position de travail et de libérer aussitôt l'élément mené 170 pour établir 

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 la liaison d'entraînement de cet élément avec l'arbre 45 à l'effet de recommencer l'opération de sondage du   rubano   
Au cours du cycle de travail de l'élévateur et pendant que l'arbre   42   tourne,

   le levier à T 164 est maintenu pendant une courte période de temps dans sa position sinistrorsum extrême par la portion déportée 176 de la barre coulissante 175, laquelle est en prise avec l'épaulement 177 du levier déclencheur 178 (figure 9). Peu de temps après que l'arbre 48 a commencé à tourner, la came 270 servant à libérer le levier déclencheur entre en prise avec le bras latéral 271 de ce levier et le fait pivoter vers le bas dans le sens dextrorsum autour de son pivot 272 d'un angle suffisant pour permettre à la portion déportée 176 de la barre coulissante 175 de venir se placer au-dessus de l'épaulement 177, en libérant ainsi le levier 164 et en lui permettant de revenir à sa position dextrorsum sous l'action du ressort 1660 En faisant ainsi mouvoir le levier 164,

   le ressort 166 libère aussi le levier de débrayage 172 par l'intermédiaire de la bielle 168, en même temps que le levier flottant 181 est partiellement ramené à sa position normale par l'intermédiaire de sa liaison 241 avec la barre 175,ce qui permet au levier coudé 251 de se présenter de nouveau à la position voulue pour maintenir le levier de débrayage 253 dans sa position effective de blocage..   L'arbre     48   termine alors son cycle et vient de nouveau au repos lorsque sa patte biseautée (identique à la patte 233 de l'embrayage 49) s'engage de nouveau dans l'ouverture du levier 253.

   Lorsque l'arbre de l'élévateur est ainsi actionné, il effectue une rotation complète,au cours de laquelle il réalise toutes ses fonctions, entre autres le maintien de l'arbre à lecteur de ruban 45 dans sa position d'arrêt, suivi du déverrouillage de cet arbre et de son propre déverrouillage, 
La figure 10 représente le mécanisme de retard pour   "caractè-   res doubles", qui comprend des leviers 273 et 274, des contacts 275 et 276 et un étrier 277 Dans la composition ordinairependant laquelle des ma triées à caractère sont distribuées en succession irrégulière, tout dispositif distributeur de matrices 308 (figure 3) dispose d'un temps suffisant pour revenir de lui-même à son état normal et être ainsi de nouveau prêt pour une opération suivante,

  bien que le temps qu'il exige pour   teiminer   son cycle de travail soit un peu plus long que celui qu'exige l'unité de commande pour terminer son propre cycle de travail. D'autre part, lors qu'un signal donné est répété une ou plusieurs fois, la vitesse de travail de l'unité de   comnande   est plus grande que la vitesse à laquelle la machine à fondre et composer les lignes typographiques peut être commandée, étant donné que, dans ce casson distributeur de matrices ne dispose pas d'un temps suffisant pour être ramené à son état normal.

   L'appareil est par conséquent pourvu de moyens qui, sous l'influence de signaux répétés consécu-   tivement,    9 introduisent   automatiquement dans le fonctionnement de l'unité de comnande une période de retard propre à adapter la vitesse de cette unité à celle de la machine à fondre et composer les lignes typographiques. 



   Sur l'arbre 45 à lecteur de ruban est montée une came 281 (figure 10) qui coopère avec un galet de came 282 monté à l'extrémité d'un des bras 283 d'un levier 274 pivotant autour d'un axe-pivot   284.   Le levier 274 est aussi pourvu de bras 285 et 286. Le bras 285   commande   deux contacts 275 et 276 associés à un mécanisme à temps qui sera décrit plus loin, et il coopère aussi avec un bras 287 d'un levier de blocage 273 pour ramener le levier 273 à une position de déblocage, ainsi qu'il ressortira de ce qui suito 
Au bord supérieur de chacune des barres sélectrices intermé diaires 115 est prévue une saillie de name à dents de scie 288 qui fait corps avec la barre,

   chacune desdites saillies 288 pouvant occuper l'une ou l'autre de deux positions selon la position qu'occupe la barre sélectrice Intermédiaire correspondante 115. Entre ces deux positions et sur le chemin du mouvement des saillies 288 sont disposés une série de galets anti friction 289 (à raison d'un galet pour chaque barre 115 ) portés par un ar- 

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 bre 291 tourillonnant dans un étrier de retenue 2770 
L'étrier 277 pivote en 292 sur le bâti principal de   l'appa-   reil, et un ressort 293 le sollicite normalement vers le bas,dans le sens d'une retenue.

   Dans l'une et l'autre de leurs positions, les saillies de ca- me 288 sont situées d'un côté ou de l'autre des galets 289 disposés trans- versalement,mais lorsqu'elles passent d'une position à l'autre, lesdites saillies agissent sur les galets 289 en provoquant un mouvement de l'étrier
277 vers le haut par une action de came.

     L'étrier   277 est pourvu d'un bras
294 qui, lorsque ledit étrier reçoit ainsi un mouvement vers le haut par cette action de came,agit de manière à faire tourner le levier de blocage
273 autour de son pivot 295 dans le sens dextrorsumo Une vis de réglage est prévue à l'extrémité du bras 294 pour établir une relation réglable entre l'étrier 277 et le levier de blocage 2730 
Le levier de blocage 273 présente aussi une entaille 296 en forme de U et qui est destinée à coopérer avec un bras de retenue à ressort
297 Le levier 273 est en outre pourvu d'un épaulement 298 destiné à coo- pérer en relation de blocage avec le bras 286 du levier   2740   La came 281 présente une portion de repos 299, une portion basse 301 et une portion haute 302.

