BE393267A

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Publication number: BE393267A
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Description

" Appareil perforateur et oompteur à olavier "
La présente invention concerne les systèmes de oomposi- tion typographique et les appareils pour ceux-ci,et plus particulièrement les perforateurs et compteurs qui peuvent être employés pour préparer des rubans perforés pour le contrôle automatique des machines à oomposer.

Le dispositif décrit ici est spécialement adapté à la préparation d'un ruban perforé destiné à être utilisé pour le oontrôle des machines à oomposer du type dit " linotype ".

Des machines de ce type sont pourvues de matrices qui oonsis- tent en petits éléments en laiton dans les bords desquels des caractères sont taillés et qui ont des largeursappe- lées en typographie épaisseurs, différentes eu égard au fait que la largeur des caractères varie. Eu égard à oette oondi- tion, une longueur de ligne donnée peut contenir un nombre variable de matrices dépendant des caractères particuliers utilisés dans la ligne.

C'est pourquoi, il est évident qu'une longueur de ligne donnée dépend, non seulement du nombre des

caractères de la ligne, mais encore de l'épaisseur des oarao- tères ou des matrices constituant la ligne. consêquemment, il est nécessaire, lorsqu'on prépare le ruban perforé repré- sentant des lignes de texte oomposé, de totaliser les diffé- rentes épaisseurs des matrices correspondant aux perforations de oode faites dans le ruban) de façon que l'opérateur soit averti de la longueur de ligne restant lorsque chaque touohe est actionnée et puisse ainsi juger quel est le meilleur point pour finir une ligne.

En plus des matrices à caractère usuelles employées,des machines à oomposer du type particulier auquel la présente invention est relative sont aussi pourvues de matrices jus- tificatrices ou de bandes d'espacement extensible? qui sont réglées entre certaines limites d'épaisseur avant que l'o- pération de moulage soit accomplie. Le dispositif compteur décrit ici, indiquera l'opérateur qui transmet, l'épaisseur totale des matrices d'une ligne durant le prooédé de compo- sition, et il indique séparément le nombre ainsi que l'épais- seur minimum, maximum et variable des matrices justificatrices% L'organe indicateur combiné aveo le dispositif oompteur de la présente invention oorrespond sensiblement à celui décrit dans le brevet belge n* 373.047 déposé le 28 Août 1930.

Un assortiment de matrices du même style ou d'une même fonte sont emmagasinés dans un réceptacle appelé magasin et ces magasins sont établis pour être utilisés de façon inter- ohangeable dans la machine à oomposer. Des matrices oorres- pondantes dans les différentes fontes peuvent varier en épais - seur ; ainsi, des lignes de la même longueur, mais composées de types de styles ou de fontes différents oontiendront un nombre différent de caractères par ligne, ce qui peut néoessiter un degré de justification différent.

Un des objets principaux de la présente invention oonsis -

te à prévoir un système ou jeu de barres de code, amovible et aisément interohangeable, pour permettre aux matrices de n'im- porte quelle fonte de types d'être oonvenablement intégrées ou totalisées par le dispositif compteur sans nécessiter au- oun changement ou ajustement quelconquedans l'appareil.

Un autre objet de l'invention est de fournir un sensible chevauchement ou recouvrement dans le fonctionnement mévani- que du clavier pour augmenter la vitesse de fonctionnement de l'appareàl.

Un autre objet de l'invention est de prévoir un perfo= rateur pour machines à oomposer dans lesquelles l'intégration ou la totalisation des matrices de la ligne est accomplie aveo une extrême précision à de grandes vitesses.

Un autre objet est de prévoir un appareil perforateur et compteur à olavier qui soit extrêmement compacte et dont les dimensions restent invariables quel que soit le nombre d'unités en lequel l'épaisseur de la matrioe est divisée.

Une desoription générale de l'appareil destiné à réaliser les objets de 1invention qui précèdent, donnée ici, permet- tra une compréhension plus aisée de la desoription détaillée qui doit suivre.

Le oyole des opérations du présent appareil est amorcé en abaissant les touches du clavier comme on le fait ordinai- rement dans les dispositifs de cette espèce. Une barre de oode individuelle est combinée avec chaque levier de touche. Tou- tes ces barres de oode sont montées dans un châssis qui peut être enlevé de l'appareil généralde façon qu'un châssis dif- férent avec Ses barres de oode puisse lui être substitué quand on désire faire fonctionner l'appareil pour un type d'un sty- le ou d'une fonte différente; ainsi, une série de barres de oode peut être prévue pour chaque fonte de type différente.

Ces barres de code sont enooohées afin de coopérer aveo deux séries de barres sélectrices qui sont disposées en travers

des barres de oode.

Lorsqu'on abaisse l'un queloonque des leviers de touohe, un étrier de dégagement commun à tous les leviers de touche est aotionné, afin qu'il aware à son tour le fonctionnement d'un étrier de commande universel qui xx ooopère aveo la bar- re de oode ohoisie et la pousse contre une ooinbinaison permutée des barres sélectrices. Les barres séleotrioes ainsi ohoisies effectuent simultanément la sélection d'une série oorrespon- dante de barres d'obstruction des poinçons dans l'appareil perforateur et d'une barre d'arrêt ou de butée dans leméca- nisme oompteur. La barre d'arrêt ainsi choisie correspond à l'épaisseur de la matrice correspondant à la touche abais- sée.

Un bras déolenoheur combiné aveo l'étrier de commande et fonctionne aveo lui, son rôle étant de provoquer le fonc- tionnement de l'arbre de commande principal. Ce dernier agit alors pour effectuer les opérations de comptage et de perfo- rage presque simultanément. Cet arbre prinoipal porte une came de commande prinoipale, dont la surface active extérieu- re ooopère avec un levier de oonimandeiprincipal du perforateur pour effectuer la oomnande du bloc de poinçonnage. Cette opé- ration assure aussi l'avancement du ruban.

La surface active intérieure de la oame principale ooopère aveo un levier de commande prinoipal du mécanisme oompteur pour effectuer d'une manière oonséoutive la mise d'un oliquet fixe hors de paxx- xxxxxx prise aveo la roue oompteuse ou roue des unités et la mise d'un oliquet mobile en prise aveo oelle-oi. La roue des unités, qui tend à tourner constamment, entraîne ensuite le oliquet mobile jusqu'à ce qu'il soit intercepté par la barre d'arrêt préalablement choisie. L'amplitude de rotation de la roue des unités correspond dono à l'épaisseur de la ma- trice identifiée aveo la barre d'arrêt choisie, et une rota-

tion correspondante est imprimée au mécanisme indicateur par l'intermédiaire d'une chaîne de transmission convenable.

Le mécanisme indicateur comprend un graphique cylindrique et un obturateur ou écran hélicoïdal , tel que déorit et repré- senté dans le brevet belge n 373.047.

D'autres objets de l'invention ressortiront de la des- oription de la forme de réalisation préférée de l'invention, faite en se référant aux dessins annexés, parmi lesquels :
Fig. 1 est une vue en plan de l'appareil perforateur et oompteur à olavier consiituant l'invention.

Fig. 2 est une vue de dessus de la bobine automatique à ruban.

Fig. 3 est une vue partielle en élévation de la bobi- ne à ruban.

Fig. 4 est une vue en perspeotive du méoanisme oompteur.

Fig. 5 est une vue en ooupe longitudinale de l'arbre de commande à oames.

Fig. 6 est une vue en ooupe longitudinale de l'arbre indicateur.

Fig. 7 est une vue en ooupe par la ligne 7-7 de fig. 6, montrant le mécanisme compteur pour les bandes d'espacement.

Fig. 8 est une vue en ooupe transversale par la ligne 8-8 de fig. 6.

Fig. 9 est une vue en coupe tranhversale par la ligne 9-9 de fig. 6.

Fig. 10 est une vue en ooupe transversale par la ligne 10-10 de fig. 6.

Fig. 11 est une vue en ooupe transversale par la ligne 11-11 de fige 1.

Fig. 12 est une vue fragmentaire en perspective du méoanisme de commande.

Fig. 13 et 14 sont des vues fragmentaires du mécanisme de dégagement du oliquet de la roue oompteuse.

Fig. 15 est une vue en élévation du méoanisme oompteur.

Fig. 16 et 17 sont des vues en élévation du dispositif perforateur.

Fig. 18 est une vue en ooupe suivant la ligne 18-18 de fig. 16.

Fig. 19 est une vue en ooupe par la ligne 19-19 de fig. 16.

Fig. 20 est une vue en perspective du jeu desbarres de permutation,
Fig. 21 est une xx vue en élévation longitudinale du jeu des barres de permutation.

Fig. 22 est une vue de bout de l'étriede oonmande montrant le mécanisme de dégagement de oelui-oi.

Fig. 23 est une vue en perspective du jeu int erohan- geable des barres de oode.

Fig. 24 est une vue en coupe transversale du olavier par la ligne 24-24 de fig. 1, représentant le méoanisme de changement de caractères.

Fig. 25 est une vue en perspective du dispositif de fixation du méoanisme de changement.

Fig. 26 est une vue en ooupe transversale du clavier tout près du levier de la touche d'espacement.

Fig. 27 est une vue en ooupe transversale ,certaines parties étant éliminées, par la ligne 27-27 de. fige 1 tout
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près du levier 61*mtfflm ÉÎ touoheào t'"e..'vJLwr-.

Fig. 28 est une vue expliquant le fonctionnement du levier répétiteur à touche.

Fig. 29 est une vue en ooupe transversale du olavier par la ligne 29-29 de fig. 1, montrant la forme préférée de fonctionnement des touches.

Fig. 30 est une vue représentant une forme modifiée de fonotionnement des touches.

Fig. 31 est une vue en coupe transversale du olavier

montrant une variante du méoanisme de retour aux caractères de bas de casse.

Fig. 32 est une vue partielle d'une ooupe transversale du olavier montrant le méoanisme de changement utilisé aveo le méoanisme représenté par la fig. 31.

Fig. 33 représente la disposition de touches utilisant les dispositifs de retour et de changement représentés res- peotivement aux figs. 31 et 32.

Fig. 34 est une vue de dessus du mécanisme de renverse- ment de marche du totalisateur.

Fig. 35 est une vue en ooupe par la ligne 35-35 de fig. 34.

Fig. 36 est une vue en ooupe par la ligne 36"'36 de fig. 34.

Fig36a estune vue en ooupe montrant les organes de blooage du méoanisme séleoteur de oode du perforateur .

Fig. 37 est une vue schématique du perforateur magnéti- que.

Fig. 38 est une vue de dessus du perforateur magnéti- que.

Fig. 39 est une vue en ooupe par la ligne 39-39 de fig. 38, montrant le méoanisme de commande à oame pour le perforateur magnétique.

Fig. 40 est une disposition de circuit pour le perforâtes magnétique.

En se référant aux dessins, dans lesquels les mêmes chiffres de référence sont utilisés pour xxxx désigner des pièces similaires, on voit que l'appareil décrit com- prend un châssis ou oadre prinoipal 4 établi pour contenir un méoanisme séleoteur qui va être décrit ci-après ,et est pourvu, à l'avant, d'un olavier comprenant des leviers de touche 5 manoeuvrables par des touohes 6 de la manière xxx usuelle .

Un organe de couverture 7 monté sur le oadre 4 est éta- bli de façon à pouvoir porter un moteur 8, et des mécanismes compteur, indicateur et perforateur. Le moteur 8 est placé à l'arrière de l'appareil et comporte un arbre d'induit 9 sur lequel est fixé un pignon 10. Endessous du pignon 10 se trouve une roue dentée 11 engrenant aveo lui, qui est oalée sur l'arbre moteur 12, lequel est disposé transversale- ment par rapport à l'arbre d'induit 9 et est supporté dans des enooohes 13 et 15.

L'arbre 12 porte aussi) pour qu'elles tournent aveo lui, une roue cylindrique spirale 16 et une roue ou pignon à vis sans fin 17 (fig. 4) qui engrènent aveo des roues dentées 18 et 19 montées respectivement sur les arbres transversaux 20 et 21, l'arbre 20 étant ainsi ren- du susoeptible de tourner à une vitesse plus grande que oel- le de l'arbre 21 pour la raison que lorsque l'appareil fono- tionne normalement, l'arbre 20 d'un demi-tour pour chaque opé- ration, tandis que le méoanisme monté sur l'arbre 21 ne doit tourner que d'une petite fraotion de tour pour la même opéra- tion. De même, pendant l'opération de remise en place, pendant laquelle le dispositif est ramené dans sa position normale après un oyole d'opérations, l'arbre 20 doit faire à peu près quatre tours pendant que l'arbre 21 en fait un .

Lorsqu'on accomplit une opération en un demi-tour, la vitesse de rota- tion de l'arbre 20 et des pièces montées sur oelui-oi est la moitié de ce qu'elle serait si un tour complet était utilisé pour la même allure maximum admissible de fonotionnement du xxxx clavier, ce qui réduit l'effort exercé sur les pièces et l'usure de celles-ci/ou permet une allure de fonctionne- ment admissible plus rapide.

L'arbre transversal 20 et le méoanisme qu'il porte sont représentés en ooupe longitudinale par la fig. 5, qui va être décrite maintenant, référence étant faite aussi à la fig. 1.

L'arbre 20 est supporté à rotation par des paliers antifrio-

tion montés oonvenablement dans des consoles 22 et 23, et la roue dentée 18 est fixée au moyen de vis à un collier 25 à bride oalé sur l'arbre 20. Le collier 25 est articulé au moyen d'une liaison par olavette et rainure à un manohon 26 à bri- de. Un disque de commande 27 est monté fou sur le manohon 26 ; aveo une bride du manohon 26 il fait partie d'un aooouplement à friotion 28 et est interposé entre une paire de disques en matière de friction, dont l'un est interposé entre le disque de commande 27 et une bride du manchon 26. La pression exercés sur oes disques de friotion est fournie par un ressort annu- laire fendu 24 interposé entre une paire de rondelles pouvant être réglées par un éorou 34.

De l'énergie est communiquée par le disque 27 à un disque 29, par l'intermédiaire de deux saillies latérales diamétralement opposées de oelui-oi ,les- quelles s'adaptent dans des encoches oorrespondantes du dis- que de commande 27. Le disque 29 est fixé à la came de rappel 30, qui est olavetée sur le moyeu d'un organe de commande Clame 32 en/±'orme de oame monté fou sur l'arbre 20.

Tout près de l'organe formant oame 32 (fig. 4 et 5) l'or- gane commandé 33 d'un accouplement denté ou à griffes 35 est aussi monté fou sur l'arbre 20, l'organe de commande 36 de cet accouplement étant fixé sur l'arbre 20 et pouvant tourner avec lui. L'organe commandé 33 est normalement maintenu hors de prise avec l'organe de commande 36 par de l'aotion ooopéra- tive d'une partie en forme de came 37 dudit organe 33 et un organe de butée rigide 38. L'organe 33 est articulé à l'orga- ne formant came 32 au moyen d'une liaison par rainure et cla- vette, et est poussé en prise d'engrènement aveo l'organe com- mandé 36 lorsqu'il est libéré au moyen d'un ressort de oom- pression hélicoïdal 39.

