BE557519A - - Google Patents

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BE557519A
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    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04LTRANSMISSION OF DIGITAL INFORMATION, e.g. TELEGRAPHIC COMMUNICATION
    • H04L21/00Apparatus or local circuits for mosaic printer telegraph systems
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41JTYPEWRITERS; SELECTIVE PRINTING MECHANISMS, i.e. MECHANISMS PRINTING OTHERWISE THAN FROM A FORME; CORRECTION OF TYPOGRAPHICAL ERRORS
    • B41J19/00Character- or line-spacing mechanisms
    • B41J19/18Character-spacing or back-spacing mechanisms; Carriage return or release devices therefor
    • B41J19/20Positive-feed character-spacing mechanisms
    • B41J19/24Pawl and ratchet

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Signal Processing (AREA)
  • Character Spaces And Line Spaces In Printers (AREA)
  • Common Mechanisms (AREA)

Description


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   La présente invention concerne des perfectionnements aux appareils téléim- primeurs et, plus particulièrement, aux dispositifs récepteurs. 



   Dans certains types de récepteurs téléimprimeurs   'et   notamment dans ceux à im- pression par points, on presse, contre un papier d'impression, un groupes de poin- çons destinés à reproduire le dessin du caractère que l'on se propose d'enregistrer un dispositif approprié, susceptible de se mouvoir selon deux coordonnées, étant alors utilisé pour assurer, d'une part, la sélection du groupe de poinçons à uti- liser, et pour commander, d'autre part, le mouvement dudit groupe de poiçons afin d'assurer l'impression du caractère correspondant. 



   L'objet de l'invention est de prévoir des dispositions qui permettent, dans les récepteurs de ce type, d'une part, d'effectuer l'impression sur page, et   d'autr   e part, d'accomplir les fonctions principales telles que l'"avancement-lettre," "interligne", "tabulation",   "retour-ligne",.etc...   



   Une des caractéristiques de l'invention réside dans un récepteur   téléimpri-   

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 meur à impression par points dans lequel le mouvement de translation de la tête d'impression est obtenu à partir d'une vis d'entraînement dont la commande est placée sous la dépendance de certaines cames particulières d'un arbre à cames, - chaque desdites cames, associée à un relais de fonction, étant susceptible de com- mander, lors de l'excitation dudit relais, et ce, par un mécanisme approprié, une fonction particulière dudit récepteur, telle que "avance-lettre", "interligne", "tabulation", etc... 



   Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait d'accoupler la vis d'entraînement de la tête d'impression à un arbre principal de commande par l'intermédiaire d'un embrayage à friction, la rotation de ladite vis étant norma- lement empêchée par une roue à rochet judicieusement disposée, la réception d'un signal devant donner lieu à l'avancement de ladite tête d'impression entraînant 
26 l'excitation du   relais/*fonction   corresponaant qui permet aussi à la came associée de libérer un court instant le cliquet de retenue de ladite loue à rochet afin de permettre à celle-ci de progresser d'une dent et d'entraîner une avance conve- nable de la tête d'impression. 



   La fonction   d'"avance-lettre"   devant s'effectuer rapidement, il y a lieu de prévoir des dispositions visant à empêcher la génération de vibrations parasite      
Une. autre caractéristique de l'invention réside dans le fait d'assurer la fixation du cliquet de retenue de la roue   à   rochet ci-dessus mentionnée, à un dispositif amortisseur de manière telle que la   vitesse.ce   rotation de ladite roue à rochet soit réduite progressivement jusqu'à son arrêt complet, une telle dis- position évitant ainsi d'engendrer des vibrations parasites. 



   Lorsque le récepteur reçoit le signal de retour de la tête d'impression, il y a lieu de prévoir des dispositions permettant d'inverser le sens de   rotatiori   de la vis d'entraînement de ladite tête. 



   Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait de prévoir deux embrayagespour assurer l'entraînement de l'arbre principal.suivant deux sens de rotation opposés, l'un desdits embrayages étant en prise en permanence afin d'as- surer, éventuellement, la commande d'avance-lettre" de la tête d'impression, la réception du'signal de retour de ladite tête d'impression   entrainant   l'excitation 

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 du relais de fonction correspondant qui permet ainsi à la came associée d'inver- ser les fonctions desdits embrayages, d'une part, et de verrouiller en position de repos, d'autre part, le cliquet de retenue de la roue à rochet, ces dits organes revenant, ensuite dans leur position normale lorsque le retour de la tête d'impression est devenu effectif. 



   ,.Dans les   appareils   du type conforme à l'invention, la tête d'impression est susceptible de coulisser sur des glissières judicieusement disposées. Afin de faciliter le mouvement de translation de cette tête et d'assurer une reproduction correcte des différente caractères à imprimer, il y a lieu de prévoir des   disposi'-   tions permettant de rapprocher ladite tête d'impression du plan du papier d'enre- gistrement lors de l'impression d'un desditscaractères. 



   Une autre'caractéristique de l'invention réside dans le fait que, lorsqu'on doit procédér à l'impression d'un caractère, un relais de fonction particulier est excité afin de permettre à la came associée de commander par un mécanisme approprié' le rapprochement de la tête d'impression du plan du papier d'enregistre- ment. 



