BE413033A - - Google Patents

Info

Publication number
BE413033A
BE413033A BE413033DA BE413033A BE 413033 A BE413033 A BE 413033A BE 413033D A BE413033D A BE 413033DA BE 413033 A BE413033 A BE 413033A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
relay
key
subscriber
cord
local
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE413033A publication Critical patent/BE413033A/fr

Links

Classifications

    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04QSELECTING
    • H04Q3/00Selecting arrangements

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Sub-Exchange Stations And Push- Button Telephones (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Perfectionnements aux systèmes téléphoniques. 



  Convention Internationale: Demande dee brevet des   3tats-   Unis d'Amérique N  759. 643 déposée le 29 décembre 1934 par Thomas Frederick CROCKER dont la demanderesse est l'ayant droit. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   La présente invention se rapporte aux systèmes de téléphonie et plus particulièrement à ceux comprenant un bureau principal et un bureau privé, l'objet de l'invention est de produire un système de téléphonie privée perfectionné donnant un service rapide et d'un rendement   élévé   en utilisant un équipement   d'un   prix de revient relativement bas. 



   Le bureau privé de l'invention comporte les caracté- ristiques suivantes. 



   Chaque ligne de jonction reliant le bureau principal et le bureau privé aboutit dans ce dernier au cordon et à la fiche   d'un   commutateur au moyen desquels une opératrice peut connecter la jonction au jack d'une ligne locale pour établir une communication entrante ou pour écouler un appel sortant, un jack de transfert est associé à chaque ,jonction de telle sorte que impératrice puisse utiliser un cordon double local et déconnecter temporairement la ligne locale de la jonction et la connecter à une autre ligne locale tout en maintenant une boucle sur la jonction. 



   Chaque cordon de jonction est muni dtun relais dif- férentiel de rappel, opéré au moyen d'une clé de mise à la terre montée sur le poste de   l'abonné,   il commande deux re- lais de rappel de telle sorte que les abonnés locaux dans une communication entre bureaux peuvent commander à volonté une lampe de rappel pour alerter   Impératrice..   Quand l'opé- ratrice a été alertée de cette façon elle peut établir une communication entre l'abonné local appelant et un autre abon- né de qui on désire obtenir un renseignement en utilisant le jack de transfert.

   L'opération subséquente de la clé de mise à la terre au poste de l'abonné appelant transfère la connexion sur la ligne de jonction et à partir de ce moment l'appel peut être transféré, à volonté au moyen de la clé, de la jonction vers la ligne de l'abonné local qui a donné 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 le renseignement. 



   On a prévu l'emploi d'une lampe auxiliaire qui reste allumée après que l'opératrice a répondu à un appel entrant jusqu'à ce que l'appelé ait répondu à son tour, pour couvrir le cas où l'opératrice   ayant   sonné plusieurs fois l'appelé a eu son attention détournée ou si pour une raison quelconque elle oublie d'établir la communication. 



   L'opératrice peut utiliser le cordon et la fiche de jonction sur lesquels elle vient de recevoir un appel entrant, pour établir un appel local d'information en coupant la liai- son vers l'abonné appelant pendant cet appel local au moyen d'une clé dite de   "séparation"   qui établit une boucle sur la jonction vers le bureau principal. 



   Dans le but d'assurer le secret de conversation et pour signaler l'intrusion de l'opératrice du bureau privé dans les communications en cours on a prévu l'envoi d'une tonalité d'avertissement en ligne dans le cas où l'opéra- trice opère la clef de conversation d'un cordon au moyen duquel une connexion est établie. 



   Suivant une caractéristique secondaire de l'invention on a mis à la disposition de l'opératrice une clé d'appel qui lorsqu'elle est opérée momentanément provoque l'envoi du courant d'appel sur les lignes des abonnés appelés, le courant étant coupé automatiquement quand l'abonné répond. 



   Suivant une autre caractéristique secondaire de l'in- vention les abonnés reliés au commutateur privé sont divisés en deux groupes,   ceux   d'un groupe peuvent émettre des appels vers le bureau public et en recevoir tandis que ceux de l'au- tre groupe ne possèdent pas cette faculté. Des précautions spéciales ont été prises pour que l'opératrice ne puisse mettre le dispositif en défaut en opérant la clé de conversa- tion d'un cordon local connecté à la ligne d'un abonné à service restreint et la clé d'un cordon de jonction en même 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 temps. 



   Chaque cordon de jonction est muni d'une clef qui sert à connecter un dispositifd'appel aux fils de la jonction dans le cas où le bureau principal est un bureau automatique, tandis qu'elle sert à faire vaciller la lampe d'appel du bureau principal si celui-ci est un bureau manuel puisqu'elle ouvre et ferme le circuit de jonction. 



   Les cordons de jonction sont aménagés pour donner le service de nuit au moyen d'une clé qui lorsqu'on l'opère dé- connecte les bobines translatrices du cordon et connecte les fils de jonction à la fiche, de telle sorte qu'en enfichant dans le jack d'un abonné celui-ci puisse recevoir directement des appels venant du bureau principal. 



   Dans le cas où le commutateur privé décrit ici est mis en service dans des établissements ayant un veilleur de nuit, ou employant un personnel dont l'occupation principale n'est pas de desservir le commutateur et dont les heures de présence ne correspondent pas aux heures de travail régulier mais qui peut avoir pour occupation auxiliaire de desservir le commutateur, on a prévu l'emploi d'une alarme de nuit dont l'utilisation ne réclame aucune modification de l'équipement normal. 



   L'invention sera décrite maintenant en détails en expliquant une de ses applications pour laquelle on se réfèrera aux plans annexés. 



   Les fig. 1 à 5 montrent au moyen des schémas habituels une partie de l'équipement suffisante à la compréhension de l'invention. Les fig. 1 à 4 sont des schémas montrant les cir- cuits utilisés dans un bureau privé ne possédant pas le mul- tiple des abonnés, tandis que.la fig. 5 est le diagramme indi- quant le mode d'interconnexion des lignes du commutateur. 



   En se reportant particulièrement à la fig. 5 on voit 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 que S postes ont été représentés en A, B et C, ils sont connectés au mommutateur où leurs lignes aboutissent aux jaoks, J1,   J2   et   J3.   Au commutateur on a prévu un certain nombre de cordons locaux tels que LC, le cordon LC a deux fiches P2 et P3 qui;peuvent être insérées dans les jacks pour permettre d'interconnecter une paire de lignes. 



   La ligne de jonction TL est une lighe quelconque d'un groupe de jonctions à double sens qui relient le bureau privé au bureau principal(non représenté). Au bureau privé la jonction TL aboutit au cordon de jonction TC et à la fiche Pl qui peut être insérée dans un jack quelconque. La jonc- tion TL est munie également d'un jack de transfert J4 qui est utilisé en liaison avec un circuit de cordon local tel que LC pour interconnecter la fiche Pl et une autre ligne locale quand l'abonné local en conversation avec un abonné du bureau public désire correspondre momentanément avec un autre abonné local. 



   En se reportant maintenant aux fig. 1 à 4 on voit que la fig. 1 montre la ligne de jonction entre les deux bureaux, TL, qui aboutit dans le commutateur privé au cordon de jonction TC et à fiche Plainsi que la ligne du poste A et son jack Jl. 



   La   fig. 2   montre le cordon local LC interconnectant les fiches P2 et P3 ainsi que les lignes des postes B et C et les jacks J2 et J3. 



   La fig. 3 montre l'équipement d'opérateur et l'équipe- ment de position comprenant les clés d'appel et de coupure K5 et K6, les relais, local et de jonction, 301 et 302 et le circuit de conversation de l'opératrice. Le récepteur R de l'équipement d'opératrice est associé à l'enroulement se- condaire de la bobine d'induction IC à travers le condensa- teur 320 dans le circuit anti-local habituel. La bobine d'induction IC est munie d'un troisième enroulement qui sert 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 à la signalisation en liaison avec le fil de tonalité 308 comme on le montrera plus loin. 