Il ressort de la desoription qui préoède que la oame de rappel 30 et la came de commande 32 peuvent être actionnées au

moyen de l'accouplement à friction 28 et de l'accouplement post- tif 35. La. raison d'être du oontrôle double des oames 30 et 32 est de procurer les avantages d'un accouplement à griffes pour transmettre de la puissanoe aux dites oames tout en obviant au ohoo ou heurt dû au démarrage brusque par engrènement des dents de cet accouplement,, par l'emploi de l'accouplement à riction 28.

De oette manière, les oames 30 et 32 sont mises lentement en marohe d'abord par la puissance arrivant à travers l'accouplement à friction et, après un oourt mouvement ou ro- tation, sont direotement et positivement aooouplées à l'arbre de oommande 20 par l'accouplement à griffes 35, la rotation initiale de la oame 32 aveo le manchon 33 relié à celle-ci ayam permis au dit manchon 33 de se déplacer lentement vers la gauche, grâce à la coopération de la surface formant came 37 et de l'organe commandé 38, en prise avec la partie fixe 36 de l'accouplement 35.

A la droite de la roue 18 (fig. 5) et monté fou sur l'arbre 20 se trouve un manohon à bride 40 sur le quel est monté un aooouplement à friotion qui est similaire à celui combiné aveo le manchon 26. Un disqae de commande 41 et une roue dentée 42 sont interposés entre des disques de friotion qui sont à leur tour compressés de façon réglable par la coopération d'un ressort 43 et d'un éorou 45 de la même ma- nière que dans l'accouplement 28. Le disque 41 est artioulé à la roue dentée 18 au moyen d'une liaison de commande 46 similaire à la liaison 29.

Un manchon 77 olaveté sur le manohon 40, est monté fou à la droite de ce dernier sur l'arbre 20. L'organe formant manchon 47 est pourvu de deux parties faites d'une pièce aveo lui ; à savoir : un disque de butée 48 et une oame 49 dont les fonctions apparaitrontci-après.

L'arbre transversal 21 et le méoanisme montésur celui- ci sont représentés par la fig. 6 et vont être décrits main-

tenant en se référant aussi à la fig. 1. L'arbre 21 est monté à ro- tation dans des paliers antifriotion montée convenablement dans les consoles 50 et 51, et est établi, en raison de sa rigidité, de façon à s'étendre vers la droite au delà du palier 51,afin de per- mettre l'interchangeabilité de l'organe en forme d'éohelle cylindri- que d'un dispositif indicateur.

On a déjà remarqué que la roue dentée 19 est portée par l'arbre 21. De la Fig. 6, ilressort que la roue dentée 19 est montée sur un organe armant manchon 52 et qu'à la dite roue est fixé un organe 53 formant boîtier qui peut tourner avec elle et dans le creux 55 duquel est placé un cliquet 56 qui est pivoté en 57 (fig. 9) et qui est normalement pressé dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre par un ressort 58. L'organe formant manchon 52 est fen- du d'une manière oonvenable, fig. 6 et 9, afin de coopérer avec le oliquet 56 ; ainsi, quand la roue dentée 19 est amenée à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre (fig. 9),le manchon 52 par la coopération du oliquet 56 sera mis en rotation dans le même sens.

Ce oliquet 56 est normalement aotif afin d'impri- mer le mouvement rotatif de la roue dentée 19 au manchon 52.

Une rondelle 60 (voir fig. 10) ,faisant partie d'un ac- couplement à griffes 61 monté à roulement à rouleaux sur le manchon 52, est interoalée entre le bottier 53 et la roue dentée 59 . A l'organe intérieur de l'accouplement 61 une liaison de commande 63 (fig. 6) est fixée, dont les oreilles disposées latéralement ooopèrent avec des encoches oorrespondantes d'une bride 66 d'un manohon 67 . La liaison de commande 63 est aus- si olavetée sur le manohon 52 . L'organe formant manchon 67 porte nn accouplement à friotion d'une construction similaire à celle de l'accouplement précédemment décrit, la partie de l'accouplement interposée entre la paire de disques de friotion étant un manchon 69 présentant deux brides 70 et 71.

La péri- phérie de la bride 70 est pourvue de dents d'engrenage et oel- le de l'autre bride 71 est pourvue d'une surface formant oame pour actionner des éléments dont les fonctions apparaitront ci-après.

Le rôle de l'accouplement a rouleaux 61 est d'effec- tuer un retour rapide du méoanisme compteur et indicateur, de la manière suivante. Comme on l'a mentionné précédemment la vitesse de rotation communiquée à l'arbre 20 par la roue d'engrenage 16 est normalement plus grande que la vitesse communiquée à l'arbre 21 par le pignon 17.

Ainsi, pour communiquer à l'arbre 21 sensiblement la même vitesse qu'à l'arbre 20,quand on désire ramener le méoanisme compteur et indicateur à la position initiale ou de commencement de ligne, un train de roues dentées 80 (fig. 1) est prévu pour relier la roue dentée 42 montée sur l'arbre 20 à la roue dentée 59 montée sur l'arbre 21,de façon que.)quand la roue dentée 42 est libérée pour pouvoir tourner , comme cela sout apparaîtra ci-après, sa rotation sera immédiatement commu- niquée à la roue dentée 59 par l'antermediaire des roues dentées 80. On voit donc que la roue dentée 19 (qui tourne de façon oonstante) et la roue dentée 59 tourneront pendant une brève période simultanément mais à des vitesses différen- tes, la roue 59 tournant plus vite que la roue 19.

Il en ré- sulte que la roue dentée 59 ajoutera son aotion à celle de la roue dentée 19 et, par l'intermédiaire xxxx de l'accouple- ment à rouleaux 61, communiquera sa rotation plus rapide à l'arbre 20. La roue dentée 19 et/le cliquet 56 paraîtront donc rester en,arrière, et le manchon 52 recevra ainsi 5a rotation de l'accouplement à rouleaux 61 au lieu de la race- voir du oliquet 56, jusqu'à ce que les mécanismes compteurs et indicateur aient atteint la position de commencement de ligne et:se s'y soient arrêtés; à ce moment, le manchon 52 se sera arrêté et le oliquet 56 continuera à avancer jusqu'à ce qu'il vienne de nouveau en prise avec la fente du manchon 52.

Une liaison de commande 72 est fixée au oôté gauche de la roue dentée 19 (fig. 6) et est olavetée eur le manchon 52.

La lia&son de commande 72 est pourvue d'oreilles coopérant aveo des encoches correspondantes d'un disque de commande 74 qui fait partie d'un accouplement à friotion 75. Le disque em 74 est interposé entre une paire de disques du matière de friction qui sont à leur tour maintenus entre la bride d'un manchon à bride 76, placé à oôté du manchon 52 sur l'arbre 21, et une rondelle 77. La pression agissant sur ces disques de friotion est fournie par un ressort annulaire fendu 38 interposé de façon réglable entre la rondelle 77 et un écrou eewou 79, le réglage étant maintenu par un xxxx de serrage 81.

L'extrémité du manchon 76 est formée de façon à pou- voir s'adapter dans une fente d'une roue à roohet 82, fig. 6 et 8, qui est montera rotation sur l'arbre 21. A la roue à roohet 82 est fixé le disque d'arrêt 84 pourvu d'une paire d'oreilles d'arrêt diamétralement opposées 85 et 86 (fig. 7) faites d'une pièoe aveo ledit disque d'arrêt et ooopérant avec le bras d'arrêt 87 pour ramener une oarte ou graphique cylindrique 88 dans sa position de commencement de ligne.

Le dispositif indicateur, qui oomprend prinoipalement le graphique cylindrique 88 présentant une série d'échelles, et un obturateur ou écran hélicoïdal , sensiblement tel que décrit dans le brevet susmentionné, est monté sur l'ambre 21 à la droite du palier 51. Tel que décrit dans ledit brevet, la circonférence du graphique 88 est divisée en vingt espa- ces, représentant chacune une échelle. Le graphique 88 oom- prend deux moitiés similaires, oomprenant ohaoune dix éahel- les. L'échelle supérieure de chaque moitié sert pour neuf ban - des d'espaoement, -Le nombre maximum nécessité par une ligne de composition.

L'échelle inférieure de chaque moitié ne sert pour aucune bande d'espaoement et est appelée l'éohelle de zéro et o'est le point auquel le graphique est ramené pour le commencement d'une nouvelle li- gne. Ces séries d'échelles sont utilisées alternativement;

ainsi, après qu'une des séries d'échelles a été utilisée, le graphique subira une rotation telle que la position zéro de l'autre série d'échelles vienne ooouper la position de oom- meneement de ligne. L'avantage de oette disposition d'éohel- les apparait quand on voit%qu'il suffit de faire tourner le graphique d'un demi-tour ou moins jusqu'à la position de zé- ro au lieu de deux fois oette quantité, ce qui éoonomise un temps oonsidérable et accroît la vitesse de fbnotionnement de l'appareil.

L'arbre 21 porte une roue dentée 91 montée folle tout près du palier 51. Comme on le voit fig. 6, l'arbre 21 est élargi sur une partie de sa longueur. Contre les épaulements ainsi formés à chaque extrémité de la partie élargie de l'arbre, butent des paliers antifriotion susceptibles de por- ter un organe 92 formant manchon qui est pourvu de douilles convenables pour reoevoir les paliers antifriction. L'oxgane 92 est fixé à la roue d'engrenage 91, fournissant ainsi une enveloppe oonvenable pour le palier antifriotion adjacent et porte, sensiblement de la manière représentée par la fig.6 l'obturateur hélicoïdal 89 dont il est solidaire.

Immédiatement à la droite du manohon 92 se trouve un or- gane 93 à bride qui supporte une extrémité du graphique oy- lindrique 88, le diamètre de la bride étant sensiblement égal au diamètre intérieur du graphique cylindrique 88. La partie en forme de moyeu de l'organe 93 est fixée au moyen d'une vis à l'ambre 21 aveo le quel elle tourne. L'organe 93 sert aussi d'organe de retenue pour le palier antifriction.

Le graphique cylindrique 88 est rivé à un organe 94 formant capuchon . Un organe 96 formant came. pouvant être maintenu entre la plaque de recouvrement 95 et un capuchon 94 au moyen d'une fente et d'une vis, a pour rôle de oontrô- ler le fonctionnement d'une lampe signal 90 (fig. 11). L'extxé- mité de droite du graphique 88 est supportera l'extrémité de

l'arbre 21 par l'intermédiaire de l'organe 94 et est assujet- tira l'arbre au moyen d'une vis à ailettes 97 d'une forme spéciale. Pour ce faire, l'extrémité de l'arbre est peroée, taraudée et ensuite ohanfreinée pour s'adapter à l'épaulement conique de la vis à ailettes 97.

L'extrémité de l'arbre est aussi fendue diamétralement sur une distanoe appropriée suf- fisante pour permettre la serrage de la vis pour dilater les oôtés de l'arbre fendu, de façon à remplir le trou pratiqué dans l'organe 94, la continuation du serrage dela vis 97 ayant pour effet de saisir et d'assujettir ledit oapuohon 94.

On voit ainsi que le graphique 88 peut être monté de façon réglable pour permettre le recouvrement oorreot de l'éohelle de zéro du graphique avec une fente 107 (fig. 1). De même aumoyen de oette oonstruotion, le graphique 88 devient amovible et peut ainsi être aisément remplacé par des graphi- ques similaires portant des graduations oorrespondant à d'autres styles de type, puisque les épaisseurs des matrices de oaraotères correspondantes varient suivant les styles de type.

En se référant à la fig. 1, on remarquera qu'une barre 98 est combinée aveo le méoanisme indicateur, laquelle ohe- vauohe le graphique et l'obturateur, et est pourvue d'extrémi- tés pendantes pouvant fonctionner oomne des oiganes commandés par des oames pour ooopérer aveo la came 96 et une surface formant oame 99 prévue sur l'organe formant manohon 92 (f ig. 6).

La barre 98 est fixée au levier ooudé 100 (figs. 1 et 11) qui peut pivoter en 101, dont le bras 102 est pourvu d'une extré- mité reoourbée 103 ooopérant aveo le ressort de oontaot infé- rieur du contact à ressort 104. La fermeture du contact 104 oomplète un oirouit pour la lampe signal 90 (fig. Il), dont le rôle, quand elle est allumée, est d'apprendre à l'opérateur l'approche de la fin de la ligne.

Comme cela se trouve pleinement déorit dans le brevet bel-

ge 373.047, le graphique 88 est pourvu d'une série d'éohel- les, qui toutes, à part deux, .\-présentent une partie fortement ombrée 105 (fig. 1) et une partie xx légèrement ombrée 106, et comme on l'explique dans ledit brevet, la partie légèrement ombrée 106 représente la quantité de justification possible dans une ligne contenant une ou plusieurs bandes d'espace- ment. Comme le montrant les figures 1 et 11, le graphique 88 est disposé en arrière et tout près de la fente 107 prati- quée dans une partie du oouverole 108 de la machine,de façon qua quand on fait tourner le¯¯graphique 88 dans différentes positions, d'une manière déorite oi-après, une seule des échelles apparaisse à travers la fente.

Comme cela ressort de la description du brevet susnen- tionné, l'obturateur 89 est amené à tourner d'une quantité déterminée chaque fois que l'on abaisse une touche de oarao- tère 6 et le bord de l'obturateur apparaissant à travers la fente 107 parit se déplacer vers la droite vers la posi- tion de fin de ligne, et lorsque l'obturateur agit ainsi,la surface formant came 99 ooopère aveo l'extrémité de gauche de la barre 98 afin de soulevir ladite barre qui à son tour fait tourner le levier 100 pour fermer le oontaot 104, afin d'allu- mer la lampe signal 90.

Maintenant, puisque la longueur de ligne à remplir de oaraotères varie aveo le nombre des bandes d'espaoement utilisées dans la ligne, et puisque le nombre de bandes d'espacement de la ligne détermine l'importance de la justification nécessaire, il est évident que plus on utilise de bandes d'espacement dans une ligne moins on peut placer de caractères dans la même ligne, de sorte qu'il devient néoes- saire dans ce cas d'avertir plus tôt l'opérateur de l'arri- vée d'une ligne justifiable. Pour y arriver, on a prévu une oame 96, décrite précédemment, qui coopère aveo l'extrémité pendante de droite de la barre 98 pour actionner le levier 100 de la même manière qu'au moyen de la surface formant oame 99.

