BE423720A - - Google Patents

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BE423720A
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    • GPHYSICS
    • G07CHECKING-DEVICES
    • G07CTIME OR ATTENDANCE REGISTERS; REGISTERING OR INDICATING THE WORKING OF MACHINES; GENERATING RANDOM NUMBERS; VOTING OR LOTTERY APPARATUS; ARRANGEMENTS, SYSTEMS OR APPARATUS FOR CHECKING NOT PROVIDED FOR ELSEWHERE
    • G07C1/00Registering, indicating or recording the time of events or elapsed time, e.g. time-recorders for work people
    • G07C1/20Checking timed patrols, e.g. of watchman

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  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Alarm Systems (AREA)

Description


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  Système de contrôle du service des gardiens. et veilleurs de nuit 
La présente invention est relative en général à des systèmes de contrôle du service'des gardiens et veilleurs de nuit, elle se rapporte plus particulièrement à   un 'système -   de contrôle de ce genre adjoint à un commutateur automatique privé ou incorporé dans celui-ci. L'objet de l'invention est de procurer un système de contrôle   des,veilleurs,   ayant ce caractère, et qui soit nouveau et perfectionné. 



   L'invention et les diyers points caractéristiques des améliorations apportées seront décrits   ci-après   en se référant aux plans annexés qui   représentent   les appareils nécessaires pour réaliser une application de l'invention et la partie d'un commutateur automatique privé qui permettra 

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 de comprendre celle-ci. 



   En se reportant aux plans annexés on peut voir que la fig. 1 montre à gauche un poste téléphonique A muni d'un cadran d'appel et raccordé au bureau automatique privé. Ce bureau peut avoir une capacité de 900 lignes, c'est à dire qu'il peut y avoir 900 postes tels que le poste A. Chaque poste est raccordé à un présélecteur LS auquel aboutit sa ligne dans le commutateur automatique et qui sert lors des appels émanant de ce poste. 



   Les communications sont établies au moyen de sélec- teurs et de connecteurs. Les présélecteurs tels que LS sont divisés en groupes et chaque groupe a accès à un groupe de sélecteurs. Les sélecteurs ont tous accès à 9 groupes de connecteurs, Un'des sélecteurs est montré en S à la fig. 1, mais on n'a représenté aucun connecteur car ils ne font pas partie de l'invention. 



   Les présélecteurs peuvent être du type rotatif bien connu dans lequel les balais n'ont pas de position de repos et avancent toujours dans le même sens. Les présélecteurs et connecteurs peuvent être du type Strowger qui est bien connu. 



   Un certain nombre de postes téléphoniques situés en des points stratégiques des bâtiments et des dépendances desservis par le commutateur automatique sont utilisés   comme   postes de veilleurs. Il peut y avoir jusqu'à 60 poster de ce genre dans le cas qui sera décrit ci-dessous et comme ce nombre est supérieur au nombre des postes qui peuvent être desservis par un seul veilleur on supposera qu'ils sont divi- sés en 3 groupes constituant 3 parcours différents, chacun d'eux étant assigné à un veilleur différent. Le poste A est      le premier poste sur la parcours 1, qui comprend un total de 10 postes, bien que chaque parcours simple puisse comporter jusqu'à 24 postes. 

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   Pour chaque parcours on a'prévu un appareil de. contrôle, la fig. 2 montre l'appareil de contrôle du par- cours 1, qui comprend un dispositif à temps   TS,   un commu- tateur de poste SS, un   commutateur   de contrôle CS ainsi que des relais et.des circuits de connexion. Les.3 commutateurs en question peuvent être des commutateurs ordinaires à 25 'points, 
Les postes réservés au service des veilleurs dif- fèrent des autres postes en ce que leurs fils de test au bureau** central sont connectés aux bancs d'un des sélecteurs . de postes, tel que le sélecteur SS de la fig. 2.

   On a dit déjà que le poste A est le premier poste de veilleur sur le parcours   1. -Le   fil de test 9 est donc connecté'par l'inter- médiaires du fil 161 au premier contact du'banc du balai 133   .;,du   sélecteur de postes SS de la fig.   2. si. on   se'rappelle que l'appareil de contrôle de la fig. 2' est celui qui est propre . au parcours 1. Les fils de test des   deuxième,.'troisième,.etc   postes de veilleur du parcours 1 sont'connectés en ordre régu- lier au deuxième, troisième etc. contact du banc du balai   133'.   



   Donc, le fil 162 se raccorde au fil 'de test du poste N  2, le fil 163 se raccorde au fil de test du poste NI 3. Pour. ne pas compliquer le plan, on n'a représenté qu'un seul .cir- cuit de connexion complet se rapportant à un. seul'poste étant admis que la disposition en question sera clairement comprise par l'explication qui précède. Les postes des parcours 2 et 3 sont connectés de la même façon sauf qu'au'lieu d'être connectés au commutateur de postes de la fig. 2, les fils de test des divers postes des parcours 2 et 3 sont connectés aux sélecteurs de postes associés aux parcours correspondants. 



   Quand un veilleur de nuit veut effectuer l'enre- gistrement de son passade en un point déterminé il utilise l'appareil téléphonique installé en ce lieu et le bureau 

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      central automatique pour se mettre en liaison avec   l'appareil   de contrôle propre au parcours qu'il effectue et auquel apper- tient le poste dont il. se sert.   Pour     pouvoir     sélectionner   l'appareil de   contrôl   vorply d'un poste quelconque, on   @ait     usage   de plusieurs   sélecte-   uns propres à un parcours déterminé. 



  Il peut y avoir 2   sélecteurs   :le cc genre, l'un   d'eu::     est  ro- présenté en entier en RS, l'autre est simplement   indique   par les lettres RS'. Ces sélecteurs propres à un   parcours  déter- miné sont du type rotatif à un   seul   sens   d'avancement.   /On peut utiliser des mécanismes de présélecteur, mais dans le cas présent ils sont   commandés   par des impulsions et donnent accès aux 3 équipements de contrôle associés aux trois par- cours. Le premier niveau des bancs dos sélecteurs tels   que   S peut être utilisé pour donner accès nux   commuta tours     propres   à un parcours déterminé. 



   Il existe un dispositif   enregistreur   R   commun   tous les parcours, il estreprésenté par le rectangle en traits pointillés de la fig. 2. Ce dispositif   enregistreur   peut ôtre du type connu comprenant une rangée de 60 électro-aimants, chacun   d'eux   appartenant à un poste déterminé, etune   rangée   parallèle de 60 roues à   caractères,chacune   d'elles portant   l'indication   des   minutes.depuis   1 jusqu'à 60. Il comporte également une roue   commune   portant l'indication des heures. 



  Un dispositif à temps quelconque fait avancer périodiquement les roues des minutes et celle des heures pour maintenir leurs indications en concordance avec l'heure réelle, Quand un électro-aimant quelconque est actionné   d'un   poste coures- pondant, l'appareil est mie en mouvenent, il presse une carte a contre la roue des minutes correspondant l'ólectro-aimant actionné et imprime donc l'heure sur la   carte   dans la colonne réservée au poste utilisa. Après chaque impression la carte avance et à chaque heure la roue des heures imprime une in- dication. L'enregistreur complet donne donc la   possibilité   

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 d'effectuer, sur une seule carte, des enregistrements de l'heure,   commandés   de 60 postes différents.

   Evidemment d'autres enrégistreurs électriques pourraient être employés. 



