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Système téléphonique semi-automatique.
La présente invention concerne les systèmes téléphoni- ques et plus particulièrement ceux contenant a la fois des bureaux manuelset des bureaux automatiques.
Le but général de l'invention est de fournir de nouvel- les dispositions, en combinaison avec des lignes de jonc- tion allant d'un bureau manuel a un bureau automatique, pour relier les dispositifs d'appel à des lignes de jonc- tion par l'intermédiaire desquelles des commutateurs automa- tiques doivent être actionnés pour compléter les connexions-.
L'invention est particulièrement applicable à des systèmes dans lesquels des fiches et des jacks sont utilisés pour re- lier les dispositifs d'appel à des lignes dejonction.
L'un des buts de la présente invention, est de fournir un circuit de dispositif d'appel dans lequel le circuit d'impulsions est normalement ouvert et ne peut être fermé que si la ligne de jonction à laquelle le circuit de dispo- sitif d'appel est relié est libre, cette disposition étant
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prévue pour éviter des rencontres de connexions avec un tableau multiple.
Un autre but de l'invention est de munir l'opéra- teur d'un signal visuel d'occupation pour lui indiquer quand la ligne de jonction à laquelle son circuit de dis- positif d'appel est relié est occupée.
Suivant une caractéristique de la présente inven- tion, un dispositif d'appel est associé à un circuit de cor @elière spécial dans lequel un conducteur d'essai pour ce circuit de cordelière est normalement relié à un relais d'essai qui est destiné à être déconnecté et remplacé par la connexion d'une source de potentiel de garde si le relais d'essai n' est pas excité par suite delà présence d'un potentiel de garde sur le conducteur d' essai.Sui- vant une autre caractéristique de l'invention, la ligne de jonction par laquelle un appel est établi est normale- ment maintenue ouverte à la fois pour ce qui concerne le circuit d'impulsions et pour ce qui concerne le circuit de conversation,
et le circuit d'impulsions est complé- té lorsque le dispositif d'appel est actionné et se met dans une position hors de normale, ce qui rite la possi- bilité d'une fausse impulsion préliminaire lorsque la fi- che du circuit usuel ou du circuit spécial est enfoncée.
Une autre caractéristique de l'invention concerne l'opération dans laquelle la fiche du circuit de cordeliè- re est destinée, lorsqu'elle est enfoncée dans le jacl: de la ligne de jonction, à être reliée aux conducteurs de la ligne de jonction lorsque le dispositif d1 appel est mis, par ratation, dans une position hors de normale, ainsi que l'opération dans laquelle les conducteurs de la Tient ligne de jonction sont automatiquedéconnectés du dispo-
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sitifd'appel soit lorsque l'opérateur détache le cir- cuit spécial de cordelière, soit lorsque l'abonné appelé répond.
Une autre caractéristique de l'invention se rappor- te au placement du potentiel de garde sur le conducteur d'essai du circuit spécial de cordelière aussi longtemps que la ligne de jonction est en service, e l'enlèvement momentané du potentiel de garde lorsque l'abonné appelé répond, pour permettre la réception d'un signal par l'opérateur.
Une autre caractéristique de l'invention concerne la disposition d'une connexion inductive entre le circuit de dispositif d'appel et le circuit d'abonné pour permettre a un abonné appelant d'entendre les signaux acou sti qu es rencontrés par les commutateurs automatiques pendant l'o- pération d'établissement d'une communication, alors que le dispositif d' appel est associé );, la ligne de jonction.
