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Verwertung von gewerblichen Schutzrechten mit beschrànkter Hartung à Berlin W.35 (Allemagne) Perfectionnements aux systèmes téléphoniques.
La présente invention est relative à des systèmes téléphoniques et concerne plus particulièrement des systèmes de téléphonie semi-automatiques avec bureau principal et secondaires.
Lorsque dans de tels bureaux le calcul de la redevance pour les communications se fait au bureau principal soit automatiquement par des dispositifs de commutation du bureau, soit par une opératrice, alors les communications entre abonnés de bureauxsecondairesqui ne passent pas par le bureau principal rendent difficile la transmission des données nécessaires pour le calcul des redevances au bureau principal.
La présente invention est relative à la détermination
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de la durée de conversation dans de tels systèmes et cela est réalisé pour les communications,entre abonnés de bureaux secondaires, qui ne passent pas par le bureau principal au moyen d'un dispositif à temps qui devient effectif à des intervalles de temps déterminés pour provoquer la transmission de signaux vers le bureau principal par une voie qui ne comprend pas le circuit de conversation entre les abonnés.
L'invention est d'une importance toute particulière dans les systèmes de téléphonie semi-automatiques pour les zones rurales, dans lesquelles les communications entre des abonnés de bureaux secondaires sont établies par une opératrice.
Un avantage de ce système pour des dispositions de circuit connues consiste en ce qu'après l'établissement d'une telle communication et l'enlèvement de la fiche par l'opératrice tous les commutateurs et les lignes de jonction non absolument nécessaires à la conversation sont libres et disponibles pour d'autres communications, d'où il en résulte que l'opératrice est complètement éliminée de la communication qu'elle vient d'établir.
Le calcul des redevances pour de semblables communica- tions,tout en tenant compte des divers modes de taxation,est possible sans autres dispositifs puisque l'opératrice peut s'assurer de la distance, par exemple, la zone d'où provient le numéro de l'appelant et celui de l'appelé.
L'invention sera mieux comprise d'après la description suivante se rapportant aux plans ci-joints dans lesquels: la fig, 1 représente schématiquement un système de téléphonie de réseau rural et les fig. 2, 3 et 4 représentent une partie des circuits du bureau C représenté à la fige 1.
D'après la fig. 1 les bureaux B, C, D et E sont des bureaux secondaires et le bureau A est le bureau principal
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possédant une opératrice pour l'établissement et la supervision des communications semi-automatiques.
Le bureau principal A avec la position d'opératrice, est connecté auxbureaux secondaires par les lignes de jonction Li, L2, L3. Le dispositif de connexion VA du bureau principal sert à établir la communication avec l'opérateur par les lignes de jonction. A la position d'opératrice il y a un panneau de lampes avec les lampes de signalisation Zl, Z2, Z3, 24 qui s'allument du fait des impulsions transmises par un émetteur sur une des lignes Ll à L3 et qui sont reçues par un des dispositifs récepteurs El, E2, E3, E4 placés à l'autre extrémité de la ligne. Le bureau B est supposé être complètement automatique de telle sorte que les abonnés qui y sont reliés peuvent en manoeuvrant leur disque établir toute communication à l'intérieur ou à l'extérieur de leur propre bureau sans l'aide de l'opératrice.
Puisque dans ce cas la redevance est déterminée automatiquement d'une manière bien connue la transmission des signaux pour déterminer la durée, à l'opératrice n'est pas nécessaire. Une ligne de jonction L5 relie le bureau B au bureau D et les-lignes de jonction L4 et L6 relient les bureaux B et C respectivement aux bureaux C et E.
Les opérations constituant la transmission du signal suivant les divers types de communications, seront maintenant considérées.
Quand par exemple un abonné du bureau C désire établir une communication avec l'abonné du bureau automatique B, cet abonné N2 décroche son récepteur et actionne sa magnéto, le chercheur de ligne ASC démarre et se relie à la ligne appelante, et la communication est ainsi acheminée à travers le répéti- ligne de teur UEC et le connecteur secondaire MWC vers la/jonction L4. A partir de là l'appel est ensuite acheminé par le répé-
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titeur UEB1 du bureau B et le dispositif de commutation VA1 vers la ligne de jonction Ll et le dispositif de commutation VA du bureau principal A. Une lampe de signalisation d'appel s'allume à la position d'opératrice de la manière connue de telle sorte qu'elle soit avertie de la présence de l'appel.
Elle se met en relation avec l'abonné appelant et lui demande ce qu'il désire, L'opératrice établit alors une communication avec l'abonné désiré Nl du bureau B de telle sorte que les deux abonnés sont alors connectés comme suit : abonné N2 du bureau C, chercheur d'appel ASC, répétiteur UEC, connecteur de ligne secondaire MWC, ligne L4, répétiteur UEB1, sélecteur de groupe GW, sélecteur final LW, abonné Nl. Pour cette communication les dispositifs pour la détermination de la tarification à laquelle l'appel doit être compté et pour l'envoi des données en transmettant un signal relatif à la durée, sont placés dans le répétiteur UEB1.
Alors un relais est excité sous la commande d'un dispositif à temps et fait en sorte que l'émetteur SI envoie une impulsion à haute fréquence sur la ligne Ll à des intervalles de temps déterminés pendant la communication. L'impulsion est reçue par le dispositif récepteur du bureau principal A et provoque la liaison avec la lampe de signalisation correspondante Zl. L'opératrice dispose des fiches de communication sous la main dans un casier près de la lampe Zl, et peut alors enregistrer la durée de la conversation et déterminer ainsi la valeur de la redevance d'après le signal transmis.
