BE417475A

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Publication number: BE417475A
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Description

Perfectionnements aux systèmes téléphoniques.

La présente invention se rapporte aux systèmes téléphoniques en général, elle concerne plus particulière- ment les systèmes téléphoniques comprenant un bureau prin- cipal et un bureau privé annexe.

Le principal objet de 1 'invention est de procurer des circuits nouveaux et perfectionnés destinés à être appli- qués à un bureau privé annexe pour permettre de donner plus efficacement les divers caractéristiques du service qu'on exige d'un tel bureau.,
Un objet complémentaire peut être cité,c'est celui qui procure des circuits nouveaux et perfectionnés pour per- mettre de donner un service satisfaisant dans un bureau privé

annexe composé de plusieurs bureaux unitaires.
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Descrption¯générale E!!±¯gE
Pour décrire l'invention on a cru bien faire en appliquant ses caractéristiques à une installation donnée, à titre d'exemple, dans le cas choisi le bureau se compose de deux commutateurs et d'un satellite interconnectés entre eux par des circuits de jonction. Le bureau annexe est égale- ment interconnecté avec le bureau central public par l'inter- médiaire de circuits de jonction allant de chacun des com- mutateurs privés vers le bureau public et de circuits de jonc- tion venant du bureau public au bureau annexe comme le montre la fig. 1 des plans annexés, il est également interconnecté avec d'autres bureaux annexes et il est relié à des lignes interurbaines.

Parmi les 52 figures des plans annexés la 1 est une carte schématique montrant un bureau central public et la position relative des bureaux unitaires du bureau annexe; les fig. 2,3, 4 et 5 forment un diagramme de jonc- tion montrant les diverses relations existant entre les diffé- rents circuits et groupes de sélecteurs du bureau annexe qui comprend plusieurs commutateurs. les fig. 6 à 51 sont des circuits, enfin la fig. 52 donne un schéma d'assemblage des fig. é à 48 pour en faciliter la compréhension.

En se reportant à la fig. 1 on doit admettre que le bureau central public, représenté au-dessus du bureau annexe, peut être un bureau central complexe composé de plusiers bureaux centraux, de même il peut être du type manuel ou auto- matique. Dans le cas actuel, décrit ci après, le bureau pu- blic sera considéré comme un bureau automatique complexe.

Le bureau annexe comprend les bureaux 9 et 8 qui peuvent être considérés comme des bureaux principaux et un bureau 86 qui est un bureau satellite du bureau 8.

En plus du bureau annexe comprenant plusieurs bureaux le système qui sera décrit comprend d'autres bureaux annexes situés à une certaine distance de celui qui est représenté et qui sont à leur tour reliés É1 d'autres bureaux centraux publics. Le bureau annexe qui est représenté au plan est in- terconnecté avec ces bureaux annexes éloignés au moyen de cir- cuits de jonction exploités dans les deux sens (I.B.X.) tels que celui associé au circuit de ligne LC4 des fig. 2 et 13.

Au bureau annexe aboutissent également des lignes in- terurbaines exploitées dans les deux suns et qui viennent d'un bureau interurbain éloigné, une telle ligne (TL) est associas au circuit de ligne LC3 des fig. 2 et 12.

Le trafic entre les bureaux 9 et 8 découle. à travers des circuits de jonc-tien exploités les uns dans un sens et les autres dans les deux sens, ils sont figurés au plan en Tl à T3, le trafic entre le bureau 8 et son satellite 86 emprunte des circuits de jonction identiques, ils sont figurés au plan en T4 à T6. Comme on l'expliquera plus loin et comme le montre d'autres plans le trafic entre le bureau 9 et le satellite 86 s'écoule à travers le bureau 8 qui '-, ce point de vue joue le rôle d'un bureau tandem.

Les appels émanant des trois bureaux annexeset destinés au bureau public sont acheminés par des circuits de jonction passant directement des bureaux respectifs au bureau central public. Parmi èes circuits de jonction les circuits sortants OT1, OT2 et OT3 sont représentés a la fig. 1.

Tous les appels arrivant du bureau public à destination du bureau annexe sont acheminés vers la ligne demandée au moyen de commutateurs automatiques, au départ d'une table d'opé- ratrice située au bureau 9. Pour cette raison tous les cir- cuits de jonction venant du bureau public vers le bureau an- nexe aboutissent au bureau 9. Ceci est représenté par le cir- cuit de jonction entrant IT à la fig. 1.

On remarquera que la capacité du bureau annexe comme

il est représenté en fig. 1 est d'environ 1300 lignes et que le bureau 9 dessert 900 de ces lignes, le bureau 8:300 et le bureau satellite 86 : 100.

En se reportant plus particulièrement aux fig. 2 et 3 on peut voir que le bureau 9 faisant partie du bureau annexe est représenté dans un rectangle pointillé, le bureau 8 est représenté dans le rectangle de la fig. 4 et le bureau satel- lite 86 est représenté dans le rectangle de la fig. 5, le bureau public (P.E.) est représenté au-dessus des traits poin- tillés traversant les fig. 2,3, 4 ou 5 vers le sommet.

Comme l'indique le nombre 18 associé au circuit de jonction IT celui-ci est un circuit de jonction d'un groupe de 18. De même le circuit de jonction sortant OT1 est l'un des dix huit circuits de jonction sortant du bureau 9 et abou- tissant au bureau public. De plus les circuits de jonction OT2 et OT3 sortant des bureaux 8 et 86 représentent respective- ment un circuit de jonction d'un groupe de dix et d'un groupe de deux. On comprendra que dans chaque cas le nombre descir- cuits de jonction est celui qui a été calculé pour permettre d'écouler le trafic estimé.

Cn remarquera de plus que le circuit de jonction T3 fait partie d'un groupe de 36 circuits de jonction exploités dans un seul sens qui acheminent le trafic du bureau 9 vers le bureau 8; le circuit de jonction Tl fait partie d'un. groupe de 12 circuits de jonction exploités dans un seul sens qui acheminent le trafic du bureau 8 vers le bureau 9 ; le circuit de jonction T2 fait partie d'un groupe de 6 circuits de jonc- tion exploités dans les deux sens qui acheminent le trafic
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cl,' -Lin bureau vers l'autre indi:f3renr.:ent.

Entre le bureau C et le satellite 86, le circuit de jonction T6 exploité dans un seul sens écoule le trafic du bureau 8 vers le bureau satellite 86; le circuit de jonction T4 exploité dans un seul sens écoule le trafic du bureau 86

vers le bureau 8 et les 3 circuits de jonction représen- tés par le circuit de jonction T5 exploité dans les deux sens écoule le trafic d'un bureau vers l'autre indifférem- ment.

Parmi les 1300 lignes d'abonnés celles des postes Al à A4 sont indiquées aux fig. 3, 4 et 5, leurs numéros respectifs sont: 91225, Q225, 8225, 8625. Chacune des lignes d'abonné aboutit à un présélecteur du type à plongeur bien connu. Les présélecteurs LS2 et LS3 par exemple sont assi--- gnés aux lignes des postes A1 et A2 du bureau 9.

Bureau 9.

Les présélecteurs primaires du bureau 9 ont accès des sélecteurs primaires par l'intermédiaire de présélec- teurs rotatifs secondaires dont l'un d'eux est représenté en SLS.

Un des sélecteurs primaires accessibles au présélec- teur secondaire SLS est le sélecteur primaire FS5. Ce sélec- teur de m ê m e que les autres sélecteurs, chercheurs et connecteurs est du type à deux mouvements bien connu ayant les contacts de banc disposés en rangées horizontales ou niveaux. Le sélecteur FS5 représente l'un des sélecteurs auxquels les lignes d'abonné ont accès à travers des présé- lecteurs primaires et secondaires.

Pour rendre possible l'application d'une numérotation universelle des abonnés du bureau annexe (de telle sorte que le numéro de l'abonné soit identique à lui-même quelque soit le bureau d'ou. part l'appel) le sélecteur primaire FS5 est prévu pour absorber le premier chiffre émis quand celui-ci est le chiffre 9. Cette caractéristique a été indiquée au plan en plaçant le chiffre 9 dans le rectangle représentant le sélecteur primaire FS5. La même caractéristique est indi- quée dans chacun des sélecteurs DCS et FS1 à FS4 tandis que le chiffre 9 placé dans chacun des rectangles représentant

les sélecteurs d'arrivée ISl et IS2 indique que ces sélec- teurs sont saisis par des jonctions venant du neuvième niveau des sélecteurs précédents (dans le bureau 8).

Parmi les 10 niveaux du sélecteur primaire FS5, les six premiers sont utilisés pour l'écoulement du trafic vers les lignes des abonnés du bureau local 9; le septième niveau est utilisé pour acheminer les appels vers la position d'opé- ratrice quand le numéro 97 est émis, le huitième niveau est employé pour diriger les appels destinés au bureau 8, le neuvième niveau utilisé après absorption du premier chiffre 9 sert à diriger des appels vers des bureaux annexes distants par l'intermédiaire de connecteurs spéciaux tels que BO; en- fin le dixième niveau, est utilisé pour l'envoi des appels vers le bureau public par l'intermédiaire des circuits de jonction sortants tels que OT1.

Parmi les six niveaux du sélecteur primaire FS5 qui sont destinés a 1'établissement ces communications vers les lignes locales les niveaux 2 à 6 sont réservés aux groupes de connecteurs 92 à 96. Parmi ces groupes de connecteurs, le groupe 92 est représenté par le connecteur Iccal LCC2 qui est l'un des connecteurs d'un groupe de 10 environ.

Cinq cents des 900 lignes du bureau étant desservies par les niveaux 2 à 6 du sélecteur FS5, les 4CO lignes restant doivent être atteintes par l'intermédiaire du premier niveau du sélecteur FS5. Dans le but de donner de l'extension au premier niveau des sélecteurs primaires peur permettre d'at- teindre quatre groupes de 100 lignes, un groupe de sélecteurs secondaires représentés par le sélecteur secondaire SES, est atteint quand on émet les chiffres ? et 1 (le chiffre 9 étant absorbé). Ces sélecteurs secondaire cnt accès par l'inter- médiaire de leurs niveaux 2 à 5 aux groupes 912 à 915.

Les connecteurs du groupe 912 sont représentés par le connecteur local LCCl. L'introduction, nécessaire de sélecteurs secondaires

tels que SES exie que quatre des groupes de 100 lignes d'abonné aient des numéros de cinq chiffres alors que cinq groupes-de 100 lignes n'auront que des numéros de quatre chif- fres, par exemple les numéros assignes aux postes Al et A2 sont: 91225 et 9225.

La table 1:.. quatre positions d'opératrice représentée en fig. 2 est prévue en premier lieu pour desservir les appels venant du bureau public par 1'intermédiaire des 18 circuits de jonction entrants dont l'un d'eux est représente par IT.

La table des opératrices et l'équipement automatique qui lui est associé sont généralement identiques au matériel décrit dans le Brevet belge N 412.533. Une caractéristique particu- lière de ce type de table réside dans le fait que l'opératrice dispose de circuits de connexion qui aboutissent à des commu- tateurs automatiques au lieu de cordons aboutissant à des fiches de commutateur manuel. Ceci est indiqué à la fig. 2, où le chercheurFl relié au sélecteur primaire FS1, représente un des circuits de connexion de. la position 1 et où les chercheurs
F2, F3 et F4 reliés aux sélecteurs primaires FS2, FS3 et FS4 représentent des circuits de connexion des positions 2, 3 et 4; dans le système représenté il y a neuf circuits identiques pour chaque position d'opératrice.

La disposition est telle que lorsqu'une opératrice est disposée à accepter un appel et que la clef de conversation du circuit de connexion est action- néo le chercheur de ce circuit de connexion est prêt à recher- . cher la ligne appelante qui peut être ensuite prolongée par le ' sélecteur primaire associé.

De plus les circuits de connexion individuels sont simplifiés autant que possible au dépens de l'équipement de la position qui est commun au neuf circuits de connexion de cette position.

Les jonctions vers les autres bureaux anne xes qui sont supposées être au. nombre de 25 sont représentées par une

seule ligne exploitée dans les doux sens, I.B.X., aboutissant au circuit de ligne LC4, un circuit de ligne étant prcvu pour chacune des jonctions I.B.X.. Les jonctions I.B.X. sont acces- sibles par les chercheurs tels que Fl à F4 par l'intermédieire des deuxième, troisième et quatrième niveaux de ceux-ci.

Le cinquième niveau des chercheurs dessert les lignes .interurbaines dont le nombre est égal à 9. Chaque ligne inter- urbaine TL aboutit à un circuit de ligne tel que LC3 à travers lequel elle est atteinte par les chercheurs.

Les 18 circuits de jonction venant du bureau public sont desservis par les sixième.et septième niveaux des cher- cheurs, il y a un circuit de ligne tel que LC2 interposé entre chaque circuit de jonction et les bancs du chercheur.

Le huitièmé niveau des chercheurs dessert les jonc- tions entrantes venant du septième niveau des sélecteurs pri- maires par l'intermédiaire de circuits individuels tels que LUI, tandis que les neuvième et dixième niveaux sont inutilisés pour l'instant.

En plus de ce qui précède on remarquera que des jonc- tions venant du premier niveau des chercheurs s'étendent jus- d'appels qu'à des sélecteurs/différés dont l'un d'eux est le sélecteur DOS. Le but de cet arrangement sera exposé plus tard.

Dans le but de permettre aux opératrices de la table à 4 positions d'établir rapidement les communications on a prévu, un groupe d'émetteurs-enregistreurs dont RS est l'un d'eux.

Dans le but de commander ces émetteurs-enregistreurs et pour pouvoir les associer à des circuits de connexion auxquels ils doivent renvoyer les impulsions reçues, chaque opératrice dis- pose de deux circuits d'émission, ceux de la position 1 sont représentas par SL1 et SL2. Les clefs de chiffres à la posi- tion d'opératrice peuvent être connectées indifféremment à l'un ou l'autre des deux circuit le choix de celui-ci étant automatique comme on le verra. plus loin.

Au circuit d'émission 1 est associé le chercheur du circuit de connexion LFl, celui-ci a accès aux neuf circuits de connexion de la position 1. Le sélecteur d'émetteur SS1, associé au circuit d'émission SL1 a accès à l'émetteur-enrégis- treur RS et aux autres émetteurs-enrégistreurs, tous étant, destinés à être utilisés en commun par toutes les opératrices.

Le circuit d'émission SL2 est de même pourvu du chercheur de circuit de connexion LF2 et du sélecteur d'émetteur SS2.

En général, tous les sélecteurs du bureau 9( à l'excep- tion des sélecteurs secondaires tels que SES) ont leurs niveaux de contacts de banc assignés de la même façon que celle des sélecteurs primaires d'abonnés qui a été exposée antérieure- ment pour le sélecteur primaire FS5. Il y a quelques diffé- rences cependant qui vont être indiquées maintenant. Tous les sélecteurs primaires et les sélecteurs entrants ont leurs six premiers niveaux de contacts de banc connectés identiquement pour l'établissement des communications vers les lignes d'abon- né locales.

Le septième niveau est inutilisé dans les sélec- teurs primaires d'opératrice FSl à FS4 et dans le sélecteur des appels retardés DCS. Ceci pour la raison que le septième niveau donne accès à la table des opératrices et dans aucun cas un appel ne sera émis vers la table par l'intermédiaire de ces sélecteurs puisqu'ils ne peuvent précisément être at- teints qu'au départ de celle-ci.

Le huitième niveau des sélecteurs entrants ISI et IS2 in- est/utilisé car ce niveau dessert les circuits de jonction sortants vers le bureau 8 alors que les sélecteurs ISI et IS2 sont des sélecteurs entrants accessibles seulement du bureau 8.

En ce qui regarde le neuvième niveau les sélecteurs d'abonné FS5, ISl et IS2 ont accès aux connecteurs du groupe
99, dont le connecteur du bureau annexe BC est un exemple, tandis que les sélecteurs d'opératrice DCS et FS1-FS4 ont accès par l'intermédiaire du neuvième niveau aux connecteurs interurbains (tel que TC) du groupe 99.

Par cette disposition

quand le numéro 99 est émis par un abonné un sélecteur tel que BC est mis en service tandis que si le numéro 99 est émis d'une des positions d'opératrice un connecteur interurbain tel que TC est-mis en service car le multiple du neuvième niveau est divisé en deux parties, une pour chacune des deux classes de sélecteurs. Une des raisons pour lesquelles on a adopté cette disposition est que le connecteur interurbain TC a été conçu spécialement pour travailler avec les circuits utilisés dans le cas où. une communication est établie par l'intermédiaire de la table d'opératrice, tandis que le connecteur BC convient particulièrement pour les communications venant d'un abonné.

De plus, les lignes interurbaines, telles que celle qui est associée au circuit de ligne LC3 ne sont accessibles que des connecteurs interurbains TC. Cette disposition est prise pour que l'abonné qui désire émettre un. appel interurbain sur l'une de ces jonctions soit obligé de se mettre préalablement en communication avec l'opératrice du bureau annexe ( en émettant le numéro 97).

En ce qui concerne le dixième niveau des sélecteurs, les sélecteurs FSl à FS4 ne peuvent utiliser celui-ci car il est nécessaire que les opératrices ne soient pas capables de prolonger vers le bureau public une communication interurbaine ou un appel venant d'un bureau annexe éloigné; les abonnés des bureaux annexes éloignés étant obligés d'appeler leur propre bureau public. Les sélecteurs ISI et IS2 n'utilisent pas le dixième niveau car se sont des sélecteurs d'arrivée du bureau 8 où. sont prévus des circuits de jonction directs vers le bureau public.

Les sélecteurs d'appels retardés tels que DCs cepen- dant ont accès à travers le dixième niveau- à les circuits de jonction tels que CT1 sortant vers le bureau public. Ceci est prévu pour permettre à l'opératrice d'établir une communication retardée entre une ligne du bureau public et une ligne du bureau annexe quand on le lui demande.

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On a pris des dispositions pour qu'un abonné du bureau annexe puisse obtenir le service du transfert local lorsqu' il est en conversation avec un abonné du bureau public.

Dans le cas où il s'agit d'un appel entrant l'abonné du bureau annexe obtient le service du transfert par l'intermédiaire du connecteur, si l'appel est sortant ce même abonné obtient le service du transfert par l'intermédiaire du répétiteur de dé- part. Par exemple, les connecteurs locaux LOCl et LOC2 du bureau. 9 sont pourvus de présélecteurs LS4 et LS5, respective- ment, qui ont accès, 1. travers les présélecteurs secondaires, à des sélecteurs primaires tels que Fs5, tandis que le présélec- teur LSl est associé au répétiteur de départ ORl d'une manière identique. Par l'intermédiaire des présélecteurs de transfert des connexions temporaires peuvent être établies vers d'autres lignes du bureau annexe alors que la liaison vers le bureau public est bloquée comme il sera décrit en détails ci-après.

On notera que le circuit de jonction T3 de .départ du bureau 9 vers le bureau 8 est accessible par l'intermédiaire du huitième niveau des sélecteurs à travers le répétiteur R2 tandis que le circuit de jonction T2, exploité dans les deux sens et reliant les bureaux 8 et 9, s'étend normalement par l'intermédiaire du répétiteur R1 jusqu'au sélecteur entrant
IS2, mais peut être saisi par l'intermédiaire du huitième ni- veau des sélecteurs à travers le répétiteur Rl.

Comme chaque circuit de jonction exploité dans les deux sens est pourvu d'un équipement double et qu'il est par conséquent plus coûteux qu'un circuit de jonction exploité dans un seul sens, la dis- position du multiple gradé est utilisée pour qu'on puisse être certain qu'un circuit de jonction exploité dans les dux sens ne sera mis en service qu'après que tous les circuits de jonc- tion exploités dans un seul sens auront ététestés et trouvés occupés. A ce point de vue un circuit de jonction exploité dans les deux sens peut être considéré comme un circuit de jonc-

tion écoulant l'excédent du trafic, il est rendu commun à un plus grand nombre de sélecteurs qu'un circuit de jonction ex- ploité.dans un seul sens, ainsi qu'on le sait déjà.

' Bureau 8.

En se reportant particulièrement au bureau 8 de la fig. 4 on peut voir que les sélecteurs d'arrivée IS3 et IS4 sont associés aux circuits de jonction T3 et T2 respectivement tandis que les sélecteurs d'arrivée IS5 et IS6 sont de même associés aux circuits de jonction T4 et T5, respectivement, pour acheminer le trafic entrant dans le bureau 8 et venant du satellite 86. Le sélecteur primaire FS6, tout comme le sélec- teur primaire FS5 du bureau 9, écoule le trafic émanant des abonnés locaux. L'abonné du poste A3 par exemple, (N 8225) obtient la connexion avec le sélecteur primaire FS6 par l'in- termédiaire de son présélecteur LS7 qui a lui-même accès à d'autres sélecteurs primaires similaires.

Les trois groupes de 100 lignes d'abonné sont acces- sibles des niveaux 2, 3 et 4 des sélecteurs,le connecteur L06, représentant les connecteurs du groupe 82, accessibles du deuxième niveau des sélecteurs. Le sélecteur primaire FS6 similaire au sélecteur primaire FS5 du bureau 9 est prévu et équipé pour revenir en position de repos et par conséquent pour absorber le premier chiffre émis quand celui-ci est le chiffre caractéristique du bureau local. Ceci est indiqué dans le sélecteur FS6 par le chiffre 9 placé dans le rectangle représentant le mécanisme du sélec teur. Le chiffre 8 est éga- lement placé dans les rectangles représentant les sélecteurs d'arrivée IS3 et IS4 et pour indiquer que ces sélecteurs sont mis en action lorsqu'on émet le chiffre 8 dans le bureau d'où ils sont accessibles.

Les présélecteurs LS6 et LS8, associas au répétiteur sortant OR2 et au connecteur local LOC3 respectivement, sont des présélecteurs de transfert prévus pour la raison qui a été

exposée pour les présélecteurs LS4 et LS5 du bureau 9.

Les sélecteurs d'arrivée IS5 et IS6 qui sont asso- ciés aux circuits de jonction T4 et T5 pour l' acheminement des appels entrant dans le bureau 8 et. venant du satellite 86 sont identiques au sélecteur primaire FS6, ils sont prévus également pour absorber le premier chiffre émis si celui-ci est le chiffre 8, caractéristique du bureau 8. Cette disposi- tion est nécessaire car un sélecteur d'arrivée au bureau 8 est mis en service automatiquement lorsqu'on décroche le récepteur dans le bureau 86, il reçoit donc le premier chiffre émis.

Les circuits de jonction, représentés par le cir- cuit de jonction T6 exploité dans un seul sens et le circuit de jonction T5 exploité dans les deux sens, qui écoulent le trafic du bureau 8 vers le satellite 86 sont accessibles du sixième niveau des sélecteurs d'arrivée IS3 et IS4 et du sélec- teur primaire IS6, mais le sixième niveau des sélecteurs d'ar- rivée IS5 et IS6 n'est pas utilisé car on a pris des disposi- tions dans le bureau satellite 86 pour permettre aux abonnés de celui-ci de prendre des communications locales sans emprun- ter les circuits de jonction entre bureaux.

Le huitième niveau des sélecteurs du bureau 8 est inutilisé à présent mais le neuvième niveau de ces sélecteurs donne accès à des circuits de jonction sortant vers le bureau exploité 9, tels que le circuit de jonction/dans un seul sens Tl et le circuit de jonction exploité dans les deux sens T2, par l'in- termédiaire de répétiteurs tels que R3 et R4. Le neuvième ni- veau des sélecteurs d'arrivée IS3 et IS4 est inutilisé car ceux-ci sont des sélecteurs d'arrivée acheminant le trafic venant du bureau 9.

Le dixième niveau des sélecteurs primaires locaux tels que FS6 donne accès, par l'intermédiaire des répétiteurs de départ tels que OR2, à des circuits de jonction sortants, tels que OT2, vers le bureau public, mais le dixième niveau

des sélecteurs d'arrivée est inutilisé carchacun des bureaux possède des circuits de jonction directs vers le bureau public.

Bureau Satellite 86.

Dans le bureau satellite 86 les lignes d'abonné ont . accès par l'intermédiaire de présélecteurs à des sélecteurs répétiteurs. Par exemple la ligne du poste A4 (N 8625) a accès par l'intermédiaire du présélecteur individuel LSIO aux aélecteur-répétiteurs dont l'un d'eux est le sélecteur répétiteur SR. Le mécanisme de commutation de ce sélecteur répétiteur est le même que celui utilisé ordinairement comme commutateur rotatif, il a accès aux circuits de jonction comme l'indique le plan.

Normalement quand le sélecteur-répétiteur SR est mis en service le mécanisme de commutation tourne jus- qu'à ce qu'il vienne s'engager sur un circuit de jonction tel que T4 ou T5 qui se dirige vers le bureau voisin, de ce fait un sélecteur d'arrivée tel que IS5 ou IS6 est mis en service dans le bureau 8 dès qu'on décroche le récepteur d'un poste raccordé au bureau satellite.

La disposition est telle que si l'appel doit être acheminé à travers le bureau 8 vers une ligne de ce bureau ou vers le bureau 9 le mécanisme de commutation du sélecteur répétiteur SR ne fonctionne pas plus avant et l'appel se pour- suit au fur et à mesure que le numéro est émis, le sélecteur répétiteur SR travaillant plus ou moins cornue un répétiteur d'impulsions.

Le commutateur de marquage MS est prévu pour la commande du mécanisme de commutation du sélecteur-répétiteur dans le cas où la communication doit être établie localement dans le bureau satellite ou dirigée vers le bureau public.

Par exemple si le premier chiffre émis est le chiffre 8 le commutateur de marquage MS revient au repos et se prépare à provoquer un nouveau fonctionnement du mécanisme de commu- tation du sélecteur-répétiteur SR dans le cas où le chiffre 8'

est suivi du chiffre 6. Dans ce cas les cinq positions dans le banc du mécanisme de commutation associé aux connec- teurs locaux, tel que le connecteur LOC4, sont marquées et le commutateur tourne jusqu'à ce qu'il rencontre le premier connec- teur local libre auquel il se connecte, ce connecteur reçoit les deux derniers chiffres du numéro pour établir la communi- cation.

D'autre part, si le premier chiffre émis est le chiffre 0 le mécanisme de commutation du sélecteur-répétiteur SR tourne jusqu'à ce qu'il rencontre le premier circuit de jonction libre vers le bureau public, tel que le circuit de jonction sortant OT3, il se connecte à celui-ci qui est asso- cié au répétiteur sortant OR3.

Les appels qui aboutissent au bureau satellite sont reçus par l'intermédiaire d'un des circuits de jonction ex- ploités dans les deux sens tels que T5 ou par l'intermédiaire du circuit de jonction exploité dans un seul sens T6, ils sont acheminés par un connecteur d'arrivée tel que IC2 ou par le connecteur d'arrivée ICI. Chacun des connecteurs d'arrivée possède un présélecteur de transfert, tel que LS11 et LS12, qui lui est associé dans le but d'effectuer des transferts locaux à l'intérieur du bureau annexe comme il a été décrit ci-dessus. Le répétiteur de départ OR3 est pourvu de même d'un pr6sélecteur de transfert LS9 permettant d'effectuer un transfert local pendant une communication avec le bureau public.

Le connecteur local L004 cependant n'est pas équipe pour le service du transfert car il ne peut jamais être uti- lisé pour établir une communication avec le bureau central public, qu'elle soit entrante ou sortante.

Après avoir décrit les diagrammes de jonction re- présentés aux fig. 2,3, 4 et 5 on s'arrêtera quelque peu à l'exposé des aspects généraux des circuits, représentés aux fig. 6 à 48, dans lesquelles les appareils indiqués aux fig.2,

3, 4 et 5 sont montrés en détail. Comme le montre la figure d'assemblage 52 les fig. 6 à 30 montrent les appareils situés situés dans le bureau 9;'les fig. 31 à 41 montrent les appareils/dans le bureau 8 et les fig. 42 à 49 montrent des appareils situés dans le bureau satellite 86.

Les circuits de ligne LCl à LC4 de la fig. 2.sont montrés aux fig. 6 à 9 et le chercheur F1 de la position 1 qui a accès à ces circuits de ligne en commun avec les autres chercheurs est montré aux fig. 10 et 11.

La fig. 12 représente le sélecteur primaire FS1 de la fig. 3 relié au chercheur F1 qui sera utilisé comme un commutateur d'appel dans le circuit de connexion, le chercheur F1 des fig. 10 et 11 étant le commutateur de réponse de ce circuit de connexion,
La fig. 13 montre le sélecteur d'appel retardé DCS de la fig. 3 qui est un des sélecteurs accessibles du premier niveau des chercheurs, il est destiné à l'établisse- ment des communications retard4es.

La fig. 10 représente le sélecteur d'arrivée IS2 as- socié au circuit de jonction exploité dans les deux sens T2 et au répétiteur R1 de la fig. 21 ;
La fig. 15 montre le sélecteur d'arrivée LS1 qui un sélecteur est/identique au sélecteur d'arrivée de la fig. 14 et est associé au circuit de jonction exploité dans un seal sens Tl venant du bureau 3;
La fig. 16 représente les prospecteurs L2 et L3 qui sont associés aux postes A1 et A2 respectivement et qui ont un accès commun (en partage avec les présélecteurs LS1 et LS4) vers les sélecteurs primaires tels que FS5 par l'in- termédiaire de présélecteurs secondaires tels que celui re- présenté schématiquement en SES;

La fig. 17 montre le répétiteur de départ OR1 de la fig. 3 associé au circuit de jonction OT1 sortant vers le

bureau public;
La fig. 18 représente le connecteur BC du bureau annexe de la fig. 3 qui a accès à des lignes vers d'autres bureaux annexes telles que celle associée au circuit de ligne LC4 des fig. 2 à 9 ;
La fig. 19 montre le connecteur interurbain TC qui a accès aux lignes interurbaines comme il est indiqué en fig. 3 par l'intermédiaire de fils tels que 1551 de la fig. 2 et également aux lignes vers d'autres bureaux annexes par l'inter-' médiaire de fils tels que 1451;
La fig. 20 est un rectangle qui représente le répé- titeur R2 associé au circuit de jonction exploité dans un seul sens T3 se dirigeant vers le bureau 8.

La fig. 21 montre le répétiteur RI associé au circuit de jonction T2 exploité dans les deux sens et reliant les bureaux 9 et 8, et associé également au sélecteur d'arrivée IS2 de la fig.14. Le répétiteur RI est le même que le répéti- teur R2 de la fig. 20 sauf que le répétiteur Rl est pourvu d'un relais de transfert 1711 qui transfère les fils du cir- cuit de jonction T2 du sélecteur de la fig. 14 aux fils sor- tants du répétiteur quand celui-ci est saisi;-
La fig. 22 représente le sélecteur secondaire SES de la fig. 3 qui est accessible du premier niveau des sélec- teurs primaires et qui a accès à des groupes de connecteurs tels que le connecteur local LOC1 des fig. 3 à 23;

Le connecteur local LOC1 de la fig. 23 parmi ses 100 groupes de contacts de banc possède le groupe 1250, fig.16, .associé au présélecteur LS2 du poste A1;
La fig. 24 montre les fils de démarrage 2000 (qui sont reliés aux fils de démarrage individuels des circuits - de ligne comme le montre les fig. 6 à 9, suivant les niveaux du banc des chercheurs à travers lesquels ces circuits sont atteints) qui commandent le relais commun de démarrage 2001

et qui guident les chercheurs vers les niveaux convenables lorsqutils recherchent la ligne appelante.

La fig. 24 montre également le distributeur commun aux quatre positions de la table et qui répartit les appels entrants vers les opératrices;
Les fig. 25, 26 et 27 représentent les relais de position et les clefs de la position 1;
Les fig. 28 et 29 montrent les circuits d'émission SL1 et SL2 ainsi que l'équipement qui leur est associé y com- pris les clefs de chiffres DK;
La fig. 30 représente le circuit de commande de l'é- metteur de l'émetteur-enrégistreur RS ainsi qu'un rectangle indiquant les émetteurs-enrégistreurs RS;
La fig. 31 montre le répétiteur R3 du bureau 8 qui est associé au circuit de jonction Tl sortant vers le bureau 9, et qui est identique au répétiteur RI montré en détail à la fig. 21;

Les fig. 32 et 33 représentent les sélecteurs dtarri- vée IS3 et IS4 associés aux circuits de jonction T3 et T4 qui acheminent le trafic venant du bureau 8. Le sélecteur IS3 étant identique au sélecteur représenté IS4 coince l'indique un rectangle;
La fig. 34 montre le répétiteur R4 associé au circuit de jonction T2 exploité dans les deux sens et qui est identique à celui montré à la fig. 21 ;
La fig. 35 représente la ligne du poste A3 (N 8225) raccordé au bureau 8 ainsi que le présélecteur LS7 qui lui est associé et les présélecteurs LS6 et LS8, qui ont tous accès au sélecteur primaire FS6 qui est identique au sélecteur FS5 mon- tré en détail à la fig. 16 sauf que les balais du sélecteur primaire FS6 (dans le bureau 8) retombent du huitième niveau au lieu de retomber du neuvième niveau.

La fig. 36 montre le connecteur local LOC3 qui est identique au connecteur local LCC1 montré en détail la fig. 23.

La fig. 37 représente le répétiteur de départ OR2 associé au circuit de jonction sortant T2 qui aboutit au bureau public. Ce répétiteur est identique au répétiteur OR1 de la fig. 17;
Les fig. 38 à 41 montrent les sélecteurs d'arrivée IS5 et IS6 associés aux circuits de jonction T4 et T5 pour l'acheminement des appels venant du bureau satellite 86, ainsi que les répétiteurs R5 et R6 associés au circuit de jonction T5 exploité dans les deux sens et au circuit de jonction T6 pour l'acheminement des appels vers le bureau satellite 86;
Les fig. 42 et 43 représentent le connecteur d'arrivée IC2 du bureau 86 associé au circuit de jonction T5 exploité dans les deux sens, il a accès aux lignes locales du bureau satellite pour établir les communications entrant dans ce bureau.

Les fig. 44 et 45 montrent le connecteur d'arrivée ICI (une réplique du connecteur d'arrivée IC2) associé au circuit de jonc-lion entrant T6;
Les fig. 46 et 47 représentent le sélecteur-répéti- teur SR du bureau 86 accessible aux présélecteurs tels que LS10 du poste A4 (N 8625) ainsi qu'aux présélecteurs de trans- fert LS9, LS11 et LS12;
La fig. 48 montre le connecteur local LOC4 de la fig. 3 qui est accessible au sélecteur-répétiteur tel que SR de la fig. 39 et qui a accès aux lignes locales du bureau satel- lite; enfin, la fig. 49 représente le répétiteur de départ OR3 accessible des sélecteurs-répétiteurs tels que SR et asso- cié au circuit de jonction sortant OT3 qui aboutit au bureau public.
EMI19.1

Q!!-E1.

Pour qu'on puisse plus facilement suivre les déve- loppements de la description qui va suivre certaines caractéris-

tiques spéciales, mais d'une nature générale, qui font partie intégrante du système exposé ici et qui n'ont pas été spéciale- ment mises en lumière dans la discussion qui précède seront énumérées ci-après:
1. Ainsi qu'on a coutume de le faire les lignes du bureau annexe sont divisées en lignes '--, service complet et en lignes à service restreint. Les lignes à service complet peuvent obtenir des communications vers le bureau central et en recevoir, les lignes à service restreint ne jouissent pas de ce privilège.

Les circuits de jonction aboutissant au bureau public étant accessibles du dixième niveau du sélecteur primaire utilisé par les abonnés du bureau annexe, les sélec- teurs primaires sont arrangés de telle sorte qu'ils acheminent ou non les appels par le dixième niveau selon qu'il existe ou non une connexion volante dans le présélecteur de la ligne appelante, cette connexion étant effectuée au présélecteur de chaque ligne à service restreint.

Les appels venant du bureau public vers le bureau annexe sont acceptés ou refusas aux connecteurs ayant accès la ligne appelée dans le bureau annexe. Chaque conne cteur possède un relais enregistrant la classe à laquelle appartient l'abonné, il attire automatiquement dans le circuit du quatrème fil entrant quand l'appel provient du réseau public, mais pas dans les autres cas. Le connecteur possède également un relais de test de classe qui décèle la présence ou l'absence d'une terre sur le quatrième fil du groupe assisgné à la ligne appe- lée de telle-sorte que la communication venant du bureau public soit admise ou rejetée suivant la alasse à laquelle appartient la. ligne appelée.

De plus les sélecteurs utilisés par les opératrices sont pourvus de moyens de discrimination qui empêchent l'éta- blissement de communications venant du réseau public par l'in- termédiaire de circuits de jonction entre bureaux annexas.

2. On a déjà mentionné que les opératrices ne peuvent établir une connexion vers un circuit de jonction aboutissant au bureau public par l'intermédiaire d'un des sélecteurs pri- maires réguliers (reliés aux chercheurs) mais les opératrices possèdent des sélecteurs d'appels retardés (DCS des fig. 2 et 9) au moyen desquels une quelconque d'entre elles peut établir un appel retardé entre une ligne du bureau public et une ligne locale du bureau annexe ou entre deux circuits de jonction entre bureaux-annexes.

Liais pour empêcherl'établissement d'une communication entre le bureau public et un abonné à service restreint du bureau annexe par l'intermédiaire d'un sélecteur d'appel retardé et d'un des circuits de connexion des opéra- trices, le sélecteur d'appel retardé est arrangé de telle sorte que,lorsqu'il est connecté à un circuit de jonction sortant vers le bureau public l'attraction du relais enrégistrant la classe dans le connecteur local ait lieu comme e dans le cas d'un appel venant régulièrement du bureau public.

3. Dans le but de donner une caractéristique intéres- sante au service fourni par le bureau annexe les connecteurs qui sont utilisés pour établir les communications passant par la table des opératrices sont pourvus d'un relais d'offre.

Quand un des abonnés du bureau annexe désire tout particulière- ment être mis en relation avec un autre abonné dont la ligne est occupée il appelle l'opératrice de la table de passage, cette opératrice établit une liaison vers le sélecteur des- servant la ligne occupée et fait ensuite fonctionner le relais d'offre du connecteur dont il a été question ci-dessus pour se brancher temporairement sur la ligne occupée. L'abonné appelé peut alors raccrocher et décrocher ensuite pour accep- ter l'appel urgent. Il est à remarquer qu'une tonalité spéciale est envoyée sur la ligne occupée quand l'appel d'offre par- vient sur celle-ci de manière à prévenir les abonnés en com- munication de ce que l'opératrice intervient en -tiers sur le circuit.

4. Il est à remarquer qu'une des caractéristiques spéciale du circuit présenté iciest que le nombre des fils des circuits de connexion est réduit à un minimum; les fils qui relient les sélecteurs aux connecteurs sont au nombre de quatre seulement : les fils de conversation positif et négatif, le troisième fil ou fil de contrôle (en abrégé fil C) et le quatrième fil d'extra contrôle (en abrégé EC). Le troisième fil ou fil 0 est aussi appelé communément fil de libération du circuit de connexion.

Le quatrième fil est utilisé pour envoyer une impul- sion indicatrice de classe d'un commutateur d'un train de séec- tion au commutateur suivant au moment où celui-ci est saisi, il sert à mettre en service le relais d'offre dont il a été Question plus haut quand une communication urgente doit être offerte lorsque la ligne est occupée; il est également employé comme fil de supervision pour donner un. signal de rappel ou un signal de fin dans le cas d'une communication établie par l'intermédiaire de la table de passage et une ligne interur- baine ou une ligne allant vers un bureau central manuel.

5. Une des caractéristiques spéciales réside dans l'arrangement prévu pour répondre à un certain nombre de con- ditions spéciales requises pour le contrôle , effectuer sur les circuits de jonction bifilaires entre bureaux. En plus du contrôle normal des circrzi. ts permettant 1 ' établissement des communictations le blocage et la libération de celles-ci, ainsi que la supervision donnée par renversement du sens du courant, l'envoi d'une impulsion en-régistrant la classe sur l'un des fils du circuit de jonction entre bureaux, au momént où le circuit de jonction est saisi provoque l'attraction momentanée d'un relais différentiel de contrôle d'enregistre- ment au bureau éloigné pour établir les conditions de classe requises ;

l'envoi d'une impulsion d'offre de communication sur un des fils d'un circuit de jonction entre bureaux quand

un appel est lancé sur une ligne occupée déséquilibre le cir- cuit pour permettre à ce relais d'attirer dans le bureau éloigné pour transmettre une impulsion d'offre au connecteur; lorsqu'il s'agit de prendre sur le fait des abonnés émettant des appels malveillants en bloquant la communication qu'ils ont demandée l'ouverture d'un des fils de ligne au bureau éloigné provoque le report du blocage de la connexion à travers les deux fils de jonction jusqu'au bureau d'origine où le blo- cage se maintient. Les caractéristiques qui viennent d'être énumérées sont valables pour des circuits de jonction travail- lant en tandem quand une communication est établie entre le 'bureau 9 et le satellite 86.

