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Perfectionnements aux systèmes téléphoniques. Convention Internationale : Demande de brevet des Etats-Unis d'Amérique N 755.263 déposée le 30 novembre 1934 par Thomas Frederick CROCKER dont la demanderesse est l'ayant droit.
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La présente invention se rapporte aux systèmes de téléphonie en général mais concerne plus particulièrement des systèmes de téléphonie dans lesquels des connexions s'effectuent au moyen de commutateurs automatiques.
L'objet principal de l'invention est de procurer des appareils convenables et des dispositions de circuits destinés au bureau interurbain d'un central automatique suivant lequel les appareils de sélection automatique associés au bureau interurbain sont meilleur marché et en même temps plus simule de fonctionnement.
Le système exposé ici peut être considéré comme un perfectionnement du bureau automatique interurbain décrit dans le Brevet ? 384.791. Dans ce brevet les divers sections du commutateur interurbain étaient spécialisées pour desservir un genre de trafic tel que : 1, trafic entrant des lignes interurbaines, 2. trafic sortant du bureau automatique local et qui doit s'écouler par les jonctions interurbaines aboutissant aux autres bureaux et 3. l'établissement des communications différées suivant lequel l'opératrice établit une connexion de sa position vers chacune des lignes se terminant sur celle-ci, ceci est connu sous le nom de connexions bout à bout.
Suivant une des caractéristiques de l'invention un commutateur interurbain est muni de circuits de jonction ayant chacun accès à différentes catégories de lignes entrantes par l'intermédiaire d'un commutateur à commande directe et à différentes classes de lignes sortantes par l'intermédiaire d'un deuxième commutateur à commande indirecte les moyens étant prévus pour permettre à l'opératrice d'établir des connexions entre des lignes entrantes et des lignes sortantes de même catégorie ou de catégories différentes par l'intermédiaire des mêmes commutateurs à commande indirecte et du circuit de jonction.
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Suivant l'invention les lignes entrantes peuvent être des lignes interurbaines venant d'un bureau éloigné et la connexion peut être faite entre ces lignes interurbain et des lignes interurbaines sortantes vers un autre bureau ou vers des lignes locales. De plus quand les lignes entrantes sont des lignes locales la connexion se fera entre ces lignes et les lignes interurbaines sortant vers un bureau distant.
Suivant une autre caractéristique de l'invention dans un commutateur interurbain possédant des circuits de jonction dont chacune des extrémités aboutit à un commutateur automatique à commande indirecte l'un d'eux est opéré quand le circuit de jonction associé est mis en service tandis qu'un commutateur à commande directe ayant accès à des lignes sortantes est saisi temporairement et mis en position sous le contrôle de l'opératrice pour marquer la ligne sortante désirée ce qui provoque la recherche automatique de la ligne marquée par le deuxième commutateur à commande indirecte pour compléter la connexion par l'intermédiaire des commutateurs à commande indirecte et du circuit de jonction indépendemment du commutateur à commande directe.
L'invention sera mieux comprise par la description suivante qui en sera faite pour laquelle on se réfèrera aux plans annexés qui montrent par un exemple un système de téléphonie où l'invention est appliquée.
La fig. 1 montre le circuit de ligne interurbain TLC, particulier à la ligne interurbaine TC et accessible au commutateur de réponse AS de la fig. 3.
La fig. 2 montre le circuit à longue distance LD entrant des bancs des sélecteurs locaux et accessibles au commutateur de réponse AS.
La fig. 3 montre le circuit de jonction Ll muni d'un commutateur de réponse AS et d'un circuit d'appel CS.
La fig. 4 montre le circuit de service interurbain
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TSC qui relie le banc du commutateur d'appel CS à un sélecteur de serviee (non représenté) et au moyen duquel les communications peuvent être établies vers les lignes des abonnés du bureau automatique local.
Les fig. 5 et 6 montrent l'équipement de la position, il est commun à un certain nombre de circuits de jonction tels que Ll et comprend le combiné de l'opératrice et des clefs ainsi que les relais de commande qui leurs sont associés.
La fig. 7 montre le sélecteur "by-pass" BPS qui a accès à toutes les lignes interurbaines qui peuvent être desservies par le commutateur. Ce sélecteur by-pass peut être considéré cornue un équipement de position puisqu'on seul sélecteur de ce type est prévu par position d'opératrice.
La fig. 8 montre un circuit local LC utilisé à la place du circuit TSC de la fig. 4 dans le cas où le commutateur décrit ici est employé dans un bureau n'ayant pas d'interurbain automatique mais dans lequel on fait usage des commutateurs automatiques réguliers pour l'établissement des communications entre le commutateur interurbain et les lignes locales demandées.
Pour la facilité de la description, on supposera que le commutateur décrit est un commutateur à. deux positions dont l'équipement de position montré aux fig. 5,6 et 7 est installé à la première position. L'équipement identique de la deuxième position ntest pas représenté, à l'exception de la clef de transfert K18, fig. 5, interconnectée avec la clé de transfert K17 de la position 1 pour permettre à l'une quelconque des opératrices d'utiliser son propre combiné serre tête quand elle dessert les deux positions pendant les périodes de faible trafic.
Les cables Cl, C2 et 03 de la première position contiennent les fils nécessaires pour les connexions multiples entre l'équipement commun de la position et les différents
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circuits de jonction, tels que le circuit de jonction Ll de la fig. 3. On comprendra en effet qu'un nombre suffisant de circuits de jonction doit être prévu pour l'écoulement du trafic estimé.
La deuxième position est munie également d'un groupe de circuits de jonction, tous identiques au circuit de jonctic Ll de la fig. 3, et d'un équipement tel que celui montré aux fig. 5 et 6 et commun au groupe des circuits de jonction.
Le commutateur de réponse AS et le commutateur d'appel CS sont des commutateurs rotatifs du type connu ayant par exemple 50 broches par banc, six d'entre elles seulement sont représentées dans chaque commutateur.
On notera que le premier et le deuxième groupe des contacts du banc du commutateur de réponse AS sont connectés chacun à un circuit à Ion g u e distance ou à un circuit interurbain ordinaire tel que LD. Les troisième et quatrième groupes de contacts du banc du commutateur de réponse sont alloués au groupe des lignes interurbaines dont fait partie la ligne TL qui aboutit à un bureau automatique éloigné équipé d'un commutateur interurbain automatique identique.
Les cinquième et sixième groupes de contacts du banc du commutateur de réponse sont alloués à un autre groupe de lignes interurbaines(non représentées) et qui aboutissent, suppose-t-on, à un bureau manuel distant, ayant donc un bureau interurbain manuel.
Les groupes de contacts 1 et 2 des bancs du commutateur d'appel CS au lieu d'être assignés à.des lignes à sélection à distance ou à des jonctions interurbaines ordinaires sont assignés à des jonctions aboutissant au système interurbain automatique au travers duquel les communications sont établies vers les abonnés locaux par l'intermédiaire de circuits de service interurbains tels que TSC.
Le troisième groupe de contacts est assigné à la ligne interurbaine associé
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au troisième groupe de contacts du banc du commutateur de réponse AS, les contacts étant connectés au circuit interurbain TLC par l'intermédiaire des fils 361,362 et 363 du groupe des fils 361-365 et 365' du multiple d'appel de la ligne interurbaine TL. Le restant des contacts du banc du comr,iutateur d'appel CS est, connecté identiquement aux fils du multiple d'appel des autres lignes interurbaines qui apparaissent comme des lignes appelantes dans le banc du commutateur de réponse AS.
Les bancs des différents commutateurs de réponse de la même position sont multiplés et un multiple identique, mais séparé, existe en ce qui concerne les bancs des commutateurs appelants tels que OS. Certains des fils du banc multiple des commutateurs d'appel et de réponse sont communs aux deux positions, d'autres ne le sont pas, par exemple les contacts des bancs du balai d'identification tel que 313 de la fig. 3 ne sont pas multiplés entre les positions puisqu'un groupe de lampes d'identification telles que 331-334 est prévu pour l'autre position et que l'interférence entre les deux positions en ce qui concerne l'allumage des lampes n'est pas désirable.
De plus les contacts de 1 à 6 des bancs des balais combinés de supervision et de marquage tels que 314 ne sont pas multiples entre les positions puisque les fils de marquage, tels que 109, doivent être individuels à une position.
Dans le commutateur d'appel CS, le banc multiple s'étend sur deux positions sauf en ce qui concerne les bancs des balais de marquage, tels que le balai de marquage 323, qui comporte un multiple séparé pour chaque position.
Une description détaillée du fonctionnement des appareils sera donnée ci-après. Dans ce but on décrira d'abord les opérations qui s'effectuent pour l'établissement d'une communication sortante du bureau où se trouve l'équipement interurbain automatique. On admettra qu'un abonné, désirant con-
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verser avec un abonné d'un bureau éloigné a opéré un sélecteur automatique pour établir sa connexion par l'intermédiaire des fils 221, 222 et 223 avec une jonction interurbaine ordinaire ou une jonction à @ n g. u. e. distance telle que celle associée à l'équipement LD de la fig. 2.
Le relais 202 attire donc par l'intermédiaire des fils 221 et 223 et des enroulements gauches de la bobine trans. latrice 206 et des contacts du relais '201. Le relais 202 attire et ferme le circuit du relais 203 à son armature intermédiaire, tandis qu'à son armature inférieure il connecte le fil inférieur de conversation, à travers des contacts du relais 204 et du petit condensateur de retour d'appel associé, au fil commun du générateur intermittent 211. La tonalité de sonnerie cadencée est donc transmise vers l'abonné pour l'informer de ce que la connexion a été prolongée jusqu'au comnu- tateur interurbain.
Quand le relais 203 attire il marque le fil 208 dans les bancs des commutateurs de réponse, aux deux positions, en le connectant au pôle négatif, non relié à la terre, de la batterie par l'intermédiaire du relais 204 et de la résistance associée 205 en parallèle ; ilplace un positif sur le fil de libération de jonction 222 à son armature intérieure inférieure et à son armature inférieure il place un positif sur le fil de démarrage 212 qui est commun à tous les circuits tels que LD et à tous les circuits tels que TLC.
Le fil 212 est de plus commun aux deux groupes des équipements de position et de ce fait provoque une action dans les deux positions. Dans la première position un circuit se ferme à travers les contacts du relais 516 pour faire attirer le relais 517, il attire et ferme le circuit de la lampe pilote de réponse 523 pour donner à l'opératrice une indication visuelle de l'appel. Le relais 507 ferme également,:à son armature intérieure supérieure, le circuit de l'enroulement supéri-
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eure du relais marginal 516 par l'intermédiaire des contacts est du relais 504. Cet enroulement/ineffectif ctest à dire qu'il ne fait pas opérer le relais mais donne seulement une légère impulsion pour hâter l'attraction du relais lorsque le courant parcourera son enroulement inférieure.
Le relais 507 prépare également, par l'intermédiaire du fil 341, le circuit suivant lequel le commutateur de réponse répondra à l'appel, à l'arma- ture 534 il prépare le circuit de test par l'intermédiaire du fil 352. Si l'équipement de position est libre aux deux posi- tions les lampes pilotes de réponse s'allument aux deux posi- tions et les deux opératrices peuvent répondre à l'appel.