Si une communication locale est demandée dans le bureau C, par exemple si l'abonné N2 de ce bureau désire parler à l'abonné N3 relié au même bureau, alors il décroche son récepteur à son poste N2 et manoeuvre sa magnéto pour établir par la même voie que dans le premier cas,la communication avec l'opératrice. La communication est alors complétée
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par la transmission de la part de l'opératrice d'un certain train d'impulsions qui produit le fonctionnement du sélecteur de direction RWC et du sélecteur final LWC du bureau C. Le dispositif à temps faisant partie du répétiteur UEC entre alors en jeu pour provoquer l'envoi d'un signal relatif à la durée, vers l'opératrice.
A des intervalles de temps déterminés l'émetteur S3 du bureau C est actionné et une impulsion à haute fréquence est alors envoyée sur la ligne de jonction L4 et le circuit de liaison b avec la ligne de jonction L3. Par la ligne de jonction L3 le dispositif récepteur E3 du bureau de signalisation principal A reçoit l'impulsion et connecte la lampe/correspon- dante Z3. L'opératrice peut par conséquent enregistrer la durée de conversation pour cette communication sur une fiche du casier placé près de cette lampe. Le circuit de liaison b déjà mentionné connecte la ;ligne de jonction L4 à la ligne de jonction L3.
Il est ainsi constitué que du fait des filtres de fréquence ou dispositifs analogues qu'il comprend, seule la transmission d'impulsions de haute fréquence est possible par ce circuit à l'exclusion d'autres opérations de commutation de telle sorte que les perturbations dues à ce circuit quant à la connexion ou à la conversation sont supprimées avec certitude. Si l'abonné du bureau C désire établir une communication avec l'abonné N7 du bureau secondaire E le circuit de connexion passe,après que la communication a été établie par l'opératrice, de,l'abonné N2 par le chercheur d'appel ASC, le répétiteur UEC, le sélecteur de direction RWC, la ligne de jonction L6, le connecteur de ligne secondaire MWE, le répétiteur UEE, le sélecteur de direction RWE, le sélecteur final LWE, à l'abonné N1.
De la même manière que pour les communications intérieures entre abonnés du bureau C, le dis- positif à temps faisant partie du répétiteur UEC entre alors en jeu pour ces communications et fait en sorte que l'émetteur
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S3 envoie des impulsions à haute fréquence à des intervalles de temps déterminés. La transmission des impulsions de haute fréquence a lieu de la même manière que pour les commu- , nications intérieures entre abonnés du bureau C.
Si un abonné du bureau C désire établir une communi- cation avec un abonné du bureau D la communication passe, après l'établissement des différents connecteurs par l'opéra- trice comme suit : de l'abonné N2 par le chercheur d'appel ASC, le répétiteur UEC, le connecteur de ligne, secondaire MWO, @ la ligne de jonction L4, le répétiteur UEB1, le sélecteur de groupe GW, le répétiteur UEB2, la ligne de-jonction L5, le connecteur de ligne secondaire LWD du bureau secondaire D, le répétiteur UEB, le sélecteur de direction RWD, le sélecteur final LWD à l'abonné N5.
De la même manière que pour une communication entre l'abonné du bureau E avec un abonné du bureau B, l'émetteur Sl grâce à des dispositifs à temps compris dans le répétiteur UEB1 provoque l'envoi d'impulsions à haute fréquence sur la ligne Ll vers l'opératrice à des intervalles de temps déterminés. Ces impulsions sont reçues par le dispo- sitif récepteur El du bureau principal qui connecte la lampe de signalisation Zl de la manière habituelle.
Si un abonné du bureau secondaire E désire établir une communication avec un abonné du même bureau, alors après que l'abonné N6 a provoqué l'appel, une communication est établie avec l'opératrice par : abonné N6, chercheur d'appel ASE, ré- pétiteur UEE, connecteur de ligne secondaire MWE, ligne de jonction L6, chercheur d'appel ASC, du bureau C, répétiteur UEC, connecteur de ligne secondaire MWC, ligne de jonction L4, répétiteur UEB1, dispositif de commutation VA1, :Ligne de jonction Ll, dispositif de commutation VA du bureau principal A.
L'opé- ratrice fait fonctionner le sélecteur de direction RWE et le sélecteur final LWE du bureau secondaire en transmettant certains
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trains d'impulsions de telle sorte que l'abonné N7 soit appelé et que le circuit de conversation entre les deux abonnés du bureau secondaire E soit étàbli. Le signal relatif à la durée est alors transmis à l'opératrice par l'émetteur S4 qui est actionné par un dispositif à temps compris dans le répétiteur UEE du bureau secondaire E après des intervalles de temps déterminés pendant la communication.
L'impulsion de durée passe de 1' émetteur S4 sur la ligne de jonction L6, le circuit de liaison c (ce circuit de liaison a également des filtres de fréquence qui permettent seulement la transmission d'impulsions à haute fréquence),la ligne de jonction L4, le circuit de liaison b, la ligne de jonction L3, vers le bureau principal A.' Les impulsions à haute fréquence transmises par l'émetteur S4 passent par conséquent du bureau C par la ligne L3 vers le bureau principal exactement de la même manière que pour les communications locales par le bureau C. Puisque dans les deux bureaux deux communications peuvent alors ' exister simultanément l'opératrice doit recevoir différents signaux relatifs à la durée des communications.