Les caractéristiques données ci-dessus et de nom- breuses autres deviendront plus tangibles à la lecture de la description qui suit:
Description détaillée.

L'invention ayant été décrite d'une manière géné- rale, une description détaillée du fonctionnement du système sera donnée ci-après.

Appel sortant: bureau 9.

On supposera d'abord que l'abonné du poste à service complet Al, fig. 3 et 16, désire émettre un appel vers le bureau public, dans ce but il décroche son récepteur (non re- présenté) et il émet le chiffre 0.

Quand on décroche le récepteur du poste A1 les fils négatif et'-positif sont pontés comme d'habitude,ce qui ferme le circuit du relais 1231 du présélecteur LS2 par l'intermé- diaire de contacts contrôlés par l'armature 1235. Quand le relais 1231 attire il place un positif sur le fil C à son res- sort intérieur, en mène temps il déconnecte l'enroulement 1232 de 1'électro-aimant du présélecteur, à son ressort supérieur il ferme le circuit de l'enroulement 1233 par l'intermédiaire

du fil de terre en chaîne qui lui est associé.

En ce point on peut faire remarquer que les présélecteurs tels que LS2 sont divisés en deux groupes chacun de ces groupes ayant accès à un groupe différent de circuit de jonction et étant dirigés par un commutateur principal de commande sépare.

Quand le circuit de l'enroulement 1233 est fermé l'armature 1234 est attirée ce qui presse les ressorts du présélecteur sur les contacts du circuit de connexion qui ont été présélectionnés par le commutateur principal de commande (non représenté); pour plus de convenance on peut supposer qu'il s'agit du circuit de connexion ascocié au présélecteur secondaire SLS. L'armature 1235 est attira également et dé- connecte les fils de ligne entrants du relais 1231 et du posi- tif, il en résulte que le relais de ligne retardé 1231 relâche.

L'enroulement 1232 est mis sous tension par l'intermédiaire du positif appliqué au fil C du présélecteur par le ressort inférieur du relais de ligne 1231 et par l'intermédiaire de 1'armature 1234.

On n'a représenté que les balais du présélecteur secondaire SLS. Celui-ci de préférence est du type rotatif, il est pourvu du relais de ligne habituel et des relais de commutation normaux. Le fil C du présélecteur secondaire SLS est Elis à la terre de la manière habituelle par le relais de ligne (non représenté) peur maintenir sous courant l'enroule- ment 1232 du présélecteur LS2 qui joue le rôle d'un enroule- ment de blocage après la libération du relais de ligne 1231 et lorsque le circuit de l'enroulement 1233 est cuvert.

On peut supposer que le sélecteur primaire FS5 est pré- celui qui a été saisi par le/sélecteur secondaire SLS. Dans ces conditions le relais de ligne 1201 attire dans la boucle des fils entrants négatif et positif et de la ligne appelante, l'enroulement supérieur de ce relais étant connecté au pôle négatif de la batterie alimentant le bureau .alors que l'en-

roulement inférieur cet connecté à la 'terre par l'intermédiaire des contacts 1213, des contacts du relais 1205 du fil 1215 et de la source fournissant la tonalité d'invitation à tra,ns- mettre (représentée par une ligne pointillée aboutissant au positif). En attirant le relais 1201 ferme le circuit du relais 1202,

ce circuit passe par des contacts du relais
1206. Le relais 12C2 attire et place à son contact supérieur un positif sur le fil entrant C, ce qui procure un circuit de blocage à l'enroulement 1232 du présélecteur LS2 après la li- bération du relais de ligne du présélectour secondaire SLS.

Le relais 12C2 forme également le circuit du relais
1203 qui ouvre en un. point le circuit de l'électro-aimant de libération 1209 et prépare le circuit de 1'électro-aimant d'ascension 1207 à son contact inférieur intérieur, tandis qu'à ses contacts inférieur médian et inférieur il prépare le-, air- cuits qui auront pour mission d'absorber un chiffre dans le sélecteur, ces circuits contiennent le relais 1205. Le relais
1203 ferme également le circuit de l'enroulement polarisant du relais 1206 (il s'agit de l'enroulement inférieur) de plus il prépare un circuit de test pour l'enroulement supérieur du relais 1206 par l'intermédiaire du balai C du groupe de balais
1200.

Quand l'abonné appelant entend la tonalité d'invi- tation à transmettre envoyée sur la ligne par le fil 1215 il d'appel émet au moyen du cadran/(non représenté) le chiffre "0" qui ' est assigné aux appels vers le bureau public, le relais de ligne 1201 relâche momontanément dix fois. Chaque fois qu'il relâche il forme à travers des contacts du relais attiré 1203 le circuit de l'électro-aimant d'ascension 1207. L'électro aimant 1207 fonctionne donc dix fois et élève les balais 1200 pas à pas jusqu'à ce qu'ils viennent se placer en face du dixième niveau des contacts de banc. Les contacts du dixième niveau du sélecteur utilisé ici, aïnsi que le montre la fig. 3,

aboutissent à des circuits de 'jonction sortants tel que le circuit de jonction OT1 des fig. 3 et 17.

Le relais 1204 attire sous l'action de son enroule- Bent inférieur quand la première impulsion est envoyée vers l'électro-aimant d'ascension 1207. Comme ce relais est pour- vu d'un noyau entouré d'un manchon conducteur, comme le montre les traits doubles représentant le noyau, ce relais (de même que le relais de libération 1202 et d'autres ayant la même représentation) est retardé à la libération et reste attiré pendant l'envoi des impulsions.

Quand l'envoi cesse le relais 1204 relâche et à son contact inférieur ferme le circuit de l'électro-aimant de rotation 1208, ce circuit comprend des contacts du relais 1201, les contacts de commande propre de l'électro-aimant de rotation 1208, les contacts d'engagement 1210, les contacts du relais 1204, le ressort 1217 du neuvième niveau et son con- tact de gauche, les contacts de 1'électro-aimant de libération 1209.

L'électro-aimant de rotation à commande propre 1203 travaille comme un ronfleur et entraîne les balais 1200 dans le champ des contacts, du dixième niveau 1: la recherche d'un circuit de ionction libre.

On peut supposer que le circuit de jonction sortant OT1, fig. 17, est le prenier qui ait été trouvé libre et qu'il est par conséquent saisi'par les balais 1200 aux bornes telles que 1300. Quand les bornes.'1300 sont atteintes, le balai C du sélecteur rencontre un négatif sur la borne C du groupe 1300 par l'intermédiaire des contacts de la clef d'occupation 1307, des contacts du relais 1302 et de la résistance 1309.

L'enroulement supérieur (enroulement de test) du relais 1206 est mis sous courant dans un circuit allant du balai C au fil entrant C mis à la terre du sélecteur, (il est mis à la terre aux contacts supérieurs du relais de libération 1202).

Les balais du sélecteur ayant été élevés jusqu'au dixième niveau ou niveau "O", le ressort du niveau "0" 1216 a été actionné et placé dans sa position alternative ce qui transfère la borne gauche de l'enroulement de test du relais
Par 1206 du fil entrant C au fil EC entrant dans le sélecteur FS5. cette précaution le circuit de test du relais 1206 n'est actif que dans le cas où le présélecteur appelant possède une con- nexion libre (telle que la connexion 1236 du présélecteur LS2) permettant au fil EC du sélecteur d'obtenir -un positif du fil C de celui-ci.

La connexion 1236 met donc à la terre le fil EC entrant dans le sélecteur FS5, le positif se prolonge à travers le contact droit et le ressort 1216 du niveau "0",et par l'intermédiaire du contact supérieur du relais 1203, jus- qu'à la borne gauche de l'enroulement de test du relais 1206.

Quand l'enroulement de test du relais 1206 est mis sous courant en série avec la résistance 1309, ce relais attire et ferme le circuit de son enroulement médian ou enroulement de blocaze du relais par l'intermédiaire du fil C mis à la terre; il connecte le fil C entrant au balai C, sans passer par l'enroulement de test du relais, il déconnecte le positif du ressort du relais de ligne 1201 pour faire cesser le mouve- ment de rotation et pour empêcher une libération prématurée du sélecteur; enfin il déconnecte les fils entrants positif et négatif de l'enroulement du relais de ligne 1201 et prolonge ceux-ci par l'intermédiaire des balais négatif et positif du groupe 1200 jusqu'aux fils correspondants entrants dans le répétiteur de départ OR1.

Dans le répétiteur OR1 le relais 1301 attire dans le circuit de la ligne appelante et à travers le relais différen- tiel 1305 de contrôle du transfert, il ferme le circuit du re- lais de libération 1302, ce relais applique un positif au fil entrant C ce qui procure un circuit de blocage au relais 1206 du sélecteur FS5 et aux présélecteurs LS2 et SLS avant que le

relais retardé 1202 du sélecteur ait eu le temps de relâcher.

Les relais 1202 et 1203 relâchent lentement.

Le relais de ligne 1301 ferme oralement un pont sur les fils sortants du circuit de jonction CT1 par l'intermé- diaire des enroulements gauches de la bobine translatrice de 1330 et/la résistance associée, préparant de ce fait la mise en service des appareils de commutation du bureau public.

On doit se rappeler que la tonalité d'invitation à transmettre a été envoyée par l'intermédiaire des fils communs 1215 associés au sélecteur FS5 pour avertir l'abonné du poste Al de ce qut il pouvait commencer à émettre les impulsions.

Cette tonalité n'est plus reçue quand le sélecteur FS5 a fond- tionné pour saisir le répétiteur sortant OR1. Puisque l'abon- né appelle le bureau public il reçoit maintenant une autre invitation à transmettre qui parvient du bureau public à travers le circuit de jonction GTI ou bien il ne reçoit aucune indica- tion, ceci dépendant de la nature des appareils de commutation auxquels aboutit le circuit de jonction CT1.

De toute façon l'abonné du peste A1 envoie ensuite les chiffres du numéro qu'il désire appeler dans le bureau public,ceci provoque la répétition des impulsions aux contacts inférieur du relais de ligne 1301 du répétiteur OR1 et met en marche les appareils du bureau public qui établissent la com- munication demandée. La conversation peut des lors s'engager.

Appel d'information pendant une communication
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ÔOETµETG7 Dans,le but d'expliquer comment on peut émettre un appel d'information lorsqu'une communication est engagée entre le bureau annexe et le bureau public on supposera que l'abon- né du poste Al désire obtenir une infermation complémentaire d'un des autres abonnés du bureaa annexe avant de couper la communication en cours avec un abonné du bureau public. Dans ce cas après'avoir demandé à l'abonné du bureau public de

vouloir bien patienter un moment l'abonné A1 du bureau annexe pousse momentanément sur le bouton monté sur son poste ce qui place une terre sur le fil positif de sa ligne.

L'action momentanée du bouton de mise L la terre du poste appelant dés- équilibre momentanément le courant traversant le relais dif- férentiel 1305, celui-ci attire momentanément. Il ferme le circuit de l'enroulement supérieur d'attraction au premier temps du relais 1304 . travers des contacts de ce relais qui attire suffisamment pour fermer ses contacts préliminaires seulement (ce sont ses contacts inférieurs intérieurs réglés légèrement).

Un circuit de blocage se ferme pour les deux enrou- lements du relais en série par l'intermédiaire des relais 1303 et 1304, mais ce circuit de blocage est inactif aussi longtemps que le circuit initial de l'enroulement supérieur du relais 1304 reste fermé.

Quand le bouton poussoir du poste appelant est li- béré et que le relais 1305 relâche les deux enroulements du relais 1304 sont alimentés en série et le relais attire à fond.

Les fils négatif et positif du répétiteur OT1 sont déconnectés des enroulements gauches de la bobine translatrioe 1330 et transférés aux fils correspondants du présélecteur LS1, un circuit de blocage du relais 1302 étant préparé à travers le fil C du présélecteur LS1.

Le relais de ligne relâche alors,mais sans effet, car les fils sortants sont pontés par les contacts inférieurs du relais de transfert 1304 et le relais de libération 1302 est maintenu attiré à travers le fil C du présélecteur LS1, celui-ci fonctionne dans le circuit de la ligne appélante pour saisir un autre sélecteur primaire identique au sélec- teur primaire FS5 et permettre ù l'abonné du poste Al d'établir avec un une communication quelconque des autres abonnés du bureau an- nexe. On remarquera que le présélecteur LS4 n'est pas repré- senté complètement du fait est identique au présélecteur LS2.

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Libération de la coumanication établie pour l'ahpel d'in- formation.

Quand l'abonné du poste Al a terminé sa conversation d'information et qu'il désire couper cette communication pour se remettre en relation avec l'abonné du bureau public il pousse de nouveau momentanément le bouton de son poste ce qui met mo- mentanément la ligne à la terre pour faire attirer le relais 1305. En ce moment quand le relais 1305 attire il ferme le circuit du relais 1303 à travers des contacts du relais 1304.

Le relais 1303 ferme un nouveau circuit de blocage pour le re- lais 1304 tout en ouvrant le circuit de blocage initial de ce relais. 11 en résulte que quand le relais 1305 relâche et ouvre le circuit d'attraction du relais 1303 il ouvre également le circuit du relais 1304. Le relais 1303 est retardé , il maintient donc le circuit de blocage du relais 13C4 ouvert pendant un temps suffisamment long pour permettre celui-ci de relâcher et de transférer la connexion du présélecteur vers le circuit de jonction sortant OT1. Le présélecteur LS1 de même que les autres organes du cireuit de transfert revient au repos.

Le relais 1301 attire de nouveau et maintient le relais de libération 1302 bloqué localement, L ses contacts inférieurs il maintient également le pont placé sur le circuit de jonction sortant. Le relais 1203 pcssède une paire de con- tacts inférieurs qui maintiennent le pont fera± pendant la période transitoire pendant que la connexion est transférée du présélecteur LS1.

Libération de la connexion établie vers le bureau public.

Quand l'abonné du poste Al a terminé sa conversation avec l'abonné du bureau public il raccroche son récepteur (non représenté) ce qui fait relâcher le relais 1301 et ouvre le circuit de jonction sortant OT1. pour permettre la libération de l'équipement automatique du bureau public au même instant.

Le relais 1301 coupe oralement le circuit du relais retardé
1302 qui lui est associa permettant à celui-ci de relâcher après un court instant et de supprimer par le fait même le positif connecté au fil C qui lui est associé. Le relais
1206 du sélecteur primaire FS5 relâche ù son tour, et l'en- roulement 1232 du présélecteur LS2 est mis hors circuit ce qui provoque le retour en position .normale des armatures
1235 et 1234. L'armature 1234 ouvre la connexion entre le présélecteur LS2 et le présélecteur secondaire,SLS.

Dans le sélecteur primaire FS5 le circuit de l'élec- . tro-aimant de libération 1208 se ferme aux contacts inférieurs du relais 1206 par l'intermédiaire de contacts des relais 1201 et 1203, et des contacts d'engagement 1211. L'électro-aimant de libération attire et provoque le retour en position de re- pos du sélecteur primaire FS5 de la manière habituelle, de ce fait le circuit de l'électro-aimant de libération est ouvert aux contacts d'engagement 1211.

Si on examine ce qui se passe dans le répétiteur de départ OR1 on voit que le relais 1306 de celui-ci est connecté au fil C. Ce relais peut être utilisé quand on désire faire le contrôle de l'application d'un positif à un fil commun qui indique si tous les circuits de jonction sortants sont occupés ou non. Ce fil marqué 1308 et connu sous le nom de fil commun ' d'occupation est représenté au plan, associé au relais 1306.

Il est commun à tous les répétiteurs de départ d'un même bureau.

Quand tous ces répétiteurs sont occupés, tous les relais 1306 sont attirés et le positif est supprimé en tous les points du fil 1308. Ce fil peut aboutir à un compteur ou peut être utilisé à toute autre fin.

On peut signaler ici qu'il n'y a pas de connexion telle que 1236 dans le présélecteur LS3 car il dessert une ligne à service restreint. De ce fait si l'abonné du poste
A2 décroche son récepteur et qu'il émet le chiffre "0" dans

l'intention de prendre une communication vers le bureau pu- blic, le sélecteur primaire mis en service (par exemple le sélecteur primaire FS5) ne sera pas en ne sure de saisir un circuit de jonction sur le dixième niveau car il n'y a pas de positif sur le fil entrant EC du sélecteur. On avait fait remarquer précédemment qu'un positif doit être placé sur ce fil pour que l'enroulement de test du relais 1206 soit alimen- té.

Dans le cas actuel le sélecteur continue de tourner jus- qu'à ce que les contacts 1212 et 1213 se ferment la tonalité d'occupation est alors envoyée sur la ligne appelante.

Communication locale dans¯le¯bureau¯9.

Dans le but d'expliquer les opérations qui s'effec- tuent dans le bureau 9 pour l'établissement d'une communica- tion locale on supposera que l'abonné du poste A2 (N 9225) désire converser avec l'abonné du poste A1 (N 91225). S'il en est ainsi l'abonné du poste A2 décroche et émet les chiffres du numéro désiré soit 91225.

Quand on décroche le récepteur le présélecteur LS3 fonctionne de la manière qui a été expliquée dans le cas du présélecteur LS2 pour saisir un présélecteur secondaire libre (tel que SES) et le présélecteur secondaire saisit à son tour un sélecteur primaire libre, le sélecteur primaire FS5, par exemple. Les relais 1201,1202 et 1203 du sélecteur primaire FS5 attirent l'un après l'autre pour mettre le sélecteur en service et l'abonné du poste appelant A2 reçoit la tonalité d'invitation à transmettre qui est amenée du fil commun 1215 par l'intermédiaire de l'enroulement inférieur du relais 1201.

Quand l'abonné appelant émet le grenier chiffre, 9, du numéro désiré le relais 1201 relâche momentanément neuf fois de ce fait 1'électro-aimant d'ascension 1207 élève les balais 1200 jusquèn face du neuvième niveau des contacts de banc. En ce moment le ressort d'arbre 1217 du niveau "9" est actionné,

il passe en position de travail et ouvre en un point le circuit normal de l'électro-aimant de rotation 1208, il prépare en même temps le circuit de l'électro-aimant de libération 1209.

Ceci provoque l'absorption du premier chiffre.

Dans ces conditions quand le relais série 1204 (qui est attiré pendant le mouvement d'ascension) revient au repos à la fin de ce mouvement il applique une terre au ressort 1217 du niveau "9" comme il a été décrit antérieurement. En ce mo- ment cependant le ressort 1217 est en position de travail et la terre est prolongée par l'intermédiaire des contacts du re- lais 1205', des contacts du relais 1203 attiré et des contacts d'engagement 1211 jusqu'à 1'électro-aimant de libération 1209.

L'électro-aimant de libération 1209 actionne ses ressorts tout en provoquant la remise en position de repos du sélecteur Fs5.

A ses contacts extérieurs l'électro-aimant 1209 maintient le circuit de l'électro-aimant de rotation 1208 ouvert après que le ressort 1217 du niveau "ç" est revenu au repos et jusqu'à ce que les contacts d'engagement 1210 se soient ouverts. A ses contactsintérieurs 1'électro-aimant de libération 1209 établit un circuit de blocage pour lui-même sans le concours du ressort 1217 jusqu'à ce que les ressorts d'engagement 1211 soient ouverts.

Quand la position de repos est atteinte et que les contacts d'engagement 1210 et 1211 se sont ouverts de la manière habituelle l'électro aimant de libération 1209 reste attiré momentanément dans -Lui circuit de blocage qui comprend l'enroule- , ment inférieur du relais 1205, les contacts inférieurs de ce relais, des contacts du relais auxiliaire 1203 et les contacts intérieurs de 1'électro-aimant de libération 1209 et aboutit au positif par l'intermédiaire des contacts du relais de ligne attiré 1201 et des contacts du relais 1206. Le relais 1205 attire dans ce circuit et ferme son circuit de blocage à ses contacts supérieurs intérieurs et par l'intermédiaire de son enroulement supérieur.

Le relais 1205 ouvre également son

circuit d'attraction et le circuit de blocage de l'électro aimant de libération 1209 à ses contacts inférieurs, de ce fait l'électro-aimant de libération relâche. A son ressort inférieur le relais 1205 connecte le contact de repos du ressort 1217 au contact au travail de ce groupe pour permettre la rotation sur le neuvième niveau tandis qu'à son ressort inférieur intérieur il ouvre le circuit de libération ?;. travers lequel l'électro aimant de libération 1209 avait attiré pour faire retomber les balais.

A son contact inférieur le relais 1205 substitue une terre directe au fil commun 1215 de la tonalité d'invitation à transmettre ce qui fait cesser l'envoi de cette tonalité sur la ligne appelante après l'émission du premier chiffre ce qui est conforme à la pratique normale.

Quand l'abonné appelant émet le deuxième chiffre (1) du numéro demandé l'électro-aimant d'ascension fonctionne de nouveau et amené les balais en face du premier niveau des con- tacts de banc.

Quand le relais-série 1204 relâche l'électro-aimant à commande propre 1205 entraîne les balais 12CO dans le champ des contacts du premier niveau à la recherche d'un sélecteur secondaire libre. Si on suppose que le sélecteur secondaire SES, fig. 22, qui est à la disposition du sélecteur primaire FS5 aux bornes telles que 1800, est le premier qui soit trouvé libre, le -relais de commutation 1206 attire dans le circuit du balais C qui lui estassocié et du fil C qui va des bornes 1800 au sélecteur secondaire SES. Une polarité négative in- diquant que l'appareil est libre est normalement appliquée au fil entrant 0 du sélecteur secondaire SES par l'intermédiaire de l'enroulement supérieur du relais série 1304, des contacts d'engagement 1812 et des contacts de la clef d'occupation 1816.

Quand le balai C du sélecteur FS5 rencontre cette polarité le relais de commutation 1206 attire pour prolonger la ligne appelante jusqu'au sélecteur secondaire SES.

Dans le sélecteur secondaire SES le relais 1804 attire dans le circuit du fil C entrant et ouvre en un point le circuit de l'électro-aimant de rotation 1808. Le relais 1801 attire dans la boucle de la ligne appelante et ferme le circuit du relais 1802 qui attire et fait attirer le relais 1803 en plus de ce qu'il applique un positif de blocage au fil C entrant par l'intermédiaire des contacts supérieurs du relais 1802.

Quand l'abonné appelant émet le troisième chiffre (2) du numéro désiré le relais de ligne 1801 relâche momen- tanément deux fois. Chaque fois qu'il relâche il ferme à travers des contacts du relais 1802 le circuit de lélectro aimant d'ascension 1807. L'électro-aimant d'ascension amène les balais 1850 en face du deuxième niveau des contacts de banc (le niveau dans lequel se trouvent les bornes 1851). Le relais 1804 reste attiré sous l'action des impulsions qui passent à travers son enroulement inférieur en parallèle avec le circuit de l'électro-aimant d'ascension 1807, après que le circuit initial de l'enroulement supérieur de ce relais se soit ouvert aux contacts d'engagement 1812,au premier pas d'ascension du commutateur.

Les contacts d'engagement 1811 préparent le circuit de l'électro-aimant de rotation 1808, celui-ci travaille à la manière d'un ronfleur travers les contacts du relais 1804, quand ce relais attire à la fin du train des impulsions.

Si on suppose que les bornes 1851 sont les premières qui aient été trouvées libres par les balais 1850 tournant dans le champ des contacts du deuxième niveau, ces bornes (associées au connecteur local LOO des fig. 3 à 23) sont celles sur les- quelles les balais restent engagés. Le fil C associé aux bornes 1851 et entrant dans le connecteur local LOCl, est normalement marqué par une polarité négative indiquant qu'il est libre, elle lui est amenée par l'intermédiaire des/ con-

tacts supérieurs de la clef d'occupation 1926, des contacts d'engagement 1923 et de l'enroulement supérieur du relais 1906.

Il en résulte que le relais 1806,polarisé électriquement,re- çoit un courant qui circule du balai C au fil C mis à la terre.

En attirant,le relais 1806 fait cesser le mouvement de recher- che et établit la connexion à travers le connecteur local LOC1 de la fig. 23. Les relais 1801-1803 du sélecteur SES relâchent, mais le relais 1806 reste attiré,par l'action de son enroule- ment de blocage (enroulement médian) connecté au fil C mis à la terre, pour maintenir la connexion établie et pour laisser le circuit de l'électro-aimant de libération ouvert.

Dans le connecteur local LCC1 le relais 1906 attire dans le circuit du fil C mis à la terre et à travers des con- tacts d'engagement 1923, il ouvre en un point le circuit de l'électro-aimant de rotation 1920 et prépare le circuit de son enroulent inférieur et de l'enroulement de l'électro aimant d'ascension 1909.

Quand le relais 1806 du sélecteur secondaire SES attire pour prolonger la ligne appelante, le relais 1902 du connecteur local LOCI attire dans la boucle de la ligne appelante pour fermer le circuit d'attraction du relais 1904-. Le relais 1904 applique un podtif au fil entrant C pour donner un circuit de blocage aux commutateurs qui pré- cèdent; il ouvre en un point le circuit de l'électro-aimant de libération 1921 ; ilferme à travers des contacts du relais 1911 le circuit de l'enroulement inférieur du relais 1905.

Le relais 1905 possède un enroulement additionnel qui est incorporé en ce moment dans un circuit fermé à travers des contacts du relais de libération 1904- ce qui retarde ce relais à la libération. La raison de cet arrangement apparaîtra ultérieurement.

Les relais 1904, 1905 et 1906 ayant attiré, le connec- teur est prêt à recevoir le chiffre des dizaines (2) du numé- ro désiré. Le relais 1902 relâche deux fois momentanément

quand le chiffre 2 est émis. Chaque fois qu'il relâche, le -aimant relais 1902 ferme le circuit de l'électro/d'ascension 1919 à travers des contacts des relais attirés 1905 et 1906. L'é- lectro-aimant 1919 amène les balais 1900 en face du deuxième niveau des contacts de banc. L'enroulement inférieur du re- lement lais 1906 est maintenu en circuit avecl'enrou/de l'électro aimant d'ascension 1919 après que le circuit initial de l'en- roulement supérieur a été coupé aux contacts d'engagement 1923.

A la fin du mouvement d'ascension le relais 1906 relâche et transfère le circuit actif de l'électro-aimant d'ascension 1919 à l'électro-aimant de rotation 1920.

Quand le chiffre des unités (5) est émis, cinq im- pulsions sont envoyées vers l'électro-aimant de rotation 1920 il en résulte que les balais 1900 sont amenés sur le cinquième groupe des contacts de banc du deuxième niveau, ceux-ci sont ceux de la ligne du poste A1, fig. 16. Le relais 1914 attire dans le circuit de l'électro-aimant de rotation 1920 et reste attiré pendant le mouvement de rotation. Ce relais shunte les contacts inférieurs du relais 1913 pour éviter une ouverture prématurée du circuit de l'électr-aimant de rotation dans le cas où le relais 1913 opérerait pendant le mouvement de rota- tion lorsque le balai C du connecteur passe sur les contacts de lignes occupées.

A son ressort supérieur le relais 1914 ferme le circuit d'attraction du relais auxiliaire 1915. Le relais 1915 déconnecte le balai C de l'enroulement du relais 1917 et le transfère à l'enroulement supérieur du relais 1913 pour permettre le test d'occupation normal par le balai C. On peut signaler que le relais de test de la classe 1908 n'est pas actif en ce moment car le relais d'enrégistrement de la classe n'a pas été mis en circuit pour connecter le relais de test de la classe 1908 au balai EC du connecteur.

La ligne appelée est occupée.

Si on suppose que la ligne du poste Al est occupée

aumoment de l'appel le relais 1913 attire dans le circuit du balai C. Dans ces conditions quand les relais 1914 et 1915 relâchent à la fin de l'envoi du.train des inpulsions, le cir- cuit de blocage du relais 1913, qui emprunte l'enroulement supérieur, se ferme aux contacts du relais 1915 et du relais de test de la classe 1908 ; circuit de blocage comprend des contacts du relais 1913, des contacts du relais 1912 et les contacts supérieurs du relais 1905.

Le relais 1913 étant attiré, le relais 1917 est mis hors circuit ; circuit de l'électro '. aimant de rotation est ouvert à ses contacts inférieurs; le relais 1912 est connecté du. fil entrant EC pour une raison qui sera expliquée plus en détail ultérieurement; la tonalité d'oc- cupation est envoyée sur le fil inférieur de conversation, elle est amenée par le fil commun 1943 de la tonalité d'occupation à travers les contacts supérieurs du relais 1913 et par l'in- termédiaire des contacts supérieurs du relais 1912, cette tona- lité est envoyée sur la ligne appelante pour avertir l'abonné de ce que la ligne appelée est occupée. Lorsqu'il entend ce signal l'abonné appelant raccroche et permet ainsi aux organes de commutation de se libérer.
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p2¯lip¯e¯appelée-est libre.

Si on suppose maintenant que la ligne du poste A1 est libre au moment de l'appel, le relais 1913 est relâché quand les balais 1900 arrivent sur les bornes de la ligne appelée et les relais 1914 et 1915 relâchent. Dans ce cas la libération du relais 1915 a pour résultat de connecter la borne inférieure du relais 1917 au fil C du connecteur, la borne supérieure du relais étant connectée à travers des con- tacts du relais 1913 à la terre prise aux contacts supérieurs du relais 1905. De ce fait le relais 1917 attire dans le cir- cuit comprenant le balai C du connecteur, la borne C de la ligne du poste Al, fig. 16, les contacts du relais 1231 et l'enroule- ment du relais 1232 du présélecteur LS2.

Quand-l'enroulement

1232 seul est sous tension l'attraction magnétique est suffi- sante pour faire travailler l'armature 1235 mais l'armature 1234 n'est pas attirée. L'armature 1235 actionne les ressorts qui lui sont associés et dégage la ligne appelée de'ses con- nexions normales.

Dans le connecteur LCC1, fig. 23, le relais 1917 attire après un court instant (par suite de l'action de la bague en cuivre garnissant son noyau) pour donner le temps à l'armature 1235 du présélecteur de dégager la ligne. Le relais 1918 attire alors et déconnecte l'électro-aimant de
EC rotation 1920 et le relais 1914; il déconnecte le balai/du circuit qui conduit vers le relais 1908 quand le relais 1907 est attiré et il le connecte à l'enroulement supérieur du re- lais 1916 ; ferme son circuit de blocage par l'intermédiaire des contacts supérieurs du relais 1905; il applique un positif pris aux contacts supérieurs du relais 1905 au balai C, ce qui shunte le relais 1917 et lui permet de relâcher; enfin il connecte les balais négatif et pcs itif au circuit d'appel à travers des contacts du relais 1911.

Le courant d'appel venant du fil de retour du générateur 1941 emprunte les con- tacts du relais 1911 et les contacts du relais 1918 pour aboutir au fil positif de la ligne du poste Al, le retour vers le pôle négatif de la batterie s'effectuant à travers le fil négatif de la ligne et l'enroulement supérieur du relais 1911.

Quand l'abonné appelé répond, la fermeture normale du pont à courant continu sur les fils de la ligne'provoque l'attraction du relais 1911. En attirant,le relais 1911 ferme son circuit de blocage comprenant ses deux enroulements con- nectés en série, il passe par les contacts d'engagement 1925.

Le relais 1911 ouvre également le circuit d'appel et ferme le circuit de conversation, il ouvre également le circuit du relais 1905 mais celui-ci reste attiré momentanément par suite de l'effet de freinage de son enroulement supérieur

qui se trouve pour l'instant incorporé dans un circuit fermé par l'intermédiaire des contacts du relais 1904.

Le relais 1903 attire dans le circuit de la ligne appelée en série avec le relais 1925. A son ressort inférieur le relais 1903 ferme le circuit du relais 1901 qui attire pour inverser la connexion entre les enroulements du relais de ligne
1902 et les fils entrants de conversation ce qui renverse le sens du courant dans les fils de la ligne appelante et permet de donner une supervision. Ce renversement n'est d'aucune utilité dans le cas présent (appel local).

Le relais 1903,¯en attirant, ferme enfin le circuit de l'enroulement inférieur dit relais de test de la classe 1908, ce relais joue maintenant le rôle d'un relais de blocage. A son ressort inférieur intérieur le relais 1908 prépare le circuit de blocage du relais 1910, tandis son ressort inférieur il shunte les contacts correspondants du relais 1911 rétablissant donc le circuit d'attraction du relais 1905 avant que celui-ci ait eu le temps de se libérer.

Les circuits restent dans cet état pendant tout le cours de la conversation.

Libération rapide de la ligne appelée.

Dans le but d'expliquer une caractéristique spéciale de libération, de la ligne appelée que possède le connecteur de la fig. 23 on supposera que l'abonné appelé est le premier à raccrocher à la fin de la conversation. Quand le récepteur est raccroché au poste appelé le relais 1903 relâche et ouvre son ressort inférieur le cincuit du relais 1901, de ce fait le relais 1901 relâche eet remet les connexions en position nor- male entre les fils entrants de conversation et le relais 1902.

Le relais 1903 ouvre également le circuit du relais 1908 à son ressort intérieur. Le relais 1903 relâche un instant après et ouvre à son ressort inférieur le circuit du relais 1905.

Le relais 1905 relâche peu après et supprime la terre du balai C, à son.'ressort supérieur, tandis qu'à son ressort.supérieur intérieur il ouvre le circuit de blocage du relais 1918 qui relâche et déconnecte les balais négatif, positif et EC. La ligne du poste Al est de ce fait libérée et le présélecteur LS2 est de nouveau placé sous le contrôle de cette ligne, il en résulte que l'abonné du poste A1 peut recevoir ou émettre un appel alors que le connecteur LCC1 de la fig. 23 est en- core maintenu en service par la ligne appelante.

Quand l'abonné appelant raccroche son récepteur le relais 1902 relâche et ouvre le circuit du relais 1904, celui-ci relâche à son tour après un certain temps et sup- prime la terre du fil entrant C pour permettre la libéra- tion des commutateurs qui précèdent. Le relais 1904 ferme également le circuit de l'électro aimant de libération 1921, de ce fait le connecteur est ramené en position de repos de la manière habituelle. Le circuit de l'électro aimant de libération est ouvert aux contacts d'engagement 1922 quand la position normale est atteinte, de même le circuit du re- lais 1911 est ouvert aux contacts d'engagement 1925. Une polarité, indiquant que le commutateur est devenu libre,est donnée au fil entrant C par l'intermédiaire de l'enroulement supérieur du relais 1906,aux contacts d'engagement 1923.

En ce point on peut expliquer comment s'effectue la libération quand l'abonné appelant est le premier à raccrocher son récepteur. Dans ce cas la libération du relais de ligne 1902 est suivie de celle du relais 1903, en même temps le circuit local de 1'enroulement inférieur du relais'1905 est ouvert pour supprimer la caractéristique du retard à la libé- ration de ce relais, il en résulte que le relais 1905 re- lâche immédiatement par suite de l'ouverture de son circuit sous l'action du relais 1904.

La ligne appelée est rendue libre par la suppression

du. positif du balai 0 aux contacts supérieurs du relais 1905 et par la libération du relais de commutation 1913 quand son circuit est ouvert au ressort supérieur intérieur du relais 1905. Le connecteur est ramené en position normale, comme il a été décrit précédemment, quand 1'électro-aimant de libération 1921 fonctionne après la libération-du. relais 1905.

Les autres commutateurs qui avaient été mis en ser- vice sous le contrôle de la ligne du poste A2 pour établir
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la commmication qui a été décrite précédemment,c'est à dire les présélecteurs LS3 et SLS de même que le sélecteur pri- maire FS5 de la fig. 16,reviennent en position de repos comme on l'a explique déjà.. Le sélecteur secondaire SES, fig. 22, est ramené en position normale par 1'électro-aimant de libé- ration 1809 quand le relais 1806 relâche par suite de l'ou- verture de son circuit de blocage quand le positif est sup- primé du fil C au connecteur LOC1, fig. 23.

Appel entrant¯du réseau public.

Ainsi qu'on l'a signalé précédemment, les appels qui aboutissent au bureau annexe et qui viennent du bureau public sont reçus par une opératrice, ils sont ensuite diri- gés vers la ligne demandée du bureau annexe. Pour la faci- lité de l'exposé on supposera qu'un appel est reçu du bureau public sur le circuit de jonction entrant IT, fig. 2 à 7, et on expliqueracomment cet appel est dirigé vers la ligne du poste Al, fig. 16;

le poste Al étant un poste à service complet c'est à dire qui peut recevoir des appels venant du réseau public.- Quand le circuit dejonction entrant IT est saisi au bureau public, le courant d'appel est envoyé sur ce circuit pour faire attirer le relais 401 de la fig. 7 dont l'enroulement inférieur est ponté sur les fils de con- versation entrants,en série avec le condencateur d'arrêt qu' on trouve normalement dans ce genre de circuit. En

attirant le relais 401 ferme son circuit de blocage propre à ses contacts intérieurs en série avec l'enroulement supérieur du relais 402 tandis qu'à sescontacts supérieurs il décon- necte son enrouleaent inférieur du. pont des fils de conver- sation entrants.

Quand le relais 402 attire il connecte le fil 0, venant du groupe de bornes 400, à son enroulement in- férieur et à l'enroulement du relais 403, marquant de ce fait le circuit de ligne LC2 comme étant appelant dans le banc du chercheur FI de la fig. 10 et dans les bancs des autres chercheurs associés '-, la quatrième position de la table de passage. Le relais 402 ferme également le circuit de la lampe GC2 de la position 1 par l'intermédiaire de con- tacts du relais 403, il place un positif pris à travers les contacts du relais 403 sur le fil de démarrage 411 qui lui est associé. On peut signaler maintenant que la lampe d'ap- pel de groupe GC2 est commune à un groupe complet de circuits de jonction entrants, l'un d'eux étant le circuit IC.

La lampe d'appel de groupe GC1 est de même commune à tous les circuits tels que LC1 de la fig. 6 et les lampes d'appel de groupe GC3 et GC4 sont d'autres lampes,chacune d'elle est commune à un groupe de circuits de jonction et représente un type différent de lignes appelantes.

Comme il est indiqué par les symboles associés dont aux lampes d'appel de groupe/il est question ci-dessus les - fils respectifs qui aboutissent à celles-ci conduisent égaie- ment à des lampes situées dans chacune des trois autres posi- tions. Ces lampes d'appel de groupe servent à identifier les groupes dans lesquels il y a des appels en instance.
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âstème de démaxrae du chexcheur.

Comme il a été signalé ci-dessus le fil de démar- rage 411,associé au circuit de ligne LC2, a été mis à la terre chercheur ' par le relais 402 pour provoquer la mise en position d'un/

sur les bornes du circuit de ligne LC2 dans le but de répon- dre à l'appel. Le système de démarrage du chercheur sera expliqué ci-dessous. En se référant . la fig.24 qui montre le fil commun de démarrage et le distributeur de chercheurs, on peut voir qu'il y a neuf fils de démarrage marqués géné- ralement par le numéro de référence 2000 et auquel on a ad- joint les numéros 2 à 10. Ces derniers numéros indiquent lesniveaux des chercheurs (2 - 10) auxquels les fils de dé- marrage 2000 sont associés respectivement.

Les fils 2 à 9 du groupe 2000, comité on peut le voir, aboutissent aux contacts du banc du balai vertical 712 du chercheur FI sur lesquels s'engage ce balai quand les balais principaux 700 du chercheur se trouvent en face des niveaux 2 à 9 respectivement. Ces fils sont employés pour arrêter le chercheur en face du premier niveau appelant atteint par les balais du comrautateur lorsqu'il s'élève pour répondre à un appel. Ils sont multiples à tous les chercheurs comme il est indiqué par le symbole de connexion commune placé auprès des contacts de banc du balai vertical 712.

On observera que le dixième contact de banc du balai 712 est mis à la terre en permanence pour arrêter le chercheur quand il atteint le dixième niveau. Cette dis- position est nécessaire parce que le dixième niveau parmi les fils 2000 de la fig. 24 n'est pas connecté aux bancs verticaux des chercheurs.

En se référant à la fig. 2 on petit voir que le premier niveau des chercheurs aboutit à des sélecteurs d'ap- pels retardés tels que TICS des fig. 3 à 13. Les appels trans- mis travers les sélecteurs d'appels retardés sont contrôlés par l'opératrice; pour cette raison il n'y a pas de fil dans le'groupe 20COassocié au premier niveau du banc des chercheurs.

