BE420586A - - Google Patents

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BE420586A
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    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Interface Circuits In Exchanges (AREA)

Description


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  Perfectionnements aux systèmes téléphoniques. 



   La présente invention se rapporte à des systèmes de téléphonie, elle concerne plus particulièrement ceux dans lesquels des appareils de commutation automatique situés dans un bureau central téléphonique sont commandés à distance par l'opératrice desservant un bureau central   'éloigné,   la commande étant exercée par l'intermédiaire de ce qu'on appelle communé- ment un circuit de jonction de contrôle. 



   L'objet le plus général de l'invention est de procurer des circuits nouveaux et perfectionnés qui donnent la possi- bilité d'établir plus rapidement les communications émanant d'un bureau automatique   commandé   à distance, en même temps 

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 qu'il donne un service plus simple que celui qu'il a été possible de donner jusqu'à présent avec des bureaux de ce genre. 



   Un objet spécifique de l'invention est de procurer une nouvelle disposition permettant d'employer alternativement deux circuits de jonction de contrôle pour écouler les appels à travers le même groupe de commutateurs automatiques, ce qui permet d'établir plus rapidement des   communications   simul- tanées dans le bureau contrôlé à distance.

   Le fonctionne- ment de la disposition dont il est question ci-dessus dépend de plus de ce que chacun des circuits de jonction de contrôle est associé à un équipement de contrôle commun qui peut être mis en service pour remplacer un commutateur automatique quel- conque auquel le circuit de jonction de contrôle est connecté, Il semble que ce soit la première fois que deux ou plusieurs équipements de contrôle commun ont été prévus pour l'usage   commun   d'un même groupe de commutateurs automatiques. 



   Dans la disposition représentée le bureau contrôlé à distance est situé par rapport à deux bureaux desservis par une opératrice de telle sorte que.le contrôle à distance de l'établissement des appels soit exercé par un des bureaux et que les communications interurbaines, tant à l'arrivée qu'au départ du bureau contrôlé à distance, soient écoulées pour la plus grande partie par l'autre bureau, 
L'invention est décrite en se référant à une de ses applications représentée aux plans joints parmi lesquels la fig, 1 montre le plan de disposition du bureau   commandé   à distance et de deux bureaux voisins ; la fig.2est un diagramme de jonction montrant la relation existant entre les différents groupes de   l'équipe-   ment dans le bureau contrôlé à distance; la fig.3 à 20 sont des circuits ;

   et la fig. 21 montre 

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 la façon dont les plans doivent être juxtaposés pour constituer un tout. 



   En se reportant particulièrement à la fig. 1 on peut voir que les trois bureaux sont interconnectés par des circuits de jonction et' qu'ils sont désignés par les lettres A, B et C. 



    Le bureau B est le bureau commandé à distance ; bureau A est   situé relativement prêt du bureau B; c'est pour cette raison que le trafic local du bureau B est placé sous le contrôle du bureau A. Le bureau C est celui d'où les communications interurbaines, tant au départ qu'à l'arrivée, sont contrôlées à moins que ces communications ne doivent être dirigées vers le bureau A par suite de la destination ou de l'origine de l'appel. 



   Deux circuits de jonction sont prévus entre les bureaux a A et B, OT1 et OT2 respectivement. Le fait qu'il n'y que deux circuits de jonction est indiqué par le chiffre 2 placé dans un cercle situé à côté des circuits de jonction. Quatre jonc- tions pour le service local sont prévues, elles sont exploitées dans les deux sens, et marquées des lettres LST et du chiffre 4 placé dans un cercle, Pour l'écoulement de communications interurbaines qui peuvent être amenées d'autres bureaux voisins à travers le bureau A (non représentés)

   et destinés au bureau B on a établi une ligne interurbaine   TL1.   Cette ligne peut être utilisée également pour l'écoulement des appels-émis par le bureau B à travers le bureau A et destinés à d'autres bureaux qui peuvent être atteints plus aisément à travers le bureau A   qu@   à travers le bureau C. 



   La ligne interurbaine TL2 fait partie d'un groupe de 4 lignes exploitées dans les deux sens pour l'écoulement du trafic entre les bureaux B et C, et entre le bureau B et tous les autres bureaux qu'on peut atteindre à travers le bureau C; la ligne interurbaine TL3 est une jonction faisant partie   d'un/   

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 groupe reliant les bureaux A et C dans le but de donner des connexions interurbaines directes entre ces deux bureaux. 



   Les bureaux A etB sont situés suffisamment près l'un de l'autre pour que le tarif appliqué pour les   communications   entre ces deux bureaux soit le même que celui en vigueur pour les communications locales dans chacun de ces réseaux. C'est la raison pour laquelle on a prévu des circuits de jonction pour service local, telles que LST, qui servent à écouler le trafic entre les deux bureaux, et séparées des jonctions écoulant le trafic interurbain qui peut être dirigé d'un des bureaux vers l'autre. 



     En   se reportant maintenant particulièrement à la.   fig.2   on expliquera en quoi consiste l'équipement du bureau B contrôlé à distance: 
Le trafic local est écoulé à travers des circuits de connexion comprenant un chercheur et un connecteur et dont l'un   d'eux comprend   le chercheur   F   et le connecteur pour service local LOC. Le circuit de connexion représenté est l'un des 7 circuits identiques comme le montre le chiffre 7 placé dans un cercle au-dessus du chercheur F. 



   Le chercheur F a accès aux broches d'appel des lignes locales par l'intermédiaire de circuits de ligne tels que LC1 à LC3, le connecteur local LOC a accès aux broches de ré- ponse des lignes qui sont communes aux connecteurs locaux et aux connecteurs interurbains tels que TC1 et   TC2.   



   Une des caractéristiques du système exposé ici est que le même groupe de connecteurs dessert des lignes à 4 postes groupés à sélection totale et de lignes à 10 postes groupés à appel par code, La ligne F'PL représente les lignes à 4 postes groupés à sélection totale et la ligne TPL représente la ligne à 10 postes groupés et appel par code, Ces doux lignes aboutis- sent dans le niveau aux circuits de ligne LC1 et LC2 respecti- 

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 vement, On peut également desservir des lignes à un seul poste de préférence en équipant cette ligne d'une sonnerie branchée entre les deux fils et en utilisant un des 10 codes pour sonner ce poste quand il est appelé. 



   Le circuit de jonction pour service local LST(fig, 1 et 2) représente un des quatre circuits de jonction qui relient les bureaux A et B. Ce circuit de jonction aboutit dans le bureau B au circuit de ligne CL3, celui-ci est similaire aux circuits de ligne LC1 et LC2. Les appels locaux entre les bureaux A et B s'écoulent donc à travers les circuits de connexion locaux du bureau B de la même façon que les appels locaux de ce bureau. 



   Dans le but de permettre l'emploi de postes à prépaie-   ment,des   lignes distinctes, telles que la ligne PSL du poste à prépaiement 1600, ont été prévues. Cette ligne est reliée au circuit de ligne LC4 qui est différent des circuits de ligne LC1 à LC3 en ce qu'il n'est pas accessible des chercheurs locaux, mais est muni d'un présélecteur LS qui effectue la recherche d'un accès vers les quatre circuits de jonction pour service local, LST. Il en résulte qu'un appel émis d'un poste à pré- paiement est prolongé à travers un circuit de jonction pour service local jusqu'au bureau A en admettant que la plupart des appels émanant des postes à prépaiement sont destinés au bureau A ou à un autre bureau extérieur.

   Dans le cas assez rare où d'un poste à prépaiement on appelle un abonné du bureau B, l'opératrice du bureau A peut renvoyer l'appel vers le bureau B à travers un autre circuit de jonction pour service local LST, D'autre part quand d'un poste à prépaiement on prend une communication interurbaine, l'opératrice du bureau A prolonge la connexion par 1'intermédiaire d'une ligne inter- urbaine telle que la ligne TL3 de la fig, 1, jusqu'à l'opéra- trice interurbaine du bureau C, celle-ci prend note de la 

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 demande et rappelle plus tard le poste à prépaiement par l'in- termédiaire d'une ligne interurbaine, telle que TL2 reliant les bureaux B et C des fig. 1 et 2, lorsque la connexion est établie. 



   Pour contrôler les chercheurs tels que   la ,   le distribu- teur D de présélection de la fig. 2 a recherché un accès vers tous les chercheurs. Le fil de démarrage ST s'étend des circuits de lignes tels que LC1- LC3 jusqu'au distributeur D pour que ce dernier contrôle un chercheur présélectionné qui recherche la ligne appelante quand un appel est émis. 



   Les circuits de commande OT1 et OT2 aboutissent dans les unités d'équipement communs CE1 et CES respectivement. Les fils de contrôle associés à ces deux unités sont multiples dans chacun des connecteurs locaux, tels que LOC, pour permettre à chacun des connecteurs locaux d'être associé à l'une quelcon- que des unitésd'équipement commun et au circuit de commande auquel elle est connectée. La disposition (qui sera. décrite en détail plus tard) est telle que le circuit de commande OT1 est normalement mis en service quand ils sont libres tous les deux, et le circuit de commande OT2 est mis en service dans le cas où un deuxième appel se présente quand le circuit de   commande     0'il   est déjà occupé.

   Par cette disposition les abon- nés appelants ne doivent pas attendre aussi longtemps avant d'obtenir une réponse lorsque les appels se succèdent rapide-   ment .    



   Chacune des lignes interurbaines telles que TL1 et TL2 des fig. 1 et 2 aboutit à un connecteur interurbain tel que le connecteur TC1 et TC2 de la fig.   2,   chacune des lignes inter- urbaines passant par l'intermédiaire des contacts d'un relais de transfert d'un des circuits de jonction sortant tel que OTC1 et OTC2. Ces circuits de jonction sortant sont interposés entre les broches des bancs du connecteur écoulant les   communi-   cations interurbaines sortantes et la ligne interurbaine elle-même 

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 pour le contrôle et la commande de la supervision et de l'appel. 



   Dans le cas d'un bureau contrôlé à distance du type dont il est question ici on prévoit d'ordinaire qu'une jonction, pourra être utiliséé utilisée normalement pour d'autres services,/comme circuit de jonction de commande en cas de nécessité, par exemple, après une tempête qui aurait coupé la jonction de commande normale. 



  Comme on a prévu deux jonctions de commande dans le système exposé ici, tous les appels peuvent être écoulés temporaire- un ment à   travers/des   circuits de jonction dans le cas où l'autre devient défectueux.. Dans ce but on établit des connexions entre les unités de l'équipement commun et des fils venant de contacts déterminés des bancs du connecteur de telle sorte que l'opératrice d'un des bureaux A ou C peut émettre un numé- ro déterminé vers un quelconque des connecteurs et provoquer l'occupation d'une quelconque des unités d'équipement commun et de la jonction de commande qui lui est associée de manière qu'aucun autre appel ne sera dirigé vers le circuit de jonction défectueux.

   Par après un numéro déterminé mais différent pourra être transmis pour rendre le circuit de jonction de contrôle libre après que les réparations auront été faites. 



   Dans le cas où les deux circuits de jonction de contrôle deviennent défectueux le relais 856 de la fig. 2 peut attirer et transférer le contrôle, exercé ordinairement à travers le circuit de jonction   OT1,   à la ligne interurbaine TL2 qui relie les bureaux B et C, de manière que les appels émanant du bureau B puissent être écoulés à travers le bureau C en utilisant la jonction interurbaine TL2 temporairement comme circuit de jonction de contrôle.

   La raison pour laquelle on a placé le fonctionnement du bureau éloigné sous le contrôle du bureau C au lieu de le transférer sur un autre circuit de jonction aboutis- sant au bureau A est basée sur le fait que dans le'cas consi- déré il y a une grande probabilité pour que le défaut soit 

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 général et que les autres lignes reliant les bureaux A et B soient défectueuses également. Ceci peut se produire par exemple, lorsqu'un poteau est renversé. Le relais 856 attire pour effectuer ce transfert sous l'action de l'envoi d'un chiffre déterminé vers l'un quelconque des connecteurs du   bureau   B, comme on l'indique par la connexion reliant ce   relais   aux fils venant des bancs des connecteurs.

   Le relais de trans- fert peut relâcher ensuite sous l'action de   l'envoi   d'un   deuxi@me   chiffre déterminé vers un quelconque des connecteurs. 



   On a prévu dans le système qui est exposé ici qu'une personne ayant reçu une autorisation spéciale pourra commander localement le fonctionnement d'un bureau contrôlé à distance au moyen du dispositif de   commande   local LCS, par exemple en cas de nécessité quand aucun des circuits de jonction ne peut être utilisé. 



   La disposition locale représentée en fig. 2 ayant été décrite on attirera maintenant l'attention sur les aspects généraux des circuits représentés aux fig. 3 à 20, dans les- quelles les circuits des appareils de la   fig. 2   et de certains équipements montés dans les bureaux A et C sont montrés en détail. Comme il a été dit précédemment les   fige :3   à 19 doivent être assemblées   co@@e   le montre la fig. 21. L'équipement re-   présenté   aux fig. 3 à 11 et 16 à 20 est situé dans le bureau B, l'équipement représenté aux fige 12 et 13 est situé dans le bureau A enfin l'équipement représenté aux fig,   14   et 15 est situé au bureau C. 



   Les fige 3,   4   et 5 montrent les circuits de ligne LC1, LC2 et LC3 respectivement, ils sont tous identiques et associés respectivement à la ligne FPL à quatre postes groupés, à la ligne TPL à 10 postes groupés et au circuit de jonction local LST. Les   fige   3, 4 et 5 montrent également les broches ter- minales des chercheurs 351, 451 et 551. A travers ces broches 

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 et leurs multiples, les chercheurs établissent'la connexion vers les lignes appelantes. Les fig. 3, 4 et 5 montrent égale- ment les broches 350, 450 et 550 des connecteurs. A travers ces broches et leurs multiples les connecteurs établissent la connexion avec les lignes en question lorsqu'elles sont .appelées. 



  On doit remarquer que les fils du circuit de jonction LST sont renversés aux broches négative et positive du groupe 550 et à leurs multiples pour donner une supervision vers le bureau A comme on l'expliquera plus loin. 



   Les fils de démarrage 361, 461 et 561 se dirigent vers les fils appropriés de démarrage associés au relais de démar- rage 801 de la fig. 9. Chacun des fils de démarrage 361, 461 et 561 (ainsi que chacun des 7 autres fils de démarrage associés   à des   groupes de circuits de ligne non représentés) est multi- plé au 10 circuits de ligne atteint par l'intermédiaire d'un niveau de banc déterminé des, =hercheurs comme cela se pratique normalement. 



   Les fils 6, 7 et 8 représentent le chercheur Fl et le connecteur local LOC qui lui est associé et qui sont reliés par les fils de jonction 621-626. Le banc du chercheur n'est pas représenté à l'exception des broches 351, 451 et 551 con- nectées aux circuits de ligne des fig. 3, 4 et 5. On compren- dra en effet qu'il y a 100 groupes de broches tels que celui- là dans le banc du chercheur et,que ces broches sont connec- tées en multiple avec les broches correspondantes des autres chercheurs. 



   Le banc du connecteur LOC de la fig. 8 n'est pas repré- senté-à l'exception de broches tellesque 350, 450 et 550 qui sont associées aux circuits de ligne des   fig.   3, 4 et 5. On comprendra en effet que le banc du connecteur LOC est un banc à 00 broches possédant 100 groupes de broches tels que ceux montrés aux fig. 3, 4 et 5, ces broches sont connectées en 

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 multiple vers les broches des bancs des autres connecteurs de la manière habituelle qui est bien connue. On remarquera que les balais 700 du connecteur local LOC sont marqués négatif, positif,C et   EC   respectivement. On a marqué de la même façon les broches des fig. 3, 4 et 5.

   De ce qui précède on peut voir qu'aucune connexion ne se ferme à travers le balai EC du connecteur local LOC quand une ligne telle que celle   repré-   sentée aux fig. 5, 4 ou 5 est appelée. La broche EC n'est utilisée que dans le cas où une ligne interurbaine est appelée par l'intermédiaire de broches telles que 1450 de la fig. 16 dont la broche EC est connectée au circuit par l'intermédiaire du fil 1422 de libération forcée. 



   Le connecteur LOC des fig. 7 et 8 est muni d'un sélec- teur PS1 de postes groupés qui effectue la sélection d'un poste parmi un groupe quand il est appelé. Ce sélecteur de poste groupé possède des balais 741 et 742, chacun d'eux possède un double banc de contacts disposés de telle sorte qu'ils soient pontés par paire suivant la position prise par le balai. Les sont balais/amenés en position sous l'action de 1'électro-aimant 743, ils sont ramenés en position de repos sous l'action de l'électro-aimant de libération   744.   



   La fig. 9 représente le distributeur D qui est composé d'un groupe de relais et du commutateur rotatif comprenant les balais   821-825     entraînés   par 1'électro-aimant   800.   La fig. 9 montre également un groupe   @G   de relais divers compre- nant les relais 851-856. Les relais de ce groupe sont utilisés pour des buts divers qui seront précisés dans le cours de la description. 



   Les fig. 10 et 11 représentent les unités d'équipement commun CEI et   CE2.   L'unité CEI d'équipement commun est re- de présentée en détail, alors   que/'l'unité   CE2 d'équipement commun seules certaines broches ont été représentées ainsi que les 

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 fils qui s'y connectent. Certaines bornes-du groupe 900 apparaissant dans le coin gauche de la fig. 10 ne sont pas utilisées dans l'unité CE2 et ne sont par conséquent pas re- présentées dans le groupe 900' associé à l'équipement commun CE2. Ces bornes particulières à CE1 ont été identifiées par une ligne les entourant comme, par exemple, les 5 bornes du groupe 900 associées au commutateur de supervision SS.

   On préfère cependant pour l'uniformité de la construction que les deux unités d'équipement commun soient de fabrication exactement semblable. De cette façon les deux unités sont interchangeables et certaines-parties de l'équipement commun CE2 ne sont nécessaires qu'au moment où celui-ci prend la place de l'équipement commun CE1. 



   Le circuit de jonction de commande OT1 représenté s'étend de l'unité CE1 de l'équipement commun des fig. 10 et 11 à travers la partie supérieure de la fig. 9 jusqu'à l'équipement de commande de la fig. 12 situé dans le bureau A. Le circuit de jonction de commande OT2, associé à CE2, est équipé de la, même manière. 



   La fig. 13 représente le jack et l'équipement du circuit de jonction du bureau A associé au circuit LST pour service local. Chacun des trois circuits de jonction pour service local dont il sera question ci-après   ''est;   équipé de la même manière. 



   La fig. 14 montre le jack et l'équipement du circuit de jonction à la position interurbaine située dans le bureau C et associée à la ligne interurbaine TL2 exploitée dans. les deux sens. La fig. 14 montre aussi la clef de transert KS utilisée pour transférer la ligne interurbaine TL2 du jack et de l'équipement du circuit de jonction de la fig. 14 à l'équipement de contrôle de la fig. 15 lorsque la ligne inter- urbaine TL2 doit être utilisée temporairement comme circuit de jonction de commande. 

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   La fig. 15 montre l'équipement de contrôle mis en service quand la ligne interurbaine TL2 est utilisée comme circuit de jonction de   commande   et dont l'équipemont de con- trôle est similaire à celui représenté à la fig. 12 et   utili-   sé au   bureau A   pour exercer le contrôle à travers le circuit de jonction de commande OT1. 



   La. fig. 16 représente le circuit de jonction sortant OTC, associé à la ligne interurbaine TL2, à   travers   laquelle les appels sortant vers la ligne interurbaine sont émis. 



  Ce circuit de jonction sortant est accessible aux connecteurs locaux par l'intermédiaire de broches   1450   et de leurs multi- ples, et aux connecteurs Interurbains par l'intermédiaire des bornes 1451 et de leurs multiples, Ce circuit de jonction comprend le relais de transfert 1411 qui substitue le circuit de jonction sortant OTC au connecteur interurbain TCC   quand.   le circuit de jonction OTC est mis en service. 



   Le connecteur interurbain TC2 des fig. 17 et   18 est   utilisé pour établir les   communications   entrant au bureau B et venant du bureau C. Ce connecteur interurbain, de même que les connecteurs locaux des fig.   7   et   8,   est pourvu d'un sélecteur de postes groupés désigné par les lettres PS2. 



   L'invention ayant été décrite d'une manière générale une description détaillée du fonctionnement du système sera donnée ci-dessous. 



   On expliquera en premier lieu comment s'établit une communication locale vers une ligne à 10 postes groupés avec appel par code. Dans ce but on supposera que l'abonné du poste 300 de la ligne FPL à   4   postes groupés désire se mettre en rapport avec l'abonné du poste 40C raccordé à la ligne à 10 postes groupés TPL.

   Pour obtenir la communication désirée l'abonné du poste 300 décroche son récepteur et attend la 

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 réponse de l'opératrice, lorsqu'elle répond il lui fait con- naître le numéro demandé, l'opératrice établit la connexion désirée et sonne l'abonné appelé.   vuand   on décroche le récepteur (non représenté) au poste 300 la fermeture du pont à courant continu aux bornes des fils de la ligne FPL a pour effet de faire attirer le relais de ligne 301 connecté aux bornes des fils de ligne en série avec la batterie du bureau central et les contacts du relais de coupure 302.

   Le relais 501 attire et place, à son contact inférieur, un positif sur le fil de démarrage 361; il déconnecte la broche C du groupe 350 du relais 302 et la connecte au posi- tif, de manière à protéger immédiatement la ligne appelante, contre toute prise par un des connecteurs, il connecte l'en- roulement du relais 302 à travers des contacts du relais 303 à la broche C du groupe 351 pour marquer ce groupe de broches comme étant appelant, dans le banc du chercheur Fl et des autres chercheurs. 



   On supposera que l'appel est émis à un moment où les unités d'équipement commun CEI et CE2 sont l'ureet l'autre libres, et à un moment où les balais 821-825 du distributeur D de la fig. 9 sont engagés sur les broches des fils 831-835 aboutissant au chercheur F1 de la fig. 6. Du fait que les unités d'équipement commun CEI et CE2 des fig. 10 et 11 sont libres un négatif est maintenu à la borne inférieure du relais 801. 



   La connexion d'une terre au fil 361 ferme le circuit du relais 801 à travers le fil correspondant du groupe des fils de démarrage de la fig. 8 et à travers une résistance. 



  Quand le relais 801 attire il ferme le circuit du relais 802 par l'intermédiaire du fil 861 normalement mis à la terre. 



  Le relais de commutation 802 attire en série avec l'électro- aimant de commande 800, mais ce dernier n'attire pas du fait 

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 de la résistance relativement élevée du relais   802.   Le relais 802 ferme son propre circuit de blocage à son contact inférieur sans le secours des contacts du relais de démarrage 801, en plus de ce qu'il met le chercheur F1 en service comme on le montrera plus tard. Le relais 802 de commutation ferme égale- ment, à son contact inférieur et à travers les contacts du relais   808,   le circuit du relais 806 du groupe des relais 806-808 comprenant un démarreur à temps.