Une autre caractéristique de l'invention concerne une ligne de jonction à deux voies s'étendant entre un bureau autom ati qu e et un bureau manuel, ligne dans laquel le un circuit simplex d'appel par cadran est normalement ouvert à l'extrémité située du coté du bureau manuel pour permettre à un dispositif fonctionnant sous l'action du courant de sonnerie venant du bureau automatique de fonc- tionner par l'intermédiaire de la ligne de jonction dans un circuit de boude lorsqu'un appel est reçu du bureau automatique, et est destiné à être fermé lorsque l'opéra- teur enfonce la fiche de façon a permettre la manoeuvre du cadran et la surveillance sur celle-ci.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, un circuit de retenue est préparé pour les commutateurs automatiques lorsque le dispositif d'Opel est hors de la position normale*
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Ces caractéristiques et d'autres encore de la présente invention seront plus clairement comprises a la lecture de la description, donnée ci-après, d'un mode de réalisation de l'invention, description qui doit être considérée en même temps que les dessins annexés qui montrent au moyen des schémas usuels de circuits,
ce qu'il faut représenter de l'appareillage pour permettre la compréhension de la description*
Il va de soi toutefois que celle-ci est donnée a ti- tre d'exemple seulement et que les personnes du métier pourront apporter aux détails des circuits différentes mo- difications sans sortir du cadre de l'invention.
Dans les dessins annexés, la fig, 1 montre une ligne de jonction TLl à une seule direction, allant d'un tableau manuel du type multiple vers un bureau automatique dans lequel les commutateurs automatiques sont actionnés par l'intermédiaire d'un circuit de boucle. Le circuit de li- gne de jonction TCl est interposé entre le jack de ligne LJ1 et le jack de cadran DJl et la ligne de jonction, pour effectuer certaines opérations de commutation qui seront expliquées dans la suite* A la gauche dujack de cadran DJl se trouve placée une cordelière de cadran qui se ter- mine par la fiche de cadran p1 et à laquelle sont associés certains relais et le dispositif d'appel (cadran) CDl.
Cet- te cordelière de cadran est placée en un poste d'opérateur, une cordelière similaire étant prévue à chacun des autres postes du tableau multiple. La lampe d'occupation 101 est associée au relais d' o ccup ation 102 de façon à donner à l'opérateur un signal visuel d'occupation dans le cas où l' essai du jack de cadran dans lequel la fiche P1 est in- troduite montre que le jack est occupé.
A la fig. 2, la lign e de jonctionTL2 est représen- tée allant d'un tabler de commutation manuel vers un bu-
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reau automatique dans lequel les commutateurs sont actionnés par l'intermédiaire des deux conducteurs de la ligne de jonc. tion en parallèle et d'un retour par la terre. Le jack de ligne LJ2 et le jack de cadran DJ2 associés à la ligne de jonction TL2 ne sont montés en multiple avec aucun autre poste du tableau. Il en résulte qu'aucune disposition d'es- sai d'occupationn'est nécessaire en combinaison .arec la cor- delière de cadran se terminant à la fiche P2. On a également représenté %a la fige 2 un circuit de cordelière approprié du type a batterie commune pour servir avec les jacks de ligne.
Pour ce qui concerne les commutateurs automatiques ac- tionnés par l'intermédiaire de la ligne de jonction TL1 ces commutateurs peuvent être du type bien connu à deux fils, les commutateurs de connecteurs étant disposés de façon à renverser l'écoulement du courant dans la ligne de jonction lorsque l'abonné appelé répond.
L'invention ayant été décrite d'une manière générale, une description détaillée du fonctionnement des appareils va maintenant être donnée: A cet effet, on supposera que l'opé- rateur du tableau représenté à la fige 1 essaye le manchon dujack de ligne LJl avec la pointe de sa cordelière et trou- ve que la ligne de jonction est libre. L'opérateur introduit alors la fiche de sa cordelière dans le jack LJ1, après Quoi le relais 105 fonctionne par l'intermédiaire du manchon de la fiche et du jack en série, ce qui prépare des circuits pour les relais 106,107 et 109. Il est a remarquer que le pont entre la pointe et l'anneau -au jack LJ1, renfermant l'enroulement supérieur du relais 106, est ouvert aux con- tacts du relais 107.
La lampe de surveillance du circuit de cordelière de l'opérateur peut en conséquence rester allumée par l'intermédiaire du circuit de manchon. L'opérateur place
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alors la fiche Pi de la cordelière de Ktanoeuvre du cadran
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dans le jack de cadran DJl. Comme l'opérateur vient d'es- sayer la ligne de jonction avec la pointe de sa fiche et l'a f trouvée libre, le jack de cadran DJl sera trouvé libre à l'essai et le relais d'occupation 102 ne fonctionne pas,
Aucun fonctionnement de relais ne se produit donc lorsque la fiche P1 est introduite dans le jack de cadran.