Le but de oette aotion double sur le levier 101, est d'avertir l'opérateur, par l'action combinée des oames 96 et 99, dont le oontours sont établis en vue d'une coopération, de l'arrivée d'une ligne justifiable; o'est-à-dire que le moment où là li- gne atteint une longueur oonvenable pour permettre la justifi- cation automatique est indiqué par l'allunage de la lampe signal 90 contrôlée par le levier 101. En effet, lorsque,par suite de l'abaissement de la touohe d'espaoement(ou de bande d'espacement) le graphique tourne graduellement, l'extrémité de droite de la barre 98 est légèrement soulevée et aooélère ainsi l'allumage du signal par rotation de l'organe obtura- teur 89 qui effectue le soulèvement de l'extrémité de gauche.

Derrière l'arbre 21 et parallèlement à oelui-oi se trouve un arbre 111 (fig. 4) portant une roue des unités,qui est oonvenablement supporté à rotation par des paliers anti- friotion montés dans des consoles 112 et 51. La roue 113 appelée roue des unités est fixée à l'extrémité de gauche de l'arbre 111, fig. 1, et sa périphérie présente de nombreuses dents d'engrenage, à pas relativement petit de façon à permet tre la division des largeurs des matrices en petites unités, ce qui assure une plus grande exactitude dans le comptage.

Afin que le comptage puisse être exact et que le nombre d'é- paisseurs différentes des matrices puisse être minimum, cha- que Em, qui est l'unité de mesure des types et qui correspond m à la largeur du caractére/est divisé en dix-huit unités seoon- daires égales; l'expérience ayant montré que dix-huit est un nombre convenable. On n'utilise pas des matrices ayant une épaisseur égale à un certain nombre d'unités, o'est-à-dire qu'on n'utilise pas de matrices n'ayant qu'une deux ou trois unités dhépaisseu, et on a oonstaté que douze épaisseurs dif- férentes suffisent à tous les besoins.

Chaque dent de la roue à unités correspond à une de oes unités seoondaires,et le
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dents des roues dentées 70 et 114 ont été ohoisies de façon w17¯

que chaque dent corresponde à un demi Em, afin que la lon- gueur de ligne puisse être réglée à un demi Em près.

Un pignon 114, fait d'une pièoe aveo le manchon 115 (fig.

4) qui est fixé sur l'arbre 111, engrène aveo la roue dentée 70. Un organe 116 en forme de manchon, ayant une liaison par olavette et rainure aveo le manohon fixe 115, est monté fou sur l'arbre 111. Un pignon 117 correspondant au pignon 114 et fait d'une pièce aveo le manchon 116 est disposé à l'opposé de la liaison par olavette et rainure. Normalement, le pignon 117 engrène aveo la roue dentée 91 montée sur l'or- gane obturateur 89.

Le manohon 116 possède aussi une bride 118, de sorte que oette bride et le pignon 117 forment entre eux une rainure annulaire dans laquelle est disposée une ex- trémité du levier de dégagement 119 (fig. l) qui pivote sur un support approprié 121, l'autre extrémité 120 du levier ayant la forme d'un poussoiri- grâce auquel on peut aisément faire tourner le levier 119 à la main dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre (comme on le voit à la fig.

1) pourdéplacer l'organe formant manohon 116 vers la gauche, en antagonisme aveo un ressort hélicoïdal 122, et interrompre l'engrenage du pignon 117 aveo la roue den- tée 91, afin de permettre de faire tourner l'obturateur 89 à la main et de façon réglable pour oorrespondre à la longueur de ligne à oomposer, tel que déorit dans le brevet susmen- tionné.

Comme on l'a remarqué plus haut, normalement, les pignors 114 et 117 engrènent respeotivement aveo les roues dentées 70 et 91, et la roue dentée 70 grâce à sa liaison à friotion aveo l'arbre 21 tend constamment à tourner, et quand elle peut le faire, lorsque la roue 113 des unités est libérée, elle amène ladite roue des unités et les pignons 114 et 117 à tourner suivant une amplitude déterminée, afin que oeux-oi

transmette,à leur tour, leur rotation à la roue dentée 91 et de là à 1obturateur 89.

Mécanisme de comptage de l'épaisseur des matrices.

Le fonctionnement de la roue des unités 113 et des parties combinées aveo elle, va être décrit ci-après en se référant aux figures 4 et 15. Comme on l'a remarqué préoé- demment, la roue des unités 113 tend constamment à tourner en raison de sa relation aveo la roue dentée 70. Toutefois, sa rotation est normalement contrôlée par les oliquets 125 et 126, l'un ou l'autre de oes oliquets étant en prise aveo la roue des unités durant l'opération de comptage. Tou- tefois, durant la remise en place du méoanisme compteur pour commencer une nouvelle ligne, les deux oliquets sent dégagés simultanément, permettant ainsi à la roue des unités de tourner librement jusqu'à la position de commencement de ligne.

Bref, durant l'opération de comtage,des oliquets 125 et 126 sont aotionnés de façon à mettre le oliquet 125 hors de prise et le oliquet 126 en.prise aveo la roue 113 des unités presque simultanément (un léger recouvrement étant prévu pour empêcher l'échappement de la roue des unités), l'effet étant de permettre à la roue 113 d'entraîner le cliquet 126 vers la droite jusqu'à ce qu'il soit arrêté par une barre d'arrêt 127 ohoisie, le oliquet 126 étant alors de nouveau mis hors de prise et le oli quet 125 en prise aveo la roue 113 des unités presque simultanément , empêchant ain- si que la roue 113 oontinue ettourner pendant que le cliquet 126 retourne dans sa position initiale. Cette brève descrip- tion préliminaire du fonotionnement étant faite, la construc- tion du méoanisme va être donnée en détail ci-après.

Le oliquet 125 fait partie intégrante du levier 128 qui peut pivoter en 129 sur la oonsole 22, laquelle,comme on la noté précédemment, forme aussi un palier pour l'arbre 20.

Normalement, le levier 128 tend à tourner dans le sens du

mouvement des aiguilles d'une montre autour de son pivot 129 grâce à la tension d'un ressort 131, dont une extrémité est fixée au bras 132 du levier 128 et dont l'autre extrémité (non représentée) est reliée convenablement à un montant porté par la oonsole 22 . Le oliquet 125 est ainsi mainte- nu normalement en engrenage aveo la roue 113 des unités.

Le levier 128 est aussi pourvu dune partie 132 en forme de crochet, destinée à ooopérer aveo une barre de déga- gement 133, qui agit sous l'action du fonotionnement du mécanisme pour ramener la roue des unités dans sa po- sition normale ou de départ, et présente unesaillie 134 qui coopère aveo une saillie 135 du levier 136 qui pivote en 137poun actissxxx le levier(141. Le levier de oonman- de 141 est montée pivotement sur une oheville 148 fixée à la oonsole 22. L'extrémité du bras 149 est pourvue d'un galet 151 entraîné par oame et pouvant fonctionner dans une minure active de la came de commande 32. Un mouvement osoillant est ainsi communiqué au levier de commande 141 en relation de temps convenable aveo les différentes fonctions de l'appareil.

Le levier 136 est articulé au le- vier ooudé 142, qui est représenté plus clairement par la fig. 4, et son extrémité inférieure est disposée la- téralement et engagée dans la fente d'un organe de déten- te 143, une clavette étant prévue pour/empêcher leur sépa- ration. L'organe formant détente 143 est relié à pivote- ment à l'extrémité du levier 144 de réglage de la dé- tente qui est montée à pivotement sur la console 22 en 145 et qui peut être réglé par un ressort 146 et une vis 147 d'une manière bien oonnue.

Le bord supérieur du levier 143 est taillé en bi- seau près de son extrémité libre pour coopérer aveo des

enooohes oorrespondantes 140 en V (fig. 4) dans le bord infé- rieur de barres d'arrêt 127, de façon à maintenir ou retenir la barre d'arrêt choisie dans sa position choisie durant l'o- pération de oomptage.

Un levier 154 (fig. 4 et 15) est fixé à pivotement au bras 152 en 153 et tend normalement à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre grâoe à la tension du ressort 155 dont une extrémité est attachée à l'o- reille 156 du levier 154 et dont l'autre extrémité est atta- ohée à l'oreille 157 du bras de levier 152. Ce mouvement rota- tif est arrêté par la vis de réglage 158 montée sur une xxxx oreille latérale 159 du bras 152.

Un levier d'arrêt 162 pour la roue des unités est relié au levier 154 à pivotement en 161,le oliquet 126 susmention- né est formé dans oe levier d'arrêt près de son extrémité in- férieure. Au bras supérieur du levier 162 est attachée une extrémité d'un ressort 163 dont l'autre extrémité est fixée à l'extrémité du bras 164 du levier 154. Grâce à la tension du ressort 163, le levier 162 est placé en biais vers la eau- che (voir fig. 15) et est normalement maintenu contre un or- gane d'arrêt réglable 165. Pedant le fonotionnement ,oomme cela apparaît présentement, le pivot 161 est amené à ooinoi- der aveo le centre de la roue 113 des unités.

La roue 113 des unités est pourvue d'une oreille 166 (figs. 12 et 15). L'oreille 166 prend la position représentée, quand la roue 113 des unités occupe sa position d'arrêt dans laquelle l'oreille à temps 166 bute oontre le bras 168 du levier d'arrêt 169. Le levier 169 oomprend une partie d'atta- ohement en U (fig. 4) fixée à pivotement autour des pivots 172 et 173. Le levier 169 est pourvu d'un bras 174 adjacent au levier 168 et espaoé de celui-ci, ledit bras 174 ooopérant aveo le bouton 175 fixé à l'extrémité du bras 152 du levier

141, dans le but qui apparaîtra, ci-après.

Le levier 169 est aussi pourvu d'un prolongement 176 (fig. 4) dont l'extrémité supporte un galet 177 destiné à être entraîné par une oame 71. Le levier 169 tend normalement à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, grâce à la tension du ressort 178, dont une extrémi- té est attachée au levier 169 et l'autre extrémité à un mon- tant de ressort, monté convenablement sur le ohâssis de l'ap- pareil.

Le fonotionnement du méoanisme représenté par la fig. 15 dans sa position d'arrêt normale, va être déorit cisaprés.

Un fonotionnement complet du méoanisme oompteur est effectué pendant chaque dernier tour de la oame de commande 32. Lorsque la oame du 32 commence à tourner et pendant les premiers 90 de sa rotation, elle fait tourner le levier 141 dans un sens inverse de celui des aiguilles d'une montre entraînant les parties combinées aveo lui; à savoir,les leviers 136,143 154 et 162.

Pendant la partie initiale de ce mouvement inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, le oliquet 126 est mis en prise d'engrènement aveo la roue des unités ; ensuite,l'oreille 135 du levier 136 dans son mouvement ascendant in- teroepte l'oreille 134 du levier 128 et , en continuant son mouvement ascendant, fait tourner le levier 128 dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre en antagonis- me aveo l'action du ressort 131, ce qui a pour effet de déga- ger le oliquet 125 de la roue 113 des unités.

En même temps-, que ce dégagement du cliquet 125,il se produit le dégagement du bras de levier 168 de l'oreille 166 par l'action analogue à celle d'une oame du bouton 175 sur le bras 174, dont l'action amène le levier 169 à tourner légère- ment dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre au- tour de ses pivots 172 et 173 en antogonisme avec l'action du ressort 178. En même temps, le levier de détente 143 est sou-

levé dans les enooohes du bord inférieur des barres d'arrêt pour maintenir les barres immobiles pendant l'opération de oomptage.

Comme on l'a remarqué précédemment, la roue 113 des uni- tés tend normalement à tourner dans la direotion indiquée par mou la flèohe à main qu'elle ne soit retenue par les oliquets 125 ou 126,ou par le bras de levier 168. Le oliquet 126 étant maintenant en prise avec la roue 113 et n'étant pas retenue, peut être entraînée aveo son levier 162 par la roue des unités jusqu'à ce qu'il soit arrêté par une des barres d'arrêt 127, qui, comme on peut l'observer fig. 4, peut être déplaoée dans la trajectoire du levier 162. La barre d'arrêt 182 (fig. 15) est fixe et représente l'épaisseur maxi- mum de matrice.

Le levier 162 a donc tourné an antagonisme aveo l'action du ressort 163 dans une mesure telle que, quand le levier de commande 141 est mis en rotation dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre pendant le seoond mouvement de 90 de la oame 32 ,le levier 162 soit abaissé, ce qui provoque le dégagement du oliquet 126 et per- met que le levier 162 soit balanoé en arrièrecontre la butée' 165 par la tension du ressort 163. Toutefois, avant que le oliquet 126 soit complètement dégagé, le oliquet 125 vient en prise avec la roue des unités, grâce à la rétraction de l'o- reille 135, et empêche ainsi la rotation de la roue des unités pendant que le oliquet 126 est ramené danssa position normale.

Il est évident maintenant que l'oreille d'arrêt 166 de la roue 113 des unités est passée au delà du bras d'arrêt 168. Il est aussi évident que, grâce à l'action de dégagement du bouton 175 sur le bras 174, le bras d'arrêt 168 ne gênera jamais la rotation de la roue des unités pendant l'opération de comptage,grâce au fait que chaque fois que l'opération de oomptage est effeotuée, le levier de commande 141 est actionné et par conséquent l'action de oame du bouton 175 sur

le bras 174 est automatiquement mise en jeu.

Conme cela appa- raîtra présentement, le levier 169 subit aussi l'action de la oame 71 par l'intermédiaire du galet entraîné 177 pendant que la roue 113 des unités est amenée par rototion dans sa position de commencement de ligne, le rôle de l'oreille de butée 166 devenant évident dans oe cas.

Comme cela ressortira de oe qui suit, la came de comman de 32 contrôle aussi le fonotionnement du méoanisme perfo- rateur, figs. 1, 16, et 17. Normalement, les opérations de oomptage et de perforation sont effeotuées simultanément,mais puisque oertaines opérations de perforation spéciales qui doi- vent être accomplies sans l'opération de comptage, par exenr ple, l'espacement, le changement de oaraotères , le retour de l'élévateur ou chariot et l'alimentation en lignes, on a fait le nécessaire pour pouvoir rendre le mécanisme oompteur inaotif.

A oette fin, on a prévu le levier 142 (fig. 4 et 15) susmentionné, qui peut pivoter oonvenablement en 182 sur le châssis et possède un bras articulé au levier 136, l'autre bras étant relié à pivotement à une biellette 183 qui est à son tour reliée à pivotement au ) levier 184.

Le levier 184 fait partie d'une série de leviers 184, 185 et 186 (fig. 4) qui sont susceptibles de transmettre aux mécanismes oompteur et perforateur, des mouvements déterminés dw par 1a position du méoanisme sélecteur comme cela apparaîtra oi-après.