   Ces trois relais coopèrent pour limiter le temps de la recherche et pour mettre un deuxième chercheur en marche si le premier ne parvient pas à trouver la ligne appelante endéans un court intervalle, 3 secondes, par exemple. Le relais 806 attire sous l'action de son enroulement supérieur pour ouvrir le circuit initial d'alimentation du relata 802, pour préparer lescirculas de blocage des relais 804 et 805 à travers leurs enroulements inférieurs, et pour faire attirer le relais   807   sous l'action de son enroulement inférieur. Le relais   807   ferme le circuit du relais 808 et le circuit de blocage du relais 806 à travers son enroulement inférieur.

   Le relais 808 attire et se bloque sur lui-même à travers les contacts inférieurs du relais 802, il coupe le circuit de l'enroulement supérieur du relais 806 et le circuit du relais à pendule   807.   Le relais 807 relâche immédiatement et permet à son ressort lesté de se mettre à vibrer. Le circuit de l'enroulement inférieur du relais 806 est coupé momentanément à chaque élongation mais lerelais 806 étant retardé à la libération reste attiré jusqu'à ce que les oscillations se soient suffisamment atténuées, à la fin de plusieurssecondes par exemple, ce temps étant norma- lement suffisant pour permettre à un chercheur   d'accomplir   un cycle complet. 



     @n   revenant au fonctionnement du relais802 on voit qu'un circuit d'inversion est préparé à son contact supérieur 

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 intérieur, il emprunte l'enroulement supérieur du relais 804    et le balai de contrôle ; circuit de .l'enroulement supérieur   du relais 805 se ferme, le circuit de 1'électro-aimant-de com- mande 800 se ferme à travers des contacts des relais 806 et 808; le balai 821 de test est déconnecté d'un des côtés des contacts interrupteurs associés à l'électro-aimant de commande 800 et est connecté directement à l'électro-aimant;

   une terre est prolongée à son contact supérieur à travers des contacts des relais 803, 806 et 804, le balai   824,   le fil vertical 834 jusqutà l'électro-aimant d'ascension 603 du chercheur F1, en- fin une terre est placée sur le fil de démarrage 855 à travers des contacts du relais 805 et du'balai 825. 



   Le relais 602 attire à travers le fil 835 et connecte le fil 836 à travers des contacts du relais 601 à l'électro- aimant de rotation 604; il connecte les fils communs de sélec- tion 961 et 962 aux fils individuels de sélection 625 et 626; il supprime en un point le positif du fil 861, il déconnecte le fil de test 831 des contacts d'arbre 607 et prépare un cir- cuit de retour automatique à travers les contacts 608, à ses contact supérieurs il applique une terre au'point de jonction des deux enroulements du relais de sélection 601 polarisé électriquement ce qui provoque l'envoi d'un courant dans l'en- roulement inférieur ou enroulement de polarisation de ce relais et prépare un circuit de test à travers l'enroulement supérieur du relais par l'intermédiaire du balai C pour permettre au chercheur de tester la ligne appelante dans le groupe des broches marqué. 



   L'électro-aimant d'ascension fonctionne par suite de la fermeture de son circuit à travers le fil 834 et élève ses balais 600 et 609 d'un pas. Il applique également une terre au fil 832 de commande, ce qui ferme le circuit du relais 803 à travers le balai 822. Le relais 803 attire et interrompt 

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 le circuit de 1'électro-aimant d'ascension 803, de ce fait l'électro-aimant d'ascension 603 relâche et ouvre le circuit du relais 803 qui relâche et ferme de nouveau le circuit de l'électro-aimant d'ascension. Cette action se poursuit jus- qu'à ce que les balais 600 et 609 aient été amenés en face du niveau des contacts de banc contenant la ligne appelante. 



   Quand le niveau des contacts de banc contenant la ligne appelante est atteint, le balai de .test 609 rencontre une terre à travers un multiple du fil de démarrage de niveau correspondant de la fig. 9. Ceci provoque l'attraction du relais 804 (à travers le fil 833 et le balai 823) l'attraction étant amenée par l'alimentation de l'enroulement supérieur du relais 804 par l'intermédiaire des contacts supérieurs intérieurs du relais 802. Le relais 803 reste attiré en série avec le relais 804 jusqu'au moment où celui-ci attire.

   Lorsque le relais 804 attire (cette opération étant légèrement retardée par l'action de la bague en cuivre placée du côté de l'armature comme l'indique le rectangle noir à la partie supérieure du relais) il se bloque lui-même à son contact inférieur intérieur et à travers les contacts du relais 806; il déconnecte le balai 823 de son enroulement supérieur et le connecte à travers les contacts du relais 802 à l'enroulement supérieur du relais 805. Le relais 805 n'attire pas en ce moment bien que la borne supérieure de son enroulement supérieur soit reliée au positif à travers des contacts du relais 802, car le positif est con- necté aux deux bornes de cet enroulement.

   A son contact supérieur le relais 804 transfère le circuit de commande de l'électro-aimant d'ascension 603 au fil   commun   de contrôle de la rotation 836, il passe à travers des contacts du relais individuel 602 du chercheur F1 et des contacts du relais de commutation 601 pour aboutir   4   l'électro-aimant de rotation 604 du chercheur. De ce fait quand le relais 805 relâche par suite de l'attraction du relais 604 le circuit de   l'électro-   aimant de rotation 604 se ferme. 

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   L'électro-aimant de rotation 604 fait attirer le relais 603 par l'intermédiaire de ses contacts comme on l'a décrit pour l'électro-aimant d'ascension 603. Il en résulte que le balai 609 est dégagé du contact avec le banc vertical de test 610, et que les balais 600 parcourent les contacts du niveau qui appelle jusqu'à ce qu'ils atteignent les bornes 351. Le balai 6000 teste chacune des broches C avec laquelle il vient en contact,, mais les broches C des circuits de ligne rencontrés par le balai C du chercheur sont normalement déconnectées du circuit de ligne. 



   Quand le circuit de ligne LOI est atteint,, une polari- té caractéristique d'appel est rencontrée par le balai 600C du chercheur F1 à travers le relais 302, les contacts supérieurs du relais 301 et des contacts du relais 303. Il en résulte qu'un courant circule à travers les contacts supérieurs du relais   602,   l'enroulement supérieur ou enroulement de test du relais de commutation 601 polarisé électriquement, en série avec le relais 302 du circuit de ligne LOI.

   Lorsque le relais 601 attire il ouvre le circuit de l'électro-aimant de rotation, il ouvre en un autre point le circuit de l'électro-aimant de libération 605; il ferme le circuit des fils de conversation   621   et 622; il connecte le balai C du chercheur, l'extré- mité de son propre enroulement et le fil de garde 623 ensemble pour se procurer un circuit de blocage propre et pour placer -une terre directement sur le fil C aboutissant au circuit de ligne LOI. Le fil de blocage 623 est normalement.mis à la terre dans le connecteur local LOC de la fig. 7 par l'inter- médiaire de contacts du relais 708 et de contacts des relais 702' et 702.

   Il en résulte que le relais 602 n'est,pas capable de rester attiré par l'action de son enroulement in- férieur de polarisation et de blocage après que le relais 602 a relâché comme il le fait peu de temps après. 

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   Quand le circuit de ligne LC1 est   trouvé, le   relais 302 attire en série avec le.relais 601 du chercheur, il se bloque directement au fil C du chercheur associé par   l'inter-   médiaire de ses contacts supérieurs intérieurs; il déconnecte le relais 301 et le positif des fils de ligne appelante FPL, à son contact inférieur il ferme lc circuit du relais 303 qui attire et prépare la mise sur faute de la ligne FPL dans le cas où elle devient défectueuse, cette opération sera décrite dans le cours de la description. Le relais 301 étant relâché etle relais 303 étant attiré, la terre estsupprimée du fil de démarrage 361 ce qui permet au relais 861 do   relâcher   à moins qu'un autre appel ait été émis penchant ce temps.

   On doit remarquer que la libération du relais 801 n'a pas d'effet   immédiat   sur la suite des opérations du distributeur D car le relais   802   s'est bloqué pendant ce temps à son contact inférieur intérieur comme il a été dit précédemment et pour la raison supplémentaire que le positif a été supprimé pour les relais 804 et 806 au contact du relais 801. 



   Dans le connecteur local LOC, le relais 706 attire maintenant dans le circuit de la ligne appelante pour faire attirer le relais   707.   Le relais 707 met de plus le fil de blocage 623 à la terre. 



   Dans le chercheur Fl, le relais 601 à son contact in- férieur transfère 1'électro-aimant de rotation 604 du fil 836 au fil de contrôle 833 ce qui prolonge une polarité négative à travers ce fil, le balai 823, les contacts du relais 804 attiré, les contacts du relais 802 attiré jusqu'au relais 805. 



  Le relais 805attire et se bloque par l'intermédiaire de ses contacts inférieurs intérieurs au positif pris au contact in- férieur du relais 806. A un autre contact le relais 805 coupe le circuit établi   précédemment   pour alimenter le relais 835 à travers le fil 835, à son contact supérieur intérieur il ferme 

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 le circuit passant à travers des contacts du relais 901 de l'équipement commun CE1 et du fil 961 (associé à l'équipement commun CE1) pour provoquer la prise de l'équipement commun CEI par le connecteur local   LOC   relié au chercheur Fl de la fig. 6. Ce circuit passe à travers des contacts du relais 602.

   Bien que le circuit du relais soit coupé par le relais 805 au moment où le circuit de prise se ferme, ce circuit reste fermé pendant un temps suffisant pour permettre la prise car le relais 602 est retardé par l'effet de la bague qui entoure son noyau. On remarquera que la polarité de "prise" est placée sur le fil de sélection 961 car le relais 901 de l'équipement .commun CE1 est relâché ce qui indique que l'équipement de con- trôle est libre, mais si ce relais est attiré et que l'équipe- ment de contrôle commun CE2 est libre l'impulsion de prise est transmise sur le fil de sélection 962 associé'à l'équipe- ment commun CE2. 



   Quand le relais 602 relâche lorsque le relais 805 coupe son circuit il déconnecte les fils communs 856, 961 et 962 des fils individuels qui leur sont associés, il prépare le circuit de l'électro-aimant de libération 605 (qui est ouvert au relais 601) à travers les ressorts d'arbre 606 actionnés, il place une terre sur le fil de test 831, à travers les ressorts d'ar- bre 607 actionnés, pour que le chercheur Fl soit trouvé occupé lorsqu'il est testé par le distributeur D et pour que le cher- cheur soit donc à l'abri de toute prise ultérieure jusqu'à ce qu'il soit redevenu libre. 



   Dans le distributeur D quand le positif est placé sur le fil de test 863 le circuit de l'électro-aimant de commande 800 se ferme à travers le balai 821 et les contacts du relais attiré 802 du distributeur. L'électro-aimant 800 attire quand ce circuit est fermé mais comme on le sait les balais 821-825 n'avancent pas jusqu'à ce que l'électro-.a.imant ait relâché. 



  L'électro-aimant ne relâche pas jusqu'au moment où le relais 

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 802 relâche du fait   qu'il   est court-circuité par la fermeture du circuit d'alimentation de l'électro-aimant de commande 800 et que son circuit est coupé quand 1'électro-aimant 800 attire et ouvre ses contacts   interrupteurs.   



   Lorsque le relais 802 relâche le balai 821 mis à la terre est transféré de sa connexion directe à 1'électro-aimant de commande 800 à sa connexion normale à travers les contacts interrupteurs de   11 électro-aimant.   L'électro-aimant 800 re- lâche de ce fait et fait avancer d'un pas les balais 821-825, il ferme en même temps ses contacts interrupteurs pour permet- tre une avance automatique ultérieure des balais jusqu'à ce que le balai 821 rencontre un contact de test qui- n'est pas connecté à la terre ce qui indique que le chercheur est libre. 



   Quand le relais de commutation 802   relâche,,le   circuit de blocage de l'enroulement inférieur du relais de blocage 806 est coupé. Le relais 806 relâche après un temps très court ce qui permet aux relais 804 et  805   de relâcher quand leur circuit de blocage est ouvert aux contacts inférieurs intérieurs du relais 806. Le relais 808 est débloqué lui aussi aux con- tacts inférieurs du relais 802.

   Lorsque ces relais sont re- lâchés le distributeur D a accompli un cycle   complet   d'opéra- tions normales et est prêt a être remis en service pour con- trôler le fonctionnement du chercheur suivant qui sera sélec-   tionné,   puisqu'une terre est donnée de nouveau au contact 801 par l'intermédiaire du fil 831 à travers des contacts des re- lais 808, 806 et 804, de la sorte lé relais 801 peut contrôler de nouveau le relais 802 lorsque   l'occasion s'en   présentera. 



   Il peut se faire qu'un chercheur devienne défectueux, soit mécaniquement, soit électriquement, de telle sorte qu'il ne fonctionne plus convenablement pour rechercher la ligne appelante. Dans ce cas le démarreur à temps, composé des relais   806-808   fonctionne pour que le distributeur D sélectionne un 

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 autre chercheur qui part à la recherche de la ligne appelante. 



  Cette fonction sera expliqués ci-dessous: 
On se rappellera que les relais 806, 807 et 808 atti- rent successivement par suite de l'attraction du relais 802, que le relais 808 se bloque lorsqu'il a attiré et que lorsque le relais 807 relâche le contact lesté vibre et maintient le relais 806 attiré. Quand ce contact lesté vibre avec force le circuit de l'enroulement inférieur du relais 806 reste fermé presque continuellement, le relais 806 reste attiré du fait qu'il est retardé à la libération. Ce-pendant quand la vibration du contact lestés'atténue et si on suppose que le chercheur n'a pas trouvé la ligne appelante et n'a pas permis la libération du distributeur, le relais 806 relâche.

   A son contact inférieur intérieur le relais 806 supprime le positif des contacts lestés, en même temps il ouvre le circuit de blocage des relais 804 et 805 (si on admet que ces relais ont attiré). De même le relais 806 ferme le circuit de l'électro- aimant de commande 800 à son contact supérieur médian par l'intermédiaire du positif pris aux contacts du relais 802 à travers les contacts du relais 808. La fermeture de ce.cir- cuit court-circuite le relais 802. L'électro-aimant 800 attire maintenant pour préparer l'avancement des balais 821-825 en même temps que la déconnexion du relais 802 à ses contacts interrupteurs. Le relais 802 relâche, à son contact inférieur il ouvre le circuit du relais 808 et le circuit de 1'électro- aimant de commande 800. L'électro-aimant de commande 800 relâche et fait avancer d'un pas les balais 821-825.

   Puisque le relais   802   est relâché le balai   821.est   reconnecté, dans le circuit de recherche habituel, à l'électro-aimant 800, celui- ci fonctionne donc comme un ronfleur et   recerche   un chercheur libre, le relais 802 demeurant relâché jusqu'à ce qu'un cher- cheur libre soit trouvé. 

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   Quand le relais   808   relâche, la terre est reconnectée au contact du relais 801, il en résulte que le relais 802 peut attirer de nouveau dès que lesbalais   821-825   ont été associés à un autre chercheur libre. 



   Il faut remarquer que le démarreur à temps fonctionne pour permettre au distributeur D de recommencer son cycle d'opérations et pour avancer à tout moment si le relais de commutation 802 ne relâche pas de la manière habituelle, quand un relais de démarrage relâche (tel que le relais 602 du cher- cheur F1) et quand un positif de garde est appliqué au fil de test (tel que le fil 831), endéans le temps alloué au démar- reur pour qu'il entre en fonction. De cette façon, la sécurité de fonctionnement du système est grandement accrue et l'avance du distributeur D après l'établissement de chaque connexion à travers un chercheur est assurée d'une manière plus efficace. 



   Il peut arriver qu'un chercheur ne parvient pas à trouver la ligne appelante. Ceci peut se produire dans le cas où le balai 609 établit momentanément un contact défectueux avec la broche du banc, dans le cas où un des fils multiples connectés au banc vertical de test 600 est déconnecté ou bien quand l'appe- lant raccroche son récepteur après le départ du chercheur et avant   qu'il   soit arrivé sur les contacts de sa ligne. Le cher- cheur peut s'arrêter devant un quelconque des niveaux et tour- ner jusqu'au bout de celui-ci, ou bien il peut ne pas s'arrêter et monter jusqu'au dixième niveau.

   On observera que le con- tact du dixième niveau des chercheurs du banc 610 est connecté en permanence à la terre pour assurer que le balai 609 rencon- trera toujours un positif quand il atteindra la position ex-   trême   de sa course, Donc, quand le chercheur tourne dans un niveau et dépasse le dernier contact de son banc   les contacts 600   d'excédent se ferment. La fermeture de ces contacts,le relais 

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 de démarrage étant attiré a pour résultat d'appliquer un positif au fil de test 831 ce qui fait recommencer le cycle des opérations du distributeur comme il a.été dit ci-dessus, il avance donc jusqu'au chercheur libre suivant. Le chercheur fautif qui a été amené en position extrême est remis en posi- tion normale lorsqu'il est libéré par le distributeur. 



   La façon dont l'équipement .commun CEI est saisi sera expliqué ci-après. quand l'impulsion de mise en service est envoyée, comme il a été expliqué précédemment, vers le fil de sélection 625 numéro 1 individuel au connecteur de la   fig.   7 le relais de sélection 701 attire pour fermer son propre cir- cuit de blocage et pour appliquer au fil 625 une terre addi- tionnelle prise au fil 623. A son contact supérieur médian le relais 701 connecte le fil de garde 623 mis à la terre au fil 734 pour préparer le circuit de blocage de certains relais du connecteur, à son contact inférieur il déconnecte le relais de connexion 703' pour éviter toute attraction de ce relais en ce moment. 



   De plus aux contacts supérieurs intérieurs du' relais de sélection   701,   le circuit du relais   703   se ferme à travers des contacts des relais 702 et 702'. Le relais   703   attire et connecte les fils du câble Cl, qui s'étend entre l'unité d'équi- pement commun CE1 et les divers connecteurs locaux, au connec- teur local LOC ce qui rend l'unité CE1 d'équipement commun temporairement individuelle au connecteur local LOC. 



   Du fait de la connexion du fil 957 du câble CI à l'élec- tro-aimant de rotation 717 du connecteur local LOC le circuit du relais 908 de l'équipement commun CEI se' ferme à travers l'électro-aimant de rotation 717, le fil 757 et des contacts du relais 923. Le relais 908 attire dans ce circuit mais l'électro-aimant de rotation 717 n'attire pas par suite de la résistance élevée du relais 908.

   Le relais 908 place une terre 

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 sur le fil 930, ce qui ferrie le circuit du relais 901 à travers des contacts du relais 805 (dès que celui-ci relâche lors de la libération du distributeur), L'attraction du relais 901 est retardée, jusqu'à ce que le relais   805   relâche, dans le but d'éviter le transfert   prématuré   de la terre de "prise" du fil ±61 au fil 962 de la deuxième unité d'équipement commun. 



  Le relais 901 ferme son circuit de blocage à son contact in- férieur intérieur au fil 930, à son contact inférieur il sup- prime une polarité connectée à la borne inférieuredu relais 801, de telle sorte que lorsque les deux unités d'équipement commun sont en service le relais 801 ne peut provoquer le fonctionnement intempestif du distributeur. 



   Le relais 908 connecte également les fils de démarrage et de "prise" Il 931 et 932 du dispositif à temps T au dispositif à temps de réponse composé des relais 909-911. Le but de cette opération est de permettre aux relais   909-911   de i'onctionner en liaison avec le dispositif à temps T pour envoyer une alarme sur le fil 949 dans le cas où on ne répond pas à l'appel endéans une période de temps déterminée. Une discussion plus ample de cette fonction est donnée plus loin. 



   Lorsqu'il attire, le relais 908 ferme le circuit du relais 906, à son contact inférieur intérieur à travers des contacts du relais   907.   Le relais 906 de ce fait provoque l'attraction du relais   907.'   Le relais 907 attire et se bloque directement aux contacts inférieurs intérieurs du relais de démarrage 908, en même temps il déconnecte le relais 906 et lui permet de relâcher. Pendant le temps que le relais 906 est attiré, le fil supérieur de jonction du circuit OT1 est ouvert aux contacts du relais 906, cette ouverture, est seule- ment momentanée et se termine dès que les relais 906 et 907 ont fonctionné. L'interruption dans le fil supérieur du cir- cuit de jonction de commande est prévu pour donner une signalisa- tion à l'opératrice du bureau de contrôle A. 

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   On remarquera que les deux enroulements du relais 913, en série avec les enroulements du relais différentiel 912 et les enroulements gauches de la bobine translatrice 947 sont placés aux bornes des fils du circuit de jonction OT1 en série avec la batterie alimentant le bureau. On observera de plus que l'enroulement supérieur du relais de ligne 1003 de la fig, 12 est connecté aux bornes des fils du circuit de jonction OT1 au bureau A en série avec un élément de forte résistance, par l'intermédiaire de contacts des relais de connexion 1006 et 1006' et les enroulements droits de la bobine translatrice 1002. 



  Le relais 1003 est normalement attiré mais la valeur du courant circulant dans la ligne est limitée par l'enroulement du relais et l'élément de résistance de telle sorte que le relais de ligne 913 au bureau contrôlé à distance ne soit pas normalement attiré. Quand le fil supérieur du circuit de jonction de commande est momentanément interrompu par le fonctionnement du relais 906 de l'unité d'équipement commun le relais 1003 relâche momentanément et ferme le circuit du relais 1004. 



  Le relais 1004 se bloque'à la terre prise à travers des contacts du relais 1005 de telle sorte qu'il reste attiré lorsque le relais 1003 a attiré de nouveau à la fin de l'envoi du signal produit dans le bureau contrôlé à distance. 



   Lorsque le relais 1004 attire, à ses contacts supérieurs il ferme le circuit d'alimentation de la lampe 1007 pour attirer l'attention des opératrices des positions 1 et 2 au bureau A sur le fait qu'un appel a été émis sur le circuit de jonction OT1. 



  Une de ces opératrices est pourvue de l'équipement 1000, et du dispositif d'appel   1001,   l'autre possède l'équipement 1000' et le dispositif d'appel 1001'. La clef de réponse Kl est une clef à deux positions montée de manière à pouvoir être mano.euvrée par les deux opératrices, l'une quelconqued'entre elles pouvant manipuler cette clef pour répondre à un appel. quand   c'est   l'opératrice de la position 1 qui répond à l'appel 

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 la clef est abaissée vers la gauche, quand c'est l'opératrice de la position 2 qui répond la clef doit être abaissée vers la droite, Le relais 1006 attire dans le premier cas, le relais 1006' dans le second. 



   Si on suppose maintenant que l'opératrice de la position 1 répond à l'appel, le fonctionnement du relais 1006 a pour effet de déconnecter les fils du circuit de jonction OT1 de l'enroulement supérieur du relais 1003 et de l'élément de résistance et de les transférer aux contacts   d'impulsions   du dispositif d'appel 1001 de la position 1, de ce fait un pont de faible résistance est placé aux bornes des fils du circuit de jonction OT1 pour permettre la commande par le dispositif d'appel des appareils de commutation du bureau contrôlé à distance. De plus, les fils de l'équipement 1000 sont connectés au circuit de conversation comprenant la partie gauche de la bobine translatrice 1002, les contacts d'engage- ment du dispositif d'appel 1001 sont connectés aux fils de conversation.