L'opératrice de la position 1 peut répondre à l'appel en opé- rant la clé Kl de la fig. 3 en position de conversation ( en supposant que la jonction Ll est libre, comme l'indique le fait que la lampe d'occupation 336 est éteinte) . La clefKl connecte ltélectro de commande 310 du commutateur de réponse AS au fil 341; elle connecte le relais 301 au fil 342; elle ouvre en un point le circuit de blocage du relais 302 et place une terre sur le balai d'identification 313 ; elle connecte le balai de supervision et de marquage 314 au fil 345; elle pré- pare le circuit de blocage du relais 303 par l'intermédiaire du fil 344 ;
elle ferme le circuit d'attraction du relais 303 par l'intermédiaire du fil 343 mis à la terre normalement à travers les contacts du relais 502 de l'équipement de posi- tion.
Le relais 303 attire par l'intermédiaire des fils 343 et se bloque à son armature intérieure inférieure à travers les contacts de la clef Kl et par l'intermédiaire du fil 344, en série avec le relais 502.
Le relais 502 attire et déconnecte le positif du fil 343 pour ouvrir le circuit d'attraction original du relais 303 et prévenir l'attraction d'un second relais tel que le relais 303 dans le cas où Impératrice opérerait une autre clef de
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conversation par inadvertance.
Le relais 502 déconnecte également les fils de conversation associés de l'enroulement primaire de la bobine translatrice 532 et connecte ceux-ci aux enroulements de la bobine translatrice 531 de telle sorte que le circuit soit mis en position de conversation en même temps qu'on ouvre en un point le circuit du relais 501.
Dans le circuit de jonction Ll le relais 303 par son fonctionnement sépare les fils de conversation du circuit de jonction Ll en deux parties; il connecte la section de réponse par l'intermédiaire des fils 350 et 357 au circuit de conversation de la position à travers des contacts du relais 508; il connecte l'extrémité appelante du circuit de jonction Ll par l'intermédiaire des fils 351 et 356 au circuit de conversation de la position à travers les armatures 542 et 543 du relais 517; il réunit les balais de test et de marquage 322 et 323; il connecte le circuit de blocage du relais 304 au fil 353; il déconnecte l'électro de commande 320 de l'enroulement inférieur du relais 304 ainsi que la lampe de supervision de réponse 337 ;
ilconnecte l'enroulement inférieur du relais 304 et le fil 355 de la lampe de supervision de réponse; il connecte l'électro de commande 320 au fil 354.
Le positif placé sur le fil 535 à l'armature médiane supérieure du relais 502 est prolongé à travers les contacts des relais 508,505, 506 et du relais attiré 507 au fil 341 pour faire attirer l'électro de commande 310 suivant un circuit de commande propre par l'intermédiaire des contacts de la clef de conversation Kl et les contacts du relais non opéré 301 pour faire avancer les balais 311-315 pas à pas à la recherche du circuit appelant.
Le positif est connecté à la borne inférieure de l'enroulement de test du relais marginal 506 (au fil mis à la terre 535 par l'intermédiaire de contacts des relais 508 et 505) et
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l'autre borne de l'enroulement de test est connecté à travers l'armature du relais 507 au fil 352, ce fil est maintenant connecté à travers des contacts du relais 203 au balai de test 312 du commutateur de réponse.
Les broches rencontrées par le balai de test 312 dans sa rotation sont connectées soit à des fils neutres ou à des fils mis à la terre jusqu'à ce que le balai 312 rencontre une broche associée à un circuit appelant, cette broche est connectée au négatif ce qui fait attirer immédiatement le relais 506 de l'équipement de position pour supprimer le positif du fil 341 et pour fermer le circuit du relais 504. La suppression du négatif du fil 341 ouvre le circuit de l'électro de commande 310 de telle sorte que les balais 311 à 315 s'arrêtent sur la broche du circuit appelant LD. Quand le relais marginal 506 attire il est capable de rester attiré sans qutun courant circule dans son enroulement inférieur car son enroulement supérieur est parcouru par un courant.
Quand le relais 504 attire il connecte un négatif à travers la résistance 536, au fil 342, fermant de ce fait le circuit du relais 301 à travers les contacts de la clef Kl, le relais 310 attire et ferme son circuit de blocage propre à travers la résistance 367 et l'électro de commande 310, il dé- connecte en même temps l'électro 310 du fil 341 ; allume la lampe d'occupation 366 à son armature médiane inférieure; il connecte les balais de conversation 311 et 315; et il place un positif directement sur le balai de test 312 gardant de ce fait le circuit LD contre toute intrusion.
Dans le circuit à 1 o n g une distance LD, le relais 204 qui a attiré en parallèle avec la résistance 205 et en série avec ltenroulement inférieur du relais 506 reste attiré par l'intermédiaire du positif donné au fil 208 à travers les contacts du relais 301. En attirant le relais 204 à son armature supérieure shunte les contacts correspondants du relais
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203 et déconnecte la résistance 205 pour supprimer la consommation de courant; il ouvre le circuit de la tonalité de retour d'appel à son armature inférieure ; ilprépare un cir- cuit de supervision de déconnexion par l'intermédiaire du fil 209 à son armature intérieure inférieure;
à son armature médiane inférieure il déconnecte le positif du fil de démarrage 212, et établit une connexion supplémentaire de blocage au fil 222, pour placer le blocage ultérieur de la connexion établie vers le circuit LD sous le contrôle de l'opératrice et pour permettre à l'abonné appelant d'agiter sa fourche pour rappeler l'opératrice sans qu'il y ait danger de couper la communication.
Le relais 507 de la fig. 5 de même que le relais correspondant de la deuxième position relâchent à moins qu'un autre appel ne soit parvenu entretemps pour provoquer la mise à la terre du fil 212 en un autre point, dans ce cas les deux relais de démarrage restent attirés pour l'instant.
Quand le relais 504 attire il ouvre également le circuit de l'enroulement supérieur du relais 506 qui relâche par suite de la mise à la terre du fil 352 à l'armature intérieure supérieure du relais 301 et à travers les contacts du relais 303. Le relais 506 ne relâche pas immédiatement cependant car son enroulement inférieur est court-circuité par le positif placé à ses deux bornes.
A son armature la plus élevée le relais 504 déconnecte les fils du combiné serre-tête de l'opératrice des fils de conversation et les conneate à l'enroulement supérieur du relais (ou ronfleur) 503 tandis qu'à son armature intérieure inférieure il ferme le circuit de commande propre de l'enroulement inférieur du relais 503, celui-ci travaille comme un ronfleur et produit une tonalité d'avertissement dans le récepteur de l'opératrice R qui est associé à l'enroulement secondaire de la bobine d'induction 531 dans le circuit anti-local ordinaire.
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Après un court instant le relais 506 relâche et ouvre le circuit du relais 504 qui relâche et fait cesser l'application de la tonalité sur le poste de l'opératrice. De plus le relais 504 applique un positif à la borne supérieure de l'enroulement: supérieur du relais 505 qui attire par ltintermédiaire du fil 342 et à travers les contacts de la clef Kl en parallèle avec l'enroulement du relais 301.
Quand le relais 505 attire, il déconnecte le positif de la borne inférieure de l'enroulement du relais 506 et de ltarmature de ce relais, il place un négatif sur le fil 346 à travers des contacts du relais 516 et la résistance 538.
Le négatif sur le fil 346 fait allumer la lampe d'identification 331, assignée au groupe de lignes ou de circuits représenté par le circuit LD de la fig. 2. Cette lampe est alimentée à travers le balai 313 et des contacts de la clef de conversation Kl, elle identifie l'appel comme venant d'un abonné local.
La description précédente explique le fonctionnement quand l'opératrice n'attend pas l'arrivée d'un appel. Quand elle ntest pas occupée, ltopératrice peut maintenir une clef, telle que Kl, en position de conversation, dans ce cas le relais 303 du circuit de jonction sélecté et le relais 502 de ltéquipement de position sont l'un et l'autre déjà attirés quand ltappel se présente de telle sorte que les opérations décrites précédemment s'effectuent sans interruption puisque le relais 507 est attiré.
Après avoir entendu l'application momentanée de la tonalité dans son récepteur, l'opératrice se met en relation avec l'abonné appelant pour obtenir les informations qui lui sont nécessaires pour poursuivre l'établissement de la communication.
Supposons que l'appelant désire obtenir un numéro qu'on atteint par la ligne interurbaine TL de la fig, 1. L'opératrice provoque la mise en position des balais du commutateur d'appel CS
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sur les contacts de banc associés à une jonction libre dans le groupe auquel la ligne TL appartient. Du fait que le commutateur d'appel CS est un simple chercheur et qu'il n'est pas du type à commande directe pas à pas l'opératrice fait fonctionner le sélecteur by-pass BPS de la fig. 6 associé au groupe désiré des lignes interurbaines ce qui provoque le test successif par le sélecteur by-pass des lignes interurbaines et la sélection d'une ligne libre. Le commutateur d'appel CS recherche ensuite une broche marquée par le sélecteur by-pass et complète donc la connexion désirée.
Le sélecteur by-pass BPS de la fig. 6 est un sélecteur combiné à un et à deux chiffres, fonctionnant normalement comme un sélecteur à deux chiffres. Par cette disposition quand le nombre des groupes de lignes interurbaines est grand et que certains groupes sont petits un seul niveau de contacts peut être utilisé pour desservir deux ou plusieurs groupes de lignes interurbaines un groupe de contacts inutilisé étant laissé entre deux groupes adjacents de telle sorte que les balais puissent être amenés sur ces contacts quand toutes les jonctions dans le groupe précédent sont occupées et que la tonalité d'occupation puisse être transmise à l'opératrice.
Parmi les contacts de banc associés aux balais 631-635 du sélecteur by-pass le premier groupe de contacts est supposé être le numéro 1 du premier niveau tandis que les contacts montrés directement au-dessus forment le premier groupe de contacts du deuxième niveau. On suppose que le groupe des lignes interurbaines comprenant la ligne TL de la fig. 1 et atteinte à travers le premier niveau de contacts du banc du sélecteur by-pass est un petit groupe contenant moins de 10 lignes interurbaines, il partage donc le premier niveau des contacts de banc du sélecteur by-pass avec un autre groupe de
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lignes interurbaines. Puisque la première ligne interurbaine du groupe comprenant la ligne TL est connectée au premier groupe de contacts du premier niveau les chiffres 1 et 1 sont assignés à ce groupe de lignes interurbaines.
Le fonctionnement du sélecteur by-pass pour la sélection d'une ligne interurbaine libre et pour provoquer la connexion du commutateur appelant CS avec la ligne interurbaine sera expliqué ci-dessous.
Ayant reçu de l'abonné appelant les informations désirées ltopératrice laisse la clef Kl du circuit de jonction Ll en position de conversation et opère la clef K15 de l'équi- pement de position pour préparer le circuit des relais 510 et 509, en série, à son contact supérieur; cette clef intercale les contacts d'impulsions 562 du dispositif d'appel CD sur la branche déconnectée des fils de conversation associés aux clefs Kll à Kl6; à ses contacts inférieurs elle ferme le circuit des relais 519 et 516 en série.