   Différentes autres caractéristiques resortiront de la description qui va suivre, donnée-,' à titre d'exemple non limitatif , en sereportant aux figures an- nexées qui représentent: les Fig.1 et la , une vue en plan de l'appareil dont certaines parties sont mon- trées en coupe de façon à faciliter la compréhension du fonctionnement, la fig. 2, une vue de droite montrant le dispositif prévu pour assurer la commande   de''l'avancement   letre", de la tête d'impression, la Fig. 3, une vue de droite coupée, montrant le principe du dispositif prévu pour assurer la commande des différentes fonctions de   l'appareil,   la Fig.   4-,   une vue de gauche, montrant le dispositif prévu pour assurer la comman- de de l'avance automatique d'interligne, la Fig.

   5, une vue en coupe du dispositif régulateur de la pression de l'huile nécessaire à la commande des différents organes de,l'appareil.   @   
On va maintenant, en se reportant aux Figures annexées 1 et 3, décrire en en détail le fonctionnement du dispositif d'impression de caractères. 

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   Le système sélecteur 1 est constitué par un ensemble de 52 rel s de sélec-   @   tion 2; l'excitation de chacun d'eux correspondant à un caractère bien déterminé (lettre, figure ou   symbole).   



   L'excitation d'un relais de sélection particulier 2 provoque l'entraîne- ment d'une arature 3 associée, celle-ci permettant de sélectionner une plaque de contrôle (non représentée) associée à un marteau commun (non figuré). Ce marteau mis en Mouvement par un arbre à came 4 entraîne la plaque de contrôle sélectionnée permettant ainsi d'assurer la commande d'un sélecteur hydraulique 5 suivant la combinaison reçue. 



   Ce distributeur permet, alors, d'envoyer le fluide sous pression qu'il re- çoit, dans un certain nombre de tovaux flexibles aboutissant à la tête d'impression 6. A chacun de ces tvaux est associé un poinçon dans cette tête d'impression. 



   L'envoi du fluide sous pression a pour effet de commander la ni se en po- sition d'impression des poinçons correspondant à la combinaison reçue. 



     ' Le   mécanisme de fonctionnement de ces poinçons a d'ailleurs été décrit dans le brevet belge N    543.883   et la demande de brevet britannique N  28748/55. 



   L'avancement de la tête d'impression 6 est obtenu par mise en rotation d'une vis d'entraînement 10, et par l'intermédiaire de deux rails de guidage 8 et 9. Une roue à rochet 16 et un pignon 79 se'trouvent calés sur la vis d'entraînement 10 (Fig. 1 et 2). Un cliquet 15 normalement en prise avec la roue 16 évite ainsi la ,rotation de celle-ci et de la vis d'entraînement 10 dans le sens des aiguilles d'une montre. Un moteur 151 entraîne un arbre 152, entrainant lui-même les pignons 153, 154 et 155. Le pignon 155 est monté sur un arbre intermédiaire 13. Un pignon   par 156 également calé sur cet arbre intermédiaire entraîne un arbre à cames 14/l'inter   médiaire d'un autre pignon 157. Par conséquent, l'arbre à cames 14 est entrainé dans une direction opposée à celle de l'arbre intermédiaire 13.

   La vitesse de ro- tation de l'arbre à cames   14.est   démultipliée par les pignons intermédiaires 156 et 157, de telle façon que le rapport des vitesses entre l'arbre Intermédiaire 13 et l'arbre à cames 14 soit de 1/2. 



   Deux embrayages à friction a commande hydraulique permettent d'entraîner l'arbre 75 par l'arbre intermédiaire 13 ou l'arbre à cames 14. A cet effet, deux P1      -teaux d'entrainement 200 et 201 sont montés sur l'arbre 75 ; ceux-ci sont   entrai 4;   

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 respectivement par l'arbre intermédiaire 13 ou   l'arbre à   cames14 
Sur l'arbre 75 est claveté un autre plateau d'entraînement 202. A   l'intéri-   eur de ce dernier sont disposés deux capsules 65 et 66 susceptibles de se dilater par injection d'huile sous pression afin de permettre 1'entraînement de ce plateau par lesdits plateaux d'entraênement 200 et 201. 



     , En   d'autres termes, le plateau d'entraînement 202 et l'arbre 75 sont donc susceptibles d'être entraînés, soit par l'arbre intermédiaire 13, soit par l'arbre cames 14. 



   Sur l'arbre 75 est .claveté un pignon 75 entraînant un pignon 77   monte   sur un arbre 150 (montré en coupe partielle Fig. 1). 



   Un autre pignon 78 est entraîné par l'intermédiaire d'un embrayage à   fric-.   tion 215 monté sur un arbre 150. Le réglage du couple de friction de l'embrayage 
215 est obtenu par l'intermédiaire d'un ressort   17.   



   Sur la vis d'entraînement 10 est fixé un pignon 79 entraîné par le pignon   78.'Lorsque-l'embrayage   11 est en fonction la vis d'entraînement 10 est mïe dahs le sens inverse des aiguilles d'une montre (fig,2) et la tête   d'inpression   6 se déplace de la droite vers la gauche (montré en Fig. 1). Lorsque l'embrayage 12 est en fonction '(condition normale de fonctionnement de l'appareil) , le mouvement de rotation de la vis d'entraînement, dans le sens de s aiguilles d'une montre , ne peut se produire du fait de la présence du cliquet 15 qui se trouve engagé avec la roue à rochet 16. Les pignons 79 et 78 sont alors bloquée. De ce fait, l'embrayage 215 patine. 



