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Perfectionnements aux systèmes téléphoniques.
La présente invention est relative à des systèmes téléphoniques et plus particulièrement à des systèmes tels que le type automatique pas à pas comprenant des appareils à fonctionnement automatique permettant de relever les appels entrants de chaque poste d'abonné désiré et déterminé d'avance.
Des systèmes du type indiqué comprennent généralement des chaînes de commutateurs dans lesquelles se trouvent des sélecteurs et des connecteurs'du type pas à pas pour l'établis- sement et la suppression des connexions entre deux postes du système. Dans de tels systèmes aussi bien que dans d'autres systèmes similaires, la nécessité de moyens permettant de
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venir en aide à un opérateur dans le relevé des appels entrants de postes particuliers est depuis longtemps reconnue. Cette nécessité se présente dans le cas où on a des ennuis répétés avec certains postes, pour les services de police et pour rendre d'autres services généralement demandés pour les ser- vices publics. On a recouru à diverses solutions dans le passé pour remplir ce genre de service.
Ces solutions cependant laissent à désirer en ce qui concerne la simplicité de l'ap- pareillage qu'elles comportent et aussi en ce qui concerne la fidélité de fonctionnement.
C'est un des buts de la présente invention par con- séquent de fournir un type de circuit perfectionné et extrême- ment simple, applicable en pratique à l'un quelconque des divers types de système automatique pas à pas, pour aider l'opérateur à relever les appels de n'importe quel poste dans le système.
Plus particulièrement c'est un but de l'invention de fournir un type de circuit ayant les caractéristiques indi- quées ci-dessus qui utilise à son maximum l'équipement de commutation normalement prévu pour le service téléphonique ordinaire.
L'invention décrite en détail ci-après est représentée comme étant une partie d'un système automatique utilisant une chaîne de commutateurs du type paq à pas où les lignes, les sélecteurs et les connecteurs actionnés dans l'ordre in- diqué sont prévus pour établir la connexion entre une première ligne appelante et une seconde ligne appelée. üne telle connexion peut être considérée comme comprenant un circuit de conversation entre deux postes le circuit étant établi quand on répond à l'appel au second poste ou poste appelé.
En général les buts indiqués ci-dessus sont réalisés dans la présente invention en prévoyant des dispositifs fonction-
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nant automatiquement dès que la ligne associée au poste et mise en dérivation est saisie par le connecteur, qui est maintenu en fonctionnement aussi longtemps que le circuit de conversation n'est pas coupé par l'appelé, de manière à éviter que la connexion établie ne soit relâchée sous l'action d'une manoeuvre quelconque que pourrait faire le poste appelant au moyen de son poste et plus particulière- ment par l'interruption du circuit de conversation par ce poste.
Plus spécifiquement ces dispositifs comprennent plusieurs relais en relation entre eux et associés à la ligne aboutissant au poste.mis en observation, ces relais fonctionnant quand une connexion est établie avec cette ligne pour empêcher le sélecteur donnant accès au connecteur utilisé de relâcher quand le poste appelant coupe le circuit de conversation en raccrochant son récepteur. En maintenant ce sélecteur dans sa position de travail après que l'appe- lant a raccroché, il est possible pour l'appelé d'informer un opérateur du bureau central qu'un, appel doit être relevé de telle sorte que l'opérateur puisse en observant la position du sélecteur précité et du connecteur de ligne qui l'a com- mandé, déterminer la ligne appelante.
Des organes complémen- taires comprenant certains des relais du connecteur utilisé sont prévus et actionnés dans le cas où le circuit de conver- sation n'est pas établi avec le poste mis en observation, de manière à provoquer le retour au repos des organes indiqués ci-dessus afin que les connexions soient libérées de la manière habituelle quand le poste appelant raccroche.
Comme il est indiqué en détail ci-dessous les relais précités sont sous le contrôle du poste qui a été appelé par le poste mis en observation et fonctionnent pour maintenir un potentiel déterminé, par exemple celui de la terre, sur le fil de com- mande du sélecteur, maintenu dans sa position de travail
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après que ltappelant a raccroché, dtoù il s'ensuit que la partie des organes commutateurs précédant le connecteur uti- lisé sont maintenus dans leur position de travail. Les élé- ments des organes mentionnés ci-dessus sont combinés d'une manière extrêmement simple de telle sorte que les organes de commande normalement prévus dans les divers commutateurs sont utilisés au maximum pour assurer avec fidélité ce genre de service.
Les nouvelles caractéristiques que nous croyons spé- cifiques à l'invention sont mises en relief avec leur parti- cularités dans les revendications en appendice. L'invention elle-même cependant aussi bien quand à ce qui la compose et à sa méthode de fonctionnement ainsi qu'en ce qui concerne ses autres buts et avantages sera mieux comprise en se ré- férant à la présente spécification correspondant au plan ci-joint dans lequel l'unique figure représente d'une manière schématique un système téléphonique du type mentionné com- portant des organes construits et combinés suivant la présente invention pour aider un opérateur à relever les appels d'un ou de postes quelconques parmi les postes faisant partie du système.
Nous référant maintenant au plan, on y voit représenté pour les nécessités de la description de l'invention un système de téléphonie automatique du type habituel comprenant des commutateurs pas à pas commandés par des impulsions pour établir et supprimer les connexions entre deux lignes télé- phoniques. En général le système comprend plusieurs postes téléphoniques d'abonnés, dont trois sont figurés en A, B et C, pouvant être interconnectés par des organes ayant respectivement comme lignes d'abonnés associées, les lignes 10, 11 et 12 et la chaîne des commutateurs dont celui pas à pas indiqué plus haut.