L'opérateur fait alors tourner le dispositif d'appel
CD1 en concordance avec le premier chiffre du numéro dési- ré. Dès que le cadran du dispositif d'appel quitte la posi- tion normale, un circuit est fermé, aux contacts hors de nor male de celui-ci, pour 1'enroulement supérieur du relais 103, par l'intermédiaire de l'armature, dans la position normale, du relais 102.
Le relais 105 prépare le circuit d'impulsions à son armature interne et à son armature infé- rieure il déconnecte le conducteur d'essai ( le conducteur d'anneau ) de la fiche P1 du relais d' essai 102 et le met en connexion arec l'enroulement inférieur du relais 103, ce qui place la batterie sur 1' anneau de la fiche et du jack par l'intermédiaire de l'enroulement inférieur du relais 103, Ceci ferme un circuit, par 1' armature supérieure, à l'état normal, du relais 106, pour le relais marginal de transfert 109 par l'intermédiaire de l'armature inférieure du relais 105 et de la terre. Le relais 109 fonctionne dans ce cir- cuit et ferme un circuit de verrouillage pour lui-même à son armature supérieure interne, indépendamment de l'armatu- re supérieure du relais 106.
A ses armatures supérieure et inférieure, le relais 109 met en connexion les conducteurs sortants de pointe et d'anneau respectivement avec la poin- te et le manchon du jack de cadran DJl, la connexion vers le conducteur de manchon renfermant l' enroulement inférieur de la bobine d'induction 108, dans un but qui sera exposé dans la suite. Les conducteurs de ligne de jonction sortants sont donc mis en connexion avec le point préparé dans la cor
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delière de cadran, renfermant les conducteurs de pointe et de manchon de la fiche Pl, l'armature interne du relais 105, les contacts de la clef de libération, le relais polarisé 104 et les ressorts d'impulsion du dispositif d'appel CD1.
Lorsque ce circuit est fermé, le commutateur automatique vers lequel s'étend la ligne de jonction TL1 est préparé pour fonctionner de la manière usuelle. Comme le relais 104 est correctement polarisé, il ne fonctionne pas à ce moment.
Dans le circuit de jonction TC l, par suite du fonction- nement du relais 109 également, tin circuit est fermé a son armature inférieure interne pour les enroulements inférieurs des relais 106 et 107 en parallèle. Le relais 106 fonction- ne à ce moment, mais le relais électro-polarisé 107 ne fonctionne pas. En fonctionnant, le relais 106 ferme à son armature supérieure un circuit de verrouillage pour son en- roulement inférieur par l'intermédiaire des armatures inter- nes du relais 105.
A son armature supérieure interne, le relais 106 ferme un pont renfermant l'enroulement supérieur du relais 107 et l'enroulement supérieur de la bobine d'in- duction 108, entre les conducteurs de conversation décon- nectés à la droite des condensateurs de conversation, de fa- çon à assurer un circuit'de retenue ppur les commutateurs automatiques après que le relais 109 retombe. A son armature supérieure, le relais 106 ouvre le circuit initial du relais 109, ce qui laisse le relais 109 actionné par l'intermédiai- re de son armature interne, et met en connexion le conduc- teur d'essai avec la batterie au moyende la résistance éle- vée 110 de façon à maintenir occupé le conducteur d'essai du jack de cadran DJ1 aussi longtemps que la fiche du cir- cuit de cordelière d'appel se trouve dans le jaclc de ligne LJ1.
Lorsque le dispositif d'appel CD1 retourne dans sa po-
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sition normale, le circuit d* impulsion/est interrompu, aux
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ressorts d'impulsions du dispositif d'appel, un nombre de fei fois dépendant de la position vers l'avant dans laquelle le cadran du dispositif d'appel a été amené. Lorsque la posi- tion normale du dispositif d' appel se trouve atteinte de nouveau, les contacts hors de normale du dispositif d'appel ouvrent le circuit passant par l'enroulement supérieur du relais 105, mais le relais 103 reste actionné par son enrou- lement inférieur, dans un circuit antérieurement tracé pas- sant par le relais 109 du circuit de jonction TCl.