   Lorsque le galet 288 repose sur la portion de repos 299, le bras
286 du levier 274 est maintenu hors du chemin de 1'épaulement de blocage
298. Ainsi, lorsque le levier 273 est actionné de manière à venir à sa po- sition dextrorsum, l'épaulement 298 vient sur le chemin de l'extrémité du bras 286, en empêchant ainsi un mouvement   sinistrorsum   du levier 274 Au contraire :

   lorsque le levier 273 est maintenu dans sa position sinistror- sum (comme représenté à la figure 10) par le bras de retenue 297, un mouvement sinistrorsum du levier 274 est rendu possible, 
Ainsi qu'il a été mentionné précédemment outre que le bras 285 commande la paire de contacts 275 et 276, il est destiné à coopérer avec le bras 287 du levier de blocage 2730 Ainsilorsque le levier 27? a été amené   à   sa position dextrorsum pour bloquer le mouvement sinistrorsum du levier 274, ce levier 273 est ramené au cours de chaque cycles à sa position sinistrorsum par   l'action   du bras 285 sur le bras 2879 ceci étant dû au fait que, pendant chacun des cycles de rotation de la came 251,

   la portion haute 302 de cette came communique au levier 274 une rotation dextrorsum d'amplitude suffisante pour élever le bras 285 de façon qu'il coopère avec le bras 287 pour faire pivoter le levier 273 et l'amener   à   sa position sinistrorsumo
Le bras 285 du levier 274 a pour   roler   de fermer les contacts 275 et 276 chaque fois que le levier 274 n'est pas bloqué par le levier 273 età cet effetle levier   274   peut tourner   à   fond dans le sens sinistrorsum lorsque le galet de came 282 descend sur la partie basse 301 de la came 281 sous l'action du ressort 3030 
Pendant le fonctionnement normal, lorsqu'il n'existe pas de caractères se répétant consécutivement, les leviers-sonde 126 occupent soit leur position sinistrorsum, soit leur position dextrorsum,

   selon que des perforations de code sont ou non présentés dans le ruban 131, après quoi, lorsque l'étrier de transfert   121   reçoit un mouvement d'oscillation en synchronisme avec l'opération de sondage ou de lecture du ruban, l'une ou l'autre des butées 124 125 coopère avec l'une ou l'autre des butées 122,   123   pour faire osciller d'une façon correspondante des leviers 118, en déplaçant de ce fait les barres sélectrices intermédiaires   115   soit vers la droite, soit vers la gauche, selon que les leviers 118 associés ont reçu une oscillation   sinistrorsum   ou   dextrorsumo   
Lorsque les barres sélectrices intermédiaires 115 sont déplacées vers la droite ou vers la gauche,

   les saillies de came 288 de ces bar res agissentpar l'intermédiaire du bras 294 de l'étrier 277, de manière à faire tourner le levier de blocage 273 jusqu'à sa position dextrorsum (ou de droite) pour amener l'épaulement 298 à la position de blocage par rapport 

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 au bras 286 du levier   274,   ce qui empêche le levier 274, à un moment ultérieur du cycle, de suivre la came et de s'engager dans la portion basse 301 de la came   2810   Il s'ensuit que les contacts 275 et 276 restent ouvertso Ensuite, lorsque le cycle qui vient d'être décrit est sur le point de se terminer,la portion haute 302 de la came 281 provoque un léger pivotement du levier 274 pour faire coopérer le bras 285 avec le bras 287 à l'effet de ramener le levier 273 à sa position de gauche ou sinistrorsum. 



   Lorsqu'un signal de code répété est sondé surle ruban, les leviers sonde 126 sent d'abord mis en position selon l'aspect initial dudit signal de code répété, ainsi qu'il vient d'être décrit au sujet d'une opération normale, étant donné qu'en ce qui concerne le mécanisme de sondage du rubans on ne sait pas encore si le signal sera répété. Toutefois,au commencement du cycle de répétition (c'est-à-dire de la répétition du signal de code), les leviers-sonde 126 ont déjà été mis en position selon les perforations de code du signal de code répété.

   Il en résulte qu'il ne se produit aucun mouvement de barres sélectrices intermédiaires 115, pas plus par suite que des saillies de came 288, de sorte que la position du levier de blocage 273 ne change pas.9 ce levier restant dans la position qu'il occupe à la figure 10, et que le bras 286 du levier 274 n'est pas bloqué. 



  Par conséquent, le levier 274 n'a pas,à ce moment, la possibilité de suivre la came 281 de sorte que lorsque le galet 283 tombe dans la portion basse 301 le levier 274 obéit à la traction du ressort 303 et tourne dans le sens sinistrorsum pour fermer les contacts 275 et 276 et commander ainsi le fonctionnement d'un mécanisme à temps désigné de façon générale par 304 (figures 10 et 15)convenablement monté au sommet du lecteur de ruban 54. 



  Le contact 276 est connecté avec l'un des électros 305 du mécanisme à temps 304 et la fermeture du contact 276 sous l'influence du signal de code répété provoque l'excitation de cet électro et la rotation sinistrorsum de son armature 306 en surmontant l'action d'un ressort 307, de telle sorte que ladite armature se dégage d'un disque d'arrêt 308 pour commencer la rotation d'un ensemble de cames associé porté par un arbre à temps 309 en vue   d9assurer   le retard afférent au "caractère double", ainsi qu'il sera dé crit plus loino La vitesse de rotation de l'arbre à temps est prédéterminée de manière à assurer un retard approprié, 
On se référera maintenant au circuit de montage électrique de la figure 15 Un électro 311 servant à commander la rotation de l'arbre 45 du lecteur de ruban est normalement désexcité,

   ce qui permet à l'embrayage 49 de cet arbre d'être embrayé (voir aussi figures 12 et 13) pour permettre la rotation de l'arbre 45. Cet arbre porte une came 312 (figure 13) ser vant à actionner cycliquement un contact pulsatoire 313 (figures 12 et   13).   



