FR2565897A1 - Dispositif tendeur de nappe pour machine a fabriquer des sacs en matiere thermoplastique - Google Patents

Abstract

L'APPAREIL SERT A MAINTENIR TENDUE UNE NAPPE W DE MATIERE THERMOPLASTIQUE ET IL COMPREND UN DISPOSITIF 28 POUR DEBITER CONTINUELLEMENT LA MATIERE, UN DISPOSITIF 38 POUR DEBITER DE MANIERE REPETITIVE ET PAR INTERMITTENCE UNE LONGUEUR CHOISIE DE LA MATIERE, UN DISPOSITIF 40, 42 POUR SOUDER ET SECTIONNER LA LONGUEUR CHOISIE DEBITEE, ET UN DISPOSITIF 36 SYNCHRONISE AVEC LE DISPOSITIF INTERMITTENT 38 ET PLACE ENTRE LE DISPOSITIF CONTINU ET LE DISPOSITIF INTERMITTENT POUR MAINTENIR LA NAPPE TENDUE DE MANIERE CONSTANTE.

Description

La présente invention concerne des machines pour fabriquer des sacs en matière thermoplastique et, en particulier, un système pour manipuler une nappe de matière thermoplastique de telle sorte que la nappe en cours de traitement soit soumise à une tension constante.

La machine à fabriquer des sacs conforme a l'invention se rapporte à des machines décrites dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique n0 3.663*339 accordé le 16 mai 1972 et 3.722.376 accordé le 27 mars 1973. Les deux brevets de Robert J. Wech sont cédés a' la Demanderesse et leurs descriptions sont citées dans le présent mémoire à titre de référence.

En général, les machines à fabriquer des sacs à mouvement intermittent comprennent des rouleaux d'entraînement de nappe à même de dévider de manière continue une pellicule de matière thermoplastique à partir d'un rouleau d'alimentation et des rouleaux de tirage de nappe propres à amener des incréments égaux de pellicule à un dispositif à souder et à sectionner qui produit un sac d'un segment de nappe qui peut être traité davantage pour produire un ou plusieurs sacs.

Etant donné que de la pellicule est continue lement dévidée du rouleau d'alimentation de pellicule par des rouleaux d'entraînement et que de la pellicule est avancée par intermittence par les rouleaux de tirage, les machines à fabriquer des sacs sont équipes de mécanismes destinés à accumuler la pellicule et à la tendre afin d'assurer d'une part, la distribution d'une longueur répétitive de pellicule pour produire ainsi des sacs ou des segments de nappe de dimensions égales et d'autre part, un fonctionnement adéquat de dispositifs accessoires dont le fonctionnement exige une pellicule tendue.Des mécanismes destinés a accumuler et à tendre une pellicule peuvent prendre diverses formes, mais le système le plus couramment utilisé comprend plusieurs rouleaux fixes coopérant avec plusieurs rouleaux mon'tés entre des bras oscillants ou des biellettes qui sont rappelés par ressort dans un sens s'écartant des rouleaux fixes. La pellicule distribuée par les rouleaux d'entraînement est passée autour de tous les rouleaux de manière sinueuse,
Lorsque les rouleaux de tirage sont arrêtés pendant la période prévue pour souder et sectionner la nappe, la pellicule débitée par les rouleaux d'entraînement s'accumule entre les jeux de rouleaux fixes et mobiles grâce au déplacement des bras à ressort. De plus, les bras oscillants à ressort tendent la partie de la pellicule comprise entre les rouleaux d'entraînement et les rouleaux de tirage.

C'est principalement à la suite de la vitesse à laquelle fonctionnent la plupart des machines à fabriquer les sacs à mouvement intermittent qu'un état qualifié de "rebond de nappe" se présente au début du fonctionnement des rouleaux de tirage. Le rebond de nappe résulte du début de l'avancement de la partie de pellicule entre les rouleaux fixes et de l'extension ou de l'étirage forcé des ressorts reliés aux bras oscillants pour retirer la pellicule provisoirement accumulée. Des forces d'inertie, dérivées de l'accélération et de la décélération des rouleaux de tirage et de la tendance de rouleaux fous à continuer à tourner après que les rouleaux dé tirage aient été arrêtés, provoquent des variations de la tension de la nappe qui ne sont pas convenablement absorbées par la tension exercée par les bras oscillants à ressort.Des effets négatifs d'un excès de tension et d'une tension variable sont dus en partie au type de pellicule à traiter, à son épaisseur et au modèle de sac produit. De plus, l'absence d'une régulation de tension précise et régulière suscite des difficultés avec une pellicule imprimée parce que, pour atteindre des incréments d'avancement égaux de la nappe, la pellicule imprimée est pourvue d'une marque de repérage qui est détectée par un dispositif photosensible qui envoie un signal au mécanisme d'embrayage-frein lorsque la présence d'une marque de repérage est détectée. Lors de cette détection, l'embrayage est désactivé et le frein est activé, arrêtant l'avancement de la pellicule afin d'effectuer le soudage et le sectionnement.Un excès de tension à certains moments provoque un plissage longitudinal de la nappe qui peut masquer la marque de repérage, de telle sorte qu'elle ne soit pas détectée ou qu'elle soit mal détectée par le dispositif photosensible. Cela étant, l'embrayage-frein ne fonctionne pas au moment voulu.