Tous les circuits de lignes accessibles d'un niveau donné des chercheurs mettent à la terre le fil correspondant

du groupe des fils de démarrage 2000 de la fig.' 24 par l'in- termédiaire des divers fils de démarrage montrés aux fig. 6 à 9 ( 311,411, 511, 611). Le relais commun 2001 de la fig.24 en attirant sous l'action d'un positif placé sur un des fils de démarrage 2000 fait allumer la lampe pilote à chacune des positions, telle que la lampe pilote 2004 de la position 1;

Le relais 2001 ferme également, a travers les contacts du relais 2005, le circuit du fil de démarrage de la position qui a été présélectionnée parmi les quatre positions par le distributeur ou au fil suivant qui doit être sélectionné par le distributeur si aucun d'eux n'a été présélectionné.

La présélection d'une position par le distributeur de la fig. 24 s'effectue comme suit: quand l'opératrice n'est pas occupée d établir un appel on lui a donné comme instruc- tions d'actionner la clef de conversation d'un circuit de connexion libre pour pouvoir répondre sans retard à un appel entrant. Au moyen des lampes indicatrices associées à chacun de ses circuits de connexion une opératrice est capable de savoir à tout moment quels sont les circuits qui sont libres et ceux qui sont en service .

Les lampes de supervision, d'occupation et de blo- cage 741,742 et 743 de la fig.ll, informent l'opératrice de la position 1 de l'état dans lequel se trouve le circuit de connexion qui se compose du chercheur FI de la fig. 10 et du sélecteur primaire FSI de la fig. 12.

Présélection d'un circuit de connexion comprenant
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Si on suppose que l'opératrice de la position 1 . n'est pas occupée et qu'elle désire présélectionner un cher- cheur pour répondre à un appel éventuel et si on suppose de plus que la lampe d'occupation 742 n'est pas allumée ce qui indique que le chercheur FI et le sélecteur FSI qui lui est associé ne sont pas en service, l'opératrice actionne

sa clef de conversation K2 qui peut être, en pratique, la moitié droite d'une clef à trois positions dont la moitié gauche joue le rôle d'une clef de service K1.

Quand la clef K2 est actionnée le circuit de l'en- roulement inférieur du relais de connexion 703 est fermé à travers le fil commun de test 733. Le fil de test 733 est l'un des fils communs contenus dans le câble 3 (qui est l'un des trois câbles.de multiplage qui connecte l'équipement de la position 1 au,groupé des circuits de connexion assignés celle-ci). En se référant à la fig. 25 on peut voir que le fil de test 733 est normalement mis à la terre aux contacts du relais 2104.

En attirant,le relais 703 du chercheur FI se bloque au fil 734 qui fait également partie du câble 3. Le relais 703, ses différents contacts.complète la liaison entre le circuit de connexion et l'équipement de la position. Cette liaison avait été effectuée partiellement lorsque la clef de conversation K2 avait été actionnée.

Dans l'équipement de position de la fig. 25, le re- lais 2104 attire par l'intermédiaire du fil de blocage 734 dans le circuit de blocage du relais de connexion 703. En attirant,le relais 2104 déconnecte la terre du fil de test 733 empêchant de la sorte qu'on ne fasse fonctionner par in- advertance un autre relais de connexion tel que 703. Le re- lais 2104 déconnecte également les fils de conversation asso- ciés des enroulements de la bobine translatrice RC (utilisée la surveillance pour) et prolonge ceux-ci jusqu'a l'équipement de l' opéra- trice.

Par l'intermédiaire de contacts des relais pilotes 2110 et 2111 le relais 2104 prolonge également le positif jusqu'à l'enroulement du relais 2112 qui prépare à ses con- tacts supérieurs le circuit des relais de signalisation 2105 à 2107, il met à la terre les fils de démarrage et demarquage des distributeurs 2031 et 2032, enfin il connecte le fil de démarrage 2033 au fil de démarrage 727 qui se dirige, à travers

le câble 1, vers le circuit de jonction qui a été présélec- tionné.

Si on suppose que le distributeur est dans la posi- tion normale représentée, l'application d'un positif au fil de démarrage 2031 a pour résultat de provoquer l'attraction successive des relais 2021,2022, 2023 et 2024 qui opèrent le test de la position dans laquelle un circuit de connexion a été présélectionné de la manière qui a été signalée ci-dessus.

La position présélectionnée (position 1) est caractérisée par la terre qui est placée sur le fil de marquage 2032 qui lui est associé.

Quand le relais 2021 du distributeur attire, quand son circuit est fermé, il connecter son ressort inférieur, le fil commun de démarrage au fil de démarrage 2033; il connec- te le relais 2025 au fil de marquage 2032 de la position 1 à son ressort médian et 1, son ressort intérieur il ferme le circuit du relais 2022 (associé à la position 2 par l'inter- médiaire de contacts du relais 2025). En pratique les relais 2021 à 2024 bien eu' ils soient du typeà action rapide ont un réglage relativement dur, tandis que celui du relais 2025 est relativement léger. Il en résulte que le relais 2025, attire sous l'action du fil de marquage 2032 mis à la terre à travers les-contacts du relais 2021, pour ouvrir le circuit du relais 2022 avant que ce dernier ait eu le temps d'attirer.

Le relais 2025 et le relais du distributeur 2021 restent at- tirés à travers les fils 2032 et 2031 jusqu'à ce que l'appel suivant soit arrivé et jusqu'à ce qu'il lui ait été répondu.

En ce point on peut signaler que dans le cas où une présélec- tion similaire s'effectue l'une des autres positions quand le distributeur de la fig. 24 est en position normale le fonctionnement est identique à celui qui vient d'être décrit sauf que les relais qui suivent le relais 2021 attirent suc-

cessivement jusqu'à ce que la position dans laquelle il y a un relais présélectionnéait été localisée, 'en ce moment le relais 2025 est attiré, comme il a été dit ci-dessus,-laissant cette position présélectionnée.

Recherche du circuit de la ligneappelante.

La mise à la terre du fil de démarrage 411, comme il a été dit plus haut, et l'attraction du relais commun de démarrage qui en résulte, à travers le fil de démarrage du niveau, correspondant 2000, provoquent l'application d'un positif de démarrage à travers les contacts du relais 2021 du distributeur sur le fil 2033 de démarrage venant de la position d'opératrice.. Le positif connecté au fil 2033 est prolongé '-- travers les contacts du relais 2112 et à travers le fil de démarrage 727 du câble 1. De ce fil de démarrage 727 le positif est prolongées, travers les contacts inférieurs du relais 703 du chercheur FI, à travers les contacts d'enga- gement 715, jusqu'à l'enroulement inférieur du relais 712 du chercheur FI.

Le relais 702 attire sous l'action de son enroule- ment inférieur et à ses contacts inférieurs connecte son en- roulement inférieur au fil de démarrage 727 . travers les contacts 714,sans le concours des contacts d'engagement 715, dans le but de produire un retour automatique en position de repos et un nouveau démarrage dans le cas où le chercheur passerait au-dessus de la ligne appelante sans la trouver.

A ses contacts supérieurs intérieurs le relais de démarrage 702 prépare le circuit de son enroulement supérieur, il met à la terre le fil 717 à son ressort supérieur pour fermer le circuit d'allumage de la lampe d'occupation 742; tandis qu'à son ressort inférieur il ouvre en un point le circuit de l'électro-aimant de 'libération 711 etapplique -Lui positif au fil 718, fermant de ce fait un circuit à travers les con-

tacts du relais 708 pour allumer la lampe de blocage 743 et fermant le circuit de l'enroulement de polarisation du relais 701.

Il résulte encore de l'application d'un positif au fil 718 que le circuit d'attraction de l'électro-aimant d'ascension 709 se ferme à travers des contacts du relais 701,720 et 719 pour démarrer le mouvement d'ascension du chercheur à la recherche du niveau dans lequel la ligne appe- lante est située.

Quand l'électr-aimant d'ascension 709 fonctionne, il ferme le circuit du relais 720; celui-ci attire et trans- fère l'enroulement de l'électro-aimant d'ascension 709 du fil 718 au balai vertical 712 par l'intermédiaire de l'en- roulement inférieur du relais 719, ouvrant de ce fait le cir- cuit de 1'électro-aimant d'ascension 709. L'électro-aimant d'ascension relâche et ouvre le circuit du relais 720, ce qui provoque la libération de celui-ci. L'électro-aimant d'ascension fonctionne de nouveau.

Le cycle des opérations qui viennent d'être décrites se répète jusqu'à ce que le balai 712' vienne s'engager sur le contact vertical qui a été mis à la terre précédemment, quand les balais 700 viennent se placer en face du niveau des contacts de banc dans lequel la ligne appelante est si- tuée .

Quand les balais du chercheur atteignent le niveau où se trouve la ligne appelante, le balai vertical 712 ren- contre un positif sur le fil de test qui est associé à ce niveau.. Dès lors quand le relais 720 attire de nouveau quand 1'électro-aimant d'ascension 709 a amené les balais jusqu'au niveau appelante il ferme un circuit de blocage pour l' électro aimant d'ascension ù travers l'enroulement inférieur du re- lais 719, le balai de test vertical 712, le fil de test de niveau, mis la terre, sur lequel il est engagé et le fil de démarrage 411.

Le relais 719 attire dans le circuit de -

blocage de l'électro-aimant d'ascension. 709 et ferme, à ses contacts supérieurs intérieurs, son circuit de blocage par l'intermédiaire de son enroulement supérieur; il déconnecte le balai L du groupe 700 à ses contacts supérieurs; à son res- il met sort inférieur/ l'électro-aimant d'ascension 709 hors circuit et transfère le circuit de commande vers 1'électro-aimant de rotation 710. L'électro-aimant d'ascension 709 revient au repos et permet la libération du relais 720, l'électro-aimant de rotation 710 fonctionne et fait avancer les balais 700 et 712 horizontalement sur le niveau sélectionné.

Le fonctionna- ment de l'électro-aimant de rotation s'effectue conjointement à l'attraction du relais 720 comme cela s'est produit pour l'électro-aimant d'ascension 709. On peut signaler que le balai vertical 712 est amené en dehors des contacts du banc vertical au premier pas en rotation. De cette façon le mouve- ment de rotation qui résulte de l'interaction de l'électro aimant de rotation 710 et du relais 720 n'interfère pas avec' celui-ci.

Le mouvement de rotation continue jusqu'à ce que les balais 700 viennent s'engager sur les bornes de la ligne appe- lante, dans le cas actuel les bornes 400 associées au circuit de ligne LC2 de la fig. 7. On se rappellera que le fil C du circuit de ligne LC2 est connecté à une polarité qui marque la ligne comme étant appelante, cette polarité est fournie à travers l'enroulement des relais 402 et 4C3.

De cefait quand le balai 0 du chercheur FI de la fig. 10 s'engage sur la broche C du groupe 400, le circuit de l'enroulement supérieur ou en- roulement de test du relais 701 du chercheur se ferme à travers le fil C du circuit de ligne LC2, l'autre borne de l'enroule- ment du relais étant connectée au fil 718 mis à la terre, En attirant,le relais 701,à son ressort supérieur intérieur,ferme- le circuit de son enroulement médian, tandis qu'à son ressort

inférieur il ouvre immédiatement le circuit de l'électro aimant de rotation 710 pour faire cesser le mouvement de rota- tion, les balais 700 étant engagés sur les bornes 400.

Il ferme également le circuit de blocage du relais de démarrage 702 à travers l'enroulement supérieur de ce relais et à travers la résistance 716 ; ilmet en circuit les balais négatif et positif,du groupe 700, il connecte le fil 718 mis à la terre directement au balai C qui lui est associé, plaçant de ce fait une polarité directe de garde sur le fil C du circuit de ligne LC2 dans le but de garder le circuit de ligne effective- ment contre toute mise en service intempestive qui pourrait être effectuée par d'autres chercheurs et dans le but de pro- curer un circuit direct au relais 403 du circuit de ligne L02.

Dans le circuit de ligne LC2 le relais 403 attire, par l'intermédiaire du fil C qui est associé à ce circuit, quand le chercheur s'arrête sur les bornes 400. En attirant, le relais 400 ferme son circuit propre de blocage à ses con- tacts inférieurs intérieurs sans le concours des contacts du relais de démarrage 402; il éteint la lampe d'appel de groupe ; il supprime la terre du fil de démarrage 411 ; il libère le relais 402 en transférant son enroulement supérieur de l'en- roulement supérieur du relais de démarrage 402 au fil EC; il place les enroulements gauches de la bobine translatrice 430 sur les fils du circuit de jonction entrant IT, indiquant de ce fait au bureau public, par suite de la fermeture de ce pont à courant continu, qu'il a été répondu à l'appel dans le bureau annexe.

Dans le chercheur FI de la fig. 10, quand le cir- cuit de l'électro-aimant de rotation est ouvert aux contacts inférieurs du relais 701 le circuit de blocage du relais 719 est ouvert, le relais 719 relâche. Quand il relâche le relais 719 place sur le balai L un positif pris aux contacts du relais 703, il ferme de ce fait le circuit de la lampe d'iden-

tification IL2 de la position 1 à travers la borne L du groupe 400. Cette lampe s'allume pour identifier le groupe dans lequel se trouve la ligne à laquelle le chercheur FI a été connecté. La lampe IL2 est commune à tous les circuits de jonction entrants tels que IT, car elle est multiplée aux fils L de toutes les bornes, telles que 400 du banc du cher- cheur FI, qui terminent les circuits de ligne tels que LC2.

Le fil L qui aboutit aux bornes L du groupe 4CO, contraire-. ment à ce qui se passe pour les autres fils qui se dirigent du circuit de ligne LC2 vers les bornes du groupe 400, n'est pas multiple dans les bancs des chercheurs associés aux trois autres positions d'opératrice ainsi que l'indique l'absence
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d'un s.oole de cOnl1exioLcomm sur le fil L adjacent Ér la borne montrée au plan. Le multiplage entre les neuf cher- cheurs associés aux mêmes positions est supposé admis et n'est donc pas représenté. On comprendra en effet que chacune des autres positions est pourvue d'une lampe identique , la lampe IL2 et qui sert de lampe d'identification quand l'un des chercheurs d'une autre position trouve un circuit de ligne tel que LC2.

Les lampes d'identification ILI,IL3, IL4 ont une fonction similaire à celle de la lampe d'identification IL2, chaque groupe séparé de lignes ayant sa propre lampe d'identification, à chacune des positions,qui s'allume lors- qu'une quelconque des lignes du groupe est trouvée par le chercheur. On remarquera que le circuit de blocage du relais 7C2 '-, travers son enroulement supérieur se ferme aux contacts du relais 701 et comprend la résistance 716. Cette résistance est prévue en premier lieu pour permettre la mise en court circuit du relais de démarrage 702 et par conséquent pour qu'il relâche sous le contrôle de 1'équipement de la position.

Dans ce but le fil de libération 726 (câble 1) est connecté à travers des contacts du relais 703 au point de jonction de l'enroulement supérieur du relais 702 et de la résistance 716.

Le conducteur 726 s'étend jusqu'au contact de la clef de libé- ration de la fig. 27. On utlise le fil de libération 726pour faire attirer le relais 2110 dès que le circuit de blocage du relais 702 se ferme quand le relais 701 attire; l'enroulement inférieur du relais 2110 étant connecté maintenant en parallèle avec la résistance 716. Quand le relais 2110 attire il ouvre le circuit décrit précédemment pour l'attraction du relais 2112.

Le relais de démarrage 2112 est retardé à l'attraction ainsi qu'on peut le voir au plan, il reste attiré pendant un court instant alors que son circuit est déjà ouvert. Le relais 2110 ferme également le circuit d'attraction du relais 2105 à travers des contacts du relais attiré2112 et par l'intermédiaire du fil 2124 et des contacts du relais 2107.

Quand le relais 2105 attire il déconnecte l'équipe- ment du poste d'opératrice des conducteurs de tête et de nuque
728' et 729' et il les prolonge vers les fils communs de tona- lité et d'appel 2143 et 2144 qui viennent de l'enroulement secondaire du transformateur de tonalité d'appel représenté au plan. Une tonalité distinctive est' donc transmise à tra- vers des contacts du relais de signalisation 2105 et des con- tacts du relais opéré 2104- jusqu'au récepteur de l'opératrice.

Ce récepteur est associé aux enroulements secondaires de la bobine d'induction I dans un circuit à effet anti-local qui comprend la ligne artificielle AL.

Le relais 2104 fait attirer le relais 2106 qui coupe le courant de la tonalité d'appel à ses contacts supérieurs et qui ferme en même temps le circuit du relais 2107. Le re- lais 2107 attire et applique à nouveau le courant de la tonali- té d'appel à ses contacts supérieurs, il se bloque 'en même temps au fil 2124 et ouvre le circuit du relais 2105. Le re- lais 2105 relâche après un certain temps et fait donc cesser l'application des deux impulsions de courant de tonalité d'app...

Le relais 2107 reste bloqué dans le circuit du fil 2124 jusqu'à

ce que le relais retardé 2112 relâche, ce qui fait relâcher le relais 2107.

Quand le relais 2112 relâche il déconnecte le fil 2033 du fil 727 mais ceci n'a pas d'effet particulier pour l'instant car l'enroulement supérieur du relais de démarrage 702 du chercheur FI est maintenant incorporé dans le circuit de blocage qui a été décrit précédemment. Le relais 2112 supprime également la terre des fils 2031 et 2032. De ce fait le relais 2025 relâche et le relais 2021 relâche égale- ment sauf si le fil de démarrage du distributeur est mis à . la terre à une autre position; dans ce cas il reste attiré et le distributeur procède à la présélection d'une autre posi- tion.

Lorsque l'envoi du courant de signalisation d'appel vers le récepteur de l'opératrice est terminé, celle-ci peut converser immédiatement avec l'abonné du bureau public par l'intermédiaire des fils de tête et de nuque 729' et 728', des fils 729 et 728, des contacts du relais 2125, des fils de tête et de nuque,de réponse 724 et 722, des fils positif et négatif du chercheur FI et des contacts du relais attiré 703.

En ce point on peut faire remarquer que le chercheur FI étant le commutateur de réponse et le sélecteur FS1 étant le com- mutateur d'appel, les fils et tout l'équipement se rapportant particulièrement au chercheur sont appelés fils de réponse, tandis que les fils se rapportant particulièrement à la por- tion du circuit de connexion qui est sous le contrôle du sélecteur FS1, sont nommés fils d'appel. L'opératrice du bureau annexe desservant la position 1 converse donc par l'in- termédiaire du circuit de jonction entrant IT de la fige 7 avec l'abonné du bureau public. On supposera, pour plus de convenance, que l'abonné du poste 1 du bureau annexe de la fig. 16 est celui qu'on demande, son. numéro étant le 91225.

Après s'être assurée que le numéro 91225 est bien

le numéro qu'on désire, l'opératrice compose ce numéro au moyen de l'émetteur--enregistreur sélectionne en opérant les clefs de chiffres DL de la fil-. 29.

Sélection d'un émetteur-enregistreur libre.

La manière dont s'effectue la sélection d'un émet- teur=enrégistreur libre sera décrite ci-dessous. Comme on l'a signalé précédemment, l'opératrice desservant la position 1 possède deux circuits d'émission à son usage exclusif ; ce sont les circuits SLI et SL2 des figures 28 et 29. Ces cir- cuits d'émission ont accès au moyen de chercheurs de circuit de connexion LF1 et LF2 à chacun des neuf circuits de connexion de la position N 1 dont font partie le chercheur FI de la fig. 7 et le sélecteur FS1 de la fig. 8. Ces circuits d'émis- sion ont également accès au moyen du sélecteur secondaire SSI et SS2 à un groupe de sélecteurs d'émetteurs qui sont prévus pour l'usage commun de toutes les opératrices.

Les relais de séquence 2201 et 2202 opèrent automatiquement pour mettre en service alternativement les circuits de connexion SL1 et SL2.

En revenant maintenant au point où le relais 2110 a attiré par suite de la commutation effectuée par le chercheur FI on voit que le relais 2110 prolonge le positif jusqu'au fil de démarrage 214.1 du circuit de jonction et par l'inter- médiaire de contacts du relais 2111. Si on suppose que les relais 2201 et 2202 sont tous deux en position de repos quand le fil 2141 est mis à la terre, le circuit du relais 2202 se ferme à travers des contacts du relais 2201. Le relais 2202 attire donc et ferme son circuit de. blocage à ses, contacts inférieurs intérieurs à travers des contacts de la clef 2203 et à travers l'enroulement inférieur du relais 2101.

Ce cir- cuit de blocage comprend le fil de garde 2142 qui est mis à la terre aux contacts du relais 2101 aussi longtemps que l'opé- ratrice a son microphone et son récepteur insérés dans les jacks prévus à cet effet et comme représenté au plan. Le

relais 2201 cependant n'intervient pas dans ce circuit pour l'instant car son enroulement inférieur est shunté par la terre donnée par le relais 2202 dans son circuit initial.

Quand le relais 2202 est attiré et que le relais 2201 est au repos le relais 2205 du circuit d'émission ? 1 attire , travers les contacts du relais 2207 et met le circuit de connexion en service, de ce fait le chercheur de circuits de jonction LF1 recherche le circuit présélectionné et le sélecteur secondaire SS1 recherche un émetteur-enregistreur libre comme on va l'expliquer ci-après.

Quand le relais 2205 attire il ferme le circuit du relais de commutation 2208 en série avec l'électro-aimant de commande 2210 par l'intermédiaire'de la tere prise aux con- tacts du relais 2207 et travers des contacts du relais 2206.

De plus il connecte le point de jonction du relais de commu- tation 2208 et de 1'électro-aimant de commande 2210, à travers les contacts des relais 2203 et 2207, au balai de test 2212, de ce fait le relais 2208 est shunté et 1'électro-aimant de commande 2210 fonctionne à la manière d'un ronfleur pour faire avancer les balais 2211 (dans le cas cù l'émetteur-en- c'est à dire régistreur sur lequel les balais sont engagés est occupé dont le contact de test est par conséquent mis à la terre)
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jusgu'É1 ce qu.'un ùmetteur-enr6Jistrevx libre soit trouvé.

* Quand un émetteur-enregistreur libre est trouvé (!'émetteur-enregistreur RS de la fi. 20 par exemple) le relais 2208 attire puisqu'il n'est plus court-cïrcaité, il déconnecte le balai de test 2212 du circuit de test et le connecte à la terre ; ilmet de ce fait à la terre le fil de test 2312 de 1'émetteur-enregistreur saisi pour marquer ce- lui-ci l'occupation.
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Le relais 2205,en W tt; af2t yferr e de plus le circuit de l'enroulement de pol.ris-'-T-cn o.a cEroEler::e'1t inférieur du relais 2204; il applique -Lui positif à l'enroulement de test

du relais 2204 pour lui permettre de tester le circuit de connexion présélectionna enfin il ferme à travers des contacts du relais 2204 le circuit de l'électro-aimant de commande 2209.

L'électro-aimant 2209 opère à la manière d'un ronfleur pour faire avancer les balais du chercheur du circuit de.jonction LF1. Cette opération continue jusqu'à ce que les balais arri- vent sur le groupe des bornes associé au circuit de jonction qui se compose du chercheur de la fige 10 et du sélecteur de la fig. 12. Ce circuit de connexion a été présélectionné lorsqu'on a actionné la clef de conversation K2. En ce moment le balai C du chercheur de circuitsde connexion rencontre le négatif de marquage placé sur le fil C du groupe aboutissant au circuit de connexion présélectionné des fig. 10 et 12.

Ce négatif de marquage a été placé sur le fil C en question lors- que le relais 703 a attiré; il est amené à travers les con- tacts du relais 708, le fil C du sélecteur FS1 de la fig. 12 et les contacts d'engagement 810 du sélecteur ainsi qu'à tra- vers l'enroulement supérieur du relais 805. Le relais 805 du sélecteur attire quand les balais du chercheur de circuits nt de connexion FI arrive/sur ce circuit mais il n'a pas d'effet particulier en ce moment.

Dans le circuit d'émission SL1 de la fig. 28 le relais 2204 attire en série avec le relais 805 du sélecteur à travers le balai C et le fil C qui lui est associé. En attirant le relais 2204 ouvre le circuit de l'électro-aimant de commande 2209 pour faire cesser la recherche et il ferme à travers des contacts du relais 2208 le circuit d'alimenta- tion de la lampe pilote 2211, ce qui indique à l'opératrice qu'elle peut commencer à composer le numéro demandé. On comprendra cependant que ces opérations sont,absolument ter- minées avant que l'opératrice ait pu recevoir les informations nécessaires que doit lui donner l'abonné appelant.

Le relais 2204 ferme également les trois file, res- tant du groupe de six, associes au groupe des clefs d'opéra- trice, les trois premiers ayant été mis en circuit lorsque le relais 2208 a attiré. Les fils A, B, C et D qui viennent des clefs de chiffres DK sont prolongés àtravers les balais 2216, 2215, 2214 et 2213 jusqu'au fil correspondant aboutissant
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1'-Metteur-enregistreur Rà3 de la fig. 3c<. Cet 4netteur-enr6- gistreur est prêt 1:, fonctionner par suite de l'attraction du relais 2301 du circuit de contrôle de l'émetteur, qui a attira à travers le fil de test 2212 (mis à la terre comme il a été
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expliqué précéàew.ient quand l'énetteur est mis en service) .

Il et à la terre les fils 2326 et 2324 se dirigeant vers 110metteur-enrëgistreur PIS. Cet 3metteur-e'1ré::istre-::cr est du type connu, son fonctionnenent ne sera pas décrit en détail. iiise en service et à±niar;aµe de 1' ±r;ette.=-r-enr4istrcur.

Lorsque 1'opératrice nanipule les clefs DI de la fiS. 29 pour cosipcser le 1'!' 9122? les cl-iffres sont recueillis par l' àuetfeur-eni4zistrenr de la narÈre connue et le relais de garde 23C4 du circuit de contrôle de 1'émetteur représen- té en fig. 30 attire quand le fil de jarde 2325 est mis à la terre par 1'émetteur-enregistreur, ce qui s'effectue lorsque le premier chiffre a été enrégistré. Ce relais reste attire
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ltis=ßz' w ce que le nombre ci;l.istré à .iti ccnpietement re- t= c sis; en ce r."..'e"1+ -il re1I'c"e f'112,,,"',1 le fil 2325 n'est plus connecta à la terre par 1'Metteur-enregistreur RS.

Dans le cas où 1'opératrice s'aperçoit qu'elle a
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cc:¯s une erreur en eniF2l&;::t les clefs de chiffres, elle pellet annuler la partie ou .,''J-:'':1''' oui c. : t. enrf..''1s i;r::2 jusqu'à ce Lioment en actionrant la clef d'erreur EU; ceci fait attirer le relais 2306 du circuit a 1 b.3zicn SL1. Le relais 2306 ouvre le circuit du relais 2208 qui relâche et libère l'émet-
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teur-en1'ûstreur QZ er ¯";''.¯.c¯:üât le rel=#is 230.. Quand le rI:. :.-<.1.S <::.:) .0 peut r --,-", =#r '.-,;.

J..ú -'J -. - J-.> -"" u" de 1 clef

d'erreur en position normale, l'émetteur de la fig. 30 est saisi de nouveau (à moins qu'il ait été saisi entretemps par un autre ,sélecteur. Dans ce cas c'est un autre émetteur qui est saisi) et il est prêt à fonctionner de nouveau.

Quand l'opératrice a compesé le numéro demande, elle actionne la clef de démarrage ST et férue de ce fait le cir- cuit du relais 22C7 dans le circuit de jonction SL1. Le relais 2207 attire etse bloque . ces contacts intérieurs à une terre prise aux contacts supérieurs du relais 2205.

Le relais 2207 prolonge également une terre par l'intermédiaire du 'balai 2211
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jusqu'au fil de wu;..rr..Me 211 , tai-dis fiL;' la son ressort médian il applique un positif direct au balai de test 2212 sans le concours des contacts du reluis 2208, il ouvre en un point
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su.l-'..:'1-:u8"lt:..irG le c¯.:û¯s:i de recherche du sélecteur secondaire.

Le relais 2207 applique également une terre directe au balai C du chercheur de circuits de connexion LF1 pour placer une pola-
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rit5 de jardc sur 1 fil d= . 1". 'P ,..." ..0".. Cl' 6 il ouvre en même tew..?3 le c ißcai t .16:: rt,l;..i.'; 22,A et 220. Le relais 22CC re- lê.c:..a 1..,.i±à.iate=i#.>t 6t le l':::;l1...i :::.2G5 relâche après un très court instant. Zn l'.:..lS.c8.nt, lE.. relais 2205 e:i;re autres ouvre le circuit des enroule@ents de jarde et de polarisation du relais 2204-, ce qui fait relâcher celui-ci.

Les relais 2204
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et 22cl tant rel:cl':'81 les fils wsoci.sw GXLX clefs des chif- fres DK sont déconnectés du circuit de connexion SL1 de telle sorte que 1'opératrice peut utiliser maintenant ce fil pour un appel subséquent cn liaison avec le circuit de connexion SL2.

Le relais de démarrage 2207 {tant attire et les autres
SL1 relais du circuit de connekion étant relâchés les balais de
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test C et 2212 des C'::'-...üt:.:.te1..l1'S Lbl et 551 sont mis L la terre et les balais négatàf, positif et CT du chercheur de circuit de connexion LFI sont connectas par l'intermédiaire de con- tacts du relais 22C7 et de contacts du relais 2203 aux balais correspondants 2214 à 2218 du sélecteur émetteur SS1.

Dans le circuit de contrôle de l' émetteur de la fig. 30 l'impulsion de démarrage provequéepar l'actionne- ment de la clef de démarrage, cornue il a été expliqué ci dessus, et l'attraction du relais 22C7 qui en résulte, est reçue à travers le fil de démarrage 2312 dans l'enroulement supérieur du relais 2302. Le relais 2302 attire et ferme. son circuit de blocage ainsi qu'un circuit de garde du relais 2207 à travers l'enroulement du relais 2303 et des contacts du relais 2304-. Le relais 2303 cependant n'attire pas jus- qu'à ce que la clef de démarrage SK de la fig. 28 soit re- mise en position normale.

En ce moment le shunt qui existait précédemment sur l'enroulement du relais 2303 est supprimé et ce relais peut attirer en série avec les enroulements des relais 2302 et 2307. En attirant le relais 2303 ferme un circuit de garde similaire à travers l'enroulement inférieur du relais 2302, ce circuit alimente également l'enroulement du relais 2207 en parallèle avec l'enroulsment supérieur du
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rei.e.-8 2302 contribuant donc . mainisnir ae3 relais attires.

A son ressort supérieur le relsis 23c3 prolenge la terre à travers les contacts du relais 23c4 jusqu'au fil
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de démarrage 2323 de l'Gmetteur-enr.4jis%raur RS à6r--#rrc-#it de ce feit la retransmission des chiffres qui ent été enregistres.

La retransmission des chiffres errégistrés s'effectue tra- vers les fils d'impulsion négetif et positif 2321 et 2322, les contacts du relais 2302, les fils C et B, les relais 2214 et 2215, les contacts des relais 22C2 et 2207, les balais né- gatif et positif du chercheur de circuit de connexion LEI et les fils positif et négatif du circuit de connexion aboutis- sant au sélecteur FS1 de la fig. 11. Le relais 802 du sé- lecteur FS1 attire dans le circuit des fils de conversation
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e11.t1.'9.;1,ts et dans le circujt :i t :!.:¯:;: vicier, ''",:2. t ' 1 est question ci-""JS'3US dès que 1s -.

Fl... ¯ "3':2 e. a-'.-tire, cornue il est dé- crit plus haut. En attirn et, le relais 8C2 ferme le circuit

du relais 803. De ce fait les relais 803 et 804 attirent et le sélecteur est prêt à fonctionner. La préparation du fonctionnement du sélecteur s'effectue lorsqu'on actionne la clef de démarrage comme il a été explique précédemment et avant que celle-ci soit remise en position normale pour supprimer le shunt placé sur le relais 2303 et par conséquent pour démarrer l'envoi des impulsions.
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Libération de 1'6quipeiaent¯de¯position,
Des que l'opératrice a démarré l'envoi des impul- sions comme il vient d'être décrit, elle peut remettre la clef de conversation en position de repos et permettre la libération de l'équipement de sa position. Quand la clef de conversation K2 est remise en position normale le relais 703 relâche car son circuit est coupé.

Le relais 703 déconnecte les fils de conversation du circuit de connexion de l'équipe- ment commun de position et reconnecte les fils .de conversa- tion, de réponse et d'appel, ensemble; il déconnecte les fils de position 725, 726 et 727 et il @@eint la lampe d'i- dentification de groupe IL2, les relais 701 et 702 restent attirés et ce dernier maintient une terre.sur le fil 718, ce qui maintient également la lampe 743 allumée pour l'in- stant dans le but d'indiquer que l'appel n'a pas encore abouti.

Dans l'équipement de position de la fig. 25 le re- lais 2104 relâche quand la clef de conversation est abaissée tandis que le relais 2110 relâche lorsque le fil 726 est dé- connecté au moment où le relais 703 du circuit de connexion est libéré. L'équipement de position de la fig. 25 se re- trouve donc en condition normale à la disposition de l'opé- ratrice qui peut desservir un autre appel. La terre est supprimée du fil 2141 quand les relais 2104- et 2110 relâchent.

De ce fait le circuit initial du relais 2202 est ouvert et le shunt placé sur l'enroulement du relais 2201 estsupprimé,

le relais 2201 attire dans le circuit de blocage du relais 22C2 (à travers le fil 2141 mis à la terre) ce qui prépare la sélection ultérieure du circuit d'émission. SL2.

Dans le circuit SL1 la lampe 2211 qui s'était allumée dès que les commutateurs LF1 et SSI avaient terminé'leur opération de sélection reste allumée dans le circuit qui emprunte les contacts inférieurs du relais 2207 et la résistance qui lui est associée jusqu'à ce que 1'émetteur-enregistreur RS ait terminé son opération nais la lampe brûle maintenant d'un éclat atténué du fait qu'on a incorporé une résistance dans son circuit, ceci indique à l'opératrice que des im- pulsions sont en cours dans le circuit de connexion.
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T-ibéra tion do l' émetteur-enr'5ristreur et du cir- cuit d'émission.

DES que le dernier chiffre enregistré a été trans- mis l'émetteur-enregistreur RS supprime la terre du fil de .garde 2325. Quand ceci se produit le relais 23C4 relâche et cuvre le circuit du relais 23C3 pour permcttrc la libération du circuit de contrôle de l'émetteur et du circuit d'émission SL1. En mène temps le relais 2304 ferme ce circuit distinct à travers le fil A qui lui est assccié et par l'intermédiaire de contacts du relais 23C2 qui est meintenu en circuit par le relais retardé 2303.

Ce circuit se prolonge à travers
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les bclais 2316 et cet des cor.1--utatours SS1 et Lui ou par l'intermédiaire du fil CT .jusqu'au relais 708. Le relais 708 attire dans le circuit qui comprend la résistance 746.

A son armature inférieure, le relais 7C8 éteint la lampe puisse la connexion a été établie et il ferme son circuit de blocage et ouvre son circuit initial d'attraction. Il déconnecte également le fil C, du sélecteur FS1 qui lui est associé, de la branche accessible au chcrcheur de circuits
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de ce;nejic-n et il 7 c 01:r>9C+(' Icccleaent .'. la terre; i- zez -'r-'" CO!:l+.!-'"' v.¯. -'", '-'';''"11'<,"0 , -rc1r'C 1". ,..-i-"C'"l-it ëLe C/" '['"'"r-

sation et à ses contacts supérieurs intérieurs il prolonge le positif a travers des contacts des relais 704, 705, 707 jusqu' au relais 751 du commutateur à temps TS 'pour une raison qui sera discutée ci-après.

La libération du circuit de contrôle de l'émetteur de la fig. 30 et du circuit d'émission SL de la fig. 8 s'effectue par suite de la libération du relais 2303 qui ouvre le circuit de garde du relais 2302 et le circuit de blocage du relais 2207 dans le circuit de connexion SLI. Les relais 2302 et 2207 relâchent donc et ramènent le circuit qu'ils commanddnt en position normale.

Quand le circuit d'émission SL1 est libéré par suite du relâchement du relais 2207 les balais de l'émetteur LS1 sont déconnectés et le pont placé sur les fils de conver- sation positif et négatif du circuit de connexion montré aux fig. 7 et 8 est ouvert. La connexion qui a été établie est maintenue travers des contacts du relais attiré 708 et . travers les fils do conversation du chercheur F1 et les enroulements droits de la bobine translatrice 430 du circuit de ligne LC2. Le relais 704 a son enroulement inférieur relié en s'rie avec le fil négatif du circuit de connexion, il est shunté ar un condensateur.

Le relais 704 n'attire pas tant que l'abonné n'a pas répondu car le courant circule dans le sens normal dans son enroulement inférieur ; son enroulement polarisant est alimenté par l'intermédiaire du fil 717 à travers des contacts du relais de démarrage 707.
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Rap-,oÊI¯ËiL2tomatique aprbs un temps déterminé.

On a prévu des dispositions qui permettent le rappel automatique de l'opératrice du bureau annexe à la fin d'une période de temps déterminée dans le cas où. l'abonné appelé ne répond pas. La façon dont ce service s'accomplit sera décrite ci-après. Or¯ a signalé antérieurement qu'une terre était prolongée travers l'armature supérieure intérieure

du relais 708 et des contacts des relais 7C4, 705 et 707 jusqu'au relais 751 après 1'attraction du relais 708 à la fin de l'émission des impulsions. Le relcis 751 est normale- ment connecte,

à travers ses propres contacta, au fil commun
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75É 4e 1'metteur d'impulsions L teups 111. 1'lai,,s l'eaetteur d'inpulsions à tenps Tl un Xl-:Jze.tif 6Zt r.:rw.?le,,lcl1.t cC.cllecté au fil 785 quand l'appareil est au repos. Bans ces conditions
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l'enroulement gauche du releic 7Jl ont so-LLs' temion par l'intermédiaire du fil 758, de ce fait le relais 751 ettire - et ferme son circuit de blocage travers ses deux enrcule-
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s rie, --=1 d'c,... '1 t- ....,....-,\ :rt ents en srie, il se dscs-.nnectJ dcm 1".#f,-1.-Éùlc du fil 7-;3.

Le relais 7?1 connecte le fil cc;.; :-.ù -6C : 1 1' ±lecira-c-,iiasRt te coxnva,nde 73"3; :pC.l l' iYl-!;er;{di::il'tS do contacts de banc 5t d' bal#"1 756 et il e m- ,JeJsii';iF x=ir i±- fil éc d±x;s,r- raj.cr 7?9 et ouvre en nieue te:=pi en Lin ;oint, le circuit de 1' ±îsctrc-ai:>aut l=e li'o±J.1àtiJn 7j2 , iu,am;1 le fil de d±n;ar- rage 7?9 est mis sous tension le circuit du contact lecté du relais 762 se ferme à travers des contscts du relais 764.

Le relais 762 attire mais le contact @@@@@ié à l'armature
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lesté 3t r±=1± àc telle z, g.-i' il #-iEre pendant une période d'environ deux fécondes avant 0L revenir au repos : C.Ul' perDett:::-e au rolais 763 d'attirer. A la fin de la période de deux aùc='ii.flc#, le relais Î6" attire et --rcrLe le circuit du relais 764. Celui-ci attire et coupe le oiro-.it du relais tïf..2 qui rclacne. i>=i#'lr la libération du relais 762 les relais 763 et 764 relient successivement (cl;ao;ui t eux 6ta t rets;#G± quelque peu jjar suite de la prince d.' 1#ic "C'a.:(.lE en cuivre sur son ncau). Quand le relais 763 relâche, il ferme ? looircuit de l'électro-aimant
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de r=cùr;¯ande 7 53 à travers des contacts attires du relais 764.

Ltlectro-&i.w8.l1.t 753 attire et '?¯C :111 shunt aux bornes du balai ?66 et des contacts etc banc qui lui sont

associas pour empêcher l'ouverture de son circuit pendant que le balai est amené d'un contact sur le suivant. Quand le relais 764 relâche il ouvre le circuit de commande et applique de nouveau une polarité négative au fil 758 pour permettre de saisir un relais, tel que 751, associa à un autre circuit de connexion quelconque auquel l'émetteur d'impulsions M. temps Tl est assccié.

On peut voir maintenant que les balais 755, 756 et 757 avancent d'un pas sous l'action de 1'électro-aimant 753 chaque fois que l'émetteur d'impulsions à temps effectue un cycle d'opérations, ce qu'il fait approximativement toutes les deux secondes. De ce fait au bout de 18 secondes environ le balai 757 aura fait neuf pas et atteindra son dixième con- tact. A ce moment le balai 756 s'engage sur un contact neutre de telle sorte que tout avancement est supprime.