   Les rails de guidage 8 et 9 (Fig. 1 et 3) sont montés sur des supports 
158 et 159 fixés à   l'extrémité   des leviers 28 et 34. Ces leviers 28 et 34 peuvent pivoter autour d'un arbre.160. Une série de ressorts 42   sollicitent   continuelle- ment, dans le sens des aiguilles d'une montre, les leviers 28 à 34. 



    -En   d'autres termes, par l'intermédiaire des ressorts 42, les galets 161 sont en contact avec les surfaces respectives des cames 35 à   41.   Les leviers 28 à 34   coin-   portent des appendices (ou prolongement) 162 qui sont, normalement, en contact avec les armatures 27 des relais 26. Il y a autant de relais26 que de leviers 28 à 34 à contrôler. Les cames 35 à 41 sont taillées similairement à la came 35 (mon- 

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 tré en Fig. 3). Ces   caanes   ont un contour prévu de manière telle que l'accéléra- tion communiquée aux galets 161 soit relativement faible lorsque ceux-ci viennent à passer sur les bossages desdites cames, 
Le but de ceci est de réduire le choc des appendices 162 lorsqu'ils entrent en contact avec l'extrémité des armatures 27 des relais 26. 



   ..Lorsqu'un caractère est sur le point d'être imprimé, les relais 26, asso- les¯ ciés   avec/Leviers   28 et 34, sont excités. Des dispositions sont prévues pour com- mander l'éxcitation de ces relais lorsque les bossages des cames 35 et 41 viennent, par suite de la rotation de ces dernières, soulever les galets 161 associés aux leviers 28 et 34. Cette disposition permet ainsi d'assurer la libération des arma- tures 27 des relais 26, du fait du mouvement ascendant   communiqué   aux appendices 
162 prolongeant ces leviers. 



   L'excitation de ces relais provoque le déplacement de leurs armatures res- pectives 27 vers la droite (montré en Fig. 3) contas'les ressorts 163 de telle façon qu'ils libèrent les appendices 162. Les galets 161 associés aux leviers 28 et 34 sont /alors amenés en contact par l'intermédiaire de leurs ressorts 42 avec le conteur des cames 35 et   41,   ce qui a pour effet de provoquer un mouvement des leviers 28 à 34, dans le sens des aiguilles d'une montre, autour de l'arbre 160. Ce mouvement   amène   la tête d'impression 6 en contact avec la platine 44. Cette tête d'impression est   maintenue:dans   cette position pendant toute la durée d'impression. Après l'impres-   sion, les   deux relais 26 ne sont pas excités.

   Les armatures sont alors ramenées en position première par l'intermédiaire des ressorts 163. Celles-ci viennent alors e      contact contre les appendices 162 des leviers 28 et 34 jusqu'à ce que les cames 35 et 41 soulèvent, de nouveau, ces leviers permettant ainsi un réengagement de ces appendices 162 sur les armatures 27 des relais 26. 



   Le papier (non montré) sur lequel sont imprimés les caractères, passe autour d'une roue dentée 45 et entre-un guide 164. Celui-ci passe, ensuite, entre la tête d'impression 6 et la platine 44. L'autre extrémité du papier passe entre une autre roue dentée 46'et un autre guide 165. On peut utiliser plusieurs exemplaires. 



   Un ruban d'impression (non montré) passe entre les guides 47 et 48 (Fig.1, '3, 4) et des galets 49 et 50. S'il y a plusieurs exemplaires des intercalaires de carbones, sont prévus entre les différentes épaisseurs de papier. 



   Le mécanisme d'impression de l'appareil va maintenant être décrit. 



   Un commutateur 103 (Fig. 1 et 4) transmet, par l'intermédiaire de deux ba- lais, des signaux de commande de très courte durée (ces signaux peuvent avoir une 

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 durée voisine de 0,5 milliseconde et se succéder au taux de 100 par seconde). 



    Si,   à l'instant considéré,   l'appareil reçoit   un signal représentant un caractère devant être enregistré, il provoque   l'excitation   d'un relais de sélection parti- culier 2   associé.à   un relais de fonction (non montré) connecté en série avec ledit relais 2 de sélection. 



   Le relais de fonction excite un relais 26 particulier, lequel contrôle les levier.s 28 et 34 afin de permettre 1'.avancement de la tête d'impression 6 en position   d'impression.   En effet, les poinçons actuellement utilisés nécessitent qu'un faible déplacement. De ce-fait,, le jeu,   existant   entre la tête d'impression et le papier, est trop petit pour qu'il permette un déplacement correct de la tête d'impression ou du papier, et, en conséquence, il devient donc nécessaire d'éloigner la tête d'impression 6 du plan du papier en   déhors   des périodes   d'iin-   pression. 



   Le temps mis, hydrauliquement, pour commander les poinçons 43 après l'exc- tation d'un relais 2 est tel, que ceux-ci ne commencent seulement à se déplacer, en vue de l'impression, que lorsque le mouvement d'avance de la tête d'impression est achevé, Le relais de fonction (non montré mais déjà mentionné ) entraîne l'excitation du: relais 26 qui commande l'opération d'avance lettre, par l'inter- médiaire du levier 29. Cette avance lettre est obtenue par translation de la tête d'impression le long des guides 8 et 9.

