BE412135A - - Google Patents

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BE412135A
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  • Engineering & Computer Science (AREA)
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  • Interface Circuits In Exchanges (AREA)

Description


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  Perfectionnements aux systèmes téléphoniques. 



  Convention Internationale: Demande de brevet aux   Etats-Unis   d'Amérique N  751.805 déposée p le   novembre   1934 par John WICKS dont la demanderesse est l'ayant droit. 

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   La présente invention se rapporte à des systèmes téléphoniques et concerne plus particulièrement des systèmes de téléphonie dans lesquels on utilise des commutateurs automatiques pour l'établissement des connexions. 



   Quand il stagit de jonctions connectant deux bureaux situés à une grande distance l'un de l'autre, par exemple dans deux villes différentes, on réalise habituellement une économie de conducteurs entre les deux bureaux en utilisant des circuits fantômes obtenus par la combinaison appropriée de deux circuits réels. 



  De plus les fils des circuits réels peuvent être employés comme conducteurs simples sur lesquels on peut effectuer de la transmission télégraphique ou de la signalisation. 



  Dans ces conditions ltenvoi des impulsions sur la boucle des fils de conversation de la jonction ne peut plus se faire comme dthabitude et les impulsions ainsi que les autres signaux sont transmis en courant alternatif. 



     Ltobjet   de la présente invention est de procurer des dispositifs perfectionnés pour la transmission et la réception des impulsions en courant alternatif. 



   Suivant une des caractéristiques de l'invention dans un système téléphonique comprenant une jonction reliant deux bureaux et pourvue de deux branches normalement déconnectées, et dont l'une ou l'autre doit être connectée à la jonction quand celle-ci est mise en service, pour un appel sortant une de ces branches est saisie et se connecte à la jonction tandis que pour un appel entrant le fait que la jonction est saisie au bureau distant provoque la connexion de la jonction à la deuxième branche. 



   Suivant une autre caractéristique de ltinvention dans un système téléphonique utilisant des répéteurs d'im- 

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 pulsions prévus pour répondre à l'envoi d'un train d'im- pulsions entrant et pour transmettre un train   d'impul-   sions régénérées, l'impulsion répétée est émise un cer- tain temps déterminé après la réception de l'impulsion entrante et se termine à la réception de l'impulsion suivante ou un certain temps après l'envoi de l'impul- sion répétée, suivant le cas. 



   Suivant une autre caractéristique de l'invention, dans un système téléphonique utilisant des impulsions à, fréquence vocale pour l'établissement et la supervision   d'une   connexion, un amplificateur thermoionique situé dans un bureau et associé à la jonction aboutissant au second bureau est prévu pour que le potentiel qui lui est appliqué varie suivant la direction de l'envoi des impul- sions sur la jonction de telle sorte que les impulsions entrantes soient amplifiées et répétées vers l'équipement local tandis que pour des communications sortantes des soient courants à fréquence vocale amplifiés/transmis sur la jonction vers le second bureau. 



   Les caractéristiques mentionnées ci-dessus et d'autres encore seront mieux comprises par la description suivante de trois de ses applications pour lesquelles on se référera aux plans annexés, dans lesquels: la   fig.l   représente un diagramme de jonction entre bureaux montrant comment les appels peuvent s'établir entre trois bureaux interconnectés A, B et C, les fig. 2 et 3 montrent le circuit de l'équipe- ment'installé à l'extrémité d'une jonction interurbaine ou d'un circuit de conversation dans lequel on n'utilise pas de répéteurs à fréquence vocale et prévu pour fonc- tionner à 60 pps (quand la jonction n'est pas   fantômisée)   et pour fonctionner à   120   pps (quand la jonction est fan-   tômisée).   

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 les fig.

   4 et 5 montrent l'équipement installé à l'extrémité dtune jonction interurbaine et comprenant un répéteur pour courant à fréquence vocale. Dans ces figures les organes doivent répondre sélectivement à l'ac- tion des impulsions, ils comprennent donc un groupe de relais qui répondent sélectivement en vertu de leurs carac- téristiques   dattraction   et de libération. les fig. 6 et 7 montrent une modification des fig. 



  4 et 5 dans laquelle un relais de signal entrant est in- clus dans un circuit accordé à la fréquence du signal. 



   En se reportant plus particulièrement à la fig.l on supposera que les bureaux A et B sont situés suffisam- ment loin ltun de ltautre pour que l'emploi d'un répéteur de courant à fréquence vocale soit nécessaire, tandis que le bureau B est situé un peu plus près du bureau C de telle sorte que les qualités de transmission des jonctions entre les bureaux B et C soient telles que des répéteurs de cou- rant à fréquence vocale ne soient pas requis. Le bureau B est le bureau tandem de commutation par rapport aux bureaux A et C   ctest   à dire que tous les appelsnen prove- nance dtun de ces bureaux à destination de l'autre passe a travers B. 



   Le groupe des jonctions interconnectant les bureaux A et B est représenté par la jonction TL1 du bureau A au par l'intermédiaire répéteur d'impulsions IR2 du bureau B,/ d'une station de répéteurs, tandis qu'un groupe identique de jonctions in- terconnectant les bureaux A et C est représenté par la jonc- tion TL2. On comprendra en effet qu'un nombre suffisant de jonctions a été prévu dans chaque groupe pour répondre aux conditions du trafic.

   Chacune de ces jonctions est montée pour travailler dans les deux sens et le répéteur de cou- rant à fréquence vocale VCR à travers lequel passe la jonc- tion TLI dans la station des répéteurs est supposé être 

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 un répéteur de fabrication courante, dans lequel un tube à vide ou un organe identique est utilisé pour amener à des valeurs satisfaisantes les courants à fréquence vocale attenués. 



   On supposera que chacun des bureaux A, B et C   dessert ,   quelques centaines de lignes. Dès lors pour une connexion entre deux abonnés locaux on employera un sélecteur de centaine et un connecteur, tandis que pour un appel interurbain une jonction telle que   TLI   du bu- reau A sera saisie dans un niveau particulier du sélec- teur des centaines, tel que S2, à travers le répéteur
IR1. D'une manière identique-la jonction TL1 est associée au bureau A à un sélecteur entrant S1. Des dispositifs identiques sont prévus aux bureaux B et C. 



   L'établissement d'une communication locale au bureau B sera expliqué maintenant.   On   supposera à cet effet que l'abonné SS2 désire être mis en communication avec le poste SS3. Dans ce but l'abonné SS2 décroche, le commutateur LS2 fonctionne de la manière bien connue pour sélecter un sélecteur libre, le sélecteur S3, par exemple. 



  Le sélecteur S3 est de ce fait prêt à fonctionner, il ré- pond aux impulsions du premier chiffre du numéro demandé (le numéro 3 dans le cas présent) pour sélecter une jonc- tion libre aboutissant au troisième niveau de ses bancs de contacts, la jonction C3, par exemple. 



   Lorsqu'il est saisi le connecteur C3 est prêt à fonctionner de la manière habituelle il répond à l'action des impulsions des deux derniers chiffres du numéro( les chiffres 2 et 0 par exemple) pour prolonger la connexion vers la ligne demandée, la ligne du poste SS3. 



   La connexion établie est relâchée de la manière habituelle quand l'abonné SS2 raccroche. 



   Supposons maintenant que l'abonné SS2 du bureau B 

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 désire converser avec l'abonné SS1 du   bureau À.   Pour ce faire l'abonné SS2 décroche et émet le numéro de l'abon- né SS1 précédé du chiffre 0 qui est le chiffre indicatif du bureau A quand on l'appelle du bureau B. Si on suppose que le sélecteur   S   est celui qui a été saisi par le com- mutateur LS2 quand le récepteur a été décroché au poste SS2 ce sélecteur sous l'action des impulsions du chiffre 0 sélecte une jonction libre aboutissant au dixième niveau de ses bancs de contacts, la jonction se prolonge par l'intermédiaire du répéteur d'impulsions IR2 jusqu'à la jonction interurbaine TL1, par exemple.

   Quand cette jonc- tion est saisie, les répéteurs d'impulsions IR2 et IRl sont prêts à fonctionner et sous l'action du répéteur IR2, le sélecteur entrant Si au bureau A est prêt à fonctionner. 



  La connexion s'établit alors en émettant le numéro de l'a- bonné désiré SS1, les opérations subséquentes suivent la pratique normale. 



   Des opérations identiques s'effectuent quand on désire établir une communication entre les bureaux A et B ou entre les bureaux B et G ou vice-versa. 



   Un appel du bureau A vers le bureau C s'établit à travers le bureau B comme suit : Si l'appelant est l'abon- né SS1 et   ltappelé   l'abonné SS4, la connexion comprend le commutateur LS1 et peut comprendre le sélecteur local S2 en position sur les dixième niveau, les répéteurs IR1 et IR2, interconnectés par la jonction TL1, le sélecteur entrant S4 en position sur son neuvième niveau, les répé- teurs d'impulsions IR3 et IR4, interconnectés par la jonc- tion   TL2   et le sélecteur entrant S7 de même que le con- necteur C5. 



   Pour établir cette connexion l'abonné SSl émet le numéro local de la ligne de l'abonné SS4 précédé du chiffre 0 qui est 1'indicatif du bureau B et le chiffre 9 qui est l'indicatif du bureau C. 



    @   

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Si on suppose que l'abonné SS4 désire converser avec l'abonné SSI la connexion établie doit passer à travers le bureau B pour aboutir au bureau A. La connexion comprend le commutateur LS4 et peut comprendre le sélecteur local S6, les répéteurs IR4 et IR3 interconnectés par la jonction TL2, le sélecteur entrant S5, le sélecteur S4, les répéteurs IR2 et IRI interconnectés par la jonction TL1 et le sélecteur entrant SI de même que le connecteur C2.

   Pour établir cette communication l'abonné   SS4   émet le numéro local de l'abonné désiré SSI précédé du chiffre 0 qui est l'indicatif du bureau B et un deuxième chiffre 0 qui est l'indicatif du bureau
Le système ayant été décrit en ce qui concerne le diagramme de jonction de la fig.l d'autres considérations seront données maintenant ayant trait aux circuits des fig. 2, 3, 4,5, 6 et 7. 



   Les fig. 2 et 3 montrent le répéteur d'impulsions IR3 situé au bureau B et placé à une des extrémités de la jonction TL2 reliant les bureaux B et   C..  Un circuit d'impulsions et de signalisation relativement simple est utilisé entre les répéteurs d'impulsions IR3 et IR4. Comme le répéteur IR4 peut être identique, au point de vue du circuit, au répéteur IR3, montré en fig. 2 et 5,'le répéteur IR4 n'est pas représenté en détail.   L'équipement   montré dans le coin supérieur droit de la fig. 3, et prévu pour être connecté comme l'indiquent les traits pointillés, est utilisé en lieu et place du relais 226 quand le courant de signalisation à   120   pps est utilisé au lieu du courant à 60 pps lorsque le circuit de conversation comprend une 
 EMI7.1 
 ligne fant8misée. 



   L'exposé détaillé comprendra d'abord une description des fig. 2 et 3 en rapport avec le diagramme de jonction montré en fig. 1. Dans ce but on supposera en premier 

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 lieu que l'abonné SS2, fig. 2 et 1, dont la ligne aboutit au bureau B désire converser avec l'abonné SS4, fig. 1, dont la ligne est reliée au bureau C. 



   Ainsi qutil a été dit précédemment l'abonné SS2, pour établir la communication décroche son récepteur et émet le numéro local de l'abonné SS4 du bureau C précédé du chiffre 9, indicatif du bureau C. Le chiffre 9 amène. le sélecteur S3 au neuvième niveau, ce sélecteur recherche ensuite une jonction libre vers le bureau G. 



   Si on suppose que la jonction comprenant les fils 261, 262 et 263 est la première qui ait été trouvée libre, elle aura été saisie et la connexion vers les fils 261, 262 et 263 s'effectue de la manière habituelle. Le positif se prolonge donc par l'intermédiaire du fil de libération de la jonction   262   jusqu'au répéteur dtimpulsions IR3, fermant le circuit du relais 213 à travers les armatures supérieures des relais 218 et 220, par ltintermédiaire du fil   264   et à travers les contacts du relais 212. Le relais 213 est prévu pour contrôler la mise en court-circuit des enroulements des bobines translatrices.

   Dans le but de retarder légèrement le fonctionnement du relais 213 le deuxième enroulement de ce relais est normalement court circuité par les contacts inférieurs de ce relais formant ainsi enroulement de retardement. 



   En attirant le relais 213, à ses armatures supérieu- res et inférieures ouvre les court-circuits des enroulements gauches de la bobine translatrice et shunte la résistance 270 pour la supprimer du circuit de conversation. 



   Le relais 203 attire dans le circuit de la ligne appelante quand le répéteur d'impulsions est saisi. A son armature intérieure le relais de ligne 203 ferme le circuit d'attraction du relais lent 204. Le relais 204 attire et par l'intermédiaire de son armature supérieure place un 

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 positif sur le fil 262 pour maintenir la connexion établie par le sélecteur S3 et le commutateur LS2 et pour main- tenir le relais 213 attiré. A son armature inférieure le relais 204 ouvre en un point le circuit du relais 210 et à son armature intérieure supérieure il ferme le cir- cuit d'attraction du relais 205 à travers l'armature 243 du relais 208. 