Suivant un autre aspect, le présent mémoire se rapporte à un appareil et un procédé destinés à produire des sacs à poignées à partie supérieure sinusoidale. Cet aspect est caractérisé par le passage de la nappe sur un couteau saillant qui est animé d'un mouvement de va-et-vient latéral réglable, tandis que la pellicule est avancée vers les rouleaux de tirage dans la machine à fabriquer des sacs. Le couteau coupe la pellicule tendue selon un motif ondulé en substance suivant une zone contenant l'axe longitudinal median de la pellicule de nappe continuellement en- mouvement. Un sac, dont les bords supérieurs sont coupés selon uneligne ondulée, est qualifié ci-après de sac sinusoidal.

En prévoyant un couteau animé d'un mouvement de va-et-vient latéral réglable, on permet à la ligne de coupe de former une ligne sinusoidale pour toutes les dimensions de sac comprises dans une gamme de dimensions. Bien que le principe se prête de luimême a la fabrication de sacs à partie supérieure sinusoidale de la largeur souhaitée, les éléments destinés à effectuer un mouvement de va-et-vient latéral réglé sont choisis de manière à travailler dans certaines gammes de dimensions. Par exemple, une machine conçue de la façon décrite est à même de produire des sacs d partie supérieure sinusoidale de largeurs comprises entre 350 et 520 mm.

BREVE DESCRIPTION DES DESSINS
la Fig. 1 est une vue en élévation d'une machine à fabriquer des sacs comprenant le régulateur de tension de nappe nouveau conforme à l'invention;
la Fig. 2 est aussi une vue en élévation d'une machine à fabriquer des sacs qui non seulement comprend le mécanisme régulateur de tension de nappe, mais aussi les nouveaux mécanismes destinés à produire un sac à partie supérieure sinusoldale::
les Fig. 2A et 2B illustrent des sacs sinusoidaux typiques produits par la machine à fabriquer les sacs;
la Fig. 3 illustre des détails de construction du système régulateur de tension;
la Fig. 3A illustre un dispositif de commande destiné à arrêter le fonctionnement du régulateur de compensation de tension de nappe;
la Fig. 4 est une vue en élévation, à plus grande échelle, du mécanisme régulateur de tension de pellicule associé au mécanisme de coupe formant le bord sinusoïdal;
la Fig. 5 est une vue en élévation transversale, à plus grande échelle, illustrant des détails de construction du mécanisme de coupe sinusoïdale et des mécanismes intervenant pour faire fonctionner simultanément le dispositif régulateur de tension de pellicule;
la Fig. 6 est une vue schématique des deux bandes de nappe produites par le dispositif de coupe sinusoïdale; ;
la Fig. 7 est une vue détaillée d'un dispositif de montage de galets suiveurs de came;
la Fig. 8 illustre des détails du dispositif porte-couteau, et
les Fig. 9 et 10 illustrent un dispositif de commande pour arrêter le fonctionnement du dispositif de coupe sinusoïdale.

DESCRIPTION DE LA FORME D'EXECUTION PREFEREE
Une machine à fabriquer des sacs comprenant le nouveau mécanisme régulateur de tension de pellicule conforme à l'invention est indiquée d'une manière générale par la référence 20. Comme le montre la
Fig. 1, un rouleau principal de pellicule 22 est monte de manière à tourner sur un dispositif de dévidage 24.

La pellicule passe sur un jeu de rouleaux fous 26, supporté par le dispositif de dévidage 24, et entre des rouleaux d'entraînement de nappe 28. A partir des rouleaux 28, la nappe passe alternativement autour de rouleaux fous fixes 30 et de rouleaux fous 34 montés entre des bras oscillants 32 espacés latéralement. a pellicule qualifiée parfois de nappe W, passe alors autour d'un rouleau transversal 36 pouvant être déplacé longitudinalement dont l'amplitude typique du déplacement longitudinal est illustrée par des positions en traits interrompus 36a et 36b.La bande de nappe W passe entre deux rouleaux de tirage opposés 38 qui peuvent être actionnés par intermittence pour engager une partie antérieure de la nappe W entre un rouleau de soudage 40 et une barre chauffée opposée 42 à mouvement de va-et-vient qui est a même d'attaquer avec force le rouleau de soudage 40 et de souder et de sectionner la nappe W suivant une ligne transversale au trajet de cette nappe. Cette action produit des sacs ou des segments de nappe qui sont transportés vers une table d'empilage 44 par des courroies d'empilage (non repré- sentées) prévues entre le rouleau de soudage 40 et la table d'empilage 44.

Selon une particularité principale de l'inven- tion, des moyens sont prévus pour fournir de la pellicule à partir du rouleau de nappe 22, a' une vitesse en substance constante, ce qui s'effectue en écartant le rouleau 36 des rouleaux de tirage 38 au-delà du laps de temps prévu pour le fonctionnement de la barre chauffée 42, et en rapprochant le rouleau 36 des rouleaux de tirage 38 pendant une partie du laps de temps pendant lequel les rouleaux de tirage interviennent pour faire avancer un incrément suivant de nappe W par-dessus le rouleau de soudage 40 et au-delà de celui-ci.En général, on peut dire que le rouleau déplaçable 36 s'écarte des rouleaux de tirage 38 pendant approximativement 2160 d'un cycle de la machine et se rapproche des rouleaux de tirage 38 pendant approximativement 1440, c'est-à-dire le reste du cycle de la machine.