   L'équipement d'opératrice lui permet donc de parler et d'émettre sur le circuit de jonction   OT1.   



   L'opératrice peut dès lors converser avec l'abonné appelant 500, la connexion étant établie à travers le circuit de jonction de commande par l'intermédiaire des   enroulements   de la bobine translatrice 947, les fils 951 et 952 du câble et des contacts du relais 703 jusqu'aux fils de conversation 621 et 622 du circuit de connexion. 



   ,uand les contacts d'impulsion du dispositif d'appel 1001 du bureau   A   sont connectés aux bornes des fils du circuit de jonction OT1 le relais 913 de l'équipement commun CE1 attire dans le circuit de jonction mais le relais différentiel 912 n'attire pas. Le relais 915 ferme le circuit du relais 914 qui connecte le fil commun   d'émission   934 au contact au repos du ressort du relais 913, ce qui prépare la transmission des im- 

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 pulsions vers le connecteur local. Le relais 914 fait attirer le relais 915 également, celui-ci à son tour fait attirer le relais 916. Les relais 915 et 916 préparent divers circuits qui seront décrits ultérieurement, le relais 916 place une terre sur le fil de blocage 935 pour préparer les circuits de blocage de certains relais. 



   Puisque c'est un poste appartenant à un ensemble de 10 postes groupés qui est appelé, le numéro se compose de chiffres de dizaines et d'unité indicatifs de la ligne désirée et d'un ou de deux chiffres de groupe indicatif du poste demandé dans le groupe. 



   Quand on émet au moyen du disque (non représenté) du dispositif d'appel 1001 le chiffre des dizaines du numéro deman- dé, les contacts d'engagement de ce disque shuntent les fils de 'conversation de l'équipement de l'opératrice, ils restent fermés jusqu'à ce que le dispositifd'appel ait atteint de nouveau sa position normale. Les ressorts d'impulsions du dispositif d'appel sont séparés momentanément un nombre de fois correspondant au chiffre qu'on veut émettre, ils envoient de la sorte le nombre d'impulsions voulu.' Cette manoeuvre se répète pour chacun des chiffres suivants. 



   Dans le bureau contrôlé à distance, le relais 913 re- lâche momentanément chaque fois que le circuit est ouvert aux contacts d'impulsions du dispositif d'appel, mais le relais   914,   retardé à la libération, reste attiré, A chacune des libérations momentanées le relais 913 envoie une impulsion à travers des contacts du relais 914 sur le fil commun d'impul- sions 934. Pendant l'envoi du chiffre des dizaines chacune de ces impulsions passe du fil 934 à travers les contacts du re- lais 923 et aboutit au fil d'impulsion 956 de l'électro-aimant d'ascension. Les impulsions passent ensuite à travers des contacts du relais 703 attiré du connecteur, elles agissent 

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 ensuite sur 1'électro-aimant d'ascension 716. 



   Par suite du fonctionnement de 1'électro-aimant d'as- cension 716 les balais 700 du connecteur sont élevés pas à pas   jusqu'à.   ce qu'ils viennent se placer en face du niveau désiré dans le banc de contacts.   uand   les balais du connec- teur abandonnent leur position normale, les ressorts d'arbre qui associés au fil de garde 624   interconnecte   le chercheur F1 et le connecteur LOC) connectent une terre supplémentaire au fil 624 pour qu'on soit assuré que le circuit de connexion sera préservé de toute prise par le distributeur de la fig. 8. 



  Les ressorts d'arbre 719 préparent le circuit de l'électro- aimant de libération   718;   les ressorts d'arbre 720 placent un positif sur le fil 725 pour faire démarrer le générateur qui doit envoyer le courant d'appel sur la ligne désirée. 



   Dans l'équipement commun CEI de la fig. 11, le relais 918 est un relais retardé au fonctionnement; il est connecté en permanence entre le fil commun d'impulsion 934 et le pôle négatif de la batterie. De plus l'enroulement supérieur du relais 919 est connecté en parallèle avec l'enroulement du relais 918. Il en résulte que ces deux relaie attirent lors de l'envoi de la première impulsion du train émis sur le fil 934. Le relais 918 ferme le circuit de blocage du relais 919 à travers son enroulement inférieur de manièreà maintenir ce relais attiré jusqu'à ce que le relais 918 relâche à la fin de l'envoi du train d'impulsions. Il est à remarquer que les relais 922 et 923 constituent une paire de relais de "comptage" qui attirent complètement à la fin de l'envoi du chiffre des dizaines.

   Lorsque le relais 919 attire, au début de l'envoi du chiffre des dizaines, il ferme le circuit du relais 922 à travers les contacts du relais 923. Le relai.s 922 attireet ferme son propre circuit de blocage à ses contacts inférieurs connectés au fil 933 rais à la terre à 

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 travers l'enroulement du relais 923. Le relais 923 n'attire pas en ce moment car il est court-circuité par le circuit initial d'alimentation du relais 922.

   Cependant quand le relais série 918 relâche, à la fin de l'envoi du chiffre des dizaines, ce qui permet au relais 919 de relâcher, le circuit initial   dblimentation   du relais 922 s'ouvre mais le relais 922 reste attiré par l'effet de son circuit de blocage qui passe à travers le relais 923, le relais 923 attire, Lorsque le relais 923 attire, il déconnecte les contacts de contrôle du relais 919 du point commun de son enroulement propre   et,   de celui du.relais 922 et il prépare leur connexion vers la paire suivante de relais de "comptage" (925 et 926). Le'relais 923 déconnecte également le fil commun d'impulsion 934 du fil d'ascension 956 et le transfère au fil de rotation 957 par l'intermédiaire des contacts du relais 924.

   Dans le but de. maintenir le relais 908 attiré, le relais 923 transfère le fil associé à ce relais du fil de rotation 957 qu fil d'ascension 956 car le fil d'ascension 956 a déjà été utilisé pour l'envoi des impulsions et le fil de rotation 957 va recevoir les im- pulsions suivantes, ce qui probablement provoquera la libéra-. tion du relais 908 lorsqu'il   seracourt-circuité,   Puisque aucune impulsion ne sera plus envoyée sur le fil vertical 956 pendant le cours de cet appel, le relais 908 peut rester con- necté au fil 956 jusqu'à ce que l'appel soit établi, ce fil reste sous le contrôle du relais 703. 



   Quand le chiffre des unités est émis, à chaque relâche- ment momentané du relais 913, in circuit se ferme à travers le fil 934 et des contacts du relais 903 pour aboutir au fil de rotation 957 par l'intermédiaire des contacts du relais 924 du chiffre des unités. Ces impulsions sont renvoyées à travers le fil 957 et des contacts du relais de connexion 703 vers l'électro-aimant de rotation   717.   L'électro-aimant de   rotation   

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 717 fait tourner les balais 700 du connecteur jusqu'au moment où ils atteignent les broches de la ligne appelée, dans le cas présent les broches 450 de la fig.4 ou les multiples de celles-ci car la ligne appelée est la ligne   TPL   à 10 postes groupés. 



   Les relais 918 et 919 attirent de nouveau pendant l'en.- voi des impulsions. Dans le but de tester la ligne appelée pour déterminer si elle est occupée ou libre, le relais 919 déconnecte le fil de test 960 de l'enroulement inférieur du relais 921 et le connecte à l'enroulement inférieur du relais 917 de test d'occupation. Il en résulte que le relais 917 attire chaque fois que le balai de test (balaiC) du groupe des balais 700 du connecteur LOC passe sur un contact de test mis à la terre. Dans le cas où la ligne appelée est occupée, le relais 917 est attiré lorsque les balais viennent s'engager sur les broches 450 puisque la borne C de ce groupe est mise à la terre. Dans ces conditions le relais 921 ne peut pas attirer et la connexion ne peut pas s'établir ainsi qu'on le montrera en détail ci-après. 



   Si on suppose que la ligne appelée est libre au moment où on appelle, le relais 917 n'est pas attiré quand les balais 700 du connecteur s'engagent sur les broches 450. Dans ces conditions le relais 921 attire dans le circuit qui passe à travers l'enroulement inférieur du relais 921, le fil 935, les contacts des relais 919 et 921 pour aboutir au fil 960. Ce circuit est prolongé à travers des contacts du relais 703, des contacts'du relais   704,   le balai   700C   et le balai   450C   jusqu'au négatif de la batterie alimentant le bureau en em- pruntant le circuit du relais de coupure (non représenté) du circuit de ligne LC2.

   Le relais de coupure de la ligne appelée attire dans ce circuit en série avec le relais 921, il permet de sonner la ligne appelée et d'établir le circuit de conver- sation. 

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   Dans l'équipement CEI le relais 921 ferme son circuit de blocage à travers son enroulement supérieur au fil 935, à son contact inférieur intérieur il transfère le fil 960 du circuit de test au fil 955, ce qui assure le maintien d'une terre sur le fil 960 pendant l'envoi du train d'impulsions de sélection du poste groupé et procure une terre plus directe que celle qui existait précédemment et qui était donnée à travers l'enroulement inférieur du relais 921. A son arma- ture supérieure le relais 921 déconnecte le fil 954 et connecte le fil 955 pour une raison qui sera expliquée plus tard, L'en- roulement du relais 924 est alimenté en parallèle avec lten- roulement supérieur du relais 921 pour transférer le fil 934 du fil 957 au fil 958. 



   Il est nécessaire de décrire plus complètement la sélection par code de manière que les caractéristiques spéciales puissent être mieux appréciées dans le cours du présent exposé. 



  Dans un système qui donne la possibilité de connecter 10 postes sur une même ligne, la disposition habituelle est de prévoir un sélecteur de postes groupés tel que le sélecteur PSI de la fig. 8; Par l'émission d'un seul chiffre de sélection, le sélecteur de code peut prendre une des 10 positions désirées. 



  Il est à remarquer que le sélecteur PSI de postes groupés possède 10 positions de travail qui correspondent aux 10 groupes de contacts représentés. Les quatre derniers groupes de contacts dans le banc des balais   741   et 742 sont utilisés pour grouper quatre postes à sélection complète, ce qui laisse seulement six groupes disponibles pour le code de la sélection des 10 postes. Cette difficulté a été surmontée en utilisant les groupes de contacts 2 à 6 du balai   741 qui   sont employés pour envoyer les codes de signalisation des cinq premiers postes groupés sur la ligne, les groupes de contacts 2 à 6 du banc du balai 742 étant utilisés pour l'envoi du code de 

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 sonnerie vers les cinq postes restants.

   Lorsqu'il s'agit d'envoyer le courant d'appel vers l'un quelconque des cinq premiers postes on utilise un des chiffres de 2 à 6 pour sélectionner le fil voulu dans le groupe des fils 746 aboutis- sant au générateur, mais lorsqu'il s'agit d'envoyer le courant de sonnerie vers l'un des cinq postes restants il est néces- saire de provoquer une commutation pour substituer le balai 742 au balai   741.   Ceci s'effectue en émettant le chiffre 1 comme chiffre préliminaire de la sélection d'un quelconque- des cinq derniers postes groupés sur la   ligne,

   à   la suite de quoi un des chiffres de sélection compris entre 1 et G est émis pour faireavancer les balais du sélecteur et pour amener contacts de le balai 741 au contact d'un quelconque des groupes de/2 à 6 et de ce fait mettre en circuit l'un quelconque des fils 742 du générateur de code, 
Pour montrer tous les avantages   du   mode opératoire préconisée on supposera qu'on désire   appeler   le dixième poste groupé sur la ligne, la partie du numéro de ce poste   destinée   à effectuer la sélection dans le groupe est composée des chiffres 1 et 5, elle suit les chiffres des dizaines et des unités qui effectuent la sélection de la ligne elle-même. 



  S'il en est ainsi, l'opératrice émet les chiffres 1 et 5 après avoir émis les chiffres des dizaines et des unités. 



     Reven'ant   à la description détaillée du fonctionnement, de on peut voir que lorsque l'opératrice émet le chiffre 1   /sélec-   tion dans le groupe, après avoir émis le chiffre des unités, une impulsion est envoyée par le relais 913 sur le fil commun d'impulsion 934. Cette impulsion est transmise à travers les contacts des relais 923, 924, 926 et 928 jusqu'au fil 958 de   commande   du sélecteur de postes groupés, Cette impulsion passe à travers les contacts du relais 703 et aboutit à l'électro-aimant de commande 743du sélecteur PS1. Lorsque 

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 l'électro-aimant 743 fonctionne, les balais 741 et 742 avancent d'un pas pour préparer le circuit qui recevra le chiffre suivant de sélection de postes groupés. 



   Quand le balai 742 s'arrête sur le premier groupe des contacts et qu'il les ponte donc, un circuit série est préparé pour le relais 713 et le relais 920 (de l'équipement commun CEl) à travers le fil pilote   959,   mais ce circuit reste ouvert jus- qu'à ce que le relais 918 relâche à la fin de l'envoi du chiffre dans le but d'éviter que les relais 713 et 920 attirent quand un chiffre de valeur plus élevée est émis comme premier chiffre de sélection du poste groupé. 



   Quand le relais 918 relâche, les relais 713 et 920 attirent. Le relais 920 attire immédiatement dans ce circuit mais l'attraction du relais 713 est quelque peu retardée du fait de sa caractéristique spéciale. Lorsque le relais 920 attire, il ferme son circuit de blocage à ses contacts inférieurs intérieurs connectés au fil 935, il shunte les contacts supérieur du relais 926 pour éviter que celui-ci ouvre le circuit d'impul- sion passant par le fil.958 et aboutissant à l'électro-aimant de commande du sélecteur de postes groupés comme il le ferait s'il n'en était pas ainsi. 



   Les relais 923 et 924 des   chiffrescdes   dizaines et d'unités étant attirés, l'attraction du relais 919,   comas 11   a      été dit ci-dessus, a pour résultat de faire attirer et bloquer le relais 929 au début de l'envoi du premier chiffre de sélection du poste groupé, et la libération du relais 919 à la fin de l'envoi de ce chiffre a pour effet de faire attirer le relais 926 dans le circuit de blocage du relais 925. 



   Dans le connecteur LOC, le relais 713 attire pour faire attirer le relais 920, il ferme son circuit de blocage au fil 734 Le relais 713 transfère également le fil du générateur 754 des contacts 2 à 6 du balai 741 aux contacts 2 à 6 du balai 742 ce qui prépare l'envoi du courant d'appel vers l'un des postes du deuxième groupe de cinq connecté sur la ligne 

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 appelée au lieu de l'envoyer vers l'un des postes du premier groupe de cinq. 



   Quand le deuxième chiffre de sélection du poste groupé   (qu'on-   suppose être le chiffre 5) est émis, les cinq impulsions sont transmises par le relais 913 sur le fil   958.'   Ces impul- sions passent à travers les contacts des relais 923, 924 et 923 et à travers les contacts du relais au repos 928. L'électro de   commande   743 reçoit donc cinq impulsions   supplémentaires.   



  Il fait avancer les balais   741   et   742   de la première position jusqu'à la sixième. 



   Quand le relais 919 attire au début de l'envoi du deuxième chiffre de sélection des postes groupés, il ferme le circuit du relais 927 à travers des contacts des relais attirés 923, 924 et 926 et à travers des contacts du relais 928. Le relais 927 attire et ferme son propre circuit de blocage en série avec le relais 928. Il en résulte que le relais 928 attire en série avec le relais   927   quand le circuit initial d'alimentation du relais 927 est ouvert au   moment   où le relais 919 relâche à la fin de l'émission du deuxième chiffre de sélection du poste groupé. 



   Le relais 928 ouvre finalement lecircuit d'alimentation du relais de   Il comptage   à ses contacts supérieurs intérieurs et à ses contacts supérieurs il ouvre le circuitd'alimentation qui emprunte le fil 958. 



   Lorsque l'opératrice du bureau A a émis le numéro de- mandé, elleramène la clef K1 de la fig. 12 en position nor- male ce qui permet au relais 1006 de relâcher etde   dégager   l'équipement 1000 et 1001 du circuitde jonction OT1, Le relais   1006   place de nouveau l'enroulement   supérieur   du relais de ligne 1003 aux bornes des fils supérieurs du   circuit  de jonction, ce relais attire de nouveau dans le circuit de jonc- tion en série avec le relais de ligne du bureau   éloigné   et 

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 déconnecte le relais de signalisation 1004 avant que le relais 1005 puisse relâcher et faire attirer le relais.1004 à travers les contacts du relais 1003.

   La libération du relais 1005 est retardée momentanément du fait qutun courant passe à travers l'enroulement du relais et à travers larésistance-shunt pour donner au relais 1003 le temps de déconnecter le relais 1004, 
Dans le bureau contrôlé à distance, le relais 913 de l'unité CE1 de l'équipement commun revient au repos et reste relâché quand le relais 1001 est libéré, car le courant qui circule à travers l'enroulement supérieur du relais 1003 et de la résistance qui lui est associée est insuffisant pour maintenir le relais 913 attiré, 
Le relais 913 envoie une impulsion, sur le fil commun   d'impulsion   934, vers les relais 918 et 919 mais cette im- pulsion n'a aucun effet sur le connecteur local car le circuit d'impulsion est ouvert aux contacts supérieurs du relais 928. 



   Les relais 914, 915 et 916 relâchent maintenant à de courts intervalles successifs., chacun d'eux restant retardé à la libération. Le relais 914 coupe l'impulsion envoyée sur le fil 934 et permet aux relais 918 et 919 de relâcher. 



  Le positif est maintenu sur le fil de blocage 905 jusqu'à ce que le relais 916 relâche. Lorsque le relais 915 relâche, le circuit du relais 712 se ferme à travers'des contacts du re- lais 915 et du relais 916 alors qu'il est toujours attiré, des contacts non attirés du relais   917,   des contacts attirés du relais 955 et des contacts du relais   703.   



   Le relais 702 attire et se bloque en multiple avec l'enroulement du relais 701 à travers les contacts supérieurs intérieurs du relais 701 au fil 623 de garde mis à la terre. 



  Le relais de connexion 703 est déconnecté par les contacts normalement fermés commandés par les ressorts inférieurs      

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 intérieurs du relais 703, il relâche donc et sépare le   connec-   teur local de l'unité CE1 de l'équipement commun. 



   Dans l'équipement commun   CEI le   relais   :'08 qui   a été maintenu attiré, à travers le fil 936, puisque le relais 923 a   attiré à   la fin du chiffre des dizaines, relâche au moment de la libération du relais 703. De ce fait le relais 908 ouvre les circuits de blocage des relais 907 et 909 et permet la libération de ceux-ci, 
Le relais lent au fonctionnement 916 relâche peu après et supprime la terre du fil 955 ce qui permet aux relais qui ont été bloqués dans la fig.

   11 de relâcher, Les relais 916 et 908 étant relâchés, un positif est supprimé du fil 930 pour permettre au relais 901 de relâcher à moins qu'un nouvel appel ne soit arrivé entretemps et que les opérations qui s'en suivent se soient effectuées jusqu'au moment où le relais 805 a attiré, dans ce cas l'équipement commun CE2 a été sélec- tionné et le relais 805 maintient le fil 930 mis à la terre pour que le relais 901 reste attiré à travers ses contacts inférieurs intérieurs jusqu'à ce que le distributeur D ait effectué son cycle d'opération. 



   Dans tous les cas le relais 901 relâche quand le fil 930 n'est finalement plus connecté à la terre. Lorsque ceci se produit il prépare de nouveau la transmission de   l'impul-   sion "de prise"   suivants   par l'intermédiaire du fil 952 associé à l'équipement CE2 au lieu du fil 961 associé à l'équipement commun CE1. 



   Quand le relais 702 attire, comme il a été décrit ci- dessus, il connecte le fil 735 au relais 711 à travers les contacts du relais d'occupation 704 et les ressorts d'arbre 724 du niveau "O". En même temps le relais 702 place une terre sur le fil 756 par l'intermédiaire des contacts des relais 70 et 710 dans le but de faire démarrer l'interrupteur 

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 de sonnerie et l'appareil générateur du code. Le générateur du courant d'appel lui-même ayant démarré par l'action du fil de démarrage 727 lorsque les ressorts d'arbre 720 ont été ac- tionnés. 



   Dès que le fil 735 a été mis à la terre, le relais 711 qui sert de relais de prise et de commutation (relais de con- nexion du balai) attire dans le circuit qui comprend le fil 735, il ferme son circuit propre de démarrage au fil 734 et en même temps ouvre le circuit du fil 735. Le relais 711 connecte les balais négatif et positif du groupe 700 et prépare le circuit d'envoi du courant d'appel et le circuit de conver- sation, il établit également le circuit d'appel à ses contacts supérieurs intérieurs, à travers des contacts du relais attiré 713 et les contacts du balai 742 en sixième position.

   Il en résulte qu'un courant d'appel suivant un code déterminé est reçu sur le fil 747 du générateur de code, ce code consiste en un coup long suivi de cinq coups brefs, ce courant d'appel passe à travers les contacts de la sixième position du balai 742, les contacts des relais attirés 713 et 711, l'enrou- lement supérieur du relais   710,   les contacts du relais biaisé 714, les contacts du relais 715, les contacts supérieurs des relais 710 et   711,   le balai négatif 700 et le groupe 450 des bornes correspondantes pour aboutir au fil négatif de la ligne TPL à 10 postes groupés.

   Le courant d'appel passe à travers la sonnerie du poste 400 et dans chacune des neuf autres sonneries branchées sur la ligne, (en admettant que la ligne TPL est complètement équipée), il retourne vers la terre à travers le fil positif de la ligne et la borne posi- tive du groupe 450, le balai positif '700, les contacts des relais 711 et 710, les contacts supérieurs du relais 715. 



  Le courant d'appel est superposé à-la polarité négative de la batterie qui alimente le bureau, comme il est normal de le faire. 

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   Quand l'abonné appelé du poste 400 répond, la ferme- ture du pont en courant continu placé sur les   fils   de sa ligne permet au relais 710 d'attirer. A son contact inférieur intérieur le relais 710 ferme son propre circuit de blocage à travers son enroulement inférieur en empruntant le fil 734. 



  Le relais 710 ouvre également le circuit d'envoi du courant d'appel et ferme le circuit de conversation à ses contacts supérieurs intérieurs. De plus, le relais 710 supprime le positif du fil 736 pour éviter tout fonctionnement inutile de l'interrupteur du courant de   soierie.   



   L'impédance 709 fournit le courant nécessaire à la conversation au poste appelé par l'intermédiaire des contacts du relais de sélection opéré   701.   



   Les abonnés appelant et appelé peuvent maintenant con-, verser entre eux, comme ils le désirent. 



   Pendant que le courant d'appel est envoyé vers la ligne appelée, l'abonné appelant reçoit une information de ce que la   communication   a été établie correctement en ce sens qu'il reçoit un écho de l'envoi du courant de sonnerie à travers les condensateurs de faible capacité 731 et 732 inter- calés entre le circuit d'appel et les fils de conversation entrant 621 et 622.   uand   la conversation est terminée et que les abonnés ont raccroché leur récepteur, l'interruption du circuit du relais 701 du connecteur local a pour effet de faire relâcher les relais 706 et   707.   Le relais   702   étant attiré et bloqué au fil 623, la libération du relais 707 a pour effet de suppri- mer le positif du fil de blocage 723.