Cette chaîne de commutateurs quand
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elle est établie peut comporter le connecteur de ligne habituel associé à chaque ligne d'abonné, un sélecteur relié au connecteur correspondant à la ligne appelante et un con- necteur relié au sélecteur et ayant des bancs aux plots des- quels se terminent les lignes des abonnés appelés. Aussi dans le système représenté les lignes 10, 11 et 12 se ter- minent respectivement aux connecteurs de ligne 13, 14 et 15, ceux-ci donnant accès à un groupe de sélecteurs dont l'un est représenté en 16.
Ces derniers à leur tour donnent accès à des groupes de connecteurs, chaque connecteur de chaque groupe ayant les plots de ses bancs multiplés avec les plots des bancs des autres connecteurs du même groupe et connectés pour desservir un groupe correspondant de lignes d'abonné du système. Aussi le sélecteur 16 donne accès aux connecteurs dont l'un est indiqué en 17 et aux plots des bancs duquel se termine la ligne d'abonné 12.. Il est bien connu que par cette disposition chaque abonné peut par la manoeuvre du dispositif émetteur d'impulsions de son poste établir une connexion entre sa ligne et toute autre ligne d'abonné du système.
Chacun des connecteurs de ligne du système, par exemple les connecteurs de 13 à 15 inclusivement, peuvent être d'une construction quelconque adéquate qui se trouve. dans le commerce, quoique de préférence du type bien connu à mouvement de rotation ayant trois niveaux de contacts de banc, des balais correspondant à ces trois niveaux, un mé- canisme à cliquet et roue à rochet pour l'avancement des balais, un électro-aimant pour actionner le mécanisme pré- cédent et des organes de commande par lesquels l'électro- aimant est excité quand un appel est émis sur la ligne as- sociée à ce connecteur de ligne et désexcité dès que les balais trouvent une position sur les plots du banc corres-
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pondant au premier sélecteur libre et disponible.
De même chacun des sélecteurs du système peut être d'une construction adéquate quelconque quoique de préférence du type Strowger bien connu comprenant: des contacts de banc disposé en niveau, chaque niveau correspondant à un groupe particulier de con- necteurs, des balais pour se connecter à ses contacts, des mécanismes à cliquet et roue à rochet pour effectuer les mouvements d'ascension et de rotation des balais, des électro- aimants d'ascension et de rotation pour actionner les inéca- nismes respectifs à cliquet et roue à rochet, des organes de commande par lesquels dès qu'un sélecteur est saisi en premier lieu, il est automatiquement conditionné pour répondre au premier chiffre émis par l'appelant,
l'envoi du premier chiffre provoquant l'ascension pas à pas des balais par l'électro d'ascension jusqu'à ce qu'ils viennent se placer en face du niveau du banc correspondant au nombre d'impulsions du chiffre émis, puis qu'ils tournent automatiquement par l'action de l'électro-aimant de rotation et le mécanisme associé jusqu'à venir en contact avec les plots correspon- dant du premier connecteur libre du groupe des connecteurs auxquels les lignes des abonnés appelés aboutissent.
Les divers connecteurs comme les sélecteurs sont de préférence du type Strowger et peuvent être identiques à ceux représentés en 17. Bref le commutateur 17 comprend deux bancs de contacts disposés en niveau, les groupes de contacts individuels reliés aux diverses lignes d'abonné étant multiplés avec le groupe des contacts correspondant des autres connecteurs semblables faisant partie du même groupe, Ainsi le commutateur 17 à un contact 45 dans le banc des contacts de contrôle qui est relié au fil de con- trôle 19 de C, aboutissant au connecteur de ligne 15 as- socié à la ligne d'abonné 12. Les contacts 43 et 44 corres- pondant aux conducteurs de ligne 20 et-21 de la ligne 12
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sont compris dans le banc des contacts de ligne.
Le connecteur 17 comprend également des balais 40,41 et 42 pour établir le contact avec les contacts des deux bancs comme par exemple les contacts 43, 44 et 45, un mécanisme à cliquet et roue à rochet, non 'représentés, pour déplacer les balais verticale- ment jusqu'à les amener à la hauteur du niveau désiré ;
und'ascension électro-aimant/125 pour actionner ce mécanisme de cliquet et roue à rochet, un second mécanisme à cliquet et roue à rochet, non représenté, pour agir sur ces balais et les faire venir en contact avec les plots individuels 'correspon- de rotation dant à la ligne appelée, un électro-aimant/126 pour actionner ce second mécanisme, un électro-aimant de libération 169 pour libérer les mécanismes et pour permettre aux balais 40,41 e 42 de retourner à leur position de repos et des organes de commande comprenant plusieurs relais 100, 110, 120, 130, 140, 150, 160 et 170, reliés entre eux, leur circuit de com- mande et de recherche,
leurs contacts de tête 147 et 148 pour contrôler le fonctionnement des électro-aimants d'ascension et de rotation et pour exécuter les diverses autres fonctions normalement requises par ce type de commutateur. Plus spé- cifiquement les organes cités en dernier lieu comprennent les relais 100 et 110 attirant dans l'ordre indiqué pour réaliser les conditions de fonctionnement de l'électro-aimant d'ascension 125,; le relais 120 et les contacts de tête 147 pour empêcher les impulsions du second chiffre émis par l'appelant d'être transmis à l'électro-aimant d'ascension 125 ;
le relais de ligne 100 pour couper le circuit de l'élec- tro-aimant d'ascension 125 à la suite de l'envoi des impulsions du second chiffre, les relais 110 et 120 pour préparer le fonctionnement, à la fin de l'envoi du second chiffre, de l'électro-aimant de rotation 126 de manière à ce qu'il réponde aux impulsions du troisième chiffre émis par l'appelant; le
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relais 100 pour couper le circuit de l'électro-aimant de rotation 126 à la suite de l'envoi des impulsions du troisième chiffre, le relais 140 pour établir une partie des connexions vers la ligne appelée, pour lui appliquer le courant de son- nerie et pour appliquer au cas où cette ligne appelée est libre un retour de courant d'appel vers le côté appelant du circuit de conversation en préparation ;
relais 150 pour appliquer le ton d'occupation à ce circuit dans le cas où la ligne appelée est occupée et pour empêcher l'appelant d'être connecté à l'appelé dans ces conditions ; relais 160 pour établir la connexion entre les lignes appelante- et ap- pelée et pour interrompre le courant d'appel du côté appelé et le retour de courant d'appel du côté appelant; et le relais 170 pour intervertir les poles de la batterie vers le circuit côté appelant quand l'appelé répond.