Lorsque l'opérateur fait de nouveau tourner son disposa tif d' appel CD1, les ressorts hors de normale se ferment de nouveau mais sans aucune utilité particulière à ce moment vu que le relais 105 est déjà actionné. Le circuit d'impul- sions est de nouveau ouvert le nombre voulu de fois par les contacts d'impulsions du dispositif d'appel lorsque le ca- dran retourne dans sa position normale.
Après que l'opératiour a formé au cadran le numéro com- plet, les circuits restent dans le même état jusqu'à ce que l'opérateur enlève la fiche P1 du jackDJ1, ou jusqu'à ce que l' abonné appelé réponde. On supposera d'abord la titre d'e- xemple que l'opérateur a reçu un autre appel avant que le premier abonné appelé ait répondu et que l'opérateur a besoin de la cordelière de cadran pour établir une autre communica- tion automatique. pans ce cas l'opérateur retire la fiche Pl du jack DJ1.
Lorsque la fiche est retirée, le pont entre les bornes des conducteurs de la ligne de jonction TLl est ouvert aux contacts de pointe et de manchon, et le circuit initial pour le relais 109 par l'intermédiaire de l'enroule- ment inférieur du relais 103 est' ouvert à l'endroit du con- tact d'anneau de la fiche et du jack. Un circuit pour le re- lais 109 existenalors par 1' armaturesupérieure, à l'état actionné, du relais 106 et 1' armature supérieure interne du relais 109.
Comme le relais 109 est réglé marginalement, il est toutefois incapable de rester actio né en série avec la
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résistance relativement élevée 110 et il retombe rapide- ment en faisant passer les conducteurs de jonction sortants dans le pont local renfermant l'armature supérieure interne du relais 106, l'enroulement supérieur du relais 107 et l'enroulement supérieur de la bobine d'induction 108. Du courant s'écoule alors dans les deux enroulements du relais 107, mais le relais n'est pas. actionné à cause du sens dans lequel ce relais est polarisé.
On supposera maintenant que l'opérateur ne reçoit pas d'autre appel automatique du tout et qu'il laisse par con- séquent la fiche P1 dans le jack de cadran DJ1. Si la ligne appelée est occupée, le courant du signal acoustique d'oc- cupation passe alors dans les conducteurs de la ligne de jonction en venant du connecteur actionné et par la corde- lière de cadran. Ces courants de signal acoustique sont répétés à l' endroit de la bobine d'induction 108 dans le pont de retenue préparé, ce qui a pour résultat que l'abon- né appelant entend le signal d'occupation. Si l'on suppose maintenant que la ligne appelée est libre, le relais pola- risé 104 est actionné lorsque le renversement de courant se produit au moment où l'abonné appelé répond.
En fonction- nant, le relais 104 applique la terre au conducteur d'an- neau de la fiche p1, ce qui met en court-circuit le relais 109 dans le circuit de .fonction TC1. Le relais 109 se décro- che et transfère les conducteurs de jonction sortants dans le pont local renfermant l'enroulement supérieur du relais 107. A son armature supérieure interne, le relais 109 se dé- connecte du conducteur d'anneau du jack de cadran, l'arma- ture, supérieure du relais 106 étant à l'état de fonctionne- ment.
Par suite du fait que les conducteurs de ligne de jonc- tion sortants sont déconnectés du pont renfermant le relais
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polarisé 104 de la cordelière de cadrans/le relais 104 re-
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tombe et enlevé la terre du conducteur d' anneau de la fiche
P1, après quoi le relais 103 retombe et fait passer le con- ducteur d'anneau au relais d' essai 102. Lorsque ceci se pro- duit, le relais 102 fonctionne en série avec la résistance
110 dans le circuit de jonction TCl qui est relié au contact d'anneau dujack du cadran par l'intermédiaire de l'armature supérieure actionnée du relais 106.Lè relais 102 ouvre un point dans le circuit du relais 103 et ferme un circuit pour la lampe d'occupation 101.
