BE427161A - - Google Patents

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BE427161A
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  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Sub-Exchange Stations And Push- Button Telephones (AREA)

Description


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  Perfectionnements aux systèmes téléphoniques. 



   La présente invention est relative à des systèmes téléphoniques et plus particulièrement à des systèmes de téléphonie privée reliée au réseau public du type ayant accès à un ou plusieurs bureaux centraux par des lignes de jonctions et nécessitant l'emploi d'un opérateur dans le système de télé- phonie privée relié au réseau public. 



   Le but général de la présente invention est de four- nir des dispositifs permettant de desservir la taole d'opérateur par quelques mouvements simples, l'opérateur pouvant par consé- quent exécuter son service avec le minimum d'efforts de manière à ce qu'il puisse être capable d'assurer efficacement le service d'un plus grand volume de trafic. 



   Suivant une des caractéristiques de l'invention, ce   but   est atteint en étudiant les circuits de telle sorte que 

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 les connexions à établir à un moment donné soient faites autant que possible par des relais qui sont actionnés par des clés à position instable manoeuvrées momentanément. 



  Avec cette disposition il y a moins de danger pour que   l'équipement   soit   inutilement   employé si l'opérateur ne   remet pas   les clés établissant les connexions dans leur position normale. 



   L'invention sera mieux comprise d'après la des- cription suivante d'une   méthode   de réalisation se référant aux plans ci-joints dans lesquels la Fig. 1 représente   sché-   matiquement un système du type général décrit ci-dessus tan- disque les fig.   2, @   et 4 quand elles sont correctement juxt- aposées représentent les circuits perfectionnés de la position d'opérateur et alune des lignes de jonction associées. 



   La fig. 1 représente schématiquement un système de téléphonie privée de 1000 lignes en liaison avec le réseau public   1@   par des lignes de jonction double sens telles que 11. Le réseau privé comprend des circuits de répétiteur de jonctions à double sens tels que   l   associés individuellement avec la ligne 11. Le poste opérateur 13 est connecté avec les lignes de jonction et au moins avec une partie des lignes pri- vées. Ces lignes dont trois sont représentées en   14,   15 et 16 sont associées respectivement avec les postes A, B et C, sont connectées avec le commutateur de ligne 17 et sont accessibles par des connecteurs tels que 18 qui sont de préférence du type à mouvement d'ascension et de rotation.

   Les commutateurs de ligne sont suivant qu'il convient du type rotatif ou du type à plongeur et donnent accès par des lignes telles que 19 à des sélecteurs tels que 20 également et de préférence du type à mouvement d'ascension et de rotation. Les sélecteurs sont cablés pour donner accès aux connecteurs 18 par la ligne 21, 

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 au répétiteur 12 par la ligne 22 et à la position d'opéra- teur par la ligne 31.

   On peut également avoir accès du répé- titeur 12 par là ligne 35 aux commutateurs de ligne tels que 33' ceux-ci ayant accès à leur tour à des sélecteurs qui peu- vent être les mêmes que ceux accessibles par le commutateur de ligne   17.   De plus, une ligne   32   partant de la table d'opé- rateur vers un commutateur de ligne 33 lui permet de se bran- cher sur les sélecteurs du système privé. La table d'opéra- teur renferme également ce qu'on prévoit habituellement pour le service de nuit de telle sorte que les appels entrant pour le réseau privé sont acheminés directement vers des postes pour service de nuit faisant partie du réseau privé. 



   Il est entendu que des appels entre abonnés du réseau privé sont automatiques sans intervention de l'opérateur et que les appels vers,le bureau central peuvent aussi se faire indépendamment de l'opérateur en formant un chiffre spécial tel que le   0.   Les autres opérations dépendent de la manière dont fonctionne le bureau central soit automatique soit ma- nuel. Dans le premier cas, l'appel est complété par une nou- velle manoeuvre du disque, dans l'autre cas l'opérateur du bureau central est averti et établit la   communication   de la manière habituelle. 



   A la réception d'appels entrants venant du bureau central, l'opérateur local est averti et en répondant s'as- sure du poste demandé. Il établit alors la communication par sa ligne et les commutateurs locaux avec le demandé et s'il répond connecte les deux interlocuteurs ensemble et se retire de la communication. La libération est alors automatique lorsque les deux interlocuteurs raccrochent leur récepteur. 



   Des dispositifs convenables sont également prévus pour permettre de surveiller toute communication établie,, 

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 pour interrompre la communication de manière à ce que   l'opé-   rateur puisse parler avec l'appelé ou l'appelant à l'exclusion de l'autre, pour garder un appel entrant jusqu'à ce que la ligne demandée du réseau privé soit libre et pour prévoir tous les autres services normalement requis par ce type àe réseau. 



   L'appareillage au poste opérateur représenté par la Fig. 4 comprend plusieurs clés 425 de contrôle de l'opérateur, une pour chaque ligne de jonction, vers le bureau central, une clé de service de nuit une clé de libération lo- cale et   de   surveillance 427, une clé de connexion . la jonc- tion et au local 426, une clé d'alarme de nuit 470, une clé d'information 482, une clé de la ligne d'opérateur 483, des lampes de signalisation 400, 4ul, 484 et 410 et un poste téléphonique pour l'opérateur indiqué généralement en 500 et comprenant tous les appareils à gauche des bornes 465 et 466. Les clés   424,   425 et   470   sont prévues séparément pour chaque ligne/de jonction tandis que les autres clés sont communes à l'équipement d'opérateur.

   Les clés   425 ;     427   sont à position instable au côté droit mais à position stable du côté gauche tandis que la clé 426 est à deux positions de travail instables. Toutes les autres clés sont du type stable. 



   Le poste téléphonique de l'opérateur est du type bien connu avec circuit antilocal grâce à une bobine d'induction 450 à 3 enroulements. Il comprend un microtéléphone renier- mant un récepteur 456 et un transmetteur   460.et   actionnant les contacts de fourche commutatrice 461 et 462. Le récep- teur est shunté par un redresseur 468 de préférence du type oxyde de cuivre qui a pour but   d'empêcher   les ondes du   co@rant à   travers le   récepteur   et par le fait même d'empê- cher   le:   "clacs" dans le récepteur. Le courant est fourni eu transmetteur 460 par une batterie commune à travers une 

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 résistance inductive 464.

   Ces enroulements inductifs en série avec la batterie étant shuntés peur les courants de fréquence audibles par un condensateur 463. L'interrupteur du disque est du type habituel comprenant des ressorts d'impulsions   452   et 453 shuntés par un circuit pare-étincelles comprenant une résistance 480 et un condensateur 481 et des contacts de shunt 454, 455, 456 et 457. L'établissement des divers appels par les circuits représentés seront maintenant décrits en détail. 