   La fig. 4 donne le circuit d'alarme de nuit compre- nant la bobine d'induction 400, la clé d'alarme de nuit K7, les relis 401 et 403, la bobine d'impédance 404 et le ronfleur d'alarme de nuit 405. Le circuit d'alarme de nuit est associé aux signaux de supervision du cordon et d'appel par l'inter- médiaire du fil d'alimentation 412 et avec les circuits de ligne locaux par l'intermédiaire du fil d'alimentation 411. 



   On doit noter que le fil 411 est normalement connecté au pôle négatif de la batterie du bureau par l'intermédiaire des con- tacts supérieurs de la clé d'alarme de nuit, et que le pôle négatif de la batterie du bureau est normalement connectée au fil 412 par   l'intermédiaire   du contact inférieur de la clé K7 ce qui rend le circuit d'alarme de nuit   ineffectif   aussi. long- temps que la clé d'alarme de nuit K7 n'est pas opérée. 



   L'équipement de position d'opératrice de la fig. 3' est interconnecté aux cordons locaux tels que LC de la fig 2 par l'intermédiaire des fils   503-307   du câble multiple C1 et est interconnecté aux cordons de jonction tels que TC, fig.l, par l'intermédiaire des fils 311-316 du câble multiple-02. 



   Une description détaillée du fonctionnement de l'équi- pement du bureau sera donnée maintenant dans laquelle les ca- ractéristiques données plus haut et les caractéristiques sup- plémentaires seront expliquées. On indiquera en premier lieu comment s'établit un appel local dans le bureau privé. 



   Appel local. 



   Si on suppose que l'abonné à service restreint du poste C désire converser, par exemple ; avec l'abonné du poste 
A, l'abonné du poste C décroche son récepteur (non représenté) et ferme de ce fait le circuit habituel par l'intermédiaire des fils de ligne 205 et 206 à travers la lampe d'appel 208 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 et par l'intermédiaire du fil de lampe 411. 



   Lorsqu'elle s'aperçoit que la lampe 208 est allu- mée, l'opératrice desservant le commutateur privé insère la fiche,de réponse d'un circuit de cordon local libre, la fiche P2 du cordon local LC, par exemple, dans le jack J3. 



  Les contacts de coupure du jack J3 déconnectent la ligne appelante du positif et de la lampe. Le circuit de l'en- roulement supérieur du relais de coupure de sonnerie 211 se ferme à travers le canon par l'intermédiaire de la résis- tance du canon 207 et des contacts du relais de démarrage du circuit de sonnerie 212. Le relais de ooupure d'appel 211 attire à travers la résistance 207 et le fil 251 ce qui provoque l'allumage de la lampe de supervision d'appel 217, mais le relais de supervision de réponse 216 ne s'allume pas en ce moment car son circuit est ouvert aux contacts du re- lais de réponse 209, ce relais est attiré en ce moment à tra- vers la ligne appelante et par l'intermédiaire des contacts de tête et de nuque de la fiche de réponse P2 et du jack J3. 



   L'opératrice abaisse ensuite sa clé de conversation   K4   connectant les fils de tête et de nuque 305 et 306 aux fils correspondant du cordon LC. Les fils 305 et 306 sont connectés au fil principal de l'équipement (fig. 3) à travers des contacts du relais de déconnexion normalement relâché 302, de ce fait l'équipement d'opératrice est maintenant con-   necté   téléphoniquement à la ligne du poste C. La clé de con- versation K4 applique également un positif direct au fil de microphone mis à la terre 307 aux contacts de la clé ajustés pour se fermer en premier lieu (marqués par la lettre "A"). 



  L'application d'un positif au fil 307 alimente le microphone T par l'intermédiaire des enroulements de la bobine d'impé- dance 318 et l'enroulement inférieur gauche de la bobine d'induction IC. Cette précaution est prise pour diminuer 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 la consommation de courant, car il ntest pas nécessaire que le microphone soit alimenté, sauf pendant la conversation. 



  Puisque les contacts de la clé qui alimente le microphone se ferment en premier lieu le "clac" qui serait transmis, dans le cas contraire, vers la ligne appelante est dissipé au moment où les fils de conversation sont connectés. On peut noter que le condensateur-shunt 319 du poste de l'opé- ratrice forme un "by-pass" pour le courant alternatif en ce qui concerne la bobine d'impédance 318, localisant donc les courants à fréquences vocales engendrés dans le microphone T et collaborant avec la bobine d'impédance 318 pour prévenir, effectivement, l'écoulement des courants vocaux vers les fils d'alimentation connectés à la bobine d'impédance 318. 



   La clé de conversation   K4   du cordon LC associe éga- lement le fil commun de démarrage du circuit de sonnerie 303 au relais de démarrage 212 du circuit de cordon. Elle con- necte également le fil du relais de tonalité 304 aux con- tacts du relais d'alimentation de l'appelant 210 pour une raison qui sera donnée plus tard. 



   Quand l'opératrice converse avec   l'abonné   du poste C et qu'elle apprend qu'il désire être connecté à la ligne du   @   poste A elle peut se rendre compte sur le champ si la ligne du poste A est libre ou non en regardant si une fiche est enfoncée dans le jack J1, puisqu'il s'agit ici d'un commuta- teur n'ayant pas le multiple des abonnés. S'il n'y a pas de fiche dans le jack Jl, l'opératrice insère la fiche appe- lante P3 du cordon LC dans le jack J1 déconnectant de ce fait le circuit de la lampe d'appel et mettant un positif sur le fil de corps du cordon. 



   Appel de l'abonné appelé.      



   Pour faire démarrer le dispositif d'appel l'opéra- trice abaisse la clé de démarrage d'appel K5 (fig. 3) de son 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 équipement de position, elle applique de ce fait un posi- tif sur les fils de démarrage de sonnerie 303 et 311. En mettant un positif sur le fil de démarrage de sonnerie 303 elle ferme le circuit du relais de démarrage 212 du cordon local LC à travers des contacts de la clé de conversation K4 opérée. La fermeture de ce circuit fait attirer le relais 212, il déconnecte l'enroulement supérieur du relais de cou- pure de sonnerie 211 du fil de corps du cordon, le relais 211 relâche et ferme le circuit de blocage du relais 212 à ses contacts intérieurs par l'intermédiaire du fil mis à la terre 251, de contacts de la clé   K4   et du relais 209 en para lèle.

   Ce circuit de blocage sert à maintenir le relais de démarrage de sonnerie 212 en position attirée après que la clé de démarrage K5, fig. 3, a été relevée. 



   A son armature inférieure le relais 212 ouvre la connection normale entre le fil de nuque de la fiche P3 et le fil correspondant de la fiche P2 et il connecte le fil de nuque de la fiche P3 au fil de sonnerie 218 par l'inter- médiaire de l'enroulement inférieur du relais de coupure de sonnerie 211. Au même instant, le relais 212, à ses contacts supérieurs place un positif sur le fil de tête de la fiche P3 pour donner un chemin de retour de faible impédance au courant de sonnerie. 



   Le courant de sonnerie reçu par l'intermédiaire du fil 218 est de préférence un courant intermittent qui sonne le poste A par période, de la manière habituelle. Le con- densateur de faible capacité 215 permet l'écoulement d'une quantité suffisante du courant d'appel vers la ligne appe- lante pour donner à celle-ci la tonalité de retour d'appel. 



   L'opératrice relève ensuite. sa clé de conversation K4, ce qui sépare son équipement du cordon LC, et supprime le shunt placé sur l'armature et le contact au travail du 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 relais d'alimentation 209 attiré. Le maintien du circuit de blocage du relais 212 par le fil 251 est donc rendu dé- pendant de l'attraction continue du relais 209, de ce fait l'appel du poste demandé cesse immédiatement par la libéra- tion du relais 212 dans le cas   où.l'appelant   raccroche avant que l'appelé ait répondu. 