   Le relais 205 attire et connecte les fils de con- versation entrant 261 et 263 aux enroulements gauches de la bobine translatrice; à son armature intérieure supérieure il déconnecte l'armature du relais 205 du circuit du re- lais 208 et la transfère au relais 202; il prépare le cir- cuit du relais 218 à son armature intérieure inférieure et à son armature inférieure il ferme le circuit du relais 214 par   ltintermédiaire   de l'armature intérieure supérieure du relais 217 et de son contact au repos et par l'inter- médiaire du fil 266 pour mettre en marche les dispositifs à relais nécessaire pour transmettre une impulsion de mise en service sur la jonction   TL2   et provoquer la mise en service du répéteur   d'impulsions IR4   distant, fig. l. 



   En attirant le relais 214 déconnecte les fils de conversation sortant par la jonction TL2 des enroulements de la bobine translatrice qui leur sont associés et les connecte à travers les enroulements supérieur et inférieur de la bobine de retard 215 aux armatures du relais d'en- voi 216; il met à la terre les bornes libres des conden- sateurs de filtrage 256 et 257; et à son armature inférieure il met à la terre le fil 267, fermant de ce fait le circuit d'attraction du relais 216 par l'intermédiaire des contacts du relais 217 et du   fil 368.   Le relais 216 attire donc et connecte le circuit à 60 pps à travers les enroulements de la bobine de retard 215 aux fils de conversation de la jonction TL2. 



    @   

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Le relais 216 prolonge le fil mis à la terre 268 par l'intermédiaire du fil 269 et des contacts du relais 218 jusqu'à l'enroulement du relais 217. Le relais 217 est lent à l'attraction de telle sorte qu'un temps suffisant soit alloué pour la transmission de l'impulsion sur la jonction TL2. 



   Après un certain temps, le relais 217 attire et ferme son circuit de blocage à son armature intérieure par l'intermédiaire du positif pris à l'armature inférieure du relais attiré 205, il ouvre en même temps le circuit du relais 214 et son circuit original   dtattraotion.   Le relais 217 ouvre également le circuit du relais 216 à son armature inférieure. De ce fait les relais 214 et 216 relâchent et l'impulsion à 60 pps transmise sur la jonction TL2 est terminée. 



   L'abonné SS2 émet ensuite le premier chiffre du numéro local assigné, dans le bureau C à l'abonné SS4, fig.l. Quand ce chiffre est émis, à chaque interruption produite dans le circuit de la ligne appelante par le dispositif d'appel habituel correspond une libération momentanée du relais 203, ce qui ouvre momentanément le circuit de blocage du relais   204   et ferme le circuit d'attraction du relais lent à la libération 218 à travers les contacts du relais attiré 205. Le relais 218 attire immédiatement et reste attiré pendant l'envoi du train des impulsions. 



  En attirant le relais 218 déconnecte le fil 262 de l'enroulement du relais 213 et le connecte au positif en un point supplémentaire, assurant donc le blocage de la connexion établie à travers le répéteur même si le relais lent 204 vibre ou tend à relâcher momentanément pendant l'envoi des impulsions. Le relais 213 est donc relâché pendant la réception du train des impulsions. Puisque le relais 213 est relâché l'enroulement supérieur gauche 

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 de la bobine translatrice est shunté directement et un shunt est placé sur l'enroulement infé rieur gauche de la bobine translatrice qui comprend la résistance 271 et l'enroulement supérieur du relais 212.

   Le relais 213 étant relâché, le condensateur associé aux enroulements gauches de la bobine translatrice est en effet branché directement sur les fils de conversation entrant en série avec la résistance 270; cette disposition a été trouvée très efficace pour aider le relais de ligne 203 à suivre les mouvements du disque à travers des lignes appelantes de caractéristiques variées. 



   Le relais 218 place un positif sur le fil 266, pour faire fonctionner le relais 214 pendant l'envoi du train des impulsions. Puisque le relais   217   est attiré et bloqué ainsi qu'il a été décrit, l'attraction du relais 214 n'affecte pas le relais 216 en ce moment. 



   Le relais 218 étant opéré, chaque libération momentanée du relais 203 ferme le circuit du relais 219 à l'armature inférieure du relais de ligne et à travers ltarmature intérieure inférieure du relais 218. De ce fait le relais 219 répond momentanément à chacune des impulsions du train. 



   Le résultat final des opérations qui vont être décrites réside en ce qu'à chaque fonctionnement du relais répéteur   219   une impulsion corrigée est émise sous le contrôle des relais et des bobines de retard 221-225 vers le relais d'émission 216. 



   Dans l'exposé du fonctionnement du correcteur d'impulsions composé des relais 221, 223 et 225 on supposera en premier lieu que le dispositif d'appel de la ligne appelante est ajusté pour fonctionner à la vitesse normale( 10 impulsions par seconde habituellement) et que la ligne de l'abonné SS2 possède des caractéristiques moyennes de telle 

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 sorte que le relais 203 suit correctement le travail des donc contacts du dispositif d'appel et débite/les impulsions au même rapport que celui fixé pour le dispositif dtappel (de préférence 60% pour la coupure et pour la fermeture des contacts entre deux périodes de coupure successives). 



   Dans les conditions admises, le fonctionnement   stopère comme suit : le relais 219 opère il se bloque   à son armature inférieure à travers les contacts du relais 221, et il ferme le circuit du relais 223 par l'intermé- -diaire de son enroulement inférieur, à son armature   intéri   .eure supérieure et à travers la bobine de retard 222. L'at- traction du relais 223 est retardée de deux façons: dtabord en introduisant une bobine de retard 322 dans le circuit de son enroulement inférieur et ensuite en shuntant l'en- roulement supérieur par l'intermédiaire d'un contaat nor- malement fermé du relais lui-même.

   L'ajustage du relais est effectué de préférence pour qu'il attire environ quatre dixièmes du temps d'un cycle d'impulsions après la fermeture de son circuit, c'est à dire deux dixièmes de cycle(dans les conditions admises) avant que le relais 219 ne relâche par suite de l'ouverture de son circuit par le relais 203 quand ce dernier réattire. De plus le temps de réattrac- tion du relais 223 est de six dixièmes   d'un   cycle   dtimpul-        sions avant que le relais 219 ne réattire. 



   En attirant le relais 223 à son armature inférieure et à travers l'armature intérieure inférieure du relais relâché 220 ferme le circuit dtattraction du relais 216 par l'intermédiaire du fil 268. Le relais 216 attire donc et envoi la première impulsion répétée sur la jonction TL2 au moyen du courant à 60 pps et à travers la bobine de retard 215 et des contacts du relais attiré   214.   



   A son armature intermédiaire supérieure le relais 223 ferme le circuit du relais lent à l'attraction 221, celui 

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 ci attire deux dixièmes de cycle d'impulsion plus tard pour préparer son circuit de blocage à son armature intérieure supérieure, tandis qu'à son armature intérieure inférieure il ferme le circuit du relais 225 à travers la bobine de retard 224, il débloque en même temps le relais 219 pour lui permettre de relâcher dès que l'impulsion qui lui est envoyée sera terminée. 



   Le relais 225 a les mêmes caractéristiques de retard au fonctionnement que le relais 223 et il possède un ajustage identique au point de vue du temps dtopération. 



   A son armature inférieure le relais 221 ferme un circuit parallèle pour l'attraction du relais 216 à travers des contacts du relais 220 pour maintenir le relais 216 attiré par l'intermédiaire du fil 268 après que le relais 223 a relâché. 



   Quand le relais 219 relâche ( six dixièmes du temps   d'un   cycle   dimpulsion   après qu'il a opéré, dans les conditions admises) par suite de la réattraction du relais 203, il ouvre le circuit du relais 223 et ferme le circuit de blocage du relais 221 à travers l'armature intermédiaire supérieure du relais 225 et l'armature intérieure supérieure du relais attiré 221. Le relais 223 relâche immédiatement (deux dixièmes du temps d'un cycle d'impulsions après qu'il a attiré) et ouvre le circuit original dtattraction du relais 221 de même que le circuit original d'attraction du relais 216. Le relais 221 ne relâche pas en ce moment car il reste attiré par l'intermédiaire de son circuit de blocage décrit plus haut, le relais 216 reste attiré par l'intermédiaire des contacts inférieurs du relais 221. 



   Au commencement du deuxième cycle d'impulsions deux    choses se passent simultanément : le relais 219 réattire   par suite de la deuxième libération du relais 203 et (2)le relais 225 attire car quatre dixièmes du temps d'un cycle 

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 se sont écoulés depuis que son circuit a été fermé par le relais 221. Le circuit de blocage du relais 221 est donc ouvert en deux points, il relâche et ouvre le circuit du relais 216 à son armature inférieure et en même temps ouvre le circuit du relais 225 à son armature intérieure inférieure et rétablit le circuit de blocage du relais 219 qui a réattiré. 



   Le relais 216 qui a attiré sous l'action du correc- teur d'impulsions pour une période correspondant à six dixièmes du temps normal d'un cycle d'impulsion relâche maintenant pour terminer la première impulsion à 60 pps transmise sur la jonction TL2. 



   Le relais 219 est attiré et les opérations décrites précédemment se répètent. 



   Quand l'impulsion finale du train a été transmise le felais 219 ne réattire pas, mais le relais 221 relâche et la fin de l'impulsion telle qu'elle a été décrite a lieu quand le relais 225 attire, ceci se produit au moment qui correspond à la réattraction du relais 219 dans le cas où le train comprend encore une autre impulsion. 



   Supposons maintenant que le dispositif dtappel du poste appelant opère à la vitesse normale et qu'il émet donc des impulsions à la vitesse et dans le rapport normaux mais que les caractéristiques de la ligne appelante soient telles que le relais 203 ne relâche pas suffisamment vite à la coupure du circuit.

   Dans ces conditions les impulsions données au relais 219 sont plus courtes que la normale, bien que le temps mesuré entre le début d'une impulsion et le début de l'impulsion suivante soit le temps normal d'un cycle   d'impulsion .   Le fonctionnement du correcteur d'im- dans pulsions   /   ce cas est le même que précédemment, sauf que le relais 219 ne relâche pas immédiatement par suite de la réattraction plus rapide du relais 203, mais il reste atti- 

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 ré jusqutà ce que le circuit de blocage soit ouvert par suite de l'attraction du relais 221, ce qui se produit au moment même où le circuit initial du relais 219 est normalement ouvert. 



   On supposera pour un instant que la ligne de l'abonné SS4, bien qu'elle soit équipée d'un disoositif d'appel correctement ajusté pour travailler à vitesse normale, possède des caractéristiques qui provoquent un retard à l'attraction anormal du relais 203 après sa libération par suite de l'interruption du circuit de ligne. Chaque impulsion donnée au relais 219 est donc plus longue que la normale. 



  Le correcteur d'impulsions dans ce cas opère comme il a été décrit précédemment puisque le relais 219 reste attiré pour une période de temps très courte par l'intermédiaire de son circuit initial après que son circuit de blocage a été ouvert par le relais 221. 



   Bien qu'on suppose que les dispositifs d'appel soient réglés pour donner des impulsions à la cadence de dix par seconde, on admet en pratique que les vitesses de fonctionnement soient comprises entre 8 et 12 par seconde. 



  On supposera maintenant que le dispositif d'appel du poste SS2 est légèrement hors d'ajustage de telle sorte qu'il émette douze impulsions par seconde au lieu de dix. Dans ces conditions la réattraction du relais 219 se produit plus tôt par rapport à la deuxième impulsion que lorsque les impulsions sont réçues à la vitesse de 10 à la seconde. Dès lors le relais 225 n'a pas réattiré quand le relais 219 réattire au début de la deuxième impulsion reçue de la ligne appelante. Quoi qu'il en soit le relais 221 relâche quand son circuit de blocage est ouvert par suite de la   .réattrac-   tion du relais 219 et l'impulsion répétée plus courte correspondante est terminée quand le relais 221 relâche. 



   On supposera maintenant que le dispositif d'appel 

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 de la ligne appelante est légèrement hors d'ajustage de telle sorte qu'il émette des impulsions à la fréquence minimum admissible (habituellement environ 8 impulsions par seconde). Dans ces conditions le relais 219 n'est pas réattiré par Inaction de la deuxième impulsion au moment où le relais 225 attire par suite de la fermeture de son circuit par le relais 221, sous le contrôle du relais 223.

   La fin de la première impulsion répétée stef- fectue donc (six dixièmes du temps   d'un   cycle normal d'im- pulsion   a)rès   qu'il a   commencé)   sous le contrôle du relais 225, puisque le relais 225 ouvre le circuit de blocage du relais   221   et fait relâcher le relais 221 bien que le re- lais 219   ntait   pas encore attiré. 



   On remarquera que les condensateurs 256 et 257 et la bobine de retard 215 constituent un filtre destiné à supprimer les fréquences harmoniques indésirables qui ac- compagnent généralement le courant à 60 pps des réseaux de distribution. 



   Quand le train   dtimpulsions   a été émis le relais ne 219/réattire pas et l'impulsion finale répétée se termine   comne   décrit précédemment par l'attraction du relais   225.   



  A la fin du train des impulsions, le relais 218 relâche permettant au relais 213 de réattirer par l'intermédiaire du fil mis à la terre 262 et suivant son circuit décrit précédement, comprenant le fil   264.   Le relais   214   re- lâche quand son circuit comprenant le fil 266 est ouvert à l'armature intérieure supérieure du relais 218. 