Comme il est indiqué en détail ci-après le relais 110 lorsqu'il est attiré, c'est le cas d'une de ses deux positions, ferme ses contacts à sa palette d'armature 111 pour appliquer un potentiel déterminé, celui de la terre par exemple', au fil de contrôle 22 aboutissant au sélecteur 18 afin de main- tenir ce sélecteur dans sa position de travail dès que la connexion est établie par l'intermédiaire des commutateurs 17 et 18 entre les deux lignes d'abonnés. Ce relais peut aussi être dans son autre position pour supprimer aux contacts indiqués le potentiel de terre de ce même conducteur de contrôle et ainsi faire relâcher sous certaines conditions le sélecteur 16 quand le circuit de conversation est coupé par le poste appelant.
Négligeant pour l'instant les détails du connecteur 17 et les organes y associés pour aider l'opérateur à faire le relevé de l'appel d'un ou de plusieurs postes déterminés d'avance, le système comme décrit ci-dessus est tout à,fait
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habituel quant à sa forme et son fonctionnement est bien connu des gens du métier. Bref quand un abonné tel que par exemple l'abonné A commence à émettre un appel sur la ligne 10 vers un second abonné tel que par exemple C en décrochant, le connecteur de ligne 13 associé à la ligne appelante se met en marche pour choisir un sélecteur libre et pour le préparer à recevoir les impulsions transmises par le disposi- tifémetteur d'impulsions du poste A.
Comme il est indiqué plus haut chaque sélecteur donne accès à un ou plusieurs con- necteurs auxquels les lignes d'abonnés du système aboutissent.
Ainsi si le sélecteur 16 par exemple est saisi par le connec- teur 13 il se met en marche sous l'action de l'envoi du premier chiffre parle poste appelant A pour déplacer ses balais verticalement jusqu'à un niveau de contacts corres- pondant au groupe des connecteurs auxquels aboutit la ligne appelée 12, puis ses balais tournent automatiquement jùsqu'à se mettre en contact avec les plots correspondants du premier connecteur libre de ce groupe par exemple le connecteur 17.
Ensuite et sous l'action de l'envoi du second chiffre, le connecteur par l'intermédiaire;du fonctionnement de sori é- lectro-aimant d'ascension et du'mécanisme à cliquet et roue à rochet y associé, fait déplacer ses balais verticalement jusqu'à ce qu'ils soient en face des niveaux respectifs des contacts des bancs auxquels sont reliés les conducteurs 19 à 21 inclusivement de la ligne appelée. 'Avec la chaîne des commutateurs dans ces conditions et quand le dernier ou troisième chiffre est émis, l'électro-aimant de rotation du connecteur en coopération avec son mécanisme associé à cliquet et roue à rochet fait avancer les balais 40 à 42 inclusivement pour qu'ils s'engagent avec les contacts 43 à 45 inclusivement correspondant à la ligne appelée 12.
Le système renferme habituellement des organes par
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lesquels le courant d'appel et le retour du courant d'appel sont automatiquement transmis respectivement aux postes ap- pelé et appelant au cas où la ligne appelée est libre et dès que les balais du connecteur arrivent en contact avec les plots du banc auxquels aboutit la ligne appelée. Suivant la pratique habituelle des organes sont égalemant prévus par lesquels, en cas de ligne appelée occupée, la ligne ap- pelante n'est pas connectée et le ton d'occupation est trans- mis en retour vers la partie du circuit établi du côté appelant pour indiquer que la ligne appelée est occupée.
Dans le cas où la ligne appelée est libre et que l'appelé répond, les poles de la batterie sont intervertis pour la partie du circuit côté appelant lorsque l'appelé décroche son récepteur pour boucler ses conducteurs de ligne.
Avec le système, dans ces conditions un circuit de conversa- tion est établi entre l'appelant et l'appelé jusqu'à ce que la communication se termine par le raccrochage d'un des deux interlocuteurs.
La disposition est telle que lorsque l'appelant coupe le premier le circuit de conversation en raccrochant, la chaîne des commutateurs aboutissant au connecteur 17 et comprenant le sélecteur 16 et le connecteur de ligne 13 est normalement libérée. Le connecteur cependant reste dans sa position de travail jusqu'à ce que l'appelé raccroche pour supprimer la boucle de ses conducteurs de ligne. Dans le cas où c'est l'appelé qui coupe le premier, le circuit de conversation, la chaîne entière des commutateurs est maintenue dans sa position de travail jusqu'à ce que l'appelant raccroche.
Plus particulièrement le fonctionnement du connecteur 17 dans la suite des opérations décrites ci-dessous a débuté lorsque le sélecteur 16 saisit le connecteur à la suite de
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l'envoi du premier chiffre par l'appelant en pontant les conducteurs de ligne 30 et 31 afin de fermer le circuit d'excitation du relais 100. Ce circuit place une terre sur: l'enroulement inférieur du relais indiqué, la palette d'ar- mature 174.et son contact associé 174' du relais 170, le conducteur 29, le conducteur de ligne 31, le pontage entre les conducteurs 30 et 31, les conducteurs 30 et 28, la palette d'armature 173 et son contact associé 173', l'enroulement supérieur du relais 100 et le négatif de la batterie.