   Quand l'abonné du poste A répond en décrochant, le pont en courant continu habituel se ferme à travers les fils 102 et 103 de sa ligne, il ferme un circuit en courant con- tinu à travers l'enroulement inférieur du relais de coupure de sonnerie 211 par l'intermédiaire du négatif superposé au courant d'appel reçu du fil 218, le circuit étant complété à travers la ligne appelée et le positif aux contacts supérieurs du relais 212. 



   Puisque l'attraction continue du relais 212 a été ren- due dépendante du circuit de blocage établi pour le relais 212 à travers ses contacts intérieurs inférieurs après le relèvement de la clé K5 (fig. 3) le fonctionnement du relais 211 en ce moment provoque l'ouverture de ce circuit de blocage du relais 212 suivi de sa libération. En relâchant le relais 212 ouvre en un autre point son circuit de blocage à son ar- mature intérieure inférieure tandis qu'à ses armatures supér- ieures et inférieures il rétablit les fils de tête et de nuque dans ltétat représenté au plan, il en résulte que le relais d'alimentation de l'appelé 210 attire à travers les fils de tête et de nuque de la fiche P3 et du jack J1 et à travers la ligne du poste appelé A.

   Le relais   210   déconnecte la lampe de supervision 217 à ses contacts inférieurs ce qui provoque l'extinction de la lampe et fournit l'indication voulue à l'opératrice. 



   Le relais de coupure d'appel 211 attire à nouveau par l'intermédiaire des fils de corps des fiches P2 et P3 et à travers les contacts intérieurs supérieurs du relais 212 pour 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 maintenir le fil 251 à la terre à ses contacts inférieurs et préparer de ce fait le circuit d'allumage des lampes 216 et 217 signalant la fin de conversation. De ce qui précède on comprendra que le relais 211 est un relais combiné de supervision et de coupure d'appel en ce qu'il commande la fin de la période d'appel comme expliqué ci-dessus et qu'il commande également l'application du positif au fil 251 pour donner la supervision. 



   Signal   d'intrusion...   



   --------------------- 
On doit noter que les contacts supérieurs du relais d'alimentation 210 appliquent un positif aux oontacts nor- malement ouverts de la clé de conversation   K4   auxquels le fil du relais de tonalité 314 est associé. De ce fait, si l'opératrice tente de s'introduire dans le secret d'une con- versation en actionnant sa clé de conversation, ou clé d'é- coute K4, après que l'abonné appelé ait répondu et qu'il ait fait attirer le relais 210, le positif se prolonge des con- tacts du relais 210 à travers les contacts de la clé K4 jus- qu'au fil du relais de tonalités 304, faisant attirer le relais de tonalité 301(fig. 3) qui applique une tonalité d'a- vertissement.

   L'envoi du ton d'avertissement est fait par l'intermédiaire du fil de tonalité 308 à travers des contacts du relais 301 et de la résistance 321 jusqu'à l'enroulement supérieur gauche de la bobine d'induction IC. Un courant à fréquence musicale est engendré dans l'enroulement secondaire de la bobine d'induction IC et est transmis sur les fils de tête et de nuque de l'équipement d'opératrice, à travers des contacts de la clé de conversation jusqu'aux fils de conver- sation du circuit de cordon LC, avertissant de ce fait les deux correspondants de ce qu'on est à l'écoute sur leur cir- cuit et avertissant l'opératrice de ce que les fils de son poste sont en relation téléphonique avec un des circuit de 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 cordon sur lequel une communication est en cours,

   de telle sorte qu'elle puisse immédiatement relever la clé K4 et couper son poste du circuit de conversation. 



   Signal de supervision de fin de communication dans le cordon local. 



   Quand la conversation est terminée les deux abonnés raccrochent leur récepteur et les deux relais d'alimentation 209 et 210 relâchent et ferment les circuits des relais de supervision 216 et 217 au moyen du fil 251 mis à la terre aux contacts inférieurs du relais 211. Ces deux lampes brûlent pour donner le signal de fin à l'opératrice. Si un des abonnés tarde à replacer son récepteur la lampe associée à la ligne de l'autre abonné brûle et l'opératrice coupe la connexion dans l'un et l'autre cas. Quand la communication est coupée le relais 211 relâche et éteint les lampes 216 et 217. 



   Appel entrant. 



   Les opérations qui s'effectuent pendant l'établisse- ment d'une communication entrante seront décrites maintenant. 



  Dans ce but on supposera que la jonction TL a été saisie dans le bureau principal et que le courant d'appel est ap- pliqué sur les fils 138 et 139 de celle-ci de la manière habituelle. L'enroulement supérieur du relais 112 est nor- malement connecté entre les fils de jonction   138   et 139 par l'intermédiaire des contacts de la clé de disque K3, des fils 136 et 137, des contacts du relais de coupure 113, des con- tacts des relais 110, 111 et 112 et du condensateur 140. Le relais d'appel 112 attire sous l'action du courant de son- nerie et à ses contacts inférieurs ferme son circuit de blo- cage au positif pris à travers des contacts   du   relais de su- pervision 110.

   Le circuit de blocage de l'enroulement in-   térieur   du relais 112 comprend une lampe 121 et le fil com- mun des lampes 412, connecté au négatif de la batterie du 

 <Desc/Clms Page number 13> 

 bureau par l'intermédiaire du circuit d'alarme de nuit (fig. 4). A ses contacts supérieurs le relais 112 coupe le pont placé sur les fils de jonction et passant à travers son enroulement supérieur. La lampe 121 s'allume dans le circuit de blocage du relais 112. 



   Réponse de l'opératrice. 



    -----------------------   
Quand l'opératrice remarque que la lampe d'appel 121 brûle elle abaisse sa clé de conversation K2 pour se mettre en relation téléphonique avec l'abonné appelant. La clé K2 connecte le fil de tête du cordon de jonction TC au fil de tête du poste d'opératrice 315 et elle connecte le fil de nuque de la jonction au fil de nuque 316 du poste de l'opératrice. Ces fils aboutissent à travers le câble C2 à l'équipement d'opératrice et de position montré en fig. 3, le fil 315 se rendant directement à la bobine d'induction IC tandis que le fil 316 est coupé par un condensateur 317 pour éviter l'établissement d'un pont pour le courant con- tinu entre les fils appelant du cordon de jonction TC et pour éviter le fonctionnement du relais de ligne 108. 



   La clé K2 associe également le fil commun de démar-    rage de sonnerie 311 au relais de sonnerie 105 ; elleconnec-   te le fil commun. de coupure 312 à l'enroulement supérieur du relais de coupure 113; elle place un positif sur le fil du microphone 314 mis à la terre pour alimenter le microphone de l'opératrice et ferme le circuit du relais de blocage 111 par l'intermédiaire du fil 151 mis à la terre, le fil 151 étant mis à la terre à travers des contacts du relais de ligne 108 et des contacts de la clé Kl. Le relais de blocage 111 attire et se bloque sur le fil 151, il en résulte que le relais 111 ayant attiré une fois reste attiré jusqu'à ce que le relais de ligne 108 attire ou jusqu'à ce que la clé Kl soit actionné momentanément comme clé de libération.

   On 

 <Desc/Clms Page number 14> 

 doit noter que la lampe de blocage 120 brûle en parallèle sur l'enroulement du relais de blocage 111 pour donner à l'opératrice une indication de ce qu'il a été répondu à un appel entrant sur le cordon de jonction TC mais que la com- munication n'a pas été établie. 



   Indication de réponse au bureau principal. 



   A ses contacts intérieurs supérieurs le relais de blocage 111 complète le circuit de conversation, normalement ouvert, à travers les enroulements droits de la bobine trans- latrice 109 en y connectant les fils 133 et 135, ce qui ponte les enroulements droits de la bobine translatrice 109 sur les fils 138 et 139 de la jonction TL et indique au bureau principal qu'il a été répondu à l'appel et fait cesser l'en- voi du courant d'appel. Le relais de blocage 111 ouvre éga- lement le pont du relais de sonnerie 112 en un autre point à son armature supérieure tandis qu'à son armature intérieure inférieure il ouvre le circuit de blocage du relais de son- nerie 112 qui relâche et éteint la lampe d'appel 121. 