Le relais 516 attire et éteint la lampe d'identification 331 en déconnectant la résistance 538 du fil de la lampe 346, il déconnecte le fil 212 du relais 507 qui relâche et éteint la lampe 523 dans le cas où. le relais 507 est encore opéré si un appel est en in- stance.
Quand le relais 519 attire, à l'armature 549 il transfère le fil 354 du relais 511 et le prolonge à travers les contacts des relais 517 et 518 jusqu'au fil 553 du sélecteur by-pass ; il fait allumer la lampe 524 à l'armature 546; à son armature intérieure il met à la terre le fil 554 aboutissant au sélecteur by-pass BPS, pour alimenter l'enroulement supérieur du relais marginal 518 et préparer une attraction rapide du relais 518 sous l'action de son enroulement inférieur qui est plus efficient.
Dans le sélecteur by-pass BPS le relais 603 attire par l'intermédiaire du fil 554 à travers les contacts d'arbre
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611 et prépare le circuit de l'électro d'ascension 615 à son armature intérieure inférieure; à son armature supérieure il ferme le circuit d'attraction du relais 604 par l'intermédiaire du fil de blocage 554, le relais 604 attire et met à la terre une borne de l'enroulement inférieur du relais 601 à son armature intérieure supérieure pour préparer l'attraction de ce relais ; à son armature supérieure il ouvre en certains points les circuits de test des relais 606 et 607 fermant en même temps son circuit de blocage propre au fil 554 à travers les contacts supérieurs du relais 605.
Par suite de l'attraction du relais 519, l'armature 548 établit un pont de garde aux bornes des fils de conversation 557 et 558 à travers la bobine de retard 520 et les con- tacts supérieurs du relais 510 ; lesarmatures 545 et 547 con- necte les fils 557 et 558 aux fils 551 et 552. Donc quand le relais 604 attire pour appliquer un positif à l'enroulement inférieùr du relais 601, le relais 601 attire à travers des contacts du relais 606 et par l'intermédiaire des fils 551 et 552 à travers la bobine de retard 520. Le relais 601 attire et ferme le circuit du relais 602 à travers des contact; des relais 606 et 607. Le relais 602 attire donc et place un shunt sur les contacts intérieurs supérieurs du relais 604 pour maintenir le relais 601 attiré après la libération du relais 604.
A son armature supérieure il connecte le balai de test 633 pour préparer le circuit de test du relais 607; à son armature inférieure il ouvre en un point le circuit de l'électro de libération 617 et prépare le circuit de l'électro d'ascension 615.
L'opératrice émet au moyen de son dispositif d'appel CD le premier chiffre (1). Quand le dispositif d'appel abandonne sa position normale les contacts d'engagement 561 se ferment pour préparer le circuit des relais 510 et 509 en séri à travers les contacts supérieurs de la clef K15. Le relais
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509 déconnecte les fils 557 et 558 des fils de conversation du poste de l'opératrice et des fils 350 et 357 et les trans- fère aux fils conduisant au groupe de clefs contenant la clef
K15, où ces fils sont connectés entre eux à travers les con- tacts d'impulsions 562 du dispositif d'appel CD par l'inter- médiaire de contacts de la clef K15.
Le relais 510 à son armature supérieure déconnecte la bobine de retard 520 des fils 557 et 558 laissant le relais
601 du sélecteur by-pass attiré sous le contrôle des contacts d'impulsions 562 du dispositif d'appel.
Quand le dispositif d'appel est relâché les contacts d'impulsions 562 s'ouvrent momentanément une fois et le re- lais 601 du sélecteur by-pass BPS relâche une fois momenta- nément et ferme à travers des contacts des relais attirés
602 et 603 le circuit de l'électro d'ascension 615 et de l'en- roulement inférieur du relais 603 en parallèle. Les relais
602, 603 et 605 sont lents à la libération tandis qu'ils ont une tendance minimum à être lents à l'attraction.
Par suite de l'attraction de l'électro d'ascension
615 les. balais 631-635 sont élevés d'un pas de telle sorte qu'ils se trouvent en face du premier niveau de contacts du banc associé. Les contacts d'arbre 612 préparent le circuit de l'électro de libération 617 quand l'axe du commutateur abandonne sa position de repos, tandis que les contacts d'arbre
611 ouvrent le circuit initial du relais 603 laissant le fonc- tionnement ultérieur de ce relais dépendant des impulsions momentanées que l'enroulement inférieur du relais reçoit en parallèle avec l'électro d'ascension 615 pendant l'ascension du commutateur.
.près l'envoi de l'impulsion momentanée vers l'élec- tro d'ascension 615 le relais 603 relâche et ouvre en un Joint le circuit du relais 604 à son armature supérieure, le relais
604 reste attiré sous l'action de son circuit de blocage qui
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comprend son armature supérieure et les contacts supérieurs du relais 605. A son armature intérieure inférieure le relais 603 transfère le circuit d'attraction de l'électro d'ascension 615 à l'électro de rotation 616 par l'intermédiaire des contacts intérieurs inférieurs des relais 604 et 605 pour préparer le fonctionnement ultérieur de l'électro 616.
Quand le dispositif d'appel CD de la fig. 3 revient en position de repos les contacts 561 se séparent pour permettre la libération des relais 510 et 509. Le relais 510 relâche immédiatement pour rétablir le pont de blocage par l'intermédiaire de la bobine de retard 520 tandis que le relais 509 relâche un peu plus tard.
Quand l'opératrice émet le deuxième chiffre (1) au moyen du dispositif d'appel le relais 601 relâche à nouveau momentanément. Cette fois le relais 601, à travers l'armature inférieure du relais opéré 602, l'armature inférieure du relais relâché 603 et l'armature inférieure du relais attiré 604, ferme momentanément le circuit de l'électro de rotation 616 par l'intermédiaire du relais 605.
Le relais 605 attire en série avec l'électro de rotation pour établir un nouveau circuit pour lui-même et pour l'électro de rotation indépendant des contacts intérieurs inférieurs du relais 604; il ouvre en un point le circuit de recherche automatique de l'électro de rotation 616 à son armature intérieure inférieure; à son armature supérieure il ouvre le circuit de blocage du relais 604, permettant au relais 604 de relâcher et de préparer le circuit de recherche automatique de l'électro de rotation 616. par suite du fonctionnement de l'électro 616 sous l'action de cette impulsion les balais 631-635 s'engagent sur le premier groupe de contacts du niveau sélecté où aboutissent les fils 361-365.
A la fin du court intervalle de temps qui suit le mouve
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ment de rotation le relais 605 relâche pour démarrer l'opé- ration de recherche. Ce faisant le relais 605 ouvre, à son armature inférieure, le circuit de commande de l'électro de rotation; à ses deux armatures supérieures il applique un positif aux enroulements de test des relais 606 et 607; à son armature intérieure inférieure il complète le circuit de com- mande propre de l'électro de rotation 616 par l'intermédiaire des contacts de cet électro, des armatures intérieures inféri- eures des relais 604 et 605, des contacts du relais attiré
601 et des contacts à ajustage léger des relais 606 et 607.
Les contacts marqués "X" se ferment en premier lieu au début du mouvement de l'armature. La recherche automatique par le sélecteur by-pass BPS s'effectue ensuite pour découvrir une ligne libre dans le groupe sélecté. Cette recherche automa- des tique se poursuit jusqutà ce qu'un/relais, ou les deux relais
602 et 607 attirent au moment où les balais 633 et 634 ren- contrent un négatif.
Dans le cas où toutes les lignes dans les groupes sélectés sont occupées le mouvement de rotation continue jus- qu'à ce que les balais 631-635 aient balayé tout le groupe et qu'ils soient arrivés sur les contacts séparant deux groupes.
Les deux contacts séparant les groupes sur lesquels sont en- gagés les balais 634 et 655 sont interconnectés de telle sorte que le circuit d'attraction du relais 606 se ferme par l'in- termédiaire de la résistance 609, des contacts inférieurs du relais 601, des balais 635 et 634 et des contacts des relais
607 et 606. Quand le relais 606 attire il coupe le circuit de commande propre de l'électro de rotation 616 à ses contacts inférieurs, tandis qu'à ses contacts supérieurs il connecte le fil commun de la tonalité d'occupation 636 au fil 551 et il met à la terre le fil 552 pour fermer le circuit de retour de la tonalité d'occupation informant ainsi l'opératrice de ce que toutes les lignes du groupe sont occupées.
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Dans le cas où l'appel est destiné au dernier groupe du niveau, les balais 631-635 sont amenés en dehors du banc de contacts où ils abandonnent la dernière ligne du groupe, en ce moment les contacts d'appel ineffectif 614 sont opérés, ils ferment le circuit du relais 606 et Impératrice est avertie de ce que toutes les lignes du groupe sont occupées.
Si la ligne interurbaine TL de la fig. 1 est libre le balai 633 rencontrera un négatif quand les balais s'engageront sur cette ligne après l'émission du second chiffre 1.
Ce négatif est prolongé jusqu'au fil 363 à travers la résistance 105 et le relais 103 en parallèle et à travers les contacts du relais 102. Le relais 607 attire donc dans le circuit empruntant le fil de garde mis à la terre 564 et les contacts des relais 605, 604 et 602, il coupe rapidement le circuit de recherche automatique de l''électro de rotation 616 à l'armature 642 ; à la même armature il place un positif directement sur le balai de test 633 pour marquer la ligne interurbaine à l'occupation; il ferme son circuit de blocage par l'intermédiaire de son enroulement inférieur à son armature intérieure inférieure par le fil 544 et à travers les contacts des relais 605 et 604 ; armatures 643 et 644 il connecte les balais 634 et 635;
à l'armature 641 il ferme le circuit d'attraction des deux enroulements du relais 606 en série.
Le relais 606 attire et déconnecte les fils 551 et 552 des enroulements du relais 601 et les prolonge par l'intermédiaire des balais 631 et 632 des fils 361 et 362 jusqu'aux fils de conversation de la ligne interurbaine TL connectant donc l'opératrice immédiatement sur la ligne interurbaine.
Le relais 601 relâche car son circuit est coupé par le relais 606 ; relais 602 relâche également et prépare le circuit de l'électro de libération 617 mais ce circuit reste ouvert à l'armature 642 du relais 607 et aux contacts
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inférieurs du relais 606.
Dans le circuit de la ligne interurbaine TLC, le positif placé sur le fil 363 fait attirer le relais 103 et prolonge le fil mis à la terre 363 jusqu'au fil 108 qui aboutit au banc des commutateurs de réponse tels que AS, la ligne interurbaine TL sera donc testée occupée dans les bancs des commutateurs de réponse. Le relais 103 déconnecte la résistance 105 qui se trouve en parallèle sur son enroulement, car cette résistance n'est plus nécessaire pendant la durée de la communication; il ferme en un point le circuit en chaine de la lampe d'occupation du groupe; il ouvre le pont du relais de ligne à son armature supérieure; à son armature inférieure il applique un positif au point commun de la résistance 104 et du relais 102, il trouvera son utilité quand on répond à un appel entrant sur la ligne TL pour faire relâcher ce relais.
L'opératrice appelle ensuite se collègue du bureau éloigné et pendant cette opération le commutateur d'appel du circuit de jonction Ll fonctionne comme un chercheur pour trouver la ligne TL.