  Les dix postes du parcours 1 peuvent être   répartis:    dans les 10 premières positions d'enrégistrement. Pour réaliser cette disposition les dix premiers contacts dans le banc du balai 134 du sélecteur de postes SS de la fig. 2 sont connectés, aux dix premiers électro-aimants de   l'enregistreur.   La   fig.2   
 EMI5.1 
 w6TI.t}'e 4 de ces électro-aimants et les connect,ions 'de leurs circuits.

   S'il y a 15 postes sur le parcours 2 ils peuvent en être répartis sur 15 positions de   1'enregistreur/commençant   à la position 16, ce qui laisse 5 positions libres permettant l'extension du parcours 1, la   répartition   se fait en connectant les 15 premiers contacts de banc du balai similaire au balai 134 du sélecteur de postes de l'appareil de contrôle du par- cours 2   à 15   électro-aimants consécutifs de   l'enregistreur,   en commençant au seizième électro-aimant. La répartition des postes du parcours 3 est fait d'une manière identique. 



   On suppo'se qu'un veilleur en chef ou surveillant est de service pendant les heures de ronde, l'équipement re- présenté en fig. 3 est mis à la disposition de ce surveillant. 



  Son poste téléphonique est représenté en B, il est muni d'un présélecteur LS' pour l'établissement de communications au départ. La clef OGK sert à mettre le présélecteur LS' en service et la clef MK est une clef de supervision permettant de communiquer avec un veilleur quand celui-ci effectue un enregistrement. Il y a autant de clefs MK que de sélecteurs tels que RS, propres à un parcours déterminé. TL représente une lampe associée à la clef de supervision MK, elle corres- pond au sélecteur RS propre a'un   parcours'..déterminé.   TL' est une deuxième lampe, elle est associée à'la clef MK' et au sélecteur RS' propre à   un'parcours   déterminé.

   La clef GK 

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 sert à faire connaître au veilleur qui effectue un enrégis- trement que le surveillant désire se mettre en   communication   avec lui, en G est, représentée une lampe. La clef GK et la lampe G sont communes aux sélecteurs propres à un parcours déterminé. Les lampes RL sont des lampes individuelles à chaque parcours, les lampes RA sont des lampes d'alarme. Ln SL on a représenté des lampes de postes, il y en a une pour chaque poste. Ces lampes propres aux postes sont, de pré- férence, disposées en 5 rangées faisant face aux 3 lampes propres aux parcours et aux 3 lampes d'alarme des parcours. 



  La clef LRK est une clef combinée d'écoute et d'appel. A cette clef est   '-,associé   un circuit de jonction et une ligne de jonction aboutissant à un poste C qui peut être placé au poste de police le plus rapproché. 



   Le fonctionnement du système sera décrit ci-après en analysant dans ce but la tournée effectuée par le veilleur empruntant le parcours ? 1. On doit comprendre que le veil- leur visite les divers postes sur son parcours dans un ordre .déterminé, en commençant par le poste ? 1, et qu'il effectue un enrégistrement au départ de chacun   d'aux.   Au   moment; de   chacun des enregistrements l'heure est imprimée sur le die- positif de contrôle dans la colonne correspondant au costc considéré, il se fait donc qu'un   enregistrement     complet, est   établi qui peut être contrôlé à tout moment pour s'assurer de ce que le veilleur a accompli sa mission correctement. 



   Quand le veilleur arrive au poste A, qui est le premier du parcours ? 1, il décroche le récepteur et émet les chiffres nécessaires à l'établissement d'une   communication   vers l'appareil de contrôle du parcours ? 1,   c'est   à dire l'appareil de contrôle montré à la fig. 2. ±'est tout ce que le veilleur a à faire pour   enregistrer   son passage au poste en question. Les   chiffres   que le veilleur doit émettre 

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 dans le cas présent sont les chiffres 1 et 1, c'est à dire qu'il émet le numéro 11. Il émet le même numéro de chacun des postes situés sur le parcours qu'il surveille. On peut faire remarquer ici que le numéro émis par le veilleur du parcours N  2 est le 12 et que le veilleur du parcours ? 3 doit toujours émettre le numéro 13. 



   Lorsqu'on décroche le récepteur au.poste A un pont d'alimentation se ferme à travers les fils de ligne 1 et 2, ce   qui¯provoque   l'alimentation du relais de ligne 3 du pré- sélecteur LS. Lorsque le relais 3   attire,il   ferme le circuit du relais de coupure 4 en série avec l'électro-aimant de commande 8, en même temps il connecte le balai de test 7 au relais de coupure et à 1'électro-aimant de commande. Si au moment considéré les balais du présélecteur sont engagés sur une ligne occupée, le contact sur lequel se trouve le balai 
7 est raccordé au positif et le relais'de coupure 4 est court-   circuité,   Cette terre fait également attirer 1'électro-aimant de commande 8 qui fait avancer les balais à la recherche d'une ligne de jonction libre.

   Dans le cas présent on admettra que le sélecteur S auquel sont associés les balais du présélecteur 
LS est libre, par conséquent quand le relais de ligne 3 at- tire le relais de commutation 4 attire immédiatement, il pro- longe la ligne vers les fils 1 et 2 à travers les balais 5 et 6 et de là vers le relais de ligne 15 du sélecteur S. L'at- traction du relais 4 met le relais de ligne 3 hors circuit mais ce dernier est retardé à la libération et maintient le relais 4 jusqu'à ce que la terre soit reçue du fil-de test 11. 



   Le relais de commutation 4 établit également une connexion entre le balai de test 7 et le fil de test 9. 



   Quand la connexion est établie jusqu'au sélecteur S par l'intermédiaire du présélecteur LS comme il a été décrit ci-dessus, le relais de ligne 15 attire dans le circuit de la      

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 ligne appelante et ferme en 30 le circuit du relais 16 re- tardé au fonctionnement. Lorsque ce relais attire il met le fil de test 11 à la terre en 33 pour constituer le circuit de blocage du relais 4 du présélecteur LS. Le relais 16 connecte également en 32 le balai de test 24 à l'enroulement supérieur du relais de test   18,   il prépare en 31 le circuit de l'électro-aimant d'ascension 20. Le relais 17 attire en même temps par l'intermédiaire d'une terre prise au fil 11 de libération de la jonction, ce circuit passant par la paire supérieure des contacts de tête N  1.

   La terre prise au fil 11 alimente également l'enroulement inférieur ou enroulement de polarisation du relais de test 18 qui est.polarisé élec- triquement. 



   Le veilleur peut émettre maintenant le premier chif- fre du numéro 11 ce qui provoque une interruption du circuit du relais de ligne 15 et provoque un relâchement de ce relais qui transmet une impulsion vers l'électro-aimant d'ascension 
20. Sous l'action de cette impulsion l'électro-aimant d'as- cension fait monter d'un pas l'arbre porte-balais   22-24,   de telle sorte que les balais se trouvent en face du premier ni- veau des contacts de   banc.   Quand l'arbre monte, les 3 groupes   .   de ressorts de tête ONl, ON2, ON3 sont actionnés et en   0?Il        le circuit de l'enroulement supérieur du relais 17 est coupé.      



   Ce relais ne relâche pas immédiatement car il   reçoit'.une   im- pulsion du relais de ligne 15 en parallèle avec   l'électro- '   aimant d'ascension 20. Un court instant après que le commu- tateur a été élevé par cette impulsion, le relais 17 relâche et le relais de ligne 15 étant de nouveau alimenté le circuit de l'électro-aimant de rotation 21 est fermé. Ce circuit emprunte les ressorts de tête ON3 qui sont actionnés en ce moment. Lorsque ce circuit se ferme l'électro-aimant de rota- tion fonctionne à la manière d'un ronfleur, puisqu'il inter- 

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 rompt son propre circuit d'alimentation, il'fait tourner l'arbre portant les balais 22-24 et recherche un commutateur libre tel que RS. 



