CH212066A - Machine de pointage. - Google Patents

Machine de pointage.

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CH212066A
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  • Impression-Transfer Materials And Handling Thereof (AREA)

Description


      Machine    de pointage.    La présente invention a pour objet une  machine de pointage, servant par exemple à  enregistrer sur des cartes les entrées et sorties  des employés. Ce genre de machine de poin  tage est très répandu dans le commerce. Une  machine de pointage se compose générale  ment de deux parties bien distinctes,     c'est-à-          dire    l'horlogerie et le mécanisme de pointage.  L'horlogerie commande d'habitude le méca  nisme de pointage soit à l'aide d'une liaison  mécanique flexible entre le mécanisme de  l'horlogerie et le mécanisme de pointage, soit  par accouplement direct entre ces deux méca  nismes.

   L'horlogerie peut être mécanique ou  électrique, à l'encontre du mécanisme de poin  tage dont toutes les fonctions, telles que:  changement de couleur du ruban encreur, dé  placement du porte-carte, changement du  jour, etc., ont, jusqu'à présent, été exécutées  mécaniquement.  



  La machine de pointage faisant l'objet de  l'invention est pourvue de roues d'impression  et d'un tambour commandés par un moteur  électrique lors de l'accouplement périodique    d'un embrayage, le tambour étant     muni    de  taquets servant à établir un programme dé  fini d'opérations de la machine, celle-ci étant  caractérisée en ce que des embrayages sup  plémentaires sont prévus, commandés par les  taquets du tambour préalablement réglés pour  un programme défini, pour mettre le moteur  en circuit de façon à commander la machine  pendant chaque opération de cette dernière.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine faisant l'objet de l'invention.  



  Les     fig.    1 et 2 représentent respectivement  des vues de face et de côté de la machine,  montrant également l'emplacement des diffé  rents organes.  



  Les     fig.    3, 4 et 5 représentent des     sections     de la machine suivant 3-.3, 4-4 et 5-5 de  la     fig.    2.  



  La     fig.        5a    représente une vue de détail  du mécanisme de l'avancement du ruban en  creur.  



  La     fig.    6 représente     une    vue de section       suivant    6-6 de la     fig.    8.      La fi-. 7 est une vue de section suivant  7-7 de la     fig.    11. représentant un embrayage  de l'impression et son mécanisme de com  mande.  



  La fia. 8 représente une vue, par-dessus  de roues d'impression, d'un entonnoir dans  lequel la carte est introduite, et du mécanisme  d'impression.  



  Les fi-. 8a et     8>>    représentent des détails  d'un système de blocage pour le mécanisme  d'impression.  



  La fi-. 9 représente une vue de section  suivant 9-9 de la fi-. 11, montrant un mé  canisme de changement de couleur     dit    ruban.  



  La fi-. 10 représente une vue de section  suivant 10-10 de la     fig.    11, et montre la  commande des roues d'impression et d'un mé  canisme servant à établir un programme.  



  La     fig.    11 représente une vue de détail  sectionnée de l'ensemble de l'embrayage et  l'emplacement des différents embrayages.  



  La     fig.    12 représente une vue de section  suivant 12-12 de la fi-. 11, et montre un  mécanisme du déplacement horizontal de l'en  tonnoir.  



  La fia. 12a représente une vue de détail  du tambour servant à, établir un programme  déterminé.  



  La fi-.     1213    est une vue de détail par  dessus d'une partie du mécanisme servant à  établir un programme, représenté sur la  fi-. 12.  



  La fi-.     7.3    représente une vue de face de       l'embray        age    du déplacement vertical d'un       support    de carte et de son     mécanisme    associé.  



  La fia. 14 représente une vue de côté du  chariot de l'entonnoir.  



  La     fig.    25 représente une vue en pers  pective de l'entonnoir.  



  La     fig.    16 représente une vue par-dessus  du chariot de l'entonnoir.  



  La     fig.    17 représente une vue de section  du chariot de la     fig.    16.  



  La     fig.    18 représente le schéma électrique  de la machine.  



  La.     fig.    19 représente une vue de côté       d'une    partie du mécanisme de commande du  déplacement vertical du support de carte.    Dans la     fig.    5 est représenté un électro  aimant 25 qui est excité une fois par minute  par une impulsion provenant d'une pendule  mère ou régulatrice (non     représentée)    d'une  façon bien connue dans les machines de ce  genre. L'électro-aimant 25 commande des  roues d'impression ainsi qu'un tambour de la  manière décrite ci-après.  



  A l'excitation de l'électro-aimant 25, une  armature 26 se déplace vers la gauche autour  d'un pivot 27 et un levier 28, solidaire de  l'armature, se déplace également vers la. gau  che. Ce mouvement est transmis à. un levier  30 supportant un cliquet 31. à. l'aide d'une  bride 29. Par conséquent, le levier 30 et le  cliquet 31 sont déplacés vers la gauche contre  l'action d'un ressort 32. A la rupture de l'im  pulsion qui a excité l'électro-aimant 25,  celui-ci se désexcite et le     mécanisme    qui  vient d'être décrit retourne vers la droite à  l'aide de son ressort 32.

   Au retour vers la  droite de ce mécanisme, le cliquet 31 s'engage  dans une dent d'un rochet 34, ce     qui    le dé  place d'un espace d'une dent dans le sens  contraire     aux        aiguilles    d'une montre. Un cli  quet de retenue 35 est prévu pour bloquer  le rochet après son avancement et, le reste  du temps, pour éviter qu'il ne tourne dans  le sens contraire. Pendant l'avancement du  rochet, le cliquet 35,     pivotant    en 36, se dé  gage de la dent du rochet et se place devant  la suivante sous l'action du rochet même.

   Le  cliquet 35, en se dégageant de la dent du  rochet 34. bascule dans le sens contraire aux       aiguilles    d'une montre et amorce simultané  ment deux opérations, à savoir: la fermeture  du circuit d'un moteur et l'embrayage d'un  mécanisme reliant le moteur à des mécanismes  de commande des roues d'impression et du  tambour.  



  Le circuit du moteur se ferme à l'aide  d'un mécanisme commandé par un prolonge  ment 35a du cliquet de     retenue    35. Ce pro  longement, en descendant. butte contre une  butée 39a (fi-. 2) solidaire d'un levier 39,  ce qui a pour effet d'abaisser celui-ci. Un  levier 40, associé au levier 39, est abaissé  également, de sorte que tous deux se dépla-      cent dans le sens contraire aux aiguilles d'une  montre autour d'un pivot commun 41. Le  levier 40 est pourvu d'un prolongement 42  qui se déplace vers la gauche pour fermer  un contact 43 fermant le circuit du moteur.  Ce circuit sera décrit par la suite en conjonc  tion avec le schéma électrique     (fig.    18).  