Pour cette raison l'émetteur S4 envoie un signal de durée à une fréquence différente.de celui envoyé par l'émetteur S3 du bureau C. Au moyen des impulsions transmises par l'émetteur S4 à une fréquence différente sur la ligne de jonction L3, le dispositif récepteur E4 du bureau principal et non le dispositif récepteur E3 sera commandé de telle sorte que la lampe Z2 sera connectée et correspondra à ce signal de durée.
Par cette lampe par conséquent le signal de durée pour des communications locales du bureau secondaire E est indiqué à l'opératrice.
Si un abonné du bureau secondaire E désire parler à un abonné du bureau C la communication a lieu ,comme suit après l'établissement des sélecteurs dans le bureau C par
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l'intervention de l'opératrice: abonné N6, chercheur d'appel ASE, répétiteur UEE, connecteur de ligne secondaire MWE, ligne de jonction L6, chercheur d'appel ASC du bureau C, répétiteur UEC, sélecteur de direction RWC, sélecteur final LWC, abonné N3. Pour cette communication le signal de durée est transmis par l'émetteur S3 du bureau secondaire C qui est actionné à des intervalles de temps déterminés par le dispositif à temps compris dans le répétiteur UEC. Les impulsions de durée passent alors de l'émetteur S3 par la ligne de jonction L4, le circuit de liaison b ,la ligne de jonction L3, au dispositif récepteur E3 du bureau principal.
Au moyen du dispositif récepteur E3 le signal de durée est transmis à l'opératrise par l'intermé- diaire de la lampe Z3.
Une communication d'un abonné du bureau secondaire E vers un abonné du bureau automatique B se fait de la même manière que la communication déjà décrite d'un abonné du bureau C vers un abonné du bureau B. Les impulsions de durée sont envoyées par la ligne Ll au dispositif récepteur E3 du bureau principal par l'émetteur SI du bureau B qui est actionné par un dispositif à temps compris dans le répétiteur UEB1, et qui fonctionne à des intervalles de temps déterminés pour envoyer les impulsions. Au moyen du dispositif El du bureau principal la lampe de signalisation Zl s'allume.
De même pour une communication d'un abonné du bureau secondaire E vers un abonné du bureau secondaire B, la transmission des signaux de durée a lieu de la même manière par l'intermédiaire de l'émetteur SI associé au point de vue fonctionnement au dispositif à temps compris dans le répétiteur UEB1.Lorsque les impulsions du disque ont été envoyées par l'opératrice une telle communication s'établit comme suit :
abonné N6, chercheur d'appel ASE du bureau secondaire E, ré- pétiteur UEE, connecteur de ligne secondaire MWE, ligne de
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jonction L6, chercheur dbppal ASC, du bureau C, répétiteur UEC, connecteur de ligne secondaire MWC, ligne de jonction L4, ré- pétiteur UEBl du bureau B, sélecteur de groupe GW, répétiteur UEB2, ligne de jonction L5, connecteur de ligne secondaire MWD du bureau secondaire D, répétiteur UEB, sélecteur de direction RWD, sélecteur final LWD, abonné N5.
Enfin les opérations pour établir des communications par désabonnés du bureau secondaire D seront mentionnées. Si un abonné du bureau secondaire D désire établir une communication avec un abonné du bureau automatique B alors après avoir pro- voqué son appel il atteint l'opératrice par le circuit suivant : abonné N4, chercheur d'appel ASD, ,répétiteur UED, connecteur de ligne secondaire MWD, ligne de jonction L5, répétiteur UED2, dispositif de commutation VA2, ligne de jonction L2, dispositif de commutation VA du bureau principal A.
Après le fonctionne- ment des connecteurs par l'intervention de l'opératrice la communication se passer comme suit: abonné N4, chercheur d'appel ASD, répétiteur UED, connecteur de ligne secondaire MWD, ligne de jonction N5, répétiteur UEB2, sélecteur de groupe GW, sé- lecteur final LW, abonné Nl. Pour cette communication les signaux de durée sont transmis vers l'opératrice au moyen de l'émetteur S2 qui est actionné pour émettre des impulsions à des intervalles de temps déterminés grâce au dispositif à temps compris dans le répétiteur UEB2. Les signaux de durée passent de l'émetteur S2 par la ligne de jonction L2 et sont reçus par le dispositif récepteur E2 qui connecte les signaux vers l'opératrice en allumant la lampe de signalisation Z2.
Si un abonné du bureau secondaire D désire établir une communication avec un abonné du bureau secondaire C cette communication après le fonctionnement des connecteurs par l'in- tervention de l'opératrice se passe comme suit : abonné N4, chercheur d'appel ASD du bureau secondaire D, répétiteur UED,
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connecteur de ligne secondaire MWD, ligne de jonction L5, répétiteur UEB2, sélecteur de groupe GW, répétiteur UEB1, ligne de jonction L4, connecteur de ligne secondaire MWC dans le bureau secondaire C, répétiteur UEC, sélecteur de direction RWC, sélecteur final LWC, ahonné N3.
Au moyen de cette communication comme dans le cas précédent le signal de durée est envoyé par l'émettes S2 vers la position d'opé- ratrice et l'émetteur S2 est actionné par le dispositif à temps compris dans le répétiteur LEB2.
Une communication d'un abonné du bureau secondaire D vers un abonné du bureau secondaire E se passe de la même manière que les communications décrites ci-dessus. De même pour cette communication le signal de durée est transmis de la même manière au moyen de l'émetteur S2 par la ligne de jonction L2 vers l'opératrice.