   L'état d'un commutateur libre est décelé par la présence d'un négatif sur le fil de test qui lui est associé, tel que le fil 41, et si on suppose que le commutateur RS assigné à un parcours déterminé, est libre le fil de test 41 sera connecté au négatif, cette polarité est dérivée par la connexion normale de ce fil à l'enroulement supérieur du   relais 52.   Quand le commutateur S en recherche atteint les contacts 25-27 qui sont associés au commutateur RS, le balai de test 24 trouve un négatif et le relais de test 18 attire sous l'action de son enroulement supérieur alimenté par l'in- termédiaire d'une terre prise au fil 11.

   Lorsque le relais 18 attire il connecte en 28 le fil 11 au balai,de test 24, il ouvre en 29 le circuit de l'électro-aimant de libération 
19, et il transfère les fils de la ligne entrante du relais de ligne 15 aux balais 22 et 23. Le relais 15 relâche par conséquent et coupe le circuit du relais 16 mais celui-ci est retardé au fonctionnement, il maintient donc une terre sur le fil 11 jusqu'à ce   qu'une   terre de blocage soit procurée par le sélecteur RS qui a été choisi. Le relais 18 reste attiré sous l'action de son enroulement inférieur seul. 



   Quand le commutateur RS est choisi comme il a été décrit précédemment, le relais 52 attire en série avec le relais 18, après que celui-ci a attiré, le relais   52-reste   bloqué'par l'intermédiaire d'une terre prise à travers le contact 41. Le relais de ligne 50 est alimenté   àtravers   la ligne appelante et en 60 il ferme le circuit du relais 51 qui est retardé au fonctionnement.

   Lorsque le'relais 51 at- tire il met le fil 41 à la terre en 64, et de ce fait il complète le circuit de blocage du commutateur S et du présé- 

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 lecteur LS; En plus de ces fonctions le relais 51 prépare en 62 les circuits de blocage des relais 54 et 55, en 63 il prépare le circuit 'd'alimentation du relais   56,   en 65 il pré- pare le circuit de   commande   de l'écectro-aimant 57. On peut signaler que lorsque le relais de ligne 50 attire il ferme en 61 le circuit de la lampe Tl de la fig. 3.   L'allumage   de cette lampe montre au surveillant qu'un veilleur émet un appel par l'intermédiaire du premier commutateur   RS.   



   Le veilleur émet ensuite le deuxième chiffre du numéro 11, il en résulte que le relais de ligne 50 relâche une fois et transmet une impulsion vers l'électro-aimant de commande   57,   le circuit comprend la terre prise en 60 par l'intermédiaire de 67, le contact 65, l'enroulement de l'é- lectro-aimant 57 et le négatif. L'électro-aimant 57 attire sous l'action de l'impulsion et fait avancer d'un pas les balais 85-88 de.telle sorte que les balais 85-87 établissent, à travers les fils 89-91, la connexion avec l'appareil de contrôle de la fig. 2. Quand le balais 88   abandonne ''sa   posi- tion normale il coupe le circuit de l'enroulement   supérieur   du relais 52, mais celui-ci reste bloqué momentanément du fait qu'il reçoit l'impulsion en parallèle avec l'éloctro-aimant 57.

   Quand le relais 52 relâche il coupe, en 37, le circuit de commande et en 66 il ferme le circuit du relais   'Si). '  Le circuit du relais de   commutation   58 comprend:''la terre prise en 78 par l'intermédiaire des contacts du relais   55' du   commutateur RS', les   contacte   commandés par le   ressort   79 du relais 56, l'enroulementinférieur du relais 56, les contacts 66, 63, 70, 73 l'enroulement supérieur du relais 56, le né- gatif. Le relais 56 attire dans le circuit décrit ci-dessus et établit en 79 son circuit de blocage.

   En 78, le relais 56 coupe le circuit en c'aine par   l'intermédiaire     duquel   il a été alimenté   initialement,   ce   qui prévient     l'attraction   

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 du relais de commutation 56' de l'autre commutateur assigné à un parcours déterminé si un autre veilleur voulait enrégis- trer son passage à ce moment précis. De plus le relais '56 met le balai 85 à la terre en 76; en 77, il prépare le circuit du relais 55; en 80, il établit le circuit de blocage du re- lais 51 ; en 81 il substitue le négatif 82 de la batterie d'ap- point à la terre connectée antérieurement au fil 41 de libé- ration de la jonction. La raison de cette modification sera expliquée ci-après.

   On ferme le circuit de blocage du relais 51 pour =maintenir la connexion établie et assurer l'enrégis- trement de l'appel dans le cas où le veilleur viendrait à rac- crocher prématurément. 



   On considérera maintenant le fonctionnement de l'ap- pareil de contrôle de la fig. 2. Quand'le relais 56 de la fig. 1 met le balai 85 à la terre en 76 le circuit du relais 
100 se ferme à travers le fil 89. Un embranchement de ce cir- cuit se prolonge jusqu'à la lampe RL du parcours 1 et en pro- voque l'allumage pour avertir le surveillant de ce qu'un en- régistrement est en cours venant d'un poste du parcours   1.'   
Lorsque le relais 100 attire il ferme en 112 le. circuit du re- lais 101, et le circuit du relais de test 102 en 111. Le re- lais 102 est un relais à fonctionnement rapide alors que le relais 101 possède une bague à son extrémité supérieure et est retardé à l'attraction.

   Le relais 102 est aussi un re- lais marginal, il ne peut attirer lorsqu'il est dans-le cir- cuit d'un fil de test mis à la terre,   c!est   à   dire'qu"il   est incapable d'attirer quand il est alimenté par le courant fourni par la batterie du bureau seul. En ce moment cependant puis- que la batterie d'appoint 82 a été mise en service par le relais 56 do la fig, 1 et puisque le 'commutateur SS se trouve en première position, correspondant au premier -poste-du veil- leur, le relais de test 102 possède un circuit qui comprend 

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 la batterie du bureau et la batterie d'appoint 82 en série, il attire immédiatement en ouvrant le circuit du relais 101 en   117   avant que ce relais puisse attirer, enfin il ferme son circuit de blocage en 115.

   Le circuit qui alimentait   primi-   tivement le relais 102 est le suivant: terre à la batterie d'appoint 82, résistance de protection adjointe à la batterie, contacts   81,   64, 41, 27, 24,   28,   11, 7, 10, 9. ICI, balai 133 en première position, enroulement supérieur des relais 102, 
115, 111, batterie du bureau, terre. 



   L'attraction du relais 102 ferme le circuit d'en- régistrement en 118. Ce circuit comprend la terre prise en 
118, le contact 129, le balai 134 en première position, l'é- lectro-aimant particulier au premier poste faisant partie de   - l'enregistreur   R, le   négatif.   Par suite du fonctionnement de cet électro-aimant l'enregistreur imprime l'heure dans la colonne réservée au poste N  1 du premier   parcours.   Le cir- cuit de 1'électro-aimant d'enregistrement n'est formé que momentanément car le relais 105, alimenté par une portion du même circuit, coupe en 129 l'embranchement qui s'étend   vers   l'enrégistreur.