Quand le relais 607 du sélecteur by-pass attire le fil 553 est mis à la terre aux contacts intérieurs supérieurs de ce relais, le positif est donc connecté au fil 354 par l'intermédiaire de l'armature supérieure et du contact de test du relais 518, de l'armature 544 et de son contact au repos et de l'armature 549 du relais 519. Le positif du fil 354 est prolongé par l'intermédiaire des contacts du relais attiré 303 et de ltarmature intermédiaire inférieure et du contact au repos du relais 304 jusqutà l'électro de commande 320 du commutateur d'appel CS à travers le contact de commande propre.
L'électro fonctionne dès lors comme un ronfleur pour entraîner les balais 321-325 jusqu'à ce que le circuit de l'électro soit ouvert quand le relais d'arrêt 518 attire au moment où les balais arrivent sur les contacts assignés à la ligne TL à la-
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quelle le sélecteur by-pass BPS est connecté maintenant.
Le circuit du relais 518 s'établit comme suit : positif à l'armature 642 du sélecteur by-pass, balai 633 et fil 363, balai de test 322 du commutateur d'appel, armature intermédiaire supérieure et contact au repos du relais 304, contacts du relais attiré 303, balai de test 323, fil de marquage 364, balai 634 du sélecteur by-pass, armature 643, .fil 555, contacts du relais 517, enroulement inférieur du relais marginal 518. Le relais 518 qui est partiellement alimenté, attire rapidement quand le courant traverse son enroulement inférieur, il déconnecte le fil 553 du fil 354. L'électro 320 du commutateur d'appel CS cesse d'opérer et les balais 321-325 restent associés à la ligne interurbaine TL.
Quand le relais 518 déconnecte le fil 553 du fil 354 il prolonge celui-ci à travers les contacts du relais 517 et l'enroulement du relais 304 associé au commutateur d'appel CS.
Les relais 514 et 304 attirent en'série dans ce circuit mais l'attraction du relais.514 n'est d'aucune utilité en ce moment.
Quand le relais 304 attire il ferme son circuit de blocage à son armature intérieure inférieure à travers la résistance 366, il déconnecte le fil 354 de l'électro 320 et le connecte au balai de supervision 324; il ferme un circuit supplémentaire pour la lampe d'occupation 366; il déconnecte le balai de test 322 du balai de marquage 323 et le connecte à la terre pour maintenir la garde de la ligne après la libération du sélecteur by-pass; à ses armatures supérieures et inférieures il connecte les balais 321 et 325.
La connexion est dès lors établie entre le circuit appelant éloigné LD, à travers le circuit de jonction L1, et la ligne interurbaïne TL, elle comprend les fils de conversation de l'équipement de position de la fig. 5 car le relais de connexion 303 est attiré.
Dès que l'opératrice a émis le numéro de la ligne
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interurbaine elle opère la clé d'appel Kll pour alerter l'extrémité appelante du circuit. Le groupe inférieur des ressorts de la clé Kll envoie le courant de sonnerie sur le fil 558; les contacts intérieurs supérieurs de la clef placent le positif sur le fil 557; les contacts supérieurs appliquent un positif sur le fil associé aux relais 510 et 509. Le re- lais 510 attire pour ouvrir le pont de contrôle placé sur les fils 557 et 558 et comprenant la bobine de retard 520, tandis que le relais 509 attire pour transférer les fils 557 et 558 aux fils associés aux clefs 511 à 516. Le courant d'appel est donc transmis sur les fils correspondants de la ligne in- terurbaine par l'intermédiaire de la connexion établie par le sélecteur by-pass BPS.
Dès que le commutateur d'appel CS a été mis en posi- tion sur la ligne TL comme il a été décrit ci-dessus, un nou- veau chemin s'établit pour l'envoi du courant de sonnerie à travers les armatures 542 et 543, les fils 351 et 356 et la ligne interurbaine à travers des contacts du relais attiré 303 et des balais 321 et 325.
Quand l'opératrice relève sa clef d'appel Kll l'envoi du courant d'appel cesse et les relais 509 et 510 relâchent.
Quand l'opératrice du bureau distant répond elle se met en communication avec l'opératrice du bureau appelant qui l'informe de la destination de l'appel, elle peut donc complé- ter la connexion désirée.
Après avoir parlé avec l'opératrice du bureau éloigné, l'opératrice du bureau d'origine relâche le sélecteur by-pass en relevant la clé d'envoi k15. Aux contacts inférieurs de s'ouvre la clef le circuit des relais 519 et 516/et ces deux relais relâchent, le relais 516 permet à nouveau le contrôle du relais 507 par le fil 212.
Quand le relais 519 relâche il déconnecte les fils 557 et 558 des fils correspondants 551 et 552 du sélecteur
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by-pass de même qu'il ouvre le pont de garde placé sur les fils 557 et 558 à travers la bobine de retard 520. Le relais également 519 déconnecte/le positif de garde du fil 554 ce qui fait relâcher les relais 606 et 607. Le relais 607 supprime le positif du fil de démarrage 553 ce qui fait relâcher le relais 514 mais le relais 304 reste attiré par l'intermédiaire de son circuit de blocage qui contient la résistance 366.
Les relais 606 et 607 déconnectent les balais du sé- lecteur by-pass et ferment le circuit de l'électro de libéra- tion 617 à travers l'armature 642 et son contact au repos, des contacts du relais 606 et les contacts inférieurs des relais 601 et 602 et par l'intermédiaire du contact d'arbre 612.
L'électro de libération 617 attire et rétablit le sélecteur by-pass en position normale pour laquelle le circuit de l'é- lectro est ouvert aux contacts d'arbre 612.
Le relais 518 relâche quand le circuit de son enrou- lement supérieur est ouvert par la suppression du positif du fil 554 aux contacts intérieurs du relais 519.
L'opératrice maintient sa clef Kl en position de con- versation pour bloquer le relais 303 jusqu'à ce que la con- nexion ait été prolongée jusqu'à la ligne désirée et jusqu'à ce que l'appelé ait répondu ou jusqu'à ce qu'elle soit avertie de ce qu' une réponse immédiate ne peut lui être donnée. Dans ce dernier cas l'opératrice, en général, demande à l'abonné appelant de raccrocher et d'attendre jusqu'à ce qu'on le rap- pelle, la communication est établie plus tard comme un appel différé.
Quand l'abonné éloigné répond, l'opératrice du bureau d'origine prend note de l'heure au moment de la réponse pour pouvoir calculer par la suite la durée de la communication.
Dans le cas où l'opératrice désire se mettre en rela- tion avec l'abonné appelant alors que le circuit de conversa- tion vers l'abonné appelé reste ouvert, elle opère la clef K12
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qui fait attirer le relais 509 qui à son tour déconnecte les deux sections du circuit de jonction Ll l'une de l'autre et laisse la section de réponse du circuit de jonction connectée au poste de l'opératrice. D'autre part si l'opératrice désire parler à l'opératrice du bureau interurbain distant ou à l'abonné appelé sans que la conversation soit entendue par l'abonné appelant, elle opère la clef K6 qui fait attirer le relais 508 qui à son tour déconnecte la section de réponse du circuit de jonction Ll du poste de l'opératrice et laisse celui-ci connecté à la section appelante de ce circuit.
Le relais 508 relâche et ferme à nouveau le circuit de conversation entre les deux extrémités du circuit de jonction Ll quand on relève la clef K6.
Après s'être assurée de ce que les deux abonnés sont en communication ltopératrice relève la clef Kl. uand celle-ci est remise en position de repos le relais 303 du circuit de jonction Ll et le relais 502 de l'équipement de position relâchent mais les relais 301 et 304 restent attirés pour maintenir le circuit de conversation à travers le circuit de jonction Ll.
Quand le relais 303 relâche le circuit de conversation n'intéresse plus que le circuit de jonction Ll qui passe par les contacts du relais 303 et la connexion temporaire entre l'équipement de la position d'opératrice de la fig. 5 et le circuit de jonction Ll est supprimée
Il faut noter que le relais 502 de l'équipement de position replace un positif sur le fil 343 pour permettre à l'opératrice de faire fonctionner le relais de connexion du circuit de jonction (tel que le relais 303 dans un circuit de jonction quelconque) lorsque la clef de conversation de ce circuit de jonction sera opérée.
Dans le cas où l'opératrice désire surveiller la communication pour s'assurer qu'elle se poursuit normalement elle abaisse la clef Kl du circuit de jonction Ll en position
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d'écoute, elle connecte de ce fait les fils 347 et 348 aux fils de conversation du circuit de jonction et place un positif sur le fil 349. Le relais 501 attire et déconnecte le récepteur R du poste de l'opératrice de sa position normale dans le circuit et l'associe à l'enroulement secondaire du transformateur d'écoute atténuée 522, qui forme un circuit de surveillance efficient qui permet à l'opératrice de se placer en écoute sur le circuit en dérivant le minimum de courant à fréquences vocales. Le relais de surveillance 501 relâche quand la clef Kl est rétablie en position normale.
Il faut noter que les fils aboutissant à l'équipement de l'opératrice en chef COE de la fig. 5 sont normalement connectés aux bornes des fils normaux de conversation du poste de l'opératrice, mais ils sont mis en parallèle sur le récepteur R quand le relais de surveillance 501 est attiré, de telle sorte que l'opératrice en chef puisse se mettre à l'écoute avec l'opératrice de la position 1 à n'importe quel moment.
Des dispositions ont été prises pour permettre à l'opératrice de substituer une ligne à une autre quand elle s'aper- çoit que la connexion a été établie par l'intermédiaire d'une ligne interurbaine défectueuse. La substitution peut se faire quand la connexion a été établie entre les deux bureaux et quand les opératrices sont en conversation dans le but d'établir la communication avec l'abonné demandé, parfois la mauvaise qualité de la transmission sur la ligne peut n'apparaître que lorsque la conversation s'est déjà engagée entre les deux abonnés. L'opératrice du bureau d'origine peut contrôler la qualité de la transmission entre les deux abonnés en opérant sa clé de surveillance comme il a été dit plus haut.
Ou bien l'abonné appelant paut attirer l'attention de l'opératrice en agitant sa fourche ce qui produit le vacillement de la lampe de supervision 335. D'autre part l'opératrice du bureau éloigna peut être la première à s'apercevoir que la transmission est
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défectueuse et elle peut attirer l'attention de l'opératrice du bureau d'origine en envoyant le courant d'appel sur la ligne, ce qui provoque l'attraction du relais 302 et l'allumage de la lampe de supervision d'appel 335, le relais 302 se bloque sous le contrôle des lames de la clef Kl faisant partie du circuit de conversation.
Si on admet que l'opératrice du bureau d'origine découvre elle-même que la transmission est défectueuse, elle devra alors opérer sa clef de conversation K1 pour provoquer la réattraction des relais 502 et 303 et pour se mettre en communication avec les deux abonnés.
Elle peut alors expliquer aux deux abonnés qu'elle s'occupe d'améliorer les conditions de la communication et leur demander de patienter quelques instants.
L'opératrice du bureau d'origine opère ensuite la clé Kll qui fait attirer le relais 509 et transmet le courant d'appel sur la ligne interurbaine TL par l'intermédiaire des fils 351 et 356, à travers des contacts du relais attiré 303 et à travers les balais 321 et 325. L'envoi du courant d'appel alerte ltopératrice du bureau distant qui s'introduit dans la communication en cours et se met en relation avec l'opéra- trice du bureau dtorigine.