Si plusieurs dispositifs de commutation existent dans un même bureau, plusieurs communications peuvent alors exister simulatnément, ou si plusieurs lignes de jonction sont établies entre deux bureaux, plusieurs communications n' pourront s'établir simultanément entre ces bureaux. Il/est donc pas seulement nécessaire d'avoir un émetteur à fréquences différentes pour chaque dispositif de commutation, mais il faut également informer l'opératrice de la manière dont les lampes de signalisation et les communications correspondent entre elles. Dans ce but les dispositifs de commutation individuels sont construits de telle sorte que la réponse de l'abonné désiré et l'enlèvement de la fiche provoque le fonctionnement de l'émetteur correspondant qui transmettra une impulsion de signalisation.
A la position d'opératrice par conséquent et après le retrait de la fiche une lampe s'allume immédiatement de telle sorte que l'opératrice soit avertie par cette lampe qu'une communication qui vient
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d'être établie est en observation quant à la durée de la conversation.
De préférence cette impulsion de début sera transmise chaque fois à l'opératrice afin de lui éviter un effort de mémoire et toute cause d'erreur.
Dans les fig, 2 et 3 les circuits encadrés dans un et rectangle en lignes pointillées/représenté.à la fig, 1 dans le bureau C, sont développés en'détail dans ces figures.
Au début d'une communication par un abonné appelant de ce bureau c'est-à-dire après que le récepteur a été décroché et la magnéto actionnée, un relais d'appel AN (non représenté), est excité et ferme le circuit du relais N par : contact 19an, 20p, enrou-lement du relais N, batterie, terre. Le relais N attire ses deux contacts 8n et 21n qui sont combinés de telle sorte que le contact 8n soit fermé quelque peu avant le contact 21n. Si le chercheur d'appel AS se trouve en position sur les contacts aboutissant à la ligne appelante, le relais de test P attire immédiatement et en ouvrant son contact 20p empêche le chercheur d'appel de faire tourner ses balais.
Si cela n'est pas le cas cependant le circuit de 1'électro-aimant Da du chercheur d'appel est fermé par le contact 21n: terre, contacts 19an, 20p, 21n, 23r, électro- aimant Da, batterie, terre. L'éléctro-aimant Da attire et ouvre son contact 22da d'où il s'ensuit que le relais R attire à travers la résistance Wi5. Le relais R ouvre par'son contact 23r le circuit indiqué ci-dessus pour l'électro-aimant Da de telle sorte que l'électro-aimant relâche, que le contact 22da est fermé et qu'un court-circuit est établi sur l'enroulement du relais R qui relâche. Le contact 23r est par conséquent fermé après un temps court de telle sorte que l'électro-aimant Da du chercheur d'appel est à nouveau excité.
Cette interaction entre l'électro-aimant Da et le relais R continue jusqu'à ce
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que le chercheur d'appel trouve la ligne appelante et que le circuit suivant soit fermé: terre, balai dz5 dans sa position de repos, contacts 9c, 8n, enroulements II et I du relais P, balai da3, conducteur c vers la batterie qui n'est pas représentée. Le relais P attire par ce circuit, arrête le chercheur d'appel en ouvrant son contact 20p, garde la ligne appelante en déconnectant son enroulement II à résistance élevée par le contact 7p, et prolonge les conducteurs de conversation en fermant les contacts lp et 2p et fait relâcher le relais N en ouvrant le contact 20p. De plus la batterie est connectée au 'conducteur c2 par le contact 45p.
De cette manière le connecteur de ligne secondaire MWC (fig. 1) démarre et s'arrête lorsque les conducteursa2, b2 et c2 sont trouvés. La communication vers l'opératrice du bureau principal A est alors établie de la manière connue,par la ligne de jonction L4, les dispositif de commutation du bureau secondaire B et la ligne Ll. Grâàe à un signal l'opératrice est avertie de la présence d'un appel tandis qu'un signal est également transmis à l'abonné appelant par le conducteur a2, les condensateurs Col et Co2, les contacts 5p, 3k, lp et le balai dal. L'opératrice s'introduit alors dans la communication en enfichant dans le jack d'appel de telle sorte qu'au même moment le potentiel de la batterie soit appliqué au conducteur a2 et que le relais J attire.
Si l'abonné appelant a donné une impulsion d'appel en manoeuvrait sa magnéto sans avoir décroché son récepteur,le relais Y n'est pas attiré, et par conséquent le contact 40y est ouvert et la batterie est déconnectée par le contact 39kh et la résistance Wi9. La connexion de la batterie par Wi9 à ce moment aurait pour effet de' connecter un signal vers l'opératrice pour indiquer que l'abonné appelant attend avec son récepteur décroché. Supposons que l'abonné n'ait pas décroché son récepteur, l'opératrice appelle alors l'abonné en manoeuvrant
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la clé d'appel, c'est-à-dire en connectant la batterie au conducteur b2 pour exciter le relais E à travers le contact 41y.
Par la fermeture du contact 106e (fig. 3) le circuit suivant est établi pour le relais W: terre, contact 106e, enroulement du relais W, résistance W18, batterie, terre.
Le générateur du courant d'appel RM est connecté par le contact 33w au conducteur b de la ligne d'abonné et son organe d'appel est actionné. La transmission du courant d'appel dure aussi longtemps que l'opératrice appuie sur la clé d'appel. uand cette clé est relâchée le relais E suivi du relais W relâche. Lorsque l'abonné décroche son récepteur le circuit suivant est établi après le relâchement du relais W: terre, batterie, résistance W14, enroulement du relais X, contacts 28i, 4k, 3k, lp, balai dal, bbucle de l'abonné, balai da2, contacts 2p, 6k, 32w, 36e, enroulement du relais Y, terre.