   Les opérations décrites précédemment se répètent pour chacun des trains d'impulsions suivant correspondant à un des chiffres du numéro désiré. 



   Quand le numéro a été complètement transmis et quand ltabonné appelant attend une réponse les relais 203,   204,   205, 213 et 217 sont attirés tandis que les 

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 autres relais du répéteur d'impulsions IR3 sont en position normale. Le répéteur étant dans cet état reçoit, par l'in- termédiaire de la jonction   TL2,   une impulsion à 60 pps venant du bureau appelé, quand l'abonné demandé répond. 



   Quand l'impulsion de supervision de réponse est re- çue du bureau distant par l'intermédiaire de la jonction TL2, le relais 226 attire. 'Ce relais est branché aux bornes du condensateur de conversation inséré dans les enroulements droits de la bobine translatrice et en série avec le con- densateur 272. Le relais 226 est un relais à courant alter- natif ayant un noyau partiellement fendu dont une des bran- ches est munie d'une bague de retard comme le montre le dessin. De ce fait le relais ne vibre pas en synchronisme avec le courant alternatif, mais il attire et reste attiré pendant une impulsion complète comprenant plusieurs cycles. 



   En attirant le relais 226 ferme le circuit d'attrac- tion du relais 202 à travers les contacts du relais 208 et l'armature intérieure supérieure du relais attiré 205. Le relais 202 est un relais à deux temps et pour l'instant il opère au premier temps pour fermer son circuit de blocage au contact marqué X, le circuit de blocage emprunte l'arma- ture inférieure du relais 201 et le fil mis à la terre. Au- cun courant ne parcourt l'enroulement inférieur pour le mo- ment car le circuit initial de l'enroulement supérieur du relais est encore fermé aux contacts du relais répéteur des impulsions 226. 



   Quand l'impulsion de supervision de réponse est ter- minée, le relais 226 relâche et ouvre le circuit original de l'enroulement supérieur du relais 202, de ce fait ce relais
2 attire complètement car il est alimenté par ses/enroulements en série. A son armature inférieure il prépare le circuit de blocage du relais 201; à son armature supérieure il trans- fère le circuit de supervision de son enroulement supérieur 

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 à l'enroulement du relais 201; et à ses armatures intérieure supérieure et intermédiaire supérieure il renverse les connexions des enroulements du relais 203 et des fils de conversation entrants 261 et 263 donnant donc un renversement du sens du courant dans les fils de la ligne appelante. 



  Cette inversion du courant est utilisée pour donner la supervision de réponse dans le cas où la ligne appelante passe par une table manuelle et pour opérer le compteur ou un dispositif similaire soit au bureau même soit dans l'équipement d'abonné dans le cas où la ligne appelante fait partie d'un système à tarification par appel. 



   Les circuits du répéteur d'impulsions IR3 restent dans l'état où ils sont actuellement pendant tout le cours de la conversation. 



   Supposons que l'abonné du bureau distant raccroche le premier à la fin de la communication, un signal de supervision de déconnexion est reçu du bureau distant par l'intermédiaire de la jonction TL2. Quand ce signal est reçu ( il consiste en une impulsion à 60 pps) le relais 226 attire et le relais 201 attire également au premier temps, le circuit d'attraction comprenant l'enroulement supérieur du relais attiré 202. L'armature intérieure inférieure seule du relais 201 ferme ses contacts en ce moment et ferme le circuit de blocage au fil mis à la terre 262 à travers l'armature inférieure du relais opéré 202. 



   Quand le relais 226 relâche, le circuit de blocage   devient   effectif et les 2 enroulements du relais 201 sont alimentés en série, le relais attire complètement. Le relais 201 ouvre le circuit du relais 202 à son armature inférieure, celui-ci relâche et rétablit le sens original du courant dans la ligne appelante. Cette opération est utilisée pour donner un signal de supervision si l'appel a été établi par l'intermédiaire d'une position d'opératrice et 

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 peut être utilisé également dans d'autres cas ainsi qu'on le sait. 



   Quand   ltabonné   SS2 raccroche, le relais 203 relâche, et une impulsion est transmise sur la jonction TL2 de la manière décrite ci-dessus et sous le contrôle des relais 219, 221, 223 et 225. En ce moment cependant le relais 219 ne relâche pas immédiatement comme dans le cas où une impulsion est transmise car le relais de ligne 203 ne réattire pas après que le récepteur a été   raccro-   ché. De ce fait le relais 219 reste attiré et maintient le relais 223 attiré pour bloquer le relais 216 qui transmet une impulsion prolongée de libération sur la jonction. 



  On doit tenir compte, en effet, de ce que le relais 218 est attiré en ce   moment   et qu'il maintient le relais 214 opéré. par l'intermédiaire de son armature intérieure inférieure. 



   A la fin de la période de retard pour laquelle il a été ajusté le relais 204 relâche et supprime le positif en un point du fil   262,   mais ce fil reste mis à la terre à l'armature supérieure du relais 218, A son armature intérieure supérieure le relais 204 ouvre le circuit du relais 205 qui relâche après un certain temps et ouvre le circuit du relais 218 à son armature intérieure inférieure et le circuit de blocage du relais 217 à son armature inférieure. Les relais 217 et 218 relâchent et le relais 218 ouvre le circuit du relais 214 à son armature intérieure supérieure; et à son armature intérieure déconnecte le relais 219 qui relâche et permet au relais 223 de relâcher et d'ouvrir le circuit du relais 216.

   Les relais 214 et 216 sont donc relâchés pour terminer l'impulsion prolongée de libération qui est transmise vers le bureau distant par la jonction TL2. 



   A son armature supérieure le relais 218 supprime 

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 finalement la  positif   du fil 262 pour permettre au commutateur 152 et au sélecteur LS3 de relâcher et de rendre le récepteur IR3 disponible pour d'autres   app els.   



   La libération de la connexion établie à travers le récepteur IR4 de la fig. 1 au bureau distant B se produit sous l'action de l'impulsion de libération de la manière qui sera décrite ci-après. 



   Dans le but de décrire le fonctionnement de IR3 dans le cas d'un appel venant de la direction opposée on supposera que l'abonné SS4, fig.l, désire être mis en comraunication avec l'abonné SS2. Supposons que le commutateur LS4, fig.l, saisit le sélecteur S6 quand on décroche au poste SS4 et que le sélecteur S6 saisit la jonction TL2 par l'intermédiaire du répéteur d'impulsions IR4 quand on émet le chiffre 0. Dans ces conditions le récepteur   IR4   fonctionne comme il a été décrit précédemment pour le récepteur IR3,   fig.2   et 3, pour transmettre une impulsion de mise en service, sur la jonction TL2. 



   Le relais récepteur d'impulsions 226 du répéteur IR3 attire sous l'action de l'impulsion de mise en service et ferme le circuit d'attraction du relais à deux temps 208 à travers les contacts des relais 208 et 205 et l'enroulement inférieur du relais 208, celui-ci attire au premier temps et ferme son circuit de blocage. 



   On doit noter que le relais 207 est normalement connecté en parallèle sur l'enroulement inférieur du relais 208 par l'intermédiaire de l'armature 245 mais, bien qu'il soit lent à l'attraction, il n'attire pas dans le cas présent car   1*'impulsion   de mise en service est courte comparée à l'impulsion de libération. 



   A la fin de l'impulsion de mise en service le relais 226 relâche et le relais 208 attire complètement par l'intermédiaire du fil mis à la terre 262 à son armature 

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 supérieure et de l'armature supérieure du relais d'occupation 206, il évite de cette manière que la jonction TL2 et le récepteur IR3 soient saisis au bureau B ce qui ferait attirer le relais 213. 



   A l'armature 241 et à son armature intérmédiaire inférieure le relais 208 connecte les fils de conversation se prolongeant vers la gauche des enroulements gauches de la bobine translatrice aux fils de conversation 281 et 282 qui aboutissent au sélecteur entrant S5 tandis qu'à son armature inférieure il complète un circuit de contrôle entre les fils de conversation 281 et 282 du fil supérieur de conversation à travers l'enroulement gauche de la bobine translatrice, le fil 273, les contacts des relais 223 et 221, l'armature inférieure du relais 208, la résistance 271, l'enroulement supérieur du relais polarisé 212 et à travers l'enroulement inférieur gauche de la bobine translatrice vers le fil inférieur de conversation. 



   Le relais de ligne(non représenté) du sélecteur 85 attire dans le circuit décrit ci-dessus pour préparer le sélecteur à son fonctionnement habituel mais le relais 212 ntattire pas car il est prévu pour attirer seulement dans le cas où le courant circule dans le même sens dans les 2 enroulements. 



   En attirant complètement le relais 208 place un positif sur le fil   275   à son armature intérieure inférieure préparant de ce fait le circuit de blocage des relais 209, 210 et 211 et fermant le circuit de l'enroulement polarisant du relais 212 à travers la résistance   274.   Il déconnecte la liaison de son propre enroulement au relais 207 à l'armature   245;   à l'armature 244 il connecte le fil commun d'impulsions 276 pour une raison qui sera expliquée plus tard ; à l'armature 242 il transfère le fil de contrôle, venant des contacts du relais 226 et relié à son enroule- 

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 ment supérieur propre, au relais répéteur 219, préparant ainsi la transmission d'impulsions vers le sélecteur S5 par le relais 219 et le correcteur d'impulsion qui lui est associé. 



   Quand l'abonné appelant SS4 opère son disque un train d'impulsions en courant alternatif est transmis de la manière décrite précédemment par le répéteur d'impul- sions IR3 sur la jonction interurbaine TL2 aboutissant au répéteur d'impulsions IR3. Le relais 226 attire momen- tanément sous   Inaction   de chacune des impulsions reçues se ferme   et .   chaque attraction le circuit du relais répéteur 219/ travers l'armature opérée 242 du relais 208. Chaque fois que le relais 219 attire il ferme le circuit du re- lais 220 puisque le relais 218 n'est pas opéré en ce mo- ment. Par l'action combinée du relais répéteur 219 et du relais 225, le relais 220 est opéré et maintenu attiré pendant la réception des trains d'impulsions entrant.

   Le relais 220 déconnecte les armatures inférieures des relais 221 et 223 du fil 268 et prépare le circuit du relais de libération   207,   ce circuit ne devient effectif que lorsque la connexion établie doit être relâchée. 



   Les relais 219, 221, 223 et 225 coopèrent de la Lanière décrite précédemment pour assurer la répétition d'impulsions correctes. Dans l'exemple actuel les im- pulsions élises constituent des coupures dans le circuit en boucle aboutissant au sélecteur saisi S5, elles sont élises aux contacts supérieurs des relais 221 et 223 au lieu de l'être aux contacts inférieurs.   uand   le relais 220 attire, il coupe   à   son arma- ture supérieure le circuit du relais 213 qui relâche et shunte l'enroulement supérieur gauche de la bobine trans- latrice associée, Il son armature supérieure. A son arma- ture inférieure le relais 213 shunte   1'enroulement   in- 

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 férieur gauche de la bobine translatrice par l'enroule- ment supérieur du relais 212 et la résistance 271.

   Le cir- cuit de contrôle branché aux bornes des fils de conversa- tion comprend maintenant le contact au repos et l'armature supérieure du relais 213, le fil 273, les contacts supérieurs des relais 223 et   221,   l'armature inférieure du relais 208 et le contact au repos et l'armature inférieure du relais 213. Le pont d'impulsions est shunté par un circuit qui comprend   l'enroulement   inférieur gauche de la bobine trans- latrice, le condensateur de conversation associé et la ré- sistance 270 et donne. un contrôle du relais de ligne du trouvée sélecteur S5, cette disposition a   été/très bonne   à   l'expéri   ence. 



   A la fin du train d'impulsions le relais 220 relâche et connecte à nouveau le relais 213 qui réattire et place les circuits associés aux enroulements de la bobine trans-   latrice   en condition de conversation. 



   Le sélecteur S5 attire sous l'action du premier train d'impulsions répétées et sélecte un connecteur libre dans le groupe désiré, soit le connecteur C4, qui attire de la manière habituelle pour établir la connexion avec la ligne de l'abonné demandé SS2. 



   Quand l'appelé répond le sens du courant est ren- versé dans les circuits de conversation du connecteur de la manière habituelle. Le circuit de blocage du relais de ligne du connecteur comprend l'enroulement supérieur du relais polarisé 212 de telle sorte que lorsque le sens du courant est renversé, les 2 enroulements du relais 212 soient alimentés dans le même sens et que le relais attire. 



   Le relais 212 shunte la résistance 274 pour augmen- ter la valeur du courant qui circule dans son enroulement inférieur momentanément et maintenir le relais attiré quel que soit le sens du courant circulant dans   ltenroulement   

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 supérieur. Au même moment le relais 212 coupe le circuit du relais 213 à son armature supérieure pour supprimer momentanément l'alimentation de ce relais et shunter l'enroulement de contrôle (enroulement supérieur) du relais 212 de telle sorte qutil soit entièrement placé sous la commande de son enroulement inférieur. 



   Quand le relais 212 est attiré le positif du fil 275 se prolonge de l'armature inférieure du relais 212, à travers l'armature 255 et son contact au repos, l'armature inférieure du relais 205, l'armature intérieure supérieure et le contact au repos du relais 217, le fil 266   jusqu'au   relais   214.   Le relais de préparation 214 attire et prépare le circuit de transmission sur la jonction TL2 d'une impulsion en courant alternatif, qui constitue une impulsion de supervision de réponse. Comme précédemment le relais 214 fait attirer le relais 216 qui envoie l'impulsion en courant alternatif et à son armature inférieure ferme le circuit du relais 217 par l'intermédiaire du fil 269 et des contacts du relais 218. 