   Le relais 105 supprime également en 132 la. terre placée sur le fil   170,   mais celui-ci   reste     cependant   mis à la terre en 120   aussi   longterps que le relais 102 reste attiré. Le relais 105 ferms   également   le circuit du relais 
104 en 131. 



   Lorsque le rolais 10 attire, en 181, il   prépare -   le circuit de   1'électro-aimant   de commande 137, il ouvreen 
126 le circuit de rascel automatique   comprenant   cet   électro-   aimant; en 127, il fermie lc. circuit du relais 103; en 125, il met le fil 90 à la terre. Le circuit du relais 103 est le suivant: positif pris par l'intermédiaire du balai 135 en première position, contact 137, enroulement du relais 103, .négatif, Quand le relais 103 attire il place une terre sur 

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 le balai 136 en 124, ce qui provoque l'allumage de la lampe SL, du poste ? 1, dans la rangée des lampes propres au par- cours 1.

   De plus le relais 103 prépare son circuit de blo- cage en 123 et ferme le circuit qui connecte l'électro-aimant de   commande   138 du   commutateur   à temps TS à l'horloge-mère représentée 'ici par une came qui suppose-t-on est en rotation continuelle à la vitesse   d'un   tour par minute. L'horloge- mère peut être   commune   à tous les appareils de contrôle de plusieurs parcours. Le circuit de l'électro-aimant de com- mande 138 comprend: la terre prise par l'intermédiaire des contacts de   1'.horloge-mère,   les contacts 121, 119, 130, l'en- roulement de l'électro-aimant 138, le négatif. Ce circuit se ferme momentanément une fois à chaque minute. 



   On analysera maintenant les effets de la mise à la terre du fil 90 au contact 125 du relais 104. Le circuit. 



  .du relais 55 se ferme il comprend la terre prise en 125, les contacts 90,'86, 77, l'enroulement du relais 55, le négatif.- Quand le relais 55 attire il se bloque en 71, il ferme en 72 le circuit du relais 53, enfin en 73 il ouvre .le circuit du relais 56. Par conséquent le relais   56-relâche   et ouvre le circuit de blocage du relais de libération 51-en 80.. Le   circuit du relais ronfleur 53 est le suivant : à la   fig. 3 par l'intermédiaire des contacts'normalement .fermés , de la clef CK, fil 93, contacts 72, 68, enroulement du re- lais ronfleur 53, négatif.

   Le relais 55.interrompt son propre circuit en   '68   et produit un courant à fréquence audible qui est transmis à travers le petit condensateur vers le fil in- férieur de la ligne entrante et vers le commutateur   RS. 'Ceci   donne au veilleur, qui est à l'écouté avec le téléphone à l'oreille, un signal indiquant que l'enregistreur a fonctionné, par conséquent le veilleur raccroche le récepteur du poste 1 et poursuit sa ronde vers le poste N  2,. 

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   Quand on raccroche le récepteur au poste   A   le re- lais de ligne 50 relâche et ouvre le circuit du rclaie de li- bération 51. Le refais 56 ayant relâché comme on l'a   expli-   qué précédemment, le relais 51 peut relâcher en débloquant le relais 55, celui-ci relâche et ouvre le circuit du ronfleur en 72. Le relais 51 ferme également un circuit de rappel qui comprend : la terre prise au ressort inférieur du groupe des contacts échelonnés du relais 56 par l'intermédiaire des con- tacts Interconnectés du banc du balai 88, le balai 88, le contact 64, les contacts de tête ON4, les contacts interrup- teurs.de l'électro-aimant de commande 57, l'enroulement de cet électro-aimant, le négatif. 



   L'électro-aimant 57 fonctionne par intermittence dans le. circuit de commande propre qui vient d'êtredécrit,- il fait avancer pas à pas les balais 85-88 jusqu'en position de repos où le circuit est coupé au balai 88 et aux contacts de tête. 



   Pendant que le   commutateur   RS revient on position de repos le fil 41 de libération de la jonction reste con- necté à la terre par l'intermédiaire du balai 88, mais quand le commutateur atteint sa position de repos cette terre est supprimée et comme le relais 51 a relâché déjà le fil 41 de libération de la jonction   n'est     plue   connecté à la terré, ce qui coupe les circuits de blocage du sélecteurS et du pré- sélecteur LS. Dans le sélecteur S le relais de   commutation.   



  18 relâche et ferme le circuit de 1'électro-aimant de libéra- tion 19 par l'intermédiaire des contacts 29, 30, 31 et des contacts de tête   ON2.   L'électro-aimant de libération rappelle le commutateur en position de repos de la   manière   bien connue et son circuit est coupe aux contacts de tête quand le com- mutateur atteint sa position normale. Dans le présélecteur .LS le relais 4   relâche,   les balais   restent   en place 

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 sur le sélecteur S. La libération du relais 4 met le relais de ligne 3 en circuit de telle sorte qu'un'autre appel puisse être lancé du poste A. 



   En se reportant maintenant à l'appareil de contrôle de la fig. 2, on peut voir que lorsque le relais 56 de la fig, 1 retombe comme il a été expliqué précédemment il supprime en 
76 la terre du balai 85, de ce fait il coupe le circuit du relais 100 et éteint la lampe RL. Par conséquent le relais 
100 relâche, il coupe le circuit de l'enroulement supérieur du relais 102 en 111, il ouvre en 112 le circuit de blocage empruntant.l'enroulement inférieur du relais 102. Le, relais 
102 relâche donc et coupe le circuit primitif d'alimentation du relais 105 en 118. Le relais 105 relâche ou non suivant que   le'commutateur   à temps TS a fait un pas ou non.

   Un temps très court, deux secondes peut être, s'est écoulé depuis que le circuit s'est fermé   en-121   par suite de l'attraction du relais 103 et on a beaucoup de chances pour que le commuta- -beur à temps n'ait pas encore avancé. Dans ces conditions le relais 105 relâche immédiatement quand son circuit est coupé en.118, les effets de cette action seront expliqués ci-dessous. 



   Il peut se faire cependant que l'horloge-mère T envoie une impulsion vers l'électro-aimant de-commande 138 entre l'a ttraction du relais 103 et la libération .du relais 
102, dans ces conditions le commutateur à temps,TS aura avancé   d'un   pas avant que le relais 102 relâche et coupe le circuit du relais 105 en 118. Dans ce cas,,le relais 105 ne relâche pas mais il reste bloqué dans un circuit qui comprend: la terre prise par l'intermédiaire du balai   139 de   Ts, le contact 129, l'enroulement du relais 105, le négatif.

   Le relais 102 étant ' relâché et le relais 105 étant attiré le circuit de rappel du commutateur à temps TS s'établit, il comprend: la terre prise au balai 139, les contacts interrupteurs de l'électro- aimant de   commande   138, les contacts 119, 130, l'enroulement 

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 de l'électro-aimant de commande 138, le négatif. L'électro- aimant 138 fonctionne dans le circuit décrit ci-dessus et fait avancer automatiquement les balais du commutateur à temps jus-   qu'en   position normale, où le circuit est coupé au balai 139 et le commutateur s'arrête. 



   Quand le balai 139 arrive en position de repos le   circuit   de blocage du relais 105 est coupé et le relais re- lâche, il coupe le circuit du relais 104 en 131 et ferme en ce même point le circuit de 1'électro-aimant de commande 137   -du   commutateur SS. Le relais 104 est lent à la libération et le circuit de commande de l'électro-aimant reste établi jus- qu'à ce que le relais 104 ait eu le temps de relâcher. Les impulsions envoyées vers l'électro-aimant 137 font fonctionner celui-ci*   lorsqu'il   relâche,les balais 133-136 sont amenés de   le   première position à la deuxième.