Quand il est excité par ce circuit le relais 100 attire pour fermer par sa palette d'armature 101 et son contact associé 103 un circuit d'excitation du relais de blocage 110 à retard au relâchement. Ce dernier relais à son tour attire pour con- necter par sa palette d'armature 111 une terre sur le con- ducteur de contrôle 22, pour préparer par sa palette d'arma- ture 112 les circuits de blocage des relais 140 et 160 et pour préparer par sa palette d'armature 113 et son contact associé 114 un circuit pour relier l'électro-aimant d'ascension 125 en série avec le. relais 120. Avec le relais de blocage 110 dans sa position de travail la terre appliqué au con- ducteur de contrôle 22 par sa palette d'armature lll, bloque la chaîne des commutateurs comprenant le sélecteur 16 pré-. cédant le connecteur dans sa position de travail.
Avec .les organes de contrôle du connecteur 17 dans ces conditions, l'électro-aimant d'ascension 125 est préparé pour recevoir les impulsions transmises par l'émetteur d'impulsions du poste appelant A.
Au début de la première impulsion du second chiffre le pontage entre les conducteurs de ligne 50 et 31 est'in- terrompu afin d'ouvrir le circuit du relais de ligne 100 indiqué ci-dessus pour permettre à ce relais de revenir au repos et de fermer par sa palette d'armature 101 le circuit,
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indiqué précédemment pour exciter le relais 120 et l'électro- aimant d'ascension 125 en série.
Ce dernier circuit donne une terre par la palette d'armature 101 et son contact associé 102, la palette d'ar- mature 113 au travail et son contact associé 114, les con- tacts 126 et 127, les contacts de tête 147, l'enroulement du relais 120, l'enroulement de 1'électro-aimant 125 vers le négatif. Quand le relais 120 à retard au relâchement attire, il prépare par sa palette d'armature 121 et par son contact associé 122 un multiple éviden de son propre circuit de d'excitation et/celui de l'électro-aimant d'ascension 125.
Au début de la première impulsion quand le relais' de ligne 100 retombe pour fermer le circuit de fonctionnement de l'électro- aimant d'ascension 125 le mécanisme à cliquet et roue à rochet associé à l'électro-aimant d'ascension déplace les balais 40, 41 et 42 d'un cran dans le sens vertical. e premier pas du commutateur provoque aussi le fonctionnement des contacts de tête 147 et 148 de telle sorte que les contacts 126 et 127 s'ouvrent, les contacts 124 et 128 se ferment et les contacts 129 et 149 se ferment. La fermeture de ces derniers contacts prépare un circuit évident pour l'excitation de l'électro- aimant de libération 169 et la fermeture des contacts de tête 124 et 128 ferme le circuit multiple précédemment préparé pour exciter le relais 120 et l'électro-aimant d'ascension 125.
La fermeture de ce dernier circuit multiple indiqué permet à l'électro-aimant d'ascension d'être alternativement excité et désexcité suivant l'attraction et le relâchement du relais de ligne 100 correspondant aux impulsions successives des chiffres émis. Ainsi les balais 40 à 42 inclusivement se déplacent verticalement jusqu'à se trouver en face d'un niveau auquel est reliée la ligne appelée et correspondant aux im- pulsions du chiffre émis.
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A la fin de l'émission du second chiffre, le circuit d'excitation du relais de ligne 100 est fermé de sorte que le circuit 'indiqué précédemment pour le relais 120 et l'é- lectro-aimant d'ascension 125 est coupé par la palette d'ar- mature 101. Par conséquent le relais 120 revient au repos après un certain intervalle ouvrant par sa palette d'arma- ture 121 et son contact associé 122 son circuit multiple in- diqué précédemment et préparant par la même palette d'arma- ture et son contact associé 123 un circuit se prolongeant par le conducteur 37, la palette d'armature 154 et la palette d'armature 145 pour exciter l'électro-aimant de rotation 126 et le relais 130 à retard au relâchement branché en paral- lèle.
Au début de la première impulsion du second chiffre le relais de ligne 100 revient au repos pour fermer par sa ¯ palette d'armature 101 le circuit préparé pour l'excitation de l'électro-aimant de rotation 126 et du relais 130. A la suite de cette excitation le relais 130 attire et coupe par sa palette d'armature 131 et son contact associé 132 le circuit d'excitation de l'enroulement inférieur du relais 140 en un point et connecte par cette même palette d'armature le balai 42 de direction ou de contrôle à la borne supérieure de l'enroulement du relais 150 par un trajet passant par les palettes d'armature 131 et 133, la palette d'armature
142 et le conducteur 35. Par cette palette d'armature 135 le relais 130 place un shunt sur la palette d'armature 154 du relais 150.
Pendant l'émission des impulsions succes- sives du second chiffre, le circuit du relais 130 et de l'électro-aimant de rotation 126 est alternativement ouvert et fermé par la palette d'armature 101 du relais de ligne
100 en suivant les impulsions de ce chiffre d'où il s'ensuit que l'électro-aimant de rotation actionne son mécanisme associé de cliquet et roue à rochet pour que les balais de
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40 à 42 inclusivement viennent prendre contact avec les plots de 43 à 45 inclusivement sur le banc ; auxquels sont reliés les conducteurs de ligne de la ligne appelée 12.
Pendant ces impulsions le relais 130 dû. à son retard au re- lâchement reste attiré et par sa palette d'armature 135 main- tient un shunt sur la palette d'armature 154 du relais 150 de sorte que le circuit de l'électro-aimant de rotation ne soit pas ouvert par la palette d'armature indiquée en dernier lieu quand le balai de contrôle 42 passe sur les contacts correspondant de lignes occupées pour faire attirer le relais 150. Au cours de l'opération d'avancement pas à pas et chaque fois que le balai de contrôle 42 passe sur le plot correspon- dant à une ligne occupée le relais 150 attire mais sans aucun effet à ce moment. A la fin de la série des impulsions du troisième chiffre le relais 100 reste dans sa position d'at- traction de sorte que le circuit d'excitation du relais 130 et de l'électro-aimant de rotation 126 est coupé.