  L'embrayage 314 de l'arbre à cames de transfert, lequel est semblable à l'embrayage 49 est commandé par un électro 315 par l'intermédiaire de son armature 330 (figure 13) en forme de levier coudé. Dans les conditions normales,  9 l'électro   315 est excité vers la fin du cycle du lecteur de ruban par le contact pulsatoire 3139 afin de provoquer la rotation de l'arbre à cames de transfert 50 et la commande du mécanisme sélecteur en vue de l'accomplissement du cycle normal de ce mécanisme.

   On notera que le circuit de commande (figure 13) se rapportant à l'électro 315 passe par un contact de repos 316 d'un relais 317, de sorte que l'excitation de ce relais coupe ce circuit et empêche le fonctionnement normal de l'embrayage   314=   
Les contact 321 à 328 (figure 15) sont actionnés sélectivement sous la commande des saillies inférieures 319 des barres sélectrices intermédiaires 115 (figure 10) à l'aide d'une série d'étriers 320 qui sont associés aux contacts et actionnés sélectivement en conformité d'une disposition codée d'entailles et de gardes prévue aux bords inférieurs desdites saillies 3190 Le contact 323 est un contact universel qui se ferme chaque fois qu'un des contacts 321. 322 ou 324 à 328 se ferme.

   Lorsque le contact 323 se ferme, il établit un circuit qui, partant de la batterie positive, passe par le contact universel 323, des fils 331, 332, 333 et   334,   les   bobinesde   

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 l'électro 311 (figures 13 et 15) jusque la terre, ce qui excite l'élec- tro 3110 Il s'établit aussi un circuit qui, partant de la batterie, pas- se par le contact universel 323, les fils 331 332 et 335 et la bobine du relais 317 jusqu'à la terrée En fonctionnant, le relais 317 ouvre le con- tact 316 et ferme le contact 3360 La fermeture du contact 336 établit un circuit de blocage de l'électro 311, lequel circuits partant de la terre, passe par cet électro, le fil 334, le contact 336 (maintenant fermé), le fil 337, des contacts de commande 338 et 339 de la machine à fondre et com- poser les lignes typographiques 341,

   un fil   3429   un contact manuel 343 de l'unité de commande automatique, un fil 344, et trois contacts normalement fermés 345, 346 et 347 du mécanisme à temps 304 et aboutit à la batterie
348. 



   Dans   Inexécution   de la fonction de retard  'caractère double" à laquelle il a été fait allusion précédemmentle contact universel 323 n'est pas actionné (c'est-à-dire fermé) mais les contacts 275 et 276 se ferment sous la commande du levier 274, comme précédemment décrite La fer- meture du contact 275 établit un circuit destiné à l'excitation de l'élec- tro   3119   lequel circuit, partant de la batterie 49, passe par le contact
2759 les fils 331, 332, 333 et 334 et la bobine de l'électro 311 et abou- tit à la terre. En même tempsun circuit destiné à l'excitation du re- lais 317 s'établit comme suitbatterie 3499 contact 275 (maintenant fermé), fils   331, 332   et 335 bobine du relais 317 et terre.

   En fonctionnant, le relais 317 établit, par l'intermédiaire de son contact 336 (maintenant fermê) un circuit de blocage de   l'électro   311 et qui a été précédemment tracé. Le relais 317 est aussi maintenu par le même circuit de blocage comprenant les fils 335 et 333 et le contact 3360 Le contact 3169 maintenu ouvert au cours de la période de retard, empêche l'électro 315 de l'unité de commande de fonctionner, alors même que le contact pulsatoire 313 se ferme   cycliquemento   L'ouverture de   l'un   quelconque des éléments de la série de contacts prévus dans le circui de maintien du relais 317 et de   7.'électro   311 peut être effectuée à l'instant voulu pour déclencher le relais de blocage 317 de manière à remettre en marche le lecteur de ruban. 



   Le mécanisme à temps 304 est composé de trois éléments à temps distincts à commande par friction (représentés à la figure 14), chacun de ces éléments étant commandé par un dispositif déclencheur individuel placé sous la commande d'un électro individuel 3059 352 et 353 (figures 14 et 15) 
Reprenant la description de la fonction de retard à "caractère double",

   on supposera que deux signaux de code "E" consécutifs soient rencontrés dans le ruban d'enregistrement 131 et qu'on désire interposer un retard approprié entre la première action du levier à touche "E"   57   et la seconde action du même levier "E" sur la machine à fondre et composer les lignes typographiques un tel retard étant nécessaire pour permettre   à   la machine d'achever sa fonction en réponse à la première action avant que s'effectue la seconde action du même levier à touche.

   Le premier "E" est sondé par le lecteur de ruban de la manière habituelle et, vers la fin du cycle de sondage, le contact pulsatoire 313 se ferme momentanémento Il en résulte l'excitation de l'électro 315 de l'unité de commande, qui transfère alors les positions des barres sélectrices intermédiaires 115 aux barres de code 77, La continuation du cycle a pour effet que le levier à touche "E" est actionné pour la première fois. 