Comme expliqué plus en détail ci-apres, l'amplitude du déplacement du rouleau 36 vers les rouleaux de tirage 38 et depuis ceux-ci dépend de la longueur de tirage de la nappe W. En d'autres termes, si la machine à fabriquer des sacs est réglée pour produire des sacs à soudures latérales1 la distance de laquelle le rouleau 36 est déplacé est en rapport avec la largeur du sac à produire. Ainsi, en raison des longueurs de tirage variables qui sont requises par les utilisateurs, des moyens 46 sont prévus pour modifier la distance de laquelle le rouleau fou 36 est déplacé. Etant donné que le rouleau 36 est déplacé en sens opposés pendant chaque cycle de fabrication de sac, son déplacement est synchronisé avec l'arbre principal entraîné par moteur de la machine.A cet effet, une poulie dentée 48 est entraînée selon un rapport de 1:1 avec l'arbre principal de la machine. Une autre poulie dentée 50 est entraînée par la poulie 48 par l'intermédiaire d'une courroie dentée 52 et l'arbre portant la poulie 50 porte aussi une came 54 qui fait osciller un levier coudé 56 pivotant autour de l'axe d'un arbre 58.

L'oscillation du levier coudé 56 est transmise à un autre levier coudé 60 par l'intermédiaire d'un rouleau réglable 62. Le levier coudé 60 est articulé en G4 a des biellettes 66 goupillées aux extrémités du rouleau 36.

Comme décrit plus haut, la came 54, par l'intermédiaire des leviers coudés 56 et 60, déplace le rouleau 36 de manière synchronisée vers les rouleaux de tirage 38 et depuis ceux-ci pendant chaque cycle de la machine.

La Fig. 3 est une vue, à plus grande échelle, du dispositif 46 destiné à commander le déplacement du rouleau 36. La came 54 présente un profil propre à faire osciller les leviers coudés 56 et 60 d'une manière correspondant à la vitesse instantanée à laquelle a nappe W est avancee par les rouleaux de tirage 38. Les rouleaux de tirage 38 sont entraînés en rotation par intermittence grâce à un embrayage-frein actionné par un signal synchronisé avec la machine et placé dans la transmission. Cela étant les rouleaux de tirage 38 commencent à tourner lorsque l'embrayage est activé et que le frein est, simultanément, désactive.

Un graphique illustrant la vitesse des rouleaux de tirage pendant le cycle de fonctionnement a la forme d'une onde sinusoïdale pendant une période de 180 de rotation de l'arbre principal de la machine.

La poulie 50 et la came St sont clavetées sur un arbre 68 qui est entraîné selon un rapport de 1:1 avec l'arbre principal de la machine. Le levier coudé 56 oscille à l'intervention de la came 54 par l'intermédiaire d'un galet suiveur de came 70 monté à rotation sur un bras 72 qui fait partie de ce levier coudé 56.

Le levier coude 56 comprend aussi un autre bras 74 qui en fait partie intégrante et dont la partie d'extrem.ité externe 76 porte une mise rapportée durcie droite et plate 78 qui appuie contre le galet réglable 62 qui est également durci. Le galet 62 peut être réglé par des moyens décrits ci-apres le long de la face de la mise rapportée durcie 78 et a position réglée détermine l'angle inclus de déplacement du levier coudé 60.

Le levier coudé 60 est monté de manière à pivoter en un mouvement oscillant autour de l'axe a d'un arbre 80 et est pourvu d'un long bras 82 articulé en 84 aux biellettes 66 qui sont à leur tour articulées en 86 aux extrémités du rouleau 36. On sait que le rouleau 36 est déplacé, à l'intervention du levier coudé 60, vers les rouleaux de tirage 38 et depuis ceux-ci et ce déplacement est illustré sur la Fig. 3 par les positions indiquées en traits pointillés en 36a et 36b. Le levier coudé 60 comprend également un bras court 88 portant une mise rapportée plate durcie 90 tournée vers la mise rapportée 78 du bras 74 du levier coudé 56 et semblable à celle-ci. Le galet 62 est positionné de façon réglable le long du passage formé par les mises rapportées 78 et 90, afin d'établir l'angle inclus d'oscillation communiqué au levier coudé 60. Cette oscillation détermine la longueur du trajet que le rouleau déplaçable 36 parcourt. Par exemple, l'angle inclus d'oscillation du levier coudé 56 est toujours constant, car son degré de pivotement autour de l'arbre 58 est déterminé par la came 54. Cependant, l'angle inclus d'oscillation du levier coudé 60 dépend de l'emplacement du galet 62 par rapport au centre de marbre 58 autour duquel le levier coudé 56 oscille. Si le galet 62 est positionné à sa limite de réglage proche du centre de l'arbre 80, le long bras 82 balaye son angle inclus maximum, tandis que, si le galet 62 est positionné de façon réglable sur sa limite proche du centre de 1'arbre 58, il détermine un angle de balayage minimum du long bras 82 du levier coudé 60.

Le dispositif servant à régler la position du galet 62 est désigné d'une manière générale par la référence 63. Une chape 65 porte le galet 62 en lui permettant de tourner et est reiiee à un bloc coulissant 67 par des boulons 69 (dont un seulement est représenté). Un guide du genre étau 71 supporte une longue tige filetée 73 vissée à travers le bloc coulissant 67 et comporte un pignon conique 75, engrenant un autre pignon conique 77 calé sur un arbre 79 L'arbre 79 est pourvu d'une manivelle (non représentée) qui peut être actionnée par le préposé pour faire tourner l'arbre 79 et ainsi la tige filetée 73 par l'intermédiaire des pignons coniques 77 et 75. La rotation de la tige filetée 73 déplace le bloc coulissant 67 et, par l'intermédiaire des boulons 69 et de la chape 65, le galet 62.Le préposé peut donc positionner le galet 62 selon les dimensions du sac à fabriquer.