Par ce circuit les relais X et Y attirent. Si l'abonné a décroché son récepteur pendant la transmission du courant d'appel ce circuit ne peut être établi puisque le contact 33w est fermé. Par conséquent le relais X seul attire et par la fermeture de son contact 108x établit un court-circuit pour l'enroulement du relais W. Le relais W par conséquent relâche immédiatement de telle sorte que par la fermeture du contact 32w le relais Y soit également excité, Le relais Y par son contact 40y connecte le potentiel de la batterie à travers le contact 39kh et la résistance Wi9 au conducteur b,2 aboutissant à la position d'opératrice. De cette manière l'opératrice reçoit un signal qui l'avertit que l'abonné a répondu.
Le relais J a également fermé le circuit du relais C par le contact 67i: terre, contact 67i, enroulement du relais C, résistance Will, batterie, terre. Le relais C ferme son propre circuit de blocage par son contact 55c et par le contact 9c il ferme le circuit pour le relais P (en- roulement I) indépendamment de la position du balai dz5 du
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dispositif à temps.
L'opératrice s'enquiert de la demande de l'abonné et émet un premier chiffre qui fait attirer le relais J.
Si une communication locale est demandée, le sélecteur de direction RWC consistant en un sélecteur auxiliaire (avec électro-aimant De) et un sélecteur principal (avec électroaimant Dh) se trouve sur la position correspondante aux conducteurs a3, b3, c3. L'électro-aimant De du sélecteur auxiliaire reçoit les impulsions par le circuit suivant chaque fois que le relais J relâche: terre, contacts 54pl, 1091, 114c, électro-aimant De, batterie, terre. Lors du premier relâchement du relais J le circuit suivant est fermé pour les relais V et Vl, le relais V1 ayant un relâchement différé et se maintenant attiré pendant les trains d'impulsions: terre, contacts 661, 65c, enroulements des relais V et V1 en parallèle, batterie et terre.
L'éléctro-aimant De du sélecteur auxiliaire porte un contact 43de par lequel il fait attirer le relais H par le circuit suivant : terre, contact 43de, enroulement du relais H, batterie, terre. A la fin de la première impulsion lors de la réexcitation du relais J le circuit suivant est établi pour le relais K : terre,contacts 73i, 72h, enroulement du relais K, batterie, terre. Le relais K ouvre ses contacts 3k, 4k, 6k, d'où il s'ensuit que les conducteurs de conversation sont interrompus et que les relais X et Y sont relâchés.
Après le relâchement du relais Y le circuit de blocage suivant du relais K est fermé : terre,contact 69c, balai de2, en position sur un des deux premiers contacts (le sélecteur auxiliaire étant en position sur ce contact seulement pour les appale vers des abonnés locaux), enroulement I du relais Kh, contacts 70k, 71y, enroulement du relais K, batterie, terre. Le relais Kh attire également par ce circuit.
A la fin du train d'impulsions le relais J reste excité
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pendant un certain temps, de telle sorte que le contact 66i reste ouvert, et que le relais V1 aussi bien que le relais V sont relâchés.. Après le relâchement du relais Vl le- circuit suivant est établi pour l'électro-aimant Dh du sélecteur prin- cipal: terre, batterie, électro-aimant Dh, contacts 113k, l12vl, balai de3 dans sa position de travail, balai dh5 dans sa positif de repos, contacts 110h, 54pl, terre. L'électro-aimant Dh attire et ferme son contact 44dh pour faire attirer le relais H. Le relais H ouvre le circuit de l'électro-aimant Dh par le contact 110h et l'électro-aimant relâche pour ouvrir le contact 44dh et le circuit du relais H.
Le contact 110h est à nouveau fermé et l'électro-aimant excité par : terre, contacts 54pl, 110h, balai dh5 dans saposition de travail, éleptro-aimant Dh, batterie, terre. L'interaction entre l'électro-aimant Dh libre et le relais H continue jusqu'à ce qu'une ligne/soit trouvée et que le balai dh4 soit venu se placer sur le contact sur lequel se trouve le potentiel de terre donné par le balai del et le contact 55c. Le circuit de test suivant est alors établi : terre, contact 55c, balai del et balai dh4 dans leur position de travail, enroulement I du relais Pl, balai dh3, conducteur c3, batterie. Le relais Pl par le contact 50pl se bloque par le circuit suivant : terre, batterie, enroulement II du relais Pl, contact 50pl, balai dh4 et del dans leur position de travail, contact 55c, terre.
Par la fermeture du contact 49pl une terre directe est appliquée au conducteur c3 par le contact 55c et par conséquent le connecteur suivant qui a été saisi est gardé contre toute autre saisie ultérieure.
L'opératrice émet alors les trains d'impulsions né- cessaires pour faire fonctionner le sélecteur final suivant, ces impulsions étant répétées par le relais J vers le sélecteur final par le contact 28i et le conducteur a3. Une nouvelle opération des électro-aimant De et Dh n'a pas lieu cependant
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puisque le contact 54pl est ouvert. Lorsque le sélecteur final est arrivé sur la ligne de l'abonné désiré, le courant le d'appel est transmis sur la ligne comme suit:/relais F est attiré lors de la fermeture du contact 53pl par : terre, con- tacts 53p1, 52x, 51v1, enroulement du relais F, batterie, terre. Le relais F ferme son contact lo4f et établit ainsi un circuit pour l'électro-aimant Dz du dispositif à temps par: terre, contacts 104f, 99kh, 102r1, 103z, électro-aimant Dz, batterie, terre.