   Ceci ouvre le circuit de blocage du relais 702 qui relâche et applique de nouveau une terre au fil 623, mais la connexion d'une'terre à ce fil est retardée quelque peu du fait des caractéristiques du relais 702 qui est retardé à la libération. Les relais 701, 

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 710, 711 et, 713 relâchent lorsque le connecteur revient au repos. De plus, et pendant cet intervalle, un positif est supprimé du fil de garde 623. Le relais 601 du chercheur relâche comme le fait le relais 302 du circuit de ligne LC1. 



   Le relais de coupure du circuit de ligne LC2 relâche et la polarité de garde est supprimée du fil C de la ligne appelée quand le balai 700C du connecteur local LOC n'est plus connecté à la terre au moment de la libération.du re- lais 702. 



   Le connecteur local est ramené en.position normale quand 1'électro-aimant de libération   718   attire à travers les ressorts d'arbre 719 quand le relais 701 relâche. Le circuit de l'électro-aimant de libération est ouvert aux ressorts d'arbre 719 quand le connecteur revient en position de repos. Le selecteur PS1 des postes groupés est libéré par le fonctionnement de l'électro-aimant de libération 744 à travers les ressorts d'arbre 745. 



   Dans le chercheur Fl les balais 600 sont déconnectés lorsque le relais 601 relâche. De   plus, .le   circuit de l'é- lectro-aimant de libération 605,se ferme à travers les contacts du relais 601, les ressorts d'arbre 606 et des contacts du relais 602. L'électro-aimant 605 attire de ce fait pour ramener le chercheur Fl en position normale. De ce fait le circuit de l'électro-aimant de libération est ouvert.aux ressorts d'arbre 606. 



   Quand le connecteur local LOC est revenu en position normale, le positif est supprimé en un point du.fil de garde 624 par les ressorts d'arbre du connecteur et de plus la terre est supprimée définitivement du fil de garde 624 quand les ressorts d'arbre 607 du chercheur Fl sont revenus en position de repos, comme il est représenté au plan, La terre est dès lors supprimée du fil de test   851.   



  Dans le but d'expliquer les opérations qui s'effectuent 

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 quand une ligne est appelée alors qu'elle est déjà en con- versation, on supposera que la ligne TPL à 10 postes groupés de la fig. 4 est occupée quand l'abonné du poste 300 de la ligne EPL émet un appel vers l'abonné du poste 400 raccordé à la ligne TPL, comme il a été dit ci-dessus. Dans ce cas les opérations s'effectuent   comme   il a été décrit précédemment jusqu'à ce que le chiffre des unités soit émis par l'opéra- trice et que les impulsions de ce chiffre, reçues par l'électro- aimant de rotation 717 du connecteur local, provoquent la rota- tion des balais 700 qui viennent s'engager sur les bornes 450 associées à la ligne occupée TPL.

   A ce moment, la terre, connectée à la broche 0 du groupe 450 et les multiples de celle-ci, est rencontrée par le balai   7000   du connecteur local: elle se prolonge donc par l'intermédiaire des contacts du relais d'occupation 704, des contacts du relais 703 et du fil de test 760 jusqu'à l'équipement commun CEl; à partir du fil de test 960, cette terre se prolonge à travers les con- tacts du relais 961 jusqu'aux contacts inférieurs intérieurs du   rolais   919. On se rappellera que les relais 918 et 919 sont maintenus attirés pendant l'envoi des impulsions. Il en   ré-   sulte que la terre rencontrée est prolongée à travers les contacts inférieurs intérieurs du relais 919 jusqu'à l'enrou- lement inférieur du relais 917.

   Le relais 917 attire donc pour préparer son circuit de blocage propre à son armature inférieure; ce circuit emprunte le fil 935 et les contacts normalement fermés contrôlés par le ressort inférieur intérieur du   r@lais   919 quand celui-ci relâche à la fin de l'envoi du chiffre des unités, Le relais 917 prépare également un cir- cuit spécial de blocage en utilisant son enroulement supérieur; il prépare l'émission d'une impulsion sur le fil 935, il pré- pare l'émission d'une impulsion sur le fil 953;

   à son contact su érieur, il établit une connexion du fil   commun   936 de la 

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 tonalité d'occupation à travers le condensateur limitant le courant jusqu'au fil inférieur du circuit de jonction ce qui permet à l'opératrice d'entendre la tonalité d'occupation qui est induite à travers les enroulements de la bobine trans- latrice   947,   de telle sorte qu'elle puisse être entendue égale- ment par l'abonné appelant. De plus, l'enroulement inférieur du relais 924 est alimenté en multiple avec l'enroulement in- férieur 917 à travers.les contacts inférieurs du relais 919 pour déconnecter le fil 957 et prévenir toute avance ultérieure des balais 700 quand l'opératrice libère l'unité d'équipement commun.

   A ses contacts inférieurs le relais   924   se bloque lui-même à l'enroulement du relais   917   en shuntant les contacts inférieurs du relais 919. 



   Quand l'opératrice replace sa clé en position de repos, comme on l'a dit ci-dessus pour libérer l'équipement commun, la libération des relais 913 à 916 et le déblocage et la libé- ration des autres relais de l'unité CEI d'équipement commun s'effectue en principe comme il a été décrit ci-dessus. Quand le relais 913 relâche, il ferme le circuit de blocage qui a été préparé à travers l'enroulement supérieur du relais 917, les contacts   du' relais   916 pour maintenir le relais 917 attiré indépendamment de l'existence d'une terre sur le fil de test de la ligne appelée, après que le relais 919 a répondu à l'action d'une impulsion donnée au moment de la libération du relais 913.

   A la libération du relais   914,   une impulsion est envoyée à travers des contacts du relais 917 et à travers le fil 953 jusqu'au relais 704 du connecteur local. Le relais 704 attire et ferme son circuit de blocage propre au fil 623. 



   Un moment après, c'est à dire après qu'un temps suf- fisant a été alloué au relais 704 pour attirer et pour fermer son circuit de blocage, le   relai's   915 relâche et ouvre le 

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 circuit initial d'alimentation du relais 704 à son contact supérieur, à son contact supérieur intérieur il ferme le cir- cuit du relais 702 à travers des contacts du relais 916. Ce circuit emprunte le fil 955 comme décrit ci-dessus sauf qu'il comprend maintenant le contact fermé du relais 917 au lieu du contact fermé du relais 921. Le relais   702   attire et comme il a été décrit ci-dessus amène la libération du relais 703 qui dégage l'unité CE1 d'équipement commun du connecteur local. 



  Un moment après, le relais 916 relâche. Cette dernière opéra- tion ainsi que la libération du restant des relais de l'unité CEI complète la mise au repos de l'unité ainsi qu'il a été décrit précédemment. Dans le connecteur local LOC, le relais   702   étant attiré, le maintien d'une terre sur le fil 623 est   placé sous le contrôle des contacts du relais 707 ; lesfils   735 et 736 restent déconnectés aux contacts du relais 704. 



  Le fil 726 de la tonalité d'occupation 'est déconnecté au fil supérieur de conversation 621 aux contacts supérieurs du relais d'occupation 704 par l'intermédiaire du condensateur 727 limi- tant le courant, et un circuit de retour vers la terre est donné à travers le fil inférieur de conversation 622, des con- tacts du relais 704 et le condensateur. Il est à noter que la terre ne peut pas être appliquée par l'intermédiaire du balai 700C au fil C de la ligne appelée par suite de l'attraction du relais 702, car le circuit qui aboutit au balai 700C est interrompu par les contacts normalement fermés du relais 704. 



   Quand l'abonné appelant est informé de ce que son correspondant est occupé, par l'envoi de la tonalité d'occupa- tion comme il a été indiqué précédemment, il raccroche son récepteur, le relais 706 relâche et provoque.la libération du relais 707 de telle sorte que le circuit de connexion et le circuit de la ligne appelante sont libérés comme il a été décrit ci-dessus. 

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   Le système qui est exposé ici est prévu pour qu'un abonné quelconque puisse être desservi par chacune des lignes d'un groupe de deux ou plusieurs lignes multiples. Bien qu'il soit plus courant que le service des lignes multiples soit donné par l'intermédiaire de lignes individuelles ou au moins par l'intermédiaire de lignes auxquelles un très petit nombre de postes sont connectés, les dispositions du circuit sont telles qu'il est possible de donner le service des lignes mul- tiples à des lignes à postes groupés et un quelconque de ceux-ci quel que soit le code d'appel utilisé dans le cas où une autre ligne est disponible pour la connexion vers le poste de l'abonné. 



  Le cas le plus compliqué qui puisse se présenter pour le circuit des unités d'équipement commun se rapporte au service à lignes multiples lorsque le code assigné est un code à deux chiffres nécessaire pour la sélection du poste dans le groupe; c'est ce cas qui est décrit ci-après. Dans ce but, on suppose que l'abonné du poste 400 dans le groupe dispose du service par lignes mul- tiples et qu'une deuxième ligne se dirige du bureau central vers son poste et qu'un poste est connecté à cette ligne. Il est nécessaire que le même code soit.utilisé pour sonner, sur chacune des lignes, l'abonné ayant le service par lignes mul- tiples. De plus, il est essentiel que les deux lignes puissent être atteintes du même niveau des connecteurs et il est de plus préférable qu'elles puissent-être connectées à des broches voisines dans le banc du connecteur.

   On supposera que la deuxième ligne de l'abonné est connectée au groupe des broches qui suit du connecteur immédiatement dans le banc/le groupe des broches 450 auquel est reliée la ligne TPL. Pour les besoins de la description, on supposera que l'abonné du poste 300 émet un appel et qu'il de- mande à l'opératrice d'être relié au poste 400; quand l'opéra-   triae   a appelé ce numéro et que la ligne TPL est trouvée occupée, au moment, où les balais 700 du connecteur LOC arrivent sur   celle-ci,   

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 le test étant effectué avant l'émission de la partie du numéro effectuant la sélection du poste dans le groupe.

   On se rappelera que ceci résulte du fait que le relais 917 a attiré à travers des contacts du relais 919 à la fin de l'envoi du deuxième chiffre et du fait de la fermeture du circuit de blocage local passant par l'enroulement inférieur du relais 917 quand le relais 919 relâche à la fin de l'émission du deuxième chiffre ou chiffre des unités. 



  On rappelera également que la tonalité d'occupation est appliquée aux contacts supérieurs du relais 917 sur les fils de conversation de telle sorte que cette tonalité puisse être entendue par l'abon- né appelant et par l'opératrice. Quand l'abonné apelé possède le service par lignes multiples, l'opératrice ne rétablit pas immé- diatement la clef en position normale pour permettre le relâchement de la connexion, comme il a été décrit précédemment. Au contraire, elle émet la partie du numéro dtappel qui se rapporte à la sélec- tion dans le groupe bien qu'elle entende la tonalité d'occupation. 



  Elle émet ensuite un chiffre 1 additionnel pour provoquer l'avan- cement des balais du connecteur sur la ligne suivante. On rappele- ra que l'enroulement inférieur du relais   924   est alimenté en multiple avec l'enroulement inférieur du relais 917 quand le relais 919 relâche et qu'il connecte le fil 934 au fil 958, ce qui provoque la transmission du premier chiffre de sélection 1 vers l'électro de commande 743 du sélecteur PSI, et l'avancement des balais 741 et 742. Le relais   924   reste attiré, en parallèle avec l'enroulement inférieur du relais 917, à travers ses con- tacts inférieurs. 



   Le circuit de l'enroulement inférieur du relais 924 est ouvert par suite de l'attraction du relais 926 à la fin de l'envoi de la première impulsion de sélection dans le groupe mais le relais reste attiré puisque dans le cas présent le premier chiffre de sélection dans le groupe est le chiffre 1 et que, par conséquent, le relais 920 a attiré pour shunter les contacts du 

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 relais 926.   L'enroulement   inférieur du relais 924 est ouvert par suite de l'attraction du relais 928 à la fin de l'envoi du deuxième chiffre de sélection dans le groupe, de telle sorte que le relais   924   relâche et transfère de nouveau le fil de oommande 934 au fil 957. 



   Il en résulte que lorsque l'opératrice émet un nouveau chiffre spécial 1, l'impulsion qu'elle envoie est transmise du fil commun d'impulsion 934 à travers le fil 957 jusqu'à l'électro-aimant de rotation 717 du connecteur local LOO. 



  Celui-ci provoque l'avancement d'un pas des balais 7000 qui s'engagent sur la broche à laquelle aboutit la ligne suivante. 



  Les opérations qui suivent dépendent maintenant du fait que la ligne est occupée ou libre. Si cette ligne est occupée, le relais 917 de l'unité d'équipement commun reste attiré et la tonalité d'occupation continue à être envoyée sur la ligne, Dans le cas où l'abonné appelé possède une troisième ligne, l'opératrice peut émettre une fois encore le chiffre spécial 1 pour provoquer l'avancement des balais du connecteur sur la troisième ligne dont le test est effectué. Ces manoeuvres peuvent se poursuivre jusqu'à ce que le test de tous les contacts du banc de ce niveau ait été effectué si cela est nécessaire. 



   Pour les besoins de la description, on supposera main- tenant que la ligne suivante est libre au lieu d'être occupée comme dit ci-dessus. Dans ces conditions, quand le relais 919 attire de nouveau au moment de l'envoi du chiffre spécial 1 et qu'il déconnecté l'enroulement inférieur du relais 917 du circuit local de blocage et qu'il reconnecte cet enroulement au balai 7000, le relais 917 relâche ce qui ouvre en un autre point le circuit local de blocage. Quand le relais 919 relâche, l'enroulement inférieur du relais 921 est alimenté à travers le fil de test 960 et par l'intermédiaire du balai 7000 en série avea le relais de coupure de la ligne-appelée.

   Le relais 

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 921 ferme son circuit de blocage au fil 935 et à travers son enroulement supérieur, il prépare l'émission d'une impulsion sur le fil 955 et il shunte son enroulement inférieur et les contacts du relais 919 en connectant le fil 935 mis à la terre au fil 960, ce qui empêche la coupure de la connexion quand le relais 919 opère de nouveau. 



   En ce point le fonctionnement est identique à celui qui a été décrit précédemment, l'équipement commun CE1 est libéré quand l'opératrice replace la clef de réponse K1. en position de repos, le connecteur local LOC envoie le courant d'appel vers le poste demandé sur la ligne appelée et complète le circuit de conversation quand l'abonné appelé répond. 



   Dans le but d'expliquer comment les appels sont établis vers les lignes à quatre postes groupés, telle que la ligne FPL de la fig. 3, et   comment   le poste demandé est sonné à l'exclu- sion des trois autres postes groupés sur la ligne, on supposera que l'abonné du poste 400 de la ligne TPL, à 10 postes groupés, désire se mettre en relation avec l'abonné du poste 300 de la ligne à quatre postes groupés FPL, on devra comprendre en effet que lorsque la ligne TPL à quatre postes groupés est complète- ment équipée, deux des sonneries sont connectées entre un fil et la terre et que les deux autres sonneries sont connectées entre l'autre fil et la terre, les deux sonneries connectées entre chacun des conducteurs et la terre sont biaisées en sens inverse.

   On doit comprendre de plus que la disposition habitu- elle est utilisée aux postes, c'est à dire qu'il y a un relais à chaque poste ponté sur les fils de ligne en série avec un condensateur pour qu'il attire lorsqu'on envoie le courant alternatif pour connecter la sonnerie qui lui est associée entre la terre et le fil de la ligne qui a été choisie, de telle sorte qu'il n'y a normalement aucun courant continu qui passe à travers 

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 les sonneries. De préférence on prend des sonneries de résis- tance élevée ou bien on connecte en série avec celles-ci une résistance relativement forte pour limiter la valeur du courant continu pendant la période de renvoi du courant d'appel et pour permettre d'obtenir un courant plus fort pour faire attirer le relais de coupure d'appel quand l'abonné appelé répond. 



   On supposera que lorsque l'abonné du poste 400 décroche son récepteur le ohercheur Fl est celui qui a été présélectionné par le distributeur D et que l'équipement commun CE1 est libre et qu'il est par conséquent mis en service par le connecteur local LOC quand le chercheur Fl recherche le circuit de ligne LC2 de la fig. 4 d'une manière identique à celle qui a été décrite ci-dessus. 



   Quand l'opératrice répond et que le numéro demandé lui est communiqué, elle émet les chiffres de ce numéro, ce qui provoque en premier lieu l'amenée d'un des balais 700 du connecteur local LOC en face du niveau désiré et ensuite la rotation de ces balais jusqu'à ce qu'ils s'engagent sur les broches 350 ou les multiples de celles-ci, l'opératrice émet ensuite le dernier chiffre qui est le chiffre de sélection du poste dans le groupe et elle libère ensuite son équipement pour permettre à l'unité CE1 d'équipement de revenir en position de repos. 



   Si on suppose que l'abonné du poste 300 est le premier du groupe de la ligne à quatre postes groupés, le ohiffre de séleotion dans le groupe assigné à ce poste sera le ohiffre 7. 



  De ce fait, les balais 741 et 742 sont amenés sur le 'septième. groupe des contacts par le fonctionnement de l'électro 742 à la suite de l'envoi des impulsions du chiffre de sélection du poste dans le groupe. Les contacts de la septième position du balai 741 ne sont pas connectés, mais le balai   743 dans     eette   position 

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 ponte les contacts ce qui ferme le circuit du relais 714. Ce relais étant attiré, la borne supérieure de l'enroulement supérieur du relais 710 est déconnectée du balai négatif 700 et est transférée sur le fil 733 qui est le positif du géné- rateur.

   De plus, une connexion est préparée de la borne in- férieure de l'enroulement supérieur du relais 710 vers le balai négatif 700 aux contacts du relais 714 ce qui prépare la transmission du courant de sonnerie sur le fil négatif de la ligne appelée à travers l'enroulement supérieur du relais 710. Il en résulte, si on suppose que la ligne appelée est libre lorsque l'unité de l'équipement commun est libérée que le relais 711 attire pendant un certain temps pour établir le circuit d'envoi du courant d'appel.

   Chaque fois que l'interrup- teur du courant d'appel (non représenté) applique un positif superposé au courant d'appel sur le fil 733, ce courant circule à travers un des contacts du relais 714, l'enroulement supérieur du relais 710, des contacts du relais 711, des contacts additionnels du relais 714, des contacts du relais 715, des contacts supérieurs du relais 710 et des contacts du relais 711 pour aboutir au fil négatif de la ligne   FPL   par l'intermédiaire du balai négatif 700. 



  La sonnerie biaisée au poste 300 est donc alimentée entre le fil négatif de la ligne et la terre. 



   Le courant qui circule dans l'enroulement supérieur du relais 710 pendant l'appel est insuffisant pour provoquer l'attraction du relais car celui-ci est réglé spécialement pour ne pas attirer sous un courant de la valeur considérée. 



   Quand l'abonné du poste 300 décroche son récepteur et qu'il ferme le pont à courant continu et de faible résistance aux bornes de la ligne FPL le courant circule dans le circuit d'envoi du courant d'appel qui a été décrit ci-dessus et dans un circuit qui emprunte le fil positif de la ligne pour aboutir 

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 au positif aux contacts supérieurs du relais 715, ce courant est suffisant pour attirer le relais 710 sous l'action de son en- roulement supérieur. Le relais 710 ferme son circuit de blocage à travers son enrouement inférieur, il ouvre le circuit d'envoi du courant de sonnerie et il complète le circuit de conversation. 



  La conversation peut donc s'établir. 



   La connexion qui a été établie est libérée comme il a été décrit ci-dessus quand   l'abonné   appelant raccroche son ré- oepteur. 



   Quand le connecteur LOO est mis en service pour établir une communication vers le deuxième poste du groupe constitué sur une ligne telle que la ligne   LP   de la fig. 3, le chiffre de sélection, dans le groupe qui doit être émis est le chiffre 8. 



  Dans ce cas, le balai 742 ponte les contacts de la huitième position et ferme donc le circuit du relais 712. Dès lors, quand le relais 711 attire, le courant de sonnerie est transmis du fil négatif 754 du générateur à travers un des contacts du relais 711, l'enroulement supérieur du relais 710, des contacts des relais 714, 715, 710 et 711 jusqu'au fil négatif de la ligne appelée par l'intermédiaire du balai négatif 700. Il est à re- marquer que l'enroulement supérieur du relais 710 est incorporé dans le circuit d'envoi du courant d'appel en sens inverse de celui existant quand le relais 714 était attiré.

   Cette inversion est faite dans le cas où on applique le courant d'appel du fil 753 positif du générateur dans le but de maintenir la polarité d'aimantation de ltenroulement supérieur du relais 710 continu- ellement dans le même sens de telle sorte que lorsque cet en- roulement est alimenté, il ferme le circuit de blocage du relais à travers l'enroulement inférieur si les polarités des deux en- roulements ont un effet d'addition. 



   Il est à remarquer que quand le troisième poste du groupe 

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 placé sur la ligne est appelé, le relais   714:   attire à travers les contacts de la neuvième position du balai 742   comme   celà s'est produit quand le balai se trouvait en septième position et que le relais 712 attire à travers les contacts de la dixième position du balai 742, quand le quatrième poste de la ligne doit être appelé, comme celà s'est produit en huitième position du balai 742 lorsque c'était le deuxième poste qu'il s'agissait d'appeler.

   Dans le but de distinguer les septième et huitième   positions du   sélecteur PSI d'une part et les neuvième et dixième positions de ce sélecteur d'autre part, le relais 715 est con- necté aux contacts des neuvième et dixième   positions du   balai 741, de telle sorte qu'il attire quand le chiffre de sélection du poste groupé émis soit 9, soit 10, pour renverser la connexion entre le circuit d'appel et les fils de la ligne. Le relais 715 étant attiré, il est à remarquer que le courant d'appel transmis emprunte le balai positif 700 et que le circuit de retour vers la terre emprunte le balai négatif 700.

   De cette façon, les troisième et quatrième postes groupés sur la ligne sont sonnés exactement de la même manière que le premier et le second, sauf que le courant d'appel est appliqué à 1' autre fil de conversa- tion par suite de l'attraction du relais 715. 



   Des dispositions ont été prises pour bloquer   automati-   quement les lignes qui deviennent défectueuses. Pour décrire cette caractéristique, on supposera que la ligne du poste 300 devient défetueuse, de telle sorte que le relais 301 attire par suite du défaut, mais non parce qu'un appel est émis, On peut supposer que le chercheur   Fl   de la fig. l est celui qui répond à l'appel et que l'équipement commun CE1 est celui qui est mis en service. Quand l'opératrice répond, elle ne trouve pas de correspondant au bout de la ligne, elle libère donc la connexion sans effectuer d'émission d'impulsions.

   Dans ce cas, 

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 ni le relais 917, ni le relais 921   ..'attirent.   De ce fait, quand le relais 915 relâche, il ferme le circuit du relais 708 à travers des contacts du relais 916, des contacts des relais 917 et 921, le fil 954 et des contacts du relais 703. Le re- lais 708 attire et supprime la terre du fil 623, ae qui débloque et ramène au repos tous les relais qui étalant attirés dans le circuit de connexion. Le connecteur est libéré quand le relais 701 relâche et le chercheur Fl est libéré au moment du relâche- ment du relais 601 et de la fermeture du circuit de   l'électro-   aimant de libération 605. 