En donnant à la came 54 un profil rapporté à la vitesse instantanée des rouleaux de tirage 38, le mouvement communiqué aux leviers coudés 56 et 60 ainsi que l'amplitude du déplacement du rouleau 36 vers les rouleaux de tirage 38 et depuis ceux-ci sont, par conséquent, rapportés à la vitesse instantanée de la nappe W qui est entraînée par les rouleaux de tirage.

Pendant l'incrément de temps du cycle d'une machine à fabriquer des sacs prévu pour souder et sectionner la nappe, les rouleaux de tirage 38 sont arrêtés et, par conséquent, l'avancement de la nappe W est aussi arrêté. Au moment où les rouleaux de tirage 38 sont arrêtés ou fonctionnent à une vitesse inférieure à la vitesse d'avancement continue moyenne de la nappe, la distribution de la nappe par les rouleaux d'entrainement 28 se poursuit, car les rouleaux d'entrainement sont entraînés par un moteur séparé. La came 54 déplace le long bras 82 dans le sens des aiguilles de la montre et ce long bras déplace, à son tour, le rouleau 36 en l'écartant des rouleaux de tirage 38, reprenant ici la nappe W qui est débitée par les rouleaux d'entraînement 28.

La longueur du trajet du mouvement de va-etvient du rouleau 36 est déterminée par la position du galet 62 établissant la liaison physique entre les leviers coudés 56 et 60. Comme mentionné plus haut, lorsque le galet 62 occupe une de ses positions limites vers l'arbre 80, un arc d'oscillation maximum est communiqué au long bras 82, tandis que lorsque le galet 62 occupe sa position limite vers le centre de l'arbre 58, un arc d'oscillation minimum est communiqué au long bras 82. Cela étant, lorsque la largeur du sac (pour des sacs à soudures latérales) ou la longueur du sac (pour des sacs à soudure inférieure) est la valeur maximum que la machine peut produire, le galet 62 est placé aussi près que possible du centre de l'arbre 80.

Lorsqu'un sac de dimensions minimums doit être produit, le galet 62 est positionné aussi près que possible, dans les confins des mises rapportées 78 et 90, du centre de l'arbre 58.

Il résulte de l'agencement qui précède consistant à intégrer les leviers coudés 56 et 60, comme décrit plus haut, que les rouleaux d'entralnement de nappe 28 peuvent fonctionner à un régime constant parce que, pendant la période du cycle au cours de laquelle les rouleaux de tirage 38 sont dans un état de repos (ou fonctionnement à une vitesse inférieure à la vitesse moyenne continue de la nappe), la pellicule fournie par les rouleaux d'entraînement 28 aux jeux de rouleaux fous 30 supportés par les bras oscillants 32 et aux rouleaux fous 34 est reprise par le rouleau fou déplaçable 36 qui est déplacé pendant cette période du cycle vers la position indiquée en 36b.Pendant la période au cours de laquelle les rouleaux de tirage 38 tournent plus rapidement que la vitesse moyenne continue de la nappe, le rouleau compensateur 36 est déplacé vers la position 36a, restituant la appe q a q été stockée pendant que les rouleaux de tirage 38 sont arrêtés ou fonctionnent à une vitesse inférieure à la vitesse moyenne continue. On peut facilement établir à l'évidence que le galet 62 entre les leviers coudés 56 et 60 occupe la position voulue en ce qui concerne les incréments de nappe entrai nés par les rouleaux de tirage 38, en vérifiant simplement si les bras oscillants 32 oscillent.

Pour illustrer cet état, sur la Fig. 3 des flèches R et T sont associées aux bras oscillants 32.

La flèche T indique le pivotement dans le sens des aiguilles de la montre. tandis que la fléché R indique le picotement dans le sens contraire à celui des aiguilles de la montre. Dans le cas où les bras oscil- lants 32 tendent à pivoter ou pivotent effectivement dans le sens de la flèche T, lorsque les rouleaux de tirage 33 ont cessé de débiter la bande, cela peut signifier que le galet 62 doit etre réglé vers une position davantage écartée du centre de l'arbre 80; tandis qu'un déplacement dans le sens de la flèche R peut signifier que le galet 62 doit être réglé plus près du centre de 1'arbre 80. Lorsque le système compensateur est convenablement réglé, les bras oscllw lants 32 paraissent immobiles.L'établissement de cet état montre à l'évidence que la tension de la nappe est constante et est maintenue constante indépendamment du fait que les rouleaux de tirage 38 sont en fonctionnement ou sont arretés. La pressisn de contact du galet 62 contre les mises rapportés durcies 70 et 90 est fournie par un ressort 29 et la tension de la nappe est imposée par les bras oscillants 32. I1 convient de noter, quoique la Fig. 3 ne le montre pas, que les bras oscillants sont rappelés élastiquement dans le sens de la flèche R. D'autres détails de cette construction sont représentés et décrits dans les brevets précités de Robert J. Wech.