  Le     cliquet    35, en se déplaçant, déplace  également, à l'aide de son axe pivot 36, un  cliquet de blocage 54     (fig.    10. Le cliquet  54 se déplace vers la gauche, libérant un  membre 55, ce qui permet<B>à</B> un cliquet 56,  à l'aide d'un ressort 58, de s'engager avec  un rochet 57. Le membre 55 et le     cliquet    56  sont fixés sur une face     d'une    came 59 et le  rochet 57 sur un arbre 53. Cet ensemble  constitue le mécanisme de commande des  roues d'impression et du tambour et est dé  signé par le numéro de référence 60.  



  Le moteur 45     (fig.    3) commande mainte  nant l'embrayage 60 et lui fait accomplir une  révolution de la manière suivante. Un pignon  47 tourne dans le sens des aiguilles d'une  montre à l'aide d'un engrenage sans fin 46  commandé par le moteur. Cette rotation est  transmise à l'aide d'un train d'engrenage  comprenant un arbre 48, un pignon 49 fixé à  l'extrémité arrière de celui-ci     (fig.    4), un pi  gnon fou 51, un pignon 52 et l'arbre 53, à  l'embrayage 60.

   A ce moment, les contacts  43 sont maintenus fermés ù l'aide d'un levier  38 (fig. 2) qui s'est     placé    en     position    de  blocage sous l'action d'un ressort     88a    au  moment où les leviers 39 et 40 étaient abais  sés, dans le but de les maintenir dans cette  position et de maintenir les contacts 43 du  moteur fermés. Toutefois, aussitôt que l'em  brayage 60 commence à tourner, le galet d'un  levier 37     (fig.    10) sort de l'encoche prévue  dans la came 59, ce qui a pour effet de dé  placer le prolongement 37a du levier vers la  gauche.

   Le prolongement     37a        butte    contre le  levier 38, déplaçant ce dernier vers l'exté  rieur, ce qui a pour effet de libérer les leviers  39 et 40. Ceux-ci, néanmoins, sont maintenus  dans leur position active par le levier 37, ce  qui sera décrit par la suite, de manière à  maintenir les contacts 43 du moteur fermés         pendant    la majeure partie de la révolution de  l'embrayage 60. Entre temps, les cliquets 35  et 54 sont remis en leur position normale  sous l'action du ressort 44. Par conséquent,  l'embrayage est arrêté à la fin d'une révolu  tion par le cliquet 54. Le circuit du moteur  est coupé dès que le galet du     levier'    37 se  place dans l'encoche de la came 59 à la fin  de la révolution.

   La manière dont ce levier  commande le circuit du moteur sera décrite  par la suite; pour le moment, il suffit de  savoir que, par suite du déplacement du       levier    37, les leviers 39 et 40 se déplacent  vers le haut et le prolongement 42 vers la  droite, ce qui a pour effet d'ouvrir les con  tacts du moteur 43.  



  Pendant la révolution de l'embrayage 60,  le moteur 45 est relié, à l'aide de cet em  brayage, à la commande des roues d'impres  sion et du tambour, ce qui sera décrit dans  ce qui suit. Du fait que le disque 59 tourne,  un pignon 61     (fig.    1), fixé sur la face arrière  de ce disque, tourne également et commande  un arbre vertical 65 par l'intermédiaire d'un       pignon    fou 62, d'un pignon 63 et d'un engre  nage conique 64, ainsi qu'un arbre 68 suppor  tant les roues d'impression     (fig.    8), par l'in  termédiaire de pignons 66 et 67. Une roue des  minutes 71 est fixe sur l'arbre 68, alors que  des roues des heures 72 et des jours 73 sont  montées libres sur celui-ci.

   Le rapport des  différents pignons de la commande que l'on  vient de décrire est tel que la roue des mi  nutes est avancée d'une position par révolu  tion de l'embrayage 60. Les graduations sur  celle-ci sont de 00 à 59. Les     graduations    sur  la roue des heures sont de 1 à 24. Lorsque la  roue des     minutes    accomplit une révolution  complète par suite de 60 mouvements d'avan  cement d'une minute à la fois, un mécanisme  mécanique de transfert- avance la roue des  heures 72 d'une position; de même, lorsque  celle-ci aura accompli une révolution com  plète par suite de 24 mouvements d'avance  ment, la roue des jours 73 sera avancée d'une  position.

   Un tel mécanisme de     transfert    est  bien connu et ne sera par conséquent que  brièvement décrit dans ce     qui.        suit.         Fixée à la roue des minutes 71 est une  came 74 commandant un levier 75 fixé sur  un arbre 76, de sorte que celui-ci tourne lors  que le levier 75 arrive sur la pointe de la  came 74. Un levier de transfert 77, fixé sur  l'arbre 76, se soulève et, lorsque le levier 75  retombe après avoir passé la pointe de la  came 74, le levier 77 retombe également et  s'engage avec un rochet 78. provoquant éga  lement l'abaissement d'un levier (le     bloquage     79     (fig.    6).

   Simultanément. le rochet 78 est  avancé d'une dent au moyen d'une butée 80,  solidaire d'un cliquet d'avancement 81, qui  passe en dessous d'un goujon 82 à sa. des  cente et par-dessus celui-ci à. sa montée. Le  levier de     bloquage    79 bloque le rochet 7 8 de  la roue des heures en tout temps, sauf lors  qu'il est abaissé. comme il vient d'être expli  qué. L'avancement du rochet 78 d'une dent  a pour effet d'avancer la roue des heures 72  d'une position, le rochet et la roue étant re  liés au moyen d'un manchon. La roue des  jours 73 est avancée d'une position sous le  contrôle de la roue des heures au moyen d'un  mécanisme semblable à celui que l'on vient  de décrire.