   Dans le circuit LC1 associé à la ligne FPL, que nous supposons défectueuse, le relais 302 relâche par suite de la libération du relais 601, du chercheur Fl et ouvre le circuit de blocage du relais 303 en plus de ce qu'il remet le relais 301 en circuit. Puisque la ligne est défectueuse, le relais 301 attire immédiatement lorsqu'il est reconnecté par le relais 302, il ferme le circuit de blocage du relais attiré 303 à ses contacts inférieurs. Le relais 303 reste attiré dans le circuit de blocage qui comprend le contact inférieur du relais 301 jus- qu'à ce que la ligne défectueuse soit revenue en condition nor- male, en ce moment le relais 303 relâche par suite de la libéra- tion du relais 301. 



   Il est à remarquer que quand le relais 303 est attiré, il maintient le fil de démarrage 361 déconnecté à son armature inférieure et qu'il maintient le relais 302 déconnecté de la broche 351C de manière à prévenir la prise de la ligne par un chercheur qui recherche une autre ligne, du fait que les contacts supérieurs du relais 301 sont fermés.

   On remarquera que cette disposition est spécialement avantageuse dans le cas   d'un   bureau contrôlé à distance et non surveillé du fait que la mise sur faute des lignes défectueuses évite l'occupation intempestive 

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 des circuits de connexion, si cette occupation pouvait avoir lieu elle pourrait affecter ultérieurement le service même si l'on admet qu'un petit nombre seulement des lignes peuvent de- venir défectueuses puisque seuls sept circuits de connexion sur dix sont ordinairement prévus dans un bureau de 100 lignes. 



   Dans le cas où un abonné appelle par inadvertance un numéro non assignéet que les chiffres émis par l'opératrice pro- voquent l'avancement du balai d'un connecteur tel que le con- necteur LOC des fig. 7 et 8 sur un groupe de contacts de bancs libres, aucun des relais de test 917 et 921 ne pourra attirer, car aucune connexion n'est faite à travers le fil 960 et le balai 700C par l'intermédiaire du fil C du groupe des broches non assignées. Dans ce cas, quand l'opératrice libère l'équipe- ment commun après l'émission du numéro, le fil   954   est momentané- ment mis à la terre au lieu du fil 955. Il en résulte que le relais 708 du connecteur local attire au lieu du relais 702. 



  Quand le relais 708 attire il provoque la libération du circuit de connexion comme il a été décrit ci-dessus. 



   De plus la ligne appelante est mise sur faute de la manière qui a été décrite. Elle reste dans cet état jusqu'à ce que l'abonné appelant ait raccroché son récepteur et permis au circuit de ligne de revenir en condition normale. 



   Avec la disposition qui vient d'être décrite, un circuit de jonction redevient immédiatement disponible pour l'usage commun quand il a été mis en service par inadvertance pour établir une connexion vers un groupe de contacts de bancs non assignés. Cette disposition donne donc une utilisation plus efficiente des circuits de connexion que tout autre système. 



   La manière dont sont traités les appels auxquels il n'est pas répondu sera décrite ci-après. Dans ce but, on suppo- sera qu'un appel est émis par un abonné ainsi qu'il a été décrit      

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 précédemment, que le circuit de connexion des fig. 6,7 et 8 et l'équipement commun CE ont été mis en service et que l'opé- ratrice du bureau A néglige de répondre endéans un temps raison- nable. Cette défaillance peut être provoquée par exemple par un défaut survenant sur le circuit de jonction de commande ou lorsqu'un défaut se produit dans l'équipement au bureau A. 



  Dans ces conditions, le dispositif de réponse à temps dont il a été question précédemment et composé des relais 909 et 911 fonctionne sous le contrôle du dispositif à temps T comme il serà expliqué ci-dessous. 



   On se rappelera que le relais 908 attire quand l'unité CEI de l'équipement commun est mis en   service   en premier lieu et qu'elle connecte une terre au fil 931 par l'intermédiaire des contacts du relais 909, et qu'elle connecte également le fil 932 à travers les contacts du relais 909 à l'enroulement du relais 911. Le dispositif à temps T qui peut être d'une construction quelconque connue est mise en service lorsqu'un positif est connecté au fil 931. Il met le fil 932 passagèrement à la terre pour faire attirer le relais 911. Lorsque le relais 911 attire il se bloque au positif pris à travers les contacts du relais 909 et il ouvre son circuit initial d'alimentation. 



   Le relais 911 prépare également le circuit de l'enroule- ment supérieur du relais 910 par l'intermédiaire du fil 933. 



  Après un certain temps, suffisamment long pour permettre à l'opé- ratrice du bureau A de répondre à l'appel de la manière normale et dans le cas où le relais 909 n'a pas attiré pour faire re- lâcher le relais 911, comme le fait l'opératrice lorsqu'elle répond, un positif placé sur le fil 933 par le dispositif à temps alimente l'enroulement supérieur du relais 910 à travers des contacts du relais 911. Le relais 910 se bloque par l'inter- médiaire de ses contacts inférieurs à la terre prise à travers les contacts du relais 909; à ses contacts inférieurs il plaoe 

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 une terre sur le fil 949. 



   On suppose que ce fil se dirige vers un dispositif d'alarme qui peut être monté à l'extérieur du bâtiment dans lequel se trouve l'équipement, ou qui peut être situé à une courte distance dans l'habitation de quelque personnalité locale à qui on confie la charge de répondre dans les cas ur- gents. Le positif est maintenu sur le fil   949   et les relais 910 et 911 restent bloqués jusqu'à ce qu'on réponde à l'appel et que le relais 909 attire. 



   Un fil identique au fil d'alarme 949 est prévu dans l'équipement commun CE2, ces deux fils sont normalement connec- tés ensemble et se prolongent vers le même dispositif d'alarme; de cette façon, une larme est donnée quand l'opératrice ne ré- pond pas quel que soit l'équipement commun qui a été mis en service. 



   Un poste de contrôle local LCS montré aux fig. 10 et 20 est prévu et connecté aux deux unités d'équipement commun CE1 et CE2. 



   On peut supposer maintenant qu'un appel sur l'une ou sur l'autre des unités d'équipement commun CE1 et CE2 est resté sans réponse pendant un temps suffisamment long pour que l'alarme de non réponse ait fonctionné comme dit ci-dessus. Dans ce cas, la personne chargée de contrôler localement le bureau peut pro- céder au contrôle au moyen du dispositif qui se trouve dans le bâtiment du bureau central et peut établir les   appels   soit par- tiellement soit complètement. 



   On peut voir que le groupe de contrôle local LCS com- prend en principe un téléphone automatique standard mais qu'il ne possède des contacts de fourche 1709, un microtéléphone T. un récepteur R et un dispositif d'appel du type cadran   1710   associé aux fils de conversation négatif et positif 1705 et 1706. Le dispositif de contrôle local comprend de plus un 

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 ronfleur 1708 connecté entre le pole négatif de la batterie alimentant le bureau et les fils de signalisation   1707   ainsi que les clefs de contrôle CK1 et CK2 connectées aux fils1701 à   1704.   



   On peut supposer en premier lieu que l'opératrice locale du bureau B lorsqu'elle est informée de ce   qu'une   alarme de non réponse a été envoyée désire abandonner temporairement le contrôle du bureau distant dans la supposition que la faute existante pourra être rapidement levée. Dans ce cas,- l'opéra- trice locale manoeuvre la clef CK1 dans le sens voulu.

   En ad- mettant que   l'appel   auquel on ne répond pas est bloqué dans l'unité   d'équipement   commun CEI et que   c'est   de cette unité d'équipement commun que le signal d'alarme a été donné par l'inter médiaire du fil d'alarme 949, quand la clef de contrôle partiel CK1 est manoeuvrée vers la gauche les contacts gauches de aette clef appliquent une terre sur les fils de transfert   1702   ce qui prolonge une terre par l'intermédiaire du fil 947 jusqu'à l'en- roulement du relais 905. Le relais 905 attire et transfère les circuits de conversation associés à l'équipement commun CE1, à travers les bornes qui sont représentées, aux fils de conversa- tion 1705 et 1706 du groupe de contrôle local LOS.

   Le relais 905 à ses contacts inférieurs ferme maintenant le circuit du ronfleur 1708 par l'intermédiaire du fil 946 et du fil   1707.   



  Ce circuit comprend des contacts du relais 908 de l'unité   d'équipe-   ment commun et des contacts du relais 916. Il résulte de la fermeture de ce circuit que le ronfleur 1708 du dispositif de contrôle local est mis en marche ce qui indique à l'opératrice que l'équipement commun CEI est bloqué par un appel auquel on n'a pas répondu. Dans le but de répondre à l'appel, l'opératrice locale décroche son   réc.epteur   R ce qui ferme les contacts de fourche 1709, le récepteur R et le microphone T étant branchés en ligne en série aveo les contacts d'impulsions du dispositif 

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 d'appel 1710 aux bornes des fils de conversation négatif et positif 1705 et 1706.

   Par cette action, le circuit du relais 913 se ferme à travers les contacts du relais 905 et les en- roulements de la bobine translatrice   947.   Le relais 913 attire et effectue les mêmes opérations que celles qui ont été décrites en liaison avec la réponse de l'opératrice au bureau A. Le ron- fleur 1708 cesse de fonctionner quand son circuit est ouvert aux contacts inférieurs du relais 916. De plus, le relais 909 attire à travers les contacts du relais 904 pour déconnecter le dispositif à temps T et pour débloquer et relâcher les relais 910 et 911, ce qui permet à l'alarme de non réponse de cesser à moins qu'il n'y ait un autre appel auquel on n'a pas répondu et qui est en attente dans l'équipement commun CES. 



   L'opératrice de contrôle local peut se mettre en rela- tion avec l'abonné appelant et s'enquérir du numéro désiré. Elle peut émettre le numéro demandé au moyen du dispositif d'appel 171Q. 



  Quand elle a terminé l'envoi du numéro désiré, cette opératrice peut raccrocher son récepteur, ce qui coupe les contacts 1709 et permet au relais 913 de relâcher et à l'unité CE1 d'équipe- ment commun de se libérer. 



   Dans le cas où l'opératrice du contrôle local désire être dégagée du contrôle partiel de l'unité CE2 de l'équipement commun, elle actionne la clef de contrôle CK1 vers la droite ce qui provoque la connexion d'une terre sur le fil de transfert 1704. Celle-ci fait attirer le relais de l'équipement commun CE2 correspondant au relais 905 de l'unité d'équipement commun CE1, ceci donne des résultats identiques à ceux qui ont été décrit précédemment.

   Il est à noter que dans le cas où l'un des circuits de jonction devient défectueux , l'opératrice de contrôle local peut laisser la clef de contrôle CK1 abaissée dans le sens correspondant, elle peut de la sorte répondre localement et se réserver localement l'établissement de tous 

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 les appels reçus sur l'unité d'équipement commun correspondant ; les appels qui sont reçus sur l'autre unité d'équipement commun passent à travers le circuit de jonction restant et atteignent le commutateur de contrôle, au bureau A. On supposera maintenant que l'opératrice locale désire prendre le contrôle complet de l'établissement des communications dans le bureau B.

   Elle peut le faire en associant le groupe de contrôle local LCS à l'une ou l'autre des deux unités de contrôle commun; en même temps, elle met hors service l'autre unité et empêche ainsi l'envoi des appels par l'autre circuit de jonction. Dans ce cas, tous les appels sont reçus par le groupe de contrôle local LCS. On supposera que l'opératrice de contrôle local désire utiliser l'unité CE1 d'équipement commun lorsqu'elle prend le contrôle total de l'établissement des communications (le choix est ar- bitraire à moins que l'une des deux Unités ou l'équipement qui lui est associé soit devenu défectueux), dans ce cas, l'opéra- trice manoeuvre la clef de contrôle total CK2 vers la gauche et place de ce fait une terre sur le fil 1702 qui est prolongée à travers le fil 947 jusqu'au relais 905 de l'équipement commun CEI.

   Le relais 905 attire et transfère les fils de conversation de l'unité CE1 de l'équipement commun du circuit de jonction OT1 au groupe de contrôle local LCS. En même temps, les contacts inférieurs gauches de la clef CK2 de contrôle total placent une terre sur les fils de commutation 1703 ce qui prolonge la terre à travers le fil 944' jusqu'aux bornes 942' et 943' de l'équipe- ment commun CES correspondant aux bornes 942 et 943 de l'équipe- ment commun CE1. Il en résulte que le relais de l'unité CES, correspondant au relais 901 de CEI, attire pour indiquer au dis- tributeur D de la fig. 9 que l'équipement commun CE2 ne peut pas être mis en service.

   Dans ces conditions, tous les appels sont dirigés vers l'équipement commun CE1 et aucun d'eux n'est      

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 transmis vers l'équipement CES puisque le fil de sélection 962 est maintenu ouvert aux contacts du relais de l'équipement commun CE2 qui correspondent au relais 901. De cette façon, chaque   apel   émis est reçu par l'intermédiaire de l'équipement commun CE1 au groupe de contrôle local LCS. Il est à remarquer que la clef de contrôle total CK2 étant manoeuvrée vers la gauche et le relais 905 étant' attiré, chaque fois que le relais 908 attire, il ferme le circuit du ronfleur 1708 à travers les fils 1746 et 1707 pour avertir l'opératrice locale qui peut répondre en décrochant le récepteur R ce qui ferme les contacts de la fourche 1709.

   Quand la nécessité de contrôler le bureau B localement a disparu, l'opératrice locale ramène la clef CK2 en position normale; le relais 905 relâche ainsi que le relais de l'unité CE2 d'équipement commun correspondant au relais 901 de CE1. A ce moment, les appels émis sont transmis sur les circuits de jonction OT1 et OT2 comme décrit précédemment. 



   Les fonctions effectuées quand tous les circuits de connexion au bureau B sont occupés seront décrites ci-dessous. 



  Le fil 861 à travers l'équipement de terre est appliqué à la borne inférieure de l'enroulement du relais 802 et mis à la terre normalement à chacun des circuits de connexion non occupé. 



  Un positif étant connecté au fil 861, un contact du banc du balai de test 821 associé à un groupe de contacts non utilisé pour le prolongement de la connexion vers les chercheurs tels que Fl reste mis à la terre. Cette connexion est ouverte quand le relais 602 attire du fait que le chercheur Fl a été mis en service et la connexion à la terre reste ouverte aux oontacts 606 après que le chercheur a fonctionné et que le relais 602 a relâohé jusqu'à ce que le chercheur soit revenu au repos après avoir été mis en service. La suppression de la terre d'un chercheur du fil commun d'occupation 861 est sans effet 

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 aussi longtemps que la terre reste connectée sur ce fil à un ou plusieurs autres chercheurs.

   Cependant quand tous les cher- cheurs sauf un sont en service et que la terre est maintenue sur le fil 861 dans un seul chercheur et que celui-ci est mis en service, le fil 861 est coupé de la connexion directe à la terre. 



   Quand tous les relais 821 à 825 du distributeur tournent à la recherche d'un chercheur libre, aucun d'eux n'est trouvé puisqu'ils sont tous en service. Le balai 821 trouve un contact non connecté à la terre quand il rencontre le contact auquel le fil 861 est connecté. Les balais du distributeur D s'arrêtent, le balai 821 étant associé au fil 861. Le circuit du relais 851 est préparé en série avec l'électro-aimant de commande 800 du distributeur D, mais rien ne se passe en ce moment du fait que le circuit de jonction OT1 et l'équipement commun CE1 sont déjà en service. Dès que l'unité CE1 d'équipement commun devient libre et que les relais 908 et 914 relâchent une terre est placée sur la borne supérieure de l'enroulement du relais 851.

   Ceci ferme le circuit de ce relais par l'intermédiaire d'un embranche- ment du fil 861 qui se prolonge à travers les contacts du banc du balai 821, le balai 821, les contacts du relais 802, les contacts interrupteurs de l'électro-aimant 800, l'enroulement de l'électro-aimant de commande 800 jusqu'au pôle non connecté à la terre de la batterie alimentant le bureau. 



   Le relais 861 attire dans ce circuit mais l'électro- aimant 800 ne fonctionne pas du fait de la résistance relative- ment élevée du relais 861. Il est à remarquer que le relais 802 ne peut attirer en ce moment, même si le relais 801 attire, car il est court-circuité par la connexion effectuée au fil 861 à travers le balai 821. 



   Quand le relais 851 attire, il ferme son circuit de blocage propre à ses contacts supérieurs intérieurs, indépen - 

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 damment des contacts des relais 908 et 914; il prépare la conne- xion de la tonalité d'occupation au circuit de conversation à ses contacts supérieurs;   à   ses contacts inférieurs il ferme le circuit de l'enroulement inférieur du relais 855 par   ltinter-   médiaire des contacts des relais 908 et 916. Le relais 855 attire et ferme son circuit de blocage à travers l'enroulement supérieur et les contacts supérieurs du relais 854 et les con- tacts du relais attiré 851.

   A ses deux contacts les plus élevés, le relais 855 établit le circuit de la tonalité d'occupation venant du fil 858 et aboutissant à un des fils de conversation, il complète le circuit de retour à la terre à travers les con- tacts du relais 853 et le condensateur 860, à son contact inférieur médian, il ferme le circuit du relais 906 en prenant une terre aux contacts inférieurs intérieurs du relais 852 par l'inter- médiaire des contacts du relais 907. Le relais 906 attire, il ouvre momentanément le fil négatif du circuit de jonction OT1 pour avertir l'opératrice du bureau A et il ferme le circuit du relais 907. Le relais 907 attire, après un court instant et ferme son propre circuit de blocage, il ouvre le circuit du re- lais de signalisation 106 et fait relâcher celui-ci. 



   De cette façon, l'opératrice du bureau A est   appelée   à travers le circuit de jonction OT1, elle répond à cet appel com e elle le fait normalement pour les autres, c'est à dire que le relais 913 et les relais 914 à 916 attirent. Cependant l'opératrice dans le cas présent entend le signal dtoccupation qui est envoyé à travers le fil inférieur de conversation (vers la droite de la bobine translatrice   ;:'1:7) et   emprunte le fil 958, le fil supérieur de conversation étant mis à la terre à travers le condensateur 960 pour former le cherain de retour du courant de cet ce tonalité. 



   Ayant été informée de cette façon de ce que tous les circuits de connexion locaux du bureau B sont en service, l'opé- 

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 ratrice peut procéder à l'essai systématique de tous les circuits de connexion sucaessivement; elle peut libérer chacun de ceux qui sont bloqués alors qutils ne sont pas utilisés pour une conversation. 



  Un circuit de connexion peut être bloqué sans qu'il soit utilisé pour une communication quand une ligne appelante est devenue défectueuse après qu'une communication a été établie et que de ce fait le re- lais de ligne du connecteur n'a pas relâché quand l'abonné appelant a raccroché son récepteur, il peut également être bloqué dans le cas où l'abonné appelant néglige de raccrocher son récepteur à la fin de la conversation. 



  * Dans le but d'effectuer la supervision des circuits de connexion locaux du bureau B, l'opératrice émet un chiffre préli- minaire (le chiffre "1" par exemple) ensuite elle émet le chiffre 1 à plusieurs reprises ce qui fait avancer le commutateur de super- vision SS de la fig. 10 en différentes positions et établit une connexion directe avec chacun des circuits de jonction chaque fois qu'un chiffre 1 est émis et ceci jusqu'à ce que tous les circuits aient été essayés. 



   Quand le chiffre 1 préliminaire est émis, les relais 922 et 923 "de comptage" du chiffre des dizaines attirent comme il a été décrit précédemment et le relais 923 attire pour placer   ltélec-   tro-aimant du commutateur de supervision SS sous le contrôle du relais 913. 



   En même temps l'impulsion qui est émise par la libération momentanée du relais 913 passe à travers les contacts du relais   914   et aboutit à l'enroulement supérieur du relais 952 par l'in- termédiaire des contacts inférieurs intérieurs du relais 955 et des contacts inférieurs intérieurs du relais 851.

   Le relais 952 se bloque au fil 930 mis à la terre à son contact inférieur médian, il ouvre le circuit de blocage du relais 907 à son contact inférieur intérieur (le relais 908 n'étant pas attiré en ce moment); à son contact inférieur il prépare le circuit de l'électro-aimant de comman- de du commutateur de supervision SS associé à l'unité CE1 d'équipement 

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 commun de la fig. 10; à son contact supérieur il coupe le cir- cuit à travers lequel le courant de la tonalité d'occupation était envoyé à partir du fil 858, ce qui coupe l'émission de cette tonalité. 



   Chaque fois que le chiffre 1 est émis ensuite, une im- pulsion est envoyée par le relais 913 à travers les contacts in- férieurs du relais 914, les contacts inférieurs du relais 952 en multiple avec les contacts inférieurs du relais   907   relâché, les contacts inférieurs du relais 925 pour aboutir à 1'électro-aimant de commande du commutateur de supervision SS. Le fonctionnement de l'électro-aimant du commutateur SS fait avancer d'un pas les balais RC négatif et positif du commutateur et les balais négatif, positif et C établissent la connexion à travers les contacts et les conduc- teurs du banc avec les fils négatif et positif 621 et 622 et avec le fil 723 de la libération forcée. 



   Si on suppose que l'opératrice n'a pas trouvé de conversa- tion en cours dans le circuit de connexion des figs. 6,7 et 8 et que ce circuit de connexion est maintenu par une ligne appelante (la ligne FPL de la fig. 3 par exemple) 'soit parce que la ligne est devenue défectueuse après qu'une communication a été établie, soit que l'abonné appelant ait négligé de raccrocher son récepteur, l'opé- ratrice peut libérer de force le circuit de connexion. 



   Pour ce faire elle manoeuvre momentanément la clef K2 de la fig. 12 ce qui équilibre momentanément le courant qui circule dans le circuit de jonction OT1 et fait attirer le relais diffé- rentiel 912. Le relais 912 applique momentanément une terre à travers le balai C du commutateur de supervision SS et la broche du banc sur laquelle il est engagé, au fil 733 du connecteur LOC. 



  Le relais 708 attire donc à travers le fil 733 pour supprimer la terre du fil 723 et provoquer la libération du circuit de connexion,   com@e   il a été décrit   précédemment.   L'opératrice peut continuer ensuite les opérations de contrôle jusqu'à ce qu'elle ait   inspecté   chacun des circuits de connexion locaux en   libérant   ceux qu'elle trouve bloqués par une ligne défectueuse. 

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   -Dès qu'un circuit de connexion a été rendu libre, la terre est supprimée du fil 861 ce'qui   provoque   le dégage.- ment du distributeur D de la .position.d'occupation de tous   lesoirouits   de connexion et provoque la   libération   du relais 851. Le relais 852 reste cependant attiré dans le circuit de blooage empruntant le fil   930   mis à la terre. Au moment où l'impulsion suivante est émise aux contacts du relais 913 (soit par l'envoi du chiffre 1 suivant ou par suite de la   libréation),   le relais 854 attire à travers des contacts du relais 955 et des contacts du relais 851 qui est relâché maintenant. Lorsqu'il attire, le relais 854 ouvre à ses contacts supérieurs le circuit de blocage du relais 855 qui relâche donc. 