Le mécanisme compensateur de la tension de nappe représenté sur la Fig. 3 est aussi pourvu d'un dispositif 81 qui suspend le fonctionnement des leviers coudés 56 et 60 et qui arrête donc le mouvement de translation du rouleau 36. Lorsque le fonctionnement de la machine a' fabriquer des sacs est suspendu pour une raison quelconque, il semble souhaitable d'interrompre le fonctionnement du système compensateur de tension de nappe. Le dispositif 81 comprend une console 83 fixée au bâti de la machine. La console 83 porte un solénoïde 85 comportant une tige 87 reliée à son armature 89. La tige 87 est supportée par une équerre 93 présentant une ouverture qui reçoit la tige 87 à glissement.La tige comporte des bagues longitudinalement espacées 95 et 97 qui y sont fixées et traverse un trou surcalibré ménagé dans un loquet 99 monté à pivot sur une colonnette 103 supportée par la console 83. Des ressorts 91 entre l'équerre 93 et la bague 95, entre la bague 95 et le loquet 99 et entre le loquet 99 et la bague 97 imposent le déplacement axial de la tige 87, à la suite de l'actionnement du solénoïde, au loquet 99. Le loquet 99 présente un épaulement 105 qui capture et retient l'extrémité du bras 72 et suspend donc le mouvement oscillant du levier coudé 56. La capture du bras 72 est effectuée lorsque le point le plus élevé de la came 54 amène le bord 107 du bras 72 au niveau de l'épaulement 105 ou légèrement au-delà de celui-ci. A cet instant, le solénoïde 85 est excité, abaissant le ressort 91 et amenant la bague 97 à faire pivoter le loquet 99 et à retenir le bras 72 contre l'épaulement 105. Le fonctionnement normal débute par le pivotement du loquet 99 sous l'effet de la bague 95 qui dégage l'épaulement 105 du bras 72. La Fig. 3A illustre le loquet 99 qui capture le bras 72 du levier coudé 56.

La Fig. 2 illustre une machine à fabriquer des sacs en substance semblable à celle représentée sur la
Fig. 1 et comprenant le système de régulation de tension de nappe nouveau équipé du dispositif 46 destiné à régir le déplacement du rouleau compensateur déplaçable 36. Le système régulateur de tension de nappe conforme à l'invention, tout en étant d'une utilité générale dans des machines à fabriquer des sacs en matière thermoplastique peut, en particulier, être adapté à la production de sacs à poignées à partie supérieure sinusoïdale dont des exemples typiques sont illustrés sur les Fig. 2A et 2B.

La machine à fabriquer les sacs représentée sur la Fig. 2 comprend une section formant tour verticale 92 qui supporte le système régulateur de tension décrit plus haut, deux guides pivotants décalés 94 et 96 et un mécanisme de coupe 98 pour produire la découpe sinusoïdale ondulée dans la partie médiane de la nappe W.

La disposition générale et le mode de fonc- tionnement du mécanisme de coupe 98, des guides pivo tants décalés 94 et 96 et du mécanisme régulateur de tension comprenant le rouleau déplaçable 36 sont les suivants. La nappe fournie par le rouleau 22 passe de l'un des rouleaux fixes 34 autour d'un rouleau fou 100 et sur un tambour de support 102 qui, comme expliqué plus loin, est pourvu d'une gorge sinusoïdale destinée à recevoir un couteau 104 supporté par un porte couteau 106.En compagnie du rouleau fou ZOG, un rouleau fou 108 fournit un arc de contact de la nappe sur le tambour de support 102 suffisant pour que le couteau 104 puisse effectuer une coupe nette Lorsque la nappe quitte le tambour 102, elle est séparée en deux bandes qui sont indiquées en W1 et W2. Chaque bande passe sur les guides pivotants décalés 94 et 96 qui sont réglés à des hauteurs différentes à des fins expliquées ciaprès.

La Fig. 4 est une vue, à plus grande échelle, d'une partie de la Fig. 2 illustrant d'autres détails de la section formant tour 92. La section formant tour 92 est pourvue de plaques latérales 112 opposées latéralement et s'étendant vers le haut (une seule est représentée), ces plaques étant reliées par des poutres en caisson transversales 114 et 116. Les arbres-pivots 58 et 80 portant les leviers coudés 56 et 60 sont supportés en leur milieu par une plaque 118 fixée aux poutres en caisson 114 et 116. Il convient de noter que l'orientation angulaire des bras formant les leviers coudés 56 et 60 a été modifiée de manière qu'ils puissent être reçus dans les confins de la section formant tour 92, mais leur coopération en vue de produire un mouvement de translation réglable du rouleau fou 36 reste la même.

Lorsque la nappe passe par-dessus le tambour de support 102, elle est refendue par le couteau 104 en deux bandes longitudinales séparées suivant une ligne ayant la forme d'une sinusoïde. Une bande Wl passe sur les rouleaux fous 120 et 122 supportés à rotation par le guide pivotant décalé 94 et l'autre bande W2 passe sur les rouleaux fous 124 et 126 associés au guide pivotant décalé 96. Les guides pivotants décalés remplissent deux fonctions. Chaque guide pivotant peut déplacer le trajet suivi par les bandes de nappe pour les écarter latéralement l'une de l'autre et le guide pivotant décalé supérieur 94, en définissant un trajet plus long, aligne ou synchronise le motif ondulé de manière sinusoïdale de la bande W1 avec le motif ondulé de la bande W2.Chaque bande de nappe passe sur un rouleau fou 128 fixé aux plaques 112, puis sur le rouleau déplaçable 36 et les bandes de nappe sont ensuite reçues entre les rouleaux de tirage 38
Une vue en perspective du fonctionnement des guides pivotants décalés 94 et 96 est illustrée sur la
Fig. 6 qui montre que la nappe est divisée en deux bandes W1 et W2 par une ligne ondulée de manière sinusoïdale S. t. Pour fournir deux bandes de nappe et compte tenu du fait que, lorsque la barre chauffée 42 descend pour souder et sectionner la nappe placée sur le rouleau de soudage 40, on cherche à produire deux sacs pendant l'actionnement de la barre chauffée 42.