L'électro-aimant Dz déplace ses balais dzl à dz5 d'un pas et au même moment il ferme le contact 101dz établissant ainsi le circuit suivant pour le relais Z: terre, contact lOldz, enroulement du relais Z, résistance Wi7, bat- terie, terre. Le relais Z par le contact 103z ouvre le circuit de l'électro-aimant Dz de telle sorte qu'il relâche. Le cir- cuit de blocage suivant est cependant fermé pour le relais Z: terre, batterie, résistance Wi7, enroulement du relais Z, con- tacts 96z, 97th, 99kh, 104f, terre. Le relais Rl est attiré lors de la fermeture du contact 92z comme suit : terre, batterie, enroulement du relais R1, contacts 92z, 115s, 99kh, 104f, terre.
Le relais R1 ferme son contact 100r1 et court-circuite ainsi l'enroulement du relais Z qui relâche et fait également relâ- cher le relais R1 par l'ouverture du contact 92z. Le circuit indiqué ci-dessus pour 1'électro-aimant Dz est alors à nouveau fermé par le contact 103z de telle sorte que les balais avancent à nouveau d'un pas. L'électro-aimant Dz et les relais Z et R1 réagissent l'un sur l'autre pour faire avancer les balais du commutateur pas à pas. Chaque fois que le balai dz2 atteint des contacts communs le circuit suivant du relais W est fermé: terre, balai dz2 en position sur les contacts communs, con- tact 107f, enroulement du relais W, résistance Wi8, batterie, terre. Le relais W ferme son contact 33w pour connecter le courant d'appel au conducteur b3 aboutissant à l'abonné désiré.
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Quand l'abonné appelé répond un circuit est établi pour les relais X et Y comme suit : batterie, résistance Wi4, enroulement du relais X, contacts 281, 47pl, balai dhl, conducteur a3, boucle de l'abonné appelé, conducteur b3, balai dh2, contacts 48pl, 32w, 36e, enroulement du relais Y, terre.
Si l'abonné a répondu directement dès la transmission du courant d'appel le relais X seul attire, et en fermant son contact 108x court-circuite le relais M'et termine la trans- missiondu courant d'appel par le contact 32w et provoque l'at- traction du relais Y. Lors de l'ouverture du contact 71y le circuit de blocage mentionné ci-dessus pour le relais K est ouvert de telle sorte que les conducteurs de conversation soient prolongés par les contacts 3k, 4k et 6k et que la con- versation entre les deux abonnés peut commencer. Le relais F relâche par l'ouverture du contact 52x de telle sorte que l'électro-aimant Dz ne soit pas attiré plus longtemps de la manière décrite en recevant.les impulsions par le contact 104f.
Si lorsque l'abonné appelé réppnd les balais dzl à dz5 ne sont pas en position de repos, alors, lors de l'ouver- ture du contact 71y le relais Kh qui a été précédemment indiqué est excité en série avec le relais K et ne relâche pas puisque le circuit de blocage suivant existe : balai dz3 dans sa position de travail, contact 46kh, enroulement II du relais Kh, batterie, terre, Il en résulte que le contact 93kh est fermé de telle sorte que la terre est connectée au balai dz4.
Par conséquent le circuit suivant est établi pour l'électro- aimant Dz: terre, batterie, électro-aimant Dz, contacts 103z,
102rl, 115s, 91z, balai dz4 dans sa position de travail, con- tact 93kh, terre. Lors de la fermeture du contact 101dz du fait de l'attraction de l'électro-aimant un circuit déjà in- diqué pour le relais Z se ferme, de telle sorte que l'ouverture
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du contact 103z ouvre le circuit mentionné ci-dessus pour l'électro-aimant D.z. Lors de l'ouverture du contact 101dz le relais Z relâche à nouveau de telle sorte que par la fermeture du contact 103z l'électro-aimant Dz est à nouveau excité.
Cette interaction entre l'électro-aimant Dz et le relais Z 'continue jusqu'à ce que les balais du dispositif à temps atteignent leur position de repos. Le circuit de blocage par l'enroulement II du relais Kh est alors ouvert par le balai dz3, de telle sorte que le relais relâche et qu'entre autres il ouvre son contact 93kh d'où s'ensuit la déconnexion du potentiel de terre par le balai dz4 et qu'une opération ultérieure de l'électro-aimant Dz est empêchée. Le relais Kh a également fermé son contact 39kh de telle sorte que par les contacts 40y, 39kh et la résistance Wi9 et la batterie, le potentiel de celle-ci est connecté au conducteur b2 aboutissant à la position d'opératrice. Cela provoque la transmission d'un signal à l'opératrice pour lui indiquer que la conversation entre les abonnés est établie.
Aussi elle retire la fiche du jack, de telle sorte que le relais J relâche. Les relais V et Vl de ce fait attirent à nouveau par les contacts 66i et 65c et le circuit suivant est établi pour le relais S: terre, contacts 26pl, 25y, 24v, enroulement du relais S, batterie, terre.
Le comptage de la communication débute alors et nécessite à nouveau l'emploi du mécanisme - commutateur Dz. Après l'attraction du relais S le circuit suivant est fermé pour l'électro-aimant Dz : terre, contacts 69c, 94s, 97th,102rl, 103z et l'électro-aimant Dz, batterie, terre.