   Offre de la communication.      



   L'opératrice entre alors en conversation avec   ltabon-   né appelant et reçoit la demande de celui-ci. Dans le but d'expliquer l'offre de communication au moyen du cordon de jonction on supposera que l'appelant désire obtenir une cer- taine information et   qu'il   ne peut spécifier à quelle ligne il veut être raccordé. On supposera de plus que l'opéra- trice ne peut l'aiguiller avec certitude vers la personne capable de donner le renseignement demandé. Dans cette éven- tualité l'opératrice se met en relation avec divers abonnés, l'un après l'autre, jusqu'à ce qu'elle ait découvert celui qui peut répondre en connaissance de cause au demandeur.

   On a cru qu'il était préférable que l'appelant ne puisse entendre les conversations qui se tiennent entre l'opératrice et ses 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 correspondants locaux successifs, pour cette raison la possibilité de séparer le cordon a été prévue, elle est laissée à la discrétion de l'opératrice. 



   Division du cordon TC. 



   ---------------------- 
Pour séparer le cordon de jonction TC l'opératrice tout en maintenant la clef K2 du cordon TC opérée, actionne la clef de séparation K6 qui est une clé à position stable. 



  Tout le temps que la clef de séparation reste opérée un posi- tif reste connecté au fil 312, il ferme le circuit de l'en- roulement supérieur du relais de séparation 113 à travers des contacts de la clef de conversation K2. Le relais de séparation 113 ferme à son armature inférieure un pont de supervision de réponse sur les fils 136 et 137, ce qui per- met aux organes de supervision d'indiquer la réponse donnée sur la jonction TL. Ce relais déconnecte également les fils de conversation 156 et 137 des fils de conversation 135 et 134 aux contacts normalement fermés contrôlés par les arma- tures supérieures et inférieures de ce relais. La jonction TL est donc déconnectée téléphoniquement ou séparée du cor- don de jonction TC. 



     Appel   dtinformation vers une   ligne ,  à service   .   restreint. 



   L'opératrice peut dès lors établir une communication d'information vers une ligne locale, la ligne du poste C (fig. 2) par exemple. Elle le fait en insérant la fiche P1 dans le jack J3 ce qui déconnecte les fils de ligne 205 et 206 du positif et de la lampe d'appel. Le positif pris au canon du jack J3 alimente le fil de corps 152 du cordon TC fermant le circuit de la lampe de supervision d'appel 119 à travers des contacts du relais de ligne 108 par   ltintermé-   diaire de contacts de la clé de nuit K1 et du fil 412. En même temps le circuit du relais marginal 110 se ferme par l'intermédiaire du fil de corps 152 mis à la terre et du 

 <Desc/Clms Page number 16> 

 fil 153. Le relais 110 n'attire pas en ce moment car le positif est connecté au canon du jack J3 à travers une résistance 207. 



   Après avoir inséré la fiche P1 dans le jack J2 de la ligne du poste C (fig. 2) l'opératrice actionne momentané- ment sa clé de démarrage de sonnerie K5(fig. 3) ee qui place un positif momentanément sur les fils 311 et 303. La mise à la terre du fil 311 ferme le circuit du relais de démar- rage d'appel 105 à travers des contacts de la clé de con- versation K2 du cordon de jonction TC. Le relais 105 ferme son circuit de blocage par l'intermédiaire de contacts du relais de coupure 106 et du fil 151, mis à la terre à travers des contacts du relais de ligne 108 et des contacts de la clé de nuit Kl. 



   Le courant de sonnerie venant du fil 125 est appli- qué, à travers l'armature inférieure opérée du relais 105, au fil de nuque de la ligne appelée, le retour vers le posi- tif se faisant par le fil de tête à travers les contacts supérieurs du relais 105. 



   Quand l'abonné du poste C répond le relais de coupure du courant de sonnerie 106 attire dans un circuit à courant continu comprenant la ligne de l'appelé, il débloque le re- lais de démarrage d'appel 105 et le fait relâcher. L'envoi du courant d'appel cesse donc. Le relais de ligne 108 attire dans le circuit de la ligne appelée, il déconnecte la lampe de supervision 119 du fil de corps 152, ce lui fait éteindre la lampe de supervision 119 pour indiquer qu'on a répondu. 



  En même temps le relais 108 à son armature intermédiaire coupe en un point la connexion à la terre du fil 152 mais le re- lais de blocage 111 reste attiré car le fil 151 est toujours mis à la terre à travers les contacts intérieurs inférieurs du relais de séparation 113 attiré. Le relais de ligne 108 à ses contacts inférieurs ferme en un point le circuit d'envoi 

 <Desc/Clms Page number 17> 

 du signal d'intrusion qui indique que   Impératrice   vient de se brancher dans une conversation en cours, ce circuit n'a pas d'action pour l'instant car le relais de séparation 113 est attiré et ce relais quand il est attiré empêche la conversation entre l'abonné local et un autre abonné quel- conque sauf l'opératrice. 



   L'opératrice et l'abonné du poste C peuvent donc converser. On supposera que   l'abonné   du poste C informe l'opératrice de ce que l'abonné du poste A est celui qui peut donner l'information demandée par   l'abonné   appelant. 



  S'il en est ainsi l'opératrice enlève la fiche Pl du jack J3 et l'insère dans le jack J1. Quand la fiche est enlevée le relais 108 relâche. 



   Etablissement d'un appel entrant. 



   -------------------------------- 
Le relais 110 attire quand la fiche est insérée dans le jack J1 puisque le canon du jack est mis directement à la terre. Après avoir inséré la fiche P1 dans le jack Jl l'opératrice actionne momentanément sa clé de démarrage de sonnerie K5 pour faire attirer à nouveau le relais de démar- rage de sonnerie 105 et procéder à l'appel du poste A. L'opé- ratrice relève ensuite la clé de séparation K6 de son équipe- ment de position ce qui fait relâcher le relais de sépara- tion 113 du cordon de jonction TC, celui-ci reconnecte les sections du circuit de conversation qui ont été déconnectées précédemment. L'opératrice redresse également la clé de conversation K2 puisqu'elle n'a aucun motif de parler à l'a- bonné du poste A quand il répond. 



   Supervision à   l'extrémité   locale de la ligne. 



   Quand l'abonné du poste A répond le relais de cou- pure de sonnerie 106 attire comme précédemment,et débloque le relais de démarrage de sonnerie 105, de ce fait le relais 105 relâche et l'appel cesse. Le relais de ligne 108 attire 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 maintenant dans le circuit de la ligne du poste A. En ce moment puisque le relais de séparation 113   n'est   pas attiré le relais de ligne 108 supprime le positif appliqué normale- ment au fil 151 à travers des contacts de la clef Kl, ouvrant le circuit du relais de blocage 111 permettant la libération de celui-ci et l'extinction de la lampe de blocage 120.

   Quand le relais 111 a relâché les signaux de supervision restent éteints sous la dépendance du fonctionnement continu du re- lais de corps 110, car le circuit de conversation entre les fils 133 et 135 est établi maintenant uniquement aux contacts supérieurs du relais 110. Comme précédemment le relais de ligne 108 déconnecte la lampe de supervision 119 qui s'éteint pour indiquer qu'il a été répondu à   1+appel.   



   L'abonné du poste A peut parler maintenant sur la jonction TL avec l'abonné appelant. 



   Signal d'intrusion. 