   Pendant que le cycle de travail est en   cours  le lecteur de ruban procède au sondage du second "E" enregistré sur le   ruban.   Comme la combinaison de perforations du ruban est identique à celle qui était précédemment présente, aucune des barres sélectrices   inteimédiaires   115 ne se déplace à la suite de ce nouveau sondage. Ceci provoque la mise en action du mécanisme contacteur à caractère double représenté à la figure 10, composé des contacts 275 et 276.

   La fermeture du contact   276,   de la manière précé demment décrite, effectue l'excitation de l'électro 305 d'une des sections du mécanisme à temps 304 par un circuit qui ressort clairement de la figure 

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 159 en permettant ainsi à l'ensemble de cames associé de commencer sa rotationo Ainsi qu'il a été décrit précédemment, le contact 275 se ferme au même moment et effectue 1-'excitation et le blocage de   l'électro   lecteur de ruban 3119 ainsi que 1?excitation et le blocage du relais 317, en provoquant 1?arrêt du lecteur de ruban 54 à la fin du cycle qui vient d'être mentionné et en empêchant aussi le déclenchement du mécanisme de commande des leviers à touche par le contact pulsatoire   313,  puisque le contact 316 est maintenu   ouverto  
A ce point,

   par conséquent, le lecteur de ruban a lu deux signaux de code   "E"   en succession, puis a été arrêté,le mécanisme sélecteur a choisi une matrice à caractère "E" et a été   arrêté  et le mécanisme à temps a commencé un cycle de travail visant à insérer le retard approprié pour permettre à la machine d'être conditionnée pour permettre la sélection de la seconde matrice à caractère "E".

   Au moment où la section du mécanisme à temps 304 qui vient   d'être   libérée et ainsi mise à même de tourner par 19électro 305 atteint la fin d'un tiers. de tour (figure   14),   une came 354 ferme un contact 355, ce qui établit un circuit d'excitation pour l'électro 315 de l'unité de commande, lequel circuit, partant de la batterie 348, aboutit à la terre en passant par le contact 355 (maintenant fermé mo-   mentanément),   les fils 356 et 357 et la bobine de l'électro 3150 La came 358 de ladite section du mécanisme à temps 304 ouvre le contact 345 ouvrant ainsi le circuit de blocage (précédemment décrit) du relais 317 et de l'électro   3119   le lecteur de ruban 34 étant de ce fait remis en actiono Lorsque ceci a lieu,

  le mécanisme sélecteur effectue   Inaction   sélective du levier à touche "E" sur la machine pour la seconde fois, et le lecteur de ruban 54 procède à la lecture du signal de code suivant du ruban. On mentionnera que cette opération entière n'implique pas une rotation à vide de l'arbre du lecteur de ruban au cours de laquelle le ruban n'avance pas, et que le mécanisme à temps fonctionne de manière à retarder d'une période de temps mesurée la sélection de la seconde matrice à caractère   "E"   ainsi que le sondage du signal de code suivante
Une autre fonction de la machine à fondre et composer les lignes typographiques qui exige un retard de temps mesuré est la fonction de !!'/déplacement de rail supérieur-inférieur",

   qui est à certains points de vue semblable au retard à il caractère   double"o   On se référera à cet égard aux figures 10 et 15 Le contact 321, fonctionnant sous l'influence d'une mise en position prédéterminée des barres sélectrices intermédiaires 115, commande l'intercalation du retard assigné à la fonction de "déplacement de rail supérieur-inférieur". On rappellera que le contact 323 est un contact à commande universelle et qu'il se ferme   concuremment   avec l'un quelconque des contacts 321 et 322 et des contacts 324 à 328. Ainsi,sous l'influence du sondage du signal de code "déplacement des rails",les contacts 321 et 323 se ferment momentanément. La fermeture du contact 323 provoque le fonctionnement de l'électro 311 du lecteur de ruban, ce qui arrête l'opération de lecture.

   En même temps, le relais 317 agit de manière à établir un circuit de blocage pour l'électro   3110   Avant l'arrêt du cycle d'avance du ruban, le contact pulsatoire 313 est commandé, mais ceci n'a pas d'effet sur l'électro 315 puisque le contact 316 a été ouvertLa fermeture du contact 321 provoque l'excitation de l'électro 352 pour commencer la rotation de celle des sections du mécanisme à temps 304 qui commande le retard de "déplacement de rail".

   La came 359 provoque la   femeture,   par un contact 362, d'un circuit d'excitation de   1-'électro   3159 lequel partant de la batterie 348, passe par le contact 362; le fil 357 et la bobine de l'électro 315 et aboutit à la terrece qui déclenche le fonctionnement du mécanisme sélecteur pour effectuer l'opération sélective de la barre   sélectable   182 (figure 5) de déplacement de rails pour commander le déplacement du rail supérieur 217 de la manière précédemment décrite.

   La came 361 provoque l'ouverture du contact   347   etpar suite, la rupture du circuit de blocage du relais 317 et la remise en marche du lecteur de ruban par la désexcitation de l'électro   3110   
Dans la composition de lignes typographiques à imprimer, il est 

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   d9usage   de finir toutes les lignesà 1'exception de certaines lignes cour- tesavec une marge fixe à droite.