Si on suppose que le bureau auquel aboutit la ligne TL est an bureau automatique équipé d'un commutateur interurbain tel que celui décrit ici, chacune des opératrices procède de la même façon pour sélecter une autre ligne interurbaine.
L'opératrice du bureau d'origine opère sa clef K15 pour faire attirer les relais 519 et 516. Le sélecteur by-pass BPS est saisi à nouveau et mis en position de fonctionnement. Maintenant comme antérieurement l'opératrice émet le numéro 11 assigné au groupe considéré ce qui provoque la sélection par le sélecteur by-pass de la première ligne libre, la deuxième du groupe, par exemple. Par une manoeuvre identique l'opératrice du bureau distant établit la connexion avec la mène ligne interurbaine
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puisque son sélecteur by-pass sélectera aussi la première ligne libre dans le groupe.
Tout en maintenant la clef K15 opérée, l'opératrice opère alors la clef K14 pour couper la connexion entre le commutateur d'appel OS du circuit de jonction L1 et la ligne interurbaine TL. En plus de ce qu'elle fait attirer les relais 510 et 509, la clef K14 place un positif sur le fil 353 ce qui shunte l'enroulement de blocage du relais 304 et provoque la libération de ce relais, de telle sorte que le relais est à nouveau connecté à travers des contacts du relais attiré 303 au fil 354, connecté maintenant à travers l'armature opérée 549 du relais 519 au fil 553, mis à la terre dans le sélecteur by-pass. Le commutateur d'appel CS recherche la ligne sélectée par le sélecteur by-pass et se connecte à elle.
La clef k14 est remise au repos pour bloquer à nouveau le relais 304 quand il réattire par l'intermédiaire de son enroulement inférieur et du fil 355 quand le relais 518 réattire pour couper le circuit de recherche automatique du commutateur d'appel.
La ligne de l'abonné appelé ayant été connectée à la nouvelle ligne choisie au bureau distant la conversation entre les deux abonnés peut reprendre et l'opératrice du bureau d'origine libère son équipement de position en rétablissant la clé K15, de même que la clé Kl du circuit de jonction Ll.
A la fin de la conversation les deux abonnés raccrochent leurs récepteurs. Quand l'appelant raccroche les relais 202 et 203 du circuit à longue distance LD fig.2 relâchent mais le relais 204 reste attiré par l'intermédiaire du fil 208, ce qui maintient le fil de libération de jonction 222 mis à la terre pour bloquer la connexion au moment considéré. Quand le relais 202 est relâché le circuit de la lampe de supervision d'appel 335 se ferme à travers des contacts des relais
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202 et 204 et par l'intermédiaire du fil 209, des balais 314 et des contacts du relais 301. La lampe 335 brille maintenant en permanence comme pour une supervision de fin de conversation.
Lorsqu'elle perçoit ce signal l'opératrice libère la ligne de l'appelant immédiatement en relâchant le commutateur de réponse AS. Pour ce faire l'opératrice abaisse à nauveau la clé Kl pour faire attirer le relais de connexion 303 du circuit de jonction Ll et le relais de conversation 502 de l'équipement de position, ensuite l'opératrice abaisse la clé K8 qui fait attirer le relais 508 et place un positif sur le fil 342, ce fil shunte l'enroulement du relais 301 à travers des contacts de la clé Kl du circuit de jonction, le relais 303 relâche et ouvre la connexion entre le circuit de jonction et la ligne appelante. La résistance 367 limite la valeur du courant circulant dans le circuit de shunt pour prévenir le fonctionnement intempestif du relais 310.
Quand le relais 301 relâche et supprime le positif du balai de test 312 et par conséquent du fil 208 le relais 204 du circuit à grande distance LD relâche et supprime le positif du fil de libération de jonction 222 permettant aux appareils de sélection entre la ligne appelante et le circuit LD de relâcher et de libérer la ligne de l'abonné.
Ayant abaissé momentanément sa clef K8 pour relâcher la partie appelante de la connexion l'opératrice opère sa clé d'appel Kll pour alerter l'opératrice du bureau distant. Ce faisant le relais 509 attire pour connecter les fils associés à la clé Kll aux fils 557 et 558, de telle sorte que le courant d'appel passe à travers la portion appelée du circuit par Itintermédiaire des armatures 542 et 543 du relais 517, les fils 351 et 356, des contacts du relais 303 et du relais 304 et les balais 321 et 325 du commutateur d'appel CS.
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Quand l'opératrice du bureau éloigné répond les deux opératrices entrent en conversation et Impératrice du bureau distant est prévenue de ce qu'elle doit couper la communica- tion.
L'opératrice du bureau d'origine relâche la portion appelante de la connexion en opérant momentanément la clé K14 qui fait attirer les relais 510 et 509 et place un positif sur le fil 353, fermant de ce fait un shunt pour l'enroulement supérieur du relais 304 qui relâche et déconnecte la portion appelée de la connexion. La résistance 366 prévient une augmentation nuisible du courant quand le shunt s'établit.
L'opératrice replace la clé Kl au repos ce qui faitrelâcher le relais 303 et le relais 502.
Si l'opératrice reçoit un appel sur une ligne à longue distance LD et ne peut établir la communication sur le champ elle peut demander à l'abonné appelant de rester en ligne ou elle peut lui demander de raccrocher en l'informant de ce qu'elle le rappelera quand la liaison sera établie. Si on suppose que l'abonné appelant raccroche et que la liaison a été prolongée jusqutà l'abonné demandé qui a répondu l'opératrice demande à l'appelé d'attendre un moment. pour rappeler l'abonné appelant elle opère la clef K4 qui fait attirer le relais 508 celui-ci associe les fils 350 et 351 à la clef; il connecte le circuit d'appel au fil 357; il connecte un négatif au fil 350.
En supposant que le circuit de jonction Ll est celui qu'on utilise, on voit que les fils 350 et 357 sont connectés à travers le commutateur AS au circuit à longue distance LD qui est connecté à la ligne appelante. De ce fait le relais 201 attire sous l'action de la polarité placée sur le fil 221 et ouvre le pont comprenant les enroulements droits de la bobine translatrice; il transfère le fil entrant 221 à la terre pour fournir un chemin de retour au courant d'appel; il trans-
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fère le fil entrant 223 au fil 210, permettant de ce fait au courant rappel de passer du fil 210 au fil 223 et de là sur la ligne appelée. quand la clé K4 est remise au repos l'envoi du courant d'appel cesse et les relais 508 et 201 relâchent.
Quand l'abonné appelant répond le relais 202, qui avait relâché quand l'abonné avait raccroché et qui avait allumé la lampe 335, réattire et éteint.la lampe.
La conversation peut s'établir.
On doit noter en passant que la clé K5 est utilisée quand l'opératrice désire sonner sur une ligne interurbaine connectée au commutateur de réponse d'un circuit de jonction.
Supposons maintenant qu'une opératrice d'un bureau éloigné établit une communication vers un abonné local du bureau représenté, au moyen de la ligne interurbaine TL. Elle enverra donc momentanément le courant d'appel sur la ligne TL.
Dans le circuit de la ligne interurbaine TLC, le relais 101 (placé aux bornes des fils de la jonction interurbaine TL à travers des contacts du relais 102 et à travers les condensateurs associés) suit les variations du courant alternatif d'appel et fait battre ses contacts, il en résulte que le shunt existant normalement aux bornes de l'enroulement du relais 102 stouvre.
Quand ce shunt est ouvert le relais 102 attire en série avec la résistance 104 et ouvre en un autre point le circuit de shunt à son armature inférieure; il déconnecte le fil 363 de l'enroulement du relais 103 et le connecte à la terre à son armature supérieure pour marquer la ligne à Inoccupation dans les bancs des sélecteurs by-pass; il marque la ligne TL comme étant en appel en plaçant un négatifau fil 108 par l'intermédiaire du relais 103 et de la résistance 104 en parallèle;
à son armature inférieure il met
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le fil de démarrage 212 à la terre pour alerter une opératrice au moyen de la lampe pilote de réponse telle que la lampe 523 de la fig. 5 ou pour faire démarrer automatiquement un commutateur de réponse tel que le commutateur AS à la recherche. de la ligne appelante si une opératrice a une clé de conversation abaissée dans un circuit de jonction libre et prêt à répondre à l'appel qui aboutit donc directement au poste de l'opératrice.
Supposons que le circuit de jonction Ll est celui qui a été sélecté à la première position pour desservir l'appel suivant et que le commutateur de réponse AS se connecte aux bornes de la ligne interurbaine TL avant qu'un commutateur de réponse AS de la deuxième position ait pu le faire. Dans ces conditions le relais 506 de l'équipement de position attire pour faire cesser le mouvement de recherche, son circuit emprunte le parcours suivant: fil 362, contacts du relais 303, balai de test 313, fil 103, contacts du relais attiré 102, résistance 105 et relais 103 en parallèle.
L'attraction du relais 506 provoque une attraction momentanée du relais 504 pour donner à l'opératrice une indication audible et pour placer un négatif sur le fil 342 par l'intermédiaire de la résistance 536 pour faire attirer le relais 302 à travers des contacts de la clef Kl. Le relais 301 fait allumer la lampe d'occupation 336 et connecte les balais du commutateur de réponse AS.
Dans le circuit de la ligne interurbaine TLC le relais 103 attire pour ouvrir le pont de la ligne, il se bloque au fil 108 et déconnecte la résistance 105, il shunte le relais 102 qui relâche et supprime le positif du fil de démarrage 212.
Lorsque d'après sa conversation avec l'opératrice du bureau distant l'opératrice du bureau d'origine se rend compte de ce qu'une communication doit être établie avec un abonné
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de ce bureau elle provoque l'association du commutateur d'appel CS du circuit de jonction Ll et d'un circuit interurbain de service libre, tel que le circuit interurbain de service TSC de la fig. 4 au moyen duquel la communication peut être complétée. Pour ce faire l'opératrice abaisse la clef K16. En plus de ce qu'elle met le disoositif d'appel CD en service la clef K16 à ses contacts supérieurs fait attirer les relais 515 et 516 en série.
A son armature inférieure le relais 516 met un positif par l'intermédiaire de l'enroulement inférieur du relais 513 au fil 358 qui est multiple à tous les contacts des bancs des balais de marquage des commutateurs d'appel, tel que le balai 323, et qui sont associés aux jonctions interurbaines de service. Le relais 515 ferme également à son armature intérieure supérieure et à travers des contacts du relais 514, le circuit de l'enroulement supérieur du relais 513, qui se met sous tension et se prépare à attirer rapidement quand le circuit aménagé à travers son enroulement inférieur et le fil 358 se fermera. Un circuit dérivé, en parallèle sur l'enroulement supérieur du relais 513 fait attirer les relais 510 et 509 en série.
Le relais 509 en plus de ce qutil transfère les fils 557 et 558 aux fils dérivés aboutissant aux clefs, prolonge le positif du fil 535 (mis à la terre aux contacts du relais de conversation opéré 502) à travers des contacts du relais attiré 515 et des contacts des relais non attirés 513 et 514 et par l'intermédiaire de l'armature 549 jusqu'au fil 354. La présence d'un positif sur le fil 354 en ce moment, ferme le circuit de l'électro à commande propre 320 à travers des contacts du relais 303 attiré et des contacts du relais 304. Le relais 510 déconnecte le fil 354 du fil 355 (interconnectés normalement par le relais de supervision 511).