   Le relais 26   contrôlant   l'avancement de la tête d'impression est excité, lorsque les opérations d'impression sont en cours 
La commande d'avance de cette tête d'impression n'est pas instantanée, et, de ce fait, lorsqu'elle devient effective, les poinçons précédemment actionnés   sont à nouveau revenus en position de repos ; que cette tête d'impression   elle-même a déjà effectué son mouvement de recul. 



   Plus préciémetn, le relais'26 est -excité à l'instant   de/soulèvement   du levier 29. Ce soulèvement est obtenu par l'intermédiaire des bossages de la came 
36. Il provoque la libération de l'armature 27 du relais 26. La came 36 est tail- lée d'une façon similaire à la came 35. Ensuite, le levier'29 est libéré,,et le galet 161 peut alors suivre le contour de la came 36. Une pièce en forme de cro- chet 180 est montée sur le levier 29, celui-ci s'accroche avec un doigt 181 fixé sur un arbre 15. Sous le contrôle de la came 36 et du ressort 42, le levier 29 exécute un mouvement de va et vient. Ce mouvement à pour effet d'entraîner l'ar- 

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 bre 54 dans le sens des aiguilles d'une montre par l'intermédiaire des pièces 181 et 180.

   Ce mouvement de rotation de l'arbre 54 (Fig. 2) a pour effet d'entraîner la biellette de liaison 167 par l'intermédiaire d'un levier fixé sur ledit arbre. 



  La biellette de liaison est terminée par un trou oblong dans lequel vient se loger un guide 169 monté sur le levier 53. 



   Par l'intermédiaire de ladite bidlette de liaison, le levier 53 tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, appliquant le cliquet 15 contre un . ressort plat 171. De ce fait, la roue à rochet se trouve libérée. Par l'intermé- diaire du pignon 78 et son arbre 150, le pignon 79 est entra.îné, provoquant ainsi la rotation de la vis d'entraïnement 10 et de la roue à rochet 16, dans le sens des aiguilles d'une montre. 



   Le mouvement de rotation de l'arbre 54 pour l'avance lettres est seulement d'une courte durée, étant placé sous le contrôle de la came 36. Le ressort plat 171 peut donc, ensuite, appliquer le cliquet 15 dans sa position première entre l'espace de-deux dents de la roue à rochet 16, En même temps, le ressort 148 ra- méne le levier 53, la, biellettte de liaison 167, le levier 166 et l'axe 54 dans leur position de repos (Fig. 2). Le cliquet 15 est monté sur une barre d'accouplement 172. Celle-ci est mise en liaison avec le piston 21 d'une dispositif amortisseur 20. Ce dernier est continuellement sollicité par un ressort 18 vers la. face supé- rieure du dispositif amortisseur (Fig. 2) . 



   Lorsque le cliquet 15 n'est pas en contact avec une des dents de la roue à rochet 16, corme décrit ci-dessus, le ressort 18 entraîne le piston 21, la biellette d'accouplement 172 et le cliquet 15, vers le haut, jusqu'à ce que l'en- semble soit-arrêté contre la face supérieure par l'épaulement 19. Dans l'opération suivante d'avance lettres, le cliquet 15 entrera en contact avec la dent suivante de la roue à rochet 16, lorsque la tête d'impression 6 aura avancé a'environ la   motié   de la distance nécessaire pour cette opération, le point d'impact de la pro- chaine dent de la roue à rochet 16 poussera ledit cliquet 15 et son ensemble vers la partie inférieure du dispositif amortisseur jusqu'à ce que la bague 22 vienne en contact avec le piston 21. 



   Sur la surface supérieure du piston 21 est disposé un clapet 23. Celui-ci s'ouvre lorsque le piston 21 effectue un mouvement de bas en haut et se ferme 

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 dans le cas contraire. 



   Le mouvement de bas en haut se trouve sous la   dépendence   du ressort 18, lors- que le cliquet 15   n'qst   pas en contact avec l'une des dents de la roue à rochet 16. 



  Après le réengagement du cliquet 15 par l'une des dents de la roue à rochet 16, le piston 21 chasse l'huile contenue dans le dispositif amortisseur par l'orifice ca- libré 184. Cette dernière passe, à nouveau, dans la chambre principale 185 du dis- positif amortisseur 20. 



   Durant l'intervalle de temps séparant la libération de l'une des dents de la roue à rochet 16 par le cliquet 15 et l'engagement de la prochaine dent de ladite roue 16 avec ledit cliquet 15, celle-ci, ainsi que la vis d'entraînement 10 sont accélérées jusqu'à une vitesse de rotation égale à la moitié de celle qu'elles pourraient atteindre si elles n'étaient pas amorties. 



   En d'autres termes,   1@/dispositif   amortisseur,'décrit ci-dessus, est prévu pour permettre à la tête d'impression 6 d'effectuer son   "mouvenent   d'avance-lettres sans choc, afin d'éviter l'apparition de vibrations parasites. 



   Le mouvement de recul du levier 53, autour de son pivot 170, entraîne un autre cliquet 51 s'engageant avec une autre roue à rochet   52(Fig.   1 et 2) solidaire d'un arbre 186. Par l'action du cliquet 51 et de la roue 52, l'arbre 186 tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (Fig. 2), Sur l'arbre 186 se trouve calé, d'autre part, un pignon 187 engrenant avec un autre pignon 188 calé      sur un arbre 189. 



   Sur cet arbre 189 est fixé un galet 49. L'entraînement du cliquet 51 provo- que, donc, la rotation du galet 49, qui entraîne, par friction, un galet 50 monte fou sur son axe, ce qui provoque l'avance du ruban d'impression (non représenté) qui se trouve pressé entre lesdits galets 49 et 50. 