Les balais du dispositif à temps sont ainsi amenés sur les premiers contacts. Par le contact lOldz le relais Z est à nouveau excité et interrompt le circuit indiqué ci-dessus pour l'électro-aimant Dz par le contact 103z. Lors de
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l'ouverture du contact lOldz le relais Z ne relâche cependant pas, puisque entre temps il s'est bloqué lui-même par lé circuit suivant : terre, batterie,résistance Wi7, enroulement du relais Z, contacts 96z, 94s, 69c, terre. En même temps
Th le contact 68z est fermé et par conséquent le relais thermique/ se met à chauffer. Après un certain temps le contact 98ch se ferme établissant ainsi un court-circuit pour l'enroulement du relais Z. Le relais Z relâche alors et ouvre le circuit du relais thermique par le contact 68z.
Après une période de refroidissement déterminée,le contact 97th est à nouveau fermé et de ce fait le circuit mentionné ci-dessus pour l'é- lectro-aimant Dz est à nouveau fermé. Les caractéristiques du circuit qui intervient dans cette opération sont telles que l'intervalle de temps entre les pas individuels soient , de l'ordre dtune minute. Le balai dzl est par conséquent amené sur le quatrième contact lors..que la conversation dépasse trois minutes. Le circuit suivant est alors fermé pour le relais AR: terre, contact 74s, balai dzl sur le contact 4, contact 75hr d'un relais auxiliaire HR, enroulement du relais AR, batterie, terre. Lors de la fermeture du contact 18ar le potentiel de terre est connecté au conducteur aboutissant à l'émetteur S3, pour la première fois.
L'émetteur de ce fait se met à fonctionner pour transmettre une impulsion à haute fréquence sur les lignes de jonction Ll et L3 (fig. 1) vers la position d'opératrice du bureau,principal, cette impulsion est reçue par le dispositif récepteur E3 qui fait allumer la lampe de signalisation Z3. L'opératrice peut ainsi savoir que la conversation intérieure du bureau C a duré plus de trois minutes. Elle l'indique sur la fiché de communication qui se trouve dans un casier correspondant à la lampe Z3.
La connexion de la terre au conducteur aboutissant à l'émetteur S3 à travers le contact 18ar dure seulement un
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court instant. Lors de l'excitation du relais AR, le contact 77ar est fermé et le circuit suivant pour le relais auxiliaire HR est également fermé : terre, contact 74s, balai dzl sur le contact 4, contact 77ar, enroulement du relais HR, batterie, terre. Le relais HR se bloque par son contact 76hr aussi longtemps que le balai dzl reste sur le contact 4 (par exemple une minute). Lors de l'ouverture du contact 75hr le circuit d'excitation du relais AR est ouvert et ainsi le contact 18ar ' fait cesser l'impulsion pour l'émetteur S3.
Les mêmes opérations ont lieu lorsqu'après trois minutes de plus le balai dzl atteint le contact 7 et après d'autres laps de temps de trois minutes les contacts 10 et 13.
L'opératrice reçoit alors un signal de durée à chaque intervalle de trois minutes et peut ainsi noter la durée de la-conversation et par conséquent déterminer la redevance pour la communication.
Par différents cablages aux contacts de banc du dispositif à temps il est naturellement possible sans aucun complément de modifier les intervalles de temps et de les adapter à l'échelle de tarification existante. Par exemple si une redevance est due pour la première période de trois minutes et que les redevances ultérieures soient comptées de minute en minute, alors à partir du contact 4 tous les contacts devront être cablés, On doit s'assurer que le relais HR relâche à chaque pas, L'émetteur S3 est par conséquent mis en marche pour envoyer des impulsions à chaque minute à partir du quatrième pas du dispositif à temps.
Si pour des raisons données précédemment il est nécessaire d'envoyer des impulsions immédiatement après la réponse de l'abonné appelé, afin d'éliminer les cas de doute et pour indiquer immédiatement à l'opératrice par la lampe de signalisation qui lui permet d'observer la durée de conversation qui vient de s'établir, alors le contact 1 des contacts de banc
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du dispositif à temps doit également être câblé comme il est réprésenté en lignes pointillées de telle sorte qu'immédiatement après le passage du balai dzl sur le premier contact une impulsion soit transmise à l'opératrice.
Le relâchement forcé d'une communication est possible après un certain laps de temps, par exemple si le balai, dz5 atteint le contact 13, c'est-à-dire si la conversation dépasse douze minutes, alors un court-circuit est établi par le balai dz5 pour le relais Y de telle sorte qu'il relâche. Le relâchement du relais Y produit le relâchement de la communication de la même manière que si l'abonné raccordé avait donné le signal de fin avant l'expiration des douze minutes. Lors du relâchement du relais Y le contact 25y ouvre le circuit du relais S qui relâche immédiatement. Lors de la fermeture du contact 58s un courtcircuit est établi pour l'enroulement du relais C par le contact au travail 57y et de ce fait le relais C relâche.
Le relais C ouvre le contact 10c par lequel le relais P est maintenu excité lorsque le balai dz5 quitte sa position de repos, et de ce fait le relais P relâche. Par l'ouverture du contact 55c le circuit de blocage pour le relais Pl est également ouvert de telle sorte que ce relais relâche. Le circuit suivant est établi pour l'électro-aimant Dh : terre, contacts54pl, 110h, balai dh5 dans sa position de travail, électro-aimant Dh, batterie, terre.
L'lélectro-aimant Dh attire et ferme son contact 44dh fermant ainsi le circuit du relais H qui attire et par le contact 110h interrompt le circuit indiqué ci-dessus pour l'électro-aimant Dh qui de ce fait relâche et ouvre son contact 44dh pour faire relâcher le relais H, de telle sorte que lors de la fermeture du contact 110h l'électro-aimant Dh est à nouveau excité.