   Appel du réseau privé vers le bureau central. 



     ,uand   le circuit des répétiteurs des fig; 2 et 3 est saisi pour acheminer une communication d'une des lignes du réseau privé vers le bureau central, le relais 210 est attiré par : terre, enroulement inférieur du relais 210, palette d'armature   248,   conducteur   208,   enroulement 202 du   translateur ,   conducteur 215, palette d'armature 231, con- ducteur 23, boucle de l'abonné, conducteur 29, palette d'ar- mature 232, conducteur 214, enroulement 201 du translateur, conducteur 209, palette d'armature 247, enroulement supérieur du relais 210, négatif.

   Le relais 210 par sa palette d'arma- ture 211 ferme le circuit des relais   260   et 310 et par sa pa- lette d'armature 212 applique une terre provenant de la palet- te d'armature 323 au conducteur 24 par l'intermédiaire des translateurs   204   et 205. Le relais 260 peut attirer par son enroulement supérieur seulement. 



   La terre appliquée au conducteur   24   actionne l'équi- pement du bureau central qui varie suivant le type de réseau automatique ou manuel. Dans l'un ou l'autre cas, une terre est renvoyée par le conducteur   23   de sorte.que lorsque le re- lais 310 attire il fait fonctionner le relais 320.

   Le relais 310 applique également par sa palette d 'armature 314 une terre sur le conducteur 218 qui est envoyée en retour à travers les 

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   contact@   219 et   ::..86 de   la clé ae test vers les contacts dés bancs de sélecteurs pour donner l'occupation de la ligne de   jonction au bureau central ; parsa palette d'armature 312 il   applique une terre sur le conducteur 227 de démarrage du mo- teur de la machine d'appel; par sa palette d'armature 313, il ouvre le circuit d'excitation du relais 330 normalement bran- ché en pont sur les deux conducteurs 23 et 24. 



   L'application d'une terre au conducteur 218 fait   également   éclairer une lampe d'occupation 400 à la table de   l'opérateur   par un circuit passant par les contacts 219 et 226, le conducteur 413, la paiette d'armature 417 et le con- tact 418. L'éclairement de cette lampe indique à l'opérateur que le répétiteur associé la ligne de jonction 11 est en service. 



   Le relais 320 est tel que lorsque son enroulement supérieur est excité, ses contacts X seulement sont fermés par la   palette   d'armature 324. ceux-ci provoquant l'excita- tion de l'enroulement inférieur ce qui provoque l'attraction de toutes les palettes d'armature et par la palette d'armature 322 il prolonge le conducteur de conversation supérieur et par la   paiette   d'armature 321 applique à nouveau une terre sur le conducteur 218. 



   La communication est maintenant acheminée de la vers le ligne appelante / bureau central et si l'équipement de celui- ci est automatique le ton d'envoi des impulsions sera transmis en retour pour indiquer à l'appelant   qu'il   peut procéder à   l'envoi   du numéro du bureau central, Les impulsions sont ré- pétées sur la ligne de jonction par le relais 210 à la palette   d'armature   212 et provoquent le fonctionnement des commutateurs automatiques du bureau central ne la manière habituelle.

   Les refais 310 et 320 à cause de leur retard au relâchement res- tent   attirés   pendant chaque train d'impulsions de telle sorte que lorsque le relais 210 reste attiré à la fin de l'envoi du dernier chiffre, le circuit de conversation soit établi,   e   

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 courant d'appel est alors envoyé sur la ligne de l'abonné appelé par le connecteur en service du bureau central, ce courant étant supprimé de la manière habituelle par le fonctionnement d'un relais de coupure du courant d'appel lorsque l'appelé   r6pond.   



   Si le bureau central est automatique il   n'est   donc pas nécessaire d'envoyer le courant d'appel sur les conducteurs 23 et 24 puisqu'il n'est d'aucune utilité. Si le bureau central est manuel cependant les appareils d'appel du réseau privé peuvent être combinés pour donner du courant d'appel sur l'un des con- ducteurs de ligne 23 ou 24 pour faire fonctionner un signal au bureau central et indiquer   qu'il y   a un appel entrant, Quand l'opérateur répond le courant d'appel sera supprimé de la manière bien connue. Quand la   communication   est établie les relais 210, 310 et 320 sont attirés et ces relais restent attirés jusqu'à ce que la libération ait lieu, 
Surveillance. 



   Avec le système dans ces conditions, l'opérateur local être peut/averti 'de l'existence d'une   communication   par l'éclairement de la lampe 400 et peut surveiller cet appel en manoeuvrant la clé 425 du côté gauche. Cette manoeuvre fait attirer le relais 220 par : 'terre, contacts   451   et 432, conducteur 444, contacts 428, et 402, conducteur 404, relais 220, négatif. De ce fait les conducteurs 228 et 229 sont connectés aux conducteurs 215 et 214 par les palettes d'armature 221 et 222 qui établissent , la connexion avec le poste de l'opérateur 500. 



   Il peut arriver que l'opérateur du commutateur de passage intervienne pour surveiller un appel avant que la communication ne soit complètement établie puisque la lampe 400 s'allume immédiatement et dès l'attraction du relais 320. De manière à empêcher qu'une telle manoeuvre vienne contrarier la fin de l'établissement de la communication, un condensateur 485 est prévu en shunt sur les ressorts 441 et 442 qui sont ouverts quand la clé 427 est placée dans sa position de travail de gauche   @   

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 et qu'elle coupe le circuit à courant continu à travers les enroulements 447 et 448 de la bobine d'induction. L'opérateur manoeuvrerait d'abord la clé 427 du côté gauche pour introduire le condensateur 485 avant qu'il ne manoeuvre la clé 425 pour faire attirer le relais 220.

   Le circuit de surveillance est libéré en remettant la clé 425 dans sa position de repos à la suite de quoi le relais 220 relâche. 



   Libération. 



   La manière dont une communication est libérée à la fin de la conversation dépend de la nature de l'équipmeent du bureau central, Si cet équipement est automatique, lorsque l'appelant raccroche le relais 210 se désexcite et ouvre le circuit du relais 310 qui revient au repos après un certain temps, 11 en résulte que par la palette d'armature 311 il ouvre le circuit du relais lent 320 et par la palette d'arma- ture 313 il reconnecte l'enroulement du relais 330 entre les deux conducteurs 23 et 24. Puisqu'à la suite de l'ouverture du circuit extérieur l'équipement du bureau central supprimera normalement la connexion de la batterie aux conducteurs 23 et 24 avant que le relais 310 ne revienne au repos, le relais 330 n'attirera pas.