   Lorsque le levier 53 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre, autour de son pivot 170 pour retourner en sa position première de repos, le cliquet 51 est entraîné vers la droite et son extrémité peut ainsi venir se loger à l'aplomb de la dent suivante de la roue à rochet 52. 



   Le ruban utilisé peut être, sans inconvénient, d'un type commun. Pendant l'avance de la tête d'impression, il existe un déplacement relatif du ruban par rapport à celle-ci, de telle façon que l'usure de ce dernier soit à peu près 

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 uniforme sur toute   sa.longueur.   



   Le relais 26 (Fig. 3) qui contrôle le levier 30 est le relais de tabula- tion. 



   Ce relais, similaire aux autres, est excité   à   l'instant où le galet   a.ssoci   é audit levier 30, passe sur l'un des bossages de la, came 37. Cette disposition permet, ainsi, de libérer l'armature 27 du relais 26, sans   communiquer   à celle-ci de choc appréciable. 



   Du fait de l'excitation de ce relais, le galet 161 peut alors suivre le contour de la came 37. 



   Une biellette 55 assure l'accouplement des leviers 30 et 191 par l'inter- médiaire   d'un   doigt 192 solidaire dudit levier 191. A l'une des extrémités de la biellette d'accouplement 55 est pratiqué un trou oblong 193 dans lequel s'insère un guide 188. Le levier 191 est solidaire de l'arbre 58 assurant l'entraïnement d'un doigt de commande 56. Lorsque la biellette d'accouplement est entraînée par le levier 30, le levier 191 est entraîné, à son tour, par le doigt 192. De ce fait l'arbre 58 tourne, d'un angle, de faible ouverture, dans le sens des aiguilles d'une montre (Fig. 3) . Le doigt de commande 56 est, par conséquent, entraîné vers la gauche (Fig. 3) et assure l'entraïnement d'un second doigt 57 avec lequel il est en contact. Le doigt 57 est solidaire de l'arbre 54.

   Par conséquent, le mouve- ment du doigt du dispositif de commande 56, décrit ci-dessus, provoque 1 'entraîne- ment dU' doigt 57. 



   De ce fait, l'arbre 54 entre en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre, de la même façon que si le mouvement lui avait été communique par le levier 29, comme précédemment décrit. 



   De cette manière, la roue à rochet 16 est libérée, et de ce fait, la vis d'entraînement 10 est mise en mouvement et provoque l'avancement de la tête d'im- pression 6. Le doigt 57 est construit de telle façon qu'il verrouille le doigt de   commande   56 lorsque celui-ci est en position de   travail.   Ce verrouillage demeure effectif même si le levier 30 et la biellette d'accouplement 55 reviennent en po- sition de repos, à l'instant de passage du galet 161 sur le bossage suivant de la came 37.. 



   Ceux-ci sont alors verrouillés dans leur position de repos, par   l'arma-   

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 ture 27 du relais de tabulation 26 qui, à cet instant, n'est plus excité. Le doigt      192 coulisse à l'intérieur dû trou oblong 196 pendant le mouvement de retour du levier 30. Par conséquent, l'arbre 54   dépure   dans sa position de travail.et le cli   quet 15   est retenu.hors de sa position   d'en.-cliquetage   avec la roue à rochet 16. 



  L'arbre 58 est fendu afin de permettre le passage des taquets de tabulation dont un de ceux-ci est montré en Fig. 3. Ces taquets possèdent des bords inclinés et   peuven-   être déplacés afin de définir les différents points de tabulation. 



   Après l'excitation du relais de tabulation 26, la tête d'impression 6 est déplacée jusqu'à ce qu'elle atteigne une position d'arrêt dans son déplacement.      



   En effet, celle-ci vient alors en contact avec l'un des taquets de tabula- tion 59, ce qui entraîne la rotation de l'arbre 58 dans le sens inverse des   aiguil-   les d'une montre. Cette rotation entraîne, alors, le déverrouillage des doigts 56 et 57. L'arbre 54 est alors ramené en position de repos par l'intermédiaire du ressort plat 171 et le cliquet 15 entre, à nouveau, en position d'encliquetage avec l'une des dents de la roue à rochet 16. 



   Pendant l'opération de tabulation décrite ci-dessus, la vis d'entraînement 10 et la roue à rochet 16 atteignent la vitesse normale d'entraînement transmise à partir de l'arbre à came 14 par l'intermédiaire de l'embrayage 12. Lorsqu'une dent de la roue à rochet 16 entre en contact avec le cliquet 15 à cette dite vites- se, ladite roue à rochet 16 provoque le déplacement, vers le bas du piston 21, jus.-   qu'à'ce que   celui-ci atteigne la bague d'arrêt 22 dans le dispositif amortisseur 20. De plus, cette bague d'arrêt 22 est sollicitée, vers le haut, par un ressort 25 de forte tension. La descente du piston 21 entaïne alors celle de la bague d'arrêt 22, ce qui a pour effet de comprimer le ressort 25 jusqu'à ce que la roue à rochet 16 s'arrête.

   A cet instant, le ressort 25 revient alors en position nor- male,   entraînant   la bagued'arrêt 22 et tout le système du dispositif amortisseur dans sa position de repos (Fig. 2). 