Quand les touches oontrôlant les opérations spéciales susmentionnées sont abaissées, le levier 184 est actionné d'une manière déorite ci-après pour amener le levier 142 à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mon- tre (voir fig. 4); cette aotion rejette le levier 136 vers la droite, empêohant ainsi l'oreille 135 d'intercepter l'o- reille 134 comme o'était le cas jusqu'ioi, ce qui empêche le dégagement du oliquet 125 de la roue 113 des unités. Le,

leviere commande 141 est ainsi amené à osoiller sans effec- tuer la rotation de la roue des unités. le méoanisme perforateur, représenté en détail par les fig.

16 à 19, est monté sur un organe 7 formant capuchon immédiatement à la gauche de la roue comateuse 113 et du méoanisme combiné aveo celle-ci (voir fig. 1). Jusqu'ici dans les dispositifs de l'espèce déorite, un méoanisme perforateur a toujours été pourvu d'un bloc de poinçonneur horizontal ce qui rend difficile et même impossible pour l'opérateur de contrôler aisément le résultat de son tra- vail. Une caractéristique importante du présent appareil oonsiste à prévoir un blocpoinçonneur incliné , le ruban perforé étant ainsi présenté à tout moment à la vue de l'o- pérateur.

Méoanisme perforateur.

En se référant aux f'igs. 16 et 17, on voit que l'appa- reil perforateur comprend essentiellement un châssis 191 monté de façon amovible sur l'organe 7 formant capuchon. Le ohâssis 191 est établi de façon à enjamber les barres d'ar- rêt 127 du compteur et est pourvu d'une plaque 190, montée de façon réglable, qui est susoeptible de guider les barres 127.

Le levier de commande 192 des poinçons est monté à pivotement sur le bouton 193 fixé au bras 194 du châssis 191. Comme la fig. 1 le montre clairement , la partie du levier 192 qui forme point d'appui a la forme d'un U pour fournir un double appui sur le bouton 193 pour compenser la charge excentrique exercée sur le levier 192. Un galet 196 destiné à être en- traîné et coopérant aveo la périphérie de la oame de oommande 32 est montée -Sur le bras 195 du levier 192. Le galet 196 est constamment maintenu en contact aveo la oame 32 par l'action du ressort 197, dont une extrémité est fixée au bras 195 et dont l'autre extrémité est attaohée à un montant approprié 198.

Le bras 199 du levier 192 est peroé d'une série de trous rectangulaires destinés à recevoir des barres 201,pur tes poinçons , et dans lesquels les barres 201 peuvent ooulisser. Comme la fig. 19 l'indique,les bar- res d'obtruction 201 sont reliées chacune à pivotement à des leviers de oontrôle individuels 202, qui, comme la fig.

17 le représente, sont montés à pivotement sur un arbre de pivotement commun 203 monté convenablement dans une oonsole enooohée 204 faite d'une pièce aveo le châssis 191. Les ex- traites inférieures des leviers 202 sont artioulées à pi- votement aux leviers 185. Les barres d'obstruotion 201 présentent chacune une enooohe 205 (voir fig. 19) de façon que quand une barre 201 n'est pas choisie, le poinçon cor- respondant ne soit pas aotionné; mais quand une barre 201 est déplaoée vers la droite (fig. 19) lorsqu'elle est ohoi- sie, l'épaulement 206 sera présenté en dessous du poinçon combiné aveo lui, de façon que le poinçon soit actionné quand les bares d'obstruction sont levées.

La barre d'obstruction 207 est toujours fixe et ne présente pas d'encoche 205 puisque oette barre oontrôle xx le poinçon du trou d'ali- mentation qui est actionné invariablement.

Le bloc poinçonneur 208 qui peut être de n'importe quelle construction oonvenable est monté obliquement au-des - sus des barres d'obstruction 201 (fig. 16) et en relation coopérative aveo celles-oi, Toutefois, dans la présente for- me de réalisation le bloc poinçonneur 208 comprend essen- tiellement un ohâssis rectangulaire fixé au châssis 191 en 209 et supporté du oôté opposé par une oonsole 211 qui, à son tour, est fixée au ohâssis 191 par des vis 212. Les poinçons 213 (huit dans la présente forme de réalisation) sont montés en alignement dans lechâssis 20$, l'un d'eux étant le poinçon du trou d'alimentation qui a un plus petit diamètre et les autres étant les poinçons des trous de code
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(voir fig. 1)Y; les poingons ooopèr#t ..va. une plaque 214 j\ ';'2 ' ##.. ruz

formant matrice.

Les poinçons présentent près de leurs ex- trémités inférieures des épaulements ooopérant avec une pla- que arraoheuse 215, de oonsttuotion familière, contrôlée par des ressorts.

Le perforateur est représenté ici comme étant un perforateur de code à sept unités, au myen duquel un ruban peut être perforé en oonoordanoe aveo un code à sept unités.

Il est naturellement, évident que le perforateur représenté ici peut être aisément adapté à la préparation de rubans perforés suivant un code oomprenant n'importe quel nombre d'éléments; ainsi, on va décrire ci-après une variante de la présente invention adaptée à la préparation de rubans oon- formes à un oode à six unités.

Comme la fig. 16 le représente, l'extrémité du bras 199 du levier 192 est pourvue d'une languette 216 adaptée dans une rainure d'un levier 217 d'alimentation en ruban. Le le- vier 217 d'alimentation en ruban, fig. 18, est monté à pivo- tement sur le châssis 191 en 218 et son extrémité forme un crochet 219 coopérant avec l'extrémité du levier 221 d'enroulement du ruban, comme cela apparaîtra présentement.

Un cliquet 222 d'alimentation en ruban est monté à pivo- tement sur le levier 217 près de son extrémité extérieure; ce cliquet est maintenu en relation coopérative avec le rou- leau d'alimentation 223 par un ressort 224 dont une extrémi- té est fixée au oliquet 222 et dont l'autre extrémité est at- taohée à une noeille du levier 217.

Le rouleau d'alimentation 223, fig. 1, est pourvu de goupilles d'alimentation 226, espacées les unes des autres et disposées sur la circonférence du rouleau. Un organe de pression 229 ooopérant aveo les goupilles d'alimentation 226 est monté convenablement sur un bouton fixé au support 228 du rouleau d'alimentation, une pression constante étant exercée par un ressort spiral 231. L'extrémité extérieure du rouleau d'alimentation 223 est pourvue d'une roue en étoi-

le 232'et d'un bout nervuré 233 pour la commande à la main.

Un organe de détente 234 (fig. 17) pouvant être actionné de la façon usuelle est combinée aveo la roue en étoile 232. Un levier 235 pour le rappel ou espacement en arrière, pouvant agir sur la roue en étoile 232 d'une manière connue, est aussi prévu.

Une description du fonctionnement du méoanisme perfora- teur va être faite ci-après. Comme on l'a déjà dit, le fonctionnement du méoanisme perforateur a lieu en même temps que le fonotionement du méoanisme oompteur, et,de façon similaire à ce qu'on a mentionné relativement à ce dernier, un fonotionnement complet est réalisé pendant chaque demi tour de la oame de commande 32.

Ainsi, durant le premier quart de tour de la came 32, une rotation dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre est oommuniq,uée dans une mesure limitée au levier 192 en antagonisme aveo l'ao- tion du ressort 197 , ce qui amène les barres d'obstruction 201 à tourner dans la même direction autour de leurs liaisons pivotantes aveo les leviers 202, et,dans le cas où toutes les barres 201 sont ohoisies et occupent dono leur position de droite (fig. 19), leur épaulement 206 interceptera le poin- çon oorrespondant et effectuera la perforation d'un trou correspondant dans le ruban (qui, on l'a supposé, a été oon- venablement inséré dans le bloc poinçonneur préalablement au perforage).

Pendant l'opération de perforage, le levier 217 d'ali- mentation en ruban (fig. 18) est amené à tourner d'une quan- tité déterminée dans un sens inverse du mouvement des aiguil- les d'une montre autour de son pivot 218 en raison de sa liai- son aveo la languette 216 du levier 192 ; il lève ainsi le cliquet 222 pour qu'il vienne en prise avec la dent suivante du rouleau d'alimentation, ce qui fait que, quand le levier de commande 192 est ramené dans sa position normale, le le-

vier 217 est aussi actionné dans une direotion inverse pour effectuer la rotation du rouleau d'alimentation et par oon- séquent pour effectue ni'avancement du ruban.

Dans la pratique réelle, le mécanisme perforateur est actionné rapidement et ainsi le mouvement soudain du levier 217 a pour effet de rejeter le levier 220 vivement xxx vers le haut par suite de sa prise aveo la partie crochue 219 tendant ainsi à faire tournoyer la bobine d'enroulement du ruban, ce qui assure un recueillement automatique du ruban et empêche que le ruban perforé se rompe, comme cela arri- verait si un dispositif de serrage à ressort était prévu.

L'enrouleur de ruban automatique va être déorit en détail ci-après.

Jeu ou système des barres de 'Permutation.

Une pluralité de barres de permutation 241 sont dispo- sées sous les leviers 5 des touohes (fig. 20) en travers de ceux-ci. Des barres de code 242 à enooohes sont interpo- sées entre les leviers 5 des touches et les barres de per- mutation 241, une barre de code étant prévue pour chaque le- vier de touche 5, lesdites barres de code étant disposées de champ parallèlement à leur levier de touohe le long de celui-ci. Les barres de oode 242 présentent des enooohes disposées oonformément à un code de permutation d'une manière bien connue.

Chaque barre de permutation 241 (fig. 21) est portée par une paire d'organes osoillants ooudés 243 et 244,qui sont montés à pivotement sur des tiges formant pivots 245 et 246, respeotivement. Chacun des organes 243 et 244 est pour vu d'une oreille 247 s'étendant en,arrière et sur laquelle les barres 241 sont supportées. Les extrémités des bras pendant de chaque paire d'organes 243 et 244 sont reliées à pivotement à une barre horizontale 248 qui s'étend au delà de ohaoune des dites liaisons, une extrémité étant reliée

élastiquement par un ressort 249 à un ooumun support approprié 251. L'autre extrémité étendue est pourvue d'une oreille 252 pouvant s'adapter dans une enooohe du levier oonjugué 184, ou 185 186.

Les barres de permutation 241 sont maintenues à distance les unes des autres et sont maintenues à ooulisse- ment dans des peignes de guidage 250, oonvenablement fixés aux oôtés du châssis des barres de pe mutation, qui est monté oomne un tout dans le châssis principal 4.

On a déjà remarqué que les arêtes inférieures des barres de oode 242 présentent des enooohes de oode de permutation Ainsi, normalement, chaque barre de oode actionne simultané- ment une des barres de permutation 241 combinée aveo les le- viers 186 et une oombinaison permutée de barres 241 combinée aveo les leviers 185. Toutefois, quand une touche de commande est aotionnée, aucune des barres combinées aveo les leviers 186'n'est aotionnée, mais la barre 241 combinée avec le le- vier 184 est actionnée à sa place, l'effet de oette commande du levier 184 ayant été déorit comme aotionnant le leviercou- dé 142 (fige 4) pour rendre le levier 136 inopérant par rap- port au levier 128.

Les leviers 184,185 et 186 comme la fig. 20 l'indique, sont montés à pivotement sur l'arbre commun 254 formant pivot et monté oonvenablement dans le ohâssis 255 et comme an l'a déjà Démarqué oes leviers sont reliés opératoirement à la biellette 183 (fig. 4), aux leviers 202 et aux barres d'arrêt 127 (fig. 17), respeotivement.

Quand une queloonque des bar- res 241 est abaissée par la oomnande d'un levier de touche 5 par l'intermédiaire de la barre decode correspondante ,les leviers ooudés 243 et 244 combinés avèo la barre 241 action- née sont mis en rotation dans le sens du mouvement des aiguil les d'une montre (voir fig. 21) ohassant ainsi la barre 248 correspondante vers la gaucher en antagonisme aveo l'action de son ressort 249 pour effectuer la rotationdu levier 184,

185 ou 186 oorrespondant autour de l'arbre de pivotement commun 254. La rotation du levier 184 provoque, par l'intermédiaire de la biellette 183, la rotation du levier 142(fig. 4) pour déplacer le levier 136 de façon à empêcher l'oreille 135 d'intercepter l'oreille 134 comme on l'a décrit précédemment.

La rotation des leviers 185 provoque, par l'intermédiai- re des leviers 202 (fig. 17, la commande de la barre d'obstru- tion 201 choisie, comme on l'a mentionné précédemment. Enfin la rotation d'un levier 186 actionne directement une barre d'arrêt 127. Dans la présente forme de réalisation, les barres d'arrêt 127 sont au nombre de onze et peuvent être déplacées individuellement vers la droite au moyen des leviers 186, comme on le voit en fig. 4, dans la trajectoire du oliquet 126 dans le but précédemment déorit. Il est prévu une dou- zième barre d'arrêt 182, fig. 15 et 17 qui est une barre fixa Ces douze barres d'arrêt correspondent aux douze dimensions différentes de matrices utilisées.

Jeu interchangeable de barres de code
Une importante caractéristique de l'invention est l'ad- jonotion d'un jeu interchangeable 257 de barres de code tel que représenté par la fig. 23 qui permet de ohanger le fonotiom- nement du compteurde façon que l'appareil puisse être utili- sé pour des matières/qui doivent être composées dans des sty- les de type différents;

par exemple, romain moderne, style romain anoien, gothique eto, ou être composés en différentes langues, ou en des fontes de caractères spéciales,comme,par exemple, des fontes convenant pour les livres de mathématique(
Afin de compenser les variations d'épaisseur et obtenir un compte exaot des épaisseurs des matrices composant une ligne, il est néoessaire de prévoirdes barres de code 242 pour- vues d'encoches pour correspondre à la fonte particulière .

Toutefois, la partie de chaque barre de oodqui contrôle la sélection des barres de permutation 241 correspondant aux bar-

res d'obstruction des poinçons, reste ordinairement la même pour toutes les fontes puisque les combinaisons de corde sont assignées primitivement aux touohes particulières du olavier.

Ordinairement, seule la partie de la barre de oode qui con- trôle la sélection des barres de permutation 241 du compteur est encochée différemment pour des caractères correspondants dans les différentes fontes. Ainsi, pour favoriser la substi- tution des barres de oode pour les différentes fontes de ty- pe, les barres de oode pour chaque fonte différente ont été assemblées en un jeu ou système individuel 257 qui comprend un ohâssis 262 pourvu de glissières 258 pouvant ooulisser dans des rainures oorrespondantes 259 du ohâssis 4 (fig. 23).