   Peu après le relais 320 reviendra au repos et par suite par la palette d'armature 321 supprimera la terre du conducteur 218 marquant ainsi la ligne de jonction 11 comme ligne libre sur les bancs du connecteur et éteignant la lampe 400, et par les palettes d'armature 322 et 323 replacera une terre sur le fil de conversation supérieur. Tout l'équipement est alors revenu à sa position normale. 



   Si le bureau central est manuel cependant, la jonction est gardée contre toute saisie par le réseau privé jusqu'à ce que la suppression des connexions soit terminée au bureau central. 



  Dans ce cas la batterie reste raccordée aux conducteurs 23 et 24 jusqu'à ce que la ligne soit libre au bureau central de telle   @   

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 sorte que lorsque le relais 310 revient au repos et avant que le relais à retard au relâchement 320 ne relâche, le relais 330 soit attiré par la palette d'armature   331--et   fasse attirer le relais 340. De ce fait par la palette d'armature 341 un circuit de maintien du relais 320 associé est établi. Le re- lais 320 reste donc attiré et par la palette d'armature 321 maintient une terre sur le conducteur 218 de manière à marquer la jonction comme occupée aux contacts des bancs du connecteur et à maintenir éclairée la lampe 400.

   Quand l'opérateur du bureau central libère la ligne, la batterie est déconnectée des conducteurs 23 et 24 et les relais 330,320 et 340 reviennent au repos d'où il s'ensuit que les appareils reviennent à leur position normale de la manière décrite ci-dessus. 



   Appels du bureau central vers le réseau privé qui y est relié. 



   Lors d'un appel entrant provenant du bureau central vers le réseau privé,la batterie est raccordée aux conducteurs 23 et 24 et provoque le fonctionnement du relais 330 qui son tour fait attirer le relais 340. De ce fait la palette d'arma- ture 344 applique une terre de garde au conducteur 218 et par la palette d'armature 345 le relais 350 attire. Le relais 350 se bloque par la palette d'arma bure 353, applique une terre sur le conducteur 227 de démarrage de la machine d'appel par la palette d'armature 351 et fait attirer le relais 320 par la palette d'armature 352. Le relais 320 de ce fait applique une nouvelle terre sur le conducteur 218 par la partie d'armature 321, prolonge le fil de conversation supérieur par la pelette d'armature 322 et se bloque par la palette d'armature 324.

   Le courant d'appel est alors appliqué aux conducteurs 23 et 24 au bureau central provoquant par conséquent le fonctionnement du relais 360 attirant sous courant alternatif dont la palette d'armature 361 fait attirer le relais 230 par le conducteur 257. 



  Ce relais par les palettes d'armature 231 et 232 connecte 

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 directement le générateur aux conducteurs de ligne 28 et 29 mais sans aucun effet pour le moment le courant étant seulement effectif quand les organes du   commutateur   de passage sont placés pour connecter les appels entrants par l'intermédiaire des con- ducteurs 264 et 265 au téléphone de nuit de la manière décrite ci-après, Par la palette d'armature 234 le relais 230 fournit une terre de blocage supplémentaire au relais 550 et par la palette d'armature 233 fait attirer le relais 370.

   Ce relais par la palette d'armature 371 ferme son propre circuit de blocage par le conducteur 301, la palette d'armature 346, le conducteur 302, la palette d'armature 242, le conducteur   412,   les contacts 419 et 420 vers la terre, et par la palette d'armature 372 ferme un circuit à partir du négatif, le relais   470',   les contacts   40±, le   conducteur   472,   la lampe 401, le conducteur 408, la palette d'armature   2@2,   le conducteur 266, la palette d'arma- ture 372 vers la terre. Les lampes 401 et 400 sont alors toutes deux éclairées et indiquent à l'opérateur qu'un appel venant du bureau central est parvenu par l'intermédiaire de la ligne de jonction 11.

   Il est à remarquer qu'après la fin de l'opération d'appel au bureau central le relais 360 revient au repos et que le relais 230 relâche. Il s'ensuit que l'application du courant d'appel aux conducteurs de ligne 28 et 29 est supprimée et que ceux-ci sont à nouveau connectés   auc conducteur   de ligne 214 et 215. 



   L'opérateur répond à l'appel en manoeuvrant la clé 425 du côté gauche fermant ainsi le circuit du relais 220 par les contacts 402 et 428. 



   Le relais 220 de ce fait connecte par les palettes d'armature   221 en   222 le poste téléphonique 500 de l'opérateur entre les conducteurs 214 et 215 et par la palette d'armature 223 fait attirer le relais 240. 



   Le relais 240 en attirant, ferme par la palette d'ar- 

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 mature   241 son   propre circuit de blocage passant par les con- tacts 407 de la clé 425, fait attirer les relais 310 et 260 par la palette d'armature 249', complète le circuit de conver- sation du poste opérateur vers le bureau central par la palette d'armature 245 et par les palettes d'armature 244 et 246 con- necte la résistance 267 entre les conducteurs 25 et   27   pour provoquer le fonctionnement du commutateur de ligne 23 ce qui a pour effet de prolonger le circuit vers un sélecteur tel que 
20.

   Le relais 240 déconnecte également par les palettes d'ar- mature 247 et 248 le relais 210 des conducteurs 214 et 215, fait relâcher le relais 370 par la palette d'armature 242, sup- prime le shunt du condensateur 278 par la palette d'armature 
249 et allume la lampe de supervision 410 par la palette d'ar- mature 243. Le relâchement du relais 370 fait éteindre la lampe de réponse 401. 



   Quand le relais 310 attire, il établit par la palette d'armature 316 un circuit de blocage multiple pour les relais 
340 et 350, il établit par la palette d'armature 311 un circuit de blocage multiple pour le relais 320, il applique par la palette d'armature 314 une terre supplémentaire au conducteur 
218 et il déconnecte par la palette d'armature 313 le relais 
330 branché entre les conducteurs 23 et 24 permettant à ce dernier relais de relâcher. 



   Puisqu'un circuit de conversation est maintenant établi entre le poste opérateur et le bureau central, l'opé- rateur peut recevoir de l'appelant ou de l'opérateur du bureau central le numéro du poste désiré du réseau privé. Il est à remarquer que le train de conmutateurs local comprend les commutateurs 33', 20 et 18¯se trouve isolé de la liaison avec le bureau central. et est dès lors prêt pout répondre aux im- pulsions transmises par le disque 458. 