   Une came 84, fixée au rochet 78,  commande un levier 85 qui, en tombant de  la pointe de la. came 84, coopère avec un  levier 86     (fig.    8), lequel commande un ro  chet 87 qui avance la roue des jours 73 d'une  position pour chacune des révolutions de la  roue des heures 72. Le levier de transfert 86  est semblable au levier 77 décrit précédem  ment, avec cette exception qu'il est libre sur  l'arbre 76. Chacun des leviers de transfert  s'engage avec son rochet par gravité et grâce  à. l'action d'un ressort tel que celui représenté  en 83<B>à,</B> la fi-.<B>6.</B>  



  Simultanément avec l'avancement de la  roue des minutes,     grâce    au mécanisme qui  vient d'être décrit, un tambour 70 est avancé.  Le tambour 70     (fig.    1) est relié à l'arbre  vertical 65 au moyen d'un engrenage sans  fin 69 et le rapport est tel que le tambour  avance d'une position à chaque révolution de  l'embrayage 60; en d'autres termes, le tam  bour 7 0 avance d'une dent à chaque minute.  Le tambour est pourvu de 360 dents. Il est    gradué par intervalles de cinq minutes et tous  les quarts d'heure sont marqués visiblement.  Le tambour accomplit une révolution en  six heures, par conséquent quatre révolutions  par jour.  



  Le tambour 70 peut supporter, sur sa cir  conférence, des     porte-taquets    88. suivant un  programme d'opérations désiré. Les     porte-          taquets    88 sont fixés au tambour au moyen  de vis     88a        (fig.    12a) et un goujon 88b les  empêche (le basculer. La partie supérieure  des     porte-taquets    est rainurée dans le but de  pouvoir contenir des taquets tels que ceux  désignés en 89.  



  Ces taquets sont maintenus dans les rai  nures au moyen  < le ressorts plats 91. Les  bords supérieures des taquets 89 sont pourvus  de un à quatre prolongements. Chacun de ces  prolongements coopère avec l'un de quatre  leviers 92     (fig.    12b) à un moment donné pour  amorcer une opération donnée de la machine.  Il est bien entendu que les taquets 89 peu  vent être fixés sur les porte-taquets 88 d'une  manière autre que celle décrite, la façon de  les fixer dans des rainures étant jugée comme  étant la plus pratique.  



  Dans la machine représentée, deux opé  rations peuvent être commandées directement  par le tambour 70, à savoir: le déplacement  horizontal d'un entonnoir pour le positionner  sur la colonne "entrée matin", "sortie midi",  etc. et le changement de couleur du ruban  afin que tous les enregistrements hors pro  gramme soient d'une couleur différente de  ceux compris dans le programme. ce qui per  met une distinction facile entre les deux  genres d'enregistrement. De même, lorsque  les enregistrements     correspondant    à     "entrée     matin",     "sortie    midi", etc. doivent être effec  tués verticalement sur la     carte    au lieu d'hori  zontalement, le tambour 70 peut commander  le déplacement vertical du support de la  carte.

   Toutefois. la machine représentée est       supposée    enregistrer les entrées et les sorties  dans le sens horizontal sur la carte et déplacer  la carte verticalement pour chaque jour. De  la description qui va suivre, il sera facile de  comprendre, pour quiconque est familier avec      ce genre de machines, comment la machine  peut "être modifiée pour permettre d'enregis  trer les pointages journaliers d'entrée et de  sortie dans le sens vertical sur la carte et  d'effectuer les changements de jour dans le  sens horizontal.  



  Le mécanisme provoquant le déplacement  horizontal de l'entonnoir d'après     un    pro  gramme journalier déterminé va maintenant  être décrit en conjonction avec la     fig.    12.  Quand le levier 92 bute contre un prolonge  ment du taquet 89, il se soulève, c'est-à-dire  qu'il tourne dans le sens contraire aux  aiguilles d'une montre autour de son pivot 93.  Toutefois, si à ce moment une came à quatre  sections 94 occupe une position telle, ce qui  sera décrit par la suite, qu'elle bloque le  levier 92, ceci aura pour effet de faire bascu  ler le pivot 93 vers le bas autour d'un axe  95. Ce mouvement déplace un levier 96 vers  la droite, ce qui permet à un embrayage 100,  servant au déplacement horizontal, de s'em  brayer. L'embrayage 100 est similaire à  l'embrayage 60 décrit précédemment.

   Les rai  nures des supports de taquets 88 se trouvent  à. intervalles d'une minute et les taquets 89  placés dans ces rainures amorcent des opéra  tions seulement aux minutes exactes et non  entre celles-ci. Par conséquent, lorsque l'em  brayage 100 est embrayé par le tambour 70,  l'embrayage 60 est embrayé au même instant  par suite de     l'excitation    de l'électro-aimant  25. Ceci signifie que le tambour- ainsi que  les taquets 89 se déplacent pendant la révo  lution suivante de l'embrayage, de sorte que  l'extrémité du levier 92 tombe dans l'espace  entre deux taquets, ce qui permet au levier  96 de se déplacer vers la gauche sous la ten  sion d'un ressort     96a    et de débrayer l'em  brayage 100 après une révolution.

   La même  opération peut être répétée après un inter  valle de deux minutes puisque les taquets  doivent être espacés d'au moins cette distance  pour que l'extrémité du levier 92 puisse tom  ber dans l'espace entre deux taquets afin de  permettre au levier 96 de reprendre sa po  sition de blocage.  



  Pendant la révolution de l'embrayage 100,    commandée par le tambour comme     il    vient  d'être décrit, un arbre horizontal 110 tourne  du fait     qu'il    est commandé par un pignon  106, solidaire de l'embrayage 100, et par des  pignons 107, 108 et 109. Cet arbre 110 est  à. double filet     (fig.    4) et un membre     111a,     fixé sur un support du chariot de l'entonnoir,  s'engage dans un des filets de l'arbre 110  pour le déplacer dans une direction et dans  l'autre filet pour le déplacer     dans    l'autre di  rection. Par conséquent, malgré que l'arbre  110 tourne dans le même sens pour déplacer  l'entonnoir dans les deux directions, ce der  nier est commandé positivement dans les  deux directions.

   Le chariot de     l'entonnoir    se  déplace d'une     distance    équivalente     à-une    po  sition d'enregistrement pour chacune des ré  volutions de l'embrayage 100 commandée par  le tambour. Le retour du chariot de l'enton  noir à son point de départ peut être effectué  pendant la nuit ou à n'importe quel moment  de la journée avant la période pendant la  quelle d'autres enregistrements doivent avoir  lieu.  



  Le changement de couleur du ruban est  une autre fonction pouvant     être    commandée  par le tambour. Le ruban 135     (fig.    5) est de  largeur double, la moitié supérieure étant  d'une couleur différente de celle de la moitié  inférieure. Dans la présente machine, bleu et  rouge sont les couleurs     utilisées    pour distin  guer les enregistrements     respectivement    ré  guliers et irréguliers.