Le balai 757 prolonge le fil 751 jusqu'à la lampe 743 qui a été
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éteinte précéden:::.lellt et provoque le réallumage de celle-ci pour indiquer à l'opératrice que la communication qu'elle a cru établir n'a pas abouti dans le temps prescrit, l'opéra- trice peut alors actionner sa clef de conversation K2 et se mettre en conversation avec l'abonne appelant dans le but d' établir une autre communication vers une ligne quelconque du bureau annexe, étant entendu que dans un bureau annexe il est de pratique courante qu'un abonne du bureau public de- mande une information qui peut lui être donnée par plusieurs abonnés.

La manière dont la communication est coupée et rétablie sera expliquée ultérieurement.

D'habitude on répond à l'appel dans un temps raison- nable; dans ce oas le commutateur à temps TS de la fig. Il s'avance jusqu'à la position de rappel et il est libéré par le relais de supervision 704.

L'établissement de la communication lorsque le - /

N 91225 est émis par l'émetteur enrégistreur RS sera décrit ci-dessous.

Quand le premier chiffre (9) est émis par l'émet- teur-enrégistreur RS de la fig. 30, le relais 802 du sélec- teur primaire FS1 relâche neuf fois momentanément, il envoie donc neuf impulsions de courant vers 1'électro-aimant d'as- cension 808, il en résulte que les balais 800 sont amenés en face du neuvième niveau des bancs de contacts et que le ressort 815 du niveau 9 est actionné pour provoquer l'ab- sorption du premier chiffre comme il a été expliqué pour le sélecteur primaire FS5 de la fig. 16.

Quand le sélecteur FS1 revient en position normale, le relais 806 attire en série avec l'élcctro-aimant de libé- ration 809 et se bloque lui-même à ses contacts supérieurs adaptant de ce fait le sélecteur au fonctionnement d'un sé- lecteur régulier sans absorption de chiffres.

Quand le deuxième chiffre (1) est transmis par
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l' llietteur-enré0istreur, le relais 806 relâche momentanément une fois, il ramené les balais 800 en face du premier niveau du banc de contacts. Le fonctionnement de 1'électro-aimant de rotation. 810 est démarré lorsque le relais 805 relâche et
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ce mouvement se poursuit jusqu' te ce cyue ls bilai C G.u s :lee- teur rencontre uu n4getif sur 13 fil C . f w. sélecteur sst o=1- libre dans le groupe ^1 , le sélecteur secondaire SNS
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GS 1: fie. 22 par exemple. ce ;.:#.,::t lc relais 8C5 attire et renvoie la connexion ven le S'li..^. t ¯¯.'.' secondaire saisi cc c-ui permet aux .relais 8C2 et 2C3 3 tt:

le Ctear FSI de re- lâcher.
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,nr c: i : treea t de la cl ss e ca f:; 1 e cas d ' api:cl entrant.

En ce point de l'expcsé 7.1 peut être utile d'expli- quer comment s'effectue l' 'C'2lr.f'."1':'T:.a:¯''t de la classe dans lecs des appels entrants. Cl: doit remarquer que la borne ;.¯ roupe 400 sur 1>r.uclf t= ,J' est eàiraz4 le balai de ysc=1-

mination D, des balais 7CO du chercheur, est connectée : la terre tandis que les bornes correspondantes des groupes 300, 500 et 600 associées aux autres circuits de lignes re- présentés sont neutres. De ce fait le balai D du chercheur FI ne rencontre une terre que dans le cas où l'appel auquel on doit répondre est un appel entrant venant du bureau public.

Par cette disposition le relais 808 du sélecteur primaire FS1 attire seulement dans le cas ou le chercheur FI est mis en service pour répondre à un appel entrant, comme dans le cas qui est décrit ci-après. Le relais 801 étant attiré, un,positif donné par l'intermédiaire des contacts supérieurs du relais 803 est applique au balai EC, des balais 800 du sélecteur FS1, quand le relais 807 attire ainsi qu'il a été dit plus'haut.

L'application d'un positif au balai EC du sélecteur FS1 résulte de la fermeture du circuit du relais 805, d'enregistrement de la classe, 2 travers le fil EC du sélecteur secondaire mis en service SES . attire
Le relais 1805/et se bloque dans le circuit de ses deux enroulements connectes en série dans le fil entrant C. Il enregistre donc de cette façon que l'appel dont il s'agit est un appel venant du bureau public. Il doit être noté que l'impulsion d'enregistrement transmise par le sé- lecteur FS1 est terminée après un court intervalle de temps par suite de la libération du relais 803 après l'attraction du relais 807.

Sous l'action des impulsions du train représentant le troisième chiffre (2) du numéro demande, le sélecteur secondaire SLS fonctionne comme il a été décrit précédemment et amené ses balais en face du deuxième niveau, il saisit un connecteur local du groupe 912. On peut supposer, ainsi qu'il a été dit dans l'exemple décrit précédemment, que le connecteur local LCC1 de la fig. 23 est celui qui est mis en service .

Dans l'exemple actuel le relais 1805 du sélecteur SES est attiré. De ce fait une terre est maintenue sur le fil entrant EC du sélecteur SES par les relais 1803 et 1805.

Dans ces conditions l'attraction du relais 1806 résulte de l'application momentanée d'un positif travers le balai EC et la. borne EC du groupe 1851 au fil entrant EC du connecteur LCC1 de la fig. 19.

Le relais 1907 du connecteur attire par l'inter- médiaire du fil entrant C et à travers les contacts d'enga- ' gement 1924 . Le relais 1907 se bloque à travers des contacts du relais 1905. Ce relais a attiré de la manière décrite quand le connecteur a été mis en service.

L'impulsion envoyée sur le fil EC par le sélecteur secondaire SES se termine dès que lerelais 1803 relâche, ce qu'il fait peu après l'attraction du relais 1806.

Sous l'action des impulsions du train représentant les deux derniers chiffres 2 et 5' du numéro demandé le ccn-
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l'-ecteur local LOCH attire corn-.e dco"it précédemment pour amener ses balais 1900 en face du niveau désiré et pour faire tourner ceux-ci dans le champ des contacts jusqu'à ce qu'ils s'envasent sur les bornes de la ligne appelée. Le relais 1907 étant attiré le balai EC du cornecteur est connecté à l'enroulement inférieur du relais 1903 des que le relais 1914 relâche à la fin du mouvement de rotation. Le relais 1908 attire ou non suivant que la ligne appelée peut recevoir des appels entrants ou non.

Dans lE cas qui nous occupe la ligne appelée est la ligne du poste Al de la fix. 12. Comme cette ligne est une ligne '-- service complet la borne sur laquelle s'est engagé le balai EC du connecteur LCC1 est neutre au lieu d'être connectée c. la terre comme c'est le cas pour la borne correspondante d'une ligne 1,. service restreint.
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Le ce fait le relais 1908 1:' -- t-';i.rc pac c-4; 1&. connexion et-

blit vers la ligne appelée qui est sonnée comme il a été décrit précédemment.

Moyen utilisé pour empêcher l'établissement
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dë''coiu5IcaI5hs*'enranes''aVëcdës lignes I±éETIGéFéµfEéIEf7
Quand l'opératrice établit -une communication en- trante par inadvertance vers une ligne à service restreint; la connexion ne peut s'effectuer car le balai EC du connef- teur (connecteur LCCl de la fig. 23 par exemple) rencontre une terre sur la borne correspondante de la ligne appelée.

Il faut remarquer que la borne EC du groupe représenté, dans lequel apparaît la ligne à service restreint du poste A2 de la fig. 16, est connectée à la terre. Toutes les autres lignes, à service restreint, sont pourvues également d'une connexion semblable. Dans ces conditions quand le relais 1914 relâche et'que le relais 1907 est attiré, comme il a été dit plus haut, le relais 1901 attire et ferme le circuit de l'enroulement supérieur du relais 1913 par l'intermédiaire de contacts du relais 1908, de l'armature supérieure du relais 1905 et de la terre.

Le relais 1913 provoque l'envoi d'une tonalité d'occupation sur le fil de conversation inférieur comme il a été dit précédemment, tandis que la liaison est impossible car le relais 1913 maintient une des bornes du relais 1917 déconnectée pour empêcher la prise de la ligne.
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Rappel de Ilop'ratrice¯par¯ltabonii.6 du bureau public.

Dans le cas où la ligne appelée est occupée et que la tonalité d'occupation est renvoyée vers l'abonné appelant du bureau public ou dans le cas où 1.' opératrice a par inad- vertance émis un appel vers une ligne à service restreint, dans quel cas la tonalité d'occupation est également ren- voyée vers l'abonné appelant, celui-ci peut immédiatement rappeler l'opératrice du bureau annexe sans attendre que la période de rappel se soit écoulée. Il effectue ce rappel

en manipulant son cadran d'appel ce qui provoque l'émission d'impulsions qui font attirer le relais 401.

En attirant en ce moment, le relais 401. ferme son circuit de blocage à travers des contacts du relais 403 et par l'intermédiaire du fil EC, du balai EC, du chercheur F1, des contacts du relais 706 et des contacts de la clef de conversation K2 et de la lampe de supervision 741.

La lampe de supervision 741 s'allume dans ce cir- cuit et joue le rôle d'un signal de rappel de l'opératrice.

Quand l'opératrice répond en actionnant la clef de conversa- tien K2, elle ouvre le circuit de la lampe 741 et le circuit de blocage du relais 401, qui relâche. L'opératrice peut des lors couper la communication établie et recommencer l'appel vers une autre ligne dé la manière qui a été décrite précédemment.

Si on suppose maintenant que la ligne appelée est libre, le courant d'appel est envoyé de la manière normale jusqu'à ce que l'abonné appelé réponde.

Quand celui-ci répond, le cens du courant est ren- versé dans les fils entrants du connecteur local LOC1 de la fig. 23 par le relais de supervision 1901 cornue il a été décrit précédemment dans le fonctionnement de ce connecteur.

Quand cette inversion s'effectue le relais 704 du chercheur F1 attire et ferme le circuit du relais 705. Le rslais 705 attire et prépare le circuit du relais 706. On doit remarquer que le circuit du relais 751 est ouvert lors- que les relais 704 et 705 attirent. De ce fait le relais 725 relâche et dégage le commutateur à temps TS de l'émetteur d impulsions Tl. L'électro-aimant de libération 751 attire à travers des contacts du relais 751 et les contacts dten- gagement 754 pour ramener les balais 755 à 757 en position normale. De ce fait le circuit de ?'électro-aimant de libé- ration est ouvert aux contscts d'engagement754.

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Appel d'information pendant¯une communication entrante.

Dans le but d'expliquer cette caractéristique du connecteur local LOC1 de la fig. 23, on supposera que l'abon- né appelé du poste A1 s'aperçoit pendant la conversation avec l'abonné du bureau public qu'il est nécessaire qu'il obtienne quelque information complémentaire, localement, avant de poursuivre son entretien. Dans ce cas l'abonné du poste Al établit une connexion d'information entre sa ligne et une autre ligne du bureau annexe, tout en maintenant la communication engagée avec le bureau public.

Pour émettre un appel d'information, l'abonné du poste A1 acticnne momentanément le .bouton de mise à la terre de son poste ce qui déséquilibre le circuit du relais 1926 du connecteur LCC1. Le relais 1926 attire momentanémént et ferme le circuit de l'enroulement supérieur du relais 1910, celui-ci attire au premier temps et ferme son circuit de blocage à travers ses deux enroulements rais en série.

Ce devient circuit de blocage/actif quand le relais 1926 relâche et supprime le shunt qui était place aux bornes de l'enroulement inférieur du relais 1910, celui-ci attire , fond et trans- fère la ligne appelée des fils entrants du connecteur au. présélecteur LS4 de la fig. 16. Ce présélecteur fonctionne de la manière connue. Pour mettre un sélecteur primaire en service une terre est renvoyée sur le fil C pour procurer un circuit de blocage à travers l'enroulement supérieur du relais 1908.

Le relais 1903 relâche quand la connexion est transférée, mais cette opération n'a aucun efet actuellement car le relais 1908 est maintenu attiré dans le circuit du fil C comme il a été indiqué ci-dessus pour maintenir le relais 1905 attiré, tandis que le relais 1910 maintient le 1901 attiré pour empêcher l'envoi du signal de fin à l'opé- ratrice desservant la'table de passage.

Après que l'abonné du poste appelé A1 de- la fig. 16

s'est mis en communication avec son correspondant local et qu'il a terminé sa conversation, il pousse momentanément le bouton de son poste ce qui fait de nouveau attirer momen- tanément le relais 1926. A ce moment le relais 1926 ferme le circuit du relais 1909 à travers des contacts du relais 1910. Le relais 1909 attire et ouvre le circuit de blocage initial du relais 1910 out en fermant un nouveau circuit de blocage pour lui-même,.en parallèle avec le relais 1901.

Dès que le relais 1906 relâche, le relais 1910 relâche- égale- ment, tandis que le relais retardé 1909 relâche seulement un instant plus tard. Le relais 1903 attire de nouveau dès que le relais 1910 relâche et supprime le blocage du relais 1908 ainsi que celui du relais 1901 avant que le relais 1909 ait relâché.

La conversation qui avait été interrompue avec l'abonné appelant du bureau principal peut maintenant être reprise.
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Transfert dt appel entrant vers une.deuxième ligne.

Dans le but d'expliquer une caractéristique addi- tionnelle de l'invention exposée ici, on supposera que l'abon- 'de. né s'aperçoit/que la communication devrait être passée à un autre abonné du bureau annexe. Dans ces conditions et dans le but de rappeler l'opératrice de la table de passage, l'abonné du poste Al manipule son cadran d'appel et émet par exemple le chiffre 5, de ce fait le relais 1903 relâche et attire un certain nombre de fois. Le relais 1908 reste at- tiré pendant l'envoi de ces impulsions car il est.retardé à la libération mais le relais 1901 relâche et attire chaque fois que le circuit'est ouvert et refermé par le relais 1903.

Cette opération provoque un certain nombre de renversements du sens du courant dans les fils entrants du connecteur.

Dans le circuit de connexion de l'opératrice, montré

en fig. 11, le renversement momentané du sens de courant a pour résultat de faire relâcher et attirer le relais 704 de ce cir- cuit de connexion. La première fois qu'il relâche le relais 704 ferme le circuit du relais 706 à travers des contacts du relais 707. Le relais 706 attire donc et ferme son circuit de blocage à son ressort inférieur intérieur. Dès que le re- lais 706 attire la lampe de supervision 741 est connectée en parallèle avec l'enroulement du relais 705, de ce fait la lam- pe 741 scintille pendant que le relais 704 suit les impulsions.

Quand le train des impulsions cesse et que le relais 704 at- tire en permanence la lampe de supervision 741 s'allume défi- nitivement et donne ainsi un signal de rappel.

Lorsque l'opératrice aperçoit ce signal, elle ac- tionne sa clef de conversation K2, ce qui éteint la lampe 741 dont le circuit est coupé au contact de cette clef. En même temps le relais de connexion 703 attire pour associer le cir- cuit de connexion à l'équipement de la position d'opératrice.

Ce relais est alimenté, d'une manière identique à celle qui a été décrite précédemment, à travers le fil de test 733 con- tenu dans le câble 3. Aux contacts du relais 703, la terre est supprimée du ressort du relais de supervision 704 et des ressort de blocage 706; les relais 705 et 706 relâchent donc.

La lampe d'identification ILS de la fig. 7 se ral- lume dans le circuit du fil L et à travers des contacts du relais de connexion 703 pour rappeler à l'opératrice dans quel groupe se trouve le circuit de jonction appelant.

Dans l'équipement de position des fig. 25 et 26, le relais 2110 attire par l'intermédiaire du fil 726 et en paral- lèle aveo la résistance 716 du circuit de connexion; le relais 2111 attire par l'intermédiaire du fil 725 en parallèle avec la résistance d'alimentation 746 associée au relais 708. L'at- traction de ces deux relais met le circuit de l'équipement

de la position en concordance avec la condition qui existe actuellement dans le circuit de connexion. Dans ces condi- tions un signal divertissement est appliqué sur les fils de connexion par suite de l'attraction du relais 2103 à tra- vers des contacts des relais 2111, 2115 et 2116, comme il sera expliqué plus loin.

Après être entrée en conversation avec l'abonné appe lé du bureau annexe et avoir pris connaissance du numéro de l'abonné à qui elle doit transférer l'appel entrant, ltopé- . ratrice actionne la clef de libération K9 de la fig. 27 pour libérer la connexion établie dans le bureau annexe. La clef de libération K9 fait attirer le relais 2116 ce qui déconnecte les fils de tête et de nuque appelants du poste de l'opératrice et de l'extrémité de réponse du circuit de connexion, ce qui supprime les troubles qui sont provoqués par la libération de cette connexion. La clef de libération K9 place également une terre sur le fil 725 ce qui shunte l'enroulement du relais 708 et provoque sa libération. Quand le relais 708 relâche, il ouvre son circuit de blocage et ferme de nouveau le circuit de la lampe 743.

De plus, il déconnecte la terre du fil C du sélecteur FS1 et ouvre les fils de conversation pour permettre la libération de la connexion établie.

Quand l'opératrice remet la clef de libération en position normale, le relais 2116 relâche ainsi que le relais 2111 car le relais 708 a été débloqué et il n'y a plus de courant passant à travers la résistance 746 pour donner une chute de tension qui maintient le relais 2111 attiré. Le relais 2111 étant relâché, l'avertissement dont il a été question ci-dessus n'est plus appliqué sur la ligne.

Le relais 2110 étant opéré et le relais 2111 relâché, la terre placée sur le fil 2123 par le relais 2104 est prolon- gée jusqu'au fil 2141 de contrôle de l'énetteur pour sélectionner

de nouveau un émetteur libre. On a déjà signalé que les re- lais de séquence 2101 et 2202 sont utilisés pour mettre en service les circuits SL1 et SL2 alternativement et lorsqu'on a décrit les fonctions de ces relais on a dit déjà qu'ils atti- raient en série à travers le fil 2142 après que l'émetteur a été employé. Dans le but de compléter la description du fonc- tionnement de ces relais on supposera qu'ils sont attirés tous les deux et qu'ils sont maintenus en position de travail à travers le fil 2142, des contacts de la clef 2103 et les con- tacts inférieurs intérieurs du relais 2202.

Dans ces condi- tions la mise à la terre du fil de contrôle 2141 a pour résul- tat de fermer le circuit de blooage du relais 2201 à travers le ressort supérieur intérieur de ce relais, tandis que la terre est prolongée à travers le ressort supérieur médian du relais 2101 jusqu'au point de jonction du relais 2202 et de la résistance qui lui est associée, de ce fait le relais 2202 est shunté, il relâche et ouvre son circuit de blocage.

Le relais 2201 étant attiré et le relais 2202 re- lâché le circuit d'émission SL2 est rendu actif par l'intermé- diaire des contacts inférieurs de ces relais, de ce fait le circuit d'émission SL2 fonctionne de la manière décrite précé- demment pour le circuit d'émission SL1.

Après avoir enregistré le numéro demandé, l'opéra- trice actionne sa clef de démarrage SK pour démarrer l'émis- sion, celle-ci s'effectue comme il a été décrit précédemment.

L'établissement de la communication entrante vers l'autre abonné du bureau annexe s'effectue donc en utilisant des com- mutateurs automatiques.

Quand la terre est supprimée du fil de contrôle de l'émetteur 2141, le relais 2201 relâche préparant l'attraction du relais 2202 pour la prochaine fois que la clef de conver- sation d'un circuit de connexion libre sera actionnée.

Signal d'avertissement.

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On a prévu l'émission d'un signal d'avertissement sur les fils de conversation dans le cas où l'opératrice ac- tionne sa clef d'écoute pour se brancher sur une communication en cours. puisque dans le système décrit ici, une supervision de réponse n'est pas obtenue pour tous les appels, l'applica- tion du signal d'avertissement dépend du fonctionnement du relais 708. Par cette disposition, dans le cas où l'opératrice actionne de nouveau la clef de conversation du circuit de con- nexion après que ce relais a attiré ou dans le cas où elle oublie de remettre cette clef en position de repos après que ce relais a attiré, le signal d'avertissement est envoyé sur la ligne ; relais n'attire pas avant que tous les chiffres du numéro demandé aient été transmis.

Dans le but d'expliquer cette caractéristique, on supposera que l'opératrice désire laisser sa clef de conversa- tion actionnée après que le numéro a été complètement envoyé par l'émetteur-enregistreur dans le but de s'assurer si l'abonné appelé est occupé ou non. L'opératrice d'habitude travaille de cette façon lorsque l'appel primitif a dû être passé à un autre poste et qu'elle peut supposer qu'elle sera obligée de le transférer vers une troisième ligne ou de nouveau vers le premier abonné qui a été appelé, dans le cas où la deuxième ligne appelée est occupée.

Lorsque la clef de conversation K2 est actionnée et le relais 703 attiré, quand le relais 708 attire, le relais 2111 attire dans le circuit du fil 725, en parallèle avec la résistance 746. Quand le relais 2111 attire, le fil 2141 n'est plus connecté à la terre et le circuit du relais 2103 se ferme par l'intermédiaire de contacts des relais 2115 et 2116. Le relais 2103, en attirant, place un court-circuit sur son en- roulement et provoque sa propre libération. Ce relais est

pourvu d'un manchon conducteur et d'une bague conductrice comme il est montré au plan, ce qui retarde son fonctionnement de telle manière qu'il donne un signal cadencé qui, bien qu'il soit perceptible, ne trouble pas la conversation.

Chaque fois qu'il attire, le relais 2103 ferme le circuit qui emprunte l'en- roulement de la bobine d'induction ou l'enroulement gauche de la bobine translatrioe RC pour aboutir au négatif par l'inter- médiaire de contacts du relais 2102 et de la résistance 2161.

Les elies produits par la fermeture et l'ouverture de ce circuit sont transmis à travers les enroulements secondaires de la bobine d'induction IC dans le circuit de conversation, ils sont perçus dans le récepteur de l'opératrice aussi bien que dans celui de l'abonné appelant du bureau public. Dès que l'abonné appelé répond, il entend également ce signal d'avertissement et il sait donc que l'opératrice est en communication téléphonique sur la liaison établie.

Le signal d'avertissement est envoyé uniquement dans le but dviter les écoutes indiscrètes, on peut cependant mettre à la disposition de l'opératrice des moyens qui lui permettent d'effectuer un transfert sans provoquer l'envoi de ce signal..

Puisque l'opératrice officiellement n'est intéressée que dans la question de savoir si son appel a abouti ou non et si l'abonné appelé a répondu, elle peut actionner la clef de coupure K3 pour déconnecter la partie réponse du circuit de connexion des fils de son poste et pour séparer en deux le circuit de connexion, ,dans ce cas le signal d'avertissement n'est pas envoyé.

Quand la clef de coupure K3 est actionnée, la résis- tance R9 est placée en pont sur les fils de tête et de nuque du côté réponse et le circuit du relais 2115 est fermé.

En attirant, le relais 2115 déconnecte les fils de tête et de nuque de réponse des fils de tête et de nuque d'appel et des fils du poste de l'opératrice, il prolonge ces fils jusqu'à

la rsistance R9 par l'intermédiaire des contacts de la clef K3 pour maintenir le pont existant sur ceux-ci, cette opération n'est cependant pas requise dans le cas présent. Le relais 2115 ouvre le circuit qui aboutit au relais 2103, ce qui arrête ou empêche le fonctionnement de ce relais.

Si l'abonné appelé est occupé, l'opératrice reçoit le signal d'occupation. Dans ce cas elle peut libérer la con- nexion de la manière qui a été expliquée précédemment en action- nant la clef de libération K9 et en aiguillant l'appel vers une autre ligne.

Si on suppose que la ligne appelée est libre et que l'abonné appelé répond, l'opératrice peut entrer en conversation avec cet abonné et s'assurer qu'il est bien la personne à laquelle l'appel est destiné.

L'opératrice peut remettre la clef de conversation K2 en position de repos ainsi que la clef de coupure K3, ce qui place le circuit de connexion des figures 10 et 11 en position de conversation et libère l'équipement de position des fig. 23 et 26.

Libération normale d'un appel entrant.

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La manière dont un appel entrant qui a abouti est li- béré sera expliqu ci-dessous.

On peut supposer qu'une communication a été établie à travers les circuits de jonction des fig. 10 et 11, comme il a été décrit ci-dessus, et que l'abonné appelé raccroche son récepteur à la fin de la conversation. Dans ce cas le relais 704 relâche et ferme le circuit du relais 706 à travers des contacts du relais 705. Le relais 706 attire et place une terre sur le second contact de banc du balai 705 ce qui prépare la libération de la connexion après un temps d'environ deux secondes.

Puisque le relais 704 n'attire pas de nouveau pour

maintenir le relais 705 attiré, la lampe de supervision 741 ne s'alluce pas et le relais 705 relâche après un court instant et prolonge la terre jusqu'au relais 751, ce qui provoque l'at- traction de celui-ci à travers le fil 758 pour faire démarrer l'interrupteur Tl et pour placer le commutateur à temps TS sous le contrôle de celui-ci.

Environ deux secondes après que le relais 751 a attiré, une impulsion est reçue à travers le fil 760, comme il a été expliqué précédemment, ce qui provoque l'avancement d'un pas des balais 755 à 757 sous l'action de l'électro-aimant 753. Ces balais sont normalement engagés sur le premier groupe des con- tacts de banc et le premier pas amène le balai 755 sur le deuxième contact du banc. Celui-ci est mis à la terre à tra- vers des contacts du relais 706. De ce fait la terre est appli- quée à travers le balai 755 au point de jonction de l'enroule- ment supérieur du relais 702 et de la résistance 716. Le re- lais 702 est donc shunté, il relâche et ouvre le circuit de connexion.

On doit noter spécialement que l'interrupteur Tl est arrangé de telle sorte que l'intervalle de temps minimum est toujours introduit dans les opérations,même si l'interrup- teur est mis en service par un autre circuit de jonction,puis- que la terre est donnée par les fils 751. Pendant le fonction- nement de l'interrupteur le fil 758 est connecté au négatif uni- quemnt si les relais 763 et 764 ont relâché l'un et l'autre, à ce moment le fil 760 est déconnecte aux contacts du relais 764. Quand le relais 764 attire et ouvre ce fil, il ouvre également le fil de commande; il s'en suit que le relais 764 attire et ouvre en un autre point le fil 758.

De ce fait les relais 762 et 763 relâchent successivement et une impulsion est envoyée à travers le fil de commande 760, mais le fil 758 reste toujours ouvert et ne sera pas refermé avant que l'im- /

pulsion de commande ne soit terminée. Par cet arrangement après qu'une impulsion a été reçue pour faire opérer un relais tel que 751, une impulsion de commande n'est pas reçue à tra- vers le fil 760 avant que l'intervalle de temps de fonctionne- ment complet de l'interrupteur ne se soit écoulé.

Quand le relais 702 relâche ainsi qu'il a été dit plus haut, il ouvre le circuit du relais 701 à son ressort in- férieur et il ferme le circuit de l'électro aimant de libéra- tion 711 à travers les contacts d'engagement 713. Le relais 701 relâche et déconnecte les balais négatif et positif tandis que l'électro-aimant 711 fonctionne pour ramener les balais en position normale. De ce fait les contacts d'engagement 713 ouvrent le circuit de l'électro-aimant de libération. La suppression de la terre du fil 718 par le relais 702 a égale- ment pour résultat de faire relâcher le relais 703. Comme la connexion établie dans le bureau annexe était maintenue par le passage du courant dans les fils de conversation à travers l'enroulement droit de la bobine translatrice 430, cette con- nexion est donc libérée.

Le relais 807 du sélecteur primaire FS1 relâche quand le fil C n'est plus connecté à la terre, il ferme le circuit qui, à travers les contacts d'engagement 817, provoque la remise en position normale du sélecteur sous l'ac- tion de l'électro-aimant de libération 809. la lampe d'identi- fication 742 s'éteint quand la terre est coupée du fil 717 par le relais 702; l'opératrice est donc informée de ce que le cir- cuit de jonction est disponible pour un autre usage.

La suppression de la terre du fil 718 du chercheur, comme il a été décrit précédemment, supprime également la terre du balai C de ce chercheur et par conséquent du fil C du cir- cuit de connexion LC2; de ce fait le circuit de l'enroulement inférieur du relais 402 et le circuit du relais 403 sont ouverts.

Le relais 402 relâche immédiatement mais le relais 403 ne re-

lâche qu'après un certain temps. Quand le relais 402 relâche, il ouvre à son ressort supérieur intérieur la boucle du fil en- trant ; il déconnecte également le relais 401 du pont formé par les fils entrants pour empêcher un fonctionnement intempestif de ce relais que pourrait provoquer les opérations de libéra- tion qui s'effectuent dans le bureau public. Après un certain temps le relais 403 relâche de nouveau et prépare le circuit de blocage du relais 401, il ponte de nouveau l'enroulement in- férieur du relais 401 sur les fils entrants.

L'ouverture du pont aux contacts supérieurs intérieurs du relais 402 donne la supervision de fin dans le bureau public.

Appel vers un bureau annexe éloigné.

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La manière dont un appel est émis vers un des bureaux annexes éloignés et qui forme une partie distincte du système considéré, sera expliqué ci-après. Ce bureau annexe éloigné un peut être un bureau manuel ou/bureau annexe automatique où siège une opératrice. Il est connecté au bureau annexe décrit ici par des groupes de circuits de jonction qui varient en importance d'un à dix circuits de jonction.

Comme il a été dit précédemment les lignes qui abou- tissent au bureau annexe distant sont accessibles d'un groupe de connecteurs auxquels on se relie en émettant les chiffres 9 et 9, l'un d'eux étant le connecteur BC des fig. 3 et 18.

Comme il est montré à la fig. 3, le circuit de ligne LC4 ( qui est la ligne de jonotion entre bureaux annexes associés) est atteinte au départ des connecteurs par la jonction 1451, on montré qu'elle est généralement accessible dun quelconque des trois premiers niveaux des connecteurs TC et BC tandis que par son quatrième niveau le connecteur TC a accès aux lignes inter- urbaines qui ne sont pas connectées dans les bancs du connec- teur BC puisqu'on désire que ce soit l'opératrice qui établisse les communications interurbaines.

Dans le but (L'expliquer le fonctionnement de l'équi- pement du bureau annexe lors de l'appel d'une ligne de jonction entre bureaux annexes, on supposera que l'abonné du poste A2 de la fig. 16 désire être mis en relation avec un abonné du bureau annexe, 9931. Pour ce faire l'abonné du poste A2 dé- croche son récepteur et émet le ? 9931.

Quand on décroche le récepteur la ligne appelante est prolongée automatiquement jusqu'à un sélecteur primaire, le sélecteur primaire FS5 étant l'un d'eux. Ce sélecteur fonc- tionne de la manière qui à été décrite ici sous l'action du premier chiffre (9) émis. Il revient en position normale auto- matiquement à la fin de l'envoi de ce chiffre et est prêt à fonctionner sous l'action du second chiffre (9).

Quand le deuxième chiffre (9) est émis, le sélecteur ne revient pas en position normale mais il tourne de la manière décrite précédemment pour sélectionner un circuit de jonction libre puisque le relais 1205 a attiré et qu'il a préparé la rotation normale du sélecteur sur le neuvième niveau, pour le moment où le deuxième chiffre (9) est émis. Si on suppose que le connecteur BC de la fig. 18 est le premier qui ait été trouvé libre quand le sélecteur FS5 a opéré sa recherche dans le neuvième niveau, une polarité indiquant que cet appareil est libre étant normalement appliquée au fil C du connecteur BC par l'intermédiaire de l'enroulement supérieur du relais 1403, des contacts d'engagement 1415 et de la clef 1419. Le relais 1403 attire.

Il est à remarquer que la borne EC du groupe 1400 n'est pas utilisée car il n'est pas nécessaire d'a- voir un fil EC dans le cas des appels qui sont acheminés par ce commutateur.

Le relais 1401 du connecteur BC attire dans la. boucle des fils de conversation entrants et terme le circuit du relais 1402 ; celui-ci attire et prépare le fonctionnement du connecteur, il place en même temps une terre de blocage sur le fil entrant C.

Quand le chiffre des dizaines (3) est émis, le relais 1401 relâche momentanément trois fois, chaque fois il ferme le circuit de l'électro-aimant d'ascension 1411 à travers des contacts des relais attirés 1402 et 1403. L'électro-aimant d'ascension 1411 élève les balais 1450 jusqu'en face du troisième niveau des contacts du banc. Le relais 1403 est maintenu attiré pendant tout le mouvement d'ascension, à la fin de celui-ci il relâche et transfère le circuit de commande vers 1'électro-aimant de rotation 1412.

Quand le dernier chiffre (1) est émis, l'impulsion envoyée par le relais 1401 passe à travers des contacts du relais de test d'occupation 1405, le relais 1406 et des contacts du relais 1410 pour aboutir à l'électro-aimant de rotation 1412.

L'électro-aimant de rotation attire et engage les balais 1450 sur le premier groupe de contacts de banc du troisième niveau qui est supposé être le groupe de contacts d'où le circuit de jonction 1451 est dirigé vers la ligne IBX par l'intermédiaire du circuit de ligne LC4 de la fig. 9.

Le relais 1406 attire et fait attirer le relais 1407.

Le relais 1407 connecte le balai C du connecteur au relais 1405, il prépare en même temps le circuit du relais 1408.

Dans le cas où le premier circuit de jonction du groupe est occupé, le relais 1405 attire quand les balais s'arrêtent.

Dans ces conditions quand le relais 1406 relâche, il déconnecte le relais 1407, qui est resté attiré en parallèle avec l'électro aimant de rotation 1412; en même temps il connecte le relais 1408, par l'intermédiaire des contacts de l'électro-aimant 1412 et des relais 1406 et 1405, au balai S. Les contacts sur les- quels s'avance le balai S sont connectés au fil C du circuit de jonction associé; il en résulte que la terre placée sur le fil C des circuits de jonction occupés est transmise par le balai S pour faire attirer le relais 1408.

Le relais 1408 at -

tire et ferme son circuit de blocage à ses eontaots supérieurs, à ses contacts intérieurs il ferme le circuit de l'éleetro-ai- mant de rotation 1412 pour provoquer l'avancement d'un pas des balais, ce circuit s'étend également jusqu'au relais auxiliaire 1407 pour maintenir celui-ci attiré et par conséquent pour main- tenir le relais 1405 connecté au balai C. Le relais 1408 relâche quand 1'électro-aimant de rotation 1412 fonctionne; de ce fait le circuit de l'électro-aimant de rotation s'ouvre.

Le mouvement de rotation se poursuit par l'interaction du relais 1408 et de l'électro-aimant 1412 jusqu'à ce qu'une ligne libre soit atteinte dans le groupe désiré ou jusqu'à ce qu'on aboutisse à la dernière ligne de ce groupe. Suivant la pratique habituelle, dans les lignes groupées la connexion de l'une à l'autre est supprimée à la dernière ligne du groupe ce qui fait cesser le mouvement de rotation quand on aboutit à cette dernière ligne, même si celle-ci est occupée. Dans ces conditions le relais 1405 reste attiré mais le relais auxiliaire 1407 (qui a été maintenu attiré en parallèle avec l'électro-aimant de rotation 1412) relâche. En relâchant, le relais auxiliaire 1407 ferme le circuit de blocage du relais 1405 par l'intermédiaire des contacts supérieurs médians du relais 1407.

Le relais 1405 est de ce fait bloqué localement et il est déconnecté du balai C du connecteur. Le relais 1405 maintient le circuit de l'électro aimant de rotation ouvert à ses contacts inférieurs pour prévenir tout fonctionnement ultérieur dans le cas où l'abonné appelant agirait de nouveau sur son cadran d'appel, tandis qu'à ses contacts supérieurs le fil commun 1417 d'occupation est connecté au fil de conversation pour envoyer la tonalité d'occupation.vers l'abon- né appelant.

On peut supposer maintenant que la ligne 1451 est libre quand le numéro est émis, comme il a été decrit ci-dessus, dans ce cas le relais 1405 n'est pas attiré. Dans ces conditions quand les relais 1406 et 1407 relâchent, ce dernier connecte le

relais 1409 entre la terre des contacts supérieurs du relais 1402 et le balai C. De ce fait le relais 1409 attire dans le circuit du fil C. Le relais 1409 ferme le circuit du relais 1410;celui-ci attire et met en circuit les balais négatif et posi- tif. En ce moment le balai négatif est connecté à la terre et le balai positif est connecté au fil commun d'envoi du courant d'appel aux contacts supérieurs du relais 1404 qui a attiré au moment où le connecteur a été mis en service. De cette façon le courant d'appel est envoyé dès que le relais 1410 attire.

Cet envoi est terminé également dès que le relais 1410 relâche.

Le condensateur d'arrêt 1418 permet le passage du courant d'appel vers la ligne appelante pour donner l'indication que l'appel a abouti normalement. Le relais 1410 déconnecte également l'é- lectro-aimant de rotation 1412 de même qu'il prépare le circuit qui permettra de rappeler l'opératrice du bureau annexe éloigné.

Dans le circuit de ligne LC4 de la fig. 9 quand le circuit de jonction 1415 est saisi, comme il a été dit ci-dessus, le relais 602 attire à travers le fil entrant C et l'armature inférieure intérieure du relais 604. En attirant, le relais
602 met le relais 604 hors circuit et prépare les circuits d'attraction et de blocage du relais 603.

Quand l'impulsion du courant d'appel est reçue du connecteur par l'intermédiaire des fils de jonction 1451 le courant d'appel est transmis à travers la bobine translatrice 630 sur les conducteurs se.dirigeant vers le bureau manuel pour y faire déclencher les appareils d'appel normaux.

Quand l'opératrice du bureau manuel répond, le relais 601 attire et ferme le circuit du relais 604. De ce fait ce relais attire et se bloque à son ressort inférieur intérieur.

La conversation peut s'engager avec l'opératrice du bureau éloigné, qui établit la connexion demandée de la manière habituelle.

Rappel de l'opératrice du bureau annexe éloigné.

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Si l'abonné appelant du poste A2 désire rappeler l'opératrice du bureau annexe éloigné, il émet un chiffre au moyen de son cadran d'appel. Le relais 1401 du connecteur du bureau annexe relâche momentanément une ou plusieurs .fois.

Chaque fois qu'il relâche il ferme le circuit de l'enroulement inférieur du relais 1403 par l'intermédiaire de contacts du relais attiré 1402 et de l'armature inférieure du relais attiré 1410. Le relais 1403 étant attiré ainsi que le relais 1410, chaque fois que le relais de ligne 1401 attire de nouveau à la fin d'une impulsion, il ferme le circuit d'attraction tem- poraire du relais 1401, en parallèle avec le relais 1403, pour envoyer le courant d'appel sur la ligne de jonction appelée dans le but de donner une supervision. Le dispositif de rappel décrit ci-dessus a été arrangé de lamanière montrée au plan de telle sorte qu'il dépende de l'attraction du relais 1402, dans le but d'empêcher une attraction intempestive du relais 1404 quand on raccroche le récepteur du poste appelant.

Quand l'abon- né appelant raccroche son récepteur à la fin de la conversation, les relais 1401 et 1402 du connecteur BC relâchent. Le relais 1402 supprime la terre du fil entrant C pour permettre le re- tour en position normale des commutateurs qui précèdent. Le relais 1402 débloque également le relais 1410 pour libérer le circuit de ligne LC4 de la fig. 9. L'électro-aimant de libé- ration 1413 attire à travers les contacts d'engagement 1414 pour ramener l'appareil en position normale. De ce fait le cir- cuit de l'électro-aimant de libération est ouvert au contact d'engagement 1414.

Dans le circuit de ligne LC4 le relais 602 relâche quand le connecteur est libéré de la manière décrite ci-dessus.

Les relais 601 et 603 restent cependant attirés jus qu'à ce que

l'opératrice du bureau manuel coupe la connexion établie.

Quand le relais 602 relâche, le relais 604 attire à travers les contacts inférieurs des relais 601 et 602 et place une terre de garde sur le fil C du groupe 1451. Le circuit n'est pas placé dans l'état où il se trouve au moment où. un chercheur dé- marre car le relais 803 reste attiré à travers ses contacts inférieurs intérieurs et ceux du relais 601.

Quand l'opératrice du bureau éloigne coupe la connexion, les relais 601 et 603 relâchent.

Appel entrant venant d'un bureau annexe éloigné.