   Dans les machines à fondre et composer les lignes typographiques,cette opération dite "justifiction", s'effectue à   l'aide   d'espaces-bandes extensibles qui intercalent des espaces entre les motso A l'achèvement d'une lignes si le degré d'élargissement assuré par l'interposition d'espaces-bandes suffit à donner à la ligne une longueur tel- le qu'elle remplit la largeur de colonne nécessaire, on dit que la ligne est justifiable. Il arrive quelquefois qu'une ligne composée qui est plus petite que la longueur justifiable est trop longue pour recevoir le mot suivant ou la syllable suivante de ce moto En pareils cas,le typographe peut augmen- ter la longueur de la ligne en insérant au voisinage des espaces-bandes des espaces-matrices fixes, lesquelles sont des matrices sans caractères,d'épais- seur uniforme. 



   Dans le présent appareil, la distribution d'espaces-matrices fi- xes destinées à une ligne de longueur insuffisante est commandée automatique- ment sans   qu'il   soit nécessaire   dinterposer   des signaux supplémentaires par- ticulièrement associés à la distribution d'espaces-matrices fixes, une telle distribution étant obtenue par modification d'un ou plusieurs des signaux d'espaces-bandes existant dans la ligne.

   Cette modification consiste à poin- çonner une ou des perforations de code supplémentaires dans le ruban pour con- vertir le signal d'espace-bande ordinaire en un signal d'espace-bande "extraordinaire" destiné à provoquer la distribution   d'une   espace-matrice fixe en même temps que celle d'une espace-bande comme indiqué à la figure 20 qui re- présente les signaux de code enregistrés servant à commander successivement la sélection   dune   espace-matrice fixe seuled'une espace-bande seule, et à la fois   d'une   espace-matrice fixe et d'une espace-bandeo
Lorsque la combinaison de perforations   0-3   qui est affectée au signal d'espace-bande extraordinaire et quicomme on le verra,

   comprend une perforation   d'espace-bande   ou   perforation ?   3 à laquelle a été adjointe une perforation d'espace fixe 01 perforation ? 0, est sondée par le lecteur de ruban   54,   les barres sélectrices intermédiaires   115   sont amenées à des positions correspondantes pour effectuer la sélection et la fermeture du contact 322 (figure 15)Ainsi   quil   a été mentionné précédemment, le contact universel 323 se ferme aussio La fermeture du contact 322 établit un circuit destiné à exciter l'électro 353 du mécanisme à temps 304, lequel circuit va de la batterie 329 à la terre en passant parle contact 322,

   le fil   364   et la bobine de l'électro 3530 En même tempsla fermeture du contact universel 323 provoque l'excitation de 1'élextro 311 et le blocage du relais 317 par l'intermédiaire des circuits précédemment décritsce qui arrête le lecteur de ruban à la fin de son cycle et coupeau contact 316, le circuit de commande normal de 1'électro 3150 
La distribution d'espaces-bandes 365 à partir du magasin à espaces-bandes 366 (figure 1) est effectuée par le mouvement d'élévation d'une lame distributrice spéciale 367, qui est commandée par le mécanisme sélecteur représenté à la figure 3 Une des extrémités   d'un   levier 360 pivotant autour d'un point 369 compris entre ses extrémités est reliée à la lame de distribution 367, l'autre extrémité étant reliée au mécanisme 371 d'échappement des espaces-bandes.

   La fermeture du contact 322 commande ainsi le fonctionnement de 1'électro 353 à 1'effet de commencer la rotation de celle des sections du mécanisme à temps 304 qui commande l'intervalle de temps se rapportant au signal "espace fixe ajoutée'. La came 372 est pourvue de deux saillies de came   374   et 375 servant à commander le contact 376, et la came 373 est pourvue d'une seule saillie de came 377 servant à commander le contact 3460 Ainsi, pendant la rotation de la section "espace fixe ajouté" du mécanisme à temps   3049   la première saillie   374   de la came 372 provoque la première fermeture du contact 376 (le contact   346   comandé par la came 373 ne s'ouvre pas à ce moment),

   ce qui établit un circuit d'excitation pour l'électro 315 comme suit g batterie   3489   contact   3769   fil   357:   bobine de 1'électro   315   et terre, lequel circuit déclenche le fonctionnement du mécanisme sélecteur pour accomplir un cycle pendant lequel ce mécanisme actionne 

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 sélectivement le mécanisme   371   effectuant l'échappement des espaces-bandes dans la machine afin de libérer une espace-bande 365 du magasin 366, cette espace-bande pouvant ainsi tomber dans l'élévateur-composteur 2150 
A la fin du premier cycle de travails qui vient d'être décrit, du mécanisme sélecteur, le mécanisme à temps 304, agissant sous l'action d'une seconde commande du contact 376 par la seconde saillie de came 375,

   déclenche de nouveau le mécanisme sélecteur pour effectuer la sélection d'une espace-matrice fixe du magasin 2130 Toutefois, il s'effectue, en substance simultanément avec la seconde fermeture du contact 376, une opération de conditionnement ou de changement de code du mécanisme sélecteur, de la facon suivanteson notera (figures 10 et   14)   qu'il est prévu une autre came 378 dans la section "espace fixe ajouté" du mécanisme à temps 304, Cette came 378 fonctionne dans un rapport de temps déterminé avec la seconde fermeture du contact 376 et avec l'excitation qui en résulte de l'électro 315, de manière à déclencher un second cycle de travail du mécanisme sélecteur pour permettre à une barre 379 de changement de code (figure 10) d'être déplacée vers la gaucheo Ceci est effectué à l'aide de la came 372 (figure 10)

   agissant sur un levier coudé 381 qui pivote en 382 et est normalement sollicité dans le sens dextrorsum par un ressort   3830   Un bras 384 du levier coudé 381 coopère avec un bras horizontal d'un levier coudé intermédiaire 385 pivotant en 3869 l'autre bras de ce levier 385 s'étendant vers le bas pour coopérer avec une extrémité à crochet de la barre de changement de code 3790 La barre 379 est montée pour coulisser sur des goupilles 387 et elle est normalement soumise à l'action   d'un   ressort 388 qui tend à la tirer vers la gauche,.