   A la suite de la réception de l'information nécessaire   Il-)   

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 pour compléter l'appel l'opérateur manoeuvre momentanément la clé 426 du côté gauche pour faire attirer le relais 250 par les contacts 435 et 436 de la clé 426 et les contacts 403 et 409 de la clé 425. Le relais 250 par la palette d'armature 251 établit son propre circuit de blocage et par les'palettes d'armature 255 et 256 déconnecte le poste de l'opérateur du circuit du bureau central et le connecte aux conducteurs 25 et 27 conduisant au commutateur de ligne 33' au lieu de la ré- sistance 267.

   Le relais 250 court-circuite également le con-   densateur   278 par sa palette d'armature 253 établissant ainsi un circuitbifilaire vers le commutateur de ligne 33 pour é- lettre les impulsions, il fait attirer le relais 210 par la palette d'armature 252 et par la palette d'armature 254 fait attirer les relais 270 par une terre sur le conducteur 26 ali- menté par l'arrière par suite de l'extension du circuit du réseau privé au commutateur de ligne 33. 



     -uand   le relais 270 attire il ferme son propre circuit de blocage par la palette d'armature 271, il prépare un cir- cuit de blocage du relais 280 par la palette d'armature 274 et par les palettes d'armature 272 et 273 ferme en plusieurs points le circuit du bureau central vers la ligne appelée par   l'intermédiaire   du commutateur de ligne 33'. 



   Le relais 210 en attirant la palette d'armature 212 ferme une boucle multiple vers le bureau central, complète un circuit de blocage multiple du relais 240 par la palette d'ar- mature   215 et   complète un circuit complémentaire pour les relais 310 et 260 par la palette d'armature 211. Ce dernier relais est différentiel et n'attire pas,,ses deux enroulements agissant en opposition à ce moment. 



   Le poste opérateur est alors connecté par le commuta- teur 33 à un sélecteur tel que 20 et il reçoit le ton d'envoi des   i@oulsions   par ce circuit de la manière habituelle. L'opé- rateur manoeuvrera alors son disque 458 suivant les chiffres 

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 composant le numéro du poste désiré provoquant ainsi l'extension de la communication à cette extrémitéde la ligne, Si cette ligne est occupée, le ton d'occu- pation sera envoyé en retour à l'opérateur de la manière      habituelle et l'opérateur peut alors informer l'appelant de ce résultat et garder l'appel suivant les instructions reçues. 



   Si la ligne appelée est libre et qu'on répond à l'appel, l'opérateur procède à l'établissement du cir- cuit de conversation entre l'appelant et l'appelé en remettant au repos la clé 425. Ce résultat est atteint par le relâchement du relais 220 et ensuite du relais   250.   



   Quand le relais 220 revient au repos il déconnecte le poste opérateur des conducteurs 214 et 215.   uand   le relais 250 revient au repos il connecte le circuit vers le bureau central au circuit-vers le bureau privé par les palettes d'armature 258 et 259 complétant par là même le circuit de conversation entre l'appelant et l'appelé et par la palette d'armature 252 il fait relâcher le relais 210 ce qui n'a aucun effet à ce moment. 



   Quand l'appelé répond en décrochant son récepteur les poles de la batterie sont inversés sur la partie du circuit aboutissant aux conducteurs 214 et 215 de telle sorte que lorsque la connexion est rétablie par la remise au repos par l'opérateur de la clé 425 les deux enroulements du relais 260 agissent dans le même sens et ce relais attire. De ce fait par la palette d'armature 261 un circuit se ferme pour le relais   280,   et une terre est supprimée du conducteur 407 ce qui provoque l'extinction de la lampe 410 pour 

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 indiquer à l'opérateur que la communication a bien été correctement établie, Le relais 280 en attirant se bloque par la palette d'armature 281 et par la palette d'armature 282 prépare un circuit pour la lampe 401. 



   Avec le système dans ces conditions toutes les clés de la position d'opérateur sont dans leur position normale et seule la lampe 400 est allumée indiquant que la ligne de jonction 11 est en service. Le circuit de conversation établi par les relais attirés 240, 260, 
310,   270,   280,/320, 340 et350 vient du bureau central par la ligne de jonction 11 comprenant les conducteurs 25 et 24, par le récepteur 200 et par les conducteurs   214,   216,   276,     277,   274 et   275   vers la ligne 35 com- prenant les conducteurs 25,   26   et 27. 

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   Surveillance. 



   Si pour une raison quelconque il est nécessaire de surveiller une communifation, l'opérateur peut connecter son poste en maoeuvrant sa clé 425 du côté gauche faisant attirer ainsi le relais 220 ce qui provoque la connexion des conducteurs 228 et 229 aux conducteurs du circuit de conversa- tion respectivement par les palettes d'armature 221 et 222. 



  Avec l'équipement dans ces conditions l'opérateur peut écouter la prochaine conversation et s'il le désire s'introduire dans celle-ci. Le condensateur 278 intercalé dans le conducteur 229 est compris dans le circuit aboutissant au poste opérateur à ce moment et empêche une perte à la transmission anormale entre les postes appelant et appelé. La remise au repos de la clé 425 fait relâcher le relais 220 et ouvre le circuit de surveillance. 



   Interruption d'une conversation en cours. 



   Il peut être nécessaire pour certaines raisons que l'opérateur interrompe une conversation établie de la manière décrite ci-dessus et se connecte à la ligne privée du coté appelé à l'exclusion de l'appelant. Il réalise cela en manoeu- vrant la clé 425 du côté gauche pour établir un circuit de surveillance et en manoeuvrant ensuite la clé 426 momentanément du coté droit de manière à faire attirer le relais 250. Le re- lais 250 complète son propre circuit de blocage par la palette d'armature 251, shunte le condensateur 278 par la palette d'ar- mature 253 complétant ainsi un circuit bifilaire passant par le poste opérateur 500 pour maintenir le train local des com- mutateurs, et connectant le poste opérateur au circuit de con- versation côté appelé par les palettes d'armature 255, 256, 258 et 259.

   Les armatures 258 et 259 déconnectent également le circuit de conversation vers le bureau central de sorte que 

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 l'opérateur peut parler à l'appelé à l'exclusion de l'appe- lant. Le relais 260 est alors relâché et par la palette d'ar- mature 261 allume la   lape   de supervision 410 et par la palette d'armature 262 allume la lampe de réponse 401. 



   La communication qui avait été établie peut être rétablie en remettant la clé 425 dans sa position normale. 



  De ce fait le relais 220 relâche et à son tour fait relâcher le relais 250, tandis que le relais 260 est attiré de nouveau et éteint la lampe de supervision 410 et la lampe réponse 401. 



   Libération de la communication par l'opérateur du réseau privé. 