   Le relais 26, qui assure le contrôle du levier 31, est prévu pour assurer la commande du retour de la tête d'impression   6 .   L'excitation de cerelais a lieu, lorsque, du fait de la rotation de la came 38, un bossage de celle-ci, soulève l'appendice 162 du levier 31, libérant ainsi l'armature 27 dudit rela.is 26. 



   Le galet 161 est associé au levier 31, est alors libre de suivre exacte- ment le conteur de la came 5d, celle-ci étant similaire à la cane 35. 

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   D'autre part, le bras supportant le galet 161, possède un prolongement s'étendant au-dessous de l'arbre 160 (Fig. 3); ce prolongement possède un doigt 173 s'engageant dans un trou oblong 174 d'une biellette de commande 61. Cette biel- lette est associée à un levier 62 fixé sur un arbre 67 susceptible de tourner au- tour de ses axes. Par conséquent, lorsque le levier 31 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, autour de son axe 160, du fait de la rotation de la came 38, il entraîne la biellette 61 vers la gauche (Fig. 3) et le levier 62 commande la rotation de l'arbre 67 dans le sens des aiguilles d'une montre. De ce fait, le ressort 176 se trouve bandé. Le mouvement du levier 62 a pour effet d'entraîner le piston de la valve 64 vers la gauche et celui de la valve 63 vers la droite. 



   La pression d'huile nécessaire au fonctionnement du dispositif est fournie par un système de contrôle hydraulique (celui-ci sera décrit ulterieurement) à un distributeur à valve 117. L'admission de ce distributeur s'effectue par l'orifice 118 et l'huile, sous pression,-passe alors par la canalisation 195 afin de   ressor-   tir par les-orifices 119 et 121 suivant la position des pistons des valves 63 et 64 Dans les conditions normales de fonctionnement, les valves 63 et 64 sont respecti- vement fermées et ouvertes (Fig. 3). L'huile, sous pression, est alors fournie par l'orifice 121 du distributeur à valve 117 à l'extrémité 120 de l'arbre 75 (Fig. 1). 



  Cet orifice permet d'alimenter en huile sous pression la capsule 66 de l'embrayage 12. Le   mouvement   de la biellette d'accouplement 75 vers la gauche, décrit précé-   demment,   ferme la valve 64 et ouvre la valve 63. L'huile sous pression est alors fournie par l'intermédiaire de l'orifice 119 du distributeur à valve 117, à l'extré- mité 122 de l'arbre 75, ce qui a pour effet d'alimenter la capsule 65 de l'ebrayag e 11. De cette façon, cet embrayage entre en fonction, tandis que l'embrayage 12 est dégagé. L'huile est expulsée de la capsule 66 de l'embrayage 12 et passe par la canalisation 196   (Fig.   3) pour   rejoindre   un réservoir de décharge (non montré). 



  L'embrayage 11 entraîne l'arbre 75 à une vitesse de rotation double de celle obtenu normalement.loraque l'embrayage 12 est en prisè. 



   D'autre part, la vis d'entraînement 10 entre en rotation dans le sens in- verse des aiguilles d'une montre (Fig. 2) afin de commander le retour de la tête d'impression 6 de la Droite vers la gauche. 



   Sur l'arbre 67 (Fig. 3) est fixé un bras 175 à l'extrémité duquel pivote 

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 une biellette de commande 68. Lorsque l'arbre 67 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre, le bras 175 entraîne la biellette de commande 68, vers le bas, jusqu'à ce que celle-ci soit libérée du levier   69.   Ce levier 69 est fixé sur un arbre 70 constamment soumis à l'action d'un couple   tendant   le tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, ce couple étant fourni par un ressort (non représenté sur la Fig. 3). 



   Le levier 69 peut alors tourner d'un certain angle déterminé par la position d'une butée non représentée.   L'extrémité  é inférieure de ce levier se trouve ainsi maintenue directement au-dessus de l'extrémité supérieure de la biellette de   comman.   de 68. Par conséquent, cette biellette de commande, le levier 67, les valves 63 et 
64 ainsi que la biellette de commande 61 vont demeurer dans les positions où ils ont été placés, lorsque le levier 31 va revenir danssa position de repos, du fait de la rotation de la came 38.      



   En outre, le doigt 173 est entraîné vers la,   doite   du trou oblong 174 dela biellette-de commande 61, lorsque le levier 31 revient à sa position de repos. 



   L'arbre 67 est solidaire d'un bras 212 (Fig. 2), associé à une biellette de commande.203, celle-ci pivote, en outre, à l'extrémité   204   d'un second bras 205 monté sur un arbre   206.   



   Lorsque l'arbre 67 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre (comme décrit précédemment), le bras 212, la biellette de commande 203 et l'extrémité 204 du bras 205 sont entraînés vers le bas. De ce fait, l'arbre 206 est entraîné dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. (comme décrit précédemment). 



   Sur cet arbre 206 est fixé un bras 80 dont l'extrémité, en sedéplaçant, vers le haut, entre ainsi en contact avec le crochet 207 du levier 53. Ce levier effec- tue alors un mouvement de rotation dans le sens-inverse des aiguilles d'une montre, autour de l'arbre 170. De ce fait, on obtient le dégagement du cliquet 15 de la roue à rochet 16. Par conséquent,'celle-ci est alors capable d'entrer librement en ro- tation pendant le mouvement de retour de la tête d'impression 6. Lorsque cette tête- d'impression revient en position de "début ligne", une vis 74, (Fig. 1) entre en cons. tact avec l'extrémité d'un bras 73 d'un levier en forme de   "T"   pivotant autour   d'un   vis pivot 221.