L'électro 320 fonctionne à la manière d'un ronfleur
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pour mouvoir les balais 321-325 jusqu'à ce qu'ils arrivent sur les contacts d'une jonction de service interurbaine libre, soit la jonction TSC de la fig. 4. Quand cette jonction est saisie les balais 322 trouvent un négatif sur le fil 372, il est amené à travers la résistance 405 du circuit de service interurbain TSC. Ce négatif est prolongé à travers le balai 323 (connecté au balai 322 à travers des contac-ts du relais 303) jusqu'au fil 358. Le relais 513 attire donc par l'intermédiaire du fil 358.et supprime, à son armature supérieure, le positif du fil 453 permettant de ce fait le fonctionnement de l'électro 320 du commutateur d'appel CS et laissant les balais 321-325 engagés sur les broches du banc auxquelles les fils 371-374 sont connectés.
Le relais 513 fait également attirer le relais 512 à son armature intérieure supérieure, le relais 512 prolonge le positif par l'intermédiaire du fil 355 et à travers les contacts du relais 303 jusqu'au relais 304 qui attire et connecte les balais associés, il se bloque en position attirée à ses contacts intérieurs supérieurs à travers la résistance 366.
Le relais 513 ferme également le circuit de l'enroulement supérieur du relais 514, qui comprend des contacts des relais attirés 515,509 et 502. En attirant le relais 514 se bloque à l'armature 541 à travers les contacts du relais 515; à l'armature 540 il ouvre en un point supplémentaire le circuit à travers lequel le positif était appliqué au fil 354; à ses contacts intérieurs supérieurs il ouvre le circuit de l'enroulement supérieur du relais 513 et le circuit des relais 510 et 509. Les relais 510 et 509 relâchent ainsi que le relais 513 car son circuit empruntant le fil 358 a été ouvert aux contacts du relais 304. Le relais 512 est relâché par l'action du relais 513.
A son armature supérieure le'relais 514 ferme le cir-
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cuit de la lampe 524 pour informer l'opératrice de ce qu'elle peut émettre au moyen du dispositif d'appel CD les chiffres du numéro demandé.
Quand le balai de supervision 324 est connecté aux contacts du relais 304, le circuit du relais 401 du circuit de service interurbain TSC se ferme par 1'intermédiaire du fil 373. Ce circuit comprend des contacts du relais attiré 303, le fil 354, l'armature 549 et son contact au repos, des contacts des relais 510, 511 et la résistance 537. Le relais 511 n'attire pas dans ce circuit en série avec la résistance élevée de l'enroulement supérieur du relais 401. La lampe 337 ne s'allume donc pas.
Dans le circuit de service interurbain TSC, quand le relais 401 attire par l'intermédiaire du fil 373, il ouvre les connexions by-pass des enroulements de la bobine translatrice 402 et ponte les enroulements gauches de la bobine translatrice sur les fils de conversation entrants 371 et 374 et ponte les enroulements droits de la bobine translatrice sur les fils sortants 406 et 408. Le relais de ligne (non représenté} du sélecteur de service interurbain auquel aboutissent les fils 406-408 attire maintenant par l'intermédiaire des fils 406 et 408 en série avec l'enroulement inférieur du relais polarisé électriquement 403 pour préparer le fonctionnement du sélecteur de service interurbain. L'enroulement polarisant du relais 403 est alimenté par le fil 372 à travers les contacts du relais attiré 401 et de la résistance 409.
Le courant circule donc à travers l'enroulement inférieur du relais de supervision 403 dans un sens tel qu'il suppose à l'effet de l'enroulement polarisant du relais. Le relais 403 n'attire donc pas. uand l'opératrice utilise le dispositif d'appel et que celui-ci abandonne la position de repos les relais 510 et 509 attirent ;en série par l'intermédiaire de la clefK16 et con-
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nectent les fils 557 et 558 aux contacts d'impulsions 562 du dispositif d'appel, ils déconnectent le négatif( appliqué par l'intermédiaire de la résistance 537 et du relais 511) du fil 354, ouvrant de ce fait le circuit du relais 401 du circuit de service interurbain TSC de la fig. 4.
Le relais 401 shunte les enroulements de la bobine translatrice 402 et ouvre les ponts avant et arrière du circuit TSC de telle sorte que le fil entrant 371 soit prolongé jusqu'au fil 408 et que le fil entrant 374 soit prolongé jusqu'au fil sortant 406.
Le relais de ligne (non représenté) du sélecteur de service interurbain auquel les fils 406 et 408 aboutissent est maintenu attiré par les fils 371-374, les balais 321 et 325, les contacts du relais 303, les fils 351 et 356, les armatures 542 et 543, les fils 557 et 558, les contacts du relais attiré 509, les contacts de la clef K16 et les contacts d'impulsions 562 du dispositif d'appel CD. On doit noter que ce transfert s'effectue sans interrompre la continuité du circuit aboutissant au relais de ligne du sélecteur de service interurbain car le relais 509 attire en premier lieu pour préparer le circuit tandis que le relais 401 du circuit de service interurbain transfère le relais de ligne du pont de blocage (à travers le relais 403) aux fils entrants 371 et 374 à travers des contacts de fermeture avant rupture.
Quand le dispositif d'appel CD de la fig. 5 revient en position normale, il interrompt le circuit de commande un certain nombre de fois qui dépend de la valeur du chiffre à émettre.
Quand le dispositif d'appel atteint la position de repos les relais 510 et 509 relâchent successivement. Le relais 510 place à nouveau un négatif, à travers la résistance 537 et l'enroulement du relais 511, au fil 354 ce qui fait réopérer le relais 401 comme il a été décrit précédemment.
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Les mêmes opérations se répètent chaque fois que le dispositif d'appel est mis en service pour l'envoi d'un des chiffres suivants du numéro demandé.
Quand le dernier chiffre a été émis et que la connexion vers la ligne appelée a été établie et dans le cas où la ligne appelée est libre, le sens du courant est renversé dans les fils 406 et 408 sortant du sélecteur de service interurbain, de ce fait le relais polarisé électriquement 403 attire et supprime le shunt de l'enroulement du relais 404. Le relais 404 attire maintenant et shunte ltenroulement inférieur de faible résistance du relais 401 sur l'enroulement supérieur de résistance élevée du même relais, le courant augmente donc dans le fil 373 et dans le relais 511 qui attire et fait attirer le relais 512.
Le relais 512 place un positif sur le fil 355 ce qui fait allumer la lampe de supervision 337, à travers des contacts du relais 303, pour indiquer que la ligne appelée est libre et que la connexion a été établie.
L'opératrice peut ensuite parler avec l'opératrice du bureau d'origine et connaître si elle est prête ou non, pour effectuer l'appel de l'abonné demandé.
Pour effectuer l'appel l'opératrice abaisse la clé Kll qui envoie le courant de sonnerie sur les fils de conversation et fait attirer les relais 510 et 509 à travers des contacts de la clé non opérée K15. Le relais 510 ouvre le circuit de supervision et le pont de contrôle à son armature intérieure supérieure ce qui fait relâcher le relais 401 du circuit de service interurbain TSC et le relais 511 de l'équipement de position. Le relais 511 fait relâcher le relais 512 pour éteindre la lampe de supervision 337 et le relais 401 libère le circuit TSC pour permettre le passage du courant d'appel.
Par suite de l'envoi du courant de sonnerie l'abonné appelé est sonné.
Quand on relève la clé K11, les relais 509 et 510
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relâchent et les relais 511, 512 et 401 réattirent et la lampe 337 se rallume.
Quand 1''abonné appelé répond la coupure du circuit d'appel s'effectue et le courant d'appel cesse de circuler dans les fils sortant du circuit de jonction TSC. En ce moment le relais 401 relâche ainsi que le relais 511 qui fait relâcher le relais 512 et finalement la lampe 337 s'éteint pour donner la supervision de réponse.
L'opératrice redresse alors la clé Kl ce qui fait relâcher le relais 303 qui libère l'équipement de position, celui ci peut être utilisé dès lors en liaison avec: un des autres circuits de jonction.
Quand le relais de connexion est relâché, les courants à fréquences vocales peuvent passer directement à travers le circuit de jonction Ll sans traverser l'équipement de position.
De plus, la lampe de supervision de réponse 337 est connectée directement au balai 324 à travers des contacts du relais attiré 304 et des contacts du relais relâché 303. En ce point la lampe 337 est allumée ou non suivant que le relais 404 est attiré ou non puisque la lampe ne brille pas lorsqu'elle est en série avec l'enroulement supérieur du relais 401.
Dans le but d'expliquer comment l'opératrice peut interchanger les lignes interurbaines quand elle s'aperçoit que celle en service est défectueuse pour la conversation on supposera que l'opératrice du bureau distant en surveillant la communication découvre que la transmission est mauvaise. Dans ces conditions l'opératrice du bureau distant envoie le courant d'appel sur la ligne TL pour faire attirer le relais 302 du circuit de fonction Ll, celui-ci se bloque sur lui-même à travers des contacts de la clé Kl, en même temps qu'il ferme le circuit d'alimentation de la lampe de supervision d'appel 335.
Quand l'opératrice abaisse la clé Kl en position de
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conversation pour faire attirer le relais 303 et le relais 502 de l'équipement de position le relais 302 relâche et la lampe de supervision d'appel 335 s'éteint. L'opératrice du bureau distant avertit alors sa collègue de l'état défectueux de la ligne interurbaine TL et lui demande d'établir une connexion au moyen d'une autre ligne interurbaine du même groupe de telle sorte que la communication puisse s'établir par cette autre ligne.
Pour ce faire l'opératrice procède d'une manière à peu près identique à celle qui a été décrite précédemment pour la mise en position du sélecteur by-pass BPS sur la première ligne libre du groupe comprenant la ligne TL et pour provoquer la remise en position du commutateur de réponse AS sur la nouvelle ligne interurbaine. Puisqu'elle désire remettre le commutateur de réponse AS en position l'opératrice opère la clé K13 qui en plus des connexions effectuées par la clé K15, ferme le circuit d'attraction du relais 517 et 516 en série.
Les relais 516, 517 et 519 attirent et le relais 519 saisit le sélecteur by-pass BPS et le tient prêt à fontionner. Le relais 517 à son armature inférieure prépare un nouveau circuit d'alimentation du fil342 à travers la résistance 539; il décon- neate l'enroulement de test du relais 518 du fil 555 et le connecte au fil 556 pour marquer un fil dans le banc du commutateur de réponse au lieu du banc du commutateur d'appel CS; à l'arma- ture 544 il transfère le fil 553 sur le fil 341; à son armature intérieure supérieure il déconnecte le fil 355 qui ne sera donc pas mis à,la terre lorsque le relais 518 attirera; il déconnecte les fils 351 et 356 aux armatures 542 et 543 pour isoler le poste appelé, en ce moment;
à son armature supérieure il met le fil 345 à la terre pour permettre la fermeture du circuit de marquage par l'intermédiaire du balai 314 du commutateur d'appel AS.