   Après un certain temps le relais 217 attire et ferme son circuit de blocage à son armature intérieure inférieure, il coupe en même temps le circuit d'attraction du relais 214. Il connecte également le relais 216 à son armature inférieure de telle sorte que les relais 214 et 216 relâchent pour terminer l'impulsion de supervision de réponse. 



   De plus le relais 217 ferme le circuit d'attraction du relais 210 par l'intermédiaire de son armature supérieure et du positif qui se prolonge à travers les armatures inférieures des relais 203 et 204 par l'intermédiaire du fil 265 et de l'armature intérieure inférieure et du contact au repos du relais 211, le relais 210 attire et se bloque à son armature intérieure inférieure au fil   275;   il ouvre 

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 le   court-circuit   de la résistance 274 à l'armature 251 ; il fait réattirer le relais 213 à son armature supérieure pour placer le circuit en position de conversation; il pré- pare le circuit de blocage du relais 211 à l'armature 252; à l'armature 255 il ouvre le circuit de blocage du relais   217   qui relâche.

   Le relais 214 ne réattire pas maintenant car son circuit est ouvert à l'armature 255. 



   L'effet de l'impulsion de supervision de réponse au répéteur IR4 est le même que celui décrit pour le répé- teur IR3. 



   On notera que le relais 212 est rendu temporaire- ment inopérant comme décrit déjà, pendant que l'impulsion de supervision de réponse est renvoyée sur la jonction. 



  Ceci dans le but de rendre le fonctionnement plus sûr et pour assurer l'envoi correct du signal dans le cas où la fourche ne fonctionne pas convenablement au moment du dé-   crochage   et pour assurer une transmission correcte du signal dans le cas où l'abonné agite la fourche de son poste. 



   Les circuits du répéteur IR3 restent dans cet état pendant toute la conversation les relais 208, 210, 212 et 213 étant attirés. 



   Supposons   qu'à   la fin de la communication l'abonné appelant SS2 raccroche le premier. Le connecteur C4 opère de la manière habituelle pour rétablir le sens du courant dans les fils de conversation suivant la normale, de ce fait le relais 212 relâche et ferme le circuit du relais 211 à son armature inférieure par l'intermédiaire du fil mis à la terre 275 et à travers l'armature inférieure du relais 210. En attirant le relais 211 ferme son circuit de blocage à son armature intermédiaire inférieure par l'in- termédiaire du fil 275 et de l'armature opérée 252 du relais 210, de ce fait il reste attiré actuellement indépendemment de toute action ultérieure du relais 212. 



    @   

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A son armature intérieure le relais   211   prolonge le positif de son enroulement de blocage vers l'enroulement du relais 214. Le relais   214   attire à nouveau et prépare l'envoi d'une impulsion de déconnexion en courant alternatif sur la jonction TL2 en liaison avec le relais 216, la longueur de l'impulsion est contrôlée comme précédemment par le relais 217. quand le relais 217 attire pour terminer l'impulsion et pour couper son circuit original d'attraction il ne se bloque pas sur lui-même car son circuit de blocage est coupé à l'armature 253 du relais 210 et à   ltarmature   inférieure du relais 212. Le relais 217 étant lent à la libération (tout comme à l'attraction) reste attiré pendant un certain temps.

   A son armature supérieure il applique le positif pris à travers les armatures inférieures des relais 203 et 204 par l'intermédiaire du fil 265 et des armatures   intéri-   sures inférieures du relais opéré 211 au point de jonction de l'enroulement du relais 210 et de la résistance associée. 



  Le relais 210 est donc shunté, il relâche pour déconnecter son propre enroulement du fil 275 à son armature intérieure inférieure; à l'armature 252 il ouvre le circuit de blocage du relais 211, en plus de ce qu'il ouvre le circuit original de ce relais à son armature inférieure. 



   Les relais 211 et 214   relâchent   maintenant également. Le relais lent au fonctionnement 217 relâche finalement. 



   En ce point on peut mentionner que le relais 212 attire à nouveau pour remplir les fonctions décrites précédemment dans le cas où le récepteur est décroché à nouveau au poste de l'appelé avant la libération de la connexion comme cela se produit dans le cas   où   l'abonné agite sa fourche pour rappeler l'opératrice quand la communication a été établie à l'intervention d'une position manuelle. On   reinar-   

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 quera donc que la transmission des signaux de réponse et de déconnexion peuvent être répétés autant de fois que le relais 212 est attiré et relâché. 



   Quand l'appelant   SS4   raccroche la libération de la connexion établie suit le même cours que celui décrit pour le répéteur IR3. Quand l'impulsion prolongée de libération est reçue au bureau B le relais 226 reste attiré pour un intervalle de temps plus grand que lorsqu'il attire sous l'action des impulsions de mise en position. Quand il at- tire en ce moment il fait attirer le relais répéteur 219 pour amener le fonctionnement des relais 220, 223, 221 et 225. Le relais 225 ferme le circuit du relais 207 à son armature inférieure à travers les armatures des relais at- tirés 221 et 220.

   Le relais 207 du fait de la longueur re- lativement grande de   ltimpulsion   de libération a son circuit fermé pendant un temps suffisant pour le faire attirer, il prolonge alors le positif qui l'a fait opérer jusqu'au air- dé cuit de blocage du relais 208 et   iV connecte   le circuit de blocage du relais 208 du positif local. 



   Quand l'impulsion de libération est terminée le relais 226 relâche suivi par les relais 219, 223,   221   et 225 ainsi que par le relais 220 après un court intervalle. 



  La libération du relais 225 provient de ce que le circuit du relais 207 a été ouvert, il en est de même du circuit de blocage du relais   208   qui relâche. Le relais 207 étant quelque peu lent à la libération de même qu'il est lent à l'attraction ne relâche qu'après un certain temps. 



   Le relais 208 supprime le positif du fil 262 à son armature supérieure pour rendre le répéteur IR3 et la jonc- tion TL2 libres à nouveau pour les sélecteurs tels que le sélecteur S3; aux armatures 241 et 242 il déconnecte les fils 281 et 282 qui aboutissent au sélecteur entrant S5, amenant de ce fait la libération de la connexion établie 

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 par l'intermédiaire du sélecteur S5. Tous les organes du répéteur d'impulsions IR3 sont maintenant revenus en position normale. 



   Des dispositifs spéciaux ont été prévus, qui comprennent le relais à deux temps 209, pour amener la libération du répéteur IR3 dans certaines conditions sans que soit reçue une impulsion de libération venant du bureau distant par l'intermédiaire de la jonction TL2. 



   Cette disposition est utile dans le cas où le répéteur distant IR4 est en faute et ne transmet pas correctement l'impulsion de libération ou dans le cas où le relais 266 est actionné intempestivement, par exemple, sous l'action dtune décharge atmosphérique. De toute façon quand le relais 208 attire sous   Inaction   de l'impulsion de mise en service et provoque la prise du sélecteur S5 et sa mise en service, le fil commun 276 venant du dispositif commun d'impulsions 283 est   connecté a.     1''armature   244 à travers des contacts des relais 210 et 209 à l'enroulement supérieur du relais 209. Le dispositif commun d'impulsions 283 peut être prévu pour transmettre une impulsion sur le fil 276 une fois par période de 30 secondes ou une minute par exemple. 



   La première impulsion reçue sur le fil 276 par suite du fonctionnement de ltarmature 244 a pour effet de faire attirer partiellement le relais 209 par l'intermédiaire de son enroulement supérieur, de telle sorte que seul son contact marqué "X" opère. 



   Quand l'impulsion est terminée le relais 209 attire complètement et la réception de l'impulsion suivante provoque la fermeture du circuit du relais 207 à travers l'armature supérieure opérée du relais 209 à moins que le relais 210 n'ait été opéré pendant ce temps pour faire relâcher le relais 209. Si le relais 209 est encore attiré 

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 le relais 207 attire sous l'action de l'impulsion et ouvre le circuit initial de blocage du relais 208, maintenant ce relais attiré en parallèle avec son propre enroulement au moment considéré. Quand   l'impulsion   est terminée le relais 208 relâche et libère le répéteur comme il a été décrit.

   Dans le fonctionnement normal du répéteur l'appel est prolongé jusqu'à la ligne demandée et la réponse donnée normalement ou bien la communication est coupée de la manière habituelle si l'abonné appelé est occupé, avant que la déconnexion forcée n'ait eu le temps de devenir effective. 



   On doit noter que le relais 210 qui est attiré, ainsi qu'il a été déorit précédemment, quand l'abonné appelé répond, ouvre le circuit de blocage du relais 209 à l'armature 252 pour faire relâcher celui-ci et prévenir toute libération forcée pendant le cours de la conversation. On remarquera cependant que la libération forcée pourra encore avoir lieu dans le cas   où.   la libération régulière ne s'ef-   feetue   pas après la libération du relais de supervision de réponse 210, ainsi qu'il a été décrit déjà, quand l'abonné appelé raccroche. 



   Dans le but d'expliquer une caractéristique spéciale additionnelle on supposera que la jonction TL2 est saisie au même moment dans les deux bureaux 0 et B. Quand le répéteur IR3 est saisi au bureau B, le fait qu'un positif est placé sur le fil de libération de la jonction 262 par le sélecteur saisi, provoque le fonctionnement du relais 213 par l'intermédiaire du fil 264, l'attraction de ee relais s'accompagne du fonctionnement des relais 203, 204 et 205. 



  En attirant, le relais 205, à son armature inférieure fait opérer les relais 214, 215 et 217 qui envoient une impulsion de mise en service vers le bureau éloigné. 



   On remarquera que des opérations identiques   s'effec-   

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 tuent au même moment dans le bureau distant et la transmission des deux impulsions de mise en service qui a lieu aux deux extrémités n'a aucun résultat si la prise de la jonction s'effectue aux deux extrémités en même temps, ce qui se produit très   rarement.   Si la prise au bureau B par exemple se produit un tant soit peu plus tard, le relais 205 ne peut plus attirer après l'opération du relais 204, puisque le relais 208 a attiré sous l'action de l'impulsion reçue de l'extrémité éloignée.

   Dans ce cas le relais 206 opère à travers l'armature opérée 243 du relais 208 pour déconnecter le fil de libération de la jonction entrante 262 de l'armature supérieure du relais 208, laissant le fil 262 mis à la terre uniquement à l'armature supérieure du relais   204.   Le relais 206 connecte également le fil commun de tonalité d'occupation BT à travers le petit condensateur habituel au fil supérieur de conversation, il envoie de ce fait la tonalité d'occupation vers le poste appelant. 



   Quand l'appelant raccroche dans ces conditions les relais 203 et   204   relâchent successivement et le relais 204 ouvre le circuit du relais 206. Le relais 204 déconnecte également le positif pris à son armature supérieure du fil 262 pour permettre aux commutateurs locaux insérés dans la connexion de relâcher. Un peu plus tard le relais 206 relâche et à son armature supérieure place à nouveau un positif sur le fil de jonction 262 à travers l'armature supérieure opérée du relais 208, gardant de ce fait la jonction contre toute prise ultérieure dans le bureau B. 



   Des précautions spéciales ont été prises pour amener la libération des répéteurs aux deux extrémités de la ligne quand un appel est abandonné avant que la ligne appelée ait été sélectée. On se rappelera qu'une impulsion 

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 de libération est émise par le répéteur IR3 sur la jonotion TL2 quand une communication sortante à travers le répéteur 1R3 de la jonction TL2 doit être relâchée mais il est évident que l'impulsion de libération sera transmise par le répéteur   IR3   sur la jonction TL2 à un moment quelconque de la connexion après que le répéteur IR3 aura été saisi puisque les relais 203-205 opèrent successivement au moment de la prise du répéteur et qu'ils établissent les circuits de transmission de l'impulsion de libération. 



   Une condition spéciale qui doit être prise en considération est celle qui se produit quand l'abonné appelant abandonne l'appel un moment après que le sélecteur, tel que S3, a opéré pour établir la connexion vers le répéteur d'impulsions IR3. En ce moment les relais 214 et 215 attirent pour transmettre sur la jonction TL2 une impulsion de mise en service relativement courte. 



   Si l'appelant raccroche et provoque la libération du relais 203 pendant que l'impulsion de prise est transmise le relais 218 est opéré par le relais 203 à travers les contacts du relais 205 pour fermerun nouveau circuit d'attraction pour le relais 214 et pour connecter le relais 219. Le relais 219 attire et fait attirer le relais 223 pour fermer un nouveau circuit, par l'intermédiaire du fil 268, pour maintenir le relais 216 attiré. Le circuit du relais   217   est ouvert aux   contaets   inférieurs du relais 218 et l'attraction du relais 217 est impossible en ce moment. 



   Les relais 214 et   216   sont maintenus attirés pour prolonger l'impulsion transmise sur la jonction TL2 jusqu'à ce que les relais 204, 205 et 218 relâchent. 



   Quand le relais 218 relâche les relais 214 et 216   relâchent   également pour terminer l'impulsion. 



   Ainsi qu'on le montrera plus loin cette impulsion 

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 prolongée prévient la prise du sélecteur entrant associé et la libération à la fin de l'impulsion. 