   Le second bras 222, de ce levier, est   articulé.à   l'extrémité de la tige de commande 223 d'un piston coulissant à l'intérieur d'un corps de pompe 74'. 

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  Le troisième bras 72 sert à contrôler le levier 71 monté sur l'arbre 70 (Fig. 3). 



   La rencontre de la vis 74 et du bras 73 du levier en forme de "T" provoque la rotation de ce dernier autour de son pivot 221, de façon telle que le bras 72 entraîne le levier 71 et l'arbre 70, dans le sens des aiguilles d'une montre   (Fig','   Le levier 69 est, par conséquent, entraîné vers la gauche   (comme     neutre   sur la Fig. 3) 
Un ressort antagoniste (non représenté) provoque le soulèvement de la biel- lette de commande 68 ; celle-ci entraîne la rotation dans le sens inverse des ai- guilles d'une montre, de l'arbre 67 sous l'action du ressort 176. Les fonctions des, valves 63 et 64 sont, de ce fait, permutées. De ce fait, l'arbre 75 est, à nouveau, entraîné par l'intermédiaire de l'embrayage 12 (Fig. 2).

   Le levier 80 tourne alors dans le sens des aiguilles d'une montre afin de permettre au cliquet 15 de réenga- ger la roue à rochet 16. Le bras 222 du levier en forme de "T" provoque le déplace- ment de la tige du piston 223 à l'intérieur du corps de pompe 74'. A l'intérieur de ce corps de pompe est disposé un ressort (non figuré) qui a pour but d'éviter de communiquer un choc à la tête d'impression 6, lors du freinage de celle-ci. 



   La commande des opérations d'avance-ligne" est effectuée par l'intermédiaire d'un levier 33 et contrôlé par un des relais 26 et par la cane 40. 



   Le mouvement nécessaire à la commande de ces opérations est fourni à partir d'un pignon 81 (Fig. 1 et 4) calé sur l'arbre à came 14. Ce pignon engrène avec un second pignon 82 disposé de telle façon que celui-ci puisse entraîner un arbre 84- par l'intermédiaire d'un embrayage à friction 83. 



   En position normale, un cliquet 88 est en prise avec une roue à rochet 87 et calée sur un arbre 84/emp6che celui-ci d'entrer en rotation. De ce fait, l'embray- age à friction 83 patine. Lorsque le relais d'avance interligne est excité, le galet 161 associé au levier 33 est à même de suivre le contour de la came 40, celle ci étant exactement similaire aux autres cames 35. Le mouvement de l'arbre 89, montré sur la Fig. 4, mais non dessiné sur la Fig. l, est contrôlé par le levier 33 par un mécanisme (non dessiné) exactement similaire à celui qui contrôle le mouvement de l'arbre 54, par l'intermédiaire du levier 29. De ce fait, lorsque le levier 33 entre en mouvement du fait de l'excitation au relais 26 associé, l'arbre 82 tourne en sens inverse   ries   aiguilles   d'une   montre.

   Sur cet arbre 89 est fixé 

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 un bras   22'5   pourvu d'une extrémité inclinée 226. L'extrémité 226 du bras 225 est susceptible de pouvoir s'engager sous l'extrémité 228 d'un levier 90 pivotant autour d"une vis 227. Un ressort (non figuré) maintient normalement le levier 90, dans une position telle que son extrémité inférieure ne soit pas en contact avec l'extrémité du cliquet 88. 



     - En   d'autres termes, le ressort tend à déplacer l'extrémité 228 du levier 90 dans la direction de-l'observateur de la Fig. 4. Lorsque l'arbre 89 entre en rotation dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, l'extrémité 228 du le- vier 90 se trouve engagée sous l'extrémité 226 du bras 225, ce qui a pour effet de faire tourner celui-ci.autour de son pivot 227. De ce fait l'extrémité infé- rieure du levier 90 soulève le cliquet 88 et   entra.±ne   son dégagement de la roue à rochet 87. Par cette action,l'arbre 84 est entraîné par l'intermédiaire de l'em- brayage à friction 83. Deux pignons 229 et 230 calés sur l'axe 84 entraînent res- pectivement les roues d'engrenage 85 et 86.

   Les roues dentées 85 et 86 sont elles -mêmes calées respectivement sur les mêmes arbres que les roues dentées 45 et 46 assurant la commande d'"avance ligne". 



   , Le mouvement de rotation de l'arbre 89, placé sous le contrôle de la came 40, est de très courte durée, ce qui permet de ramener rapidement au repos le levier 90 sous   l'action-de   son ressort antagoniste. Ce mouvement permet de li-   bérer, "à   nouveau, le levier 88 qui s'engage alors avec la dent suivante de la roue à rochet 87. 



     @   Le cas de double interligneest également prévu. A cet effet, un manchon à épaulement 98 est susceptible de coulisser sur l'arbre 84. Ce manchon est nor- malement poussé vers le haut (comme dessiné sur la Fig. 4) par l'intermédiaire d'un ressort 100. 



   Un bouton moleté 97 (Fig. 1) possèdant un excentrique.99 est disposé de telle manière que, lorsque'celui-ci est tourné dans un sens convenable,   l'excen-   trique puisse entraîner le manchon à épaulement 98. Ce manchon a pour effet d'en trer en contact avec un doigt solidaire du cliquet 88, ce'qui permet à la roue      à rochet 87 d'échapper de deux dents. 