Comme con- séquence et en suppos,ant que la ligne appelée 12 soit libre, le relais 130 relâche après un certain intervalle pour pré- parer à nouveau par sa palette d'armature 131 et son contact associé 132 un circuit d'excitation de l'enroulement inférieur du relais 140.
Si la ligne appelée est libre, lorsque le relais 130 relâche un circuit se ferme pour exciter partiellement le relais 140, ce, circuit se fermant par le négatif au relais de coupure du connecteur de ligne associé à la ligne appelée 12, le conducteur'de contrôle 19, le plot 45, le balai 42, la palette d'armature 131 et son contact associé 132, le conducteur 38, l'enroulement inférieur du relais 140, le conducteur 39, le contact 152 et la palette d'armature 151 du relais 150 et par la jonction libérée ou conducteur 22 de contrôle à la terre à la palette d'armature 111.
Le relais
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140 attirant-partiellement à la suite de cette excitation partielle.pour fermer par sa palette d'armature 144 son circuit de blocage précédemment préparé et relié par le conducteur 25 à la terre de la palette d'armature 112 pro- voquera son attraction complète.
Quand cela se passe la connexion à la ligne appelée est partiellement établie par les palettes d'armature 141 à 146, une terre directe étant connectée au conducteur de contrôle 19 par la palette d'ar- mature 147, une terre est également connectée au conducteur 23 de mise en marche du circuit de courant de sonnerie par la palette d'armature 143, le circuit d'excitation du relais 150 étant coupé par la palette d'armature 142 et le circuit d'excitation de l'électro-aimant de rotation 12.6 est coupé par la palette d'armature 145.
' Quand le circuit du courant de sonnerie est en marche, le courant de sonnerie est transmis à la sonnerie du poste appelé par un circuit allant du générateur de courant de sonnerie G par le conducteur 46, les palettes d'armature 168 et 146, le balai 40 et son contact associé 43, le conducteur de ligne 21, la boucle constituée par la sonnerie et son con- densateur au poste appelé, le conducteur 20, le plot 44 et son balai associé 41, les palettes d'armature 141 à 161, le conducteur 34, l'enroulement inférieur du relais 160 et'la batterie vers la terre. A cause de la nature alternative de ce courant de sonnerie une tension de la même fréquence est induite dans l'enroulement supérieur du relais 160.
Cette tension est appliquée entre les bornes du récepteur du poste appelant par un trajet qui comprend le conducteur 66, l'en- roulement inférieur du relais 170 et le conducteur de ligne 30. A cause du retard au fonctionnement du relais 160, ce n' relais/attire pas pendant le temps d'envoi du courant de sonnerie. De cette manière le poste appelé est alerté et
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le poste appelant est averti que la ligne appelée est libre.
Quand le poste appelé C répond en décrochant son récep- teur de son crochet commutateur,un circuit à courant continu se ferme pour exciter le relais 160 par son enroulement infé- rieur ce circuit allant de la terre par le conducteur 46, les palettes d'armature 168 et 146, le balai 40, le plot 43, le conducteur 21, la boucle du poste appelé, le conducteur de ligne 20, le plot 44, le balai 41, les deux palettes d'arma- ture 141 et 161 et l'enroulement inférieur du relais 160 à la batterie.
Le relais 160 attire alors pour fermer son circuit de blocage évident par sa palette d'armature 167 afin d'éta- blir le circuit de conversation entre le poste appelant et le poste appelé par ses palettes d'armature 161 et 168, de couper son circuit d'excitation initial par sa palette d'armature 161 et son contact associé 162, de couper par sa palette d'armatu- re 165 et son contact associé 164 le circuit de l'interrupteur du courant de sonnerie R1, de couper par sa palette d'armature
168 et son contact inférieur associé le circuit précédemment indiqué du courant de sonnerie et appliquant ainsi d'une façon discontinue le courant de sonnerie at la tonalité de retour de sonnerie aux circuits aboutissant aux postes appelant et appe- lé respectivement;
et pour fermer par sa palette d'armature 165 et son contact associé 166 un circuit pour faire éclairer la lampe de supervision No. 1 (Ll). Quand le circuit de bl'ocage du relais 160 est fermé, un circuit est également fermé pour exciter le relais inverseur de batterie 170, ce circuit allant de la terre à la palette d'armature 112 par le conducteur 25, la palette d'armature 167 le conducteur 66, l'enroulement in- férieur du relais 170, les palettes d'armature 168 et 146, le conducteur de ligne 21, la boucle du poste appelé, le con- ducteur de la ligne 20, les palettes d'armature 141 et 161,
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le conducteur 26, l'enroulement supérieur du relais 170 vers la batterie.
Quand le relais 170 attire, il coupe par sa palette d'armature 171 le circuit précédemment établi pour faire fonctionner la lampe de supervision No. 1 (Ll), il coupe par sa palette d'armature 176 le circuit précédem- ment préparé pour l'électro de libération 169, il prépare par cette même palette d'armature un circuit pour faire fonc- tionner la lampe de supervision n 2 (Le) et par ses palettes d'armature 172 et 175 et leurs contacts associés respectifs 173 et 174, il intervertit les poles de la batterie vers le circuit du côté appelant dans le but de faire fonctionner le dispositif pour collecter la monnaie où un compteur si un service semblable est demandé.
Lefonctionnement de la palet- te d'armature 171 établit aussi un circuit de blocage multi- ple pour les relais 140, 160 et 170, ce circuit allant de la terre à la palette d'armature 143 par le conducteur 36, la palette d'armature 165, le conducteur 24 et la palette d'ar- mature 171 vers le conducteur 25 où le circuit se divise en trois branches une pour,chacun des enroulements des trois re- lais énumérés.