La manière dont les appels entrants venant des bureaux annexes éloignés sont acheminés sera décrite ci- dessous. Dans ce but on supposera que la ligne d'inter- connexion associée au circuit de ligne LC4 de la fig.9 est mise en service au bureau annexe éloigné.

Quand la ligne exploitée dans les deux sens et associée au circuit de ligne LC4 est mise en service au bureau annexe éloigné, le relais 601 attire et ferme le circuit du relais 604 à travers des contacts du relais 602. Le relais 604 ferme le circuit de la lampe d'appel de groupe GC4 de la position 1 et celui des lam- pes dtappel similaires des autres positions; il place une terre sur le fil de démarrage 611 pour faire démarrer un chercheur; il connecte le fil C associé aux bornes 600 du chercheur à l'enroulement du relais 602 pour marquer le circuit de ligne LC4 comme étant appelant; enfin il dé- connecte le fil C du circuit de jonction local 1401 du relais 602 et le connecte à la terre ; dece fait il garde la ligne contre toute mise en circuit par les connecteurs du bureau annexe local.

Quand le circuit de ligne LC4 est trouvé dans un chercheur (par l'intermédiaire des bornes 600.ou des multiples de celles-ci} le relais 602 attire à travers le fil C et les contacts du relais 603 et du relais atti- ré 604. En attirant, le relais 602 se bloque directement au fil 0 associé au chercheur; il déconnecte le relais 604 à son ressort inférieur et ferme le circuit d'attraction du relais 603. Le relais 604 relâche et le relais 602 at- tire, de ce fait le circuit n'est plus en état de faire démarrer les chercheurs et la lampe d'appel de groupe GC4 s'éteint.

La lampe d'identification Il4 de la position 1 (en supposant que le circuit de ligne ait été trouvé par

un chercheur de la position 1) s'allume dans le circuit du fil L qui lui est associé et qui apparaît à la posi- tion 1 seulement, des fils identiques étant prévus aux autres positions pour les lampes d'identification de celles-ci.

Après que la connexion a été établie, les commutateurs du bureau annexe local sont maintenus dans la boucle qui comprend les enroulements droits de la bobine translatrioe 630.

La connexion établie est coupée automatique- ment par l'action du relais de supervision (relais 704 du circuit de jonction de la fig.ll) dans le cas où il est répondu à ltappel, tandis que la connexion est coupée sous le contrôle de l'opératrice locale, ainsi qu'il a été signalé plus haut, dans le cas où la ligne appelée est occupée ou si l'abonné appelé ne répond pas.

Dans le cas où la ligne de jonction est libé- rée à l'extrémité gauche, avant que la communication éta- blie ne soit coupée, le relais 601 relâche, mais le relais 602 reste attiré et maintient le relais 603 attiré. Le circuit de jonction est donc gardé localement et l'attrac- tion nouvelle du relais 604 est empêchée dans le cas où la ligne serait de nouveau mise en service au bureau annexe éloigné.

Dans le cas où la connexion établie est coupée, avant que le circuit de jonotion soit libéré au bureau annexe éloigné, le relais 602 relâche mais le relais 603 reste bloqué à travers ses contacts inférieurs intérieurs et les contacts inférieurs intérieurs du relais 601. Dans ces conditions le fil 0 associé aux bornes 600 du chercheur est déconnecté aux contacts supérieurs du relais 602 pour éviter que le circuit de ligne LC4 soit marqué comme étant

appelant dans les bancs des chercheurs, mais la suppres- sion de la terre du fil C des fils associés aux bornes 600 du chercheur et la libération du relais 602 qui en résulte, supprime la polarité de garde du fil C du groupe 1451; de ce fait le circuit de jonction est rendu disponible pour les connecteurs locaux.

Par cette disposition la ligne peut être saisie avant que la connexion soit coupée par l'opéra- trice du bureau annexe éloigné, cette disposition a été prise pour accélérer le service pendant les heures de fort trafic. Quand le relais 601 relâche dans les conditions énumérées ci-dessus (tout en supposant que le circuit de jonction n'est pas saisi localement en même temps) le relais 603 relâche et ramène le circuit de ligne en con- dition normale.

Offre de communication à une ligne occupée.

Bien qu'en règle générale, une conversation en cours ne doive pas être troublée dans le cas où l'abonné appelé est déjà en communication, il est cependant dési- rable de donner le moyen d'établir une communication ur- gente avec une ligne occupée. Dans ce but on a prévu des dispositifs, contrôlés par l'opératrice desservant la table de passage, qui permettent à celle-ci d'établir une connexion spéciale vers un abonné occupé pour lui offrir une communication urgente.

Dans le but d'expliquer cette particularité, on supposera que l'abonné du poste A2 des figs. 3 et 16 a émis le numéro 91225 assigné au poste Al de la fig.16, mais qu'il ne lui a pas été possible d'obtenir la communication demandée parce que le poste Al est occupé. On supposera de plus que cet appel est urgent et que l'abonné désire que la communication soit offerte à son correspondant. Dans ces conditions l'abonné du poste A2, lorsqu'il entend la tona- lité d'occupation, raccroche son récepteur pour libérer les

commutateurs qui ont été mis en service, décroche de nouveau son récepteur et émet le numéro de l'opératrice (97) et lui demande d'établir la connexion pour lui tandis qu'il garde la ligne.

Si on suppose que le sélecteur primaire FS5 est celui qui a été saisi lorsqu'on a décroché le récep- teur, ce sélecteur fonctionne lorsqu'on émet le chiffre 9 et retombe de la manière qui a été expliquée déjà. Ensuite il élève ses balais jusqu'au 7ème niveau lorsque le second chiffre (7) est émis, il fait tourner ses balais dans le champ des contacts du 7ème niveau pour rechercher un cir- cuit de service libre.

On supposera que le circuit de ser- vice (fig.6) qui comprend les fils 301, 302 et 303 qui relient les bancs des sélecteurs primaires au circuit de ligne LC1 de la fig.6 est le premier qui ait été trouvé libre et que c'est donc lui qui est saisi par le sélec- teur FS5. quand la mise en service s'effectue le relais 304 attire dans le circuit de la ligne appelante, à tra- vers les balais du sélecteur FS5, et ferme le circuit du relais 305, Le relais 305 fait attirer le relais 306 et place également une polarité de garde sur le fil entrant C pour maintenir la connexion établie.

Le relais 304 con- necte à travers des contacts du relais 308 le fil négatif entrant au fil commun amenant le courant d'appel par l'in- termédiaire d'un condensateur d'arrêt de faible capacité, ce qui simule l'opération d'envoi du courant d'appel qui se produit normalement sur une ligne appelée. Le relais 306 met le fil de démarrage 311 à la terre, à travers les con- taots du relais 308, dans le but de faire démarrer un cher- cheur à la recherche de la ligne LC1, il ferme le circuit de la lampe d'appel de groupe Gel de la position 1 par l'intermédiaire du relais 308, il ferme également le circuit

des lampes correspondantes des autres positions. De ce fait, les opératrices sont prévenues de ce qu'un appel est en instance et provient d'un abonné du bureau annexe local.

Le relais 306 connecte également le fil C associé aux bornes 300 du chercheur à l'enroulement supérieur du relais 308 préparant ainsi l'attraction du relais 308 et marquant le circuit de ligne LC comme étant appelant dans les bancs des chercheurs.

Le relais de démarrage 2001 de la fig.24 attire dans le circuit d'un des fils 2000 et le contact du banc vertical, associé au niveau approprié, est mis à la terre, dans chacun des chercheurs tels que le cher- cheur FI de la fig.10, quand le fil de démarrage 311 est mis à la terre comme on l'a dit ci-dessus. On peut suppo- ser que le chercheur F1 de la fig.10 a été présélectionné par la manoeuvre de la clef de conversation K2 et l'attrac- tion du relais 703 du circuit de connexion, ainsi que par l'attraction des relais 2204 et 2212 de l'équipement de l'opératrice et du distributeur de la fig.24. L'attraction du relais 2001 ferme le circuit qui a été décrit précé- demment pour le relais de démarrage 702 du chercheur Fl.

Le chercheur F1 fonctionne donc de la manière qui a été décrite précédemment pour élever en premier lieu les balais 700 jusqu'en face du niveau appelant et pour faire tourner ces balais dans ce niveau à la recherche du cir- cuit de ligne appelant. Quand le circuit de ligne LC1 est trouvé, le relais 701 attire à travers le balai C qui est associé au circuit de ligne et en série avec l'enroulement supérieur du relais 508 du circuit de ligne LC1, pour faire cesser l'opération de recherche du chercheur et pour saisir le circuit de ligne. Le relais 308 ferme le circuit de son enroulement inférieur à travers les contacts infé- rieurs intérieurs du relais 305, en même temps il ouvre à

ses contacts supérieurs la connexion à travers laquelle la tonalité de retour d'appel était transmise précédemment.

Le relais 308 déconnecte également la résistance associée au fil 0 303 venant des sélecteurs; il fait éteindre la lampe d'appel de groupe GC1 et les lampes correspondantes des autres positions, il supprime la terre du fil de dé- marrage 311 pour permettre la libération du relais 2001 à moins qu'un autre appel ne se soit présenté entretemps.

Dans le chercheur Fl, l'attraction du relais 701, lorsque le circuit de ligne LC1 est trouvé, provoque la fermeture du circuit de blocage de l'enroulement supérieur du relais de démarrage 702 par l'intermédiaire de la résistance 716; le fonctionnement subséquent est identique à celui qui a été décrit précédemment et ne sera donc plus rappelé ici.

Lorsque l'opératrice converse avec l'abonné appelant et qu'elle est avertie de l'urgence de l'appel demandé vers un certain numéro, elle manipule les clefs de chiffres DK de la fig.29 pour composer le chiffre demandé qui sera retransmis. Quand les chiffres du numéro demandé (91225) de la ligne du poste Al de la fig.16 sont émis les appareils de commutation automatique fonctionnent, comme il a été décrit précédemment, pour établir la commu- nication vers la ligne du poste Al. Si on suppose que la ligne du poste Al est encore occupée, le relais 1913 attire quand les balais 1900 s'arrêtent sur la borne de la ligne appelée et 11 se bloque quand le relais 1915 relâche.

Le fil 1943 de la tonalité d'occupation est connecté mainte- nant à travers des contacts des relais 1913 et 1912 au circuit de conversation pour transmettre un signal d'occu- pation vers l'opératrice et vers l'abonné appelant. Puis- qutelle a été informée de l'urgence de l'appel, l'opératrice maintient sa clef de conversation actionnée pour rester à l'écoute.

Dans le but de se brancher sur la ligne occupée, 1'opératrice actionne la clef dtoffre K6 de la fig.27. La clef d'offre K6 ferme le circuit du relais 2115 dans le but de déconnecter la ligne appelante pour l'instant et pour faire cesser le fonctionnement du relais 2103 qui s'est mis à battre comme il a été décrit précédemment, dès que le relais 2111 attire après la transmission du dernier chiffre et après l'attraction du relais 708 dans le circuit de con- nexion de la fig.ll. La clef dtoffre K6 ferme également le circuit du relais 2113 et en même temps place une polarité sur le fil dtappel urgent 732 par l'intermédiaire des con- tacts du relais 2113. Une impulsion est donc transmise sur le fil 732 pendant le temps nécessaire à l'attraction du relais 2113.

Cette impulsion passe à travers le fil 732 et des contacts de la clef de conversation K2 pour aboutir au fil EC entrant dans le sélecteur primaire FS1. L'impulsion est transmise à travers le fil EC, le balai EC du sélecteur FS1 jusqutau sélecteur secondaire SES et de là par l'inter- médiaire du balai EC au fil EC entrant dans le connecteur local LOC1. Dans le connecteur LOC1 puisque le relais 1913 est attiré et que le relais 1908 n'a pas attiré pour indiquer que cet appel ne peut pas aboutir, le fil entrant EC est pro- longé jusqutau relais 1912. Le relais 1912 se bloque donc par l'intermédiaire de la terre connectée aux contacts su- périeurs intérieurs du relais 1905 et à travers les contacts du relais 1913.

En attirant, le relais 1912 ferme un circuit de conversation à travers les balais négatif et positif 1911 de la ligne appelée et les condensateurs 1928 et 1929 qui arrêtent l'écoulement du courant continu et empêchent donc l'attraction du relais 1903. Le relais 1912 établit également la connexion entre le fil commun de tonalité 1942 et le fil supérieur de conversation ce qui provoque la superposition d'une tonalité faible mais distinctive dans la connexion

établie pour jouer le rôle d'une tonalité d'avertissement pour les deux abonnés qui sont en conversations de telle sorte que le secret de celle-ci ne puisse pas être violé.

L'opératrice parle avec l'abonné du poste A et l'informe de l'urgence de l'appel qui lui est destiné. L'abonné peut soit accepter l'appel qui se présente,soit déclarer à l'opératrice qu'il ne désire pas le recevoir.

Si l'abonné demandé ne désire pas recevoir l'appel qui lui est destiné, l'opératrice libère la conne- xion en actionnant la clef de libération K9 par laquelle elle shunte le relais 708 et permet la libération des sé- leoteurs et du connecteur qui ont été utilisés. L'opéra- trice peut alors remettre en position normale la clef d'offre et informer l'abonné appelant de ce que l'appel offert a été refusé.

Si on suppose maintenant que l'abonné demandé du poste A1 de la fig. 16 accepte le nouvel appel, l'opéra- trice n'a qu'à remettre en position normale sa clef de con- versation K2 et la clef d'offre K6 des figs. 11 et 27 pour compléter de nouveau le circuit de oonversation à travers les circuits de connexion des figs. 10 et 11 et pour libé- rer l'équipement de sa position, La connexion est donc établie avec la ligne occupée du poste A1, de ce fait l'abonné du poste A2 peut converser avec l'abonné appelant du poste Al tandis que l'abonné avec lequel le poste Al était en conversation antérieurement reste en tiers dans la communication. Cette état de chose est signalé sur le circuit par une tonalité d'avertissement donnée par le fil 1942, ainsi qu'on l'a expliqué antérieurement.

Si la conversation précédente n'a pas été terminée et que la nouvelle communication'qui vient de s'établir n'exige pas un temps trop long, la connexion précédente peut rester établie dans le cas où les deux abonnés ne voient pas dtobjection à ce que leur conversation soit entendpar

l'abonné avec qui correspondait l'appelé précédemment.

Dans le cas où la conversation nouvelle est terminée, l'abonné appelant du poste Al raccroche son ré- cepteur et coupe donc la connexion établie entre sa ligne et la ligne du poste appelé. Le connecteur de la fig.23 revient en position normale quand le circuit de ligne LC1 est libéré, ce qui permet de reprendre la conversation qui était en cours antérieurement.

Si on suppose que les abonnés décident que la communication établie précédemment doit être rompue pour permettre une conversation confidentielle entre eux, l'a- bonné appelé du poste Al de la fig.16 raccroche son récep- teur et libère donc sa ligne. Il en résulte que le relais 1913 relâche, puisque son circuit de blocage avait été reporté sur le balai 0 du connecteur après l'attraction du relais 1912. La libération du relais 1913 est retardée quelque peu du fait qu'un shunt est placé sur son enroule- ment Inférieur. Ceci donne le temps suffisant pour libérer le plongeur du préséleoteur LS2 de la fig. 16 avant que le relais 1913 puisse relâcher par suite de la libération de la terre de garde placée sur le fil C de la ligne ap- pelée.

Quand le relais 1913 relâche, il ouvre en un point supplémentaire le circuit de garde local existant, il ouvre le circuit du relais 1912 qui relâche et ouvre le circuit de conversation qui avait été établi temporaire- ment, ainsi que le circuit de la tonalité d'avertissement, enfin il établit le circuit de test normal du relais 1917 à travers le balai C. Le relais 1917 attire dans le cir- cuit du fil C du poste Al, à travers l'enroulement 1232 de la ligne appelée, et ferme le circuit d'attraction du relais 1918. Le relais 1918 établit donc la connexion vers la ligne appelée et envoie le courant d'appel sur celle-ci ce

de la manière habituelle.

L'abonné du poste Al décroche son récepteur comme pour un appel ordinaire et de ce fait les différents relais du connecteur LOC1 fonctionnent comme il a été dit précédemment et la oonversation peut commencer.

On a prévu dans le circuit de ligne LC1 les moyens qui permettent à l'abonné qui a appelé l'opératrice et qui a obtenu une communication au moyen d'un circuit de connexion de la table de passage, de rappeler l'opératrice à un moment quelconque s'il désire le faire. Cet arrange- ment a son utilité, par exemple, dans le cas où la commu- nication établie n'est pas celle qu'on désire ou lorsqu'elle est coupée avant que la conversation soit terminée. Dans tous les cas l'abonné appelant peut manipuler son cadran d'appel et émettre un chiffre quelconque ce qui provoque la vibration de l'armature du relais 304 qui ferme le cir- cuit de l'enroulement inférieur du relais 307 à travers des contacts du relais 306. Le relais 307 attire et ferme son circuit de blocage à travers les fils EC et des contacts du relais 306.

Ce circuit de blocage comprend les contacts supérieurs du relais de supervision de fin 706 et des con- tacts de la clef de conversation. La lampe 741 s'allume dans ce circuit pour attirer l'attention de l'opératrioe.

Celle-ci éteint la lampe et fait relâcher le relais de rappel 307 quand elle actionne sa clef de oonversation.

Quand la communication qui a été établie à travers le circuit de connexion de la table de passage et la ligne du poste Al de la fig.16 est terminée, les abonnés raccro- chent leur récepteur. Dans le cas où l'abonné appelé est le premier à raccrocher, le renversement du sens du cou- rant, qui revient à la normale, dans les fils entrants du connecteur (fig.23) provoque la libération du relais 704 qui libère le circuit de connexion de l'opératrice dans un temps de 2 secondes environ, comme il a été decrit précédemment.

Quand l'abonné appelant raccroche son récepteur, le relais 304 du circuit de ligne LC1 relâche permettant aux relais 305 et 306 de relâcher successivement. Le cir- cuit de blocage qui passe par l'enroulement inférieur du relais 308 s'ouvre quand le relais 305 relâche mais le relais 308 reste bloqué cependant à. travers le fil C jus- qu'à ce que le chercheur soit revenu en position normale.

On peut noter incidemment que le relais 307 attire momen- tanément et se bloque momentanément dans le circuit du fil EC, mais ce circuit est ouvert par le relais 306 et le relais 307 relâche après que la lampe de supervision 741 se soit allumée momentanément seulement. Le relais 305 ouvre le pont placé sur les fils négatif et positif asso- ciés aux enroulements droits de la bobine translatrice 530 pour permettre la remise en position normale du connecteur.

Le relais 305 connecte également ces fils aux 2 pôles de la batterie alimentant le bureau pendant un temps suffisant pour amener la libération du relais 305. Cette opération n'est d'aucune utilité dans le cas d'un appel local.

Par suite de l'ouverture du pont placé sur les fils de conversation dans le circuit de ligne LC1 de la fig.1 le relais 1902 du connecteur local relâche pour permettre la libération de celui-ci. Le séleoteur secon- daire SES de la fig.22 et le sélecteur primaire de la fig.12 sont maintenus en service pour l'instant, par l'in- termédiaire dtune terre placée sur le fil C aux contacts du relais 708.

Dans le cas où l'abonné appelé a raccroché son récepteur et qu'il a donc fait relâcher le relais de supervision 704 et démarrer la libération ducircuit de connexion, le relais 704 relâche car il est réglé de telle sorte qu'il ne puisse rester attiré quand il est alimenté uniquement par son enroulement de polarisation dont l'effet est relativement faible. quand le circuit de connexion est libéré, et quand le relais 708 relâche et supprime/la terre

du fil C du sélecteur associé, les sélecteurs FS et SES des figs. 12 et 22 reviennent au repos.

Le relais 308 du circuit de connexion LC1 relâche quand le chercheur est libéré. Il applique de nou- veau au fil entrant C une polarité indiquant que cet appa- reil est libre pour le rendre disponible pour tout appel qui viendrait à se présenter.

Interdiction d'obtenir des appels venant du réseau public.

Il faut remarquer spécialement que l'opé- ratrice du bureau annexe ne peut pas établir une connexion entre un circuit de jonction venant du réseau public (le circuit de jonction entrant IC de la fig.7 par exemple) et une ligne interurbaine, telle que celle montrée à la fig.8, pas plus qu'avec une ligne de jonction vers un autre bureau annexe, telle que celle de la fig,9, du fait que le balai D de discrimination du chercheur trouve une terre quand on répond à l'appel venant du réseau public ce qui fait attirer le relais 801 comme il a été dit ci-dessus.

Le relais 801 étant attiré, lorsque les balais du sélec- teur FSl sont amenés jusqu'en face du 9ème niveau (dans le cas d'un appel vers le connecteur du groupe 99) et que les contacts 815 du 9ème niveau sont fermés, le circuit de test du relais 807 est ouvert. Dans ces conditions le relais 807 ne peut pas attirer et le sélecteur continue de tourner jusqu'à ce qu'il vienne en dehors du banc des con- tacts où il ferme'les contacts d'excédent 811 et 812. La fermeture des contacts d'excédent 811 a pour but de ren- voyer une tonalité d'occupation sur la ligne tandis que la fermeture des contacts d'excédent 812 a pour résultat de faire attirer de nouveau le relais 805, pour ouvrir le circuit de ltélectro-aimant de rotation.

Appel interurbain sortant.

La manière dont sont traités les appels emprun- tant les lignes interurbaines, telles que celle qui est associée au circuit de ligne LC3 des figs. 2 et 8, sera décrite ci-dessous. On expliquera en premier lieu comment s'établit la connexion entre une ligne locale et une ligne interurbaine (une ligne interurbaine du groupe 9941 par exemple).

Pour prendre une communication interurbaine, l'abonné du bureau annexe décroche son récepteur et émet le numéro de l'opératrice soit 97, il en résulte qu'une connexion est établie vers cette opératrice de la manière qui a été décrite précédemment.

L'opératrice émet le numéro 9941 désiré en ma- nipulant sa clef de chiffres DK de la fig.29 et elle fait démarrer l'émetteur en actionnant la clef de démarrage ce qui provoque la retransmission des chiffres 9,9, 4 et 1 qui avaient été enregistrés.

Le sélecteur de la fig. 12 fonctionne lorsque le premier chiffre (9) est émis et élève ses balais jusqu'en face du 9ème niveau. Il revient alors en position normale et fonctionne sous l'action du 2ème chiffre (9) c.a.d. qu'il élève ses balais jusqu'en face du 9ème niveau et qu'il les fait tourner pour rechercher un connecteur inter- urbain libre.

Lorsque les balais du sélecteur primaire FS1 se trouvent en face du 9ème niveau, les contacts d'arbre 813 du 9ème niveau sont fermés, ils appliquent une terre au fil TS ce qui fait attirer le relais 707, le relais 707 en plus de ce qu'il prépare la coupure du fil EC, à ses con- tacts supérieurs, établit à ses contacts supérieurs inté- rieurs une connexion à la terre supplémentaire du fil 717, il coupe le circuit du commutateur à temps TS à ses con- tacts inférieurs intérieurs et il prépare à ses contacts inférieurs un circuit spécial de libération.

Si on suppose que le connecteur TC de la fig.19 est le premier des connecteurs interurbains qui ait été trouvé libre quand le sélecteur FS1 tourne sur le 9ème niveau ce connecteur est saisi aux bornes 1500 par les balais 800 du sélecteur primaire FS1, le connecteur inter- urbain étant marqué comme étant libre par un négatif con- necté au fil entrant 0 et amené à travers l'enroulement supérieur du relais 1503, les contacts d'engagement 1515 et la clef 1516. Le relais 1503 attire quand le connecteur est mis en service, il prépare le circuit de ltélectro- aimant d'ascension 1511 et son circuit de blocage.

La mise en service du connecteur TC provoque également l'attraction du relais 1501 dans le circuit des fils entrants de conversation et fait également at- tirer le relais 1502 pour préparer le fonctionnement du connecteur sous l'action des deux derniers chiffres (4 et 1) du numéro demandé.

Quand le chiffre (4) est reçu, les 4 impul- sions engendrées par le relais 1501 sont transmises à travers les contacts des relais attirés 1502 et 1503 jusqu'à l'électro-aimant dtascension 1511.

A la fin du mouvement d'ascension, le relais 1503 relâche et transfère le circuit de commande vers l'électro-aimant de rotation 1502, les ressorts 1515 d'engagement ayant été ouverts.

Quand le dernier chiffre (1) est reçu, 1'électro-aimant de rotation 1512 fonctionne pour en- gager les balais 1515 sur le premier groupe de contacts du 4ème niveau qui sont supposés être ceux où aboutissent les fils 1501 du circuit de jonction qui vont vers le circuit de ligne LC3 de la fig.8. Le relais 1506 attire dans le circuit de 1'électro-aimant de rotation et pro- voque 1.'attraction du relais 1507. Cette phase du fonc- tionnement est similaire à celle qui a été décrite delà

pour les relais 1406 et 1407 du connecteur BC de la fig.18.

Il est intéressant de signaler qu'un relais de commande 1508 a été prévu, il est connecté en circuit avec le balai S pour la même raison que celle qui a été donnée pour le relais correspondant 1408 et le balai S du connecteur BC, il a pour but de donner une sélection auto- matique des lignes de jonction dans un groupe. Si on sup- pose maintenant que la première ligne interurbaine du groupe est libre, on ne trouve pas de terre sur le fil C du groupe 1551. Dans ces conditions puisque la terre n'est pas donnée au balai C du connecteur TC, le relais 1505 n'attire pas.

La libération successive des relais 1506 et 1507 a pour résultat de fermer un circuit de test, du type qui a été décrit précédemment pour le relais 1509, à tra- vers le balai C du connecteur et le fil C du groupe 1551 vers le fil négatif de batterie et par l'intermédiaire du relais 503 qui est connecté au fil C à travers des contacts des relais 502 et 506. Le relais 1509 ferme le circuit du relais 1510, de ce fait le relais 1510 attire et établit la connexion vers la ligne interurbaine. Il est à signaler que chacun des fils entrants du connecteur TC est mainte- nant connecté métalliquement au fil correspondant du groupe 1551 et que le relais de ligne 1501 relâche car il est déconnecté des fils de conversation aux contacts du relais 1510.

Le relais 1502 relâche donc mais la connexion est maintenue établie car le fil C reste connecté : à la terre pendant que fonctionne le circuit dtémission de la fig. 29 et ensuite aux contacts du relais 708 de la fig.ll.

Le circuit de l'électro-aimant de libération 1513 reste ouvert aux contacts inférieurs du relais 1510.

Dans le circuit de ligne LC3 de la fig. 8, le relais 505 attire dans le circuit du fil C venant de la fig. 19 et fait attirer le relais 504 pour préparer l'at- traction du relais 505 et des relais qui lui sont associés.

Pendant démission du chiffre, l'opératrice peut actionner la clef de coupure de réponse K3 ce qui fait attirer le relais 2115 qui déconnecte le coté "réponse" de la con- nexion, Le relais 2115 étant attiré, le fonctionnement du relais 2103, tel qu'il a été décrit, ne peut se faire après l'attraction du relais 2111 quand le relais 708 attire.

Quand l'opératrice est avertie par l'ex- tinction de la lampe pilote démission (2211 ou 2142t) de ce que la connexion a été établie vers la ligne interur- baine du groupe désiré, elle actionne sa clef d'appel K10 pour envoyer le courant d'appel, sur la connexion établie, par l'intermédiaire des contacts du relais 2111, celui-ci ayant attiré sous l'action de la clef K10. Le courant d'appel passe à travers le sélecteur de la fig,12 et le connecteur au travail de la fig.19 et aboutit à la ligne interurbaine de la fig.8 par l'intermédiaire de la bobine translatrice 530 et des contacts normalement fermés du relais 505.

Quand le courant d'appel est transmis, le relais 501 du circuit de ligne LC3 attire et ferme le circuit de l'enroulement inférieur du relais 502 à travers le fil EC, le relais 502 attire et se bloque sur ce fil, celui-ci est donc prolongé à travers la connexion qui vient de s'établir jusqu'au fil de réponse 731 et jusqu'au fil d'appel 732 de l'équipement de position de la fig.26.

Les fils 731 et 732 sont connectés au né- gatif par l'intermédiaire d'une résistance, les relais 2115 et 2116 étant attirés. De cette façon les battements du relais 502 du circuit de ligne ne peuvent pas être entendus.

Le relais 506 relâche dès que le négatif est supprimé des fils dont il est question ci-dessus, quand les clefs de l'opératrice sont remises en position normale.

Quand l'opératrice du bureau éloigné répond, elle peut converser avec l'opératrice du bureau d'origine

et établir la communication demandée de la manière habi- tuelle
Lorsqu'elle a transmis le numéro demandé à l'opératrice du bureau éloigné, l'opératrice du bureau annexe peut replacer ses clefs en position normale et permettre à l'opératrice du bureau éloigné d'établir la connexion considérée.

Surveillance d'une communication.

Dans le cas où l'opératrice désira surveiller la connexion interurbaine qui vient d'être établie, elle actionne la clef de surveillance Kl connectant de ce fait les fils de tête et de nuque de conversation aux fils de tête et de nuque de surveillance 729 et 728, mettant à la terre le fil de commutation 730. La terre placée sur le fil de commutation 730 fait attirer le relais 2102 pour connecter le récepteur de l'opératrice aux bornes des en- roulements secondaires de la bobine translatrice RC alors qu'il est normalement connecté aux enroulements secondaires de la bobine d'induction, ceci donnant la connexion de surveillance habituelle.

Le relais 2102 fait démarrer le fonctionnement du relais 2103 pour appliquer une terre intermittente sur le circuit de tonalité d'avertissement qui comprend le 3ème enroulement de la bobine d'induction et le sème enroulement de la bobine translatrice RC. En ce moment la résistance 2162 est incorporée dans le cir- cuit, en série avec la résistance limitative 2161, pour adapter la valeur du courant aux conditions du moment.

Comme il a été dit antérieurement, la tonalité d'avertisse- ment produite est suffisante pour être entendue pendant la conversation mais elle ne trouble pas celle-ci et l'opé- ratrice est capable de se rendre compte si les abonnés peuvent converser convenablement. En même temps les abonnés peuvent entendre le signal d'avertissement qui les informe de ce que l'opératrice s'est branchée en tiers dans leur

conversation.

Le relais 2102 relâche quand la clef de surveillance est remise en position de repos et le fonc- tionnement du générateur de la tonalité cesse.

Dans le cas où l'opératrice interurbaine sonne sur la ligne interurbaine de la fig.8 soit pour rappeler, soit pour donner le signal de fin, le relais 501 attire et ferme le circuit du relais 502, qui passe par l'enroulement inférieur de ce relais, à travers les con- tacts du relais attiré 503 et le fil EC de la connexion établie à travers les commutateurs en service des figs.

19 et 12, à travers les contacts du relais attiré 707 et des contacts de la clef de conversation K2 et aboutit au négatifde la batterie par l'intermédiaire de la lampe de supervision 741. La lampe 741 s'allume dans le cir- cuit de blocage du relais 602 et donne un signal de super- vision. L'opératrice du bureau annexe répond à l'appel donné par la lampe 741 en actionnant sa clef de conversa- tion K2, elle se branche donc en communication téléphoni- que avec la ligne interurbaine et coupe le circuit de la lampe de supervision 741. La lampe 741 s'éteint donc et le relais 502 relâche.

Après avoir répondu à une demande de l'opératrice interurbaine, l'opératrice du bureau annexe peut replacer sa clef de conversation K2 en position nor- male et laisser se poursuivre la conversation jusqu'à ce que la communication soit terminée,
L'abonné local peut également rappeler l'opératrice du bureau annexe, pour ce faire il émet le chiffre 1, par exemple, ce qui provoque la libération momentanée du relais 304 du circuit de ligne LC1 et fait attirer le relais 307. Le relais 307 se bloque par l'in- termédiaire du fil EC et à travers la lampe de supervision 741. Cette lampe s'éteint et le relais 307 est débloqué et relâché quand l'opératrice répond.

Quand la conversation est terminée et que l'abonné local raccroche son récepteur, le relais 304 relâche et fait attirer le relais 307 comme dans le cas précédent, ce qui provoque l'allumage de la lampe de super- vision 741. Cette lampe s'allume plutôt incidemment en ce moment puisque la connexion est automatiquement libérée de la manière qui sera expliquée ci-dessous. Du fait de la libération du relais 304, les relais 305 et 306 relâchent successivement. quand le relais 305 relâche, il applique le négatif de la batterie à travers les fils de conversa- tion négatif et positif qui aboutissent aux bornes 300 du chercheur pendant un intervalle suffisant pour permettre au relais retardé 306 de relâcher.

Un courant circule donc dans la connexion établie par l'intermédiaire des commutateurs des figs. 10, 11, 12 et 19 vers l'enroulement gauche de la bobine trans- latrice 530 du circuit de ligne LC3. Ce courant a le même sens que le courant qui circule normalement avant qu'on n'ait répondu à un appel local établi au moyen du circuit de connexion des figs. 10, 11 et 12. Cependant le courant qui circule dans l'enroulement de ligne du relais de super- vision 704 est beaucoup plus fort que le courant qui cir- cule normalement à travers ce relais quand un appel est acheminé par l'opératrice vers une ligne du bureau annexe, par suite de la valeur relativement faible des résistances du circuit de ligne LC1.

De ce fait l'enroulement de ligne du relais 704 fait attirer celui-ci quoiqu'un effet opposé se fasse sentir par l'action de l'enroulement de polarisa- tion alimenté localement. Dès lors quand l'impulsion de supervision est terminée, l'enroulement de polarisation renverse le sens de l'aimantation et provoque la libération du relais. Le relais 705 attire quand le relais 704 le fait, il prépare le circuit du relais 706, ce circuit emprunte

les contacts du relais retardé à la libération 705, quand le relais 704 relâche. Le relais 706 se bloque en position de travail.

Puisque le relais 707 est attiré (il s'agit d'un appel interurbain) le relais 706, à ses contacts infé- rieurs, applique une terre à travers les contacts inférieurs du relais attiré 707 au point de jonction de la résistance 716 et de l'enroulement de blocage du relais 702. Le relais 702 relâche donc de la manière habituelle. En relâchant, le relais 702 ouvre le circuit du relais 708 qui relâche après la suppression de la terre du fil 707 par le relais 702 et le chercheur Fl revient au repos par suite de la libération du relais de démarrage 702.

Dans le circuit de ligne LC1, les relais 307 et 308 relâohent par suite de la libération du chercheur.

La lampe de supervision 741 s'éteint donc avant que l'opé- ratrice ait eu le temps de répondre après l'allumage de cette lampe.

Du fait de la libération du relais 708, le fil C de la connexion établie vers la ligne interurbaine n'est plus connecté à la terre, il permet aux commutateurs des figs. 12 et 19 qui ont été mis en service de relâcher et il permet au circuit de ligne LC1 de la fig.8 de se libérer. Quand le sélecteur primaire FS1 de la fig.12 revient en position normale, le relais 707 relâche, il remet donc le circuit de connexion des figs. 10, 11 et 12 en condition normale.

Dans le connecteur interurbain TC de la fig.19 la suppression de la terre du fil C, au relais 708 dont il a été question ci-dessus, a pour résultat de faire relâcher le relais de commutation 1510 qui était bloqué précédemment sur ce fil C. Le relais 1510 en plus de ce qu'il déconnecte les balais, ferme le circuit de 1'électro- aimant de libération 1513 à travers les contacts d'enga- gement 1514. De ce fait le connecteur est ramené en posi- - A tion normale de la manière habituelle.

Dans le circuit de ligne interurbain LC3 de la fig.8 la suppression de la terre du fil C a pour résultat de faire relâcher le relais 503. Le relais 503 ouvre le circuit du relais 504 et ferme le circuit du relais 505 à travers des contacts du relais 504. Le relais 505 attire donc pour un court instant et applique le courant d'appel sur la ligne interurbaine pour faire fonctionner un signal de fin au bureau éloigné.

Garde temporaire automatique du circuit interurbain.

Une des caractéristiques du circuit de ligne LC3 est qu'il est gardé par le connecteur interurbain après l'envoi du courant de fin et pendant une période suffisante pour permettre à 1'opératrice du bureau interurbain de prendre note du signal de fin et de couper la connexion.

Le fonctionnement est le suivant :
Quand le relais 505 attire, il ferme le circuit du relais 506. Le relais 506 déconnecte le fil C entrant du banc des connecteurs et du relais 503 et le connecte à la terre, ce qui garde la ligne interurbaine contre toute intrusion par l'intermédiaire des connecteurs interurbains.

Le relais 506 prolonge également le positif à travers ses contacts inférieurs intérieurs jusqu'au fil 503 associé au dispositif à temps comprenant les relais 507 à 510. Le fil 533 étant mis à la terre, un circuit de blooage s'établit pour le relais 506, à travers des contacts du relais 509 et les contacts intérieurs du relais 506. Le relais 506 reste attiré dans ce circuit de blocage jusqu'à ce que le fonctionnement du dispositif à temps soit terminé.

Quand le fil 533 est mis à la terre, le relais 507 attire dans le circuit qui passe par des contacts du relaie 508. L'armature de ce relais est pourvue d'une masse magnétique assez pesante qui est attachée à l'extrémité d'un ressort,quand celui-ci est

actionné un circuit se ferme à travers les contacts de ce ressort pour faire attirer le relais 508. Le relais 508 attire et ferme son circuit de blocage à son ressort supé- rieur; il déconnecte le fil 533 de l'enroulement du relais 507, de ce fait le relais 507 n'est plus alimenté et il relâche, le ressort vibre pendant une période de plusieurs secondes. Le relais 508 est retardé à la libération, il reste donc attiré aussi longtemps que le ressort du re- lais 507 vibre avec une amplitude suffisante pour toucher les deux contacts.

Quand le relais 508 transfère le fil 533 du relais 507, il ferme le circuit du relais 510, de la paire de comptage, à travers des contacts du relais 509.

Le relais 510 attire et ferme son circuit de blocage en série avec l'enroulement inférieur du relais 509, mais ce circuit de blocage n'est parcouru par aucun courant pour l'instant puisque le circuit initial est encore établi. quand l'amplitude de vibration du pendule du relais 507 diminue, le relais 508 relâche et ouvre le circuit initial d'attraction du relais 510. En ce moment le relais 509 attire en série avec le relais 510. Le relais 509, à son ressort inférieur, ouvre en un point le circuit de blocage.du relais 506 mais le ressort inférieur du relais 510 a fermé un autre point du circuit de blocage de telle sorte que le relais 506 reste attiré. Le relais 509 prépare également un circuit de blocage pour son enroulement supérieur et un circuit de libération pour le relais 510.

Le relais 508 étant libéré, le relais 507 attire de nouveau ce qui fait attirer de nouveau le re- lais 508 et ouvre le circuit du relais 507 qui relâche et provoque la vibration de son ressort lesté.

* Le relais 509 étant attiré, le relais 508 oonnecte le fil 533, mis à la terre à travers les contacts supérieurs du relais 509, au point de jonction de l'en- roulement du relais 510 et de la résistance qui est

associée, il shunte de ce fait le relais 510 pour le faire relâcher. Le relais 509 reste attiré à travers son enroulement supérieur aussi longtemps que le relais 508 reste attiré.

Quand l'armature lestée du relais 507 ralentit son mouvement pour la deuxième fois, le relais 508 relâche et finalement déconnecte le fil 503 du relais 506 à son ressort inférieur , ouvrant de ce fait le circuit de blocage du relais 506, le relais 509 étant attiré et le relais 510 relâché. quand le relais 506 relâche, il dé- connecte la terre du fil 533, ce qui empêche une attraction nouvelle du relais 507. Le relais 506 déconnecte également le fil C de la terre et le reconnecte au relais 503, ce qui provoque le marquage de la ligne interurbaine comme étant libre dans les bancs des connecteurs après ltinter- valle introduit par les deux périodes de vibration du relais 507 contrôlées par les relais 508 à 510.

Il est à signaler que l'opération qui a été décrite ci-dessus n'interfère en aucune sorte avec la réception d'un appel sur la ligne interurbaine et le dé- marrage d'un chercheur dans le cas où la ligne interurbaine a été libérée à l'extrémité éloignée et qu'elle est mise en service immédiatement pour un appel dans le sens con- traire.

Introduction en tiers dans un circuit de jonction occupé.

Le connecteur interurbain TC de la fig.19 est pourvu d'un relais d'offre 1504 associé au fil entrant EC qui permet à l'opératrice du bureau annexe, quand elle en est requise, d'établir une connexion avec un circuit de jonction occupé ou avec une ligne interurbaine. Elle peut demander aux abonnés en conversation de raccrocher leur récepteur et de libérer de ce fait le circuit de jonction dans un cas urgent. Le relais d'offre 1504 attire,

comme il a été décrit pour le relais d'offre 1912, pour établir une connexion avec le circuit de jonction occupé (le dernier du groupe); pour substituer le fil de la tona- lité d'avertissement 1518 au fil 1517 de la tonalité dtoccu- pation et pour transférer le circuit de blocage de 1905 au balai C.