   Considérons maintenant le cas où la jonction TL2 est saisie au bureau B par le répéteur IR4 et   où.   ltappel est abandonné immédiatement. Dans ces conditions l'impulsion reçue par le répéteur IR3 est une impulsion prolongée de libération au lieu de l'impulsion plus courte de mise en service reçue normalement, le relais 216 attire et ferme le circuit de l'enroulement inférieur du relais 208 à travers des contacts du relais 208 et l'armature intérieure supérieure et le contact au repos du relais 205, Le relais 208 attire comme précédemment pour fermer un contact de blocage ajusté légèrement. Au même instant un circuit s'établit en parallèle sur l'enroulement inférieur du relais 208 à travers   ltarmature   245 du relais 207 et son contact au repos.

   Le relais 207 attire et supprime le positif de l'armature intérieure supérieure du relais 208 et y substitue le positif appliqué par l'armature du relais 226. Il en résulte que lorsque le relais 226 relâche à la fin de l'impulsion prolongée il n'y a aucune polarité de blocage existant pour alimenter l'enroulement supérieur du relais 208 en série avec l'enroulement inférieur. Le relais 208 n'opère donc pas complètement mais relâche et ouvre ses contacts de blocage. Un instant après, le relais 207 relâche et abandonne le répéteur IR3 à l'état de repos. 



   La description qui précède du mode de fonctionnement du répéteur IR3, fig. 1 et 2, a été donnée en supposant que la jonction TL2 ne comprend pas de circuit réel aménagé pour la transmission télégraphique ou autre par l'intermédiaire de ses conducteurs. Dans le cas d'une ligne à circuit combiné le courant à 60 pps est considéré comme étant de fréquence trop basse par suite de l'interférence qui peut se produire entre les impulsions émises et les signaux télé- 

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 graphiques. Dans ce cas la fréquence de 120 pps qui peut être obtenu facilement du réseau à 60 pps en utilisant un doubleur de fréquence, a été trouvée très satisfaisante. 



  On modifie le dispositif répéteur d'impulsions quand on utilise le courant à 120 pps en supprimant le fil volant aboutissant au relais 226 et à son armature et en connec- tant les fils volants représentés par les lignes pointil- lées au circuit du relais 228 et à l'armature du relais 229. On remarquera que la bobine 227 et le condensateur 254, en série, forment un circuit accordé ayant une ré-   sonnance   d'environ 120 pps, un maximum de tension est donc aux bornes obtenu/du relais polarisé 228. L'armature du relais pola- risé 228 se trouve normalement en position neutre et elle est attirée d'abord dans une direction et ensuite dans l'autre par l'action des alternances positive et négative successives du courant à 120 pps. 



   Chaque fois que l'armature du relais 228 est amenée dans une direction le circuit du relais 229 est fermé. Le relais 229 est shunté par une résistance de valeur rela- tivement élevée ce qui rend le relais suffisamment lent à la libération pour qu'il reste attiré pendant une série de vibrations de l'armature du relais 228, mais le relais 229 relâche presq'instantanément quand l'armature du relais 228 revient au repos. 



   Le relais 228 à chaque impulsion du courant à 120 pps et le relais 229 attirent pendant la durée de l'impulsion et relâchent immédiatement après. Il en résul- te que le relais 229 opère le contrôle des circuits du répéteur d'impulsions comme il a été décrit pour le relais 226. 



   On remarquera que la résistance variable 255 qui shunte le relais 228 peut être ajustée de temps à autre pour améliorer le fonctionnement du relais 208 lorsque 

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 la température varie ou pour tenir compte des autres conditions qui pourraient affecter son fonctionnement. 



   On a fait observer précédemment que les jonctions passant du bureau A au bureau B, fig. l, passent à travers une station de répéteurs des courants à fréquence vocale, un répéteur séparé à double sens étant prévu pour chaque jonction; et que les limites pratiques d'application du répéteur à fréquence vocale exigent que les impulsions de sélection soient transmises sous forme d'impulsions en courant à fréquence vocale et sous une intensité du même ordre que celle des courants vocaux. Il est donc   néces-   saire de prendre certaines précautions pour éviter que des impulsions produites par les courants vocaux ne soient prises pour des impulsions de signalisation, oelles-ci seront exposées dans le cours de la description. 



   Deux modifications ont été apportées au dispositif d'envoi des impulsions en courant à fréquence vocale, l'un est montré en fig. 4 et 5, l'autre en fig. 6 et 7. La différence principale entre les deux constructions réside en ce qu'en fige 4 et 5 des relais lents à la libération ont été prévus pour contrôler les opérations de signalisation séparément des impulsions de sélection tandis qu'en fig. 6 et 7 un relais accordé pour la réception des signaux est prévu pour répondre aux modulations de la fréquence du courant porteur à 1000 pps. 



   On décrira maintenant le répéteur IR1 montré en fig. 4 et 5. 



   Trois lampes à vide sont associées au répéteur IRl, une amplificatrice 336, une amplificatrice de tension à grille-écran 337 et une détectrice 338. La tension de plaque et la tension de polarisation des lampes 336, 337 et 338 sont fournies par la lampe redresseuse 335 et les appareils qui lui sont associés. Le transformateur 331 

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 possède un enroulement d'alimentation du filament de la redresseuse 335, un autre donnant le courant à redresser et'un troisième enroulement pour le chauffage des filaments des lampes 336, 337 et 338. Les bobines de choc 332 et 333 et les condensateurs montés en parallèle amortissent les ondulations du courant redressé.

   La résistance à prises multiples marquée généralement 334 procure une tension positive de 9 volts sur le fil 346 pour la polarisation des grilles, une tension de 100 volts positive sur le fil 347 pour la tension plaque et la tension de la grille-écran, une tension-plaque de 115 volts sur le fil 348 et une tension plaque de 200 volts sur le fil 349. 



   Le transformateur 361, commun à un groupe de répéteurs d'impulsions, fournit du courant à 1000 pps pour la signalisation et l'envoi des impulsions. Le transformateur 364, commun également à un groupe de répéteurs fournit du courant à 60 pps qui est utilisé pour moduler le courant à 1000 pps pour les besoins de la signalisation indépendemment de la transmission des impulsions de- sélection . 



   Les relais 321, 322 et 323 sont munis d'une résistance montée en shunt sur leurs enroulements, ils sont ajustés pour rester attirés entre des impulsions émises à la cadence de 60 à la seconde, mais aucun des relais 321, 322 et 323 ne restera attiré entre des impulsions successives délivrées à la fréquence du disque ou à la fréquence utilisée habituellement pour la mise en position des commutateurs. 



   Sauf pour ce qui a été dit ci-dessus, le répéteur IR1 est identique au répéteur IR3. Supposons   qu'un   abonné tel que SS1 désire émettre un appel vers un abonné du bureau B ou du bureau C. La ligne de l'abonné est prolongée comme il a été décrit ci-dessus vers les fils 351-353 et le répéteur   d'impulsions   IR1. Au moment de la mise en service le relais 326 est normalement attiré dans le circuit de la 

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 plaque de la détectrice 338 et il maintient normalement attiré le relais à temps 321. De plus le relais 309 est normalement attiré dans un circuit local à travers les résistances associées et il maintient le relais   307   attiré. 



   Quand le répéteur IR1 est saisi le relais 303 attire à travers les contacts du relais 302, les fils 351 et 353 et la boucle de la ligne appelante. En attirant le relais 303 fait attirer le relais 304 qui à son armature supérieure place un positif sur le fil de libération de la jonction 352. Le relais 304 fait attirer le relais 305 à travers l'armature 375 et son contact au repos.

   Le relais   305 à   son armature supérieure et l'armature 372 prolonge les fils de conversation jusqu'à la bobine translatrice; il prépare le circuit d'attraction du relais 302 et ouvre en un point le circuit du relais 308 à son armature intérieure inférieure; il prépare le circuit d'attraction du relais 315 à ltarmature 371 et à son armature inférieure il place un positif sur le fil 397, fermant de ce fait le circuit d'attraction du relais 313 à travers l'armature   377   du relais 316 et son contact au repos pour transmettre une impulsion de mise en service sur la jonction TL1 vers le répéteur d'impulsions distant IR2. 



   Quand le relais 313 attire il déconnecte les fils de la jonction TL1 des enroulements droits de la bobine translatrice à son armature supérieure et à son armature intérieure   intérieure,   à son armature inférieure il fait attirer le relais 320 pour déconnecter le relais 322 du contact de rupture du relais 326 et pour ouvrir en un point le circuit du relais 323. Le relais 320 donne également un positif supplémentaire au fil 352. 



   Le relais 313 supprime également le positif de son armature intermédiaire inférieure appliqué normalement au fil 396 par l'intermédiaire des contacts du relais 315 et 

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 prolonge ce positif jusqu'au relais 314 par l'intermédiaire des contacts associés à l'armature 376 du relais 316. Le relais 314 attire pour connecter les fils sortants de la jonction TL1 aux fils 393 et 394, aboutissant à l'enroulement secondaire du transformateur 363, préparant la transmission d'une impulsion de mise en service sur les fils de la jonction TL1. 



   Le relais normalement attiré 325 relâche par suite de l'ouverture de son circuit fermé précédemment par le fil 396, à l'armature intermédiaire inférieure du relais 313; il déconnecte la plaque de l'amplificatrice 336 du circuit de grille de l'amplificatrice de tension 337 ainsi que la connexion en courant continu de la résistance de plaque 343 et la transfère par l'intermédiaire de   l'enrou-     lement   primaire du transformateur et de l'armature et du contact au repos du relais 324 à l'enroulement secondaire du transformateur de modulation 364. Il en résulte que la plaque de l'amplificatrice 336 est alimentée maintenant en courant alternatifà 60pps par l'intermédiaire de l'enroulement primaire du transformateur de sortie 363.

   En même temps le circuit de grille de   l'amplificatrice   336 est transféré de l'enroulement secondaire accordé du transformateur d'entrée 362 à l'enroulement secondaire du transformateur du courant porteur à 1000 pps 361. Le courant porteur à 1000 pps est donc continuellement connecté à la grille de l'amplificatrice pour le moment tandis que le courant plaque provient   d'une   source de courant alternatif à 60 pps. 



   Pendant l'alternance positive au transformateur 364 le courant circule du positif à travers l'enroulement secondaire du transformateur 364 vers la plaque de ltamplificatrice 336 par l'intermédiaire de l'enroulement primaire du transformateur 363 et des contacts du relais 325   relâché.   

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 pendant chaque alternance négative, aucun courant ne circule dans le circuit plaque de l'amplificatrice 336 de telle sorte que des trains successifs d'impulsions à 1000 pps sont émis à travers   l'enroulement.secondaire   du transformateur de sortie 336 et sur la jonction TL1 à la cadence de   60   trains dtimpulsions par seconde. 



   Le courant transmis sur la jonction TL1 en ce moment est une impulsion de mise en service qui est utilisée au bureau distant pour préparer le répéteur IR2,   fig.l,   pour le service entrant. 



   L'impulsion de mise en service transmise se termine sous le contrôle du relais 316 qui est alimenté en parallèle avec l'enroulement du relais 314 à travers l'armature intermédiaire inférieure du relais 314 et les contacts des relais 315 et 316. Le relais   316   répond à la fermeture de ce circuit après que le temps pour lequel il a été ajusté se soit écoulé, il se bloque au fil mis à la terre 397 par son enroulement intérieure droit, il ouvre au même moment son circuit original d'attraction. A son armature extérieure le relais 316 ferme le circuit d'attraction du relais 324 à travers la résistance 379 et le fil 395; à l'armature 376 il ouvre le circuit du relais 314 et transfère le relais 314 sous le contrôle du relais attiré 303; à l'armature 377 il ouvre le circuit du relais 313. 



   Les relais 313 et   314   relâchent et   terminent   donc ltimpulsion de mise en service transmise sur la jonction TL1, le relais 325 réattire immédiatement par l'intermédiaire du fil 396 quand le positif est réappliqué sur ce fil à l'armature intermédiaire inférieure du relais 313. 



   Le relais 314 étant   relâché   le relais 324 attire par l'intermédiaire du fil 395 et à travers la résistance 379 et les contacts extérieurs du relais 316. En attirant le relais 324 prépare le circuit de plaque à 100 volts de 

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 l'amplificatrice 336 par l'intermédiaire de l'enroulement primaire du transformateur de sortie 363 et du fil 347 préparant la transmission de l'impulsion répétée sur la jonction vers le bureau distant. 



   Le relais 325 réattire par l'intermédiaire du fil 596 et ramène les circuits associés dans l'état représenté aux plans. - quand l'appelant émet le premier chiffre le relais 303 relâche momentanément un nombre de fois dépendant de la valeur du chiffre, à chaque libération le relais 303 ferme le circuit d'attraction du relais lent 315 à son armature intérieure et à travers l'armature 371 du relais 305. Le relais 315 attire sous l'action de la première impulsion et reste attiré pendant l'envoi du train. A son armature extérieure droite le relais 315 déconnecte le positif du fil 396 pour faire relâcher le relais 325 et il fait réattirer le relais 313 pour ouvrir le circuit de conversation et faire attirer à nouveau le relais 320. 