Avant de décrire la libération du circuit de communica- tion établi comme indiqué ci-dessus, on supposera d'abord qu'au lieu d'être libre le poste 'appelé C est occupé au moment où les balais 40 à 42 inclusivement s'engagent sur,les plots 43 à 45 inclusivement, correspondant au conducteur de la li- gne appelée. A ce moment, une terre est placée sur le conduc- teur de libération 19 de sorte que le balai 42 en s'engageant sur le plot 45 ferme un circuit évident pour exciter le relais 150.
Ce relais attire pour préparer par sa palette d'armature 151 son circuit de blocage, circuit qui se ferme lorsque le relais 130 revient au repos un certain temps après la fin de l'envoi des impulsions du troisième chiffre. ce circuit va de
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la terre à la palette d'armature 111, par le conducteur de contrôle 22, la palette d'armature 151 et son contact associé 153, le contact 134 et sa palette d'armature as- sociée 133, la palette d'armature 142, le conducteur 35 et l'enroulement du relais 150 vers le négatif.
Lorsqu'il attire, le relais 150 ouvre par sa palette d'armature 154 le circuit initial d'excitation du relais 130 et de l'élec- tro-aimant de rotation 126, et pai sa palette d'armature 155 appliqua une tonalité d'occupation au coiiaucteur de li- gne inférieur 31 pour avertir l'abonné appelant A que l'a- bonné appelé C est occupé.
Continuons maintenant par les opérations du connecteur lors de la libéiation du circuit de communication établi lorsque la conversation est terminée et que le poste appelant A raccrochant son récepteur à son crochet commutateur, la boucle des coducteurs 30 et 31 maintenant le relais de li- gne 100 attiré est supprimée. Il s'en suit que le relais 100 relâche ouvrant par sa palette l'armature lui et son contact associé lu3 le circuit d'attraction, du relais 110 qui après un certain temps relâche également.
Quand le relais 110 re- lâche, il coupe par sa palette d'armature 112 le circuit initial qui maintenait attiré les relais 160 et 140, il pré- pare par sa palette d'armature 113 et son contact associé 115 un circuit d'excitation de l'électro de libération 169 et par sa palette u'armature 111 supprime la terre sur le con- ducteur de contrôle 22.
Le relais 100, en relâchant avant que le relais 110 ne soit relâché, ferme par sa palette d'armature 101 et son contact associé 102 le circuit indi- qué précédemment pour l'excitation du relais 130. Quand le relais 130 attire, il supprime par sa palette d'armature 131 la terre multiple donnée par le conducteur de contrôle 22, cette terre se prolongeant par la palette d'armature 147, la palet'ce d'armature 131 et son contact associé 132, le
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conducteur 38, l'enroulement inférieur du relais 140, le conducteur 39 et la palette d'armature 151. En supprimant cette terre donnée par le conducteur 22, la libération de la chaîne des commutateurs précédant le connecteur 17 est placée sous le contrôle du relais 110.
Ainsi quand le relais 110 relâche à la suite de l'attraction du relais à retard au relâchement 130, il supprime complètement pendant un certain temps par sa palette d'armature 111 la terre provenant du conducteur 22 et permet par conséquent au sélecteur 16 et au commutateur de ligne 13 de relâcher dans l'ordre indiqué et de la manière bien connue des gens du métier.
Quand le relais 110 relâche peu après le relâchement du relais 100, il n'agit pas seulement sur la libération de la chaîne des commutateurs précédant le connecteur 17, mais il coupe par sa palette d'armature 113 le circuit d'excita- tion du relais 130 et permet à ce relais de relâcher après un certain temps pour redonner une terre sur le conducteur de contrôle 22 par la palette d'armature 147 du connecteur marquant ainsi le sélecteur 17 comme occupé auxplots des bancs des sélecteurs jusqu'à ce que le circuit de communica- tion soit abandonné par l'appelé.
Le relâchement du relais 110 ferme également un circuit évident pour faire fonction- ner la lampe de supervision n 2 (L2) dont le circuit va de la terre à la palette d'armature 101 et son contact associé 102, par la palette d'armature 113 et son contact associé 115, la palette d'armature 176 et la lampe de supervision vers la batterie. Bien que le circuit initial de blocage des relais 160 et 140 est ,ouvert par la palette d'armature 112, ces relais sont maintenus attirés par un circuit de blocage multiple précédemment indiqué partant de la terre à la palette d'armature 143.
Il faut remarquer qu'à ce mo- ment le connecteur 17 est toujours maintenu dans sa position
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de travail par le fait que le circuit de l'électro-aimant de libération 169 est maintenu ouvert par la palette d'ar- mature 176 du relais inverseur de batterie 170. Quand l'a- bonné appelé C raccroche, le circuit du relais 170 est coupé par la suppression de la boucle de l'abonné appelé entre les conducteurs 20 et 21 et permet à ce relais de relâcher et de fermer par sa palette d'armature 176 un circuit pour l'élec-uro- aimant de libération 169, ce circuit allant de la terre à la palette d'armature 101 par les palettes d'armature 113 et 176, les contacts de tête 148 fermés et l'enroulement de l'é- lectro aimant 169 vers le négatif.
L'électro-aimant de libéra- tion de ce fait et d'une manière bien connue actionne le mé- canisme à cliquet et roue à rochet qui leur est associé pour que les balais 40 à 42 inclusivement reviennent dans leur po- ition normale de repos. Quand les balais atteignent cette posi- tion normale de repos, les contacts de tête 146 et 147 repren- nent leur position normale de la manière connue. Le relâche- nient du relais 170 fait aussi que le circuit de blocage mul- tiple pour les relais 140 et 160 s'ouvre par la palette d'ar- mature 171 ce qui provoque le relâchement de ces relais.