   Quand elle a terminé les opérations de contrôle, l'opératrice du bureau   A   replace la clef de réponse Kl de la   fig.12   en position normale ce qui ouvre le pont placé aux bornes des fils du circuit de jonction CT1 et permet la libération de l'unité CE1 de l'équipement commun. Quand la terre est supprimée du fil   930   aux contacts du relais 916 le relais bloqué 852 peut relâcher ainsi que les relais de l'unité CE1 de l'équipement commun. 



   Le commutateur de supervision SS est ramené en position normale quand le relais 916 relâche et ferme le circuit de libération de l'électro-aimant à travers le balai du commutateur de supervision par l'intermédiaire des contacts d'engagement et des contacts interrupteurs de l'électro-aimant. 



     A   des intervalles réguliers, une opératrice du bureau A peut effectuer le contrôle des circuits de con- nexion locaux en abaissant la clé de réponse Kl pour mettre le circuit de jonction OT1 en service losqu'aucun appel n'est lancé sur ce circuit. En ce moment, les relais 908, 

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 906 et 907 sont inactifs et les balais négatif et positif du commutateur de supervision SS restent connectés au fil de libération du circuit de jonction OT1 par l'intermédiaire de la bobine   trahslatrice   947, et ils ne sont pas déconnectés par le relais 907 comme cela se passe normalement lorsqu'on répond à un appel. De plus, le relais   907   n'étant pas attiré, les contacts inférieurs de celui-ci préparent le circuit de l'électro-aimant du commutateur de supervision SS.

   Ce circuit est établi dès que l'opératrice émet un chiffre préliminaire et provoque donc l'attraction des relais 922 et 923 "de comp- tage" du chiffre des dizaines. 



   La façon dont une alarme est transmise du bureau B commandé à distance vers le bureau de commande A à travers le circuit de jonction OT1 sera décrite ci-dessous. Dans le grou- pe MG de la fig.9, le tableau de charge est représenté par le rectangle 862. Les contacts 863 sont montés sur le tableau d'alimentation, ils se ferment quand une condition anormale se présente dans le bureau, telle que fusible sauté, disposi- tif de charge bloqué, etc.. Quand les contacts 863 se ferment le relais 853 attire à travers les contacts du relais 854. 



  A ses contacts supérieurs, le relais 853 inverse les fils de signalisation pour préparer la transmission d'un signal venant du fil du générateur du courant d'appel à travers le conden- sateur 859 au moment de la réponse de l'opératrice, à ses con- tacts inférieurs le relais 853 ferme le circuit du relais 855 à travers son enroulement inférieur et les contacts des re- lais 908 et 916. Lorsque le relais 855 attire, l'opératrice est alertée, à travers le circuit de jonction OT1 de la maniè- re qui a été décrite précédemment, et quand elle répond elle sait qu'une alarme est envoyée car le signal donné par le gé- nérateur est appliqué à travers les contacts du relais 853 attiré.

   Quand la connexion est libérée, une impulsion est donnée par le relais 913 sur le fil 934 pour faire attirer 

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 le relais 854 et le bloquer à travers les contacts 863. Le relais 853 relâche donc. 



   On a prévu que l'un quelconque des circuits de jonction pouvait être mis hors service tout en laissant l'au- tre en service pour écouler tous les appels qui sont émis par le bureau contrôlé à distance. Ceci peut être effectué soit du bureau A, soit du bureau C. en émettant un numéro déterminé vers les connecteurs du bureau B. La mise hors service et la mise en service du circuit de jonction OT1 sont contrôlées par le relais 902, un relais identique étant prévu dans l'unité CE2 d'équipement commun pour y remplir une fonction semblable. La borne 81C associée à l'enroulement supérieur du relais 902 est identique à la borne C du banc d'un connecteur quelconque at- teinte quand le numéro 81 est émis. La borne 82C associée au relais 902 est la borne qui est atteinte par le balai C d'un connecteur quelconque quand le N  82 est émis. 



   Si on suppose maintenant que le numéro 86 est émis vers un connecteur du bureau A, le balai C de celui-ci s'en- gage sur la broche 81 représentée ou sur un multiple de celle- ci, ce qui prolonge la terre jusqu'à l'enroulement supérieur du relais 902. Le relais 902 attire dona et ferme son circuit de blocage à travers son enroulement inférieur en série avec la résistance qui lui est associée. A son contact inférieur, le relais 902 ferme le circuit du relais 901 qui attire et déplace le fil de "prise" du fil 961 au fil 961'   associe   à l'unité CE2 de l'équipement commun. 



   La mise hors service pouvant être effectuée à un mo- ment où un-appel est en attente à l'équipement CE1. on a dû prévoir des relais 903 et 904 dont la fonction sera expliquée   ci-dessous;   Aux contacts supérieurs du relais 902, le circuit du relais 903 se ferme. Le relais 903 attire et ferme le cir- ouit du relais 904. Le relais 904 attire et se bloque aux oon- tacts du relais 902 ce qui déconnecte le relais 903 qui relâche après un certain temps, Le relais   904   reste attiré et le   relais   

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903 reste relâché jusqu'à ce que le relais 902 puisse re- lâoher également.

   Aux contacts supérieurs du relais 903, le circuit du relais 914 se ferme ; il en résulte que les relais 914 et 916 attirent successivement et relâchent successivement, plus tard, quand le relais 903 retombe. Par suite   del'action   de ces relais les uns sur les autres, une impulsion est trans- mise, comme il a été expliqué précédemment,sur le fil 954 pour provoquer l'attraction d'un relais tel que le relais 708 dans le connecteur local LOC et pour libérer le circuit de jonction qui était bloqué. L'abonné appelant peut raccrocher son récepteur et le décrocher ensuite pour émettre un nouvel appel qui sera alors écoulé à travers le circuit de jonction restant en service. 



   Le relais de jonction OT1 à l'unité CE1 de l'équipe- ment commun peut être remis en service en émettant le N  82. 



  De ce fait, le balai du connecteur utilisé viendra se connec- ter à la broche 82C de la fig. 10 ou à un multiple de celle-ci ce qui prolonge la terre vers le point de jonction de l'enrou- lement inférieur du relais 902 et de la résistance qui lui est associée. Cette terre met l'enroulement inférieur du re- lais 902 en court-circuit et permet la libération de celui-ci en ouvrant son circuit de blocage. Le râlais 904 relâche ainsi que le relais 901. 



   L'unité CES de l'équipement commun et le circuit de jonction OT1 qui lui est associé sont mis hors service lorsqu'on émet le N  83, ils sont remis en service lorsqu'on émet le N  84. Cette opération est effectuée à travers les bornes 83 et 84 ou le multiple de celles-ci. 



   La manière dont les connexions du service local sont établies pour des lignes manant du bureau A vers des li- gnes aboutissant au bureau B sera   expliqués ci-après.   Si on suppose qu'un appel est reçu à la table manuelle du bureau A et que cet appel est émis par un abonné local qui désire être mis en relation avec un abonné du bureau B, l'opératrice en, 

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 fonce sa fiche d'appel (non représentée) dans le jack J1 de la   fig.   11. Le relais 110 attire par l'intermédiaire de la bor- ne du canon du jack J1 pour déconnecter l'enroulement supérieur du relais 1102. Aucun circuit de supervision n'est connecté aux bornes des fils de tête et de nuque du jaok J1 car on sup- pose que le bureau A est un bureau à batterie locale. 



     A   ses contacts supérieurs, le relais   1101   ponte le relais polarisé   1105   aux bornes du condensateur associé aux enroulements droits de la bobine translatrice   1100   ce qui ferme un pont d'appel aux bornes du circuit de jonction LST pour le service local. Le relais 1105 n'attire pas à ce mo- ment,le sens du courant dans son enroulement n'étant pas fa- vorable à l'attraction. Le circuit de ligne LC3 de la fig.5 est identique au circuit de la ligne LC1, donc un chercheur tel que le chercheur de la fig.6 se   connecte 4   un circuit de jonction LST pour service local par l'intermédiaire des bornes 551 ou au multiple de celles-ci.

   L'appel émis sur le circuit de jonction LST pour service local est écoulé au bureau com- mandé à distance de la même manière qu'un appel émis par une ligne d'abonné locale; une opératrice de contrôle du bureau A est avertie à travers l'un des deux circuits de jonction OT1 ou OT2 pour recevoir l'énoncé du numéro désiré et pour con- trôler l'établissement de la connexion au bureau B. 



   La connexion établie est coupée quand l'opératrice du bureau A enlève la fiche du jack Jl ce qui permet au re- lais   1101   de revenir au repos et coupe le pont placé sur les fils du circuit de jonction LST pour service locale 
Comme il a été dit antérieurement, le circuit de jonction LST pour service local des fig, 5 et 13 est un des 4 circuits de jonction pour service local destines à l'éta- blissement des communications entre les bureaux A' et B. Au bureau B, Ces 4 circuits de jonction sont accessibles des jeux de contacts voisins dans le même niveau des bancs de connecteurs.

   Le numéro qui est assigné à ce groupe de circuits 

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 de jono.tion est composé de deux chiffres qui sont nécessaires pour amener les balais du connecteur en face du niveau désiré et pour faire tourner ceux-oi jusqu'à ce qu'ils viennent s'en- gager sur le premier circuit de jonction du groupe qui est sup- posé être le circuit de jonction LST. Les bornes 550 sont celles du banc d'un des connecteurs. De plus, le numéro du groupe des circuits de jonction contient un chiffre (tel que le chiffre 
2) qui doit être émis pour provoquer la mise en position d'un sélecteur de poste groupé tel que le sélecteur PSI de la fig. 8, pour l'envoi du courant d'appel qui doit alerter l'opératrice au bureau A. 



   Dans le cas où le premier circuit de jonction du groupe est libre la communication est établie de la même ma- nière qu'une communication destinée à une ligne locale. D'au- tre part, si le premier circuit de jonction est occupé, un signal d'occupation est transmis vers l'opératrice de con- trôle et vers l'abonné appelant par l'intermédiaire de l'u- nité d'équipement commun en service et l'opératrice doit émettre un chiffre "1" additionnel pour provoquer l'avance- ment des balais du connecteur sur le circuit de jonction qui suit dans le groupe ; si le circuit de jonction suivant est occupé, l'opératrice répète l'envoi du chiffre additionnel "1" et provoque l'avancement des balais sur le circuit de jonction suivant jusqu'à ce qu'ils aient été tous testés. 



  Dès qu'un circuit de jonction libre est atteint, la tonalité d'occupation est supprimée et la connexion peut être établie avec ce circuit de jonction. Les dispositions du circuit qui gouverne l'avancement commandé des balais du connecteur quand le premier circuit de jonction du groupe est occupé, ont été décrites précédemment en liaison avec le service par lignes multiples pour des abonnés du bureau B. 



   Les opérations de supervision qui sont nécessaires pour l'établissement des appels sur les circuit de jonction pour service local entre les bureaux B et A sont détaillées 

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 ci-après dans l'exposé qui sera fait de rétablissement des appels venant des postes à prépaiement. 



   Comme on l'a expliqué précédemment lorsqu'on s'est occupé di diagramme de jonction de la fig.2, les lignes des postes à prépaiement raccordées au bureau B donnent un service sortant directement vers le bureau A par l'intermédiaire des sélecteurs de jonction pour service local, tel que le circuit de jonction LST, Une ligne de ppste à prépaiement   est     repré-   sentée à la fig.2. Elle s'étend depuis le poste à prépaiement jusqu'au circuit de ligne LC4 dont le présélecteur LS a accès au circuit de jonction LST pour service local et aux autres circuits de jonction pour service local qui s'étendent entre les bureaux A et B. Le circuit de ligne L04 ainsi que le pré- sélecteur LS qui lui est associé est montré au   circuit de   la fig. 19.

   En se référant maintenant en particulier à la fig.19 on décrira lesopérations qui s'effectuent quand un abonné au poste à prépaiement 1600 de la ligne PSL émet un appel; 
Lorsqu'on décroche le récepteur au poste à pré- paiement 1600, le relais 1602 attire à travers des contacts du relais 1601 et ferme le circuit du relais 1608 du dispositif à temps comprenant les relais 1608 et 1609, à travers ses contacts inférieurs et les contacts du relais 1606. Par cette opération, le dispositif à temps est mis en service pour en- voyer une alarme sur le fil 1611 dans le cas où le présélec- teurteur est incapable de trouver un circuit de jonction libre endéans le temps alloué par le dispositif à temps 1608 à 1609. 



  Cette période peut être réglée entre une et trois secondes, dépendant du réglage des relais 1608 et 1609. 



   Le relais 1608 possède un contact lesté qui est commandé par l'armature et qui vibre pendant un certain temps. 



  Pendant la vibration du relais 1608, le relais 1609 ne peut pas attirer. Si le présélecteur n'a pas trouvé de ligne libre jusqu'au moment où la vibration a cessé en principe, le relais 

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 1609 attire et se bloque à travers les contacts du relais 1603, il ferme un circuit d'alarme à travers le fil 1611 et les contacts du relais 1604. De plus, le relais 1609 décon- necte l'électro-aimant de commande 1610 à ses contacts su- périeurs intérieurs, à ses contacts supérieurs il connecte le fil 1612 à travers des contacts du relais 1604, à la ligne appelante pour informer l'abonné appelant de ce que la ligne est occupée. Cette connexion est établie à travers un petit condensateur limitant la valeur du courant ainsi qu'on l'a représenté. 



   Si on suppose maintenant que le présélecteur LS est capable de trouver un circuit de jonction libre, l'opé- ration de recherche est effectuée en un temps très court et avant que   le.dispositif à.   temps 1608 à 1609 ait eu le temps. d'atteindre le fonctionnement comme on l'a décrit ci-dessus. 



  L'opération de recherche du sélecteur de jonction s'effectue comme suit : 
Lorsque le relais 1602 attire comme il a été dé- crit ci-dessus, il ferme également le circuit du relais 1603 à travers ses contacts intérieurs. Le relais 1603 place une terre sur le fil 1617, il ferme le circuit de recherche de l'éleotro de commande 1610 à travers des contacts du relais 1609.

   Les contacts supérieurs intérieurs du relais 1603 et des contacts du relais 1604 pour permettre au commutateur LS de rechercher un circuit de jonction libre dans le cas où celui sur lequel les balais 1651 se trouvent est déjà   en service ; ferme le circuit du relais 1604 en série avec   l'électro aimant de commande 1610 pour devenir actif quand un circuit de jonction libre est trouvé ; à ses contacts su- périeurs il déconnecte le relais 1601 et connecte le fil C qui lui est associé à la terre pour garder la ligne du poste à prépaiement contre toute prise intempestive aux bornes 1650 ou au multiple de celles-ci. 



  Quand le présélecteur LS se trouve un---circuit de 

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 jonction libre pour service local, le circuit de jonction LST de la   fig.5,   par exemple, plus aucun fonctionnement de l'électro-aimant ne s'effectue et le relais   1604   attire en   sé-   rie avec l'électro-aimant 1610.

   Lorsque le relais 1604 attire, il déconnecte le fil d'alarme 1611 pour prévenir l'envoi ul- térieur d'une alarme ; il shunte le contact supérieur intérieur du relais 1609 à ses contacts supérieurs intérieurs pour ef- fectuer une interruption dans son   -propre   circuit quand le relais 1609 attire ; il ouvre le circuit de test de l'électro- aimant 1610 et applique une terre de garde directement aux balais   16510;   il supprime la fonction de garde effectuée par le contact supérieur du relais 1603; il prolonge les fils de conversation de la ligne PLS à travers les condensateurs 1615 et 1616 jusqu'aux balais négatif et positif   le'51   en ouvrant en même temps en un point supplémentaire le circuit d'envoi du courant de la tonalité d'occupation venant du fil 612. 



   L'application d'un positif aux balais 1651 C a pour effet de prolonger la terre à travers le conducteur C jusqu'au relais de coupure du circuit de ligne LC2 de la fig.5 correspondant au relais de coupure 302 du circuit de ligne LC1 de la fig.3. Ce relais de coupure attire pour li- bérer le circuit de jonction LST du circuit de ligne LC3. 



   Lorsque   le   relais 1604 attire, il établit le cir- cuit du relais 1605, qui avait été préparé antérieurement aux contacts médians du relais   1602,   à travers des contacts du relais 1606. Le relais 1605 attire donc pour transférer le balai négatif 1651 au fil commun d'appel 1614 dans le but de transmettre le courant de sonnerie sur le circuit de jono- tion LST pour service local vers le bureau A, un circuit de retour à la terre étant donné à travers le contact médian du relais   1605   et le balai ,positif 1651.

   En même temps, le re- lais 1605 prolonge le fil commun   1604   d'envoi du   courant   d'appel à travers le condensateur   1616   et la résistance 1609 

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 jusqu'à la terre à travers l'enroulement supérieur du relais 
1606. Si on veut bien observer que le fil 1614 est un des fils auquel le courant d'appel est appliqué directement par la génératrice du   cpurant   de sonnerie, on peut voir immédia- tement que le relais 1606 attire seulement après que la machine d'appel ou le générateur se sont mis en marche. Le relais 1606 travaille donc comme un dispositif de retardement automatique pour permettre à la machine d'appel de démarrer avant qu'elle ne coupe le circuit du relais 1605. 



   Quand le relais 1606 attire, il ferme son circuit de blocage à travers son enroulement inférieur et coupe le circuit du relais retardé à la libération 1605, ce qui permet à ce relais de relâcher après un court instant et de terminer comme cela l'envoi du courant d'appel. L'application du courant d'appel donné de cette façon est appelée "coup de sonnerie". 



   Le relais 1606 ouvre également le circuit du relais 1608, ce relâchement s'effectue dans les conditions normales avant que le relais 1609 ait eu le temps d'attirer; il con- necte le relais 1607 de telle sorte qu'il puisse attirer lors- que l'opératrice répond; il connecte le fil 1613 donnant la tonalité spéciale aux postes à prépaiement à travers le oon- densateur limitant le courant et aboutissant aux balais 1651 par l'intermédiaire des relais 1609. La tonalité appliquée au fil   1613   est une tonalité caractéristique, utilisée pour informer l'opératrice de ce qu'une ligne à prépaiement a émis un appel. Cette tonalité est appliquée jusqu'à ce que l'opé- ratrice réponde et pendant un court intervalle ainsi qu'il sera indiqué ultérieurement. 



   Dans le bureau A, l'application du courant d'appel effectué, comme il a été dit ci-dessus a pour effet de faire attirer le relais 1102 de la fig.3, le courant transmis est induit à travers les enroulements de la bobine translatrice 1100. Le relais 1102 ferme le circuit de blocage qui passe par son enroulement inférieur à ses contacts intérieurs; à 

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 ses contacts inférieurs, il ferme le circuit de la lampe d'appel 1121. 



   Quand l'opératrice du bureau A répond quand elle voit que la lampe d'appel 1121 s'allume (en insérant la fiche de réponse d'un circuit de cordon dans le jack il) et que le relais 1101 attire et connecte le relais 1105 en circuit, le relais 1105 attire du fait que les fils de conversation sont renversés aux bornes 550 négative et positive du connecteur et de leur multiple ce qui provoque le renversement du courant qui circule à travers le relais de supervision, le courant circuledonc dans un sens inverse de celui qu'il avait lorsque l'appel était émis à travers le circuit de jonction LST du bureau A. Lorsque le relais 1105 attire, il ferme le circuit du relais 1104 qui ferme le circuit du relais 1103.

   Le fonc- tionnement des relais 1103 et 1104 a pour but de donner un signal de fin à l'opératrice comme il sera expliqué plus tard; 
Au bureau B, le relais 1607 attire quand l'opéra- trice répond, il ferme le circuit du relais 1608. La tonalité spéciale aux postes à prépaiement qui est appliquée au circuit de conversation et qui vient du fil 1613 est entendue par l'opératrice du bureau A ainsi que par l'abonné appelant. 



   Cette tonalité continue à être entendue jusquà ce que les relais 1608 et 1609 aient attiré successivement. 



   Le relais 1609 déconnecte le fil de tonalité 1613 quand il attire et la conversation peut s'établir entre le poste à prépaiement appelant et l'opératrice du bureau A qui peut donc écouler l'appel comme l'abonné du poste à prépaie- ment le désire. 



     On   a supposé que le poste à prépaiement 1600 est équipé aveo une botte destinée à recevoir la monnaie, des chutes séparées étant prévues pour les pièces de différentes valeurs, chaque chenal étant muni d'un gong caractéristique ou d'un dispositif sonore queloonque qui émet un son d'une intensité suffisante lorsqu'une pièce tombe dans la botte 

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 spéciale pour que l'opératrice puisse s'en rendre compte par le son transmis dans le microphone du poste à'prépaie- ment. 



   Quand l'abonné du poste à prépaiement raccroche son récepteur à la fin de la conversation, le relais 1602 relâche et ramène les relais 1603 à 1609 au repos, ce qui libère le circuit de ligne. La déconnexion du relais 1607 quand le relais 1606 relâche a pour effet de faire relâcher le relais 1105 au bureau A. 



   Le relais 1105 permet aux relais 1104 et 1103 de relâcher successivement. Pendant l'intervalle requis pour que le relais 1103 qui est retardé à la libération relâche les deux   pôlés   de la batterie alimentant le bureau sont connectés par l'intermédiaire des enroulements gauches de la bobine   translatrice   1100 aux fils de tête et de nuque du jack J1, pour fournir le courant au signal de supervision qui est supposé être situé dans le circuit de cordon utilisé. 



   Quand l'opératrice enlève la fiche du circuit de cordon du jack J1, la libération du relais 1101 a pour effet d'ouvrir le pont de contrôle placé sur la ligne LST à travers le relais 1105. on a fait remarquer précédemment que des disposi- tions spéciales avaient été prises pour que le bureau B puisse être contrôlé à distance par le bureau C pendant le temps que les circuits de jonction OT1 et OT2 sont mis hors ser- vice. De plus, on a fait remarquer qu'il est avantageux d'employer, comme circuit de jonction de secours, une paire de fils qui n'emprunte pas la même voie que les fils du circuit de jonction normal car il y a moins de chances que les fils de la voie détournée soient mis hors service en même temps que les fils de la voie normale. 



   Dans le but d'effectuer le transfert du centre de contrôle une opératrice du bureau A ou du bureau C met le chiffre de transfert 85 vers l'un quelconque des con- 

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 necteurs du bureau B. quand le numéro 85 est émis, le balai C du connecteur utilisé est amené sur la broche 85 de la fig.9 ou sur un multiple de celle-ci ce qui ferme le circuit de l'enroulement supérieur du relais 856.

   Lorsque le relais 856 attire, il ferme son propre circuit de blocage par l'intermé- diaire de la résistance   857  A son armature inférieur, le re- lais 856 met à la terre le fil 944' de commutation ce qui fait attirer le relais dans l'unité   CES   de   l'équipement   commun, De plus, le relais 856 déconnecte les fils de conversation sortants associés à l'unité CE1 d'équipement commun des fils du circuit de jonction OT1 et transfère ceux-ci aux   fils 1437   et 1428 de la ligne interurbaine TL2 des fig. 16 et 14.