Dans le circuit de jonction TCl, le relais électro-pola- risé 107 fonctionne sous l'effet du transfert du circuit de retenue dans le pont t'enfermant son enroulement supérieur vu que le renversement du courant s'est déjà produit. En fonctionnant, le relais 107 ferme un pont entre les conduc- teurs de pointe et d'anneau du jack LJ1, pont renfermant l'enroulement supérieur du relais 106. Lorsque ceci se pro- duit, le relais de surveillance dans le circuit de cordeliè- re à batterie commune fonctionne par l'intermédiaire des con- ducteurs de pointe et d'anneau du jack LJl et éteint la lampe de surveillance dt appel. Les abonnés appelant et appelé peu- vent alors converser de la manière usuelle.
Lorsque la conversation est terminée, les deux abonnés raccrochent leurs récepteurs. Lorsque le récepteur est rac- croché en poste automatique, le connecteur en service ren- verse l'écoulement du courant dans les conducteurs de la li- gne de jonction TLl pour rétablir le sens normal, après quoi le relais électro-polarisé 107 se 'trouvant dans le circuit de jonction TCl retombe et ouvre le pont entre la pointe et l'anneau du jack LJl. Lorsque ceci se produit, le relais de surveillance du circuit de cordelière retombe et permet 11 al- lumage de la lampe de surveillance associée, comme signal de déconnection.
Lorsque l'opérateur enlève la fiche du jack LJl, le
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relais 105 retombe et ouvre le circuit de verrouillage du relais 106 et le circuit de l' enroulement inférieur du re- lais 107. Le relais 106 retombe et ouvre le pont de rete- ' nue a son armature supérieure interne, et il enlevé le po- tentiel de garde des contacts d' anneau du jack de cadran DJl. Les commutateurs automatiques sont libérés par suite de l'ouverture du pont de retenue*
Dans la cordelière de cadran, le relais d'occupation 102 retombe lorsque le potentiel de garde est enlevé du conducteur dtanneau par le relais 106. La lampe 101 s'é- teint alors.
Dans le cas ou l'opérateur reçoit un autre appel à com- pléter au moyen de la ligne de onction TLl avant que cette ligne de jonction soit prise en service par un autre opéra- teur à l'un des multiples du jack de ligne LJ1, l'opérateur peut enfoncer la fiche dans e jack de ligne LJl et commen- cer directement à former au cadran son numéro sans effec- tuer aucun essaid'occupation, vu que l'état non allumé de la lampe 101 lui indique que la ligne de jonction est libre. Il peut arriver toutefois que deux opérateurs enga- gent leurs fiches dans des jackss de ligne en multiple avant que l'un ou l'autre d'entre eux rende occupés les jacks de ligne en faisant tourner son dispositif d' appel pour le mettre hors de normale.
Dans ce cas, lorsque l'opé- rateur qui est le premier à actionner son dispositif d'appel rend occupé le dispositif d'appel en multiple; le relais correspondant au relais 102 est actionné dans la seconde cordelière de cadran, ce qui produit l'allumage de la lam- pe correspondant à la lampe 101 et empêche le fonctionne- ment du relais detransfert correspondant au relais 103.
Pour cette raison, si deux opérateurs commencent à faire tourner leur cadran a peu près au même moment, l'opérateur défavorisé remarque que sa lampe d' occuation correspon-
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dant à la lampe 101 s'allume et il cesserala manoeuvre du cadran pour prendre une autre ligne de jon ction. Il est a remarquer que la boucle n'est pas fermée dans la cor- delière de cadran de l'opérateur défavorisé parce que le relais 103 de sa cordelière est empêché de fonctionner-
On déclrira maintenant la dispositifon représentée à la fige 2. On supposera d'abord à cet effet qu'un appel est reçu par ltintermédiaire de la ligne de jonction TL2 venant du bureau automatique.