   Le relais 324 étant attiré et le relais 325 relâché une tension de 1000 pps est continuellement connectée à la grille de l'amplficatrice 336 et la plaque est connectée au fil   347   donnant la tension-plaque de 100 volts, à travers l'armature supérieure du relais relâché 325, l'enroulement primaire du transformateur de sortie 363 et l'armature du relais de transfert attiré   324.   Une tension à 1000 pps est donc engendrée dans l'enroulement secondaire du transformateur de sortie, elle passe sur les fils 393 et 394 et aboutit aux contacts des armatures du relais 314. 



   Les opérations préparatoires précédentes se passent presqu'instantanément au moment de la première libération du relais de ligne 303. 



   Chaque fois que le relais de ligne 303 relâche il ferme le circuit d'attraction du relais 314 par ltin- 

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 termédiaire du fil et de l'armature opérée 376 du relais 316. Le relais 314 attire donc à chaque fois que le relais de ligne relâche et en attirant il connecte les fils 393 et 394 aux fils sortants de la jonction TLI. Il en résulte qu'une impulsion en courant à 1000 pps est transmise sur la jonction TLl. A son armature inférieure le relais 314 applique le positif du fil 395 pour shunter le relais 524 mais bien qu'il soit shunté il reste attiré pendant tout le train des impulsions. 



   A la fin du train des impulsions le relais 503 reste attiré et permet la libération du relais 315. En relâchant le relais 315 ouvre le circuit du relais 313 à son armature droite, le relais 313 relâche et fait relâcher le relais 320. Le relais 313 rétablit également le circuit d'attraction du relais 325 qui réattire par l'intermédiaire du fil 397. 



   Les mêmes opérations s'effectuent pour les chiffres suivants et après ltenvoi complet du numéro les circuits du répéteur IR1 restent en position jusqu'à ce que l'abonné appelé ait répondu. Une impulsion de supervision de réponse est alors transmise en retour sur la jonction TL1 par le bureau distant pour indiquer que l'abonné appelé a répondu. Cette impulsion est une impulsion en courant à 1000 pps modulée par un courant à 60 pps. On remarquera que le transformateur d'entrée 562 est connecté à travers les fils 391 et 392 de telle sorte que l'impulsion de supervision entrante soit reçue sur l'enroulement primaire du transformateur d'entrée 362. Des condensateurs de blocage sont connectés en circuit, un sur chaque côté de l'enroulement primaire du transformateur 362, le tout constitue un circuit résonant accordé sur 1000 pps environ.

   Un circuit résonant supplémentaire ponté sur les fils 391 et 392 comprend la bobine 365. Ce circuit additionnel qui améliore 

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 le circuit a aussi une résonance d'environ 1000 pps. 



   L'enroulement secondaire du transformateur 362 est accordé d'une manière plus précise à 1000 pps par un condensateur variable. Le courant à 1000 pps est transmis de l'enroulement secondaire du transformateur 362 et à travers les contacts du relais attiré 325 jusqu'à la grille de l'amplificateur 336. La plaque de l'amplificatrice 336 est connectée à travers les contacts du relais attiré 325 au fil 349 donnant le courant à 200 volts par l'intermédiaire de la résistance commune 345 et la résistance individuelle de plaque 343. Par conséquent le signal à 1000 pps amené à la grille de l'amplificatrice 336 est amplifié et transmis vers l'amplificatrice de tension 337.

   Le signal est considérablement amplifié par l'amplificatrice de tension 337 de telle sorte qu'une tension élevée est amenée à la plaque de la lampe qui prend son courant plaque au fil 349 à travers la résistance commune 345 et la résistance de plaque   344.   Cette tension amplifiée de signalisation est amenée par l'intermédiaire d'un condensateur de grille de faible capacité 342 à la grille de la détectrice 338. La grille de la détectrice est connectée à la terre à travers la résistance de fuite 341, cette résistance est particulièrement élevée pour faire travailler la lampe 338 comme une détectrice du type à fuite de grille et condensateur de grille.

   La réception de chaque impulsion du signal à 1000 pps amplifié provoque donc un arrêt dans l'écoulement du courant-plaque de la détectrice, le relais 326 relâche par conséquent tandis qu'à la réception d'une succession d'impulsions le relais 326 relâche et réattire 60 fois par seconde. 



   Quand le relais 326 relâche pour la première fois il ferme le   circuit.d'attraction   du relais 332 à travers les contacts du relais 320 et à travers l'armature   intér-i-   

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 eure du relais attiré 321. Le relais 322 attire et connecte le relais 323 en parallèle avec le relais 321 à travers les contacts inférieurs du relais 320. Par suite de son retard à la libération le relais   324   peut rester attiré pendant l'interruption assez courte produite dans son circuit par la libération du relais 326 quand il travaille à 60 pps. Chaque fois que le relais 526 réattire il fait réattirer le relais 321 et la première fois qu'il réattire il fait attirer le relais 323 en parallèle avec le relais 321.

   Les relais 321, 322 et 323 restent attirés pendant l'envoi des trains d'impulsions à 60 pps. 



   A la fin de ltimpulsion de supervision de réponse le relais 326 reste attiré en permanence, le relais 321 reste attiré et les relais 322 et 523 relâchent. 



   Quand le relais 322 attire il ouvre le pont constitué par la bobine translatrice et le condensateur placés sur les fils de conversation entrant de la jonction TL1, pour réduire   au   minimum l'effet de Shunt du circuit de conversation sur la portion restante de l'impulsion. quand le relais 325 attire il shunte le relais 309 et provoque sa libération. Quand il relâcha le relais 309 ouvre le circuit du relais attiré 307 et ferme le circuit d'attraction du relais à deux temps 302 à travers l'armature intérieure inférieure du relais attiré 305, l'armature supérieure du relais 302 et l'enroulement supérieur du relais 302. La durée de l'impulsion n'est pas suffisante pour amener la libération.du relais 307. 



   Par suite de la fermeture de ce circuit le relais 302 attire suffisamment pour faire opérer son armature à ajustage léger. A cette armature le circuit de blocage des deux enroulements en série se ferme par l'intermédiaire de l'armature inférieure du relais 301 et du fil mis à la terre 352. Le relais 311 connecté au contact au repos de 

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 l'armature du relais 326 à travers les contacts du relais 317 attire ou n'attire pas sous Inaction du relais 326 travaillant à 60 pps, ceci dépend de son ajustage et n'a pas d'importance. 



   Quand le relais 323 relâche à la fin de l'impulsion de supervision de réponse et fait attirer le relais 309 qui ouvre le circuit initial d'attraction du relais 302 et rétablit le circuit de blocage du relais 307, le relais 302 attire à fond et inverse les connexions des fils de conversation 351 et 352 au relais 505. Le relais 302 transfère également son circuit d'attraction à son armature supérieure au relais 301, tandis qu'à l'armature 559 il prépare le circuit d'attraction du relais 301. 



   Le sens du courant a donc été renversé dans la ligne appelante, on peut utiliser cette action à des fins diverses, et la conversation entre les leux abonnés peut s'établir. 



   Pendant la conversation le relais 325 étant attiré les lampes 336, 357 et 338 sont connectées en tandem pour répéter les signaux reçus de la jonction TL1 vers le relais 326. Cependant, seul le courant à 1000 pps peut passer à travers le circuit d'entrée de l'amplificatrice 336. Il peut toutefois se faire que pendant la conversation une tension à 1000 pps soit appliquée entre les fils de conversation de la jonction TL1 et fasse attirer momentanément le relais 326. Le relais 321 relâchera donc occasionnellement pendant la conversation par suite de la libération du relais 326 et le relais 322 pourra attirer momentanément car il tend à opérer à travers le contact au repos de l'armature 326 avant que le relais 321 ait pu relâcher à la suite de l'ouverture de son circuit par le relais 326.

   En ce moment l'attraction intempestive du relais 322 n'a aucune conséquence fâcheuse puisque le circuit de conversation passe 

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 par l'armature inférieure droite du relais 302   indépen-   demment du chemin possible à travers l'armature; supérieure du relais 322. Le relais 323 ne peut attirer que si le relais 326 relâche et réattire sous Inaction, d'impulsions successives en courant à 1000 pps reçues à la fréquence de 60 à la seconde environ . Cette condition se présente rarement et peut être jamais pendant la conversation. 



   On supposera que l'appelé raccroche en premier lieu quand la conversation est terminée, dans ces conditions le de supervision répéteur au bureau distant envoie une impulsion/de fin vers le répéteur IR1 à travers la jonction TL1. Cette impulsion est identique à l'impulsion de supervision de réponse et des opérations similaires à celles qui ont été décrites ci-dessus, s'effectuent. 



   En cet instant la libération du relais 309 sous la commande du relais 323 provoque la fermeture du circuit d'attraction du relais à deux temps 301 à travers l'arma- ture intérieure inférieure du relais 305 attiré et l'arma- ture supérieure du relais attiré 302; le relais 301 attire au premier temps et ferme son circuit de blocage sous l'ac- tion de l'impulsion et il attire complètement par l'effet de ses deux enroulements en série à la fin de l'impulsion pour ouvrir le circuit de blocage du relais 302, qui re- lâche et rétablit le sens du courant suivant la normale pour donner la supervision de déconnexion dans le cas où la ligne appelante est une ligne à comptage unitaire ou une ligne passant par un bureau manuel. Le relais 301 relâche maintenant puisqu'il est débloqué à l'armature 359. 



   Quand l'appelant SS1 raccroche à la fin de la oon- versation le relais 303 relâche et ferme le circuit d'at- traction'du relais 315 à son armature intérieure et à tra- vers l'armature opérée 371. comme précédemment le relais 315 attire pour couper le circuit du relais 325 au fil 396 

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 et pour fermer le circuit du relais 313 qui fait attirer le relais 320. En ce moment la mise à la terre du fil 362 par le relais 320 est nécessaire pour maintenir la jonction occupée à cette extrémité jusqu'à ce que l'im- pulsion de libération ait été complètement transmise, et que les relais du répéteur d'impulsions aient eu le temps de revenir en position de repos. 



   Le relais 303 étant relâché le positif du fil 397 se prolonge à travers l'armature inférieure du relais 303 et l'armature 376 du relais attiré 316 jusqu'au relais 314. Le relais 314 attire et ( dans le but de transmettre une impulsion prolongée de libération) connecte les fils 593 et 394 aux fils de la jonction TL1. En ce moment le est relais 325 relâche et le courant à 1000 pps/branché sur la grille de l'amplificatrice 536 dont la plaque est con-   nectée   à l'enroulement primaire du transformateur de sor- tie 363. 



   Puisque le relais 324 est opéré par l'intermédiaire du fil 395 la borne droite de l'enroulement primaire du transformateur 363 est connectée au fil d'alimentation 347. Une impulsion en courant à 1000 pps est donc trans- mise sur la jonction TL1. 



   Un peu après le relais 324 relâche puisqu'il est shunté à l'armature inférieure du relais 314, il substitue le courant plaque à 60 pps au courant continu par le fil 347. Il en résulte que pendant la fin de l'impulsion à 1000 pps le courant porteur est transmis modulé à 60 pps par le courant de plaque. 



   Cette impulsion prolongée de libération persiste jusqu'à ce que les relais 314, 305 et 315 relâchent suc- cessivement. Le relais 315 finalement supprime le positif de son armature gauche du fil 397 ouvrant de ce fait le circuit du relais 314, marquant la fin de l'impulsion de 

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 libération, et le circuit du relais 316 qui relâche, il en est de même du relais 313 dont le circuit est ouvert à l'armature droite du relais 315. Un peu après le relais 320 relâche par suite de la libération du relais 313 et finalement supprime le positif du fil 352 pour rendre le répéteur IR1 libre pour les sélecteurs qui y ont accès. 



   Pour expliquer le fonctionnement du répéteur IR1 dans le cas d'un appel entrant on supposera qu'un abonné soit du bureau B soit du bureau C désire être mis en communication avec un abonné du bureau A. On supposera de plus que la jonction est saisie par l'intermédiaire du répéteur d'impulsions IR2 du bureau B quand le chiffre indicatif du bureau A est émis. 



   Quand la jonction TL1 est saisie le répéteur IR2 attire de la manière décrite pour le répéteur IR1 pour transmettre une impulsion de mise en service sur la jonction TL1 vers le bureau A. Cette impulsion entrante est reçue sur les fils 391 et 392 connectant les fils de conversation de la jonction TL1 à l'enroulement primaire du transformateur d'entrée 362, elle est répétée à travers les lampes 336, 337 et 338 vers le relais 326. Comme il a été expliqué déjà l'attraction du relais 326 shunte le relais 309 qui relâche et ferme le circuit d'attraction du relais à deux temps 308 par son enroulement inférieure à l'armature du relais 309 et à travers l'armature inférieure et le contact au repos du relais 305 et par l'intermédiaire des contacts des relais 507 et 308.

   Le relais 308 attire donc au premier temps et ferme son circuit de blocage à son armature intérieure supérieure à travers l'armature supérieure du relais 309. Le relais 307 n'attire pas en ce moment car les impulsions sont trop courtes. quand l'impulsion de mise en service est terminée le relais 326 reste attiré et les relais 322 et 323 re- 

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 lâchent; le relais 309 réattire et ferme à nouveau le circuit d'attraction du relais 307; il ouvre le circuit original d'attraction du relais 308 qui attire à fond et place un positif sur le fil de libération de la jonction entrante 352 à l'armature 373; il supprime le contrôle du relais 308 par le relais 309 à son armature intérieure inférieure, il ferme à l'armature 374 un circuit de contrôle branché sur les fils de conversation aboutissant aux enroulements gauches de la bobine translatriae;

   à son armature inférieure il met le fil 399 à la terre et ferme le circuit à travers la résistance 398 de l'enroulement polarisant du relais polarisé électriquement 310 ; à son armature supérieure et à son armature intermédiaire inférieure il connecte les fils de conversation allant vers la gauche de l'enroulement gauche de la bobine translatrice aux fils de conversation correspondants aboutissant au sélecteur Sl de la fig. 1. 