Les barres de oode 242 sont oontenues dans un ohâssis 261, qui, à son tour, est monté à coulissement dans le ohâs- sis 262 tel que représenté plus olairement par la fig. 24, Comme l'indiquent les fig. 23 et 24, les barres de oode sont portées par des ressorts 260 qui normalement tendent à maintenir les barres de code dans leur position levée oontre des butées communes 263 et 264. Le ohâssis 261 est pourvu d'une paire de prolongements 265 qui sont reliés à pivotement édes biellettes 266 et 267 (fig. 24 et 31). Les biellettes 267 xxxsont. à leur tour, reliées à pivotement aux xxxx supports 268 et 269 (fig. 23) fixés au ohâssis 262. Les biel- lettes 266 et 267 sont fixées à l'arbre osoillant 271 qui est oonvenablement monté à rotation dansles supports 268 et 269.

Le mouvement parallèle est ainsi permis entre les châssis 261 et 262. Une extrémité d'un ressort 272 est attaohée à l'oreille 273 faite d'une pièce aveo un des prolongenets 265, l'autre extrémité du ressort étant fixée à un support appro- prié 270 monté sur le châssis 262. Les prolongerais 265 sont guidés, dans leur mouvement de va-et-vient, dans des guides à fente du support de ressort 270. Le ohâssis des barres de code est ainsi normalement maintenu vers sa position arrière oU

par le ressort 272. Le jeu des barres de oode présente des o- reilles 275 qui permettent, lorsqu'il est introduit dans le ohâssis 4 de le fixer à ce dernier au moyen de vis.

Le ohâssis 261 des barres de code est monté de façon à pouvoir être déplacée, afin qu'on puisse effectuer un change- ment dans le mécanisme oompteur dépendant du fait qu'on ao- tionne des oaraotères du haut ou du bas de casse. On sait qu' une matrioe du bas de casse est souvent d'une largeur diffé- rente de oelle d'un caractère correspondant du haut de oas- se ; par conséquent puisqu'on abaisse le même levier de tou- ohe pour le caractère du haut de casse que pour le caractère correspondant du bas de casse, il est néoessaire de modifer en conséquence le fonctionnement du méoanisme oompteur.

Céest pourquoi, quand le ohâssis des barres de oode occupe sa posi- tion normale postérieure, l'arête enooohée de la barre de oo- de est établie de façon que, quand la barre de code est abais- sée elle actionne la barre de permutation oorrespondant à l'é- paisseur de la matrioe du bas de casse et que par suite,la
127 barre d'arrêt 187 correspondante soit actionnée. Mais quand
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cvv>tM1..L le ohâssis des barres de code est ameé dans sa position an- térieure, d'une manière décrite oi-après, la même arête eno- ohée actionne la barre de permutation correspondant à l'épais seur de la matrice de majusoule'ou du haut de casse et, par suite, la barre d'arrêt 127 sera aotionnée.

Disposition du olavieà sept unités.

Le olavier particulier représenté par la fig. 1 a été oonçu pour oombiner les éléments qui oonduisent à la plus grande efficacité. Lorsqu'on utilise un oode à sept unités, le nombre d'opérations faites par l'opérateur est moindre que si l'on emploie un code à six unités. Aveo un code à sept unités pour oontrôler les machines à composer, il est possible d'avoir une touohe pour chaque caractère de façon qu'une seule opération soit néoessaire pour chaque caractère. Toutefois,

s'il en est ainsi, on obtient, un clavier très grand, qui est d'une oonstruotion beauooup plus difficile et coûteuse, en particulier à oause de la longueur des barres de code, des étriers, eto. Il en résulte aussi un clavier dan lequel l'opé rateur déplace ses mains sur une grande surface et perd ainsi de la vitesse.

Toutefois, en prévoyant des touohes séparées pour tous les caractères exoepté les majuscules , on arrive à un com- promis extrêmement effioient. Aveo le méoanisme de touohe de changement de caractères prévu ici la touche de changement et oelle du caractère peuvent être abaissées simultanément, tandis que, quand on utilise un signal de changement comme en télégraphie, un seul caractère de haut de casse néoessi- tait les abaissements suooessifs de trois touches, à savoir, la touche de changement, ensuite la touohe du caractère et la touche enfin/de retour aux caractères de bas de casse.

Ainsi, dans la disposition de olavier représentée par la fig. l, on utilise le méoanisme de changement indiqué dans les figs. 24 et 25 et grâce à cela l'opération de ohangement ne devient néoessaire que pour les lettres du haut de casse ou majusoules, toutes les autres lettres (bas de casse) et oaraotères étant produits dans la position unchangée ou posi- tion normale de l'appareil, ce qui aocroit grandement la vitesse de fonotionnement en éliminant le signal de change- ment et la combinaison de code spéciale nécessaire à oet effet, la touche de changement ou touche des majuscules de- vant simplement être maintenue abaissée quand on désire des lettres majuscules, comme dans le fonotionnement des machins à éorire normales.

Fonotionnement des touches
La desoription ci-après est relative aux systèmé des le- viers de touohe et à leur fonotionnement, référence étant fai te aux figs. 24 à 33. Tous les leviers de touohe sont mon-

tés à pivotement sur l'arbre 281 qui est monté convenablement dans le ohâssis 4. Un organe 282 combiné aveo chaque levier de touohe 5, fig. 29, est pourvu d'une oreille verticale 283 destinée normalement à buter contre la butée 278 et aussi,en fonctionnement, à ooopérer aveo l'étrier de dégagement 284.

L'organe 282 est aussi pourvu d'un prolongement 285 dont l'extrémité présente un épaulement 286 destiné à ooopérer aveo le bras 287 du levier 288 pivoté sur l'arbre de pivotement commun 289. L'oreille 283 est normalement maintenue oontre la butée 278 par l'aotion du ressort 279, dont une extrémité est attaohée à l'organe 282 et dont l'autre extrémité est fixé au support de ressort commun. Le levier 288 est aussi pourvu d'un bras 291 auquel l'extrémité d'une biellette est reliée à pivotement, l'autre extrémité de cet organe étaneliée à pivotement au levier de touohe 5.

Chaque organe 282 présente un épaulement de commande 294 qui coopère aveo l'étrier de commande 295 ,et un pied 296 destiné à ooopérer aveo la'barre de oode 242 correspondante Le levier 288 possède aussi un prolongement 297 à l'extrémité duquel est attachée une extrémité d'un ressort 298 dont l'au- tre extrémité est fixée au ohâssis 4.

Normalement le levier 288 tend à tourner dans un sens in- verse du mouvement des aiguilles d'une montre (voir fig. 29) maintenant ainsi le bras 291 contre l'organe d'arrêt commun 299.

L'étrier de commande 295 (Moir fig. 20) a sensiblement la forme d'un U et est fixé à l'arbre 301 de l'étrier de com- mande, qui est monté convenablement à rotation dans le châssis 4. Une extrémité de l'étrier 295 possède un prolongement 302 à l'extrémité duquel est attaohée une extrémité du ressort de commande 303 dont l'autre extrémité est fixée au ohâssis 4.

La même extrémité de l'étrier 295 est pourvue d'une oreille

304 destinée à coopérer avec le loquet de déolio 305 (fig.22) fait d'une pièce aveo le levier 306 qui est monté pivotement en 307 sur le châssis 4. Un levier de déclic 308 est monté à pivotement sur le levier 306. Le levier 308 possède un bras 309 qui coopère avec l'oreille 311 de l'étrier 284, ainsi
302 qu'un bras 312 qui coopère avec le prolongement de l'é- trier 295 par l'intermédiaire de son extrémité disposée la- téralement .

Normalement le+levier 308 tend à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mcntre (voir fig.22) autour de sa liaison pivotante aveo le levier 306, sous l'action d'un ressort 310, dont une extrémité est attachée au levier 308 sensiblement tel que représenté et l'autre ex- trémité au levier 306. Le levier 306, à son tour, tend nor- malement à tourner dans un sens inverse du mouvement des ai- guilles d'une montre autour de son pivot 307 sous l'action d'un ressord 313, dont une extrémité est attachée au levier 306, l'autre extrémité étant fixée au châssis 4.

L'étrier 284 est placé tout près de l'étrier 295 paral- lèlement à oelui-oi. Dans la présente forme de réalisation, l'étrier 284 possède une xxxx section transversale en U et est fixé longitudinalement à l'arbre de pivotement 314 qui est convenablement supporté à rotation dans le châssis 4. Norma- lement,l'étrier 284 est maintenu contre une butée 315 (fig.22) au moyen d'un ressort 316,
Une description du fonctionnement des étriers 284 et 295 va être donnée ci-après en se référant à la fig. 22.

Etant donné que l'étrier 284 est amené à tourner dans un sens inver se du mouvement des aiguilles/d'une montre autour de l'arbre de pivotement 314 lorsqu'on abaisse une touche, comme cela appa- raîtra à présent, son oreille 311 coopère avec le bras 309 du levier 308 et xxxx durant le mouvement initial, le levier 308 est amené à se lever légèrement grâee à sa liaison à fen- te 317, de sorte que le bras 312 libèrera l'étrier 295. Le dé-

placement du levier 308 plus avant par l'étrier 284 amènera le levier 306 à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre en antagonisme aveo l'action du ressort 313 jusqu'a ce que le loquet 305 soit dégagé de l'oreille 304, ce qui per- met au ressort 303 d'agir et de faire ainsi osciller fortement l'étrier 295 vers le bas.

Lors du mouvement descendant de l'é- trier 295 , l'étrier 284 est laissé libre de retourner dans sa position de gauche oontre la butée 315 au moyen du ressort 316.

L'étrier 295, comme suanentionné, est fixé à l'arbre d'oscillation 301. Un bras 318 de rappel de l'étrier, fig. 12 et 20, est également fixé à l'arbre 301. Tel que représenté par la fig. 12, l'arbre 318 est destiné à ooopérer aveo le bras 319 du levier de rappel 321 de l'étrier, qui peut pivo- ter oonvenablement en 322 sur le châssis 4. Le levier 321 possède aussi des bras 323 et 324. Un galet 325 destiné à être entraîné par une came est monté sur l'extrémité du bras 323 et ooopère aveo la came 30 de rappel de l'étrier de commande, laquelle est montée à rotation sur l'arbre 20, tel que déorit précédemment, Le bras 324 du levier 321 coo- père avec des oreilles d'arrêt 326 et 327 du disque 29 fixé à la came 30, oomne susmentionné.

Coma on l'a déjà remarqué en se référant à la fig. 5, les oreilles 326 et 327 forment aussi une liaison de com- mande entre le disque de commande 27 et la came 30. Normale- mentale levier 321 tend à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre sous l'aotion du ressort 328, dont une extrémité est)oonvenablement attaohée au levier 321, l'autre extrémité étant fixée au ohâssis 4. Comme on l'a mentionné, ci-dessus le disque de oonmande 27 est desti- né à tourner, quand il est rendu libre de tourner au moyen de sa liaison à friotion, pour faire tourner lmanohon 26 (fig. 5) de façon constante.

Ainsi, quand l'étrier 295

est actionné, l'arbre 301 tournera également d'une ampli- tude limitée amenant le bras 318 (fig. 12) à tourner aussi, ce dernier communiquera au levier 321 une rotation dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mcntre, dégageant ainsi le bras 324 de l'oreille 327 et laissant la came 30 libre de tourner, le galet entraîné 325 était mis en prise avec la came 30.

Maintenant, lorsque la oame 30 tourne, le galet 325 est mis hors de prise avec la oame et le le- vier 321 est ainsi amené à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, pour communiquer une rotation dans le sens du mouvement des aiguilles d'u- ne montre au bras 318, qui par l'intermédiaire de l'arbre 301 ,fait tourner l'étrier 295 (fig. 22) dans la même di- reotion en antagonisme avec l'aotion du ressord 303 ,per- mettant ainsi au levier 306 de répondre à la traction de son ressort 313 pour introduire de nouveau le laqué/ 305 dans la trajectoire de l'oreille 304 et remettre en place l'étrier 295, prêt pour la commando suivante d'un levier de touche.

Durant l'opération de remise en place qui vient d'être décrite, le bras d'arrêt 324 (fig. 12) est introduit dans la trajectoire de l'oreille 326, restreignant ainsi la came 30 à un demi tour seulement pour chaque cycle de fono- tionnement.

Le fonctionnement des touches représenté par la fig. 29, va être décrite ci-après. L'abaissement de la touche 6 amène le levier de touche 5 à tourner dans une mesure limitée dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mon- tre autour du pivot 281 qui, par l'intermédiaire de la biellette 292, communique la même rotation au levier 288 autour de son pivot 289 en antagonisme avec l'action du ressort 298 . L'organe 282 etat ainsi amené, par la ooopéra-

tion du bras 287 du levier 288 et de l'épaulement 286, pour glisser vers la gauche sur l'organe d'arrêt 278, l'o- reille 283 venant simultanément en prise avec l'étrier 284 et amenant celui-ci à tourner autour de son pivot 314,l'ef- fet de oette rotation étant de libérer l'étrier 295 pour qu'il puisse fonctionner, tel que déjà décrit.

Toute- fois, l'épaulement 294 de l'organe 282, avant le dégagement de l'étrier 295, a été interposé entre l'étrier 295 et la barre de code 242 oorrespondant au levier de touche abais- sé. De la sorte, quand l'étrier 295 est actionné, l'oigane 282 est amené à se mouvoir vers le bas d'une manière sensi- blement horizontale , poussant ainsi la barre de oode 242 dans la même direction pour effectuer la commande de oer- taines barres de permutation 241 déterminées au préalable.

Quand l'organe 282 était actionné par l'étrier 295, l'oreil- le 283 était dégagée de l'étrier 284 et l'épaulement 286 était dégagé du bras 287, permettant ainsi à l'étrier 284 de retourner dans sa position normale sous l'action de son ressort de rappel 316 (fig. 22), mentionné précédemment, et permettant aussi au levier de touche 5 de retourner dans sa position normale. Quand l'étrier 295 est ramené dans sa position initiale, de la manière préoédemment dé- ori te , l'oigane 282 est de nouveau ramené dans sa position
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voir è'I2 ir/ initiale ( ig. 29) par un ressort 279.

Il est prévu certains leviers de touche spéoiaux aveo lesquels des opérations spéciales peuvent être effectuées, et une desoription de ohaoun d'eux va être donnée oi-après. xx Disposition de la touche de changement de caractères,
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La disposition de la touohe de changement de caractères est représentée par la fig. 24. La touohe 401 de changement de caractères et la touohe 402 de fixation du changement ou fixe-majusoules sont montées à pivotement sur l'arbre de

pivotement commun 281, oomne on l'a mentionné jusqu'ici, et sont maintenus dans leur position normle inaotive ou posi- tion extrême de droite par l'aotion d'un des ressorts 298 sur le levier 400 et une biellette 292 d'une manière similaire à celle préoédemment déorite.

Les leviers de touche 401 et 402 présentent ohaoun un prolongement postérieur 403 destiné à ooopérer avec le bras 404 de la biellette de changement 405, laquelle est fixée à pivotement aux organes 269 et 265 de façon à Empêcher l'effet de mouvement parallèle entre les supports fixes 268 et 269 (fig. 23) et le châssis 261 des barres de oode.