   Quand la conversation par la communication établie est terminée et que l'appelé du côté ligne privée raccroche, les poles de la batterie sont à nouveau intervertis pour le circuit de conversation du côté appelé et provoquent de ce fait le relâchement du relais 260. Il s'ensuit que les lampes 401 et 410 s'allument de nouveau et puisque l'opérateur n'a pas manoeuvré de clé pour produire cet éclairement il s'aper- çoit que la ligne de jonction 11 est alors libre. 



   Le relâchement de l'équipement est provoqué par la manoeuvre momentanée de la clé 425 du coté droit d'où il s'en- suit que les contacts 407 ouvrent le circuit de maintien du relais 240. Le relais 240 par les palettes d'armature 244 et 246 ouvre le circuit passant par les conducteurs 25 et 27 et aboutissant au commutateur de ligne 33', provoquant de ce fait le relâchement de cet équipement de la manière habituelle, par la palette d'armature 245 ouvre le circuit passant par les conducteurs 23 et 24 constituant la ligne de jonction 11 vers le bureau central, par la palette d'armature 243 éteint la lampe de supervisbn 410.

   Quand le commutateur de ligne 33' est relâché la terre est supprimée du conducteur 26 faisant relâcher par la même le   relais 370   puis le relais 280 qui par 

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 la palette d'armature   282   éteint la lampe de réponse 401. 



   A la suite du relâchement du relais 240 lorsque lé clé 425 est manoeuvrée du cûté droit le relais 310 revient au repos et reconnecte le relais 330 entre les deux conduc- teurs 23 et   24   par la palette d'armature 313. Ce dernier relais attire si l'équipement du bureau central n'est pas libéré et par la palette d'armature 331 complète un circuit de garde des relais 340 et 350, avant que le relais 310 à retard au relâchement n'ait relâché suffisamment pour inter- rompre le circuit de garde de ces relais par sa palette d'ar- mature 316. Le relais 330 garde alors une terre sur le con- ducteur 218 par l'intermédiaire des relais 320 et 340 maintenus respectivement dans leur position de travail et par le fait même maintenant l'occupation de la jonction aux bancs des con- necteurs et gardant la lampe 400 allumée.

   Quand l'équipement du bureau central associé à la ligne de jonction 11 est re- lâché la connexion de la batterie aux conducteurs 25 et 24 est supprimée et il s'ensuit que le relais 330 relâche et que par la palette d'armature 331 qui maintient le circuit de garde des relais 340 et 250 il permet à ces relais de revenir à leur tour à leur position normale. Quand le relais 340 revient au repos il fait relâcher le relais 320 qui par la palette d'armature 321 supprime la terre du conducteur 218 marquant ainsi la ligne de jonction 11 comme libre aux bancs des connecteurs et éteignant la lampe 400. Tout l'équipement associé avec la ligne de jonction 11 est représenté aux fig. 



  2, 3 et 4 et se trouve dès lors dans la position normale prêt pour être utilisé à nouveau. 



   Transfert du poste opérateur d'un circuit du réseau privé à un circuit du bureau central. 



   Comme on l'a remarqué ci-dessus si une ligne appelée du réseau privé est occupée, l'opérateur reçoit le ton d'oc- 

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 cupation par le circuit aboutissant à la ligne appelée et peut communiquer ce résultat à l'appelant en déconnectant son appareil téléphonique 500 du circuit de la ligne appelée et en le connectant au circuit aboutissant à l'appelant relâchant au même moment le train local des commutateurs associé au cir- cuit aboutissant à la ligne appelée. Il réalise cela en manoeuvrant momentanément la clé 426 du côté gauche, les lamelles ressorts 431 et 432 coupant momentanément le circuit du relais 220 qui à son tour ouvre le circuit de blocage du relais 250. 



  Le relais 220 attire à nouveau quand la clé 426 est remise au repos mais le relais 250 ne peut plus attirer. Dès lors le poste de l'opérateur est connecté aux conducteurs 215 et 214 aboutissant au bureau central et l'opérateur peut converser avec l'appelant et recevoir les instructions soit pour garder l'appel en instance ou pour interrompre la communication établie. 



  Si l'appelant ne désire pas que la communication déjà établie par le commutateur de passage soit gardée jusqu'à ce que la ligne appelée devienne libre, la libération a lieu de la manière précédemment décrite. 



   Appels gardés en instance par le poste opérateur. 



   Si cependant l'appelant désire que l'appel soit gardé en instance jusqu'à ce que la ligne appelée devienne libre le on peut/réaliser sans que le poste opérateur ne reste en liaison en remettant la clé 425 dans sa position normale ce qui a pour effet de faire relâcher le relais 220. Celui-ci déconnecte le poste opérateur des conducteurs 214 et 215 libérant ainsi l'équipement d'opérateur pour lui permettre de s'occuper des autres lignes de jonction du bureau central aboutissant au réseau privé.

   Avec l'équipement dans ces conditions la lampe d'occupation 400 et la lampe de supervision 410 sont allumées et la lampe de réponse 401 est éteinte in- 

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   diquant   par conséquent à l'opérateur qu'un appel est en instan- ce sur la ligne de jonction 11 de manière à ce qu'il puisse de temps à autre essayer d'établir la communication demandée, ou se mettre en relation avec l'appelant s'il le désire. D'après la description précédente la manière dont l'opérateur doit procéder pour connecter à nouveau son poste téléphonique à la ligne comprenant les conducteurs 25 et 27 aboutissant au commutateur de ligne 33 et appeler le poste désiré, peut se déduire sans autre desoription complémentaire. 



     Si Ion   désire avertir l'opérateur du privé par une ligne de jonction en instance cela se fait par l'opérateur du bureau central appliquant un courant d'appel aux deux conducteurs de ligne 23 et 24 de la ligne de jonction 11 pour faire attirer le relais 360 qui à son tour fait attirer le relais 230. Ce relais par la palette d'armature 233 fait attirer le.relais 370 qui de ce fait par la palette d'armature 372 allume la lampe de réponse 401. Puisque dans ces conditions le circuit de blocage du relais 370 est gardé ouvert par la palette d'armature 242, le relais 370 sera attiré périodiquement de la manière décrite ci-dessus pour faire clignoter la lampe 401 et attirer l'attention de l'opé- rateur privé. Ceci empêche qu'un appel soit gardé indéfini- ment en instance par l'opérateur privé par suite d'un oubli de ce dernier. 



     Ltppelé   ne répond pas. 