   --------------------- 
On peut noter que dans l'éventualité où l'opératrice actionne par inadvertance ou autrement la clé de conversation Ka alors que l'abonné du poste A est en conversation avec l'abonné appelant sur la jonction TL les contacts de la clé K2 connectent le fil du relais de tonalité 313 à la terre à travers des contacts du relais de ligne attiré 108 et des contacts du relais de séparation 113. Ceci provoque l'attrac- tion du relais de tonalité 311 et l'envoi de la tonalité d'avertissement comme il a été décrit précédemment, avertis- sant l'opératrice et les abonnés en conversation de ce que   l'opératrice   a violé le secret de la communication. 



   Transfert temporaire d'une communication.      



   Dans le but d'expliquer le rappel et le transfert temporaire dans le bureau privé on supposera que l'abonné du poste   A   ne connait pas un détail de l'information désirée 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 par l'abonné appelant du bureau principal. Dans ces condi- tions l'abonné du poste A demande à l'abonné du bureau prin- cipal de tenir la ligne pour un instant tandis qu'il prend le renseignement à une autre source. En premier lieu l'a- bonne du poste A enfonce momentanément le bouton poussoir de rappel 101 qui met   momentânément   à la terre le fil 102 de sa ligne. Ceci provoque un déséquilibre du courant cir- culant dans les enroulements du relais différentiel de rap- pel 107 qui attire. 



   En attirant le relais 107 ferme le circuit du relais de contrôle   114   à travers des contacts du relais de sépara- tion 113 à travers la résistance 115 pour aboutir au négatif de la batterie. Le relais de contrôle 114 se bloque à ses contacts inférieurs par la terre prise à travers l'enroule- ment inférieur du relais de séparation 113 et des contacts du relais de corps attiré 110. Mais le relais 113 n'attire pas dans ce circuit de blocage jusqu'à ce que le bouton de rappel 101 soit relâché, le relais de rappel 107 relâche et ouvre le circuit original d'attraction du relais 114. 



   En attirant en série avec le relais 114 le relais 113 prépare un circuit de blocage temporaire pour son en- roulement supérieur par l'intermédiaire des contacts du re- lais de rappel 107, il déconnecte le contact du relais de rappel 107 de la borne droite du relais 114 et connecte celle ci au point de jonction de l'enroulement du relais 114 et de la résistance 115 ce qui prépare le relâchement du relais 114; à ses armatures supérieures et inférieures et aux contacts associés il déconnecte les fils de jonction 136 et 137 des fils 135 et 134 au même moment il supprime le shunt placé normalement sur les contacts de tête et de nuque du jack J4 et connecte les fils 134 et 135 aux contacts de tête et de nuque du jack J4. 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 



   Les fils 136 et 137 sont réunis par l'armature inférieure du relais 113 et des contacts associés, il en est de même des fils 136 et 137 et par conséquent des fils 138 et 139 de la jonction TL, l'équipement de supervision du bureau principal continue à marquer qu'il a été répondu à l'appel. 



   La lampe de rappel 116 s'allume à travers des contacts du relais de contrôle 114 et des contacts du jack J4 pour avertir l'opératrice. L'opératrice répond à ce signal en insérant la fiche de réponse d'un circuit de cordon libre, la fiche P2 du circuit de cordon LC, par exemple, dans le jack J4. La lampe 116 est donc éteinte par suite de ltou- verture des contacts de coupure du jack J4. Le relais de boucle de réponse 209 attire à travers des contacts du jack J4 et l'enroulement droit de la bohine translatrice 109 pour maintenir la lampe de supervision de réponse 216 éteinte. 



  L'opératrice en abaissant la clef de conversation   K4,   parle à l'abonné du poste A, l'appelant ne peut pas entendre la conversation. 



   En apprenant à qui l'abonné du poste A désire parler, l'abonné du poste B par exemple, Impératrice insère la fiche d'appel P3 du circuit de cordon LC dans le Jack J2   complétant   la liaison entre la ligne du poste A et la ligne du poste B. 



  L'opératrice sonne l'abonné du poste B de la manière décrite précédemment. quand l'abonné du poste B répond, le circuit de con- versation est complété à travers le cordon local LC de la ligne du poste C à travers le jack J4 à la ligne du poste A de telle sorte que les deux abonnés locaux puissent converser comme ils le désirent. 



   Retour temporaire vers la communication. avec le bureau principal. 



   On peut supposer maintenant que l'abonné du poste A 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 en conversant avec l'abonné du poste B découvre qu'il doit avoir d'autres renseignements de l'abonné appelant avant que l'abonné du poste B puisse lui donner une information complète. Dans ce cas l'abonné du poste A demande à l'abon- né du poste B de tenir la ligne pour un instant pendant qu'il parle à nouveau à l'abonné du bureau principal. 



   Pour transférer la connexion vers la jonction TL, l'abonné du poste A opère momentanément son bouton de rappel 101. Le relais de rappel 107 est de nouveau opéré momenta- nément pour appliquer un positif sur les contacts intermé- diaires supérieurs du relais 113. De ce fait un circuit de blocage temporaire se ferme pour l'enroulement supérieur du relais de séparation 113 aux contacts intérieurs supérieurs du relais, et un circuit shuntant le relais 114 et l'enrou- lement inférieur du relais 113 se ferme à travers l'armature intermédiaire supérieure et le contact au travail du relais 113. La résistance 115 prévient l'envoi   dtun   courant trop intense dans ce circuit. Le relais 114 relâche et ouvre son circuit de blocage à ses contacts inférieurs. 



   Quand le bouton de rappel 101 revient au repos et que le relais de rappel 107 a relâché le shunt de l'enroulement du relais 114 est coupé ainsi que le circuit de blocage tem- poraire de l'enroulement supérieur du relais 113, le relais 113 relâche. Comme il n'est pas bloqué il ne réattire pas. 



  La connexion est donc transférée vers la jonction TL. On doit noter que la borne de nuque du jack J4 est connectée en ce moment à la horne de tête du jack à travers l'armature supérieure et le contact au repos du relais 113, maintenant donc la lampe de supervision de réponse LC éteinte. L'opé- donc ratrice ne coupe/pas la connexion locale établie précédemment. 

 <Desc/Clms Page number 22> 

 



   Transfert en retour vers la connexion locale. 



   --------------------------------------------- 
Dès que l'abonné du poste A a reçu les renseignements complémentaires qu'il désirait obtenir de l'abonné du bureau principal il peut établir la connexion avec la ligne du poste B en opérant momentanément une fois encore le bouton de rap- pel 101 ce qui fait attirer à nouveau le relais de rappel 107. Le relais 114 attire et ferme à nouveau son circuit de blocage à ses contacts inférieurs, il en résulte que le relais 113 attire à nouveau en série avec le relais 114 quand le bouton de rappel 101 est revenu au repos et que le relais de rappel 107 relâche. 



   La communication ayant été transférée à nouveau de la jonction TL à la ligne du poste B par l'intermédiaire du cordon local LC et du jack J4, l'abonné du poste A peut con- verser avec l'abonné du poste B après avoir obtenu le ren- seignement désiré. 



   Fin de l'appel d'information.      



   On supposera maintenant que l'abonné du poste A a obtenu les informations désirées de l'abonné du poste B et que la communication entre les deux abonnés prend fin. Dans ces conditions l'abonné du poste A opère à nouveau et momen- tanément son bouton de rappel 101 ce qui amène la libération des relais de contrôle et de séparation 114 et 113 du cordon de jonction TC. En même temps l'abonné du poste B raccroche son récepteur (non représenté) ce qui donne le signal de fin par l'allumage de la lampe de'supervision 217 par suite de la libération du relais d'alimentation 210. L'opératrice enlève alors la fiche P2 du jack J4 et la fiche P3 du jack   J3   suppri- mant ainsi la connexion temporaire d'information. 



   La conversation entre l'abonné du poste A et le bureau principal peut alors se poursuivre par l'intermédiaire de la jonction TL. 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 



   Fin de la communication entrante. 



   --------------------------------- 
Quand l'abonné du poste A raccroche son récepteur à la fin de la communication avec l'abonné du bureau prin- cipal le relais de ligne 108 relâche et ferme le circuit de la lampe de supervision 119 à travers des contacts de la clef K1 et par l'intermédiaire du fil 412, la lampe s'allume et donne le signal de fin. 