Pour maintenir le ohâssis 261 des barres de oode dans position normale de gauche (fig. 24) il est prévu un ressort 272, comme susmentionné, dont une extrémité est attaohée au prolongement 273 et l'autre extrémité est fixée au châssis 262 en 270. Ainsi, on observe que, quand une des touches 401 et 402 est abaissée ou amenée à tourner légèrement dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, une rotation dans le même sens est communiquée à la biellette 405 par l'intermédiaire du prolongement 403 et du bras 404. Le ohâssis 261 des barres de oode est de oette manière déplacé vers la droite en antagonisme aveo l'action du ressort 272, et dans cette position les barres de code sont susceptibles @@ d effectuer le oomptage des lettres du haut de @, tel que déorit préoédemment.

Le châssis 261 des barres de code est établi de façon à retourner dans sa position normale quand le levier de touohe 401 estlibéré.

Toutefois, quand le levier de touche 402 est actionné, le châssis 261 des barres de oode est actionnévers la droite de la même manière que dans le cas du levier de touche 401, exoepté que le ohâssis 261 est susceptible d'être fixé dans la position déplaoée ou de changement au moyen d'un organe
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407 en fbrme de oroohet, fige 24 et 25 de la manière sui- ¯r,¯

vante. Les leviers de touohe 401 et 402 sont pourvus de boutms 411 et 412 établis de façon à ooopérer;respeotivement aveo les extrémités supérieures ohanfreinées de l'organedformant oroohet 407 et de l'organe dedégagement 413, lesquels peuvent être fixés à l'arbre osoillant 414 oonvenablement supporté à rotation dans le ohâssis 4.

L'organe 413 possède un prolon- gement 415 auquel une extrémité d'un ressort 416 est atta- ohée, l'autre extrémité de ce dernier étant fixée au ohâssis 4. Normalement le ressort 416 tend à maintenir les organes de retenue 407 et 413 eontre les boutons 411 et 412. Quand le levier de touche 402 de fixation du changement est abais- sé, le bras 407 est mis hors de prise dusqu'à ce que la goupil- le ou bouton 411 s'engage dans sa partie crochue, le levier 402 étant ainsi maintenu ou fixé dans la position de charge- ment jusqu'à ce qu'il soit libéré par la commande suivante du levier 401, qui quand il est actionné, amène l'oigane 413 à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une mon- tre, lequel, par l'intermédiaire de l'arbre oscillant 414, communique la même rotation à l'oigane 407,

dégageant ainsi le bouton 411 et permettant au levier 402 de retourner dans sa position normale.

Quand on utilise oette forme de méoanisme de changement de oaraotères, aucune perforation d'enregistrement n'est faite quand la touohe de changement est aotionnée, la fonotim du mécanisme de changement étant de maintenir les barres de code 242 dans la position déplacée ou changée, pendant que sont faites les perforations d'enregistrement des caractères du haut de casse. En d'autres termes, l'abaissement de la tou- che de changement ne provoque pas le fonctionnement de l'ap- pareil pour effectuer les opérations de perforage ou de oompta- ge, oonme 0' est le cas lorsqu'on actionne les autres touches .

Disposition de la touohe d'espacement La disposition de la touche d'espacement est representée

par la fig. 26. Le levier 421 de la touohe d'espacement est monté à pivotement sur un arbre de pivotement commun 281. En se référant à la fig. 1 , on observe que le levier de touohe 421 est actionné par une barre d'espacement 422 par l'inter- médiaire évidente de l'arbre oscillant 423. L'organe 282 combiné aveo le levier de touche 421 possède un prolongement 424 qui coopère aveo le bras 425 de l'étrier 426 afin d'ao- tionner le méoanisme de oomptage des bandes d'espacement.

L'étrier 426 est monté fou sur l'arbre 301 de l'étrier de oommande , tel que représenté olairement par la fige 20, et tend normalement à tourner dans un sens inverse du mouise- ment des aiguilles d'une montre (voir fig. 26) au moyen d'un ressort spiral 427 entourant l'arbre 301. L'étrier 426 est aussi pourvu d'un bras de déclic 428 (voir fig. 7 et 20) destiné à ooopérer avec le levier de déclic 429 (fig. 7) comme cela apparaîtra présentement.

Main tenant, quand le levier 421 de la touche d'espace- ment est actionné, l'organe spécial 282 est actionné de la manière décrite oi-dessus, présentant ainsi son épaulement 294 sous l'étrier de commande 295, et, lorsque l'on action- ne l'étrier 295, l'organe 282 est ohassé vers le bas, le prolongement 424 venant en prise aveo le bras 425 et amenant l'étrier 426 à tourner dans le sens dumouvement des aiguilles d'une montre en anaagonisne avec l'aotion du ressort 427, communiquant ainsi une roàation dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre au levier de déclic 429 (fig. 7), afin de faire fonctionner le méoanisme de oompta- ge des bandes d'espacement comme cela apparaîtra ci-après.

Touohe de l'élévateur ---------------------
La disposition de la touohe de l'élévateur est repré- sentée par la fig. 27. La touohe de l'élévateur est anologue à la touohe bien oonnue de rappel du ohariot employée dans les

claviers des télégraphes imprimeurs et sa fonction dans le présent appareil est de produire une perforation dans le ru- ban et de provoquer simultanément la remise du oompteur et de l'indicateur dans la position de commencement de ligne.

Le nom de touohe de 1. " l'élévateur " dérive du fait que la perforation oorrespondante du ruban oontrôle le fonctionnement de l'élévateur d'assemblage dans la maohine à mouler les ty- pes.

Le levier de touohe 431 de l'élévateur est monté à pivo- tement sur l'arbre de pivotement 281, et l'organe spécial 282 combiné avec le levier de touohe 431 possède un prolonge- ment 432 similaire au prolongement 424 déorit précédemment dans le cas dela touohe d'espaoement. Le prolongement 432 est destiné à ooopérer aveo le bras 433 de l'étrier 434 d'une manière similaire à oelle déorite concernant l'étrier 426.

L'étrier 434, comme l'étrier 426, est monté fou sur l'arbre 301 et est actionné par le ressort spiral 435 de la même ma- nière que l'étrier 426 l'est par le ressort 427. Il est pré- vu sur l'étrier 434 un bras de déolio 436 (fig. 12 et 20) qui ooopère aveo un levier de déolio Z 437 (fig. 12). L'étrier 434 possède en outre un bras 438 destiné à ooopérer aveo le compteur de lignes 430 (fig. 1) comme cela apparaîtra pré- sentement.

Le fonctionnement de cette disposition delevier de tou- ohe est similaire à celui déorit oonoernant la touohe d'espa- oement ; ainsi, quand le levier de touche 431 est actionné, l'organe spéoial 282 est actionné de la manière décrite oi- dessus afin de présenter son épaulement 294 sous l'étrier de commande 295 et, lorsqu'on actionne l'étrier 295, l'organe 282 est poussé vers le bas, le prolongement 432 venant en prise aveo le bras 433, amenant ainsi l'étrier 434 à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre en anta-

gonisme aveo l'action du ressort 435, communiquant ainsi au levier de déclic 437 (voir fig.

12) une rotation dans le sens.du mouvement des aiguilles d'une montre, afin de provo- quer le fonctionnement des mécanismes de comptage et d'espa- oement simultanément pour effectuer la remise de l'appareil dans la position initiale ou de commencement de ligne .

Ainsi, quand la touche de l'élévateur est abaissée, l'étrier 434 est actionné et le levier 437 est amené à tour- ner en antagonisme aveo l'aotion du ressort 458 autour de son pivot 439, l'extrémité 440 du levier 437 est dégagée du disque d'arrêt 48, permettant ainsi à l'organe 47 de faire un tour complet grâce à sa relation de friction avec la roue dentée 18 (fig. 1 et 5). La partie 49 en forme de oame de l'organe 47 ooopère ainsi aveo le galet entraîné 443 monté sur le levier 444, afin d'amener le levier 444 fixé sur l'arbre oscillant 450 à tourner en antagonisne aveo l'action du ressort 420.

Ainsi, la oame 49 durant un tour oomplet communique à l'arbre 450 un mouvement d'oscilla- tion , dont l'effet est de maintenir le oliquet 125 dégagé de la roue oompteuse 113 et de maintenir le oliquet 462, monté sur le levier d'échappement 463, éloigné de la roue à roohet 82 durant l'opération de remise en position initiale (fig. 7,12 et 14).

Le levier d'échappement 463 pivoté-en 466 es son osoil- lation est limitée par la goupille d'arrêt 467. Le levier 463 est normalement maintenu vers la droite (voir fig. 7) par un ressort 468. La fonction du levier 463 est d'effectuer le rappel du graphique 88 dans sa position initiale ou de commencement de ligne. Une extrémité d'une barre de traotion 469 est articulée à pivotement au levier 463, l'autre extré- mité de ladite barre étant reliée à pivotement au levier 470 fixé à l'arbre oscillant 450 ( fig. 1). Ainsi , quand l'arbre
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oscilla 450 est actionné conime on l'a expliqué ci-dessus.

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le levier 470, par l'intermédiaire de la barre 469, fait os- oiller le levier 463 vers la gauche (fig. 7) en antagonisme aveo l'action du ressort 468. Comme cela ressort clairement de la conformation de la oame 49 (fig. 12) , le levier 463 est maintenu dans sa position de gauche (fig. 7) sensiblement pendant un tour complet de ladite oame.

L'effet de ce maintien du levier 463 dans sa position de gauche estde faire sortir entièrement le oliquet d'éohap- pement 462 de prise aveo la roue à roohet 82 et d'introdui- re simultanément l'extrémité du bras 87, disposée latérale- ment, dans la trajectoire de ohaoune des oreilles 85 ou 86 du disque 84. Comme on l'a exposé dans le brevet susmention né, le graphique 88 sexxx oompose de deux moitiés similaires, chaque moitié oomprenant un nombre égal d'échelle, de façon qu'il suffise d'un demi tour du graphique pour le rame- ner dans une position de commencement de ligne. Les oreilles diamétralement opposées 85 et 86 oorrespondent ainsi aux deux positions initiales du graphique 88.

Il est par oonsé- quent évident que la roue à roohet 82, et partant le graphi- que cylindrique 88, est libre de tourner jusqu'à ce que la dent 85 ou 86 suivante soit interceptée par le bras 87, en- droit auquel le graphique 88 occupe' sa position de commence- ment de ligne. A la fin du tour de la oame 49, l'organe en- traîné 43 s'engage de nouveau dans la dépression de la dite oame et permet que le levier 463 soit mis en biais vers la droite (fig. 7) par le ressort 468, mettant xx ainsi le oli- quet 462 de nouveau en prise aveo la roue à roohet 82, prêt pour commencer une ligne suivante.

Comme on l'a mentionné ci-dessus, les méoanismes de comptage des bandes d'espacement et des matrices sont ramenés simultanément dans la position de oommenoement de ligne.

Maintenant qu'on a noté la manière dont le méoanisme de comptage des bandes d'espacement, comprenant le graphique 88,

a été remis en position normale, une description de la manière dont le mécanisme de oomptage des matrices est remis en posi- tion normale va être donnée ci-après. La manière dont on fait osciller l'arbre 450 et son effet sur le méoanisme d'espace- ment a été observé. Le mouvement d'oscillation de l'a¯bre 450 est simultanément rendu également effectif en faisant osoiller le levier 472 (fig. 12), aussi fixé à l'arbre 450.

Ainsi, quand le levier 470 est actionné pour mettre le oliquet 462 hors de prise aveo la roue à rochet 82, le levier 472 agit de façon similaire pour mettre le levier 128 hors de prise aveo la roue 113 des unités par l'intermédiairede la barre de dégagement 133, laquelle est articulée au levier 128 et re- liée à pivotement au levier 472.

Ceci permet.à la roue des unités de tourner librement jusqu'à ce que l'obturateur 89 ait été ramené dans la posi- tion de commencement de ligne, à ee moment la came 49 aura fait en tour oomplet et l'organe entraîné 443 sera de nou- veau en prise aveo la dépression de la oame, permettant ainsi au levier 128 de venir de nouveau en prise aveo la roue oompteuse 113.

Touohe de répétition.

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La disposition de la touohe de répétition est représen- tée par la fig. 28. Le levier 141 de la touche de répétition est monté à pivotement sur l'arbre de pivotement 281 en juxta- position avec le levier 306 susmentionné, de façon que l'or- gane 442 fixé au levier 441 sait susoeptible de venir en pri- se aveo le levier 306 de manière que quand le levier de tou- ohe 441 est actionné, o'est-à-dire, abaissé, l'organe 442 vienne en prise avec le levier 306 et amène ce dernier à tourner dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre autour de son pivot 307 en antagonisme aveo l'action du Des- sort 313, afin de mettre le bras 305 hors de prise aveo l'o-

reille 304.

Ce dégagement, comme on la. remarqué oi-dessus, permet à l'étrier 295 de fonctionner grâce à la traction du ressort 303. Normalement, comme on l'a déjà vu, quand l'étrier 295 est ramené dans sa position initiale, le bras 305 du levier 306,à oause de l'action du ressort 313, revient en prise aveo l'oreille 304. Toutefois, aussi longtemps que le levier de touche 441 est maintenu abaissé, le levier 306 sera maintenu dans sa position extrême de droite,mainte- nant le bras 305 hors de prise aveo l'oreille 304, et l'é- trier 295 sera laissé libre d'osoiller continûment et,par xxxxxxxx conséquent,de répéter les opérations de perfora- ge et de oomptage en oonoordanoe avec la touche de caractère abaissée simultanément.

L'étrier 295 oontinuera ainsi à fonctionner jusqu'à ce que le levier de touohe 441 soit li- béré et que-par suite il soit permis au bras 305 de revenir en prise aveo l'oreille 304.

La touche de répétition est utilisée, par exemple, pourremplir une ligne de oadrats, paur relier un titre et un chiffre par une ligne ponctuée, dans un ouvrage tubulaire ou pour faire une ligne de tirets. Il est évident que dans certaines oatégéries d'ouvrage une touohe de ce genre aooroî- tra considérablement le rendement de l'opérateur.

Méoanisme de oomptage des bandes d'espacement.

Le méoanisme représenté par la figure 7 est le méoanis - me de oomptage des bandes d'espacement, dont le rôle est de contrôler la rotation du graphique 88. On a remarqué que, quand la touohe d'espacement 422 (fig. 1 et fig. 26) est abaissée, l'étrier 426 est actionné, amenant le bras de dé- clic 42$ à ooopérer aveo le levier de déclic 429 (fig. 7).