   Un système d'avance automatique d'interligne est également prévu. Cette fonction est obtenue à. partir du levier 32   place   sous le contrôle du relais de 

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 tabulation 26 et de la came 39. Ce levier 32 a pour but d'entraîner, dans le sens inverse des aiguilles d'une neutre, l'arbre 91 (Fig. 4) dans la position des   sinée   sur la Fig.   4-.   Le levier 92 se trouve alors sur la trajectoire décrite par le doigt 93, solidaire de la roue dentée 96. Cette roue est entraînée à partir de l'arbre supportant la roue dentée 46 par l'intermédiaire des roues dentées 94 et 95. 



   Le mouvement de l'arbre 91 est contrôlé par l'intermédiaire du levier 32 et d'un   mécanisme   similaire à celui décrit pour contrôler l'arbre 58 qui se trou- ve sous la dépendance du levier 30. Le mouvement de l'arbre 91 est utilisé pour entraîner l'arbre 89 par l'intermédiaire d'une paire de leviers exactement simi- laire aux doigts de commande 56 et 57 décrits ultérieurement. De cette façon, lorsque le levier 32 est commandé, le levier 90 entraîne le cliquet 88 en dehors de sa position d'encliquetage avec la roue à rochet 89. Celui-ci est maintenu dans cette position, jusqu'à ce que le doigt 93, solidaire de la roue dentée 96. entre en contact avec 1e levier 92. 



   De ce fait, l'arbre 91 va tourner alors dans le sens- des aiguilles d'une montre de telle façon que le cliquet 88 soit de nouveau.engagé avec la roue à rochet   87.'.Un   certain nombre de doigts 93 peuvent être prévus sur la roue dentée 96, leur positon étant susceptible d'être modifiée, le cas échéant suivant les   besoins,.'   
Lorsqu'un signal d'avance automa.tique d'interligne est reçu, celui-ci a pour, effet de commander le retour de la tête d'impression et l'avance papier, Il est nécessaire d'arrêter les envois de signaux de commande transmis par le comu- tateur 103 jusqu'à ce que la fonction désirée soit obtenue. Dans ce but, des contacts de court circuitage (non dessiné) sont fermés du fait de la aise en mouvement respectif des arbres 58,67, et 89.

   Ces contacts restent en position de court circuitage jusqu'à   ce-que   cette fonction particulière soit complètement terminée. 



   L'appareil récepteur précédement décrit peut être utilisé pour être uti- effectuer l'impression de signaux emmagasinée sur une bande magnétique ou sur une bande perforée à la condition d'assurer la synchronisation de l'arbre du commu- tateur 103 à partir de la tête lectrice. 



  Biffés: 2 mots. 

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   L'huile est fournie aux différentes parties du système hydraulique par une pompe 106 (Fig. 1) alimentée à partir d'un réservoir de décharge non figuré. 



  L'huile traverse un filtre 108, puis, est renvoyée, par l'intermédiaire d'une canalisation   110 "(représentée   Fig. 5) à l'alimenteur du dispositif de régulation 109. L'huile nécessaire à l'alimentation du sélecteur hydraulique.55 de la tête d'impression 6 (Fig. 1 ) est envoyée par l'intermédiaire de la canalisation 113 vers la canalisation 114. 



   La pression de l'huile est contrôlée par l'intermédiaire du dispositif de      régulation 109. 



   L'huile sous pression fournie au sélecteur hydraulique 5 est contrôlée par une soupape 112. La bille 111 ferme l'orifice de la canalisation 110 par l'inter- médiaire de son siège 126. 



   La soupape.112 est réglée de manière telle qu'elle s'ouvre lorsque la pres- sion de l'huile excède celle normalement nécessaire au fonctionnement du sélecteur hydraulique'"5. 



   L'huile en pression excendentaire est alors envoyée vers la canalisation 115. L'huile sous pression est fournie alors par la canalisation 115. vers l'ori- fice 118 de l'embrayage à commande hydraulique 117. La pression fournie à cet em- brayage est contrôlée par la soupape 116. Lorsque la pression requise pour le fonctionnement de l'embrayage est suffisante, la soupape 116 s'ouvre sous l'excès   'de   pression et l'huile est envoyée par la canalisation 123 vers les différents organes mécaniques de l'appareil. 



   ' L'huile envoyée vers les différentes parties mécaniques ne nécessite pas une forte pression. Lorsque cette pression est suffisante dans la canalisation 123 la soupape 124 s'ouvre et l'huile, en pression excédentaire, passe par la   canàli-   sation 125 pour retourner au réservoir de décharge. 



   Il est bien évident que la description précédente a été donnée à titre d'exemple non limitatif et que d'autres variantes peuvent être réalisées sans sor- tir du cadre de l'invention.

Claims (1)

  1. RESUME.' Perfectionnements aux appareils téléimprimeurs et plus particulièrement aux dispositifs récepteurs dans lesquels on assure la commande des différentes <Desc/Clms Page number 18> factions principales, (telles que "avance lettre, interligne", etx... à partir d'un arbre à cames, chacune desdites carnes étant associée à un relais de fonction qui, par son. excitation permet à ladite cane de déclencher la fonction correspon- dante par un mécanisme approprié.
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