   Par conséquente à la fin du premier cycle, le mécanisme à temps   304   effectues comme résultat de la seconde action du contact 376, un nouveau déclenchement du mécanisme sélecteur,et la came 378 provoque le fonctionnement du mécanisme de changement de code, ce changement de code résultant du déplacement des pattes de code 389 portées par la barre 379 à   leffet   de bloquer la sélection de la barre sélectrice d'espace-bande et de débloquer la barre sélectrice   despaces   minces, de sorte que la lame dis tributrice d'espaces minces (non représentée) est actionnée dans ce second cycle au lieu de la lame 367 distributrice d'espaces-bandeso Après l'achèvement de ce second cycles le contact 346 est actionné par sa came 373,

   ce qui provoque la rupture du circuit de blocage du relais 317 et la remise en marche du lecteur de ruban par la désexcitation de l'électro 3110 
L'appareil est aussi pourvu de moyens grâce auxquels le mécanisme sélecteur est conditionnés sous l'influence du premier signal d'espacebande 0-3 ou "extraordinaire" apparaissant dans une lignede manière à libérer une espace-matrice fixe en réponse à chacun des signaux d'espacesbandes subséquents de la lignes indépendamment du point de savoir si un tel signal   d'espace-bande   subséquent est le signal ordinaire (perforation   N 3)   ou si ce signal a été converti en un signal d'espace-bande extraordinaire (combinaison de perforations 0-3) En d'autres termes,

  l'appareil est pourvu de moyens propres à permettre la mise en liberté d'espaces-bandes et d'espace-matrices fixes sous la dépendance de la seule modification du premier signal   d'espace-bande   de la lignes après quoi le mécanisme ajoute automatiquement une espace-matrice fixe à chacune des espaces-bandes suivantes sur le reste de la ligne, puis le signal d'élévateur, qui se produit à la fin de la lignes rétablit   l'état   normal de la disposition. 



   Ce résultat est obtenu de la manière qui sera décrite ci-après en se référant à la figure 18: sur la portion inférieure 319 de la barre 390 sélectrice intermédiaire   d'"espaee   fixe" ou "0".(du groupe de barres sélectrices intermédiaires 115) sont montés de façon pivotante deux leviers à T coopérants 392 et   3930  Le levier   392  pivotant en   394,

     est pourvu d'un bras vertical 395 terminé par un épaulement formant loquet 396 et d'un bras horizontal 397 terminé par une portion 398 qui est dirigée vers le bas et qui coïncide avec une entaille pratiquée dans le bord inférieur de la portion tournée vers le bas 319 de la barre sélectrice intermédiaire 390 Le levier 392 est normalement sollicité dans le sens dextrorsum par un res - 

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 sort   3990   Le bras 395 de ce levier se comporte comme un loquet en coopé- rant avec l'extrémité d'un bras 402 du levier 393 pivotant en 403 Le le- vier 393 est aussi pourvu d'un bras   404   qui s'étend vers le bas et dont l'extrémité libre est destinée à jouer le rôle d'une garde qui serait pré- vue au bord inférieur de la portion tournée vers le bas 319 de la barre
390.

   Le bras 404 du levier 393 est aussi pourvu d'une portion 405 qui s'é- tend latéralement et qui est destinée à coopérer avec une vis 406 fixée de façon réglable à un bras 407 d'un levier coudé 408 monté de façon pivotante   e n 403.   



   Le contact 322 dont il a été question précédemment est comman- dé par l'un des étriers 3200 La portion de base 409 de l'étrier en ques- tion 320 est placée au-dessous de la portion tournée vers le bas 398 du le- vier 392 lorsque la barre sélectrice intermédiaire 390 occupe sa position de droite.

   Toutefois, lorsque cette barre 390 occupe sa position de gauche, la portion tournée vers le bas 398 du levier 392 est située à l'écart du chemin suivi par la base 409 de l'étrier 320, et l'extrémité inférieure du bras 404 (en supposant que les leviers 392 et 393 sont encore mutuellement verrouillés, comme représenté à la figure 18) a été amenée au-dessus de ladite portion de base 409 pour empêcher la sélection de l'étrier 320, de sorte que le contact 322 ne se ferme paso Toutefoissi les leviers 392 et 393 ont été   déverrouillés,   ceci ayant été effectué par la portion de base de l'étrier 320 agissant de manière à fermer le contact 322 lorsque la bar- re sélectrice intermédiaire 390 occupe sa position de droite,

   l'extrémité inférieure du bras   404   n'aura pas la possibilité de faire obstacle à la sélection de l'étrier 320, de sorte que le contact 322 se fermera,quelle que soit la position (de droite ou de gauche) qu'occupe ladite barre sélectrice intermédiaire. On voit ainsi que, grâce à cette garde mobile constituée par l'extrémité du bras 404, la disposition qui vient d'être décrite constitue un moyen de,conditionner l'unité de commande automatique de telle manière que le premier sondage de la combinaison de perforations 0-3 (411, figure 20) correspondant au signal d'espace-bande extraordinaire établit un ensemble de conditions grâce auxquelles   le même   étrier 320 sera ultérieurement sélecté comme résultat du sondage de la perforation N  3 (412, figure 20) correspondant au signal d'espace-bande ordinaire,

  la valeur de cette disposition réside dans le fait que des espaces-matrices fixes sont automatiquement adjointes aux espaces-bandes sur toute l'étendue du reste d'une ligne comme résultat du fait que le typographe ou la personne actionnant le perforateur de ruban a modifié uniquement un signal enregistré d'espace-bande qui s'est présenté un peu plus tôt dans cette même ligne. 