Le levier 429 est ainsi amené à tourner dans un sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre autour de son pivot 461, afin d'imprimer une rotation en sens inverse au oliquet

d'échappement 462 relié à pivotement au levier d'échappement 463 , pennettant ainsi à la roue à rochet 82 de tourner ou de s'échapper d'un derni pas, grâce à la ralation de friction entre la roue à rochet 82 et le mécanisme de oomnande,tel que déorit ense référant à la fig. 6.

Quand le méoanisme des leviers de touohe est ramené dans sa position normale, le levier 429 oesse d'agir sur le oliquet 462 , 1 ce qui permet au oliquet 462 de retourner dans sa position de gauche contre-la butée 464, grâce à l'action du ressort 465, dont une extrémité est attaohée au oliquet 462 et l'autre extrémité au levier 463. Il est alors permis à la roue à roohet 82 de tourner d'un autre demi pas de la manière usuelle par échappement, le mouvement de la roue à roohet 82 étant ainsi effectué d'une manière graduelle comme on l'a exposé. Le mouvement de la roue à roohet 82 d'un pas corresponde à une bande d'espacement en plus dans la ligne et a pour résultat d'exposer l'échelle suivante du graphique 88 montrant les nouvelles limites de justification automatique.

@@
Mécanisme de mouvement de marche du totalisateur.

Comme on l'a mentionné précédemment, il est prévu un levier 235 d'espacement en arrière (fig. 1,16 et 17) pour mou- voir le ruban en arrière pour la correction des erreurs.La méthode usuelle pour faire une correction ou effacer une lettre erronée consiste, comme on le sait communément, à faire revenir le ruban en arrière de façon qula série de perforations que l'on désire effaoer soit présentée en faoe des poinçons, la touche d'effacement (fig. 1) étant alors actionnée, ce qui a pour effet de ohasser tous les poinçons à travers le ruban; la nouvelle oombinaison de oode n'aura auoun effet sur la machine à composer ou la machine à mouler les caractères et ainsi aucune trace de la correction n'appa -

raîtra pas dans ladite machine.

Toutefois, dans les dispositifs antérieurs, rien n'a été prévu pour oorriger ou reviser le compre présenté par le dispositif totalisateur ou indicateur. Dans le présent dis- positif un nouveau mécanisme de soustraction a été prévu pour soustraire les épaisseurs des matrices des caractères effacés ou raturés, lequel est clairement représenté par les figs. 34,35, 36 et 36a . De plus, on a prévu un dispositif pour bloquer les barres séleotrioes de perforation,pendant l'opération de soustraotion chaque touche devenant ainsi une touche d'effacement ou de raturage.

En se référant à la fig. 34, on voit que dans ce oas le mécanisme de renversement de marche du totalisateur est ajouté à l'appareil déorit ici, le dispositif indicateur étant simplement modifié comme suit : l'arbre /321 est pro- longé et les indicateurs sont déplacés pour permettre d'in- troduire le méoanisme de renversement entreles roues den- tées 71 et 90. Essentiellement, le dispositif de renverse- ment oomprend un mécanisme différentiel monté sur 1' arbre 111 de la roue oompteuse. Une roue dentée oonique 473 égale- ment fixée sur l'arbre 111, est plaoée tout contre le pignon 114. Une 474 à frein est montée folle sur l'arbre 111 toutprés de la roue dentée 473.

Le mécanisme représenté plus olairement en coupe par la fig. 35, est aussi monté fou sur l'arbre 111 tout près de la roue 474, mais à l'opposé de la roue dentée 473; ce mécanisme comprend un organe 475 en forme de manchon, une roue dentée conique 476 solidaire dudit manchon, et un collier 477 relié par rainure et olavet- te au moyeu de la roue dentée 476 et susceptible de ooulisser longitudinalement sur l'organe 475. Le collier 477 possède un pignon 478 et une bride 479 faits d'une pièce aveo lui. Enter la roue dentée 476 et le pignon 478 est/interposé un ressort spiral 481, dont l'action distendante tend normalement à

maintenir le collier 477 oontre le palier 482. Le bras 483 d'un levier de dégagement, similaire au levier 119 mentionné prérédemment, est interposé entre le pignon 478 et la bride 479.

Le pignon 478 est susoeptible d'engrener aveo la roue dentée 91 de l'obturateur 89 d'une manière similaire à oelle du pignon 117 préoédemnent décrit% .

La roue dentée conique 484 est montée à rotation dans la roue 474 à frein et est susoeptible d'engrener simultané- ment aveo les roues dentées 473 et 476. Tel que représenté par la fige 36, le mouvement rotatif de la roue dentée 484 est susoeptible d'être'restreint par l'élément de friotion 485 dont la pression peut être réglée par l'éorou 486. Ainsi, de la résistance de friotion est communiquée à la roue den- tée 484 et suffit à vainore la résistance de l'obturateur 89 et des parties reliées à oelui-oi quand le mécanisme oompteur fonctionne nonnalement.

Un levier 487 de sabot de frein, relié ooopérativement aveo la roue 474 à frein est monté à pivotement en 488 sur le ohâssis 7, ledit levier étant pourvu d'un sabot de frein 489 et d'une partie en forme de poussoir 491 et est normale- ment maintenu vers la droite (voir fig. 36) oentre une butée 492 par un ressort 493. Si on le désire, les surfaces coopé- rantes de la roue à frein et du sabot peuvent présenter des dents ou des dentelures nombreuses et fines pour améliorer leurs qualités d'agrippement.

Il est néoessaire quand on actionne le mécanisme de renversement de bloquer les barres séleotrioes de perfora- tion. Le mécanisme suivant est prévu à cette fjn.

En se référant à la fig. 36, on voit qu'une biellette 530 est reliée à pivotement et suspendue au levier 487. L'ex- trémité inférieure de oettbiellette est reliée à pivotement à une extrémité d'un levier 531 qui peut à son tour pivoter

en 532 et coopère avec le levier 533 montéà pivotement en 534. Le levier 533 coopère aveo le levier coudé 535 monté sur l'arbre 254 adjacent au levier 185.

Le bouton 536, fixé au levier ooudé 535, est dispos en travers des leviers 185 de façon que, quand le levier coudé 535 est mû dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre (voir fig. 36a), lorsqu'on actionne le levier 487, tous les leviers 1$5 soient mis simult mément en roation dans le même sens autour de l'arbre de pivotement 254 afin de faire tourner les leviers 202 (fig. 17). dans le sens opposé, afin d'amener amnsi les barres d'obstruction 201 en relation de fonctionnement avec les poinçons 213. Les poinçons perforateurs seront ainsi maintenus dans cet état aotif aussi longtemps que le levier 487 estmaintenu abaissé, et les barres de permutation 241 n'auront aucun effet sur le méoanisme perforateur pendant que l'opération de renversement de marche a lieu.

Le fonctionnement du mécanisme de renversement de mar- che du totalisateur va être décrit ci-après. Quand le méoanis - me compteur ou totalisateur est actionné normalement,les roues dentées 473,476 et 484 et la roue 474 tournent comme un tout, et la roue dentée 484, étant oontrariée par l'élément de friction 485 dans sa rotation formera une liaison rigide entre 473 et 476 et, partant, les roues dentées 473 et 476 tourneront dans le même sens communiquant ainsi à la roue dentée 91 et à l'obturateur 89 une rotation dans le sens normal.

Quand on désire employer le mécanisme de renversement on actionne ou abaisse manuellement le levier de frein 487 et on le maintient dans sa position extrême de gauche (voir fig. 36) pour empêoher la rotation de la roue 474 pendant toute l'opéra taon de renversement aussi longtemps que le le- vier 487 est maintenu ainsi abaissé, les leviers 185 seront bloqués par le bouton 536 du levier coudé 535, comme préoé- demment décrit. Pendant que la roue 474 est ainsi bloquée,les

touches correspondant au texte raturé ou oorrigé sont de nouveau abaissées, actionnant ainsi la roue oompteuse 113 de la manière usuelle.

Toutefois, pendant que la roue 474 est bloquée,la roue dentée 484 sera oontrainte de tourner avec) la roue dentée 473 et imprimera ainsi une rotation à la roue dentée 476. Dans oe oas, le sens de rotation de la roue dentée 476 sera opposé à celui de la roue dentée 473 et, partant, la rotation de la roue dentée 91 et de l'obturateur 89 sera inverse de leur rotation normale. Ainsi, 11 est évi- dent que, bien que la roue oompteuse 113 soit aotionnée de la manière usuelle, le dispositif indicateur sera actionné de la manière opposée.

Une brève description de ladmanière dont la fonction de renversement du totalisateur est remplie, va être donnée ci-après.

On va supposer à titre d'exemple que les combinaisons de code pour le mot " and " aient été perforées dans le ru- ban, alois que l'on désirait perforer " are " , le procédé serait le suivant. Le ruban serait rappelé en arrière de trois pas dans le présent exemple, oorrespondant aux trois lettres du mot à raturer. Le levier 487 sera actionné , ce qui a pour effet d'enpêaher la roue 474 de tourner, et de rendre les le- viers 185 inaotifs, comme on l'a décrit oi-dessus.

Pendant que le levier 487 est encore maintenu abaissé , les touches correspondant au mot raturé (dans ce cas, le mot " and" ) sont de nouveau actionnées, ce qui aura pour effet d'action- ner l'indicateur dans une direction inverse, et de le replacer est ainsi dans la position qu'il occuperait avant que le mot erro- né eût été perforé.

En même temps, le mécanisme perforateur sera actionné de la même façon qu'avant, lorsqu'on abaisse une touche, excepté que toutes les barres d'obstruction 201 seront maintenues sous les poinçons, ce qui fait que tous les poinons sont poussés de force à travers le ruban abaque

fois qu'une touche est abaissée, produisant aussi automati- quement la perforation de la combinaison " effacement " pour chaque touohe pendant l'opération de soustraction. Le levier 487 est ensuite libéré et l'appareil est ainsi rame- né à son état de fonctionnement normal, et les combinaisons de code du mot " are " sont perforées dans le suban (suivant ses combinaisons de code ou combinaison conventionnelles)de la manière usuelle.

Enrouleur automatique de ruban
Des dispositifs antérieurs ont employés des appareils d'enroulement de ruban aotionnés et mis en positionindépen- damment de l'appareilperforateur, oes enrouleurs de ruban étant actionnés par un ressort de montre ou d'une autre manière similaire. On peut reprocher à oes enrouleurs d'avoir une tendanoe à tirer le ruban au delà du point de rupture, et aussi de nécessiter une surveillanoe oonstante de l'enrou- lement et de mise en position. Dans le présent dispositif, on a prévu un nouvel enrouleur du ruban qui fait partie de l'appareil perforateur et est aussi actionné automatiquement par oelui-oi.

Le dispositif d'enroulement de zuban de la présente in- vention est représenté par les fig. 1, 2 et 3 et oomprend essentiellement une paire de disques 494 et 495 maintenus à distance l'un de l'autre par quatre montants 496, dont un estraversé par une fente longitudinale dans laquelle l'extré- mité du ruban peut être insérée préalablement à l'enroulement.

La bobine à ruban est montée oonvenablement au moyen d'un bouton 497 surne console 498 fixée au ohâssis 7 de l'appa- reil. La roue à roohet 499 est montée sur un bouton 497 à l'extérieur de la bobine à ruban et est adjacente au dis que xxx 495 auquel elle est également fixée . Un levier 221 pour la bobine à ruban, auquel on a fait allusion précédemment,

peut pivoter sur le disque 495 (fig. 2uw, occupe une positon appropriée sur oelui-oi pour ooopérer avec la roue à roohet 499, et possède un bras 501 qui ooopère aveo le levier 217 (fig. 18) d'alimentation en ruban.

Un oliquet 503, pouvant être maintenu en relation ooopérative avec la roue à rochet 10 499 par le ressorl-504, est relié à pivotement à l'extrémité di bras 502 du levier 221. Une tige de guidage 505 pour le ru- ban est reliée à pivotement au oliquet 503 à l'apposé du res - sort 504, est susceptible d'êt enfilée à travers une paire d'oreilles sur le bras 501 du levier 221, et possède un bras 506 venant en prise avec le ruban.

Une desoription du fonctionnement de l'enrouleur automatique de ruban de la présente invention va être donnée.

Comme on l'a remarqué précédemment, le vif mouvement de stao- oato du levier 217 d'alimentation en ruban oommunique le même mouvement/au levier 221 dont le mouvement est communiqué à son tour au oliquet 503. Le oliquet 503 est ainsi passé vivementvers la droite (fig. 2) et comme il en prise avec la roue à roohet 499, oette dernière tend à tourner dans un sens inverse du mouvàment des aiguilles d'une montre et rachète le relâchement du ruban. Le mévcanisme a été fait aussi pour/empêcher la rupture accidentelle du ruban tendu au moyen de la tige 505 de guidage du ruban. Au moment où le ruban est tendu, la tige 505 de guidage du ruban est soulevée par le ruban, amenant ainsi le oliquet 503 à tourner autour de son pivot 500 pour le dégager de la roue à rochet 499.

Par oon- séquènt, il est évident%que le oliquet 503 est dégagé automa- tiquement de la roue à roohet au moment où le relâchement du ruban est raoheté, ce qui supprime la possibilité d'étendre ou de tendre le ruban au delà de sonpoint de rupture .

Compteur de lignes.

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Afin d'apprendre à l'opérateur qu'on a préparé assez de

ruban perforé pour fournir un nombre de bandes ou de li- gnes de types suffisant pour renplir la gelée, un oompteur de lignes 430 est actionné automatiquement chaque fois que le levier 431 de la touchede l'élévateur ou de fin de ligne est actionné.

Quand l'étrier 434 (fig. 27) est ac- tionné par la manoeuvre du levier 431 de latouche de l'élé- vateur, tel que précédemment décrit, le bras 438 tourne dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre, et au imprime ainsi une rotation en sens inverse du- levier 521, tirant ainsi la barre 523 vers la gauche pour aotionner le levier 524 (fig. 1) monté sur l'arbre de commandedu compteur 430, afin d'actionner les indicateurs de ce dernier d'une manière bien connue. Il est dono olair que chaque fois que la touche de l'élévateurest aotionnée,un enregistrement en est fait dans le compteur 430. comme d'habitude , le compteur 430 est/pourvu d'un levier 526 pour ramener les indicateurs du compteur dans leur posi- tion zéro.

* Variante du olavier.

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La description donnée jusqu'ioi s'est rapportée à la produotion de ruban perforé suivant un oode sept unités.

Le présent appareil peut aussi être établi de façon à perforer suivant un oode de six unités, aveo utilisation des opérations de changement de caractères et de retour aux caractères de bas de casse et la disposition de tou- ohes employée dans ce cas est représentée par la fig. 33.

Dans le cas d'un oode à six unités, on prévoit un mécanisme de changement pour les " chiffres " (fig. 31) et un mécanisme de changement pour les " lettres " (fig.