   En même temps, le relais 856 connecte un pont   d'alimentation   sup- plémentaire aux bornes des plots du circuit de jonction OT1 pour permettre à ce circuit d'être testé plus directement et pour permettre au relais 1005 d'attirer à travers le circuit de jonction quand la libération a été effectuée. 



   De plus, le relais.856 déconnecte les fils 1424 et 1425 des fils 1427 et 1428 de la ligne interurbaine pour lais- ser celle-ci libre au bureau B,pour effectuer les opérations de contrôle, à son contact le plus élevé il place une terre sur le fil 1428 pour préserver l'extrémité locale de la ligne inter- urbaine EL2 de toute prise par les connecteurs du bureau B. 



   Dans le but d'effectuer le transfert au bureau C, la clé K3 est actionnée pour faire passer les fils de la ligne interurbaine TL2 de l'équipement normal montré en fig. 14 à l'équipement de la fig. 15 qui est semblable à celui répré- senté à la fig. 12. 



   Quand le fonctionnement du bureau B contrôlé à dis- tance n'est plus sous le   contrôle   du bureau A, le relais 856 relâche du fait qu'on a émis le numéro de libération 86 dans un quelconque des connecteurs du bureau B. De ce fait, la balai C du connecteur en service place un positif sur la borne 

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 86 C de la fig.8 ou sur un multiple de celle-ci, ceci prolonge un positif vers la jonction de l'enroulement inférieur du relais' 856 et de la résistance 851 ce qui oourt-circuite l'enroulement inférieur du relais qui relâche et dégage l'unité CEI de l'équi- pement commun de la ligne interurbaine TL2 de la fig.

   16 et place cette unité CE1 sous le contrôle du circuit de jonction OT1 aboutissant au bureau A tout en permettant au relais de contrôle de l'unité CES (correspondant au relais 901 de CE1) de relâcher pour permettre aux appels   d'être   écoulés à travers l'unité CE1 de l'équipement commun. 



   Les opérations qui s'effectuent lorsqu'on prolonge la connexion d'une ligne appelante du bureau B à la table interurbaine du bureau C de la fig. 14 seront expliquées ci- après. Dans ce but, on supposera que l'abonné du poste   300   a décroché son récepteur, ceci a pour effet de connecter la ligne appelante au circuit de connexion des fig. 6, 7 et 8 et l'équipement commun CE1 des fig. 10 et 11 est mis en ser- vice pour appeler l'opératrice de contrôle du bureau A à tra- vers le circuit de jonction OT1. 



   Les lignes interurbaines qui relient le bureau B au bureau C sont accessibles à des connecteurs du bureau B par l'intermédiaire du 10e niveau. La première de ces lignes étant atteinte quand on émet le N  01, par conséquent, le premier chiffre émis par l'opératrice est le chiffre "C", il en résulte que 10 impulsions sont envoyées sur le fil 956 à travers des contacts du relais 703 attiré et jusqu'à l'électro aimant d'ascension 716 du connecteur local LOC. 



  En même temps, les balais 700 sont amenés en face du 10e niveau des contacts de bancs. Les ressorts 721 et   724   du niveau   "0"   sont donc amenés dans leur position de travail. 



  Les ressorts   723   préparent le circuit de l'enroulement supé- rieur du relais 705 à travers le fil pilote 959; les ressorts 721 préparent le circuit de l'enroulement inférieur du relais 710 et les ressorts   724   déconnectent le relais 711. 

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   Dans l'unité CE1 d'équipement commun; les relais 
922 et 923 du chiffre des dizaines sont attirés comme il a été décrit précédemment; le relais 923 transfère le fil d'impulsion du fil 956 au fil 957. 



   Quand le second chiffre, le chiffre l,est émis, l'impulsion est transmise à travers le fil.957 jusqu'à l'é- lectro aimant   717.   Les balais 700 sont   donc 'amenés' sur   le premier groupe des contacts de bancs du 10e niveau qui sont supposés être le groupe des contacts 1450 de la fig.16 ou des multiples de ceux-ci associés au circuit de jonction sortant CTC. Si le circuit de jonction TL2, associé au premier groupe des contacts debancs, est en service, une terre est connectée à la borne C de ce groupe. Dans ce cas, le relais 917 attire et prépare son circuit de blocage propre qui se ferme lorsque le relais 919 relâche,. Dans ce cas, une tonalité d'occupation est appliquée aux contacts supérieurs du relais 917 pour informer l'opératrice qui appelle de ce que la ligne est occupée. 



   Dans un but d'uniformité du système de numérotation, un chiffre additionnel tel que le chiffre "2" est assigné au groupe des circuits interurbains aboutissant au bureau   C   quand ce chiffre est émis, deux impulsions sont envoyées sur le fil commun d'impulsions 934, elles passent successivement à travers les contacts des relais 923 et 924 attirés (l'en- roulement inférieur du relais 924 est alimenté en multiple avec l'enroulement inférieur du relais 917) à travers des contacts des relais 926 et 928 et du fil 958 pour aboutir à l'électro aimant 743 du sélecteur SPl des postes groupés. 



  Les balais du sélecteur sont donc amenés sur le deuxième groupe des contacts de bancs, mais la mise en position du sélecteur n'a pas d'importance pour le moment. 



   Les relais 925 et 926 attirent successivement sous le contrôle du relais 919, le relais 926 déconnecte l'enrou- lement inférieur du relais   924   puisque le relais   920   n'a pas 

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 attiré à ce moment. Le relais 924 relâche donc et transfère de nouveau le fil 934 au fil 957 pour permettre un nouvel avancement des balais 700 du connecteur LOC sous le contrôle de l'électro-aimant de rotation 717. L'opératrice peut main- tenant émettre le chiffre "1" une ou plusieurs fois dans le but de provoquer l'avancement des balais 700 jusqu'à ce que la dernière ligne interurbaine du groupe soit atteinte ou jusqu'à ce qu'on tombe sur une ligne interurbaine libre. 



  Quand une ligne interurbaine libre est atteinte, le relais 917 relâche, l'enroulement inférieur du relais 921 est alimenté à travers le fil 960 et le balai 700 0 en série avec l'enroulement du relais connecté au fil C de la ligne interurbaine appelée. Le relais 921 connecte son enroulement supérieur au fil 935. De ce fait, l'enroulement supérieur du relais 924 est alimenté en multiple avec l'enroulement supérieur du relais 921. Le fil 934 est déconnecté du fil 957 mais il n'est pas connecté de nouveau au fil 958 car ce dernier est maintenant interrompu aux contacts supérieurs du relais 926. En même temps, le relais 929 attire en multiple avec les enroulements supérieurs des relais 921 et 924 à travers des contacts du relais 926 du fait de l'attraction du relais 921 qui ferme son circuit de blocage à son enrou- lement supérieur.

   Le fonctionnement du relais 929 a pour effet de faire attirer le relais 705 comme il sera montré ultérieu-   rement.   



   Les opérations qui s'effectuent quand la première ligne interurbaine du groupe est occupée ayant été expliquées, on supposera maintenant que la première ligne interurbaine du groupe ( la ligne TL2 de la fig. 16) est libre quand les balaie 700 du connecteur LOC s'arrêtent sur les contacts 1450 du fait que le numéro émis est le 01. Dans ce cas, le relais 921 attire immédiatement à la fin de l'envoi du 2e chiffre l, ce circuit comprend son enroulement inférieur 

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 et le fil 960 des contacts du relais 703 attiré, des contacts du relais 706, le balai 700 0, la borne 1450 C, le fil   14210   des contacts du relais   1405   et l'enroulement supérieur du re- lais 1406.

   Le relais 1406 attire dans ce circuit pour décon- necter le fil 1423 C de l'enroulement inférieur du relais 1405 et pour connecter celui-ci à la terre pour garder les bornes 1451 et le multiple de celles-ci dans le banc des connecteurs interurbains. 



   Le positif du fil 1421 est prolongé à travers les contacts supérieurs du relais 1606 jusqu'au relais 1411 ce qui provoque l'attraction de ce relais et par conséquent dégage les fils 1424 et 1425 de la ligne interurbaine TC2 des fig; 17 et le à travers des contacts du relais 1409, pour les amener sur les enroulements de la bobine translatrice 1400. 



  Le relais 1411 ferme également le circuit du relais 1410. 



  Le relais   1409   attire et ferme le circuit du relais 1410; il en résulte que le relais 1410 attire et se bloque aux contacts   du:relais   1411, en même temps il ouvre le circuit du relais retardé à la libération 1409 et permet à celui-ci de relâcher. Le relais 1409 attire donc momentanément ,pour envoyer le courant d'appel sur les fils 1424   et 1425   de la ligne interurbaine TL2 pour alerter l'opératrice du bureau C. 



   Il est à noter que le générateur du bureau central est maintenu en fonction à ce moment car le relais 914 main- tient le fil 948 mis à la terre. 



   Dans l'unité CE1 d'équipement commun, le fonction-   nement   du relais 921 a pour effet de faire attirer le relais 924, le circuit est prolongé jusqu'au fil 958 sur lequel les deux impulsions du chiffre 2 de sélection du poste groupé sont transmises quand ce chiffre est émis; 
A la fin de   l'émission, du   chiffre de sélection du poste groupé (ajouté au N  pour le plus d'uniformité) le re- lais 926 attire sous le contrôle du relais 925 commandé à son tour par le relais 919. Lorsque le relais   9S6 attire   il ferme le circuit du relais   929   comme il a été dit plus haut.

   Lorsque 

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 le relais 929 attire, il applique une polarité négative au fil 959, à travers la résistance qui lui est associée; par cette opération, un circuit se ferme qui emprunte le fil 959, les contacts du relais 703 attiré; les ressorts actionnés 723 du niveau 0, l'enroulement supérieur du relais 705 pour abou- tir à la terre. 



   Quand le relais 705 attire, comme il a été dit oi- dessus, il connecte le relais 708 au balai 700 C, il ferme un circuit supplémentaire pour maintenir le relais 707 attiré indépendamment du relais 706; il déconnecte les fils de oon- versation 621 et 622 des enroulements du relais 706 et les prolonge directement jusqu* aux balais négatif et positif 700, pour permettre au relais de ligne du circuit interurbain mis en service   d'être   maintenu directement à travers la ligne appelante. De plus, le relais 705 prépare son circuit de blo- cage à travers son enroulement inférieur, à ses contacts in- férieurs qui se ferment après le fonctionnement du relais   702.   



   Lorsque l'opératrice libère le circuit de jonction OT1 et l'unité CES d'équipement commun, l'application d'une terre au fil 955 à travers les contacts du relais 921 attiré a pour effet de faire attirer le relais 702 à travers les contacts du relais 703. En plus,de ce qu'il se bloque au fil 623 mis à la terre, en multiple avec l'enroulement du relais ce 701 et de/qu'il déconnecte l'enroulement du relais   703   et applique une terre directe au balai 700 C, le relais 702 ferme le circuit de blocage du relais 705 à tra- vers son enroulement inférieur.

   Ce circuit s'étend depuis le fil 734 mis à la terre à travers les contacts du relais 710, les contacts 704, les contacts du relais 702 attiré, les contacts 721 du niveau 0, les contacts 722 juqu'à   l'En-   roulement inférieur du relais 705, Un embranchement de ce circuit s'étend à travers l'enroulement inférieur du relais 705 attiré jusqu'à l'enroulement du relais 710. Le relais 710 attire donc et se bloque directement au fil 734 mis à 

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 la terre fermant de ce fait un circuit multiple à travers l'enroulement inférieur du relais 705 et les contacts infé- rieurs de ce relais.

   Le relais 710 déconnecte la terre   .du   fil 736 pour éviter tout fonctionnement intempestif de l'in- terrupteur du courant d'appel. par suite de l'opération de commutation qui est ef-   geotuée   aux deux contacts les plus élevés du relais 705 du connecteur local LOC, le relais 402 du circuit de jonction sortant OTO2 attire à travers la ligne appelante les fils 1419 et   1420   et l'enroulement gauche de la bobine translatrice 1400. Le relais 1401 fonotionne quand le relaie   1402   attire et prépare le circuit de libération foroée à travers le fil 1422, ce circuit devient actif dans le cas où l'opératrice du bureau C ne répond pas et que l'abonné   appelantiracoroohe   son récepteur, sans avoir reçu de réponse. 



   Dans le bureau 0 de la figure 14, l'application momentanée du courant de sonnerie provoque l'attraction momen- tanée du relais   1409,   ainsi qu'il a été expliqué précédemment. 



  Ceci a pour effet de faire attirer le relais sensible   1204,   Le relais 1204 se bloque par son enroulement inférieur oonnec- té à la terre; aux contacts du relais   1203,   il fait attirer le relais   1205   pour allumer la lampe   1206.   Quand l'opératrice ré- pond, au moment où la lampe   d'appel 1306   s'allume, elle insère la fiche d'un cordon libre dans le jaok J2, le relais 1202 at- tire dans le circuit du canon du   jack J2   pour fermer le circuit du relais 1201 à travers son enroulement inférieur.

   Le relais 1201 ferme, de ce fait, le circuit de l'enroulement inférieur du relais   1203 ,   Le relais 1203 ouvre le circuit de blocage du relais 1204; il ouvre le circuit placé aux bornes de l'en- roulement supérieur du relais   1204,,   Il déconnecte le relais 1202 et prépare son circuit de blocage au canon du jack J2. 



  Ce circuit se ferme dès que le relais 1202 relâche. Lorsque le relais 1202 relâche, il ouvre le circuit de l'enroulement inférieur du relais   1201,   mais le relais   1201   reste attiré par l'effet de son enroulement supérieur et à travers les 

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 contacts de tête et de nuque du jack J2. 



   A ses contacts supérieurs, le relais   1203   place un shunt aux bornes du condensateur associé aux enroulements gauches de la bobine translatrice 1200, ce qui provoque l'en- voi du courant continu sur la ligne interurbaine TL2 à tra- vers les enroulements du relais 1408, en série avec les en- roulements différentiels du relais 1407 et les enroulements droits de la bobine translatrice 1440. Le relais 1408 attire dans ce circuit, mais le relais 1407 ne le fait pas. Le re- lais 1408 prépare un circuit spécial de blocage sur lui-même à ses contacts supérieurs. Il fait attirer le relais 1400 à ses oontacts inférieurs ; à son contact inférieur, il ouvre e.n un point le circuit de libération forcée et ferme le circuit du relais 1404 à travers les contacta du relais 1405. 



  Le relais 1404 attire et ferme ses contacts, mais ceci n'a aucun effet car le relais 1403 n'est pas attiré à ce moment. 



   L'operatrice interurbaine du bureau C peut main- tenant compléter l'appel   comme   de coutume. 



   Le relais 1408, maintenant le relais 1400 attiré, la libération du relais 1402 n'a pas pour effet d'appliquer une terre au fil 1402. Par conséquent, l'abonné appelant peut rappeler l'opératrice en agitant la fourche de son poste sans provoquer la libération du connecteur local LOC. Quand le relais 1402 relâche et lorsque le relais 1401 relâche également, le circuit du relais 1409 se ferme momentanément à travers des contacts des relais 1408, 1401 et   1402.   Le relais 1409 lance un courant d'appel sur la ligne interur- baine TL2 pour rappeler l'opératrice du bureau C. Il est à noter que le relais 1409 ferme le circuit de blocage du re- lais 1408 à travers son enroulement supérieur pour éviter la libération de ce relais pendant l'application momentanée du courant de sonnerie.

   Les relais 1402 et 1401 attirent de nouveau quand les contacts de la fourche sont fermés au poste appelant. 

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   Quand l'abonné appelant raccroche son récepteur à la fin de la conversation, les relais 1402 et 1401 relâchent, Le relais   1409   attire momentanément   comme dit   précédemment-, cette fois pour donner à l'opératrice du bureau 0 un signal 
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 de fin de oommunioation. 



   Quand l'opératrice du bureau C retire la fiche de son circuit de cordon du jaok J2. les relais 1201 et 1203 relâchent; le relais 1203 ouvre le pont placé aux bornes de la ligne interurbaine TL2, ce qui permet au relais 1408 du circuit de jonction OTC2 de relâcher. Lorsque le relais 1408   relâche,   il ouvre le circuit du relais 1400 et il ferme le circuit de libération forcée à travers des contacts du relais 1400, pendant un temps suffisamment long, pour que ce relais relâche après que son circuit a été ouvert. Le oirouit de libération   foroée   emprunte le fil   1428.EG,   le balai 700 EC, les contacts du relais 705 pour aboutir au relais 708. Le relais 708 attire sous l'action de cette impulsion momentanée. 



  Le relais 708 étant retardé au fonctionnement reste attiré, pendant un temps suffisamment long, pour permettre au relais bloqué dans le connecteur LOC et le chercheur F1 de relâcher. 



  Le oheroheur et le connecteur sont ramenés en position normale sous l'action de leur électro-aimant de libération. Dans le circuit de jonction OTC2 de la figure 16 quand le connecteur local supprime la terre du fil 1421, les relais 1406, 1411, 1410 et 1409 relâchent. Il est à noter particulièrement que la connexion locale est libérée automatiquement quand l'opé- ratrice coupe la connexion, que les relais de ligne et de libération 1402 et 1401 aient relâché ou non. De cette façon, une ligne locale défectueuse ne peut pas maintenir une ligne interurbaine hors service. 



   En se référant aux figures 1 et 2 , on peut voir qu'une opératrice interurbaine au bureau A peut établir une communication interurbaine vers un abonné du bureau B par 

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 l'intermédiaire de la ligne interurbaine TL1, en utilisant le connecteur TC1 de la fig.2. On peut voir d'autre part, que le connecteur TC1 peut être utilisé pour établir une connexion à travers le bureau B vers le bureau C par l'intermédiaire d'une ligne interurbaine telle que la ligne TL2.

   Dans le but d'expliquer les caractéristiques du circuit de jonction OTC2 de la fig.16, on supposera maintenant que l'opératrice du bureau 
A a mis en service la ligne interurbaine TL1 des fig, 1 et 2 et qu'elle a émis le numéro du'groupe de jonction reliaat le bureau B au bureau C. on supposera, de plus, que la ligne in- terurbaine TL2 est libre et que le connecteur interurbain TOI de la fig. 2 saisit par conséquent la ligne TL2 aux bornes 1451 par l'intermédiaire des circuits de jonction sortants OT02 de la fig. 16. 



   Quand les bornes 1451 sont saisies et qu'une terre est appliquée au fil 1423 C, l'enroulement inférieur du relais 1405 est alimenté à travers des contacts du relais 1406. Le relais 1405 place une terre sur le fil 1421 C pour garder le circuit de jonction contre toute intrusion des autres connecteurs locaux. 



  Il fait également attirer le relais 1403 pour déconnecter les enroulements du relais 1402 et pour préparer un pont de super- vision aux bornes des fils 1419 et 1420 à travers des contacts du relais de supervision 1404. De plus, le relais 1403 fait attirer le relais 1411 qui,à son tour, fait attirer les relais 1409 et 1410, comme il a été décrit précédemment, pour provo- quer l'envoi momentané du oourant d'appel sur la ligne inter- urbaine TL2, dans le but d'alerter l'opératrice du bureau c. quand l'opératrice au bureau C répond, le relais 1408 attire comme décrit précédemment;

   à ce moment, quand le relais 1404 attire après le fonctionnement du relais 1408, il ferme un pont aux bornes des fils 1418 et 1420 par l'in- termédiaire des contacts du relais attiré 1403, ce qui fait attirer le relais du connecteur interurbain TC1, de la   fig.2,   correspondant au relais 1506 du connecteur interurbain TC2, 

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 de la fig. 17, pour faire attirer le relais identique au relais 1505 qui prépare le fonctionnement du relais identique au relais 1501. 



   Si on suppose que l'opératrice interurbaine du bureau 0 désire rappeler l'opératrice interurbaine du bureau A, elle manoeuvre momentanément la clé K4 de la   fig.14,   ce qui fait attirer le relais 1407. Le relais 1408 reste attiré, mais le relais 1404 relâche pour ouvrir le pont de supervi- sion placé aux bornes des fils 1419 et 1420, ce qui amène une attraction momentanée du relais de rappel du connecteur, TOI qui correspond au relais 1501 du connecteur interurbain TC2 de la fig.17. Le relais de rappel lance momentanément le courant de sonnerie sur la ligne interurbaine TL1 des fi- gures 2 et 1 pour rappeler l'opératrice du bureau A. 



   Quand la connexion doit être libérée, le connec- teur TC1 relâche par suite de l'ouverture de la ligne TL1 au bureau A. Quand le circuit de jonction sortant CTC2 de la fig.16 est libéré aux bornes 1451, les relais 1405 et 1403 relâchent et le relais 1403 permet aux relais 1411, 1410 et 1409 de relâcher. 



   Quand l'opératrice interurbaine du bureau C reçoit un appel interurbain qui doit être prolongé vers.une'ligne du bureau B, elle peut établir cette communication à travers une des lignes interurbaines reliant le bureau C au bureau B de la ligne interurbaine TL2, par exemple. Quand l'opératrice insère la fiche d'un circuit de cordon dans le jack J2 de la fig, 14 pour mettre la ligne interurbaine TL2 en service, le relais 1202 attire et déconnecte l'enroulement supérieur du relais 1203.

   Quand la fiche a été complètement enfoncée dans le jack, le relais 1201 attire par l'intermédiaire des con- tacts de tête et de nuque du jack et ferme un circuit de blocage temporaire à travers son enroulement inférieur et des   contacts   du relais 1202, enfin, il ferme le circuit de l'enroulement inférieur du relais   1203,   L e relais 1203 

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 attire donc et prépare son circuit de blocage à travers le canon du jack J2 dès que le relais   1202,   retardé au fonctionnement, relâche du fait qu'il a été déconnecté par le relais 1203. 



   A ses contacts supérieurs, le relais 1203 ferme un circuit de contrôle à travers la ligne interurbaine TL2 par l'intermédiaire des enroulements gauches de la bobine translatrice 1200. Ce circuit s'étend à travers les fils 1416 et 1417, les enroulements droits de la bobine trans- latrioe 1550 pour aboutir aux enroulements du relais 1502 du connecteur interurbain TC2. Le relais 1502 provoque l'attraction du relais 1503 et l'alimentation de l'enroule- ment supérieur du relais 1504 à travers les contacts 1525. 



  Lorsque le relais 1523 attire à son contact supérieur, il met le fil 1418 à la terre, ce qui fait attirer les relais 1405 et 1406 du circuit de jonction sortant OTC2. Ce relais prolonge la terre jusqu'aux bornes C accessibles des connec- teurs interurbains et locaux, respectivement, pour empêcher la prise de la ligne interùrbaine OTL2 dans l'un quelconque de ces sélecteurs. Le relais 1404 prépare le circuit de l'électro d'ascension 1528 et son circuit de blocage à travers son enroulement inférieur.

   Il déplace le circuit de l'enrou- lement inférieur du relais 1502 de telle sorte qu'il com- prenne le fil 1525 de la tonalité d'invitation à transmettre et qu'un signal correspondant soit transmis à tra- vers les enroulements du relais 1502 vers l'opératrice ap- pelante du bureau C pour l'informer de ce que la ligne in- terurbaine est en ordre de marhhe et qu'elle peut émettre le numéro demandé. 