   La garde mobile constituée par   l'extrémité   du bras 404 est remise en position à la fin de la ligne de la manière suivantes sur l'arbre d'élévateur 48 (figure 18) est fixée une cane de remise en position 412 qui est destinée à coopérer avec une barre coulissante 413 articulée au levier 408 qui est normalement sollicité dans le sens sinistrorsum (en regardant la figure 18) par un ressort 4140 La barre 413 est ainsi elle-même maintenue dans sa position de gauche, en relation de coopération avec la came 412, par ledit ressort 414.

   Ensuite,lorsque l'arbre 48 est libéré pour un cycle (ou une rotation) sous l'influence du signai   délévateur   (ou signal de fin de ligne), la came 412 sollicite momentanément la barre 413 vers la droite pour communiquer un mouvement dextrorsum au levier   408,   après quoi la vis 406 portée par le bras 407 de ce levier coopère avec une portion 405 du levier 393 pour faire tourner ce dernier dans le sens dextrorsum et établir ainsi une liaison de verrouillage entre le bras 402 dudit leviet et l'épaulement 396 du levier 3920
On a aussi représenté à la figure 15 un dispositif de contact 426 faisant partie d'une série de dispositifs de contact de sécurité que comporte la machine à fondre et composer les lignes typographiques 341,

   la fermeture de l'un quelconque des dispositifs de contact 426 provoquant   l'ar-   rêt du fonctionnement de l'unité de commande automatique précédemment décriteo Lorsqu'un tel arrêt a eu lieu et après qu'on a remédie à la perturba- 

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Claims (1)