Lorsque la connexion est complétée jusqu'à la ligne de jonction TL2 dans le bureau automatique, le courant de sonnerie est envoyé dans les deux conducteurs, ce qui fait fonctionner le relais 206 dont l'enroulement supérieur est placé en pont autour du condensateur entre les deux enroulements de bobine de répé- tition de droite. Le relais 206 ferme un circuit de ver- arouillage pour son enroulement inférieur à son armature interne, et à son armature inférieure, il ferme un circuit pour la lampe 201.
Lorsque l'opérateur remarque l'état d1 allumage de la lampe 201, il introduit une fiche de réponse dans le jack de ligne LJ2. Lorsque la fiche est enfoncée à fond, un circuit est fermé au moyen des contacts de pointe et d' an- neau du jack et par l'intermédiaire des enroulements de bobine répétition de gauche, pour le relais 203, et poulie relais de surveillance de réponse dans le circuit de cordelière, en série. Le relais 205 fonctionne et pla- ce la terre sur la borne inférieure du relais de manchon 202. Le relais 202 fonctionne et ferme un circuit de ver- rouillage pour lui-même indépendamment du relais 203, en ouvrant en même temps le circuit de verrouillage du relais 206 à son armature inférieure. Le relais 206 retombe alors et la lampe 201 s'éteint.
A son armature supérieure, le relais 203 shunte 1' enroulement supérieur du relais 206
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et le condensateur associé aux enroulements de bobine de répétition de droite, et à son armature supérieure inter- ne il place la-terre sur la borne supérieure du relais de surveillance 205, ce qui applique un potentiel de terre, au moyen de contacts internes du relais 204, aux deux con- ducteurs de la ligne de jonction TL 2.
Le relais de réponse du connecteur fonctionne en série avec le relais 205 mais par suite de la résistance élevée du relais de réponse, le relais 205 n'est pas actionné.Le relais de réponse du connecteur provoque l'interruption du courant de sonnerie d'une manière bien connue des per- sonnes du métier*
L'opérateur complète alors la connexion vers l'abonné désiré de la manière usuelle,,
Lorsque 1' abonné appelant automatique raccroche son récepteur la ligne de jonction est remise à l'état normal a l'extrémité située du coté de l'abonné automatiqu e, en suite de quoi la batterie est envoyée dans la faible ré- sistance d'un relais de ligne et dans les deux conducteurs de la ligne de jonction TL2 en parallèle et fait fonction- ner le relais 205.
Lorsque le relais 205 fonctionne, il ouvre le pont entre les contacts de pointe et d' anneau du jack LJ2, après quoi le relais 203 dans le circuit de jonction TC2 et le relais de surveillance de réponse dans le circuit de cordelière retombent. L'opérateur reçoit ain- si un signal de déconnexion et il défait la communication.
Lorsque la communication est défaite, le relais 202 retom- be et ouvre le circuit du relais 205, après quoi ce der- nier revient à l'état normal.
Si l'on suppose alors que l'opérateur reçoit un appel pour une communication à établir au moyen de la li- gne de jonction TL2 il introduit la fiche d'appel d'un circuit de cordelière dans le jack de ligne LJ2, après
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quoi le relais 205 fonctionne comme précédemment et met en connexion le relais de manchon 202. Le relais 202 fonction- ne comme précédemment, ce qui ferme dencircuit de verrouil- lage pour lui-même à son armature intérieure et met en court-circuit le condensateur de droite associé aux enrou- lements de bobine de répétition et l'enroulement supérieur du relais 206 en parallèle, tandis qu'à son armature supé- rieure interne, il met la terre sur la borne supérieure du relais 205.
Comme les conducteurs de la ligne de jonction
TL2 s'étendent normalement jusqu'à la batterie par l'in- termédiaire de la faible résistance d'un relais de ligne au bureau automatique, le relais 205 fonctionne au moyen des deux conducteurs de la ligne de jonction TL2 en paral- lèle et il ouvre le pont entre les conducteurs de pointe et d' anneau du jack de ligne LJ2 de façon à provoquer 1' al- lumage de la lampe de surveillance dans la cordelière d'o- pérateur. La fermeture du circuit par la ligne de jonction renfermant le relais 205 a pour effet de préparer l' appa- reillage du bureau automatique à répondre aux impulsions.