   Quand le relais   104   relâche il ouvre le circuit primitif d'alimentation du relais 103 en 127, mats le relais 103 est lent au fonctionnement, il reste bloqué jusqu'à ce que le déplacement du commutateur SS de la première à la deuxième position ait établi un circuit de blocage qui comprend: la terre prise par l'intermédiaire du balai 135 en deuxième position, les interconnexions entre les broches, le contact 123, l'enroulement du relais 103, le négatif. Le relais 123 reste bloqué dans ce circuit jusqu'à ce que le veilleur ait envoyé un appel du dernier poste du parcours 1. 



   La libération du relais 105 et l'attraction du re- lais 103 sert à connecter l'horloge-more T à 1 électro-aimant de commande 138 du commutateur à temps dans un circuit qui comprend le contact 121 du relais 103 et le contact au repos 130 du relais 105. Le déplacement du balai 136 de la première à la deuxième position éteint la lampe SL du poste N  1 du 

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 parcours 1, et allume la lampe du poste N  2. Ceci indique au surveillant que le veilleur effectuant le parcours 1 a quitté le poste N  1 et qu'il se dirige vers le poste N  2. 



   Au moment considéré on se trouve donc dans les conditions suivantes : le commutateur SS a passé de la position 
1 à la position 2, de telle sorte que le relais de test 102 a été connecté à travers le balai 133 au fil 162, celui-ci se connecte à son tour au fil de test du poste N  2. Un circuit a done été préparé de telle sorte que le relais de test 102 puisse fonctionner quand un enrégistrement sera effectué, par le veilleur, au poste N  2. La lampe   SL   du,, poste N  2 du parcours 1 est alimenté à travers le balai 136, le surveillant sait donc que le veilleur se dirige vers ce poste en effectuant sa ronde. Le commutateur à temps TS avance 4   ia   cadence d'un   -pas   par minute.

   Le but principal du   commutâtes   à temps est d'allumer la lampe d'alarme RA du parcours   1   dans le cas où le veilleur n'envoie pas d'appel d'un poste quelconque en temps voulu. Le temps alloué au veilleur pour se rendre d'un poste au suivant est variable dans certaines limites, dans le présent exposé on suppose qu'il est   d'environ 10   minutes, , puisque le fil 171, à travers lequel l'alarme est amenée, est connecté au dixième contact du banc du   balai 14.0.   Il est évident que ce laps de temps peut être modifié en déplaçant ce fil vers un autre contact. 



   Dans le but d'expliquer le fonctionnement du com- mutateur à temps plus en détails, on supposera maintenant que le veilleur omet d'envoyer un appel'du deuxième poste pendant l'intervalle de   temps qui lui   est alloué. Après que le commutateur à temps TS a effectué 10 pas le circuit du relais 110 se ferme, le circuit comprend; la terre prise en 
132 par l'intermédiaire du balai 140, le fil 171, l'enroule- 

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 ment du relais 110, le négatif.

   Quand le relais 110 attire il se bloque en   157,   il prépare en 158 le circuit du relais de sonnerie 203   et''il   ferme le circuit de la lampe d'alarme      RA du parcours 1 en   159.   L'allumage de la lampe d'alarme   ave r-   tit le surveillant de ce que le veilleur effectuant le parcours 1 a omis d'envoyer un appel d'un poste quelconque endéans le temps voulu et jetant un coup d'oeil vers les lampes SL le surveilant se rend compte immédiatement de ce que le poste où le veilleur est en retard est le poste N  2. 



   Le surveillant peut suivre n'importe quel parcours parmi plusieurs. Comme de préférence les rondes effectuées par les veilleurs   n'ont   pas lieu en même temps, les veilleurs affectés aux parcours 2 et 3, ou l'un d'eux, peuvent se trouver au   bureau,   du surveillant où les veilleurs se reposent lors-   quils   ne sont pas en train d'effectuer leur ronde. Si donc un autre veilleur est présent le surveillant l'envoie aux renseignements. 



   Dans le cas où il n'y a pas de .veilleur disponible, le surveillant peut appeler un quelconque de ceux-ci en action- nant la clef de garde GK de la fig. 3. La clef de garde   GK   est commune aux deux commutateurs Rs et RS' quand on l'actionne la terre est enlevée du fil 93 et du fil   correspondant/'qui   aboutit à l'autre commutateur. Il s'ensuit   que le   premier veilleur qui émet un appel ne reçoit pas le signal lancé nor- malement par le ronfleur 53, il attend donc   jusqu'à   ce que le surveillant se soit mis en relation avec lui. 



   On peut supposer par exemple que le veilleur effec- tuant le parcours N  2 émet un appel d'un poste quelconque placé sur son chemin et qu'il saisit donc le commutateur RS. 



  Après avoir émis le numéro qui effectue l'enregistrement de son passage, le veilleur se mettra à l'écoute dans l'attente du signal qui lui fait connaître que son appel a été enrégistré 

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 et qu'il'peut continuer sa ronde vers le poste suivant. Comme on l'a expliqué précédemment ce signal est produit par l'attrac- tion du relais 56 qui en 72 ferme le circuit du relais ronfleur 
53. Dans les conditions présentes cependant le circuit du re- lais ronfleur 53 ne peut se fermer car il a été ouvert à la clef GK.

   Le surveillant est averti de ce que le veilleur a émis un appel car la lampe de garde G s'est allume par suite de la fermeture de son circuit en 75, et il salt.que le veilleur r utolise le commutateur'RS puisque la lampe TL brûle au'lieu de la lampe TL', par conséquent il actionne la clef MK dans le but d'établir une connexion entre sa ligne téléphonique   206-207   et la ligne aboutissant au commutateur RS. Après avoir décroché      le récepteur du poste B le surveillant peut parler au veilleur et lui donner les instructions nécessaires pour   qu'il   s'enquiert   "-des   raisons pour lesquelles le veilleur chargé du parcours 1 n'a pas enrégistré son passage au poste N  2. 



   On supposera maintenant qu'aveo ou sans le secours du deuxième veilleur, le veilleur chargé du parcours 1 arrive au poste N  2 et effectue un enregistrement. 



     Il   émet le N  11 comme il a été dit précédemment et les   commutateurs,   sont actionnés de la même manière, la connexion étant établie du deuxième poste à travers le présélecteur qui lui est associé tel que le présélecteur LS, le sélecteur S ou un sélecteur identique, et un des commutateurs assigné à un parcours déterminé, tel que le commutateur RS, 'par   exemple.   



   L'appareil de contrôle de la   fig. 2   fonctionne- de la manière décrite précédemment. Le relais   100 attire   suivi du relais 
102. L'attraction du relais 102 est suivie du fonctionnement.: de l'enregistreur R et un court   instant   après le relais 105 , attire. Le relais 105 fait, attirer le relais 104 qui met le fil 90 à la terre et fait attirer le relais 55 qui ferme le 

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 circuit du ronfleur et coupe le circuit du relais 56. Si le surveillant, a rétabli la clef GK en position normale le veil- leur recevra un signal comme d'habitude, il raccrochera son récepteur et poursuivra son chemin vers le poste suivant. 