   Quand une opération de  changement de couleur est amorcée par le  tambour 70,     un    embrayage 120     (fig.    9) pour  le changement de la couleur,     semblable    aux  embrayages 100 et 60, sauf qu'il est pourvu  de deux butées d'arrêt, est libéré sous l'ac  tion d'un levier 121 coopérant avec une came  à quatre     sections    122, action qui est sembla  ble à celle du levier 92 et de la came 94 pour  le déplacement horizontal qui vient d'être  décrit. Un pivot 93a, semblable au pivot 93,  est abaissé autour de l'axe 95 dans le but  de libérer l'embrayage 120     qui,    une fois em  brayé, n'accomplit qu'une moitié d'une révo  lution du fait que le membre 119 est pourvu  de deux butées d'arrêt espacées de 180  .

   Une      came supplémentaire 123 se déplace en même  temps que l'embrayage et     d'une    distance  égale. Cette came commande un levier double  124     (fig.    5) fixé à l'extrémité frontale d'un  axe 125 qui comporte un levier 126 à l'autre  extrémité.  



       Suppost)ns    que le ruban occupe la posi  tion de la fi-. 5 dans laquelle la partie supé  rieure du ruban sert à.     imprimer    les enregis  trements. La rotation de la     came    133 provo  que l'abaissement du levier 134 et le soulè  vement du levier 136. Ceci a pour effet de  soulever un membre     1?8,    basculant de ce  fait un arbre 129 sur lequel est fixé ledit  membre. A l'extrémité gauche de l'arbre<B>129,</B>  il y a une bride 130 qui se soulève, soulevant  en même temps un membre 131. Le membre  <B>131</B> est pourvu d'un goujon 13? encastré  entre deux sections     élargies    d'un     arbre    133  qui supporte une bobine 1:34 à son extrémité.  



  Par conséquent, lorsque le goujon 1.32 se  soulève, l'arbre 133 est soulevé également.  A     l'extrémité    droite de l'arbre 129     (fig.    1)  se trouve un arbre     133a    comportant égale  ment une bobine     134a,    et cet arbre ainsi que  sa. bobine se soulève simultanément avec  l'arbre 133 et la bobine 134 à l'aide d'un  mécanisme semblable (non     représenté).        Le     ruban est enroulé sur les bobines 134 et     1:3-4a     et il se soulève par conséquent avec celles-ci.

    La moitié inférieure du ruban est. par consé  quent, placée en position pour     l'impression.     de sorte     que    toutes les impressions se feront  en une couleur correspondant à la couleur de  cette moitié inférieure du ruban ,jusqu'à ce  que le ruban soit abaissé à nouveau par une  demi-révolution de l'embrayage 130. L'opé  ration     d'abaissement    du ruban est contraire à  celle de la levée avec cette exception que la  came supplémentaire 123 tourne dans la  même direction aussi bien pour la levée que  pour l'abaissement.  



  Repassons maintenant les fonctions du  tambour 70 dont deux ont été décrites jus  qu'à présent. Il a été démontré que deux  fonctions doivent avoir lieu simultanément  pour amorcer une opération commandée par  le tambour. A savoir: un des leviers 92 d'un         groupe    de quatre de ceux-ci     (fig.   <B>12%)</B> doit  être soulevé par un prolongement d'un ta  quet 89 et le levier 92 doit en même temps  buter contre une. section de la came 94       (fig.    12) dans le but d'embrayer un em  brayage et d'exciter le moteur 45 pour que  la machine puisse accomplir une opération  déterminée. La raison d'être des quatre le  viers et quatre sections sur la came     résulte     du fait que le tambour 70 accomplit quatre  révolutions dans une journée.

    



  Supposons par     exemple    que l'on désire  amorcer une opération de la machine à midi  et à minuit. Un     porte-taquet    88 sera fixé  sur le     tambour    pour qu'une des rainures du  porte-taquet se trouve en face de l'heure "12"  sur le tambour. Dans ce cas, un taquet 89       â,    deux prolongements seulement sera néces  saire<B>(fi-.</B>     7.9a)    et ceux-ci devront être ali  gnés avec le deuxième et     quatrième    leviers  respectivement à partir du fond en supposant  que le tambour 70 place le taquet 89 en  dessous de     l'extrémité    du levier 92 à 6 heures  du matin.

   A ce moment, la première section  (le la came 94 se trouve sur le trajet du pre  mier levier mais il n'y a pas de prolonge  ment sur le taquet 89 pour commander ce       levier.    Le     deuxième        levier    est     soulevé    du fait       qu'il    bute contre un prolongement du     taquet     mais, par contre, il ne se trouve aucune sec  tion de la came sur le trajet du levier à ce  moment. Le troisième levier à partir du fond  ne bute contre aucune projection et aucune  section de la came ne se trouve sur son trajet.  Le quatrième levier bute contre un prolonge  ment mais, là aussi, aucune section de la  came ne se trouve sur son trajet.

   Par consé  quent. l'opération spéciale n'est pas amorcée  à 6 heures. A midi, le tambour 70 aura accom  pli une autre révolution, et le taquet 89 sera,  de nouveau aligné avec les leviers 92.  



  Pendant la     révolution    du tambour, la came  à quatre sections 94 tourne dans le sens con  traire aux     aiguilles    d'une montre d'une dis  tance     suffisante    pour mettre la deuxième sec  tion sur le trajet du deuxième levier. Cette  opération s'effectue comme suit: un levier 98  est libéré à l'excitation de l'électro-aimant 25      par suite du mouvement transmis par un  levier 24     (fig.    1) à un cliquet 23 qui bascule  dans le sens des aiguilles d'une montre en  suite du déplacement vers la gauche de l'ar  mature 26, ce qui permet à l'extrémité infé  rieure du levier 98 de se déplacer vers la  droite sous l'action d'un ressort 99.

   Le levier  98 étant pivoté en 101, son extrémité supé  rieure se déplace vers la gauche, ce qui a  pour effet de forcer un cliquet 102     (fig.    12)  en engagement avec les dents d'un rochet 103,  le déplaçant d'un espace d'une dent dans le  sens contraire aux aiguilles d'une montre. Un  cliquet de retenue 104 est prévu pour posi  tionner le rochet 103. Le levier 98, une fois  libéré, se maintient ainsi jusqu'à ce qu'une  butée 105, solidaire du tambour 70, le ver  rouille à nouveau, en le déplaçant vers la  gauche, sur le cliquet 23.