L'opérateur introduit alors la fiche P2 dans le jack de cadran DJ2. Il est à remarquer qu' aucun fonctionnement de relais ne se produit par suite de la simple introduc- tion de la fiche dans le jack, ce qui évite toute possi- bilité d'impulsions préliminaires dues à une introduction de la fiche P2 sans soin ou avec hésitation dans le jack,
Lorsque l'opérateur fait tourner le dispositif d' appel en l'écartant de la normale, un circuit est fermé au moyen de la pointe de la fiche et du jack pour le relais de trane f ert 204. Le relais 204 fonctionne et déconnecte du relais 205 le conducteur simplex de manoeuvre du cadran st le transfère à la terre au moyen du conducteur d'anneau du jack et de la fiche et des ressorts d'impulsions du dispo-
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sitif d'appel C.n3.
Le relais 204 ouvr/ également un pont
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entre les contacts de pointe et d'anneau du jack de li- gne NJ2, de façon à empêcher ce pont d'être fermé lorsque le relais 205 retombe par suite du fait qu'il est déconnec- té par le relais 204.
Les impulsions sont transmises par les ressorts d'im- pulsions du dispositif d'appel CD2 lorsque le cadran de celui-ci retourne dans -la position normale. Lorsque la po- sition normale est atteinte, le relais 204 retombe et le relais 205, étant remis en connexion, fonctionne de nou- veau.
Apres avoir formé au cadran le numéro complet, l'opéra- teur peut laisser la fiche P2 dans le jack DJ2 ou bien l'en. lever comme il le juge convenable.
Lorsque l'abonné appelé répond, une résistance est pla- cée entre la batterie amenée par un relais de ligne et la ligne de jonction, de sorte que le courant qui s'écoule par les conducteurs de la ligne de jonction TL2 en parallèle est réduit, ce qui produit la libération du relais 205. Le relais marginal de surveillance 205 retombe alors et com- plète le pont entre les conducteurs de pointe et d' anneau du jack LJ2, après quoi le relais de surveillance à 1' ex- trémité d'appel du circuit de cordelière répond et éteint la lampe de surveillance conjuguée pour donner une surveil- lance de réponse. Les deux abonnés peuvent Dors converser.
Lorsque l'abonné appelé replace son récepteur à la fin de la conversation, le passage du courant dans les conduc- teurs de la ligne de jonction TL2 est ramené à sa valeur normale, en suite de quoi le relais 205 fonctionne de nouveau, ce qui a pour effet le riellumage de la lampe de surveillance du circuit de cordelière de l'opérateur, comme signal de déconnexion. Lorsque l'opérateur défait la com- munication à la réception du signal de déconnexion mention- né ci-dessus, les relais 202 et 203 retombent et le relais
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202 déconnecte la terre de la borne supérieure du relais 205, après quoi le relais 205 retombe également et les com- moteurs du bureau automatique se libèrent par suite de la cessation du passage du courant par les conducteurs de la ligne de jonction TL2.
Revendications.
1/ Un système téléphonique semi-automatique comportant des connexions établies par un dispositif d'appel associés à un circuit spécial de cordelière, dans lequel un conducteur d'essai pour ce circuit de cordelière est normalement relié a un relais d' essai qui est destiné à être déconnecté et remplacé par la connexion d'une source de potentiel de gar- de dans ce conducteur si le relais d' essai n'est pas excité par suite de la présence d'un potentiel de garde sur le con- ducteur d' essai.
2/ Un système téléphonique semi-automatique comportant des connexions établies par un dispositif d'appel associé a un circuit spécial de cordelière, dans lequel la ligne de jonc- tion au moyen de laquelle un appel est établi estnonnalement maintenue ouverte, à la fois pour ce qui concerne le circuit d'impulsions et pour ce qui concerne le circuit de conversa- tion,et dans lequel un circuit d'impulsions est complété lorsque le dispositif d'appel est amené dans une position hors de normale, ce qui évite la possibilité d'une fausse impulsion préliminaire lorsque la fiche du circuit usuel ou du circuit spécial de cordelière est enfoncée.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.