  Dans le cas considéré cependant, le surveillant aura sans doute laissé la clef GK en position de travail de telle sorte que le veilleur ne quitte pas le poste N  2 sans avoir parlé   avec   le surveillant. En effet, les commutateurs automatiques utilisés par le veilleur pour effectuer son enregistrement restemt en service jusqu'à ce que le veilleur raccroche son récepteur. Après avoir reçu les explications du veilleur le surveillant replace la clef   GK   en position normale ainsi que la clef MK qui avait été utilisée pour établir la   communi-   cation. Le veilleur raccroche et se dirige vers le poste suivant. 



   Quand le relais 56 de la fig. 1 relâche il permet la libération des relais 100 et 102 de la fig. 3, le relâche- ment du dernier de ces relais coupe le circuit de   blocage   du relais 110, le relais 105 restant attiré. Par conséquent le relais 110 relâche et éteint la lampe d'alarme   RA   du parcours 1. 



  Le relais 102 soupe également le circuit primitif d'alimenta- tion du   relais ,105   mais ce dernier reste bloqué par l'inter- médiaire du balai 139 du commutateur à temps jusqu'à ce que celui-ci ait été ramené en position normale Le rappel en position de repos du commutateur à temps s'effectue immédiate- ment après la libération du relais 102 comme il a été dé- crit antérieurement.   uand   le commutateur   à   temps atteint sa position de repos le relais 105 se débloque et relâche en coupant le circuit du relais 104. Les relais 105 et   104   trans- mettent alors une impulsion vers l'électro-aimant de commande 137 du commutateur SS qui en recevant l'impulsion avance les balais 133-136 en troisième position.

   Le déplacement du balai 133 de la deuxième et troisième position prépare le circuit 

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 du relais. de test 102 par l'intermédiaire du fil 163 qui est connecté au fil de test du troisième poste.Le déplacement du balai 136 de la deuxième à la troisième position provoque l'extinction de la lampe   SL   associée au deuxième poste du parcours 1 et fait allumer la lampe du troisième poste. 



   Si on revient maintenant au point où le veilleur effectuant le parcours 1 omet d'envoyer un enregistrement du . deuxième poste dans le temps voulu on peut supposer   qu'il   n'y a pas de veilleur disponible pour être envoyé aux renseigne- ments, on peut de plus supposer que les parcours sont suffisam-        ment   éloignés l'un de l'autre pour qu'il ne soit pas pratique d'appeler un veilleur affecté à un des autres   parcours   pour rechercher la cause des difficultés qui ont pu surgir sur le parcours ? 1. Dans ces conditions le   surveillant, jugera     dthabi-   tude   qu'il   est nécessaire qu'il aille lui-même s'informer des motifs de la perturbation qui intervient dans leservice.

   Avant d'abandonner le poste de contrôle il peut cependant alerter le poste de police où se trouve placé le poste téléphonique C, ce qu'il fait en décrochant le téléphoné B et en actionnant'la clef LRK d'abord en position d'appel et ensuite en position d'écoute. Quand la clef LRK est amenée en position d'appel ou vers la droite comme le montre le pian; une terre est placée sur le fil 205 de la jonction qui aboutit au poste de police; en même temps le générateur GEN est connecté à l'autre fil 204. 



   Ceci fait retentir la sonnerie du poste C. Quand, la clef LRK est actionnée vers la gauche les fils de ligne 206 et 207 sont prolongés vers la bobine   d'impédanae   200 et en même temps le circuit du relais 202 se ferme, Quand ce relais attire, il connecte les fils de jonction 204 et 205 à la bobine d'impédance      
201. Les téléphones B et C reçoivent alors leur courant dtali- mentation   microphonique   à travers les bobines d'impédance 200 et 2ol, respectivement et comme ces   obines   sont connectées au   .Il-   

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 moyen   de   condensateurs un circuit de conversation s'établit qui permet au surveillant de se mettre en conversation avec l'agent de police de service au poste considéré.

   Le surveillant de difficultés peut avertir l'agent de ce qu'il y a des probabilités/quelcon- ques de telle sorte qu'il puisse se préparer à envoyer du secours s'il en était requis. Quand la conversation est ter- minée le surveillant raccroche le récepteur du poste B, il re- place la clef LRK en position de repos et part à la recherche du veilleur en abandonnant momentanément son poste de contrôle. 



   On supposera maintenant que le veilleur a été retar- dé pour une raison ou pour une autre, peut être parce qu'il s'est   arrêté   pour identifier quelque bruit qui par la suite se sont révélés comme n'ayant aucune importance. Dans ce cas le surveillant enverra le veilleur au poste N  2 pour qu'il enrégistre son passage et il retournera à son poste de contrôle. 



    Lorsque il   rentre il appelle le poste de police de la manière décrite précédemment et il prévient l'agent de service de ce qu'il n'y a pas lieu d'envoyer du secours. 



   Il peut se faire cependant que le surveillant ren- contre quelque difficulté réelle qui l'empêche de retourner   à son   poste' de contrôle. Après un délai de 10 minutes déter- miné par le commutateur à temps TS, le circuit du relais d'ap- pel 203 se ferme. Ce circuit comprend : la ferre prise en 132      par l'intermédiaire du balai 140, le fil   172,   les contacts 158, 212, l'enroulement du relais 203, le négatif. Le relais 203 se bloque par l'intermédiaire du fil 211 et de la terre prise en 132, il ferme un circuit d'appel vers la ligne de jonction   204-205   aux contacts 215 et 216. La fermeture du circuit d'appel fait retentir la sonnerie du téléphone C d'une manière continue.

   L'agent de service est averti de cette façon de ce que le surveillant se trouve en difficulté et il lui envoie du secours immédiatement. La sonnerie continue de 

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 fonctionner jusqu'à ce que tout soit en ordre et qu'un enré- gistrement   correat   aitété émis du poste N  2, dès lors'le ,relais 110 est débloqué comme il a été décrit précédemment, il'éteint la lampe d'alarme, en même temps le relais 203 est débloqué, il,,coupe le circuit d'appel vers la ligne du poste C. 



   Le fonctionnement du commutateur de contrôle CS de la fig. 2 sera expliqué ci-dessous. Dans ce but on peut sup- poser que le commutateur SS se trouve en   trdsième   position', que   la troisième   lampe SL du parcours 1 est allumée et que le veilleur affecté au parcours 1 se dirige sans doute du poste 
N  2 vers le poste N  3. On supposera également qu'au lieu d'effectuer un   enrégistrement   du poste N  3'le veilleur saute celui-ci et effectue un enrégistrement du poste N  4. Dans ces conditions le commutateur de contrôle CS fonctionne, les résultats en seront donnés ci-dessous. 



   On supposera que le veilleur effectue l'enrégistre- ment au moyen d'un présélecteur identique au présélecteur   LS,   du sélecteur S et du commutateur RS. Quand le relais 56 dans le commutateur RS attire et met une terre sur -le   balai 85,   le circuit du relais 100 se ferme de la manière   qui   été décrite déjà.

   Le relais 100 connecte la batterie à l'enroulement supérieur du relais   102   en   111,   en 112 il ferme le circuit du relais 101 retardé à 1'attraction.' Le relais 102 n'attire pas en 'ce moment car le commutateur   SS   se trouve en troisième position alors que le veilleur procède à un enregistrement au quatrième poste, la batterie d'appoint 82 sera connectée par l'intermédiaire du fil de test du quatrième   poste-,eu   fil 164 connecté au quatrième contact du banc du balai 133. Par con- séquent le circuit de test sera ouvert au banc du balai 153 et le relais de test 102 n'attirera pas: Après un instant le relais 101 attire puisque son circuit ntest pas ouvert en 

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117, il transfère en 115 la connexion de test de la batterie du bureau vers le relais 109.