On notera que le positif est supprimé à la paire de contacts supérieurs des clefs Kll et K5 de telle sorte que ni la clé K5 ni la clé K11 ne puissent faire attirer les relais qui leur sont associés 508 ou 509 et l'opératrice ne peut main- @
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tenant sonner ni l'uneni l'autre des extrémités de son équipement de position.
Quand l'opératrice émet au moyen de son dispositif d'appel CD le numéro à deux chiffres assigné au groupe des lignes interurbaines comprenant la ligne TL le sélecteur by-pass BPS fonctionne comme décrit ci-dessus pour opérer une recherche dans le groupe. Supposons que la deuxième ligne dans le groupe est libre et qu'elle soit saisie par le fonctionnement des relais 606 et 607 du sélecteur by-pass. Le fil correspondant au fil 363 et associé à la deuxième ligne interurbaine est mis à la terre, et le relais correspondant au relais 103 du circuit TLC de la fig. 1 est attiré.
L'opératrice opère momentanément la clé K8 qui fait attirer le relais 508 qui déconnecte l'extrémité de réponse du circuit de jonction Ll du poste de l'opératrice pour le moment et qui place un positif sur le f'il 342 ce qui provoque la fermeture dtun circuit de shunt sur l'enroulement du relais 301, à travers les contacts de la clé Kl, le relais 301 relâche et ouvre son circuit de blocage à son armature supérieure. Le relais 301 étant relâché et le fil de démarrage du sélecteur by-pass BPS 553 étant mis à la terre (aux contacts du relais 607) et connecté au fil 341 à l'armature 544 du relais attiré 517 l'électro à commande propre 310 du commutateur de réponse AS fonctionne à travers des contacts de la clef Kl pour entraîne les balais 311-315 jusqu'à ce que le circuit de commande soit ouvert par l'action du relais 518.
Le relais 518 attire quand la ligne interurbaine sélectée par le sélecteur by-pass BPS est atteinte.
Le fil 345 est mis à la terre dans l'équipement de position aux contacts supérieurs du relais 517. Le fil mis à la terre 345 est connecté à travers des contacts de la clé Kl au balai 314. Maintenant quand les balais du commutateur de réponse AS atteindront le quatrième groupe de contacts du
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banc représenté, ils seront connectés à la deuxième ligne du groupe comprenant la ligne interurbaine TL. Le balai mis à la'terre 314 prolonge le positif sur le fil de marquage de la deuxième ligne interurbaine (correspondant au fil 109 de la ligne TL) qui se connecte à un fil de marquage (identique au fil 365) et aboutit au banc du sélecteur by-pass. Le balai 635 se trouve maintenant sur le contact de banc auquel le fil de marquage de la deuxième ligne interurbaine (correspondant au fil 365 de la ligne interurbaine TL) est connecté.
Le positif est donc prolongé par l'intermédiaire du balai 635, de l'armature 644, du fil 556 et de l'armature inférieure du relais attiré 517 jusqu'à l'enroulement du relais 518. Le relais 518 attire et ouvre le circuit décrit ci-dessus pour le fonctionnement de l'électro 310 du commutateur de réponse AS à son armature supérieure, laissant les balais du commutateur de réponse associé à la deuxième ligne interurbaine du groupe comprenant la ligne TL.
L'attraction du relais 518 connecte un positif au fil 342 à travers la résistance 539, il ferme le circuit du relais 301 à travers les contacts de la clé K1, le relais 301 attire et connecte les balais associés, de plus il se bloque sur lui même à son armature supérieure à travers la résistance 367 et l'électro de commande 310.
On comprendra en effet que l'opératrice est en comr.luni- cation téléphonique avec la ligne interurbaine nouvellement sélectée dès que la ligne interurbaine a été saisie par le sélecteur by-pass BPS et qu'un deuxième circuit de conversation vers la ligne interurbaine est complété vers le poste de l'opératrice par l'intermédiaire des balais du commutateur de ré- ponse AS quand ce commutateur est mis en position sur la nouvelle ligne interurbaine comme décrit ci-dessus.
L'opératrice est avertie de la mise en position finale du commutateur de
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réponse AS et de l'attraction du relais 301 quand la lampe de supervision d'appel 335 s'allume à travers les contacts du relais 301 par suite de la présence du positif donné par le fil 345 au balai 314 comme indiqué précédemment.
L'opératrice ramène la clé K13 au repos ce qui fait relâcher les relais 519, 517 et 516 ainsi que le sélecteur by-pass. Quand le relais 516 relâche, le négatif est connecté au fil 346 par l'intermédiaire de la résistance 538 et des contacts du relais attiré 505, ceci fait allumer la lampe d'identification 333 associée à la deuxième ligne du groupe en question à travers le balai 313 et des contacts de la clé opérée Kl. L'opératrice peut donc repérer la ligne du groupe qui a été utilisée pour rétablir la connexion. Il faut noter que l'enroulement supérieur du relais 505 est alimenté par l'intermédiaire du fil 342 en parallèle avec l'enroulement du relais 301 du circuit de jonction Ll.
Par suite de la libération du relais 517 les fils 351 et 356 sont de nouveau connectés aux armatures 542 et 543 au circuit de conversation de la position de telle sorte que les deux abonnés puissent se mettre en conversation même si la clef de conversation Kl est opérée, ou du moins l'abonné appelé peut être informé par l'opératrice de ce qu'il peut reprendre la conversation interrompue.
Une substitution identique ayant été opérée par l'opératrice du bureau distant et en principe de la même manière les deux abonnés peuvent entrer en conversation sur la nouvelle ligne interurbaine. Le circuit de conversation ne comporte que le passage direct à travers le circuit de jonction Ll dès que l'opératrice redresse la clef Kl et permet la libération du relais 303.
On doit comprendre en effet que les lignes de jonction telles que TL sont connectées dans le même ordre dans les bancs des sélecteurs by-pass des deux bureaux de telle sorte
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que ces sélecteurs sélectent la même ligne interurbaine libre dans les conditions décrites ci-dessus. uand l'abonné appelé raccroche le sens du courant est inversé une fois encore dans les fils 406 et 408 sortant du circuit de service interurbain TSC, de ce fait le relais 404 attire à nouveau et place l'enroulement inférieur du relais 401 en shunt sur l'enroulement supérieur pour augmenter en- . core la valeur du courant dans le fil 373 et provoquer l'allumage de la lampe de supervision de réponse 337.
A peu près en même temps le courant d'appel est reçu sur la ligne interurbaine venant du bureau distant pour faire attirer le relais 302 et allumer la lampe de supervision d'appel 335.
L'opératrice abaisse alors la clé en position de conversation pour parler avec l'opératrice du bureau distant qui l'informe de ce que la connexion peut être rompue. Pour couper la connexion l'opératrice opère momentanément la clé K7 qui met le fil 342 à la terre pour shunter le relais 301 et place un positif sur le fil 353 pour shunter le circuit de blocage du relais 304. Il en résulte que ces deux relais relâchent, chacun d'eux ouvre son circuit de blocage et déconnecte les balais associés. L'opératrice remet ensuite la clé Kl en position de repos ce qui fait relâcher le relais 303 et replace le circuit de jonction Ll en position normale. quand le relais 304 relâche et déconnecte le balai de supervision 324, le circuit du relais 401 du circuit de service interurbain TSC s'ouvre.
Le relais 401 relâche donc et connecte à nouveau les fils entrant 371 et 374 aux fils sortant 408 et 406 en ouvrant en même temps les deux ponts. Puisqu'il n'y a pas de pont sur les fils 371 et 374 en ce moment la con- nexion' à travers le train de sélection interurbain vers la ligne appelée est libéré de la manière bien connue.
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La manière d'établir une communication en transit sera expliquée ci-dessus. Par communication en transit on entend un appel reçu sur une ligne d'un groupe qui doit être prolongé vers une ligne d'un autre groupe, un bureau équipé comme il est représenté ici étant un point de connexion.
On suppose qu'un appel est reçu sur une ligne interurbaine du deuxième groupe et que le commutateur' de réponse AS du circuit de jonction Ll est saisi et se connecte à la ligne interurbaine appelante.
On suppose que- l'opératrice appelante informe ltopératrice appelée de ce que l'appel doit être transmis sur un groupe de ligne interurbaine contenant la ligne TL de la fig.l.
L'opératrice appelée abaisse sa clé K15 pour préparer le fonctionnement du sélecteur by-pass BPS. Celui-ci fonctionne sous l'action des impulsions émises par le dispositif d'appel pour l'envoi du numéro 11 en amenant ses balais en face du premier niveau du banc de contacts et les faisant tourner sur les contacts assignés au groupe de ligne interurbaines désiré. On suppose que la ligne TL est celle qui a été sélectée, dans ce cas la connexion est établie vers celle-ci par le sélecteur by-pass et le commutateur d'appel CS se connecte à la ligne interurbaine comme il a été décrit ci-dessus, et le relais 304 du circuit de jonction Ll attire.
L'opératrice intermédiaire abaisse ensuite sa clé d'appel Kll pour avertir l'opératrice du bureau où aboutit la ligne interurbaine TL.
Dès que l'opératrice du bureau distant répond, l'opératrice intermédiaire relève la clé Kl du circuit de jonction Ll et laisse parler entre elles les opératrices des bureaux d'origine et d'aboutissement qui règlent l'établissement définitif de la connexion désirée, elle ne s'occupe plus du tout de la communication sauf quand le relais 302 lui com-
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mande d'intervenir.
Quand la connexion en passage doit être relachée l'une ou l'autre des opératrices aux extrémités de la liaison envoie le courant de sonnerie sur la ligne, le relais 302 se bloque sur lui-même sous le contrôle de la clé El et fait allumer la lampe de supervision 335.
L'opératrice s'apercevant que la lampe de supervision 335 brûle abaisse la clef Kl pour faire attirer le relais 303 et se mettre en communication avec celle des opératrices qui est branchée sur la communication établie. Si on le lui demande l'opératrice intermédiaire peut abaisser sa clé d'appel pour alerter ltautre opératrice, cette opération ntest en général nécessaire que dans le cas où les lignes interurbaines sont dtune longueur telle que le courant d'appel est atténué sur une ligne d'une quantité suffisante pour qu'il ne passe pas sur l'autre ligne avec une intensité suffisante pour faire attirer le relais de fin ou tout autre signal dans le troisième bureau.
Pour libérer la connexion en passage l'opératrice abaisse momentanément la clé K7 ce qui shunte les relais 301 et 304 qui relâchent,ensuite l'opératrice relève la clé Kl et la connexion est libérée.
La manière de procéder pour un appel différé sera décrite ci-dessous. L'abonné appelant est averti de ce qutil doit raccrocher et attendre le rappel. La connexion qui avait été établie initialement entre la ligne appelante et le commutateur interurbain est donc coupée. Pour plus de convenance on peut supposer que l'appel est destiné à un abonné qui peut être atteint par l'intermédiaire de la ligne interurbaine TL.