   Lorsqu'elle remarque que la lampe 119 brûle, l'opéra- trice peut couper la liaison en enlevant la fiche P1 du jack J1 ou bien, elle peut abaisser à nouveau sa clef de conversa- tion K2 et demander à l'abonné du bureau principal s'il ne désire plus rester en liaison avec l'établissement où est installé le bureau privé. L'opératrice suit l'une ou l'autre des procédures suivant les instructions qu'elle a reçues. 



  Si elle suit la dernière procédure en abaissant la clef   K2   elle fait réattirer le relais de blocage 111 et rallumer la lampe de blocage 120. Le relais 111 shunte les contacts su- périeurs du relais de corps 110 ce qui permet à l'opératrice d'enlever la fiche P1 du jack J1 et de transférer l'appel entrant vers une quelconque des autres lignes. 



   Quelle que ce soit la procédure suivie quand la fiche P1 est enlevée finalement du jack utilisé en dernier lieu (le relais de blocage 111 étant relâché en ce moment) le re- lais de corps 110 relâche et déconnecte les fils 135 et 133 coupant la boucle formée par les enroulements droits de la bobine translatrice sur les fils de la jonction TL et donnant le signal de fin au bureau principal. 



   Appel sortant du bureauprivé. 



   On décrira maintenant la façon dont s'écoule un appel sortant du bureau privé. Dans ce but on supposera que l'a- bonné du poste A désirant émettre un appel vers le bureau principal décroche son récepteur et de ce fait allume la lampe 

 <Desc/Clms Page number 24> 

 d'appel 104 associée au jack Jl. L'opératrice répond à l'appel en insérant la fiche de réponse d'un cordon local, la fiche de réponse P2 du cordon local LC par exemple, dans le jack J1 et elle se met en relation avec l'appelé comme décrit déjà. 



   En apprenant que l'abonné du poste A désire émettre un appel vers le bureau principal l'opératrice dégage la fiche P2 du jack Jl et insère la fiche d'un cordon de jonction libre, la fiche Pl du cordon de jonction TC par exemple, dans le jack Jl. L'opératrice ne doit plus dès lors s'occuper de la communication sortante si le bureau principal est un bureau manuel puisque le fait d'insérer la fiche Pl dans le jack   Jl   attire l'attention de l'opératrice du bureau princi- pal ainsi qu'on le décrira maintenant. Puisque le récepteur est décroché au poste A le relais de ligne 108 est attiré de la manière habituelle pour maintenir la lampe de super- vision 119 éteinte.

   Le relais de corps 110 est attiré dans le circuit du fil 152 et à ses contacts supérieurs il place les enroulements droits de la bobine translatrice 109 en boucle sur les fils de la jonction TL ce qui ferme un cir- cuit en courant continu sur la jonction pour faire fonction- ner le signal d'appel habituel dans le bureau principal. 



   Quand la conversation prend fin et que l'abonné du poste A a raccroché la libération du relais de ligne 108 pro- voque l'allumage de la lampe de supervision 119 pour donner le signal de fin et l'opératrice coupe la connexion établie. 



  Impossibilité pour les lignes à service restreint   d'être   mises en communication avec le réseau principal. 



   Dans le but de réserver plus particulièrement le service avec le bureau principal pour des communications d'affaires il est de règle que la Direction d'un organisme possédant un bureau privé   spécifie   que certaines lignes ne pourront pas être mises en relation avec le bureau principal. 

 <Desc/Clms Page number 25> 

 



  Des précautions spéciales ont été prises dans le bureau privé décrit ici pour renforcer cette règle malgré une en- tente préliminaire possible entre un abonné à service res- treint et l'opératrice du bureau privé. La manière dont ceci a été réalisé sera expliquée ci-après plus particulière- ment. 



   La connexion à la terre de la borne du canon du jack de chaque ligne à service restreint se fait à travers une résistance telle que la résistance 207 associée au jack 33 de la ligne à service restreint 0. On a choisi cette ré- sistance et on a étudié les cordons locaux LC de telle sorte que les résistances donnant le service restreint   ntinter-   viennent pas dans le cas de communications locales mais pré- viennent l'établissement d'une communication entre le bureau principal et une ligne à service restreint.

   On doit noter que les bornes de corps des fiches P2 et P3 du cordon local LC sont réunies par un fil et qutà ce fil se branche la ré- sistance relativement élevée de l'enroulement du relais de coupure du courant d'appel 211 de la manière-qui a été expli- quée précédemment, pour contrôler la coupure du courant de sonnerie et l'allumage des lampes de supervision.216 et 217. 



  Le relais   211   opère d'une manière satisfaisante à travers une résistance telle que   207.   D'autre part le relais de corps 110 du cordon de jonction TC, ainsi que les relais de corps similaires des autres cordons de jonctions, sont bobinés et ajustés de telle sorte   qu'ils   n'attirent pas en série avec une résistance telle que 207. Puisque le relais de corps 110 doit être attiré pour maintenir les fils 133 et 135 reliés ensemble après la libération du relais de blocage 111 on peut voir qu'aucune conversation ne peut s'établir sur la jonction TL et à travers la fiche Pl quand le courant dans le fil du canon est insuffisant pour faire fonctionner le relais margi- 

 <Desc/Clms Page number 26> 

 nal 110.

   On appellera que les fils 133 et 135 sont ini- tialement reliés par l'intermédiaire du relais de blocage 111 quand celui-ci attire lorsqu'on actionne pour la première fois la clé de conversation K2. Mais le relais 111 relâche par suite de l'attraction du relais de ligne 108 quand l'a- bonné local répond, sauf si l'opératrice effectue un appel d'information, comme expliqué précédemment, dans ce cas le relais de séparation 113 prévient la libération du relais 111 mais déconnecte également la jonction vers le bureau principal. 



   De ce qui précède on comprendra que la jonction en- trante est coupée et qu'un signal de fin est donné à l'opé- ratrice du bureau principal quand l'abonné à service restreint décroche pour répondre à l'appel qui lui a été passé par né- gligence ou indûment par l'opératrice du bureau privé. La jonction est donc libérée pour d'autres usages au bureau principal, dans le cas où la jonction est saisie à nouveau au bureau principal les relais fonctionnent normalement pour l'appel et la lampe d'appel 121 s'allume à nouveau pour aler- ter l'opératrice. L'opératrice doit retirer la fiche Pl du jack de la ligne à service restreint avant qu'elle puisse faire attirer à nouveau le relais de blocage 111 pour conver- ser avec l'abonné appelant du bureau principal. 



    Impossibilité   d'obtenir des communications en fraude au moyen des clefs. d'écoute de l'opératrice. 



   On doit noter que le relais de déconnexion 502 en plus de ce qu'il alimente le microphone de l'opératrice déconnecte les fils locaux de tête et de nuque, d'écoute et de conversa- tion 305 et 306 des fils du poste de l'opératrice et par con- séquent des fils correspondants associés aux cordons de jonc- tion tels que TC.

   Cette disposition donne l'assurance que l'opératrice ne pourra pas établir subrepticement une   oommuni-   

 <Desc/Clms Page number 27> 

 cation entre une ligne à service restreint et une jonction telle que TL par ltintermédiaire des fils de son poste en faisant usage d'un cordon local inséré dans le jack de la ligne à service restreint (la clé de conversation associée étant abaissée) et un cordon de jonction inséré dans le jack d'une ligne à service sans restriction (la clef de conversa- tion associée telle que la clé K2 étant abaissée) puisque le relais de déconnexion 302 dans ces conditions coupe le cir- cuit d'écoute entre le cordon local et le cordon de jonction. 



   Les précautions prises empêchent également l'établis- sement en fraude de communications sortantes sur la jonction. 



   Fonctionnement lorsque le bureau principal est automatique. 