  1. tion intervenue dans la machine,on peut remettre en marche l'unité de commande automatique en ouvrant manuellement le contact 3430 Lorsque l'unité de commande automatique est à l'état d'inactivité, le contact à commande manuelle 426 est maintenu fermé pour établir un circuit d'excitation évident destiné à l'électro 3110 On rappellera que l'état excité de l'électro 311 maintient l'embrayage 49 du mécanisme de sondage du ruban à l'état débrayéo Les contacts 324 à 328 inclus sont associés à des dispositifs de mise en position tels que ceux se rapportant à la formation d'un retrait en tête de ligne ou d'un blanc en fin de ligne ou au centrage de la ligne et à la sélection de magasins supérieurs et inférieurs,
    de tels dispositifs n'ayant pas été décrits parce qu'ils ne font pas partie de la présente inventiono Bien entendu,, 1'invention n'est pas limitée à la forme de réalisation particulière décrite ci-dessus, étant donné qu'elle est susceptible de recevoir d'autres formes et de nombreuses modifications de détail ren- trant dans le cadre et l'esprit de ladite inventiono RESUME.
    L'invention a trait aux appareils servant à commander le fonc- tionnement d'une machine à fondre et composer les lignes typographiques dans laquelle une succession de signaux de code représentant les divers caractères destinés à être composés par la machine, et d'autres fonctions de travail destinées à être réalisées par cette machine,sont enregistrés sur un ruban qui estanimé d'un mouvement d'entraînement en regard d'un dispositif lecteur d'enregistrement à fonctionnement cyclique qui,
    à chaque cycle de travails agit de manière à sonder un signal de code enregistré et à actionner un mécanisme de transfert grâce auquel des positions de code de permutation conformes au signal de code enregistré sont communiquées à une série de barres sélectrices à. partir desquelles ces positions sont transférées à une série de barres de code servant à commander la mise en liberté ou distribution des diverses matrices à caractères et à déclencher les autres fonctions de travail qui doivent être accomplies par la machine,
    ladite invention consistant en une forme perfectionnée d'un tel appareil qui est caractérisée essentiellement par le fait que la position correspondant au code de permutation est transférée des barres sélectrices aux barres de code par un mécanisme de transfert supplémentaire qui est actionné séparément sous la dépendance du mécanisme lecteur d'enregistrement appelé ci-après "lecteur de ruban*, après que ce mécanisme a actionné le mécanisme de transfert mentionné en premier lieu, en permettant ainsi la mise en marche du cycle de travail suivant du lecteur de ruban pendant que le fonctionnement de la machine est commandé en conformité de la position de code de permutation communiquée aux barres de code, L'invention comprend aussi l'une ou plusieurs des caractéristiques suivantesconsidérées séparément ou en combinaisons :
    1 le lecteur d'enregistrement, ou "lecteur de ruban", comprend un arbre à cames qui est mis en rotation dans chacun de ses cycles de travail et quiau cours de cette rotations actionne un contact pulsatoire provoquant à son tour la rotation d'un second arbre à cames servant à ac tionner le mécanisme de transfert supplémentaire, 2 le mécanisme de transfert supplémentaire comprend un étrier à montage pivotant qui coopère avec une came du second arbre à cames et qui est contraint par cette came à tourner autour de son pivot de telle sorte qu'une série de leviers de transfert portés par ledit étrier sondent la position de code de permutation des barres sélectrices et transfèrent cette position aux barres de code par l'intermédiaire de bielles individuelles articulées aux leviers de transfert et aux barres de code;
    3 il est prévu un mécanisme à temps fonctionnant sous la dé - pendance du sondage de certains signaux de code enregistrés spéciaux qui exi- <Desc/Clms Page number 21> gent 1'interposition d9un retard dans la commande de la machine et, conjoin- tement avec des moyens propres à arrêter le fonctionnement cyclique normal du lecteur de ruban comme résultat du sondage d'un signal de code enregis- tré spécial exigeant un retarda ce mécanisme à temps provoquant la mise en action du mécanisme de transfert supplémentaire et déterminant le temps qui s'écoule avant que soit repris le fonctionnement cyclique normal du lecteur de ruban,d'une manière propre à introduire l'intervalle de temps nécessai- re dans la commande de la machine,
    4 en réponse au sondage d'un signal de code enregistré spé- cial exigeant un intervalle de retard, un premier électro est excité pour arrêter la rotation du lecteur de ruban, un relais est excité pour établir un circuit de blocage qui assure le maintien de l'excitation de ce relais et celui du premier électro et qui empêche le contact pulsatoire d'actionner le mécanisme de transfert supplémentaire;
    et un second électro est aussi ex- cité pour mettre en marche le mécanisme à temps afin que ce mécanisme effec- tue au moment voulus d'une part l'excitation d'un troisième électro servant à actionner le mécanisme de transfert supplémentaire et d'autre part l'ou verture au moment voulu du circuit de blocage du relais et du premier élec- tro, en permettant ainsi à l'arbre à cames du lecteur de ruban d'être remis en rotation après l'introduction de l'intervalle de retard;
    5 le mécanisme à temps comprend un arbre tournant continuellement sur lequel est montée une série d'ensembles de cames à commande par friction dont chacun est mis en rotation par le sondage d'un signal de code enregistré spécial d'une nature différente pour lequel un intervalle de retard est nécessaire et sert à introduire l'intervalle de retard approprié à l'aide de contacts qui sont ouverts et fermés par ses cames; 6 un des ensembles de cames est mis en rotation pour introduire l'intervalle de temps approprié (intervalle de retard pour caractères doubles) sous l'influence du sondage du second des deux signaux de code enregistrés identiques successifs.
    7 le lecteur de ruban comprend un mécanisme associé aux barres sélectrices qui commande deux contacts lorsque la position de code de permutation des barres sélectrices reste inchangée après que le second de deux signaux de code identiques successifs a été sondés la comnande d'un de ces deux contacts servant à arrêter le lecteur de ruban et la commande de l'autre contact servant à mettre en rotation l'ensemble de cames correspondant; 8 un autre ensemble de cames du mécanisme à temps est mis en rotation pour introduire 1'intervalle de retard approprié (retard de déplacement de rail) sous 1'influsence du sondage d'un signal de code enregistré correspondant à un "déplacement" ou à un "rappel";
    9 un autre ensemble de cames du mécanisme à temps est mis en rotation pour introduire l'intervalle de temps approprié (retard d'espace fixe ajouté) et provoquer la distribution d'une espace-bande et d'une espacematrice fixe en succession sous l'influence du sondage d'un signal de code enregistré spécial (signal d'espace-bande "extraordinaire") qui exige que ces deux éléments de composition soient l'un et l'autre distribués ;
    10 le lecteur de ruban commande les barres sélectrices et les barres de code de telle sorte queen réponse au sondage d'un signal de code enregistré d'espace-bande "extraoradinaire", les barres de code sont d'abord mises en position pour provoquer la distribution d'une espace-bande, et la position de code de permutation des barres de code est ensuite modifiée parune came spéciale de changement de code faisant partie de l'ensemble de cames correspondant, de telle sorte qu'une espace-matrice soit distribuée avant que la machine ait été commandée en conformité du signal de code enregistré suivant;
    11 la came de changement de code fonctionne de manière à modifier la position de code de permutation des barres de code sans modifier <Desc/Clms Page number 22> leur position respective en modifiant la position d'une barre de changement de code associée auxdites barres; 12 un ensemble de cames prévu pour provoquer la distribution successive d'une espace-bande et d'une espace-matrice fixe est mis en rotation par la fermeture d'un contact associé aux barres sélectrices lorsque celles-ci sont mises en position sous l'influence du sondage d'un signal de code enregistré d'espace-bande "extraordinaire";
    et des moyens sont prévus pour assurer la fermeture du même contact sous l'influence du sondage de chacun des signaux de code subséquemment enregistrés pour des espaces-bandes dans une série de signaux de code enregistrés correspondant à une ligne de caractères, de sorte qu'une espace-matrice fixe est automatiquement insérée à la suite de chaque espace-bande sur tout le reste de la ligne de caractères;
    130 il est prévu sur l'une des barres sélectrices deux leviers qui sont normalement enclenchés pour empêcher le contact de se fermer mais qui, dans une des deux positions à laquelle la barre sélectrice est suscepti- ble d'être amenée sous l'influence du sondage d'un signal de code enregistré pour une espace-bande "extraordinaire", sont libérés l'un de l'autre par un étrier qui sert à fermer le contact pour mettre en rotation l'ensemble de cames correspondant, de sorte que lorsque ladite barre sélectrice est amenée à son autre position sous l'influence du sondage d'un signal de code subséquemment enregistré pour une espace-bande, l'étrier referme de nouveau le contact pour mettre en rotation ledit ensemble de cames;
    14 la rotation de l'arbre à cames de l'élévateur de la machine qui s'effectue après qu'un signal de code enregistré "élévateur" correspondant à l'extrémité d'une ligne de caractères a été sondé, sert par l'intermédiaire d'une came de l'arbre à cames de l'élévateur et d'une barre qui est déplacée par cette cames à ramener les deux leviers à leur position d'en- clenchement normaleo en annexe 11 dessinso
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