Etant donné que la ligne de coupe S.L. est ondulée ou sinusoïdale, le non-retardement d'une bande de nappe par rapport à l'autre donnerait des sacs dont le bord supérieur presente chaque fois un creux entre ses bords latéraux au lieu de la surélévation requise pour réaliser un sac sinusoPdl contenant des ouvertures destinées à recevoir les mains. Cela étant et calme le montre la Fig. 6, le guide pivotant décalé 94 retarde suffisamment le déplacement de la bande de nappe Wl pour que son bord coupa soit en ligne avec le bord coupé de la bande de nappe W2.De plus, la bande de nappe W1 est déplacée latéralement par rapport & la bande de nappe W2 afin de produire un interstice C. La ligne suivant laquelle la barre chauffée soude et sectionne la nappe recoupe l'interstice G et est représentée par C.L. De cette faon, chaque fois que la barre chauffée est actionnée pour souder et sectionner la nappe, deux sacs a parties supérieures sinusoïdales identiques sont produits.

Il convient de noter que la nappe passant sur le tambours de support 102 est en mouvement continu, car l'interruption de l'avancement de la nappe pour effec tuer le soudage et le sectionnement au moyen de la barre chauffée 42 n'exige pas l'interruption du déplacement de la nappe, étant donné que pendant cet intervalle de temps, le rouleau compensateur déplaçable 36 se déplace vers la position 36b représentée en traits interrompus. Cela étant, l'action du couteau 104 est douce et continue et donne, par conséquent une coupe précise et nette.

La Fig. 5 est une vue en élévation transversale du mécanisme compensateur de tension de nappe propre à être utilisé pour produire des sacs à parties supérieures sinusoïdales. Une brève explication de la variante du système d'actionnement du rouleau dépla çable 36 aidera à comprendre le fait que son mode de fonctionnement est en substance identique à celui qui a été décrit et illustré sur la Fig. 3.

La poulie dentee 50 est montée sur un arbre 130 qui tourillonne dans des paliers de cloison 132 et 134 supportés par les plaques 112. La vitesse de rotation de l'arbre 130 est égale à la vitesse de rotation de l'arbre principal de la machine à fabriquer des sacs, de sorte que le tambour de support 102, qui est fixé à l'arbre 130, tourne à la même vitesse. La came 54 est aussi fixée à l'arbre 130 et, grâce au galet suiveur de came 70 supporté par le bras 72, l'arbre 58, monté dans des paliers 136 et 138, oscille suivant un arc qui est en substance égal à celui représenté sur la Fig. 3. Le bras 74 est aussi fixé rigidement à l'arbre 58 et le mouvement d'oscillation communiqué à l'arbre 58 est transféré, par l'intermé- diaire du galet 62, au bras 88 fixé à l'arbre 80 monté dans des paliers 140, 142 et 144. I1 est à noter que l'arbre 80 va d'une-plaque 112 à l'autre. Des bras 82 sont calés ou convenablement fixés à l'arbre 80 tout près des paliers 140 et 144 et sont articulés à la biellette 66 par des pivots 146. I1 est à noter également que le système compensateur conforme à l'invention, destiné à être utilisé dans le milieu représenté sur la Fig. 5, a été modifié par le fait qutil comporte des leviers coudés dans lesquels les bras, par exemple 72 et 74, sont fixés à un arbre commun 58.Le bras 88 fonctionne d'une manière analogue et transfère son mouvement aux bras 82, car ils sont tous reliés en commun à l'arbre 80.

Le système de coupe de nappe conforme à l'invention remplit le but qui est de produire le motif sinusoïdal pour tous les sacs compris dans la gamme de dimensions que la machine à fabriquer des sacs produit.

Pour illustrer l " nvention et comme indiqué par les sacs de dimensions différentes représentés sur les
Fig. 2A et 2B, on suppose que le plus petit sac qui peut être produit par une machine particulière est indiqué sur la Fig. 2A par la dimension P qui va d'une soudure latérale à l'autre. Les soudures latérales sont indiquées par la lettre SW. La hauteur ou le sommet de la courbe allant de l'extrémité supérieure d'intersection d'une soudure latérale au point maximum de la courbe est indiqué par la dimension H.Indépendamment de la largeur du sac choisi pour la fabrication, la dimension H reste constante, tandis que la forme sinusoidale, à mesure que la dimension P augmente, s'allonge ou, en d'autres termes, la période de l'onde entre les soudures latérales s'accroît tandis que l'amplitude H est maintenue constante. Cela étant, le mécanisme de coupe conforme à l'invention assure un déplacement constant de la nappe en regard du couteau 104, ainsi que la production du motif de coupe sinu sodal souhaité pour toutes les dimensions de sac comprises entre les limites de tirage minimum et maximum de la machine.