   Quand le bureau principal est un bureau automatique' l'opératrice du bureau privé est chargée d'envoyer les im- pulsions nécessaires à la mise en position des commutateurs du bureau automatique. Elle le fait en abaissant la clé de disque K3 qui transfère les fils 138 et 139 de la boucle de blocage à travers les enroulements droits de la bobine trans- latrice 109 au dispositif d'appel CD qui est commun à toutes les jonctions telles que TL. Ce dispositif d'appel est opéré de la manière habituelle pour transmettre les trains d'impul- sions, il est muni d'un condensateur 117 et d'une résistance 118 qui travaillent comme pare-étincelles et améliorent la qualité des impulsions.

   Dans l'utilisation en liaison avec un bureau manuel on n'emploie pas le dispositif d'appel CD, dans ce cas la clé de disque K3 peut être utilisée comme clé de rappel pour faire vaciller la lampe de l'opératrice du bureau principal quand on désire attirer son attention pendant l'établissement d'une communication entrante ou sortante. 



   Supervision directe donnée par une ligne locale au bureau principal. 



   Quand on le désire on peut prévoir que la ligne locale 

 <Desc/Clms Page number 28> 

 en gagée dans une communication avec le bureau principal contrôle la supervision sur la jonction TL de telle sorte que le signal de fin de communication soit donné dès que l'abonné local raccroche son récepteur sans devoir attendre que l'opératrice du bureau privé ait enlevé la fiche du cordon de jonction du jack local. Si cette possibilité est demandée il suffit de supprimer le fil 153 associé au relais de corps 110, dans ce cas la connexion entre le fil de corps 152 et le relais de corps 110 est contrôlée par le relais de ligne 108.

   Si on veut se rappeler que la boucle comprenant les enroulements droits de la bobine translatrice est con- trôlée aux contacts supérieurs du relais 110 on verra que la libération immédiate du relais 110 qui suit la libération du relais de ligne 108 donne la supervision de fin normale au bureau principal. Le relais de ligne 108 est muni d'une bague de retardement, comme le montre le plan, pour rendre le relais légèrement lent à la libération pour donner une garantie contre les faux signaux de fin qui pourraient être envoyés par une manipulation inconsciente et momentanée de la fourche du poste local.

   Quand le fil 153 est supprimé, les opérations que comporte l'établissement des connexions à travers le cordon de jonction TC sont identiques à celles qui ont été décrites précédemment sauf que le circuit de blocage de la jonction entre les deux bureaux est ouvert dès que le récepteur est raccroché au poste local, ainsi qu'on l'a dit plus haut. 



   En liaison avec la caractéristique qui vient d'être exposée on doit remarquer qu'il est préférable de donner comme instruction à l'opératrice qu'elle doit enlever la fiche Pl du jack local dès qu'elle reçoit le signal de fin à la lampe 119, sans intervenir dans le circuit, quand la supervision directe est utilisée, ceci active considérable- ment le service et réduit au minimum le travail de l'opéra- 

 <Desc/Clms Page number 29> 

 trice du bureau privé. On se rappellera, en effet, que le jack de rappel J4 et la lampe 116 sont prévus pour permettre à ceux des abonnés qui ont droit au service avec le bureau principal de rappeler l'opératrice locale sans agiter la fourche.

   De ce fait si la communication avec le bureau principal doit être transférée vers une autre ligne locale, l'abonné local pourra se mettre en relation avec l'opératrice en effectuant le rappel comme il a été décrit précédemment plutôt qu'en agitant la fourche de son poste, il supprimera ainsi l'obligation pour l'opératrice locale de s'introduire dans le circuit marquant la fin avant de couper la connexion établie. 



   Service de nuit au bureau privé.      



   Dans le but de donner le service de nuit aux employés d'un organisme desservi par un bureau privé et dont les heures de présence ne coïncident pas avec les heures du travail régulier au commutateur, les cordons de jonction tels que TC sont prévus de telle sorte qu'un ou plusieurs d'entre eux puissent être insérés dans des jacks locaux pour donner le service direct avec le bureau principal. Par exem- ple, si la ligne du poste A doit être utilisée pendant le temps que l'opératrice ne dessert pas le commutateur, la fiche Pl peut être insérée dans le jack Jl la clé de nuit Kl étant abaissée.

   La clé de nuit déconnecte la lampe de supervision 119 pour diminuer la consommation de courant et elle supprime la boucle formée par les enroulements de la bobine translatrice 109 des deux sections du circuit de conversation et elle relie les fils 131 et 132 directement aux fils 133 et 134, connectant les fils de tête et de nuque de la fiche Pl directement aux fils 138 et 139 de la jonction TL par l'intermédiaire des contacts du relais de corps 110. 



  La paire de contacts intérieurs inférieurs de la clé de nuit Kl shunte les bornes reliées par le fil 153 de telle sorte 

 <Desc/Clms Page number 30> 

 que le relais de corps 110 soit connecté au corps de la fiche Pl quand la clé est abaissée, que le fil 153 soit en place ou non. Le relais 110 reste donc attiré et maintient la continuité des fils 133 et 135 de telle sorte que le courant d'appel reçu du bureau principal atteigne directe- ment le poste local. En ce point il faut noter que le ser- vice de nuit ne peut pas être donné à une ligne à service restreint, telle que la ligne du poste C, fig. 2, car le rems 110 n'opère pas à travers une résistance telle que 207 pour relier les fils 133 et 135 l'un à l'autre. 



   Dans le cas où le bureau principal est automatique, les postes choisis pour le service de nuit direct avec le bureau principal doivent être des postes du type automatique équipé du dispositif d'appel normal. Ce dispositif d'appel est employé de la manière habituelle pour appeler les abon- nés du bureau principal. 



   Alarme de nuit. déjà 
Ainsi qu'il a été dit/pendant le temps où l'opératrice en fonction n'est pas présente au bureau privé, un veilleur de nuit ou une autre personne peut recevoir la charge dtef- fectuer l'établissement des communications qui peuvent être demandées. Comme cet opérateur occasionel a d'autres devoirs à remplir et qu'il ne doit pas nécessairement séjourner tout le temps auprès du commutateur il est avantageux de prévoir une alarme de nuit   audible-pour   attirer son attention quand il le faut. Le circuit d'alarme de nuit montré en fig. 4 a été prévu pour donner un service satisfaisant de cette nature d'une manière économique.

   Dàns des dispositifs antérieurs destinés à damner le service de nuit on a fait usage d'un re- lais-série (tel que le relais-série 403 dans le fil local 412) inséré dans un fil de ligne tel que 411, mais un tel relais fréquents requiert des   ajustage,-/   quand un grand nombre de lignes sont 

 <Desc/Clms Page number 31> 

 connectées au bureau privé par suite des'effets des pertes en ligne qui sont habituellement négligeables quand il s'agi d'une seule ligne mais qui deviennent considérables quand ils concernent un grand nombre de lignes. Le circuit d'a- larme de nuit de la fig. 4 travaille par changement de l'in- tensité d'un courant et est largement indépendant de la   valeu@   du courant qui parcourt le fil 411. 



   Dans le but de mettre le circuit d'alarme de nuit en service on opère la clé d'alarme K7. Les contacts supér- ieurs de la clé K7 suppriment le shunt placé sur 1'enroule- ment primaire de la bobine d'induction 400 ; les contacts in- férieurs de la clé supprime le shunt placé sur le relais-sé- rie 403 et appliquent une polarité d'alimentation à l'enrou- lement primaire du relais d'impulsions 401 ; tandis que les contacts intermédiaires de la clé, qui se ferment en dernier lieu, connectent l'enroulement secondaire de la bobine d'in- duction 400 en série avec l'enroulement actif du relais 401 à travers des contacts du relais auxiliaire 402.