32). Le méoanisme de changement pour les " lettres " , fig.

32, est sensiblement le même que le mécanisme de changement

représenté par la fig. 24, excepté que dans le mécanisme représenté par la fig. 32, le ressort 272 et l'organe 407 de fixation du changement ainsi que les pièces combinées aveo eux ont été éliminés et qu'on leura substitué des organes de déclic 445 et 446.

Ainsi, quand le levier 451 de la touche des " lettres " est actionné ou abaissé, son pro- longement 452 coopère avec un organe de changement 454 d'une manière similaire à celle de l'organe 405 (fig. 24) pour effectuer le déplacement du ohâssis 261 des barres de code; mais, dans ce cas, le ohâssis 261 reste dans la posi- tion déplacée et y est maintenu par un organe de déclic 445 et un ressort 446 jusqu'à ce qu'il soit déplaoé dans sa position de changement ou position des " chiffres " comme cela apparaîtra présentement.

Comme on l'a observé précédemment, la cammande du le- vier 401 de la touche de changement effectue le déplacement des barres de code et ne provoque pas le fonotionnement de l'appareil, ni n'affecte ce dernier d'auoune autrma- nière. Toutefois, dans le présent cas, le levier 451 de la touche des " lettres " et le levier de touohe 447 des "ohif- fres " sont établis chacun de façon à déplacer les barres de oode pour les amener dans leurs positions de changement respectives, et à provoquer simultanément le fonotionnement de l'appareil.

Variante de fonctionnement des touches ------------------------------------
Un systémede leviers de touche modifié est représenté par la fig. 30 et fonotionne comme suit.

Lorsquon abaisse un levier de touche 5, un bouton 331 monté sur oelui-oi coopère aveo un prolongement)332 pour amener l'organe 333 à tourner au.tour de sa liaison pi- votante aveo un support 334 dans un sens inverse du mouve- ment des aiguilles d'une montre, poussant ainsi l'organe
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336 zers la gauohe de façon que l'étrier 284 soit etionné .-56-

et que l'épaulement 341 soit interposé entre l'étrier 295 et la barre de oode 242. La mise en mouvement de l'étrier 284 provoque la commande de l'étrier 295, tel que déorit précédemment,, et provoque ainsi l'abaissement de la barre de oode 242 et de barres de pennutation 241 déterminées.

Lorsqu'on libère le levier de touche 5 et après le fonotion- nement de l'épier 295, le levier de touche 5 est ramené dans sa position normale par l'action du ressort 338.

Perforateur magnétique
Une variante de la présente invention est représentée par les fig. 37 à 40 inclusivement, dans laquelle un perfo- rateurmagnétique est utilisé à la place du dispositif perfo- rateur méoanique représenté par les fig. 16 et 17. La perfo- rateur magnétique peut être aisément adapté et appliqué au présent appareil en/fixant simplement las barres d'obstruction 507 des poinçons du perforateur magnétique aux leviers 186, et en montant an contact 508 pour l'aimant du perforateur et une oame de contrôle 509 pour ce contact dans le disposi- tif.

REVENDICATIONS.

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Claims

--------------------- 1. Un appareil pour préparer un support d'enregistre- ment devant servir à oontrôler des machines à oomposer utilisant des matrices représentant différentes fontes de type, chaque fonte ayant la forme de matrices d'épaisseurs différentes, oomprenant des organes séleoteurs de oaraotères oorrespondant aux matrices de chaque fonte de type ; dispositif enregistreur ; dispositif pour indiquer pendant le prooédé d'enregistrement la longueur d'une ligne de matri- oes à composer sous le oontrôle du support d'enregistrement; une série de jeux interchangeables pour aotionner les dispo- sitifs enregistreur et indicateur, chacun desdits jeux oor- respondant à une des fontes de type ;

un dispositif manoeu- <Desc/Clms Page number 58> vrable par chaque organe séleoteur par l'intermédiaire dudit jeu combiné avec les dispositifs enregistreur et indicateur, afin d'actionner le dispositif indicateur en concordance aveo l'épaisseur de la matrioe à faire entrer dans la compo- sition et afin d'actionner le dispositif enregistreur.

2. Un appareil suivant la revendication 1, dans lequel le dispositif indicateur oomprend une échelle correspondant à chacun des jeux interchangeables,un dispositif étant prévu pour régler l'échelle pour oorrespondre à la fonte de type représentée par le support d'enregistrement .

3. Un appareil tel que déorit dans la revendication 1, dans lequel le dispositif indicateur oornprend un dispositif oompteur, et dans lequel il est prévu un dispositif pour détenniner le mouvement du dispositif oompteur conformément à l'organesélecteur actionné, et un dispositif pour bloquer le dispositif qui détermine ce mouvement, conformément à l'organe actionné, jusqu'à ce que l'opération de comptage oorrespondante ait été aohevée.

4. Un appareil tel que décrit dans la revendioation 1, dans lequel le dispositif indicateur oomprend un arbre à ro- tation oonstante, un dispositif oompteur comprenant un élément mobile par intermittenoe, un méoanisme d'accouplement entre l'arbre et l'élément, et un dispositif actionné par les organes sélecteurs de caractères pour contrôler le mé- oanisme d'accouplement de façon variable et permettre ainsi à l'élément de se déplacer sur une distance variable dépen- dant de l'organe actionné.

5. Un appareil tel que décret dans la revendication 1, dans lequel le dispositif indicateur oomprend un dispositif compteur actionné par une roue des unités qui tend oonstam- ment à tourner, une série de barres d'arrêt, un mécanisme sélecteur en relation de fcnotionnement aveo les organes sélecteurs/susceptible de contrôler sélectivement les barres <Desc/Clms Page number 59> d'arrêt oonformément à l'organe sélepteur actionné, un pre- mier organe formant oliquet, et un seoond oigane formant cli- quet,

lesdits organes étant établis de façon à ooopérer avec les barres d'arrêt afin de oontrôler l'échappement de la roue des unités sur des distanoes variables et afin d'actionner le dispositif compteur d'une manière oorrespondante.

6. Un appareil tel que déorit dans la revendication 1, dans lequel le dispositif indicateur comprend une échelle, un index , une première touche spéciale, une seconde touche spéciale, un double dispositif d'éohappement, un dispositif contrôlé par un organe sélecteur pour mouvoir l'index,un dispositif contrôlé par la première touohe spéciale par l'intermédiaire du dispositif d'échappement pour mouvoir l'échelle dans une certaine mesure et un dispositif contrôlé par la seconde touche spéciale par l'intermédiaire du dispo- sitif d'échappement pour mouvoir l'échelle dans une'mesure différente, la seconde touche spéciale agissant aussi simul- tanément pour provoquer le déplaoement de l'index vers sa position initiale.

7. Un appareil suivant la revendication 1, dans lequel le dispositif indicateur comprend un arbre à rotation oonstan- te, une paire d'organes mobiles dans des codifions de fono- tionnement différentes, un élément à fonction double monté sur l'arbre et susceptible d'actionner la paire d'organes simultanément, un accouplement à friction pouvant être mis en relation de. fonotionnement aveo l'élément à. double fono- tion durant son cycle de fonotionnement complet, un accouple- ment par agrippement pouvant être mis par intermittence en relation de fonotionnement aveo l'élément, et des dispositifs établis de façon à ne rendre aotif l'accouplement par agrippe- ment que durant la période active de fonotionnement de l'élément.

8. Un appareil suivant la revendication 1, dans lequel <Desc/Clms Page number 60> le dispositif indicateur comprend un méoanisme compteur, le jeu interchangeable oomprend une série de barres de oode et il est prévu un dispositif pour oontrôler le fonctionnement du méoanisme oompteur suivant la disposition des barres de code, la liaison de fonctionnement entre les touohes et les barres de oode étant telle que les barres de code peuvent être actionnées de plusieurs manières pour chaque organe sélecteur de caractères, un dispositif étant prévu pour choisir la ma- nière dont la barre de code doit être actionnée.

9. Un appareil tel que décrit dans la revend!cation 1, dans le quel le dispositif enregistreur est oontrôlable par lesdits organes sélecteurs de caractères.et dans lequel le dispositif indicateur comprend un compteur pour indiquer le montant d'espacement qui manque à une ligne de matrices correspondant à un groupe de caractères enregistrés,pour avoir la longueur normale de la ligne à imprimer .

10. Un appareil suivant la revendioation 9, dans lequel le dispositif enregistreur est un perforateur destiné à faire des;perforations dans un ruban afin de représenter des lignes xxxx suooessives oomposées de caractères de dif- férentes largeurs, et dans lequel le compteur comprend une échelle portée par un arbre, un index, une roue des unités montée sur un seoond arbre, les deux arbres étant établis de façon à être soumis à un couple constant, un dispositif desti- né à contrôler l'échappement du premier arbre et de l'échelle uniformément, une paire d'organes formant cliquets, et un dispositif destiné à contrôler les organes formant cliquets pour provoquer l'échappement de la roue des unités sur des distanoes variables,lequel provoque à son tour une mise en mouvement oorrespondante de l'index,

la mise en mouvement combinée de l'échelle et de l'index indiquant à tous moments la justifiabilité de la ligne que l'on enregistre.

11. Un appareil tel que décrit dans la revendication 1, <Desc/Clms Page number 61> dans lequel le dispositif manoeuvrable par les organes séleo- teurs par l'intermédiaire du jeu interchangeable pour oontrô- ler de façon variable le dispositif enregistreur et le dispo- sitif indicateur oomprend des méoanismes séleoteurs individue pour le dispositif d'enregistrement et le dispositif indioa- teur.

12. Un appareil suivant la revendioation 11, dans lequel chaque jeu interchangeable comprend une série d'élénents de oode oorrespondant à une fonte de type particulière et destinés à être introduits dans l'appareil de façon à contrô- ler sélectivement le fonctionnement des mécanismes sélecteurs simultanément, conformément à ladite fonte detype.

13. Un appareil tel que déorit dans la revendmoation 12, dans lequel les mécanismes sélecteurs comprennent une série de barres sélectrices mobiles verticalement et la série des éléments de oode sont disposés entre les barres séleotrioes et les organes sélecteurs, chacun desdits éléments de oode pouvant être actionné par l'organe sélecteur correspondant pour actionner oelles desdites barres sélectrices qui ont été ohoisies, un dispositif de transition combiné aveo chaque barrer sélectrice étant prévu, grâce auquel le mouvement des barres ohoisies agit pour mettre le dispositif enregistreur et le dispositif indicateur en état de fonotionnement.

14. Un appareil tel que décrit dans la revendioation 12, dans lequel un dispositif est prévu pour ramener le disposi- tif de commande des éléments de code dans la position norma- le pour un fonotionnement subséquent avant que l'achèvement du fonctionnement du dispositif indicateur, afin d'assurer un recouvrement dans le dispositif enregistreur.

15. Un appareil suivant la revendication 14, dans lequel il est prévu un dispositif pour actionner un mécanisme de déga- gement combiné aveo l'organe séleoteur actionné, de façon qu'un mécanisme de mise en marche du dispositif enregistreur <Desc/Clms Page number 62> puisse être contrôlé par un autre organe séleoteur avant que l'organe séleoteur préoédent soit ramené dans sa position normale.

16. Un appareil suivant la revendioation 1, dans lequel le dispositif indicateur comprend une échelle et une roue des unités faisant plusieurs tours pour un oyole de l'éohel- le, un dispositif pour ramener l'éohelle et la loue à un point de départ, un dispositif combiné avec l'échelle pour déterminer le nombre de tours faits par la roue des unités quand elle revient au point de départ, et un dispositif combiné aaveo la roue des unités pour déterminer exactement sa position d'arrêt.

17. Un appareil tel que déorit dans la revendioation 1, dans lequel le dispositif indicateur oomprend un dispositif oompteur comprenant une roue des unités unique tendant oons- tamment à tourner, uncliquet, un bras d'arrêt , un disposi- tif pour rendre ledit cliques et ledit bras susceptibles de venir en prise aveo ladite roue des unités, une série de barres d'arrêt destinées à coopérer aveo ledit oliquet et le - dit bras afin de contrôler l'échappement des ladite roue des unités sur des distanoes variables et pour actionner ledit dispositif compteur d'une manière oorrespondante,et un dispositif pour établir la coïncidence des centres de la- dite roue des unités et dudit bras d'arrêt pour provoquer ledit échappement.

18. Un appareil suivant la revendioation 1, dans le- quel un dispositif est prévu pour raturer des caractères du support d'enregistrement et pour soustraire du dispasi- tif indicateur les épaisseurs des caractères raturés.

19. Un appareil tel que décrit dans la revendication 18, dans lequel le dispositif de raturage comprend une tou- che de raturage et un dispositif agissant, quand la touche de raturage est abaissée, pour rendre actif chaque organe <Desc/Clms Page number 63> séleoteurde caractères, afin de perforer un signal d'effa- oement et afin de renverser le fonctionnement du disposi- tif indicateur d'une quantité égale aux épaisseurs des caractères raturés.

20. Un appareil pour fabriquer un support d'enregis- trement devant servir à oontrôler des machines à oonposer, une pluralité de méaanismes sélecteurs, une série xx d'or- ganes représentant des caractères , un élément de oode séparé pour chaque organe de caractère et destiné à aotion- ner sélectivement et simultanément les méoanismes sélecteurs en concordance avec l'organe de caractère actionné.

21. Un appareil telque décrit dans la revendication 20, dans lequel une barre universelle,, manoeuvrable à partir de n'importe quel organe de oaraotère) est destinée à aotion - ner un élément de code, et dans lequel un dispositif est prévu paur restituer de l'énergie à la barre universelle avant le fonctionnement de chaque organe de caractère.

22. Un appareil tel que déorit dans la revendioation 21, dans lequel un étrier) manoeuvrable par chacun des orga- nes de caractère,contrôle le fonotionnement de la barre universelle, et dans lequel il est prévu un dispositif, indépendant de la longueur du temps pendant lequel un or- gane de caractère est actionné, pour limiter le fonotionne- ment de la barre universelle à un seul oyole.

23. Un appareil suivant la revendication 20, dans le- quel les organes de caractères comprennent des leviers de touohe, un élément flottant combiné avec chaque levier de touche,et un dispositif manoeuvré par les leviers de touche pour actionner leurs éléments de code respectifs afin de provoquer le fonotionnement résultant des méoanismes sélec- teurs.

24. Dans un appareil pour fabriquer un support d'en- registrement convenant pour contrôler une maohine à oompo- <Desc/Clms Page number 64> ser, une échelle, un index, une série d'organes correspon- dant à une série de caractères et de bandes d'espacement, un dispositif contrôlé par lesdits organes pour oontrôle r le mouvement de l'échelle et de l'index, et un dispositif de signalisation contrôlé par l'éohelle et l'index pour avertir l'opérateur de l'approche de la fin d'uneligne.