De ce fait le relais relâche et permet une mise en service normale de la ligne quand elle devient libre.

Appel interurbain entrant.

La manière dont les appels interurbains entrant au bureau annexe sont acheminés par l'opératrice sera dé- crite ci-dessous.

Si on suppose que la ligne interurbaine de la fig.8 est saisie à l'extrémité éloignée et que le courant d'appel est envoyé sur cette ligne pour alerter l'opératrice du bureau annexe, le relais 501 attire et ferme le circuit du relais 502. Le relais 502 se bloque à ses contacts infé- rieurs intérieurs; il ferme le circuit de la lampe d'appel de groupe GC3 de la position 1 et le circuit des lampes correspondantes dans chacune des autres positions ; il met à la terre le fil de démarrage 511 pour provoquer la re- cherche par un chercheur et pour amener celui-ci sur le niveau correct des contacts de banc; Il connecte le fil C associé au banc du connecteur à la terre; enfin il connecte le fil associé au chercheur au relais 503 marquant par là le circuit de ligne LC3 comme étant appelant dans les bancs des chercheurs.

Quand un chercheur arrive sur les bornes du circuit de ligne LC3, le chercheur F1 de la fig.10 par exemple, le relais 503 attire à travers le fil C venant des bancs des chercheurs. En attirant, le relais 503 se bloque au fil C du chercheur, il débloque le relais 502 et prolonge son enroulement inférieur jusqu'au fil a pour donner une supervision; enfin il fait attirer le relais 504, La lampe GC3, d'appel de groupe, s'éteint et le fil de démarrage 511 est

mis à la terre.

L'opératrice du bureau annexe peut acheminer l'appel entrant vers la ligne d'un abonné quelconque du bureau annexe, vers une autre ligne inter- urbaine ou vers une quelconque des lignes sortant vers un bureau annexe éloigné, telle que la ligne de la fig.9. Dans le cas où la connexion est prolongée vers une des lignes locales du bureau annexe, cette connexion est libérée sous le contrôle du commutateur à temps TS quand l'abonné du bureau annexe raccroche son récepteur et permet au relais de supervision 704 de relâcher; l'opération de libération a été décrite précédemment.

D'autre part, si la connexion est prolongée vers une autre ligne interurbaine ou vers une ligne sortant vers un bureau annexe éloigné, le relais 704 n'attire pas pour donner une supervision de réponse ou de fin et de ce fait il peut contrôler la libération de la connexion.

Dans ce cas cependant le relais 707 attire à travers les contacts 813 (fig.12) pour ouvrir le circuit de mise en marche du commutateur à. temps TS et de ce fait empêcher tout fonctionnement intempestif de cet appareil. Le relais 707 relie également le fil EC du sélecteur FS1 au fil EC du chercheur F1, ces deux fils étant connectés à travers des contacts de la clef de conversation K2 en position normale (pendant la conversation) à la lampe de supervision 741. Cette lampe s'allume donc sous le con- trôle de l'une ou l'autre des deux extrémités de la liaison et donne un signal de fin ou de rappel.

Par exemple, si l'opératrice interurbaine appelante sonne la fin, le courant de sonnerie arrivant de la ligne interurbaine au circuit de ligne LC3 de la fig.8 pro- voque l'attraction du relais 502 et du relais 503 qui se bloque par l'intermédiaire de son enroulement inférieur sur le fil associé EC en série avec la lampe 741. Le relais 502 relâche quand l'opératrice actionne sa clef

de conversation et la connexion est libérée quand l'opé- ratrice actionne sa clef de libération pour provoquer la libération du relais 702.

Lorsque la communication est terminée, le signal de fin par courant de sonnerie est donné comme il a été décrit déjà et on empêche le circuit de ligne LC3 d'être pris par un connecteur du bureau annexe jusqu'à ce que la période de temps déterminée se soit écoulée. La garde est donnée par le relais 506 pendant l'intervalle déterminé par les relais 507 à 510. La garde est provoquée comme il a été décrit précédemment par l'attraction du relais 505, à la suite de la libération du relais 505.

Appel des lignes interurbaines par un abonné du bureau annexe.

Il est à remarquer que les connecteurs du bureau annexe, tel que le connecteur de la fig.18, peuvent donner des communications avec les lignes interurbaines dans le cas où il est désirable de permettre aux abonnés du bureau annexe d'appeler les lignes interurbaines direc- tement. Par exemple les fils négatif, positif et C du groupe 1501 peuvent être connectés aux contacts correspondants du même banc du connecteur de la fig.18. On rappellera que le connecteur de la fig.18 émet un train de sonnerie quand le relais 1404 attire lorsque la ligne est saisie. Ce con- necteur est également prévu comme il a été décrit précédem- ment pour faire attirer de nouveau le relais 1404 pour le rappel de l'opératrice dans le cas où l'abonné appelant manipule son disque d'appel dans ce but.

De plus, le con- necteur de la fig.18 a été particulièrement arrangé pour ne pas envoyer sans nécessité le courant d'appel quand l'abonné appelé du bureau annexe raccroche son récepteur car les circuits de lignes interurbaines tels que ceux représentés en LC3, fig.8, possèdent la caractéristique

d'envoyer un signal de fin sur les circuits de jonction.

Appels retardés.

Ainsi qu'il a été dit précédemment, on a prévu que l'opératrice pourra établir des appels retardés. Cette facilité est particulièrement utile pour permettre à l'opé- ratrice du bureau annexe d'établir une connexion entre une ligne du réseau publie et une ligne du bureau annexe après que l'abonné du bureau annexe a déjà essayé d'établir une connexion avec cette ligne mais n'a pu le faire parce que la ligne vers le bureau public est occupée. Dans ce cas l'abonné appelant du bureau annexe émet le No.97 assigné à l'opératrice et il se met en liaison avec celle-ci par l'intermédiaire d'un circuit de ligne tel que LC1 des figs. 1 et 6 ainsi qu'il a déjà été décrit précédemment.

On notera particulièrement que l'opératrice ne peut pas acheminer l'appel de la manière régulière pendant que l'abonné appelant garde la ligne car les sélecteurs pri- maires connectés aux chercheurs n'ont pas accès aux cir- cuits de jonction vers le bureau publie, L'opératrice prend note du numéro de l'abonné du bureau annexe appelant et du numéro demandé dans le bureau public. Elle établit ensuite de sa position une connexion vers chacune de ces lignes.

Ainsi qu'il a été dit déjà les sélecteurs d'appels retardés sont prévus pour être utilisés en commun par toutes les opératrices du bureau annexe et ils sont accessibles par l'intermédiaire du premier niveau des chercheurs. Le sélecteur DOS des figs. 3 et 13 est l'un de ces sélecteurs d'appels retardés.

Dans le but de préparer l'utilisation d'un sélecteur d'appels retardés l'opératrice de la position 1 actionne la clef d'appels retardés K7 de la fig.27, Quand cette clef est actionnée la terre des contacts de la clef de libération est appliquée à l'enroulement supérieur,du

relais 2114 ce qui fait attirer ce relais en série avec l'enroulement supérieur du relais 2110. Le relais 2110 attire pour faire relâcher le relais 2112.

A ses contacts supérieurs, le relais 2114 place une terre sur le fil de marquage qui lui est associé et qui est multiplé dans les chercheurs acces- sibles de la position 1 mais qui ne se prolonge pas vers les chercheurs associés aux autres positions puisque chaque position est pourvue de son fil propre de marquage d'appels retardés. La clef d'appels retardés restant actionnée, l'opé- ratrice actionne également la clef de conversation d'un cir- cuit de connexion libre, la clef de conversation K2 de la fig.ll par exemple. Ceci fait attirer le relais 703 du circuit de connexion et le relais 2104 de l'équipement de position.

La mise à la terre du fil 2123 par le relais 2104 a pour résultat de fermer un circuit à travers des contacts du relais attiré 2110 et à travers le fil 2104 pour provo- quer la sélection d'un émetteur-enregistreur libre, mais le relais 2112 n'attire pas en ce moment car le relais 2110 est lui-même attiré.

La clef d'appels retardés k7 étant actionnée et le relais 2114 attiré, la terre est prolongée par l'in- termédiaie des contacts de cette clef et des contacts de ce relais jusqu'au fil de démarrage 727 et de plus elle se prolonge à travers des contacts du relais 703 jusqu'au relais 702 du chercheur. Le chercheur part donc à la recherche de la ligne appelante mais le mouvement d'asoension se termine après le premier pas quand le balai de test d'ascension 712 rencontre le premier contact de marquage de niveau qui a été mis à la terre, comme on l'a dit ci-dessus. Les balais 700 du chercheur Fl tournent dans le champ des contacts du premier niveau à la recherche d'un sélecteur d'appels retardés libre.

Si on suppose que'le sélecteur d'appel libre DCS de la fig.13 est le premier qui soit trouvé libre, ce

sélecteur est saisi à travers ses fils entrants. Le sélecteur DOS est normalement marqué comme étant libre par le négatif appliqué au fil 0 à travers une des clefs d'occupation et l'enroulement du relais 901. Le relais 901 attire dans le circuit du fil 0 pour connecter les fils négatif, positif et C et pour préparer le circuit de blo- cage du relais 902. La lampe 115 d'identification de groupe de la position 1 s'allume dans le circuit du fil L et du balai L du chercheur pour informer l'opératrice de ce que le chercheur a trouvé un sélecteur d'appels retardés libre.

Le relais 903 du sélecteur d'appels retardés est ponté sur les fils de conversation entrants, à travers des contacts des relais 908 et 902 quand le relais 901 attire, Le relais 903 de ce fait attire dans le circuit des balais négatif et positif du chercheur Fl, à travers des contacts des relais 708 et 703, des fils positifs 721 et 723, des contacts du relais 2115 et de la bobine de self 2118. par suite de l'attraction du relais 1903, les relais 1904 et 1905 préparent le fonctionnement du sélec- teur.

On a trouvé intéressant de munir ltopératrice d'un cadran d'appel CD (fig.27) qui lui permet d'établir des connexions à travers les sélecteurs d'appels retardés ce qui permet de n'équiper les émetteurs-enregistreurs du bureau annexe que d'un nombre suffisant d'enregistreurs de chiffres (5) pour desservir les numéros du bureau annexe, les numéros du bureau public en général contenant plus de chiffres, particulièrement lorsque le chiffre "0" doit être émis comme préfixe pour les appels vers le bu- reau public.

Lorsqu'elle s'aperçoit que la lampe ILS de la fig.13 est allumée, l'opératrice peut commencer à émettre, au moyen de son cadran d'appel, le numéro de la ligne appelée dans le bureau public. Elle fait précéder ce numéro du chiffre "0" nécessaire pour donner accès au

bureau public. quand le cadran d'appel revient en position normale, après l'émission du premier chiffre, les contacts d'engagement (le groupe inférieur) prolongent une terre jusqu'à l'enroulement du relais 2115. Ce relais attire pour ponter les contacts d'impulsions du cadran d'appel CD di- rectement sur les fils de tête et de nuque de réponse 724 et 722 par l'intermédiaire des contacts de la clef d'appels retardés K7.

De ce fait quand le cadran d'appel CD revient en position normale 10 interruptions momentanées sont pro- circuit du duites dans le/relais de ligne du sélecteur d'appels re- tardés DOS de la fig.9. quand le cadran d'appel est revenu en position normale, le relais 2115 relâche, il transpose les fils 722 et 724 sur la bobine de self alla et sur les fils du poste de l'opératrice ce qui permet à l'opératrice d'être à l'écou- te entre les diverses émissions du cadran d'appel pour sui- vre la progression de la communication,
Dans le sélecteur d'appels retardés DOS de la fig.13 les 10 interruptions dans le circuit provoquent dix fois.la libération momentanée du relais 903,

ce qui fait fonctionner dix fois l'électro-aimant d'ascension 909 pour amener les balais 900 en face du l#ème niveau des con- tacts de banc. Le relais 906 dont l'enroulement supérieur était initialement alimenté à travers les contacts d'engage- ment 915 lorsque le relais 901 a attiré, relâche à la fin du mouvement d'ascension et établit le circuit de 1'électro- aimant de rotation 910. Les balais 900 tournent alors dans le 10ème niveau des contacts de banc jusqu'à ce qu'ils ar- rivent sur les bornes d'un répétiteur libre associé à un circuit de jonction sortant tel que le répétiteur ORl de la figure 17 associé au circuit de jonction sortant OT1.

A ce moment le relais 908 attire pour mettre le répétiteur ORl en service tandis que les relais 903, 904 et 905 re- lâchent par suite de l'attraction du relais 908.

Dans le répétiteur OR1, les relais 1301 et 1302 attirent comme il a été décrit précédemment. Le relais 1301 place à ses contacts inférieurs un pont sur les fils du circuit de jonction sortant par l'intermé- diaire des enroulements gauches de la bobine translatri- ce 1330. Par suite de la fermeture de ce pont, l'équipe- ment du bureau public est prêt à recevoir les chiffres du numéro de l'abonné appelé et la tonalité d'invitation à transmettre normale est renvoyée sur la ligne pour indi- quer que l'émission peut commencer.

Dans l'équipement de la position d'opératrice de la fig.2l, le relais 2116 relâche lorsque le cadran d'appel est revenu en position de repos ce qui permet à l'opératrice d'entendre la tonalité d'invitation à trans- mettre qui lui parvient du bureau public. Lorsqu'elle entend ce signal, l'opératrice émet au moyen de son cadran d'appel les différents chiffres qui constituent le numéro demandé, ce qui établit la connexion vers l'abonné demandé du bureau public.

Lorsqu'elle a émis le numéro, l'opératrice remet la clef d'appels retardés K7 en position normale, ce qui ouvre le circuit du relais 2114 et supprime la terre du fil de démarrage 727 et en même temps déconnecte les contacts d'impulsions du cadran d'appel CD. Avant que le cadran d'appel soit déconnecté, les contacts de fer- . meture avant coupure de la clef d'appels différés placent un shunt sur les fils d'impulsions à travers des contacts du relais 2114 pour qu'un pont reste placé sur les fils d'impulsions jusqu'à, ce que le relais 2115 relâche (par suite du retour en position normale du cadran d'appel), ils transposent les fils de tête et de nuque de réponse 724 et 722 sur la bobine 2118.

On doit remarquer qu'un circuit de blocage est maintenu à travers l'enroulement /

inférieur du relais 2114 et les contacts du relais 2115 pour assurer que le relais 2115 relâchera avant le relais 2116. Il est bien entendu qu'ordinairement le relais 2115 relâche avant que l'opératrice ait remis la clef d'appels retardés en position normale puisqu'une fraction de seconde seule est requise pour libérer le relais 2115 lorsque le circuit est ouvert aux contacts d'engagement du cadran d'appel CD.

Il est à remarquer que le relais 2110 ne relâche pas quand le circuit de l'appel différé est ouvert car ce relais est maintenu attiré dans le circuit du fil de libération 726 ainsi qu'il a été expliqué déjà,
Il résulte également de la mise en position normale de la clef d'appel différé K7 qu'une terre est pro- longée à travers les contacts supérieurs de la clef et des contacts du relais 2114 jusqu'au fil 731 pendant tout le temps nécessaire à la libération du relais 2114 après que son circuit a été ouvert par la clef d'appels retardés.

Une impulsion est donc envoyée sur le fil 731 à travers les contacts de la clef de conversation K2 actionnée, le ressort supérieur et le contact au repos du relais de supervision de fin 706, le balai EC du chercheur F1, le fil EC entrant du sélecteur d'appels retardés DOS de la fig.13 et des contacts du relais 1901 jusqu'au relais à 2 temps 902.

Le relais 902 attire au premier temps seulement pour fermer ses contacts de blocage quand l'enroulement supérieur seul est alimenté.

Quand l'impulsion est terminée, lorsque le relais 2114 relâche, le relais 902 attire complètement et prolonge le fil entrant EC à travers des contacts du relais 908 jusqu'au balai EC, de la sorte ce fil est pro- longé vers les circuits de jonction suivants à condition que ceux-ci possèdent un fil EC. La fonction du relais902

est d'insérer la bobine translatrice 930 dans le circuit de conversation. Quand le relais 902 est attiré, les fils entrants sont prolongés vers les enroulements gauches de la bobine translatrice 930 tandis que les enroulements droits de la bobine translatrice 930 sont pontés sur les fils sortants, à travers les balais négatif et positif et des contacts du relais 908.

Si on suppose maintenant que l'abonné demandé dans le bureau public répond, l'opératrice du bureau annexe l'informe de ce qu'un appel lui est destiné et lui demande d'attendre un moment pendant qu'elle com- plète la connexion dans l'autre direction. L'opératrice établit cette connexion vers la ligne locale en émettant les chiffres du numéro de l'abonné du bureau annexe au moyen des clefs de chiffres DK comme il a été décrit pré- cédemment, et en actionnant la clef de démarrage. Ceci fait fonctionner le sélecteur primaire FS1 de la fig.12 et les autres appareils de commutation appropriés, comme il a été décrit précédemment, pour établir la connexion vers la ligne locale.

L'opératrice peut actionner sa clef de coupure K3 et se mettre en relation avec l'abonné local pour l'informer de ce que son correspondant dans le bureau public a répondu. L'opératrice met la clef en position normale pour établir la liaison désirée.

Il est à noter que le sélecteur d'appels retardés DOS est pourvu d'une paire de contacts d'arbre associés au niveau 0. Ces contacts sont fermés pour l'instant, car le sélecteur DOS a été amené en face du 10ème niveau dans le cas d'un appel vers le réseau public.

Le relais 901 étant attiré, la terre est appliquée à tra- vers les contacts du relais de connexion 901 au fil de discrimination D ce qui prolonge une terre par l'inter- médiaire du balai D, du chercheur Fl et des contacts du relais 701 jusqu'au relais 801 du sélecteur primaire FS1.

Comme il a été décrit précédemment, ce relais d'enregistre- ment de la classe étant attiré, l'appel ne peut être pro- longé qu'à travers le sélecteur primaire FS1 seulement vers les lignes qui peuvent être mises en communication avec le bureau public.

L'attraction du relais 704: quand l'abonné local répond, a pour résultat de faire attirer le relais 705 pour préparer le circuit du relais 706. De ce fait, le relais 706 attire quand l'abonné local raccroche son récepteur, il ferme son circuit de blocage ce qui fait que la connexion est libérée après un temps d'environ 2 secondes par le fonctionnement du commutateur à temps TS ainsi qu'il a été expliqué précédemment.

' La mise en position de repos du chercheur Fl a pour effet d'ouvrir le circuit du relais 901 du sélecteur d'appels retardés DOS. Le relais 901 ouvre le circuit de blocage du relais 902, qui relâche puisque les fils de conversation sortants ne sont plus pontés, ce qui permet aux relais de ligne et de libération du répétiteur ORl de relâcher et supprime la terre du fil 0 entrant associé, Le relais 908 du sélecteur d'appels retardés re- lâche et ferme le circuit de l'électro-aimant de libération à travers les contacts d'engagement 1916, Le sélecteur re- vient en position normale de la manière habituelle.

Il est à noter que le fil C du sélecteur d'appels retardés reste connecté à la terre aux contacts supérieurs intérieurs du relais 901 aussi longtemps que celui-ci reste attiré; de ce fait la connexion établie est maintenue quand elle comprend un circuit tel que le circuit de la ligne interurbaine LOS de la fig.8 (atteint par l'intermédiaire d'un connecteur interurbain) qui ne donne pas de polarité de garde sur le fil C.

Précautions spéciales.

Des dispositions ont été prises pour court- circuiter le distributeur de la fig.24, pour mettre hors service l'un ou l'autre des deux circuits d'émission des figs. 28 et 29 dans le cas où l'un d'eux devient défeo- tueux et pour utiliser le cadran d'appel CD de la fig.28 à la place de l'émetteur-enregistreur lorsqu'il s'agit dtétablir des communications locales et que les circuits de connexion des figs. 28 et 29 sont défectueux également.

Dans le cas où le distributeur de la fig.25 est en panne, on peut se passer de celui-ci en actionnant la clef 2006 ce qui fait attirer le relais 2005. Le relais 2005 étant attiré, le fil de démarrage commun associé, contrôlé par le relais 2001, est connecté à chacun des fils de démarrage des 4 positions, tel que le fil 2033 de la position 1, et de ce fait le fil de dé- marrage dans chaque position est mis à la terre chaque fois que le relais 2001 attire.

Dans ces conditions, un chercheur est mis en service à chaque position où la clef de conversation d'un circuit de connexion libre est actionnée et le premier chercheur qui arrive sur la ligne appelante saisit cette ligne et la garde immédiatement de la manière qui a été décrite précédemment, tandis que le chercheur (ou les chercheurs) qui n'ont pas atteint la ligne continuent à tourner jusqu'à la limite du mou- vement, en ce point les contacts d'excédent sont actionnés pour faire revenir le chercheur en position normale. En ce moment le fil commun de démarrage n'est plus connecté à la terre à moins qu'un autre appel ne se soit présenté entretemps.

Dans le chercheur F1 de la fig.10 par exemple quand le balai vertical du fil 712 ne trouve pas un fil de niveau marqué, l'ascension se termine aux contacts de test du lOème niveau qui est mis à la terre en permanence.

Dans ce cas les balais tournent dans le 10ème niveau.

Quand les balais tournent et qu'une ligne appelante n'est pas trouvée, les contacts d'excédent 714 se séparent quand les balais arrivent en dehors du banc de contacts. Puisque les contacts d'engagement 715 sont ouverts, la séparation des contaots 714 ouvre le circuit du relais 712 et permet à celui-ci de relâcher le chercheur. Le chercheur revient en position normale et le relais 702 ne peut pas attirer de nouveau jusqu'à ce que les contacts d'engagement 715 se soient fermés de nouveau. Dans le cas où le circuit démis- sion Si.2 devient défectueux, l'opératrice en observant la lampe pilote 2142 peut s'apercevoir de ce que le circuit de connexion ne travaille pas correctement.

Dans ce cas, elle peut actionner la clef 2203 pour ouvrir ses contacts inférieurs ce qui empêche l'attraction du relais 2201 pour sélectionner le circuit d'émission SL2. Puisqu'il n'existe plus aucun circuit de blocage du relais 2202, ce relais attire chaque fois que le fil 2141 de démarrage de l'émet- teur est mis à la terre dans l'équipement de position, ce qui provoque la mise en service continue du circuit d'émis- sion SL1 au lieu de le faire travailler alternativement aveo le circuit d'émission SL2.

Dans ces conditions pendant une période de fort trafic, l'opératrice ne doit pas ac- tionner la clef de conversation d'un circuit de connexion libre dans le but d'accepter un nouvel appel jusqu'à ce que la lampe pilote 2111 qui brle faiblement ne se soit éteinte après la libération du relais 2207 pour indiquer que le numéro qui a été enregistré a été retransmis complètement et que le circuit d'émission est redevenu libre.

Dans le cas où c'est le circuit d'émission SL1 qui est devenu défectueux, au lieu du circuit d'émission SL2, l'opératrice peut actionner la clef 2203 dans la direction opposée pour fermer les oontacts supérieurs de cette clef. Dans ces conditions le relais 2201 attire,

chaque fois que le fil 2141 de démarrage est mis à la terre tandis que le relais 2202 est shunté par la terre appliquée par l'intermédiaire du fil 2141 de démarrage à travers des contacts du relais attiré 2201 au point de jonction du relais 2202 et de la résistance qui lui est associée. Le relais 2201 attirant seul chaque fois que le fil 2141 de démarrage est mis à la terre, le circuit d'émis- sion SL2 est mis en service pour chaque appel au lieu de l'être alternativement avec le circuit d'émission SL1.

Dans le cas où.les deux circuits dtémission deviennent défectueux, l'opératrice n'utilise plus les clefs de chiffres DK mais elle fait usage de la clef de secours K8.

Lorsqu'on actionne la clef K8, on ferme le circuit du re- lais 2116 et on connecte le cadran d'appel CD, à travers des contacts du relais 2116 aux fils de tête et de nuque, d'appel, 723 et 721. La clef de secours K8 applique égale- ment un positif au fil 735 par l'intermédiaire de ses con- tacts supérieurs et à travers l'enroulement supérieur du relais 2117. Le relais 2117 attire dans ce circuit et se bloque à travers des contacts du relais 2116. Dans le circuit de connexion qui est représenté, le fil 735 est prolongé à travers des contacts de la clef de conversa- tion K2 jusqu'au relais 708 ce qui fait attirer ce relais quand la clef de secours est actionnée. Le relais 708 ferme ses contacts supérieurs et prolonge de ce fait le circuit d'émission jusqu'au sélecteur primaire FS1.

Le cadran d'appel CD peut être actionné plu- sieurs fois consécutivement pour transmettre les chiffres successifs du numéro demandé.

Quand la clef de secours K8 est mise en posi- tion normale le cadran d'appel CD est déconnecté mais un pont de garde temporaire se ferme sur les fils d'émission à travers les contacts de fermeture avant rupture de la clef de disque et les contacts inférieurs du relais 2117

pour maintenir la connexion jusqu'au moment où le relais 2116 a relâché pour replacer le pont 2118 sur les fils 721 et 723. Le relais 2116 permet au relais 2117 de relâcher.

Appels sortants du bureau 9 vers le bureau 8.

La manière dont sont acheminés les appels sortants du bureau 9 et destinés au bureau 8 sera expli- quée ci-dessous. On a expliqué précédemment, en relation avec les figs, 1, 2, 3 et 4, que les appels venant du bureau 9 directement ou en transit et destinés à un abonné du bureau 8 ou à son satellite 86 sont acheminés par l'intermédiaire du 8ème niveau des sélecteurs pri- maires tels que les sélecteurs primaires FS1 à FS5 de la fig.3 jusqu'au bureau 8 à travers les circuits de jonction exploités dans un seul sens tels que T3 et à. travers des circuits de jonction exploités dans les deux sens tels que T2, quand les circuits de jonction exploités dans un seul sens sont tous en service.

Les répétiteurs R2 et R1 des figs. 20 et 21 sont accessibles par l'inter- médiaire des bornes telles que 1600 et 1700 aux sélecteurs primaires d bureau 8. Chacun de ces répétiteurs est pour- vu de bornes associées aux fils 1613 à 1615 des circuits de jonction entre bureaux pour le répétiteur Ra et aux fils 1713 à 1715 pour le répétiteur Rl, Le répétiteur R2 qui est associé à l'un des circuits de jonction sortants exploités dans un seul sens a les fils de ce circuit de jonction(T3) connectés directement aux bornes 1613 et 1614 et la borne 1615 n'est pas utilisée, Dans le répé- titeur R1, le circuit de jonction associé Ta étant un cir- cuit de jonction exploité dans les deux sens, le relais de transfert 1711 est connecté à la borne 1715,

tandis que le circuit de jonction associé T2 est connecté aux contacts du relais 1711 comme il est représenté. Il/

Il est à noter que le fil EC entrant dans le répétiteur Rl et venant des bornes 1700 est prolongé, à travers les contacts normalement fermés du relais 1703, jusqu'à la borne droite supérieure de la bobine transla- trice. Cette connexion est établie dans le but de pro- longer les impulsions d'enregistrement de la classe et d'envoyer l'appel sur le circuit de jonction T2.

Quand le répétiteur R1 est saisi aux bornes telles que les bornes 1700, après l'émission du chiffre 8, le relais 1701 attire à travers les enroulements gauohes de la bobine translatrice par l'intermédiaire de contacts du relais 1706. Le relais 1701 f ait attirer le relais 1702 et celui-ci applique une terre sur le fil entrant C pour garder la connexion établie.

Le relais 1702 prépare éga- lement le circuit du relais 1703 et complète une boucle à travers les enroulements droits de la bobine transla- trice et des contacts du relais 1701, en utilisant les bornes 1713 et 1714, cette boucle comprend le relais 1704 et l'enroulement supérieur du relais 1705. Le relais 1702 ferme également le circuit de l'enroulement de polarisa- tion 1705 et le circuit de l'enroulement inférieur du relais 1709.

Le relais 1709 attire et place une polarité de garde supplémentaire sur le fil C à. travers des con- tacts du relais 1710; il prépare l'insertion du relais de résistance élevée 1710 dans les fils de conversation quand le relais 1702 relâche; il prépare le circuit de blocage du relais 1708; enfin à ses contacts inférieurs il ferme le circuit du relais 1711. Le relais 1711 attire pour déconnecter les fils négatif et positif, du circuit de jonction entre bureaux, du sélecteur d'arrivée IS2 de la fig.14 et pour les connecter aux bornes 1713 et 1711 du répétiteur Rl. Les opérations qui sont décrites ci-dessus s'effectuent rapidement.

De ce fait, la con- nexion à travers le répétiteur jusqu'au fil de jonction. T2

se ferme avant la fin de l'émission de l'impulsion d'en- registrement de la classe sur le fil entrant EC, dans le cas où une impulsion d'enregistrement de la classe doit être reçue. Le circuit de jonction exploité dans les deux sens T2 est prolongé par l'intermédiaire des contacts du relais de transfert 2711 associé au répétiteur R4 du bureau 8 jusqu'au sélecteur d'arrivée IS4 de ce bureau (figs. 34 et 33). Le relais de ligne 2602 du sélecteur d'arrivée IS4 est normalement placé sur les fils du cir- cuit de jonction T2 en série avec le cadran d'appel du bureau.

De ce fait la fermeture du pont sur les fils du circuit de jonction T8, lorsque le relais de transfert 1711 du répétiteur R1 attire, a pour résultat de faire attirer le relais 2602 pour préparer le fonctionnement du sélecteur en faisant attirer les relais 2603 et 2604.

L'application d'une terre sur le fil C du sélecteur met également à la terre le fil C du répétiteur R4 pour marquer le circuit de jonction, exploité dans les deux sens, comme étant occupé dans le bureau 8.

Le relais 2601 est connecté en série avec les fils de conversation entrant dans le sélecteur R4 et par ce fait dans le cas d'un appel venant du bureau public lorsqu'une impulsion d'enregistrement de la classe est reçue sur le fil EC entrant dans le répétiteur Rl quand celui-ci est saisi, la mise à la terre momentanée du circuit de jonction T2 a pour résultat de déséquilibrer le relais 2601. Ce relais attire donc et ferme le circuit du relais 2607 à travers des contacts du relais 2606.

Le relais 2607 de ce fait attire et se bloque au fil C; il ouvre son circuit initial d'attraction et à ses contacts supérieurs il prépare le renvoi d'une impul- sion d'enregistrement de la classe vers le commutateur ou le circuit de jonction que le sélecteur d'arrivée va saisir.

Dans le répétiteur Rl de la fig.21 chaque fois qutun chiffre est reçu, le relais 1701 attire et répète* à ses contacts supérieurs, les impulsions vers le bureau éloigné. Le relais 1703 attire à travers les con- tacts inférieurs des relais 1701 et 1702 pendant chaque série dtimpulsions.

A ses contacts inférieurs, le re- lais 1705 court-circuite l'enroulement gauche de la bo- bine translatrice pour réduire l'impédance du circuit du relais de ligne 1701 pendant l'émission tandis qu'à ses contacts supérieurs il déconnecte le fil entrant EC et met hors circuit l'enroulement inférieur droit de la bobine translatrioe ainsi que le pont de garde à travers les relais 1704 et 1705, ce qui donne de ce fait aux contacts supérieurs du relais 1701 un contrôle plus direct des impulsions envoyées sur la boucle sortante.

A la fin du train des impulsions le relais 1703 remet les ponts de garde dans les conditions existant pré- cédemment et connecte de nouveau le fil entrant EC au fil négatif sortant.

Dans le sélecteur entrant IS4 le relais 2602 répond au premier groupe des impulsions répétées et ac- tionne 1'électro-aimant d'ascension 2608 pour amener les balais 2600 en face du niveau désiré des contacts de banc.

Le relais 2705 qui initialement a attiré sous l'action du relais 2604 à travers les contacts d'engagement 2613 relâche à la fin du mouvement d'ascension et ferme le cir- cuit de 1'électro-aimant de rotation 2609 à travers les contacts d'engagement 2612. Le mouvement de rotation commence donc et se poursuit jusqu'à ce que le relais 2606 soit opéré dans le circuit du balai C d'un circuit de jonction libre pour transférer la connexion vers ce cir- cuit de jonction libre. Si le relais 2607 a attiré, comme il a été décrit précédemment, une impulsion d'enregistrement de la classe est transmise, à travers le balai EC,après

le fonctionnement du relais 2606 et jusqu'à ce que le re- lais 8604: ait relâché.

Dans le cas où le 2ème chiffre du numéro est l'un des chiffres 2 à 4, un connecteur local tel que le connecteur LOC3 de la fig.4 est mis en service. Ce connec- teur local est identique au connecteur local LOC1 de la fig.23 décrit précédemment. Ce connecteur travaille donc sous l'action des 2 derniers chiffres du.numéro et établit ou non la connexion vers la ligne appelée suivant la classe de la ligne appelée et suivant la classe de la ligne appe- lante comme le détermine l'état dans lequel se trouve le relais 1908 du connecteur LOC1 et l'état du relais 1907 du connecteur LOC1.

Dans le cas où la ligne appelée est occupée et que l'appel a été établi par l'intermédiaire de la table de passage et lorsque l'opératrice a reçu pour instructions d'offrir l'appel à la ligne appelée, la réception de l'im- pulsion d'offre sur le fil entrant EC du répétiteur Rl de la fig.24 a pour résultat de transmettre une impulsion à travers des contacts des relais 1903 et 1702 et à travers le fil négatif du circuit de jonction T2 ce qui déséquilibre momentanément le circuit du relais 1601. Ce relais attire et répète l'impulsion à travers le balai EC du sélecteur entrant IS4, ce qui fait attirer le relais du connecteur du bureau 8 correspondant au relais 1912 de la fig.23.

Quand l'abonné appelé répond et provoque donc le renversement habituel du sens du courant, le relais 1705 du répétiteur R1 attire et fait attirer le relais 1706 pour renverser la connexion entre les fils de conversation entrants du répétiteur et les enroulements du relais 1701 pour donner une supervision de réponse au bu- reau appelant.

Le relais 1706 fait attirer le relais 1707 pour préparer une répétition plus efficace des impulsions

de rappel dans le cas où la communication doit être pro- longée à travers la table de passage et que l'abonné appelé désire rappeler l'opératrice du bureau annexe en manipulant son cadran d'appel. Dans ce cas, le fonctionnement du cadran d'appel de l'abonné appelé provoque la libération du relais d'alimentation du connecteur et le fait attirer de nouveau une ou plusieurs fois pour provoquer une ou plusieurs inver- sions momentanées du sens du courant dans les fils de con- versation. Le relais 1705 relâche momentanément chaque fois que le sens du courant est replacé momentanément dans le sens normal.

Chaque fois qutil relâche le relais 1705 ouvre le circuit du relais 1708 pour ramener le sens du courant suivant la normale momentanément dans les fils de conver- sation entrants dans le répétiteur. Le relais 1705 ferme également le circuit du relais 1703 à travers des contacts du relais 1707; de ce fait, le relais 1703 attire pendant l'envoi du train des impulsions de rappel pour shunter l'enroulement inférieur gauche de la bobine translatrice et réduire l'impédance de celle-ci. Le relais 1703 ne shunte pas le relais 1705 en ce moment comme il le fait lorsque les chiffres du numéro appelé sont émis vers le bureau éloigné, car le relais 1705 ne doit pas rester en circuit pour répéter les impulsions de rappel.

Du fait de la modification qui est intervenue dans le circuit au ressort supérieur du relais 1707 le ressort supérieur du relais 1703 place maintenant la résistance 1712 en parallèle sur l'enroulement du relais 1704 pour réduire l'impédance du circuit.

A la fin de l'envoi du chiffre de rappel, le relais 1705 reste en position attirée ainsi que le relais 1706 et le relais 1707. Le relais 1703 relâche ensuite.

Dans le cas où l'abonné appelé est le premier à raccrocher son récepteur à la fin de la con- versation, le relais 1705 relâche suivi de la libération

successive des relais 1706 et 1707. Le relais 1703 attire pendant l'intervalle de temps requis par le relais 1707 pour relâcher, en suite de quoi le relais 1703 relâche également. Le répétiteur reste dans cet état (avec les relais 1701, 1702, 1704, 1709 et 1711 attirés) jusqu'à ce que l'abonné appelant ait raccroché son récepteur.

Quand on raccroche le récepteur au poste appelant, le relais 1701 relâche et ouvre la boucle sor- tante, en même temps le relais 1703 attire de nouveau incidemment. Le relais 1702 relâche après un certain temps et ouvre le circuit du relais 1703 pour lui permettre de relâcher. Le relais 1702 supprime également la terre en un point du fil c entrant mais le fil C reste cependant connecté à la terre pour le moment au contact du relais 1709.

Le relais 1702 ouvre également le circuit initial d'attrac- tion du relais 1709 mais ce relais reste bloqué pour le moment à travers les contacts supérieurs intérieurs du relais 1710 et la terre prise à travers les contacts supé- rieurs de la clef 1716. Le relais 1702 place également le relais de résistanoe élevée 1710 sur les fils sortants à travers les contacts du relais 1709. Le relais 1710 teste donc les fils pour déterminer s'il n'y a pas de polarité appliquée sur ceux-ci au bureau éloigné, comme le cas se présente normalement lorsqu'une communication est bloquée par un appel malveillant ainsi qu'il sera expliqué ci-après.

Dans les conditions normales le relais 1710 attire donc en série avec le relais de ligne du bureau éloigné mais un relais de ligne réglé normalement ne peut pas attirer lorsqu'il est en série avec le relais 1710 du fait de la résistance élevée de celui-ci. Le relais 1710 coupe la terre du fil 0 à ses contacts supérieurs et ouvre le circuit de blocage du relais 1709 à ses contacts supérieurs intérieurs. Le relais 1709 relâche donc et ouvre en un point supplémentaire son circuit de blocage, de même/qu'un

point du circuit à travers lequel la terre était appliquée précédemment au fil c. A ses contacts supérieurs le relais 1709 déconnecte le relais 1710 du pont placé sur les fils de conversation et de ce fait le relais 1710 relâche.

Enfin le relais 1711 relâche par suite de la libération du re- lais 1709 et retransfère les fils du circuit de jonction T2 au sélecteur entrant de la fig.14.

De la description du fonctionnement du répétiteur Rl qui vient d'être donnée, on peut voir qu'en plus de la répétition des impulsions dans le sens normal et des impulsions de supervision et de rappel dans le sens contraire, il répète également les impulsions reçues sur le fil EC comme si le fil de ligne était déséquilibré; de ce fait, le relais 2601 du sélecteur entrant IS4 peut re- transmettre ce déséquilibre sur la ligne sous la forme d'une impulsion de terre sur le fil EC du bureau éloigné.

Par suite de cette dispositions l'application d'une terre au fil EC entrant du répétiteur Rl de la fig.21 a pour résultat d'appliquer une terre au fil EC du sélecteur entrant IS4 sous le contrôle du relais 2601. Le fonctionne- ment du répétiteur dans le cas d'un appel malveillant sera décrit plus tard.

Appels locaux dans le bureau 8.

En se référant à la fig.39 on expliquera main- tenant comment s'établissent les communications locales dans le bureau 8.

Des appels venant de la ligne à service complet du poste A3 (N 8225) s'écoulent à travers le présélecteur LS7 identique au présélecteur de la fig.16, et des sélecteurs primaires tel que 'le sélecteur primaire FS6; ce sélecteur est identique au sélecteur FS5 de la fig.16 sauf qu'il retombe en position normale du Sème niveau au lieu de le faire du 9ème niveau, le premier chiffre de tous les numéros du bureau 8 étant le chiffre 8. Le sélecteur primaire FS6 a accès à des connecteurs locaux, tels que le connecteur

local LOC3, tout comme les sélecteurs entrants, tel que celui représenté aux figs. 32, 33, 38 et 39, alors que les connecteurs locaux ont accès à toutes les lignes lo- cales.

Le présélecteur LS8 est associé au connecteur local LOC3 pour le service d'information comme il a été décrit pour.le connecteur local de la fig.23 tandis que le présélecteur LS6 est représenté comme étant associé au répétiteur sortant OR2 pour donner le service dtinfor.. mation dans le cas d'appels sortants du bureau 8 vers le bureau public. Le répétiteur sortant OR2 est identique au répétiteur 'sortant montré en fig.17.