   Si l'appelé ne répond pas à l'appel de l'opérateur la tonalité de retour d'appel envoyée à l'opérateur indique- ra qu'il se trouve dans ces conditions. Dans ces conditions l'opérateur peut avoir des instructions pour appeler une autre ligne privée ou peut penser atteindre l'appelé en ap- pelant un autre poste du même bureau par exemple. De manière 

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 à pouvoir établir la seconde communication désirée il est désirable que le train local des commutateurs soit libéré sans que le poste opérateur 500 ne soit déconnecté du circuit aboutissant à ce train de commutateurs.

   Cela permet au train local de commutateurs de revenir à sa position normale de la manière habituelle, Quand les contacts   457   et   458   sont à nouveau fermés le circuit en pont est de nouveau fermé et le train local des commutateurs est prêt à suivre les impulsions transmises par le disque 458 du poste opérateur. La manière dont procède l'opérateur pour établir le circuit de conversa- tion avec la seconde ligne est exactement la même que celle décrite ci-dessus en ce qui concerne la première ligne appelée. 



   Service de nuit. 



   Comme on l'a fait remarquer plus haut l'équipement est prévu pour faire aboutir directement des appels du bureau central à une ligne déterminée pendant la période où l'opéra- teur n'est pas de service au commutateur. Cet équipement comprend les conducteurs 264 et 265 connectés aux conducteurs 28 et 29 et aboutissant à l'organe de commutation sur'service de nuit 424. 



  Dans la position normale de cet organe les conducteurs 264 et 265 sont dans un circuit ouvert respectivement par les lamelles de contact 422 et 415. Quand l'opérateur n'est pas de service cet organe est actionné pour que ses contacts 422, 423 et 414,   soient   fermés prolongeant ainsi les conducteurs 264 et 265 vers le poste désigné pour le service de nuit. Par cette manoeuvre la lamelle ressort 418 interrompt le circuit de la lampe 400 et la lamelle ressort 416 applique une terre sur le conducteur 413 pour marquer la ligne de jonction 11 comme occupée aux bancs des connecteurs. Par la lamelle 419 il y a un point d'interruption dans le circuit de garde du relais 370 ce relais n'étant pas nécessaire pour le service de nuit puisqu'il remplit seulement aes fonctions relatives à la super- 

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 vision.

   En plus de la manoeuvre de l'organe de commutation sur service de nuit l'opérateur peut s'il le désire manoeuvrer l'interrupteur d'alarme de nuit du côté gauche ou il reste bloqué, préparant ainsi par les lamelles 492 et 493 un circuit de fonctionnement du ronfleur ou de la sonnerie 494. 



   L'organe de commutation sur service de nuit étant en position de travail, lorsqu'un appel est émis du poste à service de nuit vers le bureau central, le relais 210 attire par un circuit comprenant les conducteurs 214 et 215 ,et letra- nslateur 200. Le relais 210 fait attirer à son tour les relais 310 et 320 pour prolonger le circuit de communication vers le bureau central de la manière décrite ci-dessus pour l'établisse- ment des appels provenant des lignes ordinaires du réseau privé. 



  La libération de la communication établie s'effectue également de la même manière que celle décrite ci-dessus pour le type d'appel en question. 



   Lors d'un appel venant du bureau central par la ligne de jonction 11 avec l'organe de commutation sur service de nuit 424 et l'interrupteur d'alarme de nuit   470,   en position de travail la batterie raccordée aux conducteurs 23 et 24 fait attirer le relais 330 qui à son tour fait attirer le relais 340. Le relais 340 fait alors attirer le relais 350 qui connecte le relais 360 entre les conducteurs 23 et 24 et qui exécute les autres opérations précédemment décrites. Le relais 320 attire alors pour prolonger le circuit des conducteurs de conversation,' 
Quand le courant de sonnerie est appliqué aux con- ducteurs 23 et 24 du bureau central le relais 360 attire et par la palette d'armature 561 fait attirer le relais 230.

   Le relais 230 par les palettes d'armature 231 et 232 applique directement le générateur'-' 'aux conducteurs 264 et 265 conduisant au poste à service de nuit et par la palette d'armature 233 fait attirer le relais 370. Le courant d'appel fait fonctionner un organe 

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 de signalisation au poste à service de nuit pour indiquer qu'un appel attend réponse et le relais 370 fait attirer le relais 470' par : terre, palette d'armature 372, contact 266, palette d'armature 282, conducteur 408, lampe 410, lamelle 409, relais 470', négatif,   uand   le relais 470' attire il ferme le circuit de l'organe de signalisation 494 qui continue à fonctionner aussi longtemps que le courant d'appel subsiste.

   Quand le courant d'appel est supprimé des conducteurs 23 et 24 le relais 360 revient au repos et fait relâcher le relais 230.   uand   le relais 230 revient au repos il interrompt le fonctionnement de l'organe de signalisation 494 en faisant relâcher les relais 370 et 470'. Quand le préposé au service de nuit répond à l'appel un pontage se fait entre les conducteurs 28 et   20   et sert à exciter le relais 210.

   Ce relais attire et par la palette d'armature ferme, le circuitde conversation allant du poste à service de nuit au bureau central et fait également attirer le relais 310 qui alors par la palette d'armature 313 déconnecte le relais 330 des conducteurs 23 et 24.   uand   la conversation est terminée et que le poste à service de nuit a raccroché le relais 210 relâche et provoque le relâchement successif des relais 310, 340, 320 et 350 en supposant que la ligne de jonction 11 ait été libérée au bureau central, Si la   communication   n'a pas été libérée au bureau central, la batterie reste branchée sur les conducteurs 23 et 24 de sorte que lorsque le relais 310 relâche, le relais 330 attire et par la palette d'armature 331 ferme un circuit de garde pour maintenir les relais 320, 340 et 350 attirés.

   Lorsque la communication est   @ibérée   au bureau central, cependant, la batterie est déconnectée des conducteurs 23 et 24 permettant le relâchement du relais 330 suivi du relâchement des relais 340,  il 350   et 320, 

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Service de secrétariat ou de direction, 
Comme indiqué plus haut, en plus des caractéristiques de service déjà décrites l'équipement comprend des organes par lesquels on peut assurer le service de secrétariat   @u   de direction pour quelques lignes au moins du réseau privé. Ainsi un directeur ou une autre personnalité importante peut désirer parler à une personne dont la situation où le numéro de téléphone ne lui est pas bien connu.

   Dans ces conditions il peut former avec son disque un chiffre préliminaire connu seulement par quelques individus et faisant fonctionner le sélecteur 20 pour .faire aboutir.la communication par un circuit d'information 31 au poste opérateur,   uand   cela a lieu une terre est appliquée au conducteurs 490 et fait éclairer la lampe 484 du circuit d'in- formation indiquant à l'opérateur qu'un appel par le circuit d'information 31 est en instance. Il manoeuvre par conséquent sa clé 482 pour.connecter le circuit d'information 31 à son poste   500' et   aussi pour appliquer une terre au conducteur 491 ce qui provoque l'ouverture du circuit de la lampe 484 par l'équipement de ligne associé au circuit d'information 31. 