'Quand l'opératrice est prête à établir la connexion elle prend un circuit de jonction libre, le circuit de jonction Ll, et empêche que le commutateur de réponse du circuit de jonction soit saisi par un appel entrant en abaissant une
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des clefs K16, K15 et K13 puisque dans chaque cas le relais 516 attire à travers un des relais 515, 517 et 519. Supposons que la clef K16 est celle qui a été opérée puisque l'opératrice désire d'habitude appeler l'abonné local d'abord, pour s'assurer qu'il est encore prêt, avant de mettre la ligne interurbaine en service pour établir l'appel différé.
Quand la clé K16 est opérée pour associer le dispositif d'appel au circuit de conversation les relais 515 et 513 attirent. Le relais 516 prévient l'action du positif du fil de démarrage 212 sur le relais 507 et le relais 515 à ses contacts supérieurs prolonge le positif jusqu'au fil 354 pour faire démarrer le commutateur d'appel CS, tandis qu'à son armature inférieure il place un positif, à travers l'enroulement inférieur du relais 515, sur le fil 358 pour arrêter le commutateur d'appel CS sur un circuit de service interurbain libre, tel que le circuit de service interurbain TSC.
Après que le circuit de service interurbain TSC a été saisi l'opératrice émet au moyen du dispositif d'appel et établit une connexion à travers le circuit TSC vers la ligne appelée. Elle sonne l'appelé au moyen de la clef Kll et le prie d'attendre tandis qu'elle s'arrange pour compléter la connexion.
L'opératrice abaisse ensuite la clé K13 et relâche la clef K16 ce qui fait relâcher le relais 515, mais le relais 516 reste attiré en série avec les relais 517 et 519, ces deux relais étant opérés à travers des contacts de la clef K13 pour'préparer le sélecteur by-pass et le commutateur de réponse AS qui doit rechercher la position prise par le sélecteur by-pass BPS.
Le sélecteur by-pass fonctionne sous l'action des impulsions et ensuite recherche automatiquement une ligne
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libre dans le groupe des lignes interurbaines, soit la ligne TL
Le positif se prolonge maintenant jusqu'au fil 341 pour faire fonctionner l'électro de commande 310 du commuta- teur de réponse AS à travers des contacts de la clé Kl au lieu de l'électro 320 comme précédemment. Le commutateur de réponse AS fonctionne jusqu'à ce qu'il se connecte à la ligne sélectée TL, en ce moment le relais 518 attire pour couper le circuit de l'électro de commande et pour fermer le circuit du fil 343 ce qui fait attirer le relais 301.
Le circuit du relais 518 en ce moment comprend le fil 345, mis à la terre aux contacts supérieurs du relais 517, le balai 314, les fils 109 et 365, le balai 635 du sélecteur by-pass, le fil 556 et des contacts du relais attiré 517.
La connexion entre la ligne appelante et la ligne interurbaine TL a été complétée maintenant à travers le circuit de jonction Ll.
L'opératrice peut abaisser dès lors la clef K5 pour avertir l'opératrice du bureau où ahoutit la ligne TL et pour solliciter son aide pour établir la communication différée.
La connexion établie est libérée comme il a été décrit ci-dessus.
On comprend qu'il est préférable d'utiliser un train de sélection interurbain pour l'établissement des communica- tions vers les abonnés locaux tandis que les communications entre les abonnés du même bureau sont établies par des trains de sélection dits "locaux". Dans certains cas cependant les opératrices interurbaines peuvent utiliser le train de sélection régulier pour établir les connexions vers les abonnés appelés.
Si le commutateur interurbain est installé dans un bureau où les appels interurbains doivent être complétés par
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l'intermédiaire du train de sélection local vers les abonnés appelés, le circuit de service interurbain TSC de la fig. 1 est remplacé par le circuit local LC de la fig. 7..
Quand le circuit local LC est saisi par' le commutateur CS par exemple le circuit de test du commutateur précédent dans le fil 372' comprend des contacts du relais 701 et la résistance 705. Le relais 701 attire par l'intermédiaire du fil de supervision 373 et à travers la résistance élevée de ltenroulement supérieur pour ouvrir la connexion directe entre les fils de conversation entrant et sortant et pour ponter les enroulements gauches et droits de la bobine translatrice 702 sur les fils entrant et sortant, respectivement. Le relais de ligne (non représenté) du sélecteur local auquel aboutissent les fils 406' et 408' attirent à travers les enroulements de droite de la bobine translatrice, l'enroulement supérieur du relais polarisé électriquement 703 et la résistance 704.
L'enroulement polarisant du relais 703 est alimenté par un circuit comprenant le fil de libération de jonction 372', des contacts du relais 701 et la résistance 709. Comme l'indique le sens des flèches associées aux enroulements du relais de supervision 703 le courant qui circule dans un enroulement a la même action que celui qui circule dans l'autre enroulement de telle sorte que le relais attire maintenant pour shunter l'enroulement inférieur de faible résistance du relais 701 aux bornes de l'enroulement supérieur de résistance élevée ce qui fait allumer la lampe de supervision 337 du commutateur d'appel CS.
L'opératrice émet ensuite le numéro demandé au moyen de son dispositif d'appel. Chaque fois que le courant dans le fil entrant de supervision 373' est interrompu le relais 701 relâche pour déconnecter les enroulements de la bobine translatrice 702 et pour établir un chemin direct, il connecte les fils entrant 371' et 374' directement aux fils sortant 406t et
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408' pour permettre à l'impulsion de passer directement à travers le circuit LC.
Chaque fois que le dispositif d'appel revient en position normale le courant se rétablit dans le fil de supervision 373' et le relais 701 réattire, ce qui fait réattirer le relais polarisé électriquement 703.
Après que la connexion a été établie vers la ligne demandés et que l'appelé a répondu le courant dans les fils 406' et 408' est renversé ce qui fait relâcher le relais polarisé 705, celui-ci déconnecte l'enroulement inférieur du relais 701, réduisant par conséquent la valeur du courant dans le fil 373' pour éteindre la lampe de supervision de réponse 337 du circuit de jonction Ll.
D'autres caractéristiques intéressantes du sélecteur by-pass BPS vont être expliquées maintenant.
Quand le groupe des lignes interurbaines comprend 8 ou 10 lignes et que le trafic qutelles écoulent est donc relativement élévé, un seul numéro peut être employé avantageusement pour appeler ce groupe de lignes ce qui épargne le temps nécessaire à l'émission d'un deuxième chiffre. On suppose que le deuxième niveau du banc de contacts du sélecteur by-pass est réservé à un groupe simple important et il est donc certain que ce groupe est le groupe désiré quand les balais du sélecteur by-pass sont amenés en face du deuxième niveau des contacts du banc. Les contacts du deuxième niveau 613 sont prévus pour se fermer quand les balais sont amenés en face du deuxième niveau.
On doit se souvenir que les relais 602 et 604 sont attirés continuellement tandis que le relais 601 fait vibrer ses contacts pour faire fonctionner l'électro d'ascension 615 qui commande le mouvement vertical du sélecteur by-pass, et que le relais 615 relâche à la fin du mouvement dtascension,
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mais le relais 604 reste attiré suivant un circuit de blocage qui comprend le fil de blocage mis à la terre 554 et des contacts du relais 605 ainsi que son armature supérieure propre.
Donc quand les balais 631-635 se mettent en face du deuxième niveau des contacts du banc et que le relais 603 relâche le circuit de commande automatique de l'électro de rotation 616 se ferme par l'intermédiaire du relais 605 aux contacts inférieurs du relais 603, ce circuit comprend les contacts d'arbre 613 et les contacts inférieurs du relais attiré 604.
Ltélectro 616 attire suivant ce circuit pour entraîner les balais 631-635 sur le premier groupe des contacts du banc du deuxième niveau et le relais 605 attire pour couper à son armature supérieure le circuit de blocage décrit ci-dessus et maintenant le relais 604, de telle sorte que celui-ci relâche pour déclencher la recherche automatique régulière par le sélecteur.
Dans le but de s'assurer que le relais 604 est maintenu attiré dans ce cas pendant un temps suffisamment long que pour permettre à l'électro de rotation 616 de compléter son pas en ayant la fermeture du circuit de l'électro de rotation 616 provoque la fermeture d'un nouveau circuit de blocage du relais 604 en parallèle avec l'électro de rotation et à travers les contacts interrupteurs de l'électro de rotation.
Ce circuit comprend 1'armature intérieure inférieure opérée du relais 604, la résistance 608 et l'armature supérieure opérée du relais 604. Ce circuit de blocage auxiliaire reste fermé jusqu'à ce que l'électro de rotation 616 ait fonctionné d'une manière suffisante pour séparer ses contacts, en ce moment les balais 631 se seront engagés sur le premier groupe des contacts du niveau sélecté. La présence de la résistance 608 réduit le courant à une valeur très faible dans le deuxième circuit de blocage et le relais 604 relâche rapidement lorsque
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se-.produit l'ouverture des contacts interrupteurs de l'élec- tro 516.
En relâchant le relais 604 ouvre à son contact inférieur le circuit de l'électro de rotation 616 qui relâche et ferme à nouveau ses contacts interrupteurs, mais le relais 604 ne réattire pas car il a ouvert son circuit de blocage.
La résistance 608 prévient une attraction prématurée de l'élec- tro 616 en parallèle avec le circuit de blocage initial du relais 604.
Un peu après le relais 605 relâche et déclenche le mouvement de recherche régulière par le sélecteur.
Si on veut que 1'opératrice puisse se connecter à une ligne spécifiquement déterminée du groupe des lignes interurbaines connectées au deuxième niveau de contacts, les lignes interurbaines de ce groupe peuvent être multiplées dans un autre niveau du sélecteur dans ce but. On comprendra en effet qu'à chaque niveau, sauf au deuxième, l'opératrice peut faire fonctionner le sélecteur by-pass pour amener les balais sur une ligne quelconque du groupe, au lieu d'amener les balais au repos sur la première ligne d'un groupe, à la fin de l'envoi du deuxième chiffre assigné à celui-ci. Cette caractéristique est d'application si l'opératrice travaille en liaison avec une opératrice d'un bureau éloigné manuel et s'il est nécessaire de substituer une ligne bonne à une ligne dévenue défectueuse dans le groupe.
Pour faire cette substitution l'opératrice demande à l'opératrice du bureau manuel distant le numéro de la nouvelle ligne interurbaine qu'elle désire utiliser au lieu de la ligne défectueuse, au moyen du sélecteur by-pass BPS elle établit la connexion avec la ligne bonne déterminée par l'opératrice du bureau manuel éloigné.
Si on désire utiliser un bureau interurbain tel que celui décrit ici pour un service séparé une ou plusieurs positions peuvent être désignées pour établir les communications demandées par les abonnés locaux, une ou plusieurs positions
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peuvent être réservées à l'établissement des appels entrant des lignes interurbaines, et une ou plusieurs positions peuven servir à l'acheminement des appels différés.
Avec cette disposition les jonctions interurbaines de service peuvent être supprimées dans les bancs des commutateurs d'appel des circuits de jonction aux positions qui desservent uniquement les appels émis par des abonnés locaux, et les jonctions venant des bancs des sélecteurs locaux aux circuits à longue distance (tel que le circuit LD de la fig. 2) peuvent être supprimés des commutateurs de réponse des circuits de jonction aux positions réservées à l'établissement des communications entrant sur les lignes interurbaines, tandis que les positions qui acheminent les appels différés seulement peuvent être équipées de la même manière.
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