   Le relais 401 a été calculé et ajusté de telle sorte que le courant parcourant son enroulement inférieur, l'enroulement d'excita- tion, alimente suffisamment le relais pour l'amener très prêt de la limite de son fonctionnement mais non pas pour le faire attirer. Le relais est donc très sensible à une impulsion donnée par la bobine d'induction 400. Une impulsion quel- conque donnée par la suppression du shunt placé sur l'enrou- lement primaire de la bobine d'induction 400 aux contacts supérieurs de la clé a disparu au moment où l'enroulement secondaire de la bobine et l'enroulement supérieur du relais 401 ont été connectés en circuit. 



   La clé K7 étant opérée, le décrochage du récepteur à un poste, tel que B ou C, ferme le circuit de la lampe d'appel, telle que 204 ou 208, par l'intermédiaire du fil 411 en série avec l'enroulement primaire de la bobine d'induction 400. L'augmentation du courant qui en résulte s'effectue 

 <Desc/Clms Page number 32> 

 assez rapidement par suite de la consommation assez élevée du filament de la lampe froide (un filament au tungstène ou similaire étant préférable). L'augmentation du courant dans l'enroulement primaire provoque la naissance d'un courant dans l'enroulement secondaire de la bobine d'induc- tion   400,   à travers les contacts de la clé K7, l'enroulement de ligne du relais 401 et des contacts du relais 402.

   Le sens de ce courant est tel qu'il aide le champ magnétique établi déjà par l'alimentation de l'enroulement d'excitation du relais 401, il provoque l'attraction du relais   401.   L'im- pulsion est rapidement dissipée mais le relais 401 ayant at- tiré reste attiré sous l'action de son enroulement d'excita- tion, cet effet étant bien connu. 



   Le relais auxiliaire 402 attire. Il connecte en premier lieu l'enroulement de ligne du relais 401 pour pré- venir l'envoi d'une impulsion inverse à travers celui-ci. 



  A son armature intermédiaire le relais 402 place un shunt sur l'enroulement primaire de la bobine 400 pour procurer un circuit d'alimentation directe de la lampe   dtappel   du poste appelant et à son armature supérieure il ferme le cir- cuit du ronfleur B à travers les enroulements de la bobine de retardement 404. Le ronfleur B est shunté par le con- densateur 406, celui-ci travaille en conjonction avec la bobine de retardement 404 pour éviter que des variations de potentiel ne soient données par la batterie du bureau privé par suite du fonctionnement du buzzer. 



   Les circuits de la fig. 4 restent dans cet état, le ronfleur fonctionnant, jusqutà ce que l'opérateur de nuit réponde à l'appel et relève la clé K7. 



   Quand la clé K7 est relevée le circuit de ltenroule- ment inférieur du relais   401   est ouvert ce qui provoque la libération de celui-ci et celle du relais auxiliaire 402 

 <Desc/Clms Page number 33> 

 amenant l'arrêt du ronfleur. 



   Après que l'opérateur de nuit a répondu à l'appel il abaisse à nouveau la clef d'alarme K7 pour remettre le circuit d'alarme de nuit en position de travail. 



   La clé d'alarme-K7 étant opérée, le relais-série 403 attire sous l'action du courant parcourant le fil local 412 dans le cas où le circuit d'une lampe de supervision telle que 216 et 217, fig. 2, ou dans le cas où le circuit d'une lampe dtappel ou de supervision 121 ou 119, fig. l, se ferme. 



   Le relais 403 fait fonctionner le ronfleur qui attire l'at- tention du veilleur de nuit. 



   REVENDICATIONS. 



   --------------------------- 1. Un système téléphonique comprenant un bureau principal et un bureau privé dans lequel un abonné du bureau privé en communication avec un abonné du bureau principal après avoir effectué un appel d'information vers un abonné local peut répéter le transfert de son circuit de l'abonné du bureau principal vers l'abonné local et vice-versa au moyen d'une simple opération de commutation effectuée à son poste. 



  2. Un système téléphonique comprenant un bureau principal et un bureau privé dans lequel un signal fonctionne quand l'opé- ratrice du bureau privé répond à un appel entrant du bureau principal et reste opéré jusqu'à ce que la communication ait été établie avec un abonné pour donner à l'opératrice l'indi- cation que l'appel est toujours en instance. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 3. Un système téléphonique comprenant un bureau principal et un bureau privé dans lequel lorsqu'une communication a été établie le fait d'abaisser la clé de conversation associée au circuit de cordon utilisé provoque l'envoi d'une tonalité caractéristique sur la ligne, cette tonalité est entendue de l'opératrice et des deux abonnés. <Desc/Clms Page number 34>
    4. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 1 dans lequel la communication avec le bureau, principal est effectuée par une opératrice au moyen d'un cordon de jonction, la connexion vers le deuxième abonné local étant effectuée au moyen du cordon de jonction utilisé et d'un cordon local.
    5. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 4 dans lequel à chaque cordon de jonction est associé un jack de transfert dans lequel on enfiche un cordon local pour permettre à l'abonné engagé dans une communication avec le bureau principal d'effectuer un appel d'information vers un abonné local.
    6. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 5 dans lequel après qu'une communication a été établie entre un abonné local et un abonné du bureau principal l'opération d'une clé de mise à la terre au poste de l'abonné local fait fonctionner un signal pour attirer l'attention de l'opéra- trice et lui indiquer quel est le jack de transfert particu- lier qui doit être utilisé pour un appel d'information.
    7. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 6 dans lequel la connexion du jack de transfert à la ligne de l'abonné local et l'opération du signal associé sont effectu- ées sous l'action d'un relais différentiel du circuit de ligne par suite de la manipulation de la clé de mise à la terre au poste de l'abonné.
    8. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 2 dans lequel le signal disparait quand l'opératrice relève sa clé de conversation après avoir établi la communication.
    9. Un système téléphonique comme revendiqué en revendication 2 dans lequel si l'opératrice reçoit un appel entrant et qu'elle ne doit pas le passer à un abonné local elle peut faire dis- paraître le signal en opérant momentanément une clé de ser vice de nuit. <Desc/Clms Page number 35>
    10. Un système téléphonique comme revendiqué dans une quel- conque des revendications précédentes dans lequel une clé de séparation est associée à l'équipement d'opérateur, si on abaisse cette clé alors que la clé de conversation d'un cor- don de jonction est opérée. Impératrice peut parler à l'abon- né local connecté à ce cordon tandis que la ligne vers le bureau principal reste bloquée.
    11. Un système téléphonique comme revendiqué dans une quel- conque des revendications précédentes dans lequel si un cor- don local est inséré dans le jack d'un abonné à service res- treint et si la clé de conversation associée à ce cordon et la clé de conversation associée à un cordon de jonction sont abaissées l'abonné en question ne pourra pas se mettre en communication avec le bureau principal par suite du fonction- nement d'un relais qui attire quand la clé de conversation du cordon de jonction est abaissée et déconnecte le circuit de conversation de l'opératrice du circuit de conversation du cordon local.
    12. Un système téléphonique en principe comme décrit et repré- senté aux plans annexés.
BE413033D BE413033A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE413033A true BE413033A (fr)

Family

ID=76649

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE413033D BE413033A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE413033A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
US5596631A (en) Station controller for distributed single line PABX
BE413033A (fr)
BE353077A (fr)
FR2622380A1 (fr) Systeme de distribution de lignes telephoniques pour un poste telephonique simple
BE427161A (fr)
BE425397A (fr)
US2047619A (en) Telephone system
US2170038A (en) Telephone and telegraph exchange system
BE352110A (fr)
BE409193A (fr)
CH106044A (fr) Installation téléphonique pour bureau privé annexe.
BE417475A (fr)
BE412533A (fr)
BE428086A (fr)
BE377986A (fr)
BE376784A (fr)
BE343767A (fr)
BE483916A (fr)
BE420586A (fr)
BE349935A (fr)
BE427079A (fr)
CH126309A (fr) Installation de distribution d&#39;appels pour centrales téléphoniques.
BE484722A (fr)
BE347177A (fr)
BE422189A (fr)