Le tambour 102, comme le montre la Fig. 4, constitue un support ou un soutien pour la nappe pendant la coupe à mesure que cette nappe progresse entre les rouleaux fous 100 et 108. Le tambour de support 102 présente une gorge 148 d'une profondeur telle que le couteau puisse s'étendre au-delà des épaisseurs de la nappe passant sur le tambour. La gorge 148 suit un motif ondulé qui, lorsqu'il est étiré ou construit dans un plan, définit le motif sinusoldal souhaité. I1 est à noter que la gorge 148 est beaucoup plus large que l'épaisseur du couteau, à une fin qui sera décrite plus loin.Le porte-couteau 106 est fixé de façon réglable à deux longues tiges de guidage espacées 150 et qui sont chacune montée dans des jeux de paliers linéaires 152 montés dans des supports 154 qui sont fixés à la poutre en caisson 156 (Fig. 4) s'étendant entre les plaques latérales 112. Un boîtier 158 est également fixé de manière amovible aux tiges de guidage 150 et est destiné à monter à rotation un galet suiveur de came 160 en contact de roulement avec une came 162 fixée à l'arbre 130 qui porte également le tambour de support 102. Le profil de la came 162 est en substance identique à celui de la gorge 148, car le déplacement transversal du boitier 106 portant le couteau 104 est dérivé du mouvement communiqué aux galets suiveurs de came 160 par la came 162. Ce mouvement est transmis aux tiges 150, car les boîtiers 158 et 106 sont bloqués sur les tiges 150.Pour maintenir les galets suiveurs de came 160 en contact forcé avec la surface de came 164 de la came 162, un dispositif de sollicitation élastique 166, qui peut être un ressort mécanique ou pneumatique, est contenu dans un boitier cylindrique 168 pourvu d'une tige de sortie 170 fixée à un coulisseau transversal 172, qui est à son tour fixé aux tiges 150 par des vis de blocage ou des moyens équivalents. Cela étant, lorsque les tiges 150 sont animées d'un mouvement de va-et-vient par la came 162, le dispositif de sollicitation élastique 166 maintient les galets suiveurs de came en contact sous pression avec la surface de came 164 et le mouvement transversal est évidemment transmis au boîtier 106 portant le couteau, car il est aussi bloqué sur les tiges 150.

La Fig. 7 est une vue à plus grande échelle, en partie en coupe, du boîtier 158 portant les galets suiveurs de came 160. Les deux galets suiveurs de came 160 sont montés à rotation sur des bouts d'axes courts 174 supportés par une traverse 176. La traverse 176 est d'une pièce avec un arbre 178 monté à rotation dans le boîtier 158 par des paliers 180 ou est fixée à cet arbre 178. L'arbre 178 s'tend au-delà du boîtier 158 et un levier 182 est bloqué sur cet arbre. Grâce à deux galets suiveurs de came 16C en contact avec la surface de came 164, l'arbre 178 oscille lorsque les galets suiveurs de came 160 parcourent la surface de came 164.

Ce mouvement oscillant communiqué à l'arbre 178 et au levier 182 fixé sur cet arbre, est transféra au couteau 104 au moyen d'une biellette de longueur réglable 184 (Fig. 5), de sorte que le mouvement du couteau 104 est orienté en substance tangentiellement a' la coupe sinusoidale globale de la nappe. On comprendra que le maintien d'un état en substance tangentiel du couteau 104 par rapport à la ligne de coupe varie selon la largeur du sac. Par exemple, lorsqu'on fabrique le sac le plus étroit tel que représenté sur la Figo 2A, la pente maximum du motif 'sinusoïdal est d'environ 45", tandis que lorsqu'on fabrique le sac le plus large (Fig. 2B), la pente maximum peut etre d'environ 35".

Comme le montre la Fig. 8, le boîtier 106 supportant le couteau 104 comprend un porte-couteau 186 qui peut être pourvu d'une fente et d'un dispositif de serrage adéquat pour retenir le couteau 104. Le portecouteau 186 est d'une pièce avec un arbre 188 monté dans des paliers 190 supportes par le boîtier 106.

Comme le montre le dessin, l'arbre s'étend au-delà du boîtier 106 et un levier 192 est également bloqué sur cet arbre. Chaque extrémité de la biellette de longueur réglable 184 est filetée et est vissée dans un étrier à rotule 194 relié au levier 182 par un organe d'assemblage 196 (Fig. 5) et au levier 192 par un autre étrier à rotule 198 au moyen d'un organe d'assemblage 200. Le levier 192 présente une boutonniere 202 dans lequel l'organe d'assemblage 200 peut être repositionné vers l'axe de l'arbre 188 ou à partir de celui-ci. La position réglée de l'organe d'assemblage 200 peut être maintenue par un écrou 204.

Selon la construction décrite plus haut, on comprendra sans difficulté que le mouvement oscillant de l'arbre 178 portant les galets suiveurs de came 160 est transféré par le levier 182 et par la biellette 184 à l'arbre 188 grâce au levier 192 qui est bloqué sur cet arbre. Grâce à ce moyen, l'inclinaison du couteau 104 est continuellement ajustée de manière à rester en substance tangente au point de la courbe sinusoïdale produite.

Le déplacement de l'organe d'assemblage 200 dans la boutonnière 202 sert à maintenir l'état tangent du couteau 104 en fonction de la largeur du sac à produire. Comme mentionné plus haut, la largeur du sac détermine la "période" de l'onde sinusoïdale généralisée et, par conséquent, la pente instantanée du couteau est continuellement réglée.

La position représentée de 1'organe d'assemblage 200 se situe à une distance maximum des axes de l'arbre 188. Dans cette position, la machine est réglée pour produire le sac de la plus grande largeur et la pente instantanée maximum du couteau est d'environ 350.

En repositionnant l'organe d'assemblage 200 à l'autre extrémité de la boutonnière 202, c'est-à-dire le plus près possible des axes de l'arbre 188, on obtient une pente maximum instantanée du couteau 104 qui est d'environ 45-. En réglant la position de l'organe d'assemblage 200, on ajuste convenablement la longueur de la biellette L 94 en un point de la Tourbe, de préférence le creux, oU la pente est nulle, de sorte qu'un plan passant par les axes de l'arbre 174 est perpendiculaire aux tiges de guidage 150 et que le plan du couteau 104 est, par conséquent, aussi perpendiculaire aux tiges de guidage.