   Trois butées 105  ont été prévues qui     provoquent    le verrouil  lage du levier 98 à trois reprises après avoir  été libéré, de sorte que le rochet 103 se dé  place trois fois provoquant un déplacement  de la came 94 dans le sens contraire aux  aiguilles d'une montre d'une distance équiva  lente à un quart de révolution. Ce déplace  ment de la came amène la section suivante  en position active et neutralise la section     pré-          c6dente.    Du fait que le tambour accomplit  une révolution toutes les six heures, il s'en  suit que la came se déplace d'une distance  équivalant à un quart de révolution pendant  cette même période. Par conséquent, chaque       section    est active pendant une période de six  heures.  



  Revenons maintenant à l'exemple. A midi  les deux conditions requises pour amorcer  une opération sont présentes du fait qu'un  prolongement d'un taquet 89 bute contre le  deuxième levier et le soulève pour qu'il bute  contre la deuxième section de la came 94.  Ceci provoque l'accouplement de l'embrayage  et la mise en marche du moteur 45 qui com  mande le mécanisme, et l'opération prévue a  lieu. A 18 heures, le tambour aura accompli  une autre révolution mais, à ce moment, mal  gré que la troisième section de la. came 94 se  trouve en face du troisième levier, il n'y a    pas de prolongement sur le taquet 89 pour  agir sur le levier. A minuit, toutefois, l'opé  ration prévue a lieu par suite du déplacement  du quatrième levier par un prolongement du  taquet 89 et par la présence, dans sa posi  tion active, de la quatrième section de la  came 94.

   La machine a donc accompli une  certaine fonction à midi et -â     minuit.    Bien  entendu, si on désire répéter ces fonctions       plusieurs    fois pendant une période de     six     heures, il est nécessaire de prévoir plusieurs  porte-taquets 88 et plusieurs taquets 89 dis  posés autour du tambour en des emplacements  appropriés.  



  Dans la machine représentée, le déplace  ment vertical du porte-carte représente un  changement de jour, comme il a été expliqué  précédemment. Ce déplacement peut être com  mandé par la roue des heures 72, celle-ci ac  complissant une révolution complète en  24 heures. La manière dont s'accomplit ce  déplacement va maintenant être décrite. Une  came 137     (fig.    8) est reliée au rochet 78 de  la roue des heures au moyen d'un manchon  138. Un levier vertical 140     (fig.    13) est  pourvu d'une extension 139, d'un ressort 141  à son extrémité supérieure, et d'un cliquet  142 à son extrémité inférieure. Au moment  où l'extension 139 arrivé sur la partie haute  de la came 137, le levier 140 est abaissé.

   Le       cliquet    142 s'appuie en 143 contre le bâti 50,  par conséquent son déplacement, au moment  de     l'abaissement    du levier 140, s'effectue dans  le sens des aiguilles d'une montre autour de  son pivot, ce qui a pour effet de positionner  l'extrémité inférieure du     cliquet    142 en des  sous de l'extrémité d'un levier coudé 144 relié  à un cliquet d'arrêt 145 pivoté en 146a. Ceci  est la position représentée dans la     fig.    13,  l'extension 139 se trouvant sur la partie  haute de la came 137.  



  Lorsque la came 137 avance, l'extension  1.39 tombe de la partie haute de la came, le  levier 140 remonte sous l'action du ressort  141 et le     cliquet    142, en remontant, accroche  l'extrémité du levier coudé 144 et le soulève.  Ceci déplace le     cliquet    145 vers la droite,  ce     qui    a pour effet de provoquer l'enclen-           chement    d'un embrayage 150.     L'embrayage     150 est semblable aux autres fixés sur l'ar  bre 53     (fig.    11) et ne sera, par conséquent,  pas décrit. Un pignon 146, solidaire de     l'em-          bra.y        age,    est commandé par le moteur 45.

   Le  pignon 146,à son tour, commande un pignon  148 fixé sur un arbre 149 à l'aide d'un pi  gnon intermédiaire 147     (fig.    1). L'arbre 149  traverse le moyeu du rochet 34     (fig.    5).  monté librement sur celui-ci, et le bâti 50       (fig.    19) et supporte, à l'une de ses extré  mités, un pignon conique 151 en prise avec  un autre pignon     conique    152 (fi-. 3) fixé sur  un arbre horizontal 153.

   Aux extrémités de  l'arbre 153 sont fixés deux pignons coniques  154 et     154a.    Ces pignons servent à relier  l'arbre horizontal     1.53    à des arbres verticaux  156 et     156a    à l'aide de pignons coniques 155  et     15:5a    respectivement. Le but des deux  arbres verticaux est d'éviter le grippage. Les  deux arbres ont un double filet, de sorte que  la rotation de ces arbres dans un sens sert  aussi bien à remonter qu'à abaisser un sup  port 160. Le principe employé ici est le même  que pour l'arbre horizontal 110,à savoir: un       guide-filet        160a    s'engage dans un des filets  à la montée du support et s'engage dans  l'autre à, sa descente.

   Le pas du filet est tel  que la, carte est soulevée à la position d'im  pression du jour suivant pour chacune des ré  volutions de l'embrayage 150. Quand le sup  port 160 atteint sa position supérieure  extrême à la fin de la semaine et lorsque la  roue des jours aura été avancée au premier  jour de la semaine suivante, il devient néces  saire de maintenir l'embrayage 150 enclenché  afin de permettre au moteur 45 de comman  der les arbres 156 et 156a jusqu'à ce que le  support 160 ait atteint sa position inférieure  extrême. Le mécanisme     ser    vint à. accomplir  ceci va être décrit en conjonction avec la  fi-. 2.  



  Comme le support 160 atteint sa, position  supérieure extrême, une butée 161, solidaire  du support 160b, bute contre un prolonge  ment 162 d'un levier 163, ce qui a pour effet  de soulever le prolongement 162 et de bascu  ler le levier 163 dans le sens contraire aux    aiguilles d'une montre autour de son pivot  164. Par conséquent, l'extrémité inférieure  du levier 163 se déplace vers la droite et, ce  faisant, déplace vers le bas un levier 165 pi  voté en 166. Le levier 163 occupe alors une  position dans laquelle son extrémité inférieure  est à fleur d'un échelon 165a du levier 165.  Le déplacement vers la droite de l'extrémité  inférieure du levier 163, après avoir été  amorcé par la butée 161 et le prolongement  162, s'accomplit au moyen d'un ressort 167.