Ainsi les organes de commande compris dans le connecteur 17 revien- nent ., leur position normale de repos et le commutateur est prêt pour être utilisé à nouveau. vans le cas où le circuit de communication est coup
A par le poste appelé C avant que le poste appelant/ne raccro- che, le relais 170 relâche le premier. Ce relais de ce fait coupe par sa palette d'armature 171 le circuit de blocage multiple des relais 140 et 160 et prépare par sa palette d'armature 176 un circuit d'excitation de l'électro-aimant de libération 169.
Dans ces conditions, la chaîne des commu- tateurs toute entière qui comprend le connecteur 17 est maintenue dans sa situation de travail jusqu'à ce que
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le circuit de conversation soit coupé par le poste appelant A.
A ce moment le relais 100 relâche pour provoquer une attraction nouvelleadu relais 130 et pour couper le circuit de maintien du relais 110. Le relais 130 en réattirant supprime la terre multiple donnée par le conducteur de contrôle 22 de sorte que le relais 110 relâche sa palette d'armature 111, la chaîne des commutateurs comprenant le sélecteur 16 et le connecteur de ligne 13 est relâchée et revient automatiquement à sa posi- tion normale.
Les pas qui s'effectuent après le relâchement des relais 100 et 110 sont sur ce point exactement les mêmes que ceux décrits dans la paragraphe précédent.
Ainsi qu'il est montré ci-dessus des circonstances se présentent où il est extrêmement désirable de pouvoir relever les appels d'un ou de plusieurs postes faisant partie du sys- tème. Suivant la présente invention des organes sont prévus et peuvent être actionnés dès qu'une communication est établie avec la ligne appelée et maintenue aussi longtemps que le circuit de conversation n'est pas coupé par le poste appelé pour éviter que les organes,comprenant le relais 110, ne pro- voque la libération du circuit de communication de la manière décrite ci-dessus.
Plus spécifiquement ces organes compren- nent les relais 180 et 190 qui lorsqu'ils attirent empêchent le relais 110 de supprimer le potentiel de terre du conducteur de contrôle 22 et de ce fait empêchent le relâchement de la chaîne des commutateurs comprenant le connecteur de ligne associé avec la ligne appelante et le sélecteur qui a été saisi par ce connecteur de ligne. Le relais 180 a son en- roulement connecté entre la batterie et le conducteur de re- lâchement de la jonction comme par exemple le conducteur 19 de la ligne d'abonné que l'on désire mettre en observation.
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Il est entendu que ce conducteur pour chacune des lignes d'abonné du système est multiple aux plots des bancs du groupe de connecteurs auxquels la ligne aboutit, de telle sorte qu'au cas où aucun de ces connecteurs n'est saisi par un appel entrant venant de la ligne 12, le relais 180 est attiré, Quand ce relais attire il ferme par sa palette d'armature 181 un circuit d'excitation du relbis 190. Le dernier relais cité a un certain nombre de palettes d'armature unepour chacun des connecteurs sur lesquels les conducteurs de la ligne 12 sont multiplés.
Chacune de ces palettes d'ar- mature est reliée au conducteur correspondant au conducteur ;;;,;. du commutateur 17 et leurs contacts associés respectifs sont connectés séparément aux conducteurs de contrôle respectifs correspondant aux connecteurs. Ainsi la palette d'armature 191 est connectée au moyen du conducteur 60 au conducteur 24 et le contact associé à la palette d'armature 191 est connecté on par le conducteur 61 au conducteur de contrôle 22. Si/le dé- sire une palette d'armature 195 et son contact associé peuvent faire partie du relais 190 pour fermer un circuit d'excitation d'une alarme,par exemple, une sonnerie. Une telle alarme est schématiquement indiquée en 62.
Avec une disposition comme ci-dessus on observe que le relais 110 quand il est dans l'une de ces deux positions par exemple sa position d'attraction applique un potentiel déter- miné et fixé au préalable par exemple une terre au conducteur de contrôle 22 pour maintenir le sélecteur 16 et le ou les commutateurs qui le précèdent et qui sont en position de travail , Lans l'autre de ces deux positions ou position de repos le relais supprime la terre du conducteur de contrôle 22 pour faire relâcher la chaîne des commutateurs.
Il apparaitra plus loin que les conducteurs 60 et 61 sont compris normalement dans un circuit non fermé pour recevoir ce potentiel déterminé et fixé d'avance par le conducteur de contrôle indépendamment du relais 110, ce circuit allant de la terre par la palette
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d'armature 143, le conducteur 36, la palette d'armature
165 et son contact associé 166, le conducteur 60, la pa- lette d'armature 191 et le conducteur 61 et se fermant lorsque le relais 160 attire à la suite de l'établissement du circuit de conversation entre l'appelant et l'appelé.
Quand le dispositif décrit ci-dessus fonctionne et en sup- posant que l'on désire observer les appels entrants pour la li- gne d'abonné 12, dès qu'une manoeuvre de connexion à cette li- gne se produit et que le balai 42 vient prendre contact avec le plot 45, un circuit est fermé pour exciter le relais 180, ce circuit allant de la terre à la palette d'armature 147 par le balai 42, la plot 45 du banc, le conducteur 64 et l'enroule- ment du relais 180 vers le négatif. Ce dernier relais attire et par sa palette d'armature 181 etablit un circuit d'excita- tion du relais 190, ce relais à son tour établissant le contact de toutes ses palettes d'armature 191, 192, 193, 194 etc., à leurs contacts associés respectifs.