   Un pont de contrôle existe donc sur les fils de conversation aboutissant au sélecteur Sl, il s'établit comme suit: du fil négatif de conversation du sélecteur Sl à travers l'armature supérieure du relais 508 attiré au fil supérieur de conversation du répéteur   d'impulsions   IR1, l'enroulement gauche supérieur de la bobine translatrice, l'armature supérieure du relais 311, l'armature 374 du relais 308; l'enroulement supérieur du relais polarisé électriquement 310, l'enroulement inférieur gauche de la bobine translatrice et l'armature intermédiaire inférieure du relais 308 au fil positif de conversation du sélecteur Sl.

   Le relais de ligne du sélecteur Sl est opéré dans le circuit de contrôle qui vient d'être décrit pour préparer le fonctionnement du sélecteur. quand l'abonné appelant, au bureau distant, opère 

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 son dispositif d'appel pour émettre le premier chiffre du numéro local de 1*abonné appelé dans le bureau A, le répéteur IR2 opère comme il a été décrit pour le répéteur IR1 pour transmettre des impulsions à 1000 pps à la fréquence normale du disque. Quand la première impulsion du train est reçue le relais 326 relâche, il ouvre le circuit du relais 321 et ferme le circuit du relais 522. Le relais 322 attire mais son circuit est ouvert par suite de la libération du relais 321 et il relâche, le relais 325 n'attire donc pas quand le relais 326 réattire, il n'est donc pas affecté par les opérations décrites. 



   Le relais 311 attire à chaque libération du relais 526, à travers l'armature intérieure gauche du relais 317. 



  En attirant le relais 311 coupe à son armature supérieure le pont de contrôle placé sur les fils de conversation et par conséquent le circuit du relais de ligne du sélecteur S1 tandis qu'à son armature inférieure il ferme le circuit   dattraction   du relais 312 qui comprend l'armature extérieure du relais relâché 315. Le relais 312 attire et reste attiré pendant l'envoi du train des impulsions entrantes. 



   A son armature supérieure le relais   312   coupe le pont de conversation placé sur les enroulements droits de la bobine translatrice pour assurer un meilleur fonctionnement des appareils récepteurs d'impulsions pour le restant du train, tandis qu'à son armature intérieure il place une résistance en shunt sur l'enroulement inférieure gauche et l'enroulement de commande du relais 310 et qu'à son armature intermédiaire il shunte l'enroulement supérieur gauche de la bobine translatrice et incorpore la résistance associée dans le circuit   pouranéliorer   les conditions du circuit d'impulsions vers le sélecteur qui doit être opéré. 



   Chaque fois que le relais 326 réattire à la fin 

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 d'une impulsion du train il ouvre le circuit du relais 311 qui relâche et referme le circuit de contrôle. L'attraction du relais 311 sous le contrôle du relais 326 commande le relais de ligne du sélecteur entrant S1 de la manière habituelle pour mettre celui-ci en position. 



   - On doit noter particulièrement que le relais 321 relâche chaque fois que le relais 326 relâche dans les conditions présentes par suite de la lenteur relative des libérations et   réattractions   du relais 326. Le relais 322 ne permet donc pas au relais 323 de répondre tout comme dans le cas considéré précédemment quand le relais 326 relâche et attire à la cadence de 60 à la seconde. 



   A la fin du train des impulsions le relais 312   re- .   lâche pour replacer les circuits associés en position de conversation. La série des opérations qui viennent d'être décrites se répète pour les trains   dimpulsions   suivants qui représentent les chiffres restant du numéro désiré. quand la communication a été établie vers l'appelé et que celui-ci a répondu de la manière habituelle le sens du courant circulant dans les fils sortants vers les commutateurs locaux à travers les contacts du relais 308 est renversé, il en résulte que le relais 310 attire puisque le sens du courant circulant dans son enroulement supérieur est inversé. En attirant le relais 310 shunte la résistance   398 à   son armature intérieure à travers le contact au repos et l'armature 380 du relais 317.

   Le shunt de la résistance 398 augmente la valeur du courant traversant l'enroulement inférieur du relais 310 d'une manière suffisante pour permettre au relais de rester attiré sans avoir égard au sens du courant circulant dans l'enroulement supérieur. 



   A son armature inférieure le relais 310 ferme le circuit d'attraction du relais 319 par l'intermédiaire du fil mis à la terre 399 à travers le contact au repos et 

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 l'armature extérieure gauche du relais 317. Le relais 319 attire et ferme le circuit d'attraction du relais de préparation 513 à son armature intérieure; il shunte le contact au repos et l'armature 380 à son armature intermédiaire; et à son armature extérieure il place une terre à travers l'armature inférieure du relais 305 sur le fil 397 pour préparer le circuit de blocage du relais 316. 



   Quand le relais 313 attire en ee moment il déconnecte les fils de conversation; il ferme le circuit du relais 314 à son armature intermédiaire intérieure et à son armature inférieure il fait attirer le relais 320. 



   Le relais 325 est relâché comme décrit précédemment quand son circuit est ouvert au fil 396 par le relais 313. Il en résulte   aucune   impulsion à 1000 pps.modulée 60 fois par seconde est transmise à nouveau sur les fils de la jonction TLa par   1*'intermédiaire   des fils 593 et 394 et à travers les   contacts   du relais 314. Cette impulsion fait opérer le répéteur distant IR2 au bureau B, il passe en position de supervision de réponse comme il a été ex-   pliqué   pour le répéteur IR1. 



   Après un certain temps le relais 316 attire et se bloque au fil 397, à l'armature 376 il ferme un nouveau circuit d'attraction pour le relais 314 à travers l'armature inférieure du relais 303, l'armature inférieure et les contacts au repos du relais 305 et l'armature intérieure gauche du relais 319. A l'armature 578 le relais 316 ferme le circuit d'attraction du relais 317 par l'intermédiaire du fil 399 mis à la terre et à travers l'armature droite et le contact au repos du relais 518. Le relais 317 attire à travers la résistance associée et à son armature intéri-   ¯eure   droite il se bloque directement au fil 399.

   A son armature extérieure droite il complète un pont de conver- 

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 sation interrompu; à son armature intérieure gauche il déconnecte le relais 311 des contacts au repos de l'armature du relais 326   'de   telle sorte que les impulsions entrantes qui peuvent faire relâcher le relais 326 n'ont aucun effet sur le relais 311; à l'armature 381 il prépare le circuit d'attraction du relais 318; à l'armature 380 il coupe en un point le shunt établi sur la résistance associée à l'enroulement polarisant du relais 310 et prépare le circuit de blocage du relais 318; à son armature gauche il ouvre le circuit du relais 319 et prépare un nouveau circuit pour ce relais par l'intermédiaire des contacts du relais 318. 



   Le relais 319 relâche et ouvre le circuit du relais 313 à son armature intérieure, finalement il supprime le shunt placé sur la résistance 398 à son armature intermédiaire;   et ,à   son armature gauche il supprime le positif du fil 397; ouvrant de ce fait le circuit de blocage du relais 316 et le circuit de blocage du relais 314. Par conséquent, les relais 313 et 314 relâchent pour terminer l'impulsion de supervision de réponse et le relais 313 applique à nouveau le positif à son armature intermédiaire inférieure au fil 396 pour faire attirer le relais 325. 



   Un peu après, le relais 316 relâche et ouvre le circuit original d'attraction du relais 317 à l'armature 378 laissant le relais 317 bloqué à son armature droite par le fil 399 mis à la terre. quand la communication est terminée les deux abonnés raccrochent. Si on suppose que 1',appelé raccroche le premier le connecteur en service provoque le rétablissement suivant la normale du sens du courant dans les fils qui y aboutissent et venant du répéteur d'impulsions IR1 par l'intermédiaire des contacts du relais 308. En ce moment le relais polarisé électriquement 310 relâche et ferme le 

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 circuit d'attraction du relais 318 à son armature inférieure et à travers l'armature opérée 381.

   Le relais 318 attire et se bloque à son armature intermédiaire à travers l'armature opérée 380 au fil mis à la terre 599; il ferme le circuit d'attraction du relais 319 à son armature gauche par l'intermédiaire de l'armature gauche opérée du relais 317; à son armature intérieure gauche il ferme le circuit du relais 313. Le relais 319 attire et à son armature intérieure ferme un circuit supplémentaire pour l'attraction du relais 313; à son armature intermédiaire il shunte la résistance 398 et à son armature gauche il place un positif sur le fil   397   pour préparer le circuit de blocage du relais 316. 



   Quand le relais 313 attire en ce moment il fait attirer à nouveau le relais 320 à son armature inférieure, tandis qu'à son armature intermédiaire inférieure il déconnecte le positif du fil   396   pour faire relâcher le relais de transfert 325 et il ferme à la même armature le circuit d'attraction du relais 314. Il en résulte que l'impulsion de supervision de déconnexion est transmise en retour sur la jonction TL1 vers le bureau appelant comme il a été décrit pour la transmission du signal de supervision de réponse. 



   Le relais 316 attire à nouveau quand son circuit se ferme à l'armature intermédiaire inférieure du relais attiré 314. En ce moment il se bloque par son armature intérieure au fil mis à la terre 397, tandis qu'à l'armature 378 il prolonge le fil mis à la terre 399 à travers l'armature opérée droite du relais 318 vers le point commun de l'enroulement du relais 517 et de la résistance associée amenant le courant d'alimentation. Le relais 317 étant shunté relâche après un court intervalle de temps ; il ouvre son circuit de blocage à son armature droite; il 

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 connecte à nouveau le relais 311 à son armature intérieure gauche ; à son armature gauche extrème il transfère le relais S19 du fil 399 au contact avant de l'armature   inféi -   -eure du relais 310, ouvrant de ce fait le circuit du relais 319.

   Le relais S19 relâche et permet la libération des relais 316, 313, 314 et 320 en même temps que la réattraction du relais 525. 



   Les circuits étant dans cet état la supervision de réponse pourra être donnée à nouveau dans le cas   où   l'appelant décroche à nouveau et elle pourra être suivie de la supervision de déconnexion. 



   Le répéteur à l'extrémité émettrice de la jonction TL1 transmet alors une impulsion prolongée à 1000 pps modulée à la cadence de 60 par seconde pour assurer la libération de la connexion. Quand cette impulsion de libération est reçue le relais 326 du répéteur IR1 relâche et réattire à la cadence de 60 par seconde. 



   Le relais 321 est maintenu attiré et le relais 322 attire pour connecter le relais 323, celui-ci attire et ferme le shunt amenant la libération du relais 309. 



  En ce moment le relais 309 reste relâché pour un temps suffisamment long pour amener la libération du relais   307.   



   Quand le relais 307   relâche   il ouvre en un point supplémentaire le circuit par lequel le relais 309 contrôle le relais 308 et il ouvre le circuit de blocage du relais 318. Par conséquent celui-ci relâche et libère le sélecteur S1 en même temps qu'il supprime le positif du fil 399 à son armature inférieure. Le relais 309 n'attire pas en ce moment à travers le   contaat   au repos de l'armature inférieure du relais 309 car il ne peut pas réattirer pendant que le relais 307 est relâché. 



   A la fin de l'impulsion de libération le relais 326 reste dans la position attirée montrée au plan, les 

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 relais 322 et 323 relâchent donc tandis que le relais 321 reste attiré. Le relais 309 attire à nouveau suivant son circuit local par suite de la libération du relais 323 et il provoque l'attraction du relais 307 qui finalement à son armature supérieure supprime le dernier positif du fil de libération de la jonction 352, la jonction devient donc libre lorsqu'elle est testée par un sélecteur tel que S2. 



   Dans le cas d'un test double de la jonction TL1 l'action du répéteur d'impulsions IR1 est   la   même que celle décrite pour le répéteur IR3. 



   Comme il a été dit déjà, les fig. 6 et 7 montrent le répéteur IR1' qui est une modification du répéteur d'impulsions   IRl   des fig. 4 et 5. Tandis que dans le répéteur IR1 une combinaison de relais lents au fonctionnement (321 à 323) est utilisée pour différencier une impulsion de signalisation entrante ( telle qu'une impulsion de libération ou une impulsion de supervision) d'une impulsion de sélection ou d'une impulsion à 1000 pps, dans le répéteur modifié IR1' un dispositif simple est employé qui fait usage d'un circuit accordé pour le relais de signalisation entrante 404. Le relais 404 peut être opéré sous le contrôle de la lampe 338 dans un circuit résonant qui comprend un condensateur d'accord fixe 405 et qui à une fréquence de résonance de 60 pps.

   Avec ce dispositif il n'est pas nécessaire que le relais de signalisation entrante soit opéré par autre chose qu'un signal transmis du bureau distant sur la jonction TL1, pour faire opérer ce relais, les impulsions normales du disque transmises par la ligne sont transmises à une cadence de 8 à 12 à la seconde et aucun courant spécial tel qu'un courant à fréquence vocale ou une décharge de la ligne ne doit avoir une fréquence porteuse de 1000 pps modulée à 60 pps. 