    Ensuite, lors du déplacement du cliquet de  retenue 145 pour libérer     l'embrayage    150.  comme décrit précédemment, un prolongement  <I>144a</I> du levier 144     (fig.    13) bascule vers le  bas. Le prolongement 144a s'engage dans une       fourchure    du levier 165, de sorte que celui-ci  est encore abaissé. L'extrémité inférieure du  levier 163 est alors avancée jusqu'à un éche  lon suivant 165b du levier 165 par l'action  du ressort 167. Avec le levier 165 dans cette  position, le cliquet de retenue 145 est main  tenu dans une position dans laquelle il ne  peut pas bloquer l'embrayage 150.

   Celui-ci,  une fois enclenché, continue à commander les  arbres 156 et     156a    et le support 160 descend  du fait que les     guides-filet        160a    ont atteint  l'extrémité de leur déplacement vers le haut  et se sont engagés dans le filet servant à les  faire descendre. Il s'agit de maintenir non  seulement l'embrayage 150 enclenché, mais le  moteur également, afin qu'il puisse ramener  le support 160 à sa position de début. Ceci  est accompli au moyen d'un arrangement mé  canique coopérant avec un prolongement 168  du levier 165 qui se déplace vers la droite à  l'abaissement du levier 165, ce quia pour  effet de déplacer un levier 169 dans le sens  des aiguilles d'une montre et d'abaisser un  levier 170.

   L'extrémité inférieure du levier  170, durant son mouvement de descente, bute  contre le levier 40,     l'abaissant,    ce qui a pour  effet de basculer le levier 42 vers la gauche  et de fermer les contacts 43.  



  Vers la fin du mouvement de descente  du support 160, l'extrémité inférieure de la  butée 161 bute contre l'extrémité 171 d'un  membre 172, le déplaçant vers le bas. Ce      membre est relié au levier 163 et pivote sur  celui-ci en 173. Par     conséquent,    l'extrémité       inférieure    du levier 163 est déplacée de nou  veau vers la gauche, ce qui permet au levier  <B>170</B> de remonter par suite du déplacement  vers la gauche du levier 169 sous l'action   < l'un ressort 169a. Ceci permet au levier 40  de remonter et au     levier    42 de basculer vers  la droite, ce qui a pour effet d'ouvrir les  contacts 43 et de couper le circuit du moteur.

    Simultanément, le     levier    165, en remontant,  permet au prolongement     144a    de remonter       également,    de sorte que le cliquet d'arrêt 145  se met dans sa position normale dans laquelle  il bloque l'embrayage 150 à la fin d'une ré  volution.  



  Considérons maintenant .la machine du  point de vue de l'opérateur. Lorsqu'un em  ployé engage sa carte de présence dans l'en  tonnoir 175     (fig.@    3) et l'enfonce jusqu'à ce  que son extrémité inférieure vienne se poser  sur des supports 176 et les force vers le bas  afin de basculer un membre 177 (fi-. 15)  vers l'arrière autour d'un axe pivot 178, une  opération d'impression est amorcée comme  suit: le membre 177 commande un autre  membre 179 pivoté à chaque extrémité dans  un support 180 et se trouvant à angle droit  par rapport au membre 177. Le déplacement  d'un levier 182 est commandé par une butée  181 solidaire du membre 179. Le levier 182  coulisse dans un guide 183 et bute contre  l'extrémité d'un cliquet de retenue 184  (fi-. 7).

   Par conséquent, comme le levier 182  se déplace vers la gauche, le cliquet 184 bas  cule dans le sens contraire aux aiguilles d'une  montre, de sorte que son extrémité inférieure  184a se déplace vers la droite, libérant un  embrayage 190 monté sur l'arbre 53 avec les  autres embrayages déjà décrits. Un pignon  185     (fig.    3), fixé sur une face de l'embrayage  190, est accouplé avec     un,    pignon 186 fixé sur  un arbre 187. Celui-ci dépasse le bâti 50       (fig.    4) et porte une came 188 à son extrémité.  Cette came commande un levier 189a maintenu  contre elle au moyen d'un ressort 189. Aussi  tôt que la came 188 commence à tourner, le  levier 189a tombe de la bosse de cette der-         nière    sous l'action de son ressort 189.

   Le le  vier     189a    étant pivoté en 191, l'autre extré  mité du     levier    se déplace, d'un mouvement  brusque, vers le haut, pour venir buter contre  la partie inférieure d'un marteau d'impression  192, ce qui déplace la partie supérieure du  marteau d'impression en     direction    de la carte       (fig.    6). Le marteau pivote en 193 et frappe  contre un plongeur 194, ce qui force le caout  chouc 195 contre les roues d'impression pour  effectuer une impression.  



  Entre temps, l'embrayage 190 continue à  tourner pendant une révolution. Un galet 196       (fig.    7) sort d'un évidement de la came 190a  de l'embrayage et, ce faisant, met en mouve  ment une paire de     leviers    198 (l'un derrière  l'autre) par l'intermédiaire d'un axe 197. Le  levier de face commande le levier 170 pour  maintenir les contacts du moteur 43 fermés  à l'aide d'un mécanisme précédemment dé  crit, et l'autre levier agit sur une des extré  mités d'un     levier    199, de sorte que l'autre  extrémité de ce dernier remonte, ce     qui    a  pour effet de soulever le membre 182     au-          dessus    de l'extrémité du clique de retenue  184, au moyen d'une bride 200.

   Le but de  ceci est de maintenir le moteur en marche  pour faire accomplir une révolution par le  mécanisme d'impression et d'éviter que l'on       puisse    effectuer plus d'une impression pour  chaque opération du membre 177,     opération     amorcée par la carte comme il vient d'être  décrit.  



  En se référant maintenant au mécanisme  du chariot de l'entonnoir dont on a déjà dé  crit le déplacement horizontal au moyen de  l'arbre 110, on constate, en se référant à la       fig.    14, que la partie inférieure de l'enton  noir 175 est reliée à un guide et à une plaque  1.15 et que sa partie supérieure     coulisse    sur  une tige 116. Cet assemblage permet de dé  placer l'entonnoir 175 manuellement pour le  placer en une position non prévue au pro  gramme régulier. Ceci est accompli en agis  sant préalablement sur deux leviers situés à  chaque côté de l'extrémité supérieure de l'en  tonnoir 175.

   L'employé, en forçant un     levier     112 contre un membre 113     (fig.    14), provo-      que le déplacement, dans le sens des aiguilles  d'une montre. d'un membre 114 pivoté en  114a. ce qui a pour effet d'abaisser une bride  117 et de déplacer un levier coudé 118 dans  le sens des aiguilles d'une montre autour de  son pivot et de forcer un levier 146b     (fig.    16)  dans un logement du guide 117.