Appels sortants du bureau 8 vers le bureau 9. quand un abonné du bureau 8 désire se mettre en relation avec un abonné du bureau 9 ou un abonné qu'on peut atteindre à travers le bureau 9 ou s'il désire appe- ler l'opératrice du bureau annexe (No.97) il émet le chiffre 9 comme premier chiffre du numéro ce qui provoque la prise par le sélecteur primaire (le sélecteur primaire FS6 de la fig.35) d'un circuit de jonction sur le 9ème ni- veau, tel que le circuit de jonction Tl associé au répé- titeur R3 de la fig.31 ou un circuit de jonction T2 ex- ploité dans les deux sens, associé au répétiteur R4 de la fig.34 dans le cas où tous les circuits de jonction exploi- tés dans un seul sens sont déjà en service, Les répétiteurs R3 et R4 des figs.

31 et 34 sont tous semblables au répé- titeur Rl de la fig.21 sauf que le répétiteur R3 n'est pas muni de relais de transfert tandis que le répétiteur R4 est pourvu du relais de transfert 2711 correspondant au relais de transfert 1711 du répétiteur Rl.

Si on suppose maintenant que le répétiteur R4 est mis en service au départ du bureau 8, aux bornes 2700, le relais 2711 attire comme il a été expliqué dans le cas

du relais 1711 et ponte les conducteurs du circuit de jonction T2 sur les bornes 2713 et 2714.

Dans le bureau 9 le circuit de jonction T2 est normalement connecté à travers des contacts du relais 1711 (fig.2l) au fil entrant du sélecteur dtarri- vée IS2 de la fig.14. De ce fait, lorsque le circuit de jonction T2 est mis en service au bureau 8 le relais 1001 du sélecteur d'arrivée attire dans la boucle du circuit de jonction T2 et provoque l'attraction du relais 1002; le relais 1002 prépare le circuit de l'électro-aimant d'as- cension 1005 et fait attirer le relais 1003 à travers les contacts d'engagement 1009. quand le relais 1002 met à la terre le fil C une terre est prolongée jusqu'au fil C entrant du répétiteur R1 de la fig.21 auquel le conducteur C entrant du sélecteur de la fig.14 est connecté, le répéti- teur R1 est donc gardé contre toute mise en service au bureau 9.

Le sélecteur de la fig.14 fonctionne sous l'action du chiffre suivant du numéro appelé comme il a été expliqué pour les sélecteurs qui ont été décrits pré- cédemment sauf que le sélecteur d'arrivée IS2 est, en principe, un sélecteur de la forme la plus simple tandis que les sélecteurs qui ont été décrits antérieurement possédaient chacun un ou plusieurs relais additionnels.

Il suffit de dire que les balais 1000 sont amenés en face du niveau désiré des contacts de bancs et qu'ils tournent ensuite automatiquement à la recherche d'un circuit de jonction libre après quoi les opérations normales de commutation s'effectuent.

Appels sortants du bureau 8 vers le bureau satellite 86.

La manière dont les appels ayant leur origine dans le bureau 8 ou transitant par ce bureau et destinés au satellite 86 sont acheminés sera expliquée cprès.

En se rapportant à la fig.4 on pourra remarquer que le 6ème niveau des sélecteurs d'arrivée IS3 et IS4 et le sé- lecteur primaire local FS6 du bureau 8 donnent accès par l'intermédiaire de répétiteurs, tels que R5 et R6, à des circuits de jonction, tels que T5 et T6, aboutissant au bureau satellite 86 de la fig.5. Le circuit de jonction exploité dans un seul sens T6 aboutit au connecteur d'arri- vée ICI du bureau satellite 86 tandis que le sélecteur de jonotion T5 exploité dans les deux sens (il y a trois cir- cuits de jonction de ce type) aboutit au connecteur d'arri- vée IC2 et est accessible également du sélecteur répéti- teur SR.

On peut donc voir que lorsque le 2ème chiffre est 6 si le premier chiffre est 8 (le circuit primaire FS6 revient en position normale quand le chiffre 8 est émis comme premier chiffre) un circuit de jonction sortant vers le bureau 86 est saisi, de ce fait un connecteur d'arrivée au bureau satellite 86 est mis en service pour établir la communication vers la ligne demandée du bureau satellite.

Les répétiteurs R5 et R6 associés aux circuits de jonction T5 et T6 sont représentés aux figs. 40 et 41 tandis que les connecteurs entrants ICI et IC2 sont représentés aux figs. 44,45 et 42, 43. Dans le but d'expliquer le fonc- tionnement on supposera que le bureau 86 est appelé alors que le circuit de jonotion T6 de la fig.41 exploité dans un seul sens est déjà en service. On supposera que le circuit de jonotion T5 exploité dans les deux sens est libre et que le répétiteur R5 est saisi à des bornes telles que 3300 par un des sélecteurs ayant accès à celui-ci dans le bureau 8, Comme le répétiteur R5 est identique au répétiteur représenté en fig.21 le relais de transfert 3311 attire pour transférer les fils du circuit de jonction T5 du répétiteur d'arrivée IS6 aux bornes 3313 et 3314.

Dans le connecteur d'arrivée IC2, figs. 42 et 43, le relais 3503 est placé sur les fils entrants a travers des contacts du relais de supervision 3508 et en

série avec le relais 3507. Le relais 3503 attire donc quand le circuit de jonction T5 est saisi au bureau 8 et il prépare le fonctionnement du sélecteur en provoquant l'attraction des relais 3504 et 3505; le relais 5506 attire à travers les contacts d'engagement 3508. De plus si une impulsion d'enregistrement de la classe est reçue au moment de la mise en service, le relais 3507 attire pour fermer le circuit du relais 3520, à travers des contacts d'engagement 3530, et le relais 3520 ferme son circuit de blocage à ses contacts inférieurs et à travers les contacts inférieurs du relais 3505.

Il peut être intéressant, dans ce cas, de signaler que le connecteur d'arrivée I02,de même que le connecteur d'arrivée ICI,est identique au connecteur local LOC1 de la fig. 24 (le fonctionnement de celui-ci a déjà été décrit) excepté qu'il a en plus les relais 3501 et 3502 qui sont utilisés dans le cas de la mise en service du circuit de jonction T5, exploité dans les deux sens, et qu'il possède un relais 3507 correspondant au relais 2601 du sélecteur d'arrivée IS4 de la fig.33. Pour ce motif le fonctionnement du connecteur d'arrivée IC2 sera décrit plus ou moins brièvement et en se reportant à la descrip- tion qui a été donnée précédemment du fonctionnement du connecteur montré en fig.19.

Quand le chiffre des dizaines du numéro appe- lé est émis, le relais de ligne 3503 suit les impulsions et fait fonctionner l'électro-aimant d'ascension 3524 qui élève les balais 3500 jusqu'en face du niveau désiré des contacts de bancs. A la fin du mouvement d'ascension le relais 3506 relâche et transfère le circuit de commande à l'électro de rotation 3525.

Quand le dernier chiffre est émis l'électro- aimant de rotation 3521 suit les impulsions et fait tourner les balais 3501 jusqu'à ce qu'ils atteignent les bornes de

la ligne appelée, la ligne du poste A4 (No. 8665 par exemple).

Les relais 3519 et 3518 attirent pendant le mouvement de rotation et ils collaborent avec le relais 3517 pour per- mettre que la ligne soit testée par l'intermédiaire du ba- lai C du connecteur et le fil C de la ligne pour déterminer si celle-ci est libre ou occupée. Si on suppose que la ligne est libre, le relais de test 3522 attire dans le circuit du fil C et en série avec l'enroulement de coupure (non repré- senté) du présélecteur LS10 associé à la ligne appelée.

Le relais 3515 attire au moment de la libération du relais 3519 dans le cas où le relais 3520 a déjà attiré et dans le cas supplémentaire où la ligne appelée est une ligne à service restreint, ce qui n'est pas le cas actuellement.

Dans l'exemple en question, l'attraction du relais 3522 est suivie de l'attraction du relais 3523 qui saisit la ligne et applique le courant d'appel sur celle-ci de la manière habituelle. quand l'abonné appelé répond le relais 3513 attire et ferme son circuit de blocage. De plus il ferme le circuit de conversation et place la garde de la ligne appelée sous le contrôle du relais 3515, ce relais attire par suite de l'attraction du relais 3509 dans le circuit de la ligne appelée, il ferme à ses contacts supérieurs intérieurs le circuit de blocage du relais 3505 après que le relais 3503 a attiré.

Le relais 3509 fait également attirer le re- lais 3508 pour donner une supervision par renversement du sens du courant dans les fils entrants du connecteur et par conséquent dans le circuit de jonction T5. Dans le cas où l'appel vient du réseau public l'abonné du poste appelé A4 de la fig.14 peut émettre un appel d'information en pous- sant le bouton de mise à la terre qui est associé à sa ligne, De ce fait il fait attirer les relais 3512, 3511 et 3510 qui donnent ce service ainsi qu'il a été décrit pour.le

connecteur local lOC1 de la fig.23 où les relais corres- pondants portaient les Nos. 1926, 1910 et 1905.

Si on suppose que l'abonné appelé est le premier à raccrocher son récepteur à la fin de la conversation, le relais 3509 relâ- che et permet au relais 3508 de relâcher et de donner une supervision de fin. Le relais 3509 ouvre le circuit du re- lais 3515 qui relâche et ouvre le circuit du relais 3505.

Le relais 3505 en relâchant déconnecte la terre du bureau C à ses contacts supérieurs, tandis qu'à. ses contacts infé- rieurs il ouvre le circuit de blocage du relais 3523 et permet à celui-ci de relâcher en libérant la ligne appelée.

Quand on raccroche le récepteur au poste appelant le répétiteur R5 de la fig.40 est libéré et la boucle des fils du circuit de jonction T5 est ouverte pour permettre aux relais 3503 et 3504 de relâcher. En ce point le connecteur est ramené en position normale par le fonc- tionnement de l'électro-aimant de libération à travers des contacts d'engagement 3527.

Acheminement des appels émis par le bureau 86.

La manière dont les appels qui ont leur origine au bureau 86 sont acheminés sera expliquée ci-après.

Comme le montrent les figs. 5, 46 et 47 les sélecteurs ré- pétiteurs (connectés directement aux présélecteurs du bu- reau satellite) ont accès aux deux circuits de jonction sortant vers le bureau public, à un circuit de jonction exploité dans un seul sens et à 3 circuits de jonction ex- ploités dans les deux sens qui aboutissent au bureau prin- cipal (bureau 8) et à 5 connecteurs locaux, l'un d'eux étant le connecteur LOC4. Pour le contrôle du fonctionnement des sélecteurs répétiteurs on a trouvé intéressant de prévoir 3 fils spéciaux appelés fils communs d'occupation. Un de ces fils est le fil commun d'occupation 3908 du bureau public, associé aux 2 répétiteurs sortant, l'un d'eux étant le répétiteur OR3 de la fig.39.

Le second qui est le fil

commun d'occupation 3558 du bureau principal est associé aux circuits de jonction qui aboutissent à ce bureau (bureau 8). Le Sème fil commun d'occupation 3558 est as- socié au contrôleur local LOC4 et aux autres connecteurs locaux.Chacun des f ils communs d'occupation est maintenu connecté à la terre aussi longtemps qu'il y a un circuit de jonction libre dans le groupe associé, mais il est automatiquement déconnecté de la terre quand tous les cir- cuits de jonction du groupe associé sont occupés.

En se référant de nouveau au répétiteur ORl de la fig.17 (le répétiteur OR3 de la fig.39 étant identique à celui-ci) on remarquera que le fil commun d'occupation 1308 aboutit, à travers des contacts du relais 1306, à la terre connectée au fil C entrant dans le répétiteur. De ce fait quand le répétiteur ORl est mis en service la terre est supprimée en un point du conducteur 1308 et le conducteur n'est pas connecté à la terre quand tous les répétiteurs sont en service, Le fil commun d'occupation. 3908 du bureau satel- lite 86 est contrôlé de la même manière.

Le fil C du circuit de jonction T4 exploité dans un seul sens, qui relie le bureau satellite 86 au bureau principal 8, aboutit, ainsi qu'il est montré à la fig.47, à un relais qui supprime la terre en un des points du fil commun d'occupation 3558 du bureau principal quand le circuit de jonction T4 est en service. De même le relais commun d'occupation 3501 du connecteur d'arrivée IC2 est connecté au fil C du circuit de jonction T5 et au connec- teur d'arrivée IC2. De ce fait il attire, pour supprimer la terre du fil commun d'occupation 3558 du bureau princi- pal, quand le circuit de jonction T5 est en service. par une disposition semblable, le fil commun d'occupation 3858 du connecteur local est déconnecté de la terre en tous ces points quand tous les circuits de jonction aboutissant au connecteur local sont en service.

Les fils communs d'occupa- tion sont communs à tous les sélecteurs répétiteurs, tels

que SR, ainsi que l'indiquent les symboles de connexion commune de ceux-ci.

Appels du bureau 86 vers le bureau public.

On supposera maintenant que l'abonné du poste A4 de la fig.46 désire se mettre en communication avec un abonné du bureau publio. Il décroche donc son récepteur et émet le numéro de l'abonné demandé dans le bureau public en le faisant précéder du chiffre "0".

Quand on décroche le récepteur au poste A4 le présélecteur LS10 fonctionne de la manière habituelle pour éliminer un circuit de jonction libre, celui-ci peut être le circuit de jonction représenté au plan et aboutissant au sélecteur répétiteur SR. Les fils négatif et positif entrant dans le sélecteur répétiteur SR sont prolongés normalement à travers les contacts du relais 3701 et les enroulements gauches de la bobine translatrice 3733 jus- qu'aux enroulements du relais 3702. Le relais 3702 attire donc quand le sélecteur répétiteur est mis en service ce qui provoque l'attraction successive des relais 3703 et 3704.

Le relais 3703 place une terre sur le fil entrant, pour maintenir le présélecteur LS10 en position de travail, tandis que le relais 3704 prépare le circuit de l'électro- aimant de commande 3718 du commutateur de marquage MS à travers des contacts du relais 3709.

On doit se rappeler que la connexion est établie vers un sélecteur primaire entrant du bureau prin- cipal lorsqu'on décroche le récepteur au bureau annexe dans le but d'éviter l'addition d'un chiffre au numéro de l'abonné des bureaux annexes 8 et 9 quand ils sont appelés du bureau satellite. Cette disposition est en concordance avec la pratique normale. Les relais 3702 et 3703 étant attirés les enroulements droits de la bobine translatrice 3733 sont donc branchés sur les fils 3741 et 3742 par l'intermédiaire des contacts de repos du relais 3701.

De

ce fait le circuit du relais 3716 se ferme, ce relais étant associé au mécanisme du sélecteur répétiteur.L'en- roulement supérieur du relais 3716 est connecté au fil 3741 tandis que la terre est connectée au fil 3742 à tra- vers le fil commun d'occupation 3558 du bureau principal et à travers des contacts des relais 3712 et 3713 (à moins que le fil 3558 ne soit déconnecté de la terre si tous les circuits-de jonction vers le bureau principal sont cccu- pés).

Le relais 3716 attire s'il y a un circuit de jonction libre aboutissant au bureau principal, en attirant il con- necte le point de jonction des enroulements du relais 3715 et de 1'électro-aimant de commande 3717, à travers des contacts du relais 3715 et des relais 3713 et 3712, au balai de test C3 qui est utilisé pour tester les circuits de jonction qui aboutissent au bureau principal. On doit remarquer que tous les contacts dans les bancs du ba- lai C3 sont connectés à la terre, excepté les 4 contacts qui terminent les fils C des circuits de jonction vers le bureau principal. L'électro-aimant de commande 3717 tra- vaille donc à la manière d'un ronfleur dans le circuit comprenant le balai de test 03 et les contacts sur les- quels il s'engage successivement, jusqu'µ ce que les balais 3700 arrivent sur les bornes d'un circuit de jonc- tion libre vers le bureau principal.

A ce moment le balai 03 s'est engagé sur un contact qui n'est pas connecté à la terre et le fonctionnement de l'électro-aimant 3717 cesse. A ce moment, le relais 3715 qui a été court-cir- cuité précédemment par la terre donnée à travers le balai C3, attire en série avec l'électro-aimant 3717 à travers des contacts des relais 3713 et 3712 et la terre des contacts supérieurs du relais 3704, En attirant, le re- lais 3715 ouvre le circuit de test et ferme à son ressort inférieur le circuit de garde de l'enroulement inférieur du relais 3716;

il prolonge le fil entrant 0 mis à la

terre jusqu'au balai 03 à travers des contacts du relais 3716 et il déconnecte les fils 3741 et 3742 du fil mis à la terre 3747 et de l'enroulement supérieur du re- lais 3716, il prolonge ceux-ci par l'intermédiaire des contacts du relais 3716 et des balais négatif et positif jusqu'au fil de conversation du circuit de jonction sélec- tionné vers le bureau principal, on peut supposer que ce circuit de jonction est le circuit T5 exploité dans les deux sens.

Le relais commun d'occupation 3501 du connec- teur d'arrivée IC2 attire dans le circuit du fil C quand le circuit de jonction T5 est saisi ; relais 3502 attire également dans le circuit du fil 0 à travers des contacts de la clef d'occupation 3544. Le relais 3502 déconnecte les fils négatif et positif du circuit de jonction T5 des fils correspondants du connecteur d'arrivée IC2.

Les enroulements droits de la bobine trans- latrice 3733 sont pontés sur les fils du circuit de jonc- tion T5 par l'intermédiaire des balais négatif et positif du groupe 3700 du sélecteur répétiteur, de ce fait les relais de ligne et de libération (qui ne sont pas repré- sentés) du sélecteur d'arrivée IS6, de la fig.39, dans le bureau 8 préparent le fonctionnement du sélecteur d'ar- rivée. Les sélecteurs d'arrivée, au bureau 8, sont tous identiques au sélecteur primaire FS5 de la fig.16 sauf que les ressorts d'arbre de ceux-ci correspondant au res- sort 1217 du 9ème niveau (fig.16) sont placés sur le 8ème niveau, de ce fait les sélecteurs d'arrivée, des figs. 38 et 39, absorbent le chiffre 8 au lieu du chiffre 9 lorsque celui-ci est le premier chiffre émis.

Une tonalité d'invitation à transmettre appliquée à travers les enroulements du relais de ligne du sélecteur entrant de la fig.39 est envoyée sur les fils du circuit de jonction T5 vers le sélecteur répé- titeur SR et de là par l'intermédiaire de la bobine translatrice 3733 jusque sur la ligne du posteA4 ce qui

signifie que l'abonné appelant peut maintenant commencer à émettre le numéro demandé puisque le sélecteur répétiteur SR est prêt à recevoir le premier chiffre de même que le sé- lecteur d'arrivée IS6 de la fig.39.

On peut signaler en ce point que puisque le fonctionnement du relais 3716, comme il a été décrit ci- dessus, dépend de la présence d'une terre amenée par le fil commun d'occupation 3558 du bureau principal, ce relais n'at- tire pas lorsque le sélecteur répétiteur SR est mis en ser- vice quand tous les circuits de jonction vers le bureau prin- cipal sont occupés. Dans ce cas, le relais 3715 attire im- médiatement puisque aucun circuit de test ne se ferme pour faire attirer le relais 3716. En attirant, le relais 3715 coupe le circuit du relais 3716 pour empêcher son attraction ultérieure, il prolonge les fils 3741 et 3742 vers les deux ressorts supérieurs du relais 3716.

Le ressort supérieur du relais 3716 est connecté maintenant à l'enroulement supérieur de ce relais pour fermer un circuit de retour du courant d'ap- pel, tandis que le ressort adjacent de ce relais est connecté à travers le condensateur d'arrêt 3746 au fil de la tonalité d'invitation à transmettre 3745 par l'intermédiaire de con- tacts des relais 3713, 3712 et 5711. Une tonalité d'invitation à transmettre est donc donnée au bureau satellite, dans ce cas, pour avertir l'abonné de ce qu'il peut émettre quoique tous les circuits de jonction vers le bureau principal soient occupés, mais si un circuit de jonction vers le bureau prin- cipal est libre le fil local de la tonalité d'invitation est déconnecté du relais 3716 pour que cette tonalité vienne normalement du bureau principal.

Quand l'abonné du bureau A4 émet le préfixe "0" dans le but d'obtenir une connexion vers un circuit de jonc- tion vers le bureau public, le relais 3702 interrompt 10 fois à ses ressorts supérieurs le pont placé sur les fils 3741 et 3742. Puisque ce pont sert actuellement de pont de garde pour le relais de ligne du sélecteur entrant IS6 de la fig.39 ce

sélecteur fonctionne pour amener ses balais en face du lOème niveau des contacts de banc. Cette opération n'est dtaucune utilité particulière dans le cas présent puisque le 10ème niveau des contacts de banc est inutilisé dans les sélecteurs d'arrivée du bureau 8 ainsi que le fait voir la fig.4 et comme on l'a déjà dit précédemment.

Le relais 3702 envoie également 10 impul- sions à travers des contacts du relais 3704 vers l'électro- aimant de commande 3710 du commutateur de marquage MS. La première de ces impulsions passe à travers des contacts du relais d'engagement 3709 et les impulsions suivantes pas- sent à travers des contacts du relais 3707 qui attire en parallèle avec l'électro-aimant 3718 au moment où on envoie la première impulsion et qui place un shunt sur les con- tacts du relais 3709 de manière à maintenir fermé son propre circuit et le circuit de l'électro-aimant de com- mande 3718 après que le relais d'engagement 3709 a attiré par suite de la fermeture des contacts 3721 du commutateur de marquage MS.

Le relais 3709 prépare également un circuit de contrôleà ses contacts inférieurs tandis qu'à ses con- tacts supérieurs il prépare le circuit de l'électro-aimant de libération 3719, ce circuit est maintenu ouvert au con- tact du relais 3704:.

Le relais 3707 déconnecte également la terre du balai 3720 du commutateur de marquage MS pendant le mouvement de ce balai et il ferme le circuit du relais 3708, de ce fait celui-ci reste attiré pendant l'envoi du train des impulsions. Le relais 3708 déconnecte le relais 3701 et prépare la libération du relais 3715 suivant la valeur du chiffre émis comme le détermine la position prise par le commutateur de marquage MS.

Puisque le chiffre émis est le chiffre 0 le balai 3720 avance jusqu'à ses derniers contacts.

A la fin du train des impulsions, le relais 3707 relâche et ouvre le circuit du relais 3708

et applique la terre au balai 3720 fermant de ce fait le circuit de l'enroulement inférieur du relais 3713 à travers des contacts du relais 3711. Le relais 3713 se bloque au fil mis à la terre 3743; il ouvre le circuit du relais 3715 puisque le relais 3708 n'a pas encore relâché; il prépare le circuit du relais 3701; il déconnecte le balai de test 03 du bureau principal et lui substitue le balai de test C1 du bureau public;

il ferme le circuit du relais de discri- mination 3714 à ses contacts inférieurs par l'intermédiaire du fil entrant EC (mis à la terre par le fil volant 3731 au présélecteur LS10 pour permettre au relais de discrimina- tion d'attirer et de préparer la connexion vers le bureau public), enfin il déconnecte le fil de démarrage 3747 du fil commun d'occupation 3558 du bureau principal et le prolonge à travers des contacts du relais de discrimination 3714 jusqu'au fil commun d'occupation 3908 du bureau public.

Le relais 3716 dont le circuit de blocage a été ouvert au ressort inférieur du relais 3715 au moment de la libération de ce relais reste attiré à travers des contacts du relais 3715 et par l'intermédiaire du fil com- mun d'occupation 3908 et des contacts des relais attirés 3713 et 3714. Le relais 3716 maintient le point de jonction de l'enroulement du relais 3715 et de l'électro-aimant de com- mande 3717 connecté, à travers des contacts du relais 3713, au balai de test C1. De ce fait l'électro-aimant 3717 attire de nouveau pour faire avancer les balais 3700 jusqu'à ce qu'un circuit de jonction libre vers le bureau public soit atteint, on peut supposer que ce circuit de jonction est celui qui aboutit au répétiteur sortant OR3 de la fig.49.

Quand ce circuit de jonction est saisi le balai C1 n'est plus connecté à la terre et le fonctionnement de l'électro- aimant 3717 cesse. Le relais 3715 attire de nouveau à tra- vers 1'électro-aimant de commande 3717 et à travers des contacts du relais 3708, Le relais 3715 ayant attiré de nouveau le relais 3716 est bloqué au ressort inférieur du

relais 3715 et la connexion est prolongée,à travers les balais 3700, jusquau répétiteur sortant OR3. La terre du fil C, 3743, est prolongée à travers des contacts des relais 3715 et 3716 et par l'intermédiaire d'un contact du re- du relais lais 3713 et/3718 jusqu'au relais 3701.

Le relais 3701 at- tire done pour court-circuiter les enroulements de la bobine translatrice 3733 et pour fermer un nouveau circuit de garde du relais 3715 au fil 0 mis à la terre, sans le concours des contacts supérieurs du relais 3704. Les relais 3702 ou 3704 relâchent laissant les relais 3701 et 3713 ou 3716 en posi- tion de travail dans le sélecteur répétiteur. La connexion est maintenue par la terre placée sur le fil G du répétiteur de départ OR3 le fil entrant C du sélecteur répétiteur étant prolongé à travers le balai C1 jusqu'au fil C du répéti- teur OR3. L'électro-aimant de libération 3719 du commutateur de marquage MS fonctionne à travers des contacts du relais 3709 quand le relais 3704 relâche.

De ce fait le commuta- teur MS revient en position normale et le relais 3709 relâche.

L'abonné appelant peut maintenant émettre au moyen de son oadran d'appel les chiffres du numéro désiré dans le bureau publie ceux-ci étant répétés par le répéti- teur de départ OR3.

L'abonné appelant peut établir un appel d'in- formation à travers le répétiteur de départ OR3 et le pré- sélecteur LS9 comme il a été expliqué pour le répétiteur OR1 de la fig.17 et le présélecteur LS1 qui lui est associé.

Quand l'abonné appelant raccroche son récepteur à la fin de la communication avec le réseau public la.libé- ration du répétiteur ORS a pour résultat de supprimer la terre du fil 0 qui lui est associé. De ce fait, les relais qui ont attiré dans le sélecteur répétiteur SR relâchent et le présélecteur LS10 revient en position de repos.

Appels sortants du bureau satellite 86 vers le bureau 8.

Dans le but d'expliquer le fonctionnement de l'équipement du bureau satellite 86, on supposera :que l'abonné du poste A4 a décroché son récepteur et que les opérations qui ont été décrites déjà se sont effectuées, que le premier chiffre émis est le chiffre 8 au lieu du chiffre 0 et qu'il appelle un abonné du bureau 8 dans le cas où le sème chiffre émis est autre que le chiffre 6.

Puisque le premier chiffre émis est le chiffre 8, le balai du commutateur de marquage MS avance jusqu'au Sème contact associé. Dans ces conditions quand la terre est appliquée de nouveau au balai 3720 au moment de la libé- ration du relais 3707 le circuit du relais 3711 se ferme à travers des contaots du relais 3710. Le relais 3711 ferme son circuit de blocage à ses contacts inférieurs intérieurs à travers le relais 3710 et la terre prise au ressort supé- rieur intérieur du relais 3704. Le relais 3710 n'attire pas cependant dans le circuit de blooage aussi longtemps que la terre est appliquée direotement à l'enroulement du relais 3711 comme elle l'est à présent par l'inter- médiaire du balai 3720.

Le relais 3711 ferme également un circuit de blocage supplémentaire pour lui-même à ses contacts supérieurs intérieurs à travers les contacts intérieurs du relais d'engagement 3709 pour empêcher l'attraction du relais 3710 jusqu'à ce que le commutateur de marquage soit revenu en position normale.

Le relais 3711 ferme également à travers des contacts du relais 3710 le circuit de l'électro-aimant de libération 3719. L'électro-aimant de libération 3719 ramène les balais 3720 en position de repos; de ce fait les contacts d'engagement 3721 s'ouvrent et coupent le circuit du relais 3709.

Le relais 3709 ouvre le circuit de blooage du relais 3711 à ses contacts inférieurs pour

permettre au relais 3710 dtattirer tandis qu'uses contacts inférieurs intérieurs il reoonnecte 1'électro-aimant de commande 3718 pour permettre à celui-ci de fonctionner de nouveau, Le relais 3710 attire maintenant dans le circuit de blocage du relais 3711 pour ouvrir le circuit de 1'électro- aimant de libération 3719 et pour connecter le point de jonction des enroulements des relais 3710 et 3711 et em- pécher le shunt du relais 3710 quand le chiffre suivant sera émis. quand le chiffre suivant est émis 1'électro- aimant de commande 3718 amène le balai 3720 sur les contacts correspondants du banc.

Puisqu'on a supposé que l'appel est destiné à une ligne raccordée au bureau 8, le chiffre sui- vant est l'un quelconque des chiffres autre que 6. Dans ce cas, aucune commutation ne s'effectuera dans le sélecteur répétiteur après que le balai 3720 sera revenu au repos. quand le relais 3707 relâche$ il déconnecte son propre en- roulement et celui de l'électro-aimant de commande 5718 du fil d'alimentation il en résulte que les chiffres qui sont émis ensuite n'ont aucun effet sur le commutateur de mar- quage MS, ils sont tous répétés aux contacts supérieurs du relais de ligne 3?02,comme il a été dit précédemment, vers les appareils de commutation du bureau principal 8.

Il est à noter que les contacts inférieurs du relais 3711 ferment également le circuit du relais 3706 qui sera mis en service pour bloquer les appels malveillants comme il sera décrit plus tard. Ce relais attire et se blo- que lui-même à travers des contacts des relais 3705 et 3701 et à travers des contacts de la clef d'occupation 3732. Le relais 3706 établit une connexion supplémentaire à la terre du fil C 3743 et une connexion identique en parallèle avec celle établie à l'enroulement supérieur du relais auxiliaire 3704 pour maintenir le relais 3718 attiré sans le secours du relais 3704 tandis qu'à ses contacts supérieurs il pré- pare le pontage du relais de forte résistance 3705 sûr

les fils 3741 et 3742.

Appels en transit dans le bureau 8 vers le bureau 9.

En ce point on peut signaler que dans le cas où l'abonné appelant établit un appel vers le bureau 9 la seule différence dans le fonctionnement qui a été décrit précédemment est que les relais 3710 et 3711 attirent en série à la fin de l'émission du premier chiffre 9 quand le balai 3720 s'est engagé sur le 9ème contact de banc au lieu du Sème. Le relais 3711 est rendu légèrement retardé à l'attraction comme il est montré au plan pour permettre au relais 3710 d'attirer en premier lieu et pour empêcher ensuite une attraction intempestive de 1'électro-aimant de libération 3719. Le commutateur de marquage MS ne fonc- tionne pas car le circuit de 1'électro-aimant de commande 3718 est maintenu ouvert aux contacts inférieurs du relais 3709 après la libération du relais 3707 comme décrit précé- demment.

Il est à remarquer qu'il n'a pas été prévu que le sélecteur répétiteur SR devait travailler lorsque le sens du courant est renversé dans la ligne au moment où l'abonné appelé répond puisque cette opération n'est pas nécessaire dans le cas d'appels qui ont leur origine dans le bureau satellite.

Quand l'abonné appelant raccroche son récep- teur à la fin de la communication, le relais 3702 relâche pour ouvrir le pont placé sur les fils de conversation et sur les fils du circuit de jonction utilisé vers le bureau public, il permet donc la libération des appareils de commutation qui ont été mis en service au bureau éloigné.

Le relais 3703 et le relais 3704 relâchent par suite de la libération du relais 3702. Le relais 3704 permet la libéra- tion des relais 3710 et 3711 quand il supprime la terre du balai 3720 du commutateur de marquage MS mais les relais 3715 et 3716 restent attirés momentanément puisque le refais 3706

est bloqué ainsi qu'il a été décrit précédemment. Au moment de la libération du relais 3703 le relais 3705 est placé sur les fils 3741 et 3742 par 1'intermédiaire des contacts du relais 3706. Le relais 3705 de forte résistance attire donc dans la boucle des fils du circuit de jonction vers l'autre bureau pour ouvrir le circuit du relais 3706. Le relais 3706 relâche donc et permet la libération des re- lais 3715 et 3716 du séleoteur répétiteur ainsi que la remise au repos du présélecteur LS10. La connexion est donc libérée.

Appels locaux dans le bureau satellite 86.

Dans le cas où l'abonné du poste A2 appelle une ligne locale dans le bureau satellite 86, les opéra- tions sont identiques à celles qui ont été décrites ci- dessus en ce qui concerne un appel vers le bureau princi- pal 8, le relais 3711 attire ensuite et amène la remise en position normale du commutateur de marquage NE* Il en ré- sulte que le relais 3710 attire comme il a été décrit pré- cédemment.

Quand le 2ème chiffre, 6, est émis le balai 3720 s'engage sur le 6ème contact du banc. Dès lors quand le relais 3707 relâche 1'électro-aimant de comman- de 3718 est mis hors service de telle sorte qu'il ne tra- vaille plus sous l'action des autres impulsions, la con- nexion d'une terre au balai 3720 a pour résultat de fermer le circuit de l'enroulement inférieur du relais 3712. Le relais 3712 se bloque au fil 0 3743. Comme on peut le voir en consultant le plan le relais 3712 effectue une opération de commutation identique à celle qui a été décrite pour le relais 3713. Il en résulte que le relais 3715 relâche pour permettre une nouvelle recherche tandis que le balai local C2 est substitué au balai du bureau principal C3.

De plus le circuit de l'enroulement supérieur du relais 3716 est transféré au fil commun d'occupation

3858 du connecteur local et de ce fait le relais 3716 reste attiré ou non suivant que les connecteurs locaux sont occupés ou libres. Si tous les connecteurs sont occupés et que par conséquent le relais de démarrage 3716 ne peut pas rester attiré, le relais 3715 attire seul et une tonalité d'occupation est connectée à partir du fil de tonalité d'occupation 3743 à travers des contacts des re- lais attirés 3709 et 3713. D'autre part, si un ou plusieurs des connecteurs locaux sont occupés (comme c'est le cas habituellement) le relais 3716 reste attiré dans le circuit du fil commun d'occupation 3858 et il maintient le circuit de test de l'électro-aimant de commande 3717 raccordé au balai C2.

Les balais 3700 tournent donc jusqu'à ce qu'ils aient atteint un connecteur local libre qu'on peut suppo- ser être celui représenté à la fig.48. Quand ce connecteur est trouvé le mouvement de recherche cesse et le relais 3715 attire de nouveau à travers des contacts du relais 3708 qui a relâché. Le relais 3701 attire à travers des contacts du relais 3712 et des contacts des relais 3715 et 3716 pour court-circuiter et déconnecter les enroulements de la bobine translatrioe 3733 et, de ce fait, prolonger la ligne appelante directement jusqu'au connecteur local LOC4 de la fig.48. Les relais 3702 à 3704, 3706 à 3710 et 3711 relâ- chent et le commutateur MS revient au repos, les relais 3701, 3710 à 3712, 3715 et 3716 restant attirés dans le sélecteur répétiteur.

Dans le connecteur local LOC4 le relais 3802 attire au moment où le connecteur est mis en service et ferme le circuit du relais 3803, ensuite le relais 3804 attire à travers les contacts inférieurs du relais 3803 et par l'in- termédiaire des contacts inférieurs du relais 3809. Le re- lais 3803 place une terre à travers des contacts de la clef d'occupation 3831 sur le fil entrant C de manière à mainte- nir la connexion établie à travers le sélecteur répétiteur SR.

Le relais 3801 supprime la terre en un point du fil com- mun d'occupation 3858.

Quand l'abonné appelant émet le chiffre des dizaines du numéro demandé, ltélectro-aimant dtascension 3815 fonctionne à travers des contacts du relais 3805 qui attire initialement à travers les contacts d'engagement 3819 et les contacts inférieurs du relais 3803. Les ba- lais 3800 sont de ce fait amenés en face du niveau désiré des contacts de banc.

A la fin du mouvement d'ascension le re- lais 3805 relâche et prépare la commande du mouvement de rotation.

Quand le chiffre des unités est émis l'élec- tro-aimant de rotation 3816 fonctionne et fait tourner les balais 3800 jusqu'à ce qu'ils s'engagent sur les bornes de la ligne appelée. Le test d'occupation est effectué par le relais 3810 dont le circuit, qui emprunte le balai C, est contrôlé par le relais 3811 qui est lui-même commandé par le relais 3812. Dans le cas où la ligne appelée est occu- pée, la tonalité d'occupation venant du fil 3820 est ren- voyée sur la ligne et le relais 3810 se bloque au moment de la libération du relais 3811.

D'autre part, dans le cas où la ligne appe- lée est libre le relais 3813 attire dans le circuit du fil 0 au moment de la libération du relais 3811 pour faire attirer le relais 3814.

Le courant d'appel est envoyé quand le relais 3814 attire ; ce courant est fourni par l'intermédiaire du fil commun 3820 au travers des contacts du relais 3809.

Le relais 3809 attire quand l'abonné appelé répond, les relais 3807 et 3808 attirent ensuite successi- vement. Le relais 3808 shunte les contacts inférieurs du relais 3809 qui a attiré par suite de l'attraction du relais 3809. Le connecteur demeure en cet état jusqu'à ce que la communication soit terminée.

A la fin de la conversation les deux abonnés raccrochent leur récepteur. Dans le cas où l'abonné appe- lant raccroche le premier, le relais 3802 relâche immé- diatement, il est suivi par la libération retardée du relais 3803, elle-même suivie de la libération du relais 3804 puisque le circuit de son enroulement supérieur est ouvert lorsque le relais 3803 relâche.

Le relais 3814 relâche quand son circuit de blocage est ouvert aux con- tacts inférieurs du relais 3804; le relais 3807 relâche par suite de la libération du relais 3814 et par consé- quent le relais 3808 relâche également, enfin le relais 3809 relâche quand son circuit est ouvert aux contacts d'engagement 3820 lorsque le connecteur revient en po- sition de repos sous l'action de 1'électro-aimant de libération 3817 dont le circuit se ferme à travers les contacts d'engagement 3818, lorsque le relais 3804 re- lâche.

D'autre part, dans le cas où l'abonné appelé raccroche le premier, la libération du relais 3807 et la libération du relais 3808 est suivie de celle du relais 3804 qui ouvre le circuit du relais 3814, il déconnecte les balais 3800 et par conséquent dégage la ligne appe- lée. Dans ces conditions, la connexion est libérée par suite de la libération du relais 3803 quand le relais 3802 relâche lorsque l'abonné appelant raccroche son récepteur.

Dans le sélecteur répétiteur SR par suite de la suppression de la terre du fil C lorsque le relais 3803 du connecteur local LOC4 relâche, les relais 3701, 3712, 3915 et 3716 relâchent et le sélecteur répétiteur SR revient en position de repos.

Blocage des appels malveillants.

Comme il a été mentionné précédemment une caractéristique de l'invention consiste en ce que des dispositifs perfectionnés ont été prévus pour permettre

à un abonné qui reçoit des appels malveillants de bloquer la connexion établie lorsqu'il le désire jusqu'à ce que le per- sonnel desservant le bureau annexe ait pu retraoer le ohe- min suivi pour.ltétablissement de la connexion et découvrir la ligne qui a émis cet appel.

Dans ce but, des disposi- tions spéciales du circuit ont été prévues dans les appa- reils de commutation et un certain nombre de répétiteurs spéciaux tels que le répétiteur de blocage représenté en fig. 50 ont été installés dans chacun des bureaux annexes pour la connexion temporaire d'une ligne quelconque d'un abonné du bureau annexe qui a eu à se plaindre de ce qu'il recevait des appels malveillants.

Le répétiteur de blocage de la fig. 50 a été représenté comme étant associé temporairement à la ligne du poste Al des figs. 3 et 16 dont la ligne possède le service complet dans le bureau 9. On comprendra que les fils de la ligne de l'abonné sont normalement conneo- tés au moyen de fils volants à 2 conducteurs dans le ré- partiteur au banc multiple de sa ligne dans le connecteur et que le présélecteur qui dessert cette ligne est ordi- nairement connecté aux fils négatif, positif et C du banc multiple du connecteur au moyen d'un fil volant à 3 conducteurs. Le répétiteur de blooage de la fig.50 est connecté par un câble au répartiteur.