De cette manière les balais dhl à dh5 avancent jusqu'à leur position de repos. Le circuit suivant est alors fermé pour l'électro-aimant De; terre, contacts 54pl, 110h, balai dh5
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dans sa position de repos, balai de3 dans sa position de travail, contact lllc, électro-aimant De, batterie, terre.
Cet électro-aimant par son contact 43de réagit sur le relais H et fait avancer pas à pas ses balais jusqu'à leur position de repos. Alors le circuit suivant est établi pour l'électro- aimant Dz : contact 54pl, 110h, balais dh5, des, tous deux dans leur position de repos, balai dz4 dans sa position de travail, contacts 91z, 115s, 102rl, 103z, électro-a@mant Dz, batterie, terre. L'électro-aimant Dz par son contact lOldz réagit sur le relais Z et fait avancer ses balais pas à pas jusqu'à leur position de repos. Tous les connecteurs sont ainsi revenus à leur position normale.
Si un abonné du bureau secondaire C désire établir une communication avec un abonné du bureau secondaire E les opérations correspondent à celles de l'établissement d'une communication locale jusqu'au moment où l'opératrice intervient dans la communication.
Suivant la direction par où le trafic de la communica- tion doit avoir lieu, l'opératrice envoie d'autres trains d'impulsions d'où il s'ensuit que le sélecteur auxiliaire De se place dans une autre position, le balai de2 étant actuelle- ment en position sur un des deux derniers contacts auxquels la résistance Wi10 est connectée. Le sélecteur principal mis Dh est alors/dans une position correspondante à celle du sélecteur auxiliaire De, de telle sorte que les balais dhl à dh3 se trouvent en position sur les conducteurs a4, b4, c4 et ainsi sont reliés à la ligne de jonction L6.
L'opératrice en envoyant d'autres trains d'impulsions place les conducteurs du bureau secondaire E de telle sorte que l'abonné désiré N7 soit atteint par le sélecteur final LWE (fig. 1);
Lorsque l'abonné demandé répond les relais X et Y attirent de la manière décrite et de la même manière que
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précédemment décrite la transmission des signaux de durée vers la position d'opératrice commence, en ce sens que le dispositif à temps Dz du bureau C envoie des impulsions à l'émetteur à des intervalles de temps définis, ce qui provoque la connexion de la lampe de signalisation Z3 de la position d'opératrice par l'envoi d'impulsions à haute fréquence sur les lignes de jonction L4 et L3.
La libération de la communication se fait de la manière déjà décrite.
Comme précédemment décrit les communications d'un abonné du bureau secondaire E vers un abonné du bureau secondais C sont supervisées en ce qui concerne la durée par le dispositif à temps du bureau 0. Dans de telles communications l'abonné appelant de la ligne N6 aboutit par le chercheur d'appel ASE, le répétiteur UEE, le connecteur de ligne MWE, la ligne de jonction L6, au chercheur d'appel ASC du bureau secondaire C, où le relais d'appel AN non représenté est attiré et ferme son contact 19an. Le chercheur d'appel fonctionne de la manière décrite jusqu'à ce qu'il ait trouvé les conducteurs al, bl, cl.
L'appel de ltapératrice, l'établissement de la communication, l'appel de l'abonné demandé etc, se passent de la manière déjà décrite. Le sélecteur de¯direction RWC fonctionne de la même manière que pour des communications locales c'est- à-dire que le balai de2 du sélecteur auxiliaire vient se placer sur un contact auquel l'enroulement I du relais Kh est connecté.
L'établissement de la conversation a lieu de la manière déjà décrite ainsi que la transmission du signal de durée vers l'opératrice du bureau principal et la libération du circuit de connexion.
Si la supervision quant à la durée ne se fait pas sur les communications locales mais seulement sur les communi- cations entre abonnés de différents bureaux, des dispositifs
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doivent être prévus pour faire la différentiation entre les communications locales et extérieures et pour empêcheb la transmission des signaux de durée vers l'opératrice du bureau principal dans le cas de communications locales.
Un tel dispositif complémentaire est représenté à la fig. 4. En plus des dispositif représentés aux fig. 2 et 3 un balai supplémentaire da4 -au chercheur d'appel ASC est alors nécessaire ainsi que de4 au sélecteur auxiliaire De.
Ces deux balais sont placés avec leur banc de contacts spécialement câblés entre le contact 75hr et le relais d'impulsions AR. Un circuit pour le relais AR peut seulement, s'établir pour une position bien définie des balais da4 et de4.
Pour les communications locales par conséquent, le balai da4 peut rester par exemple sur un des deux contacts 1 ou 2. Aucun circuit pour le relais d'impulsion AR ne peut être fermé de sorte que la transmission des signaux de durée est supprimée.
Si un abonné du bureau E appelle un abonné du bureau C, le balai da4 du chercheur d'appel ASC se trouve en position sur le contact 5 pour laquelle ce balai établit une dérivation par rapport au balai de4 et se trouve ainsi directement connecté au relais d'impulsion AR. Par conséquent l'envoi des signaux de durée se fait.
Si un abonné du bureau C appelle et s'il est connecté à un abonné du bureau E, le balai da4 est en position sur le contact 3 et le balai de4 sur un des deux contacts 3 ou 4.
Pour ces positions le relais d'impulsions attire de telle sorte que pour une telle communication la transmission des signaux de durée a lieu.