  Après la transmission de l'information désirée à l'opérateur, l'appelant raccroche son téléphone et l'opérateur ramène la clé 482 dans sa position normale, libérant par la même l'équipement y compris le circuit d'information 31 et le poste 500 de l'opé- rateur. 



   Si l'opérateur croit que la personne demandée peut être atteinte par un poste téléphonique relié à une des lignes privées il peut appeler cette ligne sans utiliser une ligne de jonction vers le bureau central, au moyen du commutateur local. 483 de ltopérateur et de la ligne associée 32 aboutissant par le commutateur de ligne 33 aux sélecteurs. Ainsi l'opérateur peut appeler n'importe quelle ligne privée en actionnant le   commutateur   483 pour connecter son téléphone 500 par l'inter - 

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   médiaire   des conducteurs 445 et   446   les contacts du commutateur 483 etla ligne 32 au   commutateur   de ligne 33.

   La fermeture du circuit du poste pontant les conducteurs de la ligne 32 provoque la préparation par le conurutateur de ligne 33 du train local des   commutateurs   pour recevoir les impulsions du disque de la manière habituelle, De cette façon en formant le numéro désiré l'opérateur peut établir la communication de son poste 500 avec la ligne demandée et si la personne recherchée s'y trouve, il peut lui communiquer le nom et le numéro du directeur. 



  Après cela la communication établie peut être libérée en ramenant dans sa position normale le commutateur 483 pour provoquer le relâchement du train local de commutateurs. Il s'ensuit que la personne qui a reçu   1'information   peut appeler le directeur de la manière décrite   précédemment.   Il est visible que l'opé- rateur en employant le   commutateur   483 et l'équipement qui lui est associé, peut établir une communication avec une quelconque des lignes du réseau privé sans se servir de l'équipement as- socié à une quelconque des lignes de jonction vers le bureau central.

   Jette caractéristique est désirable pour que les appels privés de l'opérateur qui peuvent être en nombre important ne viennent pas déranger l.'utilisation normale des lignes de jonction et cela peut dans plusieurs cas réduire le nombre des lignes de jonction requises. 



   Si la personne recherchée par le directeur ne peut être atteinte que par.une communication acheminée par une des lignes de jonction au bureau central, l'opérateur peut connecter son poste 500 à l'une de ces lignes libres, par exemple à la ligne 11 en manoeuvrant la clé 425 du côté gauche et en faisant par là même attirer le relais 220. Ce relais par les palettes d'armature 221 et   2 connecte   le poste d'opé- rateur 500 entre les conducteurs 214 et 215 établissant ainsi le circuit bifilaire par l'intermédiaire des enroulements 201 

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 et 202 du translateur qui fera attirer le relais 210 comme il a été décrit précédemment. Le relais 210 fait attirer le relais 310 qui à son tour fait attirer le relais 320. 



   Quand cela se passe, une terre est appliquée par la palette d'armature 321 au conducteur 218 marquant ainsi la ligne 11 comme occupée aux bancs des connecteurs et allument la lampe 400. Lé poste de l'opérateur est alors raccordé au bureau central et la communication peut être acheminée par celui-ci et de la manière précédemment décrite vers la ligne demandée. Dès que la personne recherchée est trouvée elle peut avoir pour   instructims   de garder l'appel tandis que l'opérateur rappelle le directeur par le réseau privé. Il réalise cela en manoeuvrant la clé 426 momentanément du côté droit de manière à exciter le relais 250. 



  Ce relais attire et se bloque fait attirer le relais   240,   assure un circuit de maintien du relais 210, shunte le condensateur 278 et transfert le poste opérateur du circuit de conversattion du bureau central au circuit non encore complètement établi de la ligne appelée. A partir de ce moment l'établissement complet du circuit de conversation vers la ligne appelée, la connexion de ce circuit avec celui du bureau central et la déconnexion du.poste opérateur de ce dernier circuit sont exactement les mêmes que ceux décrits plus haut et se rapportant à un appel entrant du bureau central vers une ligne du réseau privé. 



     D'acres   la description précédente, il est visible que .lorsque le poste 500 de l'opérateur est déconnecté de toutes les lignes et reste libre, toutes les clé de commutation à com- mande par l'opérateur sont revenues dans leur position normale, Au contraire quand le poste 500 de l'opérateur est connecté à un quelconque des divers circuits de conversation décrits, l'opé- rateur en a connaissance non seulement grâce aux divers signaux audibles transmis par le récepteur 459 comme conséquence de ces communications et par les conditions dans lesquelles se trouvent 

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 les lampes telles que 400,   .:il,   410 et 484, mais aussi par la position des diverses clés de   commutation   telles'que 425, 482 et 483.

   Aussi pour surveiller une communication établie de la manière décrite ci-dessus, il est nécessaire que la clé 425 soit bloquée dans sa position de travail côté gauche et de plus que les lampes 400 et 410 soient allumées. Comme conséquence de ce mode opératoire la possibilité de faire des fautes de la part de l'opérateur est diminuée et il est pratiquement impos- sible pour une des lignes de jonction vers le bureau central d'être en position de liaison quand en fait elle est libre. 



  On notera de plus que les divers types de service qui peuvent être réalisés sont accomplis par la manoeuvre d'un très petit nombre de clés, diverses fonctions étant concentrées dans ces clés et dans la plus large mesure. Ainsi les organes pour préparer le train local des   commutateurs   dans le réseau privé pour pouvoir recevoir les impulsions du disque transmises par le poste 500 de l'opérateur, ceux pour établir un circuit de conversation entre le bureau central et un poste du réseau privé, ceux pour la surveillance d'une telle communication et ceux pour la libération d'une telle communication sont indivi- duellement actionnés par la manoeuvre de la clé 425 dans des positions déterminées.

   De même les organes pour transférer le poste d'opérateur d'un circuit de conversation établi avec le bureau central à un circuit de conversation préalablement préparé nais incomplet vers le réseau privé et ceux pour ramener le poste de l'opérateur à la communication avec le bureau central en ême temps que le relâchement du train local des   commutateurs     établ   et associé avec le circuit de conversation du réseau privé sont individuellement actionnés par la manoeuvre   momentanée   de la clé 426 dans des positions déterminées.