   Il est à remarquer que la disposition de l'équi- pement montré en   fig.14   est établie en supposant que deux positions interurbaines soient prévues au,bureau c; elles déservent les appels qui sont écoulés à travers la jonction interurbaine TL. La clé de disque K5 est située de telle 

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 manière qu'elle puisse être atteinte d'une des deux positions. 



  Cette clé peut être abaissée sur la gauche pour associer le disque 1301 de la position 1 à la ligne interurbaine TL1 et elle peut être abaissée vers la droite pour associer le disque 1302 de la position 2 à la ligne interurbaine TL2. 



   La olé de disque KS est manoeuvrée dans le sens voulu pour associer le disque de l'opératrice qui appelle à la ligne interurbaine TL2. Ensuite l'opératrice émet le chiffre du numéro désiré et elle remet la clé de disque K5 en position normale. 



   Quand le premier chiffre ést'émis, le relais.1502 relâche momentanément un nombre de fois correspondant. Chaque fois qu'il relâche le relais   1502   ferme le circuit de l'élec- tro aimant d'ascension 1528 à travers les contacts du relais attiré 1503 et les contacts du relais 1504. Par suite du fonctionnement de l'électro-aimant d'ascension, les balais 1500 sont élevés pas à pas   jusqu'µ   ce qu'ils viennent se placer en face du niveau désiré des contacts de bancs. Les ressorts d'arbre 1537 ouvrent le circuit d'alimentation ini- tial de l'enroulement supérieur du relais 1504 qui ne relâche cependant pas jusqu'à la fin de l'envoi des impulsions, à ce moment il transfère le circuit d'impulsions de l'électro- aimant d'ascension 1518 à l'électro-aimant de rotation 1529. 



  En même temps, la libération du relais 1504 connecte le circuit de l'enroulement inférieur du relais 1502 à la terre ce qui déconnecte le fil 1525 de la tonalité d'invitation à transmettre, 
Quand le 2me chiffre est émis, les impulsions sont envoyées à travers les contacts du relais 1511 vers l'électro aimant de rotation 1529. Le fonctionnement de l'électro-aimant 1529 fait tourner les balais 1500 sur les contacts du niveau sélectionné jusqu'à ce qu'ils s'engagent sur les bornes de la ligne demandée. Le relais 1509 attire en multiple avec 1'électro-aimant de rotation au moment où la première 

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 impulsion est émise. Ce relais étant retardé à la libéra- tion, reste attiré pendant l'envoi des impulsions de rota- tion.

   A son contact intérieur, le relais 1509 fait attirer le relais 1510, à son contact supérieur il déconnecte le relais 1500 C et l'enroulement de test du relais 1511 et le transfère à l'enroulement du relais 1508. Il en résulte que si la ligne appelée est occupée, le relais 1508 attire et prépare Son circuit de blocage propre, il prépare égale- ment la connexion vers le fil de la tonalité d'occupation. 



  Quand le relais 1509 relâche, l'électro-aimant   1529   est donc déconnecté. En même temps, le relais 1509 établit le circuit de blocage du relais 1508 au fil 1418 mis à la terre ( à tra- vers les contacts supérieurs du relais de libération 1503). 



  Ce circuit de blocage comprend des contacts du relais 1511. 



  Lorsque le relais 1510 relâche, une connexion s'établit du fil de la tonalité d'occupation vers le fil supérieur de conversa- tion; de ce fait, un signal d'occupation vers l'opératrice appelante est transmis pour l'informer de ce que la ligne appelée est occupée. 



   Dans le cas où le poste appelé dispose du service par lignes multiples, comme il a été décrit ci-dessus, l'opé- ratrice peut émettre un chiffre additionnel 1 pour provoquer l'avancement des balais 1500 sur la ligne suivante. D'autre part, si l'appel est destiné à une ligne individuelle, l'opératrice retire la fiche du jack J2 de la fig.14 et permet la libération de la connexion qui a été établie par- tiellement. 



   Si on suppose maintenant que la ligne appelée est libre, le relais 1508 n'attire pas quand les balais 1500 s'arrêtent . Dans ce cas, le balai 1500 C rencontre un né- gatif sur la borne C de la ligne appelée, ceci ferme le circuit de l'enroulement de test du relais 1511 à travers les contacts du relais 1509, ce circuit se prolonge jusqu'à la terre à travers les contacts du relais 1508. 

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   Quand le relais 1511 attire, il se bloque au fil 
1418, il transfère le fil d'impulsions de l'électro aimant de rotation 1529 à l'électro-aimant de commande 1533 du sé- lecteur PS2 des postes groupés ; il prépare le circuit du re- lais 1512, il déconnecte le relais   1508   du circuit de test, il ouvre en un point le circuit de signalisation d'occupation à ses contacts supérieurs; il déconnecta les balais positif et négatif 1500 pour préparer le circuit d'envoi du courant d'appel, 
Dans le cas où la ligne appelée est une de celles qui possèdent un code à un seul chiffre (le chiffre de code qui est compris entre 2 et 6) le chiffre   suivant/est   émis est le chiffre final. Le balai 1531 prépare le circuit d'envoi du courant d'appel venant d'un des fils 1533 du générateur de code.

   Dans ce cas, le relais 1515 n'attire pas, 
Lorsque le relais 1510 relâche au moment où le relais 1509 retombe à la fin de l'envoi du chiffre de   séleo-   tion du poste groupé, le relais   1508   attire de nouveau à travers les contacts 1535 pour préparer le circuit de l'é- lectro-aimant de libération 1534; il place une terre sur le fil 1524 à travers les contacts du relais 1507 et il prolonge le fil commun 1523 à travers des contacts du relais 1511 jusqu'au relais 1512. Le relais 1518 attire quand l'impulsion de "prise" est reçue, il se bloque au fil 1418, en même temps il ouvre son circuit initial d'alimentation. 



   A ses contacts supérieurs, le relais   1512   établit le circuit d'envoi du courant d'appel, il emprunte les con- tacts pontés par les balais 1531, l'enroulement supérieur du relais 1507 pour aboutir au fil négatif de la ligne appelée à travers les contacts des relais 1516, 1517, 1507 et 1511. 



  Le circuit de retour du courant de sonnerie est mis à la terre par l'intermédiaire du balai positif 1500 et des con- tacts des relais 1511, 1507 et 1517. 

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   D'autre part, si la ligne appelée est une   ligne possé-   dant un code à deux chiffres, deux chiffres de sélection du poste groupé doivent être émis. Le premier chiffre est le chiffre 1. Dans ce cas, les balais 1551 et 1332 avancent d'un pas seulement. Quand le relais 1509 relâche après avoir attiré par suite de l'envoi de itimpulsion constituant le premier chiffre de sélection du poste groupé, il ferme le circuit du relais 1515 à son contact intérieur à travers les contacts du balai 1532. Le relais 1515 attire et ferme son circuit de blocage à son armature intérieure, à son   armature   supérieure, il déconnecte le fil d'envoi du courant d'appel des contacts associés au balai 1531 ét les transfère aux contacts associés au balai 1532 du code à deux chiffres. 



  De plus, le relais 1515, à ses contacts inférieurs ouvre en un point le circuit du relais 1508 pour empêcher l'attraction de ce relais à travers les ressorts d'arbre 1534 par suite de la libération du relais 1515 qui suit la libération du rélais 1509. Dans la supposition-actuelle, le chiffre suivant qui doit être   émis   est un des chiffres 1 à 5. Les balais 1531 et 1532 avancent par conséquent jusqu'à ce que le balai 1532 ponte le groupe des contacts désirés associés au fil 1533 du générateur de code, 
Quand le relais 1509 attire de nouveau quand on envoie le premier chiffre de sélection du poste groupé, une terre est prolongée jusqu'à l'enroulement du relais 1514. Ce re- lais se bloque au fil 1418 à son contact supérieur. A son contact inférieur, il prépare le circuit du relais 1508 qui se ferme quand le relais 1510 relâche. 



   Le circuit d'envoi du courant d'appel s'établit quand le relais 1512 attire lorsqu'il est connecté au fil 1523 par le relais 1508. Ce circuit.d'envoi du courant d'appel se prolonge d'un quelconque des fils 1333 à travers la paire des contacts pontés par le balai 1552, à travers les contacts du 

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 relais 1515 attiré et de là, comme il a été décrit précédem- ment, à travers l'enroulement du relais 1507 jusqu'à la ligne appelée du balai négatif 1500. Quand l'abonné appelé répond, le relais 1507 attire et se bloque au fil 1518. Il supprime la terre du fil 1504. A ses contacts les plus élevés il ouvre le circuit d'envoi du courant d'appel et ferme.le circuit de conversation. A ce moment, le relais 1506 attire dans la boucle de la ligne appelée et provoque l'attraction du relais 1505 pour préparer le circuit du relais 1501. 



   Quand la communication est terminée et que l'abonné appelé raccroche son récepteur, la libération du relais 1506 a pour effet de transmettre une impulsion vers le relais 1501 pendant un temps suffisant pour permettre le relâchement du relais retardé à la libération 1505. Le relais 1501 met à la terre le fil supérieur de conversation 1416 de manière à maintenir le relais 1502 attiré, il lance le courant d'appel sur le fil   1417   vers le bureau C pour actionner le signal de fin dans le circuit de cordon interurbain. 



   On doit comprendre en effet que le relais 1501 attire de cette manière quand l'abonné appelant agite sa fourche momentanément dans le but de rappeler l'opératrice. 



   Quand le relais 1501 relâche, il fait cesser l'envoi du courant d'appel et replace le relais 1502 sous le contrôle de la ligne interurbaine TL2. Quand l'opératrice coupe la connexion établie au jack J2, la coupure du pont placé aux bornes de la ligne interurbaine TL2 a pour effet de faire relâcher le relais 1502. Une impulsion est transmise à ce moment vers le relais   1509,   le relais 1510 attire mais sans effet. On remarquera que le relais 1508, ayant attiré, comme il a été décrit ci-dessus à travers les ressorts d'arbre 1555, maintient le circuit de l'électro-aimant ouvert. 



   Quand le relais 1503 relâche et supprime, à ses contacts 

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 supérieurs, la terre du fil 1418, les relais 1515, 1514,   1511   et 1507 du connecteur interurbain et les celais   1405   et 1406 du circuit de jonction sortait OTC2 relâchent. L'é- lectro-aimant de libération 1530 attire à travers les ressorts d'arbre 1526 pour ramener les balais 1500 en position nor- male;   1'électro-aimant   de libération 1534 attire à travers des contacts du relais 1508 pour ramener le sélecteur des postes groupés en position normale, Le relais 1508   relâche   quand les ressorts d'arbre 1535 s'ouvrent, lorsque les balais   1551   et 1532 sont revenus en position normale. 



   En ce moment, on peut faire remarquer que les relais   1515,   1516, 1517 et les fils négatif et positif du générateur   151S   et 1518 sont prévus dans le connecteur interurbain TC2 pour la même raison que celle donnée précédemment pour les relais 712, 714 et 715 ainsi que pour les fils négatif et positif du générateur   734   et 733 du connecteur local   LOC.   



  Puisque le fonctionnement du connecteur local LOC dans le cas d'un appel vers une ligne à postes groupés à sélection com- plète a été décrit précédemment, il ne sera pas donné de des- cription détaillée du fonctionnement du connecteur interurbain LC2 dans un cas semblable. 



   La manière dont l'appareil du bureau B fonctionne pour permettre de sonner la ligne appelée quand cette ligne se trouve branchée sur la ligne appelante sera indiquée ci-dessous. 



   Tous les abonnés groupés sur la même ligne sont infor- més de ce qu'il y a d'autres abonnés qui sont dans le même cas qu'eux, On suppose de plus que lorsqu'un abonné désire appeler un autre abonné connecté à la même ligne que lui, il informe l'opératrice de ce fait, en même temps qu'il lui donne le numéro désiré. L'abonné appelant raccroche ensuite son récepteur pour permettre d'effectuer l'envoi du courant d'appel. 



  Les relais 706 et 707 du connecteur local LOC relâchent mais 

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 la connexion est maintenue par la terre qui est normalement connectée au fil 623 à travers des contacts 702, 702' et 708. 



   Dans ce cas, l'opératrice n'émet pas les chiffres des dizaines et des unités du numéro demandé, elle émet simplement le chiffre d'appel révertif 7 et 0, Dans le connecteur local LOC l'émission des chiffres d'appel révertif 7 et 0 a pour effet de placer les ressorts 722 et 762 dans leur.position alternative. 



   Quand les balais 700 atteignent la position 70 le balai   7000   ne rencontre pas une polarité indiquant que la ligne. est libre quand il s'engage sur le contact du banc, car les fils du câblage ont été supprimés au contact 70 pour éviter l'interférence entre les connecteurs dans le cas des appels révertifs. Cependant, le contact 762 est fermé à ce moment, il applique une polarité négative au balai C, à travers la résistance 763, dans le but de compléter le circuit du relais 921 à travers les contacts du.relais de connexion 703 et le fil de test 960, en supposant que l'unité CE1 d'équipement commun est celle qui est mise en service. En même temps, le circuit de l'enroulement inférieur du relais 705 se ferme à travers des contacts du relais 704 et du relais 710 au fil 734 mis à la terre.

   Le relais 705 attire maintenant pour déconnecter les fils entrants 621 et 622.de la portion du circuit de conversation qui s'étend entre les relais 706 et 709 à travers les condensateurs 729 et 730, il prolonge ceux-ci jusqu'aux balais négatif et positif 700 dans le but de permettre la transmission normale du courant d'appel depuis le balai 700 à travers le multiple du banc jusqu'aux fils entrants 621 et 622 et jusqu'à la ligne appelante. A son contact inférieur intérieur le relais 705 ferme le circuit du relais 707 pour le faire attirer'de nouveau et préparer un nouveau circuit de blocage nécessaire pour maintenir le fil de garde 623/à la terre après que le relais 702   a' attiré   

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 lorsque l'opératrice coupe la communication. 



   L'opératrice en émettant les chiffres 7 et 0 d'appel révertif provoque la mise en position du sélecteur PSI du poste groupé et l'envoi du courant d'appel vers le poste demandé. 



   Quand l'opératrice coupe la communication, le relais 702 attire à travers le fil 955 et connecte les fils 755 et 736 pour faire démarrer l'interrupteur de sonnerie etpour faire attirer le relais 711 ce qui provoque l'envoi du courant   d'appel.   L'abonné est sonné du fait que le courant d'appel est envoyé sur la ligne appelante à travers les contacts du relais 705 attiré, 
Quand l'abonné appelant décroche de nouveau son récep- teur ou que l'abonné appelé réponde quelle sue soit l'opération qui s'effectue en premier lieu, le relais 710 attire dans le circuit d'envoi du courant d'appel.

   Lorsqu'il attire, en plus de ce qu'il ferme son circuit de blocage, à ses contacts inférieurs intérieurs et de ce qu'il ouvre le circuit d'envoi du courant d'appel, le relais 710 à son contact inférieur médian ouvrele circuit passant à travers l'enroulement in- férieur du relais   705, 'ce   relais relâche et connecte de nouveau le relais 706 aux fils entrants 621 et 622. Le relais 706 attire de nouveau dans la boucle de la ligne appelante pour fermer le circuit de blocage du relais 707 et maintenir ce relais attiré de manière à connecter une terre sur le fil 623 jusqu'à la fin de la conversation. 



   La connexion se libère de la manière qui a été décrite précédemment quand les deux abonnés raccrochent   raleur   récep- teur et permettent au relais 706 de relâcher.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS. EMI95.1 --------------------------- 1. Un système téléphonique comprenant un bureau contrôlé à distance dans lequel l'émission d'un appel dans le bureau contrôle à distance a pour effet de mettre en service un commutateur auto- matique et d'associer ce commutateur à une unité d'équipement commun prise dans un groupe de deux unités, chacune d'elles étant connectée en permanence à une ligne se prolongeant jusqu'à un bureau éloigné, l'unité d'équipement commun mis en service servant à mettre le commutateur automatique qui lui est associé directement sous le contrôle exerce à travers aette ligne, par une opératrice du bureau éloigné.
    2. Un système téléphonique comprenant un bureau contrôlé à distance dans lequel l'émission d'un appel au bureau contrôlé à distance a pour effet de mettre en service un commutateur automatique et de lui associer une unité d'équipement commun libre prise dans un groupe de deux unités connectées chacune en permanence à une ligne se dirigeant vers un bureau distant pour permettre à une opératrice de ce bureau de contrôler la mise en position de ce commutateur, les dispositions étant telles que si les deux unités de l'équipement sont en service l'émission d'un appel dans le bureau contrôlé à distance ne peut pas avoir pour effet de mettre un commutateur automatique en service.
    3. Un système téléphonique comprenant des lignes à postes groupés qui sont appelés par un code de sonnerie et des lignes à.postes groupés qui sont appelés par appels sélectifs dans lequel un commutateur automatique ayant accès à des lignes à postes groupés des deux types est mis en position sur la ligne désirée par des trains d'impulsions et peut recevoir des impulsions additionnelles qui ont pour effet de contrôler l'application du type approprié de courant d'appel sur la ligne du poste groupé sélectionné sans affecter la position prise par le commutateur automatique.
    4. Un système téléphonique utilisant des sélecteurs finals ayant accès à plusieurs lignes à postes groupés dans lequel le sélecteur <Desc/Clms Page number 96> final est mis en position par deux séries d'impulsions et peut ensuite recevoir des trains d'impulsions additionnels pour faire fonctionner un équipement de sélection du poste dans le groupe sans affecter la position prise par le commutateur, si la ligne demandée est oacupée et si elle fait partie d'un ensemble de lignes ayant accès au même poste d'abonné le commutateur avance pas à pas dans le groupe jusqu'à ce qu'il ait trouvé une ligne libre.
    5. Un système téléphonique comprenant un bureau contrôlé à distance pouvant être associé à une opératrice d'un bureau éloigné lors- qu'une ligne appelle dans le bureau contrôlé à distance, dans lequel la libération de la connexion vers le bureau éloigné est placée sous le contrôle de l'opératrice, si la connexion est libérée sans que l'opératrice ait émis des impulsions,ce qui se produit s'il s'agit d'un faux appel provoqué par une ligne défec- tueuse, celle-ci est automatiquement mise sur' faute.
    6. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel les impulsions transmises par l'opératrice du bureau éloigné sont répétées dans l'unité d'équipement commun sur un fil d'impulsion qui peut être associé tour à tour à des fils aboutissant aux divers électro -aimants des commutateurs auto- matiques.
    7. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 6 dans lequel le fil d'impulsion peut également être associé à un fil aboutissant à l'électro-aimant d'un commutateur auxiliaire qui est mis en position par des impulsions transmises par l'opératrice du bureau éloigné dans le but de déterminer le type de courant d'appel qui doit être envoyé sur la ligne appelée.
    8. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel les commutateurs automatiques comprennent des cir- cuits de connexion et dans lequel le fonctionnement d'un cher- cheur est impossible lors d'un nouvel appel si les deux unités d'équipement commun sont déjà en service. <Desc/Clms Page number 97>
    9. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 8 dans lequel les circuits de connexion sont contrôlés par un distributeur dont le circuit de démarrage est puvert si les deux unités d'équipement commun sont en service.
    10. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel l'une quelconque des lignes ainsi que les unités d'équipement. commun au moyen desquelles le contrôle est exercé peuvent être mises hors service par la mise en place, en des positions déterminées, d'un quelconque des commutateurs auto- matiques du bureau contrôlé à distance.
    Il. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 10 dans lequel les lignes sont remises en service en plaçant un quelconque des commutateurs automatiques en des positions déter- minées différentes de celles qui servent à mettre ces lignes hors service.
    12. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 10 dans lequel si une ligne et l'équipement commun qui lui est associé sont mis hors service à un moment où l'établissement d'une communication s'effectue sur cette ligne la connexion est immédiatement libérée.
    13. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel l'unité d'équipement commun associera une ligne aboutissant directement au bureau éloigné peut être déconnectée de cette ligne et connecté.,-,au bureau éloigné par un chemin dé- tourné en amenant un quelconque des commutateurs automatiques du bureau contrôlé à distanoe dans une position déterminée.
    14. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 13 dans lequel le chemin détourné s'établit sur un circuit de jonction à tragers un troisième bureau, ce circuit de jonction étant rendu individuel à l'unité d'équipement commun.
    15. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 3 dans lequel l'unité d'équipement commun est libérée après <Desc/Clms Page number 98> le test de la ligne appelée, si celle-ci est occupée la trans- mission de la tonalité d'occupation est provoquée par l'unité d'équipement commun et poursuivie par le commutateur automatique.
    16. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou si l'appel 2 dans lequel/doit être établi dans le bureau contrôlé à distance, l'envoi du courant d'appel vers la ligne appelée est effectué du fait de la libération de l'équipement commun, si l'appel est destiné à un bureau éloigné l'équipement commun est déconnecté seulement lorsque l'opératrice du bureau éloigné répond.
    17. Un système téléphonique cornue revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel un dispositif à temps situé au bureau contrôlé à distance donne une alarme audible si l'opératrice du bureau éloigné néglige de répondre aux appels endéans un temps déterminé.
    18. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 17 dans lequel l'opératrice locale peut prendre la commande du bureau quand l'alarme retentit.
    19. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 18 dans lequel l'opératrice locale peut répondre 1.. l'appel et établir la communication demandée et prévu de plus pour que tous les appels dans lesquels le même équipement commun est employé soient dirigés vers sa table sans interférence avec l'écoulement des appels à travers l'autre équipement commun.
    20. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication l8 dans lequel l'opératrice locale peut effectuer le contrôle complet en mettant une des unités d'équipement commun hors service et en associant l'unité restante de l'équipement commun à sa table ce qui lui permet d'établir au moyen de celle-ci toutes les communications émises dans le bureau contrôlé à distance.
    21. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel les lignes raccordées à des postes à prépaiement sont munies d'un dispositif à temps qui donne une alarme si la liaison vers l'opératrice du bureau éloigné n'est pas effectuée endéans un temps déterminé et quand la connexion a été établie <Desc/Clms Page number 99> vers l'opératrice pour oontrôler l'émission d'un signal vers le bureau éloigné pour indiquer le genre de la ligne appelante.
    22. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3 dans lequel le type du.. courant d'appel qui doit être envoyé vers la ligne à postes groupés estdéterminé par un commutateur rotatif qui est associé en permanence au commutateur automatique et qui est mis en position par un train supplémentaire d'impulsions.
    23. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 22 dans lequel le commutateur rotatif est muni d'une paire de balais servant à ponter les contacts du banc auxquels sont connectés les fils du générateur de code ou fermant les circuits de con- trôle pour l'application du courant de sonnerie sélectif.
    24. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 4 dans lequel quand une ligne libre est atteinte 1'électro-aimant de rotation du sélecteur final est déconnecté du circuit d'im- pulsion.
    25. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 5 dans lequel chaque ligne d'abonné est pourvue d'un relais re- tardé à la libération, qui reste attiré quand la ligne devient défectueuse car la ligne est replacée en condition d'appel après la libération de la connexion.
    26. Un système téléphonique en principe comme décrit et représenté aux plans annexés.
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