       Z    n membre       1-f8    relie le mécanisme de commande du levier  coudé 118 à un     mécanisme    semblable d'un  autre levier coudé se trouvant de l'autre côté  de l'entonnoir, de sorte qu'un levier 146a       (fig.    16) est également forcé dans un loge  ment du guide 147. L'entonnoir peut. donc  être positionné manuellement dans la posi  tion désirée, dans les deux directions, contre  l'action d'un ressort 119 (fi-. 17). Une extré  mité de ce ressort est attachée à, une rondelle  <B>157</B> recouvrant une extrémité d'un     tube   <B>158</B>  et l'autre extrémité du ressort 149 à une ron  delle     157a    recouvrant l'autre extrémité du  tube 159.

   Lors du déplacement manuel de  l'entonnoir vers la gauche. le tube 158 se  déplace vers la gauche en même temps que  le guide 147, ce qui bande le ressort 149,  comme le montre la fi-.<B>1.7.</B> Les autres partie  du chariot restent en leur position sur l'arbre  horizontal 110. Lors du déplacement de l'en  tonnoir vers la droite, le tube 159 ainsi que  le guide 147 se déplacent vers la droite, ban  dant le ressort 149, tandis que les autres  parties du chariot     restent    en leur position  normale. Par conséquent, lorsque l'employé  lâche l'entonnoir, celui-ci retourne automati  quement, au moyen du ressort 149. à la po  sition qu'il occupait avant d'être déplacé ma  nuellement.

   On constate qu'en ce qui concerne  le mouvement relatif entre l'entonnoir et le  mécanisme du chariot, les tubes sont pourvus  de deux supports 147 et<I>147a.</I> Le support  147a est fixé sur la plaque 1l5 qui, à son  tour, est fixée sur un palier. Le support 147  est fixé à l'entonnoir. Du fait que le support  des tubes est ouvert à deux endroits, il per  met le fonctionnement qui vient d'être décrit  et donne la possibilité de déplacer l'entonnoir       manuellement    pour     effectuer    un enregistre  ment hors programme.  



  Il est bien entendu que, bien que l'en-         tonnoir    puisse être déplacé manuellement, on  ne peut effectuer une impression que lorsque  l'entonnoir occupe une position d'impression.  Ceci est commandé au moyen d'un enclenche  ment mécanique entre l'embrayage comman  dant l'impression et l'entonnoir. Cet enclen  chement comprend un cliquet 201     (fig.    8a, 8b)  qui pivote sur un support 203 fixé au socle  5l_1. Ce cliquet est pourvu d'une dent unique  qui passe au-dessus d'une crémaillère     203a     fixée à l'entonnoir, lorsque celui-ci se déplace.       1Tne    extrémité d'un levier coudé 204 repose  sur l'extrémité du cliquet 201 et l'autre se  trouve en dessous du bras de levier 182.

   Le  levier coudé 204 pivote sur un support 205  fixé au socle 50. Un ressort 206 attaché au  support et au levier coudé tend à faire pivoter  ce dernier dans le sens des aiguilles d'une  montre. Lorsque la dent du cliquet 201 n'est  pas engagée dans un cran de la crémaillère  2113a, le cliquet 201 bascule le levier coudé  dans le sens contraire aux aiguilles d'une  montre     (fig.    8b), ce qui a pour effet de sou  lever le bras de levier 182 au-dessus du cli  quet de retenue 184     (fig.    7), de sorte que  l'embrayage 190 ne peut être libéré.

   Par con  séquent,     l'embravage    190 peut être libéré  pour amorcer une opération d'impression seu  lement lorsque la dent du cliquet 201 est  engagée dans un des crans de la crémaillère       203a    ou, en d'autres mots, lorsque l'enton  noir se trouve en position d'impression.  



  A chaque impression, le ruban avance  d'un espace au moyen d'un goujon 185a       (fig.    5a) solidaire d'un pignon 185, butant  contre un levier 210 fixé sur un arbre 211,  ce qui a pour effet de le basculer et, au  moyen d'un levier 212, de soulever une bride  <B>213</B>     (fig.    5) qui commande un     cliquet    214  coopérant avec un rochet 215 fixé sur un  arbre 216. L'arbre 216, au moyen de pi  gnons 217 et 218, commande l'arbre 133 du  ruban. Le renversement du ruban est com  mandé soit par le ruban ou à la main au  moyen d'une paire de leviers 219 (dont un  seulement est représenté sur la     fig.    5), reliés  entre eux au moyen d'une bride 220.

   Ces  leviers     déplacent    l'arbre 216 vers la droite ou      vers la gauche pour accoupler ou dégager les  pignons 217 et 218. Lorsque l'arbre 216 est  déplacé vers la droite, un pignon, semblable  au pignon 217, à l'autre extrémité de l'arbre  216, s'accouple avec un pignon semblable au  pignon 218, fixé sur l'arbre     133a        (fig.    1), ce  qui fait avancer le ruban dans le sens inverse.  Le mécanisme de renversement du ruban est  bien connu et ne nécessite par conséquent pas  de description plus détaillée.  



  Un mécanisme a été prévu pour empê  cher une impression de s'effectuer pendant  que les roues d'impression sont en mouvement  ou pendant qu'une opération amorcée par le  tambour s'effectue. Si un employé introduit  sa carte de     pointage    dans l'entonnoir au mo  ment où une opération amorcée par le tam  bour s'effectue, une impression ne pourra  avoir lieu, ce qui évite des impressions voi  lées en dehors des colonnes. Ceci s'accomplit  de la manière simplifiée suivante. Chacun des  embrayages de l'arbre 53 est pourvu d'un  levier muni d'un galet monté librement sur  l'arbre 197. Le fonctionnement de ces leviers  est identique et, pour cette raison, on ne dé  crira que celui coopérant avec l'embrayage  commandant les roues d'impression et le tam  bour (fi-. 10).

   Le levier 37 est repoussé vers  le bas au moment où son galet sort de l'en  castrement de la came 59, comme décrit pré  cédemment. Le levier 37 est monté librement  sur l'arbre 197; par contre, un membre     37b     est fixe sur celui-ci. Peu après que le levier  37 a commencé son mouvement de descente,  il rencontre une butée du membre     37b,    ce qui  a pour effet de basculer l'arbre 197 dans le  sens des aiguilles d'une montre. En se réfé  rant maintenant .à la     fig.    7, on se souviendra  qu'une paire de leviers 198 est fixée sur  l'arbre 197 et que ces leviers sont, par consé  quent, déplacée vers le bas.