Deux de ces bornes sont connectées dans le répartiteur à la ligne de l'abon- né au moyen de fils volants à deux conducteurs, tels que 4025, tandis que 4 bornes, 4000, sont prévues et corres- pondent aux fils du banc multiple du connecteur auquel le fil volant à 4 conducteurs 4021 peut être relié pour con- necter le répétiteur de blocage aux contacts des bancs du connecteur, tels que 1250, et au multiple de celui-ci (non représenté). Les bornes négative, positive et C du groupe 4000 sont connectées au présélecteur au moyen d'un fil volant à 3 conducteurs tel que 4022.
EMI154.1

Si on suppose que le répétiteur de iet cage

de la fig.50 a été inséré dans la ligne de l'abonné A1 par les connexions volantes temporaires qui sont repré- sentées au plan, le fonctionnement lorsqu'on reçoit ou émet un appel sur cette ligne sera décrit ci-dessous.

Si on suppose qu'un connecteur (tel que le connecteur local LOC1 de la fig.23) s'arrête sur les bor- nes 1250 de la ligne du poste Al au moment où cette ligne est libre le fil C est prolongé au moyen du fil 0 de la connexion volante 4021 et 4022, ce qui donne la coupure au présélecteur LS2 et permet au relais de test 1917 du con- necteur d'attirer et de provoquer la mise en circuit de la ligne.

Quand le courant d'appel intermittent est en- voyé par le connecteur le relais 4001 attire à travers le condensateur et les contacts du relais 4007. Le relais 4001 fait attirer le relais 4002 pour court-circuiter les en- roulements de la bobine translatrice 4015 et de ce fait connecter la ligne du poste Al direotement aux bornes négative et positive du groupe 1250 pour la durée de l'en- voi du courant d'appel. Le relais 4002 fait attirer le relais 4003 qui se bloque au fil C mis à la terre et pré- pare le circuit du relais 4010.

Après chaque période d'appel, le relais 4001 permet la libération du relais de court-circuit 4002 et réintroduit la bobine translatrice 4015 en circuit.

Quand l'abonné appelant répond, en décrochant son récepteur, le relais 4006 attire dans le circuit de la ligne appelée en série avec la bobine d'impédance 4005 et le relais 4004, En attirant, le relais 4006 fait attirer le relais 4007 pour déconnecter le relais 4001 et pour préparer le circuit du relais 4009. Le relais 4006 bloque également les enroulements droits de la bobine translatrice 4015 sur les fils de conversation ce qui fait attirer le relais de coupure d'appel du connecteur et provoque l'attraction du relais d'alimentation dans cet appareil pour donner la supervision de réponse.

Dans le cas où l'appel vers la ligne du poste A1 est effectué par l'opératrice de la table de passage et que l'abonné du poste Al désire rappeler celle-ci il peut le faire en manipulant son cadran d'appel ce qui fait relâcher le relais 4006 une ou plusieurs fois. Chaque fois que le relais 4006 relâche, à son contact supérieur, il ouvre le circuit du relais d'alimentation du connecteur qui relâche donc momentanément une ou plusieurs fois pour rappeler l'opé- ratrice du bureau annexe comme il a été décrit précédemment.

Dans le cas où ]., appel est reçu du bureau public . et que ltabonné du poste Al désir& transférer la connexion vers la ligne d'un autre abonné local, il pousse momentané- ment sur le bouton de son poste ce qui déséquilibre la ligne appelée et provoque l'attraction du relais 4004, celui-ci applique une terre sur le fil de conversation posi- tif ce qui déséquilibre le courant dans les enroulements du relais de contrôle du transfert 1936 du connecteur. Ceci provoque le transfert'du connecteur comme il a été décrit précédemment. La reprise de la communication vers le bureau principal staccomplit lorsque l'abonné du poste Al pousse de nouveau sur le bouton de son poste.

Quand la conversation est terminée, l'abonné du poste Al raccroche son récepteur. De ce fait, le relais 4006 relâche et à ses contacts supérieurs ouvre le circuit du relais d'alimentation du connecteur, ce qui provoque la libération de la ligne comme il a été décrit précédemment.

Le relais 4007 relâche et remet en circuit le relais 4001.

Quand l'abonné du poste Al décroche son récep- teur pour émettre un appel, les relais 4006 et 4007 attirent comme précédemment et le relais 4006, lorsqu'il attire, ferme un pont à ses contacts supérieurs, ce qui fait fonc- tionner le présélecteur LS2 de la manière habituelle pour prolonger la connexion. Les impulsions sont répétées aux contacts supérieurs du relais 4006.

La connexion prolongée est libérée quand l'abonné raccroche son récepteur, ce qui permet aux relais 4006 et 4007 de relâcher.

De la description qui précède du fonctionne- ment du répétiteur de blocage on peut voir que le fonc- tionnement normal de la ligne du poste Al n'est pas trou- blé par l'introduction temporaire du répétiteur de blocage dans la communication.

On peut supposer que l'abonné du poste Al de la fig.50 en répondant à un appel s'aperçoit de ce que l'appelant est un de ceux qui émettent des appels mal- veillants et qu'il refuse de se laisser identifier. L'abon- né du poste A1 peut bloquer la communication établie en poussant sur le bouton de son poste et en manipulant son cadran d'appel en même temps. On se rappellera que le fait de pousser le bouton seul est utilisé dans le cas d'un appel d'information et que la manipulation du ca- dran d'appel pendant une communication entrante est utilisée normalement pour rappeler l'opératrice du bu- reau annexe. quand les deux opérations s'effectuent si- multanément la connexion établie vers la ligne appelée est bloquée comme on va le montrer.

Quand le bouton du poste Al est enfoncé, le relais 4004 attire et fait attirer le relais 4008. A ses contacts supérieurs le relais 4008 déséquilibre le circuit du connecteur et prépare le circuit du relais 4009. Dès lors quand on agit sur le cadran d'appel du poste Al en émettant un chiffre, le chiffre 1 par exemple, le relais 4006 relâche momentanément et ferme le circuit du re- lais 4009 à travers des contacts des relais 4007 et 4008.

Le relais 4009 étant attiré, lorsque le relais 4006 attire de nouveau, le circuit de l'enroulement supérieur du relais 4010 se ferme à travers des contacts du relais 4003 (celui-ci attire pour chaque appel entrant et se bloque

au fil C) et à travers des contacts du relais 4009.Le relais 4010 attire et se bloque au travers des contacts de la clef de libération associée. Ce relais allume égale- ment la lampe de signalisation 4016 et fait retentir l'a- larme 4017. Le relais 4010 connecte également le fil EC du banc multiple du connecteur à la borne positive d'une batterie d'appoint de 90 volts. Le négatif de cette batte- rie est mis à la terre et ses polarités sont donc inverses de celles de la batterie alimentant le bureau. Cette con- nexion est établie à travers la résistance limitative 4012.

Par suite de cette connexion une forte impulsion de cou- rant passe à travers le fil C et la balai C du connecteur.

Cette impulsion de courant se termine quand le relais re- tardé à l'attraction 4011 attire.

Quand le bouton du poste appelant est relâché les relais 4004 et 4008 reviennent au repos. Le relais 4009 relâche par suite de la fin de l'envoi des impulsions émises par le cadran d'appel. Cependant le relais 4010 reste attiré et bloqué pour maintenir la lampe d'alarme 4016 allumée et pour maintenir le circuit fermé vers le dispositif d'alarme 4017.

Dans le connecteur local LOC1 (fig.23, si on suppose que ce connecteur est celui qui a été utilisé) l'enroulement supérieur du relais de blocage 1916 est connecté à travers des contacts du relais attiré 1918 au balai EC du groupe 1900.-Bien que ce relais soit un re- lais marginal, c'est-à-dire qu'il n'attire pas quand le balai EC rencontre une terre dans le cas d'un appel vers une ligne à service restreint, ce relais attire mainte- nant par suite de l'impulsion de tension élevée qui est transmise par le répétiteur de la fig.50. En attirant, le relais 1916 ferme son circuit de blocage à travers des contacts de la clef d'occupation 1926.

Le relais 1916 ouvre également le pont du relais de ligne en supprimant la terre de l'enroulement inférieur du relais 1902 et

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41747.) telle il ferme le circuit de blocage du relais 1906 de/sorte que le connecteur soit maintenu en service ainsi que les appareils qui le précèdent.

Dans le cas où l'appel qui a été bloqué vers la ligne du poste 1 est un appel entrant du bureau 8 la suppression de la terre des bornes inférieures du relais 1903 du connecteur local LOC1 relaye le blocage à travers le circuit de jonction jusqu'au répétiteur du bureau 8 pour provoquer le blocage des commutateurs locaux, mais si l'appel passe en transit à travers le bureau 8 et vient du bureau satellite 86 le blocage est relayé vers le sé- lecteur répétiteur mis en service au bureau satellite 86 comme on le montrera plus tard.

' Le préposé à l'entretien du bureau 9 est alerté par le signal donné par le dispositif commun 4017.

Il est guidé vers le répétiteur qui a été bloqué par le signal individuel 4016. Le préposé prend alors ses dis- positions pour retracer le chemin suivi par la communi- cation qui s'est établie et découvre la ligne qui a émis l'appel puisque la connexion est maintenue jusqu'à ce que le préposé soit intervenu. quand l'appel a été retracé, le préposé actionne la clef de libération associée à l'enroulement inférieur du relais 4010 du répétiteur de blocage, ce relais relâche donc et ouvre les circuits de signalisa- tion, en même temps il ouvre le circuit du relais 4011 ce qui permet à celui-ci de relâcher. Le répétiteur de blo- cage ne se trouve donc plus en position de blocage.

Après avoir suivi l'appel jusqu'à son point de départ, le préposé peut relâcher le commutateur blo- qué en aotionnant momentanément la clef d'occupation 1926 du connecteur représenté à la fig.23. Les commutateurs locaux qui le précèdent dans le train de sélection sont libérés quand le fil 0 est ouvert aux contacts supérieurs

de la clef d'occupation et le relais 1916 relâche quand son circuit de blocage est ouvert aux contacts supérieurs de la clef d'occupation. Le circuit du relais 1004 s'ouvre quand le relais 1916 relâche; de ce fait le connecteur re- vient en position normale. La ligne du poste Al de la fig. 50 est donc libérée et le relais 4013 relâche.

Dans le but d'expliquer comment les appels malveillants provenant d'un autre bureau sont maintenus bloqués on se reportera au répétiteur R1 de la fig.2l.

Ce répétiteur est identique aux autres, saufau sélecteur répétiteur du bureau satellite 86. On rappellera tout d'abord que le relais 1709 du répétiteur R1 attire chaque fois que le relais 1702 attire lorsque le répétiteur est mis en service et que ce relais se bloque lui-même par l'intermédiaire de la terre prise aux contacts de la clef d'occupation 1716. Il ferme une connexion multiple à la terre au fil entrant C pour maintenir les commutateurs locaux bloqués sans le secours du relais 1702. On rappel- lera de plus que le relais 1710 est branché sur les fils de conversations sortants quand on raccroche le récepteur et qu'il attire normalement pour relâcher le relais 1709 et pour permettre la libération de la connexion établie.

Cependant dans le cas où un appel malveillant est émis à travers le répétiteur et que cet appel est bloqué, l'ou- verture du pont du relais de ligne dans le connecteur du bureau éloigné empêche la libération du relais 1710 et la connexion reste bloquée. De plus quand le blooage se produit au connecteur et que le pont du relais de ligne est ouvert en premier lieu, le relais 1704 du répétiteur R1 relâche et ferme le circuit de l'enroulement supérieur du relais 1708 en parallèle avec le relais 1702 et à travers des contacts du relais 1706.

Ce relais attire et déconnecte la terre de l'enroulement du relais 1701 ce qui renvoie le blocage à travers le circuit de jonction

précédent dans le cas où le répétiteur a été atteint par l'intermédiaire d'un circuit de jonction entre bureaux.

Cette dernière caractéristique n'a pas d'utilité parti- culière dans les répétiteurs employés au bureau 9 mais est très nécessaire dans les répétiteurs employés dans le bureau 8 puisque les appels passent en transit par ce bureau entre les bureaux 9 et 86.

Il est à noter que le répétiteur Rl revient automatiquement au repos dès que le préposé à l'entretien a remis le connecteur bloqué en position normale car le relais de ligne du sélecteur d'arrivée du bureau éloigné est de nouveau branché sur la ligne pour permettre l'at- traction du relais 1710 et la libération du relais 1709.

Le relais 1708 relâche quand son circuit de blocage est ouvert par le relais 1701. Le relais 1701 est donc de nou- veau branché sur les fils entrants en série avec la bat- terie du bureau.

Le répétiteur Rl peut être débloqué localement en actionnant momentanément la clef d'occupa- tion 1716 dans le cas où le relais 1710 n'attire pas de nouveau quand un appel malveillant a été dépisté ou dans le cas où le répétiteur ne revient pas au repos à un moment quelconque ce qui peut se produire dans l'éventuali- té où un circuit de jonction entre bureaux devient défec- tueux ou lorsqu' un des fils est coupé à l'extrémité éloignée.

En se reportant maintenant au sélecteur répétiteur SR des figs. 46 et 47 du bureau 86, on rappellera que le relais 3706 attire et se bloque à travers des con- tacts de la clef d'occupation 3732 lorsque le relais 3711 attire quand le premier chiffre émis est le chiffre 8 ou le ohiffre 9 ce qui est la caractéristique d'un appel entre deux bureaux. Quand l'appel est répété dans le bureau principal 8, le sélecteur répétiteur SR travaille

comme un répétiteur ordinaire pour renvoyer les impul- sions, il reste en circuit pendant toute la durée de la communication et dans ce cas le relais 3706 n'est pas débloqué et déconnecté par le relais 3701 comme il l'est dans le cas où l'appel doit se boucler normalement à travers un connecteur local.

Quand un appel est établi à travers le bureau principal, le relais 3705 de résistance élevée doit donc attirer pour ouvrir le circuit du re- lais 3706 quand l'abonné appelant raccroche son récepteur, s'il en était autrement la connexion serait bloquée.

La connexion bloquée peut être libérée par l'aotionnement momentané de la clef d'occupation 3732 dans le cas où le relais 3705 n'attire pas quand on supprime le blocage au bureau éloigné.

On observera que le connecteur local de la fig. 48 est pourvu d'un relais marginal 3806 qui attire sous l'action d'une impulsion comme le fait le relais 1916 du connecteur local montré à la fig.23 pour se bloquer à travers les contacts de la clef d'occupation 3831 et pour fermer le circuit de blocage du relais 3803, de ce fait la connexion locale est bloquée car une terre est maintenue dès maintenant sur le fil C entrant et le connecteur ne peut revenir en position de repos. Le circuit du relais 3802 ne passe cependant pas à travers des contacts du re- lais 3806 puisque le connecteur de la fig. 48 est un connec- teur local et qu'il n'est jamais utilisé pour les appels entre deux bureaux.

Le relais 3521 du connecteur entrant IC2 des figs. 42 et 43 possède la même disposition des contacts que celle qui a été décrite pour le connecteur de la fig.23 et ce dans le même but. Le blocage au connecteur des figs. 42 et 43 disparait lorsqu'on actionne momentanément la clef d'occupation 5544.

Blocage des appels malveillants dans le cas des lignes à service restreint.

Ainsi qu'il a été dit préoédemment, le répétiteur de blocage de la fig.50 fonctionne pour bloquer un appel malveillant lorsque l'abonné appelé effectue deux manoeu- vres bien distinctes : 1 ) lorsqu'il pousse le bouton de mise à la terre de son poste, 2 ) lorsqu'il manoeuvre le cadran d'appel pour envoyer des impulsions. On a expli- qué également que la raison de cette manoeuvre est que chacune d'elles séparément est appelée à produire un effet spécifiquement différent.

Quand le répétiteur de blocage de la fig.50 est utilisé pour une ligne à service restreint, il n'y a pas possibilité d'utiliser le bouton de mise à la terre de ce poste puisque celui-ci n'en est pas muni, donc le fait de manoeuvrer le oadran d'appel d'un poste à service restreint pendant le cours d'une communication entrante est considéré comme étant suffisant pour indiquer que l'appel doit être bloqué; il n'est donc pas nécessaire dans ce but de munir le poste d'un abonné à service restreint d'un bouton de mise à la terre. Pour cette raison les bornes 4014 sont réunies quand le répétiteur de blocage de la fig. 50 est associé à une ligne à service complet. Les bornes 4014 étant réunies les contacts du relais 4008 sont oourt- circuités, le relais 4008 fait attirer le relais série pour provoquer le blocage de la communication lorsque le relais 4010 attire.

De plus, les bornes 4013 sont réunies quand le répétiteur de blocage est utilisé pour une ligne à service restreint; il place une terre normalement sur le fil EC pour empêcher l'établissement d'une communication vers le bureau public, tout en permettant de supprimer la terre et en provoquant la connexion de la batterie d'appoint quand le relais 4010 opère après que l'appel a été bloqué.

Service de conférence.

La manière dont le service de conférence est donné dans le bureau annexe sera expliquée en liaison avec l'unité de conférence de la fig.51. Cette unité est pourvue de bornes comme il est représenté, de telle sorte qu'elle puisse être associée à un certain nombre de lignes, ces lignes peuvent être changées en tout temps comme on le désire. L'équipement qui se trouve immédiate-. ment à la droite de la ligne pointillée de la fig.51 est - associé aux contacts de banc des connecteurs au moyen des- quels on est connecté à l'unité de conférence quand le numéro spécial de ce service est émis, il est commun a autant de circuits individuels qu'on le désire. Un de ces circuits individuels est représenté à la gauche de la ligne pointillée. Chaque circuit individuel peut être mis à la disposition d'un abonné distinct.

Il peut être uti- lisé normalement, sans tenir compte de l'unité de confé- rence car le circuit est arrangé de telle sorte que les lignes soient interconnectées pour le service de conféren- ce seulement lorsqu'on le désire. La ligne du poste B est associée aux circuits individuels au moyen du fil volant 1407.

Les bornes du connecteur 4150 à travers lesquel- les on atteint la ligne du poste B sont connectées par l'intermédiaire d'un fil volant à 3 conducteurs 4121 aux bornes négative, positive et C1 du groupe 4109 et le pré- sélecteur de la ligne du poste B est connecté au moyen du fil volant à 3 conducteurs 4122 aux bornes positive, néga- tive et C2 du groupe 4109.

Dans le but d'expliquer le fonctionnement de l'unité de conférence on supposera que le numéro de con- férence est envoyé par un abonné qui désire provoquer une conférence et y participer. Quand les relais du connecteur (de la fig.23 par exemple) arrivent sur les bornes, 4100,

le relais 4105 attire dans le circuit du fil C et à tra- vers le balai C du connecteur en série avec le relais de test de cet appareil. Le relais 4105 ouvre le circuit du relais normalement attiré 4106 et ferme le circuit du relais 4104. Le relais 4106 est suffisamment retardé à la libération pour qu'il puisse rester attiré jusqu'à ce que le relais de commutation du commutateur ait attiré et fermé le circuit d'envoi du courant d'appel et que le relais de coupure d'appel du connecteur ait eu le temps d'attirer à travers des contacts du relais attiré.

Quand le relais 4106 relâche, il prolonge les fils de conver- sation entrants jusqu'au circuit commun de conversation de l'unité de conférence. La bobine d'impédance 4111 est branchée sur ces fils dans le but de maintenir le relais d'alimentation du connecteur attiré ce qui est nécessaire pour maintenir la connexion fermée à travers cet appareil.

Quand le relais 4104 attire, il prolonge une terre vers chacun des circuits de ligne individuels.

Le prolongement de la terre vers chaque circuit de ligne individuel, comme il est représenté, a pour résultat de faire attirer le relais 4101. Le relais 4101 déconnecte le fil Cl du fil C2 (fil C du présélecteur LS) et le con- neote à la terre plaçant de ce fait une polarité de garde sur la borne C du groupe 4150. La ligne du poste B est donc marquée comme étant occupée dans les bancs des con- neoteurs. Le relais 4101 transpose également la ligne du poste B sur le circuit d'appel individuel par l'intermé- diaire des contacts du relais 4102. Le courant d'appel fourni par le fil commun 4112 passe maintenant à travers la ligne du poste B, le circuit de retour vers le pôle de la batterie qui n'est pas mis à la terre étant fermé à travers l'enroulement supérieur du relais 4102.

Le relais 4102 est identique au point de vue construction et fonctionnement au. relais de coupure du courant d'appel

qui équipe ordinairement le connecteur.

En même temps la mise à la terre des autres fils de démarrage associés au relais de démarrage 4104 pro- voque le fonctionnement identique des circuits de ligne individuels, de ce fait toutes les lignes qui ont le service de conférence sont appelées en même temps. Il est à noter que la commutation des lignes vers le circuit de conférence interrompt toute conversation qui pourrait être en cours sur une des lignes disposant de ce service; cette caractéristique est donnée intentionnellement car il est admis qu'une conférence ne peut être provoquée que s'il stagit de discuter une question d'importance considérable.

Quand l'abonné du poste B décroche son ré- cepteur le relais 4102 attire et se bloque au fil de dé- marrage ; il place le relais retardé 4101 sous le contrôle du relais 4103 et il prolonge la ligne du poste B jusqu'aux fils individuels associés au relais 4103 qui sont connectés auxfils communs de conversation. Le relais 4103 attire et ferme le circuit de blocage du relais 4101 avant que ce relais ait eu le temps de relâcher. Le relais 4103 ferme également le circuit multiple du relais 4105 de telle sorte qu'il maintient le relais 4105 attiré et le relais 4106 relâché.

L'abonné du poste B peut maintenant se mettre en conversation avec l'abonné qui a émis l'appel de conférence et avec les autres abonnés qui disposent de ce service, lorsqu'ils répondent et qu'ils sont connectés sur le circuit commun.

Après avoir participé à la conférence, l'abonné du poste B peut se retirer avant que celle-ci soit finie dans le cas où il a à s'occuper d'autre chose et qu'il trouve qu'il n'est plus nécessaire pour lui de rester à l'écoute. Il raccroche donc son récepteur, de ce fait le relais 4103 relâche et ouvre le circuit du relais 4101.

Le relais 4101 relâche et transfère la ligne du poste B au présélecteur qui lui est associé et au multiple du banc des connecteurs. Le relais 4102 reste attiré dans le circuit du fil de démarrage individuel contrôlé par le relais 4104 et il maintient de ce fait le circuit du relais 4101 ouvert.

On peut faire remarquer que le ressort intérieur du relais 4101 déconnecte le fil C du préséleo- teur LS6, il applique une terre au fil C du multiple des bancs du connecteur dans le but de permettre la libération d'une communication déjà en cours dans le cas où. on émet un appel de conférence quand la ligne du poste B est enga- gée dans une communication sortante.

* Le circuit de conférence est maintenu en service aussi longtemps qu'un quelconque des abonnés ayant ce service à son récepteur décroché puisque le circuit du relais 4105 est maintenu fermé par l'un quelconque des fils C du connecteur qui a servi à établir la conférence ou par les contacts supérieurs intérieurs du relais de ligne d'une quelconque des lignes ayant le servioe de conférence.

Dans le cas où on désire qutaucun abonné ne puisse s'engager dans une conférence sauf par l'inter- médiaire d'une des lignes de ce servioe, on supprime le fil volant à 2 conducteurs 4108, Ce fil volant étant sup- primé, l'abonné appelant n'est pas capable de provoquer une conférence à travers la connexion établie au moyen du connecteur appelant puisque les fils de conversation entrants et venant des bornes 4100 ne se prolongent pas à travers les fils communs de conférence. Par cette disposition les conférences ne peuvent être provoquées que par un seul des abonnés, l'abonné du poste B par exem- ple,

Quand l'abonné du poste B lance un appel de conférence, il décroche son récepteur et fait fonctionner le présélecteur LS.

Il émet ensuite le numéro du service de conférence: Dès lors quand les relais 4105 et 4104 at- tirent et provoquent l'attraction du relais individuel 4101 qui transpose la ligne du poste B sur le circuit de oonfé- rence, la connexion établie vers les bornes de ce service est libérée et le relais 4102 attire immédiatement pour fermer le circuit de conversation vers l'unité de conférence.

Le relais 4103 attire par conséquent et ferme le circuit de blocage du relais 4105 pour maintenir le relais 4104 attiré.

Stil est décidé définitivement au moment où l'unité de conférence est montée dans une installation que seul un groupe déterminé des abonnés pourra participer au service de conférence, le relais 4106 et la bobine dtimpé- dance 4111 peuvent être supprimés puisqu'ils ne sont requis que dans le cas où une ligne qui ne fait pas partie de ce groupe est autorisée à être branchée sur ce circuit.

Claims

REVENDICATIONS.

---------------------------- 1. Un système de téléphonie comprenant un bureau principal et un système privé composé de plusieurs bureaux secondaires dans lequel les appels aboutissant dans le système privé et qui viennent du bureau principal sont dirigés vers un seul des bureaux secondaires dtoù ils sont prolongés si néoessaire vers un autre bureau secondaire, alors que les appels sortant vers le bureau principal et provenant d'un bureau secondaire quelconque sont établis par l'intermé- diaire de lignes qui relient directement le bureau prinoi- pal et le bureau secondaire considéré.

2. Un système de téléphonie comprenant un bureau principal et un bureau annexe privé et pourvu des moyens qui ne permettent qu'à un certain nombre d'abonnés du bureau privé de recevoir des appels venant du bureau principal, dans lequel lorsque des appels viennent du bureau principal, un signal est trans- mis de proche en proche à travers chaque étage de commutation pour provoquer dans le sélecteur final des modifications de circuit qui permettent de faire un test complémentaire de la ligne d'abonné d'après lequel la communication ne peut pas s'établir si la ligne est à service restreint, un signal d'occupation étant envoyé dans ce cas vers l'abonné appelant.

3. Un système de téléphonie comprenant un bureau principal et un bureau annexe privé et pourvu des moyens qui ne permettent qu'à un certain nombre d'abonnés du bureau privé d'émettre des appels vers le bureau principal et d'en recevoir,dans lequel la discrimination entre les lignes à service restreint et les lignes à service complet dépend de deux états diffé- rents et indépendants du circuit de la ligne d'abonné, l'un d'eux dans le cas d'un appel venant du bureau principal et destiné à une ligne à service restreint empêche l'extension jusqu'à l'abonné appelé et l'autre dans le cas d'un appel <Desc/Clms Page number 170> vers le bureau principal empêche la mise en service de la jonction vers ce bureau.

4. Un système de téléphonie comprenant un bureau annexe privé ayant des connexions directes avec un certain nombre de bureaux principaux dans lequel les appels aboutissant au bureau annexe privé sont prolongés par l'intermédiaire de circuits entrants jsqu'à des circuits de connexion comprenant un chercheur et un sélecteur, les circuits entrants étant divisés en deux groupes suivant l'origine des appels qu'ils acheminent et certains groupes étant arrangés de telle sorte qutun signal soit transmis à travers les différents étages de sélection à partir du circuit de connexion qui a été mis en service pour caractériser le type dtappel entrant et pour déterminer si l'abonné appelé est autorisé ou non à recevoir un tel appel.

5. Un système de téléphonie dans lequel les lignes aboutissant à un bureau central sont divisées en deux classes qui se dis- tinguent par l'absence ou la présence d'une polarité sur l'un des fils d'un circuit de ligne associé à chacune de celles-ci, cette polarité est active pendant l'établissement de la con- nexion entrante du fait qu'elle provoque l'enregistrement de la classe de l'appel dans chaque étage de sélection et qu'à la fin de la sélection elle provoque un test qui détermine si la ligne appelée est autorisée à recevoir l'appel en question.

6. Un système de téléphonie dans lequel le caractère de la classe d'un appel entrant dans le bureau et l'offre d'un appel à un abonné occupé sont donnés par la transmission dtun signal à travers un fil de contrôle de la connexion, le signal carac- téristique étant transmis pendant l'établissement de la con- nexion pour faire attirer un relais qui est déconnecté ensuite pour permettre ltémission dtun signal d'offre qui est trans- mis quand la connexion est établie et qui fait attirer un deuxième relais.

7. Un système de téléphonie comprenant plusieurs positions dtopé- / <Desc/Clms Page number 171> ratrice dans lequel chaque position est associée à un cer- tain nombre de chercheurs ayant tous accès au même groupe de lignes et prévu pour être sélectionné et mis en service par un contrôle manuel effectué par l'opératrice, ce contrôle manuel étant prévu de telle sorte qu'il réunisse temporaire- ment un circuit de démarrage, commun à toutes les lignes, et la position particulière où lorsqu'un appel apparait sur l'une de ces lignes le chercheur sélectionné est mis immé- diatement en service pour rechercher la ligne appelante.

8. Un système de téléphonie comprenant plusieurs positions d'opé- ratrice dans lequel chaque position est associée à un cer- tain nombre de chercheurs ayant tous accès au même groupe de lignes et muni d'un circuit de démarrage de position prévu pour être connecté à un circuit de démarrage commun à toutes les lignes, l'association d'un circuit de démarrage de posi- tion et du circuit de démarrage commun étant effectuée par l'intermédiaire d'un distributeur à la suite de la sélection par l'opératrice d'un chercheur libre de cette position.

9. Un système de téléphonie comprenant un bureau principal et un bureau annexe privé dans lequel les appels entrants et certains appels sortants du bureau annexe privé sont des- servis par une opératrice et dans lequel des facilités sont prévues pour le rappel de l'opératrice après qu'une commuai- oation a été établie soit automatiquement si l'abonné appe- lé ne répond pas dans un délai déterminé soit par la manoeuvre du cadran d'appel de l'abonné.

10. Un système de téléphonie ayant des facilités permettant de tracer jusqu'à la ligne de l'abonné appelant le chemin suivi lors de l'établissement d'une communication dans lequel un groupe de relais de contrôle est associé individuellement à la ligne de l'abonné qui désire jouir de ce privilège et sous un contrôle spécifique exercé par l'abonné, le groupe de relais paut maintenir en service le train de sélection <Desc/Clms Page number 172> qui relie les deux abonnés, après que l'appelant a raccroché son récepteur.

11. Pour être utilisé dans des systèmes téléphoniques un sélecteur final dans lequel la libération de la connexion est placée sous le contrôle de l'abonné appelant, mais dans le cas où l'abonné appelé raccroche le premier, une polarité de garde est supprimée pour la ligne appelée dans les bancs des sé- lecteurs finals ayant accès à celle-ci, d'où la ligne appe- lée est libre pour tout usage même si le sélecteur final n'est pas relâché.

12. pour être utilisé dans un système de téléphonie un sélecteur final pouvant effectuer une recherche dans un groupe de lignes, dans lequel si toutes les lignes du groupe sont trouvées oc- cupées le commutateur s'arrête sur la dernière ligne et dans lequel l'abonné qui établit la connexion peut alors se mettre en relation téléphonique avec l'abonné appelé et offrir la communication.

13. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel on a prévu l'établissement de communications entre le système privé et un deuxième système privé relié à un deuxième bureau principal mais dans lequel des appels ne peuvent pas être acheminés du premier bureau principal vers le deuxième système privé à travers le premier système privé.

14. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel les appels entrants sont acheminés par une opé- ratrice au moyen de circuits de connexion qui comprennent un commutateur de réponse et un commutateur appelant, la libération du commutateur appelant s'effectuant soit sous le contrôle de l'opératrice, indépendemment du commutateur de réponse, dans le but de permettre à l'opératrice de trans- férer un appel d'une ligne locale à une autre ligne locale, soit par suite de la libération du commutateur de réponse. <Desc/Clms Page number 173>

15. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel les appels entrants sont acheminés par une opé- ratrioe au moyen de circuits de connexion qui comprennent un commutateur de réponse et un commutateur appelant, dans lequel le commutateur de réponse a accès à un groupe de sélecteurs au moyen desquels des appels sortants et des appels locaux peuvent être émis, de ce fait si un abonné local reçoit la tonalité d'occupation lorsqu'il essaye d'établir une connexion l'opératrice peut réaliser celle-ci au moyen du commutateur de réponse quand la ligne est libre et connecter l'abonné appelant à celle-ci au moyen du com- mutateur d'appel.

16. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel les appels interurbains sortants sont établis par une opératrice au moyen d'un circuit de ligne interur- bain comprenant un dispositif à temps maintenant la ligne gardée contre toute mise en service par une deuxième opé- ratrice pendant un temps déterminé, suffisamment long pour permettre aux appareils du bureau éloigné de relâcher.

17. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel un abonné du système privé engagé dans une com- munication avec le bureau public peut établir une communi- cation d'information vers un deuxième abonné local par l'in- termédiaire d'un sélecteur final si l'appel initial vient du bureau public ou par l'intermédiaire du répétiteur de départ si l'appel initial avait son origine dans le bureau . privé.

18. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 17 dans lequel l'actionnement d'une clef par l'abonné du système privé interompt la connexion établie sur les fils de conversation et connecte ceux-ci à un circuit de trans- fert ce qui permet d'établir une communication locale tandis <Desc/Clms Page number 174> que la ligne vers le bureau principal reste bloquée.

19. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 et possédant des facilités permettant à certains abonnés du système privé d'établir des appels de conférence dans lequel lors d'un appel de conférence, les lignes qui par- ticipent à celle-ci sont connectées à une unité de confé- rence, quand un abonné participant à la conférence décroche son récepteur le maintien de la connexion entre la ligne et ltunité est placé sous le contrôle du relais de ligne, de ce fait l'abonné peut se retirer de la conversation de conférence quand il le désire.

20. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 1 dans lequel le système privé comprend un sélecteur répé- titeur, ayant accès à trois groupes de lignes qui lorsqu'il est mis en service, est arrangé pour effectuer la recherche d'une ligne libre dans un des groupes suivant la succession des chiffres reçus soit pour établir une connexion vers cette ligne soit pour libérer cette ligne et rechercher une ligne libre dans ltun ou l'autre des deux groupes restants et établir une communication vers celle-ci.

21. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 20 dans lequel la possibilité d'atteindre les lignes dans un groupe est indiquée par une polarité appliquée à un fil commun à toutes les lignes, de ce fait si toutes les lignes du groupe sont occupées, la tonalité d'occupation.est trans- mise vers ltabonné appelant et la recherche par le commuta- teur est supprimée.

22. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 2 ou 4, dans lequel tous les commutateurs intermédiaires du train de sélection sont pourvus d'un relais qui attire sous l'action du signal pour transmettre un signal identique à l'étage de sélection suivant, dans le sélecteur final ce <Desc/Clms Page number 175> relais attire pour ouvrir le circuit de test et transmettre la tonalité (Inoccupation vers l'abonné appelant si l'abonné appelé est un abonné à service restreint.

23. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 22 dans lequel le signal comprend une impulsion de courant, transmise sur un fil supplémentaire du train de sélection' à travers un bureau central, et comprend également le dés- équilibre du fil de ligne quand le signal doit être trans- mis sur la ligne qui réuni deux bureaux secondaires du bureau annexe privé.

24. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 22 dans lequel l'attraction de ce relais prépare le circuit d'attraction d'un deuxième relais qui attire sous l'action d'une polarité donnée par le circuit de ligne de l'abonné appelé, si celui-ci est un abonné à service restreint, pour empêcher que la liaison téléphonique puisse s'établir vers la ligne appelée et pour transmettre la tonalité d'occupa- tion vers l'abonné appelant.

25. Un système de téléphonie oomme revendiqué en revendication 3 dans lequel lors d'un appel sortant vers le bureau prin- cipal un commutateur automatique est amené sur un niveau particulier pour rechercher une ligne libre vers le bureau principal, sur ce niveau le circuit de test est connecté au fil du circuit de ligne auquel la polarité de discrimi- nation est ou n'est pas appliquée, de ce fait le circuit de test se ferme et le commutateur fonctionne de la manière habituelle ou le circuit de test reste ouvert et le commu- tateur ne peut pas mettre une ligne sortante en service.

26. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 5 dans lequel pendant l'établissement d'une communication la polarité appliquée fait attirer un relais du premier étage de sélection qui sert à appliquer une polarité iden- / <Desc/Clms Page number 176> tique sur un fil aboutissant, à l'étage de sélection suivant pour permettre l'enregistrement successif de la classe de la ligne.

27. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 6 dans lequel les deux relais sont placés dans le sélecteur final, l'attraction du relais de test de cet appareil quand la ligne appelée est occupée sert à mettre le deuxième relais sous la commande du fil de contrôle.

28. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 7 ou 8 dans lequel la lampe s'allume dès qu'un chercheur est mis en fonction et s'éteint quand la connexion a été établie à travers la position d'opératrice.

29. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 7 dans lequel le fil commun de démarrage peut être associé à une position déterminée, par l'intermédiaire d'un dis- tributeur.

30. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 8 ou 29 dans lequel le fil commun de démarrage peut être connecté directement aux différentes positions par l'action- nement d'une clef dans le cas où le distributeur devient défectueux.

31. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 7, 8, 29 ou 30 dans lequel quand le chercheur a trouvé la ligne appelante, un dispositif d'émission des impulsions est automatiquement connecté à la position qui contrôle ltéta- blissement de la connexion.

32. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 7 et 31 dans lequel un contrôle manuel ultérieur et simi- laire par l'opératrice ne peut provoquer la mise en service d'un dispositif d'envoi des impulsions.

33. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 31 dans lequel la connexion du dispositif d'envoi des im- <Desc/Clms Page number 177> pulsions s'effectue automatiquement quand les chiffres du numéro désiré ont été émis.

34. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 31 dans lequel deux circuits de connexion associés au dis- positif d'émission des impulsions sont employés alterna- tivement pour associer le dispositif à la position.

35. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 31 dans lequel chaque chercheur est associé en permanence à un sélecteur pour former un circuit de connexion, les impulsions nécessaires à l'établissement de la connexion sont transmises à travers le sélecteur, il s'ensuit que le chercheur et les sélecteurs sont directement connectés en- semble.

36. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 9 dans lequel un dispositif à temps commence un cycle d'opé- rations dès. qu'une connexion est établie, il sert à rappeler l'opératrice à la fin du cycle, mais si l'abonné appelé répond avant que le cycle soit terminé le dispositif à temps revient au repos pour empêcher le rappel.

37. Un système de téléphonie comme revendiqué en.revendication 36 dans lequel le fonctionnement du dispositif à temps est suspendu dans le cas des appels sortants établis par l'opé- ratrioe.

38. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 9 dans lequel la manoeuvre du cadran d'appel de l'abonné local provoque le fonctionnement d'un signal de supervision à la position d'opératrice, ce signal persiste jusqu'à ce que l'opératrice réponde.

39. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 9 dans lequel si l'appel est acheminé par un circuit de jonction vers un bureau secondaire la manoeuvre du cadran d'appel de l'abonné appelé renverse le sens du courant dans <Desc/Clms Page number 178> le circuit de jonotion pour provoquer le fonctionnement du signal de supervision.

40. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 38 dans lequel pour un appel sortant la ligne de l'abonné appelant est prolongée jusqu'à la position d'opératrice au moyen d'un circuit de ligne qui comprend un relais dont le circuit se ferme par la manoeuvre du cadran d'appel et qui se bloque dans un circuit aboutissant à la position d'opératrice, ce circuit de blocage comprend le signal de supervision.

41. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 9 dans lequel la manoeuvre du cadran d'appel conjointement à l'actionnement de la clef sert à provoquer la mise en service d'un répétiteur,propre à la ligne d'abonné,qui garde le train de sélection en position de travail après que l'abonné appelant a raccroché son récepteur.

42. 'Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 10 dans lequel lorsque le répétiteur fonctionne sous le contrôle de l'abonné appelé un dispositif de signalisation est mis en marche pour informer un préposé de ce que le train de sélection est bloqué et que le chemin suivi pour' l'établissement de la connexion doit être retracé.

43. Un système de téléphonie comme revendiqué en revendication 43 dans lequel le fonctionnement du répétiteur provoque l'attraction dtun relais dans le sélecteur final du train de sélection, ce qui ferme le circuit de blocage du relais qui contrôle la libération du commutateur et ouvre le pont placé sur les fils entrants pour transmettre le blocage vers les commutateurs précédents.

44. Un séleoteur final comme revendiqué en revendication 11 dans lequel lorsque l'abonné appelé raccroche son récepteur un relais relâche dans le sélecteur final, il fait relâcher / <Desc/Clms Page number 179> le relais qui contrôle la connexion du sélecteur final à la ligne de l'abonné appelé, 45. un sélecteur final comme revendiqué en revendication 44 dans lequel le premier relais est plaoé sous le contrôle du relais d'alimentation de l'abonné appelé par suite de l'attraction d'un autre relais pour couper l'envoi du courant d'appel quand l'abonné appelé répond.

46. Un sélecteur final comme revendiqué en revendication 12 dans lequel lorsque le circuit de conversation s'est établi une tonalité spéciale est appliquée sur la ligne pour indi- quer aux abonnés engagés dans une communication en cours que le secret de leur conversation n'est plus garanti.

47. un système de téléphonie en principe comme décrit et re- présenté aux plans annexés.