Lorsqu'il faut arrêter le déplacement de la nappe sur le tambour de support 102, des moyens 210 sont prévus pour rendre le boîtier 158 portant les galets suiveurs de came 160 incapable de suivre le profil 164 de la came 162. Ces moyens sont illustrés sur les Fig. 9 et 10 et comprennent un solénoïde 212 monté sur une plaque fixe 113 par une équerre 214. Une longue tige 216 est fixée à l'armature 218 du solénoïde 212 et s'étend librement à travers une ouverture ménagée dans une équerre de support 220. La tige 216 traverse également un trou surcalibré ménagé dans un loquet 228 qui pivote en 230 sur la plaque 113. Le loquet présente un épaulement 232 qui peut attaquer une bague 234 supportée par les tiges de guidage 150.

Les bagues 222 et 224 sont fixées à la tige 216 et servent à retenir des ressorts 226 entre l'équerre 220 et la bague 222, entre la bague 222 et la loquet 228 et entre le loquet 228 et la bague 224. Le8 ressorts 226 transfèrent, lorsque le solénoïde 212 est excité, le mouvement de va-et-vient de la tige 216 au loquet 228.

L'arrêt du mouvement de va-et-vient des tiges de guidage 150 se produit en un point de la rotation du tambour de support 202 et ce point est rencontré lorsque les galets suiveurs de came franchissent le point haut de la surface de came 164. En réaction à un signal synchronisé de la machine, le solénoïde 212 est excité et fait pivoter le loquet vers les tiges de guidage 150, permettant ainsi à l'épaulement 232 d'attaquer la bague 234 et de la retenir. Le mouvement de va-et-vient des tiges de guidage 150 s'arrête.

Pendant que les tiges de guidage 150 sont au repos, le couteau 104 se trouve dans une gorge circonférentielle 236 contenue dans un plan perpendiculaire à l'axe de l'arbre 130, car le déplacement normal du couteau est arrêté. Lors de la reprise du fonctionnement normal, le couteau suit à nouveau le trajet delimité par la gorge 148, car les galets suiveurs de came 160 suivent à nouveau le profil de la came 162.

Claims (7)

R E V E N D I C A T I O N S

1. Appareil destiné à maintenir une nappe de matière thermoplastique traitée par une machine à fabr*- quer des sacs sous une tension pratiquement constante, caractdrisé en ce qui comprend un dispositif (28) pour débiter continuellement la matière, un dispositif (38) pour débiter de manière répétitive et par intermittence une longueur choisie de la matière, un dispositif (40,42) propre à intervenir pendant des périodes de repos de la nappe pour souder et sectionner la longueur choisie débit tée, et un dispositif (36) synchronisé avec le dispositif de débit intermittent de la nappe et placé entre le dispxe sitif de débit continu et le dispositif de débit intermittent pour maintenir la nappe (W) en substance tendue de manière constante.

2. Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif pour maintenir la tension comprend un rouleau fou (3ç; en contact avec la nappe gW) et un dispositif (34, 56, 60) pour déplacer le rouleau (36) dans un sens pendant des periodes de repos de la nappe ou pendant une période au cours de laquelle les vitesses de la nappe sont inférieures à la vitesse moyenne continue et dans un sens opposé au preniier pendant le débit de la nappe (W) à des vitesses supérieures à la vitesse moyenne continue par le dispositif de débit intermittent.

3. Appareil suivant la revendication 2, caractérisé en ce que le dispositif servant à déplacer le rouleau comprend une came (54) actionnant un système de liaison mécanique (56, 60) pour déplacer le roulei dans le sens opposé.

4. Machine à fabriquer des sacs destinée à trai- ter des sacs provenant d'une longue nappe (W) de matière thermoplastique qui est dévidée de manière continue d'un rouleau d'alimentation (22) et dans laquelle des longueurs de nappe choisies égales sont produites à l'intervention d'un mécanisme de soudage et de sectionnement (40, 42) pouvant intervenir pendant les périodes dans lesquelles une partie de la nappe se trouve dans un état de repos1 cette machine comprenant, en autre, un dispositif tendeur et accumulateur de nappe mobile (30,32,34) pour régir, en réaction à sa position, la vitesse à laquelle la nappe (W) de matière est-dévidée du rouleau d'alimentation (22), caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif (36) destiné à recevoir et à supporter la nappe à sa sortie du dispositif tendeur et accumulateur (30, 32, 34) et un dispositif (56,60,62)pour déplacer le dispositif (36) de support et de réception en vue de maintenir le dispositif tendeur et accumulateur dans une position en substance stable.

5. Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, et destiné à produire un sac à partie supérieure sinusoldale, caractérisé en ce qu'il comprend un rouleau de support (102) sur lequel la nappe de matière passe, cette nappe étant continuellement en mouvement sur le rouleau, un dispositif (98) pour sectionner la nappe (W) lorsqu'elle passe sur le rouleau et un dispositif pour déplacer le dispositif de coupe (98) en va-et-vient en vue de produire une ligne de coupe généralement sinusoldale dans la nappe.

6. Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce que la ligne de coupe sinusoïdale est formée dans la partie médiane de la nappe (W) pour produire deux bandes de nappe (W1, W2) présentant la ligne de coupe sinusoïdale le long d'un bord.

7. Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce que le dispositif de déplacement en va-et-vient comprend une came (162) et des galets suiveurs de came (160) montés dans un boîtier (158) fixé aux rouleaux de guidage, un boîtier t106) supportant le dispositif de coupe (104) et fixé aux tiges de guidage (150), la came étant à même, par l'intermédiaire des tiges de guidage, d'imprimer un mouvement de va-et-vient au disposifif de coupe.