   On doit noter que le circuit-plaque de la détectrice   338   de la fig. 6 comprend soit une bobine de retard 403 

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 soit un relais 402 suivant que le relais 401 est attiré ou relâché. Le relais 401 est normalement   relâche   et la bobine de retard 403 est normalement en circuit cet état étant maintenu pendant la durée d'un appel sortant; le relais 401 est attiré cependant pour un appel entrant pour déconnecter la bobine de retard 403 et lui substituer le relais 402. pour expliquer le fonctionnement du répéteur modifié IR1' on supposera que ce répéteur est utilisé pour un appel sortant sur la jonction TL1 reliant les bureaux A et B. On a donné aux organes identiques des fig. 6 et 7 et des fig. 4 et 5 les mêmes numéros de référence. 



     Lorsqu'il   est saisi le répéteur IR1' opère exactement comme il a été décrit pour le répéteur d'impulsions IR1 pour émettre une impulsion de mise en service sur la jonction TL1 vers le bureau distant et pour répéter les impulsions de sélection sur la jonction provoquant la mise en position des commutateurs au bureau distant. 



   Après l'établissement de la communication demandée et après la réponse de l'abonné appelé, l'impulsion de supervision de réponse est transmise en retour du bureau appelé vers le bureau appelant par l'intermédiaire de la jonction TL1, elle est amplifiée à travers les lampes 336, 337 et détectée par la détectrice 338 provoquant l'application d'un courant à 60 pps superposé au courant plaque de la détectrice 338 et traversant le relais à noyau divisé 404, ce relais attire et ferme le circuit d'attraction du relais 406. Le relais 406 est légèrement lent à l'attraction de telle sorte qu'il n'est pas affecté dans les cas très rares où le relais 404 attire momentanément sous l'action d'un courant de caractéristiques identiques à celles du courant normalement employé.

   En attirant le relais 406 fait attirer le relais 302 au premier temps et au deuxième 

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 temps lorsque ce même relais 406 relâche, donnant ainsi une supervision de réponse à la ligne appelante. quand le signal de supervision de déconnexion est transmis en retour sur la jonction TL1 lorsque l'appelé raccroche le relais 404 attire à nouveau pour faire attirer le relais 406, le relais 301 attire momentanément comme il a été décrit ci-dessus pour amener la libération du relais 302 et pour donner la supervision de déconnexion à la ligne appelante. 



   La libération de la communication sortante s'effectue comme on l'a décrite pour les fig. 4 et 5. Pour un appel entrant l'impulsion de mise en service est transmise sur la jonction TL1 du bureau distant au répéteur d'impulsions IR1'. A la réception de cette impulsion le courant à   60   pps est transmis par l'action de la lampe 338 au relais 404 qui attire. Le relais 404 en attirant fait attirer le relais   406,   de ce fait le relais à deux temps 308 attire au premier pas pour fermer son circuit de blocage et est ensuite opéré au deuxième temps pour saisir le sélecteur associé. quand le fil 399 est mis à la terre à l'armature inférieure du relais 308 quand ce relais attire complètement le circuit du relais de transfert 401 se ferme à travers l'armature droite et le contact au repos du relais 317.

   Le relais 401 attire et ferme le circuit du relais 311 à son armature supérieure; substituant au même instant le relais 402 à la bobine de retard. 



  Le relais 402 attire immédiatement dans le circuit-plaque de la détectrice et ouvre le circuit du relais 311 avant qu'il n'ait eu le temps d'attirer. 



   On devra noter que la bobine de retard 403 doit avoir de préférence les mêmes caractéristiques électriques que le relais 402, de telle sorte que la fréquence pour laquelle le circuit du relais de signalisation entrante 404 

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 a été accordé ne soit pas altérée par la substitution du relais 402 à la bobine de retard 403. 



   Quand les impulsions à 1000 pps correspondant au premier chiffre du numéro demandé sont transmises du bureau distant sur la jonction TL1 vers le   répéteur IR1'   le courant-plaque de la détectrice 338 cesse momentanément un nombre correspondant de fois. Chaque fois que cesse le courant de plaque le relais 402 relâche et ferme le circuit d'attraction du relais 311. Le relais 311 attire donc un nombre de fois correspondant au chiffre émis pour exercer le contrôle voulu sur le sélecteur en service. 



   Cette opération se répète pour chacun des chiffres suivants du numéro demandé.. 



   On doit mentionner en passant que le répéteur IR1' transmet des signaux de réponse et de déconnexion en retour sur la jonction TL1 vers le bureau d'origine de la manière expliquée pour le répéteur IR1. 



   Pendant la conversation le relais 401 est relâché par le relais 317 pour remplacer le relais 402 par la bobine de retard 403 prévenant de ce fait toute attraction du relais 311 sous l'action des courants à fréquence vocale. 



  Le relais 311 est plus ou moins mis hors service par le relais 401. Le relais 401 réattire quand le relais 317 est relâché sous l'action de l'impulsion de déconnexion. 



   Quand on raccroche chez l'appelant l'impulsion de libération est transmise du bureau appelant par l'intermédiaire de la jonction TL1 au répéteur IR1'. Comme ce signal consiste en une impulsion prolongée à 1000 pps et interrompue à la cadence de 60 à la seconde le relais 404 attire à nouveau pour un temps suffisant pour permettre la libération du relais 307 qui à son tour amène la libération du relais 308 qui provoque la libération des commutateurs automatiques du bureau local. 

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   Le relais   401   relâche quand le positif est supprimé du fil 399 à l'armature inférieure du relais 308. 
 EMI58.1 


Claims (1)

  1. REVENDICATIONS.
    Un système de téléphonie comprenant une jonction reliant deux bureaux et munie dans un bureau de deux branches normalement déconnectées, l'une ou l'autre étant prévue pour être connectée à la jonction quand elle est mise en service, dans lequel pour un appel sortant une de ces branches est saisie pour être connectée à la jonction tandis que pour un appel entrant la prise de la jonction au bureau distant sert à provoquer la connexion de la jonction à la seconde branche.
    Un système de téléphonie utilisant des répéteurs d'impulsions prévus pour opérer sous l'action d'un train d'impulsions entrantes et pour transmettre un train d'impulsions régénérées, dans lequel la transmission d'une impulsion répétée s'effectue un temps déterminé après la réception de l'impulsion entrante et se termine à la réception de l'impulsion suivante ou un temps déterminé après le commencement de l'impulsion répétée, quel que soit l'ordre dans lequel ces événements se présentent.
    Un système de téléphonie utilisant des impulsions en courant à fréquence vocale pour l'établissement et la supervision d'une communication dans lequel un amplificateur thermoionique situé dans un bureau et associé à la jonction aboutissant à un deuxième bureau est disposé pour que la tension de fonctionne- ment qui lui est appliqué varie suivant la direction de la transmission de l'impulsion sur la jonction de telle sorte que les impulsions entrantes soient amplifiées et répétées vers l'équipement localisé <Desc/Clms Page number 60> dans le bureau tandis que pour une communication sortante des courants à fréquence vocale amplifiés sont transmis sur la jonction vers le deuxième bureau.
    Un système de téléphonie utilisant des signaux à fréquence vocale pour l'établissement des communications entre deux bureaux, dans lequel les signaux sont constitués par des courants à une seule fréquence modulée à dtautres fréquences qui sont déterminées par la fonction que doit remplir le signal, au bureau récepteur les signaux sont détectés et envoyés sur un circuit qui comprend plusieurs dispositifs de réception dont un ou plusieurs sont accordés pour des fréquences de modulation particulières tandis que les autres sont normalement déconnectés du circuit et sont connectés quand les signaux auxquels ils correspondent entrent dans le bureau.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel le deuxième bureau est également muni de deux branches déconnectées et dans lequel la jonction est connectée à une branche quand un appel est émis dans ce bureau et à la deuxième branche quand l'appel est émis dans,le deuxième bureau.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 ou 5 dans lequel la première branche est associée à des commutateurs automatiques destinés à l'établissement des appels sortants du bureau et la deuxième branche à des commutateurs automatiques destinés à l'établissement dtappels entrants dans le bureau.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 ou 5 dans lequel lors d'un appel entrant dans un bureau un signal est transmis du bureau distant pour provoquer la connexion de la deuxième branche <Desc/Clms Page number 61> à la jonction et également pour fermer un pont de contrôle sur les fils de conversation de la jonction, le pont de contrôle étant interrompu par les impulsions entrantes de sélection pour permettre la mise en position des commutateurs automatiques du bureau sur la ligne demandée.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendications6 ou 7 dans lequel les impulsions de signalisation et de sélection transmises sur la jonction sont constituées d'impulsions en courant alternatif.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 8 dans lequel les-impulsions de sélection et les signaux, qui comprennent des impulsions de mise en service et de libération et des signaux de supervision, sont constitués d'impulsions en courant alternatif de même fréquence.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 8 dans lequel les impulsions de sélection et les signaux, qui comprennent des impulsions de mise en service et de libération et des signaux de supervision, sont constitués par un courant porteur modulé à différentes fréquences.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 2 dans lequel l'impulsion régénérée est indépendante de la longueur de l'impulsion entrante jusqu'à une certaine valaur limite tandis que lorsque la longueur de l'impulsion entrante dépasse la valeur limite l'impulsion émise est accrue d'une quantité correspondante.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 2 dans lequel les impulsions entrent dans le répéteur à une fréquence déterminée, le répéteur est reglé pour transmettre des impulsions régénérées d'une <Desc/Clms Page number 62> longueur déterminée tandis que lorsque les impulsions entrent à une fréquence plus basse on a prévu des moyens permettant de contrôler la longueur des im- pulsions répétées.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- cation 2, 11 ou 12 dans lequel un circuit à temps se ferme à la réception d'une impulsion et provoque après un certain temps la transmission de l'impulsion répé- tée qui est contrôlée par un autre circuit a temps ou par le fonctionnement d'un relais répéteur d'impulsions à la réception de l'impulsion suivante.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- cation 13 dans lequel le fonctionnement d'un relais dans le premier circuit à temps transfère le contrôle de la fin de l'impulsion répétée au deuxième circuit à temps.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- cation 3 dans lequel les impulsions reçues et trans- mises sont constituées par un courant porteur modulé certaine a une/fréquence pour les impulsions de sélection et à une fréquence différente pour les impulsions com- prenant les signaux de.supervision.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- cation 15 dans lequel les impulsions de sélection sont modulées à une fréquence plus basse que les im- pulsions constituant les signaux de supervision.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- cation 5 dans lequel la variation de la tension appli- quée aux électrodes de l'amplificateur thermoionique dépend de l'état d'un relais qui est contrôlé par la direction de la transmission d'une impulsion sur la jonction.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendi- <Desc/Clms Page number 63> cations 15,16 ou 17 dans lequel des impulsions sont amplifiées et appliquées à une lampe détectrice prévue pour laisser passer normalement le courant nécessaire au maintien d'un relais dans le circuit de la plaque de celle-ci tandis que pour les impulsions entrantes le courant qui circule dans la lampe fait diminuer et augmenter les relâchements et les réattractions du relais en synchronisme avec les variations du courant.
    Un. système de téléphonie comme revendiqué en reven- dication. 18 dans lequel le relais du circuit-plaque est accordé sur la fréquence de modulation la plus élevée.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 19 dans lequel une branche parallèle du circuit-plaque est mise en circuit quand des impulsions à la fréquence de modulation la plus basse sont re- çues, cette branche comprend un relais prévu pour fonctionner à la fréquence de modulation la plus basse.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en reven- dication 18 dans lequel le relais fonctionne également sous Inaction des impulsions à la fréquence de modulation la plus basse.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 21 dans lequel ce relais est prévu pour contrôler deux circuits, l'un d'eux est toujours fermé quelle que qoit la fréquence à laquelle le relais attire tandis que l'autre ne devient effectif que lorsque le relais fonctionne à la fréquence la plus élevée.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 22 dans lequel le premier circuit est ren- <Desc/Clms Page number 64> du effectif par un dispositif contrôlé par le sens de la transmission des impulsions sur la jonction et par la fréquence à laquelle il'est formé par le relais.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en reven- dication 22 dans lequel le deuxième circuit est ren- du effectif par un dispositif à temps réglé de telle manière qu'il n'opère que lorsque le relais fonctionne à la fréquence la plus élevée.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en reven- dications 15, 16 ou 17 dans lequel quand la trans- mission des impulsions s'effectue vers la jonction le type d'impulsion transmis dépend de l'état d'un qui EMI64.1 relaiaT'lorsqu'il est relâché provoque l'envoi de courant porteur modulé par un courant à basse fréquence et qui lorsqu'il est attiré provoque l'envoi de courant porteur seul.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en reven- dication 25 dans lequel le courant modulé est transmis comme une impulsion simple sous le contrôle d'un dispositif à temps dans le but de donner des signaux de supervision.
    Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 25 dans lequel le courant porteur est modulé sous le contrôle d'un relais qui fonctionne sous l'action des impulsions transmises par le dispositif d'envoi de l'abonné appelant.
    Un système de téléphonie en principe comme décrit et EMI64.2 illustré aux plans annexés. 14rvev-B- /4tek 1tu!I8I1.. le (1,.t.-nJ M ,( 4J g,a4<oeaam- iip+- Lx--J-rma- t.
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