La fermeture de la palette d'armature 195 et de son contact associé provoque le fonction- nement du dispositif d'alarme 62, indiquant ainsi au préposé du bureau téléphonique renfermant le connecteur 17 qu'un appel a lieu vers la ligne en observation. Si la ligne appelée ,répond, le préposé peut, en connectant un appareil téléphonique entre les conducteurs 30 et 31 par le jack de test 65, se mettre en conversation avec la ligne appelée et décider si la ligne d'où vient l'appel doit être ou ne doit pas être relevée.
on remar- quera que lorsque le préposé branche son appareil téléphonique dans les contacts du jack 65, une terre est appliquée au con- ducteur de contrôle 22 par la lamelle 66 de sorte que la chaîne des commutateurs précédant le connecteur 17 est maintenue dans sa position de travail indépendamment des conditions dans les- quelles se trouvent les appareils de l'abonné A ou C. Si la
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ligne d'où vient l'appel doit être relevée, le préposé peut, en observant la position du sélecteur 16 et du connecteur de ligne 13 déterminer la ligne d'où l'appel provient.
C'est le rôle des organes comprenant les relais 180 et 190 d'empêcher la chaîne des commutateurs de relâcher au cas où l'appelant coupe le circuit de conversation immédia- tersent après qu'il a été établi et avant que le préposé puisse recevoir les instructions lui indiquant si la ligne d'où vient l'appel doit ou ne doit pas être relevée. Ainsi supposons que le poste appelant raccroche peu après que l'appelé ait répondu son appel. A ce moment, la terre multiple est supprimée du conducteur de contrôle 22 par la palette d'armature 131 du re- lais 130 et le relais 110 relâche comme il a été décrit plus haut.
Quand le relais llo relâche, il supprime la terre du conducteur de contrôle 22 par sa palette d'armature 111 et normalement cette dernière opération permet à la chaîne des commutateurs comprenant le sélecteur 16 et le connecteur de ligne 15 de relâcher. A cause de la fermeture du circuit pré- cédemment indiqué et comprenant les conducteurs 60 et 61, la terre est cependant maintenue sur le conducteur de contrôle 22. La chaîne des commutateurs précédant le connecteur 17 est par conséquent maintenue dans la position de travail jusqu'à ce que le circuit de communication soit abandonné par l'appelé.
Aussi comme il a été décrit précéder,ment les relais 170, 140 et 160 sont maintenus attirés, grâce au circuit de blocage multiple se fermant par la terre à la palette d'ar- mature 143, jusqu'à ce que le circuit soit coupé par le poste appelé. Dans ces conditions du système et lorsque le circuit est coupé par le poste appelé en raccrochant son récepteur à son crochet commutateur, les relais 170, 160 et 140 relâchent dans l'ordre indiqué. Le premier de ces relais, en relâchant,
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ferme par sa palette d'armature 176 le circuit de l'électro- aimant de libération 169 et fait fonctionner l'électro-aimant.
Comme conséquence, les balais 40 à 42 inclusivement reviennent dans leur position normale et le circuit de maintien du relais 180 attiré est coupé, et ce relais peut relâcher et ouvrir le circuit de maintien du relais 190 qui est attiré. De ce fait, lerelais 190 relâche et coupe par sa palette d'armature 191 le circuit précédemment indiqué comprenant les conducteurs 60 et 61 qui maintient une terre sur le conducteur de contrôle 22 et par conséquent la chaîne des commutateurs précédant le connec- teur 17 peut être libérée.
Il est évident que dans le cas où la ligne téléphonique en observation est sais,ie par un connecteur mais qu'il n'est pas répondu à l'appel, la chaîne des commutateurs sera forcée de se libérer quand le circuit de communication sera coupé par le poste appelé. Pour assurer ce mode de fonctionnement, des or- ganes sont prévus pour être actionnés au cas où le circuit de conversation entre l'appelant et l'appelé ne s'établirait pas de manière à provoquer le relâchement de la chaîne des commu- tateurs utilisés pour établir la communication. Ces organes comprennent les relais 100 et 110 et l'électro de libération 169 .
Ainsi quand ces conditions se présentent, le relais 170 d'inversion de la batterie n'attire pas et par conséquent quand les relais 110 et 110 relâchent dans l'ordre indiqué sous l'ac- tion de la coupure du circuit de communication par l'appelant, le circuit d'excitation de l'électro aimant de libération se ferme. Les balais 40 à 42 inclusivement reviennent de ce fait à leur position normale respective et le circuit d'attraction du relais 180 s'ouvre. ce relais en relâchant à son tour ouvre le circuit d'attraction du relais 190. Quand ce dernier relâche il coupe le circuit comprenant les conducteurs 60 et 61 de ma- nière à appliquer une terre au conducteur de contrôle 22 indé- pendamment des contacts associés à la palette d'armature 111.
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.-lors la chaîne des commutateurs précédant le connecteur 17 et peut revenir à sa position normale/le circuit de communica- tion est libéré.
Commeon l'a fait remarquer précédemment, la disposition du système est telle que lorsque la ligne miseen observation est saisie par l'un ces groupes de connecteurs sur les bancs desquels cette ligne est multiplée, une terre est placée sur le conducteur 64 et les relais 180 et 190 sont attirés. Alors toutes les palettes d'armature 191, 192, 193 etc. sont en con- tact avec leurs contacts associés et les circuits d'application du potentiel de terre aux conducteurs de contrôle respectifs des connecteurs compris dans le groupe indépendam- ment de leurs relais respectifs de maintien, comme par exemple le relais 11C, sont préparés. Il en résulte que la chaîne des commutateurs aboutissant à une ligne occupée peut être libérée par une manoeuvre du poste appelant.
D'après la description précédente, il apparaît que sous certaines conditions il est possible après qu'un circuit de com L.unication a été établi entre un poste appelant et un poste mis en observation, de relever d'où provient l'appel vers la ligne que l'on désire observer, Puisqu'on a décrit ce qui actuelle- ment peut être considéré comme les constituants préférés de l'invention, il est entendu que diverses modifications peuvent # être apportées.