     Enfin   les organes pour relâcherle train local des commutateurs as- socié avec une communication établie entre une des lignes privées 

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 et le poste d'opérateur sans déconnecter le poste opérateur du circuit'vers le réseau privé et ensuite pour préparer à nouveau le train local des   commutateurs   pour recevoir les impulsions du poste opérateur et pour simultanément éliminer la communication établie entre un circuit local de conversa- tion et entre un circuit du bureau central, relâcher le train local de commutateurs maintenant le circuit jusqu'aux lignes privées appelées et connecter le poste d'opérateur aux conduc- teurs de ligne aboutissant au train local de commutateurs, sont individuellement actionnés par la manoeuvre momentanée de la clé 427 dans des positions déterminées,

   Ces divers dispositifs comprennent des organes renfermant les deux relais 220 et 250 lesquels sont directement actionnés par la manoeuvre d'une ou de plusieurs clés indiquées dans une ou plusieurs positions déterminées. Cette caractéristique qui consiste à concentrer les opérations de commutation dans un petit nombre de clés commandant les relais et à connecter les relais pour effectuer les opérations de commutation effectives résulte d'une dispo-   'sition   très simple du circuit tout en maintenant la souplesse du service que l'on ne rencontre normalement que dans des systèmes plus compliqués.

Claims (1)

  1. EMI28.1 ii u V . 1r .U I 0 A IONS.
    1. un système téléphonique comprenant un réseau central et un réseau privé automatique relié à ce réseau central par des lignes de jonction, dans lequel le service des appels sur ces lignes de jonction nécessitant les soins d'un opérateur est combiné pour être exécuté par la manoeuvre de clefs de commutation au poste déopérateur, toutes ces clés étant du ty,)e instable sauf une prévue individuellement par chaque ligne de jonction et qui sert à indiquer visuellement que l'équipement d'opérateur est associé à la ligne de jonction en question.
    2. Un système téléphonique comprenant un réseau central et un réseau privé automatique relié à ce réseau central par des lignes de jonction, dans lequel le service des appels sur ces lignes de jonction nécessitant les soins d'un opérateur est combiné pour être exécuté par la manoeuvre de clefs de commutation au poste opérateur, ces clefs commandant des relais pour associer l'équipement d'opérateur aux diverses lignes de jonction et étant combinées de manière à ce qu'aussi longtemps que l'équipement d'opérateur est associé à la ligne la clé correspondante reste en position de travail.
    un système téléphonique comprenant un réseau central et un réseau privé automatique relié à ce réseau central par des lignes de jonction, dans lequel un appel.entrant venant du réseau central est reçu par le poste opérateur en manoeuvrant une première clé de commutation et en manoeuvrant momentanément une seconde clé de commutation, la communication étant établie ultérieurement en ramenant la première clé dans sa position normale après que l'appelé a répondu, Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 5 dans lequel lors de l'attraction d'un relais correspondant actionné au moyen de la première clé,
    1.'équipement d'opérateur <Desc/Clms Page number 29> est connecté à la ligne de jonction appelante et est déconnecté de cette jonction pour être connecté à un circuit par lequel la ligne demandée du réseau privé peut être obtenue grâce à l'attraction d'un second relais commandé par la manoeuvre mo- mentanée.consécutive de la seconde clé de commutation.
    5. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3 ou 4 dans lequel.dès la réponse de l'appelé la remise au repos de la première clé de commutation réalise l'établissement de la communication et la déconnexion de l'équipement d'opérateur.
    6. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3 ou 5 dans lequel par une nouvelle manoeuvre de la première clé de commutation alors que la communication subsiste, l'équipement d'opérateur est connecté pour lui permettre de surveiller l'appel.
    7. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3 ou 5 dans lequel la première clé de commutation peut aussi être placée dans une autre position de travail et lorsqu'elle est ainsi actionnée produit la libération de la communication.
    8. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3, 5 ou 7 dans lequel la communication est gardée par un relais se bloquant lui-même et combiné pour être déconnecté par la manoeuvre momentanée de la première clé de commutation dans une position différente.
    9. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 6 dans lequel la manoeuvre momentanée de la seconde clé rompt la communication et laisse l'équipement de l'opérateur con- necté tandis que l'appelant est gardé.
    10. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 9 .dans lequel la communication est rétablie en ramenant la première clé de commutation dans sa position normale.
    Il. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 3 ou 5 dans lequel si l'appelé ne répond pas la manoeuvre de la <Desc/Clms Page number 30> seconde clé dans une autre position reconnecte l'équipement d'opérateur à la ligne appelante et libère le train des connnu- tateurs auquel aboutit la ligne appelée du réseau privé.
    12. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 10 dans lequel la remise dans sa position normale de la première clé de commutation déconnecte l'équipement d'opérateur sans libérer la communication établie avec le bureau central.
    13. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 5 ou 3 dans lequel si l'opérateur désire appeler une seconde ligne du réseau privé le train de commutateurs précédemment engagé est relâché par la manoeuvre momentanée d'une troisième clé après quoi l'opérateur peut procéder à l'envoi du nouveau numéro au noyen de son disque, 14. ün système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel un organe de commutation pour le service de nuit est prévu et dont la manoeuvre achemine tous les appels entrants vers un poste déterminé du réseau privé.
    15. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel on prévoit une clé de commutation dont la manoeuvre permet à l'opérateur d'atteindre une ligne quelconque du réseau privé sans mettre une ligne de jonction vers le bureau central hors service, lô. Un système téléphonique comme revendiqué en reverdication 1 ou 2 dans lequel l'opérateur après avoir établi un appel vers le bureau central peut établir une communication avec un poste du réseau privé en manoeuvrant momentanément la seconde clé et en formant son numéro puis pouvant ensuite transférer l'appel vers le bureau central à ce poste en ramenant la première clé dans sa position normale, 17.
    Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 12 dans lequel tandis qu'une communication avec le bureau central subsiste sans aboutir à un correspondant du réseau privé, un courant d'appel est transmis du bureau central pour provoquer <Desc/Clms Page number 31> le clignotement d'une lampe à la position de l'opérateur.
    18. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 ou 2 dans lequel lorqu'une communication avec le bureau central est établie par un poste du réseau privé une lampe s'allume à la position d'opérateur pour indiquer que la ligne de jonction est en service.
    19. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 18 dans lequel une clé de commutation supplémentaire est prévue et dont la manoeuvre a pour but d'intercaler un condensateur dans le circuit de communication avec l'équipement d'opérateur de manière à ce que le circuit de surveillance ne dérange pas la transmission des impulsions par un poste appelant du réseau privé.
    20. Un système téléphonique comme décrit dans la présente et se référant aux plans ci-joints.
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