   De plus le relais 101 ferme le circuit d'alimentantion de l'électro-aimant de commande 160 du commutateur de contrôle   oSi   ce circuit comprend: la terre prise en 132 par l'intermédiaire du contact 113, le fil 173, les   contacts   interrupteurs de 1'électro-aimant de commande 
160, l'enroulement de cet électro-aimant, le négatif. Le circuit décrit ci-dessus est interrompu par l'électro-aimant de   commande   160 chaque fois qutil attire, par conséquent le commutateur de contrôle CS avance pas à pas à la recherche du poste   d'où.   parvient l'enrégistrement. 



   Quand le balai 141 atteint le quatrième contact de son banc il rencontre la polarité de la batterie d'appoint sur le fil 164 ce qui fait attirer le relais 109. Le relais   . 109   se bloque en 150 par l'intermédiaire du fil 173 mis à la terre, en 151 il place un shunt sur les contacts interrupteurs de 1'électro-aimant de commande 160 ce qui maintient 1'électro- aimant attiré et empêche tout avancement ultérieur du cola- mutateur. De plus le relais 109 met le balai 144 à la terre 
1 en 154, de ce fait la lampe SL du poste N  4 du parcours/s'al- lume, enfin le relais 109 ferme aussi en 156 le circuit de la lampe d'alarme   RA   du parcours 1.

   Le relais 109 ferme égale- ment le circuit d'enregistrement en 152 et 153 Ce circuit comprend: la terre prise en 153, les contacts 147, 152',- le balai 142, le quatrième électro-aimant propre à un poste dans l'enrégistreur, le négatif. L'enrégistreur fonctionne pour. enregistrer l'heure de la manière habituelle. Le relais 108 est alimenté dans une branche du circuit d'enregistrement, après un court instant il attire et coupe le circuit en 147. 



   Le relais 108 ferme aussi le circuit du relais 107 mais comme il est retardé à l'attraction une terre est momentanément 

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 appliquée au fil 91. 



   Du fait de la mise à la terre du fil 91 le relais 
54 de la fig-. 1 attire dans un circuit qui comprend : la terre prise au contact 148, les contacts 149, 91, 87, l'enroulement du relais   54,'le   négatif. Quand le relais 54 attire il se bloque en 69 et ouvre le circuit du relais 56 en 70. Il est à remarquer que le relais 54 ne ferme pas le circuit du relais ronfleur 53 et que par conséquent aucun signal   n'est   reçu par le veilleur. 



   Au bureau de contrôle le'surveillant aperçoit la lampe d'alarme   Rà,associée   au parcours 1,, allumée et comme les troisième et quatrième lampesdes postes sont allumées également il sait pour quelle raison la lampe d'alarme s'est allumée.   atest   à dire qu'il sait que ceci n'est pas le résul- tat d'un retard dans l'enregistrement mais est dû au fait que l'enregistrement vient du poste 4   au lieu   de venir du poste 3. Le surveillant sait également, du fait que la lampe 
TL est allumée, que le veilleur utilise le   commutâtes   RS, par conséquent il actionne la clef de   supervision MK   pour converser avec lui.

   De préférence on avise le veilleur de ce .   qu'il   a   effectué   un   enrégistrement   erroné et on lui donne comme instruction de retourner au poste. N  3 et d'y effectuer l'enregistrement nécessaire. 



   La libération du relais 56 après l'attraction du relais 55 débloque le relais de   libération Si   de telle sorte que l'équipement de commutation sera relâché quand, le veilleur raccroche. La libération du relais  56   supprima aussi la      terre du balai 85 et coupe le circuit du relais 100. Le re-   1 le,    lais 100 relâche par conséquent et coupe le circuit du relais      
101 qui relâche à son tour et ouvre les contacts ils. Le fil   173   reste connecté à la terre par l'intermédiaire des contacts 

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 155 du relais 109 et le relais 109 reste bloqué. Ceci maintient la lampe; du poste N  4 et la lampe d'alarme allumées pendant que le veilleur se dirige vers le troisième poste. 



   Quand le veilleur effectue un   enrégistrement   à par- tir du poste N  3 le relais 100 attire et son attraction est suivie maintenant de l'attraction du relais 102 de la manière normale. Les   différentes   conséquences de l'attraction du re- lais 102 ont, été expliquées en détail, il n'est donc pas néces- saire de les,répéter. On doit remarquer cependant que lorsque le relais 102 relâche la terre est supprimée du fil 170 en 120 et n'y est plus raccordée jusqu'à ce que le relais 105 re-   lâche.   La coupure de la mise à la terre du fil 170 a pour effet de débloquer le relais 109 ce qui fait relâcher l'électro- aimant de commande 160. Le commutateur CS n'est pas du type à retour en position de repos, les balais restent donc en place où ils se trouvent.

   La libération du relais 109 a pour effet d'éteindre la lampe d'alarme et de supprimer la terre connectée au balai   144   à travers lequel la lampe propre au quatrième poste était alimentée. Cette lampe reste cependant allumée du fait que le commutateur SS a avancé de la troisième à la quatrième position. On peut voir que si le veilleur avait appelé du sixième poste, par exemple, au lieu de le   faire-, du   quatrième, la lampe correspondante alimentée par l'intermédiaire      du commutateur de contrôle CS se serait éteinte. 



   En poursuivant l'examen du fonctionnement normal du système on supposera que le veilleur enregistre son passage aux postes restant dans l'ordre prévu. Le commutateur SS avance chaque fois qu'un enregistrement est effectué et après l'enré- gistrement venant du poste N  10 il sera amené en onzième posi- tion. L'avancement du balai 135 de la position 10 à la position -ci 
11 coupe le circuit de blocage du relais 103 et celui/ relâche 

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 par conséquent. Quand le relais 103 relâche il ferme le circuit de   l'électro-aimant   de commande 137 qui comprend: la terre prise au balai 135 en. onzième position, les contacts 122 et 126, les contacts interrupteurs de   l'électro-aimant   de commande 137, l'en- roulement de cet électro-aimant, le négatif.

   L'électro-aimant 
137 attire dans ce circuit, il le coupe et en relâchant il   fait   avancer le   commutateur   SS de la onzième à la douzième position. 



   A la douzième position du balai 135 le circuit de   l'électro -   aimant 157 s'établit comme suit: positif pris par l'intermédiaire du   balai 135-en   douzième position, contacts 123 et 126, con- tacts interrupteurs de l'électro-aimant de commande 137, en- roulement de cet électro-aimant, négatif. L'électro-aimant 137   fonctionne   automatiquement, dans le circuit qui vient   d'être   décrit jusqu'à ce que le commutateur SS ait atteint la position   1 où   le circuit est coupé au balai 135.   Ceci   ramène   11 équipe-   ment en position normale   où   il reste   jusqu'à   ce que le veilleur recommence sa ronde et effectue un   enregistrement a.   partir du poste N  1. 



   On expliquera maintenant les   fonctions   remplies par le relais 106 de la fig. 2 qui est associé au commutateur de contrôle CS. La raison d'être de ce relais est d'empêcher le blocage d'un commutateur affecté à un parcours déterminé, tel      que le commutateur RS., si les relais de test 102 et 109 n'at- tirent pas pour une raison quelconque. Une   clause   probable de la défaillance de ces relais est la mise hors   servie, de   la batterie d'appoint S2, peut être due au fait   qu'un   fusible de protection a sauté. 