   Le même méca  nisme servant à empêcher plus d'une impres  sion lorsque l'on introduit la carte dans l'en  tonnoir est employé pour empêcher une im  pression de s'effectuer pendant que s'effectue  une opération amorcée par le tambour. A sa  voir: le levier 198 du fond appuie sur le  levier 199, ce quia pour effet de soulever    la bride 200 et le     membre    182. Le membre,  en étant     soulevé,    libère la partie supérieure  du cliquet d'arrêt 184 et, par conséquent,  l'embrayage 190 ne peut être enclenché. On  constate que le levier 198 frontal abaisse  le levier 170, ce qui a pour effet de mainte  nir les contacts du moteur fermés pendant  la révolution de n'importe lequel des em  brayages.

   A la fin d'une révolution, le galet  à l'extrémité du levier 37 cherche à se placer  dans l'encastrement de la came 59 sous la  tension de son ressort, et le mécanisme com  prenant le levier \170 et le membre 182 est  remis en sa. position initiale.  



  Le schéma électrique de la machine est  très simple et est représenté dans la     fig.    18.  La fermeture des contacts 43 complète un  circuit à partir d'un fil 221, les contacts 43,  le moteur 45,à un fil 222. Un moteur syn  chrone 225 est relié aux deux fils 221 et 222,  de sorte     qu'il    tourne constamment à l'aide du  circuit suivant: fil 221, des fils 223, 224, le  moteur synchrone 225, un fil 227, fil 222.  Le moteur synchrone 225 commande des     con.'-          tacts    226, les fermant une fois par minute  pour une courte durée. La fermeture des con  tacts 226 ferme le circuit de l'électro-aimant  25     comme    suit: fil 223, électro-aimant 25,  contacts 226, fil 227, fil 222.  



  Un cadran 230 est prévu comme le mon  tre la     fig.    1, dont l'aiguille des minutes 231  est commandée, à l'aide d'un réducteur à en  grenages, par l'arbre 68     (fig.    8) auquel elle  est reliée au moyen de pignons 233, 234 et  d'un arbre 235. L'extrémité frontale de l'ar  bre 235 est représentée sur la     fig.    1 et la  commande, au moyen du réducteur à engre  nages de cet arbre, de l'aiguille des minutes,  est telle que cette dernière s'avance d'un  espace d'une minute à chaque avance de la  roue des minutes. L'aiguille des heures 232  avance d'une légère distance en même temps  au moyen d'un réducteur à engrenages connu.  



  La     construction    particulière de la ma  chine représentée permet d'en démonter le  devant, comprenant l'ensemble des roues et  le cadran, le tambour, les embrayages et  l'électro-aimant, en dévissant quatre vis 236      (fi-. 1). Le reste de la machine, représenté  sur la     fig.    3, est alors accessible pour la ré  paration. Le     démontage    précité peut être  accompli du fait que les arbres 53 et<B>197</B>  sont commandés au moyen d'un accouplement.  Ces accouplements sont représentés sur la  fi-.     \?    sous les références 205 et 207 respecti  vement.

   En remontant le devant de la ma  chine, on aura soin de relier ces accouple  ments avant toute chose et de s'assurer (lue  le pignon 151 est accouplé avec le pignon 152       (fig.    3) avant de remettre les vis 236. Le  côté mâle     2(-)5a    de     l'embrayage    205 et le côté  femelle<B>207a</B> de     l'embrayage   <B>2907</B> sont repré  sentés sur la     fig.    3.  



  Résumant brièvement le fonctionnement  de la machine représentée, il a, été décrit  comment une roue de minutes et un tambour  avancent d'une position par suite de l'accou  plement d'un embrayage commandé par un  électro-aimant excité par une impulsion pro  venant d'une     pendule-mère    ou régulatrice. Les  roues des heures et des jours, à l'encontre de  la roue des minutes, sont libres sur un arbre  et sont     avancées    au moyen d'un mécanisme  clé report.

   Le tambour accomplit une révolu  tion toutes les six heures et il commande des  leviers et des cames qui commandent des em  brayages provoquant l'accomplissement de  certaines opérations     déterminées.    Ces opéra  tions comprennent le déplacement horizontal  automatique de l'entonnoir, le changement  de couleur du ruban et le déplacement verti  cal du support de la. carte. La commande de  chacune de ces opérations est positive pour  les deux directions et le sens de la commande  reste le même pour les deux directions. Le  tambour peut provoquer la répétition d'une  opération déterminée après un intervalle mi  nimum de deux minutes.

   L'impression est  automatique et est obtenue en engageant la  carte dans l'entonnoir et en l'enfonçant légè  rement, ce qui provoque l'accouplement d'un       embrayage    et effectue l'impression. Le mé  canisme usuel de l'avancement et du renver  sement du ruban fonctionne durant le cycle  d'impression.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine de pointage pourvue de roues d'impression et d'un tambour commandés par un moteur électrique lors de l'accouplement périodique d'un embrayage, le tambour étant muni de taquets servant à établir un pro gramme défini d'opérations (le la machine, ca- ractérisée en ce que des embrayages supplé mentaires sont prévus, commandés par les ta quets du tambour préalablement réglés pour un programme défini, pour mettre le moteur en circuit de façon à commander la machine pendant chaque opération de cette dernière.
    SOUS-REVE\DICATIO\S: 1 Machine selon la revendication, caractérisée en ce qu'un embrayage supplémentaire est encore prévu, coopérant avec le moteur, accouplé par un mécanisme de déclenche ment lorsqu'une carte est engagée de façon convenable dans un entonnoir, et provo quant, immédiatement à l'accouplement, la mise en action d'un mécanisme d'impres sion pour effectuer une impression sur la carte.
    '2 Machine selon la revendication, caractérisée en ce qu'elle effectue deux opérations pour positionner une carte horizontalement. et verticalement dans le but d'aligner la par tie de cette carte devant recevoir une im pression avec les roues d'impression, les dites opérations étant commandées au moyen d'arbres à double filet commandés toujours dans le même sens par le moteur et permettant néanmoins le retour positif de la carte à sa position initiale après qu'elle a été amenée dans sa position verti cale ou horizontale extrême.
    3 Machine selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisée en ce qu'un mécanisme de blocage est prévu pour blo quer le mécanisme d'impression tant que la partie de la carte devant recevoir une impression n'est pas alignée exactement avec les roues d'impression.
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