   Quand le veilleur essaye d'effectuer un enrégistre- ment dans ces conditions, le relais   103'n'attire   pas après l'at- traction du relais 100, le relais   101   attire pour transférer le 

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 circuit de test vers le relais de test 109 et pour faire dé- marrer le commutateur de contrôle CS. Dans ces conditions le relais de test   100,ne   sera pas capable d'attirer et par conséquent le commutateur de contrôle CS continuera de tourner et en passant en position 25 il établira le circuit du relais 106.

   Ce circuit comprend la terre prise en 114, le balai 143 en vingt-cinquième position, l'enroulement du relais 106, le négatif. quand le relais 106 attire il se bloque en 145 de telle sorte qu'il reste attiré après que le balai 143 a dépassé cette position et en 146 il prépare le circuit de mise à la terre du fil 91. Puisque le commutateur de contrôle CS est parti d'une position quelconque indéterminée il se peut qu'il   n'ait   pas testé tous les postes lorsqu'il dépasse sa vingt- cinquième position mais il complète ce test à la deuxième rota- tion et comme le relais de test 109 est encore incapable d'at- tirer le commutateur passe éventuellement une fois encore par sa vingt-quatrième position ce qui ferme le circuit du relais 54.

   Ce circuit aomprend: la terre prise par l'intermédiaire du contact 114, le balai 143 en vingt-quatrième position, les contacts 146,   149,   91 et 87, l'enroulement du relais 54, le négatif. quand le relais 54 attire il coupe le circuit du relais 56 qui relâche et coupe le circuit du relais 100'.' La libération de ce relais amène la libération du celais 101 qui est suivi de   l'arrêt du   commutateur de contrôle CS et de la libération du relais 106 comme on va le comprendre immédiatement. 



   La libération du relais 56 ouvre le circuit de blo- cage du relais 51 et laisse le commutateur affecté à un par- cours déterminé sous le contrôle du veilleur. Le veilleur n'a reçu aucun signal et par conséquent il pensera tout dtabord que le surveillant désire lui parler et il restera à ltécoute. 



  Comme le surveillant ne se fera pas reconnaitre le veilleur 

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 comprendra immédiatement qu'il se passe quelque chose d'anormal et il appellera le surveillant de la manière habituelle par l'intermédiaire de l'équipement de commutation automatique du bureau privé. Quand un tel appel parvient chez le surveillant la sonnerie 220 retentit et le surveillant y répond en action- nant la clef OCK et en décrochant le récepteur du poste B, Le veilleur pourra donc avertir le surveillant de ce qu'il ne peut pas obtenir un signal de réponse à   l'enregistrement   qu'il a      effectué d'un poste bien déterminé et le surveillant devra s'informer et essayer de répérer le défaut par ses propres      moyens. 
 EMI29.1 


Claims (1)

  1. REVENDICATIONS.
    1. Un service de veilleur ou un système de signalisation identique qui permet d'envoyer des signaux à partir d'un certain nombre de postes téléphoniques normaux vers un point central déterminé et dans un ordre bien défini dans lequel l'appareil d'enregistrement comprend un dispositif, commun à plusieurs postes, qui commande l'enregistrement de signaux transmis dans l'ordre voulu et un autre disposi- tif de commande de l'enregistrement des signaux transmis dans un ordre incorrect.
    2. Un système de signalisation comme revendiqué en revendica- tion 1 dans lequel le dispositif de commande de l'enrégis- trement des signaux transmis dans l'ordre voulu comprend un commutateur pas à pas qui est amené, immédiatement après la transmission d'un signal, sur un contact caractéristique du poste suivant dans la succession de ceux-ci, dans le but de préparer un circuit qui se boucle si le signal suivant est reçu de la station correcte.
    3. Un système de signalisation comme revendiqué en revendica- tion 1 ou 2 dans lequel le dispositif de commande de l'en- régistrement des signaux transmis dans un ordre incorrect comprend un commutateur qui est mis en service quand un tel signal est reçu et qui recherche un contact caractéris- tique de la station correspondante, ce commutateur, lorsqu'il est dans cette position, servant à établir des circuits au moyen desquels une indication est donnée qui fait con- naître que le poste en question n'a pas appelé à son tour dans l'ordre défini.
    4. Un système de signalisation comme revendiqué en revendica- tion 1, 2 ou 3 dans lequel les signaux sont transmis vers le point central par l'intermédiaire des commutateurs d'un système téléphonique en émettant des numéros appropriés à <Desc/Clms Page number 31> partir des postes du système.
    5. Un système de signalisation comme revendiqué en revendi- cation 1 ou 4 dans lequel plusieurs groupes de postes sont pourvus chacun d'un appareil, commandant ltenrégistrement et l'indication de signaux, qui est commun à tous les postes du groupe et auquel on peut avoir accès via un commuta- teur qui fonctionne sous l'action d'impulsions communes à tous les groupes.
    6. Un système de signalisation comme revendiqué en revendica- tion 2 ou 4 dans lequel les postes individuels possèdent des circuits de test connectés, dans un ordre déterminé, aux contacts d'un banc du commutateur pas à pas à travers lequel un circuit se ferme quand un signal est transmis d'un poste sur le contact de test duquel le commutateur est à l'arrêt, ce circuit sert à la commande de l'enré- gistrement et de l'indication du signal et pour faire avancer le commutateur jusqu'au contact correspondant au poste voisin dans l'ordre établi, 7.
    Un système de signalisation comme revendiqué on revendica- tion 2, 4 ou 6 dans lequel a. la suite de la transmission d'un signal à partir d'un poster une battante d'appoint est insérée dans le circuit partir de l'appareil, d'en- régistrement, à travers le fil de test-.du. poste d'émission, jusqu'au contact correspondant dans le banc du commutateur à travers lequel le circuit du relais de test de ce com- mutateur se ferme si le commutateur n'est pas dans une position appropriée.
    8. Un système de signalisation comme revendique 'en revendica- tion 5 dans lequel une série de lampes indicatrices, une pour chacun des groupes de postes, est disposée au point central, les lampes individuelles étant allumées pendant le temps que les signaux sont reçus d'un posta quelconque dans le groupe, en même tempe et jointe à chacune de ces <Desc/Clms Page number 32> lampes on a prévu une série de lampes propres aux postes du groupe correspondant, la lampe appropriée s'allumant dès que l'abonné qui émet abandonne le poste en question.
    9. Un système de signalisation comme revendiqué en revendi- cation 1, 2, 3 ou 4 dans lequel l'appareil d'enregistre- ment comprend les moyens permettant d'indiquer au poste de contrôle si le poste est ou non placé dans l'ordre normal.
    10. Un système de signalisation comme revendiqué en revendica- %ion 9 dans lequel à la suite d'une manoeuvre manuelle le surveillant est incapable de supprimer l'envoi d'un signal reçu normalement à un poste déterminé quand un signal est transmis de ce point dans l'ordre prévu, de ce fait la personne qui a appelé est avertie de ce qu'elle doit attendre au poste déterminé dans le but d'entrer en liaison téléphonique avec le surveillant. ' 11.
    Un système de signalisation comme revendiqué en revendi- cation 3 dans lequel un relais connecté au banc du cher- cheur attire si le commutateur ne trouve pas le poste appelant et prépare un circuit qui s'établit plus.,tard pour la libération des appareils communs et pour amener le commutateur de recherche au repos.
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